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1 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
États sardes, le 3i décembre. Il s’est réfugié â Genève. — On nous écrit de Nantes, que les deux cataleptiques magnélisées
du magnétisme en ce pays, et particulièrement à Madrid, d’où il nous écrit ce qui suit : “..... n a> pas le temps de m’
tivement vrais, ce serait une bien belle chose de produire un ouvrage écrit entièrement en état somnambulique. Je suis donc
e promets bien des jouissances par l’étude de cette science, dans vos écrits , que je me suis procurés, et à vos réunions; mais
de me donner votre avis sur ces deux points, savoir : si on pourrait écrire un ouvrage étant en état de somnambulisme, et s’i
omprendre et expliquer. N’apercevant point d’issue à ce débat, nous écrivîmes la lettre qui suit à M. Émile de Girardin : Mon
étaient presque tops dp la p)aqs6 du peuple, sachant à peine ljrp et écrire , pt ignorant paffailpmept le nom même de somnambu
désintéressement contestés de notre maitre. Cette lettre n’est point écrite de la main de Mesmer, il l’a seulement signée. No
s assistants de lui communiquer un ordre quelconque^ l’oreille ou par écrit (1); et immédiatement le magnétiseur, placé à une
de la vie usuelle, à la volonté du public, volonté exprimée soit par écrit , ou tout bas à l’oreille du magnétiseur. L’ordre
du bien, la simplicité du cœur et la charité (i). » C’est dans les écrits d’Empédoclc, qui vivait au V* siècle avant J.-C.
opistes de Moïse; etPhilon, son disciple, démontra que la philosophie écrite des juifs avait précédé celle des Grecs. Mais en
s, et le livre des Mystères des Égyptiens attribué à Jamblique ; tous écrits que la saine critique moderne regarde comme apocr
e crois que le9 conditions expresses de prudence sont un consentement écrit des parents , ou bien une lettre do demande (cela
ndues, tandis que je, sais fort peu et n’*i pas beaucoup l’habitude d’ écrire . : ji: ■:, . n ■ J’espère toujours v&n&
complète de toutes mes opérations magnétiques; ce sera un peu. long à écrire » et j’ai si.peu'dç temps I Cependant je ferai mo
menées près de vous, motifs qui auront été consignés d'avance dans un écrit cacheté, et déposé en mains tierces, je m'oblige
e l’Académie. Je ne puis terminer, sans rappeler à ce propos ce que j’ écrivais en 1849, et que je reconnais de plus en plus comm
mais nous engageons tous nos amis â en prendre connaissance. C’est un écrit très-utile à connaître pour les cas où la double-
e déjà pour moi. Veuillez me dire le nom de « la fleur que je viens d’ écrire sur ce papier ; » et, en même temps, je présentai
tai à la jeune personne un petit morceau de papier sur lequel j’avais écrit le nom de Paulonia imperialis. « A peine avais-
j’ajvu, et.ipa mé-moirç nq m’ç^t pa^ infidèle, puisque le joçr même j’ écrivis toutpe qvÿ f’était passé daw cette soiréfiiM fert
orces que cette demoiselle pût répéter le nom de la fleur que j’avais écrit » mais il paraîtrait que je suis possesseur d’une
ncroyables annoncées avec tant de fracas. » M. l’abbé M..... nous a écrit au sujet de la séance ci-dessus décrite, sa nar
iner attentivement. Il forma son opinion sur l’évidence des documents écrits , nonobstant l’offre du Dr Esdaile d’y ajouter le
ut philanthropique. Toutes les actions du Dr Esdaile, ainsi que ses écrits , dénotent un homme supérieur. Son savoir est vast
rg de New-York, où il entre, dit-on, de lui-même en somnambulisme, et écrit des ouvragas dont un volume va bientôt paraître.
is qu’il reflclte les pensées de ses magnétiseurs, ce qui fait de ses écrits une véritable compilation des œuvres de Swedenbor
ièce où trois jeunes gens sont, comme lui, assis à des bureaux où ils écrivent . — Pourriez vous dire son nom ? — Non, je ne le s
Pourriez vous dire son nom ? — Non, je ne le sais pas. — Si on vous l' écrivait ?— Essayez. « On écrivit alors plusieurs noms su
? — Non, je ne le sais pas. — Si on vous l'écrivait?— Essayez. « On écrivit alors plusieurs noms sur un papier; elle les lut,
’y est pas. — Tâchez de le savoir. — Ah ! le voilà qui signe ce qu'il écrivait . Donnez-moi un crayon. Et prenant celui qu’on lui
it. Donnez-moi un crayon. Et prenant celui qu’on lui présentait, elle écrivit le nom du jeune homme. « Pourriez-vous, lui dem
précédée de justes considérations sur le magnétisme. L’auteur de cet écrit est M. de Saint-Georges ; il a, par cette belle a
ur emprunte la preuve de l’immortalité de l’âme. Nous analyserons cet écrit . — Le numéro de mars , de la Tribune lyonnaise
algré la coïncidence remarquable du document révélé de Davis avec les écrits de Swedenborg, nous avions quelque peine à compre
ions quelque peine à comprendre l’importance que Bush attachait à cet écrit ; lorsque, dans un petit coin obscur, au milieu d’
manière et dans quelles circonstances il avait été inspiré, dicté et écrit , et à qui il était destiné. En l’examinant, nous
ellement inspiré et dicté, et aussi, dans quel but. En envoyant cet écrit mystique à G. Bush, J. Davis lui raconte la scène
pendant laquelle il l’a tracé. « Après m’être procuré du papier pour écrire une lettre, dit-il, j’eus le désir de descendre j
me souviens aussi d'avoir causé avec elle, d’avoir pris mon crayon et écrit toutes les pensées qu’elle m’a données. Je me rap
l’univers Davis termine en disant à Swedenborg : « L’Utilité (de cet écrit ) pour le monde n’est pas connue; mais elle est ma
t sur votre esprit, lira ceci et jugera d’après ses rapports avec vos écrits , de quelle sphère votre esprit s’est manifesté. »
ue le but de l’expédition extatique de Davis, à Poughkeepsie, était d’ écrire , sous la dictée d’un pouvoir surnaturel, une lett
borg ! Voilà, certes , une bien singulière correspondance. Comme on n’ écrit pas une lettre à quelqu’un pour qu’elle ne lui pa
entièrement composée de phrases, de sentences prises dans deux de ses écrits ? Ceci cache un mystère, même pour les plus crédu
e un mystère, même pour les plus crédules. Pour dire la vérité, cet écrit présente toutes les apparences, tous les caractèr
transmission de pensée, les extraits qui ont formé la substance de l’ écrit , puisqu’ils sont pris, mot pour mot, dans sa prop
lors il faudrait supposer un but. A quoi lui aurait servi de se faire écrire une lettre qu’il aurait dictée lui-même et qu’il
e qui était le suédois, non pas dans le latin qu’il avait choisi pour écrire ces deux traités, mais bien dans une version angl
eux traités, mais bien dans une version anglaise, comme le témoigne l’ écrit en question. Mais quel anglais ? Est-ce l’anglais
une réflexion. Imagine-t-on que Swedenborg dicte des passages de ses écrits à Davis, et qu’il ne se serve pas du langage des
é à de pareilles contradictions quand ou a fait connaissance avec les écrits du verbeux suédois. Ün conçoit aisément qu’un d
n entier, quoiqu’il n’eût pas lu une seule ligue ele eu que j'avais écrit ; ni su, précédemment, si j'avais rien écrit. »
ligue ele eu que j'avais écrit ; ni su, précédemment, si j'avais rien écrit . » « On ne peut se refuser d’admettre, comme co
le conclusion à tirer de cette analyse, il fallait dire : puisque cet écrit est dû à la transmission dépensée; que les citati
. » Voilà ce qu’on voudrait nous imposer comme des vérités! Et cela s’ écrit , s’imprime, se publie, se prône! Et les partisans
trouvé grâce devant vous, remplissez-moi de votre Esprit saint, et j’ écrirai tout ce que vous avez fait dans le monde, depuis
s avez fait dans le monde, depuis le commencement, et tel qu’il était écrit dans le livre de la Loi ; afin que les hommes pui
ias, Sélémias, Eehanus el Azrel (i), cinq de ceux qui sont capables d’ écrire avec beaucoup de vitesse. — Reviens ensuite ici,
et il ne s’éteindra pas avant que les choses que tu auras commencé d’ écrire ne soient achevées. — Tu en découvriras quelques-
re. — Le Très-Haut donna aussi l'intelligence aux cinq hommes, et ils écrivirent les choses merveilleuses qui leur étaient dictées
dans l’espace de quarante jours, deux cent quatre (i) volumes furent écrits . — Et quand les quarante jours furent accomplis,
fîtenlendre sa voix el me dit : Publie ceux de ces livres qui ont élé écrits les premiers; et que les dignes et les indignes l
douter, le complément du verset viendrait l’établir positivement. Ils écrivirent les choses merveilleuses qui leur étaient dictées
e rappellent aucune chose. Que si, par exemple, on les fait parler ou écrire sur des sujets qui dépassent leurs connaissances
e cette intelli gence supérieure et spéciale, s’ils n’eussent eu qu’à écrire sous la dictée de leur chef. Pour atteindre ce bu
orème de géométrie, ou une formule ontologique à une personne qui les écrirait très-correctement et sans les comprendre? Comment
cation surnaturelle, spéciale, ils ne comprenaient pas même ce qu’ils écrivaient ? Cela est impossible et prouve seulement que cett
ras avait dit au Seigneur : Remplissez-moi de votre Esprit saint et j' écrirai tout ce que vous avez fait. Et le Seigneur lui av
igence ne s'éteindra pas avant que les choses que lu auras commence d' écrire ne soient achevées. Et cependant rien ne prouve,
achevées. Et cependant rien ne prouve, rien n’indique môme, qu’il ait écrit ; au contraire, car il ajoute plus loin : irais mo
out le jour et toute la nuit, doit être nécessairement un homme qui n’ écrit ni la nuit, ni le jour. Que faisait-il alors de s
Davis quille intuitivement la ville pour aller à la campagne afin d’v écrire , pendant une crise extatique, sous la dictée d’un
domine. (Nous avons prouvé que c’est celui de Bush, lui-même.) Or, il écrit des choses qui sont gravées dans la tète de son d
les, les contradictions, souvent grossières, qui fourmillent dans ses écrits . A toute explication mystique el personnelle , no
ne, de ce drapeau de concorde et d’amour sur lequel il me semble voir écrits ces mots : PRINCIPE ÉTERNEL , LOI UNIVERSELLE , V
Durand, Loysel et Barthet, d’assister à cette solennité. Ils avaient écrit pour en exprimer leurs regrets, que l’assemblée p
roir magique, et dont il avait gardé un souvenir assez précis pour en écrire immédiatement le sujet. Ce morceau n'ayant d’autr
« Voilà ce que je pense du mesmérisme cl de son mploi. « Je vous ai écrit ces quelques idées, non pas pour vous donner tout
que mon somnambule s’ar-rêterait au chiffre qui me serait désigné par écrit . Le chiffre désigné fut 12. Mon brigadier commenç
x expérimen- ter encore, expérimenter toujours. On se presse trop d’ écrire en magnétisme, la science marche et on s’expose '
e quels étaient la chose, le mot, le nombre qu’on lui avait donnés ou écrits . Sans se tromper, la demoiselle répondait chaqu
dont il est beaucoup parlé, comme guérisseuse spiritualiste, dans les écrits magnétiques, était dernièrement à Paris. — On a
relier ses profondes réflexions, créer enfin un grand ouvrage; il n’a écrit que des lambeaux de doctrine, épars dans la Mouch
impartiale, parce qu’elle est dégagée de vues systématiques. Dans scs écrits , les idées les plus rationnelles guident les rech
de solides enseignements. Par son caractère, non moins que par ses écrits , leDr Charpignon dissipa nombre de préventions qu
de ces champions hardis, qui, par la parole, l’expérimentation et les écrits , fassent courber le doute en attaquant le sceptic
utiles, un concours efficace, soit par des faits, des discours ou des écrits . Nous avons souvent parlé de ses travaux : ajouto
aux d’Aix en Savoie, et directeur de l’établissement royal des bains, écrivait , il y a quelques mois, à la Revue d’Anthropologic
ut qu’on applique directement le magnétisme (i). Le Dr Roux vient d’ écrire (2) : « Comme moyen d’éviter les abus d’une par
, de chimie, de physique, de mathématiques, de philosophie, etc. J’ai écrit des essais de littérature et de science; l'histoi
p j’apprends que l’on- fait courir le bruit que le ministère public a écrit au ministre de l’intérieur, pour obtenir mon éloi
ées; et, pour grouper autour d’elles la force et la considération, il écrivit la lettre suivante: A Monsieur le baron du Pole
la consultation avait pour objet une maladie, elle était rédigée par écrit d’après un codex, et signée du sieur Grabowski, a
brouillon des réponses que leur faisait Mongruel, et de celles qu’il écrivait aux journaux, en mai et juin 1849 seulement. u
nsultation. — R. Ou le malade m’était présenté, ou bien il y avait un écrit d’un médecin attestant quelle était sa maladie; s
uange ou la raillerie, selon les affections personnelles de l’auteur. Ecrite pour des incrédules, cette revue ne peut instruir
me à la parole de Dieu, pendant que j’examinais attentivement si l’on écrivait fidèlement ses discours (certes alors mon esprit
êt de la vérité que nous défendons tous, je prends la liberté de vous écrire cette lettre pour vous faire connaître ce qui m’e
ns de la loi, quiconque, par ses actes, ses gestes , ses paroles, ses écrits , son adhésion, ses encouragements, etc., aurait c
mise entre les mains propres du destinataire, n’obtint pas de réponse écrite . « Néanmoins, la convocation fut faite, comme n
èque sociale le répertoire le plus complet de tout ce 3 ni aura été écrit pour l’histoire de la science, et de tout ce qui
uement. Poisdreub jeupe. Peu de jours après la publicalion de eet écrit , il on parut une variété, sans changement de date
ouvelle inculpation devant la police correctionnelle. » M. Mongruel écrivit au journal précité, et à ceux qui avaient reprodu
ions, des passions; il aime, il hait, etc. Le somnambule peut parler, écrire , calculer, dessiner, faire de la musique, etc. ;
voisine, dans une campagne et jusque dans une ville éloignée. Yous écrivez une ligne, une phrase sur une feuille de papier,
appartement où vous êtes; vous n’avez dit à personne ce que vous avez écrit , personne ne vous a vu l’écrire, vous l’avez fait
n’avez dit à personne ce que vous avez écrit, personne ne vous a vu l’ écrire , vous l’avez fait chez vous ; vous demandez au so
pièce voisine, et là, bien renfermee, bien cachée à tous les regards, écrivez sur une feuille de papier telle phrase que vous v
ain, lorsque je lui montrai son paquet sur lequel le somnambule avait écrit , sans briser le cachet bien entendu, les mois sui
ire, il faudrait voir; telle était, en eflet, la phrase qu’elle avait écrite la veille. 11 serait facile de varier et de mul
nt vous n’avez aucune idée. L’expérience citée plus haut d’une phrase écrite et mise sous plusieurs plis cachetés en est un ex
maine de la physiologie ordinaire. Je n'ai pas d’ailleurs entrepris d’ écrire l’histoire complète du magnétisme animal ; il suf
rfailement convaincus du magnétisme, qui n’oseraient certainement pas écrire leur croyance sur ce sujet, tant il reste encore
n fait de magnétisme; la faute a jusqu'ici élé commune à ceux qui ont écrit sur ce sujet. Ils ont négligé un peu trop d'étudi
i assumait sur lui toute la responsabilité; les prescriptions étaient écrites sous la dictée de la somnambule, soit par le méde
la table de mon salon d’altonte, il y a un album sur lequel je fais écrire aux personnes auxquelles il a élé fait des révéla
bien entendu ; Mme Guédon-Du-buisson est une de ces personnes; elle a écrit sur mon album son nom et son adresse, c’est peut-
quie semblable à cela. Je fus en faire part à M. Mongruel, qui me fit écrire ce fait sur son album ; du reste, j’affirme que l
Président. Prenez des conclusions : le tribunal statuera. L’avocal écrit cl lit ensuite des conclusions lendanl à ce qu’il
2 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
re n’étant pas soupçonnée; cette vie double va fournir encore de quoi écrire des volumes capables à eux seuls de former une bi
objets cachés, la lecture, à travers de corps opaques, des caractères écrits , la traduction même des pensées? Y a-t-il un seul
eurait, et s’y baigna. Dans cet état, elle avait aussi l’habitude d’ écrire des lettres, et à des personnes assez influentes,
lier, et on lui demanda ce que signifiaient les lettres qu’elle avait écrites ; elle ré- pondit, comme on le pense bien, qu’e
à du moins ce qu’elle me raconta. Du reste, elle faisait plus que d’ écrire , et cette femme garde chez elle quelques petits t
n, et je dois ajouter que c’est sans connaître en rien ce que sa main écrivait qu’il lut lui-même, à sa grande surprise, ce que
BROTE, ÉLECTRICITÉ INTELLIGENTE. Mon cher maître, Serait-il donc écrit qu'on ne saura jamais à quoi s'en tenir sur le ph
onnelle. Je suis d’avis que si Morin avait gardé l’anonyme dans ses écrits , il aurait fait dans l’ordre scientifique la même
naît point les difficultés et se rit des obstacles. Son programme est écrit en tête de son journal avec beaucoup de fermeté e
audrait supprimer les écoles, parce que si l’on ne savait ni lire, ni écrire , on ne lirait pas de livres prohibés et on ne fer
es impressions qui auraient pu être causées par des hallucinations, j’ écrivis au père pour avoir des renseignements. Voici sa r
vers l’infini que vousjparaissez redouter. J’ai peut-être eu tort d’ écrire la série en long. Les mystiques avaient pris le c
es mystiques avaient pris le cercle pour symbole du temps. Si j’avais écrit la série circulairement, la première transition d
me une pieuse âme défunte du royaume d’Andalousie, avait répondu, par écrit , au cours d’une conversation en espagnol; langue
la priai de vouloir bien se rendre seule dans un salon voisin pour y écrire ello-même et très-lisiblement, un mot sur un morc
ant entre les deux autres, et j'invitai la dame, qui avait bien voulu écrire le mot è l'intérieur, & s’approcher du somnam
te à diro qu’elle contenait un papier plié à l'intérieur duquel était écrit un mot formé de quatre lettres; et, prenant la ma
forces 1 La table se soulève, se livre à des contorsions et finit par écrire : « Il ne reste pus tranquille !» Je regarde le d
ième minute (1) la manifestation reparaît. M. Hébert la prie de faire écrire la main de M"» Octavie, phénomène qu'il est très-
levâmes la séance. Au bas du procès-verbal, rédigé parM. Hébert, il écrivit : « M. du Potet peut seul dire si les réponses à
question. Avant d’appeler les esprits dans cette voie, M. du Potet a écrit à plusieurs reprises qu’on courait risque d’y lai
manqué, il a cherché à s’en créer. Il a fondé des publications, il a écrit , provoqué la formation de sociétés magnétiques, d
evint s’asseoir auprès de sa table à ouvrage. Elle prit du papier, et écrivit une lettre à son mari. Elle lui annonçait qu’el
si on interposait un écran entre l’œil et le papier, M" *** cessait d’ écrire ; puis, dans un brusque mouvement d’impatience, el
lus tendre enfonce. « Le second indice d une nature extraordinaire, écrit -il, s’est manifesté dans ma quatrième année, et a
Souverain Maître , de parler... et de dire vrai! » (Cette réponse fut écrite d'un trait spontané, parla main de \lUaOctavie).
lon la série où nous transmigrons. « La mort ne brise rien ! » nous écrivait uno de ces manifestations aujourd'hui si vulgaire
la belle cascade appelée dans le pays : Kombagaga ; « Nous étions, écrit -il, sur les bords du Kokoula, dont la largeur est
fut interdite ; moi, je demandai ce que cela nous annonçait. La table écrivit : « C’est M‘*‘ (le mari de celte dame) qui consei
ables. « Quand la vieillesse amène la fm d’une existence honorable, écrit cet auteur si consciencieux (1), la mort est plut
et, publie qu’il a vu ces esprits dans notre air ambiant : « Ils ont, écrit -il, la forme de petites sphères plus ou moins gro
Ainsi que l’histoire des millions de siècles (1) de notre planète est écrite en ses entrailles, comme le prouve la géologie; l
e que la servante de M- M*** fut dotée subitement du magique talent d’ écrire , pour s’adresser cette leçon morale : « Jeannette
nt protesté hautement contre elle : « Montrer le mal où il n'est pas, écrit l'abbé Loubcrl, ce n’est pas le faire voir où il
D' CLEVER DE MALDIGNY. Post-Scriptum. Depuis que ces lignes sont écrites , M. Hébert cl moi nous avons, de nouveau, conféré
tipathie contre les chercheurs en divergence avec son point de vue, m’ écrivait de Londres, le 17 décembre dernier : « Combien d'
les, que l’un de ses biographes de nos jours (1) ne peut s’empêcher d’ écrire de lui, tout en répudiant ses prodiges : « C’est
viron huit heures du soir. Longtemps auparavant, il avait annoncé par écrit que ces douleurs auraient ce résultat. Bientôt ap
Médecin en serond de l'hôpital de Cabors et du lycée impérial. — On écrit de la Ferté-Macé, le 7 avril, à la Liberté de Cae
d’imaginer et de juger. Car, s’il en était autrement, vous n’oseriez écrire , aux yeux de (ous, ce que vous nous dites du mond
un, comme vous l’avez cru. Un mot encore avant de finir. Vous avez écrit ces lignes : « L’esprit i/ni conduit ma plume me
’esprit i/ni conduit ma plume me dit que ces payes sont ce qui a /■té écrit jusqu’ici déplus vrai sur les esprits. » — A quel
ls le pompon jaune des voltigeurs ? — Encore une question : Avez-vous écrit endormi ou éveillé ? Chacun comprend combien il m
illé ? Chacun comprend combien il m’importe dele savoir. Si vous avez écrit pendant la veille, d’après votre théorie, c’est v
es?... Ecriture mus main risible. M. Rerfus Elmer, de Spring-field, écrit à l’Ere nouvelle, de Boston, que Mmc Belden, de W
rement informée par les esprits qu’une lettre lui avait été récemment écrite de Boston, et ne lui était pas parvenue. Elle les
’a pas encore été vérifié si une lettre pareille lui a été réellement écrite de Boston : mais le fait seul de l’écriture du du
y lit le caractère des livres qu’il a devant lui, de la lettre qu’il écrit . C’est un miroir interne où viennent se réfléchir
ssé à lui aussitôt, mon enfant ne serait pas mort, et me dit de lui écrire en pareil cas, qu’il agirait aussi bien de loin c
victime des dénonciations , placé à cent trente lieues de distance, m’ écrivait le 26 décembre, et me disait entre autres ; « J’a
éciproquement tous les deux, « votre dernière lettre m’oblige à «vous écrire immédiatement pour vous rassurer, etc., etc. »Je
t saisie d’un violent mal de tète qui ne discontinuait pas. Le 14 , j’ écrivis en conséquence à M. Cheneau, et le 18 à M. Laforg
ons-nous de cela, mes très-honorables confrères ? Le 3 août 1853, j' écrivis à ces deux hommes de Dieu pour leur recommander
mais surtout pour le môme résultat.) Quelques jours après, je leur écrivis pour la belle-mère de M. Pierre B...... affectée
nuel, mais dont les crises devenaient insoutenables tous les soirs. J’ écrivis en conséquence le 10 septembre 1853 à M. Cheneau
; il était malade à la mort, etc., etc. » Le 2 octobre , mon neveu m’ écrivit de chez lui , car il était alors en congé, en me
e à la tôle, tantôt d’un côté, tantôt de l’autre. Le h novembre, il m’ écrivait de Lorient : « Le mal de tête m’a o repris de plu
s je me trouve dans une position assez triste.» I.c II décembre, il m’ écrivait ce qui suit : * Depuis un « mois, je me porte ass
avez donné l’adresse de ce bon raon-0 sieur, mais je n’ai pas osé lui écrire . Je vous prie de vou-« loir bien vous charger de
. Oh ! le magnétiste qui voudrait vivre dans l’histoire n’aurait qu’à écrire cette prophétie, car elle est vérité. Accomplisso
tres, bien avant lui, avaient fait la même découverte. M. Barthé nous écrit que, il y a six ans, trois médecins de Buflfalo,
attirée vers la table : elle s’y plaça, croyant qu’on allait la faire écrire . 11 n’en fut rien, mais quelques secondes s’étaie
tions pour la circon stance et en outre la suscription d’une lettre écrite par son gendre. « Parti d’Ajaccio le 7 février
e remarquable lucidité. .« Apeine eut-elle appliqué sur son front l’ écrit de M"1' de C***, que, franchissant la distance et
à toute démarche tendant à la nomination en Corse de M. de F***, et j’ écrivis , le jour même 16 avril, à M"' de C*** la relation
ssous une feuille de.papier. « Pourquoi ça ? demanda-t-elle ; dois-je écrire ? — Non, répondis-je, n’écrivez pas , et continuo
Pourquoi ça ? demanda-t-elle ; dois-je écrire ? — Non, répondis-je, n’ écrivez pas , et continuons. Vous parlez du magnétisme, e
e je lui adressais, il se faisait un certain recueillement, puis elle écrivait , et ensuite se mettait à lire avec une grande cur
s de distance, sur ma demande si elle croyait la revoir bientôt, elle écrivit : « Dans deux ans d’ici, au mois de mai, nous ser
en lui répétant d’un ton d’autorité : « Tenez ferme, ne cédez pas, n’ écrivez pas ! » — M’adressant au moi interne, je formul
teur, lorsque l’instituteur d’Argenteuil vient de m’a- dresser, par écrit , tous ses regrets pour le dérangement que nous a
n cher baron. Quoiqu’il y ait bien longtemps que je ne vous ai rien écrit , ce n’est pas que j’aie cessé de m’intéresser, co
s les nombreuses occupations qui tiennent à ma chaire m’ont empêché d’ écrire sur le magnétisme autant que je l’aurais voulu ,
ables. On sait qu’il y a des médiums pour les tables ; d’autres qui écrivent , et d’autres qui déclament. J’ai eu l'occasion de
tous les sons possibles. 11 est certain que Reichenbach, comme il m’a écrit il y a longtemps, a trouvé que les sons produisen
dans ce que j’ai vu et étudié. J’ai vu, par exemple, un médium qui écrit involontairement, et j’ai pu me convaincre que ce
onvaincre que ce médium n’avait pas la moindre conscience de ce qu’il écrivait . Mais j’ai vu aussi que les phrases écrites avaie
e conscience de ce qu’il écrivait. Mais j’ai vu aussi que les phrases écrites avaient absolument la tournure qui était habituel
eusement la fièvre avait subitement diminué et que, avant qu’elle eût écrit , tout allait si bien qu’elle n en avait rien dit.
au lit et malade à Edimbourg, mais que ce n’était rien de grave. Elle écrivit cependant, et cette lettre croisa en route une au
, c’était dans la première voiture après le corbillard. Tout cela fut écrit à son mari; mais le jour où cette lettre fut mise
rès les faits bien avérés. Vous voyez, mon cher baron, quoique je n’ écrive pas aussi souvent que je le devrais faire, que
uve ni même ne se comprend plus, — j'ai, dis-je, fait tourner, damer, écrire , parler bien des tables, des guéridons et des cra
tails qu auraitfpu en mettre un commis aux passeports. Et tout cela , écrit en caractères différents suivant que les esprits
on qu’il soutenait, et l’interpellant vivement, lui dit, ou plutôt il écrivit : — Toi tu es bonne, mais tu as l'air trop précie
es deux sœurs pour marquer que c’était d’elle qu’il allait parler, il écrivit : Toi, la grande, tu le marieras dans cinq mois e
irai que, ne sachant à qui m’en prendre pour l’alléger quelque peu, j’ écrivis ce triste événement au crayon-corbeille resté à P
r de celles de Paris. Souvenez-vous, d’ailleurs, que vous-même avez écrit : « C’est au peuple, c’est a celui que l’erreur E
i que ce que je viens de citer — pris au hasard entre tant d’articles écrits dans le môme sens — implique une certaine contrad
ns afin de n’en pas altérer le sens, mais que vous en semble? Bien qu’ écrites depuis six ans, et paraissant dirigées principale
des morts et les apparitions d’esprits, ne vous paraissent-elles pas écrites d’hier tant elles sont applicables aux tendances
voir sous la table. En très-peu d’instants, les mots suivants furent écrits sur le papier, sans l’aide d aucune main physique
ltsaj, n Monsieur, « Permettcz-moi de prendre la liberté de vous écrire et dt vous dire que je suis heureux d’être allé v
ience de lire une longue tartine dans le Risorgimento d’hier, tartine écrite par un certain docteur-baron de Beaufort, qui, av
ient en secret. Tel autre roi également a rassemblé tous les ouvrages écrits sur cette matière et recherche les hommes éminent
aux besoins de la science, de l’époque et des désirs particuliers ? J’ écrirai à l'Union magnétique qu’elle aussi manque de vue
vaient pas lu. Cependant l’E!ectro-dynamisme vital est parfaitement écrit ; et, bien qu’étranger, l’auteur manie notre langu
pas ce que c’est qu’un son et qui parle aussi nettement (nous allions écrire aussi facilement) qu’une jeune fille avec ses com
ner un résumé complet, méthodique et substantiel de tout ce qui a été écrit sur ce sujet, en y joignant le résultat de ses pr
re. M. Puel, .après avoir laborieusement compulsé tout ce qui a été écrit sur la catalepsie , et recueilli tous les moyens
je ne doutai donc pas de l’exactitude de celle qui m’était décrite. J’ écris fort empressé à mon médecin , espérant le convain
uin dernier : Pour psychométrer un individu, vous prenez une lettre écrite par lui. Vous fermez les yeux, afin de vous isole
dé peut exposer. Dans une réunion nombreuse, une personne présenta un écrit , et le pnyc/iomélreur décrivit exactement, non l’
ent, non l’auteur de la lettre, mais la personne qui avait présenté l’ écrit . Une autre fois, on apporta un papier blanc, et l
e sera mis en rapport avec elle, que le rapport peut s’établir par un écrit , mais qu’il peut aussi bien avoir lieu par un mou
s le début, contre l’invasion de la psychométrie. A. S. MORIN. On écrit de Rangoon au Murning C/ironicle : 11 est arrivé
s parents. Un jour, au grand étonnement de sa famille, elle demanda à écrire . On lui donna tout ce qu’il fallait, elle posa sa
e papier pour le maintenir, de l’autre elle prit la plume et se mit à écrire . Il sembla d’abord qu’elle traçait au hasard des
mais, avec un peu d’attention, on reconnut que ces lettres étaient écrites à rebours, à la manière orientale ; elle avait ai
étaient écrites à rebours, à la manière orientale ; elle avait ainsi écrit son nom et son âge. Elle écrivit dill'érentes cho
a manière orientale ; elle avait ainsi écrit son nom et son âge. Elle écrivit dill'érentes choses de la môme manière. Elle nota
ale. Après plusieurs phases de sa terrible maladie, elle se remit à écrire , mais d’une manière toute singulière : elle n’emp
et l’astérisque (*) du chiffre z o. Avec cette sorte d'alphabet, elle écrivait à rebours, c est- -dire de gauche à droite, et av
e son écr -ture, et elle enéprouvait même de l’impatience. Plus tare, écrivit des lignes dans le sens vertical, à la manière de
manière des w nois. Puis, elle se servit des caractères grecs pour écrire des mots italiens (toujours à rebours). L’auteur
iano à sa disposition, elle exécuterait toute espèce de musique. Elle écrivit que ce jour-là elle penserait et écrirait en grec
oute espèce de musique. Elle écrivit que ce jour-là elle penserait et écrirait en grec, le lendemain en français, et le surlende
causer avec elle ; elle soutint parfaitement la conversation. Priée d’ écrire quelque chose, elle écrivit le quantième du mois
tint parfaitement la conversation. Priée d’écrire quelque chose, elle écrivit le quantième du mois en ces termes Fifteen septem
igées de recourir à un dictionnaire. Il lui arriva plusieurs fois d’ écrire en se servant de caractères qui parurent n’appart
rent aucun résultat, aucune modification dans l’état de la malade qui écrivit , dans son état de crise, que le diable n’était po
e l’anglais, peu de français et seulement quelques mots d’espagnol, a écrit , dans une obscurité presque complète et en notre
emand, le français, l’espagnol, le latin, le grec et l'hébreu ont été écrits correctement, et, à ce qu’il semble, par des main
personnes s’en sont également assurées, et l’ont ensuite certifié par écrit . Pour ce qui est de l’obscurité, il se trouvera
laisse à tous les autres la responsabilité de leurs actes et de leurs écrits . Ce que j’ai publié, je l’ai fait avec discréti
Monsieur, « Dans le mois de décembre 1854, vous eûtes la bonté de m’ écrire et de m’éclairer sur quelques phénomènes du magné
tait entreprendre une tâche évidemment au-dessus de ses forces, que d’ écrire une histoire môme très-abrégée et très-superficie
ue, se rapproche bien plus de l’école Deleuze que tous les précédents écrits du baron ; mais, publié après l’excellent ouvrage
ent tes phénomènes sont niés quand on les voit, mais ton histoire est écrite avec l’inexactitude la plus grande et avec la par
le directeur, n Dans la lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’ écrire fin d’août, vous me dites que vous accueillerez t
i se sont passés dans le nord de la France, il y aurait des volumes à écrire . Je ne puis entreprendre une telle tâche, mais ce
ut fut un homme fort remarquable, comme on peut le voir par sa vie qu’ écrivit , quatre-vingts ans plus tard, un de ses successeu
r Iss phénomènes qu’il présente à nos sens : il parle , il chante, il écrit , il nous raconte l'histoire de sa vie. Nous pouvo
orps de tout à l'heur- , au qu’un esprit semblable fait mouvoir, pour écrire cet article, la matière grossière dont ma main es
ains des médiums furent plusieurs fois mues par les esprits, et elles écrivirent , en prose et en vers, très-rapidement, donnant ch
dans cette soirée ; elles furent toutes lues, excepté une, q ii était écrite dans une langue qu'aucune des personnes présentes
entes ne connaissait suffisamment. Ces lettres semblaient avoir été écrites pendant la séance, et par différents esprits, et
véritab'e ; et je sais pourtant bien que ce n’est pas moi qui l'avais écrite . Les signatures des autres personnes étaient ég
parfaites, ainsi que chacun le reconnut. L une de ces lettres était écrite avec des encres de différentes couleurs, magnifiq
position ; puis, me troyant bientôt sur le point de cesser de vivre, écrivit à mes parents pour les informer du danger que j
ses affaires et rencontra en route le facteur qui lui remit la lettre écrite la veille par ma gardienne, et après en avoir pri
nt difficile de le définir. Aussi la plupart des auteurs, après avoir écrit de gros volumes sur cette matière, n'ont pas osé
d information. « Cette dame ne dormait pas. Depuis, elle a souvent écrit mécaniquement et par inspiration. 11 lui arrive p
lors elle va et vient, les yeux fermés ou parfois ouverts; elle voit, écrit , parle , et de retour h l’état ordinaire, elle n’
dium agitent un instant la lettre, puis la droite saisit un crayon et écrit ces mots : Cette malade peut être soulagée, mais
ièrement, un sujet d’études toujours fécond. Malgré le grand nombre d’ écrits publiés sur cette héroïne, on ne se lasse pas d'e
e tracas des affaires, qu’elle m’obsède à tel point qu’à l’heure où j’ écris ces lignes, je me prépare à ne plus résister. Le
» Ce fait vient à l’appui de l’opinion de certains médecins qui ont écrit sur le suicide, qu’ils ont considéré comme une ma
récits de l’être ou agent quelconque qui parle par les tables, ou qui écrit par le crayon. Je conseille surtout de ne pas adr
asigny, le 25 décembre 1856. CHEVALOT. Un de mes correspondants m’ écrit de Toronto que le magnétisme et le spiritualisme
upières se fermeront pendant une demi-heure. L’opération finie, il en écrit un rapport abrégé , le cachette et part, allant l
« Je vois très-clairement le docteur ; dans ce moment il est occupé à écrire dans son propre appartement, il est tout pensif.
ues notes. « Nous le voyons revenir à Amsterdam ; d’ici là, il nous écrira une lettre des Indes ; il sera content de ce j’ai
phénomènes des tables mouvantes et parlantes, sur lesquels on a tant écrit , tant raisonné et déraisonné , et qui restent enc
370, 571, 618; — qui font entendre des voix , 155, 277, 375; — qui écrivent , 218, 372, 570, 627 ; — qui font des jeux de mot
gallois, 216: — de Mme D.... 427; — de la femme Grisou, 610. Vers écrits par des médiums, 171, 241, 245; — par un crayon s
par M. A. S. Morin, 657. LISTE NOMINATIVE DES PERSONNES DONT LES ÉCRITS , LES ACTES OU LES OPINIONS sont insérés, analys
3 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
le caractère, le sexe, l'âge, la constitution de lu personne qui l’a écrite et le sens du contenu de cette lettre; même en li
même et pour servir la cause du bien ? A.-S. MORIN. Le nombre des écrits publiés sur les Tables et les Esprit9 va se multi
er 1S5». 2 Je suis convaincu de tout ceci, cl je regarde les livres écrits par de savants physiologistes comme de purs roman
. Le champ est trop vaste ici pour poursuivre, ce serait un livre à écrire sur toutes les erreurs de la science. En attendan
s et ces somnambules inspirées des temps antiques : « Les sibylles, écrit donc saint Justin, disaient avec jus-« tesse et v
ectionner, de grandir, de trouver leur formule dans un grand nombre d’ écrits longtemps incompris, et dont le plus célèbre et l
onacc, dont les idées philosophiques sont hardies pour le temps où il écrivait , avait ])iiblié une dissertation ayant pour litre
e, en attendant qu’on eût des nouvelles de ses parents, auxquels on a écrit . n Dans la nuit du vendredi au samedi dernier,
uggérées par la lecture des commentaires faits sur la lettre que j'ai écrite au rédacteur du Journal des Pyrénées Orientales,
tpellier, publie, dans son numéro du 25 décembre, la lettre qui suit, écrite par M. le I)r Roux, un des médecins les plus esti
l’esprit. Broch. in-12. Paris, Dentu, 1853. — Prix : 1 fr. 50. Cet écrit est anonyme, mais l’auteur s’est fait connaître p
ection qu’on doit au berceau? 11 y a trente-deux ans que De Maistre écrivait (1) : « Attendez que l'affinité de la science e
mais qui est loin d’autoriser un ton aussi superbe. 11 y a des pages écrites avec élégance, on y trouve parfois des traits spi
t nous avons conscience et souvenir. Mais l’instinct ne nous fera pas écrire une phrase, un discours, un poëme : ce sont là, i
te de la publication qui vient d’ètre faite aux États-Unis d’un livre écrit en triple collaboration, par un juge, un médecin
ait nouveau comporte diverses interprétations. Citons d’abord ce qu’ écrivait ii M. du Potet l’un des premiers apôtres du phéno
investigation. « Une autre classe de médiums se compose de ceux qui écrivent . Leurs mains sont affectées par un pouvoir qui es
re de ces médiums s’accroît rapidement. Déjà un nombre considérable d’ écrits sont sortis de leurs mains, et on les publiera lo
à les recevoir avec la pensée franche de s'éclairer, et cette masse d' écrits augmente de jour en jour avec les nouveaux médium
guer entre cet effet le procédé ordinaire par lequel le medium dit ou écrit ses propres pensées; mais les médiums n’ont génér
ue : « Lin jour que je dînais fort tard dans une auberge à Londres, écrivait -il à .M. Robsam , et que je mangeais avec nn gran
-et spirituel des i écritures sacrées ; je te dicterai ce que tu dois écrire . » Pour cette fois, je ne fus point effrayé, et l
à q mtre-vingt cinq ans, des suites d’une attaque d’apoplexie. Les écrits mystiques de ce célèbre illuminé lui attirèrent l
, sœur du roi de Prusse, sur le contenu d’une lettre qu’elle venait d’ écrire à son frère, il réclama quelques instants de conc
e monde des esprits vient justifier nos craintes. i II est notoire, écrit le P. Ventura à M. de Mirville, (|iie tous les ca
nes d’intérêt que fait à ce sujet M. Léger, dans une lettre qu’il m’a écrite , et que voici : Cher collègue, Vous me demand
eurs, ce que plusieurs écrivains catholiques et plusieurs évêques ont écrit sur les funestes expériences des tables dites tou
seulement contre l’abus superstitieux des Tables tournantes que nous écrivons aujourd’hui, mais encore contre toutes les espèce
calme et recueilli; pour éviter toute surprise, on me demandait, par écrit , de mettre, je suppose, successivement les quatre
lettre suivante : Toulouse, 20 février 1851. Monsieur, Je vous écris l’àme toute attristée de la douloureuse nouvelle
er, séance tenante, tin minutieux procès-verbal. 11 fut immédiatement écrit , signé des treize personnes présentes et, le lend
u’au plus petit bien d’une seule âme, nous serions heureux de l’avoir écrite et très-reconnaissant envers vous, Monsieur le ré
agnétique un de ses défenseurs, un homme dont le nom a marqué par des écrits d’une grande érudition. M. Aubin Gauthier vient
fait à la vérité avec un talent incontestable. Mais que pouvaient les écrits contre des juges sans foi? Rien, ou presque rien.
point d’une demi-obscurité. Un autre que moi examinera bientôt les écrits de M. Aubin Gauthier, il dira en quoi il fut fail
de M. Aubin Gauthier, il dira en quoi il fut faillie, et en quoi ses écrits ont de la valeur ; nous ne faisons aujourd’hui qu
s une raison pour que nous fassions honneur de ses discours ou de ses écrits à une cause surhumaine. Celui qui se donne comme
parallèle est que le medium doit être préféré parce qu’il « pense et écrit par l’effet d’une influence supérieure, comme une
arde sa victime et l’abandonne mourante. Ce roman, plein d'intérêt, écrit d’un style élégant, se lit avec plaisir, avec émo
se, parle, dit des sentences qu’on 11'entend pas toujours bien ; puis écrit des choses inintelligibles. A trois heures du mat
erses qu'on entend mal, dit des sentences tenant de la prédiction. 11 écrit aussi, mais rien de ce qu’il confie au papier n’e
anc, passa assez longtemps la plume dessus, comme s'il y eût beaucoup écrit , el à la fin il le plia fort serré, el il le donn
t et de corps, il s'écria tout haut, parlant au docteur: «Vous n’avez écrit « que deux mots sur le papier, dont le premier es
2° DES ESPRITS. (6« article.) Faites-nous voir /es esprits ! — m’ écrit -on de tous côtés, — nous sommes avides de connaît
le nom du fluide magnétique admis par la plupart des auteurs qui ont écrit sur le magnétisme? La conception do Mesmer relati
moi conscient. L’ouvrage de M. Noizet, précisément parce qu’il est écrit avec indépendance des systèmes reçus, et qu'il s’
raître comme un ange de lumière. Tous les auteurs qui ont récemment écrit sur ce sujet nous promettent le moyen de faire à
à notre connaissance, des corbeilles professant la métempsy-chose ont écrit très-nettement les noms de Dieu et de Jc-sus-Chri
nes posaient l’extrémité des index, et qui se mettait en mouvement et écrivait les réponses aux questions posées par les spectat
appelai Voltaire, en employant la formule : au nom de Dieu. Le crayon écrivit que Voltaire était présent, et le dialogue suivan
rits fuient en entendant le nom sacré de Dieu et sont incapables de l’ écrire ; peux-tu l’écrire, pour nous convaincre que tu
ant le nom sacré de Dieu et sont incapables de l’écrire ; peux-tu l’ écrire , pour nous convaincre que tu n’es pas un mauvais
ais esprit? » Avant même que la question fût terminée, la corbeille écrit le mot Dieu, en lettres fort lisibles et plus gra
e la cause qui produit des communications contraires au christianisme écrit sans difficulté le nom de Dieu et résiste à toute
ingesta magnétisés, exerçaient une action salutaire. M. le Dr Poeti a écrit naguère que c’est dans les affections dépendantes
ue celui de M. Comellas, il n’offre guère qu’un résumé des principaux écrits magnétiques publiés en France, notamment de ceux
eur? Sur le revers de la couverture, les mots unité scientifique sont écrits en diagonale ; cette direction (le travers serait
Henri Deuage. 1 vol. in-lî. Paris, 1853, chez Denlu. Le nombre des écrits qui se publient sur le magnétisme augmente de jou
t. Au contraire, et j’en ai déjà fait la remarque à propos d’un autre écrit (1), son langage est même trop brillant pour rend
ov. lomeXI, p. 487. qui n’est pas dépourvu d’intérêt. Ainsi, dans l' écrit que nous avons sous les yeux se trouve une étude
raisonnement suivi, afin que les qualités et défauts de sa manière d’ écrire apparaissent mieux : n Un colossal éclat de rir
ser des 5iréinisses justes ; l’hypothèse, c’est comme si l’on avait écrit a conclusion. Or, dans toute détente de ressort
vements mes doigts ont exécutés pour tracer les lignes que je viens d’ écrire ; — quels ont été les mouvements de mes yeux, con
lus ou moins de magnétisme animal, et c’est surtout pour eux que nous écrivons , savent qu’il existe une série fortement nuancée
er à la chaîne mettra sous les yeux de chacun de ses membres une note écrite : « Faire lever le pied droit ou le bras, » lorsq
e; seulement, le plus souvent, s’il parle, il s’entendra parler; s’il écrit , il gardera le souvenir de son acte. Mais, comm
t (Revue des Deux Mondes, 1" mai) eût été publié quand celui-ci a été écrit , la partie consacrée à l’examen du travail de l’a
espect pour le talent et la personne de M. Babinet n’a pu lui laisser écrire quoi que ce soit de blessant pour son ancien prof
re de phénomènes, et nous en donnera la clef. « Il faut, comme il l’ écrit , sacrifier sans peine des opinions « trop légèrem
Entre magnétisme et itiid ouo. a Pour ce, Jetons au brasero « Tout écrit magnétique : « Et de Mesmer la clique a Dispara
nr/ui-rcr on animal mugnetism, est un des plus remarquables qu’on ait écrits en faveur du mesmérisme. La position scientifique
nom de spiritualisme magnétique. Puységur, Rosenmuller et Deleuze ont écrit là-dessus des pages pleines de sens ; leurs ouvra
rapportées dans ma Physiologie, pages 214, 228, 331, et d’autres non écrites , en sont une preuve. Quant à l’étude, si vous a
ites, en sont une preuve. Quant à l’étude, si vous avez bien lu mes écrits , vous m’avez vu à la recherche constante de la lo
agnétiques. Dès 1840, j’expérimentais sur le fluide magnétique , et j’ écrivais à Frappart la petite lettre que vous avez citée e
en voulu insérer dans le Journal du Magnétisme une lettre que je vous écrivais , au mois d’août 1853, sur l’enlèvement des hommes
— sr»/| — Lie Bergasse cl le non moins recommandable Deleuze, qui a écrit 1111c liistoire apologétique du magnétisme. n E
nsacrer de nouveau et universalis 2r pour ainsi dire le succès de cet écrit . Elle est due à M. le comte de Schwerin. L'orig
ues heures de loisir à traduire cet opuscule en allemand. De tous les écrits que la France possède sur cette matière, j’ai pré
rends ton cahier et ta plume (sans consulter la table ni le chapeau), écris telle demande et attends la réponse, n Ces sortes
iologie. Ce n’est pas seulement par la main de ce sujet que je fais écrire les réponses des esprits; j’ai fait écrire différ
in de ce sujet que je fais écrire les réponses des esprits; j’ai fait écrire différentes autres fois par d’autres mains en div
e trouvant en réunion de plusieurs incrédules dans une maison, je fis écrire par la main d’un monsieur que je voyais pour la p
remière fois. Mais celui-ci se sentit tellement saisi, qu’après avoir écrit trois réponses d’un mot chacune, il se trouva si
cu de ce qu’il venait de voir sur son ami, voulut subir l’épreuve. Il écrivit une demande et attendit la réponse. Un instant ap
ant la main,lui roi-it tout le bras. Après il obtint les réponses par écrit . Je pourrais citer d’autres expériences que j’a
our subjuguer la plus belle. Pourquoi M. Th. Gautier, qui a cependant écrit de fort jolies pages sur le somnambulisme, n’a-t-
’inquiète nullement des ficelles qui meuvent l’intrigue. La musique écrite par M. le comte Gabrielli n’a rien de bien magnét
e très-étendue du ballet dont je viens de rendre compte. Cet article, écrit par M. Delaforest, n’est qu’une longue diatribe c
nt, elle le fait rentrer dedans et empêche qu’il ne tombe. » Galien écrit : « Aucuns ont dit que la torpille de mer appli
celui de M. Eudes tle Mirville. C’est à la suite de ces publications, écrites sous l’influence de l’illusion, assignant une cau
là de la barrière impénétrable du tombeau. — Tout ce qui a été dit et écrit sur ces prétendues révélations n est que rfive, i
est commode. Celui-là croit être agité par l’âme de la terre, et il écrit là-dessus des lignes incroyables, des théories re
faudrait; avant huit jours il serait mort si vous ne m’aviez appelée. Ecrivez ce que je vais vous dire ; mon remède est bien si
primé, s’est mise en rapport et lui a remis la lettre que vous m’avez écrite et en vertu de laquelle nous agissons. « Interr
nd des notes. Elle répond qu’elle voit bien le grand monsieur qui les écrit ; que deux fois déjà elle a été en rapport avec lu
en rapport avec la somnambule et lui demande ce que fait celui qui a écrit la lettre. _ « Mmc B... se transporte fort loin
de ladite Société. Quant à l’auteur de l'immortelle découverte, il n’ écrit plus; il se borne à se complaire dans !Z,0‘I.'C (
aissait ce personnage. Elle ne savait pas davantage que M. Napier eût écrit la vie de Montrose. Quand M. Napier lui montra de
ent nécessaires, et aucune ne pouvait guider la somnambule. M. Napier écrivit sous sa dictée, et j'ai vu ses notes, qui contien
entra le Dr Gaddock avec le père de l’enfant perdu, le même qui avait écrit la lettre et qui était dans une grande inquiétude
telle. Le trait le plus frappant, c’est qu’ Emma ait lu, non les mots écrits , mais les pensées exprimées dans la lettre. 11 es
ise à ce procédé au mois de février dernier ; aujourd’hui elle épèle, écrit les mots qu’on lui dicte et prononce un bon nombr
’a donné les mêmes résulta) s ; il parle mieux que le précédent, mais écrit moins bien, ce qui paraît tenir à ce qu’il a moin
mort, Itard, comme l’ayant précédé dans cette voie. « J'ai su depuis, écrit -il, qu’Itard, longtemps avant moi, avait eu la mê
plume à peine mise en action. Cependant, dès le mois de mai 1853, j’ écrivais dans un journal d'Orléans un article dont j’extra
On lit dans le numéro du 15 juillet une lettre de M. H.-S. Olcott, écrite de New-York : d J’eus dernièrement une conversa
rejeter ceux-là. » Machine inventée par les esprits. — M. Billings écrit de Palmer, comté de Hampden (Massachussett), que,
ommée mistress Seymour. Quand elle est en (rance, elle a l'habitude d’ écrire ses communications sur ses bras avec le bout d’un
lé. Parfois elle répond aux questions par oui et non. 11 lui arrive d’ écrire des communications qui couvrent toute la surface
apier bleuâtre, couvert d’écriture. Je le pris pour lire ce qui était écrit , A ce moment, je sentis la présence de l’esprit.
et le mugissement du canon. Je lus alors le papier sur lequel étaient écrits ces mots : Dieu est Dieu, et je suis avec toi. Me
dis une musique délicieuse jusqu’à ce que le sommeil me reprit. o J’ écris mon récit par ordre et sous l’influence de l’espr
t qui meut ma main et fait entendre une foule de bruits pendant que j’ écris , n Le Chrétien spiritualiste (Christian spiritu
l’après-midi à examiner des papiers qu’on me présenta comme ayant été écrits par les esprits. Quelques-uns, me dit-on, l’avaie
en servit pour nous parler. Elle revint à la table, prit un crayon et écrivit une communication qui dura une minute et demie ;
rnièrement les assertions du jeune somnambule , dans une lettre qu’il écrivit à M. Hedde quelque temps avant sa mort en Califor
ns clans le Nouvelliste de Marseille une lettre très-curieuse que lui écrit , de Cadix, un Marseillais qui réside dans cette v
u d’un, et qu alors le mal est incurable. « La veille du jour oii j’ écris (29 août), quatre-vingt-sept personnes confiées a
e plusieurs autres témoins auxquels j’ai communiqué ce que je viens d’ écrire , et qui, au besoin, comme moi, en confirmeraient
d’abord parce qu’elle est rare, et qu’ensuite, à l’époque où elle fut écrite , elle avait un intérêt de spécialité; le magnétis
trois sujets différents en même temps. L’improvisateur dictait l’un, écrivait l’autre et improvisait le troisième, — le tout en
tre parties du monde. Des manuscrits arabes et des liasses de papiers écrits en chiffres excitèrent d'abord quelque défiance,
s profondément, mais si je veux parler, les mots me manquent. Veux-je écrire , c’est pis encore. Ma souffrance est plus grande,
sentiment plus tendre.....Que je devienne plus habile dans l’art d’ écrire , que je puisse assurer mon existence, et Charlo
lius. — Tu acceptes donc? — Assurément. Voulez-vous un engagement écrit ? — Cela n’est point nécessaire: ta parole me su
on de tout com-u prendre, de tout lire dans le inonde, de parler et d’ écrire u noblement, dans le genre plaisant et dans le ge
eu calmé, il ouvrit le manuscrit de Ségélius. C'était un gros rouleau écrit de haut en bas en caractères inconnus. Mais à pei
tre battu chaque fois que, dans un accès d’inspiration poétique, - il écrivait , faute de papier, ses vers sur les tables et sur
e parent, qui eut effectivement lieu dans laisemaine. Elle parla et écrivit une langue inconnue qu’elle' appelait sa langue
cia, en lui disant qu’il dégageait son âme de ses chaînes. Delrio a écrit qu’en Espagne certains individus voyaient sous te
tricité, invisible pour nous tous, était visible pour elle. La parole écrite lui envoyait comme des esprits qui l’agitaient. L
lles les prêtres juifs en portaient, sur lesquelles Marbode d’Anjou a écrit un poëine didactique, et auxquelles Van Helmont a
’enfant mort lui montrant une épingle dans la bouche du viv ant. On l’ écrivit à ses parents ; et ceux-ci trouvèrent dans une de
cercle se remplit. Elohim majda djonem, sont les trois mots qu’elle écrivait sur ses amulettes. La voyante disait 1° qu’outr
qué leur sympathie, notamment le général Cubières, et j’y ai moi-même écrit le résultat de mes impressions. Près de là étai
ue les fondateurs de ces institutions n’avaient pas sous les yeux les écrits de ce grand homme. Je crois bon de reproduire ici
dmettre des malades au traitement, le médecin constatât leur état par écrit , pour pouvoir le comparer à celui dans lequel ils
ue la science parviendra à trier et à utiliser. 1° Le juge Larrabec écrit à l’ancien sénateur Tallmadge : u Je m’entreten
rriva au poste. » 2° Un correspondant de Sainte-Catherine (Canada), écrit aux directeurs du journal qu’il était très-incréd
a bientôt, à ma grande surprise, que ma main fut mise en mouvement et écrivit des caractères lisibles, puis des mots, des phras
duire des manifestations intelligentes par l’alphabet. Des medium ont écrit sur des sujets dont ils n avaient pas connaissanc
ont mus, des instruments de musique ont joué des airs, des plumes ont écrit sur le papier, et tout cela sans aucun moteur vis
gens prétendre que les tables et les chapeaux pensaient, parlaient, écrivaient , étaient doués d’intelligence.... Supposons que M
r, en disant qu’il est absurde qu’une aiguille de métal pense, parle, écrive , converse; le visiteur, fier de sa qualité d’espr
ille désespérée se tenait autour de son lit, sa sœur, qui est medium, écrivit que M. Atvvood, qui se trouvait là, pourrait le g
ous les maux. M. Nathan Opton, medium guérisseur, deColombus(Ohio), écrit au môme journal, que, depuis le mois de juillet 1
ialités plusieurs chances d’erreur soient évitées (1). 2° Noter par écrit l’état actuel et les antécédents du ma- (I) Mes
ire opérer par plusieurs. La durée et le mode de magnétisation sont écrits chaque jour au dos du bon d’admission, de sorte q
MANIFESTATIONS SPIRITUELLES. Faux découvert pur les esprits. On écrit de Jackson (Micliigan), sous la date du 27 mars 1
tièrement tout ce qui s’était passé. Ma main se mit en mouvement pour écrire , et la communication suivante eut lieu : « Mist
« On pria l’esprit de s’expliquer. Aussitôt le messager silencieux écrivit ce qui suit : u J'ai examiné les papiers que ti
on délit. » M. IsaacD. Scely, de Morris, comté d’Olsego (New-York), écrit au môme journal qu’il y a plusieurs medium dans s
e des personnes présentes. Un ecclésiastique de Springfield (Ohio), écrivait à la date du 30 octobre 1853, le même fait, dans
ussitôt la main de la fille de M. Laurie a été mise en mouvement et a écrit les lettres M. B. Personne ne sut quel était le
urs besoin d’une sorte de prologue pour entrer en matière, je ne puis écrire les choses les plus simples d’après les règles co
même esprit annonça encore sa présence, et le docteur l’ayant prié d’ écrire le premier vers du poëme dont il avait été questi
mort, qu’il était connu comme un individu excentrique, et qu’il avait écrit des poésies. La fille d’une dame du Delà-ware par
raité du spiritualisme, annonce la prochaine publication d’un ouvrage écrit par M. Charles Linton, medium écrivain de Philade
rs qu’il se développa comme medium. Au mois de novembre dernier, il écrivit , non plus des communications isolées, mais un liv
et relié, dont les feuillets blancs étaient réglés, et il se mit à y écrire . Ce livre a quelque chose de merveilleux. L’écrit
; elle se lit aussi bien que de l’impression. Une grande partie a été écrite en ma présence. La dernière fois que je l’ai vu,
a dernière fois que je l’ai vu, il y avait près de quatre cents pages écrites , et le plus habile calligraphe aurait eu peine à
1 n’y a ni rature, ni interligne. 'Le medium ne sait rien de ce qu’il écrit , si ce n’est que les mots se présentent successiv
les mots se présentent successivement à lui au fui- et à mesure qu’il écrit . Beaucoup d’hommes très-instruits ont examiné l’œ
ans l’état de veille : par exemple, la somnambule que cite M. Garcin, écrivait pendant chaque accès; à l’accès suivant, elle all
eau qu’on lui présentait. 11 en est de même du somnambule naturel qui écrit , trempe la plume dans l’encrier quand elle est sè
e, à mon avis, qui soit aussi vraisemblable que celle dont ce modeste écrit renferme l’expression. Nous allons, par de courte
urs petits Cousins, ces moitiés de philosophes, et l’on déchirera les écrits de nos professeurs actuels, on maculera leurs œuv
, et des nombreuses lettres qu’en renferme son livre. On a beaucoup écrit sur les mœurs de ce temps ; mais tout n’a pas été
que vous m’ayez interrogée ; vous étiez perdu sans cela. « Vous avez écrit à cette femme. « — Oui. « — La lettre est dan
habituellement Luzbourg) à qui la cause magnétique est redevable d’un écrit remarquable. Un autre alsacien, le banquier Kor
mains, est aussi l’objet d’une mention. Enfin, arrivée à 1787, elle écrit , page 370 : «... Une autre banqueroute fait enc
moyen de la musique (1). Non content d'agir, M. Lafontaine u voulu écrire . 11 est auteur d’un livre intitulé Y Art de magné
ntenterai de lire à haute voix les pages mensongères de leurs savants écrits . — Va donc, téméraire, où ton destin t’appelle
Chronique. — M. Allix, rédacteur du journal le Mugni-lopltife, nous écrit de Turin, le 20 décembre courant : « Le magnéti
37. 538. Esprits qui frappent, 559; — qui dictent, 665, 691 ; — qui écrivent , 223, 559, 641 ; — qui parlent, 559, 562, 658 ; —
t, 667, 675; — qui répondent en frappant, 166, 223, 402, 532; — qui écrivent , 223. Traitements magnétiques. Rapports de MM.
t l'esprit vient aux Tables; par un homme qui n'a pas perdu l'esprit. Ecrit avoué par M. Mau-rin (lisez : A. Morin). — Critiq
voilée ; expériences de magnétisme animal, pour s'amuser en société. ( Ecrit anonyme.) — Simple mention, par M. Arnette, 516.
par M. A. S. Morin, 674. LISTE NOMINATIVE DES PERSONNES DONT LES ÉCRITS , LES ACTES OU LES OPINIONS sont insérés, analys
4 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
ssage à la grande école (3e classe), il a appris à bien syllabcr et à écrire les nombres de 2 et 3 chiffres. A cette époque il
fait assez, bien l'addition et la sous-traction. 11 copie les devoirs écrits au tableau, mais ne peut suivre la dictée. En d
8 mai 1905, il passe en 2° classe et de juin à décembre il appprend à écrire d'une façon intelligible sous la dictée, il fait
ntré le 2 octobre 1901, âgé de 13 ans. — Hémiplégie du côté droit, il écrit avec la main gauche. L'écriture est d'abord irrég
ez bien la dictée, fait de petits devoirs de géographie et répond par écrit aux questions posées après chaque leçon. L'intell
Prononciation mauvaise: zézaiement très prononcé. Ne sait ni lire, ni écrire , ni compter. Marche irrégulière, sautille continu
garder, tellement il est insupportable. 1902. — L'enfant commence à écrire des barres, des lettres, des chiffres. Il connaît
Aucune amélioration morale au cours de l'année. 1903. — Commence à écrire des syllabes : ma, ra.... et des chiffres. Il d
de juillet parce qu'il a frappé sa mère et son frère. L'enfant lit et écrit de petites phrases et fait des additions et des s
pliquée, assez lisible ; le malade copie sur son cahier les exercices écrits au tableau noir, mais ne peut réussir comme il le
donne les explications sur l'opération à laquelle il va être procédé, écrit ou fait écrire les mots fau-chage, faucheuse, fau
ications sur l'opération à laquelle il va être procédé, écrit ou fait écrire les mots fau-chage, faucheuse, faux, avoine, épi,
inage seuls ne sont pas évalués, et comme nous l'avons souvent dit et écrit , bien qu'il soit difficile d'en faire une estimat
iste un enfant arriéré au sujet duquel l'honorable M. liartiie nous a écrit afin de le faire entrer à Bicêtre. si cela était
t privé pour les enfants aisés. poids, taille, puberté, etc. — Nous écrivons aux familles pour qu'elles nous les ramènent et n
taquin et a refusé plusieurs fois de travailler. Il ne veut même plus écrire et la lecture reste limitée aux lettres a, e. i,
de l'enfant Beau...est resté stationnaire. Il ne veut plus absolument écrire II tient mal son crayon dans la main, sourit, com
tient mal son crayon dans la main, sourit, comme s'il disait : « Je n' écrirai pas », et tient la main raide quand on veut le fa
: « Je n'écrirai pas », et tient la main raide quand on veut le faire écrire . 1905. — S'est montré plus indocile, plus capri
à la gymnastique (Fig.8 et g) 1896. — Commence à syllaber, à mieux écrire , est envoyé à la grande gymnastique. Fie. 1?. —
motif. 1903. — La vue reste mauvaise, ce qui l'empêche de pou-voir écrire convenablement, et de travailler à l'atelier. Il
Aujourd'hui, il lit couramment; l'écriture est lisible, et il peut écrire sous la dictée quelques mots usuels, faire des pr
urd'hui, il lit couramment en se rendant bien compte de ce qu'il lit; écrit lisiblement, fait la dictée avec les grands, et c
es autrefois, n'existent plus. Actuellement, l'enfant lit couramment, écrit lisiblement, fait des devoirs et des dictées, san
siblement, fait des devoirs et des dictées, sans trop de fautes, peut écrire lui-même à sa famille et sans le concours de pers
mouvements à la gymnastique. La parole est libre, l'enfant commence à écrire . Sa tenue est meilleure, mais le caractère ne se
4. — Amélioration plus notable en classe. La lecture est courante. Il écrit sous la dictée, quelques mots usuels sans faire p
à les reproduire; actuellement, il syllabe, trace des mots, sait même écrire de mémoire son nom, son âge, ses vêtements, les j
a lecture courante, l'écriture est lisible et chaque jour il copie et écrit ensuite de mémoire sa leçon de lecture, sait écri
e jour il copie et écrit ensuite de mémoire sa leçon de lecture, sait écrire les nombres jusqu'à ioo, fait l'additicn et la
ché de pair ainsi que l'orthographe des mots, chaque jour il copie et écrit ensuite de mémoire sa leçon de lecture, il sait l
opie et écrit ensuite de mémoire sa leçon de lecture, il sait lire et écrire les nombres jusqu'à 70, fait seul l'addition et l
antité; fait l'addition simple. Il y a de grands efforts à faire pour écrire , la main droite étant pa-ralysée et la gauche trè
entif et a tout à fait pris goût à la classe. Il lit couramment, sait écrire les nombres jusqu'à 100, établit une relation ent
avec ardeur en classe, il est en bonne voie pour la lecture courante, écrit de mémoire un grand nombre de mots ainsi que les
oie pour la lecture. Chai... fait de mémoire de petites dictées, sait écrire les nombres jusqu'à 100, se rend compte des quant
t retient les leçons orales. 1902. — Ch... lit et comprend ce qu'il écrit , reproduit de mémoire, sur son cahier, un certain
s imprimés. En 1902, il lit presque couramment, copie ce qu'il lit et écrit même de mémoire un certain nombre de mots imprimé
s. Il établit bien la relation entre le chiffre et la quan¬tité, sait écrire les nombres jusqu'à 100, commence à se familiaris
st heureux des progrès réalisés et travaille avec plai-sir. Il lit et écrit un grand nombre de mots imprimés isolé-ment; syll
re ayant marché de front, il copie chaque jour la leçon de lecture et écrit de mémoire un certain nombre ds mots, tels que ce
t beaucoup moins de fautes et comprend mieux ce qu'il lit et ce qu'il écrit . — Caractère de plus en plus rageur et original.
ntinue en tous points; notre élève est en bonne voie pour la lecture, écrit de la main gauche. 1896. — Poirs... lit couramm
ables. Il lit presque couramment, fait l'addition et la soustraction, écrit de mémoire sous forme de dictée un certain nombre
lecture courante. Il comprend ce qu'il lit mais pas toujours ce qu'il écrit . Il commence cependant à faire de petits exercice
de grammaire. L'écriture est bonne et très lisible bien que l'enfant écrive de la «¡8« gauche, le côté droit étant paralysé.
grammaire mais jusqu'à présent, il nous a été impossible de lui faire écrire de mémoire la plus petite dictée, même celle des
re écrire de mémoire la plus petite dictée, même celle des mots qu'il écrit journellement. 1903. —? Les progrès sont toujou
nt assez sensibles mais, malheureusement, l'impossibilité de le faire écrire empêche tous les exercices d'aller de pair. La ma
l'écriture a gagné, il reproduit assez facilement un modèle, il sait écrire les nombres jusqu'à 70, établit une relation entr
et ne faisait que commencer à syllaber. Elle ne savait pas compter; n' écrivait que d'après un modèle, son écriture était à peine
son attention sur tout ce qui lui est enseigné. Elle lit couramment, écrit très lisiblement, fait l'addition et la soustract
goût pour l'étude. Enfin, elle connaît toutes les lettres, commence à écrire . Elle distingue bien toutes les couleurs, reconna
surtout d'être particulièrement mentionnés. Nied... lit couramment, écrit lisiblement, connaît les trois premières opératio
nulle en instruction, connaissait à peine ses lettres, ne savait pas écrire . Elle était incapable de se livrer à quelques ouv
re dire quelques mots usuels. Elle reconnaît bon nombre de mots; elle écrit bien et tait des copies, connaît les trois premiè
d la physionomie agréable et expressive. En classe, elle commence à écrire , forme à peu près toutes les lettres, les disting
lents; c'est avec, bien des difficultés qu'on est parvenu à lui faire écrire quelques mots, ne fait que de petites copies, ell
ur-d'hui (1902), de bons résultats. Elle lit par syllabes, a appris à écrire , fait bien une copie, commence à faire quelques d
mais principalement à la buanderie. — En classe elle lit couramment, écrit lisiblement, fait des dictées, connaît l'addition
, ne faisait que quelques copies, sans se rendre compte de ce qu'elle écrivait . Elle possédait une certaine mémoire pour les cho
le parle bien, sa voix est claire, sans défaut de prononciation. Elle écrit lisiblement, commence à faire des petits devoirs
t par syllabes, fait les deux premières opérations de l'arithmétique, écrit lisiblement, quoï-qu'écrivant de la main gauche.
registrons aujourd'hui des progrès très notables. Elle est parvenue à écrire très lisi-blement, fait une copie, connaît et sai
pro-grès pour la classe: sa lecture n'est pas encore courante,- elle écrit lisiblement, fait des copies, connaît l'addition.
e vue scolaire, ne connaissait ni lettres, ni chiffres, ne savait pas écrire ; vu son âge avancé, elle ne donnait pas à espérer
elles difficultés pour la classe, sa lecture n'est pas très courante, écrit lisiblement, ne connaît que l'addition. Elle fait
ettres à première vue. Malgré tous ces inconvénients, elle a appris à écrire , les lettres et les chif-fres sont bien formés, e
de bonne volonté pour la gymnastique. Elle commence à sylla-ber et à écrire , sait faire l'addition sans retenue. — Tout porte
ent quel-ques progrès en classe: elle a appris à lire des mots, à les écrire lisiblement, à compter (addition), à faire le cha
elle suit régulièrement la classe et y met toute son attention; elle écrit lisiblement, assemble les lettres, commence à com
pas été moins rapides. En moins de trois ans, cette enfant a appris à écrire , à faire quel-ques devoirs de grammaire, elle con
ation notable chez cette enfant. Actuellement, elle lit par syllabes, écrit très lisiblement, fait une copie, ainsi que l'add
dement en toutes choses, mais surtout au point de vue classique. Elle écrit lisiblement, ses lettres sont bien formées; elle
ne connaissait pas ses lettres- est parvenue à lire couramment, elle écrit très lisible-ment, fait des copies, apprend la gr
nner à sa lecture une bonne intonation. Voit-elle un livre, un papier écrit ou imprimé, vite elle s'empresse d'en faire la le
n. Elle aime l'école, connaît les lettres, les chiffres et commence à écrire . Ses progrès n'ont pas été moins rapides, pour la
que, l'orthographe se modifie. Elle com-mence à faire des rédactions, écrit et rédige elle-même ses lettres. — Le caractère e
s lettres, à syllaber et maintenant lit presque couramment. Elle sait écrire et faire des copies, elle commence à compter. Ell
é surtout, il ne voulait rien apprendre. A présent il lit couramment, écrit lisiblement, fait les quatre opérations de l'arit
commence à s'habiller, à se déshabiller, à reconnaître les lettres, à écrire . Sait monter les escaliers, sauter. 1898. — Ass
5 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
et du chapitre, d'ailleurs très bien fait, mais forcément succinct, écrit par Meige (98) pour le Traité de médecine de Bo
nnel se rencontre au plus haut degré chez ceux qui, par profession, écrivent toute la jour- née : aussi la crampe des écriva
premiers interosseux et sur l'éminence thénar, pendant que la main écrit , il se produit, surtout dans le tracé des déliés,
e paraît justifiée par la cli- nique. » « Existerait-il ailleurs, écrit -il encore, un point des centres nerveux qui, su
années plns tard, vers mars-avril 1902, que survint l'impossibilité d' écrire vile ou longtemps. Le malade étant instituteur
possibilité d'écrire vile ou longtemps. Le malade étant instituteur écrivait beaucoup, soit au tableau, soit pour la correct
eaucoup, soit au tableau, soit pour la correction des devoirs. Pour écrire au tableau il était obligé d'élever le bras ; o
ouvaient plus mouvoir le porte, plume, le malade devait s'arrêter d' écrire . Après quelques instants de repos M. B... pouva
ire. Après quelques instants de repos M. B... pouvait se remettre à écrire , mais les mêmes phénomènes reparais- saient ave
vec même ténacité au bout d'une ligne ou deux, surtout s'il fallait écrire vite, et le malade devait s'arrêter encore. Peu
ant dans l'en- semble son état est resté fort satisfaisant. Il peut écrire longtemps sans fati- gue, mais l'écriture au ta
e le malade pourrait garder assez facile- ment le bras élevé s'il n' écrivait pas dans cette attitude. C'est ainsi qu'il lui
sité ; enfin survint une crampe de la main droite dès que le malade écrivait vite ; les douleurs devenaient alors si fortes qu
vroses d'occupation. Notre ma- lade n'avait de crampe que lorsqu'il écrivait des lettres, non des figures, au tableau noir ;
'autant plus vite qu'il était ému, qu'il pensait à sa crampe, qu'il écrivait en public. De même, le malade de Kronenberg n'ava
c. De même, le malade de Kronenberg n'avait sa crampe que lorsqu'il écrivait , ou jouait du piano ; il pouvait remuer longtemps
tes. Il est donc permis de penser que, chez noire malade, le fait d' écrire provoquait une association morbide corticale en
rculatoires d'un membre déjà atteint, et que l'é- motion, le fait d' écrire en public faisaient ressortir les désordres moteu
s eu une écriture détesta- ble, lorsque peu à peu il remarqua qu'il écrivait « avec contraction », ployant et crispant le po
oncluait xxii 6 82 MACÉ DE LÉPINAY qu'il lui était impossible d' écrire . Ainsi il n'écrivait pas sans penser qu'il écri
82 MACÉ DE LÉPINAY qu'il lui était impossible d'écrire. Ainsi il n' écrivait pas sans penser qu'il écrivait, sans penser qu'
tait impossible d'écrire. Ainsi il n'écrivait pas sans penser qu'il écrivait , sans penser qu'il ne pouvait, pas écrire. Le phé
t pas sans penser qu'il écrivait, sans penser qu'il ne pouvait, pas écrire . Le phénomène d'arrêt dans l'écriture avait don
t à sa crampe, plus les troubles s'accusaient ; s'il était obligé d' écrire en public, s'il était ému, les doigts se crispaie
cer les mots, en prenant le porte-plume. Il dut donc recourir, pour écrire , à certains artifices ; et, en fléchissant très f
ans, tout en la renversant légèrement sur le côté dorsal, il arrive à écrire correctement et longtemps, mais assez lentement
e au niveau des gaines des fléchisseurs. Si, air contraire, M. M... écrit en portant la main en dedans, les craquements s
tés, ou bien le malade « truque » pour en venir à bout ; ainsi pour écrire il tient le 'porte- plume et la main de façon s
homme de 38 ans, travaillant dans une maison d'assu- rances, où il écrivait deux à trois heures par jour. Il était d'un tempé
udescence des troubles moteurs. Et cependant, si l'on voulait faire écrire le malade, on constatait que, dès que le bec de
et son adresse pour tous les actes usuels, il lui fut impossible d' écrire de la main droite : dès qu'il prenait le porte-
aucun accident. Un autre malade, observé par Raymond et Janet (113) écrivait fort bien lorsqu'il était seul ; mais venait-on
t des mouve- ments brusques, incohérents, et n'était plus capable d' écrire un mol ; si l'on s'écartait, l'émotion se calma
mol ; si l'on s'écartait, l'émotion se calmait et le malade pouvait écrire indéfi- ment. t. 2° Crampes professionnelles
as- thénique. Cette femme, âgée de 35 ans, copiste, ne pouvait plus écrire ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 91 dep
affectés d'une crampe des écrivains du côté droit, qui apprennent à écrire de la main gauche ; mais la crampe des écrivains
ont point la règle, -et Ber- ger, Gowers citent des malades pouvant écrire depuis de longues années de la main gauche sans
ès émotif, mais il n'a jamais eu de crises nerveuses. Etant enfant il écrivait fort mal, mais surtout quand on l'observait ; i
e de 30 ans, il ne remarqua aucun empêchement spécial dans l'acte d' écrire . Il a toujours joui d'ailleurs d'une excellente
écriture était laide : trop penchée, trop anguleuse ; on le pria d' écrire plus droit et plus rond ; il en résulta une pré
plus rond ; il en résulta une préoccupation soutenue dans l'acte d' écrire . C'est à ces deux circonstances réunies que M.
crampe ne survenait que de temps à autre, et lorsque le malade avait écrit pendant un certain temps ; mais bientôt elle de
son état ; il avait peur de perdre sa situation ; aussi apprit-il à écrire de la main gauche ; l'apprentissage fut assez f
is aussi courante qu'avec la main droite. Néanmoins il commençait à écrire de la main gauche pour les besoins de sa profes
e fléchisseur de l'index qui se contractait, d'où l'impossibilité d' écrire . A peu près à la même époque, le malade eut de
n'en subsiste rien actuellement. Pour tout acte, autre que celui d' écrire , le malade est très adroit de ses mains ; il n'
bien de la main gauche que de la main droite, acheta uue machine à écrire , et apprit à s'en servir. Tout alla bien pendan
ns le bras et l'épaule. Le malade abandonna dès lors la ma- chine à écrire , et n'a plus essayé de s'en servir depuis. Actu
crire, et n'a plus essayé de s'en servir depuis. Actuellement M. V. écrit peu ; il donne des signatures de la main droite,
lement M. V. écrit peu ; il donne des signatures de la main droite, écrit au crayon de la main droite, ou à la plume de la
in gauche ; et, à la condition d'être seul, de n'être pas ému, et d' écrire peu longuement, il n'a plus de crampes. Localem
d'autres cas c'est seulement au moment où apparaît la difficulté d' écrire que le torticolis se manifeste : le malade suiv
ns soigné la Salpêtrière, n'avait son torticolis qu'au moment où il écrivait , et en même temps que sa main se contractait.
èrent au point où nous les trouvons en décembre 1908. Veut-on faire écrire M. Lef ? on le voit s'installer, prendre de l'enc
première c'est que, regardant sou épaule, il ne voit plus ce qu'il écrit ; la seconde c'est que sa crampe de la main à e
de la main gauche. La malade, malgré son hémichorée droite, pouvait écrire de la main droite, mais, lorsqu'elleprenait le po
ques^ dont la valeur diagnostique équivaut à celle des paroles, des écrits , de la mimique. Leur étude n'a pas été négligée
n intelligence était assez vive et il apprit facilement à lire et à écrire . Pendant l'enfance et l'adolescence, la disprop
achondroplases hu- mains. Apert est catégorique sur ce point ; il écrit en effet : « si la sélection était faite dans l
ques psychologues, soit par le peu de place que tiennent dans leurs écrits les éléments matériels du cerveau, soit par l'ind
ous d'elle. L'homme est' une bonne machine avec ou sans conscience, écrivait déjà Maudsley. ' Pour les motifs qui précèdent
nstater des différences existantes et quand je vois des indi- vidus écrire de bonnes pages dans les états d'inconscience, je
terme, j'ai subi au moins une pression. Je me suis laissé aller à l' écrire sans penser à rechercher en moi-même la parti-
i. S'il fallait un acte de volonté ou seulement de l'attention pour écrire chaque lettre, épeler chaque mot, associer le g
es enchanter, les fasciner .[Contrai- rement à ce que l'on croit et écrit , l'homme est un être fort peu raisonnable. L'hi
aintenant qu'une excitation, une sensation c'est-à-dire lin mot, un écrit , un événement etc. arrive au contact d'un cerveau
ermine non pas parce que j'ai tout dit, non pas même parce que j'ai écrit tout ce que j'aurais pu mentionner, mais parce qu
vains de la main droite, il y avait, lorsque le malade se mettait à écrire de la main gauche un spasme de la main droite, se
il est très nerveux, très impressionnable. Son métier l'obligeait à écrire toute la journée ; de plus, préparant des examens
de ses moyens d'existence. Il peut néanmoins employer la machine à écrire sans avoir de crampe dans la main droite. Tous le
n'existe aucun signe d'affection périphérique. M. Mal... a appris à écrire de la main gauche, et il le fait avec assez de
l le fait avec assez de facilité, mais, si on l'observe pendant qu'il écrit de la main gauche, on voit que le bras droit se
but de la morphinisation, M. M... éprouva une certaine difficulté à écrire : les doigts se crispaient sur le porte-plume e
e de la main droite fut complètement impossible. Le malade apprit à écrire de la main gauche, mais éprouva ensuite dans cett
nisation par le sevrage rapide. Sept semaines plus tard, M. M ? put écrire de nouveau de la main gauche ; la main droite f
de la main gauche ; la main droite fut plus longue à redevenir apte à écrire . Actuellement, quatre ans après, M. M..., s'il
riété ou la plus légère fatigue, reste plusieurs jours sans pouvoir écrire ; en temps or- dinaire, il peut écrire de la ma
plusieurs jours sans pouvoir écrire ; en temps or- dinaire, il peut écrire de la main droite, mais de temps en temps sa cram
de la main droite, mais de temps en temps sa crampe le reprend ; il écrit alors de la main gauche. Au point de vue intellec
la main (Debout), celte affection « consiste dans l'impossibilité d' écrire , par suite de contraction particulière des musc
é psychologique est sans doute beaucoup plus grande dans l'action d' écrire que dans une foule d'autres actes professionnels,
mpe des écrivains et les autres crampes professionnelles ; l'acte d' écrire étant plus compli- qué au point de vue psychiqu
angulaires, des plumes de ronde, des plumes d'oie ; la difficulté d' écrire est de plus en plus considérable, et apparaît b
e prend le porte-plume. Souvent cependant le sujet peut continuer à écrire au crayon ; cela s'explique par ce fait que, co
asmodique. Dans celle variété, on observe, dès que le malade se met écrire , tantôt une brusque. extension de l'index, tant
es deux autres. Tous ces spasmes cessent dès que le sujet renonce à écrire . Cependant, comme nous l'avons fait déjà remar-
es persistent elles restent de beaucoup prédominantes pour l'acte d' écrire , et gardent ainsi le caractère électif qui est
e spasme se produise par le fait seul que le su- jet pense qu'il va écrire ; ou bien (Brissaud, Hallion et Meige) la crampe
pe disparaît lorsque le sujet est très préoccupé de l'idée qu'il va écrire , car alors il ne pense plus à l'acte même de l'
acter ensemble ou isolément. Or si l'on considère que dans l'acte d' écrire tous ces muscles interviennent dans une certaine
t, trois groupes musculaires jouent un rôle important dans l'acte d' écrire , soit que l'acte soit tonique (fixation de la m
ainsi que le dit Meige, simultanément et successivement à l'acte d' écrire . Nous écrivons donc, non seulement avec nos doigt
dit Meige, simultanément et successivement à l'acte d'écrire. Nous écrivons donc, non seulement avec nos doigts, mais avec
oup aussi avec notre épaule. Quoi qu'il en soit, « si l'on songe, écrit Zuber, à la multiplicité des organes musculaire
tiplicité des organes musculaires et nerveux mis enjeu par l'acte d' écrire , à la régu- larité et à la longue durée de la d
; mais au bout de quelques minutes il « se dérouillait » et pouvait écrire plus facilement. Rapid ment l'impotence fonctionn
me spasmodique. ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 201 encore écrire assez couramment et exécuter quelques dessins. In
tuelle il est vif, dit-il, et facilement irritable. Veut-on faire écrire le malade devant soi, il commence par vous dire q
quée ; elle cesse dès que le malade lâche la plume. Veut-on faire écrire le malade en tenant le coude fléchi, l'impotence
rapidement amélioré, et actuellement, au bout de deux mois, il peut écrire assez couramment sans avoir de crampe, en renve
rfaitement la plume, mais dès que la fatigue survenait, après avoir écrit un ou plusieurs mots, la main et l'avant-bras sem
cloués au bureau ; un certain temps de-repos permettait à nouveau d' écrire quel- ques lignes, puis bientôt reparaissaient
ouce toutes les fois qu'il ne s'agissait pas de tenir la plume pour écrire . Duchenne cite également un cas curieux observé
e était liée à l'empêchement de porter le bras en dehors; le malade écrivait ainsi quelques mots, puis s'arrêtait, la main n
., par un effort de volonté remarquable, apprit en quelques jours à écrire de la main gauche ; les premiers essais furent
exécutées de la main gauche. Depuis ainsi quatorze ans, M. Br... n' écrit que de la main gauche, et jamais aucun spasme f
paralylico-spasmodique. 204 MACÉ DE LÉPINAY En dehors de l'acte d' écrire , M. Br... n'éprouve dans le bras droit aucune g
ou moins rapidement de droite à gauche, de façon que le malade qui écrit est obligé d'accomplir cet acte complexe par su
ion l'augmente de façon nota- ble. Larrey (92) cite « un savant qui écrit tous les jours beaucoup et assez rapidement lor
té, etc. Cette forme de tremblement exclusivement limité à l'acte d' écrire est rare ; aussi certains auteurs comme Duchenn
arqué de la main droite, tremblement qui ne se manifestait que pour écrire , ou jouer du violon. Observation XVI (personnel
07 pour un tremblement de la main droite qui l'empêche absolument d' écrire depuis deux mois. C'est à la suite d'une vive dis
posant comme le défenseur des opprimés, le redresseur de torts ; il écrit dans des journaux contre son administration, ayan
gmenter ; le tremblement est toujours exactement limité ri l'acte d' écrire et de jouer du violon ; il n'existe aucun trouble
eront les applications thérapeutiques. Si l'on se bornait à faire écrire le malade devant soi, et à examiner les altérat
ment qui ne l'empêcha pas de reprendre la plume et de conti- nuer à écrire . Des accidents semblables se reproduisirent ; cha
Des accidents semblables se reproduisirent ; chaque fois l'action d' écrire redevint possible sitôt l'accès terminé. Une fois
t pris pour une crampe des écrivains. Deux ans plus tard, le malade écrivait saus iuterruption depuis trois heures, lorsqu'i
mois aupara- vant, et se manifestant surtout lorsque l'enfant veut écrire . Le malade, très intelligent, a toujours été ém
ublic ; mais il prend toute son intensité lorsque l'enfant se met à écrire ; et la plume devient inapte à tracer les mots (f
e fait que le tremblement n'est pas exclusivement limité à l'acte d' écrire , on élimine la crampe des écrivains à forme tré
itionnaire à l'Assistance publique, éprouve une grande difficulté à écrire en présence d'une personne quelconque. Sujet mi-
jours été émotif ; voulant passer un examen, lui fut imposai- ble d' écrire un seul mot sous la dictée. Depuis ce moment, il
ette idée qu'il perdrait sa profession parce qu'il ne pourrait plus écrire . Lorsqu'on lui demande de prendre la plume, on co
une lettre ou deux. Mais, au bout de quelques minutes, M. R... peut écrire , et, une fois lancé, n'éprouve plus aucune diffic
, ne subit aucune mo- dification subconsciente, comme dans l'acte d' écrire . » Sans doute la mise en jeu de la machine à éc
e dans l'acte d'écrire. » Sans doute la mise en jeu de la machine à écrire fait intervenir simultanément les deux mains, e
ploie l'écriture ordinaire ; par ce côté l'emploi de la ma- chine à écrire est assez semblable au jeu du piano ; mais, pour
l'acte mental est le même, ou du moins fort analogue à la machine à écrire , ou par des lettres tracées à la plume ; aussi
un individu qui se sert journellement et avec excès de la machine à écrire , soit aussi bien sujet à une crampe professionn
sujet à une crampe professionnelle qu'un comptable par exemple qui écrit sans discontinuer. En réalité, les observations
reuses, au fureta mesure que se généralise l'emploi de la machine à écrire , et nous en avons personnellement observé un ca
venaient au bout de quelques instants de l'em- ploi de la machine à écrire ; les doigts avaient peine à se relever avant d
absolue ; lespasme cessait dès que le malade quittait la machine à écrire , mais reparaissait à toute nouvelle tentative d
c- ture avait peu à peu gagné le poignet, et le jeu de la machine à écrire avait dû être abandonné. Ce malade avait d'aill
ployés pour la télégraphie, n'est pas moins compliquée que l'acte d' écrire à la plume ou de jouer de la ma- chine à écrire
liquée que l'acte d'écrire à la plume ou de jouer de la ma- chine à écrire . Dans le télégraphe Morse, les lettres sont rep
ar ébranler les natures les plus vigoureuses. Si jamais on arrive à écrire l'his- toire des maladies spéciales à chaque co
re successivement ce levier en contact avec la lettre que l'on veut écrire ; la main n'exécute donc point pes alternatives
embres supérieurs est à peu près complète; cependant le malade peut écrire encore un peu. Quand les muscles du bras se con
tures, de tremblements, de mouvements athétosi- formes. Le malade écrit mais en traînant un peu la main, en s'appliquant
es précau- tions pourraient être prises en particulier par ceux qui écrivent beau- coup ; la méthode d'écriture a en effet,
). Velpeau avait imaginé pour lui-même « un appareil qui per- met d' écrire en saisissant le porte-plume à pleine main et en
irectement le porte-plume (fig. 8). Ces divers appareils répondenl, écrit Gallard (60), « à toutes les in- dications exig
pendant le temps nécessaire à ap- prendre l'emploi de la machine à écrire ou l'écriture de la main gauche. Ces appareils
avait re- marqué que sa main ne supportait guère la plume quand il écrivait , quand il « créait ». Dans ses travaux de copie
qu'il s'agissait de l'écriture spontanée, de la plus simple phrase écrite sans dictée, sans modèle. Pour faire sa correspon
a main était « engourdie » et qu'elle pouvait très bien s'adapter à écrire et sans pour cela qu'il fasse d'autre exercice
lui de copier. Chaque jour il copiait soit des pages de ses anciens écrits , soit des pages d'auteurs classiques. Il lui ét
aucun trouble sensoriel. Au bout de deux mois, le sujet commença à écrire d'abord pendant le sommeil hypnotique, et quelque
que temps après, avant même la fin du troisième mois, il commença à écrire , mais il ne pou- vait le faire que tout douceme
is qu'il s'agissait de commencer un travail, et une impossibilité d' écrire aussi vite qu'aupa- ravant. Laissé à voler de s
d'autre chose que de l'impossibilité de sui- vre sa pensée, d' « d' écrire vite ». Dans deux cas tout à fait analogues, Va
est muni d'une plume de ronde. Ces dispositions prises, le malade écrira la main renversée. Tandis que les quatre dernie
ules en demanderont trois (fig. 9). Il faut recommander au malade d' écrire aussi lentement que possible, et en fixant son es
s'exercer tous les jours chez lui pendant une dizaine de minutes à écrire de cette façon. Il rapporte chaque fois son dev
de ronde par la plume ordi- naire, et quand le sujet est parvenu à écrire facilement avec la main renversée^ on lui fait
raînement doit être pro- gressif. Zabludowski (257) conseille « d' écrire de grandes initiales, accompa- gnées de mouveme
chaque main s'arme d'un porte-plume ; la main droite se met alors à écrire de gauche à droite, comme dans l'écri4ure ordin
lettres avec une certaine lenteur ; pendant ce temps la main gauche écrit de droite à gauche, en faisant tous les mouveme
e la feuille d'écriture droite (voir fig. 12). Pendant que le sujet écrit ainsi des deux mains, son attention se trouve é
rice de la main droite, et Meige propose de la pratiquer en faisant écrire le malade peu, lent, rond, gros, droit. Cette for
façon suivante : a) Le malade atteint de crampe des écrivains devra écrire peu; il fera même bien de s'abstenir complèteme
ns devra écrire peu; il fera même bien de s'abstenir complètement d' écrire pendant environ un mois. Nous avons d'ailleurs
illeurs insislé précédemment sur l'utilité du repos. b) Il faudra écrire lentement. En elfet, « la préoccupation hâtive de
tte perturbation, il est essentiel d'abord que le malade s'impose d' écrire lentement ; il faut par suite qu'il ne soit jam
rire lentement ; il faut par suite qu'il ne soit jamais pressé pour écrire , et il devra s'abstenir d'écrire dans toutes le
e qu'il ne soit jamais pressé pour écrire, et il devra s'abstenir d' écrire dans toutes les circonstances où il prévoit qu'
a régularité, et notamment de son écriture, nette, claire, propre. Il écrit , en moyenne, une dizaine de pages par jour. V
es par jour. Vers le mois d'avril 1905, il s'aperçut qu'après avoir écrit plusieurs pa- ges, il éprouvait dans la main dr
e difficulté à les faire obéir : si, malgré cette gêne, il se met à écrire , les caractères qu'il trace sont irréguliers, inc
ême, et il en est pro- fondément affecté. Chaque fois qu'il tente d' écrire , la préoccupation de ne pas pouvoir écrire se p
haque fois qu'il tente d'écrire, la préoccupation de ne pas pouvoir écrire se présente à son esprit, avec une acuité toujour
crois- sante. Plus cette obsession s'accroît, plus la difficulté d' écrire augmente. La préoccupation nosophobique atteint
une intensité extrême, et l'on peut affirmer que la phobie de « mal écrire », avec toutes les conséquences fâcheuses qu'el
ROFESSIONNELLES 313 d'une crampe des écrivains, bien que ce dernier écrive de la façon la plus correcte. L'examen object
regard fixé sur un point. Traitement. - S'abstenir complètement d' écrire pendant un mois en de- hors des exercices presc
ercices prescrits. Au bout de 8 jours de repos complet, commencer à écrire sur un cahier d'écolier suivant la formule; peu
nter ensuite d'une ligne par jour. Au bout d'un mois, s'exercer à écrire des deux mains, simultanément, la main gauche é
venue de plus en plus correcte. Vers la fin du mois d'août 1905, il écrivait près de 300 lignes par jour très correctement,
deur dans les doigts et le bras, mais très passagère. Il arrive à écrire environ 60 lignes à l'heure. Au commencement de
u de ce changement de vie, et bien qu'il ait reconquis la faculté d' écrire correctement à la condition de se surveiller et
dant, il reste fidèle au nouveau type graphique qu'il a adopté ; il écrit droit, plus gros, plus rond ; mais il écrit encor
que qu'il a adopté ; il écrit droit, plus gros, plus rond ; mais il écrit encore trop vite, et surtout il ne peut se déba
vite, et surtout il ne peut se débarrasser de la phobie de « ne pas écrire assez vite ». Des spécimens de son écriture,
De quelques infirmités de la main droite qui s'opposent à l'action d' écrire . Gaz. méd., 1835. - Sur quelques infirmités d
(crampe des écrivains) qui s'opposent à ce que les malades puissent écrire . Broch., 1845. 34. Cedehsciijold. De l'importan
liambul. di Milano, 1889, p. 241. , 254. ViGouRoux. - La crampe des écrivions traitée et guérie par la cautérisation ponc- tu
ectuel d'Otto est en rapport avec son infantilisme. Il sait lire et écrire et un peu compter en allemand ; quoiqu'il vive en
oiqu'il vive en pays français depuis t'age de 21 ans, il ne sait ni écrire ni compter en français. Il a appris l'histoire
; il fréquenta les écoles sans suite, apprit seulement à lire et à écrire et ne put apprendre aucune notion d'arithmétiqu
poétiques se déterminèrent très tôt et persistent actuellement ; il écrit continuellement des poésies dans le seul but de g
temps et est très connu à Florence. Il affirme que tout ce qu'il a écrit vient de lui ; cela n'est certainement pas vrai
es auteurs dramatiques pour les juger avec une certaine justesse et écrire très correctement. 450 ETTORE LEVI ET GIUSEPPE
développées que chez une femme allaitante. Geoffroy Saint-Hilaire écrivait que les géants sont souvent sans acti- vité, sa
de la puissance de nutrition. Dès 1815 pourtant, Murât (5) pouvait écrire que le naevus est une maladie : on sait quels p
ou moins obliquement plusieurs territoires nerveux. Morrow pouvait écrire (1898), « la théorie nerveuse est battue en brèch
s forces et de l'aptitude au travail con- cordent avec ce qui a été écrit par la majorité des auteurs sur la maladie de P
plusieurs chutes, au manège, sans gravité d'ailleurs. Un jour il écrit à son père qu'il se sentait malade, et qu'il n'av
lée jusqu'au dernier moment peut être caractéristique. Puisque j'ai écrit ces lignes, je trouve que Leegaard, qui a rapport
et jouait sans présenter rien d'anormal. Il était gaucher, mais il écrivait avec la main droite. La maladie actuelle date d
èce humaine. En lais- sant subsister dans leur esprit et dans leurs écrits toutes les désuètes in- terprétations de la nat
6 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
di, mollis sol-vendi, multa minuendi, mediocris implendi (2) ». Les écrits de Celse et de Galien contiennent aussi plusieurs
iographie, elle intéressera peut-être quelques lecleurs; ce chapitre, écrit très-rapidement, marque seulement les dates, c’es
gée m’a paru essentielle, je le répète, sans cela je no l’eusse point écrite ; car elle n’a rien de flatteur pour moi : c’est u
la tristesse; mais il ne me regarda point. J’appris seul à lire, à écrire , à compter; je feuilletais tous les livres qui me
ée, j’en effaçais toutes les illusions. Je lisais tout ce qu’on avait écrit contre Mesmer et sa doctrine, et lorsque j’aperce
t écrit contre Mesmer et sa doctrine, et lorsque j’apercevais que ces écrits étaient signés de noms connus et admirés du monde
ns. Le magnétisme était donc un agent curatif, comme l’avaient dit et écrit nos maîtres. Mais, sceptique pour tout ce que je
qui m’était proposée n'avait été tentée. J’ai dit, dans mes autres écrits , quel fut mon succès, mes espérances dépassées; j
mps. Marchons pas à pas, comme nous l’avons fait jusqu’à ce jour. Cet écrit doit être médité, car il va contenir la clef reel
, qui savez tant de secrets nouveaux, ne vous laissez pas devancer; écrivez -les, dénoncez-les. Mon livre doit finir par la ma
ur laisse deux mois pour me devancer, c’est plus qu’il n’en faut pour écrire une page ; car une page suffit pour dire claireme
ense du magnétisme, et sema beaucoup de nos idées dans ses nombreux écrits . C’est le premier qui, parmi les littérateurs con
furent d’avis qu’il y avait, en effet, lieu à réforme. Un Mémoire fut écrit dans ce sens par M* Jules Favre, et distribué à l
reste, ¡1 y avait dans la salle d’attente un album sur lequel étaient écrites diverses attestations, au nombre desquelles était
ou tablettes votives, « et par des recueils précieux d’observations écrites . « Le moyen qu’IIippocrate employait le plus so
onnaissances ou l’intérêt de ceux qui les niellaient en pratique. Les écrits des savants du moyen-âge attestent aussi que ce p
cule, et jettent l’anathème sur quiconque veut aller au-delà. « O11 écrirait une triste et curieuse histoire, en racontant tou
c lui des malades qu’il traita publiquement; au bout de deux mois, il écrivit à la Faculté, qui refusa de nommer une commission
e vérifier ses cures. Mesmer les fit attester par des témoignages; il écrivit un livre éloquent, profond et amer, où il se plai
odiquement au courant de ce qui se passe d’important en ce sens, nous écrit qu’il n’est bruit, à Londres, que des succès extr
des noms d’hommes respectés dans les sciences, en puisant dans leurs écrits ce qu’ils contenaient de favorable, non une croya
action de la nature. Pctetin, Cabanis et d’autres médecins, par leurs écrits , vinrent à mon secours, me prêtèrent leur appui.
métal en fusion. Les romanciers vous donnent moins encore dans leurs écrits : ils vous ravissent en idée , vous bercent par d
le résultat que je me promets sera différent, je crains même que cet écrit ne vous enseigne des choses trop réelles; je n’ai
entreprises difficiles en magnétisme, et parmi elles toutes, celle d’ écrire était pour moi un sujet d’effroi. Cependant je m’
les engagements de tous, et pour comble de malheur j’ignorais l’art d' écrire . J’étais sur le point de donner mon âme au diable
de quoi rebuter les plus décidés, et «ependant je songeais toujours à écrire un livre qui fût bien de moi. Je récapitulai donc
ux-ci, du moins, auront toujours une grande valeur. Mon œuvre était écrite , mais comment trouver un éditeur ? Un libraire n’
pour qu'une nouvelle philosophie ne germât pas dans mon esprit. J en écrivis les feuillets tantôt dans un lieu, tantôt dans un
ues. Ce recueil, précieux pour la science, est arrivé, au moment où j’ écris , à son dixième volume. Voilà par quels travaux
r ma mémoire. Je n’ai point la passion qui pousse certains hommes à écrire , à traduire leurs pensées ; ce n’est que par devo
un appendice sur la thérapeuticité du magnétisme (a) ; mais tou* ces écrits traitant la question à un point de vue spécial ,
allemands , qui, quoique incomplet et ne contenant point la liste des écrits anglais, plaide éloquemment en faveur de la cause
un simple récit. En résumé, c’est un livre sagement pensé, sagement écrit . Le style en est clair, la méthode entraînante et
fils? La prévenue. Ça me serait impossible, je ne sais nii lire ni écrire en français. Mm* Bridaut, qui était fort malade,
e vouloir tout comprendre et tout expliquer; nous oublions que « Dieu écrit droit sur les lignes courbes, » et que ses œuvres
e « Dieu écrit droit sur les lignes courbes, » et que ses œuvres sont écrites partout. Seulement, il n’a pas besoin de signer s
s. Le professeur reçoit toutes les objections qui lui sonl faites par écrit , et y répond dans la séance suivante. Or, à l’u
Je n’emprunte rien au passé; si parfois je me rencontre avec ceux qui écrivirent jadis sur les mêmes matières , ce ne sera point u
pprises, et qui d'ailleurs ne se trouvaient qu’en germe dans quelques écrits . L’agent magnétique décelait scs propriétés suc
paraître à notre esprit le moyen-âge; oublions sa sanglante histoire, écrite partout avec du sang humain. Les prêtres alors ap
it des innocents. Leurs crimes, hélas! nous les révélerons dans cet écrit , nous les exposerons à tous les yeux. Viens, Na
Il est vrai cependant qu’il ne prétend pas faire autre chose que d’ écrire les choses que les esprits lui inspirent ou lui d
voulant n( pas les 'promulguer oralement à la multitude, je les g fis écrire sur le parchemin. Or, voici ce que l’histoire a n
bles de bois («ov») sur lesquelles, six ,e siècles avant, Solon avait écrit ses lois. Celles de Dra-g con avaient également é
artisans ou adversaires, qu’il n’est pas rare de rencontrer, dans des écrits tout à fait étrangers à la spécialité , des appré
Le maire Cbambon lui répondit : « Depuis qu’on a voulu me payer pour écrire en fa-« veur de Mesmer, j’ai reconnu qu’il y avai
on lui donnait alors connaissance des lettres de Mme Aubert, et l’on écrivait les réponses sous sa dictée. Une fois, elle donna
ncours du médecin n'avait rien de sérieux, que M. Anctin se bornait à écrire servilement sous la dictée de Rose. Arrivant à la
qu’il a commencé par être incrédule en fait de magnétisme, et qu’il a écrit contre le somnambulisme , alors que pas un homme
courir ? On nous objecte que le médecin n’était qu’un prête«nom qui écrivait sous la dictée de la somnambule, et signait pour
rt réelle à tout ce qui se faisait. Sans doute, le plus souvent, il écrivait les réponses de la somnambule, les adoptait, et r
é ne sera jamais confondue avec la question d’argenl. Il n’y a ni loi écrite ni règle de convenance qui oblige un médecin à fa
nt attestées dans les lettres que je dépose sur le bureau, elles sont écrites spontanément par des personnes heureuses de rendr
Le ministère public s’est livré à un examen minutieux des ordonnances écrites sous la dictée de la somnambule. Il semble qu’on
e l'Eau impériale. M. le doc-leur Combault, prédécesseur de M. Morel, écrivit sous la dictée les mots Eau impériale, et signa l
personne ne puisse refuser son admiration. Mais je me trompe ; il est écrit , à ce qu’il parait, que d’une somnambule il ne pe
devait nécessairement y tomber avec son sujet. Vingt lettres furent écrites de part et d’autre, pour s’entendre sur un progra
rs un masque de plomb, Alexis Didier a prouvé mainte fois que lire ou écrire dans une boîte était pour lui chose très-facile ;
somnambule écarquillant non scs yeux, mais son âme, pour déchiffrer l’ écrit perfide. La voyez-vous entourée de cinquante es-p
ès. Je reproduis textuellement : « M. Bourhit, pasteur, indique par écrit à M. Las- o saigne, dans une chambre séparée, u
e buse de son corset est en acier. Indè... la déviation! s’écrient et écrivent les savants, sans songer que le même buse était e
agnétisme n’est qu’une jonglerie. Nous maintenons ce que nous avons écrit dans ce Journal : cinquante savants qui ne veulen
agnétiseur. Parmi le très-petit nombre d’auteurs qui ont publié des écrits sur le magnétisme, je suis le premier Italien qui
nt les yeux parfaitement ouverts. Dans plusieurs cas il a lu des mots écrits , au travers d’épaisses enveloppes cachetées; et,
mal, par la sensation qu'il éprouverait. Le résultat de cet essai fut écrit , le cheval fut abattu, et à l’ouverture on reconn
union ne pouvait manquer d’êlre joyeuse; aussi l’un des convives nous écrit -il : « Ça été, une magnifique fête de famille à l
struction. Il n’eut le temps que d’apprendre à lire imparfaitement, à écrire passablement et à faire une addition. Plus tard,
ché à Bridgeport, pour être son magnétiseur, et M. W. l’ishbough pour écrire sous sa dictée. Enfin, pour imprimer à ses révéla
car il était certainement incapable d’expliquer le sens d’une phrase écrite en langue étrangère qu’on lui aurait donnée à tit
nce humaine. Maintenant, il s’automagnétise, et pendant son extase il écrit lui-même les révélations qu’il reçoit. Il les tra
lui-même, d’autre intermédiaire que sa femme , et c’est ainsi qu’il a écrit et publié son premier volume de Great harmonia, d
erons pas de sérieuses objections à cette prétention, attendu que ses écrits sont plutôt dictés par un sentiment libéral, écla
r verbalement ses lois à la multitude, Solon ordonna qu'elles fussent écrites sur le parchemin (i). (t) Great llarmonia, p. 1
ure à la langue hébraïque ; les livres mosaïques furent primitivement écrits en grec; et ce ne fut que plus tard qu’on les tra
e oii l’on commença, sous le roi Attale, à employer le parchemin pour écrire , vers 242 av. J. C. tcd in an cxtruordinary ma
oche, et qu’il y lut littéralement; ainsi que l’histoire de ce fameux écrit qu’il traça au crayon, dans une promenade extatiq
que Davis n’avait pas en- rore lus, même dans la pochc de M. Bush; écrit qu’il remit aussitôt à M. Bush d’après l’ordre qu
més ni casés que dans la tête de ses correspondants. Le mérite de ses écrit » dépend donc du degré de savoir de ses fournisseu
sé la loyauté jusqu’à ne prendre aucun de nos arguments en dehors des écrits que nous combattions. Quant à nos propres opini
appuyée sur sa canne à pomme d’or, il réfléchit, il médite; enfin il écrit une longue prescription, émanation directe de ses
ulter dans tous les sens. Cela fait, il demande du papier et se met à écrire une prescription fort courte, dont la saignée, un
l’occasion de ce procès : Monsieur, Je prends la liberté de vous écrire pour vous prier de me rendre un service; ce n’est
est là. Voilà donc pourquoi, Monsieur, je prends la liberté de vous écrire , afin que vous ayez la bonté de m’indiquer un avo
ne sont pas localisées. « Si l’on doule du siège de l’inflamr mation, écrit le Dr Charpignon (2), qu’on magnétise alors à gra
int d’être votre prophète, Messieurs, mais pour qui sait lire, il est écrit symboliquement ces sentences dans chaque œuvre de
thies de tous les hommes de bon vouloir, celui qui, en un mot, a tant écrit , tant dit, tant fait pour défendre, pour conserve
s. Les somnambules et les magnétiseurs qui donnent des consultations, écrites ou verbales , suivent des traditions analogues à
le ne faisait qu’exprimer mes idées..... tout comme il m’arriva d’ écrire des choses que je m’imaginais que vous me dictiez
nt de donner le signal de cette immense fédération. Voici ce que nous écrit , à ce sujet, M. Vallelon, noire correspondant :
lle a passées en pension, elle n’a jamais pu apprendre qu’à lire et à écrire , et encore d’une manière fort imparfaite. Louise
ëme intitulé la Maison de la Re- nommée (the IIousc of Famé), qu’il écrivit vers îfiSo : « Les esprits ont la puissance de fa
ns une lettre publiée dans l’Orléanais d’hier. Nous aimons à lire les écrits do cet honorable médecin, lorsqu’il combat les ab
bserver les faits pour que ses théories fassent loi. A l’époque où il écrivait , on avait moins vu que de nos jours, et c’est ain
ies de. notre maître: voyez Deleuze, savant autant que modeste, qui n’ écrivit son Instruction pratique qu’après une expérience
’argument que vous tirez, M. J. B., de ce qu’à l’époque où Hahne-mann écrivait , on avait moins vu que de nos jours. Mesmer, Dele
s étaient beaucoup Irop considérables..... TAXIL. Le 23, M. Taxil écrivait encore au rédacteur de VOrléanais: Monsieur, Po
dans des cas extrêmes de tétanos, et guéri les malades ü... M. Taxil écrivait dernièrement que « il expliquait les faits ! » Le
ve bonne que dans certains cas. Quoi qu’il en soit, la prédiction est écrite et le fait sera vérifié. Si M. R... avait plus de
édents, et que le vendredi, 2 août, elle était devenue enceinte. » (J’ écrivis cette noie le 8 août.) Quelque temps après elle d
fille qu’elle ne porterait que huit mois,» (El cette note encore fut écrite aussitôt.) Dans le mois d’oclobre , somnambulis
ui partagent nos idées. S’il fallait extraire à présent tout ce qui s’ écrit ainsi, nous ne le pourrions plus : nous ne citero
oncé succinctement , et d’une manière très-exacte , le contenu de cet écrit . A Monsieur le baron du Potet de Sennevoy. Mo
, qu’il y a longtemps que je m’occupe du magnétisme. Vous m’avez même écrit , dans le temps, que vous me croyiez assez de forc
, qui croyaient au magnétisme. Depuis longtemps j’ai eu l’intention d’ écrire sur le magnétisme. Les ouvrages qui ont paru en A
s ouvrages qui ont paru en Angleterre n’ont pas, pour la plupart, été écrits par des hommes qui eussent des connaissances scie
a rien de nouveau ni pour vous ni pour les magnétiseurs en général. J’ écris pour les ignorants, pour les savants qui ne saven
L’ouvrage de M. Charpignon me parait excellent. Quant à vos propres écrits , ils sont toujours intéressants , et je trouve vo
derniers numéros du Journal, ot que je n’avais pas encore lu quand j’ écrivis la lettre dans laquelle j’osais vous demander de
ut cela n’est prouvé; quoiqu’il ne connaisse pas du tout ce qui a été écrit , et qu’il n’ait fait aucune expérience, excepté q
rce que j’avais étudié le magnétisme depuis vingt-quatre ans dans les écrits français et allemands, el que j''avais vu faire
efois professeur de physiologie, qui a entendu mes leçons, vient de m’ écrire qu’il a été tout à fait content de la manière don
les deux leçons. En jugeant mon livre, il ne faut pas oublier que j’ écris pour ceux qui ne savent absolument rien du magnét
ams s’est associé deux aides, M. Fiske, qui pratique, et M. Dods, qui écrit ; les expériences de l’un et les livres de l’autre
prégner, et on peut consulter là-dessus les nombreux ouvrages qu’on a écrits sur cette matière depuis plus de soixante ans; ma
ne que ce soit, soit directement ou indirectement, par paroles ou par écrit , ou par quoiqu’autre moyen de communication, avan
de chacun ou chacune le môme engagement et les mêmes obligations par écrit . Il est bien compris par toutes les parties sig
affectionné, .los. BARTHET. Lundi, 15 avril 1850. P. S. Je vous écrivis longuement hier à propos de lelectro-biologie, ou
à s’éclairer sur cette importante question que nous nous proposons d’ écrire de temps en temps quelques petits articles, à l’u
evant le public, dans les quelques articles que nous nous proposons d’ écrire , et dont celui-ci peut être considéré comme la pr
nchir les limites de nos facultés : « Connais-toi toi-même, » avaient écrit en grec les païens sur le fronton du temple de De
t jamais que lorsque leurs moyens ont échoué. Le professeur Ros-tan a écrit : « Ils étaient bien peu médecins, peu physiologi
action, une force ; et c’est d’aulant plus étonnant que ces mots sonl écrits par un homme qui semble avoir compris l'identité
en commençant : c’est pour ceux qui ne lisent pas les livres que nous écrivons , et ce serait nous écarter de notre objet que de
ait. Ces Irois syllabes commençaient réellement la phrase que j’avais écrite : la locomotive fera le tour du monde. J’allai ch
magination de ces mages, les prophéties, oracles, etc. (1). Vouloir écrire sur toutes les espèces de magie, cc serait se per
s? Qu’en feraient-ils, grand Dieu S J’ai peur de moi même alors que j’ écris ou que je parle; car le frein qui m’arrête dans m
nonobstant l’apparence de bonne santé : principalement les hommes qui écrivent et les femmes qui cousent continuellement; puis c
nous communique le fragment suivant d’une lettre que le D' Charpignon écrivait naguère à un de ses confrères. Mon cher.......
en magnétisme un nouveau signe de vie. C’est un convalescent qui vous écrit du fond des gorges du Valais ; de ce Valais si ri
e au proscrit !.... En vous disant : c’est un convalescent qui vous écrit , c’est annoncer que je viens de payer mon tribut
on spéciale du comité, sur la de~ bande qui lui en aura été faite par écrit jiar le pa-iron, le président ou les vice-préside
andés par eux-mêmes on par tout autre gouverneur qui aura exprimé par écrit au comité le désir que tels patients désignés reç
solution d’annuler, etc., adoptée par le comité, en ait été faite par écrit au secrétaire, vingt-un jours au moins avant cett
é a eu lieu comme nous l’avons déjà annoncé. Notre correspondant nous écrit à ce propos : « ...... ¡Notre banquet du 9.5 mai
les traitements ordonnés par les plus célèbres oculistes. La malade écrivit à M'nc de S_____ et lui envoyant une. mèche de
le plus salutaire pour renforcer l’action du magnétisme. « Mon arbre, écrivait Puységur (3), est le meilleur baquet possible, il
antomes cl les illusions de Satan (i). Paladins, évêque de Cappadocc, écrit dans la Vie de saint Macaire, qu’on amena à ce pi
corps, les autres pour apaiser les désordres de l’esprit. Homère (3) écrit que les Grecs ont tiré un grand parli de la musiq
s soldats, elle a voulu que, frappé par votre parole, éclairé par vos écrits , je consacrasse les dernières années d’une vie de
s jeunes antagonistes. En 1825, M. Rostan, qui a été leur professeur, écrivit son article Magnétisme du Dictionnaire de médecin
rent ne lui refusèrent pas le bonnet doctoral. Faut-il invoquer les écrits de Georget et de Bertrand, citer Andral cl Brou
deau, et quelqu’un présenta une enveloppe cachetée, renfermant un mol écrit ; le sujet lut, après quelques moments d’hésitatio
lbert de Beaumont, 123. LISTE NOMINATIVE DES PERSONNES DONT LES ÉCRITS , LES ACTES OU LES OPINIONS sont insérés, analysés
7 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
ur Anne do la Nativité et «ceur Marie du Saint-Esprit, ont laissé par écrit le récit de leurs visions et des manifestations s
er, lui dit-il, mais à condition que « tu garderas le secret ; il est écrit : Mon secret est à moi ; « l’épouse portera l’épo
rateur qui nous a transmis, dans un livre très-détaillé et assez bien écrit , l’histoire complète de la célèbre affaire de pos
conclusiou d’un mariage, Boullé lui remit un billet où se trouvaient écrits les noms de cinq démonsavec des caractères talism
it souvent entre les mains des livres de magie; qu’il avait tou jours écrit dans sa poche quelque nom de diable pour s’en fai
avid au monastère de Lou-viois. mourut en odeurde sainteté. On a même écrit sa légende. Voyez la “* la ^érable mère Françoise
plusieurs religieuses de Louviers, in-8, par GaufTre. Des ouvrages écrits postérieurement à la possession des religieuses d
abilaires, exaltées. Et voilà comment les hommes de l'école sceptique écrivent l'histoire, nient les faits les mieux avérés quan
omme pieux et éclairé, et il cite à ce sujet des ouvrages qu'il avait écrits et dont l’un était intitulé: le Fouet des Paillan
ochez et montez à bord, à l’arrière du navire, il doit y avoir un nom écrit . — Je ne puis le voir, cette partie-là est reco
et nous-mêmes nous ajournons pour un temps nos causeries magnétiques écrites en vue de notre feuille, mais nous dirons à tous
ires. Dans le cours d'une polémique qui s’est engagée au sujet de cet écrit eatre. l’auteur et le Courrier, M. Woodman a prod
, et notre honoc.tble collaborateur crut devoir m’opposer mes propres écrits pour me montrer que j'avais devancé ceux que je r
. Cependant il est une restriction sur ; aquellej’ai insisté dans mes écrits , mais moins peut-être (jue j’eusse dû le faire. C
était pas seule au service de M. Home. Mais est ce bien moi qui ose écrire aujourd’hui ces paroles de méfiance ; moi qui ai
il avait ainsi obtenu des réponses en gret. en latin, «h égyptien, et écrites en caractères lapidaires. J'attendis dcuihe» n» :
s décisive en faveur de la coopération étrangère, c’est que, quand il écrit dans son état de médium , il a une écriture qui n
ployer de «oytn suivant : Vc*H demandez À voUe «mi ou «aient évoqué d' écrire son nom de baptême; on vous répond : Ecris-moi di
Ue «mi ou «aient évoqué d'écrire son nom de baptême; on vous répond : Ecris -moi dix noms, et je le désignerai le mien parmi l
Ecris-moi dix noms, et je le désignerai le mien parmi le* dix. Vofts écrivez dix noms, et fa 'Corbeille, qui n>st pas sotte
ainsi de suite. Une dame de mes amies ayant évoqué son mari et ayant écrit les dix noms, la corbeille joua de malheur et ft
'il évoqua : il en obtint sans la moindre difficulté, et des réponses écrites et signées, et des baisers sur la bouche : en un
dictées de Bossue t. Fénelon, Mirabeau, Châteanbriand', etc., et les écrits immortels de ces grands hommes. Cette disparité s
t comme néanmoins il a conscience de n’être pour rien dans ce qu’il a écrit , il faut croire dès lors qu’il s’abuse et que, sa
séquent, au heu d’être le secré- taire d'autrui, il n’ait fait qu’ écrire ses propres inspiiations. Ainsi s’écroule tout l’
sprit,«. On demande aussi comment il se fait qu’un esprit ne puisse écrire que dans la langue du médium et soit hors d’état
it de son temps à Nazareth. Que M. Girard veuille bien lui demander d’ écrire une seule fois dans cette langue (je suppose que
, et qu’il ne faut pas chercher en dehors de lui l’auteur de ce qu’il écrit ?... M. Girard consacre un chapitre particulier
inion émise àcet égard par un protestant réfugié en Hollande, dans un écrit imprimé à Amsterdam. Nous, au contraire, nous cro
de ses souffrances. Ce vénérable ecclésiastique a laissé beaucoup d’ écrits , la plupart fort connus et justement estimés. Ils
dions. En voici quelques-uns : Dans une lettre qui semble avoir été écrite vers 1663, et qui est adressée à une religieuse,
, ïoirt'le pays est en émoi, l’émotion est à son comble. Nous atons écrit ce que nous venons de dire sous la dictée â’tfti
août 185(5, l’idée vint à l'auteur d’essayer si les esprits pouvaient écrire directement, sans l'intermédiaire cCun médium. Co
se leur dépouille mortelle. » C’est ainsi que l’auteur a obtenu des écrits signés de Platon, Virgile, Cicéron, Hippocrate, J
erché à contribuer à l’identité des esprits révélés, en comparant les écrits ainsi obtenus des autographes authentiques et rem
et dans les études historiques, piofond philosophe, maître en l'arl d' écrire : M. Cahagnet, tourneuren bois, coupeur de faux co
hes sérieuses. Nous le proclamons de nouveau un livre bien fait, bien écrit , plein d'attrait, et surtout écrit par une plume
e nouveau un livre bien fait, bien écrit, plein d'attrait, et surtout écrit par une plume sérieuse, honnête et profondément r
s généreux enorts. Cest si peu un homme ordinaire que, ne sachant pas écrire , Il a encore parfois du style. Avis aux Abonn
envoyer, de vouloir bien dorénavant m’adresser personnellement leurs écrits . Baron DU POTET. Baron do POTET, propriétaire
ec l’auteur mystérieux des coups. M. Matthieu, qui a publié plusieurs écrits estima- bles sur ces phénomènes mystérieux, d
de ses lèvres froides réveilla le prince. « Le prince GortschakoiT écrivit tous les détails de ce rêve singulier au grand on
a réponse qu’elle obtint. Je rapporte textuellement le procès-verbal, écrit à l’instant même. Cette réponse fut donnée si vit
confié aux esprits dans une chambre voisine ; qui lût le mot anglais écrit à l’intérieur d’uu livre ou sur une feuille de pa
ume avec une intention de médium pour que sa main se mette aussitôt à écrire des dictées réputées spiritualistes. Si les espri
r, je me crois extrêmement flatté de tous vos chapitres, qui semblent écrits aussi bien pour moi que pour vous, sauf les progr
. ie regrette de ne: pas mieux connaître le français;, cap j’aurais écrit un article pour votre journal, pour démontrer le
ds, qu’il a été impossible de dénouer. Un papier sur .lequel on avait écrit : « Que veux-tu ? Que de- mandes-tu? » a été
otes qui circulent sur son compte ; il refuse absolument de parler, d’ écrire ou de figurer partout ailleurs que dans la petite
s mômes résultats sans employer ces plantes. On prend des disques, on écrit le signe de la planète dont chaque disque lire sa
ciété lui présentent des lettres. Il décrit les personnes qui les ont écrites , donne sur leur caractère, sur leurs habitudes, s
dre chose ; allons plus loin. Demandons-lui de nous lire et de nous écrire sans ouvrir le volume ce qu’il y a à telle page e
ecine classique et le, catholicisme. Orléans. La position que vos écrits et vos œuvres vous ont acquise si légitimement, p
tôt que les vues de synthèse qui sont plutôt le propre du génie. Vos écrits , vos conférences, vos trop rares et trop laconiqu
vaincre. Les indications des songeurs endormis dans le temple étaient écrites sur des tablettes et suspendues aux murailles; c'
prouvés, les spécifiques môme ne sont rien-Témoin ces lignes que vous écriviez au n° 5 du journal, r On n'ira plus aux écoles de
dit les savants, ce qu’ils ont pensé de leur venue et ce qu’ilsen on ( écrit . Rien, sera la réponse, et lorsqu’un jour leshist
lement se désaltérer à la source du mal. C’est bien inutilement que j’ écris ces choses, la vérité a trop peu d’amis, ceux qu’
tout le riche trésor de l'ancienne abhave d’Aulnes. Voici ce qu’on écrit à ce sujet, au Journal de Gand : « Comme vous s
en même temps, à nousfaire parvenir leurs noms et prénoms lisiblement écrits , pour que la gravure en soit faite. Le lemps m'
6. Monsieur le baron, Permettez-moi de prendre la liberté de vous écrire et de vous dire que je suis heureux d’être allé v
unet de Ballans de ma paralysie au poignet droit, et d'être parvenu à écrire ces lignes au bout de neuf magnétisations. Brux
emaines de mes affections, au point que je puis maintenant marcher et écrire avec facilité, et parler et vpir comme tout être
on qui ne vient que de lui-même. 11 y aurait ici un long chapitre à écrire , mais il demanderait du temps et de la réflexion,
nt une répugnance instinctive pour toute vérité nouvelle ; car il est écrit : « Ne mettez point le vin jeune et généreux dans
grand maître que nous fêtons; Il révèle un mérite insigne Dans ses écrits , dans ses leçons. Au magnétisme, à la magie,
ent aux agréments de la fôte et terminèrent la série des compositions écrites pour le banquet. Mais beaucoup de magnétistes dis
us éclairés sectateurs du magnétisme, M. Sicmeling, d’Amsterdam, nous écrit pour confondre ses vœux avec les nôtres ; il nous
c’est aussi dans une biographie, qui ne le cède pas en mérite à celle écrite par AI. Baudrillart, danslabiographied’Antoine Le
royable traité de la Jtémonomanie. Ce précurseur de Montesquieu avait écrit un livre sur la magie et ses effets, sur les moye
pour personne; il lui reprochait d’être à la cordelle de Satan, et d’ écrire sous la dictée de Bel-zébuth. Si n’était le besoi
ptions politiques et philosophiques. Nous n’avons à mentionner de ses écrits que ce qui concerne le magnétisme. M. Bertrand en
nous nous assîmes six personnes autour d’une table de quatre pieds ; écrire les noms des personnes formant le cercle, n’est p
ma satisfaction de les savoir héureux, je lui demandai s’il pouvait m’ écrire quelque chose que je pusse conserver pour souveni
eurent des manifestations satisfaisantes; mais, comme je ne veux pas écrire ce que les autres ont éprouvé, je ne dirai que ce
eux qui furent noués. Je demandai à ma fille Rose si elle voulait m’ écrire un mot, elle répondit affirmativement, je mis du
ntelligible; elle a voulu par là me montrer sa bonne volonté de m’ écrire quand elle aurait appris. Celle-ci fut pour moi u
elle prit le crayon (qui avec du papier est toujours sur la table) et écrivit ces mots : « Les esprits présents sont si nombreu
n, si la bière me faisait du mal; aussitôt madame X.... fut poussée à écrire ces mots : « Prenez une bouteille de solution d’a
binet, lors de sa polémique sur les tables tournantes et parlantes, a écrit que « le magnétisme et le somnambulisme étaient a
exemple de M. Burdin, propose un prix de 3,000 fr. à celui qui lira l’ écrit renfermé dans une boîte fermée. M. Babinet applau
que la victoire soit douteuse ; que, par exemple, une personne lise l’ écrit entier, l’exception d’une lettre , il faudra déci
est plus grand qu’on ne le fait ici ; mais cet article n’était point écrit pour les croyants. Baron du Potet. Le numéro
écoles des maîtres ; mais je dois à la vérité d’ajouter que, dans les écrits qui ont été publiés depuis Mesmer et le rapport d
n pareil fait me semble la chose la plus simple du monde. Deux lignes écrites sur un morceau de papier, enfermé dans un carton
Saint-Louis, et auteur du Traité de Médecine légale. Voici la réponse écrite que nous a adressée cet honorable confrère ; nous
était posée devant moi, sur la table. Elle a la forme d’un pupitre â écrire , un peu plus de deux pieds de long et un pied et
a religion, jusqu ici réputées adverses, que M. le docteur Witteaut a écrit son livre. Cœur plein de foi, il a voulu prouver
onté, exécuté certains mouvements voulus ; sur le papier, elle aurait écrit certains mots, certaines phrases en réponse à des
par quel prodige de mécanique le meuble peut parler et, mieux encore, écrire . C’est là le •« /... Et voilà pourquoi je suis po
’incliner; notre sentiment est bien différent, et nous avons dans nos écrits soutenu cette idée, que la médecine des écoles ne
ns parlé de l’ouvrage de M. Mabru. Nous ne lisons jamais les ouvrages écrits contre le magnétisme, mais c’est toujours avec so
gnétisme, mais c’est toujours avec soin que nous analysons les livres écrits sur cette science. A quoi bon, en effet, discut
pas eu le fttmeux rapport de Thouret, de la Société royale; puis les écrits de Virey, de l'Académie de médecine; puis enfin c
s ent redouté cette attaque... crainte chimérique , peur d’enfant! Un écrit contre le magnétisme n’a pas plus de valeur, à no
h du 8 mai dernier nous révèle l’existence d’un livre fort singulier, écrit en anglais, publié >à Londres en 1794, et dont
aconté que, mis en communication avec la somnambule, il lui demanda d’ écrire , dans son sommeil magnétique, une lettre dont lui
omme tant d’autres curieux, un livre intitulé : le Livre des esprits, écrit sous la dictée et publié par l’ordre d’esprits su
crainte de se brouiller avec un saint puissant, prit le parti de lui écrire une lettre qu'il fit déposer sur son tombeau ; il
grand nombre qui, au milieu des ténèbres et les yeux fermés, lisent, écrivent , calculent, composent en vers ou en prose, résolv
e vous, les plus clignes et les plus honnêtes furent ceux-là même qui écrivirent contre l’art qu'ils professaient, et déclaraient,
tre soulagé?... Au même instant, sa femme fut influencée et excitée à écrire : se trouvantdans un état où elle n’avait qu’à mo
at où elle n’avait qu’à moitié conscience de ce qu’elle faisait, elle écrivit une prescription (comme on le sut ensuite), et in
our la famille ; on ne savait quelle cause avait déterminé la femme à écrire . Le malade déclara qu’il voulait faire l’essai de
roître. Mais la femme, obéissant à la même influence qui l’avait fait écrire , dit qu’il ne fallait pas s’alarmer, mais continu
amothe. Nous extrayons la relation suivante d’une lettre que nous écrit M. Bégué, médecin à Toulouse: « Je vous fais pa
réalité d'un pareil commerce. 11 ne suffit pas de dire que cet esprit écrit par la main d’un médium ; il y a encore à établir
ette écriture n’est pas l’œuvre personnelle de ce médium. Ce Romain écrit dans une langue inintelligible, bien qu’on y trou
al fit des progrès, et l’on conçut de graves inquiétudes. M. Auguez m’ écrivit alors une lettre cachetée que je ne devais ouvrir
itôt après la prédiction de l'hydromancienne, on la consignât dans un écrit cacheté en lui donnant une date certaine ; qu’à d
individu nommé Lane, étant moribond et privé de sentiment, sa main a écrit des discours étendus sur le spiritualisme, et que
sa mort, sa main, mue par une force mystérieuse, s’est encore mise à écrire , a continué le travail de la veille, et a donné
, il eût trouvé encore assez de force pondant quelques instants pour1 écrire , surtout s’il avait eu l’esprit vivement frappé d
ents, qu’il ne connaissait pas ni son magnétiseur, sont conformes aux écrits anciens et aux renseignements qu’a donnés le gouv
lire, un de ces jours, une phrase bien curieuse à ce sujet ; elle fut écrite et signée par l’un des hommes les plus savants de
nce de communications dont l’origine est suspecte ; et il résulte des écrits des spiritualistes, non-seulement qu’il n’existe
propres pensées. Voici quelques moyens à employer : Quand un médium écrit , interposez un corps opaque entre ses yeux et son
it qui conduit sa main. — Posez sous les yeux du médium des questions écrites ; vous verrez comment il y répondra: puis posez l
les autres voyaient, quand le moment était venu de bien regarder pour écrire , après, le résultat de ses observations. Ah ! s
mme il y a des soirées musicales et dansantes. Le maître de la maison écrirait volontiers au bas de ses lettres d'invitation : o
eine qu'on le reconnaisse et qu’on le réglemente. « Dans une cause, écrivait -il à Marie-Antoinette, dans une cause qui intéres
mmencer. Maintenant laissons parler Arago dans un de ses derniers écrits , l’éloge de Sylvain Bailly : « Je ne saurais, d
ristée magnétise Eurydice, l’endort, et par sa volonté la contraint à écrire . Cette scène muette est parfaitement comprise du
scène muette est parfaitement comprise du public. A. S. Morin. On écrit de Vienne (Isère) à la. Gazette de Lyon : « La
et outrage. Cet argument contre les idoles se trouve souvent dans les écrits des anciens Pères, et pourtant il suffit de réflé
vers chaleureux les bienfaits de la médecine naturelle. Dans le petit écrit qu’il vient de publier, il trace au commençant le
esmer a puisé quelques-uns des éléments de sa doctrine, il y avait un écrit que le hasard avait fait tomber entre ses mains,
e la réputation qu’il mérite. Paul d'Ivoy. SUPERSTITION. — On écrit de Suède : « La superstition, qui a toujours eu
able apparaît, et avec une plume trempée dans le sang du petit doigt, écrit le nom de l’audacieux sur son livre. Aussitôt cel
ndant bien faciles pour des sociétés magnétiques (I), (1) Celui qui écrit ces lignes connnlt plusieurs sociétés magnétiques
Milan, parfaitement rétablie, et à la date du 11 de ce mois, elle m’a écrit ces lignes : « Je m’empresse de vous donner de
« senti la moindre douleur. » Le 10 du même mois, mademoiselle Kurz écrivait à une personne de ses amies : € Je me porte exces
t, d j’en remercie Dieu et le docteur Gatti. » Le 10 novembre, elle écrivait de Vienne que sa guérison était complète, elle n’
mois, il était allé à l’instant même jeter au feu tout ce qu’il avait écrit dans la journée. « Le jeune prince Guillaume de
ris, 18Î0. li)-8>, tome III, page 137 à 161. (4! Collections des écrits politiques, littéraires et dramatiques de Gustave
s incroyables, sans être précisément nuisibles. On y trouva encore un écrit tout entier de la main du prince ; il contenait d
s conjurations cabalistiques, disait-on, des formules et des serments écrits avec la passion de la science, l’amour du merveil
quables et dont je vais vous entretenir. Prévision. — On a beaucoup écrit pour et contre la prévision ; des magnétistes ont
ivent des remèdes et guérissant des malades, 82, 259, 475, 537; — qui écrivent directement, 69, 135, 147 , 349: — qui dictent à
s sur Bodin, par M. Oscar de Vallée. Examen et réfutation de ces doux écrits , par M. Lamothe, 309. Fin (la) des mystères, pa
amis du magnétisme, 391. LISTE NOMINATIVE DES PERSONNES DONT LES ÉCRITS , LES ACTES OU LES OPINIONS soni insérés, analys
8 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
pour couper la corde) ou d'avaler une macération de vieux sous. Elle écrit pendant son délire des lettres fort correctes pou
imaginaires. Une plume placée entre ses doigts lui suggérait l'idée d' écrire . Mais nous laisserons de côté cette particularité
développement tel que, devant l'émoi des habitants, le maire du pays écrivit à M. Charcot pour demander son admission àla Salp
hommes du gouvernement, les adversaires de Boulanger, et une nuit il écrivit sur un carreau de carrelage une lettre à M. Const
sédons le carreau, qui nous a été donné par son patron. La lettre est écrite à l'encre, parfaitement correcte et d'une écritur
nocturne, comme cela lui arrivait quelquefois, par exemple lorsqu'il écrivit la nuit dans son lit au ministre de l'intérieur.
ut rouge! » D. « Est-ce qu'il y a quelque chose dessus? » R. « Il y a écrit : Jeune homme ! vous en avez encore pour 25 secon
r une suggestion. Puis tout à coup, voyant l'interne du service qui écrit , notant au fur et à mesure l'expression de ses co
ses conceptions délirantes, il s'écrie : « Pourquoi donc ce monsieur écrit -il tout le temps?... c'est ennuyeux. » Enfin il r
ontorsions des membres ; même délire : la bête, le poteau vert où est écrit « chasse gardée ». Cette fois un nouveau tableau
point indépendant des influences extérieures. « On peut l'influencer, écrit cet auteur, changer son rêve, lui donner une autr
çons et de tout l'enseignement de notre maître éminent que nous avons écrit le présent travail. Laissant de côté les observ
nous avons chargé une des personnes qui la gardait de recueillir par écrit ce qu'elle racontait. Voici un aperçu de ce que d
table et, lui mettant une plume à la main, nous essayons do la faire écrire . Elle ne modifie pas son délire qui se déroule so
cations que nous lui apportons par un des procédés ci-dessus, et elle écrit quelques mots en rapport avec l'hallucination du
faut, c'est un litre de vernis copal de vingt-six sous. Faut-il te l' écrire ?... En v'ià une saleté! On va coller ça sur un me
e qui se passe lorsque, dans son somnambulisme, on essaie de le faire écrire . Cela n'est pas toujours bien aisé et il faut y m
ordinaire. Cependant, en insistant, on lui fait comprendre qu'il doit écrire . La première fois que nous fîmes cette épreuve,
première fois que nous fîmes cette épreuve, il commença alors à nous écrire une chanson intitulée « le vin de Marsala ». Une
n général, mais un cafard qu'il essaye d'attraper. Puis il se remet à écrire . On peut alors interposer un carton entre sa main
. Si on vient alors à lui retirer vivement la feuille sur laquelle il écrit , il achève, sans s'occuper de ce qui arrive, sur
e paquet de papier qu'il a devant lui. Peu lui importe, il continue à écrire sur le bois de la table ou sur la toile cirée qui
cirée qui la recouvre. Bien plus: une fois terminé le couplet qu'il écrivait , il s'arrête et se prépare à relire tout ce qu'il
et qu'il écrivait, il s'arrête et se prépare à relire tout ce qu'il a écrit . On lui remet alors du papier blanc devant les ye
-contre un fac-similé de trois feuillets sur lesquels nous avons fait écrire notre malade (Fig. 1, 2 et 3). M. Mesnet, dans
successivement à son malade tous les feuillets sur lesquels il avait écrit , il le voit « diriger ses yeux sur le haut de la
s yeux sur le haut de la page blanche ; relire tout ce qu'il venait d' écrire ..., puis à diverses reprises tracer avec sa plume
chanson commencée dans la Figure 1. Le feuillet sur lequel le malade écrivait la première partie, a été soustrait vivement ; il
écrivait la première partie, a été soustrait vivement ; il continue à écrire commesi le haut de la nouvelle page n'était pas V
es, après qu'on lui eut soustrait les feuillets sur lesquels il avait écrit . Montre: à la 2e ligne la barre du t de étions, d
usion relative où se trouvait encore cette question, à l'époque où il écrivait son livre. Quoi qu'il en soit, conformément à l'e
ne sorte de tremblement de la main droite qui le gênait beaucoup pour écrire et il se faisait accompagner, en guise de secréta
in droite est le siège d'un léger tremblement qui gêne le malade pour écrire (Voir planche II le spécimen de son écriture), ma
eptait toutes les suggestions. II présentait en outre la même façon d' écrire que notre jeune ouvrier donné quelques-unes, pa
cédente observation. Quand on lui retirait la feuille sur laquelle il écrivait , il continuait sur la feuille suivante et corrige
haut degré dans ses attaques de somnambulisme, pendant lesquelles il écrit beaucoup, soit spontanément, soit sous l'influenc
t à cette époque atteint d'une sorte de tremblement qui l'empêchait d' écrire et l'avait forcé à se faire accompagner dans ses
une page d'écriture, une pièce de vers de lui, par exemple. Il nous a écrit alors quelques lignes dont nous donnons plus loin
che II, Fig. 1). Etant dans l'état de veille, il a mis sept minutes à écrire avec difficulté ces quatorze vers. Comme on le vo
lus, on y remarque quelques fautes ou erreurs. Au premier vers il est écrit : .... parmi les arbres ; l'm qui est ajoutée sur
vait déjà à la fin du dernier vers du tercet précédent. Dans la pièce écrite dans l'état somnambulique, il n'a eu garde de lai
qu'on le verra sur la Fig. 2 (planche II). Une fois ce sonnet ainsi écrit , de cette mauvaise écriture tremblée et avec ces
e et, le malade étant dans la phase délirante, nous l'excitons à nous écrire « La fête des morts », il s'exécute facilement et
tes, que nous avons placées à dessein en regard de celles qu'il avait écrites pendant l'état de veille. L'écriture est toute
fond. Enfin, tandis qu'à l'état de veille il avait mis sept minutes à écrire ces quatorze vers d'une façon incorrecte à tous é
t arrivé là. Revenu à l'état normal, il ne se rappelle pas avoir rien écrit , ni rien corrigé. Nous lui présentons alors les d
le renie pas cependant, disant en souriant que nous avons dû le faire écrire pendant qu'il « dormait». C'est là, ajoute-t-il,
emblement qui le gêne tant. Nous avons maintes et maintes fois fait écrire ainsi le malade pendant ses attaques de somnambul
à l'apôtre saint Pierre Un dernier billet de faveur. Cette poésie écrite , nous plaçons devant les yeux du malade une feuil
vant les yeux du malade une feuille de papier sur laquelle nous avons écrit , faisant allusion en même temps à une autre poési
ile de voir, à l'assurance et à la rapidité avec lesquelles le malade écrivait les vers ci-dessus, qu'il ne faisait que reprodui
toujours reproduit de mémoire des pièces déjà faites. Pendant qu'il écrit , il est assez profondément concentré pour qu'on p
t chez le jeune Poig....., lui enlever la feuille sur laquelle il écrit et le voir continuer à écrire. Si on exécute cett
lui enlever la feuille sur laquelle il écrit et le voir continuer à écrire . Si on exécute cette soustraction, il s'en aperço
rche sur la table le feuillet disparu et ne se décide qu'avec peine à écrire sur une nouvelle page, s'il ne le retrouve pas. S
t son délire, en re-vanche, en ce qui concerne la prose, il a souvent écrit devant nos yeux des lettres ou des pièces plus ou
ui dans la maison, avait manifesté à plusieurs reprises l'intention d' écrire quelque chose, une nouvelle, un petit roman, sur
e, de l'encre et du papier. Au bout de quelques instants il se meta écrire et remplit ainsi, sans s'interrompre autrement qu
dditions et des renvois régulièrement numérotés. Ces douze pages sont écrites dans l'espace d'une heure environ. On le réveil
omposer. Il reconnaît bien son écriture et paraît fort étonné d'avoir écrit tout cela en une heure. Il pense qu'on a dû le fa
né d'avoir écrit tout cela en une heure. Il pense qu'on a dû le faire écrire pendant qu'il « dormait », car il n'avait encore
rt, dans cet état de veille, il lui eût fallu deux bonnes heures pour écrire ainsi douze pages presque sans retouches. Trois
ésitation, numérote sa première feuille : 13 et au haut de la page il écrit le dernier mot de son précédent manuscrit (i). Ce
il écrit le dernier mot de son précédent manuscrit (i). Ce jour-là il écrit sept pages consécutivement, dont la dernière (feu
haut le dernier (1) On sait que c'est une coutume chez les gens qui écrivent pour l'impression de répéter ainsi au haut de cha
haque page blanche qu'il commence. mot de la feuille précédente, et écrit une demi-page. Le surlendemain il recommence et c
comme toujours en haut les deux derniers mots de la dernière feuille, écrite vingt jours auparavant. Il y a là une espèce d'
ntervalle, des deux derniers mots et du numéro de sa dernière feuille écrite . Il en était du reste à peu près ainsi pour tous
pas une vérité bien nouvelle que nous énonçons là. Briquet avait déjà écrit il y a bien des années : « Le délire hystérique e
ystériques-M. Mesnet l'avait déjà notée. Dans son premier mémoire, il écrit , à propos de sa malade, « que la sensation n'est
, pendant son somnambulisme hystérique. Pendant une première crise il écrit douze pages ; trois jours après, dans une nouvell
ion, numérotant du nombre 13 la première page, au haut de laquelle il écrit le dernier mot de la dernière page écrite trois j
page, au haut de laquelle il écrit le dernier mot de la dernière page écrite trois jours plus tôt. Le lendemain, le même phéno
uit et enfin, vingt jours plus tard, il se souvient encore de la page écrite antérieurement et la numérote sans erreur, traçan
, traçant, en haut de la feuille commencée ce jour-là, le dernier mot écrit près de trois semaines auparavant. Il y a dans
tte époque. Enfin, particularité bien intéressante, elle sait lire, écrire et calculer dans cet état B ; c'est qu'une malade
e qui se sont succédé de 1880 à 1885. Elle ne sait plus ni lire, ni écrire , ni calculer et affirme que la malade L..., qui,
longtemps et l'on pourrait peut-être en trouver des exemples dans les écrits anciens où il a été noté sans qu'on lui ait attri
l fallut tout lui enseigner à nouveau. Elle dut réapprendre à lire, à écrire , à compter, ce qu'elle fît avec une assez grande
cependant certaines figures. Elle continue à savoir marcher, lire, écrire , chanter, jouer du piano. * * Il en est à peu
mer sa pensée par la parole (l'articulation des mots est aphone) elle écrit pour demander le lieu où elle se trouve, quelles
que cependant elle voit à chaque instant. Elle ne sait plus lire, ni écrire , ni toucher du piano. La mémoire des choses et de
Là, il fut employé à travailler la terre et on lui apprit à lire et à écrire . Pendant son séjour dans cet établissement, un jo
tait alors toujours paraplégique, d'un caractère doux, savait lire et écrire . Là, on lui apprend le métier de tailleur, qui ét
acquises dans l'état I et devenues plus ou moins automatiques, lire, écrire , marcher, etc.. « En 1858, cette condition second
nfant perd complètement la mémoire du passé. Il ne sait plus lire, ni écrire , ni compter ; il cause mal et a totalement oublié
la dame de Mac-Nish à qui l'on fut obligé de réapprendre à lire et à écrire . J'ai eu l'occasion d'observer, à la Salpêtrièr
ne ordinaire, se trouvent la lecture et l'écriture. Elle sait lire et écrire et elle ne fait pas plus de fautes d'orthographe,
ne peut dire le nombre formé par les trois signes. On lui dit alors d' écrire trois cent cinquante-quatre, elle pose 3 et s'arr
ion qu'elle a pu acquérir a également disparu. Elle sait encore lire, écrire , coudre, il est vrai, mais elle ne peut pas calcu
e jour où on l'avait soumise au précédent interrogatoire, on lui fait écrire sous dictée les lignes suivantes : a L... est mor
corps pourrira, malgré le cercueil ou autrem entdit la bière. » Elle écrit tout cela correctement, sans hésiter et sans faut
e sur sa famille et sur son enfanco (voir plus loin). Elle sait lire, écrire et fait couramment des opérations d'arithmétique
'ignore point ce qu'est un cimetière, un cercueil, etc.. Enfin elle n' écrit pas un mot dont elle ne connaisse le sens d'une f
entiques à eux-mêmes. Sept mois plus tard, le 14 octobre 1891, elle écrivait à son amie Marguerite F..., qui était encore dans
la vie, sans avoir l'air trop empruntée. Elle sait lire couramment, écrire et compter à peu près bien et exécuter, outre des
i ; il est mort il y a quelques années. Elle sait lire aujourd'hui, écrire et compter, mais elle ne savait pas lors de son a
C'est la jeune L..., une de ses compagnes, qui lui a appris à lire, à écrire , à compter et à faire du crochet et de la dentell
prime. Dans cette condition première, elle ne sait plus ni lire, ni écrire , ni compter. Elle sait coudre grossièrement (depu
B). On lui présente la jeune L..., celle qui lui a appris à lire, à écrire , à faire du crochet dans l'état B. « C'est une pe
e que celui de notre malade, Marguerite D..., qui savait encore lire, écrire et composer un nombre de deux chiffres, mais étai
at de veille. On a vu plus haut que Marie H... avait appris à lire, à écrire , à compter et à faire du crochet dans l'état seco
ppléer son défaut de mémoire. Sur ce carnet elle inscrivait, car elle écrit , lit et calcule parfaitement, ce qu'elle avait à
faire cautériser, car il y avait des chiens enragés dans la ville. J' écrivis cela sur mon calepin. Je fus brûlée à l'alcali, p
s, mais suffisants pour l'empêcher de comprendre ce qu'elle lit, ou d' écrire une lettre. Il persiste encore beaucoup de phén
puis un troisième. « Pendant ces six mois l'infirmité de mes jambes, écrit -il, n'a cessé de s'accroître, et maintenant il m'
ble se rattacher l'auteur, lorsque, sans affirmer catégoriquement, il écrit : « Dans tous les cas, rien ne prouve qu'il se so
fléchie en avant et rapprochée de la main. Le malade tient sa plume à écrire comme sa fourchette. Le membre supérieur gauche n
té examiné entièrement à l'aide d'une sorte de plan, de questionnaire écrit que nous avions sous les yeux et qui, mentionnant
9 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
ne est celle qui rappelle l'attitude d'une main qui tient une plume à écrire , et ici, c'est la contracture des interosseux qui
e, pleurant et riant avec une grande facilité. Il ne peut presque pas écrire de lui-même, mais il copie cependant une page, d'
ver l'existence d'un oncle « mélancolique ». Pour lui, il est exalté, écrit des vers, aime la musi- 1. Klein. — De l'hystér
mois sous notre observation. Il est intelligent et actif. Il parle et écrit assez correctement. Comme il dirige lui-même son
ectement. Comme il dirige lui-même son magasin, il parle beaucoup, et écrit chaque jour de nombreuses lettres (12 ou 15 par j
temps un mot pour un autre. La main était assez libre pour qu'il pût écrire très lisiblement. Or il voulut donner un ordre re
r il voulut donner un ordre relatif à ses affaires, prit une plume et écrivit ; croyant avoir oublié quelque chose, il redemande
le phénomène sur lequel je veux appeler votre attention. // avait pu écrire , mais il lui était impossible de relire sa propre
ques jours l'aphasie disparait et aussi l'hémiplégie ; le malade peut écrire , il écrit assez lisiblement pour donner un ordre
l'aphasie disparait et aussi l'hémiplégie ; le malade peut écrire, il écrit assez lisiblement pour donner un ordre ; mais lor
s, et dans l'oubli d'un mot (chez). Nous voyons que, dans les lettres écrites , 4, 5 et 6 mois après, ces fautes ont disparu, et
1883, il n'existe plus de paralysie, plus d'aphasie motrice, il peut écrire couramment et régulièrement; mais il lui est impo
dre bégaiement, nous nous sommes assurés, qu'en effet, bien qu'il pût écrire couramment, il ne savait pas lire. Nous entrerons
périodes : l'une du 3 au 30 mars, la seconde du 1er au 15 avril. Il écrit sans hésitation son nom et son adresse, une longu
lettre, sans fautes notables d'orthographe, sans passer de mots. « J' écris , dit-il, comme si j'avais les yeux fermés, je ne
ris, dit-il, comme si j'avais les yeux fermés, je ne lis pas ce que j' écris . » De fait, il écrit aussi bien les yeux fermés.
j'avais les yeux fermés, je ne lis pas ce que j'écris. » De fait, il écrit aussi bien les yeux fermés. Il vient d'écrire s
j'écris. » De fait, il écrit aussi bien les yeux fermés. Il vient d' écrire son nom, on lui dit de le lire : « Je sais bien,
i dit de le lire : « Je sais bien, dit-il, que c'est mon nom que j'ai écrit , mais je ne puis plus le lire. » Il vient d'écrir
st mon nom que j'ai écrit, mais je ne puis plus le lire. » Il vient d' écrire le nom de l'hospice, je l'écris à mon tour sur un
e ne puis plus le lire. » Il vient d'écrire le nom de l'hospice, je l' écris à mon tour sur une autre feuille de papier et je
t et arrive, après beaucoup depeine,, à dire : « La Salpêtrière. » On écrit « rue d'Aboukir », l'adresse de son ami, il trace
tions fournies par les mouvements exécutés par la main, dans l'acte d' écrire . C'est évidemment là le sens musculaire qui est e
partir du 5 mars, nous lui donnons un devoir de lecture. Il lit sans écrire , mais en s'aidant toujours de caractères tracés d
otions fournies par les mouvements dans la lecture mentale des signes écrits , on fait fermer les yeux aux malades, on arme sa
e plume et communiquant à sa main des mouvements passifs, on lui fait écrire sur un papier : « Tours, Paris », il dit immédiat
bien que ce soit son habitude, dans l'état de santé. Il se contente d' écrire les lettres qu'il connaît mal par la vision, ou d
econnaît pas, qu'il ne déchiffre pas quand elles sont isolées, il les écrit facilement quand elles font partie d'un mot ; ain
il les écrit facilement quand elles font partie d'un mot ; ainsi, il écrit vite les mots : « Xavier, Yvan, Zèbre ». Il a plu
ot, entend tout, comprend tout, lit, mentalement, tout avec facilité, écrit couramment et comprend parfaitement tout ce qu'il
ouramment et comprend parfaitement tout ce qu'il lit et tout ce qu'il écrit . Vous reconnaîtrez déjà, après ce parallèle, co
qui « se trouvaient dans l'impossibilité de lire, mais qui pouvaient écrire , par une sorte de souvenir du mouvement des doigt
a de plus invraisemblable, c'est que cet homme ne peut lire ce qu'il écrit très correctement. » Ce malade, comme le nôtre, a
é comment notre malade, lorsqu'il fait des efforts pour lire, soit un écrit , soit un imprimé, écrit effectivement les lettres
lorsqu'il fait des efforts pour lire, soit un écrit, soit un imprimé, écrit effectivement les lettres et les mots ou encore s
à^céché verbale existe chez noire malade à un certain degxé,;. Prié d' écrire les alphabets grec et allemand, il a omis dans la
rent les lettres en question lui sont dictés ; les comprenant, il les écrit bien et délibérément, tandis que pour lire les mê
l les écrit bien et délibérément, tandis que pour lire les mêmes mots écrits par une autre personne, il est obligé d'écrire au
ur lire les mêmes mots écrits par une autre personne, il est obligé d' écrire au préalable ces mots. On voit par là qu'il lui f
sens musculaire, fournies parles mouvements de la main, dans l'acte d' écrire , ne sont pas chez lui d'une intensité exceptionne
étant fermés, on communique à sa main les mouvements nécessaires pour écrire par exemple le mot Vienne, il est incapable de dé
e le mot Vienne, il est incapable de désigner le mot qu'on lui a fait écrire passivement, il est obligé de le voir et de le li
répétition des mouvements de la main et des doigts nécessaires pour l' écrire . Il convient de remarquer, d'un autre côté, que l
nésie verbale visuelle dans le second; mais quand les mots qu'on voit écrits ou qui résonnent à l'oreille ne sont pas reconnus
r l'index, imitant ainsi la position d'une main qui tient une plume à écrire , et les mouvements qui agitent toutes ces parties
s, et vers 3 heures de l'après-midi, la table ayant ordonné à Julie d' écrire , celle-ci saisit un crayon, mais, au même moment,
e livre à la moindre occupation, lorsqu'il veut lire, par exemple, ou écrire une lettre. Les attaques dont nous avons été bi
e malade peut se servir de sa main pour boire et manger, et peut même écrire très passablement, à la condition seulement d'app
t même arrivé plusieurs fois, en pareil cas, de prendre la plume et d' écrire très lisiblement quelques phrases très correctes.
anche, parce qu'elle a été relevée par la plupart des auteurs qui ont écrit , sur la coxalgie hystérique; elle mériterait vrai
Mind upon t/te Body, p. 97. » — Nous pouvons, je pense, en français, écrire indifféremment Shock ou Choc, Shock, Synon. : fr
ntelligence n'est pas affectée, les malades ont conservé la faculté d' écrire couramment et de converser par signes. — Diagnost
il en a été souvent parlé, et vous le trouverez signalé dans tous les écrits consacrés à l'hystérie. Cependant, je ne crois pa
iques de ce genre. Très vraisemblablement, en outre, il ne saura plus écrire , car vous n'ignorez pas que les aphasiques par lé
e, car vous n'ignorez pas que les aphasiques par lésion organique qui écrivent sont véritablement rares et, habituellement, chez
véritablement rares et, habituellement, chez ces individus, l'acte d' écrire , s'il persiste à un certain degré, est lent, diff
ducation antérieure et de son intelligence, non plus que sa faculté d' écrire . Sollicité par les questions de l'interlocuteur,
tions mon jeune espagnol s'était emparé d'une plume et me donnait par écrit , avec une promptitude remarquable, quelques détai
re, aussi clairement qu'il m'était possible de le désirer, bien qu'il écrivit en français et non dans sa langue maternelle. M
ent péremp-toire : ainsi que le font les muets hystériques, la malade écrit vite et correctement et c'est de cette façon qu'e
ns aucun doute, eût poussé les choses jusqu'au bout, elle eût cessé d' écrire , et, je le répète, dans le cas actuel il n'en fut
faitement sa langue et ses lèvres dans tous les sens. De même il peut écrire et traduire ainsi très convenablement sa pensée,
le second, comme le premier, présente un contraste entre la faculté d' écrire facilement qui lui reste et l'impossibilité de se
sachant à peine le français ; aujourd'hui il sait lire, mais à peine écrire . Les gens qui le connaissent font l'éloge de son
emet les choses en ordre. Notre malade passe ses journées à lire, a écrire de vrais mémoires dans lesquels il décrit ses div
s dans lesquels il décrit ses diverses impressions. Le 15 février, il écrit avoir prononcé ces mots: « Non, en avez-vous beso
ui parle, il comprend parfaitement, saisit immédiatement une plume et écrit , avec orthographe, en français, bien qu'il soit e
constata la perte absolue de la parole ; la malade ne sait ni lire ni écrire . A son arrivée à l'hôpital, mutisme absolu ; ma
et confirmer les gestes par lesquels il exprime sa pensée ou ce qu'il écrit . Il comprend très bien ce qu'on lui demande et éc
nsée ou ce qu'il écrit. Il comprend très bien ce qu'on lui demande et écrit nettement ses réponses. Ce phénomène dure un temp
ort et près de son oreille, il comprend. Il répond très nettement par écrit , soit en français, soit eu polonais, aux question
soit en français, soit eu polonais, aux questions qu'on lui pose par écrit , ou en parlant très haut. Pas de paralysie, pas d
é. Les jours suivants, il paraît présenter de l'amnésie motrice ; on écrit devant lui Varsovie en français et en slave, il n
es personnes qui l'entourent au moyen d'une ardoise sur laquelle elle écrit ce qu'elle ne peut dire. La malade est entrée plu
oments, X.., n'est plus agité, mais ne peut parler; il correspond par écrit avec les personnes qui l'entourent et répond ains
, comme sourd-muet et paralysé du côté gauche. Il ne sait ni lire, ni écrire . Paralysie complète du mouvement et du sentiment
n impossible. Il saisit rapidement la plume, le crayon^ et rédige par écrit , à la demande, les réponses toujours très nettes,
t intacte. La réponse suif immédiatement la demande, si le sujet sait écrire . A la période de retour de la parole, quand l'aph
a quelquefois du mal à prononcer le mot parce qu'il bégaye, mais il l' écrit avec correction, témoignant bien de l'intégrité d
r, s'impatientant de ne pouvoir répondre aux questions ; si elle sait écrire , elle s'empare d'un morceau de papier et y trace
lques lignes qui font comprendre sa pensée : « Je ne peux pas parler, écrit -elle, « par exemple, » vous voyez bien que je ne
Mais, depuis cette époque, il a existé une véritable impossibilité d' écrire , quoique la malade pût parfaitement tenir une plu
de pût parfaitement tenir une plume, sût très bien ce qu'elle voulait écrire , et eût môme conservé nettement la notion visuell
signe, sans aucune hésitation, les objets dont le nom est prononcé ou écrit devant elle. Si elle-même ne peut écrire, cela ne
s dont le nom est prononcé ou écrit devant elle. Si elle-même ne peut écrire , cela ne tient certes pas à la parésie des mains,
le copie tant bien que mal les caractères et les chiffres imprimés ou écrits qui lui sont présentés. Mais quand elle veut « co
ou écrits qui lui sont présentés. Mais quand elle veut « composer, » écrire de sa propre initiative ce que lui dicte le langa
rdu le mécanisme qui permet de transmettre les pensées par le langage écrit . C'est donc bien là une agraphie vraie. L'agrap
xercer vis-à-vis d'elles un rôle de suppléance. La faculté du langage écrit pouvant ainsi, soit disparaître, soit être conser
de la parole; 3° comme impression faite sur l'œil parles caractères ( écrits ou imprimés); 4° comme actes de la main dans l'éc
Prenons, par exemple, le centre de la mémoire des signes du langage écrit , ou centre visuel des mots, CVM, c'est par l'œil
ts, CVM, c'est par l'œil que les notions spéciales ayant trait au mot écrit lui parviennent en même temps que les notions plu
ots soit le siège d'une lésion, le malade pourra encore voir les mots écrits , mais il ne les comprendra plus, il sera atteint
A, Centre moteur du langage articulé. — CLE, Centre moteur du langage écrit '. \. La disposition des centres sur cette figu
mes avec le centre visuel commun, de même le centre moteur du langage écrit , CLE, est en rapport avec le centre moteur commun
lation des mots vient au secours du centre auditif; ou bien ce malade écrit le mot qu'il entend et en saisit alors le sens; i
s individus atteints de cécité verbale arrivent à comprendre les mots écrits en cherchant à tracer eux-mêmes les caractères qu
, comme allant à rencontre de l'indépendance de la faculté du langage écrit , se trouvent, au contraire, expliqués de la façon
ntelligence n'est pas affectée, les malades ont conservé la faculté d' écrire couramment et de converser par signes. — Diagnost
10 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
M. Hartshorn, plus liardi ou mieux inspiré, s’est au contraire mis à écrire pour faire des prosélytes, et a publié dans ce bu
anderait, mais que j’engagerais aussi les autres médecins qui avaient écrit contre M. Regazzoni à révoquer leurs doutes, on
témoins en réponse à un article du Volsfreund (qui, s’il n’est point écrit par le D1 Schiff, l’a été sous son inspiration, c
cien représentant, qui a tant occupé le monde par l’excentricité d’un écrit censé dicté par l’àme de la terre, vient de mouri
nétisme avec l’imposition des mains qui, d’après les Évangiles et les écrits des apôtres, étaient le mode de guérison usité ch
uels ils se distinguent. Ici c’est surtout un passage de la préface écrite par M. De-liage qui mérite attention. Cet écrivai
, si l’on ne savait pas que les prescriptions formulées dans ce petit écrit émanent d’une personne endormie, on croirait que
aurait été guérie si j’étais resté plus longtemps à Paris. Elle tn’a écrit une lettre de remerciements, dont voici la copie
qui avait la goutte aux mains. Voici l’extrait d’une lettre qu’elle a écrite à une de ses amies : « M. Capern m’a magnétisée
il y a eu de grands progrès en mieux. Voici le petit mot qu’elle m’a écrit pour constater ce fait : « Monsieur Capern, «
de sur le papier, j’oublie souvent ce que d’abord je m’étais promis d’ écrire , je saisis ce qui à l’instant me vient à la pensé
des questions qui lui sont adressées, et persuadée que son arrêt est écrit d’avance, elle répond avec égarement qu’elle a ve
u’on en dit ; il n’y a point d’actualité pour cela. L’auteur de cet écrit , qui signe un Croyant, n’est rien moins qu’un sav
aient bien les cheveux d’une dame ; mais, d’après ce que l’on m’avait écrit , je dis que je croyais que la somnambule se tromp
ssible de rien entendre de plus exact que cette vue à distance, aussi écrivais -je à ma fille : « Autrefois, les papas et maman
d’après les principes que je viens d’établir, et tous me disent ou m’ écrivent qu'ils vont beaucoup mieux. « L’hystérie et la
par Mesmer. Voici, sur le massage, un extrait qu’on pourrait croire écrit exprès pour nous. « Le massage qui, à lui seul
-être et la santé. Je n’aime point à citer mes propres œuvres ; mes écrits en font foi ; car ce que je fais, d’autres le fon
vons cité un passage assez hostile au magnétisme (1). L’auteur, qui a écrit sur ce sujet d’après le rapport de MM. Dubois et
ents nécessaires. Ainsi encore, il est bien connu que des somnambules écriront , avec leur degré habituel de netteté et de régula
yeux et la main de l’écrivain. Non-seulement les lignes étaient bien écrites et à distance convenable, mais encore les i étaie
es par les mêmes objets, et que j’ai répétée plusieurs fois : Ayant écrit sur un morceau de papier un nombre connu de moi s
et le posai sur la table. Interrogée, elle se trompait sur le nombre écrit . Ma main posée sur la table et celle-ci interrogé
ecclésiastique, la nouveauté des idées physiologiques émises dans cet écrit spécialement destiné au clergé, et auxquelles nou
nt professeur du grand séminaire de Versailles se distingue, dans cet écrit remarquable, par une grande sincérité, une modéra
nglo-américain d’une grande réputation, nommé Davis, et de ce qu’il a écrit sur les esprits. Ayez la bonté de me faire connaî
es du Piémont. Vous le voyez, monsieur, j’avais donc raison de vous écrire que le magnétisme fait ici de rapides progrès, et
rler, les tables de tourner et de jaser à leur manière, les médiums d’ écrire ; une table a même salué la croix et déclaré quell
’une force qui lui est étrangère et sans avoir conscience de ce qu’il écrit , il interpelle l’auteur inconnu de cette écriture
ur inconnu de cette écriture a des entretiens avec lui, et le somme d’ écrire en certaines langues, par exemple en valaque et e
e sujet que, d’après de nombreuses relations américaines, des médiums écrivent dans des langues qu’ils ne connaissent pas et qui
me grave, digne de foi et écrivain distingué. Une demoiselle médium a écrit en hébreu, bien que ni elle-même, ni aucune des p
ttres hébraïques ; un hébraïsant érudit, auquel on présenta le papier écrit par la jeune médium, y lut une phrase irréprochab
moire. M. Almignana, étant en état de médium, prie la force occulte d’ écrire quelque chose sur la création. A peine le vœu éta
ur la création. A peine le vœu était-il exprimé que la main entraînée écrivit sans interruption une dissertation sur la créatio
us, il n’y trouva rien qui ressemblât, même de loin, ä ce qu’il avait écrit . Il n’avait donc pas puisé dans sa mémoire ; ce n
biles médecins, des savants de premier ordre en font l’objet de leurs écrits et de leurs travaux, il convient de dire hautemen
d’hui que la médecine est impuissante à soulager sa tendre mère, elle écrit à une de ses soeurs pour avoir l’adresse de «celu
r la Revue nouvelle du l6r mal 1847. Il y aurait un livie curieux à écrire : ce serait l’Histoire de la Vérité. L’intérêt
x plumes bien différentes, mais considérables toutes deux et dont les écrits ont dans le monde de la science et de la philosop
nce humaine, prendre également pour sujet de leurs études et de leurs écrits un fait ou une pensée, nous nous disons qu’il fau
acile et sans amertume, parce qu’elle-même a été conçue sans passion, écrite sans hostilité, et que les erreurs de l’écrivain
-nous grandement notre étoile lorsqu’il nous tombe entre les mains un écrit franc, net, tranché, et fruit d’opinions conscien
la question scientifique, qu’il y aurait des volumes de controverse à écrire avant qu’elle ne fut vidée. Et encore ! La contro
plusieurs qu’elle me dit être présents à la discussion. M. Stamm m’a écrit plus tard qu’excepté lui aucun de ces MM. ne s’ét
e nous avons protesté hautement contre cette dénomination, qui a fait écrire et soutenir tant de choses absurdes. La vogue d
vénérons, ceux des hommes qui du haut de leur tribune, ou dans leurs écrits , flétrirent la vérité ou persécutèrent nos maître
ire comprendre comme moi. Je crois, en effet, que tous ceux qui ont écrit sur la thérapeutique magnétique n’ont pas bien sa
m’enverrait les remèdes appropriés moyennant 75 fr. par mois. Je lui écrivis que je lui donnerais, non pas 75 fr., mais 1000 f
Polct. Mon clier maître, La lettre que vous avez eu la bonté de m’ écrire m’a procuré une bien vive satisfaction. Les conse
fut fait ainsi qu’il le désirait. Un crayon placé dans sa main droite écrivit immédiatement. Ce fut une occupation de tous les
ermédiaire aux réponses données seraient pris d’un besoin incessant d’ écrire . — En effet, à partir de ce moment il n’y eut plu
e, et la main était obligée de se saisir de n’importe quel objet pour écrire . Tantôt, lorsqu’elle ne rencontrait rien, c’était
yse détaillée. — L'Univers du 11 mai contient l’annonce d’un nouvel écrit en faveur de la cause magnétique, par un jeune mé
t le devoir de prendre au sérieux, de quelque plume qu’il émane, tout écrit qui a trait à la science, dont nous sommes fiers
ns, à notre tour, dans quels ouvrages spéciaux à la matière, dans les écrits de quels magnétiseurs renommés, dans les opinions
l et le mémorable rapport de Bailly furent pendant longtemps les deux écrits sur lesquels se fondèrent mes opinions personnell
ge dans le Dcctionnairc clcs sciences médicales (1819) , et enfin les écrits du Dr Bertrand (1823-20). De compte fait, cinq ou
aissons-le répondre pour nous à M. Segond. Voici deux lettres qu’il écrivait à M. le comte de Mirville, après avoir assisté pr
travaux. «ROBERT HOUD1N.» « Ce 16 mai I8i7. » Voici la seconde, écrite quinze jours plus tard : « Monsieur, « Comme
e de le dire et la loyauté de le signer, et alors 01111e craint pas d’ écrire des lignes comme celles-ci : a Quant à la singu
ainsi) de l’acte Magnétique, que j’ai si fortement manifesté dans mes écrits mon désir de voir les médecins s’occuper et s’emp
à l’abri des atteintes de l’ignorance et de la Malignité. « J’avais écrit ces observations, Monsieur, avant d’avoir reçu le
nt indistinctement exercer. « La lettre que la société a cru devoir écrire en réponse à un article de Y Aristaque dirigé con
ui l’a dictée, je voudrais néanmoins je l’avoue qu’elle n’eut pas été écrite . Toutes espèces de récriminations quelconques en
, et que j’en ai donné la solution. Je vais répéter ici ce que j’ai écrit à cet égard. « On va me dire que si les moyens
des mains des médiums, les paralysent lorsque ceux-ci sont en train d’ écrire . Je regrette vivement que M. de Mirville ne m’a
tourner les tables, S. G. répondit qu’il n’avait pas admis, dans ses écrits , que les expérimentateurs se fussent réellement m
le fait du P. Mario. M. le marquis parle ensuite de cet esprit qui écrit le Pater en espagnol, en italien et en latin; qui
qui écrit le Pater en espagnol, en italien et en latin; qui prétend l’ écrire aussi en valaque et en russe, et refuse de le fai
it, aussi est-ce chose admirable que l’assurance avec laquelle il ose écrire les lignes suivantes : (. Le profit qui revient
istration comme agent thérapeutique, division à propos de laquelle il écrit ceci : « Je me débarrasserai tout d’abord de ce
les gênait. Or, à l’article Magnétisme de cette première édition (1) écrit par un homme dont le nom fait loi dans la médecin
s intolérables,—et de l’autre, les phénomènes magiques, (1) Si nous écrivons phanalique, ce n'est point une affectation dar-cl
. C’est cette branche de la science que Mesmer avait en vue lorsqu’il écrivait son aphorisme, qui sert de devise à notre Société
e plus capables que nous, en grand nombre, —presque tous ceux qui ont écrit sur le magnétisme, ont parlé de son application a
me réchauffer les pieds en appliquant la (1 ) Depuis que ceci a ¿té écrit , nous avons tu, dans l'Vnion magnétique, un artic
faire intervenir le diable dans les faits magnétiques, — nous allions écrire : le grand argument des partisans du diable, — es
rais sur ce point, caries juges, chargés surtout d’appliquer le droit écrit , sont trop habitués à le voir en opposition avec
une articulation facile pour tout le monde. « Ce nom est mgl, qui s’ écrit en arabe avec un ré, unkaf et un htm; nous pourri
mgl, qui s’écrit en arabe avec un ré, unkaf et un htm; nous pourrions écrire ru g le, ce qui serait plus conforme ànos habitud
oldat, il n est donné qu’au vova^eur plus complaisant pour lui-même d’ écrire ses impressions; mais, comme les voyageurs ne se
gle et qu’il m’obsédait, je pris dans ma poche mon carnet, et comme j’ écris très-facilement dos de chameau, je notai toutes l
vais du ragle. Ce qu'il y a de plus drôle, c’est que j’étais obligé d’ écrire à tâtons ; je ne voyais mon carnet que par interv
s avons cités suffisent amplement pour justifier notre assertion. Les écrits de M. de Mirville ne sont qu’une longue paraphras
récipiter dans l’abîme, etc. — Eli bien! nous avons vu des corbeilles écrire le plus tranquillement du monde les noms de Dieu
té de la dame Flowerday. » Tel est le rapport du docteur Elliotson. Ecrit simplement et émanant d'un homme dont le nom fait
ire de belles dissertationssurles maladies; nous, au contraire , sans écrire et sans faire aucun bruit dans le monde, nous rép
bibliothèque, mes papiers et tout ce que je possédais. Tout ce que j’ écris ou pourrai écrire par la suite, sera l’expression
s papiers et tout ce que je possédais. Tout ce que j’écris ou pourrai écrire par la suite, sera l’expression d’une théorie bas
c plus de hardiesse et de connaissance qu’il n’en montre ici. Un peut écrire une histoire générale du magnétisme en en suivant
ment formulée pour faire supposer une conviction commençante, quand j’ écrivis , il y a six semaines, à mon excellent confrère, l
ns pas cité son opinion. En fait nous avons eu tort; car, quoique cet écrit soit d’une date déjà ancienne, l'auteur n’en cons
ait très-chagrine d’une domination qui la contraignait incessamment d’ écrire ces mots: « Donne-toi!... donne-toi! » — L’advers
e privilège de ces latentes transmissions. Parmi les choses qu’elle s’ écrivait , elle trouvait à satiété la formule d’un avertiss
té elle-même l’arrêt de sa sentence : « Jeanne!te est une menteuse! » écrit -elle. La coupable, ébahie de ce miracle, venait d
ir le vrai, si difficile à faire accueillir qu’il soit. Voici ce qu’ écrit à ce sujet M. le commandant : « Sans m’engager
Texas. On cite une médium de Galverton nommée Ada Bruno, dont la main écrit pendant que son esprit est neutre et étranger à c
dant que son esprit est neutre et étranger à ce qu’elle trace. Elle a écrit environ deux cents morceaux, les uns en prose, le
bable à cette pièce, dès qu’il est bien avéré que la personne qui l’a écrite ne sait pas un mot de latin. Non vinum ut vinum
trouvèrent intacts........... « Des communications ont souvent été écrites par des mains invisibles, la plume et le papier é
des empreintes de doigts humains sur le mastic, et sur la cire était écrit un nom, comme si l’on eût gravé avec la pointe d’
tendit la main, et il y reçut ce même papier sur lequel un nom était écrit à la plume. Tout cela se fit avec la plus grande
scientifiques, et notamment sur la nature de l’air. Elle était censée écrite par un monsieur de la société qui jura y être étr
nature et son style, mais il n’avait pas souvenir d’avoir jamais rien écrit de semblable. Ensuite une lettre tomba du plafo
lable. Ensuite une lettre tomba du plafond sur la table. Elle était écrite en français et portait la signature Ralph. Gai su
agnétiques existent-ils réellement? Je le répète, ce que je m’en vais écrire , je l’ai vu, et je l’ai vu souvent; je ne me suis
, un pauvre diable de garçon de ferme, ne sachant, dit-on, ni lire ni écrire , habile seulement à préparer le lin, honnête au f
n que, si j’ignore l’hébreu, mon instinct aura le pouvoir de me faire écrire dans cette langue?... L’auteur nous cite des ci
plus ressortir combien sa théorie est inadmissible. 11 a vu un medium écrire une nouvelle, sans regarder le papier, en écoutan
ble et frappa celui qui avait voulu l’arrêter. Elle prit une plume et écrivit sur un sujet général. « Comme nous n’avons pas
u’exécutent les esprits dans la cabane, il y a des communications par écrit et des peintures en encres de couleurs qui se fon
ue ces moyens réussissaient et que le bras allait bien. La malade m’a écrit que sa tumeur ne la faisait plus souffrir, mais q
impossible, en effet, de 11e point se sentir ému en lisant ces lignes écrites sous l’empire d’un si profond découragement, d’un
ir, et le local fut trouvé vide; niais sur un meuble 011 découvrit un écrit ainsi terminé : « J’ai cependant tout ce qu’il fa
me la leur, et bientôt après sa main et son bras prirent l’habitude d’ écrire des communications qui étaient données comme vena
ersonne influencée. » Un soir, il y a environ six semaines, sa main écrivit le nom de W illiam Mitchell,* qui était le père d
t dont elle n’avait pas entendu parler depuis vingt ans. « L’esprit écrivit qu’il lui avait été concédé un territoire ii caus
is ; qu’il mourut étant en route pour Washington. Il invita son fds à écrire dans cette ville, ajoutant que le brevet de conce
de cette communication à quelques spiritualistes qui furent d’avis d’ écrire à Washington, ce qui donnerait un moyen pratique
un moyen pratique et rigoureux de vérifier l’identité de l’esprit. On écrivit en conséquence à l’honorable M. James Meacham, un
ément comme l’esprit l’avait annoncé quand la communication avait été écrite . M. Mitchell n’avait aucune connaissance que sou
mbule ne conservent pas le moindre souvenir de ce qu’elles ont dit ou écrit sous sa dictée, preuve qu’il y a une tierce perso
L’esprit qui conduit ma plume me dit que ces pages sont ce qui a été écrit jusqu’ici de plus vrai sur les esprits. Tant que
esprit s’en empare et le fait manoeuvrer à sa guise, le fait parler, écrire et penser d’après ses facultés qui n’ont souvent
s auteurs dont il aime à. suivre les traces et dont il interprète les écrits avec un soin religieux, comment n’a-t-il pas au m
s occultes ou magi- ques, comme ont fait la plupart de ceux qui ont écrit sur ces matières. Nous souscrivons au moins provi
Constant de ses eiïorts pour nous faire connaître les auteurs qui ont écrit sur cette matière, pour nous initier à leurs syst
ions, par M. A S. Morin, 527. Esprit (l’) saint des Tables animées. Ecrit anonyme. — Analyse et citation, par M. A. S. Mori
r M. E. de Malherbe, 182. LISTE NOMINATIVE DES PERSONNES DONT LES ÉCRITS , LES ACTES OU LES OPINIONS sont insérés, analys
i font des prescriptions médicales et chirurgicales, 564, 624 ; — qui écrivent , 571, 580, 621 ; — qui soulèvent et déplacent des
11 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
eureux et désiré résultat. Il les rencontrera, croyons-nous, dans les écrits du docteur Léger, édités par Baillière, libraire,
ier le maître. Allop. — Le calomnier ; mais répétez donc ce qu'il a écrit , dites donc nettement ee qu’il a fait. Hom. — C
ES. DIX-HUITIÈME CAUSERIE. Patience et persévérance. (Suite.) Ecrire est parfois un plaisir, une puissante distraction
tants que ma mémoire soit bien fidèle. Je ne suis point romancier ; j’ écris au soir de ma journée ma somme de travaux, le peu
lité. Qu’on ne s’y trompe donc point, plus ou moins mal dit, ce que j’ écris n’est pas le fruit d’un rêve. Quelle belle chos
je vous ai montré ne vous a-t-il pas saisi, remué? ne m’avez-vous pas écrit dans votre première lettre que ce sont des faits
out simplement un individu parler... par la bouche, comme saint Paul, écrire avec la main comme tout le monde en suivant d
ces faits une causo naturelle. Quand des enfants voient une personne écrire , ils ne réputent aucunement ce fait comme merveil
me prononcer en mon nom , j’annonce que je vais consulter le ciel. J’ écris les trois noms sur autant de papiers que je plie
ment que c’est Dieu lui-môine qui l’a choisi et qui a miraculeusement écrit ce nom. Au lieu de voir ce résultat accueilli ave
u préalable l’état des papiers, que l’un des trois était certainement écrit d’avance et contenait le nom que je voulais faire
llait les divers dessins ; elle décrivait la reliure des livres. Elle écrivait comme d’habitude, et elle découpait des figures e
on, il s'arrêta, remit la corde au ton, puis reprit son exécution. II écrivit une lettre à son frère, et non-seulement sa compo
passages qu’il regardait comme intéressants, et les notes qu’il avait écrites sur ce volume. Il indiqua à l’un de ses maîtres l
avait beaucoup de choses qu il ne pouvait voir. Ainsi, pendant qu'il écrivait à son frère, il ne s aperçut pas qu’il n’y avait
aperçut pas qu’il n’y avait plus d'encre à sa plume, et il continua à écrire . Une autre fois, il alluma une chandelle et appro
baron, en voyant les progrès de votre affectionnée science. Sans vos écrits et votre curieux journal qui m'ont stimulé, le sp
le, d’Alger... Il y a même des per- sonnes de la province qui lui écrivent d'avance pour ûtre certaines de la voir et de la
l’on ne put ou ne voulut me donner son adresse : je fus réduit à lui écrire à l’adresse du journal, pour le prier de me mettr
il faut s’empresser de le reconnaître, une dissertation intéressante, écrite par un homme érudit et qui résume assez bien les
la moindre préoccupation. Voilà à peu près ce que nous avons déjà écrit , niais plus sommairement, dans le Journal du Magn
que nous allons puiser dans une Vie de madame la duchesse d’Orléans, écrite avec une noble simplicité par une dame attachée à
ts ont été terribles. C’est la raison pour laquelle je ne vous ai pas écrit . Le 6, anniversaire du dernier beau jour de ma vi
re à en produire plusieurs autres qui ne sont signalés dans aucun des écrits publiés jusqu’ici. « Le fluide magnétique anima
c ardeur à étudier les ouvrages des auteurs les plus célèbres qui ont écrit sur ce sujet. Les œuvres de Puy-Bégur, Deleuse, G
et, Charpignon, Lar-fontaine, le Journal du Magnétisme en France, les écrits -d’Ennemoser, de Fischer, en Allemagne, etc., fur
t servent à la manifestation des pensées d'autrui ; le sujet parle et écrit , mais c’est un Esprit qui parle par sa bouche, qu
jet parle et écrit, mais c’est un Esprit qui parle par sa bouche, qui écrit par sa main ; l’Esprit agit ainsi, même sans avoi
meil, durant laquelle le malade tout à la fois gesticule, se promène, écrit , parle, fait des vers, chante, danse et devient p
e démons que les anciens leur avaient appliquée. « Si nous pouvions, « écrit Origène, expliquer la nature des noms eflicaces d
rces invisibles de la nature pour soutenir leur cause. C’est dans les écrits de Celse et d’Origène qu’elle se montre le mieux.
agnétisme. Avant de rien décider pourtant, M. Monchaanofl m engagea à écrire un programme de ce que je me proposais de dire et
de, s'étaient placés par derrière. Heureux ce jour, car je venais d’ écrire une page pour l’histoire du magnétisme ; je venai
homme au moment même où nous étions, elle répondit : Je le vois bien écrire la lettre que je tiens, mais je ne peux plus le v
ais style sur une pensée divine : la belle chose que Dieu dit, nous l’ écrivons bien mal : notre réalité ne s’adapte pas bien à n
ts phénomènes, dont les relations se lisent tous les jours dans leurs écrits , ils ont l’habitude de répondre que ces faits son
lui a été délivrée a été dictée d’un bout à l'autre n à X... qui l’a écrite et signée sans faire la moindre obser-« vation et
n du président, un medium monte au bureau près du secrétaire chargé d' écrire les demandes fiâtes par l’un des fidèles et les r
de notre âme, mais qui ne découvre rien au-delà de ce qu’il y trouve écrit . Mais cette explication, qui paraît bien simple,
, etc. On en raconte des merveilles, on répand à profusion des petits écrits où sont célébrées les guérisons inespérées qui on
e... ça représente une drôle de maison..., qu’est-ce qu’il y a donc d’ écrit en dessous ? je ne sais pas ce que cela veut dire
ent avec zèle à répandre la divine semence de leur parole ou de leurs écrits . Interprète de tous nos amis absents, je porte
ysionomie les sentiments de personnages dont la position indiquée par écrit à M. Lassaigne lui était suggérée mentalement par
ut ou plutôt épela une phrase de deux lignes, que plusieurs personnes écrivirent sous sa dictée pour en confronter l’exactitude. L
er aux somnambules la faculté de palper à loisir la boîte contenant l’ écrit qu’il s’agit de lire, boite fermée à clef et dûme
crois encore plus que jamais en ce moment, — et je me mis aussitôt à écrire pour éclairer autant que possible les personnes c
oignage. En général, 011 ne peut attacher une grande importance aux écrits des poètes pour lesquels une fable gracieuse vaut
de la divination sacrée, la tourne en dérision dans plusieurs de ses écrits , et il regarde comme forgés à plaisir les traits
nt cm aux oracles. Ce qui est essentiel, c’est de rechercher dans les écrits anciens, des faits bien avérés de lucidité. Notre
questions auxquelles répondent les Esprits leur sont adressées ou par écrit ou de vive voix : on suppose donc que les Esprits
le que d’ordinaire. On demandait alors si la lettre qui venait d’être écrite , et qu’on se gardait bien d’appeler tout haut, ét
ujours les mêmes. On demanda à l’Esprit s’il voyait ce que chacun écrivait , et s'il pourrait frapper un nombre de coups indi
, et s'il pourrait frapper un nombre de coups indiqué secrètement par écrit . Sur la réponse affirmative, plusieurs des specta
ment par écrit. Sur la réponse affirmative, plusieurs des spectateurs écrivirent , chacun en secret, des nombres sur des feuilles d
ndus distinctement était inférieur de une ou de deux unités au nombre écrit , les personnes disposées à se contenter de peu so
individus, il en est qui produisent des mouvements inconscients, qui écrivent des discours dont ils ont la conviction de n’être
’auteur ; j’aurai soin, eu égard à la nature du recueil pour lequel j’ écris ces lignes, d’élaguer autant que possible tout ce
itre. Elle distingua plus difficilement des caractères plus petits. J’ écrivis plusieurs phrases au crayoa quelle déchiffra sans
rés dans la maladie de mademoiselle X. (1) • » «... Je n’ai point écrit l’observation qui précède pour les hommes qui aim
nt le merveilleux et les histoires fantastiques. « Je ne l’ai point écrite non plus pour les avocats de la théorie, dont la
ssion semble être de nier tout ce qu ils ne comprennent pas. i J’ai écrit pour les vrais amis de la science, et pour ceux s
cience, et pour ceux surtout qui aiment la vérité avant tout. Je l’ai écrite comme un fait remarquable qui appartient à. la pr
nsées ? G. Goossens. DES MIROIRS MAGIQUES. Après tout ce qu’ont écrit sur ce sujet MM. le baron du Potet, Cahagnet, de
al des sorciers. «Dans 1 antiquité païenne, les sorciers de Thessalie écrivaient avec du sang humain leurs oracles sur ces miroirs
aut pas l’espérer avant un an. « J'avais déjà la plume en main pour écrire sous la dictée de mon clairvoyant, croyant que, c
mbres exacts dès que le médium n’a plus eu connaissance des questions écrites . Du rapprochement de ces deux genres d'expérien
Le ministère public demeure silencieux et se réfère à ses conclusions écrites . Le défenseur fait valoir surtout la tolérance gé
s où la mauvaise foi peut être établie. Un de nos correspondants nous écrit que dernièrement, à la foire d’Agen, une espèce d
le qui a été choisie. «Seconde expérience: Une personne C3t priée d’ écrire son nom sur l’une des cartes du casier, qui est e
et finit par la tirer du milieu des autres. « — Quel est le prénom écrit ici ? lui demande encore AI. Tréfeu. Après quelqu
rte sur laquelle se trouve le prénom de Claire. C’est celui qui a été écrit . Cette expérience, renouvelée deux fois, a toujou
e portant deux points; précisément le nombre choisi. Une autre dame écrit son nom sur une carte marquée pour être reconnue.
trompé une seule fois. Voici le plus fort : Trois questions sont écrites sur trois carrés de papier. Ces papiers sont plié
ler, 18/i3, je fis ce songe, et, frappé de la clarté du présage, j’en écrivis tous les détails, qui étaient oubliés déjà à l’ép
e à l’ennui ; je voudrais quitter l’établissement; mais un engagement écrit me retient. Néanmoins, sans chercher un autre emp
A. S. M. Le Rév. S. B. Brittan, l’un des éditeurs du Spiritual Age, écrivait dernièrement, dans son journal, cet article que n
l’un des plus anciens médecins clairvoyants des Etats-Unis. Celui qui écrit ces lignes a eu, tout récemment, l’occasion d’obs
tus. Cela fait, il radolt avec ce couteau toute la terre, où il avoit écrit les- dites paroles, de sorte qu’il n’y demeur
ne s'occupent pas assez de continuer leur tâche. Ce n'est pas par des écrits qu'on peut aujourd’hui faire avancer la question,
es motifs contraires, nous provoquent à agir. M. Mabru, rappelant les écrits des magnétistes où l’on vante la lucidité, où l’o
ux de en Dieu Soyez ganté si vous voulez comme l’était la personne, écrivez en cachette sor le côté des doigts ou sur l'étoff
e -en quatre, et saDs méfiance, alors du moins, vous glissez le doigt écrit entre les feuillets que vous pressez aveeie pouce
médium de M. Mathieu, peut faire paraître sur le papier quelques mots écrits . Un membre de la Société philanthropico-magnéti
il suffit que le pouce glisse un moment sous la main étendue, et l’on écrit ainsi un ou deux mots qu’on peut même, avec un pe
nce que j’ai proposée dernièrement à un.médium vanté , dans plusieurs écrits spiritualistes, comme ayant fréquemment obtenu de
ents de leçons, répondait aux questions qui lui étaient faites, et il écrivit même sur l'invitation d’une des personnes présent
e, ne sait pas lire et n’a pu par elle-même prendre connaissance de l’ écrit , qui ne représente pas non plus cet écrit, mais q
e prendre connaissance de l’écrit, qui ne représente pas non plus cet écrit , mais qui assure s’en être faitdonner lecture, so
r et de cacher cette science effrayante encore pour lui-même, et il a écrit un livre qu’il vend seulement à ses adeptes et so
aitauprès d'elles. — C’est que notre magnétiseur, qui (Lins ce moment écrit une lettre, non duns son cabinet, mais dans la sa
t de ces hommes que recommande la renommée de leurs travaux, de leurs écrits , des cures éclatantes qu’ils ont obtenues. Un tel
seignements plus précis ; mais il s'en faut de beaucoup que, dans les écrits publiés sur lui, on trouve les éléments nécessair
n renroi à la cour de Franco. on peut avoir des dispositions pour écrire la vie des saints, mais on est peu propre à démêl
N’y a-t-il pas de nos jours des morts qui, répondant aux évocations, écrivent au moyen de corbeilles mues par la main des médiu
révolution. Nous regrettons de 11e pas avoir à notre disposition cet écrit , ce qui nous permettrait de vérifier la prophétie
e en est généralement très-rebutante : les maîtres de cette science n’ écrivent pas pour le vulgaire, ils emploient un langage sy
’il aura adopté de confiance les assertions de quelques auteurs ayant écrit plusieurs siècles après la disparition du druidis
r hasarder des explications. 11 prétend que c'est le baron-médium qui écrit à son insu : « Vous avez, lui dit-il, par vos exp
ique peut ainsi s’allonger à cent pieds de distance de mon corps pour écrire , elle pourra aussi bien faire mouvoir un poignard
ommes parfaitement tranquilles, à cet égard ; on peut ainsi faire écrire longtemps les Esprits sans se fatiguer le moins d
ience, lions savons encore si peu de chose. Si nous interogeons les écrits des plus grands physiologistes pour apprendre sur
ces. 11 paraît même que cette malade réussit à épeler le mot commerce écrit en gros caractères qu’on avait placé au creux de
ont perdu le sens commun. N’avez-vous pas vu le malheureux Ilennequin écrire un livre dicté par l’âme de la terre ? Un autre e
e ; puis je jette la plumeen réfléchissant qu’il y a tant de choses à écrire pour et contre, qu’il faut attendre encore pour p
édule que moi en fait de lucidité somnambulique. Je ne craignis pas d’ écrire , en 1840, dans un livre dont je voudrais pouvoir
agnétiseur que sur le papier. Ainsi, prenant une feuille de papier, j’ écrivais une phrase de mon écriture habituelle et j’appliq
r, j’écrivais une phrase de mon écriture habituelle et j’appliquais l’ écrit sur l’épigastre de manière que, même en supposant
ot et finissait par lire ma phrase avec une certaine peine, mais si j’ écrivais en grosses lettres, elle lisait couramment sans é
signale si vous les trouvez dignes d’examen, et de vouloir bien m’en écrire un mot pour me dire ce que vous en pensez. -(Re
l’impression enivrante de la vélocité d’un train express que je vous écris ces quelques lignes, « La locomotive, volcan mo
isme ! ! Vous serez bien sus-pris, mon ami ! en lisant ce dernier mot écrit par moi : Magnétisme ! science obscure que j’avai
e personnelle y ayant trait, que je vous ai jeté à la bâte ces lignes écrites sur mon carnet de voyage. «Nous entrons sous un
si j'ai étudié quelque peu le magnétisme, je me suis aussi entouré d’ écrits qui le discutent ou le nient, et que comme beauco
ère observateur, froid et positif. « Voilà, ô mon ami ! ce que j’ai écrit sur mon carnet, en dévorant l’espace avec mon cou
à l’aide d’une table parlante, et tantôt de son propre fonds, a déjà écrit un ouvrage de métaphysique. Mais il faut dire q
a proposition qui nous était J'aite, et prîmes aussitôt la plume pour écrire sous la dictée de notre extatique la petite biogr
s. (P. 108.).... Si l’on aune phrase, un mot dans la tète, la table l’ écrit et n’est plus qu’un reflet de notre propre cervea
oin de nos organes visuels ? Est-ce au contraire que nous seuls avons écrit et par conséquent dirigé la table? Enfin, sauf qu
qu’on peut mettre sur le compte du hasard, je n’ai jamais vu la table écrire des choses au-dessus de nous, des choses que nous
mile de Prcrorsl est célèbre parmi les extatiques: son histoire a été écrite en allemand par le docteur Justinus kei ner, etM.
ngement intellectuel, et l'on peut craindre sérieusement que ceux qui écrivent de pareilles extravagances ne soient atteints de
eaucoup de celui de nos somnambules. M. J. Curl, docteur en médecine, écrit de Paris (Illinois) : « En novembre 1858, je fu
e la lumière d’Égypte. » NOUVELLES ET FAITS DIVERS. M. HOME. On écrit de Paris au Courrier du Havre : « M. Home, le c
tire dans un coin du salon ; j arrache une feuille de mon carnet, j’y écris un mot, je le plie, et le serrant de toute ma for
ution, etc.; c’est donc s’abuser étrangement que d’attribuer ce petit écrit à un esprit prophétique, à une vue de l'avenir. —
une prédiction ait quelque valeur, il faut qu’elle soit consignée par écrit et qu’on lui donne une date certaine avant l’évén
sieurs qu’elle me dit être présents à la discussion. M. Stamm m’a écrit plus tard qu’excepté lui, aucun de ces messieurs
t; il y avait, entre autres, M. Gérard, cent-garde, auteur d'un petit écrit sur le magnétisme, et une dame qui s'occupait de
M. Flint y est moins estimée encore que ne le sont parmi vos amis les écrits de tant de magnétophobes que je pourrais citer.
ur cette seule raison, pas plus qu’il ne faut repousser [‘inspiration écrite ou parlée, par cela seul qu’elle nous est transmi
faire autrement que d'y répondre. Comment M. Morin en est-il venu à écrire un semblable article? Pour l'intelligence de la
intelligents entendus chez elle. Faisant ses réserves, toutefois, il écrivait à ce sujet la phrase suivante : Il est prouvé que
, car il rira de bon cœur. Baron du Potet. VAIIIETÉS. On nous écrit do Seichamps que le sieur Hachotte, cultivateur,
taires par M. Morin, 300. LISTE NOMINATIVE DES PERSONNES DONT LES ÉCRITS , LES ACTES OU LES OPINIONS sonT insérés, analyé
12 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
médecin instruit et exempt de préjugés. » Liébeanlt, dans tous ses écrits , ne cesse de revendiquer pour le sommeil provoqué
place prépondérante dans l'art de la psychothérapie. * Le sommeil, écrivait -il en 1894, est le meilleur des remèdes. Rien ne
n pratique, et si Ton obtient du succès par la suggestion, verbale ou écrite , parce que « la foi guérit », j'ai obtenu des suc
llusion à la Psychothérapie. L'un d'eux, cependant, s'avisa un jour d' écrire : « On a proposé de traiter l'incontinence noctur
abcès ? Quoiqu'il en soit, depuis lors, la plupart des auteurs qui écrivent sur l'incontinence reproduisent textuellement le
t bu, mangé, dormi, marché, uriné ; il ne serait pas plus illogique d' écrire que c'est cela qui leur a été mortel, car enfin i
l'autre m'est personnel. Un professeur d'une université de province écrit à Van Velsen pour lui demander de venir dans la v
française d'Urologie, un rapport très remarquable qui est ce qu'on a écrit de mieux sur l'Incontinence d'urine. Ces auteurs
i, enregistré qu'un nombre relativement restreint de succès... » Pour écrire ce qu'on vient de lire, il faut, arbitrairement,
l laisse tomber doucement, sans impatience, le carton sur lequel il a écrit ces lignes et il se met à dessiner sur un autre.
ux-ci ne valent rien, dit-il. » Puis voyant le carton sur lequel il a écrit la direction qu'il devait donner au courant, il m
garde d'un air interrogateur et me demande : « C'est aussi moi qui ai écrit cela ! c'est en effet un des points importants du
ercices est d'un pronostic favorable. Est-ce ? dire qu'il suffise d' écrire à main posée une heure ou deux •chaque jour, même
e ne pouvait vaincre sa résistance. Si ??s malades ne lisent et n' écrivent que parce qu'elles sont incapables d'attention, e
tention, elles aiment cependant lire ce qui a trait à leur maladie et écrire pour confier au papier leur petites misères ; bea
e bonne résolution. Ainsi, tandis que le 10 février elle refusait d' écrire , le 2 mars vers-onze heures du matin elle notait
eux. Je-le veux, je le serai. » Le 4 mars, une heure et demie, elle écrit : « De mauvaises idées me tenaillent, je ne veu
ieux. » Sans s'en douter, cette malade faisait de l'auto-suggestion écrite , plus-efficace que la verbale, parce que plus rep
un enseignement qu'ils nous prodiguent. Notre intention n'est pas d' écrire une histoire complète de l'Algomanie: nous voulon
solue, la description de l'état mental qui nous intéresse lorsqu'elle écrivait : « Les souffrances « seules peuvent désormais
te Catherine de Sienne se montra apologiste de l'Algomanie quand elle écrivait à Urbain VI : « Devenez semblable à votre chef, l
vec passion jusqu'à ses derniers jours. Il ne lui a pas été donné d' écrire le dernier livre, la mort a prématurément fauché
oclamer. Mgr Mignol, dans une Lettre sur VApologétique contemporaine, écrivait : « A l'heure présente et pour beaucoup d'esprits
ie Chrétienne, 190B. T. II. p. 575. (5) Il y a longtemps déjà qu'il écrivait : « Une très grande partie du peuple n'admet plus
s de ce temps, se sont laissés prendre à cette duperie de mots. Renan écrivait : « Que demain un thaumaturge se présente avec
Paris, s. d., ln-8°, pp. XV1-XVII, 413 et 416. (2) « Jamais Kenan, écrivait Charles Renouvieren 1897, ne connut assez les lim
expérimenter ». La Psycholoyie inconnue. Paris 1908, in-8°, p. 76. Il écrit néanmoins un peu plus loin : « Pouvons-nous obser
er quelque scandale. Ce livre fut brillé avec son corps et ses antres écrits en 1624. Emile littré s'exprime d'une façon trè
ique de son histoire. arts, 1836, ln-8-. Préface, t. i. pp. 1I-IX. Il écrivait dans La Philosophie positive (t. X, p. 440) « Le
qu'a ceux qui. d'avance, croient aux miracles.» (4) Littrè lui-même écrivait : « Je ne donne guère d'attention aux guérisons m
ont décrit ou exalté l'amour de la douleur? Ne nous arrêtons pas aux écrits qui dépeignent le sentiment normal de douleur et
racteurs, comme tous les grands hommes ; mais ce n'est point de leurs écrits que lui sont venus les désagréments de sa carrièr
es désagréments de sa carrière. Nul ne poussait plus loin, comme il l' écrivait lui-même le dédain des jugements superficiels.
ière obéissait assui'ément à un véritable génie prophétique lorsqu'il écrivait : « L'on n'a qu'à parler avec une robe et un bonn
. autant que possible, complètes. « J'ai quelquefois de demi-idées, écrit Voltaire, comme quand je vois de loin les objet
s qui fournissent un apport à notre thèse : « C'est bien la tendance, écrit -il, qui est le fait primordial de la vie affectiv
la synthèse, comme le fait la pensée humaine. Par exemple, M. Bergson écrit que les-fonctions végétatives et celles de la vie
ême personnellement visé ; et c'est, en quelque sorte, Pro domo que j' écris ces lignes. Binet-Sanglé affirme qu'il n'y a pa
liberté. Il prétend qu'il n'a pas la religion de la Science, mais il écrit comme quelqu'un qui en a l'idolâtrie. En effe
es de philosophie le mentionnent encore, pour mémoire. Binet-Sanglé écrit qu'il deviendra un « antidéterministe » convaincu
sans merci, la responsabilité et. avec elle, le libre arbitre, c'est, écrit -il, « parce que, sans libre arbitre, il n'y a plu
s sur la partie malade et sur l'ensemble de l'organisme. « Il faut, a écrit Hippocrate. rallier la philosophie à la médecine
tre la moindre valeur médicale. Jugez-en plutôt d'après ses propres écrits : « Je défiais la suggestion, dit-il. toute idée
st ce qu'exprimait Gratiolet. d'une façon très saisissante, lorsqu'il écrivait : « Il est impossible d'être sitisi d'une idée vi
physique avec le moral. A une époque plus rapprochée de nous, Ribot a écrit : « Tout état intellectuel est accompagné de mani
rcher les éléments d'une psychothérapie méthodique. En relisant les écrits dans lesquels on retrouve à chaque page les témoi
s me citer moi-même. J'en demande pardon au lecteur. Voici ce que j' écrivais dans le tome II de la Folie de Jésus : « La que
ongé à prendre la chose pour moi. « Et qu'on ne vienne pas me dire, écrivais -je encore : « Le suggestionné, le croyant, l'homm
renvoie à l'introduction du tome I et à la page 507 du tome II. Il écrit encore : « Si je choisis, dit Binet-Sanglé. ce
Farez ne nous dit pas nettement s'il est déterministe on non. Mais il écrit : « L'étudiant en médecine n'a vu dans l'organi
vec d'autres passages où (1) de Hérédia. Les trophées. l'auteur écrit et affirme comme s'il n'avait pas fait cette conc
oila qui est insoutenable. Je n'ai jamais ni dit, ni pensé, ni rien écrit qui permit de croire que « d'après moi « il exist
comportent des mesures et par suite une description impersonelle. Il écrit : « C'est alors seulement que nons avons le droit
on (1) le dantec. L'Athéisme. Paris, 1906, in-12, p. 193. herschell écrivait déjà : • Dans tous les cas qui admettent la numér
L'état de veille et l'état d'hypnose. » (2) « On a beaucoup parlé, écrivait -il dans ces derniers temps, de la suggestion à l'
rétendait avoir agi sans le concours de l'hypnose. Or. voici ce qu'il écrit : « Une tentative d'hypno- tisation par le pr
ervations scientifiques. ¦ Ne nous laissons pas duper par les mots, écrit M.le Boy; aucun « bureau de constatations » ne sa
04, pour tout compte rendu d'une conférence de Young sur ce sujet, on écrit : « Cette autre conférence du fécond et pourtant
ournalière, que je vais rapporter. M. X.. âgé de trente-cinq ans. m' écrit le 10 septembre, pour me demander un rendez-vous
ion marquée. Les maximes ou pensées en rapport avec l'état du malade, écrites à main posée, surnagent, pour ainsi dire, pendant
aurait, après lui, quelque témérité a le recommencer. • Sans doute, écrivait -il dans le Bulletin Médical, Brissand jonlssalt d
bservations ingénieuses, en avait-compris l'importance. II importe, écrivait -il, dans l'histoire longue et complexe des sommei
e. C'est un fait d'observation réelle que Proudhon a noté lorsqu'il a écrit : « Le lazarone qui a mangé sa polenta ne remuera
1885, dans la Reçue Philosophique. « D'après ce que j'ai observé — écrivait -il — je serais porté à croire que pendant le somm
ue celle d'un homme qui après un repas s'analyserait avec le projet d' écrire un traité de la digestion ; aussi les philosophes
i compromettent la santé de l'individu et de la race. L'historien n' écrit pas seulement l'histoire des guerres, il écrit ce
race. L'historien n'écrit pas seulement l'histoire des guerres, il écrit celle des peuples et une pathologie doit lui être
r l'enchaînement qui relie tous les êtres organisés. Par ses nombreux écrits , M. Edmond Perrier, nous a appris que chez lui le
er les idées de justice et les vues si élevées qui se dégagent de ses écrits , de ses études de jurisprudence et de son action
opérations de l'esprit dans ces états hypnoïdes : « Dans la rêverie, écrit -il, on n'est point actif; les images se tracent d
'au quatorzième siècle, le poète et chansonnier Guillaume de Machau écrivait dans une de ses chansons : Kn «n lit ou pas ne
pechté. (l)Et par déformation dorveille, dorvelle, dorvoillee. Ecrivait en 1478, le moraliste J. Lepaut, dans sou Livre d
ement exposée par Voltaire lorsque, parlant des Brahmes de l'Inde, il écrivait : « La plupart d'entre eux vivent dans une molle
dont 11 a constaté sur lui-même les effets utiles. « Tout le monde, écrit -il. sait ce que c'est qu'un cheval • froid de l'é
il analyse les divers états d'Ame des chirurgiens : « On a beaucoup écrit sur l'àme du chirurgien. Elle se présente chez ch
flgé de trois mois, souffrant, alla trouver une sage-femme : celle-ci écrivit h une sorcière de Monnaie pour lui demander son a
é par sauts est véru fiée plus lucidement de jour en jour; et comme l' écrit judicieusement M. Delage, la méthode évolutîonnis
sent volontiers à protester, par leurs paroles, leurs gestes ou leurs écrits , contre uos institutions sociales, politiques ou
particuliers qui révèlent son état d'ftme au moment même où il les a écrites et expriment, par conséquent, les caractères de l
ves, et, il ma été facile, en lisant les nombreuses lettres qu'il m'a écrites dans les diverses phases de son mal. de constater
emploi, des dispositions innées. « Si malgré toutes les tentatives, écrit Allain Kardec. la médiumnité ne se révélait d'auc
raconte le fait suivant : (1) « Un médium évoque l'Ame de Napoléon, écrit des messages sous sa dictée. Tout d'un coup, le m
. Tout d'un coup, le médium qui parlait librement pendant que sa main écrivait , s'arrête brusquement; la figure pale, les yeux f
iumnité et les accidents nerveux sont incontestables. • On peut dire, écrit -il, que les médiums appartiennent à la famille né
dans les séminaires, ils sont exercés ¡1 réciter par cœur des sermons écrits soit en latin, soit dans leur langue maternelle.
, passant a Lyon, voulut inl faire sublir une forte épreuve. Elle fit écrire et prononcer trois cents mots les pins bizarres e
Imaginer; Il les répéta tons, d'abord dans l'ordre qu'ils avalent été écrits , et ensuite dans tel ordre et tel arrangement qu'
, faire dnns le domaine de la psychothérapie. « Je tiens cependant, écrit —il, a mentionner une leçon qui m'a particulièreme
e, — c'est-à-dire, un faiseur de fausses images. Quand il consent à écrire , il se garde bien d'exprimer clairement sa pensée
II importune tout le monde par ses plaintes et ses récriminations. Il écrit toujours de longues lettres pour raconter ses sou
privilégiées, il n'est pas rare de trouver dans les actes et dans les écrits de ces personnes des traits significatifs qui •dé
t de tous nos mouvements, de nos gestes, du langage parlé, du langage écrit , etc., etc. Pour vous rendre compte de ce double
tres sont chargés de gouverner nos mouvements, notre langage parlé ou écrit , etc. Quelques écrivains soupçonnent qu'Homère
ent des cellules destinées .à- préparer les manifestations du langage écrit Voilà pourquoi je me permets de dire aux grapholo
ie du matin, éprouve un certain malaise : « Il me semblait ressentir, écrivait -il, comme un poids sur l'estomac, des renvois con
odiquement successifs des réminiscences. A cet égard, nous même avons écrit ailleurs (H) : « Dans le domaine nerveux, si apte
ype prépondérant des rythmes-périodiques. mystique. M. de Suttner écrit dans les G-arelli : « L'exemplaire qui se trouve
me ses égaux. Le post-scriptum du livre est le suivant: Celui qui a écrit ces pages, s'appelait Ermenric. Cette vierge, A
: « Quand nous écoutons le bruit des vagues qui buttent une falaise, écrit M. Jules Souriau, nous ne nous contentons pas d'e
se rattachent h l'hypnotisation auditive. « Il arrive communément, écrit -il, au cours d'exercices acoustiques avec les dia
endues, en raison de la plus grande liberté de penser, de parler et d' écrire . Dans la famille musulmane et principalement
e directrice et nous invite à généraliser leurs inductions. Comme l'a écrit M. Fouillée, la méthodologie nouvelle ne doit plu
s me le représenter lorsque le samedi soir M. V. m'apporta une lettre écrite par F., me demandant d'analyser son écriture d'ap
ur dit : c C'est bien moi que vous cherchez, arrêtez-moi ! » Puis, il écrit une longue lettre au juge d'instruction, dans laq
13 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
ue la volonté trouve la force toujours prête. Pardonnez-moi de vous écrire avec si peu d’ordre et de méthode sur un sujet si
reviendrait l’idée! Allons donc, je ne pourrais le croire. Vous avez écrit voire petit projet de loi sans y attacher l’impor
ns à cette démonstration ridicule, à ces impuissanteÿco-lères. Nous écrivons pour ceux qui veulent que le magnétisme sorte enf
eur Cuny a élé frappé. Liustruclion continue. (Preste.) — M. Cnny a écrit pour rectiGer plusieurs termes de eette version.
° C***, somnambule. Lui ayant donné, durant son sommeil, une lettre écrite par une malade sur laquelle je voulais la consult
s, parties du corps qu’une personne de la société avait désignées par écrit . Elle a chanté, s’est arrêtée, puis a continué
verre d’eau ayant été apporté, une personne du parterre a exprimé par écrit le désir que cette eau eût pour Prudence le goût
la scène et de veiller lui-même à celle qui allait être répétée. 11 a écrit sur une carte le mot Vin. Le magnétiseur, après a
ersonne de désigner une nouvelle liqueur plus agréable. L’incrédule a écrit de nouveau le mot Luit. Prudence a bu avec plaisi
s nous empêcher de citer un fragment de la dernière lettre qu’il nous écrit ; il donnera lui-môme une idée de sa croyance et
vient de livrer k l’impression l’Art de magnétiser; c’est son premier écrit . Nous l’analyserons aussitôt qu’il aura paru. —
ux, les plus méchants sans doute, altérèrent les textes des monuments écrits qu’ils ne pouvaient détruire, et bientôt encore t
quand l’un des siens a parlé, tout le monde est convaincu. Mais leurs écrits , comme leurs discours, ressemblent à leurs remède
ce, ils n’en sonique les geôliers ; le dos tourne au progrès, ils ont écrit sur leur bannière : Immobilité. « .Mais vous le
-patbes, avaient vainement épuisé leur grec et leur latin. Dénier aux écrits des magnétiseurs toute espèce d’autorité nous par
bien les mots guérir el préserver qui reviennent sans cesse dans les écrits de Mesmer, j'ai compris que son moyen universel n
vité, empira tellement que tout présagea une issue funeste, et il fut écrit aux parents d’arriver au plus vile s’ils voulaien
donneraient à ce récit une allure pédantesqne que je veux éviter. J’ écris pour tous et tache de m’en faire comprendre, moye
t à 6,349 grammes. Dans une lettre publiée par le Zoist, M. Esdaile écrit à son frère : « Je vous prie de dire au docteur E
r, semblait l’augmenter ; il sepiquait au doigt toutes les fois qu’il écrivait à cette princesse, et pe lui écrivait jamais que
au doigt toutes les fois qu’il écrivait à cette princesse, et pe lui écrivait jamais que deson sang. Le jour même qu’il apprit
a frappée qu’en nombre égal à celui des personnes qui ont adhéré’ par écrit à la proposition faite au banquet du 23 mai 184 6
iés de nous envoyer avaut le 10 mai leurs noms et prénoms lisiblement écrits . La distribution en sera faite le 23 mai procha
charge de recueillir les souscriptions ou adhésions. Il sc propose d’ écrire à toutes les personnes composant le banquet de l’
s autres personnes qu’on pourrait avoir oubliées, nous les invitons à écrire à M. Laporte, cité Trévise, n° 5. Tribunaux. —
invitons à écrire à M. Laporte, cité Trévise, n° 5. Tribunaux. — On écrit de Washington (Etats-Unis) à la Démocratie pacifi
re très-nette et fort distincte un tombeau sur les côtés duquel était écrit fort lisiblement : 23 juin 184..., avec des initi
être soigneusement rassemblé, afin qu’un jour les hommes qui voudront écrire sur la science profonde, objet de toutes nos rech
remettant entre les mains de l'impératrice un vieux livre manuscrit, écrit en 1542. « Tiens, lui dit l’empereur en ouvrant
ns y rencontrer. » « L’histoire de cette prophétie, qui n’a pas été écrite après coup, ainsi que nous le démontrerons tout à
ées dans ses papiers. La copie textuelle de la prophétie d'Olivarius, écrite de la main même de François ,1c Metz, est datée
mince qu’en mathématique on la négligerait. Il y aurait des volumes à écrire si une chose plus intéressante ne se présentait à
ire, la plante sera influencée, l'homme le sera, car il est une règle écrite sur la terre : toutse retrouve dans son roi. C’es
e tous les arts, reçut de Dieu la connaissance du déluge. Ses enfants écrivirent , en conséquence, sur des tables hiéroglyphiques l
, sous le pli de leurs propres conceptions. Nous trouvons dans leurs écrits la théologie de Moïse, l’astrologie de Bulda et l
usieurs médecins de Paris, de Caen, de Saint-Lô et de Bayeux, m’ayant écrit pour me prier de les prévenir aussitôt qu’on devr
iens. Nous renverrons les partisans de cet axiome à tout ce qui a été écrit , pour et contre, sur Mesmer et autres. En tout ca
leur témérité. Ce n’est qu’après avoir profondément réfléchi que nous écrivons ces lignes; le vulgaire ne nous comprendra pas, m
personnes qui, dans le cours de l’année, soit par de beaux faits, des écrits , des découvertes ou des applications nouvelles de
s l’azur. Avant que ce spécifique Ait triomphé de Mesmer, On nous écrira d'Afrique Qu’on a pris Abd-el-Kader..,. Non, l'
ré à cette manifestation, mais n’ont pu y prendre part. Plusieurs ont écrit pour en exprimer leurs vifs regrets. De ce nombre
Souvenez-vous de la prédiction de Danton. » Bizarre léthargie. — On écrit de Yironchaux (Somme) au Journal de Doullens : «
voir k la recherche du contre-poison de l’éther, l’auteur de ce petit écrit servirait mieux qu'il ne le fait la science et l’
ètre. Sur un côté sera l’effigie de Mesmer, autour de laquelle sera écrit en légende : Fréd.-Ant. Mesmer. Sur le revers s
andent la lumière nouvelle du magnétisme et que des ecclésiastiques écrivent chaque jour pour enregistrer et défendre cette no
ement — en nous associant, au surplus, à tout ce que vous avez dit et écrit touchant l’étrange et bien déplorable scandale qu
somnambuliques et les visions de l’extatique suédois. L’auteur de cet écrit est M. Georges Bush. Le Propriétaire-Gérant : H
« Le découragement allait faire suspendre les travaux, lorsque l’on écrivit à M"‘c Reobourg, qui demeure à Châlons-sur-Marne.
Ma cliente, dit-il, ne donne point de consultations ni d’ordonnances écrites ; elle donne tout simplement des avis et des con
douze mois et doit subir un examen théorique consistant à traiter par écrit et soutenir oralement, sons forme de thèse, une q
membres, honoraires ou titulaires, faisant connaître, dans un rapport écrit , leurs titres moraux et scientifiques. 4° Les m
. XII.—Toute proposition, pour être prise en considération, doit être écrite et appuyée par deux membres, honoraires ou titula
albert de Beaumont se propose aussi de faire paraître incessamment un écrit sur la magie. Il a, comme M. de Merville, assisté
ns une notice sur l’académicien Ballanche, qui vient de mourir, qu’il écrivait toujours dans une sorte d’extase ou de somnambuli
en réclamant votre indulgence sur cette mince pi'oduction française, écrite par une plume taillée au-delà des Pyrénées, je vo
e mimique passionnelle. Sur la demande des spectateurs, transmise par écrit par mademoiselle Laurent, mademoiselle Prudence e
ent ce précieux gibier n’en reviennent point chargés. L’auteur de cet écrit discerna de bonne heure, ce qu'il y avait de vrai
ces phénomènes, appelés rêves par les uns, fallacies par les autres, écrire avec autant de lucidité que de perspicacité l'art
la Société de médecine pratique, et depuis en divers endroits de ses écrits . C’est par incidence qu’on trouve dans celui-ci c
e l’on a, non plus de simples affirmations verbales, mais des preuves écrites , régulières, qui restent pour attester la vérité
d'être adressées au magnétiseur qui a fait la cure, ces déclarations écrites soient envoyées à un comité central, celui-ci rec
r auprès du doc- tenr Aubry, élève bien connu de ce dernier. Il lui écrivit eu conséquence, et le vieux docteur, qui était al
ors le vieux docteur l’aida dans ses recherches, et le 2 mars 1842 il écrivait à M. Chabert, auquel il demandait des renseigneme
— M. V"". La propriété mag. est commune à tous ; essayez. — Nous v. écrirons prochainement. Birkenhuad. — M. S'". Ali the ma
est due depuis le commencement du trimestre, et jusqu’à démission par écrit . Chaque diplôme se paie deux piastres. Art. 2
ue penser, en effet, de ce prétendu art de guérir, après ce qu’en ont écrit tant de célébrités, entre autres Brous-sais,Bicha
décision prise par les aruspices qu’une volonté arbitraire des dieux écrite sur le foie des victimes, crurent que ces mêmes v
s essayer de les rendre dans toute leur originalité. «On a beaucoup écrit , dit-il, sur les qualités morales et physiques né
ÊGURISMF.. Huitième observation. Voulez-vous me permettre de vous écrire une longue lettre sur ce qui s’est passé chez moi
ttres anonymes, dont les unes me disent que si je ne crois à ce que j’ écris , je suis un charlatan; et les autres, que si j’y
de dire, en revanche, que j’avais à peu près lu lout ce qui avait été écrit sur le magnétisme. D’après ces lectures, une co
t lu à travers onze pages. Maqiietfut invité à prendre le crayon, à écrire un inot et à renfermer le papier sur lequel il se
rayon, à écrire un inot et à renfermer le papier sur lequel il serait écrit âOtiÜ double enveloppe. -Jasmob , Il se retir
l se retira â l’écart, seul, et sans que personne sût ce qu’il devait écrire ; le mot écrit et bien enfermé, i\rapporte la doub
’écart, seul, et sans que personne sût ce qu’il devait écrire; le mot écrit et bien enfermé, i\rapporte la double enveloppe,
car l’écriture. KSt ibelfcj » Alors, pfenant lo crayon à son tour, il écrivit dans Je môme caractère, et comme s’il l’eut déc
On tira le papier de son fourreau. Nou-seulomcntle mot orgue était écrit dessus, mais encore l’écriture de Maquet et celle
par l’anticliamlire, et dans cette chambre,'.les portes fermées, elle écrivit quelques mots sur un morceau de papier, plia le p
iz**. A ,«»¡1 ■>.. -oi'I « Pouvez-vous lire ce: que madame vient d’ écrire ? lui demandai-je. — Oui, je lé crois, r — Sa
Oui, je lé crois, r — Savez-vous ouest le papier sur lequel elle a écrit ? — Sur la cheminée ; je le «ois très-bien, il v
no'/I — « Oli ! Je vois,: dit-il, je vois. » Il prit an erpyon et écrivit : ioiiuom om li « Impossible k lire. » «??ininn
nnu; mais elle comprit ce qui lui était arrivé en voyant ce qui était écrit sur la fiole. Le pharmacien, ayant reconnu qu’ell
nétisme a toujours rencontrée dans la rédaclion de ce journal. Nous écrivons pour avoir des renseignements précis sur cette af
e, est en ce moment à Paris. — L’un de nos abonnés d’Edimbourg nous écrit : « Ce qui ne contribuera pas peu à dissiper ce q
Mag. D***. Reçu les deux lettres et comrauniq. à la S. du M. qui vous écrira . — Continuez d’agir en évitant de froisser l'espr
r celle parlie encore si peu explorée de la science, et beaucoup sont écrits par des médecins. Pourquoi ne les lit-on pas? Pou
iardou, qui a continué de suivre cette intéressante observation, nous écrit à cet égard : « Des phénomènes anciens, quelque
— M. R***. Nous avons quelques-uns des I. qui vous manquent, on vous écrira lesquels, etc., etc. Nantes. — R1. G..vé. — Une
ibrairie Sociétaire, 25. quai Voltaire. 11 parait aujourd’hui peu d' écrits qui ne contiennent la notion ou l’expression du m
enue si accessible aux intelligences, qu’au sortir de l’école on peut écrire sur ce que la nature a de pins mystérieux. Dans c
vous m’accordiez. Depuis que je me connais, depuis queje sais lire et écrire , tout ce qui m’arrivait de surnaturel, je le cons
r une froide matinée du mois de février 1832, je m’étais enfermé pour écrire un chapitre du livre des Cent-et Un. Cola s’appel
que je rencontre mou remplaçant aux armées, qui se nomme Maurice. J’ écrivais ce nom, lorsque j’entendis sonner, et aussitôt on
donc à vous prévenir que j’ai prévenu plusieurs personnes et que j’ai écrit au préfet de police pour éviter que désormais vou
t une réponse , je dis à l'envoyé que ne comprenant rien à ce qu'on m' écrivait je n’avais rien à répondre. Je fus tenté de couri
Cahagnet,17, rueTique-tonne, à Paris, et au bureau de notre journal. Ecrire (franco). L’impression en sera commencée aussit
armi tes théologiens français, Mgr Bouvier, évêque du Mans, a ■ osé écrire qu'il n'oserait pas condamner ceux qui font usage
e promets, in verbo sacer-dotis, de me rétracter, de vive voix et par écrit , de tout ce que je viens d’avancer dans cette let
e viens d’avancer dans cette lettre, et, avec la même franchise que j’ écris en faveur du magnétisme thérapeutique , je saurai
e que j’écris en faveur du magnétisme thérapeutique , je saurai aussi écrire contre, car je ne suis vendu à personne dans ce m
urquoi. Celui qui désirerait entrer en discussion avec moi pourra m’ écrire au bureau du Journal du Muynélime. A la récep-
ientifique n’est sans tache. Trop heureux les savants qui n’ont point écrit , et les sages ont prouvé leur sagesse en instruis
aux sophismes des faux sages. Ai-je à craindre pour ce que je vais écrire ? !Non, car je ne suis pas savant, et je n’ai null
€ lironiqtic. — L’un de nos amis et collaborateurs, M. Meade, nous écrit de Londres, qu’il vient de paraître à New-York un
s nos lecteurs au courant des incidents de cette affaire. — On nous écrit de Lyon, qu’un Monsieur Hermann y donne avec sa f
ne valent pas la peine d’une réfutation. — L’aumônier de Saint-Cyr écrit à la Presse du 50 octobre pour se plaindre que M.
3. Wo write to you. Mortagoe. — Dr B.-Cli. —Vu votre frère. Je vous écrirai incessamment sur tousles points. Sauuens. — M.
e à élire, exemple : d'un juge de paix, el sur la môme feuille seront écrites sur une colonne les qualités approba-tives ou cel
l’exclusion. Chaque citoyen actif recevra une de ces feuilles; il y écrira le nom de l'individu qu’il voudra élire et le met
ditation, auront trouvé de nouveaux motifs ou des mollifications, les écriront et les ajouteront aux autres motifs déjà connus.
e n’ai plus rien ressenti. Ces détails ne sont point oiseux , car j' écris pour des esprits attentifs et j’ai l’intention bi
ous dit-elle, ayez la volohté ferme que je » n’en fasse pas lorsque j’ écrirai à l’état de veille, et j’écri-» rai correctement.
nmes pas de ce j qu’elle avait dit en sommeil, et nous l’engageâmes à écrire » une lettre sous notre dictée. » Nous nous pla
tracerait, et nous dictâmes : Coin-« ment se fait-il ? etc. » Bile écrivit commen se fait-il? » Nous formulâmes celte pens
milieu lui inspire. Une heure passée à bonne école lui eût empêché d’ écrire qu’il n’y a pas de fluide mesmérien et que la mag
éprouve les mômes incertitudes. Il y a vingt-cinq ans, en France, on écrivait sur le même ton, el les savants d’alors croyaient
n, sans doute. Mais lorsque le jour sera venu où une main mystérieuse écrira en lettres de feu sur les murailles de ce temple
qu’ils n’ont cessé de me témoigner. Ces quelques pages ne sont pas écrites avec l’intention de ma part de les publier; c’est
s les sciences humaines. Et d’abord, il y a entre tous ceux qui ont écrit sur celte intéressante matière un accord unanime
ède, docteur en médecine, de la faculté de Paris, vient de publier un écrit sur le magnélisme animal, où la rigueur du raison
ie des choses, dé-aissant le fond comme aride ou trop long. Ainsi les écrits de Mesmer, qui servent de base à l’édifice magnét
14 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
nella, des Del Rio, qui parurent dans ce siècles, il faut ajouter les écrits moins connus des Agrippa des Castro, des Postel,
in, tous les auteurs des dix-huitième et dix-neuvième siècles qui ont écrit ou laissé des traités, des critiques ou des mémoi
ous avons recueillis ou fait recueillir en différents lieux, que nous écrirons notre ouvrage, que nous élèverons le nouvel édifi
1850. Quant aux publications , un savant magnétiste de Florence nous écrivait dernièrement : «Dans cette Toscane, pire ci que l
en vue de toute l’assemblée. Voici comment on procéda. Un des membres écrivit sur plusieurs petits papiers les noms de personne
esprit à l’aide de l’alphabet; il pointait successivement les lettres écrites sur un papier, les coups indiquaient le choix des
a allégué que les médiums voyaient quels noms et quelles questions on écrivait . On a répondu que les médiums 11e pouvaient voi
ms et les questions que presque tous les interrogateurs out à dessein écrit en secret, comme ils l’ont attesté ; que, du rest
x-mêmes que les médiums étaieut dans l’impossibilité de voir ce qu’on écrivait , ni de le découvrir par aucune loi connue. 3° O
’accord sur ce dernier point. Je n’ai d’ailleurs, sur l’ensemble de l’ écrit de M. Guibert, qu’à me joindre à notre confrère p
intitulé : Les Livret des esprits ou Principes de la doctrine spirite écrits tous la dictée et par ordre des esprits supérieur
a valeur de telles merveilles que des attestations, des récits et des écrits d'au-delà de l'Océan, et nous nous renfermions da
ourd’hui un fait contestable. Qu’on lise à ce sujet tout ce qui a été écrit sur semblable matière, ou qu’on assiste àdes séan
s qu’ils ont laissés , et qui sont toujours consultés avec fruit. Les écrits du savant docteur Lee, le protégé et l’ami de Pie
our conclure , je pose aux incrédules quatre questions (elles ont été écrites par le Mercure, il y a quelques années) : 1° L’il
istoire, nos faits et gestes, notre vie complète, tout se trouve-t-il écrit d’avance dans un livre mystérieux qu’on nomme le
ère, en deviner le contenu , et dit avec assurance,: il n’y a, rien d’ écrit . Non, il n'y a rien d’écrit, mais le présent
dit avec assurance,: il n’y a, rien d’écrit. Non, il n'y a rien d’ écrit , mais le présent est gros de l’avenir. Non, tu ne
jolais, 5. Baron dd POTET, propriétaire-gérant. Les auteurs qui écrivent sur le magnétisme se plaignënf, en général, soit
t des étrangers d’un sentiment de méfiance très-prononcé. Celui qui écrit ces lignes s’est occupé de l’étude de l’homme par
nous sommes étonné qu’un aussi habile observateur que M. Meunier ait écrit qu’on ne pouvait faire encore avec certitude la p
GRAPHIES MÉDICALES, par Louis Peisse. C’est un excellent livre bien écrit , bien pensé, et qui fait beaucoup d’honneur à son
s expressif pour vous témoigner toute ma gratitude. Oui, j’aime à l’ écrire , non pour vous, madame, qui savez tout le bien qu
i sont entrancés, car pour eux cela va sans dire). Il y en a même qui écrivent malgré eux , et quelquefois des choses bien diffé
u’ils voudraient énoncer (je dirai même de ce qu’ils ont la volonté d’ écrire , car il y a des esprits-forts qui font de ces exp
quelquefois directement sur la main du médium quand il veut le faire écrire , ou sur l’organe vocal, lorsqu’il veut le faire p
qui fut médium pendant un an, mais qui, malgré tout ce que sa main a écrit de remarquable, est resté incrédule, tant il y a
, voulant faire une niche à un visiteur, s’assit devant lui pour lui écrire cette plaisanterie qui n’aurait pu venir à la pen
mais elle partit enfin. J’étais convaincu, nous dit-il ensuite, que j’ écrivais ce que je voulais, et lorsque ma main s’est arrêt
je voulais, et lorsque ma main s’est arrêtée, j’étais sûr de l’avoir écrit . Voici ce qu’il avait écrit : La main de l’aveugl
ain s’est arrêtée, j’étais sûr de l’avoir écrit. Voici ce qu’il avait écrit : La main de l’aveugle nous a fait assez voir pou
t ce que nous avions à vous faire savoir par ce médium , engagez-le à écrire de la sorte, étant mu par sa propre volonté, et v
opre volonté, et vous verrez qu’il sera impuissant à le faire. Nous n’ écrirons par lui que lorsqu’il sera croyant et qu’il tiend
médium, madame S..., s’arrêta, et celle-ci me dit : On veut me faire écrire un nom que je ne sais pas. Eh bien, répliquai-je,
ce nom avec des lettres que vous connaissez, et aussitôt la main écrivit Chmnédris. Oli ! s’écria le médium, qu’est-ce que
e ne puis répondre. Interrogez l’esprit vous-même. « Le jeune homme écrivit sa question sur une feuille de papier qu’il posa
Onpritla feuille de papier. A l’envers, précisément sous la question écrite , une main invisible avait tracé ces mots : « Dans
« Paul d’Ivoy. » (Estafette.) Dans un autre article M. Paul d’Ivoy écrit les lignes suivantes : « M. Hume ne procède ni
Voltaire est un hypocrite d’incrédulité; il croyait à tout, quand il écrivait pour lui. Il croirait à M. Hume, en 1857, surtout
ire et de la rue du Bac, la même maison où ces vers charmants ont été écrits en l’honneur des esprits familiers. Et, n’en dépl
imparfaits (1). « Méry. » (Presse du 28 mars.) Voici ce qu’on a écrit de Paris au Messager du Midi : « Vous n’êtes pa
iritualisme. De tous côtés nous arrivent des attestations verbales ou écrites relatives à d’autres faits tout aussi extraordina
cieux. (1) Ici nous croyons devoir supprimer un couplet qui n’a été écrit qu’en vue de la Société du Caveau. Versons le
ière dont les esprits font en personne des communications, et ils ont écrit un livre qu’ils destinent à être publié en temps
ps opportun, pour l’avantage du genre humain. Ces communications ne s’ écrivent point par l’intermédiaire des médiums, ou avec au
s crayons, les extraient du pupitre, bien qu’il soit fermé à clef, et écrivent leurs communications ; quand un crayon est émouss
souvent cpie les esprits ont retiré de la boite quelques-uns de leurs écrits et nous ont ordonné de corriger les copies; la pe
s de notre société. Nous n’avons plus habituellement de communication écrite de nos amis les es-piits depuis cette interruptio
ps perdu et qu’ils compléteront leur ouvrage. « Les communications, écrites , comme je l’ai dit, avec des crayons, renferment
ment eu lieu. Cependant, malgré sa défense officielle , le gouverneur écrivit secrètement au fonctionnaire du district, en le p
ont incontestables. Mon spiritualisme date de plus de dix ans. J’ai écrit dans votre intéressant journal à une époque où le
nt pas si bruyamment, et où les médiums étaient encore inconnus; j’ai écrit : du polype, qui est la dernière des intelligence
ction , des artistes, des savants , et enfin plusieurs dames dont les écrits ont enrichi la littérature contemporaine. Cette f
aire mouvoir corbeilles et crayons qui souvent battent la campagne et écrivent d’assez piètres tartines. Mais, comme dédommageme
l’aide d’un médium qui ne sait pas le français; pendant que ce médium écrivait la traduction, il ne se trouvait auprès de lui au
Mademoiselle X, médium très-remarquable, sortait de me lire des vers écrits sur son album par le poète Jasmin. Ecoutez-en d’a
t cet hommage anonyme. Les voici : Sur cet album vous permettez d’ écrire . Eli bien ! je crains l'honneur que vous me pro
écrire. Eli bien ! je crains l'honneur que vous me proposez. J'en écrirais bien plus que je n'en voudrais dire, Bien moins
l'a dicté. Voici le texte original : Sur cet album vous permettez d' écrire . Eh bien ! je crains l'honneur que vous me prop
'écrire. Eh bien ! je crains l'honneur que vous me proposez. J’en écrirais bien plus que je n'en voudrais dire, Bien moins
23 juin : « I.a veille de la bataille de Wagram, le général La Salle écrivait à Napoléon ; « Sire, je serai tué demain ! » Ft l
naux, on l’appelle , et, après avoir reçu une rétribution honnête, il écrit sur des amulettes qui produisent immédiatement l’
4) Bouillet (Dictionnaire d’histoire et de géographie) assure que les écrits hermétiques nesunt que la personnification du sac
s prodiges opérés par le magnétisme. Voulez-vous connaître ce qu’en écrit Eliphas Lévi ? Lisez : «Dans la lumière astra
lui faire voir les formes qui sont conservées et les paroles qui sont écrites au livre de la lumière vitale. « Lorsque l’homm
anètes, qui semblent aussi impérissables. » « Dans les cieux, avait écrit déjà Swedenborg, il y a une grande lumière qui su
ant éditeur. L’auteur de ce travail avoue qu’il n’a pas vu les tables écrire ; moi, je les ai vues, ou plutôt j’ai vu cent foi
ment voler dans les nues. » Emerveillés de cette tirade, couramment écrite , nous demandâmes le nom de l’être quelconque qui
âmes le nom de l’être quelconque qui l’avait tracée, et la planchette écrivit aussitôt le nom de Jutlie. Ce nom, contre l’usage
ette écrivit aussitôt le nom de Jutlie. Ce nom, contre l’usage, était écrit avec deux /, et un paraphe elliptique entourait l
que nous eûmes durant tout ce temps (1) L'auteur ne dit pas s'il a écrit à Nantes pour s’assurer si Jullie avait effective
état de menuisier et y avoir laissé plusieurs enfants. Une lettre fut écrite au maire d«cette villo. afin de savoir si, en eff
ongles et avec leurs dents. » (Eusèbe Salvertr.) Ovide n'a-t-il pas écrit : « Ore su«volucresque vagai retinere solebat.
ux, aux métaux, aux corps bruts, une âme comme aux animaux. La parole écrite lui projetait des esprits qui l’agitaient. Les
maîtresse de ces oiseaux le mot ou le nombre que vous désiriez faire écrire . Sur-le-champ, l’un ou l’autre de ces jolis oracl
regarde sa femme avec un air étonné. Je demande si d’habitude elle écrit , lorsqu’elle est dans l’état magnétique. — Jama
colloque se continue par alternatives de coups frappés et de phrases écrites par la somnambule, qui nous interprète successive
ier. Madame O..., quand il était possible qu’elle formât des lettres, écrivait des phrases dans (1) Plusieurs fois, chez Mm«du
minute. Dans une intermittence, le mouvement d’une impulsion grave écrivit ces lignes : « Tu es sous la puissance d’un mau
colonne tumulaire, en être extrait avec la signature d’un nom latin, écrit dans l’intérieur des feuilles, et que nous lûmes
posé du magnétisme extrait d’un recueil philosophique dans lequel cet écrit fut primitivement publié. Nous terminons en faisa
. Et d'ailleurs, mon cher maître, comment les mesméristes, pour qui j' écris ces ligues sur votre invitation, pourraient-ils n
uelle sur une jeune tille, alors ûgée de dix-sapt ans; elle « portait écrits autour d«la prunelle de ses beaux yeux bleus les
r>, rue d«la Chausséc-d'Antin , 5, autour d'une table « qui a tout écrit au moyen de coups frappés pour chacune des lettre
sémouvoir sous nos mains, « nous avons prié l’esprit qui l'animait d' écrire son nom. Il s’y est refusé. « Nous lui avons alor
(') ont une telle spontanéité de celle puissance, qu'il leur suflit d' écrire le mot kina sur un morceau de papier, et de l'adm
t être Dun-glas Home (1). Elle s’enquit île la demeure du médium, lui écrivit ce qui était arrivé et se présenta ensuite avec s
umière, apparut à Swedemborg et commença à lui dicter ce qu’il devait écrire . paui. d’ivoi. Aux faits qui précèdent, il faut
’au même instant tu fus mettre à la poste avec le reste de la séance, écrit au crayon à mesure que je le détaillais. Et sa ré
avec M. Huzar, le véritable sens de l’auteur qui, en définive, aurait écrit pour n’être pas compris. Il serait donc bien peu
pliquant M. Viennet en tête de son épltre. Maintenant voici ce qu’ écrit , clans l’Estafette, M. Paul d’Ivoy de la catégori
n’y a pas l’ombre d’une intelligence. Cependant, qui sait? A force d’ écrire des articles dans le genre de celui que nous comm
e vos musées impériaux , qui raconte d’une voix encore tout émue et a écrit même dans un livre sérieux , qu’une puissance occ
onne forme et dûment enregistrées, sont renouvélées journellement par écrit et de vive voix. Ainsi, les prodiges de la thau
e M. Barthet ne coûte que 12 fr., rendu en France, ù domicile. Il est écrit en français. On s’abonne au bureau du Journal du
thcart, ex-membre du congrès, et dont nous avons déjà parlé (p. Il2), écrit que les médiums peuvent être attachés de manière
ents, et même quelquefois une voix qui parle ; on y voit une main qui écrit , et diverses mains qui voltigent, ayant été préal
i un autre fait étrange : c’est M. W. M. Lanning, de Baltimore, qui a écrit la lettre suivante au Dr H. F. Gardner, d«Bos
autres objets que les domestiques eurent à ramasser. » M. Laning a écrit une autre lettre concernant une seconde séance no
acier, de préférence à celles en écaille, soit pour lire , soit pour écrire , et surtout pour aller dehors et au soleil, et ne
uib. de cl. Cu *2 avril 1857. P. S. L’article qui précède était écrit depuis quelques jours, lorsque, lisant l’ouvrage
instruit de son époque : il connaissait à fond tout ce qui avait été écrit en anthropologie. Seulement, une fois qu’il eut d
récié ici eu quelques lignes. Cependant, sans contester qu’il oit été écrit sous ladictée et publié par l'ordre d'esprits sup
la Charité, consigne comme cause d’hystérie la magnétisation. C’est écrit en toutes lettres dans le numér«de C Union médica
, et M. Brunet vient d’être mis en liberté avec 53 fr. d’amende. On a écrit partout pour faire une enquête sur ses précédents
nt. INQUISITION AUTRICHIENNE. — RETOUR VERS LE MOYEN-AGE. On nous écrit de Vienne, à la date du 16 septembre : (.Le Jou
nmoins. Mon ami Thierry, qui vous a fait dernièrement une visite, m’ écrit que vous lui avez témoigné le désir d’avoir la re
demanda la réponse à cette lettre. Le médium, sans ouvrir la lettre, écrivit la réponse suivante : « Celui que vous cherchez n
oir, donna une description exacte de l’enfant et de ses vêtements, et écrivit : « Il est mort et plongé dans l’eau. Il est éten
e dans des livres fermés, voire même à travers des mu- railles, j’ écrivis à M. le docteur Burdin une lettre ainsi conçue :
un de nos correspondants, M. Siemelink, magnétiseur à Amsterdam, nous écrit pour nous dire qu’il en a fait aussi usage avec s
ui vous sert d'interprète. Bien plus, lorsqu’il la voit s’arrêter, il écrit à son tour et par le même moyen, répond à son ami
, contre leur médecine ; mais, bien que je lusse inspiré beaucoup des écrits du savant docteur Charpignon , dont je reconnais
s n’est que la répétition de ce que les docteurs de la même école ont écrit sur cette question que nous avons encore eue à di
r dans l’estime des parents, et pour avoir dénaturé le mot arnica mal écrit par moi avant mon départ, et avoir lu et fait lir
iègleries et des voies de fait, 207 , 46 4, 494 , 610, 623, 630;— qui écrivent , 202, 234, 361 ; — qui apportent des lettres, des
390, 567, 593, 619;— qui répondent, 189, 200,359, 379, 618, 651;— qui écrivent , 361. Transmission de pensée ou de volonté, 157
rivent, 361. Transmission de pensée ou de volonté, 157, 248. Vers écrits par une planchette, 363. Visions fantastiques,
rin, 193 ; — Piérart,473. LISTE NOMINATIVE DES PERSONNES DONT LES ÉCRITS , LES ACTES OU LES OPINIONS sont insérés, analys
15 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
t de peindre un objet en rouge pour qu'il devînt tabou. Les Gabonais, écrit Dorlhac, ne connaissaient que les couleurs rouge,
st vrai), de la lumière bleu indigo: a Les fraises de la serre bleue, écrit M. FInmmnrion, n'étaient pas plus avancées en oct
t à son influence directe. Rite ne laissait pas cependant que de leur écrire , pour entretenir en elles les idées et ;en sentim
t sans cesse, immobile et debout, et ne s'asseyait que pour manger cl écrire . II ne faisait jamais do feu dans sa chambre, ne
des jeunes Périer, on le conçoit discutent. — Voici d'ailleurs ce qu' écrivait , le 24 Mars 1661, Jacqueline/page> page n="2
rue Sair.t-Etiennc-du-Mont. Le I" Juin 1GG1, Jacqueline Pascal leur écrivait : «?ie3 très chères sceurs, Je no sépare point
s fois pour délibérer, etl'on composa des mémoires,dont quelques-uns, écrits de la main de Biaise, concluent à la résistance.
il a fallu succomber. » Jacqueline refusa longtemps de signer. rJlle écrivait , en juin 1661, à la mère Angélique de Saint-Jean:
le i octobre 1661, a l'âge do trente-six ans. Le lendemain, Singlin écrivait à Port-Royal une lettre où l'on lit : * Elle avai
arrêter et avec l'assentiment formel du malade et son engagement par écrit ) un internement essentiellement temporaire qui se
saire à la cure dont la durée sera fixée par avance dans l'engagement écrit et signé par ledit malade. La dormeuse de Thene
re maître à tous, j'ai nommé Liébeault. Un instituteur de l'Aisne m' écrit un jour au sujet de son jeune fils qui urine au l
ait et généralisateur qui devait le caractériser : à dix-huit ans, il écrivait un travail philosophique sur les principes de l'a
jeunesse de cette époque, participa à la Hévolution de février 1848, écrivit en: 1850 un petit catéchisme politique et social.
'amnistie, etj rouvre ses cours à Paris. Il multiplie également les écrits . Citons le cours théorique et: pratique de Braidi
gueur. » Terrassé par la neurasthénie, il ne pouvait converser, lire, écrire , ni travailler, mais il continuait à se livrer au
à une heure du matin, âgé de trente-neuf ans et deux mois. Il avait écrit , à une époque indéterminée les ouvrages dévots su
humaine ¦>, dit le Nécrologe. 11 n'y a rien « de plus scandaleux, écrit , de son côté en mars 1666, Antoine Arnauld à Gilb
lui donner, le curé exigea d'elle son renoncement à lire les ouvrages écrits contre la bulle Unigenitus et à fréquenter les pe
e sa bibliothèque aux oraloricns de Clermont. « Je suis restée seule, écrit -elle dans ses mémoires... Je dois dire, comme Sim
s branches des connaissances humaines. A ce moment. Madame de Staël écrit qu' « il faut avoir l'esprit européen », et, suiv
ruction ou par un commissaire do police, n'hésita pas à témoigner par écrit qu'il avait été present à la perpétration do crim
armi les artistes et surtout Henri Heine, le puissant littérateur qui écrivait aussi bien en français qu'en allemand. Bien qu'au
t brutalement des vérités et parfois des paradoxes. Le philosophe a écrit , en allemand, la Comédie du sentiment, où il mont
ontre que l'homme est toujours et fatalement roulé par la femme. Il a écrit Le Mal du Siècle roman où il met en opposition l'
pnotique du Dr Bérillon où il étudie les maladies nerveuses (') et il écrit parfois en excellent français dans la Revue de l'
apier, puis, que, sans regarder aucune pendule ou aucune montre, elle écrira l'heure qu'il est, d'après elle, à ce moment-là.
ntrent en mouvement comme pour saisir un crayon et accomplir l'acte d' écrire ; 7° Cette impulsion est toujours immédiatement
est toujours immédiatement suivie de l'idée de tracer une croix et d' écrire certains chiffres ; 8° Elle ne regarde jamais u
8° Elle ne regarde jamais une montre ou une pendule qu'après avoir écrit ces chiffres. (à suivre.) Le traitement de l'
oitié du siècle (*). M. d'ÏIervilly, dans l'Avenir National, de 1848, écrit « qu'il n'y a pas de semaine où, à Paris, on ne v
ois ce privilège. A propos de ces fameuses séances, Auguste Vacquerie écrivait dans les Miettes de l'Histoire, non sans esprit :
de ses mains. — J'ai toujours trouvé St Thomas bien crédule, a J'ai écrit pour * la Revue Encyclopédique ß un article détai
ricc, lui-même, qui admire beaucoup les communications magnifiquement écrites , ne voit là aucunement une intervention d'esprits
es ou fantaisistes de quelque pays ou de quelque siècle qu'ils soient écrivent en français, dans la langue romantique, selon la
exemple : Un jour je me trouvais à Denver, elle à Little Rock. Elle m' écrivit n'avoir pas assez de copie pour le journal. Je sa
r ni ouvrir les yeux, elle déclara qu'elle devait tracer une croix et écrire 4 heures 20 minutes. Cela se passait exactement à
mprendre ; 45 fois, l'ordre fut exécuté à la minute ; 8 fois le sujet écrivit l'heure à laquelle la suggestion arrivait à échéa
hiffres lui est venue à l'esprit en même temps qu'une impulsion à les écrire . A l'exception de cela, tout était obscur dans so
lte école au moment du fameux procès Chambige? Ohé! les psychologues! écrivit Gyp, non certes sans motif. C'est que la psycholo
uil, Mesnet, Paul Bert, Charcot, Iîibot, Dumontpallier. Paul Bert lui écrivait : « Quel magnifique instrument d'analyse que l'hy
ire, ses causes, ses effets, tel a été le sujet d'un certain nombre d' écrits , depuis le traité d'Aristote dont il n'est rien r
été un éducateur remarquable, u» des premiers pédagogues féministes, écrivait dans son Traite De Anima, et Vita (1. Ill) : c de
ion civi le et sociale des bêtes, ils sont innombrables, ceux qui ont écrit sur les caractères différentiels entre l'instinct
? « Si chacun se donnait la peine de regarder autour de nous— .a « écrit un publiciste,M.J.Corcelle(-),i! serait possible
Jean Foustanos. (En grec), 119 pages. Phérè frères. Syra. Ce livre, écrit par un praticien expérimenté de Syra, contient qu
rs gammes depuis l'acte de foi jusqu'à l'action de grâce. « La grâce, écrit Jacqueline Pascal, est particulièrement accordée
nez bien de tous ces faits, vous pourriez donner votre témoignage par écrit . Je donne alors une feuille de papier à X... en l
en lui disant : Faites Lien attention, votre déposition est grave, n' écrivez que ce dont vous êtes certain. Il écrit alors san
tre déposition est grave, n'écrivez que ce dont vous êtes certain. Il écrit alors sans hésiter ce qui suit: « Je soussigné
un malade et ne présente aucune anomalie apparente, n'a pas hésité a écrire la déposition que nous venons de lire. Dans une
et sa grande barbe blanche. C'est lui, c'est tout-à-fait lui! D. — Ecrivez donc maintenant voire déclaration. Il écrit alo
ut-à-fait lui! D. — Ecrivez donc maintenant voire déclaration. Il écrit alors très simplement et sans hésiter : « Je so
ade la suralimentation et un séjour dans le midi, d'où sa fcranio m'a écrit . Il y a quelques jours, que malgré un peu d'améli
e son roman et de ses personnages. C est ie journaliste préoccupé d' écrire l'article du jour et d'intéresser le public./page
dont les aptitudes sont plus grandes et l'entraînement plus parfait, écrivent au courant de la plume. L'autosuggestion est immé
ondition » (c), 32 ans lorsqu'il suggestionna Charlotte de Hoannez et écrivit la première des Lettres à un provincial, 33 ans l
la première des Lettres à un provincial, 33 ans lorsqu'il commença à écrire les Censées. Jacqueline Pascal avait 27 ans lor
ré de mon corps que ce n'est nullement lui qui le fait agir.» Et elle écrivait à une jeune fille ou à une femme qu'elle engageai
tion ou la suppression des sentiments altruistes. Jacqueline Pascal écrivait , dans la Méditation citée plus haut : «Je dois mo
ligieuse. « Je dois faire mourir en moi la chair et tous ses désirs » écrira-t -elle plus lard dans sa Méditation sur la mort de
sublimée de la volupté sexuelle. 4. La sureraintivité. — D'Holbach écrivait : « L'homme n'est superstitieux que parce qu'il e
es religieuses de Maubuisson, dont la plupart ne savaient ni lire, ni écrire , des imbéciles comme Louise de la Bonnerie, et de
t un hiver cloîtrée dans sa chambre. Plus tard, le 17 juin 1661, elle écrivait à ses nièces, les petites Périer : « Séparez-vous
Prière pour demander à Dieu le bon usage des maladies. Biaise Pascal écrivait : « Faites que je me considère en cette vie comme
pendant d'assez longues périodes, le silence à ses ouailles, et elle écrivait à l'une d'elles : « Il faut avoir une continuelle
, c'est alors que,pour étudierle tremblement de l'écriture, on le fit écrire . Spontanément il écrit de droite à gauche en écri
tudierle tremblement de l'écriture, on le fit écrire. Spontanément il écrit de droite à gauche en écriture de miroir ; il écr
. Spontanément il écrit de droite à gauche en écriture de miroir ; il écrit également de la même façon le roumain, le françai
, le français et l'allemand. Cette écriture est la mémo, que lo sujet écrive spontanément ou qu'il copie. L'écriture des chiff
ui demande do tracer des mots sur le sable avec la pointe du pied, il écrit de la même manière en écriture de miroir. Le ma
manière en écriture de miroir. Le malade étant Israélite et sachant écrire l'hébreu, on Ta prié d'écrire quelques mots de la
Le malade étant Israélite et sachant écrire l'hébreu, on Ta prié d' écrire quelques mots de la main gaucho et de droite à ga
tte écriture n'était pas intervertie mais si, au contraire, le malade écrivait de la même main gauche, mais do gauche à droito l
dessin que l'image n'est pas intervertie. A la question pourquoi il écrivait de la main gauche et en miroir il a répondu que c
des écrivains ou encore simplement chez des sujets normaux qu'on fait écrire de la main gauche. Mais jusqu'à présent on n'a
nt de puissants adj uvants de la suggestion religieuse. Biaise Pascal écrivit une prière pour demander à Dieu « le bon usage de
mon attention fut attirée par une expression de Jeanne Arnauld. Elle écrit , parlant du site de Port-Royal-des-Champs, qu'on
à tout ce qu'elles rencontrent sur le trajet; une fois rentrée, elle écrit soit à sa belle-mère qui garde ses enfants, soit
la seconde, puis à ta troisième/s'il y a lieu. Le 11 décembre, on m' écrit : » Nous avons eu un bon retour; les trois journé
taire, tout en l'adoucissant un peu. Vers le même moment, M. B... m' écrivait les lignes suivantes : « Ma femme reprend peu â p
ment était continu et le malade avait perdu complètement la faculté d' écrire et de se servir de sa main. Sous l'influence des
pnotique, il peut maintenant se servir de sa main pour manger, boire, écrire et travailler: son faciès est redevenu normal; le
vers 12 ou lô ans, semblables à des enfants normaux; ils savent lire, écrire , calculer; ils sont alertes et agiles. ? la suite
e retrouve même dans la vie journalière ; il ne sait plus ni lire, ni écrire , ni s'habiller, ni manger proprement; la déchéanc
nsidérés. Encore, pour ia plupart, surtout pour ceux qui ont beaucoup écrit , les triangles définitifs, construits d'après une
ui me fasse du bien, a Je lui remets alors une lcltie dans laquelle j' écris les suggestions appropriées ù non cas et lui reco
que je suis auprès d'elle et qu'elle entend ma voix. Cette suggestion écrite eut de très heureux résultats, carcette jeune fil
crises reparaissent. « — Pouvez-vous me traiter par correspondance, m' écrit -elle ?» a — Certainement, lui répondis-je. Tous l
ferez ce traitement pendant dix jours, et au bout de ce temps, vous m' écrirez . Je reçois en effet une lettre dithyrambique; pen
e seule séance. Mais, trois mois après, l'incontinence reparait. Il m' écrit une lettre cploréc. Alors je lui envoie ma carte
tre cploréc. Alors je lui envoie ma carte de visite sur laquelle j'ai écrit des suggestions qu'il devra lire attentivement ch
andait d'ailleurs conseil sur plusieurs points. - Si nous le délions, écrivait -il, et que ses accès lui reprennent, il fera sans
16 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
thiques pourront s’engager ; et, par une propagation éclairée, orale, écrite , expérimentale, combattre les ennemis de la décou
ion et visera l’endossement. Cette déclaration devra être faite par écrit par les actionnaires qui u'habiteront pas Paris.
ici la propagation orale, ni les démonstrations, mais un mot sur les écrits périodiques est nécessaire. Tous ces recueils s
dîmes aucun abonné. L’insuccès ne venant point de l’imperfection de l’ écrit , il fallut bien encore l'imputer au mode de publi
us aviez tous le droit de vivre, comme la liberté de penser et même d’ écrire , on vous a ravi ces droits sans songer que ce son
moins heureuse qu’on ne l’a dite. J’ai lu presque tout ce qu’on en a écrit ; mais ces rapports laissant mon opinion flotter d
sieur le baron, pardonnez ma témérité si j’ai pris la liberté de vous écrire sans préalable connaissance. Mais tel est le dest
de prolonger mon séjour dans ce pays. A mon retour chez moi je lui écrivis pour lui rappeler, par une instruction détaillée,
r du tout. Ils ne nient plus, n’approuvent point; ils se contentent d’ écrire des lazzis et des contes à dormir de bout, sans m
lqu’un de sûr votre diplôme de M. Hon. — Tout va bien, grand progrès; écrivez -nous. — La Kinésithérapie vous est-elle parvenue?
réclamations. J'enverrai le tout sous votre couvert, dorénavant, et j' écris à cet effet. saint-Denis (Bouhbon). — M. Lo.y.
liien gravées dans sa mémoire. Rentré dans son cabinet, le roi fit écrire la relation de ce qu’il avait vu, la fit signer p
sentai cette enveloppe à la femme Cheyroux et je lui demandai : Qui a écrit cette lettre ? elle me répondit : Ce n’est pas un
avais une lettre qu’un de mes parents, habitant l’Angleterre, m’avait écrite , il y a huit ans. Je la plaçai dans la main de la
partira dans trois jours pour Paris. — Curieux de vérifier le fait, j’ écrivis à Paris; mon parent répondit immédiatement, et le
des pièces de monnaie. (Hilarité au camp des incrédules.) » Je fis écrire par Audiguet, en gros caractères, le mot Tourny,
la femme Cheyroux, seulement pour sa santé. On venait la consulter; j’ écrivais les consultations, et je disais aux personnes d’a
e acceptât. Elle recevait de 2 à 3 fr. par jour. Il est vrai que j’ai écrit ses consultations sur mon livre, mais c’était pou
erait ses aînées. C’est pourtant ce qui est arrivé. Le président nous écrit , à la date du 3 décembre dernier. « J’attends a
c’est là le principal but que je me suis proposé en m'occupant de cet écrit , et c’est par quelques demandes que je commence m
e Bourbon; nous venons d’v envoyer près de cent volumes du journal et écrits de M. du Potet. — Les nouveaux actionnaires du
, nous ne savons pas encore ce qu’il en dit, mais dans ses précédents écrits il le qualifiait de charlatanisme. — Le Journal
ent .ensuite au malade de petits rouleaux de papier sur lesquels sont écrits des passages du Cour’ann, presque toujours tirés
’est-ce pas Dieu qui a voulu qu’il en fût ainsi : tous les temps sont écrits , et lorsqu ils sont venus l’homme vulgaire croit
rands événements qui viennent de s'accomplir en France ajoutent à cet écrit un degré d'intérêt, celui de l'actualité; car, qu
arche de certains événements qu’on peut sans peine croire qu’ils sont écrits , qu’ils arrivent fatalement, providenciellement;
ie le doigt de Dieu était là ! Comme on le dit vulgairement, il était écrit qu’il devait en être ainsi. 11 y a près d’un an
. Caiiagnet. Chronique. — M. le docteur Gorgeret, auteur d’un petit écrit sur le magnétisme publié à Nantes en 1842, vient
ès-remarquable, publié l’année dernière par D. Appleton et compagnie, écrit en anglais par notre compatriote, M. Théodore Lég
ce est encore bien grande dans quelques parties de la France. On nous écrit de Caen que le clergé de cette ville met la mag
rent à notre naissance, et dont l’influence, heureuse ou maligne, est écrite dans nos yeux, sur nos fronts, dans nos traits, d
a qualifie de magicienne. Mais ce qui nous frappe surtout clans les écrits de M. de Lamartine, c'est la justesse de ses aper
l’agent dont Mesmer nous a révélé l’existence et les propriétés. Elle écrit à M. Durieux de Cambrai une longue lettre sur ce
du procès-verbal, M. le secrétaire donna lecture de la correspondance écrite ; ma communication en faisait partie; l’usage voul
tenant recherchés avec avidité et religieusement conservés. Après les écrits de Mesmer, les plus estimés sont ceux de Desion,
me ouvrage. « J’ai vu, dit ce chirurgien, une personne de cette ville écrire à l’un det chefs des traitements magnétiques à Pa
n’a que le petit défaut de n’ètre pas vraie. Le fait est que je n’ai écrit qu’une seule fois à cette personne, entre laquell
qui connaît parfaitement tout ce qui a rapport à la verrerie, nous a écrit au sujet de la note de M. J. Barlhet, sur les tub
’il réclame et doit obtenir. Un savant médecin lyonnais, Petetin, a écrit , sous le titre d'Electricité animale, un livre qu
jeune abbé à qui M. La porte a donné les prénotions du magnétisme lui écrivit l’automne dernier une lettre dans laquelle se tro
et 366 de son livre, qui, en dehors de sa portée magnétique, est bien écrit , et très-propre à donner des notions exactes de p
plus savants dans les mystères philosophiques puissent le faire sans écrire autant d’articles qu’il y a de titres qui la comp
es classer selon leur nature et leur ordre chronologique, en un mot d’ écrire leur histoire. C’est pourquoi l'auteur passe en r
Monsieur le baron, J étais pressé lorsque j’eus l’honneur de vous écrire ma dernière lettre, et je ne pus vous adresser au
fait rétablissement. M. Saulay en a témoigné sa gralilude en termes écrits qui font un consolant contraste avec la manière d
sés et somnambules qui voient, sans le secours des yeux, et lisent un écrit malgré l’interposition d’un carton ou corps opaqu
longuement ex-priméson opinionquedans: Des cinq passions sensuelles, écrit posthume publié dans la Phalange, n° d’août 1816,
ujets susceptibles de cette impression. » C’est en 1820 que Fourier écrivit ce qui précède; à celte époque le magnétisme ét
e à une génération à qui l’avenir appartient. Le magnétisme, dans cet écrit , n’est rappelé que par le seul nom de Mesmer ; ma
ctes répondent de vos intentions, qui nous touchent vivement.—Je vous écrirai par M. M...e, qui doit partir fin septembre. Lo
Qui vivra verra l’ordre nouveau. Ne vous étonnez plus si, au lieu d’ écrire , nous nous contentons d’entretenir le feu sacré p
re, tenir rang de foyer parmi les éléments. » Tout ce que Fourier a écrit est extraordinaire; cette longue citation en four
cet état : le premier somnambule était insensible; mais quand Fourier écrivit ces lignes l’anesthésie magnétique était inconnue
éditions (Theprincipies of nature, 1 vol. in-8u d’environ 800 pages, écrit sous la dictée du somnambule Davis). On se sentir
olémique, commentaires, rectifications, anecdotes, etc., relatifs aux écrits périodiques, 28, 61, 128, 160, 190, 336, 215. S
Ooul-House. — M. D.....s — j'attendrai îotre ara. Marner*. — M. — Ecrit à B......». BIBLIOGRAPHIE. Nos lecteurs trouv
e, parler des attractions et des apparitions ; mais ces grands hommes écriraient dans leur bulletin qu’on doit nous ouvrir les por
s aux exhibitions, qu’ils ne conviennent pas même d’avoir lu certains écrits . A leurs yeux, convenir de ces lectures, avouer d
e la médecine. Votre dernière lettre est du H», si vous voulez m’en écrire une demain pour m’informer de l’état actuel, vous
laisse beaucoup de vide; ce n’est qu’une ébauche, bien inférieure aux écrits des philosophes allemands, sur le même sujet. Ceu
es de la R. S. pour les roi. que vous lui aurez remis. — Je dois vous écrire pour la rectification en question. — Bonjour de M
médicaments homœopatbiques ; ce que je prouverai dans la suite de cet écrit . Quand Hahnemann adopta le principe des doses i
ime beaucoup à cause de scs idées avancées en philosophie médicale, m’ écrivait en réponse à un conseil que je lui demandais pour
ns la médecine homœopathiquc; ce sujet serait riche à traiter, mais j’ écrirais un volume et j’ai hâte de linir. Voyons ce que pe
physiologie transcendante dont les bases se trouvaient dans tous les écrits des philosophes mystiques et vitalistes, rassembl
et de Pau (1). Nos plaintes n’ont point été vaines. Ce digne ami nous écrit : Mon bien aimé frère, Ma cellule a été inter
le de Mesmer, répand autour de lui les bienfaits de l’art nouveau. Il écrit de Nogent-Sur-Seine(Aube) : A M. le baron du Po
A M. le baron du Potel. Excellent maître, excellent ami, je vous écris à la hâte; nous sommes à Nogent depuis un mois oc
ez assez bon pour nous donner de vos nouvelles; j’espère pouvoir vous écrire plus convenablement; car en ce moment, j’ai deux
et de nobles exemples les efforts faits par ses devanciers. Il nous écrit à la date du 22 courant : Mon cher Monsieur Héb
in-8, 3e édition. Paris, 4 846. Nous avons dernièrement extrait des écrits de Fou-rier ce qu’il dit du magnétisme. Nous pass
e erreur, que j’aurai détruite si on a bien compris ce que je viens d’ écrire sur le magnétisme, agent physique. Le somnambul
ons : cent voix s’élèveraient pour démasquer notre pensée, car il est écrit dans les œuvres des magnétiseurs : La véritable s
e plein de raison; un mot, un fait mal compris, la lecture d’un livre écrit avec passion, un roman, un sermon, les remontranc
oi, et se développa dans mon cerveau; elle est si obscène que je ne l’ écrirai pas ici; mais je fus fixé dès lors sur ce que pou
expériences faites dans cette circonstance se trouvent dans un petit écrit de Ricard, associé du précédent pour l’exhibition
exigeant que ne le sont les Européens en général, l’émir se contenu d’ écrire son nom en français et en arabe et de demander qu
omme souscripteur au premier cours de Mesmer. Il est désigné dans les écrits magnétiques sous le nom de comte Maxime pour le d
riminel, et c’est peut-être de toutes celle sur laquelle on a le plus écrit . Les cas de possession et de sorcellerie étaient
sa délivrance, jeta par la bouche un taffetas plié dans lequel parut écrit en lettres rouges le nom de MARIE et les quatre l
bouche un morceau de drap dans un cercle de cuivre dans lequel était écrit le nom de Grégoire. » On trouve encore dans ce
. Poe est fort juste : elle ressort de la simple comparaison des deux écrits : ce qui nous dispensera d’en faire le parallèle.
eux. VARIÉTÉS. Fatalité.—Un ouvrier de Merthyr,nomme Longfcl-low, écrivit , la semaine dernière, une lettre à sa femme, qui’
t noté cette précieuse qualité; aussi figure-t-elle à chaque page des écrits spéciaux, dont elle est le plus brillant ornement
xpliquer ? Un célèbre professeur de la Faculté de Médecine de Paris écrivait , le 27 octobre 1838, au docteur Frapart : «S’il m
nt un « billet de banque de 100 liv. (2,5oo fr.), au dos « duquel est écrite une sentence. Ce billet deviendra « la propriété
nera, avant « l’ouverture de l’enveloppe par le président, la « copie écrite . » Zoomagnétisme. — Vingt fois déjà nous avons
xistence est de courte durée. § v. La plupart des auteurs qui ont écrit sur le somnambulisme prétendent que l’intuition m
titude. IV Alfrku PERIMER VARIÉTÉS. Nécrologie. — M. Thiry nous écrit de Meta : « Vous savez que, dans une de mes der
résent à la rédaction de mes lettres, car c’est de pair que nous vous écrivions , et, par modestie, il n’avait pas voulu y voir fi
de nos amis, M. Chipron, qui vient d'aller sc fixer en Amérique, nous écrit de Saint-I.ouis (Missouri) : « J’ai trouvé ici
e-terre. M. Mcade nous dit que nous ne pouvons pas ne; pas lire cet écrit . Fn attendant que nous avions pu nous acquitter
de l'intervention des esprits dans le magnétisme. Ou se rappelle les écrits de plusieurs magnétiseurs qui sont dans celte dir
sonnes durant les expériences. La Caitill*. — M. C.....r. — Je vous écrirai aussitôt que j'aurai pu rechercher les liv. en
5o 1. (2,5oo fr.), qui deviendront la propriété de qui lira la phrase écrite au dos de l’un d’eux. Ce prix a été annoncé dans
fant, et le laissera essayer de connaître ce que lui, M. Burrows, a écrit sur la bank-note. 11 mettra, quand 011 voudra, 11
enait cinq bank-notes montant ensemble à i oo liv. ; au dos d’une est écrit : « Fivegentlemen hâve joined in this challenge.
phénomènes psychologiques, comptant y revenir plus tard dans un autre écrit . Le chapitre Ie' a pour titre : Qu est-ce i/u
té. Cette comparaison, déjà faite par plusieurs des auteurs qui ont écrit sur la matière a été vivement attaquée dans ces d
de maladies. C'est un résumé à peu près complet de tout ce qui a été écrit en France sur le sujet. Le cinquième est intitu
bsolument rien de saillant : c’est la répétition de tout ce qui a été écrit on France depuis Mesmer. Tout le monde sait, par
venons d'analyser n’étant qu’une compilation , serait sans importance écrit en français, mais, en italien , il doit être émin
ernière publiée, M. M"* dit : « J’aurais bien une dernière lettre à écrire à M. du Potet au sujet de notre obsédé; mais je s
onsidère comme le seul moyen de guérison des obsédés, et qu’il a même écrit , pour appuyer son opinion, un recueil d’observat
on. Notre correspondant de Londres, M. le colonel J. P. Meade, nous écrit : « Le Mémoire de M. M*** m’a tellement intéres
é anglais. J’ai lu confidentiellement les lettres que ce malheureux a écrites , et, si la personne qui les a reçues se croyait a
spontanément sur elle, et la débarrasse de ses souffrances, lillc lui écrit pour le remercier de ses bons soins, de scs pensé
lle, et la magnétisait. Il n’en était absolument rien. Cependant elle écrivit plusieurs lettres incohérentes dans lesquelles el
quelle n’avait point trouvé dans les ressources de la médecine, elle écrivit à l’évêque du lieu pour le prier d’interposer s
tes les parties. Mais ai-je le temps seulement d’y arrêter mes idées? Écrire , produire, enseigner, soutenir constamment des lu
s. Nous nous bornons à la traduction des principaux passages de cet écrit , que nous allons diviser en deux sections. i° H
17 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
sie, ni motrice, ni sensorielle. Par contre il lui est impossible d' écrire et il ne trace sur le papier que des lignes brisé
ée dans la main droite, à tel point que le malade était incapable d' écrire (ataxie des mouvements coordonnés pour l'écriture
pour ne pas man- ger ainsi qu'on le verra dans la lettre qu'elle m' écrit alors; son état empire de telle façon que sa mè
strique accompagne presque constamment, au dire des auteurs qui ont écrit sur le sujet, les manifestations abdominales de
les fumeurs d'excommunication, et que Jacques I ? roi d'Angleterre, écrivit une diatribe fameuse contre le tabac intitulée
Martin, la fille du tireur de pierres de St-Géosmes. Les anciens écrits médicaux abondent d'ailleurs en récits de vomisse
avec parésie des doigts, à tel point que le malade ne pouvait plus écrire . Atrophie des muscles des mains, de l'avant-bras
té telle du tableau décrit par les auteurs qu'il paraît difficile d' écrire la symptomatologie de 102 U.CESTAN la névrite
on en suppri- mant le mot « adéno » de façon à ne préjuger en rien, écrit -il, de la nature encore obscure de la maladie.
déjà frappé, en 1892, M. A. Siredey. « Le rôle du système nerveux, écrit -il, semble donc se bornera une influence générale
lui qui se produit dans certains lymphangiomes. « Le tissu adipeux, écrivent MM. Lannelongue et Achard, est souvent un éléme
efs-d'oeuvre, com- pensent avantageusement la pénurie des documents écrits consacrés à ces spécialistes du XVIe au XVIIIe
nce et la mémoire sont demeurées intactes, aucun trouble pour lire, écrire ou compter. Le caractère s'est aigri, le malade
t d'une demi-année il avait recouvré la faculté de lire. Il pouvait écrire comme auparavant. L'hémianopsie était fort gêna
ion. Quand elle s'applique à quelque chose, et notamment quand elle écrit , sa main gauche se ferme immédiatement, le pouc
t intellectuel, il y a évidemment un peu de retard. P. C... apprend écrire avec lenteur, la mémoire est assez bonne, la paro
ns un cas de Manquat et Grasset, le malade n'ayant plus de jugement écrivait des lettres insolentes à ses supérieurs, mais suf
ing, on voit un homme, instruit aupa- ravant qui maintenant ne peut écrire une lettre qu'avec de nombreuses fautes et qui
, mais ne paraissent pas avoir été altérées. Le malade sait lire et écrire aussi bien qu'avant son accident. ~ Enfin l'exa
, ceci dit pour éviter des réclamations ultérieures. M. Marinesco écrit en français, il connaît mes recherches sur la mar
ntes, quelques-unes méconnaissables et ces caractères sont pourtant écrits lente- ment, la malade a mis beaucoup de soin à
olécranien). Depuis plusieurs mois, il éprouve une grande gêne pour écrire , les carac- tères sont tracés lentement, la mai
le spécimen d'écriture ci-joint : il lui a fallu dix minutes pour l' écrire (Fig. z) : Motilité des membres inférieurs. -Ni
sset, d'un malade qui, dans un moment d'irritabilité morbide, avait écrit à un de ses chefs une lettre qui entraîne pour
ée. Il y a un an,le malade commençait à avoir de la difficulté pour écrire elaujourd'hui toute écriture est impossible non
ent, paresseux d'esprit au- tant que de corps. Il sait lire, mais n' écrit qu'imparfaitement. Son caractère et son émotivi
est pourquoi nous y revenons aujourd'hui, n'ayant d'autre but que d' écrire une contribution à l'histoire du tabac et de fa
ncus et ses adversaires acharnés. Cette histoire a été maintes fois écrite et notre intention n'est pas de la recommencer.
ique encore demi-enveloppée (1) Voir notre thèse pour la vie et les écrits de Cohausen, Un praticien allemand au XVIII' si
irique. Il les poursuivit de ses railleries, et nous a laissé trois écrits successifs sur le même sujet ; outre sa /)<6
er plan érige au-dessus de sa tête une pan- carte sur laquelle sont écrits ces mots : Pica Nasi et derrière lui les pri- s
sa préface. Cohausen averlit le public du dessein qui l'a poussé à écrire ce livre satirique. Il veut, dit-il, secouer de l
ivrent à cet excès ne pourront en être blessées. D'ailleurs, il est écrit en une langue qu'elles n'entendent point. Il espè
nnaissent les praticiens. Malgré ces éclaircissements le titre de l' écrit de Cohausen ne futpas compris, et dans sa notic
ncore pénétré dans son pays. , Bontekoe et Beintemia de Panne ont écrit le panégyrique de l'amateur de tabac. Rien d'ét
t presque aussitôt le souvenir. Sous l'empire d'un de ces accès, il écrivit en décembre, à un de ses chefs, une lettre violen
ui ont pour lui une réelle importance. Maintenant, il lit, parle et écrit sans grande difficulté B... est devenu très ira
u. mois de juin 1889, treize mois après l'accident, voici ce que nous écrit le malade : « La marche est très pénible, surto
troubles de la parole. Il ne pouvait pas dire ce qu'il voulait ni l' écrire , il revint chez lui par le train et rentra chez
bizarre avec sa main gauche. Il éprouve de grandes difficultés pour écrire une lettre et fait toujours des fautes ; en écr
M. P. Marie sont aussi vraies à l'heure actuelle qu'au moment où il écrivait son remarquable article sur les myé- lites pour
e talent par MM. Grasset et Vail- lard. Mais en somme ce qu'ils ont écrit était plutôt une revue critique qui doit servir
t que ces manuscrits présentent cette particularité curieuse d'être écrits d'une écri- ture à rebours. Léonard de Vinci ét
« vinrent en ses mains 13 livres de Léonard de Vinci, quelques-uns écrits in-f°, d'autres ion-4", à l'envers, selon l'usage
nçaises, avant- propos et tables méthodiques ». Tous ceux qui ont écrit sur Léonard de Vinci depuis dix ans n'ont pas m
e l'écriture normale) de Léonard. Tous ses manuscrits en effet sont écrits de cette sorte; « à peine de, loin en loin, une
e grande con- fiance en lui, ressortir ses aptitudes multiples, est écrite en écriture de gauche à droite.Mais l'authentic
e ce brouillon de lettre fut dicté par Léonard, mais qu'il ne fut pas écrit t de sa main : il n'est donc pas surprenant que
e celle des autres manuscrits du peintre. Pourquoi Léonard de Vinci écrivait -il en miroir ? Une pareille habitude, si contra
de Castiglione et le sculpteur BaffalledeMonleluppo qui, paraît-il, écrivaient à sa manière de droite à gauche « all'ebraica » (
légère que celui-ci avait pris sur le tard seule- ment l'habitude d' écrire de la main gauche, à la suite d'une attaque d'hé-
(4) E. Muntz, loc. cit., p. 143. (5) Cii. RAVAISSOU1-IOGLIEIV, Les écrits de Léonard de Vinci, p. 34. (6) Séailles, loc.
ine quand survint l'accident dont il s'agit, et il est établi qu'il écrivait déjà en miroir en 1473, comme le prouve une ins
décisif. M. Muntz fait remarquer que Léonard « ne se contente pas d' écrire à rebours, qu'il renverse parfois certains mots à
l'intention de dissimuler aux lecteurs indiscrets le contenu de ses écrits , il eût été singulièrement mal inspiré en adoptan
t eu simplement la pensée un peu enfantine de cacher le sens de ses écrits , le peintre eût été un dissimulateur singulière
ttention sur l'écriture renversée de certains des hémiplégiques qui écrivent de la main gauche, en même temps qu'il donna à ce
les hémiplégiques droits qui tiennent la plume de la main gauche n' écrivent pas en miroir, que d'autre part l'écriture renv
soeurs : elle est la cadette. Sa soeur aînée Marguerite, 10 ans 1/2, écrit norma- lement de la main droite ; 1 frère plus
écrit norma- lement de la main droite ; 1 frère plus jeune, 6 ans, écrit aussi comme tout le monde ; 1 soeur, Valentine,
écrit aussi comme tout le monde ; 1 soeur, Valentine, 5 ans 1/2, n' écrit pas encore ; 1 frère André, 2 ans 1/2; 1 soeur
voyant et en en- tendant lire sa soeur aînée. Mais elle a appris à écrire avant d'apprendre à lire, » et en voyant écrire
ais elle a appris à écrire avant d'apprendre à lire, » et en voyant écrire sa soeur : elle prenait la plume et traçait de la
ffres et les lettres qu'elle copiait. Rose a continué à apprendre à écrire de la main gauche et un peu plus tard de la mai
emps qu'elle apprenait à lire. On assure qu'elle lisait en miroir l' écrit et l'imprimé aussi aisément que dans » le sens
ns » le sens ordinaire. L'enfant a eu plus de peine à apprendre à écrire de la main droite que de la gauche. - État ac
de la main droite que de la gauche. - État actuel (1900). - Rose écrit des deux mains, mais elle écrit plus faci- ' 1
auche. - État actuel (1900). - Rose écrit des deux mains, mais elle écrit plus faci- ' 1 lement de la main gauche que de
a main gau- che (Fig. 4). De cette main gauche (Fig. 5) elle peut écrire en écriture droite, mais les caractères sont fo
traits principaux de ce cas : une enfant née gauchère, ap- prend à écrire seule ; elle écrit spontanément de la main gauche
e ce cas : une enfant née gauchère, ap- prend à écrire seule ; elle écrit spontanément de la main gauche en miroir; ce n'
nne et des habitudes qu'on lui inculque, qu'elle prend l'habitude d' écrire en écriture droite, de la main droite et aussi
re écriture) est bien une écriture de gauche à droite, quand nous l' écrivons de la main droite, mais il en est tout autremen
écrivons de la main droite, mais il en est tout autrement si nous l' écrivons naturellement de la main gauche. En fait si l'o
it être regardée par réflexion dans une glace. Nous appelons, nous, écrire en miroir l'écriture aryenne centrifuge, de la ma
aryenne) ou. centripète (sémitique), on conçoit qu'un hébreu quand il écrira de la main gauche, n'écrira en miroir que si sa
ique), on conçoit qu'un hébreu quand il écrira de la main gauche, n' écrira en miroir que si sa main va de gauche à droite (é
main gauche, n'écrira en miroir que si sa main va de gauche à droite ( écrire centri- pète). S'il écrit de droite à gauche so
ir que si sa main va de gauche à droite (écrire centri- pète). S'il écrit de droite à gauche son écriture ne sera pas renve
it du reste déjà constaté que les Sémites, comme c'était à prévoir, écrivent de la main gauche en écriture centripète renver
dances naturelles de notre petite gauchère : elle aurait continué à écrire exclusive- ment en écriture centrifuge de la ma
écriture en miroir eût été celle de la main droite. Donc, si nous écrivons d'une façon quasi-automatique et, sans contra-
rliner que rapporte C.Vogt, le démontre péremptoirement : « on fait écrire à une personne la même phrase avec les deux mai
les personnes ce que l'on trouve sur soi- même, c'est-à-dire qu'on écrit involontairement renversé avec la main gauche,
involontairement renversé avec la main gauche, tandis que la droite écrit normalement. « Cela va très facilement Fis. 8.
e depuis la ligne médiane, les deux mains rappro- chées. Les lignes écrites , surtout celles qui sont tracées les yeux fermés,
ment un angle ouvert en avant. Si l'on veut forcer la main gauche à écrire aussi l'écriture normale, l'effort devient bien
relle de la main gauche (Carl Vogt), pourquoi y a-t-il des gens qui écrivent très bien, d'autres peu et d'autres pas du tout
ourquoi y a-t-il des gens qui, contrairement à ce qui devrait être, écrivent en écriture droite de la main gauche, réalisant
par exemple : sur 451 sujets, il en a trouvé 23 (5,1 pour 100) qui écrivaient spontanément en miroir avec la même gauche, tan
ontanément en miroir avec la même gauche, tandis que les 428 autres écrivaient plus ou moins en écri- ture droite de cette mai
iture de cette main. Or chez la presque totalité de ceux qui savent écrire , celle- ci reste tout à fait inapte à le faire.
napte à le faire. « Tous les peuples sans exception, dit Cari Vogt, écrivent avec la main droite et aucun n'a jamais écrit aut
on, dit Cari Vogt, écrivent avec la main droite et aucun n'a jamais écrit autre- ment, pas même les anciens sémites, comm
onné le point de vue auquel nous nous plaçons. Etant droitiers nous écrivons de la main droite en écriture droite et nous n'av
t nous n'avons, sauf circonstances exceptionnelles, aucune raison d' écrire de la main gauche en miroir. Mais il y a des
gauchers. Un gaucher qui prend la plume est instinctivement porté à écrire de sa bonne'main, c'est-à-dire de la main gauche,
, et comme l'écriture de la main gauche est l'écriture en miroir, à écrire en miroir. On peut dire d'une façon générale qu
en miroir. On peut dire d'une façon générale que tous les gens qui écrivent aisément en miroir de la main gauche, et surtou
urtout ceux qui tout enfants adoptent instinctivement cette façon d' écrire , sont des gauchers. La petite fille dont nous a
che un premier groupe de 60 garçons ou filles : filles et 3 garçons écrivirent en miroir; tous étaient gauchers. Dans un secon
sand mental disease, février 1894. xn . 40 610 GILBERT BALLET 3 écrivaient en écriture renversée. Une petite fille de 8 ans
'une fracture du bras droit, continua à aller à l'école et se mit à écrire en miroir de la main gauche. Risley (1), qui rapp
l'énoncer cette formule est encore incomplète. Tous les gauchers n' écrivent pas en miroir, et tous ceux qui écrivent en mir
plète. Tous les gauchers n'écrivent pas en miroir, et tous ceux qui écrivent en miroir ne sont pas gauchers : ces deux propo
r, les excep- tions ne font que confirmer la règle. Tous ceux qui écrivent en miroir ne sont pas gauchers. On peut par un
pas gauchers. On peut par un apprentissage assez délicat arriver à écrire en miroir de la main droite : c'est le cas de c
cile et courante des gauchers. Tous les gauchers, d'autre part, n' écrivent pas en miroir. C'est que l'éducation intervient
es nécessités sociales font que tout le monde a intérêt à lire et à écrire comme tout le monde, aussi apprend-on aux gaucher
s. Arrive un moment où, grâce aux exercices prolongés, ces derniers écrivent sans trop de difficulté de la main droite ; ils o
sives : gauchère, elle a commencé spontanément et naturellement par écrire en miroir de la main gauche ; plus tard elle a
par écrire en miroir de la main gauche ; plus tard elle a appris à écrire en écriture droite de la main droite; plus tard
riture droite de la main droite; plus tard enfin elle est arrivée à écrire en écriture droite de la main gauche et en écri
us avons reproduits. Ainsi chez les gauchers dont la tendance est d' écrire de la main gauche et en miroir, l'éducation con
moins il agira d'une façon active, plus le sujet aura de tendance à écrire de droite à gauche et au rebours. » Lochte (1) su
it des expériences desquelles il découle qu'on a plus de tendance à écrire en miroir de la main gauche quand les yeux sont f
s. Dans les conditions les plus habituelles, quand nous apprenons à écrire de* la main droite, nous nous exerçons à copier
diatement que les choses doivent se passer autrement chez celui qui écrit en miroir. Lorsqu'un hémiplégique prend pour la
é, si bien qu'il lui est souvent difficile de relire le mot qu'il a écrit sans trop de peine. Par quel mécanisme arrive-t
mettre d'abord que le sujet renverse mentalement la lettre qu'il va écrire et copie ainsi une image retournée. Voulant écr
lettre qu'il va écrire et copie ainsi une image retournée. Voulant écrire a, il commencerait par se représenter visuellem
s un certain nombre de cas : en ce qui me concerne, si je cherche à écrire en miroir, je commence souvent par me représent
ence souvent par me représenter les lettres renversées et je ne les écris qu'ensuite. Mais il ne me semble pas possible d
'elle a appris à décrire de la main gauche toute seule en regardant écrire sa soeur de la main droite et qu'elle écrivait
ute seule en regardant écrire sa soeur de la main droite et qu'elle écrivait avant de savoir lire, ce qui avait frappé son e
r copier du chinois ou de l'arabe, sans savoir la valeur des signes écrits de ces lan- gues, comme nous le ferions d'un de
re symétriques mais renversés ; que d'autre part elle ai commencé à écrire avant de savoir lire ; la lecture n'est venue q
efforts pour s'opposer au développement de sa tendance naturelle à écrire de la main gauche. Léonard de Vinci réalisait-i
ypothèses peu plausibles qu'on a faites pour expliquer sa manière d' écrire doivent tom- ber d'elles-mêmes et faire place à
Eugène' 614 GILBERT BALLET Müntz : « il me paraît difficile nous écrit l'éminent historien, d'admettre que Léonard de
suffisamment mûri de ses raisonnements ; ses amis croyaient qu'il n' écrivait que de la main gauche. Mais ce témoignage est t
, parle des caratteri scritti con la lancina a rorescio (caractères écrits à rebours avec la main gauche). Mais le témoign
de bonne et authentique source. Or voici ce que dit celui-ci : « Il écrivait encore à rebours de la main gauche une écriture q
ication de l'écriture de Léonard de Vinci réside dans ce fait qu'il écrivait habituellement de la main gauche (e mancina). Il
es hypothèses dont nous avons montré l'invraisemblance. Léonard qui écrivait en miroir longtemps avant d'avoir été paralysé
s songé à se servir de cette manière pour dissimuler le sens de ses écrits . Il écrivait naturellement à l'envers, simplement
e servir de cette manière pour dissimuler le sens de ses écrits. Il écrivait naturellement à l'envers, simplement parce qu'il
implement parce qu'il était gaucher. (1) E. 1U.NTZ, Communication écrite . Nous sommes heureux de remercier M. Muntz de l
ien admettre qu'il s'en trouvait d'habiles et de consciencieux. Les écrits médicaux du XVIIe siècle nous renseignent suffisa
ns ses Variétés chirurgicales (1), recueilli une série de documents écrits contemporains sur les arracheurs de dents en plei
18 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
ir par le suiciSe parce que rien ne les retient ici-bas ! M. Dubois écrit : les malades doivent s'estimer heureux si leur m
ons souvent beaucoup de peine à faire cesser l'insomnie. if. Dubois écrit : c Quand ce sont de vrais malheurs, la perte d'u
est bien supporté quelque temps puis les douleurs reparaissent. On m' écrit , ile basant sur certains faits, je déclare que l'
vec toute la bonne volonté imaginable; il m'est im-posible de pouvoir écrire une phrase parce que les idées ne me viennent pas
lades choisis sontsoumis à une observation attentive et leur histoire écrite . On les persuade de l'intérêt de la médication et
st âgée de 20 ans. Sur le papier qu'elle tient à la main elle vient d' écrire ce quatrain de sa composition : Jeanne d'Arc la
surtout aux plus mauvaises heures de l'oppression. Sa parole, ses écrits , son exemple onl fait de nombreux prosélytes, mai
st-il dangereux ? Nous voilà bien avancés ! M. Grasset n'a-t-il pas écrit dans son livre: « Donc il ne reste de cette objec
qui l'a pratiqué si peu et .avec si peu de succès (c'est lui qui l'a écrit dans le Correspondant suisse), devrait le dire da
tête après avoir été hypnotisés par Donato. A l'époque où Ladame u écrit son livre, Delbœuf de Liège le cri-liqua avec sa
re du chantage ; l'accusé fut renvoyé indemne, il. Ladame a omis de l' écrire . Cela ne prouve pas que le viol ne soit pas possi
nable ! Je le prouve davantage: Il est vraiment étonnant, qu'occupé à écrire un livre sur l'hypnotisme, M. Grasset ait oublié
uivre le traitement. En ce moment je reçois une lettre d'une malade écrite à un de mes confrères qui me rappelle son cas. El
être une méthode pratique. Elle exige beaucoup de temps; M. Dubois l' écrit lui-même et il le dit à beaucoup de ses malades.
ve un souvenir si net que, le matin venu, avant de partir au lycée, j' écrivais d'emblée ma copie sans brouillon préalable. Aussi
anche, nous avons causé de cela à l'aimable Dr Bertillon(2) et nous l' écrivons ce soir sur son conseil. G. Fabius de Champvill
mpville. (3) Par habitude en mettant la date c'est mars que j'avais écrit , c'est avril qu'il faut lire. Cette note peut s
je lui fis en termes très pressants, la recommandation suivante : « Ecrivez donc, tout de suite, ce que vous a dit cette somn
alheureusement ce qui leur manque presque toujours, c'est un document écrit avant que la prédiction se soit réalisée. Il est
t fallu sténographier les paroles de Mme Berthe (ou tout au moins les écrire mot pour mot) ; donner une date authentique à cet
d). 2. Malheureusement, les déclarations de la somnambule n'ont été écrites que le lendemain du jour où elle les a faites. L'
oup de la valeur qu'on peut être tenté de lui attribuer. 3. Il faut écrire au furet à mesure de leur production, les prédict
Très intelligent, mais absolument sans culture, ne sachant ni lire ni écrire , très suggestible. Avait été arrêté pour avoir vo
uelques moments, mais ne sait pas marcher. Sur un bout de papier elle écrit son nom et sa date de naissance. Elle parle, le
traînant un peu la jambe droite. La marche est un peu spastique. Elle écrit à sa mère qu'elle est guérie. Au commencement d
es de Faria et de Bertrand. C'est en réponse à cette accusation qu'il écrit : « On a prétendu, par exemple, que mon mode d'
ycho-sensorielle comme la plus efficace. Voyons maintenant ce qu'il écrit en 1860 : « Ma méthode d'hypnotisation ordinaire,
nieux comme H est, n'a pas, il nous parait, suffisamment consulté les écrits de ses devanciers dans la science magnétique ». A
re de malades ne sortent jamais « c'est que le saut est trop brusque, écrit le Dr Marie, entre l'internement et la pleine lib
tre des murs, dans une prison, au milieu des siens même ingrats. On écrit aux enfants : Venez chercher votre père, il peut,
quelque sorte à livre ouvert, l'état de surmenage de celui qui avait écrit . On y lisait aussi le retour à la santé morale et
DE PARIS EN ?0 (?) Après la Neurrpnologie cette communication est l' écrit le plus important et le dernier de Braid. « Dep
9. présent..... Je les ai déjà mentionnés dans plusieurs de mes écrits , mais je me propose ici de réunir les plus import
et a abandonné ridée d'une traduction complète du volume ; j'ai donc écrit les pages suivantes comme appendice et je les ai
Iéna, en Allemagne (1). En effet, on peut étudier beaucoup mieux les écrits de Braid en allemand qu'en anglais. (1; Die Enl
rnid. Deulch heraus-pelien von Preyer, Berlin. 1852. Il contient huit écrits de Braid, mais pas la Xeurypnologie. Une autr
a Xeurypnologie. Une autre circonstance, c'est que Braid dans ses écrits parle toujours de « ma méthode », de « ma théorie
ma méthode », de « ma théorie », de « mes principes ». En lisant ses écrits , on croirait que l'hypnotisme était une tabula ra
suggestion à distance se fait ordinairement par correspondance; nous écrivons au sujet les suggestions que nous voulons lui voi
ir devant lui une table sur laquelle il puisse placer les suggestions écrites qui lui sont envoyées et les avoir commodément so
l s'est biea installé dans le fauteuil et ayant placé les suggestions écrites bien à sa vue sur la table, à lui ordonner de fer
répétées ponctuellement par le malade sur l'ordre qu'il en a reçu par écrit , produisent un état d'hypnose suffisant pour lui
es que soient les circonstances, au bout d'un temps que l'on fixe par écrit , ses yeux s'ouvriront spontanément, il s'éveiller
. Le sujet tiendra à la main le carton ou le papier sur lequel sont écrites les suggestions. Il est alors ordonné au malade
ent de lire, et cherchant à percevoir l'image des lettres et des mots écrits dans la transparence du cristal. Il continuera
ut de peu de temps il percevra l'image hallucinatoire des suggestions écrites , par suite des multiples jeux de lumière qui se f
dance assez longue que j'ai eue avec lui. II y a quelque temps il m' écrivit pour me demander si je pouvais lui indiquer un tr
jet. Un mois après l'envoi des secondes suggestions, le malade nous écrivait : « Voici le résultat de votre excellent traite
émotechnie. Singularités arithmologiques. — Je vais au tableau et j' écris la série de Fibonacci, de Léonard de Pise, des Hi
, par le Dr Félix Regnault ('). Jusqu'à présent les auteurs qui ont écrit sur la prostitution, et ils sont fort nombreux, s
Cap de Bonne-Espérance. La suggestion s'est réalisée. Ma cliente m' écrit de Durban qu'elle a pleinement joui de son premie
ritable résurrection, etc. IV. — La femme d'un médecin de Batavia m' écrit le 15 août 1905, de Peventer (Hollande), qu'elle
ais avait souffert du mal de tôte et du dos. Une lettre de Batavia, écrite le \'i novembre suivant, me rapporte que le reste
e le résultat sera quand même bon et, quelque temps plus tard, elle m' écrit pour me remercier beaucoup de l'excellente traver
ela est incontestable ; et d'autre part, lorsque l'auteur des Pensées écrivit cette phrase, il était atteint d'une affection cé
yeux. Un de nos confrères, chez qui l'enfant fut d'abord conduite, m' écrit à cet égard : « Je lui ai vu moucher cinq ou six
le docteur Fiessinger, dans la Médecine moderne : « Un professeur, écrivait -il, ne pense pas comme tout le monde; vous êtes l
suicide, etsa timidité le rendittoujoursmalheureux. Chateaubriand a écrit dans sa vieillesse des pages saisissantes de véri
tifs et les paralysent. Une collègue, professeur d'Ecole normale, m' écrit : « On m'interrogea un jour sur la Constitution p
moment, chaque fois qu'il me fallut répondre à une question, même par écrit , l'image du professeur s'interposait entre ma pen
e les candidats à l'oral en soulignant les qualités de leurs épreuves écrites , et leur donnent ainsi la possibilité de montrer
leçons pendant une semaine, sans le moindre succès. Alors il lui fait écrire chaque mot en lettres grecques, d'abord dix fois,
r fermé, il est incapable de répéter en français le mot qu'il vient d' écrire tant de fois. Le grand-père voyant que, malgré
le de ce nouvel hôte des cavités digestives, récit qui a été en parti écrit sur notre cahier d'observations, de la main même
s. Il les engage à se défier des embûches, ci c'est avec raison qu'il écrit les lignes suivantes : « Dons la lutte que nous
son de leur voix les étonne et les paralyse, alors qu'ils arrivent à écrire sans difficulté. L'exercice le plus intimidant
ème d'interrogations rapide les déconcerte. Ils réussissent mieux à l' écrit , ayant le temps de se recueillir, et aux examens
Un exercice qui nous réussit généralement est le suivant : Une élève écrit un texte au tableau. Toutes ses compagnes lui pos
le monde avec une humble robe trop courte ('). Une ancienne élève m' écrit : ¦ Si j'avais été riche, je n'aurais pas été tim
et ressentent le plus grand ennui lorsqu'ils sont dans l'obligation d' écrire . Aussi, de toutes les questions qu'on doive poser
itude à s'adonner à la lecture et, encore plus celui de se remettre à écrire avec facilité, constituent des signes importants
moteur de l'attention dirigée et appliquée. Le choix des phrases à écrire sous la dictée ou à copier joue naturelle- me
e. C'est une théorie déjà ancienne. M. A. Letienne, l'année dernière, écrivait dans la Presse Médicale (') ; « La vieillesse, ét
est pas générale; elle n'est pas au moins également répartie. Charcot écrit : a Par une sorte de contradiction fort remarquab
rait d'après le même auteur l'atasie et le tremblement sénile. Pick écrit : « Les études récentes nous ont appris k voir da
enus dans un récent et très intéressant travail. « Pendant longtemps, écrivent ces auteurs, un organe peut être gravement lésé s
rouvons dans le cerveau des personnes âgées le même phénomène. Xotzli écrit que « dans certains territoires circonscrits du c
en un mot un ordre inverse de l'évolution des premiers âges. Preyer écrit de l'enfant : « L'évolution psychique de l'enfant
n des plus importants des journaux médicaux, la Semaine médicale, qui écrivit ceci : « Nous constatons avec satisfaction que, d
ent pas pour le dire dans une conversation privée, mais ils n'osent l' écrire alors qu'il faudrait le crier au contraire bien h
éralisme. Entraîné par un sentiment d'enthousiasme, son rédacteur écrivait au lendemain du vote du congrès : a Nous sommes b
rspicacité les mystères de l'avenir. A l'instar de M. Podmore qui a écrit des ouvrages scrupuleux sur (1) Revue scientifi
urs, l'une au ventre, l'autre au sein gauche... Roustan reconnaît par écrit l'authenticité du rapport, après l'avoir montré à
e l'abbé d'hérétique et sa compagne d'hystérique. Thorey s'obstine et écrit deux volumes de divagations hallucinatoires où i'
ès avoir été couturière, de devenir une sorte de Messie féminin. Elle écrivait automatiquement sous l'influence de « Mercedes, f
arras d'argent composent un joli roman féminin qui n'a pas encore été écrit . Quant à lady Caithness qui joua un véritable rôl
19 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
Usine hystérique. La sibylle de Cumes, après d'affreuses convulsions, écrivait ses révélations sur des feuilles d’arbre et perda
nima;, cl Archives du Magnétisme, t IV, p. 42 cl suivantes. Scicle, écrivit sur la lycaathropie, espèce de monomanie endémiqu
es sur les avantages du somnambulisme; l’obscurité qui règne dans les écrits du temps trouve son explication dans les conséque
q ans. Contemporain et ami du marquis de Puy-ségur, il puisa dans ses écrits la connaissance des mystères ou plutôt des mervei
smérisme de Paris. « Monsieur le Président, «Deux hommes dont les écrits et les actes ont puissamment contribué an dévelop
tre être et le dominer. Ce fait se renouvela souvent, l’auteur de cet écrit en a été témoin, et citera l’exem- pie sim ani
ui économiser sa seule richesse, le temps ; l’œuvre sera concise. Les écrits conçus dans cet esprit de dévouement nous inspire
fragments longtemps inédits des dernières œuvres de Mesmer. Tous les écrits de cet homme sont inspirés par la morale la plus
été imprimé de mieux en France pour et contre le magnétisme, même les écrits de Mgr l’évêque de Moulins, de M. de la Marne, de
’ont pas toujours eues les gens qui ont fait du magnétisme ou qui ont écrit à son sujet, je suis prêt à soutenir thèse, pièce
inguliers phénomènes de l’état magnétique, plus philosophique que les écrits du Dr Billot, et plus chrétienne que celle de la
l’analyse de deux ouvrages relatifs au magnétisme. Le premier de ces écrits a pour titre : des Hallucinations, et est déjà co
ués. « Le vicomte DE LAPASSE. » « P. S. En relisant cette lettre, écrite fort à la hâte, je ne voudrais pas que vous puiss
examen, et nous attendrons, pour discuter la doctrine, que ce nouvel écrit soit publié. Mais nous pouvons, dès aujourd’hui,
ulent tous exercer leur action sur moi. » En marge du manuscrit est écrit : «11 fut annoncé à la jeune fille qu’il y aura
tout entière contenue dans les lettres que j’ai eu l’honneur de vous écrire en 1841. Votre Grandeur me permettra sans doute d
t déjoué toutes les ressources médicales. Quand ces Messieurs m’ont écrit , ils ne se doutaient guère, je pense, que leurs l
is arrivé, qu’appelait de ses vœux le prince de Talleyrand, lorsqu’il écrivait dans ses Mémoires: « J’avouerai franchement que
nner des leçons théorico-pratiques ; je fus aussi un des premiers qui écrivirent dans notre langue sur cette science naissante; j’
RIENCES, 1° MAGNÉTISATION d’üN SINGE. Voici une lettre qui me fut écrite il y a plus de quatre ans, mais dont le sujet a l
cinq culottes. Deux Urne fait. « line femme rêve dix numéros, les écrit sur dix petits morceaux de papier, met chacune de
a main dans le sac, et la tendant, plein d’assurance, au greffier : « Ecrivez , lui dit-il, que « j’ai le numéro 87. » Vérific
t moi-même, pour pièces à l’appui, tout ou partie de ces lettres qui, écrites de ma main, auront un caractère d’authenticité su
c., etc., LL. EEm. eussent agi plus sagement de les chercher dans les écrits de saint Augustin , de sainte Thérèse et des Père
tous les auteurs modernes parlent de travaux consciencieux dans leurs écrits , c’est la formule du jour; eh bien! il y a dans l
réduits-à dire : « Ce malade est incurable. » Ce qui m’a fait vous écrire ces quelques lignes, Sire, c’est que j’ai l’espér
nes et modernes, connues et inconnues; d’autres encore qui dessinent, écrivent , chantent, dansent, etc., sous l’influence de la
utre monde. Par exemple, dans 1111 livre intitulé Supcrml Thcology, écrit par M. Warreu, de New-Yorck, les Esprits nous dis
que je ne suis ni illuminé ni pyrrlionien ; et à l’instant même où j’ écris ces lignes, je me tâte, m’interroge, m’observe, e
sous l’impression de ces huit expériences répétées et variées, que j’ écrivis , lundi soir, les quelques lignes qui parurent dan
ne immense découverte. Car, en regardant cette table sur laquelle j’ écris ces dernières lignes, et en pensant à l’impressio
lit dans le Siècle du 1" mai, le récit suivant, emprunté à une lettre écrite de Bordeaux : « Nous sommes ici, mon cher ami,
a nié, et il a eu raison de nier; — puis aussi certains journaux ont écrit , avant de dire seulement de quoi il s’agissait, c
n que le pauvre à faire tourner le sapin dans son réduit. Nous fini écrivons , nous avons lu sans croire, essayé en riant, et v
is Ma-gieœ cacodœmonia libri très; Hambourg, 1Ô87, m-4°. Cet ouvrage, écrit en allemand corrompu, a pour auteur le magister S
les plus purs sentiments ; mais le temps a manqué à M. du Potet pour écrire ses propres paroles. Les forces humaines ne suffi
théorie sur le fluide universel? Mais la pratique et les remarquables écrits de ses successeurs? h — Mesmer? scs successeurs
t d’entendre une de ces critiques vengeresses que Molière seul savait écrire . Que M. Baïhaut soit satisfait de son début, il a
qu’une idée bien imparfaite à ceux qui n’y ont point assisté, aussi l' écrivons -nous seulement afin d’en donner un reflet. ARNE
ens savaient obtenir une nouvelle sorte de vie. Selon l’auteur de cet écrit , les Indiens de ces temps reculés considéraient l
sitôt la corbeille s’est mise en mouvement, et, à l’aide du crayon, a écrit sur la feuille de papier. Le mouvement était très
nte la chaîne en posant ses doigts sur la corbeille, qui a continué à écrire . Les réponses étaient nettes et concordantes ;
teurs, dans la position où ils étaient, et que j’ai décrite, de faire écrire le meuble en lui imprimant des mouvements. L’expé
tracé une foule de lignes bizarres, inintelligibles pour nous, puis a écrit ces mots : Monde fragile. Après une nouvelle sé
d’acajou ayant été actionnée, des réponses sont obtenues, on promet d’ écrire . 11 s’agissait de savoir comment on mettrait le c
tc. « A. DE GASPAB1N. » 4° Frappements. Un médecin de La Châtre écrit au rédacteur de la Patrie une lettre dont voici l
clairvoyance. M. J. Bonjean, membre de l’Académie royale de Savoie, écrit à la Patrie une lettre, datée de Chambéry, 18 mai
r votre bonne foi, laissez-moi donc seul et ci votre insu formuler et écrire les lignes que nous devons soumettre à l’intéress
ériel du phénomène, s’il se produit; ma proposition étant acceptée, j écris secrètement une phrase que je compose an moment m
arés à le vérifier ; ils savent que les livres de nos maîtres ont été écrits en vue de phénomènes observés principalement, mai
ue ; en voici les termes : « Un habitant de Grenoble, M. M***, nous écrit pour nous faire connaître un fait d’une certaine
n sommeil, qui avait duré une demi-heure. » Jlotulion humaine. On écrit d’Aranjuez à la Espana du 13 mai : « La chaîne
irable expression mimique, effrayante de réalité, la pensée qui a été écrite au moment môme par un des spectateurs. « Enfin,
ce du magnétisme. » 3° ENLÈVEMENT DES HOMMES. M. le Dr Begué nous écrit à propos de la suspension du corps humain dans l’
de quatre témoins désignés par elles, que tout ce que j’avais dit ou écrit était faux, et que je n’avais jamais guéri person
x, et que je n’avais jamais guéri personne. J’ai répondu : ce qui est écrit est écrit; je ne puis détruire ce que j’ai fait,
je n’avais jamais guéri personne. J’ai répondu : ce qui est écrit est écrit ; je ne puis détruire ce que j’ai fait, quand on d
Voici un fait tout récent, qui est le troisième connu dans la science écrite , je veux parler d’une hernie étranglée réduite pa
jamais entendu prononcer le nom de Celse, elle ne sait pas plus s’il écrivait en latin qu’en grec, et elle voit son livre, elle
urdissement causé par cette valse diabolique. » — La même feuille a écrit les lignes suivantes qui, malgré leur invraisembl
à craindre de ces déclarations. Tout le monde comprendra que dans les écrits où l’admiration des effets produits se traduit pa
contraire des intérêts de la science et de l’humanité. J’ai laissé écrire des choses mensongères sans les réfuter; je vois
un jour, dans un des paroxysmes, que le malade, ayant pris un cahier, écrivait (saus y voir, puisque dans tous ses accès il avai
nous étions dans une chambre située au premier étage de la maison. J’ écris à une certaine distance du malade (tout à fait ho
; on lui met à la main un crayon et le papier sur lequel je venais d’ écrire ; il applique le papier sur la table, passe rapid
sur la table, passe rapidement le plat de la main sur ce que j’avais écrit , et écrit lui-même précipitamment ces mots en rép
ble, passe rapidement le plat de la main sur ce que j’avais écrit, et écrit lui-même précipitamment ces mots en réponse à ma
erre de la montre contre la paume de la main, M*** prend le crayon et écrit : « Je sens du papier, douze heures, trois heur
as, par un habile clignotement, les questions qu’on lui adressait par écrit . Les yeux bandés, ce que M*** voulut bien souffri
ortait pas qu’on le touchât, il répondit à ces questions, que M. Roux écrivit lui-mfime : « Depuis combien de temps êtes-vous
on entre les yeux et le papier sur lequel les questions devaient être écrites . J’en demandai la permission au malade en ces ter
termes : « Dis-moi, mon cher ami, si tu pourrais lire ce que nous t’ écrivons , en interposant un carton entre toi et le papier,
r ma foi; c’est que, dans plusieurs paroxysmes, le malade indiqua par écrit le moyen de les faire cesser. Un jour, ce fut en
s terminer mon mémoire et renvoyer mes lecteurs aux deux intéressants écrits de M. Lordat, consignés dans les Éphtmtrides mé
ait éclore, outre les articles publiés dans les journaux, une foule d’ écrits favorables ou contraires, dans lequels il est bea
e affaire préoccupe vivement tous les médecins. » — D’autre part on écrit de Prague à la Patrie : « Un garçon de sept ans
-biologie. « Le professeur en est tellement persuadé, qu’il vient d’ écrire au ministère espagnol, demandant un sursis à l’ex
s’est dit et fait en sa présence, mais il n’a pas conscience d’avoir écrit . Quand on lui présente la feuille de papier couve
’y a aucune lacune dans les souvenirs du sujet. De plus, les réponses écrites , aussi bien que (1) Voyez le n° 167 du Journal
ieurs individus, après avoir demandé à l'auteur des oscillations s’il écrivait par la main du sujet. Je ne suis arrivé qu’à des
, sa main fut agitée d’un tremblement convulsif, et elle ne parvint à écrire qu’un nom propre; une autre écrivit un membre de
nt convulsif, et elle ne parvint à écrire qu’un nom propre; une autre écrivit un membre de phrase; d’autres ne tracèrent que de
de la Société Pliilantliropico-magnftiqve, qui se formait alors, lui écrivit pour l’engager à en faire partie. Il en reçut la
tte la pierre au magnétisme, sur lequel s’appuient les auteurs de ces écrits . Peu important. — Voici un extrait du Pays, du
hénomènes dont chacun s’explique différemment la cause. De tous les écrits publiés sur ce sujet, celui qui a le plus fixé mo
la chaîne. Ces chiffres étaient impossibles ù. prévoir ; ceux qui les écrivaient y avaient mis une malice bien naturelle. Les nomb
u 20 juin, contient une lettre pleine de réflexions fort judicieuses, écrite par M. le docteur Roux, de Cette, sur les obstacl
re /imnuin. ('.’est le titre choisi par l’âme de la terre. «Si j’ai écrit à l’Empereur, c’est avant tout pour être sûr qu
1. « Je 11e me suis jamais rallié à votre gouvernement. « Je vous écris avec l'espoir que vous nie lirez jusqu’au bout.
lations fort importantes, de medium que les esprits saisissent et qui écrivent des livres sous leur dictée à la façon de Swedenb
« Constance et fermeté ! « M. XIFFRE. » Un de nos abonnés nous écrit au sujet de la relation qui précède, une lettre q
, « BRUYAS. » Perpignan, 9 août 1853. » 2° RÉSURRECTION. — On écrit de Thizy, le 20 courant, au Journal de Ville-fran
infinies. » Que ne puis-je. avenir, t'évoquer devant moi?.... Voir écrits tes secrets sur ce miroir magique, Et, comme ce
ion n’est point étrangère à mon sujet; elle indique qu’au moment où j’ écris , nos grands génies modernes ne nient plus la puis
serons donc toujours prêts à tendre une main amicale à tous ceux qui écriront sur le magnétisme. Nous pensons toutefois qu’il s
est faire trop bon marché de tant d’admirables résultats pratiques, d’ écrits si lumineux, si remarquables à tous égards ; c’es
; sur la question que je lui posai, à savoir depuis quel jour j’avais écrit à la personne à laquelle j’adressais précisément
le j’adressais précisément cette lettre, elle me répondit que j’avais écrit le matin, mais que ma lettre n’avait point été fi
Suisse, qui dirige une grande usine dans le canton des Grisons, nous écrit que le magnétisme se propage dans ce pays. Nous e
duquel est tombé un exemplaire du Manuel de lEtudiant nuif/nt'/ispur, écrit à M. du Potet une lettre de laquelle nous donnons
Cliassiers, j'en ai été nommé recteur. « Monsieur, je voulais vous écrire plus tôt; mais je n’osais pas le faire, dans la c
par le procédé que M. J. Gautier a fait connaître. Voici une lettre écrite à M. Hébert sur ce sujet : Quo les jeunes fille
, pendant le sommeil magnétique, parvenaient à déchillrer des lettres écrites en anglais, quoique cette langue leur fût parfait
’est, selon nous, recevoir un outrage. Auteur de quelques innocents écrits dont l’étiquette pompeuse masque le vide, cet écr
it de plus une observation frappante : que Calhoun avait l’habitude d’ écrire l'm pour I’inn, et qu’il a plusieurs lettres de l
e, tout ce qu’il fallait. « 11 y aurait, ii mon avis, des volumes à écrire sur tout cela. J’y trouve une preuve irréfragable
Tables parlantes, 233 à 241 , 342 à 352, 475, 577, 584. — Tables qui écrivent , 333, 584, 647. — Ascension des tables, 447. — Ro
rnant le magnétisme, 320. LISTE NOMINATIVE DES PERSONNES DONT LES ÉCRITS , LES ACTES OU LES OPINIONS sont insérés, analys
20 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
ion que nous allons essayer d’approfondir : Si l’on en juge par ses écrits , M. Clever de Maldigny n’observe les phénomènes m
ts, et peu d’instants après, je la réveille. Sur mon invitation, elle écrit une bonne lettre à sa protectrice. « Ensuite, p
ci M“e Thib..., à qui j’offre de m’indiquer, soit par signe, soit par écrit , soit mentalement,.., mais tout bas, ce qu’il lui
aldigny surtout. Bien que nous ne connaissions cet auteur que par ses écrits , il nous paraît un savant trop consciencieux malg
cevoir de Saint-Pétersbourg une singulière nouvelle. Un de mes amis m’ écrit que ces jours passés sa femme, vers trois heures
eur. «Madame, lui dit-il, je viéns encore vous prier, vous supplier d' écrire à mon fils en l’invitant, mais de votre propre pa
ins quant à cette révélation d’outre-tombe, et l’on se décide enfin à écrire au fils du défunt. Simple historien dans cette
e acte de condescendance en faveur des spiritistes, qu’au moment où j’ écris ces lignes un procès est entamé entre deux hommes
nt que l’attention du moment, nous avons substitué les communications écrites , certifiées et authentiques. Savez-vous le fait
uditI Débarrasse-nous de ton noir esprit! Ce démon fallacieux Porte écrits sur sa bannière Les trois mots séditieux : « Am
un feuillet qui déchiré d’un carnet el jeté sous la table, se trouva écrit par la leuime d’un assistant, laquelle était mort
ement à son mari : Ami, et non mon ami. C’était encore tout un cahier écrit de la main des Esprits et tombé au milieu des ass
tenir au succès de votre œuvre. C’est parce que j’y tiens, que j’ai écrit ces quelques lignes d’une cordiale et alfeclueuse
z-vous en perdre la méditation au point de commettre l’odieuse injure écrite avec tant de légèreté dans le précédent numéro de
tentissement dans nos journaux, et que vos lettres en ont parlé, j’ai écrit à M. du Potet les impressions que je viens de vou
vant donner d’ailleurs la lettre que le doyen des médecins français a écrite à M. le l)1 (’.omet, et dans laquelle il combat d
tube de verre comme je l’ai dit. Fais-je bien? je ne sais. Quand 011 écrit à votre journal, ce n’est pas pour vous, monsieur
ent la colère. Lamennais a d6montré que l’indifférence tue, et il a écrit cette phrase, aussi désolante qu’elle est vraie :
On accepte, bien entendu, et en quelques instants l’ordonnance est écrite . Émerveillés de ce qu’ils voient pour la premiè
gle, le poète avait constamment auprès de lui un jeune théologien qui écrivait sous sa dictée et qui l'accompagnait dans toutes
ait révélée par un picotement particulier sur la langue. » Zschokke écrivait ces lignes en 1812, bien longtemps avant que M. R
Il y a trente aus, après Jussieu, Deleuze, homme éminemment instruit, écrivait ses observations sur le magnétisme;,le célébré Am
moyen du levier invisible que Dieu a placé en lui; mais tout ce qu on écrit contre le magnétisme est accueilli dans ce lieu p
tes de liamaïls sont faits pur les Turcs lettrés, et les nouskas sont écrits selon la nature de la souffrance de l'individu qu
ourtant ils provoquent deux observations. 1° Comme médecin amateur, écrit M. d’Arbaud, nous avons appliqué ces deux méthode
Mais abordons le sujet principal qui me procure l’avantage de vous écrire aujourd’hui pour la première fois, et d’entrer en
ra de tout temps, notre très-humble serviteur. Au moment où je vous écris , le vent souffle et gronde violemment au dehors ;
ivre. Malheur aux imprudents qui s’en écartaient par la parole où les écrits , et dont la libre pensée voulait porter son inves
E. Or écomei, petits et grands, Le récit d'un événement On nous écrit de Constantinople, 14 août 1861 : : Dernièremen
la philosophie naturelle (punoV/ia) de la Grèce. Lorsque, parmi ses écrits , Aristotc, ou son successeur immédiat, Théophrast
sin. Préface du tome IV des Œuvres de Biran.) lin autre académicien écrit : « On a dit que c’était l'âme qui éveillait le
iles et fréquents auxquels il est sujet. Les conclusions de son livre écrit avec une parfaite sincérité, je n'en doute pas, a
use à la fois, elle n'en reste pas moins encore jusqu'ici, comme je l’ écrivais dans ce journal en 1858, « le plus hautcon-cept d
aractère de psychisme n’aurait paru plus évidemment démontré. Mais, écrit M. d’Arbaud, ils sont: «purement physiologiques.
omplète, et nous pouvons dire avec assurance que désormais on ne peut écrire sur le magnétisme quelque chose de sérieux sans r
t obtenues de loin, par correspondance. « Il prie avec tant d'ardeur, écrit le témoin oculaire, qu'il paraît de temps en temp
e Siècle. C’était la première fois qu’il passait dans cette ville. Il écrivit la lettre suivante au docteur Macario, qui s’étai
ressionnables; et cela ne doit pas surprendre, puisque, — vous l’avez écrit vous-même, — les sujets restent en rapport avec l
n’ayant rien promulgué, je n'ai ries a défendre. Je ne suis vous m' écrivez que, « dans l’intérêt de la science du mesmérisme
sous nos yeux. Je laisserai de côté tout le langage médical, car j’ écris pour des gens étrangers la plupart aux études méd
bienfait. Les loisirs me font défaut, je me fais même violence pour écrire ; je voudrais qu’un autre moi-même produisît mon l
ants; c’est pourquoi encore mon œuvre ne ressemblera à aucun de leurs écrits . Et si, par aventure, mon esprit s’élance dans le
tendant. — Monsieur, c’est un honnnc assis dans votre fauteuil et qui écrit sur votre ardoise. 11 m’a regardé en face, et je
ela se fait, mais je vous jure qu’il était là tout-à-l’heure et qu’il écrivait sur votre ardoise. — En ce cas, il doit y avoir q
ivait sur votre ardoise. — En ce cas, il doit y avoir quelque chose d’ écrit . 11 prit l’ardoise, et lut ces mots: Gouvernez au
prit l’ardoise, et lut ces mots: Gouvernez au nord-ouest. Ayant fait écrire les mêmes mots par Bruce et par tous les hommes d
les mêmes mots par Bruce et par tous les hommes de l’équipage sachant écrire , il constata que l’écriture ne ressemblait à cell
est pas un Esprit que j’ai vu aujourd’hui; il est vivant; l’homme qui écrivait sur votre ardoise est un des passagers pie nous
allé vers cet homme, l’invita à descendre dans la cabine et le pria d’ écrire sur l’ardoise, du côté opposé à celui où se trouv
etourna sans faire semblant de rien, et montrant au passager les mots écrits précédemment, lui dit : — (’.’est bien là votre é
: — (’.’est bien là votre écriture? — Sans doute, puisque je viens d’ écrire devant vous, — Et celle-ci? ajouta-t-il en montra
i mon écriture; mais je ne sais pas comment cela se fait, car je n’ai écrit que d’un seul côté. — Mon second, que voici, pr
Le passager ajouta qu’il ne se souvenait ni d’avoir rêvé, ni d’avoir écrit quoi que ce fut; mais seulement qu’il avait conse
n jeune homme de l’Andalousie, mort à l’âge de dix-huit ans, tint par écrit (1), avoc l'impératrice, une conversation dans un
ailleurs, ne sut pas plus que lereste (les spectateurs ce que sa main écrivit . Une ai)tre fpccç occulte, se disant aussi l’espr
Elle s’empare du crayon et du papier. Je demande si, d’habitude, elle écrit , lorsqu’elle est dans l’état magnétique. — Jamais
colloque se continue par alternatives de coups frappés et de phrases écrites par la somnambule, qui nous interprète successive
forces! La table se soulève, se livre à des contorsions et finit par écrire : « Il ne reste pas tranquille! » Je regarde le d
l... Et le médecin, après avoir tâté le pouls et examiné la langue et écrit six lignes, ce qui n’est pas très-fatigant, se re
pule, on s’en moque môme lorsqu’on se porte bien, et toute ordonnance écrite par eux est soumise au contrôle de la raison du m
r papale. * disciples dès qu’il los avait quittés, que saint Paul écrivit ses Îlpîtres. Dans la dernière année de sa préd
t la chair. » Moi, je le connais « suivant l'Esprit. » « Le Messie, écrit l’auteur, n'est pas un homme, il n’a pas un corps
) En citanl ce passage de la Genèse je n'en conclus pas que Moïse ait écrit la théorie la plus claire sur la création du mond
Georges Sand, sur un des fails les plus mystérieux du Magnétisme, et écrit comme tout ce qu’écrit cet Auteur. La Physiologie
es fails les plus mystérieux du Magnétisme, et écrit comme tout ce qu’ écrit cet Auteur. La Physiologie de la Pensée, de M. Lé
onnement, sans doute, mais avec la plus grande satisfaction, dans les écrits les plus frivoles, comme dans les plus sérieux.
rience et mon droit ne seront point contestés. Je sais tout co qu’ont écrit mes contemporains; j’ai vu hiendes défaillances,
nir en aide à une de scs créatures malades. On s’occupe en ce moment, écrit -on de Londres, de trouver les propagateurs de cet
let répondit à ces généreux efforts; aussi le 22 août suivant, Mesmer écrivit à M. Le Roi, directeur de PAcadémie des sciences,
dre une nouvelle ;...... « . . . .et que M. Mesmer l’avait chargé d’ écrire cette « lettre aux commissaires, en leur offrant
places publiques (â). » Paiit. Fassy. La notice qu’on va lire est écrite par un académicien. Nos lecteurs verront que pour
trouve dans la famille de M. Terceral depuis 1626. Une petite notice, écrite de la main de D. Félix Terceral, son trisaïeul, e
. Apulée (2), d’après Varron, mentionne un fait analogue : «Memini, » écrit -il, n apud Varronem philosophum virum accuratissi
rendre est entièrement neuve, elle n’empruntera rien à mes précédents écrits . Quoiqu’elle doive être spécialement consacrée à
servont à diner, 108 ; — qui font peur à des chiens, 166, 210 ; — qui écrivent sur des papiers déposés, 207 ; — qui parlent de v
ar ordre de l'ar-chovéque de Barcelonne, 602. Intolérance. Faits et écrits portant le cachet d'une violente intolérance enve
t somnambule à son insu, et reniant au réveil les ordonnances qu'il a écrites dans son état lucide, 374. Nazar (le), ou croya
dressée à l'auteur. 360. LISTE NOMINATIVE. DES PERSONNES DONT LES ÉCRITS , LES ACTES OU LES OPINIONS. sont insérés, analy
21 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
: eu ce niouicni môuio vous vous dites que la foi (le celui |ui vous écrit ces lignes n’est pas cette fol enthousiaste et sa
rart a eu beMin !«> U place qui lui était destinée. Depulaque j'ai Écrit ccsligoes.l’iiypnolisme a fait beauooupde bruit.
ccsligoes.l’iiypnolisme a fait beauooupde bruit. Des gens lirtwia ont écrit que t'iiypnollsme c’est lomagniliime.Si fhypuotis
DABD. » (Extrait du Progr's international du 18 octobre 1859.) On écrit de Montargis au Journal du Loiret : Cl Les expé
giiético-plirénologiques , carjeii’aipoint l’intention d’analyser cet écrit cpii, du reste, n’est pas dépourvu d’intérêt, mai
iance que j’a\’ais en mon élèvp, les sep-timents à développer étaient écrits d’avance pour plps de sûreté. ti fi partir îe c
du bon Dieu. Lady Gordon, qui nous transmet ces renseignements, nous écrit qu’elle a été témoin de faits extraorrlinaires en
et laissa chez lui ses béquilles. tiAppariiiotii^.— M. Gérard nous écrit qu’un de ses amis, Stanislas Lesueur, qui apparti
ut temps préoccupé. u Que deviendra la papauté? Un abbé Michon, qui écrit et imprime un gros volume là-dessus, veut qu’elle
e bruit qu'il avait fait en Irlande donna occasion à Saint-Evremont d’ écrire une nouvelle, intitulée le Prophète «landais , da
rieurs de son temps, comme tous les écrivains de nos joui's qui ont écrit ou f|ui écrivent contre le magnétisme, n’a su dir
n temps, comme tous les écrivains de nos joui's qui ont écrit ou f|ui écrivent contre le magnétisme, n’a su dire autre ciiose qu
ffre 14 par 7. lin autre enfant a dit son âge —10 ans — après l’avoir écrit avec autant d’exactitude que le premier, Lelio, s
que le premier, Lelio, si^' la demande d’additionner les deux âges, a écrit 24. Requis de doubler ce nombre, il a tracé ¿8 !
doubler ce nombre, il a tracé ¿8 ! Enfin, sur une ardoise nous avions écrit lemillésime 1877. Après avoir attentivement regar
abru ; croyez-moi, faites peu de cas des antagonistes : si un lauréat écrivait contre la lumière du jour, vous amuseriez-vous à
des membres du corps célèbre auquel je m’adressea dit dans un de ses écrits : « Les véritées bien reconnues ne périssent jama
tomberai infailliblement, et rien ne saurait m’en empêcher, car c’est écrit (1). Voyant qu’il était impossible de tranquill
rages, le grand travail de la réconciliation scientifique. Dans cet écrit , je veux présenter quelques considérations sur le
t poor repousser du pied tous nos travau;i précieux : nos philosophes écrivent l'histoire du demi-monde que le siècle dernier a
et l’hypnotisme. Cet article est intitulé : Revue scientifique et est écrit par M. le docteur Henri Roger, professeuragrégé d
ôt ou tard le public juge les hommes et les choses. Donc la page qu’a écrite Al. le docteur Roger restera, et on la lui placer
recevoir. Vous en aurez l'assurance par la quittance même que j’en ai écrite de ma propre main. L’évêque ignorait que l’on eût
, on vit au pied même de la promesse quelques lignes, qui avaient été écrites depuis peu de la main du philosophe. Elles conten
Je devais r#ch>ojV, selon Jjii’il élail porté par celte promesse, écrite de Mire mnin ; j'en ai été satisfait eitliéremenl
s à Dieu. On assure môme que cettc promesse où ces lignes avaient été écrites de la main de ce philosophe chrétien après sa mor
s vases et les ornements sacrés, on lui confiait particulièrement cet écrit , pour le garder avec soin et le conserver de main
e Désir, toute la médecine spirituelle (en fait et en allégoi-ie) des écrits de Paracelse, Van HelmoDt.Guclénius, Maxwel,\Vird
scriro dans nos aünales deux des plus belles pages sur le magnétisme, écrites par M. Henri Martin. Les voici : «11 existe d
s fait en faveur du magnétisme que tous les adeptes de Mesmer qui ont écrit sur ce sujet jusqu’à ce jour. Quand il s’agit de
e, votre persistance sera regardée comme une in- suUe. (les mvuii/s écriront an r/omrrnemrn/ pom que l’on vous mette une musel
à. Orléans, dicetnbre 1831. Mon cher Lefraoçoia, Ce que tu m’as écrit m'a fait un double plaisir, car, indépendamment d
llait sortir pour s’en informer, un nègre de la maison apporta ce mot écrit au crayon, et qu’avait jeté en passant celui dont
qu’on connaît si peu, et pour laquelle des milliers de volumes furent écrits , prend sa source dans cc fluide universel répandu
e me dire pourquoi il était ainsi, et pourquoi il ne continuait pas à écrire , il me ré- pondit (avec la môme physionomie) :
e j’ai obtenus i si ceux que je vous adresse vous intéressent, quoiqu’ écrits par «ne plume peu exercée, je me ferai un plaisir
(1). Une dame fort instruite et s'occupant beaucoup de métaphysique écrivait un jour sous la dictée de son ange gardien qui, à
ux lui-mème de découvrir la vérité, et qui lui promit, dans ce but, d' écrire immédiatement à un de ses parents, employé dans l
ndre compte moi-môme de sa puissance et de ses effets, au moment où j’ écrivis et depuis lorsqu’on m’a prié d’en faire, mais j
magnétisme, quand un homme de la valeur de M. le professeur Rostan a écrit [Dictionnaire de médecine en 21 volumes, et Trait
la Cllcique ce qui suit :« Pendant plus de dix ans, je parlai et j’ écrivis contre le magnétisme, parce que je ne voyais dans
obscurs lieux d'aisances, se relève anssi presque chaque nuit, lit et écrit sans lumière, et, si on le laisse &ire, ne s'
ïet, chacun apportait son tribut exprimé par la parole, le chant ou l’ écrit , à notre bon Mesmer. On distinguait encore parm
pignon, dont tous les magnétistes apprécient !e mérite et les savants écrits , a obtenu la parole, et, dansun discours qui se r
» Ainsi que j’a’i déjà eij l’honneur de vous lejii-e, il mettait par écrit ce qu'au reveii son souvenir lui fouroissait de D
fisTé-preüve suivante : j’avais à répondre à une lettre qu’il m'avait écrite , l'idée me vint de magnétiser la réponse que jè l
nc fortement, et voici Teffet qu’elle produisit d'après ce qu'il m'en écrivit lui-même : B Aussitôt qu’on m’eut remis la lettre
-mauvais caractère ; U a ordonné l'application d'un onguent dont il a écrit la formule, et m'arecommandé de veiller à n’y p
spensatrice des éloges et des blâmes. G. G. P. S. Cet article était écrit lorsque j'ai pris connaissance d’un chapitre du J
et, peu d'in-slants après, je la réveille. Sur mon invitation, elle écrit une bonne lettre à sa pro-tecti-ice. Ensuite, p
, M'“* Thib..., à qui j’olTre de m’indiquer, soit par signe, soit par écrit , soit verbalement..., mais tout bas, ce qu’il lui
s et je prévins ces messieurs. La veille du rendez-vous, ladyW... m’ écrivit qu’elle s'op-postdt â l'exécution de mon projet.
e toujours indulgents pour les fautes de langue d’un Italien qui vous écrit en français. Pendant ces deux dernières années
e, nous traça la croix et l’inscription de son mausolée. Puis il nous écrivit ces lignes: K Ooftwtÿ patxm voty -7 tu in carcv
erre soulevée par une bombe, pour répandre sur la page qu’il venait d’ écrire . K Eu 18/i7 a eu lieu, me des Grès, un fait ana
C’est déjà un grand fait qu’un homme qui, par état, s’est consacré à écrire sur la science, ait publié un ouvrage volumineux
l flétrira comme unu jonglerie, soit ici suspectc il l’auteur, cai il écrit , p. 25ñ : (. Autant les grands caractères (le l
rofond du prodige magnétique des Mystères? C’est jirobable, puisqu'il écrit dans son traité iea Malaiiet ; « Il n’existe pas
ns « vers cet ensemble lance magistrale est coriace, et mou ôpitre, écrite en courant, va s'oUVir fort décousue aux serres d
entendu que nous laissons â cet auteur la responsabilité de cc qu'il écrit . (*} n ATiil publj^j r^nn^e pr^c^deoic : /n Ver
ore, s’il se peut. « Ne tardez pas un moment, je puis ne plus pouvoir écrire . » Je partis sur-le-champ. Je trouvai .VI. Baron
est eut ageiu (lu'il conviendrait de mieux éludicr. M. AViU'lümoiit écrit : (1 Quaiid le magnétisme animal reposera sur d
ont du mérite de nos objections. L’article de M. Warlomont est bien écrit , bien pensé et logique au point de vue de son aut
plissement de sa destinée. » H avance une grande vérit(?. Fourrier a écrit avant lui : L’homme a reçu des besoins et des pas
tout aussi bien dans les ténèbres qu'au grand jour : ils lisent, ils écrivent , ils brodent ; ils accomplissent n’importe quel a
été adoptée par M. Warlomont. J'ai peu lu les divers auteurs qui ont écrit sur le magnétisme animal ; mais, en revanche, j’a
lectuels; ils vaquaient à leur besogne journalière, ils lisaient, ils écrivaient , ils jouaient aux cartes; ils ignoraient complète
tion empruntée à un petit ouvrage (1) sur la morale et sur les mœurs, écrit parM. Vieillard. (1 Les entreprises du mensonge
ur les phénomènes merveilleux du magnétisme et du spiritualisme : ces écrits , publiés pour l'éducation des boutiquiers, donnés
existence réelled'ini monde inconnu. Il est curieux de lire ce qu'ont écrit sur ce sujet les penseurs des siècles passés; c’e
où je crois la découvrir, et, quels que soient los écarts de certains écrits de Vultaire, il avait r(ind:iiQentalemeiU plus de
il à vous lépliquer ; Messieurs les savants, nous ne méprisons ni vos écrits ni vos discours quand vous nous annoncez que la p
idcnt, c’est rette connaissance « qui faif la grande décora-tiun di'S écrits de saint Aitjusin ; elle sc velruuve dans ceux de
nt qu'iin humilie, lu te fais Dieu. « Jésus leur l'épundit : Il est écrit , et j’ai dit : Voiib l'ics ilioux. » Lvargile S*i
Üans son livre sur le magnétisme, un curé de Paris, l'abbé Hanapicr, écrit : « N’admettons pas cummc autorité, si l’on veut,
ier leur direction ou leur longueur, etc. Quand un somnambule ht un écrit placé sur son épigastre, c’est au moyen des lobes
n. Mais le lendemain, lorsque de sang-froid je me mis à consigner par écrit les circonstances et les résultats de nos expérie
omoeopathie EX E.B SPIRITUALISME. Estimable coDfrëre, En divers écrits , j’ai manifesté la répugnance que j’avais & a
vtm comme cause de presque toutes les maladies. Ailleurs encore, j’ai écrit contre Ifes prétentions de ceux qui, exagérant et
’intermédiaire du Joumd du Magnétisme, vos quatre lettres. Je vous en écrirai deux, une pour l'homœopathie, l’autre pourlespi*
c de notre jiigemeût en soit sufiisamment avertie. » Voilà ce que j’ écrivais en 1858, et peut-être mon énonciation ne fut-elle
qu'elles tendent récipro-juement à s'endure ou à se détruire. Il est écrit , au contraire, que dans le principe Oicu créa le
oajours ansii, l'bomise a'eit pas une dnaiUé, isaiiona moiU, ooiamc l’ écrit suint P«al : Ëtprit, âme «l ûrpa. JL'Ecaanee di*m
ur égard, par celle qui discrédite vos propres œuvres. N’est-il pas écrit dans l'une de nos encyclopédies médicales : Génér
il cette apologie édifiante? (1) Pourtantc«t auteur avait aoirefois écrit , dansuouuTrage de longue élaboration : « L'expé
, selon ce que l’expérience me démontre chaque jour. «Sans doute, m’ écrivez -vous, les faits sont la suprême logique ; mais, e
écuter un travail intellectuel quelconque au somnambule, par exemple, écrire une lettre ou une narration sur un sujet donné, r
la vue magnétique. Cette jeune fille lisait dans l’obsciirité, elle écrivait , elle cousait, elle enfilait une aiguille avcc un
.... Elle va mieux, elle se redresse.,.. Elle regarde sa montre; elle écrit sur son calepin. Elle se remet en marche. Elle s’
qui ferme la loge. Elle sort. Elle regarde de nouveau sa montre. Elle écrit encore. Elle se remet en marche. Elle vient de ce
cuisine pour se laver les mains. Elle consulte encore sa montre. Elle écrit . Elle vient nous rejoindre. La voilà 1 La porte
t de recueillir ce que le vulgaire ne doit point savoir (1). Ce que j’ écris aujourd’hui ne sera point compris, on n’y verra q
fidèle, par le savant et consciencieux baron du Potet, dans un de ses écrits . Bref, après deux mois de traitement magnétique
ivc j7 ne voit rien, dans notre théorie, qui n’ait été plusieurs fois écrit par les auteurs que nous avons pu lire, et que to
enégats qui demandèrent, à qui ne leur demandait rien, pardon d’avoir écrit d'une manière très-sensée sur la science naissant
r ce qui se passe à une grande distance de lui, de 1 exprimer, de l’ écrire ; son esprit de divination qui lui fait pénétrer
nt, 416 ; d’Arbaud, 604. Magnétisme (le) au moyen âge. Extrait d'un écrit de Roger Bacon, montrant, quoique d'on» manière v
, Iancent des projectiles, etc., 138, 379; — qui parlent, 28; — qui écrivent , 161 ; — qui donnent des détails sur leur vie ter
oire de la philosophie herméti que (année 1742). Extrait relatif à un écrit d'outre-tombe tracé au cinquième siècle par l'esp
intitulé la Balance, 493. LISTE NOMINATIVE DES PERSONNES DONT LES ÉCRITS ? LES ACTES OU LES OPINIONS sont insérés, analyé
22 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
et à l'étranger nous firent mieux connaître l'ataxie héréditaire. J' écrivais moi-même sur la question dans un article du dicti
prend ce qu'on lui dit, qui peut lire à haute voix, qui prononce et écrit facilement les mots dont il se souvient et n'est
ent les mots dont il se souvient et n'est empêché de prononcer ou d' écrire les autres que parce qu'il est impuis- sant à e
qu'il peut lire; ni aphémie puisqu'il parle ; ni agraphie puisqu'il écrit . Il est cependant atteint d'un trouble du langa
rais bien dire. A quoi cela sert-il ? Je ne sais pas. Est-ce pour écrire ? - Non. Est-ce pour manger ? - Non. On lui m
le mot journal ? - Non, c'est Toussin. On lui montre le mot Bouton écrit en écriture cursive. - C'est Leroy. Le mot Pipe
Est-ce 2 et 4 ? - Non ce n'est pas cela. Ecriture. On lui demande d' écrire son nom. Elle fait trois essais succes- sifs, s
répétant son nom. Après avoir écrit-Tradol, elle relit ce mot puis écrit Lerat. On demande d'écrire le mot Bonbon. Ell
avoir écrit-Tradol, elle relit ce mot puis écrit Lerat. On demande d' écrire le mot Bonbon. Elle écrit Bom. 3 fois de suit
ce mot puis écrit Lerat. On demande d'écrire le mot Bonbon. Elle écrit Bom. 3 fois de suite à distance. Interrogatoire
our l'heure. C'est une montre. Ecriture sous dictée. - On lui dit d' écrire son nom. Elle écrit Legendre On lui dit d'écrir
e montre. Ecriture sous dictée. - On lui dit d'écrire son nom. Elle écrit Legendre On lui dit d'écrire bonbon. Elle écrit
ée. - On lui dit d'écrire son nom. Elle écrit Legendre On lui dit d' écrire bonbon. Elle écrit Bonnon après avoir été répété
crire son nom. Elle écrit Legendre On lui dit d'écrire bonbon. Elle écrit Bonnon après avoir été répété le mot bonbon.
té répété le mot bonbon. APHASIE amnésique 41 Vous avez 67 ans. écrivez -le. - Elle répète 67 ans, puis elle cherche à l
vez 67 ans. écrivez-le. - Elle répète 67 ans, puis elle cherche à l' écrire en lettres. Ecrivez 1, 4, 12, 60. - Elle écrit
e. - Elle répète 67 ans, puis elle cherche à l'écrire en lettres. Ecrivez 1, 4, 12, 60. - Elle écrit correctement après avo
elle cherche à l'écrire en lettres. Ecrivez 1, 4, 12, 60. - Elle écrit correctement après avoir chaque fois ré- pété l
ment après avoir chaque fois ré- pété le nombre qu'on lui demande d' écrire . Ecrivez 67. - Bien monsieur, 64. Elle répète p
avoir chaque fois ré- pété le nombre qu'on lui demande d'écrire. Ecrivez 67. - Bien monsieur, 64. Elle répète plusieurs fo
monsieur, 64. Elle répète plusieurs fois 64, mais finit par dire et écrire 67. Ecriture copiée. - On lui fait copier le mo
re et écrire 67. Ecriture copiée. - On lui fait copier le mot mardi écrit en cursive ; le mot Baton. Elle écrit : A Car
ui fait copier le mot mardi écrit en cursive ; le mot Baton. Elle écrit : A Cardi Bato. Dessin. On dessine un poisson e
- C'est un poisson. Recopiez le dessin. Elle ne peut le faire. Ecrivez le mot poisson. - Elle écrit Vaisseaux. Lecture
ez le dessin. Elle ne peut le faire. Ecrivez le mot poisson. - Elle écrit Vaisseaux. Lecture. - On lui présente les mots
Elle écrit Vaisseaux. Lecture. - On lui présente les mots qu'elle a écrits . Lisez ce que vous venez d'écrire. - Je ne pour
n lui présente les mots qu'elle a écrits. Lisez ce que vous venez d' écrire . - Je ne pourrais pas. Elle essaye cepen- dant
autres lettres. N ? - C'est un C. 0 ? C'est ou. Le même mot est écrit en écriture cursive. Elle le lit incorrectement.
s'arrête à son nom « Leroy qu'elle prononce bien. A l'endroit où est écrit Legendre, elle lit : « Levendre » et ajoute « c
, puisqu'elle était atteinte de cécité verbale, elle ne parvenait à écrire que 2 ou 3 lettres de suite. Il faut toutefois
t toutefois faire une exception au sujet de son propre nom, qu'elle écrivait t d'ailleurs incorrectement (Leveiidie au lieu
r que la malade était gauchère. Or elle n'éiait pas gauchère ; elle écrivait , man- geait, etc.. de la main droite. Déplus la
, entend et comprend les questions qu'on lui pose, ne peut ni lire ni écrire ; cependant la vision est intacte. Elle articul
scription et ceux qu'il prenait pour type : voici en effet ce qu'il écrivait : « Une attitude quelque peu semblable est présen
latine ; nous n'avons aucun renseignement à cet égard. S'il l'avait écrite lui-même, ce serait certainement un document fort
ermes qu'il est intéressant de reproduire : «Entre les chirurgiens, écrit -il, qui excellent aux oeuvres de l'art, il en e
par Messieurs de la Faculté de Médecine, je me départirai d'en rien écrire en ce lieu ». Comme vous le voyez, la « guerre
ans. Paré avait eu aussi l'audace, n'étant que simple chirurgien, d' écrire un chapitre Des fièvres. Il dut le supprimer da
es enfants ont trouvé dans les papiers de l'auteur : « Ami lecteur, écrit -il, j'avais bien prévu que le Traité des fièvres
. Un des griefs allégués par la Faculté contre A. Paré, c'est qu'il écrivait L en langue vulgaire, alors que le latin était
rivilèges des chirurgiens, et pardessus tout la « haine volontaire, écrit -il, envie et jalousie de voir Ambroise Paré en qu
en son état ». D'ailleurs, ajoute-t-il, le divin Hippocrate a-t-il écrit dans une autre langue que celle connue et entendu
nce de la part des chirurgiens qui n'étaient pas même capables d'en écrire la première page en latin ». Elle décida que le t
end en ces termes de cette accusation : « Quant aux écrouel- les, écrit -il dans son mémoire au Parlement, cela est conn
après la prise de Hesdin, le roi averti qu'il était prisonnier, fit écrire à sa femme qu'il se chargeait de payer sa rançon.
pas donné de « poudre de momie ». C'est à cette occasion que Paré écrivit son mémoire sur ce sujet. La poudre en ques- ti
t pour satisfaire la curiosité du même seigneur des Ursins que Paré écrivit son mémoire Sur la licorne. Il reconnaît qu'on n'
'accepterai l'explication fournie par Malgaigne : « Ce qui fatigue, écrit -il, dans la lecture de l'ouvrage de Paré, c'est
tement des bubons est supérieur à tout ceci. « On pourra pren- dre, écrit Paré, une poule commune qui ponde afin qu'elle ai
ve dans la paralysie générale. C'est ainsi qu'en décembre 1898 K... écrivit encore à ses parents une lettre très enfantine
lade renversait beaucoup de tabac en bour- rant sa pipe ; lorsqu'il écrivait , des soubresauts musculaires le faisaient dévier
faisceau longitudinal postérieur. Voyons en dernier lieu ce qui est écrit dans les plus récents traités de la pathologie
ire. « N'est-ce pas en effet, au niveau de l'extrémité céphalique - écrivent MM. Raymond et Cestan organe essentiel de direc
e, 20 mois après le début de sa déviation vertébrale, son médecin m' écrivait que la scoliose persistait, peut-être un peu mo
ve des personnes qui ont la crampe professionnelle pendant qu'elles écrivent des chiffres et non des lettres, pendant qu'elles
qu'elles écrivent des chiffres et non des lettres, pendant qu'elles écrivent en présence d'une autre personne, pendant qu'el
gêné par la crampe professionnelle temporaire, il a la difficulté d' écrire , il est devenu un infirme de sa profession. Tan
a plume dans sa main, il se sent bien portant. Mais il lui suffit d' écrire quelques lettres et même quelques mots pour qu'
en portantes elles sont incapables de se servir de leurs mains pour écrire . Elles ont bien re- cours à leur main gauche, m
de l'écriture. Le jour où ces ouvriers se mettront à apprendre à bien écrire , leur écriture n'aura pas la forme de l'écritur
ont rarement été utiles ; on peut engager les malades à apprendre à écrire de la main gauche, mais on ne peut leur promett
ain ; 2° à faire un choix judicieux des ustensiles nécessaires pour écrire et 3° à apprendre à sténographier et à écrire à l
iles nécessaires pour écrire et 3° à apprendre à sténographier et à écrire à la ma- chine. Il est, certainement, difficile
ucation de l'écriture consiste non seulement à rééduquer la façon d' écrire , mais aussi à mettre les muscles spasmodiques en
LA CRAMPE PROFESSIONNELLE 227 possible de formuler cette manière d' écrire , nous dirions volontiers que cette disposition
ices avec la main en position ordinaire; de cette façon il arrive à écrire avec la main renversée et avec la main ordinaire
ataxies d'écriture ne tiennent qu'à ce que l'individu ne peut plus écrire lentement. Ensuite, faut recommander au patient
de la crampe professionnelle a son esprit éloigné des lettres qu'il écrit , son cerveau est ailleurs. Enfin, il faut mettre
faut mettre le patient sous les conditions indispensables pour bien écrire . Pour satisfaire à cette dernière condition, no
ter ainsi la possibilité d'un spasme.Nous recommandons au patient d' écrire un bâton sous commandement Un, l'encre, Un, l'e
n bâton sous commandement Un, l'encre, Un, l'encre, etc. Le bâton s' écrit , par conséquent en un temps. La lettre 0 s'écri
e, etc. Le bâton s'écrit, par conséquent en un temps. La lettre 0 s' écrit en deux temps : (, l'encre- ).La lettre p s'écrit
ps. La lettre 0 s'écrit en deux temps : (, l'encre- ).La lettre p s' écrit en deux temps 1 l'encre o ; la lettre k s'écrit
re- ).La lettre p s'écrit en deux temps 1 l'encre o ; la lettre k s' écrit en trois temps : - l'encre l'encre ; la lettre
lettre k s'écrit en trois temps : - l'encre l'encre ; la lettre S s' écrit en deux temps : c l'encre o ; la lettre a s'écrit
e ; la lettre S s'écrit en deux temps : c l'encre o ; la lettre a s' écrit en deux temps : o l'encre -i ; la lettre R en t
la lettre R en trois temps - l'en- cre o l'encre f ; la lettre A s' écrit en trois temps : 1 l'encre l'encre, (A) ; B s'é
; la lettre A s'écrit en trois temps : 1 l'encre l'encre, (A) ; B s' écrit en trois temps et ainsi de suite. Ici, comme da
s de l'écriture, nous abrégeons les pauses et nous lui permettons d' écrire toujours sous commandement les lettres en entier,
ent les lettres en entier, de ne chercher de l'encre qu'après avoir écrit une lettre, deux lettres, trois lettres, un mot,
, trois lettres, un mot, deux mots et ainsi de suite. Cette façon d' écrire nous permet dans peu de temps d'obtenir que le
séance tenante, en lui indiquant les défauts. De plus, nous faisons écrire le patient sous dictée, afin de l'habituer aux
signe d'écriture. «Il suffit, dit M. Gilbert Ballet, d'apprendre à écrire avec lenteur, pour qu'une crampe des écrivains
eu de surdité verbale. Cette femme n'ayant jamais appris à lire et écrire , il ne saurait être question d'agraphie ou d'alex
pe la retient trois semaines au lit, et c'est quand elle se remet à écrire qn'apparaît la crampe des écrivains. Les tourné
ù, quoique encore très faible, on lui permet de se lever, elle veut écrire une lettre, et dès le commencement de cette lettr
tremblement dispa- raît et que soeur M. I... retrouve sa facilité à écrire . * Jusqu'en 1899, chaque année à la fin d'octob
et d'aggravation jusqu'à la fin de 1901. La malade est obli- gée d' écrire très lentement. A cette époque les phénomènes s'a
s phénomènes s'aggravent et il y a impossibilité presque complète d' écrire . Arrive le 1er janvier 1902. Soeur M. L.. reçoi
se met à répondre à toutes ces lettres sans le moindre accident (elle écrit plus de quatre heures par jour). Puis, fin janv
ge, mais, paraît-il, avec moins de succès. Cependant la malade peut écrire pendant tout le mois quatre à cinq heures par jou
e à cinq heures par jour. Aussitôt après, retour de la difficulté à écrire . Cette gêne augmente ; la malade peut écrire beau
our de la difficulté à écrire. Cette gêne augmente ; la malade peut écrire beaucoup moins ; en avril, elle ne peut pas écr
; la malade peut écrire beaucoup moins ; en avril, elle ne peut pas écrire plus d'une demi-heure de suite et en- core très
C'est peu après, en mai, que nous voyons la malade. Quand elle veut écrire , elle se place simplement et naturellement à la
que les accidents apparaissent. L'on voit la malade s'ap- pliquer à écrire et écrire très lentement comme un écolier ; la ma
cidents apparaissent. L'on voit la malade s'ap- pliquer à écrire et écrire très lentement comme un écolier ; la main au mili
(quatre ou cinq).Sitôt t celles-ci disparues, la malade se remet à écrire . Cela se produit surtout pour l' certaines lett
e de la diffi- culté est telle qu'il faut plus de deux minutes pour écrire une ligne. Ces accidents se produisent uniqueme
Ces accidents se produisent uniquement avec la plume. Quand la malade écrit véritablement avec un crayon ou quand elle simu
uand la malade bâillait, marchait (tous les trois ou quatre pas) ou écrivait . Pendant la lecture d'un livre, rien d'anormal ta
u'elle ne pourra lui rendre aucun service. Chaque fois qu'elle doit écrire , elle se dit : « Pourrai-je écrire ? C'est bien e
ervice. Chaque fois qu'elle doit écrire, elle se dit : « Pourrai-je écrire ? C'est bien ennuyeux de ne pouvoir pas écrire.
e dit : « Pourrai-je écrire ? C'est bien ennuyeux de ne pouvoir pas écrire . Sûrement je ne pourrai pas écrire. » Cette idée
bien ennuyeux de ne pouvoir pas écrire. Sûrement je ne pourrai pas écrire . » Cette idée la poursuit cons- tamment et augm
amélioré. Quelques mois plus tard(dé- cembre 1903), la malade nous écrit que ce n'est que dans des circonstan- ces excep
presque la certitude de la guérison. Nous lui avons alors appris à écrire de la main gauche ; au bout t de quelques jours
aire sa correspondance de la main gauche. Défense lui était faite d' écrire de la main droite. Quand nous som- mes sûr que
que Soeur M. I... ne craint plus d'être un jour dans l'incapacité d' écrire ,la psychothérapie ayant commencéson oeuvre ; nous
métacarpien, vers la naissance de l'index. Chaque jour nous faisons écrire la malade, nous plaçons l'index et le médius à
notre doigt est inutile. Au bout de quatre semaines la malade peut écrire presque aussi facilement qu'autrefois. A chaque
sa main n trembler presque dès le commencement de la lettre qu'elle écrivait dans les circonstances que nous avons rapportée
nouvel an (plus d'une centaine), elle lui de- mande de pouvoir les écrire sans trembler. Le résultat ne se fait pas atten
rire sans trembler. Le résultat ne se fait pas attendre et elle les écrit avec la plus grande facilité, sans observer la
CRAMPE DES ÉCRIVAINS ET TORTICOLIS D'ORIGINE MENTALE 291 sibilité d' écrire . Nous lui avons montré avec insistance qu'au cont
de la nature mentale. Vers le milieu du traitement, quand la malade écrivait , si nous retirions nos doigts, l'écriture restait
riture restait correcte, tant que la malade absorbée par ce qu'elle écrivait ne s'en apercevait pas ; sitôt qu'elle le voyai
ur où, après trois semaines de maladie, elle quitte son lit et veut écrire . HOPITAL BROUSSAIS. SERVICE DE M. LE DOCTEUR OE
ers normaux. Intelligence un peu lente, enfantine ; mais sait lire, écrire . Instabilité men- tale. Mémoire conservée.
té l'hôpital le 3 juin complètement guérie. En septembre, le père a écrit une lettre de remerciements. En décembre, nous av
rprétation de leur état : c'est une extase et la sainte Vierge leur écrit . Stupéfaction de l'abbé F... qui répugne à cett
tentait d'observer; les conseillers B... et F... certi- fiaient par écrit les invraisemblances les plus grossières. Il fall
e conseil s'émut des plaintes de la population. Le 29 mars 1881, il écrivait en effet à ce fonctionnaire : « Tous les habitant
onstans quittait Morzine où n'existait plus une seule pos- sédée et écrivait la relation de cette épidémie, terminant ainsi :
II n'aime pas trop la gendarmerie, car il se croit être le chef ? « Ecrivez -moi quand vous aurez besoin d'autres renseignemen
sances assez limitée. Il n'a aucune culture ; il ne sait ni lire ni écrire , ce qui d'après lui serait la faute de ses pare
as d'hallucinations. L'orientation allopsy- chique altérée. Il sait écrire . Il a été cabaretier et en même temps recéleur po
rmations des annexes foetaux sur lesquelles Dareste (47) a beaucoup écrit , est, au contraire, toujours en crois- sance. T
entrée. Alors que l'écriture lui était très difficile, il a pu nous écrire une longue let- tre, au crayon il est vrai, mai
ccupation médicale n'a guidé le pinceau du peintre. M. Feuerstein m' écrit qu'il a été frappé de la brièveté et de l'insuf
t faites par les chirurgiens d'enfants qui, eux aussi, comme nous l' écrivait A. Broca, (2), observent fréquemment des exosto
cale des Hôpitaux, 4 juillet 1890, p. 620. (2) BROCA, Communication écrite . (3) E. ALBERT Oeil, Un cas d'exostoses multipl
Progrès Médical, 10r août 1885, p. 71. (2) A. BRocA, Communication écrite . XOUV. ICONOGR. DE LA SALPÊTRIERE T. XVIII, P
ie de Chirurgie, dans le Sepulcretum anatomic1t1n et enfin dans les écrits du Morgagni. Dans le cas de Giommi, la tumeur ava
développement intellectuel est faible, la malade ne sait ni lire, ni écrire ; caractère irritable. - Examen des yeux. - D
telligence rudimentaire. Cependant elle a été à l'école, sait lire, écrire et un peu compter. Lorsqu'on l'examine on découvr
23 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l civil de la Rochelle : « Si vous ne me rendez pas justice, a-t-il écrit , je vous brûlerai la cervelle. » R... prétend ê
si, dit-il, j'avais eu l'intention de le faire, je ne l'aurais pas écrit . Mais il ne cessera de menacer jusqu'au jour où j
e. Il ne comprend pas qu'on veuille le faire passer pour fou. Ses écrits sont d'ailleurs l'écho de ses récriminations verb
ire spontanée est abolie, ainsi que la parole en écho; elle ne peut écrire sous la dictée. Sa famille veut la faire tester
si que la parole en écho ; la malade peut lire un peu, mais ne peut écrire spontanément. « Je suis malheureuse, disait-ell
nditions pour faire un testament mystique, alors même qu'elle l'eût écrit de sa main. Depuis plusieurs mois, 111m X... a
primaire de sept à treize ans et y a appris péniblement à lire, à écrire et à compter. Il travailla ensuite dans le magasi
ou promené à leur surface laisse sur'eux son empreinte ou la trace écrite en relief de son passage. L'on conçoit dès lors
ociété médicale des hôpitaux', sur la peau de laquelle l'on pouvait écrire en relief avec tant de netteté que M. Mesnet, a
l hésite à le croire. II parlait très bien; il ne savait ni lire ni écrire ; en outre, il avait la tête un peu lourde. Pas
u'on disait ». Il pouvait parler très bien, il ne savait ni lire ni écrire . d). Augmentation du volume de la tête. D'après
lui parlait mais qu'il ne com- prenait pas. Il ne savait ni lire ni écrire . En même temps il était pris d'une incommodité
lait, mais je ne comprenais pas. « Le malade ne savait ni lire ni écrire . Ces espèces d'aphasie n'ont pas duré plus de t
ce avec complète apathie. On joue le mutisme; on agit, on parle, ou écrit avec l'absurdité la plus parfaite. Puis vient l
.) Sous ce litre, le savant privat-docent bien connu de Leipzig a écrit un Manuel de séméiologie des Maladies du système
son attitude, son habitus; comment converse-t-il avec vous, comment écrit -il ? Sa connais- sance a-t-elle subi des pertur
qualités littéraires, vient de publier un ouvrage fort intéressant, écrit avec clarté et élé- gance, malgré la nature du
laisse complètement ignorer à ses lecteurs qu'en 1860 Char- pignon écrivait sur la matière une brochure des plus sublantielle
fait des études de droit que de médecine - l'auteur de cela, nous écrit -il (p. V.) : « Les phénomènes hypnotiques, en méd
gers réels de l'hypnotisme ne résident pas dans la suggestion, nous écrivons : « Qu'on nous apporte un cas authentique (de c
pour effet immédiat de déna- turer singulièrement ce que nous avons écrit . « En terminant sur ce point, dit-il (p. G37) j
'EST pas dans la SUG- « gestion que résident ces derniers; il avait écrit dix pages plus « haut) : L& suggestion EST
evenir médecins d'asile ne se conten- tent pas de faire une demande écrite ; ils viennent faire des démarches à Paris. En s
teurs généraux indique qu'il y aura deux épreuves : 1° une question écrite , éliminatoire dans le cas où le nombre des cand
article : Les épreuves seront au nombre de quatre : 1° une question écrite , portant sur l'analomie et la physiologie du sy
e donnés au début de la première séance de lecture des compositions écrites . La Commission a pensé que le concours pour les
VI. Les épreuves seront au nombre de quatre : 10 une qites- lion écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du systè
nés au début de la première séance de la lecture des compositions écrites . 9 mai f888. - Le rapporteur, BOUR\El'1LLE.
eur de médecine légale à la Faculté de Lille. Epreuves : 1° Epreuve écrite : Cervelet (Anatomie et Physio- logie); les que
Il a obtenu les points suivants : Epreuve sur titre, 8 sur 10; Ep. écrite , 2 : : sur 30; Ep. orale, 14 sur 20; Ep. cliniq
ile d'Auxerre (Yonne). Les candidats ont eu à traiter la ques- tion écrite suivante : Anatomie et physiologie du lobe pnriét
aux; M. le D'' Picqué, chirurgien du bureau central. La composition écrite a eu lieu lundi 10 dé- cembre. La question donn
t de cécité verbale (Wort- taubheit, Wortblit3dlieit). Bien que les écrits de ces auteurs aient mis en plus grand relief c
nt intacte; les malades n'ont pas perdu le pou- voir de parler ou d' écrire , mais bien que l'audition soit parfaite, ils ne
t parfaite, ils sont incapables de lire et de comprendre les mots écrits ou imprimés qu'ils voient. Dans ces deux formes,
ve de la faculté du langage qui est affectée. Bien qu'on ait tant écrit sur l'aphasie sensorielle, des opinions si dive
illes d'observations, ainsi que les questions qu'on lui adresse par écrit ; elle y répond, soit de vive voix, soit par écr
n lui adresse par écrit; elle y répond, soit de vive voix, soit par écrit , avec un peu de réflexion cependant. La sensibi
nesthésique étaient intactes, car le malade pouvait lire, parler et écrire . Comme c'est seulement depuis peu d'années que
ue s'il n'avait jamais appris à lire; mais, chose curieuse, il peut écrire sous la dictée (ce qui existe s'il n'y a pas de
y a pas de surdité verbale) ; il peut même exprimer ses pensées par écrit ; mais il est incapable de lire ce qu'il a lui-m
ensées par écrit; mais il est incapable de lire ce qu'il a lui-même écrit . Il faut, .encore une fois, s'en rapporter au t
esl la perte de la vision des mots, ou plus généralement des signes écrits . La forme de cécité corticale qu'on a l'occasio
, et les mouvements de la main étaient assez revenus pour qu'il put écrire lisiblement. C'est alors que se montra un phéno-
ner un ordre concernant ses affaires chez lui, il prit une plume et écrivit ses instructions; puis pensant qu'il avait oubl
it oublié quelque chose, il demanda à voir la lettre qu'il venait d' écrire , mais il lui fut impossible de la lire ! Ce qui
originalité, cet étrange phéno- mène, qu'il lui avait été capable d' écrire , mais qu'il lui était tout à fait impossible de
minant plus en détail ce dernier symptôme, on observa qu'il pouvait écrire une longue lettre sans faute d'orthographe impo
t écrire une longue lettre sans faute d'orthographe importante. « J' écris , dit-il, comme si j'avais les yeux fermés ; je
, dit-il, comme si j'avais les yeux fermés ; je ne lis pas ce que j' écris . » Défait il écrivait aussi bien les yeux fermé
j'avais les yeux fermés ; je ne lis pas ce que j'écris. » Défait il écrivait aussi bien les yeux fermés. Il vient d'écrire s
'écris. » Défait il écrivait aussi bien les yeux fermés. Il vient d' écrire son nom; on lui dit de le lire : .< Je sais
de le lire : .< Je sais bien, dit-il, que c'est mon nom que j'ai écrit , mais je ne puis le lire. » Quelques jours ap
voit que le malade avait perdu toute notion des signes du langage écrit au point de vue de la réception, tandis qu'il a
s obligée de lui dire que ce n'était pas le journal qui était mal écrit , mais que c'était lui qui ne pouvait lire. » Ce
t il se servait, il comprenait réellement le sens de ce qui était écrit . Il est, en outre, établi qu'il comprenait parfai
ns lesquels le malade n'ap- précie pas le sens des mots imprimés ou écrits . En analysant le cas de ce malade, on verra que
URDITÉ VERBALE. 219 Pathologie. Bien qu'on ait récemment beaucoup écrit sur la surdité verbale et la cécité verbale, la
e, étaient dus à ce que l'ablation était incomplète'. Au moment d' écrire les lignes précédentes, mon attention a été fra
e, par la mimique et surtout par l'écriture. Le malade sachant bien écrire , écrivait ce qu'il voulait. Le capitaine du bat
mimique et surtout par l'écriture. Le malade sachant bien écrire, écrivait ce qu'il voulait. Le capitaine du bateau lui répo
lade étant dans la possibilité de comprendre très bien ce qui était écrit , soit en lui adressant des paroles, le malade c
s son attaque précé- dente (il y avait déjà deux années) il pouvait écrire , il essaye et il y arrive parfaitement. Profita
t. ' Le malade concevait bien ce qu'on lui disait et ce qu'on lui écrivait .' Cette fois-ci encore, le malade n'avait eu ni
l m'a fait un signe affirmatif. Mais, pour être plus sûr, je lui ai écrit : « Donnez-moi la brosse, le crayon, l'encrier, e
er, etc., etc. » Il le faisait aussitôt. Enfin, je lui ai proposé d' écrire son nom, son pays, son âge, etc., etc., ce qu'i
sait, mais il ne pouvait y répondre. Le malade ne savait ni lire ni écrire . ' ' Dans l'après-midi, vers z heures, le malad
épondre, il n'émettait que des cris. Le malade ne savait ni lire ni écrire . Au bout de trois à quatre minutes, ce trouble
nt qu'avant son accident. Ce scaphandrier n'a appris ni à lire ni à écrire . Le malade n'aurait eu ni vertiges,, ni perte d
r la parole entendue. Impossibilité de com- prendre tout ce qui est écrit . ' Agraphie. Traitement par coin- pression. Imm
observer par signes, mais je ne comprends pas. Si on lui propose d' écrire , on voit qu'il ne peut y parvenir; pour la plup
re, on voit qu'il ne peut y parvenir; pour la plupart des mots il n' écrit que la première lettre ; pour quelques-uns, la
cevait parfaitement bien ce qu'on lui disait, qu'il lisait et qu'il écrivait tout aussi bien qu'a- vant l'invasion de son ac
imer sa pensée et qui lisait, mentalement, tout avec facilité; il écrivait couramment et il concevait parfaitement tout ce
et il concevait parfaitement tout ce qu'il lisait et tout ce qu'il écrivait . Or, nous étions là en présence d'une aphasie m
es mouvements gra- phiques. Il n'avait jamais appris ni à lire ni à écrire . Nous n'avons pas observé de cas de cécité verb
elle des mots : il ne pouvait pas lire, mentalement, ce qui était écrit ; c), la mémoire des mouvements graphiques : il
c), la mémoire des mouvements graphiques : il n'était pas capable d' écrire ; d), incomplètement la mé- moire auditive des m
tait l'origine de tous les phénomènes hypnotiques. Or, ceux qui ont écrit sur ce sujet n'ont pas tou- jours procédé de la
s le compte rendu détaillé d'un travail qui ne semble pas avoir été écrit pour eux, ainsi qu'ils en vont juger par ces qu
êmes fonctions'. Précisément à ce sujet, M. le professeur Charcot écrivait , en 1876 : « En présence des expériences et des
t seuls décider de la nature fonctionnelle d'une aire 'excitable », écrivaient Luciani et Tamburini, en 1878, dans leur premie
d'hérédité. Buvait, parfois même avec abus. Le malade sait lire et écrire , est intelligent et sensé, par conséquent, il y
n- sibilité dans tout le corps (p. 117). « Fiesste Nadel- Stiche, écrit Fuczek, werden niergends schmerzhaft empfuudeu
a été constatée depuis fort longtemps par tous les auteurs qui ont écrit sur la question. J'entends les douleurs muscula
Il concevait très bien la parole entendue ; il ne savait ni lire ni écrire . A 5 heures du soir, ce malade commen- çait à p
bien ce que l'on disait autour de lui. Le malade ne sait ni lire ni écrire . -- i Au bout de vingt minutes, le trouble du l
encore les mots comme un petit enfant, mais sans difficulté ; elle écrivait couramment. Je citerai encore : un cas de malad
24 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
entre un signe et la faculté qu'il représente? » L'homme, quand il écrit , se trouve tout entier dans sa plume et par suite
irectement, avec l'aide des intermédiaires exécutifs, pense, parle ou écrit . Tout sentiment, toute sensation, toute pensée a
raduction de la pensée, mais ce qui frappe en voyant une personne qui écrit , c'est l'oscillation continuelle de la main, osci
n leur rôle particulier. Cette activité musculaire, nécessaire pour écrire , a été mise en évidence par Burckhlardt, qui l'a
myographe donnent une élévation modérée lorsque l'écrivain est prêt a écrire , ce qui semble indiquer que l'acte de tenir la pl
une action tonique de la part des trois groupes musculaires. Si Ton n' écrit pas. l'élévation diminue et finit par se perdre ;
i Ton n'écrit pas. l'élévation diminue et finit par se perdre ; si on écrit , à ce moment l'élévation continue et il y a forma
transmet par la moelle épinière. Le langage articulé et le langage écrit , si je puis m'exprimer ainsi, étant des manifesta
erveau au point de vue sémérotique; ce sont : Étude sur ta valeur des écrits des aliénés, du Dr Marcé, en 1864 ; il s'étend su
du Dr Marcé, en 1864 ; il s'étend sur l'étude que l'on doit faire des écrits des aliénés, mais sans expliquer la provenance de
e l'hémisphère cérébrale gauche. En tant que nous sommes habitués à écrire avec la main droite, il est évident que les mouve
droite, il est évident que les mouvements nécessaires pour l'action d' écrire doivent se trouver paralysés par une attaque do l
paralysés par une attaque do l'hémisphère gauche. Mais nous pouvons écrire avec la main gauche ; alors la question s'étend a
tre un centre particulier cérébral, c'est-à-dire la manière dont nous écrivons dépend-elle des nécessités psychologiques créées
chologiques créées par la situation même du cerveau? Tous les peuples écrivent de la main droite; donc c'est l'hémisphère cérébr
ré, à l'exception des lettres f, l, r, qu'il ne pouvait pas davantage écrire ; en parlant il les omettait, et en écrivant les
e par suggestion. d' « aphasie de la main », il lui rend la faculté d' écrire en pressant le cuir chevelu de la zone crânienne
Schrenck Ntoring a été excellemment inspiré lorsque l'idée lui vint d' écrire son livre, mais surtout d'éclairer son sujet de l
onanisme, de la satyriasis et de la nymphomanie. Successivement, il écrit l'etiologie. la symptomatologie, le diagnostic et
c). Richet, Gedankenuebertraguns.— Édition allemande comprenant les écrits divers du professeur Ch. Kichet sur la transmissi
eut l'examiner. L'intelligence est intacte. Il répond très bien par écrit ; on répète à dessein les mêmes questions sous plu
t le bruit, li n'a pas de cécité verbale, car il répond tres bien par écrit , et comprend même â peu prêt, au mouvement des lè
un de tes voulut de lit. Il faut remarquer cependant que lorsqu'il a écrit pendant quinze à vingt minutes, il n'a pas ce q
par la parole, il n'en est pas de même de la suggestion par la parole écrite . En effet, l'écriture ne peut évoquer directement
conditions où je me serais trouvé si le malade n'avait sa ni lire ni écrire . Je me décidai à employer le sens du toucher pour
t d'entendre très bien comme par le passé. J'appris alors qu'il avait écrit que, depuis longtemps, il entendait beaucoup moin
'osuvre la plus vivante et la plus étrangement documentée qui ait été écrite sur les mœurs si ignorées des peuples divers, don
bientôt dépassée. Si l'on suggère à un malade de causer beaucoup, d' écrire , de se promener, d'ouvrir les yeux pendant son so
on excite les malades affligés de la crampe des écrivains (a) [1] à écrire en dormant, les parétiques endormis sont invités
t sans tenir compte du fait que les membres de l'État peuvent lire et écrire . Il n'est pas besoin de croire à une force vita
rces qui jouent un rôle comparable à celui de la faculté de lire et d' écrire des membres dans l'ensemble d'un État. Le médec
me qui voudrait réformer un État sans connaître la force de la parole écrite et qui s'imaginerait devoir ainsi communiquer ses
(a) Je n'ai en vue ici que la névrose locale, dans laquelle l'acte d' écrire se trouve entravé par inhibition de la volonté.
lui demander? Le président. — C'est bien. [Au greffier. ) Vous avez écrit ? Le greffier. — Oui, monsieur le président.
lectures dénotent un esprit assez cultivé : elle a lu tous les romans écrits par des auteurs connus. Elle ne s'endort qu'a qua
ement connaître mes idées sur la suggestion, de les chercher dans ces écrits et à ma clinique, et de juger par lui-même les ap
e a été exprimée en termes tellement exagérés que j'ai cru devoir les écrire sou* ta dictée de M. Bernheim. J'ai reproduit ces
n disant que pour elle la chambre c'est la voilure. Elle sait lire, écrire et compter, chose rare chez les enfants de saltim
les mouvements spasmodiques de la main droite ne lui permettent pas d' écrire ni de se livrer à aucun travail de coulure. Le
grand'- mère; vous apprendrez facilement vos leçons ; vous pourrez écrire vos devoirs, vous pourrez travailler à ta couture
i, frappé de cécité verbale, arrivait cependant à comprendre les mots écrits qu'on lui mettait sous les yeux en exécutant de l
bulisme. On leur suggéra que, tout en pouvant continuer à parler et à écrire , il leur était devenu absolument impossible de li
rbale pure. Chez les deux, on obtint des résultats identiques ; elles écrivirent sans difficulté sous la dictée une phrase qu'elle
t'imagina de lui mettre un cravon dans la main droite et de loi faire écrire , en dirigeant ses mouvement', la phrase suivante
entendre. » Il fallut longtemps et recommencer souvent à lui faire écrire certains mou avant qu'elle comprit cette phrase.
a malade pouvant prononcer les mots an fur et à mesure qu'ils étaient écrits et être reprise aussitôt par la main qui guidait
it une grande habileté à saisir le sens de» phrases qu'on lui faisait écrire , et eu arriva à entretenir de véritables conversa
rieur ail été modifié, la malade fait signe qu'elle veut le crayon et écrit ce qui suit : (1) P. — Ce qu'on fait écrire a l
u'elle veut le crayon et écrit ce qui suit : (1) P. — Ce qu'on fait écrire a la malade ; R. Ce qu'elle écrit spontanément.
ui suit : (1) P. — Ce qu'on fait écrire a la malade ; R. Ce qu'elle écrit spontanément. (2) En attaque somnambulique. dél
doigts de la main droite, saisis sa main dans la mienne, et lui fais écrire ce qui suit : D. — Faites bien attention, je va
lez dormir... (à ce moment, elle repousse la main de la religieuse et écrit toute seule :) R. — Va donc pas si vite ! D.
allez dormir... (elle repousse de nouveau la main de la religieuse et écrit :) R. — Je voudrais entendre, et surtout voir,
nt avant qu'elle revienne à elle. Aussitôt elle s'empare du crayon et écrit : — Il y a longtemps que cinq secondes sont pas
. Pour la faire entendre, nous procédons de la façon suivante. Nous écrivons et lui faisons lire ce qui suit : « Je vais vous
le habituellement. Quelques instants après elle saisit le crayon et écrivit : « Ou'est-ce qui sonne comme cela dans mes oreil
sa main réveillent dans son cerveau l'idée que représentent les mots écrits , et la voilà de nouveau en communication les pers
ificiel qui se produit quand nous lui commandons de dormir. Si nous écrivons avec sa main ; « Vous allez dormir cinq secondes
. Il n'est plus revenu. Il est guéri (i). (1) que cet article est écrit , je l'ai revu; il est resté guéri. il m'a demandé
e mettre en eux. C'est là l'hypnotisme vulgaire. Voici ce qu'il m' écrivait le mardi : - Ma première cigarette, hier, après d
impression. Croyant A une mauvaise disposition, j'ai différé de vous écrire ainsi qu'il était convenu ; mais depuis, après qu
ation désagréable. Puissé-je renier émancipé... etc. « Au moment où j' écris ces lignes, après huit semaines, il reste émancip
es renseignements qui suivent de la lettre qne le mari a bien voulu m' écrire a ma demande, après guérison confirmée : c ...
i résulte du reste do la lettre qu'on vient de lire et que son mari m' écrit le 9 août, c'ost-à-dire quatre mois après la cess
nergique pourra leur imprimer. Malgré moi, la belle scène de l'église écrite par Guy de Maupassant dans la Maison Tellier, me
seule, semblant obéir à un mot d'ordre. « Une foule, a excellement écrit M. Tarde, est un ramassis d'éléments hétérogènes'
ilibrés quand ils ont en mains la toute-puissance. C'est, comme l'a écrit Taine, . un vin trop fort pour la nature humaine;
ement*. Kniln, dans le dernier, on trouvera un résumé de ce qui a été écrit sur la s uggestion dans ses rapports avec l'éduca
iracula, atque lucrans mirabililer ! Il faudrait méditer La lettre qu' écrivait de Jérusalem a sa mère ce grand esprit, ce coeur
té du prédi-cant se tient un prêtre chargé de recevoir les suppliques écrites , adressées, pensons-nous, directement a la Vierge
17 décembre 1892. — Mlle 8... nous répond à une lettre que nous lui écrivons : » Je ne puis vous donner que de bonnes nouvelle
marqué des mains, assez fort pour empêcher le malade de dessiner ou d' écrire convenablement. La surveillance des infirmiers
r être de son écriture, mai* il dit n'avoir aucun souvenir de l'avoir écrite , cherche dan» *a mémoire et n'y trouve rien: bien
le Immédiatement les circonstances dans lesquelles cette lettre a été écrite ; c'est lorsque, conduit à la caserne par son beau
erait curieux de reproduire, car ils sont typiques, les papiers qu'il écrivait chaque jour, pour noter l'état de son âme. Il cra
j'ai commande au malade, dans son sommeil (il s'endort très bien), d' écrire l'éloge du choléra et de me l'envoyer. Nous avons
s, pendant le sommeil provoqué, que son nom (elle se nomme Marie! est écrit sur une feuille de papier que j'ai eu soin de cho
e est eu état d'hypnotisme, je lui dis qu'elle y verra encore son nom écrit après son réveil. L'ayant réveillée, je place la
rcevoir, de le placer à l'envers, c'est-à-dire, le côté qui est censé écrit contre la vitre. Je m'étais assuré au préalable,
re. Je m'étais assuré au préalable, par moi-même, que si un mot était écrit au crayon sur un papier de cette nature, il appar
elle croit y voir tracé doit être, lui aussi, renversé ; aussi elle l' écrit en commençant par la dernière lettre; toutefois,
itation inconsciente ou auto-suggestion. « Un de mes administrés, m' écrit M. le Dr Pujade, qui, depuis plusieurs mois, étai
25 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
it. Elle a bonne mémoire, raisonne et parle bien, elle sait lire et écrire . Les sentiments affectifs sont assez développés
l'école de G à 10 ans, était intel- ligent, avait appris à lire, à écrire , à compter. Le sommeil était normal, sans cauch
e religieux, il s'en est ajouté d'autres, ethniques ou familiales écrites par des savants médecins, pour compléter les livr
particulièrement'affaire. Nul mieux que l'auteur n'était préparé à écrire l'histoire de ces délires des hôpitaux dont l'é
résident. Elles seront au nom- bre de six. savoir : 1° Une question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du sys
aux candidats : le maximum des points sera de 30. - 2° Une question écrite portant sur l'organisation des asiles publics d
heures, le maximum des points sera de 10. - Les copies devront être écrites lisiblement et porter une devise. Cette devise
t les points devront être donnés lors de la correction des épreuves écrites . Il sera tenu compte de ces points en vue de l'
position. Le maximum des points sera de 20. 6- Une épreuve clinique écrite . Cette épreuve portera sur un seul malade,qui s
'examen du malade et une heure pour la rédaction d'une consultation écrite . Le maximum des points sera de 20. La police gé
tation relative de l'école, l'enfant ne put apprendre ni àlire ni à écrire , son caractère se modifia, et foule tentative d
a cependant aucune instruction même rudimentaire, ne sait lire ni écrire et ne connait aucune des lettres de l'alphabet. E
nifestations sont plus vives chez elles. Charcot, avant sa mort, écrivit à Dumontpallier qu'on ne peut pas déduire des e
, la bouche ouverte, fixe et raide. Mai 1901 à 20 juillet 1901. S : Ecrit une lettre dans laquelle il dit que si on ne l'
it le journal, ce qu'il avait cessé (le l'ai J'e depuis le 22 juin, écrit . A : Demande s'il ne pourrait pas prendre son g
l, un véritable cas de cons- cience. M.. se soumit; mais il était écrit que cette paix pour laquelle il consentait à de
lôme de ces anciens soldats qui pourront même ne savoir ni lire, ni écrire ? Ou bien va-t-on créer encore une exception er
quin et a refusé plusieurs fois de travailler. Il ne veut même plus écrire et la lecture reste limitée aux lettres a, e. i
e l'enfant Beau ? est resté stationnaire II ne veut plus absolument écrire . Il tient mal son crayon dans la main, sourit,
ent mal son crayon dans la main, sourit, comme s'il disait : « Je n' écrirai pas », et tient la main raide quand on veut le
« Je n'écrirai pas », et tient la main raide quand on veut le faire écrire . 1905. - S'est montré plus indocile, plus capri
la gymnastique (Fig, 6 et 1 ) 1896. - Commence à syllaber, à mieux écrire , est envoyé à la grande gymnastique. Fig. 1.1
tif. 1903. - La vue reste mauvaise, ce qui l'empêche de pou- voir écrire convenablement, et de travailler à l'atelier. Il
Aujourd'hui, il lit couramment; l'écriture est lisible, et il peut écrire sous la dictée quelques mots usuels, faire des
d'hui, il lit couramment en sa rendant bien compte de ce qu'il lit; écrit lisiblement, fait la dictée avec les grands, et
autrefois, n'existent plus. Actuellement, l'enfant lit couramment, écrit lisiblement, fait des devoirs et des dictées, s
blement, fait des devoirs et des dictées, sans trop de fautes, peut écrire lui-même à sa famille et sans le concours de pe
uvements à la gymnastique. La parole est libre, l'enfant commence à écrire . Sa tenue est meilleure, mais le caractère ne s
- Amélioration plus notable en classe. La lecture est courante. Il écrit sous la dictée, quelques mots usuels sans faire
les reproduire; actuellement, il syllabe, trace des mots, sait même écrire de mémoire son nom, son âge, ses vêtements, les
ecture courante, l'écriture est lisible et chaque jour -il copie et écrit ensuite de mémoire sa leçon de lecture, sait éc
our -il copie et écrit ensuite de mémoire sa leçon de lecture, sait écrire les nombre.% jusqu'à 261 i THÉRAPEUTIQUE PÉDA
é de pair ainsi que l'orthographe des mots, chaque jour il copie et écrit ensuite de mémoire sa leçon de lecture, il sait
ie et écrit ensuite de mémoire sa leçon de lecture, il sait lire et écrire les nombres jusqu'à 70, fait seul l'addition et
tité; fait l'addition simple. Il y-a de grands efforts à faire pour écrire , la main droite étant pa- ralysée et la gauche
tif et a tout à fait pris goût à la classe. Il lit couramment, sait écrire les nombres jusqu'à 100, établit une relation e
ec ardeur en classe, il est en bonne voie pour la lecture courante, écrit de mémoire un grand nombre de mots ainsi que le
e pour la lecture. Chai ? fait de mémoire de petites dictées, sait écrire les nombres jusqu'à ioo, se rend compte des qua
retient les leçons orales. 1902. - Ch ? lit et comprend ce qu'il écrit , reproduit de mémoire, sur son cahier, un certa
imprimés. En 1902, il lit presque couramment, copie ce qu'il lit et écrit même de mémoire un certain nombre de mots impri
Il établit bien la relation entre le chiffre et la quan- tité, sait écrire les nombres jusqu'à 100, commence à se fami- li
heureux des progrès réalisés et travaille avec plai- sir. Il lit et écrit un grand nombre de mots imprimés isolé- ment ;
ayant marché de front, il copie chaque jour la leçon de lecture et écrit de mémoire un certain nombre de mots, tels que
beaucoup moins de fautes et comprend mieux ce qu'il lit et ce qu'il écrit . - Caractère de plus en plus rageur et original.
inue en tous points; notre élève est en bonne voie pour la lecture, écrit de la main gauche. 1896. Poirs ? lit couramment
les. Il lit presque couramment, fait l'addition et la soustraction, écrit de mémoire sous forme de dictée un certain nomb
cture courante. Il comprend ce qu'il lit mais pas toujours ce qu'il écrit . Il commence cependant à faire de petits exerci
e grammaire. L'écriture est bonne et très lisible bien que l'enfant écrive de la main gauche, le côté droit étant paralysé
ammaire mais jusqu'à présent, il nous a été impossible de lui faire écrire de mémoire la plus petite dictée, même celle de
écrire de mémoire la plus petite dictée, même celle des mots qu'il écrit journellement. 1903. ' Les progrès sont toujour
assez sensibles mais, malheureusement, l'impossibilité de le faire écrire empêche tous les exercices d'aller de pair. La
'écriture a gagné, il reproduit assez facilement un modèle, il sait écrire les nombres jusqu'à 70, établit une relation en
ne faisait que commencer à syllaber. Elle ne savait pas compter; n' écrivait que d'après un modèle, son écriture était à pei
on attention sur tout ce qui lui est enseigné. Elle lit couramment, écrit très lisiblement, fait l'addition et la soustra
ût pour l'étude. Enfin, elle connaît toutes les lettres, commence à écrire . Elle distingue bien toutes les couleurs, recon
surtout d'être particulièrement mentionnés. Nied ? lit couramment, écrit lisiblement, connaît les trois premières opérat
ulle en instruction, connaissait à peine ses lettres, ne savait pas écrire . Elle était incapable de se livrer à quelques o
dire quelques mots usuels. Elle reconnaît bon nombre de mots; elle écrit b : en et tait des copies, connaît les trois pr
ssent, l'une, un journaliste surmené, tabagique, devenu incapahle d' écrire une seule ligne ; l'autre, un employé d'adminis
on nationale de Charenton. Questions choisies par le - ira Question écrite : Nerf' fa- cial (Anatomie et physiologie). - L
anatomie et physiologie). 344' asiles d'aliénés : - 2e Question écrite : Quelles sont, dans la loi du 00 juin 1838, le
fin février. Les ouvrages adressés pour ces concours devront être écrits lisiblement,en français ou en latin ; ils seront
ise avec la législation nouvelle votée depuis que ces lignes furent écrites , en ce qui concerne les ac- cidents du travail.
d la physionomie agréable et expressive. En classe, elle commence à écrire , forme à peu près toutes les lettres, les disti
; c'est avec bien des difficultés qu'on est parvenu à lui faire - écrire quelques mots, ne fait que de petites copies, ell
'hui (igo2), de bons résultats. Elle lit par syllabes, a appris, il écrire , fait bien une copie, commence à faire quelques,
mais principalement à la buanderie. En classe elle lit couramment, écrit lisiblement, fait des dictées, connaît l'additi
faisait que quelques copies, sans se rendre compte de ce qu'elle écrivait . Elle possédait une certaine mémoire pour les c
parle bien, sa voix est claire, sans défaut de prononciation. Elle écrit lisiblement, commence à faire tles petits devoi
par syllabes, fait les deux premières opérations de l'arithmétique, écrit lisiblement, quoi- qu'écrivant de la main gauch
gistrons aujourd'hui des progrès très notables. Elle est parvenue à écrire très lisi- blement, fait une copie, connaît et
- grès pour la classe; sa lecture n'est pas encore courante, elle écrit lisiblement, fait des copies, connaît l'addition.
vue scolaire, ne connaissait ni lettres, ni chiffres, ne savait pas écrire ; vu son âge avancé, elle ne donnait pas à espérer
les difficultés pour la classe, sa lecture n'est pas très courante, écrit lisiblement, ne crnnaît que l'addition. Elle fa
innocente ». LES aliénés EN liberté. Crime de fou. Cette nuit, écrit -on d'Avignon, vers trois heu- rendu matin, entr
tres à première vue. Malgré tous ces inconvénients, elle a appris à écrire , les lettres et les chif- fres sont bien formés
bonne volonté pour la gymnastique. Elle commence à sylla- ber et à écrire , sait faire l'addition sans retenue. Tout porte
el- ques progrès en classe : elle a appris à lire des mots, à les écrire lisiblement, à compter (addition), à faire le cha
suit régulièrement la classe et y met toute -son attention; elle écrit lisiblement, assemble les lettres, commence à com
s été moins rapides. En moins de trois ans, cette enfant a appris à écrire , à faire quel- ques devoirs de grammaire, elle
n notable chez cette enfant. Actuellement, elle lit par syllabes, écrit très lisiblement, fait une copie, ainsi que l'add
ment en toutes choses, mais surtout au point de vue classique. Elle écrit lisiblement, ses lettres sont bien formées; ell
ne connaissait pas ses lettres est parvenue à lire couramment, elle écrit très lisible- ment, fait des copies, apprend la
er à sa lecture une bonne intonation. Voit-elle un livre, un papier écrit ou imprimé, vite elle s'empresse d'en faire la
Elle aime l'école, connaît les lettres, les chiffres et commence à " écrire . Ses progrès n'ont pas été moins rapides, pour
, l'orthographe se modifie. Elle com- mence à faire des rédactions, écrit et rédige elle-même ses lettres. Le caractère e
lettres, à syllaber et maintenant lit presque couramment. Elle sait écrire et faire des copies, elle commence à compter. E
surtout, il ne voulait rien apprendre. A présent il lit couramment, écrit lisiblement, fait les quatre opérations de l'ar
mmence à s'habiller, à se déshabiller, à reconnaître les lettres, à écrire . Sait monter les escaliers, sauter. 1898. - A
leur application dans la pathologie nerveuse. « J'ai eu l'occasion, écrit M. Marinesco, d'observer au cours des paraplégi
26 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
, mais on ne me donna pas le temps d'y lire. C'était un vieux bouquin écrit en lettres gothiques, que Mme Daligny, toute trem
et mérite l'examen, il est tout à fait indispensable qu'elle ait été écrite avant l'événement auquel ce rêve se rapporte. E
ce de soin de toilette, que le rêve de la nuit doit être consigné par écrit . Encore pourra-t-on objecter à cette relation de
exemple sous son traversin, un papier un peu fort et un crayon. Pour écrire le récit du rêve qu'on vient de faire, il faut se
n fait défiler à nouveau dans l'esprit les images oniriques et on les écrit au fur et à mesure qu'elles se succèdent. Dans ce
és plus haut. Dans un cas, par exemple, on me soumettait une relation écrite 42 ans après que le rêve fût survenu. Je dois sus
ue et mériteront d'être discutées sérieusement les relations de rêves écrites dans les conditions énoncées plus haut, alors que
eut-être rêvé par Descartes, qui y serait sans doute venu, comme il l' écrivait au P. Mersenne, « anatomiser les têtes de divers
. Un peu plus tard le père Athanasius Kirchner fit paraître à Rome un écrit sur le même « experimentum mirabile Son titre, «
our ce qui est de l'étiologie, Hyde, dans Diseases of the skin, 1897, écrit : The précis cause of the verrues is unknown. Pou
issent par s'atténuer et s'éteindre dans les verrues anciennes, et il écrit : « Ainsi s'explique la disparition subite, ainsi
er de son lit et marcher avec une canne. Mais elle ne peut pas encore écrire . Vers le milieu de mai, les mains et les jambes
inférieures ont repris toutes leurs fonctions ; elle peut, en outre, écrire , jouer du piano et coudre. Mais elle ne peut ni s
, tout particulièrement; avoué au maître un culte reconnaissant; il a écrit sur Lié-beault une étude fort remarquable dont no
u'au fond de sa pensée, il veut faire table rase de tout ce qui a été écrit avant lui — sauf cependant — des œuvres de la col
ur esprit; ils mettent une « partie de la piété à croire tout ce qu'à écrit le peuple le plus ignorant ». Malheureusement p
un squelette l'accompagnant et se penchant sur son épaule lorsqu'il écrit assis devant sa table. Un malade veut, pour sauve
apitre du souterrain, personne ne s'aperçoit qu'elle est malade; elle écrit à sa famille des lettres pleines de raison et de
s pour rencontrer des faits semblables : de nombreuses thèses ont été écrites sur ce sujet. Comme on le voit, les hallucinati
s sur le fœtus. Les mystifications d'Eusapia Paladino Il règne, écrit Le Temps, un grand émoi dans les cercles spirites
e dernière, dans une revue de sciences occultes : Dans mon opinion, écrivait -il, les indications astrologiques ne sont guère r
hez les juifs, à Marrakesh, l'homme qui a été mordu doit, après avoir écrit sur la peau d'un serpent les mots « kanti, kanti,
enouvelée des Grecs. La folie d'Oreste n'est donc pas, comme a pu l' écrire je ne sais comment Gasquet, dans son étude pourta
entalité du collectionneur Par M. Martial Vergnolle On a beaucoup écrit sur les collections ; nous n'avons donc plus à dé
s pas davantage des maîtres dans l'art de constituer les musées. Nous écrirons seulement ici quelques lignes sur le type spécial
, dans des pratiques de dévotion exagérée ; • j'entendais la messe », écrit -elle, « les genoux nus, quelque « froid qu'il fit
« demandé.» Marie présenta un jour à Jésus-Christ le testament par écrit que celui-ci avait exigé ; il l'agréa et lui fit
a et lui fit à l'heure même donation de son sacré cœur « qu'il me fit écrire avec mon sang et me dicta lui-même » ; je le sign
art d'un Dieu omniscient. Voici l'hallucination telle qu'elle est écrite dans le journal de Marie Alacoque: « Une fois,
ans. Depuis cette époque il ne peut se livrer à son travail, ni même écrire deux lignes sans ressentir une vive douleur dans
abandonner l'aiguille, s'il est en train de coudre, ou la plume, s'il écrit , le jeune homme répond qu'il aune sensation de st
pu se livrer à ses .occupations habituelles, et qu'au, moment où nous écrivons ces lignes, nous savons que la douleur n'a pas re
en public quelque chose de honteux, nous dit-elle, qu'elle n'ose pas écrire : Il est facile de le deviner d'après l'analyse d
s guérisseurs purement humains. C'est dans cet ordre d'idées qu'est écrit ce mémoire. Mais, avant de raconter l'histoire de
de cette maladie que les connaissances bornées ou nulles de l'époque, écrivit à ce sujet une lettre plus édifiante que savante,
ées de toute valeur. M. Constensoux a le très grand mérite d'en avoir écrit une excellente, que ne pourront pas se dispenser
oth rapporte que quelqu'un, à qui on avait suggéré de ne plus pouvoir écrire la lettre e, la supprima dans tous les mots où el
entrant chez lui et rebroussant chemin, parce qu'il voilà la porte un écrite au annonçant qu'il n'est pas chez lui ; ce doc te
isite : Intelligence peu développée, — cet homme sait à peine lire et écrire . Il est manœuvre, il sert les maçons. Devant nous
ent persiste et permet aux malades, la crise passée; de raconter ou d' écrire leurs sensations comme choses vraies, cela parfoi
Dans la vie de Marie Alacoque, Jésus lui demande son testament par écrit et en échange lui donne son cœur ; pour sceller c
nventer de nouveaux moyens. « Si c'est un animal carnassier dont on écrit l'histoire, ce n'est pas assez d indiquer quels a
ont pas subi une-diminution notable. Néanmoins, il ne peut plus guère écrire aucun article et il en éprouve un grand décourage
saurais trop m'élever contre l'erreur grave des nombreux auteurs qui écrivent encore aujourd'hui que l'hypnotisme détraque et s
é de l'école primaire, et parce que, non seulement il ne pouvait plus écrire , mais encore il ne pouvait plus se servir de ses
l'oreille, exprimée par une autre personne, parles yeux, formulée par écrit ou consécutive à une expression visuelle, qu'elle
cherche à savoir de quelle maladie elle est morte. II se met alors à écrire involontairement et, dans les caractères que trac
t: « Je suis ta femme qui t'aime !.... d Puis, un autre jour, sa main écrit : « Tu te remarieras avec M5" Marie M... qui deme
s l'empêchent de travailler, lui enlèvent sa virilité et l'obligent à écrire . Quelquefois sa main ne trace que des hiéroglyphe
stème nerveux de la Salpétrière. monts de sa main ; il sait qu'il écrit et ce qu'il écrit ; il pourrait l'exprimer par de
a Salpétrière. monts de sa main ; il sait qu'il écrit et ce qu'il écrit ; il pourrait l'exprimer par des images visuelles
qu'il s'agit : ce que les esprits lui dictent, il se sent poussé à l' écrire ; c'est pour lui une manière d'exprimer son délire
les miracles de Jésus et montrai qu'ils dénotaient chez ceux qui ont écrit les évangiles une parfaite connaissance de l'hypn
des anges qui lui ouvrirent la poitrine et extirpèrent de son cœur l' écrit de Satan! Dans sa septième année, il procura la p
riel vint enfin prévenir Mahomet que les vers avaient dévoré le pacte écrit enfermé à la kasba. Les chefs de la Mecque averti
si nettes du professeur de Montpellier, on s'étonne de voir M. Binet écrire en parlant du centre O et du polygone... » qu
ement l'Inspiration pour terminer une sonate qu'il était en train d' écrire .............. Il s'endort sur son travail, et v
charme inexprimable d'exécution... Il se réveille, et « de mémoire » écrit exactement ce qu'il croit avoir rêvé. » Comment
connaître, reste en dehors du débat. Je n'attaque que ses idées. Il écrit dans le numéro de décembre, p. 181 : « Les citati
Il a dessein de les prendre dans la vie de Marguerite-Marie Alacoque écrite par elle-même (n° de novembre, p. 151). De cette
t demander la citation. Toujours à la même page 153, M. le Dr Rouby écrit : « Marie Alacoque arrive à ce moment à un vérita
e Dr Rouby leur donne une grande importance dans sa démonstration, il écrit p. 155 : « J'insiste sur ce point, c'est elle-mêm
procès, ce ne sont pas quelques pages, c'est un volume qu'il faudrait écrire . La vérité est complexe comme la vie et pour en a
e qu'il donne une idée suffisante du témoignage des médecins quand il écrit : « Pour attester la vérité du miracle, outre le
rtifient les faits sans conclure au miracle » (p. 186). Voici ce qu'a écrit Mgr Languet: « Ils réfléchirent, ils examinèrent,
a bibliothèque du couvent. A Paray-le-Monial on n'en sait rien ; j'ai écrit à Annecy pour demander s'il existait encore quelq
, mais aujourd'hui sur ce point de détail on ne peut scientifiquement écrire que ceci : Il n'est pas probable qu'avant 1686 Ma
à cette lumière on étudie ses différentes révélations, on n'osera pas écrire avec M. le Dr Rouby « que Marie Alacoque n'a rien
ypnotisme profond, l'ont complètement guéri de son anxiété. Il nous a écrit plusieurs lettres à des intervalles éloignés pour
ades, en un mot coté. Peu de surprises aux examens qui sont à la fois écrits et oraux. Les différents cours professés dans l
s d'autres reproches que nous fait M. l'Abbé : on nous accuse d'avoir écrit , « me fit entendre » lorsque dans le texte il est
hérèse ne se cache pas pour nous le dire : « La joie est si grande, écrit -elle, qu'il semble parfois que l'âme est prête à
é atteinte comme elle, avec la même maladie. Lorsque Marie Alacoque écrit : « Ces divines caresses étaient si exces-« sives
ellement atteinte de folie hystérique. Chez Sainte Thérèse aussi, ses écrits , ses fondations, son administration n'apparaissen
ontraire un esprit précis, pratique, épris de réalités nécessaires, m' écrit un de ses admirateurs. Tout cela est vrai ! C'est
27 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tuellement, il en est au stade graphique : ses persécuteurs le font écrire et ses manuscrits présentent un mélange curieux
ltés l'abandonner et il a par instant la vision de sa déchéance, il écrit à sa femme qu'il « est atterré du gouffre où il
ceux d'un autre. » Voici littéralement transcrite une lettre qu'il écrit à cette époque. « Mon cher docteur, ' « Je ne
reçut de la femme et te retenait toutes tes lettres cependant je t' écrivais tous les cinq jours et jamais tu ne me répons p
a quel- qu'un, une femme en dedans de lui-même qui lui parle et lui écrit par sa propre main et à qui il parle. Nous l'in
par sa bouche et ce n'est plus lui qui parle : ils sont deux. Il écrit encore deux lettres ou les mêmes préoccupations s
per- sonnalité, mais sans cohérence. - Voici les lettres qu'il a écrites et où il traduit son état par deux sortes d'écr
e, Toulon. J'ai beaucoup voyagé à toutes mes facultés ». ' Dans ses écrits , comme dans ses paroles, on saisit le dédou- bl
t- sur-le-Mein a résumé tout ce qu'il est possible de savoir et d' écrire aujourd'hui touchant la structure et le développe
où est sorti tout ce grand labeur. Personne, avant Edinger, n'avait écrit une histoire ancienne aussi complète du manteau
saurons un jour ce que nous ignorons encore. Mais pourquoi Edinger écrit -il sur sa ban- nière : Nescimus, sed non 'igno1
er, le médecin imagina l'emploi de cartes à jouer sur lesquelles on écrivit très visiblement et les diffé- rentes propriété
cquise, caractérise ce nouveau travail. On sent que l'homme qui l'a écrit , versé à fond dans le sujet qu'il traite l'a comp
la flotte française se rendre à Kiel ». Sur une autre feuille il a écrit son testament. Parmi les legs de bibelots qu'il f
s qui ont immédiatement précédé la déter- mination prise, la lettre écrite , les préparatifs d'asphyxie, tout cela est lett
ndant la première semame lui indiquer sa place à table. On lui fait écrire son nom et son âge : cinq minutes après, il ne
il ne s'en souvient plus et « ne croit pas que ce soit lui qui ait écrit cela ». Il lit sur un journal un article concer
de mémoire lui est bien vite revenue. Voici par exemple ce qu'il écrit peu de jours avant son départ : « Je me suis ma
arté les interprétations anthropomorphiques. Lorsque nous disons, écrivait -il, que l'écrevisse a « conscience » du danger ou
s du grand artiste et du grand savant que fut Léonard de Vinci sont écrits de droite il gauche, selon l'écri- ture dite en
port avec une mode raffinée du temps ni avec le souci de rendre des écrits inintelligibles pour les profanes. Il ressort bie
savons de son enfance et de son caractère autorise à admettre qu'il écrivit à l'envers, simplement parce qu'il était gauche
nvers, simplement parce qu'il était gaucher et qu'il avait appris à écrire sans maître et sans contrainte. H. C XIV. De
travail s'exécute parfaitement. Il en est de même pour qui essaie d' écrire avec la main gauche, mais la ques- tion d'habit
ir est absolument impossible, car le sujet, mis dans la nécessité d' écrire desa main gauche, transporte et projette sur le
lettre. C'est pourquoi les adultes et les gens sachant bien lire et écrire n'écri- vent en miroir que dans des cas rares,
miroir que dans des cas rares, exceplionnels. Ceux d'entre eux qui écrivent en miroir sont doués d'une attention faible et
ffectuer les lettres nécessaires : alors seulement ils commencent à écrire de la main gauche. Et, selon les combinaisons m
auche. Et, selon les combinaisons mentales qu'ils adoptent, les uns écrivent correctement, les autres écrivent en miroir. Tels
mentales qu'ils adoptent, les uns écrivent correctement, les autres écrivent en miroir. Tels ne voient mentalement que les d
main droite par rapport, non au tronc, mais au plan sur lequel ils écrivent , ils reproduisent non pas tant les mouve- ments
oir causé longuement avec lui de sa situation, le médecin le prie d' écrire son autobiographie, il le fait ce jour même et ne
mnésie ou perte la mémoire des mots; 3° Agraphie ou impossibilité d' écrire . L'auteur a pris soin de formuler lui-même les
'agraphie elle n'a pas été constatée, mais chez les malades sachant écrire , et à qui . l'on a demandé leur signature, on a
chez lui, ni dans sa conversation, ni dans ses actions ni dans ses écrits , la moindre trace de trouble intellectuel ou mo
'indéci.sion dans laquelle nous laisserait la lecture de la foule d' écrits publiés à propos de cette personnalité. La plup
nts qui fréquen- taient sa clinique et pour leur être utile qu'il a écrit ce livre. Laissant de côté beaucoup des problèm
aperçut sur une étagère des étiquettes rouge foncé, avec « illium » écrit en grosses lettres, collées sur plusieurs boute
s anesthésies sensitivo-sensorielles hystériques complètes. Comme l' écrit Antonelli, après tous les autres auteurs qui se
ologistes en admettent la réalité ou la possibilité. Ainsi Parinaud écrit : « Chez cer- tains malades, l'amaurose monolat
e douleur ! ? » Un raisonnement identique pousse le même auteur à écrire encore : « L'oeil amaurotique fonctionne inconsci
aucun succès à son instruction. Actuellement elle ne sait même pas écrire ; elle réussissait assez bien divers travaux ma
coupables. Il y a' aussi le poison moral versé à flots par certains écrits . C'est à vous de montrer la tare de dégénéresce
cial. / , Ecriture en miroir. - M. Meige (de Paris). Lorsque l'on écrit des deux mains en même temps en faisant abstrac
mps en faisant abstraction de l'image visuelle du mot que l'on veut écrire , chacun écrit spontanément de la main gauche en
abstraction de l'image visuelle du mot que l'on veut écrire, chacun écrit spontanément de la main gauche en écriture en m
écrit spontanément de la main gauche en écriture en miroir. Si l'on écrit de la main gauche seule, les carac- tères de l'
our ainsi dire physiologique, et en s'exerçant , un peu on arrive à écrire couramment. L'éducation du centre pour .SOCIÉTÉ
e leur main gauche et après un court exercice, arriveraient aussi à écrire facilement. M. G1LBGRT-B.1LL6T confirme les con
nclusions de M. Meige, il insiste sur ce fait que les individus qui écrivent en copiant les images visuelles arrivent très d
ivent en copiant les images visuelles arrivent très difficilement à écrire de leur main gauche en écriture en miroir, et i
auche en écriture en miroir, et ils arriveraient assez facilement à écrire de leur main gauche en écriture droite normale.
en écriture droite normale. M. Meige reconnaît, en effet, que pour écrire de la maiu gauche en miroir, il est indispensab
er le mot ou les lettres. Il fait remarquer en outre, que lorsqu'on écrit des deux mains, alors l'écriture de la main gau
nnemis. Un drame ci Orléans. - Notre correspondant d'Orléans nous écrit : Un sieur Farges, coiffeur à Orléans, a eu hier
ur. Il en est de même de la cécité pour les couleurs, pour les mots écrits , etc... quand ses symptômes existent. Les sympt
e à tous les travaux du ménage. Son travail à la classe est bon, il écrit assez lisiblement, commence à syllaber et sait
opérations arithmétiques. Actuellement, l'enfant lit couram- ment, écrit lisiblement, fait des devoirs et des dictées, san
blement, fait des devoirs et des dictées, sans trop de fautes, peut écrire lui-même à sa famille et sans le concours de pe
son entrée, dans l'impossibilité de lire, il ne savait pas non plus écrire et avait peu de notions sur les choses usuelles
d'hui, il lit couramment en se rendant bien compte de ce qu'il lit, écrit lisiblement, fait la dictée avec les grands, etco
tient bien une conversation. A la classe, il est arrivé à pouvoir écrire assez lisiblement, -a fait quelques progrès conce
et se déshabille seul, et se rend utile aux travaux du ménage. - Il écrit lisiblement, mais est lent à la lecture. - 13
ons appris à cet enfant. Ces mots, notre élève les comprend, lit et écrit ; il cherche à les arti- culer, plus souvent ma
e, chaque jour, quelques objets usuels, au-dessous desquels il doit écrire les noms correspondant. Tier ? travaille toujou
t heureux des progrès réalisés et travaille avec plaisir. Il lit et écrit un grand nombre de mots imprimés isolément; sylla
a lecture courante; il comprend ce qu'il lit, pas toujours ce qu'il écrit . Il commence cependant à faire de petits devoir
il comprend. L'écrilure est bonne etfrèslisibte. bien que' l'enfant écrive de la main gauche, le coté droit étant paralysé
ayant marché de front, il copie chaque jour la leçon de lecture et écrit de mémoire un certain nombre de mots, tels que
nt aucun doute sur la possibilité de parvenir à apprendre à lire, écrire , compter, chanter, à coudre, rempailler des chais
de de ses parents. L'OD1'SI.P : d'un Fou. La gendarmerie d'Estaing, écrit -on de ltodez, vient d'arrêter un pauvre fou, no
ne fois par les deux médecins de Bicêtre. Il est assez difficile, écrivent MM. Féré et Lance, d'établir l'évolution de ce
ur les mesures qu'elles exigent; de détruire les pré- jugés par des écrits populaires, des conférences; 4° De développer l
mentale pour laquelle l'internement, ainsi que nous l'avons souvent écrit nous-même, ne doit se faire qu'à toute extré- m
8. Les épreuves du concours sont les suivantes : 1° une composition écrite de trois heures sur un sujet de pathologie inte
uinze points pour cette épreuve. ART. 9. Le sujet de la composition écrite est le même pour tous les candidats. Il est tir
. ART. 10. - Les candidats sont surveillés pendant la composition écrite par un des membres du jury. Les compositions sont
ubliques. Seront seuls admis dans les locaux consacrés aux épreuves écrites les candidats admis au concours. Ai;l. 11. A
st véritablement un acte stéréotypé. 5° Stéréotypie dans le langage écrit . Le langage écrit comprend l'écriture et le des
n acte stéréotypé. 5° Stéréotypie dans le langage écrit. Le langage écrit comprend l'écriture et le dessin. Dans les deux
rgents de la Rochelle, lui en veulent. C'est eux qui le font parler écrire , l'obligent à se casser la tête et à écrire avec
eux qui le font parler écrire, l'obligent à se casser la tête et à écrire avec son sang s'il résiste. Ses écrits offren
t à se casser la tête et à écrire avec son sang s'il résiste. Ses écrits offrent de beaux types de stéréotypie. Depuis des
Ces lettres, qui comprennent au moins une vingtaine de pages, sont écrites sur papier ministre. Elles sont adressées d'abord
a des accolades simples, doubles, triples. Enfin il y en a qui sont écrites en rouge. Ce sont celles qui sont tracées avec
rasser de ses persécuteurs. Dans les 486 PATHOLOGIE NERVEUSE. i écrits d'une' aliénée « il y a répété sept fois en deux
un rôle dans la conquête de cette colonie, et ne se sert plus pour écrire que' de caractères qui rappelent ceux que l'on
éréotypies dans la mimique et les gestes. Outre le langage parlé ou écrit , nous pouvons encore communiquer . avec nos sem
oux des heures entières. Une autre (obs. 52 de A. Marie) dans ses écrits souligne de trois croix toutes les épithètes s'ad
ade dans ce but des citations des livres sacrés de.lllahomet; on en écrira une, par exemple, dix fois avec du musc et du s
lytiques généraux : l'un d'eux se croyait transformé en sa femme et écrivait au médecin pour réclamer la sortie de son mari;
28 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
tille n'a plus sa mère, et sou père est remarié; la Iwlle-nière donc écrivit confidentiellement il lu liilile. piî rebondit un
paupières, si bien, que les religieuses profitèrent du prétexte pour écrire au père de reprendre sa Mlle, heureuses de se déb
put reprendre son travail ; mais ou reniarqua alors que. lorsqu elle écrivait , elle devenait rêveuse et s eiidoriuail comme spo
ntanément livpnotisée. mais, dans cette situation, elle continuait ¡1 écrire ; toutefois, ce qu'elle écrivait alors, c'était l
ns cette situation, elle continuait ¡1 écrire ; toutefois, ce qu'elle écrivait alors, c'était le nom de son enfant, mort plusieu
physiques : voilà de quoi alimenter longtemps uu écrivain nourri des écrits traditionnels et suffisamment rompu à l'ars scrib
C qui. parfois, peut rendre la vulgarisation dangereuse : « J ai peur écrit , je crois. Leibtutz . que les grands médecins fas
rs chances d'être, au moins une fois, dans le vrai : mais, quand nous écrivons , ne soyons jamais doctrinaires. N'oublions pas qu
ais le moyen de le provoquer a volonté. » Depuis, dans mes nouveaux écrits sur l'hypnotisme ( Visile à la Salpètriïre. V
somme dé mille francs, dont il sera porteur, à la personne ayant lu l' écrit . a En cas d'insuccès, vingt-cinq francs seront
grâces du maître spic de servir utilement sa mémoire, ont. dans leurs écrits , outrepassé- ses doctrines. La critique scientifi
l le pouvoir d'en diriger, dans une certaine mesure; les fonctions. J' écrivais , entre autres choses, ceci : « Une personne s-s
es, et. pour déinonlrorquelque peu la justesse de mon assertion, j'ai écrit ici mon petit examen de conscience en tant que rê
et bien 2 leurs opérations intellectuelles. Aussi, ajoute t-i|, s'ils écrivent quelque chose, ils rendent souvent mieux leurs pe
poussèe. ainsi qu elle le dit elle—meute, par une force invincible, û écrire deux lettres dans lesquelles le désordre intellec
effets curalifs sur les personnes que l'on veut guérir. Le sommeil, a écrit un ancien médecin est le meilleur des remèdes. Ri
ndorment : mais aussi quand par suggestion ou par autosuggestion, ils écrivent , parlent, se mettent en mouvement, etc. En entran
, des tables, etc. C'est aussi par une même illusion que les spirites écrivent automatiquement des phrases dont ils ne trouvent
de mots, et fébrilement, sans s'interrompre et sans savoir ce qu'elle écrivait , plusieurs grandes pages de papier dont elle attr
et pas elle, puisqu'elle ne savait absolument rien de ce que sa plume écrivait . Dans ce cas de prétendue possession par un espri
ait par la bouche de la spirile. et que l'autre hémisphère la faisait écrire comme s'il y avait en elle deux moi s'ignorant l'
bable. Depuis trois mois il séjourne tranquille dans sa famille: il m' écrit qu'il n'a cessé de bien se porter et comme ses pa
straites et non représentatives des sensations. A ce que je viens d' écrire , il y a eu cependant des exceptions : Il fois j'a
d'un cœur léger; ma conscience ne se troubla pas. « Dans les rêves, écrit A. Maury (1), nous commettons en imagination, des
it en même temps des fourmillements dans les mains; il ne pouvait pas écrire . La maladie infectieuse dont il venait d'être a
ant à me rendre responsable des choses plus ou moins bizarres qu'il a écrites dans sa brochure. Dieu m'en garde. Je le lui ni d
à eux-mêmes et à la société. Le savant médecin de la Salpétrière a écrit un livre essentiellement clinique. C'est l'enseig
y aller. il n'était plus question ni de mort, ni de divorce, elle m' écrivait la lettre suivante : « Monsieur le Docteur, «
conclusions et des affirmations qu'il produit dans ses paroles et ses écrits . « En second lieu, je constate qu'il pose la qu
uteur, personnellement, depuis 10 ans, ou sont extraites des réponses écrites aune enquête qu'il a ouverte en mai 1892. avec le
qu'il soit matériel et que l'opérateur le décompose, en l'ordonnant. Ecrire est un acte trop complexe et surtout trop intelle
ion de la Société de médecine légale de New-York. La correspondance écrite comprend une lettre du Dr Prosper van Velsen
ue de Loudrcs. un long article sur la s foi qui guérit . N'a-t-il pas écrit dans ce même article la aug-geMiou cl 1 aiilo-sug
nt un de ces instruments entre les doigts, à la manière d'une plume û écrire , on en dirige la pointe entre les deux yeux de la
s élèves malgré tout le mal qu'il se donne pour faire ses devoirs. Il écrit bien, mais la lecture lui est très ilillieile. En
res- serra en forme de boule. Elle ne pouvait plus ni coudre,'ni écrire et était aussi incapable pour les travaux du ména
evant une table, avec un crayon â la main et du papier lout prêt pour écrire . — Puis je lui dîs de penser un mot. — Pas de rés
éveillé et non pas hypnotisé) : de telle sorte que je vais essayer d' écrire avec sa mani le mot qu elle a dans l'esprit.—Je p
sprit.—Je prends sa main dans la mienne, comme afin de la guider pour écrire .—Encore pas de résultat. N° .3. —Les mêmes prép
a main comme pour la guider, cette main commence à se remuer, et elle écrit le mot rat. — Je lui montre le résultat de l'expé
ns. — Par exemple, je voulus demander à Lacy de penser un mot et de l' écrire sur une bande de papier qui serait ensuite remise
ins d'un témoin, de manière à pouvoir certifier que le mot finalement écrit était bien le seul qu'elle avait dans l'esprit dè
'ajoute la suggestion à l'état de veille, de telle manière que Lucv m' écrive un court billet : si bien que sa main paralysée é
ère que Lucv m'écrive un court billet : si bien que sa main paralysée écrira ce billet sans qu'elle ait elle-même conscience d
ns que je guide cette main. En même temps qu'elle me parle, sa main écrit : Vous êtes bon. Comme je lui demandais si cette
si cette phrase avait été tout entière dans sa pensée pendant qu'elle écrivait ou bien avant d'écrire, elle me répondit que la p
tout entière dans sa pensée pendant qu'elle écrivait ou bien avant d' écrire , elle me répondit que la phrase ne s'était, à auc
tée » son esprit et qu'elle n'avait pas du tout conscience de l'avoir écrite . N° 5. — Des préparatifs furent faits comme pou
Lucy ne m'entends pus, mais la main paralysée m entend. — La main va écrire . — Et elle écrivit Henry Hulst. — Tandis qu'elle
pus, mais la main paralysée m entend. — La main va écrire. — Et elle écrivit Henry Hulst. — Tandis qu'elle continuait le récit
est une aflsairc d'état pour moi que d'expédier mon courrier; moi qui écrirais , sans m'en apercevoir, quinze à vingt lettres dan
lettres dans mon après-midi, je suis à bout maintenant quand j'en ai écrit trois ou quatre, et il faut que je me force pour
notes, je ne trouve pas d'indications plus précises que celles-lù. On écrivit à l'adresse signalée et, chose étrange, au bout d
vait se dire : « Tout cela je l'ai vu. je l'ai dit, j'en ai la preuve écrite , enregistrée jour par jour depuis plusieurs année
es filles et partagea très gaiement leur repas. Puis, elle commença d' écrire à une de ses parentes une longue lettre, pleine d
ne caresse, sans un baiser suprêmes ! celle lettre commencée, qu'elle écrit à une parente et où il est question de sa petite
cela me « navre... j'etpère que demain '(1) je pourrai la décider a l' écrire ...» et mille détails familiers qui suivent, et qu
moral d'un homme et qui ressort cul soit de sa conduite, soit de ses écrits , c'est à sa volonté qu'on les attribue. Cela se c
entouré de militaires ayant en vue un certain avenir en quelque sorte écrit d'avance avec toutes les conditions à remplir, co
isant les Anec dotes mèdicales de Witkowski. Scorbut. — Lînd, qui a écrit un gros volume sur cette maladie — dont il ne fau
ives. qui n'était pas un homme folâtre — il s'en faut de beaucoup — a écrit sur ce sujet quelques lignes qu'il faut citer : «
veut faire peut avoir le moindre inconvénient. » Voilà ce que j'ai écrit . Le lecteur jugera maintenant si c'est ma méthode
el du doctorat unique comporte, avec trois examens oraux, deux thèses écrites , dont l'une de droit romain obligatoire, il n'y a
re, il n'y aurait désormais que deux examens oraux et une seule thèse écrite dont le sujet serait choisi par le candidat. Ce
e traces de son ancien état neurolylique, jadis quand il persistait à écrire , ses lettres chevauchaient les unes sur les autre
de prise sur cette névrose et je ne vois pas que les auteurs qui ont écrit sur ce sujet aient été plus heureux que mol. J'
érences qu'il soutient avec passion. Celte passion rend peut-être ses écrits plus attrayants, mais elle enlève au critique une
dégénérés ce ne serait pas trop mal raisonner. Pour qui donc a-t-il écrit ? Four les gens légèrement malades et pour les gen
'en finit-il pas de ses descriptions assommantes, véritables mémoires écrits sans ordre, au caprice de ses sensations, mais au
ecture de cet ouvrage si savant et si intéressant : c'est qu'il a été écrit avec la préoccupation d'en tirer des conclusions
de synthèse scientifique aussi savamment et aussi consciencieusement écrite . Albert Colas. Séance du 31 Mai 1894. — Pré
29 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
y a été placée à dessein près d'un morceau de papier et elle se met à écrire avec une rapidité remarquable. I1 y a là déjà, —
ans l'immense majorité des cas, placés dans l'absolue impossibilité d' écrire . A peine quelques-uns (1) Les dangers de l'hypn
ou st. par exception rarissime, il en est qui sont restés capables d' écrire quelques phrases plus ou moins correctes, plus ou
prouvent. Voici du reste, pour répondre à nos questions, ce qu'elle a écrit très vite en caractères parfaitement lisibles et
. Je place sous ses yeux une feuille administrative sur laquelle sont écrits les mots: a Admission d'urgence. » M. Charcot,
t dire ? —(La malade examine le papier, lit et se met immédiatement à écrire .) M. Charcot. aux auditeurs : Je vois qu'elle a
édiatement à écrire.) M. Charcot. aux auditeurs : Je vois qu'elle a écrit les mots : « Admission d'urgence » en les copiant
ue c'est qu'une admission d'urgence: — La malade reprend le papier et écrit : « Admission d urgence à l'hôpital, comme malade
e ou à un demi-sommeil : « Journée de misère et d'abattement extrême, écrit Maine de Biran, dans ce journal si curieux où i f
ement, déplace le champ de la conscience. « Je suis presque toujours, écrit encore le même auteur, comme dit M. Deleuze en pa
r l'orthographe d'un mot que nous ignorons, nous laissons notre plume écrire automatiquement, à peu près comme le médium inter
omplissent tout seuls avec une régularité parfaite. « Je me rappelle, écrit Erasme Darwin, avoir vu cette jeune et jolie actr
s avec lequel le Dr Howes réussit à lui apprendre à parler, à lire, à écrire avec les mains est aussi une histoire connue de t
chologues. Une étude de son état psychologique et physiologique fut écrite , il y a dix ans, par le professeur Stanley Hall.
fréquente de l'attitude nécessairement forcée qu'implique l'action d' écrire , et don', à l'âge où l'on s'exerce à former les l
au comble une lacune. Au début de l'Exposition, il vient à son heure. Ecrit d'un style alerte, sans cesser d'être scientifiqu
de savant. C'était en 1876. un homme, oui croyait sa fin prochaine, écrivit à notre grand physiologiste Claude Bernard qu'il
é sur la valeur des mots qui sont employés couramment dans les divers écrits qui ont trait à la psychologie physiologique, et
ment très fréquents chez les hystériques : « Le 20 février dernier, écrit notre confrère, je suis appelé en toute hâte à l'
ns une demi-heure, vous aller demander a monitor, puis demain, vous m' écrirez pour me remercier. » La malade, réveillée, écrit
uis demain, vous m'écrirez pour me remercier. » La malade, réveillée, écrit le lendemain à M. Bérillon qu'elle a mangé, que l
raient du reste moins fréquentes si les médecins avaient le soin de n' écrire leurs prescriptions toxiques que sur du papier po
diable protesta de son innocence. D'ailleurs, sa femme repentante lui écrivait des lettres qui sembleraient lui donner raison. E
imes. Plusieurs fois depuis cette époque, Mme B... m'a témoigné par écrit de la grande satisfaction que lui donne toujours
ns la médecine traditionnelle n'ont qu'à relire les pages puissamment écrites du Traiti di matière médicale et de thérapeutique
lle, dans des conditions que j'ai eu soin de bien déterminer dans des écrits antérieurs, il me suffira de citer une observatio
l'esprit, je constate qu'elles sont fausses, qu'il est inutile de les écrire , et je ne puis en avoir d'autres. (b) Je me sui
as moi qui puis vérifier si l'auto-suggestion est bien exécutée. 9e Écrire . Je pratique l'auto-suggestion pour écrire. La
est bien exécutée. 9e Écrire. Je pratique l'auto-suggestion pour écrire . La somme de travail donné est toujours proportio
ès importante pour la perfection des résultats. L'auto-suggestion d' écrire et d'avoir des idées est celle que je me suis don
e suis mis à ma table de travail sans m'étre donné l'autosuggestion d' écrire et avoir des idées. Au bout de dix lignes, j'étai
dix lignes, j'étais à court, je ne savais que dire, je n'avais rien à écrire , j'étais obligé de faire autre chose. Quand l'a
de faire autre chose. Quand l'auto-suggestion « avoir des idées et écrire » était bien faite, pratiquée pendant une durée su
était bien faite, pratiquée pendant une durée suffisante, je pouvais écrire , accomplir un travail que je constatais. La valeu
xistait ; il a été deux fois jusqu'à quatorze pages de papier écolier écrites dans une journée, non copiées, mais au courant de
s on rêve du sujet pensé pendant l'auto-suggestion. J'ai rêvé que j' écrivais après m'être donné l'auto-suggestion d'écrire, j'
on. J'ai rêvé que j'écrivais après m'être donné l'auto-suggestion d' écrire , j'étais a ma table de travail, une plume blancne
vre a mon exercice d'auto-suggestion, je pense à avoir des idées et à écrire . J'avais la conscience que je pratiquais l'auto-s
presque complète au réveil. Enfin, il me faut ajouter que ce qu'ont écrit et dit MM. Bernheim, Aug. Voisin, E. Bérillon et
e que son frère est un « méque ». Assez intelligente, sachant lire et écrire , bien qu'elle ait passé fort peu de temps à l'éco
e ce petit peuple, et qu'on avait surnommé d'un sobriquet diffìcile â écrire , mais qui indiquait que chez lui les érections Do
st un garçon de seize ans. peu intelligent, sachant néanmoins lire et écrire , aux oreilles larges et écartées, aux arcades orb
(2). La tendance de cet ouvrage, pour lequel M. le Doyen Brouardel a écrit une élégante préface, peut se résumer dans la pro
tre, de ne jamais se laisser endormir que par moi seul et je lui fais écrire pendant son sommeil qu'elle ne pleurera plus et q
tuts. Batuta eut plusieurs entrevues avec toghlak. Ses voyages furent écrits après son retour à son pays natal, au Maroc, il n
nvers les étrangers. Ferishta, l'historien mahométan des Indes, qui écrivait environ 260 ans plus lard, dit que Toghlak fut le
, ou quelques-uns des secrétaires qui le servaient. « Tous les jours, écrit lbn Batuta, on amenait à la grande salle d'audien
; quand il voulut exiler ses beaux-frères, les maris de ses sœurs, il écrivit sur un morceau de papier : « Bannissez l'enfant t
un feu qui ne devait pas le laisser en repos. Quelque temps après, il écrivit aux habitans de différentes provinces de venir à
ui dire qu'il pouvait reprendre tous ses présents. En entendant cela, écrit Batuta. le souverain monta à cheval sans perdre u
à se plaindre de leur sang répandu, en ce monde ou dans l'autre. Ils écrivirent cela de leur propre main, et reconnurent leur écr
l'autre. Ils écrivirent cela de leur propre main, et reconnurent leur écrit devant le Cadi qui légalisa la déclaration que le
olte leur rapportait du butin et des esclaves. « Les femmes captives, écrit Ibn Batuta. ont à peine de valeur dans l'Inde, ca
ta en eut dix qui lui furent données par le vizir. « J'en donnai une, écrit -il, a l'homme qui les amena ; mon compagnon en pr
ses ordres comme d'habitude ; mais il ne sait plus du tout ni lire ni écrire . Son nom même, le cardinal ne saurait l'écrire qu
lus du tout ni lire ni écrire. Son nom même, le cardinal ne saurait l' écrire que d'après une de ses signatures qu'on lui met s
s signatures qu'on lui met sous les yeux. Un cas de léthargie. On écrivait de Rodez, le 14 décembre: Un sieur Alary. âgé de
Bîcètre, avec le remarquable talent d'exposition qui caractérise ses écrits , a eu i'heuriusc idée de présenter un petit Trait
rentre dans la vie « de tout le monde » La seconde lettre qu'elle a écrite sous l'impression de l'état maladif de son pére q
our commettre des outrages et des crimes-Dans un livre que je viens d' écrire A ce sujet, j'ai démontré qu'il y a eu bien peu d
ons publiques d'hypnotisme. Récemment, M. Arthur Tooth, de Croydon, écrivait au St-James Gazette de Londres, qu'un magnétiseur
ccepter le titre de membres honoraires de cette société. Nous avons écrit A ce sujet A plusieurs de nos correspondants les
le jury, a décerné le prix d'une valeur de 2, ooo francs, au mémoire écrit en français de MM, les docteurs de Grand-champs e
avait laissé son pardessus, nous l'avons engagé, après son réveil, à écrire à l'hôtel du Commerce. Le surlendemain, à son gra
adulte, se rattache étroitement à celle de la validité des testaments écrits dans ces conditions. Legrand du Saulle professe q
oid, d'une volonté sérieuse et d'une grande lucidité d'esprit ont été écrits par des malheureux quelques instants avant l'exéc
re de la clinique chirurgicale de la Faculté de médecine. Briquet a écrit dans son Traité de l'hystérie, ouvrage publié en
suivant Chambige. le projet était convenu entre eux, la pauvre femme écrivait à je ne sais quelle personne de sa famille une le
, qu'ils indiquaient une tranquillité d'esprit parfaite. La femme qui écrivait ainsi ne pouvait avoir conscience des événements
e souvenait de rien. Ainsi le matin du crime, quand la pauvre victime écrivait sa lettre, elle ne savait pas ce qui allait se pa
e savant professeur de la faculté de Paris ne « m'ait jamais vu. Il l' écrit , je le crois. Mais, me démentira-t-il si « j'affi
par Nicolas Rémy, procureur général et conseiller privé du duc. livre écrit en 1595, dans lequel nous trouvons les instructio
vie siècle ! Permettez-moi d'emprunter au poème de la démonolâtrie, écrit à cette époque, une citation qui vous peindra bie
plaignait d'éprouver depuis quelque temps une grande difficulté pour écrire . Il ressent immédiatement dans l'avant-bras droit
Les troubles de l'écriture remonte a 1884, il a alors trouvé qu'il écrivait plus mal qu'avant. Sous la dictée il écrit sans h
il a alors trouvé qu'il écrivait plus mal qu'avant. Sous la dictée il écrit sans hésitation; il n'a jamais de crampes, de fai
es, ni tremblements, ni impotence. L'utilité de la catalepsie. On écrit de Dunkerque. 14 avril. Une jeune fille de 17 a
fections chirurgicales du système nerveux: « J'ai à vous recommander, écrivait -il. de vous abstenir le plus souvent ». Car il pe
bonne découvrit un jour la petite boîte parfumée. Le pharmacien avait écrit dessus : usage externe. Huit francs. — Huit franc
ecture de cet ouvrage si savant et si intéressant : c'est qu'il a été écrit avec la préoccupation d'en tirer des conclusions
de synthèse scientifique aussi savamment et aussi consciencieusement écrite . Albert Colas. nommé l'automatisme partiel, m
'ignorer et se partager l'empire de leurs sens : ainsi la main pourra écrire des pensées fort suivies et raisonnées, pendant q
ée. » Ce mot par lequel M. Espinas résume sa thèse ne semble-t-il pas écrit par M. Janet pour servir de conclusion à son œuvr
tion, elles étaient très correcte s; mais le médecin se bornait à les écrire sous dictée et à les signer; le diagnostic contin
30 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
cations éphémères, difficiles à réunir et à mettre en ordre. Ils sont écrits dans une langue presque complètement inconnue aux
publier sur ses expériences un livre spécial, qui sera probablement écrit en français. Je ne considère pourtant pas mon tra
coïncident pas avec le type ci-dessus des phénomènes. M. Matuszewski écrit : (2) « J'ai vu plus de dix fois la table élevée
fois dans les conditions analogues » (1). « Lors de la même séance, écrit M. Ochorowicz dans le N° 22 du Courrier de Varsov
« Pour contrôler les pieds d'Eusapia pendant la lévitation ordinaire, écrit le même auteur (1), j'ai appliqué l'appareil suiv
des phénomènes derrière le rideau. « Dans le logement d'Ochorowicz, écrit M. Prus-Glowacki (1), on a fait une tente dans un
e sonnette, plus loin deux chaises et sur une d'elles, une tablette à écrire . » « Cette disposition répond jusqu'à un certain
ssion, comme si sa surface entière avait été électrisée. » Le général écrit lui-même là-dessus (1) : « le bord du rideau, s'é
phénomène remarquable : « Le 3 janvier nous nous assîmes à la table, écrit M. Ochorowicz (2), en petit comité des habitués d
ique, ne pouvaient pas fermer le circuit électrique. » M. Matuszewski écrit , (1) « qu'il a éprouvé plusieurs fois les attouch
C'est un fait qui jusqu'ici n'a pas paru frapper les auteurs qui ont écrit sur cette question, bien qu'il résulte de leurs o
s'était trouvée sur la table au-dessus d'Eusapia. » Le Dr Wroblewski écrit : « La lévitation fut si tranquille, que le médiu
ur produire un pareil phénomène » (Dr Watraszewski). Le Dr Harusewicz écrit là-dessus : (1) « Dans l'obscurité complète, immé
62), confirme ces deux rapports concernant le nuage. « Comme peintre, écrit -il, accoutumé à l'étude du clair-obscur, je me su
ivants: le malade a été à l'école jusqu'à treize ans, il sait lire et écrire ; il est d'un caractère entêté, menteur. Un peu c
its du visage du médium et les mains, se trouve le suivant: le médium écrit , sur le papier, une manchette ou une tablette, sa
forme indéterminée ou bien de simples lignes ; les signes paraissent écrits à l'aide du crayon, mais le médium se sert de son
ul ; mais, quand Eusapia posa sa main gauche sur celle du médecin qui écrivait , sans toucher du doigt le papier (elle touchait s
es visibles, tracés au crayon. D'ailleurs, j'ai observé quand Eusapia écrivait à l'aide du doigt, sur la manchette du Dr D., qu'
sion de froid avant le commencement des phénomènes. M. Bron. Reichman écrit (2) : « Eusapia prit ma main échauffée et couvert
état pathologique du médium, nommé par les spirites l'état de transe, écrit entre autres (4) : « Chaque fois qu'après la tran
apier avec des nombres. « Trois de ces nombres m'étaient inconnus — écrit le Dr Haru-sewicz — car ils avaient été préparés
uvenir, 12, 30 et 52, qui sont connus du calcul du temps) avaient été écrits par moi-même; j'avais marqué les enveloppes, qui
mière complète, et il n'y place que l'expérience avec les tablettes à écrire liées, qu'il considère comme non réussie, et les
eut suffire pour des étudiants ; dans son ensemble, il est évidemment écrit pro domo, et ni dans son contenu ni dans sa forme
riosité on peut citer ici le traité du psychologue catholique Haas 3, écrit avec une grande érudition. Il dit page 82 : « Il
l'auteur, ne présentait pas de symptômes d'hystérie. La comparaison d' écrits , datant réellement de l'âge de 19 ans avec ceux q
ment le côté juristique de la question de suggestion. Heborle dans un écrit d'une brièveté dont il faut lui savoir gré, prése
e Dr Higier partage cette opinion (Compte-rendu p. 9). M. Matuszewski écrit (Compte-rendu p. 2) : « L'hypothèse du cheveu tom
ux pressions et mouvements. La lumière était très faible. « Eusapia — écrit M. Reichman (') —demanda au Dr Heryng, qu'elle co
parlait avec enthousiasme des expériences de M. Neukomm. « Neukomm, écrivait -il, occupe la première placo parmi les hypnotiseu
nté, entière sous tous les autres rapports, sont devenus incapables d' écrire quoi que ce soit, de prononcer certains substanti
es conditions du contrôle, et la lévitation partielle des tablettes à écrire derrière le rideau. ( « Compte-rendu », Opinions.
iel dans la fosse aux lions. Il faut s'en rapporter à ce que l'on a écrit sur l'art du dompteur pour trouver l'explication
les assistants mirent, sur la demande de M. Szydlowski, des questions écrites dans une grande enveloppe fermée qui fut déposée
ès l'apparition des fantômes, on trouva dans l'enveloppe des réponses écrites également « courtes et précises », comme dit le r
ices physiques et pour les jeux nécessitant des efforts soutenus. Ils écrivent mal, présentent une infériorité notable au point
poser des sujets dont il était imbu; parfois il se donnait la peine d' écrire sa leçon en entier de sa propre main. La leçon, u
ine d'écrire sa leçon en entier de sa propre main. La leçon, une fois écrite , Charcot se gardait bien de la lire ou de la réci
lle du plus important des journaux médicaux, la Semaine médicale, qui écrivait ceci : « Nous constatons avec satisfaction que, d
ent pas pour le dire dans une conversation privée, mais ils n'osent l' écrire alors qu'il faudrait le crier au contraire bien h
libéralisme. Entraîné par un sentiment d'enthousiasme, son rédacteur écrivait au lendemain du vote du congrès : « Nous sommes b
ette Soubirous, chétive bergère âgée de 14 ans, ne sachant ni lire ni écrire , prétendait qu'une belle dame lui était apparue,
revoient, elle peut lire, elle se lève, affirme sa guérison et court écrire une longue lettre à son mari. Cette guérison a ét
de l'Académie royale de Belgique, le 12 décembre 1894. (2) Cela est écrit dans l'article ironique du 10 août 1887 que la Pr
Jurant, pour ainsi dire, sur la parole de MM. Liébeault et Beaunis, j' écrivais à la fin de 1886 les lignes suivantes (3) : « C
n livre, et l'enfant questionné nomme aussitôt le mot. Une phrase est écrite sur un carnet; si longue soit-elle, il suffit qu'
Bucarest sont nommés au concours. La première épreuve est une épreuve écrite sur une question tirée au sort. Pendant la comp
s 25 autres concurrents et décide de faire recommencer la composition écrite sur une nouvelle question. Cette incroyable déc
nnuelle du mois de Juillet 1894 est lu et adopté. La correspondance écrite comprend des lettres de MM. les D" Hamilton Os go
ucune note. Cependant il n'improvisait pas, toutes ses leçons étaient écrites à l'avance, mais souvent il négligeait de les rel
tice mal informée. Plein de cette conviction, M. Durand (de Gros) « écrivit au Ministre de la Justice d'Espagne, pour lui exp
rets, que Frédéric Staaps, qui voulut tuer Napoléon Ier à Schœnbrunn, écrivit à son père un peu avant : « Encore cette nuit Die
19 novembre 1891. — Présidence de m. Dumontpaluer La correspondance écrite comprend des lettres de MM. Bourdon, de Méru, Ham
décembre 1895. — Présidence de M. Duwontpallier. La correspondance écrite comprend une lettre de M. Auguste Voisin, qui. me
usieurs lettres se rapportant à sa « cure merveilleuse » à Holywel, j' écrivis à la mère demandant qu'elle me ramenât sa fille à
oyons un arbre, nous pensons à la guerre et nous voyons le mot guerre écrit devant nos yeux. Nous ne pensons en somme qu'avec
graphie ou perte du souvenir des mouvements indispensables à l'acte d' écrire . Dans le phénomène de la transmission, nous som
magine, lit mentalement le mot maison ; l'induit aperçoit le même mot écrit . d) — Inductions auditives verbales. — L'induct
'inducteur écrivant mentalement certains mots, l'induit chercherait à écrire ou même écrirait ces mots. B. — Inductions allo
vant mentalement certains mots, l'induit chercherait à écrire ou même écrirait ces mots. B. — Inductions allogènes. — Leur exi
id. Verbo-motrice id. id. parlé id. i) id. Verbo-grapbîque id. id. écrit id. i) id. auditive id. la chose entendue id. i
par i) Id. Verbo-motrice id. prononcé id. i) id. Grapho-motrice id. écrit id. j) id. auditive id. la chose représentée pa
s, moteurs, essayez par exemple l'expérience de M. Pikmann : l'induit écrit sur le papier un mot que l'inducteur écrit mental
e de M. Pikmann : l'induit écrit sur le papier un mot que l'inducteur écrit mentalement sans qu'il y ait communication entre
ses expériences contraires aux nôtres? Jen doute. Déjà, en 1866, j' écrivais : « L'endormeur est un véritable grand-prêtre. To
ce qu'elle n'était qu'un exercice puéril. En six semaines, il fallait écrire un traité sur un sujet donné. Le candidat réuniss
icitations à un candidat pour une thèse dont il n'a pas pensé ni même écrit une ligne. Jamais le dignus est intrare n'a été
exercée à la fin du xviiie siècle et au commencement du sixe par les écrits des médecins psychologues français, le professeur
nnelle qu'il m'a engagé à développer et à consolider, dans un travail écrit . C'est donc sur lui que doit peser la responsabil
31 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
seur Miguel Couto, de Rio de Janeiro, M. Carlos Chagas a bien voulu écrire spécialement pour la Nouvelle Iconographie de la
bien, et jusqu'au jour où sa para- lysie brachiale l'en a empêché, écrivait autant que le lui permettait un certain degré d
sident et il lui arriverait malheur. On l'interna à la suite de cet écrit . En cherchant à s'évader, L... sauta un mur et se
ui régnera par ses dix commande- ments. L'avenir de la France a été écrit par moi en 1894. » On lança contre lui un manda
les dépenses de sa campagne électorale. Au moment des élections, il écrivit la constitution de l'Etat futur : « Le gouverneme
temps d'oisiveté, il se remit à travailler pour faire imprimer ses écrits sans se décourager, car il savait bien, nous dit-
escriptions. C'est toujours le paramyoclonus. L'au- teur, lui-même, écrivait en 1890 « que le caractère fibrillaire des seco
e, manger et boire sans casser les verres ou les assiettes, et elle écrit assez facilement. Les réflexes radiaux et trici
niques. Comme nous l'avons vu, nos malades peuvent marcher, manger, écrire , coudre, etc., sans que les contractions leur n
, au contraire, plus mous, plus lents, plus « arrondis », comme l'a écrit Sydenham, lui-même, à propos de l'affection qui
r une aiguille et coudre comme avant sa maladie ; la seconde malade écrit avec une facilité relative et dans ses lettres pe
t encrier... et le porte- plume. » Il saisit ce dernier et se met à écrire . Il écrit très lisiblement et presque sans trem
. et le porte- plume. » Il saisit ce dernier et se met à écrire. Il écrit très lisiblement et presque sans tremblement so
(2), M. Cabanes a nié la folie de Jeanne : « La jalousie conjugale, écrit -il dans ses Indiscrétions de l'Histoire, la rép
DE LA MORT CHEZ LES HABSBOURG 151 Il s'entretient de sa sépulture, écrit un historien, comme il aurait pu le faire du jo
traordinaire, unique peut-être parmi les Habsbourg : « Notre reine, écrit son contemporain, le P. de Gusman, était toujours
ités inférieures. 166 FERRUCCIO RAVENNA Il sait lire, ne sait pas écrire , il lui manque les notions élémentaires qu'ont
POPLASIE 173 quelque peu de la culture de son père. Il sait lire et écrire en italien et, comme il a vécu longtemps en All
nt 3 + 4 = 7. Si on lui demande 9 + 8, elle répond qu'elle pourrait écrire si on lui donnait une plume. Si on lui donne du
gnes sans signification, puis nous dit en riant qu'elle ne sait pas écrire . Elle nous dit qu'elle a été malade, étourdie.
nous revoir, pour une compli- cation imprévue, une impossibilité d' écrire qui vient de se constituer en l'espace de quelq
ewcome appartiennent à ce groupe, car je n'ai pu lire leurs propres écrits . Le nombre des membres des familles, qui souffr
ée. On lui dicte : ma belle-soeur viendra me voir aujourd'hui. Elle écrit : ma belle soeur veins ate de aveur aujourd'hui.
ée. - Elle transcrit correctement l'imprimé en manuscrit. Calcul. - Ecrit 15, 108 sous dictée. Addition presque nulle. Mult
de a fait quelques progrès au point de vue de l'écriture. Elle peut écrire spontanément un certain nombre de mots et de no
s l'influence de l'émotion. Le 28 mars 1898, spontanément la malade écrit : il fait du soleil, il y a un concert, il a du
ars je dors... toute la nuit... sans rêves ne cauchemars. Je peux écrire et lire sans la moindre fatigue et sans la moindr
t lire sans la moindre fatigue et sans la moindre émotion - je peux écrire et lire... sans fatigue... sans la moindre... é..
t nuit sont exactement épelés, lundi également. Les mots fou et cou écrits avec des cubes alphabétiques placés verticaleme
ticalement, ils le sont horizontalement. Poire est lu Paris. Jamais écrit verticalement n'est pas lu, écrit horizontalement
ement. Poire est lu Paris. Jamais écrit verticalement n'est pas lu, écrit horizontalement les let- tres écartées il n'est
un objet montré. Ecriture. - De la main gauche. Spontanée. - Elle écrit des mots sans construire de phrases régulières
é. Sous dictée. - Il y a beaucoup de mots qu'elle ne parvient pas à écrire . Je lui dicte : il fait très chaud aujourd'hui
s et les tigres. J'emporterai mon ombrelle contre le soleil. - Elle écrit : il fait très chaux au jour eh je vais av au jar
point de repère. Lecture mentale. - Elle lit bien les mots suivants écrits les lettres les unes au-dessous des autres et à
E, BOULEVARD, ANGLETERRE. Pour BOULET, elle lit BOULA ; le même mot écrit horizontalement est lu bouleverse, puis boule.
mot MAJUSCULE n'est pas lu verticalement; il l'est avec difficulté, écrit horizontalement. Surdité verbale. La malade com
en chez elle. Ecriture. De la main gauche. Spontanée. - La malade écrit : J'ai été au bateau de la j'ai été au ba de bo
tel- de-Ville acheter de la laine et une cuiller). Dictée. - Elle écrit : le lapin est un animal très doux et si timide q
OCA 343 composée que de deux ou trois mots usuels. Les mots usuels, écrits par lettres séparées, ne sont pas compris. Elle
s dans le chiffre qu'on lui montre. . Ecriture spontanée. Elle peut écrire son nom et son âge, et rien de plus. Sous dicté
nom et son âge, et rien de plus. Sous dictée. - Nulle (elle ne peut écrire que des lettres). Copie. Conservée ; la malade
ranscrit l'imprimé en manuscrit, La malade n'est pas plus capable d' écrire avec des cubes alphabétiques qu'avec une plume.
des cubes alphabétiques qu'avec une plume. Calcul. - Elle ne peut écrire correctement que les nombres de deux ou trois c
cture dans les livres d'enfants, sur- tout composés de mots usuels, écrits syllabiquement, faciles à épeler. Enfin elle fu
voix. Elle ne comprend pas, sans les prononcer, la plupart des mots écrits en syllabes ou en lettres séparées. Evocation d
de son nom (Chassergue), et de son prénom (Antoinette), elle essaye d' écrire Bernadaux, le nom de son mari. et écrit : Bran,
Antoinette), elle essaye d'écrire Bernadaux, le nom de son mari. et écrit : Bran, Brenadus. Sous dictée. - Les lettres so
: Bran, Brenadus. Sous dictée. - Les lettres sont très correctement écrites . L'écriture des syllabes est encore très altéré
es. L'écriture des syllabes est encore très altérée : pour chu elle écrit son ; pour bai elle écrit de ; pour mi, elle éc
s est encore très altérée : pour chu elle écrit son ; pour bai elle écrit de ; pour mi, elle écrit mo, puis mi ; les syllab
: pour chu elle écrit son ; pour bai elle écrit de ; pour mi, elle écrit mo, puis mi ; les syllabes dictées mi, voi et p
écrit mo, puis mi ; les syllabes dictées mi, voi et puis sont bien écrites ; pour bro, elle écrit, grot. L'écriture des mo
syllabes dictées mi, voi et puis sont bien écrites ; pour bro, elle écrit , grot. L'écriture des mots usuels est conservée
sible. On lui dicte : je suis tombée ma- lade il y a cinq ans, elle écrit : n chesui bondal la malade yn yei d. La même p
crit : n chesui bondal la malade yn yei d. La même phrase est mieux écrite quand on épelle chaque mot : je suis p tomben mal
cubes alphabétiques : Spontanée. - Pour son nom et son prénom elle écrit : ANTOINETTE CHASSEGU. On lui montre un crayo
ANTOINETTE CHASSEGU. On lui montre un crayon, en lui demandant d' écrire le nom de cet objet, elle ne peut y arriver.
le nom de cet objet, elle ne peut y arriver. Sous dictée. - Elle écrit plusieurs mots : PAIN, TABLE. Pour chapeau, ell
ctée. - Elle écrit plusieurs mots : PAIN, TABLE. Pour chapeau, elle écrit TAPEAX ; elle répète les mots avant de les écrire
Pour chapeau, elle écrit TAPEAX ; elle répète les mots avant de les écrire . Copie. Parfaite. Calcul. - Elle écrit bien s
ète les mots avant de les écrire. Copie. Parfaite. Calcul. - Elle écrit bien sous dictée les nombres de deux ou trois chi
ne peut montrer qu'elle a compris ce dont il s'agissait. Si on lui écrit une phrase très simple (montrez-moi tel objet), e
compris cette fois, mais encore incomplètement. Ecriture. - Elle écrit assez bien son nom, celui de son mari, mais est i
écrit assez bien son nom, celui de son mari, mais est in- capable d' écrire spontanément moindre phrase. L'écriture sous dict
également très altérée, au lieu de : il a fait un orage hier, elle écrit : il fait un ole. La copie d'imprimé est moins
: il fait un ole. La copie d'imprimé est moins mauvaise : la malade écrit : t Ru Bun Aux ptite procès bien parisien hier
avez-vous pu comprendre ? Trois ans... six ans. Saviez-vous lire et écrire avant d'être malade ? - Oui, oui .. très bien...
te. Avez-vous essayé de lire ? - Oui... peux pas... la tête. Et d' écrire ? Mon nom... c'est tout. Qu'avez-vous fait ce m
donne à exécuter des ordres manuscrits, elle ne les fait que si on écrit avec des lettres ma- juscules, et encore non sa
ubles latents de la lecture mentale. Les mots PARIS et RUE sont lus écrits les lettres placées les unes au-dessous des autre
E131'ADAU1 (le nom de son mari), RICHE, IVRY ne peuvent être lus qu' écrits horizontalement les lettres juxtaposées. La lec
gauche. , Spontanément et sous dictée elle ne peut absolument rien écrire . Elle cher- che à écrire son prénom (Antoinette
t sous dictée elle ne peut absolument rien écrire. Elle cher- che à écrire son prénom (Antoinette), elle fait un A et ne peu
oinette), elle fait un A et ne peut aller plus loin. Elle ne peut écrire son nom, ni les lettres de l'alphabet, ni la séri
l'alphabet, ni la série des chif-. fres. Toutefois sous dictée elle écrit bien, 10, 13, 27, et ne peut écrire 100. Elle t
fres. Toutefois sous dictée elle écrit bien, 10, 13, 27, et ne peut écrire 100. Elle transcrit l'imprimé en manuscrit pour
manuscrit pour les mots mousseux, maladie. An lieu d'Epernay, elle écrit epesnu. Le mot billet est transcrit en imprimé. L
ducation d'un enfant auquel on veut apprendre à parler, à lire et à écrire ; le premier a en- registré dans son hémisphère
les associations psychiques ; entraîner les aphasiques à parler, à écrire et à lire par tous les procédés dont on se sert
s donnons du malade, permettront de se rendre compte de ce que nous écrivons . Cette excitation avec gesticulation ne pouvait
de la mémoire, du tremblement des mains au point de ne pouvoir pas écrire , de l'irritabilité de son caractère, des rêves
, si bien qu'il y a déjà trois ans M. le professeur Grasset pouvait écrire (3) : « L'insuffisance isolée d'une seule glande
llir aucun renseignement sur ses antécédents. Il ne sait ni lire ni écrire , ni compter, a été incapable d'apprendre aucun
nts héréditaires duquel on n'a pas de renseignements. Il sait lire, écrire , compter, a assez bonne mé- moire et ne compren
ions chroniques survenant dans la période de l'ossification active, écrit Marfan (31), causent le rachitisme. 428 CHARON
st pas suffisante pour réaliser ce syndrome. « La région enflammée, écrivent ces auteurs, doit être circonscrite par un proces
32 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
es minutes, disparaître l'anesthesie et diminuait la diffi- culté d' écrire . En outre, il y avait transfert. Malheureusement,
ns des expériences toutes récentes, publiées au moment même où nous écrivons , sir Wil- liam Thomson a trouvé que l'interposi
cation anecdotique sur les mensonges des hystériques. On a beaucoup écrit sur la folie hysté- rique sans qu'il soit possi
a femme se rapproche de la folie ou de la raison. Le romancier, qui écrit , ne fait aussi que raconter des faits fournis p
pédant d'école primaire, dont le seul talent consiste à très bien écrire , est arrêté il y a quelques années, pour avoir vo
mal informé ; ils sont intelligents, savent pour la plupart lire et écrire , soutiennent très bien une conversation en angl
l'homme et sur des animaux inférieurs; 3° les mémoires doivent être écrits en anglais, en français ou en allemand (dans ce
de l'épilepsie. Conditions des concours. Les mémoires, lisiblement écrits en latin, en français ou en flamand doivent êtr
té et.de surdité des mots. Nous allons passer en revue ce qui a été écrit sur chacun de ces deux derniers troubles. ' ' '
copier les dessins et même l'écri- ture, qui devine des rébus, qui écrit des notes et des lettres très sensées et qui, n
et des lettres très sensées et qui, ne peut lire ce qu'elle vient d' écrire elle- même, parce que le. nom des lettres, la s
ins de ces malades peuvent reconnaître leur nom, soit imprimé, soit écrit , sans pouvoir distinguer au- cune des lettres q
qui a été écrit' au-dessous, le mot maison. D'un autre côté, le mot écrit z maison sollicitera le souvenir du dessin qui
date de' 1772. . Devenu subitement aphasique, le Dr Spalding put écrire * quelques lignes avec des traits aussi bien fo
i un nom ou une phrase étaient prononcés devant lui, il pouvait les écrire immé- diatement et avec la plus grande exactitu
anmoins, il était incapable de lire ou de distinguer ce qu'il avait écrit . '' b) Un homme, à la suite d'une blessure à la
tête,' était inca- pable de lire, mais il était cependant en état d' écrire très cou- ramment et très correctement. ' ' T
à la ( suite d'une attaque. Il ne peut plus lire ce qu'il vient,[d' écrire , très correctement lui-même, comme la phrase s
attaque, recouvre la parole au J bout de'quelque temps.- Elle peut écrire , mais elle' est inca1'" 2)8- ? '' 'REVUE CRITIQ
QUE. ' "' pàblé de reconnaître une seule lettre soit imprimée, soit écrite par elle-même. « Elle' voyait l'écriture, mais
une attaque cérébrale aiguë, impossibilité absolue de lire les mots écrits ou imprimés (excepté le propre nom du patient)
més (excepté le propre nom du patient) ; le malade pouvait pourtant écrire correctement sous la dictée,' composer et écrir
e pouvait pourtant écrire correctement sous la dictée,' composer et écrire les lettres lorsqu'on l'y aidait un peu. Imposs
thropolo- gie de Berlin un aphasique qui n'arrivait à lire ce qu'il écrivait lui-même qu'au moyen d'un artifice. Il traçait
ice. Il traçait avec son doigt ,les lettres des mots qu'il venait d' écrire et lisait ces derniers tout en les traçant. M.
lade, homme intelligent, pouvait transformer les images des lettres écrites en images tonales et combiner ces dernières en
ordres de la parole. ' . \ , "·, M. L..., âgé de soixante-huit ans, écrivait correctement sous la dictée et pouvait bien réd
les de' la parole, n ' m ' ' 1 22 J . REVUE CRITIQUE. qu'il avait écrits . L'aphasie n'est probablement qu'un épisode d'u
on, s'y intéresser et paraît comprendre tout ce qui se dit. Il peut écrire soit spontanément, soit sous la dictée, mais le
é de soixante- quatre ans, hémiplégique droit et aphasique, pouvait écrire soit spontanément, soit sous la dictée. Les pre
in- gue plus aucune lettre. Il sait compter jusqu'à cent, mais il écrit mal les chiffres et est incapable d'en reconnaîtr
tion des mots, il a la notion de ces mots, car il comprend les mots écrits , mais il ne sait pas approprier le mot au son q
ociété de Biologie. Le malade de M. Maurice Valentin sait copier et écrire quoi DE LA CÉCITÉ ET DE LA SURDITÉ DES MOTS. '
ses entières et nommer certains objets. La malade reconnaît son nom écrit , et elle ne peut lire que quelques mots, « Pont
ues mots, « Pont-Neuf», par exemple, mais sans les comprendre. Elle écrit spontanément et peut copier; elle peut lire un
e de trois chiffres sans comprendre la valeur de ce nombre, et elle écrit correctement plusieurs chiffres sous la dictée.
peut lire par transpa- rence (écriture décrite par Erlenmeyer) elle écrit son nom, quelques lettres, comme A, 0, E, J, L,
dire, comme le fait remar- quer M. Magnan, de ce testament si bien écrit par une personne, ne pouvant pas lire, si l'on
ment conservé pour que le malade soit à même de comprendre ces mots écrits ou expliqués à l'aide de gestes. Ce trouble acc
s peuvent très bien répondre aux questions qui leur sont posées par écrit ou à l'aide de gestes. L'examen plus attentif f
aire comprendre d'elle, on se servait de l'écriture. Elle lisait et écrivait facilement. Elle entendait le tic-tac d'une montr
estes et même les mouvements de la bouche et des lèvres. Il ne sait écrire spontanément que son nom qu'il sait lire. Il pe
toute une série de syllabes qui ont quelque rapport avec ce qui est écrit , mais il estropie les terminaisons. Les questio
ce qui est écrit, mais il estropie les terminaisons. Les questions écrites restent incom- ,préhensibles pour lui. Le tab
On ne saisit pas pourquoi le malade ne comprend pas les questions écrites . Est-ce parce qu'on n'insiste pas assez pour qu'i
e, il est vrai, mais où l'on saisii quelque rapport avec ce qui est écrit (cas si fréquent dans l'aphasie dite ataxique),
nt pas accompa- gnées de gestes; il comprend pourtant les questions écrites . Trois ans plus tard,- attaque d'apoplexie avec
e.-11 lit, articule très nettement, comprend ce qu'il lit, copie et écrit spontanément, dessine et fait bien un calcul, m
spontanément, dessine et fait bien un calcul, mais il ne peut rien écrire sous la dictée.. 1 Il entend bien les sons et l
ou bien lorsqu'un aphasique de ce genre n'a appris ni à lire' ni N' écrire , le diagnostic différentiel entre l'amnésie ver-'
uer alors le fait : que ces malades comprennent les É> questions écrites , y répondent par écrit ou autrement, tandis qu'
es malades comprennent les É> questions écrites, y répondent par écrit ou autrement, tandis qu'ils ne peuvent comprend
ots quand il lit à haute voix,' ou de, diriger ses doigts quand il. écrit , ou ses jambes quandilmar- ché. Dans des, cas t
33 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
ganglionnaire des articulés « une collection d'organismes, comme l'a écrit il y a longtemps Durand de Gros, donnant à cette
s'ai-dant de son épaule, de son menton et de sa joue droite, il peut écrire , manger, boire, dessiner, peindre. Son caract
par le sommeil hypnotique le tremblement et le bégaiement, et je fais écrire la malade qui transcrit couramment son nom et son
lle le laisse infailliblement tomber, si bien qu'elle ne peut plus ni écrire , ni coudre, ni même manger seule ; et cela dure d
vous souviendrez de l'époque à laquelle les lignes suivantes étaient écrites : « M. Malaguti (professeur de chimie agricole à
médiums. Ils répondent aux questions qui leur sont faites, ou encore écrivent ces réponses. Il s'agit encore d'automatisme inco
tions mauvaises. Notre jeune fille vit dans un rêve perpétuel; elle écrit , pour elle-même, le journal de ses faits et geste
UEIL DE FAITS Une nouvelle variété de rongeurs Nous connaissions, écrit M. Talamon dans la Médecine Moderne, les rongeurs
os, M. Henri de Parville, dans la lïevue scientifique des Débals, écrit : « Il eût fallu, je crois, recourir à la suggesti
rqué par force, violence ou contrainte la signature ou la remise d'un écrit , d'un acte, d'un titre, d'une pièce quelconque, c
peine des travaux forcés à temps. — Quiconque, à l'aide de la menace écrite ou verbale... aura extorqué ou tenté d'extorquer
r soit la remise de fonds ou valeurs, soit la signature ou remise des écrits énumérés ci-dessus, sera puni d'un emprisonnement
il qu'il m'a paru utile d'accomplir. C'est dans la vie de la sainte écrite par elle-même et dans son biographe, lïibera. que
uggeslibiHlé la plus parfaite. Un de ses critiques a dit : a Dans ses écrits , qui restent des modèles inimitables, il suffirai
tant mémoire intitulé : Hystérie et Boxeurs en Chine. Trois choses, écrit M. Matignon, frappent tout d'abord celui qui fréq
ue aura avec une une intention frauduleuse ou à dessein de nuire fait écrire ou signer par une personne hypnotisée un acte ou
d'un instrument, c'est la lecture musicale. La lecture de la musique écrite est le moyen par lequel l'auteur communique à ses
ure musicale est infiniment plus complexe que la lecture de la parole écrite . De plus, ici les difficultés varient avec les di
vec succès les suggestions religieuses. Les noms de ces derniers sont écrits ci-dessous en italique. I. — Famille paternelle
), et, tout l'hiver, elle tomba d'un mal dans l'autre. Le 3juin, elle écrivait : « J'ai commencé depuis un mois à perdre la vue c
ent plus à faire un diagnostic différentiel, à tel point que, comme l' écrit humoristiquement un publiciste distingué, Paul De
inte maison » (8), voulut s'opposer à ce qu'elle y fit profession, et écrivit dans ce sens des lettres à Port-Royal. « Elle dev
s dans l'impossibilité absolue de tenir une plume et par conséquent d' écrire , fut guéri en une seule séance, après l'exécu
voulons accomplir des actes qui ne sont pas faciles. Par exemple : « Ecrire et avoir de bonnes idées, o La volonté que nous
que nous voulons produire. Dans l'exemple qui nous occupe, c'est : * Ecrire et avoir de bonnes idées. » Il y a deux maniè
ccomplir, acte, idée ou pensée. Dans l'exemple précédent, c'est : « Ecrire et avoir de bonnes idées. • Loi. — Toute impres
supprimer toutes les impressions autres que celle qui est proposée: « Ecrire et avoir de bonnes idées. » Pour cela l'esprit
r dans l'abstraction. Pour une fois que la représentation mentale « Ecrire , avoir de bonnes idées » aura été provoquée, un a
oquée, un acte pourra être produit. Cet acte ou résultante sera : « Ecrire une bonne idée. » Pour dix fois que la représen
ura été provoquée, ce qui équivaut à dix représentations mentales : « Ecrire , avoir de bonnes idées j>, l'acte ou résultant
te pourra être produit dix fois ; dix fois une idée bonne pourra être écrite ,et.chaque fois une idée différente. Si la repré
,et.chaque fois une idée différente. Si la représentation mentale : Ecrire et avoir de bonnes idées » est provoquée cent foi
e bonnes idées » est provoquée cent fois, la résultante pourra être : Ecrire cent bonnes idées. Ceci est théorique. En pra
ique, il faut solliciter plusieurs fois la représentation mentale : « Ecrire , avoir de bonnes idées », pour arriver à la résul
: « Ecrire, avoir de bonnes idées », pour arriver à la résultante : a Ecrire une bonne idée. « L'entraînement facilite dans
i la mémoire n'entrent en jeu. — L'ordre est donné au cerveau : o Ecrire , auoir de bonnes idées ». La représentation menta
eau : o Ecrire, auoir de bonnes idées ». La représentation mentale: « Ecrire , a.voir de bonnes idées », se développe seule, en
utile pour produire l'acte, la résultante. Dans l'exemple actuel : « Ecrire , avoir de bonnes idées. » L'autosuggestion du v
adducécns qui rejetaient toute croyance qui n'était pas dans le texte écrit de la loi. Ils niaient la résurrection, l'existen
ais tenté d'établir une comparaison entre le cas que je yiçpg (Je écrire et la dip. spmanie. En effet, quels sont les ca
t d'heure après, je pus remuer les doigts et avec beaucoup de peine j' écrivis une ligne. J'essayai de marcher ; je fus tout de
ure intime des phénomènes observés. Or, il faut bien l'avouer, ni les écrits des philosophes et des psychologues, ni les reche
sent été leurs descriptions de miracles s'ils les avaient inventés ou écrits sans y croire. Nous aurions alors un récit analog
tre Philostrate, le latin homme de lettres fin et sceptique qui les a écrits , et les évangélistes animés par la foi. Ainsi q
i les évangélistes avaient eu l'idée, en rappelant les miracles, de n' écrire que des allégories, ils n'auraient pu donner ce l
edingote d'un assistant et de la porter sous le buvard sur lequel écrivait M. le Df Bérillon. Le sujet trouve facilement la
ile prestidigitateur. Quant au jeune homme à l'occasion duquel sont écrits tous ces commentaires, je ne le crois pas encore
s p. 41). Enfin Pierre de S&umur, moine de Saint-Florent, avait écrit à Robert une lettre dans le même sens que celle d
ur Liébeault qu'au maître de la Salpëtrière. Nous avons recueilli par écrit , comme pour le docteur Cesare Lombroso, l'opinion
lt avait déjà signalé les inconvénients. Dans une lettre qu'il nous écrivait à ce sujet, M. Liebeault disait excellemment :
bien longtemps. c II n'y a peut-être pas, dans toute la pathologie, écrit -il, un autre symptôme qui ait autant de valeur
mois, il rentre chez lui vers six heures du soir, dine, puis se met à écrire ;sa femme vient regarder au-dessus de son épaule -
se « pas les magnétiseurs ni les masseurs, ainsi qu'il a eu soin de l' écrire « au comte de Constantin, le Président du Congrès
Psychologie. « On a fait de grands efforts dans ces derniers temps, écrit le profes-n seur Grasset, pour supprimer l'indivi
estions. Soit les auto-suggestions : 1° Avoir de bonnes idées. — 2* Ecrire . — 3° Avoir de VOrdre. Le sujet qui voudra se l
minutes. Puis, 2° il répétera mentalement de dix à cinquante fois, Ecrire , et se reposera deux minutes. Puis, 3° il se
de fois, dix, vingt ou trente fois. Quand la phrase est courte, comme Ecrire , la fatigue arrive beaucoup moins vite. Au bout d
, c'est à celle-là qu'il reviendra le plus souvent ; les deux autres, écrire , avoir de l'ordre, étant proposées moins souvent.
ne sont pas difficiles à exécuter. Et le résultat final, recherché, écrire et avoir de bonnes idées, sera obtenu. II fau
gestion que je fis avec succès à un hypocondriaque, lui conseillant d' écrire chaque soir sur le mur avec de la poudre phosphor
suggestion. .Comme dans celle-ci, paroles pro- noncées ou lettres écrites pénètrent par les oreilles ou les yeux pour agir
trouvée rassurée et calmée. Malheureusement l'un et l'autre lui ont écrit et lui ont fait ainsi de la -suggestion par lettr
vie, Durand [de Gros) avait fait un dernier effort de production pour écrire un livre dont les feuillets épars, écrits souvent
r effort de production pour écrire un livre dont les feuillets épars, écrits souvent d'un premier jet, sans môme parfois avoir
prouva d'autre émotion que la hâte de terminer à temps le livre qu'il écrivait . Les rancunes ou les colères de ses luttes scient
nographie, la composition typographique, le maniement de la machine à écrire , la reliure, etc. En un mot, on met à sa disposit
34 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
M. Lucien P... va avoir 26 ans. J'ai en main son auto-observation, écrite au mois d'octobre 1906 ; je vais la résumer en la
i fut heureusement enrayée, de grandes crises apparurent. Voici ce qu' écrit M. P... : « J'ai pu obtenir des renseignements
aucluse, un garçon de 15 ans, faible d'esprit, ne sachant ni lire, ni écrire , s'être mis avec ardeur à l'étude à la réception
ovial, intéressant et en une année acquit assez de connaissances pour écrire à sa parente sans presque faire de fautes d'ortho
le but suprême de l'éducation. » Dès que l'anormal saura lire et écrire , on le dirigera vers une profession manuelle pour
lot expose en détail sa méthode, puis présente de jeunes aveugles qui écrivent très lisiblement ce qu'on leur dicte et lisent co
e qu'on leur dicte et lisent correctement avec le doigt ce qu'on leur écrit . La société adresse à Mlle Mulot ses unanimes fél
inage à La Mecque, vécut dans la péninsule de Malaca, son pays. (Nous écrivons Malaca, comme on le prononce. Si les Anglais écri
son pays. (Nous écrivons Malaca, comme on le prononce. Si les Anglais écrivent Malacca. c'est parce que pour eux, le nom de cett
ais écrivent Malacca. c'est parce que pour eux, le nom de cette ville écrit avec un seul c se prononcerait Maléca.) On te c
seulement l'histoire de la Penanggalan Je voudrais la connaître. Je l' écrirais en anglais pour montrer aux Européens à quel degr
ullah sur le sujat qui nous intéresse. (15) Prononcez comme si l'on écrivait Penenggalanne ; nos sons : an, on, sont rendus à
haute portée morale et sociale de ce beau livre que M. .fuies Bois a écrit , en fin de compte, pour « servir aux âmes dans lu
rison accomplie, je ne perds pas mon malade de vue. Je l'engage à m' écrire de temps en temps, à me tenir au courant de son é
De la réhabilitation », qu'il vient de publier ces jours derniers, il écrit qu'il avait « reçu de Dieu une bénédiction spécia
et les explications de ces langues et des textes saints. » Dallmeyer écrit : « Ce qui était désagréable dans nos assemblées,
er examen, je fus frappé de la vive intelligence du malade ; elle est écrite sur son visage. D'autre part, j'avais affaire à u
la part du Dr Emmanuel de Geijerstam, de Gothembourg.Voici ce qu'il a écrit dans « Gœteborgs Aftonblad » : « Avec le Dr Ott
rature hypnothérapeutique, on attachait la plus grande importance aux écrits de Wetterstrand et à sa manière de recourir à l'h
ortants de nos jours. « Un homme comme Van Renterghem, d'Amsterdam, écrivait , après être revenu d'une visite chez Wetterstrand
démence au moment de l'action ; que le mot responsabilité n'y est pas écrit ; 2° que les questions de responsabilité qu'il
à en faire des fainéants Plus tard un grand nombre de savants ayant écrit à ce sujet d'importants ouvrages, la pédagogie se
Et je ne parle pas seulement ici des tendances politiques. Je parle, écrit le correspondant russe du journal des Débats, des
x. La guérison de cette rétention ne se démentit point et le malade écrivait plusieurs mois après sa sortie de l'hôpital qu'il
a thèse de M. Ballet, telle qu'elle résulte de ce vœu, de son rapport écrit et de son exposition orale, se ramène à ceci :
droit. » Mais, qui est-ce donc, ce « qui de droit » ? Tantôt vous écrivez : « C'est au philosophe à décider si l'homme est
juge que l'on devra s'adresser ; Taylor, que vous citez, n'a-t-il pas écrit : « La question de savoir si l'accusé est un agen
ccasion, vous exprimez l'atténuation par une quantité numérique. Vous écrivez , à la page 20 : alcoolique a demi ; ou au quart '
ple constatation médicale des troubles existants », vous êtes amené à écrire : « Restreindre la mission de l'expert à la const
el degré qu'à certaine époque à Bagdad et en Andalousie, les médecins écrivaient en vers même les ordonnances. Actuellement les
Cela exige une étude sérieuse des livres religieux et ces livres sont écrits en arabe. Outre que cette langue est très diffici
De la longue et minutieuse observation de la malade, ainsi que de ses écrits , il ressort que c'est dans une période d'état sec
qu'après un délai fort long, puisque, près de dix ans auparavant, ses écrits nous révèlent qu'elle en était déjà obsédée. Et
rbide dans l'esprit de Mme X.., et l'échéance de l'acte criminel. Ses écrits nous montrent que pendant plus de dix ans elle a
olonel est particulièrement catégorique : « Sans un plan directeur, écrit -il, sans une idée maîtresse, sans une heureuse in
joute à cela les attitudes vicieuses prises par les élèves, soit pour écrire , soit simplement pour écouter la leçon, défauts q
breuses plaines de jeux. « Voulez-vous cultiver votre intelligence, écrivait J. -J. Rousseau, cultivez les forces qu'elle doit
erstrand à M. Podiapolsky, avec, au verso, le résumé de l'observation écrit en allemand. Dans la lettre qui accompagnait l'
ns toute l'activité de son intelligence, à 85 ans. Albert Hubbard m' écrit : « Mon père, à 87 ans, est l'homme le plus robus
mains privées de leur pouce ; malgré cette infirmité, la malade peut écrire et exécuter les travaux manuels courants. Les org
l'idée de l'absente, j'ai pratiqué l'auto-suggestion pour travailler, écrire , avoir de bonnes idées, et d'autres auto- sug
ntait, chaque fois je l'écartais par l'auto-suggestion de travailler, écrire , avoir de bonnes idées, etc. A ce moment, j'est
elle, de la ville de Hoff. Tout naturellement, les parents Keilwitz écrivirent au journal de Hoff que leur fille, dont le décès
vérance k pratiquer l'auto-suggestion tous les jours pour travailler, écrire , avoir de bonnes idées, faire œuvre utile, cette
démence au moment de l'action ; que le mot « responsable n'y est pas écrit ; R 2° Que les questions de responsabilité, qu'
uatre faux témoins sont venus déclarer devant le tribunal que j'avais écrit que le sultan était illettré. En réalité mon seul
ntelligent, le taquinaient beaucoup, mais il a pu apprendre à lire, à écrire , à compter ; il sait faire une addition ; quand i
démence au moment de l'action ; que le mot responsabilité n'y est pas écrit ; « 2° que les questions de responsabilité qu'i
ques des diverses formes de l'aliénation mentale se trouvent dans les écrits d'Arétée, do Soranus, de Cœlius Aurelianus, de Ga
brèrent les bienfaits de l'ivrognerie, et Hafiz, dans une ode célèbre écrit : « le vin engendre tous les vices, mais il nous
mes taches blanches sur la peau brune de Kirguises. M. Boukéïkhanov m' écrit qu'un jour le maître de la maison où il a été inv
tuts. Batuta eut plusieurs entrevues avec Toghlak. Ses voyages furent écrits après son retour au Maroc, son pays natal, il ne
able de sa narration est confirmée par divers historiens hindous, qui écrivirent d'après différentes sources. Le grand voyageur or
les étrangers. » Ferishta ('), l'historien mahométan des Indes, qui écrivait environ 260 ans plus tard, dit que Toghlak fut le
t ou quelques-uns des secrétaires qui le servaient. Tous les jours, écrit Ibn 15a tu ta, on amenait à la grande salle d'aud
evêtaient un ton cruel. Quand il décida d'exiler ses beaux-frères, il écrivit sur un morceau de papier : x Bannissez l'enfant t
arme a pu dire avec raison : «Nous pensons notre écriture, comme nous écrivons notre pensée. » Il n'y arien de plue logique
le volume remarquable du Docteur Milne Bramwell, de Londres, cite les écrits et les mérites de ses confrères en psychothérapie
enir sa liberté provisoire, le convalescent est tenu de signer le vœu écrit d'abstinence d'alcool et de narcotique durant un
sons. La personne libérée sur parole doit faire parvenir un rapport écrit le 1« ' de chaque mois au directeur en chef de l'
le ou dans les maisons de santé. Il est heureux de pouvoir constater, écrit -il, que beaucoup àv. femmes instruites, intellige
individuelle. L'idéal de liberté et de progrès qui se dégage de leurs écrits , en pénétrant jusque dans les profondeurs de la n
r une oligarchie non moins détestables. « Si je n'ai qu'un despote, écrivait -il, j'en suis quitte pour me ranger contre un mur
rs avant ces dates dangereuses, ma malade viendra me revoir ou bien m' écrira pour que je lui adresse tout au moins une suggest
ou bien m'écrira pour que je lui adresse tout au moins une suggestion écrite imposant le maintien de sa guérison. De cette o
l'aide de la doctrine énergétique. C'est ainsi qu'il a été conduit à écrire le premier une Pathologie de l'énergie. L'auteur
35 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
lle, et vous n’avez nul reproche à vous faire. Méditez ce que Pline écrivait a Maximus (I) : « Ces jours passés, la maladie
gnétisme ? — Le magnétisme , c’est la médecine de la nature •(et il écrit ces mots sur un morceau de papier que je lui ai d
ée ? — Pour définir le magnétisme tel que je le vois, il faudrait écrire plusieurs chapitres; ce serait long. Nous le fero
ez-en maintenant une définition abrégée. — 'Je vais vous la dicter. Ecrivez . « Voici le résumé du magnétisme dans son actio
tera', je pense, d’être recommandée à leur examen. Je lui ai promis d’ écrire pour elle ; je vous choisis , Monsieur , pour mon
Monsieur , pour mon intermédiaire. Je n’ai pas le temps de vous en écrire davantage. Votre tout dévoué, Verger, méd. Sa
La Perrière, que je m’intéresse à cette jeune fille, et que je devais écrire à Paris pour elle; on va è!re satisfait dlavoir
u et vérifié la plupart; entouré de témoignages éclairés et loyaux. écrits , verbaux et oculaires, nous allons reprendre l'hi
e une vie de résignation et de souffrance ? Je viens, dans ce petit écrit , de vous dévoiler un secret important : le pouvoi
u, et votre vie aura un degré de plus d'utilité. En lisant ce petit écrit , ne le considérez que comme la préface d’un grand
que de celle des « assistants (puisqu'ils indiquaient eux-mêmes par « écrit la nature de chaque expérience), nous ne pou-« vo
ière. Les magnétiseurs ne sont point, en général, grands lecteurs d écrits sur le magnétisme. Il suffit, pour beaucoup, de
sant d’y revenir. C’est un recueil rempli d’observations curieuses et écrit presque en entier sous la dictée de somnambules.
Elle parvint souvent, mais pas toujours, à lire correctement les mots écrits sur le papier. Plus tard cette faculté se perfect
et en discuta quelques autres qui lui furent proposés. Elle devina et écrivit les phases de sa maladie. » (La suite auprochai
tives. Il aurait dû amener à l’Athénée la somnambule citée dans scs écrits et annoncée dans les journaux comme la plus lucid
trépide de tous, M. Marcillet, dont les pusses « valent cent fois nos écrits !... » C’est un peu trop ravaler les auteurs et vo
du traitement d’une affection organique. Au 31 décembre 1845, il nous écrivait : « La malade affectée d’anévrisme et d’hydropi
les Latins en avaient fait un art,' et qu’un certain Marcellus avait écrit un ouvrage sur cette matière. Selon les temps et
eurs d’un horrible assassinat dont on trouve tous les détails dans un écrit intitulé la Physique occulte ou Traité de la bagu
le attaque. Tous les congrès ne pourront rien contre elle, car il est écrit : Heureux ceux qui croiront, car ilsposeivnt les
e de secrets et d’effets extraordinaires opérés par de petits papiers écrits , et les recettes les plus saugrenues, j’en rema
res. Au bout de huit jours de magnétisation , il se promenait déjà, m’ écrirait -il, quoique j’eusse été obligé de montrer à sa fe
et Cc, payable à la personne qui, sous l’influence du mesmé- risme, écrira les particularités du billet, je demande la permi
en outre, qui lira une maxime de « quelques mots anglais lisiblement écrits , contenue « dans la même enveloppe avec le billet
les devoirs de sa nouvelle position, s’adressa à l’Algérien, qui lui écrivit sur un petit papier, qu’il devait placer sous son
in matin, mort à côté de sa nouvelle épouse; et Achmed, que le papier écrit de sa main dénonça à la justice, fut arrêté et eu
apeur ordonné par une somnambule. Voici ce que le médecin accusé nous écrit à ce sujet : «Le G avril,le substitut du procur
x par la pensée généreuse du bien de l’humanité, et tous ceux qui ont écrit sur cette science l’ont fait dans le but principa
bien s’en repentir. Mais nous oublions, en ce moment, que tout ce qu’ écrit ce journal n’est jamais sérieux ; on s’y abonne à
de santé qui produit en ce moment de si merveilleux résultats ? On écrit do Lisbonne, le 21 avril, au Morning-Ghronicle :
l jamais, en fit il retentir le inonde? Nous ne trouvons aucune ligne écrite sur ces choses, mais nous constatons son amère do
orps savants, des sociétés «de médecine, qui lui avaient été opposés; écrivait des mémoires, qu’il envoyait à la Convention, sur
les diatribes envenimées de ses contemporains; car dans aucun de ses écrits on ne trouve la base de semblable accusation. Ce
sulter. Ses connaissances magiques étaient fort étendues, et il avait écrit sur les secrets de la nature plusieurs livres qu’
ve dans la chronique manuscrite de l’abbaye de Sennones, en Lorraine, écrite par un Bénédictin nommé Richer, le récit suivant
blèmes; éducation, médecine, finances, rien ne lui était étranger. Il écrivit sur ces diverses questions des mémoires qui luren
; nous en ajournons la publication. LE DOCTEUR. Notre science est écrite en grec et en latin; elle est gravée sur des tabl
més , il voyait assez pour se conduire, et même qu’il pouvait lire et écrire dans l’obscurité comme il le faisait en plein j
point le résultat d’une coupable supercherie, M. le docteur Encontre écrivit au crayon une question sur du papier, fit emporte
sa rapidement la main gauche sur les lignes tracées par le médecin et écrivit à l’instant la réponse avec autant de sûreté que
es dans le même but. « Le 10 juin 1844, MM. Thilorier et Lafontaine écrivirent à l’Académie des Sciences, lui annonçant qu’ils s
in jour, et font toucher au doigt et à l'œil l’erreur de ceux qui ont écrit que ce transport des sorciers est imaginaire, et
Monl.'gr,', dans te Dictionnaire des sciences médicales. PIutarque écrit d’un nommé Solens, Pline d’un Iler-moniime, et Hé
es Spranger, inquisiteur, ayant fait le procès à plusieurs sorcières, écrit qu’elles ont confessé qu’elles sont ravies en esp
rt triste qui augmentait naturellement la tristesse morale de sa vie, écrivait dans unçchambre d'hôtel son journal, Je livre de.
, voici ce que M. le docteur Verger, qui continue de l’observer, nous écrit à son sujet : «.....Elle présente toujours les
e docteur Beaumont, de Mortagne, qui l’a vue chez lui dernièrement, m’ écrit à ce sujet des choses surprenantes. Mise en conta
l’obligeance de le communiquer, ait cherché à se l’approprier dans un écrit publié récemment. Ce fait, soumis à de nouvelle
t comme un obstacle fidèle et jaloux. Quand au contraire Jean-Jacques écrivait dans son petit jardin la Nouvelle Ilélo'ise, vain
d’autres animaux électriques. En étudiant attentivement ce qui a été écrit sur tous les fluides impondérables considérés iso
âmes pieuses et aux sacristies, Il ne coulera rien , ou presque rien. Écrit sous l'inspiration du Saint-Esprit, il sera rempl
ouvrir le billet, et désigna par la stature la personne qui lui avait écrit . « Deux autres témoins, Jeanne Dusaulx et Franç
aminer attentivement les phénomènes magnétiques qu’offre Prudence, il écrirait autrement. Ignore-t-il que le rapport de 1784, qu
tance et leur profit grandement diminuer. Ce n’est pas pour eux que j’ écris ; c’est pour vous, mes chers élèves de Lyon. Vous
pôle à l’autre les choses les plus opposées : c’est son amant qui lui écrit que l’absence le tue, et cela un quart d’heure av
is 1820, qu’il a beaucoup médité ce sujet, sur lequel il se propose d’ écrire encore. La (iazette de Erance et le Journal de
era pour vous autant que pour un des maréchaux. » Persécution. — On écrit de Vienne ù la Gazette Je France, du 18 octobre :
se dérange point pour les examiner. — La somnambule est endormie; on écrit les choses que J’on désire qu’elle fasse; mais qu
heureuse faculté diminua dans la lutte. M. Donné, connu par son lait, écrivit pour vous, puis contre vous. Vous ne le saviez pa
uloureuse. Lorsque plus de cinquante personnes notables affirment par écrit avoir vu cela, il serait ridicule de ne pas le cr
on d’une nouvelle société du magnétisme, ont déjà donné leur adhésion écrite . Cette première liste ayant été spontanément couv
avoir de ce philosophe. 11 dit : « Buflon, « Condillac, Jouffroy, ont écrit des romans.» lit no voulant pus imiter ces grands
J. Andriveau. VARIÉTÉS. Électro-magnétisme. — M. Ch. Renard nous écrit de Rambouillet, à la date du 25 novembre, la lett
s’emparent du magnétisme. Nous n’en sommes point surpris, car c’était écrit . Ces renards, pour mieux croquer la poule, vont s
tre témoin d’une de ces ordonnances quelquefois verbales, quelquefois écrites . Les juges qui poursuivraient ce délit se couvrir
nt ni justes ni humains, el que l'humanité avait son code et scs lois écrites par Dieu... Vous croyez que ce qui était hier doi
us a beaucoup parlé de la transposition des sens. On nous a dit, on a écrit , que «lans certaines occasions les sens se déplaç
if, abolir l’ouïe, mais non la déplacer. On nous a dit encore, on a écrit , que certains sujets, dans l’état somnambulique ,
e sens, et pensez-y fortement. » M. Netter alors remit à son ami, par écrit , l’explication destroismots hébreux: « Béni sois-
36 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
en silence à l’instant même, et dans laquelle elle avait indiqué par écrit les parties qu’elle désirait qui entrassent en co
Baron Du Potet. 1-e prochain numéro contiendra un mémoire inédit, écrit de la main même de Mesmer. Le Propriétaire-Géra
se, et qu’il seroit (1) Toui ce que nous publierons de Mesmer étant écrit de sa main, il ne nous appartient pas d’y rien ch
tait étranger, et qu’il y a pris de cinquante ans que ces pièces sont écrites . de sa dignité que les autres nations, comme de
e la lui avait refusée. SOMNAMBULISME MAGNÉTIQUE ANORMAL. On nous écrit de Newcastle : «Une jeune dame de cette cité s’
e parla encore de l’empoisonneur et me remercia de ne point lui avoir écrit . Je lui on avais caché la demeure, mais elle ne l
à ceux qui voudront s’avancer dans cette connaissance k lire d’autres écrits et à chercher des vérités d’un ordre moral qui se
ruel ne doit pas empocher la continuation du traitement. Ceux qui ont écrit le contraire étaient daus l’erreur; souvent même
utile ; je suis singulier. Les voilà qui rient de moi; je renonce à écrire . Il jette son papier. Le délire éclate. Les trait
cœur, ce serait un plaidoyer en faveur des droits de l’humanité que j’ écrirais ici. J’ai besoin de me rappeler souvent que la sc
is elle se tut, et ne vit plus rien. Cette fille ne savait ni lire ni écrire , et jamais elle n’avait pris connaissance de ces
ue séance, le membre qui s’est chargé du malade est tenu de faire par écrit un rapport des procédés magnétiques mis en pratiq
té. Son Eminence le cardinal, grand-pé-« nitencier, a bien voulu nous écrire que la solution que nous « avions sollicitée se f
de traitement à opposer dans ces doux cas. » Lisez encore ce qu’ont écrit , sur ce sujet, de Puysé-gur, Deleuze, Rostan, Geo
lques secrets de l’art nouveau. Mais ce ne peut avoir lieu que par un écrit imparfait, pâle reflet d’une vérité qui n’a encor
t traitées à port dans ce jour- nal. Elles eussent allongé ce petit écrit , qui s'adresse aux commençants, auxquels nous n’a
vitable , une fois ainsi tracée en couleurs imaginaires, comme un mot écrit en encre sympathique, elle arrivait jusqu’àun'écl
utile à mon sujet de rechercher les diverses opinions de ceux qui ont écrit sur cette matière, il nie suffit d’avoir établi
l sera aussi savant hydroscope que l’abbé Paramelle. Notre ami nous a écrit dernièrement, pour nous exprimer l’étonnement dan
e son thème, lorsque, à son grand étonnement, il le vil sur sa table, écrit de sa propre main, plié et prêt à être présenté à
d’un ordre majeur. J’ai publié ces premiers faits dans mon premier écrit : Expériences de l’Hôtel-Dieu, et j’ai, dans mon
douleur. » M. Varney, de Gray (Haute-Saône), l’un do mes élèves, m' écrit que, sa femme étant magnétisée, un dentiste de Be
ndemain de mon arrivée je fus mandé chez le gouverneur, qui me pria d’ écrire à l’instant même une note circonstanciée sur ce q
ue inquiétude ; j’étais ému ; mais, comme je n’avais rien à cacher, j’ écrivis la déclaration suivante : « Je suis venu à Sain
aissez pas les formes expéditives du pays. La position de l’homme qui écrit ces lignes, ses tribula-lations ne vous toucheron
audrait un gros volume pour contenir tout ce que mes commissaires ont écrit ; ce serait sans doute très-intéressant à lire, p
ciennes. Pourtant, vous pouvez 11e pas vous presser; car, si vous lui écriviez aujourd’hui, il 11c recevrait pas immédiatement v
iudad-Rodrigo, mais son frère, dont il indique l’adresse à Paris. J’ écrivis donc immédiatement à ce frère, et voici le résumé
n qui servit à me fixer; néanmoins, poussé par une voix intérieure, j’ écris au colonel d’Artois, secrétaire au comité des ton
nfaiteur; sans cela, croyez-le bien, j’aurais pris l'avance pour vous écrire et vous témoigner ma vive et éternelle reconnaiss
bonheur, et vous prie de me sacrifier un moment de vos loisirs pour m’ écrire . 0 Celui qui vous doit la vie, « Signé I5onfi
u, et, par suite, sur l'intelligence. Le sujet de celle observation écrivait à un rie ses amis : « Je l'avoue franchement qu
numéro 25, et, afin de donner plus d’éclat à sa prédiction, il avait écrit ces chiffres sur la porte de la maison paternelle
Le souvenir de ce que vous aviez déjà vu vous est resté, vous l’avez écrit , permettez-moi de trahir votre secret et de publi
sormais que seront les regrets, car si j’eusse poursuivi vous eussiez écrit un poëme et divulgué quelques secrets du ciel : j
e que la nature cachait ! On est affligé lorsqu’on lit les ouvrages écrits sur le magnétisme; ils ne sont ni d’observateurs
e figurer des fantômes, il applique son esprit, ses yeux et sa main à écrire . Au commencement de la nuit, un profond silence r
du doigt. Alhénodore lui l’ait signe d’attendre un peu, et continue à écrire comme si de rien n'était. Le spectre recommence s
pour la science. Séance du 10 juillet. — Par suite de la démission écrite de M. Dussaux, membre et président du la société,
mesmérienne, dont personne no voulait admettre l’existence. La presse écrivait môme qu’il fallait me jeter en prison, car je tro
ux ou trois fois la triste expérience. « Sa réponse, qu’il me fit par écrit et que je conserve, « lut que les plus dangereuse
prendre bien « vite cc qu'elles ont voulu faire dissiper. » Vielet écrivit ceci le 19 novembre 1784. Moi-môme je n’ai jama
semblable à ceux cités plus haut s’est produit sur moi pendant que j’ écrivais ce traité. Magnétisant une dame gravement malade
de la Science. C’est à ce poinl de vue que quelques lignes ont été écrites par un Croyant, donl la foi ne s'appuie ni sur le
ouvrages où la question esl exposée en entier. Depuis 011 a beaucoup écrit , beaucoup expérimenté, et si 011 n’a pas démontré
t où lo magnétisme réussit parfaitement. Qu’on ouvre, en effet, les écrits sur le magnétisme, ou qu’on écoute les récits jou
tation de MM. Du Polet et Aubin-Gaulhier, ma conscience m’oblige d'en écrire à Votre Excellence. J’étais présent 5 la séance e
s de février dernier, il résolut d’en communiquer quelques-uns, et il écrivit à la Société philanlhropico-magnétique qu’il avai
un coin de la salle, le dos tourné aux assistants. M. le président écrit sur une liste qu’il remet à M. Burnet la transfor
é gauche et \'adhé-« sivité du droit, conformément à des instructions écrites « d’avance el tenues secrètes. La patiente entra
ze pas de distance, la fait avancer ou reculer, selon les indications écrites que lui donnent différents assistants. Ensuite on
tiente ne connaisse pas le français, les indications sont données par écrit au magnétiseur); la patiente presqne instantanéme
nts; toutes les poitrines étaient oppressées.... Cest par un discours écrit que M. *** prélude à la discussion du magnétisme.
la discussion du magnétisme.... Pâle reflet de tout ce qu’on a dit et écrit sur celle science depuis Mesmer; n'apprenant ri
ôme toutes les sociétés où l’on s’occupe de celte science, je ne puis écrire qu’à vous; mais vous voudrez bien leur communique
eille alors, dans le transport, de son plaisir, court à son bureau et écrit de mémoire la fameuse Sonate du Diable, qu’il ava
e vie future. Avant, j’étais matérialiste; je ne pnuva's croire à des écrits remplis d’allégories «t de mystères. Mou cœur éta
ému , touché de cette marque, de déférence el d'honneur, mais que ses écrits publiés ou à publier pouvant contenir des idées,
es écouter sur ce qu’ils ont pu apprendre; leurs livres, s’ils en ont écrit , sont nuls pour la science. Comment peut-on espér
enus dans nos autres ouvrages et serviront un jour â celui qui voudra écrire une histoire sur l’établissement du magnétisme en
. Successivement attiré, repoussé dans des directions déterminées par écrit el communiquées seulement au magnétiseur, le magn
37 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
tait pas moins grand que dans les sciences ; ainsi il n’a presque pas écrit en allemand, sa langue maternelle : à Paris, il s
nvention nationale; ce qui précise l’époque à laquelle co Mémoire fut écrit . (Note de PÉditeur). lité; 8° augmenter et dimi
nier manuscrit inédit qui nous reste de Mesmer : c’est 1111 brouillon écrit sur une feuille volante, ayant rapport à ce qui p
n , faite en 1829 par M. J. Cloquet; et malheureusement pour ceux qui écrivent sans connaître tout ce qui se rattache à une scie
nes, èteignoirs, imbéciles, etc., nous ont été lancées dans ce nouvel écrit . Voyez ce que c’est qu’une nouvelle doctrine! e
du délire ; ici c’est un homme froid qui nous donne ces rêves, il les écrit sérieusement , en toute sûreté de conscience, il
a possibilité d’une démonstration rigoureuse, et il passe les nuits à écrire ce qu’il pense être des conceptions sublimes. Pau
e l’inspiration. Si les auteurs de ces charmants ouvrages les eussent écrits endormis, qui sait l'influence qu’ils exerceraien
es relations la plupart mensongères, puisqu’elle emprunte à celui qui écrit tous les préjugés de son esprit, et qu’elles se t
ent des choses. Voilà ce gu’il faut toujours se représenter lorsqu’on écrit sur le magnétisme. Plus qu’un autre j'ai senti
e souffrait plus. » Notre correspondant de Niort, M. Lasscron, nous écrit aussi : « ........... Je ne cesse de m’occüper
refuser. Les seules remarques que je veuille me permettre sur votre écrit , se rapportent à la forme et au fond; je vais vou
ta soixante et douze vers , presque tous de la grosseur d’une plume à écrire . Puis successivement elle en rendit encore quelqu
du D' Poéti ; c’est la seule production italienne. Il n’a été rien écrit dans les autres langues. L’active propagation f
n a relevé les erreurs volontaires dans un de nos précédents numéros, écrit dans le Constitutionnel. « 11 paraît que la pop
-magnétisme analogue à celui rapporté dans notre dernier numéro, nous écrit que la manifestation de ces scènes étranges vient
avait pas encore donné de nouvelles depuis son départ de Paris, nous écrit que, en son absence, le magnétisme est resté stal
onds, savants en toutes choses , aidez-nous dans notre mission : vous écrirez tandis que nous produirons. Mais à quoi servent m
iété, qui marquent les travaux de nos frères américains : « Je vous écrivis l’été dernier pour vous dire que nous avions fait
siens. — Un de nos abonnés, qui habite les montagnes du Liban, nous écrit qu’il y a dans ce pays des femmes druses qui exer
nous ferons connaître tout ce qui nous parviendra. — M. Jobard nous écrit de Bruxelles : « Mlle Yirginie est toujours ici
sous leur plume, devient un héros de roman; on dénature sa vie et ses écrits , pour que son nom couvre d’odieux mensonges arran
é de son caractère que de ses moeurs. Et c’est de cette manière qu’on écrit l’histoire, en la dénaturant, sans qu’aucun scrup
rnit leur gloire. Mais ce n’est pas seulement dans les feuilletons, écrits moraux du jour, que nous trouvons motif à nos rep
x, destinés aux bibliothèques, sont conçus de même. Chaque savant qui écrit sur cette science, suivant en cela l’exemple des
). Nous ne rapportons pas toutes les théories ridicules qui ont été écrites sur la transplantation de (1) l.es Filles du Pa
e au prochain numéro.) Société mngnétlqnc de Cncn. Un membre nous écrit : « Je vous apprendrai avec peine que nos trava
entative nous sera connu , nous le publierons. Chronique. — On nous écrit de Moscou que le magnétisme y est en très-grande
il peut se lever, se chausser et marèher. 11 se sert de sa main pour écrire . Pendant son séjour à l’hôpital, une incision a
ence, en faisant appel à leurs lumières : Prêtez-nous votre concours, écrivez tandis que nous produirons. Et pendant que nous p
uirons. Et pendant que nous parlions ainsi, l’article qu’on va lire s’ écrivait . La précision et la clarté qui régnent dans cette
z, l’un des premiers élèves de Mesmer, traitant du magnétisme. Il est écrit partie en français , partie en allemand, et paraî
lemand, et paraît avoir été composé vers 1820. — M. Charpignon nous écrit : * M. Lassaigne, dit Laurent, est à Orléans, i
e Tristan, avait pu étudier ces phénomènes auprès de ce savant, avait écrit : « Quand on aura construit un instrument capable
ournir, dès le premier jour, les preuves sans réplique qu’ils étaient écrits non pour tromper, mais pour engager les hommes à
flétri ce qui n’était point dans le catalogue de ses études. Allons écrire sur les temples de ces modernes sages le mot Magn
ersonnes qui l’entourent. M. de Vallès de Montjay, qui habite Pantin, écrit à cet égard à la Société : « Ayant eu occasion
qui magnétise? Ah ! que nos pasteurs catholiques osent donc lire les écrits si lumineux, si orthodoxes, de l’abbé Loubert, do
Société du maguétisinc de la Kouvellc-Orlénaa. Le président nous écrit , sur les travaux de la Société, une longue lettre
faites pas injure à mes collègues en leur supposant de la timidité à écrire . J’ai souvent cherché à les stimuler ; mais s’ils
nt cherché à les stimuler ; mais s’ils parlent peu, ou plutôt s’ils n’ écrivent pas, je vous assure qu’ils font beaucoup plus qu’
u vous adresser la relation que vous attendez; mais il aurait fallu l’ écrire , et je n’en ai guère le temps; le temps me manque
ême d’autres malades que jusque là on croyait en bonne santé. Je fais écrire sans l’interrompre (ce que d’ailleurs il serait p
H, rue de PÉcoIe-de-Médecinc. M. Boméa, de Valence (Drôme), nous écrit : .........Pour le moment, vu l’urgence, je m
détruits ? Voilà pourtant les inconséquences qu’on débite dans des écrits sérieux, fort estimés, et d’ailleurs très-bien fa
progrès en mieux d’Anne Chaigneau. J’ai voulu la revoir avant de vous écrire . Elle va aussi bien que possible. Elle serait déj
cependant? Rien;.si ce n’est de récrire et de ressasser ce qui a été écrit et ressassé dans tous les siècles ; de le retourn
fréquenté nos séances; et s’il n’a point parlé du magnétisme dans cet écrit , c’est qu’il ne l’a pas pu. Kinésithérapie sign
tandis que la raison les divise. Aussi Mesmer 11e craignait-il pas d’ écrire : « L’instinct est un effet de l’har-« monie (1);
tte personne a l’esprit tout-à-fait inculte : elle ne sait ni lire ni écrire . Servante dans la maison d’un abonné de ce Journa
plainte; voilà qu’il recommence. Elle reprit, en effet, et l’on put écrire ce qui suit : Arrête ici, passant, Regarde ce
es. Nous ferons seulement observer que là plupart des auteurs qui ont écrit sur ces matlèfreS sôht généralement d’accord sur
sulines de Loudun, si diversement interprétée par les auteurs qui ont écrit sur ces convul-sionnaires. Ce sera du reste l’opi
compréhensibles, inconcevables, qui l’accompagnaient. Tout ce qu’on écrit sur cette vérité mystérieuse semble être dicté pa
nne l’esprit du lecteur sans éclairer sa raison. Cependant tous ces écrits , toutes ces opinions diverses relatent une chose
action, la catalepsie, etc., sont appuyées par tant de faits dans cet écrit , qu’on a, pour ainsi dire, toutes les formes du g
détourner son peuple des sacrifices à Satan. Saint Justin , martyr, écrivait que l’on recourait (1) Saint Cyprien, de Unctio
ues dont il use encore aujourd’hui. Les malades s’adressent à lui par écrit ; le prince leur assigne le jour el l’heure où il
sur le bureau. Le substitut a déposé sur le bureau son réquisitoire écrit , signé de lui, daté du 5 mars, présent mois, et t
es petites passions pour voir la vérité, et examiner si, moi qui vous écris , je suis véritablement guéri. Mais, malheureuseme
que nous avons publiée, tome Y, page a65. Cette pièce importante est écrite en entier de la main de Mesmer, et nous la reprod
ous avons à examiner. Instituée en 1786, dans le but de publier les écrits et de propager les doctrines de Swedenborg, fonda
vait fait connaître au monde sa sublime découverte, et qu’une foule d’ écrits sur le magnétisme et le somnambulisme, avaient ét
rriver, en quelque sorte, à canoniser son bienheureux fondateur, il a écrit son Mesmer et Swedenborg , ouvrage dont nous nous
it apte à devenir l’intermédiaire des communications divines. » — Ses écrits sont remplis de particularités psychiques sur son
endemain matin, avant de partir, il achète une feuille de papier pour écrire une lettre — car cette lettre était l’unique moti
y obligeait !... Et qu’on n’objecte pas qu’il los ignorait, car ses écrits nous fournissent la preuve du contraire. Dans ses
es presqu’impénétrables à l’œil de l’intelligence? Pourquoi, dans ses écrits , tout se trouve-t-il transformé, défiguré, méconn
nt pas de son Eglise, 47. LISTE NOMINATIVE des Personnes dont les Écrits , les Actes ou les Opinions sont insérés, analysés
38 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lement, très vite, sem- ble avoir hâte de terminer sa lecture. Elle écrit régulièrement et rapidement. En géographie, his
puis une rechute. il est parfaitement sensé, il voit, il entend, il écrit , répond intelligemment à toutes les questions e
prend les jeux de physionomie, lit sur les lèvres ce qu'on lui dit, écrit facilement, mais ne comprend pas ce qu'on lui d
Gironde), l'indica- t tion : 1° de leur nom et adresse, lisiblement écrits ; 2° de leurgarete VARIA. 71 1 le,départ et, s
sous le con- trôle de l'inspecteur général, président. Les épreuves écrites sont éliminatoires. Les épreuves sont au nombre
ires. Les épreuves sont au nombre de cinq, savoir : 1° une question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du systè
s aux candidats; le maximum des points sera de 30 ; 2° une question écrite portant zur l'organisation des asiles publics d
evront être donnés au début de la séance de correction des épreuves écrites . Il sera tenu compte de > ces points en vue
ué chez lui une certaine paresse de cette fonction. Il sait lire et écrire , son TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉ
s ferments, a fait une révolution telle, que les livres de médecine écrits avant lui ne peuvent plus servir à l'instructio
on plus ou moins complète avec Jésus-Christ. Disons de plus que ses écrits , même à travers la traduction, forcent parfois
piété ; elle perdit sa mère lorsqu'elle était enfant. « Ma mère, écrit -elle, était très vertueuse ; elle avait une gra
s grâces ordinaires dont Dieu la favorisait, elle continua de lui écrire de longues et fréquentes lettres, qui, très goûté
t femmes, dont elle passe pour la fondatrice ; alors seulement elle écrit ses ouvrages de sainteté qui lui ont mérité le
Perfection (el Camino de la Perfectione) livre de morale chrétienne écrit pour l'enseignement de ses religieuses ; - 30
antiques de Salomon. , L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 131 I A ces écrits dont les quatre premiers parurent de son vivant
, amour sans lequel elle ne peut vivre. Ce qui gâte pour nous ses écrits , c'est qu'ils sont trop remplis par des opinion
nquante-deux ans; elle éprouvait, dit-elle, une grande difficulté d' écrire , et il lui semblait que le Seigneur ne lui donn
a tête et une telle faiblesse dans le corps qu'à peine pouvait-elle écrire pour des affaires pressées ; elle lut- tait pén
main droite, ce tremblement ne survient qu'à l'occasion de l'acte d' écrire et au moment où la main munie d'un crayon ou d'
moment où la main munie d'un crayon ou d'un porte-plume s'efforce d' écrire sur un plan fixe. Aucun tremblement au repos ni
ères d'écritures dans le vide; il ne tremble pas davantage quand il écrit avec un morceau de craie. Ce tremblement n'est nu
x ans on la trouve en retard, elle ne peut apprendre ni à lire ni à écrire , mais elle sait compter. Elle s'occupe un peu d
de nanisme. Au point de vue mental, n'a pu apprendre ni à lire ni à écrire , a mis longtemps à apprendre à parler. Actuelle
emps, 30 mai 1902.) . L'interdiction de Mlle Blanche llfovwcs. - On écrit de Poitiers, au Temps (1 ? mars) : D'un jugemen
'évolution d'une psychose grave, d'origine traumatique. Voici ce qu' écrit , en effet, Brière de Boismont dans son travail
régulières et plus abondantes. Un certain nombre d'auteurs qui ont écrit sur le sein hys- térique ont rapporté ces phéno
e Satan, il va paraître. ' « Cinq ou six grands serviteurs de Dieu, écrit -elle, s'étaient assemblés à mon sujet; je sus d
ut-être rêvé par Descartes qui y serait sans doute venu, comme il l' écrivait à P. Marsenne : « anatomiser les têtes de divers
assif. Isolez- les, traitez-les, faites qu'ils ne se voient ni se s' écrivent , le premier fera tous les jours un pas vers l'i
» Elle a tenu le journal de leur vie tant qu'elle eut une table où écrire . « Jadis je tenais un agenda. J'étais peut-être
Elle exerce au Dépôt la même autorité. Elle défend à ses soeurs d' écrire , de manger et de se laisser emmener à l'atelier d
'atelier de photo- graphie. Séparée de ses compagnes, elle refuse d' écrire , même quand on veut lui persuader que les autre
ui persuader que les autres, sur ce point, ont cédé. Pour le fait d' écrire , elle demeure intraitable. Sur le reste, elle c
ous parlons, il y a peut-être un appareil ici. Vous nous demandez d' écrire ,-ce n'est pas l'affaire d'un jour : vous voulez
pec- tueuse. Ainsi, elle cède à son aînée l'honneur de signer et. d' écrire , celui de veiller leur soeur malade. Au Dépôt,
crire, celui de veiller leur soeur malade. Au Dépôt, elle dit : « J' écrirai si Annetle écrit » ; et lorsqu'on montait en vo
ller leur soeur malade. Au Dépôt, elle dit : « J'écrirai si Annetle écrit » ; et lorsqu'on montait en voiture, elle cédait
on droit d'aînesse, elle a pris les baux en son nom, elle accepte d' écrire parce qu'elle est l'aînée, enfin dans la notion d
ir. Isolée, elle parle la première; seule des trois, elle accepte d' écrire et quand elle apprend qu'on l'a jouée, elle res
nsemble ses papiers. D'abord, par les factures; on y voyait son nom écrit de trois façons différentes. On changeait aussi
ui le rend sou- vent inintelligible. L'écriture est informe; prié d' écrire son nom, le malade trace une série de signes in
cilement toute la part que sa féminité y a prise. «Il me prenait, écrit -elle, des saillies si violentes qu'il me sembla
susceptibles aujourd'hui encore, d'être séduits et trompés par ses écrits . Si sainte Thérèse, ne cessons de le dire, fut
son entrée dans l'impossibilité de lire ; il ne savait pas non plus écrire et avait peu de notions sur les choses usuelles
i, il lit couramment en se rendant bien compte de ce qu'il lit ; il écrit lisiblement, fait la dictée avec les grands, et c
et se déshabille seul ; il se rend utile aux travaux du ménage. Il écrit assez lisiblement, mais est lent à la lecture (
e dans un acte, provoqué ou spontané, direct au indirect, verbal ou écrit , d'aulodéuoncialion vis à-vis des autorités adm
ire dépendent en partie du mode de l'autodénonciation, verbale ou écrite , adressée aux commissaires de police, aux gendarm
dents personnels. Elle a été à l'école où elle a appris à lire et à écrire . Le début de l'affection se fit à sept ans par
l'alitement dans beaucoup d'asiles. « Un certain nombre de malades, écrit encore M. Bonnet, nous ont été amenés des hôpit
rque : « Annette est leur soeur supérieure ». Leur demande-t-on d' écrire un résumé de leur vie, Jeanne et Clotilde conse
, après les avoir séparées, Jeanne répond, ainsi que Clotilde : « J' écrirai si Annette écrit; » Annette oppose un refus for
éparées, Jeanne répond, ainsi que Clotilde : « J'écrirai si Annette écrit ; » Annette oppose un refus formel. Elle craint qu
u'une protestation pourrait activer sa sortie, elle répond : « Je n' écrirai pas, quand même vous me garderiez quinze jours.
à Jeanne, comme nous l'assurons que ses deux soeurs sont en train d' écrire , elle consent à rédiger quinze lignes sous la f
le voisine, Annette ayant compris qu'on l'influence crie « Jeanne n' écris pas, je n'écris rien. » Mais Jeanne occupée, n'
tte ayant compris qu'on l'influence crie « Jeanne n'écris pas, je n' écris rien. » Mais Jeanne occupée, n'entend pas et on
de la poitrine à vingt-deux ans, était une femme remarquable. Elle écrivait des vers qui, malheu- reusement, n'ont jamais é
histoire de France. De bonne heure, la philosophie l'at- tira. Elle écrivit des pensées, des théories sur le monde et sur la
es, des théories sur le monde et sur la vie ; mais elle brûlait ses écrits , au sur et à mesure, n'osant pas les lire à aut
e, ravivèrent ses préoccupations philoso- phiques et sociales. Elle écrivit alors les Drames de ma vie, récit de ses peines
Elle dit avoir eu des apparitions. Les Planètes Rocheuses ont été écrites à la suite d'une vision, dans laquelle elle aperç
oir eu ainsi deux visions, la première en 1885, la deuxième avant d' écrire les Planètes. Peut-être s'agit-il là de véri- t
on, ni syncopes, ni malaises d'aucune sorte. ' M. le Dr Viel nous a écrit que Tar... (Louis) (Hait arrivé avec le cer- ti
émotions stliéniclues. « C'est à la modification de l'état mental, écrit M. Hartenberg, que nous devons attribuer les su
Koeberlé. Le chapitre relatif à l'ad- ministration des asiles a été écrit par le D1' Renaudin, le maître de IL Dagonet. C
ssion de la mettre au courant des idées actuelles, l'auteur a voulu écrire de sa main, déjvtrem- blante, tout le chapitre
et ses résultats est brièvement expo- sée. Enfin M. J.-A. Sicard a écrit quelques pages sur deux ques- tions il lui fami
Un point intéressant à relever concerne la boulangerie. Voici ce qu' écrit M. Doutrebente : « Il a été fabriqué 148.496 kilo
micide, du vol, de boire ou d'être soupçonné de boire, de dire ou d' écrire des choses compromettantes, d'avaler des épingl
temps en temps ce malade redevient lucide pendant quelques heures, écrit des lettres raisonnables, se conduit correcteme
26 - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Quand il ne pouvait plus lire, il écrivit , et la suite de ses volumes est le compte rendu
and reconnaît toutefois que, si paradoxaux qu'on puisse trouver les écrits de Nietzche, il y a quelque exagéra- tion à les
e. Bientôt, il publie son livre : Humain, trop humain (1877), qu'il écrit à Sorrente en compagnie de Wagner, et où il se
ement, le prélude de la folie. Un mot qui revient souvent, dans ses écrits , c'est le mot dé- goût (Ehel), et il parait avo
années de sa vie errante, dans l'intervalle de ses souffrances, il écrit Aurore; 528 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. puis
voix, chanta bruyamment. Il couvrit plusieurs feuilles de papier d' écrits délirants où il mêlait les personnages de la my
personnel est une partie importante de sa philosophie; « mais ses écrits ne rendent d'autre service que celui d'indiquer s
Un de ses biographes, AI"10 Andréas, nous apprend, ce à quoi ses écrits ne nous préparaient guère, qne Nietzche se distin
, qu'il ne révélait presque jamais. Il aimait la solitude, et. il a écrit dans Reee Ilotiio : « Souffrir de . la solitude
39 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
epos au lit. ÉTUDES BIOGRAPHIQUES JAMES BRAID : 1son œuvre et ses écrits Par M. le docteur Milse Bramwsll, (de Londres)
, n'a pas cessé d'être hystérique. « Depuis ma sortie de l'hôpital, m' écrit -il; j'ai eu deux crises, il y environ 3 ans, qui
nt » : j'ai nommé les neurcpathologistes. Deux thèses importantes écrites par MM. Bouveret et Lcvillain sous l'inspiration
aucoup moins préoccupé de la théorie que de la pratique. « Ces états, écrit -il, sont caractérisés par un ensemble de sensatio
r en droit. ÉTUDES BIOGRAPHIQUES JAMES BRAID : son œuvre et ses écrits Par M. le docteur Milne Bramwell, (de Londres)
t. Mais la mode ne constitue pas nécessairement le progrès, comme a écrit Tarde. Elle ne l'amène que si la nouvelle mode es
4 Août 1897. ÉTUDES BIOGRAPHIQUES JAMES BRAID : son œuvre et ses écrit ? Par M. le docteur IÏilxe Bbauwell (de Londres)
médical. Selon lui « s'asseoir journellement sur sa propre chaise et écrire sur une feuille de papier pour chaque maladie san
et mes observations personnelles, jointes à une étude approfondie des écrits de Braid, m'ont amené à conclure que la plupart d
re et la plus claire expression des vues dernières se trouve dans les écrits de Mr. Frédéric Myers, et, plus spécialement, dan
ant que plusieurs investigateurs ont eu la notion de la valeur de ses écrits et que la plupart des ouvrages modernes sont, en
... Femme du monde, endormie dans une salle d'attente et donnant, par écrit , en vertu d'une suggestion, rendez-vous à un inco
arrondis. II est ainsi réduit à ne plus pouvoir prendre des notes ni écrire sous la dictée. En outre, il doit, en classe, fai
s mouvements volontaires et en particulier lorsque le malade se met à écrire ; dans le sens transversa!, de gauche à droite ou
es à pointe arrondie.Notre malade tremble plus lorsqu'il s'applique à écrire lentement et à main posée que lorsqu'il écrit vit
lorsqu'il s'applique à écrire lentement et à main posée que lorsqu'il écrit vite, plus aussi vers la fin de la journée que le
ant le sommeil hypnotique, alors qu'il a les yeux tout à fait clos, d' écrire avec une vraie plume sur du vrai papier : les let
'ai pas soutenu cette doctrine, à aucune époque ; depuis mes premiers écrits sur la question en 1883, jusqu'à mon dernier (Pia
ale, 1897), j'ai toujours affirmé le contraire. Tout mon enseignement écrit et oral proteste contre la conception d'automates
ètement débarrassée de tous les éléments qui la falsifiaient dans les écrits de Braid lui-même et appliquée de la manière la p
(1) Neurohypnohgie. Traduction de. Jules Simon, chapitre additionnel écrit eu 1360, page 245. aucune connaissance des im
rouvait dans une nouvelle de M. Paul Adam : a Le bruit de nos pièces, écrit -il, celui des pierres écroulées, les cris fous de
bizarre, l'impression de fausse reconnaissance. L'une d'elles nous écrivait les lignes suivantes : « Mes fausses reconnaissan
e. Durand, de Gros, en 1 SCO, avait exprimé le même souhait lorsqu'il écrivait : « Le rachitisme de l'intelligence, les déviatio
nt un de ses instruments entre les doigts, à la manière d'une plume à écrire , on en dirige la pointe entre les deux yeux de la
premier parmi les jurisconsultes, j'avais développées, en 1884. Il écrit , en effet, en 1886 : « Le somnambule, entre les m
urette a publié dans ce sens, en 1887, un ouvrage dont M. Brouardel a écrit la préface {'). « L'auteur y formule cette propos
uggestion que résident ces derniers (p. 382). » Il est vrai qu'il a écrit , dix pages plus haut : * La suggestion hypno-« ti
pratique, et si j'ai obtenu des succès avec la suggestion, verbale ou écrite , parce que a la foi guérit *, j'ai obtenu des suc
par Stendhal ('). Tous mes propos d'amour avec elle ont été joués, écrit cet auteur, il n'y en avait pas un de naturel. To
ar la suggestion pendant le sommeil hypnotique^). Dès lors, comme l' écrivait tout récemment M. Pierre Janet, « l'aliéniste n'a
Itobin, fase. XV. 169. De même, plus loin (p. 173!, M. Pierre .l3nct écrit que l'hypnotisme • forme une ressource extrêmemen
rès d'eux pendant qu'ils dormaient; et M. Bernheim a eu bien raison d' écrire : « Ne dites jamais de secrets devant une personn
losophe que fut Epicm e. En tous eus, il a devancé tout ce qu'on a pu écrire sur l'anesthésiè provoquée par ce que nous appelo
seules peuvent faire le vrai et le salutaire effet ('). » « La grâce, écrit de son côté Jacqueline Pascal, est particulièreme
dix enfants de 6 à 15 ans pris dans toute les classes de la Société, écrit Edgar Bérillon, huit sont susceptibles d'être end
ance, amour, extase. » D'Holbach était en effet trop absolu lorsqu'il écrivait en tête de son Histoire naturelle de la superstit
rtant Liébeault ne s'en tenait pas à la pratique, il réfléchissait et écrivait . En 1806, il publia son merveilleux traité sur le
à une conversation tenue dans une langue étrangère que nous lisons et écrivons , mais que nous n'avons pas l'habitude de parler,
eulement indémontrables, mats incompréhensibles, a Dites à un enfant, écrit Fénelon, qu'en Dieu trois personnes égales ne son
que Jacqueline composait dès l'enfance. Voici des strophes qu'elle écrivit à treize ans, en 1638: « Père de ce grand unive
gue et plus il se ressent. * Enlin. à dix-neuf ans (mai 16S5). elle écrivit une « Consolation sur la mort d'une huguenote » o
ants pour la mettre en somnambulisme. Et alors, il lui suggéra de lui écrire , deux jours plus tard, à une adresse qu'il indiqu
nt être réalisées à une échéance plus ou moins éloi- (1) Ceci était écrit en 1891. Nous avons vu plus haut que ce ne serait
uler » 11 y a près d'un demi-siècle déjà, M. lienouvier, de son côté, écrivait : « L'autopsie ne révèle pas de désordres organiqu
rs : leurs discours édifiants et leur bonne vie que l'on connaissait, écrit Gilberte, donnèrent envie à mon père, à mon frère
es de M. Jansénius, de M. de Bainl-Cyran, de M. Arnauld et des autres écrits dont ils furent très édifiés a. » « Les ma- (l)
ques, elle put lui ouvrir ses portes. » On lisait dans cet ouvrage, écrit avec une fermeté digne d'une meilleure cause, que
rale des Jésuites, ouvrage qui accrut encore sa renommée. En 1644, it écrivait la Tradition de l'Église sur la pénitence, d une
sonnet de 16Í0, que nous avons cité. « Sur la lin de l'année 1616, écrit Gilberle *, M. de Bel ley faisant ses ordres a Ro
moyens de contention, etc., en usage chez les aliénés ; leurs œuvres ( écrits , travaux manuels) ; les photographies des malades
gt-sept ans. Les instituts scientifiques en Russie. On a beaucoup écrit , â l'occasion du voyage présidentiel et du dernie
suggestion sans la connaître, a La phrase ainsi conçue ne se trouve, écrit -il, dans aucune de mes publications. Je n'ai jama
IBLIOGRAPHIE Voici, parmi tous les ouvrages et articles que Braid a écrits sur l'hypnotisme, ceux que j'ai pu découvrir :
s lui dépeignirent l'hérésie de Forton sous des couleurs telles qu'il écrivit à son suppléant d'informer avec soin, et de donne
Biaise Pascal et à ses amis. Ceux-ci firent une nouvelle déposition écrite confirmant la première, mais que Forton déclara i
contentèrent que grâce à l'intervention très active de Belley qui fit écrire à l'archevêque par Etienne Pascal. Encore le prél
prélat craignait-il que cette solution ne fût pas définitive, car il écrivit à son suppléant : « Pascal pourra bien trouver qu
ts où il semble que la suggestion réciproque soit plus aisée. « Dieu, écrit Jacqueline à son frère le 7/9 mars 1652, s'est se
uvres et ignorantes pour la plupart el dont plusieurs ne savaient pas écrire , qu'il fallut fonder à Paris une autre maison que
1634, un de ses frères, M. Le Maistre, songeant à se marier, elle lui écrivait : * Autant que vous m'avez été cher, vous me sere
illain (de Nice), Paris, Maloine, 1898. — Le Dr Levillain, qui a déjà écrit , sur diverses questions relatives au système nerv
vient de traduire également en anglais. Wetterstrand n'a pas voulu écrire un manuel d'hypnotisme ; son but a été de montrer
40 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
production de l'hypnotisme : « Les personnes que l'on veut endormir, écrit -il, ne sont nullement influencées si elles font u
e et sociale, par M. le D' Witrï (de Trèves-sur-Moselle). Tardieu écrit dans son livre Des attentats aux mœurs : ? Aucune
proximatif. Le docteur Moll, qui est une autorité dans la question, écrit : « Je ne puis dire avec certitude s'il y a à Ber
a que 2 à 3 % des homosexuels qui pratiquent la pédicatrie. Zola a écrit au docteur Laupts les paroles suivantes : « J'ai
monde, n'ayant presque point de satisfactions ? Dans certains livres écrits sur l'homosexualité on semble invoquer chez les ê
t pas pour eux, qui, du reste, forment plutôt une exception, que peut écrire le compositeur. L'homme, en possession de toute
tte façon que le compositeur doit considérer le public pour lequel il écrit et qui sera appelé à juger son œuvre. D'autre p
, des cœurs entrelacés ! Une jeune et charmante femme de Berlin fit écrire à l'aiguille sur son dos une pièce de vers fort l
constances dans lesquelles on peut en faire usage, ce qui l'a amené à écrire les chapitres sur l'hystérie, les obsessions, l'a
siers fouillé les paperasses poussiéreuses et il est ainsi parvenu, à écrire un ouvrage qui ne manque pas d'intérêt. Sociolo
sement, en effet, cet observateur admirable, ce professeur hors ligne écrivait peu. Ses amis auraient voulu le voir consacrer à
rits qui la composent. « Entre un grand mathématicien et son bottier, écrit Gustave Le Bon, il peut exister un abime au point
force morale est pour les trois quarts dans les affaires militaires, écrivait Napoléon ; la balance des forces réelles n'y entr
l'émulation. M. Hugues Leroux, au retour d'un voyage dans ce pays, a écrit les lignes suivantes : * Le Norvégien a le sentim
e consultation parmi mes élèves. J'ai obtenu une centaine de réponses écrites ou orales, motivées. J'avais donné comme sujet de
ive qu'attachent les parents aux récompenses scolaires. L'une d'elles écrivait qu'elle avait appréhendé de rentrer chez elle un
son âme au-dessus de son devoir. Il fit passer aux proscrits, par un écrit ano-« nyme, l'avis de l'ordre de déportation. Ils
uggestion s'exerce par la parole, par la musique, les spectacles, les écrits , etc., il montra l'influence exercée par la sugge
indang), un magistrat allemand, atteint de cette aberration, se mit à écrire des romans où il se prenait lui-même pour un obje
es, que le leur refuser est une monstrueuse injustice. . Tjh uraniste écrivait au professeur B. Von Krafft-Ebing, de Vienne, c A
lors il raisonne sa passion et s'y complaît. • J'ai peu de répulsion, écrit -il. pour les fades et longues jennes filles aux m
auté sobre. Et encore mon désir la déféminise. • TJn autre uraniste écrit , toujours à B. Von Krafft-Ebing : * Le temps que
donna et combien je fus heureux ce soir là >. TJn autre, enfin, écrivait au docteur Servaïs de Cologne : « Quand même je s
s préparatifs, le flacon de chloroforme étant encore intact. Lefort a écrit , à propos des expériences des physiologistes sur
n'ont pas le courage de continuer à mettre en pratique ce qu'ils ont écrit ou dit. St ceux-là avaient connu le professeur Li
lier, on a décrit un suicide spécial à l'hystérie. Legrand du Saule a écrit « la tentative du suicide est commune ; mais il y
crite en faux contre cette conception du suicide hystérique. Pitres a écrit « il ressort bien clairement que le suicide des h
l'honneur de la famille sera sauf. Son projet ainsi bien arrêté, elle écrit à son médecin pour lui en faire part de façon à c
â( sont La conduite de la Vie (I860) Société et solitude (1870). 11 a écrit de nombreux Essais. (2) D'autre part, m. Gréard
s par degrés ; elles ne faisaient d'abord qu'une partie des exercices écrits , apprenaient des leçons plus courtes, et arrivaie
émoniaques pour séjourner dans les églises. Xous en avons été témoin, écrit -il, lorsqu'on amenait ces misérables à notre préd
'Intérêt de quelques physiologistes et neiirologistes allemands, j'ai écrit un petit mémoire ¦ Katalepsie and Mesmerismus >
esperatio futuri saculi. Saixt Thomas d Aqccc. ?. Raffalovich (1) a écrit un véritable plaidoyer en faveur des ura-nistes :
vertueuse Allemagne, Benedikt Friedhender. docteur en philosophie, a écrit un fort volume sur la Renaissance de l'Eros TJran
mais signifie aimer honnêtement. Bien après Pausanias, Dion Cassius écrit : « Adrien bâtit en Egypte une ville à laquelle i
drien et périt en Egypte, soit pour être tombé dans le Nil, comme l'a écrit l'empereur, soit pour avoir été immolé, ce qui es
ours) dont l'interprétation ne peut laisser de doutes. Spartien qui écrivait sous Dioclétien, dit : « Comme Adrien naviguait s
le titre à'Osphrésiologie, ouvrage classique auquel tous ceux qui ont écrit sur le même sujet n'ont pu se dispenser de faire
ance sur le rôle sexuel de l'affectivité olfactive. C'est ainsi qu'il écrit : * L'odorat semble ici le précurseur de l'amour
de vitalité. » Dans une autre partie de son livre, il ne craint pas d' écrire ces lignes saisissantes : « A l'époque « de la pu
un homme dont la situation médicale est considérable en Allemagne, a écrit dans un ouvrage qu'il a publié en 1906, « Sur l'H
d à se prolonger. Pour ce qui concerne son emploi de l'hypnotiem'* il écrit : « Aussi croyons nous qu'il faut surveiller avec
ion. On a publié dans cette revue quelques-uns des meilleurs ouvrages écrits sur l'hypno-thérapie, et aussi beaucoup de casuis
ssait déjà quelques années auparavant. Le disciple de Vogt, Brodmann, écrivait en 1898 dans une série d'articles : « Zur Méthode
vains (1) par M. le Professeur Raymond. Une femme adulte essaie d' écrire : elle ne peut pas. Un tremblement saisit ses mai
On pourrait croire que cette maladie ne frappe que les personnes qui écrivent beaucoup. C'est une erreur. Cette femme écrivait
ue les personnes qui écrivent beaucoup. C'est une erreur. Cette femme écrivait fort peu. H n'est pas toujours nécessaire que la
aligner ses chiffres dans le sous-sol ; il lui devenait impossible d' écrire une ligne au premier étage, dès qu'il était en pr
ion de quelques noms propres. Un tremblement la saisit. Jamais elle n' écrirait assez bien et la crampe se constitue, telle qu'el
C'est un des savants qui ont le plus honoré l'Université de Nancy, m' écrivait un ¦ professenr de sciences, qui n'est autre qne
romiques de la dégénérescence mentale. « N'écoutez pas les sophistes, écrivait récemment M. Doumer. qui professent un cosmopolit
rales. C'est ce que Diderot exprime d'une façon saisissante lorsqu'il écrit dans la Lettre sur tes aveugles : « que la morale
à l'étude comparée des odeurs humaines. « C'est un fait bien connu, écrit -il. de tous ceux qui ont voyagé que les blancs so
nutile, indiscrète, une concupiscence de l'esprit ». Et Malebranche écrivait à son tour : « Les hommes ne sont pas faits pour
té d'y assister. En particulier M. le professeur Gilbert Ballet lui écrivait : Mon cher ami, Je suis navré qu'un incident me
epté la présidence d'honneur du banquet et qui devait y prendre part, écrivait également au Dr Bérillon. Mon cher confrère, J'
président de la Société de Pathologie comparée, absent de Paris, nous écrit ses plus vifs regrets de ne pouvoir se joindre à
eprésente dans cette brillante réunion. Le Dr Jules Voisin, par ses écrits , par ses leçons, par sa pratique médicale privée
odeur suigeneris. Carl Vogt, parlant des individus de race noire a écrit :« les exhalaisons de la peau ont un caractère pa
loir contre les aversions olfactives. On en trouve la preuve dans les écrits d'un grand nombre de littérateurs, qui n'ont pas
e 2 mois et demi, comme les résultats ne sont pas satisfaisants, elle écrit à sa mère qu'elle va de mal en pis et on la retir
le de psychologie, je m'occupai tout spécialement de ce qui avait été écrit sur l'éducabilité de l'animal si intéressant qu'e
ses d'une main imprégnée de ueur. Il faut se méfier de ce qui a été écrit sur les éléphants, beaucoup d'auteurs ont rapport
bien nous fournir ceux qui nient l'hypnotisme et ses effets, j'allais écrire ceux qui n'ont pas su ou n'ont pas voulu comprend
P. Saixtyves, Le Miracle et la Critique Scientifique. Ce petit volume écrit avec une clarté rare est un exposé des plus intér
phyllac-tique des secours. Pour vous, comme vous l'avez éloquemment écrit dans notre préface au livre de madame la princess
sir (1). Le physiologiste Muller, dans son Manuel de physiologie, a écrit qu'il pouvait à sa volonté s'endormir très prompt
hevalier de MOré la vie et l'agrément A coté de la logique dans ses écrits . Nicole dit dans « l'Art de conserver la paix a
igé par le docteur Albert MolL de Berlin et le livre énoncé ci-dessus écrit par un médecin rompu ? la pratique, et initié ft
41 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
diagnostiqua crampe des écrivains. En effet, dès que le malade veut écrire , il est pris d'une raideur des doigts qui l'emp
d'une rechute. Un autre médecin prescrivit une abstention absolue d' écrire pendant 6 mois et l'inges- tion de strychnine,
. En effet, au bout de quinze jours de traitement déjà, le malade m' écrivait la lettre sui- vante, qui permet d'apprécier l'
e, les yeux, elle sourit, puis elle se remet à manger, à marcher, à écrire , à parler. Ce réveil est complet et définitif e
e d'un test : examen d'une gravure pendant 2 minutes et description écrite des re- marques suggérées. Les résultats montre
epsie avec, attaques rares et débilité mentale ». Il savait lire et écrire . Quelques mois après l'entrée, il présenta du «
épilepsie des alternatives de régime salé et non salé, « parce que, écrivions -nous, nous pensons que les phé- nomènes physiqu
et aussitôt il rapproche emballeur de fabricant de cercueils. Il écrit alors à M. Anatole France, pour lui signaler son
llongé » et telle qu'il est contraint de s'arrêter dans un café. Il écrit là deux lettres, mais avec peine, ému qu'il est p
r sa mère et il l'explique ou du moins tente de l'expliquer dans un écrit que nous transcrivons ici et qu'il intitule : C
tre chez lui. Nous le perdons de ue. Près d'un an après, nous lui écrivons chez lui et il répond à notre questionnaire par
sident. Elles seront au nombre de six, savoir : . 1° Une question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du sys
aux candidats ; le maximum des points est de 30. 2° Une question écrite portant surl'organisation des asiles pu- blics
x heures. Le maximum des points sera de 10. Les copies devront être écrites lisiblement et porter une devise. Cette devise
etles points devront être donnés lors de la correction des épreuves écrites . 11 sera tenu compte de ces points en vue de l'
position. Le maximum des points sera de 20. 6° Une épreuve clinique écrite . Cette épreuve portera sur un seul malade, qui
'examen du malade et une heure pour la rédaction d'une consultation écrite . Le maximum des points sera de 20. La police gé
e' la double gestation, pour peu que ce gâchis s'accentue, quand on écrira , non pas un volume, mais un simple article, il
de cette séparation, mais durent se résigner. Sans doute, elles, s' écrivirent souvent, mais elles n'eurent pas l'occasion de
entre 5 sujets, ont été accomplies par cette méthode qui consiste à écrire dans des cahiers les chiffres qu'on compte deux
qu'on compte deux par deux 272 étude critique. et la somme on l' écrit à côté sans tenir compte des di- zaines. Cette
vision de la Bienfaisance pu- blique au Ministère de l'Intérieur, a écrit un rapport du plus haut intérêt sur le patronag
ée par le per- sonnel et d'obtenir de ce dernier, dans ses rapports écrits et périodiques, substitués aux renseignements o
pour le dessin et y ont fait des progrès. Trois autres ont appris à écrire et à lire couramment. Deux autres commencent à
ont appris à écrire et à lire couramment. Deux autres commencent à écrire seule- ment. Plusieurs de ces enfants manifeste
une véritable inaptitude pour la lecture, alors qu'elle a appris à écrire d'une façon remarquable et qu'elle ex- celle da
i est impossible d'émettre le moindre son. Il fait signe qu'il peut écrire , demande qu'on lui donne de quoi le faire. Nous
rmation, pressé de partir, nous ne l'avons malheureusement pas fait écrire ce jour-là, si bien que nous ne pouvons savoir
out ce qu'il fait ; oublie immit. diatement la phrase qu'il vient d' écrire , le mot qu'il vient de prononcer et sur lequel
MUTISME, APHONIE, AMNESIE, APHASIE. 347 simple ? je ne le vois pas écrit ? Pour la Marseillaise éga- lement, il reconnaî
il se met alors à faire des mouvements de son bras gauche : « Je l' écris dit-il, pour tâcher de m'en rappeler la signifi
tivement à sa monoplègie brachiale droite, D ? avait dû apprendre à écrire de la main gauche). Comme nous lui demandons al
endre à écrire de la main gauche). Comme nous lui demandons alors d' écrire le mot de la main droite, il ne peut plus le pr
ant couramment. Cécité littérale. - Cécité verbale. 9 avril. Nous écrivons lisiblement : Vous ne savez plus écrire ? Il me
verbale. 9 avril. Nous écrivons lisiblement : Vous ne savez plus écrire ? Il met plus d'une minute à lire cette questio
vez plus écrire ? Il met plus d'une minute à lire cette question. Ecris ton nom. Après une minute 1/2 d'efforts, il lit :
X., mais ne peut se souvenir de la physionomie de ce dernier. Il a écrit à sa soeur aujourd'hui, mais il ne se souvient
Agraphie. 9 avril. C'est en vain que nous demandons au malade d' écrire son nom. Il y renonce. « Je ne sais pas comment
tions très petites qu'il présente est insuffisant pour l'empêcher d' écrire . D ? finit par écrire quelques chiffres sous no
il présente est insuffisant pour l'empêcher d'écrire. D ? finit par écrire quelques chiffres sous notre dictée, après beau
l. Depuis avant hier D ? a fait de nombreux efforts pour parvenir à écrire ; nous lui demandons alors d'écrire quelque chos
mbreux efforts pour parvenir à écrire; nous lui demandons alors d' écrire quelque chose; très lentement, avec des arrêts, i
alors d'écrire quelque chose; très lentement, avec des arrêts, il écrit son nom et Armentières. Après Armenfiè, il arrête
omment finir, pourtant je l'ai fait ce matin cinquante fois ! «. Il écrit ensuite spontanément : Recevez je vous prie mes
je vous prie mes sincères sa- lutations. Il a mis sept minutes pour écrire cette courte phrase, avec des arrêts fréquents,
CLINIQUE MENTALE, secondes il savait bien nous dit-il, qu'il devait écrire la lettre mais il ne se souvenait plus de sa fo
evait écrire la lettre mais il ne se souvenait plus de sa forme. Il écrit sous notre dictée : Nous sommes aujourd'hui l
s, le malade a surtout beaucoup de peine à retrouver la manière d' écrire la lettre f. 12 avril. D ? met plus d'une minut
re d'écrire la lettre f. 12 avril. D ? met plus d'une minute pour écrire le mot civilité, il ne savait plus comment fair
é, il ne savait plus comment faire un c. 13 avril. Il met 40 " pour écrire le mot dispersion, il l'épelle cependant très b
nécessaires pour former les lettres. 70 " lui sont nécessaires pour écrire sous dictée, de la main gauche à l'aide de laqu
tée, de la main gauche à l'aide de laquelle il avait l'habi- tude d' écrire ces quatre mots : je sais bien écrire. 7 mai. L
uelle il avait l'habi- tude d'écrire ces quatre mots : je sais bien écrire . 7 mai. Le malade écrit un peu plus facilement,
de d'écrire ces quatre mots : je sais bien écrire. 7 mai. Le malade écrit un peu plus facilement, cepen- dant il met enco
e écrit un peu plus facilement, cepen- dant il met encore 20 " pour écrire son nom,et 1 minute pour écrire le nom d'une au
pen- dant il met encore 20 " pour écrire son nom,et 1 minute pour écrire le nom d'une autre personne, Dubar par exemple,
r qu'il voyait pourtant devant lui. « Pour mon nom, dit-il, je l'ai écrit tout de suite, pour écrire Dubar j'ai cherché à
vant lui. « Pour mon nom, dit-il, je l'ai écrit tout de suite, pour écrire Dubar j'ai cherché à le voir quelque part inscr
it pour trouver la première lettre, je l'ai vu devant les yeux j'ai écrit Du puis j'ai dû- fixer pour voir le b et regard
es. Pour son nom au contraire, il nous fait remarquer qu'il l'a « écrit tout de suite « c'est à dire sans chercher à avoi
let. Les progrès sont lents, il met encore une minute et demie pour écrire spontanément : ,le voudrais être content un jou
n d'avoir la représentai ion visuelle des mots. 20 septembre. D ? écrit presque couramment il présent. Langage intérieu
t composé de deux syllabes, mais je ne puis le prononcer ni le voir écrit . Nous lui demandons de penser à quelque chose.
e démence primitive, des troubles du langage.parlé comme du langage écrit . Un ne peut REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 401
emment des trou- bles de ce genre. Les troubles de la parole et des écrits dans la dé- mence primitive ne sont pas décrits
Auguste), dit Minadoux, interné à l'asile d'aliénés. Au dos était écrite au crayon une prose incohérente. L'auteur écriv
és. Au dos était écrite au crayon une prose incohérente. L'auteur écrivait que plusieurs personnages, plus ou moins imaginai
volonté, si hien que le sujet, non seulement ne peul pas parler ni écrire , mais ne veut traduire par aucune manifes- tati
n grand nombre de ligures, schémas et reproductions de dessins et d' écrits de déments. La bibliographie est très étendue.
42 (1913) Exposé des travaux scientifiques
ie, 191 l, t. Il, p. 329) émettent la même opinion. Voici ce qu'ils écrivent à ce sujet : « Le caractère dominant de toute l
té confirmées par nombre de neurologistes. C'est ainsi qu'Oppenheim écrit (Lehrb. der Nervenkr. 5 A. Bd. I, S. m, 12) :
e problème, au moins dans un grand nombre de cas. Voici ce que j'ai écrit à ce sujet : « Outre l'impression que l'on peut
exe du radius ». 36 SÉMIOLOGIE « Le malade que nous présentons, écrivent -ils, est atteint de syringomyélie cervicale; on
« Inversion du réflexe du radius dans un cas de syringomyélie » et écrit : « Ce cas de syringomyélie, dont je donne le rés
chez un tabétique (Revue neurologique, 1912, t. XXIII, p. lt3G) et écrit ceci : « Notre obser- vation vient donc s'ajout
u système pyra- midal. » Je n'ai rien à retrancher de ce que j'ai écrit il y a quinze ans et si les travaux publiés de
s'applique, par exemple, au réflexe antagoniste de Schaefer. J'ai écrit à ce sujet (56) : « Schaefer, dans le n" 22 de
igo3, est un complément du signe du gros orteil. Voici ce que j'ai écrit à ce sujet dans mon pre- mier travail (97). «
ur les « formes latentes des affections du système pyramidal » j'ai écrit ceci : « Cette présentation me donnant une occa
vec la syphilis » (Gazelle des Hôpitaux, 1901, pp. 143ti et suiv.), écrivent : « ... grâce aux travaux de Babinski, la valeu
progressive) », in Bulletins de la Société médicale, igo2, p. 563, écrit : « C'est à M. Babinski que revient le très gra
La syphilis du système nerveux, igio, Octave Doin, éditeur, p. 2g) écrit : « L'importance du signe d'Argyll Robertson est
ostérieures de la région lombo-sacrée. « En décembre 1912, Foerster écrivait que la résection des racines postérieures a été
tic fut vérifié à l'autopsie. « Les faits que nous avons constatés, écrivions -nous, doivent être rapprochés de ceux qui ont é
rançaise d'Électro- thérapie el de Radiologie médicale, juin 1012), écrivent : « Nous rapportons huit observations de sciati
e cet arc pourra produire un spasme oculaire. » Voici ce que j'ai écrit : « J'avoue n'être pas convaincu, tant s'en fau
ant un fait d'hémispasme facial (Revue neurologique, mo5, p. 1227), écrivent : « Le spasme offre les caractères cliniques qu
paralysie périphérique et l'hémispasme facial périphélique, Deleni écrit : « Il y a, on le voit, pour MM. Negro et Babin
e bilatérale et médiane» (Revue neurologique, 1910, t. XX, p. 438), écrit ceci : « D'autres caractères bien mis en valeur p
aradoxale. André Thomas (Revue neurologique, 191 1, t. XXI, p. 5o8) écrit : « Il n'est pas douteux que, suivant l'opinion
ité de Pathologie générale, publié par Ch. Bouchard, 1901, p. 1002) écrit : « L'abolition du réflexe du tendon d'Achille es
essehnenreflexe bei Tabes (Neurologisches Cenlralblatt, 1902, p. 92), écrit : « On peut conclure avec Babinski que dans le
appelé l'opposilion faite au traitement hydargyrique dans le tabes, écrit : « Un seul neurologiste français, Babinski, est
leux « pro pes ». Bing (Rev. suisse de Médecine, 2g décembre igi r) écrit ceci : « Sur huit cas de lésion en foyer du cer
édical Asso- ciation, septembre, 216, 1912, vol. LXI, pp. 10 et Il) écrit : «... Babinski a appelé l'attention sur quelqu
andowsl : y (Handbuch der Neurologie, Berlin, igog, Bd. I, S. 8 ! ¡2) écrit que, d'après son expérience, « il n'y a aucun d
érébelleuse. Il en est de même de Rothmann (loco citato, p. 82). Il écrit : « Il faut ajouter (aux autres symptômes céréb
ermie et de vaso-constriction de l'autre côté, et voici ce que j'ai écrit sur ce point : « J'avoue que j'incline vers l
aire dans le traitement des troubles auditifs. Thèse, Paris, ego3), écrit dans ses conclusions : « La ponction lombaire s
e. Chauffard et Boidin (Gazette des Hôpitaux, 21 juin 1904, p. 728) écrivent : « Nous avons été à même de vérifier l'action
s, des bourdonnements et de la surdité par la méthode de Babinski), écrit : « Les vertiges ont été régulièrement influen-
tat nul. » Barany (Handbuch der Neurologie, Bd. III. S. 8/), 848) écrit : « Depuis trois ans que j'ai entrepris de cont
cuisse et du tronc dans la chorée de Sydenham ». Voici ce que j'ai écrit : « J'ai observé, chez un assez grand nombre de
w consécutif à une crise de rhumatisme articulaire aigu prolongé », écrit : ... « Il est permis de penser que si le salicyl
7), dans un article intitulé «Note sur dix cas d'aortite syphilitique écrivent : « M. Vaquez a insisté avec raison sur l'assoc
43 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
re : les femmes à barbe dans la religion. (4) Champollion : Lettres écrites d'Egypte, 2- édition, p. 293-298. (5) RoSELLiSi
devoir de donner la moitié de son pain à son voisin pauvre. Nous n' écrivons pas ce livre avec l'intention de blesser des croy
e, crédule, un peu niaisotte, on ne put lui apprendre ni à lire, ni à écrire , ni même à réciter un peu de catéchisme appris pa
ainsi pour l'asthme de Bernadette. « Sans être pour cela maladive, écrit M. Henri Lasserre, elle était a sujette aux oppre
grotte, avec une légèreté sans pareille : a J'ai cru plusieurs fois, écrit « un témoin oculaire, que des êtres invisibles la
ever et prendre je ne sais quoi de céleste » (a). M. Henri Lasserre écrit : « Le visage de la voyante devient tout à « coup
s sur l'endroit « de la grotte où elle croit voir la Sainte Vierge, » écrit le rédacteur du Lavedan. Enfin rapprochons ces
gnalée aux Bollandistes par un capucin de Prague. « En 1684, ce moine écrivit à Popen-brock, un des plus ardents collaborateurs
r toutes les préventions. Trois ans après, en 1687, le baron Von Brun écrivait au même Bollandiste que l'image de la sainte se t
e au prieur de Notre-Dame de Doomont, fut en 1235 l'un des grands qui écrivirent au pape Ugolino de Conti (Grégoire IX), contre la
Anselme, archevêque de Cantorbéry, et le pape Ranieri (Pascal II) lui écrivirent , le premier en 1094, le second en 1117, pour le p
l'Enfer burlesque, le poète, voulant peindre les monstres de l'enfer, écrit : Toutes ces guenons sont si laides Que ce sont
é naturelle, reproduite avec fidélité. On lit l'explication suivante, écrite en espagnol dans un angle du tableau : « Portrait
how, en particulier, prévoyant avec raison les abus de l'ovariotomie, écrivait , en 1856, les lignes suivantes, auxquelles on ne
er secours contre les Albigeois, et fut l'un des grands de France qui écrivirent au pape en 1235 contre les prélats du royaume et
ans sa mémoire des images motrices d'articulation. Un autre, enfin, écrit de sa propre main sa leçon tout entière ; il conf
il est défendu, d'ordinaire, de tenir une plume à la main et de rien écrire ; le graphique se voit ainsi refuser le libre usag
nné, courageux, il apprend ses leçons très consciencieusement; il les écrit même en entier de sa main. Lui demande-t-on de le
certain nombre de fois, il la possède bien ; il est môme capable de l' écrire à nouveau de mémoire... Puis, le dimanche, en cha
ls et les graphiques devront, en même temps qu'ils lisent des yeux et écrivent de leur propre main, articuler nettement et être
ologie, nous rappelait quelques passages de la préface qu'il venait d' écrire pour la réédition du fameux livre de Feuchtersleb
er son observation et de vous l'envoyer. Il est bien des choses qu'on écrit plus facilement qu'on ne les dit. Soyez certain q
es hystériques. c II n'y a peut-être pas, dans toute la pathologie, écrivait Burq, il y a plus de cinquante ans, un autre symp
xtraordinaires qu'il éprouva dans la suite, il disoit souvent et il l' écrivit un jour à M. l'évéque d'Alet, que Dieu le punisso
tivité et son pouvoir suggestif. Cet ouvrage original et précis est écrit dans un style clair, et sera lu non seulement par
la visite au Dr Liébeault eut lieu quelques années après la mienne, m' écrivait qu'il utilisait l'hypnotisme dans sa pratique cou
s heures de loisir que lui laissaient ses devoirs de chirurgien à écrire son livre intitulé : Ebauche de Psychologie, paru
, dans le même but, est suggestionné par autrui, a Liébeault dans ses écrits a accumulé les preuves les plus démonstratives en
e dans son livre sur le Sommeil paru en 1866 : « Si l'on considère, écrit -il, l'un après l'autre, les signes de la formatio
veutiguérir. Le sommeil, a La clinique du D' Liébeault, à Nancy. écrit un ancien médecin, est le meilleur des remèdes. R
mouvement vers un néo-mysticisme aux allures vaguement scientifiques, écrivit au Dr Liébeault pour lui demander son opinion.
eloppée chez une hystérique. Est-elle de nature hystérique ? 11 est écrit , dans les livres classiques, que la chorée hystér
ouvements expressifs de la physionomie ou du corps tout entier voici, écrit M. Richet, comment s'exprime Dugald-Stewart : «
le malade à multiplier ses efforts correcteurs. La psychothérapie, écrit M. Meige, joue certainement un rôle de premier or
nt de la dipso-manie et des intoxications. « Il ne faut pas croire, écrit -il, que par la suggestion on fasse la rééducation
pendant qu'on dort, tant pour ta civilité que pour la santé. On doit, écrit -il, « dormir sur le costé droit au premier sommei
ie, vient d'être nommé chevalier de la Légion d'honneur. L'auteur qui écrit ces lignes tient à adresser non pas seulement ses
la page 393, nous remarquons la même faute : * Mais ce qui frappe, — écrit -il, en parlant de la femme pendant la menstruatio
e homme de 17 ans qui paraissait bien doué sous tous les rapports, il écrit : « Il fut pris de maux de tète, d'insomnies ; le
e et une fatuité dépassant les bornes. Dans un style amphigourique il écrivait ses pensées sur l'amour. Ces élucubrations me fai
de qualifier ses confrères hialogistes ou hypnotiseurs dans tous ses écrits du Correspondant et de la Revue de Médecine. Mais
est ainsi comprise par les hypnotiseurs puisque deux d'entre eux ont écrit : « Le cerveau doit être pris par surprise » (For
principe-Mais M*. Dubois ne reste pas conséquent avec lui-même car il écrit : « La raison est le crible qui arrête les sugges
un numéro du Correspondant (Correspond. Bl. fur Sehweizer Aerzte) il écrit : « L'homme ne devrait être accessible qu'aux sugg
puisse servir à autre chose. ifais M. Dubois, ne l'oublions pas, a écrit son livre contre l'hypnotisme qui est un « agent
ent « bêtement en plein jour ». Il n'y a aucun doute; un auteur qui écrit de pareilles expressions doit avoir un tel sens d
t qu'il « n'imposera jamais sa volonté » à ses malades. Or il. Dubois écrit à propos de sa cure de la constipation : « Affirm
ismes ? M. Dubois tonne contre la suggestion hypnotique et pourtant écrit à propos de l'incontinence nocturne, page 382 : «
s encore, incapable de remuer la tête ou'd'articuler une parole, elle écrit . Voici deux échantillons de son écriture (au cray
e domestique. Louis, Gras et Cauvin qui lui font du mal (comme elle l' écrit en italien) sont des individus, réels ou imaginai
nts, devient un besoin, une nécessité. D'où la théorie du Mak-Toub (l' écrit ). . . Bientôt aussi on arrive à croire que ce
il. Dubois dit « que chacun est plus ou moins suggestible » puis il écrit que l'hypnotisme augmente la suggestibilité. On l
sme, puisqu'il y a recours pour des enfants. Le professeur Bernheim écrivait dans son livre en 1884 : « Le mode de suggestio
is non pas comme un*» étude fondamentale de la psychothérapie. Il l'a écrit dans la pensée de combattre l'hypnotisme mais en
abandonné la fée électricité pour s'adonner à la psychothérapie et il écrit dans son livre : s Aucun de ceux qui ont considér
ntenter de mots eu l'air dans une pareille question ». AI. Dubois a écrit dans le Correspondant suûse, qu'il n'était pas ar
nné la pratique générale de la médecine pour se livrer à l'hypnotisme écrit dans son livre : « Je termine mon travail en disa
lui, indique comme étant justifiables de l'hypnotisme ? il. Dubois a écrit que les troubles reinaus des enfants et particuli
rs aussi bien qu'avant sa dernière crise. Au moment où j'achevais d' écrire cette observation on est venu m'ap-peler pour une
44 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
ne faux pas laisser accréditer. J'en trouve la preuve dans un livre écrit par M. Cavailhon : « Un magnétiseur produit sur
Bonniot étaient autre chose que la reproduction de certains ouvrages écrits au commencement de ce siècle par des abbés dont l
e, d'après le P. de Bonniot, le voici : « Nous nous croyons autorisé, écrit -il en soulignant les mots, à définir le miracle u
a les savants en défiance. « L'esprit du savant qui n'est que savant, écrit -il. et du philosophe qui n'est que philosophe, es
ment plus précises que celles qui existaient ¡1 y a deux cents ans, n' écrivez -vous pas, au sujet de certains phénomènes, exacte
e certains phénomènes, exactement le contraire de ce que vous eussiez écrit alors? Et d'autre part votre conscience ne vous d
que Dieu n'est pas embarrassé, ce n'était vraiment pas la peine d' écrire un si gros volume pour le tirer d'embarras. Quo
s professées au Val-de-Grâce sur les maladies simulées, par Boisseau ( écrits où il est a peine consacré passim quelques li
s les débuts de l'état de rapport. (1) Depuis que cet article a été écrit , pu déterminer chez Benoist l'état suivant que j'
horreur du vrai et la haine du bien ». Ils sont attachés au mensonge, écrit le P. de Bonniot, « par des liens plus solides et
ctes ou des phénomènes consécutifs. « C'est la conviction du sujet, écrit le P. de Bonniot, qui est ici le grand, l'unique
n eût été égal. Voyez comme on pourrait lui retourner tout ce qu'il écrit sur l'état de conviction des hypnotisés : « Il
urrait faire de ces paroles à l'état psychologique de celui qui les a écrites n'est-elle pas saisissante? Lorsqu'il conclut,
z Gibbon, médecin royal et agrégé au collège de médecine de Bordeaux, écrivait , le 22 mat i;85. au marquis de Puységur pour lui
es de l'ignorance et d'un charlatanisme vulgaire, et le savant auteur écrit avec raison: « Des aveux de cette nature, faits p
urs, ta santé, la paix des familles et des individus. « Très utile, écrit le docteur Barth, dans certaines formes de maladi
e remède. » « — Et enfin voulez-vous que je vous donne mon avis ; m' écrit une femme' qui me paraît avoir plus d'esprit
l me parait intéressant de joindre à mon observation une lettre que m' écrivait , le 1; juillet dernier, un élève de l'Ecole norma
tte voie sans tenir compte Je ce que cet éminent professeur a fait et écrit . Une foule de publications ne contiennent que d
iècle dans le monde de la science, mais de petits ouvrages, lestement écrits , faciles à parcourir, commodes a loger et d'un pr
de la réclame qui lui était faite en cette occasion, s'est empressé d' écrire aux journaux pour certifier la véracité du fait.
* s'éteignaient dés qu'il s'asseyait devant un bureau : ¦ Etre assis, écrit -il, dB vant une table une plume à la main, c'est
qu'au milieu des joies et du bruit Je la foule. L'historien Mézerai n' écrivait , même à midi, même en plei;i mois de juillet, qu'
ar Bérillon. dans un article qui a reçu une assez grande publicité, écrivait les lignes suivantes : i Depuis deux ans que no
s ce premier cours, il a donné lecture d'une lettre que venait de lui écrire son éminent collègue de Paris, M. le professeur C
dois a la vérité de dire, qu'en 1857, M. le Dr Durand (de Gros) avait écrit dans son Cours de Brai-disme(1). petit livre rema
au lit depuis sa naissance. Intelligence assez médiocre. Sait lire et écrire . Caractère doux. 11 a éié renvoyé de l'école des
tendre, pas même le bruit de la montre, et sa famille était obligée d' écrire pour se faire comprendre. Le 25 octobre, dix jo
des organes des sens, et je vous les présente telles qu'elles ont été écrites à cette époque où l'hypnotisme n'avait point enco
table sur laquelle étaient disposés tous le-, objets nécessaires pour écrire . Je lui demande de m'éenre quelque ehose soit pou
voyait pas... je la touche du doigt, elle s'en empare. D. — Allons, écrivez !... lui dis-je. Elle résiste encore, frappe du
is textuellement ses paroles.) « Vous savez bien que je ne peux pas écrire :... je le voudrais, » que je ne le pourrais pas:.
n'ai pas d'idées, aucune... » aucune idée:... dites-moi ce qu'il faut écrire , je vais le faire ; » mais ne me demandez pas une
é !e doigt sans la prévenir: elle met sa plume sur le papier, prête à écrire , et reste là. immobile, les yeux fixés sur moi.
uveau la feuille, qu'elle voit dans sa :r«a!n avec étonnement. D. — Ecrivez ... je ne sais pas... Ecrivez : Monsieur.... Elle
t dans sa :r«a!n avec étonnement. D. — Ecrivez... je ne sais pas... Ecrivez : Monsieur.... Elle commence, et écrit sous ma di
Ecrivez... je ne sais pas... Ecrivez : Monsieur.... Elle commence, et écrit sous ma dictée : Monsieur, je voudrais bien vou
commence, et écrit sous ma dictée : Monsieur, je voudrais bien vous écrire , mais je ne puis ie taire. » parce que je n'ai pa
moi ! > Elle signe... elle date du 29 mars 1882. Pendant qu'elle écrivait , je lui dictais chaque mot : si je m'arrêtais, el
êtai;: si je cessais de toucher le papier, elle cessait à l'instant d' écrire . Elle accomplissait évidemment un acte mécaniqu
étaient complètement étrangères : son nom est le seul mot qu'elle ait écrit de son propre mouvement. Avant de quitter la sa
, je l'éveillai, et lui mis sous les yeux la feuille qu'elle venait d' écrire : elle eut une grande surprise, et ne crut à nos a
imple interprétation des phénomènes du langage articule et du langage écrit nous démontre d'une façon précise la participatio
prime nos pensées en sons phonéliques. et seul les fixe en caractères écrits . L'étonnement va augmenter encore si Ton se met
études patientes ! Le musicien exécutant a devant lui sa partition écrite . Il la Ht des yeux, il la comprend avec son espri
erprêtes dociles de sa pensée et les traducteurs immédiats des signes écrits , comme les muscles phonomoteurs, lorsqu'il lit à
u'il lit à haute voix, deviennent les interprètes fidèles des phrases écrites ; c'est un travail mental complexe, qui met en œuv
n mouvement précis de la main, et que, par suite, une série de signes écrits sur la partie musicale représente une série de mo
i dura plusieurs jours et qui était apparent, surtout pendant qu'elle écrivait . Uoe jeune fille (Mlle C..., 17 ans), amateur de
l'action des gestes, de la physionomie, de l'attouchement, du langage écrit , etc., sur l'âme de l'hypnotisé, [tout comme il e
rit, etc., sur l'âme de l'hypnotisé, [tout comme il existe un langage écrit , parlé, mimé et d attouchement, qui réagit à l'ét
e nous ne devons pas nous en effrayer, etc. M. Delbœuf. qui a si bien écrit sur les rêves, ne s'accusera cependant pas lui-mê
. Je sortis de ma poche une carte de\isite sur le dos de laquelle j' écrivis la suggestion suivante : «Cet après-midi,au din
ssons a ses lèvres : il ne pouvait, seul, boutonner ses vêtements, ni écrire ; depuis quatre ans, n avait cessé de pouvoir don
rès quelques mouvements d'impatience, il lit >ij;ne qu'il pouvait, écrire . On lui présenta alors un crayon et un carton sur
t, écrire. On lui présenta alors un crayon et un carton sur lequel il écrivit très rapidement trois ou quatre lignes, également
environs d'Anvers, habitait Paris depuii longtemps et ne parlait et n' écrivait qu'en français ; mais dans cette circonstance, il
qu'il ait été incapaMe de se servir de cette langue. On vérifia que l' écrit rappelait une dette de i5 francs contractée en 1S
positions avant d'être fatigués et dans la vigueur de la vie. - On écrit de Hcerby (Suède) : « M. Akerman a fait subir, a
ff. la Tribune de Genève, dans des articles remarquablement conçus et écrits , a cru devoir justifier l'opportunité de la mesur
que notre éminent collaborateur, M. le docteur Ladame, a été amené ù écrire à la Tribune la lettre suivante, qui résume si bi
45 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
fut transféré à la section d'Alek- céevsky (Histoire de la maladie écrite par le Dr P. A. Scherbats- chow). Janvier 1-1
-ce que je suis un éléphant pour montrer la lan- gue. » La prière d' écrire quelque chose ou de lire adressée au malade, re
cein, il répondit : « Chacun est à sa place. » (Histoire de maladie écrite par le Dr S. S. Protopopoff). Noire observati
éjà terminal, mais grâce à l'histoire de la maladie très détaillée, écrite à l'hôpital Préobragensky, nous avons pu nous f
Préobragensky, le il janvier en 4892.-De l'histoire de sa maladie ( écrite par le Dr Maltschine), nous empruntons les lait
dans la maladie décrite par lui ; quant aux investigateurs qui ont écrit après lui, ils sont pour l'origine secondaire d
de quatorze ans, arriéré et gaucher de nais- sance, qui a appris à écrire des deux mains, mais qui écrit tou- jours plus
cher de nais- sance, qui a appris à écrire des deux mains, mais qui écrit tou- jours plus facilement de la main gauche, e
, malgré les efforts de ses maî- tres, il n'ait pu se déshabituer d' écrire en miroir de la main gauche. ' G. D. XXXIII.
r l'anéantissement de' l'intelligence du langage oral et du langage écrit : telle était la situation au début de l'affect
nt : la dysgra- phie ou écriture spontanée inadéquate à la pensée à écrire , la ,.dyscopie ou copie défectueuse des textes
clusion logique. Nous ne pensons pas que, jusqu'ici, rien n'ait été écrit de plus complet sur une question d'un aussi hau
Les épreuves du concours sont les suivantes : 1° Une composi- tion écrite de trois heures, sur un sujet de pathologie inter
que. Seront seuls admis dans la salle où aura lieu la composition écrite , les candidats porteurs d'un bulletin spécial dél
t constatant leur admission au concours. Le sujet de la composition écrite est le même pour tous les candidats. Il est tir
d'inventions. On FAITS DIVERS. 95 ne l'inquiéta plus, bien qu'il écrivit journellement aux ministres et aux personnalité
ntrer si, comme on le prétendait généralement autrefois, comme on l' écrit encore aujourd'hui, l'épilepsie peut résul- ter
les 339 épileptiques de son service : « Douze sont monoma- niaques, écrivait -il. Trente sont maniaques, parmi elles quelques
de crétinisme avec épilepsie. Il publie dans son mémoire un rapport écrit de l'Instituteur de Rosières-aux- Salines qui l
de la contraction' chez le sujet normal1. De même, lorsque Grasset écrit « aucun organe n'échappe à l'influence cérébral
pprendre à marcher, se laver, s'habiller, manger seuls, voir, lire, écrire , compter : on est étonné des résultats obtenus
omme le dit le Petit Va ? ' et comme nous l'avons dit nous- même et écrit tant de fois, « on procédait plus sou- vent de
titulaires et Charasse suppléant. Le concours comprend une question écrite d'anatomie, une question écrite de pathologie i
. Le concours comprend une question écrite d'anatomie, une question écrite de pathologie interne et de pathologie externe,
comme ayant fort probablement des idées de suicide, et que l'auteur écrivit au médecin traitant pour lui conseiller de surv
M. Raymond communique sous ce vocable le cas d'un médecin qui peut écrire spontanément et sous la dictée sans aucun trouble
n débile achondroplasique (Claudius) qui est incapable de lire et d' écrire sous la dictée, mais qui sait bien par- ler et
M. Soutzo parle de l'assistance publi- que des aliénés en Roumanie, écrit (page 4.4) que « dans ce pays il n'existe pas d
s révélations de sainte Thérèse, qui fut mis à l'Index. Voici ce qu' écrit à ce propos la Revue : .' , « En tête, le P. Ha
, mais quelque peu en retard. Le 8 janvier 1903, comme il avait mal écrit quelques chif- fres sur le tableau noir, Detiti
XXIV. N. F. XII, 1901). Modèle d'examen propre à l'auteur. Mémoire écrit en français. . P. 11HRAVAL. L. Hallucinations
t remarquer que l'écriture habituelle du malade se modifie quand il écrit sous l'influence des esprits. M. Vallon demande
ULLON communique à la Société une lettre autographe de James Braid, écrite à son fils, étudiant à Edimbourg et datée du 12
nous avons prises, nous aurions de longues descriptions cliniques à écrire , qui dépas- seraient par trop le cadre limité d
malade a des sentiments érotiques très marqués. Elle pro- pose par écrit des rendez-vous à tout venant et recherche tout
celui qui sépare le calcul mental accom- pli de l'acte musculaire d' écrire les chiffres obtenus. Quand durant un acte ment
5° Très souvent les diverses pauses sont contemporaines de l'acte d' écrire un chiffre. 16° On ne doit pas oublier cependan
e spiritisme. Au bout de quelques instants, elle se sentit portée à écrire automatiquement. Depuis, elle a écrit un nombre
nts, elle se sentit portée à écrire automatiquement. Depuis, elle a écrit un nombre considérable de pages, traitant des q
s questions les plus diverses. Ce sont de véritables livres qu'elle écrit , divisés méthodiquement en chapitres. Il ressor
ressort de la lecture de ces ouvrages qne le sujet tire ce qu'elle écrit de son propre fonds; on y retrouve les manifest
sse prévoir quand s'arrêtera ce besoin automatique de composition écrite . Catalepsie guérie par l'hypnotisme. M. Vivia
l président. Elles sont au nombre de six, savoir : Il, Une question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du sys
s aux candidats; le maximum des points sera de 30 ; 2° Une question écrite portant sur l'or- ganisation des asiles publics
heures ; le maximum des points sera de 10. Les copies devront être écrites lisiblement et porter une devise; cette devise se
t les points devront être donnés lors de la correction des épreuves écrites . Il sera tenu compte de ces points en vue de l'
ition ;le maximun des points sera de 20 ; - Go Une épreuve clinique écrite . Cette épreuve portera sur un seul malade. Il s
malade et trois quarts d'heure pour la rédaction d'une consultation écrite ; le maximum des points sera de 20. Les épreuves
ce qu'il a ]11, et qu'il n'en a retenu que le titre ; on le prie d' écrire et il écrit : UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE
]11, et qu'il n'en a retenu que le titre ; on le prie d'écrire et il écrit : UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 43
inet dans son Etude expérimentale de l'intelligence. Je l'ai prié d' écrire vingt mots à la suite : je lui ai demandé quell
ui ai demandé quelles représentations il avait eues pendant qu'il écrivait ; puis je l'ai prié d'en écrire vingt autres, et j
ations il avait eues pendant qu'il écrivait; puis je l'ai prié d'en écrire vingt autres, et j'ai agi comme la première foi
mpa- gnée. Voici à peu près comment l'expérience ,'est passée : « Ecrivez , dis-je au malade, vingt mots à la suite. » - Que
t à l'esprit, » Le malade hésite environ six'ou sept secondes, puis écrit les mots suivants assez rapidement : i Roman -
he ensuite quelles représentations a eues le malade au moment où il écrivait chacun de ces mots. Je les lui lis les uns UN C
traité. » - Vous avez bien pensé cette chose au moment même où vous écriviez le mot, mais non avant, ni maintenant ! » « Oui,
emment au crime de Sylvestre l3ozrzarcl ; mais au mo- ment oit il l' écrivait il a pensé ci Anatole Delaforge, il s'est repré-
tions qui ont été elles-mêmes imprécises. Je lui demande alors de m' écrire le récit de ses accès délirants et de sa vie, i
ui faire coordonner certains groupes d'images, en le priant de nous écrire par exemple un certain nom- bre de phrases comp
r quelques souvenirs, ce qui nécessite un effort mental moindre; il écrit un certain nombre de proverbes qu'il a lus Jans
sent très nets quand on prie le malade de reproduire ou résumer par écrit une anec- dote qu'on lui a lue à haute voix. J'
d le sens général mais aucun détail n'est retenu (par exem- ple, il écrit : « Il s'agit du départ d'un bateau », je lui ava
vez lu. » Il se refuse a faire l'effort nécessaire pour résumer par écrit , et sans douter' UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉME
Sérieux *. Dupré, in traité Pathologie mentale de Ballet, z1903), écrit à peu près dans le même sens : « Les idées de per
pour travailler. Taciturne, sombre, il médite toute la journée. Il écrit cependant à sa femme, et est même sensible aux
troubles de l'écriture qui n'étaient pas apparents à l'entrée. C... écrit des lettres où il revendique ses droits; on lui
fiant, méchant et grossier dans ses propos. Un jour qu'on lui dit d' écrire à sa femme, il répond par des insultes et préte
que lui envoie sa femme. Mais il ne lui a jamais répondu, ni jamais écrit à personne. A par- tir de cette époque il n'a p
qu'on les re- garde ; et leur timidité n'existe que pour le fait d' écrire en public. Ainsi, tel de nos confrères, alors q
avec un de ses maitres, il a, à force d'astuce, décidé ce dernier à écrire l'ordonnance, car il était incapable de tenir la
libre- ment de même que répéter les paroles des autres. Il pouvait écrire lui-même et sous la dictée. Il mourut d'une cau
malade créant un chaos mental indes- criptible. Le langage et les écrits de ces malades sont hès-ir7col;ér'enls. Tout da
l'apanage de plusieurs civilisations anciennes, dont les monuments écrits nous donnent à réfléchir, Lorsque nous voulons
46 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
ême temps que Malassez, d'Ar-sonval et toute la brillante pléiade, il écrivait : « Dans ces conditions, expérimentant les phén
il sera entendu que c'est de la suggestion par signes (signes parlés, écrits , visuels, auditifs, tactiles, etc.) qu'il est que
s auteurs spéciaux, et que j'ai commentée longuement dans mon dernier écrit sur l'hypnotisme, Le Merveilleux scientifique (18
té saisissante : Je suis embarrassé sur la manière dont un mot doit s' écrire , et après d'inutiles efforts de mémoire, je me dé
urir sur le papier sans plus m'occuper d'elle ; et voilà que le mot s' écrit pour ainsi dire tout seul, et tel qu'il doit l'êt
ès-verbal de la précédente séance. Il est adopté. La correspondance écrite comprend une lettre de M. Albert Coulaud, s'excus
e accompli devant elle, qui résistait absolument aux conseils dits ou écrits : ceux-ci développaient même en elle l'esprit de c
Ce dernier est bien connu et très développé chez certains. Paroles, écrits suscitent en eux l'idée opposée à celle conseillé
hui. Je vais simplement vous faire une ordonnance. » Et je me mis à écrire . Ayant relevé la tête, je fus étonné de voir qu'e
ignes bizarres dits cabalistiques, ce sont des ABRACADABRA ou lettres écrites disposées dans un certain ordre, et, enfin, moins
élan d'ardente piété ? Non, pas le moins du monde, c'était une prière écrite , et c'est de la formule, c'est-à-dire de la quali
omène s'est manifesté, soit que le phénomène ait été consigné dans un écrit qui reçoit un caractère d'authenticité indiscutab
M. Albert Colas à la bibliothèque de la Société. La correspondance écrite comprend : 1° Une lettre d'excuses de M. Boirac
par exemple. Je crois avoir démontré, après bien d'autres, dans mes écrits , que la presse a une influence effective directe
ours de Braidisme. — Le Merveilleux scientifique. La correspondance écrite comprend une lettre de M. P. Regnault qui s'excus
l'intervention du médecin dans les cas d'aliénation mentale,-Troplong écrivait : « Je pense que la médecine légale, malgré ses p
ssi, quand on traitait avec lui pendant ces périodes, on avait soin d' écrire tous les contrats. Dans un accès, il frappa sa
lques instants après, je leur fis passer un papier sur lequel j'avais écrit : « Je vais l'éveiller mentalement » ; puis, tand
heures et quart, et après avoir prévenu les assistants, toujours par écrit , je le réveille sans un mot, sans un geste, par l
s lectures qu'il écoutait avec un visible intérêt. Je le désignai par écrit à notre président qui me demanda, toujours par éc
le désignai par écrit à notre président qui me demanda, toujours par écrit , quand je voulais expérimenter, et à qui je répon
s, voulant donner au moins un exemple matériel d'action à distance, j' écrivis sur un tableau : « Je vais le réveiller à distanc
itique a mises en lumière depuis un siècle. II Delbœuf a beaucoup écrit sur les Sciences physiques et mathématiques. ïci,
s bien connus, des pleurs ou larmes de sang. Damalix, dans un article écrit en 1882 dans les Archives d'ophtalmologie, a rass
est probable que Pascal agit aussi sur Gilberle, sa sœur aînée. Elle écrit elle-même que, sous l'influence de son frère, « l
ture que les gauchers, ayant eu pendant un certain temps l'habitude d' écrire de la main gauche, exécutent très facilement, ain
her de naissance, et ayant appris à mes débuts, à l'école primaire, à écrire de la main gauche. Mais il ne me semble pas que
ogues, avec une volubité croissante. C'est alors qu'on eût l'idée d' écrire ce qu'elle disait et qu'on s'aperçut que ces paro
volume in-12 de x-317 pages avec 53 figures dans le texte. Le livre écrit par le Dr Félix Regnault touche aux questions les
l'alphabet, ensemble de signes et de caractères avec lesquels elle s' écrit . Ici, l'alphabet c'est le « solfège » dont la con
tants, provient de la nécessité d'apercevoir simultanément les signes écrits sur les deux portées et de les lire en même temps
i discuté plus d'une fois et très sérieusement dans les journaux où j' écris , et que, selon ma constante habitude, qui est cel
la grande^stupéfactîon des habitants de la région dont quelques-uns m' écrivirent même pour me féliciter de cette cure tenant du mi
ion médicale. ÉTUDES BIOGRAPHIQUES JAMES BRAID : son œuvre et ses écrits Par M. le docteur Milne Bramwell, (de Londres)
éciation de James Braid provient d'une imparfaite connaissance de ses écrits . Beaucoup paraissent n'être bien au courant que d
is si remarquablement excités, que quelques sujets étaient capables d' écrire avec une grande exactitude et que, absolument emp
participation à une discussion ardue, lecture d'un ouvrage obscur, ou écrit dans une langue qui ne vous est pas familière, et
ie était restée exemplaire : elle avait appris tout juste à lire et à écrire ; mais, ainsi qu'il arrive souvent en pareil cas,
us tenace. ÉTUDES BIOGRAPHIQUES JAMES BRAID : son couvre et ses écrits Par M - le docteur Milne Brahwell, (de Londres)
n de o Neurologie o. ceux-ci n'étaient familiarisés avec aucun de ses écrits . Le docteur Bastien, dans son article sur i Bra
tement débarrassée de tous les éléments qui la falsifiaient, dans les écrits de Braid lui-même, et appliquée, de la manière la
nfluentes et agir sur celle-ci de la même manière qu'un mot verbal ou écrit , émanant d'un ami qui nous est cher, agit sur nos
nelle au nombre des individus influencés par son éloquence verbale ou écrite . Or, cela prouverait nécessairement que la théori
mique. L'hypnose et l'anesthésie furent déterminées par ma suggestion écrite et seize dents lui furent extraites tandis que je
essentielle: le patient peut être influencé par l'opérateur par ordre écrit ou par tout autre moyen préalablement suggéré pen
n des Secrétaires géné-raux des dites Sociétés. La correspondance écrite comprend une communication de M. le Dr de Bourgon
s durables? » ÉTUDES BIOGRAPHIQUES JAMES BRAID : son œuvre et ses écrits Par M. le docteur Milke Bramwell, (de Londres)
gnées de changements physiques. A l'exception du docteur Holland, qui écrivit un rapport sur l'influence exercée par l'attentio
oins que cela est possible ('). (1) La science marche vile. Quand j' écrivais ce chapitre, mon hypothèse de la suggestion était
livre sur les lois de l'imitation. Mais je tiens à constater que j'ai écrit ce chapitre avant que le livre de M. Tarde ait pa
lit sans hésitation les écritures les plus difficiles, il ne sait pas écrire ; on a tenté de le lui apprendre, mais il s'y est
r primaire à Toulon, délégué du ministre de l'Instruction publique, a écrit à ce sujet un rapport dans lequel il expose en dé
agogique. » ÉTUDES BIOGRAPHIQUES JAMES BRAID : son œuvre et ses écrits Par M. le docteur Milne Bramwell, (de Londres)
e instant. » Dans plusieurs occasions, Braid publia les témoignages écrits des autres, relativement au succès du traitement
otique, par le Dr de Bourgon, 259. Braid (James) : son œuvre et ses écrits , par le Dr Milne Bramwell, de Londres, 269, 309,
47 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ous avons plus ou moins péni- blement appris à marcher, à courir, à écrire , à manier les objets les plus variés, à exécute
et s'ils cherchaient à atteindre surtoutl'organe musculaire, leurs écrits montrent que néan- moins ils ne se désintéressa
ert ce nouveau chapitre de la thérapeutique par l'exercice, il en écrivit lui-même les premières pages. Plusieurs de ses
raphiques ou les sujets atteints de crampe des écrivains arrivent à écrire de la main gauche, c'est-à-dire, eux aussi, ave
ar le jury (Sorties ou non sorties de l'urne) au cours des épreuves écrites et orale. Première ÉPREUVE écrite : (Anatomie e
de l'urne) au cours des épreuves écrites et orale. Première ÉPREUVE écrite : (Anatomie et physiologie du système nerveux).
'urne : 10 Les centres corticaux; 2° Le neurone. Deuxième épreuve ÉCRITE : (Organisation des Asiles publics d'a- liénés
reux, 18 candidats étaient inscrits. 16 ont pris part à la question écrite , laquelle était : Luxation de l'épaule ; compli
et la physiologie du système nerveux soif transfor- mée en épreuve écrite ; 3° qu'il soit accordé deux minutes de reflexi
ion mouvementée. Un commissaire de police blessé. La nuit dernière, écrit -on de Rodez à la date du 12 septembre, le commi
prendre deux morceaux de carton de dimensions égales ; sur l'un il écrivit le mot manger », il laissa l'autre sans aucune
ord Avebury renouvela l'épreuve avec divers cartons sur lesquels il écrivit : « boire, os, eau, sortir, etc. Peu à peu, il
elle conserve toujours la même instabilité dans l'état émotif. Elle écrit souvent à Maison-Blanche pour avoir des nouvell
ne suffit pas qu'on lui nomme la couleur, elle veut aussi qu'on lui écrive , parce qu'elle doute si au milieu du bruit fait p
mpagnée des troubles graphiques en rapport avec celle-ci. Elle peut écrire les mots qu'elle peut dire, et inversement. Ell
lle les faits que nous avions indiqués. Des articles divers ont été écrits sur le même sujet3. Enfin le rapport important
uisent dans la sphère de l'idéation seule. Quelques auteurs qui ont écrit depuis sur ce sujet ont cru devoir y ranger tou
d'Angers. Nous tenons tout d'abord à répéter ce que l'un de nous a écrit dans un article du Bulletin médical (14 septemb
opos, plusieurs auteurs, très autorisés à d'au- tres points de vue, écrivent et soutiennent encore aujourd'hui que l'hypnoti
il doit avant déchiffrer le mot ; si il réussit à lire le mot, il l' écrit alors vite et régulièrement. Il écrit bien lui-mê
l réussit à lire le mot, il l'écrit alors vite et régulièrement. Il écrit bien lui-même et sous la dictée, mais il déchif
rit bien lui-même et sous la dictée, mais il déchiffre mal les mots écrits (même par lui-même). Le malade comprend mal les
nd mal les dessins et les tableaux. En suivant la main de celui qui écrit , il peut deviner d'après les mouvements le mot
n de celui qui écrit, il peut deviner d'après les mouvements le mot écrit . Il lit mieux les mots imprimés en noir qu'en rou
és de tout ce qu'il vient de lire. Il déchiffre en épelant les mots écrits par lui-même et souvent les lit de travers ; il r
-même et souvent les lit de travers ; il reconnaît son écriture. Il écrit assez bien lui-même et sous la dictée, il copie
dre. ».« Le cordonnier a soixante-dix-huit ans, ne sait ni lire, ni écrire et se trouve forcé d'avoir recours à un malade po
(9 II. et 3 F.). (Il y en avait eu 16 en 1900). « Tous nos efforts, écrit M. Charon, BIBLIOGRAPHIE. 313 tendent à améli
dont la cote avait été donnée avant la correction de toute épreuve écrite (Voir le texte de l'arrêté relatif à ce concours
sur les matières sui- vantes : 1° Epreuves d'admissibilité. Epreuve écrite de trois heures sur un sujet d'anatomie et de p
. Le maximum des points à accorder pour chaque est : pour l'épreuve écrite : 30 points ; pour l'épreuve orale : 20 points.
tte 3 ». « Quelque tems après ma profession (1660, vingt-sept ans), écrit -elle, il m'arriva une fâcheuse incommodité qui
euses avaient signé le formulaire, « la douleur que j'en ressentis, écrit -elle encore, la crainte de tomber moi-même et l
ie de Z de Flécelles de Brégi, Religieuse de Port-Royal des Champs, écrite par elle-même, p. 24. 1 Jérôme Besoigne, I, 5
ntes où elle vivait, elle passait pour une savante. Elle parlait et écrivait avec force et élégance, disait-on. Elle fit pre
vait de dire qu' « elle ne tenoit à personne 8 ». Craintes. -Elle écrivait au sujet de son enlèvement de Port- 1'toyal : «
précipitera avec les timides dans l'étang de feu2 ». « Il me prend, écrivait -elle encore en sep- tembre 1664 (trente et un a
ment de douleur et de tendresse qui me mettoit hors de moi- même, écrit -elle, je leur dis que je les suppliois de me perm
pourrait lui faire faire dans une dernière maladie. Dans ses divers écrits , elle cite Ieschayahou (Isaïe), Irmeyahou (Jerémi
ans), la supérieure du couvent de Mont-Cenis, où elle était alors, écrivait : « Sa santé, quoique faible, est assez bonne=
e resta trois ans dans ce couvent après sa signature. La supérieure écrivait , le 28 décem- bre 1710 : « Elle a trop de ferve
puis qu'elle est revenue chez elle. Le l01' janvier 1902, elle nous écrit que « de la tête elle se trouve presque complèt
ment, M. Pierre Janet, à propos justement de la névrose d'angoisse, écrit : «Si on peut avoir des renseignements, des ave
ait retiré avec d'autres dévots au château des Troux près Chwreuse, écrivait : « lion père commença à craindre, comme un pèr
dans laquelle j'avois commencé à marcher dans mon enfance. Il en écrivit à Messieurs Singten et de Saci, et à moi même ass
e Thomas du Fossé. En effet celui qui avait été un enfant vigoureux écrira plus tard : « Le travail corporel ne me con- ve
e résolution qu'il lâchât de conserver. Il se remettoit néanmoins à écrire , mais les yeux un peu étonnés et l'esprit un pe
ayeur que lui causa la mort subite d'un de ses amis. Voici ce qu'il écrit , à la fin de ses mémoires, au sujet de cette pe
rir aux eaux de Bourbon. L'intelligence reste intacte. Aussi put-il écrire ses Mémoires, tout en étant obligé de les inter-
Le Nain de Tdiemont et Jean Burlugai. En 1662 (vingt-huit ans), il écrivit la vie de Thomas Becket (saint Thomas de Cantor
cheleur et à celles d'Ignatios (saint Ignace) martyr. Ainsi qu'il l' écrivait en 1690 (cinquante-six ans) à Lazare André Bocqui
s), et y fit profession le 28 octobre 1648 (vingt ans). Voici ce qu' écrit Pierre Thomas du Fossé à cette occasion : « J
e ! 664 (trente-six ans), rétracta sa signature le 2S du même mois, écrivit , le 18 janvier 1665. (trente-sept ans), à l'arc
yèrent, le lundi où le mardi gras, un pâté sur lequel son nom était écrit , et dans lequel elle trouva « une discipline qu
tl. « Au commencement que je fus entrée (à l'abbaye de Port-Royal), écrit -elle, j'avois de la peine à m'accoutumer as plu
tionnée avec ardeur par l'abbesse Jacqueline Arnauld. « J'étois, écrit -elle encore, si ignorante et si grossière, que je
toute ravie ; et il me sembloit que Dieu même me parloit... j'avois écrit un petit recueil de ses paroles ' ». Elle resta
rit un petit recueil de ses paroles ' ». Elle resta trente ans sans écrire à sa soeur, parce que Jacqueline et Jeanne Arna
re qu'à un simple asile de détention. Le rédacteur de cette feuille écrit : « Que ne puis-je communiquer à tous le sentim
nnent des médicaments et des stimulants. Il doit aussi répondre par écrit à ces deux questions : Le personnel de nuit s'e
ciles, et pourquoi ? La descrip- tion de ces registres est longue à écrire ; mais on conçoit que dans la pratique, leur ten
très naturelle. Je pensais que le désir de connaître ce que j'avais écrit constituerait un excitant capable de provoquer
ces deux volumes, mais nous rappellerons les lignes que M. Bernheim écrivit à propos d'une affection, étiquetée cérébelleus
t nouvelle. « La chorée n'est pas hystérique, mais hystérogène », écrit -il, page 939. Ce qui veut dire que l'hystérie peu
ra, liemack, Bernhardt, Manuel, etc.. S13 revue critique. tieuses écrit : « L'hystérie n'est pas fonction de toxique ni
^ consécutives. Vfc, Que le médium fasse marcher une table, qu'il écrive automate, quement, qu'il entende une voix, il a
ges dans les astres. Il parcourt surtout la planète Saturne et, par écrit , il donne le récit de ses excursions, décrivant
dans Saturne de la mer Saturnine jusqu'à Rostoff (nom qu'il a vu écrit là-bas).- Saturne est une terre abandonnée dont l
rit s'est emparé de lui, l'esprit de sa défunte (femme) qui le fait écrire ; mais il ne sait jamais d'avance ce qu'il va écri
me) qui le fait écrire; mais il ne sait jamais d'avance ce qu'il va écrire , etc. AI. Doissier donne le résumé d'une observ
res, Paris, 1901. A ce petit volume, simplement conçu et simplement écrit , on pourrait peut être adresser un reproche : c
Déclarons avant de résumer les idées de l'auteur, que l'ouvrage est écrit dans un style alerte et agréable, qu'on regrett
n), on ne connaît rien de précis sur ce moine, qui n'a laissé aucun écrit . VII Le véritable initiateur, l'inventeur de la
48 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
able à l'état de veille et de sommeil. II est intelligent, sait lire, écrire , calculer; sa mémoire est remarquable. Enfant dou
; père, mère et une sœur bien portants. Assez intelligent, il lit et écrit correctement. II est suggestible à l'état de veil
rnier acte. Comme tous les malades de ce genre, il avait accumulé des écrits autobiographiques volumineux. Depuis son entrée à
nnues au sujet : en dépit de tous les efforts, un illettré ne saurait écrire , pas plus que celui qui ignorerait l'alphabet ne
éphalalgie. Son frère me dit qu'elle est très ennuyée de ne pouvoir écrire un certificat dont son fils a besoin pour le volo
r une basse messe et qu'après l'office de dimanche » prochain, elle m' écrira une lettre dans laquelle elle me remerciera des s
es repas. Du reste, son haleine n'est plus alcoolique. Mme X... a écrit le lendemain de ma dernière visite le certificat
e visite le certificat dont les lettres et les mots sont parfaitement écrits et non tremblés. L'écriture est anglaise, comme a
écriture est anglaise, comme avant ces derniers temps. Mme X... l'a écrit rapidement. Voici la lettre qu'elle m'a adressé
u; social, consacrait un chapitre spécial à la suggestion, « On sait, écrit -il. que les cellules cérébrales. lorsqu'elles ont
int de vue spécial qui nous occupe, l'histoire du monde pourrait être écrite sous ce titre : Histoire des erreurs servies par
u'un d'indifférent tient un encrier à la main pendant, qu'endormi, il écrit , il ne sait pas où tremper la plume; il me suffit
personnes qui avaient fait l'opération lurent dans l'impossibilité d' écrire correctement. Il était impossible de coordonner l
le seul facteur en vertu duquel nous sommes ou droitiers ou gauchers, écrit notre savant confrère, nous comprendrions que le
et ils ont eu raison, en ont fait un ambidextre. Cet enfant dessine, écrit de la main droite; mais vient-il à se battre, se
étonné de recevoir une semaine plus tard une lettre de sa femme, qui écrivait : « J'ai été bien effrayée au premier moment de l
aire qui arriva. « Moi qui dormais tout d'une traite, tous ces jours, écrit -il, jamais je n'ai si peu dormi. Je pensais à un
nt arrivent plus vite et sont plus complets, « A un certain moment, m' écrit le malade, j'ai senti une espèce de dédoublement
ution musculaire, mais c'est la léthargie lucide. Le 17 avril, il m' écrit : « Depuis que vous me donnez vos soins, je m'a
hypocondre gauche. La nuit suivante fut excellente. Le lendemain il m' écrit : « Le mal d'estomac n'a pas reparu de toute la j
, après avoir vu les expériences de M. Mabille à l'asile de Lafond, a écrit que c'était une véritable trouvaille scientifique
and concernant la divination des pensées. Un de ses émules a fait écrire à ma main, en la conduisant, un nombre de trois c
ence du mouvement involontaire que ma pensée imprimait à ma main pour écrire ce chiffre à mon insu; je conduisais la main de l
ndant une certaine amélioration. « Depuis les séances d'hypnotisme, écrit son mari à la fin de juin, il y a un grand change
de la suggestion hypnotique à la pédagogie (al. - Remarquons-le bien, écrivait -il, les raisons plus ou moins spirituelles qui so
jamais hypnotiser un enfant sans la demande formelle et parfois même écrite des parents. Dans ces conditions, nous n'avons
le papier, immédiatement après son réveil, put, sur notre injonction, écrire d'une façon très lisible. Il fallut quelques séan
jet entièrement nouveau pour les médecins d'outre-Rhin. Mais il est écrit que nos confrères allemands ne sauraient se dépar
ncapable d'un effort un peu puissant. Il tiendra la plume, mais n' écrira pas. Je regrette de n'avoir pas pensé à faire écr
la plume, mais n'écrira pas. Je regrette de n'avoir pas pensé à faire écrire Anatole pendant son accès de somnambulisme. - »
e, mais elle déclare en même temps qu'elle ne se rappelle pas l'avoir écrite . Un instant après. un des agents du commissai
he nie connaître et avoir caché ce portefeuille, comme elle nie avoir écrit la lettre. Mais les apparences parlent plus haut
mari répond en produisant, quelque jours après, un paquet de lettres écrites par sa femme, de billets de rendez-vous, de décla
hassin, tandis qu'elle est enfermée chez un comédien i qui elle avait écrit le jour même pour lui dire ses ardeurs, en lui an
vait aimé son père, combien elle était aimée de lui, il lui ordonne d' écrire : « Mon père a toujours été avec moi violent, b
vais. Il me haïssait et je le lui rendais bien ! » Si Laure Chassin écrit cette phrase sur mon ordre, pensait-il. elle a pu
Chassin écrit cette phrase sur mon ordre, pensait-il. elle a pu tout écrire sur l'ordre de son mari. Or elle écrit sans rés
pensait-il. elle a pu tout écrire sur l'ordre de son mari. Or elle écrit sans résistance et signe sans hésitation. Le ba
t une valeur scientifique digne de fixer l'attention. Les mémoires, écrits en français, en anglais, en allemand ou en italie
rononcer ces mots, c'est-à-dire au bout de sept ou huit mois, dira et écrira : Moi, méchant, non, pour: Je ne suis pas mécha
ns. » Un autre, ayant à raconter les faits saillants de la semaine, écrit dans son cahier-journal : M. Grèvy, président plu
la phrase suit l'ordre ci-dessus. On peut affirmer qu'il n'aurait pas écrit , comme un entendant pourrait le faire : M. Carnot
entre les mains de charlatans. « A la suite d'évocations spirites, écrit -il, il n'est, en effet, point rare de voir certai
été adressé. Pour être admis au concours, les mémoires doivent être écrits en français, inédits, accompagnés d'un pli cachet
un livre publié par le professeur Henri Morselli. Dans cet ouvrage, écrit sous l'impression du passage de Donato à Turin, l
nous apprend, en particulier, qu'en Italie, de même qu'en France, on écrit volontiers sur l'hypnotisme avant d'avoir acquis
dont il n'est nullement responsable : On nous rapporte aujourd'hui, écrit -il, un cas très extraordinaire, fleurant la sugge
ours, elle se met au travail, rend des services dans son quartier, et écrit à sa mère pour se faire réclamer. — Son caractère
i, dis-je, ce qu'il a fait dans mon service ces jours derniers : il a écrit au directeur général de l'Assistance publique pou
ais déjà signalé ce fait qu'elle n'a fait que vérifier; j'avais aussi écrit que c'était à l'action de la lumière qu'étaient d
ivité de celui des premières. » « Je tiens d'un médecin de Wilna, écrit pour sa part Briquet, que dans la Pologne septent
niversité de Stockholm, d'après une lettre, ajoute Briquet, qu'il m'a écrite , dit que l'hystérie est très commune en Suède, ch
is qu'on fit une recette dont il se souvenait. Il se mit aussitôt à l' écrire et la donna au comte : « Récipe de bons ciseaux e
érentes questions qui se rattachent à la folie erotique. Ce livre est écrit avec la verve et la finesse que nous retrouvons d
et des informations dont je pouvais disposer, je me suis déterminé à écrire un livre nouveau, dans lequel je reprends d'aille
il marchait à 13 mois et parlait à 18. A 7 ans 1/2, il savait lire et écrire . A l'école, il passait pour être très intelligent
exécuter une série d'actes : descendre du lit, marcher dans la salle, écrire , remonter dans le lit, etc.. ; il exécute tout po
avons évité toute amertume comme toute exagération; bref, nous avons écrit ces pages hâtives sine irâ et studio, n'ayant d'a
49 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
able à l'état de veille et de sommeil. II est intelligent, sait lire, écrire , calculer; sa mémoire est remarquable. Enfant dou
; père, mère et une sœur bien portants. Assez intelligent, il lit et écrit correctement. II est suggestible à l'état de veil
rnier acte. Comme tous les malades de ce genre, il avait accumulé des écrits autobiographiques volumineux. Depuis son entrée à
nnues au sujet : en dépit de tous les efforts, un illettré ne saurait écrire , pas plus que celui qui ignorerait l'alphabet ne
éphalalgie. Son frère me dit qu'elle est très ennuyée de ne pouvoir écrire un certificat dont son fils a besoin pour le volo
r une basse messe et qu'après l'office de dimanche » prochain, elle m' écrira une lettre dans laquelle elle me remerciera des s
es repas. Du reste, son haleine n'est plus alcoolique. Mme X... a écrit le lendemain de ma dernière visite le certificat
e visite le certificat dont les lettres et les mots sont parfaitement écrits et non tremblés. L'écriture est anglaise, comme a
écriture est anglaise, comme avant ces derniers temps. Mme X... l'a écrit rapidement. Voici la lettre qu'elle m'a adressé
u; social, consacrait un chapitre spécial à la suggestion, « On sait, écrit -il. que les cellules cérébrales. lorsqu'elles ont
int de vue spécial qui nous occupe, l'histoire du monde pourrait être écrite sous ce titre : Histoire des erreurs servies par
u'un d'indifférent tient un encrier à la main pendant, qu'endormi, il écrit , il ne sait pas où tremper la plume; il me suffit
personnes qui avaient fait l'opération lurent dans l'impossibilité d' écrire correctement. Il était impossible de coordonner l
le seul facteur en vertu duquel nous sommes ou droitiers ou gauchers, écrit notre savant confrère, nous comprendrions que le
et ils ont eu raison, en ont fait un ambidextre. Cet enfant dessine, écrit de la main droite; mais vient-il à se battre, se
étonné de recevoir une semaine plus tard une lettre de sa femme, qui écrivait : « J'ai été bien effrayée au premier moment de l
aire qui arriva. « Moi qui dormais tout d'une traite, tous ces jours, écrit -il, jamais je n'ai si peu dormi. Je pensais à un
nt arrivent plus vite et sont plus complets, « A un certain moment, m' écrit le malade, j'ai senti une espèce de dédoublement
ution musculaire, mais c'est la léthargie lucide. Le 17 avril, il m' écrit : « Depuis que vous me donnez vos soins, je m'a
hypocondre gauche. La nuit suivante fut excellente. Le lendemain il m' écrit : « Le mal d'estomac n'a pas reparu de toute la j
, après avoir vu les expériences de M. Mabille à l'asile de Lafond, a écrit que c'était une véritable trouvaille scientifique
and concernant la divination des pensées. Un de ses émules a fait écrire à ma main, en la conduisant, un nombre de trois c
ence du mouvement involontaire que ma pensée imprimait à ma main pour écrire ce chiffre à mon insu; je conduisais la main de l
ndant une certaine amélioration. « Depuis les séances d'hypnotisme, écrit son mari à la fin de juin, il y a un grand change
de la suggestion hypnotique à la pédagogie (al. - Remarquons-le bien, écrivait -il, les raisons plus ou moins spirituelles qui so
jamais hypnotiser un enfant sans la demande formelle et parfois même écrite des parents. Dans ces conditions, nous n'avons
le papier, immédiatement après son réveil, put, sur notre injonction, écrire d'une façon très lisible. Il fallut quelques séan
jet entièrement nouveau pour les médecins d'outre-Rhin. Mais il est écrit que nos confrères allemands ne sauraient se dépar
ncapable d'un effort un peu puissant. Il tiendra la plume, mais n' écrira pas. Je regrette de n'avoir pas pensé à faire écr
la plume, mais n'écrira pas. Je regrette de n'avoir pas pensé à faire écrire Anatole pendant son accès de somnambulisme. - »
e, mais elle déclare en même temps qu'elle ne se rappelle pas l'avoir écrite . Un instant après. un des agents du commissai
he nie connaître et avoir caché ce portefeuille, comme elle nie avoir écrit la lettre. Mais les apparences parlent plus haut
mari répond en produisant, quelque jours après, un paquet de lettres écrites par sa femme, de billets de rendez-vous, de décla
hassin, tandis qu'elle est enfermée chez un comédien i qui elle avait écrit le jour même pour lui dire ses ardeurs, en lui an
vait aimé son père, combien elle était aimée de lui, il lui ordonne d' écrire : « Mon père a toujours été avec moi violent, b
vais. Il me haïssait et je le lui rendais bien ! » Si Laure Chassin écrit cette phrase sur mon ordre, pensait-il. elle a pu
Chassin écrit cette phrase sur mon ordre, pensait-il. elle a pu tout écrire sur l'ordre de son mari. Or elle écrit sans rés
pensait-il. elle a pu tout écrire sur l'ordre de son mari. Or elle écrit sans résistance et signe sans hésitation. Le ba
t une valeur scientifique digne de fixer l'attention. Les mémoires, écrits en français, en anglais, en allemand ou en italie
rononcer ces mots, c'est-à-dire au bout de sept ou huit mois, dira et écrira : Moi, méchant, non, pour: Je ne suis pas mécha
ns. » Un autre, ayant à raconter les faits saillants de la semaine, écrit dans son cahier-journal : M. Grèvy, président plu
la phrase suit l'ordre ci-dessus. On peut affirmer qu'il n'aurait pas écrit , comme un entendant pourrait le faire : M. Carnot
entre les mains de charlatans. « A la suite d'évocations spirites, écrit -il, il n'est, en effet, point rare de voir certai
été adressé. Pour être admis au concours, les mémoires doivent être écrits en français, inédits, accompagnés d'un pli cachet
un livre publié par le professeur Henri Morselli. Dans cet ouvrage, écrit sous l'impression du passage de Donato à Turin, l
nous apprend, en particulier, qu'en Italie, de même qu'en France, on écrit volontiers sur l'hypnotisme avant d'avoir acquis
dont il n'est nullement responsable : On nous rapporte aujourd'hui, écrit -il, un cas très extraordinaire, fleurant la sugge
ours, elle se met au travail, rend des services dans son quartier, et écrit à sa mère pour se faire réclamer. — Son caractère
i, dis-je, ce qu'il a fait dans mon service ces jours derniers : il a écrit au directeur général de l'Assistance publique pou
ais déjà signalé ce fait qu'elle n'a fait que vérifier; j'avais aussi écrit que c'était à l'action de la lumière qu'étaient d
ivité de celui des premières. » « Je tiens d'un médecin de Wilna, écrit pour sa part Briquet, que dans la Pologne septent
niversité de Stockholm, d'après une lettre, ajoute Briquet, qu'il m'a écrite , dit que l'hystérie est très commune en Suède, ch
is qu'on fit une recette dont il se souvenait. Il se mit aussitôt à l' écrire et la donna au comte : « Récipe de bons ciseaux e
érentes questions qui se rattachent à la folie erotique. Ce livre est écrit avec la verve et la finesse que nous retrouvons d
et des informations dont je pouvais disposer, je me suis déterminé à écrire un livre nouveau, dans lequel je reprends d'aille
il marchait à 13 mois et parlait à 18. A 7 ans 1/2, il savait lire et écrire . A l'école, il passait pour être très intelligent
exécuter une série d'actes : descendre du lit, marcher dans la salle, écrire , remonter dans le lit, etc.. ; il exécute tout po
avons évité toute amertume comme toute exagération; bref, nous avons écrit ces pages hâtives sine irâ et studio, n'ayant d'a
50 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ouvé à ce sujet de singulières mésaventures. Il prenait un jour par écrit l'histoire d'une hystérique, les maladies qu'elle
directement, si je lui demande, par exemple, de prononcer ou même d' écrire volontairement le nom de l'in- terne qui la soi
emble faire effort, qu'elle ne trouve pas et se déclare incapable d' écrire un nom qu'elle ne sait pas. Procédons autrement
ui une suggestion comme si elle était capable de nous entendre. « Ecrivez , lui dis-je, le nom de l'interne de votre salle.
Vous voyez la main qui tient le crayon se mettre en mouvement et écrire ce mot : « M.Lamy. » De la même manière je lui de
nière je lui demande ce qu'elle s'est fait à la main gauche et elle écrit sans hésiter : « Je me suis coupée avec du verr
are n'avoir pas entendu mes questions, qu'elle affirme n'avoir rien écrit , qu'elle s'étonne de ces écritures, quand on le
s écritures, quand on les lui montre et n'admet pas qu'elle les ait écrites . Ce sont là des détails qui ne sont pas aujourd
nsu de la personne; il disparaît quand la per- sonne doit parler ou écrire en son propre nom, en sachant elle-même ce qu'e
, à Villier-le-Bel, dans une institu- tion où il a appris à lire, à écrire et à compter, mais il n'a pas poussé ses études
eption des lettres ; b, un centre de perception des images des mots écrits . B. D'un second centre d'association des lettre
aire pour lire. On peut être aphasique et comprendre les caractères écrits ou imprimés, et inversement un homme intelligen
ond centre Aa dans le grand centre optique; c'est là que les images écrites des mots sont emmagasinées. L'activité des deux
as de notre malade qui en est un type. 3° Perte des images des mots écrits . Lecture possible, mais machi- nale. Interrupti
e temporale. Par suite il y a lieu de placer le centre A des images écrites des mots et des lettres dans le lobe occipital,
ie encore plus grande avec la claudication en question. Le malade écrit spontanément avec correction, il peut copier, mai
GIE NERVEUSE. 81 l'écriture devient bientôt indistincte, comme s'il écrivait à l'aide d'un manche à balai. le bras devient d
a déjà traité à fond la réforme de la législation des aliénés. J'ai écrit sur ce sujet un rapport qui a servi de base à.
la dis- crétion du bureau. Adopté. M. KROEUER a envoyé une motion écrite relative à l'établissement des permis de circul
re du jour jusqu'à ce que l'entente se fasse et la multiplicité des écrits et des controverses sur ce thème montre qu'on e
abilité, que M. Mendel a, dans la Realencyclo- posdie d'Eulenbourg, écrit sur ce thème un article que je vous engage à li
damentale. Il ne faut pas confondre la parole parlée avec la parole écrite . En second lieu, les éléments qui sont en rappo
par des lettres, des lettres que l'on vient d'apprendre. La parole écrite (le langage ' des lettres) dépend de l'intégrit
à la connaissance des dénominations par la simple vue de l'i- mage écrite et qu'on arrive à lire des caractères écrits en a
imple vue de l'i- mage écrite et qu'on arrive à lire des caractères écrits en appelant à son aide l'image des mouvements q
une heure et, quelque temps après son réveil, « ne pourrais-je pas écrire une lettre », dit-elle. On lui demande pourquoi
troubles du langage chez les aliénés en troubles du langage, parlé, écrit , et mimique. Ceux-ci sont distingués successive
e). , La même division sert de guide en ce qui a trait au langage écrit , et l'auteur y passe en revue : les troubles résu
rticulièrement FUNESTE DE CER- tains MOTS (PENSÉS , PRONONCÉS, LUS, ÉCRITS ) MOTS COMPROMETTANTS. L'onomatomanie se tradu
r éviter le mot malfaisant, non seulement, ils cessent de lire, d' écrire , mais limitent parfois à quelques pa- roles ind
d'abord, il s'agissait d'un mot entendu ou lu ou bien pro- noncé ou écrit par mégarde, puis, c'est l'objet ou l'image de l'
me morceau découpé, de la treizième bou- chée, etc. S'il s'agit d' écrire , le treizième mot ou la treizième ligne devien-
continue pas moins à les accomplir. . Depuis longtemps il a cessé d' écrire , de lire, il fuit la société, ne trouve du plai
PATHOLOGIE MENTALE. rage l'exactitude de l'adresse qu'elle vient d' écrire sur une lettre, dès qu'elle l'a jetée à la boit
, surtout si elle a été amenée dans quelques-unes de ses phrases, à écrire les mots mort ou enterrement. * A diverses repr
cherche à se souvenir; pour eviter cette recherche angoissante, il écrit souvent sur des bouts de papier ces différents
l'agraplie, il est difficile d'en juger car le malade sait à peine écrire . Cependant il signe son nom sans plus de difficul
. observer une tendance, durant la lecture, à traduire les signes écrits dans leurs articulations équivalentes. Moins l'in
outes les opérations articulatoires que représentent les caractères écrits . » Peut-être est-ce le cas de notre malade, peu
savourent parfaitement le sens des mêmes choses lors- qu'elles sont écrites ou représentées sous leurs yeux. Ces symptômes
e ne cesse de se plaindre, de réclamer vivement à haute voix et par écrit , de pro- tester contre sa séquestration, de fai
est toujours invio- lable, la famille même vous eût-elle donné par écrit la liberté de parler, car une vérité relative n
lle notoriété que le secret n'existe plus et que vos paroles ou vos écrits n'appiennent plus rien à personne. Dans le premie
faire par- venir indistinctement à leur adresse toutes les lettres écrites par les malades ? Cela peut avoir des inconvéni
de divulgue, sans s'en rendre compte, son état d'aliénation par ses écrits et peut, une fois guéri, s'en prendre au médeci
al; si c'est par des étrangers, il faut se munir d'une autorisation écrite de la famille avant de parler. Il en est de mêm
rte la période d'aura, pour disparaître avec elles, c Il me semble, écrit le malade, qu'il y a alors en moi deux personne
le qui souffre. Elles se mêlent de temps en temps et, pendant que j' écris , je suis obligé de m'arrêter sou- vent sous l'i
sont plus si bien marqués. Dans une lettre reçue récemment la mère écrit : « L'enfant s'est beaucoup amélioré. Il s'occu
mais qui ne correspond pas toujours à une synostose complète. Wieth écrit : « L'ossification des os du crâne était complè
t sur leur traitement. « L'état de ces malades est si déplorable, écrit M. Wieth, que l'on peut bien risquer de faire int
M. Keen, voulant atténuer l'importance de ses décès ne craint pas d' écrire ceci : « Quant à moi, je suis d'avis que c'est
finissent pars'effor : cer de ne plus penser, évitant de parler, d' écrire , de lire, de regarder, s'éloignent dès qu'ils e
ole, mais elle apprenait difficilement et elle sait à peine lire et écrire . Depuis un an, on s'aperçoit qu'elle touche plu
alité du nombre treize; j'évitais de mettre 13 mots dans une phrase écrite et sou- vent, il m'arrivait de compter les mots
, etc. », qu'elle fait tous ses efforts pour ne jamais prononcer ou écrire . Lorsqu'elle les entend, il lui semble qu'à l'i
signé dans ses leçons clas- siques ou la compilation des différents écrits de ses élèves sur l'hystérie. On sait bien aujo
s mots « parce qu'elle ne les trou- vait pas » : elle aurait pu les écrire parce qu'elle avait l'idée de ce qu'elle voulai
s que Cha... présentait son tremblement au maximum, je l'in- vite à écrire son nom, ce qu'il exécute avec une calligraphie t
de se faire comprendre en écrivant, mais d'autres fois la faculté d' écrire paraissait elle- même supprimée pour quelques m
peu prolongé. Par exemple, F... pendant deux ou trois minutes peut écrire avec une calligraphie très belle et très sûre,
ndant des mois, ictus apo- plectiforme suivi de troubles du langage écrit et parlé, attaques convulsives avec paralysie c
« je, moi, M. un tel, je fais le mouvement de marcher, de manger, d' écrire , ils ne provoquent que des phénomènes de consci
coute ma bouche qui chante très bien cette chanson... Quand je veux écrire , je ne trouve rien du tout à dire, il faut que
, il faut que je laisse ma main faire ce qu'elle veut et alors elle écrit quatre pages. » Ce qu'il y a de plus curieux, c'e
it ainsi de fort jolies choses; qu'elle fasse un costume ou qu'elle écrive une lettre, elle déploie un réel talent, mais t
moi- selle, vous devriez bien enlever ce chapeau qui me gêne pour écrire et le mettre sur une patère. Je ne demande pas
idement le sens des paroles (pas de surdité verbale) et des phrases écrites (pas de cécité ver- SYNDROME HYSTÉRIQUE DE LA S
IQUE DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES. 473 baie) et répond d'abondance par écrit à toutes les questions qu'on lui pose (pas d'ag
esse phrases sur phrases à propos de la question la plus simple. Il écrit assez couramment, mais tremble légèrement. Ce-
pour rassembler ses idées, puis il reprend le crayon et se remet à écrire avec une nouvelle ardeur. Hémiplégie gauche. -
ne siège pas en cet endroit, puisque le malade guéri, a continué à écrire . Obs. IV (erreur de numérotation). Folie systém
51 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
diens. A ce propos, je rapporterai ici un passage très intéressant écrit il y a 1.600 ans par le grec Oribase dans son t
fond de l'oeil a été fait par le Dr Montalcini qui a cette époque m' écrit : « J'ai renouvelé l'examen du fond de l'oeil a
encore tout ce qui lui est soi-disant arrivé chez lui, pourtant il écrit des lettres affectueuses à sa femme, en la pria
ent et depuis quelques jours il ne présente plus rien d'anormal. Il écrit à sa femme et à ses parents des lettres affectu
: sous l'influence de la jalousie, disent les témoignages oraux et écrits qui ont pu être recueillis, le malade était pris
ceaux postérieurs dans la partie dorso-lombaire de la moelle » (1), écrivait \Veslphal à la suite de ses pre- miers examens
cas précisément de tabès incipiens, à propos duquel M. Nageotte (1) écrivait les lignes précédentes, paraissait présenter le
stropathie, tant les signes de tabès sont latents. « .1 notre avis, écrivent -ils, nous sommes convaincus que la plupart des
mière fois, il désigna un crayon comme « une chose avec laquelle on écrit » el un billet de ban- que comme « un petit liv
art lui l'alphabet depuis le commencement, tout en regardant le mot écrit , et il n'est pas rare qu'il trouve, grâce à cet e
avec laquelle il a échangé des lettres; plus tard, il est arrivé il écrire ce motsauf l'y final (fig. 3, n° 8). De rares foi
t, le résultai fut s-o Il ne reconnaît aucun de ces mots, si on les écrit en caractères capitales d'imprimerie, ou si on
Grehiand (Grèce), Japon (Japon), Peking, même alors qu'ils étaient écrits négligemment; quand au mot Chikago, il put dire
es mots lus auparavant. Lorsqu'au cours de l'examen suivant, on lui écrivit le mot A ! 6ert, il n'arriva point, malgré plusie
et en leur subs- tituant d'autres complexus verbaux dont la formule écrite présente cer- taines ressemblances avec le mot
nt la formule écrite présente cer- taines ressemblances avec le mot écrit ; ainsi, le mot manschell (manchette) donna une
général ce procédé ne donne pas de résultats. Si on lui soumet par écrit la multiplication à faire, il arrive in- compar
re, il arrive in- comparablement pi us souvent à un résultat, et il écrit lui-même le résultat cherché. Si on lui donne à
de prononcer le nombre d'un seul trait; il ne saurait non plus plus écrire de mémoire le nombre complet. Or ceci prouve qu
des images verbales, assez vaguement dé- terminées. La faculté d' écrire de B... est également sous la dépendance directe
galement sous la dépendance directe de sa faculté de lire : il peut écrire les mots et parties de mots qu'il sait lire, ma
cause de la fatigue visuelle qui ne tarde pas à apparaître : on lui écrit le mot en question, et, bien qu'il ne soit pas
différentes lettres, sans pourtant arriver à lire ce qu'il vient d' écrire lui-même. Le nO'1l très peu commun de Fard- der
fois, il n'arrive pas à se familiariser avec lui. Par con- tre, il écrit sur simple demande (sans modèle) le nom suédois d
s entendu prononcer et avec lequel il s'est auparavant exercé. 1, Ecrivez votre nom. - 2, Hullaryd. - 3, la date de votre n
ture il n'a jamais raté le prénom, mais lorsqu'il s'agit pour lui d' écrire Blonalkvist, il n'arrive pas, dans la moitié des
associatif. Curieuse est aussi cette observation : Sur demande, B. écrit correctement l'adresse de son père de la même man
F. A. Blomkvist, Hullaryd, Sonamayd) tandis qu'il reste incapable d' écrire ou de lire le mot «heur » (monsieur) isolé : il
il garde l'image visuelle formelle d'une adresse qu'il a autrefois écrite bien des fois, mais la compréhension des différ
de combinaisons associatives tout autres. Lorsqu'on lui de- mande d' écrire les noms de ses frères et soeurs, B. écrit correc
rsqu'on lui de- mande d'écrire les noms de ses frères et soeurs, B. écrit correctement le nom Disa, mais il ne réussit pa
soeurs, B. écrit correctement le nom Disa, mais il ne réussit pas à écrire Teodor; l'analyse démontra qu'il avait souvent
se représenter les dif- férentes lettres. Lorsqu'on lui demanda d' écrire le nom David (nom qui pour lui n'avait aucune v
le nom David (nom qui pour lui n'avait aucune valeur spéciale), B. écrivit immédiatement Da. c'est-à-dire la pre- mière sy
ais se lassant ensuite, il ajouta à tout hasard un A. Il avait donc écrit le mot dalia (nom d'une fleur) mais lorsque, qu
lorsque, quelques instants plus tard, on lui demanda ce qu'il avait écrit , il répon- dit David. A une autre occasion, sa
dit David. A une autre occasion, sa façon d'agir fut analogue : il écrivit immédiatement Da, mais, s'étant lassé plus vite
à d'autres reprises, il lisait sans difficulté : du premier mot, il écrivit immédiatement Iaos, du second Ty, mais ses tentat
z B. n'est qu'un symptôme secondaire de son alexie : il ne peut pas écrire autre chose que ce qu'il arrive à lire. D'autre
mémoire des formes, il a su deviner la suite, alors la réalisation écrite nous indiquera oit se trouve la limite entre le
ement fondé à prétendre que seuls les mots que B. sait complètement écrire forment de véritables exceptions à son alexie ;
OEDlm;;TIW1 une dizaine, et les lettres isolées que B. sait lire et écrire ne sont pasplus nombreuses. Les cas absolumen
quelques instants après, et alors ses tentatives consécutives pour écrire la lettre ont, sans exception, échoué. L'agrapbie
dans un cas d'aphasie motrice subcorticale dans lequel la faculté d' écrire avec la main gauche était bien conservée, trouv
dans les gestes du malade ; cette constitution est tracée dans ses écrits et ses discours, elle se synthétise eufin dans
mieux faire que de lui emprunter son langage. Une des lettres qu'il écrivait à ses parents naguère, est particulièrement typ
ans, et elle le reconnaissait première vue. Elle ne sait ni lire ni écrire ,mais elle a voulu montrer un jour qu'elle pouvait
d'une infériorité péniblement et cruellement méditée » comme l'ont écrit Grasset et Rauzier (cités par VIU1. >Juzière e
es renseignements qui lui sont demandés, ce qu'il avait jusqu'alors écrit sur la question. Enfin dans le Discours de la Mét
ns en générai et par occasion de toute la nature de l'homme (Traité écrit en français vers 1646 pour la princesse Elisabeth
oute quelques autres. De même Louis de la Forge, qui était médecin, écrit dans les Remarques qu'il a ajoutées au Traité d
y a rien à mon avis de si beau, ny de si bien inventé dans tous les écrits de noslre Autheur,que la descrip- tion qu'il fa
ouve chez quelques espèces animales. Voici, d'ailleurs, ce que nous écrit le Dr Ledouble (de Tours) à ce sujet : « Les ap
aits ; c'est ce qu'a reconnu le savant américain lui-même lorsqu'il écrit : « que la question des varia- tions du nombre
ce qui avait duré jusqu'au cours de l'été. Caroline savait lire et écrire , mais à part cela, ses connaissances étaient pl
lette, et c'est depuis quelques mois qu'il a perdu la possibilité d' écrire . Les mouvements des muscles du bras et de l'é-
commença à se servir de préférence du bras gauche. Lorsqu'il devait écrire vite de la main droite, il se fatiguait aussitô
te, il se fatiguait aussitôt, au point d'être obligé de s'arrêter d' écrire . Il s'aperçut aussi en même temps que la muscul
ante chez qui il avait été recueilli après la mort de ses parents), écrit à Paris, vers juillet 1909, pour avoir le livre d
us les jours dans les journaux. Le Président de la République lui a écrit , en mars, pour le faire venir à Paris. Il va ra
et par l'iodure sans aucun résultat. 6 septembre 1912. La malade écrit de la ville où elle réside. Elle ne va pas mieu
vements d'opposition l'em- pêchaient de prendre le porte-plume pour écrire . On notait à ce moment : Une atrophie thénari
ain droite perdait sa force, le malade avait beaucoup de peine pour écrire , il lais- sait tomber les objets, et était très
nution de la force et d'une maladresse dans les mouvements. Il peut écrire mais est obligé de s'arrêter au bout de o minut
tion et d'opposition se font sans force. Le malade est très gêné pour écrire , il ne peut pas ramasser une épingle sur un pla
ment des malades. Il a guéri plus de 50 malades. Dans son célèbre écrit : Dlagia nat'uralis ou traité théorique sur l'éle
is, de Padoue, de Montpellier et d'autres encore en Allem,yne,et il écrivit la thèse : De ittililate eleclrisalionis in arte
mu docteur en médecine. Devenu professeur d'histoire naturelle il a écrit beaucoup de traités d'histoire naturelle. Je ve
52 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
de certains helminthes. Ducamp, rapportant un cas observé par lui, écrit : « La poche examinée au microscope présente en d
il y a de la paraphasie à la lecture. De plus les ordres donnés par écrit ne sont pas exé- cutés : il ne comprend pas les
uger des troubles de la lecture. 42 sérieux ET MIGNOT Questions ÉCRITES Lecture A haute voix Sortez la langue. Sortez l
à cet 1 examen, il prend le crayon mais déclare : « Je ne peux pas écrire ... je ne peux tenir de plume... je ne veux pas
leungtie... Omette. Prié de copier le mot imprimé, « Chevalier » il écrit Onmy manuscrit. 6° Si l'excitation est en décro
s ou même méconnaissables (paralexie). Soit par exemple la question écrite : Etes-vous complètement sourd ? Le malade lit
us coin... men... cour... si... î-oitette... brouette... Ques- tion écrite : Aumen... est un brave homme. - Lecture : ... Ro
egage un boa... bave... brouette. I .. ' De plus le sens des mots écrits n'était pas compris, car aucun ordre n'était ex
écution) et tout en acceptant la plume déclarait : « Je ne peux pas écrire ... je ne veux pas signer... je ne vois pas clai
ade... je tremble, je ne peux pas ». Après plusieurs tentatives, il écrivit très mal quelques lettres qui semblent vou- loi
othèque nationale, et on sera surpris de voir la quantité de livres écrits dans le cours des siècles sur cette question de l
r Bacon qui fut surnommé « le docteur admirable » a laissé dans ses écrits quelques traces de cette méthode. , (1) Diction
en deux parties d'inégale étendue ; elle est précédée d'unè lettre écrite à son ami par le chanoine Nunning et d'une épît
n. C'est ainsi qu'après avoir fait l'histoire d'Esculape, grâce aux écrits d'Ovide, de Sénèque etc., il nous donne l'étymolo
e se termine par une allégorie qui met en pleine lumière la façon d' écrire du médecin alle- mand. - J'ai passé plus de 7
ttent même pas la nuit. Cet éloge des charmes de la littérature est écrit dans un latin très élégant et ne déparerait pas
fruits, mais ici il n'y a rien de semblable. IIermolaus Barbarus a écrit qu'à Rome un homme vécut 40 ans par la seule in
'écrivains ont réfutées. Voici, dit Cohausen, comment on pourrait écrire l'histoire d'Hermippus, à la manière de Platon.
ar un vif sentiment de curiosité ; l'auteur était connu déjà pour ses écrits satiriques et le public lettré dut se récréer à
littéraire et de l'illustrer avec beaucoup d'art et d'ornements. il écrit ce livre non dans un but médical, mais pour mon
ir du corps de leurs « sujets ». Et même, s'il faut en croire leurs écrits , il en restait toujours quelques-uns, plus réca
G.... est arrivé à une habileté assez grande ; il a pu apprendre à écrire et à dessiner et il dessine très bien, comme no
cependant : plume défectueuse et table trop haute (Fig. 2). Pour écrire ou dessiner il peut tenir la plume ou le crayon d
el- ques mois après il a voulu imiter ses camarades et a commencé à écrire . A l'âge de 12 ans il est allé chez une tante à
plus il est arrivé il faire des travaux beaucoup plus délicats ; il écrit et dessine bien; il taille lui-même ses crayons
es supérieurs, une assez grande habileté lui permettant notamment d' écrire et de dessiner. Nous ne nous arrêterons guère s
t montré dans les foires sous la désigna- tion de l'homme tronc; il écrivait , dessinait, tirait au pistolet, etc. Ré- cemmen
s]et le poignet gauches. Nullement découragée, elle apprend alors à écrire de la main gauche, mais, malheureuse- ment, le
à ressentir un spasme, ou une crampe dans son bras droit, dès qu'il écrivait pendant une heure environ. Les années suivantes,
ugmenta tellement qu'il fut obligé de faire usage d'une ma- chine à écrire , mais il arrivait fréquemment, qu'au bout d'une h
et 1899, tous les muscles de son avant-bras deve- naient, dès qu'il écrivait , aussi durs que du fer, et se dessinaient sous la
la peau comme des barres rigides. Il pouvait cependant continuer à écrire pendant cinq ou dix minutes, en maintenant son
nt beaucoup plus forte. I ! prit du bromure et il lui fut défendu d' écrire pendant six mois; il lui était permis toutefois
crire pendant six mois; il lui était permis toutefois d'apprendre à écrire de la main gauche. Lorsqu'il recommença à écrir
fois d'apprendre à écrire de la main gauche. Lorsqu'il recommença à écrire , il lui fut particulièrement recommandé de tenir
auvaise habitude que dans l'excès des mou- vements nécessaires pour écrire . C'est là un exemple d'hypertrophie. Nos observ
rofession du malade. ' . On peut penser que certaines personnes qui écrivent beaucoup ont une 156 THOMAS D. SAVILL sorte d
écrivains, occasionnée par de la raideur survenant quand elles ont écrit très longtemps; mais ces cas ne rentrent pas dans
paraît uniquement qu'à l'occasion d'une seule action, comme celle d' écrire , le DE LA CRAMPE DES ÉCRIVAINS 159 pronostic
on a duré trop longtemps, le malade devra se servir d'une machine à écrire ou apprendre à écrire de l'autre main. Mais il
ps, le malade devra se servir d'une machine à écrire ou apprendre à écrire de l'autre main. Mais il devra ne se servir de
victimes ? Le martyrologe de la saignée, les médecins ne l'ont pas écrit . Une opération chirurgicale, remontant à une au
manquer d'avoir été célébrée de mille façons. Effectivement, on a écrit sur la saignée de quoi remplir des bibliothè- q
ué aussi, dans la symptomatologie des tumeurs cérébrales, lorsqu'il écrit : « c'est un simple retour à l'enfance, moins la
t un endothéliome avancé et modifié, et que d'autre part Brault (1) écrit « qu'il n'y a pas de différence entre l'endolhé
frag- mentation progressive des blocs chromatiques. Marinesco (3) écrit que la chromatolyse est une véritable dissolution
nous ayons pu obtenir de bonnes photographies des lettres que nous écrivions sur son dos et si je ne les fais pas reproduire c
eut avec un corps dur quelconque et de préférence avec une épingle, écrire ce qu'on veut sur la peau de cette femme. Il se
oint touché une rougeur vive qui se diffuse, de sorte que si l'on a écrit quelques lettres on a un large placard rouge qu
iphérie et au centre, dans l'espace laissé libre par les caractères écrits . Au bout de 15 minutes environ toute la rougeur a
iqûres d'épingle donnaient une large plaque d'urticaire et nous lui écrivions facilement son nom sur la poitrine, le dos ou les
me NERVEUX. - L'intelligence semble ordinaire. Le malade sait lire, écrire et compter. Sommeil bon, pas de rêves ni de cauch
telligence. - L'intelligence semble ordinaire. Le malade sait lire, écrire et compter. Sommeil bon. Pas de rêves ni de cauch
ersonnes qu'elle croit avoir offensées. Voici un fragment de lettre écrite par notre sujet et qui indique bien cette tenda
s idées. Nous venons de voir dans les quelques fragments de lettres écrites par notre sujet, qu'il se rend compte que ces idé
lqu'un, cette personne en est immédiate- ment informée. » Elle veut écrire à ces personnes, leur faire des excuses, leur d
ruction primaire plutôt au-dessus de la moyenne des gens du peuple, écrit d'une écriture bien tracée et très courante et ne
remblement existe en permanence à l'état latent, il suffit à W... d' écrire pour le mettre en évidence plus nettement que sur
de) dont les caractères ont toujours été identiques quand on a fait écrire W... C'est en somme une sorte de tremblement inte
en somme une sorte de tremblement intentionnel que, seul, l'acte d' écrire a la propriété de rappeler. W... croit qu'il trem
s qu'il essaye de contenir ou de détourner du papier. W... prié d' écrire sans s'occuper de son tremblement donne un deuxiè
s. Si les oscillations paraissent moins fré- quentes c'est que W... écrivait plus vite, autrement dit le mouvement de l'ap-
rapide. MYOCLONIE DU TYPE BERGERON 321 Dès que le malade cesse d' écrire le tremblement disparaît ou se réduit à de très
ter l'état latent : quand il raidit la main tendue ou quand il veut écrire , l'immobilité n'est pas parfaite, l'écriture est
les idées professées par Landouzy dans ce mémoire. Dans une thèse écrite sous l'inspiration de Landouzy, Vergnes (2) don
dité du langage, ainsi que le fait observer M. Vanlair dans une étude écrite pour un public non médical : « Les nerfs sont d
ez bien de ses doigts pour de petits ouvrages, et en particulier il écrit assez bien pour avoir pu faire quelque temps les
53 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
essort sur les demandes d’admission et les communications verbales ou écrites . Art. II. Les adhérents au Congrès auront seu
qui tient d’une part à la race, d’autre part au milieu. Victor Ilugo écrivait au sujet de la Vendée : « L'éducation n'est pas
lade le récit de ses souffrances. « Depuis plus de dix-huit mois, m’ écrivait -il, atteint par une affection nerveuse qui empois
des facultés supérieures, jugement, raison et volonté. Ainsi que l’a écrit Macaulay : « L’effet d’un organe faible ou malade
tienne » et leur fondatrice et principale prophétesse, Mrs Baker Eddy écrivit sous l'influence de l’inspiration son « Opus magn
ts adeptes. Dans l'un de ses livres « Bibliothèque de la. santé », il écrit : « La croyance au mal de tête est causée par diff
s ce fait, qu’il ne peut plus et ne sait plus vouloir. « Ces malades, écrit très justement M. Font, raisonnent constamment av
autés. Déjà en 1853, 1855, 18G0, le Dr Durand (de Gros) enseignait et écrivait ceci:« L'hypnotisme est un instrument d’analyse i
son emploi rencontrera des préventions et des hostilités. Ainsi que l' écrivait M. lieaunis en 1885 « les philosophes opposeront
nfirment le fait. M. Th. Parkes, de Kerrnskrets-chen, notamment, nous écrit que les porcs autrichiens sont toujours d’une scr
périphériques sur les modifications de la sensibilité. Apres avoir écrit son rapport sur la métallothérapie, il poursuivit
la moelle, un autre sur les dyspepsies et en outre, un rapport qu’il écrivit , en 1888, sur les maladies du système nerveux en
ent les Aperçus de taxinomie générale, dont un critique autorisé a pu écrire qu’ils constit uaient pour la méthode taxino-miqu
i- nent et le plus pénétrant commentateur des livres de Samuel, m’ écrivait à ce propos : « En réalité, nous ne savons rien
ritique et d’originalité tout à la fois. Quelques-uns d’entre eux ont écrit des rapports qui sont presque des volumes et qui
t a signalé un point d’histoire peu connu: On retrouve, dans certains écrits consacrés à l’étude de l’ancien magnétisme animal
tion du Congrès, nous devons donner en première ligne celui qui a été écrit dans le Figaro, par notre savant confrère, le l)r
très détaillés sur le Congrès de l’Hypnotisme. Témoin impartial, il a écrit ce qu’il a vu et entendu. Nous aurons à lui faire
ndra que les questions qui furent l’objet de conférences, de rapports écrits et de communications, offrent un grand intérêt. B
e succès auprès du grand public ; non seulement des pièces de théâtre écrites par des auteurs célèbres prétendent exposer les d
e courante. Interrogé par moi sur les résultats qu'il a obtenus, il m' écrit entre autres choses : « Il n’y a pas le moindre d
ps médical un seul partisan de la psychothérapie. Le docteur liekma m’ écrit être on ne peut plus satisfait des résultats qu’i
titjean au courant des essais tentés pour lui procurer des machines à écrire à caractères grecs. Mais, avant l'invention de la
différents et interchangeables, un seul bâti de machine suffit, et on écrit le grec, de la même manière que les langues qui e
ploient l’alphabet latin. Avec un barillet de type russe, on pourrait écrire de même en russe, clc. Remarquons,en oulre, que
éprobations ni les anathèmes. Il fut refoulé, honni, bafoué. Alors il écrivit aux académiciens ; il adressa des mémoires aux sp
scs recherches avec acharnement; il multiplia les expériences et les écrits ; il amoncela les preuves convaincantes. Avec une
avait si longtemps fait peser sur lui a été définitivement levée; ses écrits ont reçu la consécration classique; les représent
t l’acte accompli mais résistent absolument aux suggestions orales ou écrites . D’ailleurs, qu’un état maladif survienne qui d
souvient de ses visions. Elle médite, et le docteur Janet lui a fait écrire ses méditations, où parait un certain talent. Ell
ançais a conservé une incroyable puissance de travail ; il continue à écrire des volumes impatiemment attendus, et qui stupéfi
r aux cas de vertige mental et d’aliénation du moi. « Nos aliénistes, écrit -il, supposent arbitrairement : i° que les premier
dans un état d’hypotaxie qui permette de le suggestionner; comme je l’ écrivais il y a quelques années, « la suggestion aura pris
eur occupation exclusive. Dans une lettre qu’il me fit l’honneur de m' écrire , il y a quelques années, à propos d'un opuscule o
ges, 10 0, Paris, (t. Carré et îvaud, éditeurs. tout ce qui a été écrit sur l’anatomie macroscopique et microscopique, et
des, sans distinction des procédés à mettre en couvre. « La guérison, écrit Charcot, d’apparence particulière, produit direct
’arrivent » ? Toutefois, en 1857, les visions se sont évanouies; il écrit à M"* Leroy er de Chantepic, la lettre suivante:
culaire semble rétablie, la malade se sent fort bien de sa main, peut écrire et coudre. Je l’ai fait revenir chez moi le 1
e était « enflée par tout le corps a ; non seulement elle est guérie, écrit -on, mais elle se trouve entièrement la même qu’av
ans sa jeunesse. Instruit à l’école primaire, il a appris à lire, à écrire , à compter et a acquis, comme les enfants de son
82, Thomas Sydenhain révélait l’existence de l’hystérie masculine, et écrivait que cette maladie provenait « du désordre (1) P
ion. Son appétit est revenu, elle n’a plus de faiblesses, elle nous a écrit une petite lettre dans laquelle elle disait: «
perhidrose serait sous la dépendance de la volonté ; Saint Augustin a écrit : « ipse sum expertus su dard hominen solere cum v
niques présentent souvent de l'hyperhidrose au point qu'il ne peuvent écrire sans tacher fortement leur papier. La fonction su
u solides. Tout dernièrement, les D" Gélineau (‘) et Binet-Sanglé ont écrit sur les épileptiques célèbres. Je veux examiner l
pour lui singulier. Ce môme savant sort un jour de chez lui, et il écrit à la craie sur sa porte pour prévenir les visiteu
s fautes d’orthographe faites sur son nom. Les tentatives faites pour écrire avec la main gauche ont échoué. Le malade parait
fis faire des rédactions sur des sujets déterminés ; j’obtins qu’elle écrivit le résumé de telle lectureet le récit detelle pro
ement un remède qu’on peut manier avec sûreté et dont on doit pouvoir écrire la posologie. On peut actuellement dresser un t
es, un personnage vénéré, descendant du prophète, liait Ahmed Cheycht écrire une prière qu'il mettait dans uuûtoile orée (pour
our le tout. A propos de la Révolution de 1830, Casimir Delavigne a écrit une poésie touchante, Le chien du Louvre, sur un
n travail considérable. M. Félix Regnault. Je n’ai jamais ni dit ni écrit que Flaubert ne fut pas un épileptique. Ce que je
54 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns analogues de l'écriture peuvent s'observer chez ceux qui croient écrire sous la dictée de Dieu et sentent leur main dir
farfadets qui lui dérangeaient parfois le cerveau pour l'empêcher d' écrire ses souffrances (inhibition motrice gra- phique
état qui est à rapprocher de l'automatisme graphique, ». Lorsque j' écris dans l'oraison dont je traite (quatrième degré)
que ni l'ex- pression, ni la pensée ne viennent de moi. Quand c'est écrit , je me demande comment j'ai pu le faire, ce qui
un second Newton, un second Galilée. Il colporte en tous lieux des écrits sur les forces de la nature, sur « une instruct
précis lui échappent, il se trompe, ne peut lire quelques nombres écrits . Les jours suivants exagération de la sensibilité
conve- nablement ce qu'on lui dit, copie sans fautes, mais ne peut écrire exactement de mémoire pas plus que sous la dict
en omettant syllabes et mots. A des questions simples formulées par écrit il répond par écrit en omettant syllabes et mot
et mots. A des questions simples formulées par écrit il répond par écrit en omettant syllabes et mots. Pas d'alexie. Pui
entrer les axes visuels et l'attention sur les syllabes et les mots écrits , pour un temps assez long, et de recueillir et
Dons, éditeur, Paris, 1896. La préface que le professeur Joffroy a écrite pour le livre de M. Roubinovitch débute par l'e
tilité de la détermination prise par le malade ; 2° le consentement écrit du malade lui-même et ratifié par son conseil d
être visités par leurs parents et leurs amis que sur une permission écrite du médecin en chef, soumise au visa du directeu
sujet des méthodes de coloration des éléments du système nerveux, a écrit que les procédés de Weigert et de Golgi étaient
uxième type, « Quelle autre signification pourrions-nous attribuer, écrivait Golgi, aux fibrilles qui, émanant du prolongmen
peut être comparée qu'il un groupe social d'êtres vivants animés, écrit Théodore Meynert (en son langage d'nne poésie si
es sur les animaux nouveau-nés con- tredisent la doctrine de Wundt, écrit Munk : il en résulte avec nécessité que la natu
ouvoir depuis son enfance, s'aperçut seulement à dix-neuf ans qu'il écrivait couramment de la main gauche sans exercice préa
ter les phé- nomènes subjectifs suivants : 1° facilité extrême pour écrire en miroir à la craie sur la planche noire; un p
écrire en miroir à la craie sur la planche noire; un peu moins pour écrire à la plume, hésitations légères pour former les
ue normalement si on veut aller trop vite ; 3° il est très facile d' écrire en miroir simultanément les mêmes mots des deux
e d'écrire en miroir simultanément les mêmes mots des deux mains, d' écrire en miroir avec le pied gauche sur le sable, de
n des sujets atteints de cécité verbale qui conservent le pouvoir d' écrire ; il doit, pour se lire, suivre avec les yeux le
tères reproduisant ainsi les sensations qui accompagnent l'action d' écrire . Il lit difficilement un imprimé en miroir, et
de persévérance elle marche sans bâton. Au bout de quatre mois-elle écrit et court tout en gardant une main contracturée.
me elles le pouvaient le sujet ne jouissant ni de parole orale ni écrite . Mais les symboles dont elles se servaient ne lai
La pathologie cérébrale du sourd-muet reste à faire et rien n'a été écrit sur ses psychoses. Dans cette situation, manquant
verbaux spéciaux, ne peuvent employer que le langage articulé ou écrit , et il suffit de suivre quelques-unes de ces conv
ision verbale) étant représentées : 1° par la vision de caractères- écrits comme chez nous ; 2° par la vision des mouvemen
rticulée, quoique im- parfaite (fausse articulation) ; 2° la parole écrite ; 3° la parole transmise par la dactylologie et
ne comprend pas bien quelqu'une de ses paroles, et sollicite qu'on écrive celles qui se croisent dans la conversation et
articulation verbale, la dactylologie et en dernier lieu la réponse écrite . Les rêves les plus fréquents consistent en scè
bouche : « Tiens, je suis le plus fort, je suis content. Quand elle écrit , il la force parfois à mettre de gros mots (cop
qu'elle ne sont que la reproduction des opinions des auteurs ayant écrit sur ces sujets. R. DE ! \IUSGRAVE-CLAY. XLII.
cherche de son chapeau et oublie tout ce qu'un lui dit. Il lui faut écrire les choses les plus importantes sur son carnet,
osé ses idées délirantes. Après un court séjour à l'asile la malade écrit à son frère une lettre, signée aussi du père, dan
EUSE. Vulpian 1, dans son traité des maladies du système nerveux, écrit : « L'odorat est rarement modifié ou du moins les
ond '* dans son remarquable article du Dictionnaire encyclopédique, écrit : « On trouve signalés des troubles de l'odorat
on que repousse expressément Wei- gert : « Autant que je puis voir, écrit -il, il n'est pas possible d'ctd- mettre une par
res du tissu connectif, lequel provient du mésoderme. Mais il avait écrit : « Nous voyons ici jusque dans ses moindres pa
es parties du système nerveux central d'une seule et même espèce, a écrit Sala y Pons (Ea Neuroglia de los verlebrados, M
onc un des documents les plus anciens et les plus authentiques pour écrire ou esquisser déjà une paléontologie du système
extraordinai- rement peu dans les corps striés, « si peu abondante, écrit Wei- gert (p. 12ç», qu'où peut bien dire que le
pendant un temps raisonnable : si le malade commence à parler ou à écrire sur un sujet, de nou- velles idées se précipite
l est presque immédiate- ment -atteint de mélancolie hystérique. Il écrit au D'' Talbot une lettre où il se juge plus que
IDES. (The Journal of Mental Science, avril 1896.) Ce récit a été écrit et envoyé au journal pour y être publié par un
atteinte spéciale des méninges et des vaisseaux. M. Gasne vient d' écrire un chapitre entièrement et absolument nouveau d
ail marqué au coin de l'intérêt persuasif qu'il sait attacher à ses écrits . C'est avec la conviction basée sur une pratiqu
rdiction de visites, de collation et de villégiature, difficultés d' écrire , absences de sorties provisoires, discipline sé
, collation au dedans, villégiature au dehors, faci- lité absolue d' écrire , sorties provisoires de quelques jours à deux et
rois degrés dans la période terminale. Au 2 degré de la 3e période, écrivait -il en 1826, « les malades ne peuvent plus se so
8), nous rencontrons la même des- cription dans l'excellent article écrit par A. Foville dans le Dictionnaire de Jaccoud
ds partagent sur ce point l'opinion des auteurs français. Kroepelin écrit qu' « à la période ultime, les malades ne saven
RÉPONSE A M. LE D MARANDON DE MONTYEL; Par le D' TAGUET. Il est écrit que rien ne doit trouver grâce devant M. Maran-
être visités par leurs parents ou leurs amis que sur une permission écrite du médecin en chef, soumise au visa du Directeur.
ncées lit couramment à haute voix et comprend ce qu'il lit; il peut écrire sous la dictée et copier; mais, s'il est fatigué
; il peut écrire sous la dictée et copier; mais, s'il est fatigué d' écrire , son écriture devient illisible. Il connaît l'u
n lui pose, et dans les termes mêmes de ces questions. La faculté d' écrire spontané- 458 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. m
LOGIE NERVEUSE. ment est également très troublée. Si on lui dit : « Ecrivez le nom de la rue que vous habitez, » il écrit t
. Si on lui dit : « Ecrivez le nom de la rue que vous habitez, » il écrit très lisiblement : « le nom de la rue que vous
e textuelle- ment l'ordre donné : il s'aperçoit alors qu'il n'a pas écrit ce qu'on lui demandait; il recommence et écrit
alors qu'il n'a pas écrit ce qu'on lui demandait; il recommence et écrit les mêmes mots, s'en aper- çoit de nouveau et e
e d'impossibilité d'exprimer sa pensée par le langage articulé ou écrit , par suite de l'oubli des mots, état qui est prob
muets ; elle aime la lecture, le théâtre, se sert de la machine à écrire , et joue un peu du piano. Les mouvements choréiqu
ction suffisante. Elle ne pouvait donner de consentement ni oral ni écrit , mais elle se conduisait d'une façon normale, sav
55 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
parvient se l'aire assez bien comprendre. Elle ne sait ni lire, ni écrire . Placée dans un des villages annexes, la journée
avaient même valu à l'hospice le surnom de « Concierge ». Elle sait écrire son nom, connaît l'addition des 3 ou 4 premiers
nisme très accentuées. Elle est bien développée, sait un peut lire, écrire , compter et coudre. Mise en observation à l'in-
nt que sur les 11 enfants que nous avons actuellement, '.) savent écrire d'une façon presque suffisante, une dixième arriv
un rensei- gnement plutôt insuffisant. Je m'enhardis alors jusqu'à écrire à l'illustre savant dont M. Bonne invoquait l'a
cher la question : Voici ce que ce savant me faisait l'honneur de m' écrire le 7 mai : « Je n'ai pas présents à la mémoire
Aujourd'hui comme hier. M. Janet paraît bien comme à l'époque où il écrivait 1' « Automatisme psychologique », refuser de s'
ne répé tait plus aucun mot prononcé devant lui, était incapable d' écrit ? spontanément ou sous dictée, pouvait seulemen
éremment, sensations grâce auxquelles il connaissait ce que sa main écrivait , à l'exclusion de tout autre intermédiaire : ja
: jamais le sujet n'aurait eu en même temps connais- sance des mots écrits par une perception surajoutée auditive ou visue
alité à laquelle une volonté étrangère se fait connaître ; l'acte d' écrire n'occupe pas toute la conscience,mais quand les p
i à ces exemples celui de Renou- vier qui, après quatre-vingts ans, écrivait encore ces livres étonnants par la profondeur e
. Une certaine éducation du sens musculaire permet aux aveu- gles d' écrire lisiblement pour les voyants et de lire par le to
s boîtes de pilules d'opium, etc. Elle a aussi contracté la manie d' écrire à une foule de personnes pour les entretenir de
t pendant plusieurs heures, sortit, fit plusieurs visites en ville, écrivit une lettre il la soeur pour s'excuser de no pas
e ces crises de vigilambulisme d'une durée de plusieurs jours. 5° Ecrits de la malade : idées obsédantes de vengeance, pri
e. Un point sur lequel il est très important de revenir ce sont les écrits de Madame X" , pendant son séjour il l'Etabliss
INCENDIAIRE PENDANT L'ÉTAT SOMNAMBULIQUE. 103 dans l'état de délire écrit , elle exprime de préférence avec une énergie sa
on. Quelques citations, aussi courtes que possible, tirées de ces écrits , nous paraissent nécessaires. En voici quelques-u
'est ce qu'elle-même va nous apprendre. Voici en effet ce qu'elle m' écrirait quelques jours après sa nouvelle admission : ç
te, et je l'en re- «mercierai sincèrement.» » Le 14 décembre elle écrivait encore à son mari : «Jusqu'à pré- «sent j'étais
succombe en quelques jours. Ainsi, il ressort très nettement des écrits de la malade que c'est dans une période d'état
'après un délai fort long, puisque, près de dix ans auparavant, ses écrits nous révèlent qu'elle en était déjà obsédée.
e dans l'esprit de Mme \ ? et 1 é- cliéance de l'acte criminel. Ses écrits nous montrent que pendant plus de dix ans elle
et cite avec éloge dans son rapport, et mon collègue Mairet vient d' écrire : Chez ces malades qui ne sont pas irresponsabl
'on veuille assimiler un malade nocif à un animal nuisible et qu'on écrive , comme on l'a récemment fait à propos d'un gran
ifférents les juristes et les magistrats. » Ceci ne paraît-il pas écrit au moyen âge ou même plus an- ciennement à l'ép
ce sont là des doctrines qu'il répudie et réfute par sa vie et ses écrits de tous les jours. Mais voilà où on en arrive e
ES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. Trélat a cité cette phrase écrite en 1826 à propos de l'habi- tude qu'ont les mag
er à toute prévention scientifique. » Et, en 1907, M. Pierre Baudin écrit : «La société n'apas à connaître du combat inté
nce au moment de l'action; que le moL«responsabilitér,n'y est pas écrit ; 2° Que les questions de responsabilité,qu'il
siciens connus. Schumann eut six accès de manie pendant lesquels il écrivit ses plus belles pages. Hugo Wolf eut quatre acc
que. Je vous dirai sa réponse : « le cas est impressionnant, a-t-il écrit , et il entraî- nerait ma conviction, si j'avais
la recherche des causes, un jour tout nouveau sur les actes et les écrits du grand philosophe. Je me représente très bien
ourunhom- me du passé on fait tout le contraire, on le juge sur ses écrits ses actes et on oublie de le juger sur sa perso
ti- ques événements de sa vie d'autrefois. C'est la période où il écrit son dernier ouvrage : les «Rêve- ries d'un prom
une émotion .considérable et 200 asiles d'aliénés. fort légitime, écrit l'Informateur. Cette émotion s'est traduite en
des récusations, ils forment immédiatement une demande motivée, par écrit et cachetée, adressée au préfet de la Seine. Les
ivante : ASILES D'ALIÉNÉS DE LA SEINE. 203 le Une épreuve épreuve écrite de pathologie mentale, pour la- quelle il sera
minutes de réflexion et trente minutes d'exposition. 3o Une épreuve écrite sur l'examen de deux aliénés dont l'un sera l'o
total pour rédiger le rapport et la consultation ; 4° Une épreuve écrite sur une question relative aux soins à don- ner
les où sévissent les moyens de contrainte. Le confrère d'Ilollander écrivait 1 écemment que la visite de la clinique de Ivra
cette observation consiste d'abord en l'existence d'une confession écrite par la malade et très dé- taillée ; suffisammen
ompte rendu de cette thèse, de reproduire la Préface que nous avons écrite à la demande de notre très dévoué collaborateur
r par des sommiers métalliques. » « Nos quartiers d'enfants, nous a écrit le D' Boiteux, nous don- nent toujours satisfac
année, 900 francs la deuxième et 1.000 francs la troisième année. Ecrire au directeur de l'asile, médecin de l'établisseme
pas exacte, et notre honorable collègue, M. le Dr Pil- leyre, nous écrit que Juliette Tirfoin n'avait jamais été internée
la réticence.elle expose volontiers son cas,soit oralement soit par écrit . Nous ayant proposé elle-même de nous rédiger ses
, j'ignore ce qu'ils sont devenus. 4° Depuis notre entretien elle a écrit au ministre de l'intérieur, à un député, à dive
n ne l'arrête pas tout à fait. J'ai adressé des remercie- ments par écrit à MM. W... et B... (de la Préfecture et du Parque
esses,et cependant elle a plus de confiance dans son avenir. Elle a écrit , avec l'espoir (mais non encore la certitude) d
ompée qu'on me le dise, je vous croirai, je vous promets de ne plus écrire , je travaillerai. Je ferai n'importe quoi ; je
précision aux questions posées. Alsacienne d'origine, elle parle et écrit très bien, l'allemand ; elle parle bien le fran
et écrit très bien, l'allemand ; elle parle bien le français mais l' écrit moins correctement que l'allemand. Louise K ? n
qui, après des ouvrages de grande va- leur, comme ses Constitutions écrivait la Démonomanie, qui fixa la jurisprudence en fa
nt d'avril. Il a lieu à la Prélecture delà Seine. Les épreuves sont écrites et orales. Les internes titulaires et proviso
e dit que son état s'est aggravé ; qu'il marche avec peine et qu'il écrit avec beau- coup de difficultés (en effet,l'écri
tion, 9 sorties d'essai. « J'ai noté avec le plus de soin possible, écrit 31. les excès alcooliques et leurs conséquences
is le 2j janvier 190(;, ce service est divisé de la façon suivante, écrit 11. ulonesLier : " Pensionnat et section des ho
s récusations, ils forment immédiatement une de- mande motivée, par écrit et cachetée, adressée au préfet de la Seine. Le
du concours sont réglées de la ma- nière suivante : 1° Une épreuve écrite de pathologie mentale. pour laquelle il sera ac
inutes de réflexion et trente minutes d'exposition ; 3° Une épreuve écrite sur l'exa- men de deux aliénés, dont l'un sera
total pour rédiger le rapport et la consultation ; 4° Une épreu- ve écrite sur une question relative aux soins à donner aux
nistratifs, sont seuls admis dans les locaux consacrés aux épreuves écrites les candidats appelés à prendre part au concour
56 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sen- siblement normaux, ou hyperctendus, contrairement à ce qu'a écrit Ott,olenghi S., qui les a trouvés rétrécis 12 f
ugues sans grande importance jusqu'en octobre 1905. « La maladie, écrit la famille, consiste en l'idée de voyage, il se s
A son entrée à la Maison de santé, il est légèrement déprimé ; il écrit lui-même ie jour de son admission : « Je suis mal
pas exister de centre spécial pour l'écriture parce que chacun peut écrire avec toutes les parties un peu mobiles du corps
ur la chercher. IL p, LES aliénés en LIBERTÉ. ,i,loi-tsubite.- On écrit de Courcelles, en date du 13 novembre au Nouvel
épreuves du concours sont réglées comme suit : 1° Une com- position écrite , de trois heures, sur un sujet de pathologie médi
oncours peuvent seul pénétrer dans les locaux réservés aux épreuves écrites . Le sujet de la composition écrite est le même
es locaux réservés aux épreuves écrites. Le sujet de la composition écrite est le même pour tous les candidats. Il est tir
ation de l'aliéné, lequel est suivi dans ses actes, ses propos, ses écrits , dans tous les menus faits de la vie or- dinair
te où il res- La quatre jours sans parler ni manger, ne voulant pas écrire à sa mère, sous prétexte qu'elle n'ajouterait p
être vraies. Grande faiblesse de la mémoire : il est forcé de tout écrire : il localise très mal dans le passé les faits
un trouble primitif de l'orientation chez toutes les personnes qui écrivent « en mi- roir « involontairement el habituellem
n'a pas (olé éd : 1qué pour l'écriture, puisque beaucoup de sujets écrivent spontanément mieux en miroir de la main qui a a
ujets écrivent spontanément mieux en miroir de la main qui a appris écrire , C'est plutôt le sens des attitudes qui est en
t des anor- maux au même litre que les sujets qui sont incapables d' écrire en miroir lorsqu'on leur a montre le mouvement
paranoide), il se croit en droit de conclure que la stéréotypie des écrits est « un indice de chronicité mais nulle- ment
tueux est de plus en plus généralement reconnue; mais on a beaucoup écrit et parlé, on a peu agi. L'importance des sept p
ie. Les épreuves du concours sont réglées comme suit : 1° épreuve écrite de trois heures sur un sujet d'anatomie et de pat
imum de points à attribuer à chaque épreuve est de : pour l'épreuve écrite 30 points ; podr l'épreuve orale 20 points. Les
00 francs. N. B. Ordre des épreuves : 1° épreuve orale ; 2° épreuve écrite . Hospice DE Bicêtre (Fondation Vallée). 111. BO
ication singulièrement plus aisée. Le temps presse ; à l'heure où j' écris ces dernières li- gnes, la Commission sénatoria
tale dans un domicile privé sans qu'il en ait fait la déclaration écrite , dans le délai de quinze jours, au procureur de l
n'est pas défavorable. Il en est de même s'il a conservé le goût d' écrire . Par contre, le dégoût de la lecture et de l'éc
ogique. Au contraire le retour progressif du l'aptitude à lire et à écrire SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 constitue un signe imp
Les épreuves du Concours sont les suivantes : 1° Une composi- 1101, écrite de trois heures, sur un sujet de pathologie exter
des Candidats dépasse le triple des places vacantes. 2° Une épreuve écrite de deux heures sur un sujet d'anatomie etde phy
que. Seront seuls admis dans la salle où aura lieu la composition écrite , les Candidats porteurs d'un bulletin spécial dél
et constatant leur admission au Concours. Le sujet des compositions écrite est le même pour tous les Candi- dats ; il est
iquer les modifications survenues dans leur état mental. Griesinger écrit : La loi de causalité exige que toute tristesse
nte de l'affaiblissement intel- lectuel. G est une terreur intense, écrit cet auteur, une crainte irraisonnée, accompagné
et sou- vent répétées. Si on ne réussit pas, on cherchera à faire écrire le malade spontanément d'abord, ensuite on exi-
malade spontanément d'abord, ensuite on exi- gera des réponses par écrit ; on peut également leur faire copier des textes
peut également leur faire copier des textes. , Dans ces épreuves écrites , on voit combien les asso- ciations des idées s
comme un corps étranger hors s de la personnalité et et peu ù peu, écrit M. Ribot (1) par accoutumance, elle y fait sa p
égers. Une malade de Ville-Evrard citée dans la thèse de Monod (1\, écrivait au début de son affection. « Je ne vois plus qu
lligence par une série de chiures. ,le ne veux pas répéter, je vais écrire d'après mon coeur, je ne pense pas am chiffres,
'après mon coeur, je ne pense pas am chiffres, et je n'aime pas les écrire , parce que je veux écrire spontanément, je sais
nse pas am chiffres, et je n'aime pas les écrire, parce que je veux écrire spontanément, je sais queje ne suis plus bon pour
crises de larmes, qui viennent interrompre la dépression. Dans ses écrits on remarque de nom- breux néologismes. «Les tor
sujet qui « entretient en même temps deux conversations, l'une par écrit , l'autre verbalement. » (p. 38). Cet exemple so
ailleurs, que l'on réponde à une question sans interrompre l'acte d' écrire , de même que, mais plus rare- ment,soit en parl
s rare- ment,soit en parlant, soit en écoutant, on peut noter par écrit quelque idée tout à fait étrangère à la conversat
« bon »' mais il y a dps lacunes dans sa mémoire et « il a oublié à écrire et à lire » : l'hémisphère malade est donc l'hé
, ou des tiers protes- tent contre son internement. Le malade poura écrire aux autorités administratives,se pourvoir auprè
on (art. 18). - A ce moment le Procureur adresse des réquisitions écrites au Président du Tribunal de la situation de l'éta
s facultés intellectuelles n'ont pas baissé, qui restent capables d' écrire correctement leurs réclama- tions, d'exposer le
en médecine qui, s'étant distingués par leur enseignement ou leurs écrits sur les ma- ladies mentales, seraient l'objet d
de la nature des relations qui existent entre elles. La demande est écrite et signée par celui qui la forme : elle est vis
e-huit heures de l'admission. Si l'auteur de la demande ne sait pas écrire , celle-ci est reçue par le fonctionnaire dont l
opre à constater son identité sont suffisantes. Si elle ne sait pas écrire , la demande est reçue conformément aux pres- cr
ue de ce pays en France. Si la demande et le certificat ne sont pas écrits en français, il y est joint une traduction fran
.précédent ,1e procureur de la République adresse ses réquisitions écrites , avec le rapport médical d'admission, les rapport
res : D1J1. Marie IiOLLA\D,PtlU1 LEGRAND et Charles Nollen. Epreuve écrite de 3 heures : Pneumothorax; signes et diagnosti
- née, 900 francs la deuxième et 1.000 francs la troisième année. Ecrire au directeur de l'asile, médecin de l'établisseme
t re- marqué les avantages obtenus par la réunion des fonc- tions écrivait : « Pour éviter que l'autorité tiraillée en di-
s- 401 f \ 1 ÉCISLATION. 401 1 IEGISLATION. se ses réquisitions écrites au président du tribunal. Celui-ci statue confo
int DES ASILES PUBLICS D'ALENES. Questions traitées : 1° Epreuves écrites . Anatômic et physio- logie du système nerveux :
de leur nom. Il été procédé dans cette séance à la première épreuve écrite sur un sujet de pathologie interne et de pathol
- gical du fémur. I,e 17 avril, il 1ll'lé procédé à la oc épreuve écrite sur un sujet d'anatomie et de physiologie du sy
e l'hystérie, avec le sommeil naturel. Sentant la contradiction, il écrit : « Mon intention n'est pas de reprendre à mon
fonctionnement physiologique du cerveau. Aussi le Professeur Lépine écrivait -il : « Je suis pour ma part fort enclin à adopt
de la main gauche par la main droite pendant que celle-ci apprend à écrire . · Grasset (J.).-Plan d'une physiopathologie cl
GIE PATHOLOGIQUES. 489 manières d'être, la même fixité que dans ses écrits ; ses réactions extérieures annoncent à premièr
ue le savant discutable. Il ne faut pas oublier non plus que Zola n' écrivait pas pour-le même public que Claude- Bernard, qu
ait des signes d'aliénation mentale. Les EFFETS du spiritisme. On écrit de Saint-Calais au Journal de la Sarthe (4 mars).
57 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
puis il les assembler, il reproduire tous les chiffres et même à écrire de mémoire un grand nombre de nos mots imprimés
s. Aujourd'hui il lit presque couramment, cop : e ce qu'il lit et écrit même de mémoire un certain nombre de mots imprimé
Il établit bien la relation entre le chiffre et la quantité, sait écrire les nombres jusqu'à 100. commence à se familiaris
les. Il lit presque couramment, fait l'addition et la soustraction, écrit de mémoi- re sous forme de dictée un certain no
amélioré au point de vue du caractère. Bon apprenti tailleur. Il écrit et coud avec la main gauche. . 2° Lang.... 19 a
ions et commence à faire de petits problèmes. Ses devoirs sont bien écrits ; il comprend les explications don- nées. La mém
llité, dépres- sion mélancolique. Cet enfant fait mieux les devoirs écrits ; il litapeu près couramment ; il fait assez bie
ique dans la mesure du possible; il lit bien, fait bien les devoirs écrits et comprend les explica- tions données. Bon car
Apprenti tailleur, travaille beaucoup, très courageux, très docile. Ecrit et coud de la main gauche. 1-1° Mêla.. (Albert)
re et fait bien les exercices de copie. Apprenti tailleur passable. Ecrit et coud de la main gauche. 15° Sim... (Eugène),
age seuls ne sont pas évalués, et comme nous l'avons souvent dit et écrit , bien qu'il soit dillicile d'en faire une estim
nements sur les enfants du service présents ou f'n('OJ]OE('. Nous écrivions l'an dernier que « l'Administration avait accor
er aujourd'hui de bons résultats. Elle lit par syllabes, a appris à écrire , fait bien une copie, commence quelques devoirs
s été moins rapides. En moins de trois ans, cette enfant a appris à écrire , à faire quelques devoirs de grammaire, elle co
istrons aujourd'hui des progrès très notables. Elle est parvenue il écrire très lisiblement, fait une copie, connaît et sa
tes judiciai- res sont parfois conduites, que je me permets de vous écrire en pensant que ce fait, qui est malheureusement
et et dessert le couvert. Elle n'a jamais pu apprendre à lire, il écrire et à compter. État à l'entrée. - Etat PHYSIQUE.
ades. Juin. Suspension aux anneaux et aux barres parallèles. Sait écrire 1, 2 et 4. La parole est plus libre, M... se mêle
sons en syllabes simples et en mots usuels; copie des mots, saurait écrire d'après modèle n'importe quel mot. Notion'de no
jette une chaussure dans les cabinets. En classe, quelques progrès, écrit sous la dictée les mots qu'elle sait lire : donne
esure. Sait compter jusqu'à 100, connaît les chiffres. Sait lire et écrire tous les mots formés de syllabes simples. Dessi
tra, dès midi, une agitation inaccoutumée, demandant du papier pour écrire à sa mère, échangeant quelques paroles avec l'i
les glandes ou du moins quelques-unes d'entre elles, (1) Ceci a été écrit en 1890 depuis, grâce à la médication thyroïdienn
amètre glubellaire. Cette cons- tatation a son intérêt, car on voit écrit parfois que les myxcoedé- mateux conservent un
2 : Développement progressif de l'intelligence, l'enfant sait lire, écrire , faire les premières règles, etc. -Notions usuell
les exercices clas- siques. Il copie les mots qu'il lit et même en écrit un cer- tain nombre de mémoire, tels que les jo
astique et aux travaux de la classe. Il comprend bien ce qu'il lit, écrit mieux, fait l'addition et la soustraction avec re
n un mot à ne plus avoir besoin d'aide. Enfin il a appris à lire, à écrire , à compter, à faire les trois pre- mières règle
à droite et à gauche l'ouvrage qu'elle tient entre ses mains. Elle écrit mal, fait des taches sur son cahier, ce qui l'i
diminuée. Intelligence : assez ouver- te. Parole : normale, lit et écrit bien. Tableau du poids et de la taille. March
rsations, nous dit : qu'on s'occupe beaucoup d'elle. En classe elle écrit quelques phra- ses de dictée, elle recopie et o
s. » Ses phrases sont absolument décousues, elle tient absolument à écrire à son frère pour lui raconter un tas de choses
es drôles qui se passent autour d'clle. On accède à son désir, elle écrit , mais sa correspondance est celle d'une personn
ais par quel bout commencé. Mais il me semble que tout ce que je- t' écris tu le sais. Si tu viens demain ici avec papa et
r.. (F.) à 10 ans (1901). Traitement hiDICO-YEDAGOGIQIlE. dictée, écrit également de mémoire les jours de la semaine le
58 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
fesseur à la Faculté de Médecine de Nancy. J'ai maintes fois dit et écrit : Rien ne se passe dans l'état hypnotique qui ne
publication de mon premier mémoire, le 6 octobre 1889 — mon malade m' écrivait ce qui suit : « Je crois pouvoir me tenir pour
ôté de la vérité et il a eu le courage de le dire. Aussi Lombroso lui écrivait , lors de l'apparition de son livre : « Il est cur
de ses victimes le désespoir, l'invincible terreur. Si l'ouvrage est écrit dans un style brillant, imagé, le lecteur se lais
ire a leur ancienne idole: elles font des dénonciations a la justice, écrivent des lettres anonymes, et finissent parfois par br
nt les conséquentes qui puissent en résulter pour elles, l'hystérique écrit et agit, pour obéir à sa passion. C'est une fem
nque aura, avec une intention frauduleuse ou a dessein de nuire, fait écrire ou signer par une personne0 hypnotisée un act
afiem du cbhrcfc* me et des autres agents ameitbésiques. Le» mémoires écrit » en allemand, français ou anglaif doivent parveni
nne, et Chesney. lieutenant de Génie, se lit connaître depuis par ses écrits et pour sa carrière militaire et civile. Je rentr
mêmes qui osaient fêter le Centenaire! quelle ironie!» ainsi qu'il l' écrivait lui même au Petit Journal la veille de l'attentat
, son premier acte n'a guère été l'acte d'uun homme raisonnable. IL a écrit à Mme Carnot pour l'informer qu'il lui rendra i
deux malades atteints de dipsomanie. La plupart des auteurs qui ont écrit sur la dipsomanie ne voient dans cet état qu'une
liée intimement à la première. On a beaucoup réfléchi, on a beaucoup écrit sur ce sujet ; l'hygiène scolaire a fait récemmen
e papier, immédiatement après son réveil, put. sur noire injonc-tion, écrire d'une façon très lisible. Quatre séances suffiren
ui. Elle se dirigea vers la Seine, elle entra dans un débit de tabac, écrivit au crayon sur un morceau de papier : Maltraitée p
si hermétiquement que possible les fentes des portes et des fenêtres, écrivit une lettre dans laquelle elle reprochait à ses pa
nspirer des idées soimbres, elle acheta un revolver et des cartouches écrivit a son amant qu'elle allait accoucher et qu'elle d
resta bonne; vers la lin 1883. on lui fit remarquer un jour. qu'il n' écrivait pas droit. Depuis ce temps, l'acuité de la vision
entra chez lui. au commencement de juin 1889, tout à fait guéri. 11 m' écrit le 26 novembre 1889 : « Votre portrait est sur mo
e juin 1889 elle fut copieuse, et cessa après. Oins son journal, elle écrit en date du 1 * juillet : « Vaincue, j'ai pleure l
érébrale. • A cette époque, elle lit un voyage et le 17 juillet, elle écrivit : « mes forces ne veulent pas revenir, je suis dé
de maladie ont disparu et la morphine n'existe plus pour elle. Elle m' écrit le 28 janvier 1890: « vous savez que je suis sain
its regrettables. C'est probablement l'idée qui l'inspirait lorsqu'il écrivait les lignes suivantes : « Depuis que ma méthode
de son livre Sur le sommeil et les états analogues, paru en :û66. il écrivait les lignes suivantes, dans lesquelles sont indiqu
te incohérence et cette puérilité se manifestent plus encore dans les écrits que dans le langage oral du malade. G... à notre
ie biologique, séance de 22 février, 1826 démontré qu'un même sujet écrit d'une façon différentes quand on lui suggère qu'i
ut tout lui enseigner a nouveau; ainsi elle dut réapprendre a lire, à écrire , à compter; peu à peu. elle se familiarisa avec l
tte rouge, avant d'accomplir ce suicide présumé. Elle avait eu soin d' écrire une lettre dans laquelle elle annonçait qu'elle a
s douteux que M. Bottey n'ait été inspiré dans ses recherches par les écrits des professeurs de l'Ecole de Nancy. Lorsque son
encore, il me serait difficile de retrancher une ligne de ce que j'ai écrit alors. Cependant, j'aurais roq^isàpeu près dans
(2) M. Bitot, chef de clinique de M. le prof. Pitres, de Bordeaux, écrit (Note sur l'hystérie mâle. Mercredi médical, 21 j
des experts de Paris (4) Il est singulier de voir la façon dont on écrit parfois l'histoire. L'Ecole de Nancy daterait de
médecin lyonnais irait précédé d'un siècle tout ce qui s'était dit ou écrit sur l'hypnotisme, soit par l'École de Paris, soit
ntion de l'offrir au musée de la ville de Vienne. Mme Kyrtl vient d' écrire au rédacteur la lettre suivante, datée de Pcrchlo
es mémoires n'ont pour ainsi dire pas vieillis, quelques-uns semblent écrits d'hier el l'on est étonné quand on voil la date r
nifestent souvent dans le cours de ces névroses cérébrales, M. Mesnet écrivait {2} : c Le trouble que ces perversions fonction
comme tous les auteurs dont nous avons tenu à citer les déclarations écrites , rangé à l'opinion du Dr Li^beaalt, qui considère
que réveillée obéira avec une précision mathématique. On pourra faire écrire au sujet des promesses, des reconnaissances de de
roduisit dans un débat où il n'avait que faire. M. Bernheim aura beau écrire ; les faits restent les faits et aucune argumentat
os des Spirites guérisseurs de Brainc-lc-Chdleau. Votre correspondant écrit ceci : * MM. Masoin et Delboenf, respectivement p
1890 (signé) : Liégeois. » Voici enfin la lettre que M. Beraheim m' écrivait en date du 21 juin suivant : « Je ne désirais pas
uel vous avez réclamé de moi un certificat.....C'est pourquoi je vous écris aujourd'hui celte lettre dont vous pouvez faire u
. Puisque l'occasion se présente de reparler de celle que, dans mes écrits , je désigne par l'initiale J..., je consignerai i
dévoué, etc.. » Il va de soi que je souscris de tout point à ce qu' écrit ici mon éminenl collègue, d'autant plus que, dans
issance de ses sens. J'ai plusieurs fois indiqué, dans mes précédents écrits , que les émanations odiques atteignaient le plafo
nvier. — N'accuse plus qu'un tremblement dans la main qui l'empêche d' écrire . Noua le faisons écrire son nom; il le fait lente
u'un tremblement dans la main qui l'empêche d'écrire. Noua le faisons écrire son nom; il le fait lentement, arec uu certain tr
fait lentement, arec uu certain tremblement. Après la suggestion, il écrit beaucoup plus vite et en caractères plu* fermes.
le d'une sorte de discussion mentale. « Cette lutte intérieure (1), écrit M. Beaunis, est plus ou moins longue, plus on moi
et bien qu'elle travaille facilement à des ouvrages de broderie, elle écrit difficilement et est incapable de faire la moindr
ici, ni de tout ce qui s'est passé depuis 1885. Elle a appris à lire, écrire et calculer dans son état B et c'est une jeune ma
ié tout ce qu elle lui avait appris, et elle ne sait plus ni lire, ni écrire , ni compter, ni travailler à l'aiguille; tout ce
t normal d'autrefois, l'état A, dans lequel elle ne savait ni lire ni écrire . Elle a oublié aussi et l'Exposition et la tour E
ure se reproduisent instantanément aussi : elle sait de nouveau lire, écrire et travailler, reconnaît les personnes du service
59 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
mmeil elle entendrait ma voix et elle lirait ce que je lui montrerais écrit . Le sommeil obtenu, j'approchai de son œil droi
paupière supérieure levée, une feuille de papier sur laquelle j'avais écrit « Vous n'aurez plus de crises, votre douleur cess
ant d'avoir passé un examen composé de deux épreuves : 1° une épreuve écrite sur un sujet d'hygiène ou d'anatomie élémentaire:
est devant la fenêtre derrière toi. et tu iras au tableau noir où tu écriras : Je n'ai plus mal au ventre, ni à la poitrine. C
— Tu penses à faire quelque chose. Prends la craie, va au tableau et écris : « Je suis guéri et ne suis plus malade. » Ce n'
rveau et qu'une simple allusion a ramené à la conscience : « Pourquoi écris -tu sur le tableau ? » — « Je ne sais pas ; cela m
préalable, les lui faire réaliser. Le professeur Delbœuf de Liège a écrit récemment dans la Revue de l'Hypnotisme un articl
le papier, immédiatement après son réveil, put, sur notre injonction, écrire d'une façon très lisible. Nous croyons que cett
r de Vervins, visionnaire et possédée ? Sujette à l'épilepsie — les écrits contemporains en font foi — elle était en outre m
l'exactitude n'est pas toujours justifiée. Johnson prétend que pour écrire la vie d'un homme, il est nécessaire que le biogr
llement et même intimement, et, dit-il encore : « Si un homme prétend écrire la vie de quelqu'un, il faut qu'il l'écrive comme
e : « Si un homme prétend écrire la vie de quelqu'un, il faut qu'il l' écrive comme elle était réellement. Les excentricités et
bserve constamment leur bouche, leurs yeux et leurs oreilles. » Et il écrivait ce qu'il voyait d'un seul trait, fin, piquant, qu
nous nous y prendre pour déterminer le caractère de la personne qui a écrit ? Nous commencerons par rechercher les différent
au sujet des aliénés qui, par leurs actes, leurs paroles ou leurs écrits , se sont montrés dangereux. Il ne saurait être ap
ment utile d'avoir en mains soit les lettres du malade, soit ce qu'il écrit en dehors de ses lettres, quand ce dernier cas se
dernier cas se présente. On ne saurait trop encourager ces malades à écrire ; 7° En ce qui concerne les pyromanes, il faudr
it à la suite d'une forte commotion. Si la crise le surprend quand il écrit , il ne s'arrête pas, bien qu'il sente grossir l'i
. passe l'examen du baccalauréat ès sciences complet; il est reçu à l' écrit et prépare l'oral. II travaille et se fatigue bea
de communiquer avec ses aides, il le fait toujours et uniquement par écrit . Seul le sujet est autorisé à parler pour dire, s
parlé, il repart pour le Luxembourg. A Arlon, il déjeune, veut encore écrire à sa femme, mais toujours dominé par son idée fix
ur partir aux Indes... heureusement il lui manquait des papiers. Il écrivit néanmoins ses adieux à sa femme légitime, et il p
nt enfin, une fille galante ayant été assassinée rue Saint-Lazare, il écrit au chef de la Sûreté pour se dénoncer comme auteu
les rêves datent de l'année 1876. Depuis cette époque, j'ai observé, écrit , et, autant que cela m'a été possible, expliqué l
confirmait que son acuité visuelle n'avait point souffert. Il pouvait écrire sous la dictée, mais il était incapable de se rel
comme par exemple, l'article the, sont lus par lui à première vue. Il écrit sous la dictée aussi couramment qu'autrefois, mai
pas généralement de pareils à-peu-près : — « Quelle différence, m' écrivait -il un jour, faites-vous entre pourquoi et comment
illis sa requête. Je lui demandai de me raconter son histoire par écrit . Je copie sa réponse: « J'étais atteint d'un viol
de lui aucune nouvelle jusqu'au 10 juillet de la même année, où il m' écrivit la lettre suivante : « J'aurais déjà dû vous écri
e année, où il m'écrivit la lettre suivante : « J'aurais déjà dû vous écrire depuis bien longtemps. Mais les circonstances dan
ulement un doigt sur le bâton. » Dans une lettre du 10 mai 1892, il m' écrivait déjà la même chose: « Etant accroupi, je me balan
q ans, elle a parlé à huit ans, on a pu lui apprendre à lire et à écrire , et elle a fait son apprentissage de couturière s
« chapeau » si le sujet est un visuel. Si l'œil voit le mot chapeau écrit , ! perçoit le mot sans le comprendre, l'adresse à
fait qu'un sujet qui ne peut lire si son conducteur 3 V— A est lésé, écrira grâce à son conducteur 3 V—G intact et pourra ain
ndex gauche et qui me gênait * et me faisait souffrir quand je devais écrire . « J'ai connu beaucoup de personnes qu'elle a g
u moins pour le moment, renvoyant le lecteur à l'excellente page qu'a écrite à ce sujet le professeur Lëpixe de Lyon {Reçue de
ayant en mains tous les pouvoirs, se conçoit difficilement. M. Bérard écrit : « Ce qu'ont été les formidables hécatombes de c
es ou communications au programme imprimé devront en faire la demande écrite avant le 15 mai 18ii6, au Comité d'organisation,
communications non annoncées au programme devront en faire la demande écrite au président. L'Administrateur-Gérant: Emile B0
u'on l'avait chargé d'acheter. A peine dehors et son compte réglé, il écrit à son patron pour l'informer qu'il va se suicider
à Mazas le 11 juillet 1895, sous l'inculpation de menaces de mort par écrit , condamné à six mois d'emprisonnement avec interd
lueur des éclairs. Aucun des auteurs qui, depuis trente-cinq ans, a écrit sur la matière, n'a publié un fait probant. Aucun
'elle voit, sait de quoi il s'agit, mais ne peut pas prononcer le mot écrit et désigne par une périphrase l'objet dont elle v
est de même pour l'écriture. On arrive pendant l'hypnose à lui faire écrire un passage de 15 lignes sous la dictée, sans une
re proscrit de la thérapeutique? Comme j'ai encore eu l'occasion de l' écrire dans les précédentes Annales de l'institut Chirur
otique qu'il a été possible de lui réapprendre à lire, à compter et à écrire . Enfin, étant devenue enceinte depuis la guéris
arque de détail qui m'a bien étonné. « Quand nous avons des songes, écrit l'auteur, nous ne voyons jamais ce qui nous a irr
60 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
de son état d'esprit. Je n'ai pas perdu l'usage de mes facultés, écrit -il. Seulement, je ne peux pas écrire longtemps
perdu l'usage de mes facultés, écrit-il. Seulement, je ne peux pas écrire longtemps sans devenir nerveux et sans perdre a
us les points, la même intensité, fonctionnelle. « Je ne nie pas, écrit Masini, que l'aire de Krause ne représente le f
'investigation scien- tifique. « La méthode crée les résultats », a écrit Hit- zig. A coup sûr, si l'on avait expérimenté
uffisant pour étendre en avant la zone motrice, je ne le crois pas, écrivait alors Tonnini; mais, comme pre- mier exemple d'
s du grand lobe limbique, « opération de la plus grande difficulté, écrit Schaefer, mais que je n'abandonne pourtant pas
s paralysies du mouvement et de la sensibilité nous semble prouver, écrit Seppilli, que les cellules ner- veuses de l'éco
ce point Kahlbaum. M. NEISSER, s'appuyant en grande partie sur les écrits des aliénés, essaie de décrire et de délimiter un
par un droguiste. Deux cas d'attaque DE sommeil hypnotique. - On écrit d'Alain- court au Progrès de l'Oise, à la date
e de sommeil, analogue à la précédente. Un cas DE léthargie. - On écrivait de Rodez, le 14 décembre : 154 FAITS DIVERS.
pnotisme a décerné le prix d'une valeur de 2,000 francs au' mémoire écrit en français de MM. les docteurs de Grandchamps
pages. - New-York, - Th. Oledico-legal journal. Mercier (H.). - Les écrits des aliénés. - Le monde des ablnzes.- Bro- chur
ière, un adversaire d'ailleurs des doctrines de Golgi, Koelliker, a écrit , au sujet des méthodes de coloration des élémen
ième type. « Quelle autre signifi- cation pourrions-nous attribuer, écrit Golgi, aux fibrilles qui, émanant du prolongeme
pport direct, quoique non isolé, avec les nerfs du mouvement. Aussi écrit -il maintenant : « Aujourd'hui, je me sens autor
réticulum de l'écorce du coin méritent bien, dans leur ensemble, écrit Forel, le nom de sphères vi- suelles (Seguin),
ue M. Ran- vier, parlant des terminaisons nerveuses sensitives, a écrit : « La découverte des organes musculo-tendi- 1
verses périodes de l'existence. Une autre question qui, comme l'a écrit Giacomini, a le plus grand intérêt, «non seulem
l'avis de la majorité. Tout récemment un mémoire remarquable a été écrit sur les premiers symptômes accentués qui suiven
écrivant. Il n'y a, pour s'en convaincre, qu'à comparer les modèles écrits par un 260 sociétés savantes. sujet sain et p
[TZ ! G.Jusqu'à ce jour, à Halle, je me suis borné à des rap- ports écrits . La simulation totale est d'ailleurs rare. Le sig
nt ; le patient persiste à se suspendre chez lui; un mois après, il écrit qu'il s'améliore progressivement et que, si les
élait incapable de mémoire et d'intelligence. Le surlen- demain, il écrit à ses parents une lettre pleine de sens, dans laq
nscription, il avait si peu de mémoire qu'il lui fallait mettre par écrit les ordres qu'on lui donnait sans tarder sous p
raude. Discussion. - M. Pelman. dit qu'il n'est pas toujours aisé d' écrire un rapport sur la simulation. D'abord il est de
ecouvre la mémoire, dit qu'il est d'Essen, que son père y habite et écrit une lettre chez lui dans laquelle il raconte qu
la rémission commence à se mon- trer. Remarquons qu'il a cependant écrit de nombreuses lettres témoignant de cette incer
qui était aliénée et s'est débarrassée de lui ; c'est un rap- port écrit à son insu qui l'a fait enfermer; il ne comprend
it croire à l'hypnotisme. » Asile pour LES ivrognes EN suisse. - On écrit de Bàle au Progrès médical : J'ai reçu dernière
de surveillance. Une séquestration ; condamnation d'un médecin. On écrit de Caen : Il y a deux ans, une dame Lediacre, m
èrement constater. Je cite ici textuellement Marchai (de Calvi) qui écrivait ceci en 1864 : « La physiologie expérimentale
- La malade est intelligente, elle a appris facilement à lire et à écrire , mais son écriture se ressent de son tremblemen
u mouvement de l'écran, un morceau de pa- pier blanc sur lequel est écrit un mot de 3 ou 4 let- tres que l'on se propose
s le cadre de cette étude (la grandeur des lettres, la façon de les écrire , le nombre de lettres, l'état mental du sujet,
tion inconsciente des hys- téro-hypnotiques dont M. Binet, dans des écrits intéres- sants d'ailleurs, semble revendiquer l
des aliénés. - Combien faut- il de temps à un individu normal pour écrire un mot ? On tend sur un cadre de bois simple un
s simple une feuille de papier ; on invite le sujet en expérience à écrire ; derrière cette toile de papier est un ruban d
se connue de droite à gauche, au moment où la personne commence à écrire et que l'on arrête quand le mot est tracé. On obt
rrête quand le mot est tracé. On obtient ainsi simultanément le mot écrit , la rapidité qu'a demandée l'opéra- tion et la
vitesse de la main reste un peu à la discrétion de l'opérateur qui écrit , celle des doigts est bien moins subordonnée à sa
celle des doigts est bien moins subordonnée à sa volonté. Ce qu'on écrit le plus vite, c'est le nom de famille ; puis vien
le nom de famille ; puis viennent les mots que l'on a l'habitude d' écrire ; si pendant que le sujet en expérience écrit u
l'on a l'habitude d'écrire ; si pendant que le sujet en expérience écrit un mot, on lui en dicte un ay^tre, la vitesse d
s il est impossible de stimuler son activité en leur recommandant d' écrire le plus vite possible. M. BINSwANGEn (de léna
, d'additionner des nombres d'un seul chiffre, de lire à mi-voix, d' écrire sous la dictée. Celte méthode montre que l'effo
partie Sud où il- fait très chaud, environs de Ciudad-Bolivar) nous écrit : « En ce faits DIVERS. 433 pays, nos médecin
use et les en remercions d'avance. L'UTILITÉ DE la catalepsie. - On écrit 'de Dunkerque, 14 avril : « Une jeune fille de
61 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
est vraisemblablement une figure très curieuse de ce livre singulier, écrit par Jean Schedel, qui est connu sous le nom de Ch
rai que cette assertion : les hystériques sont seuls hypnotisables », écrivait Bernheim, il y a plus de dix ans. Et un peu plus
ôt occupée de mon déménage- ¦ ment, a Quelque temps après, elle m' écrivait que sa santé continuait à être bonne, mais qu'ell
sé depuis une vingtaine d'années. Je n'ai presque jamais rêvé que j' écrivais . J'ai passé cependant une partie de mon temps à é
s rêvé que j'écrivais. J'ai passé cependant une partie de mon temps à écrire . Le même fait a déjà été signalé par Guardia qui
écrire. Le même fait a déjà été signalé par Guardia qui a énormément écrit et n'a jamais rêvé qu'il écrivait. Je n'ai jamais
é signalé par Guardia qui a énormément écrit et n'a jamais rêvé qu'il écrivait . Je n'ai jamais non plus révé que je dessinais ou
t muette et ne peut même pas prononcer une voyelle. Elle sait à peine écrire et ne s'exprime que par signes. Sa maladie est un
cn mai 1656, Pierre Schumacher la rencontra à Leydc (Hollande) et il écrivit a son ami Thomas Dartholinus qui l'avait décrite
cience d'un néologisme. La vie nomade de Barbara L'rslerin, que les écrits des médecins de son temps nous ont permis de suiv
re succincte les faits dont j'ai été le témoin. Mon intention est d' écrire une relation purement médicale; et la réserve imp
e leur psychologie est encore dans l'ombre. Nous avons signalé jadis, écrit M. H. de Parville dans les Débats, d'après un nat
alogues qui surviennent dans l'écriture, dans l'expression du langage écrit . De nombreuses personnes sont déjà venues nous
les effets qui en résultent ne se manifestent que dans l'obligation d' écrire en public. Nous pourrions en citerde nombreuses
ui lui demandait un travail pressé, il s'est mis à trembler et ne put écrire pendant quelques instants. Depuis ce moment il a
e pendant quelques instants. Depuis ce moment il a perdu l'aptitude d' écrire quand on le regarde ou même quand on lui demande
troubles nerveux appréciables. Elle se plaint seulement de no pouvoir écrire lorsqu'on la regarde. Elle ne parvient même pas à
à tracer des caractères très irréguliers. SI son patron exige qu'elle écrive immédiatement sous ses yeux, sa main tremble tell
son aiguille dans la peau de sacliente. Elle est aussi incapable d' écrire devant quelqu'un. Devant des intimes, cela n'ar
ttend que la personne qui la regarde soit partie. Devant nous, elle écrit parfaitement et sans hésitation. Le traitement
er pour retrouver le calme. Il est surtout gêné quand on le regarde écrire et quand on le regarde boire. SI le verre est rem
ation avec un confrère uinitient, 11 fut invité k tenir la plume pour écrire l'ordonnance. Il n'a pu arriver à tracer un seul
e quatrième examen (thérapeutique) il tremblait a l'avance à l'idée d' écrire sous les yeux de l'examinateur. Il ne pensait pas
it pas pouvoir arriver à prendre la plumo qui lui serait offerte pour écrire les formules thérapeutiques. Il tourna la difficu
scientifique, de sens critique et de finesse psychologique; elle est écrite d'un style clair, limpide, précis et vigoureux ;
es pendant une séance d'hypnotisme. Deux mois et demi après, elle m' écrivait : A mon entière satisfaction, ma santé est mainten
octeur Félix Kegnaull, dans son ouvrage • Hypnotisme et Religion », a écrit : « Pour juger les résultats d'une guerre « on pe
se transforma en une Vendetta nationale. Un auteur a très justement écrit : « La guerre qui dure « depuis le mois de févrie
elle devient propre, demande à se laver, va aux cabinets, travaille, écrit , dort bien la nuit. Le 18 avril, elle est agité
eunes d'esprit et de cœur. H. de Balzac, mort a 51 ans. après avoir écrit OOouvrages, Théophile Gautier, mort à ans, Mérimé
ments constituent pour nous la plus haute des récompenses, nous avait écrit une lettre dans laquelle il nous laissait espérer
maître sait tout notre affectueux respect. Vous connaissez tous les écrits du savant directeur du laboratoire de psychologie
us aviez compris la haute valeur scientifique et philosophique de ses écrits , la portée profondément humanitaire de son œuvre.
était a trouver. ¦ Il est de fait qu'il sut. comme l'a si justement écrit le professeur Raymond, dégager et mettre en relie
n des principes fixes. Toile était la formule d'Epictète:» Il faut, écrivait -il, que tu ne sois qu'un seul homme, ou bon ou ma
porte sur la nation à laquelle on appartient. «L'homme, en France, — écrivait Goethe il y a cent ans, — qui ose penser ou ose a
éoccupation dans le livre d'un magistrati If, Proal, paru en 1900. Il écrit : « Le défaut de volonté devient de plus en p
n'y a pas de diplômés de collège « Les millionnaires qui travaillent, écrit Carnegie, ont débuté pauvres et ont été à la plus
de cette conférence, a rappelé quelques passages de la préface qu'il écrivait récemment pour la réédition du fameux livre de Fe
ées et c'est avec la plus grande amabilité qu'elle nous a fourni, par écrit , les renseignements suivants : Née à l'Abbaye d
itique, par exemple, Il est allé jusqu'à l'anarchie ; en poésie, il a écrit une tragédie où tous les personnages s'entre-tuen
le sa famille de lettres éplorées. Cinq jours avant le Concours, il écrit à son père que la situation n'est plus tenable et
de la main, est nhondamment pourvue de vaisseaux sanguins. Comme l'a écrit notre regretté maître, le professeur Tillaux, « l
acoby, médecin en chef de l'asile provincial d'Orel (Russie), vient d' écrire à M. le Prof. Lacassagne, de Lyon, pour lui signa
ulement pour manger et parler, quoique difficilement, mais aussi pour écrire et pour coudre. Elle se tirait même assez habilem
tes, laquelle est une lecture, au même titre que celle des caractères écrits . Prof. Lionel Dauruc. — Les expériences de M. S
nds : « Non ». « Il faut absolument qu'il te donne son consentement écrit et signé ou tu t'en passeras; dis-le lui. « Il
onté te suivra toute la journée. Si tu n'as pas le courage de parler, écris ce que tu veux et ce que tu feras. « Dis je veu
ns post-hypnotiques. Avant de s'endormir, il nous avait demandé par écrit de lui faire les suggestions suivantes: « Suggé
gestions demandées furent faites ; après son réveil ¡1 nous demanda d' écrire les mêmes suggestions sur une carte, afin de pouv
our dans cet établissement la malade privée do sa famille s'ennuyait, écrivait qu'on vint 'a chercher, ce qu'on fit. Revenue à M
nsacre un intéressant chapitre. IL Dauriac croit devoir s'excuser d' écrire un livre qui n'a recours ni à la statistique, ni
62 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. A propos de la folie urémique, MM. Régis et Chevalier Lavaure 1 écrivaient en 1893 : « Ces psychoses sont si bien toxiques
ion mentale est mise en évidence par le fait suivant. Interrogé par écrit sur la cause de son entrée à l'asile, il répond :
il répond : « Parce que je suis malade », et continuant comme s'il écrivait à sa femme, il ajoute : « Je suis à Vaucluse de
nt de vue mental- le malade est assez confus. Invité à répondre par écrit à un questionnaire simple, il reproduit les que
des malades, la personne qui la sollicite doit rédiger une demande écrite au directeur; c'est tantôt un parent, le tuteur
de la science et de l'enseignement. § 4. Une demande d'admission écrite doit être adressée au directeur par le représen
: Développement progressif de l' intelligence, l'enfant sait lire, écrire , faire les premières règles, etc. Notions usuelle
les exercices clas- siques. Il copie les mots qu'il lit et même en écrit un cer- tain nombre de mémoire, tels que les jo
astique et aux travaux de la classe. Il comprend bien ce qu'il lit, écrit mieux, fait l'addition et la soustraction avec re
un mot à ne plus avoir besoin d'aide. Enfin n il a appris à lire, à écrire , à compter, à faire les trois pre- mières règle
nce de para- plé-ie spasmodique primitive ; il ne savait ni lire ni écrire , mais il marmottait quelques mots, et jusqu'à u
amètre glabellaire. Cette cons- tatation a son intérêt, car on voit écrit parfois que les myxcoedé- mateux conservent un
essor prodigieux qu'elle a pris dans le dernier quart de ce siècle. Ecrites sous une forme animée, souvent attrayante, ces
papier qui lui paraît suspect, sur lequel il y a quelque chose d' écrit ; pour se tranquiliser elle a même soin de coller
à droite et à gauche l'ouvrage qu'elle tient entre ses mains. Elle écrit mal, fait des taches sur son cahier, ce qui l'i
adies générales fébriles; Klebs les note dans la chorée. M. Pierret écrit que, dans l'encéphalite grippale. les leuco- cy
ans les cas qui ont été qualifiés d'atypiques par Stoick. Comme l'a écrit M. Coulon, dans son récent travail : « on peut dé
inespéré de la lecture courante. 1903. Il lit et comprend ce qu'il écrit ; reproduit de mémoire sur son cahier un certain
on constate de réels progrès ; elle assemble bien les lettres. Elle écrit , son écriture est lisible et assez bien formée,
s'est intéressée à la lecture et aujourd'hui, elle lit couramment, écrit très lisiblement, fait quelques devoirs de gram
quelques devoirs de grammaire, peut même suivre une petite dictée, écrit elle-même une lettre et connaît les deux premiè
hoses, mais surtout au point de vue des exercices sco- laires. Elle écrit lisiblement, suit une dictée, connaît les trois p
en écrivant, ses doigts, sa main, son bras se raidissent et plus il écrit , plus cette «crampe» s'exagère. Les caractères qu
ation suffisamment imprévue à son gré, il renonce tout simplement à écrire . Par contre, lorsqu'il il veut calligraphier un
ations consécutives. Que le médium fasse marcher une table, qu'il écrive automati- quement, qu'il entende une voix, il a
ges dans les astres. Il parcourt surtout la planète Saturne, et par écrit , il donne le récit de ses excursions, décrivant
mbre de névropathes se plaignent d'éprouver une grande difficulté à écrire quand on les regarde. Ils n'arrivent à tracer l
marquée entre ce bégaiement de l'écriture, c'est-à-dire du langage écrit et le bégaiement du langage parlé. L'état de co
é, précision, peuvent être groupées sous un même vocable. Quant aux écrit ains naturalistes, ils méritent d'être dénommés
ité de constater que dans ses récits comme dans les lettres qu'elle écrit aux magistrats et aux experts, elle présente da
ent qu'ils ont été victimes d'une mystification. En même temps il écrit au duc des lettres injurieuses et le menace d'i
de lui avoir fait des propositions déshonnêtes. En même temps, il écrit des cartes postales injurieuses et mena- çantes
te de son innocence malgré l'évidence des faits. Tandis que sa mère écrit lettres sur lettres au juge d'Instruction pour dé
e la dernière que vous rece- vrez. > Dans une autre missive il écrit à M. Josse, juge d'instruction : « Au nom de vo
et, auquel il se donne comme le fils du général de division D... Il écrit même à M. le procureur de la république, affirman
ment atteint : il veut faire appeler le méde- cin de la prison et m' écrit personnellement de venir le visiter d'ur- gence
lepsie était connue dès l'époque d'Hippocrate qui en parle dans ses écrits et lui donne le nom de « mal sacré » quoiqu'il
sité des substances à examiner, et sur beaucoup desquelles il a été écrit des volumes, la tâche était spécialement quelqu
, passe à 162 en 1901, à 200 environ en 1902, et, au moment où nous écrivons ces lignes, elle hospita- lise près de 360 pens
atique, qui a été traduit en russe, en anglais et en français. Il a écrit un certain nombre d'articles dans le Zeitschrif
rapeuti- ques, ce qui rend son rôle particulièrement difficile. Ses écrits et ses leçons ont fait connaître en Suède le tr
1903. En nous présentant une traduction de ce que William James a écrit sur l'émotion, le Dr G. Dumas dans une introducti
borné à publier une traduction scrupuleuse de tout ce qui avait été écrit par lui sur cette question; là est le mérite du l
antiseptique, nous employons le lysol à 2 p. 100 qui, ainsi que l'a écrit M. le professeur Cal- mette « présente certains
nier mot d'une question. Lui met-on une plume en main, l'invitant à écrire un aeul mot destiné à son père, elle la tient,
elle semble chercher à faire un effort, mais elle ne parvient pas à écrire . Elle ne refuse plus les aliments, mais elle ne
jour de rémission, au commencement du mois, de semi-lucidité, peut écrire à son père une lettre affectueuse, assez raison
embre 1900 une rémission commence, elle parle parfois spontanément, écrit à sa famille, mais elle n'a pas la moindre cons
ment dévolue par tous, même au delà de nos frontières. « La France, écrivait alors un illustre savant étranger, la France a
et le savant auquel votreville avoulu éleeer ce bronze. « Il n'y a, écrivait Henan. ni miracles, ni lois intérimaires, » et
rimaires, » et Charcol, exprimant la même idée en termes analogues, écrit à son tour : « Nous ne pouvons rien contre les
mais il le pré- cise et le complète, au même litre que l'élude des écrits . D'un autre côté, le monologue ne se présente p
n vous a donné des eaux d'Israël et un gobelet d'argent. Quand on a écrit , c'est du ÉTUDE CLINIQUE DES MONOLOGUES CHEZ LE
mploie diffé- rents moyens : ou bien il fait des gestes, ou bien il écrit dans l'es- pace et plus souvent il parle à voix
. Il écoute encore : Oui, j'ai les voitures de médecine ici. Il écrit dans l'espace, regarde, fait de grands gestes, sa
ps est beau jeudi prochain mes gens viennent me voir. Je m'amuse, j' écris , je travaille bien. Je suis ancien plombier, j'
nnent des médicaments et des stimulants. Il doit aussi répondre par écrit à ces deux questions : Le personnel de nuit s'e
ciles, et pourquoi ? La descrip- tion de ces registres est longue à écrire ; mais on conçoit que dans la pratique, leur ten
sur les Encéphalites de l'enfance et sur la Paralysie générale ; il écrivait les examens histologiques des Leçons clini- que
63 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ade ne peut parler à voix basse, ne peut émettre le moindre son, et écrit , au contraire, avec la plus grande facilité ; i
lement admise qu'il y a quelques années et tout récem- ment Raymond écrivait 1 : « Tous ces faits démontrent qu'on ne saurai
ENT. Les documents sont encore trop peu nombreux pour permettre d' écrire une histoire clinique complète du tabes combiné
sse gauche, puis après la période de gonflement, le nom de V... est écrit sur la gauche (3 à 4 centimètres de hauteur) et
rocède d'aucune alté- ration dans la faculté de saisir les symboles écrits , de les arti- culer ; cette paralexie résultera
le mot et le remplace par une périphrase. Il en est ainsi lorsqu'il écrit , mais, pour cet exercice, les mots lui arrivent
ilieu d'un mot, et qu'il lui faille le prononcer pour continuer à l' écrire . D'ordinaire, ni en écrivant, ni en parlant, il
ment violentes et des tremblements de mains l'empê- chant presque d' écrire . Au reste, Panas a prouvé qu'il existe deux pro
mes ayant, en plus des questions orales, une liste de six questions écrites auxquelles elles devaient répondre par un de- v
uestions écrites auxquelles elles devaient répondre par un de- voir écrit , et les hommes étant soumis à un examen étendu su
ubi la première épreuve à la date fixée. Le sujet de la composition écrite était -.^Substance grise de la moelle épinière.
7. Les épreuves du concours seront les suivantes : -I° composition écrite de trois heures sur un sujet d'anatomie et de p
ribué 20 poiuls à cette épreuve. Art. S. Le sujet de la composition écrite est le même pour tous les candidats. Il est tir
nce. - Art. 9. Les candidats sont surveillés pendant la composition écrite par des membres du jury. Tout candidat qui s'es
il. Le jugement définitif portera sur l'ensemble des deux épreuves ( écrite et orale). - Nota. L'al- location accordée aux
lle apprit l'alphabet, put épeler quelques mots de trois lettres et écrire deux lettres sous la dictée ; elle additionnait
ix-huit ans. [Son père, journalier aux champs, ne savait ni lire ni écrire ; il était sobre, bien conformé et est mort d'un
doit lui laisser une entière liberté, ne sait pas encore lire, mais écrit un peu; stationnaire sous tous les rapports ; i
IE l'ACHYDERMIQUE. 153 A l'école Gr... a fait quelques progrès ; il écrit mieux ; sa lec- ture est à peu près courante; i
Intelligence moyenne, cul- ture rudimentaire, sait à peine lire et écrire . Il a un peu d'am- DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 17
e le 2b septembre. Alors le malade a observé que, lorsqu'il voulait écrire , des secousses involontaires et très prononcées
édiatement dans les doigts qui tenaient la plume et l'empêchaient d' écrire . Environ dix ou quinze jours plus tard, il lui
ure a diminué un peu, de telle sorte que le plus souvent, il peut écrire pendant une minute ou même pendant quelques minut
anormal dans le bras droit. Quant à l'é- criture, G... peut souvent écrire presqu'aussilongtemps qu'il veut sans que les s
es doigts; secousses qui pourtant ne l'ont pas absolument empêché d' écrire , mais ont troublé son écriture. Pour la parole,
pathies (surdinrutilé, lésions du nerf optique, etc.). M. Thomsen écrit une lettre spéciale pour confirmer à nouveau la n
e apportait 343 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. dans son service. Il écrit bien, mais son regard a quelque chose de partic
nes. Dès que ces matériaux seront prêts, M. Guttstadt voudra bien écrire un rapport sur le sujet. La séance est levée à
ais qu'il ne peut répondre aux questions. Lorsqu'on lui demanda par écrit : « Où as-tu mal ? » il écrivit : «Je me porte
questions. Lorsqu'on lui demanda par écrit : « Où as-tu mal ? » il écrivit : «Je me porte bien, mais je ne puis parler. - Po
re de la bible ou une histoire aussi bien que sa mère ; elle savait écrire et apprenait l'arithmétique. Survint alors un g
si stupide que toutes les tentatives pour lui apprendre à lire et à écrire .furent vaines. A huit ans, elle vint à Londres
uler la réponse. I Système nerveux.-La malade ne peut ni lire, ni écrire , et tout essai pour lui apprendre quelque chose
s rapports exacts entre le myxoe- dème et le crétinisme sporadique, écrit l'auteur, n'ont pas encore été fixés. MM. W. Gu
e, intelligente et ne paraissait que son âge, contrairement à ce qu' écrit M. Bail. 5° Le malade, Victor Chré... Lors de l
glande thy- roïde : deux des malades de ce médecin, à ce qu'il nous écrit , examinés à nouveau récemment à ce point de vue
jumelle. 362 CLINIQUE NERVEUSE. en mars 1883 : « Ma femme ne peut écrire elle-même par suite de douleurs nerveuses des p
peu après, la dyspnée reparaît ; trachéotomie. Un an après, le père écrit « qu'on renvoie tous les jours l'enfant de l'éc
tt...) a été revue par l'un de nous avec M. J. Reverdin, qui . nous écrivait peu après « que l'amélioration est de plus en p
de l'intelli- gence qui se traduit par les actes, les paroles, les écrits . Ces trois ordres de pièces sont nécessaires po
out en restant aussi conforme que possible au texte pri- mitif, est écrite dans un style simple et facile qui en rend la lec
u à l'appel de son nom. Les épreuves comprenaient : une composition écrite de trois heures sur un sujet d'anatomie et de p
n de pathologie externe et une de pathologie interne. La question écrite tirée au sort était le nerf facial, anatomie et
l'histoire de la dormeuse de la Salpétriére. Folie RELIGIEUSE. On écrit de Vals-les-Bains : Un étrange maniaque habitan
64 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tacle au déve- loppement de la faculté d'imitation. Or, comme l'a écrit un éminent physiologiste ', la parole n'étant q
irement des faits énoncés. « De ces exercices naissent la narration écrite et parlée, ainsi que la connaissance pratique d
acquisition du langage. Le premier enseignement du langage, oral et écrit , est pratiqué dans nos classes de sourds-muets
ner demain ? ' ! Comptes rendus d'actions faits par l'enfant : J'ai écrit au tableau. J'ai caressé le chien. Paul a pouss
ts, ses besoins et les faits de la vie cou- rante, oralement ou par écrit , en un langage assez correct; il tifs, adjectif
le des sourds-muets. Nous n'ignorions cependant pas l'existence des écrits dus à Itard, à Séguin et plus récemment à M. le
il ne répondait pas comme il l'aurait dû faire. Il s'était appris à écrire de la main gauche, mais il n'avait jamais pu qu
s il n'avait jamais pu que signer son nom : Guénier (Henri). Il l' écrivit très lisiblement sur une feuille de papier que je
ment sur une feuille de papier que je lui présentai. « Puisque vous écrivez votre nom, lui dis-je, prononcez " Guénier ». I
it « Maman ». - Dites «Henri ». Il reprit « non, maman ».-Eh bien ! écrivez « maman». Il écrivit « Guénier». Ecrivez «non »
«Henri ». Il reprit « non, maman ».-Eh bien ! écrivez « maman». Il écrivit « Guénier». Ecrivez «non ». Il écrivit encore « G
« non, maman ».-Eh bien ! écrivez « maman». Il écrivit « Guénier». Ecrivez «non ». Il écrivit encore « Guénier ». Quelque
bien ! écrivez « maman». Il écrivit « Guénier». Ecrivez «non ». Il écrivit encore « Guénier ». Quelque instance que j'y mi
ntérêt, pourtant on avait soin de ne mettre entre ses mains que des écrits faciles à comprendre et en même temps amusants.
er d'une manière dis- tincte que les deux mots : « Non, maman », ni écrire que son nom : « Henri Guénier». Quand on lui de
ni écrire que son nom : « Henri Guénier». Quand on lui demandait d' écrire oui, papa, soupe, ou autres mots très simples,
ma». Les deux seuls mots, oulre son nom, qu'il parvenait presque à écrire étaient ceux de « François » et de « Brouette »
e étaient ceux de « François » et de « Brouette ». Pour François il écrivait « Fraien, Francis », pour brouette « broutive »
pas de troubles des organes sensoriels. Il s'habillait, mangeait, écrivait de sa main gauche. Il était propre dans sa tenu
du sens musculaire dans ce bras; le travail a été repris, le malade écrit de la main gauche. Le bromure utile pour acheve
le reste du temps il l'emploie à créer des conflits. Mais j'ai trop écrit déjà sur ce sujet pour y revenir. Le médecin ad
y a perte de la faculté de copier, tandis que le malade peut encore écrire sous la dictée, le dépôt des images phonétiques
nt demeuré intact dans le lobe temporal; il peut, par suite, encore écrire , même spontané- ment ; le centre moteur de l'éc
nes diacritiques, comprend très bien ce qu'on lui dicte et ce qu'il écrit , a conscience qu'il écrit vicieusement et peut
très bien ce qu'on lui dicte et ce qu'il écrit, a conscience qu'il écrit vicieusement et peut corriger. 2° Peut-il écrir
conscience qu'il écrit vicieusement et peut corriger. 2° Peut-il écrire ce qu'il voit, notamment les lettres ? peut-il co
ête çà et là; il s'applique avec le plus grand soin. - 3° Peut-il écrire spontanément ? On constate des omissions iden-
onstate des omissions iden- tiques, bien qu'il comprenne ce qu'il a écrit . De l'alphabet il écrira correctement les 5 pre
en- tiques, bien qu'il comprenne ce qu'il a écrit. De l'alphabet il écrira correctement les 5 premières lettres et mal les
tres et mal les suivantes, mettra 7 minutes an lieu de 7 secondes à écrire 16 lettres qu'il énoncera assez bien. Ecrira bi
n lieu de 7 secondes à écrire 16 lettres qu'il énoncera assez bien. Ecrira bien les nombres en série et aussi sous la dictée
atre-vingt-quinze, il consignera 1800 95. Additionset soustractions écrites et orales des petits nombres correctes. La cons
aite intelligence des lettres omises, parfaite compréhension du mot écrit et de l'objet qu'il désigne, impliquent le diag
un scrupuleux réalisme. « Aussi la majorité des faits, dont leurs écrits sont parsemés, ont-ils encore de l'actualité; v
. « Tous ces germes d'idées, ainsi jetés à pleines mains dans les écrits et dans l'enseignement des deux illustres penseur
vre du génie et de la « bienfaisance. » Ces paroles de Falret père, écrites il y a plus d'un demi-siècle, ont été ratifiées
de la névrose. Les travaux les plus importants sur ce sujet ont été écrit , en France sous l'influence de l'école de la Sa
de rap- porter ici ne fût-ce qu'une citation de chacun des travaux écrits sur ce sujet; aussi avons-nous pensé qu'il vala
ndon a-t-il donc oublié que c'est lui-même, dans un de ses nombreux écrits , qui a énuméré les organes indispensables à tou
sserai la parole à mon vénéré maître, le Dr Dagonet. Voici ce qu'il écrit à l'occasion d'une enquête qui est restée légen
: il a perdu le souvenir. Sa mère n'a pas su me dire s'il aurait pu écrire , cal- culer ; elle ne le croit pas, car son int
evu depuis longtemps. (Il habite loin des Essarts.) Il aurait eu, m' écrivent les parents, une maladie de la moelle épinière
us parler de notre petit malade lorsque le 18 mai de cette année, j' écris aux parents de me l'amener, j'étais curieux de
, vu, 1896.) Le malade soutient parfaitement une conversation; il écrit bien sous la dictée et spontanément, ainsi que
s; il dessine toutes les figures possibles, mais il est incapable d' écrire d'après un modèle; il copie faux, parce qu'il n
grammatismes de même ordre, mais par alexie : quand il lit bien, il écrit bien, il écrit exactement ce qu'il lit mal, c'est
même ordre, mais par alexie : quand il lit bien, il écrit bien, il écrit exactement ce qu'il lit mal, c'est-à-dire mal c
asso- ciation entre le centre visuel et le centre auditif. Comme il écrit et dessine mécaniquement, il y a intégrité de v
ation. (Le Petit Parisien du 6 sept.) Les miracles de Lourdes. On écrit de Nancy : Un forgeron de Dieulouard, M. Pierre
e ce fait que je mentionne sous toutes réserves. » Voilà ce que j' écrivais en 1893. Étais-je convaincu ? Non. Les réserves
le penser Legrand du Saule et Ollivier dont on retrouve dans leurs écrits comme un écho des doctrines alle- mandes, elle
expliquer les communications intercellulaires, que Ramon y Cajal a écrit les lignes suivantes, dont l'intérêt historique e
ibres que j'ai pu observer au fond des sillons des circonvolutions, écrit Lugaro, et qui affectent la disposition en arc,
bale persista et devint permanent. Il ne pouvait s'exprimer que par écrit et par gestes. Il conservait d'ailleurs toute s
n plus grand nombre de cas que ne le pense le Dr Peterson lorsqu'il écrit que ce nombre ne dépasse certainement pas la pr
constaté des résultats analogues; 5° il a rapporté des témoignages écrits , émanant soit de médecins con- nus, soit des ma
les apparellsqui lui serveutàréapprendre à l'ataxique à marcher, à écrire , à se tenir debout, à se lever, s'asseoir,. etc
< ? avril 1897.) 1 : . 13LIV. Assistance DES épileptiques. On écrit de Sainte-Marguerite-de-l'Autel au Rappel de l'
65 (1907) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1906
s voulons et de dissimuler les autres derrière la planche médiane. On écrit à la craie, au-dessous de chaque tringle, le chif
hysiques. L'enfant connaît les chiffres, compte jusqu'à 100 et sait écrire jusqu'à ce nombre, nous suivons ensuite la méthod
un grand secours pour l'addition orale; puis vient ensuite l'addition écrite . Nous rencontrons là encore, quel-ques obstacles,
es retenues; aussi pour résoudre cette difficulté nous leur faisons écrire la retenue en haut de chaque colonne. Après bien
t nous dire ceux qui lui restent. On arrive ensuite à la soustraction écrite en employant toujours les procé-dés les plus simp
es ci-dessus, dont la lecture est courante. Toutes savent ce qu'elles écrivent , quelques-unes suivent des dic-tées élémentaires,
la, on ne sera pas étonné, lors-que nous dirons que 18 enfants savent écrire , font une copie, malgré qu'elles sachent à peine
est adroite et a beaucoup de goût pour la couture. — La mère qui nous écrit est satisfaite de la conduite de sa fille. Lere
ait fait de notables progrès ; elle savait lire presque couramment et écrire très lisiblement lors de son départ. En réalité e
s de notables progrès au point il.' vue classique, K. lit couramment, écrit lisiblement, com-mence à faire quelques dictées d
résultats fort médiocres. Aujourd'hui elle, lit presque couramment, écrit assez lisi-blement, commence à faire des addition
ait assembler les lettres et lit quelques syllabes; elle commence à écrire et à compter; tout fait espérer qu'elle arrivera
gement s'est pro-duit chez celle enfant. D'abord elle lit couramment, écrit lisi-blement, commence à faire des devoirs de gra
ous constatons aujourd'hui de nota-bles progrès. Elle lit courammeut, écrit lisiblement, fait quelques dictées, connaît les t
lle est parvenue à lire pres-que couramment en un an. Elle a appris à écrire , fait aujourd'hui de petites dictées, elle sait f
éveloppée sous tous les rapports. Aujourd'hui, elle lit couramment, écrit lisiblement, com-mence à faire des dictées élémen
hensible, l'écholalie a disparu, elle commence à syllaber, a appris à écrire malgré son tremblement, connait et sait faire les
ant n'a jamais pu vaincre ces difficultés du langage. Elle a appris à écrire , fait très bien une copie, connaît l'addition. Ma
66 (1862) Mécanisme de la physionomie humaine : ou analyse électro-physiologique de l'expression des passions
ougir et pâlir, et en fait connaître le comment.....» A l'époque où écrivait Camper, les propriétés spéciales de la septième p
grand ouvrage de Lavatcr, édité Tannée précédente à Paris. Un livre écrit par l'homme dont les investigations expérimentale
s usages. Plusieurs méthodes avaient été employées pour arri tort d' écrire dans sa préface : « Aucun de nos auteurs (ceux qu
sens inverse, comme dans tous les usages de la main, comme lorsqu'on écrit , etc.? C'est ce que l'on ignorait. (1) A l'époq
n écrit, etc.? C'est ce que l'on ignorait. (1) A l'époque où Bérard écrivait ces lignes, mes Recherches électro-physiologiques
au moyen de la galvanisation. Ces auteurs n'en disent rien dans leurs écrits ; d'ailleurs, s'ils avaient employé ce mode d'expl
signes caractéristiques des passions, même les plus fugaces, fussent écrits passagèrement sur la face de l'homme Ce langage d
er le mécanisme de cette foule de petits mouvements indépendants, qui écrivent sur la figure les impressions si nombreuses de l'
uvent môme se réfléchir sur la face : c'est ainsi, par exemple, que s' écrivent avec la plus grande facilité sur la physionomie d
nce. Ce n'est pas tout encore : le fond sur lequel se peignent ou s' écrivent tous ces signes du langage muet de l'âme n'est ja
e de littérature qu'il a appelée littérature en estampes. « On peut écrire , dit-il dans son Essai de la physiogno-monie, des
s lignes, des mots : c'est de la littérature proprement dite. On peut écrire des histoires avec des successions de scènes repr
sse des détails, une extrême concision relative; car un, deux volumes écrits par Richardson lui-même, équivaudraient difficile
'étude de l'expression de la physionomie. « Il est des muscles, ai-je écrit , qui jouissent exclusivement du privilège de dépe
t au contraire plus émouvant et plus sympathique que la douleur qui s' écrit ainsi sur un front jeune et habituellement uni pe
tifs qui ont déterminé mon choix. (( A cette figure triviale, ai-je écrit , je n'ai pas préféré des traits nobles et beaux.
les scènes les plus élevées de la religion. Et puis n'avais-je pas écrit précédemment (page 8) : a J'aurai à reproduire qu
évidents dans le sourcil gauche des figures 75 et 76. « Niobé, ai-je écrit précédemment (page 125, partie scientifique), eût
onné la partie médiane de son front?» La réponse à cette question est écrite dans les figures 75 et 76, où l'on voit que ce re
ur, a, dans un article des plus bienveillants d'ailleurs et fort bien écrit , fait quelques réserves sur l'utilité pratique de
ai, le vrai seul est aimable. » Modifiant la pensée du grand poète, j' écrirai : Rien n'est beau sans le vrai... . phier le pl
erai contractions combinées expressives » discordantes. » Lorsque j' écrivais ces lignes, j'avais oublié que le plus grand poèt
ression des plus gracieuses et des plus touchantes (1 ). II. J'ai écrit précédemment : « Le mouvement du sourcil n'in-» d
67 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
une façon satisfaisante. Il a été mis à la grande école sachant lire, écrire et commençant mémo à écrire, sous la dictée, des
a été mis à la grande école sachant lire, écrire et commençant mémo à écrire , sous la dictée, des mots usuels; il fait les qua
antité; fait l'addition simple. Il y a de grands efforts à faire pour écrire , la main droite étant para-lysée et la gauche trè
fait passables. Il apprend bien ses résumés d'histoire et répond par écrit d'une façon satisfaisante aux petits questionnair
à peine lire et compter il y a 2 ans. Suit la dictée aujourd'hui et écrit lui-même maintenant les lettres à ses parents. Fa
développent de jour en jour. Beaucoup d'application .dans les devoirs écrits . Il apprend souvent quelques petites leçons. Enfa
que par le passé et met un peu plus d'appli-cation clans ses devoirs écrits . — A perdu l'habitude du vol, qu'il avait très pr
urante s'il persiste avec la même application. Fait mieux les devoirs écrits et sait faire l'addition, la soustraction et la m
— Ce malade est parvenu à lire couramment. Il l'ait bien les devoirs écrits , réussit l'addition et de petites soustractions.
inage seuls ne sont pas évalués, et comme nous l'avons souvent dit et écrit , bien qu'il soit difficile d'en faire une estimat
ent quelques progrès en classe: elle a appris à lire des mots., à les écrire lisiblement, à compter (addition), à faire le cha
connaissait à peine ses lettres, est parvenue à lire couramment, elle écrit très lisi-blement, fait des copies, apprend la gr
s lettres, à syllaber et maintenant lit presque couramment. Elle sait écrire et fait des copies ; elle commence à compter. Ell
elle suit régulièrement la classe et y met toute son attention ; elle écrit lisiblement, assemble les lettres, commence à com
nner à sa lecture une bonne intonation. Voit-elle un livre, un papier écrit ou impri-mé, vite elle s'empresse d'en faire la l
Ce ne sera guère d'ailleurs que le Résumé de ce que nous avons dit et écrit tant de fois. Les maîtres et les maîtresses rel
is avec un problème ou un bout de devoir français à mesure qu'il a pu écrire . 5° Un autre, frère du précédent, marié, père d
itieront en l'amusant aux mystères de la lecture et, de la numération écrite . Les leçons de choses dans les classes, (I) L'o
puis cinq ans. A la fin de l'année scolaire, 17 élèves savaient lire, écrire et compter. Actuellement, sur les 24 inscrites, 1
re, écrire et compter. Actuellement, sur les 24 inscrites, 10 lisent, écrivent , comptent et pro-gressent; les 14 autres sont mal
mnase. M. le Dr Boiteux, médecin en chef de la division des femmes, écrit dans son Rapport : « L'organisation dans le qua
i étaient posées, s'est amélioré d'une façon inespérée. Il rjeutlire, écrire , réciter quelques fables. Il travaille régulièrem
ésite pas à se défen-dre si on le taquine. Sens normaux. — Sait lire, écrire , faire les trois premières opérations. [Fig. 3, 4
uillet. — On a peine à lui faire dire son nom. Il est inca-pable de l' écrire . Il lient la bouche ouverte à peu près constammen
lit. Elle a bonne mémoire, raisonne et parle bien, elle sait lire et écrire . Les sentiments affectifs sont assez développés.
à l'école de 6 à 10 ans, était intel-ligent-, avait appris à lire, à écrire , à compter Le sommeil était normal, sans cauche
ussait des cris. La mémoire est moyenne, le raisonnement bon. il lit, écrit et compte. Physiquement il ressemble à une doses
68 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
surtout, il ne voulait rien apprendre; à présent il lit couramment, écrit lisiblement, fait les quatre règles de l'arithm
es reproduire ; actuellement, il syllabe, trace des mots, sait même écrire de mémoire son nom, son âge, ses vêtements, les
lors- que son père vient le voir il veut lui montrer ses cahiers, écrire devant lui de mémoire tous les mots qu'il connaît
. Cet enfant s'applique dans la mesure du possible pour ses devoirs écrits et comprend bien les explications données. I.es
ait tous ses efforts pour développer ses connaissances. Ses devoirs écrits sont toujours bien faits. Il aime le travail en
age seuls ne sont pas évalués, et comme nous l'avons souvent dit et écrit , bien qu'il soit difficile d'en faire une estim
trictement aux conseils que M. Poulard et nous leur donnons. Nous écrivions en 1901 que (d'Administration avait accordé à n
une enfant atteinte d'un tel degré d'imbécillité : elle a appris à écrire , fait bien une copie, commence à assembler les sy
pie, commence à assembler les syl- labes, compte jusque 100 et sait écrire jusqu'à ce nombre, fait une petite addition. El
d la physionomie agréable et expressive. En classe, elle commence à écrire , forme à peu près toutes les lettres, les disti
es à première vue. Malgré tous ces inconvénients, elle a a appris à écrire , les lettres et les chiffres sont bien formés,
vue scolaire, ne connaissait ni lettres, ni chiffres, ne savait pas écrire ; vu son âge avancé, elle ne donnait pas à espérer
nous entrainerait trop loin, est nous n'avons pas la prétention d' écrire ici un traité d'orthophonie, mais pour dessein
30 mars 1902. Monsieur le Docteur, J'ai déjà eu l'honneur de vous écrire , il y a un an à propos d'un jeune déséquilibré,
l'admission du jeune Paul aux enfants arriérés. M"10 Bousq..., m'a écrit pour que j'intercède près de vous, car je suis
placement volontaire. "ART. 4. - Toute demande d'admisson doit être écrite et signée par la personne qui la présente ; si
la personne qui la présente ; si l'auteur de la demande ne sait pas écrire , celle-ci est reçue par le maire ou le commissa
plantes, reconnaît les couleurs. Paresseux. 1902. Sait syllaber et écrire ses lettres. Compte jusqu'à 50. Ne sait rien fa
er. Intelligence : l'enfant est atteint d'inrbécililé, sait à peine écrire , sait syllaber. Curiosité d'enfant. Naïveté, crai
i d'un enfant de quatre à cinq ans plus jeune que lui. lisait lire, écrire , faire quelques calculs. Jusqu'à l'âge de 14 an
; c'est un niais. Parole facile et régulière. Il... - sait lire et écrire . Nanisme avec obésité. 83 1" avril. -1 raitem
c obésité. 99 L'enfant est simplement une arriérée. Elle sait lire, écrire , mais non compter. Sa mémoire est assez bonne,
he. - Sommeil normal. Mémoire assez bonne. Elle sait un peu lire et écrire ; elle n'a été mise à l'école qu'à G ans et a eu
uer. - Elle parle bien, mais lentement. - Elle commence à lire et à écrire ; elle écrit de la main gauche; elle est attent
rle bien, mais lentement. - Elle commence à lire et à écrire ; elle écrit de la main gauche; elle est attentive en classe
ertiges. - L'enfant a fait quelques progrès en classe : elle lit et écrit lisiblement (de la main gauche). Elle est toujo
t altérée. (A revoir). (1) Nos malades apprennent plus facilement à écrire qu'à lire. xi8 Sclérose ATROPHIQUE ET MÉNINGITE
nne, de là son épaisseur parfois inu- sitée. Ainsi que nous l'avons écrit antérieurement et ainsi que M. Bourneville en a
e phénomènes mécaniques, chimiques et même pathologiques. Comme l'a écrit le Dr Papillault, un caractère morphologique po
d'ossification . active. · . Il nous resterait un long chapitre à écrire sur les modifi- cations de la surface externe d
té des troubles patholo- giques. Mais qu'on se rappelle ce que nous écrivions anté- rieurement à ce sujet' : « Il est nécessa
l y a un an) « parce qu'il est trop vieux » ; il ne sait ni lire ni écrire . Aucune aptitude particulière. Il ressemble à s
urée, un peu tremblée. En calcul, il ne fait que l'addition, lit et écrit des nombres comprenant des centaines. Aucune no
guider avec docilité. Il sait syllaber mais non lire couramment; il écrit passablement, fait l'addition, s'habille, se la
69 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lois elle était soumise. « Les nerfs sont peu riches en vaisseaux, écrivait , en 1866, dans sa thèse d'agrégation, M. Tillau
ci, une fois de plus, l'on reconnaîtra combien il est insuffisant d' écrire , comme on le fait partout, que les veines suive
e L... Mais ce qu'il y a de curieux, c'est que, tantôt il signe ses écrits de son véritable nom, et demande simplement à ret
chait à entrer en relations avec ces personnages titrés; il leur écrivait , leur envoyait des chèques sur Rothschild, rédige
ce, de sa facilité de rédac- tion (il a des caisses remplies de ses écrits ); ou bien encore quand il énumère ses propriété
d'un gentilhomme une espèce de brute, on a fait Minerve. » P... a écrit des volumes de ce style. Il est généralement calm
depuis 1867; il avait alors trente-huit ans. Or, si je compare ses écrits de cette époque avec ceux qu'il me remet journell
sse manquer de tout. - - Ce qui donne une saveur toute spéciale aux écrits de D..., c'est son style, ce sont les mots qu'i
même quelquefois des hallucinations de la vue) ; jamais ni dans ses écrits , ni dans ses conversations, je n'ai pu surprend
s un troi- sième. «Pendant ces six mois, ['infirmité de mes jambes, écrit -il, n'a cessé de s'accroître, et maintenant il
e se rattacher l'auteur, lorsque, sans affirmer catégoriquement, il écrit : « Dans tous les cas, rien ne prouve qu'il se
, lire à REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 98 haute- voix, il ne peut écrire spontanément ni à la dictée; il lui est impossi
le; par W.-R. GowEns. (central. f. Nervenheilk., 1890.) , Mémoire écrit en anglais. Affection sévissant chez des hommes
elle; par C. Lombroso. (Centralbl. f. NervenheiLk, 1890.) Mémoire écrit en français. Il s'agit de nouvelles observations
formes de dégénérescence psychique ? La plupart des auteurs qui ont écrit sur cette forme se prononcent contre le carac-
Séance du 26 octobre 1891. Présidence DE M. BOUCIIERREAU. M. Régis écrit qu'il y a plusieurs années il avait aussi préconi
ésent traité, dit M. le professeur Charcot, dans la préface qu'il a écrite pour l'ouvrage de M. Gilles de la Tourette, a été
u plus des deux tiers des points (le maximum est de 90). Question écrite traitée : 1. Plancher du 4me ventricule. Les deux
an- didats étaient inscrits; 4 ont subi les épreuves. Composition écrite . Bulbe rachidien. Les questions restées dans l'
8 candidats se sontfait inscrire. 23 ont pris part à la composition écrite : Lobes frontaux et pariétaux du cerveau (anato
s- crire, 6 seulementont déposéune copie. Sujet de la composition écrite : chimie : sulfates minéraux em- ployés en phar
figure au point de le rendre méconnaissable. Puis, il lui donna par écrit les instructions nécessaires pour la séance en
ants de son âge. A l'école primaire, il apprit aisément à lire et à écrire . Doué d'une bonne mémoire, studieux et docile, il
alla bien pendant le premier mois, mais .en février 1890 son patron écrivit à son père que son fils était inca- pable de fa
d'initiative, qu'il fallait le commander à tout propos, qu'enfin il écrivait très mal et ne pouvait pas tenir la comptabilité.
c'est des couleurs. * z 1891. 9 novembre. Toute son histoire est écrite . Elle voit au- jourd'hui qu'elle avait une dest
our une folle. » Pendant qu'elle expliquait comment elle avait fait écrire par son amant au contremaître à l'a- telier pou
é au langage et ce n'est pas le moins intéressant. Langage parlé et écrit , dessin, sont étudiés dans leur rapport avec le
organisé, dit-il, sur le modèle de celui d'Alt. Scherbitz. On peut écrire un livre sur cet établissement sans arriver à l
endes pieuses au moyen âge; responsabilité partielle; c1'étinisme,. écrits des aliénés, etc., etc.. Asile d'aliénés. Le
s soins qu'on lui avait donnés. Le lendemain de sa sortie, elle m' écrivit une lettre pleine de gratitude, pour me remerci
sourd ne comprend plus ce qu'il entend, mais continue à parler, à écrire , à exprimer par des signes ce qu'il pense, on s
représentatif de l'écriture ne peut plus être perçu, le malade peut écrire , mais il lui est impossible de lire même ce qu'
ut écrire, mais il lui est impossible de lire même ce qu'il vient d' écrire . On est donc tenu d'ad- mettre l'existence de c
avoir conscience des bruits environnants. Au troisième mo- ment, il écrira sous la dictée, ayant la perception du son de la
du chef de service, ou simplement quand nous regardons des lettres écrites sur un papier. Eh bien, j'établis dans l'esprit
e était sensible, aurait senti tous les mouvements nécessaires pour écrire ce mot; l'appareil m'a permis de lui faire épro
et d'en conserver pour ainsi dire le graphique dans le mot que j'ai écrit . Mais Marguerite nous déclare qu'elle n'a rien
oigts, entourer le crayon et se placer dans la position voulue pour écrire . C'est le même phénomène que nous avions déjà r
d Berthe tenait les ciseaux. Mais voici la main droite qui se met à écrire . Comment ce mouvement délicat peut-il se faire,
l est trop complexe : constatons seulement les résultats. La main a écrit le nom de Jean, le nom de l'inventeur de l'appare
nom de l'inventeur de l'appareil. Constatez, messieurs, que j'avais écrit moi-même ce même mot et avec les mêmes formes d
ait, surtout du côté droit, et il finit par ne plus pouvoir lire ni écrire . Les choses en arrivèrent au point que tout tra
par K.-O. DEES. (Allg. ZeitSCh. f. PSyCh., XLVII ; 3-4.) Journal écrit par un fou systématique sur ses hallucinations. O
ité mentale avec puérilité originale dans ses façons de parler et d' écrire , allures extérieures et attitude bizarres et co
70 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
e à tous les travaux du ménage. Son travail à la classe est bon, il écrit assez lisiblement, commence à syllaber et sait
opérations arithmétiques. Actuellement, l'enfant lit cou- ramment, écrit lisiblement, fait des devoirs et des dictées, s
blement, fait des devoirs et des dictées, sans trop de fautes, peut écrire lui-même il sa famille et sans le concours de p
son entrée, dans l'impossibilité de lire, il ne savait pas non plus écrire et avait peu de notions sur les choses usuelles.
et, il il lit couramment en se rendant bien compte de ce qu'il lit, écrit lisiblement, fait la dictée avec les grands, et
t tient bien une conversation. A la classe, il est arrivé à pouvoir écrire assez lisiblement, a fait quelques progrès conc
et se désha- bille seul, et se rend utile aux travaux du ménage. Il écrit assez lisiblement, mais est lent à la lecture.
ons appris à cet enfant. Ces m.ts, notre élève les comprend, lit et écrit ; il cherche iL les articuler, plus souvent mal
e, chaque jour, quelques objets usuels, au-dessous desquels il doit écrire les noms correspondants, 'fier..., travaille to
t heureux des progrès réalisés et travaille avec plaisir. Il lit et écrit un grand nombre de mots imprimés isolément; syl
a lecture courante; il comprend ce qu'il lit, pas toujours ce qu'il écrit . Il commence cependant à fai- Petite école comp
comprend. L'écri- ture est bonne et très lisible, bien que l'enfant écrive de la main gauche, le coté droit étant paralysé
ayant marché de front, il copie chaque jour la leçon de lecture et écrit de mémoire un certain nombre de mots tels que c
arle bien, sa voix est claire, sans défaut de pronon- ciation. Elle écrit lisiblement, commence à faire des petits devoir
t hémiplégique (côté droit). Elle ne savait ni lire, ni compter, ni écrire . L'écriture présentait même de réelles difficul
ts, elle lit couramment, donne une bonne intonation à la lecture, écrit très méthodiquement, suit une dictée du cours moy
mouvements. Ses progrès ne sont pas moins sensibles en classe. Elle écrit lisi- blement, fait quelques devoirs de grammai
ment en toutes choses, mais surtout au point de vue classique. Elle écrit lisiblement, ses lettres sont bien formées; ell
enter l'école sous prétexte de maladie. 4° Il aura h formuler par écrit son opinion à la demande de l'administration sc
ttre de M. le Préfet. « Pour remédier il l'insuffisance des places, écrit -il, il serait nécessaire : 1° soit d'ouvrir de
ombre des hospitalisées en supplément dans mon service, pourraient, écrit -il, être assistées il domicile et placées, en q
la fin de l'année 1900, il parle de façon il peu près correcte, il écrit quelques lettres et commence il savoir lire, se
arole très limitée. Période d'excitation. Réponse par signes ou par écrit . Éducabilité possible. Traitement Mi ? DIfO-P1
ue. Enfin l'attention, plus soutenue, a permis de lui apprendre à écrire les chiffres, les lettres. Il a fait des progrès
u, il s'habille, se débarbouille seul, ne casse plus ses ongles. Il écrit sur l'ardoise, commence à lire les lettres. L
71 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Pour notre part nous ne sommes pas sûrs de le comprendre lorsqu'il écrit : « Dans la paraplégie spasmodique due à une co
n dit la première lettre ou les premières lettres, ou si on les lui écrit . Quand on lui a nommé les objets dont il n'a pa
'on lui en dit la première lettre, ou qu'on lui en présente l'image écrite . Lecture ; écriture. Il ne peut lire lettres, m
ure ; écriture. Il ne peut lire lettres, mots, nombres, imprimés ou écrits . Mais il lit les lettres et les nombres, dès qu'o
ts en les épelant dès qu'on lui en a dit la première lettre, il les écrit dès qu'on lui en a tracé la première lettre, et
ettre, et immédiatement après, il est encore capable de lire le mot écrit en question et aussi de l'écrire sans qu'on soit
l est encore capable de lire le mot écrit en question et aussi de l' écrire sans qu'on soit obligé de tracer devant lui la
ent incapable de reconnaître les lettres et les nombres qu'on avait écrits devant lui. S'agit-il de traits qui lui sont fa
es initiales qu'il a déjà vues, et trouve, au moyen de leurs images écrites , les noms des mois à initiales homophones (mai,
ont déjà rétrocédé le matin du troi- sième jour de la maladie : il écrit quelques nombres, en copie d'autres, et les éno
la céphalalgie a disparu, les expressions lui reviennent, il lit et écrit , lentement à la vérité, Le quatrième jour, état
de cécité verbale constaté chez un jeune soldat qui sait très bien écrire , mais pas du tout lire. Il - cite, à ce propos/
près un quart d'heure d'électrisation, le malade peut te boutonner, écrire , porter une chaise à bras tendu. Il s'en retour
eurs fulgurantes le long du rachis. « On m'a ordonné des ca- chets, écrit la malade, et on m'a fait trois fois par semaine
'(;Uî-0109. Cen- « Les cellules de la substance grise de la moelle, écrit Edinger, sur laquelle se-branchent les racines
la Sorbonne, a pris texte de notre mémoire sur l'Ereuthophobie pour écrire sur la théorie des émotions un important articl
ngue, l'obsession cessait aussi. On lira avec grand inté- rêt ce qu' écrit à ce point de vue un de nos sujets dont nous ra
est clair + Il n'y a plus rien + Il semble que je vois Monsieur qui écrit + (Je prends ma montre). Il semble que j'entend
(Je prends ma montre). Il semble que j'entends la montre ? Que vous écrivez avec la montre avec la main gauche. Sentez vo
r l'instituteur; jesuisà à Ain-Turc ; je ne sais pas encore lire et écrire . Je viens de France, des Pennes, banlieue de Ma
Audan et Dau- jean. - Les candidats ont eu à traiter comme question écrite , symptômes et diagnostic de la pneumonie franch
u en tirer une vanité quelconque, mais cette auto-observation a été écrite pour moi, qui étais le médecin qu'il avait choi
ais jamais vainqueur de ce que j'avais à faire -une simple lettre à écrire m'occupant pendant plusieurs heures. Dix fois j
ensées intimes l'idée du suicide sans la laisser percer dans ses- écrits . Déjà, dans sa seizième année, il lui vient à l'i
anisée, nous dit-il, par les anciens élèves de l'Ecole Centrale. Il écrit même à son frère à cette intention, nous donne
ennuyé. Présente quelques accidents cardiaques (palpitations). Il écrit à son grand-père pour lui dire que, « puisqu'il m
». « Ce n'est pas la peine qu'on me l'idiotie morale. 293 soigne, écrit -il, si d'un autre côté on me fait des sottises. J
l a de « donner fin à ses jours. En sortant de l'Institut, y a-t-il écrit , je vais me diriger du côté du garage (barrage)
les d'écriture qu'on lui mettait sous les yeux sans savoir ce qu'il écrivait . Il aurait donc été possible de lui faire faire
casion de voir le testament d'un homme considéré comme un dément; l' écrit paraissait à la pre- mière vue incohérent. Un e
aitement libres. Le malade pouvait bêcher et piocher son jardin, il écrivait correcte^ ment de la main gauche. Il n'a aucun
phonse-Désiré), né le 11 mai 1849, bobineur, indigent, sait lire et écrire , entre àl'asile d'Armentières, le 14 septembre
jumeau, Quinzeb... (Jules Victor), filtier, indigent, sait lire et écrire , entre à l'asile d'Armentières, le 3 novembre 189
ale double d'origine périphérique; Par le D' DIAX-DELGADO. On a écrit beaucoup sur la paralysie faciale, mais le cas
n'apprécie plus l'usage : il est impossible de l'amener à lire et à écrire . Pas du tout, jamais de paralysie, point d'attaqu
la logique et la correction par- faite avec laquelle elle-même en a écrit l'analyse pour prouver à ses propres médecins q
e. Elle ne pré- sente pas de troubles aphasiques : elle parle, elle écrit , elle entend et elle lit très bien. Tout au plu
. C'est là, chose admise par tous les auteurs contemporains qui ont écrit sur l'étiologie de l'épi- lepsie et sur les man
sait quotidiennement un journal, avant de tomber malade ; il savait écrire . Il ne semble pas que son intelligence ait bais
us allez vous en rendre compte, le malade reconnaît encore son nom, écrit en caractères courants, mais seulement au prix
quels ils sont des- tinés. Mais il ne comprend pas le sens des mots écrits , qui se rapportent à des objets usuels, fenêtre
rases entières, des ordres, même très brefs, qu'on lui transmet par écrit . Chez lui, la cécité verbale est donc presque a
est un griffonnage, rappelant les essais d'un enfant qui apprend à écrire . L... peut faire sa signature, mais celle-ci es
acer quelques lettres, a, o,- et tous les chiffres, mais il ne peut écrire spontanément des mots entiers et encore beaucou
e l'im- primé comme un dessin, sans comprendre nullement ce qu'il écrit . Les caractères qu'il trace ne rappellent en rien
en miroir. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 463 b Je vais le faire écrire avec des cubes de bois, représentant des lettre
entraîne l'agraphie, mais incontestablement ce désordre du langage écrit ne s'observe que dans des cas de lésions de l'h
malgré elle; elle se demande d'où peuvent venir ces idées. Par ses écrits et ses dires, notre sujet nous apprend qu'il se r
quelqu'un cette personne en est immédiatement informée. » Elle peut écrire à ces personnes, leur faire des excuses, leur, di
e parfois de se ressaisir. J C'est alors qu'elle nous dit ou nous écrit , que ce qu'elle entend ce sont ses propres idée
de quarante-huit ans, garçon bras- seur, indigent, sachant lire et écrire . Antécédents héréditaires : un oncle maternel p
âgée de dix ans, est très malheu- reuse ; le 20 janvier 1890, elle écrit que sa fille est malade et qu'elle même est san
pourrait pénétrer dans le logis. Il se couche habillé, après avoir écrit quelques mots sur un. papier, pour le cas où il p
cine dans lequel il lit l'empoisonnement par le gaz d'éclairage, et écrit d'une écriture grossièrement tremblée une lettr
72 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
Agrandissement. lui tions faites par la Commission, l'architecte, écrit M. Le Roux, s'est livré, à l'étude comparative
aniques, etc . » A la fin de son rapport, l'architecte, M. Roger, écrit ceci : « Pour répondre au désir de M. le Dr Bou
corps, les animaux et les couleurs, fait des lettres, des chiffres, écrit des mots, etc. Envoyé à l'atelier de menuiserie
'entrée (octobre 1884) : il ne connaît pas les lettres, ne sait pas écrire , compte jusqu'à 10, commence à se laver, ne sai
arades, est turbulent, grossier, voleur. .En 1893 : Lit couramment, écrit lisiblement, commence à faire de petites dictée
1873. A l'entrée (35 septembre), Dum.... commence à syllaber et à écrire , fait les 2 premières opérations ; connaît les co
t les chiffres et les couleurs ; commence à syllaber sans épeler, à écrire des mots, à tracer les chiffres, à faire de pet
LE, Bicêtre, 1893. 6 82 .' - Idiotie. Eîi-1893 : Sait syllaber et écrire , copie un modèle, met auplu- riel les noms au s
uvert, à laver la vaisselle. Mémoire lionne, commence à syllaber, écrit par imitation, compte jusqu'à 100. , 1884 : Per
kicorée ; échalotte - écalotte; lentillle - lentine. Il commence iL écrire en gros. 1885 : Il syllabe mieux, commence il é
Il commence iL écrire en gros. 1885 : Il syllabe mieux, commence il écrire en fin et iL faire de petites additions. Appren
lques progrès en lecture, mais sa prononciation est embarrassée. Il écrit plus vite que lors- qu'il est entré, et forme m
progrès en classe, se con- duisant bien, travaillant, sachant lire, écrire , compter. Début apparent des troubles mentaux.
ne lui était jamais arrivé, et le tremblement est tel qu'il ne peut écrire . Pas d'onanisme. La mère attribue son état à so
il lit bien des noms difficiles, ne peut suivre la phrase, ne peut écrire à cause de son tremblement. Connaît bien les cou-
ssez rapidement même : l'enfant est 1)on écolier, apprend à lire, à écrire , il compter. Puis, à la suite d'une brûlure, on
et. Intelligence : Loo. parle librement ; il connaît ses lettres, écrit lisiblement : sait tracer les chiffres, compte ju
(1) a signalé des cas de ce genre. « Comme beaucoup d'épileptiques, écrit -il, Pout... dormait habituellement la tête enfo
fait manger au parloir. Dans les nombreuses lettres qu'elle nous a écrites , elle revient constamment sur la nécessité de n
s et des vertiges. 190 Hydrocéphalie ; état DE MAL. tique, même à écrire , mais à la fin de 1887 ses connaissances avaien
mais prétend que l'hydrocéphalie date de cette époque. La nourrice écrivit encore trois fois que l'enfant avait eu des con
s reprises. ' 1882. Mat. - A l'école, on a constaté qu'il sait bien écrire , qu'il lit couramment, fait les quatre opératio
ires. C'est sans doute de ces os qu'a voulu parler Franck lorsqu'il écrit que « l'examen cadavérique a fait voir... des o
à droite, dans l'é- criture renversée. Il a toujours la tentation d' écrire en com- mençant par la droite comme en hébreu.
). Juillet. -I'instituteur 11C constate pas grand progrès, Moq... écrit toujours de même et a les mômes tendanccs de gau-
toillanie, ni onanisme. Observation. 335 Elle ne sait ni lire, ni écrire , mais elle a une mémoire assez développée. Elle
nt compte des observations qu'on lui fait. Elle ne sait ni lire, ni écrire et préfère bavarder en classe qu'y travailler.
urait néanmoins joui d'une certaine intelligence, il savait lire et écrire . Aucun autre antécédent pathologique ou psychiq
ychop liage effrénée. Son intelligence est moyenne. Elle sait lire, écrire , faire les quatre règles, mais travaille sans g
est faible, mais son juge- ment est assez développé; il sait lire, écrire et compter. 1884. Juin. - Quelques progrès, la
73 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
terdit de porter une cravate de couleur; chaque lettre V j et W qu'il écrivait devait être épaissie ; il y avait des rues qu'il
ui furent données à vingt lieues de distance, par le moyen d'un ordre écrit transmis par la poste. OBSERVATION. Henri Mac
— .... 2 — » — 2 — I — après........... 3 » — = I — I (par ordre écrit ) après . 2 — a — I — I — — — 7 — ¦ — = x — To
entendu parler, « me défendant de boire, etc., etc. Je vous aurais écrit depuis quelques « jours, si je n'avais espéré pou
: « H. Mac... » Le 10 mars 1891, sept mois après le premier ordre écrit , je lui en envoyai un second conçu à. peu près da
J'espère que ce n'est pas trop vous demander que « de vouloir bien m' écrire encore pour le même objet. « Croyez à ma profonde
ire, du corps médical tout entier? Voici, sans commentaires, ce qu'il écrit à propos du procès Deschamps, qui a ému — avec
de Médecine le 25 février 1888 ; comment y tenir compte d'une lettre écrite par M. Liégeois le 14 juin suivant? Ici donc enco
enant aux commissaires de police de spécifier, dan* les autorisations écrites qu'ils peuvent être appelés à donner aux prestidi
r les préparatifs de la fête de Noël. Depuis lors, ainsi qu'on me l'a écrit , le sommeil a toujours été excellent. Je conclu
innocents et des coupables. C'est pourquoi j'ai cru de mon devoir d' écrire ces quelques pages. J. (1) Je ne sais même pa
ublication supplémentaires, ne pourra être publié qu'après engagement écrit de l'auteur d'acquitter ces frais; à moins que su
-cinq faits — depuis j'ai eu connaissance de beaucoup d'autres — et j' écrivais que : Les préoccupations mentales des parents, re
ce n'est pas moi : je puis en toute sincérité attester que je n'ai ni écrit ni inspiré le moindre articulel à un journal de l
à la prison. Dans le paragraphe suivant de sa plaquette, M. Delbœuf écrit : ¦ En quoi un faux somnambule est plus dangereux
doctrinale sur l'absence d'isolement du sujet endormi. M. Liébeault écrit : « Il esl d'observation que presque toujours les
ir que Louise Laleau était une hypnotisée, selon lui. du moins ; il a écrit aux gazettes, suivant son habitude, pour révéler
s adeptes de Nancy, et M. Delbu-uf ne la relève point! Voilà comme on écrit loyalement l'histoire scientifique d'une expertis
minations n'étaient point faites. Or, c'est a ce moment que vous avez écrit dans votre plaquette, confiée à uue officine spir
suite par vos soins, dans le pays, c'esl alors, dis-je, que vous avez écrit les lignes suivantes, qui ont dû paraître mystéri
isse rester impuni, de frapper de la même peine celui qui aurait fait écrire l'acte ou la pièce par la personne hypnotisée, et
ue aura, avec une intention frauduleuse ou à dessein de nuire, fait écrire signer par une personne hypnotisée un acte ou u
découvrir une lettre ou tout un mot sur un certaine page d'un livre, écrire des mots ou des chiffres pensés par l'inducteur,
que de la suggestion en thérapie. Dans un premier article très bien écrit , paru en 1ss9 dans les « Tlierapeu-tische Monalth
ourne dans sa famille ce jour. Je lui suggère, avant son départ, de m' écrire dans un mois pour me donner de ses nouvelles. Je
tion lumineuse correspondant à la même saveur. Le mauvais œil. On écrit de New-ïord à la Wiener Mediziniache Presse : « ?
nque aura, avec nne intention frauduleuse ou à dessein de nuire, fait écrire ou signer par une personne hypnotisée an acte ou
auquel on aura suggéré l'oubli de son nom le lira si on le lui montre écrit . Il sera facile aussi de les associer, de les com
à l'hôpital étant épuisé. Il promet, par suggestion hypnotique, de m' écrire dans quinze jours pour me donner de ses nouvelles
t rien. Quinze jours plus tard, docile à la suggestion, le malade m' écrivait une lettre de remerclments; la guérison est resté
ment. L'enfant est devenue gaucheré et elle n'a jamais pu apprendre à écrire lisiblement, bien qu'elle ait facilement appris à
le-même est favorablement inlluencée, car, après son réveil, l'enfant écrit mieux. Nous avons essayé do provoquer chez elle,
ultat de l'hypnose ou l'effet de la simulation? (I) L'article était écrit avant le vole du Sénat et le renvoi à la Cnam du
e scientifiques. Voit-on d'ici le résultat, et avions-nous raison d' écrire que l'effet pratique de la loi serait nul à cause
furent faites avec Eusapia par les médecins Bartlt et Deflosa, qui m' écrivirent les faits suivants : Ils virent plusieurs fois
livre de Janet sur {'Automatisme inconscient. Ce médium, qui croit écrire sous la dictée du Tasse ou de l'Arioste et écrit
e médium, qui croit écrire sous la dictée du Tasse ou de l'Arioste et écrit des vers qui ne seraient même pas dignes d'un élè
hypnotisation et se trouvant alors à Paris, il fallut que A. E... lui écrivit pour solliciter la permission qu'elle désirait vi
s à l'hypnolisme pour lui enlever ces symptômes douloureux, et elle m' écrivit trois mois après pour me faire savoir que sa guér
ant le 13 juillet, elle répond avec une netteté parfaite. Elle lit el écrit fort bien, comme elle le faisait à cette époque,
loi B--renger. Tout récemment, le ministre de la Justice de Belgique écrivait : « Si l'on songe au chiffre élevé des récidives
nque aura, avec une intention frauduleuse ou à dessein de nuire, fait écrire ou signer par une personne hypnotisée, un acte ou
vent esire instruits de l'imposture et impuissance du diable, • AVier écrit : ¦ II ne faut doneques craindre le diable, mai
74 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lantées, voûte palatine irrégulière. Intel- ligent, sachant lire et écrire . De deux à trois ans il a souffert de rachitism
percevait un. Plus tard, le doute pathologique s'accrut; quand X... écrivait une lettre, il ne cessait de la relire de peur
nchi sa lettre; cela le préoccupait outre mesure; chaque fois qu'il écrivait , les mêmes faits se renou- velaient. La peur
ETC. 35 il nous prie de le lui rendre parce qu'il a pu, croit-il, a écrire des choses compromettantes pour lui ». L'anxi
nts : MM. Deswarte, ! lIUS1N, Briche, SfKGER. Le sujet de l'épreuve écrite était le suivant : Cordon postérieur de la moelle
été admis, par ordre de mérite : MM. Toy, Roux, DoDERO. La question écrite : Cordon postérieur de la moelle. Question oral
région de Montpellier : .' MM. CAVALIÉ (1er) et Cossa (2°). Epreuve écrite : Nerf optique; épreuve orale : Localisation ca
ouse : 1\IM. Papillon (1er), 1\hIGNAL (2°) et BAUDRON (3e), Epreuve écrite : Méninges cérébrales; épreuve orale : Complica
MM. HOUEIX de la Brousse et MAHON (ea; çuo), TERRA DE (3e). Epreuve écrite : Quatrième ventricule; épreuve orale : Artério
ints) : MM. LEVET (le'), SANTE- noise (2e) et Lalanne (3°). Epreuve écrite : Faisceau pyramidal ; .épreuve orale : Formes
1 cr), BARUTH (2e), Cour.oN (3e), THIBAUD (4°), DARIN (5°). Epreuve écrite : Nerf moteur oculaire externe; épreuve orale :
pas comment il avait pu commettre de tels actes. Il avait cependant écrit plu- sieurs lettres quelque temps avant la cata
it sa maîtresse de la tuer, dans l'autre adressée à ses parents, il écrivait : « J'ai l'esprit perdu... Dieu me pardonne... le
divagations. Un élément précieux de diagnostic est une lettre qu'il écrivit du manicome. On y lit qu'il se sentait comme év
Après l'Alle- magne vient la France... » Depuis l'époque à laquelle écrivait M. Tucker, les progrès réalisés dans l'assistan
11 juillet au soir. Atrocités D'UNE alcoolique DU grand monde. On écrit de Londres : « Une scène navrante s'est produit
dont quatre étaient absolument illettrés : un a appris à lire et à écrire , un à lire, un à épeler, 1 à reconnaître ses le
NERVEUSE. Mouvements coordonnés compliqués : marcher, s'asseoir, écrire et en général tous les exercices plus ou moins co
s fréquemment dans le dénuement le plus complet ; c'est de là qu'il écrit à ses parents qui lui envoient la somme nécessa
hiatrique, l'inspection, l'interrogatoire, les preuves matérielles ( écrits , des- sins, etc...), les preuves expérimentales
et de la mimique émotionnelle; celle du langage mimique, articulé, écrit ou figuré. Je ne fais que signaler ces différen
tain degré d'incoordination motrice. La malade ne peut ni coudre ni écrire , ni saisir des objets fins comme épingles, peti
ion dans les mouvements usuels. Cependant le malade se plaint qu'il écrit moins facilement. TRAITEMENT DE'L'ATAXIE DANS L
une canne. Dans sa dernière lettre (septembre 1895), sa femme nous écrit de Dieppe, qu'on l'amène avec sa petite voiture
s craniens de dégénérescence; impossibilité d'apprendre à lire, à écrire , à compter. Pararniiésie, incapacité d'un travail
t remarquer qu'il faut borner souvent la cécité verbale à la parole écrite et que cette cécité n'existe pas par- fois pour
t de cécité verbale ne peut lire ni l'imprimé ni le manuscrit; s'il écrit , il ne peut se relire. ' Le degré de cécité ver
anée est impossible; mais bien que le malade ne puisse spontanément écrire une seule lettre, il tracera le plus sou- vent
lettre, il tracera le plus sou- vent son nom. Le sensoriel ne peut écrire sous la dictée, et s'il copie il cherche pénibl
ste pas chez le moteur. L'agraphie est totale chez le sensoriel, il écrit son nom, mais comme un emblème en faisant sa si
e peut répéter la parole entendue ni lire, mais il comprend, peut écrire et répondre en écrivant. Dans les aphasies sens
ale avec agraphie dans laquelle le malade ne reconnaît et ne peut écrire que son nom. - L'observation 60 dans laquelle l
atteint d'aphasie sen- sorielle complète, est agraphique et ne peut écrire avec des cubes alphabétiques. Il présente une p
ui, accourut me chercher au cloître, où j'étais par hasard occupé à écrire . Nos frères, qui avaient fini l'office, accouru
elle avait jeûné au bas mot trente jours sur qua- rante. Elle nous écrivait des lettres où, comme dans les Faux- Bonshommes
tres formes de délires systématisés primi- tifs. c Ces individus, écrit Calmeil ! , ont, comme ils le disent, reçu des
ouvent face à face avec des anges 1'esplen- dissants de clarté; ils écrivent des codes de morale, des évan- giles, sous la d
lation peut aussi être rendue plus explicite par la vision de mots écrits , à[l'exemple du Mané, 'l'hekel, Phares de Balthaz
emble ne plus leur appartenir; ce qu'ils pen- sent, comme ce qu'ils écrivent , leurs paroles leurs actions, même, ils rapport
» « L'explication de ces phénomènes de l'illuminisme, se trouve, écrit M. Caro, dans une théorie complète du sommeil e
(mégalo- manie). Désormais Dieu l'inspire sans lui parler, et il écrit des avertissements à différents personnages, le
les avisant de catas- rophes imminentes si on ne l'écoute pas. Ces écrits sont émaillés de signes hébraïques (le malade e
arrêté de placement, par un lapsus salami peut-être signifi- catif, écrit un jour, un tel accusé de folie. Quant aux moti
rotestation; quatre jours après cette communication, le 6 mars, ils écrivent au préfet pour lui recommander la lecture de le
; il fallut faire des fondations extraordinaires, et par suite, il écrivait au préfet que le nouveau local ne serait pas ha
mbres du conseil de santé. Les médecins avaient donné leur avis par écrit , etn'avaient pas ménagé leurs observations et l
l'empereur Auguste. Auguste, quand un mot était trop long pour être écrit en entier à la fin d'une ligne, ne pouvait pas
nce- ment de la ligne suivante, comme c'était l'habitude déjà. Il l' écrivait en entier sur la même ligne, qu'il était obligé
75 (1911) La pratique neurologique
de mes anciens internes eurent l'excellente idée de se grouper pour écrire , en collaboration, un livre de Séméiotique des
eniike, dans laquelle le malade ne comprend pas le langage parlé ou écrit , mais peut parler. C'est une aphasie par défaut
L'anarthrie, dans laquelle le malade comprend le langage parlé ou écrit , mais ne peut parler. Elle résulte d'une lésion d
de, ne peut ni parler, ni : " - LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL.. 55 écrire , et comprend plus ou moins incomplètement le lang
EL.. 55 écrire, et comprend plus ou moins incomplètement le langage écrit ou parlé. C'est un mélange de l'aphasie de Broc
apport, non avec la paralysie du muscle interne du marteau, comme l' écrivent encore certains classiques, mais avec la para-
ue l'on qualifie vulgairement de vertige toute 1. Cet article était écrit quand a paru le remarquable rapport de Lannois et
e la conversation leur répugne et qu'ils préfè- J'('I1 ! . toujours écrire . Ils écrivent d'ailleurs de façon intelligible, l
ation leur répugne et qu'ils préfè- J'('I1 ! . toujours écrire. Ils écrivent d'ailleurs de façon intelligible, limités seule
églas fait observer que certains aliénés, « tout en ne parlant pas, écrivent ou se servent d'une mimique expressive. Mais alor
ermine souvent encore. Les désordres mentaux s'opposant il l'acte d' écrire sont de deux ordres. Tantôt il s'agit de défici
uns il toutes les formes, s'expli- quent par ce que le malade, pour écrire , est obligé de s'appliquer et, d'aller très len
la crampe des écrivains. Cette crampe consiste en une difficulté d' écrire , les mouvements du bras et de l'avant-bras, les
lisables et même faciles pourvu qu'ils ne concernent point l'acte d' écrire . Dans la forme ordinaire ou spasmodique, à pein
ite sont les symétriques des mouvements du bras droit dans l'acte d' écrire . Cependant, ainsi épie le fait observer Rognes de
t à l'employer. La main gauche, copiant servilement la main droite, écrit , le plus souvent comme elle de gauche à droite.
oppement de l'automatisme, de l'pchographie. Lorsque le malade peut écrire , le tracé, irrégulier et sale, montre des lettr
dans l'écri- ture spontanée et dans la copie, que lorsque le malade écrit sous dictée. Les modifications de l'écriture po
précédemment signalées font défaut. On observe fréquemment sur les écrits des aliénés l'absence ou l'exa- gération de la
post-scriptum. L'écriture en miroir s'observe parfois chez eux. Ils écrivent le plus souvent couramment, sou- vent même très
sous la dictée de quelque hallucination. Certains enfin ne peuvent écrire , soit qu'ils n'aient rien à dire (alogie confusio
e en écrivant un véritable étal d'âme d'enfant. Beaucoup de malades écrivent , écrivent sans cesse : cette, graphorrhée empru
ant un véritable étal d'âme d'enfant. Beaucoup de malades écrivent, écrivent sans cesse : cette, graphorrhée emprunte le plu
ncompréhensible souvent. De graves oublis interviennent : le malade écrit une lettre, mais oublie l'adresse, la date, la si
omonymies, des jeux de mots, des neologismcs pompeux sur- tout. Les écrits des aliénés sont encore émaillés de formules répé
es; de plus, il est il peu près impossible au malade de copier ou d' écrire sous dictée. L'écriture est déformée par des on
(Voir plus loin) et chez les aliénés. Ceux-ci dessinent- comme ils écrivent , sans cesse et maladroitement. Leurs dessins, pué
surer s'il comprend ce qu'on lui présente à lire en lui donnant par écrit des ordres simples : EXAMEN D'UN APHASIQUE. 2)
taille, d'écarté. Faire compter de l'argent. /') Lecture des mots écrits dans la main (I\allwinl\el). On prend soin que
de ne regarde pas, et avec une pointe mousse (allumette. crayon) on écrit sur la paume de la main, lettre par lettre, le mo
mmo- bilisée par l'hémiplégie, sinon de la main gauche. Le malade écrit -il en miroir ? Lui faire écrire son nom, sa pro
sinon de la main gauche. Le malade écrit-il en miroir ? Lui faire écrire son nom, sa profession, et s'il ne sait quoi écri
oir ? Lui faire écrire son nom, sa profession, et s'il ne sait quoi écrire lui dire de mettre sur le papier le nom du jour
viter, en lui disant « mercredi » ou « juillet », de le faire ainsi écrire il la dictée. b) Écriture avec les cubes alphab
il haute voix, ni répéter les mots entendus; en revanche, il lit et écrit parfaitement et ne présente aucune trace de sur-
avec une hémi- plégie; et le malade se sert de la main gauche pour écrire . Il arrive ainsi, d'ailleurs, il se faire promp
u'il connaît le porte-plume il fera ensuite avec lui le simulacre d' écrire . L'agnosique, au contraire, tournera en tous se
tournera en tous sens le porte-plume, mais ne s'en servira pas pour écrire . Enfin, l'apraxique avec ses hésitations, son a
nue, les emblèmes dont parfois ils se revêtent. On étu- diera leurs écrits . Dans les laboratoires et élans les cliniques s
sme vésanique, ensuite les troubles du langage articulé, du langage écrit et du langage mimique. Le mutisme vésanique. -
ffections organiques du système nerveux, etc. Troubles du langage écrit . Les écrits chez les aliénés ont , [G. GUILLAIN
rganiques du système nerveux, etc. Troubles du langage écrit. Les écrits chez les aliénés ont , [G. GUILLAIN.] 2;;2 I
es persécutés ont une véritable grapliomanle, les déments eux-mêmes écrivent souvent de longues pages de griffonnages. On tien
longues pages de griffonnages. On tiendra compte dans l'examen des écrits de l'aspect du papier, de la forme et de la dim
signature (troubles calligraphiques de loffroy). Le contenu de ces écrits renseignera sur la valeur intellectuelle et sur
les individus qui parlent tout seuls leur r pensée. Si on leur fait écrire leurs hallucinations, ils n'écoulent pas non pl
la nature des relations qui existent entre elles. La demande sera écrite et signée par celui qui la formera, et, s'il ne s
sera écrite et signée par celui qui la formera, et, s'il ne sait pas écrire , elle sera reçue par le maire ou le commissaire
Les pièces suivantes sont nécessaires : l" une demande d'admission écrite et signée par la personne qui la requiert. Quan
gnée par la personne qui la requiert. Quand la personne ne sait pas écrire , la demande est reçue par le inaire ou le commi
s phénomènes d'incoordination motrice. Les hystériques s'habillent, écrivent , prennent les objets avec leurs mains aneslhési
dans l'acte de l'écriture en conduisant la main le long de la ligne écrite ; aussi l'écriture est très gênée quand il est pa
(Testut). Poirier, au sujet de l'innervation du scalène postérieur, écrit : «Les scalènes moyen et postérieur sont innervés
cile l'acte de tenir un crayon ou un pinceau, les malades toutefois écrivent en petits caractères. L'extension de la main su
une gêne fonctionnelle dans les mouvements délicats, comme celui d' écrire , de saisir de menus objets. tt1110TROPIIIES TYP
accomplis- scment des mouvements délicats, comme celui de coudre, d' écrire , de boutonner un vêtement. Pour la préhension d
bjet et de s'en servir, par exemple de prendre son porte-plume et d' écrire . Encore faudra-t-il distinguer suivant différente
xécuter progressivement certains actes de la vie courante, tels que écrire , dessiner, boulonner ses vêtements, jouer du pi
courante dont souvent il s'était volontiers déshabitué : on le fera écrire non seulement au crayon, mais à l'encre, dessin
lement apparaît d'une façon très évidente quand le malade se met il écrire ; le. tremblement s'exagère pendant toute la durée
tremblements fibrillaires analogues à ceux des lèvres; si l'on fait écrire au malade on trouve dans son écriture, en dehors
même famille, il apparait dès l'enfance quand l'enfant commence il écrire . Suivant Debove et Renault, son rythme est rapide
1806 et Presse médicale, l ! ) ! 1). CHORÉE VARIABLE Brissaud a écrit dans ses « Leçons sur les maladies nerveuses a.
s simplement fonc- tionnel, chez les autres professionnel, l'acte d' écrire par exemple, de jouer du piano ou du violon, et
nom tous les troubles moteurs qui ne surviennent que dans l'acte d' écrire et qui ont pour résultat la difficulté ou l'imp
'écrire et qui ont pour résultat la difficulté ou l'impossibilité d' écrire . Ils surviennent généralement chez les sujets q
re. Ils surviennent généralement chez les sujets qui par profession écrivent beaucoup (Lu- reaucrates, etc.) : ils peuvent e
ates, etc.) : ils peuvent exceptionnellement survenir chez ceux qui écrivent fort peu. Ces troubles moteurs peuvent se prése
s qui se ressemblent. Dans la'forme spasmodique, le. sujet essaye d' écrire ; il trace d'abord quelques mots, quelques ligne
loyer d'autres muscles, contient sa main droite avec la gauche : il écrit ainsi quelques mots encore, mais l'écriture est
t à fait informe et illisible : il est bientôt obligé de renoncer à écrire . La crampe se suspend alors immédiatement, et l
ommun, le déséquilibre moteur et, comme résultat, l'impossibilité d' écrire . Dans la variété trémulente, le spasme est remp
uand a commencé la crampe; le sujet ne s'aperçoit d'abord, quand il écrit , que d'une certaine gène, d'un peu de raideur ond
velle et augmente peu à peu, elle l'oblige à cesser momentanément d' écrire ; il recommence après une courte inter- ruption
tion peut s'arrêter ta. elle peut aboutir il l'incapacité absolue d' écrire . Elle peut comporter des améliorations passagèr
nte tout particulièrement l'intensité de l'affection, c'est Vidée d' écrire , surtout en public ; si les malades ont le temps
; si les malades ont le temps de n'.Jl1\- chir qu'ils vont avoir il écrire ou même qu'ils sont en train d'écrire, ils song
1\- chir qu'ils vont avoir il écrire ou même qu'ils sont en train d' écrire , ils songent immédiatement- qu'ils ne vont pas
ain d'écrire, ils songent immédiatement- qu'ils ne vont pas pouvoir écrire , ils ont l'ap- préhension, parfois presque ango
la crampe : si les malades sont très préoccupés de ce qu'ils ont si écrire . TA. LÉRIÏ ! '()2 CRAMPES FONCTIONNELLES ET P
TIONNELLES ET PROFESSIONNELLES. ils ne songent plus à l'acte même d' écrire , et dans ce cas il n'est pas exceptionnel qu'il
d'écrire, et dans ce cas il n'est pas exceptionnel qu'ils puissent écrire très correctement, sans que la con- tracture ap
comparable aux,j.cs d'idée. ." Certains malades, ayant appris il écrire de la main gauche, ont vu l'affection envahir c
nts de crampe des écrivains de la main droite, s'étaient habitués à écrire de la main gauche ; or, chaque l'ois qu'ils écr
aient habitués à écrire de la main gauche ; or, chaque l'ois qu'ils écrivaient de la main gauche, des mouvements convulsifs as
s aux muscles qui interviennent à un degré quelconque dans l'acte d' écrire , si nombreux qu'ils soient, elles atteignent d'
xemple; certaines ne frappent que des muscles qui ont dans l'acte d' écrire un rôle accessoire et assez effacé. Certaines cra
s crampes aussi ne cessent pas brusquement quand le sujet renonce à écrire , ou reparaissent dans des actes fonctionnels de
siologiques correspondant à certaines fonctions comme la fonction d' écrire ), soit plutôt dans les nerfs ou dans les muscles.
t sur une partie de l'ensemble neuro-musculaire qui permet l'acte d' écrire , moelle, nerfs ou muscles n. On comprend que,, su
de la crampe : peu, lent, rond, gros, droit. « Ces malades, dit-il, écrivent trop, ils doivent écrire peu; ils écrivent vite
ond, gros, droit. « Ces malades, dit-il, écrivent trop, ils doivent écrire peu; ils écrivent vite, ils doivent écrire lentem
. « Ces malades, dit-il, écrivent trop, ils doivent écrire peu; ils écrivent vite, ils doivent écrire lentement; leur écritu
rivent trop, ils doivent écrire peu; ils écrivent vite, ils doivent écrire lentement; leur écriture est pointue, petite, c
ins pour faciliter la rééducation de la main droite; la main gauche écrira normalement « en miroir », de droite à gauche;
rendre des services. Il est d'ordinaire plus facile d'apprendre à écrire de la main gauche que de rééduquer sa main droi
teindre la main gauche après la droite. La pratique de la machine à écrire n'est elle- même pas un procédé radical : la cr
fièvre hystérique, sur laquelle un grand nombre de mémoires ont été écrits , a été affirmée par Briquet et un grand nombre d'
mètres. On tiendra chaque branche courbe en main, comme une plume à écrire ; on aura quelque avantagea s'habi- tuer il la m
l que l'on multiplie le numérateur par 100; on aurait aussi bien pu écrire . . ,. 152 )' Indice céphaliquo = rnr= 0,8210.
malade devant la toise que le moins possible. ' Chaque chiffre sera écrit par un secrétaire et appelé par lui, pour évite
ltérations du langage parlé se placent les altéra- tions du langage écrit . Nous n'envisageons naturellement pas ici l'écri-
main droite, entre le pouce et le médius, à la façon d'une plume à écrire , l'index étant appliqué sur le pavillon, et des
qu'il n'y a là qu'une indication, nullement un axiome permettant d' écrire : forme somnolente = tuberculose. Pour le croir
et semblant plus ou moins communicants entre eux. « L'ostéomalacie, écrit Bouchard, arrivée il son développement extrême
mplètement, le malade put porter un verre d'eau a sa bouche et même écrire ; la force musculaire augmenta, la marche s'amél
ème. partie de l'ampère, c'est-à-dire le milliampère, que l'on peut écrire en abrégé m. A. On évalue en volts la -force él
mble au contraire que l'on se soit efforcé à multipier les façons d' écrire ces notations; sans les reproduire toutes. nous
les initiales des mots qui entrent dans sa dénomination; tantôt on écrit RD et tantôt DU; nous adopterons cette dernière
mince : ces feuilles de papier portent le numéro de la coupe sériée écrit au crayon de mine ordinaire. Les coupes sont mise
76 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des moitiés droites. Le malade, quoique avec peine, pouvait lire et écrire . Mais en ce temps commen- cèrent à se manifeste
rès modérée, elle n'a reçu aucuneinstruc- tion, ne sait ni lire, ni écrire , n'a jamais appris aucun métier. Histoire de l'
x ans ; on constate même qu'elle peut durer plus longtemps, mais on écrit tout cela sans se soucier du rapport qu'il peut
qui est surprenant, comme l'a remarqué un fonctionnaire civil qui a écrit sur ce sujet, c'est de ' '' voir que chez des f
vec autant de sûreté, sinon plus même, soit pour peindre, soit pour écrire . Avec la main gauche, il pouvait également écri
eindre, soit pour écrire. Avec la main gauche, il pouvait également écrire en caractères renversés et de droiteà gauche, s
duel, il y a gros à parier que je n'aurais pas besoin aujourd'hui d' écrire les présentes lignes. ' D' Legrain. Du princi
mmission sur la proposition de M. le De Bourneville, M. le préfet a écrit à son collègue le préfet de police en lui deman
uvrages adressés pour ces 272 faits DIVERS. concours devront être écrits lisiblement, en français ou en latin, et accomp
lusieurs fois et à laquelle elle trouvait toujours un prétexte pour écrire une lettre au moins chaque soir. Son amie, qui
chaque soir. Son amie, qui paraissait lui rendre son affection, lui écrivait très rarement, et dans quelques lettres qu'on a
état mélancolique bien mar- qué qui dura cinq mois. La difficulté d' écrire n'avait pas arrêté la ÉTUDE DE LA DESCENDANCE D
l l'objet exclusif de sa tendresse. Elle travaillait pour elle, lui écrivait de longues lettres à tout propos tâchant d'en o
la presse ne fera pas résolument oeuvre morale eu balayant de ses écrits tout ce qui la déshonore, elle sera plus pernicie
e à la cré-. dulilé des gens incultes qui croient « parce que c'est écrit », la mau- vaise herbe se multiplie et prospère
s sociétés de tempérance devront-elles opérer ? La propagande par l' écrit et la parole, c'est parfait : mais c'est notoir
oolisme pour voir immédiatement surgir une légion d'hommes en mal d' écrire ou des amateurs de réclame qui noir- cissent de
it l'expérience, et nous l'avons faite à notre tour. Il est temps d' écrire en grosses lettres sous le titre des sociétés d
actes à leurs paroles, et à porter leurs convictions courageusement écrites sur leur front. Cette transfor- mation nécessit
tout en s'occupant toujours de ses affaires. Il continue de plus d' écrire régulièrement à sa mère des lettres dans lesque
'il avait fait, ni des endroits qu'il avait visités, ni des lettres écrites et lorsqu'on mit sous ses yeux les lettres écri
, ni des lettres écrites et lorsqu'on mit sous ses yeux les lettres écrites à sa mère, il en critiqua de suite les fautes d'o
ite les fautes d'ortho- graphe et de style en s'étonnant d'avoir pu écrire de telles lettres. Et pendant ces quatre mois,
travers l'Amé- rique du Nord, porteur de sommes importantes, ayant écrit des lettres d'affaires, de famille, sans qu'auc
e l'indi- vidu. « Le mot obscur ne rend pas exactement ma pensée, écrit un malade de Krishaber 2 ; il faudrait dire d2ozp
e à la damnation. Parlant des causes morales de la folie, M. Luys écrit les lignes suivantes, qui s'appliquent encore m
, nous apparait sûrement comme l'élément perce- vant et impulsif D, écrit v. Lenhossék. La fibre nerveuse, ses colla- tér
dendrites font partie des organes à fonction nerveuse. V. Lenhossék écrit : Si les dendrites sont constitués par la même su
ètes et cellulifuges ? « Je ne peux me dispenser de faire observer, écrivait Golgi, que les cellules nerveuses spéciales dont
Purkinje et les cellules mitrales en particulier. « A quoi servent, écrit von Lenhossék, les dendrites si énormément nomb
on lui refuse partout du travail, à tel point que ce brave ouvrier écrit aux journaux qu'il se voit obligé de quitter Ba
ille une voix lui disant : c Tu es maudite », et elle a vu ces mots écrits sur le mur. Mais à cette époque il y avait déjà
i ravage maintenant l'omoplate et le poumon gauche, etc. Quand elle écrit , il lui lance dans la main un fluide froid qui
es milliers d'années, ont employé le langage parlé. Pour le langage écrit , bien plus conventionnel que REVUE D'ANATOMIE E
ui concerne leurs fonctions dans la série des opérations du langage écrit . Les actes par lesquels doit passer un individu
u langage écrit. Les actes par lesquels doit passer un individu qui écrit , sont les suivants : 10 évocation des sons qui
lement à ad- mettre l'existence de centres spéciaux pour le langage écrit . Eu effet, l'agraphie accompagnant l'aphasie mo
er de la façon sui- vante : chez un individu instruit, l'habitude d' écrire devient telle qu'il n'a plus besoin d'employer
a mémoire visuelle, sans pour cela se trouver privé de la faculté d' écrire ; un individu peu instruit, au contraire, ne pouva
aculté d'écrire; un individu peu instruit, au contraire, ne pouvant écrire sans faire exclusivement usage de ses images vi
langage parlé procède de centres préformés, tan- dis que le langage écrit relève de centres adaptés. Selon lui, la fa- cu
lui, la fa- culté d'apprendre à parler et la faculté d'apprendre à écrire sont dans des territoires différents de l'écorc
u'une écri- ture dans l'espace, est identique par nature au langage écrit et indépendant du langage parlé. Sa localisatio
celui des mouvements de la main et des doigts : « C'est, selon moi, écrit M. Brissaud, jusqu'à preuve du contraire, le ce
crit M. Brissaud, jusqu'à preuve du contraire, le centre du langage écrit , celui de la deuxième frontale. » A. FENAYROU.
elle dit elle-même qu'elle les a déjà réoubliés. Elle ne peut plus écrire . Il existe donc un trouble de conductibilité dans
r à la normale des perceptions des sensations tactiles. Les travaux écrits servant d'examens partiels provoquent une fatig
erie nouvelle de Chambéry, 16o pages. Cette monographie importante, écrite avec beaucoup de clarté et de précision, pourra
ériales. Concours DES médecins aliénistes DES hôpitaux. L'épreuve écrite a eu lieu le 5 mai. Les candidats ont eu à traite
physiologie). C'est la dernière question qui a été tirée. - Pour l' écrit , les questions étaient : 11 dit foie, symptômes
77 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
ascendants de la malade. vaise» ; aussi, sait-elle à peine lire et écrire . Elle était très susceptible, se disputant avec s
ier, garde-le bien... Recommande à Gl... de ne pas dire que je lui ai écrit ... Cache-la bien; tu me ferais prendre... » Elle
ppareil enlevé et remplacé par la main, on donne le chloroforme. Nous écrivons avec la pointe d'une épingle le nom de la malade
n langage réservé ; elle est très douce et laborieuse.Elle sait lire, écrire ; la mémoire est assez bonne; toutefois, l'intelli
prendre par la main, elle me repousse violemment. On lui ordonne d' écrire . Elle le fait, après résistance, de mauvaise hume
ordonne d'écrire. Elle le fait, après résistance, de mauvaise humeur, écrit ses nom et prénoms, le jour, hésite sur le mois ,
cille en marchant. Elle tremble beaucoup des mains et a de la peine à écrire son nom et la date ; le tremblement se compose de
ne idée des attaques de sommeil et qu'elle confirme ce que nous avons écrit sur les zones hystérogènes et le sommeil des hyst
es tracées hier ressemblent aujourd'hui à de simples égratignures. On écrit de nouveau son nom sur la poitrine, le mot Salpêt
certains points, elles commencent à s'effacer. Les dernières lettres écrites sont un peu plus nettes. 1er Septembre. — Les l
que, t. I et II, passim. « Une fois Y état léthargique bien établi, écrit M. Briquet, les malades présentaient l'aspect d'u
. I, p. 49, et t. II, p. 202. son amant imaginaire, M. X..., et qui écrivait à MmeX... : « Rappelez-vous du soir, le 15 août,
Nous avons, pour rédiger cet ouvrage, lu à peu près tout ce qui a été écrit de raisonnable sur le sujet, et, ce qui nous a
irie pour servir de promenade hygiénique aux malades. » Et il a été écrit des milliers de volumes de cette force ! — Il est
'il est fréquent de rencontrer de nos jours et au moment même où nous écrivons . De tout temps, ce qu'on a appelé l'ascétisme c
(t. 11, p. 161), il nous a paru intéressant de reproduire la relation écrite par la malade elle-même, à notre demande et après
ne sur la poitrine, avec une épingle ; à mesure, que les lettres sont écrites , il apparaît une bande érythémateuse sur laquell
rche, elle le suit, etc. On peut faire danser, sauter, grimper, lire, écrire , etc., B... Alph., ainsi, d'ailleurs, que quelque
t danser1. 1 Parlant des religieuses du monastère de Kendorp, Bodin écrit : « Et fi elles dilbient leurs heures en latin, m
llet, 109 et 42. Août. — Trois attaques syncopales. 30 août. — On écrit le nom de la malade sur la partie antérieure de l
ec~l, qui est de fe mafquer. (Fig. 21 ) « Il y a encore des Démons, écrit Boguet, qui assiftent à ces danfes en forme de bo
78 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
é très naturelle. Je pensais que le désir de connaître ce que j'avais écrit constituerait un excitant capable de provoquer la
e. M. Louis Besse, qui est très renseigné sur les milieux sportifs, a écrit un roman dont le titre bizarre est : «L'amour à p
, ce que Stéphane Mallarmé, dans une des admirables lettres qu'il m'a écrites , appelait : ? La vie! ou ce qu'on laisse subsiste
osais de lui dire : je confronte ce qu'il me raconte avec ce que j'ai écrit et je constate l'identité sur presque tous les po
téter et plus tard de parler. M. le Docteur Desaivre, de Niort, m'a écrit qu'un exemple bien observé lui avait permis de co
ant traditionnaliste de la médecine populaire, m'a faitl'honneur de m' écrire à ce sujet et de publier dans Monatschrift fur Vo
s ou les sages-femmes qui font l'opération. Mlu Alex. Rammelmeîer a écrit , par contre, à M. Volkov que l'usage de couper le
t pas cette opération. * > M. Amalfi, de Torre-Annunziata, m'a écrit : ? Chez nous aussi on a l'habitude de couper l
bien parler. (11 Un accoucheur des premieres années du xix* siècle écrivait : « \; .? ¦ ne saurio'is trop protester contre l'u
sont incontestablement très rares. On en trouve un exemple très bien écrit par M. Girod, avec ligure à l'appui, dans la Gaze
atique, qui a été traduit en russe, en anglais et en français. 11 a écrit un certain nombre d'articles dans le Zeitschrifi
thérapeutiques, ce qui rend son rôle particulièrement difficile. Ses écrits et ses leçons ont fait connaître en Suède le trai
et le savant auquel votre ville a voulu élever ce bronze, « II n'y a, écrivait Renan, ni miracles, ni lois intérimaires », e
térimaires », et Charcot, exprimant la môme idée en termes analogues, écrit à son tour : * Nous ne pouvons rien contre les lo
lé consulter un médecin de Lyon, vit sur son ordonnance le diagnostic écrit en téte : sténocardie. Inquiet de ce ternie, le m
naturels. C'est de ce moment qu'ont paru et se sont multipliés des écrits , des ouvrages, dont personne n'eût osé jusque-là
t menaçait d'affecter aussi le côté gauche. Il lui était impossible d' écrire , de coudre et de se livrer à aucune occupation de
Après ce court traitement, la petite fille put très bien coudre, écrire , etc., sans fatigue. Jusqu'à aujourd'hui, un an
carrés. (1) Ferme, métairie. Le doute vient probablement d'un mot mal écrit . 'il::1. Raynicr IV, vivant en 924, mort en
taleptiques, léthargiques, somnambuliques. « J'ai été possesseur, m' écrit cet auditeur, d'une perruche déplaisante et insoc
moins lucides. Il est bien Vrai qu'une diseuse de bonne aventure (j' écris diseuse, car ce sont plus spécialement des femmes
ubit philosophiquement les événements et s'écrie, résigné : « c'était écrit » ; mais en condamné, connaissant d'avance l'inél
s moteurs, les troubles du langage (chapitre très intéressant sur les écrits des aliénés), l'automatisme, l'état hypnotique, l
urne chez elle au bout de trois séances. Le 19 octobre 1901, elle m' écrit : « Les crises n'ont point reparu, les sensations
notre œuvre constitue pour nous la plus haute des récompenses, nous a écrit une lettre dans laquelle il laisse espérer qu'il
e de bien et du savant que fut Liébeault. Nous souhaitons qu'ils nous écrivent leurs impressions sur lui et nous insérerons avec
Bêrillon communique à la Société une lettre autographe de James Braid écrite à son fils, étudiant à Edimbourg et datée du 12 m
oit jamais se sentir un homme perdu ou méprisé des siens. Le malade écrit lui-même, sur une feuille spéciale, les renseigne
ire comprendre le sentiment du beau. Ainsi, par exemple, Rosenkranz a écrit une esthétique du laid. Comment, en effet, analys
la manière dont il se produit. De leur côté, les philosophes qui ont écrit sur l'art se sont généralement bornés à des spécu
ersonne ne peut en tirer une parole. Il se refuse même à répondre par écrit . Il comprend tout ce qu'on lui dit, mais il se dé
ous avons aussi obtenu de lui qu'il donne sa signature et réponde par écrit à nos questions. Il se borne à écrire Paralys
onne sa signature et réponde par écrit à nos questions. Il se borne à écrire Paralysie véslcale d'origine hystérique guéri
sur un album que nous lui présentions. L'explorateur prit la plume et écrivit : Whatsoever thy hand findeth to do. Do it with
lisé des efforts surhumains, il termina sa vie en enseignant, par ses écrits , la puissance de la volonté. Il mérite d'être con
manifeste ; elle n'a plus de douleurs, saisit facilement les objets, écrit mieux et, ce qui est essentiel, recommence à sent
les autres. La malade vit exclusivement de son travail à la machine à écrire et cette perte du champ visuel gauche la géne exc
79 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
abord refusé à insérer tout ce qu'elle avait dit, en l'invitant à l' écrire ' Manuscrit n° 18696, loc. cit., folio 149. '
Piron. Un témoin déposa avoir entendu dire que soeur Buvée avait écrit au curé Borthon, avec du jus d'oignon, des vers r
des morceaux de par- chemin, des canevas où il y avait des lettres écrites , des cailloux, des noisettes, et que sous des c
es dans les poches d'une des religieuses ; que les fameuses lettres écrites et trouvées dans les coquilles, étaient de la m
dire sa messe. Les prestres d'Auxonne et les officiers du bailliage écrivirent à Nouvelet de retourner, comme sa mère estoit p
sont renversées en convulsions.- .Même en négligeant les documents~ écrits qui les concernent et sont venus jusqu'à nous,
' habitude qu'un médecin se destinant à une spécialité commence par écrire un traité sur 'la matière pour affirmer ses int
rne à Bailleul. Les questions traitées^ ont été pour la composition écrite : Nerf facial, anatomie, et physiolo- gie ; pou
ains (Meuse). Les questions Liréès au sort, ont été, pour l'épreuve écrite : Lobe frontal, anatomie et physiologie ; pour
irurgical. Les questions restées dans l'urne étaient pour l'épreuve écrite : Quatrième ventricule, anatomie et physiologie :
f; Deny, médecin de Bicêtre, suppléant. e 1 . , , i . 1 - Epreuve écrite . La question tirée au sort a été : Anatomie et
, médecins en chef; Brun, médecin en chef, suppléant. '" Epreuve' écrite . 'La question tirée au sort a été : Anatomie et
eçus. Deux ont dépassé les deux tiers du maximum. a Les questions écrites ont été : à Bordeaux : Circonvolutions céré- br
es épreuves du con- cours seront les suivantes : 1° une composition écrite de trois heures sur un sujet d'anatomie et de p
e l'intérieur. Sur 11 candidats inscrits, 9 ont fait la composition écrite ; 7 seulement ont subi toutes les épreuves. Que
osition écrite ; 7 seulement ont subi toutes les épreuves. Question écrite : Cordons postérieurs de la moelle (anatomie et
phabet ; de même elle les reconnaît facilement quand elles les voit écrites . Mais il lui est plus difficile de les écrire ell
quand elles les voit écrites. Mais il lui est plus difficile de les écrire elle-même dans l'ordre alphabétique, exercice a
comme : gira/e, jardin, lendemain, aujour- d«hui, eeL...,-elle les écrit sans tâtonner. Lorsque les lettres en question
à di'paraitre. Mme R... lit assez couramment, bien mieux qu'elle n' écrit . Je lui dicte divers mots et phrases, par exemp
une instruction rudimentaire, beaucoup de mots sont correctement écrits et quelques règles de grammaire sont appliquées,
s on constate que des mots et des lettres sont oubliés ; ainsi elle écrira jtli ? z pour jardin, nous aller pour nous somm
lade se rappelle surtout des souvenirs visuels. Lorsque je lui fais écrire les yeux fermés, des lettres ou des mots, elle
ent de rien. Je lui mets la plume entre les mains et la prie de les écrire ; mais elle ne peut pas. Elle lit des mots que
prie de les écrire ; mais elle ne peut pas. Elle lit des mots que j' écris pour elle ; et deux minutes après elle ne se le
itaux, qui restent à l'état infantile, en ce sens qu'ils ne peuvent écrire sans se représenter mentalement l'image visuell
d'admettre que, si cet homme eût été plus lettré et aussi habitué à écrire les mots vulgaires que son nom et son prénom, i
- nimum. A l'entrée un examen médical soigneux avec l'observation écrite de ses résultats : bains, hydrothérapie, médicati
on dont faisait partie le P. Séguin. Et en effet, le médecin Bachet écrivait , le 15 juin 1662, au chancelier en son hôtel à
réponses faites aux demandes que celui-ci prenait sur des mémoires écrits de la main de soeur Buvée. Malgré toutes ces
ne et ce qui s'était passé à Loudun et Louviers, dont la relation écrite fut trouvée dans le couvent d'Auxonne. Il est pro
ui comprend les signes, les gestes que l'on fait, les mots que l'on écrit devant ses yeux, qui répond, exécute les ordres
s, à ce propos, que l'interposition d'un écran, lorsque la malade écrit , ne l'empêche pas de continuer; mais il est à rem
réglées' connue il suit : Epreuve d'admissibilité. 1" Une épreuve écrite de 3 heures sur un sujet d'anatomie et de physi
chacune de ces épreuves est fixé ainsi qu'il suit : Pour l'épreuve écrite , 30 points; pour l'épreuve orale, 20 points. Le
, 30 points; pour l'épreuve orale, 20 points. Le sujet de l'épreuve écrite est le même pour tous les candidats. Il est tir
ce. Le jugement définitif porte sur l'ensemble des deux épreuves ( écrite et orale) et les nominations sont faites dans l'o
rtant sur la pharmacie proprement dite et la chimie; 2° une épreuve écrite de trois heures embrassant la pharmacie, la chimi
0 points. Epreuves définitives. Epreuve verbale, 20 points; épreuve écrite , 30 points. Les plantes et substances à recon
didats qui sont appelés dans la séance. Le sujet de la composition écrite est le même pour tous les candidats; il est tir
et non seulement ses pensées, mais encore tout ce qu'il dit, lit ou écrit . C'est autour de lui comme un écho pro- longé e
écho pro- longé et continuel de sa pensée, de ses lectures, de ses écrits . Une malade que vous verrez aujourd'hui présent
cés à haute voix par ses ennemis, comme l'ont été ses lectures, ses écrits , ses pensées. En résumé, l'hallucination de l'o
'adresse aux autorités, aux person- nages en vue; il essaye par ses écrits , ses proclamations, de soulever l'indignation p
e; elle entend répéter ce qu'elle pense, ce qu'elle dit, ce qu'elle écrit ; « on reproduit en phrases sa façon de penser.
e l'électricité en s'enveloppant la nuit dans des couvertures; elle écrit fréquemment pour réclamer sa sortie, car elle e
ntelligence est le plus souvent intacte ; le malade parle encore et écrit avec les appa- rences de la raison. Et cependan
VAL, Médecin en chef des asiles de la Seine. Les nombreux travaux écrits sur les délires dans lesquels il existe des idé
rages ou mémoires étrangers de psychopathologie. Aucun des articles écrits jusqu'ici ne vaut la photo- graphie même de la
80 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
stériques, les enfants normaux et chez les adultes normaux. Ferré écrit : « Lorsque l'on écrit de la main droite, il ne s
s normaux et chez les adultes normaux. Ferré écrit : « Lorsque l'on écrit de la main droite, il ne se passe dans la main
e dans la main gauche aucun mouvement appréciable ni pour celui qui écrit ni pour ceux qui l'observent ; mais si une main
aux forts, donnera proba- blement sa désapprobation. Hugues Wolf a écrit des centaines de chansons dans le cours de quat
e longues périodes d'inactivité (Dupré et Nathan) (1) ; et Schumann écrivit ses plus belles pages pendant six accès d'exaltat
ilippe Rameau, ne rasait-il pas cette limite, alors qu'il ne savait écrire ses fines harmonies, si son habit de fête n'éta
tres pensionnaires, ses voisins, le persécutent, qu'un journal aurait écrit contre lui des choses abominables. En le racont
'est que cet homme, quoique inculte, puisqu'il ne savait ni lire ni écrire , faisait sans cesse, de- puis qu'il était malad
agination comme une bande de gitanes : « Cette page (de mou album), écrit -il, ne contient qu'une assez courte note au cra
. d'un fourneau de pipe. » A la page 14 (1er cahier) : « Ce dessin, écrit NI. X..., est le portrait assez mal réussi de M
raduite une vision délirante quelque peu scabreuse ? « Les savants, écrit -il, sont parfois de terribles originaux ; on accu
astronomie, et pour ne jamais plus oublier cette savoureuse minute, écrit en toute hâte sur son Album : Vue de l'observatoi
si dans l'habit des personnages de son rêve délirant : c' Revenons, écrit -il, à certaine phase des méditations de M. X...
livre certains jours et aussi certaines annotations de la page 15, écrits au crayon vert. Tout plein d'une ardeur fébrile p
rrière le dos. A l'un de ses parents auquel il adresse l'oeuvre, il écrit : 'C Tu verras là une quantité d'animaux d'une
T FRENCH. 1 . - -......- 'Le cas qui nous a fourni l'occasion d' écrire ce mémoire est le suivant : Alice WherreL, âgée
tempérament, c'est la rapidité : pour s'habiller, pour manger, pour écrire des lettres, pour remplir ses occupations. Il ne
, « pour savoir à quoi s'en tenir définitivement ». Dans ce but, il écrit très fréquemment au juge d'instruction des lettre
ssistant à la Clinique médicale générale de Florence. On a beaucoup écrit au cours de ces dernières années sur la question
r manque de critique que par manque d'éducation. Elle sait encore écrire et elle peut le faire, sous dictée, assez correct
té absolue et sans trop s'aider des doigts par la palpa- tion, elle écrit des phrases assez correctes. ' ' Si on lui raco
quenta les écolès que pendant deux ans et n'apprit ni il lire ni ;i écrire ; depuis la 8e année il travailla comme tapissier
s, etc., j'en serais pour admettre, ainsi qu'autrefois je l'ai déjà écrit , comme cause de l'acro- mégalie un dérangement
OLI peux passer sous silence ce que le Dr Oberndoerffer a récemment écrit à propos des échanges dans un cas d'acromégalie
'est qu'un réflexe de l'audition. Il y a si longtemps déjà que j'ai écrit que le cerveau répète, imite ce qu'il voit, ce
. Je n'insiste pas. Ce que j'ai DE LA PATHOGENIE DES NÉVROSES 393 écrit précédemment fait suffisamment comprendre qu'il n
e et s'impose avec la même évidence que la première. Ainsi que je l' écrivais déjà en 1904, une fois que l'on s'est entendu s
p beau et la neurasthénie eut aussi les siens. Il y a quatre ans, j' écrivais timidement qu'il existait des hystéries sans st
est la traduction en vers, français d'un traité De contemptu mundi, écrit trois siècles aupara- vant par le Romain Lothai
. Une sorte de tym- pan, qui surmonte le fronton, contient ces mots écrits en lettres capitales : MASONNERIE ET CHARPENTE.
i un exemplaire sur vélin de l'édition de Verard, mais comme me l'a écrit M. Maçon, conservât' ur de ce mu-ée, la minia-
C'était une pauvre intelligence. Il apprit difficilement à lire, à écrire et à compter. Pierre était, à cette époque, un
nt agitées. Le malade est gaucher, mais on ne constate pas dans ses écrits le phénomène de l'écriture en miroir. Il n'y a
, exactement comme le ferait un homard et s'en sert très bien. Pour écrire , il tient la plume de la main gauche, entre le
Aubaret, chef des travaux anatomiques, a bien voulu nous donner par écrit de ces radiographies. Main droite. Le carpe par
Le malade saisit les objets entre l'auriculaire et l'annulaire. Pour écrire il place le porte-plume entre ces deux doigts :
st parfaite ; l'intelligence est normale, le sujet, non seu- lement écrit , mais dessine assez bien; il a poussé ses études
'une comme chez l'autre les muscles sont peu développés mais bien « écrits » et « débarrassés de la gangegi-aisseuse de l'en
IN 461 M. Marri, qui sur cette forme d'hydrocéphalie idiopathique a écrit récemment quelques magistrales cliniques, affir
ont réduits au minimum. 1 L'enfant est calme, raisonne bien, lit et écrit volontiers. La mémoire est' conservée, l'enfant
'un tremblement in- tentionnel de la main droite,qui l'empècliait d' écrire . Elle était employée chez un agent de change, e
e a été obligée d'abandonner son travail car elle ne pou- vait plus écrire ; c'est pour cela qu'elle entra à l'hôpital. Le t
onne de faire des exercices toute la journée, et le lendemain, elle écrivait très bien, sans tremblement. Apparemment je l'a
ait guérie seulement parce que je lui avais affirmé : « Vous pouvez écrire . » Puis- que je n'avais pas parlé de l'aiguille
promet la guérison ; il change un peu la position des oreillers, il écrit une potion indifférente, et il sort. Le malade va
ésume dans le pithiatisme. Je ne crois pas que tout ce qu'on a dit, écrit et observé à propos des stigmates, des phé- nom
opinions d'aulrui, sans s'être suffisamment documenté. M. Valobra écrit ceci : « M. Dejerine, après avoir consacré un cha
ais- sèrent des eschares réelles. » M. Bernhein, à qui je viens d' écrire pour avoir des éclaircissements à ce sujet, m'a
81 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
qui peuvent contribuer à votre guérison. Et nous appropriant ce qu' écrivait un des plus illustres méde- cins de cette maiso
tracer une page de bâtons.; puis, tous les trois mois, on le fait écrire sur le même cahier. Enfin, quand il a fait des
s loin, il pa- rait avoir profité de ses loisirs pour consigner par écrit les résultats de sa longue expérience pédagogiq
intégrante. « Le 26 octobre 1885. Signé : Vallée, » En marge est écrit : « 1° Signé par nous, juge, etc.- Signé : C. R
huit cent quatre-vingt-cinq au soir. Signé : Vallée. Ensuite est écrit : « Signé par nous, juge, etc. Signé : C. 1 ? o
ait reconnaissant. Il est parvenu à apprendre ses lettres, et à les écrire , mais il faut les lui montrer souvent, sans cela,
embre 1885, il connaissait à peine ses lettres, et commençait à les écrire , ainsi que les chiffres. A la fin de 1886, il l
fres. A la fin de 1886, il lisait presque couramment, et arrivait à écrire une phrase; l'écriture était très irrégulière.
. Pas de rumi- nation. Intelligence nulle. Il ne sait ni lire, ni écrire . Il arrive cepen- dant à reconnaître une partie
ment intellectuel était un peu retardé : à 7 ans il lisait mal et n' écrivait pas du tout. La marche et les mouve- ments des
e cauchemars. Il n'a jamais pu apprendre beaucoup : il sait lire et écrire , mais ne met pas l'orthographe. Il a été cuis
Seul, Cliq ? âgé de vingt et un ans, idiot complet, (1) Ceci a été écrit au mois d'août ISSU. De puis lors, le système pil
re le fou » et se met alors à jurer et à crier; il refuse souvent d' écrire , trouvant que cela est trop difficile. Juin. Pa
re. ? Il n'a pas gâté depuis septembre. Il commence à syllaber et à écrire ; il n'a pas eu de nouvelles périodes do Microcé
t ans et demi. La tante chez laquelle il était à la campagne, avait écrit à la mère qu'elle ne pouvait le garder plus lon
écillité. Fugues. Parole très limitée. Réponses par signes ou par écrit . Educabilité possible. Mari ? Charles-Maurice,
bave quand il parle. Il faut le forcer à parler, son habitude est d' écrire ce qu'il veut dire sur un tableau, une ardoise,
e nom des personnes qui l'entourent, puis il essaie aussitôt de l' écrire ; lorsque l'orthographe en est difficile, il atte
e feuillet. L'écriture est grosse, assez lisible, il aime surtout à écrire au tableau noir. Il ne peut écrire une phrase dic
assez lisible, il aime surtout à écrire au tableau noir. Il ne peut écrire une phrase dictée ; i Microcéphalie. 163 il é
ir. Il ne peut écrire une phrase dictée ; i Microcéphalie. 163 il écrit cependant assez facilement la réponse à la questi
e à la question qu'on lui pose. Il ne compte pas tout haut, mais il écrit les nombres jusqu'à 110. Mar... connaît à peu
lexions sont tout à fait conformes à ce que nous avons précédemment écrit . ' Dans la même session du Congrès intercolonia
r. Le niveau intellectuel est plus bas; l'enfant ne sait ni lire ni écrire . T. 36°, 1. L'auteur donne le tableau de la tai
une arriérée de 4 à 5 ans. Elle lit de petits mots mais ne sait pas écrire . Sa mère prétend que l'in- telligence se dévelo
82 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
chute dans l'escalier faite à l'âge de deux ans. Elle sait lire et écrire , A quinze ans, sa mémoire diminue et ses jambes s
s solides, mais ne peut proférer aucune parole. Elle communique par écrit les réponses aux questions qu'on lui fait. Elle
sa pensée par la parole (l'articulation des mots est aphone), elle écrit pour demander le lieu où elle se trouve, quelle
es hommes de l'asile de Villejuif. Le sujet était, pour la question écrite : Racines des nerfs rachidiens (anatomie et phy
dire que, du moins en France, l'histoire du tabes combiné n'est pas écrite . Ceci suffit à jus- tifier notre étude qui a la
cause des contractures. Ainsi, depuis l'an dernier, il ne peut plus écrire : quand il saisit son crayon, il le serre atroc
is très difficiles, sinon impossibles. Ainsi ce qui l'em- pêche d' écrire , ce qui le gêne pour tenir sa canne en marchant
chez l'individu qu'on considère, soit chez sa famille, comme l'ont écrit plusieurs médecins d'il y a une quarantaine d'a
sur un porte-plume que le sujet tient entre ses doigts, comme pour écrire , sert de signal. On peut facilement, avec un cr
ité absolue (le bras étant dans l'ex- tension et tenant une plume à écrire dans la main) sans regarder, on est tout étonné
lable à celle que nous avons décrite il y a huit jours. Il essaie d' écrire son nom ; tout son corps remue, ses pieds batte
ns- appuyées sur la table sans bouger durant une minute environ. Il écrit encore illisiblement (fig. 8). Les grimaces sont
attaques; cependant, dans un accès de délire post-épileptique, il a écrit une lettre dont il n'a pas gardé le souvenir.
et les Institur lions psyclcicttriqzces de la ScandinaLie. mémoire écrit en fran- çais. Nous ne l'analyserons donc pas ;
nier Conolly Norman, directeur de l'asile irlandais de Castebar lui écrivait pour obtenir des détails plus précissur son obs
qu'elle était descendue inconsciente au greffe, qu'elle avait fait écrire par l'un des greffiers la formule de l'appel, p
t conscience de ce qu'elle fai- sait, elle avait prié le greffier d' écrire , et elle avait signé ». Ce n'est pas ainsi que
à Eisenach,16sept. )882)'. P. K. XXIX. SUR LE TROUBLE DU langage écrit chez LES DEMI-IDIOTS, et sa ressemblance avec L
RKHAN (Arch. f. Psyc7t., XVI, 1.) C'est une sorte de balbutiement écrit , consistant dans l'impos- sibilité de tracer co
tains mots dictés élémentaires, l'arriéré étant cependant capable d' écrire nettement et sans hésitation, et même de pronon
prononcer sans altération les vocables proposés au moment où il les écrit tout de travers. Vingt sur quarante-quatre de c
vient difficile ou à peine possible de reconnaître beaucoup de mots écrits (2 cas). Aux degrés extrêmes, tous les mots son
ouvent- (articles, -pronoms démonstratifs, verbes) : l'enfant qui a écrit est incapable de se relire. L'auteur donne d'ab
ue, variable lui aussi à divers moments. Ainsi dans le balbutiement écrit comme dans le balbutiement parlé : «dut = gut;
er, Stre=Thiere; Schanime - Schnee.» Un enfant qui balbutie dira et écrira aujourd'hui : die Wolle ist weich; - demain : d
h. Malgré quatre exemples d'enfants balbutiant verbalement et par écrit , malgré cinq exemples d'enfants balbutiant par éc
alement et par écrit, malgré cinq exemples d'enfants balbutiant par écrit et bé- gayant, malgré un exemple d'enfant balbu
par écrit et bé- gayant, malgré un exemple d'enfant balbutiant par écrit , bégayant et balbutiant oralement, on ne peut d
bégayés verbalement soient précisé- ment ceux qui sont vicieusement écrits . Par suite, l'infirmité en question de la parol
pendance ; il y a simple simultanéité. Traitement du balbutiement écrit : la Faire écrire des mots déterminés. 2° Faire
simple simultanéité. Traitement du balbutiement écrit : la Faire écrire des mots déterminés. 2° Faire articuler un mot
écrire des mots déterminés. 2° Faire articuler un mot estropié par écrit . 3° Faire écrire les vocables articulés après rec
déterminés. 2° Faire articuler un mot estropié par écrit. 3° Faire écrire les vocables articulés après rectification parl
cables articulés après rectification parlée, et en même temps faire écrire et parler les mots dont on a rectifié l'articul
s dont on a rectifié l'articulation et le mode d'écriture. 4° Faire écrire en entier les mots envisagés en en recomposant
ès ingénieuse de la même méthode appliquée non plus aux do- cuments écrits , mais aux documents : artistiques, peintures, fre
e. Un monsieur, à quielle a fait donner un billet d'in- vitation, a écrit qu'il ne connaît nullement la demanderesse. « C
vi- sagées dans les oeuvres d'art, par Warner,2jS. Balbutiement écrit chez les idiots, 4 37. Béquilles (paralysie d
83 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
ement, les douleurs cessent, il se redresse. Le 19 novembre, il m' écrit qu'à sa grande stupéfaction il est complètement
Pas de délire. Affaiblissement de la mémoire. Ne sait ni lire ni écrire ; ne peut compter jusqu'à 20. Elle ne peut frapper
nisme et un négativisme prononcés. Ainsi un catatonique, qu'on fait écrire , compile une lettre très sensée dans laquelle il
répond aux questions avec netteté et pré- cision, aime la lecture, écrit correctement. Tel est l'état présent du malade.
et seulement jusqu'à l'âge de sept ans, et cependant il sait lire et écrit correctement. A 7 ans il a été placé « en condi
'a pas de surdité verbale, il a été impossible de lui faire lire ou écrire quoi que ce soit. Le 20 avril, nous avons const
t. 11. En frottant légèrement la peau dans la région où nous avions écrit : « Démence précoce » 48 heures auparavant, nou
hes ! assassins 1 à notre adresse. D'ailleurs, quand une phrase est écrite , elle exige que nous la relisions tout haut pou
s sa vie s'est passée à l'hôpital général. Il sait très peu lire et écrire . Il fut ensuite placé chez un cordonnier chez l
aussi compact qu'à l'état normal. Dans notre premier travail nous écrivions : « quant aux cellules ganglion- naires, autant
et les pays Flamands. Ce qui est certain, c'est que des témoignages écrits , remontant au XVe siècle, attestent l'existence
degré, du siège des déformations. « Rien n'est plus rare en effet, écrit Kirmisson, que l'existence des déforma- tions r
des jours entiers, elle saute et danse à la première occasion ; elle écrit des vers. Elle est coquette, menteuse, libertin
a- ronne, de grande duchesse, elle appelle l'asile son palais, elle écrit des ordres elle se plaint de ce qu'on la vole,
rouble dans le choix des expressions, et que l'on retrouve dans les écrits comme dans la conversation des malades, est extrê
de l'état mental du sujet. Si celui-ci présente de l'excitation il écrit généralement vite, s'il est déprimé ou dément a
l écrit généralement vite, s'il est déprimé ou dément apathique, il écrit au contraire avec len- teur. Or toutes ces hypo
ais faire passer devant vous. Voyez ce premier malade que je fais écrire devant vous sur le tableau. C'est un paralytiqu
iture spontanée n'existe plus chez lui, et lorsque je veux le faire écrire au Préfet de la Seine pour demander sa sortie, je
A PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 419 le Préfet.... ». Voici enfin ces mots écrits . A l'aide de ces trois mots, vous allez pouvoir
ma- lade, surtout si vous comparez le spécimen actuel à cet autre, écrit égale- ment par lui avant le début de son affec
Vous avez pu remarquer d'abord l'embarras du sujet mis en demeure d' écrire , sa résistance et enfin la lenteur avec laquelle
avait une écri- ture courante ; aujourd'hui il a perdu le pouvoir d' écrire vite, et il écrira d'autant moins vite qu'il de
ure courante ; aujourd'hui il a perdu le pouvoir d'écrire vite, et il écrira d'autant moins vite qu'il deviendra plus dément
s, vers l'écriture des tout jeunes enfants qui ne savent pas encore écrire et ne se servent d'une plume ou d'un crayon que p
et même souvent extrêmement ordurières se manifeste autant dans les écrits que dans les discours. Depuis son entrée à l'asil
fications, les caractères d'excitation se sont atténués, et dans un écrit récent (fig. 5) nous notons une écriture plus p
érale évolue avec une certaine lenteur, je puis vous présenter deux écrits , l'un datant de six années, peu de temps après
etitesse des lignes, des stigmates évidents de dé- mence. Ce malade écrit mieux spontanément qu'il ne copie (fig. 10 et 11)
e vieille que de 18 mois. Vous pouvez constater que cette femme qui écrivait très bien avant sa maladie (fig. 12) est dans l'i
ien avant sa maladie (fig. 12) est dans l'impossi- bilité absolue d' écrire le moindre mot, pas même son propre nom (tig. 13)
es premiers signes de la paralysie générale. - La malade a essayé d' écrire son nom. TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA PAROLE E
AROLE ET DE L'ÉCRITURE.3 427 Je vous présenterai encore ce spécimen écrit par une malade qui a pré- senté les premiers sy
iers symptômes de la maladie il y a trente-quatre mois et qui alors écrivait correctement. L'écriture spontanée est perdue, et
re spontanée est perdue, et il nous a fallu insister pour lui faire écrire sous dictée. Nous lui avons dicté la phrase sui
; Venez me voir bientôt et apportez-moi des gâteaux. » Elle a alors écrit ce qui suit, en cinq minutes (fig. 14) : Ici no
i, est malade depuis trois ans, est capable, comme vous le voyez, d' écrire assez correc- tement quant aux idées et quant à
onnons une plume et du papier et nous lui demandons de répondre par écrit à nos questions : D. - Etes-vous malade ? ' ?
ns : « Vous êtes un voleur et le malade sans s'émouvoir aucunement, écrit , tout el ! mar- mottant des syllabes inintellig
n net d'agraphie transitoire, nous donnons ci-dessous quelques mots écrits par le même malade, à la même date, mais en deh
téresse actuellement, il se trouvait dans l'impossibilité absolue d' écrire et même de signer; les caractères tracés par r
sistante. Après une crise passagère, les malades peuvent de nouveau écrire , ils ne sont plus agraphiques, ils sont simplem
e IYest Australien, de l3errer en particulier dont M. d'Etreil- lis écrit « qu'il ne serait pas West Australien s'il n'étai
s hydropiques figurent fréquemment au nombre des miraculés dans les écrits des hagiographes. Et cela se conçoit aisément.
ornée de mortiers et de pots de pharmacie. Sur la gravure même sont écrites deux légendes : - « Arlequin se trouve à son vi
84 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
te et studieuse, mais d'un caractère irritable, d'après ce que nous écrit la famille; la malade, après avoir terminé les
raphe est très faible, les mots les plus usuels sont incorrectement écrits et de façons différentes dans le même [devoir; co
e. A bien dormi la nuit. 20. Ne mange pas au premier déjeuner, veut écrire à son père à qui il adresse une lettre incohére
ment avec ses camarades. 24. Crise à la suite d'une invitation à écrire une lettre à ses parents. René se couche par te
çons qui touchent les points les plus divers de la neuropathologie. Ecrites dans un style clair et précis, elles sont digne
Y a-t-il au contraire des réserves à faire ? Qu'on lise les lignes écrites par M. Bourneville. Les autres observations c
ucoup : il était épileptique. On nous dit au dernier moment qu'il a écrit à un de ses parents lui disant qu'il était part
de l'espèce était une déviation maladive d'un type primitif et il a écrit qu'à moins de circonstances exceptionnelles de
Ces trois phrases résument, assez bien, tout ce qui a été dit et écrit , dans ces dernières années, sur nos services d'al
dit M. le Dr Toulouse, est celle qui accorde au malade la liberté d' écrire à qui.bon lui semble, « quiconque s'oppose à ce
e ou administrative. Mais s'en suit-il qu'ils ne puissent librement écrire à leurs parents, à leurs amis, et si ces lettre
malades ? Gela peut se dire dans un journal politique, mais on ne l' écrit pas dans un recueil scientifique. Les statistiq
idéalement par M. Marandon de Montyel, ce qui ne l'empêche pas d' écrire : « L'open-door est si peu pratiqué que je l'appl
sentait ni cécité verbale ni surdité verbale ; elle pouvait lire et écrire et comprenait ce qu'on lui disait. L'usage des
g, d'étrangler un lion en le serrant dans ses bras et de ne pouvoir écrire qu'avec une queue de billard. Un autre sujet, q
s (accélération des représentations psychiques, troubles du langage écrit et parlé, troubles de la mimique, troubles de la
Congrès de des délires syslé- matisés secondaires, nous a engagé à écrire cet article qui s'appuie sur deux études antéri
nécessaires pour représenter l'image graphique. Pour parler et pour écrire , cinq groupes d'idées sont indispen- sables : 1
conceptions relatives aux choses dont on parle ou sur lesquelles on écrit ) ; 2° les images phoné- 'tiques des mots entend
s verbales optiques que nous obtenons par la lecture des caractères écrits ou imprimés)1; 4° les images motrices des mots
oralement les images phonétiques ; 5° les images motrices des mots écrits , c'est-à-dire des mouve- ments nécessaires pour
rits, c'est-à-dire des mouve- ments nécessaires pour reproduire par écrit les images graphiques. L'auto-observation nous
and il s'agit de déterminer les images Voyez sur ce sujet : langage écrit , par Keraval. Paris, in-8", 1897. 308 REVUE D
se sert- de 6, v, y. Un enfant qui lit sans articuler un motet l' écrit utilise b, l, o, v, y. Un enfant qui écrit ce q
ans articuler un motet l'écrit utilise b, l, o, v, y. Un enfant qui écrit ce qu'il a lu en silence et compris se sert de
es qu'il était incapable d'articuler distinctement. Il pouvait même écrire ces mots. A l'autopsie, on trouve, pour expliqu
irs inoubliables et des amitiés non encore lassées ainsi que me l'a écrit le Dr Audiffrentet me l'ont affirmé tant d'autr
pable, à cause du tremblement, d'enfiler une aiguille, de coudre, d' écrire ; mais, si on lui immobilise le poignet et les d
ment de cette malheureuse. Aliénés en liberté. Un fotc assassin. On écrit de Saint-Etienne au Progrès de Lyon du 4 avril
ention, de mémoire, d'une idéation étendue; ils s'occupent, lisent, écrivent des lettres; nous en avons même vu faire de la
petits achats; il reçoit très volontiers les visites de parents, et écrit à sa femme des lettres très correctes où il ne
s mentions que nous trou- vons ;t ce sujet dans les auteurs qui ont écrit sur l'aphasie ' Du bégayement et balbutiement (
atique- ment. La même chose se passe quand on apprend à lire ou à écrire ; le centre moyen doit alors associer les images o
n. Pour comprendre la parole etl'écriture, ainsi que pour parler et écrire spontanément, il faut se servir du centre psych
ale. La parole intérieure est conservée, les sujets peuvent lire et écrire sans pouvoir parler ' ; 3° L'aphasie auditive (
le sujet ne comprend pas la parole qu'on lui adresse, parle, lit et écrit paraphatique- ment ; . 3° L'alexie isolée (cé
ler spontanément, ne comprend pas l'écriture et n'est pas capable d' écrire , car il est privé de souvenirs automatiques des
le pouvoir de répéter machinalement les mots entendus, de lire et d' écrire aussi machinalement (action automatique du cent
du centre moyen) la parole reste incomprise, le sujet parle, lit et écrit parapha- tiqtiemetit 1 .)" Y alexie d'associati
rrive également que le sujet, tout en pouvant lire, est incapable d' écrire , car il ne retient pas chaque mot le temps néce
écrire, car il ne retient pas chaque mot le temps nécessaire pour l' écrire ; 4° dyslexie, caractérisée parce que le sujet
e son accès, il comprenait très bien ce qu'on lui disait, lisait et écrivait parfaitement. Il quitte alors les Halles et rep
sionomie est plus éveillée que les jours précédents ; il répond par écrit avec facilité et précision'à toutes les questio
dans la mémoire. HYSTÉRIE MALE. 67 Le 8 septembre, P... nous a écrit une lettre dans laquelle il nous disait que dep
que nous accomplissons suhconsciemment tels que : manger, marcher, écrire , etc. Si par exemple nous lui disions : « Comme
85 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
erses. Tables tournantes, typtolologie mentale intérieure, messages écrits et parlés, dessins, révélations inspirées, adup-
i s'est effacée, elle la reconstitue conforme à ses rêves, elle lui écrit pour le dresser selon son modèle. Mais les répons
ter et à enregistrer les pro- pos des esprits, elle essayait de les écrire , mais ils étaient quel- quefois dictées avec un
le appelait son mari qui s'installait à son chevet pour écouter, il écrivait lui-même sous la dictée des désincarnés. La voi
ui lui manque, et de lui révéler des choses surprenantes. ». Elle écrit en effet en médium semi-mécanique des communica-
seulement la première syllabe, ce sera la religion Kamienne. Deus l' écrit par un K, c'est plus solennel que le simple C d
it vu la nuit par clairvoyance télépathique une lettre que celle-ci écrivait à M. Schtein, cette lettre était défavorable à
et lui disait : « Chasse ta belle-soeur, elle plaint ton mari, elle écrit que tu n'es pas pure ! » et elle mit la belle-s
elle-même, son poignet marchait tout seul; après l'avoir vu, elle a écrit sous la dictée psychomotrice, en mes- sage semi
du même genre, presque tous accompagnés ou suivis d'une explication écrite . Ces figures et messages sont en rapport avec s
re humaine. Les yeux toujours fermés, mais après avoir regardé elle écrit mécanique- ment : « Dessin rare en sa netteté,
continuant, elle ferme aussitôt pour la troisième fois les yeux et écrit précipitamment sur la même feuille : « Donné et
d'eux reçoit. son explication sous forme de message méca- niquement écrit . Tous représentent des constellations, des sym-
. Un moment après avoir terminé le dessin de la figure 8, Cam... écrit de nouveau les yeux ouverts : « Explication du de
es jeunes élèves, je « te dicterai mes lois au sur et à mesure. « Ecris plus encore que tu ne parles scripla manient. »
core que tu ne parles scripla manient. » Quelques jours après, elle écrit devant nous, toujours avec une rapidité vertigi
aura pas aujourd'hui - inutile). » Elle s'est brusquement arrêtée d' écrire , et cette parenthèse indique assez que Deus se
lle sent quel'inspiration va venir; elle prend le crayon et sa main écrit : « Vous êtes déiste, c'est-à-dire croyez à tou
le crayon que Cam... tient tou- jours « entraîne sa main » et elle écrit très rapidement : « Dirai docteur secret médeci
son fidèle MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 27 crayon. Celui-ci, quand il n' écrit pas, frappe les coups des let- tres sur la tabl
ienne, de là son épaisseur parfois inusitée. Ainsi que nous l'avons écrit antérieurement et ainsi que M. Bour- neville en
e phénomènes mécaniques, chimiques et même pathologiques. Comme l'a écrit le Dr Papillault, un caractère morphologique po
res d'ossification \ active. Il nous resterait un long chapitre à écrire sur les modifi- cations de la surface externe d
té des troubles patholo- giques. Mais qu'on se rappelle ce que nous écrivions anté- rieurement à cesujeti : «Il est nécessair
pour laquelle elle avait été traitée et rien dans ses actes, ses écrits , ses paroles ne pouvait faire supposer une pareil
re de la lèpre, Messieurs, est fort ancienne, puisque déjà dans les écrits de Celse on en trouve des descriptions non dout
esprits s'essaient à parler en vers, et Gain... elle-même dans ses écrits conscients est de plus en plus poussée à versifie
. Celle pièce vaut bien d'ailleurs celles que tant de médiums ont écrites sous la dictée de Victor Hugo ou de Lamartine dés
fisentà main- tenir la foi de la malade. Un jour, par exemple, elle écrit deux lettres, les met machinalement sous envelo
rmacie. Timide, né de parents timides. « Mon frère et ma soeur, m' écrit -il, sont des timides. Ma soeur l'est, je crois,
SOCIÉTÉS SAVANTES. ' I'J rait clairement dans leur verbigération écrite ou parlée, leur jar- gonaphasie, leurs néologis
question : « De toutes les lésions observées au cours des démences, écrit son élève, M. Bridier, la plus constante est ce
Deux ouvrages viennent de paraître chez nous sur les obsessions, écrits par des hommes éminents et très au cou- rant de
Freud. M. Arnaud n'en parle pas dans l'intéressant chapitre qu'il a écrit pour le Traité de pathologie mentale de M. Gilb
e la science comme le feu purifiait ce qu'elle touchait, et puis, j' écris dans un journal scientifique et mon mémoire n'e
ion de permuter avec un collègue de province. Deux mois après, il m' écrivit pour m'apprendre son complet rétablissement. Je n
pondre avec moi. Après trois mois, n'ayant pas reçu de nouvelles, j' écrivis à l'ami commun pour en avoir, dans Je désir bie
trouver les sons qui correspondent aux mots, d'assembler les images écrites , de les composer. Durée : près de dix jours; di
s'aggraver à tel point que, en janvier 900, un ami de la famille m' écrit : « l'état de la malade a empiré, « elle devien
rs ; il ne peut lire, les caractères se brouillant devant ses yeux, écrire car il est incapable de trouver les traits néce
ntelligente ayant de la difficulté à apprendre et n'ayant jamais pu écrire correctement. Son caractère très vif, très viol
il y a un an) « parce qu'il est trop vieux »; il ne sait ni lire ni écrire .1 Aucune aptitude particulière. Il ressemble à
urée, un peu tremblée. En calcul, il ne fait que l'addition, lit et écrit des nombres comprenant des centaines. Aucune no
guider avec docilité. Il sait syllaber mais non lire couramment; il écrit passablement, fait l'addition, s'habille, se la
it ans est pris d'un tremblement de la main droite qui le gêne pour écrire , à ce trouble s'ajoute de la gêne dans les mouv
86 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
miers mois de 1887. Le 26 mai, au moment où le directeur de l'Asile écrivait son rapport, le service comptait 53 enfants (27
us avons concouru, et, malgré les amis cléricaux de (1) Voici ce qu' écrivait M. le Directeur de l'Assistance publique de cet
d, en Angleterre, témoins de ce que faisait Seguin, connaissant ses écrits , provo- quèrent, par leur propagande la créatio
1877 : Les seuls asiles qui aient des quartiers d'enfants; ont-ils écrit , sont, pour les garçons : Armentièrcs, Bicêtre,
se trouvait à la Maison centrale de Gaillon. Aussitôt nous avons écrit au directeur de cette prison qui nous a appris,
on et réintégré à Bicêtre. N'entendant parler de rien, le 28 août j' écrivis une lettre à M. le Préfet de police, qui me rép
inistre de la justice et qu'il attendait sa réponse. Je résolus d' écrire fin août à M. le Ministre de la justice, espé-
tion prononcée contre Grandid... Les 12 et 13 octobre, l'un de nous écrivait à M. Sarrien, ministre de l'intérieur, et à M.
nous extrayons le passage suivant : « Je vous serais bien obligé, écrivait l'un de nous, si vous pouviez rappeler cette af
que elle était ouverte; V... travaillait facilement, savait lire et écrire . Actuellement il ne sait la date de sa naissance,
a fréquenté l'école de sept à dix-sept ans; il a appris à lire et à écrire , mais toujours l'intelligence a été peu dévelop-
des objets usuels. Les premiers jours de son séjour ici, il voulait écrire à Jeanne d'Arc. On lui a présenté un tableau noir
Il parle, mais en trem- blant beaucoup; il sait épeler, sait encore écrire , mais illisible- ment ; il connaît les chiffres
ultés intellectuelles ont encore baissé, qu'il ne peut plus du tout écrire et qu'il ne répond que très diffici- lement à c
bres, etc. (chorées roicaloircs, chol'écs vibratoires) trahissent, écrit -il, 1, dans l'ordre des faits pathologiques, le
non couramment, elle ne se rend pas compto de ce qu'elle lit. Elle écrit , mais mal, ne sait pas faire les additions, et n'
décrit par plusieurs auteurs et entre autres par Ruysch. « Ruysch, écrit M. Paulet, a trouvé la vésicule entièrement lib
ez les dégénérés ont été peu étudiées, même-par les auteurs qui ont écrit des ouvra- ges spéciaux sur les anomalies denta
qu'on doit le travaille plus complet et le plus précis qui ait été écrit jusqu'à présent sur ce sujet, travail qui parut
la ville son parapluie ouvert, bien qu'il ne plut pas. Ses parents écrivirent alors à son père qu'ils ne pouvaient plus le ga
avec lui que pour se faire raconter l'incorporation. Le 26 juin il écrit la lettre suivante : A Monsieur le Procureur de
2G juillet. Dans une lettre à ses parents datée de la veille, il écrit : a Il paraît que j'ai de l'argent ici, mais je
sortir en permission, car je m'ennuie dans Bicêtre. Je voulais vous écrire plutôt, mais les uns et les autres vous en empê
t je n'ai pu le faire. Si vous voulez que je demande uno permission écrivez -moi par retourdu courrier ctje vous dirai pour
voudrais bien aussi un carnet et un crayon et un livre pour lire et écrire . Je vous souhaite une bonne santé et vous embra
s l'embrasse à peine, et paraît peu touché de sa venue. Il n'a plus écrit de lettres depuis le 26 juillet. Il est assez o
ces ma- lades ont une certaine instruction, leur langage et leurs écrits expriment leurs idées délirantes dans les termes
87 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
a mort sont venues l'interrompre, et ce livre pensé n'ayant point été écrit , le trésor d'observations précieuses qu'il avait
, l'anatomie est aujourd'hui plus avancée sur ce point qu'au temps où écrivait M. Leuret. Aussi devons-nous revenir sur toutes l
a corne qui est (1) L'idée de cet enroulement est en germe dans les écrits de Willis. On sait comment il pratiquait la coupe
n des feuilles du cervelet dans ses différents lobes. On a beaucoup écrit sur les feuilles du cervelet. Malacarne a eu la p
taient sécrétés les esprits animaux. Idée ingénieuse pour l'époque où écrivait Malpighi, et qu'il ne faut point confondre avec l
ant sur les observations d'un des plus grands hommes qui aient jamais écrit sur le cerveau, je veux parler de Willis, signale
ne ressemblance avec le cerveau du Rhinocéros, comme on l'a récemment écrit , mais qui toutefois ne s'élève pas au-dessus des
ent est faible par cette même raison. » Tout cela est admirablement écrit , mais repose sur de pures hypothèses (1). Quoi
étude micrograpliique de ces petits corps n'est point, au moment où j' écris , suffisamment avancée. Je ferai remarquer toutefo
tôt relevée par Meckel (4) et par Morgagni(5). Hallcr (6) a savamment écrit l'histoire de cette découverte; on consultera aus
ssaire de l'histoire de l'encéphale. Sur ce sujet seul, on pourrait écrire plusieurs volumes importants; car l'étude comparé
herches sur la force excito-motrice (1) ne fit que traduire les pages écrites par Legallois, dans la langue nouvelle créée par
es des sciences naturelles, deuxième série, t. VII. (2) M. Flourens écrivait en 1824 ce passage remarquable: « Dans le fait, «
mbreuses sur des lapins, et en consigna les résultats dans un mémoire écrit sans ordre et dont les conclusions sont obscures.
imentale ne paraîtra-t-elle pas mériter une place distinguée dans les écrits de quelque nouveau Corneille Agrippa (2) ? Il s
une méthode plus sévère. On peut dire que parmi les auteurs qui ont écrit sur les fonctions de la moelle épinière, nul n'a
aient s'appliquer à tout ce que les médecins analomopathologistes ont écrit sur la localisation des sensations et des faculté
jortasse con-veniet (2). 11 est, à coup sûr, fort difficile, non d' écrire l'histoire expérimentale de l'âme, mais d'en défi
montre leur polémique avec le célèbre Samuel Clarke. Dodwell avait écrit un livre tout exprès pour démontrer que la matièr
l'observation sont devenues l'objet de recherches assidues. Parmi les écrits auxquels ces recherches ont donné lieu, nous dist
i appartiennent au sens du « loucher (1). » Notre but n'est point d' écrire ici une histoire complète des sens. Toutefois, ét
es ont peu de prise sur les esprits. Un grand écrivain a quelque part écrit cette phrase : séduire à la vertu. Je ne connais
Parlait-il de l'un d'eux, il s'exprimait ainsi : « Mon confrère qui a écrit tel livre, qui a fait telle découverte. » Il le d
s sens éveillés? Comment expliquer ces rêveurs qui pensent, agissent, écrivent même, avec une élévation singulière, comme cet Al
n singulière, comme cet Allemand cité par Burdach (1), qui composa et écrivit dans un accès de somnambulisme une ode remarquabl
ci le lecteur à son ouvrage, l'un des plus beaux qui aient jamais été écrits sur ces matières difficiles. —Des hallucinations,
et voit entre les deux croisées de son cabinet, non point, comme l'a écrit M. Michéa, une figure distincte et connue, mais u
oires particulières sont innombrables sur ce point. Je n'ai point à écrire ici cette histoire fantastique ; mais, vraies ou
ens, si bien racontés par Fenimore Cooper ? (1) Les auteurs qui ont écrit sur la démonolâtrie, Grilland, Sprenger, Nider, É
on, abbé du monastère de Xerocerque vers le milieu du onzième siècle, écrivait les préceptes suivants écrits pour les quiétistes
que vers le milieu du onzième siècle, écrivait les préceptes suivants écrits pour les quiétistes de tous les âges : « Étant
dans cette tombe, martyr d'une fatalité mystérieuse, ce nouvel Œdipe écrivait au directeur de l'établissement : « Monsieur, j
es ne tournèrent plus seulement, elles parlèrent ; que dis-je ? elles écrivirent . Un fluide, un agent physique, quel qu'il fût, ne
et fort aimé du roi Jacques. Tout le monde connaît le discours qu'il écrivit à ce sujet et dans lequel il essaye d'expliquer c
vient surnaturel et inexplicable. M. le marquis Eudes de Mirville a écrit sur ce sujet, avec une bonne foi qu'il n'est perm
'étais à la campagne ; je priai un de mes amis, homme d'un âge mûr, d' écrire sur un morceau de papier une phrase très-courte,
. Paris, 1853. (2) Consulter la lettre si élégamment et si sagement écrite du Dr Cerise à M. Macario, et qui sert de préface
euvent avoir d'influence sur les dispositions de l'âme. Il y aurait à écrire , sur ce sujet, un livre didactique utile. On y ch
cela est encore mieux démontré par l'éloquent plaidoyer que Porphyre écrivit en leur faveur (4). Les scholastiques, et entre a
é (4). (1) Th. Willis. De anima brulorum. — Le célèbre Conrad Peyer écrivait à ce sujet à son ami Harder. « Dolerem quoque veh
dans un livre que je dirais charmant, si ce mot pouvait convenir à un écrit plein de profondeur (1). Ces recherches sont deve
pour la même idée. Dans ma langue même, j'ai le « mot parlé et le mot écrit . Tout est signe pour l'homme, « tout peut lui êtr
88 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
çait que A, 0, P, T. Main- tenant, il possède un petit vocabulaire, écrit , lit sur les lèvres, dit à propos quelques peti
e bien de toutes les leçons orales, mais sa para- lysie l'empêche d' écrire . - Trois autres enfants lisent pres- que couram
M. les D" Ilamon du Fougeray et Cou6toux ont eu l'excellente idée d' écrire un livre intitulé : Manuel pratique des méthodes
le placement des enfants anormaux. C'est la Préface uue nous avons écrite pour leur livre que nous reproduisons ici. (2
die ou de l'infirmité primitive. c) « Le devoir social à remplir, écrivent MM. Ha- mon du Fougeray et Couëtoux, grandit en
r et bon père de famille. Son instruction se borne à savoir lire et écrire . -[Père, 58 ans, cultivateur dans l'Orne, bien
; son ins- truction est à peu près nulle, elle sait à peine lire et écrire ; n'est pas nerveuse. - [Père, mort à 70 ans, d
il est, au contraire, très fier. Lorsqu'il lit et surtout quand il écrit , il est agité, tire la langue, la contorsionne et
. A l'école, elle n'a jamais rien appris : elle ne sait ni lire, ni écrire . - Pas de mauvais instincts, pas de kleptomanie
C... fait quelques progrès commence à con- naître ses lettres, et à écrire ; elle travaille assez bien il l'ou- vroir, mais
u basse, mais avec expression et sans défaut de pro- nonciation. Il écrit correctement et possède des notions de calcul,
e ntal. V. Nous trouvons ici la confirmation de ce que nous avons écrit sur la température centrale pendant les séries
ejuif où il est mort le 29 mars 1894. « Il était syphilitique, nous écrit le Dr Vallon qui l'a eu dans son service, et il
intercaler dans ses phrases une expression à elle que l'on pourrait écrire lotit en plein. Ces trois mots paraissent lui s
es mots composés de syllabes simples (une con- sonne, une voyelle). Ecrit les mots qu'elle lit. Imite de petits dessins s
irritation. Les progrés continuent en lecture et en écriture ; elle écrit iL ses parents des lettres qu'elle sait lire ;
ion. A tout bout de champ, l'enfant pousse un cri que l'on pourrait écrire « péAn.J » 212 TRAITEMENT MÉDICO-PÉDAGOGIQUE.
tous les exer- cices de la grande et de la petite gymnastique. Elle écrit sans faute et sous la dictée les cent premiers
des additions sans retenue; son écriture est régulière, mais elle écrit très gros, car elle appuie trop sur sa plume ; la
orthographe est meilleure, elle fait de petites soustractions, sait écrire les nombres de quatre chiffres. A la couture, f
nativement; l'intelligence se développe, l'enfant arrive à lire et écrire couramment, à compter jusqu'aux nom- bres de 4
re couramment, à compter jusqu'aux nom- bres de 4 chiffres, qu'elle écrit et lit, à faire des additions et des soustracti
89 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
l ne laisse cependant pas tomber les objets qu'il saisit. Lorsqu'il écrit , il remarque qu'il a de la peine à tenir la plume
s pu travailler. Il n'est cependant pas resté alité. Il peut encore écrire , mais avec difficulté : la main droite a toujours
r de la main droite pour tous les actes usuels (s'habiller, manger, écrire ) ; il est même employé dans un bureau comme cop
que les recherches les plus récentes confirment en tout point ce qu' écrivait E. H. Weber il y a cinquante-quatre ans : « On es
Path. gén., 1899, p. 1001. (3) Dans Avons-nous..., p. 261, j'avais écrit : « La notion du mouvement n'est donc pas le ré
nt de la théorie du sens des attitudes segmen- taires de M. Bonnier écrit : a..... cette hypothèse un peu singulière nous r
i qu'il dirige, vers la lumière ; de la main droite, il s'apprête à écrire une ordonnance. A côté de lui, se tient debout,
à trois ans. Elle n'alla pas à l'école et n'ap- prit ni à lire ni à écrire . A 18 ans, la malade eut plusieurs crises convu
bilité d'aller, de venir, et suivait toujours l'école où il pouvait écrire très correctement. Mais les chutes devinrent de
lanche encadrant son visage pensif et de frais rasé, est en train d' écrire l'ordonnance. La scène simple, bien rendue, nou
es deux années, L... qui était dans sa famille, n'a jamais essayé d' écrire . Ce n'est qu'à 18 ans, lorsque le jeune homme rep
qui ne se manifeste qu'à l'occasion de l'écriture - et le malade n' écrit jamais qu'après le repas du soir cesse après l'
faisait encore dans une usine les écritures techniques ne peut plus écrire de la main droite seule. Ces phénomènes se sont
) L... porte toujours les aliments à la bouche de main gauche. Pour écrire , le malade se couche en quelque sorte sur l'avant
est agitée, en outre, d'un tremblement qui écarte la plume delà ligne écrite , et le malade est obligé de s'aider de la main
ture est tremblée, hésitante, le malade se reprend à deux fois pour écrire un mot, il éprouve une difficulté particu- lièr
ntervient dans l'écriture en conduisant la main le long de la ligne écrite ; sa paralysie entraîne l'abolition de cette fonc
ement convulsif de l'épaule qui élève la main au-dessus de la ligne écrite , et par un autre mouvement du bras qui fait tourn
les troubles de l'écriture sont infiniment plus accusés quand L... écrit sur une table basse que lorsqu'il trace des carac
gts différence dans l'amplitude du mouve- ment suivant que le sujet écrit sur une table basse ou debout au tableau noir n
endre momentanément son tic ; entre deux moue- ments convulsifs, il écrit correctement un ou plusieurs mots. Or, notre ma
d'employer l'écriture en miroir, il a fallu réapprendre au malade à écrire de la main droite sans le secours de la gauche ;
r la forme régulière des caractères, puis pour le nombre de lettres écrites sans interruption ; un cahier en fait foi. Le 7
t pu faire depuis dix mois. Nous apprenons actuellement au malade à écrire en miroir de la main gauche, mais il n'a pas enco
écrire en miroir de la main gauche, mais il n'a pas encore réussi à écrire simultanément des deux mains à la fois. Il exécut
ées. D'abord, un tremblement unilatéral. La malade avait appris à écrire de la main droite comme les autres enfants. Mai
l'âge de 12 ans, ce tremblement survint et l'obligea à apprendre à écrire de la main gauche. Actuellement elle écrit assez
l'obligea à apprendre à écrire de la main gauche. Actuellement elle écrit assez mal de l'une comme de l'autre main ; cepe
pprit le commerce avec le même effet. Puis elle essaya la machine à écrire , le ménage, la couture, etc. Elle essaya en 9 a
utres avoir la crampe des écrivains quand leur métier les forçait à écrire , d'autres avoir des tics des yeux quand leur méti
les dont l'église de Ste-Dymphne fut le siège est consigné dans les écrits de P. Cameracensis (avant 1247), dans les Archi
l et donnait la communion. Ce n'était pas toujours avec succès. Les écrits des démonologues de l'époque témoignent des résis
l timbrée, fêlée ». Ces locu- tions se trouvent couramment dans les écrits du xvi' et du XVIIIe siècle. Un autre mot, d'ai
zotte kap, ou bien eene xotte 1nuts ».- « Il semble hors de doute, écrivait à l'un de nous, à ce sujet, un des membres lesp
icher, Gilles de la Tourelle et Albert Londe, « source de documents écrits et figu- rés », destinéeà faire « revivre les c
sme dans l'Art ! » - Suit un passage d'un court article que Virchow écrivit en 1861 dans ses Archives à propos d'un Lépreux
e rechercher Un passage surlout mérite d'être rappelé : Ce buste, écrivaient les deux savants français, « introduit dans les a
l'école du maître. Charcot, et les autres auteurs français qui ont écrit sur les questions d'art et de médecine n'avaien
ez Pion) ,qui contiennent, outre de curieuses images, des documents écrits .] extrêmement précieux pour l'histoire de la mé
90 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'accord étant loin d'être fait encore parmi les aliénistes qui ont écrit sur la matière. Ce terme d'ailleurs n'a pas de
r toute occasion de laisser un VARIA. 127 doute dans les esprits, écrivit aussitôt aux gouverneurs voi- sins pour que la
éphane Schreier et sa mère Marie Yung. Apollonie, au moment où nous écrivons ces lignes, au mois de mars de l'an 1602, avait
manger. Nous avions eu ces renseignements quelques semaines avant d' écrire cette seconde narration. Aucun chan- gement not
lique à la simple surveillance, il a dit le contraire de ce qui est écrit dans le projet de la commission. Mais j'arrive,
stre et Rendu. Les candidats étaient au nombre de 14. La question écrite a été : Artères de l'encéphale, circulation céré-
t : MM. Lwotf, Caryophillis, Thenet, Gil- bert et Mary. La question écrite a été remarquablement traitée de l'avis de tous
s d'observation, ainsi que les questions que nous lui adressons par écrit ; elle y répond soit de vive voix, soit par écri
lui adressons par écrit; elle y répond soit de vive voix, soit par écrit ... » 1 GiiMiideau. Reoue de Médecine, 1882, t.
e à une question parlée qu'on ne comprend pas. Si la question est écrite , le malade la comprend (n'ayant pas de cécité v
ant pas de cécité verbale), et il y répond correctement, soit par écrit , soit verbalement, n'ayant ni aphasie motrice,
motrice, ni agraphie. L'image visuelle du mot, évoquée par le signe écrit , suffit donc pour que les langages parlé et écr
ée par le signe écrit, suffit donc pour que les langages parlé et écrit soient corrects et en rapport avec l'idée, alor
l2arcé'. « Dit-on inopinément devant lui « chapeau » ? Il répète et écrit chapeau, mais ne sait,pas de quoi il s'agita Ta
cependant n'est pas trop empêché dans le travail de ses mains ; il écrit assez facilement, n'étant que rarement interrompu
roeter ne vient-il pas de nous dire qu'on a interdit sur un rapport écrit sans l'avoir entendu verbalement. : 11. GUTTSTADT
e et qui pourvoyait à tout autrefois. On a une singulière manière d' écrire l'histoire aujourd'hui, sous l'empire de bien des
tude des empoisonnements, terminent cette première partie qui est écrite avec toute la verve du médecin distingué, dont la
se trouvait à la Maison centrale de Gaillon. Aussitôt nous avons écrit au directeur de cette prison qui nous a appris,
on et réintégré à Bicêtre. N'entendant parler de rien, le 28 août j' écrivis une lettre à M. le Préfet de Police qui me répo
inistre de la Justice et qu'il attendait sa réponse. Je résolus d' écrire fin août à M. le Ministre de la Justice, espé-
tion prononcée contre Grandid... Les 12 et 13 octobre, l'un de nous écrivait à M. Sarrien, ministre de l'intérieur, et à M.
nous extrayons le passage suivant : « Je vous serais bien obligé, écrivait l'un de nous, si vous pouviez rappeler cette af
ue elle était ouverte ; V... travaillait facilement, savait lire et écrire . Actuellement il ne sait la date de sa naissance,
instruit, F. sait à peine lire, non sans erreurs; il n'a jamais su écrire ; les sens, sauf celui de l'ouïe, ne présentent
cela par l'intégrité et le développe- ment de la mémoire des images écrites , qui suppléait en quelque sorte la mémoire des
langues, et par suite il ne saurait avoir la mémoire de ses images écrites . Je conclus delà que, si l'amnésie verbale est
usculaire en général. D'ailleurs pas d'amnésie verbale ; le langage écrit , normal dans ses diverses manifestations, l'art
, je sais ce qu'elle veut dire. » Pour un homme de sa condition, il écrit et calcule assez bien ; il tient lui-même ses c
ndus. Aucun autre trouble à signaler dans la sphère du langage soit écrit , soit parlé. A la suite de notre entretien, B
le centre des images orales était suppléé parle centre des images écrites , puisque la mémoire des images écrites, assez p
pléé parle centre des images écrites, puisque la mémoire des images écrites , assez peu développée chez eux pour la langue f
leur arttculation·1 - Le centre mé représente la mémoire des images écrites , communiquant, avec l'entendement par la voie nid
succession des idées délirantes, les différents aliénistes qui ont écrit sur la Paranoia ont fait observer que les idées
vec difficulté une instruction élémentaire, il sait toutefois lire, écrire et compter d'une manière satisfai- sante. Il a
er. Puisque j'ai parlé de Séguin, je dois ajouter que ses travaux écrits en langue française sont antérieurs à la révoluti
a responsabilité. En un mot, le magnétisme animal de Binet et Féré, écrit dans l'atmosphère de la Salpêtrière, est le com
cours POUR UNE place DE MÉDECIN aliéniste DES hôpitaux. z L'épreuve écrite a eu lieu lundi dernier. Les candidats ont eu à
a eu lieu lundi dernier. Les candidats ont eu à traiter la question écrite suivante : lobe frontal, anatomie et phy- siolo
91 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
? - li..\ou, je n'ai icçu de nouvelles de personne. D. Avez-vous écrit à votre père ? R. Oui, monsieur, souvent; je ne
condition, il votre sortie d'ici ? R. Non, monsieur, il ne m'a pas écrit , je ne \ous cache 1 ieu, il ne m'a pas écrit, j
onsieur, il ne m'a pas écrit, je ne \ous cache 1 ieu, il ne m'a pas écrit , je n'ai pas de nouvelles de lui -.j'en aoûts r
de nouvelles de lui -.j'en aoûts reçu une lettre; depuis, je lui ai écrit plusieurs fois sans avoir reçu de ses nouvelles
! eh ! eh ! je ne sais pas. D Lisez donc. - R. Mais ce n'est pas écrit . Fig. 11. Spécimen de l'écriture de Mistral.
aller a Saint-Rémy ? R. C'est une ville mo- dique. 1). SWPZ-VOU5 écrire : ' - R. Ce n'est pas nécessaire d'écrire; il f
o- dique. 1). SWPZ-VOU5 écrire : ' - R. Ce n'est pas nécessaire d' écrire ; il faut attendre le témoin du monde. U. N'av
eu de s'étonner que Briquet ? auquel nous emprunterons tant, ait pu écrire (p. 413) : « Malgré ce qu'en ont dit les auteur
e interprétation basée sur une synonimie défectueuse lui avait fait écrire « qu'on n'en trouve pas d'exemple dans les 350
hystérique aux attaques de sommeil, mais enfin, lorsque Lan- douzy écrit que « cet état syncopal varie de plusieurs minute
sens de ce qu'on lui lit. Copie l'im- primé, peut même spontanément écrire une lettre de quelques lignes, mais son style e
ent; si elles sont toutes deux développées au même degré, il pourra écrire , dessiner, lire. La prédominance, chez lui, de
ez lui, de l'intelligence de la forme, l'entraî- nera à apprendre à écrire et à dessiner, mais non à lire. Si c'est la mém
forme qui tient la tête, l'enfant apprendra bien à lire, mais non à écrire ni à dessiner. C'est aussi du genre du sens de
e dernière émanerait d'une interrup- tion entre le cadre des images écrites et le centre des images phonétiques, lescentres
outre que dans la dyslexie tous les tractus propres à la faculté d' écrire sont intacts (écriture spontanée, écriture sous l
t qu'il serait difficile, en l'espèce, de savoir si la difficulté d' écrire , qui eût pu se manifester, tenait à la dyslexie
a été trop négligée jusqu'à présent. La plupart des auteurs qui ont écrit sur la législation des aliénés, admettent sans
en médecine qui, s'etant distingués par leur enseignement ou leurs écrits sur les maladies mentales, elaient l'objet d'un
Mayence, pour l'engager à collaborer avec lui à cette réforme. Il écrivit une foule de lettres d'un style remar- 1 Le tr
e qui concerne les aliénés traités à domicile (1884); 1 Ainsi que l' écrit l'Annuaire de l'internat, ou encore Dc1'uville, c
ive à tous de lire à haute voix sans savoir ce que nous lisons et d' écrire un mot pour un autre quand nous sommes distrait
des objets usuels. Les premiers jours de son séjour ici, il voulait écrire à Jeanne d'Arc. On lui a présenté un tableau noir
les premiers de cet ordre qui aient été recueillis. M. Keser nous écrivait à la date du 25 mai z1887 : «... Mon observatio
sées. Le cathétérisme évacua 200 gram- ' Depuis l'époque où il nous écrivait , M. Keser a publié l'observation complète de Ch
n'est plus sur- venu d'attaques d'aucune espèce.» Il est vrai qu'il écrit immédia- tement au-dessus : « Il n'y avait eu q
e répéter les mots que l'on prononce devant lui et de consigner par écrit les réponses à des phrases proposées; à côté de
aquin, Ph. Pinel, W. Tuke, Chiarugi, Benjamin Rush, et résume leurs écrits et leur oeuvre. Il prétend que la réforme solen
la nature des relations qui existent entre elles « La demande est écrite et signée par celui qui la forme; elle est visé
huit heures de l'admission. Si l'auteur de la demande ne sait pas écrire , celle-ci est reçue par le fonctionnaire dont le
etsurtout dans la famille. J'ai souvent eu l'occasion de dire qu'on écrivait singulièrement l'histoire dans notre pays. Mais,
nné le temps. Eh bien, le général Lamoricière a une inspiration. Il écrit à Alger : Envoyez-moi des soeurs de charité. Le
our- voir à deux vacances. Les épreuves comprendront une question écrite , éliminatoire dans les cas où le nombre des candi
s Sciences médicales. 1877, t. VII, p. 69. 340 CLINIQUE NERVEUSE. écrivait ces lignes on est parvenu à classer et à com pr
ore été entièrement rendus et c'est à cette occasion qu'elle aurait écrit , il y a quelques années à sa mère. Les règles, se
que âgée aujourd'hui de quarante-neuf ans, ayant appris à lire et à écrire , en allant à l'école du village comme y allaien
'esprit, les altérations du ca- ractère, des sentiments et même ces écrits émotifs particuliers réunis par M. Magnan sous
. Une demande signée par elle est suffi- sante. Si elle ne sait pas écrire , la demande est reçue conformé- ment aux prescr
ue de ce pays en France. Si la demande et le certificat ne sont pas écrits en français, il y est joint une traduction fran
92 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
nous de dire que ce livre est essentiellement élémentaire ; qu'il est écrit pour le commençant ; chose rare dans les publicat
is par ceux-là même qui sont appelés à le lire : il est difficile d' écrire la science avec simplicité ; il est plus dif¬fici
bientôt, à attirer à travers les parois du cylindre la plume qui doit écrire ; la fixant assez pour qu'elle puisse marquer et
de baleine, les plumes de fer ou d'or restaient toutes impuissantes à écrire , à cause de la faible attraction de l'aimant qui
t fidèlement le mouvement inté¬rieur que l'on veut étudier. Si l'on écrit avec l'encre, le papier peut être très-long, 1 mè
r les caractères d'une nouvelle espèce de tœnia, étudiée par 1 Nous écrivons le nom en toutes lettres, pour faire reconnaître
la photographie à la médecine légale. Je n'ai pas la prétention de l' écrire . Je signale seulement son absence à l'atten¬tion
nt pour la reproduction de certaines 1 Voy. Marcé, de la Valeur des écrits des aliénés au point de vue de la séniéio-logie e
DES PARTIES GÉNITALES PAR A. DE MONTMÉJA Dans les auteurs qui ont écrit sur les maladies de la peau, on trouve la descrip
com¬plète, l'histoire de l'eczéma des parties génitales; nous n'avons écrit les lignes qui précèdent que dans le but de réuni
ences sur les animaux a, paraît-il, une efficacité réelle. " Un jour, écrit M. Lortet, j'aidais Bertolus à asphyxier un chien
'histoire des résections. Nous remercions vivement l'auteur d'avoir écrit ce livre destiné, à notre avis, à rendre des serv
n terminant la dernière phrase de l'ouvrage : " J'ai la conviction, écrit M. Bérenger-Féraud, que la méthode, en général, e
éri. " Quand on transporta ces deux malades de l'asile à la prison, écrit M. Kleinwâchter, j'avais peine à croire que le qu
e professeur Sée, reproduit simplement sur ce point ce que nous avons écrit en 1867. * Nous laissons aussi de côté un grand
ent le bibliographe ne peut présenter à ses lecteurs que des ouvrages écrits avec une précipitation regrettable et com¬plèteme
tant à trouver ; trop souvent il en est réduit à analyser des œuvres écrites clans un but plus ou moins mercantile et contribu
. " La perte d'un de ses proches parents auquel il donnait des soins, écrit le professeur Lasègue, lui avait fait sentir doul
encore, puisque, non-seulement il montre ces différences, mais il les écrit , et permet de les calculer, tout en laissant plac
iothèque de tout médecin praticien, parla manièi e élevée dont il est écrit , par la sûreté des conseils qu'il donne, par la c
citations, c'est pour faire comprendre l'esprit dans lequel il a été écrit et montrer que l'auteur distingue dans le traitem
eront dans d'autres circonstances. C'est ce qui fera qu'on parlera et écrira beaucoup encore sur la pathologie et le traitemen
u près la même origine à cette dernière : " La plupart des individus, écrit -il, ont été plus ou moins exposés à l'action réun
s empruntées aux auteurs. Comme le pouls, " la température s'élève, écrit M. Thierry, à me¬sure que la maladie progresse et
93 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
Aujourd'hui, il lit couramment, l'écriture est lisible, et il peut écrire sous la dictée quelques mots usuels, faire des
uelconque, l'ensemble des signes qui nous servent à la désigner par écrit . Nous arrivons ainsi insensiblement à l'enseign
er convenablement une syllabe et à en reconnaître la représentation écrite ; la mémoire visuelle se trouve ainsi exercée p
planchette antérieure, qui est placée au-dessous des tringles, nous écrivons à la craie, au-dessous de chaque tringle, le ch
ant voit ainsi, côte à côte, le nombre concret et sa représentation écrite . Pour donner à l'enfant la première notion de l
i montrons, par exemple, sur la première trin- gle 2 boules et nous écrivons au-dessous le chiffre 2; puis sur la deuxième 3
nt la somme des boules des deux premières tringles, soit 5, et nous écrivons au-dessous ce total. Nous agissons de même pour
ns de même pour la soustrac- tion. Ce boulier sert encore à lire et écrire les nom- bres de plusieurs chiffres, à procéder
est moins fermée, on obtient plus d'attention en classe ; il aime à écrire et commence à former quelques let- tres sur le
tion sont suffi- samment exercés, nous montrons à l'enfant un mot écrit désignant une couleur ; nous plaçons ce mot sur
les chif- fres. Pour ces derniers, nous ajoutons au-dessus du mot écrit autant de bâtons que ce nombre en comporte afin
établir ainsi dans son esprit une relation entre le chiffre, le mot écrit et la quantité. Au tableau de chiffres imprimés
ous commençons donc à faire comprendre à l'enfant le rapport du mot écrit avec un grand nombre d'objets l'environnant ava
malades décédés en 1899 (page 000). " cl Nous essaierons un jour, écrivions -nous dans nos Comptes-rendus antérieurs, de voi
difficultés, l'enfant a fait de réels progrès, elle lit couramment, écrit lisiblement, mais ne fait que l'addition. Tro
par syllabes, fait les deux premières opérations de l'arithmétique, écrit lisiblement, quoiqu'écrivant de la main gauche.
e de M. lo Pré- fel. Pour remédier il l'insuffisance des places,- écrit -il. il serait nécessaire : 1° soit d'ouvrir de
'il commence à lire convenablement mais qu'il a beaucoup de peine à écrire correctement il cause de son tremblement. Il co
istoire familiale de nos malades. En effet, pour Bén..., nous avons écrit aux médecins ou aux directeurs des asiles dans
lèves qui, malheureusement, pressé par les circonstances (1) n'a pu écrire qu'une ébauche imparfaite. Peut-être reprendron
mois; intelligence médiocre ; il a pu cependant apprendre a lire, à écrire , à compter, et à aider élans le métier d'ébénis
il était sujet il des éblouissements très courts qui le faisaient écrire de travers. Ces accidents ont duré un an (de 13 à
tembre. Il se tient assez convenablement il l'école depuis un mois. Écrit correctement l'orthographe usuelle ; sait bien
oujours, souvent du moins, dans le dénument; aujourd'hui encore, il écrit au directeur de l'Assistance publique pour soll
et douches; qu'il nous a rendu des visites si fréquentes et nous a écrit si souvent des lettres, dont le récit qui précè
94 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
logique, car ces malades viennent à l'appui de ce que nous venons d' écrire : syrin- gomyéliques, sans intervention à peu p
ographies de malade dans son Trait' ! de séméiologie, M. Dé- jerine écrit : « Dans la poliomyélite aiguë de l'enfance, la t
e groupe radicu- laire inférieur. Déjà en effet, en 1864, Laborde écrivait dans sa thèse : « Le docteur' Bruniche mentionn
qui a toujours fréquenté l'école, a appris difficilement à lire et à écrire , mais n'a jamais su ni calculer, ni coudre. Son
manifeste qu'elle n'en comprend pas l'in- térêt ni la morale. Elle écrit fort mal,et les spécimens que nous en donnons mon
-car, quoique gaucher, il est ambidextre - pour manger, peindre et écrire . Il lui est difficile de faire du trapèze, et imp
nts que devrait faire normalement l'enfant pour marcher, s'asseoir, écrire , manger, etc. Après un temps plus ou moins long
ionnelle absolue. Les bras ont repris leur fonctionnement, l'enfant écrit , dessine, mal il est vrai, à cause de la négligen
elle Iconographie de la Salpêtrière, M. le professeur Dejerine nous écrit pour nous faire re- marquer que cette question
photographies de malades dans son Traité de sémiologie M. Dejerine écrit : « Dans la polio- myélite aiguë de l'enfance,
que, Gilles de Corbeil, premier médecin de Philippe-Auguste, avait écrit sur la médecine quatre ouvrages en vers latins
'anatomie sur le cerveau et les nerfs, a laissé également plusieurs écrits sur la médecine au nombre desquels se trouve un r
mble lui demander de l'instruire. En face, à droite, un homme assis écrit sur un grand livre. Le second plan représente
depuis (2) ». Un membre de l'Académie des sciences, Nicolas Lémery, écrivait en 1759 : « L'urine de l'homme,-nouvellement re
un écritoire et des plumes. Notre homme est un savant, il lit et il écrit . Assis près de la table, un livre entr'ouvert d'u
pot de phar- macie richement décoré, et sur le devant des plumes à écrire , il se re- tourne pour examiner l'urinai qu'il
enture au bout de quelques semaines. Puis elle essaye la ma- chineà écrire , le ménage, la couture, etc., en 8 ou 9 ans elle
res avoir des crampes des écrivains quand leur métier les forçait à écrire , d'autres avoir des tics des yeux quand leur mé
condition ; sa mémoire est bonne. Cependant il sait à peine lire et écrire ; il n'a jamais eu beaucoup d'entrain à l'école, i
i-même sur les « Pierres de tête » et sur les « Pierres de venlre » écrites en grande partie d'après les documents de ces m
ment incapable de lire. Il ne voit que « du noir sur du blauc ». On écrit son nom et on le lui pré- sente ; il répond : «
ré- sente ; il répond : « C'est quelque chose que j'ai l'habitude d' écrire ... je vois ce que c'est ; mais c'est bisquant !
ire ce que c'est t j'ai le mot sur la langue ! » On lui dit alors « Ecrivez -le vous-même ». Il ne le peut pas, « parce qu'i
vous-même ». Il ne le peut pas, « parce qu'il ne sait ce qu'il faut écrire ». Puis quand on lui dit : « Ecrivez votre nom
parce qu'il ne sait ce qu'il faut écrire ». Puis quand on lui dit : « Ecrivez votre nom », il prend la plume délibérément et
lui dit : « Ecrivez votre nom », il prend la plume délibérément et écrit son nom et son adresse avec la plus grande faci
ait avec promptitude et précision à toutes les questions. Il savait écrire et son écriture était facile et rapide. Mais il
t incapable de rien lire, même son propre nom, même lorsqu'il avait écrit son nom de sa propre main. Il n'y a rien à ajou
ens qui veulent le compromettre avec ses ennemis. « Par ces jeux, écrit -il, 111.M. (un malade) veut m'imposer cette femme
contraste qu'il offre avec d'autres lettres de forme très correcte écrites antérieurement, dénote combien les idées sont d
pète à satiété (verbigération). S'il ne parle guère, en revanche il écrit beaucoup à certains moments. La plupart de ces
en revanche il écrit beaucoup à certains moments. La plupart de ces écrits sont incompréhensibles. Ce sont en général toujou
et Capielo à droite. Voici d'ailleurs un exemplaire de l'un de ces écrits , qui résume en quelque sorte toute l'histoire d
du système nerveux. « La multiplicité de ces productions osseuses, écrit -il, leur disposition symétrique, signalées dans
gauche avec attitude anormale de la tête et du tronc (exten- sion) écrit : « La tête est rejetée directement en arrière, e
i ouvre la marche, vers t'age de 9 ans, lorsque l'enfant commence à écrire sous la dictée, et qui précède de 7 à 8 ans les
roubles de l'écriture Sont moins marqués pour la maiu gauche, qui n' écrit pas en miroir. Alaxie statique. - Le bras gauch
roite. - Dans les mouvements volontaires, quand le malade marche ou écrit , il se produit un spasme tonique et persistant
on et les occupations des malades. Notre jeune fille est gênée pour écrire , mais el.le l'est aussi pour le travail du croc
la malade est d'ailleurs peu intelligente ; elle ne sait ni lire ni écrire , sa mémoire paraît défectueuse. Elle est incapabl
ressemblait beaucoup à celle que nous avons décrite. « Le cervelet, écrit -il, est atrophié considérablement. Les lamelles s
e (1). » Enfin llinsdale (2), dans sa monographie sur l'acromégalie écrit : « Les organes génitaux externes peuvent être
il fait du chef eunuque d'une grande princesse, le même observateur écrit : « C'est un grand gail- lard qui a près de six
xistence est prouvée et dont les difformités sont attestées par les écrits contempo- rains. Les portraits des nains de cou
95 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'expérience qu'il avait acquise par de longues années de pratique, écrivait son Traité de la Chorée , s'écriait dans son Av
manifestaient surtout dans les moments où cette enfant s'exerçait à écrire , écartaient brus- quement sa main des caractère
t involontaires. Peu de temps après, il entra dans un bureau et put écrire malgré ces mouvements jusqu'au mois de janvier-
caments, sont mis en usage, mais infructueusement. « L'af- fection écrit le Dr Lafaurie (du Havre) a résisté chez lui à
u malade de copier et de rédiger des actes d'huissier, il pou- vait écrire et dessiner. Mais durant toute cette année les co
tion ordinaire, dans l'impossibilité presqu'absolue où il était d' écrire . Son maintien particulier ne lui permettait en ou
x mois (mars 1884) il a été obligé de les suspendre à nouveau; il écrit de travers, fait des pâtés. Il oublie de porter d
ibilité, pas de parésie des membres. M. le professeur Pitres nous écrit , en outre, à la date du 27 octobre : « M"° de M
iuu, il répoml : «'l'aisez-vous, folle, stupide bête; si je voulais écrire un mot, demain otis seriez moite». Un jour, s'a
n somme avec elle et émanent de la formation d'un centre des signes écrits 0. Pour lire, il faut que ce centre soit joint
et, par suite, la voie de communication OE qui sert à copier; on n' écrira spon- tanément que si B et E sont unis, mais il
parole réelle, de la lecture articulée, de la faculté de répéter, d' écrire spontanément, d'écrire sous la dictée. Les mala
cture articulée, de la faculté de répéter, d'écrire spontanément, d' écrire sous la dictée. Les malades comprennent encore
ent plus la parole ni l'écriture; ils sont incapables de répéter, d' écrire sous la dictée, de lire à haute voix. Mais ils
haute voix. Mais ils peuvent encore copier, parler spontanément, écrire volontairement (ou plutôtiissont simplementparaph
criture volontaire, pour la fa- culte de répéter, pour la faculté d' écrire sous la dictée, pour la lecture à haute voix.
B empêche la parole volontaire, l'écriture spontanée; mais répéter, écrire sous la dictée, lire à haute voix, comprendre l
ole spontanée, de la faculté de répéter, delà lecture à haute voix. Ecrire spontanément ou sous la dictée, copier, comprendr
ément ou sous la dictée, copier, comprendre la parole et les signes écrits , sont encore possibles (variété d'aphasie tic B
ontaire. Mais les individus atteints répètent, lisent à haute voix, écrivent sous la dictée, sans com- prendre. L'auteur en
la perle de l'in- telligence du mot, de la faculté de répéter, et d' écrire sous la dic- tée. La parole spontanée, l'écritu
ntanée, l'écriture volontaire, l'intelligence des signes du langage écrit , la faculté délire à haute voix et de copier pe
ès une énumération des anomalies anatomiques mentionnées dans les écrits psychiatriques, anomalies observées surles yeux d
sortie de l'hôpital de Lobau. Peu de jours après son admission, il écrit (car il ne peut parler) tous les renseignements
T, 2° édit., 1884.) Cette section de l'histologie récente de Toldt, écrite par M. le professeur Kahler, présente les parti
nier, Bartbomeuf et Garnier, internes provisoires. La composition écrite du concours de la médaille d'or de l'internat d
nt bien souvent héréditaires, » a dit Trousseau. « Cette affection, écrit Beard, est aussi héré- ditaire que la folie ou
fin de vérifier l'exactitude de tous ces renseignements, nous avons écrit à M. le Dr Campagne, médecin en chef de l'asile d
e avec difficulté et présente des troubles de perception des signes écrits (cécité verbale incomplète, cécité musicale com
it le malade méconnaître son entourage, son écriture, et ne pouvoir écrire lisiblement. C'est là de la perte de la vision
n. Les aliénistes ont peu traité ce sujet, et les auteurs qui ont écrit sur la vieillesse parlent en termes vagues d'une
produits. Comme il était facile de le prévoir, leurs composi- tions écrites se sont un peu ressenties de leur négligence à ve
uvements inten- tionnels ; le malade peut donc courir vite, sauter, écrire . Toute émotion, toute excitation augmente les c
r. Milan 1884. Ce livre, dit l'auteur dans sa préface, s'est trouvé écrit presque sans y penser, au jour le jour, au hasa
informer si vous vous proposez de faire une communication orale ou écrite lors de la réunion du Congrès. Vous rendriez la
96 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
a convergence persiste pendant les mouvements qu'il faut faire pour écrire ; il se développe un tremblement tellement fort
patiente a observé tout d'un coup qu'elle pouvait lire des lettres écrites sur les murs, qu'elle ne pou- vait distinguer a
prouvé les premiers linéaments de pseu- do-hallucinations ; avant d' écrire un long travail, il pose les grands points prin
nous ayons besoin de dire dans quel esprit son nouveau livre est écrit : la physiologie et la psychologie expérimentales
acilitent singulièrement, nommément : a) Le lecteur ne peut que les écrire , de même que la note convenue ne peut qu'être t
les lettres. Une des conditions de l'expérience veut que le lecteur écrive ce dont le suggesteur est convenu, évidemment,
l'esprit du suggesteur doivent naître les contours ou les signes écrits répondant au mot, à la figure ou au chiffre cho
tout prêt à exécuter le choc locomoteur préparé pour les rendre par écrit . C'est ce qui a été entièrement confirmé par l'
vidente dans cette direction, d'où je conclus l'intention secrète d' écrire 1, et ma conclusion se trouva être juste. Je co
n carré tracé et qu'il se représentât vivement le chiffre choisi, écrit dans le carré. Il se trouva que, dans des circo
- tionnaires ; les noms de ville, etc. Dans une lettre qu'il nous écrivait à cette époque, il dit lui-même : « J'ai la manie
ns cahier, puis il est resté plusieurs heures dans une journée sans écrire , puis enfin il a cessé toute inscription pendan
epuis son entrée. A ce moment, il ne savait lire que les lettres, n' écrivait que mal et en gros caractères, ne savait pas un m
t, il a fait de grands progrès en lecture et syllabe assez bien; il écrit en caractères moyens, mais l'orthographe est en
et blèse à peine; il fait les»quatre opérations d'arithmétique, il écrit d'une, façon, très lisible, sait un ,peu d'orth
met facilement aux épreuves habituelles de suggestion. On le fait écrire , coudre, etc. On lui fait boire les vins les plus
ne parle de [lui qu'à, la troisième personne, mais il est capable d' écrire correctement mots et yop.< ! h ! e'1 il fait d
un exemple d'ictus paralytique en queslion'(Obs. I.) : « Le malade/ écrit l'au= leur,- tomba à la renverse pour se releve
d aliéniste. Pinel lui rend cet hommage à mainte reprise dans ses écrits , et, puisque les personnes qui bout constamment a
idien et longuement prolongé des boissons alcooliques. Les mémoires écrits très lisiblement en français doivent être adres
la con- fusion faite par tant d'auteurs. Aussi, quand M. Motet a écrit : « Toutes les fois qu'à la campagne, dans un v
, le savant aliéniste ne pose aucun principe général. Il se borne à écrire que la vérité sur cette question comme sur beau
ours après, quand tous s'interrogent et recherchent le coupable, il écrit une lettre compro- mettante qu'il signe du nom
était marguillier; le curé de Binges, d'accord avec sa mère, avait écrit au docteur W... pour lui demander un certificat
son entrée; à ce moment (septembre 43-I), il savait à peine lire, n' écrivait qu'un peu, faisait un peu de calcul, n'avait aucu
ujourd'hui (1884), il sait lire et d'une façon assez expressive, il écrit assez bieu, fait des problèmes sur les quatre o
tate que cet enfant ne sait que quelques lettres, qu'il ne sait pas écrire , qu'il prononce bien et parait avoir un peu de
une heure de durée. Archives, t. X. 25 386 RECUEIL DE FAITS. 8. Ecrit à ses parents un billet où elle demande leur visi
ne attaque avortée, grâce aux suggestions antérieures. 25. - Elle écrit : « Je ne peux m'expliquer les ordres et les dé
Les idées de suicide et d'homicide persistent : « J'é- prouverais, écrit -elle, un plaisir extraordinaire à exécuter ce don
ues, signalés depuis longtemps par la plupart des auteurs qui ont écrit sur le diabète, ont fait l'objet, dans ces dernie
n général aux grands asiles, est un document critique intéressant t écrit par un homme compétent; c'est une pièce important
nonciation rend inintelligible la lecture à haute voix : je ne peux écrire , la main droite étant paralysée. La mémoire, tr
isée, la prononciation très distincte ; il lit parfaitement bien et écrit passablement. Il ignore complètement tous les évé
ais le langage incorrect, impersonnel, enfantin. Il ne sait lire ni écrire ; il épèle seulement les lettres capitales. Son oc
concordent parfaitement. Il sait très bien lire et convena- blement écrire . La mémoire embrasse toute son enfance. Il se r
Le langage est correct, la prononciation nette. Il vit très bien et écrit convenablement. Sa mémoire embrasse toute sa vi
97 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
produisent rapidement l'accoutumance, le véronal, au moment où nous écrivons , après 8 mois d'usage journalier, con- tinue so
he. - Sommeil normal. Mémoire assez bonne. Elle sait un peu lire et écrire ; elle n'a été mise à l'école qu'à 6 ans et a eu
uer. - Elle parle bien, mais lentement. - Elle commence à lire et à écrire ; elle écrit SCLÉROSE ATROPHIQUE hémisphérique.
rle bien, mais lentement. - Elle commence à lire et à écrire ; elle écrit SCLÉROSE ATROPHIQUE hémisphérique. 25 de la m
vertiges. L'enfant a fait quelques progrès en classe : elle lit et écrit lisiblement (de la main gauche). Elle est toujo
re seulement à noter : (1) Nos malades apprennent plus facilement à écrire qu'à lire. (2) On trouvera dans les observation
nées et c'est aux anxieux que je faisais allusion quand, en 188ü. j' écrivais que. dans la mélancolie « les fonctions sexuell
nt pas unanimes. Tl se trouvera des médecins d'a- siles publics qui écriront : « Oui, le personnel médical est suffisant dan
îtrai quelque peu frondeur, peut- être même très audacieux, d'avoir écrit ceci. Il règne encore, dans certains de nos Asi
nvoyé dans un quartier, où l'on ne s'occupera guère de lui que pour écrire ses bulle- tins de santé ; les médecins les plu
iatrie) ; une épreu- ve, toute récente, consiste en une composition écrite sur l'organisation des asiles et sur la législa
er. » Ou bien : « Monsieur, vous aurez : 1° à suivre ma visite et écrire mes prescriptions ; 2° il vous promener dans le ?
la circOl1\oluLion de Dl'oca l1lèlllt', - : J, Le patient pouvant, écrire sous la dictée, le cenlre mo- teur des mouvemen
s, laquelle est une lecture, au même titre que celle des caractères écrits . M. Lionel Dauriac. Les expériences de M. Slump
ue d'éducation spéciale de Rourncvillc. 16G rl;ttGOC;Ir SPÉCIALE. écrire , exercer un métier ; quelques-uns ont une mémoire
m de « génies partiels ». Les faibles d'esprit apprennent à lire, à écrire , à orthographier, ils arrivent à la notion du n
lmulmnain les gendarmes le conduisent en voilure au Blanc ; là, on écrit au Directeur de l'Hospice de Tours qui confirme
fait l'objet des épreuves du concours onL les suivantes : Question écrite : Symptômes et diagnostic de lo cirrhose alruph
langage parlé, il faut faire une place à la stéréotypie du langage écrit . M. dont nous avons rapporté plus haut l'intcr-
ous avons rapporté plus haut l'intcr- rogatoire, sème dans tous ses écrits les expressions la- sorites que nous connaisson
station habituelle d'une originalité accessoire en un mot. Voici un écrit que nous empruntons au dossier de Mme.... - a
endances stéréotypées. Pour en finir avec la stéréotypie du langage écrit , di- sons encore que les signes hiéroglyphiques
e rcliquat d'un ancien délire. Nous en trou- vons la preuve dans un écrit datant du 20 juin 1899 et dont voici la copie :
eux « sous le suis seule sur la terre avec mes petits bras. » Cet écrit marque déjà une certaine tendance à la sté- réo
dans ses sensibilités générale et spéciale. Cette observation était écrite et sur le point d'être publiée quand nous revîm
ase. M. le Dr Boiteux, médecin en chef de la division des femmes, écrit dans son Rapport ; 284 ASSISTANCE ET PÉDAGOGIE.
étaient posées, s'est amélioré d'une façon inespérée. Il peut lire, écrire , Statistique ET enseignement des enfants idiots
Oci, 12 (épreuve de l'écrande f)'< ? 'fs) ? Et'pO't'eMCe 10. - J' écris une phrase au tableau et fais'asseoir Valentine d
re. Expérience 11. de rapproche le tableau à 0,50 cm. du sujet et écris une phrase à la craie rose, avec de grandes lettr
choses inanimées les sentiments des hommes, une bien jolie fable à écrire , celle de la bielle et du déclic : la bielle mé
fin février. Les ouvrages adressés pour ces concours devront être écrits lisiblement,en français ou en latin, ils seront a
s lon- gue ou plus ou moins courte de parésie.Ce qui m'autorise à écrire cela. c'est que nous avons, pour nous éclairer.
ement par M. Dupré dans l'excellent chapitre très complet qu'il a écrit pour le récent Traité de pathologie mentale de
tre service. « Nous avons remarqué que les cerveaux d'épileptiques, écrit M. Anglade, offrent une particularité qui mérit
e. C'estla première année qui donne le plus de décès.» » M. Paris écrit que « le personnel du service, malgré les tliflic
er une place qu'ils avaient faite si grande : « N'est-ce pas à eux, écrivait -il, le jour de sa nomination, que je dois attri
, sous le contrôle judiciaire. « Ce n'est pas une loi à détruire, écrivait -il ; c'est une loi il compléter », et il la mon-
hôpi- taux, auprès de maîtres de Paris. ' ' z Si). John Sibbald a écrit beaucoup dans le Journal TVMZ<M- cet. 11 s'e
comités des asiles d'Ecosse et des Boyards of Lunacy. Tout ce qu' écrivait sir John jouissait d'une grande considéra- lion
98 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
enus. IV. - L'hystérie, maladie mentale. a Nous disons hardiment, écrivait Brachet en 1847, non, le cerveau n'est pas esse
e z. » * L'hystérie n'est qu'une manière de fonctionner du cerveau, écrit M. Sol- lier ; il n'y a pas une maladie hystéri
ique joue dans cette maladie un rôle prédominant 2. « A notre avis, écrivait M. Sollier, il n'y a qu'une sorte d'a- norexie
ques sont unis par un lien étroit ». « C'est parmi les hystériques, écrit M. Donkin, que l'on trouve le plus d'exemples d
dies. « La majeure partie des hystériques, pour ne pas dire toutes, écrivait M. Legrain, sont des héréditaires dégénérées. »
ion ? Le malade pourra penser, pourra comprendre les mots parlés ou écrits mais il ne pourra les prononcer : il aura oubli
licité, il donna sa démission. « C'est une illusion de croire, nous écrivait -il alors, que je puisse m'éterniser dans un tit
feld : c De tous les médecins con- temporains, disait-il, celui qui écrit le mieux, c'est Delasiauve. » Par son dévouemen
établissements dont nous souhai- terions qu'on dotât les campagnes, écrivait -il, devraient réunir le triple caractère d'hôpi
er une partie à ses subor- donnés : il y a des médecins d'asile qui écrivent chaque jour vingt ou trente lettres qu'un scrib
ent chaque jour vingt ou trente lettres qu'un scribe de leur bureau écrirait aussi bien qu'eux : il est clair que le temps l
st interdit de louer comme il conviendrait, dans le recueil où nous écrivons , les admirables progrès réalisés par M. Bournevil
agistrat, il s'est retranché derrière son état de « sujet ». S'il a écrit et em- prunté quoi que ce soit, ce ne peut être
certaines lettres . par d'autres qui ne conviennent pas. Bégaiement écrit et parlé. - ;Faible rétrécissement du, champ vi
ture et les caractères d'imprimerie;' Parle* spontané- . nient' et* écrit aussi, ne peut lire à' haute voix,' répéter ce,qu
écrit aussi, ne peut lire à' haute voix,' répéter ce,qu'on lui dit, écrire sous la dictée, copier, ne saisit pas'les mélodie
er, 'ni écrire') sous -la dictée, s Lit; sans' comprendre;, copie ? écrit (para- graphie). Sorte d'aphasie sensorielle tr
d facilement si l'on admet, avec Wernicke et Dejerine, que l'acte d' écrire est subordonné à la vision mentale et consiste
s qu'il ne peut trouver,' désigne inexactement les couleurs;·lit et écrit incor- rectement des : ! 1ombrest'mais écrit bi
t les couleurs;·lit et écrit incor- rectement des : ! 1ombrest'mais écrit bien les-lettres et'les' mots, copie, 'écrit so
qu'ils décrivent n volontiers. sans vouloir, : les- consigner par, écrit . Un des malades - -finit par dire : « Au fait j
des - -finit par dire : « Au fait je veux,bien lest développer, par^ écrit , car, en somme, je suis dans un asile, et, par
ons sont pleines-et arrondies. Dans une lettre particulière qu'il m' écrit , il me dit : « Il est très peu prouvé que les cer
d'un remède curatif de l'épilepsie. N. B. Les mémoires lisiblement écrits en 176 s BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. latin, en
s de voyage, MM. Debove et Straus, ses amis. La veille au soir il écrivait encore à Mme Charcot une lettre pleine de gaîté
réunissent ses travaux pendant les années 1889 à 45913. On a osé écrire , ignorance ou mauvaise foi, sinon les deux, que
s. Toutes les préoccupations de M. Charcot, dans ces * « Charcot, écrit Arsène Alexandre, était un grand artiste. On le l
moire de la fin de 1892, pensé avec une si haute élévation de vues, écrit avec tant de simplicité et d'élégance, sur La f
der de nouvelles générations. On se rend compte que l'homme qui a écrit ces pages n'était pas fini comme des lettres in
qu'il en soit ainii, il faut qu'ils n'aient rien lu de ce qui a été écrit sur cette question. Qu'ils ignorent les rapport
les malades. A Tournai le travail est plus en honneur ; - 10° On n' écrit pas régulièrement de rapports annuels sur le se
ieur, pour pousser à la construction des pavillons de pensionnaires écrivait ; -, « Les pavillons qui seront alors créés perm
s furent frappés, où vingt et un succombèrent, le médecin-directeur écrivait dans son rapport : « La dysenterie, qui nous
, i['" Il J r...1 rr .;... ' ,, t ., A certaines époques de sa vie, écrit Matthieu Paris en 1571,.il il fait une maladie
autrefois les choses. ' Le cas de ces délinquants n'inspira aucun écrit jusqu'à Lasègue, qui leur donna le nom d'exhibi
fois à peu près. » Voici la relation de son accident textuellement écrite par B... lui-même (l'orthographe seule est réta
et quand j'ai été près d'elle, je l'ai fait. » Ces lignes ont été écrites par B... le jour même de son arrivée à l'Asile
peut, qu'il n'est plus paralysé, qu'il est guéri, qn'il va pouvoir écrire . De mon cabinet il court à l'école qu'il venait
er le bras en écharpe, et au grand étonnement de son professeur, il écrit avec la même aisance, la même facilité qu'autre
ent-elle sourde ? On l'endort, on lui fait lire un papier où l'on a écrit * qu'elle entend » et la surdité s'efface aussi
. Il a perdu le souvenir. Sa mère n'a pas su me dire s'il aurait pu écrire , calculer; elle ne le croit pas, car son intelli-
ort médical de notre ami le Dr Briand : « On ne peut que regretter, écrit M. BRIAND, la mesure prise par le conseil génér
mais sous réserve toutefois que le rapport demandé au lauréat sera écrit et imprimé dans les délais prescrits par le règ
99 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
re elles un ordre, ordre insensible pour les gens qui parlent comme écrivait le Bourgeois gentilhomme, mais appréciable pour
ception la moins générale ; et pareillement de presque tout ce qu'a écrit le Genevois, retranchez-en le dogmatisme, la fo
taire ! Comme conclusion, nous ne pouvons que répéter ce que nous écrivions ailleurs il y a six mois, et insister encore un
porté, allait à l'école, où il apprenait très bien; il savait lire, écrire , compter, mais n'avait que peu de dispositions
et la mémoire n'au- raient pas diminué, cependant il ne savait plus écrire . Les per- sonnes de la maison habitée par la mè
ans il fut envoyé à l'école où il apprit difficilement à lire et à écrire et d'où il fut renvoyé à différentes reprises. De
né, il laissait la monnaie chez le marchand, on était obligé de lui écrire les commissions à faire. Le sommeil est assez b
t libre, relativement facile avec un léger zézaiement. Il lit bien, écrit assez facilement, sait ses quatre règles, le sys-
e celle des enfants de son âge. Il apprit difficilement à lire et à écrire ; sa turbulence, ses taquineries, ses grimaces,
evenir médecins d'asile ne se conten- tent pas de faire une demande écrite ; ils viennent faire des démarches à Paris. En s
teurs généraux indique qu'il y aura deux épreuves : 1° une question écrite , éliminatoire dans le cas où le nombre des cand
article : Les épreuves seront au nombre de quatre : 1° une question écrite , portant sur l'anatomie et la physiologie du sy
e donnés au début de la première séance de lecture des compositions écrites .. La Commission a pensé que le concours pour le
VI. Les épreuves seront au nombre de quatre : 1° une quels- tion écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du systè
nés au début de la première séance de la lecture des compositions écrites . 9 mai 1888. Le rapporteur, Bourneville. II
100 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
vivant et en bonne santé, ni les lettres que le maçon lui-même lui écrivait , ne réussissaient à atténuer cette idée déliran
s vu, M. H. Meige, se rapportant aux associations de l'infantilisme écrit : « La plus fréquente de ces associations est le
entourée d'une zone rouge hyperhémique. De cette façon je pourrais écrire le nom du garçon sur sa peau. Cet oedème linéaire
ères imprimés, elle commence A. B. C ; de D elle va à H ; ne sait pas écrire . Elle fait preuve de certains sentiments afl'ec
athieu dont les deux premiers regardent avec des lunettes une carte écrite ; le dernier a des bésicles bas placés sur le n
eté, On garde dans la bibliothèque du Vatican un recueil de poésies écrites de sa propre main ; les trois dernières pages r
sente une faiblesse particulière. La malade s'en sert toujours pour écrire , mais en tout autre but emploie sa main gauche. C
e le frère aîné et la soeur étaient de bons élèves. R... sait lire. écrire et compter; élève médiocre cependant. Man- quai
jal, qui avait d'abord considéré cette formation comme normale, m'a écrit dernièrement qu'il ne l'a pas retrouvée chez de
différence. On bien encore il rit en parlant de ses deuils, etc. Il écrit sans incoordination des mouvements, mais l'écritu
mots erronés. C'est ainsi que pour 1864, année de sa naissance, il écrit 1900 mais il s'en aperçoit et corrige ; pour fair
attoir, plu- mes, etc... Parfois, les tics des doigts l'empêchent d' écrire . Très émotif de- vant ses chefs il « bafouille
nt dans son Traité sur les maladies de la moelle épinière lorsqu'il écrit : « Je ne saurais admet- tre, comme le font la
eur configuration et de leur dissémination. La même année, P. Marie écrivait dans le Progrès médical : « La sclérose en plaq
le même chez les « lettrés musicaux », chez ceux qui savent lire et écrire la musique, et qui ont éduqué, en plus, l'exécuti
normalement les autres formes du langage musical : il chantait, il écrivait la musique, il exécu- tait et il comprenait, co
e bonne connaissance de la musique, afin de pouvoir lire vite, bien écrire , et même corriger les fautes qui peuvent être é
iger les fautes qui peuvent être échappées à celui qui a composé ou écrit la partition. En septembre 1883, après des excè
s qui composent le chant ; 4° l'agraphie musicale : impossibilité d' écrire les no- tes ; 5° l'alexie musicale : impossibil
s jouer un instrument). \ I Agraphie musicale (il ne peut ' ^ pas écrire de musique). Ces auteurs décrivent les divers t
er les notes. Proust parle d'exemples analogues (malade qui pouvait écrire la musique et était incapable de la lire) ; Finke
tale ; il y a des agraphies partielles. Quelques malades ne peuvent écrire une seule lettre et ne savent que tracer des lign
eule lettre et ne savent que tracer des lignes informes, d'au- tres écrivent des lettres séparées ou coordonnent des syllabes;
parées ou coordonnent des syllabes; d'autres enfin arrivent jusqu'à écrire des paroles sans signification. Enfin, il y a d
sans signification. Enfin, il y a des agraphiques qui, incapables d' écrire les lettres,peuvent écrire les chif- .fres. Jol
il y a des agraphiques qui, incapables d'écrire les lettres,peuvent écrire les chif- .fres. Jolly cite un agraphique ne po
peuvent écrire les chif- .fres. Jolly cite un agraphique ne pouvant écrire qu'en caractères arabes. Bouillaud parle d'un m
actères arabes. Bouillaud parle d'un musicien qui pouvait seulement écrire la musique qu'il avait lui-même composée. (1)
s motrices graphiques. Ce qui déter- mine l'impossibilité absolue d' écrire ou de dessiner, soit spontanément, soit sous di
me temps que celle du dessin volontaire ou copié et de la faculté d' écrire les chiffres. 3 Interruption des communications
ensoriels (auditifs et visuels) ou de leurs éléments moteurs (oral, écrit et mimique), la corrélation est visible en tous
de méditer' un peu sur la question pour comprendre que le musicien écrit et entend des notes comme le mathématicien ente
musicien écrit et entend des notes comme le mathématicien entend et écrit des chiffres ou des signes algébriques ; le méc
ou des signes algébriques ; le mécanisme psychologique de celui qui écrit ou lit des mé- lodies ou des harmonies est le m
it ou lit des mé- lodies ou des harmonies est le même que celui qui écrit ou lit un pro- blème mathématique. Il est vrai
1° Compréhension de la parole parlée. 2° Compréhension de la parole écrite (lecture). 3° Parole articulée volontaire. 4°
ompréhension de la musique entendue. 2° Compréhension de la musique écrite . 3° Chant volontaire. 4° Ecriture musicale.
. 7° Ecriture d'une phrase musicale entendue. 8° Copie de musique écrite . 9° Exécution instrumentale. 10° Notion du ry
ilitique. C'était un aphasique moteur (impossibilité de parler et d' écrire ), sans aphasie sensorielle (le sujet con- serva
(le sujet con- servait l'audition verbale et la lecture des paroles écrites ). Son langage (t) i\¡OH8LLI, Semeiolica, vol. I
ète (impossibilité de chanter et de pincer la guitare ; le malade n' écrit pas la musique, mais il a de l'agraphie ordi- n
te, ses'réponses logiques et comprénensibles, sa mère lui enseigna à écrire et à lire ; son écriture était bien lisible et
quittant celle-ci pour saisir le scalpel ou l'ébauchoir, vous avez écrit , des- siné, gravé, sculpté l'histoire de ces de
ans, elle est restée à l'école. Elle y a appris à lire et un peu à écrire ; mais est toujours restée très en retard. Son in
incapable de la plus simple opération de calcul ; elle ne sait pas écrire sous la dictée un nombre de 3 chiffres. Pour ré
te époque également, il remarqua que son écriture se modifiait : il écrivait moins facilement et moins vite. Il travaillait
e doigt tombe à droite ou à gauche du but désigné. Le malade peut écrire avec un crayon, mais son écriture est altérée, he
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