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1 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
Mans... - (3) Car... l'opel... Delp... - (4) Pop... Jacq... Petite ÉCOLE . V seul et dit papa, maman. Il marche seul depu
fant de ce groupe marche sans aide, il doit être envoyé à la Petite École , d'abord pendant une heure ou deux, puis toute
nnue et que nous avions été obligé jusqu'ici, de maintenir dans les écoles , où ils étaient une occasion de trouble, qu'ils
s gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou non, mais valides (Petite École ). - Ces enfants fréquentent la petite école, co
n, mais valides (Petite École). - Ces enfants fréquentent la petite école , confiée exclusive- ment à des femmes. Dans le
s dans une des sections d'adultes et 10 ont été envoyés à la grande école . · Sur 140 enfants qui restaient à la petite éc
oyés à la grande école. · Sur 140 enfants qui restaient à la petite école au 31 décembre 1901, 9 ne mangent pas seuls, 60
3) Lesu ? Guya ? Boul ? Brant ? Via.. Gabor ? Copp ? Georg.. PETITE ÉCOLE . VII l'Administration des économies notables
trop infirmes, n'ont pu y prendre part. Quinze enfants de la petite école et de la petite école) complémentaire, dont nou
u y prendre part. Quinze enfants de la petite école et de la petite école ) complémentaire, dont nous allons parler plus l
rs, imprimeurs, serruriers, menui- siers et jardiniers. La petite école comprend : 1° le traitement du gâtisme, exposé
ifs à l'enseignement primaire ; 6° les leçons de choses, soit à l' école , soit dans les jardins (avec le tableau roulant
ci quelques détails sur plusieurs des enfants améliorés à la petite école , par DZ"°9 Blanche Agnus, Amandine BoHAiN et le
rés et épileptiques (Voir les fig. 7 à 51 de ce Compte-rendu Petite ÉCOLE . JX commence à assembler les lettres, et à trac
ubarbe, Quinine, Gentiane, Sucre, Sel Poudre de Quinquina. PETITE ÉCOLE . XI tique. De pleureur qu'il était autrefois,
is il habille et déshabille les autres enfants de la salle ; PETITE école . xiii il cire leurs chaussures. Il reconnait et
me Athénais Bohain, sous-surveil- lante à l'infirmerie. ok Petite école complémentaire. Cette école est confiée à M"10
veil- lante à l'infirmerie. ok Petite école complémentaire. Cette école est confiée à M"10 BONNET, femme d'un grand dév
la surveillance des deux dortoirs où couchent les enfants de cette école , au nombre de 40. Elle a été remplacée par Mm0
aime beaucoup le chant et fredonne les airs qu'il entend. Petite école complémentaire. xv 5o, tio, j,. Nos microcéphal
notre service de Bicêtre, depuis 20 ans et il l'Institut médi- xvi École complémentaire. ne se sont pas ulcérées comme l
pour les foulures, les entorses, les tumeurs hémorroïdales, etc. ÉCOLE COMPLÉMENTAIRE. XVII désintéressement ; cela no
a été fait allusion dans les dernières notices sur les enfants de l' Ecole complémentaire à l'emploi des mots imprimés. No
u corps, de la vêture, des objets du réfectoire, du dortoir, de l' école , les animaux, etc.. Bien que l'enfant ne parle
développe- ment physique venant, les enfants passent iL la grande école (1). III. Enfants propres et valides, imbéciles
s, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non (Grande école ). - La population de cette école était de 166 e
ques et hystériques ou non (Grande école). - La population de cette école était de 166 enfants le 1 ? janvier. 1901. Tous
certificat d'études, forment une division supérieure, ne vont il l' école qu'une demi-journée par semaine et rcstent, les
s adultes. (2) A ce même examen, 7 infirmiers et 3 infirmières de l' École d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre ont ég
ucation DES maîtres. XXI ainsi que les sous-employées attachées aux écoles (section de Bicêtre et Fondation Vallée), afin
par séries, à l'Institution Nationale des jeunes aveugles et il l' Ecole Braille, dépendant du département. Leur devoir
é successivement de fous les enfants. Il a divisé ceux de la petite école , de lapetite école complémentaire et ceux de la
fous les enfants. Il a divisé ceux de la petite école, de lapetite école complémentaire et ceux de la grande école en tr
tite école, de lapetite école complémentaire et ceux de la grande école en trois sections. - Presque tous les enfants qui
M. L ? NI)OS,-3E, un de nos instituteurs. 130 enfants de la grande école et 15 de la petite école y prennent part; sur c
nos instituteurs. 130 enfants de la grande école et 15 de la petite école y prennent part; sur ce nombre, 107 savent dans
x visites du samedi, aux cours d'anatomie et de phy- siologie des Écoles d'infirmières de Bicêtre et de la Pitié. Enfin
énumérées plus haut donnent une idée suffisante. Dans les petites écoles et la grande école, on doit sans cesse s'occupe
donnent une idée suffisante. Dans les petites écoles et la grande école , on doit sans cesse s'occuper de la guérison de
Epilepsie (guérie) (1). Cet enfant, passé de la petite à la grande école en septembre 1900. L'amélioration déjà obtenue
d), li ans. - Idiotie et Epilepsie. - Cet enfant admis il la grande école (2me classe) en décembre 1901 a fait des progrè
13 ans. - Imbécillité, épilepsie. - Entré en mai 1901 il la grande école , ne sachant pas syllaber. Est arrivé à lire à p
, au contraire, les inciter à introduire progressivement dans les écoles primaires les procédés qui composent notre méth
es et distractions. - Les enfants de la grande et ceux de la petite écoles , qui sont propres, ont continué, comme les anné
aux pains d'épices, etc. -Les enfants de la petite et de la grande écoles ont été conduits, par groupe, il l'Exposition d
aître, M. lflARI.CI-IALL : 1T, ont visité dans tous ses détails l' école Estienne. Jusqu'ici nous nous sommes contenté d
la Mi-Carême. Les enfants forment trois groupes : un de la grande école (19 déguisés), un de la petite école (43 déguisés
rois groupes : un de la grande école (19 déguisés), un de la petite école (43 déguisés), un de la petite école complément
(19 déguisés), un de la petite école (43 déguisés), un de la petite école complémentaire (20 déguisés). Les costumes sont
. Comme d'habitude, cette opération a été faite par les élèves de l' École d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre, sous
encore la pose, dans les réfectoires de la petite et de la grande école , de bouches de chaleur, sur les côtés latéraux,
, étudiant en médecine, à Paris; Melle E. Devaux, directrice de l' école des enfants à l'asile d'aliénés de Saint-Yon ;
sseau ; Melle Corner, de Londres;M. Iligoutchi, profes- seur il l' École normale supérieure de Tokio ; - z Mme Kauffmann
ilitaire Saint-Nicolas, à Saint-Pétersbourg; - Dr Ley, médecin de l' école d'enseignement spécial à Anvers ; - M. : \renie
, privat-docent, de Vienne ; - M. Paul Passy, directeur adjoint à l' école des Hau- tes Etudes, de Paris ; - D`' Rubrah, d
déléguée du Gouvernement de la République argentine pour études des écoles pratiques ; Dr Vitek, de Prague ; IY Zakaroff,
uveau chef d'atelier nous insistons pour qu'il suive les cours de l' Ecole d'infirmiers. En contact avec des malades sujet
es de tabac, Palmarès, relevés de points, présences, etc., pour les Ecoles municipales -d'infirmiers et d'infirmières. Feu
-d'infirmiers et d'infirmières. Feuilles d'alphabet, etc., pour les Ecoles de Bicêtre et de la Fondation Vallée. Travaux d
lement comparables a ceux de l'orphelinat Prévost à Cempuis et de l' école à à Monté- vrain, par exemple, où les apprentis
jours-là et les jours qui suivent, ils ne peuvent travailler ni à l' école , ni à l'atelier. Un autre fait qui contribue à
T et MARQUET; et 10 infirmières de jour aidant les mai- tresses d' école après avoir terminé le nettoyage de leurs dorto
vices (1). (1) Les infirmiers et infirmières vont le 00;00 soit à l' école primaire (3 fois par semaine), silt aux cours p
de la Brosse, en 1635, ne fut, pendant quelque temps, qu'une simple école de botanique. Un siècle plus tard, Buffon y ajout
re aux élèves les plus méri- LEÇONS DE CHOSES. LXXVI tants de nos écoles primaires, d'aller faire des excursions à Diepp
en conduisant, à certains jours, les élèves les plus avancés de nos écoles visiter les ménageries, les collections de tout
sibles, dans les meilleures conditions possibles, aux enfants des écoles municipales et des écoles primaires libres. Sig
res conditions possibles, aux enfants des écoles municipales et des écoles primaires libres. Signé : Bourneville, Asseline
en deux catégo- ries : a) les enfants valides qui sont envoyées à l' école durant une partie de la journée; b) les enfants
eure actuelle, elle est en bonne voie d'amé- lioration. Elle aime l' école , connait les lettres, les chiffres et commence
qu'à la section de Bicêtre. Les améliorations réalisées dans les écoles des garçons sont introduites immédia- tement à
ment; 38 ne savent pas manger seules. 179 enfants ont fréquenté l' école et ont été exercées a la gymnastique des échell
C . DFCs. Section III. - Assistance et enseignement. Classes ou Écoles spéciales pour les enfants arriérés. Communicat
e. Ce moyen est trouvé : ce sont les Classes spéciales annexées aux écoles primaires ou mieux les Ecoles spéciales pour le
les Classes spéciales annexées aux écoles primaires ou mieux les Ecoles spéciales pour les enfants arriérés . Vous conn
t au sujet de la statistique des enfants arriérés existant dans les écoles primaires de la ville de Paris, et notre répons
iérés, rapport au Congrès national d'assistance de Lyon. Classes ou écoles spéciales. CVII enfants arriérés en Italie, asi
enfants arriérés en Italie, asiles-écoles, classes spécia- les ; - Ecole spéciale pour enfants arriérés à Amster- dam .
intenant de nouveaux documents sur les pro- grès des Classes ou des Écoles spéciales pour les enfants arriérés dans différ
ment les médecins et pédagogues... au-delà de nos fron- tières. Écoles spéciales pour enfants anormaux ; Par le D' SAM
n DES IDIOTS. relatif à la sélection pratiquée parmi les élèves des écoles par les autorités locales, dans plusieurs ville
s et absolument distincts des idiots et organisaient pour eux des écoles spéciales, ou des classes spéciales dans les éc
pour eux des écoles spéciales, ou des classes spéciales dans les écoles les plus nombreuses. Le ministre insistait part
stait particulièrement pour qu'on n'admit pas les idiots dans ces écoles spéciales, les idiots relevant des asiles quant
les enfants spéciaux, anormaux, qui sont « poids mort » dans une école , leur peu de disposition il assimiler les metta
n spéciale de soumettre à l'examen médi- cal tout enfant envoyé aux écoles ou aux classes de sujets anormaux, afin qu'on p
arrêté se terminait par une demande de rapports des Inspecteurs des Ecoles , affectés à un district possédant des établisse
de cette enquête, qui établit que 18 villes de Prusse possèdent des écoles ou des classes spéciales, où sont traités les s
rs, 21 institutrices; et un total moyen de 24 heures de travail par école . - Le rapport scolaire de 189G c w late que les
es enfants arriérés et épileptiques, des enfants normaux dans les écoles de la Grande-Bretagne. Le rapport de la commis-
tons encore, ce fait bien établi, que 1 pour 100 des enfants de nos écoles publiques, a besoin d'une édu- cation spéciale
t la raison d'être d'une surveillance médicale auto- risée dans nos écoles publiques, car il est évident que nous devons f
es éducateurs du premier âge, s'occupant d'enfants normaux dans les écoles maternelles publiques, sont parfaitement en mes
ur plus bas-âge, eussent été très amé- liorés. Les instituteurs des écoles spéciales doivent être rompus à leur métier, qu
maintenant les meilleures méthodes d'éduca- tion employées dans nos écoles . La base du traitement pédagogique doit être ad
coup de raisons plaident en faveur de l'éducation physique dans les écoles dont nous nous occupons. C'est maintenant un fa
enant un fait bien connu qu'une forte proportion des enfants de nos écoles a une vision défectueuse : la myopie est la plu
nt en faveur de la présence nécessaire d'un médecin dans toutes les écoles d'arriérés, dès que l'instituteur découvre une
en, j'estime, en fin de compte, que nombre d'enfants venus dans nos écoles , arriérés, défectueux au point de vue mental, p
ciaux. Il est évidemment impossible de multiplier il l'infini les écoles spéciales pour arriérés ; pourtant on doit veille
s lois du développement sont enseignées, depuis longtemps, dans les écoles de tous degrés : primaires, secondaires et supé
du D' E. M. tlartewell, clirecleurde l'éducation physique, dans les écoles publiques de Boston. Classes spéciales. cxix
ne l'éducation mentale, manuelle et physique. Nous estimons que ces écoles spé- ciales doivent être établies au rez-de-cha
conde en résultats. L. E. MOREL § I. Allemagne. Sous ce titre : Écoles d'assistance pour les alTié- rés, leur importan
e générale et met en relief la portée scientifi- que et sociale des Écoles spéciales pour les enfants arriérés. Voici cett
he, ou engagées dans de dangereuses voies. Elles débarrasseront les écoles ordinaires du poids mort des arriérés. Les nouv
de plus que l'Allemagne est en avance sur nous au point de vue des écoles spéciales pour enfants arriérés puisque, dès 18
nous en dévoilent le fonctionnement. D'abord ne sont reçus dans ces écoles spéciales que des enfants ayant sans succès fré
spéciales que des enfants ayant sans succès fréquenté deux ans les écoles communales. Chaque élève a une feuille individu
nfants à connaître leur nom, puis les parties du corps, ensuite l' école , la rue, la ville, le nom des objets familiers, l
la main. Les punitions sont réduites au minimum. A sa sortie de l' école spéciale, l'élève n'est pas perdu de vue. Le go
nale également aux conseils de révision les conscrits sortis de ces écoles spéciales, de sorte que l'autorité militaire es
n des médecins d'éco- le peut seule permettre de découvrir dans les écoles ordi- naires les arriérés de toutes soi lis et
soi lis et les idiots à diriger soit dans les asiles, soit dans les écoles spéciales. Classes spéciales. cxxiii Il. Angl
rre. I, L'éducation des enfants arriérés devant les comités des écoles . 18chool Roard Ga;ctte, April 1900.) PAR le 1
à l'année 1863 ; le point de départ a été Ilalle, en Allemagne. Des écoles répondant à ce but, furent ensuite fondées à Dr
sde, Leipzig et Bruns- wick. En 1896 on ne comptait pas moins de 30 écoles spéciales, avec un personnel enseignant de 115
. L'auteur rappelle les rivalités courtoises entre le Conseil des Ecoles de Londres et le Conseil de Leicester, au sujet
nseignement des arriérés, et la conclusion en faveur du Conseil des Ecoles de Leicester qui ouvrit la première école spéci
en faveur du Conseil des Ecoles de Leicester qui ouvrit la première école spéciale (la lro en Angleterre) en avril 4S`l ?
grands centres manufacturiers. Les dépenses occasionnées par les écoles spéciales doivent paraitre nécessairement élevé
écessairement élevées comparativement aux frais qu'occasionnent les écoles ordinaires (le tableau comparatif présenté par
ec plaisir, que le gou- vernement se propose d'allouer, dans chaque école spéciale et par unité, une subvention moyenne d
total d'heures libres aux écoliers ; car, bien que l'atmosphère des écoles spéciales soit généralement préférable - physiq
s ont l'avantage de l'adjonction d'une compétence médicale dans les écoles et que l'état physique des enfants a une telle
édition. Classes spéciales. cxxv II. Classes spéciales dans les écoles pour jeunes débiles mentaux, PAR le D' CII1VVIN
lleurs dans les classes spéciales que dans les classes annexées aux écoles primaires; et le Dr Channing termine on plaidan
neville, Voici quelques renseignements sur le fonctionnement de l' école d'enseignement spécial d'Anvers. C'est une écol
ctionnement de l'école d'enseignement spécial d'Anvers. C'est une école qui a été créée pour les enfants arriérés et no
ns les éco- les ordinaires ne peuvent donner de bons résultats. L' école d'Anvers en est à sa troisième année d'existence.
t lui-même son diplôme d'institu- teur, cstattaché spécialement à l' école . Il y a un laboratoire où les enfants peuvent ê
tte erreur). Prochainement des bains-douches seront installés à l' école . La gymnastique est enseignée une demi-heure jo
s- sion manuelle. Il existe une oeuvre post-scolaire spéciale à l' école , c'est la « section anversoise de l'école d'ens
ost-scolaire spéciale à l'école, c'est la « section anversoise de l' école d'enseignement spécial » C1XVIII Traitement ET
de patronage, s'occupe du placement des enfants à leur sortie de l' école . Voila, honoré confrère l3ourncville, les princ
lle, les principaux ren- seignements que je puis vous fournir sur l' école d'Anvers. Je pense que dans votre propagande, q
t-être intérêt à remplacer l'expression « classes spéciales » par « école spéciale ». A Bruxelles, en Allemagne, en Holla
à expérimenté les classes et partout- on est devenu partisan des écoles spéciales. Autant, je pense, demander une insta
croire en mes sentiments bien dévoués. Docteur LE ? Médecin de l' école d'enseignement spécial d'Anvers. Bruxelles, le
ce Comme vous le savez, c'est le 1er mai 1897 que s'est ouverte l' école d'enseignement spécial de Bruxelles. A la fin d
commence à porter ses fruits. Ainsi, Bruxelles, qui n'avait qu'une école pour garçons arriérés, fonde en ce moment des c
ire, en attendant que ses ressources lui permettent de fonder une école d'instruction spéciale à leur usage. A Ixelles,
A Ixelles, la question est résolue affirmativement, en principe. L' école s'ouvrira dès que le budget le permettra. Saint
pour faire dresser la statistique des malheureux auxquels aucune école ne peut être ouverte en Belgique. Il est vrai qu'
tu- tion distincte. Elles sont provisoirement installées dans les écoles publiques des divers quartiers de la ville. On ne
oard comprend quatre éta- blissements : 1° Garnie Bakkehus, asile école (200 pupilles des deux sexes, situé à Copenhagu
utland (à env. 15 kil. de Vejle). Kellers Austalt comprend un asile école et un atelier de travail pour environ 600 pupil
dico-pédagogique des enfants arriérés dans des classes ou mieux des écoles spéciales. Les caté- gories qu'on y reçoit sont
omme un « poids mort » sont envoyés, après examen médical, dans les Ecoles spé- ciales. Leur observation, ou feuille indiv
ois votre voeu en faveur de la Création de Classes spéciales ou d' Ecoles spéciales pour les Enfants arriérés. (li En 180
tre le mieux possible nos malades, les maî- tres et les maîtresse d' école , nos infirmiers et nos infirmières nous fournis
épétition du même mouvement. Signes de la mort. Tous les ans, à l' école d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre, comme
ole d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre, comme dans les autres écoles , il est fait une leçon sur les signes de la mor
à quatorze mois. - Pas de convulsions. A six ans, M... fréquente l' école ; elle y aurait été heureuse sauf dans la derniè
r. Elle paraissait calme. Immédiate- ment avant la chute, étant à l' école , elle dit à sa voisine : « Je n'y vols plus bie
es, s'est améliorée sous tous les rapports. Elle travaille bien à l' école , fait parfois la classe à des compagnes moins a
quents, jusqu'à cinquante ( ? ) par jour avant l'entrée. Renvoi des écoles . Placements multiples en appren- tissage. - Acc
rs de la difficulté pour apprendre; on le change à chaque instant d' école : partout on se plaint de ses mensonges (dès l'
a pour une fête organisée, nous dit-il, par les anciens élèves de l' Ecole Centrale. 11 écrit même à son frère à cette inten
face à quatorze mois, qui ont laissé des cicatrices; plus tard, à l' école , ses camarades se mo- quaient d'elle, ce qui l'
blisse- ment attribué par les parents à la mauvaise hygiène de- l' école et à l'ardeur qu'apportait l'enfant au travail. A
ile d'enfants et continue se bien porter. A sept ans, on la met à l' école commu- nale. A partir de cette époque, l'enfant
d l'air confiné de la classe, car, l'enfant était-elle retirée de l' école pendant un mois ou deux, sa santé redevenait fl
te il ses camarades. Malgré cela, elle continue à travailler à l' école , il l'ouvroir, au repassage. Les régies n'ont par
s mois; elle s'accen- tue progressivement, Marguerite travaille à l' école , à l'ouvroir, est affectueuse, mais se mêle dif
. - Respiration, digestion, régu- lières. ' ' Elle a été mise à l' école pendant trois semaines : « J'ai été obligée de
la vie conjugale qui était devenue impossible et habita dés lors l' école où elle ensei- gnait, à St. Yriex. Un jour, pen
fit pour aller voir sa famille, son mari pénétra par ruse dans l' école , enleva tout le mobilier et le vendit pour se fai
CE XI. De l'emploi de la subvention départementale spéciale aux Ecoles d'enfants arriérés, aux Ecoles d'infirmiers et
bvention départementale spéciale aux Ecoles d'enfants arriérés, aux Ecoles d'infirmiers et infirmières et aux Bibliothèque
des aboutissent promptement et. afin d'aider à la création de ces écoles , nous vous proposerons de voter une subvention
la colonie des jeunes idiots, pour l'amélioration du matériel de l' école 1.380 » Subvention aux écoles d'infirmiers et i
pour l'amélioration du matériel de l'école 1.380 » Subvention aux écoles d'infirmiers et infir- mières de Bicêtre et de
hacune, ci 2. 000 » Budgets DÉRIRTENIENTAUX. t79 : Subvention aux écoles d'enfants idiots et épileptiques de Bicêtre et
our sub- vention à l'Assistance publique en faveur de chacune des Ecoles d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre et de la
proportion de 1.000 fr, soit ensem- blé 2.000 fr. De chacune des Ecoles d'enfants, idiots et épi- leptiquesdes mêmes qu
doit être répartie delà manière suivante : 1.OUI1 fr. a chacune des Ecoles d'in- firmières et d'infirmiers de Bicêtre et c
cle la Salpêtrière, ensemble 2.000 fr. ; - 2.000 fr. à chacune des Ecoles d'enfants idiots el épileptiques des mêmes étab
. VII, art. 4). Il s'agit d'un crédit de 7.000 fr. (Subventions aux Ecoles d'infirmiers et d'infirmières cle Bicêtre et de
icêtre et de la Salpêtrière et aux biblio- thèques des aliénés, aux Ecoles des enfants idiots et épilep- tiques de ces deu
tion à l'Assistance publique 7.000 fr » Ce crédit est destiné aux Ecoles d'infirmiers et d'infir- mières laïques de Bicê
ers et d'infir- mières laïques de Bicêtre et de la Salpêtrière, aux Ecoles d'enfants idiots et épileptiques, enfin aux Bib
Art. 4, BUDGETS DE l'Assistance publique. 181 pour subvention aux écoles de Bicêli'e et de la Salpêtrière a été employé
affectation, c'est- à-dire dans le but d'améliorer la situation des écoles d'enfants, des écoles d'infirmières et non de f
dire dans le but d'améliorer la situation des écoles d'enfants, des écoles d'infirmières et non de faire face aux dépenses
oles d'infirmières et non de faire face aux dépenses régulières des Ecoles et desbiibliothèques auxquelles l'Administratio
1880. Recettes. (p. 28.) Sous-chapitre XXX. Subventions pour écoles d'infirmiers et infirmières laïques de Bicêtr
s-cha- pitre. Frais de bureau et de cours du crédit alloué pour écoles d'infirmiers et d'in- lirmières ........ 7.700
Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in- firmiers, d'enfants idiots et épileptiq
- des en- fants idiots, et pour contri- bution aux Dépenses des Ecoles municipales d'infir- miers et d'infirmières laï
Recettes. (p. 30.) Sous-chapitre XXXII bis- Subventions pour écoles d'infirmiers et infirmières laïques de Bicêtr
s-cha- pitre. Frais de bureau et de cours du crédit alloué pour écoles d'infirmiers et d'in- firmières ........ 7.000
Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in- firmiers, d'erifants idiots et épilepti
Subvention départemen- tale pour Bibliothèque d'a- liénés, pour écoles de sen- fants idiots, et pour contri- bution
s de sen- fants idiots, et pour contri- bution aux Dépenses des Ecoles municipales d'infir- miers et d'infirmières lai
Recettes. . (p. 28.) , Sous-chapitre XXXIV. Subventions pour écoles d'infirmiers et infirmières laïques de Bicétr
s-cha- pitre. Frais de bureau et de cours du crédit alloué pour écoles d'infirmiers, et d'in- firmières ........ 7.000
Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in- firmiers, 'd'enfants idiots et épilepti
Subvention départemen- tale pour Bibliothèque d'a- liénés,, pour écoles des en- fants idiots, et pour contri- bution
des en- fants idiots, et pour contri- bution aux Dépenses .des Ecoles municipales d'infir- miers et d'infirmières laï
86, Recettes. (p. 28.) Sous-chapitre XXXIII. Subventions pour écoles d'infirmiers et infirmières laïques de Bicêtr
clia- pitre. Frais de bureau et de cours du crédit alloué pour, écoles d'infirmiers et d'in- firmières 7.000 fr. 184
Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèques des écoles d'in- firmiers, d'enfants idiots et épileptiq
Subvention départemen- tale pour Bibliothèques d'a- liénés, pour écoles des en- fants idiots, et pour contri- bution
s des en- fants idiots, et pour contri- bution aux Dépenses des Ecoles municipales d'infir- miers et d'infirmières laï
1888. Recettes. (p. 28.) Sous-chapitre XXXV. Subventions pour écoles d'infirmiers et infirmières laïques de Bicêtr
s-clm- pitre. Frais de bureau et de cours du crédit alloué pour écoles d'infirmiers et d'in- firmières 7.000 fr. Bud
Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in- firmiers, d'enfants idiots et épileptiq
Subvention départemen- tale pour Bibliothèque d'a- liénés, pour écoles des en- fants idiots, et pour contri- bution
s des en- fants idiots, et pour contri- bution aux Dépenses des Ecoles municipales d'infir- miers et d'infirmières laï
890. Recettes, (p. 28.) Sous-chapitre XXXVI. Subventions pour écoles d'infirmiers et infirmières laïques de Bicêtr
-clia- pitre. Frais de bureau et de cours du crédit alloué pour écoles 'd'infirmiers et d'in- firmières 7.000 fr Bud
Subvention du départe- mcnt de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in- firmiers, d'enfants idiots et épileptiq
Subvention départemen- tale pour Bibliothèque d'a- liénés, pour écoles des en- fants idiots, et pour contri- bution
s des en- fants idiots, et pour contri- bution aux Dépenses des Ecoles municipales d'infir- miers et d'infirmières laï
2. Recettes. (p. 28.) . Sous-chapitre XXXIX. Subventions pour écoles d'infirmiers et infirmières laïques de Bicèlr
hx- pitre : Frais, de bureau et de cours, du crédit alloué pour écoles d'infirmiers et d'in- firmières 7.000 fr. 13
Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in- firmiers, d'enfants idiots et épileptiq
Subvention départemen- tale pour Bibliothèque d'a- liénés, pour écoles des en- fants idiots, et pour contri- bution
s des en- fants idiots, et pour contri- bution aux Dépenses des Ecoles municipales d'infir- miers et d'infirmières laï
89-4. Recettes. . (p. 30.) Sous-chapitre XLI. Subvention pour écoles d'infirmiers et infirmières laïques de Bicêtr
Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in- firmiers, d'enfants idiots et épileptiq
nses complémentaires (p. li 6.) Sous-chapitre II les. Art. 5. - Ecoles d'enfants arriérés et cours primaires pour le
1896. Recettes. (p. 26.) Sous-chapitre XXIV. Subventions pour écoles d'infirmiers et infirmières laïques de Bicêtr
7.000 fr. Dépenses. (p. 48.) Sous-chapitre II bis. Art. 5. - Ecoles d'enfants arriérés et cours primaires pour le
Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque' des écoles d'in- firmiers, d'enfants idiots et épileptiq
ENSES COMPLÉMENTAIRES (1). ts.) Sous-chapitre II bis, Art. 5. - Ecoles d'enfants arriérés et cours primaires pour le
1898. Recettes. (p. 26.) Sous-chapitre XXIV. Subventions pour écoles d'infirmiers et infirmières laïques de Bicêtr
7.000 fr. Dépenses. (p. 48.) . Sous-chapitre II bis. Art. 5. Ecoles d'enfants arriérés et cours primaires pour le
Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in- firmiers, d'enfants idiots et épileptiq
penses complémentaires (p. 48.) Sous-chapitre II bis- Art. 5. - Ecoles d'enfants arriérés et cours primaires pour le
490b. Recettes. (p. 26.) Sous-chapitre XXIV. Subventions pour écoles d'infirmiers et infirmières laïques de Bicêtr
re 7.000 fr. DÉPENSES. (p. 48.) Sous-chapitre II bis, Art. 5. Ecoles d'enfants arriérés et cours primaires pour le
Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in- firmiers, d'enfants idiots et épileptiq
DÉPENSES COMPLÉMENTAIRES (p. 48.) Sous-chapitre II bis. Art. 5. Ecoles d'enfants arriérés et cours primaires pour le
eur de dessin (poste créé), il ne reste plus que G.000 fr. pour les Ecoles d'enfants, les Ecoles d'inlirmières et les Bibl
réé), il ne reste plus que G.000 fr. pour les Ecoles d'enfants, les Ecoles d'inlirmières et les Bibliothèques des aliénés.
t en 1891, cesse de l'être on 1892 où il n'est plus question ni des Ecoles d'enfants, ni des Bibliothè- ques des aliénés.
l général, l'oubli tantôt des bibliothèques des malades, tantôt des Ecoles d'enfants, la différence du libellé du même art
e. Le montant du crédit soit 7.000; » a été mandaté au profit des Ecoles d'infirmiers et d'infir- mières de ces établiss
s Ecoles d'infirmiers et d'infir- mières de ces établissements, des Ecoles d'enfants- idiots et des Bibliothèques des quar
nés. En 189G, aux recettes (7.000 fr.), il n'est pas question des Ecoles d'enfants, ni de la biblothèque des aliénés. Aux
ts, ni de la biblothèque des aliénés. Aux dépenses reparaissent les Ecoles d'enfants et la dépense est de 9.000 fr. alors
de 1899 mais non aux dépenses. En 1900, il n'estpasdues- tion des Ecoles d'enfants, ni des bibliothèques, les premiè- re
les bibliothèques des vieillards ; - que les crédits votés pour les Ecoles d'in- firmières et les Écoles d'enfants sont de
ds ; - que les crédits votés pour les Ecoles d'in- firmières et les Écoles d'enfants sont destinés, non ;i faire face aux
coles d'enfants sont destinés, non ;i faire face aux besoins de ces écoles , mais à permettre de réaliser des améliorations
, pâteux ou non gâteux, épileptiques ou non, mats VALIDES (Petite Ecole )................................... , VI 3° Tra
ue : Résul- tats.................................... vu 4° Petite école complémentaire......... ? x 50 Enfants propres
·és, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non (Grande école ).... xx Certificats d'études obtenus ..........
........ en SECTION III. - Assistance et enseignement. Classes ou Écoles spéciales pour les enfants arriérés. I. Communi
asiles d'aiénés de la Seine ................................. cv Ecoles spéciales pour enfants anormaux ; par le D Samu
r le D Samuel FORT................. CVII Classes spéciales dans les écoles pour jeunes débiles mentaux, par le Dr CHAN-
e. XI. De l'emploi de la subvention départemen- tale spéciale aux Écoles d'enfants arriérés, aux Ecoles d'intirmiers et
tion départemen- tale spéciale aux Écoles d'enfants arriérés, aux Ecoles d'intirmiers et infirmières et aux Bibliothèque
2 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
use;IIenry LEMESLE ; LLOYD-TUCKEY (de Londies); MANOUVRIER; prof, à l' Ecole d'Anthropologie; MASOIN, prof. à l'Université de
ondres); M A BILLE, méd. de l'Asile de Lafond; Paul MAGNIN, prof, à l' Ecole de psychologie; MORSELL1 (de Gènes); DE PACKIEW
r le D'Bérillon, il y a vingt ans ;par le Dr Paul Magnin, au nom de l' Ecole de Psychologie, parle DpSaint-Yves Ménard, membre
imidation : Les timidités. (') par M. le D' Béiullon professeur ù l' Ecole de psychologie, médecin inspecteur des asiles d'a
raduit par le balbutiement. Dans les cas plus (1) Leçons faites à l' Ecole de psychologie. (2) Voir Revue de l'Hypnotisme,
fesseur de chant ou de diction. Ce serait se perdre dans des luttes d' écoles et dans des rivalités d'enseignement qui ne serai
Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l' Ecole de psychologie. Ils seront répartis de la façon s
à 9 heures : question à l'ordre du jour : L'éducation ducaractère à l' école primaire et au lycée : Rapporteur : M. Mironneau,
cole primaire et au lycée : Rapporteur : M. Mironneau, directeur de l' Ecole normale, M. Chabot, professeur à la faculté des l
isin, médecin en chef de la Salpetrière, Mlle Berlhet, professeur à l' Ecole normale de Ne vers. Dans l'après-midi : séance co
e Dr Frey) question à l'ordre du jour: L'inspection dentaire dans les écoles — Questions relatives à la dentition des enfants.
ent primaire et les enfants anormaux. Mlle Berthet : professeur à l' école normale de Nevers : L'obligation scolaire : Des m
lecture à l'usage des enfants arriérés. M. Laisant, examinateur à l' Ecole polytechnique : L'initiation mathématique. Avis
ordres d'en seignement. Elle leur permet ainsi qu'aux professeurs des écoles spéciales, professionnelles ou techniques, de se
née. — N° 2. Août 1906. Le Banquet en l'honneur du i) Bérillon. L' Ecole de psychologie, d'accord avec la Société d'hypnol
ffrir au Dr Bérillon, inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l' Ecole de psychologie, secrétaire général de la Société
D' de Groer (de Saint-Pétersbourg) ; M. le Pr Baron, professeur à l' Ecole vétérinaire d'Alfort ; M. Scié-Ton-Fa, attaché
Syndicat de la Presse scientifique ; M. le Dr Godon, directeur de l' Ecole dentaire ; M. Alapetite, préfet honoraire; M.
nique générale de chirurgie. M. le D' Paul Magnis, professeur à l' Ecole de psychologie; Madame Paul Maghin ; M. le D' P
ychologie; Madame Paul Maghin ; M. le D' Paul Farkz, professeur à l' Ecole de psychologie ; Madame Paul Farez ; M. le D* J
Annules de Pkifsicothêvapie ; M. le Dr Félix Regnault, professeur à l' Ecole de psychologie; M. le Dr Sa voire, médecin du dis
Créteil ; Madame Quinque ; M. le Dr Bellemaxière, professeur à l' Ecole de psychologie ; M. le Dr René Voisin ; M. le Dr
amand ; M. le Dr Rousseau ; M. le Dr Binet-Sanglé, professeur à l' Ecole de psychologie ; M. le Dr Diamantberger; M. le Dr
Madame la doctoresse Pokitonoff ; M. le Dr Pamart, professeur à l' Ecole de Psychologie ; M. le Dr G. Beaudoin ; M. le
eur ; M. le Dr Pascalis ; M. le Dr Wateau, professeur honoraire à l' Ecole de psychologie ; M. le Dr Bailly, de Sens ; M
le Dr Bonnet ; M. le Dr Lorain ; M. le D' Lamesle, professeur à l' École de psychologia ; M. le Dr Marcellin Cazaux, des
l'Institut départ, des sourds-muets; M. Louis Favre, professeur à l' École de psychologie ; M. Jules Jacob ; M. le D' Su
n droit ; M. le Dr Merlin, de Provins ; M. Blieck, professeur à l' École de Psychologie ; M. Flach, pharmacien ; M. le
in, pharmacien ; M. Gory, pharmacien ; M. Bonsard, professeur à l' Ecole dentaire ; M. Derbeck, pharmacien ; M. Gory,
comte de Villiers ; M. le Dr Peyré : M. le Dr Frey, professeur à l' Ecole dentaire ; M. le Dr Chervis ; M. le baron de
M. le Dr Laroulandie ; M. Louis Mathys ; M. Loriol, élève de l' Ecole dès Beaux-Arts ; M. Maillols, statuaire ; M
M. Heymann, sténographe au Sénat ; M. Félix Régamey, professeur à l' Ecole de psychologie ; M. le capitaine Villetard deLa
empressement l'occasion de le lui témoigner lors de la création de l' Ecole de psychologie. A. Giard. Pressé par le temps
M. le Dr Hamy, professeur au Muséum ; M. le Dr Henrot, directeur de l' Ecole de médecine de Reims ; M. Laisant, examinateur à
recteur de l'Ecole de médecine de Reims ; M. Laisant, examinateur à l' Ecole polytechnique ; M. le D' Richardière, médecin de
cin de l'hôpital des Enfants malades; M. le D'Bordier, directeur de l' Ecole de médecine de Grenoble: M. Echard, conseille
age, professeur à la Faculté de Lyon; M. Léon de Rosny, directeur à l' Ecole des hautes études; M- le Dr Retterer, professeur
supérieur libre, M. Frmgnct a pu constater les succès croissants de l' Ecole de Psychologie : « c'est pour cela, dit-il, quel
ents prolongés.) Discours de M. le Dr Paul Magnin, professeur à l' Ecole de psychologie, vice-président de la Société d'hy
élicatesse, dont je ne saurais trop les remercier, mes collègues de l' Ecole de psychologie ont voulu que ce soit moi qui t'ad
gie, tu étais certain qu'elle marcherait et quand enfin tu as tenté l' Ecole de psychologie, nous étions huit; nous nous somme
45. Sommeil et monoidéisme par M. le Dr R. Pamart Professeur à l' Ecole de psychologie La récente communication de M. l
on veut faire de lu prévoyance et de la prophylaxie. Les médecins des écoles de New-York viennent d'en faire la triste expérie
dénoides étaient fréquentes dans la population enfantine de certaines écoles , ces médecins avaient sélectionné un certain nomb
. Dans l'après-midi du 27 juin, ils se précipitèrent en foule sur les écoles criant que les médecins égorgeaient les enfants,
avec leurs parents. Les mères des enfants se précipitèrent dans les écoles en criant et en s'arrachant les cheveux. Les maît
ans les écoles en criant et en s'arrachant les cheveux. Les maîtres d' école , terrifiés, fermèrent les portes de leurs établis
eur Lombroso, de Turin; président : M. le Dr Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie; vice-président : M. le Dr Beauvi-
les Voisin, médecin de la Salpétrière ; M. le Dr Frey, professeur à l' Ecole dentaire ; M. J. Ray, chargé de cours à l'Univers
eux; M. de Montricher, ingénieur des mines; Mme Aveyron, directrice d' école ; M. Anjou, directeur d'école ; M.. Gaillard, pro
ur des mines; Mme Aveyron, directrice d'école ; M. Anjou, directeur d' école ; M.. Gaillard, professeur à l'école primaire sup
d'école ; M. Anjou, directeur d'école ; M.. Gaillard, professeur à l' école primaire supérieure de Rumilly ; M. le Dr Gagnièr
rrices; M. Moreau, professeur d'agriculture; M. Mi-chaud, directeur d' école ; M. Cuminal, directeur d'école primaire supérieur
'agriculture; M. Mi-chaud, directeur d'école; M. Cuminal, directeur d' école primaire supérieure; Mlle Bacaud, directrice d'éc
nal, directeur d'école primaire supérieure; Mlle Bacaud, directrice d' école ; Mme Quinque, directrice de l'Institution d'enfan
inique à la Faculté de médecine; M. le Dr Maurice Roy, professeur à l' Ecole dentaire; M. Saugrain, avocat à la Cour d'appel d
çaise; M. Gascard, conférencier; M. le docteur Henrot, directeur de l' Ecole de médecine de Reims; M. Fauré-Hérouart, conseill
uré-Hérouart, conseiller d'arrondissement; M. Thibaut, professeur à l' Ecole de la Martinière ; M. Emmanelli, bibliothécaire-a
decine; M. le professeur Lacassagne; M. le Dr Bordier, directeur de l' Ecole de médecine de Grenoble ;M. Bou-lian, contrôleur
inspecteur honoraire de l'enseignement primaire; M. Clin, directeur d' école ; Mme Olivieri, directrice de l'Institution Sainte
i, directrice de l'Institution Sainte-Irénée; Mme Morel, directrice d' école ; Mme Robin, directrice d'école; M. Prost, chef de
Sainte-Irénée; Mme Morel, directrice d'école; Mme Robin, directrice d' école ; M. Prost, chef de travaux à la Faculté des scien
me Deloye, professeur; Mme Sarpy, professeur; M. Aveyron, directeur d' école ; M. Lafontaine, instituteur; M. E. Roux, institut
, instituteur: M. Monternier, instituteur; M. P. Michaud, directeur d' école ; M. Mareuse, publiciste ; Mlle Berthet, professe
cteur d'école ; M. Mareuse, publiciste ; Mlle Berthet, professeur à l' Ecole normale de Nevers ; M. Begel, répétiteur général
érard, institutrice; M. Tarry, ingénieur; M. Laisant, examinateur à l' Ecole polytechnique ; M. le D' E. Martin, chef des trav
à la Faculté de médecine, Mme Bérillon; M. Mironneau. directeur de l' Ecole normale ; M. Grison-Poncelet, M. A. Courjon, M. G
tutrice ; M. le Dr Bilhaut, de Paris ; M. le Dr Godon, directeur de l' Ecole dentaire ; M. Bonnet, professeur à l'Ecole d'indu
e Dr Godon, directeur de l'Ecole dentaire ; M. Bonnet, professeur à l' Ecole d'industrie de Saint-Etienne. La question mis
st fa façon dont ils réagissent contre ta peur. Il importe donc dès l' école , de réaliser chez l'enfant l'éducation du courage
Dr Bérillon, de M; le Dr Beauvisage, de Mlle Berthet, professeur à l' Ecole normale de Nevers, de M. le Dr Jules Voisin, méde
e pédagogie et d'enseignement émet le vœu que dans l'organisation des écoles organisées pour les arriérés et instables, les ma
s de l'enseignement soient essentiellement différentes de celles de l' école ordinaire actuelle, les exercices à suivre étant
des Voisin et de leurs émules. C'est que le Dr Bérillon, élevé à l' école de notre maître Paul Bert, possède aussi, suivant
es qui portent le nom de Revue de l'Hypnotisme. Société d'hypnologie, Ecole depsycho-logie. Institut psycho-physiologique. Di
de pathologie comparée. Et je n'aurais garde d'oublier ses cours à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine, son apostolat
Aussi, Messieurs, je félicite hautement ceux d'entre vous qui, à l' Ecole de psychologie et dans la clinique de la rue Sain
t de bons psychologues. Ils auront, pour cela, été à la meilleure des écoles philosophiques, celle où l'on apprend à vouloir e
es qui lui faisaient défaut. A l'Institut psycho-physiologique et à l' Ecole de psychologie, de nombreux étudiants français et
s élèves indisciplinés ou les écoliers parfois trop turbulents de nos écoles publiques. Toujours ils sont reçus et traités par
y trouver la moinde concession à l'esprit de mysticisme. Elevé à l' école des Henry Bouley, des Paul Bert, des Dumontpallie
intimidation chez un lycéen, par M. le D' Paul Farez, professeur à l' École de Psychologie. Dès les premiers jours du mois
fants du Patronage Rollet, par M. le Dr René Pamabt, professeur à l' Ecole de psychologie. Le Patronage de l'Enfance et de
tionaux de l'hypnotisme en 1889 et en 1900 ; il a fondé et organisé l' Ecole , puis la Société d'hypnologie, il fait des cours
uis la Société d'hypnologie, il fait des cours libres depuis 1888 à l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine ; depuis longt
ieux. De ma collaboration avec Dumontpallier et Paul Magnin est née l' Ecole d'hypnologie qui a eu son heure de célébrité sous
ée l'Ecole d'hypnologie qui a eu son heure de célébrité sous le nom d' école de la Pitié. Les travaux de cette école furent pu
re de célébrité sous le nom d'école de la Pitié. Les travaux de cette école furent publiés, de 1882 à 1887 dans les comptes r
88, je fus autorisé par le Conseil supérieur des Facultés à faire à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine, pendant le se
endre hommage. En m'exprimant sa satisfaction de voir inaugurer à l' Ecole pratique un enseignement qui n'avait pas encore é
cours à des leçons théoriques et de m'abstenir, dans l'enceinte de l' école , de toute démonstration pratique d'hypnotisme. C'
ho-physiologique de Paris, la clinique devint à la fois une véritable école pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
borateurs vinrent partager ma tâche et les créations successives de l' Ecole de psychologie, du Dispensaire pédagogique et plu
itue l'élément fondamental. Chaque année, les cours théoriques de l' Ecole de psychologie et les enseignements pratiques de
acceptant sur ma demande, de présider la séance d'ouverture de notre école fut une des principales causes de notre rapide su
ont l'effort se manifeste toujours plus dur que l'obstacle. « Votre Ecole de Psychologie a franchi les difficultés du début
es justement appréciées. Elle est quelque chose de plus encore, cette Ecole ! Elle est an grand exemple de ce que peut cr
nts.) Successivement, les maîtres les plus éminents ont apporté à l' Ecole de psychologie l'appui de leur autorité scientifi
Il y a deux ans, le soin de faire la leçon d'ouverture des cours de l' Ecole de psychologie m'avait été confié par mes collègu
) La solidarité qui unit les professeurs et les collaborateurs de l' Ecole de psychologie offrira une résistance puissante à
saluerai en première ligne le Dr Go-don, fondateur et directeur de l' Ecole dentaire de Paris, qui, sans l'appui d'aucune int
avais pu acquérir. De là mes cours continués pendant dix-huit ans à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine, à l'Institut
e de la Faculté de médecine, à l'Institut psycho-physiologique et à l' Ecole de psychologie. Alors que les médecins sont décor
La première vue de Braid et la seconde de Faria sont acceptées par l' Ecole de Nancy, et la seconde de Braid et la première d
'Ecole de Nancy, et la seconde de Braid et la première de Faria par l' Ecole de la Salpêtrière. Les points ne sont pas encore
oici ce que le professeur Bernheim, le plus eminent représentant de l' école de Nancy et un des très rares auteurs qui aient é
me plusieurs auteurs d'aujourd'hui qui n'acceptent pas les idées de l' Ecole de Nancy, que tout le monde était hypnotisable. I
dico-légal sur une voyante par M. le D' Paul MaGNIX, professeur â l' Ecole de psychologie. Je demande à la Société la perm
l y a quelques années, un prétendu liseur de pensées a été étudié à l' Ecole de psychologie. M. Paul Farez a nettement montré
D" Pamart et Bérillon : Un cas de lie de l'épilalion. NOUVELLES Ecole de Psychologie La réouverture des cours de l'Ec
n. NOUVELLES Ecole de Psychologie La réouverture des cours de l' Ecole de psychologie aura lieu le mer credi 9 janvier 1
: la grande Pyramide de Chéops par M. Raoul Bahon, Professeur à l' Ecole vétérinaire d'Alfort. Mesdames, Messieurs, To
par la suggestion hypnotique, Par M. le Dr Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie. Certains auteurs ont essayé de
ode de sécurité et de célérité doit se faire par la pratique cl par l' école . Par la pratique, en l'imposant dans tous les s
ennent pour assurer le boa ordre,"la sécurité et la célérité. Par l' école , en appliquant les signaux dans toutes, en oblige
problèmes très complexes. On a essayé les maisons de correction, les écoles de réforme ; les résultats, jusqu'à présent, ne s
iste à punir, l'enfant, dont l'amour-propre sera très froissé, fera l' école buissonnière et sera livré à tous les dangers du
s remarqué que, pour les enfants moralement abandonnées conduites à l' Ecole de réforme de la Salpètrière, l'amélioration étai
sabilité de leur enfant. La statistique que nous avons pu faire à l' Ecole de réforme des enfants assistées de la Seine (sec
nts sont confiés à la vague surveillance d'une voisine ou envoyés à l' école . Lorsque l'enfant est docile, d'une intelligenc
llectuelle, même délinquants, dans les mêmes maisons de correction ou écoles de réforme que les enfants pervers. Ils s'y conta
que ces enfants soient hospitalisés ou tout au moins envoyés dans des écoles spéciales. Le nombre de ces établissements et d
ans des écoles spéciales. Le nombre de ces établissements et de ces écoles n'est pas assez considérable et la disposition de
ui existent doit être perfectionnée. Il serait utile, en effet, que l' école comprit autant de sections qu'il y a de catégorie
c les dégénérés pervers et les malades atteints de psychose. Dans ces écoles , chaque section ne comprendra pas plus d'une diza
Aussi doivent-ils être maintenus assez longtemps dans ces sections d' écoles spéciales, puis, quand l'amélioration survient, i
issement d'aliénés s'imposera. Discussion. M. BéullON. — Dans les écoles , la présence d'enfants anormaux est extrêmement p
trac » chez des exécutants, par H. le Dr Paul Farez, professeur à l' Ecole de psychologie. Chaque nouveau concours du Cons
des à viser avec justesse pendant les exercices de tir. NOUVELLES Ecole de Psychologie La réouverture des cours de l'Ec
r. NOUVELLES Ecole de Psychologie La réouverture des cours de l' Ecole de psychologie aura lieu le mer credi 9 janvier 1
ie de l'art..... M. Félix Regahey, inspect. hon. du dessin dans les Ecoles de la Ville de Paris, prof. Ânatomieet Psycholo
Le concours de l'agrégation. La septième réouverture des cours de l' Ecole de Psychologie aura lieu le mercredi 9 janvier, à
gie de Jésus de Nazareth. Cette année, les anciens professeurs de l' Ecole : MM. Bérillon, Paul Magnin, Paul Parez, Caustier
seur au lycée Molière, M. le capitaine Bordage. L'enseignement de l' Ecole de psychologie est public. Il s'adresse aux médec
Hypnotisme sont personnellement invités aux cours et conférences de l' Ecole de psychologie. Nous souhaitons qu'ils se considè
ologiques chez les Animaux (') par le D' Paul Farez, professeur à l' Ecole de Psychologie. Messieurs, Quelques-uns d'ent
athologie, celle des sommeils pathologiques. Je l'ai même exposée à l' Ecole de Psychologie, dans mon cours de l'an dernier; m
e mal de mer imaginaire par M. le Dr Félix Regnault, professeur à l' Ecole de psychologie. Désireux d'étudier, de près, le
athogënie des Psycho-névroses par M. le Dr BérillOx, professeur à l' Ecole de Psychologie. La timidité est un état psychol
timidité dans l'étiologie des psycho-névroses. Dans la famille et à l' école , à force de faire aux enfants des remontrances ex
ister, avec son cousin, âgé de 20 ans, aux réunions de famille. A l' école , si l'élève demande une explication sur un point
applications thérapeutiques de l'hypnotisme. (Section Esquirol.} ÉCOLE DE PSYCHOLOGIE 49, Rue Sâint-André~des-Arts, d9
rof, a la FacuUede médecine ; J. Voisin, médecin de I» Salpetriere, École de Pigrkelotle 19, rue St-André-des-Arls) Progr
rue St-André-des-Arls) Programme des Cours et des Conférences de l' École de Psychologie pour l'année 1907 (7' année) (Lt
gie pour l'année 1907 (7' année) (Lti court et tet conférence* de l' Ecole de l .•, ¦ iont publiai La séance de réouvertur
tion publique. ORDRE DU JOUR : 1» D' Bêrillok : Le programme de l' Ecole de Psychologie ; 28 D' Binet-Sasglé : Introduct
ants à 4 heures. Conférences de 1907 Chaque année, les cours de l' Ecole de psychologie sont complétés par des conférences
ëguinisme et le bëhalsme, par M. le D' Félix Reokault, professeur à l' Ecole de psychologie. Vendredi 25 janvier, à 8 h. 1 /
à 8 h. 1 /2, sous la présidence de M. le D' Bbrillon, professeur à l' Ecole de psychologie. — Psychologie religieuse : les De
er, a S h. 1/2, sous la présidence de M. Léon de Rosxv, directeur à l' Ecole des Hautes-Etudes. — Les examens de la Chine et l
8 h. 1/2, sous la présidence de M. le D' Paul Magnin, professeur à l' Ecole de Psychologie. — La science du bonheur, par M. l
février, à 8 h. 1/2, sous la présidence de M. Devinât, directeur de l' Ecole Normale du département de la Seine. — La timidité
e. L'organisation de l'Institut psycho-physiologique comporte : I Ecole de psychologie : (Voir le programme des cours et
sultations données au Dispensaire pédagogique, sous les auspices de l' Ecole de psychologie ont lieu les mardis, jeudis, samed
du jeudi. Promonades et excursions psychologiques. Les cours de l' Ecole de psychologie seront completos par des excursion
^EUTIQUE SI-Année. — ?8- Février 1907, Réouverture des cours de l' Ecole de psychologie La septième réouverture des cour
rs de l'Ecole de psychologie La septième réouverture des cours de l' Ecole de psychologie a eu lieu le mercredi 9 janvier, s
e Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière, et les professeurs de l' Ecole , MM. les D" Bérillon, Paul Magnin, Paul Farez, Bi
de l'Alliance scientifique universelle, M. Leboucher, directeur de l' Ecole Théophile Rousselle, M. Quinque, directeur de l'E
ouvert la séance, le président donne la parole au D' Bérillon. L' Ecole de psychologie par M. le Dr Bérillon Professeur
on. L'Ecole de psychologie par M. le Dr Bérillon Professeur à l' Ecole de psychologie. Monsieur le Président, Messieur
eur à l'Ecole de psychologie. Monsieur le Président, Messieurs, L' Ecole de psychologie est destinée à fournir aux médecin
ychologie. Les études auxquelles se consacrent les professsurá de l' Ecole se répartissent en huit branches principales :
ue, laboratoire de psychologie comparée. » L'enseignement donné à l' Ecole de psychologie est essentiellement positif et sci
iosité publique. Mais j'ai hâte de vous dire que les professeurs de l' Ecole de Psychologie s'intéressent surtout à ces questi
ère des phrases d'apparence scientifique, lors de l'inauguration de l' Ecole de psychologie, nous nous sommes exprimés ainsi a
lléchants, il n'est absolument rien sorti d'intéressant. Par contre l' Ecole de psychologie, en se limitant à l'étude des fait
voir croitre son succès. En effet, on nous rend cette justice que l' Ecole de psychologie a évité recueil de compromettre sa
la voie du progrès scientifique. A la séance de réouverture de l' Ecole , j'ai l'agréable mission d'exposer les faits sail
née, un événement important est venu sanctionner l'existence de notre Ecole au point de vue judiciaire et médico-légat. Ayant
notre collaborateur le Dr Paul Magnin, en qualité de professeur de l' Ecole de psychologie. Notre ami a démontré que la sévér
ogique et d'esprit scientifique, a fait le plus grand honneur à notre Ecole et a valu à son auteur les approbations unanimes
, M. le Ministre a accordé à Paul Magnin, au titre de professeur de l' Ecole de psychologie, la distinction d'officier de l'In
essités professionnelles et les lois de l'évolution scientifique. L' Ecole de psychologie, nous sommes heureux de le proclam
gie de Jésus de Nazareth, par M. le dr Binet-Sanglé, professeur à l' Ecole de psychologie. Monsieur le Président, Mesdames
tion publique. Mesdames, Messieurs, Je remercie la direction de l' Ecole de psychologie de m'a voir invité à sa séance de
nstruction publique, j'ai eu, du moins, la satisfaction de donner à l' Ecole de psy- chologie un témoignage de haute estim
vous apporte un sentiment très vif de sympathie pour votre œuvre. L' Ecole de psychologie est une des créations les plus ori
r adhésion n'est-elle pas une preuve décisive des services que rend l' Ecole de psychologie et du rûle d'auxiliaire et de stim
et où il a déjà fait de fructueuses récoltes. Née de la liberté, l' Ecole de psychologie ne vit que par la liberté. Son pro
ces infinies qu'elle recèle. C'est là la mission que s'est assignée l' Ecole de psychologie. En s'y consacrant avec passion, a
. 55. L'initiation sexuelle par M. le Dr Bérillon, professeur à l' Ecole île psycholo(rie. D'une façon générale, les enf
ent un procédé de développement des muscles, mais aussi une véritable école de volonté. Le rôle du jugement, dans l'augment
du jour où l'enfant, petit-fils d'un grand alcoolique, fut envoyé à l' école maternelle, c'est-à-dire au moment où le changeme
omme officiers de l'Instruction publique, au titre de professeurs à l' Ecole de psychologie, de nos amis et collaborateurs, H.
La morale professionnelle du médecin Dans une conférence faite à l' Ecole des hautes études sociales, M. le professeur Pina
gement, d'intelligence, d'érudition et d'éloquence, c'est condamner l' École de médecine à une décadence irrémédiable. Dans
ux applications thérapeutiques de l'hypnotisme. (Section EsquiroI.J ÉCOLE DE PSYCHOLOGIE 4o, rue Saint-André-des-Arts.
uméro précédent. Conférences de 1907 Chaque année, les cours de l' Ecole de psychologie «ont complétés par des conférences
8 b. 1/2, sous la présidence de M. le D* Paul Maokik, professeur à l' Ecole de Psychologie. — La science du bonheur, par M. l
février, à 8 h. i/2, sons la présidence de M. Devinât, directeur de l' Ecole Normale do département de la Seine- — La timidité
sultations données au Dispensaire pédagogique, sous les auspices de l' Ecole de psychologie ont lieu les mardis, jeudis, samed
du jeudi. Promenades et excursions psychologiques. Les cours de l' Ecole de psychologie seront complétés par des excursion
titution des privat-docenten. par M. le Dr Bérillon, professeur a l' Ecole de psychologie, professeur libre de psychologie à
fesseur a l'Ecole de psychologie, professeur libre de psychologie à l' Ecole pratique de la Faculté. Une définition du profe
ant de se tourner vers l'étude de la physiologie, s'était préparé à l' école polytechnique et avait fait sa licence en droit.
les, et, en réalité, l'étant moins que les (1) Conférence faile à l' Ecole de psychologie. autres, ils deviennent facile
lon : Psychologie de l'intimidation et-des hérédités. Leçon faite a l' Ecole de psychologie. {Revue de l'Hypnotisme, n- de mai
ge de vingt ans, l'accès aux réunions où il assiste lui-même. « A l' école , si l'élève demande au maître une explication sur
t souffrent en silence : témoin Shelley, maltraité chez lui, puis à l' école , où il fut le soufTre-douleurs de ses camarades.
sa douceur et de son aspect délicat. Il s'enfuit plusieurs fois de l' école , eut même l'idée de suicide, etsa timidité le ren
— Aussi quel dur changement quand l'enfant, gâté chez lui, arrive à l' école qu'on a eu parfois le tort de lui représenter com
imidité de l'enfant arraché à sa famille : On voit dans les sombres écoles Des petits qui pleurent toujours Les autres font
n il a fallu lutter contre la tradition des brimades dans les grandes écoles de garçons. C'est rarement par leurs qualités que
les élèves sensitifs et les paralysent. Une collègue, professeur d' Ecole normale, m'écrit : « On m'interrogea un jour sur
ont dû leur succès. En général, on constate que l'enfant élevé à l' école ou au lycée, perd assez vite sa timidité, parce q
cœur quelques mots de français, afin qu'à la rentrée des classes de l' école française, il soit un peu au courant de la langue
chaque leçon. A la rentrée des classes, le jeune M... est admis à l' école française. En six mois et demi, il a fait toutes
ole française. En six mois et demi, il a fait toutes les classes de l' école ; dans chaque classe, il a toujours été premier; i
dans chaque classe, il a toujours été premier; il est la gloire de l' école , aime à répé- ter le directeur: celui-ci ajou
eureuse mémoire. Pendant huit mois, il continue ses études dans une école italienne, il y est aussi toujours le premier et
itter Port-Saïd pour venir au Caire avec son oncle, le directeur de l' école exprime ses regrets de le voir partir et décide q
du crime de Soleillant, par M. le D' Félix Regnault, Professeur à l' Ecole de psychologie. Permettez-moi de déplorer la co
e génie de Liébeault, lors de l'inauguration du buste du maitre par l' Ecole de psychologie. Superstitions royales. La veu
680 pages, 4" édition. J.-B. Baillière, Paris 1906. ENSEIGNEMENT Ecole de psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts. — L
logie, 49, rue Saint-André-des-Arts. — Le D' Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie, médecin Inspecteur des asiles d'a
erthelot. — La Commission des réformes de l'enseignement médical. L' Ecole de psychologie vient de faire une perte des plus
dmiration et de reconnaissance émues que nous éprouvons pour lui. L' Ecole de psychologie avait tenu à être représentée à se
faillirons pas au devoir dans les circonstances solennelles de notre école , de rappeler l'œuvre scientifique et philosophiqu
les plus affectueuses, et le prie de croire que les professeurs de l' Ecole de psychologie s'associent à sa grande douleur. J
titution des privat-docenten. par M. le D' Bérillon. professeur à l' Ecole de psychologie, professeur libre de psychologie à
fesseur à l'Ecole de psychologie, professeur libre de psychologie à l' Ecole pratique de U Faculté. Une définition du profes
ait jamais existé, avait démontré, avant sa nomination officielle à l' Ecole , qu'il n'était pas nécessaire d'avoir subi les ép
tre-vingts élevés, Ce grand homme, dont la statue décore la cour de l' Ecole de Médecine do Paris, ne fut jamais admis à l'hon
reprendre son enseignement libre dans un amphithéâtre situé hors de l' Ecole de Médecine. thérapeutique des maladies du cœ
re et du Pavillon français à l'Exposition de St-Louis, répétiteur à l' Ecole polytechnique, a établi sur l'influence de la lig
manifestant surtout chez les enfants, il importe de la traiter dès l' école , en appliquant divers traitements suivant les cas
us en usions ainsi avec les élèves plus âgées que nous préparions à l' Ecole de Sèvres Quelques-unes, arrivant assez tard au l
es. NOUVELLES Enseignement de l'hypnotisme et de la psychologie ÉCOLE DE PSYCHOLOGIE 4g, rue St-André-des-Arts (semes
on cours le jeudi 25 avril, à cinq heures (Salle des conférences de l' Ecole de psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts) et
itution des privat-docenten. par M. le D'Bérillon. professeur a l' Ecole de psychologie, professeur libre de psychologie à
fesseur a l'Ecole de psychologie, professeur libre de psychologie à l' Ecole pratique de la Faculté. (Suite) La Faculté de
urrait être confondue avec le casque empanaché de Mangin. Aussi, deux Ecoles dentaires ont pu, sans trop éveiller la susceptib
e beaucoup supérieur à celui qui se donne dans les amphithéâtres de l' Ecole de médecine. Les Ecoles dentaires feront bien de
celui qui se donne dans les amphithéâtres de l'Ecole de médecine. Les Ecoles dentaires feront bien de ne pas s'endormir dans u
mbre des députés a compris qu'on lui proposait de rééditer contre les Ecoles dentaires le fameux « Sic pos non pobis... », de
e méthode nouvelle; il a fait progresser la science. Véritable chef d' école , dans sa clinique particulière de Nancy il a form
l'enseignement de la psychothérapie et de la psychologie médicale à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine. Dans le cou
88, je fus autorisé par le Conseil supérieur des Facultés à faire à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine, pendant le se
endre hommage. En m'exprimant sa satisfaction de voir inaugurer à l' Ecole pratique un enseignement qui n'avait pas encore é
n, car c'est d'elle que sont nés l'Institut psycho-physiologique et l' Ecole de psychologie. En effet, après avoir, devant u
ropreté, ainsi que l'odeur infecte, due au voisinage des chenils de l' Ecole , dont il était empesté. A maintes reprises je me
')- De même la Faculté ne tenant pas compte que mon cours amenait à l' école , chaque année, un grand nombre de médecins et d'é
urs libres. (I) On a maintes fois surposé que les cours libres de l' Ecole pratique donnaient une saUsfaction suffisante aux
rrompu par des circonstances dans lesquelles la mauvaise volonté de l' Ecole apparut manifestement. A deux reprises différente
l nous avons en vain appelé l'attention du recteur et du conseil de l' Ecole , c'est la parcimonie avec laquelle la Faculté pro
cours libres, sont apposées dans les coins les moins fréquentés de l' Ecole , et c'est tout. Dans toutes les autres Facultés (
résolution de continuer mon enseignement dans la salle des cours de l' Ecole de psychologie, où j'ai été suivi par mon fidèle
s le traitement de l'hystérie, parle D' Paul Magnin, professeur à l' Ecole de psychologie. Les ouvrages de psychothérapie
oulies et des psychonévroses, par 11 le 0' Bébillon, professeur ù l' Ecole de psychologie. Les aboulies sont constituées p
respondance comprend des lettres du D' Dezwarte, médecin en chef de l' école de Limoges, du Dr Bony, du D'Mayoux, et une circu
professeur à Paris, Dr Mabille (de Reims), Le Boucher, directeur de l' école Théophile Roussel. Ces candidatures sont adoptées
t célèbre mes louanges. Deuxième cas. — M. Moh... Ch., étudiant à l' Ecole de médecine du Caire, âgé de 24 ans, vint me cons
émonstrations pratiques et sera complet en dix leçons; il se fera à l' Ecole de Psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts, où
decins les plus compétents, ainsi que par les directeurs de plusieurs écoles importantes. Le programme comprend également des
gie et Enseignement) sera présidée par le Dr Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie, médecin inspecteur des asiles d'a
embres des divers ordres d'enseignement, ainsi qu'aux professeurs des écoles spéciales, professionnelles ou techniques, de se
itution des privat-docenten, par m. le Dr Bémllon. professeur à l' Ecole de psychologie, professeur libre de psychologie à
fesseur à l'Ecole de psychologie, professeur libre de psychologie à l' Ecole pratique de laFaculté. Une définition du profes
la Faculté groupaient généralement fort peu d'élèves. Mais, dès que l' Ecole de médecine constatait, parle succès croissant d'
si que Fort, dont le cours libre d'anatomie attirait chaque année à l' Ecole pratique, des centaines d'étudiants français et é
75. Il n'a été élevé au professoral qu'en 1890. Son enseignement ;\ l' Ecole a donc subi une interruption de quinze années. Ge
de mes amis et de mes élèves. C'est de cette résolution qu'est née l' Ecole de psychologie . Il ne m'appartient pas de soul
urs d'élite qui se presse chaque année aux cours des professeurs de l' Ecole de psychologie constitue la vivante démonstration
nçaise, Adèle Maginot dont Cahagnet, magnétiseur swédengorgien, — son école existe encore et j'en ai parlé dans Les petites r
logique du trae des chanteurs par M. le Dr Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie. Dans plusieurs communications,
nstitut départemental des sourds-muets, M. Le Boucher, directeur de l' Ecole Théophile Rousset, Dr Mayoux, etc., etc. Communic
olution religieuse des Rabelais, Pascal et Racine). (Bibliothèque l' Ecole de psychologie), in-12, 400 pages. Maloine, Par
Cours de Psychologie appliquée à l'éducation, par le Dr Bérillon, à l' Ecole de psychologie, p. 288, 320. Cours libre de psy
233. Division du travail chez les abeilles, par Bonnier, p. 218. Ecole de psychologie, p. 160, 193, 220, 225, 226. Emp
de pédagogie à l'Association pour l'Avancement des Sciences, p. 68. Ecole de Psychologie, p. 220. Institution médico-péda
3 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
s (4). Dès qu'un enfant marche sans aide, il est envoyé à la petite école , le matin pendant une heure ou deux, puis toute
connue et que nous avons été obligé jusqu'ici de maintenir dans les écoles , au détriment des enfants éducables, où ils son
L., Li«.. - (1) Dema ? Li, lion ? Enfants IDIOTS valides : petite école . v fonctionner ce service, l'Administration ne
ts gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou non mais valides (Petite Ecole ). - Ces enfants fréquentent la petite école con
on mais valides (Petite Ecole). - Ces enfants fréquentent la petite école confiée exclusive- ment a des femmes. Dans le c
nt décédés, 2 sont sortis définitivement, 2 sont passés à la grande école , 2 ont été envoyés dans les sections affectées
et 8 ont été transférés. Sur 133 enfants qui restaient à la petite école au 31 décembre 1898, 5 ne mangent pas seuls, 68
rop infirmes, n'ont pu y prendre part. Vingt enfants de la petite école et de la petite école complémentaire, dont nous
pu y prendre part. Vingt enfants de la petite école et de la petite école complémentaire, dont nous allons parler dans un
leurs, cordonniers, vanniers, menuisiers, serru- riers. La petite école comprend : 1° le traitement du gâtisme qui cons
., Bezoml ? Droua ? Largill ? AIant ? Vaill... nantfen. VI Petite école complémentaire. aux enfants à se laver la figur
os Compte-rendus de 1880 à 1897 ; 6° les leçons de choses, soit à l' école , soit dans les jardins (avec le tableau roulant
(avec le tableau roulant), soit enfin dans les promenades. Petite école complémentaire. Elle est confiée à une femme dé
sur- veillance des deux dortoirs où couchent les enfants de cette école au nombre de 50. M ? Bonnet a, en outre, pour s
uestions qu'on lui posait et y répondait d'une façon absolu- Petite école complémentaire. vu ment incohérente. De nature
Cet enfant est dans notre service depuis 12 ans ; il est entré à l' école de M"" Bonnet il y a 6 ans. A cette époque, il
lecture courante : Cour... Mung... Eél ? vm Idiots valides : petite école complémentaire. Trois enfants ont été améliorés
e savaient absolument rien et qui maintenant font tous les Grande école : enfants valides. ix devoirs donnésjournelleme
de école : enfants valides. ix devoirs donnésjournellement dans les écoles d'enfants normaux. C'est surtout, en mettant en
es résul- tats obtenus chez ces enfants et chez ceux de la petite école , qu'il est possible démontrer aux plus sceptiques
t hystériques ou non (Grande 1 ? COL1 : ). - La population de cette école était de 168 enfants au premier janvier. Tous,
certificat d'études, for- ment une division supérieure, ne vont à l' école qu'une demi-journée par semaine et restent, les
ituteurs et leurs aides, ainsi que les sous-employées attachées aux écoles , afin d'être mieux en mesure d'améliorer la pro
cteurs de ces deux instituts. (1) A cet examen ! ) infirmiers -de l' Ecole municipale d'Infirmiers et (1'[nllr- mitres de
lr- mitres de Bicêtre ont obtenu le certificat d'études. x Grande école : chant, escrime. Enseignement du chant. Cet en
ccessive- ment de tous les enfants. Il a divisé ceux de la petite école complémentaire en deux sections et ceux de la.
etite école complémentaire en deux sections et ceux de la. grande école en trois sections. Aucun d'eux ne savait lire l
8... .. Escrime. Cet exercice s'est fait régulièrement 1 ;nA);lJE ÉCOLE : CHANT. DANSE, ETC. XI sous la direction de M.
'hospice. Elle a prêté son concours à la distribution des prix de l' Ecole d'in- firmiers et d'infirmières de Bicêtre et d
es cle ces vues ont été uti- lisées par M. Bonnairc, professeur à l' Ecole munici- pale d'infirmières, pour son cours d'an
ades et distractions. Les enfants de la grande et ceux de la petite école qui sont propres ont continué il faire des prom
ous la conduite de. leur maître, ont visité dans tous ses détails l' École Estienne dont le directeur M. Fontaine, a bien
e d'habitude, cette opération a été pra- tiquée par les élèves de l' École municipale d'infirmiers et d'infirmières de Bic
es à Naples; M. Bloch (Maurice), agrégé des lettres, directeur de l' Ecole Bischofssheim; Dr Alb. Bjorkman (de Finlande) ;
ns de tabac. Palmarès, relevés de points, présences, etc., pour les Ecoles municipales d'infirmiers et d'infirmières. - Tr
ement comparables à ceux cle l'orphelinat Prévost à Cempuis et de l' école d'Alembert à Monté- vrain, par exemple, où les
urs-la et les jours qui suivent ils ne peuvent travailler ni : '1 l' école ni Ù l'atelier Statistique : Mouvement DE la po
ovisoires, M. Chapotin et M. Sébileau. 2° Service scolaire : Grande École r 4 instituteurs : MM. MESNARD, LANDOSSB, CAMAI
et deux infirmiers dont un ayant le grade de 1 cr infirmier Petite École : Mllos AGNUs (Blanche) et BoIIAIN (Amandine),
RDER et MARQUET, et 10 infirmières de. jour aidant les maîtresses d' école . 3° Enseignement professionnel. - 8 maîtres don
en deux catégories : a) les enfants valides qui sont envoyées et l' école du- rant une partie de la journée. Bien qu'une
ment clans l'ancien réfectoire, aux plus malades, d'autres vont à l' école et il en résulte des inconvénients pour les enf
plin, un escabeau, etc. La quatrième travée serait réservée il l' école pour les enfants gâteuses valides ; la cinquièm
enfants gâteuses valides ; la cinquième travée serait aménagée en école et préau pour les gâteuses invalides; les deux
qu'à la section de Bicêtre. Les améliora- tions réalisées dans les écoles des garçons sont introduites immédiatement à la
ent ; 30 ne savent pas manger seules. 160 enfants ont fréquenté l' école et sont exercées à la gymnastique Pichery. 60 e
des enfants idiots : créa- : tion de classes spéciales, annexées aux écoles ; primaires, pour les enfants arriérés. I.
rs collègues, L'organisation de classes spéciales, distinctes des écoles primaires ordinaires ou annexées à l'une ou plu-
oles primaires ordinaires ou annexées à l'une ou plu- sieurs de ses écoles dans chacun des arrondissements de la ville de
rriérés, indisciplinés, etc., qui nuisent au bon fonctionnement des écoles ordi- naires, au détriment des enfants normaux;
ue des enfants arriérés ou indisciplinés existant dans toutes les écoles primaires de Paris, et ultérieurement de la Sei
lité d'éduquer les idiots ; qu'en 1828, Ferrus organisa une sorte d' école à Bicêtre; qu'en 1831, J. P. Falret entreprit l
dispositions : « La classe spéciale est une partie intégrante de l' école primaire. L'enfant y est admis après une année
égrante de l'école primaire. L'enfant y est admis après une année d' école primaire si on a reconnu la nécessité de son ad
ants arriérés, sur l'initiative du D'' Largiarder, direc- teur de l' école secondaire des jeunes filles, qui s'inspira de
'enseignement en commun, bien que les sexes soient séparés dans les écoles bâloises, L'expérience a prouvé, en effet, que
atience et de dévouement. Le pro- gramme est le môme que celui des. écoles primaires, mais on donne aux maîtresses une gra
s le jeune âge du stigmate de l'imbécillité en le parquant dans une école spéciale. Il partageait aussi le préjugé couran
uin 1889. F. peint le sort malheureux des enfants arrié- rés dans l' école commune, dont ils deviennent lc poids Classes s
liser dans les classes ordinaires. F. donne des chiffres tirés de l' école de Zurich qui prouvent que le nomhre des enfant
ont immédiatement peuplées et le nombre fies enfants admis dans ces écoles a toujours été beaucoup plus considérable qu'on
casion du centenaire de Pestalozzi, qui fut célébré dans toutes les écoles suisses le 12 janvier 1896, de nom- breuses pub
es innocentes de cette flagrante injustice. Il faut les sortir de l' école primaire et faire leur éducation à part. Ceux q
essortir qu'un grand nombre d'enfants arriérés sont placés dans les écoles primaires, où il est impossible de leur donner
Soleure ont révélé le grand nombre de ces enfants qui fréquentent l' école . On compte environ 1 à 2 enfants faibles d'espr
lis dans tous les cantons que 13.155 enfants en âge de fréquenter l' école primaire rentrent dans le cadre de l'enquête. S
t-on reprocher aux classes spéciales de Baie d'être un peu trop des écoles modèles ? Il n'existe, il est vrai, dans aucun
infirmités corporelles ou men- tales ne sont pas aptes à suivre les écoles publiques ; 2° Ceux qui sont pervertis moraleme
instruction publi- que (si l'enfant a passé au moins une année 1\ l' école pri- maire, en donnant la preuve qu'il ne pouva
, après que l'enfant a tenté sans succès un essai cle deux ans il l' école primaire. Une commission, composée de l'inspe
Département pro- noncera si l'enfant peut continuer a fréquenter l' école pu- blique. En tout temps, le Département pourr
ent pourra faire ren- trer un enfant de la classe spéciale dans une école primaire sur la proposition de l'instituteur, a
lasse spéciale n'est pas obligatoire. La rentrée d'un enfant dans l' école primaire peut être faite à l'essai, ce qui nous
ciale sera plus mauvaise pour l'enfant que son séjour ingrat dans l' école primaire. Fisler affirme que l'ensei- gnement s
aient suffisamment avancés pour rentrer, sans inconvénients, dans l' école primaire commune. III. Comme les enfants faib
bles d'esprit ou anormaux ne peuvent pas suivre avantageusement les écoles ordinaires, les autorités scolaires devront les
res devront les dispenser de suivre ces Classes spéciales. LSXVII écoles et les placer, suivant la décision d'une commissi
ale de la Suisse romande. D'après les rapports cle la direction des écoles , les résultats obte- nus dans celte classe ont
société. » 1 ine commission de deux médecins et du directeur des écoles examine les élèves que les parents désirent con-
a reconnu leur incapacité de suivre l'enseignement com- mun de l' école primaire, soit pour cause d'infirmités phy- siq
les mines réjouies de tous ces pauvres déshérités pour lesquels l' école est devenue un paradis. » A Genève, enfin, il y
râce il l'activité persévérante de Ma- dame Picker, inspectrice des écoles primaires, une école spéciale comptant 22 petit
sévérante de Ma- dame Picker, inspectrice des écoles primaires, une école spéciale comptant 22 petites filles de 7 il 1-1
§ II. A"r.LETJ<;IOEE. Le School Board for London ( Conseil des écoles de Londres) a institué une commission chargée d
seil des écoles de Londres) a institué une commission chargée des écoles pour l'instruction spéciale des enfants angor-
nts qui suivent au rapport de 1897. 1° En mars 1891, le Conseil des Ecoles de Londres prit en considération la recommandat
s arriérés devraient être séparés des écoliers ordinaires clans les écoles publiques élémen- taires, afin qu'ils puissent
andation, le Conseil adopta les résolutions suivantes : « Que des écoles spéciales pour les enfants qui, pour raison de
aires ou par les méthodes ordinaires, seront établies, et que ces écoles seront appelées « Ecoles pour instruction spé-
es ordinaires, seront établies, et que ces écoles seront appelées « Ecoles pour instruction spé- ciale ". « Qu'un nombre
« Qu'un nombre suffisant de salles seront réservées clans chaque école pour l'instruction spéciale, afin de per- mettr
donne pas plus de 30 enfants à instruire à un seul maitre dans les écoles pour instruction spéciale. « Que les enfants qu
r instruction spéciale. « Que les enfants qui seront reçus dans ces écoles soient désignés par le Directeur des écoles élé
i seront reçus dans ces écoles soient désignés par le Directeur des écoles élémentaires. comme faibles d'esprit, pauvremen
de raisonnement, etc. ; et qu'avant d'admettre ces enfants dans les écoles pour instruction spéciale, ils seront examinés
eront examinés par un médecin du Conseil et par le directeur do ces écoles spéciales. « Qu'un système très étendu de jardi
Qu'un système très étendu de jardins d'enfants sera adopté dans ces écoles , que la plus large liberté sera accordée à chaq
ève. « Qu'en règle générale, aucun enfant ne soit envoyé dans une école spéciale située il plus d'un demi-mille, sans q
hysiquement et menta- lement. Ses devoirs consistent il visiter les écoles ordi- naires, à faire un rapport sur les cas po
ayé comme terme moyen. Il n'y a pas charges d'honoraires dans ces écoles . - 4° Le montant des salaires des maîtres dans
dans ces écoles. - 4° Le montant des salaires des maîtres dans les écoles spéciales est le même que celui des maîtresses
spéciales est le même que celui des maîtresses assistantes dans les écoles ordinaires, avec une somme addition- 1 Classes
liv. sterl. (250 fr.) pendant la première année de service dans les écoles spéciales. Cette somme addi- tionnelle sera por
ut de 5 ans, afin que l'on puisse faire passer les maîtres dans les écoles ordinaires, si l'on juge à propos de les rempla
n juge à propos de les remplacer par de nouveaux maîtres dans les écoles pour instruction spéciale. Suit une liste donna
Depuis un certain nombre d'années déjà, il y avait dans quelques écoles de Bruxelles des classes d'arriérés où étaient
umises aux systèmes discipli- naires et éducatifs de l'ensemble des écoles , sont les deux motifs principaux pour lesquels
auvres d'esprit, ni aux indisciplinés et elle ne débarrassa pas les écoles des sujets défectueux, capables de nuire aux en
ire aux enfants normaux. A différentes reprises, les directeurs des écoles attirè- rent l'attention de l'administration co
ce moment il tous les points de vue ; l'étude de la question des écoles de correction et de bienfaisance et celle de l'
e dernière, au mois de mai, la ville de Bruxelles fonda sa première école spéciale. Cet établissement est une école centr
elles fonda sa première école spéciale. Cet établissement est une école centrale, les élèves n'y viennent point directeme
ennent point directement. Ils y sont envoyés par les directeurs des écoles du bas de la ville, si, au moment de leur entré
ours d'é- tude, ils présentent quelque chose d'anormal. Amené à l' école spéciale, l'enfant est observé par le médecin a
, et des rapports fournis par le directeur et les instituteurs de l' école où se trouvait antérieurement ! 'élèvc. Classes
'élèvc. Classes spéciales. LB\III Quels sont les élèves admis à l' école spéciale ? 1° Les arriérés pédagogiques, enfant
s études et sont devenus incapables de suivre l'enseignement de l' école normale, môme quand ils sont placés dans des cl
x, imbéciles, simples d'esprit, idiots du premier degré, etc. Notre école n'est pas une école pour idiots; aussi les cas
d'esprit, idiots du premier degré, etc. Notre école n'est pas une école pour idiots; aussi les cas d'idiotie un peu prono
quelque autre défaut, rendant impossible leur séjour momentané à l' école primaire. La population de l'école est donc var
ible leur séjour momentané à l'école primaire. La population de l' école est donc variée. Pourtant au point de vue pra-
Voici les grandes lignes de l'organisation. II existe d'abord à l' école , une classe qui n'est établie dans aucun autre
s (roebeliennes. On y reçoit les enfants de 6 à 8 et 9 ans qui, a l' école Froebel, ont déjà évolué anormalement et se mon
est enseignée. 3" La question de la fréquentation régulière de l' école fait l'objet d'une surveillance très sérieuse.
ossibles, ils tâchent d'obtenir la régularité il ce point de vue. L' école est un externat; les enfants retournent chez eu
te population d'enfants est la plus mauvaise de toutes celles des écoles de la ville. La fréquentation est pourtant rela-
l, et les soins spéciaux exigés par leur état. 5° Le personnel de l' école comprend : Le directeur : M. Lacroix; une insti
ur dossier médico-pédagogique (1 ? L Quand l'enfant est amené à l' école , le médecin et le directeur décident s'il y a l
ter ou non. Si l'enfant, après examen complet, n'est point reçu à l' école spéciale, il est renvoyé à l'école ordinaire de
en complet, n'est point reçu à l'école spéciale, il est renvoyé à l' école ordinaire de son quartier. Si un enfant, à l'éc
est renvoyé à l'école ordinaire de son quartier. Si un enfant, à l' école spéciale, s'est amélioré ou guéri, il est, aprè
s'est amélioré ou guéri, il est, après examen complet, renvoyé à l' école ordinaire. Les deux médecins attachés à l'école
omplet, renvoyé à l'école ordinaire. Les deux médecins attachés à l' école spéciale sont le docteur De Moor, médecin en ch
- pédagogique. Résultats. Un résultat énorme est celui-ci : les écoles ordinaires n'ayant plus à s'occuper des anormau
puis 1879. LXXXVI Classes spéciales. Pour les enfants anormaux, l' école spéciale est d'une grande utilité. Notre corres
s et tous les enfants prendront un bain-douche chaque semaine.' L' école compte environ deux cent quarante enfants. L'éc
ue semaine.' L'école compte environ deux cent quarante enfants. L' école actuelle ne reçoit que les enfants du bas de la
est probable que des établissements analogues seront créés pour les écoles du haut de la ville, et pour les écoles de fill
ues seront créés pour les écoles du haut de la ville, et pour les écoles de filles. Il est question de la création d'une
t pour les écoles de filles. Il est question de la création d'une école analogue il Anvers. Des renseignements que nous
l- lent pas leurs enfants, les laissent vagabonder la sortie de l' école , d'où des fréquentations dangereuses qui abouti
t absents de leur domicile, il fau- drait organiser dans toutes les écoles des garderies jusqu'à une heure à déterminer et
eries jusqu'à une heure à déterminer et ne rendre les enfants des écoles primaires que comme on rend les enfants clés cr
spéciale, complétée par un traitement physique, médical et moral. L' école , le redressement moral et non la correction.
méchante ; affectueuse envers ses parents. Elle apprenait bien il l' école : sa maîtresse ! esti- mait qu'elle pouvait avo
u, n'étant pas en train. Rien dans la nuit du 19 au 20. Les 20, à l' école , sa mai- tresse a constaté qu'elle était plus d
30 juin. - La guérison parait complète. II... est très active il l' école , au ménage et au jeu. Réflexions. z Il s'agit,
tives de bien et de mal au point de vue du caractère. - Progrès à l' école et à l'atelier. Antécédents. 41 1898. Tubercu
? Description DU malade. 45 1889. Janvier. État stationnaire il l' école . 0... comprend très-bien tout ce- qu'on lui dit
les autres enfants qui le redoutent on le fait passer il la grande école . Il avril. - On constate une amyotrophie marqué
telier de cordonnerie où il a été envoyé à son entrée à la grande école . Juillet. Puberté : Léger duvet aux joues ; - q
- Puberté. Aucune modification appréciable. 189'i..lattuier. - A l' école , C... fait des progrès sensibles. Ca- ractère t
on et le gilet et il y est aussi tranquille qu'il est turbulent à l' école . 1890. Janvier, - Aucun changement dans le cara
s lombricoïdes vers 3 ans. A cinq ans elle commence il fréquenter l' école commu- nale et à 11 ans elle obtient son certif
ge. L'une de ses camarades- et peut-être cela avait-il commencé à l' école lui aurait appris toutes sortes de choses « sur
garçon, dix-neuf ans, bonne santé, très tra- vailleur, candidat à l' Ecole centrale ; 4° une fille, dix-huit ans, bien por
elle ne pouvait lui faire distinguer ses yeux, son nez. Envoyé à l' école a l'Age de trois ans, il n'y a rien fait; it ci
ec beaucoup de facilité les chants des chanteurs des cours. Mis à l' école , on n'a pas voulu le garder, parce qu'il était
ve; - rien à la région anale. 1891. 1·'u·iei. - Placé à la petite école , le malade y montre peu de bonne volonté; il es
èvre typhoïde. 23 février. - Lau... guéri, est renvoyé iL la petite école . Traitement : sirop d'iodure de fer, huile de f
ivait deux ou trois fuis par semaine d'uriner au lit. Envoyé il l' école maternelle à 3 ans : n'a jamais manqué ; appren
chait de causer toujours et de s'occuper de tout. - A 6 ans va il l' école communale, travail- lait bien, causait et jouai
s reprises différentes, il s'est plaint de la tète. - Est resté à l' école communale jusqu'à 15 ans; a eu son cer- Antécéd
ces manifestations qui, après l'asile maternel, se reproduisent à l' école primaire, c'est parce qu'elles prendront à l'ép
ne intensité, morbide, une allure pathologique. De la sortie de l' école au début de la seizième année, rien de particul
âteux ou non gâteux, épi- leptiques ou -non, mais valides (petite école ) .................................. or Petite é
lides (petite école) .................................. or Petite école complémentaire.............. zon 30 Enfants pro
és, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non (g1'ande école ) ? ... m Enseignement du chant.................
des enfants idiots ; créa- tion de Classes spéciales, annexées aux écoles primaires, pour les enfants arriérés,. I. A M
4 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
illejuif ; BRISSAUD, prof, à la Faculté ; BINET-SANGLE, prof. & l' Ecole de psychologie ; Coste de LAGRAVE ; CRUISE (de Du
e ; Henry LEMESLE ; LLOYD-TUCKEY (de Londres) ; MANOUVRIER, prof, à l' Ecole d'Anthropologie MASOIN, prof, à l'Université de L
é de Louvain ; Milne BRAMWELL (de Londres) ; Paul MAGNIN, prof, à l' Ecole de psychologie; MORSELLI (de Gènes) ; DE PACKIEWI
• * • Chaque année la clôture des cours du semestre d'été de l' Ecole de psychologie est marquée par une visite à l'Eta
Quinque, une centaine de visiteurs, auditeurs fidèles des cours de l' Ecole de psychologie, ont visité le magnifique établiss
le consentement organique par M. le Docteur Bérillox professeur à l' Ecole de psychologie. I. — Le consentement mental B
u, député ; de M. le D' E. Mon in ; de M. le Dr Godon, directeur de l' Ecole dentaire : de M. le Dr Doyen : de Mme la D" Liptn
D' Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l' Ecole de psychologie, lis seront répartis de la façon s
, question à l'ordre du jour : La collaboration de la famille et de l' école dans l'éducation ; Rapporteurs : Mlle Berthet, pr
l'école dans l'éducation ; Rapporteurs : Mlle Berthet, professeur a l' Ecole normale de jeunes filles de Nevers, Mlle Gèhin, d
Ecole normale de jeunes filles de Nevers, Mlle Gèhin, directrice de l' Ecole normale de Bar-le-Duc. Dans l'après-midi, commu
ent de l'attention (avec projections). Mlle Geiiin. directrice de l' école normale de Bar-le-Duc : 1- Les fêtes scolaires ;
ormale de Bar-le-Duc : 1- Les fêtes scolaires ; 2* De l'attention à l' école primaire et dans l'éducation en général. M. Qui
Lyon : Les classes de perfectionnement pour enfants anormaux dans les écoles publiques de Lyon. Avis important. — Les membre
ordres d'enseignement. Elle leur permet ainsi qu'aux professeurs des école spéciales, professionnelles ou techniques, de se
, car, d'après une enquête faite par une Commission suédoise dans les écoles de Stockholm, les élèves qui n'ont pas la moyenne
en plus que le nouveau légionnaire. Ancien élève très brillant de l' Ecole normale supérieure, agrégé de Philosophie et doct
t considérables. Lorsque, sous l'impulsion du D' Bérillon. surgit l' Ecole de psychologie, M. le professeur Lionel Dauriac s
e, le vice-président de la Société d'hypnologie et le professeur de l' Ecole de psychologie. C'est pourquoi nous avons accueil
par MM. Grollet et Lépinay, médecins-vétérinaires, professeurs à l' Ecole de psychologie, chefs du laboratoire de psychol
est pas réalisé d'une façon rigoureuse, deviennent nécessairement des écoles d'immoralité. Le vice de l'homosexualité y est
e traitement capital au point de vue curatif ? Ici, Messieurs, deux écoles sont en présence, mais toutes deux utilisent un m
nément et dans une certaine mesure, la tension psychologique, l'autre école place au contraire au premier rang la suggestion
par M- le Docteur Paul Joire (de Lille) professeur correspondant de l' Ecole de psycnologie. Le but de tout art est d'éveill
sanctions du travail, — et elle rentre dans le cadre des études de l' Ecole de Psychologie. Ce n'est pas, dit-on, le princi
oindre effort ; on sait qu'une tendance géné-(1) Conférence faite à l' Ecole de psychologie (semestre d'hiver 1908). rale
ompare les enfants élevés isolément, par un précepteur, à ceux de nos écoles , on reconnaît la supériorité incontestable de l'é
aucc, par exemple à l'Orphelinat de Csmpuis, au Lycée Michelet et à l' Ecole Alsacienne, on en discute l'utilité de l'autre cô
e dramatique à la Sor-bonne, me disait récemment, que dans une grande école mixte dirigée par une dame de ses amies, les jeun
esprit clinique le plus élémentaire. Dr René Pamart, professeur à l' Ecole de Psychologie. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE A
ucation et à la psycholoaie. — Vigot frères, éditeurs, 23, place de l' Ecole de médecine, Paris. Un vol. in-8° écu avec 44 fig
fesseur au Lycée de Toulouse, docteur ès-lettres. ancien élève de l' Ecole normale supérieure. Préface de Jean Labor. Privât
émoin ft décharge le professeur Liégeois qui défendit la théorie de l' école de Nancy sur l'hypnotisme, contre l'école de la S
ui défendit la théorie de l'école de Nancy sur l'hypnotisme, contre l' école de la Snlpêtrière. Lee théories longuement exposé
est-vcuue douloureusement surprendre ses élèves et ses admirateurs. L' Ecole de psychologie perd en lui un de ses meilleurs am
ychologiques. Aussi c'est de grand cœur que tons les professeurs de l' Ecole de psychologie s'associent a l'éloge suivant qui
n, suggestion, etc. par M. le doeteur Paul ]' . ' professeur ?? l' Ecole de psychologie. Dans la communication qu'il nou
édés scolaires, si ingénieux qu'ils soient (1) Conférence Inito ? l' Ecole de psychologie (semestre d'hiver 1908). V. le num
ar exemple, en 1907, n'a-t-on pas donné pour les examens d'entrée a l' Ecole normale supérieure de Sèvres des questions de mat
la fausse conception de ce que doit être un examen d'admission a une école . la promesse d'un jouet, d'une bicyclette, et
e le dauphin. Au XVIIIe siècle. Delille. dans le Magister, décrit l' école et il ajoute : » Non loin croit le boulean dont l
uitter l'établissement. D a été complètement supprimé dans beaucoup d' écoles , eu particulier dans les écoles primaires. La p
complètement supprimé dans beaucoup d'écoles, eu particulier dans les écoles primaires. La punition est en général un mauvai
rreau. Or la chose est difficile en pratique, saof peut-être dans une école professionnelle. Avec un peu plus d'ingéniosité
Us relèvent du médecin de l'établissement qui doit les éloigner de l' école , ou les faire décharger de certains cours dont il
, toas les enseignements théoriques, et en exigeant des candidats aux écoles techniques, d'avoir pris, dans les Facultés des S
evue. La section fut présidée par M. le Dr Bèrillon. professeur a l' Ecole de psychologie. M. Julien Ray, professeur à l'Uni
rée à la discussion de l'importante question de la collaboration de l' école et de la famille dans /'education. Sur ce sujet o
Sur ce sujet on entendit les rapports de Mlle Berthet. professeur à l' Ecole Normale de Nevers et de M. le Dr Gallois, de Pari
erie, M. Auréggio, vétérinaire principal ; M. Grollet. professeur à l' Ecole de psychologie; M. le capitaine Burguet, officier
onnance du général commandant le 13° Corps ; M. Menât, directeur de l' Ecole d'Enseignement professionnel ; M. de Hontricher.
seur de Médecine et Madame Gréhant, M. le Dr Bèrillon, professeur à l' Ecole de psychologie et Madame Bèrillon ; M. Beauvisage
. Girod professeur de philosophie au lycée ; M. Menot, directeur de l' Ecole professionnelle ; Mlle Dïssard, directrice d'Ecol
ot, directeur de l'Ecole professionnelle ; Mlle Dïssard, directrice d' Ecole : Mlle Lucie Bèrillon, professeur au lycée Molièr
èrillon, professeur au lycée Molière : M. le Dr Noury, professeur a l' Ecole de médecine de Caen ; M. le Dr Mally, professeur
esseur a l'Ecole de médecine de Caen ; M. le Dr Mally, professeur à l' Ecole de médecine de Clermont : M. le Dr Damoglou, du C
e Clermont : M. le Dr Damoglou, du Caire ; M. Grollet, professeur à l' Ecole de psychologie Madame Grollet ; M. Moreau, profes
hypnotisme. M. Liégeois fut l'un des membres les plus actifs de cette école de-Xancy, comme on l'appelle, qni a soumis h une
les animaux et chez l'homme par M. le D1 Bcaiixos, professeur ft l' Ecole de psychologie. TJn des phénomènes les plus fra
, suggestion, etc. (1) par M. le docteur Paul Fàkiz. professeur k l' Ecole de psychologie. (Suite) La suggestion est-ell
upprimer en France. A ce sujet on cite la (1) Conférence faite ft l' Ecole de psychologie (semestre d'hiver 1908). V. les nu
arde presque jamais les devoirs de mes élèves. On n'aime pas cela a l' école . Les notes ne sont fournies qu'une fois par mois.
rents, on nous dira : est-ce une raison pour la développer encore à l' école ? Est-ce l'affaire de l'éducation ? Nos adversa
ujourd'hui presque sans discussion. On les a supprimées dans nombre d' écoles communales, au Lycée de jeunes filles de Lyon, et
bien (1) Dès 1904, lors d'une consultation semblable, à propos des écoles primaires Supérieures de jennes filles de Paris,
i on ne le compare qu'à lui-même (comme on le fait très justement à l' école normale d'Àuteuil). On objectera que les compos
ronger les ongles des pieds. » Anaïs, si nous en croyons Claudine à l' école , à défaut des ongles des pieds, se rongeait copie
cteur E. Laurent qui depuis plus de 15 ans est médecin inspecteur des écoles à Paris, a pu observer facilement de très près un
noter, avait été dévolue ft Mrs Bryant, directrice de la plus fameuse école secondaire de Londres, et nombre de femmes distin
rent part aux débats, parmi lesquelles, Mlle Belugon, directrice de l' école normale supérieure de Sèvres, Mlle Allegrét, dire
ét, directrice du lycée de Versailles, Mlle Billotey, directrice de l' école normale de la Seine, qui exposa d'une façon remar
açon remarquable une leçon type de morale, comme on les fait dons les écoles françaises ; Mme Kuntz lut un rapport snr les soc
e mieux dans tous les pays : 1" pour l'éducation des enfants dans les écoles de tous ordres ; 2" pour celle de l'adolescent ap
ans les écoles de tous ordres ; 2" pour celle de l'adolescent après l' école ; 8" pour la direction des réfractaîres à l'éducat
brillants avocats, surtout en M. John Bussel, directeur d'une grande école mixte très prospère ft Hampstead, celle de la for
, complétée par les communications de M. Albert Bayet, professeur à l' Ecole alsacienne, ennemi des récompenses et des punitio
d tournoi, entre les « théologiens > et les « libres penseurs ». L' école française avec Ferdinand Buisson soutint brillamm
s animaux et chez l'homme (l) par M. le D' Bkbillox, professeur à l' Ecole de psychologie. (Suite) Des faits analogues o
village de la Suisse. Un incendie éclata dans un immeuble voisin de l' école communale. Bientôt tous les Suisses du plateau ac
ement, ils avaient déposé leurs manteaux dans le préau de la maison d' école . Le propriétaire d'un chien nommé Baril (2), y av
, suggestion, etc. (2) par M. le docteur Paul Fâbez. professeur h l' Ecole de psychologie. (Suite et fin) Dans les cas d
ayant étudié les divers procédés de reviviscence dans mon cours de l' école de psychologie en 1907. 3° Avant de soumettre u
directeur de la Maison de santé d'Epinay ; Dr Motais. directeur de l' Ecole de médecine d'Angers ; Lr Dorvaux, de Thiant (Nor
cevables et porte parfois aux extrémités les plus funestes. » (2) L' école de la Salpétrière s'est inscrite en faux contre c
de professeurs négligent de parti-pris la (1) Conférence faite a l' Ecole de psychologie (semestre d'hiver 1908). V. les nu
aux ni des arriérés.Tout cela est affaire de tact: Dans ses cours à l' Ecole de psychologie.le Dr Bérillon a exprimé fréquemme
ses à propos de quelques grands hommes, de Napoléon par exemple,. A l' école militaire de Brienne, son professeur d'allemand s
dre de répéter, — pour qu'ils continuent a s'instruire au sortir de l' école et rouvrent volontiers leurs livres que tant de b
'âge mûr lee promesses de leur jeunesse, par contre Pasteur entra à l' Ecole normale dans un rang médiocre, et Claude Bernard,
a qu'après trente ans. Que l'avenir réserve ou non des surprises, l' école doit faire sa part légitime au succès et à toutes
our les adultes. Ces récompenses sont plus justement attribuées à l' école que partout ailleurs. Modestes, utiles, elles ne
! U est chimérique et contraire a la justice de vouloir faire de l' école ,où l'enfant, plus faible que l'homme a besoin d'ê
usique et des fleurs. Elles avaient raison, car au moins ce jour-là l' école serait gaie et fleurie* La réunion pourrait utile
es. NOUVELLES Enseignement de l'hypnotisme et de la psychologie Ecole de psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts. — L
9, rue Saint-André-des-Arts. — La neuvième réouverture des cours de l' Ecole de psychologie aura lieu le lundi 11 (1) a. de
janvier, à cinq heures, 49. rue Saint-André-des-Arts, au siège de l' Ecole . Le programme des cours, des conférences hebdomad
e PSYCHOTHÉRAPIQUE. — MM. les D™ Bérillon et Paul Farez ontre.ris k l' Ecole de psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts, le
?4?a/ Décembre 1908. BULLETIN Neuvième réouverture des cours de l' Ecole de psychologie. — Le cours du professeur Gley au
r Gley au Collège de France. La neuvième réouverture des cours de l' Ecole de psychologie aura lieu le lundi 11 janvier, à c
t : L'évolntion de l'esprit militaire eu Chine. L'année dernière, l' Ecole de psychologie, témoignant d'un sens aigu de l'ac
n si bel exemple. La leçon de M. Scié-Ton-Fa témoigne du souci de l' Ecole de psychologie de soivre d'un œil attentif l'évol
ologique des races et des peuples. Cette année, l'enseignement de l' Ecole sera continué par MM. les V Bérillon, Paul Magnin
itées par les personnalités les plus éclairées. L'enseignement de l' Ecole de psychologie est public. Il s'adresse anx médec
nt personnellement invités a suivre les cours et les conférences de l' Ecole de psychologie. ? Mardi dernier, il 5 heures,
s animaux et chez l'homme (2) par M. le D' Bekillox, professeur à l' Ecole de psychologie. (Suite) Dès la plus haute ant
traité sur la Physiologie comparée des animaux, Colin, professeur à l' Ecole d'Alfort, rappelle le fait bien connu que chez le
leur thérapeutique de l'hypnotisme. Rappelons les discussions entre l' école de Nancy qui prête à l'hypnotisme une très grande
cy qui prête à l'hypnotisme une très grande valeur thérapeutique et l' école de la Salpétrière qui s'est bornée à- ne l'employ
ère que dans un but expérimental ; et tout au plus cette dernière école a-t-elle établi que Fhypnotisme peut combattre ce
notisme peut combattre certains symptômes hystériques. L'opinion de l' école de Nancy est, aujourd'hui, admise par un nombre d
erne l'Allemagne, cela tient à la manière dont les représentants de l' école de 2iancy se sont servis de l'hypnotisme dans ce
ique de la lecture des mots imprimés dont ils sont atteints. Dans les écoles de Londres, on compte un de ces malades sur 2.000
Muets : L'état actuel de l'Instruction publique pour les anormaux d' école . 6° Dr Chichtox Miller, de San Remo : Climatothér
rononcé par Berthelot en janvier 18W, à la réouverture des cours de l' Ecole de psychologie. Berthelot qui venait d'être cru
son, outre la science et le mysticisme, Il félicitait les élèves de l' école de psychologie de se cantonner avec sagesse sur l
rs te bien, vers l'idéal. U ne sera jamais donné aux auditeurs de l' Ecole de psychologie d'entendre des sentiments plus nob
urnée de janvier 1891, qui restera la date la plus glorieuse de notre Ecole . • * * M. le professeur Régis vient de prés
abeur de ce savant, si sympathique a tous. * Les professeurs de l' Ecole de psychologie voulant célébrer la promotion dans
un trouva dans sa profonde affection pour le vénéré représentant de l' école de Renouvier, les paroles qui pouvaient le mieux
carrière, faite de services désintéressés, honore les distinctions. L' Ecole de psychologie a laquelle il ? apporté avec mut d
s animaux et chez l'homme (1) par m. le D' Bebillox, professeur k l' Ecole de psychologie. (Suite) m. L'Olfaction compar
Et cela est surtout vrai pour les méthodes brusques et violentes de l' école de la Salpétrière. Dans l'école de Nancy, deux di
s méthodes brusques et violentes de l'école de la Salpétrière. Dans l' école de Nancy, deux directions se font jour. Pour l'un
s reconnaître la vérité de ce qui constitue la base fondamentale de l' école à Nancy,& savoir l'existence d'une série de t
peut-être mieux que personne, montré la justesse de la doctrine de l' école à Nancy. Ce fait même que l'hypnose la plus super
t psychologique et guérison. par ?. le D* Paul Farez Professeur a l' Ecole de psychologie Un financier américain de passag
vec acharnement les unes les autres (témoin les luttes homériques des Ecoles de Paris et de Nancy). Déplus, la symptomologie d
plement biologique. Cela parait devoir trancher les difficultés des Ecoles qui se sont opposées les unes anx autres, en s'en
t les proportions ont été réellement exagérées artificiellement par l' Ecole de la SalpOtrière, qui se trouve à cheval sur les
s dans la rue et qui avait de la peine à retrouver son domicile.) L' Ecole de la Salpêtrière n'a donc rien créé et. bien ava
s-Muets : L'état aetnel de l'instruction publique pour les anormaux d' école . 5° D' Rodolphe Bkoda : Les religions nouvelles
un brave enfant de bi Meuse qu'il était, aux élèves-Instituteurs de l' Ecole normale de Commercy, on 11 se rendait ponr cela t
nte d'avoir été l'un des créateurs de ce qn'on a justement appelé « l' Ecole de Nancy ». Nos étudiants doivent savoir cela, et
-16, 3 fr. 50. — ?eß?? et Cie, éditeurs. M. Baumann qui relève de l' école positiviste, détermine d'abord quels sont les pen
el Dauriac, prof. non. de la Faculté de Montpellier; Marcel Dubois, Ecole de Psychologie (49. rue Saint-André-des-Arts). pr
à la Faculté de Médecine : J. Voisin, médecin de la Salpétrière. ÉCOLE DE PSYCHOLOGIE 49, rue Saint-André-des-Arts, 49
-Oullah et Dr Bérillon. Programme des Cours et des Conférences de l' Ecole de Psychologie pour l'année 1909 (9e année) L
cien ministre. ORDRE DU JOUR : 1° Dr Bérillon : Le programme de l' Ecole de Psychologie ; 2° M. Scie-Ton-fa, doeteur en
. ..... Cours de 1909 (9e année) (Les cours et tes conférences de l' Ecole de Psychologie sont publics) Hypnotisme thérape
l'organisation de l'Institut psycho-physiologique comporte : I. Ecole de psychologie : (Voir le programme des cours et
sultations données au Dispensaire pédagogique, sous les auspices de l' Ecole de psychologie ont lieu les mardis, jeudis, samed
du jeudi. Promenades et excursions psychologiques. Les cours de l' Ecole de psychologie seront complétés par des excursion
Dépôt, 1884. — Médecin de la Salpétrlère, en 1884. — Médecin de l' Ecole de réforme de la Salpétrlère, en 1892. — Chargé
pétrlère, à côté de son service d'enfants arriérés et éplleptiques, l' Ecole de réforme destinée a l'éducation et a la morulis
vec des ressources budgétaires très limitées, à mettre sur pied cette école remarquable par l'ordre, la méthode qui président
, Il ne cessait de perfectionner le service des enfants anormaux et l' école qui y est annexée. Il n'est pas inutile d'ajouter
du Congrès international de l'hypnotisme en 1900 et par les amis de l' Ecole de psychologie, il laquelle M. le D' Voisin a ren
universellement estimé et aimé. Neuvième réouverture des cours de l' Ecole de psychologie sous la présidence de M. Paul Do
Gouverneur de l'Indo-Chlne. La neuvième réouverture des cours de l' Ecole de psychologie a eu lieu le lundi 11 janvier, sou
cteur Jules Voisin, médecin de la Salpétrière et les professeurs de l' Ecole , MM. les docteurs Bérillon, Paul Magnin, Paul Far
uction publique à Téhéran, M. le docteur Yvon, médecin-inspecteur des Ecoles , Mil. les docteurs Chauchard, Beignier, Bibard, P
Durand, Echard, ainsi qu'un grand nombre de professeurs de lycées et écoles de Paris. Plusieurs des membres de notre consei
ert la séance, le président donne la parole au docteur Bérillon : L' Ecole de Psychologie par M. le D* BÉmixos professeur
llon : L'Ecole de Psychologie par M. le D* BÉmixos professeur h l' Ecole de Psychologie. Avant de remplir l'agréable mis
remplir l'agréable mission d'exposer les événements relatifs à notre école qui sont survenus depuis la dernière session, per
Coran, une question de la plus brûlante actualité. H demandait à l' Ecole de psychologie de résoudre le problème de la libé
l'ordre du jour la question posée par le professeur TJbeyd-Oullah, l' Ecole de psychologie a témoigné de 'sa constante préocc
nements de la psychologie sociologique. Des relations amicales de l' Ecole de psychologie avec les savants musulmans est rés
insi étroitement, par son origine, au but général poursuivi par notre école . * * * C'est également pour rester fidèle à n
tution de professeurs correspondants est absolument spé-c.ale à notre Ecole de psychologie. Elle a pour mission d'étendre aux
d'étendre aux distances les plus éloignées les enseignements dé notre école , et de con- server dans toute leur pureté les
t dn devoir, l'admiration du courage et le souci de la dignité. A l' Ecole de psychologie, nous nous efforçons également de
l fut grand savant, présidant la cinquième réouverture des cours de l' Ecole de psychologie, nous rappelait que la science et
de la moralité. Fidèles à ces engagements, nous nous efforçons, à l' Ecole de psychologie, de réagir contre les périls qui m
s : anosmies et hyperosmes. par ?G. le Dr Bekillos;, professeur h l' Ecole de psychologie. (Suite) Les aptitudes olfacti
ionel Dauriac, vice-président de la Société. Caustier, professeur à l' Ecole de Psychologie Muteau, député. La correspondanc
individuelles : tel cet autre soi-disant liseur de pensée, étudié h l' Ecole de Psychologie, il y a quelques années, et à prop
volonté et supercherie par M. le Docteur Paul Fâbkz, Professeur a l' Ecole de Psychologie. Les partisans des hypothèses ex
mes et d'enfants dans des dépendances dn temple. Les enfants vont à l' école du dimanche, comme dans les autres congrégations
11 ; c'était une fille de petit paysan. Elle reçut l'instruction de l' école du village et se mit à tisser dans la maison pate
s-Muets : L'état actuel do l'instruction publique pour les anormaux d' école . 3° 31. Scté-Ton-Fa : L'homosexualité eu Chine.
' NOUVELLES Enseignement de l'hypnotisme et de la psychologie Ecole de psyobologd3. 49, rue Saint-André-des-Arts. — L
Ecole de psyobologd3. 49, rue Saint-André-des-Arts. — Les coure de l' Ecole de psychologie ont lieu tous les jours à cinq heu
ychothérapique. — MM. les Drs Bébillox et Paul Farez continuent,- à l' Ecole de psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts, les
artin, vice-président, a entendu M. le Dr Bérillon, représentant de l' Ecole de psychologie. Désireuse do connaître les servic
a commission avait tenu ii connaître le but et le fonctionnement de l' Ecole de psychologie. Dans un entretien qui n'a pas dur
eure et quart, le docteur Bérillon a exposé les services rendue par l' Ecole de psychologie. H a également indiqué quels avant
nippon : il est d'ailleurs toujours battu. Sur les murs de toutes les écoles primaires, secondaires et supérieures ce ne sont
ce simple titre : * Na-P'o-Leunn » (Napoléon). Dans les casernes, les écoles de sous-officiers, les écoles spéciales, nous ret
nn » (Napoléon). Dans les casernes, les écoles de sous-officiers, les écoles spéciales, nous retrouvons également toutes ces g
raînant les Chinois dès leur enfance, en leur faisant donner dans les écoles une éducation virile, on se préoccupe d'en faire
ollicitent l'honneur de servir dans notre armée, redevenue une grande école de fraternité et de courage. Comme conclusion d
s animaux et chez l'homme (1) par M. le Dr Bsrillos, professeur à l' Ecole de jisycbologie. (Suite) T. Le role de l'odor
eur en clinique psychologique par M. le D' Békillos, professeur à l' Ecole de psychologie La recherche du - signe de la dé
nsi dire inséparables l'un de l'autre. Dans une série de leçons à l' Ecole de Psychologie, j'ai étudié l'action des représen
mouvements en psychothérapie et dès le début de son enseignement à l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine, Bérillon. sou
du « Réveil » en Hypnotisme par il. le D' Dbuon'chv. professeur a l' Ecole de Psychologie. Les considérations suivantes se
tisme — point sur lequel j'entretenais mes auditeurs à mon Cours de l' Ecole de Psychologie, il y a quelques semaines. Je
et viendrait de se réveiller à l'âge de 45 ans prête à retourner à l' école primaire continuer son éducation interrompue. L
estion de l'éducation attrayante rentre dans le cadre des études de l' Ecole de psychologie, parce qu'elle repose sur la psych
la vie familière et l'amène a en trouver. (1) Conférence faite à l' Ecole de Psychologie, sons la présidence de M. Ferdinan
héologie. On connaît les procédés dogmatiques dont usait Alcuin à l' école du palais sous Charlemagne (cités dans l'histoire
que. Elle s'adresse au gentilhomme (ou au bourgeois fortuné élevé à l' école des Roches ou dans les institutions similaires),
de pathologie comparée, la Société d'hypnologie et de psychologie, l' Ecole de psychologie, et le Syndicat de la presse scien
directeur de la Salpetrière ; M. le Dr Paul Magxin, professeur à l' Ecole de psychologie, vice-président de la Société d'hy
eur dos Archives de neurologie ; M. le Dr Bérillos", professeur à l' Ecole de psychologie, médecin inspecteur des asiles d'a
faculté ; Madame Roger Voisin : M. le Dr Paul Parez, professeur à l' Ecole de psychologie, secrétaire général adjoint de l
égé de l'Université ; M. Gutlhermet, avocat'à la Cour, professeur à l' Ecole de psychologie; M. le Dr Derecq, médecin de l'hôp
rvice d'électrothérapie de Lariboisier ; M. Léplnay. professeur a l' Ecole de psychologie ; Madame Lépixay; M. le Dr R
M. le Dr Barthe de Sandfort ; M. le Dr Bellemanière, professeur à l' Ecole de psychologie ; M. le Dr Bernard-Leroy : Madame
otjcard ; M. le Dr Bougon ; M. le Dr Félix Begnault, professeur à l' Ecole de psychologie, directeur de l'Avenir médical;
hologie, directeur de l'Avenir médical; M. Caustier, professeur à l' Ecole de psychologie ; M. Combes, secrétaire général
iance scientifique universelle ; M. le Dr Demonchy. professeur à. l' Ecole de psychologie ; M. le Dr Féridoun-Bey, de Cons
Ed. Germiqcet, de Remonts (Suisse) ; M. Louis Fayre. professeur à l' Ecole de Psychologie ; Madame Tarrtcs, de Paris ; M
le, etc., etc. Discours de M. le Dr Paul Magnin. Professeur ? l' Ecole de psychologie, Vice-président de la Société d'hy
icisme infécond et d'une imagination trop fertile, nous avons été à l' école d'un maître dont la méthode est faite de rectitud
animaux et chez l'homme (1) par M. le D' Bebillos;, professeur à l' Ecole de psychologie. (Suite) V. LE ROLE DE L'ODORA
Baguer. — L'état actuel de l'instruction publique pour les anormaux d' école . — Discussion : Dra Bèrillon, Jules Voisin. Jacqu
ersonnalité sub consciente par il. le D' Paul Farez, Professeur a l' Ecole de Psychologie Je désire vous exposer, brièveme
les animaux uar M. L, Lriusaï, médecin vétérinaire, professeur k l' Ecole de Psychologie. Les circonstances ne m'ont pas
scussion qu'une communication. Lorsque je professai le dressage a l' Ecole de psychologie, je m'occupai tout spécialement de
ns hypnotiques par M. IiÈriSAV, médecin-vétérinaire, professeur a l' Ecole de psychologie. Dans une précédente séance, que
hode. L'homosexualité en Chine par M. Scié-Tos-Fa. professeur k l' Ecole de psychologie. L'homosexualité n'est pas aussi
e trop négligée chez nous. Elle est mieux entendue en Angleterre. A l' école maternelle et enfantine, la plus grande place dev
illé ce procédé pédagogique. Il rappelle qu'apprenant dans une petite école : Des fureurs d'Attila Lutèce préservée il avai
ent de lui faire dans notre existence. Suivant un vieux précepte de l' Ecole de Salerne, sept heures serait une moyenne qu'on
t rarement dépasser ; par contre, beaucoup de médecins de la nouvelle école recommandent la grasse matinée à conx on celles q
ière condition fort difficile à réaliser. Cours du iJ1 Bérillon à l' Ecole de psychologie M. le D' BÉaiLLos.profeMeura l'E
J1 Bérillon à l'Ecole de psychologie M. le D' BÉaiLLos.profeMeura l' Ecole de psychologie, médecin Inspecteur des Aille» d'a
gie médicale le jeudi 6 Ml, à cinq heures (Sali* des Conférences de l' Ecole de psychologie, 49, Bue Sainl-Andre-dct-Arts) et
Voisin n'est pas moins remarquable. Depuis vingt ans que je fus à l' école de ponctualité et d'aménité que constitue le serv
général de la Société d'hypnologie et àe psychologie, professeur *. l' Ecole de psychologie. Messieurs, mes chers collègues,
és, l'administration, confiante dans son zèle infatigable, a annexé l' Ecole de réforme dans laquelle elle recueille les jeune
ensuite à vous Paul Magnin, Farez. Lepinay, Grollet, professeurs à l' Ecole de phsychologie ou fondateurs de la Société de pa
gique de l'hypnotisme par M. le docteur Bèiiillok, professeur a l' Ecole de psychologie. L'existence dans l'encéphale d'
personnalité subconsciente par M. le Dr Paul Faxkz. Professeur a l' Ecole de Psychologie (Suite et fin (1) Sa mère l'in
04. Paul Fabkz. — Les sommeils pathologiques, leçon d'ouverture A l' Ecole de psychologie, le 15 Janvier 1904. Reoue de l'Hy
jeunesse en communication d'idées et en relations personnelles avec l' école mystique dee Sailer. Sambnga et Wittmann. 1? se m
imaire citait quelques réponses baroques faites par les élèves de nos écoles A des questions d'histoire, entre autres celle-ci
ommence par im hymne chanté en chœur dans le vaste hall gothique de l' école . Au lycée de jeune filles de Versailles, la mise
onstituer un matériel scolaire, d'avoir des documents qui restent à l' école , étant peu transportables, par exemple ceax qni d
nseignement et en y apportant de la variété. — La société : l'Art h l' Ecole fait executor dans ce but des cadres mobiles très
aratoires, instruments de physique, figures géométriques, etc. A l' école normale d'institutrices do Xevers. M"e Berthet fa
cation et k la culture esthétique. On a pu longtemps considérer les écoles comme des « geéles de jeunesse captive •. Victor
hool rooms > sont ornées de verdure, de fleurs et de gravures. L' école française d'aujourd'hui est moins morose, bien qu
pendant son passage au ministère, il avait essayé en vain de rendre l' école des petits vraiment * maternelle » ; et nous somm
des petits vraiment * maternelle » ; et nous sommes encore loin de l' école maternelle rêvée par Mm* Kergomand avec « une vas
nes améliorations ont été réalisées. Déjà même on introduit l'Art à l' Ecole et on orne les niasses de fleurs et de gravures.
niasses de fleurs et de gravures. La conception de J.-.J. Rousseau, l' école dans la nature, a été reprise et appliquée dans l
Rousseau, l'école dans la nature, a été reprise et appliquée dans les écoles de plein air et en forêt, où l'hygiène du corps e
giène du corps et de l'esprit trouve son compte. Mais si on excepte l' école des Roches, l'école de Normandie, et les institut
l'esprit trouve son compte. Mais si on excepte l'école des Roches, l' école de Normandie, et les institutions similaires, ouv
nal of education — Mies Mabel Marsh s'indigne contre la tyrannie de l' école , maïs pas dans le sens que vous pourriez croire.
école, maïs pas dans le sens que vous pourriez croire. Elle dit que l' école devient trop attrayante, que los devoirs ne d
se aussi, on s'amuse à apprendre. Où est le mal, si l'enfant aime l' école devenue attrayante. 11 faut que l'enfant nu moins
cette idée, on les garde plusieurs heures par jour sur les bancs de l' école . Cependant aux Etats-L'nis comme en Angleterre, l
tive et d'activité dans la vie. Les élèves reçus les premiers a l' Ecole Polytechnique deviennent rarement des inventeurs.
l'impression de terreur ou d'ennui qu'on garde au sortir de certaines écoles , même ailleurs qu'en Allemagne. Pour ma part, j'a
les débiles mentaux. D1 Jnles Voisin : La déllnquence juvénile et l' école de réforme de la Salpfitrière. M. le D'Paul Fah
lus précieux eu venant suivre la séance de réouverture des cours de l' Ecole de psychologie. Xos lecteurs n'ont pas oublié les
Dr Bèrillox, Médecin-inspecteur des asiles d'aliénés, Professeur ft l' Ecole de psychologie. On désigne actuellement sous le
ent variés, joue cependant le rôle prédominant. (1) Leçon faite à l' Ecole de psychologie. Ce sont les ancienne-; névros
cas s'en présentait, les traitements mis en honneur par le chef de l' école régnante. Ce traitement, d'ailleurs peu compliqué
thérapique. (A suicre). Recherches sur la délinquance juvénile (1) ( École do réforme de la Salpétrière) par le docteur Ju
on but est bien plus modeste. Mes fonctions de médecin directeur de l' Ecole de réforme de la Salpétrière m'ont permis d'étudi
la Seine installa dans mon service k l'hospice de la Salpétrière une Ecole de réforme pour ses pupilles filles délinquantes.
mes entrées et 2 quatrièmes entrées. Soit un total de 587 entrées à l' Ecole . (1) Communication faite ?? l'Académie de Médecin
nières, nombreuses proportionnellement dans les premières années de l' école , le sont beaucoup moins actuellement : des œuvres
contre 5.309 de 1889 à 1898 inclus. Quoiqu'il en soit, j'ai eu k l' Ecole de la Salpêtrière 385 enfants assistées et 89 enf
es 'de ces causes de dépravation. L'âge des enfants à leur entrée à l' Ecole a été le suivant : 9 10 11 12 13 14 15 16 17* 1
sirer depuis quelques temps. Il aurait fallu les envoyer plus tôt à l' Ecole , car, à 18 ans, il est difficile de mortifier un
fier un caractère. L'un autre côté, 73 enfants ont été confiées à l' Ecole l'année même de leur entrée à l'Assistance (54 en
Certaines de ces enfants n'étaient plus amendables. Leur présence à l' Ecole ne pouvait qu'apporter obstacle à l'amélioration
Incendiaires..... 7 — 1,4 Ces enfants délinquantes séjournent à l' Ecole de la Salpétrière une durée moyenne de 8 mois. A
l'état général. Récidivistes. — 77 enfants sorties améliorées de l' Ecole y ont été renvoyées. Parmi les nouvelles délinqua
1 huit ans après. 4 cinq ans après, Ces 77 enfants étaient entrés à l' école sous les rubriques suivantes : 34 mauvaise cond
ans. Ces enfants intelligentes, quand elles arrivent trop tard à l' Ecole , sont difficilement amendables ; elles constituen
re les mains d'individus intelligents. Ce sont ces enfants qni.dans l' Ecole ,se conduisent le mieux-mais elles retombent souve
s avait retirées (30 0/0 de récidivistes). Cette bonne conduite à l' Ecole est plus rare chez les enfants dégénérées, perver
ssent leurs camarades moins intelligentes aux mauvaises actions ; à l' Ecole , elles fomentent des complots et jouissent des tr
at physique et intellectuel. Pourtant, le fait de les réunir dans une Ecole commune est chose utile, mais à condition que cel
nt pas comprendre plus de-douze à quinze enfants au maximum. Dans l' Ecole , la plus large part doit être attribuée aux trava
u devoir et du respect. * * En définitive, cette statistique de l' Ecole de réforme de la Salpétrière fait apparaître de l
les occasions de vagabondage, principalement an moment où il quitte l' école au début de la puberté, organiser en un mot l'édu
il est devenu sournois, menteur, voleur, paresseux, insupportable à l' école comme en famille. L'n seul fait donnera une idée
l'Etablissement médico-pédagogique), p. 1. Cours du Dr Bérillon à l' Ecole de Psychologie, p. 320. Criminalité infantile (
ation dans la réalisation des suggestions hypnotiques (La), p. 311. Ecole de Psychologie p. 161, 220. 226. Ecole de Psych
hypnotiques (La), p. 311. Ecole de Psychologie p. 161, 220. 226. Ecole de Psychologie devant la commission du Sénat, p.
226. Ecole de Psychologie devant la commission du Sénat, p. 257. Ecole de Psychologie (L'), par Bérillon. p. 227. Educ
5 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
cluse ; Henry LEMESLE ; LLOYD-TUCKEY cadres) ; MANOUVRIER ; prof. à l' Ecole d'Anthropologie ; MASOIN.pr' à l'Univeraité de Lo
Londres) MAB1LLE, méd. de l'Asile de Lafond ; Paul MAGNIN, prof, à l' Ecole de psychologie ; MORSELLI (de Gênes) ; DE PACKI
ir l'innocuité de son procédé opératoire. Mlle Mulot, directrice de l' Ecole des jeunes aveugles d'Angers, a provoqué un vif m
rt de notre éminent collègue le peintre Félix Régamey, professeur à l' Ecole de psychologie. La société décide d'adresser ses
qui tenait du prodige. Nommé en 1885 inspecteur du dessin dans les écoles de la ville de Paris, Régamey se donna tout entie
rai fut toujours l'élément fondamental de l'art, il avait accepté à l' Ecole de psychologie une chaire créée pour lui et à laq
artiste de se dégager des lisières conventionnelles imposées par les écoles officielles et y exposait les erreurs que la rout
ociété. Epilepsie ou hystérie par M. le Dr Pamart, professeur à l' Ecole de Psychologie. (Présentation du malade.) Tous
rétaire général signale la présence de M. le Dr Godon, directeur de l' Ecole dentaire, délégué par cette école, de M. le Dr Ca
e de M. le Dr Godon, directeur de l'Ecole dentaire, délégué par cette école , de M. le Dr Cayla, délégué par la Société des mé
e M. le Dr Cayla, délégué par la Société des médecins-inspecteurs des écoles , de M. Combes et de M. le Dr Spourgitis, délégués
ouverons des auxiliaires précieux dans le personnel enseignant de nos écoles . Ce serait lui faire injure, de rendre hommage â
nus, que l'on aurait pu améliorer par l'éducation. Certes, dans une école bien dirigée, avec des méthodes ingénieuses, on r
détraquent et qui tuent. Ce que l'on devrait faire dans toutes les écoles primaires, il faut l'appliquer à ces enfants, c'e
ul, de la géographie commerciale, faisons entrer un peu de poésie à l' école ; apprenons aux élèves que les littérateurs, les
Beaucoup d'enfants atteints de ces infirmités sortent à 13 ans de nos écoles sans le moindre bagage d'instruction, parce que l
n physique, M. Berthelot disait : « On a fait une large part dans nos écoles primaires à l'enseignement de la gymnastique, grâ
t préconise la création de classes de perfectionnement annexées à des écoles élémentaires publiques ou celle d'écoles autonome
fectionnement annexées à des écoles élémentaires publiques ou celle d' écoles autonomes qui pourront comprendre un internat.
x de province. Ainsi, chaque établissement d'anormaux deviendrait une école d'infirmières. Bien entendu, on leur attribuerait
a souvent été commise dans le passé. Cette année, dans mon cours à l' Ecole de psychologie, j'ai signalé un grand nombre de s
logie, j'ai signalé un grand nombre de sujets qui furent renvoyés des écoles comme crétins, incapables de s'instruire et qui p
e la plus haute gravité. Ce n'est pas dans des classes annexées à l' école ordinaire que doit être élevé l'enfant anormal, m
érillon. — Les expériences officielles tentées actuellement dans deux écoles ne paraissent cependant pas tenir un compte suffi
l'intervention médicale. A tel point que les médecins inspecteurs des écoles de la Ville de Paris se sont émus de cette situat
resseux était tout simplement un malade dont la place n'était pas à l' école , mais à l'hôpital. Je -pourrais multiplier des ex
auront à faire quand ils seront hommes », répondit-il. A ce compte, l' école actuelle serait bien loin de répondre à sa missio
Institut départemental des sourds-muets ; Mlle Mulot, directrice de l' Ecole des aveugles d'Angers ; M. Grollet, secrétaire gé
evoir de transmettre à de nouveaux disciples ce qu'ils ont appris à l' école de ces grands maîtres. Ce qu'il y a de meille
Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l' Ecole de psychologie. Ils seront répartis de la façon s
M. André, inspecteur primaire à Reims et Mlle Géhin, directrice de l' Ecole normale de Bar-le-Duc. Dans l'après-midi, à 1 h.
Organisation de l'enseignement supérieur-—L'autonomie des facultés et écoles de médecine, par M. le Dr Leredde. Dans l'après-m
des procédés capables de la favoriser. Mlle Gehin, directrice de l' Ecole normale de Bar-le-Duc : Le rôle de l'alimentation
ms : L'enseignement de l'histoire et de la géographie régionale à l' école primaire. D R BÉRILLON : Examen médical et psyc
s pour enfants anormaux en Allemagne.. M"* MULOT, directrice de l' Ecole des jeunes aveugles à Angers : Procédés d'ensei
rdres d'enseignement. Elle leur permet ainsi qu'aux professeurs des écoles spéciales, professionnelles ou techniques, de s
eims : L'enseignement de l'histoire et de la géographie régionale à l' école primaire. Dr Bérillon : Examen médical et psych
nts pour enfants anormaux en Allemagne.. M"* Mulot, directrice de l' Ecole des jeunes aveugles à Angers : Procédés d'enseign
ordres d'enseignement. Elle leur permet ainsi qu'aux professeurs des écoles spéciales, professionnelles ou techniques, de se
ations sur l'éducation des aveugles par Mlle Mulot, Directrice de l' Ecole des jeunes aveugles d'Angers. La psychologie de
le dressage des animaux rétifs, par le Dr Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie. En 1882, l'empereur Ménélik env
d'Abdoullah (1) par M. Albert Mersier, Diplômé pour le malais de l' Ecole nationale des langues orientales vivantes. Musu
(12), etc. (13) Les gens y croient et il y a des professeurs et des écoles pour renseignement de toutes ces choses. Il exist
tion fut ainsi composé : Président, M. le Dr Bérillon, professeur à l' Ecole de Psychologie ; vice-présidents : Mlle Fritsch,
cole de Psychologie ; vice-présidents : Mlle Fritsch, directrice de l' Ecole commerciale et ménagère et M. André, inspecteur p
specteur primaire à Reims ; secrétaires : Mlle Géhin, directrice de l' Ecole normale de Bar-le-Duc et M. le Dr Mabille, de Rei
professeur au Lycée Molière ; M. le Dr Félix Regnault, professeur à l' Ecole de Psychologie ; M. le Dr Lbreddb, directeur de l
major ; M. Petiton, ingénieur des Mines ; M. Beauvais, directeur de l' Ecole professionnelle ; M. Guichard, professeur à l'Eco
s, directeur de l'Ecole professionnelle ; M. Guichard, professeur à l' Ecole professionnelle ; Mlle Mulot, directrice de l'Eco
d, professeur à l'Ecole professionnelle ; Mlle Mulot, directrice de l' Ecole des Jeunes Aveugles d'Angers ; M. Gascard, de Rou
le Alice Bérillon, professeur au Lycée -Racine ; M. Rémy, directeur d' Ecole ; M. Collin, de Paris ; M. Franguet, directeu
irecteur d'Ecole ; M. Collin, de Paris ; M. Franguet, directeur d' Ecole ; M. Ramé, directeur d'Ecole ; M. Feuillet, inspe
de Paris ; M. Franguet, directeur d'Ecole ; M. Ramé, directeur d' Ecole ; M. Feuillet, inspecteur de l'Enseignement techn
ogique de Créteil ; Mlles Bertheret.Straub et Girard, professeurs à l' Ecole normale de Bar-le-Duc ; M. Ladureau, ingénieur ;
uré-Hérouard, Conseiller d'arrondissement ; M. Chodez, professeur à l' Ecole professionnelle ; Mme Moreau-Bérillon, professeur
Nantes ; Mme Basot, M. Prou, instituteur ; Mme Guénard, directrice d' Ecole maternelle ; M. Re • miet, directeur d'Ecole ; M.
me Guénard, directrice d'Ecole maternelle ; M. Re • miet, directeur d' Ecole ; M. Fouriaux, directeur d'école ; Mlle Boudin, d
ternelle ; M. Re • miet, directeur d'Ecole ; M. Fouriaux, directeur d' école ; Mlle Boudin, directrice d'Ecole ; Mlle L.Robin,
d'Ecole ; M. Fouriaux, directeur d'école ; Mlle Boudin, directrice d' Ecole ; Mlle L.Robin, institutrice ; Mlle Maheu. instit
instituteur ; Mlle Waltener, institutrice ; Mlle Rique,, directrice d' école maternelle ; Mlle A. Petit, institutrice ; Mlle T
institutrice ; M. Steinmetz, instituteur ; Mme Chodez, professeur à l' Ecole professionnelle ; M.Julien Ray, maître de confére
rofesseur de dessin au lycée Molière ; M. le D' Godon, directeur de l' Ecole dentaire ; M. le Dr monet,de Montataire ; M. le D
sseur à la Faculté des Sciences de Lyon ; Mlle Géhin, directrice de l' Ecole normale de Bar-le-Due, et Mlles Straub, Girard, B
e Bar-le-Due, et Mlles Straub, Girard, Berthoret,professeurs de cette école ; Mlle Lucie Bérillon, professeur au lycée Molièr
n ; M. Bois-sier, ingénieur à Marseille ; Mlle Mulot, directrice de l' Ecole d'aveugles d'Angers ; M. le D' Mabille, l'actif e
secrétaire de la section, et sa famille ; M. Beauvais, directeur de l' Ecole professionnelle de Reims ; M. Feuillet, inspecteu
e de jeunes filles de Reims ; MM. Guichard et Chodez, professeurs à l' Ecole professionnelle ; Mlle Maheu, directrice d'école
dez, professeurs à l'Ecole professionnelle ; Mlle Maheu, directrice d' école ; M. Mabille, directeur de l'octroi de Reims, M.
honoré celte réunion de leur présence. Mlle Gehin, directrice de l' Ecole normale de Bar-Ie-Duc, émet le vœu que les médeci
a fusion des trois ordres d'enseignement. M. Beauvais, directeur de l' Ecole professionnelle, proclame l'utilité et boit aux s
résents d'avoir beaucoup de bons élèves à la caserne, au lycée et à l' école . Enfin, M. Duthil, instituteur à Reims, pour ne
l'Institut Liébeault, â Amsterdam. Dans mon livre, Liébeault et son Ecole (2), je me suis étendu longuement sur ma méthode
Un sommeil de trente ans (?), par M. le Dr Paul Farez, professeur à l' Ecole do psychologie. Il y a quelques mois, plusieurs
ortés. Epilepsie ou hystérie, par M. le Dr Pamart, professeur à l' Ecole de psychologie. Par suite d'un accident de mise
gogique de Créteil (1) Parle Dr L. Dufestel, Médecin inspecteur des Ecoles . La question des Enfants anormaux est toute d'a
e qu'on ait voulu éviter à l'enfant le souvenir de la pension ou de l' école où il était prisonnier. Le jardin, lepare, tout a
btenus chez les anormaux par tous ces moyens ? Les créateurs de cette école qui vient d'être fondée et qui ne contient encore
ville de Paris, au contraire, a créé ses classes d'anormaux dans des écoles du centre de la ville. Il nous semble qu'il y a l
rcices, de mouvements. Renfermer cet instable dans les classes de nos écoles de la ville, limiter ses ébats à la cour de l'éco
s classes de nos écoles de la ville, limiter ses ébats à la cour de l' école , c'est, à notre avis, la négation absolue des bes
du moins diminuer sérieusement les chances de guérison. Si les deux écoles parties de points de vue si dissemblables nous do
s (et le fait est fréquent d'après mes observations), apprend mal à l' école , se trouve dans les derniers de sa classe, et, po
c.)donne à sa physionomie un aspect un peu anormal, est considéré à l' école comme arriéré, comme une non-valeur qu'on garde,
est capitale) y garde le sentiment de sa valeur, tandis que, dans une école , qu'il soit simplement paresseux, mal dirigé, ou
sément parce qu'il ne peut répondre à ce désidératum, que le projet d' écoles spéciales pour les débiles ne me parait pas compl
rojet d'écoles spéciales pour les débiles ne me parait pas complet. — Ecoles de débiles ? fort bien ; mais entre la sortie de
complet. — Ecoles de débiles ? fort bien ; mais entre la sortie de l' école et la rentrée à l'école que fera le débile ? Le d
biles ? fort bien ; mais entre la sortie de l'école et la rentrée à l' école que fera le débile ? Le débile est, on ne devrait
l'iconographie antique, par M. le Dr Félix Regnault, professeur à l' Ecole de psychologie. Que devenaient chez les peuples
et due forme, Mme de M...., chargeait le Dr Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie, de l'examen anatomique de son cer
s. On s'inscrit les mardis, jeudis, samedis, de 10 heures à midi, à l' Ecole de Psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts. O
volution religieuse des Rabelais, Pascal et Racine. Bibliothèque de l' Ecole de psychologie. In-12, 400 pages. Maloine, Paris.
endus dangers des pratiques de l'hypnotisme et de la suggestion, ni l' école de Nancy, ni Dumontpallier, ni Ballet, ni Luys, n
x lecteur à suivre à partir du commencement de janvier les cours de l' Ecole de psychologie. Plusieurs de ces cours auront pou
vers même les ordonnances. Actuellement les élèves en quittant les écoles connaissent beaucoup de choses mais ne savent rie
nesse musulmane, instruite, après et malgré de longs séjours dans les écoles modernes, se trouve obligée de lire la traduction
l'iconographie antique, par M. le Dr Félix Regnault, professeur à l' Ecole de psychologie. (suite) Revenons à la collectio
re.) PEDAGOGIE DES ENFANTS ANORMAUX Les anormaux psychiques des écoles , par M. le docteur E. Régis, . Professeur adj
iser les anormaux psychiques en quatre catégories : 1° les Anormaux d' Ecole , c'est-à-dire ceux qui sont susceptibles de bénéf
vons à nous occuper ici que de la première catégorie : les anormaux d' école . Les anormaux psychiques offrent cela d'importa
frent cela d'important et de particulier, parmi les autres anormaux d' école , que la nature et les conséquences de leurs défec
mplement annexées aux classes ordinaires. La plupart sont groupées en écoles autonomes, soit du type externat, soit du type se
nger, avec le titre de médecins adjoints. A Anvers, le médecin de l' Ecole spéciale est le Dr Gunsbourg. A Gand, c'est le Dr
es, les médecins font en outre un cours spécial de pédologie dans les Ecoles normales d'instituteurs. La France est malheure
psychiatrie, et qui comprenait des consultations pour les enfants des écoles communales, sans parler non plus des premiers art
t le traitement des enfants arriérés, en particulier des arriérés des écoles », qui a été reproduite in extenso dans la Revue
eur d'Académie Alliaud, donna naissance à une inspection spéciale des écoles communales de la banlieue et à une consultation p
de la banlieue et à une consultation pour anormaux psychiques de ces écoles , fonctionnant depuis cette époque, le premier jeu
t-à-dire par le recensement et le classement des enfants anormaux des écoles . Afin de mener à bien cette tâche difficile, un
gnataire du présent rapport, examina individuellement dans toutes les écoles de garçons de Bordeaux, avec le concours du médec
nt les principaux résultais de celte enquête : Sur 8,735 élèves des écoles publiques de garçons, il a été trouvé 452 anormau
riérés d'hôpitaux ou d'asiles (arriérés profonds !, et 312 arriérés d' écoles , dont 126 arriérés légers et 186 arriérés moyens.
die, secrétaire. La statistique méthodique des enfants anormaux des écoles des garçons de Bordeaux sera bientôt complétée pa
entôt complétée par une statistique analogue des enfants anormaux des écoles de filles qui, on peut le prévoir d'avance, donne
sement et du classement, représentent donc la véritable situation des écoles publiques de Bordeaux en ce qui concerne les anor
ue, l'organisation à établir. Celle-ci comporte trois éléments : 1° Ecoles spéciales ; 2° Consultation médico-pédagogique ;
ltation médico-pédagogique ; 3° Cours spéciaux aux instituteurs. l° Ecoles spéciales. — L'expérience a partout démontré que
teurs. l° Ecoles spéciales. — L'expérience a partout démontré que l' école spéciale autonome pour enfants mentalement anorma
ormaux vaut infiniment mieux que la simple classe spéciale anexée à l' école ordinaire. Nous pensons donc qu'il n'y a pas à hé
'emblée si on le peut, en tout cas le plus rapidement possible, à des écoles spéciales. Vu la configuration de la ville, ain
la ville, ainsi que le nombre et la répartition des anormaux dans les écoles existantes, ces écoles spéciales devraient être a
nombre et la répartition des anormaux dans les écoles existantes, ces écoles spéciales devraient être au nombre de quatre : un
er avec soin, le moment venu. Le nombre des anormaux psychiques des écoles , garçons et filles, s'élevant à Bordeaux à un chi
ne moyenne de 200 enfants environ que contiendrait chacune des quatre écoles . Chaque école pourrait comprendre 8 classes de
enfants environ que contiendrait chacune des quatre écoles. Chaque école pourrait comprendre 8 classes de 25 élèves au max
rraient du reste changer de classe et même passer ou revenir dans les écoles ordinaires, suivant les modifications survenues d
des malades. Un médecin spécialiste serait attaché à chacune de ces écoles . En collaboration étroite et intime avec les maît
tation aurait lieu au moins une fois par mois dans chacune des quatre écoles spéciales, soit le même jour, soit à des jours di
tant que possible aussi par les maîtres, non seulement les élèves des écoles spéciales ayant besoin d'un conseil médical parti
nt besoin d'un conseil médical particulier, mais aussi les élèves des écoles ordinaires de la même circonscription qu'il serai
qu'il serait utile d'examiner en vue de leur passage possible dans l' école spéciale ou au sujet desquels maîtres et parents
t complété par un enseignement médico-pédagogique fait aux élèves des Ecoles normales, par les médecins spéciaux pour la parti
s médecins spéciaux pour la partie médicale et par les directeurs des écoles spéciales pour la partie pédagogique. Les futurs
s écoles spéciales pour la partie pédagogique. Les futurs maîtres des écoles ordinaires puiseraient là des renseignements préc
de la sélection psychiques de leurs élèves, et les futurs maîtres des écoles spéciales s'initieraient ainsi à leurs délicates
vue de l'éducation, à Bordeaux, des enfants mentalement anormaux des écoles . Les difficultés de diverse nature qu'entraîner
ineuse et vindicative : une véritable anormales psychiques dans les écoles primaires de filles ; ils ont, en outre, tondé de
académique.a nommé M. le Pr Régis médecin-Inspecteur spécialiste des écoles . L'initiative bordelaise mérite d'être félicitée
» NOUVELLES Enseignement de l'hypnotisme et de la psychologie. Ecole oe Psychologie. Cours. — Les cours de l'Ecole de
et de la psychologie. Ecole oe Psychologie. Cours. — Les cours de l' Ecole de psychologie reprendront le lundi 8 Janvier 190
gie reprendront le lundi 8 Janvier 1908, à cinq heures, au siège de l' Ecole , 49, rue Saint-André-des-Arts. Le programme détai
6. Décembre 1907. BULLETIN Huitième réouverture des cours de l' Ecole de psychologie. — La bibliothèque Charcot à la Sa
re. — La volonté de vaincre. La huitième réouverture des cours de l' Ecole de psychologie aura lieu le jeudi 9 janvier, à ci
era commentée par le Dr Bérillon. Restant fidèle à son programme, l' Ecole de psychologie a décidé de mettre à l'ordre du jo
u Coran et la politique musulmane. Cette année, l'enseignement de l' Ecole sera continué par MM. les Drs Bérillon, Paul Magn
és par les personnalités les plus auto- risées. L'enseignement de l' Ecole de psychologie est public. Il s'adresse aux médec
nt personnellement invités à suivre les cours et les conférences de l' Ecole de psychologie. *** La semaine dernière a eu
mi ceux qui, appartenant à la même classe de la société, ont quitté l' école de bonne heure pour se livrer aux professions man
l'iconographie antique, par M. le Dr Félix Regnault, professeur à l' Ecole de psychologie. W Dans l'art égyptien antique,
i leur sont applicables, par M. le docteur Bbrjllon, professeur à l' Ecole de psychologie, médecin-inspecteur des asiles d'a
'égard de leurs enfants que ceux-ci sont, pour ainsi dire, élevés à l' école de l'indocilité. Le fait est surtout frappant lor
; brûlures suggérées, par M. le Docteur Paul Farez, professeur à l' Ecole de Psychologie. Ce que j'ai à vous dire aujourd
r auto-suggestion, par M. le Docteur Félix Regnault, professeur à l' Ecole de psychologie. Les larmes coulent abondantes,
onsidérations psychologiques relatives à l'infanticide. NOUVELLES ÉCOLE DE PSYCHOLOGIE 49, rue Saint-André-des-Arts, 49
REVUE DE L'HYPNOTISME Programme des Cours et des Conférences de l' Ecole de Psychologie Pour L'Année 1908 (8e année) (Lu
'Hôtel-Dieu. ORDRE DU JOUR : 1° Dr Paul Farez : Le programme de l' Ecole de Psychologie ; 2° M. le professeur Udey d'Oulla
et l'hypnotisme social. 4° Allocution de M. le professeur Brissacd. ÉCOLE DE PSYCHOLOGIE 49, rue Saint-André-des-Arts, 49
e. L'organisation de l'Institut psycho-physiologique comporte. I. Ecole de psychologie : (Voir le programme des cours et
sultations données au Dispensaire pédagogique, sous les auspices de l' Ecole de psychologie ont lieu les mardis, jeudis, samed
jeudi. Promenades et excursions psychologiques. - Les cours de l' Ecole de psychologie seront complétés par des excursion
. BULLETIN Huitième réouverture des cours et des conférences de l' Ecole de psychologie. — * L'enseignement du ! y Jules V
cteurs, que la huitième réouverture des cours et des conférences de l' Ecole de psychologie aura lieu le jeudi 9 janvier, à ci
ordre du jour est ainsi fixé : 1° D' Paul Farez : le programme de l' Ecole de psychologie ; 2° M. le professeur Ubbyd Oollah
orale, le professeur Brissaud s'est concilié d'unanimes sympathies. L' Ecole de psychologie lui est très reconnaissante du tém
i se consacrent à l'éducation des enfants anormaux et des arriérés. L' Ecole de réforme de la Salpêtrière est également une œu
ymnastique (Il Roger. L'Education physique dans les familles et d l' école . Thèse de Paris, 1902. allemande de Jahn, qui
ur qui, à 83 ans (comme à 75), met les statues de Washington dans les écoles publiques. Elisabeth Stanton, 87 ans. Harriet
; D'Jean Abadie (de Bordeaux) : Recensement des enfants anormaux des Écoles publiques de garçons de la ville de Bordeaux. M
ez les animaux, par M. Lépinay, médecin-vétérinaire, professeur à l' Ecole de psychologie, Nous ne présentons pas cette co
e ressuscitée de Nuremberg. par M. le Dr Paul Fabez, professeur à l' Ecole de psychologie. Il y a un peu plus d'un an, des
enter comme authentique dans les leçons que je faisais alors, à l' Ecole de psychologie, sur les sommeils pathologiques et
tionnelle expérience des siècles. ' « Sous l'influence néfaste de l' Ecole allemande, la science de l'alimentation a rompu a
NOUVELLES Enseignement de l'hypnotisme et de la psychologie. ÉCOLE DE PSYCHOLOGIE 40, rue Sainr-André-des-Arts C
éz les animaux et chez l'homme, par M. le Dr Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie (avec projections). Lundi 20 jan
à 5 heures, sous la présidence de M. le Dr Paul FAREZ, professeur à l' Ecole de psychologie.— Les supercheries de l'occultisme
résidence de M. le Dr Padl-Boncour, médecin du service biologique à l' Ecole Théophile Roussel. — L'enfant anormal à travers l
2 mars, à 5 heures, sous la présidence du Dr Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie- — La psychologie du combattant su
N°8. Février 1908. BULLETIN Huitième réouverture des cours de l' Ecole de psychologie, sous la présidence du D' Brissaud
ur à la Faculté de Médecine. La huitième réouverture des cours de l' école de psychologie a eu lieu le jeudi 9 janvier, à ci
Ubeyd Oullah, et MM. les Dr* Bérillon et Paul Farez, professeurs à l' Ecole de psychologie. Au premier rang de l'assistance
de la Fouchardière, M. Gosset, représentant le corps enseignant de l' Ecole de psychologie. La réunion, très nombreuse, était
néral de VAlliance scientifique universelle, etc. Le programme de l' Ecole de Psychologie, par M. le docteur Paul Farez. M
logie, par M. le docteur Paul Farez. Messieurs, Le programme de l' Ecole de Psychologie demeure, dans ses grandes lignes,
vous a vivement intéressés et instruits, depuis la fondation de cette Ecole ; ses succès passés me dispensent de dire tout le
vec M. Lépinay, le laboratoire de psychologie comparée annexé à notre Ecole ; cette institution prospère et féconde a déjà re
ts, en particulier d'Ali et de Fuad-Pachas, tous les deux élèves de l' école de Rechid-Pacha. Ces deux hommes d'Etat étaient d
s psychologiques relatives à l'infanticide. L'onychophagie dans les écoles à Paris. Mon cher Directeur, On s'est souvent o
énéral, de l'onychophagie ? Voici quelques chiffres empruntés à une école où les enfants sont presque tous très bien tenus
points de vue. Les enquêtes que nous avions faites dans les diverses écoles , nous avaient appris que la proportion des enfant
e médecine, Dumontpallier a laissé derrière lui une oeuvre durable. L' Ecole de psychologie et la Société d'hypnologie émanent
u savoir et à la compétence désintéressée des savants fondateurs de l' Ecole de psychologie. La, folie dans les dynasties or
e dans les dynasties orientales, par le Dr Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie, médecin-inspecteur des asiles d'a
au fur et à mesure qu'il grandissait, il apprenait à parler. « A l' école , ses camarades, le voyant souffreteux et moins in
rix inférieur. « Au village, encore aujourd'hui comme autrefois à l' école , sa mère prétend qu'on 1 agace, qu'on l'énerv
traitements encouragés par le silence complice des spectateurs. A l' école , ces débiles physiques et intellectuels sont taqu
l faut qu'elle émane de tous les citoyens, principalement du maitre d' école et du médecin psychologue. L'Education seule pe
e, ils n'ont pas attaché assez d'importance au titre du chapitre. A l' Ecole de Droit, dans les examens, cela vaut une boule n
mme, qu'une , machine de guerre, opposée, par les universitaires de l' école de Victor Cousin, à l'intransigeance du mysticism
or sur une hémianesthésie, par M. le Dr René Pamart, professeur à l' Ecole de psychologie. {Présentation de malade) Le moi
a constitution, sa physiologie. — In-8*, 300 p. — Bibliothèque de l' Ecole de psychologie. Maloine, Paris 1908, 4 francs.
ur Ubeyd-Oullah, de Constantinople, M. le Dr Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie et M. Pirmin Verdier, avocat, a te
constitutive le samedi 21 mars 1908 (18, Safer 1326 de l'Hégire] à l' Ecole de psychologie. Le président,après avoir exposé
is ; étaient également présents : MM. les D" Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie, Firmin Verdier, avocat ; M. le Dr
hologie, Firmin Verdier, avocat ; M. le Dr Paul Farez, professeur à l' Ecole de psychologie ; Scié-Ton-Fà, mandarin chinois ;
Drde Groer, de Saint-Pétersbourg ; M. le Dr R. Pamart, professeur à l' Ecole de psychologie ; M. le D'de la Fouchar-dière ; M.
llon, professeur au Lycée Molière ; M. le Dr Demonchy, professeur à l' Ecole de psychologie ; M. Rougier, ancien élève de l'Ec
, professeur à l'Ecole de psychologie ; M. Rougier, ancien élève de l' Ecole des langues orientales ; Mlle Alice Bérillon, pro
ursan, ingénieur ; Mme Markowicz, publiciste ; M. Maroger, élève de l' Ecole des hautes études orientales ; M. Toussaint, homm
irecteur au ministère des Beaux-Arts ; M. Paul Magnin, professeur à l' Ecole de psychologie ; M. Rappelin, membre de la missio
akir bey, de Constanti-nople ; M. le D'Félix Regnault. professeur à l' Ecole de psychologie ; M. Fuad Pacha, etc. La Société
t légitime. Par M. le D' Paul Maonin. Extrait d'une leçon faite k l' Ecole de Psychologie, le 30 janvier 1908. -Avant d'ab
e dans les dynasties orientales, par le D' Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie, médecin-inspecteur des asiles d'a
nné d'observer : III. — Z., âgée de vingt-et un ans, est élève de l' Ecole des aides-médecins ; aucune hérédité morbide ; di
, sous toutes les latitudes (I) Conférence faite le 2 mars 1908 à l' Ecole de psychologie. et dans tous les pays, doit f
OUVELLES 4 " Enseignement de l'Hypnotisme et de la Psychologie. Ecole de Psychologie, 49, Rue Saint-André-des-Arts (Sem
son cours le jeudi 14 mai, à cinq heures (Salle des Conférences de l' Ecole de Psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts) et
Parez. Le droit d'inscription est fixé à 50 francs. — S'inscrire à l' Ecole de Psychologie. Cours pratique de psychothérapi
monstrations pratiques et sera complet en dix leçons ; il se fera à l' Ecole de Psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts, où
légitime. Par M. le D' Paul Maonin. Extrait d'une leçon faite à l' Ecole de Psychologie, le 30 janvier 1903. (Suite.)
e dans les dynasties orientales. par le Dr BÉRiLLON, professeur h l' Ecole de psychologie, médecin-inspecteur des asiles d'a
nt affligés de maladies extraordinaires. Il étudia la philosophie des écoles grecques, et après son avènement au trône, il . s
traitement des idées fixes. Par M. le Dr Bérillon, Professeur à l' Ecole de psychologie. La psychothérapie graphique n'e
me exerçant avec succès la psychothérapie suivant les traditions de l' Ecole de Nancy. Dans une série de huit chapitres, l'a
veut que l'habitude de fumer la cigarette se gagne très tôt dans les écoles primaires, s'installe dans la bonne société et de
son enseignement contribuera largement à répandre les doctrines de l' Ecole de Nancy et la renommée de son fondateur le docte
monstrations pratiques et sera complet en dix leçons ; il se fera à l' Ecole de Psychologie, 49, rue Saint-André-des-Art ?, où
cussions approfondies : * 1° La collaboration de la famille et de l' école dans l'éducation. « 2° Les enfants et les adole
tre aux membres des divers ordres d'enseignement, aux professeurs des écoles spéciales, professionnelles ou techniques, ainsi
r Ubeyd-Oullah de Constantinople, le docteur Bérillon, professeur à l' Ecole de Psychologie et Firmin Verdier, avocat, docteur
dra sa prochaine réunion mensuelle le mardi 23 juin à cinq heures à l' École de Psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts, sou
t légitime. Par M. le D' Paul MaGNIn. Extrait d'une leçon faite â l' Ecole de Psychologie, le 30 janvier 1908- [Fin.) M.
dans les dynasties orientales, par le 0' Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie. médecin-Inspecteur des asiles d'a
t la solution de la question posée par le professeur Ubeyd Oullah à l' Ecole de psychologie. J'avais quelque peu hésité à m'
leur scientifique que par l'élévation de son esprit. En apportant à l' Ecole de psychologie, œuvre d'initiative individuelle e
sseur Brissaud, qui présidait la séance de réouverture des cours de l' Ecole de psychologie, a prononcé une éloquente allocuti
es. » Par une extension en quelque sorte prévue de son programme, l' Ecole de psychologie devait, un jour ou l'autre être am
ujets qui viennent d'être traités, en félicitant les professeurs de l' Ecole de Psychologie de leur initiative dont ils ont fa
que et hémianesthésie « - par le Docteur René Pamart professeur à l' Ecole de psychologie. Le 21 janvier 1908, Madame L.,
e Sâo-Paulo », le docteur D. Jaguaribe, professeur correspondant de l' Ecole de psychologie de Paris, vient de publier une int
émonstrations pratiques et sera complet en 10 leçons ; il se fera à l' Ecole de Psychologie. 49, rue Saint-André-des-Arts, où
ocution de M. le professeur Bris-saud à la réouverture des cours de l' Ecole de psychologie, p. 362. Anesthésie générale par
82. Anormaux pauvres, par Hurtrel, p. 13. Anormaux psychiques des écoles (Les), par Régis, p. 151. Aphonie hystérique et
le) par Bérillon, p. 53. Dumontpallier (un hommage au Dr),p. 257. Ecole de psychologie, p. 160,161, 189, 193, 224, 225.
Dr),p. 257. Ecole de psychologie, p. 160,161, 189, 193, 224, 225. Ecole de psychologie (Le programme de l'), p. 226. Ed
hier et aujourd'hui (L') par Grasset, p. 27. Onychophagie dans les écoles de Paris, p. 255. Ouvrages reçus à la Revue, p.
DES FIGURES Brûlure suggérée, p. 181, 182. Dieu Bès (Le), p. 172. Ecole de psychologie, p. 189. Etablissement médico-péda
6 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
Dès qu'un enfant marche sans aide, il doit être envoyé à la Petite École , le matin pendant une heure ou deux, puis toute l
et que nous avions été obligé, jus-qu'en 1901, de maintenir dans les écoles , où ils étaient une occasionde trouble, qu'ils co
ation, nous le faisons remonter dans la quatrième classe de la grande école , pour redescendre de nouveau aux incu-rables en c
iots gâteux ou non gâteux, êpilep-tiques ou non, mais valides (Petite École ). — Ces enfants fréquentent la petite école, conf
non, mais valides (Petite École). — Ces enfants fréquentent la petite école , confiée exclusive-ment à des femmes. Ce sont ell
rtis définitivement, 3 ont été transférés, 10 sont passés à la grande école . Sur 160 enfants qui restaient à la petite écol
passés à la grande école. Sur 160 enfants qui restaient à la petite école au 31 décembre 1904, 8 ne mangent pas seuls, 100
de blanchissage du linge de la nuit. Tous les enfants de la Petite école sont exercés (1) On pourrait, comme nous l'avon
nfirmes, n'ont pu y pren-dre part. Cinquante-deux enfants de lapetite école etde lpetite école complémentaire, dontnous allon
pren-dre part. Cinquante-deux enfants de lapetite école etde lpetite école complémentaire, dontnous allonsparler plus loin,
nniers, brossiers, serruriers, menui-siers et jardiniers. La petite école comprend : 1° le traitement du gâtisme, exposé pr
u, comme préparation à l'écriture ; 6° les leçons de choses, soit à l' école , soit dans les jardins (avec le tableau roulant),
ué de s'améliorer d'une façon satisfaisante. Il a été mis à la grande école sachant lire, écrire et commençant mémo à écrire,
parler n'est-ce pas déjà un résultat digne d'être rele-vé ? Petite école complémentaire. — Cette école est confiée à Mma B
ésultat digne d'être rele-vé ? Petite école complémentaire. — Cette école est confiée à Mma Bonnet, qui, depuis 11 années,
r Mrao Randier, première infirmière. Quarante enfants composent cette école . Trois infirmières, dont 2 de veille, et 1 infirm
nt ; aussi, au dire de ses parents, avait-il toujours été renvoyé des écoles comme trouble-classe et incapable de rien apprend
rriérés instables,pervers, épileptiqueset hystériques ou non. (Grande école ).— La population de cette écolo, con-fiée à des i
le certificat d'études, forment une division supérieure, ne vont à l' école qu'une demi-journée par semaine et restent les au
instituteurs et leurs aides, ainsi que les sous employés attachés aux écoles (section de Bicêtre et Fondation Vallée), afin d'
également allés à l'Institution nationale des jeunes aveugles et à l' école Braille, dépendant (1) Contrairement aux années
x, le jour, qui semble se préparer, où l'on créera des classes ou dos écoles spéciales pour eux. Notre but en procédant ains
nexées aux asiles, ou à la création d'asiles-écoles, et de classes ou écoles spéciales pour les arriérés, c'est assurément l'a
le; inslabilitéphysique.—Jeanno.. (Auguste), 17 ans. A son entrée à l' école il ne pouvait rester en place. Il était taquin, t
, 14 ans. Cet élève, déjà amélioré par son séjour à la 3° classe de l' école , est entré en 2°, fin juin. Depuis cette époque l
tait inscrit pour passer prochainement on 1™ classe (cours moyen de l' école ) quand sa famille a demandé et obtenu pour lui, v
té de faire suivre au personnel enseignant des ateliers les cours des écoles d'infirmières et de faire accomplir un stage, com
et les certificats semestriels. Direction des classes. A la petite école , M"0 Blanche Agnus a la direction de toutes les c
effet est demeurée sans solution. Aussi, n'avons-nous pas à la grande école tous les résultats que nous pourrions obtenir, au
rofiter de cet enseignement y ont pris part. Les enfants de la pelile école au nombre d'unecentaine, école Bonnet comprise, e
nt pris part. Les enfants de la pelile école au nombre d'unecentaine, école Bonnet comprise, et un nombre égal de la grande é
d'unecentaine, école Bonnet comprise, et un nombre égal de la grande école ont suivi les leçons de chant. En maintes circons
nus. Solfège et théorie musicale. — Vingt-cinq enfants de la petite école ont pris part aux leçons do solfège etsur ce nom-
s répondent de suite. Pendant l'année 1904 les enfants do la petite école ont appris une soixantaine de pages du Recueil de
ts quelques-uns ont parfaitement retenu les airs. Il y en a un de l' école Bonnet (René G'se . .) qui retient non seulement
al et sur la recette nous avons donné une somme de 20 fr. à la petite école et à la fondation Vallée pour achat de déguisemen
dée à l'orphéon et à la fanfare. * Enseignement du dessin. Grande école .— Cet ensei-gnement est fait par M. Dumont depuis
mesure de pro-fiter de cet enseignement. Voici des notes. 1° Grande école . -— 70 élèves divisés en 2 séries y assistent. Le
x et des objets usuels tels que entonnoir, arrosoir, etc.. 2°Petite école . — 25 élèves ont participe à cet ensei-gnement; i
ée 1904, rigoureusement suivie par 143 élèves, dont 95 pour la grande école , 33 pour la petite école et 15 pour l'école compl
uivie par 143 élèves, dont 95 pour la grande école, 33 pour la petite école et 15 pour l'école complémentaire. Ces élèves son
s, dont 95 pour la grande école, 33 pour la petite école et 15 pour l' école complémentaire. Ces élèves sont divisés en deux s
aussi, avec chant et musique (har-monium, tambour, fanfare). Grande école . — Parmi les 20 enfants qui ont fait les progrès
'un courage, d'une adresse et d'une assiduité remarqua-bles. Petite école et école complémentaire. — Des..., Co..., Thi...,
ge, d'une adresse et d'une assiduité remarqua-bles. Petite école et école complémentaire. — Des..., Co..., Thi..., Poir...,
préjudice pour les enfants. En effet, tandis que dans les lycées, les écoles primaires, les élèves sont en congé en môme temps
Commission, a l'ail don de plusieurs volumes. L'organisation de nos écoles offre des lacunes. La petite école, l'école compl
volumes. L'organisation de nos écoles offre des lacunes. La petite école , l'école complémentaire (voir p. VI et XI) foncti
L'organisation de nos écoles offre des lacunes. La petite école, l' école complémentaire (voir p. VI et XI) fonctionnent ré
la haute direction ; tout le personnel est sous ses ordres. La grande école est confiée à des instituteurs au nombre de quatr
premier instituteur qui a existé pendant longtemps. La situation de l' Ecole pendant les vacances est déplorable. Il nous est
nfants anormaux. Les quelques semaines qu'ils séjourneraient dans nos écoles ne seraient cer-tainement pas perdues, les enfant
mieux à môme do recruter les enfants arriérés pour les classes ou les écoles (l'en-seignement spécial. L'étranger, à cet égard
nt, au contraire, les inciter à introduire progressivement dans les écoles primaires les procédés qui composent notre méthod
t du Jardin d'accli-matation au bénéfice des élèves des lycées et des écoles primaires En dehors dos heures de classe, de gy
de ce pays, etc.. On devrait procéder de même dans les lycées et les écoles . Ces vues servent aux conférences du jeudi fait
recevons les étrangers, aux cours d'ana-tomie et cle physiologie des Écoles d'infirmières de Ricêtre, de la Salpétrière et de
strés, aux infirmiers et inlirmières de l'hospice. Dans les petites écoles et la grande école, on doit sans cesse s'occuper
s et inlirmières de l'hospice. Dans les petites écoles et la grande école , on doit sans cesse s'occuper cle la guérison des
ades et distractions. — Les enfants de la grande et ceux de la petite écoles , qui sont propres, ont continué, comme par le pas
ns. Comme-d'habitude, cotte opération a été faite par les élèves do l' École d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre, et par
ières de Bicêtre, et par un certain nombre d'élèves libres des autres écoles sous notre direction et celle de nos internes, av
mes formes, devrait être appliquée dans tous les lycées, collè-ges et écoles . — Les bains-douches ne remplacent pas toujours l
a plupart sont venus et ont pu, à leur tour, enseigner aux élèves des écoles à donner les douches. En faisant ces leçons de do
rs, aux infirmiers et infirmières de la maison, aux élèves libres des écoles , nous pensons avoir été très utile aux malades qu
ay-llcgend, (Paraguay); M. lcD'dc Frumerie, professeur de massage aux écoles d'infirmières (Paris); Gonzalves, de Paris; Garci
égation de la Société péda-gogique des- directeurs et directrices des écoles publiques de la ville de Paris a visité en entier
lé gat i o n é t a i t c o ni p O S C 0 de MM. Lcvis-h'c, directeur d' école publique, Arnoult, Maclcuf, Leborgne, Vancy, M"10
borgne, Vancy, M"10 Serbie, MM. Martin, Schiilz, i'ihau, directeurs d' écoles publique;- de Paris ;Bcr-naad van Veerssen, ingén
titués dès 1880, c'est-à-dire 8 ans avant leur intro-duction dans les écoles publiques. Les visiteurs peu-vent, au moyen du Ca
pour la serrurerie, un buffet étagère pour le réfectoire de la petite école . — Réparé les barres parallèles, cheval de bois,
Affiches diverses. — Entêtes de lettres. — — Divers imprimés pour les Ecoles d'infirmières : Palmarès. Diplômes, etc. — Feuill
ullement comparables à ceux de l'orphelinat Prévost à Cempuis et de l' école d'Alembcrt à Monté-vrain, par exemple, où les app
s jours-là et les jours qui suivent, ils ne peuvent travailler ni à l' école , ni à l'atelier. Lorsqu'ils ont des accès, le tra
obliger les chefs d'atelier des asiles-écoles à suivre les cours de l' école d'infirmières, d'avoir leur diplôme, de faire un
nslruction d'un asile spécial : idiots, imbéciles, épilcptiqucs, avec écoles et aleliers. NOMS. De Mones Chart Van de
lante de 5° classe et 15 infir-mières de jour aidant les maîtresses d' école , après avoir terminé le nettoyage de leurs dortoi
nt en deux catégo-ries : a) les enfants valides qui sont envoyées à l' école durant une partie de la journée; — b) les enfants
prendre pour venir en classe le moins possi-ble : elle n'aimait pas l' école . Lettres, chiffres, écriture, tout lui était inco
1903. Pour toutes ces causes, elle avait été renvoyée de plusieurs écoles . La physionomie était peu expressive, le regard s
type des malades que l'on pourrait envoyer de l'asile-école clans une école spéciale (I) s'il y en avait. Nous reproduisons
rs croissants sous tous les rapports méritent cï'être (1) Ou encore Ecole d'enseignement spécial. Peu importe d'ail-leurs l
mes qu'à la section de Bicêtre. Les améliorations réalisées clans les écoles des garçons sont introduites immédia-tement à la
tinuent à être employés contre la bave. 220 enfants ont fréquenté l' école et ont été exercées à la gymnastique des échelles
les-écoles comme la Fondation Vallée, comme la Salpêtrière, comme les écoles de St-.Yon, de Clermont do l'Oise, etc., doivent
s, avec un ancien harmonium qui servait de coffre à linge à la petite école . Celte réparation faile par moi, n'a jamais été s
t dans l'intérêt de l'immense population normale des enfants de nos écoles . Mais ce n'est pas envers celle-là seulement qu
te s'accommoder de la discipline et des programmes appliqués dans nos écoles ordinaires, mais qui ne sauraient non plus être c
onale, boulevard des Invalides, reçoit.................... 160 80 L' Ecole Braille (école départementale) à Saint-Mandé (Sei
d des Invalides, reçoit.................... 160 80 L'Ecole Braille ( école départementale) à Saint-Mandé (Seine), reçoit....
ementale) à Saint-Mandé (Seine), reçoit...... 90 70 Une vingtaine d' écoles privées, répan-duts dans divers départements re-ç
nale de la rue Saint-Jacques, à Paris, reçoit............. 263 »» L' Ecole nationale de Bordeaux....... «» 230 L'École nat
............ 263 »» L'Ecole nationale de Bordeaux....... «» 230 L' École nationale de Chambéry...... 80 38 L'Institut dé
ambéry...... 80 38 L'Institut départemental d'Asnières.. 180 120 Ci écoles privées, dans divers départe-ments ..............
sortants, ménagera-t-il la délicate et périlleuse tran-sition entre l' école et la vie? Mais n'aura-t-il pas au préalable, à f
et surtout depuis notre campagne pour la création des classes ou des écoles spécia-les pour les moins malades (Imbéciles, arr
nseil supérieur de l'Assistance publique. — Mlle Stupuy, directrice d' école enfantine, à Paris. — Dr Jean Gauraud, chargé de
ongé du traitement médico-pédagogique, déclarer un enfant incurable Écoles d'enseignement spécial : Réflexions, commentai-re
nements que nous avons déjà donnés sur la création des classes ou des écoles spéciales par quelques considérations. Ce ne sera
plus de leur traitement et avoir la possibilité de retourner dans les écoles ordinaires au cas où ils et elles ne s'adapteraie
des raisons particulières, les enfants épi-leptiques sont exclus des écoles ordinaires. Il doit en être de môme pour les Ecol
s sont exclus des écoles ordinaires. Il doit en être de môme pour les Ecoles d'enseignement spécial ou Écoles spéciales : les
es. Il doit en être de môme pour les Ecoles d'enseignement spécial ou Écoles spéciales : les troubles psychiques, les impulsio
ires auraient grand intérêt à faire de même, c'est-à-dire à aller aux Écoles d'infirmiè-res, afin de se rendre capables de don
es, imbéciles, arriérés, instables, doivent-ils être placés clans les écoles spé-ciales? Dès le début de la période scolaire,
'il s'agit de malades, quand il s'agira du place-ment des enfants des Ecoles clans les classes spéciales; les médecins des asi
ement des enfants idiots améliorés de leurs services, clans ces mômes écoles spéciales. Le personnel enseignant sera composé
do femmes. La cuéducalion des sexes est à recomman-der (U Dans les écoles ordinaires les enfants de môme âge sont le plus s
particulier pour les enfants qui doivent composer les classes ou les écoles spécia-les, il conviendrait, pour la formation de
nts, 281 sont confiés à des femmes. instables, — qu'on renvoie de l' école ordinaire — et la possibilité de les placer dans
aient mar-cher la main dans la main. Ce que nous appelons la petite école et l'école com-plémentaire sont analogues aux éco
her la main dans la main. Ce que nous appelons la petite école et l' école com-plémentaire sont analogues aux écoles materne
ppelons la petite école et l'école com-plémentaire sont analogues aux écoles maternelles. Naturellement elles sont confiées ex
out entière. Nous avons insisté — sans succès — pour avoir dans ces écoles et à Vallée un personnel de choix sous tous Jes r
conomiquement et que bien que le service comprenne gymnase, ateliers, écoles , pavillon d'isolementpourles maladies infectieuse
ger. Puis, nous avons réclamé la création de classes spéciales ou d' écoles spéciales pour les enfants les moins malades, ceu
tabilité physique et men-tale qui entravent le bon fonctionnement des écoles ordinaires, où ils constituent un poids mort, enf
liorés de notre ser-vice que nous jugeons aptes à être admis dans ces écoles (2). Ce que nous avons fait c'est mal, cela ne co
ent des accouchements, assainissement de la Seine et tout à l'égout.. Ecoles d'infirmières, incinération, etc.. Pour en reveni
l'intérêt professionnel du praticien. Il faut avoir vu ces polîtes écoles du Dr Bourneville quand on vous montre un petit d
d'adoption, ses méthodes sont revenues faire autorité dans loutcs les écoles d'Europe. (11. Par un labeur de plus d'un quart
availleurs. Nous traversons les réfectoires, les classes de la petite école , uniquement dirigées par des surveillantes et des
quement dirigées par des surveillantes et des infirmières ; la grande école , où les classes sont tenues par dos instituteurs;
lle amélioration soit possible. L'enfant est actuellement à la petite école . A l'entrée, il était gâteux, ne pouvait ni parle
u d'infirmité les l'ait désigner poul-ies gâteux invalides, la petite école , ou la grande école. Aux galeux invalides, on l
ait désigner poul-ies gâteux invalides, la petite école, ou la grande école . Aux galeux invalides, on lutte exclusivement c
, les progrès sont plus rapides. Il commence à marcher. A la petite école , où l'enfanl est transféré dès qu'il se tient ass
as tomber au moindre choo d'un camarade, il trouvera l'équivalent des écoles enfantines adap-té à son degré d'arriération. Il
om-mer les couleurs. Quand on entre dans un réfectoire de la petite école , on est tout étonné de voir sur les tables de mar
gouvernement, la discipline au dortoir, au lavabo, au réfectoire, à l' école sous la personnification aimable et aimée de l'in
hant, de danse, continuent ce travail de développement. A la grande école , où l'enfant peut être transféré dès qu'ils conna
ur les arriérés, et de même qu'il a mis le temps qu'il a fallu pour l' école enfantine, il restera dans les classes, différent
rs, la fille entre l'ouvroir et la buanderie, sans cesser d'aller à l' école . Avec un retard de 3, k, 5 ans, quelquefois plus,
I G N E M E N T C ô t e s - d u - N o rd 1° St-Brieuc 6 1 7 Une école pour les filles peut recevoir les malades docil
ile-école. Enseignement scolaire et a g r i c o l e . Un projet d' école a été d i s c u t é à la d e r n i è r e s é a n
4 7 9 9 7 l 2 3 2 6 1 Asile-École de Saint-Yon. L' école ouverte en 1891 pour les enfants placés à l'Asile
de fonctionner régulièrement. Deux institutrices sont atta-chées à l' école . L'institutrice chargée de la direction de l'écol
ont atta-chées à l'école. L'institutrice chargée de la direction de l' école nous a remis le rapport suivant : « Année 1903.
remis le rapport suivant : « Année 1903. — Pendant l'année 1903, l' école a été suivie par 36 élèves dont : 20 en lre class
t une moyenne d'âge de dix ans. «Remarque. — Depuis sa fondation, l' école a fait recevoir 9 élèves au certificat d'étude ;
riées et mères de famille. » L'écoJe de Saint-Yon est classée comme école publique, mais comme elle est fréquentée uniqueme
d'étude, naguère si délaissée, est aujourd'hui une véritable classe d' école primaire où l'enseignement approprié à des intell
ours occupée avec beaucoup de zèle et de dévouement. Elle faisait l' école pour celles dont l'intelligence était susceptible
étude, naguère si délaissée, est aujourd'hui une véritable classe d' école primaire où l'enseignement approprié à des intell
cuille-rées, huile de foie de morue, sirop d'iodure de fer; douches ; école et gymnastique. 1896.— Janvier. — D'après les n
es ; école et gymnastique. 1896.— Janvier. — D'après les notes de l' école , Ba... ten- Fiij. 3. — 15ar... en 1895. contr
ement, sans qu'il y ait un côté plus faible. — Propre à 3 ans. Va à l' école à l'âge de 6 ans, jusqu'en décembre 1897; elle ap
uel, c'était un enfant normal jusqu'à l'âge de 14 ans. Ilest allé à l' école de 6 à 10 ans, était intel-ligent-, avait appris
res fois les paroles ne se suivent pas bien. L'enfant n'a pas été à l' école . Pas de rougeole, pas de scarlatine, pas de var
nfants nerveux et arriérés. M. le Dr Dupont, médecin-inspecteur des écoles et fondateur du dispensaire Th. Roussel, a adjoin
iots, gâteux ou non gâteux, épileptiques ou non, mais valides (Petite École )................................... vi 3° Trait
gique : Résul-tats.................................... ix 4° Petite école complémentaire............ xi Expérimentation d
iérés, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non (Grande école )____ xx Tableau des notices....................
e des enfants anor-maux ................................... cxx II. Ecoles d'enseignement spécial : Réflexions, commentair
7 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
(2). Dès qu'un enfant marche sans aide, il est envoyé à la petite école , le matin pendant une heure ou deux, puis toute
econnue et que nous sommes obligé, jusqu'ici, de maintenir dans les écoles , où ils sont une occasion de trouble, qu'ils co
grand détriment des enfants éducables. Fig. 5. Fil),6. Petite école . lx II. Enfants 'idiots gâteux ou non gâteux, é
s gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou non, mais valides (Petite Ecole ). - Ces enfants fréquentent la petite école con
n, mais valides (Petite Ecole). - Ces enfants fréquentent la petite école confiée exclusive- ment à des femmes. Dans le c
écèdes; 15 sont sortis définitivement; 2 sont passés il la grande école ; G ont été transférés. Sur 164 enfants qui res
e ; G ont été transférés. Sur 164 enfants qui restaient à la petite école au 31 décembre 1899, 3 ne mangeaient pas seuls,
Troc (3) (3enr ? Dup ? Gili ? Via.. Fiv. 1. Fig. 8. X Petite ÉCOLE . Voici un résumé très sommaire des amélioration
oici un résumé très sommaire des améliorations obtenues à la Petite École par MIles Blanche AGNUS, Amandine 13oi-mv et le
cahier à tracer des o et des barres. Fig. ! ). Fig. 10. Petite école . xi Geor... (Fernand), 9 ans -et demi, l'enfant
e passer quelques jours avec elle. Fig. Il, Fig. 12. XII PETITE école . Mart... (Gaston), né le 9 décembre ! t ! ! J2
ans le caractère qui est Fia. 1 : 1. Fig. 14. Fig. 1 : Petite ÉCOLE . Jçiii aujourd'hui gai et plus affectueux. - Sa
'alphabet, commence à tracer les a, o et u sur lo Fig. 18. PETITE ÉCOLE . XV cahier, et il exécute bien et vivement tous
trop infirmes, n'ont pu y prendre part. Vingt enfants de la petite école et de la petite école complémentaire, dont nous
y prendre part. Vingt enfants de la petite école et de la petite école complémentaire, dont nous allons parler dans un
ette année dans les divers Fig. 19. - Escabeau : montée. · Petite école ... XVII ateliers : 1 imprimeur, 1 tailleur, 2 c
menuisiers, 3 serruriers, 1 brossier et 3 jardi- niers. La petite école comprend : 1° le traitement du gâtisme, qui con
it, pour ainsi dire, suite au cône à chevilles. Fig. 29. · PETITE ÉCOLE . XXVII L'exercice du prisme habitue l'enfant à
surfaces, jeu de dominos, etc). Tout le matériel qui sert dans les écoles , y compris les tables scolaires, et tout le mob
ons jamais pu utiliser qu'en partie celles dont on se sert dans les écoles ordinaires. Ces méthodes, en effet, que nous n'
es deux appareils, casiers et boulier, ne se font Fig. 51. Petite école complémentaire. XLII pas suite : ils sont emplo
de celui qui paraît plaire et profiter le plus à l'enfant. Petite école complémentaire. - Elle est confiée à une femme
sur- veillance des deux dortoirs où couchent les enfants de cette école au nombre de quarante. M ? Bonnet a, en outre,
obtenir quelques efforts et finalement des résultats. A la Petite école complémentaire, MM ? Bonnet et Cordonnier emplo
s et plus variées. De plus, deux procédés non usités dans la petite école y ont été introduits et nous rendent des servic
à l'usage des enfants arriérés, par ;Il. ,1. Noyer. LVIII Grande école . bien fixés dans la mémoire des enfants puisqu'
s, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non (grande école ). - La population de cette école était de 175 e
ques et hystériques ou non (grande école). - La population de cette école était de 175 enfants au premier janvier. Tous,
certificat d'études, for- ment une division supérieure, ne vont à l' école qu'une demi-journée par semaine et restent, les
tuteurs et leurs aides ainsi que les sous-employées attachées aux écoles , afin d'être mieux en mesure d'améliorer la pro
ier MM. Giraud et Robin, directeurs de ces deux Instituts, Grande école . LIX du bienveillant accueil qu'ils font à notr
s-muets et même, si cela était possible, pour les bègues. A cette école , comme à la petite école, les institu- teurs em
était possible, pour les bègues. A cette école, comme à la petite école , les institu- teurs emploient, suivant les. cas
idiots qui nous arrivent de 14 il 18 ans, les procédés de la petite école ; ils s'efforcent de corriger les défauts de pro
ntribution dans la mesure du possible les procédés ordinaires des écoles primaires. Tous les ans, quelques enfants sont
) Nous avons demandé aussi à envoyer notre personnel enseignant à l' Ecole Braille, établissement départemental pour les enf
e, établissement départemental pour les enfants aveugles. lx Grande école F Certificats d'études OBTENUS. 0 a d M
es, tableau qui devrait être placé dans toutes les classes de nos écoles publiques (Fig. 54). Enseignement du chant. Cet
ccessive- ment de tous les enfants. Il a divisé ceux de la petite école et de la petite école complémentaire en deux se
us les enfants. Il a divisé ceux de la petite école et de la petite école complémentaire en deux sections et ceux de la g
a petite école complémentaire en deux sections et ceux de la grande école en trois sections. Aucun de ces enfants, sauf u
écutants. Elle a prêté son concours il la distribution des prix des écoles d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre et de
me en bronze doré. - Enfin M. Sutter fait à 30 enfants de la petite école un cours spécial de solfège. Ces cours ont lieu
ses de ces vues ont été utilisées par M. Bonnairc, professeur à l' Ecole municipale d'infirmiers et d'infirmières pour s
atériel scolaire et distractif com- plet. Il en serait de même à 1 " école des enfants de la Satpetriere. Enseignement par
énumérées plus haut donnent une idée suffisante. Dans les petites écoles et la grande école, on doit sans cesse s'occupe
donnent une idée suffisante. Dans les petites écoles et la grande école , on doit sans cesse s'occuper de la guérison de
es et distractions. - Les enfants de la grande et ceux de la petite école qui sont propres ont continué à faire des prome
sous la conduite de leur maître, ont visité dans tous ses détails l' école Estienne. Les menuisiers et les serruriers, éga
ine et d'encourager les enfants. Ils rendent le séjour à l'asile- école plus supportable et contribuent à maintenir les
mme d'habitude, cette opération a été pratiquée par les élèves de l' Ecole municipale d'infir- miers et d'infirmières de B
, professeur à l'Uni- versité de Kristian; Mme Koht, professeur à l' école primaire de Kristiania; M. Lacroix, directeur d
seur à l'école primaire de Kristiania; M. Lacroix, directeur de l' école d'enseignement spécial de la ville de Bruxelles ;
Dur Qucrton (de Bruxelles) ; M. Soury, [directeur d'étu- des à l' Ecole pratique des Hautes-études; D'' Sérullax. de Va
Wonnacott, architecte (de Londres); 1\I",o'Volfring, professeur à l' école primaire de Kristiania; Zunz, ancien interne de
, c'est-à-dire 7 ans avant leur intro- duction officielle clans les écoles publiques. Les visiteurs peuvent, au moyen du C
ns de tabac. Palmarès, relevés de points, présences, etc., pour les Ecoles municipales d'infirmiers et d'infirmières. Tabl
es volumes, méthode de lecture, feuilles d'alphabet, etc., pour les Ecoles de Bicêtre et de la Fondation Vallée. - Travaux
lement comparables à ceux de l'orphelinat Prévost à Ccmpuis et de l' école d'Alembert à Monté- vrain, par exemple, où les
jours-là et les jours qui suivent, ils ne peuvent travailler ni à l' école ni à l'atelier. Administrativement, après avoir
; un interne en pharmacie, M. SÉVI;\". 2° Service scolaire : Grande Ecole . 4 instituteurs : MM. MESNAHD, LA-s-DOSSE, CA11
deux infirmiers; dont un ayant son brevet élémentaire. 2° Petite École . - Milo ÂGNUS (Blanche) et Bohain (Amandine), s
r et Mlle MARQUET et 10 infirmières de jour aidant les maîtresses d' école . 3° Enseignement professionnel. - 8 maîtres don
t en deux catégories : a) les enfants valides qui sont envoyées a l' école durant une partie de la journée. Bien qu'une cl
oire, aux plus malades, il n'en résulte pas moins, de l'envoi à l' école des enfants gâteuses valides, des inconvénients
un porte-plume. Au dire de sa mère, elle ne pouvait l'envoyer il l' école , parce que les autres enfants se moquaient d'el
onner. Après avoir fait ces derniers exercices sur le mannequin à l' école , elle est parvenue à s'habiller entièrement ell
éfectoire, d'une salle d'exercices de gymnastique, de deux salles d' école , d'une salle spéciale pour les enfants gâteux,
qu'à la section de Bicêtre. Les améliorations réali- sées dans les écoles des garçons sont introduites immédiatement à la
as manger seules. CXXH Dessin, chant, 150 enfants ont fréquenté l' école et sont exereées à la gymnastique des échelles
s idiots : 4° Création de classes spéciales, annexées ou non, aux écoles primaires pour les enfants arriérés ; - 2° Seco
optés en France pour les classes d'en- fants arriérés, annexées aux écoles réglementaires. Nos lois et nos règlements sur
devraient être instituées soit séparément, soit comme annexes des écoles ordinaires, elles sont encore, mal- gré nos eff
ablir une statistique des enfants arriérés et indis- ciplinés -des- écoles des Va. et V-11- arrondissements. Cette enquête
ndisciplinés des deux sexes C : XLIV Classes spéciales. clans les écoles de ces deux arrondissements. Notre proposition
és du département de la Seine émet le rn2a qu'il soit créé près des écoles de la Ville des CLASSES spéciales pour les enfa
olement des enfants arriérés ou indisciplinés qui fréquentent les écoles de la ville de Paris. » Il ajoutait : « Pour qu
s cul- tes et clés affaires médicales et le dernier rapport sur l' Ecole d'enseignement spécial de Bruxelles (1). Je vou
classes spéciales pour les enfants arriérés, annexées ou non aux écoles primaires. Elle renfermait des renseigne- ments
autre motif, ne peuvent arriver aux divisions supérieures de leur école . Ce nombre est d'autant plus élevé, que plus nom-
reuses sont les divisions. Cependant la progression cons- tante des écoles , pousse à la création de divisions de plus en p
ombreuses, bien que les règlements n'autorisent que six classes par école . Il est nécessaire de tenir compte de l'obligat
asses-geôles, ainsi organisées pré- sentent un double danger pour l' école . D'abord le travail de l'élève, comme celui du
arées prêtent de plus en plus à la critique. Une fois sortis de l' école , ces malheureux parias se trouvent il chaque in
ale et non une organisation qui se rapproche en partie de celle des écoles ordinaires. Les observations générales concerna
tions générales concernant la façon de procéder et la méthode des écoles publiques, (circulaire du 15 octobre 1872), ne
bre 1872), ne pcrme ! tentpasfwul(l11enL niais exigent que dans les écoles . CLII Assistance ET éducation DES IDIOTS. po
Il existe dans cette région en différents endroits, il. côté des écoles publiques, et en dehors des écoles pour enfants
ifférents endroits, il. côté des écoles publiques, et en dehors des écoles pour enfants moins bien doués que les autres, m
nts moins bien doués que les autres, mais normaux par ail- leurs, écoles dont j'ai parlé dans ma circulaire du 27 mars,
és, paraissent incapables de participer à la vie et aux travaux des écoles publiques. Ces classes particulières, qu'il ne
eil royal un renseignement sur ce point, et savoir quelles sont les écoles , publiques ou privées, qui reçoi- vent dans vot
r âge à l'obligation scolaire. Il faudra me dire à propos de chaque école , le nombre de maîtres titulaires et leur situat
iscipline et le programme d'enseignement se distinguent de ceux des écoles publi- ques ; et surtout préciser les méthodes
epor- ter aux communications que j'ai précédemment faites sur les écoles dont il s'agit. Je veux parler du rapport fait en
pons, des enfants qui, pendant un an ou deux qu'ils ont fréquenté l' école publi- que, ont montré que, s'ils étaient susce
e, ces enfants se sont améliorés d'une manière surprenante dans ces écoles appropriées. L'intervention du médecin est d'un
i que le programme pour chaque degré est bien inférieur a celui des écoles publiques correspondantes, de même qu'en aucun
es plus éle- vées le programme ne dépasse pas le niveau moyen des écoles normales populaires. La plupart des programmes,
ement de classe annuel, n'ont pas la même organisation que dans les écoles publiques, où, dans la grande majorité des cas
e d'enseignement. Bien que l'on tienne certainement compte dans les écoles susdites des remarques que je viens de faire il
ont suffi- samment améliorés, de les retenir inutilement loin des écoles publiques ordinaires. Pour ampliation, 111(;L
en vue d'enfants faiblement doués, qu'ils soient ou non annexes aux écoles publiques, qu'ils présentent un caractère publi
it des enfants qui ne peuvent avec fruit participer aux travaux des écoles publiques, mais qui sont cepen- dant en état de
oles publiques, mais qui sont cepen- dant en état de fréquenter une école : les maisons d'in- ternement, ainsi que les ét
e; sont les suivants : y-a-t-il eu des enfants qui ont dû quitter l' école publique pour aller à une classe inférieure; en
at actuel de renseignement des enfants faiblement cloués dans des écoles spéciales. Ainsi que le montre le dévelop- peme
a plus haute importance. Le nomhre total des enfants reçus dans ces écoles s'élève il 2.017, tandis qu'il n'était environ
de la séparation de leurs enfants faiblement cloués en dehors de l' école publique. Classes spéciales. CLXI Tout en com
Durant les vacances de Pâques, M. Emile LAcitoix, Directeur de l' Ecole cL'enseignerrten t spécial de la Ville de Bruxe
e. Nous en extrayons le passage relatif au sujet qui nous occupe. Ecole d'enseignement spécial N° 3 A. Les premiers moi
'enseignement spécial N° 3 A. Les premiers mois de l'existence de l' école des enfants arriérés ont été consacrés il l'org
ation de l'institution. Le personnel enseignant et médical de celte école se trou- vait, en effet, devant une population
lte population. Actuellement on peut considérer l'organisation de l' école d'enseignement spécial comme étant définitiveme
ment réduite, tandis qu'un temps beaucoup plus long- que dans les écoles primaires ordinaires a élé réservé aux exercice
te que sur vingt-neuf heures un quart de présence hebdomadaire il l' école : Onze heures et demie sont consacrées il l'édu
te dès l'âge de 5 ou 6 ans. Au moment où ils devraient fréquenter l' école primaire, ils présen- tent tous les caractères
rquoi une classe à régime doux, éta- blissant la transition entre l' école gardienne et l'école pri- maire, a été créée et
gime doux, éta- blissant la transition entre l'école gardienne et l' école pri- maire, a été créée et confiée di une insti
y est complètement individualisé. Actuellement l'organisation de l' école peut être représentée par le schéma suivant : ?
spéciales. CLXVH déterminé - suivant ainsi l'exemple donné par les écoles d'arriérés de Londres (1) - il faire accompagne
r le piano les exercices de gymnastique enseignés aux élèves de l' école 3 A. L'essai fait a produit les meilleurs résul-
a produit les meilleurs résul- tats. Parmi les enfants admis à l' école n° 3 A un grand nombre nous avons dû le constat
élémentaires. C'est pourquoi, dès le début, nous avons attaché à l' école un coiffeur chargé de l'entretien de la chevelu
es du cuir chevelu, d'abord très-répandues parmi la population de l' école . Nous avons aussi reconnu bientôt la nécessité
nd deux hains par semaine- Grâce -IL ces mesures, les élèves de l' école n° 3 A ont pris des habitudes de propreté qu'il
ant parfois, s'est complètement transformé (2). Aujourd'hui que l' école d'enseignement spécial fonc- tionne depuis plus
a grande majorité des élèves qui auront parcouru les classes de l' école N° 3 A, arriveront, s'ils persévèrent dans les bo
nexées ou non aux classes ordinaires, pour les enfants arriérés des écoles primaires. Ces classes exis- tent dans beaucoup
riérés, ainsi que pour la création de classes spéciales annexés aux écoles primaires. Les conclusions de il. le IY Bournev
.4. Traitement. - Huile de foie de morue, sirop d'iodure de fer ; école et gymnastique. 1898. 4 janvier. Revaccinée san
de fièvre; elle n'a pas modifié la maladie ner- veuse. Envoyé il l' école , jusqu'au li juin 1882, il rentrait il peu près
; il tombe fréquemment. 120 SCLÉROSE EN plaques disséminées. A l' école , il se montrait toujours très obéissant, n'osait
issant, n'osait pas se défendre. Ses maîtresses à l'asile, puis à l' école ses maîtres étaient contents de son caractère o
rossier; sa tenue devient négligée. Il est paresseux aussi bien à l' école qu'il l'atelier do cordonnerie. 1888. Janvier.
révenait géné- ralement. La dernière (4 heures) l'a pris étant il l' école , il a dit : « Sortez-moi, je vais être malade.
iodure de fer, et du 1er avril au 30 novembre des douches. De plus, école et gymnastique. Ses attaques ont eu la marche s
emander un congé cl'essai d'un mois promet- tant de l'envoyer -Il l' école . 30 )t0uemb)'e. Sa mère réclame sa sortie, son
l l'école. 30 )t0uemb)'e. Sa mère réclame sa sortie, son maître d' école et elle étant très contents de lui. Exeat. 1899
iplitié, se battait avec ses maîtres. Aussi a-t-il été renvoyé de l' école . Il a été mis en apprentissage dans la fonderie d
III. Le malade a été soumis au traitement médico- nécl ? ori-ye : école , gymnastique, travaux manuels, bains, hydrothér
urnée, localisées à la face, n'en aurait jamais eu depuis. Mise à l' école , elle apprenait bien, plus tard sa mère l'a env
ie de l'asile. - On a toujours con- tinué les douches, les bains, l' école et la gymnastique. Puberto.- Poils noirs, frisé
re. - Marche a un an, parole vers 16 mois, propreté vers un an. A l' école il apprenait bien, était médiocrement nerveux,
loppés. 17 juin. - Traitement : hydrothérapie depuis son arrivée; école , gymnastique, atelier de menuiserie. Par moments,
ablement, il est plus docile, travaille bien à la menuiserie et à l' école . 22 septembre. Il se tient assez convenablement
e et à l'école. 22 septembre. Il se tient assez convenablement il l' école depuis un mois. Écrit correctement l'orthograph
tres. 1893. 23 mars. L'enfant, en bon état, apprend très-bien à l' école . 1895. 30 mal. - Intelligent, bonne santé; pas
issant. 1897. 15 mvril. - Aspect intelligent et éveillé. Il va il l' école , apprend bien et s'intéresse il ses études. Mai
est promené pen- dant son sommeil, dans l'appartement. Son maitre d' école est très content de lui, au point de vue des pr
8 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
Dès qu'un enfant marche sans aide, il doit être envoyé à la Petite École , le matin pendant une heure ou deux, puis toute l
et que nous avions été obligé, jus-qu'en 1901, de maintenir dans les écoles , où ils étaient une occasion de trouble, qu'ils c
rare, nous le faisons remonter dans la qua-trième classe de la grande école , pour redescendre de nouveau aux incurables en ca
iots gâteux ou non gâteux, épilep-tiques ou non, mais valides (Petite École ). — Ces enfants fréquentent la petite école, conf
non, mais valides (Petite École). — Ces enfants fréquentent la petite école , confiée vy;ch\-;ro-ment à des femmes. Ce sont el
rtis définitivement, 3 ont été transférés, 21 sont passés à la grande école et un aux adultes. Sur 180 enfants qui restaien
école et un aux adultes. Sur 180 enfants qui restaient à la petite école au 31 décembre 1905, 10 ne mangent pas seuls, 65
au total environ douze cents francs. Tous les enfants de la Petite école sont exercés au saut, à la montée et à la descent
nfirmes, n'ont pu y pren-dre part. Soixante-deux enfants de la petite école et de l petite école complémentaire, dontnous all
ren-dre part. Soixante-deux enfants de la petite école et de l petite école complémentaire, dontnous allonsparler plus loin,
On ne le l'ait que dans un petit nombre d'établissements. La petite école comprend : 1° le traitement du gâtisme, exposé pr
u, comme préparation à l'écriture ; 6° les leçons de choses, soit à l' école , soit dans les jardins (avec le tableau roulant),
parler n'est-ce pas déjà un résultat digne d'être rele-vé ? Petite école complémentaire. — Cette école est confiée à Mme B
ésultat digne d'être rele-vé ? Petite école complémentaire. — Cette école est confiée à Mme Bonnet, qui, depuis 12 années,
r M"10 Randier, première infirmière. Quarante enfants composent cette école . Quatre infirmières, dont 2 de veille, et I infir
] à 136) une série de Noti-ces sur les enfants améliorés à la petite école supplé-mentaire. Nous avons fait remarquer main
rriérés instables,pervers, épileptiqueset hystériques ou non, (Grande école ).— La population de cette école, con-fiée à des i
ptiqueset hystériques ou non, (Grande école).— La population de cette école , con-fiée à des instituteurs, était de 129 enfant
le certificat d'études, tonnent une division supérieure, ne vont à l' école qu'une demi-journée par semaine et restent les au
instituteurs et leurs aides, ainsi que les s us employés attachés aux écoles (section de Bicetre et Fondation Vallée), afin d'
également allés à l'Institution nationale des jeunes aveugles et à l' école Braille, dépendant (1) Contrairement aux années
x, le jour, qui semble se préparer, où l'on créera des classes ou des écoles spéciales pour eux. * Notre but en procédant
nexées aux asiles, ou à la création d'asiles-écolcs, et de classes ou écoles spéciales pour les arriérés, c'est assurément l'a
donne à corriger et suit depuis octobre les cours professionnels de l' école d'in-firmiers. Il désire avoir le diplôme d'infir
ès rien. De juin 1901 à mars 190-1, époque de son passage à la grande école (3e classe), il a appris à bien syllabcr et à écr
es parents l'avaient conservé 2 ans à la maison après son renvoi de l' école Braille comme incapable de gagner sa vie. Il sava
tré au service le 9 octobre 189fi, à l'âge de 7 ans, il est placé à l' école complémentaire de la section. Il y reste jus-qu'a
este jus-qu'au 7 février 1902, époque à laquelle il passe à la grande école (2° classe). Pendant ce temps il a appris à lire,
-vera plus désormais lorsque tout à coup, cet élève prend du goût à l' école vers la fin de -1904, il apprend la multiplicatio
e volonté. Idiotie. — Chain..., né le 1er septembre 1892. Entré à l' école au mois d'octobre 1900. Prononciation mauvaise: z
ant cette année nous les avons grande-ment multipliées pour la petite école , l'école complé-mentaire et la Fondation Vallée (
année nous les avons grande-ment multipliées pour la petite école, l' école complé-mentaire et la Fondation Vallée (voir p. 1
té de faire suivre au personnel enseignant des ateliers les cours des écoles d'infirmières et de leur faire accomplir un stage
et les certificats semestriels. Direction des classes. A la petite école , MUo Blanche Agnus a la direction de toutes les c
llance générale. Pendant longtemps, il en était de même à la grande école . Le plus ancien des instituteurs, M. Boutillier,
tions. 2° — Commande et répartition des fournitures scolaires des 4 écoles et de l'école d'infirmières. 3° — Surveillance
ommande et répartition des fournitures scolaires des 4 écoles et de l' école d'infirmières. 3° — Surveillance et préparation
es, envoi. 14° — Rédaction de rapports mensuels et trimestriels à l' école des infirmières. 15° — Note pour le palmarès, e
rofiter de cet enseignement y ont pris part. Les enfants de la petite école au nombre d'une centaine,, école Bonnet comprise,
pris part. Les enfants de la petite école au nombre d'une centaine,, école Bonnet comprise, et un nombre égal de la grande é
'une centaine,, école Bonnet comprise, et un nombre égal de la grande école ont suivi les leçons de chant. En maintes circons
de théorie musicale. — Vingt-quatre enfants, dont quinze de la petite école et neuf de l'école Bon-net ont pris part aux leço
. — Vingt-quatre enfants, dont quinze de la petite école et neuf de l' école Bon-net ont pris part aux leçons de solfège et su
rt et sur la recette nous avons donné une somme de 10 fr. à la petite école et à la Fondation Vallée pour achat de déguisemen
mesure de profiter de cet enseignement. Voici ses notes : 1° Grande école . — 75 élèves divisés en 2 séries y assistent. Le
phies, nouveau tra-vail qui a beaucoup intéressé ces élèves. Petite école . — 25 élèves ont participé à cet ensei-gnement; i
urs, fut rigoureusement suivie par 197 élèves, dont 45 pour la petite école et 15 pour l'école complémen-taire. Ces élèves so
ment suivie par 197 élèves, dont 45 pour la petite école et 15 pour l' école complémen-taire. Ces élèves sont divisés en deux
t être exécutés dans tous les lycées de filles et garçons et dans les écoles primaires. La dépense ne serait pas con-sidérable
préjudice pour les enfants. En effet, tandis que dans les lycées, les écoles primaires, les élèves sont en congé en même temps
rvices ana-logues, les enfants, eux, restent. L'organisation de nos écoles offre des lacunes. La petite école, Vécole complé
restent. L'organisation de nos écoles offre des lacunes. La petite école , Vécole complémentaire (voir p. VI et XI) fonctio
la haute direction ; tout le personnel est sous ses ordres. La grande école est confiée à des instituteurs au nombre de quatr
remier instituteur qui a existé durant longtemps. La situation de l' École pendant les vacances est déplorable. Il nous est
nfants anormaux. Les quelques semaines qu'ils séjourneraient dans nos écoles ne seraient cer-tainement pas perdues, les enfant
mieux à môme de recruter les enfants arriérés pour les classes ou les écoles d'en-seignement spécial. L'étranger, à cet égard,
aient au contraire, les inciter à introduire progressivement dans les écoles primaires les procédés qui composent notre méthod
t du Jardin d'aecli-matation au bénéfice des élèves des lycées et des écoles primaires ? (1). Nous avons dit que les jardins,
de ce pays, etc.. On devrait procéder de même clans les lycées et les écoles . Ces vues servent aux conférences du jeudi fait
s recevons les étrangers, aux cours d'ana-tomie et de physiologie des Écoles d'infirmières de Bicêtre, de la Salpêtrière et de
nistrés, aux infirmiers et infirmières de l'hospice. Dans la petite école et la grande école, on doit sans cesse s'occuper
iers et infirmières de l'hospice. Dans la petite école et la grande école , on doit sans cesse s'occuper de la, guérison des
ades et distractions. — Les enfants de la grande et ceux de la petite école qui sont propres, ont continué, comme par le pass
ns. Comme d'habitude, cette opération a été faite par les élèves de l' École d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre, et par
ières de Bicêtre, et par un certain nombre d'élèves libres des autres écoles sous notre direction et celle de nos internes, av
mes formes, devrait être appliquée dans tous les lycées, collè-ges et écoles . — Les bains-douches ne remplacent pas toujours l
a plupart sont venus et ont pu, à leur tour, enseigner aux élèves des écoles adonner des douches. En faisant ces leçons de dou
rs, aux infirmiers et infirmières de la maison, aux élèves libres des écoles , nous pensons avoir été très utile aux malades qu
ral honoraire de l'Instruction publique; Melle Stupuy, directrice des écoles enfan-tines à Paris; M. Baguer, directeur de l'In
titués dès 1880, c'est-à-dire 7 ans avant leur intro-duction dans les écoles publiques. II. Enseignement professionnel.
Affiches diverses. — Entêtes de lettres. — — Divers imprimés pour les Ecoles d'infirmières de Paris : Palmarès, etc. — Feuille
ullement comparables à ceux de l'orphelinat Prévost à Cempuis et de l' école d'Àlembert à Monté-vrain, par exemple, où les app
s jours-là et les jours qui suivent, ils ne peuvent travailler ni à l' école , ni à l'atelier. Lorsqu'ils ont des accès, le tra
obliger les chefs d'atelier des asiles-écoles à suivre les cours de l' école d'infirmières, d'avoir leur diplôme, de faire un
nstruction d'un asile spécial : idiots, imbéciles, épileptiques, avec écoles cl ateliers. noms. Bine...... Baro..... T
lante de 5° classe et 15 infir-mières de jour aidant les maîtresses d' école , après avoir terminé le nettoyage de leurs dortoi
s), M. Jaouen (depuis 8 ans), aident, comme assistants, les maîtres d' école . Au moment de quitter Bicêtre nous croyons devoir
nt en deux catégo-ries : a) les enfants valides qui sont envoyées à l' école durant une partie de la journée; — b) les enfants
ômes qu'à la section de Bicêtre. Les améliorations réalisées dans les écoles des garçons sont introduites immédia-tement à la
tinuent à être employés contre la bave. 220 enfants ont fréquenté l' école et ont été exercées à la gymnastique des échelles
les-écoles comme la Fondation Vallée, comme la Salpêtrière, comme les écoles do St-Yon, de Clermont de l'Oise, etc., doivent ê
ê-tre, nous revaccinons avec nos infirmières et les élèves libres des Écoles d'infirmières, venant par groupes, toutes les ent
at d'études primaires : Piche.., Naiss...; 3 ont smivi les cours de l' école d'infirmières. Personnel. — Il a été composé en
1880, c'est-à-dire plusieurs années avant leur introduction dans les écoles primaires. La réunion de tous (1) Les mots débi
s de Bordeaux, par M. le Dr Jacquin, etc. « Combien y a-t-il dans l' école et dans la commune d'en-fants hors d'état de suiv
dans la commune d'en-fants hors d'état de suivre l'enseignement de l' école , soit moralement, soit intellectuellement? Ne doi
s malades, dans les asiles-écoles ;—• 2° Organisation de classes ou d' écoles (1) On nous a annoncé qu'il était question de c
inistre de l'Intérieur sur les fonds du pari mutuel. Les classes ou écoles spéciales sur lesquelles nous avons fait de si no
ussi, mais à un moindre degré, qui doivent composer la population des Écoles d'enseignement spécial. L'admission devra être pr
En géographie, partir du connu, de la classe où est l'enfant, de l' école dont elle fait partie, pour aller au voisi-nage,
sie. h'éducation et l'assistance, dans les Classes spéciales ou les Écoles d'enseignement spécial pour les enfants atteints
es asiles-écoles, des infirmières-institutrices ; dans les classes ou écoles spéciales, ou si l'on' préfère dans les écoles d'
; dans les classes ou écoles spéciales, ou si l'on' préfère dans les écoles d'ensei-gnement spécial, des institutrices ayant
'ensei-gnement spécial, des institutrices ayant suivi les cours d'une école d'infirmières et obtenu leur diplôme : en d'au-tr
prédomine dans les nsiles-écoles, et celui de l'institutrice dans les écoles spé-ciales. Les instituteurs et les institutric
aître le mieux possible nos malades, les maî-tres et les maîtresses d' école , nos infirmiers et nos infirmières nous fournisse
tion des enfants de Bicètre. Signes de la mort. Tous les ans, à l' école d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre, comme d
école d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre, comme dans les autres écoles , il est fait mie leçon sur les signes de la mort,
es d'aliénés de la Seine, sur les modifications à introduire dans les écoles départementales d'infirmiè-res et d'infirmiers de
ors de doute la possibilité de les améliorer et organisé pour eux des écoles , avec plus ou moins de difficultés. Depuis bien
, qui peuvent et doivent rester dans leur famille, des classes ou des écoles spéciales ou, si l'on préfère, des classes ou éco
s classes ou des écoles spéciales ou, si l'on préfère, des classes ou écoles d'enseignement spécial. Afin de prouver que la
e laver. Les progrès sont satisfaisants à la gymnastique ainsi qu'à l' école (Fig. 2). 1905. -—? L'amélioration devient nota
se fait autour.de lui, est devenu plus attentif aux projections, à l' école et à la gymnastique. Sa tenue est devenue meilleu
t sans se tromper. Il fait à la gym- 1891. — Est envoyé à la petite école le matin seulement. Connaît généralement les obje
commissions, en allant 1900. — Devient timide, et n'arrive pas à l' école à pou-voir lire. Tous les autres exercices sont b
er. Fio. 13. — Maz..., à 19 ans (1904). faut plus lui parler de l' école , et, en dépit de tous les essais, il a été imposs
a per-sistance de la kéralo-conjonctivitè l'empêche de progresser à l' école (1). V. Gœrg... (Fernand), 5 ans 1/2, à l'entré
vue des colères et de l'obstination. 1899. — Progrès sensibles à l' école . 1900. — 8 ans et demi : l'enfant est propre, l
t normal. 1902. — Gcerg... continue à donner de la satisfaction à l' école et à l'atelier de couture. 1903. — Les colères
t aussi bien modifié. 11 est en résumé le meilleur élève de la petite école . En résumé, cet enfant est arrivé à un degré pres
bon, l'argent et les friandises. 1903. — L'enfant vient à la petite école , a appris à con-naître les couleurs, les lettres
ant; aussi, au dire de ses parents, avait-il toujours été renvoyé des écoles comme trouble-classe et inca -pable de rien appre
ertificat d'études et suit en ce moment les cours professionnels de l' école d'infirmiers et infirmières de Bicêtre, Fig. 26
ix ainsi que le livret Gallois. 20 août. — Rob... passe à la grande école . A l'atelier de couture, il fait complètement le
rversions des instincts (mensonges, vols, vagabondage), renvoyée de l' école . Emission inconsciente d'urine. D'après ce diagno
ificat d'études en mars 1905. Elle suit avec assiduité les cours de l' Ecole d'infirmier es et nous espé-rons qu'elle obtiendr
possédant qu'un faible degré d'intelligence et étant sourde-muette, l' école est très difficile; elle s'intéresse cependant au
it très taquine, très ins-table, courait de tous côtés, bavardait à l' école , faisait aller ses jambes, ses pieds, ses mains,
r. 50 par jour et hnbite avec sa sœur, Aime Leclair, 2 bis, rue des Ecoles , — Encore une malade qui a appris un métier ci qu
utonner. Après avoir fait ces derniers exercices sur le mannequin à l' école , elle est parvenue à s'ha-biller entièrement elle
en apprendre en classe, elle faisait le désespoir de ses maîtresses d' école . Quand elle est arrivée parmi nous, elle connaiss
lassiques de son enfant, car elle n'avait jamais rien appris dans les écoles primaires. Le caractère n'est ni méchant, ni ta
e, elle était nulle. A cause de son état elle n'avait pas fréquenté l' école ; sa vue aussi bien que ses mouvements opposaient
y prendre pour venir en classe le moins possible: elle n'aimait pas l' école . Lettres, chiffres, écriture, tout lui était inco
urpasser ses compagnes. 1905. — Elle continue à progresser soit à l' école , soit dans les divers ateliers. Elle a appris à l
1904. — Pour toutes ces causes, elle avait été renvoyée de plusieurs écoles . La physionomie était peu expressive, le regard s
l'heure actuelle, elle est en bonne voie d'amé-lioration. Elle aime l' école , connaît les lettres, les chiffres et commence à
rivait pas auparavant (Fig. 54). 1905. — P... est passé à la grande école en août 1904. Depuis, ses progrès ont été lents p
psie. 2° L'éducation etl''assistance dans les classes spécia-les ou écoles d'enseignement spécial pour les enfants atteints
ts, gâteux ou non gâteux, épileptiques ou non, mais valides (Petite École ).................................. vu 4° Petite
des (Petite École).................................. vu 4° Petite école complémentaire............ xi 5° Enfants propre
rés, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non (Grande école ).... xn Tableau des notices....................
9 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
se;HriDi7 I.KUBSI.R ; LLOYD-TUCKEY tdeLoodiesl; MANOUVRIER; prof. » l' Ecole d'Anthropologie; MASOIN,prof.krUaiver»i? de Louva
Londres); MABILLK. mcd. de l'Asile do Lafond; Paul MAUNIN. prof, à l' Ecole de psychologie; MORSELL1 (de Gènes) ; DE PACKIBWI
s l'art 'avec quatre figures), par M, le D' Beril-lon, profesieur à l' Ecole de Psychologie, p. -1. 2. Infirmeries pour le t
suite de Liébeault, ont constitué ce que l'on a désigné sous le nom d' Ecole de Nancy. Apres avoir entendu de nombreuses com
, n'ont pas oublié l'accueil qui leur a été fait au Musée Guimet. L' Ecole de psychologie, qui a reçu de M. Guimet la preuve
psychologique et sociologique, Par le Dr BÉRILLON, « Professeur à l' École de psychologie. Utilité psychologique des anorm
sur bois qui illustrent ce livre et qui sont les plus anciennes de l' Ecole allemande. L'auteur de la Chronique de Nuremberg
du lycée avec un bon certificat, qui, ensuite, termina le cours de l' Ecole militaire de Moscou avec un grand succès, puis a
tellectuelle, ayant le travail facile, elle est entrée fort jeune à l' Ecole normale et est une institutrice fort capable. E
ut toujours elle que, dans sa région, on choisissait pour relever des écoles tombées ou en installer de nouvelles. Partout o
ont la jeune fille a fait preuve toute sa vie. Dès son entrée à l' école préparatoire, avec son ardent désir d'arriver à s
r, vice-président de la Société, M. le D' Paul Magnîn, professeur i l' Ecole de Psychologie, vice-président de la Société, M.
blique, MM. les D" Félix Regnault, Farcz, A. Bianchi, professeurs à l' École de Psychologie, M.Je D'Saint-KIlaïre, médecin de
ech et Blieck, avocats à la Cour d'Appel. MM. Lépinay, professeur à l' École de Psychologie, et Grollct, secrétaire général de
rbonne, Dr Tri boulet, médecin des hôpitaux, Dr Godon, directeur de l' Ecole dentaire, D' Lcmcslc (de Loches), Dr Dcny, médeci
ES (Indre-et-Loire) Service médical : Dr H. Lemesle, professeur à l' Ecole de Psychologie de Perle, h-- C. Boutieb, et M. Bo
lflques : i, rue Antoine-Dubois. A la librairie Vigot. ?3, Place de l' Ecole de Médecine. a brl'xklixs A la librairie Mato
tnt-Hwbtl. axon. II. m> d« I'AockBBe-CoeaMU. lia-,sit, ss. ta* de* Ecole *, ifcamaia, me Ra¦ -'¦ lECatSna. place de l'Eoo
luac; Henry LEMESLE ; LLOYD-TCCK.EY (doLondieM; MANOUVRIER; prof, à l' Ecole d'Anthropologie; MASOIN,prof.il'UnWersJtédeLouvai
Londres); MABILLE. méd. de l'Asile de Lafond; Paul MAGNiN. prof, à l' Ecole do psychologie; MORSEI.L1 (deGènes); DK PACKlKWfC
e sommeil, agent caratlf, par M. le D'Henry Leuesle, professeur à l' Ecole de psychologie, p. 33. 2. Les femmes à, barbe :
rt 'avec six Jigures), [suite), par M. le D' Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie, p. 37. 3. La valeur thérapeutiq
e sommeil, agent curatif par m. le d' Henry Lemesle, professeur à l' École de psychologie do Paris. Une nouvelle conceptio
gique et sociologique, Par M. le D' Bêrillos Professeur &amp; l' Ecole de psychologie {suite) (1) Les femmes à barbe d
surmène on n'arrive qu'à son affaiblissement età la névrose. Or, nos écoles ont le grand tort de surmener leurs élèves. Pour
419 ....50 — 14 à 15 ....30 — Il serait inutile d'ajouter que les écoles les plus hygiéniques et les plus rationnelles dép
HES Indre-et-Loirt) Service médical : LV H. Lehesle, professeur à l' Ecole de Psychologie de Paris, !>¦• ?. ??????, et M
ndres); M A BILLE, méd. de l'Anilo do Lafond ; Panl MAONIN. prof, à l' Ecole de psychologie; M0R8ELL1 (de Genes); DE PACK1EWIC
t 'avec cinq figures), (suite), par M. le D' Berillon, professeur a l' Ecole de psychologie p. 67. S. La dormeuse de Thenell
sur l'anesthésle hystérique, par M. le Dr Paul Magnin, professeur à l' Ecole de psychologie, p. 90. — Discussion : MM. Berillo
jieritus. D'ailleurs la Société d'hypuologie et de psychologie et l' Ecole de psychologie de Paris n'avaient pas attendu le
sychologique et sociologique, Par |f. le Dr Bérillok profctsejr a l' Ecole de psychologie (suite) (1) Les femmes a darse d
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique delà Faculté de médecine [semestre d'été
dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Les cours de 1 Ecole de psychologie ont lieu pendant le semestre d'hiv
opinion ; et plus récemment, M. le docteur Paul Farez, professeur à l' Ecole de psychologie, se montrait convaincu de la possi
sur l'anesthésie hystérique par M. le D* Paul Magxin', Professeur à l' Ecole de Psychologie- J'ai montré, il y a vingt ans.
d'ailleurs Insisté longuement sur ces faits dans mon enseignement à l' Ecole de Psychologie en même temps que sur l'action des
en collaboration avec M. Lépinay, médecin vétérinaire, professeur à l' Ecole de psychologie, vice-président de la Société de p
arée. - Nominations universitaires. — M. Caustier, professeur à l' Ecole de psychologie, professeur au lycée Hoche, vient
CHES (Indre-et-Loirt) • Servit* medUal : LV II. Liui profc*seuT à l' Ecole de Psychologie de Paris, D" c. Bol-tiir. et M. Bo
luse ; Ileory LBMESLB ; LLOYD-TUCKEY (dcLondies); MANOUVR1KR; prof. l' Ecole d'Anthropologie; MA80IN.prof.*VUniver*iledeLon»ai
Londres); MABILLE. méd. de l'Asile de Lafoud; Paul MAGNIN, prof, à l' Ecole do psycholojpo; MORSELLI (de Gènes DE PACKIEWICZ
t [avec huit figures), {suite\, par M. le D' Bbrillon. professeur à l' Ecole de psychologie, p. 97. 2. TJn sommeil de dix-se
que et sociologique [suite] (% Par M. le D' Bérillon Professeur à l' Ecole de Psychologie Les femmes a barbe dans l'art
TJn sommeil de dix-sept ans. par M. le D' Paul Fabez. Professeur à l' Ecole de Psychologie. Dans un petit village de l'Alle
e M... est née en 1860. Elevée dans la maison paternelle, elle va à l' école communale. Son enfance et sa jeunesse s'écoulent
. L'organisation de l'Institut psycho-physiologique comporte : 1° l' Ecole de psychologie; 2° le laboratoire de psychologie
n, médecin inspecteur des publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d'ét
dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Les cours de l' Ecole de psychologie ont lieu pendant le semestre d'hiv
D"Legrain, médecin de Ville-Evrard et Félix Regnault, professeur à l' Ecole do psychologie. Le traitement appliqué au dispe
S iIndre-et-Loire) Servite medicai : Dr H. Lemesle, proie »»tur à l' Ecole de Psychologie de Parti, î— C. Bovtter, et Vf ???
uso; Henry LEMESLE ; LLOYD-TUCKEY (deLondiesl; MAN'OUVRIER; prof, à l' Ecole d'Anthropologie; MASOIN.prof.àl'Univeraitede Louv
o Loadras); MAB1LLE. méd. de l'Asile de Lafond; Paul MAGNIN, prof. «l' Ecole de psychologie; MORSELLI (do Gènes); DE PACEIEW1C
raines (avec cinq figures), (suite), par M. le D' Bérii-lon . i ¦ A l' Ecole de psychologie, p.132. 2. Le bégaiement graphiq
prophète Samuel, par M. le D' Charles Biset-Sanglê, professeur à l' Ecole de psychologie, p. 152. III. — COURS ET CONFÉRE
: je suis, en effet, extrêmement surpris de me trouver inaugurer une Ecole de Sciences psychiques devant une assemblée aussi
ue et sociologique {suiie){'). Par M. le Li bérillon Professeur i l' Ecole de Psychologie Les femmes a barbe contemporaine
on traitement psychologique, par II. le D* Bérillon, Professeur a l' Ecole do Psychologie. Dans le langage ordinaire, le t
. L'organisation de l'Institut psycho-physiologique comporte : 1° l' Ecole de psychologie; 2» ie laboratoire de psychologie
cin inspecteur des asiles publics.d'aliénés, y comptète son cours à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d'ét
dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Les cours de l' Ecole de psychologie ont lieu pendant le semestre d'hiv
récente de M. le D' Liébeault, qui fut l'inspirateur des travaux de l' école de Nancy, expose le rôle important joué par ce ma
rôle important joué par ce maitre regretté. Il montre que le terme d' Ecole de Nancy était impropre, car ceux qui ont été ins
e prophète Samuel Par M. le D* Charles Binet-Sanglê, Professeur a l' Ecole de Psychologie. Le roë (voyant) Schcmouel (Samu
ifiques : 4, rue Antolne-Dubols. A la librairie Vlgot, 23. Place de l' Ecole de Médecine. a bruxelles A la librairie Ma vo
Londres); MABILLE, méd. del'Aailodo Lafond; Paul M AGNIN, prof, à l' Ecole de psychologie; MORSBLLI (de Gènes); DE PACKIEWIC
es {avec cinq figures], {suite), par M.le D* BÉrillon, professeur à l' Ecole de psychologie, p.161. 2. Guerre et Suggestion
gique et sociologique (suiie)^), Par M. le D' Bbmllon Professeur .1 l' Ecole de Psychologie LES FEMMES A BARBE CONTEMPORAINE
. L'organisation de l'Institut psycho-physiologique comporte : l8 Y Ecole de psychologie; 2° le laboratoire de psychologie
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d'ét
dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Les cours de l' Ecole de psychologie ont lieu pendant le semestre d'hiv
cela devrait commencer à la naissance, au berceau, pour continuer à l' école . Nous nous faisons, â ce sujet, de la profession
temps engourdie, tend à se réveiller ; de toutes parts se fondent des écoles pour l'enseignement professionnel des gardes- d
ès. NOUVELLES Enseignement de l'hypnotisme et de la psychologie Ecole de psychologie. — Cours. — Les cours de l'Ecole d
t de la psychologie Ecole de psychologie. — Cours. — Les cours de l' Ecole de psychologie reprendront le Mardi, 10 janvier 1
siologie de l'art . . . . H.FéilxREOAMiY.inspecteurdudessindans les Ecoles de la Ville de Paris, prof. Anotomic et Psycholog
ES (Indre-et-Loire) Service medicjl : D' H. Leuesle, professeur à l' Ecole de Psychologie de Paris, D« C. Boutier, et M. Bou
iologique. folxi.ore LIVRAISON DE JANVIER 1905 I. — BULLETIN. — L' Ecole de psychologie. — Election du professeur Ch. Bich
es 'arec six figures), \suitet. par M. le Dr BERiLLON.professeur il l' Ecole de psychologie, p. 19J. 1. Guerre et Suggestion
isme et de la psychologie : Programme des Cours et Conférences de l' Ecole de psychologie, p. 2?l. V. — OUVRAGES DÉPOSÉS A
TIQUE^ _y t _ 19« Année. — ? 7. 4*£* Convier 1905. BULLETIN L' Ecole de psychologie. — Election du professeur Ch. Rlch
— Le Congres de Psychologie de 1905. La réouverture des cours de l' Ecole de Psychologie aura Heu le mardi 10 janvier, à ci
morale. La cinquième séance d'ouverture marquera dons l'histoire de l' Ecole de Psychologie une date inoubliable. Nous en publ
la Jeunesse Républicaine. Ce jour-là, s'adressant aux jeunes gens des Ecoles , il leur disait : « Gardez-vous de croire que la
autres hommes ! » Dans ces paroles se trouve tout le programme de l' Ecole de Psychologie, dont le but est de propager des i
du contrôle scientifique. Celte année, les anciens professeurs de l' Ecole : MM. Bérillon, Paul Ma-gnin, Félix Regnault, Pau
re de voyages pour l'année dernière, Hermann Laurent, examinateur à l' Ecole Polytechnique, Baguer, directeur de l'Institut dé
stitut départemental des sourds et muets, etc.. L'enseignement de l' Ecole do Psychologie est public. Il s'adresse aux médec
donnerons dans notre prochain numéro le programme du Congrès auquel l' Ecole de Psychologie, la Revue de l'Hypnotisme et la So
psychologique et sociologique Par M. le I'- BÊRiLLOH Professeur à l' Ecole de Psychologie Les femmes a barbe contemporaine
éparer les pertes nerveuses. Il me reste à parler de la mystérieuse Ecole du Saule. Cette Ecole du Saule, « Jutsutsu », n
ses. Il me reste à parler de la mystérieuse Ecole du Saule. Cette Ecole du Saule, « Jutsutsu », n'est en somme qu'un Join
le du Saule, « Jutsutsu », n'est en somme qu'un Joinville nippon, une école de gymnastique supérieure. Mais c'est un Joinvill
ne véritable confiance en eux-mêmes. A l'enseignement pratique de l' Ecole du Saule en est joint un théorique sur la manière
ise sur des caractères moins solidement trempés. Aux exercices de l' école est donc joint comme un cours d'entraînement hypn
cin inspecteur de3 asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre .d'é
dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Les cours de l' Ecole de psychologie ont lieu pendant le semestre d'hiv
ti, de Londres, littérateur et poète distingué, un des fondateursde l' Ecole artistique dont l'objectif fut l'imitation des Pr
-douche ou bien encore du bain en eau courante, le vulgaire bain de l' Ecole de Natation. Cette phobie existe ; elle est indis
nt de voir des enfants de troupe s'enfuir, à plusieurs reprises, de l' Ecole où ils avaient cru désirer être admis et revenir
nable et, enfin, nous pourrions nommer plus d'un élève de nos grandes Ecole spéciales, qui, horriblement malheureux pendant l
les faire passer dans le grand public, chez les Officiers et dans les Ecoles Militaires, par la vulgarisation et par l'enseign
, la force morale et physique, avec exactitude et fidélité. C'est une école d'Initiative, de dignité, de travail. Le soldat p
mie des sciences, membre de l'Académie française. L'enseignement de l' Ecole de psychologie est public. La leçon d'ouverture
ours sera privé. Conférences de 1905 Chaque année, les cours de l' Ecole de psychologie sont complétés par des conférences
anvier, à 8 h. 1/2, sous la présidence de M. Laisakt, examinateur à l' Ecole polytechnique. — La psychologie des jeux de liasa
chologie des jeux de liasard, par M. Hermann Laurent, examinateur à l' Ecole polytechnique. Vendredi 3 février, sous la prés
lle des hémisphères cérébraux, par M. le Dr P. Magnix, professeur à l' Ecole de psychologie (avec projections). Vendredi 10
ES {Indre-et-Loire) Service médical : LV H. Lemeslb, professeur à l' Ecole de Psychologie de Paris, D— c. Boctier, et M Boct
ifiques : 4. rue Antoine-Dubois. A la librairie VIgot, ?3, Place de l' Ecole de Médecine. a linUXELLES A la librairie MayO
Henry LEMESLE ; LLOYIt-TUCKKY di ' ond.....: MANOUVR1KK; prof, x l' Ecole d'Anthropologie; MA80IN,prof.àl'DniTeriilédeLoa
AM WELL (do Londrea); UABILLE. méd. do Lafond; Paul UAGNIN, prof, a l' Ecole de psychologie; MORS ELU (de Genes); DR PACKIRW
E, FOLKLORE I. — BULLETIN.— 1. Cinquième réouverture des cours de l' Ecole de psychologie [avec un portrait}) p. 224. 2. L
es cours de l'Ecole de psychologie [avec un portrait}) p. 224. 2. L' Ecole de Psychologie, par le D' Paul Magnin, professeur
2. L'Ecole de Psychologie, par le D' Paul Magnin, professeur à l' Ecole de psychologie, p. 226. 3. La psychologie du co
h' BëHilion. médecin ¦inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l' Ecole de psychologie, p. 231. 4. Discours de M. le Pr
E EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE 19* AnnBe. — n* 8. BULLETIN L' École de Psychologie ClNQOlÈME UÉODVEftTURE DES coups
el de l'Académie des sciences, membre de l'Académie française. 1° L' Ecole de Psychologie, par M. le DT Paul Magsin-, profes
° L'Ecole de Psychologie, par M. le DT Paul Magsin-, professeur à l' Ecole de Psychologie. 2° La psychologie du courage et l
Bbrillo.v, médecin-inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l' Ecole de psychologie. 3° Discours de M. le professeur B
scours de M. le professeur Berthelot. La réouverture des cours de l' Ecole de psychologie, a eu lieu le mardi 10 janvier, i
ge ; M. Frlngnet, Innpecteur d'académie, et tous les professeurs de l' Ecole , MM. lea D- Bérlllon, Paul Magnin, Félix Regnanlt
énard, membre de l'Académie de Médecine, Lalsant, examinateur & l' Ecole polytechnique, D'Godon, directeur de l'Ecole dent
ant, examinateur & l'Ecole polytechnique, D'Godon, directeur de l' Ecole dentaire, Dr Babaian Babayefï, médecin ues hôpita
and nombre de médecins, de professeurs de l'Université, d'élèves de l' Ecole normale supérieure, dont nous n'avons pu noter le
ouvert la séance, le président donne la parole au Dr Paul Magnin. L' Ecole de Psychologie par le D' Paul Magnin Messieur
. Qu'il me permette de lui adresser, au nom de mes collègues de l' Ecole de Psychologie, l'expression sincèrement émue et
s du savant directeur du laboratoire de psychologie physiologique à l' Ecole des hautes éludes. Qu'il me suffise de rappeler q
r. Je suis très heureux enfin de dire aux nouveaux professeurs de l' Ecole , MM. Ficssingcr. Félix lîégamey, Binel-Sanglé, Bl
rs collègues. .Mais il n'est, hélas ! do joie sans mélange et notre Ecole a été, cetle année, particulièrement éprouvée.
études. Il avait tenu a venir présider la séance d'inauguration de l' Ecole de Psychologie. L'élévation de son esprit, sa par
la psychologie physiologique. Des 1888, il fait, tous les ans, à l' école pratique de la Faculté de médecine, un cours sur
o-physiologique de Paris, sa clinique devient à la fois une véritable école pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
rapie et un laboratoire de psychologie. C'est là l'embryon de notre Ecole et c'est pourquoi j'ai tenu à vous faire saisir l
Voisin, ne sont plus à démontrer. En mettant à la disposition de l' Ecole de Psychologie l'ensemble des matériaux scientifi
omme celles de psychologie appliquée. Une des supériorités de notre Ecole est de n'astreindre les professeurs à aucune disc
harcot et de Claude Bernard, et de là vient, pour moi, le succès de l' Ecole de Psychologie. ment le philosophe médecin Beau
vil, auquel leur éducation les a si mal préparés. L'Eglise, l'Etat, l' école , la famille, tout contribue à énerver en eux l'in
la culture intellectuelle, de l'étude, de la lecture des livres, des écoles , c'est une pure sottise de notre temps. Le doute
tte question, il surfit de lire les admirables conférences faites à l' Ecole de psychologie par notre collaborateur M. Lalsant
le de psychologie par notre collaborateur M. Lalsant, examinateur à l' Ecole Polytechnique. D'abord publiées dans la Revue Sci
. L'organisation de l'Institut psycho-physiologique comporte : 1* l' Ecole de psychologie ; 2' le laboratoire de psychologie
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d'ét
dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Les cours de l' Ecole de psychologie ont lieu pendant le semestre d'hiv
s doivent leur courage à diverses circonstances réalisées par la rude école de la guerre. Chez tous les hommes de caractère
débuté pauvres et ont été à la plus dure mais à la plus efficace des écoles , celle de la pauvreté ». Il nous reste à étudie
ns une étude de mon éminent maître, If. le D' Bordier, directeur de l' Ecole de médecine de Grenoble, parue en ¡902 sous le ti
rand nombre possible de ceux qui y sont irrésistiblement entraînés, l' Ecole de psychologie reste fidèle au programme qu'elle
e de M. Berthelot, marque uno date glorieuse dans l'histoire de notre école . Dans les circonstances où ce grand maître a répo
nement de l'hypnotisme et de la psychologie Cours. — Les cours de l' Ecole de Psychologie, dont le programme complet a été p
tous les jours à cinq heures et à cinq heures et demie au siège de l' Ecole , -'i9, rue Saint-Andrc-dcs-Arts. VAdministrateu
LOCHES [ Indre-et-Loire) Servie* méditât : D* H. Lemesle, ^ ( ¦ à l' Ecole de Psychologie de Pari», d" C. Bocnza. et vi. Bou
ifiques : 4, ruo Antoine-Duboia. A la librairie Vlgot, ?3, Place de l' Ecole de Médecine. a bruxelm» A la librairie Mayoi.
luse;Uenry LEMESLE ; l.LOYD-TUCKKY 'dcLondics); MANOUVRIER; prof, à l' Ecole d'Anthropoloaie; MASOIN.prof.kl'UruVersiléde Louv
ondres); HABILLE, ra«d, rie l'Asile de Lafoad; Paul MAGN1N, prof, à l' Ecole de paycbologie; MORSELL1 (do G"nc»); DE PACKIEWIC
HE LIVRAISON DE MARS 1905 I. —BULLETIN*.— 1. Les Conférences de l' Ecole de psychologie. — Les métapsychlstes. — Suggest
UX. — 1. Lo Tarot des bohémiens, par M. Raoul Baron, professeur h l' Ecole vétérinaire d'Alfort. p. 259. - - - 2. Les femm
(avec six figures) (suite), par M. le D' BErillon, professeur & l' Ecole de psychologie, p. 267. 3. Hypnotisme, suggesti
me, suggestion et persuasion, par le D' Paul Magnik, professeur à l' Ecole de psychologie, p. -275. 4. Alcoolicpie traité
, pendant le sommeil naturel, par M. le D' Paul Farkx. professeur à l' Ecole de psychologie, p. 278. III. — LA PSYCHOLOGIE A
THÉRAPEUTIQUE^, 19 Année. — N° 9. BULLETIN Les conférences de l' Ecole de psychologie. — Les mctapsychistcs. — Suggestio
thermiques chei les tuberculeux. Les conférences hebdomadaires de l' Ecole de Psychologie qui complètent l'enseignement donn
it de ses auditeurs. Dans la troisième, M. Laisant, examinateur à l' Ecole polytechnique et le LV Bérilton ont oxposé leurs
ut départemental des Sourds-Muets. Le succès des conférenciers de l' Ecole de Psychologie dont le début remonte à 1892 et qu
divers. Le Tarot des Bohémiens Par M. Raoul Baron, Professeur a l' Ecole vétérinaire d'Alfart. Messieurs, Conformément
onc! ce n'est même pas encore commencé-..! (1) Conférence faite à l' Ecole de Psychologie. Voilà 4 castes ou couleurs (V
gique et sociologique (suite)?). Par M. le LV Brrillon Professeur a l' Ecole de Psychologie Les këmmes a barbe contemporaine
. L'organisation de l'Institut psycho-physiologique comporte : 1° l' Ecole de psychologie; 2" le laboratoire do psychologie
dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Les cours de l' Ecole de psychologie ont lieu pendant le semestre d'hiv
me, suggestion et persuasion Par M. le D' Paul HiOMBt, Professeur a l' Ecole de psychologie. Les divers auteurs qui ont étud
endant le sommeil naturel par M. le docteur Paul Parez Professeur à l' Ecole de Psychologie Parmi tous les nombreux traiteme
es. Communications inscrites: M. Hermann Laurent, examinateur à I Ecole polytechnique: La psychologie des jeux de hasard.
e, car d'après une enquête faite par une Commission suédoise dans les écoles de Stockholm, les élèves qui n'ont pas la moyenne
ELLES Enseignement de l'hypnotisme et de la psychologie Cours a l' Ecole pratique de la Faculté de médecine. — M. le docte
llon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés, professeur à l' Ecole de psychologie, commencera le lundi 15 mai 1905,
e de psychologie, commencera le lundi 15 mai 1905, à cinq heures, à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine (amphithéâtre
onstrations pratiques et ser* complet en douze leçons; Il se fera à l' Ecole de psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arls, où
tifiques: 4, rue Antoine-Dubois. A la librairie Vlgot, 23, Place de l' Ecole de Médecine. a bruxelles A la librairie Matol
de Londres); MAUILLB. mid. de l'Asile deLatond; PaulMAGNlN. prof, à l' Ecole de psyehologio; M0R8ELL1 (doGAnos); DE PACKIEWICZ
ue [avec quatre figuresHsuite), par m. le Dr Bshillon, professeur à l' Ecole de psychologie, p. 290. 2. Quelques mots sur le
LLES. — Enseignement de l'hypnotisme et de la psychologie : Cours A l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine, p. 320. S
e et sociologique (suite)?). Par M. le D' BÉRILLON Professeur à l' Ecole de Psychologie les femmes a 1: contemporaines.
de la suggestion d, a dit Bernheim en critiquant les expériences de l' École de la Salpétrière sur des hypnotisés. Je consid
z un élève du Conservatoire Par M. le D' Paul Fàrbz, Professeur à l' École de Psychologie. plus annihilé par son trac, ¡
. L'organisation de l'Institut psycho-physiologique comporte : 1° l' Ecole de psychologie; 2" Je laboratoire de psychologie
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique delà Faculté de médecine (semestre d'été
ns les travaux de l'Institut psycho-phy siologiq uc. Les cours de l' Ecole de psychologie ont lieu pendant le semestre d'hiv
hèse si intéressante de M. Marnay a été inspirée par les travaux de l' Ecole de Psychologie et du dispensaire anti-alcoolique
ELLES Enseignement de l'hypnotisme et de la psychologie Cours a l' Ecole pratique de la Faculté de médecine. — Psycholooie
eur Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l' Ecole de psychologie, commencera le lundi 15 mai 1905,
e de psychologie, commencera le lundi 15 mai 1905, à cinq heures, à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine (amphithéâtre
onstrations pratiques et sera complet en douze leçons; il se fera à l' Ecole de psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts, où
tifiques: 4. rue Antoine-Dubois. A la librairie Vlgot, ?3, Place de l' Ecole de Médecine. a uoxtu.es A la librairie Ma yol
dres); M Alili.LE. méd. de l'Asile de Lafond; Paul MAG NIX. prof, à l' Ecole de psychologie; MORSELLI (de Genti) ; DE I'ACKlfe
a narcose éthyl-méthy-truc. par M. le Dr ['.h:! Parez, professeur a l' Ecole de sychologie, p. ' ' !. — Discussion : MM. les D
ES. — Enseignement de l'hypnotisme et de la psychologie : Cours A l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine, p. 352. La
), Ingénieros (de Buenos-Ayres), etc.. M. Louis Favre. professeur à l' Ecole de psychologie, a présenté également une Intéress
Intéressante étude sur l'action de l'homme sur les êtres vivants. L' Ecole de psychologie était représentée par trois de ses
u Vésinet) et M. Blech, docteur en droit. Tous ces représentants de l' Ecole hypnologique de Paris s'étaient sympathl-quement
que et sociologique {suite) (1), Par M. le Dr Bérillon Professeur à l' Ecole de Psychologie Les femmes à barbe contemporaine
. L'organisation de l'Institut psycho-physiologique comporte : i° l' Ecole de psychologie; 2° le laboratoire de psychologie
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la Faculté do médecine (semestre d'ét
dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Les coure de l' Ecole de psychologie ont lieu pendant le semestre d'hiv
a narcose éthyl-méthyllque, par M. le D' Paul FabEi, Professeur * l' Ecole de Psjchologte. La narcose éthyl-méthyllque est
ELLES Enseignement de l'hypnotisme et de la psychologie Cours a l' Ecole pratique de la Faculté de médecine. — Pstcholooie
eur Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l' Ecole de psychologie, commencera le lundi 15 mai 1905,
e de psychologie, commencera le lundi 15 mai 1905, à cinq heures, à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine (amphithéâtre
onstrations pratiques et sera complet en douze leçons; il se fera à l' Ecole de psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts, où
ES [Indre-et-Loire) Service médical : D' H. Lemesle, professeur à l' Ecole de Psychologie de Paris, Dr C. Soutier, et m. Rou
tifiques: 4, rue Antoine-Dubois. A la librairie Vigot, 23, Place de l' Ecole de Médecine. a BAUXBLLI& A la librairie M
duse; Henry LBMESLB ; LLOYD-TUCKEY (deLondics); MANOUVR1ER; prof, à l' Ecole d'Anthropologie; MASOIN.prof.il'UniveraîtédoLouva
Londres); MAB1LLE. méd. de l'Asile do Lafond; Paul MAGNIN, prof. A l' Ecole do psychologie; MORSELLI (do Gènes); DE PACKIEWIC
ue [avec cinq figures) (suite), par M. le LV BRrillon. professeur à l' Ecole de psychologie, p. 356. Note sur un cheval doué
do de la psychologie comparée et feront l'objet de communications à l' Ecole de Psychologie. Il n'y a rien de plus spirituel
gique et sociologique [suiu){*). Par M. le Dr BÉrillon Professeur a l' Ecole de Psychologie Les rEiiiiBS a barbe contemporai
lui sont faits, ce cheval ne fait que réaliser des exercices de haute école , un peu plus difficiles que ceux qui nous ont été
n du caractère (La psychologie du), par Bérillon, p. 231. Cours à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine, p. 288, 320,
par Demonchy, p. 366. Duclaux, sociologue et psychologue, p. 129. Ecole de Psychologie (V), par Paul Magnln, p. 226. Ec
logue, p. 129. Ecole de Psychologie (V), par Paul Magnln, p. 226. Ecole de Psychologie, p. 192, 193, 251, 225. 256, 257,
fiques : 4, rue Antoine-Du bols. A la librairie VIgot, 23, Place de l' Ecole de Médecine. A BRUXELLES A la librairie Mayol
10 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
ès qu'un enfant marche sans aide, il doit être en- voyé à la petite école , le matin pendant une lieure ou deux, puis tout
ent, et de leur faire occuper mo- mentanément ce sous-sol. Petite école . v d'autres enfants, qui nous arrivent tardivem
econnue et que nous sommes obligé, jusqu'ici, de maintenir dans les écoles , où ils sont une occasion de trouhle, qu'ils co
ts gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou non mais valides (Petite Ecole ). - Ces enfants fréquentent la petite école con
on mais valides (Petite Ecole). - Ces enfants fréquentent la petite école confiée exclusive- ment il des femmes. Dans le
décédés, 7 sont sortis définitivement, 5 sont passés à la grande école et SI ont été transférés. Sur 141 enfants qui r
t SI ont été transférés. Sur 141 enfants qui restaient il la petite école au 31 décembre 1900, 14 ne mangent pas seuls, 5
rs, imprimeurs, serruriers, menuisiers et jar- diniers. La petite école comprend : 1° le traitement du gâtisme dont nou
atifs à l'enseignement primaire ; 6° les leçons de choses, soit à l' école , soit dans les jardins (avec le tableau roulant
(1). Voici quelques détails sur les enfants améliorés à la Petite école : Bign... (Georges) âgé de 13 ans. Cet enfant a
Enfants arriérés et épileptiques les flg. 7 : ,1.1 I ' vit Petite école . les opérations arithmétiques. Actuellement, l'
Il écrit assez lisiblement, mais est lent à la lecture. x Petite école complémentaire. 10° )3num.. (Louis), 12 ans, at
vice et qu'elles y reviennent. Petite-école complémentaire. Cette école est confiée à M"10 Bonnet, femme de tout dévoue
la surveillance des deux dortoirs où couchent les enfants de cette école , au nombre de 40. Deux infirmières sont en outr
orte de plainte ininterrompue. 11 ne parlait pas ou du moins Petite école complémentaire. xi ne disait que papa et pain a
I'ierrc), 16 ans, est entré en mai 1895. - Sourd- muet renvoyé de l' école d'Asnières comme arriéré et inca- pable d'appre
t, pas toujours ce qu'il écrit. Il commence cependant à fai- Petite école complémentaire . xv re de petits devoirs de gra
Pour le calcul, une fois l'addition et la soustraction xvi Grande école . acquises très laborieusement, nous obtenons p
de*, imbéciles, arrié- rés, instables, pervers, et ou non (Grande Ecole ). - La population de cette école était de 171 e
bles, pervers, et ou non (Grande Ecole). - La population de cette école était de 171 enfants au premier janvier. Tous,
certificat d'études, forment une division supérieure, ne vont à l' école qu'une demi-journée par semaine et restent, les
ituteurs et leurs aides, ainsi que les sous-employées attachées aux écoles , afin d'être mieux en mesure d'améliorer la pro
r la prononcia- (1) A cet examen 4 infirmiers et 3 infirmières de l' École et d'infirmières de Bicêtre ont également obten
nt allés, par séries, il l'Institution des Jeunes aveugles et à l' Ecole Draille, Nous ne saurions trop remercier MM. Ma
é successivement de tous les enfants. Il a divisé ceux de la petite école , de la pe- tite école complémentaire et ceux de
les enfants. Il a divisé ceux de la petite école, de la pe- tite école complémentaire et ceux de la grande école en tr
ite école, de la pe- tite école complémentaire et ceux de la grande école en trois sections. - Presque tous les enfants q
ompagnement de l3uLnl : vll,l.c. Bicêtre, 1900. , ** xviii Grande école : gymnastique, danse, etc. chants ou conduits a
s affectées aux adultes. M. Sutter fait à 30 enfants de la Petite École un cours spécial de solfège. Ces cours ont lieu
s vues. M. 13ovNIRI : , professeur d'anatomie et de physiologie à l' Ecole d'infirmiers et d'infir- (1) Commission de surv
énumérées plus haut donnent une idée suffisante. Dans les petites écoles et la grande école, on doit sans cesse s'occupe
t donnent une idée suffisante. Dans les petites écoles et la grande école , on doit sans cesse s'occuper de la guérison de
ades et distractions. Les enfants de la grande et ceux de la petite écoles qui sont propres ont continué à faire des prome
dé, Villejuif. Vitry, etc. Les enfants de la petite et de la grande école ont été conduits par groupe à l'Exposition univ
de leur maître, M. MARÉCHALLAT, ont visité dans tous ses détails l' école Estienne. Caisse d'épargne. Elle est confiée au
mme d'habitude, cette opération a été pratiquée par les élèves de l' École d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre, sous
, Saxe) ; Dur Hjerrstrom, de Stokholm ; M ? Hummel, inspeclrice des Ecoles it Genève ; Dr Hclls- trom, chef adjoint de la
e pédagogie comparative (de Nantes); Mule \Icusy direc- trice des écoles à l'hospice La Salpêtrière ; Dr Mazur- kiewiez
international de médecine ; Dr Henri de Rothschild, professeur aux écoles d'in- firmières de Paris; D'' Roy; : \[111" Ros
de tabac, collectives, relevés de points, présences, etc., pour les Ecoles municipales d'infirmiers et d'infirmières. Tabl
des volumes, méthode de lecture feuilles d'alphabet, etc.. pour les Ecoles de Bicétre et de la Fondation Vallée. - Travaux
ment comparables il ceux de l'orphelinat Prévost il Cempuis et de l' école d'Alembert il Monté- vrain, par exemple, où les
jours-là et les jours qui suivent, ils ne peuvent travailler ni à l' école ni il l'atelier. Un autre fait qui contribue il
d'escrime, MM. Malherbe et Brault, de deux infirmiers. B. Petite Ecole . - M1105 Agnus et BOIIAIN (Amandine), surveil-
et et M"10 Chérel et 10 infirmières de jour aidant les maîtresses d' école . 3° Enseignement professionnel . - 8 maîtres do
t en deux catégories : a) les enfants valides qui sont envoyées à l' école durant une partie de la journée ; b) les enfant
our. Ce n'est qu'en 1898 que l'enfant a pu suivre régulièrement l' école . Très timide au début, elle paraissait toujours t
de grands résultats l'enfant disait elle-même qu'elle allait à l' école chez les soeurs, mais qu'elle ne pouvait rien app
it quelques questions. Elle était nulle pour tout ce qui concerne l' école , se tenait fort mal en classe, dissipait contin
es qu'à la section de Bicêtre. Les améliorations réalisées dans les écoles des garçons sont introduites immédiatement à la
ement ; 39 ne savent pas manger seules. 163 enfants ont fréquenté l' école et ont été exercées à la gymnastique des échell
s idiots : 1° Création de classes spéciales, annexées ou non, aux écoles primaires pour les enfants arriérés; Nouvelle N
és du département de la Seine émet le reçu qu'il soit créé près des écoles de la Ville des Classes SPI : - CULES pour les
e des enfants. Sergi a dirigé ses études anthropologiques sur les écoles élémentaires. Enfin, Lombroso a eu le mérite de
les écoles élémentaires. Enfin, Lombroso a eu le mérite de fonder l' Ecole d'anthropologie criminelle et de popula- riser
'instituer des classes spéciales pour les enfants arriérés dans les écoles élémentaires ordinaires. La nécessité de cette
ons pour les enfants arriérés et des classes spéciales annexées aux écoles élémentaires dans toutes les provinces de l'Ita
ets, des maires, des présidents de province. Des Instituts ou des écoles ont été organisés : 1° à San Giovanni in Persic
es enfants arriérés, dirigé par le Dr de Sanctis (3) ; a Gènes, une école ouverte le 20 décembre de la même année. De plu
ces. Cette année (1900) on procédera à une réforme définitive des écoles primaires et on étendra l'obligation de l'instruc
antérieure du ministre Baccelli. Il a, en effet, introduit dans les écoles primaires, le travail manuel pour les métiers e
anuel pour les métiers et le travail de la terre, donnant ainsi à l' école primaire un but pratique et d'une utilité incon
petits champs (Campicelli) ont été offerts par des particuliers aux écoles primaires pour rendre hommage au Ministre et ré
s pour rendre hommage au Ministre et réaliser son idée. Six mille écoles ont maintenant chez nous le « champ éduca- tif
l'enseignement de tous les enfants anormaux. II. Hollande. . École spéciale pour enfants arriérés à Amsterdam. « C
ande. . École spéciale pour enfants arriérés à Amsterdam. « Cette école acte ouverte le 1 cr mai 1899 ; elle avait alors
cette année, y ajoutera-t-on une quatrième classe. A la tête de l' école se trouve un directeur ; puis il y a, provisoir
partie, du petit peuple. En leur faisant suivre les leçons d'une école primaire ordinaire pendant un ou deux ans, on a d
ts psychiques et physiques qui rendent difficile l'admission dans l' école spéciale (surdité, bégaie- ment, etc.) ; 4° de
ce que les finan- ces de la société ne sont pas assez brillantes. L' école a été fondée par une société intitulée : « Soci
nt (appointements qui sont au-dessus de ceux des instituteurs d'une école ordinaire). Cette som- me n'est pas assez forte
ymnastique. Entre les heures de classes, les enfants restent dans l' école (iL cause des grandes dislances) ; à heures, il
utant que possi- ble ; chez nous, ils peuvent plus apprendre qu'à l' école ordinaire où ils en sont empêchés par les autre
'enfants, et on y pratique l'ensei- gnement individuel. Le but de l' école ordinaire de notre pays est de former le caract
pays est de former le caractère (peu d'utilisme : 1 le but de notre école est de les préparer pour la vie réelle (donc be
r la vie réelle (donc beaucoup d'utilisme). Comme je le disais, l' école appartient il une Société qui n'a pas beaucoup
général. II. Création de classes spéciales annexées ou non aux écoles primaires pour les enfants arriérés. Messieurs
de la création de classes spéciales pour les enfants arriérés des écoles primaires et les enfants idiots et imbéciles am
sur les classes spéciales qu'on a récemment créées et annexées aux écoles élémentaires publiques it Berlin pour ceux qui
COLAIRES. Les principes d'organisation ayant irait aux médecins d' écoles , à Berlin, sont les suivants : LXXXVIII Traitem
S idiots. Dans chaque cercle scolaire seront institués auprès des écoles par les soins du Conseil Municipal, des médecins
rès des écoles par les soins du Conseil Municipal, des médecins d' écoles ; un seul médecin ne pourra avoir à surveiller plu
écoles; un seul médecin ne pourra avoir à surveiller plus de quatre écoles . Le médecin aura comme devoir : 1° D'examiner l
D'examiner l'enfant qui demande à entrer pour la première fois à l' école ; les parents auront le droit d'assister à l'exa
ec- teur, il aura à examiner les enfants empêchés de fréquenter l' école sous prétexte de maladie. 4° Il aura h formuler
s, soit dans la construction, soit dans le mobilier. 5°Le médecin d' école est tenu d'inspecter jusqu'au bâti- ment de l'é
5°Le médecin d'école est tenu d'inspecter jusqu'au bâti- ment de l' école , soit pendant, soit en dehors de la période sco
ion de la délégation sco- laire. 7° Périodiquement les médecins d' école se réuniront en assemblée délibérative, dont la
cet effet par le président de la dite délégation. 8° Le médecin d' école habitera dans le voisinage de l'école (1). Il r
délégation. 8° Le médecin d'école habitera dans le voisinage de l' école (1). Il recevra par école et par an un traitement
n d'école habitera dans le voisinage de l'école (1). Il recevra par école et par an un traitement de 500 marks. (t) Der
irement à ce qui se fait actuellement, d'ailleurs, les médecins des écoles n'appartienne»; pas à l'arrondissement ! ! !
IL Considérations générales sur l'enseignement SPÉCIAL ANNEXÉ AUX ÉCOLES COMMUNALES. 1. - 13lt. Les enfants qui, par s
fait d'après les aptitudes des enfants et d'après la situation des écoles , L'enseignement d'une classe annexée trouve sa
nstructions de l'inspec- teur, à certaines heures, aux travaux de l' école communale, tels que dessin, gymnastique et chan
dessin, gymnastique et chant. 5. - Passage des classes spéciales l' école communale. A la fin de chaque semestre, un ra
ur la proposition de l'inspecteur parmi les maitres titulaires de l' école communale. Le maitre reçoit un traitement fixe
s sur les choses usuelles ; leur nom, leur domicile, le chemin de l' école , leurs parents, leur famille, les animaux domes
que séance. l3rnTn.wr. IV. Remarques sur lenseignement annexé aux écoles communales. Les écoles primaires publiques et
IV. Remarques sur lenseignement annexé aux écoles communales. Les écoles primaires publiques et gratuites d'ici, sont ad
es en ont la haute surveil- lance. Il y a actuellement a Berlin 237 écoles publiques avec 4.183 classes, dont 2.029 pour l
te. Les enfants pau- vres reçoivent en outre livres et cahiers. Les écoles sont divisées on 10 cercles. A la tête de chaqu
ois un fonc- tionnaire royal et un fonctionnaire communal. Chaque école publique est dirigée par un recteur. Les hommes
un recteur. Les hommes sont en majorité parmi les professeurs des écoles de garçons, les dames sont en majorité dans les
sseurs des écoles de garçons, les dames sont en majorité dans les écoles de filles. Les icliots complets vont dans les g
eureuse innovation. Le nombre des classes annexées varie avec les écoles publiques; auprès de certaines, il y en a jusqu
s- tre, de retourner à renseignement des enfants normaux dans une école publique. Jusqu'ici ce cas s'est rarement prése
xées ou non aux classes ordinaires, pour les enfants arriérés des écoles primaires. Ces classes existent dans beaucoup d
e sur l'oeil droit, pas de convulsions, pisse encore au lit, va à l' école où il n'ap- prend rien; 70 fille, morte acciden
Traitement : élixir polybromuré de 2 à 8 grammes ; douches ; petite école , demi temps. > Température rectale à l'entré
gi- que : amélioration notable. Sortie prématurée; envoi dans une école ordinaire où l'amélioration progresse. Marti...
rapie sirop de fer - bains salés. - L'enfant a été mis ;i la petite école ; il ne prononce que les mots papa et maman. Il
douches. Sirop de fer, bains salés, huile de foie de morue ; petite école . Décembre. L'enfant, malgré sa bonne volonté, n
porté un pro- nostic favorable qui s'est confirmé. Mis à la petite école dès son arrivée, l'enfant avait déjà fait des p
pression de son observation (avril). Il a fréquenté régulièrement l' école où l'ouest content de lui. Il a encore de temps
11 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
luse; Henry LEMESLE ; LLOYD-TUCKEY (deLondies); MANOUVRIER; prof, à l' Ecole d'Anthropologie; MASOIN, prof, a l'Université deL
Londres); MABILLE, méd. de l'Asile de Lafond; Paul MAGNIN, prof, à l' Ecole de psychologie; MORSELLI (de Gènes); DE PACKIEWIC
ue et sociologique (suite)(1). Par M. le Dr Berillon Professeur à l' Ecole de Psychologie Les femmes a barbe dans l'histoi
dans la conduite des affaires une rare adresse, acquise peut-être à l' école des politiques italiens ». Quand Marguerite eut
tation du pouvoir de l'éducation. En effet, elle avait été élevée à l' école de sa tante Marie de Hongrie qui elle, sans avoir
hologie des jeux de hasard. Par M. Hermann Laurent, Examinateur à l' Ecole Polytechnique. Un des plus grands maux qui affl
dence de notre savant collaborateur, M. Félix Régamey, professeur à l' Ecole de Psychologie, vient de nous initier à la connai
s éducateurs du peuple. Et tout naturellement, à la caserne comme à l' école , ils se mirent à enseigner à leurs élèves les pri
de Montpellier, vice-président, M. le Dr Paul Magnin, professeur à l' Ecole de psychologie, vice-président, M. le Dr Triboule
Dr Paul Joîre (de Lille), MM. les D" Farez, Bianchi, professeurs à l' Ecole de psychologie, M. le Dr Raffegeau, directeur de
il), MM. Lépinay, Louis Favre, Félix Régamey, Blîeck, professeurs à l' Ecole de psychologie, Grollet, secrétaire général de la
. Ducloux, vétérinaire-sanitaire (de Tunis), Dr Godon, directeur de l' Ecole dentaire, M. Guenon, vétérinaire principal à Chal
tudes d'iconographie médicale. Ainsi préparé par sa collaboration à l' Ecole do la Salpêtriérc, M. Paul Richer fut désigné pou
céder à M. Mathieu Duval, dans sa chaire de professeur d'anatomie a l' Ecole des Beaux-Arts. Devenu membre de l'Académie de mé
que et sociologique (suite)"). Par m. le D' Bérillon Professeur à l' Ecole de Psychologie Les femmes à barbe dans la relig
es, Platon entre autres, admettaient l'extase dans leur théorie, et l' Ecole d'Alexandrie la considérait comme le fond de son
it mieux dire : Thérèse a admirablement décrit, trois siècles avant l' école de la Salpétrière, la crise d'Extase, mais cette
f ou d'ordre médical. Dans le premier cas, on a proposé la création d' écoles de réforme ou de classes spéciales dans lesquelle
mais comme science de l'éducation. M. le Dr Brunoo, directeur de l' Ecole de médecine de Rouen signalait la fréquence dans
que et sociologique [suite)?}. Par M. le D' Bèrillon Professeur à l' Ecole de Psychologie Les femmes à barbe dans la relig
sation, qui assistent à la séance, et à M. le DrGodon, directeur de l' Ecole dentaire et délégué de cette école. Il remercie M
et à M. le DrGodon, directeur de l'Ecole dentaire et délégué de cette école . Il remercie M. le D' Albert Robin de l'honneur q
ion dont l'initiative a été prise parla Société d'hypnologie et par l' Ecole de psychologie, est terminé. Il est l'œuvre d'un
e et sociologique (suite) ('}, Par M. le Dr Berillon Professeur à l' Ecole de Psychologie Les femmes à barbe dans les init
la base du système des gnostiques et le plus célèbre de leurs chefs d' école , Valentín, qui bâtissait son système au il» siècl
des chrétiens d'adorer une femme barbue. Ils appartiennent à la même école que ce curé de Beauvais qui eut un jour l'idée de
me série de 5 observations). Par le Dp Binet-Sanglé, Professeur à l' Ecole de psychologie. Observation I. — Marie-Genevièv
ivers services de l'Institut psycho-physiologique qui comprennent : l' Ecole de psychologie, le laboratoire de psychologie exp
que et sociologique (suite)(1) Par M. le Dr Bérillon Professeur à l' Ecole de Psychologie Les femmes à barba dans la relig
ième série de 5 observations). Par le Dr Binet-Sanglé, Professeur à l' Ecole de psychologie. (suite) (1) Observations IV et
ologique. Dr Binet-Sanglë : Les hallucinations des prophètes juifs. Ecole de psychologie La séance de réouverture de l'Ec
ophètes juifs. Ecole de psychologie La séance de réouverture de l' Ecole de psychologie aura lieu le mardi 9 janvier, à
1905. Masson. 15 francs. Dp Raoul Bbunon : Notes sur le musée de l' Ecole de médecine de Rouen. Rouen, 20 fr., in-8, 1905
1905. Une nouvelle publication psychologique : la Bibliothèque de l' Ecole de Psychologie. — Séance annuelle de la Société d
é de Pathologie comparée. —Inauguration d'un buste du D'Liébeault à l' Ecole de psychologie. Les débuts de l'Ecole de Psycho
d'un buste du D'Liébeault à l'Ecole de psychologie. Les débuts de l' Ecole de Psychologie remontent à 1889, où, sous le titr
s le titre d'Institut psycho-physiologique, le D' Bérillon créait une école pratique de psychothérapie associée a un laborato
halange de professeurs dévoués. Actuellement l'enseignement donné à l' Ecole de Psychologie s'est étendu à toutes les branches
du à toutes les branches de la psychologie. L'organisation de cette école , qui, outre les cours théoriques, comprend un ens
ne un caractère propre qui ne trouve son équivalent dans aucune autre école du même ordre. En effet, une part considérable es
que l'Institut psycho-physiologique, auquel se rattache directement l' Ecole de psychologie, donne aux médecins et aux étudian
hologique. Les études auxquelles se consacrent les professeurs de l' Ecole se répartissent en dix branches principales : I
ucidité somnambulique, les pressentiments, etc., les professeurs de l' Ecole n'abordent ces études qu'avec un esprit dégagé de
ent étranger extra-naturel. D'ailleurs, le Comité de patronage de l' Ecole , qui comprend les noms de MM. Berthelot, Blanchar
r un certain nombre de leçons et de conférences. La Bibliothèque de l' Ecole de psychologie, étendant au grand public la vulga
l'initiative d'hommes absolument indépendants. La Bibliothèque de l' Ecole de psychologie, conçue et poursuivie dans un espr
a maison du voisin. Chacun des professeurs ou des collaborateurs de l' Ecole de psychologie saura faire sien le conseil si élo
largir le domaine de ses applications pratiques. La Bibliothèque de l' Ecole de psychologie contribuera certainement à démontr
emier volume, qui reproduit l'enseignement donné l'année dernière à l' Ecole de psychologie par notre collaborateur M. le Dr B
Académie de médecine, MM. les professeurs Arlolng, Cadlot, Baron, des Ecoles vétérinaires, les professeurs agrégés Launofs, Le
sont invités à y assister. • La séance d'ouverture des cours de l' Ecole de psychologie pour l'année 1996, aura Heu sous l
il municipal de Paris, assistés de M. le Dr Bérillon, professeur à, l' Ecole de psychologie, le mercredi 10 janvier, à 5 heure
lt, qui peut être considéré comme le créateur de la psychothérapie, l' Ecole de psychologie inaugurera un magnifique buste en
rter notre contribution à l'œuvre entreprise par les professeurs de l' Ecole de psychologie. Nous serons heureux si, dans notr
ue et sociologique [suite)(*). Par M. le Dr Bérillon Professeur à l' Ecole de Psychologie Les femmes à barbe dans la relig
ième série de 5 observations). Par le Dr Bixet-Sanglé, Professeur à l' Ecole de psychologie. (suite) (1) Erard de Montmorenc
fs. nouvelles Enseignement de l'hypnotisme et de la psychologie Ecole de psychologie. — Cours. — Les cours de l'Ecole d
t de la psychologie Ecole de psychologie. — Cours. — Les cours de l' Ecole de psychologie reprendront le Mercredi, 10 janvie
ie de l'art..... M. Félix Regamey, inspect. hon. du dessin dans les Ecoles de la Ville de Paris, prof. Anatomie et Psychol
Janvier i906. bulletin Inauguration du buste du D' Liebeault à l' Ecole de psychologie, sous la présidence de M. Bienvenu
hérapeutique. L'inauguration du buste du Dr Llébeault aura lieu à l' Ecole de Psychologie, le jeudi i** février, a 5 heures,
ennité coïncidera avec la sixième réouverture annuelle des cours de l' Ecole de psychologie. Elle sera présidée par M. le D'Ju
e la Comédie-Française. L'année dernière l'ouverture des cours de l' Ecole de psychologie avait eu lieu sous la présidence d
ucation du caractère, lui avait permis d'exposer le programme de de l' Ecole de psychologie dont le but est non seulement d'ét
trôle scientifique rigoureux. En 1906, les anciens professeurs de l' Ecole , MM. Bérillon, Paul Magnin, Félix Regnault, Paul
. les D™ Bérillon, Paul Joire, Yalentino, Haoul Baron, professeur à l' Ecole vétérinaire d'Alto: - . Lionel Dauriac, professeu
és de lettres, Pierre Dubois, docteur en droit. L'enseignement de l' Ecole de Psychologie est public. Il s'adresse aux médec
la psychothérapie. Deux bustes ont été coulés, l'un a été confié à l' Ecole de Psychologie et l'autre offert à la municipalit
de la ville, à proximité de la rue du Dr Liébeault. Au moment où l' Ecole de psychologie et la ville de Nancy se disposent
de cercle du Dr Liébeault. Cette institution constitue une véritable école dans laquelle un enseignement sera donné sur les
eur au Collège de France, MM. Cadiol,Baron et Coquot, professeurs à l' Ecole vétérinaire d'Alfort, Dr Saint-Yves Ménard et M.
ecteur de laboratoire à l'Institut Pasteur, Dr Siffre, professeur a l' Ecole dentaire, Dr S*volre, directeur du dispensaire an
Pr Albert Robin, Dr Lagrange, de Vichy, Dr Paul Farez, professeur à l' Ecole de psychologie, Df Demonchy, D'Barthe de Sandfort
, de Henri Bouley qui furent si bien inspirés dans l'organisation des écoles vétérinaires, car les élèves qui en sortent témoi
ur, en un mot, des Trousseau et des Dujardin-Beaumetz, la gloire de l' école française. Les professeurs de l'Ecole de psycho
rdin-Beaumetz, la gloire de l'école française. Les professeurs de l' Ecole de psychologie auxquels le P' Albert Robin a donn
gion protestante jusqu'à un certain âge. Alors, on les envoie à l' école catholique. Une voisine de l'enfant possédé, qui
que et sociologique {suite)?). Par M. le Dr Bérillon Professeur à l' Ecole de Psychologie La maternité des femmes à barbe.
e viril. Tout le monde connail le suprême argument d'Arnolphe, dans l' Ecole des Femmes. Le vers de Molière : Du côté de la
ude sur l'hérédité, publiée par le professeur Bordier, directeur de l' Ecole de médecine de Grenoble, nous trouvons mis en rel
ième série de 5 observations). Par le Dr Binet-Sanglé, Professeur à l' Ecole de psychologie. {suite) (') Pouques de Vendôme
asynergie des images mentales par M. le Dr Paul Farez Professeur à l' Ecole de Psychologie. 11 y a lieu de distinguer trois
médecins-vétérinaires, chefs du Laboratoire de Psychologie comparée ( Ecole de Psychologie). Ce n'est pas sans une certaine
erture sur : La psychothérapie et l'hypnotisme. L'enseignement de l' Ecole de psychologie est public. Hypnotisme thérapeut
ndré-des-Arts. Conférences de 1906 Chaque année, les cours de l' Ecole de psychologie sont complétés par des conférences
me : la grande Pyramide de ChéopSj par M. Raoul Baron, professeur à l' Ecole vétérinaire d'Alfort. Vendredi 26 janvier, à 8
nt des sciences. Le jeudi i,f février, à cinq heures, aura lieu à l' Ecole de Piychologie, sous la présidence d'honneur de M
ue de Liébeault. S* Allocution du D* Paul Magnln, vice-président de l' Ecole de psychologie. 4* Allocution du D' Lloyd-Tuckey,
ociation française, soit aux bureaux de la Revue de l'Hypnotisme. L' Ecole de Psychologie La sixième réouverture des cours
sme. L'Ecole de Psychologie La sixième réouverture des cours de l' Ecole de Psychologie a eu lieu le mercredi 10 janvier,
is place, M. Fringnet, inspecteur d'Académie, et les professeurs de l' Ecole MM. les Dr'Bérillon, Félix lîegnault, Paul Farez,
al, Cha: rin, professeur au Collège de France, Laisant, exami-eur à l' Ecole Polytechnique, D' Lloyd-Tuckey (de Londres), Orli
ouvert la séance, le président donne la parole au Dr Bérillon : L' Ecole de Psychologie par le D' Bérim.ox professeur a
llon : L'Ecole de Psychologie par le D' Bérim.ox professeur a l' Ecole de Psychologie f Messieurs, Le médecin éminen
Récemment encore, le Dr Huchard, en nous accordant son patronage à l' Ecole de psychologie, nous rappelait quelques passages
e reconnaissance. • » L'année dernière l'ouverture des cours de l' Ecole de psychologie avait eu lieu sous la présidence d
œuvre véritablement animée de l'esprit scientifique. En faisant à l' Ecole de psychologie, l'honneur de lui accorder son pat
hérapeutique, récemment créée à la Faculté de médecine. Lorsque notre Ecole , à ses débuts, n'avait pour la recommander que la
certainement exercé la plus grande influence sur la destinée de notre Ecole de psychologie. Que notre éminent maître nous per
t légitime qui lui revient dans le succès de notre œuvre. • » * L' Ecole de psychologie, sans cesse préoccupée d'étendre l
e enseignement, nous avons décidé la création d'une Bibliothèque de l' Ecole de psychologie. A ce sujet, pour bien préciser l'
mé le programme de la nouvelle publication : i La Bibliothèque de l' Ecole de psychologie conçue et poursuivie dans un espri
a maison du voisin. Chacun des professeurs ou des collaborateurs de l' Ecole de psychologie saura faire sien le conseil si élo
largir le domaine de ses applications pratiques. La Bibliothèque de l' Ecole de psychologie contribuera certainement à démontr
emier volume, qui reproduit l'enseignement donné l'année dernière à l' Ecole de psychologie par notre collaborateur M. le Dr B
rs, seront édités, ils contribueront certainement à conquérir à notre Ecole , la sympathie et l'estime de tous les esprits qui
d'affection filiale que professent pour lui tous les professeurs de l' Ecole de psychologie. Qu'il nous permette de placer not
essivement, pour aboutir à une disparition complète. L'exemple de l' Ecole de Psychologie vient heureusement donner un démen
ces créations, leur feraient absolument défaut. Les professeurs de l' Ecole de Psychologie n'ont compté que sur eux-mêmes. At
tance aux consécrations officielles. Une œuvre d'initiative comme l' Ecole de Psychologie pouvait compter sur le concours de
re et en formulant les vœux les plus sincères pour la prospérité de l' Ecole de Psychologie. Psychothérapie et hypnotisme,
Psychothérapie et hypnotisme, par le Dr Paul Maonin, professeur à l' Ecole de Psychologie. Messieurs, Il est d'usage que
Messieurs, Il est d'usage que, le jour de la réouverture de cette Ecole , le sujet traité devant vous soit d'ordre un peu
ième série de 5 observations}. Par le Dr Biset-Sanglé, professeur à l' Ecole de psychologie. (suite) (i) IiBiilt Louis Rouau
lé. Dans ce volume, qui est le premier paru de la Bibliothèque de l' Ecole de psychologie, le D' Binet-Sanglé, professeur à
que de l'Ecole de psychologie, le D' Binet-Sanglé, professeur à cette école , nous offre le résultat de son étude critique de
me. nouvelles Enseignement de l'hypnotisme et de la psychologie Ecole de psychologie. — Cours. — Les cours de l'Ecole d
t de la psychologie Ecole de psychologie. — Cours. — Les cours de l' Ecole de psychologie ont commencé le Mercredi, 10 janvi
ébeault élevé par une souscription de la Société d'hypnologie et de l' Ecole de psychologie. Le 18 février 1904, le Dr Lié
logie. Le 18 février 1904, le Dr Liébeault, créateur et chef de l' Ecole psychothérapique de Nancy, mourait dans sa 81' an
moire du Dr Liébeault. La Société d'hypnologie et de psychologie et l' Ecole de Psychologie de Paris s'unirent dans l'idée com
ociété d'hypnologie. Secrétaire : M. le Dr Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie, secrétaire général de la Société
, membre de l'Académie de médecine; le Dr Paul Magnin, professeur à l' Ecole de psychologie, vice-président de la Société d'hy
espondant de l'Académie de médecine; le D' Paul Farez, professeur à l' Ecole de psychologie; le Dr Henry Lemesle, professeur &
eur à l'Ecole de psychologie; le Dr Henry Lemesle, professeur & l' Ecole de psychologie ; L. Achille, vice-président du Co
talent, la commande de deux bustes en bronze dont l'un fut remis à l' Ecole de psychologie, et l'autre offert à la ville de N
ste du Br Liébeault a eu lieu le jeudi 1« février, à cinq heures, à l' Ecole de psychologie, 19, rue Saint-André-des-Arts, sou
auteur du buste du Dr Liébeault et M. le Dr Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie, secrétaire du Comité. Mme Liébe
r honoraire à la Faculté de Montpellier, Lais.m*, examinateur à l' Ecole Polytechnique. M. le Dr Fies-singer, membre corre
ier, professeur agrégé au lycée Condorcet et Lépinay, professeurs à l' Ecole de psychologie, M. le Dr Go don, directeur de l'E
professeurs à l'Ecole de psychologie, M. le Dr Go don, directeur de l' Ecole dentaire, M. le Dr Bilhaut, président du Syndicat
justesse de ses vues sur la suggestion et sur le sommeil provoqué. L' Ecole de Nancy, qu'il a fondée, a fait depuis son chemi
on buste, mais je vous prie de témoigner de toute ma sympathie pour l' Ecole de psychologie et pour votre personne. Agréez,
. Suis avec vous de cœur pour honorer Liébeault, l'inspirateur de l' Ecole de Nancy. Professeur Spehl. Sao-Paulo, Brésil
arie, médecin en chef de l'Asile de Villejuif, etc., etc. Sociétés, Ecoles et Institutions représentées. La Société d'hypn
é d'hypnologie et de psychologie (par les membres de son bureau). L' Ecole de psychologie (par ses professeurs). L'Ecole d
s de son bureau). L'Ecole de psychologie (par ses professeurs). L' Ecole dentaire de Paris (par M. le D' Godon, directeur)
de nous associer, dans l'œuvre de justice que nous accomplissons, à l' Ecole de psychologie, dont le programme a tant de point
émontré qu'il ne restait rien des antiques discussions entre les deux écoles de Nancy et celle de Paris. Les querelles scienti
issements prolongés). Allocution du Dr Paul Magnin professeur à l' Ecole de psychologie, vice-président de la Société d'hy
bles de l'enseigner sont rares. Heureusement l'enseignement donné à l' Ecole de psychologie, par des professeurs dévoués comme
re psychologique de Liébeault. par le Dr Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie, secrétaire général de la Société
is en même temps empreint de sereine indulgence dont le créateur de l' Ecole de Nancy fut toujours inspiré {*} : Ma convicti
méthode nouvelle ; il a fait progresser la science. Véritable chef d' école , dans sa clinique particulière de Nancy il a form
Syndicat de la presse scientifique, le Dr Paul Magnin, professeur à l' Ecole de psychologie, M. Lionel Dauriac, professeur hon
eur de la maison de Santé de Picpus, le Dr Paul Farez, professeur à l' Ecole de psychologie, M. le Dp Saint-Hilaire, médecin d
r aux exigences des suffrages académiques, qu'il est devenu un chef d' école et que son œuvre résistera aux injures du temps.
e, en particulier par les cours si suivis qu'il fait chaque année à l' Ecole de psychologie. — M. Blieck, avocat à la Cour d
sychologie. — M. Blieck, avocat à la Cour d'appel, qui professe à l' Ecole de psychologie le cours de Psychologie du crimine
e le Dr Bérillon faisait chaque année, pendant le semestre d'été, à l' Ecole pratique de la faculté de médecine, aura lieu cet
e de la faculté de médecine, aura lieu cette année dans la salle de l' Ecole de psychologie, 49, rue St-André-des-Arts, les ma
e la médaille est confiée à M. le docteur Paul Richer, professeur à l' Ecole des beaux-arts. Le chiffre delà cotisation n'est
Psychothérapie et hypnotisme, par le D' Paul Magnin, professeur a l' Ecole de Psychologie. {suite et Jin) ('} Dans un trav
mouvements en psychothérapie; et dès 1888, dans son enseignement à l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine et à sa cliniq
ième série de 5 observations). Par le D' Binet-Sanglé, professeur à l' Ecole de Psychologie. {suite et fin) (i) II. Nouvelle
colorée et hypnocyanotrope par M. le Dr Paul Fabez, professeur à l' Ecole de psychologie En psychothérapie, la principale
remier prix du Conservatoire par M. le D' Paul Farez professeur à l' Ecole de psychologie A titre d'épilogue, je désire vo
, et cela depuis 5 ans. M. Lionel Daubiac. — Pendant mon séjour à l' Ecole normale supérieure, on nous servit un jour du vea
ème malade, le plus remarquable, est âgé do 20 ans. Il est élève de l' Ecole dentaire de Paris. Comme vous le voyez, il est gr
l'hypnotisme et de la psychologie M. le Dr Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie, commencera le Mardi 8 Mai, à cinq
commencera le Mardi 8 Mai, à cinq heures (Salle des Conférences de l' Ecole , 49, rue Saint-André-de s-Arts) à cinq heures, un
l porte la mention suivante : c Le Dr Bérillon, chargé de cours à l' école pratique de la faculté de médecine de l'universit
ue de la faculté de médecine de l'université de Paris, professeur à l' école de psychologie; 20 ans de pratique médicale. Nomb
tantes publications scientifiques. » C'est l'enseignement donné à l' école pratique de la faculté de médecine depuis 1888 pa
aujourd'hui comme nouvelles, ont été exposées par lui, dès 18S8, à l' école pratique de la faculté de médecine. Il y démont
caractère. Il la formulait ainsi, en 18SS, dans sa première leçon à l' école pratique de la faculté de médecine : « Tous me de
ypnotisme et de la psychologie. Successivement sous son inspiration l' Ecole de Psychologie, le dispensaire pédagogique, le di
tte distinction était méritée depuis longtemps. M. Bérillon, dans son Ecole tU Psychologie, s'est montré l'organisateur plein
un directeur toujours tolérant et qui permettait, dans la chaire de l' Ecole , l'expression d'idées contraires aux siennes. Tou
mpter celle de ce ruban rouge qui en est la juste consécration. » L' Ecole de psychologie, d'accord avec la Société d'Hypnol
idation : Les timidités. (l) par M. le Df Bérillon professeur à l' Ecole de psychologie, médecin inspecteur des asiles d'a
té réalisée involontairement et fortuitement. (1) Leçons faites à l' Ecole de Psychologie. L'élude attentive des phénomè
'. La dormeuse de San-Remo par M. le D' Paul Farez professeur à l' Ecole lo psychologie. Argentina Q... {') est née à te
sse, où l'élite intellectuelle s'est affranchie du joug de la vieille école conservatrice, par l'introduction dans les études
e non hystérique par M. le D' René Pamart, professeur suppléant à l' Ecole de psychologie. L'aphonie hystérique est d'une
inition de la suggestion par M. le Dr Félix Regnault professeur à l' Ecole de psychologie. Le premier soin en toute scienc
gnement de l'hypnotisme et de la psychologie Cours d'hypnotisme à l' Ecole de psychologie M. le Dr illox, professeur à l'E
'hypnotisme à l'Ecole de psychologie M. le Dr illox, professeur à l' Ecole de psychologie, a commencé le Mardi 8 Mal, à cinq
a commencé le Mardi 8 Mal, à cinq heures (Salle des Conférences de l' Ecole , 49, rue Saint-André-des-Arts) à cinq heures, un
ation française pour l'avancement des sciences- Lyon, aoùi 10.06. L' École de psychologie, d'accord avec la Société d'hypnol
ffrir au Dr Bérillon, inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l' École de psychologie, secrétaire général de la Société
gogiques qui leur sont applicables. 3° L'éducation du caractère h l' école primaire et au lycée. Je vous invite à venir pren
res des divers ordres de l'enseignement, ainsi qu'aux professeurs des écoles spéciales, professionnels ou techniques, de se ré
r Bérillox. Médecin-inspecteur des asiles d'aliénés, professeur a l' Ecole de psychologie. Prière d'adresser les réponses
jets à faire acte d'initiative. C'est exacle- (1) Leçons faites i l' Ecole de psychologie. (3) Voir Revue de l'Hypnotisme,
l'interne du médecin traitant, M. le Professeur Bùck, directeur de l' Ecole de médecine d'Alger. Des liens d'amitié unissaien
s (L'hystérie de), par Rouby, p. 11, 46, 78, 142. Bibliothèque de l' Ecole de Psychologie, p. 161. Bushido, p. 26. Banquet
ifiques, p. 288. Donneuse de San Remo (La), par Paul Farez, p. 339. Ecole de Psychologie, p. 159, 222, 226, 256. L'Ecole
aul Farez, p. 339. Ecole de Psychologie, p. 159, 222, 226, 256. L' Ecole de Psychologie, par Bérillon, p. 227. Ectothéra
ope, par Paul Farez, p. 308. Inauguration du Buste de Liébeault à l' Ecole de psychologie, p. 162, 226, Inculpes (L'examen
12 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
stitut, collaborateur de Liébeanlt, nn des premiers fondateurs de « l' Ecole de Nancy ». Le comité est ainsi composé : I. Pr
e Montpellier ; M. Muteau, député ; M. le Dr Berillon, professeur à l' Ecole de psychologie ; M. le Dr de Groer, de Saint-Péte
agogiques pratiques et résultats obtenus ; 2° Le travail manuel à l' école primaire : 3° L'obligation de l'enseignement pr
u bonheur par l'éducation, de 31. Julien Bey ; de l'Education après l' école , de 31. le Dr Chervin ; sur l'Education de la par
méthodes de rééducation (1) par m. 10 dr BÉniLLON, professeur à l' Ecole de psychologie. (Suite) L'action psychothebapiq
après les règles d'une posologie très précise.| (1) Leçon faite à l' Ecole de psychologie. — Y. le n° précédent. La vert
ernement la posologie de l'hypnotisme ? Oserait-on proscrire de nos écoles la gymnastique, sous prétexte qu'un jour, au Nouv
norent ou qui doutent feront bien de rendre visite à la clinique de l' Ecole de Psychologie où, en tous temps, ils pourront ob
int-Sébastien ; Dr Jaguaribe, de Sao Paulo ; Dr Godou. directeur de l' Ecole dentaire. M. le Secrétaire général rappelle ens
yraud et Gabrielle Bom- pari qu'à choisir entre les théories de l' école de Nancy et les théories de l'école de la Salpêtr
à choisir entre les théories de l'école de Nancy et les théories de l' école de la Salpêtrière. Pour l'une, la suggestion cr
s en opposition avec ses habitudes, son éducation, son caractère. L' Ecole de Xancy fut représentée au procès par Liégeois,
tée au procès par Liégeois, témoin à décharge cité par la défense ; l' Ecole de la Salpêtrière par Brouardel, témoin à charge
is examine les différents procédés d'hypnotisation : à l'inverse de l' Ecole de la Salpêtrière. il affirme que le sommeil hypn
et les méthodes de rééducation par le Dr Bérillon, professeur a. l' Ecole de psychologie l'action psychothérapiote direct
pâture au snobisme des médecins et à la crédulité des psychologues d' école , constitue le sophisme le plus invraisemblable qu
redisent. Contentons-nous de marquer les coups de boutoir des chefs d' écoles , acceptons, sous réserve, leurs grands mots, leur
son existence. Algomanie par le Dr Henry Lemesle, professeur a l' Ecole de psychologie de Paris, directeur de l'Institut
au Lycée Molière de Paris : à l'instruction et à l'éducation après l' école , de 31. Julien Ray, de la Faculté des science
n Ray, de la Faculté des sciences de Lyon : au travait manuel à l' école primaire et à l'enseignement professionnel aux ad
eignement professionnel aux adolescents, de M. Frison, directeur de l' Ecole professionnelle de Douai : enfin à renseignement
ment technique dans les facultés, de M. André Blondel. professeur à l' Ecole des Ponts et Chaussées. Les conclusions adoptée
lus dévoués, le DrRené Pamart, professeur de Psychologie musicale a l' Ecole de psychologie. 2sotre ami s'est éteint à Lamothe
'est ainsi qu'il devint l'assistant du Dr Bérillon à la clinique de l' Ecole de psychologie, en même temps qu'au Dispensaire p
finée, musicien érudit, virtuose même à ses heures, il recueillit à l' Ecole de psychologie la succession de notre éminent maî
dait de lui ; sa collaboration a fait honneur à la jeune et vaillante Ecole qui l'avait accueilli avec tant de confiance. U
ollègues de la Société d'hypnologie et de psychologie, ainsi que de l' Ecole de Psychologie qui vous aimaient bien, je vous di
er aux regrets exprimés par le Dr Paul Farez. Ses cours professés à l' Ecole de psychologie sur la psychologie musicale, avaie
r, empêché. La Société d'hypnologie et de psychologie de Paris et l' Ecole de psychologie de Paris, ainsi qu'un certain nomb
MM. les Dre Paul Magnin, Paul Farez et Henry Lemeslc, professeurs k l' Ecole de psychologie, de M. le Dr "Witry, de Treves-s-M
e, et de M. le Dr Damoglou, du Caire, professeurs correspondants de l' Ecole de psychologie. Nous sommes heureux de reprodui
manches dans la Meuse pour les enseigner aux élèves instituteurs de l' Ecole normale de Commercy. De 1882 k 1891. il a été cha
n cours d'économie politique aux élèves instituteurs de la Meuse, à l' Ecole normale de Commercy, où il se rendait pour cela t
selle dont il jouissait. Elève de Liébeault, le co-fondateur de l' Ecole de Nancy, il en fut le plus fidèle collaborateur.
nnera aucun de ceux qui connaissent l'histoire de ce qu'on a appelé l' Ecole de Xancy. Quand nous nous sommes groupés autour
groupés autour du docteur Liébeault. nous avions en face de nous une école rivale. Cette école avait pour chef un savant d
teur Liébeault. nous avions en face de nous une école rivale. Cette école avait pour chef un savant d'une incontestable val
ion à l'état de veille » (1) par M. le D* Bérillos, professeur îi l' Ecole de psychologie Le mot suggestion dérive du mot
absurde ne méritait pas même de figurer dans un manuel à l'usage des écoles primaires. Les médecins sont, paralt-il, gens p
)4). _ (À suivre). Algomanie pur M. le D[ Lkueblk, professeur a l' Ecole de psvchologie (Suite) L'Algomaxie et la vte so
ia d'ailleurs une étude intéressante dans laquelle, comme plus tard l' école de Chareot. il cherchait a expliquer scientifique
chiatrie à la Faculté de médecine. Médecin-Inspecteur spécialiste des Ecoles communales de Bordeaux. On sait le zèle éclairé
ité plus haut, qui est bien plutôt un anormal d'asile qu'un anormal d' école , on en peut citer qui comprennent et s'assimilent
ien étudiés. Ces 1.258 cas n'ont irait qu'à des suicides d'écoliers d' écoles moyennes ei supérieures. 898 d'écoles moyennes. 3
qu'à des suicides d'écoliers d'écoles moyennes ei supérieures. 898 d' écoles moyennes. 365 d'écoles supérieures. En comparant
oliers d'écoles moyennes ei supérieures. 898 d'écoles moyennes. 365 d' écoles supérieures. En comparant ces chiffres on établit
ont pour cause l'aliénation moutafe. Ce fait regarde les médecins des écoles , 10 °/n des enfants qni se suicident sont des ali
question et arrive a des conclusions qni concernent la direction des écoles , la collaboration des médecins et l'influence de
oration des médecins et l'influence de la famille. D'après lui, « les écoles et les établissements d'Instruction » doivent êtr
ur autant qu'on peut parler d'une collaboration de la famille et de l' école dans certains cas des suicides d'écoliers, Enlenb
que l'éducation par la famille remplisse tout son devoir il côté de l' école , cette dernière restant Impuissante, dès que la f
général de la Société d'hypnologie et de psychologie, professeur à l' Ecole de psychologie. « Le nom dn docteur Liébeault e
dont la solidité transmettra aux générations futures le souvenir de l' Ecole psychologique de Nancy. Le premier aura la gloi
ologie et de psychologie de Paris, dont il fut membre fondateur, de l' Ecole de psychologie dont il fut un des inspirateurs, d
tes faites et des principes intangibles. C'était le triomphe de l' Ecole , avec ses prescriptions, son absolutisme-rigide,
, — voilà bientôt, quelque trente ans, — les brillants créateurs de l' école de Nancy. Anjourd'hui, on s'incline devant le
tion à l'état de veille » (1), par M. le Dr Béroxos, professeur a l' école de psychologie (Suite) Pour rendre encore plu
timisme un sens tellement absolu et grossier que, dans le langage des écoles , cette expression représente plutôt la caricature
roupement et la synthèse. Suivant les procédés qui régnent dans nos écoles , bien des psychiatres diraient, en parlant de Huy
récent du Dr Binet- Sanglé) par M. le Dr Paul Farez. professeur à l' Ecole de Psychologie. Mon collègue et ami, le Dr Bine
s » soit en train de mettre 6ur la paille mon excellent confrère de l' Ecole de Psychologie. D'autre part. Binet-Sanglé me p
ifique ! Si j'insiste tant, c'est pour qu'il soit bien avéré qu'à l' Ecole de Psychologie ce n'est pas un mot d'ordre, pour
enfants normaux et anormaux par M. A. Ley (de Uccle-Bruxelles) L' école moderne tend de plus en plus, en principe au moin
n vue d'un rendement social maximum. L'action du psychologue dans les écoles pour normaux est également indispensable si l'on
sités devraient organiser des cours de psychologie pédagogique et les écoles normales pour éducateurs des cours de physiologie
mentale. La direction de tous les établissements médico-pédagogiques, écoles et asiles, doit être médicale et scientifique.
rapporteur. Les idiots traités dans les asiles et les habitués des écoles de correction ont beaucoup de points de resse
de psychologie ; Guillhermet, avocat à la cour de Paris, délégué de l' Ecole de psychologie ; Alfred Pierrot, secrétaire du Co
en de la faculté de droit a Paris : Guîlhermet. avocat, professeur» l' Ecole de psychologie : Dr Bérillon, secrétaire général
à cette imposante cérémonie. La prochaine réouverture des cours de l' Ecole de psychologie dans laquelle 31. Guilhermet fera
ion à l'état de veille » (1). par M. le Dr Bérillon. professeur à l' école de psychologie (Suite) Lorsque Braid. après d
ou de l'étude, les derniers enfin le sont tout le temps, au jeu, à l' école , à la maison. Etudions-les donc de près et si,
ééducation alimentaire par M. le Docteur Paul Parez, professeur à l' Ecole de Psychologie En dehors de la rééducation dans
ns les campagnes et dans les ateliers. Le Dr Pamart, professeur à l' Ecole de Psychologie, avait su grouper autour de lui, p
— Prof. Scié-tox-fa. Programme des Cours et des Conférences de l' Ecole de Psychologie POUR L'ANNÉE 1909 (9e année) L
n ministre. ORDRE DXJ JOUR : lu 1)" ????.1.?\ : 1? programme de l' Ecole de Psychologie : ¦.' M. i "r m ?-, i.n h . avoc
e INSTITUT PSYCHO-PHYSIOLOGIQUE 49. rue Saint-André-des-Arts. L' Ecole de Psychologie et l'Institut psycho-physiologique
. L'organisation de l'Institut psycho-physiologique comporte : I. Ecole de psychologie : (Voir le programme des cours et
sultations données au Dispensaire pédagogique, sous les auspices de l' Ecole de psychologio ont lien les mardis, jeudis, samed
du jeudi. Promenades et excursions psychologiques. Les coure de l' Ecole de psychologie seront complétés par des excursion
. NOUVELLES Enseignement de l'hypnotisme et de la psychologie Ecole de psychologie. 49, rue Saint-André-des-Arts. — L
Ecole de psychologie. 49, rue Saint-André-des-Arts. — Les cours de l' Ecole de psychologie ont lieu tous les jours à cinq heu
ychotheraphique. — MM. les Drs Bérillon et Paul Farez reprendront à l' Ecole de psychologie. 49. rue Saint-André-des-Arts, le
° 6. — Décembre 1909. BULLETIN Dixième réouverture des cours de l' Ecole de psychologie. — Une leçon sur la psychothérapie
ie il la Faculté de médecine. La dixième réouverture des cours de l' Ecole de psychologie aura lieu le lundi 10 janvier, à c
ttention des esprits généreux et amis de l'équité. 11 appartenait a l' Ecole de psychologie, qui ne reste indifférente devant
on à la mémoire du maître regretté. Cette année, l'enseignement a l' Ecole sera continué par MM les docteurs Bérillon. Paul
ariés se rapportant à la psychologie. Les cours et conférences de l' Ecole de psychologie sont publics. Nos lecteurs sont co
ggestion à l'état de veille » par M. le Br Bérlllox, professeur à l' Ecole de psychologie. (Suite.) Suggérer quelque cho
st par une absolue communauté de vues avec le savant inspirateur de l' Ecole de-?vancy que j'ai été amené à reprendre cette qu
aul Magnin» dans la si remarquable leçon de réouverture des cours k l' Ecole de psychologie qu'il fit le 10 janvier 1906, sur
irothérapie spontanée par 31. le docteur Paul Farez, Professeur a l' Ecole de psychologie. C'est un simple fait clinique,
on intime se manifeste dans le dressage du cheval de selle de « haute école ». C'est de ce cheval de « haute école » dont j
u cheval de selle de « haute école ». C'est de ce cheval de « haute école » dont je vais vous parler, car la psychologie de
force purement mécanique. Ceci posé, je reviens au cheval de » haute école ». En terme d'équitation on dit d'un cheval qu'
a leur connaissance. J. ». NOUVELLES Cours et conférences de l' Ecole de psychologie 49, rite St-André-des-Arts. pour
ancien ministre. Ordre du jour : 1° Dr Bérillox : Le programme de l' Ecole de psychologie ; 2° M. Gcilhermet, avocat ô la Co
pi. 4° Installation du buste du professeur Liégeois. Cours de l' Ecole de psychelogie (Le programme des cours a été pu
sur le champ de bataille, par M. le capitaine Simon, professeur de l' Ecole de St-Cyr.— Sous la présidence de II.le Dr Félix
t-Cyr.— Sous la présidence de II.le Dr Félix Regnault. professeur à l' école de psychologie. Lundi 31 janvier, à cinq heures
isme et le faux humanitarisme, par 31. le Dv Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie. — Sous la présidence de 31. le Dr
de Lille. — Sous la présidence de M. le Dr Paul Farez. professeur h l' Ecole de psychologie. Lundi 28 février, a cinq heures
ègues. - Sous la présidence de 31. le Dv Paul 3Iaguin. professeur à l' Ecole de psychologie. Lundi 7 mars, à cinq heures : L
Fa. mandarin. — Sous la présidence de 31. le Dp Broda, professeur à l' Ecole de psychologie OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Brie
nné la marque d'un esprit véritablement supérieur. Elevé a la forte école des Millard, des Charcot, des Lasègue et des Jacc
» deux nus. présider la huitième séance de réouverture des cours do l' Ecole de psychologie. Ce n'était assurément pas le mo
di U lni parler de l'idée qni nous avait guidés dans la création de l' Ecole de psychologie. Je fus fort surpris, je l'avoue,
ours les félicitations qu'il ndresa. ce jour-là, aux professeurs de l' Ecole de psychologie pour le succès de lenr iiitative.
ggestion à l'état de veille » par M. le Dr Bérillox, professeur à l' Ecole de psychologie. I. — L'Hypnotisme fortuit (Suit
re à en modifier la circulation et l'innervation. La théorie de cette école a provoqué l'opposition la plus vive de MM. Milli
és d'imagination font défaut ou sont peu développées. Les instables d' école peuvent acquérir des notions élémentaires, mais i
lement devant les tribunaux. Ce n'est pas le philosophe de l'ancienne école ayant passé sa vie dans l'étude des facultés de l
(de Trèves-sur-Moselle). NOUVELLES Enseignement de l'hypnotisme Ecole de psychologie 149 rue Saint-André-des-Arts). —Pe
t les mois de janvier, février et mars, les cours et conférences de l' Ecole de psychologie dont nous avons publié les program
24e -année — n° 8. Février 1910. Dixième réouverture des cours de l' Ecole de psychologie sous ln présidence de M. Cruppi,
; 4° Allocution de M. Cruppi. La dixième réouverture des cours de l' Ecole de psychologie a eu lieu le lundi 10 janvier, a c
n revêtait un caractère particulier de solennité par l'hommage que" l' Ecole de psychologie se proposait de rendre à la mémoir
M. Guilhermet, avocat à la cour de Paris et tous les professeurs de l' Ecole , MM. les D** Paul Magniu, Paul Farez, Demonchy, B
agistrature, du barreau, de diverses facultés et de l'Université. L' Ecole de psychologie pur M. le Dr (:::.:]:¦¦. profess
é. L'Ecole de psychologie pur M. le Dr (:::.:]:¦¦. professeur A l' Ecole de psychologie. Dès le début de la séance. M le
i, dans le cours de l'année écoulée, ont particulièrement intéressé l' Ecole de psychologie. Il s'est exprimé ainsi : Mess
ah, actuellement député de Smyrne au parlement Ottoman, demandait à l' Ecole de psychologie de formuler le programme d'action
l Farez, dans ces circonstances douloureuses, lui a rendu nu nom de l' Ecole de psychologie, des hommages mérités. * s Une
e des nouvelles les plus heureuses pour le succès et l'extension de l' Ecole de psychologie est celle de l'entrée, dans notre
ur du Muséum. Ce maître, dont les sympathies pour les fondateurs de l' Ecole se sont manifestées dans tant de circonstances, n
utorisait nos collègues MM. Lé-pinay et Grollet, qui traitent à notre Ecole les questions de psychologie comparée, à compléte
la Cour de cassation, ancien ministre, de l'honneur qu'il a fait a l' Ecole de psychologie en acceptant de présider la dixièm
importance sociologique, psychologique et juridique de son œuvre. L' Ecole de psychologie avait tenu à y être représentée et
squ'à la fin. le réconfort de son amitié. Dès la fondation de cette Ecole de psychologie nous nous étions proposé de réunir
rnalier, se convaincre que le temps n'atténuera pas l'admiration de l' Ecole de psychologie pour le caractère et pour l'œuvre
ire par M. G. Guilhermet avocat à 1» Cour d'appel, professeur a l' Ecole de psychologie. En France, un homme condamné pa
ent d'ailleurs servir à caractériser le but et les tendances de votre Ecole de psychologie. Tarde, juge d'instruction à Sar
as étonné qu'il ait été un des premiers à encourager la création de l' Ecole de psychologie. Quant à Berthelot. ce n'est pas
émuni contre les pièges tendus sous ses pas. Ce qui manque, c'est une école pratique où il puisse recevoir les enseignements
ques et sociales. Il m'est agréable de féliciter les professeurs de l' Ecole de psychologie de l'esprit scientifique qui prési
ggestion à l'état de veille » par M. le Dr Bérillox. professeur à l' Ecole de psychologie II. — Les états hypnoïdes (1) (Sui
s à Madrid qui ne sont jamais sortis de : - tir quartier, et dans-les écoles communales on compte par milliers ceux qui n'ont
t de l'hypnotisme et de la psychologie Conférences hebdomadaires de l' Ecole de psychologie fies lundis, h cinq heures) l.
bègues. — Sons la présidence de M. le D' Paul Magnin, professeur à l' Ecole de psychologie. LrxT>t 7 Mars. — Lu psycholo
itut psyeho-physiologie. 49, rue Salnt-André-des-Arts. VARIETES L' Ecole de psychologie pendant 1 inondation Pendant plu
nt-André-des-Arts a été transformée en un véritable lac. L'accès de l' Ecole de psychologie, du Dispensaire pédagogique et du
retrouvé le chemin avec empressement et en somme, l'enseignement de l' Ecole , pour avoir été momentanément interrompu, n'en a
vé, de la partdes nombreux auditeurs, dans le Grand Amphithéâtre de l' Ecole pratique, une tempête d'applaudissements. « L'E
phithéâtre de l'Ecole pratique, une tempête d'applaudissements. « L' Ecole anatomo-pathologique n'a jamais cru, enseigne M.
domaine, et tend de plus en pins a devenir spiritualiste. A côté de l' Ecole de Médecine traditionnelle, qui ne croit pouvoir
r guérir qu'avec tout un arsenal de médicaments, voici que suigit une Ecole nouvelle, qui place l'esprit au premier rang et l
dans ses principes, l'enseignement du professeur Déjerine. « Cette Ecole nouvelle, ou la Psychothérapie, n'a de nouveau qu
Dr Hamaide, & 100 pour 100. Le terrain d'entente entre les deux écoles nous paraît désormais facile a trouver. Tandis qu
ais passagèrement investi me fournissaient (1) Conférence faiie a l' Ecole de graphologie à l'avenue de Villiers. dirigée pa
ggestion à l'état de veille » par M. le Dr Bêrillox, professeur k l' Ecole de psychologie II. — Les états hypxoïdes pathol
l'hypnotisme et de la psychologie M. le Dr Bérlllox, professeur à l' Ecole de psychologie, médecin-inspecteur des Asiles d'a
, 49, rue SaintrAndré-des-Arls, un cours de psychologie médicale (à l' Ecole de psychologie). Sujet du cours : Les enfants ano
ncorde avec l'explosion de certaines idées (1) Conférence faite a l' Ecole de graphologie a l'avenue de YUliers, dirigée par
leçons. Le droit d'inscription est fixé à 50 francs. On s'inscrit à l' Ecole de psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts. L
ns la production de l'hypnotisme par le Dr Bêrillox, professeur h l' Ecole de psychologie Chez l'homme, aussi bien que che
s pensées secrètes qui sont la base de ses phobies. J'ai visité les écoles médicales les plus émineutes d'Europe, et j'ai pu
n des circonstances, et ainsi se formèrent les Conférence faite a l' Ecole de psychologie. principautés anciennes et mod
n. NOUVELLES Enseignement de l'hypnotisme et de la psychologie. Ecole de psychologie. — M. le Dr Bérxllox, professeur &
ogie. Ecole de psychologie. — M. le Dr Bérxllox, professeur & l' Ecole de psychologie, médecin-inspecteur des Asiles d'a
s qui, à propos de cette question psychologique, ont existé entre les écoles de la Salpétrière, de Nancy et de la Pitié. Cette
ancien. Pour lui, il est indispensable d'initier l'étudiant, dans les écoles de médecine, A la pratique de la psychothérapie.
et le côté psychique est toujours atteint. Le praticien sortant de l' école étant mis au conrant de la psychologie médica
ée par !e D' Van Renterghem s'est trouvée comblée parla création de l' Ecole de psychologie. Le nombre croissant des étudiants
is des méthodes verbales qui tiennent encore le premier rang dans les écoles , Hegel entrevoyait la dépendance foncière des élé
st impossible 1 » Puis encore : « F. est sorti un des premiers de l' Ecole de commerce de Lille. C'est un garçon intelligent
'était un timide, un doux, une fille. H acheva ses études ensuite à l' Ecole de commerce de Lille, et c'est en chemin de fer,
me cela a lien pour les cartes de géographie dont on se sert dans les écoles communales. Cette sphère reste dans la possessi
ry avec beaucoup de succès. Le dessin y est très en faveur. A cette école est annexé nn enseignement ménager et professionn
me dans le système Braille que nous voyons si peu de ticqueurs dans l' Ecole des aveugles d'Angers. L'aveugle a plus de pein
re au rôle qu'ils doivent remplir plus tard ; les uns fréquentent les écoles pendant quelques années, d'autres s'adonnent aux
ar Moret, p. 188. Dressage des animaux, par Ismaël Hamet. p. 333. Ecole de psychologie, p. 156, 161, 191, 225, 226. Eco
Hamet. p. 333. Ecole de psychologie, p. 156, 161, 191, 225, 226. Ecole de psychologie pendant l'inondation, p. 253. En
13 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
luse; Henry LEMESLE ; LLOYD-TUCKEY (deLondies); MANOUVRIER; prof, à l' Ecole d'Anthropologie; MASOIN, prof, à l'Université de
ondres); MA BILLE, méd. de l'Asile de Lafond ; Paul MAGNIN, prof, à l' Ecole de psychologie; MORSELL1 (deGènes); DE PACKIEWICZ
ibre et volontaire du sujet ne s'exerce pas. Toute la doctrine de l' École de Nancy est précisément basée sur ces analogies
hologique. Cependant la confusion a été faite. Nous avons déjà vu l' École de Nancy confondant l'hypnose dans les phénomènes
ingt-quatre lettres on fait un nombre infini de mots différents. Et l' Ecole de la Salpêtrière a, mieux que tout autre, montré
ologie du somnoformisé par M. le Docteur Paul Faiiez Professeur à l' Ecole de Psychologie Le plus difficile, en psychothér
ure une narcose rapide, sûre et inoffensive. (î) Dans mon cours à l' Ecole de Psychologie j'ai fait, en 1902, toute une leço
disparait pendant deux mois. Alors, il retourne en province dans son école . Aussitôt la paralysie reparaît non seulement dan
la nuit. Il y a quelques jours, on s'est décidé à le retirer de son école et à l'amener à la Salpétrière. Vous savez déjà q
onoraire à l'Université de Montpellier: et Paul Magmn, professeur à l' Ecole de psychologie. Parmi les convives, nous devons
us, MM. les D" Félix Hegnault, Bellemanière et Farez, professeurs à l' Ecole de pyschologie. M. le Dr Bilhaut, chirurgien de l
édecine vétérinaire était représentée par MM. Lépinay, professeur à l' Ecole de psychologie, Grollet, secrétaire général de la
a signalé les tendances à la névropathie que développe le régime de l' école chez les élèves. Un proverbe a cours parmi eux: «
gie du somnoformisé par M. le Docteur Paul Farez Professeur & l' Ecole de psychologie (suite et fin) Tous ces faits,
ystème. Mais la pensée implique la conscience; aussi Descartes et son école ont-ils vu dans la conscience la marque distincti
l'année dernière, M. le professeur Bordier, l'éminent directeur de l' Ecole de Grenoble, avait été très heureusement inspiré,
difficile à acquérir, mais depuis quelques années l'enseignement de l' Ecole de psychologie de Paris accroît chaque année le n
unes confrères belges qui avaient suivi avec assiduité les cours de l' Ecole de psychologie et parmi eux en particulier un des
ychologie et parmi eux en particulier un des premiers assistants de l' Ecole , M. le Dr Van Velsen, dont l'Institut de psychoth
estion éthyl-méthylique) (1) par M. le Dr Paul Parez Professeur a l' Ecole de psychologie. En thérapeutique nerveuse ou me
er, de l'Académie de médecine, à la chaire d'anatomic artistique de l' Ecole des Beaux-Arts. Il adresse à notre eminent collèg
otisme est le Dr Tokar-sky, décédé depuis. Ce dernier appartenait à l' école du célèbre neuro-logiste le professeur Kogewnikof
égénérescence - Par M. le Dr Charles Binet-SanGLÉ. Professeur ? l' Ecole de psychologie. Dans votre séance du 20 janvier
rtaine époque de leur vie, des suggestions de la famille dévote, de l' école congréganiste, du curé de la paroisse, du petit o
osé l'œuvre considérable de Charcot : Créateur et organisateur de l' Ecole de la Salpêtrière, qu'illustra pour jamais son en
de Port-Royal, Par le Docteur Charles Bixet-Sanglé, Professeur à l' Ecole de Psychologie. Ce travail comprend quatre part
uns des Maîtres appelés à tenir les chaires de ses Facultés et de ses Ecoles . Depuis quelque vingt ans, vous ne l'ignorez pa
rechute. Une fillette de douze ans qui avait beaucoup travaillé à l' école et qui passait son temps libre à faire des ouvrag
urir, sans que l'on puisse savoir où il est passé ; il fait souvent l' école buissonnière et, à l'école, il est dissipé, inatt
savoir où il est passé ; il fait souvent l'école buissonnière et, à l' école , il est dissipé, inattentif, n'apprend rien quoi-
d'un accent convaincu, qu'il était désormais attentif et studieux à l' école , qu'il n'y causait pas, qu'il écoutait religieuse
bien et apprenait bien, qu'il ne songeait plus à courir et à faire l' école buissonnière, que, rentré à la maison, il songeai
utile, qu'il ne songeait plus à courir comme auparavant, ni à faire l' école buissonnière, qu'il était appliqué et studieux et
, qu'il était appliqué et studieux et que les notes ou bulletins de l' école étaient devenus bons, avec félicitations de ses m
ant de vingt-six mois. par M. le docteur Paul Farez. Professeur à l' Ecole de Psychologie, La courte observation que je dé
chez le cheval, par M. Lépixay, Médecin-Vétérinaire, Professeur à l' Ecole de psychologie. L'hypnotisme chez les animaux n
l'hypnotiseur ait la confiance de son sujet. L'année dernière, à l' Ecole de psychologie, je fis plusieurs leçons sur l'hyp
massage, la persuasion et, s'il le faut, la suggestion hypnotique. Ecole de psychologie Les cours de l'Ecole de psycho
, la suggestion hypnotique. Ecole de psychologie Les cours de l' Ecole de psychologie reprendront le lundi, 11 janvier,
expérimental et thérapeutique, in-S° 350 p. Vigot, édit., place de l' Ecole de Médecine et bureaux de la Revue de l'Hypnotism
pour l'amélioration de l'hygiène physique et intellectuelle dans les écoles . D'excellents rapports ont été faits par les D"
as toujours dans la vie les espérances qu'ils avaient fait naître à l' Ecole . Le jour où l'avis des médecins sera.plus écout
antes réformes. En prenant la défense de l'enfant s'étiolant dans des écoles sans air et pâlissant sur des bouquins emplis d'u
d'Auguste Guimbeau, qui collabore avec assiduité aux travaux de l' Ecole de psychologie et, enfin celui de Rivière, dont j
t qu'apparente. Enseignement de l'hypnotisme et de la psychologie Ecole de psychologie. — Cours. — Les cours de l'Ecole d
t de la psychologie Ecole de psychologie. — Cours. — Les cours de l' Ecole de psychologie reprendront le lundi, 11 janvier,
expérimental et thérapeutique. in-S° 350 p. Vigot, édit., place de l' Ecole de Médecine et bureaux de la Revue de l'Hypnotism
18e Année. — ?· 7- · Janvier 1904. BULLETIN Les cours de l' École de Psychologie La réouverture des cours de l'Ec
Les cours de l'École de Psychologie La réouverture des cours de l' Ecole de psychologie aura lieu le lundi 11 janvier, à c
ils pathologiques. Ainsi, tout en restant fidèle à son programme, l' École de psychologie montre qu'elle a le souci des ques
de la maladie du sommeil. Cette année, les anciens professeurs de l' École MM. les Dr Bérillon, Paul Magnin, Félix Regnault,
ong (de la Haye], Paul Joire (de Lille), M. le professeur Baron, de l' Ecole d'Alfort ; M. Luisant, examinateur à l'Ecole Poly
e professeur Baron, de l'Ecole d'Alfort ; M. Luisant, examinateur à l' Ecole Polytechnique ; M. Baguer, directeur de l'Institu
e Louis-le-Grand. Comme nous l'avons déjà dit, ce qui caractérise l' École de psychologie ; c'est qu'elle est une œuvre d'in
doctrines dépourvues de contrôle scientifique. L'enseignement de l' École de psychologie est public. Il s'adresse aux médec
nement de Phypnotisme et de la psychologie Programme des Cours de l' Ecole de psychologie. — La réouverture des cours de l'E
des Cours de l'Ecole de psychologie. — La réouverture des cours de l' Ecole de psychologie aura lieu le lundi 11 janvier 1904
seur à la Faculté de médecine. ORDRE DU JOUR : 1° D' Bêrillon : L' École de psychologie.; 2° Dr Paul Farez : Les sommeil
r R. Blanchard, membre de l'Académie de médecine. L'enseignement de l' Ecole de psychologie est public. Hypnotisme thérapeut
du 16 janvier. Conférences de 1904 Chaque année, les cours de l' Ecole de psychologie sont complétés par des conférences
gie des examens, par M, Laisant, docteur ès sciences, examinateur â l' Ecole polytechnique. Vendredi 5 février, à 8 h. 1/2.
hologique sur le Tarot des Bohémiens, par M. r. Baron, professeur à l' Ecole vétérinaire d'Alfort. Vendredi 12 février, à 8
ours s'adresse aux médecins et aux instituteurs d'enfants arriérés. Ecole pratique de la Faculté. — M. le D' Hippolyte Bara
de la Faculté. — M. le D' Hippolyte Baraduc fera un coûts libre, à l' Ecole de la Faculté de Médecine, sur les Vibrations de
expérimental et thérapeutique, in-S° 350 p. Vigot. édit., place de l' Ecole de Médecine et bureaux de la Revue de l'Hypnotism
eilleur esprit scientifique. 18e Année. — n° 8. Février 1904. L' Ecole de psychologie L'Ecole de psychologie, par M. l
ue. 18e Année. — n° 8. Février 1904. L'Ecole de psychologie L' Ecole de psychologie, par M. le D' Bémllox, professeur
ologie L'Ecole de psychologie, par M. le D' Bémllox, professeur à l' Ecole de psychologie. — Les sommeils pathologiques, par
— Les sommeils pathologiques, par M. le d' Paul Fabez, professeur à l' Ecole de psychologie. — La psychologie et la médecine,
e de l'Académie de médecine. La réouverture annuelle des cours de l' Ecole de psychologie a eu lieu le lundi 12 janvier, à c
lpétrière, membre du Comité de patronage et tous les professeurs de l' Ecole : MM. les Dr Bérillon, Paul Magnin, Félix Regnaul
réfecture de police, MM. Laisant et Hermann Laurent, examinateurs à l' Ecole polytechnique, M. Malapert, professeur au lycée L
éance, M. le professeur Blanchard donne la parole au D' Bérillon. L' Ecole de psychologie, par M. le Dr BÉriLLON Messieu
n. L'Ecole de psychologie, par M. le Dr BÉriLLON Messieurs, L' Ecole de psychologie est destinée à fournir aux médecin
ychologie. Les études auxquelles se consacrent les professeurs de l' Ecole se répartissent en huit branches principales :
onnalité, etc., etc. Nous devons reconnaître que les professeurs de l' Ecole de Psychologie s'intéressent surtout à ces questi
re des phrases d'ap-parence scientifique, lors de l'inauguration de l' Ecole de Psychologie, nous nous sommes exprimés ainsi a
lléchants, il n'est absolument rien sorti d'intéressant. Par contre l' Ecole de psychologie, en se limitant à l'étude des fait
nos remerciements pour l'intérêt qu'il ne cesse de témoigner à notre Ecole . Je dois encore vous faire part des nouvelles q
ales anti-alcooliques, et de Ml. le Dr Félix Regnault. professeur à l' Ecole de psychologie. A cette occasion, qu'il me soit
témoignage de la vive affection que lui portent les professeurs de l' Ecole de psychologie. - Nous avons reçu des membres
et je lui en exprime notre reconnaissance au nom des professeurs de l' Ecole de psychologie. * ^ /Les sommeils pathologiqu
mage public que nous lui rendons le nombreux et fidèle auditoire de l' Ecole de Psychologie. M. Emile Brumpt, préparateur de
grand honneur de présider cette séance de réouverture des cours de l' Ecole de Psychologie. En m'appelant pour un instant au
. Je leur en suis reconnaissant, ainsi qu'aux autres professeurs de l' Ecole de Psychologie. Votre Ecole, Messieurs, inaug
ainsi qu'aux autres professeurs de l'Ecole de Psychologie. Votre Ecole , Messieurs, inaugure aujourd'hui sa quatrième ann
Dupanloup, un jeune docteur de la Faculté de Paris. Aujourd'hui votre Ecole répond aux préoccupations de l'esprit scientifiqu
préoccupations que je viens d'indiquer. Et parmi les professeurs de l' Ecole de Psychologie, le Dr Paul Farez n'est-il pas lui
is d'une exploration au début difficile, mais riche de promesses. L' Ecole de Psychologie peut revendiquer une large part de
tre succès démontre clairement que vous avez été compris et que votre Ecole répondait à un véritable besoin. Cette journée, q
es les mêmes signes extérieurs qui ont été décrits par Charcot et son école comme étant caractéristiques de la grande hyptose
médecin dc l'asile de Ville-Evrard et Félix Regnault, professeur à l' Ecole de Psychologie. M. le Dr Jules Voisin, a démont
absorbé huit grammes. Il guérit également. NOUVELLES Cours de l' Ecole de Psychologie Les cours de l'Ecole de psycholo
ent. NOUVELLES Cours de l'Ecole de Psychologie Les cours de l' Ecole de psychologie, professés par MM. les Dr Bêrillon
-André-des-Arts. Conférences de 1904 Chaque année, les cours de l' Ecole de psychologie sont complétés par des conférences
lycée Louis-le-Grand. D' Licbeault (de Nancy) Le fondateur de l' Ecole de psychologie de Nancy vient de mourir. Né à Fav
notisme, dont il fut un des inspirateurs. Liébeault a été un chef d' école . Ses élèves sont nombreux et on en trouve dan
de suggestion a ramené le calme, et l'enfant a repris son travail à l' école . Vous pouvez constater l'heureuse transformation
uggestion éthyl-méthylique par M. le Dr Paul Farez Professeur à l' Ecole de Psychologie Parmi toutes les affections just
encore, car le rire dura toute une semaine ! NOUVELLES Cours de l' Ecole de Psychologie Les cours de l'Ecole de psycholo
aine ! NOUVELLES Cours de l'Ecole de Psychologie Les cours de l' Ecole de psychologie, professés par MM. les Dr Bêrillon
s et gratuits. Conférences de 1904 1 Chaque année, les cours de l' Ecole de psychologie sont complétés par des conférences
ons avec regret la mort du Dr Liébeault, le fondateur et le chef de l' Ecole de psychologie de Nancy. Le Dr Liébeault est né à
e une somme de cent francs. De plus, les auditeurs et les élèves de l' Ecole de psychologie apprenant l'ouverture de la souscr
oire de ses compatriotes le nom et la grande ligure du fondateur de l' Ecole de Nancy. Avril 1904. BULLETIN Mardi dern
ysiques, qui troublent le jugement. Si, comme on le représente dans l' école en question, le beau physique n'est rien en soi e
apport la philosophie spéculative dc la nature de Schelling et de son école au commencement du dix-neuvième siècle; et, de mê
e frappante avec la grande hypnose, telle qu'elle a été décrite par l' Ecole de la Salpètrière. Nous retrouvons chez ces greno
n'est pas un obstacle pour faire ce rapprochement, car on sait que l' Ecole de Paris admet l'apparition de l'hypnose sans la
ique de l'hypnotisme, ce qui serait d'accord avec l'enseignement de l' Ecole de Charcot. REVUE DE LA PRESSE Les éloges â l
ie et son desintéressement qui disparait avec le chef incontesté de l' école hypnotique de Nancy. Maître des Bernheim des Li
es Liégeois, des Beaunis, le docteur Liébeault était le chef de cette école qui considère l'hypnotisme d'après le côté psychi
de cette école qui considère l'hypnotisme d'après le côté psychique, école opposée à celle de la Salpétrière, qui l'envisage
traite par de graves événements. Le docteur Liébeault, fondateur de l' Ecole de Nancy, praticien eminent de la suggestion, à q
son service d'hôpital. M. Bcaunis suivit bientôt, puis M. Liégeois. L' Ecole de Nancy était fondée. Le fameux procès de Gabrie
beault A propos de la mort du docteur Liébeault, le maître de cette école de Nancy qui fut longtemps opposée à l'école de l
ault, le maître de cette école de Nancy qui fut longtemps opposée à l' école de la Salpëtrîèrc où Charcot donnait son enseigne
A A. Liébeault, D.-M. Le 18 février, le D' Liébeault. doyen de l' Ecole de Nancy, mourait à Nancy, dans sa 8le année. I
, et Beaunis, professeur de psychologie. C'est ainsi que fut fondée l' Ecole de Nancy, qui a tant fait pour établir la pratiqu
nomènes observés, s'inspirèrent de la méthode du maître pour fonder l' Ecole de Nancy. Aujourd'hui la méthode de psychothérapi
eim, Beaunis, Liégeois, les adoptèrent. Il se forma ainsi à Nancy une Ecole psychologique. Elle combattîi les doctrines de Ch
Ecole psychologique. Elle combattîi les doctrines de Charcot et de l' Ecole de la Salpêtrière, qui considéraient l'hypnotisme
Dr Bêrillon, directeur de la Revue de l'Hypnotisme, professeur à l' École de psychologie................. 100 Dr Jules Vo
in de la Salpétrière..... ....... 20 Dp Paul Magnin, professeur à l' École de psychologie. . ..... 20 Dr Paul Farez, profe
à l'École de psychologie. . ..... 20 Dr Paul Farez, professeur à l' École de psyohologie......... 20 D" Gorodichze, à Par
udiant en médecine.............. 5 Les Élèves et les Auditeurs de l' École de psychologie D'Hamm..........................
obeiit, étudiant...................... 1 ?lle Lavabre, directrice d' école ................. 1 Mlle Parent, Institutrice...
?-· Rot........................*·"*¦· · 1 ?me Paris, directrice d' école ....................1 M. ?alapert, professeur...
, d'Oran : Le mal de mer et la suggestion. COURS DE PSYCHOLOGIE à l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine Semestre d'É
e l'Hypnotisme, commencera, le lundi 18 avril, à cinq heures, à l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine (amphithéâtre
ivi par un cours pratique fait par les D" Béril-lon et Paul Farez à l' Ecole de psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts. — C
res.— Le droit d'inscription est fixé à 60 francs. — On s'inscrit à l' Ecole de psychologie les mardis, jeudis, samedi, de 10
de la force physique. Ces procédés sont enseignés dans de véritables écoles désignées sous le nom d'Ecoles du Saule. La gra
édés sont enseignés dans de véritables écoles désignées sous le nom d' Ecoles du Saule. La grande Ecole du Saule de Yokohama
éritables écoles désignées sous le nom d'Ecoles du Saule. La grande Ecole du Saule de Yokohama est bondée chaque nuit d'élè
de philosophie au lycée Louis-le-Grand a clôturé les conférences de l' Ecole de psychologie. Nous ne suivrons pas le conférenc
le Dr Arie de Jong, membre de la Société d'hypnologie, professeur à l' Ecole de psychologie et fondateur de la clinique de psy
nie par la course en flexion, par le Dr F. Regnault. Professeur à l' Ecole de Psychologie. / • La neurasthénie doit-elle s
l'armée : pourtant l'enseignement de la course avait été modifié à l' Ecole de Joinville-le-Pont et les dernières prescriptio
Un cas de mutisme prolongé, Par M. le Dr Bérillon, professeur à l' Ecole de psychologie. Le malade que je présente à la
H............................. 25 D' H. Leuesle. professeur & l' Ecole de psychologie, directeur de l'Institut psychot
et qui, joints à l'œuvre du maître, ont constitué ce qu'on a appelé l' Ecole de Nancy. La doctrine ainsi formulée, combattue
doctrine ainsi formulée, combattue longtemps par le Dr Charcot et son Ecole , a fini par l'emporter tant en France qu'à l'étra
nstrations pratiques et sera complet en douze leçons ; il se fera à l' Ecole de Psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts, où
Dr Jaguaribe (Brésil). Secrétaire : M. le Dr Bêrillon, professeur à l' Ecole de psychologie. Membres du comité: M. le Dc Hucha
ndant de l'Académie de médecine, M. le Dr Paul Magnin, professeur à l' Ecole de psychologie, M. le Dr Paul Farez, professeur à
fesseur à l'Ecole de psychologie, M. le Dr Paul Farez, professeur à l' Ecole de psychologie, M. le Dr Henry Lemesle, professeu
seur à l'Ecole de psychologie, M. le Dr Henry Lemesle, professeur à l' Ecole de psychologie, M. le Dr Tripier, ancien présiden
ienveillance. C'est ainsi qu'il présida la séance d'inauguration de l' École de Psychologie, heureux d'encourager nos études s
e, en qualité de réaction contre le baroque, le rococo, et contre les écoles qui, au nom d'un faux idéalisme, prétendent corri
ès de grands maîtres est précieuse, celui qui se fait l'esclave d'une école , et en réalité ne fait que singer autrui, n'est p
arcose éthyl-méthylique par M. le docteur Paul Farez Professeur à l' Ecole de Psychologie. Voici un nouveau cas clinique d
......"....... 100 M. le Dr Jaguaribe, professeur correspondant à l' Ecole de psychologie, Sao Paulo (Brésil)............
érique des mâchoires, par Raymond, p. 157. Cours de psychologie à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine, p. 319. Cou
ortant sur la sphère génitale (Idées de), par Edmond Vidal, p. 121. Ecole de psychologie, p. 159, 221, 225. 256, 287. Eco
Vidal, p. 121. Ecole de psychologie, p. 159, 221, 225. 256, 287. Ecole de psychologie (Les cours de P), p. 193. Ecole
21, 225. 256, 287. Ecole de psychologie (Les cours de P), p. 193. Ecole de psychologie (L'), par Bérillon, p. 225. Ense
14 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
Dès qu'un enfant marche sans aide, il doit être envoyé à la Petite École , le matin pendant une heure ou deux, puis toute
et que nous avions été obligé, jusqu'en 1901, de maintenir dans les écoles , où ils étaient une occasion de trouble, qu'ils
n, nous le faisons remonter dans la quatrième classe de la grande école . II. Enfants idiots gâteux ou non gâteux, épile
s gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou non, mais valides (Petite École ). - Ces enfants fréquentent la petite école, co
n, mais valides (Petite École). - Ces enfants fréquentent la petite école , confiée exclusive- ment à des femmes. Dans le
s. Sur ce nombre, 2 sont 1%i. f. Exercice de l'escalier. X PETITE ÉCOLE . décédés, 8 sont sortis définitivement, 3 ont é
définitivement, 3 ont été trans- férés, 10 sont passés à la grande école . Sur 140 enfants qui restaient à la petite écol
passés à la grande école. Sur 140 enfants qui restaient à la petite école au 31 décembre 1903, 10 ne mangent pas seuls, 5
est ainsi depuis 1880. Fig. 9. - Fauteuil tapissé. XII I PETITE ÉCOLE . Traitement MÉDICO-PÉDAGOGIQUE : résultats. xii
ers, brossiers, serruriers, menui- siers et jardiniers. La petite école comprend : 1° le traitement du gâtisme, exposé
l'Alphabet du dessin de Mme Bru ; 6° les leçons de choses, soit à l' école , soit dans les jardins (avec le tableau roulant
s enfants les plus malades (idiots profonds), améliorés la petite école , par M11"" Blanche AGNus, Amandine BOHAIN et le
age à la section des enfants arriérés et épileptiques. XIV PETITE ÉCOLE . se tient plus propre. Idiotie profonde. - RE
iotie profonde. Jul.. , 5 ans. A l'entrée, il était gâteux, PETI'rE école complémentaire. xv et bien que sa mère prétendî
laver. Les progrès sont satisfaisants à la gymnastique ainsi qu'à l' école . Petite école complémentaire. - Cette école est
ès sont satisfaisants à la gymnastique ainsi qu'à l'école. Petite école complémentaire. - Cette école est confiée à Mma
ymnastique ainsi qu'à l'école. Petite école complémentaire. - Cette école est confiée à Mma BONNET, qui, depuis 10 années
Mm. Landier, première infirmière. Quarante enfants composent cette école . Trois infirmières sont en outre adjointes à ce
Notre élève s'est prêté volontiers aux exercices de la gym- Petite école complémentaire.. xvii nastique de la parole et
té. DIJaIES.·I.. (André). Cet enfant avait été renvoyé de plusieurs écoles et déclaré incapable de rien apprendre. La bouc
Signalé l'année der- 13OUIINEVILLE, Bicêtre, 1903. u xviii PETITE école complémentaire. nière comme très amélioré est a
itry, M. Pastré, ayant eu l'occasion d'aller visiter il Bruxelles l' école numéro 14, consacrée aux enfanls arriérés, nous
ecousse qui produit un véritable coup de timbre. Comme ces Petite école complémentaire. xix mouvements se font avec acc
du corps, de la vêture, des objets du réfectoire, du dortoir, de l' école , les personnes, les animaux, etc.. Bien que l'e
t hystériques ou non (Grande ¡; : coL1' : ).-La population de cette école , confiée il des instituteurs, était de 156enfan
ti- ficat d'études, forment une division supérieure, ne vont it l' école qu'une demi-journée par semaine et restent, les
lier. Les enfants non pourvus du certificat d'éludés xxvi Grande école . sont répartis en quatre classes (52, 37, 30 et
ituteurs et leurs aides, ainsi que les sous-employées attachées aux écoles (section de Bicêtro et Fondation Vallée), afin
ingtaine,- (1) A ce même examen, 7 infirmiers et 3 infirmières de l' école , de Bicêtre ont également obtenu le certificat
lement allés à l'Institution Nationale des jeunes aveugles et à l' École Braille, dépendant du département. Leur devoir
III I ? t : cxraFwr ou CHANT. tion d'asiles-écoles et de classes ou écoles spéciales pour les arriérés, c'est assurément l
ter de cet enseignement t y ont pris part. Les enfants de la petite école au nombre de 100 et un nombre égal de la grande
de la petite école au nombre de 100 et un nombre égal de la grande école sont divisés en deux groupes. Nous avons fait c
nts Melno... Via... Gabo... Pasc... et Mil... ont passé à la grande école . Mel..., Via..., et Gabo..., font partie de la
orce et l'indépendance des doigts. Enseignement du dessin. Grande école . Cet ensei- gnement est fait par M. Dumont depu
Ces modèles sont reproduits par les élèves d'après nature. Petite école . En considération de leur jeune âge ces enfants
ont reçu un enseignement différent de celui des élèves de la grande école et proportionné à leurs facultés. 25 élèves ont
de M. LA;'OEossE, un de nos instituteurs. 142 enfants de la grande école et 15 de la petite école y ont pris part. Sur c
nos instituteurs. 142 enfants de la grande école et 15 de la petite école y ont pris part. Sur ce nombre, 12G dansent la
français; les petits métiers. 144 vues ont été cédées à la Petite École pour l'enseignement de la. parole, ainsi que 30
ecevons les étrangers, aux cours d'ana- tomie et de physiologie des Ecoles d'infirmières de Bicêtre et de la Salpêtrière.
u- mérées plus haut donnent une idée suffisante. Dans les petites écoles et la grande école, on doit sans cesse s'occupe
t donnent une idée suffisante. Dans les petites écoles et la grande école , on doit sans cesse s'occuper de la guérison de
e, envers lesquels et comme enfants, et comme malades, ils Grande école : résultats. xxxix doivent se montrer bienveill
Bicêtre. Voici quelques notes concernant les enfants de la grande école : Grande école : 'ter, classe. - Dimi..., âgé d
quelques notes concernant les enfants de la grande école : Grande école : 'ter, classe. - Dimi..., âgé de 14 ans, signa
maintenant retourné dans sa famille. (2 décembre 1903). XL Grande école : résultats. Noë., âgé de 15 ans. Epilepsie. -N
caractère, enfant poli. Melnot ? 11 ans. Etait encore il la petite école l'année dernière.- Est passé en juillet à la gr
la petite école l'année dernière.- Est passé en juillet à la grande école .- De cette époque à janvier il a appris la divi
er en Ire classe. S'il continue, il pourra obtenir le certi- Grande école : résultats. XLI licat d'études primaires l'ann
Arriération intellectuelle, epilepsie noc- turne. Etait à la petite école l'année dernière. N'est entré à la grande école
. Etait à la petite école l'année dernière. N'est entré à la grande école , 2" classe, qu'au mois d'octobre. Continue à fa
uels sont lents; mais ils sont cependant appréciables ; YLII Grande école : résultats, toutes les matières du programme s
é au point do vue intellectuel et moral. A son entrée il. la grande école en avril 1902, la classe lui répugnait. N'obten
temps à autre reviennent quelques périodes mélancoliques ; Grande école : résultats. \LIII ces périodes sont généraleme
éjudice pour les enfants. En effet, tandis que dans les lycées, les écoles primaires, les élèves sont en congé en même tem
ces ana- logues, les enfants, eux, restent. L'organisation de nos écoles offre des lacunes. La petite école, l'école com
estent. L'organisation de nos écoles offre des lacunes. La petite école , l'école complémentaire (voir p. xv) fonc- tion
L'organisation de nos écoles offre des lacunes. La petite école, l' école complémentaire (voir p. xv) fonc- tionnent régu
te direc- tion ; tout le personnel est sous ses ordres. La grande école est confiée a des instituteurs au nombre de qua-
emier instituteur qui a existé pendant longtemps. La situation de l' Ecole pendant les vacances est déplorable. Il nous es
au contraire, les inciter il introduire progressivement dans les écoles primaires les procédés qui composent notre méth
Jardin d'accli- matation au bénéfice des élèves des lycées et des écoles primaires ? (1). (1) Voir le Compte rendu de 19
ades et distractions. Les enfants de la grande et ceux de la petite écoles , qui sont propres, ont continué, comme par le p
. Comme d'habitude, cette opération a été faite par les élèves de l' École d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre, sous
plupart sont venus et ont pu, à leur tour, enseigner aux élèves des écoles il donner les douches. En faisant ces leçons de
fection de la peinture des réfectoires de la grande et de la petite écoles . Tous ces travaux, bien que très avancés, ne so
iyvsojournédul ? au30,juillet 199; \1"°Laclc, institutrice dans les écoles d'enfants anormaux à Cené- ve, qui y passéuncsc
uveau chef d'atelier nous insistons pour qu'il suive les cours de l' École d'infirmiers. En con- tact avec des malades suj
iches diverses. - Entêtes de lettres. -- - Divers imprimés pour les Ecoles d'infirmières : Palmarès. Diplômes, etc. - Feui
lement comparables à ceux de l'orphelinat Prévost à Cempuis et de l' école d'Alembert à Monté- vrain, par exemple, où les
jours-là et les jours qui suivent, ils ne peuvent travailler ni à l' école , ni à l'atelier. Lorsqu'ils ont des accès, le t
eux.» xcv : Personnel du service en 1903. aidant les maîtresses d' école , après avoir terminé le nettoyage de leurs dort
en deux catégo- ries : a) les enfants valides qui sont envoyées à l' école durant une partie de la journée; - b) les enfan
apprendre en classe, elle faisait le désespoir de ses maîtresses d' école . Quand elle est arrivée parmi nous, elle connai
elle était nulle. A cause de son état elle n'avait pas fréquenté l' école ; sa vue aussi bien que ses mouvements opposaien
qu'à la section de Bicêtre. Les améliorations réalisées dans les écoles des garçons sont introduites immédia- tement à
nt; 44 ne savent pas manger seules. - 200 enfants ont fréquenté l' école et ont été exercées à la gymnastique des échell
s avons insisté sur la nécessité de leur faire suivre les cours des écoles d'infir- mières et de leur faire accomplir un s
t les certificats semestriels. Direction des classes. - A la petite école , \I"° BI. Agnus a la direction de toutes les cl
nce générale. Pendant longtemps, il en était de mémo il la grande école . Le plus ancien des instituteurs, M. Doutiller, a
ffet est demeurée sans solution. Aussi n'avons-nous pas à la grande école tous les résultats que nous pourrions obtenir,
n, le sucre, les monuments de Paris, la Tunisie, etc. (p Dans les écoles primaires de Paris, les instituteurs pourraient
is au minimum), ils devraient suivre obligatoirement les cours de l' école d'infirmiers et infirmières de Bicêtre, les exe
les faire assister il quatre leçons aux sourds-muets et autant à l' école Braille ou aux jeunes aveugles. En attendant
c une première infir- mière, une infirmière et un infirmier (Petite école ). 2° Les enfants de a il 7 ans et de 8 à 12 ans
ement, non seulement la surveillance mais la direction de la petite école . Elle aurait les garçons et les filles (de 2 il 1
ferez bien de vous guider sur la fondation Vallée et sur la petite école de Bicêtre, quitte à leur donner une augmentati
rais beaucoup, je le répète, à ce qu'elles assistent aux cours de l' école d'infirmières. Je vous serais bien obligé, si v
Quant aux différents appareils et objets nécessaires tant pour l' école proprement dite, objets servant à l'éducation des
rneville1. Elles devront, durant leur séjour, suivre les cours de l' École d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre, les e
gique pourrait, en se guidant sur la. Fondation Vallée et la petite école de Bicê- tre, être fixé ainsi qu'il suit : CL
ant les méthodes de M. le D Bourneville, avec création d'une petite école ainsi qu'il le préconise pournotre établisse- m
initiative, divisant ces enfants en deux séries, elle leur a fait l' école , leur donnant des leçons de lecture, d'écri- tu
raitement du personnel de la fondation Vallée et de Bicêtre (petite école ). La commission donne un avis favorable aux pro
e physiologie. - Nous avons émis bien des fois l'idée que, dans les écoles primaires, on devait donner aux enfants des cla
t d'études ont suivi les leçons d'anatomie et de physiologie de l' Ecole des infirmiers et infirmières de Bicêtre. Nous
essaire de faire un enseignement suffisant de ces sciences dans les Écoles normales. Ce yuc nous demandons pour les enfant
ans les Écoles normales. Ce yuc nous demandons pour les enfants des écoles primaires n'est pas moins utile pour les élèves
t ; sirop d'iodure de fer ; huile de foie de morue ; hydrothérapie, école . 1894. Traitement; hydrothérapie : douches de 3
Rougeole, on ne sait à quel âge. Vacciné à deux ans, revacciné à l' école . Pas de variole,ni de 80 De QUELQUES formes DE
faire quelques calculs. Jusqu'à l'âge de 14 ans,il n'a pas changé d' école . Ses cama- rades, qui le connaissaient depuis l
A 14 ans, les parents ayant changé de quartier, l'enfant changea d' école . Ses nou- veaux camarades l'appelèrent « Gros b
vres. Elle ne perdait pas complètement connaissance ( ? ). Mise à l' école à 3 ou 4 ans, elle fut rendue à cause de ses ac
r semble être normale. Traitement : hydrothérapie, gymnasti- que, école et ouvroir. 1891, Mai. - Otite moyenne, aiguë,
mé- decin elle n'a été ni sourde, ni aveugle. Mise à six ans à l' école , elle y dormait, chantait, ennuyait les autres
it les autres enfants. Elle n'a pu rien y apprendre. Retirée de l' école au bout d'un an, sa mère lui faisait faire des ca
r l'époque à laquelle son attention s'est un peu fixée.- i\Iise à l' école dans une petite pension, vers 8 ans, elle y resta
ient rien et ne connait même pas ses lettres. On la mit ensuite à l' école communale où elle séjourna 6 mois; la maîtresse
Traitement : sirop d'iodure de fer, hydrothérapie, gymnas- tique, école . En outre, l'enfant est soumise au traitement t
onnaire. Aucun progrès' classique, l'enfant n'ayant pas fréquenté l' école . - La radiographie, faite le 13 juin, montre la
de vue intellec- tuel, état stationnaire. Elle n'a pas fréquenté l' école , elle pleure quand on veut l'y envoyer. - Huile
yer. - Huile de foie de morue, sirop d'iodure de fer ; gymnastique, école dans la mesure du possible. 1904. 2 mars. - L
sez bonne. Elle sait un peu lire et écrire; elle n'a été mise à l' école qu'à G ans et a eu beaucoup de peine à apprendre
les de bromure de camphre, de 2 à 8 ; hydrothérapie ; gymnastique ; école . Novembre. Pas de vertiges, en octobre ni en no
me. Très peu de mémoire, pas de raisonnement. L'enfant est allé à l' école de sept à quatorze ans, il n'apprenait rien, ma
ement : hydrothérapie ; élixir polybromuré, de 1 à 3 cuille- rées ; école . Fig. 66. - 1-lam... en mars J 903. ' , March
'abord placé en observation à l'infirmerie, puis envoyé à la grande école . Traitement : douches et en décembre, huile de
s produit une seule fois en décembre 1901, il est remis à la grande école . L'écriture est stationnaire, mais la lecture e
, gâteux ou non gâteux, épileptiques ou non, mais valides (Petite École ) ; ix 3° Traitement médico-pédagogique : Résul-
ésul- tats'.................................... ' ' XII 4° Petite école complémentaire xv 5° Enfants propres et valides
rés, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non (Grande école ).... xxv Certificats d'études obtenus Tableau
15 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
use Emile LAURENT; LLOYD-TUCKEY (de Londres); LETOURNEAU. prof, à l' École d'Anthropologie: MASOIN. prof, à l'Unit, de Louva
thropologie: MASOIN. prof, à l'Unit, de Louvain MANOUVRIER. prof, à l' Ecole d'Anthropologie: MESNET. médecin de l'Hôtel-Dieu
t par la fixation du regard, mais aucun des trois états décrits par l' école de la Salpétrière ne fut atteint: pas de cataleps
te de profession de foi où il résume en quelques pages les idées de l' école de criminalogie française. Les Italiens, avec Lom
préconçues, sans direction d'aucun maître, sans se rattacher â aucune école . Croyant que l'école italienne était à côté de la
ction d'aucun maître, sans se rattacher â aucune école. Croyant que l' école italienne était à côté de la vérité et il a eu le
es cabarets et les cafés achèvent de le perdre, « Mais, de toutes les écoles du vice, dit toujours le Dr Emile Laurent, la
orte on étroite, on pourrait croire que, me rangeant à l'opinion de l' École Italienne, je vais déclarer tous les criminels ir
té vient au secours du misérable et lui tient lieu de conscience. L' Ecole italienne attache une grande importance aux. cara
: in-8°, 12 pages. Paris, 1890. J. L. Pichery. — Gymnastique des écoles . Paris, in-8°, 200 pages 1890. Dr E. Ménière. —
oltaïtation en gynécologe : In-8°, 15 pages 1890. Paris, Place de l' Ecole de Médecine, 23-Dr E. Bérillon . — Le Suggestion.
de cité dans le domaine scientifique. Là, les étroites discussions d' Ecole , dans lesquelles les questions do personnes jouen
gée, soit au point de vue des données anthropologiques de la nouvelle école , soit au point de vue de la clinique proprement d
elque temps, et presque tous les élèves de Dupuytren avaient pris à l' école du maître des allures qui terrorisaient véritable
x qu'il a laites pendant le semestre d'été au grand amphithéâtre de l' école pratique. Cette dernière séance était consacrée
êtrière ef celle de Nancy. Il s'est rangé du côté de cette der- niere école et a montré que la suggestion était le facteur pr
mentée. Cette hyperexcilabilité neuro-musculaire de Charcot et de l' école de la Sapètrière tient-elle réellement à un état
-elle que le fait de la suggestion et du dressage, comme le prétend l' école de Nancy ? (1) Communication faite au Congrès i
mande de plus en plus si l'éducation moderne, tant à la maison qu'à l' école , est bien appropriée àson but, et si elle est con
actuel sur les adolescents. Les médecins en particulier ont accusé l' école d'influencer l'organisme de l'enfant qu'on lui co
Suède seuls ont dressé, à propos de l'état de santé des enfants, des écoles , des statistiques permettant de prendre des faits
que spéciale fut nommée pour reprendre ces recherches dans toutes les écoles du Danemark. En même temps, (l) Conférence fait
point de vue de la santé, a mesuré et pesé près de 15.000 garçons des écoles secondaires et 5.000 filles d'écoles privées ; to
pesé près de 15.000 garçons des écoles secondaires et 5.000 filles d' écoles privées ; tous ces enfants appartenaient aux clas
D'après les recherches qui ont été faites sur les 15000 enfants des écoles secondaires, il a été reconnu qu'un tiers d'entre
d'un hasard ; des chiffres analogues ont été observés dans toutes les écoles . Les recherches laites dans le Danemark ont about
ntiques. Ces laits n'ont pas d'autres causes que l'organisation des écoles . Le travail des enfants s'accroit de classe eu cl
asse ; les conditions hygiéniques dans lesquelles il vivent, tant à l' école que chez leurs parents, restent les mêmes. Un cou
ées qui correspondent aux classes préparatoires et inférieures de nos écoles secondaires), l'organisme des enfants offre peu d
née; enfin, après la puberté, pendant les dernières années du temps d' école , elle présente une seconde diminution. Pour les
té qui peuvent provenir de la maison paternelle ou qui sont liées à l' école et au travail d'écolier, on peut affirmer que la
s grands au moins de 8 à 9 heures. Et il a été constaté que. dans les écoles , on est loin de leur accorder ce chiffrez-Les élè
ombre de jeunes enfants, surtout dans les trois premières classes des écoles secondaires, n'étaient pas en état d'en suivre le
ement de la puberté. Etant donné le mode d'éducation actuel, tant h l' école qu'a la maison, nous devons très attentivement su
'histoire de l'hypnotisme. Il démontre les différences qui séparent l' école de Paris et l'école de Nancy. Il appelle l'attent
tisme. Il démontre les différences qui séparent l'école de Paris et l' école de Nancy. Il appelle l'attention sur les dangers
ique et â la suggestion faite pendant l'hypnose selon la méthode de l' école de Nancy, qui n'offre aucun danger si elle est em
seraient trop coûteux et pourraient, en outre, devenir de véritables écoles de simulation. Dans le diagnostic différentiel, l
, est devenue sombre et indifférente A tout. Elle a été renvoyée de l' école ou clic était auparavant une des bonnes 'élèves L
iterons le cas d'un jeune lycéen de 15 ans, sur le point d'entrer à l' Ecole navale, qui nous avait été adressé par le Dr Bazo
ie en deux séances. M. le Dr Armand Paulier, médecin inspecteur des écoles , voulant contrôler nos assertions sur ce point, n
oint, nous propose de soumettre à ce traitement plusieurs enfants des écoles atteints d'incontinence : nous acceptous sa propo
urine et des matières fécales qui la faisaient renvoyer de toutes les écoles , le Dr Frémineau, de Paris, a pu constater guéris
i minime que possible. Moll. aussi bien que Tuckey. est partisan de l' école de Nancy. Le docteur Luys fait paraître depuis le
oir lieu que dans le camp scientifique; les diflérents élevés entre l' école de Nancy et celle de la Salpétrièrc, à Paris, se
de la maison de santé de Kulparkow. — M. Raymondaud, directeur de l' Ecole de médecine de Limoges, est nommé chevalier de la
jours beaucoup aimé le travail etdésirait s instruire. Au sortir de l' école primaire elle aurait voulu continuera étudier, ma
es de Biraid à Richet, de Charcot à Bernheim. 11e Leçon. — Les -eux écoles de la Salpètriére et de Nancy. Conciliation entre
appelle grande hystérie n'offre pas spontanément la régularité que l' école de la Salpétrière lui a assignée: que cette évolu
actère. Pour les candidats à l'hystérie.Gilles de la Tourette, de l' école de la Salpétrière, déclare que l'hypnotisme ne ma
d (de Stockholm), ni tant d'autres qui suivent les errements de notre école et font de la suggestion thérapeutique n'ont vu,
conquêtes scientifiques du sciécle. A cette découverte qui émane de l' école de Nancy se rattache un nom qui •• ivra dansja re
omme président M. le professseur A.-J. Kojewnikoff, le fondateur de l' école neurologique cî osy-chiatrique de Moscou, et le m
es journaux ont subi l'obsession de U lutte homérique engagée entre l' École »|e Paris et celle de Nancy. Tout le monde a donn
les tendances, en matière d'hypnotisme, sont conformes à celles de l' École de Paris, concluent comme l'aurait fait des repré
'École de Paris, concluent comme l'aurait fait des représentants de l' École de Nancy. En effet, l'École de Paris considère l'
omme l'aurait fait des représentants de l'École de Nancy. En effet, l' École de Paris considère l'hypnotisme comme une névrose
de atteint de grande hystérie, un dégénéré, un détraqué, en un mot. L' École de Nancy, au contraire, affirme que le nombre des
esaccord évident avec l'opinion emise par M. Charcot et ses élèves, l' École de Nancy recevait une certaine satis-taction. N'a
cherait vers la responsabilité complète de l'accusée. Au contraire, l' Ecole de Pans, proférant que les hypnotisés de l'espèce
n'a plus rien compris, d'autant plus que le différend entre les deux écoles s'est compliqué tout à coup d'un élément nouveau.
n hypnotique, la défense a en; devoir demander à un représentant de l' École de Nancy de venir démontrer la possibilité des su
régés de la Faculté, qui, i Paris, se sont ralliés aux doctrines de l' École de Nancy, mais cela ne faisait pas son affaire: «
ait jamais admis une substitution, ni compris qu'on pouvait être de l' École de Nancy en résidant à Paris. H parait même que M
uggestions manifestement criminelles — aux dieux infernaux et placé l' École de Kancv sous l'invocation des dieux immortels, M
sont partagés. Mais l'impression générale est que les doctrines de l' École de Nancy ont essuyé, sur le terrain juridique, un
t été inspiré dans ses recherches par les écrits des professeurs de l' Ecole de Nancy. Lorsque son livre parut. M. le professe
ns contrôle scrupuleux ; on (ail dire à M. le Procureur général : « L' École de Nancy ne procède pas par expérience, mais par
ar affirmation. Credo quia absurdum, telle parait èlrc la devise de l' École de Nancy ». Les nombreux médecins étrangers qui s
ès international de l'hypnotisme tenu à Paris qu'ils étaient de noire école , qu'ils acceptaient notre doctrine, (1) Lisez l
ent se faire une opinion raisounée, quand un assiste aux conflits des écoles et que l'on voit des académies se prononcer à l'a
par dessus la tête de Gabrielle Bompart. II jette le discrédit sur l' Ecole de Nancy. Mais toute l'École de Nancy n'est pas d
lle Bompart. II jette le discrédit sur l'Ecole de Nancy. Mais toute l' École de Nancy n'est pas dans les opinions de MM. Lîébâ
hénomène* hypnotiques sont des phénomènes de suggestion, tandis que l' École de 1» Salpêtrière prétend que ce sont des phénomè
Marseille, a Montpellier, partout, le monde savant a donné raison à l' École de Nancy. La Revue de l'Hypnotisme elle-même, qui
ouise Lateau les vrais principes de la science, je ne relève d'aucuue école ; mais, quaud j'ai expérimenté par moi-même, je su
amment mes lettres à M. Thiriar) et je me suis rallié à la thèse de l' École de Paris. Ce n'est pas qu'il y ait entre les sa
surtout depuis le procès Gouffé, qui a mis directement en présence l' École de la Sal pétri ère et l'École de Nancy. Mais plu
é, qui a mis directement en présence l'École de la Sal pétri ère et l' École de Nancy. Mais plus on en parle, moins ou s'y ret
ne dis Pas exacte — que par l'étude et 1a pratique. Le désaccord des écoles et d'hommes comme MM. Charcot et Beraheim en est
s principes de celte science, je suis inféodé ni à l'une ni a l'autre école , nées toutes deux dix ans plus tard, mais je suis
u grand jour les erreurs — je dirais volontiers les fantaisies — do l' Ecole de la Salpéfrière. qui semble avoir visé à étonne
Paris ». Sur un point seulement je ne partage par les opinious de l' École de Nancy — qui avaient d'abord été sur le point d
e me convaincs tous le» jours de plus en plu* que c'est là un dogme d' école , pas autre chose, dogme fondé sur le sophisme qui
fférents à la Salpètrière et à Nancy, et que les opinions de ces deux Écoles sont dans un désaccord complet quanta l'interprét
caractères matériels qu'elles présentent chacune, constituent pour l' Ecole de la Salpëtrière des caractères somatiques fixes
r cas, on n*a pas de moyen certain de déjouer la simulation. Pour l' École de Nancy, représentée par MM. Liébeault, Bernheim
té en se mettant à l'abri de tcute cause d'erreur de ce genre. Pour l' École de Nancy, enfin, l'hypnotisme n'est pas un état p
dans toutes ses manifestations, de la suggestion. La lutte entre l' École de Nancy et celle de la Salpètrière se poursuit d
n tenir la différence de vues, si profonde, qui existe entre ces deux Écoles ? Il est assez difficile de répondre d'emblée à ce
la suggestion dans la production des phénomènes observés, rôle que l' École de Nancy et M. Ch. Richet ont si bien mis en évid
rdre de faits, les sujets reproduisaient à volonté, soit le type de l' École de la Salpètrière, soit le type de l'École de Nan
volonté, soit le type de l'École de la Salpètrière, soit le type de l' École de Nancy. En d'autres termes, je n'ai jamais rien
'hypnotisme. 'Ici encore s'accusent les différences de vues entre les Écoles de la Salpètrière et de Nancy. La première ne c
me pendant l'état somnambulique. si celle-ci n'est pas consentante. L' École de Nancy, au contraire, admet que l'on peut, chez
élictueux ou criminels à échéance plus ou moins lointaine. Pour cette École , le somnambule obéit fatalement et aveuglément à
grande, et nous devons la démonstration de ce fait principalement à l' Ecole de Nancy. La suggestion à l'état de veille suffit
On plaidera la suggestion! Et pendant ce temps, M. Beruheim et son École sont dans la joie. Enfin! on va donc pouvoir se r
rvir à leurs lecteurs un vrai régal, un spectacle à la Molière : doux Ecoles rivales s'apprêtent à s'entre-déchirer, et cela d
uivre, il est utile d'ouvrir une parenthèse ; nous venons de parler d' Écoles ; il est nécessaire de s'entendre. Depuis 1860,
vec les années, les élèves sont groupés autour du maître, formant une Ecole ayant ses doctrines, presque déjà ses traditions,
e Nancy, comparées aux faits expérimentaux de la Salpêtrière. (2) L' École de Paris n'a pas tiré d'applications pratiques de
de Paris n'a pas tiré d'applications pratiques de son enseignement. L' Ecole de Nancy emploie la suggestion dans on but Thérra
M. Bemheim, professeur à la Faculté, fondait à Nancy, vers 1882, une École d'hypnotisme et émettait des théories dont l'appl
ns tous les coins du monde, de l'Ancien et du Nouveau, se fondent des Écoles où sont traitées avec un égal bonheur la chaude-p
médico-légal, le seul qui nous intéresse véritablement aujourd'hui, l' École de M. Bernheim ne reste pas inactive ; elle a pou
rder par l'enthousiasme qui accueillait les doctrines si faciles de l' École de Nancy, la Salpétrière poursuivait le cours de
son tour, n'eut disséqué un huissier fictif. Le thème adopté pas l' École de Nancy était, suivant le canevas, rempli par M.
a question n'a nullement porté sur les doctrines divergentes des deux Écoles » (Temps. 29janvier 1891). Cette affirmation para
Il est singulier de voir la façon dont on écrit parfois l'histoire. L' Ecole de Nancy daterait de 1866, époque à laquelle un m
doctrine el se* procédés suggestifs. Au point de vue médico-4égal. l' Ecole de Nancy reconnaît d'abord M. Liébeault (186b;, p
somnambulisme provoqué ou spontané. El le somnambule, — c'est votre École qui l'enseigne — n'est-ce pas un véritable automa
que, M. Quesnay de Beau repaire, établissant entre les doctrines de l' École de Paris et de l'École de Nancy un parallèle qui
repaire, établissant entre les doctrines de l'École de Paris et de l' École de Nancy un parallèle qui n'était pas à l'avantag
lic incompétent), jetait à son tour par-dessus bord les théories de l' École de Nancy sur lesquelles elle avait fondé tant d'e
jury réfraclairc aux suggestions de M. Liégeois. Et un auteur, que l' Ecole de Nancy ne suspectera pas en pareille matière, r
s sont partagés. Mais rimpression générale esl que les doctrines de l' Ecole de Nancy ont essuyé, sur le terrain juridique, un
siècle tout ce qui s'était dit ou écrit sur l'hypnotisme, soit par l' École de Paris, soit par celle de Nancy. Petelin naqu
de suggestion enfin, que d'autres examinèrent plus tard. Si les deux écoles de Paris et de Nancy se disputent l'honneur d'avo
s un cas isolé à Lyon; il y existait parfaitement alors une véritable Ecole lyonnaise d'hypnotisme ! On a pour preuve le te
éloquent pour démontrer que le Gouvernement devait fonder à Lyon une école de médecine : il s'appuyait sur ce que Lyon était
mmeil de Sylvain était simulé, affirmait que, ni au point do vue de l' École de la Salpètrière, ni au point de vue de l'Ecole
au point do vue de l'École de la Salpètrière, ni au point de vue de l' Ecole de Nancy, le sujet ne présentait aucun caractère
e variété d'incidents el de scènes de la vie orientale. NOUVELLES Ecole d'Anthropologie. — M. le docteur J.-V. Laborde co
ncera le coure d'anthropologie biologique le mercredi 28 janvier, a l' École d'anthropologie, 15, rue de l'Ecole-de-Médecine,
0; VII, 363-371.) bérillon— (Dr Edgar). — Hypnotisme et Suggestion. L' École de Paris et ? Ecole de Nancy (L'Univers médical,
rillon— (Dr Edgar). — Hypnotisme et Suggestion. L'École de Paris et ? Ecole de Nancy (L'Univers médical, 15 janvier 1891. b
s élèves de la Salpètrière, avant que la division qui sépare les deux écoles ait acquis le caractère d'aigreur qui s'est manif
e 23. on verra qu'alors rien ne pouvait Caire supposer que les deux écoles en arriveraient à de telles divergences d'opinion
eule différence qui existait entre les expériences des disciples de l' École de la Salpêtrière et celles des représentants de
sciples de l'École de la Salpêtrière et celles des représentants de l' Ecole de Nancy, c'est qu'au lieu de porter sur des suje
admis par tons les auteurs, qu'ils s'inspirent à l'enseignement de l' École de la Salpêtrière ou de celui de l'École de Nancy
pirent à l'enseignement de l'École de la Salpêtrière ou de celui de l' École de Nancy, qu'il est assez facile d'obtenir d'un c
'est à tort qu'on a transformé une question de fait en une question d' Ecole . Que l'accusée, dénuée de sens moral, ait agi sou
devant la Cour, j'éviterais toute discussion doctrinale relative aux Ecoles de Paris ou de Nancy ; je prononcerais à peine le
. Gilles de la Tourelle avait dirigé dans le Progrès mèdkai, contre l' Ecole de Nancy, des attaque* que nous avons reproduites
ette, un vaillant athlète, pan en guerre pour achever de pourfendre l' École de Nancy, à laquelle il croit ou dit avoir déjà i
ne. Cest à tort qu'on a transformé une question de fait en question d' École . » C'est donc à tort que M. Liégeois s'exprimait
neur et de conscience de venir exposer devant vous les doctrines de l' École de Nancy. » Les doctrines de l'École de Nancy n
devant vous les doctrines de l'École de Nancy. » Les doctrines de l' École de Nancy ne sont donc plus celles de M. Bernheim
conduire certains sujets à des actes criminels. Ceci est admis par l' École de Nancy, ou au moins par beaucoup de ses adeptes
liothèque de Criminologie, chez Slork et Masson, 1890- Jusqu'ici, l' école d'anthropologie criminelle, aussi bien en France
ces prémisses théoriques. Après un exposé rapide des doctrines de l' école positiviste, M. Tarde aborde immédiatement la que
e sont pas en môme temps des juges de paix ou des arbitres ». Dès l' École de Droit, on devrait préparer des juges criminels
remier chapitre, M. Tarde établit le type criminel tel que l'entend l' école italienne. Il n'a pas de peine à le démolir ensui
au point de vue de l'E:ole de la Saipêtrière, ni au point de vue de l' École de Nancy, le sujet ne présentait aucun caractère
produire sur ce sujet tous les signe caractéristiques invoquées par l' Ecole de 1a Salpétrière. Les erreurs de l'École de la S
téristiques invoquées par l'Ecole de 1a Salpétrière. Les erreurs de l' École de la Salpôtrière sont dues ? ce qu'on y but des
r était-il hypoolisable ou non? On vient de lire les certificats de l' Ecole de Nancy et le mien. Devant le tribunal j'ai simp
Il n'appartient pas a un profane d'intervenir dans la lutte entre l' École de la Salpêtrière et celle de Nancy. Je veux seul
Bérillon à faire, pendant le semestre d'été de l'année 1890-1891, à l' École pratique de la Faculté de Médecine de Paris, un c
et Cie, 35. quai des Grands-Angustins. Paris. 1891. Godon (CH.). — L' École Dentaire de Paris et son ancien Directeur, in-8°
l'Université de Louviin. Enseignement de l'Hypnotisme. cours a l' école pratique M. le Dr Bérillon,. directeurde la Rev
e mardi 14 avril, à cinq heares, dans l'amphithéâtre Cruveilhier. à l' École pratique de la Faculté de Médecine, un cours libr
Faculté de Médecine de Nancy; L. Marinier, maître de conférences à l' École pratique des Hautes Études ; Ch. Rlcbet, professe
réjouie ou attristée par des faits de peu d'importance. L*n jour, à l' école , elle entend dire : « Voilà la grande! » elle en
de la société, ne vienne déclarer que les doctrines professées par l' École de la Salpêtrière sont surannées et qu'il passe a
ière sont surannées et qu'il passe avec armes et bagages du coté de l' École de Nancy. Nous ne serions pas surpris d'assister
s mardi» et samedis, à 5 heures, dans l'amphithéâtre Cruveilhier. à l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine, un cours libr
ue destinée anx applications cliniques de la suggestion hypnotique. Ecole paratique des Hautes-Etudes. — M. Jules Soury, ma
ice de clinique de la Faculté, à une démonstration des doctrines de l' Ecole de Nancy, faite par M. le professeur Bernheim. Le
es. A. cèle de M. Bernheim, nous devons réserver au professeur de l' Ecole de droit de Nancy, M- Liégeois, un tribut d'éloge
olument qu'une action suggestive typique. Nous sommes d'accord avec l' École de Nancy (du Dr Bernheim; sur ces points, que les
et du somnambulisme spontané reposent sur la suggestion et combien l' Ecole de Nancy est dans le vrai. Abstraction faite de
is que beaucoup d'observateurs, en particulier les représentants de l' Ecole de Nancy, prétendent que des suggestions criminel
reux. M. Voisin, après ses expériences personnelles, s'est rallié à l' École de Nancy. Il a seulement observé que les sujets p
16 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
s (4). Dès qu'un enfant marche sans aide, il est envoyé à la petite école , d'abord le matin, puis toute la journée, aussi
nue et que nous sommes obligé, aujourd'hui, de main- tenir dans les écoles où ils sont une occasion de trouble et qu'ils c
, gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou non mais valides (l'élite école ). Ces (II Voir Comptc-rentln de 18Si, {iO. l, p
t ! ... (1) IJouIl",TuuOllr ? Jeo'" JJerlr ? Cu ? l'elo... Petite école . V enfants fréquentent la petite école confiée
rlr ? Cu ? l'elo... Petite école. V enfants fréquentent la petite école confiée exclusive- ment à des femmes. Dans le c
décédés, 8 sont sortis définitivement, 20 sont passés à la grande école , 4 ont été envoyés dans les sections affectées
et 5 ont été transférés. Sur 180 enfants qui restaient à la petite école au 31 décembre 1890, 10 ne mangent pas seuls, G
rop infirmes, n'ont pu y prendre part. Vingt enfants de la petite école et de la petite école complémentaire ont fait r
pu y prendre part. Vingt enfants de la petite école et de la petite école complémentaire ont fait régulièrement les exerc
teliers : tailleurs, cordonniers, vanniers, menuisiers. La petite école comprend : 1° le traitement du gâtisme qui cons
s si souvent parlé dans nos Comptes-rendus de 1880 à 1895. Petite école complémentaire. - Elle est confiée à (I) IIoqui
les sièges installés jiour rebut dans leurs dortoirs. s. VI Petite école complémentaire. une femme dévouée, 11'11" Bonne
surveillance de l'un des dortoirs où couchent les enfants de cette école . Aux 40 enfants qui y étaient présents le IL, j
re, ce qui porte à cinquante le nombre des enfants présents à cette école . M ? Bonnet a, on outre, pour surveiller les cn
e : papa, maman, bobo, prononce maintenant a peu près tous Petite école complémentaire. vu les mots, néanmoins l'articu
de goût et d'adresse. 5° Thier... (Paul), sourd-muet, renvoyé de l' école d'Asniè- res, possède un vocabulaire de cent-vi
ées, des exercices, et les deux premières opérations. VIIr Petite école complémentaire. 4° Prim... (Frédéric). Cet enfa
rend rien et ne sait plus rien faire. Chez tous les élèves de cette école signalés l'année dernière comme lisant couramme
mainte- nant font tous les devoirs donnés journellement dans les écoles d'enfants normaux, c'est donc surtout par eux q
ple. Puisse-t-il avoir des imitateurs et des imitatrices ! Grande école . IX III. Enfants propres et valides, imbéciles,
rés, instables, percées, épileptiques et hystériques ou non (Grande École ). - La population de cette école était de '21-'
es et hystériques ou non (Grande École). - La population de cette école était de '21-'1 enfants au premier janvier. Tous,
rtificat d'é- tudes, forment une division supérieure, ne vont à l' école qu'une demi-journée par semaine et restent à l'
cessive- mont de tous les enfants. Il a réparti ceux de la petite école et de la petite école complémentaire en deux se
s les enfants. Il a réparti ceux de la petite école et de la petite école complémentaire en deux sections et ceux de la g
a petite école complémentaire en deux sections et ceux de la grande école en trois sections. Aucun d'eux ne savait lire l
ssèdent les (1) Au morne examen 3 infirmières et 24 infirmiers de l' École municipale d'infirmiers et d'infirmières de Bic
d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre (7 juillet', il celle de l' Ecole d'infirmières de la Salpetriero (28 juillet). E
menades et distractions. - Les enfants de la grande et de la petite école qui sont propres ont con- tinué à faire des pro
tion de lithographie ; ils ont visité aussi dans tous ses détails l' Ecole Esticnne dont le directeur, M. Frayssinet, a hi
s sous notre direction et celle de nos internes par les élèves de l' École municipale d'infirmiers et d'infirmières de Bic
e l'enseignement, est porté de 2.100 fr. à 2.h00 fr. Pour la petite école nous avons fait faire un tableau divisé en deux
du gymnase ; 3° la construc- tion d'un préau couvert pour la petite école ; 4° la reconstruction du parloir des familles.
mplacé le 1er août par M. lella3. 2° Sercice scolaire : a) grande école : 4 instituteurs, MM. Mesnard, Landosse, Grandv
firmiers tous les deux ayant le grade de 1er infirmier. - b) Petite école : Miles Agnus et Bohain, surveillantes; - Zip",
Pac- cluclct et 8 infirmières de dortoir, aidant les maîtresses d' école ; en outre 4 infirmières, n'ayant pas de dortoir,
nt affectées aux soins et à l'enseignement des enfants de la petite école . 3° Enseignement professionnel : 8 maitres dont
on deux catégo- ries : a) les enfants valides qui sont envoyées à l' école durant une partie de la journée. Bien qu'une cl
mêmes la section de Bicêtre. Les amélio- rations réalisées dans les écoles des garçons sont intro- duites immédiatement a
ment. 22 ne savent pas manger seules. 132 enfants ont fréquenté l' école et sont exercées à la gymnastique Pichery, 52 e
annexes ; à gauche, un dortoir qui est provisoirement affecté aux écoles , avec des annexes analogues ; z en face l'escal
nce des enfants idiots : création de classes spéciales annexées aux écoles primaires pour les enfants arriérés. I. A M
on do classes spéciales qui seraient an- nexées à quelques-unes des écoles primaires de chaque arrondissement et recevraie
arrondissement et recevraient les enfants arriérés de toutes les écoles cle l'arrondissement, les enfants ren- voyés à
sacrés aux idiots. Il y a aussi des arriérés, des retardés dans les écoles ordinaires ou qui, renvoyés des écoles, restent
iérés, des retardés dans les écoles ordinaires ou qui, renvoyés des écoles , restent dans leurs familles ou vagabondent dan
nfants nous proposons la création de classes spéciales annexées aux écoles primaires ordinaires. Afin de justifier cette c
qués dans les classes spéciales. Classes spéciales. lxxv Dans les écoles primaires de la ville, il y a aussi nombre d'en
ste des enfants arriérés et indisciplinés qu'ils avaient dans leurs écoles . Nous avons résumé le résultat de cette enquête
cembre 1895 à la Délé- gation cantonale. « En ce qui concerne les écoles maternelles, sur 12 écoles, une seule, celle de
on cantonale. « En ce qui concerne les écoles maternelles, sur 12 écoles , une seule, celle de la rue du Sommcrard, signale
y a 83 enfants arriérés et 49 indisciplinés des deux sexes dans les écoles des V" et VI" arrondissements sur une populatio
r parlé de la grande enquête qui a été faite en Angleterre dans les écoles publiques, pour se rendre (1) Ce rapport 0. éte
che scientifique compréhen- sive d'anormalités chez les enfants des écoles , nous n'avons pas l'intention de réclamer la pr
« classe auxiliaire » (I1Ülfs-Klasse) établie en connexité avec les écoles muni- cipales de lrunswick pour le bienfait des
isciples, au point de rendre leur ins- truction inefficace dans les écoles ordinaires. A force d'at- tention individuelle,
résultats les plus satisfaisants. « Des classes semblables, - ou écoles spéciales, - ont aussi été créées à Cologne, il
il y a actuellement 110 élèves environ ; à Cologne, il existe deux écoles spéciales avec un total de près de 300 enfants.
élèves ; et comparativement un progrès lent (une année de travail d' école ordinaire étant obtenue en quatre) est tout ce
s IDIOTS. Christiania et il Bergen, ces classes sont annexées aux écoles élémentaires publiques sous la direction respecti
s et de balais, sont procurés aux garçons qui ont liai leur temps d' école , tandis que des places de domestiques et de til
ès peu tournent mal au de- hors ». «Le 5 mars 1891, le Comité des écoles de Londres char- gea quelques-uns de ses membre
sprit faible, ils seraient séparés des écoliers ordinaires dans des écoles publiques élémentaires, afin qu'ils puissent re
ion spéciale. » Le résultat fut la création, l'année suivante, d' Ecoles pour l'Instruction spéciale » des enfants qui, en
nfants sur le rôle et ce nombre augmente sans cesse. Le conseil des écoles (Scllt>cl73oo.i'il) a sagement ordonné que 3
ire, beau- Classes spéciales. LXXIX coup plus grande que dans les écoles des Pays Scandina- ves, où chaque maître n'est
une exposition récente des pro- duits de l'enseignement manuel des écoles de Londres, en général, sont fort encourageants
ervé l'imperfection et avec l'approbation du médecin du Conseil des écoles . Cette répartition habile des élèves dans la ca
les mêmes procédés que ceux des classes spéciales du Conseil des écoles , ont été établies dans ces dernières années. Comm
es enfants idiots. mentales semblables que s'il est soumis dans une école ordinaire à une rivalité sans espoir avec des e
du Département de la Seine émet le voeu qu'il soit créé, près des écoles de la Ville, des classes spéciales pour les enf
t au sujet de la statistique DES enfants arriérés existant dans les écoles primaires de la Ville de Paris. Réponse. La v
de dresser une statistique des enfants arriérés existant clans les écoles primaires do la ville de Paris. Pour l'aider da
olemcnt des enfants arriérés ou iudisuipli- nés qui fréquentent les écoles de la Ville de Paris. Classes spéciales. LXXXII
s pour les LXXXIV Assistance ET éducation DES IDIOTS. enfants des écoles primaires plus ou moins retardés clans leur dév
désirez, avec juste raison, associer les médecins-inspecteurs des écoles , vous me demandez de vous donner « une défini-
ule de professions. Ils ont des impulsions suintes, se sauvent de l' école , de LXXXVIII Imbécillité morale. la maison pa
nsuffisance, pourront aider les directeurs et les direc- trices des écoles primaires municipales dans le travail de statis
est libre, le langage rarement grossier. B... est peu appliqué à l' école où très souvent il s'amuse et se dispute avec ses
Rien de particulier durant cette année. B... préfère l'atelier à l' école . Il commence à faire des chaussures neuves. Son é
entimètres; circon- férence, 9. Décembrc. - Même indiscipline à l' école . Tenue malpropre. Caractère irritable. Accès de
jours d'avril. Juillet. - B... est allé un peu plus fréquemment à l' école ; on le retient trop volontiers il l'atelier de
ien sous le rapport intellectuel que sous le rapport moral. Si, à l' école , les progrès de B... ont été limités, en revanc
ition complète à 4 ans. - Gâtisme. - Tics. Etat actuel. - Notes d' école . - Syphilis acquise. - Con- gestion pulmonaire
end-on, il comprenait assez bien. Il fut envoyé momen- tanément à l' école , mats il se tenait isolé dans un coin et ne jou
paralysie ne se modifia pas, non plus que son intelligence : à l' école il n'apprit rien du tout. Puis, il la suite « d'u
20. Intelligence. On a essayé, sans succès, d'envoyer Doue... à l' école ; il se refuse à toute application, et quitte la
e. Il est incapable de retrouver son lit au dortoir ou sa place à l' école . Actuellement les accès sont à la foi diw'I1eS
égie snnsmoüyue, t88 ? ). Description du malade. 89 Entré à l' école le 20 octobre 1879, D.... ne connaît pas les le
. - Suspension des douches ; bromure de potassium de 2 à 8 grammes; école . D... lit un peu; gym- nastique (où il y a peu
l'intelligence. Elle avait un peu maigri A 7 ans, on l'a mise à l' école : tout d'abord, pendant six mois elle n'apprena
s été notablement affaiblie. Quoiqu'il en soit, l'enfant mise à l' école à 7 ans, après une période d'écolage médiocre,
nfance, parait intelligente et dit qu'elle apprenait facilement à l' école ; nez aquilin ; jamais d'attaques, de migraines,
erveuse. Avant, il ressemblait aux autres enfants, il fréquentait l' école du vil- lage et on le disait très avancé pour s
tériformes. 221 L'enfant a été placé dès l'âge de sept ans dans une école publique de la Creuse. A neuf ans, il acte à un
ans dans une école publique de la Creuse. A neuf ans, il acte à une école primaire de Paris. On en était très content. Il
. 11 est tout le temps resté avec sa mère ; on n'en voulait pas à l' école . Chez lui, il pas- sait son temps il jouer, sur
est le même. 1891. Février. - Lép... passe de la petite à la grande école . Juillet. - Cet enfant est très turbulent, peu
sans résultat; il préfère le balayage des cours à l'atelier et à l' école . 1892. Juillet. - Pas de progrès à l'école. Lép
cours à l'atelier et à l'école. 1892. Juillet. - Pas de progrès à l' école . Lép... fait des pa- ges de bâtons sans s'appli
longueur et 6 cent. de circonférence. Décembre. -Aucun progrès à l' école , c'est tout au plus si on est parvenu iL lui ap
17 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
u- rables. En effet, la plupart d'entre eux sont suscep iv Petite école . tibles d'amélioration, même a un degré très no
(4). Dès qu'un enfant marche sans aide, il est envoyé il la petite école , d'abord le matin, puis toute la journée aussit
lité est reconnue et que nous sommes obligé de maintenir dans les écoles où ils sont une occasion de trouble et qu'ils c
galeux ou non gâteux, épilepti- ques ou non mais valides, (l'élite école ). Ces enfants fréquentent la petite école confi
on mais valides, (l'élite école). Ces enfants fréquentent la petite école confiée exclusive- (1) Voir Compte rendu de IS8
(4)Boute... (5) Voir Compte rendu de 1887, /ili. et 1 l, PETITE ÉCOLE . v ment à des femmes. Dans le courant de l'anné
dé- cédés, 13 sont sortis définitivement, 5 ont passé à la grande école , deux ont été envoyés dans les sections affecté
a été trans- féré. Sur les 226 enfants qui restaient à la petite école au 31 décembre 1895, 15 ne mangent pas seuls, 6
étant infirmes, n'ont pu y prendre part. 26 enfants de la petite école et de la petite école complémentaire ont fait r
nt pu y prendre part. 26 enfants de la petite école et de la petite école complémentaire ont fait régulièrement les exerc
teliers : tailleurs, cordonniers, vanniers, menuisiers. La petite école comprend : 1° le traitement du gâ- tisme qui co
si souvent parlé dans nos comp- tes rendus de 1880 à 1894. Petite école complénentaire. - Elle est confiée à (t Baudi ?
r...., Daves...., Cheva- lier..., Sig0.r... ? Lamb...., VI PETITE école . une femme dévouée, 1\pDe Bonnet, qui s'est mis
surveillance de l'un des dortoirs où couchent les enfants de cette école . Aux 22 enfants qui y étaient présents le 1 ? j
riait et se balançait continuellement sans articuler un seul PETITE école . VII mot. Aujourd'hui il ne crie plus, commence
eçons de choses. 6° Thierro.. (P.) est un sourd-muet renvoyé de l' école d'As- nières. A son arrivée, il ne prononçait q
Victor), Cuizini.. (Henri). Celui-ci avait été renvoyé de plusieurs écoles comme absolument dépourvu. Les 7 autres enfan
es progrès sous tous les rapports. Tous les enfants de cette petite école complémen- taire ont été notablement améliorés,
mes Bonnet et Cordonnier. Aux moyens anciens employés à la petite école nous VIII PETITE ÉCOLE. en avons ajouté que
Aux moyens anciens employés à la petite école nous VIII PETITE ÉCOLE . en avons ajouté quelques-uns que nous allons d
'écriture, nous avons, d'après les indi- Fig. 1. Fig. 2. PETITE ÉCOLE . IX cations de Séguin, fait faire à l'atelier d
ent moral, hygiène et éducation des idiots. 1SX4, p. 43(i. PETITE ÉCOLE . tenant professeur à l'Institut Médico-Pédagogi
e aux six, cinq, quatre, trois, deux, un et blanc. Fig. 3. PETITE ÉCOLE . xi C'est à dessein que nous avons laissé de cô
nge qui ne sont pas des couleurs assez fran- J''if;.4. XII PETITE ÉCOLE . ches pour nos enfants. Nous avons ainsi, pour
de ce nouveau jouet, qui pourrait être utilisé pour les enfants des écoles maternelles, aussi bien que pour les enfants ar
nom. Ces jardins sont des- Fig. 5. - Tableau roulant. xiv Grande école . nés aux leçons de choses. Durant toute la bell
, instables, pervers, épileptiques, et hystériques ou non (Grande École ). La population de cette école était de 214 enf
iques, et hystériques ou non (Grande École). La population de cette école était de 214 enfants au 1 cr janvier. 167 ont f
certificat d'études forment une division supérieure et ne vont à l' école qu'une demi-journée par semaine et travaillent
uteurs et leurs aides, ainsi que nos sous-employées attachées aux écoles , mieux en mesure d'améliorer la pronon- ciation
ême examen 7 infirmières, 5 infirmiers et deux élèves externes de l' École municipale d'infirmiers et d'infirmières de Bicêt
s de Bicêtre. ont également obtenu le certificat d'études. Grande école . xv sourds-muets. Nous profitons de l'occasion
de l'hospice d'Ivry (25 juillet), à la distribution des prix de l' école d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre (11 ju
d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre (11 juillet) à celle de l' école d'infirmières de la Salpê- trière (29 juillet).
successivement de tous les enfants. Il a réparti ceux de la petite école et de la petite école complémentaire en deux se
s les enfants. Il a réparti ceux de la petite école et de la petite école complémentaire en deux sections et ceux de la g
a petite école complémentaire en deux sections et ceux de la grande école en trois sections. Aucun d'eux ne savait lire l
ne palme en vermeil, luttant avantageuse- ment avec des enfants des écoles ordinaires, mieux doués intellectuellement. En
menades et distractions. - Les enfants de la grande et de la petite école qui sont propres ont con- tinué à faire des pro
musée patho- logique, M. Sollier. 2° Service scolaire : a) grande école : 4 institu- teurs : MM. Mesnard, Landosse, Gra
deux infirmiers dont l'un a le grade de [or infirmier. - b) Petite école : ]\1110' Agnus et 13ohain, surveillantes; 1\11
et et Pacquelet et 8 infirmières de dortoir aidant les maîtresses d' école ; en outre 4 infirmières n'ayant pas de dortoir
nt affectées aux soins et à l'enseignement des enfants de la petite école . 3° Enseignement professionnel : 8 maîtres dont
es qu'à la section de Bicêtre. Les améliorations réalisées dans les écoles des garçons sont . introduites immédiatement à
de : Cantcl ? Monta ? Wim... etMan... 120 enfants ont fréquenté l' école et exécuté les exercices de la gymnastique Pich
... et Jup..., sont employées comme demi-infirmières iL la petite école complémentaire de Bicêtre. Une autre, Maigr ? q
d'études, suivi les Enseignement professionnel. XLVII cours de l' école d'infirmiùres et ohtenu son diplôme a été mise
enfants anormaux. I. Création de classes spéciales annexées aux écoles primaires ordiciaires pour les enfants arriérés
ureux enfants. D'autres enfin, après avoir été renvoyés de diverses écoles , parce qu'ils sont insuffi- sants, turbulents.
nds, les arriérés, les débiles, les insuffisants sont soit dans les écoles , soit dans leurs familles. Ceux des écoles sont
nts sont soit dans les écoles, soit dans leurs familles. Ceux des écoles sont une gêne pour les instituteurs et les ins-
n l'exige : il ne faut pas qu'ils soient plus longtemps hors de l' école . Aujourd'hui on se les rejette de tous côtés ; on
école. Aujourd'hui on se les rejette de tous côtés ; on essaie de l' école laïque puis de l'école congréganiste. Finalemen
e les rejette de tous côtés ; on essaie de l'école laïque puis de l' école congréganiste. Finalement ils sont exclus. Que
ss Burgwin, quelques écoliers sont retour- nés dans leurs anciennes écoles , où, je l'espère, ils seront capables, jusqu'à
ent, l'élève qui se serait montré trop inférieur serait réadmis à l' école spéciale. » L'an dernier nous avons entretenu d
e des enfants arriérés et indisciplinés qu'ils avaient dans leurs écoles . Nous avons résumé le résultat de cette enquête
e tableau suivant : LXII Enfants AIUUERËS. En ce qui concerne les écoles maternelles, sur 12 écoles, une seule, celle de
Enfants AIUUERËS. En ce qui concerne les écoles maternelles, sur 12 écoles , une seule, celle de la rue du Sommerard, signa
y a 83 enfants arriérés et 49 indisciplinés des deux sexes dans les écoles des V et VIe arrondissements sur une population
t l'étranger, la statistique approximative des enfants arriérés des écoles du Ve et du VIe arrondissement, les essais qui
t du VIe arrondissement, les essais qui ont été faits dans quelques écoles pour deux autres catégories d'enfants anormaux,
ette époque, si tout n'a pas été réalisé, beau- coup a été fait : l' École Braille a été organisée pour les aveugles; un p
ous sou- tenons, on reconnaîtra la nécessite ? sinon de créer une école spéciale, tout au moins d'instituer un ensemble
les con- vulsions mensuelles qui ont cessé à 7 ans. Mis alors à l' école on ne put le garder parce qu'il n'appre- nait r
Traitement : sirop d'iodure de fer ; douches de 30 secondes; petite école . 13 juin. La dentition de lait est encore compl
bout à bout. Les gencives sont en bon état. L'enfant va à la petite école . Là, on constate qu'il n'ar- ticule aucun son e
e dentition dans son ensemble n'aurait pas été retardée. Envoyé à l' école , il fut impossible de rien lui apprendre. Chez
écifique) que la mère appelle des engelures. Del... a fréquenté l' école , où elle se faisait remarquer par ses gaminerie
ises sont plus fréquentes; elle en a deux ou trois par semaine. A l' école , elle n'a jamais rien appris : elle ne sait ni
Jusqu'à douze ans, Duf.... est resté chez ses parents, allant à l' école communale; ensuite, il a été mis en pension et
nce des idées mystiques. - Amour de la solitude. - Nuls progrès à l' école . - Fièvre typhoide; - anlélioration; - abcès; -
e lui-même avoir des peurs fréquentes et des accès de colère. A l' école , IIenn., se montre studieux et docile, il lit à v
le met aux douches et à l'huile de foie de morue. Les progrès à l' école sont nuls ; son assiduité et sa èonduite ne lai
est tombé en déchéance. Néanmoins le 25 juin il peut retourner à l' école . Puberté (Juillet 1893). - Corps glabre. Verge
189 2S jan/)ir ? O février. Impétigo du cuir chevelu. .Illtll·'t. Ecole . Malgré le traitement tonique et les exercices
en débarrasser. Il connait maintenant tous les enfants de la petite école . Il n'a plus fait de nouvelles tentatives de st
fir- miers. - Douches froides. Décembre. R... est mis à la grande école et voici la note remise à son sujet par son ins
et de destruction se réveil- lent et on doit l'envoyer à la grande école . 15 juin. - R... devient plus méchant, tourne s
fureur contre lui-même et s'égratigne le visage. Il se déplait à l' école où les autres enfants le taquinent et comme sa
« C'est pas fort les femmes. R... a pas peur des femmes » ! ! A l' école , il brise tout et cherche à saisir au passage les
es. Il est relative- ment propre et bien tenu. Lorsqu'on le met à l' école et qu'on le sépare de la brave femme qui l'a so
la marche est deplus en plus ferme, elle prête plus d'attention à l' école , elle semble moins sensible au froid, elle devi
us calme, les mouvements spasmodiques semblent avoir disparu. A l' école le travail est plus assidu : elle connait l'ortho
es petites compagnes auxquelles elle se plaît à rendre service. A l' école , progrès dans l'orthographe d'usage, mais grand
prévenante; ses manières sont beaucoup plus douces. Les progrès à l' école et à la couture continuent; il n'y a que la gym
gâteux ou non gâteux, épi- leptiques ou non, mais valides (petite école ) iv 3° Petite école complémentaire v Double r
épi- leptiques ou non, mais valides (petite école) iv 3° Petite école complémentaire v Double règle vin Dominos en
rés, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non (grande école ) ...... xiv Société de gymnastique XV Fanfare
18 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
cluse; Henry LEMESLE LLOYD-TUCKEY (deLondiesk; MANOTJVRIBR; prof, à l' Ecole d'Anthropologie; MASOIN, prof, à l'Université deL
Londres); ?????.?, méd. de l'Asile do Lafond; Paul MAGNIN, prof, à l' Ecole de psychologie; MORSELLI (doOcnes); DE PACKIEWICZ
ET THÉRAPEUTIQUE 17e Annre. — N° 1. Juillet 1902. BULLETIN L' Ecole de psychologie-et le mouvement psychologique. A
e. Au commencement du mois de janvier, en inaugurant les cours de l' Ecole de psychologie, notre éminent maître, M. le Dr Al
appelée à rendre. Il s'exprimait dans les termes suivants : « Votre Ecole de psychologie a franchi les difficultés du début
es justement appréciées. Elle est quelque chose de plus encore, cette Ecole ! Elle est un grand exemple de ce que peut créer
ation de laquelle devaient concourir les efforts des professeurs de l' Ecole de Psychologie. « Messieurs, en étudiant, comme
x de lui apprendre qu'il a été bon prophète. Le succès des cours de l' Ecole de psychologie a été considérable. Une afflue
us les retrouverons au mois de janvier prochain à la réouverture de l' Ecole . La Revue de l'Hypnotisme, organe de l'Ecole de
à la réouverture de l'Ecole. La Revue de l'Hypnotisme, organe de l' Ecole de psychologie, a déjà publié un certain nombre d
hypnotique sur la circulation. Par M. le D' Bêrillon Professeur à l' Ecole de Psychologie, L'hypnotisme, science de la vie
hements, n'offre pas une suffisante garantie. De môme on a créé des écoles dentaires, où l'on donne tout enseignement nécess
viennent de paraître sous forme d'un (1) Vigot, éditeur. Place de l' Ecole de Médecine. Et bureaux de la Revue de l'hyp-noti
la Dardye, Dr Le Menant des Chesnais, Dr Bellemanière, professeur à l' Ecole de psychologie, M. Lépinay, médecin-vétérinaire,
sation, le D' Félix Regnault, M. le Dr Henry Lemesle, professeurs à l' Ecole de psychologie, M. le Dr Bourdon de Méru, M. Boir
nes. » Le musée de psychologie est un complément indispensable de l' Ecole de psychologie. L'enseignement de la psychologie
prophétiques ou révélateurs par M. le Dr Paul Farez, professeur à l' Ecole de Psychologie J'ai été tout récemment amené à
ques, dans les circonstances suivantes. Il y a quelques semaines, à l' Ecole de Psychologie, j'étudiais dans une série de leço
de Grenoble, les Dr Félix Regnault et Henri Lemesle, professeurs à l' Ecole de Psychologie, le Dr Bourdon (de Méru), le Dr Le
re des monstres doubles Par M. le Dr Félix Regnault, professeur à l' Ecole de PsychologieD'où provient notre caractère? C'es
grès de la psychologie scientifique. (1) Vigot, éditeur, place de l' Ecole de Médecine, et bureaux de la Revue de l'Hypnotis
rochains numéros. Ensuite, à la séance d'ouverture, le directeur de l' Ecole de médecine de Grenoble, M. le professeur Bordier
ans la capitale du Dauphiné, M. le professeur Bordier, directeur de l' Ecole de médecine, et M. Boirac, recteur de l'Académie
ogie expérimentale (') Par M. le professeur Bordier, directeur de l' Ecole de médecine de Grenoble. Je suis heureux de sal
ole de médecine de Grenoble. Je suis heureux de saluer, au nom de l' Ecole de Médecine et de Pharmacie (j'ajoute au nom du c
annuelles. Je me sens fort honoré d'avoir à accueillir, dans cette Ecole , les confrères, les collègues et les maîtres émin
artiennent. Si vous avez été conduit ici par votre sympathie pour l' Ecole de Médecine de l'Université de Grenoble, sympathi
s plus nécessaires au médecin. Vous appartenez d'ailleurs à cette Ecole de psychologie expérimentale, qui caractérise not
as retarder plus longtemps vos travaux. Vous allez tenir dans cette Ecole la plupart de vos séances. — Vous êtes ici chez v
tiers la galerie aux dépens du malheureux candidat. Il quitte alors l' école « à la recherche de la vérité et de la science et
te la physiologie des Anciens pour la remplacer par les documents des Ecoles des Physiciens. Aussi son livre est-il intitulé :
e extra-terrestre. Pour lui c'est Dieu qui crée le Médecin et non les Ecoles . Le médecin est l'intermédiaire entre Dieu et l'h
'était comme une sorte de manifeste provocant contre les théories des Ecoles d'alors, contre le Galénisme, qui régnait encore,
— nous dirions aujourd'hui tenter une pathogénie de la fièvre. Les Ecoles définissaient alors la fièvre : « Une chaleur con
ant dans un carton quelques plantes bientôt oubliées à sa sortie de l' école . Il ne faut pas l'assimiler davantage au coiffeur
'expérimentation psychologique ont été mises en honneur surtout par l' Ecole de Charcot. D'après les doctrines de,ce dernier,
rée par le milieu familial. par M. le Dr Paul Farez, Professeur à l' Ecole de Psychologie. On me fait appeler, il y a quel
Kovalewsky, un volume in-8. Vigot, frères, Editeurs, 23, Place de l' École de Médecine, Paris.......................6 fran
isons et les établissements pénitenciers transformés en une véritable école du crime. Tous ceux qui pensent que l'ancienne
nt-André-des - Arts, 49 COURS DE 1903 La Réouverture des cours de l' Ecole de Psychologie aura lieu le lundi 12 janvier à
fre aux étudiants tous les moyens d'étude qu'ils peuvent souhaiter. L' Ecole de psychologie et l'Institut psycho-physiologique
ires et les végétaux Par le dr Charles Binet-Sanglé, Professeur à l' Ecole de psychologie de Paris. La substance encore ch
sicale et Psychothérapie. ' par le Dr Henry Lemesle, professeur à l' Ecole de psychologie. Parmi les nombreux travaux qui
ndré - des - Arts, 49 COURS DE 1903 La Réouverture des cours de l' Ecole de Psychologie aura lieu le lundi 12 janvier à ci
ts. 17e Année. — N°7. Janvier 1903. BULLETIN Les cours de l' Ecole de psychologie La réouverture des cours de l'Ec
Les cours de l'Ecole de psychologie La réouverture des cours de l' Ecole de psychologie aura lieu le lundi 12 janvier, à c
'actualité : La méthode en psychologie zoologique. C'est dire que l' Ecole de psychologie reste fidèle à son programme scien
ien accepter la présidence de la huitième séance d'ouverture de notre Ecole , nous avons voulu à la fois, exprimer notre sympa
uellement, les progrès espérés ont été réalisés. Les professeurs de l' Ecole : MM.Bérillon, Paul Magnin, Félix Hegnault, Paul
des conférences est publié à la fin de ce numéro. L'enseignement de l' Ecole de psychologie s'adresse avant tout au public sci
ellement invités aux cours et aux conférences. Ce qui caractérise l' Ecole de psychologie, c'est qu'elle est une œuvre absol
du tuberculeux pulmonaire par le Dr Félix Regnault, Professeur à l' Ecole de psychologie de Paris. A l'occasion du roman
e et psychologie par M. Laisant, docteur ès-sciences, examinateur à l' Ecole polytechnique Vendredi 6 février, à 8 h. 1/2 Le
, de démonstrations expérimentales et de présentations d'appareils. ÉCOLE DE PSYCHOLOGIE 49, rue Saint-André-des-Arts, 49
4 janvier. HORAIRE DES COURS 17e Année -N°8 Février 1903. L' ÉCOLE DE PSYCHOLOGIE Allocution de M. le Dr Bébillon.
de l'Académie des Sciences. La réouverture annuelle des cours de l' Ecole de psychologie a eu lieu le lundi 12 janvier, à c
oisin, médecin de la Salpêtrière, ainsi que tous les professeurs de l' Ecole , MM. les DM Bérillon, Paul Magnin, Félix Regnault
-physiologique. Parmi les personnalités qui étaient venues donner à l' Ecole de psychologie une marque de leur sympathie, nous
-Ménard, membre de l'Académie de médecine, M. Terrier, professeur à l' Ecole normale supérieure de Sèvres, M. Laisant, examina
r à l'Ecole normale supérieure de Sèvres, M. Laisant, examinateur à l' Ecole polytechnique, M. le Dr Fiessinger, membre corres
de la ville de Paris, M. Thierry, médecin vétérinaire, directeur de l' Ecole d'agriculture de Beaune. MM. les Drs Arthur Petit
la séance, M. le professeur Giard donne la parole au Dr Bérillon. L' Ecole de Psychologie, allocution par le Dr Bérillon.
e du 12 janvier 1903 marquera une date mémorable dans l'histoire de l' Ecole de psychologie. Nous devrons à la présidence de M
la présence de M. le professeur Giard à la réouverture des cours de l' Ecole de psychologie. Apprenant de nous qu'il pourrai
couragements et par ses conseils contribuer au développement de cette Ecole et fortifier dans notre esprit le culte de la mét
e bienveillance, et de considérer la réunion des professeurs de cette Ecole , comme un groupe d'élèves dévoués, unis à lui par
min parcouru, nous ne pouvons faire autrement que de penser que notre Ecole de psychologie est née sous une heureuse étoile.
evons, en outre, l'esprit scientifique qui a inspiré la création de l' Ecole de psychologie. Il y a deux ans, lors de la tra
. Il y a deux ans, lors de la transformation de l'enseignement de l' Ecole de psychologie, M. le professeur Tarde, qui prési
ous pouvons lui attribuer le succès si rapide et si éclatant de notre Ecole . Aussi, nous nous empressons de saisir l'occasion
ini d'une façon très heureuse et très éloquente le caractère de notre école . Nous ne pouvons mieux faire que de citer les pas
ont l'effort se manifeste toujours plus dur que l'obstacle. « Votre Ecole de Psychologie a franchi les difficultés du début
es justement appréciées. Elle est quelque chose de plus encore, cette Ecole ! Elle est un grand exemple de ce que peut créer u
Guimet peut être assuré qu'il trouvera dans tous les professeurs de l' Ecole et dans leurs élèves des admirateurs sincères de
é sa vie. Sous sa direction, le musée Guimet est devenu une véritable école , à laquelle la nôtre se rattache par un but commu
u'il nous a fait, et nous lui demanderons de faciliter entre les deux écoles , les relations de bonne confraternité scientifiqu
ec laquelle il s'applique à vulgariser au loin les doctrines de notre Ecole , à laquelle il a déjà donné tant de marques d'att
ttachement. Enfin, comme rien de ce qui intéresse les amis de cette école ne saurait nous laisser indifférents, nous saluon
pressés et si bienveillants, la plus grande partie du succès de cette Ecole . Je les prierai, au nom de tous les professeurs,
sseur au Lycée Hoche. J'imagine volontiers que les professeurs de l' Ecole de psychologie ea me chargeant de cette leçon d'o
rches si captivantes qui font l'objet de vos études. Au surplus l' Ecole de Psychologie n'est pas une création nouvelle. D
renoncer à la méthode d'observation interne, qui a fourni naguère à l' Ecole Ecossaise et depuis à maints psychologues plus ré
ses fins dernières. Vous le savez. Messieurs, le fondateur de cette Ecole est en même temps le directeur de la Revue de l'h
es à mettre en évidence. C'est, Messieurs, le grand mérite de cette Ecole libre de psychologie et ce sera la gloire des maî
s et les végétaux Par M. le Dr Charles Binet-Sanglé, Professeur à l' Ecole de Psychologie. [suite) (2) II. — LE SOMMEIL DE
0. Somnoforme et suggestion par M. le Dr Paul Farez, Professeur à l' Ecole de Psychologie. La pratique de la suggestion th
e : Une stigmatisée contemporaine : Sœur Bour-guillion. NOUVELLES Ecole de Psychologie. — Conférences de 1903. 4g, rue
s et les végétaux Par M. le Dr Charles BINET-Sanglé, professeur à l' Ecole de Psychologie. [Suite). II. — Causes du sommei
insister sur le rôle important que le médecin pourrait remplir dans l' école , point qui jusqu'à présent a été beaucoup trop né
p trop négligé par l'autorité supérieure. Le médecin inspecteur des écoles , à mon sens, devrait faire des visites beaucoup p
yncrotèmes familiaux. par le Dr Charles Binet-Sanglé Professeur à l' Ecole 3e Psychologie. J'ai appelé hiérosyncrotème (ii
e de 3.750.000 francs. Une bagatelle, comme l'on voit ! NOUVELLES Ecole de Psychologie 49, rue Saint-André-des-Arts, 49
Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, professeur à l' Ecole de psychologie. Dans la terminologie médicale,
on m'avait conduit au dispensaire, parce qu'il avait été renvoyé de l' école primaire, et parce que, non seulement il ne pouva
ir le n° de la Revue de l'Hypnotisme de mars 1903. Charcot et son Ecole ont étudié de très près ces symptômes (que nous r
ut faire des suggestions. Ce principe, a été établi nettement par l' Ecole de Nancy, Liebeault et Bernheim notamment : il me
insister un peu sur cette idée parce qu'elle est importante et que l' Ecole de Nancy l'a combattue avec beaucoup de talent.
t d'accepter sa définition de la suggestion. Le grand argument de l' École de Nancy est l'énumération et l'étude des termes
umatique intermittente par M. le docteur Paul Farez, professeur à l' Ecole de Psychologie. Mme P., âgée de 33 ans, mariée,
isté sur ces phénomènes d'électivité dans mon cours de cet hiver, à l' Ecole de Psychologie, sur ta Pathologie du sommeil natu
liés par MM. les Dr Bêrillox et Paul FAREz VIGOT, éditeur, place de l' École de Médecine, Paris Les comptes rendus du 2e Con
de vue médico-légat, par MM. les Dr (1) Vigot, éditeur, place de l' Ecole de Médecine, et bureaux de la Revue de l'Hypnotis
soulevées au Congrès de Madrid. NOUVELLES Cours d'hypnotisme a l' Ecole pratique de la Faculté de médecine de Paris. — Le
— Le Dr Bérillon commencera, le lundi 11 mai 1903. à cinq heures, à l' Ecole pratique de la faculté de médecine, amphithéâtre
mbre limité d'élèves. On s'inscrit les jeudis, de 10 h. à midi, à l' Ecole de Psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts. O
peutique. In-8, 320 pages avec 58 figures. Vigot, éditeur, place de l' Ecole de Médecine, et bureaux de la Revue de l'Hypnotis
la science hypnotique (1) par le Dr Félix Regnault, professeur à l' Ecole de psychologie. La science des religions est de
ité de Paris. Elle possède une chaire au Collège de France, toute une école à la Sorbonne, un musée très riche fondé par Guim
galement la suggestion qui fait qu'un chacun (1) Cours professé à l' Ecole de psychologie en 1903. participe aux croyanc
t, ethnographiques de l'autre. Dans une première année de cours à l' Ecole de psychologie, en 1901, j'étudiai à ce même poin
a éprouvée à réveiller le sujet. NOUVELLES Cours d'hypnotisme a l' Ecole pratique de la Faculté de médecine de Paris. — Le
— Le Dr Bérillon commencera, le lundi 11 mai 1903, à cinq heures, à l' Ecole pratique de la faculté de médecine, amphithéâtre
. Le cours sera complété par des démonstrations expérimentales, à l' Ecole de Psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts. Le
mbre limité d'élèves. On s'inscrit les jeudis, de 10 h. à midi, à l' Ecole de Psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts. O
apeutique. In-8,320 pages avec 58 ligures. Vigot, éditeur, place de l' Ecole de Médecine, et bureaux de la Revue de l'Hypnotis
or la suggestion hypnotique (1), par le Dr Berillon, professeur à l' Ecole de Psychologie. Les préoccupations professionne
ennui grave, mais ne peut être considérée comme (l) Leçon faite a l' Ecole de Psychologie, une névrose. Mais il arrive s
commun, et il en sera toujours ainsi dans le cours de ses études. L' Ecole l'aidera en lui indiquant les pensions de famille
isira une grande et bonne chambre ;il la partagera avec un camarade d' Ecole , qui deviendra ainsi son compagnon de chambre et
Voilà pour l'individu. Pour les groupes, il en est de môme. Car à l' Ecole de Médecine les étudiants ne sont pas isolés, ils
Ces Sociétés, entièrement libres, ont accès auprès des autorités de l' Ecole , qui les reconnaissent, et les voient d'un œil bi
tièrement les études médicales. Pas de traînards. Pour l'honneur de l' Ecole , il n'en faut pas. Tout professeur qui fait un
gé, conduit, en un mot il est entraîné: et les échecs sont rares. L' Ecole de Médecine américaine forme donc un tout, une un
e repose, et les fils héritent d'un cerveau actif et vigoureux. * L' école publique où souvent filles et garçons sont mélang
ecins qui le soignait, praticien distingué et professeur d'une de nos Ecoles de médecine, se décida à le mettre au régime lact
xé à soixante francs. On s'inscrit les jeudis, de 10 h. à midi, à l' Ecole de Psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts.
21. Cours du Dr Paul Joire, a Lille, p. 159. Cours d'Hypnotisme à l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine de Paris,
ez, p. 147. Criminelle (La psychologie), par Kova lewsky, p. 153. Ecole de Psychologie et le mouvement psychologique (L
3. Ecole de Psychologie et le mouvement psychologique (L')( p. 1. Ecole de Psychologie. 161, 192, 222, 223, 225, 256; 2
L')( p. 1. Ecole de Psychologie. 161, 192, 222, 223, 225, 256; 287. Ecole de Psychologie (Les cours de l'), p. 193). Ec
illon, p. 207. Prophétisme (La faillite du), p. 126. Psychologie ( Ecole de), p. 161, 192. Psychologie expérimentale(La
19 (1886) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1885
Carmes, 14. A. DELAHAYE & E. LECROSNIER EDITEURS Place de l' Ecole de Médecine 1886 PREMIERE PARTIE Historique
nombreux et importants ont eu lieu dans le courant de l'année. Les écoles ont été transportées dans la nouvelle section :
es écoles ont été transportées dans la nouvelle section : la petite école le 23 mars, la grande école le 22 avril. La sal
es dans la nouvelle section : la petite école le 23 mars, la grande école le 22 avril. La salle de l'an- cienne section q
s gaz- teux invalides, dont un certain nombre sont suscep- PETITE ÉCOLE . V tibles d'amélioration ; l'autre, d'enfants t
, épileptiques ou non, valides. Ces enfants fréquentent la petite école confiée exclusivement à des femmes. 138 enfants
des femmes. 138 enfants ont été inscrits, dans l'année, à la petite école . Sur ce nombre, 2 sont passés aux adultes; 11 s
décédés; 5 sont sortis définitivement; 5 sont passés à la grande école ; un a été transféré. 114 enfants ont fréquenté ré
pas encore être mis en pantalon. Le matériel scolaire de la petite école s'est notable- ment enrichi pendant l'année 188
temps à l'amusement des enfants et il l'éducation de VI 1 GRANDE ÉCOLE . leurs mains et de leurs yeux. Le tableau du sy
arriérés, instables, épileptiques et hystériques ou non. . Grande école . En terminant l'exposé des faits prin- cipaux d
ction. Et cependant le nombre des enfants qui fréquentent la grande école a notablement augmenté. De 105 qu'il était au 1
que possible. Nous espérons, l'an prochain, organiser enfin, dans l' école de la nouvelle section dont les enfants ont pri
res et des bibliothèques fabriquées, comme les meubles de la petite école , par les ateliers des enfants ; nous pensons po
ny, le maître de chant. b) Enfants. Tous les enfants de la grande école et tous ceux de la petite école qui sont propre
ants. Tous les enfants de la grande école et tous ceux de la petite école qui sont propres ont fait de nombreuses promena
er les promeneurs ou d'attirer l'attention. c) Enfants de la petite école . - Nous avons dit que les enfants propres de la
petite école. - Nous avons dit que les enfants propres de la petite école avaient pris part aux promenades des enfants de
ite école avaient pris part aux promenades des enfants de la grande école . Tous ont fait des petites promenades fréquente
e son côté, pris charitablement la charge, en fondant l'oeuvre de l' Ecole enfantine et des ateliers d'aveugles. « Nous
les malades entrés dans l'année, par les élèves infir- mières de l' école de Bicêtre. Cette pratique, nous ne cesserons d
le concours le plus dévoué; 2" pour le service scolaire : a) grande école : d'un instituteur, M. Boutillier, aidé d'un pr
ministrés de l'hospice, faisant fonctions de moniteurs; b) petite école : Mlle Bl. Agnus, au début de l'année sous-sur-
eintures, et employé comme dortoirs provisoires; 3" le bâtiment des écoles était sur le point d'être achevé ; 4° et 5° le
mars 1885 et les malades en ont pris possession immédiatement. Les Ecoles ont été livrées : la petite école, le 23 mars 1
possession immédiatement. Les Ecoles ont été livrées : la petite école , le 23 mars 1885 ; la grande école, le 22 avril ;
oles ont été livrées : la petite école, le 23 mars 1885 ; la grande école , le 22 avril ; le service de propreté le 23 mar
ENTRER ET PARLOIR DE LA SECTION. XXXIII notre arrivée, la petite école et la gymnastique Pichery a été transformé par
ue. BOIJRNEVILLE 1883. .H Fiai 1 XXXV ! RÉFECTOIRES ET COUR DES ÉCOLES . Deux préaux couverts, joignant les ateliers et
re de ce bâtiment existe un large passage qui conduit à la cour des écoles , plantée d'arbres d'essences différentes, tous
étiquetés. Une moitié de cette cour ' sert aux enfants de la petite école ; l'autre à ceux de la grande école, soit pour
sert aux enfants de la petite école ; l'autre à ceux de la grande école , soit pour se mettre en rang, soit pour attendr
chaque année, un certain nombre d'enfants sont guéris du gâtisme. Ecoles . a) Petite école. Elle se compose : 1° de la sa
ertain nombre d'enfants sont guéris du gâtisme. Ecoles. a) Petite école . Elle se compose : 1° de la salle de jeux (éduc
teur d'eau chaude et d'eau froide. (2) ystème de RI. I'icliery. ÉCOLES , BAINS ET DOUCHÉS. XXXIX (éducation cle la main
se les enfants qui viennent d'avoir une crise nerveuse. b) Grande école . Elle est divisée en quatre classes auxquelles
ale. XL DORTOIRS ET GALERIES. Le long du service de propreté, des écoles et des bains, existe une marquise qui permet au
ême modèle. Le qua- trième, affecté aux enfants gâteux de la petite école , présente, au lieu des cabinets d'aisances disp
re-bas. Ces quatre pavillons sont destinés aux enfants de la grande école . La galerie qui précède l'infirmerie et qui fai
ices, dits de jour, les cabinets d'aisances situés dans la cour des Ecoles , sont renfermés dans deux pavillons qui se ratt
leptique il l'dge de six ans, ci la suite d'une peur : son maître d' école l'avait enfermé dans un cachot noir où les autres
s maçons, parait peu intelli- gent ; il n'a jamais rien appris il l' école ; il a été soigné à l'hôpi- tal des Enfants-mal
u cou, non abcédées. Sommeil bon, sans peurs; pas d'onanisme. A l' école , il n'a presque rien appris : il se sauvait de l'
nanisme. A l'école, il n'a presque rien appris : il se sauvait de l' école et allait jouer dans le pays ou se cachait : de
malade, blésité. Progrès réalisés sous l'influence du traitement ; école , gymnastique, travail professionnel, hydrothérapi
salement, ne s'habille pas tout à fait seul; pas d'ona- nisme. A l' école il appienait mieux que son frère, bien que quel-
en que quel- quefois il se laissât entraîner par celui-ci à faire l' école buisson- nière. DES FAMILLES D'IDIOTS. 15
t ci Bicêtre en 4 881. - Incontinence nocturne d'urine. Traitement; école , gymnas- tique : amélioration considérable. D
n jouant. A trois ans et demi, mis à l'asile, puis dans une série d' écoles , il n'a jamais rien appris; quelquefois il dorm
hant de travailler et même les volant. Souvent, au lieu d'aller à l' école , il s'en allait mendier; il disait alors que se
Il n'a jamais eu de convulsions. Envoyé it l'Asile dès 3 ans et à l' école à 6 ans, il apprenait difficilement, si bien qu
dernier, l'enfant a beaucoup entendu parler par ses camarades, à l' école du soir, de voleurs et de vols com- mis vers ce
t purgatifs 2 fois par semaine; sirop d'ioduro de fer; gymnastique, école , cordonnerie. 7 janvier 1885. Mor.... est tranq
une voisine. » L'enfant est guéri. Il a fait des progrès sérieux l' école ; son écriture est meilleure ; il a appris quel
morales. Le traitement a été très simple et peut se résumer ainsi : école , gymnasti- que, atelier, bains, hydrothérapie,
20 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
Dès qu'un enfant marche sans aide, il doit être envoyé à la Petite Ecole , le matin pendant une heure ou deux, puis toute
s avions été obligé jusqu'à l'année dernière, de maintenir dans les écoles , où ils étaient une occasion de trouble, qu'ils
lioration, nous le faisons remonter dans la 4 ? classe de la grande école . ' IL Enfants idiots gâteux ou non gâteux, épil
gâteux ou non gâteux, épilep- 1 iques on non, mais valides (Petite Ecole ). Ces enfants fréquentent la petite école, conf
non, mais valides (Petite Ecole). Ces enfants fréquentent la petite école , confiée exclusive- ment il des femmes. Dans le
des sections d'adultes. Sur 1 GO enfants qui restaient à la petite école au 31 décembre 1902, loue mangent pas seuls, 60
(4) 13oul ? Dlign ? 13rant ? Sinn ? Goi ? T,nm.. (('s.) VI Petite école . Le traitement du gâtisme, qui consiste à place
DICO-1ÉD.IGOC.IQUE : RÉSULTATS. VII'. Tous les enfants de la Petite école , sont exercés au saut, à la montée et à la desc
op infirmes, n'ont pu y prendre part. Dix-huit enfants de la petite école et de la petite école complémentaire, dont nous
y prendre part. Dix-huit enfants de la petite école et de la petite école complémentaire, dont nous allons parler plus lo
rs, imprimeurs, serruriers, menui- siers et jardiniers. La petite école comprend : 1° le traitement du gâtisme, exposé
ensuite du Syllabaire Regimbeau ; 6° les leçons de choses, soit à l' école , soit dans les jardins (avec le tableau roulant
enfants les plus malades (idiots profonds) améliorés à la petite école , par Miles Blanche AGVUS, Amandine ]3oii ? iN e
scc- tion des enfants arriérés et épileptiques. vin ... : Petite école .. . Sou.... (lucien, 8 ans. (Imbécillité, a con
ent sur le siège, se baisse lorsqu'il a besoin, n'est cepen- Petite école . ix dant pas encore propre et quand il s'adonne
si elle est très épaisse et la rcfu-c si elle est claire. Petite école complémentaire. Cette école est confiée tt M"10
et la rcfu-c si elle est claire. Petite école complémentaire. Cette école est confiée tt M"10 l3ôwr : r, qui, depuis 10 a
M"10 Randier, première infirmière. Quarante enfants composent cette école . Trois infirmières sont en outre adjointes à ce
élix méssant (méchant), non pas mess : 1nl Félix, (etc). X PETITE école complémentaire. Un enfant a appris à lire coura
légères défectuo- sités. Il joue et se montre assez docile. XI ! École complémentaire. Gava... (limite), âgé de 13 ans
les exercices classiques. Il a une mémoire extraordinaire Petite école complémentaire. xiii pour l'orthographe des mot
été l'ait allusion dans les dernières notices sur les enfants de l' École complémentaire à l'emploi des mots imprimés. No
rties du corps, de la (les objets du réfectoire, du dortoir, de l' école , les personnes, les animaux, etc.. Bien que l'e
t le développement physique venant, les enfants passent à la grande école (1). Dans notre Compte-rendu de 1899 nous avons
és, instable ? pervers, épilepliques et hyslériqurs ou non Grande école ). La population de celle école était de 16 enfa
pliques et hyslériqurs ou non Grande école). La population de celle école était de 16 enfants le 1 ? janvier 1\)02. Tous,
certificat d'études, forment une division supérieure, ne vont il l' école qu'une demi journée par semaine et restent, les
ituteurs et leurs aides, ainsi que les sous-employées attachées aux écoles (section de Bicêtre et Fondation Vallée), alin
ar séries, il l'Institution Nationale des jeunes aveugles et il l' Ecole Braille, dépendant du département. Leur devoir
a- \X ' Fanfare et Orphéon. tion d'asiles-écoles et de classes ou écoles spéciales pour les arriérés c'est assurément l'
es de proliter de son ensei- gnement. 11 a divisé ceux de la petite école , de la petite école complémentaire et ceux de l
ensei- gnement. 11 a divisé ceux de la petite école, de la petite école complémentaire et ceux de la grande école en tr
ite école, de la petite école complémentaire et ceux de la grande école en trois groupes. En maintes circonstances et l
de M. LANDOS-r, un de nos instituteurs. 124 enfants de la grande école et 15 de la petite école y prennent part; sur c
nos instituteurs. 124 enfants de la grande école et 15 de la petite école y prennent part; sur ce nombre, 95 savent danse
ecevons les étrangers, aux cours d'a- natomic et de physiologie des Ecoles d'infirmières de Hicctre et de la Pitié. Enfin
u- mérées plus haut donnent une idée suffisante. Dans les petites écoles et la grande école, on doit sans cesse s'occupe
t donnent une idée suffisante. Dans les petites écoles et la grande école , on doit sans cesse s'occuper de la guérison de
ques notes concernant les enfants de cette catégorie : , - Grande école : 1re classe. - 1° CIEaLL7n,..., 16 ans, atteint
'études primaires. Par sa bonne conduite et son travail soutenu à l' école et à l'atelier il a été jugé digne d'obtenir le
. Celles qui précèdent et plus particulièrement celles de la petite école , cone. cernant les enfants les plus gravement a
éjudice pour les enfants. En effet, tandis que dans les lycées, les écoles primaires, les élèves sont en congé en même tem
élèves sont en congé en même temps que leurs maîtres, à l'asile- école de 131cctrc, comme dans les services analogues,
, au contraire, les inciter à introduire progressivement dans les écoles primaires les procédés qui composent notre méth
éum d'histoire naturelle au bénéfice des cle- ves des lycées et des écoles primaires ? (1). En dehors des heures de classe
ades et distractions. Les enfants de la grande et ceux de la petite écoles , qui sont propres, ont continué, comme les anné
maître, M. \Irtr : er3ar,r ? T, ont visite- dans tous ses détails l' école Estienne, Caisse d'épargne. Elle est confiée au
. Comme d'habitude, cette opération a été faite par les élèves de l' École d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre, sous
plupart sont venus et ont pu à leur tour enseigner aux élèves des écoles à donner des douches. En faisant ces leçons de
ués dès 1880, c'est-à-dire 7 ans avant leur intro- duction dans les écoles publiques. Les visiteurs peu- vent, au moyen du
uveau chef d'atelier nous insistons pour qu'il suive les cours de l' Ecole d'infirmiers. En contact avec des malades sujet
. Affiches diverses. Entâtes de lettres. - Divers imprimés pour les Ecoles d'infirmières : Palmarès. Diplômes, etc. Feuill
ement comparables il ceux de l'orphelinat Prévost à Cempuis et de l' école d'Alembert à Monté- vrain, par exemple, où les
jours-là et les jours qui suivent, ils ne peuvent travailler ni à l' école , ni à l'atelier. Un autre fait qui contribue à
maître de danse, M. Lan- dosse ; deux maîtres d'escrime. 13. Petite Ecole . Miles AGNUS (Blanche;) et 13oo11r (Amandine),
Mlle vlnnur..·r; et 10 infirmières de jour aidant les maîtresses d' école , après avoir terminé le nettoyage clc leurs dor
eu deux catégo- ries : a) les enfants valides qui sont envoyées à l' école durant une partie de la journée; - b) les enfan
qu'a la section de Bicêtre. Les améliorations réalisées dans les écoles des garçons sont introduites immédia- tement à
ment; 38 ne savent pas manger seules. 180 enfants ont fréquenté l' école et ont été exercées a la gymnastique des échell
eu ! Section 111. - Assistance et enseianenieiit. I. Classes ou Écoles spéciales pour les enfants arriérés. Depuis plu
s de 10 ans, nous faisons campagne pour la création de classes ou d' écoles spéciales pour les enfants arriérés et les enfa
tte année, à montrer les enfants susceptibles d'être reçus dans ces écoles , ce qui désencombrerait le ser- vice, permettra
stion (Lins notre Coml te-rendu ds 1901, p. cxv. CVIII Classes ou écoles spéciales Suisse. Le sort de cette catégorie d'
struction publique peut chaque année se féliciter d'avoir joint à l' Ecole primaire ces anne- xes dont l'importance au poi
sse est de s'acharner contre leur ignoraucc pour les restituer il l' école ordinaire. A coté de ces retardés, il y a les d
et à la rentrée des ela-ses, en septembre, on inaugurera une petite école d'enseignement spécial à l'exemple de celle de
ent des autres disciplines. Les élèves qui ne peuvent être rendus l' Ecole primaire sont à leur sortie des classes spécial
éveloppement possibles avec garantie pour l'avenir. ex Classes ou écoles SP1 : CI : 1T 1 : E. Veuillez, Monsieur le Doct
venu en 1901 et en 1902, mais assez irrégulièrement, à la petite école . Un imbécile achondroplasique, administré de l'
est venu également, chaque semaine, prendre une leçon il la petite école de DI ? Bonnet. Sa mère, intelligente, très att
rte qu'il est difficile de le maintenir soit il râtelier, soit il l' école . Son sommeil est agité et interrompu par des ré
n âge, est médiocre; il a été renvoyé successivement de plusieurs écoles pour sa mauvaise conduite et son irritabilité. Pl
nswick signale aux conseils de révision -les conscrits sor- tis dés écoles spéciales d'enfants ari'iérés, de sorte que l'aut
Elle prend un livre et une baguette et imite la maîtresse faisant l' école . Elle cligne des paupières et plisse son front,
e et qu'on applique constamment au laboratoire d'anthropologie de l' Ecole des Hautes Etudes. Tète. - A première vue deu
uoi nous avons dessiné avec l'aide de M. Papillault, professeur à l' École d'anthropologie, le crâne au stéréographe et me
uleuse. - Même état des organes génitaux. Août. Passe à la petite école . Il est guéri de la teigne. il con- tinue à gât
raisonne convenablement, et bien qu'elle ait dû quitter sou- vent l' école (le bruit qu'elle faisait en tapant du pied, en c
de fer, capsules de bromure de camphre, hydrothérapie, gymnastique, école et ouvroir. 1901. - Même traitement, et, en out
rol11l ? <" de 2 il 3 cuillerées par jour; douches, gymnastique, école . la02. En janvier, 2 accès. Même traitement.
le à 9 ans. - Eruption scarlatiniforme à 13 ans. Elle a fréquenté l' école à partir de 10 ans, s'y montrait très intellige
llente. Traitement : 2 douches par jour, purgatif tous les 8 jours. Ecole et gymnastique. 202 Mélancolie ; guérison. 21
chemars. La mémoire parait peu développée. Il n'est jamais allé à l' école . Il ressemblerait surtout au père. La famille n
nneau. Anus normal. Juin. - Ler..., guéri de la teigne, revient à l' école . Atteint de paralysie incomplète mais généralis
cher et d'avaler. 20 octobre. Cet enfant revient de l'isolement à l' Ecole , mais dans un état de surexcitation extraordina
e remplie de bosses et de contusions. ' Le jour de sa rentrée à l' école , sans cause connue, dès son arrivée, il s'est m
21 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
ère. Dès qu'un enfant marche sans aide, il est envoyé à la petite école , d'abord le matin, puis toute lajournée, aussit
an ? Imb ? FILI ? Bouf... -(4) Gud ? Pe11 ? Dub." Pin... z Petite ÉCOLE . v depuis trois ans et qui va être achevée proc
nnue et que nous sommes obligé, aujourd'hui, de maintenir clans les écoles où ils sont une occasion de trouble et qu'ils c
s, gâteux ou non gâteux, éZilep- tiques ou non mais Valides (Petite école ). - Ces enfants fréquentent la petite école con
on mais Valides (Petite école). - Ces enfants fréquentent la petite école confiée exclusive- ment à des femmes, sous la c
décédés, 8 sont sortis définitivement, 2 sont passés à la grande école , 2 ont été envoyés dans les sections affectés a
et 6 ont été transférés. Sur 159 enfants qui restaient à la petite école au 31 décembre 1897, 3 ne mangent pas seuls, 80
ix). 4 de ces enfants ont appris à lire. . 20 enfants de la petite école et de la petite école complémentaire ont fait r
ont appris à lire. . 20 enfants de la petite école et de la petite école complémentaire ont fait régulièrement les exerc
leurs, cor- donniers, vanniers, menuisiers, serruriers. La petite école comprend 1° le traitement du gütis- me qui cons
veugle) (3) 13azel..., Dezo..., 5cbwart ? et Largill... vi Petite école complémentaire. enfants gâteux sur les sièges d
s si souvent parlé dans nos Compte- rendus de 1880 à 1896. Petite école complémentaire. Elle est confiée à une femme dé
sur- veillance des deux dortoirs où couchent les enfants de cette école , au nombre de 50. M"10 Bonnet a, en outre, pour
qur les sièges installés pour ce but dans leurs dortoirs. PETITE école complémentaire. vu Cet enfant, qui ne connaissa
l.. (Maurice), demi-sourd, qui, à son arrivée, il y a 5 yill PETITE école complémentaire, ans, n'entendait que les sons,
mot le tout ensemble formait un langage presque inintelligi- Petite école complémentaire. 1l ble. Aujourd'hui la parole e
ant que dure la classe. 9° Thier... (Paul), sourd-muet renvoyé de l' école d'Asnières; cet enfant continue à s'améliorer;
s de grammaire, ainsi que l'addition. Chez tous les élèves de cette école , signalés l'année dernière comme lisant couramm
main- tenant font tous les devoirs donnés journellement dans les écoles d'enfants normaux. x Grande école ; enseignemen
donnés journellement dans les écoles d'enfants normaux. x Grande école ; enseignement du chant. C'est surtout, en mett
t en relief les résultats obtenus par eux, et par ceux de la petite école , qu'il est possible, comme nous le disions dans
rés instables pervers, épileptiques et hystériques ou non (Grande Ecole ). - La population de cette école était de 183 e
ques et hystériques ou non (Grande Ecole). - La population de cette école était de 183 enfants au premier janvier. Tous,
e certificat d'études, forment une division supérieure, ne vont à l' école qu'une demi- journée par semaine et restent, le
tituteurs et leur aides, ainsi que les sous-employées attachées aux écoles , afin d'être mieux en mesure d'améliorer la pro
arti ceux de la (1) A cet examen 9 infirmiers et 3 infirmières de l' école municipale d'infir- mières de Bicêtre ont obten
re ont obtenu le certificat d'études. Escrime et danse. xi petite école complémentaire en deux sections et ceux de la g
petite école complémentaire en deux sections et ceux de la grande école en trois sections. Aucun d'eux ne savait lire l
amarades. Elle a prêté son concours à la distribution des prix de l' école d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre, à cel
x de l'école d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre, à celle de l' école d'infirmières de la Salpê- Musée scolaire.. XLI
a au nom de cette Administration, à la distribution des prix de l' école d'infirmiers et d'infirmières de Bicêtre, à M.
menades et distractions. - Les enfants de la grande et de la petite école qui sont propres ont con- tinué à faire des pro
d'horticulture. Les imprimeurs ont visité dans tous ses détails l' Ecole I;slienne dont le directeur, M. Frayssinet, a b
se (d'Oran) ; Visites du service. XIX Mlle Adler, inspectrice des Ecoles de Russie ; Dr Beca (du Chili); 13en,ivimte Dav
ague) ; D1' de Nakimoff (de Russie) ; M. Oes- terby, professeur à l' Ecole royale des officiers de marine, chargé de missi
e sont nullement comparables à ceux de l'Orphelinat Prévost et de l' école d'Alembert à .Monté\Tain où les apprentis sont
cidents et les jours qui suivent ils ne peuvent tra- vailler ni à l' école ni à l'atelier. Administrativement, après avoir
acé le ter septembre par M. DARDEL. 2° Service scolaire : a) Grande école : 4 instituteurs MM. Mesnard, Landosse, Grandvi
deux infirmiers dont un ayant le grade de 1 cr infirmier. b) Petite école : j)l ? Agnus (Blanche) et Bohain (Amandine), s
'uet et Gcrdcr et 8 infirmières de dortoir, aidant les maîtresses d' école ; en outre 4 infirmières, n'ayant pas de dortoir
nt aflcctocs aux soins et à l'enseignement des enfants de la petite école . 3° Enseignement professionnel : 8 maîtres dont
t en deux catégories : a) les enfants valides qui sont envoyées à l' école durant une partie de la journée. Bien qu'une cl
ement dans l'ancien réfectoire, aux plus malades, d autres vont à l' école et il en résulte des inconvénients pour les enf
plin, un escabeau, etc. La 'quatrième travée serait réservée -.Il l' école pour les enfants gâteuses valides; -la cinquièm
nfants gâteuses valides; -la cinquième travée serait emmé- nagée en école et préau pour les ;/ âleuses invalides; les deu
qu'à la section de Bicêtre. Les amé- liorations réalisées clans les écoles des garçons sont introduites immédiatement à la
ment; 2,-) ne savent pas manger seules. 140 enfants ont fréquenté l' école et sont exercées à la gymnastique Pichcry. - 46
ensuite les réfectoires, les clas- ses de la petite et de la grande école , la salle des bains et des douches, le musée sc
où il fut battu. Avant ni depuis, elle n'en a pas observé. Mis à l' école , le maître a constaté qu'il n'avait pas l'intel
propreté et la conduite laissent parfois 11 désirer. Traitement. école , exercices de prononciation, gymnas- tique, ate
nt sont faibles. - A l'atelier, il se montre plus paresseux qu'il l' école ; il a cependant appris à faire des ressemelages
de celui qui essaierait de l'arrêter». Juin. - Légers progrès à l' école . G... fait des problèmes simples sur les trois
point de vue de la conduite et de la tenue. Reste stationnaire à l' école . Est devenu l'un des apprentis cordonniers. O
élémentaires notions bien qu'il ait été envoyé plusieurs années à l' école . Signé : D' Paul Garnier. -Asile clinique : `24
eyait, devenait pâle, puis tout cessait. On ne s'en aperçut pas à l' école . Les vertiges survenaient par séries, portant s
ts attribuent la maladie à une frayeur que le malade aurait eue à l' école : son maître, qui, dit-on, était via. lent l'av
e, les aisselles et le pubis. - Sensibilité générale con- servée. Ecole . - A son entrée, Debr... ne savait que les voyell
lybromuré tout en continuant l'hydrothérapie. - Aucun progrès à l' école . Mêmes tics, même turbulence, ne reste jamais en
ment : On continue l'élixir polybromuré et les dou- ches. Juin. l' école , il fait quelques copies; n'a plus d'ini- tiati
econnaît même pas », dit le père. - On essaya de lui faire suivre l' école , de 6 à 9 ans. Il n'apprit jamais rien. Il avai
ondante. Celle-ci cesse vers le 20 janvier et l'enfant remonte il l' école le 10 février. 31 mars. Pid... descend de nouve
4-1890), il ne nous est resté que les notes recueillies à la petite école et que nous allons résumer. 2 juillet. - D... e
- L'amélioration continue. D... est mainte- nant très attentif il l' école . En promenade, il s'intéresse à tout ce qu'il v
gréable, désobéis- sant, répondeur, n'apprenant plus aussi bien à l' école où il a été envoyé depuis sa sortie et enfin po
additions, des soustractions, mais peu compliquées. Traitement : École , gymnastique, hydrothérapie. Juillet. - D... es
1893. Avril. - D... est devenu très raisonnable, travaille bien à l' école , n'aime pas rester inactif, ne ricane plus, son
faire des progrès. Septembre. - D... passe de la petite à la grande école . 1895. Janvier-Juin. - L'amélioration continue
lleur (11'i. 17). 1897 Janvier-juin. L'enfant préfère l'atelier à l' école , et à tort pendant quelque temps, on l'a laissé
, heureux des résultats obtenus, et voyant que l'enfant préférait l' école il l'atelier, on s'était mieux conformé à nos p
n avait veillé avec plus de soin il sa présence réglementaire à l' école nous aurions obtenu, chez lui, une instruc- tio
22 (1895) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1894
e. On leur apprend à se tenir debout à l'aide de barres iv Petite école . parallèles (1), à marcher soit en les tenant s
s, gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou non mais valides (Petite école ). Ces enfants fréquentent la petile école confi
non mais valides (Petite école). Ces enfants fréquentent la petile école confiée exclusive- ment à des femmes. Dans le c
décé- dés, 13 sont sortis définitivement, 8 ont passé à la grande école , 2 sont passés aux adultes et 2 ont été transfé
ont été transférés. Sur les 213 enfants qui restaient à la petite école au 31 décembre 1894, 8 ne mangent pas seuls, 79
Ilocquign ? Vergu ? Desbarriere ? Yaboll ? Croi/.e ? Grao... Petite école . t nastique Pichery, sauf 7 qui, venus du group
et étant infirmes, n'ont pu y prendre part. 10 enfants de la petite école ; et 5 de la petite école com- plémentaire ont s
pu y prendre part. 10 enfants de la petite école; et 5 de la petite école com- plémentaire ont suivi régulièrement les ex
leurs, 8 ; cordonniers, 3 ; vanniers, 3 ; menuisier, 1. La petite école comprend : 1° Le traitement du gâtisme qui cons
ns si souvent parlé dans nos Compte-rendus de 1880 à 1893. Petite école complémentaire. Nous avons dit que cette petite
893. Petite école complémentaire. Nous avons dit que cette petite école était confiée à Mmo Bonnet (1). Nous avons comp
confiée à Mmo Bonnet (1). Nous avons complété l'installation de son école par l'adjonction d'une petite pièce qui lui ser
p. V. (2) Boivi ? Dessertain ? Eel... Lauren ? Lemaîtr. vi Petite ÉCOLE . à lire couramment (1) ; 6 enfants ont été nota
au point de vue de la parole. Le matériel scolaire de cette petite école a été complété et elle possède aujourd'hui les
e possède aujourd'hui les mêmes éléments de travail que la petite école . Pour les enfants de cette petite écolo et les
és, instables, pervers, épileptiques, et hystériques ou non (Grande école ). La population de cette (1) Bobliq ? Des8ertai
Feutr ? Opzonne ? Poviao ? et Robi. Procédés d'enseignement. vif école était de 122 enfants au l"r janvier : etilo 214 a
availlent pas. 29 autres ayant le certificat d'études ne vpnt à l' école qu'une demi journée par semaine et travaillent
teurs de notre service afin d'ê- tre assimilés aux instituteurs dos écoles municipa- les de Paris. M. Pcyron a bien voulu
xi La fanfare a prêté son concours à la distribution des prix des Ecoles d'infirmiers et infirmières de la Salpê- trière
romenades et distractions. Les enfants de la grande et de la petite école qui sont propres ont con- tinué à faire dos pro
conservateur du musée pathologique. 2° Service scolaire : a) grande école : d'un instituteur, M. Boutillier et de 2 insti
et de 3 iniirmiers dont l'un a le grade de lor infirmier. b) Petite école : de MUc Blanche Agnus, surveillante, de M110 A
e 2 premières inlir- mières : Mm° Malençon, emploi créé à la petite école le 1er août et M'"c Grizard chargée du pavillon
uand elles ont fini leur besogne, viennent aider les maîtresses d' écoles ; en outre cinq infirmières n'ayant pas de dor-
nt affectées aux soins ot à l'enseignement des enfants de la petite école . 3° L'Enseignement professionnel : de huit mait
enfants marchent seules, quoique gâteuses, elles sont envoyées à l' école et soumises toute d'abord aux exercices de la g
ossug... ont appris à manger sans aide. 117 enfants ont fréquenté l' école et participé aux exercices de la gymnastique Pi
M"lc Bru, femme de l'économe de Bicêtre et maîtresse de dessin des écoles munici- pales, s'est proposée pour donner deux
u sujet de certaines allégations formulées contre le directeur de l' école de Cempuis et sur la révocation dont il a été l
les yeux les procès-verbaux de la Commission administrative de l' école . J'ai trouvé dans un de ces procès-verbaux la r
faits graves à la charge du médecin-inspecteur, qui avait fait à l' école une ou plusieurs visites et qui avait cru devoir
ette émotion s'est manifestée aussi dans l'esprit du directeur de l' école , M. Robin. M. Bassinet. Cela prouve que la perv
mpagne ou aux bains de mer durant les vacances, les médecins de nos écoles font certains examens du corps, ils mesurent la
Je réponds à M. Georges Villain et je redis que les médecins de nos écoles visitent les enfants chaque fois qu'ils vont au
r aux femmes en couches et aux nouveau-nés est fait dans les quatre Ecoles aux infirmières eules (B.J. Examen des enfant
zet. Pas pour examiner les enfants ! (Ex- clamations.) Pas dans les écoles ! 1 M. le Directeur de l'Assistance publique. J
l'Assistance publique. Je parle des hôpitaux ; s'il s'agissait des écoles , je ne serais pas à cette tri- bune. ' M. Ale
retour de nourrice (21 mois), il ne parlait pas du tout. Envoyé à l' école (1) Il est mort dans le service en novembre 188
omme il est emporté, gros- sier, très difficile à tenir à la petite école qui est dirigée par des femmes, nous le faisons
qui est dirigée par des femmes, nous le faisons passer à la grande école . Puberté. Visage et corps glabres. Verge : long
légère. 1889. Janvier. -- En raison de la myopie, les progrès à l' école sont très lents, surtout en écriture. Il fait des
made à l'oxyde de zinc, lotions d'amidon, traitement tonique. Juin. École . Lecture presque courante, il sait faire la mul
ais le gland est découvrable. Pas d'autres changements. Juin. A l' école et à l'atelier, on note une amélioration notabl
jusqu'ici était glabre. 1894. Janvier. Les progrès continuent à l' école , il est de moins en moins turbulent, prend plai
oleur, menteur, destructeur, désobéis- sant. Pendant son séjour à l' école de quatre à huit ans, il n'a rien appris, troub
nts ne doivent s'y ren- dre qu'accompagnés par un infirmier (Grande École ), ou une infirmière (Petite École). Dans les
ompagnés par un infirmier (Grande École), ou une infirmière (Petite École ). Dans les Instructions imprimées que nous donn
dernières puis- sent leur transmettre le service avant d'aller à l' École , ou de rentrer dans leurs chambres. Les veilleu
leur ménage ; elles assistent au déjeuner des enfants de la Petite École , et là, avec les maîtresses et les infirmières
que nous complétons ces renseignements dans des dictées données à l' école primaire, nous leur donnons, dans notre service
1 heure après ; 37°, 1 ; 2 heures après : 38°, 1 ; -= - Notes DE l' école . 111 3 heures après 35", 9; 4 heures après 34°,
chambre où était déposé le cadavre était alors de 14°. Notes de l' école . 1891. La physionomie est si peu expres- sive q
nnel dans les asiles. En 1887, on a installé à Hochweitzschcn une école spéciale pour les hommes et à Ilubertusbourg une
zschcn une école spéciale pour les hommes et à Ilubertusbourg une école pour les femmes. Dans ces locaux spéciaux habiten
âteux ou non gâteux, épi- leptiques ou non, mais valides : petite école ... IV Pètile école complémentaire v Enfants p
épi- leptiques ou non, mais valides : petite école... IV Pètile école complémentaire v Enfants propres et validés, im
s, instables, jjervers, épileptiques et hystériques ou non : grande école VI Fanfare ..... '............... '....... , ,
23 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
armes, 14. A. DELAHAYE & E. LECROSNIEft ÉDITEURS Place de l' École de Médecine. 1885 PREMIERE PARTIE Historiqu
s, valides, imbéciles, arriérés, épileptiques ou non. . Il PETITE ÉCOLE . I. Les enfants de la première catégorie {inval
fants idiots, gâteux ou non, épileptiques ou non, valides. - Petite école . Les enfants de ce groupe fréquentent la petite
des. - Petite école. Les enfants de ce groupe fréquentent la petite école confiée exclusivement à des surveillantes et à
elopper le sens du toucher. 96 enfants ont été inscrits à la petite école dans le cours de l'année; sur ce nombre, 3 sont
83 autres ont participé avec régularité à l'enseignement. GRANDE ÉCOLE . III 11 enfants ont pu être envoyés à la grande
dans la première caté- gorie et suivent les exercices de la grande école . III. Enfants propres et valides, imbéciles; ar
ides, imbéciles; arriérés, épileptiques, hystériques ou non. Grande école . Le personnel enseignant de l'Ecole est resté l
ues, hystériques ou non. Grande école. Le personnel enseignant de l' Ecole est resté le même. Les agents secondaires, les
is et d'un tableau des surfaces plus complet que celui de la petite école ; -) d'une collection de cartes noires données
conseiller municipal, etc. Les enfants qui ont fréquenté la grande école en 1884, étaient au nombre de 95 le 1er janvier
tique do Bourg-la-Reine et do Montsouris. c) Enfants de la petite école .-Tous font do petites promenades dans les cours
ette petite opération est pratiquée par les élèves infirmières de l' Ecole de Bicêtre, sous notre direction et celle de no
nous proposâmes de transformer en dortoirs les locaux affectés à l' école et de construire une école entre le bâtiment pr
rmer en dortoirs les locaux affectés à l'école et de construire une école entre le bâtiment projeté, 84, et le gymnase, 5
(1) Dans le projet primitif, le rez-de-chaussée était occupé par l' école et ces enfants étaient au second étage : alors M.
ndiquer les aménagements, serait construite une annexe destinée à l' école . Cette annexe, couvrant 350 mètres superficiels
en un mot tous ceux, au nombre d'une vingtaine, qui ne vont pas à l' école . Il serait possible d'augmenter le nombre des l
e à la Salpêtrière. 60 enfants seulement - sur 130, - fréquentent l' école . La pro- portion devrait être beaucoup plus con
francs ; il est logé. L'institutrice ou mieux la surintendante de l' école a 2,000 francs (logée, chauffée, nourrie, etc.)
ogressivement de 625 à 875 francs. - Les infirmières qui aident à l' école ont 2 livres de plus que les autres ; au bout d
par an. Ce rapide aperçu montre la différence qui existe entre nos écoles d'idiots de Bicêtre et de la Salpêtrière et cel
nts pauvres des paroisses de Londres, et par suite comparable à nos écoles de Bicêtre et de la Salpê- trière. Votre Comm
es développements. La classe et le dortoir des enfants qui vont à l' école sont en assez bon état, mais beaucoup trop peti
rbare. Voilà pour les enfants. Ce n'est pas tout. Leurs salles et l' école sont comprises, ce qui est mauvais, dans le mêm
mettre des dortoirs, des réfectoires, des salles de réunion et une école pour deux cents enfants. La nouvelle section donn
comprenait l'infirmerie, le refuge des gâteuses, le réfectoire et l' école . Votre Commission estime qu'il est inutilisable
adultes. C'est là que sont les enfants depuis le mois d'octobre. L' école est distincte des dortoirs; elle est divisée en
e des enfants, qui devraient profiter des avan- tages offerts par l' école et le gymnase de la Salpêtrière, séjournent à l
s de dépenses hors le proportion, d'organiser dans chacun d'eux une école semblable à celles que nous possédons à la Salpê-
ne faut pas oublier que les enfants, pendant le jour, seront ou à l' école ou à l'ouvroir, ou au gymnase et que, durant la
demanderait au Conseil de sur- veillance : 1° La construction d'une école dans un bâtiment spécial, entre le bâtiment pri
et le gymnase ; 2° la transformation du rez-de-chaussée (prévu pour école ) en dor- toir pour les idiots invalides, gâteux
l repose sur ce principe : Faire des services géné- raux (ateliers, écoles , réfectoires, etc.), suffisamment spacieux pour
er. - L'accès du quartier doit avoir lieu par le préau de la petite école , qui longe le bâtiment dit : « les colonnes de
catégorie, afin qu'ils puissent se laver les mains n la sortie de l' école ou des ateliers, avant d'en- trer au réfectoire
ire, il y aura une salle de repos pour les enfants en accès. b) L' école comprendra deux grandes divisions : la première
ettront le classement variable des enfants par classes. A la grande école seront annexés une salle pour le dépôt des obje
es objets servant ¡,l'enseignement, et de la grande et de la petite école . La petite école sera divisée en une série de c
,l'enseignement, et de la grande et de la petite école. La petite école sera divisée en une série de classes pour les l
écuter une série de mouvements élémentaires, etc. Entre la petite école et le réfectoire, sera installé le service de p
aux enfants à se laver la figure et les mains ; - Entre la grande école et le réfectoire des grands, se suivront le servi
n effet, à côté des services de jour, qui constituent une véritable école primaire et professionnelle, à côté des dortoir
; - z vous avez décidé également qu'il y avait lieu de créer deux écoles dispensaires municipales pour les enfants rachiti
peu baissé à partir de l'état de mal : toutefois, il fréquentait l' école du soir, et en 1878, il aurait eu le premier pr
;j0 notre malade; 6° fille, six ans et demi. bien portante, va à l' école ; '7° fille, morte à dix-huit mois d'une méningite
disait, 32 DU CURARE essayait de se rendre utile. Il est allé à l' école où il apprenait bien. Avant de s'endormir il s'
10 jours jusqu'à 10 grammes. 4 juillet. A fait assez de progrès à l' école ; lit demi-couram- ment ; est plus intelligent.
béissant, très joueur; n'est pas méchant; fait quelques progrès à l' école et à la gymnastique. Suppression des douches; i
mbre. - Suppression de l'hydrothérapie. - Progrès peu sensibles à l' école , etc.; mémoire faible. Malgré les douches, les
pleure abondamment quand on le voit. 1er juin. Quelques progrès à l' école ; il serait taquin envers ses camarades. 8 jui
ydrothérapique. 15 décembre. - L'enfant ne fait plus de progrès à l' école ; il est devenu paresseux, taquin, malpropre.
. cr avril. - Traitement hydrothérapique. 42 juin. - Les notes de l' école constatent que Mul... décline chaque jour. Il a
a presque toujours uriné au lit jusqu'à onze ans;-il il allait à l' école du pays où il apprenait bien. Les accès de colère
s d'hallucinations de l'ouïe; appétit bon. 24 mai. - Les notes de l' école , de la gymnastique, etc., cons- tatent qu'il es
26 octobre. - Revacciné sans résultat. 30 décembre . Progrès à l' école . Période d'agitation ma- niaque à la suite d'ac
Cessation du traitement hydrothérapique. 4 décembre.-Les notes de l' école sontassez bonnes, toutefois l'on constate une d
1er avril. - Traitement par l'hydrothérapie. Juin. -Les notes de l' école , du tailleur, etc., sont assez bonnes. Cres...
es, bromure de potassium. Décembre. - Les notes du tailleur et de l' école sont bonnes; l'enfant a fait des progrès; la mé
s convul- sions. De dix à seize ans, on a essayé de le mettre à l' école , mais il n'apprenait rien ; il se mettait en co
es continuelles. Dès son en- trée, le 28 mai 1868, il a fréquenté l' école de Bicêtre, où il n'a rien appris; il n'a pas e
idiotie; il n'a pu, en effet, participer aux exercices de la petite école qu'à de rares intervalles. Néanmoins, on était
tre,. Etat physique et intellectuel Li. l'entrée. - T1'aitement : Ecole , gymnastique, enseignement p1'ofessionnel,etc.-
es autres, n'avait peur de rien; jamais, cependant, il ne faisait l' école buissonnière. S... n'était pas plus calme en de
it l'école buissonnière. S... n'était pas plus calme en dehors de l' école : il dégra- dait les murs, arrosait les passant
it les passants avec le contenu de la bouteille qu'il emportait à l' école , ouvrait les robinets de gaz, versait de l'huil
ses camarades. Peu après (20 avril 82) sa mère le fit admettre à l' Ecole d'horticulture de Villcprcux. Il y resta peu de
tre que nous avons reçue de M. Guillaume, l'habile directeur de l' école , interrogé par nous : Monsieur, Le jeune Sim.
s actions et semble le regretter. Dès son entrée, il est envoyé à l' école et placé dans la 3e division ; l'instituteur no
es samedis, il apporte sa paye à sa mère. Il va régulièrement à l' école du soir de la rue Beaudricourt. Les dimanches, il
e, mais n'a marché qu'à 18 mois. Envoyé à l'asile à 3 ans, puis à l' école , il y resta jusqu'à près de 13 ans ; il apprena
rendu à sa mère. Suivant la version de notre malade, au sortir de l' école , il fut condamné pour vagabondage à 2 mois de p
conduite a été bonne. Pendant son séjour il a été régulièrement à l' école , où il n'a fait que des progrès insignifiants.
24 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
deNaney;LLOYD-TUCKEY;dcLofidros]; 0.JENNINGS; LETOURNEAL-, prof, à l' Ecole d'Anthropologie; MASOIN, prof.à l'Univ. de Louvai
illon était autorisé parle Conseil supérieur des Facultés à faire à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine, pendant le se
e. En exprimant à M. Bérillon sa satisfaction de voir inaugurer à l' Ecole pratique un enseignement qui n'avait pas encore é
cours à des leçons théoriques et de s'abstenir, dans l'enceinte de l' école , de toute démonstration pratique d'hypnotisme. C'
o-physiologique de Paris, la clinique devient à la fois une véritable école pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ho-physiologique est réalisée. Son organisation en fait une véritable école de psychologie, d'un caractère propre et bien
érielle. Par M. le Dr E. Bébillos. L'influence des doctrines de l' Ecole de Nancy qui attribue à la suggestion un rôle exc
aisait plus qu'une dizaine de fois, surtout lorsqu'elle revenait de l' école . A la dixième séance, la malade se tenait plus dr
rine est encore soutenue par Heindenhain et par certains membres de l' Ecole de la Salpétrière. L'auteur disait: « Les gens qu
re à la phrénologie ; la même cause semble avoir conduit à l'erreur l' Ecole de la Salpétrière, relativement à l'action des ai
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'ét
rs sujets. À en croire certains auteurs, particulièrement ceux de l' École de Nancy, la puissance suggestive serait sans lim
rs dominer. » Mais i! est, lui aussi, hanté par le creû*0 si cher à l' Ecole de la Salpêtrière, et il ajoute : « II est peu de
l la lumière n'est pas encore faîte « complètement ; que s'il est une école , celle dite de Nancy, qui pro-« clame que toute p
es sujets hystériques ou névro- • pathes, et, qu'à côté de ces deux écoles ainsi divisées sur la question t importante de l'
aient aussi efiicacement s'ils étaient en bois. » Les théories de l' Ecole de Nancy ressemblent exactement aux dernières thé
ments qui peuvent être apportés dans le système nerveux, tandis que l' Ecole de Nancy soutient que la suggestion explique tous
pérateur dans le but de les évoquer. Braid est en opposition avec l' Ecole de Nancy en ce qui concerne la suggestion des cri
matisme du sujet hypnotisé. Il est sur ce point plus en accord avec l' Ecole de la Salpê-trière, et ses vues avancées ont été
et le sommeil déterminé. Ces distinctions ne sont pas reconnues par l' Ecole de Nancy. Bernheim dit: « Selon moi, le sommeil d
a parenté entro l'hystérie et l'hypnotisme, Braid est d'accord avec l' Ecole de Nancy et en opposition avec l'Ecole de la Sal-
sme, Braid est d'accord avec l'Ecole de Nancy et en opposition avec l' Ecole de la Sal-pètrière. Braid et l'Ecole de Nancy
ancy et en opposition avec l'Ecole de la Sal-pètrière. Braid et l' Ecole de Nancy différaient au point de vue du « rapport
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'ét
euse en rappelant les services rendus par Charcot et par les diverses écoles et en démontrant que, la période des interprétati
Cela tient à ce que les auteurs s'inspirent encore des théories que l' Ecole de la Salpêtrière avait émises sur la production
ion hypnotique en se conformant rigoureusement aux enseignements de l' Ecole de Nancy, on n'a jamais vu survenir à la suite de
nier l'existence des stigmates de l'hystérie tels que les a décrits l' Ecole de la Salpêtrière, parce que, malgré leurs recher
provocateur de l'hystérie, émane ordinairement d'un représentant de l' Ecole qui a provoqué pendant longtemps chez les grands
Lorsque l'on envisage la suggestion hypnotique comme la conçoit l' Ecole de Nancy, l'indication de ce traitement est encor
simple action des mots consacrés: « Eveillez-vous. » Aucun élève de l' Ecole de Nancy ne s'est heurté à une difficulté de cet
niques à Sainte-Anne, nous affirmons par contre que l'hypnotisme de l' Ecole de Nancy n'en comporte aucun, d'aucune sorte. Il
s, tout cela « sans hâte et sans fatigue. Quand viendra le temps de l' école , on verra ce à qu'il faudra faire. » Voilà, tel
s avoir l'idée que Braid eût anticipé la « suggestion », théorie de l' École de Nancy. Il admet cependant que plusieurs invest
enfin lui qui combattit, avec le plus grand succès, les erreurs de l' Ecole de la Solpètrière. 11 y a cependant une distincti
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'él
icle de la Revue philosophique (*). Cette thèse, qui est celle de l' École de Nancy, et qui contredit les opinions soutenues
a mère. M. Delbceuf, qui avait d'abord conclu dans le même sens que l' École de Nancy, a ensuite changé d'opinion. — Raisons q
outeuse : domestiques, cochers, etc. I. Cette thèse, sur laquelle l' École de Nancy est unanime, est combattue notamment par
Les idées qu'il a développées et qui représentent la doctrine de l' Ecole de Nancy, sur la grave question des suggestions c
u de presque tous les médecins présents au Congrès, les théories de l' Ecole de la Salpêtrière rencontrent, chaque jour, de mo
tion suivante, qui a trait à un jeune homme de 15 ans, élève dans une école de la Ville de Paris. Ce jeune homme, Pernand F
- ligne, ni tracer une ligne droite. De plus, !e programme de son école comporte des travaux manuels de menuiserie et de
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'ét
ne doivent pas être oubliées. Ainsi la démonstration des erreurs de l' école de la Salpêtrière par Bernheim et ses collègues,
ences qui séparent ces deux états, différences que ne reconnaît pas l' école de Nancy. Selon Braid, la condition hypnotique
r à celui qui leur était naturel. Bernheim et d'autres membres de l' Ecole de Nancy diffèrent entièrement de ces idées. Ils
ient toute suggestion criminelle... Bernheim et d'autres membres de l' École de Nancy diffèrent entièrement de «es idées. Us t
ré ces divergences, Braid reste le père de la doctrine suggestive ; l' Ecole de Nancy procède directement de lui. Mais cette d
ent avec lui que Braid est le premier initiateur de la doctrine que l' Ecole de Nancy a recueillie et perfectionnée après lui,
être fournie. Pratiquement il faut laisser de côté les divergences d' écoles , ne pas chercher des explications plus où moins a
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
cteur adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à. l' Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'ét
te par le Df Bérillon sur le sujet suivant : Le grand hypnotisme et l' Ecole de Paris (Charcoi, Mesnet, Luys et Dumontpallier)
. Hartenberg font, les jeudis à partir du 2 décembre, à 8 h. 1/2, à l' Ecole psychothérapique, 21, rue Cujas, des conférences
Ces applications avaient été faites chez des élèves des lycées et des écoles dont les progrès ne donnaient pas toutes les sati
açon la plus libérale à l'Institut psycho-physiologique de Paris, à l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine et dans de nom
dique nettement que les efforts réalisés par les Maîtres des diverses écoles ont porte leurs fruits et que les préventions qui
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours ù l' Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'ét
publics d'aliénés, fera une conférence sur : Le grand hypnotisme et l' Ecole de Paris (Ch. Richet, Charcot, Mesnet, Luys et Du
t entièrement consacré. Il s'est efforcé de montrer que la thèse de l' Ecole de Nancy, ne repose sur aucun fondement sérieux;
vé en moi, d'abord un adepte, puis un adversaire. (2) » Et à quelle école se ralliait-il ? A l'Ecole de la Salpêtrière, qu'
e, puis un adversaire. (2) » Et à quelle école se ralliait-il ? A l' Ecole de la Salpêtrière, qu'il avait d'abord combattue.
re nancéien sur une foule d'autres points. On sait, en effet, que l' Ecole de Paris a toujours été opposée à la doctrine de
rs qui pratiquent la suggestion : tous se rallient à la doctrine de l' école de Nancy. Les idées soutenues dans cet ouvrage
ctrine qui est attaquée par MM. Gilles de la Tourette et de Rochas. L' école de Nancy est d'accord pour riposter à ses adversa
, de Liébeault, de Charcot, de Dumontpallier, de la Salpètrière, de l' Ecole Allemande, de l'Ecole de Paris, du Congrès de l'h
rcot, de Dumontpallier, de la Salpètrière, de l'Ecole Allemande, de l' Ecole de Paris, du Congrès de l'hypnotisme. Ce sont les
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'ét
é, interrompu ses travaux. Il était né à Saumur, en 1825. C'est a l' Ecole de Médecine d'Angers qu'il commença ses étude
'elle avait recours à l'hypnotisme, — en Allemagne, au contraire, une école puissante, celle de Wundt, prétend que l'hypnotis
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'ét
onstrations des Bayons de Rœntgen, par le Dr Dagincourt.j Cours a l' École pratique. — Le Conseil de l'Université de Parif v
à continuer, pendant le semestre d'été 1897-1S9S, son cours libre à l' Ecole pratique de la Faculté sur le sujet suivant : Psy
i, est, je le sais, contestée par quelques-uns des représentants de l' Ecole de la Salpélrlère, et notamment par M. le Dr Brou
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'ét
motricité et de la force. ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR LIBRE COURS A L' ÉCOLE PRATIQUE DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE Semestre d'été
vue de l'Hypnotisme, commencera le mardi 19 Avril, à cinq heures, à l' Ecole Pratique de la Faculté de médecine (amphithéâtre
u somnambulisme avec la jurisprudence et la médecine légale (1088). L' Ecole de Nancy était fondée. D'ailleurs, de nombreux
à Paris en décembre ItiOb' : « Les régens, précepteurs et maislres d' école des petites villes el villages seront approuvez p
ont droit d'y nommer; et où il y aurait plaintes des dits maislres d' école , régens où précepteurs, il sera pourvu par les ar
un c&piscol, où écoldlre, chargé de l'administration des petites écoles . Au demeurant renseignement était tel, qu' ¦ un o
pas cette superstition, mais était très pieuse. (1) Jules Simon. L' Ecole . Quand elle mourut, Gilbertc avait six ans, B
) VIII MM. Binet el Férè, bien que se rattachant, en général, à l' Ecole de la Salpétrière, comme interprétation physiolog
de Paris a, dans La Médecine moderne, pris nettement position avec l' Ecole de Nancy contre l'Ecole de la Salpèlrière. Il a e
ecine moderne, pris nettement position avec l'Ecole de Nancy contre l' Ecole de la Salpèlrière. Il a expliqué, comme nous l'av
tailler une robe à sa poupée, quand elle est en retard pour aller à l' école . Elle n'est pas triste cependant. Elle est très a
ir lorsqu'un cheval tombe. Très paresseuse, elle n'aime pus aller à l' école . Enfin, elle a de temps en temps des crises inq
e peu. D'ailleurs, le D' Liebeault, le chef incontesté et vénéré de l' école do iSaucy, n'a t-il pas été repouss-i par ses con
rieuse enquête entreprise par lui auprès d'un grand nombre d'élèves d' école primaire el de personnes adultes, au sujet de la
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait â la fois une Ecole pratique de psychothérapie el un laboratoire de p
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'ét
uvent repousser les suggestions criminelles, plusieurs disciples de l' école de Nancy continuent à regarder l'automatisme et l
M. le Df Ferrand [Limousin médical, avril 1897, p. 54). — Un élève d' école communale perd subitement connaissance pendant la
le Dr Paul Richer, qui fut un des élèves les plus autorisés de l' Ecole de la Salpétrière. M. Paul Richcr, professeur à l
utorisés de l'Ecole de la Salpétrière. M. Paul Richcr, professeur à l' Ecole des Beaux-Arts, est l'auteur d'un travail considé
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de là faculté de médecine (semestre d'ét
r 1897-1898 a l'Institut psycho-physiologique, 190. Cours libre à l' école pratique de la faculté de médecine (programme), 2
25 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
luse ; Henry LEMESLE LLOYD-TUCKEY .de Londres); MANOUVRIER; prof, à l’ Ecole d’Antropologie; MASOIN,prof, à l'Université de Lo
organisation de l’institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
cin inspecteur des asiles publics d’aliénés, y complète son cours à l’ Ecole pratique delà Faculté de médecine (semestre d’été
organisation de l’institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
cin inspecteur des asiles publics d’aliénés, y complète son cours à l’ Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d'ét
me venus de tous les pays pour rendre hommage au chef incontesté de l’ école do Nancy. Le®) juillet 189l,Dumontpallierinaugu
phé (Indre-et-Loire), le 29 septembre 1844, fut d’abord élève à l’ école vétérinaire d’Al-fortoù il devint ensuite chef de
de sa longue expérience des malades, et de sa vaste érudition. A l’ Ecole pratique de la Faculté rie médecine, il lait chaq
définitivement guéris. Il y a plus ; cette clinique est une véritable Ecole de Psychothérapie, où de nombreux médecins et étu
ndu que j’ai donné du livre «lu D’ Van lienterghem : Liébeault et son école , numéro de novembre 1808. «ire à la modeste c
ée universelle; il est incontestablement le père et le fondateur de l’ Ecole do Nancy. Son livre de 1860 ne tarde pas à être é
ongtemps avant que surgît le dissentiment qui devait rendre rivales l' Ecole de la Salpêtrière et celle de Nancy, le I)'Durand
r du laboratoire de psychologie à la Sorbonne. M. Blas, directeur d’ Ecole à Roubaix. M. Blech, avocat, docteur en droit à
nd de Gros; le Dr Liébeault, de Nancy; Soury (Jules), professeur de l' Ecole pratique des Hautes Etudes. Sont ensuite élus c
quelle sont inscrits au nombre de nos collaborateurs des savants de l' Ecole de Droit, de l'Ecole de Médecine, de l’Ecole d’Al
au nombre de nos collaborateurs des savants de l'Ecole de Droit, de l' Ecole de Médecine, de l’Ecole d’Alfort et de la Faculté
rateurs des savants de l'Ecole de Droit, de l'Ecole de Médecine, de l’ Ecole d’Alfort et de la Faculté des Sciences et des Let
cot; je veux parler des cliniciens et des savants qui ont constitué l’ École de Nancy. Ceux-ci ont eu le grand mérite de ratta
n dans leur formation. On peut dire, en un mot, que si le mérite de l’ École de la Salpêtrière a été de chercher le déterminis
savoir le reconnaître, les recherches et les découvertes do ces deux écoles n’auraient pas abouti au terme qu’elles ont attei
rien de nouveau sous lo soleil ; la querelle qui s’est élevée entre l’ Ecole de la Salpôtrière et l'Ecole de Nancy n’est que l
l ; la querelle qui s’est élevée entre l’Ecole de la Salpôtrière et l' Ecole de Nancy n’est que le renouvellement de celle qui
s sur l'autre, mais à la conciliation et aux clTorts communs des deux écoles dont je viens de parler. Cette conciliation était
tes. Or, on a fini par sc convaincre, sous la double influence de l’ Ecole de la Salpétrière et do l’Ecole de Nancy, que les
aincre, sous la double influence de l’Ecole de la Salpétrière et do l’ Ecole de Nancy, que les maladies nerveuses, par conséqu
C’est dans cette notion du déterminisme psychologique que les deux écoles se sont réconciliées. J’en.vois une preuve nouvel
ne association féconde : les noms de PEcole de la Salpêtrière et de l’ Ecole de Nancy, unis désormais, résument, je ne dis pas
ypnotisme vraiment scientifique, a rappelé les luttes mémorables de l' école de la Salpètrière avec l'école de Nancy. Très sag
, a rappelé les luttes mémorables de l'école de la Salpètrière avec l' école de Nancy. Très sagement, il juge ces disputes sté
lois scientifiques du somnabulismc, et il a rendu un hommage égal à l' école de la Salpètrière et à l’école de Nancy. » *
smc, et il a rendu un hommage égal à l'école de la Salpètrière et à l’ école de Nancy. » * * • Dans Y Éclair, M. Georges
lus appréciables. Les travaux de M. Liébeault et des professeurs de l’ Ecole de Nancy ont démontré d'une façon indi?cutabie le
xpérimentale, Vi. Montoigueil se reporte aux lulles fameuses de l' Ecole de la Salpctriere et de celle de Nancy. Il conclu
s sur l’autre, mais n la conciliation et aux efforts communs des deux Ecoles . * En somme, le Congrès d’hypnotisme, qui a com
t transmis le lourd héritage du grand Charcot. « A la tête de cette école se trouvait, il y a peu de temps encore, le docte
qu'il se plaça au premier plan, tout en demeurant indépendant entre l’ école de Nancy et celle de la Salpètrière. * Dumontpa
organisation de l'institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique delà Faculté de médecine (semestre d'été
seuis médecins en Hollande professant ouvertement les doctrines de l' école de Nancy. Dès l'année 1S87, seul d'abord à Goës
que de l'Hystérie. A Schéveningue, le docteur Breukink représente l’ école de Liébeault et a su, par mainte cure heureuse, g
ste chez M. Bérillon, d’ordre métaphysique chez lui. Un adepte de l’ Ecole de Nancy, le docteur W. Huet, autre élève du prof
avec excellent succès de cette arme dont nous asi heureusement doté l’ école de Nancy. En résumant, je constate : Que dans
ggestion thérapeutique — pour autant queje sache — les doctrines de l' école de Nancy, et qu’ils vouent chaque annéo, une part
hôtel expressément bâti à ce dessein. En l’honneur du fondateur de l’ école de Nancy, j'ai attaché le nom du maitre au nouvel
age des plaques plus petites portent les noms les plus illustres de l’ école formée-par le maître. Vis à vis de la plaque dédi
et J. Milne-Bramwell. Les médecins belges et hollandais ralliés à l’ école de Liébeault figurent au premier étage : H. C. Br
ai eu l’honneur de vous l’exposer tantôt, les médecins partisans de l’ école de Nancy se font de plus en plus nombreux en Holl
ommissaire de police nous commit tous deux 'MM. Coste, directeur de l’ Ecole de médecine de Marseille, et Broquier, chirurgien
, après les travaux de Charcot, de l'Ecolc de la Salpe-trière et de l' école de Nancy, la question est beaucoup mieux connue,
qui, aveugle-né, vient de subir avec succès le Concours d’entrée de l' Ecole normale supérieure, après avoir remporté de très
organisation de l’institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
r les heureux résultats obtenus par l’hypnotisme chez nos enfants des écoles de la ville de Paris. Nombre d’entre eux, attei
uit la propreté et en même temps le renforcement des muscles, voici l' école ! Mais oui, une école, où l’on donne à ces pauvre
même temps le renforcement des muscles, voici l'école ! Mais oui, une école , où l’on donne à ces pauvres petites rétardées, o
diffère point de celles que nous venons d'étudier. C'est à tort que l’ école de la Salpétrière a soutenu et soutient encore qu
organisation de l’institut psycho-physiologique eh fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
cin inspecteur des asiles publics d’aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d’ét
uit heures et demie, M. Laisant, docteur ¿s-sciences, examinateur à l’ Ecole polytechnique, fera une conférence sur : Psycholo
nférence sera accompagnée de projections à la lumière oxydrique.) ÉCOLE DE PSYCHOLOGIE 49> we Saint-André-des-Arts,
ion des élèves ins- (1) Notice sur l’institut psycho-physiologique. Ecole de psychothérapie et laboratoire de psychologie.
te Voisin, médecin de la Salpétrière et M. Jules Soury, directeur à l’ Ecole des Hautes études. M. le D1 Liébeault et M. le pr
Liégeois, furent dans ce comité de patronage, les représentants de l’ Ecole de Nancy. Vous pourrez vous rendre compte de la
t à l’étude de l’hypnotisme. On peut lui attribuer la création de l’ Ecole de psychologie, car notre initiative a puisé sa s
atomie du sj-stème nerveux; le mathématicien Laisant, examinateur à l’ Ecole polytechnique; les D'* Collineau, Saint-IIilairc,
il convient d’ajouter ceux de tous mes collaborateurs de la nouvelle Ecole : MM. Paul Magnin, Félix Regnault, Paul Farez, He
continueront d'ailleurs parallèlement avec les cours théoriques de l’ Ecole , ont porté sur toutes les branches de la psycholo
eux qui ont répondu aujourd'hui à notre invitation, la création d'une Ecole de psychologie répondait à un véritable besoin.
sychologie répondait à un véritable besoin. L'organisation de cette école qui, à côté des cours permanents, comprend des co
L'n point sur lequel nous jugeons utile d’insister c’est que notre école n’astreint les professeurs qui la composent, pas
eur sont personnels. En résumé, les études auxquelles se consacre l’ Ecole de psychologie peuvent se répartir eu huit branch
la présidence de cette séance d’inauguration. Les organisateurs de l’ Ecole de psychologie m'ont dit que ma présence pourrait
urquoi je constate avec plaisir la pnrt que vous attribuez dans votre école aux questions de psychologie sociologique. Comm
uestions et je vous exprime mes vœux sincères pour la prospérité de l’ Ecole de psychologie. L allocution de M. Tarde est ac
ude de l’hypnotisme expérimental. Rappelons que l’enseignement de l’ Ecole de psychologie comporte actuellement huit cours a
Hypnotisme (août 1900). (2) Consulter sur ce point les travaux de l’ école de Bordeaux (Pitres, Tissié, Régis, Kicande de Me
II n'a jamais eu de maladies graves dans sa jeunesse. Instruit à l’ école primaire, il a appris à lire, à écrire, à compter
il est celui qui a été chargé par le Maitre de publier les idées de l’ Ecole de la Salpôtrlère sur l’hypnotisme et sur l’hysté
nisation de l’institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique delà Faculté de médecine (semestre d’été
it heures et demie, M. Laisant, docteur i*s-scicnccs, examinateur à l’ Ecole polytechnique, fera une conférence sur : Psycholo
conférence sera accompagnée de projections à la lumière oxydrique.) ÉCOLE DE PSYCHOLOGIE 4Ç, rue Saint-André-des-Avis, 4g
nes. L’amiboisme nerveux. Théorie histologique du sommeil. (Rev. de l' école d’anthropologie, 15 février 1900.) (4) Les néga
del a donné lieu à de vives controverses entre les représentants de l’ Ecole de Paris et ceux de l’Ecole de Nancy. Il nous par
controverses entre les représentants de l’Ecole de Paris et ceux de l’ Ecole de Nancy. Il nous parait prématuré de reprendre c
et les cotisations à M. Albert Colas, trésorier, 1, place Jussieu. Ecole de psychologie. Le succès de l’enseignement don
sieu. Ecole de psychologie. Le succès de l’enseignement donné à l' École de psychologie, a été réellement considérable. To
organisation de l’Inslitut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
cin inspecteur des asiles publics d’aliénés, y complète son cours à l’ Ecole pratique delà Faculté de médecine (semestre d’été
sera accompagnée de projections à la lumière oxydrique.) Cours a l’ Ecole pratique de la Faculté de Médecine. — M. le Dr Bé
es asiles d’aliénés, commencera le lundi 22 avril, à cinq heures, à l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine (amphithéâtre
qui a pour mission d’étudier l’état physique et mental des élèves des écoles . L’examen avait d’abord été limité aux points s
organisation de l’institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
orat dans les travaux de l’institut psycho-physiologique. Cours a l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine. — M. le Dr Bé
des asiles daliénés, commencera le lundi 22 avril, à cinq heures, à l’ Ecole pratique de la Faculté de Médecine (amphithéâtre
organisation de l’institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
cin inspecteur des asiles publics d’aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique delà Faculté de médecine semestre d’été)
orat dans les travaux de l’institut psycho-physiologique. Cours a l’ Ecole pratique de la Faculté de Médecine. — M. le Dr Bé
es asiles d’aliénés, a commencé le lundi 22 avril, à cinq heures, à l’ Ecole pratique de la Faculté de Médecine (amphithéâtre
ces de l'institut psychophysiologique, p. 222, 254, 288. Cours de l’ Ecole de Psychologie, p. 223, 255. Cours du Dr Babins
352. Cours du Dr J. Voisin, p. 32, 224. Cours du Dr Bérillon à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine, p. 288, 320,
, p. 126. Ecchymoses spontanées hystériques, par Beclère, p. 311. Ecole de Psychologie, p. 226, 282. Epilepsie (Les obs
26 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
o Nancy; LLOYD-TUCKEY(de Londres); O.JENNINGS: LIiTOURNEAU, prof, à l' Ecole d'Anthropologie ; MASOIN. prof, à 1 Univ. de Louv
thropologie ; MASOIN. prof, à 1 Univ. de Louvain MANOUVRIER. prof.à l' Ecole d'Anthropologie; M ESN ET, méd. de l'Hôtel-Dicu;
de l'Hôtel-Dicu de Paris du professeur Trousseau, et faisait à l' École pratique un cours de pathologie interne ; en 186G
es sur l'hypnotisme chez les hystériques. Devenu chef d'une véritable école d'hypnologie, célèbre sous le nom d'Ecole de la P
Devenu chef d'une véritable école d'hypnologie, célèbre sous le nom d' Ecole de la Pitié, il était secondé dans ses recherches
esseur Charcot, il ne se plia pas aux idées reçues, mais lutta avec l' école de Nancy contre la théorie des trois états de l'h
rtain nombre d'observations, que la caserne et le séminaire, ces deux écoles de l'obéissance passive et de l'acquiescement pou
se faisant accroire à lui-même qu'il avait inventé l'hypnotisme, et l' école d'hypno-psy-chologues qui s'était formée autour d
.... Du reste, en voulant s'attribuer la chose d'autrui, la jeune école ne réussit en général qu'à produire des contrefaç
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pra- tique par des conférences sur les applic
communications n'ont été présentées que d'une façon très résumée. Les écoles les plus diverses de la psychologie française ava
sur ce nouveau côté de la question. » - Mes excellents amis de l' École de Nancy sont convaincus que tout le merveilleux
de Moscou par l'éminent Dr Kogevnikoff, professeurde psychiatrie à l' école de médecine de cette ville. Ce rapport, qui suppl
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique par des conférences sur les applications
atisme. » Par ce travail, la première en date des publications de l' Ecole de Paris sur l'hypnotisme, M. Richet plaçait la q
e purement psychologique serait peut-être épuisé, si les travaux de l' Ecole de Nancy n'avait démontré que les mêmes phénomène
é lui semble jouer un rôle beaucoup moins important que ne le croit l' Ecole allemande contemporaine : c'est à l'influence du
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique par des conférences sur les applications
rrespondant de l'Académie de médecine de retourner sur les bancs de l' école , ou mieux de suivre les leçons des médecins spéci
t et à si bon marché. Bref, si on a appelé ajuste titre la prison l' école normale du crime, le journal n'en est-il pas l'éc
itre la prison l'école normale du crime, le journal n'en est-il pas l' école primaire ou plutôt l'école mutuelle? Il est un
ale du crime, le journal n'en est-il pas l'école primaire ou plutôt l' école mutuelle? Il est un autre point que je veux sim
s rapides et indéniables. Je considère ici, selon l'enseignement de l' école nancéenne, l'habitude psychique morbide comme l'é
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique par des conférences surles applications
ur de l'homme. Jeudi 4 Mars, à cinq heures, M. Maurice Dupont, de l' Ecole du Louvre, fera une conférence sur : L'influence
une conférence sur : L'homme criminel et les doctrines nouvelles de l' Ecole de Lombroso. Jeudi i" Avril, à cinq heures, M.
recherches de M. Otis de New-York, et malgré la vive opposition de l' école de Paris, tout le monde admet l'existence de rétr
Comment se produit l'hypnose? Est-elle toujours, comme le prétend l' école de Nancy, un simple effet de la suggestion, c'est
liqué et plus obscur qu'il ne le parait d'après les théories de cette école ,et faut-il faire une part, au moins dans certains
on, donna une réponse affirmative. Le docteur H., bibliothécaire de l' Ecole de médecine, et un de ses amis ëtantvenus chez mo
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'ét
ur de l'homme. Jeudi 4 Mars, à cinq heures, M. Maurice Dupont, de l' Ecole du Louvre, fera une conference sur : L'influence
une conférence sur : L'Iamme criminel et les doctrines nouvelles de l' Ecole de Lombroso. Jeudi lor Avril, à cinq heures, M.
hysiques et Mathématiques, 11 fut ensuite chargé du Cours de Grec à l' Ecole Normale des Humanités, à Liège (1860), puis du Co
de Philosophie à l'Université de Gand (I8fi3)et d'un autre Cours à l' Ecole Normale des Sciences de cette ville. Trois ans pl
eu que leurs connaissances géométriques eussent «fait admettre dans l' école de Platon > ; et les mathématiciens d'alors av
débuté à l'occasion d'un traumatisme, d'ailleurs léger : un cahier d' école avait été lancé au visage de l'enfant et le coin
tant moi-même gaucher de naissance, et ayant appris à mes débuts, à l' école primaire, à écrire de la main gauche. Mais il n
t c'eût été dommage (1). Un cas de Somnambulisme chez un élève de l' École normale supérieure. M. D. Ordinaire, député, qu
mourir, avait, par un privilège très spécial, passé quatre années à l' École normale supérieure. Au cours de sa seconde année,
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'ét
ur de l'homme. Jeudi 4 Mars, à cinq heures, M. Maurice Dupont, de l' Ecole du Louvre, fera une conférence sur : L'influence
une conférence sur : L'homme criminel et les doctrines nouvelles de l' Ecole de Lombroso. Jeudi 1er Avril, à cinq heures, M.
la suggestion dans la production des phénomènes observés, rôle que l' Ecole de Nancy et M. Ch. Richet ont si bien mis en évid
elbœuf avait eu l'occasion de s'appuyer des opinions professées par l' Ecole de Nancy, contrairement aux doctrines qui avaient
bjet de sa brochure : Le magnétisme animal, à propos d'une visite à l' Ecole de Nancy1. J'ai dit déjà, en rendant compte de
nséquence nécessaire et facile à tirer des faits mis en lumière par l' Ecole de Nancy et, en particulier, par M. Liébeault ? C
nt, n'en présentent pas moins une haute gravité. Les doctrines de l' Ecole de Nancy, que je n'avais fait qu'appliquer au dro
quer en quoi la doctrine du professeur de Liège diffère de celle de l' Ecole de Nancy. La thèse que j'avais formulée en 1884
n doit être recherché et puni. A cette doctrine s'oppose celle de l' Ecole de la Salpêtrière, dont le professeur Charcot éta
apporte, dans la discussion de ce problème, un nouveau facteur que l' école spencérienne n'avait pas encore envisagé. Prenons
pas moins suggestive et non moins néfaste à la société. En dépit de l' école anglaise, l'incitation dans la rue, de femmes qui
non, et il appuie son dire sur de sérieuses raisons biologiques. Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'ét
ur de l'homme. Jeudi 4 Mars, à cinq heures, M. Maurice Dupont, de l' Ecole du Louvre, fera une conférence sur : L'influence
une conférence sur : L'homme criminel et les doctrines nouvelles de l' Ecole de Lombroso. Jeudi 1« Avril, à cinq heures, M.
à juste titre considérer comme les héritiers directs de cette grande Ecole arabe, à laquelle nos savants de la Renaissance o
octurnes, et de l'incontinence d'urine. Enfin, l'enfant fut mis à l' école communale. II s'y fit remarquer par des inégalité
idère comme des phénomènes miraculeux. Il y a plus d'un siècle, une école médicale fameuse, celle de Stahl, avait formulé l
it d'eux était au-delà des forces humaines, car si les doctrines de l' Ecole psychique allemande brillèrent pendant quelques a
oins encore, » En effet, bien peu sont au courant des recherches de l' Ecole psychique française sur la suggestion, sur l'hypn
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pra-jique de la faculté de médecine (semestre d'é
on des étudiants inscrits. ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR LIBRE COURS A L' ÉCOLE PRATIQUE DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE Semestre d'été
Revue de l'Hypnotisme, commencera le mardi 9 Mars, à cinq heures, à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine (amphithéâ
é-des-Arts, 49 Jeudi 4 Mars, à cinq heures, M. Maurice Dupont, de l' Ecole du Louvre, fera une conférence sur : L'influence
une conférence sur : L'homme criminel et les doctrines nouvelles de l' Ecole de Lombroso. Jeudi 1er Avril, à cinq heures, M.
de. Imbu et ajuste raison, je crois, des idées et des procédés de l' Ecole de Nancy, opérant d'après la méthode du Prof. Ber
COURS & CONFÉRENCES Cours de psychologie et d'hypnologie a l' école pratique de la faculté de PaRIS L'hypnotisme
Par m. le Dr Bérillon Depuis 1889, M. le Dr Bérillon professe, à l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine, un cours libr
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'ét
t de vue intellectuel, Emma X... était d'une infériorité notoire. A l' école , sa niaiserie était restée exemplaire : elle avai
le entre 11 et 14 ans; Les détenus déclarent que c'est en faisant l' école buissonnière, en errant sur les fortifications, l
YValter Leaf : a Hypothèse du Magnétisme Animal », associe Braid à l' Ecole de Paris (Hypnotisme), et Faria. à l'Ecole de Nan
nimal », associe Braid à l'Ecole de Paris (Hypnotisme), et Faria. à l' Ecole de Nancy (Suggestion). Quoi qu'il en soit, des
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'ét
naires de l'enfance. Le peu de temps qu'elle passa sur les bancs de l' école lui valut des éloges pour sa mémoire heureuse et
adressé à notre clinique par M. le docteur Manouvrier, professeur à l' Ecole d'anthropologie. Jusqu'à Page de 6 ans, son carac
re, sans lumière. Il est devenu un excellent élève et il a fait à son école de rapides progrès. Nous l'avons également débarr
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'ét
n n'a-t-il pas dû exiger que l'enfant fût, pour un temps, retiré de l' école et qu'il vécût en dehors de toute espèce de préoc
êcher le surmenage intellectuel que l'on impose actuellement dans les écoles . M. Bourrilly, inspecteur primaire à Toulon, dé
essive que l'on impose aux enfants dès l'âge le plus tendre jusqu'aux écoles secondaires et universitaires. Les enfants offren
avoir à quel moment et à quel degré on peut donner aux enfants de nos écoles cette somme énorme de travail qui ne fait autre c
et veillent à ce que les travaux donnés comme devoirs classiques à l' école ou à domicile soient toujours proportionnés à l'â
li est radical, Pour lui, l'enfant de six à sept ans n'a pas besoin d' école à proprement parler. II a besoin de quelqu'un qui
ecteur adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la faculté de médecine (semestre d'ét
r P. Desjardin de Régla, 229. Programme du cours du Dr Bérillon à l' Ecole pratique. Psychologie des calculateurs prodiges
uggestive), par le Dr Bourdon, 45. Somnambulisme chez un élève de l' Ecole Normale supérieure (un cas de), 190. Somnambuli
27 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
Londres); MABILLE, môd. de l'Asile de Lafond; Paul MAGNIN, prof, à l' Ecole do psychologie; MORSELL1 (de Gènes); DE PACKIEWIC
ns aussi la création de l'Institut psycho-physiologique et celle de l' Ecole de psychologie, dont les cours, grâce à l'assidui
t y superposer (2). Toute autre est l'opinion des observateurs de l' Ecole de (1) J. Babinski: Hypnotisme et hystérie, leç
ègue M. le Dr Stadelmann expose l'installation et les avantages d'une école qu'il vient de fonder pour les enfants nerveux à
la mettre en œuvre? Faudra-t-il que dans chaque famille, dans chaque école primaire ou maternelle, on installe un cabinet de
familles pourraient aisément s'outiller de la sorte. En tous cas, les écoles publiques devraient partout, sans exception, jusq
s, figurent dans les budgets municipaux C'est une honte, que chaque école n'ait pas, sous une forme rudi-mentairc, sa colle
ar M. le Dr Bérillon à examiner, de concert avec les professeurs de l' Ecole de Psychologie, le jeune violoniste Kun Arpad, je
commettre. La possibilité de semblables actes a été contestée. L' école de Nancy prétend qu'un acte criminel peut être co
nt par une personne à laquelle il a été suggéré pendant le sommeil. L' Ecole de la Salpêtrière soutient, au contraire, que de
. Ensuite M. le Dr Jules Voisin, médecin de l'asile d'aliénés et de l' école de réforme de la Salpétrière, a donné les résulta
l'école de réforme de la Salpétrière, a donné les résultats de celte école de réforme. De son remarquable rapport, il résult
iale, à l'hystérie ou à la dégénérescence. Les guérisons obtenues à l' école de réforme sont nombreuses. Elles le deviendront
curable. » Les rapports présentes par ces trois représentants de l' école de Paris ont été très applaudis. La préoccupation
nt de 9 ans, incontinente nocturne, depuis sa naissance, est mise à l' école . En peu de temps elle devient incontinente diurne
signature du Dr L. Merveille. sentation de cette nature dans les écoles de son ressort. A l'étranger, au contraire, je
t d'autres mensurations aussi, faites sur des garçons fréquentant les écoles communales, qu'on présume être normaux. Plus dé
rir. Etant enfants, ils furent envoyés pendant une ou deux années à l' école où ils n'apprirent rien, et après, étant trop gra
e où ils n'apprirent rien, et après, étant trop grands pour aller à l' école , ils furent placés auprès d'un patron pour appren
ait un enfant docile et obéissant, d'intelligence moyenne, assidu à l' école et sans mauvais instincts. Mais depuis que, à l'é
en rapport avec sa modeste condition. Il s'est mis d'abord à faire l' école buissonnière et, se levant le matin de très bonne
istait opiniâtrement dans cette voie. On ne le voyait plus jamais à l' école , et il échappait facilement à la surveillance de
t-il, je n'en veux pas, ce n'est pas bon. » « Tu ne veux plus faire l' école buissonnière. » A son réveil, il ne se souvenait
te fois, un vrai commencement de résultat, puisqu'il cessa de faire l' école buissonnière, ne songea plus à faire son paquet e
et de l'énergie psychique, qu'il serait très studieux et appliqué à l' école , qu'il apprendrait et comprendrait mieux, qu'il a
développement des aptitudes. Non seulement il ne songe plus à fuir l' école , à se sauver à Paris, etc., mais il est docile et
omprenant plus rien et ne pouvant plus apprendre, elle avait quitté l' école où elle était une des premières. Le physique alla
(1) Vies III, 243. (2) Ibid. IU, 233. (3) Leçons professées à l' Ecole de psychologie, 1901. (4) Ceux qui veulent être
d'attention et leur défaut d'application se sont surtout révélés à l' école , où leurs progrès étaient lents. Les suggestions
des-Arts, à 8 h. 1/2 du soir, à partir du vendredi 17 janvier 1902. Ecole de psychologie. — La réouverture des cours de l'E
janvier 1902. Ecole de psychologie. — La réouverture des cours de l' Ecole de psychologie aura lieu le lundi 13 janvier 1902
même, composée cependant de membres élevés pour la plupart à la même École , il y a eu plusieurs fois des discussions tendant
était le chef d'une secte galiléenne. La sédition fut écrasée, mais l' école subsista. On la retrouve fort active dans les der
crises convulsivcs, mais le diagnostic en est différent. Il va à l' école depuis l'âge de 5 ans. Or, il y a six mois, il a
psychologie de l'enfant anormal. L'organisation et les résultats de l' Ecole de Reforme de la Salpêtrière. Vendiiedi 31 Janv
, de démonstrations expérimentales et de présentations d'appareils. ÉCOLE DE PSYCHOLOGIE 4Q, rue Saint-Andrê-des-Arts, 4g
e de l'Académie des sciences morales; Jules Soury, sous-directeur à l' Ecole des Hautes-Etudes; Jules Voisin, médecin delà Sal
MENTA^ ET^ THERAPEUTIQUE 16« Année — ? 8. \. ¦ ±f. Février 1901 L' Ecole d^Psychologie La réouverture des cours de l'Eco
Février 1901 L'Ecole d^Psychologie La réouverture des cours de l' Ecole de psychologie a eu lieu le lundi 13 janvier, à c
pêtrière, membre du Comité de patronage, et tous les professeurs de l' Ecole , MM. les Drt Bérillon, Paul Magnin, Félix Regnaul
ssistance extrêmement nombreuse qui avait répondu à l'invitation de l' Ecole . Elle était composée de médecins, de magistrats,
re, membres de l'Académie de Médecine, M. le Dr Godon, directeur de l' Ecole dentaire de Paris, M. Edmond Lepel-Ietier, consei
rillon Messieurs, Mon premier devoir, au nom des Professeurs de l' École de Psychologie, est d'exprimer toute noire reconn
sident perpétuel et où il nous associa à ses travaux, soit dans cette Ecole où il continua son enseignement lorsqu'il fut méd
'à vous donner quelques renseignements sur les progrès réalisés par l' Ecole de Psychologie, dans le cours du dernier exercice
dresser l'expression de notre vive admiration. Les professeurs de l' Ecole de psychologie, poursuivant leurs études personne
est venu, de Salonique, se soumettre à l'examen des professeurs de l' Ecole de psychologie. Nous avons pu constater selon l'h
Paul Joire, fait chaque année à Lille, dans un cours annexe de notre Ecole , des leçons très suivies sur l'Hypnotisme et la P
sieurs, En me demandant de présider à l'inauguration des cours de l' Ecole de Psychologie, vous m'avez fait un très grand ho
dont l'effort se manifeste toujours plus dur que l'obstacle. Votre Ecole de Psychologie a franchi les difficultés du début
es justement appréciées. Elle est quelque chose de plus encore, cette Ecole ! Elle est un grand exemple de ce que peut créer
ève, au-dessus des systèmes assombris, la 0oraison nouvelle ! Cette Ecole a encore le mérite d'intéresser à sa cause, c'est
vrages sont aujourd'hui classiques, tous suivent les progrès de cette Ecole et applaudissent à son développement. Votre ens
hommes éminents qui assurent, avec mon ami M. Bérillon, l'avenir de l' Ecole de Psychologie, la rigueur et la probité scientif
ion chez les hystériques (') l'ar le D' Paul Magnin, professeur à l' Ecole de psychologie Le cours de cette année a pour o
érie et l'hypnotisme. C'est précisément dans (1) Cours professé à l' Ecole de psychologie. la possibilité d'instituer de
la science hypnotique (') par le Dr Félix Regnault, professeur à l' Ecole de psychologie ON Plusieurs auteurs ont admis
ux vers lui et lui dit : « Ce n'est pas vous (1) Cours professé à l' Ecole de psychologie. (2) Le Merveilleux dans l'antiq
pu dire, qu'on n'a pas pu croire cela de son (1) Max Muller et son école ont prétendu, à l'exemple des gnostiques, expliqu
soi-disant liseur de pensée Par M. le Dr Paul Fabez, professeur à l' École de Psychologie Il y a quelques jours, M. le Dr
quelques jours, M. le Dr Bérillon avait convoque les Professeurs de l' École de Psychologie à une séance de lecture de pensée
nous nous rendons rue Saint-André-des-Arts. Le corps enseignant de l' Ecole de Psychologie n'avait point voulu que cette épre
lecture de pensée chez les animaux. par M. Lépinay, professeur à l' Ecole de Psychologie. M. le Dr Farez vient de nous ex
re de Robert d'Arbrissel Par M. le Dr Henry Lemesle, professeur à l' Ecole de Psychologie Afin de conserver leur vertu, le
it accorder l'autorisation demandée. NOUVELLES Conférences de l' Ecole de psychologie les vendredis, A 8 heures et dem
, de démonstrations expérimentales et de présentations d'appareils. ÉCOLE DE PSYCHOLOGIE 4g, rue Saint-André-des-Arts, 49
t eu lieu à Guerchy (Yonne) au milieu d'une affluence considérable. L' Ecole de psychologie s'était fait représenter par une d
endant la guerre de 1870. Après avoir déposé une couronne au nom de l' Ecole de psychologie. M. le Dr Henry Lemesle a prononcé
le Dr Henry Lemesle a prononcé le discours suivant : « Au nom de l' Ecole de Psychologie de Paris, nous venons respectueuse
manitaire, le docteur Liébeault. C'est lui le chef de cette fameuse Ecole de Nancy, dont les renseignements et les prodiges
vieillard complètement retiré de la lutte, parce qu'il a triomphé. L' école nouvelle a adopté ses enseignements. Ses disciple
tion chez les hystériques (') Par le Dp Paul Magnin, professeur à l' Ecole de psychologie (Suite) On a fait à cette mani
e part et d'autre, les sujets soumis à l'ob- (1) Cours professé à l' Ecole de psychologie. — Voir le numéro de février-
Rendant justice aux idées exposées lors de l'ouverture des Cours de l' Ecole de psychologie par M. Albert Robin, l'orateur a m
ette thérapeutique, jouet des doctrines, qui n'est plus enseignée à l' Ecole , exclue des concours, même du concours des hôpita
eur du Collège de France n'a que quarante-cinq ans. Ancien élève de l' Ecole normale supérieure, brillant agrégé de philosophi
ez les hystéro-épileptiques . par le Dr Paul Magnin, professeur à l' Ecole de Psychologie. Dans l'avant-dernicre séance, M
re et suggestion hypnotique Par M. le Dr Paul Farez, professeur à l' Ecole de Psychologie. Je désire vous dire quelques mo
rateur. Les observations que M. le docteur Paul Parez, professeur à l' école de psychologie, vient de présenter à la Société d
'eau de Seine. ^^^^^^^^^^^^^^^^^^^ Cours du docteur Bérillon. a l' école pratique de la faculté de médecine M. le docteu
Hypnotisme, commencera, le lundi 21 avril, à cinq heures du soir, à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine, amphithéâtre
. Le cours sera complété par des démonstrations expérimentales, à l' Ecole de Psychologie, 49, rue St-André-des-Arts (le Jeu
ui qui a créé les codes pénals modernes et qui s'appelle courant de Y école classique. Ces deux courants, en effet, sont la
té et le courant positiviste de l'autre, — que se rattachent les deux écoles criminelles dont nous parlions tout à l'heure : l
ent les deux écoles criminelles dont nous parlions tout à l'heure : l' école classique et l'école positiviste. L'école classiq
riminelles dont nous parlions tout à l'heure : l'école classique et l' école positiviste. L'école classique a créé les codes p
parlions tout à l'heure : l'école classique et l'école positiviste. L' école classique a créé les codes pénals modernes ; — el
elle s'est limitée à bâtir des théories abstraites sur le crime. — L' école positiviste a créé la sociologie criminelle ; — e
r base les conquêtes récentes des sciences naturelles et médicales. L' école classique, au contraire, qui a commencé avant les
ui étudie toutes les gammes de la folie et des maladies nerveuses), l' école classique, dis-je, a continué à se développer en
Valleix — Présentation de malades avec discussion du traitement. Ecole de psychologie. — Le cours de M. le Dr Bérillon à
aitement. Ecole de psychologie. — Le cours de M. le Dr Bérillon à l' Ecole pratique de la faculté de médecine sera complété
anique et psychique, et du milieu dans lequel le criminel a vécu. L' école classique, qui s'est refusée à étudier l'homme, s
physiologique, en janvier 1900 et dans les leçons que j'ai faites à l' Ecole de psychologie pendant le semestre d'hiver de 190
ménage d'idées, qu'il reste toutefois à mettre en bon ordre ».,.. « L' école italienne a eu le grand tort de vouloir faire de
s du Dr Albert Robin à la Pitié, p. 192. Cours du Dr Bérillon à l' École pratique de la Faculté de médecine, p. 320. Dém
ns le cours d'une attaque (d'), par Le Menant des Chesaais, p. 120. Ecole de psychologie, p. 192, 223, 225, 255, 352. Ele
28 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
in de Mazas; BERNHEIM. prof, à la Faculté de Nancy; BOURRU, prof, à l' Ecole de Rochefort J. BOUYER(d'Angouleme); BRÉMAUD(deBr
e Rochefort J. BOUYER(d'Angouleme); BRÉMAUD(deBrest); BUROT, prof.à l' Ecole de Rochefon CHARCOT, prof, à la Faculté de Paris,
ées assez justement sous le nom de grand hypnotisme. Depuis lors, l' Ecole de Nancy, en l'étendant à un grand nombre de suje
lligent et instruit ; honnête et laborieux, il a fait ses classes à l' école des Cordeliers ; pendant l'année 1882-83, il alla
née 1882-83, il allait deux fois par semaine aux cours de chimie de l' Ecole supérieure; il travaille, comme compositeur d'imp
e M. Sappey Du surmenage intellectuel et de la sédentarité dans les écoles Par M. le professeur Brouardel Suivant moi, l
e l'avenir de l'enfant. Un jeune homme, sorti l'un des premiers d'une école du gouvernement, m'a fait à cet égard ses confide
nces morbides du surmenage intellectuel et de la sédentarité dans les écoles , lycées ou écoles spéciales et sur la nécessité d
urmenage intellectuel et de la sédentarité dans les écoles, lycées ou écoles spéciales et sur la nécessité d'apporter de grand
est offert par M. le Dr Depierris à l'étudiant en médecine, à quelque école française qu'il appartienne, qui fera le meilleur
ces attaques répondent la plupart du temps aux phases décrites par l' école de la Salpêtrière. Toutefois, chez V..., l'atta
au point de vue de l'anthropologie criminelle. On le sait. la vieille Ecole classique invoque, pour la répression de la culpa
e M. Sappen Du surmenage intellectuel et de la sédentarité dans les écoles Par M. le Docteur Féréol, médecin à la Charité
écial, l'Eut vient de remédier à cet état de choses. Multipliez les écoles dans ce sens ; attirez vers Chaptal et Turgot les
jours (i) La Vie des Sociétés, par le Dr A. Bordier, professeur à l' Ecole d'anthro-pologie de Paris. les mêmes et mille
tituer un véritable trait d'union entre les philosophes de l'ancienne école , qui ne connaissent pas d'autres moyens d'étude q
rdant à la psychologie la place qu'elle a le droit de revendiquer à l' École de médecine. M. Ch. Richet aura réalisé un des pr
tous que toute cette jeunesse qui assiste aux classes sur le banc des écoles n'est la plupart du temps, que matériellement
Ce sont ceux-là qui sont véritablement les surmenés du cerveau de nos écoles , et, il faut bien le reconnaître, dans la grande
grands mérites du docteur A,-A. Liébeault de Nancy, du créateur de l' école suggestionniste en France. Il parait que le doc
n qui lui a été faite et, parlant des différends qui existent entre l' école de Paris et celle de Nancy, il défend vivement la
tuelle et si importante du surmenage intellectuel des élèves dans les écoles et surtout dans les collèges préoccupe aussi la s
mentales sont — quoique rarement— produites par le surmenage dans les écoles secondaires; 2° Un grand nombre de cas patholog
nt un symptôme fâcheux d'une neurasthénie progressive. INOUVELLES École vétérinaire d'Alfort. — M. Edmond Nocard. profess
rurgicale, membre de l'Académie de médecine, est nomme directeur de l' Ecole d'Alfort, en remplacement de M. Goubaux. admis, s
les sujets hypnotisés. Nos deux éminents confrères, professeurs â l' Ecole de médecine de Rochefort, ont donc constaté que c
TERPRETATION Par MM. les Docteurs BOURRU et BUROT professeurs a l' école de médecine de rochefort Les lois générales de
à noter pendant l'enfance de notre malade. 11 a été très précoce à l' école , très intelligent, et savait lire à 3 ans. Or. à
et amélioré par la persuasion. Par M. le Dr Burot, professeur à l' Ecole de médecine de Rochefort. Depuis six mois, j'ob
a mauvaise habitude. A sept ans, elle arrive à Paris. On l'envoie à l' école , où elle n'apprend presque rien : elle passe pour
d'une fièvre typhoïde compliquée de fluxion de poitrine. Rentrée à l' école , on la surprend très souvent se livrant à l'onani
o-suggestion en médecine légale. Par M. le Dr Burot, professeur à l' Ecole de médecine de Rochefort. Beaucoup d'esprits s'
es .- MM. le D- Delvaillee (de Bayonne) et Lafourcade. directeur de l' Ecole primaire supérieure. DE LA SUGGESTION et DE
ues-uns des enfants les plus notoirement vicieux et incorrigibles des écoles primaires, à l'égard desquels les pédagogues avou
ieu très défavorables, la guérison a été complète. La directrice de l' école fréquentée par l'enfant a pu, à la suite du trait
dans l'intérêt des enfants que nous sommes obligés de renvoyer de nos écoles ? Autrefois, les esprits étaient attirés vers l
dans cette succession un effet de la suggestion et de l'imitation. L' école de Nancy considère l'hypnotisme comme tout à fait
y ait grande différence entre les deux sexes. Cette supériorité de l' école de Nancy tient sans doute à la longue pratique et
bre d'observations nouvelles de thérapeutique suggestive. C'est l' école de Nancy qui. plaçant l'étude de l'hypnotisme sur
éance du 6 décembre 1887. — Présidence de M. Sappey. La pelade et l' école . M. Ollivier. — Pour la seconde fois, je tiens
on, qui jusque-là étaient écartés, comme dangereux, des lycées et des écoles . Le rapport de Delpech, présenté en 1873 au Con
e même, pour l'enfant atteint de la pelade, l'exclusion prudente de l' école . Si cette exclusion n'avait pas d'inconvénients
e répudier cette quarantaine funeste qu'on fait subir aux enfants des écoles atteints de pelade ; il y a lieu, selon moi, d'ac
rnes. C'étaient, en général, des jeunes gens se préparant aux grandes écoles du gouvernement et dont la carrière aurai: été br
iser la carrière des jeunes gens, surtout lorsqu'ils se préparent aux écoles du gouvernement, pour lesquelles il est nécessair
M. Hardy. — M. Ollivier a plaidé en faveur des peladeux exclus des écoles et des lycées, qui seraient de malheureux innocen
de qu'on abroge les règlements actuels qui exigent leur exclusion des écoles . C'est en 1875, une épidémie de pelade s'étant
ment expliquer sans la contogion ces épidémies si fréquentes dans les écoles , dans les lycées, dans les casernes : En voici
rer des soldats hystériques, s'appliqua ù répandre les doctrines de l' Ecole de la Salpêtrière sur l'hystérie mâle. Les cas qu
secrétaire général, M. le docteur Cyr, 21, rue Cambacérès. Paris. — Ecole départementale d'infirmiers et d'infirmières de l
cemment occupés de l'apoplexie hystérique, car c'est le principe de l' Ecole qu'il ne faut pas multiplier les espèces sans néc
jours auparavant, désireux d'exprimer à M. le Dr Azam. professeur à l' Ecole de médecine de Bordeaux, toute sa reconnaissance
ntre toutefois que furtivement; la guerre du silence que lui oppose l' école sait retarder son avènement définitif pendant env
Le docteur van Eeden décrit ensuite l'hypnose telle que l'entend l' école de la Saipêtrière; il définit les différends exis
a Saipêtrière; il définit les différends existant entre celle-ci et l' école de Liébeault et expose les causes qui forcément o
t que Charcot n'a opéré que sur des grandes hystériques, tandis que l' école de Nancy a expérimenté sur tous les sujets qui se
clair et convaincant, a su rallier beaucoup de médecins aux vues de l' école de Nancy. Dans ces derniers temps, depuis les pub
nc à l'état de veille et, dans la même mesure, l'identification que l' Ecole de Nancy établit, pour l'état de sommeil, entre l
nt, par exemple, celui de ne pas avoir de rêve. La proposition de l' Ecole de Nancy touchant le sommeil hypnotique doit donc
me une assise vraiment scientifique. Presque en même temps que lui, l' école de Charcot, à Paris, étudiait l'hypnotisme au poi
s bien connues : catalepsie, somnambulisme et léthargie ; selon cette école , tout hypnotique doit passer par ces phases diffé
hargie. Les trois phases de l'hypnotisme, telles que les a décrites l' école de Paris, ne sont donc pas exclusives ni caractér
les contractures se relâchent. Une autre divergence de vues entre l' école de Paris et celle de Nancy est relative à !a vert
habitudes morales en reçoivent le contre-coup ; si, n'en déplaise à l' Ecole spiri-tualiste, les « phénomènes de pure conscien
les accusations de sorcellerie. Dr Ladame (de Genève). Cours à l' Ecole pratique. M. le docteur Bérillon, directeur de
lundi 16 avril, à cinq heures du soir, dans l'amphithéâtre n° 3 de l' Ecole pratique de la Faculté de médecine, un cours libr
ions récentes faites dans le domaine de l'hypnotisme par les diverses écoles de la Salpêtrière, de la Pitié et de Nancy. Il ét
cours commencera le lundi 16 avril, à cinq heures. Amphithéâtre n° 3 ( Ecole pratique). — Nouveaux journaux. — Nous venons d
e Neurologie que publie, depuis 1880, M. le professeur Charcot. — Ecole d'anthologie. — M. Mathias-Duval a commencé, à l'
Charcot. — Ecole d'anthologie. — M. Mathias-Duval a commencé, à l' Ecole d'anthropologie, 15, rue de l'Ecole-de-Médecine,
de la personnalité, par les docteurs Bourru et Burot, professeurs à l' École de médecine de Rochefort. — Bibliothèque scientif
eur accueil si cordial et si sympathique. E. B. L'HYPNOTISME ET L' ÉCOLE DE NANCY Par M. le Dr BERNHEIM professeur a l
EIM professeur a la faculté de médecine de nancy La doctrine de l' Ecole de Nancy, sur les phénomènes de l'hypnotisme, est
t en quoi les faits que nous observons diffèrent de ceux qu'obtient l' Ecole de la Salpêtrière. I° Nous n'observons jamais l
appartient au voyageur, il exprime une idée qui n'appartient pas à l' Ecole de Nancy. Que M. Brouardel veuille bien lire, dan
la plus entière conviction et par expérience personnelle, confirmer 1 Ecole de Nancy quand elle dit : Les sujets sains d'espr
SIFS AVEC ÈCHOLALIE ET COPROLALIE Par M. le Dr BUROT professeur a l' école de médecine de rochefort Il y a six mois, au Co
tre.— Maladies mentales : M. Charpentier, mercredi, à 8 heures 1/2. Ecole pratique. — M. le Dr Bérillon a commence, le lund
cations thérapeutiques Je l'hypnotisme, dans l'amphithêatre n° 3 de l' Ecole pratique de la Faculté de médecine. Il le continu
le, l'analyse des travaux accomplis dans ces dernières années par les écoles de Paris et de Nancy. En général, ils ont exprimé
is pouvoir dire qu'elles ont, pour la plupart, confirmé les vues de l' Ecole de Nancy, qui avaient d'abord paru si aventurées
es morales et politiques, les expériences confirmatives des vues de l' Ecole de Nancy: les elïets physiologiques des suggestio
tc. Jules Liégeois. DE LA SUGGESTION A PROPOS DES PUNITIONS A L' ÉCOLE Par M. Félix HÉMENT inspecteur général de l'u
certains pars, soi-disant civilises, le fouet est encore employé à l' école et à la caserne. Partout où le châtiment corpor
donner le dégoût de l'instruction, à inspirer de l'éloignement pour l' école et pour le maître, sans compter le préjudice port
privations de récréations et de promenades, doivent être exclues de l' école . La punition morale sera seule appliquée méthod
à 13 mois et parlait à 18. A 7 ans 1/2, il savait lire et écrire. A l' école , il passait pour être très intelligent, mais pare
s haut, de 3 ans 1/2. Or, à cette époque, l'enfant était envoyé a une école où il se trouvait au milieu de camarades plus âgé
ra se soumettre encore à certaines règles fort sagement tracées par l' Ecole de Nancy, qui n'est pas suspecte de défiance enve
ou a des foyers de science médicale tels que la Faculté de Breslau. l' Ecole de Nancy et l'Ecole de la Salpêtrière, on aurait
cience médicale tels que la Faculté de Breslau. l'Ecole de Nancy et l' Ecole de la Salpêtrière, on aurait vraiment mauvaise gr
tifiques acquises dans le domaine de l'hypnotisme par M. Charcot et l' Ecole de la Salpêtrière, par MM. Liébeault, Bernheim et
harcot et l'Ecole de la Salpêtrière, par MM. Liébeault, Bernheim et l' Ecole de Nancy et par les savants français et étrangers
érations générales sur la sugges-tion. par Bernheim. 198. Cours a l' Ecole pratique sur les applications de l'hypnotisme,
, par Brown-Séquard. 159. Echolalie traitée par la suggestion, 33o. Ecole de Nancy (l'hypnotisme et l'), par Bernheim, 32
n et de ses applications à la). par Bérillon, 169. Pelade (la) et l' école , par Ollivier, 211. Pelade (la) et l'école, par H
lon, 169. Pelade (la) et l'école, par Ollivier, 211. Pelade (la) et l' école , par Hardy, 213. Personnalité (états successifs d
logie générale (essais de), par Ch. Richet. 86. Punitions (les) à l' école . 36o. Regles (cas de régularisation des) par su
nimal (de l'opportunité d'interdire les), 342. Sédentarité dans les écoles (de la), par Brouardel, 26. Sédentarité dans le
té dans les écoles (de la), par Brouardel, 26. Sédentarité dans les écoles (de la), par Férécl, 57. Sensibilité des tégu
29 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
in de Mazas; BERNHEIM. prof, à la Faculté de Nancy; BOURRU, prof, à l' Ecole de Rochefort J. BOUYER(d'Angouleme); BRÉMAUD(deBr
e Rochefort J. BOUYER(d'Angouleme); BRÉMAUD(deBrest); BUROT, prof.à l' Ecole de Rochefon CHARCOT, prof, à la Faculté de Paris,
ées assez justement sous le nom de grand hypnotisme. Depuis lors, l' Ecole de Nancy, en l'étendant à un grand nombre de suje
lligent et instruit ; honnête et laborieux, il a fait ses classes à l' école des Cordeliers ; pendant l'année 1882-83, il alla
née 1882-83, il allait deux fois par semaine aux cours de chimie de l' Ecole supérieure; il travaille, comme compositeur d'imp
e M. Sappey Du surmenage intellectuel et de la sédentarité dans les écoles Par M. le professeur Brouardel Suivant moi, l
e l'avenir de l'enfant. Un jeune homme, sorti l'un des premiers d'une école du gouvernement, m'a fait à cet égard ses confide
nces morbides du surmenage intellectuel et de la sédentarité dans les écoles , lycées ou écoles spéciales et sur la nécessité d
urmenage intellectuel et de la sédentarité dans les écoles, lycées ou écoles spéciales et sur la nécessité d'apporter de grand
est offert par M. le Dr Depierris à l'étudiant en médecine, à quelque école française qu'il appartienne, qui fera le meilleur
ces attaques répondent la plupart du temps aux phases décrites par l' école de la Salpêtrière. Toutefois, chez V..., l'atta
au point de vue de l'anthropologie criminelle. On le sait. la vieille Ecole classique invoque, pour la répression de la culpa
e M. Sappen Du surmenage intellectuel et de la sédentarité dans les écoles Par M. le Docteur Féréol, médecin à la Charité
écial, l'Eut vient de remédier à cet état de choses. Multipliez les écoles dans ce sens ; attirez vers Chaptal et Turgot les
jours (i) La Vie des Sociétés, par le Dr A. Bordier, professeur à l' Ecole d'anthro-pologie de Paris. les mêmes et mille
tituer un véritable trait d'union entre les philosophes de l'ancienne école , qui ne connaissent pas d'autres moyens d'étude q
rdant à la psychologie la place qu'elle a le droit de revendiquer à l' École de médecine. M. Ch. Richet aura réalisé un des pr
tous que toute cette jeunesse qui assiste aux classes sur le banc des écoles n'est la plupart du temps, que matériellement
Ce sont ceux-là qui sont véritablement les surmenés du cerveau de nos écoles , et, il faut bien le reconnaître, dans la grande
grands mérites du docteur A,-A. Liébeault de Nancy, du créateur de l' école suggestionniste en France. Il parait que le doc
n qui lui a été faite et, parlant des différends qui existent entre l' école de Paris et celle de Nancy, il défend vivement la
tuelle et si importante du surmenage intellectuel des élèves dans les écoles et surtout dans les collèges préoccupe aussi la s
mentales sont — quoique rarement— produites par le surmenage dans les écoles secondaires; 2° Un grand nombre de cas patholog
nt un symptôme fâcheux d'une neurasthénie progressive. INOUVELLES École vétérinaire d'Alfort. — M. Edmond Nocard. profess
rurgicale, membre de l'Académie de médecine, est nomme directeur de l' Ecole d'Alfort, en remplacement de M. Goubaux. admis, s
les sujets hypnotisés. Nos deux éminents confrères, professeurs â l' Ecole de médecine de Rochefort, ont donc constaté que c
TERPRETATION Par MM. les Docteurs BOURRU et BUROT professeurs a l' école de médecine de rochefort Les lois générales de
à noter pendant l'enfance de notre malade. 11 a été très précoce à l' école , très intelligent, et savait lire à 3 ans. Or. à
et amélioré par la persuasion. Par M. le Dr Burot, professeur à l' Ecole de médecine de Rochefort. Depuis six mois, j'ob
a mauvaise habitude. A sept ans, elle arrive à Paris. On l'envoie à l' école , où elle n'apprend presque rien : elle passe pour
d'une fièvre typhoïde compliquée de fluxion de poitrine. Rentrée à l' école , on la surprend très souvent se livrant à l'onani
o-suggestion en médecine légale. Par M. le Dr Burot, professeur à l' Ecole de médecine de Rochefort. Beaucoup d'esprits s'
es .- MM. le D- Delvaillee (de Bayonne) et Lafourcade. directeur de l' Ecole primaire supérieure. DE LA SUGGESTION et DE
ues-uns des enfants les plus notoirement vicieux et incorrigibles des écoles primaires, à l'égard desquels les pédagogues avou
ieu très défavorables, la guérison a été complète. La directrice de l' école fréquentée par l'enfant a pu, à la suite du trait
dans l'intérêt des enfants que nous sommes obligés de renvoyer de nos écoles ? Autrefois, les esprits étaient attirés vers l
dans cette succession un effet de la suggestion et de l'imitation. L' école de Nancy considère l'hypnotisme comme tout à fait
y ait grande différence entre les deux sexes. Cette supériorité de l' école de Nancy tient sans doute à la longue pratique et
bre d'observations nouvelles de thérapeutique suggestive. C'est l' école de Nancy qui. plaçant l'étude de l'hypnotisme sur
éance du 6 décembre 1887. — Présidence de M. Sappey. La pelade et l' école . M. Ollivier. — Pour la seconde fois, je tiens
on, qui jusque-là étaient écartés, comme dangereux, des lycées et des écoles . Le rapport de Delpech, présenté en 1873 au Con
e même, pour l'enfant atteint de la pelade, l'exclusion prudente de l' école . Si cette exclusion n'avait pas d'inconvénients
e répudier cette quarantaine funeste qu'on fait subir aux enfants des écoles atteints de pelade ; il y a lieu, selon moi, d'ac
rnes. C'étaient, en général, des jeunes gens se préparant aux grandes écoles du gouvernement et dont la carrière aurai: été br
iser la carrière des jeunes gens, surtout lorsqu'ils se préparent aux écoles du gouvernement, pour lesquelles il est nécessair
M. Hardy. — M. Ollivier a plaidé en faveur des peladeux exclus des écoles et des lycées, qui seraient de malheureux innocen
de qu'on abroge les règlements actuels qui exigent leur exclusion des écoles . C'est en 1875, une épidémie de pelade s'étant
ment expliquer sans la contogion ces épidémies si fréquentes dans les écoles , dans les lycées, dans les casernes : En voici
rer des soldats hystériques, s'appliqua ù répandre les doctrines de l' Ecole de la Salpêtrière sur l'hystérie mâle. Les cas qu
secrétaire général, M. le docteur Cyr, 21, rue Cambacérès. Paris. — Ecole départementale d'infirmiers et d'infirmières de l
cemment occupés de l'apoplexie hystérique, car c'est le principe de l' Ecole qu'il ne faut pas multiplier les espèces sans néc
jours auparavant, désireux d'exprimer à M. le Dr Azam. professeur à l' Ecole de médecine de Bordeaux, toute sa reconnaissance
ntre toutefois que furtivement; la guerre du silence que lui oppose l' école sait retarder son avènement définitif pendant env
Le docteur van Eeden décrit ensuite l'hypnose telle que l'entend l' école de la Saipêtrière; il définit les différends exis
a Saipêtrière; il définit les différends existant entre celle-ci et l' école de Liébeault et expose les causes qui forcément o
t que Charcot n'a opéré que sur des grandes hystériques, tandis que l' école de Nancy a expérimenté sur tous les sujets qui se
clair et convaincant, a su rallier beaucoup de médecins aux vues de l' école de Nancy. Dans ces derniers temps, depuis les pub
nc à l'état de veille et, dans la même mesure, l'identification que l' Ecole de Nancy établit, pour l'état de sommeil, entre l
nt, par exemple, celui de ne pas avoir de rêve. La proposition de l' Ecole de Nancy touchant le sommeil hypnotique doit donc
me une assise vraiment scientifique. Presque en même temps que lui, l' école de Charcot, à Paris, étudiait l'hypnotisme au poi
s bien connues : catalepsie, somnambulisme et léthargie ; selon cette école , tout hypnotique doit passer par ces phases diffé
hargie. Les trois phases de l'hypnotisme, telles que les a décrites l' école de Paris, ne sont donc pas exclusives ni caractér
les contractures se relâchent. Une autre divergence de vues entre l' école de Paris et celle de Nancy est relative à !a vert
habitudes morales en reçoivent le contre-coup ; si, n'en déplaise à l' Ecole spiri-tualiste, les « phénomènes de pure conscien
les accusations de sorcellerie. Dr Ladame (de Genève). Cours à l' Ecole pratique. M. le docteur Bérillon, directeur de
lundi 16 avril, à cinq heures du soir, dans l'amphithéâtre n° 3 de l' Ecole pratique de la Faculté de médecine, un cours libr
ions récentes faites dans le domaine de l'hypnotisme par les diverses écoles de la Salpêtrière, de la Pitié et de Nancy. Il ét
cours commencera le lundi 16 avril, à cinq heures. Amphithéâtre n° 3 ( Ecole pratique). — Nouveaux journaux. — Nous venons d
e Neurologie que publie, depuis 1880, M. le professeur Charcot. — Ecole d'anthologie. — M. Mathias-Duval a commencé, à l'
Charcot. — Ecole d'anthologie. — M. Mathias-Duval a commencé, à l' Ecole d'anthropologie, 15, rue de l'Ecole-de-Médecine,
de la personnalité, par les docteurs Bourru et Burot, professeurs à l' École de médecine de Rochefort. — Bibliothèque scientif
eur accueil si cordial et si sympathique. E. B. L'HYPNOTISME ET L' ÉCOLE DE NANCY Par M. le Dr BERNHEIM professeur a l
EIM professeur a la faculté de médecine de nancy La doctrine de l' Ecole de Nancy, sur les phénomènes de l'hypnotisme, est
t en quoi les faits que nous observons diffèrent de ceux qu'obtient l' Ecole de la Salpêtrière. I° Nous n'observons jamais l
appartient au voyageur, il exprime une idée qui n'appartient pas à l' Ecole de Nancy. Que M. Brouardel veuille bien lire, dan
la plus entière conviction et par expérience personnelle, confirmer 1 Ecole de Nancy quand elle dit : Les sujets sains d'espr
SIFS AVEC ÈCHOLALIE ET COPROLALIE Par M. le Dr BUROT professeur a l' école de médecine de rochefort Il y a six mois, au Co
tre.— Maladies mentales : M. Charpentier, mercredi, à 8 heures 1/2. Ecole pratique. — M. le Dr Bérillon a commence, le lund
cations thérapeutiques Je l'hypnotisme, dans l'amphithêatre n° 3 de l' Ecole pratique de la Faculté de médecine. Il le continu
le, l'analyse des travaux accomplis dans ces dernières années par les écoles de Paris et de Nancy. En général, ils ont exprimé
is pouvoir dire qu'elles ont, pour la plupart, confirmé les vues de l' Ecole de Nancy, qui avaient d'abord paru si aventurées
es morales et politiques, les expériences confirmatives des vues de l' Ecole de Nancy: les elïets physiologiques des suggestio
tc. Jules Liégeois. DE LA SUGGESTION A PROPOS DES PUNITIONS A L' ÉCOLE Par M. Félix HÉMENT inspecteur général de l'u
certains pars, soi-disant civilises, le fouet est encore employé à l' école et à la caserne. Partout où le châtiment corpor
donner le dégoût de l'instruction, à inspirer de l'éloignement pour l' école et pour le maître, sans compter le préjudice port
privations de récréations et de promenades, doivent être exclues de l' école . La punition morale sera seule appliquée méthod
à 13 mois et parlait à 18. A 7 ans 1/2, il savait lire et écrire. A l' école , il passait pour être très intelligent, mais pare
s haut, de 3 ans 1/2. Or, à cette époque, l'enfant était envoyé a une école où il se trouvait au milieu de camarades plus âgé
ra se soumettre encore à certaines règles fort sagement tracées par l' Ecole de Nancy, qui n'est pas suspecte de défiance enve
ou a des foyers de science médicale tels que la Faculté de Breslau. l' Ecole de Nancy et l'Ecole de la Salpêtrière, on aurait
cience médicale tels que la Faculté de Breslau. l'Ecole de Nancy et l' Ecole de la Salpêtrière, on aurait vraiment mauvaise gr
tifiques acquises dans le domaine de l'hypnotisme par M. Charcot et l' Ecole de la Salpêtrière, par MM. Liébeault, Bernheim et
harcot et l'Ecole de la Salpêtrière, par MM. Liébeault, Bernheim et l' Ecole de Nancy et par les savants français et étrangers
érations générales sur la sugges-tion. par Bernheim. 198. Cours a l' Ecole pratique sur les applications de l'hypnotisme,
, par Brown-Séquard. 159. Echolalie traitée par la suggestion, 33o. Ecole de Nancy (l'hypnotisme et l'), par Bernheim, 32
n et de ses applications à la). par Bérillon, 169. Pelade (la) et l' école , par Ollivier, 211. Pelade (la) et l'école, par H
lon, 169. Pelade (la) et l'école, par Ollivier, 211. Pelade (la) et l' école , par Hardy, 213. Personnalité (états successifs d
logie générale (essais de), par Ch. Richet. 86. Punitions (les) à l' école . 36o. Regles (cas de régularisation des) par su
nimal (de l'opportunité d'interdire les), 342. Sédentarité dans les écoles (de la), par Brouardel, 26. Sédentarité dans le
té dans les écoles (de la), par Brouardel, 26. Sédentarité dans les écoles (de la), par Férécl, 57. Sensibilité des tégu
30 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
es et de charlatans qui le compromettaient en l'exploitant. Après l' Ecole de médecine, nous avons vu successivement REVUE
signaler entre autres le développement dans une population, dans une école , de ce qu'on pourrait appeler du nom de manie hyp
de la Société de médecine légale. M. le Dr Bourru, professeur à l' École de médecine de Rochefort. M. le Dr Brian d, médec
decin en chef de l'Asile de Villejuif. M. le Dr Burot. professeur à l' Ecole de médecine de Rochefort. M. le Dr Collineau, mem
re, membre de la Société d; biologie. M. le Dr fontan, professeur à l' École de médecine de Toulon. M. le Dr Forel, médecin en
é de psychologie physiologique. M. le Dr Manouvrier. professeur a l' École d'anthropologie, membre de la Société de psycholo
é des lettres. Vendredi dernier. M. Pierre Janet. ancien élève de l' Ecole normale supérieure et brillant agrégé de philosop
'ingénieux correspondant du Standard. BIBLIOGRAPHIE L'hygiène à l' école : Pédagogie scientifique, par le Dr Collineau (1)
iples, si variées, qui se rattachent a l'organisation matérielle de l' école : dispositions architecturales, orientation, éclai
tres livres ni de ceux qui, sans critique, s'attachent à une certaine école . Bien qu'il suive pour une grande partie les doct
ine école. Bien qu'il suive pour une grande partie les doctrines de l' école de Nancy, il ne rejette que ce qu'il peut refuser
i où l'auteur traite de la simulation. Les différences entre les deux écoles sont exposées avec clarté; l'auteur nie que la qu
pas des signes objectifs et ne se gardent pas contre la simulation. L' école de Nancy a vu des signes objectifs, mais seulemen
mais seulement à la suite de la suggestion et différents de ceux de l' école de la Salpé-trière, qui affirme qu'il y a des sig
a simulation, mais exclusivement la suggestion qui distingue ces deux écoles . » Tout compris, le livre de M. Moll apporte un
Félix Alcan, in-8°. a56 pages 1889. — Prix: 6 francs. L'hygiène à l' école : Pédagogie scientifique, par le Dr Collineau. —
si un groupe de médecins, qu'on est convenu de désigner sous le nom a Ecole de Nancy, n'avait appelé l'attention du public mé
ent à l'esprit de personne l'idée de s'en étonner. Dès à présent, l' Ecole de Nancy a (ait des élèves dont le nombre ne se c
X SÉANCES PAR LA SUGGESTION Par le docteur P. BUROT, professeur à l' Ecole de médecine de Rochefort. Mme Bon..., 58 ans, é
du Congrès d'hygiène et de démographie. Séances du 4 au 11 août, à l' Ecole de médecine. Lundi 5, à 3 heures. — Séance d'ou
de la Société de médecine légale. H. le Dr Bourru, professeur à l' École de médecine de Rochefort. H. le Dr Bruno, médecin
decin en chef de l'Asile de Villejuif. M. le Dr BUrot. professeur à l' École de médecine de Rochefort. M. le Drr Collineau, me
e général de la Société de biologie. M le Dr Fontan. professeur à l' École de médecine de Toulon. M. le Dr Forel, médecin en
é de psychologie physiologique. M. le Dr Manouvrier, professeur à l' École d'anthropologie, membre de la Société de psycholo
lle des aliénés. 3. M. Félix Hément (de Paris). — La suggestion à l' école . 6. M. Émile Yung (de Genève). — La suggestion
assisté à de. remarquables tournois oratoires entre les savants de l' Ecole italienne et ceux de l'Ecole française. Les Itali
ournois oratoires entre les savants de l'Ecole italienne et ceux de l' Ecole française. Les Italiens, malgré leur brillante di
nt de départ de discussions animées. Comme il fallait s'y attendre, l' Ecole de la Salpétrière et l'Ecole de Nancy ont rompu q
nimées. Comme il fallait s'y attendre, l'Ecole de la Salpétrière et l' Ecole de Nancy ont rompu quelques lances, sans modifier
odifier d'ailleurs en rien les opinions des expérimentateurs des deux écoles . En dehors des rapporteurs, un grand nombre d'ora
Dr BOURDON, médecin à Méru (Oise). M. le Dr BOURRU, professeur à l' École de médecine de Rochefort. M. BOURIOT Emille, admi
cin en chef de l'Asile de Villejuif. M. le Dr BUROT. professeur a l' École de médecine de Rochefort. M. CAUSTIER. licencié
é de psychologie physiologique. M. le Dr MANOUVRIER, professeur à l' École d'anthropologie, membre de Société de psycholog
licencié es sciences. M* Dr ROCHAS, commandant, administrateur de l' Ecole Polytechnique. H. le Dr SALOMON, médecin-major
t le développement des éludes récentes sur l'hypnotisme. A Paris, l' Ecole de la Salpétrière a grandement contribué a établi
es bases de l'hynoptisme expérimental, et l'autorité du chef de celle Ecole a ouvert la voix aux chercheurs indépendants. A
ancy, mais qu'il me permette de le dire « la vérité est dans les deux Ecoles de Paris et de Nancy ». On ne saurait nier l'acti
et léthargique et la part reste encore assez belle, assez grande u l' Ecole de Nancy, surtout en thérapeutique et en médecine
issait A Neuchàtel et à la Chaux-de-Fonds surtout chez les élèves des écoles , après les séances de Donato. Nous avons en conna
Congrès d'anthropologie criminelle a réuni au grand amphithéâtre de l' Ecole de médecin un grand nombre de savants fran-çais e
r rapidement l'une après l'autre La parole est d'abord au chef de l' Ecole italienne sur La reherches de l'anthropologie cri
la libération ou ajourner la peine. C'est, à ce point de vue, vers l' école positive moderne qu'il faut se tourner pour atten
d'Henri Bouley à Alfort Le 5 septembre prochain, on inaugurera 1 l' École d'Alfort la statue d'Henri Bouley, ancien directe
Par le docteur Arthur GASCARD, Professeur libre de gynécologie à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine de Paris (1)
emment ou inconsciemment de tout temps, a été érigée en méthode par l' école de Nancv. Au docteur Liébeault appartient l'honne
aussi très frappes de la bonne tenue des petites malades, élèves de l' école de l'Asile, et des excellents résultats obtenus p
on et d'Assistance publique qu'on rencontre dans ces deux pays, cette école polytechnique, et cet hospice cantonal Je Zurich,
s internes des hôpitaux, des étudiants en médecine et des élèves de l' Ecole normale supérieure, présents au banquet, porte un
devons tous à l'humble, au modeste savant de Nancy, au fondateur de l' école suggestionniste, a M. Liébeault que nous connaiss
ngues années une des gloires de la science. Vive Liébcault ! Vive ! l' Ecole de Nancy ! » Le lunch terminé, les membres du C
rcoururent les services de MM. les Dr Falret, Jules Voisin, Séglas, l' école des petites filles idiotes et épileptiques dirigé
nécessaire de prendre parti ; aussi je m'abstiendrai d'opiner pour l' école de la Salpètrièrc ou pour celle Nancy. Autant q
ION EN MÉDECINE LÉGALE (0 Par le docteur P. BUROT. Professeur à l' École de médecine de Rochefort. Les accidents morbide
sachant lire et écrire, bien qu'elle ait passé fort peu de temps à l' école , elle lit les romans de Richebourg avec enthousia
isaient la joie de ses premiers ans. Jeune au lieu de l'envoyer à l' école ou d'essayer de lui apprendre un métier, on ta la
n'ont que les criminels qu'elles méritent » V Mais, detoutes les écoles du vice, la plus dangereuse est sans contredit la
ar des élèves complaisants et jaloux de passer maîtres. Là. comme à l' école , et dans toutes les circonstances de la vie, régn
Elle est, au contraire, en opposition complète avec les théories de l' Ecole de la Salpètriére. C'est dans un autre rapport, q
té, au point de vue physiologique, l'autogonisme qui a éclaté entre l' Ecole de Paris et l'Ecole de Nancy (1). On n'en veut re
physiologique, l'autogonisme qui a éclaté entre l'Ecole de Paris et l' Ecole de Nancy (1). On n'en veut retenir ici que ce qui
s ; Les suggestions à l'eut de veille qu'a surtout fait connaître l' école de Nancy ; Enfin les faux témoignages produits
pellier). — Ne vous semble-t-il pas. Messieurs, que les discussions d' école et de personnes ont été traitées avec assez d'amp
s les stigmates physiques provoqués par suggestion (comme les admet l' école de Nancy) la preuve de la suggestibilité, en deho
ÉMITÉS CHEZ UN HYSTÉRIQUE Par le docteur P. BUROT Proffesseur à l' École de Médecine de Rochefort. Les troubles circulat
t affligés de maladies extraordinaires.- II étudia la philosophie des écoles grecques, et après son avènement au trône, il sou
de chirurgie, professeur démonstrateur d'anatomie et de clinique à l' École pratique. — Paris 1770. à agir, tant dans tout
les journalistes à M. Charcot sont exactes, il n'y aurait pas entre l' Ecole de Paris et celle de Nancy, à l'égard des sujets
chez le sujet une tendance irrésistible à réaliser l'idée suggérée. L' école de Nancy généraliserait davantage ; voila tout.
son tour par un correspondant du Temps, a résumé ainsi l'opinion de l' Ecole de Nancy, à propos du cas de Gabrielle Bompard :
r ce qui est de la puissance de la suggestion, il est bien vrai que l' école de Nancy diffère radicalement d'avis avec celle d
anque natif de sens moral et d'une impressionnabilité excessive, Si l' Ecole de Nancy n'a pas à présenter de « sujets » ayant
ESSAT. SUGGESTION ET RÉACTION Par le Dr P. BU ROT Profeseur à l' école de médecine de Rochefort. L'étude des phénomène
t-Didier (Vaucluse). L'impulsion donnée ces dernières années, par l' école de la Salpêtrière, à l'étude des névroses en géné
anément les trois principaux états du grand hypnotisme, décrits par l' école de la Salpétrière : la léthargie, la catalepsie,
s. Ajoutons que son intelligence était bonne et qu'elle apprenait d l' école avec beaucoup de facilité. A l'âge de 20 ans. s
ppelé l'attention du public anglais sur la méthode thérapeutique de l' École de Nancy, par un article dans The Nineteenth Cent
crimes peuvent-ils être commis par suggestion? A cette question, l' Ecole de Nancy répond par l'affirmative. MM. Lié-beault
collègue et ami Liégeois semblent devoir entraîner la conviction. L' École de Paris, à sa tète mon éminent maître Charcot, M
REVUE CRITIQUE Recherches thérapeutiques sur la suggestion dans l' école de psychiatrie autrichienne. par M. le Dr E. BE
gèrement atteint de neurasthénie. G.s quelques faits prouvent que l' école psychiatirque de Gratz n'est pas resté indifféren
ifférente aux recherches faites sur l'hypnotisme par les savants de l' école de Nancy. M Kraflt-Ebing a apporté des contributi
ne a doublé. Il y avait, en 1888, 6.455 étudiants inscrits dans les écoles de médecine. Or. si le nombre des étudiants s'e
on plus. Chambige était, il est vrai, une imagination pervertie à l' école de ces jeunes psychologues décadents qui substitu
olonie de Vaucluse Les travaux, si remarquables à tous égards, de l' école de Nancy, n'ont pas encore convaincu tous les esp
réparant le terrain, n'a pas encore reçu de solution définitive. Si l' école de la Salpétrière relie peut-être un peu trop sou
u trop souvent les phénomènes de l'hypnose à l'hystérie, par contre l' école de Nancy ne semble pas avoir tenu assez grand com
athes. Mais, en ce qui concerne les suggestions à l'état de veille, l' école de Nancy reprend toute son autorité, car il est i
ins tranche assez volontiers du professeur A l'en croire, sans lui, l' Ecole de la sulpétrière et l'Ecole de Nany n'auraienet
du professeur A l'en croire, sans lui, l'Ecole de la sulpétrière et l' Ecole de Nany n'auraienet jamais existé. Je me borne
....., et que f ignore par conséquent ce qu'on peut apprendre a son école . « Payait-on l'entrée de ces conférences, « se
sans faillir a son mandat. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Cours à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine M. le docteu
lundi 21 avril, A cinq heures du soir, dans l'amphithéâtre n° 3, de l' Ecole pritique de la Faculté de médecine un cours libre
es multiples et répétées que couvents, lycées cl collèges étaient des écoles de malpropreté nationale, c'est là que filles et
7 mars 1890, à quatre heures de l'après-midi (grand amphithéâtre de l' Ecole pratique), et le continuera les vendredis et lund
i 17 mars 1890 à trois heuresde l'après-midi (grand amphithéâtre de l' école pratique), et les continuera les mercredi, vendre
des efforts faits pour avoir dam les asiles des médecins instruits. Ecole pratique ds hautes-études. — M le Dr Paul Loye, p
médecine, vient d'être nommé maître de conférences de physiologie à l' Ecole pratique des Hautes-Etudes. Sous lui adressons no
rétablissement de jeux gymnastique et athlétiques, notamment dans les écoles primaires. 2° Un prix de 500fr à M le docteur A
émoire relatif aux jeux actifs à in-troduire ou à encourager dans les écoles d'aveugles. L'Administrateur-Gérant: Émile BOUR
notisation et les divers degrés de sommeil. Repoussant les idées de l' école de la Salpétrière, il admet avec Bernheim que le
ns les états hypnotiques. II rappelle a ce sujet les divergences de l' école de Nancy et de l'école de la Salpétrière qui adme
s. II rappelle a ce sujet les divergences de l'école de Nancy et de l' école de la Salpétrière qui admet que tous les sujets h
rtiront pas des laboratoires, comme l'a dit un des représentants de l' école de la Salpétrière. Si un criminel employait un se
devant eux les phénomène» de suggestion et d'hypnotisme étudiés par l' école de Nancy. M. le professeur Bernheim, par des ex
nférieures de l' activité humaine, par PIERRE JANET, aucun élève de l' Ecole Normale, professeur agregé de philosophie, docteu
inaccessibles â cette faculté d'observation interne dont une certaine école fait le tout de la psychologie. Le premier et le
ngcr (6), von Ziemmsen(7) Mynert, Ricgcr, Strümpell et autres. 3° L' école de Nancy préconisant l'application générale de la
t, en la personne du docteur Carlier. se basant sur les théories de l' Ecole de Nancy, rejetait les preuves tirées de l'hypere
l'hypnotisme et les), par Dumontpallier, 29. Cours d'hypnotisme à l' école pratique, 314. Criminalité en Allemagne (la) 12
datant de six mois guéri par suggestion, par Burot, 55 Hygiène à l' Ecole , par Collineau, 39. Hyperacuité visuelle, audit
ggestion et), 231. Recherches thérapeutiques sur la suggestion dans l' École autrichienne, par E Berger, 278. Règlement duCo
31 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
se; Emile LAURENT; LLOYD-TUCKEY (de Londrea); LETOURNEAU. prof. A l' École d'Anthropologie; MAS0IN, prof. A l'Univ. de Louva
hropologie; MAS0IN, prof. A l'Univ. de Louvain; MANOUVRIER, prof, i l' École d'Anthropologie: MESNET. médecin de l'hôtel-Dieu
r Levillain avait pensé que les divisions qui séparaient les diverses écoles étaient plus apparentes que réelles et qu'elles a
n à un point de vue élevé et faisant abstraction de tout parti-pris d' école ou de doctrine, il faisait reposer sa proposition
même des choses, et l'on peut prévoir le moment où toute discussion d' école ayant pris fin. il n'y aura pins en présence que
t-il hypno- « tisable ou non? On vient de lire les certificats de l' École de Nancy et les « miens. Devant le Tribunal j'ai
auditoire, à faire ressortir les différences capitales qui séparent l' École de Nancy de celle de M. Charcot. Selon lui, l'œuv
on de M. Babinski, M. Charcot, prenant la parole, a revendiqué pour l' école de la Salpétrière le privilège d'avoir étudié sci
eurs sujets, existe. Il n'accepte aucune des théories proposées par l' Ecole de Nancy pour laquelle, a-t-il dit en terminant,
même auditoire, M. G. Ballet a entrepris le procès des doctrines de l' École de Nancy au point de vue médico-légal. Il a consa
e élude. L'éminent agrégé, tout en déclarant que les doctrines de l' Ecole de Nancy lui paraissent exagérées, ne les a pas t
mme l'ont reconnu eux-mêmes les représentants les plus autorisés de l' École de Nancy, ainsi que M. Pitres, de Bordeaux, les s
es. En résumé, sur ce terrain médico-légal, les dissidences entre l' École de Paris et l'École de Nancy ne sont pas aussi ac
ce terrain médico-légal, les dissidences entre l'École de Paris et l' École de Nancy ne sont pas aussi accentuées qu'on pourr
ndividus appartenant aux populations s moins connues. La Revue de l' École d'anthropologie nous annonce qne quelques-uns de
ll et Upham. Boston, 1S91. Soury (Jules), maitre de conférences à l' École des hautes éludes. — Les Fonctions du cerveau; do
l'École des hautes éludes. — Les Fonctions du cerveau; doctrines de l' École de Strasbourg; doctrines de l'École Italienne, in
ctions du cerveau; doctrines de l'École de Strasbourg; doctrines de l' École Italienne, in-S*, 461 pages. — Bureaux du Progrès
es termes : « Ni au point de vue de la Salpè-trière, ni au point de l' Ecole de Nancy, S. Vandevoir ne présentait les caractèr
de nous figurer un individu qui serait hypnotisé au point de vue de l' École de Paris et ne le serait pas au point de vue de l
sujet docile d'un magnétiseur. « Suivant une formule courante de l' école de Nancy, la somnambule appar- « tient au magné
s Phastusms of thc Living, par L. Mabiluer, maître de conférences à l' École des Hautes-Études, avec nue préface de M. Ch. Ric
mme : « Ni au point de vue de la Salpêtrière, ni au poini de vue de l' École de Nancy, Sylvain Vandevoir n'offrait les caractè
perlise si l'on se place à un seul point de vue, si l'on estime que l' École de la Salpêtrièro s'est fourvoyée, si l'on admet
aigner à ce poinl l'opinion d'observateurs distingués qui forment une école eélèbre. Mais ici nous rencontrons M. Delbœuf q
— de se figurer un individu qui serait hypnotisé au point de vue de l' École de Paris et ne le serait pas au point de vue de l
t de vue de l'École de Paris et ne le serait pas au point de vue de l' École de Nancy ou inversement, • Nous serions curieux d
avions institué notre expertise, sans tenir compte de l'opinion d'une École célèbre? Que ces « fameux trois étals soient rest
iana, de Naples, envole par télégramme à la Société le* souhaits de l' École positiviste italienne. M. le président met aux
lté; Rbspaut, de Paris ; de M. Jules Soury, maître de conférences k l' École pratique des Hautes-Études; de MM. les Drt Tambur
est aujourd'hui âgé de dix ans et sa conduite est irréprochable ; à l' école il est un des meilleurs élèves de sa classe, et
tique, et je vous rappellerai à ce propos qu'il existe en France deux Écoles : celle de la Salpêlrière et celle de Nancy ; ces
ce deux Écoles : celle de la Salpêlrière et celle de Nancy ; ces deux Écoles sont d'accord sur certains points et admettent, e
compli inconsciemment par cette même personne a l'état de veille. L' École de Nancy affirme, en outre, et ici elle s'écarte
e plus en plus considérable du nombre des Jeunes gens fréquentant les écoles supérieures. En laissant de côté les étudiants en
es domine, les éclaire et les discipline. Elle a ses chaires dans les écoles normales et les Facultés. Par les droits qu'on lu
e, ce que voulait être la théologie, au moyen fige, la maltresse de l' école et la lumière de la vie, magistra scholœ, lux vit
Montaigne, de Locke et de Rousseau. De là vient que, dans certaine école , on incline à l'envisager moins comme une science
de la vie intérieure et de l'action personnelle qui en est l'âme. Les écoles des Jésuites, l'Oratoire, Port-Royal, n'ont place
ion que par l'étude des phénomènes somatiques auxquels, à mon avis, l' Ecole de Nancy n'a pas accordé dans ses travaux l'impor
qu'une des principales divergences qui séparent actuellement les deux Écoles de Paris et de Nancy tient à ce que, tandis que l
ent les deux Écoles de Paris et de Nancy tient à ce que, tandis que l' École de Nancy admet comme indiscutable et comme prouvé
Nous avions espéré qu'un des représentants les plus autorisés de l' École de Nancy, M. le professeur Liégeois, viendrait no
voté eontre l'emploi dn mot h'jpnotime pour désigner la doctrine de l' école de Nancy. M. Bernheim a voté avec moi. (2) La r
J'ai raconté dans mon Magnétisme animal, à propos d'une visite à l' École de Nancy (page 37 et suivantes), que ce moyen m'a
anière de jeu, que l'on observe dans les cercles de famille, dans les écoles , etc., puisque des jeux semblables, par leur répé
ien s'ils ne sont que l'effet de la suggestion. On sait que lesdeus écoles de Charcot et de Bernheim se combattent arec acha
im se combattent arec acharnement sur ce terrain, et chacune des deux écoles pense que la question est déjà définitivement rés
dan» son sens. En effet, tandis que Bernheim et ceux qui suivent l' école du Nancy nient absolument l'existence des phénomè
ôt les faits qui présentaient exactement les caractères décrits par l' école de Charcol, lanlêl d'autres faits qui n'offraient
s périodes établies, comme type de la phénoménologie hypnotique par l' école de Charcot, qui en a fait la base de toute la nos
s soient de nature à justifier la division nosographique admise par l' école de Charcot, des trois périodes du grand hypnotism
exes psychiques. De même, les phénomènes musculaires qui, d'après l' école de Charcot, seraient les seuls vraiment caractéri
ons constaté ainsi que plusieurs observateurs, fidèles partisans de l' école de la Salpêlrière, tels que Magnin (1), Gilles de
térie, no constitue jamais une névrose par elle-même (comme le veut l' école de Charcol), mais il ne fait, dans ces cas, que m
tions ideutiques d'expérimentation), comme le prescrit Charcot et son école , ni la suggestion elle-même, ne sont aptes à les
s divergences d'idées manifestées jusqu'à ce jour par les différentes écoles hypnotiques, lesquelles ont eu le tort, à mon avi
rdre et auxquels on ne s'y attendait pas. C'est ce qui cal arrivé à l' école de la Salpètrière. Ayant remarqué dans l'hypnotis
autant de phénomènes séméiologiques, auparavant inconnus. Ainsi, l' école de la Salpétrièrc, qui croyait avoir découvert de
tive, dit l'autour, indique tacitement que nous sommes partisane de l' École de Nan??. En effet, nous rapportons, avec la très
années, professeur à Tournon, à Strasbourg, au collège Chapial et à l' école Turgot, M. Félix Hément t'était fait connaître
sion esl plus forte que lui. Depuis deux mois on ne l'envoie plus à l' école , car, malgré la surveillance du maître prévenu, i
es organiques, biologiques et psychologiques des mMditeura tel* que l' école d'anthropologie criminelle nous les a fait connaî
ur résuliat des m-taox moderne*, le mérite le plus incontestable de l' école nouvelle. L'ouvrage e*i divisé en trois parties
rapeutique suggestive émanent de ceux qui n'y connaissent rien; que l' école hypnotique de Nancy s'efforce de soulager la souf
e hypnotique de Nancy s'efforce de soulager la souffrance, mais que l' école de la Salpèirière semble peu disposée à s'engager
régé, fait, les mardis, jeudis et samedis, au grand amphithéâtre de l' École pratique, des conférences sur les névroses et les
ils présentaient serait peut-être épuisé, si les récents travaux de l' école de Nancy, en démontrant que les mêmes phénomènes
héréditaires marqués, doué d'une physionomie intelligente et noté à l' école eomrae un bon élève, est amené à la clinique pour
à l'état de Teille, qu'il a été témoin, le mercredi précédent, à son école , de la scène suivante : • Un des élèves ayant été
y a demander à l'enfant V... s'il n'a pas assisté récemment, dans son école , à une scène de violence. V... raconte alors qu'i
ployé est la suggestion hypnotique. Depuis l'impulsion donnée par l' Ecole de Nancy à l'hypnotisme thérapeutique, nous savon
d nombre de médecins, parmi lesquels se trouvent des professeurs de l' École d'Anthropologie, des membres de l'Académie de Méd
rneau. — . Le passé et l'avenir de la pensée religieuse - (Revue de l' École d'en-ihropotogie, 15 octobre 1891.) Liébault. —
a eu son joint de départ dans des récits qui lui ont été faits à l' école , sur l'âme el la vie future). Son ame lui apparaî
ment. Nous ne reviendrons par sur les doctrines différentes de deux écoles en présence, celle de la Salpéirière et celle de
ique de l'hypnotisme. Que le lecteur retienne seulement ceci : Deux écoles ayant leurs autorités, leurs savants, leurs clini
ncriminées étaient-elles ou non hypnotisées? Les partisans des deux écoles accourent, et voici qu'un adepte des théories de
Le projet tranche le débat contre Bernheim et Delbœuf en faveur do l' école officielle. Oui, la loi tranche un débat scient
me que l'hypnotisme affaiblit les facultés mentales et les détruit; l' école de Nancy pose le principe contradictoire. On n'
it renvoyer jusqu'aux temps — peut-être pas si proches ! où l'une des écoles en présence paraîtra désormais victorieuse et en
comme on l'a si bien dit, pour qu'on en revînt aux enseignements de l' école hippocraiique, et qu'on abandonnât les sombres do
19 mars, à cinq heures du soir, dans l'amphithéâtre Cruveilhier, à l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine, un cours libr
ion de ce désir. Rappelant les travaux antérieurement publiés par l' École de Nancy, et, en particulier, mon Mémoire lu. en
ntifiques dont l'opinion est aujourd'hui favorable à la doctrine de l' Ecole de Nancy en matière de suggestions criminelles, e
nd qui n'échappera à personne au point de vue des discussions entre l' Ecole de Paris et celle de Nancy. Dans ce but, j'ai t
étaient-elles ou non hypnoti- • sées? » ¦ Les partisans des deux écoles accourent, et voici qu'un adepte des • théories
des Nancéens, encore bien que le fougueux M. Delbœuf déclare que « l' École de la Salpétrière a vécu! a Pour me défendre co
t cours à la Salpèlrière, i soit qu'on se plaçât au point de vue de l' École de Nancy. • Après quelques considérations scien
cteur de la Bévue de C Hypnotisme, a commencé, le samedi 19 mars, à l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine (amphithéâtre
les maladies nerveuses. M. Charles Henry, maître de conférences à l' École pratique des Hautes É'ude*. a ouvert à la Sorbonn
pédagogie. Sorbonne. — M. Charles Henry, maître de conférences à l' École pratique des Hautes Ê'udes, a ouvert à la Sorbonn
hologie pbysiolojrique. — M. Jules Soury, maître de conférences à l' École pratique des Hautes Études. a repris le lundi 21
érillon a fait, à la séance mensuelle de la Société odontalgique, à l' École dentaire de Paris, une conférence sur l'Hypnotism
estion. _ Le Langage des oiseaux. Le savant américain Garner fait école : tandis qu'il va dans les forêts de l'Afrique ét
emier volume. le Crime, il a montré, contrairement aux doclrimes de l' Ecole italienne, que le crime est presque toujours un f
plus d'une fois accompagné M. Joly dans ses promenades à travers les écoles de mon arrondissement. Bien que Je ne partage pas
son, car il est bien prouvé maintenant que nos priions sont les pires écoles du crime. Le criminel ne peut s'amender qu'en res
—Société d'éditions scientifiques, 4, rue Antoine-Dubois [place de l' Ecole de Médecine], Paris, 1892.) Régla (P. do). — Le
ilieux et le prétendu libre arbitre ; le nouveau (M. Lom-broso et son école ) qui accorde un rùle prépondérant à l'hérédité, à
ées et de nos actions. Mais M. Lacassagne n'a pas compris Darwin ni l' école évo-lutionniste, lorsqu'il lui fait dire qu'elle
otisme- Il a comparé, devant un nombreux auditoire, les doctrines des écoles de Paris et de Nancy. Société mbdico-psychologi
e théorique et pratique de la suggestion, par Stembo. 33. Cours à l' Ecole pratique de la Faculté, 285. Cuba (l'hypnotisme
32 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
ropologie; MASOIN, prof à l'Univ. de Louvain ; MANOUVR0IER, prof, à l' Ecole d'Anthropologie ; MESNET, méd. de l'Hôtel-Dieu ;
jet n'aboutissent plus désormais qu'à un insuccès. La doctrine de l' Ecole de la Salpêtrière reposait essentiellement sur l'
ène deux enfants à ma clinique (frères ou sœurs ou enfants de la même école ), je place dans le fond de la salle deux sièges,
'une complète défection à l'hypnotisme, sans acception ni exception d' école . En effet, il est très remarquable qu'il ne se bo
ue, né en 1824, après avoir été un des élèves les plus brillants de l' Ecole Polytechnique, était devenu ingénieur du service
ies de l'hypnotisme et de la suggestion et rappelé les luttes entre l' école de Nancy et l'école de Paris. Le rapport de M
et de la suggestion et rappelé les luttes entre l'école de Nancy et l' école de Paris. Le rapport de M. le Dr Lacassagne c
reçu 844, l'asile de Charenton 138 et les asiles privés 313. Une école de massage. On vient de fonder à Paris une Ecol
rivés 313. Une école de massage. On vient de fonder à Paris une Ecole française d'Orthopédie et Massage, école unique e
vient de fonder à Paris une Ecole française d'Orthopédie et Massage, école unique en son genre et qui permettra aux médecins
cun des élèves qui n'ont pas commencé leurs études de médecine. Cette école est due à l'initiative de M. le Dr Archambaud. Au
stions au moins sont posées. Ces examens sont publics et annoncés à l' école huit jours auparavant. NOUVELLES Enseignement
ecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique par des leçons pratiques sur les applica
logique et l'enseignement qui est y donné en font comme une véritable Ecole pratique de psychologie expérimentale et de psych
udes, malgré ses trente-deux ans. Il no rougit pas de s'asseoir à l' école à côté des jeunes enfants, et il parvint ainsi à
ecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique par des leçons pratiques sur les applica
ologique et renseignement qui y est donné en font comme une véritable Ecole pratique de psychologie expérimentale el de psych
pratiques de l'hypnotisme. Il adresse un salut aux représentants de l' école de Nancy, retenus par leurs obligations professor
commence à les employer à Saint-Pétersbourg, où il existe une grande école de massage dont le professeur est aveugle. Dans l
que allemande. Le gouvernement allemand vient d'introduire dans les écoles une réforme intéressante. Désormais, les élèves i
ne et de tout l'organisme des enfants. De telle sorte que, dans toute école allemande, il y aura la section des enfants intel
ecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique par des leçons pratiques sur les applica
logique et l'enseignement qui est y donné en font comme une véritable Ecole pratique de psychologie expérimentale et de psych
5. D'j. Baratoux. — Sur la fréquence des tumeurs adénoïdes dans les écoles de la Ville de Paris. Brochure iii-8», 31 pages.
s toujours, que cette application utile et incontestée appartient à l' école de Nancy et à son initiateur M. Liébeault. On con
possibles, (1) L. puteaux, 67 pages. Imprimerie typographique de l' Ecole d'Alembort. Mon-ténain, 1894. la vente et la
ecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique par des leçons pratiques sur les applica
ogique et l'enseignement qu"i y est donné en font comme une véritable Ecole pratique de psychologie expérimentale et de psych
autre monument au Dr Duchesne, dans sa ville natale, à Boulogne. L' Ecole normale supérieure et l'agrégation. — Beaucoup es
re et l'agrégation. — Beaucoup estiment que l'utilité, actuelle, de l' Ecole normale supérieure est contestable et qu'on pourr
e reçus à l'Agrégation de philosophie, nous trouvons deux élèves de l' Ecole normale, et sur 17 candidats à l'agrégation des l
ormale, et sur 17 candidats à l'agrégation des lettres, 5 élèves de l' Ecole normale. Congrès de la protection de l'enfance.
fois le caractère d'établissements de traitement et d'éducation, » Ecole de gymnastique médicale et de massage de Bordeaux
Journal de médecine de Bordeaux annonce la création à Bordeaux d'une Ecole de gymnastique médicale suédoise. Le fondateur
d'une Ecole de gymnastique médicale suédoise. Le fondateur de cette Ecole , le Dr Pierre Régnier, qui a fdit une étude très
X... rendre à Bordeaux, où il vient préparer les examens d'entrée à l' École centrale. Il se fatigue de nouveau cérébralement
urique et psychique atteint son maximum. L'onanisme est une exellente école d'automatisme psychique par la création, d'abord
s, n'aient pas été frappés de la fréquence de l'onychophagie dans les écoles et qu'il n'en soit question dans aucun traité de
'intelligence, mais elle est extrêmement paresseuse, ne fait rien à l' école , et est renvoyée de partout comme nuisible et de
ntourage, les résultats s'accentuent de plus en plus, au point qu'à l' école sa maîtresse, non prévenue, a dû le remarquer, a
hez ses parents, plus détestable que jamais ; on l'envoie à une autre école , mais la maîtresse en est très mécontente et ne v
et les cotisations à M. Albert Colas, trésorier, 1, place Jussieu. Ecole dentaire de Paris. M. Mesureur, Ministre du Com
é de MM. Georges Villain et Paul Strauss, conseillers municipaux, à l' Ecole dentaire de Paris, la seizième séance d'ouverture
s cours et conférences. Après un discours de M. Godon, directeur de l' Ecole , et une conférence de M. le Dr Pinet sur l'histor
nsuite la parole, excusant M. Bourgeois, assurant « le personnel de l' Ecole de son entier concours » et félicitant des résult
Mlle Maurel, MM. Bruno, Gross, et le Dr Mussati. La prospérité de l' Ecole dentaire montre qu'en dehors de l'ingérence si so
ser des merveilles. On ne saurait trop féliciter les professeurs de l' Ecole dentaire du succès de leurs efforts. Leur œuvre p
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratiqne de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique par des conférence sur les applications
ogie le mercredi 6 novembre 1895, à 5 heures (grand amphithéâtre de l' Ecole pratique), et le continuera les vendredis, mercre
. Dr J. Baratoux. — Sur la fréquence des tumeurs adénoïdes dans les écoles de la Ville de Paris. Brochure in-8°, 31 pages. P
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratiqne de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique par des conférence sur les applications
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique par des conférence sur les applications
de Liège, fille aînée d'un ancien instituteur devenu secrétaire d'une école du soir, sœur de six ou sept enfants plus jeunes.
venez avec votre fille ce soir vers 6 h. 1/2. — Il devait être à son école à 7 h. 1/2, et ma maison était sur son chemin.
e vue, peut être envisagé comme une manifestation de la vitalité de l' Ecole de Nancy. Un cas d'aphonie hystérique. Mandel
nisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique par des conférence sur les applications
une conférence sur :Le rôle de la suggestion dans les doctrines de l' Ecole de Nancy. M. le Dr Millée fera, le jeudi 5 mars
xtra-cérébraux, dont parle M. L. Manouvrier, le savant professeur à l' Ecole d:anthropologie de Paris, dans un article sur La
u contrôle cérébral ; on peut donc, comme le professe fort bien l' École de Nancy, suggérer raneslhésic, la catalepsie, la
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique par des conférence sur les applications
ise à la disposition des étudiants inscrits. Cours d'hypnotisme à l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine M. le Dr Bér
e Dr Bérillon commencera son cours le mardi 21 avril, à 5 heures, à l' Ecole Pratique de la Faculté, amphithéâtre Cruveilhier,
donc si loin de cette pensée d'un de nos comtemporains : « Ouvrir une école aujourd'hui, c'est fermer une prison dans vingt a
fois de la théorie Iombrosienne du criminel-né, et de la théorie de l' Ecole Française de Lacassagne : les sociétés ont les cr
à la 11) De Vêlement psychique dans les maladies, p. 02. jeune Ecole psychique française. Comment nous défendre, en te
sique et généralement adopté depuis de Narcolepsie. M. Charcot et l' école de la Salpêtrîère ont consacré dnnp nombreuses
'un concours. Le nombre des candidats admis pourrait être illimité. L' Ecole dc médecine n'aurait à fournir aux: professeurs l
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique par des conférence sur les applications
ise à la disposition des étudiants inscrits. Cours d'hypnotisme à l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine M. le d' Bér
le d' Bérillon a commencé son cours le mardi 21 avri!,à 5 heures, à l' Ecole pratique de la Faculté, amphithéâtre Cruvcilhier,
, après avoir rappelé la part qui revient à M. le D* Liebcault et ù l' Ecole dc Nancy dans le développement de la thérapeutiqu
le conduisent à notre distingué confrère le Dr Bourru, directeur de l' Ecole de Santé de la marine, qui a bien voulu me l'adre
démontré, dans ces derniers temps, divers travaux émanés surtout de l' Ecole bordelaise. M. Tissié avait déjà appelé l'atten
atteint d'inversion sexuelle. Il avait commencé dès son enfance, à l' Ecole , et il avait continué par la suite» poussé dans c
spécialiste, il avait une réputation sérieuse et appartenait à cette école qui étudie la folie" dans ses rapports avec la pa
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique par des conférence sur les applications
pour ainsi dire jamais connu. Tandis qu'autour de' moi, au lycée, à l' Ecole normale, et plus tard dans la vie, je voyais mes
ille. Plus tard, alors même que l'impitoyable cloche du lycée ou de l' Ecole ne m'obligeait pas à secouer le sommeil du patron
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
ecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique par des conférences sur les applications
çons sont consacrées à l'application thérapeutique de l'hypnotisme. Ecole d'Anthropologie, 15, rue de l'École-de-Médecinc.
317. Démoniaque À Laon au xvie siècle, par Camille Martinet, 50. Ecole dentaire de Paris, 157. Electrothérapie agit so
la médecine des), 87. Malade (présentation de) 109. Massage (une école de) 31. Médianiques de l'hypnose des états), pa
33 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
Nancy; LLOYD-TUCKEY(de Londres); O. JENNINGS ; LETOURNEAU, prof. à l' Ecole d'Anthropologie ; MASOIN, prof. à l'Univ. de Louv
opologie ; MASOIN, prof. à l'Univ. de Louvain : MANOUVRIER, prof. à l' Ecole d'Anthropologie; MESNET, méd. de l'Hôtel-Dieu; MA
, viennent s'ajouter les renseignements suivants: le malade a été à l' école jusqu'à treize ans, il sait lire et écrire ; il e
n buvant à l'oubli des querelles de mots et à la fusion de toutes les écoles . M. le docteur Bérillon, secrétaire général, a po
rvations personnelles de l'auteur sont essentiellement favorables à l' école de Nancy et montrent de la conscience et de la cr
es hypnotiques sur une hystérique et a développé alors l'opinion de l' école de Charcot sans aperçus nouveaux. Effertz dans un
e. Cette contagion estobservée, avec une fréquence spéciale, dans les écoles . C'est ainsi que Rieger 2î rapporte une épidémie
er 2î rapporte une épidémie psychique dans la classe supérieure d'une école de filles, à Biberach. 13 jeunes fillesde 11 à 13
quelques résultats personnels. Gerrish 49 soutient la doctrine de l' école de Nancy ; il a pu hypnotiser 95 0/0 de ses patie
osés de l'auteur correspondent au point actuel de la science. Comme l' école de Nancy, il regarde comme purement psychologique
marques critiques de Delboeuf 53 sur les suggestions criminelles de l' école de Nancy, présentent un intérêt particulier. Il p
née en faveur de la doctrine de la suggestion d'après les règles de l' école de Nancy, spécialement pour son emploi pratique d
mie et physiologie cérébrales, est nommé professeur extraordinaire. Ecole d'anthropologie. — Anthropologie physiologique, M
générés Par M. le Dr E. Bérillox. Une enquête poursuivie dans les écoles des deux sexes est venue confirmer une opinion qu
e de l'onychophagie est très variable selon le milieu. Dans certaines écoles , on ne trouve que deux ou trois enfants sur dix,
e que j'avais observés le plus souvent. Dès lors je penchais pour l' école psychologique de Nancy et je fus le premier en It
veilleuses aptitudes d'artiste, la manière dont, en qualité de chef d' école , il comprenait ses relations avec ses élèves, enf
celui d'un homme d'avant-garde, d'un novateur de génie et d'un chef d' Ecole . Il s'est rallié à toutes les innovations utiles
echerches histologiques pouvaient rendre aux cliniciens. Comme chef d' Ecole , il a été à la fois un créateur, un initiateur et
un cours très suivi sur les applications cliniques de l'hypnotisme. Ecole des hautes-études. — Psychologie. — Le laboratoir
me en Suisse. Brochure in-4', 67 pages. Imprimerie typographique de l' école d'Alembert. Monté-vrain, 1894. D" A. W. van Ren
ant de se tourner vers l'étude de la physiologie, s'était préparé à l' école polytechnique et avait pris sa licence en droit,
on le doit à l'enseignement libre. (1} il y a quelques années, deux Ecoles dentaires, sans rien demander à l'Etat, ont organ
seignement pratique absolument remarquable. Lo succès légitime de ces Ecoles a été si considérable qu'il a troublé le sommeil
mbre des Députés a compris qu'on lui proposait de rééditer contre les écoles dentaires le fameux n Sic vos non vobis.,.o, de V
fficiel, sont honorés demandés au budget, jamais l'enseignement des Écoles dentaires ne sera égalé par l'enseignement offici
ciel. Quoi qu'on fasse, elles resteront toujours, par excellence, les écoles de la prothèse dentaire, sans laquelle la profess
faculté y groupaient généralement fort peu d'élèves. Mais, dès que l' Ecole de médecine constatait, par le succès croissant d
nce qui lui (1) On a maintes fois supposé que les cours libres de l' Ecole pratiquo donnaient une satisfaction suffisante au
cours libres, sont apposées dans les coins les moins fréquentés de l' Ecole ., et c'est tout. Dans toutes les autres facultés
si que Fort, dont le cours libre d'anatomie attirait chaque année à l' Ecole pratique, des centaines d'étudiants français et é
ire à la clinique des maladies nerveuses; Saint-Hilaire, médecin de l' Ecole Turgot. Parmi les représentants du corps médica
a Revue thérapeutique ; Dubousquet-Laborderie, médecin-inspecteur des écoles à Saint-Ouen ; Mme Gàches-Sarraute; Le Blond, méd
professeur à l'Union des Femmes de France; Jasiewicz, professeur à l' Ecole polonaise à Paris; Malbec,à Paris; Sallefranque,
Paris; Sallefranque, à Saint-Maur-les-Fossés; Barrier, professeur à l' École vétérinaire d'AIfort; Lemesle, professeur à l'Éco
r, professeur à l'École vétérinaire d'AIfort; Lemesle, professeur à l' École dentaire; Levadour, dentiste à Paris ; Jolly, pha
ons sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Ecole des Hautes-Etudes. — M. Binet (Alfred), directeur
), directeur-adjoint du laboratoire de psychologie physiologique de l' Ecole pratique des Hautes-Etudes (section des sciences
Bertrand (Le magne- MM. Rîchet et Charcot le remirent en honneur. L' école de la Salpêtrière prit naissance. Elle crut décou
mbulisme un état pathologique. En même temps faisait son apparition l' école rivale de Nancy, qui, à la suite du Dr Lié-beault
r sa thèse par des expériences concluantes. Sur ce point également, l' école de la Salpêtrière adopta et défendît la thèse opp
est pas là le côté le moins étrange de cet antagonisme entre les deux écoles . Celle qui fait de l'hypnose un phénomène puremen
ypnotisés à des malheureux obsédés par une idée fixe. Au contraire, l' école opposée, qui voit en eux des malades, comme le so
s applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Cours a l' Ecole pratique.— Le Conseil supérieur des Facultés, dan
s, dans sa séance de février, a autorisé M le Dr Bérillon à faire à l' Ecole pratique, pendant le semestre d'été, un cours lib
M. Brouardel, lundi et vendredi, à 4 heures. (Grand Amphithéâtre de l' Ecole ). Distinctions honorifiques. — Dans les dernièr
ons également avec plaisir que Mme Pigeon, la dévouée directrice de l' Ecole des enfants arriérés à la Salpètrière, a reçu les
rdeaux, sous la présidence de M. Emile Trélat, député, directeur de l' Ecole spéciale d'architecture. Par suite de circonstanc
tent pas à appliquer jusqu'au bout les conséquences des théories de l' Ecole de Nancy. Un fermier du Kansas, ayant assassiné
atérialistes. Je ne suis point matérialiste, j'ai été partisan de l' école de Comte, mais depuis les choses merveilleuses pr
s applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Cours a l' Ecole pratique.— Le Conseil supérieur des Facultés, dan
, dans sa séance de février, a autorisé M. le Dr Bérillon à faire à l' Ecole pratique, pendant le semestre d'été, un cours l
toute irritation. Le sommeil était bon et l'enfant put retourner à l' école , ce qu'il n'avait pu faire depuis longtemps. Dè
e soeur, tous assez délicats. A l'âge de onze ans, la malade quitta l' école ; mais, pour cause de mauvaise santé, n'eut pas d'
hypnotisme. Sorbonne. — M. Charles Henry, maître de conférences à l' Ecole pratique des hautes études, commencera le samedi
nférences sur la psychologie des sensations. Cours d'hypnotisme a l' Ecole pratique dr la faculté. — M. le Dr Bérillon, méde
vue de l'hypnotisme, commencera le lundi 29 avril, à cinq heures, à l' Ecole pratique de la faculté de médecine, (amphithéâtre
u cours Psychologie physiologique et pathologique — Hypnotisme 1° L' Ecole psychique française. — La méthode psycho-physiolo
ont le monopole fructueux de fabricants de thèse, pour telle ou telle école de médecine. « On va même plus loin, et certain
, trésorier, 1, place Jussieu. Leçon d'ouverture du Dr Bérillon à l' Ecole pratique. M. le Dr Bérillon, inspecteur-adjoint
l-lin Cazaux, etc.. Après avoir rappelé les grandes traditions de l' école psychologique allemande et exposé l'influence exe
hysiologique s'était peu à peu dégagée des études poursuivies par les écoles de la Salpètrière, de la Pitié et de Nancy. Après
'hypnotisme dans ses rapports avec la pédagogie et médecine légale. Ecoles d'ambulancières et d'ambulanciers inauguration
s d'ambulancières et d'ambulanciers inauguration de la section de l' Ecole dentaire de Paris. Mercredi 15 Mai a eu lieu, d
taire de Paris. Mercredi 15 Mai a eu lieu, dans l'amphithéâtre de l' Ecole dentaire de Paris, 4, rue Turgot, l'inauguration
cole dentaire de Paris, 4, rue Turgot, l'inauguration de la troisième Ecole d'ambulanciers et d'ambulancières, sous la présid
é conseiller municipal de Paris, assisté de MM. Godon, directeur de l' école dentaire, de MM. les docteurs Bérillon, inspecteu
r de l'Assistance publique, MM. Martinier et Barrier, professeurs à l' Ecole dentaire, Lowenthal et Loup, chefs de clinique, D
. Dans son allocution, M. Albin Rousselet a développé le but de ces Ecoles qui sont absolument calquées sur le même modèle q
uel il fondait il y a cinq ans à la Policlinique de Paris la première Ecole , il a été heureux de voir ces Ecoles prospérer et
Policlinique de Paris la première Ecole, il a été heureux de voir ces Ecoles prospérer et s'agrandir, grâce aux encouragements
rnet, avec les docteurs Bil-haùt et Aubeau, installaient une deuxième école d'ambulancières à l'hôpital international, rue de
tional, rue de la Santé. Enfin, cette année, M. Godon, directeur de l' Ecole dentaire de Paris, de concert avec l'administrati
r de l'Ecole dentaire de Paris, de concert avec l'administration de l' école , mettait à la disposition des ambulanciers un de
énérés. M.Paul Strauss, après avoir remercié les organisateurs de l' Ecole , a promis son appui et son concours dévoué au Con
ement qui est y donné permettent de le considérer comme une véritable Ecole pratique de psychologie expérimentale et de psych
Les expériences médianiques et l'hypnotisme. Cours d'hypnotisme a l' Ecole pratique de la faculté. — M. le Dr Bérillon, méde
vue de l'hypnotisme, a commencé le lundi 29 avril, à cinq heures, à l' Ecole pratique de la faculté de médecine (amphithéâtre
des sauveteurs dont il est l'administrateur et le médecin en chef. Ecoles d'Ambulanciers et d'Ambulancières (section de l'E
cin en chef. Ecoles d'Ambulanciers et d'Ambulancières (section de l' Ecole dentaire de Paris, A, rue Turgot). — Voici le pro
samedis à 8 heures et demie du soir, dans le petit amphithéâtre de l' Ecole .— Anatomie : Dr Isch-Wall;— Physiologie : Dr Béri
M. Albin Rocsselet. — Les inscriptions sont reçues tous les jours à l' Ecole dentaire de Paris, 4, rue Turgot, de 3 à 5 heures
diffère totalement de celle employée par les liseurs de pensées de l' école cum-berlandiste. Ceux-là se font généralement pos
nt rapidement, et alors des gouttes de sueur tombaient par terre. A l' école c'était pour elle une cause fréquente de punition
ecteur-adjoint des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique tous les jeudis à cinq heures, par des
ement qui est y donné permettent de le considérer comme une véritable Ecole pratique de psychologie expérimentale et de psych
stion (traitement de la), par Forel, 61. Cours du Dr Bérillon à l' Ecole pratique (programme), 320. Cours du Dr Paul Joi
uccès par la suggestion, 267. Dujardin-Beaumetz, nécrologie, 255. Ecoles d'ambulancières et d'ambulanciers, 349. Ectropi
xpérimentale, par Binet, 30. Leçon d'ouverture du Dr Bérillon à l' école pratique, 348. Lecture de pensées (un cas excepti
34 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
L 14, rue des Carmes, 14. VVE BABÉ et C". ÉDITEURS Place de l' École de Médecine. 1892 PREMIERE PARTIE Histoire
ne parlant ni ne marchant, mais la plupart susceptibles IV PETITE école . d'amélioration. Ils sont soumis à un certain n
. Dès qu'ils sont capables de marcher, ils sont envoyés Ù la petite école , d'abord le matin pendant quelque temps, puis t
âteux ou non gîileux, épilcpt i- ques ou non, mais valides. (Petite école ). Ces enfants fréquentent la petite école confi
on, mais valides. (Petite école). Ces enfants fréquentent la petite école confiée exclusive- ment Ù des femmes. 212 enfan
cèdes, 7 sont sortis définitivement, 31 l sont passés Ú la grande école , 2 sont passés aux adultes, 5 ont été transférés.
? Félu, Lapoussi ? Rkff ? Sieger (Paul), Vassa ? et Vide.. PETITE ÉCOLE . Un seul a pu suivre les exercices de la grande
de 1884, p. II; ISSU, p. V; 1887, p. IV, 1888, p. IV. . VI Grande école . sent s'intéresser davantage et être plus utile
s, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non. Grande école . La population de cette école était de 181 enfa
ptiques et hystériques ou non. Grande école. La population de cette école était de 181 enfants au 1 ? janvier 1891 et de
3uOllicr, notre instituteur en chef, un diplôme d'honneur. / Grande école , VII prenant les documents que nous avons pu ra
méthode d'écriture droite. Les leçons de choses ont continué et à l' école et dans les jardins de la section : jardin des
istractions. Promenades et distractions. Les enfants de la Grande école et ceux de la petite école qui sont pro- pres(l
t distractions. Les enfants de la Grande école et ceux de la petite école qui sont pro- pres(l)ont continué à faire de no
ous notre direction et celles de nos inter- nes par les élèves de l' Ecole municipale d'infirmiers et d'infirmières de Bic
3 heures 11 heures, c'est-à-dire à l'heure où les enfants sont à l' École . M. Routier, 1er infirmier, attaché à la Grande
ants sont à l'École. M. Routier, 1er infirmier, attaché à la Grande école a été nommé sup- (1) Voir Compte rendu de 1889;
du pavillon des maladies contagieuses ; le drainage de la cour des Ecoles dont le sol glaise laisse stagner, quand il a p
ur du musée pathologique; 2° pour le service scolaire : a) grande école : d'un instituteur, M. Boutillier et de deux in
e classe, dont un ayant le grade de premier infirmier ; b) petite école : de Mule Bl. Agnus, surveillante, de Mllcs A,
uand elles ont fini leur besogne, viennent aider les maîtresses d' école ; 3° pour l'enseignement pl'o{es- sonnel : de s
de nuit ; d'un premier infirmier attaché au réfectoire de la petite école , de 28 infirmiers et de 35 infirmières de jour
n'a pu jusqu'ici être remplacé. (3) M11» Ferret a été envoyée à l' école de la Salpêtrière, et a été remplacée par M"" G
elui qui com- munique directement avec la galerie centrale et les écoles , est destiné à recevoir le matériel scolaire (m
e au service de propreté et du traite- ment du gâtisme de la petite École (1). Par suite de l'accroissement de la populat
uiller, etc. Les enfants idiotes gâteuses, mais valides, vont à l' école avecles enfants idiotes, imbéciles, arriérées qui
récolte des légumes et des fruits. . 100 enfants ont fréquenté l' école et participé aux (1) Voir dans le Comple-reiadu
le 13 avril, celui d'un garçon de onze ans et demi, fréquentant une école libre; qu'un autre était survenu la veille, rue
H'* LXIXIt Assistance DES ALIÉNÉS. six ans et demi, fréquentant l' école de la rue de la Bienfai- sance. M. Bertillon n'
. Du 9 au 15 octobre, elles ont passé une journée et demie dans les écoles , sans paraître prendre d'ailleurs un très grand
quant des explications, agissant avec les maîtresses de la petite école , consultant nos livres, nos cahiers, etc. Il es
en même temps devrait être astreint à suivre les cours de l'une des Ecoles d'infir- mières. Ce n'est qu'à cette double con
, très nerveuse, intelligente, est presque toujours la première à l' école ; 10° fille, douze ans bien portante, intellige
à quatorze ans pour les urines. Jamais de convul- sions. Envoyé à l' école à sept ans ; il n'a jamais rien appris. Il s'es
à sept ans ; il n'a jamais rien appris. Il s'est souvent sauvé de l' école et rentrait chez lui à quatre heures comme s'il
4886.-1r jccnvier.-Depuis un mois à peu près, il n'est pas allé à l' école et il entraine les autres à mal faire. Le malade
r parce que cela le ren- dait très méchant, très nerveux 1. Mis à l' école vers quatre ans, il apprenait bien, comme les e
t pas accompagnée de perte de connaissance et il a pu retourner à l' école le lendemain. A treize ans, en allant faire une c
avec les attaques. Traitement. Deux douches par jour, gymnastique, école . Il se décide à aller travailler à l'atelier de
l'épilepsie. 37 Il y a là quelque chose d'insolite; ainsi d'après l' Ecole de la Salpêtrière, la température monte toujour
nt pas justifier sa conclusion relativement a renseigner, ment de l' Ecole de la Salpêtrière sur la température dans; l'ép
onse à M. Witkowski, corrobo- raient pleinement l'enseignement de l' Ecole de la Salpê- trière. M. Duflocq, citant l'auteu
qui dura deux mois; ni dartres, ni otite, ni engelures. Envoyé à l' école il apprenait bien ; à 5 ans, rougeole sans déte
fréquemment (Jusqu'à 14 en 24 heures). On ne voulut plus de lui à l' école ; l'intelligence avait baissé; toutefois il sava
hah ait notablement différé des autres enfants jusqu'à 8 ans. A l' école , on assure qu'il apprenait bien. A cette épo- q
e ne gâte plus, mais elle est très sale dans sa tenue. Elle a été l' école ; elle lit péniblement, mais ne sait pas écrire
plus près d'elle, elle se sauvait avec des hommes. Elle a été à l' école jusqu'à onze ans. A treize ans, elle a été mise
ières années, à un traitement médi- cal et pédagogique spécial. A l' école , ni les laïques ni les religieuses n'ont obtenu
asiles et créera pour les moins déshérités, dans quelques-unes des écoles , des classes spéciales (1). "- V. Cette observa
d'une façon déraisonnable. On n'a jamais rien pu lui apprendre à l' école et il est impossible de fixer son attention. Ac
On ne s'en était pas encore occupé. Nous l'avons envoyé à la petite école en novembre dernier, bien que, en raison de son
oque où l'épilepsie reparut de nou- veau. On avait remis Gem... à l' école , il se perd en reve- nant chez lui, est ramené
es objets usuels, mais en résumé il n'a pas fait grands progrès à l' école . Il exprime son conten- tement en tournant vive
35 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
n de Mazas, BERNHEIM. prof. à la Faculté de Nancy : BOURRU. prof. à l' Ecole de Rochefort: J. BOUYER (d'Angoulême): BRÉMAUD (d
hefort: J. BOUYER (d'Angoulême): BRÉMAUD (de Brest); BUROT, prof, a l' Ecole de Rochefort CHARCOT. prof. à. la Faculté de Pari
niversité de Genève; LIEBEAULT (de Nancy); LETOURNEAU, professeur à l' Ecole d'Anthropologie: LUYS. membre de l'Académie de mé
in en chef de l'asile de Lafond : Paul MAGNIN ; MANOUVRIER. prof, à l' Ecole d'Anthropologie: J. OCHOROWICZ; Aug. VOISIN, méde
ie chez ces trois enfants. Mais, dans l'esprit du célèbre maître de l' école de la Salpêtriére. les pratiques de spiritisme co
'est pas de médecin, parmi ceux, notamment, auxquels l'inspection des écoles et des lycées est confiée, qui n'ait eu occasion
Mesmérisme moderne, comprenant une Bibliographie, les Précurseurs, l' Ecole actuelle, et enfin, IX. Divers. Tout ce qui p
aux répandus dans les neuf chapitres dont nous avons donné la liste : Ecole de Nancy. — Ecole de Paris. — De la simulation. —
les neuf chapitres dont nous avons donné la liste : Ecole de Nancy. — Ecole de Paris. — De la simulation. — De la suggestion.
s expériences viennent, semble-t-il, appuyer la théorie adoptée par l' Ecole de Nancy, pour expliquer les hallucinations négat
de l'hypnose décrits par M. Charcot sont devenus classiques, malgré l' Ecole de Nancy, qui ou bien n'a point opéré sur des suj
les à réfuter, il est certain, au contraire, que les conclusions de l' Ecole de Nancy, faciles àcontrôler. vérifiées sur des m
l'hypothèse d'une psychose expérimentale, puisque depuis longtemps l' Ecole delà Salpétrièrc a propose celui de névrose expér
on ou le cocher de fiacre; mais la doit s'arrêter l'analogie. Or. l' Ecole de la Salpêtrière, en fait d'hypnotisme, tourne d
les hommes sont-ils sensibles à l'hypnotisme? Je suis de l'avis de l' Ecole de Nancy; je pense que tout système nerveux quelc
nventeur a été, nous devons le reconnaître, complètement réalisé. A l' Ecole normale d'instituteurs, d'auteurs, une classe, me
S MÉDICAMENTS CHEZ LES NERVEUX Par le Dr P. BU ROT MOFESSEU* A i." ÉCOLE DE XEDECISB DE ROCHEFO»r Parmi les observations
fait est affirmé par les uns et nié par les autres. Ainsi, d'apre* l' école de la Salpêtrièrç, ¡1 n'y aurait que les hysi
peu près, qui scraien: sensibles a l'action hypnotisante. D'après l' école de Nancv, tout le monde y serait accessible, ou a
ficile, obscure encore et qui semblait réservée, jusqu'à ce jour, aux école » et aux savants. Il l'a fait avec une grande sjge
ation une lettre que m'écrivait, le 1; juillet dernier, un élève de l' Ecole normale supérieure (section de philosophie, trois
CAS DE SOMNAMBULISME SPONTANÉ Par M. le D' P. BU ROT pROFEssEua a l' école de médecim: de RociitFORT Il ma été donné d'obs
'ils exercent sur l'intellect est néfaste. Mais, c'est des bancs de l' école qu'au premier chef il importe de les tenir écarté
r nous du nouveau d'apprendre que Smeuncr et Prêter appartiennent à l' école de Paris. Berger à celle de Nancy. Mais, malgré c
depuis, et ils ont toujours été considérés comme des hérétiques par l' Ecole . Depuis sa mort, sa doctrine n'a pas progressé et
rière diffèrent Je celles qu'ont rapportées les expérimentateurs de l' Ecole de Nancy. A la Salpctrière, ces applications ont
rançois-Franck (de l'Académie de méde-cine) et le docteur Lagrange. Ecole d'anthropologie. — L'Ecole d'anthropologie, qui e
ie de méde-cine) et le docteur Lagrange. Ecole d'anthropologie. — L' Ecole d'anthropologie, qui entre dans sa treizième an
i n'y est pas: c'est une hallucination positive . J'appelle, avec l' école de Nancy, hallucination négative, l'acte qui cons
développement normal, mais santé toujours faible; apprenait bien à l' école ; pas de maladies nerveuses de l"enf3nce ; aurait
ANS, GUÉRIE PAR LA SUGGESTION Par M. le Dr p. BU ROT professeur a l' école de u£»ecine de rochefort Mme V..., 55 ans, est
ines, elle n'appartient pas aux médecins seuls : les philosophes de l' école expérimentale peuvent, entre autres, en tirer un
és. M. A. Giard, ir.cie.i député du Nord, maître de conférences à l' Ecole normale supérieure, a ouvert ce cours le jeudi as
lisation et d'éducation sur quelques sujets plus ou moins mauvais des écoles primaires (r. Et. il faut le dire, tous les audit
it qu'on ne remarquait plus en lui de différence avec ses camarades d' école . 4. — 51 octobre. — N... (Georges), 12 ans. Se
nte et menteuse. De phjV.l elle est toujours en retard pour aller à l' école . — Au bout de quelques séances de suggestion
béissante. Seulement elle a toujours continué d'arriver en retard à l' école et sa mémoire est restée la même. 14. — 25 mars
médiocre. Sait lire et écrire. Caractère doux. 11 a éié renvoyé de l' école des enfants de troupe de Montreuil-sur-Mcr pour i
et assez intelligent. Il se préparait avec assiduité pour entrer à l' école normale d'instituteurs, lorsqu'il fut pris de cép
. In-12, 357 pages. Marpon et Flammarion (3 fr. 5o). Beaunis. — L' École du service de santé militaire de Strasbourg et la
UN CAS DE SCLÉROSE EN PLAQUES Par let D* J- FONTAN, professeur îl l' École de Toujon et Cn. SÈGARD, médecin principal de la
e docteur Cunéo, médecin en chef, professeur de clinique médicale à l' école de Toulon, après avoir, à notre prière, mctieulcu
. Sature et degré de l'enseignement qu'il convient de donner dans les écoles primaires, p. 24. (2) FCIix Voisin, Mémoires sur
ntre les maîtres, point de prêtres, ajoute-t-il, si ce n'est dans les écoles de la Faculté de théologie. Ils sont rivaux par é
la classe dure une heure au plus, trois (1) Bonnemere, Le Maître d' école , p. *>. (Bibliothèque de la Société d'instruen
EULE SÉANCE PAR LA SUGGESTION Par 1« D' P. BU ROT, professeur à l' Ecole de médecine de Rochefort Mlle E..., 19 ans, chl
lineau, Hubert. Gri-moux, W. de Ilobstein, Monart, médecin-major de l' Ecole Polytechnique, Robbe, Bîgelow (de Washington), Do
rière et de la Pitié, le D* Bérillon a exposé la méthode à laquelle l' Ecole de Nancy doit ses succès thérapeutiques. La théra
anche dernier, io février, a eu lieu, dans le grand amphithéâtre ex l' Ecole de médecine, l'assemblée générale de l'Associatio
le mutuelle. Interdiction des représentations d'hypnotisme dans les écoles . M. le recteur de l'Académie de Poitiers, après
rdire, par une circulaire, toute représentation d'hypnotisme dans les écoles normales, lycées, collèges, écoles supérieures et
présentation d'hypnotisme dans les écoles normales, lycées, collèges, écoles supérieures et écoles primaires de l'Académie. 11
sme dans les écoles normales, lycées, collèges, écoles supérieures et écoles primaires de l'Académie. 11 base son interdiction
qu'un laboratoire de psychologie physiologique vient d'être créé à l' Ecole pratique des hautes études. Ce laboratoire est pl
1 1:1 i:t 1 : Le magnétisme animal. V-VIII. A propos d'une visite a l' école de Nancy. Rev. de Belgique, année XX, livr. XII
at éprouvé par lui d'une façon qui confirme entièrement les vues de l' Ecole de Nancy et qui montre clairement combien le méca
; Paris pour visiter tous nos établissements d'enseignement médical : écoles , hôpitaux, laboratoires, etc. 11 publie dans soa
Comité d'organisation, 119 bis. rue Notre-Dame-des-Champs. a Paris. École pratiqué des Hautes Études. — Les personnes qui d
e, entrée par le chantier de la rue Saint-Jacques, près de la rue des Ecoles . —Le conseil général des Facultés de Paris réun
luttes et des théories contradictoires, symbolisées, d'un côté par l' Ecole de la Salpêtrière avec M. Charcot, de l'autre par
le de la Salpêtrière avec M. Charcot, de l'autre par M. Bcrnheim et l' Ecole de Nancy, vous pouvez vous trouver embarrassés. L
r embarrassés. L'opposition radicale qui semble régner entre les deux Ecoles peut faire germer dans votre esprit le scepticism
as la prétention de fonder, sous le nom de Montpellier, une troisième Ecole eu contradiction avec celles de Pans et de Nancy
rincipal théâtre de ces controverses et de ces batailles. On a opposé Ecole contre Ecole et nous avons aujourd'hui, suivant l
tre de ces controverses et de ces batailles. On a opposé Ecole contre Ecole et nous avons aujourd'hui, suivant le langage des
Ecole et nous avons aujourd'hui, suivant le langage des auteurs, une Ecole de Nancv qui est en opposition avec celle de la S
ectif qui qualifie la forme d'hypnotisme étudiée par chacune des deux Ecoles . Pareille proportion n'est pas, à mon avis, en ra
noncée. Je vous ai dit que la querelle existait encore entre les deux Ecoles : ne semble-i-il pas. d'après les documents dont j
ce. Babinski reconnaît qu'il faut exposer « la manière de voir de l' Ecole de Nancy ; ce qui ne nécessite pas, du reste.de l
sont, pour lui. que l'œuvre de la suggestion » ; — et pius loin : c L' Ecole de Nancy conteste donc d'une façon absohw l'exact
e donc d'une façon absohw l'exactitude des diverses affirmations de l' Ecole de la Salpétriê/e ». (page 10;). Donc, vous le
urd'hui passer en revue les principaux arguments que chacune des deux Ecoles rivales oppose à son adversaire. II est nécessa
tat de léthargie : mais le phénomène capital, essentiel, celui dont l' Ecole de la Salpétnère a eu l'immense mérite de révéler
ique. Examinons d'abord la première série d'objections que les deux Ecoles se font l'une à l'autre ; ce sont les objections
l'une d'elles, si elle se trouvait justifiée, ruinerait entièrement l' Ecole rivale, en sorte que toute discussion ultérieure
rte que toute discussion ultérieure serait rendue inutile. Or, chaque Ecole fait à l'autre des objections de cette importance
e des objections de cette importance. i* Le principal argument de l' Ecole de la Salpêtrîère contre l'Ecole de Nancy est le
nce. i* Le principal argument de l'Ecole de la Salpêtrîère contre l' Ecole de Nancy est le suivant : l'absence de phénomènes
préveniret de la déjouer; dès lors, les observations accumulées par l' Ecole de Nancy, manquant de toute base de réalité et d'
la simulation, il ne s'ensuit pas forcément que ce soit le seul. L' Ecole de la Salpêtrière sait mieux, que personne de que
ervenir ? Ma réponse est donc formelle à l'objection formulée par l' Ecole de la Salpêtrière : On peut très bien établir la
servir de base solide à un édifice scientifique. En sens inverse, l' Ecole de Nancy apprécie de la façon suivante les théori
s de la Salpêtrière : Les phénomènes somatiques fixes, sur lesquels l' Ecole de Charcot fait tant de fond, qui sont comme le p
ile de taire naître, même par la suggestion la plus intentionnelle (l' Ecole de Nancy n'a jamais pu parvenir à les suggérer: p
contradiction commence à être beaucoup moins formelle entre les deux Ecoles ; les deux ordres défaits qu'elles soutiennent exi
UÉRIE PAR LA SUGGESTION Par le Docteur P. BU ROT • - i - • .: A l/ ÉCOLE du KtlDfcC:- DE KOCHKFORT Mme Lire..., Agée de
orte-greffe à de véritables accès d'aliénation mentale. Coiii-m à l' Ecole |»-iitit|iie «le lu Faculté. M. le docteur Beri
le mardi 14 mai, à cinq heures du soir, dans l'amphithéâtre n" 3 de l' Ecole pratique delà Faculté de médecine, un cours libre
dont l'exagération en sens inverse me parait extrêmement fâcheuse. L' Ecole de Nancy soutient que les sujets sains soni hypno
n article déjà cité, résume comme il suit (page 266) l'opinion de son école : « L'hypnotisme est un état pathologique et non
l'ai dit. le point capital, le point de l'argumentation. D'après l' école parisienne, le rapport entre le grand et le petit
Salpôtrière et toutes les autres attaques: celles-ci. d'après la même école , ne seraient que des dérivés, des formes atténuée
Convulsionnaires d'Abbadia (les). 379. Cours de M. le Dr Bérillon à l' Ecole pratique de la Faculté, 349. Cours de M. le Dr Au
e scolaire, par CoIlineau, 240. Dualité du cerveau, par Dupuy, 371. Ecoles (interdiction des représentations d'hypnotisme da
36 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
membres en les fléchissant et les étendant alternative-- m Petite école . ment, en leur faisant des frictions stimulante
Dès qu'ils sont capables de marcher, ils sont envoyés à la petite école , d'abord le matin pendant quelque temps, puis t
gâteux ou non galeux, épilel7li- ques ou non, mais valides [Petite Ecole ). Ces enfants fréquentent, la petite Ecole conf
on, mais valides [Petite Ecole). Ces enfants fréquentent, la petite Ecole confiée exclusive- ment à des femmes. 213 enfan
é, cinq sont sortis définitivement, neuf sont passsés à la grande École , un est passé aux adultes et deux ont été trans
opres dans le courant do l'année (1). Tous les enfants de la petite Ecole sont exercés à la gymnas- tique Pichery, sauf s
I>upon ? LUlI1a ? 13oiv ? Rog ? Bill.. Pcti ? Can1lt... PETITE ÉCOLE . V ces; les leçons de toilette (lavage de la fi
és instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non. Grande école . - La population de cette école était de 203 en
iques et hystériques ou non. Grande école. - La population de cette école était de 203 enfants au 1 ? janvier 1892 et de
rir à l'électricité du muacle orbiculaire des lèvres. . PO Grande école . resser à la conservation des objets qu'ils ont
eu lieu dans la cour de l'Hospice avec les enfants valides des deux écoles . 3° Les maîtres ont pris possession du musée sc
gym- nastique, a eu l'heureuse idée de les faire accompa- Grande école ; éducation physique. vu gner par le tambour. Le
on personnel. Elle tient une large place dans l'emploi du temps des écoles (grande école et petite école pour les garçons,
lle tient une large place dans l'emploi du temps des écoles (grande école et petite école pour les garçons, fondation Val
e place dans l'emploi du temps des écoles (grande école et petite école pour les garçons, fondation Vallée pour les fille
ymnastique, les jeux et différents exercices scolaires. VIII Grande école ; éducation physique. sont très complets à Bicé
temps en temps des pas redoublés et des marches militaires, Grande école ; éducation physique. IX Dans l'intervalle les e
toyage du réfectoire. Gymnastique Pichery. Les enfants de la petite école sont surtout exercés au point de vue de l'éduca
passe-boules, pour l'éducation de l'oeil et de la main. x Grande école ; éducation physique. Les travaux manuels consi
e d'Ivry, s'est fait entendre il la distribution des diplômes aux Ecoles municipales d'infirmières, a prêté son con- cou
1 volumes. Promenades et distractions. - Les enfants de la grande école et ceux de la petite école qui sont propres ont
distractions. - Les enfants de la grande école et ceux de la petite école qui sont propres ont continué à faire de nombre
, grand bal paré et travesti (104 enfants déguisés, 22 de la grande école , 40 de la petite école, 42 de la Fondation Vall
sti (104 enfants déguisés, 22 de la grande école, 40 de la petite école , 42 de la Fondation Vallée) ; en mars, même dis
s sous notre direction et celle de nos internes par les élèves de l' École municipale d'infirmiers et d'inlir- mières de B
réation, nous pourrons exiger que les maitres et les maîtresses des écoles soient prévenus chaque fois qu'auront lieu des
du Musée pathologique ; - 2° pour le service sco- laire : a) Grande école : d'un instituteur, M. Boutiller, et do deux in
firmiers dont un ayant le grade de premier infirmier. - b) Petite école : de Mlle Blanche Agnus, surveillante ; de 111°°
quand elles ont fini leur besogne, viennent aider les maîtresses d' école ; 3° pour l'enseignement professionnel : de hui
récolte des légu- mes et des fruits. 106 enfants ont fréquenté l' école et ont été exercées à la gymnastique Pichery. 3
is que nous avons été obligé de nous servir du réfectoire et pour l' école et pour la couture. Les travaux ont été terminé
ence de prévoir les services suivants : . 1° Services de jour : Des écoles pour l'instruction pri- maire, avec un certain
uées. G" Les ateliers paraissent être prévus dans le sous-sol des écoles , ce qui nous semble tout il fait défectueux. 7°
es, il est des plus complexes : Cette institution est à la fois une école ou mieux un internat, un hôpital et un hospice
- tes. Il conviendrait donc de les obliger it suivre les cours de l' école d'infirmi : ·- es de Dicètre afin d'avoir lenr
llée. ' III. Pensionnat. Services de jour. - Ils compren- nentles écoles , les réfectoires, le gymnase, les ateliers.- Le
- nentles écoles, les réfectoires, le gymnase, les ateliers.- Les écoles pourraient être faites suivant le modèle des éc
teliers.- Les écoles pourraient être faites suivant le modèle des écoles de Bicêtre, mais en leur donnant une plus grande
uverts et une vaste salle de réunion pour les enfants cle la petite école (1). De plus, la petite école doit comprendre u
éunion pour les enfants cle la petite école (1). De plus, la petite école doit comprendre une salle spé- ciale pour le tr
t du gâtisme et l'enseignement des soins de toilette. Pour les deux écoles , il faudrait un musée pédagogique servant en mê
ourrait être placé en retour à l'une des extrémités du bâtiment des écoles , vers la vallée de la Bièvre ainsi que le musée
e sous le nom de Cour d'honneur, la seconde, sous celui de Cour des écoles . Dans celle-ci seraient installés le gymnase à
béciles et idiotes propres ; l'autre pour les enfants de la petite- école , propres ou gâteuses. Ce dernierpourrait être d
la mesure (i) A Bicêtre, la salle de réunion primitive de la petite école mesure 8 mètres de long sur 4 m. 80 de large. T
0 de large. Tandis que l'on peut maintenir les enfants de la grande école , durant les grands froids, sous leurs préaux ou s
sont extrêmes, les laisser dans le gymnase, les enfants de la petite école , plus sensibles au froid, ont besoin d'une sall
era ins- tallé a l'entrée du réfectoire des enfants cle la grande école , afin qu'elles puissent se laver les mains à la s
nfants : L'enfant Baud..., a été renvoyé de l'asile maternel, de [l' école , de partout. Les parents ont été amenés à le fa
eur le Dr Bourneville. 13 janvier 1892. Monsieur, Le Bureau des Ecoles de la Ville de Londres est sur le point de fond
au des Ecoles de la Ville de Londres est sur le point de fonder une école pour l'instruction spéciale des enfants, qui, e
, ne peuvent recevoir d'une façon convenable renseignement dans les écoles ordi- naires et par les méthodes en usage. Le
l'expérience des personnes qui ont été appelées à la direction d' écoles similaires sur le Continent. En conséquence, je
inent. En conséquence, je prends la liberté, au nom du Bureau des écoles cle la Ville de Londres, de vous demander le conc
Burgwin de visiter vos CXII De l'éducation des enfants arriérés. Ecoles , et lui donner tous les renseignements et documen
rnel à 2 ans, puis à 3 ans et demi. Depuis, il a été mis à diverses écoles dont on le renvoyait à cause de ses accès. Par
de son athétose. Il apporte de la bonne volonté aux tra- vaux de l' école . lise lave, s'habille et se déshabille, se bouton
apprenti tailleur depuis le mois de février. Il travaille bien à l' école , et pourrait faire mieux. Il s'irrite à la moin
7°, 6. Depuis quelque temps, il y a un arrêt dans son tra- vail à l' école (PL. vu, Fig. 5). 22 mat. Le T... a été pris d'
de ses idées mystiques, ce qui irritait en- core son caractère. A l' école , état stationnaire pour le calcul ; il commença
VII qui donne également une idée du procédé que nous employons à l' école pour enregistrer les progrès intellectuels des
; il faisait fréquemment Idiotie méningitique : antécédents. 67 l' école buissonnière. Venu à Paris à 20 ans environ, il c
'en présentât. A cause de ses accès, on ne voulut pas le garder à l' école . L'enfant, se servant de ce qu'on lui avait app
ILLE, Bicêtre, 1892. 9 130 Ili\INGO-ENCI : Y11ALI1'E. à la petite école , nous avons dû le placer au pavillon d'isolemen
aucun trouble n'aurait succédé à cette affection, il apprend . à l' école ; - 2° fille, 7 ans, convulsions au moment de la
cuillerées d'huile de foie de morue; 2 de sirop de fer. 2" Petite Ecole . Depuis quelque temps l'enfant semble mieux com
is au lit, mais moins souvent qu'autrefois. On l'envoie à la petite École une demi-heure l'après-midi tous les jours. - D
eux pour une grosse ampoule. Le 24 juin, il est renvoyé à la petite école . Juillet. - Il est gai, devient joueur il comme
e morue, hydrothérapie au 1^' mars. Passé le 15 février à la Grande Ecole . 2 ? nars. Légère conjonctivite de l'oeil droit
oeil droit, qui amène son entrée à l'infirmerie. Juin. - Note.' d' école . Instruction élémentaire assez bonne. Intellige
éveloppé aux aisselles et à la région anale. Ro.. passe à la grande école . Décembre. Notes de l'école. Physionomie douce,
région anale. Ro.. passe à la grande école. Décembre. Notes de l' école . Physionomie douce, yeux à demi fermés. Il marc
, cherchant à se rapetisser. Il est fort craintif. A son entrée à l' école , il était violent, criait, gâtait et se masturb
mélioration, toujours môme instabilité et mômes manies. Ses notes d' école présente une particularité intéressante, c'est
37 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
ent ' Fi. modèle de l'un des chariots. Fit. 2. Fia. 3. PETITE ÉCOLE . v la petite école, confiée exclusivement à des
l'un des chariots. Fit. 2. Fia. 3. PETITE ÉCOLE. v la petite école , confiée exclusivement à des femmes. 203 y ont
au lever, au coucher, après chaque repas. 36 enfants de la petite école vont aux ateliers une demi-heure par jour (menu
e du commis principal de la direction et professeur de dessin des écoles de la ville de Paris, de grandes plan- ches rep
leur mutisme plutôt que de vaincre la paresse do leurs or- GRANDE ÉCOLE . XVII ganes. Au contraire, en leur enseignant d
, arriérés, instables, épileptiques et hystériques ou non. Grande école . La population de cette école était, le 1er jan-
ptiques et hystériques ou non. Grande école. La population de cette école était, le 1er jan- vier 1888, de 145, et le 31
est d'autant plus néces- saire que les instituteurs font le soir l' école primaire aux infirmiers et aux infirmières de l
scolaire comprend une grande partie des objets employés à la petite école , mais un peu plus compliqués, et ceux qui sont
le, mais un peu plus compliqués, et ceux qui sont en usage dans les écoles primaires ordinaires. De plus, nous avons fait
ées en bleu. Promenades et distractions. Les enfants de la grande école et ceux de la petite école qui sont propres ont
t distractions. Les enfants de la grande école et ceux de la petite école qui sont propres ont continué à faire, sous la
ncert des frères Lionnet ; participation des enfants de la Grande Ecole au défilé du bataillon scolaire de Gentilly, et
s sous notre direction et celle de nos internes par les élèves de l' Ecole d'infir- mières (1). Service dentaire. - Notr
Dr Stemerz ; Dr Tixier, directeur XXIV VISITEURS DU SERVICE. de l' Ecole de médecine d'Alger ; Et. Tinioux, attaché à l'
réfectoire à ces derniers et, dans une certaine mesure, de salle d' école . Grâce à cet isolement, au zèle de nos internes
t, afin que l'enseignement soit à peu près égal pour tous, tant à l' école qu'à l'atelier, la série d'élèves du matin, dan
athologique de l'hospice; 2° pour le service sco- laire : a) Grande école : d'un instituteur, M. Boutillier, et d'un inst
rime et d'un maître de danse; et de 4 garçons de classe ; b) Petite école : de 111"e Blanche Agnus, surveillante, MUes Be
l voulait. » Jusqu'en avril 1883, il s'est bien porté, allait à l' école , où il apprenait très bien; il savait lire, écr
l'histoire, la grammaire et les chansons. Il manquait ra- rement l' école et n'avait fait que deux ou trois fois l'école
anquait ra- rement l'école et n'avait fait que deux ou trois fois l' école buissonnière. Il était en outre affectueux, obé
eu d'accès ; mais les ab- sences ont persisté; il est retourné à l' école . En juin, les crises ont reparu avec plus d'int
m. 25 octobre. L'enfant se lève. 27 novembre. B... va à la petite école ; il ne gâte pas, sait se laver et se vêtir lui
oit avec du vaccin de génisse. 1884. Janvier. Revient à la petite école dans les premiers jours de ce mois. On est frap
aller sous lui ses matières fécales. A quatre ans il fut envoyé à l' école où il apprit difficilement à lire et à écrire e
sait des grimaces et des contorsions. Deux fois il s'est enfui de l' école , mais il rentrait deux heures après. A dix ans,
aurait qualifiées d'épileptiqztcs. Revenu à Paris, il retourna à l' école , puis fut placé en appren- tissage chez un cord
nt : envoyé vingt-quatre heures à la Sûreté'. Il est peu docile à l' école . lise développe bien. A la fin de juillet : poids
t, méchant, se mêle à toutes les discussions entre les enfants. A l' école , il est dans la première classe, mais fait peu
- Il travaille à la cordonnerie où on est content de lui, et va à l' école des adultes'. Son caractère devient meilleur, il
26. Guérison complète du phlegmon de la jambe. 1887. Janvier. - A l' école , C... devient plus docile. Il travaille assez b
res fécales jusqu'à douze ans. III. C'est à partir de son envoi à l' école qu'on s'aperçut que son intelligence n'était pa
aces, ses contorsions, le font renvoyer successivement de plusieurs écoles . On ne se rendait pas compte qu'il était malade
t pas compte qu'il était malade. Il en fut de même d'ail- leurs à l' Ecole d'enfants de troupes où l'on attribuait son inc
it pour centre des villes possédant des facultés de médecine ou des Ecoles préparatoires, comme Nancy, Lyon, Lille, Bordea
n prenant pour centre de chacune d'elles soit une faculté, soit une Ecole prépara- toire de médecine. » M. Donnet, aprè
ans les asiles du ressort de chacune de ces Facultés. Il écarte les écoles préparatoires. Enfin, ' Rapport sur l'organisat
faisance, » et il ajoute que « un professeur de la Faculté ou de l' Ecole préparatoire de médecine, suivant le cas, pourra
38 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
f. AJ'Cnir. de Naocj-; LLOYD-TUCKEY idaLondreai; HANOUVRiBE;prof. à l' Ecole d'Aiitluopt-Iopr; MA90IN.preI.«rtlDiversifîdeLour
nement, il constate que certains phénomènes, en {') Leçon iaile à l' Ecole pratique de la FactiUo de mideciao. Semestre d'îl
comprendre, car on commence à parler le même langage. Les querelles d' écoles rivales ne sont le plus souvent que des querelles
quelle prirent part les représentants les plus autorisés des diverses écoles . Le mot hypnotisme fut accepté sans discussion.
ciliation, acceptée par le Congrès, ne fut admise par aucune des deux écoles en présence. Pour Charcot, l'hypnotisme devait êt
roduction des phénomènes psychologiques. Les doctrines générales de l' Ecole de Nancy peuvent se résumer dans les propositions
(Suilt) CHAPITRE XVII Etienne, Locie et Blaise PAribr aux petites écoles de Port-Royal. Cependant, dès avaut le 10 févri
salut devait lui paraître en bonnes moins; car Us étaient aux petiles écoles de Port-lÎoyal. L'idée de ces écoles était due
ns; car Us étaient aux petiles écoles de Port-lÎoyal. L'idée de ces écoles était due à Du Vergier de Hauranne. On en recruta
'on avait pour catéchisme la Théologie familière de Du Vergier. Les écoles étaient divisées en trois groupes,dont l'un était
s a laissé, entre autres œuvres, un mémoire sur l'organisation de son école du Cïiesnai. t L'on tachait, dit-il, parlant des
té établi dans l'Eglise. » Le soir ils allaient à Vêpres, c Comme ces écoles , dit Wallon, frère de Wallon de Deaupuis, étaient
des principes. » La jalousie et la haine des Jésuites ruinèrent les écoles de Port-Royal, qui n'existaient plus le 10 mars 1
al, qui n'existaient plus le 10 mars 1660. Après la disparition des écoles , les petits Périer eurent encore pour maître le s
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d'ét
e Gros. le Dr Liébeault, de Nancy. Soury Mules), sous-direetcur à l' Ecole pratique des Hautes Études. Membres de la Commi
rôle dans les phénomènes hypnotiques. Comme on devait s'y attendre, l' école de Nancy, représentée par MM. Bernheim et Liégeoi
tre, le fait suivant, cité par M. Dumontpallier, fait contre lequel l' école de la suggestion ne pourra jamais rien. C'était à
être point officiel, le second d'être en avance sur son siècle. Les écoles de Nancy et delà Salpêtrière étudièrent l'hypnoti
compense! » dit-il. Bien qu'il eût été mis dès neuf ans aux petites écoles de Port-Royal, et qu'il eût eu, chose plus grave,
n, et comme lui avaient eu pour maître Wallon de Beaupuis aux peli-cs écoles , jusqu'en 1661, et, de 1661 à 1CG4 chez leur père
chez leur père, où Wallon était venu habiter après la suppression des écoles . (1) Kccrolose, suppl./page> page n="81"&g
ersité libre des hautes études. — Faculté des Sciences magnétiques. — Ecole pratique de magnétisme et de massage sous le patr
t-elle être résolue/page> page n="97"> par l'organisation d' écoles de réforme analogues aux Reformatory schools de l
simple médecin de campagne. Par sa volonté il avait groupé toute une école célèbre : l'école de Nancy, rivale heureuse de la
campagne. Par sa volonté il avait groupé toute une école célèbre : l' école de Nancy, rivale heureuse de la Salpêtrière. Il
e nature fermée » : c'est la naissance du romantisme, de cette grande École littéraire qui réagit contre l'imitation, base de
ette grande École littéraire qui réagit contre l'imitation, base de l' École classique, et veut que !a France, « puisqu'elle e
t atteint ou dépassé vingt ans. Quelle pléiade ! En médecine, les Écoles de santé ont été fondées à Paris, Montpellier et
une deuxième période s'épanouit, que nous pouvons appeler la première Ecole clinique française du XIX* siècle. I'1 11 La
le nom domine et personnifie, en quelque sorte, toute cette première École clinique. Une découverte comme ceile de l'auscu
n même temps la font connaître et aimer et fondent ainsi vraiment une École physiologique qui est presque immédiatement illus
entiment ». Claude Bernard occupe une place considérable dans cette école scientifique qui a fait « passer ses idées dans l
gressait d'autant. C'est là l'œuvre que nous appellerons la. deuxième Ecole clinique du XIXmu siècle, quatrième période de no
mbattre ces exagérations néfastes: on y perdit un temps précieux. L' École de Montpellier se consacra et se dépensa tout par
n mentale, mais encore fonde, avec Esqui-rol et Baillarger, la grande École des aliénistes français du XIXme siècle. D'autr
t incontestablement le chef ot la plus brillante incarnation de cette École . C'est lui qui a fait connaître et aimer le systè
magmliquemcnt. Je n'hésite donc pas â dire que, dans cette deuxième École clinique qui constitue notre quatrième période, A
ppement dés pathologies spéciales). Tous les hommes de cette grande École médicale contribuèrent puissamment à continuent â
de 9 à 10 heures environ. Pendant l'adolescence les septem horas de l' École de Salerne ne suffisent pas; il faut bien huit he
sociation britannique. Un banquet fut ensuite servi dans le parc de l' Ecole supérieure et un millier de convives y prirent pa
q ans. D'autre part, il s'est formé dans la Nouvelle-Angleterre une école de Médecine qui est pratique et qui réussit. Les
la prière et l'élévation de l'esprit vers Dieu. Les médecins de cette école s'appellent a peu près guérisseurs par la foi. il
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire do p
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d'ét
) à l'âge de 52 ans. Né à Strasbourg, ancien préparateur de Broca à l' École d anthropologie, chevalier de la Légion d'honneur
ges conventionnels dans le monde politique. Il y étudie les nouvelles écoles et les maîtres contemporains et démontre, œuvres
cho-physiologique en fait à la fois une/page> page n="162"> Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' école pratique de la Faculté de médecine (semestre d'ét
ue. Et qui ne se souvient de la colère qui fut déchaînée contre celte école au moment du fameux procès Chambige? Ohé! les psy
Elle nous montra que cette conscience, si dédaignée par Taine el son école , cette liberté, déclarée une chimère, sont des fa
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
in inspecteur des iisiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique doia pHtîultc d;i :v.édecine (semestre d
t certain mot et le geste à l'appui. Des spiritual!stes d'une vieille école orthodoxe veulent démontrer qu'il ne peut y avoir
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
in inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à. l' Ecole pratique delà Faculté de médecine (aemosirc d'été
ns de conscience et les Saintes Méditations. Les élèves des Petites Ecoles , dont plusieurs assistaient à la messe chaque jou
et d'Antoine Arnauld ; celles des religieuses, des élèves des Petites Ecoles et des solitaires de Port-Royal par diverses lect
tants, le malade no peuc décidément pas être hypnotisé, nu sens que l' école de la Salpétriùre attribuait à ce mot. Cependant,
organtsaiion de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire do p
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son couis à l' Ecole pratique delà Faculté de médecine (semestre d'été
rendre savantes. » Et Wallon de Beaupuis reconnaît que les Petites Ecoles (1) Nécrologe de P.-R. (2) Règlement pour les
ient accoutumées au silence. Les solitaires et les élèves des Petites Ecoles l'observaient à plusieurs moments de la journée.
montrés prêts à élever les enfants. Déjà, dans l'Egypte ancienne, les écoles dépendaient des temples. Les suggestionnés de m
se Périer et Raphael Le Charron d'Espinoy, dès l'enfance, aux petites écoles de Port-Royal. Marie-Charlotte Arnauld d'Andill
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine (semestre d'ét
eures et demie, les solitaires à trois heures, les élèves des Petites Ecoles à cinq et à six heures. Enfinles veilles de Cha
Elle eut ses compositeurs, ses professeurs (maîlres de chapelle), ses écoles de chant (manicanteries, psallettes), ses chantre
organisation de l'Institut psycho physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complète son cours à l' Ecole pratique delà Faculté de médecine (semestre d'été
vendredis et mardis suivants à la même heure. Faculté de médecine ( École pratique). — M. le Dr Bérillon, médecin inspecteu
bles ; il ne put trouver auprès d'autrui d'éclaircissement précis ; l' école qu'il fréquentait ne put, à ce point de vue, lui
ou diurnes, des lacunes s'établissent dans la mémoire; l'enfant, à l' école , ne peut plus suivre ses condisciples; non seulem
Gros. lo docteur Liébeault, de Nancy. Souby (Jules), professeur à l' École pratique des Hautes-Etudes./page> page n="34
siècle par des médecins illustres; elle l'est par le chef actuel de l' école française, M. le professeur Ch. Bouchard. Comme
organisation de l'Institut psycho-physiologique en fait à la fois une Ecole pratique de psychothérapie et un laboratoire de p
cin inspecteur des asiles publics d'aliénés, y complote son cours à l' Ecole pra-/page> page n="352"> tique delà Fac
orat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. COURS A L' ÉCOLE PRATIQUE DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE Semestre d'é
iles publics d'aliénés, commencera, le lundi 7 mai à cinq heures, à l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine [amphithéâtre
Un jeune homme atteint d'incontinence d'urine venait d'être reçu à l' Ecole navale. Trèsaffecté de son infirmité, craignant d
de psychothérapie, p. 127, 160. 192, 223, 255, 287, 350. Coure à l' école pratique do la faculté de médecine (Programme),
39 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
Dès que ces enfants marchent seuls, ils sont en- voyés à la petite école . En dehors des instants trop courts durant lesq
n, épileptiques ou non, valides.- Ces enfants fréquentent la petite école P,y. 2 et 3. - Fauteuil de gâteux. 1·'i. 4. -
dre aux enfants à monter les escul (1'8 et 11 saute ? VI . PETITE ÉCOLE . confiée exclusivement à des femmes. 179 y ont
, cylindres, etc. (le plus gros, le plus petit, le moyen). PETITE ÉCOLE . VII 4 sont sortis définitivement ; 2 ont été t
ver, au coucher, après cha- que repas ; 27 enfants de la petite école vont aux ateliers une demi- heure par jour (m
III ENFANTS IMBÉCILES, ÉPILEPTIQUES, ETC. le matériel scolaire de l' école et nous n'y reviendrons plus aujourd'hui. Les (
s arriérés, instables, épileptiques et hystériques ou non. Grande école . - La population de cette école était le 1er jan-
iques et hystériques ou non. Grande école. - La population de cette école était le 1er jan- vier 1887, de 150, et le 31 d
tériel scolaire comprend la plupart des objets employés à la petite école , et ceux qui sont d'un usage or- dinaire. Nous
et des arbustes, ainsi que cela existait depuis 1881 dans la petite école . Promenades et distractions. - Les enfants de l
ite école. Promenades et distractions. - Les enfants de la grande école et ceux de la petite école qui sont propres ont
distractions. - Les enfants de la grande école et ceux de la petite école qui sont propres ont continué à faire sous la c
l'Inté- rieur ; - le De \V. Fliess ; - M. Foubert, inspecteur des Ecoles primaires de la Seine ; - le Dr Gambier, de Bor
afin'que l'enseignement soit à peu près égal pour 'tous, tant à l' école qu'à l'atelier, la série du matin/dàhs'Ih premi
aisant fonction de moni- teurs et de 4 garçons de classe; b) Petite école : de Mlle Blanche Agnus, surveillante ; lI"`5 B
endre les enfants ; là ils prennent leurs repas- et' on leur fait l' école . Le reste du temps, on les pl"Ó'àlèl1'e' dà'rrs
et nouveau, qui commence par de simples mouvements, et finit par l' école et l'atelier, éveille et redresse peu à peu ces
LE SECTION. XLIII M. Després, qui nous reprochaient la création des Ecoles d'infirmières et la laïcisation des hôpitaux, n
0.261 francs était destiné à la construction des ré- fectoires, des écoles , des bains, de deuxpavillonsàusage de dortoirs,
t visiter successivement : les ateliers, les réfectoires, la petite école comprenant la salle du traitement du gâtisme et
salle des leçons de choses, la salle de lec- ture, etc. ; la grande école , les bains, les dortoirs, les bâti- ments des g
ode avec Itard, puis avec Esquirol (1), ensuite seul. soit dans son école de la rue Pigalle, soit à l'hospice des Incurab
ur l'amélioration de cette classe de malheureux déshérités (1). Une école fut créée à Leipzig; Mrs. Plumbe, Conolly, Andr
crits, provo- quèrent, par leur propagande la création d'une petite école à Bath, puis à Highgate en 1848, ensuite à Colc
mbre d'autres, imbéciles ou arriérés, qu'on ne peut garder dans les écoles de la ville parce qu'ils sont incapablesde suivre
vos maîtres et de vos maîtresses, à l'a- telier, aussi bien qu'a l' école ; il faut vous montrer bons et secou- rables le
Ministre, En me donnant par leurs suffrages le prix d'honneur de l' école , mes camarades m'ont choisi pour venir saluer a
tion. Les parents nous racontèrent que, pendant qu'elle était à l' école , elle se dressait subitement sur ses pieds et fai
ers quatre ou cinq ans, les peurs ont t disparu ; on l'a envoyé à l' école où il apprenait passablement; la mémoire était
ssus un banc, vient se buter contre la cloison de la ga- lerie de l' école ; il se couche alors sur un banc. La physiono- m
ns la cour du gymnase auprès de l'office du réfectoire de la grande école . Ils ont enfin sauté par-dessus le mur de la se
section des enfants entre le gymnase et le réfectoire de la petite école , en s'aidant d'un instrument aratoire'. Huit
e ' ; il était propre à dix mois. Mis à l'asile à un an, puis à l' école , il apprenait bien et ob- tenait des prix. - A
droit), pas d'autres maladies, sauf des furoncles. Il a fréquenté l' école de sept à dix-sept ans; il a appris à lire et à
il apprenait, puis après les accès il oubliait. On l'a renvoyé de l' école depuis le début de ses accès. Pas de kleptoma
ques et intellectuels consécutifs. Il était intelligent, allait à l' école où il apprenait bien. A sept ans, un ivrogne l'
elligence n'avait pas diminué, il apprenait assez bien ; allait à l' école . Jamais d'aura. De douze à treize ans, situatio
point d'aggravation. - A quatorze ans, on a cessé de l'envoyer à l' école . Il tombait environ trois fois par mois. A quin
'à 36,8. - Le 17 et jours suivants, le malade a demandé à aller à l' école , ou chez ses parents, le tout en pleurant. - 6
tellec- tuelle s'est accentuée ainsi que le montrent les notes de l' école et son écriture. La parole est un peu traînante
ablement et marchait bien à dix-huit mois ; plus tard on le mit à l' école où il apprenait bien. Il n'aurait jamais eu de
24 mai. - Maisonh... sort de l'infirmerie et retourne à la petite école . On constate que ses facultés intellectuelles ont
- Amélioration très notable qui permet de le ren- voyer à la petite école . La parole est très limitée, il ne dit que DE L
maies ; pas de maladies de peau, pas de migraines. [Père, maître d' école en Hollande, pas de détails, - ni sur la mère. -
ux indications exagérées des auteurs français et en particulier à l' école de Charcot, prétendant que tout accès d'épileps
accidents convulsifs. Après avoir affirmé que la « doctrine » de l' École de la Sal- pêtrière « doit être tenue pour inex
ans l'espèce, comme toujours, leur confiance aux enseignements de l' École de la Salpêtrière. DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE D
e un enfant, si elle veut qu'elle soit propre. Elle est allée à l' école jusqu'à 15 ans. Elle lit un peu, mais non coura
pour les autres, soit pour elle-même. Bien qu'elle ait fréquenté l' école jusqu'à l'âge de 15 ans, elle impression matern
it les faire marcher, et avait parfois de fortes colères. - Mis à l' école à 7 ans, il continua à être entêté, mais apprit
toujours des prix, gagna une bourse de 100 francs et fut admis à l' école Turgot. Il avait 13 ans, mais n'entra pas à cet
t admis à l'école Turgot. Il avait 13 ans, mais n'entra pas à cette école , un parent ayant conseillé de le placer dans le
pour le plus léger motif. Il continuait cepen- dant à fréquenter l' école du soir. Vers la fin de novembre, on remarqua q
it point decau- chemars. G... devint paresseux et cessa d'aller à l' école du soir. On ne pouvait plus le faire lever bien
attention aux petites filles. A partir de l'époque où il a quitté l' école il a cessé de voir ses ca- marades ; il n'aimai
de colère. Sa tenue est assez bonne. Il tra- vaille assez bien il l' école et à l'atelier de tailleur. 16 aotU. Le dimanch
s écrit de lettres depuis le 26 juillet. Il est assez obéissant à l' école et à l'atelier. Interrogé sur ses habitudes 254
que personne ne vient le tourmenter la nuit. Il travaille bien à l' école , mais de temps en temps demande à cesser son tr
injures, pas de violences. Cependant il conti- nue à travailler à l' école et à l'atelier. Dimanche dernier 25, sa mère es
'est calmé. Depuis ce temps, il a été calme et a bien travaillé à l' école et à l'atelier. Mais il dit ne plus vouloir êtr
sme, et G... affirme ne plus voir sa mère la nuit. Les notes de l' école de cette époque constatent qu'il fait bien seul
au a l'atelier de couture où il se montre assez assidu ainsi qu'à l' école . Il parait qu'il y a trois mois il aurait fait
40 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
énote une certaine déséquilibration, Polyglotte, il se présente à l' école navale, il est reçu en 1.881, il démissionne po
navale, il est reçu en 1.881, il démissionne pour se présenter à l' école polytech- nique où il échoue, il s'engage dans
ébrale et Psychologie ; Par Jules SOURY, Directeur d'études : , l' École pi-atiquo des Hautes Études à la Sorhonnc. Voil
ue, et combien de philosophes, après eux, croyant avoir été à bonne école , perpétuent ces erreurs ! Anatomie cérébrale et
ositiviste se présente d'ailleurs sous diverses formes : il y a une école qui réduit la responsabilité aux simples nécessit
deux sexes, dont 25 épileptiques; mais cette division no possède ni école ni ateliers. Il existe là-bas encore un autre a
s- bourg un asile contenant 48 pensionnaires et 15 externes, avec école et ateliers de reliure, de menuiserie et de tapis
État, peut faire couvre d'éducation. Cependant il reconnaît utile l' école collective, à cause de la spécialisation qu'y p
rêve serait de voir la famille s'occuper de la culture morale, les écoles publiques faire l'enseignement synthétique, et de
nimité : sur le meilleur patronage des aveugles sortis ou non des écoles spéciales, sur les avantages qu'il y aurait à con
donner l'éducation physique de l'aveugle et enfin sur la création d' écoles maternelles annexées aux écoles spéciales d'ave
'aveugle et enfin sur la création d'écoles maternelles annexées aux écoles spéciales d'aveugles. Parmi les voeux émanant des
gressistes, nous en relevons un ayant trait a la création d'asiles- écoles spéciaux pourles aveugles arriérés. A notre avis,
er ou en voiture au choix des congressistes. A 9 h. 1/2, séance à l' école communale; 1 M. Dussouchet, professeur au Lycée
ARIA. ' communications; déjeuner individuel. A 2 heures, séance à l' école ; communications. Retour, à Limoges en voiture p
a troisième question ; rapport de M. Taguet. A 2 heures, séance à l' Ecole de médecine; communications avec projections. M
ébrale et Psychologie 1 ; Par Jules SOURY, Directeur d'études à l' École pratique des Hautes Études à la SorLonnc. Mais
lairement que j'incline clans ce sens contre Edinger et la nouvelle école de l'automatisme des animaux. Il est constant
plus avancée que ne semble le supposer Edinger. Des psychologues d' école , je ne parle pas. Ces psychologues vont répétan
nstructions. Pour qui possède quelque prati- que des psychologues d' école , ce sont là de vaines paroles. Les anatomistes
tard il soit nommé à l'élection examina- teur de mathématiques à l' Ecole Polytechnique, fonction pour laquelle il était
eillance des malades. A. F. Dixième Conférence SUR L'IDIOTIE ET LES Écoles POUR faibles D'ESPRIT (du 17 au 20 septembre 19
: de 9 h. 1/4 à 10 h. 1/2, « Les établissements pour idiots et les écoles d'assis- tance, projet de réglementation » ; pa
asteur Bernhard de Stettin- Grùnhof; b) pour les' représentants des écoles d'assistance (salle 19 de l'hôtel de ville), «
tel de ville), « Vanité des voeux émis en faveur de l'extension des écoles d'assistance » ; l'inspecteur des écoles De Boo
faveur de l'extension des écoles d'assistance » ; l'inspecteur des écoles De Boodstein d'Elberfeld ; - de 1 heure à 1 h.
», le directeur Schwenk d'Idstein ; « b) Pour les représentants des écoles d'assistance : « Comment .sont préparés aux tra
x à 1'lcole des 1 la,tLes-Ettides. Interne des Asiles de la Seine. ( Ecole de VillejUif). I Lorsque les sciences s'adres
e ministre de l'Intérieur, et de M. le D'' Chénieux, directeur de l' École de Médecine de Limoges, a présidé la séance d'o
à profiter. (Applaudissements.) M. le D'' Ciiénieux, directeur de l' Ecole de Médecine, pro- nonce le discours suivant :
corps médical de notre pays limousin, et en particulier celui de l' Ecole de médecine, qui vous compta parmi ses élèves;
orteurs de noms qu'il faudrait tous citer. C'est encore au nom de l' Ecole de médecine et du corps médical de cette région
hommes. Monsieur le Directeur de l'Ecole de médecine, Au nom de l' Ecole de Limoges vous nous avez, vous aussi, 238 SOCI
de l'Intérieur; M. le De Raymondaud, père, directeur honoraire de l' Ecole de médecine; M. le 1)" Chénieux, directeur de l
onoraire de l'Ecole de médecine; M. le 1)" Chénieux, directeur de l' Ecole de médecine; M. le professeur Bouchard ; M. le
es confrères. Au champagne, M. le docteur DELOTTE, pro- fesseur à l' Ecole de Médecine, a pris la parole en ces termes : M
Ce matin, M. le maire de la ville de Limoges, M. le directeur de l' école de médecine, vous ont ouvert solennellement les
emercie donc ses gentils con- frères du Limousin et souhaite à leur école les succès dont elle a déjà donné de si nombreu
s qu'agréables. La séance a été ouverte à 10 heures dans la salle d' école mise à la disposition des congressistes. Le Mai
orsque je le vis pour la première fois. Comme il se préparait à une école du gouvernement, j'utilisai le désir qu'il avait
ué- rison qui était complète au moment où il se présentait à- son école . Bientôt le torticolis était remplacé par un tic
itement du torticolis qui, disparaissant encore à la ren- trée de l' école , lut de nouveau remplacé par le tic de l'épaule.
réchal ferrant, il suivit jusqu'à l'âge de douze ans les cours de l' école communale. Plus tard, il entra à l'Ecole vétéri
e douze ans les cours de l'école communale. Plus tard, il entra à l' Ecole vétérinaire d'Alfort et reçut son diplôme. Il é
s hématogènes sont naturellement indiqués. Si l'enfant est dans une école , on a coutume de lui faire abandonner tout trav
SAVANTES. 337 sière, maire de Limoges, M. Chénieux, directeur de l' école de médecine, la plupart des médecins de la vill
erre), seize ans, est entré en mai 189. - Sml1'd-muetren- voyé de l' école d'Asnières comme arriéré et incapable d'apprendre
court aperçu historique sont exposées et discutées les opinions des Ecoles de Nancy et de Paris sur la pratique de l'hyp-
re de psychothérapie où sont exposées et discutées les opinions des Ecoles de Nancy et de Paris, avec quelques observation
nose qui semble avoir des résultats. Contrairement à l'opinion de l' école de Nancy, la suggestion à l'état de veille est
nt que possible continuer la vie sociale normale. Enfant il ira à l' école avec les écoliers sains (le mal comitial n'est
début de cette période de soixante années, il existait à Paris deux écoles pour les idiots, celle de Ferrus à Bicêtre, et
cause déter- minante de l'ouverture, en 1846, à Bath, d'une petite école pour les imbéciles, sous la direction des demoi
idiots et les imbéciles des Comtés du Nord, et en 1875 la première école d'enfants pauvres pour les imbéciles. Ce dernie
chussetts : elle fonctionne encore. Deux mois après une nouvelle école était ouverte par le Dr Wilbur, dans le même état
le Dr Backus avait fait une tentative pour obtenir la création d' écoles analogues dans l'Etat de Piew-Yôrlc ; cette tenta
t renouvelée en 1847 et n'aboutit qu'en 1851, époque à laquelle une école fut ouverte à Albany. L'exemple, dès lors, devint
pzig et Brunswick : et en 1898, Wintermann pouvait annoncer que des écoles auxiliaires de ce genre existaient dans 52 vill
es. C'est seulement en 1892 que l'Angleterre a créé ses premières écoles pour cette catégorie d'enfants : il y en a aujour
d'enfants : il y en a aujourd'hui, sans compter, d'assez nombreuses écoles de province, 53 qui fonctionnent et instruisent
le continent, la Belgique et la Suisse ont spécialement affecté des écoles à l'éducation des enfants faibles d'esprit , l'Au
. Bourneville réclame la création de classes spéciales annexées aux écoles primaires de ' La section d'idiotes de Villejui
a présidence du professeur Baccelli. A Mel- bourne, à Victoria, des écoles viennent de s'ouvrir, et enfin une petite insti
er leur situation intellectuelle et morale. Pour cela la création d' écoles s'impose. Ces écoles existent à l'étranger ; el
ellectuelle et morale. Pour cela la création d'écoles s'impose. Ces écoles existent à l'étranger ; elles devraient exister
e qui se fait dans cet ordre d'idées en Angleterre, où existent des écoles d'infirmiers dans tous les asiles, organisées s
ns une voie régulière. Il insiste sur la nécessité de la création d' écoles d'infirmières dans toutes les villes où existen
'infirmières dans toutes les villes où existent des Facultés ou des Ecoles prépara- 420 SOCIÉTÉS SAVANTES. toires de méd
édecine ; sur l'utilité qu'il y aurait à ce que le programme de ces écoles fût le même partout, ainsi que le mode d'examen
si que le mode d'examen pour l'obtention du diplôme. C'est dans ces écoles , dont le pro- gramme doit comprendre la connais
és, que devrait être recruté le personnel des asiles. Supposons une Ecole d'infirmières à Limoges, un cours spécial devrait
t, et ainsi partout où, à côté de la ville qui a une Faculté ou une Ecole de médecine, il y a un asile. SI. BRIAND met en
AuD demande qu'on se préoccupe de solutions pra- tiques. Il y a des écoles d'infirmiers et d'infirmières à Paris, mais pou
ur les établissements de Paris seuls. Il faudrait d'abord créer des écoles dans les départements et dans des conditions où c
les départements et dans des conditions où ceux qui sortent de ces écoles ne soient pas forcés de rester fixés à un seul
fixés à un seul asile. En d'autres termes, on ne peut pas créer ces écoles dans tous les asiles, et on n'en voit pas bien
tre séparées. Il ajoute que à son avis, il faudrait pour toutes ces écoles un règle- ment unique dont tous les points devr
. Drouineau, en ce qui concerne le règlement unique pour toutes les Ecoles d'infir- miers et d'infirmières. Quant à la cré
Ecoles d'infir- miers et d'infirmières. Quant à la création de ces Ecoles elle est facilement réalisable dans toutes les
ont donné l'exemple. Demain, nous l'espérons, Mar- seille aura une Ecole d'infirmières. Les asiles d'aliénés pourront re
non seulement à Paris, mais dans toutes les villes où il y aura des Ecoles d'infirmières. Il est question d'en créer une à
s soient organisées dans les asiles. M. DOURSOUT est d'avis que des écoles d'infirmiers et d'infirmières soient organisées
organisées dans les Asiles situés au voisinage des Facultés ou des écoles de Médecine. M. BouRNEVILLE répète que c'est da
met aux voix le voeu de M. Bourneville tendant à la création de ces écoles . Le voeu est admis à l'unanimité. Comme complém
érieur de l'assistance publique ebt tout indiqué) soit imposé à ces écoles . (Adopté). Sont également adoptés le voeu tenda
s de la discussion : 1° Le Congrès émet le voeu qu'il soit créé des écoles pour les infirmiers et infirmières dans les vil
miers et infirmières dans les villes où siègent les Facultés ou les Écoles préparatoires de médecine ; Que ces écoles aient
gent les Facultés ou les Écoles préparatoires de médecine ; Que ces écoles aient un programme minimum uniforme; Que la dél
s qui se présentent comme infirmiers ou infirmières que lorsque des Écoles professionnelles auront été créées en nombre su
un maître brossier et un maître jardinier sui- vent les cours de l' école de Bicêtre. BOURNEV1LLE. ASILES D'ALIÉNÉS.
e extré- mité et doit cesser le plus vite possible. J. Séglas. V. Ecoles pour enfants anormaux en Suède; par DINIEL. (Po
n Suède; par DINIEL. (Policlin., octobre'1901.) . Aperçu général. Ecoles pour sourds, aveugles, idiots. Pour les idiots,
sourds, aveugles, idiots. Pour les idiots, 34 internats divisés en écoles pour enfants édu- cables, ouvroirs pour ceux so
s en écoles pour enfants édu- cables, ouvroirs pour ceux sortis des écoles ; asiles pour idiots non éducables. Il y avait e
nce par des affiches apposées dans Paris, notamment aux abords de l' École de médecine et dans les hôpitaux et hospices.
: ' Lettre, Papiers d'Affaires. A Messieurs les Professeurs de l' Ecole de Droit de Paris, Monsieur Alglave et à Mess
oque il travaillait bien, avait eu un prix de la Ville de Paris à l' école , et avait appris rapi- dement le métier de pein
Angoisse, La névrose d ? par Har- tenter ? 311. 341. / Anormaux. Ecoles pour enfants - en Suède, par Daniel, 435. Aph
41 (1881) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1880
NE DE SERVICE PARIS AUX BUREAUX DU PROGRÈS MÉDICAL 6, rue des Écoles , G. A. DELAHAYE & E. LECROSNIER ÉDITEURS
Écoles, G. A. DELAHAYE & E. LECROSNIER ÉDITEURS Place de l' École de Médecine 1881 PREMIÈRE PARTIE Historique
et croit avoir amplement satisfait à ses obligations en créant une école et en abandonnant à l'instituteur, avec une cla
apports au Conseil géné- ral de la Seine en 1878, 1879, 1880. « L' école et le réfectoire des enfants (3e section de la
lativement conve- nables (1). Les dortoirs des enfants qui vont à l' école sont propres, mais insuffisants, et, lors de la
mettre des dortoirs, des réfectoires, des salles de réunion et une école pour 200 enfants. La nouvelle construction donn
e à la Salpêtrière. « 60 enfants seulement- sur 130 - fréquentent l' école . La proportion devrait être beaucoup plus consi
tc. (1). Notre colonie est très favorisée, par comparaison avec les écoles de Bicêtre et de la Salpê- trière ; son personn
sultats. « Il est à regretter que le personnel de nos deux autres écoles soit aussi insuffisant, A l'étranger, on n'hésite
00 fr. ; il est logé. L'institutrice ou mieux la surintendante de l' école a 2,000 fr. (logée, chauffée, nourrie, etc.) ;
ève progressivement de 625 à 875 fr. Les infirmières qui aident à l' école ont 50 francs de plus que les autres; au bout d
an. « Ce rapide aperçu montre la différence qui existe entre nos écoles d'idiots de Bicêtre et de la Salpêtrière et celle
boureur; - 6 infir- miers ; - 4 serviteurs dont 2 sont attachés à l' école comme garçons de classe. XII HISTORIQUE' Au
ermes suivants : « La classe et le dortoir des enfants qui vont à l' école sont en assez bon état. quoique beaucoup trop p
are. « Voilà pour les enfants. Ce n'est pas tout. Leurs salles, l' école , sont comprises, ce qui est mauvais, dans le même
ettre des dortoirs, des réfec- toires, des salles de réunion et une école pour 200 enfants. La nouvelle construction donn
e 1879, les 125 enfants étaient ainsi répartis : 50 fréquentaient l' Ecole ; - 47 allaient plus ou moins au petit parloir
onditions climatéri- ques ; 28 restaient toujours à l'infirmerie. Ecole . Nous avons déjà donné des indications sur sa m
aliénés de la 1" et de la 21 section : ce parloir n'est autre que l' Ecole des enfants. Il s'ensuit que le jeudi et le dim
'ensuit que le jeudi et le dimanche, les enfants sont éloignés de l' école toute la journée et qu'on est obligé de les par
que les infirmiers changent encore plus fréquemment que ceux de l' Ecole . Et l'Administration, pour les 15 francs qu'elle
qui exigent un peu trop de patience sont relégués dans un coin de l' école et on les déclare inéducables. Les tables de l'
s un coin de l'école et on les déclare inéducables. Les tables de l' école sont des tables de réfec- toire, avec des bancs
t plusieurs fois par année. Le jeudi et le dimanche, il n'y a pas d' école ; les enfants restent la jour- née au gymnase, d
x infirmières, choisies par- mi les élèves les plus instruites de l' Ecole des infir- mières de Bicêtre. Nous éprouvâmes u
mnastique de l'oppo- sant et qui désirait son introduction dans les écoles mu- nicipales. XX HISTORIQUE. Ce système, q
service, tantôt avec celui des en- fants les plus raisonnables de l' école ; pour d'autres, capables de se tenir sur leurs
arité;ont produit les meilleurs effets. Personnel servant; petite école . -- Nous avons vu (1) C'est tout à fait excepti
ercer. En ce qui concerne le petit parloir - ou mieux la pe- tite école , - nous avons dit qu'elle avait été confiée à M
ngle formé par le bâtiment principal du service et le bâtiment de l' Ecole . C'est une construction très simple, à rez-de-c
igente ; il faut la guider comme un enfant; n'a pu rien apprendre l' école . C'est son mari qui lui a appris à lire à peu p
ge complet.. 2 fr. PUBLICATIONS DU PROGRÈS MÉDICAL 6, rue des Écoles , 6 LE PROGRÈS MÉDICAL JOURNAL DE MÉDECINE, DE
abonnements sont reçus aux Bu- reaux du Progrès Médical, 6, rue des Ecoles , à Paris, et dans tous les Bu- reaux de poste d
nt, - Peur nos abonnés.. 35 cent. .j le progrès médical, 6, RUE des écoles . CHARCOT (J.-M.). Leçons sur les maladies du sy
(F,.). Leçons sur le diagnostic des maladies des yeux, fai- tes à l' École pratique de la Faculté de médecine de Paris penda
42 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
Carmes, 14 A. DELAHAYE & E. LECROSNIER ÉDITEURS Place de l' Ecole de Médecine. 1887 PREMIERE PARTIE Historiqu
sitôt que ces enfants marchent seuls ils sont envoyés à la petite école . Les enfants idiots, gâteux invalides, en dehor
ns fauteuils par 14 fauteuils en fer, IDIOTS GATEUX VALIDES. PETITE ÉCOLE . V fermés sur les côtés et agencés, pour le res
on, épileptiques ou non, valides.-Ces enfants fréquentent la petite école , confiée exclusivement à des femmes. 164 y ont
écédés, 4 sont sortis définitivement. Aucun n'est passé à la grande école ; 6 ont été transfé- rés. Sur les 150 restant à
ande école; 6 ont été transfé- rés. Sur les 150 restant à la petite école le 31 décem- bre : 48 mangent avec la cuillère;
à monter les escaliers et à sauter, etc. Sept enfants de la petite école sont ap- prentis tailleurs et un est apprenti c
t apprenti cordonnier. VI IMBÉCILES; ARRIÉRÉS; ÉPILEPTIQUES. GRANDE ÉCOLE . Pour développer le sens de l'ouïe nous nous se
arriérés, instables, épileptiques et hystériques ou non. - Grande école . La population de cette école était de 140 le 1
iques et hystériques ou non. - Grande école. La population de cette école était de 140 le 1er janvier 1886 et de 150 le 3
aisné a été, sur notre demande, nommé professeur de gymnastique à l' Ecole des enfants de Bicêtre et les leçons, qui n'ava
deux jours, se font maintenant quotidiennement. Le personnel de l' école est donc devenu moins in- suffisant et, à la ri
choses, sui- vant nos indications sans cesse renouvelées, soit à l' école même, soit dans les jardins de la section organ
de tous les objets que nous avons énumérés en parlant de la petite école . De plus, l'enseignement de la géographie qui,
et l'arron- dissement de Sceaux, a été complété par le plan de l' Ecole et le plan de la Section, éléments du plan de B
les leçons de l'un des instituteurs des enfants, qui vient faire l' école pendant une heure, cinq fois par semaine. Ces c
précé- dents comptes rendus. b) Enfants. Les enfants de la grande école et ceux de la petite école, qui sont propres, o
. b) Enfants. Les enfants de la grande école et ceux de la petite école , qui sont propres, ont fait, sous la conduite d
que également aux promenades des adultes. c) Enfants de la petite école . Tous les idiots va- lides et propres, c'est-à-
dire, à la plupart (les promenades de leurs camarades de la grande école ; mais tous ceux qui marchent ont fait de fréqu
rs élèves. Les enfants alternent les travaux manuels avec ceux de l' école . Pour eux, la journée est ainsi coupée en deux.
t machinalement; s'ils profitent peu de l'enseignement, pour eux, l' école possède au moins l'im- mense avantage de les oc
ent et laissez-lui la plus grande latitude d'action ; organisez les écoles , les ateliers de ces établissements comme ceux
le concours le plus dévoué; 2° pour le service scolaire : a) grande école : d'un instituteur, M. Boutillier, et d'un inst
faisant fonction de moniteurs et de 4 garçons de classe. b) petite école : Mlle Blanche Agnus, surveil- lante (1) ; Mlle
nt occupé par les services de jour (ateliers, gymnase, réfectoires, écoles , bains, etc.) et par les quatre premiers bâtime
oubassement est utilisé mi-partie comme réfectoire, mi-partie comme école et comme préau couvert pour les enfants teigneu
deux portes correspondant chacune à un esca- lier (2). L'ancienne école des enfants a été nettoyée, repeinte (t) Compte
, qui est inutilisé. TRAVAIL DES MALADES. XLIII et transformée on école primaire pour les infirmiers et les infirmières
ours, à partir du 16 mars, l'instituteur adjoint a fait une heure d' école dans la petite salle de la bibliothèque (1). Le
la bibliothèque (1). Le nombre des malades qui ont fré- quenté l' école a varié de 19 à 28 (2). La vigilance, l'activit
on d'un asile pour les idiots adultes des deux sexes, pourvu 'd'une école et d'ateliers. SÉPARATION DES ADULTES ET DES EN
et se livrait avec plaisir à différents amusements. E.ivoyée à l' école de l'asile, elle apprit l'alphabet, put épeler
if à parler. Il a pissé assez tard au lit. Il n'est jamais allé à l' école , les autres en- fants se moquaient de lui. Il r
46 septembre. - Poids : 30kilog. Taille : lu,20. Octobre. Vient à l' école depuis quatre ans; sous tous les rap- ports ses
ut faire ni gymnastique, ni escrime. 21 septembre. - Ne vient à l' école que par contrainte et ne fait aucun progrès; il
rapports ; il est très frileux. 4881. 4 juillet.- Gr... ne fait à l' école que des apparitions dont le résultat est nul au
plaisir à l'escrime, mais ne peut pas apprendre à danser. Il va à l' école une heure, matin et soir; le reste du temps, il e
pation est de passer aux hommes. CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 19 A l' école , Gr... a fait quelques progrès ; il écrit mieux ;
un peu plus vif, surtout en été, et il a fait des progrès tant à l' école qu'à l'atelier. L'observation suivante a déjà
après, le père écrit « qu'on renvoie tous les jours l'enfant de l' école , car il devient toujours plus stupide ». 31° Br
ar des moments d'agitation. Huit mois après la peur, on le mena à l' école et le premier jour il revint lou- chant de l'oe
t toujours de bêtes et de serpents, dont on l'avait entretenu à l' école . Pendant six semaines, il eut une légère rémissio
Huile de foie de morue, sirop d'iodure de fer, bains salés, petite école ; gymnastique. . Un mois après son entrée, on no
nts du tronc comme s'il voulait sauter. On le renvoie à la petite école où il avait été envoyé dans le courant du mois de
fant quitte l'infirmerie le 15 décembre et retourne à la pe- tite école . 1884. Janvier. Poids : 10kil.60; taille 0,82 c
ité de la disparition du gâtisme. Il reconnaissait ses maîtresses d' école ; il prenait goût à la musique et retenait les
elligence, qui était même assez vive; il a suivi les exercices de l' école et fait son apprentissage. A 14 ans,est survenu
es grands animaux. Gurtl (loc. cit.) dit qu'il existe au musée de l' école vétérinaire do Berlin, sous le n° 805, 7 cas di
ndi- cations exagérées des auteurs français et en particulier à l' Ecole de Charcot... » En d'autres termes les médecins
s termes les médecins, confiants dans les indications données par l' Ecole de laSalpêtrière, ont eu le tort de ne pas proc
en acceptant comme l'expression de la réalité, l'enseignement de l' Ecole de la Salpêtrière. Voici en quels termes s'expr
omure de potassium. Lel... a été envoyé à l'asile à 3 ans, puis à l' école ; on l'a gardé jusqu'à t3 ans et demi parce qu'i
e. 242 OBSERVATION. ' ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE. 243 Traitement : Ecole , gymnastique, bains ; atelier do me- nuiserie.
43 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
11, rue des Carmes, 14. Vve BABÉ et C'P. ÉDITEURS Place de l' École de Médecine. - 1891 PREMIÈRE PARTIE Histoir
. Dès qu'ils sont capables de marcher, ils sont envoyés à la petite école , d'abord le matin pendant quelque temps, puis t
gâteux ou non gâteux, épilepti- ques ou non, mais valides. (Petite école ). Ces enfants fréquentent la petite école confi
on, mais valides. (Petite école). Ces enfants fréquentent la petite école confiée exclusive- ment à des femmes. 213 enfan
décèdes, 6 sont sortis définitivement, 12 sont passés à la grande école , 5 sont passés aux adultes, 2 ont été transférés.
nt les enfants Boy ? Kasn ? Main ? Mazi ? Reness.. et Vivi.. petite école . y Un seul a pu suivre les exercices de la gran
ge et être plus utiles aux idiots aveugles du service. VI l'mANDE ÉCOLE . . III. Enfants propres et valides, imbéciles,
s instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non ? Grande école . La population de cette école était de 164 enfa
tiques et hystériques ou non ? Grande école. La population de cette école était de 164 enfants au 1° janvier 1890 et de 1
De nouvelles instructions ont été données au per- sonnel des deux écoles pour noter avec plus de détails encore tout ce
d'imprimerie deux volumes de Recueils de chants l'un pour la grande école , l'autre pour la petite. La préface, dédiée aux
othèpue de l'hospice pour les infirmiers et les infirmières. GRANDE ÉCOLE . VII savoir par coeur; le second groupe compren
de bons sen- timents.» Avec nous, vous remercierez vos maîtres de l' école primaire d'avoir collaboré à ce petit volume en
é porté de 1800 fr. à 2100. PROMENADES ET DISTRACTIONS. IX Grande école et ceux de la petite école qui sont pro- pres (
PROMENADES ET DISTRACTIONS. IX Grande école et ceux de la petite école qui sont pro- pres (1) ont continué à faire de
sous notre direction et celles de nos internes par les élèves de l' Ecole municipale d'infirmiers et d'in- firmières de B
ur du musée pathologique; 2° pour le service scolaire : a) grande Ecole : d'un instituteur, M. Boutillier et de deux inst
de classe, dont un ayant le grade de premier infirmier ; b) petite école : de M'I° Bl. Agnus, surveillante, de Mlle A. B
roisième bâtiment a été élevé sur le prolonge- ment du bâtiment des Écoles , sans solution de conti- I Fig. 1. - Bâtiment
le servant de musée scolaire faisant suite aux classes de la grande école ; puis, dans la partie centrale, le cabinet du
mars 1816 à Cherbourg où son père était gendarme. Il fréquenta l' école primaire jusqu'à l'âge de treize ans. Il complé
s de sa longue expérience pédagogique. Se souvenant que c'était à l' École des enfants de Bicêtre qu'il devait les fondeme
qui m'ont le plus aidé aux heures ditncilesde ma vie militante. L' Ecole de Bicêtre surtout lui a beaucoup dû ; qu'elle re
les livres, tableaux, etc., soient en majeure partie attribués aux écoles de l'établissement spécial à organiser, « Des
la ville de Cherbourg, au bureau de bienfaisance et à la caisse des écoles de Gentilly, et à la Société de patronage des a
ssible. La fondation Vallée doit être à la fois un hospice et une école . L'école doit comprendre et l'instruction prima
La fondation Vallée doit être à la fois un hospice et une école. L' école doit comprendre et l'instruction primaire spéci
n pédagogique spéciale, et partie parmi les élè- ves diplômées de l' Ecole départementale d'infirmiers et d'infirmières de
fié. M. 13AILLY. Ce n'est pas au point de vue de l'inspection des écoles que je crains l'ingérence du Ministère de l'Ins-
n conséquence, nous proposons l'organisation suivante : 1° Pour l' école : 1 surveillante de 2" classe chargée de la sou
s diplômées des hôpitaux, en partie parmi les élèves diplômées de l' École départemen- tale de l'Asile clinique. Il doit ê
si que le personnel secondaire. Ce personnel comprendra : 1° pour l' école , une slirveil- lante et deux suppléantes; - 2°
s appareils de gymnastique ordinaires. 65 enfants ont fréquenté l' école clans le courant de l'année. Nos efforts tenden
en vain de lui apprendre ses lettres. A sept ans, il fut mis à l' école , où il resta jusqu'à neuf ans et demi. Il n'y app
léreux, violent, ainsi qu'en témoigne un certificat du médecin de l' école . Cette irascibilité était due en grande partie
nfirmerie parce qu'il a très froid. L'enfantesttou- jours resté à l' école dans la quatrième division. A son arri- vée en
phalique survenu à 3 ans et demi. T... a été envoyé sans succès à l' école et loin de s'améliorer, sa situation paraît s'ê
spéciaux quand leur intelligence est très affaiblie, soit dans des écoles ou des classes spé- ciales s'il ne s'agit que d
t dyspnée sans tirage (broncho-pneumonie). Les notes de la petite École , montrent que le malade était en voie de progrè
elles il jetait par terre tout ce qui lui tombait sous la main. A l' école où il était retourné il s'isolait de ses camara-
t eu, étant enfant, la varioloïde et la scarlaLitie.11 est allé à l' école , ensuite collège Chaptal, où il. travaillait be
urait eu beaucoup de petits vers. Cet enfant n'a jamais été mis à l' école , parce qu'il gâtait, mais sa mère lui apprenait
a été envoyé coma me punition à l'infirmerie et renvoyé à la petite école lorsqu'il a promis de ne plus recommencer. Ju
mémoire est bonne ; mais le travail se ralentit par moment tant à l' école qu'à l'atelier. Il se plaint de son patron qui
. C'est là surtout cequi l'irrite. Dorénavant Jan. ira à la grande école . Février. Jan. copie d'après les caractères man
remonter. Comme il est devenu tout à fait calme, on l'a renvoyé à l' école le lendemain. 5 octobre. Nouvelle période d'exc
e, grippe légère. 1890. Janvier-Mars. Jan. travaille assez bien à l' école et à l'atelier; il fait des piqûres et démonte
La verge à 13 cent. de longueur et 10 cent. de circonférence. A l' école , il lit bien les mots faciles, copie assez lisibl
nant que pressé par la faim et parce qu'on ne pouvait l'envoyer à l' école . Sa mère a été très surprise de le voir dans l'
d'iodure de fer, un bain salé par semaine ; gymnastique ; i petite école . 156 Microcéphalie. 30 mai. - Eczéma de la ra
l'habiller, toutefois, il sait manger pro- prement. On l'envoya à l' école où il n'apprit presque rien. Chez lui, il jouai
44 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tes pensionnaires s'accroît à la colonie, instituer ici une sorte d' école médico -pédagogique, aussi simple que l'on voud
l'évolution. A la base de leur synthèse har- die, Kraepelin et son école ont placé une profonde étude psy- chologique qu
et mise au point par deux spécialistes également autorisés mais d' école différente. La lecture de ces deux rapports nous
emple significatif ce fait, que les méde- cins placés auprès de nos écoles publiques de discipline sont tous des psychiatr
roupes. Le principal comprend les asiles-écoles, les classes ou les écoles spé- ciales (classes de perfectionnement) ; le
du préfet, sur le rapport de l'inspecteur départemental, dans une école professionnelle. H Les écoles professionnelles
l'inspecteur départemental, dans une école professionnelle. H Les écoles professionnelles peuvent être des établissements
rence dé la moitié des frais occasionnés par la construction des écoles professionnelles. (art. 4). C'est pour satisfai
pour objet la création de classes de perfectionnement annexées aux écoles élémentaires publiques et d'écoles auto- nomes
de perfectionnement annexées aux écoles élémentaires publiques et d' écoles auto- nomes de perfectionnement pour les enfant
re des enfants aveugles et sourds-muets qui ne fréquentaient ni les écoles publiques, ni les écoles pri- vées et qui n'ont
t sourds-muets qui ne fréquentaient ni les écoles publiques, ni les écoles pri- vées et qui n'ont pas été recueillis dans
97 du budget du Minis- tère de l'Instruction publique. Créations d' écoles et d'emplois dans les écoles élémentaires publi
de l'Instruction publique. Créations d'écoles et d'emplois dans les écoles élémentaires publiques, 1.125.000 fr.) les créati
s les écoles élémentaires publiques, 1.125.000 fr.) les créations d' écoles et de classes publiques destinées à donner aux
1882 ne leur sont pas appliquées, ils ne suivent les classes ni des écoles publiques, ni des écoles privées ou, s'ils sont
liquées, ils ne suivent les classes ni des écoles publiques, ni des écoles privées ou, s'ils sont inscrits et parfois prés
écoles privées ou, s'ils sont inscrits et parfois présents dans les écoles primaires publiques, ils ne tirent pour ainsi d
responsabilité atténuée qui ne leur per- mettent pas d'acquérir à l' école commune et par les métho- des ordinaires de l'e
ble la discipline générale et qui nécessitent leur éloignement de l' école publi- que. C'est pour cette population de 20
t seul, soit avec le concours des communes et des départements, des écoles spéciales aux enfants arriérés et instables. Ce
ements, des écoles spéciales aux enfants arriérés et instables. Ces écoles , en effet, devront avoir un internat avec des b
lissements fondés par les départements, la loi n'ayant visé que les écoles primaires élémentaires et les écoles primaires
la loi n'ayant visé que les écoles primaires élémentaires et les écoles primaires supérieures, c'est-à-dire des établisse
et des tableaux annexes. Cette loi, en effet, n'a eu en vue que des écoles dans les- quelles le service du pensionnat n'ex
rsonnel de la direction de l'enseignement et de la surveillance des écoles destinées aux arriérés devra être choisi avec u
s maî- tres et maîtresses ne feront pas défaut pour les nouvelles écoles , encore faut-il, sinon les encourager à se consac
nant la sco- larité des arriérés ; si, comme pour les élèves de nos écoles pu- bliques, la scolarité des arriérés devait p
elles garanties, les arriérés qui ne peuvent suivre les classes des écoles ordinaires seront en- voyés, admis aux classes
s ou appropriées, le mode de recrute- ment et de fonctionnement des écoles nouvelles. Conformément à l'avis exprimé par la
19 290 LÉGISLATION. qu'il y aurait lieu d'organiser sous le nom d' écoles de perfec- tionnement, deux types d'établisseme
ements, savoir : 1° Des classes spéciales qui seraient annexées aux écoles ordinaires publiques ; 2° des écoles spéciales
ales qui seraient annexées aux écoles ordinaires publiques ; 2° des écoles spéciales avec plu- sieurs classes, un internat
sionnat. Le principal avantage des classes spéciales annexées aux écoles ordinaires est de n'exiger qu'un minimum de frais
ur les crédits votés annuellement par le Parlement pour créations d' écoles et d'emplois. Quant aux indemnités de résidence
sous la direction d'un seul maître, tous les enfants anormaux de l' école et même de la ville, c'est-à-dire des enfants q
e aux moqueries, à l'hostilité, même des enfants normaux de la même école ; on augmente les souffrances des arriérés et d
sse le jeudi et ne passe- raient que trente lieures par semaine à l' école , or, une aussi large liberté est dangereuse pou
ts : on exigera si cela paraît nécessaire que la classe annexée à l' école communale ait une entrée particulière, une cour
trée et de sortie soient différentes des heures réglementaires de l' école , que la durée de la scolarité ' hebdomadaire so
enfin les maîtres pourront être de temps en temps réunis dans une école de perfectionnement de la région pour y rece- v
aux, d'un organisme aussi simple que la classe spéciale annexée à l' école primaire communale. L'Ecole spéciale de perfe
le que la classe spéciale annexée à l'école primaire communale. L' Ecole spéciale de perfectionnement avec internat et dem
ser et celui dont l'adoption paraît indis- pensable. En fondant ces écoles de perfectionnement, les communes, les départem
serait autorisée par le législateur, ainsi qu'il l'a fait pour les écoles primaires supérieures et les collèges communaux
upérieures et les collèges communaux de garçons et de filles. Les écoles spéciales recevraient, outre les externes et les
ples,indignité des parents, familles névropathiques, etc.) Dans les écoles spéciales de perfectionnement, on pourrait cons
s et des criminels. Il est désirable que le plus grand nombre des écoles de per- 292 LÉGISLATION. fectionnement soit é
rne les dépenses de l'Etat, elles seraient limitées, comme pour les écoles primaires supérieures et les collèges, par les
que, aux chapitres des constructions scolaires et des créations d' écoles et d'emplois. En résumé, l'adoption des proposi
omplète ne peut s'accommoder de la discipline et des programmes des écoles primaires publiques, c'est-à-dire pour ceux-là
des deux sexes : 1° Des classes de per- fectionnement annexées aux écoles élémentaires publiques ; 2° Des écoles autonome
fectionnement annexées aux écoles élémentaires publiques ; 2° Des écoles autonomes de perfectionnement qui pourront comp
ment qui pourront comprendre un demi-pensionnat et un internat. Les écoles autonomes et les classes annexées sont mises au
t. 2. Les classes annexées recevront les enfants de 6 à 13 ans. Les écoles autonomes pourront en outre continuer la scolar
293 prendre une profession au dehors pourront être reçus dans les écoles autonomes. Les enfants trop gravement atteints
ctionnement, ne seront admis des enfants de sexes différents. Les écoles autonomes pourront grouper sous une même direct
ublique et régulièrement reçus. Art. 5. Les dépenses ordinaires des écoles de perfection- nement et des classes annexées s
ent sont à la charge de l'Etat dans les conditions prévues pour les écoles primaires élémen- taires et supérieures. - Ar
les écoles primaires élémen- taires et supérieures. - Art. 6. Une école de perfectionnement peut être fondée par une co
e commune après accord des communes intéressées. Dans le cas où l' école autonome de perfectionnement n'est pas située d
et directrices, maîtres et maîtres- ses, appelés à exercer dans les écoles de perfectionnement et dans les classes annexée
ouissent des mêmes droits et avan- tages que les fonctionnaires des écoles élémentaires publiques. Les fonctions de survei
- En sus des émoluments légaux, le personnel des 294 LÉGISLATION. écoles de perfectionnement et des classes annexées recev
mis à retenues pour la retraite pendant qu'ils exerceront dans les écoles de perfectionnement ou les classes annexées. Ar
écision ministérielle portant création de la classe annexée ou de l' école autonome déterminera pour chacune d'elles les c
de l'établissement. Art. 10. Les internats et demi-pensionnats des écoles de perfectionnement peuvent être administrés en
Conseil mu nicipal, après avis du Préfet. Art. 11. Les classes et écoles de perfectionnement se- ront soumises : 1° A l'
composée de l'inspecteur pri- maire, d'un directeur ou maître d'une école de perfectionne- ment et d'un médecin, détermin
ls sont les enfants qui ne peuvent être admis ou maintenus dans les écoles pri- maires publiques et pourra autoriser leur
pourra autoriser leur admission dans une classe annexée ou dans une école de perfectionnement si l'enseignement ne doit p
5 Art. 13. Un comité de patronage sera constitué auprès de chaque école de perfectionnement. Les membres seront nommés
l'établissement est départemental, sera institué auprès de chaque école de perfectionnement, il comprendra toujours un
uxiliaires, chefs de travaux et maîtres ouvriers, employés dans les écoles de perfectionnement et classes annexées ; 2° Le
nt et classes annexées ; 2° Les employés et agents inférieurs des écoles de perfectionnement et des internats seront astre
récitées, concernant la sub- vention de l'Etat pour constructions d' écoles à l'usage des enfants anormaux et le recrutemen
t : De- mi-fous et demi-responsables; un an après sa publication, l' école de Montpellier, qui semble devoir faire autorit
irecteur adjoint du laboratoire de psycho- logie expérimentale de l' Ecole des Hautes Etudes à l'asile de Villejuif, décéd
ndifférence professionnelle à leur égard, eux disparus. En termes d' école , elle les pense sans un rap- port exclusivement
elle en aurait res- senti les effets durant près d'une année. A l' école , elle apprend avec une grande facilité. De bonne
parle de Jeanne D'Arc, qui n'est pas une vésanique, comme le veut l' école deCharenton (Calmeil), mais dont les hallucinatio
exercice pour réussir. ' Enfants anormaux : INSPECTION médicale DES Ecoles DE Bordeaux Par arrêté de M. le Préfet de la
à la Faculté de médecine, est nommé médecin-inspecteur spécial des écoles primaires de la ville de Cordeaux. A ce titre,
fesseur Régis est chargé de l'ins- pection médicale des enfants des écoles pour tout ce qui concerne les affections du sys
nerveux et en particulier, de l'inspection médicale des classes et écoles d'enfants anormaux. Le Dl Régis a demandé à l'a
ne et delà chirurgie infantile, un médecin-inspecteur spé- cial des Ecoles : Oto-Rlzino-Laryngologie : Prof. MounE ; Derma-
idère comme essentiels ? Est-il bien primitif ? La dispute des deux écoles ne serait pas justifiée si elle n'avait pour pi
ée contiguë au comparti- ment féminin, a été érigée en 1882, pour l' école et la mise à part des enfants arriérés. D'aut
n'ont pas attaché assez d'impor- portance au titre du chapitre. A l' Ecole de droit, dans les exa- mens, cela vaut une bou
al, par M. Royer, p. 238. - anor- maux. Inspection médicale des Ecoles de Bordeaua, p. 398. Ewucntsnrc et érotisme, pa
45 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
'ils ne sauraient en général être des ouvriers très habiles. Dans les écoles profes- sionnelles. quelques professeurs onl
s n'aient pas été frappés tle la fréquence de l'onychophagie dans les écoles . Il n'eu est question dans aucun Imité tle pédago
très dilféreutcs. Nos premières recherches ont été faites dans une école communale tle garçons tle Paris. Sur 265 élèves e
ongles à un degré très accentue, soit environ le quart. Dans la même école on trouve .VI rongeurs de portc-plumes. Des reche
st rien, ainsi queu témoignent les chiffres suivants relevés dans une école mixte du département de l'Yonne: La proportio
s garçons de 20 0/0: pour les hiles elle s'élève à 52 0/0. Dans une école primaire supérieure de Seine-et-Marne, bien que l
ent, nous avons continué nos investigations dans quatre classes d'une école communale de Paris, située dans un quartier popul
e. Elles nous ont donné les résultais suivants: Dans celte dernière école , admirablement tenue, où les enfants sont l'objet
est pas seulement en France que sévit l'onveliophagie. Dans certaines écoles d'Angleterre elle a été constatée chez un assez g
est considérée comme une habitude des plus nuisibles. Dans certaines écoles , les mains des «'-lèves sont l'olijel de fréquent
10 sus : actuellement elle n urine que tons les 15 jours environ. A l' école , elle travaille assez bien, quoique un peu molle.
A 1 âge de 12 ans. tout à fait indocile, elle se fait renvoyer de l' école de la rue Gemacr. où elle donne de mauvais exempl
es conqiagues. Bref, successivement, cette enfant a été chassée de» écoles où on a tenté de la mettre. Même à riiospii-e d
est venu l'arrêter à temps. FOLKLORE ET HISTOIRE DE LA MÉDECINE L' École arabe et la croyance aux sortilèges par M. le p
sticime ima-giuécs par un certain nomhre d'esprits déséquilibrés. L' Ecole arabe marque plutôt un pas rétrograde, car à la d
ons-nous pas encore de nos jours, sur les limites du .xxe siècle, des écoles qui ressemblent à l'école des Arabes; les mages,
jours, sur les limites du .xxe siècle, des écoles qui ressemblent à l' école des Arabes; les mages, le sahr. les grands prêtre
ces mages ne sont en somme que des plagiaires et des imitateurs de l' Ecole arabe. RECUEIL DE FAITS ENQUÊTE SUR LES HAB
aux écrits sur l'hypnotisme ( Visile à la Salpètriïre. Vìsite à l' Ecole de Naney. lettres à M. Thiriar. les Fêtes de Mont
qui plus ou moins combattu à l'origine, est aujourd'hui accepté par l' École de Nancy. J.Delebœuf. Congres de médecine menta
les deux par-lies du inonde. Alors même qu'ils appartenaient à des écoles rivales de Celle de la Salpé trière, tous les sav
muetir d'idées. I.a postérité dira de lui qu'il fut plus qu'un chef d' école préoccupé de l'avenir de ses disciples intimes. E
i la recherche slricle de la vérité. Il hoit ii l'union des di\ erses écoles sur 1« terrain scientifique el propose de donner
s différentes formes de l'hystérie, qui sanctionnèrent la gloire de l' école de la Salpétrièrc à une époque où dans aucune cha
mal fondé des polémiques engagées entre les partisans des idées de l' école de la Salpètrière et ceux des écoles dissidentes
ntre les partisans des idées de l'école de la Salpètrière et ceux des écoles dissidentes ou adverses, notre devoir impartial a
e chevalier de la Légion d'honneur de M. le Dr Thulié. professeur à l' Ecole d'anthropologie et de M. le Dr Babinski, médecin
sont assez imprévus. Épidémie de contractures hystériques dans une école de village. Le fait suivant est à rapprocher de
t le collège et revient chez. lui. Il demande alors à entrer dans une école de commerce et commence dos études préparatoires
quer cela ? Pour ceux qui partagent l'opinion des représentants des écoles de la Salpêtrière. l'explication est très simple.
Chanaleilles. et les continuera tous les dimanches à la même heure. Ecole d'Anthropologie. — Cours d'anthropologie biologiq
Sa I pétri ère, l'action des agent» physiques dans l'hystérie. ¦ L' École de la Salpèlrière a fail une graude opposition au
École de la Salpèlrière a fail une graude opposition aux travaux de l' école de Nancy el avait restreint dans d'étroites limit
it donc la preuve, dans son enseigacment de la valeur des études de l' Ecole de Nancy el certes il eùl un jour reudu pleine cl
t à la On de sa vie acceptait en grande partie le» enseignements de l' Ecole de Nancy. « Le professeur Charcot était membre
bien développée, il apprend bien, maïs il ne peut pas réciter et â l' école on le met toujours parmi les derniers élèves malg
ns son chef, elle routière les travaux et l'éclatante réputation de l' Ecole de Nancy, heureuse rivale de celle de Paris. les
e de Nancy, heureuse rivale de celle de Paris. les théories dts notre Ecole admises et admirées en France, et plus encore à l
estion et d'hypnotisme, celui de M. Liébcaull. premier fondateur de l' Ecole de Nancv, dont la science égale la modestie, n'a
ait commencer son éducation dans le « Kinder-garten ». c'est-à-dire l' école enfantine au milieu des compagnons de sou âge, là
les maladies nerveuses. — Après le « Kindergarten », après l'âge de l' école primaire et de l'école de grammaire, après les an
— Après le « Kindergarten », après l'âge de l'école primaire et de l' école de grammaire, après les années consacrées à l'acq
'régularité dans la nourriture cl dans le sommeil. A la suite de l' école et du collège, vient à son tour l'éducation techn
Janvier 1894.. LA VOLONTÉ Par M. T.. Manouvrier, professeur à l' école l'anthropologie de Paris I Les efforts tics p
8. Fevrier 1891. LA VOLONTÉ Par M. !.. Makouvrier. professeur à l' école d'Anthropologic de Paris. (Suite.) III A la
it troublé de la sorte. Humilie, il n'osa plus remettre les pieds à l' Ecole de médecine et se lit inscrire à l'Ecole de droit
plus remettre les pieds à l'Ecole de médecine et se lit inscrire à l' Ecole de droit. L'époque du volontariat arrivait. Doué
ier, membre de l'Académie de médecine: M. le docteur Manouvrier, de l' Ecole d'anthropologie; M. Boïrac, professeur de philoso
facilement explicable i propos du crime ou de la prostitution par une école qui a négligé au dernier point toute analyse psyc
qu'elles viennent inopinément influencer. Il n'est pas rare dans les écoles , que des reproches adressés à un élève pour le co
s. Cette constatation n'est pas oiseuse, car on sait qu'il existe une école qui uîe l'authenticité des évangiles et même l'ex
perfectionné. » Je m empare de cette image, qui semble venue de l' école de guerre sur un caisson d'artillerie, et. brandi
ophismes. Pour Zola, l'auteur dénonce la prétention exagérée de son école de nous offrir le miroir du monde, tandis que le
amedi des démonstrations pratiques d'électro-physiologic. Cours à l' Ecole pratique de la Faculté de Médecine. M. le docte
i 23 avril, à cinq heures du soir, dans l'amphitéàtre Cruvellier, à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine, un cours libr
ns la (1) J 'ajouterai pour les personnes qui n'ont pas passé par l' école ,le médecine, que la dissection est un travail in
é l'origine de recherches plus precises, plus nettes, et à ce titre l' école de la Salpctrièrc s jeté un jour nouveau sur l'él
ur Morselli y appliquera le traitement psychothérapique. Courss n l' Ecole pratique de In Faculté ds Médecine. M. le docte
23 avril, â cinq heures du soir, dans l'amphithéâtre Cruvellier. à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine, un cours libr
ns. 18 ; chirurgiens. 14 Accoucheurs titulaires. 7 ; suppléants, 4. Ecole d anthropologie— M. le D' Kegnault fera les mercr
la sensibilité aussi bien cutanée que musculaire et viscérale. Or, l' école de Nancy et cela n'est pas son moindre mérite, s'
ise apparaissant comme un dernier écho des luttes ardentes entre deux écoles célèbres n'était que le prélude d'une série de di
çais et étrangers sur l'hypnose expérimentale et déjà précurseur de l' Ecole de Nancy, il faisait ressortir tout l'intérêt exp
ibles qu'ont publiées en ces dernières années les poètes chevelus des écoles symboliques, décadentes ou autres. Et même, chez
ériode de développement. Ici d'ailleurs les critiques adressées â l' école réaliste et à son célèbre chef ne sont ni très no
ychopathîc sexuelle. Il est certain qu'on peut rattacher le chef de l' école naturaliste a cette catégorie de malades à qui la
eurtre (la), par Paul Aubry. 306. Contractures hystériques dans une école de village (épidémie de). 95, Criminels ayant l
on (aliénés), 97. Croix pour le Dr Liébeault (la), 183. Cours a l' école pratique de la Faculté de Médecine, 288, 319. D
rofesseur Azam, 28, 62. Douleur (sommeil suggéré contre la), 324. Ecole arabe et la croyance aux sortilèges (l'), par Pro
223, 287, 318, 352. Epidémie de contractures hystériques dans une école de village, 95. Epidémie d'hypnotisme, 375. E
voqué et la fasci-nition (le). par Mesnet, 220, 254. Sortilièges (l' école arabe et la croyance aux), 20. Suggestions crim
46 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
5 figures PARIS \ AUX BUREAUX DU PROGRÈS MÉDICAL 6, rue des Écoles , 6. A. DELAHAYE & E. LECROSNIER ÉDITEURS
Écoles, 6. A. DELAHAYE & E. LECROSNIER ÉDITEURS l'lace de l' École de Médecine. 1883 PREMIERE PARTIE Historiqu
enfants idiots gâteux, valides, qui, dans le jour, vont à la petite école ; -enfin elle sert de salle de réunion, de réfe
re, asper- sions vinaigrées ou phéniquées, etc. STATISTIQUE. IX Ecole . - Le nouvel instituteur, M. Boutillier, entré
ons de la géographie. Parmi les autres objets dont s'est enrichie l' école , mentionnons : 1 baro- mètre, 1 thermomètre, 1
es, un tableau des couleurs du spectre solaire, etc., etc. Petite école . Tandis que l'école proprement dite reçoit les
ouleurs du spectre solaire, etc., etc. Petite école. Tandis que l' école proprement dite reçoit les enfants épileptiques
moins développées, les enfants arriérés et les imbéciles, la petite école se compose sur- tout des enfants idiots, épilep
sont propres, ont participé aux promenades des enfants de la grande école . Ceux-ci,. outre les promenades ordinaires, ont
demandé, mais sans l'ob- tenir, que l'infirmier attaché à la petite école fût nommé infirmier de première classe. - Enfin
rection et celle de nos internes, par les élèves infirmières de l' école municipale de Bicêtre. Service dentaire. Ce ser
geants étaient dus au dévoue- ment du personnel attaché à la petite école , et aux sacrifices faits par l'Administration ;
et aux sacrifices faits par l'Administration ; ;-que, à la grande école , nous avions eu des résultats analogues. Nous a
cédent Compte rendu ,(p. x). Des 160 enfants, 72 vont à la grande école , 62 à la petite école (idiots gâteux ou non, ép
p. x). Des 160 enfants, 72 vont à la grande école, 62 à la petite école (idiots gâteux ou non, épileptiques ou non, mai
le temps le permet, sont descendus à bras dans la cour de la petite école ou portés jusque dans la cour du gym- nase. D
tés jusque dans la cour du gym- nase. Des 62 enfants de la petite école , 10 sont assez avancés pour prendre part aux ex
mais ne sait pas se servir du couteau ; il a été quelque temps à l' école , il commençait à lire l'alphabet,[ne sait pas com
an, il a marché à 9 mois et parlé librement à deux ans ; envoyé à l' école à 5 ans, il apprenait bien, était docile, obéis
ugeole à 2 ou 3 ans et enfin une fièvre muqueuse. - Il est allé à l' école , a appris à lire et un peu à écrire ; en classe
mère de l'enfant ne sait à quoi attribuer ses étourdissements ; à l' école , il aurait été battu par les frères, au point q
s. 4 juillet 1881. - L'enfant a fait des progrès remarquables à l' école ; il lit et écrit convenablement. 4 2 décembre.
etour (18 mois après) il marchait comme s'il n'avait rien eu. A l' école il apprenait difficilement, sa mémoire était mau-
, comprenait bien et ressemblait à tous les autres enfants. Mis à l' école à trois ans et demi, il n'y est allé que quinze
Durée totale : environ 15 minutes. 11 décembre. Fr... retourne à l' école : le calme est en- tièrement revenu. 23 décem
heures, surtout pendant le jour. A 6 ans, on voulut mettre C... à l' école , mais on ne put le garder à cause de ses crises
e ; depuis ce moment, il est devenu gâteux, n'est plus retourné à l' école de la maison; les facultés intellectuelles ont
qui dura 2 mois ; ni dartres, ni otite, ni engelures. - Envoyé à l' école , il apprenait bien; à 5 ans, rougeole sans déte
fréquemment (jusqu'à 14 en 24 heures). On ne voulut plus de lui à l' école ; l'intel- ligence avait baissé; toutefois il s
47 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
4, rue des Carmes, 14. 1 LECROSNIER ET BABÉ ÉDITEURS Place de l' Ecole de Médecine. 1890 PREMIÈRE PARTIE Histoire
dès qu'ils sont capables de mar- cher, ils sont envoyés à la petite école d'abord le matin pendant quelque temps, puis to
tiques ou non, mais valides. Ces enfants fréquen- tent la petite école confiée exclusivement à des femmes. 222 enfants
ont décédés, 6 sont sortis définitivement ; 1 est passé à la grande école . Sur les 207 enfants qui restaient au 31 décemb
ique (système Pichery), à l'exception de sept qui ne viennent à l' école que le matin. 5, plus avancés, ont pris part au
, arriérés, instables, épileptiques et hystériques ou non. Grande école . La population de cette école était le 1er Jan-
ptiques et hystériques ou non. Grande école. La population de cette école était le 1er Jan- vier 1889 de 168 et le 31 Déc
ordé le même jour à 6 infir- miers et Il 6 infirmières. VI GRANDE ÉCOLE . ses plus productives, et aussi pour utiliser d
nseignement. Promenades et distractions. Les enfants de la grande école et ceux de la petite école qui sont pro- pres o
t distractions. Les enfants de la grande école et ceux de la petite école qui sont pro- pres ont continué à faire, sous l
n, in*i»3 tiné.e dramatique organisée par l'Orphéon-Fanfare ide l' école , au profit de la caisse de la société ; séances h
lon scolaire de la commune ; 15 juillet, les en- fants de la grande école assistent à la course en sac organisée par la c
ovembre, matinée dramatique, séance de lanterne magique a la petite école , etc. Ces prome- nades et ces distractions, out
r du Musée pathologique ; - 2° pour le service scolaire : a) grande école : d'un insti- tuteur M. Boutillier et de deux i
ppléant M. Joly et de 3 infirmiers, garçons de classe ; - L) Petite école : de 11 ? Blanclie AIIUS, aurveillante ; de Mel
onstructions suivantes : Serutce de joUI' ........ Réfectoires. Ecoles ou Classes. Ateliers. Préaux couverts. XXXI
n fer et briques; disposition des pavillons (ateliers, réfectoires, écoles , etc.); installation des idiots invalides, des
illes, de classes destinées aux arriérés. Ces enfants qui, dans les écoles ordinaires,étaient laissés de côté, tournés en
rant t l'année 1887. D'après Mme Matrat, inspectrice générale des écoles mater- nelles, qui a visité les pays scandinave
de sept à vingt ans qui sont aptes à le recevoir. MmJ Matrat cite l' Ecole des filles idiotes iL Thorsangj XLVIII ASSISTAN
un autre grand établissement à Trondghen; la quatrième et dernière école sera ouverte dans un an » (1). Au dernier Congr
ron, économe, une délégation des infirmiers et des infirmières de l' Ecole municipale d'infirmiers et infir- mières du môm
dévouement, d'abord pour nous aider à faire passer des examens à l' Ecole municipale de Bicêtre, puis pour y enseigner l'
s accès se sont com- pliqués de vertiges. On a dû le retirer de l' école parce que les enfants se mo- quaient de lui, l'
l se mettait souvent dans de fortes colères. A 8 ans il allaita l' école , était intelligent, apprenait bien. A la maison
ut témoin et qui l'impressionna vivement. Il a continué à aller à l' école ; on était content de lui, mais, ses accès augm
it qu'elle faisait de même, étant jeune. Propre à un au. Envoyé à l' école à quatre ans, apprenait bien.' Fièvre typhoïde à
Pas de terreurs, pas d'étourdisse- ments. Il n'avait jamais fait l' école buissonnière et n'avait pas de raison de s'en a
ment et cesse non moins rapidement. Le 9 juillet en ren- trant de l' école pour déjeuner, elle a été prise à la fin du repas
. 2. novembre. - Pas d'attaques nouvelles. Elle est retournée à l' école , ne prend plus ses douches depuis un mois. - Règl
r Marie, on les renvoie dos ateliers, ainsi qu'on les congédie de l' école ; d'où, nous le répétons, la nécessité de l'hosp
n'est pas peureux, et dort bien, a été pris, au moment d'aller à l' école , où il va volon- tiers, d'un malaise, puis il s
lins. 15. - Amélioration notable. N'a plus de peurs. Retourne à l' école . Il est un peu plus irascible qu'autrefois. Lui q
ileptiques, invalides.. III Enfants gâteux, idiots, valides. Petite école .. IV Enfants propres et valides, imbéciles, arr
. IV Enfants propres et valides, imbéciles, arriérés, etc. Grande école ........................... v Promenades et dis
48 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ement, sans qu'il y ait un côté plus faible. Propre à 3 ans. Va à l' école à Lige de 6 ans, jusqu'en décembre 1897; elle a
l, c'était un enfant normal jusqu'à l'âge de 14 ans. Ilest allé à l' école de G à 10 ans, était intel- ligent, avait appri
et cela depuis 5 ans. M. Lionel DAURInC. - Pendant mon séjour à l' Ecole normale supérieure, on nous servit un jour du v
ets de l'asile de Villejuif ; Rap- port au sujet de la réforme de 1 Ecole départementale d'infirmiers et iiifii-mièj es,
le d'infirmiers et iiifii-mièj es, documents, statistiques, sur les écoles municipales et discussions. Programmes. Règleme
ique avec hémiplégie gauche. Malgré une fréquentation relative de l' école , l'enfant ne put apprendre ni àlire ni à écrire
es, lesquelles étaient les sujets de ces expériences. Pendant que l' Ecole de la Salpêtrière expérimentait sur les hystéri
que l'Ecole de la Salpêtrière expérimentait sur les hystériques, l' Ecole de Nancy, avec Bernheim en tête, étudiait le so
sme,lequel a pour but de calmer les nerfs. Il donna donc raison à l' Ecole de Nancy. Ainsi, de la lutte des deux écoles a
l donna donc raison à l'Ecole de Nancy. Ainsi, de la lutte des deux écoles a surgi la vérité : l'hy- pnotisme thérapeutiqu
; les anciens préjugés sont tombés à ce sujet et la conclusion de l' Ecole de Nancy subsiste seule. Peu importe comment le
ienfaisants. UN CAS DE GASTRITE HYSTERIQUE. 107 En parlant de l' Ecole de Nancy, on ne peut pas passer sous silence le
s. - 4° La didactique expérimentale relative aux idiots. - G° Les écoles adjuvantes pour imbéciles. z7" L'éducation forcée
ement tous ceux de la circonscription de la Seine, ont organisé des écoles d'in- firmiers dont la sanction est un diplôme;
e et du travail, l'influence du l'instruction et de l'éducation à l' école et résume son article dans la formule : Du pain
d'aliénés de la Seine, sur les 1nOdijicatious à introduire dans les écoles dépai tementales d.l11jinniè- et d'infirmiers d
s de doute la possibilité de les améliorer et organisé pour eux des écoles , avec plus ou moins de difficultés. Depuis bi
reux déshérités : création de la colonie de Vaucluse, de l'asile- école de Bicêtre, de la Fondation Vallée pour ne parl
qui peuvent et doivent rester dans leur famille, des classes ou des écoles spéciales ou, si l'on préfère, des classes ou é
classes ou des écoles spéciales ou, si l'on préfère, des classes ou écoles d'enseignement spécial. Afin de prouver que la
laver. Les progrès sont satisfaisants à la gymnastique ainsi qu'à l' école (Fig, 10). igo5. L'amélioration devient notable
lait autour de lui, est devenu plus attentif aux projections, à l' école et à la gymnastique. Sa tenue est devenue meilleu
MÉDICO-PÉDAGOGIQUE DES IDIOTIES. 251 1891. - Est envoyé à la petite école le matin seulement. Connaît généralement les ob
RAPEUTIQUE PEDAGOGIQUE. 19oo. - Devient timide, et n'arrive pas à l' école à pou- voir lire. Tous-les autres exercices son
, il ne FiG. 21. - Xi il la ans (1901). faut plus lui parler de l' école , et, en dépit de tous les essais, il a été impo
sistance de la kérato-conjollctivite l'empêche de progresser à l' école ( i ). V. G&#x152;RG ? (Fernand), 5 ans 1/2
ue des colères et de l'obstination. 1899. - Progrès sensibles à l' école . 1900. - 8 ans et demi : l'enfant est propre, l
at normal. 1902. Gccrg ? continue à donner de la satisfaction à l' école et à l'atelier de couture. 1903. Les colères so
aussi bien modifié. 11 est en résumé le meilleur élève de la petite école . En résumé, cet enfant est arrivé à un degré pr
bon, l'argent et les friandises. ;9°3. - L'enfant vient à la petite école , a appris à con- naître les couleurs, les lettr
t; aussi, au dire de ses parents, avait-il toujours été renvoyé des écoles comme trouble-classe et inca- pable de rien app
ficat d'études et suit en ce moment les cours professionnels de l' école d'infirmiers et infirmières de Bicêtre, FiG.
rix ainsi que le livret Gallois. 20 août. - Rob ? passe à la grande école . A l'atelier de couture, il fait complètement l
ersions des instincts (mensonges, vols, vagabondage), renvoyée de l' école . Emission inconsciente d'urine. D'après ce diag
icat d'études en mars igo5. Elle suit avec assiduité les cours de l' Ecole d'infirmières et nous espé- rcns qu'elle obtien
ssédant qu'un faible degré d'intelligence et étant sourde-muette, l' école - est très difficile; elle s'intéresse cependan
très taquine, très ins- table, courait de tous côtés, bavardait à l' école , faisait aller ses jambes, ses pieds, ses mains
a médaille est confiée iL M. le docteur Paul nicher, professeur à l' Ecole des Beaux-Arts. Le chiffre' de la cotisation n'
nationale des sourds-muets de Paris; Mlle DE FASSION, directrice d' école municipale à Lyon ; MM. GRANDVILLIEnS, directeu
membre de la Chambre de Commerce de Lyon ; Mme Roche, directrice d' école maternelle à Lyon. M. le Dr Bourneville a été a
p. Programme de la revue par les 'directeurs. Hygiène du livre iL l' école , par A, Marie. Les enfants menteurs, par Pierre
d'alcoolisme. (Le Bonhomme Normand, 26janv\, 1 cr février 190G.) Ecole DE psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts (au
ap- pliquéeet de psychothérapie. )).leD Périllon, professeur à l' Ecole de physiologie, commencera ce cours le mardi 8 ma
ce cours le mardi 8 mai, à cinq heures (Salle des Conférences de l' Ecole , 49. rue Saint-An- dré-des-Arls) et le continue
de l'Académie de médecine. Suicides d'adolescents. - Un élève de l' Ecole des Arts-et- Métiers, Léon M ? âgé de dix-sept
gets de l'asile de Villejuif ; Hnpport. au sujet do la réforme de l' Ecole départementale d'il/fil'- miers et d'infirmière
d'il/fil'- miers et d'infirmières, documents, statistiques, sur les écoles muni- cipales et discussions. Programmes. Règle
-11. Bourneville. Visite du service (gymnastique, tra- vail manuel, écoles , et présentation de malades) le samedi à 10 h.
déclarer sous le même aspect. A l'âge de 10 ans. A. fut admise à l' école supérieure de jeunes filles et devint une très
TIES. 407 jchr et habite avec sa soeur, Mme Leclair, 2 bis, rue des Ecoles . Encore une malade qui a appris un métier et qu
onner. Après avoir fait ces derniers exercices sur le mannequin à l' école , elle est parvenue à s'ha- biller entièrement e
apprendre en classe, elle faisait le désespoir de ses maîtresses d' école . Quand elle est arrivée parmi nous, elle connaiss
ssiques de son enfant, car elle n'avait jamais rien appris dans les écoles primaires. Le caractère n'est ni méchant, ni ta
assez exact du degré de tremblement. (A suivre.) L'absinthe à l' école . Dans une école communale de la ville de Paris,
egré de tremblement. (A suivre.) L'absinthe à l'école. Dans une école communale de la ville de Paris, un instituteur
né dans chaque région pour corriger les troubles graves et servir d' école d'application aux futurs instituteurs. L'auteur,
r le rôle capital que peuvent jouer dans l'hy- giène du langage les écoles d'adultes, les cours supérieurs d'édu- cation,
de la parole sui- vant l'âge, l'état intellectuel et le séjour il l' école , tous les tableaux 426 varia. complets et c
ire Général, Drue. Dabout. Banquet en L'HONNEUR DU Dr Bérillon. L' Ecole de psychologie, la Société d'hypnologie et psycho
. - M, Bourneville. Visite du service (gymnastique, travail manuel, écoles , et présentation de malades) le samedi à joli.
udgets de l'asile de ViHejuif ; Rapport au sujet de la réforme de l' Ecole départementale d'infir- miers et d'infirmières,
e d'infir- miers et d'infirmières, documents, slalisliques, sur les écoles muni- cipales cl discussions. Programmes. Règle
elle était nulle. A cause de son état elle n'avait pas fréquenté l' école ; sa vue aussi bien que ses mouvements opposaien
rendre pour venir en classe le moins possible : elle n'aimait pas l' école . Lettres, chiffres, écriture, tout lui était in
rpasser ses compagnes. 1905. -- Elle continue à progresser soit à l' école , soit dans les divers ateliers. Elle a appris à
904. - Pour toutes ces causes, elle avait été renvoyée de plusieurs écoles . La physionomie était peu expressive, le regard
eure actuelle, elle est en bonne voie d'amé- lioration. Elle aime l' école , connaît les lettres, les chiffres et commence
ivait pas auparavant (Fig. 62). 1905. - P ? est passé à la grande école en août 1904. Depuis, ses progrès ont été lents
, 2° L'éducation et l'assistance dans les classes SPÉCIA- les ou écoles d'enseignement spécial pour les enfants atteint
mentaux chez les enfants. Rapnor- )1. le Dr Decroly. directeur de l' Ecole d'enseignement spécial de Bruxelles, et M, le 1
la paroi dc l'- cérébral, par Miral- lié, 451. Absinthe. L' à l' école , lui.16. Accidents psychiques. V. Oreille. -
i, 203. . Dyslalie chez un aphasique réédu- qué, par Lamy, 224. Ecole de psychologie. Cours, 350. Ecorce. Etat vermou
49 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
dant la plupart d'entre eux sont susceptibles d'amélio IV Petite école . ration, même à un degré très notable. On leur
ea... et Im- beur Dès qu'un enfant seul il est envoyé à la petite école , d'abord le matin, puis toute la journée aussit
, gâteux ou non gâteux, épilep- tiques ou non, mais valides (petite école ). - Ces mfants fréquentent la petite école, con
on, mais valides (petite école). - Ces mfants fréquentent la petite école , confiée exclusive- ment à des femmes. Dans le
ans le courant de l'année, 220 enfants ont été inscrits à la petite école . Sur ce nom- bre 8 sont décédés, 10 sont sortis
décédés, 10 sont sortis définitivement, 17 sont passés à la grande école , 4 sont passés aux adul- tes. Sur les 197 enfan
passés aux adul- tes. Sur les 197 enfants qui restaient à la petite école au 31 décembre 1893, 8 ne mangent pas seuls, 54
., Bourg..., -, Faire ? Laure..., Primeu..., Pier..., Vassa. Petite école . , sont très améliorés au point de vue du gâtis
uels nous avons déjà insisté un grand nombre de fois. St Petite école complémentaire, - JIIIIC Bonnet, mère de deux d
uelque temps M ? Bonnet a exercé ses fonctions dévouées Ù la petite école . Depuis octobre 1892, nous l'avons installée av
u pavillon Itard; enfin cette année nous avons transporté sa petite école dans le sous-sol-rez-de-chaussl'e du bâtiment S
iér ? Ilocqnigr ? Gergn. Ti Procédés d'enseignement. Cette petite école complémentaire est fréquentée par vingt enfants
es enfants. MII10 Bonnet a ainsi contribué à désencombrer la petite école et elle nous a permis d'ob- tenir encore de mei
s, instables, pervers, épileptiques et hystériques ou non (Grande école ). - La population de cette école était de 209 e
ques et hystériques ou non (Grande école). - La population de cette école était de 209 enfants au 1" janvier 1893 et de 2
e les années précédentes, cherchant toujours à matés i'III Grande école .' rialjser de plus en plus l'enseignement; nous
la composition d'une de ces séries : 1° vache ; 2* Ci ? 1 Grande école . taureau; 3° vache, taureau, veau ; 4° vache, v
x examens pour le certificat d'études, qui ont eu fo '00 Grande ÉCOLE . Ni lieu au mois de mars, à Villejuif, onze de
service pour être assimilés, et c'est raison, aux instituteurs des écoles municipales de Paris. Dans le but do mettre les
sous notre direction et celles de nos internes par les élèves de l' Ecole municipale d'infirmiers et d'infir- micrcs de B
du musée pathologique ; 2° pour le service scolai- i-e : a) Grande école : d'un instituteur, M. Boutillier, et de deux i
infirmiers dont un ayant le grade de premier infirmier. b) Petite école : de 1\1110 Blanche Agnus, surveillante, de 111
quand elles ont fini leur besogne, viennent aider les maîtresses d' école ; en outre, cinq infirmières n'ayant pas de dor
nt affectées aux soins et à l'enseignement des enfants de la petite école . 3° pour l'enseignement professionnel de huit
qu'elles savent marcher, elles sont envoyées, quoique gâteuses, à l' école et soumises aux exercices de la gymnastique Pic
à la récolte des légumes et des fruits. 134 enfants ont fréquenté l' école et ont suivi les exercices de la gymnastique Pi
ar l'éducation de la main ; puis viennent les leçons de choses il l' école ou dans les jardins de la section organisée dan
participe aux exercices de la grande gymnastique. Passé à la grande école . ' 1887 : Lecture courante, commence la multipl
u et, dernièrement, il a fait avec son jouet le tour de la cour des Écoles sans s'arrêter et en le dirigeant avec habilité
t MM. Boutillier, Bayer, Mesnard, instituteurs chargés de la grande école ; sur Mîtes 131. Agnus. Am. Bohain, B. Anglet. L
n, B. Anglet. Lapeyre. Hermann et Mme Bonnet, chargées de la petite école et de la fondation Vallée. 90 - IDIOTIE. VI
té, mais on ne croit pas qu'il ait eu des rapports sexuels. Mis à l' école à l'âge de 4 ans, on a eu beaucoup de peine il
3 février. Traitement : sirop d'iodure de fer; bains salés ; petite école ; gymnastique. 4 mars. Revaccination sans succè
aille bien à la gymnastique. L'écriture est bonne (3° division de l' école ). 1888. Janvier. Puberté ; aucune modification
plus en plus grande. On le fait descendre à la 3 ? c division de l' école . 1891. Murs. - Puberté. On note que le testicul
er davantage. Il appre- nait assez bien tant qu'il a été envoyé à l' école . État actuel. -Visage pâle. Physionomie légèrem
nu devant les infirmières à diverses reprises. ' 1882. Mat. - A l' école , on a constaté qu'il sait bien écrire, qu'il li
te, il ne sait s'habiller, ni se laver; on ne l'a jamais envoyé à l' école ;- on a vainement tenté de lui apprendre à lire,
ès en 1889 : 20. Traitement. Hydrothérapie, Gymnastique et petite Ecole . La dernière note de la petite École (décembre
hérapie, Gymnastique et petite Ecole. La dernière note de la petite École (décembre 1889) cons- tate que l'enfant a appri
stent sans exagération. État mental (d'après les notes de la Petite Ecole où l'enfant est placé.) - Parole à peu près nul
millimètres. 1891. Moq ? à cause de son âge, est mis à la grande école . Note des instituteurs (juin 1891). L'institute
Observation : antécédents PERSONNELS. 309 gence. A 6 ans, mis à l' école , on le considérait comme une mauvaise tête et i
règles, mais travaille sans goût et n'a jamais pu avoir un prix à l' école . Voici les mensurations actuelles de sa tête :
une amygdalite et une angine érythémateuse. Juillet. Les notes d' École signalent qu'il devient de plus en plus caprici
ombreux sur les fesses et à la partie supérieure des cuisses. A l' école et à l'atelier les maîtres ne donnent aucune note
50 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
ENT; LLOYD-TUCKEY (de Londres); Oscar JENNINGS; LETOURNEAU, prof, a l' École d'Anthropologie; MASOIN, prof, a l'Univ. de Louva
ropologie; MASOIN, prof, a l'Univ. de Louvain : MANOUVRIER, prof, à l' École d'Anthropologie: MESNET. médecin de l'Hôtel-Dieu
arait aujourd'hui être confirmée par les travaux de Charcot et de son école sur l'agraphie qui, d'après Exner, serait localis
res, au retlaurant Mignon, 110, boulevard Saint-Germain (en face de l' Ecole de Médecine). Knvoyer les adhésions au banquet
Unis). Ernould, de Liège, à M. Jules Soury. maître de conférences à l' Ecole pratique des hautes etudes qui assistent pour la
e, Ladame. de Génève, de Tong. de La Haye. Minouvrier, professeur à l' École d'Anthropologie. Babinski, médecin des hôpitaux,
gestion scientifique. Par M. Jules SOURY, maitre de conférences a l' École des hautes études. Je voudrais vous parler d'un
s périodes qui ont servi de base à la nosographie de l'hypnose dans l' Ecole de la Salpétrière n'ont absolument rien à faire a
oprement dit. C'est de quoi conviennent aujourd'hui, sans exception d' écoles ni de partis, tous les bons esprits de l'ancien e
très nue de les observer au cours des hypnotiseurs, et à cet égard l' École de la Salpétrière a raison coutre l'École de Nanc
notiseurs, et à cet égard l'École de la Salpétrière a raison coutre l' École de Nancy. Il existe, surtout en France, semble-t-
» du « grand hypnotisme » s'observent à coup sûr très souvent. Mais l' École de Nancy, et, après elle, la très grande majorité
d'idées, sur quoi que ce soit, que celles qu'on leur a suggérées à l' école , au catéchisme, à l'armée, à l'atelier, et qui ne
est ne pas dire grand'chose; car qu'est-ce que la raison? Question, d' école , thèse à ratiocina lions, prétexte a développemen
r l'esprit scientifique. Il rappelle la part qui revient aux diverses écoles dans le mouvement psycho-physiologique actuel et
éralisme avec lequel il a toujours accueilli les travaux des diverses écoles et en particulier de l'école de Nancy, dont il re
ours accueilli les travaux des diverses écoles et en particulier de l' école de Nancy, dont il retrace l'historique. Il propos
e. Il propose à la Société de porter un toast à l'initiateur de celte école , le modeste et savant Dr Liébeault. M. Dumonlpa
modeste et savant Dr Liébeault. M. Dumonlpallier porte un toast à l' école de Nancy, représentée au banquet par un de ses ma
ement la bonne fortune de vivre a vos côtés et de nous former a votre école . « Nos sentiments à votre égard sont, mon cher
Ton Dr A. von Se scherenck-Notzing. — Stuttgart. Ferd. Enke 1892. L' école de Nancy peut être Gère du progrès que continue à
s Exidi endormis, et d'assister à leur rage, impuissants au réveil. Écoles primaires pour les entants arriérés. Le Conseil
nts d'infirmité physique ou cérébrale nécessitant leur exclusion de l' école , vient de décider la création, dans renseignement
quelque peu coercitif, puisque l'enfant arriéré peut être exclu de l' école au cas où les parents, pour une raison qui se con
un ouvrage d'un des représentants les plus distingués de la nouvelle École philosophique, ouvrage qui ne peut manquer de piq
ut bonnement ridicule. Mais l'hypnotisme tel que le font comprendre l' école de la Salpètrière et les séances des Hanzen et de
, pour endormir le criminel, comme s'il était imbu des doctrines de l' Ecole de Nancy. Il commence par affirmer qu'il peut l'e
onne. — M. Jules Soury, docteur ès-lettres, maître de conférences à l' École pratique des Hautes Études, commencera, le vendre
LOQUENCE ET LA SUGGESTION(1) Par M. Paul SOURIAU. Ancien élève de l' École normale supérieure, professeur a la Faculté des L
l'Etat mental et physiologique des morphinomanes et des dypsomanes. École d'Anthropologie. Anthropologie biologique. — il
ésident met aux voix les candidatures de MM. Dumas, ancien élève de l' Ecole normale supérieure, professeur agrégé de philosop
oute la journée, dormait bien et était très obéissante, attentive â l' école , et partageait les jeux de ses petites camarades.
et demie. Sorbonne. — 51. Charles Henry, maître de conférences à l' École pratique des hautes éludes, ouvrira le samedi 26
trine que professent depuis longtemps Liébeault, Bernheirn et toute l' École de Nancy. L'auteur de l'ouvrage que nous présento
défend absolument la même doctrine et partage les principes de celte école , en rejetant les théories artificielles de la Sal
être adoucie et entourée de restrictions ou de commentaires. Avec l' École de Nancy, je pense et j'affirme que la cause des
directeur des Annales psychiques; de M. le Dr Brémaud, professeur à l' École de Médecine de Brest; de M. le Dr Charles Vie.
notions laborieusement amassées par l'esprit humain, elle laisse aux écoles spéciales l'application de ces notions utilisées
fessionnel. L'Université fait des savants et non des professions. Les écoles d'architectes, d'industriels, d'agronomes, qui él
leur technique avec les données que la science pure leur apporte, ces écoles ne constituent pas des Facultés. Seule, l'Ecole d
re leur apporte, ces écoles ne constituent pas des Facultés. Seule, l' Ecole de Médecine est considérée comme telle, dans tous
nous confond, à notre corps défendant. Si, à l'exclusion des autres écoles professionnelles, celle de médecine est néanmoins
rofessionnelles, celle de médecine est néanmoins considérée comme une école de haut enseignement pur, c'est d'abord parce que
les querelles et les haines de clochers. Que dire de ces rivalités d' écoles , capables de porter un savant distingué à enlever
T PSYCHOTHÉRAPIQUE. Par le Dr. BRÉMAUD, médecin principal de la A l' École de Médecine navale de Brest- L'observation su
ui est basée sur l'expérimentation chez les hystéro-épileptiques. L' École de Nancy envisage tout autrement les phénomènes h
nes qu'elle voyait se produire chez les autres somnambules de la même École , dressée par imitation à réaliser des phénomènes
Résumons, en quelques mot-, les grandes lignes qui différencient les Écoles hypnotiques de Paris et de Nancy. Pour la premièr
est suggestionnable, il entend son magnétiseur. Certains adeptes de l' École de Charcot ont modifié ces idées premières. Ainsi
croyions peu aux phases de léthargie et de catalepsie décrites par l' école de Paris et les trente premiers sujets que nous a
embre de l'Académie de Médecine. C'était un clinicien de l'ancienne école , observateur sagace et souvent un thérapeute heur
issé les divers mérites de Renaudot : médecin, il secoue le joug de l' école , et, tout en respectant les anciens, il veut qu'o
à l'observation et l'expérimentation; il devient un véritable chef d' école très combattu et tris écouté; il fonde un établis
vient de mourir à l'âge de 89 ans. Reçu médecin en 1813, il fit à l' Ecole pratique de la Faculté un cours libre très brilla
Empoisonneuse d'Ain-Fezza (l'), par Liégeois, 80. Enfants arriéres ¦ école primaire pour les). 92. Enfant menteur. 303. En
51 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a marche est de plus en plus ferme, elle prêle plus d'attention à l' école , elle semble moins sensible au froid, elle devi
'' R. Petit, ancien interne des hôpitaux de Paris, pro- fesseur à l' école de médecine de Rennes, : a publié en détail dan
ire l'enseignement anti-alcoolique dans le programme des études des écoles primaires. Mme SELMER, de Copenhague, et 11. Lo
tuteurs publics placés sous ses ordres « d'obtenir que, dans chaque école , un certain nombre d'élèves, âgés de douze ans
e idée est couronnée de succès dans la province de Limboug. Sur z57 écoles communales de garçons, 209 ont une Société de t
s une preuve de criminalité. Ainsi la théorie de Lombroso et de son école faiblit sur deux points : l'absence d'un élémen
un an sa liberté sur parole. L'établissement d'Elmira comporte une école littéraire, une école technologique, une école
role. L'établissement d'Elmira comporte une école littéraire, une école technologique, une école de gymnastique, une séri
'Elmira comporte une école littéraire, une école technologique, une école de gymnastique, une série d'ate- liers et une o
à l'égard des criminels; elle est cependant très en honneur dans l' école italienne, et Garo- falo a énergiquement insist
MENTALE. 143 Il serait peut-être bon de rappeler en terminant que l' école française désigne avec Magnan, sous le nom de d
eu Suisse, en Allemagne, en Au/riche. llontévrain. Imprimerie de l' École ci'Alembert, 189, p. 131 et suivantes. L'asile
x jeunes filles idiotes, épileptiques qui ne peuvent fréquenter les écoles , mais non aux malades adultes que les communes
s locaux : un dortoir, un chaulfoir- réfectoire, une petite salle d' école et un préau. On peut y placer 20 garçons idiots
ante. Ayant commencé ses études très tôt, le malade était dans deux écoles sans y avoir fini son cours ; plus tard il essaya
es, ni de toux. L'enfant a été placé dès l'Age de sept ans dans une école pu- blique de la Creuse. A neuf ans il a été à
s dans une école pu- blique de la Creuse. A neuf ans il a été à une école primaire de Paris. On en était très content. A
e con- sidération qui a une très grosse importance : les élèves des écoles de province pourront y prendre part, sans avoir
arçons et de Nossen pour les filles. La ville de Berlin possède une école d'idiots annexée à l'asile de Daldorf, et une é
lin possède une école d'idiots annexée à l'asile de Daldorf, et une école d'épileptiques annexée à la colonie d'épileptiq
de la viande de boeuf, des fruits, du beurre, du lard. Les salles d' école sont tout à fait analogues à celles des écoles
du lard. Les salles d'école sont tout à fait analogues à celles des écoles primaires : les murs sont décorés de caries, de
5 surveil- lantes diplômées et de 24 infirmières, ayant passé par l' école d'in- firmières de Huberlurhurg. Le traitement
0 enfants alités et une salle de bain. En outre des ateliers et des écoles il existe des cham- bres de réunion. Murs peint
nombreux (1 pour 10) ; les enfants doivent y être conduits après l' école , après le travail et après chaque repas 1. Dans
nne, par jour, 50 enfants hospitalisés, 80 sui- vant les cours de l' école et 113 travailleurs. Dans le courant de l'année
stic est confirmé, sont envoyés à l'hôpital municipal. Les salles d' école sont grandes et bien éclairées. Chaque enfant a
nes génitaux et de se masturber devant des enfants qui allaient à l' école . L'histoire de cet homme est intéressante au po
e vue du service des eaux, de l'éclairage, des cana- lisations, des écoles (pour les enfants du personnel). Sit1lation.- L
, cinq filles de service. Les salles de réunion servent de salles d' école . On cherche il apprendre aux enfants un métier.
ces généraux. Sur les 114 enfants, il n'y en a que 40 qui suivent l' école avec profit- t. (Jahi-biieh. f. Psychiatrie, t.
re. Dans le pavillon où loge le Directeur, se trouvent les salles d' école ; chaque groupe de dix malades suit un cours spéc
tante dans la production des accidents nerveux; pour Charcot et son école , c'est l'émotion morale qui est le prin- cipal
a, le nègre Lucas, en lire un argument en faveur des doctrines de l' école de Lombroso. Le crâne de Lucas ne pré- sente pa
ureux enfants. D'autres enfin, après avoir été renvoyés de diverses écoles , parce qu'ils sont insuffisants, tur- bulents,
nds, les arriérés, les débiles, les insuffisants sont soit dans les écoles , soit dans leurs familles. Ceux des écoles sont u
sants sont soit dans les écoles, soit dans leurs familles. Ceux des écoles sont une VARIA. 315 S gêne pour les institute
ion l'exige : il ne faut pas qu'ils soient plus longtemps hors de l' école . Aujourd'hui on les rejette de tous côtés, on e
e l'école. Aujourd'hui on les rejette de tous côtés, on essaie de l' école laïque, puis de l'école congréganiste. Finaleme
n les rejette de tous côtés, on essaie de l'école laïque, puis de l' école congréganiste. Finalement ils sont exclus. Que
ress Burgwin, quelques écoliers sont retournés dans leurs anciennes écoles , où, je l'espère, ils seront capables, jusqu'à
ent, l'élève qui se serait montré trop inférieur serait réadmis à l' école spéciale. L'an dernier nous avons entretenu de
ste des enfants arriérés et indisciplinés qu'ils avaient dans leurs écoles . Nous avons résumé le résultat de cette enquête
nquête dans le tableau ci-contre (p. 317). ' Eu ce qui concerne les écoles maternelles, sur douze écoles, une seule, celle
re (p. 317). ' Eu ce qui concerne les écoles maternelles, sur douze écoles , une seule, celle de la rue du Sommerard, signa
a 83 enfants arriérés et 49 indisciplinés des deux sexes dans les écoles des Ve et VI0 arrondissements sur une population
l'étranger, la statistique approximative des enfants arrié- rés des écoles du V° et du Vie arrondissement, les essais qui on
t du Vie arrondissement, les essais qui ont été faits dans quelques écoles pour deux autres catégories d'en- fants anormau
taux : augmentation des appointements des infirmiers et création d' écoles d'infirmiers. M. Konig a donné d'intéressants ren
cessaires pour conserver un personnel de choix. Pour ce qui est des écoles d'infirmiers, il faut attacher BIBLIOGRAPHIE. 4
oratoires sont admirablement installés. Dans le bâtiment qui sert d' école , les salles d'étude sont au rez- de-chaussée ;
e est libre, le langage rarement grossier. IL. est peu appliqué à l' école où très souvent il s'amuse et se dispute avec ses
Rien de particulier durant cette année. B... préfère l'atelier à l' école . Il commence à faire des chaussures neuves. Son é
entimètres; circon- férence, 9. Décembre. - Même indiscipline à l' école . Tenue malpropre. Caractère irritable. Accès de
s jours d'avril. Juillet. B... est allé un peu plus fréquemment à l' école ; on le retient trop volontiers à l'atelier de
ien sous le rapport intellectuel que sous le rapport moral. Si, à l' école , les progrès de B... ont été limités, en revanc
les voit disparaître. Discussion : M. WiciiMANN a observé dans une école une épidémie d'hystérie à forme convulsive. Il
satisfaire une ambition personnelle. 11 montre îles paradoxes de l' Ecole italienne de Lombroso », les bases fragiles de
radoxes de l'Ecole italienne de Lombroso », les bases fragiles de l' Ecole expérimentale de Luys et Pierre Janet, pour arriv
52 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
Carmes, 14. A. DELAHAYE & E. LECROSNIER ÉDITEURS Place de l' École de Médecine. 1884 PREMIERE PARTIE Historiqu
'aide des chariots. Les enfants du deuxième groupe vont à la petite école et ceux du dernier groupe à la grande école ou
groupe vont à la petite école et ceux du dernier groupe à la grande école ou école proprement dite. Ecole. Le personnel s
nt à la petite école et ceux du dernier groupe à la grande école ou école proprement dite. Ecole. Le personnel se compose
eux du dernier groupe à la grande école ou école proprement dite. Ecole . Le personnel se compose d'un instituteur, M. 1
adjoint un violoniste pris parmi les aveugles administrés. Petite école . - Le personnel comprenait au commence- ment de
ment des enfants de Bicêtre. Elle serait très utile dans toutes les écoles primaires. ENSEIGNEMENT PRIMAIRE. XI Le matér
uissent les prendre et les poser sur les lettres imprimées. Cette école a fonctionné avec la plus grande régularité et
du hangar fût nettoyée, blanchie et donnée aux enfants de la petite école ; c'est ce qui a été fait le 7 oc- tobre etc'es
è- ges de ce genre dans les cabinets d'aisances des hôpitaux, des écoles , etc. ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL. XIX Fig. 3.
es assistent au concert dirigé par M. Pény, professeur de chant à l' Ecole des enfants, avec l'aide des aveugles musiciens
e nombre des élèves varie entre 80 et 90, dont 20 à 25 de la petite école . Dans ces promenades, les enfants sont accompag
, de la mi-carême (avec déguisements), etc. c) Enfants de la petite Ecole . Outre la participation d'un certain nombre d'e
avancés d'entre eux assistent au concert hebdomadaire de la grande école . Visites, permissions de sortie, congés. Les ad
SES. BAINS ET HYDROTHÉRAPIE, ETC. XXV les élèves infirmières de l' école de Bicêtre, sous notre direction et celle de no
ots réputés non aliénés). Des 178 enfants, 80 fréquentent la grande école (1), 80 la petite Ecole et les autres, idiots,
Des 178 enfants, 80 fréquentent la grande école (1), 80 la petite Ecole et les autres, idiots, gâteux, invalides ou dc-
mois, ces derniers sont descendus à bras dans la cour de la petite école ou dans la cour du gymnase. Des 80 enfants de
ite école ou dans la cour du gymnase. Des 80 enfants de la petite école , 8 prennent part aux exercices de. la grande, g
tite gymnastique ; 33' mangent avec la ? (1) 24 anciens élevés de l' école , passés, dans les dortoirs- des adultes, comme
ltes, comme ayant atteint l'aide 18 ans, continuent à. fréquenter L' école ,, mais seulement le matin ou le soir. MOUVEME
ise. l'âge de treize ans, le malade eut lelleineul à travailler à l' école , qu'il eut un genre de vie absolument séden- ta
gés de l'instruction de l'enfant. La première, prise à l'entrée à l' école le 9-I octobre 1880, est ainsi conçue : «Buch..
06 IDIOTIE ET EPILEPSIE. 30. - Le malade qui descendait à la petite école , se trouve trop faible pour se lever, et reste
ion assez notable; l'enfant quitte l'infir- merie et va à la petite école . Diarrhée assez fréquente, glaireuse, renferman
DES MATIÈRES. 147 Deuxième partie. CLINIQUE. 148 BOURNEVILLE. Écoles municipales des infirmières laïques; laïcisation
53 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ni criminel. Antécédents personnels. Né à Paris. R... a fréquenté l' école primaire de sept à treize ans et y a appris pén
ncipal théâtre de ces controverses et de ces batailles. On a opposé Ecole contre Ecole et nous avons aujourd'hui, suivant
de ces controverses et de ces batailles. On a opposé Ecole contre Ecole et nous avons aujourd'hui, suivant le langagedes
Ecole et nous avons aujourd'hui, suivant le langagedes auteurs, une Ecole de Nancy qui est en opposition avec celle delà Sa
oir de « Nancy » et de mettre ainsi en regard les opinions des deux écoles . En 1878, nous l'avons déjà dit, malgré les tra
hologique. Nous devons maintenant exposer la manière de voir de l' école de Nancy 1, ce qui ne nécessite pas du reste de l
ait que la suggestion est la clef des phénomènes hypnotiques, s L' Ecole de Nancy conteste donc d'une façon absolue l'exac
c d'une façon absolue l'exac- titude des diverses affirmations de l' Ecole de la Salpêtrière. Après avoir exposé sommairem
lpêtrière. Après avoir exposé sommairement les doctrines des deux écoles , nous devons maintenant chercher à mettre en lumi
que des médecins soient dési- gnées, pour examiner les enfants des écoles , au point de vue du développement de leur cerve
s nerveux ou de dégénérescence. Ces recherches élimine- raient de l' école un certain nombre d'enfants faibles d'esprit qu'o
nombre d'enfants faibles d'esprit qu'on pourrait instruire dans des écoles spéciales. Le D1' FLETCUER reacii reconnaît que
qu'il con- tient une critique judicieuse des idées défendues par l' Ecole ita- lienne d'anthropologie criminelle, ce livr
ière, pour parler le langage juridique. Aussi, l'auteur qui, avec l' École de Nancy, considère l'hypnotisme comme un somme
à chaque page l'ouvrage de notre auteur, nous avons bien peur que l' Ecole de Nancy ait trouvé en lui le malencontreux ami
it pour centre des villes possédant des facultés de médecine ou des Ecoles préparatoires, comme Nancy, Lyon, Lille, Bordea
n prenant pour centre de chacune d'elles soit une faculté, soit une Ecole prépara- toire de médecine. » M. Donnet, aprè
ans les asiles du ressort de chacune de ces Facultés. 11 écarte les écoles préparatoires. Enfin, il estime que les médecin
faisance, » et il ajoute que « un- professeur de la Faculté ou de l' Ecole préparatoire de médecine, suivant le cas, pourra
rtion que la suggestion est la clef du braidisme a été lancée par l' École de Nancy; on réunit d'ordinaire sous ce nom qua
s. : MM. Liébault, Bernheim, Beaunis et Liégeois. Donc, d'après l' École de Nancy, tous les phénomènes dits hypnotiques
onguement étudiée par divers expérimentateurs qui appartiennent à l' École de la Salpêtrière'. On sait que par cette métho
nes présentés par les sujets hypnotisés. Cette thèse appartient à l' École de Nancy et plus particulièrement à M. Bernheim
aliment n'ait aucune efficacité ? Ainsi donc, comme on le voit, l' Ecole de Paris qui insiste elle-même sur l'importance
a suggestion peut jouer, mais ne prouvent rien contre la thèse de l' École de la Salpêtrière. Nous devons maintenant mettr
nce, et qui sont arrivés à des conclusions identiques à celles de l' Ecole de Paris. Dès 1881 , MM. Tamburini et Seppilil
ofesseur Bianchi, tous les phé- nomènes des trois états admis par l' École de la Salpêtrière. Je ' Revista )M'i'n : M<a
Salpêtrière parce qu'il ne l'a jamais observé. Les assertions de l' école de la Salpêtrière 'reposent, au contraire, sur
terait au moment de l'examen aucun stigmate. Il est certain que l' école de Nancy est loin d'avoir toujours suivi ces pr
garçon de sept ans ne put pendant une année complète apprendre à l' école que les trois premières lettres de l'alphabet ;
nelle de son grade). - 111. le Dr GosseLm, professeur-suppléant à l' école de médecine de Caen, est nommé médecin de l'asile
prenons, disent-ils, le premier asile d'aliénés de l'Attique. Une école d'infirmières a été fondée à l'asile de Rockwood
d'infirmières a été fondée à l'asile de Rockwood (Kingstown). Cette école fonctionne avec succès (Amènes) ! journal ofins
juin 1888, n° 1).- D'après le même journal, la seconde classe de l' école d'infirmières de l'asile de l'État de BLiffalo a
mmes pour le soin de ce genre de malades. La classe supérieure de l' école des infirmiers et infirmières compte : hommes,
3 = total, 43. Pendant le mois de juin, miss Ida, 9; Merynard, de l' école culi- naire de Boston, a dû faire l'instruction
EUROLOGIE PHYSIOLOGIE LES FONCTIONS DU CERVEAU DO(;1'nINES de l' école italienne ; Par Jules SOURY, \Iuitre de confé
e l'école italienne ; Par Jules SOURY, \Iuitre de conférences à l' Ecole pr,ityuc des liautea-laudes. La part de l'Itali
veau ', n'embrassera que l'étude des faits et des idées qui, dans l' école italienne, et en particulier dans celle de Flor
te- tions du cerveau. Doctrines de Fr. Goltz. Leçons professées à l' Ecole pratique des Hautes Etudes, par Jules Soury. Pa
r.u.. 1880, p. 126, sq. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 343 lier dans l' Ecole de Florence, comme nous l'avons fait pour l'Eco
343 lier dans l'Ecole de Florence, comme nous l'avons fait pour l' Ecole de Strasbourg, comme nous espérons le faire pou
t pour l'Ecole de Strasbourg, comme nous espérons le faire pour l' Ecole de Berlin, et pour celles de Vienne et de Paris
r de la faire quand nous exposerons sur ce sujet les doctrines de l' Ecole de Vienne. Mais nous ne pouvons nous empêcher d
n travail inti- tulé : « Trois mois à la clinique chirurgicale de l' école de plein exercice à Nantes, » et publié dans le
es intoxications. Les Dr3Popoff, Danillo, Tehige et Rosenbach, de l' école de Mierjiewsky, ont démontré que dans différent
de leur protoplasma. Ces modifications, d'ailleurs indiquées par l' Ecole française (Char- cot), 'ont été considérées com
ançaise (Char- cot), 'ont été considérées comme artificielles par l' Ecole alle- mande (sauf Erb, Leyden, Wernicke). R. Sc
ire allusion témoignent de l'activité constante et féconde de cette école clinique d'observations à laquelle la science p
fondé en 1879 par Ils. Bourneville et fut professeur d'hygiène à l' école des infirmiers de cet hospice. Fidèle à ses pri
54 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
d de l'éducation. 2° En ce qui touche les classes élémentaires de l' école , tous les enfants réputés épileptiques doivent
. Quand il ne res- terait que cela d'acquis par les recherches de l' Ecole Ecossaise il y aurait de quoi légitimer leurs e
a fois un asile de sûreté, à pa- villons séparés, un hôpital et une école professionnelle ; il compor- tera une école pri
arés, un hôpital et une école professionnelle ; il compor- tera une école primaire, où le « pervers sera obligé de s'instru
l'ziechung- sheime » ; il décrit en quelques mots le système de ces écoles , quisont des « home d'éducation à la campagne »
t l'observation sont surtout développés. Le docteur Licht a fondé 3 écoles sembla- bles ; les résultats sont dès aujourd'h
comprise. » Le D1' Girma semble donc confiant dans l'avenir de ses écoles d'infirmières et nous ne doutons pas que ses ef
, mais encore elle sert au névropalhologistequi débute de meilleure école pour s'initiera l'appréciation purement scientifi
dant au moins dix inscriptions de doctorat, dans une faculté ou une école de médecine de l'Etat. Les candidats devront, p
ertificat délivré par le doyen de la faculté ou le di- recteur de l' école dans laquelle le candidat a fait ses études mé-
érés. Toutefois, si pour <"-es derniers,des asiles-écoles et des écoles spéciales s'imposent, je ne vois pas la nécessité
mbreux « stigmates de dégénérescence ». Il est entré à 18 ans à l' Ecole Polytechnique, en est sorti deux ans après très
donner de raisons de ce changement d'humeur. Après un an passé à l' école de Fontaine- bleau, il donne sa démission pour
extrayons ce qui concerne les projets relatifs à Berlin. «Chaque école comprendra six classes divisées en 3 degrés (pe
rop chargé). Chez les petits, il y aura au plan d'enseignement de l' école : La religion sera ensei- gnée 3 heures par sem
ont l'emploi du temps. Tel est le plan qui doit être suivi dans les Ecoles de Rerlin. « Veut-on savoir maintenant où en es
et 15,000 enfants. « Rien que pour la Prusse, 70 villes avaient 143 écoles avec 385 classes et 8,207 élèves. Pour les inst
D'autre part, on a établi qu'en 1901,83 0/0 des anormaux sortis des écoles avaient pu trouver un emploi ou faire un métier
Le lundi 11 mars 1 ! IOî, à 10 heures du matin il sera ouvert, à l' école de médecine de Rouen,un concours public pour la
11. BOUCANE- ville. Visite du service (gymnastique, travail manuel, écoles et présentation de malades), le samedi à 10 h.
e de 4 cachets de U gr. 10, elle n'a plus pleuré une seule fois à l' école , est deve- nue tout à fait gentille. Un malade
personnel et il faut l'instruire. D'où la réalité d'avoir une bonne école d'infirmiers et d'infirmières il Toulouse et de
certificat de seize inscriptions prises dans une des Facultés ou ' Ecoles de médecine de l'Etat. Ce dernier certificat devr
e, est consacré tout entier au Recensement des enfants anormaux des écoles publiques de garçons 'de la ville de Bordeaux.
les tribunaux, reprendra ce cours à l'amphi- théâtre Cru\-eilhier ( Ecole pratique, 15, rue de l'Ecole-de-}Iédeci- ne), l
cours le jeudi 25 Avril, à cinq heures (Salle des Conférences de l' Ecole de Psychologie, 4\1, rue Saint-André-des-Arts)
ce traitement ; complè- tement inéducables ils avaient dû quitter l' école ; soumis à l'o- potltérapie thyroïdienne (cache
. M. DOURE\'II.I.E, Visite du service (gymnastique, travail manuel, écoles et pré- sentation de malades) le samedi à 10 h.
mètres de cet Arrêt. Cours d'Electrothérapie et de Radiographie. ( Ecole pra- tique de la Faculté). Le docteur FOYE \U d
rapie et de Hadiologie le lundi 15 avril, à six heures du soir, à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine de Paris, am
ion et la recherche des tests mentaux de Binet chez les enfants des écoles communales de Gand ; par le Dr DUPUREUX. (Journ
REUX. (Journal de Neurologie, 1J0. De l'étude, chez les enfants des écoles communales de Garni, au moyen des tests mentaux
le 13 juin 1852, Féré avait commencé ses études à Rouen, dans cette Ecole de médecine qui façonne avec tant de vigueur et
e puissante influence de Charcot com- mençait faire triomphante une Ecole scientifique nouvelle, ouverte à toutes les per
t tentés dans divers asiles, seuls ou en connexion avec les cours d' écoles municipales faits dansla mê- me ville ou la vil
les cours spéciaux de l'asile Saint-Luc, près Pau et les cours de l' école d'infirmières de l'hôpital de Pau. Des publicat
Amiens, elc. Nous renouvelons à cette occasion notre appel à nos écoles d'infirmières. 507 collègues des asiles pour qu
uberculose ; 4° Scarlatine ; 5° Variole; b) Maladies parasitaires : écoles d'infirmières. 509 3 leçons ; 1° Ver solitaire
d'Armentières. BIBLIOGRAPHIE Yll. Les anormaux pslichi(lites des écoles . Rapport à M. le Maire de la ville de Bordeaux,
i de\ rait être fait pour l'éducation des enfants anormaux dans les écoles bordelaises. Dès le début de cette brochure, deux
t l'intervention de l'hygiéniste. Ils se divisent en : Anor- maux d' école . susceptibles de bénéficier de l'instruction scol
e, de l'Angleterre et de l'Allemane. En Prusse, 76 villes ont 141 écoles avec- 3S;r classes et 8207 élèves ; z317 instit
sortis peuvent gagner leur vie, En Anâleterre, 31 villes ont 152 écoles avec 7383 élèves. Londres seule compte 89 écoles
31 villes ont 152 écoles avec 7383 élèves. Londres seule compte 89 écoles pour 4423 élèves. Le total des classes en Suiss
ent semble se dessiner, dans notre pays, en faveur des anor- maux d' école . Le projet de loi. proposé par la commission plé-
tes chargée d'établir la statistique des anormaux répartis dans les écoles bordelaises, En voici les résultais : sur 8735
es écoles bordelaises, En voici les résultais : sur 8735 élèves des écoles publiques de garçons, il a été trouvé 452 anorm
Ces derniers comprennent : 6 arriérés d'hôpitaux et 312 arriérés d' école . La statistique pour les écoles de filles n'a p
rriérés d'hôpitaux et 312 arriérés d'école. La statistique pour les écoles de filles n'a pas encore été faite. L'organisat
faite. L'organisation proposée par le Dr Régis comprend : la des écoles spéciales autonomes de 8 classes avec 25 élèves a
des maîtresses. Un médecin spécialiste seraitattaché à chacune des écoles . 2° des consulta- tions-médico-pédagogiques, ay
les normales par des médecins spéciaux et par les directeurs des écoles spéciales. Celte question si importante du choix
ez llabelais; Pascal et Racine'; par le Dr 131NIn-S,\NGLÉ, prof.à l' Ecole de psychologie. (Un vol. in-18 1907, chez Maloi
et peuvent être considérés comme les plus gravement atteints. Les écoles publiques contiendraient d'après une statistique
llée. - BOURNEVILLE. Visite du service (gymnastique, travail manuel école et présen- tation de malades) le samedi à 10 h.
Voir Atrophie. Anormaux. Voir Enseignement. Les - psychiques des écoles ; par Régis, p. 511. Enfants - en France ; pa
DYSTIIOPIIII-S. Voir Uccklin- ghausen. Ectasie. Voir Délire. Ecole de psychologie, p. 352. d'infirmières,p. 507.
. L'application et la recherche des de Binet chez les enfants des écoles communales de Gand ; par Du- pureux, p. 494.
55 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
le docteur Teste, quoique sur le point de rentrer dans le giron de l’ Ecole , devient aussi son point de mire; mais il retourn
rve cependant que les enfants avant 1 âge de 4 ans se trouvant dans l’ école de la nature et absolument abandonnés à son actio
utes je cessai et défendis qu’on le dérangeât. Je me fis conduire à l’ Ecole de Médecine, à un mille de là, dans l’espoir d’y
Votre tout dévoué, Baron du I’otet. Paris, le 20 février 1848. Ecole magnétiffiic. — Aucune loi ne peut empêcher une v
ondamnés à l’immobilité. En annonçant aujourd'hui l’ouverture d'une école magnétique, nous obéissons à la loi naturelle qui
n faire ; celui qui préférera ce mode de traitement à la médecine des écoles sera entièrement libre de son choix, désormais il
sormais il ne peut en être autrement. Nous ouvrirons incessamment l’ école que nous annonçons et nous inviterons les hommes
ntre les temps anciens et les temps modernes, se trouve cette savante école d’Alexandrie, qui, fondée par les Ftolémées, eut
x longues et pressantes sollicitations qui leur venaient du dehors. L’ école médicale de Madras vient de suivre une marche tou
émoignage de la pratique obtiendra l'attention du gouvernement. » L’ école lui fit répondre: Monsieur, Je suis chargé pa
ent. » L’école lui fit répondre: Monsieur, Je suis chargé par l’ école médicale de vous accuser réception de votre lettr
luence mesmérique, pratiquée par le docteur Johnstone, de Madras. L’ école vous prie d’avoir la bonté de transmettre se* rem
alents spéciaux, ainsi qu’à son zèle pour le progrès de la science. L’ école se fera un devoir de recommander son rapport à l’
suite soumise au gouverment par les soins et suivant la promesse de l’ école . Voici l’accueil qui y fut fait : « Le très-nob
anté de recevoir les nouveaux rapports sur le même sujet promis par l’ école médicale. » Sa Seigneurie, en conseil, se joint
ole médicale. » Sa Seigneurie, en conseil, se joint entièrement à l’ école de médecine pour encourager les efforts du docteu
’opération précitée, cette question A été sérieusement examinée par l’ école d*e médecine; les étudiants s’y sont magnétisés l
donc le magnétisme sera-t-il appelé à détruire la fausse science des écoles ? Nous pousserons désormais nos investigations v
r est au métal, et nous arrivons enfin, en dépit de tous les dogmes d’ école , à une masse unique, à une matière imparticulée.
ment à ses hautes propriétés, la véritable intelligence ou esprit des écoles , et en même temps la matière de ces mêmes écoles.
igence ou esprit des écoles, et en même temps la matière de ces mêmes écoles . Dieu, avec tous les pouvoirs attribués àl’Esprit
r, n’a que 21 ans, pas d’instruction, n’ayant été que cinq mois à une école de village, et pourtant son ouvrage traite des pl
Arabes, 217. E. Eau magnétisée. — Effets et mode d'action, 196. Ecole magnétique. — Projet d’une institution pour l'ens
— Projet d’une institution pour l'enseignement du magnétisme, 126. Ecole de Médecine de Madras. — Evoque la question du ma
ns, et cette réhabili-tation a été faite par un docteur de cette même école de Vienne qui s’en occupe aujourd’hui encore; mai
ais après un examen impartial, habile et prolongé, un comité de cette école vient de déclarer qu’une série de faits magnétiqu
et d’appréciation qui remonte à Bacon et à Locke, et qui distingue l’ école écos- (t) Esdaile, Mcsmerism in India and ils p
’homme en santé (voir la note page 1), a pu seul conduire les chefs d' école à prendre comme principe dominant et exclusif de
fante la thérapeutique unitaire antiphlogistique. De notre temps, l’ école anatomique donnant une trop grande influence à l’
nt seulement dans la maladie la lésion des forces vitales. Dans cette école , aussi puissante que celle des organi--cistes, on
avec la théorie, il prépare les travaux de Bordeu, de Barthez et de l’ école de Montpellier, qui a toujours cherché à se tenir
conséquence, loin de l’opprimer il devrait l'aider. Hippocrate et son école ont suffisamment développé la doctrine des crises
s le malade guérit quelle que soit la thérapeutique qu’on applique. L’ école physiologique tous dira : la membrane muqueuse de
qui régit la thérapeutique et la matière médicale de la médecine des écoles ? Ne pensait-il pas comme un médecin qui, dans son
ourra jamais rien sa voir sur leurs véritables propriétés. L’ancienne école de Cos employait des remèdes simples, elle ne se
la lucidité du génie de son médiateur plastique, Anaxagore, chef de l’ école ionienne, avait créé un système de physique génér
vitalisme; peu importent ensuite les modifications que telle ou telle école a pu apporter au principe fondamental, la dualité
viens d’obtenir la guérison d’une maladie du foie bien compliquée; l’ école de Toulouse n’a point soulagé la malade dans le t
nétisme grandit et devint une médecine populaire, rivale de celle des écoles . Les procédés conseillés par Mesmer furent aban
nger. Si jamais son application devenait générale pour la science des écoles , dans les hôpitaux, ou dans la pratique civile, i
’homme de science est rarement progressiste, il ne croit que ce que l’ école enseigne, il ne songe jamais à faire une excursio
nnête médecin qui, placé entre une loi de la nature et des systèmes d' école , voudrait concilier l’erreur et la vérité, les so
me, cette médecine sera toujours la très-humble servante de celle des écoles . Le magnétiseur répondit : Sans doute, mais elle
re charlatans, acquièrent la renommée des grands maîtres, des chefs d’ école ? Ils guérissent en obéissant à la nature, en suiv
s le maitre de soi-même; n'avons-nous pas en nous les traditions de l’ école , les principes dont nous avons nourri notre enfan
nt à moi je n’ai pas la crainte : je ne redoute rien des préjugés des écoles ; mais Dieu m’a refusé ccqui fait l’homme supérieu
ayant tout épuisé, ils gémissent en accusant d'impuissance l’art des écoles . Comment serais-je resté dans le doute sur une vé
prouve la justesse de leur axiome, jl faudra rétablir la médecine des écoles ; car les médecins ont fait plus de mal aux hommes
d’imbécilité, de niaiserie et d'ignorance. L’enfance ainsi dotée, les écoles font le reste; car des professeurs émérites prenn
vers 1800, il fit jouer, au théâtre du Marais, un drame intitulé : Y Ecole des juges. Depuis il s’occupa beaucoup de magnéti
frère, quoiqu’il n’ignorât pas que je fusse encore sur les bancs de l’ école . Avouant naïvement son ignorance du magnétisme ,
56 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
lement, il a été propre de bonne heure, a marché à un an. Il va à l' école et se montre très intelligent. C'est un enfant
IGITAIRE. MASSON \ Cie, lidrtems. LES PEINTRES DE LA MEDECINE. ( ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE). LES PÉDICURES AU XVII
mèges du Moyen Age, pra- ticiens improvisés, n'appartenant à aucune école , ignorants des plus élémentaires notions de méd
au musée du Prado, dont nous avons donné la des- cription (1). L' Ecole de Salerne avait ses médeciennes ou lIÛ1'esses. E
e Picardie, à Amiens, que se trouve ce prototype des Pédicures de l' Ecole flamande (1). (1) N 138 du Catal. de 1S7S. - T.
qui suit. Il a été un enfant assez indiscipliné, faisant souvent l' école buis- sonnière, de telle sorte qu'à l'âge de 14
tirer quelques instants l'attention. LES PEINTRES DE LA MÉDECINE ( ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE) LES PÉDICURES AU XVIIe
e premier jet, Brouwer reste un des plus curieux représentants de l' école du maître de Haarlem dont il sut appliquer la m
de loin » ? ...' ` (1) Franklin, l. c. 142 HENRY MEIGE VII Ecole flamande du XVIIe siècle. Les Singes Barbiers-P
iques. Je crois que ce rôle a été parfois exagéré dans cette grande école de la Salpêtrière, de laquelle tous les neurolo
plus myxoedé- mateux que lui, est le premier de sa classe dans une école industrielle. Quant à la fille, elle est bien q
anmoins, il marcha et commença à parler de bonne heure. Il alla à l' école , et apprit à écrire de la main gauche. Il put mêm
ssance à l'obligeance de M. Dorveaux, l'érlidit bibliothécaire de l' Ecole de Pharmacie de Paris, ,que je tiens à remercie
t devint, par surcroît, complètement muet. A l'âe de ans, étant à l' Ecole des Sourds-Muets, il commença à gran- dir d'une
IIbls, UN Saint faisant l'aumône A DES LÉPREUX et Peinture de l' Ecole Toscane du xive ou xv° siècle, Musée des Office
uère que sur quatre ou cinq documents figurés, appartenant tous à l' Ecole Allemande. Le nomhre en est plus grand encore qu'
ns de Lépreux, dont plusieurs sont absolument caractéristiques. L' Ecole Italienne, jusqu'au XVIe siècle, n'est pas moins
rt, p. 57 et seq. LA LÈPRE DANS L'ART 421 ments de ce genre que l' Ecole Allemande. Ils ne sont pas rares dans l'Art Fla
pas rares dans l'Art Flamand. Mais ils semblent faire défaut dans l' Ecole Française. La fréquence des figurations de Lépr
urations de Lépreux se rencontrent dans les peintures de toutes les Ecoles . Elles sont particulièrement fréquentes dans cell
les Ecoles. Elles sont particulièrement fréquentes dans celles de l' Ecole Italienne et de l'Ecole Allemande, depuis le XI
articulièrement fréquentes dans celles de l'Ecole Italienne et de l' Ecole Allemande, depuis le XIVe jusqu'au XV c'est-à-d
dans toutes les provinces de l'Europe. LA LÈPRE DANS L'ART 427 École Italienne école DE GIOTTO TADDEO GADDI, ANTON
provinces de l'Europe. LA LÈPRE DANS L'ART 427 École Italienne école DE GIOTTO TADDEO GADDI, ANTONIO VENEZIANO, ANDR
lorentins (lira moitié du XIVe siècle). Le plus ancien Lépreux de l' Ecole Italienne nous semble avoir été figuré sur une
« Quel qu'en soit l'auteur, disent-ils, celle oeuvre appartient à l' école du grand réformateur de la peinture en Italie, Gi
des Espagnols, dans le cloître de Santa Maria Novella, à Florence. ( Ecole de Giotto, 1re moitié du XIV siècle.) LA LÈPR
s paroles troublantes : Sis 1nOl'tuus 1nundo, vivus iterum Deo... École Toscane DU XIV° ou XV) siècle. Il existe, dans
(1), une peinture d'un maître in- connu du XIVe ou XV. siècle de l' Ecole Toscane, représentant un Saint qui fait l'aumôn
plus d'une fois ces malheureux incurables. Dans les peintures de l' Ecole Italienne, nous avons encore relevé quel- ques
s sans analogie avec celles que produit la Lèpre. Une peinture de l' Ecole Ferraraise (2e moitié du 1VI° siècle), à l'Acadé-
traire sur les oeuvres d'art dont nous avons parlé plus haut (1). Ecole Allemande. L'Art Allemand n'est pas moins riche
lis au cours de nos recherches. MAITRE ALLEMAND INCONNU . Vieille Ecole de Cologne (1430-1550). La vieille Ecole de Col
LEMAND INCONNU . Vieille Ecole de Cologne (1430-1550). La vieille Ecole de Cologne contient un assez grand nombre d'oeuvr
de cette époque, vraisemblablement exécutée sous l'in- fluence de l' école des frères Van Eyck, représente Sainte Elisabeth
ses aumônes. LES AUMONES DE SAINTE ELISABETH DE HONGRIE \'ic'¡¡o Ecole de Cologne (fin du XVe siècle). Musée de Cologn
istique (2). LE Maître DE la Glorification DE la Vierge ` Vieille Ecole de Cologne (fin du XVe, commencement du XVie sièc
rafRichartz, de Cologne, se trouve une autre peinture de la vieille Ecole Colonaise, provenant d'un tabernacle de l'ancienn
la cause de ces déformations. - Au musée de Berlin, un tableau de l' Ecole de Cologne du XVe siècle représente Sainte Elisab
nifestations cutanées sur la face. U - - - CONRAD Witz. ' ' . -( Ecole d'Alsace. - Fin du XVe siècle). Dans une église
décrire que trois siècles plus tard ? ... ? )) » Maître inconnu ( Ecole allemande, fin du XV° siècle). Nous empruntons
per- mis de préciser davantage les caractères de sa maladie (1). Écoles Flamande et Hollandaise. BERNARD VAN ORLEY pe
lui-même les effets de la Lèpre sur le vivant. Maître Inconnu. Ecole Flamande (XVIIe siècle ? ) La Charité de Saint
mi les autres figurations d'estropiés et de malades appartenant aux Ecoles Flamande et Hollandaise, nous avons relevé encore
tre également des Lépreux. - ' VI , Dans les oeuvres d'art de l' Ecole Française, nous ne connaissons pas de figuratio
par HENRY MEIGE (5 photogravures), 358. Peintres de la médecine ( Ecoles flamande et hollandaise). Les Pédicures au XV
LE DES AUTEURS 473 MEME (HENRY). Les peintres de la méde- . cine ( Ecoles flamande et hollandaise). Les Pédicures au XVII
57 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s le savez, depuis quelques années, grâce aux efforts soutenus de l' école française, l'hystérie masculine, dont la grande
uels, » est en train de se produire. En Angleterre les travaux de l' école de Man- 1 A. Souqms. - 1,'hyslé-ie mâle dans un
des accidents hystéro-traumatiques telle qu'elle a été donnée par l' Ecole de la Salpêtrière; par sa pa- thogénie, elle no
AL DE L'OLFACTION1 Par M. P. TROLARD, Profescur d'.in.itomie il l' Ecole de médecine d'Alger. III. CONNEXIONS DU CARREFO
SIE CORTICALE; recherchas expérimentales ET ANATOMO-CUNIQUES DE l' école italienne, . Par Jui.cs SOU11Y, . Maître de c
école italienne, . Par Jui.cs SOU11Y, . Maître de conférences à l' Ecole pratique des Hautes-Etudes. · I. L'étude expé
oscou. La première, qui dura environ un mois, se produisit dans une école de la ville, parmi des filles de dix à treize ans
se re- trouvent chez l'homme tout à fait normal. Les services de l' Ecole italienne sont cependant considérables, parce q
ogrès Médical. Souri (J.). Les fonctions du cerveau (Doctrines de l' Ecole de Stras- bourg. Doctrines de l'Ecole italienne
ns du cerveau (Doctrines de l'Ecole de Stras- bourg. Doctrines de l' Ecole italienne). Volume in-8° de xvt-461 pages. Prix
AL DE L'OLFACTION' Par M. P. TROLARD, Professeur d'.lI1alomic à l' Ecole de médecine d'Alger. w VI. CONNEXIONS DU CARR
emarquer, après un philosophe, M. Léopold Bernard, que le chef de l' Ecole naturaliste DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'
226 ~REVUE DE médecine légale. major Von Normann, commandant de l' école des sous-ofllciers de Postdam, a été trouvé mor
tes et il était en outre empoisonné. Vingt-sept cadets ont quitté l' école , mais ont refusé de donner la raison de leur con-
M. Charpentier. 240 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. CADÉAC, professeur à l' Ecole Vétérinaire, communique des planches très intér
truction professionnelle des gardiens ou gardiennes, en l'absence d' écoles municipales d'infirmiers et infirmières telles
ERAVAL. BIBLIOGRAPHIE V. Les fonctions du cerveau (doctrines de l' école de Strasbourg; doctrines de l'école italienne)
ions du cerveau (doctrines de l'école de Strasbourg; doctrines de l' école italienne) ; par Jules Soury. - Aux bureaux du
rveau, en classant ses recherches par nationalité, à la manière des écoles de peintres, ce qui nous promet des études nouv
peintres, ce qui nous promet des études nouvelles sur Ferrier et l' école anglaise, Munck et l'école allemande, Exiier et l
et des études nouvelles sur Ferrier et l'école anglaise, Munck et l' école allemande, Exiier et l'école de Vienne, Charcot
errier et l'école anglaise, Munck et l'école allemande, Exiier et l' école de Vienne, Charcot, etc. C'est une manière sino
reproche ne peut être adressé à la seconde partie, con- sacrée à l' école italienne; d'autant qu'ici ne se trouve pas l'inf
pour aboutir à une étude des fonctions de l'intelligence d'après l' école italienne. Tout d'abord, il personnifie cette
nce d'après l'école italienne. Tout d'abord, il personnifie cette école dans l'école de Florence, dans Luciani, dont il
'école italienne. Tout d'abord, il personnifie cette école dans l' école de Florence, dans Luciani, dont il expose les c
urable; il coûtera plus cher. , LES ENFANTS ARRIÉRÉS Une nouvelle école d'enfants indisciplinés ou arriérés aété inau-
ciplinés ou arriérés aété inau- gurée récemment à Highbury-Grove. L' école appartenait à la Société des Missions religieus
lavabos et des douches ont été particulièrement soignés. , Cette école n'a sa pareille qu'à Ypton-House (Hackney) où a é
pareille qu'à Ypton-House (Hackney) où a été installée la première école de « vagabonds ». Dans l'espace de six ans, 1.9
nts en sont déjà sortis, et il y en a en ce moment 138 présents à l' école . Le « School-Board » compte sur un semblable su
'école. Le « School-Board » compte sur un semblable succès pour son école de Highbury-Grove. NÉCESSITÉ DE L'ASSISTANCE DE
re croire qu'elle a mis sa menace à exécution, car en rentrant de l' école à quatre heures elle avait dit à sa mère qu'ell
u trône, etc.. ' . C'est là une théorie inspirée des doctrines de l' école psycho- logique : je ne pense pas que les chose
tes études, B..., reçu bachelier, se préparait à une de nos grandes écoles . En même temps il donnait des répéti- tions aux
uatre ans, d'une maladie de coeur. C..., sorti premier d'une de nos Ecoles des Arts-et-Métiers, s'est lait recevoir a l'Ec
er d'une de nos Ecoles des Arts-et-Métiers, s'est lait recevoir a l' Ecole centrale, qu'il a quittée avec le diplôme. C'ét
phonique. Il y a long- temps que cela dure. Quand j'étais élève à l' école de..., le prin- cipal venait fouiller dans mon
gence remarquable. Il a été l'un des élèves les plus brillants de l' Ecole normale supérieure, a été reçu agrégé, et pro-
ite pas et il supporte, sans fatigue, de longues marches. Admis à l' École centrale, C... n'a pu obtenir le diplôme de sor
, très nerveuse, intelligente, est presque toujours la première à l' école ; - 10° fille, douze ans, bien portante, intell
à quatorze ans pour les urines. Jamais de convul- sions. Envoyé à l' école à sept ans ; il n'a jamais rien appris. Il s'es
à sept ans ; il n'a jamais rien appris. Il s'est souvent sauvé de l' école et rentrait chez lui à quatre heures comme s'il
1886. - H janvier.-Depuis un mois à peu près, il n'est pas allé à l' école et il entraîne les autres à mal faire. Le malade
r parce que cela le ren- dait très méchant, très nerveux '. Mis à l' école vers quatre ans, il apprenait bien, comme les e
t pas accompagnée de perte de connaissance et il a pu retourner à l' école le lendemain. A treize ans, en allant faire une c
vec les attaques. Traitement. - Deux douches par jour, gymnastique, école . Il se décide à aller travailler à l'atelier de
58 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ahler et Pick, ce serait une double sclérose systématisée. Pour l' Ecole française, ce serait plutôt une myélite diffuse.
es à la précédente. 9 a et 9 b, sont les courbes d'un étudiant de l' école normale; il voulait être immobile, aussi fut-il
7, Broad- way. DUVAL (M.). - Le Darwinisme, leçons professées à l' école d'anthropo- logie. Volume in-8' de b76 pages, a
et se livrait avec plaisir à différents amusements. E ivoyée à l' école de l'asile, elle apprit l'alphabet, put épeler
if à parler. Il a pissé assez tard au lit. 11 n'est jamais allé à l' école , les autres eufants se moquaient de lui. Il res
6 septembre. - Poids : 30 kilo,. Taille : lm,20. Octobre. Vient à l' école depuis quatre ans; sous tous les rap- ports ses
peut faire ni gymnastique, ni escrime. 21 septembre. Ne vient à l' école que par contrainte et ne fait aucun progrès; il
rapports ; il est très frileux. 1881. 4 juillet.- Gr... ne fait à l' école que des apparitions dont le résultat est nul au
plaisir à l'escrime, mais ne peut pas apprendre a danser. Il va à l' école une heure, matin et soir; le reste du temps, il e
passer aux hommes. IDIOTIE AVEC CACHEXIE l'ACHYDERMIQUE. 153 A l' école Gr... a fait quelques progrès ; il écrit mieux ;
un peu plus vif, surtout en été, et il a fait des progrès tant à l' école qu'à l'atelier. , L'observation de Th..., que
sch. f. Psych., XLII. 4). P. K. VARIA DISTRIBUTION DES PRIX A L' ÉCOLE DÉPARTEMNTALE D'INFIR- miÈaEs ET D'INFIRMIERS A
LE CLINIQUE (SAINTE-ANNE). La distribution des prix aux élèves de l' Ecole d'infirmières de Sainte-Anne a eu lieu le 25 ao
nce publique, il n'aurait pas été utile de créer dans cet asile une école d'infirmiers et d'infirmières, celles de Bicêtre,
raient suffi. Tout au plus, y aurait-il eu lieu d'installer ici une école de perfectionnement. C'est parce qu'il y a en q
amené en 1881 à demander au Con- seil général la création de cette École départementale d'infirmiers et d'infirmières.
voulu témoi- gner du vif intérêt qu'il portait à la laïcisation. L' école a fonc- tionné depuis lors, à peu près régulièr
e ami le Dr Bouchereau et par nous, c'est parmi les élèves de cette école que l'administration prendra toujours les sous-
enfin inspirée par le véritable esprit républicain. Le but de cette école n'est plus de fournir un personnel pour remplac
a été et sera donné au sur et à mesure aux laïques. Le but de cette école , aujourd'hui, c'est de donner de bonnes surveilla
de bons surveillants à l'agile de Ville- juif concurremment avec l' école de Bicêtre, aux asiles de la pro- vince afin de
irecteur de cet asile, pour la Commission de surveillance, si cette école devenait une pépinière féconde de sous-surveill
J'assistais, il y a quelques jours, à la distribution des prix de l' école de la Salpêtrière, et nous constations tous avec
essants. Il a été défendu cinq thèses traitant de ce sujet seul à l' École de médecine de Paris, dans l'intervalle de 1875
après, le père écrit « qu'on renvoie tous les jours l'enfant de l' école , car il devient toujours plus stupide ». 31° Br
le danger de ce procédé fut com- plètement réalisé par Pott, et son école qui employait le trépan très volontiers. Par su
groupe. Je me suis aussi élevé contre les tendances d'une certaine école à vouloir faire une entité morbide d'un simple
mmés pour trois ans internes de la Maison nationale de Charenton. Ecole d'infirmières DE l'asile DE Ville-Evrard. M. le D
de dégénérescence ( ? ). (Wrutch, na 5, 1886, Saint-Pétersbourg.) Ecole d'infirmières pour LES aliénés. - Une école d'inf
86, Saint-Pétersbourg.) Ecole d'infirmières pour LES aliénés. - Une école d'infirmières pour les aliénés a été établie pa
é établie par les directeurs du Iludson River State hospital. Cette école est fondée puur l'instruction de celles qui dés
s pourvues du diplôme pour les hôpitaux généraux seront admises à l' école pour une période d'une année à la fin de laquel
du bureau, du directeur, du personnel médical et du directeur de l' école . Elles seront payées 100 fr. par mois durant les
Les femmes entre vingt et trente ans qui n'ont pas le diplôme de l' école pour les hôpitaux généraux, seront admises à l'éc
e diplôme de l'école pour les hôpitaux généraux, seront admises à l' école , et recevront une instruction pendant deux ans.
le service de l'hôpital. En rapport avec l'hôpital il y a aussi une école pour les hommes de vingt à trente ans. La durée
logés, blanchis et soignés en plus. Les candidats à l'admission à l' école doivent passer l'examen préliminaire réclamé pa
eurs qualités de deux sources honorables ou plus. Les diplômes de l' école d'infirmières sont reçus à la place des lettres
se sont assurés les services de Miss S. 1. Hawley, une gradée de l' école de Bellevue-liospital avec une grande expé- 424
aliénés. En qualité de maîtresse de l'hôpital et de directrice de l' école , elle donne tous les jours des leçons au lit du
132;- (Concours pour les - de Paris), 132; (de Charenton), 132; ( écoles d'Infirmières de l' - Sainte- Anne), 258. A
59 (1907) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1906
. 200 enfants ont pris part aux exercices de la petite gymnastique. L' école comprend: 1° le traitement du gâtisme, expo-sé pr
s, comme préparation à l'écriture ; 6° les leçons de choses, soit à l' école , soit clans les jardins, soit enfin dans les pr
et sait écrire jusqu'à ce nombre, nous suivons ensuite la méthode des écoles publiques pour leur apprendre jusqu'aux unités de
x unités de 1.000, etc.. Ce qui est répété, deux, trois fois dans une école ordinaire, nous som-mes obligées de le répéter vi
opération de l'arithmé-tique, on emploie la même méthode que dans les écoles ordinaires. Aux élèves dont l'intelligence n'at
tutrices qui devraient, en grand nombre, toutes, suivre les cours des Ecoles d'in/irmièrus. (?) Cette ignorance des malades
les-écoles comme la Fondation Vallée, comme la Salpêtrièrc, comme les écoles de St-Yon, de Clermont de l'Oise, etc., doivent ê
nce est tout à fait impropre à l'étude. 220 enfants ont fréquenté l' école et ont été exercées à la gymnastique des échelles
Hadri Rachid, professeur de physiologie et de clinique infantile à l' École imp. de médecine Djeal Oglou; M. le docteur Arman
s d'aliénés (Genève) ; M. Geor-ges Rouma, professeur de pédagogie à l' école nor-mal de Charleroi ; M. le docteur Charles de M
arleroi ; M. le docteur Charles de Montet, de Paris ; les élèves de l' école normale postulantes institutrices visitent le ser
avant même de savoir faire les bâtons : les murs de la cour et de nos écoles l'attestent et confirment nos paroles. D'après ce
s qu'elle est restée en traitement. Son père l'a reprise, elle suit l' école primaire pour passer son certificat d'études cett
nt normale. Comme sa sœur, elle a été rendue à son père ; elle suit l' école pri-maire à Marseille et apprend bien. Pus... (
04, l'enfant était nulle au point de vue classique, avait fréquenté l' école primaire mais sans profit, connaissait à peine le
ersion des instincts, onanisme. Cette en-fant avait été renvoyée de l' école , à cause de ses mauvaises habitudes et de son ins
ondation; pour toutes ces causes elle avait été renvoyée de plusieurs écoles , de sorte qu'elle était nulle pour la classe. La
60 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ur ob- jectif une utilité industrielle : on ne peut guère espérer l' école de progrès intellectuels, et il faut diriger to
l Science, janvier 1898.) Garnie Bakkelws. - C'est la plus ancienne école , pour les imbé- ciles, du Danemark ; elle est s
rix élevé du terrain dans le voisinage d'une capitale; les salles d' école spacieuses, peut-être même trop spacieuses, les
ns les diverses institutions Keller est d'environ G00 (230 dans les écoles , 150 dans les ateliers, 220 dans les différents
les ateliers, 220 dans les différents asiles). A Brème il y a une école pour les enfants faibles d'esprit. Elle reçoit
s d'abord l'histoire du service proprement dit, qui comprend : a) L' école et les exercices des enfants; b) L'ensei- gneme
l'assistance des idiots : création de classes annexées ou non aux écoles primaires pour les enfants arriérés : documents s
et des adolescents, il propose, comme prophylaxie, de maintenir à l' école le plus longtemps possible ceux que les parents n
mars 1900. Considérations neurologiques sur l'éducation dans LES ÉCOLES publiques. Grâce aux recherches anthropométriqu
ce était déjà très atteinte, la malade ne faisait aucun progrès à l' école de l'asile, elle n'écoutait pas, répondait évas
lus d'attaques depuis le 27 mars ; en mai elle fait des progrès à l' école et prend une part active aux jeux des autres enfa
urnée. localisées à la face, n'en aurait jamais eu depuis. Mise à l' école , elle apprenait bien, plus tard sa mère l'a envoy
sortie de l'asile. On a toujours continué les douches, les bains, l' école et la gymnas- tique. Puberté. - Poils noirs,
n désaccord avec les théories de la Salpêtrière, va plus loin que l' École de Nancy et s'il reconnaît le danger de l'hypno-
1° Pour les idiots et les imbéciles des colonies pourvues d'asiles- écoles : dans ces asiles-écoles, seront traités les idio
gnostic aura pu être posé; ? Pour les arriérés proprement dits, des écoles d'enseignement spécial séparées des écoles ordi
rés proprement dits, des écoles d'enseignement spécial séparées des écoles ordinaires ; 3° Pour les épileptiques et les co
3° Pour les épileptiques et les convulsivants de toute nature, des écoles complètement séparées des autres. G. D. XXVIII.
anisation de l'assistance familiale, des Sociétés de patronage, des écoles d'infirmières ; Grand développement donné à ren
ation regrettable, la section de psychiatrie tenait ses séances à l' Ecole de pharmacie, tandis que la section de neurolog
ont besoin. Là encore, l'infir- merie devra se trouver à côté de l' école et de l'atelier. Ce mode d'assistance est déjà
ique, qui nous garantissent l'espoir que les voies inaugurées par l' école anatomique contemporaine n'aboutiront pas à un
ychiatrie du XIII" Congrès international de Médecine, assemblés à l' Ecole de Pharmacie, envoient aux membres de la Sectio
ique ; Par F. BENOIT, Médecin major de 3'' classe. Répétiteur l' Ecole du Service de Santé militaire. B. , vingt-deux
LETCIIER Br.vcii, M. B., F. IL C. P. Londres,ex-médecin en chef des écoles de Darenth pour les enfants imbéciles (Dartl'or
nullement de côté. Nous le prescrivons d'après les préceptes de l' Ecole de la Salpêtrière : iodure de potassium à petites
peu élevé. M. llitzig a organisé à la clinique de psychiatrie une école d'infir- utiers et d'infirmières; mais une écol
de psychiatrie une école d'infir- utiers et d'infirmières; mais une école moins théorique que pratique. M. Hitzig a pour
t électrique d'une très faible excitation. M. Leduc (professeur à l' École de médecine de Nantes) a étudié les modificatio
rés les obsessions touchent la sexualité. M'accordant aux vues de l' Ecole de l'Asile clinique, je définis l'obsession « u
les pages consacrées à l'éduca- tion de l'idiot valide. A la petite école , rationnellement et scien- tifiquement la gymna
Malgré les résultats obtenus, Bourneville veut encore mieux. Les écoles primaires dans les grandes villes devraient être
nné l'établissement d'un réfec- toire, le conseil a fait ouvrir une école destinée à l'enseignement delà lecture, de l'éc
uvre et malheureusement ignorante, l'établisse- ment d'une pareille école a, pour eux, une double utilité, celle de les i
et de les distraire. « Je profite des ressources que me présente l' école pour exercer l'intelligence de mes malades, ign
, les occupations de ceux qui y sont admis. Les malades réunis, à l' école , au nombre de deux ou trois cents, quelquefois
Il fallait vite obtenir quelque chose de plus. Je le conduisis à l' école , quelques malades s'y trouvaient que j'engageai
musique ; si le temps est mauvais, nous restons dans la salle de l' école ; s'il fait beau, nous nous rendons dans un gra
econdé les progrès. M. Wilhem, qui a si heureuse- ment institué des écoles de chant, dans tous les quartiers de Paris, m'a
hèque ayant été mis à la disposi- tion de l'instituteur chargé de l' école , les aliénés instruits peuvent, le soir et dans
ancs. Écrire au méde- cin en chef, directeur, M. le D1' Doursout. Ecole pratique DES Hautes-Etudes. Le laboratoire de psy
e expérimentale de l'asile de Ville,juil' vient d'être rattaché à l' Ecole pratique des Hantes.ltndes, et M. le D1' Toulouse
fonds du pari mutuel; 4° Que la direction et l'inspection de ces écoles soit réser- vée au personnel enseignant avec la
ite ; . 0° Qu'il soit créé dans chaque département un internat ou école d'apprentissage pour les jeunes vagabond» et pour
sage pour les jeunes vagabond» et pour les élèves indisciplinés des écoles primaires (les élèves incorri- gibles des école
indisciplinés des écoles primaires (les élèves incorri- gibles des écoles seront séparés des jeunes vagabonds et occupero
mais ce faible niveau. Un pareil être n'a rien à apprendre dans une école si élémentaire qu'elle puisse être. C'est dans
leptiques que, en raison de leur état, on ne peut recevoir dans les écoles pu- bliques ordinaires. Ceci posé, permettons-n
s on leur faiblesse intellectuels ne peuvent trouver place dans les écoles publiques. 2° Sur le voeu n° 2 : Recensement de
n DES enfants arriérés. 465 mclle avec le voeu n° 3. Si on annexe l' école des arriérés à un établissement d'aliénés; si m
ne voyons pas pourquoi on assimilerait les élèves indisciplinés des écoles primaires aux jeunes vagabonds ; et en effet, p
s fonds du pari mutuel ; 5° Que la direction et l'inspection de ces écoles soient réservées au personnel enseignant. IV
vice. - Le laboratoire du service de M. Toulouse fait partie de l' école des hautes études sous la dénomination de Laborat
, 48. - rationnelle de la volonté, par P.-I. Lévy, 70. - dans les écoles publiques. 76. Electrothérapie. Revue d'élect
61 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nationale des sourds-muets de Paris, cet enfant avait fréquenté une école ordi- 1 L'audition indirecte nous permet de sai
ême qu'en ce qui concerne les jeunes sourds-muets à leur entrée à l' école . Ici encore, D... a participé d'une manière exc
ts produits sous les yeux des élèves, soit àl'école, soit hors de l' école : faits présents que l'élève voit s'exécuter, f
liments et des boissons. Viennent ensuite les choses qui, hors de l' école , lui sont le plus familières et le plus sensibl
nes entendants le premier vocabulaire, élément de toute science ; l' école doit suppléer ici au champ vaste et varié des c
ive orale pure, ainsi qu'au Cours de langue française à l'usage des écoles de sourds-muets de MM. André et Raymond, actuelle
plus faibles, et'son application devient moins difficile. Dans nos écoles de^sourds-muets, on divise donc l'ensei- gnemen
des institutrices et des sous-employées et infirmières des asiles- écoles d'idiots et d'arriérés de Bicêtre et de la Fondat
e normalement; l'enfant, se servant de béquilles, peut fréquenter l' école , être mise en apprentissage et devenir une bonn
i cinq fois de la maison paternelle; il s'est fait renvoyer des six écoles où on l'avait placé ; chasser d'un bureau pour
), et l'hérédité, hérédité névro- pathique générale, sur laquelle l' école de la Salpêtrière a tant et légitimement insist
divers organes, rein, foie, moelle..., la discussion entre les deux écoles sur le rôle pathogène des vaisseaux dans la pro
de voir, puisque j'ai combattu les exagé- rations opposées des deux écoles . Je ne chicanerai pas Huchard sur la proportion
individus qui sont décidés à tout sacrifier à ce qui s'appelle l' « école » ou « la prospérité de l'école * mais qui n'on
t sacrifier à ce qui s'appelle l' « école » ou « la prospérité de l' école * mais qui n'ont aucun souci de l'éducation et
ette pratique exalterait le zèle des professeurs et des élèves. Une école centrale d'infir'miers serait cependant désavanta
ralement arrivé à 1 gardien pour 8 et même pour 7 ma- lades. Avec l' école centrale, les directeurs-médecins devraient en
individuels, par la vulgarisation de la connaissance du mal dans l' école et les milieux populaires. « Laissant à nos aînés
eurs centaines de conférences ont été faites dans tous les milieux, écoles , usines, réunions privées, sociétés de toutes s
inel et Esquirol surent com- muniquer leur enthousiasme; ils firent école , et l'on vit se grouper autour d'eux toute une
par Sauvage. Il entre dans quelques détails sur la rivalité de deux écoles parisiennes de l'époque : école de la Salpêtriè
es détails sur la rivalité de deux écoles parisiennes de l'époque : école de la Salpêtrière (Pinel), école de la Charité
x écoles parisiennes de l'époque : école de la Salpêtrière (Pinel), école de la Charité (Corvisart), et la ruine commune
), école de la Charité (Corvisart), et la ruine commune de ces deux écoles devant l'organicisme de Broussais et les progrè
ortants sur ce sujet ont été écrit, en France sous l'influence de l' école de la Salpêtrière, influence qui s'est étendue
a thèse d'Aemmer la relation d'une épidémie qui atteignit, dans une école de Bâle, soixante-six fillettes. Dans la classe
t atteinte. Palmer rapporte aussi une épidémie de ce genre dans une école et dans la classe des petites filles. La fréque
ont loin d'être rares dans l'hystérie infantile, et les épidémies d' écoles semblent remplacer de nos jours les épidémies d
la tient à ce que les auteurs s'inspirent encore des théories que l' Ecole de la Salpê- trière avait émises sur la product
n hypnotique en se conformant rigoureusement aux enseignements de l' Ecole de 260 SOCIÉTÉS SAVANTES. Nancy, on n'a jamai
l'existence des stigmates de l'hystérie tels que les a . décrits l' École de laSalpêtrière, parce que, malgréleurs recherch
ocateur de l'hystérie, émane ordinairement t d'un représentant de l' École qui a provoqué pendant longtemps chez les grand
Lorsque l'on envisage la suggestion hypnotique comme la con- çoit l' École de Nancy, l'indication de ce traitement est encor
e action des mots consacrés : « Éveillez- vous ! » Aucun élève de l' École de Nancy ne s'est heurté à une difficulté de ce
s il Sainte-Anne, nous affir- mons par contre que l'hypnotisme de l' Ecole de Nancy n'en com- porte aucun, d'aucune sorte.
cence, dont le domaine, depuis les tra- vaux de M. Magnan et de son école , est déjà si vaste qu'on ne sait plus où il com
. Herb..., huit ans. Cet enfant, jetait un jour, en revenant de l' école , des pierres à un cantonnier. Colère du cantonnie
son âge, faciès coloré indiquant nullement la souffrance. Il va à l' école de son village, il apprend bien. Mais ce sont t
us étonné de voir entrer l'enfant dans les maisons qui avoisinent l' école (il habite assez loin de l'école), on sait d'av
dans les maisons qui avoisinent l'école (il habite assez loin de l' école ), on sait d'avance ce qu'il vient chercher, on
tremblement, qu'il présente depuis l'enfance. Il se souvient qu'à l' école sa main droite tremblait en écrivant. Depuis ce
icrobienne. M. Aimé a résolument pris parti pour les doctrines de l' Ecole de Nancy. Le chapitre consacré au traitement es
'enfant, n'est pas simplement psychique comme semblait le vouloir l' école allemande (mémoire de Duvernay, de Bâle) et com
RVELET D'âpres E. Laawo. Par Jules SOURY, Uitccteur-adjoint à l' École pratique des Hautes-ÉLudes, Les différentes cat
me d'établissements privés, soit sous forme d'instituts annexés aux écoles primaires. Si un traitement spécial n'est pas a
moindres causes des ditficultés auxquelles se sont ' La création d' écoles semblables en France a été à diverses reprises
t d'ailleurs précédé d'une excellente réputation ; je savais qu'à l' Ecole prépara- toire de médecine de Limoges où, comme
ioration de la situation matérielle et sociale); 2° organi- ser des écoles d'infirmiers (absolument indispensables); 3° sur-
OGIQUE DES enfants arriérés dans DES classes spéciales annexées aux ÉCOLES primaires. Analysant le dix-septième Compte ren
iot, etc.) relatifs à la création de classes spéciales annexées aux écoles primaires pour les enfants arriérés. On sait que
d'emprisonnement. Le rapporteur rend compte de l'organisation de l' école et du travail dans la prison Chave. Il présente
En terminant, M. Jolly conseille la création, à Mar- seille, d'une école de réforme, placée sous la direction du Comité
ne école de réforme, placée sous la direction du Comité de défense, école qui pourrait arriver à la colonisation dans des
62 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
énomènes bien pro» jires à détruire les physiologies nientenses des écoles et jetci' un joui' tout nouveau sur le i>eu de
a j)lus large place. Allez donc jusqu'au bout, savinits de toutes les écoles , le magnétisme pouvait empêcher cette décrépitude
surtout devint si profonde, que j’eus un instant l’idée de créer une école toute spéciale, en la faisant reposer sur des bas
arrêtée, comme je l’ai déjà dit, je ne pensai plus qu’à organiser mon école , pour laquelle j’eus bientôt dressé tous les stat
pour nous et pour les malades qui nous consultent, les préceptes de l’ école , préceptes sur lesquels vous êtes un peu trop à c
e ne pensai plus, comme on peut bien le croire, à la fondation de mon école . r.ai' si même la pensée se porte directemeot et
ceptible de démonstration, une philosophie plus avancée que celle des écoles , des principes de sagesse, et enfm la découverte
, M. le docteur Guérineau, professeur adjoint de clinique externe à l’ école secondare de Poitiers. Il ne s’agit pas ici d’une
r adjoint ; Jallet, 'chef des travaux anatomiques, et des élèves de l’ école de médecine de Poitiers. L'un d'eux place une spa
peut, sans aucun poison et par des procédés différents de ceux que l’ école enseigne, guérir les maladies les plus graves. Le
is, au lieu d’agir mécaniquement ou chimiquement comme le médecin des écoles , les magnétistes donnent à l’agent intérieur l’él
avait, on n’aurait plus parlé de ceux-ci, on aurait trouvé, dans nos écoles d'autres modèles de science et de philosophie.
ait tant de peur et donner par-là nn lustre, de plus à leur brillante école . Il y a vj-aiment de quoi poufier de rire : qui d
auditeurs. Dimanche dernier 1.9, une centiiiiiü d’élèves de la même école vinrent ensemble, à une heure après midi, me soll
t éclairé était honorable pour moi, et à mes yeux elle honorait cette école . Ces jeunes gens me distinguaient de la foule, et
.scientifiques. Arrière donc tous les Mabruset les sceptiques de son école , tous ces retardataires des académies, tous ces l
facultés de notre condition actuelle. En un mot, dans la langue de l’ école , ce sont là, pour nous, des faU$ de subjeclivité
exposé les désagréments du savoir, non point de celui acquis dans les écoles , bien que des bacheliers, des licenciés, des doct
que vous avez guéris étant justement tes malades que la médecine des écoles avait le plus maltraités, ces malades, abandonnés
et te demander quelques conseils. Je ne sais si je t'ai dit qu’à l' école nons couchons dans des salles séparées, renferman
cède en rien è sos aînées, on parle même d'unu réunion desdl-veriies écoles pour faire qus tou(e division disparaisse et que
u'en face d’un de ces docteurs imbus des doctrines matérialistes de l’ école actuelle, incrédules et de plus ignares sur les p
t parait devoir ¿tr^ splendide parla réunion désirée des ijifTérenles écoles magnétique«. On donner^ ay lep renseigncmenU né
distingue de ses aînées par un rapproc ment sympathique des diverses écoles magnétiques, et, par conséquent, par un plus gran
hives. Aux négateurs du cpiritnallsme. Passagers sectateurs d'une école éphémère, Si quelqu’un d’entre vousidans son am
isfaction bien vive de venir vous proposer un toast & l'union des écoles magnétiques et à l’alliance des sciences avec le
omme. Voilà pourquoi je vous engage à porter le toast à l’imion des écoles magnétiques. {Applau-disseoiêDls unanimes et prol
rs et lionorables Présidents, témoigner aux magnétistes de toutes les écoles présents à cette solennité, le regret que j’éprou
n, ou quelques autres maximes irréprochables mais banales des petites écoles primaires, dont ils se servent habituellement pou
us purs et marchent plus droit dans les voies du Seigneur, toutes les écoles , toutes les opinions, tonsles schismes doivent di
nétisme? — Et les lois sont protectrices de la science menteuse des écoles , et elles accordent aux ministres de cette scienc
à la Norwége. Les jeunes Français n’iront pas faire leurs études à l’ école polytccliniquc du Caire, ni les jeunes Belges à l
gré, en favorisaot tous les genres d’iostruction, en multipliant les écoles , en encourageant les sciences, les arts et la lit
e chose nous pousse, marcLoiis. Encore dans les inéditeiTanées de l’ école , nos coiiJrailic-teurs ne nianquerom d’arriver (l
éthode ni cette doctrine, assurément, n’affèrent au dogme actuel de l’ école : est-ce vous qui vous en plaindrez ? Nous seul
st bien assise et d’uno expérimentation inébranlable ? Qu’importe ! l’ école se soucie bien de vos sollicitudes sur ce point.
terez les trésors. Dans tous les temps, et malgré la différence des écoles et des procédés, àl’escient ou non de ses pratici
ilaliite de conviction, il déplorait les vues étroites de nos grandes écoles , ne représenUntque «des individualités inconsta
de trente ans d’activité pratique dans les rangs de la médecine de l’ école . D' Clever de Maldignv. RÉSURRECTION DE LAZAR
omme de grands hommes, tandis qu’ils auraient tous besoin d'aller à l’ école de la nature qu’ils méconnaissent à chaque instan
scandaleux aujourd’hui dc voir des gens étrangers à toute science des écoles , à toute étude médicale, exercer un pouvoir réel
ques, rendra réellement un grand service aux praticiens de toutes les écoles qui voudront bien l'expérimenter. Le mode de ga
ses, des effets identiques. > Charles Richard , anc'ien élève de l’ Ecole pol^technlnue.® (Les i.ois de Dieu rr l'Esprit mo
? Ouvrez le Traité de physiologie kumaineieJ. Béclard, professeur à l' Ecole de Médecine à Paris (édition Labé 1856), et vous
esseur de toutes les sciences de l’Afrique et de l'Asie, il fonde une École et des sociétés secrètes dont «ont sortis nombre
ecins l'enonceront-ils à leurs idées systématiques à leurs préjugés d’ école ? Quand donc adopteront-ils ce précepte pour leur
chcc des savants, à propos de la grande marée de mars dernier, 168. Ecole polytechnique. Une centaine d'élèves de cette éco
s dernier, 168. Ecole polytechnique. Une centaine d'élèves de cette école sollicitent de M. du Potet une séance de magnétis
63 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sez bonne. Elle sait un peu lire et écrire; elle n'a été mise à l' école qu'à 6 ans et a eu beaucoup de peine à apprendre
les de bromure de camphre, de 2 à 8 ; hydrothérapie ; gymnastique ; école . Novembre. - Pas de vertiges, en octobre ni en
et aux pré- sentations de malades, de pièces et microscopiques. L' École de médecine et la Faculté des sciences de Rennes
conditions mê- mes dans lesquelles il fui élevé : n'es ! allé il l' école d'ail- leurs que jusqu'à 9 ans. EL dans son mét
i sont faits, ce cheval ne fait que réaliser des exercice» de haute école , un peu plus difficiles que ceux qui nous ont.
oct.). PEDAGOGIE SPECIALE Conférence sur les enfants anormaux à l' Ecole normale d'instituteurs d'Auxerre, par le ])1' \
re, el tenta l'éducation des petites idio- tes. Faire père créa une école qui existe encore ; elle est dirigée actuelleme
d'indépendance, le dégoût du travail intellectuel leur font fuir l' école où ils se sentent quelquefois inférieurs aux ca
l'; il" onl lie ]¡Olll](, notions morales, lorsqu'il* sortent des « écoles de redresseinenl » « et des écoles industrielle
orales, lorsqu'il* sortent des « écoles de redresseinenl » « et des écoles industrielles n créées spécialement pour eux. U
st la Suède. Dans ce pays existent en plus des asitesd'alienes, des écoles pour l' les imbéciles. En l1elgiljue existent d
ljue existent des «classes» pour les arriérés, classes annexées aux écoles ordinaires. Ces classes fonctionnent également
st la première fois, en France, qu'un tel sujet est traité dans une École normale d'instituteurs. Il est évident que tout
fication pronostiqua. - L'intérêt delà con- ception inaugurée par l' école d'IIeidelbcl'g ne réside pas tant dans le fait
et aussi sur les avantages des patronages pour enfants sortant des écoles d'anormaux, il exprime le désir que son pays s'in
ux : 5° Enfants pseudo-atypiqttes : a) Enfants dont les progrès à l' école sont retardés par : ri) une maladie accidentell
tardés par : ri) une maladie accidentelle ; b) les change-, ments d' écoles : 3° un développement relativement lent : 4° des
lle. 280 " ASSISTANCE ET PÉDAGOGIE. Asile-École de Saint-Yon. L' école ouverte en 1891 pour les enfants placés à l'Asile
fonctionner régulièrement. Deux institutrices sont atta- chées à l' école . L'institutrice chargée de la direction de l'éc
tta- chées à l'école. L'institutrice chargée de la direction de l' école nous a remis le rapport suivant : « Année 1903.
a remis le rapport suivant : « Année 1903. -Pendant l'année 1903, l' école a été suivie par 36 élèves dont : 20 en 1 ? cla
étude, naguère si délaissée, est aujourd'hui une véritable classe d' école primaire où l'enseignement approprié à des inte
rs occupée avec beaucoup de zèle et de dévouement. Elle faisait l' école pour celles dont l'intelligence était susceptib
étude, naguère si délaissée, est aujourd'hui une véritable classe d' école primaire où l'enseignement approprié à des inte
a adressé la note suivante sur le fonctionnement de son asile- ' école . 288 ASSISTANCE ET PEDAGOGIE gymnastique élém
clinca meclica, ne9G, î, 8, 1,)09.) L'auteur rappelle que c'est à l' école française, a Charcol et à ses élèves, que revie
ce qui vient de se passer : l'enfant ne peut rien apprcl1<ll e l' école . Traitement bromure et thyroïdien. L. W. XXV. P
Nous avons un interne, recruté au concours parmi les étudiants de l' Ecole de médecine de Besançon, en même temps et au même
1- X..., lisait un journal qui publia successive- ment Claudine Ú l' école , Claudine en ménage et Claudine ci Paris. Lc te
tiques ; 1',\11 1.1 : Il' CIl. BI : \ET ? \ : \GLl Professeur a l' Ecole de psvcliologie. (Leçon d'ollJiel tl/re.) Mes
s qui s'y consacrèrent. Je n'ai-pas l'intention de traiter dans une Ecole qui précisément compte parmi ses professeurs le
ujours su- périeur à celui des filles. 11 y a; là, matière pour une école . La folie alcoolique a été constatée- chez 4 !
Dans des tableaux joints à notre rapport sur la réorganisation des écoles départementales d'infirmiers et infirmières, no
tômes neurasthéniques ; 2" à M. le nI' Il. ;\I111ER, professeur à l' école du \'al-de-Grâce, Blessures du crâne et de l'en
antes leçons sur l'aliénation mentale qu'il fait aux étudiants de l' école de : '\antes, donnant ainsi un excellent exempl
z triste de signaler de telles.... erreurs administratives. « Une école Il infirmiers et d' infirmière; été heureusement
ragés. » Ce qui a été fait à Grenoble indique la voie à suivre : la Ecole ordinaire, enseignement général à l'hôpital ; -
II', ces agents pourraient être astreints il suivre les cours de l' Ecole de Nancy (enseignement commun à fous) et à suiv
t par la seule curiosilé de son es- prit vers un maître qui faisait école . En auditeur béné- vole et en inconnu d'abord,
n par échelon, à la haute situation à laquelle il était arrivé. A l' Ecole de Lasègue, il avait pris des ha- bitudes d'obs
nts de 12-)j ans dont l'anor- malité a été remarquée dans plusieurs écoles dont ils ont été suc- cessivement renvoyés, à c
tions pratiques et sera coin- pleten douze leçons ; il est fait à l' école de psychologie, 49, rue Saint-André-des Arts, o
ifs, par Matagne, 411. Enfants anormaux. Conférence sur les - - l' Ecole normale d'instituteurs d'Auxerre, par Wahl, 1
64 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
S DU SERVICE. PARIS AUX BUREAUX DU PROGRÈS MÉDICAL 6, rue des Écoles , 6. A. DELAHAYE & E. LECROSNIER ÉDITEURS
x, infirmes et valides ; - nous avons exposé qu'en créant la Petite école , destinée aux enfants idiots gâteux et valides,
reté pour le traitement du gâtisme ; c'était un annexe de la petite école . Nous avons obtenu non seulement la substitutio
élioration, nous avons vu diminuer le nombre des ophthalmies (2). Ecole . - L'instituteur que nous avions trouvé à notre
retraite et remplacé par M. Boutillier (7octobre). Les tables de l' école , semblables aux tables des réfectoires, ont été
on- venablement à l'enseignement par les leçons de choses. Petite école .-Le matériel a été amélioré et constitué de man
onseil municipal. VI HISTOIRE DU SERVICE Le 1er janvier la petite école comptait 16 enfants ; le 31 décembre, il y en a
n- virons. 23 enfants ont assisté à la distribution des prix de l' Ecole communale du Kremlin. Notons encore une séance
dul- tes, nous avons obtenu qu'ils continuassent à fréquen- ter l' école le matin et à les faire travailler aux jardins
ative existe pour les enfants. Des 126 enfants, 61 vont à la grande école {épileptiques, imbéciles, arriérés, pervers), 4
cole {épileptiques, imbéciles, arriérés, pervers), 46 à la petite école (idiots gâteux ou non, mais valides), 19 resten
e, mais on n'a rien pu en faire. Il est donc resté soit à la petite école , soit à l'infirmerie. Il passait parfois toute la
lieu le 6 fé- vrier et a surpris l'enfant pendant son travail, à l' école de Vitry; elle aurait débuté par une sensation
deux groupes : l'un comprend les enfants qui fréquentent la grande école et couchent dans deux dortoirs distincts ; l'au
es enfants idiots, infirmes, gâteux, dont une partie va à la petite école , l'autre res- tant jour et nuit dans la salle,
t d'infir- met'te tant pour eux que pour les enfants de la grande école . Cette réunion dans un même local, qui sert encor
la nuit, et le matin jusqu'à la des- cente des enfants à la petite école , l'atmosphère de cette salle est puante et insa
0 heures, quand tous les enfants valides sont descendus à la petite école , que les lits sup- plémentaires ont été enlevés
. Il ne sait ni s'habiller ni se laver. Il est envoyé à la petite école et soumis en particulier aux exercices de gymnast
fr. 50. - Pour nos abonnés.... , .......... 1 fer. 50 BOURNEVILLE. Écoles municipales des infirmières laïques; laïcisation
65 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Anatomie et physiologie pathologiques du tabès. - (Doctrines de l' école de Vienne contemporaines.) Par JULCS S 0 U R Y,
enne contemporaines.) Par JULCS S 0 U R Y, Directeur d'éludés à l' École pratique des Hautes-Études à la Sorbonne. u Heu
énés mis en traitement; ces établissements serviraient de modèle, d' école d'instruction et d'objet d'émulation pour les a
a soeur lorsqu'elles commencèrent à être grandes. Elles ont suivi l' école jusqu'à quinze ans et ont appris à lire et à éc
ux jumeaux dont nous allons donner l'obser- vation. Ils ont suivi l' école et ont appris tous les deux à lire et à écrire
Anatomie et physiologie pathologiques du tabès ' . (Doctrines de l' école de Vienne contemporaines.) Par Jut.cs S 0 U il
ne contemporaines.) Par Jut.cs S 0 U il Y, Directeur d'études d l' École pratique des Hautes-Études à la Sorbonne. « Ile
sultats, en particulier entre les mains de M. Bourneville et de son école , dont M. l3etllencourt-lcrreira mentionne « l'oeu
sions des recherches auxquelles il s'est livré sur 1 074 élèves des écoles de Washington. Il exprime le souhait que des obse
observations pourraient être la base de savantes .réformes dans les écoles et dans les cours et provoqueraient ainsi, sans
ésulte de nos recher ? ches faites au laboratoire d'histologie de l' Ecole de Médecine de Bennes sur des coupes fines d'en
, au point de vue ins- tinctif et moral, lui qui ne l'étudié qu'à l' école , c'est-à-dire à l'en- droit où l'enfant se mont
logie du système nerveux comme l'a fait l'oeuvre de Golgi et de son école . Les très nombreuses recherches qui ont été fai
u conjointement en médecine. L'auteur rappelle ici les travaux de l' école de Nancy et de l'école de la Salpêtrière, qui,
cine. L'auteur rappelle ici les travaux de l'école de Nancy et de l' école de la Salpêtrière, qui, dit-il, ont peut-être m
ui, dit-il, ont peut-être mis en lumière des lois d'égale valeur, l' école de Nancy ayant formulé la grande loi de la sugg
inq ans, est en train de faire sa classe. Le tonnerre tombe sur son école . Aussitôt elle perd connaissance et reste en léth
dans ses inconvénients exagérés par les religions et par certaines écoles mystiques, et par certaines écoles scientifique
r les religions et par certaines écoles mystiques, et par certaines écoles scientifiques; enfin chemin faisant l'hystérie,
tte, dans sa famille ; il était dans sa trente-quatrième année. , École pratique des hautes études. Laboratoire de psycho
ages. Paris, 1900. Imprimerie de la Semaine médicale . Danien (G.). Ecoles pour les enfants anormaux en Suède. - In-8° de
sage chez un bourrelier, en même temps qu'il suivait assidûment les écoles du soir pour acquérir de l'instruction. Intel-
patron, où il demeura plusieurs années, il se montra également, à l' école , excellent élève, au point de mériter plusieurs
e liquide céphalo- rachidien. DE XX. De l'importance médicale des écoles auxiliaires pour les enfants arriérés; pas- (de
ntéressants. En dehors de la Prusse, il n'y a pas encore beaucoup d' écoles auxiliaires, eu Allemagne, pour les arriérés. D
. Les classes auxiliaires donnèrent graduellement naissance à des écoles à plusieurs degrés. Il en fut de même pour Leipzi
ourvues d'installations de ce genre. A lrancforl-sur-le-\ieiu, où l' école en question fonctionne depuis onze ans, on vien
, les élèves, ndemnes de troubles visuels et auditifs, qui dans les écoles com- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 489 munales (pop
nte année, 47 garçons et 5 filles étaient mis à la disposition de l' école auxiliaire, ce qui fait 1/2 p. 100 pour les ? 0
iliaire, ce qui fait 1/2 p. 100 pour les ? 0.000 élèves environ des écoles primaires. 43 enfants seule- ment étaient admis
es primaires. 43 enfants seule- ment étaient admis, pa< ce que l' école auxiliaire ne reçoit que vingt à vingt-cinq enf
re ne reçoit que vingt à vingt-cinq enfants par classe, alors que l' école ordinaire en admet au maximum soixante pour les
ans jusqu'à la seconde classe A quatorze ans les enfants quittent l' école . L'enseignement n'y a lieu que le matin. En toute
lèves durent être transférés à l'asile d'idiots. Un put revenir à l' école ordinaire. Même alors qu'il a quitté l'école, l
ts. Un put revenir à l'école ordinaire. Même alors qu'il a quitté l' école , l'élève n'est pas perdu de vue. Il est diffici
tres ouvriers qui ont appris avec succès leur métier aux élèves des écoles auxiliaires de Diesde' et de Leipzig. La vill
nexées en'beaucoup de villes aux 490 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. écoles ordinaires, ou qui doivent leur être annexées (me
ins pratiques, comme le pensent aussi nombre de pédagogues, que ces écoles auxiliaires. Il existe une sorte de concurrence e
existe une sorte de concurrence entre ' les asiles d'idiots et les écoles auxiliaires. Quand les conditions sociales des
fants atteints d'imbécillité morale ont dû être tenus éloignés de l' école auxiliaire. En résumé : 1° le médecin a besoin
la collaboration des maîtres, de leur observation prolongée dans l' école ; 2° la sur- veillance par le médecin des écoles
ion prolongée dans l'école; 2° la sur- veillance par le médecin des écoles auxiliaires et, dans les petites villes, des cl
cation coercitive) ; u° les enfants qui ne font pas de progrès à l' école auxiliaire doivent être placés dans les asiles
es asiles d'idiots ; 60 il n'y a que l'institution des médecins des écoles qui puisse nous garantir le diag- nostic hâtif,
férences faites avec l'autorisation du conseil de l'Université, à l' Ecole pratique de la Faculté de médecine de Lille. In
in, 511. Archives de médecine expérimen- tale, 355. Arriérés. Ecoles auxiliaires pour les enfants -, par Laquer, 488
ollier, 503. Duboimne. Emploi du sulfate de , par Skeen, 235. Ecole pratique des hautes études : Laboratoire de psy
66 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
RICHER MEMBRE DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE PROFESSEUR d'ANATOMIE A L' ÉCOLE DES BEAUX-ARTS GILLES DE la TOURETTE PROFES
1 mois. Un peu de retard dans l'éruption dentaire. Il fréquenta l' école dès l'àge de 5 ou 6 ans et suivit régulièrement l
appelle- t-il pas terriblement l'âme des psychologues de l'ancienne école ? Je me permets de reproduire ici quelques lign
ialogues français- flamands composés au XIVe siècle par un maître d' école de la ville de Bruges), publié par H. Michelant c
oin. J'ai trouvé, en effet, il y a quelques années, un tableau de l' école hol- landaise, remontant vraisemblablement au m
me musée de Dresde se trouve un dessin attribué à Mat. van Helmont ( école flamande de la fin du xvn" siècle) qui représente
er au premier rang des figurations semblables qui nous a laissées l' école fla- mande (1). Les deux figures d'homme, réj
au lit et ne commença à parler qu'à trois ans. Elle n'alla pas à l' école et n'ap- prit ni à lire ni à écrire. A 18 ans
erre par pierre, l'édifice myopathique construit par Clarcot et son école est ébranlé et aucun des grands caractères qui
ns) allait, venait, courait comme les autres enfants, fréquentait l' école . Développe- ment physique et intellectuel norma
vait encore la possibilité d'aller, de venir, et suivait toujours l' école où il pouvait écrire très correctement. Mais le
Les personnages, leurs costumes et les acces- soires sonthien de l' école italienne; ils correspondent à l'époque où vivait
e façon magistrale. Les scènes purement médicales sont rares dans l' Ecole Italienne, qui regorge au contraire de miracles
gnalé autrefois, à propos de la Lèpre dans l'Art, une peinture de l' Ecole Toscane du xve siècle, dans la galerie des Office
nise a été peint par Pierre Longhi, peintre et graveur italien de l' Ecole 202 MARIA.NI. - l'apothicaire , vénitienne, q
ion du membre supérieur droit qui remonte à cinq ans. Il est allé à l' école jusqu'à l'âge de 16 ans sans remarquer aucune d
est qu'à 18 ans, lorsque le jeune homme reprend ses études dans une école industrielle, qu'il découvre, en écrivant, un tre
u'iLs'agit ici de quelque chose d'analogue à l'astasie- abasie de l' école française ou de l'atrémie de Nefter (Virchow's Ar
ce mémoire ont été faites au laboratoire de photo-radiographie de l' Ecole de médecine dirigé par M. le professeur Castex, l
e adaptation le travail varié d'un régiment d'artillerie (garnison, écoles à feu, manoeu- vres). Tout au plus, quelques tr
rbature de fatigue fréquente, se couche souvent, très fatigué par les écoles à feu. Transpirations fréquentes et abondantes
ue, 1901, no 5. LE MAILLOT DE L'ENFANT D'APRÈS LES PEINTURES DE L' ÉCOLE ITALIENNE. PAR , , J. GENEVRIER, Interne de
alliance des aptitudes artistiques et scientifiques chez le chef de l' Ecole de la Salpêtrière. A côté des documents cliniqu
Henry Meige, sous ces titre général : Les Peintres de la Médecine [ Écoles flamande et hollandaise) : les Pierres de tête,
ges aussi curieuses qu'instructives. Envers son fondateur, envers l' Ecole de Charcot, envers tous les tra- vailleurs, qui
cine, du Dr Paul Bicher, une oeuvre qui, basée sur les travaux de l' Ecole de Charcot, contient une collection passablemen
et encore adjectivé, en faisant seulement allusion aux travaux de l' école du maître. Charcot, et les autres auteurs franç
nalysé par M. Cartaz (1). Mais c'est surtout pour les peintures des Ecoles flamande et hollandaise que l'écrivain berlinoi
Henry MEiGE. Les Peintres de la Médecine. Samuel Van lIoogslmalen ( Ecole collait- daise), p. 192-201 (2 phot.). Henry
e), p. 192-201 (2 phot.). Henry MEiGE. Les Peintres de la Médecine ( Ecoles flamande et hollandaise). Les Opérations sur la
-188 (4 phot., 2 fig.). Henry MEIGE. - Les Peintres de la Médecine ( Ecoles flamande et hollandaise). Les Opérations sur l'
p. 316-320 (1 phot.). ' Henry Meige. - Les Peintres de la médecine ( Ecoles flamande el hollandaise), L'opé- ration sur le
phot.). Année 1897. Henry 1'IEIGE. - Les Peintres de la Médecine ( Ecoles flamande et hollandaise), Les Pédicures au XVII
., 9 fig.). Année 1898. Henry MEiGc. Les Peintres de la Médecine ( Ecoles flamande el hollandaise), Docu- ments nouveaux
phot.). Genévrier. -Le Maillot de l'Enfant dans les peintures de l' Ecole italienne (1 phot.). HExnYMEiGE. Documents comp
ractères anatomiques des jambes des statues égyptiennes (Revue de l' Ecole d'Anthropologie, février 1903). Leçon d'ouvertu
ropologie, février 1903). Leçon d'ouverture du Cours d'anatomie à l' Ecole des Beaux-Arts (25 novembre 1903). Pour l'étu
par F. Lejars, 37. Maillot de l'enfant d'après les peintures de l' école italienne (4 pl. photocollogr.), par Genévrier,
232. Genévrier. Le maillot de l'enfant d'après les peintures de l' école italienne (4 pl. en photocoil ? 406. Guillain
67 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e du regard d'autrui : « Alexandre Vrs., 21 ans, ancien (''imu de l' école réale. La ! "l'antl'Iuèrc jnalernellc, paralvsée
ue cela ne pouvait pas empirer. Mais tout à coup, un beau jour, à l' école , je passais les yeux baissés près d'un groupe d
diquer le fait suivant : lorsque j'étais dans la petite classe de l' école secondaire, c'est-à-dire à l'âge tic 1M3 ans, j
) Etude analytique minutieuse des Psychologische A l'beitm de " l' Ecole de Kroepelin, t. 1-1V., 189.') à 1902. Peut-être
'opérait par des concours régionaux dans les centres de facultés ou écoles de médecine comme cela se pratiquait autrefois
s auront lieu, par régions à déterminer, auprès des facultés ou des écoles préparatoires de médecine. L'in- demnité annuel
ice, signé E. DEVaux. » , « Comme on le voit par ce compte-rendu, l' école continue de fonctionner régulièrement. Deux foi
hysique des enfants. On n'a jamais perdu de vue que les élèves de l' école Saint-Yon sont toutes des enfants placées comme m
Yon sont toutes des enfants placées comme ma- lades à l'asile ; à l' école comme en dehors de l'école, elles reslent sous
placées comme ma- lades à l'asile ; à l'école comme en dehors de l' école , elles reslent sous la surveillance médicale. L
t, préfet d'Illc-el-Vilaine ; l'errin de la Touche directeur de l' Ecole de médecine et de pharmacie ; Oberthur, premier
diable, ni même ces modernes stigmates de la crimina- lité que l' école italienne voudrait pathognomoniquesdu type de c
onsidéra- bles résulteraient de la transformation en Faculté de l' Ecole de médecine actuelle : si l'on trace une ligne
é de la Société de neurologie ; Perrin de la Touche, directeur de l' Ecole de médecine et de pharmacie de Rennes. MM. Petr
rre ou de discipline. L'enseignement de la psychiatrie commencé à l' Ecole de Lyon, tant à l'hôpital Desgenettes qu'à l'as
le Dr D.\RCaNNE (de Fougères). - Lorsque plusieurs aliénistes de l' école italienne vinrent affirmer l'origine micro- bie
remière àttaque est rappor- tée à un effort : la fillette étant à l' école , s'est retenue très longtemps avant d'uriner.
traitement externe et de donner des bains aux enfants pauvres des écoles . (Rap. ni On, p. 8, 18.-2.) 222 CONGRÈS DES MÉD
s leçons à notre personnel, nous les avons étendues aux élèves de l' école d'infirmières et d'infir- miers de Bicî;Lre. Pu
de la première attaque est rappor- tée àun effort : la fillelte,à l' école , s'est retenue très longtemps avant d'uriner.
en chef de l'Asile de Froidmond et M. le D1' LEY, direc- teur de l' Ecole d'enseignement spécial d'Anvers. c) Psychologie
uelles elle a droit par ce que son jury ne peut plus être un jury d' école ni de coterie. Nous avons trop confiance en la
es du département. » (1) De même que dans d'autres asiles voisins d' Ecoles de méde- cine les corps non réclamés de St-héen
es de méde- cine les corps non réclamés de St-héen sont envoyés à l' école de Rennes pour servir aux études anatomiques .
dans le programme du Va asile de la Seine (Maison Blanche). B. « L' Ecole d'infirmiers et d'infirmières créée à l'hôpital d
el secondaire. Les infirmiers et infirmières suivent les cours de l' école de l'hôpital de Grenoble où ils reçoivent l'ensei
partie du Manuel de l'In- et de la garde-malade, en usage dans les écoles municipales de Paris et dans les écoles départe
e-malade, en usage dans les écoles municipales de Paris et dans les écoles départementales des asiles de la Seine, est con
roicImont-ll's-Tol1rnai, l'autre de M. lin. médccin- inspecteur des écoles de la ville d'Anvers, exposaient très lidèlcmcn
désormais assuré, d'un Congrès dont tout l'honneur revient la jeune Ecole neuro-ps,)cl11atrique belge. 11 a été clôturé b
uoses. Il est vrai que, le plus souvent, ils ont été formés à bonne école . Il existe, à Paris, de véritables écoles de simu
ils ont été formés à bonne école. Il existe, à Paris, de véritables écoles de simula- lion. Des hommes d'affaires ingénieu
tion en- ire ces derniers elles normaux, lierus et tolérés dans les écoles \ ordinaires, d'où la dénomination d'écoliers m
ce au mensonge pour permettre de recon- naître le Lye mental. A l' école où ils sont tolérés, les écoliers anormaux descen
nt d'une méthode spéciale, on arriverait aies rendre nor- maux. Des écoles seraient à créer pour eux, et dès qu'un anormal
ient à créer pour eux, et dès qu'un anormal serait signalé dans une école ordinaire, on le soumettrait à un examen Inolog
amender complètement, et leur per mettre de continuer il suivre une école ordinaire. Nous devons faire remarquer aux aute
Visite du service (gJI1na : ;lique, danse, fanfare, travail manuel, écoles , musées) et présentation de malades le smnecli
jamais été très intelligent, mais a toutefois lait quelques études ( Ecole d'agriculture). Du côté de sa mère, la taille e
atrie et qui fait hon- neur à la fois au 1) Bogues de Fursac et à l' Ecole de la Clinique de Sainte-Anne dont il aété et,
aide à l'hôpital mili- taire de Nancy, ltcosecLeur 11'analnmil' à l' école de Xancy, méde- cin-adjoint de l'asile (taliene
68 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ière. 48 PSYCHOPHYSIQUE. Malgré ces efforts, qui font honneur à l' école de la Salpêtrière et à son éminent maître, la p
tion. Les parents nous racontèrent que, pendant qu'elle était à l' école , elle se dressait subitement sur ses pieds et fai
9.) Enfin, cette question a été remise en honneur aujourd'hui par l' école de la Salpêtrière, dans les études sur l'hystér
pécialement ceux qui ont trait : aux transfigurations (Stefano de l' école de Giotto, Raphaël, Déodat del Mont, Groupes de
gislation païenne, vous emparer complètement des enfants ! 11 a une école qui le demande; mais j'espère que vous n'êtes p
petits cultivateurs, il arrive, à force de travail et de peine, à l' école polytechnique, et sort dans l'artillerie. Quelq
que l'on pouvait supposer, ce ne sont pas les officiers sortis des écoles spéciales (Polytechnique, St-Cyr, Navale), qui
nt d'an- ciens polytechniciens, 6 avaient passé par St-Cyr, 1 par l' Ecole navale : tous les autres sortaient des rangs. E
doit être plus fréquent chez ces derniers. Les officiers sortis des écoles se recru- tent parmi les enfants, qui, dès leur
se seraient fait sentir beaucoup plus tôt, avant même l'entrée à l' école , ou tout de suite après la sortie. Il n'en est
droit), pas d'autres maladies, sauf des furoncles. Il a fréquenté l' école de sept à dix-sept ans; il a appris à lire et à
il apprenait, puis après les accès il oubliait. On l'a renvoyé de l' école depuis le début de ses accès. Pas de kleptoma
t Bourneville, député de la Seine, directeur de l'enseignement de l' Ecole ; nous avons remarqué dans l'assistance MM. le D
d'abord il a été procédé à la distribution des prix aux élèves de l' Ecole municipaled'infirmiersetd'infirmièresdeBicêtre.
nts américains le 6 août 1825 à Halfruoon, il fit son éducation à l' école commune, à l'Académie de Bellefonte et au Décke
qui ont com- mencé l'ère scientifique actuelle de son histoire. L' école de la Salpêtrière a magistralement étudié et dé
toires et encore incoiiciliées : d'après l'une, que personnifie l' école de la Salpêtrière, il y a dans l'état hypnotique
'UNE hystérique HYPNOTISABLE. 323 D'après l'autre, que représente l' école de Nancy, il n'y a dans l'état hypnotique aucun
le débat. Son histoire nous semble en effet démontrer : 1° contre l' école de Nancy qu'il y a des caractères somatiques fi
ts de la sug- gestion dans certains cas d'hypnotisme; 2° contre l' école de la Salpêtrière que ces caractères somatiques
t que ces faits prouvent l'exa- gération dans laquelle est tombée l' Ecole de Nancy en disant que tous les procédés pour e
dort pas.Nous concluons donc qu'il est inexact de vouloir avec l' école de Nancy ramener la suggestion tous les procédé
ggère. C'est là un fait capital dans la dis- cussion entre les deux écoles . En second lieu, la sug- gestibilité fait la ba
y, ni dans les variétés ou états intermédiaires de l'une ou l'autre école . Comment la classer ? où la placer, comme pierr
males ; pas de maladies de peau, pas de migraines. [Père, maître d' école en Hollande, pas de détails, ni sur la mère. Deux
ement de M. Bardoux ? (A suivre.) VARIA DISTRIBUTION DES prix A l' École départementale D'INFIR- MIERS ET D'INFIRMIÈRES
toutes les grandes villes et surtout dans celles qui possèdent des écoles de méde- cine, des écoles d'infirmiers et d'inf
et surtout dans celles qui possèdent des écoles de méde- cine, des écoles d'infirmiers et d'infirmières avec un cours spéci
compris. Il a augmenté vos modestes appointements; il a créé cette école , il y a sept ans; il a volé des crédits pour fa
ent leur oeu- vre en perfectionnant l'enseignement donné dans cette école . Nous avons été chargé par une commission spéci
plômes. Ces diplômes serviront de base à l'avancement. C'est dans l' école de cet asile que l'administration prendra plus ta
à M. le Dr Taule, directeur de l'asile : Mesdames, Messieurs, L' école d'infirmiers et d'infirmières de Sainte-Anne, fon
re complètement cette cause d'infériorité en suivant les cours de l' école primaire. Je dois des félicitations à celles d'
Mais ne croyez pas que cela vous dispense de suivre les cours de l' école professionnelle. Vous seriez au contraire désor
69 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
er à quatorze mois. Pas de convulsions. A six ans, M... fréquente l' école ; elle y aurait été heureuse sauf dans la derniè
r. Elle paraissait calme. Immédiate- ment avant la chute, étant à l' école , elle dit à sa voisine : «,Je n'y vois plus bie
es, s'est améliorée sous tous les rapports. Elle travaille bien à l' école , fait parfois la classe à des compagnes moins a
uents, jusqu'à cinquante ( ? ) par jour avant, l'entrée. Renvoi des écoles . Placements multiples en appren- tissage. Accès
e. 10 h. 1/2, visite du musée-bliblio- thèque. 2 heures, séance à l' Ecole de médecine ; installation du bureau. 70 VARI
es, réception à l'hôtel de ville. iv Samedi 2. 9 heures, séance à l' Ecole de médecine. Discus-;S cussion de la 2e questio
l'asile ; communications diverses. , Mardi 5. 9 heures, séance à l' Ecole de médecine. Discus- sion de la 3e question : L
de cours des ma- ladies mentales, en exercice dans des Facultés ou Écoles de médecine de l'État ; 3° trois directeurs méd
égés ou les chargés de cours seront elioi- sis dans des Facultés ou Écoles différentes. Les directeurs médecins, et les mé
. Ces jours-ci, deux petites filles d'Etur- queraye revenaient de l' école de Brestot, lorsque le nommé Joseph Langlois, â
Montargis, était pris subite- ment, presque en face de la maison d' école de Givraines, d'une attaque d'épilepsie. Il tom
arché à douze mois, a parlé à peu près bien à dix-huit mois, va à l' école depuis deux ans déjà. Ne sait pas.lii-e encore.
comme, tout marié qu'il était, il avait suivi pendant vingt ans les écoles de théologie des Dominicains, il était le conse
ergoteurs qui faisaient asseoir le syllogisme dans les chaires des écoles et, quoique femme et nonne, Thérèse fut de son
peler les cours libres professés à l'hospice de Bicêtre (1867), à l' Ecole pratique (1876- 1877) et à la Salpêtrière (1884
re; elle apprenait bien. Deux ans de cela elle a fini son cours à l' école diocésaine. En automne de l'année 1897, elle en
crétaire général du Congrès ; M. le docteur Bordier, directeur de l' Ecole de Médecine. Dans l'assistance, de nom- breux p
S. Say, maire de Grenoble; M. le docteur Bordier, direc- teur de l' Ecole de Médecine ; M. le docteur Dufour, ancien dépu
rdier, l'éminent anthropologiste et socio- logue, le directeur de l' Ecole de Médecine de Grenoble, devenue entre ses main
de Grenoble, comme l'un des plus distingués représentants de cette école de psycholo- gie scientifique dont le principe
, le Musée, la Biblio- thèque, les Congressistes se sont réunis à l' Ecole de Médecine où les a reçus M. le Dr Bordier, di
l'Ecole de Médecine où les a reçus M. le Dr Bordier, directeur de l' Ecole de Méde- cine de Grenoble, qui a prononcé le di
LE D1' Bordier Messieurs, Je suis heureux de saluer, au nom de l' Ecole de Médecine et de Pharmacie (j'ajoute au nom du
annuelles. Je me sens fort honoré d'avoir à accueillir, dans cette Ecole , les confrères, les collègues et les maîtres émin
artiennent. Si vous avez été conduit ici par votre sympathie pour l' Ecole de Médecine de l'Université de Grenoble, sympat
s plus néces- saires au médecin. Vous appartenez d'ailleurs à cette Ecole de psy- chologie expérimentale qui caractérise
as retarder plus longtemps vos travaux. Vous allez tenir dans cette Ecole la plupart de vos séances. Vous êtes ici SOCIÉT
dies vénériennes et cutanées reconnues susceptibles de guérison, et école d'accouchement, l'établissement de Saint-Robert n
ils municipaux votent les crédits utiles pour la création d'asiles- écoles interdépartementaux; « Que l'Assistance et l'Ed
AIIf. 1Gs ET niamE. Cette séance a eu lieu dans l'amphithéâtre de l' Ecole de méde- cine, mise gracieusement par son direc
Rien de particulier dans ses antécédents personnels. Elle a été à l' école où elle a appris à lire et à écrire. Le début d
L'asile fournit en moyenne, par an l ou 16 corps non- réclamés à l' école de médecine de Grenoble, parmi lesquels en moye
ce à quatorze mois, qui - ont laissé des cicatrices; plus tard, à l' école , ses camarades se mo- quaient d'elle, ce qui l'
psychiatrie. Ses cours furent également suivis par les élèves de l' Ecole de santé militaire et tous les mé- decins de l'
cation de Binet relative à la sugges- Libilité des enfants dans les écoles : cet auteur les divise en quatre catégories :
nt pourtant ; on en trouve des exemples dans les familles, dans les écoles où ces enfants sont qualifiés d'arriérés ou d'ini
arbouilla ensuite la vulve avec de la graisse à voitures. Placé à l' école d'enseignement spécial, cet enfant qui jusque-là
l. Les moyens employés ont été, outre la disci- pline générale de l' école , la gymnastique rythmée au son de la musique, l
e; l'enseignement anli-alcoolique, déjà largement pratiqué dans les écoles , casernes, etc. Puis la for- mation de sociétés
venir, mais ces moyens doivent être em- ployés de.bonne'heure dès l' école ou la caserne, avant que l'habi- tude ne soit i
70 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
nte direction. Elle ne péri- clitera pas, car Charcot fut un chef d' École et ses élèves sauront perpétuer son oeuvre. N
F. Raymond de devenir effectivement notre directeur scientifique. L' École de la Salpêtrière n'a pas de représentant plus
ice, berceau de la ncuropathologie française. Appartenant à la même École ,, M. A. Joffroy, titulaire de la chaire de clin
. Il n'a jamais été malade jusqu'ici. Quoiqu'il ait peu fréquenté l' école , il a cependant appris à lire, à écrire et à co
6 sont forts à la Halle, 4 sont gymnasiarques, dont 2 sergents de l' Ecole de Join- ville-le-Pont, 3 sont lutteurs de prof
à l'âge de sept ans. A partir de cette époque son père l'envoie à l' école où ses maîtres n'ont jamais rien pu faire de lui
ES 191 LES PEINTRES DE LA MÉDECINE SAMUEL VAN llOOGST RAATEN - ( école hollandaise) par - - HENRY MEIGE. La peintu
N - (école hollandaise) par - - HENRY MEIGE. La peinture de l' Ecole Hollandaise mérite, à plus d'un titre, d'attirer
s qualités d'observation de leurs auteurs. Les deux tableaux de l' École Hollandaise reproduits et analysés ci- après, r
e la correction du dessin et la fraîcheur du coloris, et appris à l' école de Rembrandt l'heureuse dis- tribution des lumi
- drecht, philologue érudit, devint professeur, puis correcteur à l' Ecole latine d'Amsterdam. Il a laissé plusieurs tradu
E LA SALPTJ(It.IH : . T. VIII. PL. XXXIV. « LE CONVIVE INDIGNE O ( Ecole de Rtllllbrllllllt.) au kiwi; Muséum d'Amsterda
e série de vingt-cinq panneaux sur bois, peints par un inconnu de l' Ecole Flamande du XIV. siècle et représentant la vie
u'il s'agit d'attribuer un nom d'auteur aux toiles non signées de l' Ecole de Rembrandt, et l'on com- prend que le Convive
) BnouAuDEL. Sur le surmenage intellectuel et la sédentarité dans les écoles , Bullet. de l'Acad. de médecine, 21 juin 4887.
es. L'Anthropologie, n° 3-4, 1895. - LES PEINTRES DE LA MÉDECINE ( Ecoles flamande et hollandaise). LES OPÉRATIONS SUR LA
LES OPÉRATIONS SUR LA TÈTE par HENRY MEIGE. Les artistes de l' École flamande et de l'Ecole hollandaise ont excellé
TÈTE par HENRY MEIGE. Les artistes de l'École flamande et de l' Ecole hollandaise ont excellé dans la peinture des sc
oeuvres d'art sont conformes au goût et à l'esprit des artistes de l' école flamande et hollandaise. En dehors de leurs q
e Bosch ou Bos, est un des plus anciens représentants de la vieille école hollandaise du XVc siècle. Il fut, dit-on, un des
le précurseur des réalistes et des moralistes qui font la gloire des Ecoles flamande et hollandaise, les Bruegel, les Brauw
.. x Il existe, au musée d'Amsterdam, dans la salle de la vieille école hol- landaise un tableau attribué à J. van Aeke
ui attri- bue pas de nom d'auteur. Il est porté comme appartenant l' école hollan- daise du XVe siècle (1) et intitulé « O
rniers représentants, avec les Pourbus et les Claeis, de la vieille école nationale d'Anvers qui'résista quelque temps à l'
rado, à Madrid, où sont réunis tant de chefs-d'oeuvres des vieilles écoles flamandes et hollandaises, se trouve un tableau
l'histoire de l'épidémie de tétanie qui sévit à Gentilly clans une école de filles et donna naissance aux rapports d'Ilill
e malade quitte l'hôpital le 20 mai LES PEINTRES DE LA MÉDECINE. ( ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE). LES OPÉRATIONS SUR LA
urs. Frans Hals le jeune. Peintre hollandais (i6n( ? )-i6G9). L' Ecole hollandaise possède un représentant bien curieux
revenu en zip4.0 se fixer dans sa ville natale, à Utrecht. Il y fil école , et mourut en 1652. Ses Paysages italiens sont ré
rres.... CONCLUSIONS. L'étude critique désoeuvrés artistiques des écoles lia mande et hollan- daise représentant des Opé
. Samuel Van 7yooys< ! *aa<e) ! (la Mala- de), XXXIII. r. Ecole de Rembrandt (le Convive indi- gne), XXXIV. -
71 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
quelque chose qui puisse faire douter de ses facultés mentales. A l' école du village où je l'envoyais, je n'ai jamais su qu
t contre les ravages du crime, c'est d'appliquer les principes de l' Ecole positive mo- derne, si bien mis en lumière par
ut des crises ner- veuses convulsives lorsqu'on le contrariait. A l' école son dévelop- tement se fit assez bien, quoiqu'i
. Prix : 50 fr. M.Jules Soury, professeur et directeur d'études à l' Ecole pratique desHautes Etudes, à la Sorbonne, vient
de Sommer- ring, de Kant, de Gall, de Flourens, de Bouillaud, de l' École de la Salpêtrière, de Hurdach, de Baillarger, e
tituteur m'a affirmé qu'une bonne moitié des enfants arrivaient à l' école en état d'ébriété. Les hommes boivent chez eux
quatre heures, FAITS DIVERS. 191 les petites filles, retour de l' école , rentrèrent à la maison, où elles trouvèrent le
tions. Il passe ensuite aux auteurs italiens : l'im- portance que l' école deLombroso attache aux sigmates de dégé- néresc
T PATON. (The New York Médical Journal, 3 septembre 1898.) . Deux écoles sont en présence, relativement à l'étiologie de l
et bien en relief que ces établissements doivent être des asiles- écoles afin de soumettre ces infortunés au traitement mé
nsuite la création de classes spéciales annexées à une ou plusieurs écoles municipales ordinaires pour les enfants arrié-
ôle pathogénique des hallucinations sur le délire, rôle admis par l' Ecole française ; pour lui la conception délirante pré-
sorte de réforme sociale, en luttant contre l'alcoo- « lisme dans l' école , dans l'armée, dans la marine, dans la classe «
s divers milieux. Le chapitre consacré à l'armée, montre qu'après l' école , c'est peut-être le terrain le plus propice à l
es- sité d'améliorer les logements ouvriers sont mis en évidence; écoles ménagères, cafés et restaurants de tempérance bas
Il repousse toute idée de responsabilité atténuée et n'admet avec l' école anthropologique moderne qu'une responsabilité à
e vous dire la grande part qu'il a prise dans la fondation de cette Ecole de Sainte-Anne où il établit pour la première f
nt jeune, si ce n'est la scarlatine à l'âge de trois ans. A été à l' école jusqu'à qua- torze ans ; apprenait facilement m
ints sont à noter dans cette colonie, d'abord l'établissement d'une école d'infirmiers et d'infirmières où sera enseigné sp
à l'émotion ressentie. Religieuse folle. La soeur directrice de l' école communale de filles, à Breil, atteinte d'aliéna
e. Les porteurs, les membres de la famille, l'instituteur chef de l' école protestante et le bourgmestre ont seuls été aut
if; il a peur de l'orage par exemple. Il n'a pas de mé- moire : à l' école , sitôt appris, sitôt oublié, nous dit-il. Vient
els. - Ne se rappelle pas avoir été malade pendant sa jeunesse. A l' école , à l'âge de huit ans, apprend à lire et à écrir
d à lire et à écrire, mais difficilement. A treize ans, il quitte l' école et devient garçon jardinier chez son oncle qui
nfance, C... Georges a été un débile, un indigent intellectuel. A l' école , il n'a rien appris ; il ne s'intéressait à rie
faciale, caractéristique de la dégénérescence mentale. Il a été à l' école pendant cinq à six ans, mais n'a pu acquérir qu'u
euse, s'emporte pour rien. Antécédents personnels. - C... a été à l' école pendant huit années, mais n'a jamais pu apprend
res dessus, P. A. P., une statue de femme..., un enfant qui va il l' école , une route, une charrette et le cheval, un chien
n jeune homme atteint d'incontinence d'urine venait d'être reçu à l' Ecole navale. Très affecté de son infirmité, craignan
Nancy) expose en quoi il diffère de M. Liébeault, le fondateur de l' école de Nancy. L'hypnotisme n'est un état ni anormal
né. L'enfant passa ses premières années au village, fréquentant l' école , la vieille église et la lisière de la forêt vois
a en peu de temps les connaissances que l'on pouvait acquérir à l' école du village, où il aidait le maitre à faire sa cla
bligation scolaire et de supprimer de ce fait les vagabondages et l' école buissonnière. Nos écoles ne sont pas assez spac
supprimer de ce fait les vagabondages et l'école buissonnière. Nos écoles ne sont pas assez spacieuses ? qu'on les agrand
, qu'on se décide à créer les classes spéciales annexées ou non aux écoles primaires, dont M. Bourneville demande depuis s
bibliographie. 541 1 ganisation '. Que les petits réfractaires de l' école soient traqués, comme en Angleterre, qu'on prat
devant un tribunal compétent. Chaque département pourrait avoir son école de réforme, ou, si son budget ne le permet pas,
et pas, s'entendre avec les départements voisins pour instituer des écoles interdépartementales 2. Il est évident qu'il fa
eurs systèmes ont été imaginés et essayés pour l'organisa- tion des écoles de réforme. Il y a d'abord le système de caserne-
dais combiné avec le système de famille, serait presque l'idéal : l' école Lepelletier-Saint-Fargeau l'a, à peu près, mis
être cher, mais on économisera en prisons, ce qu'on aura dépensé en écoles et il y aura eu des crimes en moins. Le dress
72 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
etc., états que l'on tend aujourd'hui, à la suite des travaux de l' Ecole allemande, à grouper sous le terme générique de
ouble forme ; c'est la période française par excellence, celle où l' Ecole psychiatrique de la Salpêtrière a brillé d'un s
il. la science mieux que des espérances : c'est grâce à elle que l' école Laitier a pu être fermée, et que la feigne RE
y a quelques années un prétendu liseur de pensées a été étudié à l' École de psychologie. 11. Paul Farez a nettement mont
M. l'Inspecteur se félicite, pour l'humanité, de la va- leur de l' école psychiatrique française. Le Conseil supé- rieur
l le remercie de l'allusion faite dans son rapport aux travaux de l' Ecole lyonnaise sur la typho-psychose, travaux sur le
trie pédagogique en rapport avec la crainte du surmenage mental à l' école ; par ETTOL&#x152; (111 Kioista di xxcurolop
e-t-il vraiment une proportion entre la somme de travail exigée à l' école et la capacité mentale des élèves ? » L'auteur a
résultats obtenus par un travail d'une heure, en expérimentant à l' école publique de garçon, conclut que : 1° La quant
nuant (nec chaque quart d'heure ; 3° Le travail accompli dans les écoles dans une heure de l'après- midi est moindre en
i, le travail produit par les écoliers dans les derniers jours de l' école , pendant une heure, représente une quantité plu
ire probable ; i Par le D' .1. CRESPI.N. Professeur suppléant à l' Ecole de Médecine d'Alger. flot,. Marie, espagnole, â
un médecin aliéniste à toute prison de quelque importance, à toute école de réforme, à tout refuge pour mendiants et vag
e si on veut réduire dans de notables proportions la population des écoles de réforme ainsi que des dé- pôts de mendicité
lièrement des récidivistes. Pour cela il n'y aurait qu'à fonder une école de réforme, genre Lis- mira, à la tête de laque
ar conséquent, la folie gémellaire rentre de plein droit, d'après l' école alle- mande, dans la démence précoce, bien qu'e
ogues à celles qui ont déjà été faites pour l'alcool, le thé, par l' école de Kroepe- lin, c'est-à-dire préciser, dans les
ropiés. Nous en extrayons le passage suivant : L'organisation des écoles pour infirmes doit présenter des caractères spé
s enfants infirmes à domicile, en voiture ; on les garde à midi à l' école et on les \' nourrit. Le rez-de-chaussée forme
di à l'école et on les \' nourrit. Le rez-de-chaussée forme foute l' école ; on évite de cons- truire des escaliers et des
ore ' que les enfants sont conduits en voilure de lenr domicile à l' école , qu'ils sont nourris et ramenés le soir chez eu
. - M. Bourneville. Visite du service (gymnastique, travail manuel, écoles et, présen- tation de malades) le samedi à 10li
bien appris en classe, a eu son certificat d'études ; il reste à l' école jusque 14 ans et demi, puis apprend l'ébénister
les Voisin. Depuis quelque temps on a trop tendance il renvoyer des écoles et à qualifier d'anormaux des enfants qui sonl
ôlé des enfants profondément tarés, confiés à M.Jules Voisin, à son Ecole de réforme de la Salpêtrière, il existe toute u
propre qu'à l'âge de 7 ans. Vers la cinquième année on l'envoie à l' école mais elle n'a rien pu y apprendre, et on la ren
idité dans l'étiologie des psycho- névroses. Dans la famille et à l' école ,à force de faire aux enfants des remontrances e
toute trace dans la conscience de l'homme sain d'esprit. Aussi l' école italienne ne voit-elle dans les divers phénomènes
é le précède, due à la plume de M. le Dr Tiiiiiié,dii,ec- teur de l' Ecole d'anthropologie de Paris; d'intéressantes planche
ariations). La sexualité a été dénaturée par la civilisation (haute école de la débauche) ; son exploitation, avec celle
aire de l'homme par un an de service dans les hôpitaux, à 18 ans. L' école de l'avenir devra être organisée comme les Land
revue les différentes écolesdedroitpé- nal et fait la critique de l' Ecole classique qui repose sur la loi morale et de l'
critique de l'Ecole classique qui repose sur la loi morale et de l' Ecole de Lombroso, exagération d'une idée juste. « Ce
pédagogique en rapport avec la crainte du surmenage mental à l' école , par Patini, p. 146. Psychoses. Les lésions c
73 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
isé. Dès qu’il y fut, celui-ci l’apostrophant, lui dit : « — Va à l’ école , mauvais gamin, on n’a pas besoin de « toi ici. »
nous ne conservons rien de cet ébranlement passager. La science des écoles est donc la plus vaine des sciences, car les homm
iostro fut le dernier prêtre. Le magnétisme, tel qu’il est sorti de l’ école mes-mérienne, devait donc être le suaire de la ma
, auteur de plusieurs traités sur l'illuminisme, devint le chef d'une école de mysticisme, connue par la suite sous le 110111
trange de la conscience a rencontré de nombreux apologistes parmi les écoles du spiritualisme, et des hommes d’une haute intel
ante, régulière, et leur variété infinie, ont donné naissance à trois écoles : Les spiritualista, /es fluidistes e/ /es Merf
e ville de la Petite-Tartarie (la Boukharie), renommée alors pour ses écoles d’astronomie, fut si indigné contre Alkendi de l’
de son noir dessein qu’Alkendi faisait leçon publique, et il va à son école , en habit d’étudiant, son poignard sous sa robe.
le i motif sanguinaire qui vous amène, et jeter ici, au milieu « de l’ école , le poignaid que vous avez apporté pour me « tuer
Mieux vaut pour vous conserver les illusions de la fausse science des écoles . N’allez point, croyez-moi, sans noviciat, cherch
dans le plus grand nombre des cas, et puisant aux sources mêmes de l’ école dont il est sorti ses meilleurs arguments, il fla
sposition une série d’articles inédits. M. Olivier appartient à cette école consciencieuse du magnétisme, qui a pour chef M.
trouvé par Mesmer, a porté un rude coup à ce qu’on pourrait appeler l’ école de l’impuissance. En offrant le spectacle de fait
verte du magnétisme, il en est la conséquence logique. La science des écoles aura beau repousser, rejeter l’agent de ces merve
sur le compte de l’illusion ou du mensonge. Lorsqu’on appartient à l’ école philosophique du dix-neuvième siècle, on confond
théorie du comte de Szapary. Je me bornerai à dire qu’il a fondé une école nouvelle, qui s’écarte entièrement de l’applicati
et Descartes. — M. du Potet reprend les idées do Mesmer et établit l’ école physique du mesmérisme. — Puysé-gur et Dcleuzc on
it l’école physique du mesmérisme. — Puysé-gur et Dcleuzc ont fondé l' école somnambulique. — Principe du dégagement des crisi
ue celui-ci, et cependant il fut condamné, au nom d’Hippocrate, par l' école de Paris. Si jamais justice médicale lui est rend
toire du mesmérisme, il faut passer sur un demi-siècle et arriver à l’ école du Potet ; car, éblouis par le somnambulisme, Puv
. M. du Potet reprend les idées de Mesmer, et constitue une véritable école ; et ici, ce n’est pas parce que je suis élève pr
ns le mesmérisme physique, et si nous sommes sûrs, nous élèves de son école , de produire des convictions partout, c’est que n
-ils les bals comme si dangereux pour les mœurs ? Parce qu’ils sont l’ école d’amour la plus commune ; parce qu’ils furent le
l’électricité de nos machines, n’est pas sans lien avec elle. Cette école , dont M. Mateucci a tenu le drapeau d’une main as
non acceptés par eux, omni re sribiti et quibusdam œliise. A cette école appartient M. de Morogues. Son œuvre paraît le
ne pourra plus être compromis par le charlatanisme, et la science des écoles sera sommée de rendre ses comptes. Mais de ce q
neutre du bien à faire, je fais appel aux magnétiseurs de toutes les écoles , persuadé que chacun désire avant tout le triomph
re tous. 11 rapporte que, l’hiver dernier, une jeune fdle, élève de l' école de l’endroit, perdit une bague appartenant à une
vres plus admirables; les sceptiques seront confondus, la science des écoles pâlira devant la nouvelle science, car celle-ci e
nullement que nous devrons lui reconnaître le caractère que certaine école voulait lui attribuer. Ainsi les encyclopédistes
les bourreaux et en insultant aux victimes ; il fait justice de cette école surannée qui n’a rien oublié, qui n’a renoncé à a
ingt-six ans, qui n’a reçu que fort peu d’instruction dans une petite école . Il n’aimait pas l’étude et il n’a pas eu le lois
s — que trouve-t-on ? De sublimes clartés. Et iriez-vous cent ans à l’ école de nos grands savants, de ces professeurs illustr
l’homme. Arrivé aux temps modernes, il divise en sbc le nombre (les écoles qui ont donné des règles pour exercer cette influ
ont donné des règles pour exercer cette influence. Ce sont : « 1° L’ école de Mesmer et de Desion, qui fut débordée presque
de Mesmer et de Desion, qui fut débordée presque subitement. v 2° L’ école du marquis de Puységur : c’est la découverte du s
u marquis de Puységur : c’est la découverte du somnambulisme. «3° L’ école spiritualiste de Lyon : visions du chevalier Barb
école spiritualiste de Lyon : visions du chevalier Barbarin. « ù° L’ école exégétique de Stockholm : extatiques illuminés.
« ù° L’école exégétique de Stockholm : extatiques illuminés. « 5“ L’ école de Deleuze, récente, marchant au progrès. « 6°
és. « 5“ L’école de Deleuze, récente, marchant au progrès. « 6° L’ école moderne, qui a puisé dans toutes les précédentes.
« 6° L’école moderne, qui a puisé dans toutes les précédentes. « L’ école moderne, à la tête de laquelle brillent des savan
me ; j’irai le chercher dans sa chaire, dans ses livres, au sein de l’ école ou de FAcadémie, afin de lui appliquer la loi du
les Bouillaud, ces autorités de l’armée des savants, ces maîtres de l’ école , n’auront qu’un mot à dire pour te pulvériser!...
74 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ter 1 nus ? Màaie q (l'Université3 de 1\Yisconsin,|n'ayànt,'qu'unef école 'préparatoire'1 1, aux1 études^médicales^et' la
ir'e'de psychologie physiologique de la Sorbonriel; qui'dépend de l' École pratique des Îia-iitês'Et'ûdes ? fût--dûs-s'i'àb6
agogique, annexe des cours d'été, destinés aux professeurs d'autres écoles , qui viennent à l'université travailler pendant
tut de Psychologie expéri- mentale, qu'on pourrait comparer à notre Ecole d'Anthropo- logie de Paris, qu'une université a
Fuerstner.^ Les' grands asiles pourraient au besoin, construire des écoles de natation. M. Stark. ? A Stephansfeid on util
en même temps, dans cet hospice où leurs maîtres avaient déjà fait école , l'enseignement clinique et public des mala- di
x maîtres que nous honorons aujourd'hui, brille de tout son éclat l' École de la Salpêtrière. M. Falret, dans le livre sur
Esquirol, de Baillarger, de Falret qui personnifient la florissante école de la Salpêtrière, ce berceau, ce foyer de la psy
seront traités, les sujets proposés ; visites aux asile, hôpitaux, école , Facultés, curiosités locales, Royat, musées; s
tremblements (Thèse d'agrégation, Paris, 1872), et. dont se sert l' Ecole de la Salpétrière, se compose d'un tambour à réac
e l'église dans laquelle elle a fait sa première communion, ou de l' école qu'elle a fréquentée étant enfant. On se rappel
à la parole, à l'écriture, et à quelques connaissances apprises à l' école , sont demeurées dans son esprit à l'état de sou
- betta, Thiers ou Ferry. C'est que les faits d'histoire appris à l' école par coeur et dans l'enfance se fixent solidemen
trois maîtres qui surent créer et faire vivre à la Salpêtrière une école dont il ne sied pas de dire trop de bien. La mé
es activités groupées autour d'un maître, constituent l'oeuvre de l' École de la Salpêtrière. Mais, messieurs, une école de
tituent l'oeuvre de l'École de la Salpêtrière. Mais, messieurs, une école de la Salpêtrière existait avant Charcot, avant
Moreau, des Baillarger, et celle de Charcot ? A vrai dire, les deux écoles , avec des points de départ différents, tendaient
? ' Tout n'est pas terminé cependant, et les deux branches de' l' École de la Salpêtrière ont encore quelque distance à p
ut les remplacer. M. Pullman a fondé une bibliothèque publique, des écoles , des églises, un théâtre. 11 existe dans la ville
u un buveur d'eau-de-vie. Pour remédier à ce mal, on a institué des écoles de cuisine; on a fait des lois sur le travail d
ppelle beaucoup mieux les souvenirs anciens, notamment les leçons d' école et l'écriture sténographique apprise autrefois, m
E. (Neiii,olog. (;eiiti-albl., 1893.) Mémoire résumant les diverses écoles à localisations et essayant de les mettre en co
harles VI. M. Auguste BRACHET, ancien examinateur et professeur à l' École polytechnique, lauréat de l'Institut, lit une n
yen des congressistes, M. le Dr FaLRET, M. Bousquet, directeur de l' Ecole de médecine de Clermont-Ferrand,a bu encore une
d'académie ; Lécuellé, maire de Clermont ; Bousquet, directeur de l' Ecole de médecine; Pellet, doyen de la Faculté des sc
érale et de philosophie médicale, la vieille théorie vitaliste de l' école de Mont- pellier, et déclare que les dernières
M. les médecins des districts du grand-duché de Bade de retirer des écoles communes les enfants épileptiques dans l'intérê
ment ce qui est fait en France, en ce qui concerne l'exclusion de l' école , mais malheureusement on n'a nul souci de secou
ur en médecine, professeur de psychologie expérimentale, élève de l' école allemande. Ce laboratoire est vaste et renferme
e université qu'a d'ailleurs été fondée The philosophical Review. L' école de philosophie de Cornell est aujourd'hui bien
e, que nous avons eu l'occasion de voir à Cornell, qui a doté cette école , en 1886, pour perpétuer la mémoire de sa femme.
Comme l'a dit M. de Varigny, il y a aujourd'hui aux Etats-Unis une école de psychologie, jeune encore, qui prend chaque
liénistes de l'Allemagne du Sud, en y admettant les professeurs des écoles supérieures, afin de rayonner sur la neu- ropat
candidats de Paris justifieront, en outre, de leur inscription à l' Ecole de Pharmacie. Toute demande d'inscription faite
i elle manque d'instruction, ses parents ne l'ayant pas envoyée à l' école , elle n'est pas dépourvue d'intelligence. Réglé
t avoir été la forte têle de la famille; à treize ans elle quitta l' école où elle s'était montrée intelligente et stu- di
tion en ce qui concerne la proportion comparée des enfants dans les écoles de réformes ou de correction pour ces différent
lume in-8" de 264 pages. Paris, 1894. Au Siège social : 41, rue des Ecoles . Déjemne. Anatomie des centres nerveux, avec la
75 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
UE Par les Drs L. DTJMÉNIL, professeur de clinique chirurgicate à l' École de médecine, et PEfEL, chirurgien en chef de l'
z les enfants; par Pelizoeus. (Arch. f. Psych., XIV, 2.) De trois écoles populaires dill'érentes de Berlin, l'auteur a exa
bstétrique et de pathologie spéciale de la femme et des enfants à l' Ecole de médine de Valence. » Pour le D'Campa, le siè
e. Ce n'est pas tout. Les maisons de tolérance sont de véri- tables écoles de débauche, dans lesquelles les jeunes gens vont
le gouvernement brésilien à la chaire de biologie industrielle à l' école polytechnique de Rio. En 1879, il avait install
ll : ^ Parles D L.DUIÉ\IL, professeur de clinique cllirurgicale à l' École de médecine, et PETEL, chirurgien en chef de l'
posé qui néanmoins ne tarde pas à être pris à son tour. C'est à l' école , c'est dans la famille, que le profes- seur ou
; H" notre malade; 6° fille, six ans et demi, bien portante, va à l' école ; 7° fille, morte à dix-huit mois d'une méningite
t ce qu'on lui disait, essayait de se rendre utile. Il est allé à l' école où il apprenait bien. DU CURARE DANS LEI'ILEL'S
)0 jours jusqu'à 10 grammes. 4 juillet. A fait assez de progrès à l' école ; lit demi-couram- ment ; est plus intelligent.
béissant, très joueur; n'est pas méchant; fait quelques progrès à l' école et à la gymnastique. Suppression des douches; i
décembre. Suppression de l'hydrothérapie. Progrès peu sensibles à l' école , etc.; mémoire faible. Malgré les douches, les
pleure abondamment quand on le voit. i"j'UH ? Quelques progrès à l' école ; il serait taquin envers ses camarades. 8 jui
hydrothérapique. 13 décembre. L'enfant ne fait plus de progrès à l' école ; il est devenu paresseux, taquin, malpropre.
r)'c[<'(t'nM) : t/t ! /f'o</t'(tptue. 12 juin. Les notes de l' école constatent que .Mul.... décline chaque jour. Il
is ; - presque toujours uriné au lit jusqu'à onze ans;it allait à l' école du pays où il apprenait bien. Les accès de colère
as d'hallucinations de l'ouïe; appétit bon. U mai. - Les notes de l' école , de la. gymnastique, etc., cons- tatent qu'il e
6. 26 octobre. Revacciné sans résultat. 30 décembre . Progrès t l' école . Période d'agitation ma- niaque à la suite d'ac
essation du traitement hydrothérapique. 4 décc2nbre.-Les notes de l' école sontassez bonnes, toutefois l'on constate une d
e, ttf)'</. Traitement par l'hydrothérapie. Juin. Les notes de l' école , du tailleur, etc., sont assez bonnes. Cres...
ches, bromure de potassium. Décembre. Les notes du tailleur et de l' école sont bonnes; l'enfant fait des progrès; la mémo
ISCOURS prononcé par M. LE Dr Dagonet LA distribution des PRIX DE l' école d'infirmières laïques de l'asile Sainte-Anne. M
IQUE Par les D" L. DUMÉNIL, professeur de clinique clirurgicale a l' École de médecine, et PETEL, chirurgien en chef de l'
s convul- sions. De dix à seize ans, on a essayé de le mettre à l' école , mais il n'apprenait rien; il se mettait eu col
es continuelles. Dès son en- trée, le 28 mai 1868, il a fréquenté l' école de Bicêtre, où il n'a rien appris; il n'a pas e
lui avec le secours des machines, des instruments en honneur dans l' école moderne. La débilité mentale de l'accusé n'excl
plus grande prudence, on 416 SOCIÉTÉS SAVANTES. n'ait pas fait d' écoles ? Evidemment on a eu des mécomptes, des difficu
rendu minutieux du fonctionnement du ser- vice au point de vue des écoles et des occupations diverses pro- curées aux pet
e 29 mars, sous la présidence de M. A. DUVE11GEII, pro- fesseur à l' Ecole de Droit. Après avoir entendu une allocution ch
mt-Anne - (discours de AI. Daonet 1 la distribution des prix de l' école des), 284. Infirmiers (éducation spéciale des
76 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
écanisme, qui ont été observées dans des asiles, desj couvents, des écoles et ont affecté non seulement des > filles ma
logiques, aux accidents nerveux d'origine traumatique. Tandis que l' école alle- mande avec Oppenheim, Thompson, Strümpell
rümpell, etc., voulait en faire une névrose traumatique spéciale, l' école de la Salpêtrière a démontré que parmi les névr
rme chronique et de la forme aiguë il ne fut plus question dans les écoles allemandes, russes et ita- liennes. - Il en fut
cinatoire aiguë, c'est-à-dire la forme aiguë de la « Wahsinn ». L' école française n'est pas tombée dans l'erreur de confo
lumière, ayant en outre des salles de jeu, de gymnastique, etc.; l' école , les différents ateliers sont construits richem
aris. Dans le quartier des enfants de la Salpêtrière, on a créé une école , à l'asile de Vaucluse on a fondé une colonie a
rés ou hys- tériques, ou épileptiques qu'on ne peut garder dans les écoles , parce qu'ils sont incapables de suivre les exe
r à la... géniale idée du chapelier Léon. La Revue mensuelle de l' Ecole d'Anthropologie nous rappelle que cette idée avai
était gai, vif, jouait et courait avec les enfants de son âge. A l' école primaire, il apprit aisément à lire et à écrire
et docile, il était un des mieux notés de sa classe. Ses cahiers d' école témoi- gnent, en effet, qu'il avait acquis un c
tificat d'études ». Jusque-là rien de particulier. En sortant de l' école primaire, il entra comme apprenti-commis chez u
mots. Par contre, il récite certaine poésie qu'il avait apprise à l' école primaire. Il serait incapable d'accomplir n'impor
sont entachés de dégénéres- cence intellectuelle. Dans toutes- les écoles psychia7 NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. 175'' i
re de l'hystérie et ne fait pas moins d'honneur à son auteur qu'à l' école de la Salpêtrière à laquelle il appartient. Geo
n célèbre psychologue français, Maine de Biran, que les élèves de l' école de médecine auront quelque jour à étudier, ou s
l. Son caractère était sérieux. Elle apprenait assez facilement à l' école , dit-elle. Réglée à treize ans; elle est devenu
y passions des journées entières. On jetait les larges assises de l' Ecole de la Salpêtrière avec un travail acharné. On f
pect et de notre gratitude ! Vous avez fondé à la Salpêtrière une école incomparable de cli- nique des maladies nerveus
st tenté de croire que vous les avez décrites le premier. Aussi l' Ecole de la Salpêtrière, où tant de jeunes hommes, qui
jeunes hommes, qui vous entourent, sont venus se former, est-elle l' Ecole clinique par VARIA. 447 excellence des maladi
s trente ans ? je ne vois guère d'acquisitions nouvelles que dans l' Ecole de la Salpê- trière. Vous n'attendez pas, Mes
quand un événement heureux réunit, comme cela a lieu aujourd'hui, l' Ecole autour de son Chef, ils s'empressent de venir p
on cher confrère à l'Institut de France, fondateur à son tour d'une Ecole prospère, adonné pour l'ins- tant surtout aux é
mon verre, je bois à la prospérité passée, présente et future de l' Ecole de la Salpêtrière. » Cette fête véritablement i
tenir et à resserrer les liens qui ont toujours uni les élèves de l' Ecole de la Salpê- trière. Les préfets ET l'assista
, prix : 4 fr. Souny (J.). Des fonctions du cerveau (doctrines de l' école italienne et de l'école de Strasbourg), 2° édit
). Des fonctions du cerveau (doctrines de l'école italienne et de l' école de Strasbourg), 2° édition, revue et corrigée. 1
77 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
nt sollicité les Facultés de Médecine. de la faire enseigner dans les écoles et appliquer sur les malades. Un refus obstiné a
le à tous, son admission dans la science et son enseignement dans les écoles . Le succès est certain s’ils se joignent à nous.
piers publiques que le gouvernement va s’occuper des établissements d’ écoles de médecine ; ces réformes se devront faire par l
r des avantages de ces découvertes ; il seroient : 1° D’établir une école normale do l’art de guérir pour y former les offi
art du fruit de vos recherches sur le magnétisme, des élèves de notre école de médecine avaient déjà quelques notions, bien i
de plusieurs témoins, parmi lesquels on comptait des professeurs de l’ école de médecine, plusieurs élè- ves et des hospital
able : « La commission administrative, informée que des élèves de l’ école de médecine s'étaient permis de magnétiser des ma
nt pas lieu dans les salles de l’hôpital, et que M. le directeur de l’ école sera prié de faire prévenir de cette défense mess
un vieillard honorable et respecté de tous, M. Vertet, directeur de l’ école de médecine, en l’accusant d’avoir provoqué cette
rapporté tel que vous venez de l’entendre à MM. les professeurs de l’ école do médecine, à qui je demandais justice, et qui,
ersité, qu’une décision ministérielle seule peut faire sortir d'une école ; enfin, il est inutile d’observer combien il est
les je citerai MM. Esquirol, Ferrus, Cottereau, Bussy, professeur à l’ école de pharmacie; les autres étaient des hommes de le
n. La leçon finie, de nombreux groupes se forment dan* la cour de l’ Ecole . On discute ayec chaleur sur ce qu’pn,¡vient d’en
l’étude du magnétisme. — A la suite des leçons de M. Trousseau à l’ Ecole de Médecine, il s’est ouvert, rue des Poitevins,
ne pouvait faire l’objet d’un enseignement destiné à la jeunesse des écoles . Recevez, Monsieur le Baron, l’assurance de ma
le dire, rétrécie un instant. Est-il beaucoup de magnétiseurs de ces écoles dernières qui sachent raisonner sur les effets qu
ux cet éclat fascinateur qui fait pâlir le lâche! C’est lui fonde les écoles el les religions en faisant passer dans les espri
physiologique dont M. Icdocleur Iîd. I.angleliert, ancien membre de l’ école pratique de médecine, professeur d’anatomie cl de
ophie de Locke et de Condillae, et, pour couronnement de l'œuvre, à l’ école du baron d’ilolbach et de Cabanis. Pour termine
esl que le magnétisme, et qu’il apprendra à connaître la médecine des écoles . Nous exposerons scs monstrueuses erreurs et ses
............................10 M. Javary, professeur de cliimie à l' école vétérinaire d'Aliou- Zabel (Egypte)............
s faire plaisir â nos lecteurs en leur annonçant que nous fondons une école I'iiatique de magnétisme où plusieurs leçons auro
qui doutaient. C’est par des expériencesque les Lutzelbourget toute l’ école de Strasbourg s’étaient avancés dans la connaissa
ennemis du magnétisme doivent tomber avec le temps-, la médecine des écoles doit se transformer ou elle sera anéantie, car le
78 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
u des vertiges et de la diplopie, elle a été forcée de renoncer à l' école ; peu à peu, elle a été atteinte d'une atonie de
au vol et contractait des habitudes d'onanisme ; on l'appelait à l' école , où elle apprenait très difficilement, « la folle
rs d'aliénés des poor-houses pour les chroniques inoffensifs, trois écoles pour idiots et un quartier spécial de la prison
s céré- brales aujourd'hui familière à chacun de nous (Charcot et l' école de la Salpêtrière). La syphilis cérébrale mérit
leptique à l'cige de six ans, ci la suite d'une peur : son maître d' école l'avait enfermé dans un cachot noir où les autres
es maçons, parait peu intelli- gent ; il n'a jamais rien appris à l' école ; il a été soigné à l'hôpi- tal des Enfants-mal
u cou, non abcédées. Sommeil bon, sans peurs; pas d'onanisme. A l' école , il n'a presque rien appris : il se sauvait de l'
nanisme. A l'école, il n'a presque rien appris : il se sauvait de l' école et allait jouer dans le pays ou se cacliait : d
lade, blésité. '- Progrès réalisés sous l'influence du traitement : école , gymnastique, travail professionnel, hydrothérapi
ge salement, ne s'habille pas tout à fait seul; pas d'onanisme. A l' école il appienait mieux que son frère, bien que quelqu
bien que quelquefois il se laissât entrainer par celui-ci à faire l' école buissonnière. 199 CLINIQUE MENTALE. f 881. Ma
N'ÉTAIT pas gaucher; par M. Michel CAT5,\nAS, professeur agrégé à l' Ecole de médecine d'Athènes. (Fr. 7nés., 1884, 1.) ·
c'est là un de ses plus beaux titres, a trouvé des continuateurs. L' école de la Salpêtrière fait encore la gloire de la F
«illustration dont s'enorgueillissent l'Académie des sciences, « l' Ecole de médecine et les hospices de Bicêtre et de la S
e et la valeur de ses disciples, il se trouva placé à la tête d'une école médicale que l'on appela l'école de Pinel, par
il se trouva placé à la tête d'une école médicale que l'on appela l' école de Pinel, par opposition à l'école de la Charit
école médicale que l'on appela l'école de Pinel, par opposition à l' école de la Charité, dont le chef était l'illustre Co
, permettant de confier des services télégraphiques aux aveugles. Ecole d'anthropologie. - Cette école vient de décider l
ervices télégraphiques aux aveugles. Ecole d'anthropologie. - Cette école vient de décider la création d'une chaire de l'
avec soin. Asile clinique (Sainte-Anne) : Distribution des prix A l' École départementale d'infirmiers et D'11FIRNIÈRES. C
, de recruter exclusivement les surveillantes parmi les élèves de l' École . Enfin, il a mis en relief ce fait que, aujourd
aujourd'huiencore, l'Administration ne comprend pas l'utilité des écoles d'infirmières et s'imagine que la première femme
fert à Bicétre en 1881. Incontinence nocturne d'urine. Traitement ; école , uymnas- tique : amélioration considérable. D
n jouant. A trois ans et demi, mis à l'asile, puis dans une série d' écoles , il n'a jamais rien appris; quelquefois il dorm
hant de travailler et même les volant. Souvent, au lieu d'aller à l' école , il s'en allait mendier; il disait alors que se
IX. Rapport SUR L'ENSEIGNEMENT EN masse DES enfants PAUVRES DE L' ÉCOLE QUI BÉGAIENT ET BALBUTIENT, DANS UN BUT curatif
é à l'hôpital et entre dans le service de la clinique médicale de l' école * de Rochefort. Le lendemain, il tombe en état
dirige M. Pasquier. 11 apprend SOCIÉTÉS SAVANTES. 443 à lire à l' école de Mlle Breuille. Il est employé aux travaux d'
à perte de vue. Ce n'est pas à dire, au reste, qu'on ne fasse pas d' écoles contradic- toires. Vingt-cinq ans de pratiques
79 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tographies du sujet ont été exécutées par M. Guillot, étudiant de l' école de médecine de Dijon que nous remercions ici de
stuleuse. même état des organes génitaux. Août. Passe à la petite école . Il est guéri de la teigne. Il con- tinue à gât
n d'être aussi précise que le soutiennent l'une ou l'autre des deux écoles . R. de MUSGRAVE-CLAY. XIV. Localisation céréb
me l'action d'un organe unique ainsi que l'ont soutenu Goltz et son école ; 3° Il existe dans l'épaisseur de la couche co
e Buck), pour d'autres enfin segmentaires (Van Geliueli- ten et son école ). Nous avons cherché à vérifier cette dernière
e et qu'on applique constamment au laboratoire d'anthropologie de l' Ecole des Hautes Etudes. Tète. - A première vue deu
uoi nous avons dessiné avec l'aide de M. Papillault, professeur à l' École d'anthropologie, le crâne au stéréographe et me
son qui nous a fait créer des ateliers pour les enfants de l'asile, école de Bicétre et que nous y avons multiplié les ex
il est à craindre qu'elle ne s'améliore pas, mais dans une asile- école où elle serait traitée et éduquée. B. Muette de
raisonne convenablement, et bien qu'elle ait dû quitter sou- vent l' école (le bruit qu'elle faisait en tapant du pied, en c
de fer, capsules de bromure de camphre, hydrothérapie, gymnastique, école et ouvroir. 1901. Même traitement, et, en outre
né eu Allemagne une activité intellectuelle énorme. Si les luttes d' école ont paru à certains moments un peu spéculatives
tonique. L'hon- neur de cette bataille revient en grande partie à l' école d'ileidel- berg, qui s'est largement inspirée d
résentant le plus autorisé est le professeur Kraeplin. Est-ce cette école qui nous aura enfin donné la formule libératric
s. Après un aperçu général historique, rappelant les travaux de l' Ecole française, M. Claus divise les écoles contemporai
ue, rappelant les travaux de l'Ecole française, M. Claus divise les écoles contemporaines en trois groupes. Dans un premie
ner aussi fidèlement que possible l'opinion de chacun. Pour lui, l' Ecole d'Heidelberg, suivant en cela les traces de Fal-
éniste français, elle a acquis, grâce aux travaux remarquables de l' Ecole d'Heidelberg, son droit de cité dans la psychia
t le Congrès de Bruxelles sera pour tous, comme ses devanciers, une école d'enseignement et d'estime réci- proque. » M.
éclamé la création, à Paris et en France, de Classes spéciales ou d' Ecoles spé- ciales suivant l'importance de la populati
Aujourd'hui elle est en très bonne voie d'amélioration. Elle aime l' école , quoique un peu turbulente, on constate de réels
ns naturalistes. De ce travail il résulte que les qualités de cette école , impartialité, véracité, précision, peuvent être
sont exposés à être écra- sés dans les rues et si on les envoie à l' école ils peuvent avoir des attaques sur leur chemin
e permis aux enfants sujets à de violentes attaques de fréquenter l' école . Il y a sans doute un grand nombre de ces enfan
l a déjà été question, permet aux autorités scolaires d'établir des écoles approuvées par le Ministère de l'Instruction Pu
pour les enfants épileptiques, et de contribuer à l'entretien des écoles aprouvées. Ces autorités doivent pourvoir à la no
es, qui devraient servir aux leçons de choses et où les enfants des écoles devraient être promenés par groupe. Tout le monde
te réforme humanitaire, c'est : pour les plus atteints, des asiles- écoles ; pour les moins malades et ceux qui ont été amél
x qui ont été améliorés dans les asiles-écoles, des classes ou- des écoles spéciales. 11 ne m'appar- tient pas de dire mon
te théorie s'oppose la théorie intel- lectualiste de Herbart et son école exposée avec netteté par l'au- trichien Nahlosk
s invité chez le malade A. D., âgé de vingt-deux ans, étudiant de l' école polytechnique Empereur Alexandre II, à Kiev. Le j
installé dans la salle des fêtes. Signalons enfin l'existence d'une école pour les idiots. Outre les promenades dans le p
dire : de la médecine contemporaine. Créateur et organisateur de l' Ecole de la Salpètrière, qu'illustra pour jamais son
otables chez les trois jeunes garçons qu'il avait fait admettre à l' école d'enseignement spécial. Pierre Roi . XXVIII.
80 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
générale, c'est que, depuis Pinel, et pour tous les aliénistes de l' Ecole psychologique, c'est un véritable dogme que de
DE L'ECOLH italienne; Par Jules SOURY, Maître de conférences à l' Ecole pratique des Hautes-Etudes. CENTRES CORTICAUX D
nt et s' « engrènent », suivant les doctrines localisatrices de l' École italienne. De même que pour le centre cortical
ésentent un air de famille bien frappant avec tous les travaux de l' École italienne sur les localisations cérébrales '. A
aller sous lui ses matières fécales. A quatre ans il fut envoyé à l' école où il apprit difficilement à lire et à écrire e
sait des grimaces et des contorsions. Deux fois il s'est enfui de l' école , mais il rentrait deux heures après. A dix ans,
n aurait qualifiées d'épileptiques. Revenu à Paris, il retourna à l' école , puis fut placé en appren- tissage chez un cord
nt : envoyé vingt-quatre heures à la Sûreté'. 11 est peu docile à l' école . Il se développe bien. A la fin de juillet : poid
méchant, se mêle à toutes les discussions entre les enfants. - A l' école , il est dans la première classe, mais fait peu
.- Il travaille à la cordonnerie où on est contentde lui, et va à l' école des adultes'. Son caractère devient meilleur, il
. - Guérison complète du phlegmon de la jambe. 1887. Janvier. - A l' école , C... devient plus docile. Il travaille assez b
res fécales jusqu'à douze ans. III. C'est à partir de son envoi à l' école qu'on s'aperçut que son intelligence n'était pa
aces, ses contorsions, le font renvoyer successivement de plusieurs écoles . On ne se rendait pas compte qu'il était malade
t pas compte qu'il était malade. Il en fut de même d'ail- leurs à l' Ecole d'enfants de troupes où l'on attribuait son inc
ions émises sur les divers types par les plus éminents maîtres de l' école italienne, Lombroso, llarro, Ferri, etc. Il s
éminent directeur et si vaillamment défendues par lui et toute son école . A signaler aussi parmi d'autres travaux la com
'humeur et de caractère. Un enfant studieux et discipliné recul à l' école un coup de règle sur la tête. Depuis ce fait so
. Brouardel considère que le terme d'hystérie tel que l'em- ploie l' École de la Salpêtrière, est beaucoup trop compréhensif
ecine des faits à la médecine des idées. Et c'est là l'honneur de l' Ecole de la Salpêtrière (P. K.). é)ô SOCIÉTÉS PAYANTE
réclame pour eux des asiles particuliers, qui seront de véritables écoles , et où ce luxe, trop souvent étalé en Angle- te
cas de méningite cérébro- spinale, seront exclus temporairement des écoles . LE REICHST : 1G.1LLElf.IND et l'alcoolisme en
cette publication. Cette introduction d'une méthode française à l' école d'Edimbourg est intéressante à signaler et marque
Canada). PHYSIOLOGIE LES FONCTIONS DU CERVEAU' DOCTRINES DE L' ÉCOLE ITALIENNE, Par Jules SOURY, Maître de confére
DE L'ÉCOLE ITALIENNE, Par Jules SOURY, Maître de conférences à l' Ecole pratique des Hautes-Etudes. CENTRÉS CORTICAUX D
it qu'elle faisait de même, étant jeune. Propre à un au. Envoyé à l' école à quatre ans, apprenait bien. Fièvre typhoïde à o
Pas de terreurs, pas d'étourdisse- ments. Il n'avait jamais fait l' école buissonnière et n'avait pas de raison de s'en a
itive), par Horsley, 147. Cerveau (les fonctions du - d'après l' Ecole italienne), par Soury, 28, 360, - excitation él
81 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
ues au grand jour sur des malades abandonnés par la haute science des écoles n’étant que le fruit du mensonge et de l'impostur
efuse do guérir. Tous les hommes peuvent être médecins sans aller aux écoles de nos adversaires. Sachant ce qu’ils peuvent en
nt nombreuses... 11 y a encore d’autres dames... Ah ! mais, c’est une école , cela!... Attendez voir... Oh! mais, c’est qu’il
que jour le moyen : lorsque je verrai le magnétisme enseigné dans les écoles de médecine, lorsque je le verrai pratiquer dans
r elles ne sont point faites selon l’art. Les termes employés par les écoles ne s’y trouvent point ; mais les faits restent, c
tout le dix-huitième siècle dans la plus grande partie de l’Europe, l’ école de Stahl seulement admit, avec son maître, l’âme
ue les MM. Turk sont dans le môme sentiment que les magnétiseurs de l’ école du Potet, et que, par des voies différentes, ils
rd vous suivront, puis enfin la foule acceptera ce que la science des écoles refuse de voir et de comprendre. Recevez donc,
le et bien plus prochaine que l’on ne croit. Ah! grands maîtres des écoles ! vous haussez les épaules quand on vous parle de
nous avons connu une jeune fille qui, dans le temps qu’elle était à l’ école , se mettait souvent à pailer une heure ou deux ap
and, de saint Augustin, dont 011 dit qu’il valait à lui seul tout une école , lesquels admettent tous la divination, les sibyl
nce est passé. La littérature, la presse, le théâtre, les chaires des écoles et celles des basiliques s’ouvrent pour elle. Auj
ure? Et la question n’est-elle pas seulement déplacée? Ainsi, quand l’ école dit avec Bichat : La vie, c’est l’ensemble des fo
ctrinales , et non de fait, car tous les faits cités par les diverses écoles de inagnétistes sont vrais, c’est leur interpréta
ans environ, ayant reçu une réprimande fort sévère du directeur de l’ école où il étudie, disparut tout à coup de cette maiso
ère opinion, à laquelle se range M. llagon, était celle de l’ancienne école ; c’était celle de Deleuze, de Puységur, tic De
smer, et adoptée comme telle par ses disciples d’abord et par toute l’ école moderne, nous devons dire qu’il y a cependant un
ir se passer de cette connaissance. « Qu’est-ce que la médecine des Écoles ? La réunion de mille systèmes différents, un mons
pourquoi, ayant montré au monde toute la faiblesse de la science des Écoles , nos illustres calomniateurs cherchent, par un mu
ne opération mentale et quelques gestes, obtiendrait plus que toute l’ école d’Hippocrate armée de son grimoire et de son atti
ce professeur renommé, partagée par tous ceux qui se rattachent à son école , ne saurait être repoussée par aucun d’eux sans l
aladies tiennent aux aberrations de la force vitale. Entre ces deux écoles extrêmes, le magnétisme et l’homéopathie tiennent
cine scientifique, la médecine officielle, avait échoué dans ses deux écoles reconnues, le magnétisme nié, méconnu, persécuté,
société n’est qu’une bien faible partie, numériquement parlant, de l’ école mesmé-rienne qui maintenant s’est répandue pour l
rs somnambules ne sont que les reflets des opinions admises dans leur école ; mais comme il est impossible de prouver leur err
’est là que, dépouillé comme je le suis déjà de tout esprit de parti, école , secte et intérêt personnel, et en dehors de tout
administration. J’emprunterai les prescriptions suivantes à diverses écoles . » Et il cite en effet les procédés usités en 1
nt les prodiges avaient changé leurs succès en revers. Plus tard, l’ école philosophique, systématiquement hostile aux mirac
st du 1" septembre 1854, et relatif à une étude sur les médecins de l’ école de Vienne, maîtres ou contemporains de Mesmer. No
fi'.i. — 10 Novembre 1855. 2t essence. A vous donc, savants de nos écoles , les scories de la nature et tout ce qui est maté
de môme. Pendant presque toute ma vie, je n'ai cru qu’au giron de l' Ecole . Je n’avais, en fait d’idées sur ce qui nous occu
vent dans un épais brouillard et meurent comme la bête ou le savant d’ école , sans rien savoir de la vie, sans souci du réveil
82 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r donne en détail l'anthropométrie de S... Il est certainement de l' école de Lombroso, car il énu- mère avec satisfaction
visager sa responsabilité d'une toute autre manière. Dans plusieurs écoles psychiatriques, dans l'école allemande principa
toute autre manière. Dans plusieurs écoles psychiatriques, dans l' école allemande principalement, on admet que les fous p
e nombre - dépendances criminelles est un résultat des travaux de l' école de - Lombrosu. Sans doute les stigmates morphol
ation fidèle des opinions du professeur Charcot et des travaux de l' école de la Salpêtrière. Ceux qui ont suivi un peu assi
ue le professeur Charcot l'aurait voulu. Fidèle aux traditions de l' école , M. Gillesde la Tourette cite de nombreux exemp
ue à Sainte-Anne, à faire des conférences sur l'alcoolisme dans les écoles primaires supérieures de Paris et à l'École nor
l'alcoolisme dans les écoles primaires supérieures de Paris et à l' École normale des instituteurs de la Seine. C'est là
ue, et mort il y a quelques années, appartient sous ce rapport, à l' école de Raphaël. Aussi dans un tableau de lui, que l
sion honore, a autorisé M. Roubinovitch à faire ces conférences à l' Ecole normale d'insti- tuteurs d'Auteuil et dans les
onférences à l'Ecole normale d'insti- tuteurs d'Auteuil et dans les écoles primaires supérieures de gar- çons Turgot, Colb
ert, Arago, etc. La première conférence a eu lieu lundi dernier à l' école Turgot, devant les élèves des deuxième, troisiè
s classes assistaient à la leçon et, à leur tête, le directeur de l' école . Tous les ans, quelques-uns des professeurs des
irecteur de l'école. Tous les ans, quelques-uns des professeurs des Écoles d'infirmières et, en particulier, notre ami Isch
imer de l'amour de la science et du progrès, en fondant en un mot l' École de la Salpêtrière, a assuré pour de longues ann
uelques années donner à la Faculté naissante le lustre des vieilles écoles , pour lui dire que sa tâche n'est pas terminée
tent aujourd'hui les maîtres les plus émi- nents et en particuler l' Ecole de Rihot, l'Ecole psychologique anglaise, et co
es maîtres les plus émi- nents et en particuler l'Ecole de Rihot, l' Ecole psychologique anglaise, et comme le répétait vo
es établissements de bienfaisance, rapport varia. 265 relatif à l' école privée qu'avait fondée Séguin pour les enfants
, comme dit sa mère, « indolente, oublie tout ce qu'il a appris à l' école . En même temps, on note des mouve- ments des do
e (Leipzig, 1811-1843). Il fut le représentant le plus célèbre de l' Ecole spiraYualiste ou psychologique pour laquelle la
it plus dans le domaine stérile des discussions philosophi- ques. L' Ecole somatique s'élevait en face de l'école spiritua-
cussions philosophi- ques. L'Ecole somatique s'élevait en face de l' école spiritua- liste. Les travaux de Griesinger eure
'asile d'Illenau dirigé alors par Roller, un des représentants de l' école somatique, fait ressortir dans sa description «
iénés mis en traitement; ces établissements serviraient de modèle d' école d'instruction, et d'objet d'émulation pour les
e recourir les aliénés guéris à leur sortie des asiles. Plu- sieurs écoles spéciales sont chargées de l'instruction professi
parent responsable, accompagné de témoins dignes de foi, dans une école militaire et industrielle dépendant de l'Etat. Qu
fs, - Cette maladie est traitée surtout d'après les travaux dus à l' Ecole de la Salpêtrière, notamment pour ce qui concer
plus calme, les mouvements spasmodiques semblent avoir disparu. A l' école le travail est plus assidu : elle connaît l'ort
petites com- pagnes auxquelles elle se plaît à rendre service. A l' école , progrès dans l'orthographe d'usage, mais grand
prévenante; ses manières sont beaucoup plus douces. Les progrès à l' école et à la couture continuent; il n'y a que la gym-
isibles. Pourquoi n'exigerait-on pas, pour accepter les enfants à l' école , un certificat constatant l'absence de troubles
83 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
onné naissance, depuis plus de vingt années, aux beaux travaux de l' école célèbre de la Salpêtrière. RECHERCHES CLINIQUES
'alcool. PHYSIOLOGIE LES FONCTIONS DU CERVEAU' 1 DOCTRINES DE L' ÉCOLE ITALIENNE, Par Jules SOURY, Maître de confére
DE L'ÉCOLE ITALIENNE, Par Jules SOURY, Maître de conférences à l' Ecole pratique des Hautes-Etudes. CENTRES CORTICAUX D
ment et cesse non moins rapidement. Le 9 juillet en ren- trant de l' école pour déjeuner, elle a été prise à la fin du repas
1 25 novembre. - Pas d'attaques nouvelles. Elle est retournée à l' école , ne prend plus ses douches depuis un mois. - Règl
Marie, on les renvoie 'des ateliers, ainsi qu'on les congédie de l' école ; d'où, nous le répétons, la nécessité de l'hosp
n'est pas peureux, et dort bien, a été pris, au moment d'aller à l' école , où il va volon- tiers, d'un malaise, puis il s
lins. 15. - Amélioration notable. N'a plus de peurs. Retourne à l' école . Il est un peu plus irascible qu'autrefois. Lui q
I.XXXV11. PHYSIOLOGIE LES FONCTIONS DU CERVEAU'. doctrines de l' école italienne, Par Jules SOURY, Maître de confére
es de l'école italienne, Par Jules SOURY, Maître de conférences l' Ecole pratique des Hautes-Etudes. 1 HISTOLOGIE DU S
coup, dépassé Golgi en hardiesse. Avec Nansen, qui est aussi de l' école de Golgi, il ne reste plus rien de Troie : ses
entripète et centrifuge'.) Les cliniciens d'Italie, comme ceux de l' Ecole fran- çaise anatomo-clinique, ont toujours insi
GIE. histologistes italiens, presque tous d'ailleurs de la grande école de Golgi, ne nous ferait guère péné- trer plus
onsidérée comme un des signes les plus nets de dégénérescence par l' école italienne d'an- thropologie criminelle. L'étude
enne d'an- thropologie criminelle. L'étude des doctrines de cette école , auxquelles nous adhérons absolument, étant aus
souvent obligé à cesser de SOCIÉTÉS SAVANTES. 277 i fréquenter l' école ; moins violentes depuis l'âge de quatorze ans,
le nom d'un candidat dont la thèse refusée avec qti(Ique bruit a l' Ecole a fait fureur comme volume illustré sur les bou
cessité de créer pour les magnétiseurs comme pour les dentistes une Ecole qui confère des diplômes, et qui obtienne le dr
e et de magnétisme qui nuisent à la science 2° et la création d'une école où la partie scientifique théorique serait cult
e Viltejuif; 2° sur la fondation Vallée ; -3° Discours prononcé à l' Ecole départemental d'infirmiers et d'infirmières de
27 août, les 3 et 16 septembre 1889, aux distributions de prix des écoles municipales d'infirmières laïques (Douzième «.a
à la manie à l'épilepsie, il réunit la majorité des suf- frages. L' école de Snell, renforcée de Nasse, Hertz, Schmfer, c
le terme de paranoïa à un ensemble de symptômes qualifié par telle école de Wahnsinn et par telle autre de Verrucktheit.
résidence, demanda à passer de nouveaux examens devant le jury de l' Ecole de médecine et de pharmacie d'Amiens. Or, bien
ELs, aliéniste américain des plus distingués, ancien directeur de l' école de Bloomingdale. Suicide D'UN adolescent. - Un
84 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
C'est dire que ce travail est composé à la plus grande louange de l' école de Nancy et de la suggestion. Il se termine par
07.) M. le Dr Thouvenet, chargé du cours de clinique médicale à l' Ecole de médecine et de pharmacie de Limoges, a étudié,
udié, dans le discours qu'il a prononcé à la séance de rentrée de l' Ecole , le 3 décembre 1897, le saturnisme professionne
ssible le déterminisme physio-psychique beaucoup trop exclusif de l' école anthropologique italienne. Si nous ne pouvons f
e criminelle à Genève ont été plus qu'agitées, presque orageuses. L' école italienne, ou plutôt lombi,osieii ? ze, qui au
loi sur l'enseignement obligatoire a, prétend-il, chassé Dieu de l' école , comme si à la religion seule appartenait le mono
des criminologistes instruits qui cessent de faire des prisons des écoles du crime. La meilleure sauvegarde du crime est
ler. (Brailz, part. LXXVI, 1896.) Ces quatre cas proviennent de l' école des Enfants arriérés de Pensylvanie. 316 RE\U
puissent les compléter. D'autre part la réfutation des données de l' école de Charcot par celle de Nancy reproduit assez b
tion exaltée, choréique, masturbatrice, accuse l'instituteur de son école de l'avoir violée. Elle raconte à quelques-unes
x de ce grand homme eût évité, selon l'auteur, bien des erreurs à l' école de la Salpêtrière et à celle de Nancy. F. BOISS
Code civil. (Annales m<Mtco-p/c/t<06 ? <M, déc. 97.) E. B. ? Ecoles professionnelles d'infirmiers dans LES hôpitaux
liénés. Pour engager et retenir les can- didats désirables pour ces écoles professionnelles, il est nécessaire de faire un
les, il est nécessaire de faire une classe à part des élèves de ces écoles professionnelles; sans cette distinction des in
entes classes, distinguant des serviteurs ordinaires les élèves des écoles professionnelles : lorsque ces derniers ont obt
e quel- conque : ce devrait être une règle absolue. Les élèves de l' école pro- fessionnelle ne pourraient être susceptibl
promotion que lorsqu'ils seraient dans la division supérieure de l' école ; ils ne pourraient passer de la première divisio
serait ainsi par lui-même une preuve d'aptitude. Dans beaucoup d' écoles professionnelles, la base de l'enseigne- ment a
nner aux ma- lades ; mais ces lectures ne constituaient en rien une école profes- sionnelle. Dansles grands hôpitaux pu
pour en former un service spécial dans lequel tous les élèves de l' école passeraient trois mois, afin d'apprendre aussi
blic l'idée des bienfaits l'hôpital, et établirait la renommée de l' école profession- nelle. Lorsqu'un candidat se prés
profession- nelle. Lorsqu'un candidat se présente pour entrer à l' école , il est utile de lui exposer en détail la disti
proprement dite. Pour réunir les meilleures chances de succès, une école profes- sionnelle devra posséder un programme b
ur en particulier ; le programme devra être le même pour toutes les écoles . Depuis deux ans les écoles d'infirmiers ont fo
me devra être le même pour toutes les écoles. Depuis deux ans les écoles d'infirmiers ont fonctionné dans l'étal de New-
L. THÉORIE DES NEURONES; Par JULES SOURY, Directeur-adjoint à l' école pratique des Hautes Études. III. MlCHAEL VON LE
ues, appareils de réception des courants nerveux dans la nou- velle école , alors qu'il continuait à considérer les dendrite
ons des maîtres comme Ambroise Paré, et qui ont surtout ins- piré l' Ecole flamande du xviie siècle. Avec les peintres flore
lorentins et toscans des xive etxvc siècles, avec ceux des vieilles écoles d'Alsace et de Cotogne(x[V siècle), plus tard a
nement des maladies MENTaLES.- M. le D1' Chénieux, direc- teur de l' Ecole de médecine de Limoges, dans son discours de re
Ecole de médecine de Limoges, dans son discours de rentrée à ladite école , dit que « les conférences annoncées sur l'alié
la syphilis comme facteur essentiel; par le DrJ. CLERC, élève de l' école du service de santé militaire. Lyon, décembre.
miers et infirmières ; il fait ressortir à ce propos la nécessité d' écoles pratiques d'infirmiers bien organisées, et non pu
85 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
nuit. Il n’a pas d'autre éducation que celle qu’on acquiert dans les écoles primaires de village, et n'a jamais voyagé que de
e que vous m’en avez raconté, et vous concevrez alors comme moi que l’ Ecole do médecine est une trop étroite enceinte pour co
e trouveront-ilsainsidans les connaissances qu’ils ont acquises à l' école des ress ources nouvelles ; nous le saurons bient
. — Justice crimiselle. Si cependant il y a des individus hors de l’ école de l’éducation qui commettent des fautes assez gr
ouffle divin. Vous me sauvâtes du naufrage en me disant au seuil de l’ école : « Ami, prends garde, n’avance pas que je n’aie
agie: science parfaite de la nature; et j'ai pour moi l’autorité de l’ école égyptienne, qui l’appelait maga, parce que c’étai
us apparaît maintenant à l'abri de toute doctrine, en dehors d£ toute école , avec un nom particulier : mesmérisme ou magnétis
à la science près. L’astronomie occupait le premier rang dans leurs écoles ; c’était, dit Platon, afin que les rois de Perse
pientes, hommes de science. Que firent en effet les Grecs? Manquant d’ écoles où s’instruire, ils voyagèrent dans les pays étra
i Pythagore va puiser aux temples de Memphis ; ainsi Platon, dans les écoles d’Egypte ; Apollonius, qui de nos jours fait tant
bba-ris, dans le nord de l’Europe ; Numa Pompilius, dans le Latium. L’ école africaine nous donne Albumazar, Aben-zagal, Rhasi
donne Albumazar, Aben-zagal, Rhasis, Geber, et le célèbre Avicenne. L’ école grecque : Machaon, Podalire, Pythagore, Anaxago
meil magnétique, en présence de plusieurs médecins et des élèves de l' école . Que dire du magnétisme? il y a si longtemps qu
un garant du contraire. Est-ce la peur d'enseigner, à la face de l’ école , la puissance thérapeulique de cet agi'ni, qu’èll
umatisme est névralgique. Le rhumatisme inflammatoire nous vient de l’ école du cadavre, et ils oublient, ces observateurs ana
r de rhétorique ; — CénolT, professeur de mathématiques spéciales à l’ Ecole de marine; — Henri Duchevreuil, capitaine de cava
négociant; — Le Rendu, ancien notaire; — Le Houguais, directeur de l’ Ecole primaire supérieure ; — Feuardent, libraire; — Di
de qu’on ne peut toucher l’un sans éveiller l’autre. Les princes de l’ Ecole , qui savent bien la valeur du proscrit mesmérien,
rer l'ignorance, L'éloquence et la volonté. Vous qui puisez h son école , Offrez, pour un si beau sujet, Au grand Mesm
Saunois, 1 v. in-S». Paris, 1846, 5” édition. Chez Labbé, place de l' Ecole de Médecine. La soif du savoir est si grande ch
c ardeur toutes les occasions d’étude; mais, imbu du matérialisme des écoles , je ne voyais pas beaucoup au delà des lois physi
iables. Nos docteurs sont comme les vôtres : ils sortent de la même école . Ce sont d’excellents chirurgiens, la plupart, et
rdre du gouverneur du Bengal. En janvier 1846, M. Esdaile adressa à l’ Ecole de Médecine la relation de soixante-quinze opérat
à l’occasion, ou quand ils en seront chargés, en faire le rapport à l’ École de médecine pour l’information du gouvernement. D
les magiciens de Pharaon, ne voyant en Moïse qu’un ancien élève de l’ école égyptienne, ne craignaient pas de rivaliser avec
la justice, dans son matérialisme, ne voyant rien au delà du code des écoles , comme eux ne peut admettre un monde invisible; c
cience est devenue si accessible aux intelligences, qu’au sortir de l’ école on peut écrire sur ce que la nature a de pins mys
es erreurs que son Juste milieu lui inspire. Une heure passée à bonne école lui eût empêché d’écrire qu’il n’y a pas de fluid
ui se soude parfaitement à tout ce qu’on enseigne de positif dans les écoles ; l’autre plus relevée, qui par cela seul éloigne
qui n’a pour limites que l’infini. Laissez, laissez la science des écoles à ces savants positifs, amants de la matière, qui
ais sa doctrine survécut, et elle est encore aujourd’hui celle de nos écoles . Si le système des influences est aussi étendu qu
86 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ce aux recherches importantes, .bien, que souvent divergentes, de l' Ecole française et de l'Ecole italienne d'anthropolog
antes, .bien, que souvent divergentes, de l'Ecole française et de l' Ecole italienne d'anthropologie criminelle", l'auteur
i restent à accomplir : développer l'étude de l'aliénation dans les écoles médicales; améliorer la condition des employés de
pl>J ** - ? <ibc ! 9b ".nja^beir vl ? 9311JOb'7. `9`"·'t" LES Écoles de Gardiens EN Saxe.^'1^'^'1 do 9' : 9r19ej 9b
marier sans autorisatiompréalable du Ministre,.} varia ! "7 Î Ces écoles existent déjà depuis trois ans. Déjà 803 élèves '
tre -proposition, le, Conseil à général , de ? ]ai Seine a créé une école ) départementale d'infirmiers et d'infirmières,-
la Faculté de médecine de Montpellier. MM. Planchon, directeur de l' Ecole supérieure de pharmacie; Riche, professeur à l'
directeur de l'Ecole supérieure de pharmacie; Riche, professeur à l' Ecole supérieure de pharmacie ; le Dr Heyden- reich,
à la Faculté de médecine de Toulouse. MM. Trasbot, direc- teur de l' Ecole vétérinaire d'Alfort, membre de l'Académie de V
bre de l'Académie de VARIA. 181 médecine ; Nocard, professeur à l' Ecole vétérinaire d'Alfort, membre de l'Académie de m
déjà dit que C... avait reçu une certaine instruction; il a été à l' école de bonne heure, a fait d'assez solides études a
n internement chez le D''F... il s'était lui-même senti malade. A l' école militaire il n'apprenait plus aussi bien, n'a-
;DANS'.LE ? TRAITE31ENT. DE- la folie ; , par `L'I : THLISSEMENT d' écoles pour- le personnel; par. le Dr BuRn : u 1 . ( .
ftoJ ? 951 : 1 C est de 1882 que date l'établissement des premières écoles pour le personnel éles7Asiles : Cettel ïnesure;
e les notions, .d'ordinaire passablement incomplètes au sortir de l' Ecole , qu'ils possèdent sur la psycbiatrie : ê3$1 jsR.-
chent beaucoup .plus, que ces (derniers, du. criminel;homicide de l' école lombrosienne.Eni d^autres1 termes, îles, aliéné
ffensifs par,une proportion.plus grande cheveux des stigmates que l' école ; delLombroso Lattribue à la- criiiiinalilé homici
'domine toujours fa, scène, même à la période des grandeurs. Pour l' école de M. Magnan, chaque période est caracté- risée
cation de simple affaiblissement intellectuel. Si,' au contraire, l' école de l'Admissiôn' lui'donner la signification' dé
ut et àitous, aux méthodes, f scolaires les plus'classiques et aux, écoles spéciales, Ed. Séguimet à d'autres,^ Itard ? Be
ns la famille un .profit équivalent à celui qu'il.'procure dans le» Écoles de Bicêtre.et, mieux encore,' dans les classes d'
ire. Il faut donc soigner l'arlieu- lation dans les familles et,les écoles . On suit, dans ce mémoire pas a pas 1 évolution
Constantin,,l'Africain fait, pénétrer, l'influence musulmane dans l' école salernitaine et nous arrivons aux méde- , cins,
oncés les 20, 27 et 29 juillet 1893, aux distributions des prix des Ecoles municipales d'infirmières laïques (seizième ann
et discuté les oppositeurs ou les critiques sévères de la nouvelle école anthropologique criminelle, surtout les Français.
d'élèves des écoles'secondairés, prisa à l'Institut nautique et à l' école technique' assimilée, I. CARACCIOLO de Naples,
du'but pour prévenir le délit, mon examen prélimaire fait dans les écoles doit, à mon avis, être très utile, pourvu qu'il
qu'il soitfait d'après cette méthode. Les élèves mal notés dans les écoles devraient être inscrits dans un registre spécia
trop dans l'ombre, de ses propres, travaux, ceux.si'importants'de l' école de la Sal étrière. ; t ' ;Ï ? ? E, ..L«1"J . ? A"
de l'école de la Sal étrière. ; t ' ;Ï ? ? E, ..L«1"J . ? A", , 1 école de la Salpètrière. ,l r ? ^;h ;f ah .r ? En rés
'de médecine au Collège de France; directeur de deux laboratoires l' Ecole des Hautes-Etudes ; mem- bre correspondant'de l
progres- , sives avec réaction dégénérative, par, Iloppe, 187. ÉCOLES de gardiens en Saxe ; éta- rgissement d' pour l
87 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
t ne me déterminèrent jamais à commencer mes éludes. Entrant dans une école publique, j’en sortais aussitôt; ou bien, si j’ét
léchis, rends-nous la joie; prends ton panier, tes livres, et vas à l’ école ! » Je n’osais répondre non, car j’avais bien l’in
Apprendre! Mais je ne vois point les poissons du ruisseau aller à l’ école , les animaux des prairies n’ont point de précepte
une connaissance de la médecine, j’allai me placer sur les bancs do l’ école , et je suivis les cliniques. Malgré mon aversion
celte voie nouvelle vers 1826, en ouvrant, dans le quartier même des écoles , passage Dauphine, un cours public et gratuit.
n commerce. Cette considération a été saisie par l’illustre chef de l’ école éclectique, et il a pris hardiment l’initiative d
embre dernier, à propos de l’anesthésie. Il a dit qu’il avait été à l’ école de M. du Potet, qu’il avait cherché à se bien ren
er qui eut l’honneur de renouer la chaîne des traditions : il fonda l’ école du magnétisme, qui ne tarda pas à jeter un grand
é des médications ainsi obtenues, bien que contraires aux leçons de l’ école , pourquoi ne pourrait-il continuer de puiser à un
e ce que l’influence des temps n’est pas enseignée sur les banc* de l’ école , il ne faut pas en conclure qu’elle n’existe pas.
d’anatomie à Lyon, rapporte(i) une expérience dont il fut témoin à l’ école vétérinaire. « Un chirurgien magnétiseur demanda
pauvreté de ses parents, se borna à ce que cinq mois passés dans une école de village peuvent procurer d’instruction. Il n’e
présente, en regard de tant de conquêtes, celte vaine philosophie des écoles ? Un embryon de science, où l’erreur a pris la pla
à l’humanité, ou chaque apôtre est réduit à dédaigner les préceptes d’ écoles et à choisir pour règle son propre instinct, s’il
pleins de perfidie, leurs successeurs appartiennent encore à la même école ; ils adorent le même dieu : l’homme est donc libr
ne à l’illusion. De là les sciences conjecturales, ces fourmilières d’ écoles et de doctrines ennemies, dont l’innombrable vari
, où tous les problèmes rencontreront leurs solutions. « Alors, les écoles rivales que l’erreur tenait divisées, se réconcil
et, indisposé, a porté le loste suivant : A LA FUSION DE TOUTES LES ÉCOLES RELIGIEUSES ET SCIENTIFIQUES I Dans l'unique bu
ui devaient succomber, abandonnés qu’ils étaient par les deux grandes écoles médicales, qui s’arrachent l’une l’autre les mala
cune de ses branches est délimitée par les Facultés, étudiée dans les écoles , pratiquée dans les hôpitaux; elle s’exerce à l’a
raire, est repoussé par la plupart des savants : les Académies et les écoles , loin de lui donner une place dans leur enseigne
’un congrès mesmérien universel ! — Duteil : A la fusion des diverses écoles magnétiques ! — Dr Duplanty : A l’abjuration des
purs esprits. C’est là ce qui doit nous soustraire aux doctrines des écoles philosophiques, et ramener parmi nous ces croyanc
vres qu’ils ne lisent les prétendues matières médicales de l’ancienne école qu’ils ont abandonnée, et cela parce que les vôtr
. Les médecins systématiques repoussent tout ce qui n’est pas de leur école , el c’est de quoi nous nous plaignons. Il est vra
it de ressemblance entre vous et messieurs les médecins de l’ancienne école . TAXIL, d. a. Nouvellc-Orléans, 7 mai 1851.
gants labeurs; mais enfin tout n’est pas renfermé dans la science des écoles modernes, et vous avez trop oublié les enseigneme
esprit. Vous l’avez vu, bien vu, cet aphorisme de la physiologie de l’ école qui pose : « que, sans l’œil, l’homme ne «peut pr
de destruction, ils n’avaienl d’autre arme que la fausse science des écoles et des académies; la découverte de Mesmer, ou leu
et guérit; voici comment il en parle : a Broussais, la lumière de l’ école , le seul des médecins qui, de notre temps, ait fa
88 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
de Notre-Dame de Paris. In-li. Paris, gendarmerie et en maisons d’ école , 011 montre encore la place delà cellule de Madel
U° Histoire du Parlement dt Normandie, pep Floquet, ençiçn élève de l’ Ecole des chartes, greffier eu chef de la cour roya
s nerveuses, atrabilaires, exaltées. Et voilà comment les hommes de l' école sceptique écrivent l'histoire, nient les faits le
sur le monde des causes, et nos savants devraient bien venir à notre école ; nous les convions à devenir nos maîtres. Ne vit
n avisés abandonneront leur système pour devenir chefs d’une nouvelle école . Qui sait si l’intérêt ne déterminera point un jo
fameux voyant américain Davis qui n’a jamais étudié que six mois à l’ école primaire, et qui, dans ses nombreux et volumineux
uniral’élite du monde magnétique et les spiritualistcs de la nouvelle école : Mesmer n’est-il point le génie qui a trouvé l’a
n bon emploi. « (Page 12/i). Voilà qui va nous économiser les frais d’ écoles et de professeurs ; on remplacera tout cela par.
âge. Déjà même la force des choses a contraint quelques savants de l’ école matérielle à faire des concessions qui les rappro
sidériez le magnétisme comme un moyen régénérateur de la médecine des écoles et comme une doctrine devant modifier les doctrin
ces lignes que vous écriviez au n° 5 du journal, r On n'ira plus aux écoles de médecine chercher les idées systématiques de n
clatants là où votre médecine échoue, là où toutes les ¡lumières de l’ école ont servi à éclairer le diagnostic; j'aime mieux
ompher le magnétisme, on a dû le jeter en dehors des académies et des écoles qui ne voulaient point en entendre parler : on a
étudié cette question d’une manière spéciale ; je n’ai pas suivi les écoles des maîtres ; mais je dois à la vérité d’ajouter
r volume du Cours de Physique de M. Jamin, professeur de physique à l’ Ecole polytechnique, publié par Mallet-Ba-chelier. Des
MEIL MAGNÉTIQUE. RAPPORT PAR MM. LES DOCTEURS COSTE, DIRECTEUR DE l’ ÉCOLE DE MÉDECINE, ET RROQUIER, CHIRURGIEN CHEF-INTER
bilité de la science médicale, — M. le docteur Bonnet, professeur à l' école de Lyon,—dans une lettre adressée à l'auleur, le
t nous le regrettons, sachant que, comme philosophe, vous tenez cette école en fort médiocre estime ) ; mais, pour nous, la m
et nous avons dans nos écrits soutenu cette idée, que la médecine des écoles ne sera un jour que l’auxiliaire du magnétisme, d
s prendre en considération les causes morbides. Les praticiens de l’ école de Broussais n’avaient qu’à consulter le pouls, d
Les bons esprits rejettent aujourd’hui les soi-disant dogmes de cette école , mais la paresse et les avantages commodes de la
ques et faciles à concevoir, mais bien de guérir, et Broussais et son école ont bien plus tué que guéri. Je me suis plus ét
ances ne lui serviraient point; ce qui parle en lui ne vient pas de l’ école , et si vous voulez le connaître, reconstruisez le
dre des merveilleuses puissances de la nature et de l’homme. Oui, les écoles officielles sont au suprême degré ignorantes de t
ndemain (Jeudi) nous nous réunîmes à la même heure dans le local de l’ école d’asile dirigée par M. Servière (rue Pavée, à Nîm
étisme et à le rendre odieux et ridicule, on trompait la jeunesse des écoles , on aimait mieux pervertir son jugement que l'écl
ons la vérité découverte par Mesmer. 11 y a déjà je ne sais combien d’ écoles pour le même fait, les interprétations sont aussi
n somnambulisme, la faisant danser et exécuter des pas et des sauts d’ école , valsant ensemble, jamais elle n’a ressenti le pl
ogie, la médecine, etc., etc., ont puisé leurs premiers principes à l’ école de l'observation. 11 en est de môme du magnétisme
ositions morales des assistants. Néanmoins quelques docteurs de cette école ont prétendu que les Esprits n’aimaient pas les i
89 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
et qu’il reconnaît son impuissance et sa vanité. La médecine des écoles est devenue un mensonge, une illusion. Ce n’est p
cette différence capitale entre les deux arts, entre la médecine des écoles et la médecine magnétique : la première, toute ma
rieuse, j’ai été frappé, à mon retour, de trouver le désaccord dans l’ école . « Les uns disent que le magnétisme est un flui
recommandent les passes , les autres les rejettent. « Une nouvelle école , enfin, proteste contre ces données scientifiques
leurs idées sur les affaires du temps. C’est pourtant la science des écoles qui parle par tant de bouches , car les savants n
ira toutes les erreurs, tous les préjugés , tout ce que les savants d’ école enseignent de faux et de mensonger, et qu’enfin l
ence vraie sera bientôt dans toutes les familles , on n’ira plus aux • écoles de médecine chercher les idées systématiques de n
ne pourra se dépouiller de ses préjugés, répudier les doctrines de l’ école , incliner la science devant la force toute-puiss
inaires de la nature. Le caractère surnaturel de ces laits semble à l’ école rationaliste un motif suffisant pour les rejeter
lu n’es qu un sot présomptueux , un enfant qui devrait retourner à l’ école . Comment! va-t-on m’objecter, mais ce sont les
ines, a été au contraire souillé par un vil commerce, puis rejeté des écoles comme une chose de nulle valeur. Ce qui pouvait d
ns d’esprits, aux libres penseurs, aux philosophes rationalistes de l’ école de Voltaire. Il emprunte à Dom Gueranger des paro
un but déterminé. Ceci est affaire de méthode. Quelle que soit son école médicale , quels que soient ses procédés de trait
on). Le diagnostic est une première difficulté commune à toutes les écoles médicales. Celte difficulté disparaît souvent pou
Gt éclore Tant de merveilles autrefois ; A toi, le puissant chef d’ école , A toi, du POTLT l'auréole; Nous t'admirons t
Il serre cordialement la main aux magnétistes studieux de toutes les écoles . Que peut-on lui demander de plus? Baion Dü roTET
Et cependant saint Jérôme avait pris un guide parmi les rabbins de l’ école de Tibériade. Hais ceui-ci, delà secte des Esséni
er les prescriptions de la somnambule, et la conduisit éveillée à une école de natation ; là,, il la saisit à l’improviste et
. et le mien : je voulus peser de ma propre main les prétentions de l’ école nouvelle qui, chaque jour plus imposante par le n
et leur médicalilé.» (Lettre de M. l’oumu, professeur de physique à l' école d'èlat-major de Paris, au docteur Jsiiii.) L'av
de là, c’est que tout médecin qui s’en rapporte aux affirmations de l’ école et rejette avec un superbe dédain l’étude du magn
à fait. Il fut parfaitement guéri, et dès le 29 mai il fréquenta les écoles . Ajoutons que ce jeune homme assistait à laséance
est une spirituelle et trop véridique satire contre nos savants de l’ école et leur médecine conjecturale. Mais je ne puis ré
t si l’on veut, mais à l’état latent au moins, le germe sucé dans les écoles de la faculté toujours prêt a surgir au moindre j
iseurs non médecins, ils sont exempts et affranchis des préjugés de l’ école , et pour ne citer qu’un des avantages de leur pos
t que gagner en répudiant des sottises aussi fécondes en crimes? Et l’ école philosophique ne mérite-t-elle pas des éloges qua
de tables tournantes et parlautes, est dû à l’action des démons. L’ école à laquelle appartient cet écrivain fait du démon
s parlantes n’est que la répétition de ce que les docteurs de la même école ont écrit sur cette question que nous avons encor
lents et timorés, 011 ne nous verra pas flatter la fausse science des écoles et courber la tête devant elle ; au contraire, no
90 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lme, bon ouvrier, et dévoué à sa famille. Augustine a fréquenté l' école jusqu'à l'âge de douze ans; atten- tive, studie
siles de la Seine. La Verrucktheit aiguë de Westphal, étudiée par l' Ecole de Vienne, a donné naissance aux travaux de Mey
e, scission qui n'a fait que s'accuser dans ces derniers temps. L' école de Vienne admet par conséquent qu'il n'y a pas de
t Tuke, de voir l'établissement effectif d'un nombre considérable d' écoles d'instruction professionnelle pour les infirmie
is, ramené à des idées plus pratiques, il prit ses inscriptions à l' école préparatoire de médecine de Poitiers et remport
ier prouverait le contraire, t Mon ami, le Dr Blyenis, médecin de l' école d'Alfort, me dit-il, m'avait chargé de le rempl
ès et de débauches de toute sorte commis pendant leurs sorties de l' école . La maladie se communiqua par imitation à presq
Standford. (M. L. J., XI, 3.) On sait qu'en Amérique une nombreuse école pédagogique estime que le moyen le plus rationn
e moyen d'investigation et d'appréciation les compositions dans les écoles sur certains sujets artistiques religieux ou se
nous donner la synthèse. Mendel, continue M. Cramer, appartient à l' École qui résume les différents tableaux morbides env
n 1832. Il a fait ses deux premières années d'étude (1851-1852) à l' école de médecine d'Angers. Il vint à Paris, en octob
ar aucun incident pathologique grave. Etant enfant il a fréquenté l' école pendant quelque temps, il sait lire et écrire;
amène la guérison ou une amélioration assez considé- rable. Pour l' école delà Salpêtrière, l'hypnose ne se développe guè
rsonnel dans les asiles. En 1887 on a installé à Hochweitzschen une école spéciale pour les hommes et à Hubertusbourg une
eitzschen une école spéciale pour les hommes et à Hubertusbourg une école pour les femmes. Dans ces locaux spéciaux habit
relations, des éléments de perfectionnement et de distraction. Ces écoles et demeures du personnel secondaire sont confié
ctère trop violent sont des obstacles pour élever l'enfant dans une école ; mais dans les autres cas, l'éducation don- née
puis la fin de janvier j'ai pu autoriser la rentrée de l'enfant à l' école . Les deux points importants de cette observatio
profession sont : 1° d'augmenter leurs salaires; 2° d'organiser des écoles d'infirmiers. .' Surveiller le personnel, c'est
ercent certaines fonctions. On ne peut espérer tirer bon parti de l' école d'infirmiers en se bornant à les entretenir de
nt. 1 Nous rappellerons qu'il existe à Paris, et dans la Seine, des écoles pour les infirmiers des asiles de Bicêtre et de
la Salpêtrière depuis 1878 ; a l'asile Clinique depuis 1882, et des écoles dans les trois autres asiles. 414 % FAITS DIVER
és et des débiles) a été décerné à M. Bayer, ancien instituteur à l' école des enfants idiots et nerveux de Bicêtre, profe
d'York et vers cette époque, il occupa la chaire de psychologie à l' école de médecine d'York. En 1857, à la mort de son pèr
if à toutes les choses de la ville, telles que la bibliothèque, les écoles , les travaux du club des hommes, etc., et à la
ces dernières années, par l'établissement dans beaucoup d'asiles, d' écoles professionnelles pour les infirmiers, avec nomina
cis Warner sur les conditions physiques et mentales des enfants des écoles . Sur 50,000 enfants ayant fréquenté les écoles
ales des enfants des écoles. Sur 50,000 enfants ayant fréquenté les écoles de 1892 à 1894, 101 ont été reconnus «arriérés
Europe, alla en Terre Sainte, se mit à étudier avec les enfants à l' école , mendia son pain, eut des extases, fit des mira
91 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Il faut cependant admettre que le surmenage qui a lieu dans les écoles supérieures et leur système compliqué et intensif
galie. Par suite, il n'y a pas lieu de faire deux entités morbides ( école française) de l'acromégalie et de la syringomyé
res : Séance solennelle d'ouver- ture à la Mairie. Soir, 2 heures : Ecole de Médecine. Constitu- tion du bureau. Nominati
Saumur : Réception parla Muni- cipalité, visite de la ville et de l' Ecole de Cavalerie; visite de l'ab- baye de Fontevran
es moyens de transport les plus commodes, du centre de la ville à l' Ecole de médecine, sont les tramways de la place du R
travaux scientifiques. L. Ib6 VARIA. LIliI3b : .aULT I : 1 son école ; par A.-W. Rentehgiiem. (Zeitschrift 1 ¡il' hyp
ir visité les cliniques similaires en France. Il nous apprend que l' école de Nancy a fiil-de nombreux adeptes à l'étranger
Robert, inspecteur d'académie, Dainville, directeur honoraire de l' Ecole des beaux-arts, Métérié, inspecteur département
udrais que les jeunes gens, étudiants en médecine des facultés, des écoles de plein exercice, qui déjà trouvent, auprès du
s a commencé ses travaux à 2 heures dans le grand amphithéâtre de l' École de Médecine. M. Motet, président du Congrès, pr
z leurs portraits : on consetve pieusement leur souvenir dans cette Ecole de médecine où le directeur M. le professeur Le
édecin-chef de l'asile de Dron ; le le Dl' Legludic, directeur de l' École de Médecine d'Angers ; vice-prési- dents : MM.
rture, M. le préfet, M. le Dr Legludic, le distingué directeur de l' École de médecine d'Angers, qui nous a réservé un amp
ue médicale, et j'ai conservé la reconnaissance la plus vive pour l' Ecole de médecine d'Angers, pour la mémoire de mes pr
ychologique, à la ville d'Angers, à nos hôtes, aux professeurs de l' Ecole de mé- decine. Je mets dans ce toast toute la c
heureux de voir à cette table, créateur et premier direc- teur de l' Ecole des Beaux-Arts d'Angers. Nous admirons autant s
à la peine en 1879. Son fils, un des élèves les plus brillants de l' école de médecine d'Angers, est également une victime d
aire qu'il existât une chaire de pathologie mentale dans toutes nos écoles de province; il serait utile qu'on imposât à l'
PETON qui leur a offert le vin d'honneur. De là, ils sont allés à l' école de cavalerie où ils ont assisté à une répétition
ble comme dans tous les établissements éloignés des facultés et des écoles de médecine où sont aujourd'hui obligatoires le
main gauche qui l'empêchaient de faire des exercices d'écriture à l' école . A l'âge de onze ans s'est déclarée une telle p
hysteria major, conforme à la des- cription classique établie par l' école de la Salpêtrière, avec les trois phases cliniq
lité ne puisse être établie du fait qu'ils ont été éduqués dans des écoles spéciales, que leur sens moral a été développé
ique. La méthode psychologique, dans les mains de Pinel et de son école a donné de bons résultats : la description de la
augmenté de 32 p. 100. Quand on a voulu rendre notre régime, notre école publique responsable de cette crise de moralité
sujet la nette déclaration d'un homme aussi pondéré que M. Tarde. L' école nous sert au contraire aujourd'hui pour com- ba
Montyel, « qu'il y a eu précipitation de la part des partisans de l' école anthropologique à condamner au mépris l'atavism
de Neurologie, '1898, t. V, p. 241, 29G.) La propagande dans les écoles , les conférences publiques porteront assurément d
chen RU BeR Etiologie du -, par Lindetrem, 291. LiÉ]3AUL'r et son école , par Renter- ghell, 136. LLrsc anesthésique a
92 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ous écrit la famille; la malade, après avoir terminé les cours de l' école professionnelle de Bue..., ayant à passer l'exa
garçon, dix- neuf ans, bonne santé, très travailleur, candidat à l' Ecole centrale ; 4° une fille, dix-huit ans, bien por
et précis, elles sont dignes de leurs devan- cières et dignes de l' Ecole de la Salpêtrière. Miraillé. II. Leçons de clin
t rit sans parler. Elle s'accuse encore que sa mère l'a envoyée à l' école et qu'elle n'a rien appris. Dieu a parlé avec e
liers de charpentiers, de menuisiers, de tapissiers, etc., puis une école . 75 p. 100 des hommes sont employés aux travaux
t de travaux multiples dans ces dernières années; en particulier, l' école de la Salpê- trière a publié des études magistr
n des causes de l'hystérie, si fortement établie par Charcot et son école commence cependant à paraître incomplète. Et po
étation non scientifique, ignorante, de la maladie : c'est ce que l' école de Charcot a établi d'une façon définitive. Il
es, maire de Marseille, au Pharo, dans le grand amphithéâtre de l' Ecole de Médecine. M. Floret, préfet des Bouches-du-
M. Cossac, procureur de la République, M. le DLivon, directeur de l' Ecole de Médecine, M. Drouineau, inspecteur général d
à Marseille un élève direct et favorisé qu'Auguste Comte enleva à l' École poly- technique pour lui faire étudier la médec
directeur de l'Assistance publique, M. le Dr Livron, directeur de l' École de médecine, M. le Dr Kackenko, de Nijni-Novgor
le Président adresse ses remerciements au D'' LivON, directeur de l' École de médecine, qui a bien voulu avec tant de bonn
grâce et de cordialité, nous ouvrir toutes grandes les portes de l' École de médecine. Au nom de tous les mem- bres du Co
e et progressive.. Enfin, dans son-rapport, M. Anglade avance que l' École française admet que le délire chronique évolue
Doutrebente, M. le Dr Magnan ne représentant pas à lui seul toute l' École ' française ; et même sur cette question itous-le
ion administrative du Bureau de bienfaisance; Livon, directeur de l' École de médecine ; Paul Gourret, directeur de l'Ecol
on, directeur de l'École de médecine ; Paul Gourret, directeur de l' Ecole de pêche; Edouard Gourret, conseiller d'arrondi
des externes dans tous les asiles voisins d'une Faculté ou d'une École préparatoire de médecine. Il y aurait ainsi' moin
éral de la préfecture, et M. le D1' Livon, l'aimable directeur de l' École de médecine. Une cordiale animation règne. Plus
réfet, le Président du Conseil général, le maire, le directeur de l' École de médecine que vous auriez dû vous adresser, m
gleterre, aux L,iats-Uuis, dans les Pays scandinaves, il existe des écoles de redressement, où l'on obtient de sérieux rés
t suffire par elles-mêmes à l'acte de la parole. Enfin, la nouvelle école psychologique depuis l3astian Grashey jusqu'à P
ndant dans la façon d'envisager le mutisme et ses varités. Ainsi, l' école analomo-localiste de Vernicke-Lich- theim décri
e de la lésion dans tel ou tel autre centre de mé- moire verbale. L' école psychologique actuelle a remis les associations
u'à l'âge de huit ans, P... reste chez ses parents, fréquen- tant,l' école primaire où il paraît avoir été un de ces élèves
rtout, c'est de vulgariser l'étude de l'aliénation mentale dans les Écoles de Médecine; en outre, l'expertise devrait être
èque de l'asile où il a été procédé à l'ou- verture officielle de l' Ecole professionnelle pour les surveillants et infirm
mme de ménage, partant chaque jour de bon matin. Il allait seul à l' école et, revenu à la maison à quatre heures, il s'oc
93 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
e. A l'âge de peu appris etappre- commerce dans son 8 ans entra à l' école nait difficilement ; magasin ; fréquen- primair
ement ; magasin ; fréquen- primaire qu'il ne actuellement ne tait l' école de 8 finit pas. De là, il s'occupe de rien. jus
ur incapacité et > ' placé à l'âge de 14 ans dans une petite école spéciale d'a- griculture. Antécédents Née à t
vec cirrhose péri et inlra-lobulaire. LES PEINTRES DE LA MÉDECINE ÉCOLE FLAMANDE ET HOLLANDAISE LE MAL D'AMOUR PAU
tume et par les manières, il montre bien qu'il appartient à la même école . Sa fraise, ses rubans, son chapeau, ses gants,
ul de Molènes (2). (1) V. Henry Neige, Les peintres de la médecine ( Ecoles flamande et hollandaise). Les opérations sur la
inture, qui n'est pas 'signée, mais de la môme époque et de la môme école , se trouve dans une collection privée et nous a é
le a suivi sa famille à Paris. , . 4 't'âgede 12 ans, elle quitte l' école pour aider au commerce de ses parents qui tenai
ité syphilitique, page 401 (note). , LES PEINTRES DE LA MÉDECINE ( ÉCOLE FLAMANDE ET HOLLANDAISE). LE MAL D'AMOUR (Sui
à la cause de l'abondance des Malades d'amour dans les oeuvres de l' école hollandaise, il ne nous paraît guère soutenable q
LE MAL D'AMOUR 241 Enfin, on sait combien sont fréquentes, dans l' école hollandaise, les répétitions d'un même sujet. L
IV Il existe, il ma connaissance, une trentaine de tableaux de l' école hol- landaise que l'on peut rattacher au mal d'
faire connaître ces peintures, sans insister sur les in- fluences d' écoles ou d'ateliers. On remarquera toutefois que les
ers. On remarquera toutefois que les deux grands chefs de file de l' école des Pays-Bas, Frans Hais et Rembrandt, n'ont, n
C ? l : diL2UCS. LE MAL D'AMOUR 255 VI . Sous l'influence de l' école de Rembrandt, le mal d'amour revêt un as- pect
re la correction du dessin et la fraicheur du coloris et appris à l' école de Rembrandt l'heureuse distribution des lumières
drecht, philolo- gue érudit, devint professeur, puis correcteur à l' Ecole latine d'Amsterdam. Il a laissé plusieurs tradu
uve de l'hyperalgésie. (A suivre.) LES PEINTRES DE LA MÉDECINE ( ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE) LE. MAL D'AMOUR (Sui
rard Dow et de Terborch, parmi les meilleurs peintres de genre de l' Ecole hollan- daise. Ses scènes médicales sont en n
rées au Mal d'Amour (1). Comme dans tous les tableaux de genre de l' école des Pays-Bas, on y retrouve d'abord un désir pr
ues et des cha- peaux pointus dans les nombreux tableaux genre de l' école hollandaise, rien ne saurait mieux renseigner s
e lésions intra-spinales du tabes. LES PEINTRES DE LA MÉDECINE ( ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE) LE MAL D'AMOUR (Suit
oscopie, nous nous con- tenterons de rappeler ici les peintures des écoles des Pays-Bas, qui se rat- tachent aux consultat
les urologues empiriques. Le musée de Dijon possède un tableau de l' école flamande, attribué à un peintre peu connu, Thom
t encore un dessin à la plume rehaussé de l'avis attribué à Picard ( Ecole française, XVI le siècle, détails inconnus) et in
Elle tâche d'esquiver tout examen en disant : « Je n'ai pas été à l' école , je n'ai pas pu, regardez là (son oeil couvert
bourg. MASSON & Cic, Editeurs. LES PEINTRES DE LA MEDECINE ( ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE). LE VIEILLARD MALADE D
ommasi de Amicis, 34. Mal d'amour (Les peintres de la méde- cine, école flamande et hollandaise) (24 phot.), 51,221, 34
., Siscliemas), 453. MEME (Henry). Les peintres de la méde- cine ( Ecoles flatiiande et hollandaise). Le Mal d'Amour (24
94 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
iC ? E3, : . ? Ÿ . J 66 NÉCROLOGIE. ' A la même époque il fit à l' Ecole pratique un cours libre sur la thérapeutique et
cé le 10 juin 1838, ir, l'occasion de la distribution des prix de l' école primaire de Garennes (Eure) ; Lettre à AIJI. les
ple rationnel et efficace d'assistance pour lss malheureux, 1865 ; - Ecole de la Salpétrière pour les enfants malades, inf
e la psycho- logie et la clinique, 1877 ; Distribution des prix à l' école des enfants idiots épileptiques de la Salpêtriè
tres. Mais ce n'était pas assez pour lui : il faisait des cours à l' Ecole pratique, il gardait la clientèle des pauvres d
'aliénés. groupes et par familles; on a créé pour cette colonie des écoles d'infirmiers et d'infirmières, et ce personnel
nie est un hôpital pour les malades, un asile pour les déments, une école pour les enfants, un atelier pour les adultes.
ins un médecin pour deux cents malades; 4° il y aurait une maison d' école pour les enfants épileptiques; 5° on organisera
mités corporelles ou mentales, sont hors d'état de fré- queuter une école , ni les enfants moralement corrompus. Lorsque les
ans une classe ordinaire ou doit être renvoyé définiti- vement de l' école . Le nombre des élèves d'une classe spéciale ne
n'avons pas gardé le souvenir, M. Charcot fit son cours libre à l' École pratique : il le consacra à l'hémorrlzagie et au
qui en sont découlées ont contribué à agrandir la réputation de l' Ecole de la Salpêtrière. Elles sont sorties du monde
i qu'indirectement il nous a prêté son concours pour le succès de l' École des infirmières. Nous n'en aurions point parlé
, enfants, s'imposait à notre choix pour la création de la première école d'infirmières. Deux années d'internat, huit ann
donné une certaine in- fluence qui devait contribuer au succès de l' École . M. Charcot, qui connaissait par expérience ce
s cette voie de libéralité scientifique. C'est ainsi qu'il a créé l' ÉCOLE DE la Salpêtrière « qui rayonne sur le monde mé
indre. Sui - vant toujours les mêmes tendances de son esprit, les écoles nouvelles ne l'attiraient point. Il avait gardé s
. On pourrait presque dire qu'il avait fondé chez lui une véritable école d'art décoratif. Rien de banal dans ce mobilier
rales jus- qu'aux études de Selmi et Gautier, de Bouchard et de son école en France. C'est chimiquement, et expérimenta
cette année décidé de retarder la solution jusqu'en janvier 1894. École LIBRE DE magnétisme. L'ouverture de l'Ecole libre
jusqu'en janvier 1894. École LIBRE DE magnétisme. L'ouverture de l' Ecole libre de magnétisme, fondée par la Société magn
apus) a fait sa première leçon de physiologie ( ? ). -Grâce à cette école , tout porte à croire que les médecins neurologiqu
ses maladies. Comme on le voit, contrairement à ce que soutient l' Ecole de Nancy, et conformément aux doctrines de la S
'il est guéri, qn'il va pouvoir écrire. De mon cabinet il court à l' école qu'il venait de quitter le bras en écharpe, et
s qui faisait croire à l'action bienfaisante de l'hypnotisme. - L' école de Nancy prétend bien que l'hypnotisme a guéri
risons par l'hypnotisme signalées par le représentant autorisé de l' école de Nancy, par Bernheim, si on les étudie sérieu
tout traitement a échoué. C'est là du reste ce que, dans certaines écoles , on s'est trop pressé de conclure dans des cas
e annonçant la mort du savant défunt sont parvenus, le drapeau de l' Ecole de médecine a été mis en berne, et, pendant la jo
notre représentant les condoléances des élèves et des membres de l' Ecole pour la grande perte faite par la France. » N
111 \GXÉTIr.t : H, création d'un syndi- cat de -, 88. Magnétisme, école libre de -, 131. Magnètothéiîahie, et suggestio
95 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es que variés qu'envisageait avant eux sans les pouvoir expliquer l' école clinique de 1830. Aujourd'hui les points princi
ques et intellectuels consécutifs. Il était intelligent, allait à l' école où il apprenait bien. A sept ans, un ivrogne l'
(1875), inspirée par Lasègue. Il était réservé à M. Charcot et à l' Ecole qu'il a fondée de faire cesser toutes ces diver
de celle ville. Il en est très partisan. Ces enfants qui, dans les écoles ordinaires, étaient laissés de côté, tournés en d
ravailler pour les 156 VARIA. examens sont souvent dispensés de l' école pendant longtemps, ou d'une façon permanente. 1
à dit. il serait facile qu'une inspection médicale semestrielle des écoles , décidât quels sont les enfants qui devraient ê
ettre les enfants dans ce cas aux inspecteurs deux fois par an. L' école serait ainsi débarrassée des membres débiles qui
prononcés les 3, 8 et 9 août 1887 aux distri- butions des prix des Ecoles municipales d'infirmières laïques (dixième anné
elligence n'avait pas diminué, il apprenait assez bien ; allait à l' école . Jamais d'aura. De douze à treize ans, situatio
point d'aggravation. - A quatorze ans, on a cessé de l'envoyer à l' école . Il tombait environ trois fois par mois. A quin
à 36°,8. - Le 17 et jours suivants, le malade a demandé à aller à l' école , ou chez ses parents, le tout en pleurant. - 6
tellec- tuelle s'est accentuée ainsi que le montrent les notes de l' école et son écriture. La parole est un peu traînante
considérations que nous venons d'exposer et nous avons vu combien l' Ecole de la Salpêtrière avait fait pour l'étude de l'
572 F.). Lits vacants, 160. La colonie d'épileptiques DE Bielefeld; Ecole de garde-malades Dans le Médical Record du 23 a
ces malheureux qui sont ordinairement à charge à leur famille. Les écoles publiques leur sont fermées; nul ne veut les em
munis d'un métier, qu'ils peuvent continuer à exercer ailleurs. Une école où l'on enseigne toutes les branches de la scie
nt trente diffé- rents. En cas d'accès, chaque boutique et chaque école possède un matelas ou un lit, à portée de la ma
e partie qui n'est pas la moins intéressante de la colonie, c'est l' école préparatoire de garde-malades, qui existe depuis
t pour chefs- lieux, certaines villes possédant des Facultés ou des Ecoles prépa- ratoires de médecine. Le département de
ablement et marchait bien à dix-huit mois ; plus tard on le mit à l' école où il apprenait bien. Il n'aurait jamais eu de
poursuit, comme on le voit, l'idée d'après laquelle M. Charcot et l' Ecole de la Salpêtrière auraient formulé des lois ine
t ans. - « Elle est allée, ajoute M. Séglas, plusieurs années à l' école mais n'a jamais appris à lire. » Or, elle n'allai
es à l'école mais n'a jamais appris à lire. » Or, elle n'allait à l' école que très irrégulièrement et pendant deux ou tro
e quarante-neuf ans, ayant appris à lire et à écrire, en allant à l' école du village comme y allaient les enfants il y a
lade qui n'a appris à lire que vers vingt ans, une fois sortie de l' école . Pour l'Otzr : uv.·nou 11, les photographies de
96 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ifestations de l'hys- térie. C'est précisément le grand mérite de l' Ecole de la Salpê- trière, sur ce point comme sur bie
sur et voilà, moyenne pour hé ! oh ! Dr Laulanié, directeur de l' Ecole vétérinaire de Toulouse, qui a bien voulu mettr
comme une espèce autonome et différente de l'hystérie, tandis que l' Ecole de la Salpêtrière en fait une variété de la név
Vilm..., autrefois intelligente, bonne élève, travaillant bien à l' école , sachant lire, écrivant et calculant passableme
'un grand secours. Les travaux de M. Paul Girard, ancien élève de l' école d'Athènes, nous ont appris que les murailles de
aides de façon à faire des séances de deux heures dans la cour de l' école ; en quatorze- jours on obtient l'équation de to
r de l'école; en quatorze- jours on obtient l'équation de toute une école . Les résultats sont intéressants. Ils seront pu
s loin qu'on ne le croit. Souvent elle débute dans l'enfance. Dès l' école ou le collège, les persécutés vivent à part, se
-Ainsi qu'il y a deux ans à Aachen, il s'est fondé à Hanovre une école qui puisse permettre de cultiver les enfants auxq
pour une raison ou pour une autre, de suivre les classes soit de l' école communale, soit d'une école professionnelle, so
autre, de suivre les classes soit de l'école communale, soit d'une école professionnelle, soit de l'enseignement secondair
éveloppé aux Raisselles et à la région anale. IL. passe à la grande école . Fig. 29. 238 recueil DE faits. Décembre. -
de école. Fig. 29. 238 recueil DE faits. Décembre. - Noies de l' école . - Phvsionomie douce, yeux à demi fermés. Il ma
cherchant il se rapetisser. Il est for t craintif. A son entrée à l' école , il était violent, criait, gâtait et se masturb
mélioration, toujours même instabilité et mêmes manies. Ses notes d' école présentent une seule particularité intéressante
riqué certains jouets; en outre, bien qu'il n'ait point fréquenté l' école , il arrive à faire des opérations compliquées e
rôle sur lequel insistent plusieurs auteurs ', et en particulier l' Ecole de Montpellier 2. Nous devons encore signaler l
ussi, que des faibles d'esprit ou des dégénérés. C'est le tort de l' école de Lombroso de ne voir dans le criminel qu'une mo
ndant parler de la même question. Sans doute, les élèves d'une même école qui ont les mêmes habitudes d'exa- men et de la
ne âge ni convulsions, ni fièvre éruptive; fré- quentant très peu l' école , il sait à peine lire et écrire; son enfance s'
peut-on accorder les contradictions qui paraissent exister entre l' école de la Salpêtrière et l'école de Nancy ? M. Char
ictions qui paraissent exister entre l'école de la Salpêtrière et l' école de Nancy ? M. Charcot enseigne que l'hypnotisme
évanouir les plus importantes des difficultés qui séparent les deux écoles : quant aux difficultés d'ordre secon- daire, e
chaque côté on connaît mal ou l'on méconnaît les vues exactes de l' école opposée. L'auteur n'admet pas que la non-manife
ar M. Robertson, ne résisterait pas au contrôle scien- tifique de l' école de la Salpêtrière, et mériterait plutôt le nom
97 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la dure-mère ; Par A. COCHEZ, Professeur de clinique médicale à l' École de Médecine d'Alger. L'hémorragie méningée spin
cordons postérieurs, devient de jour en jour plus rare. Il est une école (Grasset) qui le tient pour l'expression de la
phagocytes : la névroglie s'épaissit et prend leur place. Une autre école admet l'irritation vasculaire, l'inflam- mation
nsée. M. Paul FAREZ rend compte d'une séance qui a été donnée à l' Ecole de Psychologie par un sujet originaire de Saloniq
orte quelques cas d'inhibitions analogues suggérées aux enfants des écoles par leurs parents. M. Jules Voisin expose à ce
eurs parents. M. Jules Voisin expose à ce sujet ce qui se passe à l' Ecole de réforme de la Salpêtrière. M. Paul MAGNIN
promène ? Charles, jouons aux billes ; à une heure, nous irons à l' école ? Crise avec violente douleur dans le flanc gau
e vais faire trainer des pierres aux tortues, après quoi j'irai à l' école . La voix de Louis est enfantine. Je ren- dors,
erait aussi de les choisir : des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 223 écoles d'infirmiers et infirmières pourraient être créée
itisme. . ' Le progrès de l'éducation publique doit faire créer des écoles d'idiots et des colonies d'épileptiques, etc. P
minelles où les coupables peuvent être déments. II faut établir des écoles d'infirmiers ; augmenter le nombre des gardiens
opos la loi des trois États, les objections qu'a formulées contre l' école de Nancy, la récente conception de l'hystérie e
de Montpellier. Coulet et fils, éditeurs. - Elève et partisan de l' école de Nancy, M. Vires passe d'abord en revue les a
arrive à la théorie moderne de l'hypnotisme, théorie défendue par l' école de Nancy et basée sur la suggestion avec ou san
l'antériorité des modifications organiques sur l'idée, et toute une école de psychologues s'est ralliée à cette conception.
29), je revins chez le maître chez lequel j'avais été jusque-là à l' école et je devins tout à fait pensionnaire. Mes cert
autre jeune fille avait plu également à un de mes amis. Dès que l' école était fermée, nous courions dans la rue au moment
ons dans la rue au moment où ces jeunes filles sortaient aussi de l' école et nous cherchions plusieurs .fois par jour à l
s nouveaux camarades étaient peu instruits, je prédominais dans l' école , et ce sentiment me rehaussa à mes propres yeux ;
rs de la difficulté pour apprendre; on le change à chaque instant d' école ; partout on se plaint de ses mensonges (dès l'â
a pour une fête organisée, nous dit-il, par les anciens élèves de l' Ecole Centrale. Il écrit même à son frère à cette inten
photographies sont dues à l'obligeance de M. Guillot, étudiant de l' Ecole de médecine, et l'épreuve radiographique à celle
frère et ami, le Dr Perruchet, chef de clinique chirur- gicale de l' École , chargé du service radiographique et chirurgien d
ujets, âgés de trente- trois ans, après avoir fait leurs études à l' Ecole militaire où déjà ils s'étaient montrés distrai
la maison paternelle à une heure de l'après-midi pour se rendre à l' école , avait disparu. Les recherches immédiatement or
re de psychologie Interne des asiles de la Seine expérimentale de l' école des Hautes-Etudes (asile de Villejuif).. {asile
a fondation, et forme les serviteurs nouveaux, remplaçant ainsi une école d'infirmiers qui n'existe pas. Les deux sexes s
: Les asiles sont généralement éloignés des centres, tandis que les écoles de médecine ou les laboratoires sont dans les g
comme pour les autres arriérés, il serait utile de créer à côté des écoles primaires ordinaires, des classes spéciales. G.
98 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
la nature, suivant sa répulsion ou son attraction. Pythagore et son école reconnaissaient un fluide, âme du monde, qu’ils a
nes mesmériques. Après avoif esquissé à grands traits l'histoire de l’ école mystique à laquelle il appartient, et qu’il a rés
es et pures, qui vivait au premier siècle. Une secte romaine de cette école , fondée par Sextius, avait jeté un grand éclat 5
rnclus, ardept propagateur de l’ülumini»me, • comme toijs ceux de son école , reconnaît deux monde? , celui de l’intelligence
f?, jusqu’4 c? qrçe la persécution de l’empereur Justinien contre les écoles prof*n?f, eût forcé les chefs à se réfugier chez
nt ainsi jusque dans le dix-septième siècle, maintenant toujours leur école et faisant surgir, de temps à autre, quelques hom
es veines de religion et de poésie (a). Jles continuateurs de cette école mystique furent, au dix-septième et au dix-huitiè
istingués. J’accepterai peut-être vos idées quand j'aurai été à votre école . — Bien riposté! » s’écrièrent plusieurs assist
s le monde entier! Les théâtres seraient-ils destinés à remplacer les écoles , et les romanciers les professeurs ? C’est ce que
de veille. Il avait seulement passé quelques mois de son enfance à l’ école ; et jusqu’au moment où il entra dans la carrière
éviter : les erreurs souvent irréparables que causent les doctrines d’ écoles . « Quel beau rôle nous avons à remplir. Messieu
s maux de notre patrie; propre à détruire les systèmes mensongers des écoles , qui font tant de victimes parmi nous? « Quel b
révélateur humanitaire, de l’extirpateur des vices systématiques de l’ école et de la routine, rallions-nous autour du drapeau
sur cette donnée que, ayant cherché la vérité dans les doctrines des écoles , étudié avec soin les différents systèmes , sa ra
à rallier tous les esprits; est-ce la médecine, enfin, non celle des écoles ; mais celle plus vraie, que nous indiqie la natur
onne foi de celui qui avait contrarié l’expérience. Un inspecteur des écoles se leva et avoua que, voulant éprouver s’il aurai
ique, moraleel physiologique de l'homme. « L’Athénée troyen est une école scientifique et populaire. Les murs de la salle q
t celui d’un honnête médecin d’Orléans, M. Charpignon. Élevé dans l’ école de Deleuze, M. Charpignon est, pour ainsi dire, l
its, il les a publiées quoiqu’elles soient contraires à l’esprit de l’ école et à l’intérêt de la corporation. Cette élévati
st M. E. V. Léger, étudiant en médecine, et prosecteur d’anatomie à l’ école nationale des beaux-arts. Tout jeune encore, M.
99 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
és; sans doute ils ne possédaient point toute la science actuelle des Écoles , mais ils en avaient d’autres plus profondes que
ce travail nous entraîne si loin des derniers échecs de nos démêlés d’ école , qu’il ne demeure plus de soif à l’esprit que pou
ondément tout système et toute doctrine enseignée ou soutenue par les écoles : Il est nécessaire que je vous le répète ici, po
eur de son œuvre, celui enfin dont tout magnéliste honnête, à quelque école qu’il appartienne, doit regarder comme un blasphè
prisme, ni théorie assujettie d’avance. Fils et vieux praticien de l’ école négatrice, ne me suis-je pas converti successivem
tisme la nature révèle des secrets supérieurs aux connaissances que l’ école enseigne. Que chacun, .m lieu do prendre dos cr
nement judicieux de tous les faits propres à éclairer la jeunesse des Écoles , ne feront entendre ([ne ces redites du passé pro
sion des principes nouveaux que le magnétisme révèle. La jeunesse des Écoles s’en ira dans les villes, répandre la parole de s
s est nécessairement absurde cl n'existe point. Les savants de liante école sont loin de s’imaginer ([u’il y a des forces mys
ui, dans cet état, marchant à pieds joints sur les enseignements de l’ école , fait des prescriptions qu’il doit désavouer à so
de somnambulisme. pour lin moment au-dessus des enseignements de l' école . Un fait de ce genre ne se renouvellera probabl
te, tous les moyens curatifs bons et employés par n’importe, s quelle école . Il a ajouté à cet excellent travail un guide c
alité dans votre journal aux idées d’un des plus savants adeptes de l’ école spirite, idées combattues par un non moins vigour
vrcs? Bien loin pour cela, de sn diviser; bien loin de s'ériger en écoles hostiles, ne doivent-ils plutôt se rapprocher, se
icacement pour la guérison demandée. » Le Dr A Guépin, professeur à l' école de médecine de Nantes. (Philosophie du XIXe siècl
ront la science ; mais je déclare n’avoir aucune prétention de chef d’ école et ne me considérer que comme une machine magné
aits que l’on ne parait pas avoir pris au sérieux, tant la rétivité d’ école est sourde à. ce qu’elle ne veut entendre. Je vai
ise pour l'affabilité de sa réserve simple et modeste. formez pas l' école cl la secte du spiritisme, en dogme universel du
autre côté, voilà qu’une exégèse laïque, appuyée sur les travaux de l’ école de Tubingue (1), nous informe que l’actualité du
o-Chrétiens. Toutes les sources y sont in diquées, elles travaux de l’ école de Tubingue y sont résumés lumineusement. » 1ÍM1L
100 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
emonter aux sources ou avoir une idée précise de l'œuvre du chef de l' Ecole de la Salpêtrière sur ces questions. On verra a
rincipal théâtre de ces controverses et de ces batailles. On a opposé Ecole contre Ecole et nous avons aujourd'hui, suivant l
tre de ces controverses et de ces batailles. On a opposé Ecole contre Ecole et nous avons aujourd'hui, suivant le langage des
Ecole et nous avons aujourd'hui, suivant le langage des auteurs, une Ecole de Nancy qui est en opposition avec celle de la S
oir de « Nancy », et, de mettre ainsi en regard les opinions des deux écoles . En 1878, nous l'avons déjà dit, malgré les tra
athologique. Nous devons maintenant exposer la manière de voir de l' école de Nancy (1), ce qui ne nécessite pas du reste de
sait que la suggestion est la clef des phénomènes hypnotiques. » L' Ecole de Nancy conteste donc d'une façon absolue l'exac
donc d'une façon absolue l'exactitude des diverses affirmations de l' Ecole de la Salpêtrière. Après avoir exposé sommairem
Salpêtrière. Après avoir exposé sommairement les doctrines des deux écoles , nous devons maintenant chercher à mettre en lumi
sertion que la suggestion est la clef du braidisme a été lancée par l' École de Nancy. Donc, d'après l'École de Nancy, tous
lef du braidisme a été lancée par l'École de Nancy. Donc, d'après l' École de Nancy, tous les phénomènes dits hypnotiques se
longuement étudiée par divers expérimentateurs qui appartiennent à l' École de la Salpètrière (i). On sait que par cette méth
mènes présentés par les sujets hypnotisés. Cette thèse appartient à l' École de Nancy et plus particulièrement à M. Bernheim.
nt à M. Bernheim. M. Beaunis, en effet, un des représentants de cette Ecole , a déclaré récemment qu'il était convaincu que la
l'aliment n'ait aucune efficacité ? Ainsi donc, comme on le voit, l' Ecole de Paris qui insiste elle-même sur l'importance d
la suggestion peut jouer, mais ne prouvent rien contre la thèse de l' école de la Salpètrière. Nous devons maintenant mettr
rance, et qui sont arrivés à des conclusions identiques à celles de l' École de Paris. Dès 1881, MM.Tamburini et Seppili (2)
u professeur Bianchi, tous les phénomènes des trois états admis par l' École de la Salpêtrière. Je n'ai pas publié celte obser
a Salpêtrière, parce qu'il ne l'a jamais observé. Les assertions de l' école de la Salpêtrière reposent, au contraire, sur des
isterait au moment de l'examen aucun stigmate. Il est certain que l' école de Nancy est loin d'avoir toujours suivi ces préc
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