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1 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r, par des exemples bien probants, que le Archives, t. XXVII. 1 2 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. substratum anatomique de l
romes lointains avaient encore seuls annoncé l'affection cérébrale. ' A ces trois observations complètes, avec autops
vroglie sont plus volumineux et plus pâles. (Obj. 7, oc. 1 Vérick.) ' 12 PATHOLOGIE NERVEUSE. matif, car le cadavre
fait qu'elle est plus large du ce niveau. ]4 PATHOLOGIE NERVEUSE. ' matoire. C'est la lésion que jusqu'ici j'ai ren
ion beaucoup plus superficielle évi- demment récente et transitoire, ' qui a certainement joué un grand rôle dans les
Lorsque le malade parle, tous les muscles de la face sont animés 24 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. d'un tremblement intense,
ient de se guérir, que sa maladie lui est remontée dans le cerveau, ' qu'elle lui a donné la faculté de tout dire et de
la base sont saines. On ne trouve aucune lésion sur la coupe des ' hémisphères. La moelle ne parait pas diminuée d
s étendus que les territoires où les cellules ne sont pas altérées. ' Les reins pèsent ensemble 300 grammes; la subst
e Burdach et d'une bandelette qui leur est intermédiaire; intégrité ' relative des champs postéro-externes et de la zon
r montrer les lésions des petits, vaisseaux. (Obj/0, oc. 1 Vérick.) ' 32 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. sauf un peu de cong
er les lésions des petits, vaisseaux. (Obj/0, oc. 1 Vérick.) ' 32 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. sauf un peu de congestion;
dans la zone saine,- il entrés'altéré dans la zone malade. 1, - Il ' 1 ? T ? 0-> -i > "<oU*fri -, ? n i 1 S
onvolutions motrices'/ la lésion nerveuse restant très considérable; ' que, -dans les circonvolutions motrices à leur
le, en m'appuyant sur la clinique et l'anatomie patholo- gique. , ' In Bibl. de philosophie contemporaine. F. Alcan,
3. , . Archives, t. XXVII. 3 34 PATHOLOGIE NERVEUSE. 'lJ<f'. ' - 1 '1 v'i . 1 ` 1 La confusion qui règne à cet
nce qui' n'apparaît pas ou est arrêtée dans son développement. ? " " ' · Si nous comparons les lésions cérébrales capa
o-encéphalite, la sclérose.cérébrale, la pachyménmgite, les tumeurs, ' etc.' Survenant chez l'adulte elles entraînent"
té que l'absence de phénomènes qui n'ont jamais , , ? .trvsn n i } ' -v tj^' r-.oh r-r~ - < L'IDIOTIE ET L'IMBÉCI
'absence de phénomènes qui n'ont jamais , , ? .trvsn n i }' -v tj^ ' r-.oh r-r~ - < L'IDIOTIE ET L'IMBÉCILLITÉ. 3
t; L'IDIOTIE ET L'IMBÉCILLITÉ. 35 t ,. . ? o^ .t'of ? j -j DIS ? '.« ' » ' «f** ? ? '1' ? ,ï<,î} '** 1' existé. Chez
L'IDIOTIE ET L'IMBÉCILLITÉ. 35 t ,. . ? o^ .t'of ? j -j DIS ? '.«'» ' «f** ? ? '1' ? ,ï<,î} '** 1' existé. Chez l'
35 t ,. . ? o^ .t'of ? j -j DIS ? '.«'» ' «f** ? ? '1' ? ,ï<,î} ' ** 1' existé. Chez l'adulte on a ordinairement d
rigine intra-utérine 1, pu j ts'e'st·`prèduitë;à u ? a ? e, ou . 1'^ ' es lmariifest ati o iis étaient trop' , vagues
m- porta7nee'4àe les autres. troubles^qu'on observe concurremment ' > ' ' 4d "'» ' i'« de l'intelligence, tels que
rta7nee'4àe les autres. troubles^qu'on observe concurremment ' > ' ' 4d "'» ' i'« de l'intelligence, tels queje gâti
a7nee'4àe les autres. troubles^qu'on observe concurremment ' > ' ' 4d "'» ' i'« de l'intelligence, tels queje gâtism
4àe les autres. troubles^qu'on observe concurremment ' > ' ' 4d " ' » ' i'« de l'intelligence, tels queje gâtisme,,
les autres. troubles^qu'on observe concurremment ' > ' ' 4d "'» ' i'« de l'intelligence, tels queje gâtisme,, * a
-j.>-> -. ? tr ? ^uf rim^X.1 - ,$f ·'ir '-(I "'f,tll`if ? ? f"i, ' ? , Mais si sérieuse que soit cette difficulté
Mais si sérieuse que soit cette difficulté du diagnostic deal'af-,t ' fection cérébrale'1 dont' un des symptômes est l'
te dans mon'étude'sur la''psych6logiede l'idiot," ce*n'est"pas,en ' intervertissant" l'ordre des choses ! en'faisante
arrivera à éclaircir lâ pathôlogië cérébraleünfaiitilé.aIl est aûssr` ' étrange de' la même épithète d'idiots deux- enf
céphâlite'et l'autre dè'p'orencéphia- " ; ; lie, qu'il le serait^ ! ' appliquer le seul diagnostic de'déments à un pa
cùh"poiht de'comînun'avëc cé"qu'on est convenu' d'appeler idiotie ? ' J'ai^'déjà montré1', et'je'ne'veux' . pas y rev
. pas y revenir ici; les profondes différences qui séparent ces'deux* ' j états au' point de vue' psyçhoJ.ogiqüè`et'soc
nique et anatomo-pathblogique la distihctionn'est pa's'moins nette. ' ` ' *D , Pour, s'en- convai *n'ere lil-sùffitd
e et anatomo-pathblogique la distihctionn'est pa's'moins nette. ' ` ' *D , Pour, s'en- convai *n'ere lil-sùffitd ? ?
ns nette. ' ` ' *D , Pour, s'en- convai *n'ere lil-sùffitd ? ? l - ' " " »" ' 1 it, d'une part les ' enfants^qualifi
e. ' ` ' *D , Pour, s'en- convai *n'ere lil-sùffitd ? ? l -' " " »" ' 1 it, d'une part les ' enfants^qualifiés d'idiÔ
n- convai *n'ere lil-sùffitd ? ? l -' " " »" ' 1 it, d'une part les ' enfants^qualifiés d'idiÔt1(d -l'âûtré`cêûŸ `qûali
'des deux catégories de malades,* est corroborée par la mortalité. ' Sur vingt et un malades morts en "1892, dans le
des imbéciles ne paraît. pas liffé'ér -de celle des gens normaux : ' ` ; , , ? '' ? f \ ' ' , ? ' '* On trouve l'exp
aît. pas liffé'ér -de celle des gens normaux : ' ` ; , , ? '' ? f \ ' ' , ? ' '* On trouve l'explication toute nature
t. pas liffé'ér -de celle des gens normaux : ' ` ; , , ? '' ? f \ ' ' , ? ' '* On trouve l'explication toute naturell
liffé'ér -de celle des gens normaux : ' ` ; , , ? '' ? f \ ' ' , ? ' '* On trouve l'explication toute naturelle de.
iffé'ér -de celle des gens normaux : ' ` ; , , ? '' ? f \ ' ' , ? ' ' * On trouve l'explication toute naturelle de. ce
is cent cinquante cerveaux d'idiots, d'imbéciles et d'épileptiques. ' . ' '. ' ''j ? M. Bourneville et M. Morselli, l
ent cinquante cerveaux d'idiots, d'imbéciles et d'épileptiques. ' . ' '. ' ''j ? M. Bourneville et M. Morselli, les d
inquante cerveaux d'idiots, d'imbéciles et d'épileptiques. ' . ' '. ' ''j ? M. Bourneville et M. Morselli, les deux s
tement en quelque sorte, ce fait en' évidence. Le premier, en effet, ' rattache toutes ces formes à une lésion' spécia
les vrais imbéciles. , " v v i z ., 3 .- ., i .a' ! i ,r : 11`w. · ' , . i Je dis chez les vrais imbéciles, .c'est-à
é.YIl ya aussi les'cas d'épilépsieavec faiblesse intel- lectuelle : ' '.Tantôt c'est l'épilepsie qui empêché le dévelop
n'entraîne ce qu'on entend par imbécillité proprement dite. . l '41 ' . 1 1 1 k ' . 38 pathologie NERVEUSE. L'imbéc
e qu'on entend par imbécillité proprement dite. . l '41 ' . 1 1 1 k ' . 38 pathologie NERVEUSE. L'imbécillité nous
athies dégénératives, où^elle forme, un type àpart. (.6<<i .m ' n ,J.\<s« t9..^i .-\<' ...a ' . L'idiotie
un type àpart. (.6<<i .m ' n ,J.\<s« t9..^i .-\<' ...a ' . L'idiotie au contraire n'est pas une entité m
ns ces cas on en'peut'lui'appliquer, la qualification d'imbécillité, ' qui doit être réservée aux cas de débilité ment
-à-vis d'eux-mêmes, soit vis-à-vis1 des' autres1, a1, .s9lr-ho7 \ e ' ^° 1 ' Les Archives laissant toute liberté, aux,
d'eux-mêmes, soit vis-à-vis1 des' autres1, a1, .s9lr-ho7 \ e '^° 1 ' Les Archives laissant toute liberté, aux, auteurs
le cas particulier, nous croyons nécessaire de faire des réserves ! ' (B.) ? ' £ .1 a WJ°· ? 11 -1 .gpy,SV, u·5 ? t Il
rticulier, nous croyons nécessaire de faire des réserves ! ' (B.) ? ' £ .1 a WJ°· ? 11 -1 .gpy,SV, u·5 ? t Il . t' .
' £ .1 a WJ°· ? 11 -1 .gpy,SV, u·5 ? t Il . t' . ? \ .' 'p'tr' " . ' REVUE DE`PÂTHOLOGIE''111ENTALF,. ` ? , . - s,
''111ENTALF,. ` ? , . - s, ,...Ei1 r 1 y'. l'iu»i^t'f. £ ! ^/fc' °j ' )-> 'C'f'tl .' 'i'a-* · L·DE la CLASSIFICATI
ar P.-J." Moebius. (Centnalbl. f. Nervenheilk, N. F., III, 1892.) " ' ^ ......n *r.'Tf ,' ? , Nous ne pouvons mieux
Centnalbl. f. Nervenheilk, N. F., III, 1892.) " ' ^ ......n *r.'Tf , ' ? , Nous ne pouvons mieux faire que de reprodui
, Nous ne pouvons mieux faire que de reproduire le tableau de . , ' , Ml .. Mil - tl »jiLir,^ i» i...-- . ji, i C - *
'des attaques convulsives qui peuvent même devenir plus fréquentes. ' ' 1 'Il .. G. 1). ' ·n ., te . : IV. Sur LES
es attaques convulsives qui peuvent même devenir plus fréquentes. ' ' 1 'Il .. G. 1). ' ·n ., te . : IV. Sur LES TR
ves qui peuvent même devenir plus fréquentes. ' ' 1 'Il .. G. 1). ' ·n ., te . : IV. Sur LES TROUBLES ? SENSITIFS'
RTS AVEC LA DOULEUR DES MALADIES VISCERALES; par HENRY HEAD. (Brain, ' 1-Il ? 1893, p : 4 130.) f ' * -1 ' ? J 'l" ! l
IES VISCERALES; par HENRY HEAD. (Brain,' 1-Il ? 1893, p : 4 130.) f ' * -1 ' ? J 'l" ! l'> '.L.,)li 1 z Dans ce
RALES; par HENRY HEAD. (Brain,' 1-Il ? 1893, p : 4 130.) f ' * -1 ' ? J 'l" ! l'> '.L.,)li 1 z Dans ce long mémo
schémas.de la(topographie .de ces derniers. , i ,) ,Vh , , . o. v ^ ' , p. S. - ' ? f B'> r - «,( -i- j't'à . .. .
topographie .de ces derniers. , i ,) ,Vh , , . o. v ^ ' , p. S. - ' ? f B'> r - «,( -i- j't'à . .. . t.) ...'i ' -
o. v ^ ' , p. S. - ' ? f B'> r - «,( -i- j't'à . .. . t.) ...'i ' - . , V. DES TROUBLES de : la parole passagers,
ns lesquels ? pendant le stade'prodromique de la paralysie générale, ' il" se produit des' attaques d'aphasie ataxique
les signes'évidents de la paralysie générale. Deux observa- tions. ' ' ., ' l'' ? ' '. P. K. t. , . V1..DEUx cause
es signes'évidents de la paralysie générale. Deux observa- tions. ' ' ., ' l'' ? ' '. P. K. t. , . V1..DEUx causes
gnes'évidents de la paralysie générale. Deux observa- tions. ' ' ., ' l'' ? ' '. P. K. t. , . V1..DEUx causes DE pa
'évidents de la paralysie générale. Deux observa- tions. ' ' ., ' l' ' ? ' '. P. K. t. , . V1..DEUx causes DE paraly
dents de la paralysie générale. Deux observa- tions. ' ' ., ' l'' ? ' '. P. K. t. , . V1..DEUx causes DE paralysie
aé L.' B.Gé : (Celatualbl : f.' Nel'uenlceilk., N. F., IV., 1893.)" ' Observation I. Blépharoptose congénitale, bilatér
stion : L'accusé pouvait-il s'empêcher d'agir comme il l'a fait ? ' Le progrès qui s'impose est même d'enlever au jur
s et pouvoir exposer clairement ses arguments aujury. .,AmcWceM.)OM; ' )Ko/'M ! S6[y, 1893.) E. 1)'. VIII. UN cas DE FO
forme DE confusion mentale - . PRIVI1T1'IE; par le D' SÉGL : 1S. ' L'auteur rapporte l'observation, des plus instruc
psychique les symptômes morbides qui ont fait une apparition subite, ' se sont caractérisés, pendant 'toute la durée'de
apide et accentué, gâtisme intermittent, suspension des1 règles ? 1 ' ? 1 ,lf : Séglas; après avoir'discuté pour les'
rès avoir'discuté pour les'éliminer, les diagnostics de manie aiguë, ' de mélancolie,- de paranoïa aiguë,' montre en rap
les diagnostics de manie aiguë,' de mélancolie,- de paranoïa aiguë, ' montre en rap- pelant dans ces principales lign
pte de ces' indications par- ticulières dans'le traitement'physique, ' en pratiquant* l'antisepsie gastro-intestinale,
psie gastro-intestinale, tout en cherchant à régulariser l'exercice ' des différentes fonctions de l'économie'et à re
iver sans relâche les opérations'cérébrales* interroger les malades, ' fixer leur attention ; ces malades qui se réveill
l'in- telligence se@ développe progressivement.'1 ? Une 'questionne ' pose REVUE DE ^PATHOLOGIE MENTALE. 43 encore
lt; ses . diverses formes cliniques; ti i-itun : 'tpar le Dr L. Z ? ' ) b - Mettant, à profit trois observations des p
o- logiques, ,1893.) t lie > s ? >' ., f,e4 " , pi'.u E.,B. ' - il ? z Ar2 ? ' ->èij X. La cause DU « LIBR
893.) t lie > s ? >' ., f,e4 " , pi'.u E.,B. ' - il ? z Ar2 ? ' ->èij X. La cause DU « LIBRO DEL COMANDO ».
O DEL COMANDO ». Cas DE'FOLIE CINQ par le D1' René SMELAIGNE. "*EI) ' "m"° ? i< - <<'.t . ? )"ii).' L'auteu
en la maison ^d'un"" nommé" Franchini, dans le but de 's'emparer du" ' /i6ro'vdeZ com(MtQ'o"ouvrage"magique soi- disan
s l'intervalle, examiné.troisdes,.sinculpésc,et conclu à la folie.' ' Mais la Cour n'autorisa pas les experts à dépos
-quinze jours, de réclusion. (Annales médico-psychologiques, 1893.) ' ' '" " " E. B. - 5 ? ' v ? ft7t ah t. ! t 'ffa
uinze jours, de réclusion. (Annales médico-psychologiques, 1893.) ' ' '" " " E. B. - 5 ? ' v ? ft7t ah t. ! t 'ffa Eu
nze jours, de réclusion. (Annales médico-psychologiques, 1893.) ' ' ' " " " E. B. - 5 ? ' v ? ft7t ah t. ! t 'ffa Eu I
on. (Annales médico-psychologiques, 1893.) ' ' '" " " E. B. - 5 ? ' v ? ft7t ah t. ! t 'ffa Eu Ir'1fI07( ? ? sltfi' l
ibution- a l'étiologie DE la paralysie GÉNÉRALE;.par ? ! >'>. ' » TH. Kans. (411g. Zeitsclc. f. Psychiat ? XLIX,
itsclc. f. Psychiat ? XLIX, 5.) ny' . 'S;3 ^n° -1 c y ->>>» ' · - ii,oi<<i < ' 9t ... "- ' 1 -` -' .rf
, 5.) ny' . 'S;3 ^n° -1 c y ->>>»' · - ii,oi<<i < ' 9t ... "- ' 1 -` -' .rf.ii - Abstraction faite
'S;3 ^n° -1 c y ->>>»' · - ii,oi<<i < ' 9t ... "- ' 1 -` -' .rf.ii - Abstraction faite des causes m
n° -1 c y ->>>»' · - ii,oi<<i < ' 9t ... "- ' 1 -` - ' .rf.ii - Abstraction faite des causes morales,
hez une aliénée; par `VIEDE11EISTER. (Nezi·olog. Centralbl., 1893.) ' ' ^ - U' -al.* "» ? i ,* : - ? ' i £ . ,' ? ! 1
z une aliénée; par `VIEDE11EISTER. (Nezi·olog. Centralbl., 1893.) ' ' ^ - U' -al.* "» ? i ,* : - ? ' i £ . ,' ? ! 1 :
ER. (Nezi·olog. Centralbl., 1893.) ' ' ^ - U' -al.* "» ? i ,* : - ? ' i £ . ,' ? ! 1 : v .1 ' a ..IF1. . Celte' malad
·olog. Centralbl., 1893.) ' ' ^ - U' -al.* "» ? i ,* : - ? ' i £ . , ' ? ! 1 : v .1 ' a ..IF1. . Celte' malade a eu un
l., 1893.) ' ' ^ - U' -al.* "» ? i ,* : - ? ' i £ . ,' ? ! 1 : v .1 ' a ..IF1. . Celte' malade a eu un nouvel accès,j
c'est une surveillance à exercer. Mieux'* vaut' les distraire' par le ' travail méthodique. kli 'il "'»'-. « : >imo
Mieux'* vaut' les distraire' par le ' travail méthodique. kli 'il " ' »'-. « : >imo p ? u ? t.j. 't' 4 l, 3 r LV-t
ue. kli 'il "'»'-. « : >imo p ? u ? t.j. 't' 4 l, 3 r LV-t M> ' 1. ) Ww tl. r t1t' yat.m9 J ; XV.' Mutisme, vés
XV.' Mutisme, vésanique -survenant par- accès et'sous'l'influence ! ' d'un état hallucinatoire DU CENTRE verbal PSYCH
OTEUR par le' Z PIER9CCINL' (Riv, sp. di fren : ; fasc. I, 4893.) ? ' -^i-1'^ .t'ulr4'1 - , ? < ,t' ' 1 W 'n -T, !
p. di fren : ; fasc. I, 4893.) ? ' -^i-1'^ .t'ulr4'1 - , ? < ,t' ' 1 W 'n -T, ! "il . il.'fl'»^ * .1-.3 jU Observa
r parce que dans le ? temps qu'elle pense à'cequ'etlp voudrait dire, ' les mots lui échap-. , peut sans bruit 'par la
soif origine première, dans ? les hallucinations verbales motrices, ' par suite du mécanisme même,q les hallu inatioi
allucinations'motrices dans la production du mutisme vésanique.. "` ' ? '" 3 ? J. Séglas. XVI : ' UN cas D'ATIPYR ! N
cinations'motrices dans la production du mutisme vésanique.. "` ' ? ' " 3 ? J. Séglas. XVI : ' UN cas D'ATIPYR ! NOMAN
production du mutisme vésanique.. "` ' ? '" 3 ? J. Séglas. XVI : ' UN cas D'ATIPYR ! NOMAN)E; par le' CaPPELETTI. (R
las. XVI : ' UN cas D'ATIPYR ! NOMAN)E; par le' CaPPELETTI. (Ri'Ù ! ' 517.·di fren., , i. n»- v l -o >«/< q fas
ngue'de'celui qu'on' observe chez', les mélancoliques q , tb - ie,- ' i,.... - , . ? rl ordinaires par un certain nom
n effet, les troubles intellectuels' ont commencé' en septembre . . ' ) 'J')t <" ? Ud H ')'T J"" " ? ? re ? ) ? 1;
ntellectuels' ont commencé' en septembre . . ' ) 'J')t <" ? Ud H ' )'T J"" " ? ? re ? ) ? 1;,vviit uni i; tlil Avtf
pres des dénominations précises, indiquant de quoi il's'aâit.'(13,) ' * ? "' ' '*' REVUE DE pathologie mentale. 47 Î
es dénominations précises, indiquant de quoi il's'aâit.'(13,) '* ? " ' ' '*' REVUE DE pathologie mentale. 47 Î 1891,
dénominations précises, indiquant de quoi il's'aâit.'(13,) '* ? "' ' '*' REVUE DE pathologie mentale. 47 Î 1891, s
énominations précises, indiquant de quoi il's'aâit.'(13,) '* ? "' ' ' *' REVUE DE pathologie mentale. 47 Î 1891, sou
ominations précises, indiquant de quoi il's'aâit.'(13,) '* ? "' ' '* ' REVUE DE pathologie mentale. 47 Î 1891, sous
Aiarz : -iiédiëô' ps jcl ? 4893.)`·.,·`rr,E. B. 9.11 j' i.f'.i.' .W ' «fin « rW tl 1 * . ! ' .»»' "' '«'' z 1 ? -- ? \
cl ? 4893.)`·.,·`rr,E. B. 9.11 j' i.f'.i.' .W '«fin « rW tl 1 * . ! ' .»»' "' '«'' z 1 ? -- ? \<~ , jilfi." ! -»"
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' .»»' "' '«'' z 1 ? -- ? \<~ , jilfi." ! -»" -l> > .'I"" ' im it ? )' ' VII1 ? CONTRIBUTION A L'ÉTIOLOGIE
'«'' z 1 ? -- ? \<~ , jilfi." ! -»" -l> > .'I"" ' im it ? ) ' ' VII1 ? CONTRIBUTION A L'ÉTIOLOGIE DE la folie
z 1 ? -- ? \<~ , jilfi." ! -»" -l> > .'I"" ' im it ? )' ' VII1 ? CONTRIBUTION A L'ÉTIOLOGIE DE la folie pue
, , ., . ? .. t p Yff 'Mif' » il r UM ? I( , ? «l >. * ? J1'. n ' , Min mn · . z Après un exposé succinct des dive
sesse et des premières couches ? '-^'C6mparéeJ à' celle des couches ' suivantes, l'influence des premières'' couches
ection semble avoir été4la''matrice;'et dans`r p ? 460 les reins. , ' ' , La'seconde place' après l'infection apparti
tion semble avoir été4la''matrice;'et dans`r p ? 460 les reins. , ' ' , La'seconde place' après l'infection appartien
STRALIE), considérées par rapport au recensement de 1891 ; par le 1) ' Ciiis- HoLU Ross. L'auteur donne un tableau d
alles, au contraire, comme dans les pays neufs, il a'peu de misères, ' peu d'agglomération dans les grandes villes ; l
lie. La proportion des femmes aliénées est plus forte'que celle des ' hommes dans tous les pays; c'est le contraire à
a proportion est de z p. 100 au lieu de 3,11 p. 100 (Royaume-Uni).. ' Causes dans le Royaume-Uni : 1° Les crises phys
rtion des aliénés de chacune des nationalités habitant la Nouvelle- ' Galles du Sud en 1881 et en 1891. Les Irlandais
les plus nombreux, ensuite viennent les Alle- mands et les Chinois. ' ,« ? " Si l'on considère l'âge des aliénés, on
le fort de la lutte pour la vie et décroît rapidement après 50 ans. ' ' REVUE DE pathologie mentale - 49 . Quant à
ort de la lutte pour la vie et décroît rapidement après 50 ans. ' ' REVUE DE pathologie mentale - 49 . Quant à la c
ime proportion d'aliénés. (American journal of insanity, t893.) j ' XX. Psychopatuie sexuelle ., A. Jalousie morbid
Iaroslawl (lu au Congrès de Jurisprudence Médicale de Chigago, 93). ' La jalousie est intimement liée à l'instinct se
n fait, les trois éléments sont généralement combinés. ? .0< . ? ' , ? Selon le sexe, la jalousie dépend encore'de
ésiques de la jalousie, dans l'autre les hyperes- thésiques. ? " *, ' ' . 1 ,. - Il ., Dans les anesthésiques de la j
iques de la jalousie, dans l'autre les hyperes- thésiques. ? " *, ' ' . 1 ,. - Il ., Dans les anesthésiques de la jal
e Suétone, une des perversions décrites par Moll avec la polymixie. ' Comme paresthésique, l'auteur cite ces cas curi
Ebing, l'étiologie alcoolique fréquente de ces Archives, t. XXVII. ' 4 gO ' revue DE pathologie mentale. ,* I te
'étiologie alcoolique fréquente de ces Archives, t. XXVII. ' 4 gO ' revue DE pathologie mentale. ,* I tendances m
rospective. (Tlie 'Alienist azzdNezcrologist,-n 3, juillet 1893.) ! ' ">' "*< ' >n' ' A.' Marie. f ? ? '' '.
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; par SALEMI'PACE et MIRÀGLf,\. ? n. i^,- i. (HPisani GazetlaSicula.) ' ' ? " v - ..... <t ? . C.,r' ,t , . \ ? -i .
par SALEMI'PACE et MIRÀGLf,\. ? n. i^,- i. (HPisani GazetlaSicula.) ' ' ? " v - ..... <t ? . C.,r' ,t , . \ ? -i . 1
tous rapports, alors qu'il était' lui-même marié et père de famille" ' C'est encore un cas de jalousie morbide rétrosp
trospective. (rAs A`liénistïncl Neurologist, n° 3, juillet 1893.)'' ' " ' ' ·' r r' ' ' A' M,' v C. Etude médico-légal
spective. (rAs A`liénistïncl Neurologist, n° 3, juillet 1893.)'' '" ' ' ·' r r' ' ' A' M,' v C. Etude médico-légale s
ective. (rAs A`liénistïncl Neurologist, n° 3, juillet 1893.)'' '" ' ' ·' r r' ' ' A' M,' v C. Etude médico-légale sur
ive. (rAs A`liénistïncl Neurologist, n° 3, juillet 1893.)'' '" ' ' · ' r r' ' ' A' M,' v C. Etude médico-légale sur Jo
As A`liénistïncl Neurologist, n° 3, juillet 1893.)'' '" ' ' ·' r r' ' ' A' M,' v C. Etude médico-légale sur Joséphine
A`liénistïncl Neurologist, n° 3, juillet 1893.)'' '" ' ' ·' r r' ' ' A' M,' v C. Etude médico-légale sur Joséphine A
istïncl Neurologist, n° 3, juillet 1893.)'' '" ' ' ·' r r' ' ' A' M, ' v C. Etude médico-légale sur Joséphine AIA1'TIS
M,' v C. Etude médico-légale sur Joséphine AIA1'TISON Smith ; 1 s ' ' par ED. MANN.de New-York. ",u ? C'est' un typ
' v C. Etude médico-légale sur Joséphine AIA1'TISON Smith ; 1 s ' ' par ED. MANN.de New-York. ",u ? C'est' un type
t. (The Alienist and Neurologist, n° 3,' juillet 1893.) 'f"A'fM ! ? ' . ' ' iw v < f' ->0, » ? > ? t-T 'CI* -
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0, » ? > ? t-T 'CI* - HO '0 , n D.' EItOTISME IORBIDE ; par le D' ' Huciics, de' Saint-Louis.'1 ? Notant avec laqui
ement endémiques à certaines époques historiques, telle par exemple ' la mixoscopie des jeux floraux dans les arènes
antiques, Néron, Héliogabale et l'Africain... » «ru. nu * ^ t t > ' L'auteur rapporte ensuite-* plusieurs cas d'abe
suicidés pour échapper'a'l'obsession irrésistible^. >J1" ? %^ J ' Suivent deux cas de saphisme )'un' l'affaire Fr
)'un' l'affaire Freda et'allia -i i.. i i. e tf ,.. <j, ! ...' " ' i REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. J1. Mitchell,
hez l'enfant. (The Alienist 6[Md,iVeM ? 'oi'o ! S<, janvier 93). ' A. M. "};'f v i . ' "' -. i r ; ' -')) " '. ''
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abdi- cation, l'abjuration et les démêlés excentriques avec le pape, ' a. un état netiropathique relevant de l'hystéri
rche DE H folie; par le Dr CAUGER. (IL baziconzio, fasc. 1-2, 4893.) ' ' ' ' )" ? ? «hbf ' ' >n.f. rn<"'i - - '
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ui disparut à la suite d'une pleurésie consécutive à l'in- fluenza. ' - , {t ^ , ,r,>.. f[ r ' -t, , J. S : . i i
pleurésie consécutive à l'in- fluenza. ' - , {t ^ , ,r,>.. f[ r ' -t, , J. S : . i i 9" .'i " . r ° . ) T " XXI
rio-moteur des halluci- nations en général. 3 . , r ,ni . J. S."· ' , '11 ? c t M r XXIV., UN cas d'helminthiase in
par le professeur Venturi. (Il DTc2721co- mio, fasc. 1-2," 1893.) " ' ' ` '' ' "' .. ' - ' x-J V 1-1,1, " j 1/. , r ^
r le professeur Venturi. (Il DTc2721co- mio, fasc. 1-2," 1893.) " ' ' ` '' ' "' .. ' - ' x-J V 1-1,1, " j 1/. , r ^·
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Venturi. (Il DTc2721co- mio, fasc. 1-2," 1893.) " ' ' ` '' ' "' .. ' - ' x-J V 1-1,1, " j 1/. , r ^· , ', a, ,, XX
ri. (Il DTc2721co- mio, fasc. 1-2," 1893.) " ' ' ` '' ' "' .. ' - ' x-J V 1-1,1, " j 1/. , r ^· , ', a, ,, XXVI. Su
1-2," 1893.) " ' ' ` '' ' "' .. ' - ' x-J V 1-1,1, " j 1/. , r ^· , ' , a, ,, XXVI. Sur les rapports DE la migraine OP
naire ou s'étend à un territoire plus vaste de l'écorce. J. S. T ' ' . 1 - ... ? )- ? ? ? , . r<,F )f ^r,j, 'XX
naire ou s'étend à un territoire plus vaste de l'écorce. J. S. T ' ' . 1 - ... ? )- ? ? ? , . r<,F )f ^r,j, 'XXVI
le D1' Rossi. (Rev. sp.'di fnen.; fasc.>11-i.l, 1893.)c- U` r -t ' 1 1 91 41 91 tifit..1.1., rrr", n (M1«K On renc
l il n'est pas encore prudent d'émettre une assertion quelconque/,4 ' -' . >< , j J. S. XXVIII. Le style DES pa
l n'est pas encore prudent d'émettre une assertion quelconque/,4 ' - ' . >< , j J. S. XXVIII. Le style DES paran
(lv. 57. si fren., fasc. II-III, 1893.) ? ,,iK,, r 1 ,i1^. Si. r r ' ,' .il ) L'involûtiôn; l'excentricité/' l'obscu
v. 57. si fren., fasc. II-III, 1893.) ? ,,iK,, r 1 ,i1^. Si. r r ' , ' .il ) L'involûtiôn; l'excentricité/' l'obscurit
? ,,iK,, r 1 ,i1^. Si. r r ' ,' .il ) L'involûtiôn; l'excentricité/ ' l'obscuritéietwen''général toutes les anomalies
ntricité/' l'obscuritéietwen''général toutes les anomalies du style, ' de la'syntaxe et : de l'orthographe qui rap- pe
lément confirmatif du diagnostic de paranoïa érotiqueoureiigieuse.' ' " J. S. z XXIX. MORPHINOPHAGIE ? MORPH'ISMEETDI
ntiseptiques, toutes 'les' piqûres sans exception, depuis huit mois, ' provoquaient l'apparition d'un abcès, en sorte qu
ation' morphinique s'était compliquée d'un facteur morbide puissant, ' la diathèse syphilitique. Ces deux 54 REVUE DE
édico-psycltolù7 ( Z 2leS, 1893 ? m .acj m a. - " rttt"'J '- . ? il ' ? c- - s i'1 gigues, -t893.) ... ,, ar.. n.frss
n.»3û(v' -» ni. - .... JU'oj.' i . -t-1 ! Il- L l Jt W, 1 ? i- l il" ' - 1."ALLLGATIONS DE FOLIE dans LES affaires cri
i- l il"' - 1."ALLLGATIONS DE FOLIE dans LES affaires criminelles; ' -9 par SPRINGTHORPE et MULLEN. -P'» '" On a l
ans LES affaires criminelles; ' -9 par SPRINGTHORPE et MULLEN. -P'» ' " On a longtemps professé ta théorie qu un crimi
la médecinealiéniste ont fait aujourd'hui avancer ta question. ,.ri ' ;^, ^r . ' , . . REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 5a
aliéniste ont fait aujourd'hui avancer ta question. ,.ri ' ;^, ^r . ' , . . REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 5a Parmi les
yens rationnels et légaux de rentrer en possession de son ar-ent. - ' ' C'est une grave erreur : comment un homme qui
ns rationnels et légaux de rentrer en possession de son ar-ent. - ' ' C'est une grave erreur : comment un homme qui e
e momentanée d'une passion alors'que la personne est pâr- faitement ' - saine ? d' 1 .t f : a , ·H ) ? ' ''Aspect lég
e la personne est pâr- faitement ' - saine ? d' 1 .t f : a , ·H ) ? ' ''Aspect légal de la question È"a'I"o-i définit
n'de protection est de' punir les actes qui lui portent préjudice.' ' ? '" ' ' '" ' ' ' t 4, 1 . Comment déterminer s
protection est de' punir les actes qui lui portent préjudice.' ' ? ' " ' ' '" ' ' ' t 4, 1 . Comment déterminer si le
otection est de' punir les actes qui lui portent préjudice.' ' ? '" ' ' '" ' ' ' t 4, 1 . Comment déterminer si le'cr
ection est de' punir les actes qui lui portent préjudice.' ' ? '" ' ' '" ' ' ' t 4, 1 . Comment déterminer si le'crim
tion est de' punir les actes qui lui portent préjudice.' ' ? '" ' ' ' " ' ' ' t 4, 1 . Comment déterminer si le'crimin
n est de' punir les actes qui lui portent préjudice.' ' ? '" ' ' '" ' ' ' t 4, 1 . Comment déterminer si le'criminel
est de' punir les actes qui lui portent préjudice.' ' ? '" ' ' '" ' ' ' t 4, 1 . Comment déterminer si le'criminel a
t de' punir les actes qui lui portent préjudice.' ' ? '" ' ' '" ' ' ' t 4, 1 . Comment déterminer si le'criminel a ob
Le jury doit dans ce cas décider sur le rapport des médecins. * " ' Pour' ce qui'c611cer'iie l'alcoolisme 'ou; l'ivré
su com- triettré'des crimes, doit être considéré comme responsable. ' '^Aspect Il c'st faux de juger la folie d'après
om- triettré'des crimes, doit être considéré comme responsable. ' ' ^Aspect Il c'st faux de juger la folie d'après l
'st faux de juger la folie d'après la conduite,3 comme fait là·loi. ' , ' - - '« Il est1 faux' de 'dire un homme' sai
faux de juger la folie d'après la conduite,3 comme fait là·loi. ' , ' - - '« Il est1 faux' de 'dire un homme' sain d'
e juger la folie d'après la conduite,3 comme fait là·loi. ' , ' - - ' « Il est1 faux' de 'dire un homme' sain d'esprit
me' sain d'esprit agit de telle façon l'accusé a agi de cette façon, ' donc il est sain d'esprit ! Il faut'd'au- très'
ponsable; c'est au médecin seul à se pro- 1 noncer. , / ,,ly,( 1 1 / ' ),I.-[ ' ' j- ' , Procédure légale : Pour que l
c'est au médecin seul à se pro- 1 noncer. , / ,,ly,( 1 1 /' ),I.-[ ' ' j- ' , Procédure légale : Pour que le témoign
'est au médecin seul à se pro- 1 noncer. , / ,,ly,( 1 1 /' ),I.-[ ' ' j- ' , Procédure légale : Pour que le témoignag
au médecin seul à se pro- 1 noncer. , / ,,ly,( 1 1 /' ),I.-[ ' ' j- ' , Procédure légale : Pour que le témoignage du
'le témoignage du médecin. On poserait au'jury les deux questions : ' . . 1°L'accusé a-t-il la maladie'du cerveau qui
à chaque cas.' (Ame ? ,icaii jotirnal of insatity, 4893.) ? Jr 9 ? ) ' z 0™.q ? E. B. -' e' ^ is^C; t. 1 ? îa-, 1 ' «o
? ,icaii jotirnal of insatity, 4893.) ? Jr 9 ? )' z 0™.q ? E. B. - ' e' ^ is^C; t. 1 ? îa-, 1 ' «o.i ? - '7- ^ ? ? i '
tity, 4893.) ? Jr 9 ? )' z 0™.q ? E. B. -' e' ^ is^C; t. 1 ? îa-, 1 ' «o.i ? - '7- ^ ? ? i ' ' r Il. RELA'PIONS ANTfi
' z 0™.q ? E. B. -' e' ^ is^C; t. 1 ? îa-, 1 ' «o.i ? - '7- ^ ? ? i ' ' r Il. RELA'PIONS ANTfiR01'OLOGICO ? D10LOGIQU
0™.q ? E. B. -' e' ^ is^C; t. 1 ? îa-, 1 ' «o.i ? - '7- ^ ? ? i ' ' r Il. RELA'PIONS ANTfiR01'OLOGICO ? D10LOGIQUES ?
? i ' ' r Il. RELA'PIONS ANTfiR01'OLOGICO ? D10LOGIQUES ? entre le ' crime ET LA folie chez la* ILmlf : ;5pâr'l ? Nc
e chez la* ILmlf : ;5pâr'l ? Nci;E : (dlleg : tZeitsch. >/\ Psy- ' "c/t<tt(.,XUX,'5.)' 101 «*oa9*»qp«oa s-i0j ,9J
r'l ? Nci;E : (dlleg : tZeitsch. >/\ Psy- ' "c/t<tt(.,XUX,'5.) ' 101 «*oa9*»qp«oa s-i0j ,9J>, H,1 9b fnc ,. 1
.,XUX,'5.)' 101 «*oa9*»qp«oa s-i0j ,9J>, H,1 9b fnc ,. 1 ï«it t. ' -B.. r..lin .lrl4t'f1 : `Ciln'o in n h ,i(.hpt3 J
1 ï«it t. ' -B.. r..lin .lrl4t'f1 : `Ciln'o in n h ,i(.hpt3 Jrbor ' " il existe, chez'l'homme, une prédisposition cong
era un criminel latent; c'est le hasard, qui décidera plus'ou moins, ' s'il fera'banqueroute morale ou physique. 11, P.
lt; ? (The Journal' of Mental Science, janvier, 1891'.) ,u"'j-* ? lfI ' ' .- 'V . ' "lit". . ? >=L- '«IJI- =91,J l,(io
; ? (The Journal' of Mental Science, janvier, 1891'.) ,u"'j-* ? lfI ' ' .- 'V . ' "lit". . ? >=L- '«IJI- =91,J l,(io»
ournal' of Mental Science, janvier, 1891'.) ,u"'j-* ? lfI ' ' .- 'V . ' "lit". . ? >=L- '«IJI- =91,J l,(io» t' 1 tt
ence, janvier, 1891'.) ,u"'j-* ? lfI ' ' .- 'V . ' "lit". . ? >=L- ' «IJI- =91,J l,(io» t' 1 tt ? tt ? r'T' ? il ? r
déphasé à la , criminalité, et que, en éthique générale et 'sociale, ' l'idée du mal , dépend du danger que l'on peut
physique ou pécuniaire. \ Reste, z ? savon/ quels sont ces'pensées, ' ces senti- ments, etc., e t pa-r*q-ue ? » Éode
cas : aussi ne doit-on pas s'interdire d'avoir recours, j.au besoin, ' à des méthodes moins précises'. Le rôle actuel
n dé lâ inéthode ? 9 f' `t""· · '4 P ? K. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. ' 57 - V. L'importance DE la menstruation dans la
ntale; par DE RR.FFT-EB1NG. (Jalarbùch. f. Psy- chiat., X, 2 et 3.) ' , 1" L'intégrité psychique de la femme pendant
O » ; par le Dr A. CIONINI. (Riv. sp.,di fren., fasc. H1-1V, 1892.) ' VU. Etudes ultérieures sur LES prévenus DE la '
RO . DEL COM .ÀNDO 1»; par le professeur A. ÏAMBURiNi.'(I61cZ.) - ' 4 C'est une étude médico-légale sur un cas très c
éclara les accusés coupables des menaces prévues par le Code' pénal, ' les 'condamnant chacun àsoiX'a'Ilte7-(lUin'ze'.j*
iX'a'Ilte7-(lUin'ze'.j*ours de réclusion. ` r .li'r U Ja J'v . r ? , ' "^ '* ''j.1' Séglas. ' ' "9 -M - ''1.0 · 0 . -t
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' ' n . '. a ? "' ! .a .r ? p,). .1 '< ' < ? , ! " ? " **- ''* ' r a , VIII. L'ETUDE pu criminel; parHAVELOCK EL
les' et' sur beaucoup de questions fondamentales de la vie sociale. ' » ? ni«m. ! PR. "1 '"* flot {\'.Jr9M.r'n-t ? tf
p de questions fondamentales de la vie sociale. '» ? ni«m. ! PR. "1 ' "* flot {\'.Jr9M.r'n-t ? tf trr.b Yrr.R. Al.-C. tF
INVOQUÉE DEVANT LES TrtIBUN.1UX ? pa.u GeOiH ? S4V.GE. 'h$1 1t19r/ ' ' · of Mental Science) juillet 1 : 7dd .1 Istui
NVOQUÉE DEVANT LES TrtIBUN.1UX ? pa.u GeOiH ? S4V.GE. 'h$1 1t19r/ ' ' · of Mental Science) juillet 1 : 7dd .1 Istui n
lrt 1 : 1 Ut. j) ? tn'n i ! 0fjff< on c .)t ? f'jfBje Jc : ll'r'1F ' 'n'est difficile de suivre M ! Geo ? H : Sàvage
ives, et qu'il y aurait lieu d'y apporter'* d'utiles modifications.» ' ^ ,là z" ? ! AÎ 1 cti- L"4 REVUE DE MÉDECINE LÉG
MAC.ES-IN- 1'ÉRÉTS AVEC REMARQUES SUR LA. NATURE DE CETTE AFFECTION ' ET SUR LE tempérament hystérique; par- L. BREME
.-D. (The Journalof Nervous and Mental Diseasc, janvier 1893.) t) - ' r w' ' ' ' if s'agit d'une femme de quarante-ne
he Journalof Nervous and Mental Diseasc, janvier 1893.) t) - ' r w' ' ' ' if s'agit d'une femme de quarante-neuf qui
Journalof Nervous and Mental Diseasc, janvier 1893.) t) - ' r w' ' ' ' if s'agit d'une femme de quarante-neuf qui fu
ournalof Nervous and Mental Diseasc, janvier 1893.) t) - ' r w' ' ' ' if s'agit d'une femme de quarante-neuf qui fut
les et entre autres le procès bien' connu de' La Roncière le Nôury. ' 4 l MJ" J.-B. Charcot. '' , r , . >. "n.) ?
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RÈS la LOI française; I - ·9 rFl- ""r I'-par lé Dr VICtOrjPARANT. l ' ? ' ' , .L'aliéné est irresponsable.' Mais que
la LOI française; I - ·9 rFl- ""r I'-par lé Dr VICtOrjPARANT. l ' ? ' ' , .L'aliéné est irresponsable.' Mais que faut
LOI française; I - ·9 rFl- ""r I'-par lé Dr VICtOrjPARANT. l ' ? ' ' , .L'aliéné est irresponsable.' Mais que faut-i
'impulsion, qui. les y entraîne ? La faculté de distinguer le bien du ' mal, la logique dans les raisonnements, le bon
tain point ses manifestations ! extérieures. 3)ï ? lfl0 94rTi0'·'rl ' < ih-' j ! ib te- 1 ? t' ! f)t -> .<» 21
s d'impuissance, ou,td'inertie ? de-, la volonté h ,.Q1. j nt r , , ' ··I in;ç9.7 ,('1' ' -, .n- z Quant aux individus
,td'inertie ? de-, la volonté h ,.Q1. j nt r , , '··I in;ç9.7 ,('1' ' -, .n- z Quant aux individus, qui ne sont ni fo
fait sains 60 , REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. t. , i , , J1W uir « ! ' c- , " --d " , ' *- ij,i' .»« r , d'esprit, la
, REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. t. , i , , J1W uir « ! ' c- , " --d " , ' *- ij,i' .»« r , d'esprit, la loi ne peut pas p
àla réapparition des' causes qui ont'déterminé la'première attaqué. ' En'effet ? on laisselso 'uverit le's-1 malades' q
DE ruine;, par, le professeur TAmi3A- R 1 N (Riv. sp. · ·J difren., ' f \· . fasc. y II-III, 1893.) 1 -2 XXV. Le, cri
ente le plus souvent de l'hérédité morbide.2 ? , r . r (/><.' ' 'L'auteur aurait puciter,un grand .nombre d'aut
s de ce genre dans nos Comptes rendus Q ! c'eë ? (B.) - i- V0""0*. " ' ** -' .' " li , SOCIÉTÉS SAVANTES. 61 « . '.t
e genre dans nos Comptes rendus Q ! c'eë ? (B.) - i- V0""0*. "' ** - ' .' " li , SOCIÉTÉS SAVANTES. 61 « . '.ttfi.}'
- i- V0""0*. "' ** -' .' " li , SOCIÉTÉS SAVANTES. 61 « . '.ttfi.} ' » '<> I' '>. , L'étiologie et la marche
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LW ts r yd 'lva-i iuwSOCIi : TL'1111 : DIC0-PâYCIIOfOGIQUE ? r<r ' i rlt' .t , ! 3 "9't .d` .i; ? .r3a ? ? ..3T !
r<r ' i rlt' .t , ! 3 "9't .d` .i; ? .r3a ? ? ..3T ! i du -`1 ' rj' u ? nI ·r1'i - ? , L)E M. C VI Séance du 27
ovembre 1893, - PRÉS1DENCE DE M. C11RISTLN. t'c ''<') ? <jc : ' )9q&t ''ïuoo stmn'on '&.l ? It 7` 3'iom.ji
t;jc : ')9q&t ''ïuoo stmn'on '&.l ? It 7` 3'iom.ji, ? < la, ' ) 1 k il- 'E/ee/î0) ! s. ? M;'V.\LLON rapporteur
ex aequo),4'at'Jeannet : o v 1, i-uhl i'la 14 1rt- ? c'ftf-Bf ,ô^w- ' -.ni,» jl 71lri'i ni, 6< 'rS.,i 1 , Le Prési
(28-voi),r ? lippÿlii(ÿ'3rolR), Sérieux' (21 ? 61x),Patet (19 voix) ' 'j.'ho,I.r'»jH;a-i91 ! . - -. ^'f-j^ï. 'h Obser
'f-j^ï. 'h Observation" d'un' ehi61titinisle pfo6t<6meM ? epMe ' 11 : GaaNlE21élemandefl'avis'isurle 'cas suivant
11 : GaaNlE21élemandefl'avis'isurle 'cas suivant dont'lâ conclusion ' "médico-légal l'a`fort'i^embacrassé`v`11 é s"a"ci
'"médico-légal l'a`fort'i^embacrassé`v`11 é s"a"ci 0"'d'Li individu ' qui u i s'est fait arrêter à cinq reprises ^dif
f. · Garr71er, en 'face'du' peu de consistance des dires du prévenu, ' dont la* véracité" n'avait pas été péremp- toir
nous''devons l'acquitter ; mais ses impulsions le ramèneront devant ' nous et le tribunal aura 1 de nouveau à résoudr
ce qui fut fait. Le prévenu a préféré l'Asile clinique à' la prison. ' ' t - . ? -,^.~,-.... ? -il ' ' ci s "> u- z
e qui fut fait. Le prévenu a préféré l'Asile clinique à' la prison. ' ' t - . ? -,^.~,-.... ? -il ' ' ci s "> u- zut
référé l'Asile clinique à' la prison. ' ' t - . ? -,^.~,-.... ? -il ' ' ci s "> u- zut M. Charpentier. Je comprend
féré l'Asile clinique à' la prison. ' ' t - . ? -,^.~,-.... ? -il ' ' ci s "> u- zut M. Charpentier. Je comprends
rouvait bizarre, nous devons, devant le précédent de, l. * Gai-nièr, ' l'envoyer,' dans -un asile. D'ailleurs, la solu
rre, nous devons, devant le précédent de, l. * Gai-nièr,' l'envoyer, ' dans -un asile. D'ailleurs, la solution'^du tri
affaire et des difficultés qu'elle présentait pour l'expert. 'w ? z ' , - r... in, ? n ' ? 1 ,· r (- . ,4·7(IOÎ : , a ,
icultés qu'elle présentait pour l'expert. 'w ? z ' , - r... in, ? n ' ? 1 ,· r (- . ,4·7(IOÎ : , a ,ri ,.61 ! n . M.-
1· ? ji ? 8 ? n(yff· : nni PI ? >n «.qftb ,er.* ».'»«. f'-J ? M. B; ' 13.t 1-< '' SOCIÉTÉS SAVANTES. '. H3 ... S
on : Il , 9'H .r . * r - . t @ a, i. , . 1, . 1 1 *i. f, -v 1, 1 ik ' , i, 1-11 ? t li ? " £ llti iP t- - Lésions org
oi) ? > pas profère une plainte, ni fait le moindre mouvement. , ' . A l'autopsier infiltration tuberculeuse des p
r la compression du due à l'hémorrhagie ultime ? 0 'z ? ba Su,s"1 /" ' -4 ° c ? ', Quelques jours après je faisais lau
ssion du due à l'hémorrhagie ultime ? 0 'z ? ba Su,s"1 /"' -4 ° c ? ' , Quelques jours après je faisais lautopsie d un
j-' aucun troubte'fonetionnel en ait-fait soupçonner l'existence : ' Zij.109 Il ne serait- peut-être ' pas sans inté
ait-fait soupçonner l'existence : ' Zij.109 Il ne serait- peut-être ' pas sans intérêt' de relever les faits de ce*'
l ne serait- peut-être ' pas sans intérêt' de relever les faits de ce* ' genre ''chez.' les' aliénés,' on ëu trouverait
s intérêt' de relever les faits de ce*' genre ''chez.' les' aliénés, ' on ëu trouverait t certainerrfent de' fort'` an
des recherches ont été faites déjà anciennement : je' ne rappellerai ' que celles de Samerotte (de Lunéville) en 18441
chez les aliènes. 4 là, ? k. 1 l, - Il.n. 1, , * . , t j , ai ht7 ' ' · f n ') ? ) n e .31 t'^'. f 1 , li 1 ? j-' ,,
chez les aliènes. 4 là, ? k. 1 l, - Il.n. 1, , * . , t j , ai ht7 ' ' · f n ') ? ) n e .31 t'^'. f 1 , li 1 ? j-' ,,
aliènes. 4 là, ? k. 1 l, - Il.n. 1, , * . , t j , ai ht7 ' ' · f n ' ) ? ) n e .31 t'^'. f 1 , li 1 ? j-' ,, M. CHRIS
STIAN n'a'constaté aucune lésion cérébrale macroscopique. ? ; " - , ' ' i ? '' " ' lfancHa; BR1 : 1ND. "*" i '- - i'
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staté aucune lésion cérébrale macroscopique. ? ; " - , ' ' i ? '' " ' lfancHa; BR1 : 1ND. "*" i '- - i' .,[. ' i<i
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BR1 : 1ND. "*" i '- - i' .,[. ' i<i r'y. ? , > -<tiji.' ' Ann. médico-psychol., 1844. " ' a ""1 ? r . ' *"»
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- , « . ' ti 'J-3 ,1 P' , î l.LVl" 0, 5 ,0 J . "' BIBLIOGRAPHIE. ' . 1- .' ..1 r .i ? I. Pscudo-paralysies génér
94. ? " ? ^ ° · ^si ''f lWW ]· 'i ! T .'n »-> ? - ir ? *;i> t ' : 2''it .)' - - Il est, en pathologie mentale,
° · ^si ''f lWW ]· 'i ! T .'n »-> ? - ir ? *;i> t ' : 2''it .) ' - - Il est, en pathologie mentale, peu de quest
ro-1 nostic;'ni l'anatomie pathologique ne permettent de la décrire ' ` comme une entité morbide. ' \ ' M " '' Les
hologique ne permettent de la décrire ' ` comme une entité morbide. ' \ ' M " '' Les symptômes donnés comme éar'ètéri
gique ne permettent de la décrire ' ` comme une entité morbide. ' \ ' M " '' Les symptômes donnés comme éar'ètéristi4
lus tard, deuxième internement pour paralysie générale. -Autopsie.) ' En dehors des observations insérées dans le cor
ue des cas de rémission ou de guérison de paralysie générale vraie. ' Le mémoire de M. Vallon donne sous une forme co
d'ordinaire. Malgré les difficultés signalées dans le rapport du D' ' Bourne- ville, l'éducation des enfants atteints
uments J précis ,- qu'il-) est'' possible de redueiliir'A cet'égard, ' les observations de l'année 1892 : ) comprennen
s "> une 'série'de' types-1 cliniques ? les plus inté ? ressants, ' depuis*" l'idiotie^ méningitique '-jusqu'aux ! sc
ux ! scléroses atro-ti il phiques les mieux caractérisées.' «'fini* ' » vunnn -.» Il 4cln.s ? 1 'La''marche, )'évo)uti
iques. t'`t1`l·/1J 'I ? lf«7aF u. It(1F 'il Comme recueil de''faits, ' ces''observationsqu'il serait superflu** d'anal
us- signalerons, parmi les. obser- vations les plus intéressantes : ' ' £ U"l .111 ' %1 T> >stsc9c ,10 Une prem
- signalerons, parmi les. obser- vations les plus intéressantes : ' ' £ U"l .111 ' %1 T> >stsc9c ,10 Une premiè
, parmi les. obser- vations les plus intéressantes : ' ' £ U"l .111 ' %1 T> >stsc9c ,10 Une première , observat
lq b 3bo,r al 7satm·r3Jst· Avec de semblables éléments, le volume ! ' de 11892 n'aùraepas· . ASILES D'ALIÉNÉS. 69 m
. 31.u'1 . p.. -«ai'iofl ""G .'b ii<x,ï** rt 1'tF, ..n.>.^ ? " ' tu ..il ri ->' . i ? nt). ! rff)t8t ? T ? t
;.^ ? "' tu ..il ri ->' . i ? nt). ! rff)t8t ? T ? t ? ? s, ? s" ' ` I,ytTIari1 ? (ÂSILES; D'AHENES...,, . 'JJB3
de 'cescmalheureux.ill1 se préoccupera' tout 'particulièrement1 de* ' déterminer le mode d'entretien J'et'd'assistanc
edrichshutte, Wilhelmshutte et Eichhoffens Bielfeld (Westphalie). ' Caractères commlcas.-1° Principe de l'internement
et de son défaut de jugement, n'est ni un illettré, ni un imbé- 72 ' ASILES JDAUENÉS. ' cile, ce délire s'est bientô
e jugement, n'est ni un illettré, ni un imbé- 72 ' ASILES JDAUENÉS. ' cile, ce délire s'est bientôt rapproché, par. s
r. : eIIes3 quand'. il f s'agft id'aliénés dangereux. dont le passé, ' devraitiluii être connu et attendre, : pour, s'
s départis et désinté- ressée de la gestion financière des communes, ' cette commission aûi·ait; ôûtrésa compétence, u
'/dewl ses concitoyens, ne saurait pos- séder au mémerdegré. ·`-I ^ ' ) , LL . - , " % fv m, , A ". ; , ! · rt, W . W -v
és dans un asile et n'en sortiraient qu'en vertuTd'arrêt5judiciaire; ' encore leur sortie' provisoire,-condition- dell
angereux et'même''des aliénés en''général ? ne conviendrait-il' pas ' que l'autorité' judiciaire* in[ervinti dans *le
se recommander, par de nombreux'avantages.111-Blilsb z°5 i; (,q,- [ ' ,9`lIlL ? r ? 9 Aussi,'cette i intervention;, M
'cette i intervention;, M. M. Chambard réclame,°nôhqu'il la c croie, ' au fond,1 : nécessaire, mais'parco'qu'eUe est imp
s'.personnel au mé- decin aliéniste,-il la réclame encore parce que, ' sans voir ce que ce dernier, y.1 perdra en- aut
re parce que,' sans voir ce que ce dernier, y.1 perdra en- autorité, ' il i voit1 bien' ce qu'il y gagnera* en sécurit
pendance. (Annales médico-psycho- log. 1893.) . p;lttf'IÜ79"TI to ? ' E. B : T'*d zae-h xrnt s ! ? 'd<HO : 9r -"li
zae-h xrnt s ! ? 'd<HO : 9r -"liu-lms l-iet >r '.Itj.' i·n·5y ' )j ? VI, rDE' L'HOSPITALISATION DES D ÉPILEPTIQU
a ftn(<nt'"th9 ? < ? << ? tmt-" ? 9f tnmtF' -.p-n-Qiî-n ) ' ,onlw °o La- question, de l'hospitalisation , de
t, l'Ame- riquë,du Nord, un. ? <<",m ? 4, ? 4 ? rF,,q '0 ? w- ' «^«h ? «< i Les, grands, problèmes primordiau
leptiques'en simples et aliénés; - 2° la création d'asiles "spéciaux ' ou, de simples, annexes aux .asiles existants;
mémoires pourront ! être- présentés' en' français, en néer- landais, ' en 'allemand, étranglais ou en italien.' Toutefoi
Guislain, à Gand.y7nqufl -»iiip''i9dq ,rn,dSJ`ttSixSd ? )) 9 ftoiSj) ' '"pl>J ** - ? <ibc ! 9b ".nja^beir vl ? 931
islain, à Gand.y7nqufl -»iiip''i9dq ,rn,dSJ`ttSixSd ? )) 9 ftoiSj)' ' "pl>J ** - ? <ibc ! 9b ".nja^beir vl ? 9311J
ja^beir vl ? 9311JOb'7. `9`"·'t" LES Écoles de Gardiens EN Saxe.^'1^ ' ^'1 do 9' : 9r19ej 9b ILI j J i )nm''o-j<.7t'
Mes enfapts''dé'pâsteûr's pi·otéstânts,d'institutëuus; d'em- ployés, ' ètc.eL'istivction`ést'à"la9tfois',médicalelétrTel
s reçoiëit.d'adid'pendant Li-ois mois une' instruction^ élémentaire; ' ils' commencent1 alors ûn stâe'ds'xmoi's peidan l
r, an.' (Bulletin de i la Société t de Médecine , mentale de Belgique, ' décembre.1893.) = Nous, rappellerons que sur no
de l'hystérie et de la folie.' Rapporteur ? f.'Gilbert'B.&LLET, ' Prof 1esseil,r agrégé (de la-Faculté' de médeci
rveuse ? des névrites péri-' phériques. Rapporteur ( Il. 1P." IARIE* ' professeursagrégéldé la Faculté de médecine de
part à t i tr'de' 1 , ,i, i cations, ou 1 e' tir intention d-' e.pi ' ,éfidré ? ai,t 1- Ë" à la discussion, des questi
' c -f, ? .3 b 41701'I'1 '3 ? Ji'J3 ? n'} pB t)p ,1179(Ift'f't9J 8t ' [' ·nT1 mfwlv Y,n·al ytt.l',W ( 4-rtutUti tf)0 l
c -f, ? .3 b 41701'I'1 '3 ? Ji'J3 ? n'} pB t)p ,1179(Ift'f't9J 8t '[ ' ·nT1 mfwlv Y,n·al ytt.l',W ( 4-rtutUti tf)0 la
POUR LE ltIONUIIENT'J : -\i : r`CHARCOT : 1 . emliiliir, s;-h lit, ' }t)TBq q a-lalj3 lfiol acuolltL eu : 9v'nn 'U (D
, a également voté une subvention de 1.000 francs dans le même but. ' FAITS DIVERS. Asile clinique (Sainte-Anne). M
5 Vol. XXVII. ,, Février. 1894. , ? 84 f ,. t" ° u ? 3 - -- *> ' ! ~'* * - . Z - archivés DÉiNEUM .. 1 1 1 .
ol. XXVII. ,, Février. 1894. , ? 84 f ,. t" ° u ? 3 - -- *> ' ! ~ ' * * - . Z - archivés DÉiNEUM .. 1 1 1 .. - -
3 - -- *> ' ! ~'* * - . Z - archivés DÉiNEUM .. 1 1 1 .. - - ' ? 1 - ' - . - Il , 1 1 , - ? ~ A1'ATOIIIEA - ?
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1 - ' - . - Il , 1 1 , - ? ~ A1'ATOIIIEA - ? "] " "" ? - r . ri) ' 1 . , f- sî. -" LAMESOKEURITE NODULEUSE; - 1 1
SOKEURITE NODULEUSE; - 1 1 " .7' 1 . ,. c y , ." Par C. 'ANLAIR , 1 ' " nl , 1 : ? 1 , 1 Professeur à l'Université de
et l'âne, où il occupe les gros troncs nerveux des extrémités.. 1 ? ' Il se compose essentiellement d'une charpente r
icule : Lyon; iS93.) . Archives, t. XXVII. C 81 ANA^l'o\11E : ? r ' '} ...M.fdtt ;^7l J que de la lymphe, mais. de
ule : Lyon; iS93.) . Archives, t. XXVII. C 81 ANA^l'o\11E : ? r ' ' } ...M.fdtt ;^7l J que de la lymphe, mais. de la
'reticiilé qu'il était, ce tissu aevie ainsi nettement alvéolaire ! ' Ordinairement, au^milieu'de^ chaque .loge se tr
décrites. ,9 ? z N .- n ..m...i, il i i y-- ... - rm-i i ... t ? n. ' - > WTTp.1 , Enfin, au sein même des fuseaux
t néanmoins parfaitement distincts du foyer. > >«.-» 1 ->- ' v .1 1 , e. 4 h·7, m. x^ih F 4r1 · 44 'Il 1>
e adaptation particulière du tissu connectif qui " aurait' pour but ' de' soustraire 1' s ùb s t'à'n è e "n e r'- veu
d'amortir les chocs auxquels elle est constamment exposee r'cu ? t ' `` La dénomination imaginéë'par' Renaut ayant'
n - r.<'r' inf»> salais Y'6902a0t f p 'î ? > >" tw ."-i" ' 4 ' Deux mémoires relatifs au même sujet, l'un
r.<'r' inf»> salais Y'6902a0t f p 'î ? > >" tw ."-i"' 4 ' Deux mémoires relatifs au même sujet, l'un de J.
er les différents systèmes de la'chai;iènt'è conjonctive' des nerfs, ' il m'a1 paru que le néologisme en question se t
il m'a1 paru que le néologisme en question se trouvait tout indiqué, ' attendu que la couche de Renaut occupe en 'réal
treux, il convient'de les désigner respecti- vement, d'après Rehaut, ' sous le nom de fuseaux alvéolaires et de. nodul
phénomène prend alors un caractère véritablement pallio- logique. ' . > ? Jusqu'à présent ces formations ^'accid
ltze est plus défectueux encore..Tout récemment, Blocq et Marinesco ' ont dénommé système tubulairedes nerfs une aber
r eux ne représente qu'une des variétés du groupe en question. , ,, ' ' \. Il existe donc lacune lacune terminologiqu
eux ne représente qu'une des variétés du groupe en question. , ,, ' ' \. Il existe donc lacune lacune terminologique,
finalement l'aspect onkoïdal que revêtent les nodules élémentaires. ' . ,,T; , i ,r .''' lnit.iv y n '- ') ? ,- .-4n=
êtent les nodules élémentaires. ' . ,,T; , i ,r .''' lnit.iv y n '- ' ) ? ,- .-4n='a' ? s P.' ' -' f" ' ' ,, -- zon
res. ' . ,,T; , i ,r .''' lnit.iv y n '- ') ? ,- .-4n='a' ? s P.' ' -' f" ' ' ,, -- zon . ` . ! ' ' , ' . , z, · '
. ' . ,,T; , i ,r .''' lnit.iv y n '- ') ? ,- .-4n='a' ? s P.' ' - ' f" ' ' ,, -- zon . ` . ! ' ' , ' . , z, · ' ..
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.iv y n '- ') ? ,- .-4n='a' ? s P.' ' -' f" ' ' ,, -- zon . ` . ! ' ' , ' . , z, · ' .. ., ? Il f P ** r ? ' - .' t
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' f" ' ' ,, -- zon . ` . ! ' ' , ' . , z, · ' .. ., ? Il f P ** r ? ' - .' t. -. ' , - W f) 1 1 '@Varaglia2 est, se
zon . ` . ! ' ' , ' . , z, · ' .. ., ? Il f P ** r ? ' - .' t. -. ' , - W f) 1 1 '@Varaglia2 est, semble-t-il, prem
, ' . , z, · ' .. ., ? Il f P ** r ? ' - .' t. -. ' , - W f) 1 1 ' @Varaglia2 est, semble-t-il, premier histologiste'
uzy, avec autopsie. (Arcfi. de neurologie, t. XXV, 1894, p. 189 ) - ' 2 Neurologisches Centralblatl, 1885,'p. 471. '
XV, 1894, p. 189 ) - ' 2 Neurologisches Centralblatl, 1885,'p. 471. ' Fr. Schultze Uebt den mit Hypertrophie verbunde
égaléinén t retrôùvéest'dans lés; brfïchés3,dûr pléxüs`, brachial. ' Enfin, Rosenheim *, Langhans3 et d'autres lèsen
ans les rameaux du sympathique. Mais c'est'en réalité sur ,-....) ? ' ) ? 'mtww ? t.t ? t . les nerfs des membres que
réquence. .·, , ? i.yi.f, .1.») { t«m)<)t-(t. -i;.ll, -» 1 -1 '. ' Ljes animaux chez lesquels4on9a rencontré les p
es productions accidentelles du mésonèvre sont le3 singé"(Lânghans) ' et le. .. . ? 4.f· ? ymshloYfià m, aP lJJ , jj
1 âcroinégâlie (Trzebinski), depuis* la s'yringomyélie'(F. Schultze) ' jusqu'à a5la; polyrièûrite \ aiguë (Rosenheim)
es t neïïropathiques et myélopathiqués sont, comme l'indique l'énù" ' meration" précédente, ceux qui occupent le prem
' non serait un fait,cohstant^'ët"celâràussi bien chez l'animal ? ' $14kir 4h 'HTU3jn°it 4(t,j 1tI ? . 'tf10 ,f13(lj0
e f' Bd. XVIII, 1887, S. 98.0 ai) gnjq non 81tmaq 9fP sj6t) t m 9rf ' ' Stadelmann. einen eigenthümlichen mikroskopis
Bd. XVIII, 1887, S. 98.0 ai) gnjq non 81tmaq 9fP sj6t) t m 9rf ' ' Stadelmann. einen eigenthümlichen mikroskopischen
pAus abdo-t, minalis. Neurolog. Centralbl.; 1887, n° 17, 5.385. **9 ' " ^ " ? ? ut ? t ? t ? f-P ? -« ? 0<J pl'rCfÎf
t't.p c : n9q us j..9ts ! qm.ian. LA MÉSONEURITE NODULEUSE 87 i - ' 1 ni l^'I z ? r i ("'- ? , ri -" »o .* t- , ? -~-
a observé'le développement'anormal"du système de Rehaut «%« ™ De J' ' * ? - - - ? t1f ? t ? nt SU ? -,1 (i'S4n..rtrf.
™ De J' ' * ? - - - ? t1f ? t ? nt SU ? -,1 (i'S4n..rtrf.·à F`R K'» ' P3 T{7t En présence de extrême variété des cas
peu au-dessus du'point'où le nerf contourne le col du "péroé"Â 1 a ' ,vé* ri té cet ? * tt.Kt ? <t< ? '1 1" IIY '
col du "péroé"Â 1 a ',vé* ri té cet ? * tt.Kt ? <t< ? '1 1" IIY ' «'«'t' <t ) ' fI7' ' tN'" 1 i. ani subi lonât
l du "péroé"Â 1 a ',vé* ri té cet ? * tt.Kt ? <t< ? '1 1" IIY '« ' «'t' <t ) ' fI7' ' tN'" 1 i. ani subi lonâtém
1 a ',vé* ri té cet ? * tt.Kt ? <t< ? '1 1" IIY '«'«'t' <t ) ' fI7' ' tN'" 1 i. ani subi lonâtémps rauparavant
é* ri té cet ? * tt.Kt ? <t< ? '1 1" IIY '«'«'t' <t ) ' fI7' ' tN'" 1 i. ani subi lonâtémps rauparavant, à dro
division partielle du'sciatique ? niais' la névrotomie avait à u-, ' ,1.1 .1 "-mu ? ? rni ....... aimma'y.. , i -a'- ?
à u-, ' ,1.1 .1 "-mu ? ? rni ....... aimma'y.. , i -a'- ? 4 .- ? , ' porte exclusivement sur le pophte interne et c
lt;-.v,x,ma»ji> >.rl*i ojiotj-^ ? »-i u i^i^ s U -- ? ^>. «- ' nee'U'X'K>I"4 iflig il 8nirir' e j6 qtp,ze f
me'motif,'jen'ai,pu recourir à des sont apparus. Pour'lé même motif, ' je n'ai 'pu recourir à des -. . L -* , r\\' ? 1
rus. Pour'lé même motif,' je n'ai 'pu recourir à des -. . L -* , r\\ ' ? 1 uP9Ste P11 S`,j', 9 .. t"R· . <bt : `i.11
ion de Flem- mine..) g.te ? ylyy EBGÉ99ft° Icat,vl D x ? d'ln5e'1 e ' .SZ - ttit9fluf`w4·1 Bien que mon étude soit re
nettement définis et reconnaissant, ehacun une origine différente. ' > . «- » , i , - Z3 ' . - t . ) 'i.i * , ; .
naissant, ehacun une origine différente. ' > . «- » , i , - Z3 ' . - t . ) 'i.i * , ; . JI; , M(' . , ' J> .
érente. ' > . «- » , i , - Z3 ' . - t . ) 'i.i * , ; . JI; , M( ' . , ' J> . ! Le premier de ces types est ess
. ' > . «- » , i , - Z3 ' . - t . ) 'i.i * , ; . JI; , M(' . , ' J> . ! Le premier de ces types est essentiel
lui seul toute la masse du nodule (PL. I, fig. 6, 6 et ig. 9, bl. / ' . Autour de cette sphérùle hyaline qui parfois
oyers appartenant au même nerf. JU , f . · Ale1T01S1E. ^ .tIF ; 1 e, ' tourbillonnant. Au milieu de' ce'tissutubroïde
rfois'coupant ces 'dernières d'un trait transversal' ou , oblique. - ' " «fl z ,11 n'est pas rare- de-i voir les éléme
t par sa transparence avecla teinte sombre du corpuscules central. ( ' .4 i- I ? a9' : fL]"amt ? )'uî)0 Enfin, pourr,
yg : 3, e)5vient'combler41 les intervalles des nodules non contigus; ' ainsi que les espacesir latérauxr·,restési.libr
? au même type. vem°mtlloc` : zst,tl 3;. xmà3 3suQ eb·a, 'là Une ' première variété se distingue par* la 'qualité du
ontre ici-" tantôt une cellule unique'(PL : 'I;tfigr9,' c;'Pi ? ."n, ' fig ? 1, a; fig. 24), tantôtideuxiou trois cell
iquecgranuleuse très 'apparente : ^1 Ces" corpuscules - cellulaires; ' qui] représentent évidemment des t éléments en'do
ou ;dans l'intérieur même du bloc' i hy'alin.(PL-1 II, fig·'.l ? a; ' fig.l3; Zg.' 47.)as,reduz nmi'h zïiqtam Trzebin
léments nucléiformes'dont la position centrale n'est qu'apparente : ' ceux,5 par exemple ? qui occupent descespaces c
complète^de plusieurs nodules élémentaires (PL. I, fig. 6, b). 1 ''" ' - Enfin;- il est assez commun «de rencontrer,1
lus observe-t-on,1 en ce point,'tune condensation'' plus grande» du ' tissu. Il'est bien évident que cette-apparence
e mes propres observations, qu'une ampleur inusitée des capillaires, ' une turgescence excessive de la couche endothél
ils se développent manifestement aux dépens du réticulum de Renaut. ' ' ' " · ' J- r," M- ' n . ' , ' . m* r ,1 z
s se développent manifestement aux dépens du réticulum de Renaut. ' ' ' " · ' J- r," M- ' n . ' , ' . m* r ,1 z A
se développent manifestement aux dépens du réticulum de Renaut. ' ' ' " · ' J- r," M- ' n . ' , ' . m* r ,1 z Au
oppent manifestement aux dépens du réticulum de Renaut. ' ' ' " · ' J- r," M- ' n . ' , ' . m* r ,1 z Au second t
estement aux dépens du réticulum de Renaut. ' ' ' " · ' J- r," M- ' n . ' , ' . m* r ,1 z Au second type, qui rec
aux dépens du réticulum de Renaut. ' ' ' " · ' J- r," M- ' n . ' , ' . m* r ,1 z Au second type, qui reconnaît u
dépens du réticulum de Renaut. ' ' ' " · ' J- r," M- ' n . ' , ' . m* r ,1 z Au second type, qui reconnaît une o
ins une démarca- tion très nette' entré les deu`substancesf ? ? -0 * ' ' Le plaques dont je viens de parler se compose
s une démarca- tion très nette' entré les deu`substancesf ? ? -0 *' ' Le plaques dont je viens de parler se composent
configuration'fusi- formé très régulière dans le premier cas J' p 1 ' us Confuà ZD dans le second.' * * '. ,.(, -,11-
tre dans toute là masse (Pi II, fcg ? 14 ? v).`Qûand ? au contraire^ ' les logettes en question sont très^ nombreuses, e
niquent à la coupe 1 r, - Il véritablement cribriforme (PL. Il 21). ' 'x'o313r.>Ilâté Oh Il1.99'cAvtt29y -s '' z '
ce assez fréquente d'iinrnoyau étroitement appliqué contre la paroi, ' l'absence constante' de cellules ou de noyaux l
servent'à peu près exclusivement' dans'( les' foyers du'second type, ' forment des motifs plus que suffisants pour éloig
'autre on lës'voit changer'de forme et dispa- raître. ? ^ ! R,l 'n° ' -u ? "" >li "' Cette- organisation 'lacunair
hanger'de forme et dispa- raître. ? ^ ! R,l 'n° ' -u ? "" >li " ' Cette- organisation 'lacunaire ? qui' n'a été sig
uelques-uns seulement" offraient1 une structure tout à fait massive, ' à l'instar de'ceux dofit - Lànghaî 'a donné une t
qu'il a* récoiréà"céz des singes éthy- roïdés. **> - -«ii' -* 'q" ' ' ? ? -"P ''n ? ? ? Qu'ils soient constitues pa
'il a* récoiréà"céz des singes éthy- roïdés. **> - -«ii' -* 'q"' ' ? ? -"P ''n ? ? ? Qu'ils soient constitues par
s 'de les désigner Vous1 lé no m" de" foyers' périneuritiques. > ' , . - 1 1"41 ? in . IÉI"T LA MÉSONEURITE'NODULE
. - 1 1"41 ? in . IÉI"T LA MÉSONEURITE'NODULEUSE. 93 " «,-w . -« - ' ^ bsJ.v* . r. rr j ? ' V**1' ·5.r^'h ' -. < ?
T LA MÉSONEURITE'NODULEUSE. 93 " «,-w . -« -'^ bsJ.v* . r. rr j ? ' V**1' ·5.r^'h ' -. < ? ? vtt , f 141 3fï7 SY
'NODULEUSE. 93 " «,-w . -« -'^ bsJ.v* . r. rr j ? ' V**1' ·5.r^'h ' -. < ? ? vtt , f 141 3fï7 SYLfb CI C sllmv a'
veux parler des formes intermédiaires et des, formes composites., 0 ' jn^ji») ? o '«..13 Parmi les premières, on doit
s formes intermédiaires et des, formes composites., 0 ' jn^ji») ? o ' «..13 Parmi les premières, on doit signaler tout
s périneuritiques tendent vers la configuration nodu- leuse (PL. Il, ' fig..20) et souvent alors elles possèdent un grou
n, outre reliés-au faisceau nerveux par une couche du même tissu. " ' . Quant aux productions composites,, elles, son
'intérieur même, du ^faisceau -nerveux. Nulle .- ri- tint, , ,-y -u ' t.. 4J-. '. -*- . -- ,, . - p . - - »...., , pa
ne myé- ]inique, mais étroitement enveloppés d'un système concen- ' t LA. fÉSONEUR1TE NODULEUSE. 99 trique à stri
ations, des images analo- gues à celles qu'a représentées Langhans. ' Cependant il est permis de' se demander si, dan
s foyers qui, eux, reconnaissent bien évidemment une autre origine. ' D'autre part, Blocq et Marinesco parlent d'imag
ocq et Marinesco parlent d'images corolli- fornaes qui, d'après eux, ' seraient dues au froncement de la gaine de Schw
vité une, série de membranes emboîtées les unes dans les autres.- , ' LA MÉSONEURITE NODULEUSE. 101 Qu'il s'établis
sur laquelle portent plus directement les violences exté- rieures. ' . r* ' . Cette'relation topographique entre la
quelle portent plus directement les violences exté- rieures. ' . r* ' . Cette'relation topographique entre la vulnéra
s des'solipèdes/une origine accidentelle. On devra les consi- 104 ' ? ANAT01ZIE.' ·. > 'dérer comme des producti
ngue le caractère permanent et héréditaire des formations normales. ' " " Ch < i ' ' Supposons maintenant chez cert
permanent et héréditaire des formations normales. '" " Ch < i ' ' Supposons maintenant chez certains individus un
ermanent et héréditaire des formations normales. '" " Ch < i ' ' Supposons maintenant chez certains individus une
ans le travail de Kopp sont complètement assimilables à celles de ' Renaut, tandis que les foyers de Langhans offraie
un aspect polymorphe et une structure beaucoup plus compliquée.. Or, ' les nerfs. examinés par Kopp appartenaient à' d
ges opérés depuis plusieurs mois et même depuis plusieurs années. · ' ' .. -. ; , . Il convient d'ajouter toutefois q
s opérés depuis plusieurs mois et même depuis plusieurs années. · ' ' .. -. ; , . Il convient d'ajouter toutefois que
'autres aussi que Langhans n'a guère observées que chez le singe. ' VII... Le chapitre de l'histogénie resterait in
asse tout entière du tissu conjonctif intra- ` fasciculaire. '>» ' - 1 4..., r En ce qui concerne mes propres'obse
dont l'origine phlegmasique ne saurait être révoquée en doute. " ? ' ' De différents côtés on a agité la question de
ont l'origine phlegmasique ne saurait être révoquée en doute. " ? ' ' De différents côtés on a agité la question de s
ui .sous le nom d'acroparesthésr'e.. , " -" 1 ? rjL' r . ""viii.,j- ' ' (1 vlll.' ♦ ? Des faits histologiques que j'a
.sous le nom d'acroparesthésr'e.. , " -" 1 ? rjL' r . ""viii.,j- ' ' (1 vlll.' ♦ ? Des faits histologiques que j'ai
eux formes typiques : la forme noduleuse et la forme lamelleuse'. ? ' [·t ? . "'<" j La preinièrëlést`ônstituée; ·s
nalière de l'état fonctionnel du inembie. * . 1 1 ? 1 Il 108 V - " ' ' 'ANATOMIE. . ? -f>f- z ·1 ' taire, par une
nalière de l'état fonctionnel du inembie. * . 1 1 ? 1 Il 108 V - "' ' 'ANATOMIE. . ? -f>f- z ·1 ' taire, par une m
u inembie. * . 1 1 ? 1 Il 108 V - "' ' 'ANATOMIE. . ? -f>f- z ·1 ' taire, par une masse conjonctive sphéroïdale, n
'composites. Elles n'offrent d'ailleurs qu'un intérêt secondaire. " ' ' ' ' z 1 1 ' ' 3° Dans certains cas, tous les'
composites. Elles n'offrent d'ailleurs qu'un intérêt secondaire. "' ' ' ' z 1 1 ' ' 3° Dans certains cas, tous les' f
mposites. Elles n'offrent d'ailleurs qu'un intérêt secondaire. "' ' ' ' z 1 1 ' ' 3° Dans certains cas, tous les' foy
osites. Elles n'offrent d'ailleurs qu'un intérêt secondaire. "' ' ' ' z 1 1 ' ' 3° Dans certains cas, tous les' foyer
Elles n'offrent d'ailleurs qu'un intérêt secondaire. "' ' ' ' z 1 1 ' ' 3° Dans certains cas, tous les' foyers rempli
s n'offrent d'ailleurs qu'un intérêt secondaire. "' ' ' ' z 1 1 ' ' 3° Dans certains cas, tous les' foyers remplissan
nt aux deux types' et présentant les aspects les plus divers ? Il v ' ils, - , t 4° Les conditions étiologiques de la
riale comme ayant sa cause première dans l'irritation mécanique. '' ' ! '' aM -' " ' 6° Quant aux conséquences cliniq
ayant sa cause première dans l'irritation mécanique. '' ' ! '' aM - ' " ' 6° Quant aux conséquences cliniques de la m
nt sa cause première dans l'irritation mécanique. '' ' ! '' aM -' " ' 6° Quant aux conséquences cliniques de la mésop
cliniques de la mésopérineurite, elles sont actuellement inconnues. ' ' n n 1 1 " . '.< tf , n 1;1.%m l .">( il
iniques de la mésopérineurite, elles sont actuellement inconnues. ' ' n n 1 1 " . '.< tf , n 1;1.%m l .">( il-
nt inconnues. ' ' n n 1 1 " . '.< tf , n 1;1.%m l .">( il- .. ' ... . '< .' 'Vf · n , - . x , " i i . rv -
( il- .. ' ... . '< .' 'Vf · n , - . x , " i i . rv -- . f 1 ? ' EXPLICATION ^DES* PLANCHES ' r w , Si .,5 i *
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LICATION ^DES* PLANCHES ' r w , Si .,5 i * ' 1 : 'Ol1 ? 4; Y < F ' · ' PLANCHE I. · t J. ' . « . rW , , - ' " &g
TION ^DES* PLANCHES ' r w , Si .,5 i * ' 1 : 'Ol1 ? 4; Y < F ' · ' PLANCHE I. · t J. ' . « . rW , , - ' " >
w , Si .,5 i * ' 1 : 'Ol1 ? 4; Y < F ' · ' PLANCHE I. · t J. ' . « . rW , , - ' " > 'iFig. 1. - 1/70. Group
' 1 : 'Ol1 ? 4; Y < F ' · ' PLANCHE I. · t J. ' . « . rW , , - ' " > 'iFig. 1. - 1/70. Groupe névriculaire co
au niveau du point où débute la lésion, c'est-à-dire à la partie HO ' Y .1\.11'O111C.. tout à fait supérieure du segm
gaine périneuriale est plus épaisse du côté malade que de l'autre. ' · Fig. 3. 1/500. Grand foyer composite apparten
treuse. En b, le reticulum initialavec ses cellules granuleuses. s' ' ' ' ' Fig. 8. -1/250. Un nodule mésoneuritique
euse. En b, le reticulum initialavec ses cellules granuleuses. s' ' ' ' ' Fig. 8. -1/250. Un nodule mésoneuritique «
se. En b, le reticulum initialavec ses cellules granuleuses. s' ' ' ' ' Fig. 8. -1/250. Un nodule mésoneuritique « en
. En b, le reticulum initialavec ses cellules granuleuses. s' ' ' ' ' Fig. 8. -1/250. Un nodule mésoneuritique « en t
neuritique « en toile d'araignée » avec bloc vitreux central (a). " ' 1 , 1 Fig. 9. 1/250. Petit foyer mésoneuritique
ure tourbillonnante avec bloc central vitreux (a) fortement nucléé. ' Fig. 11. 1/200. Un nodule mésoneuritique à noya
enveloppé d'une couche vitreuse (u). En m, reticulum mésoneu- rial. ' ' PLANCHE -II. Fig. 12. - 1/f50. Conglomérat
veloppé d'une couche vitreuse (u). En m, reticulum mésoneu- rial. ' ' PLANCHE -II. Fig. 12. - 1/f50. Conglomérat mé
central, un'groupe de trois alvéoles relativement volumineux (a). - ' Comme dans- les figures 21,' 25,' 26, 27, le fa
vidence la forme noduleuse des foyers mésoneuritiques élémentaires/ ' ? ? . 1 < - ? f ? jLOtt' ! 0 ) 1 . ; 1 * 1
1 .. 1 .'in.n`. o.· PATHOLOGIE NERVEUSE' 1 ip.1,1 -1 J., jtf ? ' ? / -- en -i i ! |i,î,, < ? il , . i ' 'w;.
1 ip.1,1 -1 J., jtf ? ' ? / -- en -i i ! |i,î,, < ? il , . i ' 'w;. , 7 · : Ii'. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA'
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA' SYPHILIS DU'* SYSTÈME" NERVEUX, ''3- ' z , - .* ' fca Paralysie générale, 3rÉNILIGG-
A L'ÉTUDE DE LA' SYPHILIS DU'* SYSTÈME" NERVEUX, ''3- ' z , - .* ' fca Paralysie générale, 3rÉNILIGG-111YL : LITE
Paralysie générale, 3rÉNILIGG-111YL : LITE , VASCULAIRE diffuse f,^; ' ET LÉSIONS SYPHILITIQUES DES .VAISSEAUX; i- \-
ffuse f,^;' ET LÉSIONS SYPHILITIQUES DES .VAISSEAUX; i- \- y, g.1'" ' ' , J - : I ' >UL> > ' ·; rC·1 Par M
e f,^;' ET LÉSIONS SYPHILITIQUES DES .VAISSEAUX; i- \- y, g.1'" ' ' , J - : I ' >UL> > ' ·; rC·1 Par M. le
LÉSIONS SYPHILITIQUES DES .VAISSEAUX; i- \- y, g.1'" ' ' , J - : I ' >UL> > ' ·; rC·1 Par M. le docteur F.
QUES DES .VAISSEAUX; i- \- y, g.1'" ' ' , J - : I ' >UL> > ' ·; rC·1 Par M. le docteur F. RAYMOND, professeu
RAYMOND, professeur agrégé, c/im >.2 Médecin de la Salpêtrière. ' i i r ' ' t* : '-j ? i ..fi )t'<H ? S< :
, professeur agrégé, c/im >.2 Médecin de la Salpêtrière. ' i i r ' ' t* : '-j ? i ..fi )t'<H ? S< : J ? Ob
professeur agrégé, c/im >.2 Médecin de la Salpêtrière. ' i i r ' ' t* : '-j ? i ..fi )t'<H ? S< : J ? Obse
dée de troubles urinaires en 1887; à cette époque, exagération dcs^ ' Voir Archives de Neurologie, t. XXVII, page 1. ,
exagération dcs^ ' Voir Archives de Neurologie, t. XXVII, page 1. , ' ' ,, i' . - ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME N
agération dcs^ ' Voir Archives de Neurologie, t. XXVII, page 1. , ' ' ,, i' . - ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NER
s parents n'ont présenté aucune particularité digne d'être relevée. ' Antécédents personnels. Dur... a toujours été f
constate qu'il est complètement anesthésique des membres inférieurs ' (contact^' piqûre,' chaleur', sens musculaire).
'il est complètement anesthésique des membres inférieurs ' (contact^ ' piqûre,' chaleur', sens musculaire). Les réflex
omplètement anesthésique des membres inférieurs ' (contact^' piqûre, ' chaleur', sens musculaire). Les réflexes sontèx
i- lepsie spinale. Traitement : 'iodure'et pilules de Dupuytren. 3' ' ' Au bout de deux mois," il 'quitte l'hôpital'd
lepsie spinale. Traitement : 'iodure'et pilules de Dupuytren. 3' ' ' Au bout de deux mois," il 'quitte l'hôpital'du
l'hôpital'du Midi, à'peine'amé- lioré, pour entrer dans le service ' dé 111.' Troisier à la Pitié.' Trai- tement : i
de nouveau1 institué; la sensibilité revient peu à peu et il arr5rf ' ^n -'Ilf"T- 1- j a Pendant son séjour à'Bic@tée;
les deux''autres fois pendant quarante- huit heures (IS89). ^ ~™'M ' ^...tt -\ 1 J'q A sa sortie, il va dans le servi
il va dans le service de M. Jaccoud où on le soumet^à la suspension, ' qui ? dit-il, n'améliore en rien s6'n'état."Au bo
as guéri, niais suffisamment rétabli 'pour reprendre son travail. 1 ' "u ' ' ''t' r ~`r' r°b`'pj''r'y t 7 Au bout de
éri, niais suffisamment rétabli 'pour reprendre son travail. 1 ' "u ' ' ''t' r ~`r' r°b`'pj''r'y t 7 Au bout de quelq
i, niais suffisamment rétabli 'pour reprendre son travail. 1 ' "u ' ' ''t' r ~`r' r°b`'pj''r'y t 7 Au bout de quelque
entré dans mon'service'a i'hû- pital Saint-Antoine; à' cette époque, ' il était déjà tÙber'éule'di"eC au point de vue
'peu près* le même que lors de sa dernière entrée. Depuis ce'moment, ' il va de service en service, reprend son travai
maigre; faible, fébrile; il tousse .beaucoup et crache abondamment, ' le moindre' effort l'essouffle : il a'des suéüâ
sommet des poumons on perçoit les signes d'une tuberculose' avancée, ' arrivée' à' la période cavitaire. . r aum-r ? `
ait^dé l'affaiblissement* général. Les réflexes sont très fortement ' ela ? é se suitout 'a gauche; en relevant la 'p
resthésie à la douleur ; la pression des masses musculaires de la , ' ; , n-ti notasl jambe est en effet douloureuse.
ien, à' la teinte grise, une sclérose du cordon de Goll peu étendue, ' et une sclérose annulaire du faisceau antéro-lalé
faisceaux céréheiteux direct et latéral passe par la t .n.t.......' ' t direct et latéral aseéüdant ? nrt f.p ·.v., r
ie supérieure de la moelle dorsale, la sclérose parait "envahir; la ' plus grande partie'de la surface de coup a,, pu
t ? J'f.L-'t;.ttJbtttA.'MUJ'Jiir'J)U'-tJt' i `S iniliai Il' es. ." ' 1 4 , . 4 , r. r ? s ' ..1 . Le r coeur .droit.
.'MUJ'Jiir'J)U'-tJt' i `S iniliai Il' es. ." ' 1 4 , . 4 , r. r ? s ' ..1 . Le r coeur .droit. est dilaté; l'endocard
ec des granulations .9VP(f · J, le4l'o Il . 1 », - w· W ; il4t '' l ' ' miliaires. Les reins paraissent sains. >
des granulations .9VP(f · J, le4l'o Il . 1 », - w· W ; il4t '' l ' ' miliaires. Les reins paraissent sains. > '
a 31, iTi,. 0 Il, f t 1 a(l 4(lui a 116 PATHOLOGIE NERVEUSE. 'l ' » / il,, * 'TH Il. 3 Il /( -item,- '^f( n* 1 1 E
a 116 PATHOLOGIE NERVEUSE. 'l '» / il,, * 'TH Il. 3 Il /( -item,- ' ^f( n* 1 1 Examen hislologique. La moelle présen
avec maximum au niveau de la quatrième dorsale ; sur une coupe '' ' ., 1 1 -jt> Z A*l lu(, IL16tu colorée par la
point on observe une dégénérescence, descen- Fig.-il. , ; r. "v ? ' ' : 1 ? Observation III. Coupe ! pratiquée'au n
int on observe une dégénérescence, descen- Fig.-il. , ; r. "v ? ' ' : 1 ? Observation III. Coupe ! pratiquée'au niv
Observation III. Coupe ! pratiquée'au niveau de la 'quatrième racine^ ' dorsale; myélite scléreuse diffuse, avec prédom
rdons de Goll."Codo·aliozz de~Pal ? " (Obj.O',oc.IVf;rick.) ,. ? t " ' > . ? Vf, r Fig. 93.t-Coupe pratiquée, au ni
owers; myélite ascendante des faisceaux pyramidaux« 1 ? 1. »- , - J ' 118 PATHOLOGIE NERVEUSE., , , . . z .racine a
pas toutes les fibres de t.. - OU I" *" l ? l, ? Il '1111U1 ( . TU ' uv- * I-' 'J ? v t- ce faisceau ; elle se limit
rapport avec la'dispositioil ircégu- lière de la lésion d'origine.*» ' -M W1 tlWf 41l ti- fin Quanta la sclérose ascen
fin Quanta la sclérose ascendante des faisceaux pyramidaux croisés, ' f'r elle est beaucoup moins facile" a'interprét
nt lésées. Le faisceau pyramidal direct est abso- lument intact. ,- ' - Si l'on étudie maintenant la moelle à l'aide
Jle corpsi de la cellule et s'entourer, d'une ! zone plus éclaire ; ' enfin f on voit les corps cellulaires s'éclianc
c. des crêtes d'empreintes multiples; ,< Ifl'll, Jj . îb'HRTJ, , ' 'l^'T-iJll l, ? ? 1-0- Jl,"Ilf - 1 , , L 4 ! , t
ntent deux noyaux. Carmin ! (Obj. a immersion 1/12,oc. 1 Véricl : . ' "' " ^ ]',h,^ ".« ? , . ? . 1, ? ., O"fa m' h .
nt deux noyaux. Carmin ! (Obj. a immersion 1/12,oc. 1 Véricl : . ' " ' " ^ ]',h,^ ".« ? , . ? . 1, ? ., O"fa m' h .5 i
noyaux. Carmin ! (Obj. a immersion 1/12,oc. 1 Véricl : . ' "' " ^ ] ' ,h,^ ".« ? , . ? . 1, ? ., O"fa m' h .5 imdnr.e
avancés dans le ujq ! i(P·"ul t0'I<1 on ? . ^un ''f'ù ? Il 1 ,- ' foyer de sclérose. En résumé, il semble que les
s. deux sens ? en envahissant de proche 'en proche ? . '' "'b-wi1»» ' "n; wn'"1' · " . . le' Outre cette lésion inters
icul ier -du 'corps de la cellule,1 le noyau restant intact ou -non; ' le protoplasma est clair ? hyalin' et parsemé de
oyaux, entourés d'une mince couche de pro- toplasma clair. f .... . ' ` t t 122 1 rua varia pathologie 'nerveuse/"2
roupes cellulaires sont atteints, mais c'est dans le groupe antérieur ' 1 que les cellules altérées sont les plus nombr
coupes colorées auzvt. carmin. u. , , / ? | 1r ? . , t.{u , ? i, il ' ).t't((t. > 1 IIW. Cerveau., .- Les grosses a
syrienne gauche. Ces artères présentent une endartérite trôs'mar-'1' ' ` Fig. 23. Cellules des cornes antérieures/dont
brale qui.dans îlBraioru -i "fi W,f a( ? )61W' u'lU 1n, 1t1 3n a- j ' "j ->>I'jjjLi <m ' ? , toutes les régio
-i "fi W,f a( ? )61W' u'lU 1n, 1t1 3n a- j '"j ->>I'jjjLi <m ' ? , toutes les régions, portent dans leur adven
de grappes; ces noyaux n'appartiennent nullement à des leucocytes ; ' ils sont "situés1 dans1"; l'épaisseur nmêroede"
et-fôiit ail lie PI'Utôt ? dans > lai substance i cérébrale rque ' dans l'espace'Iympliatique : Ce' sont les capil
'PaI ? Lâviiéviorlie ne» parait, prendre aucune'. part au processus; ' on ne voit/point'do cellules-araignées. »« ! .
s. »« ! . J Ïl \ill't 1 , Les nerfs périphériques sont peu malades ; ' de tous 'les gros troncs nerveux, étudiés sur d
malades ;' de tous 'les gros troncs nerveux, étudiés sur des coupes, ' le nerf crural est'le seul qui'pré- senté des a
ent uneir diminution assez marquée de leurs > tubes'à' myéline^ ' mais on ne voit'.)' pas de tubes où la myéline
on assez marquée de leurs > tubes'à' myéline^' mais on ne voit'.) ' pas de tubes où la myéline soit ' fragmentée
es'à' myéline^' mais on ne voit'.)' pas de tubes où la myéline soit ' fragmentée ; les 'nerfs cutanés de e la main
altérations du parenchyme à son pourtour, parait être un reste de ; ' kyste hydatique guéri ? En outre.' le foie pr
'qui présente 'les' symptômes les a plus nets de la paralysie gêné-) ' ! ''raie des`aliénéselle='n'ar pas"1'1 de dél
s, ainsi qu'on là"nsàit,"éettég forme "est 5 fréqueîité° ôlié`z` la ' ,.lemme; sur^ce. pomt,fefrenq3tvéicl ? y2; ,jP
oration de Pal. (Obi. 0, oc. 1 ? '. ? nuT ? , , r-Tr, r·p ! 33Qjr ' * PATHOLOGIE NERVEUSE. - ·"ITnÎlstt la' femme,
rioûstrôurvons'des lésions qui expliquent, les «Irr. m -*T r.ri .'i ' VI., *>'-^ |W ? K^^lllllll 1 ^-- JII11 Ml.^ .
gt;'-^ |W ? K^^lllllll 1 ^-- JII11 Ml.^ . /il-' accidents terminaux, ' d autres gin se rapportent aux symptômes médull
? fj'ir ? 1 ? 1'' ; ri'i'li- mu «111,, i«"< .' "i Ltt «>''<" ' , vasculaire diiluse, qui. ne me parait être v
u'WKj"" n01l) 9tutIIlE tnnn'-n, iymu : «ii ·.t·1.·-· 'f.T' 1- «" ? ' Si ,"» ? "non /.m ., '< .-H-0\fïifl'> ? I ^
e, la pathogeme des, crises epi- leptifôrriies daris' làt parâlysie" ' généralé et' des hémorrhagies méningées, quoiqu
ns lé résoudre.' Quoi qu'il en soit; l'oedème' céré- brai n est i o ' ·i - 1 - YrTr.,a 't : 7. ·y e 4Jt'W .tl dents t
·y e 4Jt'W .tl dents terminaux ; dans les circonvolutions motrices, ' il n'existait qu'adroite, et c'estdans les memb
deciné,1885) ;'dâns léfcâs'àctliel,lês'réins n'étaient pas' malades, ' et'la'pathogénié^de l'oedème n est pas la même !
u1 point" 'dé vue de'la ! nosographie'de l'oedème cérébral : ™,,f ? ' « "™'> "'fy df'ul n ? ") ? t'T"T ? n ? T R
HILIS DU. SYSTÈME NERVEUX. '1 L Î. , 1 '-%'tL'lVJ1f ? U .n ..v v -n ' tabétiformes. Cette lésion explique parfaitemen
es ( et que, les^ tubes des racines postérieures/sans'être détruits, ' étaient loin d'être sairis ; r'd'ailleurs 1 Thô
sairis ; r'd'ailleurs 1 Thôiirâén a vil, sur dix' cas de méningite ' , ., t . t., ,r, tr ? ).fHt)t-.t.'n ? 9 ! ,f't ?
- n ,.TrfTafT( î."»» T " .Tl M'I I nflu ? l 'Kl].* ,JH a.l,IL l . J ' -»LI *J ' .' l**»lA ..« ? ï 1 rogene suraioutee
fTafT( î."»» T " .Tl M'I I nflu ? l 'Kl].* ,JH a.l,IL l . J ' -»LI *J ' .' l**»lA ..« ? ï 1 rogene suraioutee, car on t
mifiâtiorisv'del'irbré vascùlairé ? ? ? · 1... , .i.. ramifications ' de, 1 arbre, vasculaire ? 81t Wlüi ^II^2 '11 ne
le l'accord 'semble fait;, c'est là lésionjgommeuse, de l'adventice, ' décrite' pâül3àuingarten;,qüi;ést 1" a, seule t
de- l'observation I. Quant à l'endartérite oblitérante, de Heubner, ' elle n'a aucun caractère spécifique ; . c'est,
venl- frJli'Ijïjy.-Jt, « ! Jll j^.ln > tu ir.j 'U)...si ! ."-... ' «>.iUt>.... ' 128 PATHOLOGIE NERVEUSE.
-Jt, « ! Jll j^.ln > tu ir.j 'U)...si ! ."-... ' «>.iUt>.... ' 128 PATHOLOGIE NERVEUSE. Systems, Neurolog. C
s après son début, de paraplégie presque complète, mais transitoire, ' ainsi qu'on l'observe quelquefois ; la paralysie
goureuse que possible. Il suffit de voir, sur les figures - e·t T · ' ,a. ! * ' ' ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NER
ue possible. Il suffit de voir, sur les figures - e·t T · ' ,a. ! * ' ' ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. d29
possible. Il suffit de voir, sur les figures - e·t T · ' ,a. ! * ' ' ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. d29
à cette interprétation, c'est la présence) dans les autres cordons ' de la moelle, de quelques capillaires qui'prese
? tandis'- que^ le processus 1 tabétiqüè, st,"pls intense' dans, la ' ` région dorsale que partout' ailleurs. u '" e'
,"pls intense' dans, la ' ` région dorsale que partout' ailleurs. u ' " e' i'3 1 - ? * ll " . . * « . ..) I m. ,.o 1\
s. u '" e' i'3 1 - ? * ll " . . * « . ..) I m. ,.o 1\ »rn J"-<«^ ' . I. 1.1 i . ') t L observation III concerne un
1 - ? * ll " . . * « . ..) I m. ,.o 1\ »rn J"-<«^ ' . I. 1.1 i . ' ) t L observation III concerne un homme qui a co
l présenté'' dès accidents1' cérébraux très, graves en appa-, rence, ' car il a successivement trois ictus suivis d'apha
ste'complètement sain'd'esprit jusqu'à ARciiivp.3, t. 0 130 'JI - ' -' PATHOLOGIE- NERVEUSE. ^ "*> sa mort; qui
'complètement sain'd'esprit jusqu'à ARciiivp.3, t. 0 130 'JI - ' - ' PATHOLOGIE- NERVEUSE. ^ "*> sa mort; qui est
mort; qui est amenée par les progrès de la cachexie tuber- culeuse. ' ? '. ' i ? z Sa moelle est le siège d'une myéli
ui est amenée par les progrès de la cachexie tuber- culeuse. ' ? '. ' i ? z Sa moelle est le siège d'une myélite 'scl
que j'ai décrite autrefois ; d'ailleurs l'action favorable du trai- ' tement, dans le cas particulier, plaide en faveur
ouvoir être rapportée avec certitude à sa cause infectieuse.' <u ' ' ''t' ~ ' ? I« z Les dégénérescences fasciculé
voir être rapportée avec certitude à sa cause infectieuse.' <u ' ' ''t' ~ ' ? I« z Les dégénérescences fasciculées
rapportée avec certitude à sa cause infectieuse.' <u ' ' ''t' ~ ' ? I« z Les dégénérescences fasciculées consécut
au microscope, on'voit très bien les traînées de corps granuleux ' ' le long des tubes qui sont restés sains.. , 1
u microscope, on'voit très bien les traînées de corps granuleux ' ' le long des tubes qui sont restés sains.. , 1 .
F sive, des tubes nerveux irrités au niveau du foyer de myélite' ' qui les a sectionnés ; la tuméfaction et la vacuo
ces fibres sont en faveur de cette inter- prétation. * > ,9t -i ' , Il faut'encore rapprocher de cette lésion inso
encore ? assez mal-connu, consécutif aux dégénérescences de. cause ' médullaire, en particulier à celles du'faisceau p
3.) . L'étude du cerveau de mon malade a été tout particulière- . ' D'ailleurs, peut-on supposer l'existence de cellu
verse de la moelle épinière. (Soc. de Biol., 25 nov. 1892.) . , 132 ' '-J' PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 0 ·str - - ment fru
(Soc. de Biol., 25 nov. 1892.) . , 132 ' '-J' PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 0 ·str - - ment fructueuse;- voilà un 'syphilit
t d'une façon évidente à l'affection 'médullaire* et qu'ils étaient, ' comme celle-ci,' sous la'dépendance'de la' syph
dente à l'affection 'médullaire* et qu'ils étaient,' comme celle-ci, ' sous la'dépendance'de la' syphilis.' Or,"l'aut6
oints de'l'arbre vasculaire : sur la terminaison des deux carotides, ' sur la sylvienne gauche' localisation', bien t
es' capillairesrde'l'écorceéérébrale : · vilyNrYy ? 4t 1t'; - ? «,;» ' La lésion des gros vaisseaux estTendartérite ob
1-" caractère histologiquement'spécifique;`èlle'est"considérée 'par ' tous les auteurs comme ayant une grande valeur
stique ; à l'in- térieur de la boite crânienne elle ne se rencontre, ' en effet, à part les tumeurs et les méningites,
ytique général1;" peut-être' même ne 'le serait-il jamais devenu si, ' comme' on peut'le "supposer,'d'après'la'marche
même état. , , , 'n ? 1 1 t 1 , , - ? ..J' 1| .. ** I- , ! .' ri * ' - ? w ..f '.«, a Des faits qui précèdent et de
s, et, partant, la même signification. 134 PATHOLOGIE NER'EÜSE, ` ' '" ' "* La paralysie générale, au moins celle.
et, partant, la même signification. 134 PATHOLOGIE NER'EÜSE, ` ' ' " ' "* La paralysie générale, au moins celle. qu
, partant, la même signification. 134 PATHOLOGIE NER'EÜSE, ` ' '" ' "* La paralysie générale, au moins celle. qui e
'" ' "* La paralysie générale, au moins celle. qui est syphilitique, ' \ est donc une encéphalite vasculaire diffuse.
- blement à cause de la qualité de l'agent spécifique, et, surtout, ' ta cause de l'hérédité. Celle-ci intervient san
et un certain manque de stabilité, sans ataxie véritable. rtl . '' ' '> . En 1886, les phénomènes douloureux pers
signe'd'Ar ? vll-Robei-tsoii ainsi qu'un tremblement fibrillaire- des ' lèvres et de la langue ; les mains tremblent au
r, mais devient difficile dans l'obscu- ri lé.. i ;" )iTT ->t 5F ' ,f·1f ti 3r ? ; nl .- - 1 L'intelligence est un
à aujourd'hui on'ne constate' aucun épisode intéressant à signaler ; ' le malade reste figé'dans la forme pre- mière t
malade reste figé'dans la forme pre- mière tant au point' de.1 vue ' des phénomènes tabétiques qu'au point de vue de
phénomènes tabétiques qu'au point de vue des phénomènes cérébraux. ' i» , c . ; 1 f t. il, ? t ') ? / ,j,t - , ' c `
point de vue des phénomènes cérébraux. ' i» , c . ; 1 f t. il, ? t ' ) ? / ,j,t - , ' c ` Observation V. M. M..., âgé
s phénomènes cérébraux. ' i» , c . ; 1 f t. il, ? t ') ? / ,j,t - , ' c ` Observation V. M. M..., âgé de cinquante an
iges qui vont même parfois jusqu'à l'attaque' épileptiforme." ? 4 " ' K'\--\'<* a^ -r- , - " '' ' Actuellement,il
u'à l'attaque' épileptiforme." ? 4 " ' K'\--\'<* a^ -r- , - " '' ' Actuellement,il présente une contracture spasmo
mbe est animée d'un léger tremblement involontaire. Le' tremblement ' est à peine accusé aux membres supérieurs. ' Ul
taire. Le' tremblement ' est à peine accusé aux membres supérieurs. ' UlM1- `w' ' ' ' ' ' ' Le masque' facial est 'co
remblement ' est à peine accusé aux membres supérieurs. ' UlM1- `w' ' ' ' ' ' ' Le masque' facial est 'comme immobile
mblement ' est à peine accusé aux membres supérieurs. ' UlM1- `w' ' ' ' ' ' ' Le masque' facial est 'comme immobile;
lement ' est à peine accusé aux membres supérieurs. ' UlM1- `w' ' ' ' ' ' ' Le masque' facial est 'comme immobile; l'
ment ' est à peine accusé aux membres supérieurs. ' UlM1- `w' ' ' ' ' ' ' Le masque' facial est 'comme immobile; l'as
nt ' est à peine accusé aux membres supérieurs. ' UlM1- `w' ' ' ' ' ' ' Le masque' facial est 'comme immobile; l'aspe
' est à peine accusé aux membres supérieurs. ' UlM1- `w' ' ' ' ' ' ' Le masque' facial est 'comme immobile; l'aspect
t l'intelligence semble être intacte' quoique un peu déprimée. '' " ' ' t .. M. M... est sujet à des vertiges fréquen
l'intelligence semble être intacte' quoique un peu déprimée. '' " ' ' t .. M. M... est sujet à des vertiges fréquents
n pratique, lorsqu'on examine la moelle des paraly- tiques généraux, ' on trouve soit le tabes vrai, soit la dégéné- r
ble, qui unit ces affections ? Je n'en sais rien encore. ,A'' ^ n " ' ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE : XXX. Symptoma
e, qui unit ces affections ? Je n'en sais rien encore. ,A'' ^ n " ' ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE : XXX. Symptomato
ATOIRE AIGUË par H. HOPPE. (Archiv f. Psychiat., XXV, 1.) , o " , ' Sorte de monographie statistique de laquelle il r
ype de la folie aiguë des jeunes REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 137 ' sujets. La mélancolie y est plus rare de beaucoup
rare de beaucoup; la manie, plus rare encore; la folie épileptique, ' exceptionnelle. Rareté de la folie .parah tique
atique hallucinatoire. , ? .. i >« ? ... P. K. ., n 1 n 3 J . - ' v ' ' { . '' - " XXXL Des psychoses consécutive
ue hallucinatoire. , ? .. i >« ? ... P. K. ., n 1 n 3 J . -' v ' ' { . '' - " XXXL Des psychoses consécutives DE
hallucinatoire. , ? .. i >« ? ... P. K. ., n 1 n 3 J . -' v ' ' { . '' - " XXXL Des psychoses consécutives DE l
, t.) ? .. Etude sous douze chefs interrogatifs avec des réponses : ' 1° Les psychoses de ce genre sont-elles plus fr
K celle-ci, ou dans les six mois consécutifs à cette dernière, mais ' encore faut-il que, dans cet intervalle, il n'y
, c'est le polymorphisme de'leurs tableaux cliniques. La proportion ' des modalités mentales est ainsi'répartie : ? '
et stupeur; elle s'est montrée chez' 41,2 p. 100' des malades. Deux ' * observations.- « " ' " "« ™ ? (T "'' ' ' [>
montrée chez' 41,2 p. 100' des malades. Deux '* observations.- « " ' " "« ™ ? (T "'' ' ' [> " "'" ? .. 6. Agitati
2 p. 100' des malades. Deux '* observations.- « " ' " "« ™ ? (T "'' ' ' [> " "'" ? .. 6. Agitation maniaque mérita
p. 100' des malades. Deux '* observations.- « " ' " "« ™ ? (T "'' ' ' [> " "'" ? .. 6. Agitation maniaque méritant
malades. Deux '* observations.- « " ' " "« ™ ? (T "'' ' ' [> " " ' " ? .. 6. Agitation maniaque méritant le nom' de
" ? .. 6. Agitation maniaque méritant le nom' de délire d'inanition; ' 2' ? : 100 : Unë observ tiôn." ? /"B"b "«" 1h''
ns bon pour les formes rangées sous la/ rubrique délire d'inanition; ' à cause de l'affaiblissement physique des malad
Hg et K ! à hautes doses. i(f jS ï ? . P. KER : 1VAL. ,.y,.l i i . ' t. , t XXXU. Contribution z. la connaissance du
I . (.1(LIE1'fI2lCIE. f. Pschiat., XII; in.) . - .'1 ` · - l ? u /\ ' ' ? "' ,'s'' si. 'Il s'agit de'la constatation
. (.1(LIE1'fI2lCIE. f. Pschiat., XII; in.) . - .'1 ` · - l ? u /\' ' ? "' ,'s'' si. 'Il s'agit de'la constatation de
(.1(LIE1'fI2lCIE. f. Pschiat., XII; in.) . - .'1 ` · - l ? u /\' ' ? " ' ,'s'' si. 'Il s'agit de'la constatation de ce.
XXXIII." Contribution A la psychopathie sexuelle ; par DE Krafft- ' ' "' r EBINC ? (Juhr6üc/l. f. Psclaiat., \II, l,
XXXIII." Contribution A la psychopathie sexuelle ; par DE Krafft- ' ' "' r EBINC ? (Juhr6üc/l. f. Psclaiat., \II, l, .)
III." Contribution A la psychopathie sexuelle ; par DE Krafft- ' ' " ' r EBINC ? (Juhr6üc/l. f. Psclaiat., \II, l, .) ?
(Juhr6üc/l. f. Psclaiat., \II, l, .) ? "" " - . f : » . 1 ? I·. " ! ' iv : . - ' . < .' ' 013SERV.Tl '0,-îi. Masoc
f. Psclaiat., \II, l, .) ? "" " - . f : » . 1 ? I·. " ! ' iv : . - ' . < .' ' 013SERV.Tl '0,-îi. Masochisnie ment
., \II, l, .) ? "" " - . f : » . 1 ? I·. " ! ' iv : . - ' . < .' ' 013SERV.Tl '0,-îi. Masochisnie mental.' Dégénér
ion de ce fétiche (bas, chaussures), le séjour dans un' établissement ' à la Kneipp, pour ce motif, toujours et partout
· * ( ? 4 i s 'I `A na È' ? ur" rc`.s PiH" cT <'- "" `. ? C · " ' ' .1 · . 17 l«'- » T ,. -. , XXXIV. Les cause ?
· * ( ? 4 i s 'I `A na È' ? ur" rc`.s PiH" cT <'- "" `. ? C · " ' ' .1 · . 17 l«'- » T ,. -. , XXXIV. Les cause ? d
stique de l'asile ? in " Saint-Yon) ; par le D1' Nicoulan. t - -, , ' L'examen de ta paralysie générale, sous l'aspect
te, ou bien les excès vénériens, ou bien' encore l'arthri- tisme. " ' " ' : Il est probable que toutes' les causes mi
ou bien les excès vénériens, ou bien' encore l'arthri- tisme. " ' " ' : Il est probable que toutes' les causes mises
er; une fois ou l'autre, dans l'éliologie de la paralysie générale; ' mais, alcoolisme, vérole, surmenage, débauche,
é par voie dégénérative soit personnelle, soit héréditaire. >- - ' " ' ' ' J ' ' La statistique de l'auteur, faite
r voie dégénérative soit personnelle, soit héréditaire. >- - ' " ' ' ' J ' ' La statistique de l'auteur, faite san
voie dégénérative soit personnelle, soit héréditaire. >- - ' " ' ' ' J ' ' La statistique de l'auteur, faite sans
ie dégénérative soit personnelle, soit héréditaire. >- - ' " ' ' ' J ' ' La statistique de l'auteur, faite sans au
égénérative soit personnelle, soit héréditaire. >- - ' " ' ' ' J ' ' La statistique de l'auteur, faite sans aucune
énérative soit personnelle, soit héréditaire. >- - ' " ' ' ' J ' ' La statistique de l'auteur, faite sans aucune a
que sous toutes ses formes. (Annales médico- psychologiques, 1893.)" ' "' ' . ? ' · , . ? ? , , , '* E. B. - ( j- , if
sous toutes ses formes. (Annales médico- psychologiques, 1893.)"' " ' ' . ? ' · , . ? ? , , , '* E. B. - ( j- , if -
ous toutes ses formes. (Annales médico- psychologiques, 1893.)"' "' ' . ? ' · , . ? ? , , , '* E. B. - ( j- , if - l
utes ses formes. (Annales médico- psychologiques, 1893.)"' "' ' . ? ' · , . ? ? , , , '* E. B. - ( j- , if - l . o'V
Annales médico- psychologiques, 1893.)"' "' ' . ? ' · , . ? ? , , , ' * E. B. - ( j- , if - l . o'V i "i ' . XXXV. C
.)"' "' ' . ? ' · , . ? ? , , , '* E. B. - ( j- , if - l . o'V i "i ' . XXXV. Contribution A L'ÉTUDE du délire d'orig
rexcitabilité de 'Arndt, Kowalewsky, Sadowsky. Théorie de Meynert : ' l'anémie corticale affaiblit les organes d'asso-
érémie compensatrice, une irritation des centres sous-corticaux ? " ' P. K. XXXVI 1. DE L'ACTION DE L'ABAISSEMENT DE
Les mois inconstants d'octobre et de mars sont le plus à redouter.1 ' '' f ' ' P. K. .j)' i . - ' . , <h. XXXVII
s inconstants d'octobre et de mars sont le plus à redouter.1 ' '' f ' ' P. K. .j)' i . - ' . , <h. XXXVIII. Cont
inconstants d'octobre et de mars sont le plus à redouter.1 ' '' f ' ' P. K. .j)' i . - ' . , <h. XXXVIII. Contri
'octobre et de mars sont le plus à redouter.1 ' '' f ' ' P. K. .j) ' i . - ' . , <h. XXXVIII. Contribution A la c
et de mars sont le plus à redouter.1 ' '' f ' ' P. K. .j)' i . - ' . , <h. XXXVIII. Contribution A la connaissa
l'insuffisance sexuelle du malade. Deux observations. "" 1, .. ; I ' , .i - ? j , f c P. K. I h t..û l 1 -r - i '-m
0, c'est-à-dire'en dix ans et demi, on a traité 2,4o4 femmes. 1 ? 1 ' . '14 IREVUE'DE PATHOLOGIE MENTALE. XL. RECHE
e, 'l'étude de la faculté' de localisa- tion et du sens de la force, ' révèlent des troubles plus accentués et plus fr
de la confusion dans les-- substances sapides. a" >'> ? ? Ut' ' ' 2° '" ? ' tp.K , -i.'it ' ' ".). t' tu' s. j&
la confusion dans les-- substances sapides. a" >'> ? ? Ut' ' ' 2° '" ? ' tp.K , -i.'it ' ' ".). t' tu' s. j<
onfusion dans les-- substances sapides. a" >'> ? ? Ut' ' ' 2° ' " ? ' tp.K , -i.'it ' ' ".). t' tu' s. j< h &
ion dans les-- substances sapides. a" >'> ? ? Ut' ' ' 2° '" ? ' tp.K , -i.'it ' ' ".). t' tu' s. j< h < ?
ubstances sapides. a" >'> ? ? Ut' ' ' 2° '" ? ' tp.K , -i.'it ' ' ".). t' tu' s. j< h < ? i 9 rE"11` n XL
stances sapides. a" >'> ? ? Ut' ' ' 2° '" ? ' tp.K , -i.'it ' ' ".). t' tu' s. j< h < ? i 9 rE"11` n XLI.
généraux; par S. KORNFELD et G. BIKELES (J(ih ? -büch. f. Pychiat." ' · .Y1 . 3.) 3.) ' ? < -r· '° ' ' "" * ' ? ? .,
ORNFELD et G. BIKELES (J(ih ? -büch. f. Pychiat." ' · .Y1 . 3.) 3.) ' ? < -r· '° ' ' "" * ' ? ? .,rOr Cinquante-hu
KELES (J(ih ? -büch. f. Pychiat." ' · .Y1 . 3.) 3.) ' ? < -r· '° ' ' "" * ' ? ? .,rOr Cinquante-huit malades. Tabl
LES (J(ih ? -büch. f. Pychiat." ' · .Y1 . 3.) 3.) ' ? < -r· '° ' ' "" * ' ? ? .,rOr Cinquante-huit malades. Tablea
ih ? -büch. f. Pychiat." ' · .Y1 . 3.) 3.) ' ? < -r· '° ' ' "" * ' ? ? .,rOr Cinquante-huit malades. Tableaux. -1
r et le centre sphinctérien). Plusieurs observations témoi- gnent : ' ''<''< ? «i *' ">> " 'i ' i;- ' · ' ,
térien). Plusieurs observations témoi- gnent : ' ''<''< ? «i * ' ">> " 'i ' i;- ' · ' , 1° De/Ia'*persista
s observations témoi- gnent : ' ''<''< ? «i *' ">> " 'i ' i;- ' · ' , 1° De/Ia'*persistance de la réactio
rvations témoi- gnent : ' ''<''< ? «i *' ">> " 'i ' i;- ' · ' , 1° De/Ia'*persistance de la réaction ' pu
ions témoi- gnent : ' ''<''< ? «i *' ">> " 'i ' i;- ' · ' , 1° De/Ia'*persistance de la réaction ' pupill
' ">> " 'i ' i;- ' · ' , 1° De/Ia'*persistance de la réaction ' pupillaire aux'excitants cutanés sensitifs malg
. K. XLII. Seize observations DE DElil-SOSINL1TION; par C. MAYER. ' (Jahibilch. f. Psychiat., XI, 3.) Il s'agit de
r entourage ou tentent de se suicider. ,1 ,it,v. I, .. P. K. - '' ' ..il,"4" ·, 1 . , w "t ' ' t- ^ y XLIII. Contri
se suicider. ,1 ,it,v. I, .. P. K. - '' ' ..il,"4" ·, 1 . , w "t ' ' t- ^ y XLIII. Contribution .1 LA théorie DES
se suicider. ,1 ,it,v. I, .. P. K. - '' ' ..il,"4" ·, 1 . , w "t ' ' t- ^ y XLIII. Contribution .1 LA théorie DES ha
LIII. Contribution .1 LA théorie DES hallucinations; par CIIVOSTEK. ' (Jnle·6ücla. f. Psychiat., XI, 3.) . -.< « .
IVOSTEK. ' (Jnle·6ücla. f. Psychiat., XI, 3.) . -.< « . i ul , ' u 0 i ' 41- " .1 ** 1 , Il .. , Élude chez une
' (Jnle·6ücla. f. Psychiat., XI, 3.) . -.< « . i ul , ' u 0 i ' 41- " .1 ** 1 , Il .. , Élude chez une série d'
ux formules de la réaction élec- , trique du nerf auditif. , ? 1C), ' . f|, , , ; ? P. K. i ni,, .i-" ? >.->v*)
, ; ? P. K. i ni,, .i-" ? >.->v*) - ^t \ i 'S i \ i * .. l V ' f " XL1V. Df's L1 démence dIGUE l'OST-l'TPI11QU
nous tenons à en garantir les néophytes qui, séduits par ces sug- ' gestives études, seraient tentés de le dépasser e
ALYSIE PSYCHIQUE; par E. BLEULER. (Alrchiv. f. Psgcleiat., 1XV, 1.) ' `' , Cas complexe ainsi apprécié par l'auteur :
SIE PSYCHIQUE; par E. BLEULER. (Alrchiv. f. Psgcleiat., 1XV, 1.) ' ` ' , Cas complexe ainsi apprécié par l'auteur : hé
naissant des mélodies qu'il avait entendues, il était encore n F r, ' ' ' V U 148 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. t '
issant des mélodies qu'il avait entendues, il était encore n F r, ' ' ' V U 148 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. t '
sant des mélodies qu'il avait entendues, il était encore n F r, ' ' ' V U 148 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. t ' c
ait encore n F r, ' ' ' V U 148 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. t ' capable de les chanter. En somme l'absence d'ap
he et que cependant le malade avait conservé la faculté de répéter. ' P. KERAVAL. IX. Deux cas d'aphasie; par H. Goss
s. Genèse. Crase spéciale du sang chez une femme grosse, MM pllerv ( ' ? ). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 141) OBSEd
n avec autopsie. Ivrogne de trente-trois ans. Tare héréditaire très ' chargée. Paresthésie et parésie des deux jambes.
mie corticale par réciprocité cortico-bulbaire ou bulbo-corticale). ' P. K. XIII. LES découvertes récentes sur LE sys
Lenhossek sur le myélospongium (épendyme et substance gélatineuse). ' ' · Abordant ensuite l'étude des cellules nerve
nhossek sur le myélospongium (épendyme et substance gélatineuse). ' ' · Abordant ensuite l'étude des cellules nerveus
é de structure que les élé- ments nerveux communiquent entre eux. " ' . Kolliker, Ramon y Cajal, Waldeyer, Obersteine
le spasmodique DE .ERH ; par Manuel CARMONA, .T. V,1LLE-DE Mexico. , ' '' L'auteur 'rapporte cinq observations de tabè
ées à un arrêt congénital de développement des faisceaux pyramidaux, ' ces paralysies sont apparues consécutivement à de
ion de ce symptôme..(Tlte Alienist and Neurologist, 656, XIV, z 1 - ' 1 ' ' Dr A. Marie. 152 - REVUE DE PATHOLOGIE NE
de ce symptôme..(Tlte Alienist and Neurologist, 656, XIV, z 1 - ' 1 ' ' Dr A. Marie. 152 - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
ce symptôme..(Tlte Alienist and Neurologist, 656, XIV, z 1 - ' 1 ' ' Dr A. Marie. 152 - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
s de paralysie aiguë de Brown-Sequard, autre- ment dit hématomyélie, ' mais avec des symptômes spéciaux permettant de
P. K. XXI. Contribution A la connaissance DE la cécité psychique , ' I par F. âlULLI : R. (Archiv f. Psychiat., XXVI
R. (Archiv f. Psychiat., XXVI, 3.) tuit 'ne Deux observations. - . ' . , ., r " Observation I. A la suite d'un ictus
ne du lobe occipital dans la région du coin et de l'avant-coin. 1 ' ""' " . - 1 KÉHAVAL. ŸI1. Recherches SUR LE bil
u lobe occipital dans la région du coin et de l'avant-coin. 1 ' "" ' " . - 1 KÉHAVAL. ŸI1. Recherches SUR LE bilan D
membre de l'Académie fran- çaise et de l'Académie des sciences. - - ' Prèsideiits mati. le Dr Brouardel, doyen de la
Gréard, vice-recteur de l'Académie de Paris. Secrétaires : MM. le D' ' Bourueville, ancien interne de M. Charcot, méde
e l'Académie des beaux-arts. Il le D1' Debove, le Dr Fournier, le D' ' Gautier, le Dur Grancher, le D'' Lannelongue, l
e D1' Debove, le Dr Fournier, le D'' Gautier, le Dur Grancher, le D' ' Lannelongue, le Dr Strauss, le Dr Terrier, le Dr
stitut ; Ilamy, professeur au Muséum d'histoire naturelle. MM. le D' ' Laboulbene, président de l'Académie de médecine;
MM. le Dr Pitres, doyen de la Faculté de médecine de Bordeaux; le D' ' Azam, professeur à la Faculté de médecine de Bord
on; le Dr Lépine, professeur à la Faculté de médecine de Lyon; le D' ' Mairet, doyen de la Faculté de médecine de Mont
biologie; le Dr Périer, président de la Société de chirurgie; le D' ' Ch. Monod. secrétaire de la Société de chirurgi
e Dr Fernet, président de la Société médicale des hôpi- taux ; le D' ' Rendu, secrétaire de la Société médicale des hôpi
le D'' Rendu, secrétaire de la Société médicale des hôpitaux; le D' ' Babinski, le Dr Ballet, le D'' Marie, membres de
Société médicale des hôpitaux; le D'' Babinski, le Dr Ballet, le D' ' Marie, membres de la Société médicale des hôpit
et, le D'' Marie, membres de la Société médicale des hôpitaux; le D' ' Christian, président de la Société médico-psych
que; le Dr Ritti, membre de la Société médico- psychologique ; le D' ' Ricliet, président de la Société de psychologie
Société de psychologie physiologique, professeur à la Faculté; le D' ' Marcel Baudouin, secrétaire du Syndicat de la p
; le Dr Lereboullet, membre du Syndicat de la presse médicale; le D' ' Ch. Eloy, repré- sentant la presse médicale non
et amis de M. le P1' Charcot : MM. P. Arène, homme de lettres; le D' ' Berbez, ancien interne de M. Charcot ; le Dr Bloc
te Dr Dutil, ancien interne et chef de clinique de M. Charcot; le D' ' Feré, ancien interne de M. Charcot, médecin de
Tourette, ancien interne de M. Charcot, médecin des hôpitaux; le D' ' Gombault, ancien interne de M. Charcot, médecin
ot, médecin des hôpitaux; Guyon, ancien interne de M. Charcot; le D' ' Hallion, ancien interne de M. Charcot ; le D''
de M. Charcot; le D'' Hallion, ancien interne de M. Charcot ; le D' ' Hanot, ancien interne de M. Charcot, médecin de l
des travaux anatomiques de la Faculté de médecine de Paris; le D' ' Raymond, ancien interne de M. Charcot, médecin de
à notre sens, de révoquer en doute aucun des propos qu'il avance. ' Vers 1'tlge de cinq ans, se trouvant à Autun, il
il en soit, à l'age de douze ans, il a des rapports pédéras- tiques ' avec un de ses camarades de collège : « Cela alla
r, ses tendances homosexuelles ne l'ont point abandonné chez le D' ' F... : « Je me souviens qu'un petit garçon étant
re poursuivis que par ceux qui ne les ont pas lus ou pas compris. ' ' « Tout ami de la vérité et de l'humanité appren
poursuivis que par ceux qui ne les ont pas lus ou pas compris. ' ' « Tout ami de la vérité et de l'humanité apprendr
ponsable de ce qui est arrivé : je vous certifie qu'il n'y a pas ' f - 166 CLINIQUE MENTALE. de ma faute ». -Nou
pas à envahir peut-être pour toujours - ce cerveau prédes- tiné. ' ' - ' ' De l'examen soigneux que nous avons fai
pas à envahir peut-être pour toujours - ce cerveau prédes- tiné. ' ' - ' ' De l'examen soigneux que nous avons fait
à envahir peut-être pour toujours - ce cerveau prédes- tiné. ' ' - ' ' De l'examen soigneux que nous avons fait du m
envahir peut-être pour toujours - ce cerveau prédes- tiné. ' ' - ' ' De l'examen soigneux que nous avons fait du mal
de la situation, devient parfaitement incohérent, et quelquefois ' même s'arrête brusquemeut, perdant le fil de ses
uvelle preuve des tendance homosexuelles déjà signa- lées chez C... ' Il est un troisième point de l'histoire de notr
de perdre ma mère cela'm'à-t-il frappe ? C'est possible. » .. . . j ' r - , -t . , -. , ." ? f .' Entre autres syndro
me qu'elle n'était pas bien sévère, il lui, fallait plusieurs jours ' « pour se remettre x ? Relevons encore chez lui
ore chez C... quelques-uns de ces tics convulsifs, de., ces spasmes ' ,involontaires et irrésistibles xqui sont si fré-
un mouvement d'élévation des sourcils ses muscles frontaux se - - ' ^UM- ? . ' . 1 l'là 't.gi ? L'- contractent éner
ment d'élévation des sourcils ses muscles frontaux se - - '^UM- ? . ' . 1 l'là 't.gi ? L'- contractent énergiquement,
aires , 'celles des frontaux par moins, soient p fois . V.... 1. 1 - ' 'Il -le exemple, lorsque notre sujet travaille
t une con- science incapable, de le réfréner ? ni de le diriger. '' ' Et nous serions volontiers porte a croire, pour
.jH»i J : » ? n . . 1 Noir. Les tics considérés chez 'les dégénérés, ' les déments et les idiots, Paris, 1893. m ' v J
rés chez 'les dégénérés,' les déments et les idiots, Paris, 1893. m ' v J'^'hÛt- ! "if..ii. UN TYPE D'HÉRÉDITAIRE DÉG
pinal fonctionnent dune façon désordonnée, sans lien qui les unisse, ' par' pur instinct; par décharge, suivant l'expr
é- coce des appétits sexuels, l'onanisme/ lés perversions génitales ' de toute espèce; let ènéôre"lâ moelle n'agit-el
est^pas''1 dépravé 'dans l'âme, nous l'avons vu ; encore impulsions, ' ces tics, ces mouvements invo- lontaires que'no
a mémoire, substituer à tout cela la confusion et l'incohérence." " ' ? J*' ' ? ? ' '" ^'i ' Certes notre malade a en
ire, substituer à tout cela la confusion et l'incohérence." " ' ? J* ' ' ? ? ' '" ^'i ' Certes notre malade a encore u
e, substituer à tout cela la confusion et l'incohérence." " ' ? J*' ' ? ? ' '" ^'i ' Certes notre malade a encore une
stituer à tout cela la confusion et l'incohérence." " ' ? J*' ' ? ? ' '" ^'i ' Certes notre malade a encore une certa
ituer à tout cela la confusion et l'incohérence." " ' ? J*' ' ? ? ' ' " ^'i ' Certes notre malade a encore une certain
tout cela la confusion et l'incohérence." " ' ? J*' ' ? ? ' '" ^'i ' Certes notre malade a encore une certaine consc
i fer'à l'intelligence à un mo- ment' donné, sous 1 action ri cause ' ) additionnelle insigni- fiante,'IeII6 est'aisez
ister sans y parvenir^ I.t /i n ir · et ,. ? As i; \ k "tli 0 ) t . ' ' Ribot. Les maladies de la volonté, Paris, 188
r sans y parvenir^ I.t /i n ir · et ,. ? As i; \ k "tli 0 ) t . ' ' Ribot. Les maladies de la volonté, Paris, 1885.
l sait formellement qu'il a des ions; i ? t.tu"'t t : ,11- ? J* - - ' i obsessions; il est essentiellement^ conscient
de chercher à se donner l'énergie 5u sent lui manquer.'fti5(i,q'ad*^ ' V^ndo i ' MEDECINE LÉGÂLIJ ? 1, tn : ? `r . '
à se donner l'énergie 5u sent lui manquer.'fti5(i,q'ad*^' V^ndo i ' MEDECINE LÉGÂLIJ ? 1, tn : ? `r . ' SU'R ÀLI1 :
nquer.'fti5(i,q'ad*^' V^ndo i ' MEDECINE LÉGÂLIJ ? 1, tn : ? `r . ' SU'R ÀLI1 : NL " 'l- .' NOTE' SUR UN ALIÉNÉ' HO
. ' SU'R ÀLI1 : NL " 'l- .' NOTE' SUR UN ALIÉNÉ' HOMICIDE; T' L .( ' 111` `·dl· sr`r t ? t ? \j'ttr"n y-n I'arleD.
les nos 68 et 69 des Archives de iVe ),ologie. Sous ce titre : 176 ' ' - MÉDECINE LÉGALE. Note.sur un aliéné homicid
es nos 68 et 69 des Archives de iVe ),ologie. Sous ce titre : 176 ' ' - MÉDECINE LÉGALE. Note.sur un aliéné homicide,
pouvait invoquer aucune des causes ordinaires de la dégénérescence, ' ni l'hérédité névropa- thique, ni une tare nerv
mots, l'histoire'du malade."t-' tT i `,u 1 : 1av -f' 'r'' -» * 'y - ' 14 1 Le nommé A..., jeune{homme de trente-deux
eté un sort ». " Mais pour le moment cette idée n'a rien de morbide, ' ce n'est pas une idée délirante. Il faut tenir'
par;des rémissions plus ou moins prononcées. On Archives, t. XXVII. ' 12 y 178'f* v-$QlO;wEDECI1 ? LÉGAL us A, - co
sur le', cherche à l'étrangler/Celui-ci ne se dégagea que diffici- ' lemenv et ave .c,>I'aide de'ses camarades ?
i- ' lemenv et ave .c,>I'aide de'ses camarades ? 2B -i .ur qq5 a ' .*p -t. L'accès vésanique nei marchait pas moin
s apitoyait sur le sort de ses victimes, comprenant très bien'auon ' r ne p o .uvaitilui-9rè'ndrelsa liberté.1 Mais^
nger, et .avait des hàllucinations; pénibles de, l'ouïe., Il, croyait ' qu'en mangeant il allait faire mourir, lés gens
z longtemps pour qu'on fût obligé de nourrirlè malade à la' sonde : ' Du reste ces accès s'éloignèrent de plus én.plu
de trois jours. ,, l' H ? lftfl0a'I`l(rte' ·;111 9b R.ttttf'fnvaf) ' ='i ? rn' ' '" · , .1, , - .. ,Je mesuis appliqu
ours. ,, l' H ? lftfl0a'I`l(rte' ·;111 9b R.ttttf'fnvaf) '='i ? rn' ' '" · , .1, , - .. ,Je mesuis applique, -dans mo
rs. ,, l' H ? lftfl0a'I`l(rte' ·;111 9b R.ttttf'fnvaf) '='i ? rn' ' ' " · , .1, , - .. ,Je mesuis applique, -dans mon,
les détails dé ses quatre meur- NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. 179 ' , ' '- ? 'l' q,iom p4tr . r, ""-" ' ? - ? " '. *.
détails dé ses quatre meur- NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. 179 ' , ' '- ? 'l' q,iom p4tr . r, ""-" ' ? - ? " '. *. ? f
OTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. 179 ' , ' '- ? 'l' q,iom p4tr . r, ""-" ' ? - ? " '. *. ? fia très. Il savait très bien q
e de* sa mère avant de l'assommer à1 son tour. ^Mais je ne peux pas" ' reproduire ici tous ces'* détails 'longuement'r
s que les considérations de psÿcliolôâié(inür=''a , · ,'lmn.·. ·r · ' rrm y 1, .ç ..f;.)-"r.t<ttf<( £ bide que
mentale; des 'doctrines généï : âles'aûsavânt'irlédeciri rde'l'Asile" ' clinique^ et e est en meconformant''de'm6nieux
sile"' clinique^ et e est en meconformant''de'm6nieux aux'theo . » ' l . -- f Ynl'[I., Il i ? tx»ii T i.. k ; |i;i«"r;
' retrouve à des degrés'' divers', et'sous'des'apparences''diverses, ' dans toutes les anomalies psychiques.de dégénér
lital-. On l'observe donc . surtout chez" les li'-éré'd-i-tà-i-r'ës ' ,fi lesr`héréditâirés'dénénérésJ ,v·· · m Ill- 1
',fi lesr`héréditâirés'dénénérésJ ,v·· · m Ill- 1 , ? r ·s I 17"tl " ' 1 -fi .v. comme on les désigne.. Ce n est' peut
oit, la- dé-énérescence, n, est r pas, forcement, héréditaire, elle, ' peut être> acquise et,; pour ma part,.je la
e amené avec le 'temps dans le cer- veau. C'est " c4eq'ue'Billd - ! ' e fous chroniques sont parfois héréditaires d'e
sont sains, il n'existe qu'une 'ionuniquéqui itité ? seàlafoi-lâ'd" ' et la partie qu'une lésion unique qui intéresse
ns prononcé. Les bords de la lésion" n'en sont pas1 moinT très nets, ' et il existe une'ligne'de démarcation bien tranch
artie de ce petit lobule, plus ou moins- compliqué selon les sujets, ' désigné dans son ensemble sous le'noni de secon
admettre l'existence* de centres d'inhibition. b ? < ? ? 4 t, t ' i.j. sjtii.. ? 1 -v. j ",9 ► fir rs 9 "t('t r;f
? < ? ? 4 t, t ' i.j. sjtii.. ? 1 -v. j ",9 ► fir rs 9 "t('t r;f ' .Vi i ? j), .. ,i,ft- x En résumé, l'observatio
es' les propositions-* déduites de' l'ana- lyse clinique, constitue, ' malgré les apparences; un cas normal pour les n
me.un, argument'qui'n'est peut-être pas sans valeur. ,"1 , " ? ? ^ ; ' ? . , ? cg;j ? a3K3Yaojon.< ! r I ? i. · r
1DEBPATHOËOGIEuNERVEUSE. : taijt ! otc.2f ? ËBC(]itueotj23 ? ni[Mme ? ' ai ' ' 'è'ii JeA 1 liCld : ! &tfl 911)dOi ,
ATHOËOGIEuNERVEUSE. : taijt ! otc.2f ? ËBC(]itueotj23 ? ni[Mme ? ' ai ' ' 'è'ii JeA 1 liCld : ! &tfl 911)dOi ,a.a o
HOËOGIEuNERVEUSE. : taijt ! otc.2f ? ËBC(]itueotj23 ? ni[Mme ? ' ai ' ' 'è'ii JeA 1 liCld : ! &tfl 911)dOi ,a.a ovY
: -mediç,ul, jozcrnal,;10 ° juin11893.) 30 9h 3d19a1oI& a9c m°q . ' ' ? Rh)n')0 ? 1(t*' if If ? ? 1 <" ,11"-L'au
-mediç,ul, jozcrnal,;10 ° juin11893.) 30 9h 3d19a1oI& a9c m°q . ' ' ? Rh)n')0 ? 1(t*' if If ? ? 1 <" ,11"-L'aute
l,;10 ° juin11893.) 30 9h 3d19a1oI& a9c m°q . ' ' ? Rh)n')0 ? 1(t* ' if If ? ? 1 <" ,11"-L'auteui-,atLii,é d'abor
quels oïl insiste e T ? 4, . A .asG G., mutina r.JIU·i,J .....t t - ' u .. 3`raremellt.rC"j a9fi«'Ko ? : IPDj9vID sJf
.....t t - ' u .. 3`raremellt.rC"j a9fi«'Ko ? : IPDj9vID sJf ? df. ' vnrs- ."> » m ? 1°j II semble que, dans, tou
Une fois en ? Inarlie·lesmôuvéinëntsisont ré ? üliecs ,ét2vtaourèux : ' mais dé temps à autre' ils sont enrayés. S'il v
fois- provoqués,.ne sont' plus* sous'le' contrôle dû malade. *^ ,, , ' * " : .iilyy al quelque chose qui. enraye, le,
IÏ o-p 1 ia ut,ie. L'examen clinique au sang a ) "k J'l..91 t ? t - ' '*I"'d*ii'uti6* 'dé l'hémoglo- tlhined,etiây'rr
Ï o-p 1 ia ut,ie. L'examen clinique au sang a ) "k J'l..91 t ? t -' ' *I"'d*ii'uti6* 'dé l'hémoglo- tlhined,etiây'rriô
Jll^c,^l.0Ji 1,1L4 0 - ? & - - 1 .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 183 mènes sensitifs sont, eux aussi, assez fréq
u'à présentet Je. détail de'.deux. autopsies-personnelles. r .- - ? ' ? ? t ? W .n ? j ' <\ j , Lj ? 1 -, W· Premi
étail de'.deux. autopsies-personnelles. r .- - ? ' ? ? t ? W .n ? j ' <\ j , Lj ? 1 -, W· Premier cas ? Les méning
irës'dilàtés.'Cés-lésionsrsontFsurtiiût^nïarquées ? d'un côté.1 ? ''t` ' `J1'Lli 3 i ? )l.Tl9J ? b JfB9lâB mp ftl8îf 'Ji'
s les noyaux ,0 de tilîa' i",n neiivieme, dixièmé* et, ônzièmepaire ' beaucoup 'de "cellules'' atrophiées1 et 'pignïëht
beaucoup 'de "cellules'' atrophiées1 et 'pignïëhtées^Un peujd'atro- ' ` phie' et de* ramollissement 'avec 1`débris'°çéll
ans là,moellé ! épinièrelepaississément ! 'de',la piê-jriière1 avec ' proliféuâtiôn'éônnectivë"âü-`de`ssiis.'lIntiltaât
- t»-pér'du leurs prolongements ? ^'1 b-°ojr' 913s à orees e aman ? ' Deûxiémé' cas ? q2É'p'aiississement maiqué de là'
paralysie agitante est caractérisée par une vaseularisatio'h"fcen- ' traie de la moelle' uiië s;'ciéii7é, interstitiel
nts lès cornes^ntérièurVs^la^^ommissâfe1 et' les cordons ! latéraux ' : 'plus ' tàrd'dégénérati6n''cèuu ! aire lëptbmén
rnes^ntérièurVs^la^^ommissâfe1 et' les cordons ! latéraux ' : 'plus ' tàrd'dégénérati6n''cèuu ! aire lëptbménin- 184
s -a t, , rc ? mc· -" . 9t ? n ? r5 tt;) ? f..ffït l, m ? t iil7B f ' ? » L auteur résume ainsi son travail : : SZ ·r
t iil7B f ' ? » L auteur résume ainsi son travail : : SZ ·rr '1,1 ? ' ' ; ... ^^Oiiti ,. -t -rsss ,*<>,j^'il' ?
iil7B f ' ? » L auteur résume ainsi son travail : : SZ ·rr '1,1 ? ' ' ; ... ^^Oiiti ,. -t -rsss ,*<>,j^'il' ? 9
N; par C.'àIAYER. 31$s;rolla .s;spulerbûlr : ? Psycliieitz;'XI° 3.) ' J'il ls . Jeunes sujets ou sujets' au début de
, femme. Chez la plupart il y avait prédisposition névropathique ou ' REVUE* DE' PATHOLOGIE" NERVEUSE. ' 188 neurasth
prédisposition névropathique ou ' REVUE* DE' PATHOLOGIE" NERVEUSE. ' 188 neurasthénique acquise ? Ces états d'obnubi
it été précédé de'causes d'épuisement pendant des jours ou des mois ' ,.rn.Iifl1 ? (19'i eJr d; 'V' " - ' 1 Il 1- i'1 !
t pendant des jours ou des mois ' ,.rn.Iifl1 ? (19'i eJr d; 'V' " - ' 1 Il 1- i'1 ! ? · l' i- Brusquerie de lâ'rrlâla
personnes aè l'entourage1 ou par' des tentatives de sui- cidre - l · ' y..Oj91"Yyv e·Wt. : s-.> .» ? i ? ..]ni 'p.Kui
t. : s-.> .» ? i ? ..]ni 'p.Kui . g.u3Y`91l ? ? '. . * ,< i ' <" h 9 ? ! ,tI'· ? ,9N1'IV890 -l 3" · aii ZtMQ
at., XXIVj 2.) -t j,. ->.< ky 4, : o ? i"->''i( ? i ? V. f ' 1 sin\ îi^9T..q . ' - Homme de quarante-quatre
j,. ->.< ky 4, : o ? i"->''i( ? i ? V. f ' 1 sin\ îi^9T..q . ' - Homme de quarante-quatre ans; syphilis en 187
ophie des nerfs optiques, atrophie et' analgésie ? de' l'avant=bras ' daris le domaine du cubital. : Septembrec4890 :
e et mésartérite syphilitique' de la basiiairè. · P. KERAVAL. 1 " ' ' car» vy7 luis.» m 3j ? no '»-; -- .>.»,...-'
et mésartérite syphilitique' de la basiiairè. · P. KERAVAL. 1 " ' ' car» vy7 luis.» m 3j ? no '»-; -- .>.»,...-' "
e' de la basiiairè. · P. KERAVAL. 1 " ' ' car» vy7 luis.» m 3j ? no ' »-; -- .>.»,...-' " ' fl·>a'I8U(Y·.f' ' ;
ERAVAL. 1 " ' ' car» vy7 luis.» m 3j ? no '»-; -- .>.»,...-' " ' fl·>a'I8U(Y·.f' ' ; ' zig ' f ? q i'q hi -« !
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7 luis.» m 3j ? no '»-; -- .>.»,...-' " ' fl·>a'I8U(Y·.f' ' ; ' zig ' f ? q i'q hi -« ! / ? t '\d* ? - 186 ·HEV
.» m 3j ? no '»-; -- .>.»,...-' " ' fl·>a'I8U(Y·.f' ' ; ' zig ' f ? q i'q hi -« ! / ? t '\d* ? - 186 ·HEVUE·DEP
.»,...-' " ' fl·>a'I8U(Y·.f' ' ; ' zig ' f ? q i'q hi -« ! / ? t ' \d* ? - 186 ·HEVUE·DEP : 1THOLOGIE'NERVEUSE. -
ERAYAL. jih javA 3'it3 ? MIIa0A9 AIrIJ.JUJ2'Itd RIII`iOATfO au i' ? ' aiVIILSCOnTRIDUTIO : V ! A)LA : PATIIOLOG1ELDE
3.) Addition A ce mémoire par LE même. (Neurolog. Centralbl., 1893.) ' *' , , . .9VE £ alnibboB <f»o sJsJ2non .'0 ?
Addition A ce mémoire par LE même. (Neurolog. Centralbl., 1893.)' * ' , , . .9VE £ alnibboB <f»o sJsJ2non .'0 ? j
dans`lâ paçalysié' isolée dû goând dèutelé, le bras étant' pendant, ' l'omoplate* s'élève'en së rapprochant de la col
ion etse.contractatit simultanément7 ? t*'b 00'd,P ? K. '' ,. ·; 1; ' f<' 1 - : tt'fp 2qmj9 srci3111 as9'IUu'tsé' !
: tt'fp 2qmj9 srci3111 as9'IUu'tsé' ! 9-aa, oio'v .s ns . , , r ,. ' -, z S ? ? '.· ? 9 t' "·' nf b l'1.. IvIA ' Xl
9'IUu'tsé' ! 9-aa, oio'v .s ns . , , r ,. ' -, z S ? ? '.· ? 9 t' "· ' nf b l'1.. IvIA ' Xl : Un CAS'D'ASTASIEBASIË ?
io'v .s ns . , , r ,. ' -, z S ? ? '.· ? 9 t' "·' nf b l'1.. IvIA ' Xl : Un CAS'D'ASTASIEBASIË ? par II. LEN'Y. '(Cei
' "·' nf b l'1.. IvIA ' Xl : Un CAS'D'ASTASIEBASIË ? par II. LEN'Y. ' (Ceizt ? ,albl 0 iiaq f Nerven- i.e i , ctntanax
ique a exercé une)actioti fàvorablejq t)"J,4 Ï0'P. K. , -t , -1 H * ' ' .JIIi102fIt 9«10alls .9 uo XXXI. Deux cas DE
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892.) ? VOiTla(I.1 (.ge8t .aiurlFi -3 1 ;q ,xjaT< ! -QH ? ( "8 ! ' ..Jdltw,ll .ao'tüws ? 1' .HMA : Chez des coutur
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la main.91 i..3 I ' ? ) .'uott ? à-08 isb Je r.uoui5-ue ui'ep''K. ' · '<ts*.J ? zoom 16l.l'10(I fil : iIi'9nllsav7
II. UN cas D'ATIIOPHIF ! lViUSCULA1RE COÜEINÉEAY : 1NT U L TIOLOGIE ' toute spéciale; par E.-A. Homen. (Neurolog. Centr
' toute spéciale; par E.-A. Homen. (Neurolog. Centralbi : ; 489.)'' ' ' a ">> ! . n, ftf ? \ 11 ? `.fi'1 : 37.Sif
toute spéciale; par E.-A. Homen. (Neurolog. Centralbi : ; 489.)'' ' ' a ">> ! . n, ftf ? \ 11 ? `.fi'1 : 37.Sif'
tensio r'dè»s'l é'si'o'n"s ? qù radial sur la moelle. Plus tard, il ' sembla que la corne antérieure 'de l'autre cô.tef
ques fibres hypertro- phiées ? h ? ) il intt. A .,41(, 1P. KERAVaL. ' z t." ? irUf jio» ^eiflitioni;, k1 2LvTC9la 9JI
ronique; - LparW.'DE BECUren>;w.N(Nercrolog. Cent2·czlbl ? 489.) ' - - ii, *> ;- 'rn911 -5 i ' rr9.1^"r111 '11T
;;w.N(Nercrolog. Cent2·czlbl ? 489.) ' - - ii, *> ;- 'rn911 -5 i ' rr9.1^"r111 '11T '1·W;1 ·h 4q ni i- ' , ' Quatr
- - ii, *> ;- 'rn911 -5 i ' rr9.1^"r111 '11T '1·W;1 ·h 4q ni i- ' , ' Quatre-vintneuf,observationsrlprisespar,,Re
ii, *> ;- 'rn911 -5 i ' rr9.1^"r111 '11T '1·W;1 ·h 4q ni i- ' , ' Quatre-vintneuf,observationsrlprisespar,,Reform
démie de 1889-1891, dont neuf avec antôpsié. ? Voôgraphie : ·1 , "~ ' ... , «.oj-'i. - -t·4c . 1 l - -1" .,a 1 ,. *.
alions 'de Ma vue,'de l'ouïe' : 'stupidité ; troubles de la mémoire, ' titubation ? incoordination motrice. Parfois accè
ubilation psychique,'hallucinations multiples, idées de persécution, ' tendance au suicide,' insomnie, affaiblisse-* -
allucinations multiples, idées de persécution,' tendance au suicide, ' insomnie, affaiblisse-* -ment consécutif'des fa
rr p ·juh 9'1 ? fYllnb· ,2J`D `r`JL9111fi`h IF : 11l'sRAVAL : IIi . ' )'<* ! ? .)noa (ioi ilintivuj mrlqo3sl w-.e;rzo
es (paralysie unilatérale' du voile du palais et des cordes vocales, ' troubles de la' déglutition).' Observation 11-Par
bilité douloureuse ? intégrité de la3sensibiliLétactile-gliqj P. Kr ' * < ! v. tT.^iTisfn Ilrsa nu nzb Jio5 (8Md[m'f
rrlU9 9 8011r>lnoa><m 2111f(TSl(friP7'I .97a.CI911(79'1 i,(. ' M. Thomsen, qui,a décrit la maladie jiont il; e
lesimpressionsrsonttransmisealaux nerfs;;moleurs qui ? lf » ? jT-rM ' / >» ^l/\ri'nt»«r nul arîV'ïj, , 190, REVUE D
tiques, soit z exprès;-soit'accidéntëllémènt, â làsuitè d'un ( choc^ ' sur, le pied ou ( , d'un coup.'inattendu sûrile
sent·d'oliéir à la volonté`·étrse`4tendent pâr"ilné ? ëntràturemÿô= ' tonique. L âge n a du reste détermine, chez moi
aracteris- tique, 'on' éprouvé une* appréhension bien naturelle. "^ ' ' ™,1 . i Enfin, c'est une maladie qui fait des
acteris- tique, 'on' éprouvé une* appréhension bien naturelle. "^ ' ' ™,1 . i Enfin, c'est une maladie qui fait des'
. e deux enfants'intermedtaires, morts de bonne heure, en présent ' -)...* 1. 1 Qn .Il -'Il " llq"r Çl -)-, -4111, '
heure, en présent ' -)...* 1. 1 Qn .Il -'Il " llq"r Çl -)-, -4111, ' .* < taient prématurément les symptômes les
RiBrtn P9tit ! UJ-· tlUo ;i, r ? o 1 a4Ulfi9ec f btoJ .4 gE'RAY'j '' ' iH Intldmoê euv je) at- eslduonj «si rs·rys è-i
gE'RAY'j '' ' iH Intldmoê euv je) at- eslduonj «si rs·rys è-iln.^-- ' « ? r ? < ? ? Air;» rfn s')n\ ? 4a ? t<n/ .
. , - , Ju y`iJytn.`1 uü llyeu1·OIOg. Céntrilbl : , 4893.) ? · ? J- ' - J.. [. l . atlUAnlulJt·t U .W . 4t · f( 1 z l
ysta-mu-- hémia- nopsié`droité,ldift3ultéde'converer'. B 9tk'Ot 9 ? ' ? <'»»-♦ La' malade voitllmaislèlle éprouve
ets.1 Elleverrà* tout' de suite ! une 'personne' qui 'entre dans 'une ' ` cliambre'oû'qilelqu'un'quilui zdrèssé la paôl
montre`duldoi=t : Elle`réconnait'sur-le-cllamp'le's lettres grandes ' ou petites,' écrites ôuliinprintéés;mais'tïepèu
=t : Elle`réconnait'sur-le-cllamp'le's lettres grandes ' ou petites, ' écrites ôuliinprintéés;mais'tïepèut les'assembler
? i0 W111'2W 111 Vlt . , ,.» ? -«II.' »i -'uju . *i .la.IU.1 i(r »j. ' c'est que la malade peut rassembler. les lettre
e quelques lettres du mot; Clle désigné les objets par.leûr noml T- ' 'tft'')t-t'ttttt ? )i ? L'.tjjoj"j* ' ' ? Les e
é les objets par.leûr noml T- ' 'tft'')t-t'ttttt ? )i ? L'.tjjoj"j* ' ' ? Les elforts ne la fatiâuent pomt ? · LrT, n
les objets par.leûr noml T- ' 'tft'')t-t'ttttt ? )i ? L'.tjjoj"j* ' ' ? Les elforts ne la fatiâuent pomt ? · LrT, n,r
t il y, a là un, trouble 1-11- 'IllKM -. MIUI tin -ils - Jl'l I' - , ' ») ? .. dans les relations organiq'u'esëntreavue
la parole ou de leurs fibres d'association. ? · `9 * P. K. j , st ' »-A ;9»aoo 3lFDt3'tnJ-2UOc 91XQ1&fl noilB'-T
es vaso-moteurs ,et sécrétions, anormales, r-r,;) a- paralysie ,des ! ' nerfs crâniens y compris les syinpi8mes.oculo-p
ne myélite, une affection systématique com- billée. 3-)tfi<'ttP » ' .u4 10 i (» ? > *n's ' Il existe aussi une s
systématique com- billée. 3-)tfi<'ttP »' .u4 10 i (» ? > *n's ' Il existe aussi une syringomyélie dans laquelle
ce parce qu'un'examen approfondi du malade n'a pas été ? ? i ? < ' .').« >v Ii".>*.ii ,J ondi du ni P. K. 'pas
t;v Ii".>*.ii ,J ondi du ni P. K. 'pas rrr , > -i- '' ,f*iiii ' r <' , ti'. va,-<\. m ŸXXVIIt. SUR deux c
T' (NelrOlO9. Centralbl., 1893.) De ces deux nouvelles observations, ' rapprochées des anciennes (liendél; Hii·t ? Aue
ations,' rapprochées des anciennes (liendél; Hii·t ? Auerbach, Buhl; ' Klebs, OErte) ? Krauss), il semble démontré que
e l'ictus apoplectique, il y avait dans la plupart des observations, ' une néphrite aiguë; cette néphrite, en élevait
arois sont lésées. 1"1*- >' . il ? "i - : 41 m i ? (. , P. Ii. ' r ' , "- , tui' > ,u ... XXXIX. Syringomyéli
s sont lésées. 1"1*- >' . il ? "i - : 41 m i ? (. , P. Ii. ' r ' , "- , tui' > ,u ... XXXIX. Syringomyélie (
élie; on.la- rencontre dans le tabès et autres' affections spinales; ' elle 'est très fréquente dans l'hystérie (Charc
. son hémianesthésie complètement, en huit semaines. "TL P. I : z ' '; ? a' ".ai <n ? 9p tftBL ? W2^ 'T.3 ? n ) 1
son hémianesthésie complètement, en huit semaines. "TL P. I : z ' ' ; ? a' ".ai <n ? 9p tftBL ? W2^ 'T.3 ? n ) 1
1AROPARESTBÉSIE); par L. Laquer. Yeitr'olog""Cei'2ti ? ctlbl-. 189 3.) ' I iL 41t : : " 1 - Synthèse de dix-huit obser
un rôle pathogénique. P. K. tu". >-«> .... ! t - 1 n ? Y. · 1 ' , XLI. Une observation i de TROUBLE UyILITÉR.·1
cules cérébraux. ,j i" ? -ir- ., ? z r ? ·,. P. K. // '' ) > ? ' · iV > i" )j c XLII. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE
syphilitique DE ERB; par KOVALEV56Y. (Nem·olog. Centrcalbl.,» 4893.) ' ' ? ? ' * a ? ? ' - I I n - . 1 - Etude nosogra
philitique DE ERB; par KOVALEV56Y. (Nem·olog. Centrcalbl.,» 4893.)' ' ? ? ' * a ? ? ' - I I n - . 1 - Etude nosograph
ique DE ERB; par KOVALEV56Y. (Nem·olog. Centrcalbl.,» 4893.)' ' ? ? ' * a ? ? ' - I I n - . 1 - Etude nosographique.
ERB; par KOVALEV56Y. (Nem·olog. Centrcalbl.,» 4893.)' ' ? ? ' * a ? ? ' - I I n - . 1 - Etude nosographique. Trois obse
e^ et de la douleur, reste, intacte, ou n'est que très peu altérée, ' tandis que, dans le tabès,' ces deux sensations s
intacte, ou n'est que très peu altérée, ' tandis que, dans le tabès, ' ces deux sensations sont très fortement atteint
dans le tabès,' ces deux sensations sont très fortement atteintes. ' ',u ? C''J " /"c"' ? ' '^',J>' P. K. XLIII.
ans le tabès,' ces deux sensations sont très fortement atteintes. ' ' ,u ? C''J " /"c"' ? ' '^',J>' P. K. XLIII. GL
s deux sensations sont très fortement atteintes. ' ',u ? C''J " /"c" ' ? ' '^',J>' P. K. XLIII. GLIOME DELA REGION
ux sensations sont très fortement atteintes. ' ',u ? C''J " /"c"' ? ' '^',J>' P. K. XLIII. GLIOME DELA REGION ROHN
sensations sont très fortement atteintes. ' ',u ? C''J " /"c"' ? ' ' ^',J>' P. K. XLIII. GLIOME DELA REGION ROHNDI
ensations sont très fortement atteintes. ' ',u ? C''J " /"c"' ? ' '^ ' ,J>' P. K. XLIII. GLIOME DELA REGION ROHNDIQU
LIII. GLIOME DELA REGION ROHNDIQUEJ EXTIRPATION ET GUÉRISON ; par r ' lëDALDEItTONI et le Dr BRIG.1TTI. (Riv : sp.··di
TI. (Riv : sp.··di fren, fasc. I, 1893. "Li, mu ·i·..i t- J a,I ? ? ' " " ? . Les symptômes1 présentés^par la* malade
gliome fit cesser tout à fait chez la malade les accès épileptiques, ' la paralysie, malgré la large extirpation de' s
exagération des réflexes dans le côté opposé au siège de la tumeur. ' Un'point qui mérite d'attirer l'attention est la
t entre l'existence du néoplasme et les modifications de la papille, ' et prouve que l'intervention chirur- gicale peu
t;>,. rIT" ) 1 -'1( t, 1, ? ? J. SÉGLas. 11. ,1 ,uun 1 T * t - X ' ' ' et -- ? t, XHY. SUR l'atrophie musculaire p
>,. rIT" ) 1 -'1( t, 1, ? ? J. SÉGLas. 11. ,1 ,uun 1 T * t - X ' ' ' et -- ? t, XHY. SUR l'atrophie musculaire pré
t;,. rIT" ) 1 -'1( t, 1, ? ? J. SÉGLas. 11. ,1 ,uun 1 T * t - X ' ' ' et -- ? t, XHY. SUR l'atrophie musculaire préco
ls lent, permanent ; par le Dr GIUZZETI. (Riv. si). di f1>e7ï. , ' fasc. I. 1893.) 1, · . ' .- - VI J» ' -l . l' I
le Dr GIUZZETI. (Riv. si). di f1>e7ï. , ' fasc. I. 1893.) 1, · . ' .- - VI J» ' -l . l' I Il y a des cas d'atrop
(Riv. si). di f1>e7ï. , ' fasc. I. 1893.) 1, · . ' .- - VI J» ' -l . l' I Il y a des cas d'atrophies musculaire
grise antérieure et non directement sur les muscles 1 t REVUE DE ' PATHOLOGIE NERVEUSE. '*19 ? ' Il y a d'autres c
n directement sur les muscles 1 t REVUE DE ' PATHOLOGIE NERVEUSE. ' *19 ? ' Il y a d'autres cas d'atrophie musculair
tement sur les muscles 1 t REVUE DE ' PATHOLOGIE NERVEUSE. '*19 ? ' Il y a d'autres cas d'atrophie musculaire tardi
tion , L'ÉTUDE du chimisme gastrique chez, LES pellagreux; par le D' ' Agostini (Riv. sp. di fren. fasc., I, 1893 z '
pellagreux; par le D'' Agostini (Riv. sp. di fren. fasc., I, 1893 z ' i.iiir». tt'E.t-t, 'j ? (. .<' ' . ? L'étude
. sp. di fren. fasc., I, 1893 z ' i.iiir». tt'E.t-t, 'j ? (. .<' ' . ? L'étude du chimisme^ gastrique chez les pel
pie homonyme de l'autre côté des champs visuels. J. SEGLAS. ,= IW A^ ' ^ 8âM'E.It'r .a ? tn si lie 'if .4 ? -. i - - XL
; par ,F. CIIVOSTEIi.. (JcziarLÜch. f. Psycavicat., \, -3. ) \ .. ' ! f ? f ? tr- ' rr. ,r1(o- nri7. r,. 9n.il.Fin ?
TEIi.. (JcziarLÜch. f. Psycavicat., \, -3. ) \ .. ' ! f ? f ? tr- ' rr. ,r1(o- nri7. r,. 9n.il.Fin ? ,.» ? ., . L é
onsécutif a l'obturation du vaisseau a détruit tuti e eu ? v -m . - ' 5.. tout'd'abord la'conductibilité d ! T'nerf m
nt survenus a cidents"n*éc'r>ol)lo'ti"q.ue-s',) 0 inflammatoires, ' atrophiques'de la ÙbsLance'*c-oiitractile, par
d'une modification profonde de la nutritiôïi `1 P : KERAVAL. t : ' -'Uti-l a-iull. vl ? JlbJV MDjJltbH'H' 1(1» aJjUI
LVIII. UN CAS D'HLfORRH.1GIE DU pont de VAROLE ; par James RoptE. ` ' (TlacJoürnal ôf Méiztal Séiënëe;juiliét 4890.) '
par James RoptE. ` '(TlacJoürnal ôf Méiztal Séiënëe;juiliét 4890.) ' fj ? )' ! aI·Ill.,dllrfU71 ? nuirr ;1 W a'wwiiu
RoptE. ` '(TlacJoürnal ôf Méiztal Séiënëe;juiliét 4890.) ' fj ? ) ' ! aI·Ill.,dllrfU71 ? nuirr ;1 W a'wwiiui.'itr ) '
ét 4890.) ' fj ? )' ! aI·Ill.,dllrfU71 ? nuirr ;1 W a'wwiiui.'itr ) ' . r * Observation, accompagnée d'autopsie, et m
cope.' L'hénïôrrhagie dans le pont de Varole;avait été si abondante, ' et la'désorganisation des tissus était te)le;'q
ar' ? fiifl w0O71c.»s<iFreundV (Nenroir Centralbl ! ; 1892.) * i - ' nconsm Keq avunu 9u no inob 2sJIISVruz =00 . .
p REVUE d'aNATOMIE1 ET 'DE 'PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 197 visuel ' remarquablement, étendu,' plus que normalement,'
DE 'PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 197 visuel ' remarquablement, étendu, ' plus que normalement,' pour; le blanc, le bleu,
GIQUES. 197 visuel ' remarquablement, étendu,' plus que normalement, ' pour; le blanc, le bleu, le roupè et même le ve
ction; puis/'par suite de l'épuisement, diminution de fonction. '1" ' rILJ smvnp ? 1(, .qnw5 , 1 .f ''ftffmr'a ;>,
ites par LES accidents; par,`VOLrfBEHG. (lVeulol. Céntrilbl : , t 9 ' t l·) .«. ? y 'ë') ' ! % ? oi\'tf )M'T)" ! i a
s; par,`VOLrfBEHG. (lVeulol. Céntrilbl : , t 9 ' t l·) .«. ? y 'ë') ' ! % ? oi\'tf )M'T)" ! i a b < ./ Dans les
une augmentation de la faculté chromatique de la macula lutea. p ? ' 'h ^ - t' -> -'srif'oa ><..cp/K.. ( .
la lutea. p ? ' 'h ^ - t' -> -'srif'oa ><..cp/K.. ( . 1 1 " ' . ? TfF jt - iii.^am U1 a.3..lVJillnl 7 -i ' II
;<..cp/K.. ( . 1 1 "' . ? TfF jt - iii.^am U1 a.3..lVJillnl 7 -i ' III. Contribution L'IXTERPRÉTATlON7DE : S'APIIA
I. Contribution L'IXTERPRÉTATlON7DE : S'APIIASIES sous-corticales ; ' par BLEUL : R. (tYeu°ol : Centnal6l., 989...) 0 1
cales ; ' par BLEUL : R. (tYeu°ol : Centnal6l., 989...) 0 1 " r J ? ' ">»= ? , . t ' 'W'-i 'i'' , 4<h'.)jN' m, &
UL : R. (tYeu°ol : Centnal6l., 989...) 0 1 " r J ? '">»= ? , . t ' 'W'-i 'i'' , 4<h'.)jN' m, < ? Tl fil r jidi
-à-dire1 qui n'ont pas été' signalées dans 'la chorée chronique.' " ' «" ! »' ' '19h1,·Yi i ? tt ry· " i z 198 revue
qui n'ont pas été' signalées dans 'la chorée chronique.' " ' «" ! » ' ' '19h1,·Yi i ? tt ry· " i z 198 revue 'd'anato
ui n'ont pas été' signalées dans 'la chorée chronique.' " ' «" ! »' ' '19h1,·Yi i ? tt ry· " i z 198 revue 'd'anatomi
gie pathologiques. ce sont- : 10 "Ilypj ! àldsi6",tvèr,'dé'énéèse-n ' 1 erp e ce de la commissure dans la"p'aiLie'mo3
ssO LIMO. (Netir(IlOg. Centralbl., 1892.),h »q<f[m. l0J ? , F91 · ' ,1F'· î9 «Ji^iïtnq 0 )...,<. w vW ? t..ti-<
1 ·',1F'· î9 «Ji^iïtnq 0 )...,<. w vW ? t..ti-< ? r'<Q).f - ' < Seize espèces de mutilations chez le chien
; ? r'<Q).f -' < Seize espèces de mutilations chez le chien ? ' ? <. t. ? m n/1 t ? K ? -...... t l'JII· . C
nt quelconque de cet appareil : soit détruit, pour qu'il se produise, ' peu importe à cet égard la région du cerveau ;
s ressortissant à chacun de ces'organes*sensoriels, quel qu'il soit, ' correspondent aux'organes 'périphériques du côté
nter certaines variétés en rapport avec les localisations cérébrales; ' 8° la cocaïne, la , propriété ( d'exciter. l'éc
rébrales; ' 8° la cocaïne, la , propriété ( d'exciter. l'écorce''et ' les régions motrices,' sensôrielles,psyhidues d
aïne, la , propriété ( d'exciter. l'écorce''et ' les régions motrices, ' sensôrielles,psyhidues de`'cellè-ct;"9° ellë'ré
tème nerveux. P. KÉrsAVnL. t 9t) ilrk ? I -"M'loe8 ? mo')8oJJ ? e(o ' ' ' i VI U DES ALTÉR.1TIONSDU7·BOUT^CENTR : 1L7
me nerveux. P. KÉrsAVnL. t 9t) ilrk ? I -"M'loe8 ? mo')8oJJ ? e(o ' ' ' i VI U DES ALTÉR.1TIONSDU7·BOUT^CENTR : 1L7 D
nerveux. P. KÉrsAVnL. t 9t) ilrk ? I -"M'loe8 ? mo')8oJJ ? e(o ' ' ' i VI U DES ALTÉR.1TIONSDU7·BOUT^CENTR : 1L7 DU\
*< > j/i9.iir./i-i,i31tf. f(79Q91J PliX91(It'2 b ~< r i. i . ' Etudes 'expérimentales chez le cobaye.-Nombreus
s les postes terminaux des fi]3res'd-ut-iiel,f ^acoustique, tout au ' moins de- ses ' racines postérieures ;'2° le no
erminaux des fi]3res'd-ut-iiel,f ^acoustique, tout au ' moins de- ses ' racines postérieures ;'2° le noyau'antérieur et
aut le corps restiforme, se dirigent en bas et en avant obliquement, ' au delà du raphé ? pour- gagner l'olive supérie
s ? y" ,f "J9 ? 8* i-*«>*nv> "*«*; ^ Communication provisoire, ' les travaux de l'auteur n'étant'pas' , .. xuiuo
nt des ! racines sous-jacentes et' se. réunissant, en cet en- droit, ' au faisceau de Goll.ilU . 1 : - ojsi v ? 11 ,r -
ne; celle des racines entrant dans le segment de moelle 'déterminé ; ' survie bord' médian de la' corne postérieure, e
es par- tiesun'p'(éu plus prafondes7 ? J,<^/ ,i0J ? i ! .ï" < ' ? . ' ' La degétieresceà&'éss"6 sur'une éte
- tiesun'p'(éu plus prafondes7 ? J,<^/ ,i0J ? i ! .ï" < ' ? . ' ' La degétieresceà&'éss"6 sur'une étendue "
tiesun'p'(éu plus prafondes7 ? J,<^/ ,i0J ? i ! .ï" < ' ? . ' ' La degétieresceà&'éss"6 sur'une étendue "qu
mf; -JisJa ? 9j i^ ,, Le tabes n'est'pàs une affection systématique^ ' il résulte simple- ment'*de laildé"'éhéësceti .
par S..I10RNFELD et G. BIÜELES : (Tahrôùcle. f. Psychiat. 1 XI "3 1 ' " ? - ? ' ,. M ? « ? ? .i , . , " ) i'i-i -ai'
RNFELD et G. BIÜELES : (Tahrôùcle. f. Psychiat. 1 XI "3 1 ' " ? - ? ' ,. M ? « ? ? .i , . , " ) i'i-i -ai' ('>IJO[
nfin; ? attribuent, u.-ie odeur à des substances qui n'en ont pas : ' Quelques faits témoignent des sensations après
ffaiblissement simple et confusion de substances ustatives : ·P.'K. ' f ' : .i r > ' '8t) 'TIO"»- ' " ,J'T3rn"3|r &g
blissement simple et confusion de substances ustatives : ·P.'K. ' f ' : .i r > ' '8t) 'TIO"»- ' " ,J'T3rn"3|r >§
ple et confusion de substances ustatives : ·P.'K. ' f ' : .i r > ' '8t) 'TIO"»- ' " ,J'T3rn"3|r >§ Wïll )`'03 'lC
n de substances ustatives : ·P.'K. ' f ' : .i r > ' '8t) 'TIO"»- ' " ,J'T3rn"3|r >§ Wïll )`'03 'lCpt1 .1 ,-13 ' '
r > ' '8t) 'TIO"»- ' " ,J'T3rn"3|r >§ Wïll )`'03 'lCpt1 .1 ,-13 ' ' X. ilECHEI1CHES' SUR L'çT.\T des ? pupilles ?
> ' '8t) 'TIO"»- ' " ,J'T3rn"3|r >§ Wïll )`'03 'lCpt1 .1 ,-13 ' ' X. ilECHEI1CHES' SUR L'çT.\T des ? pupilles ? c
énéraux ; par S. KoRNFELU et G. BIKELES. (J(thrbfteh"f. Psychicit., ' XI, 3.') v \ ? "' rj'tq'ï' ' r -' ? - ,j<bfl.
oRNFELU et G. BIKELES. (J(thrbfteh"f. Psychicit., ' XI, 3.') v \ ? " ' rj'tq'ï' ' r -' ? - ,j<bfl. -'Ea.t /ai'* tt.
G. BIKELES. (J(thrbfteh"f. Psychicit., ' XI, 3.') v \ ? "' rj'tq'ï' ' r -' ? - ,j<bfl. -'Ea.t /ai'* tt.j . ·; °qft
KELES. (J(thrbfteh"f. Psychicit., ' XI, 3.') v \ ? "' rj'tq'ï' ' r - ' ? - ,j<bfl. -'Ea.t /ai'* tt.j . ·; °qft'=(fn
^'réaction ( synergique a d'une 'pupille' par excitation de l'autre, ' peut exister quand il y,a perte' de, réaction à
réaction à lalumière,celadesdeusc6tés(quelques,cas) ? h>i ? t,, ' La plupart des observations témoignent dâun,anL
per- mettent de formuler, aucune hypothèse à ce sujet. ( n^f»,,) ^V ' Trois observations, décelant un myosis bilatéra
I·'3"CaA- NIENS 11U1'EURS E1'"rSENSITIFa ? pa'r > ? I3aEGll.\\\. ' n (Jcilai·büch. I : f. f. P 7 ' / YT ' 1 ? . ,
ENSITIFa ? pa'r > ? I3aEGll.\\\. ' n (Jcilai·büch. I : f. f. P 7 ' / YT ' 1 ? . , "«>» '' r`·,Ld< 1 .1 l, 1>
a ? pa'r > ? I3aEGll.\\\. ' n (Jcilai·büch. I : f. f. P 7 ' / YT ' 1 ? . , "«>» '' r`·,Ld< 1 .1 l, 1> 4...|
érescence; au bout du cinquième jour, la racine du 'facial -arraché, ' ^'complètement dégénéré. «La dégnérescence sur-
al -arraché,' ^'complètement dégénéré. «La dégnérescence sur- vient, ' quel que soit l'endroit où l'on a pratiqué la sec
mais, dans, cei dernier cas'. la dégénérescence est plus rapide. La ' ` nléthode de : Marchil est f excellente pour p
ychiat., XI, 1. 2 '')'t'('<tt{'' .J'itb' «mi h aleC''h.Wta'I 91. ' *H]1 ? z Embryon humain^de, 42 Là, 44 centimètre
., XXIV, 2.) - .<' .9 3 il 1 .rtna' r i. raal rr <l<<5l ' ? .·. 1., . ,. Quatorze observations., Lésions
lules survient quand il y a eu rétrac- tion de l'organe en question; ' ) eql ^9YR 17917o9 91) cliiov r', Genèse : Il'fe
iov r', Genèse : Il'fest probable ! que1 la'cause'nociverdu' tabès, ' quelle qu'elle soit agit surtout'sur les. cordo
lesquels-, on trouva : multiplication énorme, des noyaux du.) tissu* ' conjonctif interstitiel, stase . sanguine extrê
ines^ hémiplégique" àdr61te*'avec atrophie et contrâcture'·du"31râs; ' morté'â cinqûanté-deàât'àns. On (trouve une pol
et la substance blanche delà pariétale jusqu'au lobule1 pàracentral, ' la partie avoisinante'du''iobutepari état'supér
lutions ascendantes^ est l'auteur dès dé-éné- rescences secondaires ' 'minutieusement décrites. = 2° Les'pvramidesse
au ? 7° Lë'noyau sensitif du trijumeâuêst'ari'ôngâaé'qui correspond ' "surtout ! air noyau interne de Burdach : =-'8°
ux de l'autre côté : "=11° Les'ascendantes'ne 'doivent pas être dési- ' gnées sous'le'nom dé zoîièëililsiveirîént motri
ént motrice ^certainement 'ces organes doivent, sinon exclusivement, ' du moins pour' une'grande part, présidera des f
existe des malades'qui, en même' temps que des troubles diges- tifs, ' éprouvent dès accidents nerveux. Les uns'constitu
dès accidents nerveux. Les uns'constituent de vraies gastropathies, ' ·1es'autres ne sont que des névroses fonctionnelle
ondriaque, de légères anomalies de l'humeur."3Doùze" observations ? ' La' dyspepsie,' continue l'auteur, provoque la
gères anomalies de l'humeur."3Doùze" observations ? ' La' dyspepsie, ' continue l'auteur, provoque la névrose gastriqu
uand' les extrémités nerveuses de l'estomac ont été làn,,te 1. «t' * ' t qu'elles -ont agi sur les origines bulbaires
orielles). Le moi, en présence de l'anxiété et des hallu- cinations, ' construit un délire qui s'appelle'hypochondriaque
u- cinations,' construit un délire qui s'appelle'hypochondriaque. ' fï 1J'lfLt . · ' '.tt'st t ? \d·o i * P. K. "'
construit un délire qui s'appelle'hypochondriaque. ' fï 1J'lfLt . · ' '.tt'st t ? \d·o i * P. K. "' ' P ? 1 ? m ? 'ti
e'hypochondriaque. ' fï 1J'lfLt . · ' '.tt'st t ? \d·o i * P. K. " ' ' P ? 1 ? m ? 'tii'i 8.91 <jf"i ' ^" j.'iin i
hypochondriaque. ' fï 1J'lfLt . · ' '.tt'st t ? \d·o i * P. K. "' ' P ? 1 ? m ? 'tii'i 8.91 <jf"i ' ^" j.'iin i !
' '.tt'st t ? \d·o i * P. K. "' ' P ? 1 ? m ? 'tii'i 8.91 <jf"i ' ^" j.'iin i ! ' XVI. Contribution A la casuisti
d·o i * P. K. "' ' P ? 1 ? m ? 'tii'i 8.91 <jf"i ' ^" j.'iin i ! ' XVI. Contribution A la casuistique des affectio
par 111,.11tTIY ]3nj £ scH..(Neiii,ol.,Centralbl.,1892.) Homme de ( ' ~ * *-... ,iv i r ni syplrilitique. Homme de qu
ôelle lombaire ? considérable dans la moelle' dorsale et'cervicale), ' lésiôns alternes dans les cordons pos- térieurs
l droit ? , i <)0 .- q ..8«ionuB 1 ''numtar.amqmP- K-, i 1 ! . ' -. -...ni tb rleml-I,corlvoovd einten "b - : HniJ
du syndrome anatomo- chimique d'Addison oiit'ces'séd'ête très rares, ' et' l'on peut encore observer assez longtemps'
ésion sur- rénale, ou la lésion surrénale dans bronzage' cutané. '' ' R. 11. C : .' .1 1 4Jys. J ·'·iin '»>» v - !
n surrénale dans bronzage' cutané. '' ' R. 11. C : .' .1 1 4Jys. J · ' ·iin '»>» v - ! II ? <*>< l.i'l. ' m 1
énale dans bronzage' cutané. '' ' R. 11. C : .' .1 1 4Jys. J ·'·iin ' »>» v - ! II ? <*>< l.i'l. ' m 1 H i)
C : .' .1 1 4Jys. J ·'·iin '»>» v - ! II ? <*>< l.i'l. ' m 1 H i) '1 ') ' si '·f hd`9j iff r\<>lC
Jys. J ·'·iin '»>» v - ! II ? <*>< l.i'l. ' m 1 H i) '1 ' ) ' si '·f hd`9j iff r\<>lC *' t wl no ? dll
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' m 1 H i) '1 ') ' si '·f hd`9j iff r\<>lC *' t wl no ? dllOl ' s IVIII. UN CS DE,TUMEUR,INTRA-CR ? NIENNE : ,
défaut. >jL g9jlm ? ii ? '.^. S ! «sIuiKi y;;tJ^..· R; 11 . ", ? ' i y7.,slIJ'In 1 9 ? 911.'ti,i^.tlv ;i(2 : 1'IxiQ
IX. UN cas DE tumeur ENDOTIIÉLIALE DE la dure-mère ; par F : Lisii- ' i MAN. (The Journahof- Mental Science,1 avril'- 1
i MAN. (The Journahof- Mental Science,1 avril'- 1893.) *" n i.t- r ' ; x · Ÿ,.t·h ? v - i yfl ? '.1F grwr(1F nCf' «, sî
elles figure l'élément endo- thélial.,no, nt. 9*rtp"c y ? 4.y ? f'p ' ,, ljs*T' R. \i. C. inJrr<j^ It,J,bI um ? m
tp"c y ? 4.y ? f'p ' ,, ljs*T' R. \i. C. inJrr<j^ It,J,bI um ? m ' ! . , n'7 'i j. 11 XX.,DEUX cas de paciiyméning
t,;3,C. BpisTowE. 'T/te/OMnta< of Mental Science, octobre 1893.) ' L'auteur examine ces deux cas au point de vue du
ue du mécanisme de production de la pachyméningite hémorrhagique. ' Dans le premier cas, on trouvait une seille poche
le avec l'hypothèse d'une inflammation ancienne. Dans'le'second cas, ' il ' existait deux poches membraneuses, la gauc
ec l'hypothèse d'une inflammation ancienne. Dans'le'second cas,' il ' existait deux poches membraneuses, la gauche co
sérum limpide ? Et pourquoi n'y avait-il plus tracé de sang ? ? ,il ' '' ' ' , it, Au point de' vue clinique, il s'ag
limpide ? Et pourquoi n'y avait-il plus tracé de sang ? ? ,il ' '' ' ' , it, Au point de' vue clinique, il s'agissai
impide ? Et pourquoi n'y avait-il plus tracé de sang ? ? ,il ' '' ' ' , it, Au point de' vue clinique, il s'agissait
ficile- ment compte des lésions observées dans le deuxième cas. " ' R. DE MUSGRAVE-CLAY. NOUVELLE communication rel
concert avec,celle-ci, joindre l'écorce des ascendants. ? 3,1 tft- ' ))[ crl. i. ipfc< in n ' i. ,HD- . - «i.. Voi
ndre l'écorce des ascendants. ? 3,1 tft- '))[ crl. i. ipfc< in n ' i. ,HD- . - «i.. Voici maintenant les, rapports
l , 11 de l'irradiation optique : -'3) -111 1 1 3n n. .r ;1 t^ ? I * ' ' 1"" v mujn. : . , .. - i , > Ic'v -10 .i i
, 11 de l'irradiation optique : -'3) -111 1 1 3n n. .r ;1 t^ ? I *' ' 1"" v mujn. : . , .. - i , > Ic'v -10 .i i"
' 1"" v mujn. : . , .. - i , > Ic'v -10 .i i" i "-f. 14 .... -b ' " Dans la région postérieure de la. capsule int
HÉTÉROTOPIE DE la SUBSTANCE GRISE dans LES HÉMI- SPHÈRES cérébraux ; ' par M. MATELL. (Arch. f. Psychiat., XXV, 1.) Ch
rriais sanslacunes.Or,au beau milieu du centre ovale deVieus- sens, ' .existe une substance grise semblable à l'écorce,
t, par -suite, anormalement devenues de la substance grise. P. K. ' . <' .. ? ' . , 11, ..il* ' ' ' < . 111
, anormalement devenues de la substance grise. P. K. ' . <' .. ? ' . , 11, ..il* ' ' ' < . 11111. LES CONSÉQU
enues de la substance grise. P. K. ' . <' .. ? ' . , 11, ..il* ' ' ' < . 11111. LES CONSÉQUENCES mécaniques d
ues de la substance grise. P. K. ' . <' .. ? ' . , 11, ..il* ' ' ' < . 11111. LES CONSÉQUENCES mécaniques d'u
s de la substance grise. P. K. ' . <' .. ? ' . , 11, ..il* ' ' ' < . 11111. LES CONSÉQUENCES mécaniques d'une
NIA la connaissance DE la DÉGÉNÉRESCENCE) ASCEN- D.1NTE · DES nerfs; ' crâniens moteurs CHEZ, l'homme ; par.C. MAYER (
r.C. MAYER (Jahi-büch. f. Psychiat., XII, i, 2.) ? ,a. .1,, 1 ? 1au ' 'lr ,ir.elV'9 o i. ` 9nrr ,·, ', Deux observati
hiat., XII, i, 2.) ? ,a. .1,, 1 ? 1au ' 'lr ,ir.elV'9 o i. ` 9nrr ,·, ' , Deux observations : Observation I. Carie du ro
ression lente. IEQ nt., ur.Ti,M *j,P. K. > , t · l(T(b R91tül -, ' ) ? t If 5l, .. ,.t'r ? W · XXV. Des formes aty
; 4°' localisation de l'affection à la'moelle* lombaire d'un ? côté ' (observation) ; 5° pseudotabes gliomateux Friéd
Zacher, Oppenheim,'EisenIohr;'action 'de la'syphilis" : Eiseulohr, ' Nonne, Jejorow. Les coudes blancs sont lésés de s
Oppenheim. P. K." ·- (fii 96 99npqrYtrio Jpo li-ifl 96 ils 91g-·riT ' ' ' -1 - * UXXVf : 'UN CAS DE' LÉSION SECONDAIR
penheim. P. K." ·- (fii 96 99npqrYtrio Jpo li-ifl 96 ils 91g-·riT ' ' ' -1 - * UXXVf : 'UN CAS DE' LÉSION SECONDAIRE
nheim. P. K." ·- (fii 96 99npqrYtrio Jpo li-ifl 96 ils 91g-·riT ' ' ' -1 - * UXXVf : 'UN CAS DE' LÉSION SECONDAIRE DE
NN.' . ([rc/<. f. ? >cPschéat ? XXV; ? )9'q °s 'lutxbiuQ tb u : ' - ' ° " =< ? thf ! f)'« gLral JlllUVf9 nllfl
. ([rc/<. f. ? >cPschéat ? XXV; ? )9'q °s 'lutxbiuQ tb u : ' - ' ° " =< ? thf ! f)'« gLral JlllUVf9 nllfl eb
Pschéat ? XXV; ? )9'q °s 'lutxbiuQ tb u : ' - ' ° " =< ? thf ! f) ' « gLral JlllUVf9 nllfl eb ? suc' ! i>» ", o. '
" =< ? thf ! f)'« gLral JlllUVf9 nllfl eb ? suc' ! i>» ", o. ' ! .. Observation' : On' trouve' chez -un 'enfan
it un peu contrac- turé;et sasensibilité était intacte ? 1'o Hfy(9" ' r c-Les 1 dé--é-néreséenèes,l secondaires' trè*
la naissance, de vastes portions du', cerveau. Ces dégénérescences ' ,atteignent toute la capsule interne'moins le~,t
ux de la couche optique et' de la région sous-thalamique en rela- ' tion' avec-ces fibres-là;' des fibres qui paraiss
t' de la région sous-thalamique en rela- ' tion' avec-ces fibres-là; ' des fibres qui paraissent relier le foyer corti
erne 'du, côté du foyer (à ? Uf".tnu ? jnmuf ? M ? o 1 "'<.( ! ! 1 ' '. -'hftT.'r ? fr)' , '* 9t.Ti ? ir .[hc ? -' -
r (à ? Uf".tnu ? jnmuf ? M ? o 1 "'<.( ! ! 1 ' '. -'hftT.'r ? fr) ' , '* 9t.Ti ? ir .[hc ? -' - .. Parties restées
? Uf".tnu ? jnmuf ? M ? o 1 "'<.( ! ! 1 ' '. -'hftT.'r ? fr)' , ' * 9t.Ti ? ir .[hc ? -' - .. Parties restées norm
? o 1 "'<.( ! ! 1 ' '. -'hftT.'r ? fr)' , '* 9t.Ti ? ir .[hc ? - ' - .. Parties restées normales. Ce sont : le tub
émi- sphères cérébraux commande au pédoncule cérébelleux moyen du ' côté opposé et à l'hémisphère cerébeileux corresp
a démontré, et' que' cela àu été"cohfir'rrié*dèpuis,'qùe'flaIc6uche ' optique, après destruction d'une' moitié 'du cerv
une décou- verte de Monakow.b tn^.bsm r'sz.rt asl . KER-JLVAL. 1 ' ( `, ' 41 ? i#ffi tf't·..l b t,Ff , 1 .nrn ? yjflT
écou- verte de Monakow.b tn^.bsm r'sz.rt asl . KER-JLVAL. 1 '( `, ' 41 ? i#ffi tf't·..l b t,Ff , 1 .nrn ? yjflT F i..
logiques. n.Jr .fa,.a l,r 1.U4 y luJlJt· Ivll,h f : 7ll u7l 111SJ`1 ' ? 1 .. - (incontinence)'' ni' les'érections.'Qu
la- région originaire 'des quatre premières paires sacrées.-^ <" ' « P. K... .J7L9t79qf2 91X.UtJI r É. hnit; sznqo`
ennent à la' lésion des cordons latéraux : ,L'auiopsie explique ces ' particularités ? Elle montre en effetides foyers
Pathogénie obscure. (Courte durée : , quatre mois uu, an.i P.Ii. 1 ' ' sa 'N-ioû ..)j 21AlT XXIX. De la manière d'êt
athogénie obscure. (Courte durée : , quatre mois uu, an.i P.Ii. 1 ' ' sa 'N-ioû ..)j 21AlT XXIX. De la manière d'être
on la rencontre parfois aussi dans le ascendantes droites ; 801 en»- ' quelques cas,- il y a correspondance entre l'âg
de repère sur des cerveaux normaux; on > voit t qu'entre .les .. ' mO -u ? n^>iKi3 y ,IAtLIAlB 3a .9t)pii), «usa,
ut les fibres externes3 qui. sont. atteintes. slsssx3 z ! ? u P. K. ' ' 7P'l'JiITI >1 ? dcjt)et 9,ti(12f ? 3SII79C
les fibres externes3 qui. sont. atteintes. slsssx3 z ! ? u P. K. ' ' 7P'l'JiITI >1 ? dcjt)et 9,ti(12f ? 3SII79CI
-d'esprit; par PPNoedkk ? (Archiv f. Psychiat. ? -X.XV; %.) ? ,'iv ' ' * »-r '< '^J,^eJzr ânfih : IlO CJ ? 9gfltl
d'esprit; par PPNoedkk ? (Archiv f. Psychiat. ? -X.XV; %.) ? ,'iv ' ' * »-r '< '^J,^eJzr ânfih : IlO CJ ? 9gfltl ?
PPNoedkk ? (Archiv f. Psychiat. ? -X.XV; %.) ? ,'iv ' ' * »-r '< ' ^J,^eJzr ânfih : IlO CJ ? 9gfltl ? iff9lf 3ût h·IC
< '^J,^eJzr ânfih : IlO CJ ? 9gfltl ? iff9lf 3ût h·ICR f 8n9V \ - ' 3( »' z Travail plus complet que celui qui a ét
'^J,^eJzr ânfih : IlO CJ ? 9gfltl ? iff9lf 3ût h·ICR f 8n9V \ -' 3( » ' z Travail plus complet que celui qui a été publ
e i palper ? 2°j Plus j fréquent chez la femme, aussi bien' aliénée» ' que' saine» d'esprit ? 3° Dans les ? deux.- sexes
at°T1·T; ,'r1t : -j Archives de Neurologie. Revues analytiques. A. ' .. =.Voyez, Traité, des NtsMtef ? de.,<'eKce
'encéphale ? Traduction Keraval. Paris 1885. " ? " ? ...1 ? fr.r.Il ' « ? » . av...e..4a /u ? j ? » z REVUE d'anatomie
it être faite de telle sorte qu'on puisse ultérieurement procéder ! ' à la t'rechercheu microscopique. ' < Malheur
puisse ultérieurement procéder ! ' à la t'rechercheu microscopique. ' < Malheureusement' chaque méthode : a'.ses a
'abord les hémisphères n'ouvrant qu'après Iasente'cérébeHeuse ? 1 9= ' B iup li;IqD "ul ts/qmo u17 usvruT En bien des
' B iup li;IqD "ul ts/qmo u17 usvruT En bien des cas'il est-indiqué ' : 71' d'enlevé ? l'encéphale ! à la manière ord
e't.crâne,1 puis, d'exa- miner la base, la convexité, les vaisseaux, ' de se : rendre compte de la' facilité du'décoll
aisses;etransvei,so-perpendieulaires,qdepuisille- régions frontales, ' mais eh partant de la base pourigagner-la con-
lans' passant par.' la partie postérieure du genou* du corps caleux ' par,la partie antérieure du 1 chiasnia e - parr
P. K. xxxii une observation demphtseme généralise ? de LA" peau; ' ? - par A" HELLNER. (Àrchivf.' Psychiât.^XXT' 2.)
l'air dans les tissus du cou, mais sans dyspnée ni hyperthermie, ce ' qui indique que des parois thora- ciquer etie'm
ctuez au=surplus avec une extrême rapidité et la guérison's'opère ? ' t tnoi tau te F-p. KERA ? AL.F < 1 ,. 'U 1 p
. - (Nouveau Mo ? ztîiellie ? -Wécliéall'n'0'50-,b16 décembre 1893.) ' ' ? incp.-rtn.i.sr. p·) r : ? c')ttat,Jf ! 9m9
- (Nouveau Mo ? ztîiellie ? -Wécliéall'n'0'50-,b16 décembre 1893.)' ' ? incp.-rtn.i.sr. p·) r : ? c')ttat,Jf ! 9m9 )
décembre 1893.)' ' ? incp.-rtn.i.sr. p·) r : ? c')ttat,Jf ! 9m9 ) r ' 4r t Injectant dans une artère cérébrale de 'l'
revue d'anatomie ET DE physiologie pathologiques..217 i (, V ? w.le ' i - l'if , . ' XXXV. PERTE dissociée DE la sens
e ET DE physiologie pathologiques..217 i (, V ? w.le ' i - l'if , . ' XXXV. PERTE dissociée DE la sensibilité muscula
i ! fi-en,; fasc. , 1893). 9B.rw, fii iioha, ]|(,(Wr)W||i| ? 5.K ? , ' ' ' s ? 24f =,Ki. M. le,. r ? (m ? i 1 XXXVI.
fi-en,; fasc. , 1893). 9B.rw, fii iioha, ]|(,(Wr)W||i| ? 5.K ? ,' ' ' s ? 24f =,Ki. M. le,. r ? (m ? i 1 XXXVI. SUR
-en,; fasc. , 1893). 9B.rw, fii iioha, ]|(,(Wr)W||i| ? 5.K ? ,' ' ' s ? 24f =,Ki. M. le,. r ? (m ? i 1 XXXVI. SUR l
vec les fibres du fais- ceau radiculaire n'a pu être déterminé. T. { ' ·".I ? J : SÉCr.as : j " : >T1tH>n ibik 1
.I ? J : SÉCr.as : j " : >T1tH>n ibik 101.1 ZHX> .ir.JIiO " ' ' W.r'Igf) ,c, .. XXXVII. Recherches expériment
? J : SÉCr.as : j " : >T1tH>n ibik 101.1 ZHX> .ir.JIiO "' ' W.r'Igf) ,c, .. XXXVII. Recherches expérimental
erveux détermine une augmentation de lence de la matière infectante, ' car la rate et'le sang des animaux morts au bou
arpe, cliienmouveau-né) : Conclusions.t3E aI, /. ->r *> .'<» ' /> REVUE D'ANATOMIEiET'DE'PIITSIOLOGIE PATHO
ure et^très pro- bablement "aussi, "'dans/laf tête'de'cette corhe ? ' 2° Des ! fibres provenant du noyau=sensitif·'dû
zone motrice- par' excellence; £ mais> elles-' président] sinon ! ' exclusivement, au'moins'pour unelgrande part, à
, au'moins'pour unelgrande part, à des''fonctions^ sensitives. -j ? ' éiôb Irro 9TtuIDTqa aJ ! )L 1 L 2 p. Keraval ? 1
sensitives. -j ? ' éiôb Irro 9TtuIDTqa aJ ! )L 1 L 2 p. Keraval ? 1 -^ ' s ? la-»' '3( iar-b Miioou'i 3uiiv 91 ,t &t
-j ? ' éiôb Irro 9TtuIDTqa aJ ! )L 1 L 2 p. Keraval ? 1 -^' s ? la-» ' '3( iar-b Miioou'i 3uiiv 91 ,t &t3S"t xoBam).
à l'étude histologique com-. plète, eniprântés'àlà'biblio'-r'à'phte* ' Quinze témoignent, ! en outre, , de cette hétér
pié,'de,lésins ? del àe Il. 1 s sè -1 P rtissent, comme suit : " "" ' . '- ' ' "" , q.. 220 REVUE D'ANATOMIE ET DE PH
,lésins ? del àe Il. 1 s sè -1 P rtissent, comme suit : " "" ' . '- ' ' "" , q.. 220 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
ésins ? del àe Il. 1 s sè -1 P rtissent, comme suit : " "" ' . '- ' ' "" , q.. 220 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
le ruban de Reil, ont aussi, pour centre cortical, les ascendants.' ' La' pius grande partie des fibres de l'entrecro
ement pour les cordons antérieurs'jet latéraux' (faisceau pyramidal ' de Flechsi- mais aussi pour les cordons postéri
eau pyramidal ' de Flechsi- mais aussi pour les cordons postérieurs, ' puisque' les fibres de ceux-ci vont dans la par
ban de Reif, et de la, a l'écorce' des circonvolutions ascendantes. ' Par conséquent, les circonvolutions ascendantes s
dantes sont un centre cortical du trijumeau. Il existe, une voie de ' locus coeruleus, formée' aussi des fibres au no
't m.si ) REVUE D ANAT0MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 221 I ' .. '»rw'r ! i[r., ? r tmar. p : rrmrrhrl3lr : m.
si ) REVUE D ANAT0MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 221 I ' .. ' »rw'r ! i[r., ? r tmar. p : rrmrrhrl3lr : m. ( ? t
des fibres nerveuses croissent du centre à la périphérie, ce qui-' ' médullaire.'1'" uy.P;'If.' - ", '' ' ' ,tl..rlr
re à la périphérie, ce qui-' ' médullaire.'1'" uy.P;'If.' - ", '' ' ' ,tl..rlrr"ïQ`6o.i,TFblli ! 1 ? .1· - 3C11fJJC'
à la périphérie, ce qui-' ' médullaire.'1'" uy.P;'If.' - ", '' ' ' ,tl..rlrr"ïQ`6o.i,TFblli ! 1 ? .1· - 3C11fJJC' j.
'Lés cellules s'unissent entré elles par en'haut-à 'a' 1'2ald-erpde, ' leurs 'prolongements ou plutôt de leurs enchevê
es neurones. , , z , ", P. K ? - u ? ui,i3Qz.h cnotJi<to"nooTi ! ' 9at ottupasuoo n,bCl - -"» z ' ' fov enta jjaii
- u ? ui,i3Qz.h cnotJi<to"nooTi ! ' 9at ottupasuoo n,bCl - -"» z ' ' fov enta jjaiie n ccF9 rmy,t '<h sa ? t3<
u ? ui,i3Qz.h cnotJi<to"nooTi ! ' 9at ottupasuoo n,bCl - -"» z ' ' fov enta jjaiie n ccF9 rmy,t '<h sa ? t3<
.' par BROEUTiGAM.,(/a/i ? '61« ? f"PsjG)c4ât ? XI, 1, 2.) r\ ? , J ' ' W ·o' r i u·W rr - -1 ,·',>' r1 .u , a ? )'t
par BROEUTiGAM.,(/a/i ? '61« ? f"PsjG)c4ât ? XI, 1, 2.) r\ ? , J ' ' W ·o' r i u·W rr - -1 ,·',>' r1 .u , a ? )'t !
61« ? f"PsjG)c4ât ? XI, 1, 2.) r\ ? , J ' ' W ·o' r i u·W rr - -1 ,· ' ,>' r1 .u , a ? )'t ! ;fJ Etude du cône termi
lles4dé lâ°côrnë àutérieuréisont lau contrairé'très développées.° . ' mV2 alla Lp yt19U1) 89UBJ ub 9Yt00tT SAIJG,, bl 4
rge trousseau va du"'iéticà1umi d'un 'côté à celui du côté opposé ; ' ='r 2° un* trousseau plus fin contourné le bord
e.' Lé large trousseau (pôstérô-moyen' dé'Séliàfièi') pénètre* dans ' les' plus f 222, 'REVUE D'ANATOMIE1 ET DE PHYSI
e la région' de la -zone i marginale rdeo Lissauer."1 Leiitrousseau^ ' postéro'-dorsal de r Schaffer-(ne 2) va'en part
? >v ! i '9'La') commissure'antérieure ? après entre-croisement, ' se dissocie graduellementinrrles'c8tésdu°èordon
I'61) îëoJJL t^.9'1 ? j" lII9VIItIE ? fltj si J>9 .7t' i. <> ' 1' - 1LV ? DE'rL'EJIPLOI `DE' LA'COLORATION'AUS
VAL ? r, ? ffrt.)t9fifforjTqoiQ >,6q 3nsJà`u iiieb 2·.· ? w Kd r i ' XLVI.j LÉSION DES ARTICULATIONS ETUDES MUSCLES
cou'Snt'ràita cinquanteneuf malades, ,. ji. , A , , .* ? n p i,r il ' ri'Tt.rvr irrot > - * .»- * dont neuf hémipl
es ananmes- tiques. Cela ne veut du reste point dire que l'atrophie, ' musculaire , des hémiplégiques soit d'origine a
, chez eux, le plus tôt, le; plus rapidement, 1 le plus, nettement ; ' il y a parallélisme et concomitance. fa\, u`, M
ro- pliie tardive deshemiplégiqués (d'origine spinale, contractions) ' / ' Est-elle due aux modifications physiologique
pliie tardive deshemiplégiqués (d'origine spinale, contractions)'/ ' Est-elle due aux modifications physiologiques cré
™ ? ™ p. KERAVAL. if'' i ...... j'Ut'' .'i ton, .....i m.- i «., , ' ? r ' `O'r It°1 '* .tf)n ? i " " i>" ,'jj ? 1
p. KERAVAL. if'' i ...... j'Ut'' .'i ton, .....i m.- i «., ,' ? r ' `O'r It°1 '* .tf)n ? i " " i>" ,'jj ? 1 ' ? ',
if'' i ...... j'Ut'' .'i ton, .....i m.- i «., ,' ? r ' `O'r It°1 ' * .tf)n ? i " " i>" ,'jj ? 1 ' ? ', XLVII. Su
....i m.- i «., ,' ? r ' `O'r It°1 '* .tf)n ? i " " i>" ,'jj ? 1 ' ? ', XLVII. Sur les courbes DE la moelle epinie
i m.- i «., ,' ? r ' `O'r It°1 '* .tf)n ? i " " i>" ,'jj ? 1 ' ? ' , XLVII. Sur les courbes DE la moelle epiniere c
v s ? di, frcli. vfâsc. 11-1111893.) ? ,in'' 11.. '- i ? V , n ·L7f ' "1 Jt1' · "i..Hf 1^ 4' ·1 11 ? "' L'homme n'écha
) ? ,in'' 11.. '- i ? V , n ·L7f '"1 Jt1' · "i..Hf 1^ 4' ·1 11 ? " ' L'homme n'échappe'pas àNla r8gle"qui'ést "peût-êt
qui'ést "peût-êti'e`'géiiérâle 1 pour les mammifères (chiens;'chats) ' et'.pour quelques espèces `d'oi- seaux ; et che
ment normales pour la' formé, la position et 'l'amplitude. J. S. ' x ' ' .1 ail ij>n » lî*t.uj^...i'. mil ^ti.ii
ent normales pour la' formé, la position et 'l'amplitude. J. S. ' x ' ' .1 ail ij>n » lî*t.uj^...i'. mil ^ti.ii -m ?
t normales pour la' formé, la position et 'l'amplitude. J. S. ' x ' ' .1 ail ij>n » lî*t.uj^...i'. mil ^ti.ii -m ? *
p. di fren ? fasclI-III, : 1893.) ? t bLI ..<....<" * ... 224 ' REVUE'DE THÉRAPEUTIQUE. i ? r , t .1 ? ? ...
LA PROTUBERANCE avec remarques SUR LE trajet' DES faisceaux de' la ' "sensibilité cutanée; par MocLÉ et'1VIARINESCOS.
ARINESCOS. (Archiv f.' Psychiat ? XXIV, 3.) ? r ? "i ? ut » .. , r'.S ' ? ? ,'b'I . +rrf . ,, , . . 0bs'erva ion avec a
ème nerveux central ; par R. WAL- KERI. (Archiv f. T/C/M'a XXV, 2.) ' ... Etat des survivants de l'épidémie de Franke
Westphal, aux facultés intellectuelles, aux attaques épileptiformes, ' à l'état ,d'épuisementphysique;·et mental, à la
cas, ces phénomènes n'ont point de caractère' progressifs ? < ? " ' '" ? ' Voici maintenant 'trois nouvelles' obser
s, ces phénomènes n'ont point de caractère' progressifs ? < ? "' ' " ? ' Voici maintenant 'trois nouvelles' observa
s phénomènes n'ont point de caractère' progressifs ? < ? "' '" ? ' Voici maintenant 'trois nouvelles' observations
s' observations d'ergotisme 'avec épilepsie et , psyhopathie. (Obs. ' XXX, XXYi ? XXXII.) L'observation XXXII offre l
ois sédatif et hypnotique, et le 1 Voy. Archives de Neurologie. v'' ' '*< Archives, t. XXVII. 15 226 6 'RR ŸUEJ
s sédatif et hypnotique, et le 1 Voy. Archives de Neurologie. v'' ' ' *< Archives, t. XXVII. 15 226 6 'RR ŸUEJ DA
'épuisement nerveux. J. S., c96ob : 9l 79offj1b 'Io `t9fl ? y ? ? 1 ' " ? r III. DE l'action hypnotique ET thérapeutiq
pl'n's* 1"ti**n-'s*o'mmeil'de»4uelque's heures administrée^ le soir, ' elle déterminé 'au bout d'une heure, n,un somme
sémbfe`plüsë.tifdè.nslés`fôrmes°dépréssivès. Le som- ni ''1" « ? "" ' " - ' l ? p'eài profond, sans malaise au, révei
`plüsë.tifdè.nslés`fôrmes°dépréssivès. Le som- ni ''1" « ? "" ' " - ' l ? p'eài profond, sans malaise au, réveil. Amo
tal Science, juillet'et octobre 1833.) zJuah pib .. . ."T stàJro " ' ( Pinlifii-'inn su i ? v v -ln~ -, t .t r L'aute
uelques années, il passe en revue dans 'un''historique ^intéressant, ' les méthodes anciennes, ou pré- \A, .lOljM.»^V.
s' simple 'dé l'injection s6us-cutanée ? 6n né manquera4 pas 'de ? ^ ' ^' ! ^^ a^cellé-ci 'la ''préférence ! '-Dans'. uni
simple 'dé l'injection s6us-cutanée ? 6n né manquera4 pas 'de ? ^'^ ' ! ^^ a^cellé-ci 'la ''préférence ! '-Dans'. uni
a de la'rhaladie ? la* durée "dé1 'ce traitement été' très variable, ' dans , .,r. lés cas' publiés,' allant' de que
'ce traitement été' très variable,' dans , .,r. lés cas' publiés, ' allant' de quelques semaines à plusieurs mois ; m
is ; mais dans' tous, 'on a observe les mêmes résulta, favorables ? ' u ny ? ^»- ' 'i tr- ... -.1 . ,-»( ,11301 ^ »...
ans' tous, 'on a observe les mêmes résulta, favorables ? ' u ny ? ^»- ' 'i tr- ... -.1 . ,-»( ,11301 ^ »... u i tn j[ ? r
r- ... -.1 . ,-»( ,11301 ^ »... u i tn j[ ? r-t .. ri, n- 4 t <,, * ' a eu aucune uniformité dans le dosage, ce qui t
e uniformité dans le dosage, ce qui tient à ce que 1 on est''encore ' à1 la période de' tâtonnement j'irrestëT'pour'la^
ions toniques] collapsus ? dyspnée' grave, affaiblissement du ccéur) ' *ètvdans "quatre- cas,1 ils ont1 déterminé la mo
service deBicetre;el)en'arecuaucun bienfait'dë l'ôpérâtioii : (I3 ) ' J'. ' ? 228 REVUE, DE THÉRAPEUTIQUE. - - ailo
e deBicetre;el)en'arecuaucun bienfait'dë l'ôpérâtioii : (I3 ) ' J'. ' ? 228 REVUE, DE THÉRAPEUTIQUE. - - ailo e.,n2
omacale : ils'sont évidemment justiciables d'une' antisepsie rigou- ' .r ? 1',UI.I»MNI ? I, -1 . I ? ,« .f- , ! J.. J-
ILI53-` 91 . . - <A , et,de sa-esse. ? nlnr- 1. , ? ? ,^ . ., .. ' . ' . , ? L'auteur étudie ensuite l'action de ce^
3-` 91 . . - <A , et,de sa-esse. ? nlnr- 1. , ? ? ,^ . ., .. ' . ' . , ? L'auteur étudie ensuite l'action de ce^même
mateuse»ÏLes cas de folie propre- ment "dite] au^cours'dù^myxoedèmé" ' sont ^relativement' peu'nom- Jon.an.w im du myx
j»y 9t.- lud9LjrlUlr : IYtldü 11l'l : 1 36t11,fIU1 JUbil.iltt, t -. ' ÇIanlF.i*,fll lot i «r-»>jn«vl~. -i "if.-i'r
e deux autres qui sont parvenus à sa connaissance, puis sept autres, ' tous favorables iltrtermine j paë une° nouvelle c
'un des plus beaux triomphes de la thérapentique contemporaine )'. * ' z / . .1 ia..r -r ·..mu Q ? -' C' Ixtb7,·ru TlU
la thérapentique contemporaine )'. *' z / . .1 ia..r -r ·..mu Q ? - ' C' Ixtb7,·ru TlUts ? T i ? lt R. 7f DE'AIUSGRAVE-
d'une'série,d'observations qui ne portent que sur. cinq malades;'on ' ne, 1 peu, tàffiràier;leni effet, que il'administ
rolongé, du sulfonai ; et alors même que le médicament présenterait, ' à' la longue" quelques inconvé- nients, il est
encouragement à l'emploi du sulfonal dans lescasdesitiophobie ? i ? ' : ' ? ? ' R ? M.rC ? ? a les cas de sitiopliobi
uragement à l'emploi du sulfonal dans lescasdesitiophobie ? i ? ' : ' ? ? ' R ? M.rC ? ? a les cas de sitiopliobie.9
ent à l'emploi du sulfonal dans lescasdesitiophobie ? i ? ' : ' ? ? ' R ? M.rC ? ? a les cas de sitiopliobie.9 9 , "t
' ? ? ' R ? M.rC ? ? a les cas de sitiopliobie.9 9 , "tj ..31 slip ) ' );fi ; ? ,3rnimui'>-< '.(v,i ' < .- z t
sitiopliobie.9 9 , "tj ..31 slip )');fi ; ? ,3rnimui'>-< '.(v,i ' < .- z t a · ç,j, ift'nft 9') f. 'Mn ? T) r
par obstruction intestinale; par. R. f S. STEWART.('r/te.JOMt'H6[0/ ' Mental Science, juillet1891.) , <,< » ? ?
al Science, juillet1891.) , <,< » ? ? f >h. = ? -s ? qi. : ' ' '" ' '° r , i t-- - .», ? ., ? ? , . \ C'est
Science, juillet1891.) , <,< » ? ? f >h. = ? -s ? qi. : ' ' '" ' '° r , i t-- - .», ? ., ? ? , . \ C'est un
cience, juillet1891.) , <,< » ? ? f >h. = ? -s ? qi. : ' ' ' " ' '° r , i t-- - .», ? ., ? ? , . \ C'est un n
nce, juillet1891.) , <,< » ? ? f >h. = ? -s ? qi. : ' ' '" ' '° r , i t-- - .», ? ., ? ? , . \ C'est un nouv
ers non digèraMes.1" accumulés dans le tube digestif des aliénés. 1 ' R.-M. C. . ,r.. y T · n ns· v , jy i· 't ? '1 ?
. (Bull.,de là Société, de illéd : mentale de Belgique, déc. 1893.) ' " fil, * ? ) I ? ». : ' *' ! «khii'-i, I 1riH.
illéd : mentale de Belgique, déc. 1893.) ' " fil, * ? ) I ? ». : ' *' ! «khii'-i, I 1riH. , ry. y ? 1 Dans le cour
léd : mentale de Belgique, déc. 1893.) ' " fil, * ? ) I ? ». : ' * ' ! «khii'-i, I 1riH. , ry. y ? 1 Dans le cours d
, .91-Li"ljBtn /s* ab agprdq '100q a/30 9b usq SOCIÉTÉS SAVANTES * ' ^ t' ...srl ? 4 ? ra sJJ. nID4 illiij,UIJF ii
V 4 ! 1.1 la"j - il lue EfI01S501bC1t a3ClY 887(b Ps3r'f s brusosH " ' hh ? a, 41 '0 jl61 9b 3 £ n v ? il 5 ffTf ? r'
hh ? a, 41 '0 jl61 9b 3 £ n v ? il 5 ffTf ? r' r ! a h ...t j%9 ! · ' 1 3 SOCIÉTÉ 5lEDICO-YSYCHOLOGIQUE. j n, si îi
nviet iBrJr..1 , , ? - l4FaY ? 7f .'J.6 81)p)ui n) N ...n.·. 1..vru ' i ? t ' < °'rlI9dES191Ü.1'LPRçSIDE : ICEaDE
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ste de`Baillànger, a ete agrée ? '0 te 1 ` ul. , 1 . n Irv ? A- *IL ? ' ? tt' 1'\.,t. par, le directeur de 1 Assistance
? >r·9r-î * , '.HJ<.e-<uuct«<J ? ium<.'t ! jjj h n') ' ,ttu9H.tJBn t'" f"'n-)t < ' ,11 JLFalbet anno
-<uuct«<J ? ium<.'t ! jjj h n')',ttu9H.tJBn t'" f"'n-)t < ' ,11 JLFalbet annonce que^l'architecte^va^être,
Sa èJrbà^ri *b llG-L Réflexes chez les partygMes'net'etua ? ? 141 : ' SOLLIERI donne lec- ture d'unehote qui'peut ain
c- ture d'unehote qui'peut ainsi se résumer : iij"V"°=-io t;bf'o9as ' > ? 1° I : esfréflezes sônt`altérés;`chez les
lexes, idonM'umpeut êtret aboli 1 tandis 5 queg l'autre sera exalté, ' chez le même' malade ! î9 inabaaozù awupajoq ,Q
paralysie générale. Il n'y a pas de règles fiaes à cet égârl ? n` " ' ? r..aurr à t'a a 0 , M. CHRISTIAN. Si j'en cro
a Société ! je puis lui apporter quelques observations' prolongées. ' M : dôFFnoY a olisêrvélâpêrtë`êû lâ dinüiiûtiôâ d
scheVeslbien sûr de-son dire en ce'qui concerne la (première malade, ' quiî était» une eufant* natu- relte. Pour ce qu
M. Ballet regrette le ti tre de la communication qui lui enlève 232 ' bibliographie. une partie de'son intérêt.' Ce-'
* fragilité ne' serait-elle pas une tare héréditaire ? r'. t·lr L : ' F 'ItIr loi- rt·'v v. M. Ballet ? Lnemorrhagie
squ'elle s'est pro- dûité. C'èstilné süü le maladie des vaisseaux ? ' ' t , · , .... o oo. ? u ? tii.1 -v>i ..ijw;
u'elle s'est pro- dûité. C'èstilné süü le maladie des vaisseaux ? ' ' t , · , .... o oo. ? u ? tii.1 -v>i ..ijw; '
e des vaisseaux ? ' ' t , · , .... o oo. ? u ? tii.1 -v>i ..ijw; ' ·bm tf^i 119 o'ttr'nf - ? \ ' : ,, v, M. JoFFRO
.... o oo. ? u ? tii.1 -v>i ..ijw; ' ·bm tf^i 119 o'ttr'nf - ? \ ' : ,, v, M. JoFFROY craint que, M. Ballet ne tra
érébrales peut bien être considérée comme une tare neuropathique. ' M/.BALLET n8 pense pas qu'on doive s'appuyer suri
rait en avoir le protocole sous les yeux, pôûr pôuvotr'lè di'sûteë. ' " .iJ'" ",0'1,I m '"«'Marcel Briand/ b Pour ..po
otocole sous les yeux, pôûr pôuvotr'lè di'sûteë. '" .iJ'" ",0'1,I m ' "«'Marcel Briand/ b Pour ..pouvoir le t'™' : 1 *
sûteë. '" .iJ'" ",0'1,I m '"«'Marcel Briand/ b Pour ..pouvoir le t'™ ' : 1 *tfi 'b `tS9 *' 9 'glz 9119t -. i . A - ,1 '-
1,I m '"«'Marcel Briand/ b Pour ..pouvoir le t'™' : 1 *tfi 'b `tS9 * ' 9 'glz 9119t -. i . A - ,1 '- < « ufj ,ajnt,
z 9119t -. i . A - ,1 '- < « ufj ,ajnt,iuuKi mu Binmu-i ,o,i91jy ' )jrt98q an > p»' v i mlE3tOx9 ,29tipf,thrlq a
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,t.. ''/fi t1$'1 : °9 $1 : 28fi 0U : u9$31f,t 'aRt'r : v· v1. ° i ' ^l't'MjîBÏBmOGRÀPHIE ? 1 i- , « *"- -' ? 3,'t,fiR
u9$31f,t 'aRt'r : v· v1. ° i '^l't'MjîBÏBmOGRÀPHIE ? 1 i- , « *"- - ' ? 3,'t,fiR 8tILl lIUÎ3l ? yey . yvAuw HHK<tB :
.m,,yJly yAIU ? iJ70 ? 29Ja10t p î4JYU 81 ! 9 ,·r ! . " .lHATI ,, ' jiodo 2317.'4U7Q$91 jflot) 9 ! 1'2u100.'1lF n'on
r ? IILabfanuelod'examena métlrdique,,des'maladies nerveuses, par ' M.^A'.f'A ? KoHNiLov^jmédecinen chef de l'hôpital
le - texte (en' russe). Moscou, 1893, Imprimerie de l'Université. , ' M. Kornilov s'occupe dans son Manuel des moyens
l'étude de l'aphasie : ;1 : 'laude sur' la parole humaine .; etc.' . ' " bibliographie. 23S Io-ie leur spécialité exc
l'étude clinique des affections nerveuses.i,^.vz,lt 10 ? 'd Lpjtt : ' f r'ui ? Le livre abonde eti)Jconseils , pratiq
ic électrique et des différents appareils eu usage ? ? à , En somme, ' ce qui différencie ce Manuel''de plusieurs autres
fruit la. lecture de llamlels'dè'diâ%nôslicdés maladies nerveuses : ' . ' ? ? ' '.i«»"'WO*»"Oi- J {,b.BJMB 8'Ttû J ? RO
t la. lecture de llamlels'dè'diâ%nôslicdés maladies nerveuses : ' . ' ? ? ' '.i«»"'WO*»"Oi- J {,b.BJMB 8'Ttû J ? ROUBIN
. lecture de llamlels'dè'diâ%nôslicdés maladies nerveuses : ' . ' ? ? ' '.i«»"'WO*»"Oi- J {,b.BJMB 8'Ttû J ? ROUBINOVITCH
' ? ? ' '.i«»"'WO*»"Oi- J {,b.BJMB 8'Ttû J ? ROUBINOVITCH. if- . y. ' v r·' .i v z ' ' il = 9%ll ? a iF .9'74D ? n61
' '.i«»"'WO*»"Oi- J {,b.BJMB 8'Ttû J ? ROUBINOVITCH. if- . y. ' v r· ' .i v z ' ' il = 9%ll ? a iF .9'74D ? n61 IV. De
WO*»"Oi- J {,b.BJMB 8'Ttû J ? ROUBINOVITCH. if- . y. ' v r·' .i v z ' ' il = 9%ll ? a iF .9'74D ? n61 IV. De la paral
*»"Oi- J {,b.BJMB 8'Ttû J ? ROUBINOVITCH. if- . y. ' v r·' .i v z ' ' il = 9%ll ? a iF .9'74D ? n61 IV. De la paralys
IV. De la paralysie générale chez : les Ara6és;.paryleIDsPASCaLIS. ' "' (Thèse de liontpellier ? 1893-9'r; n°7.) 5aah
. De la paralysie générale chez : les Ara6és;.paryleIDsPASCaLIS. ' " ' (Thèse de liontpellier ? 1893-9'r; n°7.) 5aah sau
ar le DilYlariusÇxôs. (Thèse'de Mont- pellier, 1893-94, n° 4.) "" " ' "" " ' "" , L'observation qui est'le. point de
ilYlariusÇxôs. (Thèse'de Mont- pellier, 1893-94, n° 4.) "" " ' "" " ' "" , L'observation qui est'le. point de départ
eut produire des,névrites périphé- riques localisées où disséminées, ' et des névralgies, principalement des névràlgie
, , WI · é9td6'lilfi.,U,r Jal9l81c c `6SWIt rb G1 , .i'jjUÙK. In 9) ' ! 1'pi ''Ce travailtest consacré à,, l'étude -
» " sum KM*b 29St't95x9 29S ? S11 SSOS90SSJI Tfir -F : Lt'0 t9 ? ' iJginirnbA'I b 'A"SILî'ES(C ! D',Ar''lFNÉS^"ltl4^
-TKAUQI11J AJ t, 3Ji ! OOtl9 jatT.M30 ! a.'iH< ! l10 ,72ti '' » ` ' IL; Des;progrès- réalisés ;DANS'.LE ? TRAITE31ENT
: F.=Saint-JobnBULLEN.(1'Iie.lournalojdienialScience,octobre9893.) ' , i- ..f*>.T9 -iw ? ^ ,-i ? ,,TI , ' -" ? ï-^ "
dienialScience,octobre9893.) ', i- ..f*>.T9 -iw ? ^ ,-i ? ,,TI , ' -" ? ï-^ "^. 7, nf-'^t ? "f , nrm ? <> C""t
rmontables; en tout cas, elles ne le sont ni toujours ni partout, 1 ' n t1 ·'WIQI 11 ! 111.y. ., , ? . 1. 1 . , 'e ",..
lives de ce enre ont'été faites'et'si l'on parve- r ? . >' r - t ' -t"t(T)«fn n ,9.r f ? si ' * . , . , naît à les
aites'et'si l'on parve- r ? . >' r - t '-t"t(T)«fn n ,9.r f ? si ' * . , . , naît à les surmonter, les avantages s
ertain nombre'd'années à 1 asile, Clinique, à Bicêtre ? 1" 1 1 Jijzo - ' t 1 i. Wn 4, Jeu4· et, a la Salpêtrière. Acetég
u'ont prononcé,ses prédécesseurs,; le ^T.1.LLB ? T -T ? Ty« 236 6 ' asiles d'aliénés. ''9 ! £ >J ? `. Y.l : f ;V
me, de l'Association., jtnl., R.-M. C. , 't .,o au -itilua 91 9 ! ) ' [ ? Hl)f ! "<0') 10 p °>» - , X. La l'OHE
X. La l'OHE EN GRÊCE.1. L'HÔPITAL D'ATHÈNES ; par F. B. Sauborne. ' i,.»./»-». (The jozcrzzal of dTental Sciezzce, ju
i,.»./»-». (The jozcrzzal of dTental Sciezzce, juillet 1893.) i La ' ,Grèce a deux asiles d'aliénés, celui de Gorfou. l
838, et celui d'Athènes, de fondatiou relativement" récente, et qui, ' cré6"par'Ia'famiJIeDromokaïtes, porte ajuste ti
de Drolnokaiteion. En l'absence d'une statistique dé quelque valeur, ' il résulte des recherches de l'auteur que la fo
elativement peu commune en Grèce : cela s'ex- plique d'ailleurs par ' l'absence dans ce pays des deux principaux x fa
savoir, a son habileté et à son dévouement ! 1" ? I R.-1f. C. " * " ' <m«»' 1 -»' u -» G aI1 uT t· y ? siri )' ...
a son habileté et à son dévouement ! 1" ? I R.-1f. C. " * "' <m«» ' 1 -»' u -» G aI1 uT t· y ? siri )' ...il .i-ilO
habileté et à son dévouement ! 1" ? I R.-1f. C. " * "' <m«»' 1 -» ' u -» G aI1 uT t· y ? siri )' ...il .i-ilO >i
! 1" ? I R.-1f. C. " * "' <m«»' 1 -»' u -» G aI1 uT t· y ? siri ) ' ...il .i-ilO >i <l n"9 1.4 ... XI. SUR
hur FiNEGAS. (Tite joitrnal of Mental-Sciei2ce, avril 1893.) · .. ' L'auteur pense que l'on pourrait 'tirer parti dan
antes dé quar- tieriquelq'uès' iio'tins'de' l'art] de la couturière, ' et en organisant, dans chaque quâtier;luii atel
Quelques OBSERVATIONS'SUR la'1 nouvelle- FERME DE l'asile d'Omagh ; ' par1 George7' Francis1 West.11' (Theb journal of
Hwt "iO - - - . vlwl.à 311DOCj tifit);IBR : .ll,l1$3 mRV t ? t ? fU ' , . Dans cette-1 courte note, l'auteur expose e
ages qui- résultent pour l'asile d'Omagh de la création d'une ferme ' asiles d'aliénés. 237 .331JA\j. e3.n< ' ri
a création d'une ferme ' asiles d'aliénés. 237 .331JA\j. e3.n< ' ri les principaux de ces avantages sont les sui
qui saccroîtracertainement lés années suivantes. ? ion àa : i<c, ' ,. , , R.-lI. C. ' ,...., t11' 1U19.^ .E3fl9l|-
inement lés années suivantes. ? ion àa : i<c, ' ,. , , R.-lI. C. ' ,...., t11' 1U19.^ .E3fl9l|-J b< 29112.r X;1
égère mesure I" d ,t6 peut augmenter le nombre relatif des malades ; ' 4°'il n'y à aucune' raison'de croire que la pop
maisrsoumis, enjrien aü, contrôle royal et ne. recevant pas d'aide^ ' du. gouveneme"nt. cces 1 asilesl,av .qient,i été,
i'ê,"t-ent'at-Lvë ? 1'nf-r-uct'ueuiue &fùt faite ,fn 1 . - */ . ' ? ? %0 < ..Htt ? en 1848 pour le faire accep
la deuxième classe; ils sont placés dans l'asile..... (sllij "b) v ' ' » Le troisième groupe est formé par des malad
a deuxième classe; ils sont placés dans l'asile..... (sllij "b) v ' ' » Le troisième groupe est formé par des malades
intérêt l', -. , ? , i . i-ic ii -jiii-izal of iiisaiiity, A O(Ig " ' .. - ... -.... , w Il n - F11TS DI'ERS 12A 239
. ? Bf'oTb 291t2b 2tt9fj aiiisliab ansb sab&lcfo ""ôl «.ijb'8.- ' )j',ff3 nluZUU noiaeimmoa enu lommon w Juani9fn&am
N° 86 '1 ? t ..ia' ? E : 1 : · » V ARCHIYESDEiELR : OLOGIE 41, ' SI V : . "JJ.JJIH9«.l'«i 1 .. 1 le m W .. pn /{
.. ..p4 "i yYilJnu3.1 'nn ëW ici , .. j..9 ? c'f''t : t< ! Yjl ' ,yp 191Ai' h ·ytg b ') PATHOLOGIE, NERVEUSE ?
'nn ëW ici , .. j..9 ? c'f''t : t< ! Yjl ' ,yp 191Ai' h ·ytg b ' ) PATHOLOGIE, NERVEUSE ? . ,f t .i .1 F ? : ,
. ,f t .i .1 F ? : , . n)n hIW , . n r - .n· v · " <>'9J ? . ' ' ? ' DE LA JtT : THODI ? A\AT01f0-CLINIQ,UI :
,f t .i .1 F ? : , . n)n hIW , . n r - .n· v · " <>'9J ? . ' ' ? ' DE LA JtT : THODI ? A\AT01f0-CLINIQ,UI : DA
t .i .1 F ? : , . n)n hIW , . n r - .n· v · " <>'9J ? . ' ' ? ' DE LA JtT : THODI ? A\AT01f0-CLINIQ,UI : DAl\S
f.SAi'PLIt;A- TIONS A L'ÉTUDE DES LOCALISATIONS; ...- . . - - f - ' Par .T.-1t. CHARCOT et A. PITRES '. " 4 , <
rera ensuite de l'état des parois ventriculaires et des ganglions ' Bull. Soc. Anal., 876, p. 1753 et 777. De parei
essairement donner lieu à des paralysies motrices ; mais par contre, ' les lésions destructives des autres appareils i
ordres de faits doivent toujours )se< contrôler, réciproquement, ' les. uns comportant la preuve de l'exactitude d
certain nombre de causes d'erreurs à peu près inévitables. ? >. ' ! «. <'j*' \~" . La plus dangereuse provient
e de causes d'erreurs à peu près inévitables. ? >. ' ! «. <'j* ' \~" . La plus dangereuse provient de'1'interven
e droite. Est-ce à dire que la localisation de Broca'soit erronée ? ' Pas du tout. Cela prouve tout simplement que de
'iterprétatio'W exacte des rapports des lésions aux symptômes.1' ,r ' ^ ` ', " ' - Exemple' : La cécité 'verbale è`st'
prétatio'W exacte des rapports des lésions aux symptômes.1' ,r '^ ` ' , " ' - Exemple' : La cécité 'verbale è`st' ôrdi
tio'W exacte des rapports des lésions aux symptômes.1' ,r '^ ` ', " ' - Exemple' : La cécité 'verbale è`st' ôrdinaire
l'étude des localisations cérébrales. En les suivant rigoureusement, ' on doit arriver à une détermination tdpographiq
contradiction avec les doctrines déri- vées de l'expérimentation'. ' "' ' ' ? `- - `, ' « Les études pathologiques b
ntradiction avec les doctrines déri- vées de l'expérimentation'. ' " ' ' ' ? `- - `, ' « Les études pathologiques bien
radiction avec les doctrines déri- vées de l'expérimentation'. ' "' ' ' ? `- - `, ' « Les études pathologiques bien '
diction avec les doctrines déri- vées de l'expérimentation'. ' "' ' ' ? `- - `, ' « Les études pathologiques bien 'di
les doctrines déri- vées de l'expérimentation'. ' "' ' ' ? `- - `, ' « Les études pathologiques bien 'dirigées, disi
ni Broca pour fixer le siège des lésions qui déterminent l'aphasie. ' ' ? ' '' y b. ( 1 : 1. - .. " Les cliniciens n'
Broca pour fixer le siège des lésions qui déterminent l'aphasie. ' ' ? ' '' y b. ( 1 : 1. - .. " Les cliniciens n'on
ca pour fixer le siège des lésions qui déterminent l'aphasie. ' ' ? ' '' y b. ( 1 : 1. - .. " Les cliniciens n'ont; d
r, avec méthode, nous serons ample- ment rémunérés de, nos peines ? ' .. , , ., z .. ? z. fl J ...... , r ,1(,yt'iY
s ? ' .. , , ., z .. ? z. fl J ...... , r ,1(,yt'iY ...''...... ! ' ? si ? ..Gi..n +E.rr.w1 . , . 1 - -" 1 '' . o P
PATHOLOGIQUE-; z ,fi ! j ? QUE FAUT-IL.PENSERDE'LA TÉLÉPATHIE ? '' ' ' 41, .`f ! fu ? 1·1W ititt It ? .Jm w 4·.f·^f.
ATHOLOGIQUE-; z ,fi ! j ? QUE FAUT-IL.PENSERDE'LA TÉLÉPATHIE ? '' ' ' 41, .`f ! fu ? 1·1W ititt It ? .Jm w 4·.f·^f.m1
. ., l'Ir le D' J. CHRIS'I*IAN,.Jj , , , , '' <h' ? 3 ? t.jt m ' ' .Médecin île la liaison nationale de Ch,Jrcnt
., l'Ir le D' J. CHRIS'I*IAN,.Jj , , , , '' <h' ? 3 ? t.jt m ' ' .Médecin île la liaison nationale de Ch,Jrcnton
le la liaison nationale de Ch,Jrcnton. t , 'i" sti «v 'li j inaup * ' . LL`,J,71·Sn lN·1 ** - " ' . r ' v Je me sui
h,Jrcnton. t , 'i" sti «v 'li j inaup * ' . LL`,J,71·Sn lN·1 ** - " ' . r ' v Je me suis souvent posé cette questio
n. t , 'i" sti «v 'li j inaup * ' . LL`,J,71·Sn lN·1 ** - " ' . r ' v Je me suis souvent posé cette question' depui
uel de nos étndes;'ladisctission seïait'aiséé ? 1 ? n.t,n ? ! '' "" ' , "' ? "lia. Télépathie a la prétention' d'appo
e nos étndes;'ladisctission seïait'aiséé ? 1 ? n.t,n ? ! '' "" ' , " ' ? "lia. Télépathie a la prétention' d'apporter
e vais essayer JAuov «-1 bf.0* if er34- Il ltj m .' .»&' ? 4' . ' '. '-Des /MMMCtM< : <<oMs <e7<.'
sseur Chartes Ricliot, Paris, lBJI. m., r, 1 · v ? af ? 1"v...s ? ' Toutes les phrases entre,. guillemets sont tirées
,. guillemets sont tirées, textuellement de la préface ilé' M.' 1 ç ' pro lu s s e t ; r t 11 i c h ii t .' ? j,......
t extérieur propre à exciter cette sensation soit a portée des sens ' ». C'est la définition donnée par Esquirol, à l
il le même, dans les deux cas. Cependant, il faut . , I- toi 11 . H ' " , imi . i 1 , ". ' Esquirol. Maladies mentale
ux cas. Cependant, il faut . , I- toi 11 . H ' " , imi . i 1 , ". ' Esquirol. Maladies mentales, I, p. 80. ' 11 i *"
1 . H ' " , imi . i 1 , ". ' Esquirol. Maladies mentales, I, p. 80. ' 11 i *" , ' ,l , nl , z 2 J'ai étudié toutes' l
imi . i 1 , ". ' Esquirol. Maladies mentales, I, p. 80. ' 11 i *" , ' ,l , nl , z 2 J'ai étudié toutes' les questions
i *" , ' ,l , nl , z 2 J'ai étudié toutes' les questions' relatives ' aux Hallucinations dans l'article Hallucination
t l'on s'est demandé quel est le'sens le plus fré- quemment atteint; ' on a invoqué la statistique. Ce sont des recher
itions sont très variables. "j1^1 <*" .itn -».x 'it>> > ' » a) .' Folie ? L'hallucination de la vue'në s'
aliénation mentale.' Fréquente et habituelle dans les-folies aiguës, ' elle est'rare ou même manque complè- tement dan
a chambre,-il voit, très distinctement, passer à travers le plafond, ' la main, puis le bras de son persécuteur attitr
nq ayant des hallucinations visuelles-bien nettes. - * 1 . -. '- * * ' * j' à Où au contraire l'hallucination do la vu
ie religieuse, m'ont paru 'présenter 'ce symptôme' un'haut degré. ' 'v , ? 7 t "< .1 "* -"<> < Un alién
n crucifix enflammé se dessiner sur le mur de sa chambre. ili n ? . ' , 1 ll,,», Un jeune officier atteint de ce déli
n quatrième, étage, et vint s'abattre mourant sur le sol'. ? ? . ,. ' 1 La présence habituelle des hallucinations de
r ! q'e d'or. 1 que dei diamants ! ,71 agb -tahB(f ,'it .' 6. J " - ' qu^d'or^que de-diamaijtsj^l gsb -tahi-q .Si/rk
,'it .' 6. J " - ' qu^d'or^que de-diamaijtsj^l gsb -tahi-q .Si/rk , ' « ? ; " - - · Un des cas les plus curieux que j'
-rropr^fr-'>- tqfi- "to.-)".1* 29 ? Tir' b ,tfMr..3' . '. douter ' que 'le délire religieux c,-tractérise 1'uiie,tie
Il y aurait peut-être, là un motif de : l'en séparer complètement ? ' ' ' QUE FAUT-IL PENSER DE LA TÉLÉPATHIE ? 9 257
y aurait peut-être, là un motif de : l'en séparer complètement ? ' ' ' QUE FAUT-IL PENSER DE LA TÉLÉPATHIE ? 9 257
aurait peut-être, là un motif de : l'en séparer complètement ? ' ' ' QUE FAUT-IL PENSER DE LA TÉLÉPATHIE ? 9 257 p
frémir, parler des frayeurs qu'ils avaient endu- rées. 1 ... il .. ' 4' * Dans l'empoisonnement par le, haschisch, l
il .. ' 4' * Dans l'empoisonnement par le, haschisch, la belladone, ' les hallucinations de la vue dominent également
erses, il n'existe pas une seule cause prochaine, toujours la même. ' .1 w Onn'apas manqué d'invoquer la congestion;
l est'si com- mode d'accuser chaque fois qu'on est dans l'embarras. ' " " Sans rien -exagérer, on peut dire cependant
he- minée était remplie de pétitsipers'onna-es, hommes et femmes, ' vêtus c de "costumes ^éclatants ? se livrant aux
c de "costumes ^éclatants ? se livrant aux ! culbutes les : , plus ' réjouissantes ! : v il riait 'aux éclats en' 161g
^lep^iqûes^6 peut-être^ même * certaines 'fiallucina'tionsitoxi4ues, ' alcooliques.' Mais; ce qui enlève à cette expli
tant' à' noter.n<,ltl àJà' Jno 8alig , s·xialor -tq -. ? . ? . 1 ' Au surplûs, ce qur démontre bien que, ni la conge
et d'avance condamnée" à oir a slyner : .i^'i. ^w - .t. vi. y ttu * ' ? Ann. mcd. psycholo,g ? 1892;i7° série ; t.iXVI,
ennent, malencontreusementptraverserLUnelecture,; une «" méditation, ' une conversation,,un discours, ".inriir.r'ic. Vr-
e fatigue,. suffisaient. pour ^provoquer. eqe,, 9n,r j 9f, ? < ' On ne saurait r, attribuer aux hallucinations des
idees^qui^paraissaient j . complètement, oubliés.. Il s'y , produit ' les' associations'' les ,'plus ^bizarres. : que
y trouvera la cônfirmationLde, çeque je'viens dé dire.,^. 7*rr-" . ' .1 rrylaat0^ "f 41 j., x1 jfnd'lIw97 fi3J'nnt : f
ement , les'pages qu'il lui êonsacréee. '1 Sll4lt&L1t09 ? Ui- ' 2 Article Songe du Diction, encyclop. " Article
énéral. L'hallucinationtjouant'daris la folié-un' rôle^si important; ' que fu'ét' halluciné peu« N7éntr sounven ti pa'
que fu'ét' halluciné peu« N7éntr sounven ti pa'sser pour synonymes, ' ils affirmèrent â'que tout individu halluciné ?
ne reculàient'pas'd'ailleurs;'qüé3certainsipersonnages ? quü ont ' été des hallucinés* célèbres,' et qui ont jouet d
;'qüé3certainsipersonnages ? quü ont ' été des hallucinés* célèbres, ' et qui ont jouet dans.'l'histoire.un rôle prépo
u moins ? pour employer l'eùphéinisinede'Calmeil;'a ils faisaient ' preuve 'd'uiiicommencement'dedéraison2L p ? Citon
dedéraison2L p ? Citons rparmi euxSoerate, ilah omet "Jeanne, d,Arc; ' , I;utli er, Loyola ? sainte Thérèse, 'Pascal,1
érèse, 'Pascal,1 et une=foule'd'àutres : bq sI nafi : >ur,-tn uv ' Il·ést''facile``de·penserquélles9protestàtionsdût
evait lluiT'livref l'empire- du* ! monde', `et'1'liallucination' du ' C'est peut-être le-'cas du paralytique général do
s haut, qui assiste toutes les nuits aux 'débordements de sa femme. ' 2 Loc. cil., I, p. 6. ' ' ' QUE FAUT-IL' PENS
es les nuits aux 'débordements de sa femme. ' 2 Loc. cil., I, p. 6. ' ' ' QUE FAUT-IL' PENSER DE LA TÉLÉPATHIE ? 261.
les nuits aux 'débordements de sa femme. ' 2 Loc. cil., I, p. 6. ' ' ' QUE FAUT-IL' PENSER DE LA TÉLÉPATHIE ? 261.
es nuits aux 'débordements de sa femme. ' 2 Loc. cil., I, p. 6. ' ' ' QUE FAUT-IL' PENSER DE LA TÉLÉPATHIE ? 261. ,
odMj r=·, p3W rc P91 a,slr;ot s'ziszs z 8 q .1 .14-) zut 262' r., ' ' "^ ? psychologie 'pathologique : 7' ? t' * C'
Mj r=·, p3W rc P91 a,slr;ot s'ziszs z 8 q .1 .14-) zut 262' r., ' ' "^ ? psychologie 'pathologique : 7' ? t' * C'es
'ont été que des, phénomènes hallucinatoires. q qmôjnb«l 4 4·+ at ? ' ;f<-j > D'un-autre côté, puisqu'il suffit
s-, « sancé,dans le cerveau'decertains hallucinés,,2, » Pj in. "t ' J'en;dirai,autant deslsonges,et deleur signi6cati
, etc. Ce ne sont jamais que .des phénomènes pathologiqqqs8pU ? ouy ' lexes, -dont l'hallucination forme le fond- .8
. mofrl Irb A'rrE,1 ? 3mgT sl z9lsda ab hem 1;1 .*r i ? n ., "i./ ' JtBt30 ihp ,9rlTSIV ab eÏIÎ °srt31S'1 .3 Jt.t ? t
^impossible à connaître, par, le, secours 'dé nos « t sens -normaux, ' ».« De plus,, ces' hallucinations se produisent
« t sens -normaux,' ».« De plus,, ces' hallucinations se produisent ' (.t)pTIf,Mt)i)<to ri9jr¥ ->9<nu*0 UAA f
al de Delasiauve, t. IV. 2 Loc. cit., I, p. 6. lr/ f ? U1/I a ? - . ' .. J ' Préface du professeur Richet, p. vu. - .
asiauve, t. IV. 2 Loc. cit., I, p. 6. lr/ f ? U1/I a ? - . ' .. J ' Préface du professeur Richet, p. vu. - ."t " ' -
U1/I a ? - . ' .. J ' Préface du professeur Richet, p. vu. - ."t " ' - *<* ' · QUE FAUT-IL PENSER DE LA 1TELEPATH
. ' .. J ' Préface du professeur Richet, p. vu. - ."t " ' - *<* ' · QUE FAUT-IL PENSER DE LA 1TELEPATHIE z 263
'église de'Milan;*fut averti'de la1 : mort de saint Martin de Tours ' aü inôlnènt même ou celui-ci;venait de s'étèiàd
Martin de Tours ' aü inôlnènt même ou celui-ci;venait de s'étèiàdré" ' ° IITOR en 3J .01 ? 9m ôbncoeé : 1 9b .atnmt· C
pparaitre· de- vant elle. -10'1 ? -rc01 ? *"»* Jt9J't9ë9°1(1 .noms' ' Je pourrais mûltipliercés faits à l'infini : 'l
'jn '.at(flm 9Jiûl 919 B (l017,k'IdullUlllifJ IJ . o ,c *'a ? * £ «* ' ? «'; ? ""«-a* ai ? t3 ab J'.vi;t34 '1)) EU' -
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ls nous-pas- » or2crs ^rt z'uL ,nrltpq§I§3 sbilltl uh amâm sI saï ' Il v,a, ..dans, la .«télépathie, un, point de.dép
nes, survenant auvmêmen moment^ dans l'Inde, ^hallucination de]A... ' * la. mort de Bu enÀ.ngIetereOnencMicIut,peut-tr
u'il en.soit ainsi. Il s'agit alors d'expliquer, ! t ? lll-llij, toi « ' *J jlUl'UW d/tt ? t --0-- - ri' dune façon e plu
'Je 'ne. vois, ,pour,ma.part, que --deux' explications à-, donner. ' e ? ^flooni tnos suon b-891 ! aa .51 i&\y O
entiments d'un.' individu .peuvent, être-. ^.^111. V * 11 t>V . " ' 1.11' bii t kl HJX} 1JACI f 'c-' ti ? 'I. L J t
, unn Jutrei'Indvdu.sans,que l'on,ait4 *«*W>*lii i I t«JI|l.lll, ' ? Mi ? li«>i»«J tlJJ ? ,ti «y,« -I- v. J.^i -1
rli v A ? S1 e<K't, ion" li dUM 't ? ui ? 1.. -i*. j «< o . n ' -> Ou au, contraire, il. faut ? admettre,. g
t ! donné, i 1 ame d.un. individu, et principalement ,d uni'mourant, ' peut se' séparer du( corps .et^aller se,mpntrer
l ? conqueplùs, ôu monu éloijné.; zzu9llls'h islrros-t» -f-to , A ' ,81a1'on, siénltientYâ2la première-explication, *
épathique existe ou n'existe,pas.`Ç'est en se manifes-t - 'I«>^c; ' l-cii> «i,u j'ix.w*. t «>«>i* ? i. J r ;
t - 'I«>^c;' l-cii> «i,u j'ix.w*. t «>«>i* ? i. J r ; . ' 't tant au dehors par. des,phénomènes,bien,évid
naire,etdans des conditions ^ ^iS.Kniia 2J92U ? Jf9 îno ,9'lUfYib01 ' , ei9vh' ; ..Je pourrais faire remarquer j d'ab
les auteurs, ai. 1 ? ti-i ^ QUE FAUT-IL1 PENSERADE*LA TELEPATHIE/ ! ' ()0 que'toutes les fonctions'soritatteiiités, to
es manifestations' de l'intelli-eni 0 e sont'au con raire celles 'qui ' ` favorisent leplusdà' télépathie7P^oiq m 78VT9
lusdà' télépathie7P^oiq m 78VT92dU m 8'(IO . * , « in « i" .i . i - ' 11"V ? >' 9"T*;i" s ? <.- e De la nature
ime'du fluide électrique ! Âssurément', et-'j en conviens sans ? , , ) ' \' r t ? 1 ` n.r.rntnnnrn tl t peine.-Mais 1 ana
e'du fluide électrique ! Âssurément', et-'j en conviens sans ? , , )'\ ' r t ? 1 ` n.r.rntnnnrn tl t peine.-Mais 1 analo
cas; comme'le disait M ? düzChâtèlêt'dü `rriirâclë ? 3e Saint-Denis, ' « il n'y'aque'Ie premier pas qui coûte »r's' ia1&
,' « il n'y'aque'Ie premier pas qui coûte »r's' ia1<s<î'' - a ' ., i .. * , ... a o'-ii-'1 ! ? Mi" ? i''1' «"ri ?
nd on lit leurs'observations,°on dirait que' ces gens passent' leur ' yviëpençhésysur un "chronomètre, - à'' l'affût de
véne- iments passés depuist aes mois'ëf des* années ! La' bonne foi, ' la parfaite horiorabilitér dés témoms9 nélesrem
chent pas de se trômper ; j en vais 'donnér un exeinplè topique : " ' ! ' » ' '7 .. a, f (. « Y ! r n n ! ' r4r . i .
t pas de se trômper ; j en vais 'donnér un exeinplè topique : " ' ! ' » ' '7 .. a, f (. « Y ! r n n ! ' r4r . i .r r
s de se trômper ; j en vais 'donnér un exeinplè topique : " ' ! ' » ' '7 .. a, f (. « Y ! r n n ! ' r4r . i .r r ? ·,
onnér un exeinplè topique : " ' ! ' » ' '7 .. a, f (. « Y ! r n n ! ' r4r . i .r r ? ·, + .r ? < 1 . ? . -- ' Il y
7 .. a, f (. « Y ! r n n ! ' r4r . i .r r ? ·, + .r ? < 1 . ? . -- ' Il y a quelques années, un jeune homme, récemme
put trouver, le, moindre motif pour expliquer cette disparition. ' ' 'Il II "1.K VI l-.l m 0"0. 1'. -. } ! >. « t
ut trouver, le, moindre motif pour expliquer cette disparition. ' ' 'Il II "1.K VI l-.l m 0"0. 1'. -. } ! >. « to^
pour , »a ? l|- <ij.u<i,i ? nw|i '-)<'<'. Vit "Oiinii ? ' n 5 ? le^retrouver furent''vames tout a coup, I
s persônnepabsolument honorables, , , ? 1*1' # 4*fl ? iiin'iii i|j. ' q,i i ? olr,t ? ... , . ^ ce incapables de mens
hoirimé'disârû';ül'étâitllâssé''dàristellerue; était'entre J ? v 1 ' · "Il1 sp : w pu ri 9r ' rr e dan eeue' 'ta j'
llâssé''dàristellerue; était'entre J ? v 1 ' · "Il1 sp : w pu ri 9r ' rr e dan eeue' 'ta j' se KT ? n 3ri ? pill son
w pu ri 9r ' rr e dan eeue' 'ta j' se KT ? n 3ri ? pill son costu * ' ) ? ? - ' dans. telle a on- 9,drl v nieSa- ille
' rr e dan eeue' 'ta j' se KT ? n 3ri ? pill son costu * ' ) ? ? - ' dans. telle a on- 9,drl v nieSa- ille'*sa' da
che. Toute une histoire enfin, qui, racontée avec la plus ... "'U-, ' "' i'P .1 11 ? M. 11;lW ? ? ft«ff ? >- . ', ./
e. Toute une histoire enfin, qui, racontée avec la plus ... "'U-, '" ' i'P .1 11 ? M. 11;lW ? ? ft«ff ? >- . ', ./
avec la plus ... "'U-, '"' i'P .1 11 ? M. 11;lW ? ? ft«ff ? >- . ' , ./ entière, bonne loi et 1 insistance de gens
ant le jeune homme, s intéressant lui, ils avaient 1 . 'l ? r ? l"1" ' <' : Y.>'I,f-· : 9,W ? Ilrrr e*y»rro -iif"
ep;.c - -WaltertScott racontecune amusante. histoire -un^mauvais" ' laisant; s'arréte déyant -t ? ... ? qûi t ? ? ..)
1 queue, d'autres, s'attendaient à voir le. même phénomène,1. « « ' ? «. m. 1 "jt.é àt- -t utlual 111J ,ca'lmi)> 4
rie. ,Ces éléments,, intimement unis pendant, la vie,, se f.J., . ? ' . , " li ,r at. `Jir r ,r7 li)t 41 y )J,. sépar
r elles .une certaine influence. ? : '. - 1, ? ^, ? ? c*1 ? 1 .*>;" ' .* ? q'll' <tjt ' ? - z Mais.tout cela n est
influence. ? : '. - 1, ? ^, ? ? c*1 ? 1 .*>;"' .* ? q'll' <tjt ' ? - z Mais.tout cela n est en denmtive qu une h
Mais.tout cela n est en denmtive qu une hvpothëse, ou, si 1 on · " ' , p« '* *"**" ' . ll.-UJrlKln vrtr m a w I». ^ ^I1
tout cela n est en denmtive qu une hvpothëse, ou, si 1 on · " ', p« ' * *"**" ' . ll.-UJrlKln vrtr m a w I». ^ ^I1»,>
n est en denmtive qu une hvpothëse, ou, si 1 on · " ', p« '* *"**" ' . ll.-UJrlKln vrtr m a w I». ^ ^I1»,>.| ,.^.*
préfère, une croyance. Non seulement on ne peut en apporter ,... ' -.... ? Mu tln·.tl114nt1 H ti ? tlt ? )..\ ? o' (
Li ! ;IYL ? et du corp s vivant. 'r'* ? 1 »««-«*« ? 1 .. -h ? 3 ? J" ' ''r.1 TI ? ? T- rr'of ? t Un obiectera quetles.
ationsktelépahhiquesrdonnent,, ? ? f ? ) ? ? -1 q, ? - . à,, kt .1 '') ' , précisément la preuve cherchée, et dans ces om
- de soirée, tantôt en costume de voyage,\voire même en simple- ? - ' " «^ij^ngatj iti ut>ji> iiii, u «-criu uifv
, · n ·v.v ? i ? «iii- jsia»> on ». tance, ni forme,, ni contour, ' ni, voix,- ni rien, gui puisse rendre sa présen
c,. 'nï-)" ""<* 1> ? i ? )f>"~ "ii'noï'i^vnivi ? an ^, z · ' · (*.«, Pour moi, je 1 avoue, je ne saurais voi
rai à citer un fait, qui est d'observation banale et quotidienne. ' Wulter Scott, loc. cil., p. 211. QUE FAUT-ÎLPEn
am pour J aller a' ses occupations , il. rentre le soir a. une ..., ' fF, 4 ^rr.. tr· -rf f, hi , heure détêÏniiàéê ?
n accident, un déraillemént ! '缭uile blessure^graveTetc ? cent fois, ' mille foie, 'cesinqniétudèssont : vâiries; ilu'és
ais un jour réellement'ie train dérailleY et le voyageur est blessé, ' 2t1'ons'eRClame ! retsl'onscrie aupresscntimënt !
nt,*de .nuit : en : nuit; seprésenter'à'1'imagina- tion 'des hommes, ' le'nombre dés coïncidences.'entre'la'vision ' "
ina- tion 'des hommes,' le'nombre dés coïncidences.'entre'la'vision ' " 'et l'événement. véritable' est' moins fort e
javis 'de : feu lM1,Naudé" q'ui ? disait'qu'il y avait quatre choses' ' dontiil 'se fallait' garder ,a6n de n'être poin
tions et d'apparitions ? Di9r;Iürozs'1 .t3TV 385 li toj8oR -iqqB *J ' "up sa aa ,aaueinszvrn àilrfas 9alf T.sq mp trt9lr
qqB *J '"up sa aa ,aaueinszvrn àilrfas 9alf T.sq mp trt9lri3Tfrb es ' 1 Le>pressetitiment; dit Eant,4est'comineiunis
pouvoir sentir ce qui n'est pas encore ? ^(Kànt; locïcit., p. 111.) ' a**™ ? ? Dt ? lu ? i i 1, rttx. tt,vri ,t">î
mp;bato'' rcn ? y nJ),t 3tlI leU&'cCCLnfà sFon ? fek)"ï<)0 £ ' GuPatine« ? -MII7 1). 480; lettre a Spon. ' 1
à sFon ? fek)"ï<)0 £ ' GuPatine« ? -MII7 1). 480; lettre a Spon. ' 1( ? ).J 9flwl 'fb'fi13E1L ab uoti us Z1B1/1 qi
GAIUl 9c'ft «si : 9»aRCLTEII ? DÉFÂhi S.= ? 961j .8'lifilnoloviit ' ip an.fi-> 94t th - lie il),61 .. ' '1SARC
.= ? 961j .8'lifilnoloviit ' ip an.fi-> 94t th - lie il),61 .. ' '1SARCO11E=PRI111T1F DES : .VENTRICULES, DU CER
l),61 .. ' '1SARCO11E=PRI111T1F DES : .VENTRICULES, DU CERVEAU^., ' "s, -"laiia ? .°i(l r+Un9l.l.u^ ? ftmifi61t 81 $'r
U^., '"s, -"laiia ? .°i(l r+Un9l.l.u^ ? ftmifi61t 81 $'r6(Ta' .in,- ' "-,«.>, · Par MM.iV. PRAUTOIS, chef de clini
c ·L,1 . et et G."ETIENNE ? anciênjintêrne"'des' liôpitaux ? noaa ' .'<lujuj0t<u.<mo9 ? LI) 1> ClOm i,
S sarcomateuses primitives' ventriculaires n'oc- cupent gener a 1 e" ' m«ent- qû'u-rî"îeui-ventrieu l' e. Ce qui. fait l
. ^« . <n9nBfT''JPt ? t'f "inrMjjTi» e.a»f.f'ii ? xS-<» - ... ' , Observation.. ,.A. lliarie,, treize ans, entr
, Observation.. ,.A. lliarie,, treize ans, entre a la clinique' le ' " ? . " ' , '0 * ' >"' 7.n ? si ,7 ,lt rvai .T'
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arie,, treize ans, entre a la clinique' le '" ? . " ' , '0 * ' >" ' 7.n ? si ,7 ,lt rvai .T'"). ' « i - )5 juillet
clinique' le '" ? . " ' , '0 * ' >"' 7.n ? si ,7 ,lt rvai .T'"). ' « i - )5 juillet 1892 fi`.tcr.oa t9 t/t-md iiii
s personnels, l'enfant avait cependant dëssafiiaissance présente,un ' ' " ? ' bisà" de'l'oeil "'auche. dès, sa [naiss
personnels, l'enfant avait cependant dëssafiiaissance présente,un ' ' " ? ' bisà" de'l'oeil "'auche. dès, sa [naissan
nels, l'enfant avait cependant dëssafiiaissance présente,un ' ' " ? ' bisà" de'l'oeil "'auche. dès, sa [naissance .pr
ésenté, un, léger strabisme de l'oeil gauche. ? » Lj , , ^ . - & " ' il .-il t, -lli-#vil t . r : " ê Sa mère, très
ère, très impressionnable, aurait eu quelques crises nerveuses. , . ' 1 .V 1J,7.A/J a ? tt. 1" In.n 11 ? i ? Son père
la malade est, de, constitution délicate, lymphatique, sans trace ' b1 ) nA'r1`I rv irll·1^r, -yn n 1tt 1r4 1 .' , ?
- . - i,. , ) , Il ..7 pérature oscillant'autour de' Pouls régulier; ' égal,' petit,' à 100. L'appétit est nul, les vo
,. , ) , Il ..7 pérature oscillant'autour de' Pouls régulier;' égal, ' petit,' à 100. L'appétit est nul, les vomisseme
Il ..7 pérature oscillant'autour de' Pouls régulier;' égal,' petit, ' à 100. L'appétit est nul, les vomissements alim
t. Réflexesjcbnservés; les urines et les selles sont involontaires. ' 1 , Diagnostic porté .' méningite"tuberculeuse
orté .' méningite"tuberculeuse ( ? ). Traitement glace sur la tête. ' . Ces symptômes alarmants durent peu de temps,
é`réprtidüisentdpendantvles mois d'août, 'septembre et'octobre ? "" ' % ? d ! .1Ta Ai sJ - 15 novembre. -'Amai;risseme
après,être resté un instant immobile,, s'abaisse .progressivement ! ' jusqu'à un nouvel effort le ramenant en haut/Pu
Pupilles tÿèjdilâtéés; ilïéns'bles : à l'examen oplithâlilosçopique, ' la papille est blanchâtre, les'vais- seaux réti
très abondants et d'un'è'ëxa'eerb'ation' ;notable ? dela \ seinents ' très 'abo'ndânts1 ? eti- d'une' ""exacerba lion"
' très 'abo'ndânts1 ? eti- d'une' ""exacerba lion" ? notable e e la ' céphalée. ". v.'y ? \- LS'1 ill' 'u,tf4ai " 'LJ u
e. 'lim.ifi'.i.ii i.j- ? au · w1 Ltl ? ;.1)· jijin .»,,u , ,,tjDMtt ' i ? al ! .h ? 1f >.<.*« ? ? %-, .- ? t,, -&
humeur.'un peu, excitation' ans les'réponses'qûi''s6nt très brèves ' " ' uu ? t"llJ(j * -< ? ? > tumwi uiutiioao
eur.'un peu, excitation' ans les'réponses'qûi''s6nt très brèves ' " ' uu ? t"llJ(j * -< ? ? > tumwi uiutiioao aiu
; tumwi uiutiioao aiui&isq ; ." ~'iu r-/9*ni"iripmiiB 8tllEi-fh^ ' ? %f( : 'r ? 91 ,h<n jgo H'IpinJ ° L'état gê
reste sensiblement, le, même. 'Dans ï .. ? ? »«.,J«WI i.'UiJJUJJ J ' ai|l.'l«llll.>,8»'.),lt.; , ' les, premiers
ans ï .. ? ? »«.,J«WI i.'UiJJUJJ J ' ai|l.'l«llll.>,8»'.),lt.; , ' les, premiers jours du, mois, on remarque, dans
premiers jours du, mois, on remarque, dans le poignet droit de» 27 ' ' RECUEIL DE FAITS. " 13 j .ivaao. T'Q i-^i' «"
remiers jours du, mois, on remarque, dans le poignet droit de» 27 ' ' RECUEIL DE FAITS. " 13 j .ivaao. T'Q i-^i' «"JU
plaintes bruyantes nuit et'jour.Mort le '26' avril. ? ? '' '-us" " ' - "' . ( * Autopsie. Emaciation extrême, eschar
ntes bruyantes nuit et'jour.Mort le '26' avril. ? ? '' '-us" " ' - " ' . ( * Autopsie. Emaciation extrême, eschare au
iron 300 centimètres cubes de liquide clair comme de l'eau de roche, ' les' méninges de la con- vexité sont<normale
t en diminuant dans la profondeur. Le centre de Vieussens est blanc, ' décoloré] Les ventricules sont remplis du même
a corne antérieure,,dont les ? parois sont, extrêmement distendues ; ' elles ont 5 millimètres d'épaisseur'et 4 centim
ant dans ses, plus grandes dimensions 13 milli- \ 1 f z J·1`,1 A · ' ) SKI ft'yiaH ~A-n SARCOME PRIMITIF DES VENTRICU
lés deux, couches opftiques 4Lequatrlëme,ventriculenest complète- ' ment déformé, distendu, ses pârois ? sônt, tâpiss
sseûr'âgréélGuérin : ,Sa;constitutionnestjrla' ? sui- vanle ,erzIin ' 1 ut, ezslfo2s ,amnias 9 noi3sigEmi - .ss2qo'fuA
2nntïi pnio.sb sôiq sou sm 87 617bnol : Chlorure tie)sodiuiii)ls19" ' · r'0' `'b.z9°glnt3ny : 5'8g u bIioï» latières
avons. au débutiattiré · l'attentiori `enI·tânt°qiI'ëxtensiôyn, ... ' . ' f ' .. ' , L , nl olrrn4v tif présentait en
s. au débutiattiré · l'attentiori `enI·tânt°qiI'ëxtensiôyn, ... ' . ' f ' .. ' , L , nl olrrn4v tif présentait encore
u débutiattiré · l'attentiori `enI·tânt°qiI'ëxtensiôyn, ... ' . ' f ' .. ' , L , nl olrrn4v tif présentait encore ce
utiattiré · l'attentiori `enI·tânt°qiI'ëxtensiôyn, ... ' . ' f ' .. ' , L , nl olrrn4v tif présentait encore ce carac
ssociées, détachées ^des tumeurs primitives,- en grappe derraisins, ' =sans cohésion, ( qui ont dû se-fixer auxiparois
umeur dans la.dernièrepériode s'uq a9b 8D°l gi <ï0B'I : JJB' pat ' l t ...rr j ? c'TCnn --10' AI en[. . ? Une auss
ricules ne pouvait'exister sans'provoqùer"de désordres : - 1 -ju ? ) ' ? i- Ar.101rl1,1 ? ? '' , ? 1.flll Li «>«*«>
ne`s; éphalee ? apl`atissement, desucircon- . volutions coristaté'e, ' à 1'*au'topsie, coii)nie,dans la ,riénincfite; pa
,U&sv'i90 o» uoxiiihciïjh nI,i.EVp Et9 UrisIHERAPUTIQ·UElfjÿ ? ' ? *">qfl"19J 39'1«> bJJp jlbj9 u U 3J'I9u
ent de L idiotie microcephalique par - YI) `i9ÿ 1 nr. ft-a'rn') 11, ' (1' --la- n7 "f/7 uI( · '')L<f-'j ? r,n ÇRANI
f-'j ? r,n ÇRANIECTODIIE ; par le De Blanc. (La,1 Loire Médicale, ' lIdécéirîbre'1893 : ·191T1B A II9 aistl J l " " ?
ée'd'une : s)aostose prématurée des< os dit" c'iânel or; dans la ' très grande maj oritérdes9 câs; a-t-onTd it; cett
OVIom t9 ai ai eee 9f1151SF9 li il-' il r. , , , f c .. ? -i^-i-i ? ' " l'Tirfah -ll.i : .t 1 ? Oui la parole est aux
4 1'. J) 1()-<·)II)1)dliw n b 1 »lll»>«i lOj^-^i» ! 1 J. ur.a1 - ' tu - 'r'ëvueide' ! thérapeûtïque. - -'S "1892
hotographies' des cerveaux' qû élles avâiërït t'couvêrtr Cës'difFé- ' rents documents étàierit,f'si dériiônstrâtifs rqû
ents documents étàierit,f'si dériiônstrâtifs rqûè''les^conclû'sions ' enu découlaient naturellement.' Personne ni à Blo
non à noùs,1TceDqûT p'6ûrrâitr,cohtrarier ^li-Blanc ? mais faits1" ' 90P *'6 'àB'1R'1 Ii= jno3 2zrrsmL,i &baoj&
depuis.un temps plus ou moins long'et constate.de 1 aveu des ? 11 ? " ' ri-' i "' - ' .V"» ? «« j." ? ? i«" ? A" AT ? 1 e
temps plus ou moins long'et constate.de 1 aveu des ? 11 ? "' ri-' i " ' - ' .V"» ? «« j." ? ? i«" ? A" AT ? 1 e ? famil
ps plus ou moins long'et constate.de 1 aveu des ? 11 ? "' ri-' i "' - ' .V"» ? «« j." ? ? i«" ? A" AT ? 1 e ? familles
3 : donner, intégralement -le ,,texte des observations de 11 : le D' ' Blaitc.3lsI3 es ,aUi/91nu Hm "ui.ee oh z9ttl. s
à l'emporte-pièce de Lannetongue r7S : .,qUeITUqlt JI'4T ? T UG H Y ' ,%Iff 276) {-'rm 93 .3eàL ? THÉRAPEUTIQUE ? i. .
"i9 ficvr au ia iioil.6-ijqo'l Snsvb 2yxJali;v· ? u', .3. . ,n°r 11 ' Observation II. Pierrette H..., trois ans : Idiot
t.' Intelligence nulle ? n'a jamais'parlé" ; pousse'seulement quel- ' 'qués cris inarliculés : .Paslde crises,*convulsi
ues.. Il ne,peut'-se tenir, debolit.-nooa ajq 9D 91f gimoiofliftefi ' > <* "-Wq.b Ler40 juini89 ? lcraniecto2ni
- vention chirurgicale sont comparables a celles au on obtient 'i ' i.1 ? i- " ., a t,lrrl ? AUl..JJt .L'i ? ·,a, n n
ait eu recours aux mêmes procédés.... ej3,9 ? lgiq - .11 ;o,Trvjlq« ' , .. . '' . .r.r..zrir. sioij ..11 ajja'9)' ! .
? lgiq - .11 ;o,Trvjlq« ' , .. . '' . .r.r..zrir. sioij ..11 ajja'9) ' ! .t ! riolm vaaaQtl - 'Au 'milieu de* son ehtl
bientôt et^avec^elle les autres siiitômes"pour'dimi- nuer erisuite ' " ' "" h - " * e - L d e" les e " fa,Ôabl eeâ" ;'
ntôt et^avec^elle les autres siiitômes"pour'dimi- nuer erisuite ' " ' "" h - " * e - L d e" les e " fa,Ôabl eeâ" ;'S ui
, etc. bi*1 " ? i" .,i-, -pli T ? r.13...' 9«ioi"i4 Il YnTTAt79QC ' Nous profitons de, l'occasion- pour combattre,un
ers signes de l idiotie, des que 1 on s aperçoit que l'enfant'n'est ' ·tau , 1 ' l ? IlHi-1 -\ »ll»'\o*l- ..I'. "" ,
de l idiotie, des que 1 on s aperçoit que l'enfant'n'est ' ·tau , 1 ' l ? IlHi-1 -\ »ll»'\o*l- ..I'. "" , 1*111,111 ? «
e 1 on s aperçoit que l'enfant'n'est ' ·tau , 1 ' l ? IlHi-1 -\ »ll» ' \o*l- ..I'. "" , 1*111,111 ? « -T It pas .<.
urgiens du Nord tentaGôtembourgi1893;Bûl= ? e,S ? d ? ,1893, P. 389.) ' "" -^utjKii j^ i ii tair6nq.j«Hii«>uu a.. ^"
' terme, à la suite d'un ? accoücheméiüruorïnal êt élevé au'biberon; ' les fontanelles s'étaient' soudées" peu 'dé- te
par pre- mière'intention9 iciiv irip falom bsfio j9>fu xnfb h "» ' »'- tt Au bout' dé-11(oi ,sl moisson' ! pouvait9
nt moins raides, les réflexes normaux.flm8vor' sv 91 81l9lu-fft 1 1 ' , ,trlrx r * Di.x'-r'nio'i's"'a-priè'S'i'Oéti6D,
rte dé substance' osseuse ; >J> ItL'VUE`DE·THE(rAPEUTIQUE : g ' 279.. 3° Les, résultats sont surtout favorables
e rigidité ou-'dé;'parésie'locale ? ou'/fI^0a.J"l : ,s e3(.'Mn ,. - ' · ". O ? Ut) ni ! f : tnv'n rv zne ·rm rlrLo ao'
Nos' connaissances, actuelles ne,permettant pas de faire un ,. ,- -, ' ,' tà f.ehi, %%, 1 rltç ... ' , diagnostic etiol
s' connaissances, actuelles ne,permettant pas de faire un ,. ,- -,', ' tà f.ehi, %%, 1 rltç ... ' , diagnostic etiolog
ne,permettant pas de faire un ,. ,- -,',' tà f.ehi, %%, 1 rltç ... ' , diagnostic etiologique certain de la microcép
John BARLOW. (Tlie Glasgow Médical Journal, p : 401, ''jûiâ 1893 : ) ' ! n sunoJosins'IS t Gupijclq ..0 ,ee,31 àüor. 11
uivent un train 'ouj des, a-nimaux SiinmÉiles,ou' - il' , - train ' ou des. animaux «immobiles J*ouu en, niouvenien t
front 33/4 -ui/i ni ab xtuioi JtB9 aif9'up ivius9'm s·tér cm "in*. , ' ' 1 Des'mensuralions semblables3'ontrété prises
ont 33/4 -ui/i ni ab xtuioi JtB9 aif9'up ivius9'm s·tér cm "in*. ,' ' 1 Des'mensuralions semblables3'ontrété prisessu
t\était particulièrement marqué pour.'la : vue et l'ouïe : 1'" * > ' 'rif Les réflexes patellaire,iplantaire etpupil
9' rence normaux. La peau des membres, et particulièrement dés "j0 ' ` jambes, était froide, relativement à celle de
bes, était froide, relativement à celle de Ila tête,et, était-- d'une ' 1 couleur terne... L'enfant ,-fut .surveillée p
t j'introduisis ...KHtfiJihlli ? tt ? jjL 1 ? 'Utt. » ? n ? J., , . ' la pince a couper les os, de Këén,et,âve léûr,a
. La partie,,du, cuir., chevelu fut, alors - ? Tt ? tTr-T ? mu , Q , ' * REVUE 'DE THERAPEUTIQUE. 2ol mise en' posit
n'y eut peü I ou-pas v orr dê, 1 cliëc. q.. I;é 2 i(inviei-- 1 enfan ' , était renvoyée chez'éll9 j;à s d9tirô qÿélë`i
température des jâmlles; et ? dà`ns une occasion ? le'choix' fait,1 4 ' par la jeune fille, de ses aliments. Elle repou
trouvairla'tfille dans un état de langueur commun-après la rougeole, ' et' j'appris que,' pen- dant la nuit précédente
ans un état de langueur commun-après la rougeole,' et' j'appris que, ' pen- dant la nuit précédente^ elleiétait sortie
la nuit précédente^ elleiétait sortie de son lit : et'avait réveillé ' " le père"eu-allant à,son litceijen lui mettant
re énre-istré ? uç), 0 Pi z`fdo'`G ? lmal s^ 3Qerus,.l 4-g .'p.< ? ' ,nt r rt 4r, n ? Etat 4 mois après l'opératio
t de pouces 1/8, aû lietiolé 3vpoûëes 3/-11, en augmentation de 3/8 ' de pouee.1,lon intention "n'est pâs'dt ? traite
s fontanelles et dés sutures. Il y'en ,arquai, préférant avec Broca, ' regardent' l'arrêt'"du"déYel6ppement'et,de la c
M ! ,«»i» ! ii'ii 9 f wn r°W «»irii,ii,'1/i;ii',ifi "-«vu' "> -,*" ' , mit ,'">." tion défectueuse, et comme un r
! ii'ii 9 f wn r°W «»irii,ii,'1/i;ii',ifi "-«vu' "> -,*" ' , mit , ' ">." tion défectueuse, et comme un résultat d
n résultat de celle-ci.'entrave dans la , . fTt ) 111. IY.\i t T .7 ' Y Y yC : 1 Yl 01.. w f ..v ..rt * n( croissance
ie, et l'enfant était envoyée chez elle..« , ? , 1f ? 1R" '.* tfrtl ' ^l« ? l ! '^"' ? ? ? ftr'h rrrta.i ? · ·tv ? e A
fant était envoyée chez elle..« , ? , 1f ? 1R" '.* tfrtl '^l« ? l ! ' ^"' ? ? ? ftr'h rrrta.i ? · ·tv ? e A 1 époque o
t était envoyée chez elle..« , ? , 1f ? 1R" '.* tfrtl '^l« ? l ! '^" ' ? ? ? ftr'h rrrta.i ? · ·tv ? e A 1 époque ou n
avons lait notre communication a 1 Aca- . , .. -*«>. , «.L MO , ' ^>.- L ! 1n l.lu GCII U11 . C : 111.·>IV ' -
. -*«>. , «.L MO , '^>.- L ! 1n l.lu GCII U11 . C : 111.·>IV ' -. , ii-i , t.f l1/ "171 demie.de medecine0(]ui
*1 283 ? nombre des cas publiés"est' sàhV douté' plus'cbhsidérable, ' "car, tf, maigre des recherches m-' l'n ? utierù
.O · 4 ? i ? "I"" =<. ,(lt(v >H ? i ? n<4l«i ? < ? .«'.MO ' ? .. échapper. Depuis, nous avons analyse ici m
ons analyse ici même plusieurs cas : , PP, v " P, a ? jj"1-'a7"> ' «iiie^i ? » ? -t 11'·W 1 ? " de,wymann (Arcla. d
de la pensée' : 'il 'apporte â la 'fois°"lâhgâîté fet' le0 'sommeil : ' Tout d'abord se'prôduit unè'-ealfâlion3gaie `sa
ever 'après une nuit'aerepos natûêél'ét's'accoliipâgrlé, lui 'aussi, ' d'Lin`'gcând'biêli= être ? les sujets restent g
q ;shj ? - E. B. · ? ts39 1-YIII°-TBîôNi : ET TÉTItONAL;'pt : le D' ' \V.'111.a'BOrr ? "^ "r j,"g ? )q9j(11 iaamir al
t n'est'jaiaià'alâ'riâàtPa'd'à'ctio'n"dé'p'r'é«s'si'ï6-s'ài- le coeur/ ' ` Dans'lâ mâjôrité'dès câs; ûürgiêriüüë `dé tri
résultat est de quinze à quârâritë'rpinutësrdâüs les cas favorables, ' bien qu'il 'puisse être' de deux heures.&mB
! ,é'st1'très 'satisfaite et sauf, ) - - r4h ? H'' e-1 vt·mrf ? '' ' .t' i, - . " ' 't ,t quelques exceptions ne pro
'satisfaite et sauf, ) - - r4h ? H'' e-1 vt·mrf ? '' ' .t' i, - . " ' 't ,t quelques exceptions ne produit pas un som
n ? 'H''0 ? H "-»« ? " "" E. Bà ? -" -mniiM . 9nqs aiinc us 0') ? = ' Il ir[, <" ' - ' , ; 3jQlTJZHt.aLu; aa 31J\S
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? " "" E. Bà ? -" -mniiM . 9nqs aiinc us 0') ? =' Il ir[, <" ' - ' , ; 3jQlTJZHt.aLu; aa 31J\S"I ? : »-i. u jcac
ll9fi'T /b ffi-t aal ""bvJ 8tl.)b . «. ). 3 ? 6 .,11 if rryr- «-r,, ' ") ^f9 B l3Ot.('Jb 1102 .290.'Ifilfu"J (t J6 8 fb
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6 8 fb 820b B. 1 i- REVUEiDE,,PA-THOLOGlEjc3lENTALE ? VfiriIT'P ' ' l" ,. r'f».-«T, «nM^l Sftl, O , ff Ol " ' ,' ln .
Ejc3lENTALE ? VfiriIT'P ' ' l" ,. r'f».-«T, «nM^l Sftl, O , ff Ol " ' ,' ln .O bw . XLVII1. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE cl
3lENTALE ? VfiriIT'P ' ' l" ,. r'f».-«T, «nM^l Sftl, O , ff Ol " ' , ' ln .O bw . XLVII1. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE clini
, lé 'miasme^paludéen placé la cellule nerveuse cérébrale vis^à-vis ' Jdes ^liqueurs' fortes ^dans ''dés" conditions .p
late; elle ne tient donc pas a un, affaiblissement constitutionnel \ ' ,"t ? ...n ? 1), > ? ? iDitiull, .uu«,mou.i ?
bilitantes, mais r-, .r. h )& t..)) ? t; ... ? tt ? ? nafn "tmj ' bien a une action spéciale du miasme palustre p
tion spéciale du miasme palustre par laquelle. le cer- veau devient, ' aussitôt- touché par lui, incapable gde.ssupporte
er l'impression de l'alcool, sans entrer en délire. nh 9^0»^^ n'i ' Par suite de cette* intolérance ? un sujet normal
cette* intolérance ? un sujet normalement .constitué, ? ... ? " ? ? 1 ' " ? .acj ...om,"^ ? s'il il boit même, modérémen
boit même, modérément au cours d une première manifestation . ? «.. ' 6 '171Y J1 br ,1 .iiIim b1 I· 1 7 Ju JL L V aig
(, et tHIU .5 H , ^Ulî.l des prémléres CJl.r.- . »J.,i>, .11 i>« ' .1 ? ^. de tremens; et ce qui est, vrai des pre
mières manifestations amues de ? t f : I Ir·t y,l r y yl Al t.n,lAa 1 ' M 61V1 Jd ·, . 1 impaludisme, lest a plus forte
ait qu'il il y ait là. une .preuve de la, présence, du., miasme i . ' '. ' .. ' -» lnl.ll'.i»'1. M;uuO«i .mfrii.«ii .un
u'il il y ait là. une .preuve de la, présence, du., miasme i . ' '. ' .. ' -» lnl.ll'.i»'1. M;uuO«i .mfrii.«ii .un .<
il y ait là. une .preuve de la, présence, du., miasme i . ' '. ' .. ' -» lnl.ll'.i»'1. M;uuO«i .mfrii.«ii .un .< ?
XLIX., Irocbles trophiques dans la folie ;, par, le FRANK Hoyt. * ' "...J fW -lilt ! . Z)e XI à8 ŸiiSti ? âlEjr,-pa,t
ns les cerveaux des 'déments ? chroniques la pachvméningite'intërne, ' la dilatation des vaisseaux'desmeninges, ]'en -
ubouoi-- i ? *► - L'auteur a montré à l'Association médicale de z ' thébrie"dë : l'éxtravasatibn1 sànguiiie,rest la p
inen IEs4en ifaveur n de 'l'origine va o-mo rice son reconnus Pr ce ' fait'qûe'les hématomes d6'la- avec des preuves
sme ou a une périeliondrite. Il y a Vf *fn- ,....^ ? *} "i-jl-'ll ? ' (Amei-ican Joiti-n 1-7 ? donc analogie entre 'c
893' ) etlül .1 im&b J9 alotri u t.t' 41, 31.9v £ ? ex B. uti p ' L slla3 ril lune , ? 9'if.qiaihq eal xado amaup-i
,)[ t ? < . .' V4' v' ? t)j IL 71n 1 J f -ttJL. "0-. . J <t. ' - ' dans la., proporlion dey53.po Lr,T 100,3d u
)[ t ? < . .' V4' v' ? t)j IL 71n 1 J f -ttJL. "0-. . J <t. ' - ' dans la., proporlion dey53.po Lr,T 100,3d une f
n, un éléphant : a la naissance elle refuse.de reconnaître l'enfant ' * comme sien.' 1 , ".3 -, . ? el P91v), .1l... ?
nique,s ? tt 4p. 100 ? sur, 64, cas folie de I,àci6t, r t-t *ït -2' ' )'.1 ? t i 1JJÏ ' ' I HO 1 ''I' ^>* UJ ' ? i. -
100 ? sur, 64, cas folie de I,àci6t, r t-t *ït -2' ')'.1 ? t i 1JJÏ ' ' I HO 1 ''I' ^>* UJ ' ? i. - .14 .'L , ,- x
0 ? sur, 64, cas folie de I,àci6t, r t-t *ït -2' ')'.1 ? t i 1JJÏ ' ' I HO 1 ''I' ^>* UJ ' ? i. - .14 .'L , ,- xhe
e I,àci6t, r t-t *ït -2' ')'.1 ? t i 1JJÏ ' ' I HO 1 ''I' ^>* UJ ' ? i. - .14 .'L , ,- xhement, 48 guérirent. soit
m,sv rrrr r't non s srzisran avait e]e Lï se f. c noa ia g^vlc-^a ' Enfin, sur 20 cas..de,folie de la .lactation, .46
ri«j ? < I : : ) ? < , , 2lti.l'to<Ip7 29rf13t(1 ait zttbh ' y- 1'* " «j 1, l' LESrÀLlÉ.N'ÉS ? A<TENDANCE
'' jrifp CI fille - 1 >,, ll ? fl , i . sLe criminel, est : il, ' comme, le, veut Lombroso,;une variété;de l'es-
lie; par IBaI)rLVItILIOI'e STEELE. '8 ,, L n t ye ? 750 ? Y - S-... ' , z L'auteur a examiné le sang de douze malades
ncoliques et cette analyse l'a- conduit aux conclusions suivantes : ' . Io Dans la mélancolie aiguë ou chronique,' y
onclusions suivantes : ' . Io Dans la mélancolie aiguë ou chronique, ' y a une diminution '' U ? , REVUE 1 DE 1 PATH
aje' de 1'Ilémo- globine est réduit dans les mêmes proportions; · ' 2° Nombre de cas montrent,une dentelure. considér
lité',du'sang. (American journal ofinsanily, 1893.) E. B : clrc z ' t 710" t'l"^i ? 2 < ! a pu ? è'Ii'f"1"1" ! ? 0
clrc z ' t 710" t'l"^i ? 2 < ! a pu ? è'Ii'f"1"1" ! ? 0 : ,tFi' ' LUI. Note SUR UN cas DE perversion sanguinaire
Note SUR UN cas DE perversion sanguinaire de l instinct sexuel; .. ' 1'S drTrP ? le Dr .OUT1GNE'. ^P ? 9' "T" , ' &l
instinct sexuel; .. ' 1'S drTrP ? le Dr .OUT1GNE'. ^P ? 9' "T" , ' < i''jt ? irgrlr .s''u ? (" .^,lRhrT4r p 2 : "
u`vrier. de dix=septs ans qui, après, avoir acheté, dans la journée, ' un'couteau'de cuisine, 'va trouver, à la tombée
'de cuisine, 'va trouver, à la tombée de la nuit/ une fille soumise, ' âgée dé vingt et un ans, et avec laquelle il av
ssurante- pour 'l'avenir. (Annales médico-psychologiqttes, iS93.) , ' "VV ? "' 1 ' c);. B : v ,« te LIV. De la DYN.MO
pour 'l'avenir. (Annales médico-psychologiqttes, iS93.) , ' "VV ? " ' 1 ' c);. B : v ,« te LIV. De la DYN.MOMLZTRIE c
r 'l'avenir. (Annales médico-psychologiqttes, iS93.) , ' "VV ? "' 1 ' c);. B : v ,« te LIV. De la DYN.MOMLZTRIE chez
dyna- Archives, t. XXVII. )9 90;. REVUE. DE' PATHOLOGIE-MENTALE. ' t momètre de Hegnier et n'ont porté que sur d
de cette façon-.a été del 63; comprenant des idiots, des imbéciles, ' des"' maniaques,- des mélancoliques ? des persG
tte façon-.a été del 63; comprenant des idiots, des imbéciles,' des" ' maniaques,- des mélancoliques ? des persGcutéés
e la contraction musculaire volontaire et 2° une tendance à J'égalité" ' de pression de l'une et l'autre mains. Il estim
ance à J'égalité"' de pression de l'une et l'autre mains. Il estime, ' défalcation faite des '' cas où existait un aff
cas où existait un affaiblissenent physique plus ou moins prononcé. ' ` querla, véritable cause de l'affaiblissement
- dans 'les états'de faiblesse- congénitale''ou~ acquise du cerveau ' (démence', idiotie, ! imbécillité, paralysie gé
ans ? les vésanies à délire* diffus^manies/. mélancolies)- et enfin, ' mais à '' un degré moins prononcé, dans les dél
"légère, excitation. I' iiientale,-e le, délire igai-jet exubérant, ' le caractère impulsif des malades, et enfin, ma
.^ systématique; par,TH.ZlEfIEN. (A ? 'e/t ! 'U. ? P6'/C/tMf ? \Xl\ ' , l.>2.) * ni. ii . in.. .Mémoire très éten
es primitives ; r ? 1" . .. * -< ? ? ? l,es.haÏlüciuaüons;n·,t 9f, ' ,f 'i ii'ii((iii' 119 Ji-i.' , .. >,> ! 30
Ji-i.' , .. >,> ! 30 L'incoliérencepriniitive. 1 61 l*t> . ' 1 - Cette dernière, se,moutre trè fréquentehà·,
' 1 - Cette dernière, se,moutre trè fréquentehà·,1'état de symptôme ' < intercurrent. Elle^est, de,même que les. d
VUE DE. : rATHOLOG)E ! ENTALE.M 291' )nat)que/t6[MC<n<o< ? ' ( ? Etqu'onn'aiiie(pas croire qu'il s'agisse alo
ler la genèse des hallucinations dansl'ineohéreuce etunversement le ' · rôle de l'obn ubilation, du senoriurn,dans l'
es. v ail/if.i ? au'" Pvl dtlIJUGL"1 vlUtihlY i 1 WU·I ? tt ? )'' . ' · · . (.8 ,LX ,.ii ? j.3"t- ? <ï \ *\«)Vi6'«
. ...ii.sb.v3 .tl;Jll non etfiC(rv9xUlslrls zslt 3702 9b«'-i« i.I «- ' ".< il LVII. CONTHIBUTIONA;LA3THÉORIE;DES HAL
; f r. " par F. Cuvostek. (Jahi,bftclt. f. Psychiat., XI, 3.) - i ' , 5"I ? V- 3-«"0 ? f , nn - ? 'tbj -'. -;ts - .3.,
nt électrique,; Aarjsij ] ! p,n.)e.xcjte)'oreilexLerne d'une, autre ' REVUE»-DE -PATHOLOGIE ^MENTALE. 5293 façon/ par
E. 5293 façon/ par des piqûres'd'aiguilles, chezles mêmes individus, ' on ne 'provoque point d'hallucinations ' de ''l
s, chezles mêmes individus,' on ne 'provoque point d'hallucinations ' de ''l'ouïe ' £ » Les 'hallucinations sensoriel
es individus,' on ne 'provoque point d'hallucinations ' de ''l'ouïe ' £ » Les 'hallucinations sensorielles suivent au
la réaction électrique du nerf acoust.ique.9m 91<th.ianiP ! It;lr ' z ifioi ? r . ? .T"lo"iii ? yoé ->7vsb mp sf
vers ; pas d'hallucinations, pas d'idées délirantes, un peu d'irri- ' tabitité sans'aoàÏàli(i7del'hu-me-ûr"Il,e ? t'-ju
aiies ? ensibilitéà la' pression1 "dés- nerfs 'cruraux et péroniers; ' analgésie ? ? ..."1- -1 ( e', infé- 'rieurës ?
des musclêssJdes''segmeilts terminaux- des extrémités; finalement ? ' très tàr'd; `sâlivation' exa- gérée. Le malade
de l'intoxication, par 'la- fièvre typlioïde ? rvo) .lIVP. K. e 11 - ' $-l.o\4- £ \ a3srSwtIL aaicio "h'O «>1 luq LX
LXIX. Remarques SUR l'existence delà TUBERCULOSE dans LES asiles k) ' ' ? " ... (....m.-i-iii^..... : , »<,' "XI l :
IX. Remarques SUR l'existence delà TUBERCULOSE dans LES asiles k) ' ' ? " ... (....m.-i-iii^..... : , »<,' "XI l : -
CULOSE dans LES asiles k) ' ' ? " ... (....m.-i-iii^..... : , »<, ' "XI l : - <" : SI-, ' 11,11 A , d idiots; p
k) ' ' ? " ... (....m.-i-iii^..... : , »<,' "XI l : - <" : SI-, ' 11,11 A , d idiots; p " ? r( lllg Zéitslà f'Psÿ
ourquoi ? » Ce- n'est pas'que'1'idiotie ? prédispose à la tuberculose, ' c'est parce' que' les formes'de ces affec- ? tion
rets dè'développement'ph-siqile. Enfin ? l'encombrement des ? asiles, ' malgré'ls"soins'de iout.e'naturei fait montenla t
ue ? 91, fto P. K. a 3.` ? "" " <*f.l-- 1 ,* - ? S J.-K'l ? J* ' -t ? J ? Jt<- ! LA. Contribution, a l immobi
ssive; par E.' REDLICII. (ACM)'0/0'7. CeH'«L, -t »")>) ? J ,0' ? ' " ? v* ' ' '«' '-t ! 't ! l'9trt '8,runl,B ? t i
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ire l'oeil droit. (très sensible) la pupille gauche reste merle. r· ' .W pW J,.t -·u w 1 J. En'd'autres termes, luit
e la connexion"des deux novauxdes deux oculo-üiolëurs. - t'-t- j' r ' , - Mais cette réaction consensuelle n'a pas li
n'a pas lieu quand il 3` rigidité 'n '' ? i1 ? i ? *, " ? >, 'T, ' il a'èntre-croise- pupillaire unilatérale. es q
mobilité, fixe et réflexe'des z dans la com- .' "" ? eilk et 'Fit ' " '< intssure postérieure, (voyez schema'de
l,le' D ? CBtsTLw. (Itiv. sp.-di j'cn; fasc. ll-IL1, 1893. )"... -I ' -iif'Bofl UCLv'tlbü.orjl ITJIJo.uWIIFnrl1 'NJi ?
âpa.ë dés indi- vidus dont les parents étaient atteints de maladies ' mentales ou nerveuses. Tous les cas.de neurasth
ux groupes : dans l'un, on rencontre une irritabilité de 'l'esprit, ' dans l'autre, des écarts ? des ·apparitonls,malAâ
ts,1 des inclinations* Il y'aurait, en un'moL.une heu- I > '.i - ' ? ' , ,, ', -I,, 'h lie "I ? 1, 1 ? 1 ? l ? i » .
des inclinations* Il y'aurait, en un'moL.une heu- I > '.i - ' ? ' , ,, ', -I,, 'h lie "I ? 1, 1 ? 1 ? l ? i » ..
clinations* Il y'aurait, en un'moL.une heu- I > '.i - ' ? ' , ,, ' , -I,, 'h lie "I ? 1, 1 ? 1 ? l ? i » .. ' rasth
I > '.i - ' ? ' , ,, ', -I,, 'h lie "I ? 1, 1 ? 1 ? l ? i » .. ' rasthénie purement intellectuelle et une neurasth
biner entre elles. en l trF·.i°s · ? ) 1 n>i t ? i. It 'fil -f' r ' si .La neurasthénie peut guérir ou dégénérer en
comme " conséquence de la ''neurasthénie.' La dégénérescence serait, ' à' son ' tour,' une dés terminaisons de là para
onséquence de la ''neurasthénie.' La dégénérescence serait,' à' son ' tour,' une dés terminaisons de là paranoïa. "' ?
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ence serait,' à' son ' tour,' une dés terminaisons de là paranoïa. " ' ? ' 'G1. Deny. / ILXIII., DFLACONTAGION de la
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laits distincts : IL " - , . r . ? ['rt'r. r.%i| a.l il,. ? . 1 1 ' ' , - 1191 r ,f K 1° La folie imposée, .dans la
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St,FFIy "r1 DL < ··anOlrLy my .n tWJm>yn P. , faible que lui; ' M , ,. , . ... ? , ? » ? Il ., * sr, f Ii-t ? .
e que lui; ' M , ,. , . ... ? , ? » ? Il ., * sr, f Ii-t ? .1- 'O'I ' .1 'VJ I ,- . ? ,Olt ? ? . 2e La folie simultan
mmune/action incessante de J'alié-né*s-ür"l'iâdi,idà"s'aib,-eÉ. ''· ' La'contagion peut encore jouer un rôle d'a'ns"ë"r
1YT 'ERS l'époque de la. puberté par ? J ? WiGLEswonTH.(T/t6 tfJoM) ' ) ! < ! o/'<MeH<(t. Science ? juillet '
t ? «-;.. r 9t·ev ? mJi insrsvE 2sviarml29h rlojzdt f 9ur sldedmrt 1. ' ml-m, "On s'est-j habitué, sous, l'influence de
étiologie, ,rhéréditéi.était,bien, nette dans quatre i * - - * " o. ' U .ji-i~ j.,jV J«- ) 1-it.l ijj nette, aii ^ ca
arëlêvànt"d'uné syphilis acquise, avec gommé du'iobe'frontadroit ? " ' Cette dernière, observation;, surtout,, recueil
démence rendait très se de l'odorat; et, eût-on constaté l'anosmie, ' on l'eût attribuée bien' plutôt à l'extension d
les lésions destructives avaient atteint le *, ZD - 'l' ale'Pdes'r ' iiie7s'né'rveuses ; 3° L'association 'des mouve
,f7u9 insalot3 329 ts9» . ! " fut. f 11` 19 Yf Gb . t o ? .- 1., I- 1 ' t Paysanne de soixante-six ans, atteinte d abor
paissi, 'presen Le de nombreux 'et profonds*1 sillons' transversaux, ' disposés avec une cer- taine symétrie autour d'
, s HYPERTROPHIE du cuir chevelu ; par GeOfeSfF09' (1/ie Journal ' ? '" of Mental Science, octobre'1893.) ' ? b ? t
s HYPERTROPHIE du cuir chevelu ; par GeOfeSfF09' (1/ie Journal ' ? ' " of Mental Science, octobre'1893.) ' ? b ? t ? ,,
GeOfeSfF09' (1/ie Journal ' ? '" of Mental Science, octobre'1893.) ' ? b ? t ? ,,um ni) t'tftt/u aavf r92LüI' 'h C'e
C'est le résumé d'u'ne"observation d'hypertrophie du cuir chevelu, ' ^98 HEVUE9DE P ? THOLOGIE \IE\'f.LE. publiée par
ention sur'cette anomalie. · v"1. i ? 5U<J<110C> ,iU<tO ' · ·/ .· ? ,flrmtl nJ.lvjY1`ulr.1 R. : C. u . *
`ulr.1 R. : C. u . * ,sjnn fw f) ;ujp .ftijh h i. iJ il 'i ? i'«ii' ' , R., lI. C. , ' 9(J·,, )( -U.O'<M'" ' '' f'
. * ,sjnn fw f) ;ujp .ftijh h i. iJ il 'i ? i'«ii' ' , R., lI. C. , ' 9(J·,, )( -U.O'<M'" ' '' f'.i'f ai t ,Ur ii .,
jh h i. iJ il 'i ? i'«ii' ' , R., lI. C. , ' 9(J·,, )( -U.O'<M'" ' '' f'.i'f ai t ,Ur ii ., ' LAII1. I)EUS cas de
, R., lI. C. , ' 9(J·,, )( -U.O'<M'" ' '' f'.i'f ai t ,Ur ii ., ' LAII1. I)EUS cas de DÎ : VELOPPEfE\T 1\Oftu.lL
nce, octobre 1893.) , .m, r ,rv9tl.. ! v. > : 9Lfy·Uv.t . ri 1·, ' " if.t 'O , .Observation détaillée. des. deux fa
nal of Mental Science. u , , ^, , ,-f t, R. M. C. il. ? I 91 ? "ut' ' i't'' ' . O'Ut -ti N- J' ? ji. '' I ' ? ' t LXI
ental Science. u , , ^, , ,-f t, R. M. C. il. ? I 91 ? "ut' ' i't'' ' . O'Ut -ti N- J' ? ji. '' I ' ? ' t LXIX. Mélan
t, R. M. C. il. ? I 91 ? "ut' ' i't'' ' . O'Ut -ti N- J' ? ji. '' I ' ? ' t LXIX. Mélancolie aiguë ^tentative DE SUIC
. M. C. il. ? I 91 ? "ut' ' i't'' ' . O'Ut -ti N- J' ? ji. '' I ' ? ' t LXIX. Mélancolie aiguë ^tentative DE SUICIDE
,.0/ Mental 1 Scielzce, juillet 1893.), o1`·L, , ,3J ,-ta niiol v.. ' iM..i- . I.. * L'intérêt de cette observation
bservation réside surtout dans la durée du .temps pendant lequel un, ' corps étranger, te) qu'une aiguille, a pu séjou
colie aiguë, et il. s'agissait. d'une tentative de suicide. , - j ? ' - 1 ° i - -i - -<j , ii iv< . r R. M. C.i
C.i 'iv ,lt itip r',ifi8m cl et' Lilg(il 1, Je Içiur l'i iliq - ** ' I.». Quelques remarques nouvelles suit l'expres
xpression chez les ? ALIÉNÉ ? ;tpar/f John.3ÏURNER. (The JOMn ! a ? 0/ ' Mentait- Science, avril, 1893 : ) yri . " i ? 1
e JOMn ! a ? 0/' Mentait- Science, avril, 1893 : ) yri . " i ? 1 'M ' t au 3m..h iS1 - ' .. · i.U.rno 'a'il,lf;fe >
ntait- Science, avril, 1893 : ) yri . " i ? 1 'M ' t au 3m..h iS1 - ' .. · i.U.rno 'a'il,lf;fe > - v . ,. Ce tra
o,ul , ).. 1 1 ? R.jM.-C] «(-> - . REVUE IDE PATHOLOGIE MENTALE. ' 2911 1-- f I ' . -^ n ? t,nrlyu : é ll,>h$11
R.jM.-C] «(-> - . REVUE IDE PATHOLOGIE MENTALE. ' 2911 1-- f I ' . -^ n ? t,nrlyu : é ll,>h$11 Il ? -r > -r-
Ih SUR,··LIiS · ,. troubles mentaux;, par, l : dR'lt1 GOOD.1LL. (TL( ' JOLI)'7tCLl O% 11e721tL1 .i; Scie7tcc, avril 18
t par exemple les irritations cutanées ou.'les caustiques chimiques, ' 1)1-0- pose d'imiter la nature et de provoquer
pose d'imiter la nature et de provoquer chez les aliénés, dans un ' but curatif, ce qu'on1 pourrait appeler5dês phleg
s phlegmons Volontaires, au moyen de I*iiiioctio' , .1 .. 1 il .... ' des au moyen de rinjectioh''soùs-cutanée"dé' de
ions géné- raliSéeS-1 4' ;, d17, ? '.CI 1 j.) : ) ? fJ"t<.M'-C.7" ' ' H -1, v ,- ? ja'OT'T')' Vil 1J.1 ? J »/ " 'C
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lit ,· tAî i i v1t`fy 31 ''i ? i ( @détails-le typeFdel'lalparalyie ' £ ! éiiéraleea ! Ùli des changements universels
qui devient . aussi plus rare; <> ,... , ; ·, - ,Y . - · "sr, ' 3 , < .at.yjK'i ? '/ 1( . 2° Fréquence plus
plus rare; <> ,... , ; ·, - ,Y . - · "sr,' 3 , < .at.yjK'i ? ' / 1( . 2° Fréquence plus grande des'cas à démenc
cas où les maiiife5tations,pri- mitives.sont de iialure éiiiolive; ' '' ' 3°.Accroissement possible de'la proportion
les maiiife5tations,pri- mitives.sont de iialure éiiiolive; ' '' ' 3°.Accroissement possible de'la proportionnes sym
symptômes mélan- coliques par rapport aux symptômes' maniaques ? 1 ' " ' t' 1111-J;-J« - '1 io'.Uodiricatioiis dans 1
mptômes mélan- coliques par rapport aux symptômes' maniaques ? 1 '" ' t' 1111-J;-J« - '1 io'.Uodiricatioiis dans 1 l'
niostique de ces crises., t '' >>btJi* 't s/1"»»1 & 9'\ * ' 6"j Modifications simultanée' possible ! 'des'rad
onsécutives a^l'influenza; -par Julien "ulq mALTHAU&(r/t6,JoM ? ' ? ta< of Mental Science,, 'avril .1893.)a<i
à ceux qui en sont porteurs de out, bl e a-c'c'i e 'n'ts tertiaires ? ' 5° Quelle est la durée des psychoses consécutiv
7 ` p. 4 100, .rb àfil)l-I.J-Jfl 1 fll0 J9V,6 9fiW 2' 't 'ü(rY8 é,f1 ' 9 f Ul ? 1 't r * iiiuir. ? 4 si f, f((H ! i<
érieure d'une psychose ? Dans plus de la moitié'des cas (55', ? p : ' 100); 1 a- psycbose'â' succédé à uneinfluenzà rel
ritab)es'symptôn)es 'mentaux, n'ait8'' pas1,1 'durant de*'laps ? de ' temps'/ son( plein 'équilibré' ! in tellëctuel !
action* a été extrêmement' variable,1" quelquefois lïëltement'avan- ' ta^éûse ! *0 Jnrirr2robé·rq Ist s'd& JiB')t.q
EAIGUE èO'4SCUTI'E RUPTURE Du RECTUM<CAUSÉE 9' PAR UN LAVEMENT : ' = GUÉR1S0\;' par^A . -CV'BuTLER-ShïTHE ? - (TIlC
CUTI'E RUPTURE Du RECTUM<CAUSÉE 9' PAR UN LAVEMENT : '= GUÉR1S0\; ' par^A . -CV'BuTLER-ShïTHE ? - (TIlC Iti'q'Jozii
U ir.t·, s311r.cm Il. M ? C ? t- c"- . "ru u^q ? s t118 f- \0' -à'' ' (< j, , ` aIl6rtli7' v *' <> ' , LXXV
t- c"- . "ru u^q ? s t118 f- \0' -à'' ' (< j, , ` aIl6rtli7' v * ' <> ' , LXXV ? L' m Malais;' par V- : Gilü
"ru u^q ? s t118 f- \0' -à'' ' (< j, , ` aIl6rtli7' v *' <> ' , LXXV ? L' m Malais;' par V- : Gilüi'ore'I : L
-à'' ' (< j, , ` aIl6rtli7' v *' <> ' , LXXV ? L' m Malais; ' par V- : Gilüi'ore'I : Liis., (T/teyoM)')M/' ' ?
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s., (T/teyoM)')M/' ' ? ' of illenlal Science, juillet 1Sr33.)` " '' ? ' " '' j Le mot « Amok » est un mot malais qui-
n de la'race malaise pour l'alcool, sous n'im- t porte'quelle forme, ' exclut ici' toute- explication étiôlo; : ique'rel
ication étiôlo; : ique'rele-' ? vant de l'intoxication 'éthylique'. ' ? Il' admet'- toutefois' que,' en ? s'abandonna
vant de l'intoxication 'éthylique'. ' ? Il' admet'- toutefois' que, ' en ? s'abandonnant, comme il le fait souvent, s
s'abandonnant, comme il le fait souvent, sans ? aucune résistance ? ^ ' SOCIETES SAVANT Ea 19 -r 1 l'i q 301 et même
ure,, responsable des actes commis sous l'impulsion de cette fureur, ' absolument comme un homme qui, sachantique l'iv
s ordinaires de perversion sexuelle, on peut invo- quer l'influence ' d'une,, évolution . analogue, »sans avoir ^recour
nital. Ÿ ? "1 ? 1; -r, R- M. Cl. · ? : SOCOETESj;SAATES ? . , r - ' » ' SOCIÉTÉ^ MÉDIC0-PSYCH0L0f;iQUI'>un«T»,9«
al. Ÿ ? "1 ? 1; -r, R- M. Cl. · ? : SOCOETESj;SAATES ? . , r - '» ' SOCIÉTÉ^ MÉDIC0-PSYCH0L0f;iQUI'>un«T»,9« t S
e.s,t cepen- - datlt 10111 1111'e éplll3éa p.; ],.qv .()- li.z3 -bi ' ''f"1- , Ip^ur ? 304 SOCIÉTÉS SAVANTES. Au co
ce,mot la signification de simple affaiblissement intellectuel. Si, ' au contraire, l'école de l'Admissiôn' lui'donne
ltés, je ne saurais accepter une interprétation aussi radicale.1' ? ' · 9 ? " 6x s . Les adversaires du déliré chroni
ints du délire de persécution qui n'ont pas été étudiés à fond. 11, ' 9 c -il En dehors de la question du classement,
actes de'violence. · ? rtngs7q ? 'u»ol jao ,-siuai ? aq ast i'uo' ' v * ? n ? t- g ? tï ? " u....n. F -t.<rf&)
iais eu jusqu'à lâwieillèsse aucune ... , 4.,1`y ? . '11-3t, Il 1 - ' .- la ? " . t ? t ) idée de persécution, s imag
a' ménopause. 41lljilt.r) "™11 ? . , . - ,, `,iT 9 T1R(I" (1' ilT.F ' I , iW ·,<, I · y1 "9ri Y,t ? ^· Pour^ entre
une étude particulière sur, laquelle j'appelle ..votre attention.^. , ' · Une discussion. des Variétés du délire» de la
érés surgit avec soudaineté ? On'se -eroirait`souvent eh ! présence" ' d'un délire' chronique' dont' la ? première1pha
'agit'pour les'der- niers cas, auxquels 1.1-Falret'alfàit allusion,^ ' de véritables' délires' chroniques se développa
n terrain spécial' sur leqnel le) malade évolue'd'une façon' aiâuë. ' '"' ? 'f^'1 ? '' 1 ? q ,trr3VUU Yufq 9; Ja;,m A
terrain spécial' sur leqnel le) malade évolue'd'une façon' aiâuë. ' ' "' ? 'f^'1 ? '' 1 ? q ,trr3VUU Yufq 9; Ja;,m Arc
rrain spécial' sur leqnel le) malade évolue'd'une façon' aiâuë. ' '" ' ? 'f^'1 ? '' 1 ? q ,trr3VUU Yufq 9; Ja;,m Archi
a règle, il en existe d'autres , 0 . uu-'t1 . À um ,ai" -i' . til i ' 1 1, «7f-t<K '. évoluant rapidement qui form
idérée 1 Le'mnp's" êo 'm'me* immuable/dans ., ..s I '.»>.1, , --} ' ! ' ? <r ? < cao ? n) ? ? les derniers te
ée 1 Le'mnp's" êo 'm'me* immuable/dans ., ..s I '.»>.1, , --}' ! ' ? <r ? < cao ? n) ? ? les derniers temps
ur îa.'i` sémlite"du ? délifé,V.9',q 139 9lBllttt1 9 "" ? v 1 ni t, ' Ih ,t`1·W n`J1L rln' ? ''r ? s- : i .t ? <t.i
? v 1 ni t, ' Ih ,t`1·W n`J1L rln' ? ''r ? s- : i .t ? <t.i T ? ) ' - . ` De même qu a côte de la tuherculôse pulmo
De même qu a côte de la tuherculôse pulmonaire àmarc niais fatale, ' il existe une'tu b" ere ul6zeai;àë- de même à'ç
tance d'altérations marquées dans l'état des réflexes.10,1,- m>' ' ? *(, .. SOCIÉTÉS^ SAVANTES. (307 ? Vil.'Moins
ur" pronostique1 oui diagnostique 'dans les différentes périodes' : ' fb znszrihsq 89J .Q3))M&3 1, B. rC01ZCL21S2
B. rC01ZCL21S201tS du. deuxième groupeou conclusions générales pro- ' 'prément 'jîites.' " °I. Dans la, .0 paralysie r-
-- ,- ., r*,r 1..... f..a(l ? , .j'.t ? t. '.t ? );.f. h« p'M'i ,"» ' , z n'avons tenu, compte que des inégalités bi ?
. p. 1. 100, - i b, i - inigi algiiilqb pt z '' ? r ? ... ? ila ? ? ' 8bl'; n9 III. L'irrégularité pupillaire est pre
pupillaire.,Leimÿos7s est .deux fois plus "fréquent ..que la ? * 't"j ' 'Il 'ci) - ? jj j<''t ' t "tt.t' ? . ? tt-<
deux fois plus "fréquent ..que la ? * 't"j ' 'Il 'ci) - ? jj j<''t ' t "tt.t' ? . ? tt-</ myâdriasé,toüt erij ne
as.' a- J .- '- » 'ijiljjj, -'111 ^j«iAf i' t^SJ-'i ? fil j'm| dtt') ' 11 9rIV.tLe réflexes, tendineux sont altérés 8l
sque toujours aboli ou diminué ;, presque jamais, exagérés "i01 a : ' Le réflexe'palpébral est presque toujours conserv
yt'M. Gl'BALLET'6bjecte''que lai proportion, dui signe d'Argyll-Ro- ' bertson doit être plus fréqupnte'queineff'indique
ndiqué qu'à titre purement statistique..ri9Dèaa7q 29jeu1 gab fj6 LI ' 1- B- SOUSCRU'TfONtCMARCOTr 309 310' VARIAI
RU'TfONtCMARCOTr 309 310' VARIAI fflo4fi 0.6 2PI26 9aL scm z«oiv2 ' "for. "1- n··,ya "r < 1 [c, t , 1 Notre ami,
, t'tr) ! )Ibi9 adressela.iistedesouscnptionrecupnhepariLu : -. , 1 ' , - - - 1- w o u.uJUJthVUtU £ 10 14 191 11l 287
quatre asiles au moins étaient privés de médecins-adjoints'(Bassons, ' Dijon} Fains, Sainte- Ylie, près Dote), et l'on
1GOGIQOE DE l'idiotie; par le D'CI1. ELOY. - .... mdcn'ln2f 1j 4, ' M. Bourrieville publie, de temps en temps, d'n'6'
acher son, non ? . De plus/c'est une oeuvre originale, je tiens à,, ' . le 1. faire 1 r a le 1) e On, la doit û 1 initi
dire, ses tristesses et ses inconvénients. « .,} ? u0(,r, 91- 0h. , ' « C'est donc ? unéÿablijsemeytltde thérapeutiqu
ut't'intérêt que j'ai.inis à le parcourir. C'est1 une ''exploration^ ' instructive' qui'permet- de ! seJ rendre un'' -f
légitimés par cette définition que l'idiotie «.consiste dans un arrêt ' « dedéveloppement'congénitattou acquis ? des fa
qui- subsiste chez- ces enfants'». n'utilisera ces ressources même ' minimes pour le développement'de cé'qui est'à l
incipe fondamental qui est d'occuper le malade'à tous' les instants, ' depuis le. lever jusqu'au coucher,' et' de^ var
le malade'à tous' les instants,' depuis le. lever jusqu'au coucher, ' et' de^ varier les exercices. physiques,' hygiéni
e. lever jusqu'au coucher,' et' de^ varier les exercices. physiques, ' hygiéniques, intel- lectuels;'en prévenant l'oi
ectuels;'en prévenant l'oisiveté mais en évitant la' fatigue. r< . ' 3 z ' Questions de tact, de discernement; de bo
'en prévenant l'oisiveté mais en évitant la' fatigue. r< . ' 3 z ' Questions de tact, de discernement; de bon sens.'
8Îft9 ? F : 9J ril3 BLpL;CI : &ll9g 9<J'i«q b ! julq ? 0 . 'u. ' A.'quel'âge commence' le traitement ^.'Précocem
: soi : 'Itard et Voisin' l'avaient. bien'compris^celui-ci'Surtout, ' quand en 1834 il institua, fondation éphémère d
de l'opposition du pouce ? les échelles de, Pieliery, les ressorts, ' les bâtonnets, lies boules,, les planchettes, e
à celui qu'il.'procure dans le» Écoles de Bicêtre.et, mieux encore, ' dans les classes d'un Institut, sous l'zeil du
sous l'zeil du médecin et la direction de maîtres expérimentés. ! ( ; ' AVitry, comme à, Biéêtre, on commence pardonner
e l'attention par. la présentation de.véâélau,f·.t d'animaux variés, ' par des visites dans lesétahles ? lès,écuries,à;d
tion au travail dont chaque'enfant* est capable. " 4-109"J A-1 au ' ,la Ta suoiui aj u 8...KnJcT P341 CeteH<)'7f/
341 CeteH<)'7f/HC ? KeH( intellectuel se 'combine ? bien entendu, ' avec l'en- t vainement physique (gymnastique^'e
i Y mhn'l i-'nsjo» vaoh Jus3 Il 3TijBlnoiJ-iB 9m ? .'n&'<f) » ' an ef, 90/v i'0fnir<ï as 41fi. flO .nln4 roi
., f i*ui i .ttt)( : l'a'1)`lllbl Lll yLllllaZiJltG (rViJiii -'4 1 ' , 2fjr Concours de l'internat. -- 11 sera ouvert
rfrrtf Jû tiB'I na ? ? jv9li agi xuonlgg zvolb4siJSt l' .11--i Flio ' Extrait du Journal des Przsticiens,,lF,févrierl$9
ement* ou le bégaiement tiennent à uii7ai,rêt'de développement i de ' ]a< parole articulée, soit par troublé du dév
ivait1lt v-ictim"ë ? sê- penche sur'le-cadavre, le presse 'dans ses ' brW,rle*'serrè' sinisa pbitririepl tandis1 que la
lle l'embrassé 'sur lés ; joues et les lèvrés; luipârléà l'oreille. ' C'est après une'tutte violente seuleineilt'qu'on
série'de scaiidàles'qui'nécessitèrent son internement.' z' 1 'fl9l' ' 'Depuis cette'époqûé, cette malade a'été presque
s temps'ehe s'af- faiblit de'plus'en'plus et'meurt dans'le marasme. ' 1«d'ic' <V '1 ioq ? 6') 91Y19fiI-((rlil "lJ'
t;cOjp.<y ? <o/otMM,t8 ! )4).j';3-ttj.)p')q''}< r , E. B." j ' ' Il , C " f ? z -........ t. l 1,9qt , 1 fi",)
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. 1 a 'ft7 -tu'hijôfuJttjs' a ix CI .-a 'Pi'^Mi ? .,[ - ? n/i i^* ' ' ' CONGRÈS T)ES ALIliNISTESb : T'NEUItOLÔGISTES·
1 a 'ft7 -tu'hijôfuJttjs' a ix CI .-a 'Pi'^Mi ? .,[ - ? n/i i^* ' ' ' CONGRÈS T)ES ALIliNISTESb : T'NEUItOLÔGISTES·1D
a 'ft7 -tu'hijôfuJttjs' a ix CI .-a 'Pi'^Mi ? .,[ - ? n/i i^* ' ' ' CONGRÈS T)ES ALIliNISTESb : T'NEUItOLÔGISTES·1DE
énése dej Sàiule-119arie=de-l'Assomption , sis à Clérmont-Fei·ralid, ' %àvenue2dé'l'Obsérvatoire; 6 et' 10, 'et rue Sai
' " >rn' £ iv 9opil<inq9»nrfai ? .EÀ biiu nus vli II Ilnatr , ' {''jqtq a<n- Congrès pénitentiaire internatio
e Paris, un comité : cônsûltatif,permanent. * U s .- » r : ! )j ? f/ ' t .),i}n9ftî)aMj'icv6jt' ,é[3b ,»< M ">o.t
i» lit,l ? c \ ? C12) vb nOltfi1F<ï'VTa fil W">q 4<ril.lt.rG, ' ft"c ? t ' ''A'SISTA1CE°DESC.1LIÉN);S ? Suicide
\ ? C12) vb nOltfi1F<ï'VTa fil W">q 4<ril.lt.rG,' ft"c ? t ' ''A'SISTA1CE°DESC.1LIÉN);S ? Suicide' : Ce matin
s fin à ses 'jours en se tirant un coup' de revolver dans la bouche; ' la'ri)ort a été instantanée ? i : : V ? qui dor
dormait," a été réveillé par' la chute d'un corps sur le 'plancher, ' et's'est trouvé en 'présence du cadavre dé sa f
utxox. MOITAOI''nT33H lOVi- -UOI1 .JS\t00 ? wv ab 29ttSd`J'Ci> ' "<i< 01901"" iq.fTof, , 1 rlyhl) i &IN
collectionner dans les diverses formes psychopa- thiques; par le D' ' A)IIG.17.ZI1\I-(I,iU. sp. di fcez., t..TIX, fasc.
action du chlorure de calcium sur l'excitabilité nerveuse; par le D' ' Stéfani (Riv. sp. di fren., t. XIX, fasc. 4, 1893
c 1 S'r ,tcvst.u13nt1 - f fr 1 'Vt. y r. <\^ .(T ii '11 ? ? I" e» ' «'' r IV.CoHt6M<MM.rM ? d'MKenoM))ee : oa ?
M.rM ? d'MKenoM))ee : oa ? M de ? la sensib'ilitè cutanée; par le D' ' TAÙiB30NI1(Riv`, sp'di fren.^i'.XlX', fasc'.4Ï 18
encore dans'un'ne'fuMIq'u'e transitoire' ^«™«H t s ? ? i- .....Ui ' t' r·'.y,tiu : 70 dit 28af2ô 2311 2'19V.67 ai f9
, le DBoRRi (R.sp. dt/'t'en., t. XIV, fasc. 4, 4893). ,. 'I·(Il f)[ ' ? 6 ? c ? ·m .·, y.. c ? /iu' tt a 4-i YrU.r.Vh/
,* 29.(f1917a.'J9'fq 89l aup TlJilOifB 99r'9'Iq j»jj|q 9ll« vi ki 1» ' v'109[Î ,19 Il MAH3 .8- 1 RECTIFICATION Dans
: uilt59 * 'ttaï .cSvJSI;tSJ,9 9 9'SJS'fOtf'J S'b ffUt3 ? â TM'i ? , ' ? · fil ,/17 t ..sso°r'i 15 .a ? 'fi-H)f ? T n "'
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o/ conscious alt. - Brochuresin-8 ? çie 3t·tpages ? , Extrait du , ' Revient) o/'PA ! /s : o<ooy and Volume Exti z
du ,' Revient) o/'PA ! /s : o<ooy and Volume Exti z 4.q."i ;,^; ' -< ? ,Wt t» ,i ? i>>v, i ? »"" < <
Saint-Louis, 1891. 1-iepriîzt /)'on ! the Alienist and Neurologisl. ' ' ' 1 Norsnau (11.). - Dégénérescence. Tome I"
int-Louis, 1891. 1-iepriîzt /)'on ! the Alienist and Neurologisl. ' ' ' 1 Norsnau (11.). - Dégénérescence. Tome I" :
t-Louis, 1891. 1-iepriîzt /)'on ! the Alienist and Neurologisl. ' ' ' 1 Norsnau (11.). - Dégénérescence. Tome I" : Fi
ERBALES' CHEZ UNE PARALYTIQUE GÉNÉRALE; Par le D' PAUL SÉRIEUX, ' Médecin-adjoint à l'Asile d'aliénés de Villejuif
ves, gustatives. Etat de confusion hallucinatoire. Pneumonie. Mort. ' Autopsie. Encéphalite chronique insterstitielle
diqzies, à la troi- sième frontale et à la frontale interne.. '' '' ' ' Marie Petter..., âgée de trente-neuf ans, con
qzies, à la troi- sième frontale et à la frontale interne.. '' '' ' ' Marie Petter..., âgée de trente-neuf ans, conci
nfants : notre malade est la neuvième; un des enfants, grand buveur, ' est mort par acci- dent. Un neveu est mort à di
rands-parents. Il n'y aurait pas de suicidés dans la famille ( ? ). ' - ' ' Antécédents personnels.- Marie Petter...
s-parents. Il n'y aurait pas de suicidés dans la famille ( ? ). ' - ' ' Antécédents personnels.- Marie Petter... n'a
parents. Il n'y aurait pas de suicidés dans la famille ( ? ). ' - ' ' Antécédents personnels.- Marie Petter... n'a re
bille et court; à 8 heures du soir, chez des amis, hors de Paris. z ' ' ' , ' 'En avril/la malade manifeste des idées
lle et court; à 8 heures du soir, chez des amis, hors de Paris. z ' ' ' , ' 'En avril/la malade manifeste des idées m
e et court; à 8 heures du soir, chez des amis, hors de Paris. z ' ' ' , ' 'En avril/la malade manifeste des idées mél
court; à 8 heures du soir, chez des amis, hors de Paris. z ' ' ' , ' 'En avril/la malade manifeste des idées mélanco
air des bohémiens, le Président de la République, des bateaux dorés, ' des paillettes dorées. L'accès d'agitation provoq
hallucinations dure environ trois mois et par son intensité néces- ' sita, pendant un laps de temps prolongé, le maint
t, cassait des carreaux; elle fit plusieurs tentatives d'évasion. ? ' En octobre 1891, les hallucinations pénibles, l
sont omises, redoublées ou transposées. Le pouls est fréquent (120), ' le corps thyroïde est légue- rement plus dévelo
, n'est : .plusrégléedepuisj'son entrée. jrr. ^> af,4 t.j £ } sn ' a -aav.n np.tii3')...Mm ? ûq l-.fl' ? , La rémi
es, elle répond : « Je n'entends pas, les paroles, mais jeles " " d ' ' it'e -.tends daizs l'oreille,·çccrviezzt dans,
, elle répond : « Je n'entends pas, les paroles, mais jeles " " d ' ' it'e -.tends daizs l'oreille,·çccrviezzt dans, lc
de l'existeucë,d'Icullzeincatiorzs.nzotrices vei'6alcs : vfl r 4fd) ' Aie ^ ? )«> ; .2 : u7 ? t'ti ? y·y ? , Les e
des autres sens, et en particulier'd'hal- lucinations de l'ouïe ? ? ' ' - , il, J . ? , . .1 -1 ,, Iucinatiônsdel'ou
s autres sens, et en particulier'd'hal- lucinations de l'ouïe ? ? ' ' - , il, J . ? , . .1 -1 ,, Iucinatiônsdel'ou :
l'ouïe ? ? ' ' - , il, J . ? , . .1 -1 ,, Iucinatiônsdel'ou : e ? ? ' ' ? . ? ? ? ' - i 9119 - - t. s li - f ' ** "'
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Iucinatiônsdel'ou : e ? ? ' ' ? . ? ? ? ' - i 9119 - - t. s li - f ' ** "' ? '' '♦« .' 1., Pour décrire,. avec exact
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' : , lr : i.t ; no21SLlbp i ? ^ ? A'r. an;a Hf 1 ? w. '- . -» i , ; ' , , ' , D ? 1 ? .iiteiidez-vlousle son de la' v
, lr : i.t ; no21SLlbp i ? ^ ? A'r. an;a Hf 1 ? w. '- . -» i , ;' , , ' , D ? 1 ? .iiteiidez-vlousle son de la' voix da
i w .' , .*'-- ,- D. , Est-ce une,voix d'homme ou'de femme ? 'G 9.i ' zon >..nj -lt R ? Je n'entends 'rien' du tou
- le grincement de dents 'se produit avec une. intensité extrême. ' P ? mord parfois son drap pour empêcher le grince
'nier ne cesse que quelques minutes pour reprendre ensuite.' Ces ' phénomènes ne se sont manifestés que depuis son e
on la tutoie ou on la menace : « Mme P... ne sortira pas,1 etc.' » ' ' ' ' · ' " 29 mars. P ? grince des dents et pl
n la tutoie ou on la menace : « Mme P... ne sortira pas,1 etc.' » ' ' ' ' · ' " 29 mars. P ? grince des dents et pleu
la tutoie ou on la menace : « Mme P... ne sortira pas,1 etc.' » ' ' ' ' · ' " 29 mars. P ? grince des dents et pleure
tutoie ou on la menace : « Mme P... ne sortira pas,1 etc.' » ' ' ' ' · ' " 29 mars. P ? grince des dents et pleure :
oie ou on la menace : « Mme P... ne sortira pas,1 etc.' » ' ' ' ' · ' " 29 mars. P ? grince des dents et pleure : ell
29 mars. P ? grince des dents et pleure : elle 'ne peut empè- 326 ' . ,, ., , ? CLINIQUE- MENTALE....[.<-. , 1 , y
allu- cinations motrices.' Pouls : 96. i, ? ,· , i.t ? tsr7 sa ? 1· ' " 8 avril. Le grincement des dents dure toute la
pillaires paresseux. Parésie-des deuxcôtésidti corps. -Pouls : 88 ? ' 4e'' mai. P... a eu durant- cinq minutes une pe
r 1 1 "+r 'c ? v il">>< 3 mai. P ? est toujours déprimée : ' « J'entends crier daiis ma bouche que je ne sort
entends pas dans les oreilles ? 1' c'est mes'dents qui marchent.' » ' , -41 2e , ir4s t i>i D.' Que disent vos voix
marchent.' » ', -41 2e , ir4s t i>i D.' Que disent vos voix ? 8% ' ? n`' ' i. -><" sa' 9jF·tdF f r t'rw · te
ent.' » ', -41 2e , ir4s t i>i D.' Que disent vos voix ? 8%' ? n` ' ' i. -><" sa' 9jF·tdF f r t'rw · te R. ?
t.' » ', -41 2e , ir4s t i>i D.' Que disent vos voix ? 8%' ? n`' ' i. -><" sa' 9jF·tdF f r t'rw · te R. ? Je
-><" sa' 9jF·tdF f r t'rw · te R. ? Je" n'ai pas de 'voix : » ' P...- reste -un1 instant immobile, attentive, p
vos yeux à sont iuterlocu=I1 teur imaginaire ? a Je ne"savais rien; ' on m'y'a amenée : » Sur*1' notre demande,' elle
re ? a Je ne"savais rien;' on m'y'a amenée : » Sur*1' notre demande, ' elle 'déclare qu'on ne lui'conseille pas' de mour
mais qu'elle-même désire la m6rt ? )g 91 ? FI' >a f' T s^'-3*- M ' Au cours'de l'interrogatoire ? nous voyons se'r
ivv< -m n <r i , (r.3 4 ^ » ? >,+ D. Qu'ya-t-il ? ! 1 ir" ' ? i T n 1 . r.e`t di ' » «w R. On me dit : Mada
(r.3 4 ^ » ? >,+ D. Qu'ya-t-il ? ! 1 ir" ' ? i T n 1 . r.e`t di ' » «w R. On me dit : Madame P...;ne dites pas -d
ntuent. P... pleure « parce qu'on lui dit des choses épouvantables » ' ;~elle refuse, de s'alimenter' « on'lui défend d
drais bien-être morte, s'écrie-t-elle... c'est une souffrance ? 1 : ' on* me serre la-bouche d'une force ! on' me dit :
criminels ! ... Tout ce.qui, passe ici on l'entend »..4 t ,< jo ' * t.. r- mi. -3. ' t lf4 , , - . 20 juillet. Per
out ce.qui, passe ici on l'entend »..4 t ,< jo '* t.. r- mi. -3. ' t lf4 , , - . 20 juillet. Persistance,des idées
ient cette, réponse : « les médecins le savent bien.w. J;1 i - ? 1' ' , 1. 25 juillet. P ? s'accuse elle-même et fait
<em6)'e ? P.regarde , ? [ - 1 ? o ? , parle dans -H'iVseptembreJ ' P.; ? en' 1 air, puis' : c, On me parle ans les
ans'les'dents (les dents`viennent`d'êlré'sêéré'ês 'convulsivement) ; ' c'est 'une chose terrible.1 ? c'est Léotiiie 'qui
,6 eucn 8füt9t ? . < Jnaiu"r iup r ? i r amnt '.r,0f19C 17 ? -ff ' [ ·vny..norni.g(1" f t^t71· ·6r T1n Llc *17vâk ^
ce grincement de dents continuel, gui les empêche de g . .... u L 4 ' Il .1 . chez, d-e dormir. P... se souvientbien
plus au parloir, que son mari ne .viendra plus ta.voir) ? Vous êtes ' une crapule ! répond-elle ; qu'est-ce que je,vous
nts,. dit- elle, on me raconte des choses dans'-nies'dents. » 88 . * ' . ? 20. janvie·. - tt,Un , lui : a dit, dans..la,
«Parfois, ''pour empêcher'te grince- -ment, elle ? mord 'ses draps, ' ses' bras, 'ou sôulève`énergiquemei`t 1 avec so
]W'sen'sibilitélau"'niveau,'de la 'face et'de la langue; le contact, ' la piqûre soutpérçus aussi bien à `la'moitié dr
`la'moitié droite qu'à'la moitié gâuche'de cet'organè : Les sensa- ' tiens amères : sont également perçues ? ' Pas 'd'
e cet'organè : Les sensa- ' tiens amères : sont également perçues ? ' Pas 'd'engourdissement de "la langue. 'Pas' de
oix . 'dans la-boucher1» Légère excitation avec idées ambitieuses : ' '' ` ? i4 ? ëM ? L'excitation a augmenté et néces
t nécessite'le transfert du quartier des convalescentes au quartier ' ds's agitées.1 P ? frappe z sans cesse les autr
rdonnés." Insomnie persis- ? tante'nJn9 : r ai h r' ,fi r ? B"*i si1^ ' * r.' < ? il,'% . , ? 1 5 mars., Agitationéx
persis- ? tante'nJn9 : r ai h r' ,fi r ? B"*i si1^ ' * r.' < ? il, ' % . , ? 1 5 mars., Agitationéxtrême. Idées rdéli
e femme... je suis .m q.n<>ui»»tJ j ? njt ? )Ht)t ? f. t ! ? " ' : >^»ai ? j · .n )6 ! > - < * 330 1 -
)t ? f. t ! ? "' : >^»ai ? j · .n )6 ! > - < * 330 1 - 1 " ' CLINIQUE MENTALE.'^ j '·- *&' "Typ intellig
»ai ? j · .n )6 ! > - < * 330 1 - 1 " ' CLINIQUE MENTALE.'^ j ' ·- *&' "Typ intelligente... vous êtes mon fi
igente... vous êtes mon fils ? ^ et vous ma tante. ? , nous vivrons ? ' dans un autre mondei ? u4 't 3 : ovo oll*. Mn"n
o oll*. Mn"n es ? ana 9 . Puis P... se met successivement à chanter^ ' à. -prier,1 à'sanglotê'r,*^ à causer avec'son m
llucinations' · de l'ouïe (elle entend le bruit des orgies^que l'on ' 1 fait - à .'côté" d'elle, etc.),*de la vue (ba
eu ! «v ? ^.. n .lJr·9tn-t 6 mars. État de confusion hallucinatoire; ' hallucinations des l'ouïe : «Pourquoi crie-t-on
ec, hallucinations multiples, confusion, désorientation extrême : ,« ' ,Nous revenons,des ( lies..., nous sommes .en. c
11, avril. Même état d'agitation' : « Je suis arrivée à terre, mon ' · bateau est arrivé ? je recommande mon régimen
giment ! » tfi 3 -u- 3mai. = Aiort à la suite d'une pneumonie. " " " ' '' Autopsie (faite avec le concours de M. Tréne
le concours de M. Trénel, interne du service). 'Crâne' : résistant, ' paroi1 externe normale.' Cavité crânienne : la
ntimètre'd'épaisseur; elle est le - siège'd'une exbstose"en 1 nappe, ' 1 isse," plus'aecentuée au niveau de . la bosse
issures, se'décortiquent assez facilement sur la plus grande partie ' de l'hémisphère," il ' n'existe d'adhérences' qu'
t assez facilement sur la plus grande partie ' de l'hémisphère," il ' n'existe d'adhérences' qu'au niveau du,'lobe' f
rme, desj ? '6 ! HM/c[<tOHS}('peH ? Ha ! 'res. Hémisphère droit. ' 612 yrammes.. Sufiusions.sanguines au niveau de
). -Absence de lésions en foyer danslesdénxrhémisphères(fzÿ.-28) ? ; ' a w ? a. V\Vv~\ Mésocéphale.. 190^-grammes. ? G
le.. 190^-grammes. ? Granulations^ du plancher du 4wentricule : * V ' -< ? J ? < ? \ f L'examen histologique du
es corpuscules fortement colorés .par les couleurs d'aniline, homo- ! ' gènes d'aspect,. pouvant" atteindre J6 |-t,irf\ J
homo- ! ' gènes d'aspect,. pouvant" atteindre J6 |-t,irf\ J \ ? \ ) ' ? Lès- cellules^ étoiléeê "ou. céllulës~n5vrogliq
nds qui appartiennent.manifestement à des leucocytes mononucléaires; ' il s'agit là d'une invasion'de la7ééil-ul nerve
avec prédomi- nance au sommet du ! trianle ! pyramidal.'v m ,1" '' ' ? j "u&rr-m* xir f t ? <itB 1 ? ' '>
le ! pyramidal.'v m ,1" '' ' ? j "u&rr-m* xir f t ? <itB 1 ? ' '> ' 4. ^Réflexions ? .'Nous; ne, croyons'pa
amidal.'v m ,1" '' ' ? j "u&rr-m* xir f t ? <itB 1 ? ' '> ' 4. ^Réflexions ? .'Nous; ne, croyons'pas- devoi
éflexions ? .'Nous; ne, croyons'pas- devoir insister sur le - -'3d4 ' '- 1 1 ' ! j-r' clinique -mentale. '" "' '" * '7"
? .'Nous; ne, croyons'pas- devoir insister sur le - -'3d4 ' '- 1 1 ' ! j-r' clinique -mentale. '" "' '" * '7"' ? dia
devoir insister sur le - -'3d4 ' '- 1 1 ' ! j-r' clinique -mentale. ' " "' '" * '7"' ? diagnostic de paralysie général
ir insister sur le - -'3d4 ' '- 1 1 ' ! j-r' clinique -mentale. '" " ' '" * '7"' ? diagnostic de paralysie générale. L
insister sur le - -'3d4 ' '- 1 1 ' ! j-r' clinique -mentale. '" "' ' " * '7"' ? diagnostic de paralysie générale. L'h
r sur le - -'3d4 ' '- 1 1 ' ! j-r' clinique -mentale. '" "' '" * '7" ' ? diagnostic de paralysie générale. L'histoire
ALES. 335 jsf -ib "'u' r , 8. » ? i t »< -u ;m.*»/ .' >> ? ' t.. . "jj j ? ifTij« ! L. 'Hallucinations motri
. -^ Sous ce nom on désigner on le sait ? des hallucinations ver- ' baies d'une11 nature particulière, bien^décrites
11 nature particulière, bien^décrites par Baillarger "sous le nom d' ' hallucinations psychiques' : Tandis que lès hallu
lu- cinés'de l'ouïe entendent, 'avec une netteté qui 'entraîne la ' conviction, des voix sonores, retentissant à 'leu
avec "tous les caractères ? des'sensations'auditives normales, le ' patient- atteint" d'hallucinâtioiis motrices verb
' patient- atteint" d'hallucinâtioiis motrices verbales, parle de ' voix intérieures', 'secrètes , de'"voix sanssôn,
tte voix;cil déclaré' ne'pasl'énléndre dans lés'oréilles; mais"la ' sentir formulée* dans la*' bouche, la gorge,' la
pasl'énléndre dans lés'oréilles; mais"la ' sentir formulée* dans la* ' bouche, la gorge,' la poitrine : « Ce 'sont, di
lés'oréilles; mais"la ' sentir formulée* dans la*' bouche, la gorge, ' la poitrine : « Ce 'sont, dit-il; des voix inté
placée'' dans la poitrine, «articule tout intérieurement : » ? 1+ . ' t" , " ` i-, Baillarger avait bien' vu une des
au sens de l'ouïe et restaient bornées à l'intelligence' ! Eh réa- , ' lité, ces hallucinations, ainsi que l'a montré M.
dans le gosier, la' langue, qles lèvres; des sensations musculaires, ' tactiles," articulaires qui rsont les '.résidus
gage chez les' aliénés. Bibliotli. Clilrcot- Dcbovc 1892. j'fil - 1 ' " ? l ' " 1' ." 336 T3 s ? a 3 : CLINIQUE, ment
z les' aliénés. Bibliotli. Clilrcot- Dcbovc 1892. j'fil - 1 ' " ? l ' " 1' ." 336 T3 s ? a 3 : CLINIQUE, mentale.^ ,t
mentale.^ ,tJ T"· 5% 0 l'articulation des mots (écho, musculaire z ' ). L'hallucination motrice verbale, ou kinesthét
tions,. provoquées , par, les (mouvements, des j °j. w. ^ 1-'J-"1'' ' n 4 LI ? ; , . r par, V *i ? »*>,- >*<.
.pour'.le malade; oui des .7uu1· )WJ ..·aa·7t u a.· t·p ·.6/ ? .t. ' ? mouvements, réels, mais, toujours sans qu'auc
tr '1 9 iims ? ? ir<Ti f J-mboaq a ? 1 : v 69SlJcl ? 9 ! j ^O-S ? ) ' voir sur ce sujet .. . ... ^», , tlô-ii "* "^
Jules Soury ? s ? oHC'o ? M ducerveau. 2' édit. Paris; ''1892; , ».' ' .. .2.J. Soury/ Loc. cil., p.,370. « .x f ;i 1
892; , ».' ' .. .2.J. Soury/ Loc. cil., p.,370. « .x f ;i 1 1 'HO ? ' SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES.
s qu'elle avait dans la bouche lui répondaient dans l'oreille ».1 ' Cette app'ârltlo-nr'ét'èétte*pé2,sz*st'a'n'ce à'
s la 6ot<cAeJrépétait-eIle ? .\ je n'entends pas ''les' paroles , ' 'mais je'les comprends ? / on me chuchôtP ? n m
parle dans les dents Elle proteste énergiquement/ s'im- patiente-' ' - qu d - n 1 u i'de m à' n de si ellé'a'des c voi
st ni une' voix d'homme, ni une voix de femme. » En novembre' '1892; ' comierï6às"'I'i'nte-rro-,u>loiïs à' ce'sujet,
tùne " réponsé`très'significâtivé : 'Q Mme X a des vÔii7»" dit-elle, ' en' nous montrant,, une 'malade en'proie'à des
,, une 'malade en'proie'à des hallucinations de l'ouïe très actives, ' mais moi je n'ai pas deü-vôix'D ? Je'saisq biér
and j'étais folle" (dans lés premiers'mois de son' séjour à l'asile, ' laJmalade a; ew'effet, éu°dês' hallûéinàtions''de
: - moi : ? ôrï' mê prësse sur les dents, ''on me parle là dedans ! ' » Cette répugnance des iujets' attei'nted'hal- l
es' à se servir du mot i voix » a déjà été signalée par Baillarger, ' "qui fait remarquer que cer- tains de ces' hallu
1 disent-ils, 'le mot 'voix, que faute d'un autre plus convenable.' ' " `` '' ' " " ' ' Les hallucinations motrices v
ls, 'le mot 'voix, que faute d'un autre plus convenable.' ' " `` '' ' " " ' ' Les hallucinations motrices verbales so
e mot 'voix, que faute d'un autre plus convenable.' ' " `` '' ' " " ' ' Les hallucinations motrices verbales sont loc
mot 'voix, que faute d'un autre plus convenable.' ' " `` '' ' " " ' ' Les hallucinations motrices verbales sont local
souvent c'est1 lan gorgé',EJles -lévres (sensations' musculaires et ' ^autres éÎÎiâ'éè-s'd'à larynx, de la bouche); ce
tête, Yépigastre, la poitrine, Y estomac, ''< 7- ? 1 · 1 'fl ? ] ' " H 1,r-· r i J ' le <aH/ : ra<7 ? Ke, le
la poitrine, Y estomac, ''< 7- ? 1 · 1 'fl ? ]'" H 1,r-· r i J ' le <aH/ : ra<7 ? Ke, le t;en< ? 'e, ,le
ions, singulières au premier abord, du siège, des^ hallucinations ' * motrices verbales,"s'expliquent par ce fait que
rs.. ? ,- . nç mnv, « enHm -1 w<<\.<t"< : )"\ v M ? M)S\ ' 9 ,. 1 . « Les'deux phénomènes musculaires, (ex
l'é- core ? dans, des zones di;stinetes,j maislfonçtionnellement ' réunies et'anatomiquement associées entre elles p
on, ^tantôt des : grincelnents,dedents..tl u 1,. , ? y ? y',· * 'i6'b ' ">; : , . \ \ 6^ n,1; a* ? ï» ? i *tt ? tr ?
'i6'b '">; : , . \ \ 6^ n,1; a* ? ï» ? i *tt ? tr ? p y jtGrt ' ' Paul Rangé : 'M ! ' les cenlres'syclco-moteus'd
i6'b '">; : , . \ \ 6^ n,1; a* ? ï» ? i *tt ? tr ? p y jtGrt ' ' Paul Rangé : 'M ! ' les cenlres'syclco-moteus'dçl
\ \ 6^ n,1; a* ? ï» ? i *tt ? tr ? p y jtGrt ' ' Paul Rangé : 'M ! ' les cenlres'syclco-moteus'dçla-parole"arli- cul
SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. '339 111'Lt. `i· t· ' a.. 11' 1 ? 1 v V . bt * " ? ' 'II. ;jdsociCtûK
OTRICES VERBALES. '339 111'Lt. `i· t·' a.. 11' 1 ? 1 v V . bt * " ? ' 'II. ;jdsociCtûK.es aMCa'o)tsmo'tcese ? '6s'e&l
urs ? z j. ,* i t . j ., ...- ? '- , . z u, ? ? i», i t.«»\3«-c t* ' 1· · r» "; \nr-~. *1 ,1 "*«.' 1 - Si 1 existenc
s établissait passagèrement un certain degré de 12,isnlus. L'in- ' tensité''des' mouvements' de' latéralité (ptérygo
vivement. Nous n'avons jamais pu constater dé trismus pro- longé, ' ni dè'spasmaé glôssô-labié. ' '-I' /a' ' '-r ? J
is pu constater dé trismus pro- longé,' ni dè'spasmaé glôssô-labié. ' '-I' /a' ' '-r ? J ? 11 Ajoutons', 'i que, ? ce
ater dé trismus pro- longé,' ni dè'spasmaé glôssô-labié. ' '-I' /a' ' '-r ? J ? 11 Ajoutons', 'i que, ? ces J contrac
-" " ? `Le phénomène le plus intéressant est sans'contredit l'asso- ' ciation étroite des troubles hallucinatoires fdu"
simultanés et lorsque l'hallucination motrice verbale se produisait, ' on pouvaitl percevoir par le toucher les'contrac-
qu'elle les interrogeait, ses'masséters : se 'contractaient7 simul- ' tanément. La malade trâduisaitrcefait dans son la
on dans les dents. On me serre les dents, on me parle là dedans. » ^ ' >\ ' ''--- > > -*v %, - - ? 340 81jms
les dents. On me serre les dents, on me parle là dedans. » ^' >\ ' ''--- > > -*v %, - - ? 340 81jms : ) Zt"C
erbales et des spasmes des, muscles^ masticateurs est.,1 un.fii qui, ' bien. qu'exceptionnel, ! est dd même, ordre- que
choire inférieurejentrerit,eneffet én; jeudans.`le,langage articulé ' (élévationet, abaissement, cle,la mâchoireinférieu
onner de'les voir fonctionner synergiquement à l'état, pathologique, ' [;puis- qu'ils sont en rapports^intimes et neces
? savaitlire et écrire," qu'elle'n'avait-pas,- au dire de sa soeur, ' l'habitude ! de'1 parler seules En -la' faisant l
ssée, ou mord une serviette ; elle 's'est`même mordu les bràs°) t ? ' B Stl L'association de spasmes dès muscles innc
mé- diait en plaçant son mouchoir entre les i arcades' dentaires ? ) ' p Souvent le grincement de"diits'très accentué
elques balbutiements. ! Il sl't' f t tls2flsl·acT s uô Ja9mom un 'l ' " -t IL, 3f'\o'J 4 ;,Cliristian. Epilepsie, foli
iristian. Epilepsie, folie épileplique. lliasson, 1890, p. 67.IV ? , ' llayle. Traité des maladies du cerveau et; doses
/TsifÎOf2Cfi if ? n.mr.fn- ~ ;-> ! . 41 .>-v.-« "'>'> i ' $'6eenig.-Ueber passagère Sprciclastorungeu bei po
f3-159.' Berlin 1892. 342* · * · > ? ? CLINIQUE MENTALE. "\" Il - ' iet, ^ -3 s'agit d'épilepsie"corticale, portant
? ,aux,à,,Ia) premièrepériodeovr en, rémission, en, ? >". O, .te - ' . ? itv- ? «>▼ (T ^< ! (thI- · ? yffhb2 Asû
arhürb 1890 : Aüal. in Allô : Zeüsch : f.'Psych.' 1891. ., c < i ' - ,\ --i* '" ,A ? -<> s wmj*»o "· -, 4 Ob
: Aüal. in Allô : Zeüsch : f.'Psych.' 1891. ., c < i ' - ,\ --i* ' " ,A ? -<> s wmj*»o "· -, 4 Obersteiner. I
. Des hallucinations dans la paralysie générale. Thèse Pari", 1881. ' ' 4 .1, ' .3 -9· ,,v-r, s . ,, . ", SUR UN CAS
Des hallucinations dans la paralysie générale. Thèse Pari", 1881. ' ' 4 .1, ' .3 -9· ,,v-r, s . ,, . ", SUR UN CAS D'
ucinations dans la paralysie générale. Thèse Pari", 1881. ' ' 4 .1, ' .3 -9· ,,v-r, s . ,, . ", SUR UN CAS D'HALLUCIN
les ne semblent pas enchaîner au même, point la,. conviction du. ni ' 1 " "qui le'dise'ute-*et lS'I ? sidè « ' ' ' 1 "
int la,. conviction du. ni ' 1 " "qui le'dise'ute-*et lS'I ? sidè « ' ' ' 1 " f * commendes malade qui les discute"'e
t la,. conviction du. ni ' 1 " "qui le'dise'ute-*et lS'I ? sidè « ' ' ' 1 " f * commendes malade qui les discute"'et.
la,. conviction du. ni ' 1 " "qui le'dise'ute-*et lS'I ? sidè « ' ' ' 1 " f * commendes malade qui les discute"'et. I
hiques).7 *>t> t'.hjq : 'lovjsr . : rif ? alyr 8"- i>t> " ' t->" fV'ft il ? 1F,1'F ? ii ? >0 r···f lt
ire péndânt,plus'd;un, an, lucidité inte)iectue]Ie assez' conservée; ' pendant toute cette- époque hallucinations psychi
dans son cerveau Idées de grandeur. t - rï ,t<s ? \TttCIC'c. ^- ' ? iv» -<*-n"rf~ .1 v-'ii ci-- .rrft(. ' ..<
rï ,t<s ? \TttCIC'c. ^-' ? iv» -<*-n"rf~ .1 v-'ii ci-- .rrft(. ' ..< ) Observation XV. Aucours d'un accès .a
l'ouïe se manifestent; on lui conseille de ne' plus manger; il'recon= ' naît bien que personne n'est là pour lui tenir
os de la-fréquence1 des hallucinations'dans la' démence paralytique, ' qu'il faut distinguer de celles-ci'les liai-' l
, c'étaient', des refrains de chansonnettes qui le'poursuivaient ? " ' C'est, 'disait-il ! comme si, ces voix' me vena
<> ? - t. `. i \* T "'y ,» '31 \îi""i.. t.- i - . , ->> ' . ' MendeLD : ep ? 'oyrMS : ue.Pa ! 'aM<'7 ?
t; ? - t. `. i \* T "'y ,» '31 \îi""i.. t.- i - . , ->> ' . ' MendeLD : ep ? 'oyrMS : ue.Pa ! 'aM<'7 ? 't'ëK
s tracé;rajoïlte3M : 'Mëndë)'d'ha)lucinationsl.Pour nous.'il s'agit^ ' à" n'en' "pas"'ddutèr,rd'ônomatomahié1Fompli ? ;i
xamen`microscopique (tnémnwo-enéé- · " , - · . ? % Il 'Pl," w4tt .. ' r n : a 4 1 phalite, ulcérations"de la substanc
phalite, ulcérations"de la substance corticale, granulaionsde . 41 ' , .. > ? > ....,...., . 1 t 1....,·1 ? 7 t
gt; ? > ....,...., . 1 t 1....,·1 ? 7 t l'épendyme ventriculaire) ' et par ceux de l'exameiiMiistologique (lésion d
s, symptômes exception- 'I i l i* ? "'->' , .14, ? ff ? -r tu 1. ' .1 ? l.e4 14 nels de la paralysie générale (aph
ns encore t' ) ! 4·r . p··· t4 r» . a-t .. v . vit. j .i.i-iï 1 4r1 ' \^(IHI'T 11T1 M( 1-1 e-il peu étendues, et dont
lé : ces auteurs pensaient, on le sait, que le grincé- .i ? - - i 1" ' r(l'IrrVn ')' 7 ' *< 1î ? l*i" " ? j-1,fi ? K
eurs pensaient, on le sait, que le grincé- .i ? - - i 1"' r(l'IrrVn ' )' 7 ' *< 1î ? l*i" " ? j-1,fi ? K ' 0 , ment
rs pensaient, on le sait, que le grincé- .i ? - - i 1"' r(l'IrrVn ') ' 7 ' *< 1î ? l*i" " ? j-1,fi ? K ' 0 , ment d
ensaient, on le sait, que le grincé- .i ? - - i 1"' r(l'IrrVn ')' 7 ' *< 1î ? l*i" " ? j-1,fi ? K ' 0 , ment des d
cé- .i ? - - i 1"' r(l'IrrVn ')' 7 ' *< 1î ? l*i" " ? j-1,fi ? K ' 0 , ment des dentsctenait a une lésion 'des cen
s adhérences des 3fTf·'ci....aàr ? r (B-«ni«io« G9fruLfl auaucj ! ' '·". r ;rj ·'Tt·.' f··r ',BTtqh .t ! ·tI21"If 2.3
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vil., p. 11 r. g : llal;nan ? rcrDëW `réas - daizs la pa' talysi ? ' i-a ' . (S' -Ir, , ! Magnan." Kena; cas d'aphasie
p. 11 r. g : llal;nan ? rcrDëW `réas - daizs la pa' talysi ? ' i-a ' . (S' -Ir, , ! Magnan." Kena; cas d'aphasie dans
giques qui les unissent. i ... ? ;>', »> n fmr J,;i ? ci-n0 ! ' -i -V- ? om " > ' peut être considérée comme
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a es, e plus partieu-, hérémént'à' lâ jiârtiè' inféiezië le 'de " " ' lièrement pi inférieure de ',\la* frontale asce
nt'à' lâ jiârtiè' inféiezië le 'de " " ' lièrement pi inférieure de ' ,\la* frontale ascendante. « L est, dit Ferrier,
ÿlvlûs ; Beevor et Horslev le localisent dans la "H ? 1 ? -, ," t ? ' ^l iHva. -n "1., OU.... ,-«> ! , r ''' partie
onfirment ces données expérimen- tales e5'Rappel ons Drievement 1 e" ' f ait e (convulr sions des muscles masticateurs
ré- brales : (lrcJa. de Neurologie, 188.) ? st AsSUa c ? > .s1 - ' ''"' i j Ferrier ? 1« « The,Croonianleclures »
brales : (lrcJa. de Neurologie, 188.) ? st AsSUa c ? > .s1 - ' ''" ' i j Ferrier ? 1« « The,Croonianleclures » sur (
eur de la circnvolütiôn,cèntralélântériëüi'é'étdü, pied de'F2 et FI) ' ? de Langer2 (aphasie avec trismus intense, " 1
c trismus intense, " 1 -1 'K.lMUl 0 , ? I, - . , 0. ;d, 11-1 < t ' s , ". ....Irtl ' MÛ suivis de paralysie des mu
" 1 -1 'K.lMUl 0 , ? I, - . , 0. ;d, 11-1 < t ' s , ". ....Irtl ' MÛ suivis de paralysie des muscles masticateurs
euf de pigeon sous-jacent à la substance grise de l'insula et , , . ' ,) ? TH'\ .. '' -" i.ipl 'ruL,.f4tJ7' J ! du pie
(trismus isolé, durant quatre jours, , suivi, d'attaques tétanie ' Hirt. Localisation du centre cortical des muscles
ez l'homme. Rev. Ilayem, t. XXXII, p., 11 i. z ", . V ... ,w ;0-v ' Langer. Des paralys. des muscles de la masticatio
cérébrales en foyer. Wien. med. Wochensch. ,.1886 (cité par Boix). ' . ? - " " lep .. z ' Ferrier. - De la localisat
ien. med. Wochensch. ,.1886 (cité par Boix). ' . ? - " " lep .. z ' Ferrier. - De la localisation des maladies cérébr
CAS D'FIALLUCINATIONST\IOTR1CES VERBALES. 347 formes ? aùtopsieÏ : ' semis de tubercules'au'niveau'dés circon-' " vo
ici tend'à confirmer cette * localisation ? n·'u'ritt, ^Kho^viio u " ' ,t't 0`) : '3 L, tr ? f ? ))"<) n, ,9t>f io
? f ? ))"<) n, ,9t>f ion 3>ri.<"il -ir, ftt <n. ..3, , ' r. , ff *- t * Ajoutons, puisque nous sommes am
demontrative'à à notré avis, què ce centre cortical 'était'' - ? P« ' - ; Mo ins excitable q ue 1 e' u res.'En'ré'ali
s excitable q ue 1 e' u res.'En'ré'alité, le centre moteu> ? 'du' * ' q, ? ? . , ,, ". ,, trijumeau' parait très se
ver-tio',e.)épil4é'ptiqiie do"n't"ils constituent' souvent lés' ., ' a .. seuls troubles moteurs' dans la paralysie
ignalé à i apparition du ttnsmiis comme signe précurseur de l accès ' l'apparition, du,12,zsmiis comme sione précurse
ccès ' l'apparition, du,12,zsmiis comme sione précurseur de 1 accès ' "*r - ' >' )il' , 1.1 ïyiptôm, si provoqué,
'apparition, du,12,zsmiis comme sione précurseur de 1 accès ' "*r - ' >' )il' , 1.1 ïyiptôm, si provoqué, 1 convul
sie ? absinthique expérimentale, dans les lésions circonscrites' du ' « "- - ' ' E ? ' ' '1'-% 'à - ? - e ' 'A' est p
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thique expérimentale, dans les lésions circonscrites' du ' « "- - ' ' E ? ' ' '1'-% 'à - ? - e ' 'A' est parfois un des
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xpérimentale, dans les lésions circonscrites' du ' « "- - ' ' E ? ' ' '1'-% 'à - ? - e ' 'A' est parfois un des premi
les lésions circonscrites' du ' « "- - ' ' E ? ' ' '1'-% 'à - ? - e ' 'A' est parfois un des premiers à`` réââir : so
intoxications d'origine infectieuse (toxine du tétanos,1 toxine de ' la" tuberculose) z cette prétendue 'excitabilit
s'de' " .Luciani et Tamburini'césjauteurs'ont observé que le centre ' ` des mouvements' des lèvres et des mâchoires é
le'. (Révt(è'-de médecine, 1893,' p.413 ! ) ? A -vMMr ->- i>' ' - s ... « j<- -, > . ' ' Legrain ? Élude
93,' p.413 ! ) ? A -vMMr ->- i>' ' - s ... « j<- -, > . ' ' Legrain ? Élude sur les poisons de' l'intelli
p.413 ! ) ? A -vMMr ->- i>' ' - s ... « j<- -, > . ' ' Legrain ? Élude sur les poisons de' l'intelligenc
sur les poisons de' l'intelligence. (Annal médic. psych., 1891-92.) ' " ' Potain. SMuMCMd'Mre'mM.MHa. de méd. scientif
les poisons de' l'intelligence. (Annal médic. psych., 1891-92.) '" ' Potain. SMuMCMd'Mre'mM.MHa. de méd. scientifiqu
mM.MHa. de méd. scientifiqui iel pra- tique, 19 juillet 1893.) " - " ' -1 * >'< 4 " * 348 ' ' ' 1 CL 1 NIQUE MEN
iel pra- tique, 19 juillet 1893.) " - "' -1 * >'< 4 " * 348 ' ' ' 1 CL 1 NIQUE MENTALE. 1 , "' "<rob table
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aires dont ils sont 1 origine 1. ** ^ xI'rr ? it' t.n ''t7'j' ,t2 : ' ! »> iôf<..>' -T'O'nf. 'v ' b.1«) firto«
xI'rr ? it' t.n ''t7'j' ,t2 : ' ! »> iôf<..>' -T'O'nf. 'v ' b.1«) firto«7,r)^+a.- 1 -,4 ? 1 4Îy,·'1 ? vE·EJ
- lrf, -u*'t't3&"ab ? à'j) - ? .' I ? - I : tatsw délirants. , " ' < ,, t " -Oui*" -31'' ' t ? ry rtia«->h =
) - ? .' I ? - I : tatsw délirants. , "' < ,, t " -Oui*" -31'' ' t ? ry rtia«->h =)3 lïOlJy»i3jJiTi"'l/fc ? *i
rsécution qui dura plusieurs mois, 1 Boix. - Loc. cit., p. 433-434. ' r-8t ? 1()'T, SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS, MOTR
croyait victime.'Les interprétations de ? ses 'sensations anormales, ' les réactions provoquées par les' hallucination
ations anormales,' les réactions provoquées par les' hallucinations, ' l'attitude,1 le langage' même de5 la- mala'de"'
les' hallucinations,' l'attitude,1 le langage' même de5 la- mala'de" ' furent "ceux 'dès 'délirants chro-~ niques; des
cité/disait- elle, 'c'est* le1 téléphone"1' qui parle dansma'bouche; ' )''et elle entamait un`dialogiieanimé avec ses p
t un`dialogiieanimé avec ses persécuteurs/ silencieuse et attentive; ' tandis que'se' produisait * l'hallucination motri
s fin à''ses tourments", iecs'o'v ° " r r"1 ? à7 ? t ig an.t4c\ C a ' L'existence''chez notre malade'1' au cours^d'une'
^d'une' rémission, d'idées de; : persécution avec' técidance`s'àTlà` ' systématisation' doit faire'- rapproéherjnotre'
sesvdernièrés leçons cliniques, M. Magnan a montré, en effet" qu'au ' "début de la' paralysie générale et" pendant' le
ntes reprises dérailler, tantôt sur un piano, tantôt dans un bateau ' « ça marche, » dit-elle avec conviction); elle cro
cinations au cours d'une période de rémission, à l'état de symptôme ' isolé, sans association d'autres troubles hallu
endances à la systématisation. Accès mélan- coliques secondaires. - ' ' e) A l'autopsie, lésions de méningo-encéphali
dances à la systématisation. Accès mélan- coliques secondaires. - ' ' e) A l'autopsie, lésions de méningo-encéphalite
cès délirants que l'on peut ren- contrer dans la paralysie générale ' : les uns greffés sur la dé- 1 Voir sur ce suje
igu des Allemands (lallzscénatozischez Wahnsinn, Para- noïa acula). ' ' ' ` HISTOIRE. ET, CRITIQUE - - * BARBE BUVÉ
u des Allemands (lallzscénatozischez Wahnsinn, Para- noïa acula). ' ' ' ` HISTOIRE. ET, CRITIQUE - - * BARBE BUVÉE
des Allemands (lallzscénatozischez Wahnsinn, Para- noïa acula). ' ' ' ` HISTOIRE. ET, CRITIQUE - - * BARBE BUVÉE
llucinées, ont rendues tristement célèbres ceux d'Aix et de Loudun. ' " Pour avoir eu un dénouement infiniment moins
officialité;, n'eût-été l'intervention 'du par- lemènt"dê Bourgogne, ' aurait reléguée à perpétuité dans ses cachots.
pouvaient manquer d'éclater, tantôt à l'ouest, tantôt à l'est. , ; ' ' z .1 ? .... , ,, -.Toutefois n'omettons pas d
ouvaient manquer d'éclater, tantôt à l'ouest, tantôt à l'est. , ; ' ' z .1 ? .... , ,, -.Toutefois n'omettons pas de
ister t l'hystérie ? malgré les.voiles nombreux tt dont9 elle était) ' sciemment (ou- inconsciemment entouréearr<&l
umentée ? Au'surplus,'le public spécial auquel nous- nous adressons ' : ne ;peut ? ignorer ? que 'notretoeuvre- n'est-p
onne : Elles demeurèrent sur la.place,-puis dans la rue aux Febvres ' , où elles commencèrent la construction d'un mon
tion d'un monastère en r6.15 : .na9` - . a : ",D ? ^ ^,0 ? 0, vit ? ' al's^ 31 £ r.*\>i* 31J0L 9Û ? ff&7' iL'
t àcet égard que se livrera de pures conjectures; Quoiqu'il en soit, ' la rentrée de soeur Buvée au;couvent : d'Auxonn
onne(présenta quelques=diffi- cultés.vElle avait négligé ? en effet, ' de 1 solliciter l'autorisation préalablede l'Ar
use 51011Dij'ilatioD sf 7.IS9anecizmo. ailltc uo .' aivd3 Fers au-' ' ' 1 La livre tournois était de 20 sous à l'époq
e 51011Dij'ilatioD sf 7.IS9anecizmo. ailltc uo .' aivd3 Fers au-' ' ' 1 La livre tournois était de 20 sous à l'époque
religiéùse; "son-pàrti dans la communauté étant le plns faiblé. 'li ' - ° ? )i «T ? ·91 ? communauté étant le plus fa
sulines. La, même année, un ayant surgi entre lui et la soeur Buvée, ' celle-ci porta plainte à l'Archevêque de Besanç
uvriers ». , 1 . f ? ? u) ? J' tu >j*»\l ? i>i\"j : -.1' ? i - ' Ce jugement fut exécute,, mais la,procédure( ec
e, laquelle,.il <fut rendu, étant toujours restée . '' ? '. ^ Jl ' ? t< t U- ' 1., i : 1 It secrète, et aucune'
<fut rendu, étant toujours restée . '' ? '. ^ Jl ' ? t< t U- ' 1., i : 1 It secrète, et aucune' religieuse n'a
une atmosphère de défiance qui rendait sa situation particulière- ' X ' , t l<*r - X ,I,ZJ *l .nIJ *) ' *t.J 1 IJ-
atmosphère de défiance qui rendait sa situation particulière- ' X ' , t l<*r - X ,I,ZJ *l .nIJ *) ' *t.J 1 IJ-J X
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J ment délicaty et.difficilejau milieu., de ses, compagnes. Si - - ' - ' J''j. 5 - -1 1 n : i|.I ? iul .tCfC.- 1 E ?
ment délicaty et.difficilejau milieu., de ses, compagnes. Si - -' - ' J''j. 5 - -1 1 n : i|.I ? iul .tCfC.- 1 E ? mai
ellerie,, de "magie, de possession'démoniaque, m.. M It - $4t . ..u ' iwm.. , Il' .. ' d'influence*de malins esprits,
ie, de possession'démoniaque, m.. M It - $4t . ..u ' iwm.. , Il' .. ' d'influence*de malins esprits, -a 1 imprégnatio
fluence*de malins esprits, -a 1 imprégnation, desquelles .. " ,. '. ' pi ? .' gn .. ? ? l'esprit des religieuses d'un
iniquités empruntées aux idées régnantes. , ...... ? q £ J <' ' Sans doute la dernière sorcière brûlée l'avait ét
l'avait été à Dôle, en 1607, après avoir été accusée et convaincue] ' d'avoir, «en : - it....t ? 1, » f> , : . B
nuée de grêle qui ravagea .v - . , . le territoire de son village ' » ; mais si, la Justice ne se mon- trait plus a
gme surnaturelle : C'est ainsi qu'en "1644, le 23^ juin, une grêle ' '/Jlllljl, : ·.Ir, (11 -1 .-1 ? 1 , M"- "- Tl .r
me surnaturelle : C'est ainsi qu'en "1644, le 23^ juin, une grêle ' ' /Jlllljl, : ·.Ir, (11 -1 .-1 ? 1 , M"- "- Tl .r ,.
de dix-sept ans, se disant alors prophète et "lit 1L ? t ? u1r -m, - ' ., r ? , 2,v ? · 1 e., /. capable de reconnaîtr
de personnes' qui furent appréhen- dées parades paysans,, baignées " ' et assommées ensuite sur l'eau. Sur les* mêmes"
rs Bèrbis;et LFég6ux,trquif*âvec lé siéürlllillotet, avocat général, ' s'étant acheminés' sur les' parleur présence la
, et la-sévérité des 'peineset dés châtiments qui' en'furent 'faits, ' arrêtèrent les ' désordres'et T'établirent la's
s 'peineset dés châtiments qui' en'furent 'faits,' arrêtèrent les ' désordres'et T'établirent la'sûreté.dans la, camp
rent les ' désordres'et T'établirent la'sûreté.dans la, campagne) ? ' 1 ' Cette peinture" decrétat*"des espritsT si'
les ' désordres'et T'établirent la'sûreté.dans la, campagne) ? ' 1 ' Cette peinture" decrétat*"des espritsT si' effr
yante * qu'elle nous paraisse aujourd'hui* est cependant absolument ' qu'elle nous paraisse aujourd'hui,' est cependa
d'hui* est cependant absolument ' qu'elle nous paraisse aujourd'hui, ' est cependant absolument authen- tique, et il e
tant plus'nécessaire 'de faire cette constatation°'dès maintenant ? ' que cet' état gé- néral des e'spi its' fut' ün`
a'nature à la tJS Nd2WI 3fc tay j"> 3fi -i; -llytjt ? 1 -t - · » ' . 11Y` ' 'tlf ? 1 . ,n" '- j' fii ? ^-rr ? tr i
la tJS Nd2WI 3fc tay j"> 3fi -i; -llytjt ? 1 -t - · » ' . 11Y` ' 'tlf ? 1 . ,n" '- j' fii ? ^-rr ? tr ii ! . . r-
Si la victime surnageait, elle était jugée réellement sorcière. , ? ' 3 Manuscrit fonds français, n° 18695, fol. 149.
r656 ? le`sieureArnônltqui était' confesseuridu'5 couvent d'Auxonne* ' ayant^été"1 désigné i pour ^desservir laatcur'éld
Dame^et pour ! confesseur /extraordinaire 'Jean-Baptiste» Pelletier, ' ) tous deuxâgésde yingt-sèptià vingt-huitans : l
itôt' fort : assidus'idans les par- loirs de la communauté où leurs, ' conversations-.a,ec lesreli3 gieus-es ? se [mul
noib Y Du nombre^ de ces religieuses était la soeur, Marie Borthon' ' dite du Saint-Sacrement ? qui) demeura; plus ta
d'abord·- une ireligieuse âg$e,;du nom de9 soeunrJeanne;·Jan = non, ' pour, observer; les faits et gestesjdu sieur. Pel
e.,i,7t ? HJ * Manuscrit fonds français, no 18696, folio 127. B. N. ' ) ' ' Une des soeurs du curé Borthon. · Manus
,7t ? HJ * Manuscrit fonds français, no 18696, folio 127. B. N. ' ) ' ' Une des soeurs du curé Borthon. · Manuscrit
? HJ * Manuscrit fonds français, no 18696, folio 127. B. N. ' ) ' ' Une des soeurs du curé Borthon. · Manuscritfond
anuscritfondsfrançaisloc. cit ? p ? 6ç ? riz 0% 2"^"î Zuno31mtrml : i ' 3uyB.ltBE.BUVGC ? r . 359 eux, sa note) criti
à3 M. de n4esmay,;vicaireg énéral de l'Archevêché de : Besançon qui, ' ayant examiné le tout.avec soin,, ordonna 'j'au
me con- fesseur extraordinaire.') ! ! ]; 5 ma l m.·1 .i ax5 . - - ' : Peu après le;renvoi : de Nouvelet du : couvent,
er à,l'exorcism-e.,Le père Chifilet,l jésuite,17'ayant été consulté, ' fut derl'avis des^trois premiers et qu'il, fall
emiers et qu'il, fallait emprisonner le. dit'Nouvelet «.'Pour- quoi; ' hélas,5 l'avis unanime de ces personnes éclairées
ze jours avant Pàques.2. »,S-iq £ ^'uo\ y,ctwrS ! , . 'o-i^'-A .- - ' (5 ? f ? n j-.f ? 3 jjjpjqwe Lia ru" f )9 S~* II
onctions'. Tout d'àbôrd, il répandit le bruit qu'il était tourmenté, ' "pendant'qu'il avait la conduite spirituelle de
la suite. < l ? rh4 ri pf. b .. * Nous» avons dit,plus haut que ' Marie Borthon, ayant été exorcisée par le père
rthon mourut d'une hernie étranglée;'mais comme on le connaissait ' ? i 14 sy ' ! i ri 1<. ! l ? ir -l<j} ;.j I
ut d'une hernie étranglée;'mais comme on le connaissait ' ? i 14 sy ' ! i ri 1<. ! l ? ir -l<j} ;.j IL ! ' o·L ?
connaissait ' ? i 14 sy ' ! i ri 1<. ! l ? ir -l<j} ;.j IL ! ' o·L ? at ? y1 .' Marie Borthon. p ? >* -j*,
-l<j} ;.j IL ! ' o·L ? at ? y1 .' Marie Borthon. p ? >* -j*, ' 8')" ' et,- >l 1- .ctJ9. ? . * Manuscrit fon
j} ;.j IL ! ' o·L ? at ? y1 .' Marie Borthon. p ? >* -j*, ' 8')" ' et,- >l 1- .ctJ9. ? . * Manuscrit fonds fran
dont il' avait gardé le double. en laissant l'original au' couvent, ' il consentit à tout. Quelques jours après le'dé
eux qu'ils paraissent ? mt ms ru usez. .tc, 15 >> .53ra toi : ' s`c' 1 1 trQuinze-jôurs. aprés la,fêtede Pâques
céder sans prendre conseil- et sans appeler ni médecins ni parents. ' ? ' ^i ' Jf ' .« Dès le. premier exorcisme qu'i
r sans prendre conseil- et sans appeler ni médecins ni parents. ' ? ' ^i ' Jf ' .« Dès le. premier exorcisme qu'ils f
s prendre conseil- et sans appeler ni médecins ni parents. ' ? ' ^i ' Jf ' .« Dès le. premier exorcisme qu'ils firent
ndre conseil- et sans appeler ni médecins ni parents. ' ? ' ^i ' Jf ' .« Dès le. premier exorcisme qu'ils firent,' ce
parents. ' ? ' ^i ' Jf ' .« Dès le. premier exorcisme qu'ils firent, ' cette fille ou les démons qui l'agitaient diren
, Marie-Borthon.,et. ses .nouveaux exorcistes . .1 ? b1 ? .7 j Ui- - ' ? ; ·· 1·JUtf51 0 o cnQ >C.l 1. 1' prétendir
es fautes vénielles ne donnant pas - ? , -, nu J1J 'i.i..y jr 11 n- ' '1111f11 f ifl 'Y11 .-ri` ) matière a confessio
dés,penséés d'impiétéét°dé ? blâsphème -ii ? i ic i-i 1 1())11 '1 * ' \". Iflv ! 't i f ·1rv -t .1J if1 frr'tfr' 'rfr"-
ft, pour lesquelles ceux-ci jugeaient 1 exorcisme nécessaire. Les ' t' . - ·.r J : Jm. W ... W : 711W n ..·ylm -, 'IK
mières qui tombèrent dans cet état moral les unes après .v i '. 1*5 ' ^ii I-1--1 ~llf .y' rrt.pfh l.frrt f -.n ^ ? riei
furent les plus intelligentes et 1 exorcisme fut tri '' 1 m tiW Wn` ' i-·n 9.n,f W ,; i b 1-,ï T^9r); ^ rrrn y9W , ap
gieuses Joly, Piron, tannin, Françoise et V r`JL nlt J1.llb/lJll. 1 ' -rfl l'1 -1 191f{K>i ') ·'1 t ( Humberte Bor
n, Françoise et V r`JL nlt J1.llb/lJll. 1 ' -rfl l'1 -1 191f{K>i ' ) ·'1 t ( Humberte Borthon, soeurs de Marie, les
é rqûittèi`jlârëliiôn;'tô'us9césphéno- v trrri 1- f *f.c*n. < ? , ' . ' ? ... ? 7. ...'...,,... ? ,. menés étaient
ûittèi`jlârëliiôn;'tô'us9césphéno- v trrri 1- f *f.c*n. < ? ,' . ' ? ... ? 7. ...'...,,... ? ,. menés étaient rega
éntes dë pôssëssiôn. Aûssi le nombre des''réfigiënses -solàls'-an't ' -'e 'd '-1 s'augmenta des' noms de Marie de Lar
Anne Mol, Elisâbétli Nic6la ? Lazare Arnier,p6ur Si ! Sl3 .5\J i ' Manuscrit, fonds; français," n;> 18696, folio.
nds; français," n;> 18696, folio.r3o;loc. ci -t., B. -N., xt,5h .3 ' ' Loc. ci ? même folio, B. N. t OfIO4 ,F3g '4'
français," n;> 18696, folio.r3o;loc. ci -t., B. -N., xt,5h .3 ' ' Loc. ci ? même folio, B. N. t OfIO4 ,F3g '4' 4bno
.3 ' ' Loc. ci ? même folio, B. N. t OfIO4 ,F3g '4' 4bnol tsy2ra;M ' aa,BARBB BUVEE P™*1 363 arriver à un total dé
' aa,BARBB BUVEE P™*1 363 arriver à un total dé quinze personnes ' Il y en'avait bien, parmi elles, qui'i ? ev6ula
les net niâng'éroiéntj'ét ne dormiroientique-par , son commandement ' » . Quelques-unes ont avoue qu'elles eprou- vâi
édées. Il n est pas sans importance de faire remarquer'ici que n1 ' - 1",...r. ry , ...,. - Ir9r, ·- t.atr ? E.. ? z
- 1 )yy n Tth ? succès al égard de quelques-unes d entre elles. J t ' " r' Le ressentiment contre lui fut pousse bient
u monastère était libre a r .< ira ji r.J7 n7., i înlr -< t ) ' t n ? ï ? f ? ? Ti-ntl toutes les heures de la
outes les heures de la nuit et du jour pour 'e'ii'e"tle'r»-êt,-N6ù9 ' , .71W c ? 7·W . ' ., Jlt. : l1· '1 ,1 f ' LW , "
e la nuit et du jour pour 'e'ii'e"tle'r»-êt,-N6ù9 ', .71W c ? 7·W . ' ., Jlt. : l1· '1 ,1 f ' LW , " ,° "' .. '' vele
r 'e'ii'e"tle'r»-êt,-N6ù9 ', .71W c ? 7·W . ' ., Jlt. : l1· '1 ,1 f ' LW , " ,° "' .. '' velet, qui avaient fini par.
'r»-êt,-N6ù9 ', .71W c ? 7·W . ' ., Jlt. : l1· '1 ,1 f ' LW , " ,° " ' .. '' velet, qui avaient fini par.s'adjoindre`l
.. '' velet, qui avaient fini par.s'adjoindre`lés nommes Bretin, ' : fr rl ! ' .') W f ' ' ' 1'tf .4 f,tIt 1- " ff.
et, qui avaient fini par.s'adjoindre`lés nommes Bretin, ' : fr rl ! ' .') W f ' ' ' 1'tf .4 f,tIt 1- " ff. v(v f'rrr.\
aient fini par.s'adjoindre`lés nommes Bretin, ' : fr rl ! ' .') W f ' ' ' 1'tf .4 f,tIt 1- " ff. v(v f'rrr.\ 1 Denizo
ent fini par.s'adjoindre`lés nommes Bretin, ' : fr rl ! ' .') W f ' ' ' 1'tf .4 f,tIt 1- " ff. v(v f'rrr.\ 1 Denizot
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gollier3. Ils exorcisaient dans des cham- ut>r,s.r, rlu , -LVm , ' 11. yr·m·'·- rrrTt7r,m.m,m=vrmt t- bres, « dans
ls exorcisaient dans des cham- ut>r,s.r, rlu , -LVm , ' 11. yr·m· ' ·- rrrTt7r,m.m,m=vrmt t- bres, « dans le lit, to
possible,, il fallait " i ? jui. *.lc^ ? U - - -> J. J ? .u P, 3» ' .\ l'ii leur remettre en mains la conduite de l
-j t-b aïle-noi1} ninnsj ü ? rir ? «fjnnEiBj "A. 9f-bM 9b ,mn, -. ' , Manuscrit fondsfrançais, ny8GgG, folio 130. ^j*/
taient si fort abbé Terrestre..Ils eurent gain de cause. ? j t5 f i ' .- r1'7t1 "cU<j3r ? 5 'L-j ? i-'Kc... '<
los, auxquels se montrait .surtout. assidu t, . - .- ? ? 'jt.t 'ill ' I` ? 4' ' '. le jeune abbé Bretin qui, ordonné
els se montrait .surtout. assidu t, . - .- ? ? 'jt.t 'ill ' I` ? 4' ' '. le jeune abbé Bretin qui, ordonné prêtre dep
'avoir guéry des hernyes, qu'ils leur ont fait rentrer" des' boyaux" ' qui 'leur*1 sortoiént' par la matrice; qu'en'un
qu'en'un moment ils ont guéry les blessures que les sorciers leur ' avoiént 'faict" à" laTrriatrice">' qu'ils r le
i'pai-°la''coilféssiôn;"ârresté des pertes de sang par l'eorcisrrie, ' =faict``céssér désenffùrès de ventre causées par
par l'eau ben -611eq-ù'ils'leû'r'fo-nt'a'v*aler.1»-,# ^^ : ,rlJ, ` ' « -Trois annoncent sans déguisement avoir souffer
lorées. Cinq disent qu'elles ont sôuffert°des" actiôns des sorci(is, ' de magiciens 'ei' des démons' que la pudeur leu
n arrièreestantà genoux, et d'avoir touché la' terre de la testé ? » ' " 71 ? i'· ·r9 t`· i 'r.TL « Qu'elles ont obéi a
au commandement mental quircorisiste en ce que leur ayant commandé, ' 'dans le secret de leurs pen- ' Manuscrit fonds
ste en ce que leur ayant commandé,' 'dans le secret de leurs pen- ' Manuscrit fonds français, n° 18696, folio 132. v'
de leurs pen- ' Manuscrit fonds français, n° 18696, folio 132. v''r ' .- ? · BARBE BUVÉE. 365 ? t.i- : i* i>t ? &l
a pas plustot obligées d'aller proche d'eux que le commandement.1'; ' 30 'u ? n3,î J *" *»'>> ^ '" « ? * -.+( r
che d'eux que le commandement.1'; ' 30 'u ? n3,î J *" *»'>> ^ ' " « ? * -.+( r-v rro i- 'V-- # - {^ *< ? -.«"
« ? * -.+( r-v rro i- 'V-- # - {^ *< ? -.«" ^irtr ! £ *>Rin-» ' ,t/Y' « Qu'elles leur ont prédict le futur, sav
..) il-il . ? 1 1 A1'. rtt ? \tt ? '-n rl . J. , . 3 j 1, ? t'* n 1 ' « Qu'elles ont dit des choses qui s'estoient pass
elles ont dit des choses qui s'estoient passées hors de - r i ai ït ' *' 3 ni' vtt i*-»*i i ^ **i M«* ' ' r ? . leur.
les ont dit des choses qui s'estoient passées hors de - r i ai ït '* ' 3 ni' vtt i*-»*i i ^ **i M«* ' ' r ? . leur. pr
toient passées hors de - r i ai ït '*' 3 ni' vtt i*-»*i i ^ **i M«* ' ' r ? . leur. présence, .savoir ce qui s'estoit
ient passées hors de - r i ai ït '*' 3 ni' vtt i*-»*i i ^ **i M«* ' ' r ? . leur. présence, .savoir ce qui s'estoit f
aient en de petits gâteaux composez de cire, de graisse et de terre, ' des marques de délivrance de quelques °. 11 /;
obligé d'en venir à 1, exorcisme et de les continuer. ., , , , il ' -t.' 1 i.' j l-i - ' ' U« ii 'i-' 1111 ! IU1 -1J-
1, exorcisme et de les continuer. ., , , , il ' -t.' 1 i.' j l-i - ' ' U« ii 'i-' 1111 ! IU1 -1J-' I * i.i.i I tir .
, exorcisme et de les continuer. ., , , , il ' -t.' 1 i.' j l-i - ' ' U« ii 'i-' 1111 ! IU1 -1J-' I * i.i.i I tir . L
qui les , visitaient- la nuit dès le commencement de 1658.. ,. ,. , ' 1 1 . · -u ? 't-' . ' j ? ' 1 11 ! J-J -lil T
la nuit dès le commencement de 1658.. ,. ,. ,' 1 1 . · -u ? 't-' . ' j ? ' 1 11 ! J-J -lil Tous ,c es exorcismes aux
it dès le commencement de 1658.. ,. ,. ,' 1 1 . · -u ? 't-' . ' j ? ' 1 11 ! J-J -lil Tous ,c es exorcismes auxquels
t remarqué'dans l'église une inconnue^" lat'désignà'immédiàterh'ent ' comme -'sorcière ? ' Il se inconnue; la ! désig
ise une inconnue^" lat'désignà'immédiàterh'ent ' comme -'sorcière ? ' Il se inconnue; la ! désigna ni a comme''sorciè
-'sorcière ? ' Il se inconnue; la ! désigna ni a comme''sorcière ? ' II se trouva f que' c'était' Vrié^'pauvrè* pays
II se trouva f que' c'était' Vrié^'pauvrè* paysanne1 dê5F6uchér'ans ' appelée Emilande ? Lefils,1rqui,'5 âprè's'râvôi
t honnête condition qui lui avait refuse 1 au- .. ? 7 ? n, -l ? ( ? ' '<.nrrr) ? 1 nxt " mone, elle feignit, que l
, - a .. , , -O.R, "C, Jlll. -1(1' J ^'V H ? J .,1 JI11 ? > ? l.( ' ·rt ? -» ' '.Il V y couchèrent pendant quinze j
, , -O.R, "C, Jlll. -1(1' J ^'V H ? J .,1 JI11 ? > ? l.(' ·rt ? -» ' '.Il V y couchèrent pendant quinze jours, y por
ict en', cestè maison ; pendant la nuict on lui donnbit de l'encens ' », et tout le temps^qu'elle demeura dans la mai
e vin . I ··T F.i r·7j,r· ? W (,),i'.< ? b , < ffjc ? ? 7.v U" ' pour chaque repas ».' F . , f. ,^ ? 1 ;T'Jel';t
eot un signe, même1 douteux, de possession, cette fille fut nean- ' .. 1. . me outeux, - .r , .1. , 1 toi ? r 1 lez
iriê Bourgeot fut en cette occasion l'instrument docile de Nouvelet; ' et qu'elle répéta ainsi, en public, les "propos q
e ne pas s'étonner du soin qu'il .. ..( ! - , jf·if 1 E > 1 1 ij ' " -l'-M -H>1> ilf ? ,W i " . 1 Manuscrit f
io 167. B. N. loc. cit. 1 H., loc. cil. e ,t -Ci tr ? jii1 > . ' BARBE BUVÉE ? 369 prend de cette femme, car c'e
xonne jusqu'à trois fois, par ordre des'magistrats de la ville. t ' i ? x. ? , 1 L i ? j ? .. 1"% - y j3,a' Des que
exorcismes la défiance qui l'entourait n'avait fait que s'accroître, ' car soeur Buvée ayant observé fort exactement c
? .... It t i . I 4nu, ;rr REVUE D'ANATOMIE ET ,-DE PHYSIOLOGIE " ' ? a· . " Zatitau' 9 : ni 89Q'.a 1 . P, PÂTI-IOL
.t, i . ., rAirKJLUtjUJUiib ? jh ? 9 j- I - i .11-* ? < ! <* ' ) vli hf ? ft'f ? f'ahj) I n·r ·w LI. SUR la for
e Journal of Mental Science, avril et juillet 1893.) ^^"^j ? ^, (J , ' ' On sait que deux théories ont été proposées p
Journal of Mental Science, avril et juillet 1893.) ^^"^j ? ^, (J ,' ' On sait que deux théories ont été proposées pour1
rapidement'pour arriver'à' l'exposition de la troisième- · théorie, ' qui lui est propre ? ^ - '«* ' 'q - ? o ? a ' -
l'exposition de la troisième- · théorie,' qui lui est propre ? ^ - ' «* ' 'q - ? o ? a ' - ' Il expose tout d'abord q
xposition de la troisième- · théorie,' qui lui est propre ? ^ - '«* ' 'q - ? o ? a ' - ' Il expose tout d'abord que,
troisième- · théorie,' qui lui est propre ? ^ - '«* ' 'q - ? o ? a ' - ' Il expose tout d'abord que, pour Iui{'']a c
ième- · théorie,' qui lui est propre ? ^ - '«* ' 'q - ? o ? a ' - ' Il expose tout d'abord que, pour Iui{'']a cause p
qué sont les vieillards et les paralytiques généraux, chez lesquels, ' on le sait,'les troubles vaso-moteurs du cervea
sait,'les troubles vaso-moteurs du cerveau- sont très accentués. - ' j > ' - En présence d'un spasme1 vasculaire
s troubles vaso-moteurs du cerveau- sont très accentués. - ' j > ' - En présence d'un spasme1 vasculaire brusque,'
centués. - ' j > ' - En présence d'un spasme1 vasculaire brusque, ' le- cerveau anémié quitte par rétraction la par
se ? et'quiontprôbablément pour'effet de'provoqner' l'engor- gêment, ' quelquefois1 même la' rupture des vaisseaux super
ure des vaisseaux superficiels, ''principalement des^grosses veines, ' de la pie-mère et' de'l'arach- noïde.1 Le premi
rlŸJï09 - '1' ,ist4' t ? wLtsmE Juoa xur.n(qz ta /ciindèiy.o- ,X[t3" ' )&n -snobioa j...'1.Voii\danS;^e,|tome;IX,(p
. un mémoire très important, où sont -résumées aussi les,-idéés D` ' l3ruiïet surile inênè syj bt;9 I eLrF ; auov·t3n
veau et très original; nous ne 1 1 I 11- itiH-i..1. ,|...r . ,. - ? ' - - -. pouvons pas malheureusement reproduire,
nt 1 auteur expose sa théorie : , d ? tr.9' i'iW W;m : r· l.,m^ 1 , ' -,» ? ». «i ? «ris i^-tt 10,1axe, cérébro-spina
t 10,1axe, cérébro-spinai.est un. centre thermique statique et un ' " " * " "1" ' l' - " ' ' " d'* '* " "d ' » " s
érébro-spinai.est un. centre thermique statique et un ' " " * " "1" ' l' - " ' ' " d'* '* " "d ' » " s moteur^ hydrau
inai.est un. centre thermique statique et un ' " " * " "1" ' l' - " ' ' " d'* '* " "d ' » " s moteur^ hydraulique; il
ai.est un. centre thermique statique et un ' " " * " "1" ' l' - " ' ' " d'* '* " "d ' » " s moteur^ hydraulique; il,
n. centre thermique statique et un ' " " * " "1" ' l' - " ' ' " d'* ' * " "d ' » " s moteur^ hydraulique; il, est le^
e thermique statique et un ' " " * " "1" ' l' - " ' ' " d'* '* " "d ' » " s moteur^ hydraulique; il, est le^ grand re
de lésion; mais il est très 374 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE ' PATHOLOGIQUES. >'" . ,%. 1 ( -9 , ... .rln r
traies ou périphériques, provoquera une véritable cessation d'aeti- ' vite, fait que l'on peut démontrer soit d'une faç
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 375 OUU ? Oliauu » « tir- ,*J i,- , ? - ' tion pour la réception des vibrations venues de
. Il'y a là une véritable autonomie physique ? - · ? ? . "t) .. z ' f7ffDânsyéÿttë'tlTéôrie; les ganglions sont des c
onstitnéntvién`deait' à · élre' foiictiôâüellëment anéantie par une ' maladie ou une lésion'directe.La décussation nerv
erdre'leur équilibre de com- pensationf"1 ? eyy·r ? i et^3 " ™'ïa " ' - '4 . pensâtiôn. ar9yr4f,rrr <-fj 1'* 4 ? P
n ; c'est une com- . i . >k4 . -.1 . li If « l ii- -t- b i,n i.. ' / r ' , . , ^bustion, statique; l'autre; la com
est une com- . i . >k4 . -.1 . li If « l ii- -t- b i,n i.. ' / r ' , . , ^bustion, statique; l'autre; la combustio
tique; l'autre; la combustion, plus énereique, des L u·iU J4f ! l70 ' <' 4 · U 9 h ? ? * muscles et des autres org
lente combustion centrale,11 qui là inaintient au niveau utile, et) ' qui, règle son activité en réglant' l'apport sang
nguin et, par là, l'oxygène, qui'est soii' élément de soutien : : z ' ' ? L'auteur' passeu'ensuiteuaux applications ^de
uin et, par là, l'oxygène, qui'est soii' élément de soutien : : z ' ' ? L'auteur' passeu'ensuiteuaux applications ^de'
ie nerveuses : ici encore nous traduisons' peu près textuellement.' ' " tr ' ! ·,m · af 1 *1 " I" ]0- < Il le, . '
veuses : ici encore nous traduisons' peu près textuellement.' '" tr ' ! ·,m · af 1 *1 " I" ]0- < Il le, . ' ActiOI
près textuellement.' '" tr ' ! ·,m · af 1 *1 " I" ]0- < Il le, . ' ActiOI2 réflexe ? Cette, théorie fournit une expl
t, dans le muscle ou les muscles. que, ces nerfs animent. 376 REVUE ' D'ANATOMIE'' ET " DE' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES :
vie. ! |aa»«-.a.»i un 9u'E e »-uu - ? j.j.j.ii 0 ., .j^oiiig »,i ai* ' y < tpiï}f>l» ! »iil ano'tp^niboT' -OQ' t
, .j^oiiig »,i ai*' y < tpiï}f>l» ! »iil ano'tp^niboT' -OQ' t ' il/amé. Celte même, théorie, explique logiquement
d'une condensation- très'accüsée,'de'slu- 'p'eur'et 'd'épuisement ? ' Souvent 'renouvelée; l'action : 'de« l'alcool R
Dr J DAGON>Jx. JfT ? tI40 2flT ! '1fi''f9trrj9 , a9tw^ Nf 4t^"4 ' * -) ? 9t ? t- . 4 -,r.-)<.f. - . Dans un int
uczek1 eut' constaté' dans la paralysie générale^la disparition des ' lïb'res'liérveûës'à'tiiyélüiê"dé l'écoréé'cérébrâ
laquelle "se rattaché MI Dâôtiet;` apr8s ses propres' recherches; à ' savoir-'quë la' lésion primitive," le 'point' de
les lésions des vaisseaux, des cellules-nerveûsessont`secondaires : ' ·I;es'travaux récents con- . firment, tous, l'op
ritifs se font d'une manière - défectueuse. { *«,-» '.9'\j ? uaosM.\ ' L'expression anatomique de la prédisposition in
ales médico-psychologiques, décembre 1893.) E. B. · ·7TA1( ? . 7 y· ' (T Ijl)b rI· J ? ! JA .ILI1 : 1 z HJ.· ? (tEVUC7DE
ENTA'LE ? ` 1 ... 1" w. . - , , 't'<JL'<.'t.7t'Ji'L- jbt' ' I,LYXII. UTOSIAT1SSIE'AMBULATOIILE;Tpar le DSE5LE
3ret . - ,(.r " . tep2t. t, 1t92ar,I a ? ae ..all .`= t 21== Psi : ' L'automatisme ambulatoire se présente sous des as
versation', quelques pas en avant et tout rentre dans l'ordre.. , - ' ? Tantôt, c'est une marche rapide, sans, but ap
.q u- - - . i, r.' . LXXVIIID CONefHIBUTIONA4 L'liCUDE CLINIQUE'-DE ' L.1 KLLe*Pfom),NIE; -1UT 'Ji> mi .t : ju £ 1
E CLINIQUE'-DE ' L.1 KLLe*Pfom),NIE; -1UT 'Ji> mi .t : ju £ 1 -" ' , "1 t\c n " ~ "' ' LACHAUX. : .1 11 t 11 1 -1.
.1 KLLe*Pfom),NIE; -1UT 'Ji> mi .t : ju £ 1 -" ' , "1 t\c n " ~ " ' ' LACHAUX. : .1 11 t 11 1 -1. 'lUr ·3r.3V ! -u
KLLe*Pfom),NIE; -1UT 'Ji> mi .t : ju £ 1 -" ' , "1 t\c n " ~ "' ' LACHAUX. : .1 11 t 11 1 -1. 'lUr ·3r.3V ! -u '4
-1. 'lUr ·3r.3V ! -u '4'p"a'r les D1S BOISSIER'8t ... . L'ACIIAU'X. ' .n rz . '1 r Il-'y -. î ! '' i '' -se ? 1 ri9 ?
accompli, la honte 'et le'repentir lorsque l'accès a disparu. ? * - ' Si En présence dé' pareilles malades, le médeci
sychologiques; 1894.) . - E. BLIN. *}\ ? 0a~ -*. )t"31)...ZH 'u y ! ' ? ',»' f- I - j, ..1. . 28. 21, rn ip on ? {, ?
ologiques; 1894.) . - E. BLIN. *}\ ? 0a~ -*. )t"31)...ZH 'u y ! ' ? ' ,»' f- I - j, ..1. . 28. 21, rn ip on ? {, ? '-s
giques; 1894.) . - E. BLIN. *}\ ? 0a~ -*. )t"31)...ZH 'u y ! ' ? ',» ' f- I - j, ..1. . 28. 21, rn ip on ? {, ? '-s' .
- - ? LXXIX. Delà peptonurie chez les ALIÉNÉS; par M. CAIL'LER. · " ' » - . -JM- i.-l *te '11. I I..... *).' · , - `n
u pour but de contrôler les asser- 'tidns ? suivantes'du Dr Marro : ' « L'urine des. paralytiques généraux ? ferrn ? '
vantes'du Dr Marro : ' « L'urine des. paralytiques généraux ? ferrn ? ' tarment des peptones. L'intensité de la peptonuri
TEINTE D'INFLUENZA; ? tL...r - ispfJ2jà(t par'le 1 Dr,, PAILIIAS ? 90· ' 31'IXyn : lO ? u"v a .. 9t,.f"a7"r' n 8 ? 3« pa
, PAILIIAS ? 90·' 31'IXyn : lO ? u"v a .. 9t,.f"a7"r' n 8 ? 3« pa ? ' ! r't- -suc 12q " ·v,It(1 ! · : ,9.ï 9 1. 9ëbq ^.
décembre 1893.).u.4jtli 1;, it "1 ? 01 .7olJ.htlnub .I2 ^foa E : B : ' ' fp '<i'dm ? pb ' ? .t') ? rr .7t sioï-'Bq
écembre 1893.).u.4jtli 1;, it "1 ? 01 .7olJ.htlnub .I2 ^foa E : B : ' ' fp '<i'dm ? pb ' ? .t') ? rr .7t sioï-'Bq Jr
1;, it "1 ? 01 .7olJ.htlnub .I2 ^foa E : B : ' ' fp '<i'dm ? pb ' ? .t') ? rr .7t sioï-'Bq Jr91Bnq nojttnr't rIt)'
fp '<i'dm ? pb ' ? .t') ? rr .7t sioï-'Bq Jr91Bnq nojttnr't rIt) ' z .rtsLXXXII. Contribution A L'ÉTUDE DE la' dém
t rIt)' z .rtsLXXXII. Contribution A L'ÉTUDE DE la' démence précoce; ' par le bi 1 IO 1 Tt »'J ! ^B2.'q ->iW1Dr Vig
iers cas, la 'pl u'*p'à'rt9es auteurs accusent aussi l'hérédité : "™ ' ™} <*a 9,» ? f al 11, Jiu >IL 1 9- L'héréd
la démence', alors qu'elle permet'a certains autres de leviter. H A ' ? ? ? DLesobs'er'vati'on" très précises de'l'aute
'deux malâde'éntréês à'Fasiie d'Evreux, l'une, il y a quatorze 'ans, ' l'autre 'il yà septiaîis;â ? péu près'en même' te
açon, tandis que les filles, après un court délire' de' quelques mois, ' sont depuis longtemps déjàatombées en état de d
IlDC.BtLI 99 th1%rtJ' b 81· -rtiq,4b .. , d`art 1 b IÏ , 1 " jh- - ' .. h, .,·. ,123 ;" ? frjr ' Df IT ? f : l , ; ,-(
-rtiq,4b .. , d`art 1 b IÏ , 1 " jh- - ' .. h, .,·. ,123 ;" ? frjr ' Df IT ? f : l , ; ,-(j1U1 ? rJ L1ŸZIII. EDG : 1
hologie morbide; ? - 1913119 a`püi ? lé DPâul VoR9o (de Tours) ? ? " ' ', '7,^a ,,Par 4t rl)tJ : l> ? yt aU, r , m°
logie morbide; ? - 1913119 a`püi ? lé DPâul VoR9o (de Tours) ? ? "' ' , '7,^a ,,Par 4t rl)tJ : l> ? yt aU, r , m°u.
ra D'un caractère bizarre;1 mal équilibrée d'une humeur batailleuse, ' qui`lui : faisait ! reclierclier les-aventures,
ux'accidents'résuitant' de l'abus des boissons- alcooliques ? Aussi, ' dans' la' plupart de ses contes extraor- diliai
hilosophique et des poésies où vit cet amour insatiable du beau qui, ' dit Beaudelaire, est son grand titre à l'affectio
(Annales médico-psychologiques, janvier 1894.) tLd E.13.··z t ttii ' )'t ? (j- *. * ! -» ? hio f> 9'iJô Juseaifii ^q
gage chez les ALIENES; par OTTO Klinre. p ^ " "»> .< ! '-i -n ' y 7 ,i < ijijj ja'[.ie)n." *i>aq L'auteur
urs observations détaillées, analysées avec-beaucoup de détails. 3« ' '< » 'fy - * . -> ' ' ' .»-'\j s l 'AaAfAnI
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`sIJq2 t , ; ' " >>< ' ' j" quz; ·nQ -;atias 3 z3Sûxild6 ' LXXYV. Mirror vRiïlNd; parIàiâiD·(d'Edimbuig)3%zu
or vRiïlNd; parIàiâiD·(d'Edimbuig)3%zu` ; i J> 1 li.4 a'iUin» I" ' » ? <"»i 1'4 a7v.J : i ? t)-] rwr xfjrfn Sous
1.) ·. 3 tv > ? A : Marie. J 1»- LXXXVI.'ALCOOL ET INIIIB1TION ; ' par HAMLD Mener (de Chicago). (The Alienist and
i -, ! iiJ @ « , ltl. r` 1,1, ï - m ? z Comme médecin du\ 7'fM ! pO) ' (M'</ détention' hospitah (infirmerie spécial
; par W.- IRELAND ? ? P"4d ? ? 3-}f b 9'it'j ; i fil 'Cf31· ! fi1.d71· ' 1,1 '-(p ? - - 3"'L'auteur,rapporte qu'étant mé
ait suivi. (The Alienist ,aizd Neurologist, XIV, 93, n° 1.) o « - 1 ' ,i ' . A. Marie.. , - '- . .4F- v 1fi» ' ,1-5,
uivi. (The Alienist ,aizd Neurologist, XIV, 93, n° 1.) o « - 1 ' ,i ' . A. Marie.. , - '- . .4F- v 1fi» ' ,1-5, , s ·
t, XIV, 93, n° 1.) o « - 1 ' ,i ' . A. Marie.. , - '- . .4F- v 1fi» ' ,1-5, , s ·y·nt· ? . 'jp--i ,r i> l«1. fu ? 1
IRELAND if-o -.t>i -i-, ? i'< r*% ? ( ? Gdimbourâ) ? <1'' ' '. « L'auteur rapporte trois- observations, per
ad z - ll;i. Jd 89b SESSION DE FRANCFORT-SUR-LE-11EIN.,JU'ilf, a3l ' )80B)q - rr uI. 1 1,-3 5 r*flio3bÀra 5h ^m aHtj8
1,-3 5 r*flio3bÀra 5h ^m aHtj8<a<Ent 9 sdiubnoj ilncniw ...'" ' (Séance' du 25 Jnai-1893. - 1 Présidence' de M;'Jo
M. SIEMEN- et Zrvw;aiué, sur la question proposée ? PcAtaiee ? cmeK ' "î'i'uu I iM.r.rîinJOi fi.smS.H M <* Pszeihia
lt;t ? J . v; . 2 : IT : h ? t. ? ) 171 : lc v SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 388 O'irt 3hU Ptt1 ? r'L jMC'f ? )tJt' lit t ?
faut.' qu'ils soient surveillés' par des fonctionnaires dé l'Etat; ' 6° les rinéde- cins chargés de 'conduire et'd'a
' et'rompus à la théorie et à la pratiqué-dë lâ·psychiatrie.T't' r' ' ç 't -t, )(111 1- ti i, '^W . ' 2r '·Q 5 t(IbW.
t à la pratiqué-dë lâ·psychiatrie.T't' r' ' ç 't -t, )(111 1- ti i, ' ^W . ' 2r '·Q 5 t(IbW.u ^ ! 4· ? .II. - 4° Les p
pratiqué-dë lâ·psychiatrie.T't' r' ' ç 't -t, )(111 1- ti i, '^W . ' 2r '·Q 5 t(IbW.u ^ ! 4· ? .II. - 4° Les pasteur
iqué-dë lâ·psychiatrie.T't' r' ' ç 't -t, )(111 1- ti i, '^W . ' 2r ' ·Q 5 t(IbW.u ^ ! 4· ? .II. - 4° Les pasteurs att
du personnel religieux," par ; suite de considérations privées. Les ' aliénistes se guident simplement sur le bien-êt
nnu tous les Etats de l'Allemagne, et en parti- culier la Prus,'se. ' .- - 1. , . ,. 0 -x.t . i . - '1,, 3)- ! " Il c
Prus,'se. ' .- - 1. , . ,. 0 -x.t . i . - '1,, 3)- ! " Il c'Li ti, ' z lit) Il. 1° Les prescriptions actuelles relat
éveillent la méfiance^suscitent et entretiennent des préjugés. - - ' , - ' n , c· r- SOCIÉTÉS SAVANTES. 387 Î : j II
lent la méfiance^suscitent et entretiennent des préjugés. - - ' , - ' n , c· r- SOCIÉTÉS SAVANTES. 387 Î : j III. lo
mesures réglées d'avance propres à protéger la liberté individuelle, ' l'autonomie civile, les biens de toutes personnes
ntrant une interdiction et une séquestration arbitraires. - j ? . ' IV ? = 1- L'Etat a pour devoir d'enseigner a' tou
s les médecins la psychiatrie théorique et pratique.' Il faut do ne ' obliger les étu- diants, avant de' passer leurs
e. f. Psycltiat. L. 1 et 2.) .. P. Keraval. 'i.ii- / .... . d - ' ' , , . i '. ` Séccazce . dzc 6 mai 1893. - PRÉ
f. Psycltiat. L. 1 et 2.) .. P. Keraval. 'i.ii- / .... . d - ' ' , , . i '. ` Séccazce . dzc 6 mai 1893. - PRÉSI
phale au couteau de Galien à Pitres et à Nothnagel, l'orateur exa- ' mine les méthodes de durcissement et de microtomi
térieur de l'or- 9 cane central séparé du co· p s.; i ? o , 11 y, , ' b' L ? ? ? t " ' .Ce quirevient à dire que l'au
9 cane central séparé du co· p s.; i ? o , 11 y, , ' b' L ? ? ? t " ' .Ce quirevient à dire que l'autopsie proprement d
les centrés ner; SOCIÉTÉS SAVANTES. 389 · 3,' /inv't : , .1v·. W ' ? ' veux avec l'éponge humide. Il faut aussi av
centrés ner; SOCIÉTÉS SAVANTES. 389 · 3,' /inv't : , .1v·. W ' ? ' veux avec l'éponge humide. Il faut aussi avoir
s doivent être plongés dans l'alcool ou inclus dans la celloïdine. " ' L'emploi du liquide durcissant'dépend d'ailleurs
; de'plus^ils forment avec les manchons de myéline des composés qui, ' eux,' sont colorables à l'hématoxyline et à la
lus^ils forment avec les manchons de myéline des composés qui,' eux, ' sont colorables à l'hématoxyline et à la fuchsi
hsine' acide, et non pas la myéline.' .*9"f' ? 1|"~,|B<«i ; " 90 ' "Le 4uil j uâquë - da*ns- " ces'*dernièrès' an née
ces'*dernièrès' an nées était utilisé comme ''agent colorant, a été ' reconnu défectueux.'Eni effet, il demeure sans
ir au diagnostic dé' Idî iôns p atho lobiq il eî, - " 1 ..., i J, 4 ' ' et , t) f, 1 ' t " 1° Il faut que les élément
au diagnostic dé' Idî iôns p atho lobiq il eî, - " 1 ..., i J, 4 ' ' et , t) f, 1 ' t " 1° Il faut que les éléments
dé' Idî iôns p atho lobiq il eî, - " 1 ..., i J, 4 ' ' et , t) f, 1 ' t " 1° Il faut que les éléments présentenfune n
la plus grande prudence'dans le lavage des coupes sous peine de " ' ` ,y tjm ! > ° W ? f ...* .t'<[ ? r.i c- *
l'agent colorant doit', être parfaite, sinon on risque ! dé confondre ' plusieurs éléments, entre eux. Il faut autant q
amifications de ces derniers. Mais les fibres.* nerveuses à myéline ' sont très, heureusement .colorées par -îles1 mé
river à faire'de larges coupes à l'aide de petits instruments., '.1 ' , . ? ». .< . Pendant l'opération on examine
a recours au papier, de soie assez résis- z tant (papier'hygiénique) ' de'\Veigert...Sil'ontveut augmenter la ' consis
z tant (papier'hygiénique)' de'\Veigert...Sil'ontveut augmenter la ' consistance de lâttranche on s'adresse au collo
consistance de lâttranche on s'adresse au collodionage des surfaces ' dc'Duval, à l'application'du papier mince de Li
peut^s'employer qu'au microtome de Strasser pour-les coupesrdaus la ' paraffine, t mais il-assure des- coupes'élendue
lever et les -, examiner sur le porte-objet ? un'petit'tour de main, ' on huile le-1 papier, la numérotation en est en
ile le-1 papier, la numérotation en est en tout cas facile. ^ " ll " ' ; "" tlaphoto-raphieides images microscopiques
finesse des préparations; ! elle ne rend'point les tons' colorés des ' ` coupes.- Mais elle peut servir à la copie' mê
andeur naturelle ; il suffit de porter la préparation avec le couvre- ' * objet- sur le papier .sensible et de l'exposer
ite comme si le papier; sensible venait d'un cliché négatif ? W · " ' ' ? * '" n'- rLe dessin pour rendre l'image' mi
e comme si le papier; sensible venait d'un cliché négatif ? W · " ' ' ? * '" n'- rLe dessin pour rendre l'image' micr
e si le papier; sensible venait d'un cliché négatif ? W · " ' ' ? * ' " n'- rLe dessin pour rendre l'image' microscopi
rossissements ? Aux chambres claires de* Oberhoeuser,'Abbéet autres, ' avec l'attirail supplémentaire qu'elles comport
fatigue à des- siuer'des grossissements de' 2 à 30. ? ? > ? '1 1 ' " ' "i ' z - En résumé, ce sont les progrès de'l
igue à des- siuer'des grossissements de' 2 à 30. ? ? > ? '1 1 '" ' "i ' z - En résumé, ce sont les progrès de'la t
à des- siuer'des grossissements de' 2 à 30. ? ? > ? '1 1 '" ' "i ' z - En résumé, ce sont les progrès de'la techni
resser encore il nous faut de meil- leures méthodes de durcissement, ' de nouvelles substances d'inclusion lui de nouv
;c ? Les membres du congrès la visitent avec curiosité. Discussion. ' Ml1 Weigert recommande d'associer le procédé d'
anglions, et ne détruit pas. les,points , de(repère,à l'aide desquels, ' orientant, ii, peut s'y, retro uver, 1 s' -tard
fs et 'quelques- uns des centres originaires des organes des sens ! ' Si nous'trouvons , dans ces noyaux' moteurs' un
"que;les centres , originaires, de l'olfactif, ou, d 115 nyau, seii- « ' sitifidutrijumeau se-traduisent,par,une forme d
pose la' cellule, z ni, une variété de structure' dans les cellules, ' mais bien à la pro- portion de substance colora
inodification an'ato-, mique r.t par états physiologiques distincts, ' nous entendons parler par exemple.de l'activité
le 3`nerveuse' est' l'expression anatomique de fonctions distinctes, ' ce^qui n'a pas lieu dans l'espèce.1 A côté de c
urs pro- - -tf'f 4 .i il, .,11,1-1,' .< "i.l " . il ...l ? m 7 ! ' ., r - longements. tracent, des arabesques très
rès jeunes. On, en trouve, davantage, aux environs d'un; - ,Tt.-r ? ' «..f..)....mtf...... o ...., ) ? i foyer patholo
onnant plus, en voie de régression pour des motifs inconnus. ? - "r . ' ? /n ? ... . '' f.... ? ,. , ? ? \ M. Roller. D
tion "aie avec, ..... % .. -f... r, ii . ii«. 'il ti ? «. (fui > ' .... ! ° . , ....1 rire intermittent.' Ce rire
intenez ces aliénés'qui tout. en. travaillant' régulièrement ? sont ' hantés1 par ' des idées'déliranlès très 'active
iénés'qui tout. en. travaillant' régulièrement ? sont ' hantés1 par ' des idées'déliranlès très 'actives, l'iusioursj
'être mise en relief dans les rapports médico-légaux.^ ,. s,a>lj\ ' \ ^M> s- ? ? , ty Discussion : M. Siemens. &l
'ont pas'mécàhiques ? C'est' seulement par l'analyse1 psychologique; ' par1 la^décbmposilioh des B1BLIOGRAPH1E 1 ? ' 3
nalyse1 psychologique;' par1 la^décbmposilioh des B1BLIOGRAPH1E 1 ? ' 398 états complexes'en leurs' composants et par
duit les' coneepts' fixes de la perversion' sexuelle ? 3 ` ° il - A" ' "- >"*»'''< ^ '* in =- Discussion : M. 11
xes de la perversion' sexuelle ? 3 ` ° il - A"' "- >"*»'''< ^ ' * in =- Discussion : M. 111E\DEL. - Le jeu des a
s, .ni dans l'idiotie et l'imbécillité également analogues ? u, 1 c ' ,' 13 >.° Dans l'inversion du sens génital
i dans l'idiotie et l'imbécillité également analogues ? u, 1 c ' , ' 13 >.° Dans l'inversion du sens génital, je
r. f. Psclciccl., L.,1 et,) ? ...r ? , , \ . p ? P. Keraval. , .i ' 1 ? JC ' j1T" ·LP r. "' '. -.mu-. . i ? » ? ? 1
sclciccl., L.,1 et,) ? ...r ? , , \ . p ? P. Keraval. , .i ' 1 ? JC ' j1T" ·LP r. "' '. -.mu-. . i ? » ? ? 1f3(;IOGIA
et,) ? ...r ? , , \ . p ? P. Keraval. , .i ' 1 ? JC ' j1T" ·LP r. " ' '. -.mu-. . i ? » ? ? 1f3(;IOGIAI',1111 ? ... ?
ornaLao. (Paris,°Jouve; 1893.) '' " " rlYs ,,fl , flî>M 1(,It) - ' «qîi i- - · ? 4j1'HT " , Iln I ! , L'auteur a co
9- Les auteurside ilaipériodeigréco-romaine qui. ont écrit sur la ' ' t0 ? vW Itj ? JU tiv7lif l ., rage. sontï : ,
9- Les auteurside ilaipériodeigréco-romaine qui. ont écrit sur la ' ' t0 ? vW Itj ? JU tiv7lif l ., rage. sontï : , Ç
ritlde,nouv,eau ? Parmirlës tlrâbês, il faut. citer t.. » ,> -jr ' armi, * ? ? j t* i..l'un.. ->d Sérapion, qui
fraction de'la peau. » Il rejette la rage spontadée ! J3 taff'=n9 1 ' "Siieius'Divèrsus admet' l'origine5 polygeniste' d
arce ! que'cet', animal ne sue pas et';que : les principes toxiques ' de-' la ; voie;' cutanée 'ne ' peuvent : plus'
animal ne sue pas et';que : les principes toxiques ' de-' la ; voie; ' cutanée 'ne ' peuvent : plus' s'éliminer que''p
pas et';que : les principes toxiques ' de-' la ; voie;' cutanée 'ne ' peuvent : plus' s'éliminer que''parla`salive;il
itairement` iâ3mélancolie et' la Miè ? .1^"1 ? ,i,J à'-L,'i'"i ? iV ' "> 9Jf.l arloimlèni jiu' ae I(TG>I1GJ'j ! c&
ooerhave, Van Swieten'' et Morgagni représentent' cette' époque.1'' ' -'i-'iie; ''i> 3ÎC/1 sutii'a't.'m) ? )', , -
sentent' cette' époque.1'' ' -'i-'iie; ''i> 3ÎC/1 sutii'a't.'m) ? ) ' , , - Hunaàlt croit aux' merveilleux effets'de l
-leur' remarquent' ceux5' qui guériront ou quiine. gué- riront pas; ' il 'conseille d'attacher le- malade tout, nu 1 à
tout iedésordrëet le renversement d'imagination possible."IS af 3J ' ·1 « A lire, la 'rage mue; la : rage'tombante; l
rpentier. uLfv..W w`1 tt ? W 'VARfA."j ? ? ? ... i a.... f- ..·ri n' ' ·t 11f tli.iti1' .h ! tF'rffl iTh t -e ? riz W.v
i : ; ,pay le "'D^X.' FnANCoTTE"(BMMe(tH'de 1(t S ? 'de Belgique, ' mars 1874.)" ' ? ' ? ? ^ mars 187/1..) i' .tt-
"'D^X.' FnANCoTTE"(BMMe(tH'de 1(t S ? 'de Belgique, ' mars 1874.)" ' ? ' ? ? ^ mars 187/1..) i' .tt- , » ? n W'"1 ?
^X.' FnANCoTTE"(BMMe(tH'de 1(t S ? 'de Belgique, ' mars 1874.)" ' ? ' ? ? ^ mars 187/1..) i' .tt- , » ? n W'"1 ? ^ -1
mars 1874.)" ' ? ' ? ? ^ mars 187/1..) i' .tt- , » ? n W'"1 ? ^ -1-» ' ' ' '' si ' Il ressort de cet exposé que c'est
rs 1874.)" ' ? ' ? ? ^ mars 187/1..) i' .tt- , » ? n W'"1 ? ^ -1-»' ' ' '' si ' Il ressort de cet exposé que c'est se
1874.)" ' ? ' ? ? ^ mars 187/1..) i' .tt- , » ? n W'"1 ? ^ -1-»' ' ' '' si ' Il ressort de cet exposé que c'est seul
? ' ? ? ^ mars 187/1..) i' .tt- , » ? n W'"1 ? ^ -1-»' ' ' '' si ' Il ressort de cet exposé que c'est seulement en 1
t toi's' 'Universités," celles dé Bruxeltes, de Liège et de Louvain, ' possèdent une clinique psychiatrique. L'organisat
rer quand elle ne fait pas complètement défaut. A Liège le service , ' des, hommes ne contient pas une seule cellule d
nts et il attribue cette indifférence à ce que l'étude des maladies ' mentales ne fait pas partie du pro- gramme des
sances en médecine mentale sont particulièrement indispensables. ' , .3 '.r.Jft '< 9f3 19 ' M ii" · 3fm·f £ ' " -
e sont particulièrement indispensables. ' , .3 '.r.Jft '< 9f3 19 ' M ii" · 3fm·f £ ' " -»WJ- ' g. Deny'.1' - ? ff
ement indispensables. ' , .3 '.r.Jft '< 9f3 19 ' M ii" · 3fm·f £ ' " -»WJ- ' g. Deny'.1' - ? ff j A part quelque
spensables. ' , .3 '.r.Jft '< 9f3 19 ' M ii" · 3fm·f £ ' " -»WJ- ' g. Deny'.1' - ? ff j A part quelques rares pa
r aux médecins. Il ? t,7 LW .j CIEI jfff''f 311 ir. n : > i-'C'" ' i.r ? · 3 1ORAtULtCOiV2fils la UIGIi.AIf.. t're
f.. t'rel7dellllel ? * "" .zr.ly.,i fR1 . ? ! .ttSat ? ` 9t '-1JU.1 ' ,itet'J4tt. ? ? - "J-l* 400 FAITS DIVERS. BULLE
hilis et paralysie générale. (Bulletin médical du 26 avril 1893.) ' Fournier. Tabès et paralysie générale. (Bulletin
RVEUSE. -, , Ir Y. -1. M. V..., quarante-trois ans. ? L ;..., ? ~ ' uj. r').<sm) J,- : a°e : t9'd au ) r e. ly ae
e-cinq 'il, ans ; migraineuse, trèsiemportée, selle avait contracté^ ' depuisideu^ longues; années; des : habitudes d'
mide, peureux ,al excès ; a treize, ans, fi'à v're typhoïde( grave ; ' à la'suite,.étatchlorotique, prononcé à quinze
ique, prononcé à quinze ans et .demi placé ,e 1d'an"s iin couvent ! ' ellé,,sé montre^réfractaire.à toute instruction
oin re con r riété, avec sensation(, de boule et crises 'dé, pleurs; ' le jour* de son j fnariagé,ellé`se`trouve-mal,a
ction "ut ? 4 tialë : Mariéé'àlvirigt ans, elle a eu* trois enfants, ' âgés actuellement £ , de vingt et un, dix-neuf
gal supportant 'avec beaucoup de philosophie" les.~vicissi- , - 9 « ' ? ' i ·.v. ! i< ? ? ' , . 1, , .r. t . ,v,.e U
supportant 'avec beaucoup de philosophie" les.~vicissi- , - 9 « ' ? ' i ·.v. ! i< ? ? ' , . 1, , .r. t . ,v,.e US
coup de philosophie" les.~vicissi- , - 9 « ' ? ' i ·.v. ! i< ? ? ' , . 1, , .r. t . ,v,.e US tudesde layie; ( ^ ^
apparaissent des crises de vomissements ainsi carac- « q térisés : ' ·le matin, ·aulever; nvers les -7,,heures nausées;
e, mais sans.grands efforts : ni la moindre; douleur ;. sauf un peu ? ' 1 de fatigue, : la* malade peut : ensuite vaque
transition, aux troubles de la défocation. 3° ".k^ ^\^ \E l . - f. ' ? , . 1 - r... -1 -t f ,Ii4=·,a le Selon son ha
e que ? ques gaz et dêqmucôsités ? t · ss. lqse ? r as ? n ''r' ? - ' , ri Les faux besoins persistaient depuis une h
au mollet où au cou de pied. Les décharges effectuées.1 elle se ren-, ' dormait, et le sommeil n'était plus interrompu
mait, et le sommeil n'était plus interrompu jusqu'au leude- " ? » ? ' " .. ''>}> lî>"' t 1JJW 404 ;5 "· CLINI
it plus interrompu jusqu'au leude- " ? » ? '" .. ''>}> lî>" ' t 1JJW 404 ;5 "· CLINIQUE NERVEUSE. ' ! " a"
? '" .. ''>}> lî>"' t 1JJW 404 ;5 "· CLINIQUE NERVEUSE. ' ! " a" ' ' ,,l- 'Al, -*', <iu . o'n- , -B J9
''>}> lî>"' t 1JJW 404 ;5 "· CLINIQUE NERVEUSE. ' ! " a" ' ' ,,l- 'Al, -*', <iu . o'n- , -B J9 main. Le
>}> lî>"' t 1JJW 404 ;5 "· CLINIQUE NERVEUSE. ' ! " a" ' ' ,,l- 'Al, -*', <iu . o'n- , -B J9 main. Les
t;"' t 1JJW 404 ;5 "· CLINIQUE NERVEUSE. ' ! " a" ' ' ,,l- 'Al, -* ' , <iu . o'n- , -B J9 main. Les douleurs persi
P ^;iii 1( ,-[ Exnmen de lâ maladé,(février 1893) : Taille mo3-enne, ' embon- point prononcé; 'le facies3pâle, défait,
embon- point prononcé; 'le facies3pâle, défait, les traits effacés, ' les pau- pières demi-'cioses donnent à V ? un a
ée',1, mais les'paupières découvrent largement les globes oculaires, ' et le regard alors devient comparable^ celui d'
'de fortes' dimensions'/ si la ;pièce est-convenable- ment éclairée" ' mais ! ' en ? apprécie .très imparfaitement les c
s' dimensions'/ si la ;pièce est-convenable- ment éclairée"' mais ! ' en ? apprécie .très imparfaitement les con- tou
l'accommodation ; à gauche, m'o'u*vemeiits'd'accommodaLion intacts, ' légère parésie sous la projection' d'un'faiscea
u'lumineux. Les mouvements) des globes . oculaires sont synergiques, ' s'exécutent sans 'soubresauts' dans les différe
f3 n fibrillaire.. . ri z L'ouïe, le goût, l'odorat sont intacts ; ' la sensibilité dans ses di- vers modes est cons
ervée ; recherchée pour le tact, spécialement à la plante des pieds] ' l'aide du compas de Weber,' les résultats ont é
act, spécialement à la plante des pieds]' l'aide du compas de Weber, ' les résultats ont étéiessmvHLnts-" - - ri tr' '
du compas de Weber,' les résultats ont étéiessmvHLnts-" - - ri tr' ' · '1rW -*i"" <*, , .. PARALYSIE GÉNÉRALE A FO
1rW -*i"" <*, , .. PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME DE TABES AU DÉBUT. ' 405 et se rend compte si ses pieds reposent sur
si ses pieds reposent sur de la brique, du par- quet, sur un tapis, ' une natte, elc- , , , lut Réflexes conjonctival
tolde et de choc de la mâchoire. Le sens musculaire .est' intact ; ' recherché aux membres inférieurs.; à l'aide de .p
quelques secondes, l'équilibre devient instable ; sur un seul pied. ' avec les yeux ouverts, l'équilibre, peut /se main
est toute la' journée à'courir dans son appartement ou au jardin. ` ' , ? J ' . Facultés intellectuelles conservées ;
te la' journée à'courir dans son appartement ou au jardin. ` ', ? J ' . Facultés intellectuelles conservées ; pas de
produit du tremblement des membres. , , , r . Appétit. excellent, ' meilleur qu'il n'a jamais été; constipation hab
compte de huit à dix fois par seconde; puis, à OS I'f·=·1 -> ;~ ' 3 ? AT CLINIQUE) NERVEUSE. : 33 OE18'.IAqAq -'q
CLINIQUE) NERVEUSE. : 33 OE18'.IAqAq -'quelques jours de' distance, ' contractions fibrilIireslocalisées;auz 'muscles
ours de' distance,' contractions fibrilIireslocalisées;auz 'muscles; ' grand et f petit' zygomatiques i du, côtér, droit
e,'mais ! il yiaede l'hésitation., pourrai sortir de-nia *'bouche : ' »Les ! 'troubles : 'pupillaires seisont accusés ?
ille est'moins dilatée et ne réagit : plus'Là la lumière ni à l'ac- ' commodation;'à gauche,'signe' très- neti d'Arylli
fréquentes et'plus violentes; ces dernières ont paru coïncider avec ' les* époques; en outre; elles=s'accompannent,de7
mari qui vient de luiiverser à boire.qu'elle ! entre eu - colère ? ' sans' le moindre motif,lle=traited'assassin et l'
nue en visite, qu'elle qualifie d'émissaire des jésuites ^une^autre ' fois, elle accuse(un de ses cousins,d'avoirtué sa
d'avoirtué sa fille, et^de l'avoir i jetée dans un puits. La crise. ' -- é ? - - , ? ? , 1. "' , , jetée dans un puit
e l'avoir i jetée dans un puits. La crise. ' -- é ? - - , ? ? , 1. " ' , , jetée dans un puits. La crise. passée, lell
ée dans un puits. La crise. passée, lelle est comme anéantie, ayant ' un souvenir confus;des propos qu : elle ientdeAte
ions. lio-ih e 8,1111-L B ! ·m.o('sbnrn,i.s'I r3sQ rrcri3rubt ? r'I ' ' 'Juin a oc<o&r6 ? fLes accidents n'ont;f
ns. lio-ih e 8,1111-L B ! ·m.o('sbnrn,i.s'I r3sQ rrcri3rubt ? r'I ' ' 'Juin a oc<o&r6 ? fLes accidents n'ont;fai
'ont;fait.que;s'affirmer. Malgré des alternatives en bieniet en)mai, ' ))a cécité est, absolue. ,Ainsi, il lui arrive'f
insi;'ellene.sefrappelle;pas;toujôurs,dece,qù'elle ,vient de manger, ' ou' bien dès-personnes) qui sont. venues, la. vei
er ? Sitonlui'demande à quelle époque son mari est parti en 'voyage, ' elle répond'depuis une-quinzaine; le départ remon
entrtoujours fermées à élef. t. j"v% si ? i; q.,ql OD 2r ? En,outre, ' la plupart des, conceptions(sont délirantes : si
une souffrance 'les* ! mains'sur les tempes. ? ilp;.fr 1 1 4-" , 8, ' 1 , , wtv Au' point de vue mental, le délire qu
discours les'plus insensés ; elle monte sur un éléphant en diamants, ' vole dans lesles airs, l'u- nivers' lui apparti
ait à son endroit les'plus grands égards. Sis elle garde le silence, ' souvent elle part de grands' éclats de rire, qui
vent elle part de grands' éclats de rire, qui semblent motivés- par* ' l'excitation ' 'corticale-, du'sens génital^, car
de grands' éclats de rire, qui semblent motivés- par*' l'excitation ' 'corticale-, du'sens génital^, car E elle'les t
gurant' qu'elle va, accôriche ? ellè` veut sé mettré`suc' le èanâpé; ' pousse des - cris comme si elle avait des doùle
âpé;' pousse des - cris comme si elle avait des doùleurs êxpülsivés, ' envoie'cherclier; la sage-femme, puis appelle :
ntenant* je n'en aurai plus. » Une autre fois,1' elle croit 's'être ' arrosée'de ' pétrole,* veut ! qu'on* l'allume '
'en aurai plus. » Une autre fois,1' elle croit 's'être ' arrosée'de ' pétrole,* veut ! qu'on* l'allume 'et se* voit f
ccompagnées de paroles ordurières et de vociférations. ? t"'uûî5 ,"« ' *UW4 t , . .Tels sont les signes de 'cette ''dé
ez f>i.a , ay, ann;1 lm a. ? W ! ai ·w ? Ic7 ? A yrdba^9aa. SC » ' «< - 1 , Pour; le' rrioïnent'résérvârit tes -
s. ayant versé dans,la r.t paralysie générale. Mais, ce^ diagnostic, ' pour si1, vraisemblable ? qul, sôit, nôus parait,
^ et depuis cette ? poqllÏ - 'e -lies, i ,Dl usrèàr ? Ijne 1 ? es d ' ou 1 eus,e sont, manifestées, par, décharges, o
t frappante, que si n'étaient le retour périodique des vomisse- , ' V , ' .* ' "t o» - - ? riri<| r 1 J.-1T. Cli
appante, que si n'étaient le retour périodique des vomisse- , ' V , ' .* ' "t o» - - ? riri<| r 1 J.-1T. Cliarcot.
te, que si n'étaient le retour périodique des vomisse- , ' V , ' .* ' "t o» - - ? riri<| r 1 J.-1T. Cliarcot. Z.ep
es aenvironM''7& 'e9*>iqpt aie- ;fin 1tl.j(f4b gai ,9bstsar * ' s^ilL» TT ï''y''a"' rce tableau sàccëlui1dés''
'e9*>iqpt aie- ;fin 1tl.j(f4b gai ,9bstsar *' s^ilL» TT ï''y''a" ' rce tableau sàccëlui1dés'' crisës^gàstriquesMu
s arahnéës',f dontlësvomissements incoercibles 'sont '.incessants ' "des huit et quinze jours au point 'de"- rendre1 t
'"des huit et quinze jours au point 'de"- rendre1 toutë''atimënta- ' tion naturelle* impossible,5 e.t ? qûi s'accompag
collapsùs 8t-â la môrtJfn08 Mto ? J''0T l1a .921'IO 9ll9vuon ,an ! ' )'f'at)f'<; 9e Ménie'com'pâréesïaux câs'mii V
triques de, .a malade ne^rentrent^dans' aucune catégorie. eEllës ne ' sauraient rét're assimilées 'aux 'crises que M ?
llës ne ' sauraient rét're assimilées 'aux 'crises que M ? Fournier ' "^'q util) fie "dé'" ? cihpiîaet où figurer élémen
la 'principàlerpXrticularité0cônsiste1enîce%que les' vomissements ' ont lieu à sec, si l'on peut ainsi parler; elles
xique du tabès, p~ 207. jl 12 i ui ? ...iaSr ; iitt,i~.o ; , o 3C ' ' Vulpian ? Maladies du système nerveux, p. 322.
que du tabès, p~ 207. jl 12 i ui ? ...iaSr ; iitt,i~.o ; , o 3C ' ' Vulpian ? Maladies du système nerveux, p. 322. ·
· -· Pitres. - Journal de médecine de Bordeaux, 27 janvier 1884. ' Blocq, cité 'par J.-51 : Charcot. - Le,rons du ma
es à celles que produirait l'in- troduction, dans, le gros intestin, ' d'un fer rougi au feu' *, nous, voyons la micti
z et( de mucosités. vit^ ™\vp%t »iTOf *t -f*R -y <> <. ) ? ' ? n3 z Eh bien ! quelles que soient les modalit
de" faire Ta* part dés1 cas"* frustes ? dans lesquels les symptômes ' sont'' peu' tenaces^ ' peu'`bruyànts ? mais, pour
cas"* frustes ? dans lesquels les symptômes ' sont'' peu' tenaces^ ' peu'`bruyànts ? mais, pour admettre la légitimi
YSIE GÉNÉRALE'A FORME 'DE TABES AU DÉBUT. 413 et, dans tous les cas, ' on n observe pas ces longs atermoiements, ces r
is periâ ? süôcê'ssives : s ? 0 ? rrofl -41 ! y s,r9r·»3,·.`q e en. ' 9-1-ti Illy tj, ·vr·.j-,h.j'1 ? ! iffilt' 1tJ 1
prononcée, habituellement, à un très haut degré; enfin, point ? .-'« ' r|>i«'j ., ). ' , ? z 1 P. Marie. Leçons sur
ellement, à un très haut degré; enfin, point ? .-'«' r|>i«'j ., ). ' , ? z 1 P. Marie. Leçons sur les maladies de la
d'une , <- u k* n ; j j ^,·t , ) - ,p,1 t jl-Jùion» 1110G11 no ' i ? t....t'c;-(ff ? 9-ftf) ;si- ·'It .^'ii^n 4119
o ' i ? t....t'c;-(ff ? 9-ftf) ;si- ·'It .^'ii^n 4119 mfT .srn.a) ' Gilbert Ballet. `- Les troubles ^oculaires dans l
lysie générale .^ progressive. (Progrès' médical du 10 juin 1893.), ' ? 0 as ? Joa 91W 2 Parinaud. Communication à M.
1893.) , . , 4 ,(^ . , .. .. , , i(i° zut ; f >o\ k. 1 ? P` voof ' Gilbert BaUet. - 2.oc. c ? . ;-49» ? û-t V-V ? &l
j période J préataxique ? èt;r d'autre 1 pat)ldé"y ! nptômes précis, ' »' parfaitement' définis, ressortissant1 sansccont
période J préataxique ? èt;r d'autre 1 pat)ldé"y ! nptômes précis,'» ' parfaitement' définis, ressortissant1 sansccontes
précis,'»' parfaitement' définis, ressortissant1 sansccontestation' ' r possible à.la paralysie générale ? fciMid ? t
M", Par suite, convient-il' de conclure à''un c'as*'de tabès'ayant ' * versé dans'^la" paralysie générale ? 'Mais; ce
t inadmissible puisque les troubles oculaires ont été les* premiers ' ^ en date, : et,ont`précédé-les3fulgtirationstet
ion ! du- réflexe patellaire; l'absence f, dul'sign eY de' Romberg V * ' le prélude de l'ataxie dan'si des symptômes1 au
stimons qu'il s'est'agi simplemeht'd'uncasdeparatysie'géné- i' raie, ' dont certaines de ses manifestations au' débufont
es de ses manifestations au' débufont"1 simulé " le tabes 2.. - - a ' sl5n 1; . el Cette interprétation,'] il est "vr
1 simulé " le tabes 2.. - - a ' sl5n 1; . el Cette interprétation, ' ] il est "vrai, -va' l'encontre de'' la doc- tri
P tabès- doivent être confinées 'aux cordons1 postérieurs ? Gomme " ' si les connexions intimes des éléments constitu
re la* lumière' dans le'ehaos, mais il fallait" s'attendre à'ce que, ' dans la-pratique,' les 'choses ne ' ` ru. '9 3-
s le'ehaos, mais il fallait" s'attendre à'ce que,' dans la-pratique, ' les 'choses ne ' ` ru. '9 3- ''i ? i% ? «»* ? l
il fallait" s'attendre à'ce que,' dans la-pratique,' les 'choses ne ' ` ru. '9 3- ''i ? i% ? «»* ? lu ? »l ? &" "
9 3- ''i ? i% ? «»* ? lu ? »l ? &" "ilC -Ta x I` -> J >"» - ' 1 A la"' lecture de l'observation ion a pu voir
i% ? «»* ? lu ? »l ? &" "ilC -Ta x I` -> J >"» - ' 1 A la" ' lecture de l'observation ion a pu voir' que l'équ
égrité, du moins le fonctionnement à ? peu près normal delà vision. ' "- 1 Consulter à ce sujet une'très remarquable
, in Journal " de Médecine et de Chirurgie pratique, 10 avril 1894. ' ' ` " > 1G G , CLINIQUE NERVEUSE. * : y ? .
in Journal " de Médecine et de Chirurgie pratique, 10 avril 1894. ' ' ` " > 1G G , CLINIQUE NERVEUSE. * : y ? .
orbide. L`ëstypes créés par,Duchenne .(de Boulogne), et Char- cot, " ' par B ' ay 1 ' et Bâillârger, conservent toute le
L`ëstypes créés par,Duchenne .(de Boulogne), et Char- cot, "' par B ' ay 1 ' et Bâillârger, conservent toute leur;, val
es créés par,Duchenne .(de Boulogne), et Char- cot, "' par B ' ay 1 ' et Bâillârger, conservent toute leur;, valeur; ce
ion de plaques muqueuses. Donc la syphilis paraît très plausible. ' In Leçons sur les maladies de la moelle, par Mari
n Leçons sur les maladies de la moelle, par Marie, 1892, p. 362. FI ' . 1 ..y ? v n PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME DE TAB
' . 1 ..y ? v n PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME DE TABES AU DÉBUT. 417 ' Quanta attribuer à cette cause un rôle prépondéra
417 ' Quanta attribuer à cette cause un rôle prépondérant, majeur ' si'onpeut dire; dans l'éclosion des manifestation
nts"rien de plus juste, car nous ne 'comprenons' pas que -Ton dénie" ' la syphilis toute ' action sur les centres nerv
te, car nous ne 'comprenons' pas que -Ton dénie"' la syphilis toute ' action sur les centres nerveux/ alors que l'on
raison pour faire pencher la balancé en faveur de la syphilis. * - ' " ? ? ? , ' Mais la malade ne rentre ' nullement
faire pencher la balancé en faveur de la syphilis. * - '" ? ? ? , ' Mais la malade ne rentre ' nullement d'ans'l'une'
faveur de la syphilis. * - '" ? ? ? , ' Mais la malade ne rentre ' nullement d'ans'l'une'ôu'l'autre de ces deux ca
hez elle,'absence de tout accident sy- philitique depuis le chancre, ' et, pâr"éontre, hérédité très lourde. Le père e
e prémonitoire de tabes ou de paralysie, bien que jamais il n'ait ' Grasset, Archives de \,urologie. Du vertige des a
de \,urologie. Du vertige des ataxiques, année 1893, n° 73, p. 3 - ' Archives, t. XXVII. 27 418 HISTOIRE, ET CRITI
.bUU.m uC...nr ii r.n ,JU ? n m.. , yv ,- vu am ? w....w ? m ? i'"nf " ' ·-'i, F i tifl trtirrVJ.. a .lP j , ;, ilozi 1
t* - .. N6. au-5 t) ? BARBE ! - BUVÉE, 11 L a-K/o-iq .J ? t J`11 ' ^ EN RELIGION, SOEUR,DE, SAIN'TE-COLOMBE ET. LA
(Ëtude historique etmédic : t ! e, 'd ? rés-dès' z Bibliothèque' ? ' -<t nationale et des Archives de.l'ancienne'pr
e.l'ancienne'province de Bourgogne.).tfit.. >ij .l e.è.i r ? 1.3 ' '·'L1 .riTJ. he, big biq e >r\s /' ? > CI()
l'ancienne'province de Bourgogne.).tfit.. >ij .l e.è.i r ? 1.3 ' ' ·'L1 .riTJ. he, big biq e >r\s /' ? > CI() 1
fit.. >ij .l e.è.i r ? 1.3 ' '·'L1 .riTJ. he, big biq e >r\s / ' ? > CI() 1 r ? iParle D.SAMUELGARNOER, joe«p
>r\s /' ? > CI() 1 r ? iParle D.SAMUELGARNOER, joe«p.jûOi j* ' B<J't.)i ! <Medecin)en.chef,,Directeur,detl
é. Alors seulement le supérieur leur ordonna, comme preuve de cette ' "Cesser ! de,battre soeur Buvée, ce qui fut fait
cusatrices, affirmant que les diables étaient, des .( calomniateurs ' ^et .'qu'ayant toujours -.vécu dans l'observance
ridevenet ordonna que soeur. Buvée, serait séparée denses compagnes, ' séquestrée,dans,sa,chambre sans pouvoir, commun
tilège et mesme-d'infanticide-;=. ,.9-,xj3b 2tIOVCi9 ! rsl m «uol-ï ' s « Après la déposition des quatorze premiers t
nales, n° 18696, fol. 39 a 87. BARBE BUVÉE. 421 , r,Hn r r r-> ' ' -'Vf i celui-ci faisait observer que dans le
les, n° 18696, fol. 39 a 87. BARBE BUVÉE. 421 , r,Hn r r r-> ' ' -'Vf i celui-ci faisait observer que dans le pé
s' crimes et en demander pardon; puis, en s'adressant à Barbe Buvée, ' ils ajoutèrent ces' mots importants à' retenir
oute- cette mise en scène : « Qu'as-tu faict à ce pauvre confesseur, ' il en sera déli- vré 1. Nous te le debvons décl
e le debvons déclarer, l'amour qu'il a pour Marie le délivrera1 » : ' - ? «-, *<a * , -" «« ^° »' '^s "Après cet e
qu'il a pour Marie le délivrera1 » : ' - ? «-, *<a * , -" «« ^° » ' '^s "Après cet exorcisme fait1- sur "'la soeur
'il a pour Marie le délivrera1 » : ' - ? «-, *<a * , -" «« ^° »' ' ^s "Après cet exorcisme fait1- sur "'la soeur El
nt à l'official, accompagnées de leurs exorcistes. Ceux-ci racon- ' Manuscrit fonds français, n" 18696, folio 156. Bi
n" 18696, folio 156. Bibliothèque nationale. Lof. cit. J H* > "«« ' v. * * ? - - ? i ' '''S ? Pi. 422 HISTOIRE .ET
. Bibliothèque nationale. Lof. cit. J H* > "««' v. * * ? - - ? i ' '''S ? Pi. 422 HISTOIRE .ET ..CRITIQUE. tèren
16q 3.1 '1lL'instructioncontinuaT : son i cours pour5 se;, terminer, ' le 20 novembre, après cônfroritration des témoi
cusée ^ qui- persista dans- ses dénégations, en) repoussant comme ' calomnies odieuses les crimes imaginaires dont on
smes'et de1 leurs consé- quences, qui' s'était répandu dans le pays, ' et même dans toute là'Fané-i ? ne"poûvaitfmânqu
é p .ubli4émntla-ux' exorcismes Il plusieurs'séculièresl et parmi ' 'elles* biën'qu'ëllën'eûtdonné ''aucun' signe' de
i ' 'elles* biën'qu'ëllën'eûtdonné ''aucun' signe' de possession, ' une' nommée"1 Claudine Bourgeolrqui avait* notamm
official ? la r requête se '< terminait "par uné demande 'd'être ' reçus,c lui-;Chirat et'sa ,femme «'appelant com
faite » contre leur tante.nla 3 : tna ht ? Iprb ? 1 ? p t;<b- T ' ,le Le parlement, faisant droite à cette 1 requê
n j ne fut point goûtée du clergé d'Auxonne, aussi refusa-t-il de ' 'livrer/ Barbe Buvée- à l'huissier. chargé, de la
,, disant qu'il avait, été «.mal, iri"t'vR ·G 9C191 ? ? 3T ? 1 9'C « ' E `^ 9t5 ' t , 3"i.' f ? lp -.h .3^ ? *j; ' ' F
u'il avait, été «.mal, iri"t'vR ·G 9C191 ? ? 3T ? 1 9'C «' E `^ 9t5 ' t , 3"i.' f ? lp -.h .3^ ? *j; ' ' Fonds frança
·G 9C191 ? ? 3T ? 1 9'C «' E `^ 9t5 ' t , 3"i.' f ? lp -.h .3^ ? *j; ' ' Fonds français, manuscrit 18696. Preuves qui
9C191 ? ? 3T ? 1 9'C «' E `^ 9t5 ' t , 3"i.' f ? lp -.h .3^ ? *j; ' ' Fonds français, manuscrit 18696. Preuves qui résu
11AW111lr 1 : Jrj 5f1 .j'JI· . j 4 p, ? aL ? ryAaJ -i il) 1 'y, 424 ' HISTOIRE ET CRITIQUE. nullement et abusivement
i'fut`rémise`pour·servir`.dè%mémoire à l'instruction ? nouvelle ? 5" ' sab Pq-10) 0b iclsizoY r ! 5 eriumaù r-.e' x.zq ?
imonot, prieur des Jacobins de Dijon et le- P.- Godin-du même ordre, ' "docteur emthéologie.;Le P.Séguimfit.d'abord, d
nt été renouvelé par. le général de sa congrégation - . - .- - 1 *** ' ? ri"r5c ? " .J - (lg3.i 3-1 «j ' On désignait
sa congrégation - . - .- - 1 ***' ? ri"r5c ? " .J - (lg3.i 3-1 «j ' On désignait ainsi la chambre criminelle. .< .
. A ogaJ tB. u 'Manuscrit, archives départementales. (Signé Legoux, ' 11*1127,'fOl.- 7.)'Loc- cit., voir la note delà
voir la note delà pae.14"'L"l' .· , r -. rr;· uv fio*r/f> »> ? ' . BARBE BUVÉE.j -, 425 sur l'instante prière
e com- missaire Legoux en trouva de semblables dans le sable des, ' ,Le prince de, Condé.. .( i... .. * Pierres qu'o
res qu'on supposait accompagner la foudre quand elle tombait. zizi) ' HISTOJiiB' ET 7C'RIT'IQU E. alléësdu jardin, et
dm\Josepli Séguih, ac'c"om 1pagné-dü-prie .ür Simon -ot1et of' . an ' v "FI < t rrfLaY. '1 1t yn ? ri erra du"P. G
médecin qui' n avait reconnu en ces reli- r . - r tn'f-T f'<\t ? ' . eh n wSc "W ,tty r tW ·· 9 yxtm .. galeuses a
ucune apparence de maladie, et convinrent ensemble 1 , ? ., - - Nt , ' "Ç du lieu, de l'heure, de lamanièré et des per
rôcédëcâiérit z l'exorcisme, décidant de'prendre l n""<'' ? r" ? ' " '.< ? )".U' r seulement celles qui n étaien
xonne, désireuses d'être'témoins detout ce qui allait'se'passer ? ' Ü9 ? ? th 'j-fT 1- )'9 15' 1 'il f' ? 711 T,1 ? ,
elles,ont tenus - < ? r.)f ? r ^ · > 1 ..). f ? nj. : .J ? ·m ' longtemps la vérité cachée,, il fut treuvé bon
rité cachée,, il fut treuvé bon de s'esloigner rJ - Il , `Ia. JU t - ' u J .J " u W ? i/" 1A1·JJ.u : 5aE1 J - autant q
cript par ? t.tt ? t ? t , 1 t.it i.tNV `U viv ·...jn1 J·,J ! J 1 lal ' J le ni me rituel. .'rf I Vu --t-t ïi,o ^ït.^mr
rrr ? a- 3- -m . i.H 0 - W Jm ? n , al 1 tFy litll 1.0 ? t.T'frft-' ' · V 3-' : `. ï·W zut 9 A cet effet 1 on pria M.
t ? JTt'r* r> .r>l ? »r. Il .* uMt'- "'u 1W ,JUI .- - JJJp ? *4 ' · voit 1 autre, et que ce n est que répétition.
et ... ? H ? <t ? r.t.).tU't ? W 1 W n ,) ? )1, J ? n i ? 1 ? »- ' ."» W .. · 1 oraison marquée dans le rituel,, a
? renverse comme une bierre, ne touchant .la terre .que de la K , ' ir.M't'. ,.</- , ."j ' ? j . u.j.1 t.. J t. 1
rre, ne touchant .la terre .que de la K , ' ir.M't'. ,.</- , ."j ' ? j . u.j.1 t.. J t. 1 ..v.. , dJ1 pointe des p
pointe des pieds, ou environ. L on en aveu une seule qui faisant ' réparation au Saint Sacrement de quelques blasphê
nt de quelques blasphêmes, estant l', ? ti ? j ? >-.. ,< mi ? ' » "<- . ? (JI,,) 1 ' t y @ @d7l ' ? que la te
, estant l', ? ti ? j ? >-.. ,< mi ? '» "<- . ? (JI,,) 1 ' t y @ @d7l ' ? que la teste estoit a genoux, se
, ? ti ? j ? >-.. ,< mi ? '» "<- . ? (JI,,) 1 ' t y @ @d7l ' ? que la teste estoit a genoux, secoHr6o : <
estoit .- ? <->.> , ....... >j · ! - . ? ni.\<. y-i* ' ' ; ? » ? i . , comme entièrement cachée OM ? l
toit .- ? <->.> , ....... >j · ! - . ? ni.\<. y-i* ' ' ; ? » ? i . , comme entièrement cachée OM ? la
- -M ..I -»p . , .ïj*. ,.... 111 . ... ..J1 »'.J. JIJ . J *^J- J JU ' plusieurs' autres que tout le monde, peut faire.
l .; « Les dits RR. PP. ayant communique avec AL le commis- - T ! ' * m-* . Ij ·, j *"iiii.uij j....^1 ? ? -1 ' . ,-
avec AL le commis- - T ! '* m-* . Ij ·, j *"iiii.uij j....^1 ? ? -1 ' . ,- saire pour empescher ces mouvements, 1 ind
oit·cèlüy du démon, ful'ent"d'advis; la prière' finie, l"*j r rr "^ ' "' ? /-i," *>r-, ? trrt'. , ,r ? ,. f. > -&g
t·cèlüy du démon, ful'ent"d'advis; la prière' finie, l"*j r rr "^ '" ' ? /-i," *>r-, ? trrt'. , ,r ? ,. f. > ->
le dans une chaise a bras qu'ils souhaita 91, 193'lit D Î3 ;* ? .ir ' ^i'I.O-v -;311n>ci'-3 ) r ' - i> t oil-'ii
ls souhaita 91, 193'lit D Î3 ;* ? .ir '^i'I.O-v -;311n>ci'-3 ) r ' - i> t oil-'ii Psi' Loc.'cit.tManuscrit 127,
suivants,'4 Archivés'dépa'rtementales,- voir la note de la page 17. ' ? zrF' K' '>'d ? °" 1 3- «' 428 . HISTOIRE E
ntales,- voir la note de la page 17. ' ? zrF' K' '>'d ? °" 1 3- « ' 428 . HISTOIRE ET CRITIQUE. 1 'I5 Jt '<.&l
ns-'lëqùel' il ne'se passa en' de considéàble,l l-R ? P,Sim- o"n'ot, ' prieur "des' Jacobins con mença le second ; en'
par cérémonie elle respondit : VerrinaAcelles : Qui sunt'socirtui ? ' Elle respondit *ISûn ' ? Ide-la'riiê-mè-1 maniè
ondit : VerrinaAcelles : Qui sunt'socirtui ? ' Elle respondit *ISûn ' ? Ide-la'riiê-mè-1 manière, : etcomme : éllepar
iste'Iaf presser luy demande par trois fois : .Cujus'.hierârchiar ? ' ·Elle=réspondit : Tuscisnolo res' pondere, et en
n lui'demande : Cujus hierarchise- sunt throni ? Elle respond : suc, ' et'pressée de plus'en plus : " Je n'en sçay rie
, Tt.`W : ? J)T8ïj , .EZ t BARBE BUVÉE. , 42U ".h ? ? "*>' -..^ ' ^0' i ° ? ilr1 ' y s 31u( . "3 . Elle répliqua,;
ïj , .EZ t BARBE BUVÉE. , 42U ".h ? ? "*>' -..^'^0' i ° ? ilr1 ' y s 31u( . "3 . Elle répliqua,;si je voulois je
ontenter et ? jloi^·tis2-,c ^« Surh les; deux . heures après 2 midy, ' l'on ? retourna dans l'avant-choeur.dudit monas
y sans cérémome oü lui demandé si"elle'ne s'êstôit point 6lëssée"âù ' derrier "de la teste," parce qu'elle âvoit'frap
s ? ponces'" et "ces postures' ordinaires"1 dans1-lesquélles'scomme" ' 'dans toutes lës précédentès ? ôri âpérçüttsi f
l'intelligence'de cette langue' quand' bien1, il-'ne s'en 'devrait ' f pas -servir' dans ses responces.' » ? " 9"Jl
rriençoit sesagi;ttationsetses premièrespos- tures ? ,ar n;. 9ff121) ' ! 03 : 1314H3- : q 3 Un Jï ^a%mJ8.-im J ? ,« Le
luy donnoit, elle en tiroit de 1 - 1 1, 14 - . 1, t, 1, ... 1 - .. ' ? v t. - .' f)t grandes forces, interrogée elle
Dieu. Ce qu'elle fit après quelques résistances, en disant : non ? t ' 1 ! I 1.J W y . 71 V 1 v tl`1y -T trW--t-. r.f V
avoient entendu le mesme blasphème, et à peu près la mesme j.,< ' t - . -. -.4>«-.>' vit- ? ' viu t.Ji<tJt
e, et à peu près la mesme j.,< ' t - . -. -.4>«-.>' vit- ? ' viu t.Ji<tJt ? 1 Mn ftU7t-.f 13 3"* rt î rép
ez pas, croyez que tout ce que ... ? - . -- . ir , - , -...-«r* ^*\ ' rr»M...r ^ i * 2 ie vous dit n'est rien, c est
' rr»M...r ^ i * 2 ie vous dit n'est rien, c est pour vous tromper, ' je ne suis pas ."... ? ,... · , 'jt ? t m 1.t t
là. D· a soy toute seule et 1 on finit 1 exorcisme ce jour la. » '' ' Le commissaire fut alors d'avis qu'il en avait
mis-' sion dont l'autorité ne pouvait guère être récusée, n'étaient ' pas sans préoccuper très vivement 'le clergé au
' de l'entrée au couvent, puisque, dans la procédure. de l'official, ' les mêmes religieuses avaient déclaré avoir été
ions de César Auguste et de Macaire,°prêtres apostats de Genève., ? ' Il fut donc passé outre, et le 14 février, vers
e condition, se rendit au couvent avec les membres de la commission; ' excepté le médecin, et rencon- trèrent là, le v
le vicaire général, l'official et le supérieur du monastère., 1 1 1 ' ' ' .4 ' . Il importe de remarquer ici qu'aucun
vicaire général, l'official et le supérieur du monastère., 1 1 1 ' ' ' .4 ' . Il importe de remarquer ici qu'aucune
icaire général, l'official et le supérieur du monastère., 1 1 1 ' ' ' .4 ' . Il importe de remarquer ici qu'aucune re
e général, l'official et le supérieur du monastère., 1 1 1 ' ' ' .4 ' . Il importe de remarquer ici qu'aucune religie
lles elle se renversa et commença à s'agitter. z Après les litanies, ' M. le vicaire général s'approche d'elle et ' lu
. z Après les litanies,' M. le vicaire général s'approche d'elle et ' luy parle come à une fille, luy remonstre que s
t ' luy parle come à une fille, luy remonstre que ses postures ne ' Manuscrit n° 127 rc l.a vérité recogneue au faict
de la langue et des interrogations luy peuvent permettre. » ? - - . ' , < .. « « Estant placée dans la chaise, le R
vant de la chaise s'en va chercher ses pentoffles, et se retira. » " ' * ' revue d'électrophysiologie ET d'électrothér
de la chaise s'en va chercher ses pentoffles, et se retira. » "' * ' revue d'électrophysiologie ET d'électrothérapie
» "' * ' revue d'électrophysiologie ET d'électrothérapie. 437 - J ' ? , « L'on remarqua durant l'exorcisme que MI l
icial pour l'exécution, il reprit la route de Dôle et de Besançon ? ' ' **. - . r Le P.' Séguiri rentra de son côté à
ial pour l'exécution, il reprit la route de Dôle et de Besançon ? ' ' **. - . r Le P.' Séguiri rentra de son côté à D
les personnes auxquelles on jugerait à propos de les confier' '. . ` ' - " (A suivre.) ` REVUE D'ÉLECTROPHYSIOLOGIE
apportées. 438 REVUE d'électrophysiologie ET d'électrothérapie. - ' ,... . u 7 If ... i> , ' ' ' ' 1" ÉLECTROPHY
rophysiologie ET d'électrothérapie. - ' ,... . u 7 If ... i> , ' ' ' ' 1" ÉLECTROPHYSIOLOGIE ? ? " I. Influences
physiologie ET d'électrothérapie. - ' ,... . u 7 If ... i> , ' ' ' ' 1" ÉLECTROPHYSIOLOGIE ? ? " I. Influences D
ysiologie ET d'électrothérapie. - ' ,... . u 7 If ... i> , ' ' ' ' 1" ÉLECTROPHYSIOLOGIE ? ? " I. Influences DES
iologie ET d'électrothérapie. - ' ,... . u 7 If ... i> , ' ' ' ' 1" ÉLECTROPHYSIOLOGIE ? ? " I. Influences DES d
COURANT EN ÉLECTROTHÉRAPIE SUR LA. NUTRITION DU MUSCLE . pP ? s " ' > M ' t, Dans ce travail, fait à la clinique
EN ÉLECTROTHÉRAPIE SUR LA. NUTRITION DU MUSCLE . pP ? s " ' > M ' t, Dans ce travail, fait à la clinique électrot
t sur les animaux, qui ne sont pas susceptibles de sug- gestion. ** ' / , . ' ? '' " ' '- ' Il est divisé en cinq par
s animaux, qui ne sont pas susceptibles de sug- gestion. ** ' / , . ' ? '' " ' '- ' Il est divisé en cinq parties la'
, qui ne sont pas susceptibles de sug- gestion. ** ' / , . ' ? '' " ' '- ' Il est divisé en cinq parties la' ' premiè
ne sont pas susceptibles de sug- gestion. ** ' / , . ' ? '' " ' '- ' Il est divisé en cinq parties la' ' première tr
stion. ** ' / , . ' ? '' " ' '- ' Il est divisé en cinq parties la' ' première traite'de la nutrition musculaire en g
enus. C'est sur ces deux parties que j'appelle surtout l'attention. ' ' ° am ; .. Les phénomènes circulatoires qui ac
us. C'est sur ces deux parties que j'appelle surtout l'attention. ' ' ° am ; .. Les phénomènes circulatoires qui acco
lle statique ne pro- duit pas de modification durable. " >> ' -, T-fi e ' , , , ' , , j , II. Action des, cou
ne pro- duit pas de modification durable. " >> ' -, T-fi e ' , , , ' , , j , II. Action des, courants DE pol
duit pas de modification durable. " >> ' -, T-fi e ' , , , ' , , j , II. Action des, courants DE polarisatio
comme EXCI- ? ** -'TANTS DE' LA CONTRACTILITÉ ; par ROUSSEAU. -1 z ' , Les résultats diffèrent suivant .qu'on se sert d
se sert de l'interrupteur ordinaire les, forces électromotrices se ' ^combinent peu-a peû en produisant des courants lo
e dans l'action de l'interrupteur simple et du levier-clef semble ' expliquer les divergences de vue des divers auteu
xpliquer les divergences de vue des divers auteurs sur les lois des ' secousses. On doit éviter l'emploi du levier-clef
loi du levier-clef parce qu'il accentue les effets de polarisation. ' ' '' "' '" . `r . r, ? III. RELATIONS.ENTRE, L'
i du levier-clef parce qu'il accentue les effets de polarisation. ' ' '' "' '" . `r . r, ? III. RELATIONS.ENTRE, L'EX
evier-clef parce qu'il accentue les effets de polarisation. ' ' '' " ' '" . `r . r, ? III. RELATIONS.ENTRE, L'EXCITANT
ier-clef parce qu'il accentue les effets de polarisation. ' ' '' "' ' " . `r . r, ? III. RELATIONS.ENTRE, L'EXCITANT É
un étalon inné. IV. De l'interférence des excitations dans le nerf; ' , 'f 11 - , ' par VEDENSAY ? 1 ' -' ? *-t.' On
IV. De l'interférence des excitations dans le nerf; ', 'f 11 - , ' par VEDENSAY ? 1 ' -' ? *-t.' On sait que cette
rence des excitations dans le nerf; ', 'f 11 - , ' par VEDENSAY ? 1 ' -' ? *-t.' On sait que cette question a fait l'
ce des excitations dans le nerf; ', 'f 11 - , ' par VEDENSAY ? 1 ' - ' ? *-t.' On sait que cette question a fait l'obj
galvaniques DES organes DES sens ; * J * par parKUSSELB.1CII. .- ? ' ,t , Les expériences ont porté sur quatre sens
ne excitation méca- nique s'exerçant sur les organes terminaux. a ' - . r . - . ' . "VI. Étude expérimentale DE l'a
méca- nique s'exerçant sur les organes terminaux. a ' - . r . - . ' . "VI. Étude expérimentale DE l'action DE l'éle
"VI. Étude expérimentale DE l'action DE l'électricité statique, T ' ' ' ' sur LES'COMBUSTIONS INTRAORGANIQUES; par TR
"VI. Étude expérimentale DE l'action DE l'électricité statique, T ' ' ' ' sur LES'COMBUSTIONS INTRAORGANIQUES; par TRUC
I. Étude expérimentale DE l'action DE l'électricité statique, T ' ' ' ' sur LES'COMBUSTIONS INTRAORGANIQUES; par TRUCII
Étude expérimentale DE l'action DE l'électricité statique, T ' ' ' ' sur LES'COMBUSTIONS INTRAORGANIQUES; par TRUCIIOT
tique, T ' ' ' ' sur LES'COMBUSTIONS INTRAORGANIQUES; par TRUCIIOT. ' Cette étude, déjà entreprise au siècle dernier,
- vail de M. Truchot offre une incontestable supériorité. Il a tout ' d'abord étudié sur lui-même les effets de l'éle
tion et de la circulation sous prétexte que cela a déjà été fait. ° ' ' ' Pendant une première période d'une semaine,
on et de la circulation sous prétexte que cela a déjà été fait. ° ' ' ' Pendant une première période d'une semaine, d
et de la circulation sous prétexte que cela a déjà été fait. ° ' ' ' Pendant une première période d'une semaine, deu
r la séance au delà de dix minutes. · t..i » oa < rgn ,.31'. v ? ' ' Avant d'appliquer le traitement à ce-, qu'on
la séance au delà de dix minutes. · t..i » oa < rgn ,.31'. v ? ' ' Avant d'appliquer le traitement à ce-, qu'on ap
ies, il y a lieu aussi d'espacer les séances., 9j.,h, ,, .. . : ^ ' ' t . ' ' " ? > t't r ba avï : « *r «J i. '
s, il y a lieu aussi d'espacer les séances., 9j.,h, ,, .. . : ^ ' ' t . ' ' " ? > t't r ba avï : « *r «J i. ' ''
y a lieu aussi d'espacer les séances., 9j.,h, ,, .. . : ^ ' ' t . ' ' " ? > t't r ba avï : « *r «J i. ' '' ' ' É
y a lieu aussi d'espacer les séances., 9j.,h, ,, .. . : ^ ' ' t . ' ' " ? > t't r ba avï : « *r «J i. ' '' ' ' ÉLE
9j.,h, ,, .. . : ^ ' ' t . ' ' " ? > t't r ba avï : « *r «J i. ' '' ' ' ÉLECTRO-DIAGNOSTIC ? '^ / h ' I. RÉACTIO
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,, .. . : ^ ' ' t . ' ' " ? > t't r ba avï : « *r «J i. ' '' ' ' ÉLECTRO-DIAGNOSTIC ? '^ / h ' I. RÉACTIONS ÉLEC
' " ? > t't r ba avï : « *r «J i. ' '' ' ' ÉLECTRO-DIAGNOSTIC ? ' ^ / h ' I. RÉACTIONS ÉLECTRIQUES DANS LES MALADI
> t't r ba avï : « *r «J i. ' '' ' ' ÉLECTRO-DIAGNOSTIC ? '^ / h ' I. RÉACTIONS ÉLECTRIQUES DANS LES MALADIES NERV
ns la séance du 6 février delà Société deNeurologiedeNew-York, le D' ' C.Dana a communiqué les résultats de ses recherch
n de un centimètre carré et se terminait en pointe. Au moyen de cet ' instrument' l'auteur a pu' obtenir une' forme p
ntractilité faradique est abolie et au point de vue du pronostic. · ' y- 1 e- D'après ses recherches les fibres nerve
la région. ? REVUE D'ÉLECTROPHYSIOLOGIE ET D'ÉLECTROTHÉRAPIE. 443 ' y Dans certaines paralysies d'origine incontestab
nce peut encore être démontrée dans le muscle par l'acupuncture. "" ' '* M. Jacoby considère la valeur de l'explorati
e peut encore être démontrée dans le muscle par l'acupuncture. "" ' ' * M. Jacoby considère la valeur de l'exploration
iales invétérées il n'a pu obtenir la réaction de dégénérescence.' " ' ' ' "' « r;jr .« ? ? t ? ) ? ? j d4 .ru;' ..T ?
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.ru;' ..T ? » ' V ? la. '1" - ? 4,' ... 'ÉLECTROTHÉRAPIE " : ." r - ' --- - i. t , j- 1 4 inf . - f xi -il. LA NEURAS
ÉNIE ET SON TRAITEMENT 'PAR L' ÉLECTRICITÉ ; par DOUMER. ICI .1 w ` ' ' , 1 , 1"- - - .,frtl. 1 .. 1 . 1 ,', Dans ces
IE ET SON TRAITEMENT 'PAR L' ÉLECTRICITÉ ; par DOUMER. ICI .1 w ` ' ' , 1 , 1"- - - .,frtl. 1 .. 1 . 1 ,', Dans ces,l
TÉ ; par DOUMER. ICI .1 w ` ' ' , 1 , 1"- - - .,frtl. 1 .. 1 . 1 , ' , Dans ces,leçons l'auteur indique comme moyen le
este le seul traitement vraiment efficace chez les neurasthéniques. ' 1 ,,Robinson conseille pour le traitement des p
'' 444 REVUE D'ÉLECTROPHYSIOLOGIE ET d'électrothérapie. - n ? - 4 ' } i; t '. îj/jt II. Traitement électrique du tab
t '. îj/jt II. Traitement électrique du tabès; par Simon-Laboude. ? ' Ce travail commence par une revue des'différent
inusoïdaux et les courants, à haute fréquence et à haute intensité. ' - - . , ; i Somme toute, à l'heure actuelle, l'
ent DE la crampe DES écrivains ET DES télégraphistes; . par MONELL. ' L'électricité est le moyen le plus sûr de comba
à deux choses : mau- vais choix et mauvaise application du courant. ' Le courant faradique très employé a souvent éch
les autres paralysies, suivant le degré du mal et son' extension... ' IV. L'obésité, D'ORIGINE nerveuse ET SON traite
L'obésité, D'ORIGINE nerveuse ET SON traitement' par l'électri- 4 ? ' cité; par Imbert de la' Touche (de Lyon)f" ? .
rt de la' Touche (de Lyon)f" ? . t 1 r ? , b', ? - . 1 l "IL -i ? . ' ' , ` Un certain nombre de neurasthéniques prés
de la' Touche (de Lyon)f" ? . t 1 r ? , b', ? - . 1 l "IL -i ? . ' ' , ` Un certain nombre de neurasthéniques présen
e action incontestable dans la cure de l'obésité d'origine nerveuse, ' si fréquente dans la neurasthénie; 2° Le bain é
ccidents nerveux et ramène les forces et l'appétit à l'état normal; ' 3° Cette méthode est infiniment supérieure à to
·V.NOTE'SUR la .méthode H1DR0-ÉLRCTRIQUE; par LARAT et GAUTIER. .. ' .. 1 - m , . .1 , , L'eau, sous forme de bain o
urant.' " -11 -'n Le patient est plongé dans l'eau à la température ' d'un ' bain ordinaire. Se basant sur les expéri
" -11 -'n Le patient est plongé dans l'eau à la température ' d'un ' bain ordinaire. Se basant sur les expériences,
ordinaire. Se basant sur les expériences, de M : 'd'Arsoiival,- les ' * auteurs ont surtout appliqué leur procédé aux
es rien d'extraordinaire n'a*1 été obtenu jusqu'ici : ,i- 'W't *t ? ' P ' 1 ? 1 i''i'" ' REVUE DE pathologie mentale.
ien d'extraordinaire n'a*1 été obtenu jusqu'ici : ,i- 'W't *t ? ' P ' 1 ? 1 i''i'" ' REVUE DE pathologie mentale. 447
naire n'a*1 été obtenu jusqu'ici : ,i- 'W't *t ? ' P ' 1 ? 1 i''i'" ' REVUE DE pathologie mentale. 447 le commencem
atico-anthropologiques pour faciliter la disposition des tableaux.. ' .. , - Le jugement sur la conduite je l'ai. don
isoler n'importe pour combien- de temps, de les déporter même, etc. ' ' Si un pareil examen préliminaire s'appliquait
oler n'importe pour combien- de temps, de les déporter même, etc. ' ' Si un pareil examen préliminaire s'appliquait a
on de la justice, à la plus salutaire organisation, la conservation ' de l'ordre et à la régénération sociale. ` Vo
s de dégénération psychique (épilepsie, phrénasthénie, folie morale, ' délinquant-né, paranoïa). Dans la centurie d'élèv
' parésie' de l'accommodation indiquè-pcesqûe sûrement la syphilis. ' r ? nkr,^, ik, ïj,14 ? M. PELMAN. Que la paraly
LMAN. Que la paralysie' générale survienne chez des indi- vidus qui, ' pour la plupart, ont'eu antérieurement la' syphil
paralysie générale/'Mais le''terrain étant' préparé par la syphilis, ' une fois' que' la paralysie générale y a germé,
ails. (Berlin.lclili : ·Woelcerasefaift;'4885,'n°50.)"e "" i"'ti" ? ' , 1 Chez* l'un des' maladesj' toute' la1 muscul
lui resta cependant de l'affaiblissement' intellectuel. 1 * '.' .. ' u t >. - M. OEI BENE. - Il y a lieu de disti
z les malades,affectés de, cérébropalhies récentes non désespérées. ' * t z M. Erlenmeyer. Je précise. Il y a indicat
'' ? C'J SOIXANTE-DIX-SEPTIÈME SÉANCE. * , * f ^-.tbC) ijt| ? J'U)-) ' * -> -'i - ·3 · · ra 4(,jt.'> ' Sdaîzêe d
* , * f ^-.tbC) ijt| ? J'U)-)' * -> -'i - ·3 · · ra 4(,jt.'> ' Sdaîzêe d ü 1 '5 "m> a' ? ,'s' 118 9 3'R S I
ü 1 '5 "m> a' ? ,'s' 118 9 3'R S I'D F NE1 . Loehr (aîné. ; 44 * ' ''4 'i* -7 ? U ç *} 1K< ,. '*>-, - ' . ·-
'R S I'D F NE1 . Loehr (aîné. ; 44 *' ''4 'i* -7 ? U ç *} 1K< ,. ' *>-, - ' . ·-111 : NcI ? A6us de la théorie d
NE1 . Loehr (aîné. ; 44 *' ''4 'i* -7 ? U ç *} 1K< ,. '*>-, - ' . ·-111 : NcI ? A6us de la théorie des localisa
cupent la -ré,-ionl'occipi taie). Lacassagne divise le genre humain, ' suivant qu'il s'agit de criminels ou de non cri
ieures du cerveau,'l'activité, les régions latérales, les instincts, ' les régions ! postérieures. ' `Bordier;` Manouvri
les régions latérales, les instincts,' les régions ! postérieures. ' `Bordier;` Manouvriery Topi- nard,' partagent p
s,' les régions ! postérieures. ' `Bordier;` Manouvriery Topi- nard, ' partagent plus i- on £ moins 'les mêmes manières
,1' spinaux-cérébraux" anté- rieurs ; spinaux-cérébraux postérieurs, ' cérébraux-antérieurs;`céré- braux'postérieurs.
en conserve., ;.·.4a y ....,po ? , ,a <.. ·r. , , vit - .. ? ? t ' ? tt.< il t ..t., ? - ). h <' yr' -) ? 'i
ci, trois femmes atteintes de délire systématique, une paralytique,) ' une SOCIÉTÉS SAVANTES. 455 démente ? qui ont
affirme ou rectifie ce que. dit'la voix à tonalité élevée, mais n'in- ' lerroge jamais. -5° Psychose par obsession. Cra
chronique sans, obsession ? (Allg.,Zeitsch. ? Psychiat, L. t et 2.) ' un- ? P.,KÉRAVAL ? . .iii-iuj ? ' i *>'/ o.{
eitsch. ? Psychiat, L. t et 2.) ' un- ? P.,KÉRAVAL ? . .iii-iuj ? ' i *>'/ o.{*nq ? (* oîbi 4 J - >r,tf...w rr
..w rr ? i* lj'iQ ? 3,- . -ot-idi' sô-xÂNTÊ-DIX-HUITIÈME'SÉANCE*1 ? * ' }",' . ')C ! ? ? < ? ' * ". if'' ? - " ? i-f
rr ? i* lj'iQ ? 3,- . -ot-idi' sô-xÂNTÊ-DIX-HUITIÈME'SÉANCE*1 ? * '}", ' . ')C ! ? ? < ? ' * ". if'' ? - " ? i-f ? (j
* lj'iQ ? 3,- . -ot-idi' sô-xÂNTÊ-DIX-HUITIÈME'SÉANCE*1 ? * '}",' . ' )C ! ? ? < ? ' * ". if'' ? - " ? i-f ? (ji , 1t
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é Y , Conformément aux statuts, le président rappelle les travaux ' ^effectués pendant l'année qui fviént de s'écouler
ychopathique)sous ce rapport. 'Voici ce qu'on a trouvé : -1 ) .'Il' ' 1 ,ii ? > ? ' ' ? a*. '10 La mélancolie) ,ra
ce rapport. 'Voici ce qu'on a trouvé : -1 ) .'Il' ' 1 ,ii ? > ? ' ' ? a*. '10 La mélancolie) ,rave ou 'de- moyenn
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menstruation s'est effectuée régulièrement; 456 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' - . 2° chez 13 malades affectées de stupeur d'e
llie aux mêmes conclusions.(ALIg."Zeitsci. f.'Psychiat. L.' 1 et 2.) ' ' P. KERAVAL : '<'. f ..." . f ...... "- i"
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iat. L.' 1 et 2.)' ' P. KERAVAL : '<'. f ..." . f ...... "- i" . ' ru-j-r», . > ! { ? . ? 1 '- f. · s XXVII5
HAHE... a ? ·· al..·b· .i 9 ? · ff 31 )r ? n ! .7 * ,'l : J i c ? - ? ' , . . ts-iW vt. 1. - ? un .)i 9 ? )< ? < ?
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i-v . Séance du 1 ? mai t893. Présidence de M : Ger'stenberg. '' ' '" \t M ? y Après avoir fait l'éloge de M. Snel
-v . Séance du 1 ? mai t893. Présidence de M : Ger'stenberg. '' ' ' " \t M ? y Après avoir fait l'éloge de M. Snell,
che, mais elle ne prend pas ta po- sition dite en escarpolette ? '' ' * ? jU' '' ? "J1'" '" ' ? " "' M. Richard Snell
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po- sition dite en escarpolette ? '' ' * ? jU' '' ? "J1'" '" ' ? " " ' M. Richard Snell. La fi-équeiice de*s"'ca'lcül4
diant les relations riécroscopiques de 500 liômmes'ét de 500 femmes, ' l'orateur, constaté que l'on a trouvé des calculs
on a trouvé des calculs biliaires chez '46 hommes et chez 97 femmes* ' ce.'qui donne pour les hommes une proportion de
Ils se répartissent ainsi, selon'la' forme de l'aliénation mentale, ' ' * ? "'"' ? t " 1 1 "1 'Ti) -1 ? SF qtti.fi ,.
s se répartissent ainsi, selon'la' forme de l'aliénation mentale, ' ' * ? "'"' ? t " 1 1 "1 'Ti) -1 ? SF qtti.fi ,. c
partissent ainsi, selon'la' forme de l'aliénation mentale, ' ' * ? " ' "' ? t " 1 1 "1 'Ti) -1 ? SF qtti.fi ,. c SOCI
rtissent ainsi, selon'la' forme de l'aliénation mentale, ' ' * ? "'" ' ? t " 1 1 "1 'Ti) -1 ? SF qtti.fi ,. c SOCIÉT
proportionnelle, par rapport aux calculs biliaires : - -3 1 «m.. ? ' · a,s 1. m> ? · ; .' «' 460 SOCIÉTÉS SAVANTE
rt aux calculs biliaires : - -3 1 «m.. ? ' · a,s 1. m> ? · ; .' « ' 460 SOCIÉTÉS SAVANTES. très bien. Puis gradue
présente les symptômes nets d'une tumeur, céré- brale : céphalalgie, ' papille étranglée, symptômes. bulbaires pas de
écis; dans ces quinze cas, la tumeur siégeait 4(yt , ir le 9t7t'SJt" ' Jf1 5 Wf i.» ? < <^û 0 1 ij .' ? T 1 ' '
4(yt , ir le 9t7t'SJt"' Jf1 5 Wf i.» ? < <^û 0 1 ij .' ? T 1 ' ' 462 BIBLIOGRAPHIE. malade; on a contusionné
4(yt , ir le 9t7t'SJt"' Jf1 5 Wf i.» ? < <^û 0 1 ij .' ? T 1 ' ' 462 BIBLIOGRAPHIE. malade; on a contusionné l
itsch. f. Psychiat." L ? 1 et 2.) .. -, -, . -"-"c*. *>- . i ? - ' -' > \u ? : . ? .. *u ? ? 4 à , 1 il Ill 1-
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t;««X. -v B 1 B LIO G RA P H 1 E.- " "' " '^ ,I1B ? i k« i ,f 'u,r . " ' *- ru 1 - «m ? o il , 1) 9"·3,a; 'r VIII. Étude
III. Étude sur l'emploi du massage dans les maladies nerveuses; 4 " ' S-F" ''par le Dr Massy.' G. Masson, éditeur. ? '
ies nerveuses; 4 " ' S-F" ''par le Dr Massy.' G. Masson, éditeur. ? ' "* , ,~. Z. Ce travail'clair'et concis étudie d
de.pages.Jl,,r· e, r,, 1. CEIARPENTIER., -cnfu 'i)b-"Tr ? j4--Ji44» ' ! C'jJ i.ïîj ? ' 't ? ajjfb 't ? i.{- 4. j w .t
e, r,, 1. CEIARPENTIER., -cnfu 'i)b-"Tr ? j4--Ji44»' ! C'jJ i.ïîj ? ' 't ? ajjfb 't ? i.{- 4. j w .t IX. Bibliothèque
ion spéciale (mémoires," notes et' observations sur' l'idiotie)aT : ' II· : Rapports et mémoires sur le* Sauvage de i
de i- rAu ? )'0) : ; r ! Mt ! 'e et la suz·di-mutité;'pàr Mitard' £ ' Appréciation , i parM.DELASiAUVE. Pré/toce; par
parM.DELASiAUVE. Pré/toce; par BOUItNEVILLE, 111-H° de 200 pages, » ' avec portrait-du Sauvage'de l'Aveyron. z,r 6 : s
avec portrait-du Sauvage'de l'Aveyron. z,r 6 : s : L s ! otî.iimfc ' ,4-i ? pî. ? 41S.- .i- ''f'' ? ^"(i,- ? . , La p
ies congénitales et chroniques du système nerveux chez les enfants. ' 1 1 Très rares encore aujourd'hui dans notre pa
de nature à faciliter leur tâche professionnelle et humanitaire ? ' Cette publication qui nous occasionne plus de rec
'atelier d'im- primerie'des Enfants' de' Bicêtre ? D'aillëurs;1ce ! ' sontBeux et leurs camarades'qui sont'les premie
uteurs, de leurs institutrices et des personnes qui les soignent. ? ' - , . , 1 -1.. 1 JL .·,a. 1 t) ? mt ? « ,.1 sdl
icale' actuelletet a part peut-être'quelques- très rares exceptions, ' tout à fait'ignorées du monde universitaire ? E
envers l'auteur et comblons une lacune de la science ». 1 1 i , - : ' - . La connaissance des deux rapports d'Itard n
ons, par. conséquent de quelques réflexions som- maires. - - -,c h' ' ' - . - , , - <- - in - .31 Parmi les idées
s, par. conséquent de quelques réflexions som- maires. - - -,c h' ' ' - . - , , - <- - in - .31 Parmi les idées ex
, la peine extraordinaires que s'est.} donnée Itard. ,v( . - ? 10 1 ' s 1 'L > 1 a ^norsvue yi3fom Si nous insisto
a des degrés divers, et souvent t inattendus des enfants normaux. y ' ; -, j, ;»-.. ? f se ? 7 ? . t.. 1 t, 9b^· d6 -
pointillé'hémorrhagique, très' serré, occupant', la' totalité ou la ' moitié supérieure s'observe très fréquemment, r
uemment, rappelant celui des asphyxiés et des étranglés. -i *- -^J' ' ? ! : ro ? M<' «.-u. · Les troubles de là' s
t faciliter l'im- pression piusprofonde'de l'émotion, '-i- <* "1 ' * «* "' t-->" * A propos'de troublés viscérau
iter l'im- pression piusprofonde'de l'émotion, '-i- <* "1 '* «* " ' t-->" * A propos'de troublés viscéraux', l'a
reprend ^avec observations, nombreuses, à l'appui, 12 o e a u-an de ' vue observations, nombreuses, Lion .t1è-, I ! é
pres, travaux, ceux.si'importants'de l'école de la Sal étrière. ; t ' ;Ï ? ? E, ..L«1"J . ? A", , 1 école de la Salpè
? ™" "CE culté du sujet à f ? U ? H t''t''l'](ï0fn .11-IRPENTI R. ' ' . -rut4rc101f NÉCROLOGIE9 ? r(tfl7fiYF `>j't
™" "CE culté du sujet à f ? U ? H t''t''l'](ï0fn .11-IRPENTI R. ' ' . -rut4rc101f NÉCROLOGIE9 ? r(tfl7fiYF `>j't'(
s Sciences, dans la section dètmédecine et de chirur-ie."r " z'' '' ' *" ( Brown-Séquard;1 de par.'ses publications,
et un peu plus'tàrd; en;4885; lè.'priX"bierînal'dë l'Institut d'une ' valeur de 20,000 f : En 1888; il rémplaça'Pàul'
comme président de là Société'de* Biologie'. Républicain' convaincu, ' Brown-Séquard fut obligé'de s'exilera Londres a
.fr : . =`isba r .,E ? 9 p.s&ri7ra.· · .. fondé pour lui. * ? ™" ' ™ ? ~f it. ? 8' ) ? enl'v'" ' ' On' a'conté beau
amp;ri7ra.· · .. fondé pour lui. * ? ™"'™ ? ~f it. ? 8' ) ? enl'v'" ' ' On' a'conté beaucoup d'anecdotes''sur =Brovvn
p;ri7ra.· · .. fondé pour lui. * ? ™"'™ ? ~f it. ? 8' ) ? enl'v'" ' ' On' a'conté beaucoup d'anecdotes''sur =Brovvn-S
veau de papiers e d 1 àbe ? Il enfermait ensuite ces notes dans une ' grande caisse' d'où il' les exhumait plus tard. O
'éiiumérer les'principaux. Voici d'abord les titres scientifiques : ' '. i t t ; Prix Lacazë (Phÿsiologie,` 1881); ?
; -^ Du rôle de V encéphale et de 'la protubérance dans la ? 'esp ! ' ? 'a<MK;) ? Ree/terc/tM, sur l'influence, du
sur la physiologie et, la pct(/t0 ? e de ? ost< et de la vision. ' ' ,1 » -K' Brown-Séquard a collaboré à de nombr
r la physiologie et, la pct(/t0 ? e de ? ost< et de la vision. ' ' ,1 » -K' Brown-Séquard a collaboré à de nombreu
ific azzd Praclical médecine, and Surgery » paraissant en Amérique. ' "< *»- ? I " = -"ii' - 3.h ? . 31a tj· rr
en Amérique. ' "< *»- ? I " = -"ii' - 3.h ? . 31a tj· rr ·m r ' 1 .,...., ' -v™od\ ? SOUSCRIPTION . r . POUR
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1A ? ,chives. . E ` ? ` ? · 3 r1 9 "'J;f''<..9ft). ? a ? L 'r ? ' , , 1 , , ),- 21%1, 191t : JVA'ÎIA ? ÉrJAi. y)
, , 1 , , ),- 21%1, 191t : JVA'ÎIA ? ÉrJAi. y) 4l[1t1 : >>>i( ' ? G »J%.. e 1 v fic ? -irin fiiq*tt,Pi4,, ? ? 1
en chef 9" ;sen de l'asile d'aliénés de Vârna. f ? 3dD'b , ,n.. z ' >»} I £ tf·3 ! t"2 : at' 911B1 ? 2 avj T"v) !
>»} I £ tf·3 ! t"2 : at' 911B1 ? 2 avj T"v) ! rt' J ? l* ? .m;.K'i ' . . La Bulgarie est .trop obérée. par les charg
ecine interne; le service de chirurgie; le quartier d'aliénés. Mais, ' en' réalités le nombre des, lits du quartier d'al
nne aux aliénés les débris de 11r7ge.;al..el,3 ? sl9,e ? h.eJst air ' Le bâtiment; : vieille[construction;. turque en
)a ? en,4887, on en admit 24. x au jiOL tlt 4j . ! t , % riz 41.4 : ' £ ? , > Depuis 1889, l'hôpital de, Varna est
non' chauffées;, aussi, les agités ne peuvent' être'isolés ehhiver, ' et l'on est obligé de recourir à des'médicament
t obligé de recourir à des'médicaments calmants ! 11 Orl h lit- ! t ' 1 ? il . jv, On ne peut se servir de' l'hydroth
ux baignoires; il n'y a pas de chambres' de bains proprement dites. ' -.Tînt- ? u Le bâtiment se 'compose d'une série
és lieux 'd'aisances ? 1 Ces derniers mal'agencés sentent mau- vais, ' en' dépit^de la"-randef quantité- d'acide phéniqu
ortion de viande avec des légumes, du riz ou du macaroni ? le 'soir, ' une autre' portion de viande. Les ma- lades man
d'ailleurs un reste de moeurs turques ? ? sb ""d- ? f> ? i * ? - ' " C'est' en vain que" les médecins ont'attiré l
in, différentes ma- ladies mentales périddi4àes ? 9, , " 1't k 1 '' ' tu 1 La mortalité en 1893 a été de 19, dont un
qu'un .tuberculeux ? , --n , -f > «>>., '.< ? » -, ^.r1 ' .$lut '0 . : $ Les accidents chirurgicaux ont é
chaussures. Mais* il n'est pas'survenu d'affections-intercurrentes, ' )Si-ce m'est une petite épidémie' de 35COI'1)Ilt
urrentes,')Si-ce m'est une petite épidémie' de 35COI'1)Ilt : ,(il . ' Iti ' 1 , : . w g1· ! . ' ,r ! ; s. ? 3. " ».- ga
es,')Si-ce m'est une petite épidémie' de 35COI'1)Ilt : ,(il . ' Iti ' 1 , : . w g1· ! . ' ,r ! ; s. ? 3. " ».- gaz y
petite épidémie' de 35COI'1)Ilt : ,(il . ' Iti ' 1 , : . w g1· ! . ' ,r ! ; s. ? 3. " ».- gaz y On attend, beaucoup
clinique ; on y ajoute maintenant un interne (assistant). ji',2*u.\ ' «."Vlir-j. - .1. 1 t. Le 15 octobre de-l'année
x des femmes, ilfaudraitun'plus'grand'nombre de gardiennes. Enfin ! ' l'hiver s'oppose à tout travail.'Je 'caresser par
âûrô iità coeur d'exécuter ce' projet ? (Allg. Zits-ch'f« 'Pychiàt " ' 1, Î-1 p "et'2.) 1 ' -" il,)" " ri ' *" . ' ' -
xécuter ce' projet ? (Allg. Zits-ch'f« 'Pychiàt "' 1, Î-1 p "et'2.) 1 ' -" il,)" " ri ' *" . ' ' - " '; ftt, ? f. ) w !
? (Allg. Zits-ch'f« 'Pychiàt "' 1, Î-1 p "et'2.) 1 ' -" il,)" " ri ' *" . ' ' - " '; ftt, ? f. ) w ! P ! " P."Keraval.
g. Zits-ch'f« 'Pychiàt "' 1, Î-1 p "et'2.) 1 ' -" il,)" " ri ' *" . ' ' - " '; ftt, ? f. ) w ! P ! " P."Keraval.,w -
Zits-ch'f« 'Pychiàt "' 1, Î-1 p "et'2.) 1 ' -" il,)" " ri ' *" . ' ' - " '; ftt, ? f. ) w ! P ! " P."Keraval.,w - '
ch'f« 'Pychiàt "' 1, Î-1 p "et'2.) 1 ' -" il,)" " ri ' *" . ' ' - " ' ; ftt, ? f. ) w ! P ! " P."Keraval.,w - ' . , *
l,)" " ri ' *" . ' ' - " '; ftt, ? f. ) w ! P ! " P."Keraval.,w - ' . , * ? m8 : ` c;. -- 'f : 'ri ' YCMÏt csiiiiiiu
, ? f. ) w ! P ! " P."Keraval.,w - ' . , * ? m8 : ` c;. -- 'f : 'ri ' YCMÏt csiiiiiiu «un « ? - si 19 L'ASSISTANCE PU
ons d'indi- gents-du territoire l'obligation de préserver,- soigner, ' assister les aliénés , -idiots, épileptiques ,
. 1 et-- 2.) 1 tu e » vt ? ^-n ? 1 .P .3X' G ..Î dl ? f- p : IERAVAL. ' . i 't ...<.. 12r,lq ? 1-, -01, .>«(' . r
.Î dl ? f- p : IERAVAL. ' . i 't ...<.. 12r,lq ? 1-, -01, .>«( ' . r 2 RI 1 , '1.v Il ·s(.I a ` 9 ''' 4 ' uA : l
;.. 12r,lq ? 1-, -01, .>«(' . r 2 RI 1 , '1.v Il ·s(.I a ` 9 ''' 4 ' uA : l·Bhfi ).'ASSISTANCE"PUBLIQUE DANS L'EST D
uA : l·Bhfi ).'ASSISTANCE"PUBLIQUE DANS L'EST DE LAPRUSSE. """ a ` ' cy. < 2,144e,rh" , ,r t n( r9hx,lE ? ? sa 1
marks (192,500 francs). (Allg. Zeitsch. Psych., L. 1 et 2.). ? ï...- , ' ',W- -j ' .4, f r- P. KERKVAL. tD tf't 391 ? 3'
rks (192,500 francs). (Allg. Zeitsch. Psych., L. 1 et 2.). ? ï...- ,' ' ,W- -j ' .4, f r- P. KERKVAL. tD tf't 391 ? 3' '
,500 francs). (Allg. Zeitsch. Psych., L. 1 et 2.). ? ï...- ,' ',W- -j ' .4, f r- P. KERKVAL. tD tf't 391 ? 3' '* " "' i
et 2.). ? ï...- ,' ',W- -j ' .4, f r- P. KERKVAL. tD tf't 391 ? 3' ' * " "' i : aH ? p''ttHf ' - 1 *fi ' r1.' ' . PSY
). ? ï...- ,' ',W- -j ' .4, f r- P. KERKVAL. tD tf't 391 ? 3' '* " " ' i : aH ? p''ttHf ' - 1 *fi ' r1.' ' . PSYCHIATR
-j ' .4, f r- P. KERKVAL. tD tf't 391 ? 3' '* " "' i : aH ? p''ttHf ' - 1 *fi ' r1.' ' . PSYCHIATRIE ET TRAITEMENT SP
r- P. KERKVAL. tD tf't 391 ? 3' '* " "' i : aH ? p''ttHf ' - 1 *fi ' r1.' ' . PSYCHIATRIE ET TRAITEMENT SPIRITUEL,
RKVAL. tD tf't 391 ? 3' '* " "' i : aH ? p''ttHf ' - 1 *fi ' r1.' ' . PSYCHIATRIE ET TRAITEMENT SPIRITUEL, i ".PO ?
lischer Irrenseelsorger (voyez Archives de Neurologie, passim). , . ' 'L'Elbei-feldei, Zeitung, nO 162, du 13 juin, 1
onclusions adoptées par la Société des aliénistes allemands. icei' " ' < v 476 VARIA. A cette explication voici c
s mêmes « éléments que possède l'être' humain.' L'élément psychique, ' c'est ' le démn : L'élément pileumatiqüè, 1st a
« éléments que possède l'être' humain.' L'élément psychique,' c'est ' le démn : L'élément pileumatiqüè, 1st at ? Le'eri
enu malade par l'esprit du démon. (3° conférence, p. 14`dû rapport.) ' °° ' ? ' 5. '. 4° A côté de'cela M. le'pasteur
alade par l'esprit du démon. (3° conférence, p. 14`dû rapport.)' °° ' ? ' 5. '. 4° A côté de'cela M. le'pasteur Flied
e par l'esprit du démon. (3° conférence, p. 14`dû rapport.)' °° ' ? ' 5. '. 4° A côté de'cela M. le'pasteur Fliedner;
Johannisberg, s'exprime ainsi (1"'conférence, p ? 95; dü rapport) : ' ' - 'f' 1 ` u ? '' V .. J dû Christ et de ses a
hannisberg, s'exprime ainsi (1"'conférence, p ? 95; dü rapport) : ' ' - 'f' 1 ` u ? '' V .. J dû Christ et de ses apô
uelle, matière', et par suite en ce qui con- « cerne la possession. ' Les possédés sont ténus pour malades et « trait
nces « démoniaques quisont'aù'servicedéSatân;,de sorte qu'il' a a ' « mélange sans limites, fusion .entre leur personn
°possédés étaient ma- «lades... Maints malades étaient possédés. » ' * ' ' ' ' Aucun des membres de la conférence, pa
ossédés étaient ma- «lades... Maints malades étaient possédés. » '* ' ' ' ' Aucun des membres de la conférence, pas m
sédés étaient ma- «lades... Maints malades étaient possédés. » '* ' ' ' ' Aucun des membres de la conférence, pas mêm
dés étaient ma- «lades... Maints malades étaient possédés. » '* ' ' ' ' Aucun des membres de la conférence, pas même
s étaient ma- «lades... Maints malades étaient possédés. » '* ' ' ' ' Aucun des membres de la conférence, pas même le
f), le pasteur Hafner, sur la folie et le crime, dit que « le cri ? ' ' VARIA. 477 minel aliéné est, responsable de s
, le pasteur Hafner, sur la folie et le crime, dit que « le cri ? ' ' VARIA. 477 minel aliéné est, responsable de ses
evons maintenir la liberté de la volonté chez le criminel aliéné.'»" ' ? : a ' "' ' ? ' '- '* z C'est ce que critique
intenir la liberté de la volonté chez le criminel aliéné.'»"' ? : a ' "' ' ? ' '- '* z C'est ce que critique le paste
enir la liberté de la volonté chez le criminel aliéné.'»"' ? : a ' " ' ' ? ' '- '* z C'est ce que critique le pasteur
ir la liberté de la volonté chez le criminel aliéné.'»"' ? : a ' "' ' ? ' '- '* z C'est ce que critique le pasteur Th
a liberté de la volonté chez le criminel aliéné.'»"' ? : a ' "' ' ? ' '- '* z C'est ce que critique le pasteur Th.,Ac
erté de la volonté chez le criminel aliéné.'»"' ? : a ' "' ' ? ' '- ' * z C'est ce que critique le pasteur Th.,Achtnic
il, dit (Christ- liche Welt, ? 19, p. 449 et 450,, niai, 1893) ? L ; ' ' ' « Celui qui rejette . absolument" l'impulsi
, dit (Christ- liche Welt, ? 19, p. 449 et 450,, niai, 1893) ? L ;' ' ' « Celui qui rejette . absolument" l'impulsion
dit (Christ- liche Welt, ? 19, p. 449 et 450,, niai, 1893) ? L ;' ' ' « Celui qui rejette . absolument" l'impulsion m
tout' autre écrit public contre dés états morbides de cette sorte ? ' , Tel est le juâement'pôi'té=,par un'confrère'c
re d'autres ecclésiastiques, se .sont placés 'sur'.] un tout* autre ' terrain. Cette espèce de.discussion"rend simple
de Ville-Evi.rd;estpromu-à'la' 4'e classe M. 1 e - Dr' B OUILL' ABD, ' médecin1 adjoint 'dé" l'asile d Villejuif"'est- 1
! Le Comité d'hygiène publique de France, dans sa séance du 21 mai, ' a donné son appro-" bation à un projet d'utilis
. Phrladelphia, 1892. - Transactions of the Collège of Physicians o/ ' Phi- ladelphia.....< '' .- .«-;"' ? i i ,osn
of the Collège of Physicians o/' Phi- ladelphia.....< '' .- .«-;" ' ? i i ,osn. z ri>.<'h z Le rédacteur-gé
i ,osn. z ri>.<'h z Le rédacteur-gérant, Bourneville. ·l' ' 9 t). ? EXPLICATION ,DES ? PLANCHES. -.i>l
' la juxtaposition de deux' faisceaux complètement individualisés ? ' ,' Fig. 14 1 IT 1 .1, - . 1, .-l du lioplUé F
la juxtaposition de deux' faisceaux complètement individualisés ? ' , ' Fig. 14 1 IT 1 .1, - . 1, .-l du lioplUé Fig.
e tronc du poplité externe au niveau' du point où' débute la lésion, ' c'est-à-dire à la partie tout à fait 'supérieur
lus épaissi- du côté malade que de, l'autre. ! ? . - -,6^ j - , , . ' F, ig. 3. 1/500. l Grand -foyert composite appa
seau renferment de belles cellules endo- thé)in)es granuleuses (c). ' . ' ·y · ' . , l'ig. 5 ? I/1a0. Un petit foyer
renferment de belles cellules endo- thé)in)es granuleuses (c). ' . ' ·y · ' . , l'ig. 5 ? I/1a0. Un petit foyer méso
ment de belles cellules endo- thé)in)es granuleuses (c). ' . ' ·y · ' . , l'ig. 5 ? I/1a0. Un petit foyer mésoneuriti
soneuritique « en toile d'araignée avec bloc vitreux central (a). ' '3 ,. Fig. 9. 1/250. petit foyer mésoneuritique
tourbillonnante avec bloc central vitreux (a) fortement nucléé. -" ' ? K Iw*-» ' ? " Fig. 11. 1/200. Un nodule méson
ante avec bloc central vitreux (a) fortement nucléé. -" ' ? K Iw*-» ' ? " Fig. 11. 1/200. Un nodule mésoneuritique à
e couche vitreuse (v). En m, reticulum mésoneu- rial , , . , , - ? " ' * ? »-' <*. .) ? - ? ... * 'J,,r"> 'O- -X3
e vitreuse (v). En m, reticulum mésoneu- rial , , . , , - ? "'* ? »- ' <*. .) ? - ? ... * 'J,,r"> 'O- -X3-J. 3.
X3-J. 3. -r , .t I..1 *| l, ., EPLICA'lION DES PLANCHES. 481 .. ` ' 1 & ., . I" , . · ? J' .r ? ? ) ? 1 Fig.
lui d'adhé- ARciiivEs, t. XXVII. 31 4S explication DES planches. ' rences intimes. Les triangles, ou pour mieux di
t représenté que par le contour de ses fibres corticales..1. 1,-q. - ' «I ? 1, , 1 ? z corticates. ? .. - r 4r , .T. ?
ntice. Le foyer tout entier est formé de lamelles compactes'étalées; ' analogues à celles de la gaine, mais séparées l
séparées les unes des autres, par de nombreuses vacuoles (v, v, v). ' Il affecte sur la coupe transversale une configu-
t et les noyaux eux-mêmes 'sont amincis et rares.- -. 7-· r . - . 1 ' ''*<- `'j°' '*}' nv - t "< ? . '1 ) ' ? f
ux-mêmes 'sont amincis et rares.- -. 7-· r . - . 1 ' ''*<- `'j°' ' *}' nv - t "< ? . '1 ) ' ? f 1 ' Fig. 22. 1
mêmes 'sont amincis et rares.- -. 7-· r . - . 1 ' ''*<- `'j°' '*} ' nv - t "< ? . '1 ) ' ? f 1 ' Fig. 22. 1/40
ares.- -. 7-· r . - . 1 ' ''*<- `'j°' '*}' nv - t "< ? . '1 ) ' ? f 1 ' Fig. 22. 1/400. Premiers rudiments d'un
. 7-· r . - . 1 ' ''*<- `'j°' '*}' nv - t "< ? . '1 ) ' ? f 1 ' Fig. 22. 1/400. Premiers rudiments d'un nodule
ssant appliqué contre la paroi de cette cavité. ? ? noyau libre. ? " ' ' ' Fig. 28. 1/'f00 : Un dépôt hyalin creusé d'
ant appliqué contre la paroi de cette cavité. ? ? noyau libre. ? "' ' ' Fig. 28. 1/'f00 : Un dépôt hyalin creusé d'al
t appliqué contre la paroi de cette cavité. ? ? noyau libre. ? "' ' ' Fig. 28. 1/'f00 : Un dépôt hyalin creusé d'alvé
idence la forme noduleuse des foyers mésoneuritiques élémentaires. * ' ;' 7r' x 3rnB ? û,9 -yü J,· ? nu ,4"4 - - -- -
nce la forme noduleuse des foyers mésoneuritiques élémentaires. *' ; ' 7r' x 3rnB ? û,9 -yü J,· ? nu ,4"4 - - -- - l
' ;' 7r' x 3rnB ? û,9 -yü J,· ? nu ,4"4 - - -- - li,- ;rqè'« Jnob ' »" .91 ? I *' p9 ? G..n.,n 8" «n- °" La ? iw 1f1 u
3rnB ? û,9 -yü J,· ? nu ,4"4 - - -- - li,- ;rqè'« Jnob '»" .91 ? I * ' p9 ? G..n.,n 8" «n- °" La ? iw 1f1 u- . z .^u^-
., ? -, ....1 .Z.°lh))(U. ? ^ ? "-^M . 9 ? .v . h nx. I'ACCES5011tE, ' blessùre grave de 1' %` et de l'hypoglosse,' pa
h nx. I'ACCES5011tE,' blessùre grave de 1' %` et de l'hypoglosse, ' par Nicol; 457. Akroparesthésie, d'une forne pa
s, par Laquer, 193. Ir "i1 z Alcool et inhibition, parMeyer, 382, ' Alcoolisme, à New-York, par Dana, 74 ; contribu
'Aliénés, les discours des -, par ? Venturi, 52 ; nouvel hôpital d' ' "due Boston, par Fisher, 69 ;' ré- * forme dans'
par ? Venturi, 52 ; nouvel hôpital d' '"due Boston, par Fisher, 69 ; ' ré- * forme dans' le traitement des -; ', ' '
ue Boston, par Fisher, 69 ;' ré- * forme dans' le traitement des -; ' , ' ' par Hack Tuke, 70 ; internement 1« des d
ston, par Fisher, 69 ;' ré- * forme dans' le traitement des -; ', ' ' par Hack Tuke, 70 ; internement 1« des danger
on, par Fisher, 69 ;' ré- * forme dans' le traitement des -; ', ' ' par Hack Tuke, 70 ; internement 1« des dangereu
par Clouston, 237 ; à ten- dances homicides, par Camuset, -288. ' ? Aliénistes, récentes attaques contre les -,
rébrales, recherches ana- toniques sur les -, par Biscons, '216.' ' ." Asiles destinés aguérir l'ivrognerie, - pa
iénés, par Iirypiahiewicz, 141. Atrophie 'musculaire' combinée, ' ayant une étiologie toute spéciale, par Homen,
par Homen, 187 ; sur 1' mus- culaire précoce des hémiplégiques ' ' et sur le pouls lent permanent, par Giuzzetti
par Homen, 187 ; sur 1' mus- culaire précoce des hémiplégiques ' ' et sur le pouls lent permanent, par Giuzzetti,
n à l'étude de l'origine et du trajet du nerf par 61rilizew, 199. ' ` Automatisme ambulatoire, par Seme- lai-iie
cordons pos- térieui@s et du trijumeau, par Hoe- sel, 203, 219. /) ' -, z 1 -.t j Coeur, lésions organiques du non
t thyroïdien du myxoedeme"et du ? par Beadles, 226. V" " ,'lu", : ' - Crime, relations ' entre le' et la ,, folie
deme"et du ? par Beadles, 226. V" " ,'lu", : ' - Crime, relations ' entre le' et la ,, folie chez la femme, par Nee
- nées - , en rapport avec la, con- duite, par Zuccarelli, 4f6. ° ' Dégénéré, un type d'héréditniie , .. par", V.
' Dégénéré, un type d'héréditniie , .. par", V. Bourdîn, 161 . * ' Dégénérescence, neurasthénie et-, par Kovalew
. * ' Dégénérescence, neurasthénie et-, par Kovalewslcy, 295. '' ' Délire, contribution à l'étude du- ? d'origine
miplé- gie cérébrale consécutifs à la -, ., par.5eifert, 192. , r ' . Uuboisine, injections sous-cutanées de sulf
ertson, 370 ? U1'vAAIG\IÉTRIE chez les aliénés, par Toulouse 289. ' v. '' D1'3TROPIIIES musculaires progres- , si
culaire, par Mares, r39 ; réactions - dans les maladies nerveuses, ' par Dana, 449. TABLE DES matières. 485' Ei.
40. ? ". ? '' Emphysème généralisé de la peau, par Kellner, 215. ; ' ? - Encéphalite aiguë primitive, hémor- rhagi
r Bucklers, 152. ? - EnGOTtroubles neuro-patho- logiques, par 1 ? ' chronique,' par Bechterew,' 188 ; stigmates per
152. ? - EnGOTtroubles neuro-patho- logiques, par 1 ? ' chronique, ' par Bechterew,' 188 ; stigmates perma- nents
oubles neuro-patho- logiques, par 1 ? ' chronique,' par Bechterew, ' 188 ; stigmates perma- nents laissés ' par I' ?
chronique,' par Bechterew,' 188 ; stigmates perma- nents laissés ' par I' ? sur le système nerveux central, par
a- nents laissés ' par I' ? sur le système nerveux central, par ' \Vall : er; 224. t ? ? ' ? < '' Erotiques, l
I' ? sur le système nerveux central, par ' \Vall : er; 224. t ? ? ' ? < '' Erotiques, le stylé des paranoïaques
lé des paranoïaques - , par Ferrari, 53. 4 '- t' EnoTlsoE morbide, ' par Iiùôhes; 50. Erotomanies, curieuses par Hos
i,- . Epileptiques, hospitalisation des-, par Marandon de Montre), ' 73 ; le lempérament ' ,' par del'Greco, 147..
spitalisation des-, par Marandon de Montre),' 73 ; le lempérament ' ,' par del'Greco, 147... 1 ' ? L(, Epilepsie,
talisation des-, par Marandon de Montre),' 73 ; le lempérament ' , ' par del'Greco, 147... 1 ' ? L(, Epilepsie, re
don de Montre),' 73 ; le lempérament ' ,' par del'Greco, 147... 1 ' ? L(, Epilepsie, recherches cliniques'et thér
e, recherches cliniques'et thérapeutiques suri'. 1'. ? l'hystérie ' et l'idiotie,parBournevitte, avec la collaborat
tte, avec la collaboration de Dauriac, Fer- rier et Voir, 67.-t ? ' »-- lit4 Excitations, de l'influence, des -, ? d
des -, ? dans le nerf périphérique ? par Wedensky, 440. t @ 41 'u' " ' Exhibitionniste," probablement épi- leptique,
Exhibitionniste," probablement épi- leptique, par Garnier, 69. ° ' Expérimentale, contribution à la méthode en p
-cholérique, ? par Séglas, 41"; la *àv deux, par Arnaud, 43; cas de ' à cinq, 7 par R. Semelaigne, 44 ; étiologie '
Arnaud, 43; cas de ' à cinq, 7 par R. Semelaigne, 44 ; étiologie ' (.et pathogénie de, la en com- mun, par Van Deve
ibution à l'étude de la puer- pérale; par Idanof, 47; statistique ' de la dans,le N. S. Walles, par Ross, 48 ; infl
reuses de la =, par Vise; contri- bution à la connaissance de la ' systématique ' périodique, par 'l ? iusch,4144
, par Vise; contri- bution à la connaissance de la ' systématique ' périodique, par 'l ? iusch,4144 ? Ien Grèce, pa
* Sauborne, 236; troubles trophiques dans la -, par Hoyt,236;- ' puerpérale, parMenzies, 287 ; con- t.igion -de
pérale, parMenzies, 287 ; con- t.igion -de ,1a- ,'f par de Boeck. ' 295." «'«S" - "" Galvaniques réactions des orga
arMenzies, 287 ; con- t.igion -de ,1a- ,'f par de Boeck. ' 295." « ' «S" - "" Galvaniques réactions des organes ''d
es racines spé- ciales antérieures', du chat, par - Tanzi,217 ? m ' '- '- 'A Gastropatiiies, les considérées comm
névroses et des psychoses, par Alt, 144, 204. Génital," inversion ' du sens -, par ' Siuli, 395 : v' - ' ` · . Gl
sychoses, par Alt, 144, 204. Génital," inversion ' du sens -, par ' Siuli, 395 : v' - ' ` · . Gliomé de la région r
44, 204. Génital," inversion ' du sens -, par ' Siuli, 395 : v' - ' ` · . Gliomé de la région rolandique, par ' '
' Siuli, 395 : v' - ' ` · . Gliomé de la région rolandique, par ' 'Alhertoni et Brigatti, 194. GnosE/des' formes
rtoni et Brigatti, 194. GnosE/des' formes atypiques de la spinale, ' par Oppenheim, 209. ,,q ? ? ... y r . ,. ' . ..
typiques de la spinale,' par Oppenheim, 209. ,,q ? ? ... y r . ,. ' . .. ,ET Hallucinations, influence psychique
allucinations, influence psychique des -, par Mercktin, 4à ; ver- ' bâtes,'psychomotrices, par Pie-. *" raccini, 51
ccini, 51 ; contribution à la théo- rie des , par Chvosteck, 143, ' 292; sur- un' cas' d ? motrices 111 verbales, e
iez ? une paralytique ''générale, par Sérieux, 321. Helminthiase, ' un cas d' et de constipation;, en rapport avec
un cas d' et de constipation;, en rapport avec un accès maniaque, ' par Fronda, 52. HËMATOMYÉLiE* centrale, par Min
ale, - dans un' cas d' post-hémiptégique, par Targowla, 145 ? ,j " ' " ' i Hémiplégie, deux cas d'-cérébrale ' con
- dans un' cas d' post-hémiptégique, par Targowla, 145 ? ,j "' " ' i Hémiplégie, deux cas d'-cérébrale ' consécu
r Targowla, 145 ? ,j "' " ' i Hémiplégie, deux cas d'-cérébrale ' consécutive à la diphtérie, par , Seifert, 192
dans les hémisphères cérébraux, par Matett, 208 ; de la substance ' grise'de)a moelle; par Kronthal, '219." " - '
8 ; de la substance ' grise'de)a moelle; par Kronthal, '219." " - ' Homicide," sur un cas d' suicide, par Amadeï,
, '219." " - ' Homicide," sur un cas d' suicide, par Amadeï,60. ' 486 TABLE DES MATIÈRES. Hospitalisation des é
te sur la mé- thode -; par Larat'et Gautiiier; - t4&. - v ? ? ' HYPÉRESTIIÉSIE 1 optique;t d'origine cérébral
HYPÉRESTIIÉSIE 1 optique;t d'origine cérébrale, par Freund, 196 ? ' ? H1'POGLOSSE, blessure grave de l'ac- cessoi
orce du cerveau chez' les par Klinke, 213. " <"". ! Idiotie, ' recherches -cliniques11'1 et thérapeutiques ''
1'1 et thérapeutiques '' sur 1'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie, ' par Bourne- ville, avec la-collaboration de D
l'imbécilité,, au point de vue mosographique'5 par Sol- lier, 33; ' symptomatiqué* d'une atrophie de l'hémisphère '
tomatiqué* d'une atrophie de l'hémisphère 'gauche, par lllenereul, ' 380. a ·- ? IMPALUDISME, contribution'a' l'étud
*- et"de l'alcoo- llsme, par Marandon de Montvel, 285. M ? . "" " ' " Inflammatoires, influence des états locaux '
, 285. M ? . "" " '" Inflammatoires, influence des états locaux ' sur ' les troubles men- taux, par Goodal, 292.
5. M ? . "" " '" Inflammatoires, influence des états locaux ' sur ' les troubles men- taux, par Goodal, 292. Il - z
' - par Althaus, 137, 300 ; obses- sions survenues au cours de l ? , ' par Pailhas, 380. «" ' A-' "9, ? ' -t Irrespo
; obses- sions survenues au cours de l ? ,' par Pailhas, 380. «" ' A-' "9, ? ' -t Irresponsabilité des aliénés, d'
sions survenues au cours de l ? ,' par Pailhas, 380. «" ' A-' "9, ? ' -t Irresponsabilité des aliénés, d'après la l
ilité des aliénés, d'après la loi française, par V. Parant, 59. j ' * - *»J; , * Ivrognerie, asiles destinés à guér
e chez l'homme, par Weber, 141 f" n ? " ,.t e 4 e .»,. w· . - Mi. ' " Kleptomanie, contribution à l'étude clinique
à l'étude clinique de la ? par, Boissier et Lachaux, 379HFs. T°° ' - an` \ -nf'j.'î i 4,1 sn' Langage, troubles
ux, 379HFs. T°° ' - an` \ -nf'j.'î i 4,1 sn' Langage, troubles du ' chez 'lés aliénés, par Klinke, 382 : - r r Li
ude' sur les prévenus de la cause du'=, par Tamburini, 57. - t 'r ' Localisation, abus de, la .théorie des en psy
tres, 241. ufilne Lypémanie avec délire de ruine,, par, Tamburini, ' 6O.jr.,ar,>Ea . ! rT..t' "3 s ? K",v 4yi ? i i
Tamburini,' 6O.jr.,ar,>Ea . ! rT..t' "3 s ? K",v 4yi ? i il, ,-» ? ' "q» ? fi'. Maladies mentales , classification-,^
il, ,-» ? '"q» ? fi'. Maladies mentales , classification-,^ des'^ ' , par lirnbius, 39; note sur,. 6 la téràpeutiqti
lér Smythe, 301. >.i4.v,f. Masochisme, remarque sur- la su.je-) ' tion des sexes et le -, par Krafft-- - · Ebin
ion des sexes et le -, par Krafft-- - · Ebing, 39., 9w,m4v.~m>f - ' . 1 Massage, étude, sur. l'emploi', du ? 0 ? da
Massy,.462 ? r",....A ? rTO Médecine mentale en Belgique, par ? ' · Francotte, 398. , lu^rr' 11} z MÉDICO-LÈG,%L
ns la , par Steele, .' 288; aiguë avec,tentative de sui- a.· cide, ' par Brame-Hartnell, 298...., , i Mesoneuhite no
'41 J- , niv,,r. hv - ? » 1 Menstruation,, l'importance de la z - ' dans la responsabilité, par' e Krafft-Ebing, 57
pports entre le moli- h men ,et les psychopathies, par t Schire ? ' 1455., 1. i'i.,rtl I ., ort Mensuration, un -pe
wis, 224. , »fir , ? ? '.v v-ys Microcéphalie, sur le traitement de ' ' l'idiotie par la craniectomie, ,r,. . par B
224. , »fir , ? ? '.v v-ys Microcéphalie, sur le traitement de ' ' l'idiotie par la craniectomie, ,r,. . par Blanc
239. 308, 399, 471., '' Morphinopiiagie,* par Pichon, 53. -Moteur, ' de quelques états de fai- blesse 'irritative'du
ts de fai- blesse 'irritative'du'système, par Fuerstner, 186 ? ,Y, ' Motrice, perte dissociée de la sen- sibilité
, par Vanni, 217 ? " Mutisme vésanique, par Pieraccini, 46 ? ? r~ ' ''' ? z Myélites , symptômes sensoriels ' dan
r Pieraccini, 46 ? ? r~ ' ''' ? z Myélites , symptômes sensoriels ' dans trois cas de Jsvphilitiques, par Forey,
nt, thyroïdien du-et du crétinisme,parBeadles, 226. t. ? i , J "" ' r· f.c .fO<s 't3 ««> / ? j. 4 Nécrologi
s 't3 ««> / ? j. 4 Nécrologie, Br6\,vii- Séq a d par r Dauriac, ' 468.- *»--- , 1, Nerf moteur, des altérations d
nces ascendantes .des moteurs chez' 1'liomme, par C. Mayer, 209. - ' '" . ' 'T NERFS périphériques. 'De ! l'emploi
es ascendantes .des moteurs chez' 1'liomme, par C. Mayer, 209. -' ' " . ' 'T NERFS périphériques. 'De ! l'emploi d
cendantes .des moteurs chez' 1'liomme, par C. Mayer, 209. -' '" . ' 'T NERFS périphériques. 'De ! l'emploi de la
résorcine pour l'étude des dégénérescences des -, par Beer; 222 : ' ? '' Nerveuses, pathologie des maladies , par
222 : ' ? '' Nerveuses, pathologie des maladies , parDana,"184 : ' 0 ? t'- '- NÉvnosF traumatique, par Vibert, 4
parDana,"184 : ' 0 ? t'- '- NÉvnosF traumatique, par Vibert, 466. ' <'*''>' 1 .' ' Neurasthénie, la" et -"son
t'- '- NÉvnosF traumatique, par Vibert, 466. ' <'*''>' 1 .' ' Neurasthénie, la" et -"son traite- ment par l
rouble unilatéral de la mobi- , lité du globe de l'- en haut, par ' Koenig, 193 ? 1- 4, -. . ' · * 11, rf·a· ' )r
, lité du globe de l'- en haut, par ' Koenig, 193 ? 1- 4, -. . ' · * 11, rf·a· ' )r Pachyméningite hémorragique
be de l'- en haut, par ' Koenig, 193 ? 1- 4, -. . ' · * 11, rf·a· ' )r Pachyméningite hémorragique in- terne, par
chémique consécutive^ une em ? . bolie" de l'artère fémorale, par ' Chvosteck, 196.,ri , . Paralysie AGITANTE, nutr
par ' Chvosteck, 196.,ri , . Paralysie AGITANTE, nutrition dans ' un cas de fruste, par Schaefer, ' 10J.. t .- -\
alysie AGITANTE, nutrition dans ' un cas de fruste, par Schaefer, ' 10J.. t .- -\ .. - n' paralysie cérébrale spasm
la-- -, par Sérieux, 321; lésions dans la -, par Dagonet, 377. ` ' w - " ("I Paralysie spinale atrophique chro-
atrophique chro- nique, par Oppenheim,'153 ? syphilitique de Erb, ' par Kowa- lewsky, 193. - - i" y. 1 Paralytiqu
et Bikeles; z2, 200; état des 'pupilles' chez les , par hornfeld ' et' Bikeles, 142, 201. "' ,i5 nH '·'i . Parol
des 'pupilles' chez les , par hornfeld ' et' Bikeles, 142, 201. " ' ,i5 nH '·'i . Parole, troubles de la passagers
illes' chez les , par hornfeld ' et' Bikeles, 142, 201. "' ,i5 nH ' ·'i . Parole, troubles de la passagers dans la
on à l'étude du chimisme gastrique chez les - , par Agoslmi l'J5. ' · j· z Peptonurie chez les aliénés;' par Lait
ez les - , par Agoslmi l'J5. ' · j· z Peptonurie chez les aliénés; ' par Laitier, 279. ' u ? - Persécutions, varié
mi l'J5. ' · j· z Peptonurie chez les aliénés;' par Laitier, 279. ' u ? - Persécutions, variétés du'détire des -
- Persécutions, variétés du'détire des - , par Falret, 303. titi ' POE )~.DC.1RD, étude de psychologie morbide,
C.1RD, étude de psychologie morbide, par Moreau ? de Tours, 381. - ' Iij 1, « Polarisation, action des courants de
; contribution à l'étude de la , par Gèse et Pa- genstecher, 149. ' Polïurie chez une aliénée, par Wiedmeister, 4
rocessus morbides psychiques et moteurs dans la folie simple, par ' Roller, 394 Protubérance, contribution à la ca-
es aliénés, par Rossi, 52. 11UB %*" DE' IIEII., trajet' du - dans ' l'écorce chez l'homme par Haesel, 206. ? u-. 1
tif des ventrieuips du cerveau, par Prantois et- Etienne, " 270 ? ' ( vmJQ3 lak eqvlpt). 'h-c Sauvage DE l'Aveyron,
0 ? ' ( vmJQ3 lak eqvlpt). 'h-c Sauvage DE l'Aveyron, rapports et ' mémoires sur le -; l'idiotie et la surdi-mutité
ires sur le -; l'idiotie et la surdi-mutité; par Itard; apprécia- ' tiens par Delasiauve ; préface, par Boui-ne%ill
ue, lésions anatomo-pa- '' tttotogiques de la-chez les alié- -nés, ' par Schroeter, 452., ijG 1 Sensibilité, trouble
s les maladies viscérales, par H. Head, 4O. w 1^ ? 1. rf·rnglf..A ' 1-- " Sexuel, psychopathies -, par Kr.ifft t,
del'instinct-, par Coutagne, r289; sur un cas de folie avee per- ' "version -, par Sullivan, 303. SÉTON,' de l'empl
r un cas de folie avee per- '"version -, par Sullivan, 303. SÉTON, ' de l'emploi du -.rdans les 'l' maladies." céréb
ur l'emploi possible du pour décider à mander, par Brotigli, 228. ' * - Sympathique, ' contribution à l'étude du
du pour décider à mander, par Brotigli, 228. ' * - Sympathique, ' contribution à l'étude du délire d'origineparPi
ontribution à l'étude du délire d'origineparPiquéet Febvre; 140." ' ? 1, ,) Syphilis, contribution à l'étude de l
parErb,192..ac ,y· ? · ? ? Système nerveux , . les découvertes ' '' récentes * sur ' le ? par Baker, 150; un- ca
· ? · ? ? Système nerveux , . les découvertes ' '' récentes * sur ' le ? par Baker, 150; un- cas de- lésion du ? à
r la destruction du - , par Obersteiner, .221. · · P r ? " -ri. , ' » #Aj, s yr a Tabès. Traitement électriquedu , ?
, ? parSimonLaborde, 444; uncasde dorsal typique avec -liose cen- ' trale chez-un syphilitique, par ''Nonne,' 185.'
ypique avec -liose cen- ' trale chez-un syphilitique, par ''Nonne, ' 185.' Les racines ' posté- rieures de la moelle
en- ' trale chez-un syphilitique, par ''Nonne,' 185.' Les racines ' posté- rieures de la moelle et l'anatomie '&l
e et l'anatomie '< pathologique du dorsal, par rs Redlich, 199; ' état des, ganglions Iz . . 1 "2 ..i . spinaux
'écorce et des libres ? centrales du chez l'homme, par Hoesel, 206. ' TRIONAL et tétronal, par Mabon, 284. Tubercul
oc.i ILfl1701 ? ")» ? Ib'lIfOS j r.t..f]a ? ) ^, S , on 1 - ' . : ,. ofib'S ? .Qjy Albertoni, 194 ? .). - A
? .). - Alt, 144, 204. Iff Altliaus, 137, 300ufrBi AufadeY, 60. ' ,1$cIF Andrews, 75. si Anaiolella, 16;f,aP ÿ
Blanc, 274. v f.' r,4,>. Bleulcr, li6,*l97* y Boeck,295. "" ' Boissier ' 379. si Bourdin, 161 ? Bournevil
. v f.' r,4,>. Bleulcr, li6,*l97* y Boeck,295. "" ' Boissier ' 379. si Bourdin, 161 ? Bourneville, 67.' 463.
98. üfmas^^r9 Cros, 234. ? piq Danonet, 377 ? ? Daermau, 278 ? " ' 3ral 'Dana.,74,182, 184; 4421 Darkschewitsdi,
? nmr3t Dor,443 ? l : llis, 58, 302. Rl ,w.t f lirb, 192. t. *t ' -aï K['tt : nLneyer,M2 ? M ? M Bueune, 270. u
uerstner, 186; Garnier, 61. .t3 ? i .3tT 3,I9dn.. -8 '.<.«* ' '* C7, Cimier (S.), 352, 418. Gauger, 51." ri
rstner, 186; Garnier, 61. .t3 ? i .3tT 3,I9dn.. -8 '.<.«*' ' * C7, Cimier (S.), 352, 418. Gauger, 51." riz
: E Hoppe, 130,187. zge ? M Hoyt, 286. 1 .lstsuld lluôhes, 50. ' ,a, ,4vs2fi t .)3 : ' Idanof, 47 ? - -<M
zge ? M Hoyt, 286. 1 .lstsuld lluôhes, 50. ',a, ,4vs2fi t .)3 : ' Idanof, 47 ? - -<M 'Imbert de la Touche,'
a, ,4vs2fi t .)3 : ' Idanof, 47 ? - -<M 'Imbert de la Touche, ' 41-0. ï' ? 'VT- fer Ireland, 382, 383. ? eV
, 382, 383. ? eV Itard, 463.. Kaan, 141. ,. -.1 rf- tuf Kps,44. ' * j.i 1-jr>*f KaliscUer, 191 ? M'-iif Kaus
Kronthal,197, 119 ? Krypiakiewicq, 141. ` Kusselbacli, 440.'f ! %" ' fez It'i 9241r` Larat, 445 : `1 '" *, ** La
41. ` Kusselbacli, 440.'f ! %"' fez It'i 9241r` Larat, 445 : `1 ' " *, ** Lachaud, 379 : y«·' ' Lai))er,379. *"
%"' fez It'i 9241r` Larat, 445 : `1 '" *, ** Lachaud, 379 : y«· ' ' Lai))er,379. *" m Laquer,- 193. i ' ? >'
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" *, ** Lachaud, 379 : y«·' ' Lai))er,379. *" m Laquer,- 193. i ' ? >' ' Levy, 187. ? ·' Lewis, 224.-< ?
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' ' Lai))er,379. *" m Laquer,- 193. i ' ? >' ' Levy, 187. ? · ' Lewis, 224.-< ? Lischmann, 205. ",f ? no
;m ! O Macdonald, 56. Mac Dowal, 297' '>" « lllann, 50. · ? * ' Marandon de"llontyel, 73, 283, 285. ? Mares
439. 1-v- hiarinesco, 2 ? 4. lo mal Massant, z ? c' Massy, 462. ' " ' 1'u 'A Mattel, 208. m* -'Y> ' Mayer (C.
. 1-v- hiarinesco, 2 ? 4. lo mal Massant, z ? c' Massy, 462. '" ' 1'u 'A Mattel, 208. m* -'Y> ' Mayer (C.),
Massant, z ? c' Massy, 462. '" ' 1'u 'A Mattel, 208. m* -'Y> ' Mayer (C.), 11+2," 184, 209. MeII5,ies, 286
'Y> ' Mayer (C.), 11+2," 184, 209. MeII5,ies, 286. î'-f ? 1 ` ' llLeuereul, 380 ? 9 "* Mercklin, 45. U, '-
, 380 ? 9 "* Mercklin, 45. U, '- lyer (11.), 382. * Minor, 152. ' . Miraglia, 50. llloebius, 39. "r · llireha
152. ' . Miraglia, 50. llloebius, 39. "r · llirehann 210. 'si " ' ', Mode, 224 ? ? Monnel, 444. -j a»0*- More
52. ' . Miraglia, 50. llloebius, 39. "r · llirehann 210. 'si "' ' , Mode, 224 ? ? Monnel, 444. -j a»0*- Moreau
'si "' ', Mode, 224 ? ? Monnel, 444. -j a»0*- Moreau de Tours, ' 60 --381 ? -I" «. - ? -T^ Mut)en,'5t ? ? ". w
s, ' 60 --381 ? -I" «. - ? -T^ Mut)en,'5t ? ? ". w Huiler, 154. ' ,( er t5. -Gi ? *«. * ? .f Mungazzini, 52.
22l ! 'j r, OEbecke, 451. ! , Oppenheim, 153, 209. Pace, 50. € ' ! t.U8 ? 'ace,50.\n ? <. Paenstecliér,`N f
? ; Pachas, 380., , ln ;.m· Parant, 59. ? n J-, Pascalis, 233.; ' ,10^ Pelinari, 386,'453. Pichon, 53 ? jf ? un`
1n ? T Piqué, 140. "* ? Pitres, 241.) jatiui ! û Prantois, 270. ' T- -. 0 Poniatowski 201,e218. ">i ' jf -1
atiui ! û Prantois, 270. ' T- -. 0 Poniatowski 201,e218. ">i ' jf -1 '<.>, 4-. G Raymond; 1, 112. ^t R
Rictardson, 373 : ;b.,a30 Ritti, f50.11 t- Robertson, 3î0. n ? ' t ilobiiison, 229. pw m. Roller, 39f.,g .,Sr,
tson, 3î0. n ? ' t ilobiiison, 229. pw m. Roller, 39f.,g .,Sr,n· , ' Rori, 196. Ross, 48. `a1 8 .· : Rossi, 52,
,Sr,n· ,' Rori, 196. Ross, 48. `a1 8 .· : Rossi, 52, 1+7, 22G. ( ' ' Rossolimo, 198 ? n.jt<l,i'' Rousseau, 43
r,n· ,' Rori, 196. Ross, 48. `a1 8 .· : Rossi, 52, 1+7, 22G. (' ' Rossolimo, 198 ? n.jt<l,i'' Rousseau, 439.
, 23G.( i'u Savage, 58. 58. v Schlesiii,ei', 1,9t. Schmidt, 40. ' " "'rr"*> Schrceter, 452. Schoefer, 155, 45
Schmidt, 40. '" "'rr"*> Schrceter, 452. Schoefer, 155, 455. " ' Seglas, 41, 4G. ' ? ' Se(fert, 192. : `( : n·
r"*> Schrceter, 452. Schoefer, 155, 455. " ' Seglas, 41, 4G. ' ? ' Se(fert, 192. : `( : n·, , 1 /i- * S' CM
gt; Schrceter, 452. Schoefer, 155, 455. " ' Seglas, 41, 4G. ' ? ' Se(fert, 192. : `( : n·, , 1 /i- * S' CM . ..
Tedeschi, 217. l ! ? , P Thomsen, 189., , 'l'ill : owski, î 1 : ` ' " Toutou';e,-289. ' Toruery, 395. ( , Trucho
, P Thomsen, 189., , 'l'ill : owski, î 1 : ` '" Toutou';e,-289. ' Toruery, 395. ( , Truchot,44). Turner, 298
outou';e,-289. ' Toruery, 395. ( , Truchot,44). Turner, 298 ? v ' * ? ,w Vallon, 65. '\ ? Vandeventet ? 4j.' ?
ry, 395. ( , Truchot,44). Turner, 298 ? v '* ? ,w Vallon, 65. ' \ ? Vandeventet ? 4j.' ? ", Vanlair, 8l. ? V
Il' 2)6." / Ventra,14(3 ? Venturi, 52. ~~" *, VigOUrous, 380., ' , Walker, 23 É, ? Wendensky, 440, r'" ,,r W
80., ' , Walker, 23 É, ? Wendensky, 440, r'" ,,r Werner, l'r1 : ' ' \Vest,236 ? \. ? , Westplml, 153 ? .' Wie
., ' , Walker, 23 É, ? Wendensky, 440, r'" ,,r Werner, l'r1 : ' ' \Vest,236 ? \. ? , Westplml, 153 ? .' Wiedm
153 ? .' Wiedmeister, f5. ^ Wigleswortli, 296 ! " , Wise, 60. " ' ; ? \Votberg,'i9 ? ' '` z \Vollenberâ, 201. 2
, f5. ^ Wigleswortli, 296 ! " , Wise, 60. "' ; ? \Votberg,'i9 ? ' '` z \Vollenberâ, 201. 2 ? U. ? Vulf, 293. ,
f5. ^ Wigleswortli, 296 ! " , Wise, 60. "' ; ? \Votberg,'i9 ? ' ' ` z \Vollenberâ, 201. 2 ? U. ? Vulf, 293. , ?
2 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
é bons, si ce n'est au début de la maladie, comme nous l'avons dit. ' Le traitement fut commencé le 10r mai, et consi
t comp arc cette douleur à une pression très énergique. « C'est com ' l'on me griffait dans l'intérieur du crâne, com
'a * tu tlnn ,t'J'1VJlur, tu"h trrr ? o'r 9 ! JT' j'J{,'l '2 b p,tc¡ ' tWHt< 'l.l5t OI3,SE}}X ¡l.TI,qt', i, J : i M
le matin, s'exaspéraient le soir après lac);asse ? ilf ai ùÙJou¥ent¡ ' interrompre ses études ,t').) ? )', l' ? f ? t
rès lac);asse ? ilf ai ùÙJou¥ent¡' interrompre ses études ,t').) ? ) ' , l' ? f ? t ? 1 , pendant plusieurs jours de su
à l'institution Sainte-Barbe de Fonte- -,nay-aux1Roses ? Ccpendanf, ' deptiis-quelqudssoinainds',Isds dou- leurs repa
C'est un garçon intelli- gent et travailleur. . ,1 r' .¡ Ha.. " Q ' (1 .,1 ,Cf 4 Observation xL-1..., âgé de douze a
l va en augmentant dans la journée et souvent est plus fort après ' les repas. L'appétit, le sommeil sont bons; l'enf
rique 2; plus-d'une fois, elles devront être vérifiées. ,, 1 .. . ' \"1 ·t . ci t) \1 Mais comment doivent être rec
I)h7,étiopathies : de la lie à la 126 leçon. Paris et Gand, 1880. 1 ' ' ' Voyez Bouchard. Cours de pathologie général
h7,étiopathies : de la lie à la 126 leçon. Paris et Gand, 1880. 1 ' ' ' Voyez Bouchard. Cours de pathologie générale
tiopathies : de la lie à la 126 leçon. Paris et Gand, 1880. 1 ' ' ' Voyez Bouchard. Cours de pathologie générale de 1
générale de 1879-1880. Pre- mière leçon, p. 8 et 9. Paris, f882. ' 3 Voyez Cerise. - 1" Lettres à M. le Dr LOI/flet;
rapports avec l'éducation sociale et privée, morale et physique. ' More). - Etudes cliniques. Traité théorique et pr
;menalR77 ? sur i'E'atzetaciazirue 'dans îles 1JwÙldies' men tales, ' «"sui "h eu les 'symptômes dans -leur évolutions
b-ots CSSIIYé de'Sül1'ré.t-`·IrFt'ilrlClt`` fJ'tn,t`n;W ? [IL ,rI " ' )f11r'fJ1 ...'1 .[t,'I,1 >'1 1 (iIIM F ,1\ ?
rose (épilepsie,- hystérie ? etc.). 20 PATHOLOGIE -MENTALE; ¡HI n( ' dès' délires' liés à quelque lésiônror`âniquequën
eiest'l'évolûtion (/M </ey ? ? a véiallie : GJnom 6jôo rrh - j( ' )r' .Joui on ns la ,8ld>novBl IC10ffT je 9111H8
-aliéné-leJ'premiër^venuâ : ï(il-faut'.unei longue incuba- tion : ' ( En ? dehorsG 'des" dél ires.vtoxicfues;I 1 des n
pofainsr,ï' : et''desJ.,plus5fconsidérables<Tpar .leur 1position¡ ' ^attribuent pas : à l'hérédité;ràcla dégé- néfe
arcanes, nous avons toujours trouvé la marque, la tare indélébile ' `i.iCB'.11D . ? 0 8^S) ' '"t\H\*<'«< t)<
jours trouvé la marque, la tare indélébile ' `i.iCB'.11D . ? 0 8^S) ' '"t\H\*<'«< t)<\.«...jt\«tCt . tn ? ) 0
urs trouvé la marque, la tare indélébile ' `i.iCB'.11D . ? 0 8^S) ' ' "t\H\*<'«< t)<\.«...jt\«tCt . tn ? ) 0
is qui passe, toujours, d'une lr,,l 'il - qmr"lt yfy' f, 111 ? '1l, ' bl. - 1 ' * lollt génération à 1 autre, héritag
se, toujours, d'une lr,,l 'il - qmr"lt yfy' f, 111 ? '1l, ' bl. - 1 ' * lollt génération à 1 autre, héritage oblige :
mot, son hygi4ner;(auosens91e ! t plusfélevé du .terme^çonviejit. ' : Mais,1 qu'ihluismviennej quelque ! infortune :
par Joseph de Smeth. Bruxelles, 1872 ? iieikot'l I)UI 1 ute ) 'jbll ' " j ,"iI''I.) 1 h li. 1 2,9 ! c'El àdè- sur la'
9 ! c'El àdè- sur la' méLancolie,1 par Ait le D ? J. Christian. Paris, ' 1876. " ,> : F2 ,¡11 : h\T110LOmc : MENTALES
us souvent héréditaire^ comme il/ra' été dit- plus haut); 'il' faut, ' chez 1 lui,, une -récepivitéi une impressionnab
ues 'app11qu 'enJee/sens -,éiiéla 1 il'ex press i oiii est impropre, ' sil/Jlon ! "eutl1enJTéférerllà 1 l'éCymoloie; m
rllà 1 l'éCymoloie; mais nous l'admettons pour faciliter le'langage, ' puisque c'éstMeHërme>reçu ? t'Ce; sont ! des
! desnêtres quitont' pour habitude''de' se replier' sur' eux-mêmes, ' de. se, : sèrutcl' jusqu'ennleur'smoindrésrdoul
isme; sùivant\leur,intelligeÍlce, suivant la' sphère¡oÙ, ils vivent, ' aimeroni'chaduetjour a méditer sur le'plus'pass
'la' plus' futile de leurs intentions ? qu'on'me pardonne cette ! ' expression irrévérencieuse' : ce ? sont' des' ? '
iiiiti mès"»; que de « confes- 'siÓns 1J)r,"qurcrn"autobiograpl11es ' ! ), 'etc ? nous, valus cette' dispo'sitionJmën
surtoutmorale;'3°.perte,del'équilibre.mental ? « - . . JJ¿OJi">, ' - : 1.>'1." o f1 .. t f' ,r-¡;¡ltI)i. 031...',
gt;'1." o f1 .. t f' ,r-¡;¡ltI)i. 031...', Il. >k 'Ifl(1.1 ) , ,11 ' ,Continuons'notre étude.1Des.troubles dedasensi
ou moinsmo- z biles, plus ou'moins nombreux, plus ou moins intenses, ' peuvent'se'produire;d)s servent'alors' detexteJ
is toujours de caractère- pénible, par exemple de la démonomanie,'1 ' des craintes] de persécution, -etc ? viennent s
omanie,'1 ' des craintes] de persécution, -etc ? viennent s'ajouter ' aux préoccupations hypochondriaques, tout en la
t en laissant à celles-ci, le premier rang. Ces sentiments sont peu ' r consistants/ ne gardent jamais dansée délire
t perse-'d cuté,et nuit ! par sejcroire le¡fils ! de.Louis' : X-'VI, ' dauphinn de France ;j on> enoretrouvet,encor
n/ très mette, empruntée 'à Brierre c1eIB)Ísï" ? mont; où le.délire, ' d'abordthypochohdriaque, setrans->b forme,pl
dées de ? inofnijl'-rd'. UlI ? tl le ? JI.ilf1¡J ? ,l'r ? ¡'HHI 'c/) ' )fJrrl ' Esquirol ? Maladies mentales, t. If,.p.
inofnijl'-rd'. UlI ? tl le ? JI.ilf1¡J ? ,l'r ? ¡'HHI 'c/)')fJrrl ' Esquirol ? Maladies mentales, t. If,.p. 12 à,16.
s mentales, t. If,.p. 12 à,16. Paris, 1838. ) ? (M-'l-jI-. r <|"ll^ ' 1 1J 1 j I *' 1 j ? ? . 1 ' 1 t pli 1 J f f 11 I
If,.p. 12 à,16. Paris, 1838. ) ? (M-'l-jI-. r <|"ll^' 1 1J 1 j I * ' 1 j ? ? . 1 ' 1 t pli 1 J f f 11 I ° l3roussais
6. Paris, 1838. ) ? (M-'l-jI-. r <|"ll^' 1 1J 1 j I *' 1 j ? ? . 1 ' 1 t pli 1 J f f 11 I ° l3roussais ? - De l'irri
\lich6a.t- De'l'hpocltoldnie, 1 ? 115;U11 ? Paris; 184G : t - ,1 .1 ' \/1 8 Ach. Foville, fils ? Etude cliai 9 . tte d
71. » Morel. - Op. citât., t. 1", p. 163 iVi66-et 3G3'1113G7"l' -il" ' 11'l'IHlil 1*6 · r.woor,o,c=rc wr..xz.\r,r : .
s; ils né"sont -qu'un' élémentrelativément accessoire. Sans doute; ' ils aident-'dans ! |une^plus'-ou --moins large- m
, observé 'et-suivi- longuement' nos' malades ? et ? d'autre part, ' après avoir analysé précisément lesfaitsimèmes
troubles, sensoriels le rôle principal dans laproduction dù délire' ' - ? , ' J' t 1 l ' ' -' Cette première) période
, sensoriels le rôle principal dans laproduction dù délire' ' - ? , ' J' t 1 l ' ' -' Cette première) période'de l'év
s le rôle principal dans laproduction dù délire' ' - ? , ' J' t 1 l ' ' -' Cette première) période'de l'évolution du
le rôle principal dans laproduction dù délire' ' - ? , ' J' t 1 l ' ' -' Cette première) période'de l'évolution du dé
le principal dans laproduction dù délire' ' - ? , ' J' t 1 l ' ' - ' Cette première) période'de l'évolution du délire
déj àdé) datetplús10ümoinsi ancienne',rrapparaît' de plus en' plus ' ^l'activité' (rint'eJligeIÍée',flla9'snibilité a
Jles ! niêmes'dont'sè sert le malade va- rient deI m'oinsÎe¡r'moins, ' se ! fixenV,net;1 commé·ottdit; (lsè"cristaJ11s
on. Séjournant alors dansi'la sphère des sentiments1 eV,] par suite, ' des'idées pénibles, ils' y^édifient^ y systémat
I'aris; '1877 ! '- ,J-p ! 'Falret,1 bp : 1 ciliüJ (fI'\ : ) ™\ ,1 )10 ' / DU DÉLIRE DANS,LAVÉSANIE. 29 anlysr,plus,loi
ansif Voici, paë exemple, deux, malades1 qui's'èngagènt" dans .30 ' PATHOLOGIE MENTALE. la.-période d'expansion : '
ngagènt" dans .30 ' PATHOLOGIE MENTALE. la.-période d'expansion : ' l'un arrive à croire réalisées certaines ambiti
lement chaque période, c'esti l'altéra- tion f ? e/c't/M sentiment. ' . , , Lei plus souvent, tout marche "par., une
' . , , Lei plus souvent, tout marche "par., une évolution lente, ' progressive; le plus souvent, ce n'est point,du
celle person- nalitéqui va s'exagérant chaque jour -après tant de ' souffrances, de ;cet orgueil, -de cette ambition,
rances, de ;cet orgueil, -de cette ambition, -encore ^-inconscients, ' et ! qui. -n'osent- encore ^paraître auijour. C
'ailleurs leur forme, poli- tique, sociale, 'mystique - ou- autre : ' L'association,- le mélange de ces deux'ordres d
s de sentiments» et 'd'idées ,présentera plus^ou moins de cohérence] ' suivant que les 'facultés mentales du malade se
t, peu à peu et viennent à-disparaître, soit même qu'ils persistent, ' nous voyons les préoccupations pénibles s'affai
se 'qui' allèrent' quelquefois 'jusqu'aux' tènta- tives de suicide. ' " ' ' dl 1 <1 ? 'T Il' ri -" 1 e " t ' 1 . ' -
qui' allèrent' quelquefois 'jusqu'aux' tènta- tives de suicide. ' " ' ' dl 1 <1 ? 'T Il' ri -" 1 e " t ' 1 . ' - I I
i' allèrent' quelquefois 'jusqu'aux' tènta- tives de suicide. ' " ' ' dl 1 <1 ? 'T Il' ri -" 1 e " t ' 1 . ' - I I ,
tènta- tives de suicide. ' " ' ' dl 1 <1 ? 'T Il' ri -" 1 e " t ' 1 . ' - I I ,[, `' "(Résumons maintenant les él
- tives de suicide. ' " ' ' dl 1 <1 ? 'T Il' ri -" 1 e " t ' 1 . ' - I I ,[, `' "(Résumons maintenant les éléments
icide. ' " ' ' dl 1 <1 ? 'T Il' ri -" 1 e " t ' 1 . ' - I I ,[, ` ' "(Résumons maintenant les éléments simples que no
s paraissent ca- ractériser d'évolution du délire dans la vésanie ! ' 0 j(IT .1 ' Nous'trouvons d'abord'un terrain hy
a- ractériser d'évolution du délire dans la vésanie ! ' 0 j(IT .1 ' Nous'trouvons d'abord'un terrain hypochondriaque
ns. N'oublions pas; enfin, qu'au début même 'de l'affection mentale, ' il y avait déjà-un fond'primitif de débilité, d
table, au moment surtout où est appa- rue la période d'expansion. - ' ' Mais' ce qui doit, avant tout, ressortir de c
ble, au moment surtout où est appa- rue la période d'expansion. - ' ' Mais' ce qui doit, avant tout, ressortir de cet
st la peur- Al\CIl1v¡ ? l. VI. 3 34 ? (1 , si PATHOLOGIE MENTALE. ' ! Il 1.rl11-1 \ ? J '1 ! e ? : sio,t iîîëiîîe f
E. ' ! Il 1.rl11-1 \ ? J '1 ! e ? : sio,t iîîëiîîe f/M enJiJ17fJ.Ft, ' °l ! , );lie.l)x,l.cI,eJ1cey quel Ce- riE,e,.et
le fond morbide essentiel; c'est la qu'un obser- vatetir '... If 11 ' '' ' f \'1' 1 qu un o ser j1 , valeur patient,
nd morbide essentiel; c'est la qu'un obser- vatetir '... If 11 ' '' ' f \'1' 1 qu un o ser j1 , valeur patient, ira l
"1'-\" 'fi, (Ji"suivre.) ,h , I)f' t '. si . , J l QI fll\ an q .JI) ' } 1 1 f , 'I - -l'I{ f" ' trI f f1 ! I¿T ; 1 ,
, I)f' t '. si . , J l QI fll\ an q .JI)'} 1 1 f , 'I - -l'I{ f" ' trI f f1 ! I¿T ; 1 , 1 ' 1 11)" 1 1") cd ! 1 tH
I fll\ an q .JI)'} 1 1 f , 'I - -l'I{ f" ' trI f f1 ! I¿T ; 1 , 1 ' 1 11)" 1 1") cd ! 1 tH "'118'-1 ntf, ! f l' "+
LA FOLIE AVEC CONSCIENCE'; rw r;1 t il- -- ? t .. 1 t, - t 1 ,i 1 ' PUI' le DI' E. J\lARA1;IDON DE J\IONTYEL, 1 îr.f,
) sur la l1anie'li;s'- térique : l|1' ! (lis "II 1, ,... J ;11" , 1\ ' pl ? '' '' ? ,,1 '** ! tl .fJ Il'11 ' ., 1/, t
- térique : l|1' ! (lis "II 1, ,... J ;11" , 1\' pl ? '' '' ? ,,1 ' ** ! tl .fJ Il'11 ' ., 1/, t til I 1 t l'1 I tf
! (lis "II 1, ,... J ;11" , 1\' pl ? '' '' ? ,,1 '** ! tl .fJ Il'11 ' ., 1/, t til I 1 t l'1 I tf T «).0 . · < ! I
! tl .fJ Il'11 ' ., 1/, t til I 1 t l'1 I tf T «).0 . · < ! If' ' 1 t 1 Íf ? r 1 ? \ 1 ") 1 ? >; Observation V
lcmclle. - Manie intermil- ,j.. , ,, ''l'PI ? 1 11, telit f a'vcc - ' 1 .1 . ' ' t" ' j ielate avec coHscHce. (I1;
Manie intermil- ,j.. , ,, ''l'PI ? 1 11, telit f a'vcc - ' 1 .1 . ' ' t" ' j ielate avec coHscHce. (I1; ? V- ^ \- '
nie intermil- ,j.. , ,, ''l'PI ? 1 11, telit f a'vcc - ' 1 .1 . ' ' t" ' j ielate avec coHscHce. (I1; ? V- ^ \- ' '
ntermil- ,j.. , ,, ''l'PI ? 1 11, telit f a'vcc - ' 1 .1 . ' ' t" ' j ielate avec coHscHce. (I1; ? V- ^ \- ' '" ,.1
a'vcc - ' 1 .1 . ' ' t" ' j ielate avec coHscHce. (I1; ? V- ^ \- ' '" ,.1, ? 1 , -1 1 ' fWS . i. sut AI ? P ? quar
'vcc - ' 1 .1 . ' ' t" ' j ielate avec coHscHce. (I1; ? V- ^ \- ' ' " ,.1, ? 1 , -1 1 ' fWS . i. sut AI ? P ? quaran
' t" ' j ielate avec coHscHce. (I1; ? V- ^ \- ' '" ,.1, ? 1 , -1 1 ' fWS . i. sut AI ? P ? quarante-neuf ans, mariée
du mal se rapprochèrent de plus en plus, et, en 1866, la ma- "1 f" ' .11 ? ,; T\ . 'mj"H-' ' " Il " ? LIt ? fi. lade
t de plus en plus, et, en 1866, la ma- "1 f"' .11 ? ,; T\ . 'mj"H-' ' " Il " ? LIt ? fi. lade fut Isolée. Dans l'étab
iguë avec^ , , . ,, ? ,, , , ,- , conscience^ G uérison.iUl ^ ? j J ' ('1\ 1 -¡¡¡¡,II') '" t.1 J; £ }-(fT ? ){1GfTIJ 1
? ,, , , ,- , conscience^ G uérison.iUl ^ ? j J '('1\ 1 -¡¡¡¡,II') ' " t.1 J; £ }-(fT ? ){1GfTIJ 111 ? f'f fJllf1 ? "If
? "If1tl;1t""lf1t .,i trîaR(1 t"lI ? Louise ,P9t.. ;drfI ? 4el ! ? ' ans"mariée, sans,profession, instruction-supéri
lIlt1 folie morale avec conscience. .S'aH/e MAvsMea/ ? 'a<Mc ? ' 1 j 4 ? ? tt ? '1'tri\ , Font l ? ? 'T",q ? (¡
ie grave;- ne joûitpasd'ime bonne santé'plîN,si4ue ? Ellel est pâle, ' anémique;' 'sujette taux 1 pertes blanches. A'I
ne joûitpasd'ime bonne santé'plîN,si4ue ? Ellel est pâle,' anémique; ' 'sujette taux 1 pertes blanches. A'I'àsile elle
aux 1 pertes blanches. A'I'àsile elle recouvre vite le calme/1 ip " ' fil, lnill. J1Jp" flFfIl "fi Pr·1 ? ' r 'l' '-
recouvre vite le calme/1 ip " ' fil, lnill. J1Jp" flFfIl "fi Pr·1 ? ' r 'l' '- 1 - 3 ''\ ? 1 III I. 9JTi ? 'I(I(y, :
r 'l' '- 1 - 3 ''\ ? 1 III I. 9JTi ? 'I(I(y, : 9) ? t't')t <¡f, ' " -;v[HT 4, 1 " ! ' - < 1, <. y1 Observati
? 1 III I. 9JTi ? 'I(I(y, : 9) ? t't')t <¡f, '" -;v[HT 4, 1 " ! ' - < 1, <. y1 Observation XI. ? Double I,é
i ¡ lJ1 al¡'e, rémittente, avec conscience datant \de trois ans; 1 l, ' " qilpi l 9f1 tOt·yU " t 1 n ' ' W ' '' , ,111'[
conscience datant \de trois ans; 1 l, '" qilpi l 9f1 tOt·yU " t 1 n ' ' W ' '' , ,111'[ ? , , j . l "/ , ,9[IM-0. Sop
nscience datant \de trois ans; 1 l, '" qilpi l 9f1 tOt·yU " t 1 n ' ' W ' '' , ,111'[ ? , , j . l "/ , ,9[IM-0. Sophi
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ccueillis un matin, le Dr Darnis, alors mon'maître, et .s accuel I,\ ' W · \v\f "\l 1` \ YI moi ? : Ces oiliL'è'è's dè
l tuoq cor , 1^ , < ""1(1 j' 1 ? 1 , . 9"7-'Dans l'ordre 'opposé, ' il m'a été donné de rencontrer là' 'conscience'
science'parfaite unëfois dans la lypémanie Il 1 t n 0 1 1 1 1 1 1 , ' ' - 1 1kl1 '' 1 ' 1 . ...anxiuse"s.i,l};lpe ? u
ience'parfaite unëfois dans la lypémanie Il 1 t n 0 1 1 1 1 1 1 , ' ' - 1 1kl1 '' 1 ' 1 . ...anxiuse"s.i,l};lpe ? uqe
nëfois dans la lypémanie Il 1 t n 0 1 1 1 1 1 1 , ' ' - 1 1kl1 '' 1 ' 1 . ...anxiuse"s.i,l};lpe ? uqe 1 fois avec, la
xiuse"s.i,l};lpe ? uqe 1 fois avec, la dépression lypéma- 11 niaque; ' deux ,fois ! avec la stupidité... -,n "1 1'" 1) ?
'e'" anxieuse simple avec conscience. Idées de suicide, Ey rysil- l ' pèle pltlycténoïde de la face'avec gl'aVeS( sym
ulle part.1'' D'après elle,1 les crises' ont1 chaque (fois augmenté, ' d'intensité, fil La seconde a été plus- violent
Ala convalescence lés troubles antérieurs reparurent'avec les mêmes ' caractères : Mme Lou ? . m'en reprocha amèremen
malaise indéfinissable qui la torturait nuit et jour. , '1 « , " 1 ' .,1.1 .I-1 t t' 1 >|l i .yW /'1 , - (1 · '1"
'1 « , " 1 ' .,1.1 .I-1 t t' 1 >|l i .yW /'1 , - (1 · '1" (Î' ' l' If1 ? ... 1 f .. l'{ t -Il t .Ij'} Observati
lui. Trois- fois déjà, toujours à la suite de chagrins ou d'ennuis, ' il était re- tombé dans cet état qu'il- compara
conscienceid'un anéantissement psychique. Il perdait la mé- moire, ' ne,l savait plus. retrouver ses ', idées ; sa vol
sychique. Il perdait la mé- moire,' ne,l savait plus. retrouver ses ' , idées ; sa volonté- et son ? énergie faiblissa
- était incapable du moindre effort intellectuel, mais, cette inca- ' pacité, il la, sentait ? affirmation, d'ailleur
its observés. ! V. , .' . i< a, i ? ? 1, hO) Il 1. 'i ii'-J, , u ' x ' \.1 1 f - 1 j - t La conservation' de la co
observés. ! V. , .' . i< a, i ? ? 1, hO) Il 1. 'i ii'-J, , u ' x ' \.1 1 f - 1 j - t La conservation' de la consci
ion' de la conscience dans certains'cas / . - 1 JI' J ¡" 1 H >' \ ' j t Il de stupidité serait, àlll1;1on avis, un
m'en- ^ taie caractérisée par la suspension plus ou moins pro- ? ) " ' , \ - \ ? t\ n tr <* ) t ? \1'- ) ? ( ) long
de" M. Baillarger' mirent tout'ëIi question. 'l(1t'( f qf1{J 1 HI') ' ) Il'' r> 1 1114 , , ., , EnAé,montmllt qu'un
sence d'un infortuné rendu' immobile par une voix- terrifiante ou ' un * ordre- du ciel, et réciproqueme'nt : ! J-,e'
as 'la prétention'de'trancher aujourd'hui, )à l'aide' de deux faits, ' la* question si ''controversée dé l'existence d
venir j(1 la1 conservation de'la'conscienceJdalls certains cas; '' ' ¡2lh'¡IbfT 11 1 '.11 ,rh. i'1;q * il \'j ,| nn ?
avec- soin cette' idée- du suicide de 'l'impulsion au-suicide avec} ' cO/1science.' L'impulsion;esb »1-' élément fond
/1science.' L'impulsion;esb »1-' élément fonda mental- deda maladie, ' quand'les patients y cèdent, 43.; , ·r ·f1 mf P
Ici 'l'idée est un 'élément' surajouté 'tout comme t'la Il. . -t. ' ' u ' ? 1 II/ 't ' < ? jU''J 9T71 I`I consci
Ici 'l'idée est un 'élément' surajouté 'tout comme t'la Il. . -t. ' ' u ' ? 1 II/ 't ' < ? jU''J 9T71 I`I conscien
'l'idée est un 'élément' surajouté 'tout comme t'la Il. . -t. ' ' u ' ? 1 II/ 't ' < ? jU''J 9T71 I`I conscience d
n 'élément' surajouté 'tout comme t'la Il. . -t. ' ' u ' ? 1 II/ 't ' < ? jU''J 9T71 I`I conscience dont elle déri
i, en 'connaissance de cause pour se 'soustraire à' leurs > 'f, ' 1 -. 1 "il' r r~mw il 1 4 \1' ). l ''1'r., f, ? q
torturés psychlque,s, d ? TI,m que certains cancéreux : 1 11 1 '' ! ' . 1' ? ' tt-it le,, le h ou, certains, cardiaqu
psychlque,s, d ? TI,m que certains cancéreux : 1 11 1 '' ! ' . 1' ? ' tt-it le,, le h ou, certains, cardiaques se,, s
iques. Le 'suicide est;'en'pareiln 1 cas ! chose délibérée," voulue, ' exécutée avec entière J l 1 "►> 1,.1 1 ., l
llf Ici ? JIU" volonté. 791"(v,.tl .1 11111 'Il il .yl r·,n ? 1(Flf ' ;) jtov Ainsi, la conservation,de la conscience
lement elle imposerait au ! patient'' , - 1.... ? r' IT ," 1 - : '1 ' ¡,'r f t .1. ? »'> \ 1 il 11t)/I(\ '1 I) le s
dres de ses fa- ? L r , ,..., - . ,, ,.)j. J ..n . . . IIJ ... ? )- .) ' ) cuités,'$ans", être en .puissance- d'y remédie
fa- ? L r , ,..., - . ,, ,.)j. J ..n . . . IIJ ... ? )- .)') cuités, ' $ans", être en .puissance- d'y remédier ? mais, el
'excitation et de dépression pris" ,, \ j .d. 1 . " 1 1 dl , 1, .,1 ' " ' 1 isolément ,coiieilieiit parfois avec l'int
citation et de dépression pris" ,, \ j .d. 1 . " 1 1 dl , 1, .,1 '" ' 1 isolément ,coiieilieiit parfois avec l'intégr
z cette fèmme a eu cinq accès* de' folio circulaire." Le premier" à ' . seize ans ; le second à vingt-trois ; le troi
ze ans ; le second à vingt-trois ; le troisième à .vingt-huit ; ! le , ' quatrième à trente-cinq ;, le cinquième à quara
de'chagrins, et débute par le'stade 'mélancolique ? Adèle Sic .,1..( ' se'fdit ) alors' ') obsédée par. dès-idées de-d
ébute par le'stade 'mélancolique ? Adèle Sic .,1..(' se'fdit ) alors' ' ) obsédée par. dès-idées de-damnation, -des crai
je me suis donnée, mon esprit n'a' rien. f Je 'ne suis plus 'folle ' ¡dors. » ' Les' cinq' accès ' 1 ont prSOlItélleS
s donnée, mon esprit n'a' rien. f Je 'ne suis plus 'folle '¡dors. » ' Les' cinq' accès ' 1 ont prSOlItélleS'PartiCUlà
rit n'a' rien. f Je 'ne suis plus 'folle '¡dors. » ' Les' cinq' accès ' 1 ont prSOlItélleS'PartiCUlàrit6S,qLle nous sig
us les détails qui précèdent,'y compris- ceux relatifs à l'hérédité, ' nous ont été fournis par-. Adèle Sic ? ! } au-'mi
xpansive. 1 t IIHf IIR Id') r'1 ? ""U'ol" ·,r ,1 J. «TJf «1 ? I',ii ' 1 1.1 inn 'r3fflfnlfl;ft(j 1'r 2,)Hpd')'JII1;1
n. M. le Dr Henri .jIj '1 r W JI/ 1) ,q .dfP"1HI IJ..... ql. 11,11} ' "n111.r'7 « 1 ,,1'1 f7r, U 1. Gerard,,mon ancie
onseils,,[ a.'déjà,insisté sur ? 1. ""d 'ù', . ? l' ? t ? lffJ n "f ' )l1J.ib nff sur ce nouveau moyen e la anostlc.'
- ,1 -i 0' n . ,1 ij 1 · yfJ r if "'11' `1lillin'II -9711ffi'Î1 h ' L'intérêt -augmente '"avec ! lest délires 1 parti
1 · yfJ r if "'11' `1lillin'II -9711ffi'Î1 h ' L'intérêt -augmente ' "avec ! lest délires 1 partiels.[ Deux genres de
i d'autant moins que je n'ai aucun fait nouveau a 1 -" i tt , , , . ' U u,r rlr,U. t11. ajouter à ceux déjà enregistr
ie avec conscience ? Amélioration" - r 1 fl. us-/ - , u -Il ri" 1 ' Camille Riq..., quarante-cinq ans, sans professio
naturel revenait au galop. rr. r n. ·rrr,9 r ? )f4t< ? f) 1 ? n ' ? '1 Cette disposition a des cfrayeurs non' mot
non' motivées; qu elle jugeait t morbides sans.les pouvoir vaincre, ' augmentaient considérable- ment et absorbèrent
and cette dame me fut confiée, depuis près 1'n.....tf \ Lj , '111 ? ' #-' 4 je r, It,f 4-fil, ! 1'" ? 1.' ,. ¡, d'un a
cette dame me fut confiée, depuis près 1'n.....tf \ Lj , '111 ? '#- ' 4 je r, It,f 4-fil, ! 1'" ? 1.' ,. ¡, d'un an,
grande 'anxiété, 'elle'' restait toute'-la ? » journée immobilëà'Ia ' z même, place,' les mains tendues en avant comm
'elle'' restait toute'-la ? » journée immobilëà'Ia ' z même, place, ' les mains tendues en avant comme pour repousser
ure et f. t fil 1 il jt4 J Il t r r t l' ai Il ..., tif il ,.< " ' aux soins du ménage. Elle sortit améliorée le 2
pause. lypé- manie e ? 'o<o ? ? ! 6f ? KayMeauec conscience. n'( ' If' 1 <II Arici-c D .. , , 'quarante-huit ,
ntes.coïncidant avec le retour d'âge, présente des désordres 1,6 ri ' /il 1 PATHOLOGIE MENTAL ! ! ] ? ""1 I affectifs,
parut devoir être préjudiciable. t r T" 1 .. 1 ¿'1t,tf ) -t.tu- ? ' m - - ;i 1 ' ' ' Observation XVII. - Hérédité m
être préjudiciable. t r T" 1 .. 1 ¿'1t,tf ) -t.tu- ? ' m - - ;i 1 ' ' ' Observation XVII. - Hérédité maternelle. -
re préjudiciable. t r T" 1 .. 1 ¿'1t,tf ) -t.tu- ? ' m - - ;i 1 ' ' ' Observation XVII. - Hérédité maternelle. - On
préjudiciable. t r T" 1 .. 1 ¿'1t,tf ) -t.tu- ? ' m - - ;i 1 ' ' ' Observation XVII. - Hérédité maternelle. - Onan
d'unemortimminente et l'anxiété morale qui en est la con- séquence, ' anxiété indépendante du jugement et de la volonté
seuls (troubles psychiques. Il guérit au bout d'un an. m. ? '1 \1 " ' ' " ' r Une première chose frappé dàns ces obse
uls (troubles psychiques. Il guérit au bout d'un an. m. ? '1 \1 " ' ' " ' r Une première chose frappé dàns ces observ
(troubles psychiques. Il guérit au bout d'un an. m. ? '1 \1 " ' ' " ' r Une première chose frappé dàns ces observatio
éroto- mane a- fait exception. La réaction anxieuse serait , , ? ' ' t ' ' < t.. t ' ' donc la règle dans les c
roto- mane a- fait exception. La réaction anxieuse serait , , ? ' ' t ' ' < t.. t ' ' donc la règle dans les cas
- mane a- fait exception. La réaction anxieuse serait , , ? ' ' t ' ' < t.. t ' ' donc la règle dans les cas qui
mane a- fait exception. La réaction anxieuse serait , , ? ' ' t ' ' < t.. t ' ' donc la règle dans les cas qui n
t exception. La réaction anxieuse serait , , ? ' ' t ' ' < t.. t ' ' donc la règle dans les cas qui nous occupent.
exception. La réaction anxieuse serait , , ? ' ' t ' ' < t.. t ' ' donc la règle dans les cas qui nous occupent. '
t ' ' < t.. t ' ' donc la règle dans les cas qui nous occupent. ' Pas une fois l'idée du suicide ne s'est montrée
é- niblelqui, rend la vie à charge.' D'après mon expé- 48 j , ,l' ' ;1'11 PATHOLOGIE IIIENTALE'>lH J'13'1 ,jji 'l
ient.à. se tuer 'dans la" I)roporti611'de, trôis'Isurl quatre idées ' de .-= ? t ? < ? t ? - t ? [) ft... ? «. v,
il cas, d autant plus'leurs raisons 1.1 - ItJJ[J ? 1 Ii '... ? '-Il ' 1 ej H -I ? 1-, ) tii4 tjh't ? r. d'être, quell
? r. ? trï ? n Qf}(fQ1(Jon.h\ comme 1 s'y avaient une 01 a so ue ? ' : H14 I()"¡¡ L 1 " UL14,U(1, ? ` ? t Observat
^vagues lueurs de conscience : f I\ ? ( ? \1 ? 1 wr z \, .l'l'Il \ \ ' \>I\.¡<l\j\\" 'Ù\I\ \'1\,\1, -- 4\ ? M"0 F
oriels. Idées de suicide. Mort par rhumatisme cérébral : ? 1 : . Jt; ' . l' ! -f "'1 'Il 1 -f if 1 f il J'eus occasion
r de l'obtusion intellectuelle, de n'être plus psychiquementla même, ' etpourtant, ces troubles intellectuels qu'elle
t'des avantages du contrat. L'accusation était plausible; toutefois, ' la malade n'y croyait pas ; elle reconnaissait 'd
un rhumatisme cérébral. 19w un BI)'IjÎ1t¡ -'1'- 1,\ .')<t11112''¡ ' 1 1 ? fft"'l 3' ! Jnoo '.)IJfH'lj1'H1 ! 'J 31)1
ospitalière, instruc- ? f16 14',1...1-4JJh .\ 1 U "1..., t'.lJl .I1 : ' .L.qrt ? t ? 1,.( l ? IHI)(I' tion supérieure,
iié's'] des J inquiétudes* f\ràl/dra vagues sur J elle-mêIÍle,flmis; ' des craintes- non- motivées sur, sa cqlt.4uit :
resser des paroles Ú mépris.. LâcoÍ1scieiIë6 se conserva* intacte ! ' mais' la soumis- sion de, la.malade il; 1 ses,.
emiei·`-àccès et'resta bien un an.)Pille rechuta, guérit de nouveau, ' et;rechuta) en; core. Enfin, en 1881, la maladi
la foli'efcir'c-ülairëtf'prel )1' f n'.r : 4.' yr t,t ? 1;((r i r ? ' IIlf47 fI)1 'Sr.ff teraiti3peut-etrertà ,urïé,f
le cercle-'dans JO 1 q 'd. fI- tournent., Ilcit6u« ne circulaire ' ,jtt.A,lnll..1 . r n0 0 , rl, Jt, J i : Jt) ) 1,'l
s" acharnés dé1 l'exalter1 et ! del,le déprimer à'desfintervalles,r ' u- J" ",\ ? 11" r -r3 ''~'lu ',jls ? jH; ! HI ,
del,le déprimer à'desfintervalles,r ' u- J" ",\ ? 11" r -r3 ''~'lu ' ,jls ? jH; ! HI ,j", : 1\,1 01" ' ' 11J FILOIia If
s,r ' u- J" ",\ ? 11" r -r3 ''~'lu ',jls ? jH; ! HI ,j", : 1\,1 01" ' ' 11J FILOIia IfIJ ers. ? 1 : )l1t 'nO r ? t, i
r ' u- J" ",\ ? 11" r -r3 ''~'lu ',jls ? jH; ! HI ,j", : 1\,1 01" ' ' 11J FILOIia IfIJ ers. ? 1 : )l1t 'nO r ? t, i-t
LOIia IfIJ ers. ? 1 : )l1t 'nO r ? t, i-t' 11 ? 1.. ifJl t 'f ? Lot ' ) ? 1 ,cl r 'r`72U.,J : àu.lnf;'Ihr( .f1' - "I¡D
derfaitsque j,ai-récoltée. Pour les étu- r,ri,j· i ·r"r , 4 , c, î ' .1 , . , f ...,r...t F o ' dier dans 'leurs' dé
Pour les étu- r,ri,j· i ·r"r , 4 , c, î ' .1 , . , f ...,r...t F o ' dier dans 'leurs' détails , me Conformant aux''
iatioii ou- l'isolement des troubles psychiques -et sensoriels : * " ' '' - -J ? ",fl" " ,toi 'f ' - '-"' a1 ? fil ln
troubles psychiques -et sensoriels : * "' '' - -J ? ",fl" " ,toi 'f ' - '-"' a1 ? fil ln HII, ! t 0rjll '\¡Jt1.- .\"I
s psychiques -et sensoriels : * "' '' - -J ? ",fl" " ,toi 'f ' - '-" ' a1 ? fil ln HII, ! t 0rjll '\¡Jt1.- .\"Ic..6. ,
* "' '' - -J ? ",fl" " ,toi 'f ' - '-"' a1 ? fil ln HII, ! t 0rjll ' \¡Jt1.- .\"Ic..6. ,11 ? 1.1'1 ,,%' 1 i iiii-coii
- '-"' a1 ? fil ln HII, ! t 0rjll '\¡Jt1.- .\"Ic..6. ,11 ? 1.1'1 ,,% ' 1 i iiii-coiiscience 1Jurmt exister; avec les p
. sensorielles j, isolées, oui- iia,i ou, on i. n'a pas ,2 ;- yt 8r ' * pathologie- mentale. yl ? itr'1;3. : r consci
;f 111 b)'I,i'r tl.v ? l'1 Ht`)1 concomitant ? ^ ? ,l *"«J'"ir't« ? ' «" - ? ? W concomitant. itt lniiiioj © ? i.iol.^
tion 'de'1 là 'conscience1/ Ainsi; JJ111" . 3h ,.rl j1 f t -uni- ,H) ' t f" 1/ ? d >, if,i,| i' cette intégrité, du
s'opère alors dans l'esprit ? te 211'</'1 1\.' ".A / d'II' l ,,1 ' i, 1.. {( b ni, (ILl ;"\1JflP{ ! lg ? 'vJfl ? 1
lP{ ! lg ? 'vJfl ? 1 'h', r.rn .t,f ri ? `7 . - 1 Il'1 ? ft/h.1. r1 ' ! f'ffilt'J' ? Observation XXI. Hérédité patern
ychiqâes avec conscience. Systématisation par la rage. Idées de - ' sw'cide ? ,,1' , \"It\ 111\\,. Il h""I\ - - d/.l
il ? ise sentit tout, autre. Le jour, il ne pouvait rester en,placo, ' la, 'nuit, surexcité, .poursuivi par une insomn
trop d ardeur, la corde se rompit; attirée" par" là chute'du corps, ' 'la famille l'isola tout' 'de suite ? ùTnevniéd
mptôme paralytique ne s'était montré, éventualité que j'avais ? i ? ? ' ? ''i ? i . 4" tt' .<'mf' redoutée a cause d
e a cause des symptômes du début. N , ? l'.i1f '1 9 b911 - '551't A ' \\\1"'( PW`1UG,SW ya\ult - 9'JI\'4S' ? ,iW" ,\ .'«
use des symptômes du début. N , ? l'.i1f '1 9 b911 - '551't A '\\\1" ' ( PW`1UG,SW ya\ult - 9'JI\'4S' ? ,iW" ,\ .'«) Ob
9() 911P.R 1 f. 'i"(iSI11F PHI'je¡ IfJiffW'1 'S(4T'a .9q1h1(YnJ'J ( ' W,t,lll'Ia8lTI ? , 'Adélq.ï4e. V ? vingt-deux ans
t Adélaïde' été réglée difficilement à quinze anis, et, depuis lors, ' elle fut'toujours plus ou moins atteinte'de' dy
s'effrayer ou'de s'affli- 51 < ",1 t ? PATHOLOGIE MENTALE. - -'1 ' ·ft.IH . ger de ce désordre mental, elle s'en'
s'en' réjouit.- Dans sa conviction; Dieu lui avait fait la,gràce de* ' l'identifier.' au : prélat bien-aimé.' C'était
sprit ces pensées énergiques, 'guides -de 'la conduite-à 1 suivre : ' Saris <doute 'ces ! opérations psychiques ét
isions' des saints-se différenciaient- des 'visions 1 des malades : ' ) Cettel jeune fille ne -fut jamais hallucinée d
1 f fil 111 t ? 41 .¿.JU$flll,JfJ1 '1 ! /J .1 ? , 14 ai < nuui'i ' \1>'1 91 111' ,1, itllqfill 'flqlJ'lIHldrri' r
d Jes1trouble$psychiques' seumarientaux per-' versions sensorielles, ' la conscience ''des premiers se- J'ir JI -....l
1 ? ? .1. , )t que ses sentiments et de. son ? esprit ? ici' donc ! ' ... 1 q . '1 j J ? 11,11,-t II '1'1 ? 1' ...1 -
s, l'état physiologique se,, refléterait. dans l'état pathologique. ' 'Toute systématisation-fait parfois défaut; le
'Toute systématisation-fait parfois défaut; le malade vit indécis, ' sans -trouver, une'explication'à ce(qui se,passe
.- -A son entrée,- cette damaprésentaitde l'obtusion intellectuelle, ' des idées lypémaniaques,'1des,impulsions ¡{rI la-
........1 JJUC : J¡\ Ç.¡"JJ ? d.l' J. ,j,.Hq.,J j ? 1 Jif 'iJ -'1 Jr" ' p' (irr 'JÎ graves contre le personnel du servi
s de l'ouïe \"ILHII1'-t I 4(ftL11( nt"d" : v .4 ? 1" "ir ? ry'r.T'T ' "n. s accrurent en nombre et en intensité ; la m
e l'hydrothérapie, elle, s'améliora assez rapidement.. r )IP - ? t' ' i i 1,1 ? ? ? j ? i' e et ? . itc,tl Elle sorti
le courant d octobre, et la guenson s'esfmàiliténûè. 'fU}1121110Jc; ' {.flf'J ,11,JJ 1 : l ! ( 'il ' ; ((,1 f11TL .. :
uenson s'esfmàiliténûè. 'fU}1121110Jc;'{.flf'J ,11,JJ 1 : l ! ( 'il ' ; ((,1 f11TL .. : 31ltrty JÎtJfifBc r r aJ ? )
? la systématisation ! se' produit -serrée, logique. Le] malade tl, ' (pliqp.eJes..désordres intellectuelsi dont1 ilr
,Ípar.J les : \perversions..lsensorielles, dont il est inconscient. ' .1 G.fSS\l5 : " ù\ : ) \'" "'1 : \ ? ) i - · 'i
lsensorielles, dont il est inconscient. ' .1 G.fSS\l5 : " ù\ : ) \ ' " "'1 : \ ? ) i - · 'i)S4uWv Yw· -- 111JJ ? 'H'I'v
ssion démoniaque. '.Idées de suicide : un, "- » Il, )<,'11>1. ' ,31'8" , .J'll< 1 .' /Qi-IJ "4.. . ' i ? t 1
un, "- » Il, )<,'11>1. ',31'8" , .J'll< 1 .' /Qi-IJ "4.. . ' i ? t 1 .1 » ! t ! dt,· f(.y1lr.W yritl ' ) j. ^j
ll< 1 .' /Qi-IJ "4.. . ' i ? t 1 .1 » ! t ! dt,· f(.y1lr.W yritl ' ) j. ^j iVictorine Gaz célibataire, quarante^tr
H 1 ? n Marseille; -le 24 juinr1880 Aucine hérédité'dans'la famille, ' au dire de'laisoeur/'EUe affirme aussi.que jusq
iveànxiété ;, elle gémit ? n el'reste 41as i en i placé. Interrogée, ' ^ elle- répond ? qu'elle èstl folle ! de nouveau
la môme,.iltElle) recoÏmait'que, sa place est ! hien dansltin asile, ' mais elleJ3a Ides hallucinations, de la vue et de
s hallucinations' lui fonttvoirtet entendre leJ diable.'I' Dès-lÓrs; ' lai systématisation s'enchaîne, C'est Dieu qui;
permet 'au diable de' lui troubler les idées, dedaifairâ souffrir,¡ ' bref, ! ùe, la ,rendre foIIe/'Voilà prèsudeif d
llelse'suiciderait. - Itfl`I 9. `1^fIt> EUtlf ! ? If) .fJ9'1 ,11( ' )11.)'1', ? jIH¡ÍJ 2n" rly 2tiifIT £ OBSERVATION
c<c<<OH)'a ? [rq. ftJ4"t 91Tp.111 ni `I nlil 11T1 Htlq 9 ? ' ! ? fry rrftill 4'W W ·nl 11 ? r" ,Rosahe,Alez
: puis ? dit-elle; un troublc.hizarresurvintdans son es- prit;- son; ' imagination 1 se ']mi t J travailler, 'sans, qu'e
un troublc.hizarresurvintdans son es- prit;- son;' imagination 1 se ' ]mi t J travailler, 'sans, qu'elle» pût t l'arrê
, belle» l'entendit murmurer/ : «-Si. [cette tasse ne', suffit .pas, ' une seconde suffira : 1 Elle se tsentitrtoute.
taient de deux ordres : les unes la persécutaient parlldesT.injures, ' des menaces ; ! }les autres.lui indiquaient les
ls ; par InalheuT'étaiènt d'une'extrême élierâie : lNon"con= tentes ' 1 de prescrire"- desprières,'ellesordorinèrent d'
11'àè- -I II 11j si ill' ? ,l, T.l 1 IhO \'fI ? 1"l v 1 'i' l^i t r ' ".... «< .turnes sont parfois intolérables. L
cupe aux soins du ménage ; les nuits sont très mauvaises. - , " ! 1 ' " ? ? 1 rrr. ± -)1 '' * '' . « ' ? . '. " D aprè
uits sont très mauvaises. - , " ! 1 '" ? ? 1 rrr. ± -)1 '' * '' . « ' ? . '. " D après mes renseignements, il n y aur
mes renseignements, il n y aurait pas d antécédents syphilitiques^ ' r . HI "" titi f"JJfI" ' "" J ? 1 YI Ir 1 J ? <
y aurait pas d antécédents syphilitiques^ ' r . HI "" titi f"JJfI" ' "" J ? 1 YI Ir 1 J ? < ^ * \ ,'\1' 'J . q,.
tiques^ ' r . HI "" titi f"JJfI" ' "" J ? 1 YI Ir 1 J ? < ^ * \ , ' \1' 'J . q,. çl.r 5rr \t.. ? lit" 111 ,¡, i{f', 4
* \ ,'\1' 'J . q,. çl.r 5rr \t.. ? lit" 111 ,¡, i{f', 4 "t) ? 58 ' /1"1' r.m, I'·'ftIOLOGI1; MENTALE. , Il "1;11[ ..W
f 1 i leurs troubles sensoriels et psychiques, ils apprécient. '1 ' : <-. ) ? t ? it ! I 'f-1·11 1 n' 1,-)- itle,
t.sayentjma-, ]adives'Ies)voix"ou les 'visions qui 'les poursuivent, ' et' - t ? ? tT- ' , ,I ? t 1 .; ., ? ,, ? r,l 1
ves'Ies)voix"ou les 'visions qui 'les poursuivent,' et' - t ? ? tT- ' , ,I ? t 1 .; ., ? ,, ? r,l 1 ils systématisent
étl'dréJtduf1 qa'Jfois';JJIÓs,jperJ vriÓ¡ls'HsleadolieJ lsfJêtS l'e ' ,ldéï,tl>clru iÍ1tiJ ? thI ? I¡r rl' versions
ntellectuel., Us. ,i - '-)1.1u Jjl} r' u )1f t. , t .9 ? JI 1, "ull ' ,UUUII ,Jd ? HJLHI cherchent,.cette cause, -, cr
{lu ! ¡saljonl P/ ! l : j l1a{Jlf ? ¡ tlsme. ^ 1U'\UI'IpddJ,j'J , "¡ ' I ! 'J' : JJ ? (),l (,....IJ . Le 2 décembre 18
.une lemme de, chambre, qui .. XIX'.XM/.XMCI . "XXXXX.1\-XXW, .' , , ' XI- X \ , ,1XXX^> , . X\ I nfT,;nTH-' depuis
Ben...,,trente-sept,ans, célibataire, était dans cette .maison de- ' .x-.ix xinl <J-'X\ ? ? n »x/y» »» 'x .">iv»
et son dévouement. Pas de renseignements précis sur ? oo ? <,...t\ ' \\ . s v W t ,, ....t t1 t·1 t1t ,ty les parents
croit l'avoir trouvée dans le magnétisme. Un baiser sur- la J11 ''); ' ) ? Jf)tfTt '1't ? t' '" '1 W ? ii -1 ? ? l.riij.r
ans le magnétisme. Un baiser sur- la J11 '');') ? Jf)tfTt '1't ? t' ' " '1 W ? ii -1 ? ? l.riij.rr-. T bouche, donne p
r son futur. Sur mon avis, la malade fut placée le même jour dans ' mon'service''comme pensibririàiré. Éllejen sortit
dans l'établissement. , ? >11 tW .,ffi,'1 ? "f : I, ! qr ? 1r, r ' tRŸ.t v·wlfh n ili sa ! . , Observation XXvll.
, Observation XXvll. Hérédité congestwe paternelle. Onrr |i->. ' )"'<)nmtt.) ? ri'fnl2 ifll t,<,.i"rf ? f ? f
nisme.^ Alcoolisme. - 1 roubles psychiques conscients. z Jirrf ? ' ,1 '.('"n) ? ( ? HIll 1'" 1...- : r IJ or"" / ?
.^ Alcoolisme. - 1 roubles psychiques conscients. z Jirrf ? ' ,1 '.( ' "n) ? ( ? HIll 1'" 1...- : r IJ or"" / ? Halluci
ibilité, l ·'ü` T : (r `i If'1 /llÏi1 ; ·o f"Ii.1·'rll . 'f ? · 'ji ' 1 ? n 1 qenerate et du sens oeMe«7He, systémati
tuel consécutif accompa- .1 : ; 1 ? )'1' (..¡nCI,p q\,P\;"11,t" Qf¡; ' Il Je.) pqilf fi"'i ! \ tJl .. r, i\1 j 'J.u v
},q'l ! '1 ? Armand d'Ar ? r vingt-huit'ans, instruction supérieure, ' » célibataire;' entré- comme pensionnaire à'l'as
mand d'Ar ? r vingt-huit'ans, instruction supérieure,'» célibataire; ' entré- comme pensionnaire à'l'asile de Toulouse'e
us l'influence : soit d'impulsions irrésistibles; soit dû désespoir; ' D'aprèsl1;nog ? ex périencer,përsonnel. ! e,1 le
rité, du sens v)".AJ H.1°J...,11 vl .w W ·nf lr Ji 1 nL,urwll . 1 j ' ,d"'...o4 (Û-J.1JJGJtJ ,JI 0 u,ti.d. intime/ réf
l faut mettre l"4rrlp,...1 1-r"c.'>'l'l,li ? " 11;,1', -t{d't" 1 ' ,)f"J h' ? r ? d'' f r)"f. h . 'f>-iji'0 ? .,
4rrlp,...1 1-r"c.'>'l'l,li ? " 11;,1', -t{d't" 1 ',)f"J h' ? r ? d' ' f r)"f. h . 'f>-iji'0 ? ., un a;rand.point d
es, si reelle-f 110 Y. '1 ? 11 ,¡JI'II ! Í'aI'I ? Il te' .'P""IJY'I ' ;J'1111'J'I"'I2111' ; rr, ment/ils retr.ouventc
111'J'I"'I2111' ; rr, ment/ils retr.ouventc 1,' équilibre, cérébral ' (IC ? (I P'Q1;ltJ conserverie" peine.=''0n)'voit
ëkceVtions" à'l'éettJllloi9 codiliiélG a9 ? rr ? m, 1,1 Hlll'I ? U() ' , '111>I[d .IIIW'1v""blf jlr ? lld"111E ? J1()'
m, 1,1 Hlll'I ? U()', '111>I[d .IIIW'1v""blf jlr ? lld"111E ? J1() ' )' : I\ prouvent nuelques-unes.de nos ..observat
, 1,1 Hlll'I ? U()', '111>I[d .IIIW'1v""blf jlr ? lld"111E ? J1()') ' : I\ prouvent nuelques-unes.de nos ..observatio
, là un' avantage ? . Les. déments ne sont- iIi/pas 'enéo're' : }es\ ' hôtes les moins malheureux des asites , ? , ? 1
malheureux des asites , ? , ? 11 ? 1 Vf RfT ? > 'Ii : >{1' si ' et mieux ne vaut-il pas perdre 1 intelligence q
que de la conserver¡pouf¡ se' sâvoirlaliéué`2rzlsdn 29, ? JIJ(1j 3Q ' ayb oa'lfI9 fil 9b i»[ib ! 911tiq il f. a9 ! ü'
l u111uiu raid yile nu lu pcuswJl. Jlmautlbu : l3.jl(lt;'I ,Il )1 ,¿ ' (jjJifJ RECHERCHES SUR LA FOLIE' AVEC CONSCIENCE
bi tité'avec'Ja'compHcité'de'rinie ! )ect ? "Un'dermes'plus savants* ' confrères <'dé'llarséille, leeD`lDespine,IW le
te3'eXélutt la conscience .r,ef1ëchje ! "Quand lM : 1¡Billodljdii,J ' : 1({ 'Il) eS't mie autre-) catégorie très'tcur
1'obtusion1ÎnteJlectuelle ainsi 1 que'ljes désordre^ des sensations; ' de.l'émotivité'et de la sensibilité, tombent !
, c quiÓentraîneÎ'a1 au ! - çrimeCou'' au'' suicide ; c'est'.1 une' ' hallucination' de pl'odoratr¡ et l'dùU go lit qui
reffent sur un)trouble1dés sens(ou- : de'la sensibilité ? 91n9= x ' ^- jcas. où., la conscince'(est" unf'élén1entt
uite' dmls iJesTidées d'inaptitude ! au travail ¡éstp çqntrelltoute¡ ' : ¡')révision,élé trouble qui est le plus saine
dmls iJesTidées d'inaptitude ! au travail ¡éstp çqntrelltoute¡' : ¡ ' )révision,élé trouble qui est le plus sainement
çe ,m ,{ milieu, pllJJ itt Ji I ? t3J -.V1-I...ln jlr...fJ.l .m". ? ' mêmedeplus grands désordres, de, 1,'çprit., lil
paratysie gêné- : - -<t Gil 0 , ? iULtt' li4j , Ji' J ? n . J c' ' -* raie la conscience n'a duré que quelques, he
saconnànce0n''doute''desdn esprit;0 on9 se méfieldel'sa'sénsibilité; ' mais' on'- n'é'sus'pècte'3 pàs' ! jses sensatio
mô £ fl GS 'T 'i"3' mV0 PATHOLOGIE L111);NTAI ? ITI )fi,d1( , : or.} ' - "'\IV ! La'conscience est1/ ! enf aliénation]
GS 'T 'i"3' mV0 PATHOLOGIE L111);NTAI ? ITI )fi,d1( , : or.}' - " ' \IV ! La'conscience est1/ ! enf aliénation] mental
s ¿onsciéntsr de ces deuxigroupes sont, 'pour lé'très grand' nombre, ' des'héréditairès appartenant aux classes instru
bre,' des'héréditairès appartenant aux classes instruites et aisées ' de] la'société.bD'après nies 'observations} qua
;'l'bérédité'sërencôntre79 ? E p'.blOO,1 et.,tles màlàdé's'dà'ns'dâ" ' proportion de ü7;61pL,100 appartien- ' " 'ils .
et.,tles màlàdé's'dà'ns'dâ"' proportion de ü7;61pL,100 appartien- ' " 'ils . fl, neht'aux'classesindiquées ci-dessu
tcnte/J jusqu'à l'éclo- sion'oe"la-folie;<ll11¡ yJh 1 .11 ? >] ' (/* i -,1. fll""L;1 11J II' 'VII ? La' paralysié
e; toutefois, lë's'plià'sé's diverses'par1\es'quelles passè/1'ac- ' tivité'del'intelléci`après les attailiies@,et dàn
e. la' forme' vertigineuse ou' ¡noc- turne. "11",1/, n fy., '' >^ ' '< .r ? Tmrl )r rt VIII. La conscience, en'
chique, 2t XIII : La'conservationfde,,la conscience dans certains ' '. , ) ,t ? J.. ¡ J J..l ; 1 -cas de stupidité
embléeicette.,ma]adie ? plJlJH[,c,t,rlnt t>J ? i1 [;" - )fi XV,»- ' (Daiisile délire, .partiel,, la conscience se tro
llucinations J¡ compatibles avec larraison. «rmm^.),) ,1 If 1 . \\ ' \ XVII. Quand'fla conscience, parfaite, exi ? e"av
nt - inconscients.sq ,JOf)2 miTnl ? nn : r R) yt) (];)/,l';V1')a.ur) ' ) Et v.x3XXIII.,tDanss quelquesricas .exceptionn
rouver ! 'et"systé- ;n{atisent : 11BI/C) 'IJlhl'JRq 8"IT'H')" : fl() ' ) cI 1fl1)JJ(} TII/7. a'1lXXIV(jLa1on'servation(
uxdésordrès Jde' leurs facultés^mais elle conduit au" désespoir, Ïe, ' par- 'tant^au suicide ! 1'é/léèhi par" dé-bût5
chez eux, la dénience1estrraré et ! tardive'. 91dn01J nu -3mtirff ' )b XXy ? 'Après l'hérédité FhysfériefetÍl1alcôolis
enée : 11 obtusion'inteJ\ectuel1e; les\ trouD1es1dè'J' émo- 3tivité, ' les modifications' du ('caractère¡ et 'des1 insti
des1 instincts, (,les'perveÍ'sioÍ1s lypémaniaquèslde"la sensibilité; ' vexa ! - ''tation cérébrale ? )1 h 111'-)1'1<
"la sensibilité;' vexa ! - ''tation cérébrale ? )1 h 111'-)1'1<)[ ' '11FT fH1"I-;R¡j';m'II ? c ? 72 RECUEIL, DE -FA
W7d rOb Jin.rJ «inouï ¡ ! lUI, Ut) jusm JIltI11' - .zqlu3J u ''lm"J ' ;1 m{\ \ \Jo(, M -,i- J'J JfU9'tJ ? JW11l1'WIt"
¡'f1lJ 9'ILtlf`1J4'l$It(I'TfBtl 1%P 110 \\111\-.\"" .\\\I¡(\l'"\" \\)" ' ¡ : ¡,( ,iV'I'J2 JJL i"H[1J02'J'Iq 2s1 niuf anio
JJL i"H[1J02'J'Iq 2s1 niuf aniont uo piiiq n`furf9n "-liiiî illi « ( ' ·c"··.)t·1 19'cWr ! ? UiU ,·`(as) : Q if. z 'Hff
gt; 'ib < ? 6 231> b J9[ ! J 1 ? 1 \1 ...'Ilf 'lino', 'fh . ? ' ))JubL ffutt v.mob J , ,nos^âo'xx|^ h iiioBH.l n
n9Ujjo70').j ? n'\ ? 'iJJl .\ ,\ô ? l ! 1 'l' ! ¡,fl,il ),1 r nll\¡PH) ' J2'J il '1U'i.J' ? 110/1"-\ .iHO.' Mil 1-. ,lhz
tion 1 du second, : -[1;(1 fi' ,,1 1'.qJJ .ao '1 : .J'Ijb ol» 'l'Il, ' d ! fJljj,lllbtJJlI ? il 'u,,¡ j')'1',l111 'JO" ?
,¡ j')'1',l111 'JO" ? tmtls·v 6 Jn-jfa Observation ? II.-v c'Père : ' leéGétudet'7ClSSlf('C)'e,l'C07SGfC2lttve ll6J 2ln
e application « la inusiquej - Soelll" iúiott : : J ? 'Deux' frères : ' s,cès : c"1 Quelques succès d'éducation. ! - Co
;,IV, p,. 5zi ju;lletz889.JJUltuubuJ,di si I ? gl'Hb..1 JL jl1G2' - ' T'1 J.' y rf 11. r 1 ? 5' '" IrX" DE LA MICROCE
UltuubuJ,di si I ? gl'Hb..1 JL jl1G2' - ' T'1 J.' y rf 11. r 1 ? 5' ' " IrX" DE LA MICROCEPHALIE, 73 3 d J ' 1 "d (
' T'1 J.' y rf 11. r 1 ? 5' '" IrX" DE LA MICROCEPHALIE, 73 3 d J ' 1 "d ( ? d'(..nf, ? CI' ,,1), ""T pT rY : YJ de
de renseignemenls. '1 , " ...,. 11(c Rien n'avait été -tenté PÓ¡Ù ! ' ct 11diot "daiisl'l'asilc,L tlit' J\f'Delà7'I s
s : , fournit\,bientùt l'occasion d'expérimentations» cu- rieuses, - ' ssr,v,ct ? isb scoJqaeo7aQ « Parmi ces jouets s
' de' plaisir et e ! 1';ii$'i ? tant tumultueusement,ses'bras; puis, ' tendant7l'ôreille pour mieux x entendre. : « En
pidement.la 'succession.'Il' put retirer' le 'piston salis obstacle; ' mais il, en fut Jtout autrement pour l'introduc
tteint, son, adversaire lui laissait croire au succès de son 'tir : ' 1 z .- ? 0'i'- 2,f 1-» z5oroq ? ((Le maniement du
t d'une ficelle enroulée sur l'axe qui sup- porte les ailes ? 11 1. ' ? " ' ',1" vl n W ? ,rm WLJ'14 - 111 « Céder et
e ficelle enroulée sur l'axe qui sup- porte les ailes ? 11 1. ' ? " ' ',1" vl n W ? ,rm WLJ'14 - 111 « Céder et repre
ficelle enroulée sur l'axe qui sup- porte les ailes ? 11 1. ' ? " ' ' ,1" vl n W ? ,rm WLJ'14 - 111 « Céder et reprend
continue la traction, et le mouvement cesse. A'notre "vive surprise, ' ],d ? s'estl formé assez proniptement à' cet exer
proniptement à' cet exercice. '-Une chose plus simple,1 en revanche, ' a été, plus, péniblement obLe- ? liue. La résista
lement obLe- ? liue. La résistance d'1 ? d ? pour le- jet de la houle, ' dont Ion fait dans les jeux de quilles,' a été
? pour le- jet de la houle,' dont Ion fait dans les jeux de quilles, ' a été opiniâtre et longue. Il la lais- - sait r
distance ? Toutefois; cet acte est fait sans rectitude et sa- visée ' demeure incertaine. 1 H(¡,L `'1 lit 0 1 si - ' "n
ctitude et sa- visée ' demeure incertaine. 1 H(¡,L `'1 lit 0 1 si - ' "ne'') fil 111 ? 1111' L«[Aà jeu de tonneau;1 l
ut a*fait stérile ? Bien que mal'liÙ1cés ou s'égarant au hasard; en ' deçà'ou au delà 'du but, ses palets mesurent, en
rd; en ' deçà'ou au delà 'du but, ses palets mesurent, en vacillant, ' une pro- - porlionJpluslexacte : I'PoUl'ile'cer
des poignets, soit suspendu 'auxf degrés'de l'échelle, transversale, ' ) soity soulové i suy les barres parallèles, ou
r et' la confiance, d'appliquer, un, jour,. cet intéressant idiot à ' quelque fonction -utile, 1 si, malheureusement, l
rs leur n1a}ch dê YS3Ó 'àJlS"ÚO : lIu1'" o ,1JJJ '1.1 .HI ? } ? }\U, ' \ ( ? I\ \ -'1-1 1 marche dé 180 âJ13G0 n iI, ..
180 âJ13G0 n iI, ...r¡h 1 II ylt,t en'c Slftat`,o'lscU^c3a q-tncsa ' Ill(t'JlTnw 0'jitr ! Sl 9JJ11 11'rr,. r1 r ! ·'1^
flr(,·m J : f 99'·il, v·ll Ifl Ilrltf=, `lttrll r M CCII - ! 1R;¡O. ' ¡ 'b 3, 18.,JÍ.. " 41 j 1S"H... IJ H\ 1.... 11'1
lri11852 ? t ? l ? JtrUi836.bt 3'là'45 r' '118601.r' : a180·tt,l9't ' '·n1858. n';nfFrgi nul '183î : "i i -151' rul 911
i11852 ? t ? l ? JtrUi836.bt 3'là'45 r' '118601.r' : a180·tt,l9't ' ' ·n1858. n';nfFrgi nul '183î : "i i -151' rul 91186
;nfFrgi nul '183î : "i i -151' rul 911861 : t^ : r.rh (1 ttt 92 91' ' W r ,tntlr : l' 'tlt,^,uW ·rLIJ 11 ,¡¡¡"j 'fi[ 4J
rêtés ? dans ! |roesophage; -ont exeréé 'llÍ1C¡ compression' sur'le ' larynx^ et déterminé 'la' mort' par asphŸxie."
erminé 'la' mort' par asphŸxie." '' tl : W t>^ 3 { - ? ? l'P,I \\ ' ,\\I\\¡"'\\ ? H : I )f ? IJID ,,1 i f11' q'lq .1
a' mort' par asphŸxie." '' tl : W t>^ 3 { - ? ? l'P,I \\',\\I\\¡" ' \\ ? H : I )f ? IJID ,,1 i f11' q'lq .1.. JI" ci
'rfl'...d"<Llnr' t"1Tl.(ff l ", r ,çrrri JO'" ."... 4 ,op "l 1 . f ' nous ne pouvons reproduire à cause de sa longue
0,' on a les 'proportions suivantes : lolt`guéilutdu'lôliëlfroiiLUl, ' (i8,7 : i;rdu'lobe pariétal;1 M,12; du lobe occi
liëlfroiiLUl,'(i8,7 : i;rdu'lobe pariétal;1 M,12; du lobe occipital, ' 11,96 ;'Iargeu ? dú"Joh81 frontal ? 66\40;' dulob
M,12; du lobe occipital,' 11,96 ;'Iargeu ? dú"Joh81 frontal ? 66\40; ' dulobe pariéto- ' temporal, 76;oC; du'lobe" occ
pital,' 11,96 ;'Iargeu ? dú"Joh81 frontal ? 66\40;' dulobe pariéto- ' temporal, 76;oC; du'lobe" occipital, «37, 03 ;Ma
mporal, 76;oC; du'lobe" occipital, «37, 03 ;Ma plus'grande hauteur, ' 46;87 ;'la çircônféreticé'Itcirizontale ? 91 ? i3
ande hauteur, ' 46;87 ;'la çircônféreticé'Itcirizontale ? 91 ? i3 : ' pu, ? '< J-' Irol1' mn j"I,'1 ln' « En' éOll
: ;i largeur du lobe temporal, 43;G ? et'du lobe' occipital, 3,83 : ' plus r grande bauteur;43;99;1cir- 'éônfélence`b
3,83 : ' plus r grande bauteur;43;99;1cir- 'éônfélence`bouirontale, ' 8,73 : » T'1 t.l ''w''f /'l'" l) ,> l/'1' ',W'
éônfélence`bouirontale,' 8,73 : » T'1 t.l ''w''f /'l'" l) ,> l/'1' ' ,W'If" '11Jf ? I.91 ? Q ,,j·tr,·t t · ·tmh ,1 ·.
gt; l/'1' ',W'If" '11Jf ? I.91 ? Q ,,j·tr,·t t · ·tmh ,1 ·.ry,tl ,i ' ln..Irt ? Jt u1 ntmn rttx'r i 1 La micl'océphal
re compté, des principaux caractères que présente l'encéphale. '' - ' DE LA \IICIî,oCI;PH.1LI. 77 .;TII 'i ? ¡¡ ! ,
face, orbitaire^du.lobe frontal e1).,ay.allt.t\f : iol\(\J\ ! Stl)\\ ' " .xix» j' ,(, "0"1 ? .(,J\Hf4L «-, ? , ! ''11
ë scipérieur, de la fosse sylvienne et l'incisure longue ,à, gauche, ' rudimentaire à droile. L'espacpjcompris entre 1
euredej'.cet. espace }\u : onhié : q',est ¡.Rps < la.. pa,ri.e J, ' }, p'IY,qJP,oMri.¥ujt,fl¡ ? qtBlysp'a,ce j(IU'ps
,tlol ,.I ! ? II1',¡¡ : >/]( ! otÍ"O'I"'H1 'dl1,w'1J q'ln"'u il"lt ' I ni. La ¡¡remièl'e.cÙ'convolulion p.a1'iétale
sa partie postérieure (qui présente plusieurs incisure; l' J -t S : ' ·m, .nx 3'\' "h ? l'" .11 ? 1 " Lu1' première7 c
stérieure (qui présente plusieurs incisure; l' J -t S : '·m, .nx 3'\ ' "h ? l'" .11 ? 1 " Lu1' première7 cil'convoluti
c-la "seconde0 é'i0'o,vaut'J 'et ''avec ! -la1' deuxième' pariétale ' (P2) ) en ·urriq9oue'I rmea'Jq uy r·m,,W J.Jna "
,C31,J ? I1 occipitaux, sont frès petits, f ""a m- -1111[1 ? 1 ,.1 ' "I,w' 't""01 ' '1{, ,,«1 Entre le sillon occipit
occipitaux, sont frès petits, f ""a m- -1111[1 ? 1 ,.1 '"I,w' 't""01 ' '1{, ,,«1 Entre le sillon occipital et la sciss
ème É circonvolutions Õ'cci pi tIcs,t bntiiiU : eR "éh'a\,'ânt 'ave¿ ' les' h.'61sï'èîHe ! quatrième et cinquième tem
tale, près de l'extrémité, antérieure do la scissure calcarine. » ' , . , .il, lui 1 1.1, 1 / : Il Il h. H . , , No
oduire et nous-terniiï1ëFÕÍls par quelques remarques très brèves. ' 'ti : iT ili r · -· ! t -(TT." r I/'J;' i, ,¡ t ?
es remarques très brèves. ' 'ti : iT ili r · -· ! t -(TT." r I/'J; ' i, ,¡ t ? I f) -'<1.T, T il I. La descriptio
lafemmo;et que -le' cerveau d'Ed ? ne pesait que 650 gr. ->-»- , ' ) : ! lII;'La comparaison- entre les Planches l'et
icrocéphales,. il y a lou- DE LA MALADIE DBI BASBDO\V. 79 J jours, ' avec ou sans atrophie des organes,.gén ! taux, ab
air de vouloir violer la femme de son frère,'et' de la Paria indoue; ' de Sh'o'ru : 1quï'eui; paraît-il, un enfant' mo
'es''gén'it'u'f ! 'ch'¡z 'lÍ(5s"deux n-\alàdës , ? ? ) - 1 .lI' j f, ' ? - '(1411" i Hitllql.J ,\, ,l, Il.11\,)111\1 tq.
én'it'u'f ! 'ch'¡z 'lÍ(5s"deux n-\alàdës , ? ? ) - 1 .lI' j f,' ? - ' (1411" i Hitllql.J ,\, ,l, Il.11\,)111\1 tq. ne
" F e dévelôppemént : ,tr ! J ? HI j l ? ) J/I "11" .JJ' Il h' ;1 ' , ii-, - , j' 0" Jill" . 1 t 1 ,(. 1 1 .' .1 'ÍJ.
UES-UNS DES SYMPTOMES , 'DE' I,a1,,1111LAD11;1DLa13ASD01'i;tTnm ? · ' " ? ' J ? " h - : > : b. T,F' Par P.KRM MARIE.1
NS DES SYMPTOMES , 'DE' I,a1,,1111LAD11;1DLa13ASD01'i;tTnm ? · '" ? ' J ? " h - : > : b. T,F' Par P.KRM MARIE.1 ), '
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, ·r / " ^..f ,l, ? I..ll,| -XC>" ri ' 1...'1 "IU ,J. 1.' t' '' ' 1 'La maladie de Basedôw a passé : par des fort
s; beaucoup de théories, -peu ,de véitç., '11f11 W7·e fr ·,rn si nr ' *"' ' ,. ? 1 ,If ! ' 1 l " ` , 4' Nous n'avons
eaucoup de théories, -peu ,de véitç., '11f11 W7·e fr ·,rn si nr ' *" ' ' ,. ? 1 ,If ! ' 1 l " ` , 4' Nous n'avons pas,
ucoup de théories, -peu ,de véitç., '11f11 W7·e fr ·,rn si nr ' *"' ' ,. ? 1 ,If ! ' 1 l " ` , 4' Nous n'avons pas, p
es, -peu ,de véitç., '11f11 W7·e fr ·,rn si nr ' *"' ' ,. ? 1 ,If ! ' 1 l " ` , 4' Nous n'avons pas, pourlpqtrj3prt,
érisée par un trouble des fonctions nerveuses d'une nature spéciale, ' et ne s'accompagnant pas des^lésions que l'on o
mination à tout l'organisme des symptômes observés. -1' "f -Ilf . , ' Plus récemmènt'encore a paru un travail fort in
tne exophllealmiqice. {lie- vue de, médecine, avril, 1883.) , - · ' . DE LA ^MALADIE DE BASEDOW. 8t I observations;
les malades1 présentèrent °denvéri- ,tables' attaques épileptiqùes ' ou' des1 attaqûêV blnleptlformes ; dans'd'autre
ublications diverses ou se,trouvent signalés V'i > ! Il 1/ nhTIR ' Wn f f '- ,'IMMi.l 1 Il 1 ï un ? ? des symptôme
linie, ou tout au'moins violents et an « h tl·1· i » . "loi , i » ? ' »> . w > ? , ï ' pi ? ' * fréquents accès
s violents et an « h tl·1· i » . "loi , i » ? '»> . w > ? , ï ' pi ? ' * fréquents accès de fringale; vomisseme
nts et an « h tl·1· i » . "loi , i » ? '»> . w > ? , ï ' pi ? ' * fréquents accès de fringale; vomissements que
ouvent ^portées, en moyenne au chiffre de vingt-quatre par minuté ; ' toux, fré- ... J ? |n, . r rr 11 ? 1 ni,0 ? 1 ,
e d'une alté- ration des nerfs pneumogastrique ou grand sympathique, ' mais quand on les,\ voit exister chez le même m
ènes décrits par'Di : / G.'Bâllot (accidents convulsifs, hémiplégie, ' hémianesthésie; glycosurie; etc.);[ coin'- ment
use ? Il, rJ'¡.,i', of eifcn 111110'1 rtmd e i 1f11l)'ïf 1" 'ïf -r) ' '11 ' -i|i".J ? 1 9 ? Jfm. " ,,r '-x- 1 ? ij ,-x
Il, rJ'¡.,i', of eifcn 111110'1 rtmd e i 1f11l)'ïf 1" 'ïf -r) ' '11 ' -i|i".J ? 1 9 ? Jfm. " ,,r '-x- 1 ? ij ,-x v .,
p ? HIT, if Ill-1 10,1, , ? JI t, ... ? tH'" ., .. Iq à détaillée,1 ' et 'qui nous semble apporté J un 'argument précie
le'considé- roui comme absolument' spécial à cette' affection, 'du ' moins'de le' distinguer des tremblements' obser
our 'rendre' celles-ci' tout' à ! fait inhabiles à certains travaux ' (écriture; couture, dst sou- vent moins marqué,'
à certains travaux '(écriture; couture, dst sou- vent moins marqué, ' et, , pour 'le' reconnaître"/ il'est ' nécessaire
, dst sou- vent moins marqué,' et, , pour 'le' reconnaître"/ il'est ' nécessaire de faire étendre le bras, du malade
t que de cinq ou six oscillations dans le, même laps de, temps. l , ' , Il i cinq ou six oscillations t dÍuls' Je, mêr
', Il i cinq ou six oscillations t dÍuls' Je, mêrliidà'p's de : tem¡ ' )s.'J '1 : 'J 1 1 {' 1 1 put ..1 Il l' il- Il 1
oscillations t dÍuls' Je, mêrliidà'p's de : tem¡')s.'J '1 : 'J 1 1 { ' 1 1 put ..1 Il l' il- Il 1 1 . ( ? , 111 Du res
ans dIX-hmt obser- vations provenant de différents 'auteurs;, 'mais ' ]son' 'existence n'avait pas frappé spécialement
ns des centres nerveux indépendantes de la maladie DE LA MALADIE DE ' /BASEDOW. 83 de Basedow. Parmi les médecins qui
; surmenage ¡il- tellectuel e'xo'phthalmic ? goitre.1' Pouls : 120. ' « Les mouvements étaient saccadés,5 irréguliers,
it 'd'ailleurs très bien qu'outre son arythmie et 'son' incohérence; ' la .' contractilité' musculaire était affaiblie;
contractilité' musculaire était affaiblie; en Jexplorantr'ie pouls, ' de fréquents soubresauts des tendons se fai- sa
ieurs se- 'maines de constipation, des crises de diarrhée soudaines, ' violentes, mais de peu , de durée. Au, bout de
la suite' d'une tuberculose pulmo- naire aiguë. " Il ? 1 ? 'I,d , ? ' ,.r , ' i 1 f ... ? 1 ". .... OusEnvATtON IL
d'une tuberculose pulmo- naire aiguë. " Il ? 1 ? 'I,d , ? ' ,.r , ' i 1 f ... ? 1 ". .... OusEnvATtON IL : Homme at
t ayant des mouvements - choréiformes dans le bras dû- même côté ? ( ' '"1"' 1(', il ,1 .' , r-t1 1 WI ,(' h ' » f- '"
ayant des mouvements - choréiformes dans le bras dû- même côté ? (' ' "1"' 1(', il ,1 .' , r-t1 1 WI ,(' h ' » f- '" 1
t des mouvements - choréiformes dans le bras dû- même côté ? (' '"1" ' 1(', il ,1 .' , r-t1 1 WI ,(' h ' » f- '" 1 1 J
s mouvements - choréiformes dans le bras dû- même côté ? (' '"1"' 1( ' , il ,1 .' , r-t1 1 WI ,(' h ' » f- '" 1 1 J. \
s dans le bras dû- même côté ? (' '"1"' 1(', il ,1 .' , r-t1 1 WI ,( ' h ' » f- '" 1 1 J. \ / 41 J·i[ Observation- III
ns le bras dû- même côté ? (' '"1"' 1(', il ,1 .' , r-t1 1 WI ,(' h ' » f- '" 1 1 J. \ / 41 J·i[ Observation- III. De
ras dû- même côté ? (' '"1"' 1(', il ,1 .' , r-t1 1 WI ,(' h ' » f- ' " 1 1 J. \ / 41 J·i[ Observation- III. Demoisell
l droit l'est' beaucoup ''plus' que le gauche. Quand, étant 'assise, ' elle appuie la pointe du Í, 1.) '.Mémoire lu
ie la pointe du Í, 1.) '.Mémoire lu à la Société de Thérapeutique ' (9 novembre 1881) par M. Guéneau de Mussy. , ,
rapeutique ' (9 novembre 1881) par M. Guéneau de Mussy. , , 1 u , , ' . ' 8 Il 111l. : TFREVUl'] critique.» aq pied
utique ' (9 novembre 1881) par M. Guéneau de Mussy. , , 1 u , , ' . ' 8 Il 111l. : TFREVUl'] critique.» aq pied-sur
lus prononcé d'un côté que de l'autre. Pouls : 132.. l, f 1 ., h).'I' ' * 1 r - .... J ? , 1 1 1 . 11111J, /ilijlfliin.n
jlfliin.n ? OI3SEr11'.1TIONIV : Homme de- quarante) ans,- arthritique, ' lynij- phasique; hypochondriaque; amajgj¡;semen
étant assis, il - 1 ? p'. i ? 1 Si ? - "'1' du nt' -i 1.1 ? t - ? 1 ' , : soulevait le pied en J'appuyant sur sa poin
ed en J'appuyant sur sa pointe, tout le membre1 se mettait JIISLIU " ' a ce "' (lu "'I'laisâOl ' 1 talon retomber sur 'l
appuyant sur sa pointe, tout le membre1 se mettait JIISLIU "' a ce " ' (lu "'I'laisâOl ' 1 talon retomber sur 'le sol.
inte, tout le membre1 se mettait JIISLIU "' a ce "' (lu "'I'laisâOl ' 1 talon retomber sur 'le sol. Ses bras tremblai
t tuméfaction des ganglions lymphatiques,'hr;1 ...1 1- l, leli'i Ht ' 1 ["¡"CI "'1(;,11 .311y1 , Ii n lirl.v ? 9'1'/( ?
si divers, ne semble-t-il pas, plus rationnel de ! les rapporter. à ' un état morbide spécial qu'à,unc altération local
ur les expériences de Filelme l On sait, en effet, que cet auteur ' W. rilelme. Z Ill' hulhoyenese der Ba"se(low'sche
là une expérience qui prouveiassez nettement' que le fameux trépied ' qui' sert ' de base'au goitre exoplitlialiiiiqi
ience qui prouveiassez nettement' que le fameux trépied ' qui' sert ' de base'au goitre exoplitlialiiiiqiie peut' êtr
aque tl,on pUle Pf, ? du\re ? p- la ? m'aladie ? dd'B'a's'e " Nous " ' le ' ' ' "s rimentalement.la maladie, de Basedo
tl,on pUle Pf, ? du\re ? p- la ? m'aladie ? dd'B'a's'e " Nous "' le ' ' ' "s rimentalement.la maladie, de Basedow ? N
,on pUle Pf, ? du\re ? p- la ? m'aladie ? dd'B'a's'e " Nous "' le ' ' ' "s rimentalement.la maladie, de Basedow ? Nou
n pUle Pf, ? du\re ? p- la ? m'aladie ? dd'B'a's'e " Nous "' le ' ' ' "s rimentalement.la maladie, de Basedow ? Nous
it, simultanément, à la tachycardie,1 au goitre ? il l'exophtbalmie; ' 011' aura produit ainsi un goitre exophthalmiqu
us-nets et les plus constants : rI ? IJ(,)) 1 ? 1 'ff"T ·yï"un r " " ' (Âussi' pourrait-orÍ ? jusqu'il un- certain point,
voir (ainsi que notre excel- lent collègue' Bénard en' a, publié ! ' des- exemples récemment), par 'suite -dé 'la'co
ur- ? aicàl; la" seconde 'classe ? la maladie de Basedow proprement ' "dite" savait' constituée -par les cas où se trouv
t nous avons parlé plus haut. l'i-i-u il, ftJl71(r; 1 (. i»1 itnv ? ' "i*i'l . c 1 - t'n ' , , lfJ)l/"l'1 1 f r 'f"1'"
lus haut. l'i-i-u il, ftJl71(r; 1 (. i»1 itnv ? '"i*i'l . c 1 - t'n ' , , lfJ)l/"l'1 1 f r 'f"1'"\ l ""1 ? 1 .1'"<
f r 'f"1'"\ l ""1 ? 1 .1'"<[ q 1r( (r r '' r t , , , ,. T`7 ,fJl ' , Il 7. ., , 1 : ll-i t t . ' . \\,-1 , \ Il ,
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? Jt",r, . t (.I, t 4rlt : 'h""u' Í1j1f'.P' ? 11'1'" ,honnI' ..1 tOI ' : fH;f\ 1.>1 J111' ¿fi, '(Jill ( 51,\;I Id ,
h""u' Í1j1f'.P' ? 11'1'" ,honnI' ..1 tOI ' : fH;f\ 1.>1 J111' ¿fi, ' (Jill ( 51,\;I Id ,i...i^BOORNEVILLE, et EL : S'
¡¡]J"'IIl \l : J ? \ SSIt ? v$U : 19v1t` " JL1J 1) . . 'III"1 f't " ' ),J' r,fl' r ... 1 pjff I. - DE LA RUMINATION CH
.J, ILul' .....f ",C.I"l \LH'¡'T'V 1'1' t ? l" r, 1 t rH : n1ot ? r" ' \h ? ? >, ? ri « Certams animaux ont la facul
insalivation, à une nouvelle déglutition les aliments déjà ingé- ' , , , Il, -»j.i ? ->""i t H-Ï»l-V-.D'»1 rés.
ire de digestion se nomme rumina- ti 071. r./lmIbau MI xtrBfa'jCf ! ' P MVI1 gel dlfll> : B19VIlo1,1 aU 'i0W- . v
VI1 gel dlfll> : B19VIlo1,1 aU 'i0W- . v tin `iW ,t, v ri t) ` i ' ' r i, I f , y`r - I r o : J'jt Pld' Hi' ,'Oh\1 '
1 gel dlfll> : B19VIlo1,1 aU 'i0W- . v tin `iW ,t, v ri t) ` i ' ' r i, I f , y`r - I r o : J'jt Pld' Hi' ,'Oh\1 '\'
`iW ,t, v ri t) ` i ' ' r i, I f , y`r - I r o : J'jt Pld' Hi' ,'Oh\1 ' \'d ,> ! ) ? nl ? t)i ? if'rtt,'J -» « Propre
nom' de ruminants, le pouvoir de ruminer a été > ? 1 , ... }1" 'if ' )fot,) l" 1 ? f ,11\ ,-\l' ,r, .. ) "),,1 'f'" '11
la' classe des lnâinmir fèrès. ü'(Lônget 1 -.) '' . Iiri,'1f-' ,,n' ' "j ? . fil .. -'l'¡;U ? Dès'étdes plus précises o
hez les mammi- fères de' l'ordre des ruminants. ? l '1 ""1\'11 t .' ' sN6usne donnerons-pas ici une' description déta
icules qui paraissent destinés à servir de ré- servoir aux boissons; ' cari leur, ouverture; plus, étroite que le fond
able réservoir des liquides., - Le feuillet, ainsi que son ? \ 1 hl ? ' ; , : 41 ? l i, "f{Y ! JII Ó, "11' , 1 '1 Trait
le suc gastrique, consti- tue l'estomac véritable ? 1 ici", .1, "- ' u Ajoutons que la panse et le bonnet communique
: r,r,.\ . )lp,p; . 111 "111rr.m. ;J I ) I.In · 11 r : H·W [r "r. ? 1 ' la gIrafe, 1 axis, le chevreuil, le daim, le re
les,, théories .pour lesquelles f.rt ? t.nii' i ? tU).f.<j'-h ? ) ' ! ? ) ? t ? (tUHJJj-' nous renverrons le lecteu
Sqde,derniers,parJagouttiereoesp- ph.aB ? I.etpYJ le ? onnt"f1mH,( « ' .I¡ rv,5,-yi9'1 4'IriâItiTlr'r1^ Pour ramener l
- tionedesrpremiers"Duverney,lPeyer,Perrault, Daubenton, Flourens, ' Colim ont., faits à ce'.sujet).nombre d'expérienc
imation une,ou plusieurs 3 g2.rgée, ,f, ? lud 91 6Up ? 11 ? ¡¡'i( ! ' )hHjJ,1 .11.t rTUrliJ.rr1y1 ibros é. QettQ ,,1 t
temps survient ! une contraction- très énergique et très'brusque ! ' du1- diaphragme, qui détermine dans^ la'- cavit
agme, séparant les matières engagées, provoque une contraction »"" ' lLû-'r "tr ? \ `'yam. w, wf 1·1 rW · tt woW· m vi
ouche, la pelote alimentaire est i soumise à uneseconde;mastiéation; ' qui" est suivie 'd'une' se ? 1 conde déglutitio
devenus plus . 1 fluides ? ilsl1s'engag'ent. plus' facilement -'dans ' la-1" gouttière oesophagienne, ! salÍs détermin
JI,.7 Il, jlIT"\1 ,"n'il. 'Jubii- . ! l 'l'-·"DE''I : A RU\IINATION ' "/1" fI q- ¡aru'( ! ri qt- ? f 'il. J ? de''l'À R
( ! ri qt- ? f 'il. J ? de''l'À RUMINATION' CHEZ,,L'HOMME.,8 £ Iii,l " ' ? '11TI;;P ? ftl'}Hlt' ut' 1r .'il, 1'J il- tln
£ Iii,l "' ? '11TI;;P ? ftl'}Hlt' ut' 1r .'il, 1'J il- tlnttor'r·m ' \ "[111 .·tlt. i yr.l)q f' 1\ . \. '1'" r. ? r-,
tlnttor'r·m '\ "[111 .·tlt. i yr.l)q f' 1\ . \. '1'" r. ? r-, ? ! ) ' " ,'1' ron. H"I'" rJ i' I f91 ·tlA'T`(1 ? Défini
i/e"ei ll ml : IH ? 1 tas' particulas incidere;4 ou ? mieux'enc6re, ' comme 'le^'disent™ quelques hellénistes' 1'evol
ieux'enc6re,' comme 'le^'disent™ quelques hellénistes' 1'evolvÚ : e; ' exedel'e,' replicai' ! e' cib¡lh{> action 0
,' comme 'le^'disent™ quelques hellénistes' 1'evolvÚ : e;' exedel'e, ' replicai' ! e' cib¡lh{> action 0 qué Iés'All
cib¡lh{> action 0 qué Iés'Allelüands ? sôuvent plus'- expressifs ' dans ' leur langue '' que nous le sommes'dans'
> action 0 qué Iés'Allelüands ? sôuvent plus'- expressifs ' dans ' leur langue '' que nous le sommes'dans' la nôtr
âcher de nouveau, et que'- nous 'avÓns 'appelée'1'uÍllli¡é : l"ouni'i ' zninaliozz, sans songer à ééiqûé"cë`s' locution
' zninaliozz, sans songer à ééiqûé"cë`s' locutions' pouvaient avoir ' de dégradant pour notre espèce."»l1fI(¡¡ J1>
ient avoir ' de dégradant pour notre espèce."»l1fI(¡¡ J1> J1h "1" ' \ i....im.uo - .Plusieurs auteurs'ont donné des"
« la' faculté' qu'ont 'certaines per- "l, ),¡ufl d -ni 'nfyilWl y1 ' /H"'l ? iI 'j : f ! ll\ll« w JI¡rfq .. 't'A ? ?
? I1Tlhb 1 1 Dictionnaire 'cn'soixante volumes, article Mérycisme. ' ' '' ' 90 REVUE, CRITIQUE. sonnes de,vomir. :
I1Tlhb 1 1 Dictionnaire 'cn'soixante volumes, article Mérycisme. ' ' '' ' 90 REVUE, CRITIQUE. sonnes de,vomir. : à
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,1 Úë"p'Ùt"ëri. ri'èn0s'appliquer aux'pliéno ? mènes du'mérycisme. ' f1'1 '' jHf;> '"1J lfJ111/1,j\ .1.,1 .tWIff ')
'èn0s'appliquer aux'pliéno ? mènes du'mérycisme. ' f1'1 '' jHf;> ' "1J lfJ111/1,j\ .1.,1 .tWIff ')¡,1'l'1fi"'Q 'Il
mènes du'mérycisme. ' f1'1 '' jHf;> '"1J lfJ111/1,j\ .1.,1 .tWIff ' )¡,1'l'1fi"'Q 'Il nèst" ëHco r'e , ùIÍ'Ï¡OOEtT s
rycole : r ? "h "v"v ,raltm't'nr 4 ! dJuf ! u up 1 III () '1 , "Irs ' ? ru -mu n ! -)'nn iht» iCr1;11.`tlCrtf if «'Je
ents, le'faeilite singulièrement son action.-» . ? >1" 'J G' hJhn1\ ' . 7W t.m : W J ¡ ? YI"" i Ul'1.1 wutbr '\ \ ,I.
.-» . ? >1" 'J G' hJhn1\' . 7W t.m : W J ¡ ? YI"" i Ul'1.1 wutbr ' \ \ ,I.\,$1 1fI,{uq1t : )dlJ')iJfrb4 Cette opini
u'il écri- Valt,lOC.'CEi : ,p ? 1 ? 11'J vl' ! lM'I'll/ " ? 1 - 1)\\ ' ",V"HU U/. ".)1 <.'1" tH ? i dJr-I' ")"111'
m. officio DU^MERYCISME.1 91' penitiùs sulbactuml et comminutum : ' Inde- 'manifeste' liquet rumi- natum cibum;reFc
st peut-être celle de Longet'.1" C'est elle' que'nous adopterons en ' Ut' modifiant toutefois' légère- 11111' J J"I(
'Aussi, le plus souvent, 'mérycisme' et' rumination sont-ils rl o1W ' 1 .. yl rr... I . considérés comme synonymes, b
iculièrement la rumination dans l'espèce humaine. ? 11' r ? n ? , 1 ' I ,, ' y 'r (, 11 , , If'11 ? {"II11'J\ 1 n) Hi
ement la rumination dans l'espèce humaine. ? 11' r ? n ? , 1 ' I ,, ' y 'r (, 11 , , If'11 ? {"II11'J\ 1 n) Historiqu
parents'cornigères'ou l'étaient' eux-mêmes (Barlholiri ? Ettmuller, ' Bonnet;1 Prhbtlius ? Peyer). ,Cependant, sur ce
ililitr ? r'r \"\\nJ\ ."\\'1\ 11 ? 1'\\-- \(1\\" \1 F8P 114 mfcfmn ' " ! o ? rr,,\T{ nf' -nn,Irt ^Observation 1. Quan
l ? n^'i0 `n, ,rcl '111lI ? ? 11' q 101/ 1 .Í\I'\\ "1)1'¡lll'f J . ï ( ' si 11 rJ/ T ; Ir / jf1 Parmi 'les auteurs'' qui
sé'dély,L"Câlribaÿ,ëii 1830tWii"iizéi-¡jdsine t-" ,-> ,n.j. : -H ' ... ? ? ,7 , "'il- , ,'r Ii -. y ? 1 n ? , , l ,
? 1 n ? , , l , , j» .. , .. 'èt de l¡nl ? ¿stibiliiJ'1dé's : llà[¡ ' ;ÍletS),)l ôù 1 auteur, mervcole lui- ,1\..."\1\
observes sur sa propre nerf 1 n W ! n u.-K "}(,s,Y,,lep ? rn,I]eh ? ' i -.G 1Jy t. 1 . 1 ·vl ? t,l t1 | sonne; puis d
ie. mais ne : faitl.que.¡mentionner, simplemellt,r, à] l'appui), de ' ]Son dire,. l'observation de'Becco, publiéé,par
,il Enc187r.; leD W. Graham )(7'Ae 6'/«cojM ! e.r ? raM<' ? : e) ' , l8ïN,'le5mars;vp : 118)trapportel'observation-
M. R. Blanchard a publié dans le Dictionnaire de médecine et de c1¡¡ ' ¡ rurgie pratiques, un très-intéressant article,
f .')1fTLPl't"Jr 4rff ? T hP 'T61} ,t(Off1 ,1 ( m fTl' e t 1 )tu 11" ' +il .1 ifiiu» ? - ! rff, , ? ')himG1yq ? >L 't
61} ,t(Off1 ,1 ( m fTl' e t 1 )tu 11"' +il .1 ifiiu» ? - ! rff, , ? ' )himG1yq ? >L 'trlqrrl -r»riq-03ïolp; il ,(9j
f, , ? ')himG1yq ? >L 'trlqrrl -r»riq-03ïolp; il ,(9jhiîî0 91 ? \ ' \l'\ ? h\)1\ I. ! W"O \\sI" : \1'I,) 11¡.t.¡Í ? t¡
o' REVUE D'Â'NÂT01111L`ETIDL'PIlI'SIOLOGIE j.lJt"ll : tJl.1t it"t' ' )L' JJ, £ } ? tJlJ()HI W W ,.JuI J-1J.) .11 W bi)
1" n',oll, ? 1, ? f) p¡¡¡¡tjf 91 . Ir ? 1'1 '11D ? 1 "'11lqs; ! J l ' )'"1 )b ,)t4[, l'I1z ? le'1 .8-4111 : iT ! h1t j
n',oll, ? 1, ? f) p¡¡¡¡tjf 91 . Ir ? 1'1 '11D ? 1 "'11lqs; ! J l ') ' "1 )b ,)t4[, l'I1z ? le'1 .8-4111 : iT ! h1t ji
C ? P.-W.'Roller1.'(A%. .1 r.i , -, Il 1 -, t-· ... tr- i , .t f ' "'z. éitSschr ! f.'ps¡ich).'u : psf¡éh' : rÍe7'l'
I IT(e, r frJrr' .ffJ i'. )il ,)'1, nla O4)J tJ : i1l L tnO'1 Il$)*, , ' nn. : 3r ."Tlir ot 1fT ! , ? If9J70yrt ·J-t ? t
ivisé en trois parties. La première, sous le titre d'Aperçu f' vt W ' l i 1 ! t.' ! 1, l, t 1. t r : . j ? j 1 1 J ') r
tre d'Aperçu f' vt W ' l i 1 ! t.' ! 1, l, t 1. t r : . j ? j 1 1 J ' ) r . t 1 il' et des connexions^ entre les nerfs
ectes ou ? t ., \1 Il Il 'i Ili À ·v n'yt .' Il 1.' . LJ.' C' H ? II.( ' q "1 indirectes entre les' organes en question
-pharyngiell ; .1 '1 1 l' 1 \ t ! f Il 1 'I lill IL I 7 ? r71 1- ; ' (1 . ' , 1 1 t1 I ` «Voyez les Archives de Neuro
ngiell ; .1 '1 1 l' 1 \ t ! f Il 1 'I lill IL I 7 ? r71 1- ;'(1 . ' , 1 1 t1 I ` «Voyez les Archives de Neurologie,
1 t1 I ` «Voyez les Archives de Neurologie, t. II, p.. 293. , , 1'I) ' ! lfi P' ? T<xr-] revue"1 d'anatomieBet DE1P
e : Le mé- canisme'de ces : continuités exigea lei tracé, de lacis ; ' mèmei ré- flexion pour les' connexions- de l'hy
vauxr,parus.sur ces' divers points'termine cette partie'. ? « ? 9 j\ ' .,cawctcWt ,1 .(fJI . r[riJ 1 F, 1, Jxmtfl - mr
ales appor- tent aux nerfs un courant moteur, sensible, où' double ; ' ici se place la question de la sensibilité cent
impressions sensorielles sans parti- . tl ? J'fl' m-· ? 1" fi' 1.11 ' \iL ! \ tHP') ! ' rt° : J,1 a. ? IQ"" -i1 ? cipa
rielles sans parti- . tl ? J'fl' m-· ? 1" fi' 1.11 '\iL ! \ tHP') ! ' rt° : J,1 a. ? IQ"" -i1 ? cipation de la consci
aux en question contiendraient égale- ment des fibres centripètes*. ' 1 l" ,i, " 1 *" '' ' P. K : ' 96 REV.UE.1D/ANAT
endraient égale- ment des fibres centripètes*. ' 1 l" ,i, " 1 *" '' ' P. K : ' 96 REV.UE.1D/ANAT0JIIE; L'lt"DIiIPII1S
égale- ment des fibres centripètes*. ' 1 l" ,i, " 1 *" '' ' P. K : ' 96 REV.UE.1D/ANAT0JIIE; L'lt"DIiIPII1S10LOGi.
n 071f ? n, >'1.1 1) ! Celfâiscéau"p¡'erId' haissaricé'f'ilf''li\ ' ! iJ'a'seIJdé l'extrémité* ùLP]o1Je HempÓi'àlll
rprallélëtizënt311û Irôc' îHLétiéitlr' "de1 ''la bandélette-optiquè, ' sut`[lé.'faécr'Veittrâl'ë'dtlllï81dcülfériculvrde
6 aJnrnrJ ·in3u·'1 Jn02 911'161 : ) ib 6rIrIoIWJ 1/0 ) : \rIilliJ ? ' 6b un lOI ! uf¡ ')rlJj[,)') ? 1 °t 9 ? 1 Ls,fih
Jn02 911'161 : ) ib 6rIrIoIWJ 1/0 ) : \rIilliJ ? ' 6b un lOI ! uf¡ ' )rlJj[,)') ? 1 °t 9 ? 1 Ls,fihrI'\5 du tlltLus·o
11'161 : ) ib 6rIrIoIWJ 1/0 ) : \rIilliJ ? ' 6b un lOI ! uf¡ ')rlJj[,) ' ) ? 1 °t 9 ? 1 Ls,fihrI'\5 du tlltLus·olfactoriu
ns"toutc cette substance ? Ce'rescau lui-même est constitué : ,16'1 ' ¡jr,f noln"'} 9r wr.h In4"Pai· des cellules gari
te substance ? Ce'rescau lui-même est constitué : ,16'1 '¡jr,f noln" ' } 9r wr.h In4"Pai· des cellules garigIlÓiÍnaires
u ! i9'' 2qb o(hnro r,( znsb àasrnmelrpbv 4'Ir·;7J f ! " 4 P d fil ' t." 'fi ? [ ! 'd(L'1'fi"nrn'l'" ? nl f"nH ? 19 ?
n rapport'- avec" les prolongements cy11tldrú ? ses dus6'Con'typc ? ' ? «"^ ? i'' 5" Enfin, par les fibres du tractus
tal. de Biol., L"I, p.231 et,p. 332.)«ri -.1 fll/ . ,1a1 ? J' Il ¡\ ' \\<.'\ '\ . ;\ : .1'.1,) Les archives ne donn
l., L"I, p.231 et,p. 332.)«ri -.1 fll/ . ,1a1 ? J' Il ¡\ '\\<.'\ ' \ . ;\ : .1'.1,) Les archives ne donnent qu'un r
r,'l,IItIJPJdb - ? 4 V : SUR LA structure DE la' moelle 1tPI-\ILIRE ' , lpai, , J.-B." Il HI '1 ' > Ij - î"fji 1 1
R LA structure DE la' moelle 1tPI-\ILIRE ', lpai, , J.-B." Il HI '1 ' > Ij - î"fji 1 1 (Ai-ch.- ital.'de Biol.,it :
I '1 ' > Ij - î"fji 1 1 (Ai-ch.- ital.'de Biol.,it : 1; p : 146 : ) ' (ljI1 , : Wb' ! oJ ,o ,1,r¡W1/¡1 l1" Ilorij (l ?
u noyau de Slilling ou colonne de Clarke sont -munies; elle", aussi, ' dlun1prolongementl cylindraxe; qui rse dirige ^
large faisceau, 'qui se porte dans le cordon latéral; =rrJrlnu·- J9 ' : Im ! )f1\.iu[ 4 ? Au,cordpn,tatera[ arriventj
ent ? .,J. PIGiOL ? 1'1(1 .1"'I ? 1;J\(. ("¡I¡'. '1...1 l t) -.fuit ' "I '» , "1j'uI "' VI. La reproduction des percep
? .,J. PIGiOL ? 1'1(1 .1"'I ? 1;J\(. ("¡I¡'. '1...1 l t) -.fuit '"I ' » , "1j'uI "' VI. La reproduction des perception
? 1'1(1 .1"'I ? 1;J\(. ("¡I¡'. '1...1 l t) -.fuit '"I '» , "1j'uI " ' VI. La reproduction des perceptions' DE mouveme
oduction des perceptions' DE mouvements D.1\SL'ESI'.1GE . , TACTILE; ' RECHERCHES DE psychologie expérimentale ;"par Gab
CaL\., (Extrait de lawlliuista de filosofin scie ? ztifica)"I3'fac' 6; ' 1 1882.).- ç rfl "r 1r ' -.11 ... ? 1," r r· 1
sta de filosofin scie ? ztifica)"I3'fac' 6;' 1 1882.).- ç rfl "r 1r ' -.11 ... ? 1," r r· 1 '11' l'lit ! tl 11 f,' , r
1 1882.).- ç rfl "r 1r ' -.11 ... ? 1," r r· 1 '11' l'lit ! tl 11 f, ' , r , 11111' "l' · ? 1' hl/Ill ! n - ,'1 1'11hJ
it ! tl 11 f,' , r , 11111' "l' · ? 1' hl/Ill ! n - ,'1 1'11hJ'" .' ' '- '<- ' " d L'auteur, arrive aux conclusion
,' , r , 11111' "l' · ? 1' hl/Ill ! n - ,'1 1'11hJ'" .' ' '- '<- ' " d L'auteur, arrive aux conclusions suivantes
''sont''inversement pro- - pb'rti6nnoH'os ? a]VtteMe du mouvement : ' lif ? "'If J `st3°'Aégalité ilê'cônditiônsf d'e
,;les conditions mécaniques delà vitesse étant ! supposées'identiques, ' ) présente des''erreurs) de temps d'autant' plus
lus t : petites que la surface excitée est plus-grande : 1 ? W"I'll ' ] 11\ 13 : 1 ? 11n01 1; n11 "')I]ou14 ('JJ, 1j¡
excitée est plus-grande : 1 ? W"I'll '] 11\ 13 : 1 ? 11n01 1; n11 " ' )I]ou14 ('JJ, 1j¡ ? )JI'1 "Il ").1J>lrllllJ'.IJ
(Arçlc.·lnl.lcBiol ? t.I,p'·GI.),1. , , I ilin/r A\\<l<IU » ? ' M'i1' l.i rU H '/I/'l '1 "dl I ' La première pa
l ? t.I,p'·GI.),1. , , I ilin/r A\\<l<IU » ? ' M'i1' l.i rU H ' /I/'l '1 "dl I ' La première partie de1 'ce trav
, , I ilin/r A\\<l<IU » ? ' M'i1' l.i rU H '/I/'l '1 "dl I ' La première partie de1 'ce travail 'est'seûle'puh
linique, le sera ultérieurement. 1 ¡ M.rMài : çaé'ci a été 'amené, ' par "une sci'i6"d'cxpé)'iencës fort bien conçue
ocalement,'avec'un mélange réfrigérant : l'excitabilité du cerveau, ' "mesurée "par1 l'écartement" des bobines de l'appa
atiôn : Nôûs ne pouvons nÍi¡JheiïrelisenÍentreÍ1drêéompLe en détail ' "des'expériences de l'àutéllÍ : ' nousl noùs' coi1
relisenÍentreÍ1drêéompLe en détail '"des'expériences de l'àutéllÍ : ' nousl noùs' coi1lentÚdns 'de Ï'eproduire "ses c
sse et leur originalité rend' dignes "de la plus grande attention : ' "^ ' " ? " 111"'1 1 n i ',rt " 10 La couche gri
t leur originalité rend' dignes "de la plus grande attention : ' "^ ' " ? " 111"'1 1 n i ',rt " 10 La couche grise co
nd' dignes "de la plus grande attention : ' "^ ' " ? " 111"'1 1 n i ' ,rt " 10 La couche grise corticale n'est pas exc
ticale n'est pas excitable"l'ar elle1mfinie; .ait ¿¡;S}¿J} J ! E [;¡ ' \t\.'{l\OIi9<m )'j ? YEg1'i : 1Jl i ? J> h
\OIi9<m )'j ? YEg1'i : 1Jl i ? J> hr ? Je)erye9-11"qÿ,S 1l0UV} ' \I-n,S,¡,et, ! )1 ! llEl celu} des ;animaux ayant
Hq TYIIIIH 30 UJ1VJJ : 1J 1.1 c- M 0 ? -, Jf[ KO)TAJUM)1 1.1 ¡ ! Ji : ' ' Il 1 , ? 9JI : J ! I),lq V 11..311 il : ! aov
TYIIIIH 30 UJ1VJJ : 1J 1.1 c- M 0 ? -, Jf[ KO)TAJUM)1 1.1 ¡ ! Ji : ' ' Il 1 , ? 9JI : J ! I),lq V 11..311 il : ! aovfi
: ! aovfi r ? < : *< «%.u\ (i\i'Ii9J ..¡e2 ! .ll A )88[ . 4 ' {XnOJYH" t,T ? 1 1 11l.1r.()II'J X : iUJ a.mi j J
'{XnOJYH" t,T ? 1 1 11l.1r.()II'J X : iUJ a.mi j J 3n 8T'7.3Jr.'H[JOM ' tu .1117 's ? rREVUEcDEPATE'I0 : 0GiC NERVEUSE
uiC liai,- I¡élps Jqlle\11¡;" 01l, jRj¡l J .v, ! W ? ? svat¡9,n, t¡¡ ' ,1,4\tliodHr p,mfrItH ! FÇ\lar- 'ncol" dfJ ! lx)
\¡8P. ! H p,lMg, ? çm- porté par la plithisie pulmonaire, lit pOllr( ' la, pre III if' re fois, .examiné la moelle, et
é phél"iüihèÙél{ dé' 1 la : cO'nl1 ! itctio'r1lssbé'JritÍaiFëfBI'en¡ ' ¡el'); et 1 : ënfin ¿ ¡; ré'actioh deenërativë ?
ut' de six a huit mois, le, malade, j'l'] ,,1 'L ! [ld'l n"f ? Cf'" ' ]1" (lU' ) ? <1 d'tJ")I" l ? l¡ ? IT 1 n'1a¡g
'absencu iétléë pltéllâire,,ëst Iendti â la ne com- - . I¡TîG ? ? r ' ) ? f" r'1 ."f..."r\11l\."l),, )' f.,qf ! ltrÜ\tl
endti â la ne com- - . I¡TîG ? ? r ') ? f" r'1 ."f..."r\11l\."l),, ) ' f.,qf ! ltrÜ\tl I.Wfl.H ? ll¡ z mune ; ses musc
les offrent à J'oeil IlU ]'hlfr "¡¡if ,'J t,Il ? ? ...,,n"l ? \1 ? ( ' [']'' ? 'lll"v ? ull¡,IIIf ? ( 11,1 ! leur coule
s offrent à J'oeil IlU ]'hlfr "¡¡if ,'J t,Il ? ? ...,,n"l ? \1 ? ('[ ' ]'' ? 'lll"v ? ull¡,IIIf ? ( 11,1 ! leur couleur
volume normaux; la moelle est anel11leC ses r' ? ci "h 1'10;1 ]'J1\ ' "'f'lldi' ? nn] ? ffl1>l'n ? f'\ ,t" 'HII' <
10;1 ]'J1\' "'f'lldi' ? nn] ? ffl1>l'n ? f'\ ,t" 'HII' <IPifJ,J¡ ' ? U racines normales, les nerfs des membres man
ôn§ medullwes occbupatent les cornes antérieures dans q·i V[I · [ 9 ' 9tt r, v .nt'b/T) ? 1 I ·r 1· m Itlnlnl tiuiu,' j
dans q·i V[I · [ 9 ' 9tt r, v .nt'b/T) ? 1 I ·r 1· m Itlnlnl tiuiu, ' j jji toute la hauteur du nevraxe. Les grosses
1110 l'Ices " 0 JI1- ]J<..I ! 'lr,ltf' i ! · n(· yit t o r f .vh ' 1W ? U ? t<ft"1 ""l" t)fl,"j.lU"q,ht ? I""u1J
q lr;l'iI'I'I' ! J. l' l'If, ? i1" .,11U\r . 'd "¡ HI ln j .. tj IIlp ' )II)JJ semblablemenl en vbie e, : CPc.IJ ? ? ? ;
t une multiplication '1') ;;...c'd.f ? Q'1d ? ? ff'fO.' -'Id' O ? 1( ' ¡ ? ¡ j;.n 1-1d"I'C)11'1¡' 11/'1.' .'1 .¡ ? 1. ,.j
) ;;...c'd.f ? Q'1d ? ? ff'fO.' -'Id' O ? 1('¡ ? ¡ j;.n 1-1d"I'C)11'1¡ ' 11/'1.' .'1 .¡ ? 1. ,.j abondante des noyaux du
rd. 'h, 1110 n - n', ? rurr arr(qn'lJr : b .JrTisJ.lt; LeIJ,rn 1111 ' ¡"/f. nO'lH'¡B ? IIO'l> n.I jn ¡n' -iJrTitr,
'lfTeiiJ 'JJlI)JI¡1 4·rJnm1 ""J ? \ ? 1 ",il;1 II'f.9E ? ,ITnpVN\ir\ ' Y,ElHJ91¡;E,UIJ ? ;\ ? "'If,II\H'J (e) ? J ? e)'6
yenne. ,à celles du nerf, auditif dans la.production.de lltlj," ? . ' U1» ? J^ ? i ti-O, "I U ? I. Ij , I' J>, -J '.
e bouchons, de,cérumen ? 1 exis- , PlMlllS ? I" » ! . ll ? l I i. I ' «l 'ifU'Illlul )> vutil iOleill ll.ii rr,(T,j 1
,< 'VlIli'l'l'-HUI l.-i'ru". 'Il . 1/Li.lJ .11 ,< ? I I"HI> ' , ! )»" trouve aucune de ces lésions chez trois
ns chez trois de leurs tatJgtiques anectees. n m .n «m ? ? vi : 1 1 ' , i -1 ,-< >JL,iliiJi'1 cC<) .s.l ,1 ? «
! »,. i- °i",i'-ij -i , »i-'i, -, ? i" j 'ii (.i'ifl im ? ir,ii u Y ? ' tandis que les sept malades, indemnes de cet ac
les sept malades, indemnes de cet accident, 1 ? p.\lp.\lr. '' , "j " ' · K'">'f ? t'' - '" >, ->l''l', I, T'1 ?
indemnes de cet accident, 1 ? p.\lp.\lr. '' , "j "' · K'">'f ? t' ' - '" >, ->l''l', I, T'1 ? >>' " ' ? l
mnes de cet accident, 1 ? p.\lp.\lr. '' , "j "' · K'">'f ? t'' - ' " >, ->l''l', I, T'1 ? >>' " ' ? ll.l'
, "j "' · K'">'f ? t'' - '" >, ->l''l', I, T'1 ? >>' " ' ? ll.l'^.l ? lli r. sujets du même âge pris au
1 1 1 > 1t r ? lll |, I i' , l'il, ,dp.\I,gre ,e V ! 3rltç ? H lh ' nière tabétique d'une dégénération du nerf, aud
nerf, auditif. AI11. Marie et Il ""1 l 11 r II ? Il , I( J> ? II" ' )" ! l '1M . Il lit j 1 ? 'H. 1 ,,11 1 Wallon le
. Celle hypothèse, est conforme aux données,récentes de 11 ? IITS 1 ' 1 I'1 . 11 1 ? HIIIIJJl} '.11 ? t¡J I.HI,IHl' c :
1 anatomie et de la physiologie, exposées récemment dans ce jour- ' 10 ? 'n .-i i "l'Ill.1 ! J f i-OJii-' 'jll'ili.li
J 1- : t11'1 11' .d) ! ? 1't,t.' IJJ ? fl1jD m .mol, ? 1 1ur¡q no , ' )Jjt'IJjJ'llf 1JH JIF¡d.J ,Jnd ? > JJh ,9/1 ?
P1'l'noGLNIL : JDS3ULC : nEaV.IItIQUEUS;rparuQuWc : s r 'WfGB'fl2() ' (Revue de chirurgie*, 188a,«n° d I " Wum'b a-iiii
r 'WfGB'fl2()' (Revue de chirurgie*, 188a,«n° d I " Wum'b a-iiiilni ' )[11'[,) ¡ : 1¡¡'uHl 'fIlqlI"lJw(rn¡¡'1 ',h 9'lnr.
,«n° d I " Wum'b a-iiiilni ')[11'[,) ¡ : 1¡¡'uHl 'fIlqlI"lJw(rn¡¡'1 ' ,h 9'lnr.nlmobq ,Jr,h b )hol1'1fJ r.11o ,llf .f
arisila génèsefde ces perles, de, sU¡js,lanco..l\oy,rif¡l1 ainsi pq) \ ' ! ? R."I servatiolfl anatomique une notion que
ngement des poils, l'incurvation et la défor- mation, dés ongles1 : ' lesrtf'(Jubl'és'"dè;la'scrisibilité',1 el'°finale
bl'és'"dè;la'scrisibilité',1 el'°finale'menlfla b"iîïie',J iJ "'I[) ' \ ? 9 q ? r IrT') ê^^ .fil ? \11 tlbl,P'T " ? \ J
lë''§'113peuplasiôl )M i.'uo., <'<u.'< , 'r 1 , 1Jf 'rf 'n ' ? ? ' (j , - ) autour des veinules d'âbord, iü;
113peuplasiôl )M i.'uo., <'<u.'< , 'r 1 , 1Jf 'rf 'n ' ? ? ' (j , - ) autour des veinules d'âbord, iü;peu9â
inules d'âbord, iü;peu9â a peu autour'des faisceaux ! 1 primitifs' ; ' la gainé la.m&Oeuse'se ju'sf6nnoavec')ui ? L'
aucun des caractères de la neY1'lte acendantc,'<Le développemen ' de la sclérose est constamment parallèle à celu
si ; .u 31 v. n : 1.W 1,. iT.iïn.lii J|| .. , ? l .I11 J')I '1 1 I ' 1/ enermquement aux, irritations mécaniques, es
ment aux, irritations mécaniques, est atteint ici. dans'sa . " ° ,. ' "- ? .' ' ' '.'. ? I AJd ? h ? .'t<Ht.)>n ?
irritations mécaniques, est atteint ici. dans'sa . " ° ,. ' "- ? .' ' ' '.'. ? I AJd ? h ? .'t<Ht.)>n ? r. -, ,f,
ritations mécaniques, est atteint ici. dans'sa . " ° ,. ' "- ? .' ' ' '.'. ? I AJd ? h ? .'t<Ht.)>n ? r. -, ,f,
ses nerfs en particulier. Ainsi s'expliquent ses heureux effets. ' " .'h ¿ ., 1.1 U.iTJ .1J ÜJ' : t IJ.,t 1 qJ ,HflO
? 1'1-1, t ? GV -jjSi.les lésions dl(s);J,e¡, : fsçoQ1p,Ijmés, PJ1} ' ItW e.tÆ\d.ts : 9{l,jlléli1;'\7 gite chronique
ésions dl(s);J,e¡, : fsçoQ1p,Ijmés, PJ1}' ItW e.tÆ\d.ts : 9{l,jlléli1; ' \7 gite chronique d'emblée, si celles des muscle
s : â5y,a Jitij de combler cette lacune : , ."7.1," .s.Il,slilv. ny ' , IIURUrir 96 sni><· IL s agit dans 1 une
âciÍ1etldeJnërl;s REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 103 Ur 13 t irai/ ' 151 ,l' 1(\' ! T' 21(l n'y lie (II r intéressés
ërl;s REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 103 Ur 13 t irai/' 151 ,l' 1(\ ' ! T' 21(l n'y lie (II r intéressés. Cette atrop
l1 4f", ·,ulrirm,Jf I). D : 11Jt.11'I- 'Ueor 1., lq il "1 III" Ji ? ' " ¡ : t\ ' : OflbJr ! rn,)i : 29'J J;.J .t,t, ,ild
ulrirm,Jf I). D : 11Jt.11'I- 'Ueor 1., lq il "1 III" Ji ? '" ¡ : t\ ' : OflbJr ! rn,)i : 29'J J;.J .t,t, ,ildr>Ja jl
' : OflbJr ! rn,)i : 29'J J;.J .t,t, ,ildr>Ja jll9m qpfjb7lll%fl ' )0 ? 1'/(1'/0 - -mrpttlritrtt r4lrfrt'rt 291, mh .
DE, L,t.REGIO;<\, ¡VERTEBR,LE POSTERIEURE CHEZ LES NOUVEAU-, '' ' , 'I ''» ? "i'l ' ''< ? ," ! «Jl-illn : O ll'i
;\, ¡VERTEBR,LE POSTERIEURE CHEZ LES NOUVEAU-, '' ' , 'I ''» ? "i'l ' ''< ? ," ! «Jl-illn : O ll'inf NÉS;-DIPPICUL
ansicedème ni rougeur des tégu ? ments, une tumeur fluctuante, ,qlf\ ' ! }n 1 souu¡ : irA ? eI} ds cris un accroisseme
nt dej'effort. La, ponction exploratrice tranchera' 1 j-' j ? .. ,, ' " : .... ,J..l ..11n ? .J',... J ? Hf 1 ;0", Glilo
s'oedématièrenl bientôtiau, niveau 1 1 1.. . - , q'riélè chirurgien, ' s'oedén1atire,nt l ! ip ? Pt1 q ? ni ? e,v- .I1
1 tn··ut,n Lun'· 1· s'r0'ryl ? t;I vb 1... q1J y', ,'flP 1-in J III ' "ISII.-f. I "11. ^Hr ? ,| t. t, r" VI. Sur L ÉLO
le traitement .JI( d j Il 1 Il III l '1. ,# ? Il Pl ? 'fy ? f\ " f ' ,, du. BLËPHAROSPASME douloureux par F.' PANAS;
'<M)A</ta<- 9nôlote, , t. I, ·p. 385. : r i `a(lltl<n,l ' ,I).\h<"1 'JI"q t, ,'uf')'ff l1úIIJ.III"'II"
^,i ,-A 1 '. 'i-jdm«.i.i ub -jdii'u i-i; (luiUlu'iii-. ist ahlnî . ' ni ' i-i'iu'iif - " te. ,'uii ? ->; 1- Ij . ,
,-A 1 '. 'i-jdm«.i.i ub -jdii'u i-i; (luiUlu'iii-. ist ahlnî . ' ni ' i-i'iu'iif - " te. ,'uii ? ->; 1- Ij . , ,' ,
i-. ist ahlnî . ' ni ' i-i'iu'iif - " te. ,'uii ? ->; 1- Ij . , , ' , ? i». A une observation personnelle, 1 auteur
Le succès de l'élon- gatioh dûment piatiquée·à'été`'ïmmédiat : J" - ' / "'liT 1111111';0;0 : 1 .11 Koeher attribue l'
es que dans les 'deux autres opérations' ? ,1 JoJo, le . "cid IYI'I ' \1 oiipino-ub 9J : ! 1 '" L'examen" d'un frkàgni
tres opérations' ? ,1 JoJo, le . "cid IYI'I '\1 oiipino-ub 9J : ! 1 ' " L'examen" d'un frkàgni6ài'd é'nèi,f rompu' et ré
s peined;éclièc,'doit tn·faiteo3 fond ef`po;ôq fey';isenbil'Irjélu2 ' là région malade ? 18 ''l'WI' ™ 1 'l'ff;.>q
y';isenbil'Irjélu2 ' là région malade ? 18 ''l'WI' ™ 1 'l'ff;.>q ' ;<r> "s-1"1' BI ->i' ')001J Da L'auteur
n malade ? 18 ''l'WI' ™ 1 'l'ff;.>q ';<r> "s-1"1' BI ->i' ' )001J Da L'auteur à vu'sur le cadavre les' tirai
llu ,14.Où, aV,at,Uc]\oué la section, feront préférer l'élongation. ' '' ' D. BERNARD. Hmit/'f WOI¡ liiîwiJ 93 . inor
14.Où, aV,at,Uc]\oué la section, feront préférer l'élongation. ' '' ' D. BERNARD. Hmit/'f WOI¡ liiîwiJ 93 . inornulrn
umise aux lois du transfert, et,suit"lesvariations de 'G celui-ci.. ' De plus, et c'est la surtout la partie original
p trè ,éleyés) ; c'est làoj REVUË";ÏÍÉ : p';\Tfior;oGIE1 NERVÈVSË : ' 105 un'fait très' intércssan'L,uéal\(iJ -se ret
Pautëur7faitl'yâLréi,ilârijué j uùici eue9 quel cël té' 's\uJdi lé; ' di t ! pli1.J IÜ/dutl 'dd 't¡ : tr'1lsiissib1Î 'o
1911fInnVIOE Dis- la] si-punis DÈ; ! Ú MotLLE;1padF. F.vGREÏi;F, ? ' ;1JOl'iiB'b Jnu'I91 ,uoilss (h·charf;'Pstih : '
1padF. F.vGREÏi;F, ? ';1JOl'iiB'b Jnu'I91 ,uoilss (h·charf;'Pstih : ' 2v : '>Nçrtënh 1,'1111; 3 ! yz sat ,9'IIOJJ>
pour 'revenir5 àr la' 1'Iormale<' etf.¡ monter brusquement1 ix ? 0= ' 5 et 42°.nAptè des' alternatives' d'e : xbtatib
y1 ! \v phjqges ,chrnique.lPs 1 clcpn.vRlution ? sce ? ltb, R.ppr8f ' \ chantée fait de, ceux qui ont été publiés jusq
ne' > faible augmentation de volume du tissu conjonètif.11 q \ i ' /l, > "-1"" "-I1'lIloJt qJl U'-¡ lit- 1 1 (10
viation de la langue du même côté,, de la. paralysie faciale droite, ' une¡ démarche chancelante avec| tendance à tomb
ito il 'iappro'cJ¡ e 'fait) dés ôbservatlons de M7é'st ll*àl"'daiis" ' Liëlles'* la*' sclérose ' lori f fo'yeFiîlilfi'
cJ¡ e 'fait) dés ôbservatlons de M7é'st ll*àl"'daiis"' Liëlles'* la* ' sclérose ' lori f fo'yeFiîlilfi'e'ct61a fornié
) dés ôbservatlons de M7é'st ll*àl"'daiis"' Liëlles'* la*' sclérose ' lori f fo'yeFiîlilfi'e'ct61a fornié de'ci( ? ni
ion 'iden tiquer not'àîrlll1nL"dalis un'' cas' de 'dégénérescence des ' t't «'v7r t , Ir fr et yy mfj ? i' 'h 8h 29 ! `
' t't «'v7r t , Ir fr et yy mfj ? i' 'h 8h 29 ! `J : )01( Pt T N T* ' 'to ! / °4 '" l ? )'' "" ? .uni. 1 - "'l' ot\'J
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. ci t 21..0('I9,Ié0(I Rtjoinoo Bir> .')tjp'7l''fft' ''H8()r' : ) ' h1, : )tlt ? { ! fI trfnr"n4a ,r fTr,r\ tlnfrrt
t être piaii'l'tiées, on lie 1-ciiconti-a que trois fois des' " , . ' " . ' ,. ? ! pratiquées, on ne rencontra que^ tr
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JE1 iJlw'r90 L11 < : Û'\ltIJJU'1fll""li'j : >b e ! Ul\"j[l1 ? ' } Le ,t'Tf"),\ ? QNn\, fi, , ·· ... ? ., r,-...,I
LLE DANS LES LESIONS DES CIRCONVOLUTIONS f\l ? Q"1. 'lrn.rnd ? ¡n'1" ' \f ¡ r ? l ,\t ? ? Il " if (" f ? r CERLBl ? 1,E
1 venli., Ail, i). , < , J 7 f"2t'iH ? )''tti's j" '1/'1'<\ ' , "r %(7G1 fJlO'Ir.f1'1 ;0'1 : \ rhd ? (4'1 si ;&l
\ rhd ? (4'1 si ;<flI,L 16L'atitlutr'l, à 'défaut' il' autopsies, ' discute'le diagnostic des quatre, observatiëns
ière 'des' faits de ce genre déjà publiés paÍ'(NÓtJ¡.n¡(gel( Vetter, ' Gelpke,9 Kahler, Sellator;tHolf mânnl(hf= ? );t
t d'une femme de cinquante-trois ans présentante èiî\;'ÍÎÙti"'187'7; ' \'des\) nauôées;\ des 1 v'om isselllmll¿,' 'un f
sentante èiî\;'ÍÎÙti"'187'7;'\'des\) nauôées;\ des 1 v'om isselllmll¿, ' 'un fr.t -.t ? ,T'.t-/ft ? )r ? {TA1 ? tfff ! T
8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. - ? l.,\.ttl ? n vfilTt-;T5'"i ."J ; ' ! : ; KniT.DTiy in'd '.i/ affaiblissement très
affaiblissement très prononce du cote droit, .sans période connais- ! ' { U IWI ? .\ i' ' ' .'l{BJ ? 'li" * ? ) ? ? J f,&g
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s prononce du cote droit, .sans période connais- ! '{ U IWI ? .\ i' ' ' .'l{BJ ? 'li" * ? ) ? ? J f,>0. ? j 1- 1 san
ite., La 7'1"11 ? QHl'l)lJlllI'IHI ") ? HnH[t.))t)r.JJ ! 0<0 ? M ' " ? malade voit comme à travers un nuage,; 1 exa
1 ? 11 , ? 'l'.III . 11 'll 1(111) 'iGJI..J Ii ? > H ? ,1 t ...oi") ' ,I.<; <1, 1 obnubilation /bilatérale .occu
J'oeil sonl restés llormau,\'. AchromalolJsie d"J,]a zone¡aÍfeq-11 ' ,h'n;' 'f1h ? J'.FI". U ? lIul } .tf1 ,Jul'" .JJ l
l sonl restés llormau,\'. AchromalolJsie d"J,]a zone¡aÍfeq-11 ',h'n; ' 'f1h ? J'.FI". U ? lIul } .tf1 ,Jul'" .JJ l,. JUi
rtir du coudé jusqu'en, bas, ,1a, près ? ;-t..n, 1.1 .' ¡JIll' . It* ' ¡ un .1. u.Ju' 'J, 'I ? Ùt-l' 1 ? J ! +' . ICi"'i\
;-t..n, 1.1 .' ¡JIll' . It*'¡ un .1. u.Ju' 'J, 'I ? Ùt-l' 1 ? J ! + ' . ICi"'i\,. ¡fi r : rJ ? m sonlef,t1a11esanLeu'
eyonide^ IO"t ? tllll.11 II 111r : "UGI' 'J" - ? , dt"1 Ho, r ? i* , ' ,1 711 r T -. -. 1 t I '.> la main sur la fa
lique,,esl-i pris, soudain d'hémiparésie gauche, de, Cqul'te¡ durée, ' : : 1," lIa 1 suiLe, de, prodromes, d'ordre sen
esrougesJa con=1 T tOlsj"v.¡al,lillliL ? s'uJ¡ .¡. £ J wlr¡¡om lié' ' )jj1l0 ! \ 1\ ....tJlI(, mt '. nJ,m lOès.^IV.'lt
a'moitié correspondante dLUo6u ? de ! iJ.'lIuflué"ef' du"l1\onc.'LGIh ' )b i'c'rpn",to¡ ? tt ? j¡, ? 1-, ? 13 ? 0 ? 111;
I9.S .,att,q.q1Ae, ,d}¡Í¡lJiplégie)1 'r : uslJ uesj,qui [Isur,viepnen ' sans 1 perte de,, connaissance et,ne.sont imput
n du reste de même ordre , t; . -r-r. I . n ,. , , riu , ,, '.L ,, , ' ..l'Il'^l lit . , . Il Hll| II ? I 'II,, , -'»
,. , , riu , ,, '.L ,, ,' ..l'Il'^l lit . , . Il Hll| II ? I 'II,, , - ' » [zones occrpilâlés dé Munit). Les fonctIOns-se
onctIOns-sensitives "on en défi- v ...nl',11, ? 'uni J . ni' ,|ili» ' I- ni i-cliii i . <- c ii'oll '.~li> i f>
'.1'(lii ! d/1r. Psuch. u. Ner- 9lvéük ? XUI' ! 1 ! )9GGJI11J..Ld : ' )1U1h'l 101 'JJJ < ? l'U;U1U ? 11'1. ! U[J,tlH
;;ol ,. (f"'P>fI') J't ? It,'tr 'H'IIII1 'fi - : ql L . f l'-l' , ' ), 'JlJ ? 1'f(1ff. I ? f 11l ? I ? n' 'H' IiUt)
existe une ataxie incontestable, l '1 Id" ? il' '<0'(""1" ? CTt' ' ¡"tn ? HF\ff''I¡'t'l ? fld''l ? 1 ? "'I\Ü de S ?
,lrf f',{"t ...1 'ln Z : I'" w .ilnJ 1 ....'f \ " ? 1 ¡" "" Il Ji .. ' (1 Ik( aulrcs anoml¡]¡es de la.percepl1'bn'doulo
anoml¡]¡es de la.percepl1'bn'douloureuse, En outre" état fe- brile; ' symptômes gastriques, affaiblissement de 1 activi
Ju'g¡j¡¡1 X11L] Chôme i.\i l'extrémité' supérieure D¡fJjiiLIJMHiÉnM¡ ' /\LE-A)1.\T' ëM ! - 1 primé ISOLr : IfE\T11EJ' F
L' ,ltn,ltI.L,.b. : l ! dl."\lIH ? j 1 ...,.Idl'" "1llt..."1\)n\I'\ } ' \\. (["d"\ clatlOn eL '1 il ynanlle s accronssen
1 degç ? e¡¡cpcp ! Íilns",l.a ,mq ! jlJ ! ji ï ? JCs ,rapprts, ,la ' ! l ! 1urehde,la.ùn)eu : 'j)ip. ! 7-,)¡eH d'impla
'e (il f une, r, p .. , , t m.,...,y j . 4,, . z formes de tumellrs, ' du saCl'lll1l. Il ."VI ,1,.j,1 ? t»0l, | 1 1 l'JP
" 'Ci "l' n ? 0 ? <ri ; l' du 1 ? Jq «1 )0 ? é ? "'1 fI tl ? 'UT m, ' j ? i<0 nb u,ilmo·rr; 1 f Il n,fil, fissrl«7 u
rieure 'dÍ'oitc" du \'èlual1 : ièniè' ventricule, dont'lé plaÏ1chér; ' à- ce niveau/ offre' une coloration' brun-jaunâtr
ccupe la région correspondante de l'étage supérieur 'du pédoÍ1cllle; ' 'c'ést-à. : di;e le 'chaIl1p' 'des fibres motrice
tance i : éliculfe) 1 et le domaine 'du' ruban' 1 de' Beil' (HoUor) ' ; intégrité' du faisceau pyramidal ! Destruction
isceau pyramidal ! Destruction du noyau du facial et de l'oculo-mô- ' leur externe, des'fibres radiculâires'de'ce derni
u tronc de la septième paire. hitégritéile l'oculo-dioteur commun : ' La partie supérieure' du' noyau - dé'la cinquiè
es qll'au 'poiilt' d'érnerge'r1cë" du nerf; en' ce' qui concerné sa ' racine 'ascendante' l'altéraLion"n'a"'p'à'rté que
acine 'ascendante' l'altéraLion"n'a"'p'à'rté que' sur les fibres 'qui, ' du 'lo'ells 'coel'Ítlc ! ls gagnent l'entrecroi
longée (entrecroi- . 'sèment des faisceaux sensitifs), on rencontre; ' à'1 droite, en'arrière 'du ! cordon'' pYl'amidi
Les lésions ne se'poursuivent pas au-dessous'de'la'toisièine'paire ' cervicale.' Il est à' remarquer que les dégénéres
o)'oi ? plU' l'abondance de cellules 'granuleuses. Les' n0J11brelÍx, ' '(¡Î1éin1/sÍ¡¡'cs miliaircs trouvés à lIa" conv
'oi ? plU' l'abondance de cellules 'granuleuses. Les' n0J11brelÍx,' ' (¡Î1éin1/sÍ¡¡'cs miliaircs trouvés à lIa" convex
bulbe', expliquent la pathogénio' cle' J'hé Il1 01'- rhagie. 111 1 ' i '1111, 1 I l' "1' 1)' 11 1 ! 1 1 '1 l' 1 j 'II
athogénio' cle' J'hé Il1 01'- rhagie. 111 1 ' i '1111, 1 I l' "1' 1) ' 11 1 ! 1 1 '1 l' 1 j 'II l, 1 r l' ? l'Li 'Ti, GH
1 1 '1 l' 1 j 'II l, 1 r l' ? l'Li 'Ti, GH f' 1 p. I 1 " t 11 1 .. ' , inn ,i( t .< ' i ? t' i, yl " ' ' i· 'il ·ro
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'Ti, GH f' 1 p. I 1 " t 11 1 .. ', inn ,i( t .< ' i ? t' i, yl " ' ' i· 'il ·ro i' ' '<"' 1 ? 1 "f' ! tj ' '1 " 1
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( t .< ' i ? t' i, yl " ' ' i· 'il ·ro i' ' '<"' 1 ? 1 "f' ! tj ' '1 " 1\ IJI' tl '1 ? ¡I 1 h[ ! )nn'r ? )'Wt)' ? i
'<"' 1 ? 1 "f' ! tj ' '1 " 1\ IJI' tl '1 ? ¡I 1 h[ ! )nn'r ? )'Wt) ' ? il If' XV. Altérations- DUr sosTÈtEli`tEnvt :
TISME; ,par Franz Tuczek. (A1'ch. f. Psych : 2c.'u'cruecah., 1111;"l.) ' 1 , r .1 . u 1¡1 ? . ! I,,(1,II'lq ., , IhIU'IU
, ? <ire<7VcK)'o ! e;t : 'ni;p.'3 ? r 1 nl ""1"11,, o. W nf i ' ? I- , j'«"l"i' ? ll Il'\ - Mil lllll-HIII l'illJ
la démence aiguë avec stupeur, accès d'angoisse, perturba- V'iri ? ' ) JUl^l0 ? ) ! ! ? (.» .l-'lil,"» ? 0 ? ? ->-v-
; il en âppellë à la déchéance'inteltectuoHo"conc6mitante si rapide, ' à la fréquencen'de * manifestations1 'psychique
ar les bandelettes latérales. t'11;) ri pi ,1.1 r rn'.T4rt l , , f ) ' ;' ' ' zou .) ? J ? (WnI,hYl'iG L analyse histo
les bandelettes latérales. t'11;) ri pi ,1.1 r rn'.T4rt l , , f )' ; ' ' ' zou .) ? J ? (WnI,hYl'iG L analyse histolog
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bandelettes latérales. t'11;) ri pi ,1.1 r rn'.T4rt l , , f )' ;' ' ' zou .) ? J ? (WnI,hYl'iG L analyse histologique
OTUBÈ^ 3'RANTIELLESj I.Á.f\PROPOS ¡D'UNE TuIER9,D,u (CETTEQ RÉGION ; ' 'Jpaf Quioc : '(oM ! e'c<ïl88<;n 27-30 :
LESj I.Á.f\PROPOS ¡D'UNE TuIER9,D,u (CETTEQ RÉGION ;' 'Jpaf Quioc : ' (oM ! e'c<ïl88<;n 27-30 : ) <¡'J,I'1 *11,
f ,,1 9b ,rT 1 l, N /i« 'rl ? I'1 ,gr'" .. "'111 'l'l, ¡o - ,1 Il',( ' '"r¡ "1 "L'auteur rappelle les' travaux 'publié
,,1 9b ,rT 1 l, N /i« 'rl ? I'1 ,gr'" .. "'111 'l'l, ¡o - ,1 Il',(' ' "r¡ "1 "L'auteur rappelle les' travaux 'publiés
e' sujet ? et 'les f points demeurésfôbscuisjmalâré leur importance/ ' si ' '14'1 Graux n'a pas expliqué la rotation'
jet ? et 'les f points demeurésfôbscuisjmalâré leur importance/' si ' '14'1 Graux n'a pas expliqué la rotation' de'^l
as expliqué la rotation' de'^la' tête' effectuée du'l fil ? t, rrla ' ,1(' ? 1]" hv" l "ú ,¡> 11. Il u ! '.h ! r,nt'
xpliqué la rotation' de'^la' tête' effectuée du'l fil ? t, rrla ',1( ' ? 1]" hv" l "ú ,¡> 11. Il u ! '.h ! r,nt' J J
1. Il u ! '.h ! r,nt' J J 1 Archives de Neurologie, t. IV,;p : 93 : ' " '1< : 1 ''* l 't' ' . l ' REVUE; DE l ? rJ
1 Archives de Neurologie, t. IV,;p : 93 : ' " '1< : 1 ''* l 't' ' . l ' REVUE; DE l ? rJ>,Q9), NERVEUSE. : 1J3
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animaui'chezilesquelscrltavait réussi à'provoquer cette déviation : ' )-' ob al ! li : 1r)9 7.u911 Mtta 9nnq (jio¡;m snu
maui'chezilesquelscrltavait réussi à'provoquer cette déviation : ')- ' ob al ! li : 1r)9 7.u911 Mtta 9nnq (jio¡;m snu b
(f<\,1 l,on;'I\<1111"" 1ÍII\JjidJ ,p I ? r, ni 'd" ? hlll,1 1 : ' I 7U PlusieuYâRcas^écKappen'ïIaux' lois ainsi é
euYâRcas^écKappen'ïIaux' lois ainsi établies d'après, Tob- 'n ? 1 ? ' ? I ? ,ffHPPPU'fn'.9,l,Mf,fL¡tI11 Il In 1 l. mn 1
? ux, J c ! 1 ehe, ! ? p,tAqueu et}es¡ turc.ules, quadri- ï jumeaux, ' 911JJ,g()f nature r,é,flexé., Ces, dérniers,ont d
bducens,1 par le faisceau trâns- yerse' 4u, pédoncule, de : Gqddell( ' r L'auteur. nmontrera qu'ils [ en onti aussi' a
ux. L influx volontaire parvient tou- . n ? I( ,)An 61 -.n m n 'r'" ' (l.nh"I ? ? f1n.... ci ni Qn'1')'f ? r, t)t.7 ' 1
,)An 61 -.n m n 'r'" ' (l.nh"I ? ? f1n.... ci ni Qn'1')'f ? r, t)t.7 ' 1 Jours a'ces centres et .annihilera, par-momen
i....i). r : : )t.l ! ? IpÇjt(Ji' ! H"7q 89.J nomrnA`6 9n'I03 .1\[ 9b ' )U ! ;OIOffWd ''3nf;.t ? n= = si Les ? tubercule
cens gauchelet de son'anastomose avec l'oculo-moteur.' A'l'autopsie, ' on ,trouve une(tumeur delà' grosseur' d'unernoi-
yau de l'abducens, parmi les fibres verti- cales 1 d'e' la" calotte; ' et' sur 'lti) Ûaj et 'dú"trÓn'é 'dé' cé`'nérf : !
de tonicité dés rotateurs'croisés/du' côté' droit li si = li fll "w ' » ' ? .. - ", i- U ' ? ? ,i 'i ? 1,.LI,u;.... et
tonicité dés rotateurs'croisés/du' côté' droit li si = li fll "w '» ' ? .. - ", i- U ' ? ? ,i 'i ? 1,.LI,u;.... et de
teurs'croisés/du' côté' droit li si = li fll "w '» ' ? .. - ", i- U ' ? ? ,i 'i ? 1,.LI,u;.... et de la prédominance
stence de ? phénomènes 'pathologiques du' côté" des membres indique ' une lésion atteignant '-les'' pyramides, leur a
nce,-sa'localisation' à la partie postérieure de la 'région ] Ib" t, ' b' N ." Il'' 'IL, ! J, n "" a0D Ki ' ' SJJJJJ3 r
térieure de la 'région ] Ib" t,' b' N ." Il'' 'IL, ! J, n "" a0D Ki ' ' SJJJJJ3 r : Itunncrc 4a j¡};,2-}gtaYo,de,l f
rieure de la 'région ] Ib" t,' b' N ." Il'' 'IL, ! J, n "" a0D Ki ' ' SJJJJJ3 r : Itunncrc 4a j¡};,2-}gtaYo,de,l f !
e relève n'a au- cun rapport avec celui des'muscles des membres : - ' ,'1-, , , i . , ? T'. ' , - . t i ' ? ..., - '
port avec celui des'muscles des membres : - ' ,'1-, , , i . , ? T'. ' , - . t i ' ? ..., - ' ' ' "'1 1 - D. i Bernard.
lui des'muscles des membres : - ' ,'1-, , , i . , ? T'. ' , - . t i ' ? ..., - ' ' ' "'1 1 - D. i Bernard. ? i i i ,,
cles des membres : - ' ,'1-, , , i . , ? T'. ' , - . t i ' ? ..., - ' ' ' "'1 1 - D. i Bernard. ? i i i ,, tl.. . rf.
es des membres : - ' ,'1-, , , i . , ? T'. ' , - . t i ' ? ..., - ' ' ' "'1 1 - D. i Bernard. ? i i i ,, tl.. . rf.Jt
des membres : - ' ,'1-, , , i . , ? T'. ' , - . t i ' ? ..., - ' ' ' "'1 1 - D. i Bernard. ? i i i ,, tl.. . rf.Jt,
..., - ' ' ' "'1 1 - D. i Bernard. ? i i i ,, tl.. . rf.Jt, i".1 f ' · i .1"1 ? 1 ,.1, , '" revue' de' pÂYiÎoÏogie1
D. i Bernard. ? i i i ,, tl.. . rf.Jt, i".1 f ' · i .1"1 ? 1 ,.1, , ' " revue' de' pÂYiÎoÏogie1 NERVEUSE ? 115 5 4ti
1"1 ? 1 ,.1, , '" revue' de' pÂYiÎoÏogie1 NERVEUSE ? 115 5 4tiF9h ' ; YIt9 J ·`l ".Ifr'r ? rrlW IIOt : ? l' SL 912 Jf'
4tiF9h '; YIt9 J ·`l ".Ifr'r ? rrlW IIOt : ? l' SL 912 Jf'IR(( rrI ( ' ('1 CI 12 : r ""frlf 'Ill t ! l'lrn"IIrr trr 14 fr
I. Contribution A L'ÉTUDE DE la. PHYSIOLOGIE des. COUCHES "Utf ? -* ' ? 't- t "" ' /"r)r.0''j7r'"< ? i'^'Ti.'oo'î a'
on A L'ÉTUDE DE la. PHYSIOLOGIE des. COUCHES "Utf ? -* ' ? 't- t "" ' /"r)r.0''j7r'"< ? i'^'Ti.'oo'î a'JlUdJJin ..
Lúys,se garderaifd'en douter' yt son principal ? argument 'est "une ' vieille^ observation délJôliri vHûntêc Junior,'
argument 'est "une ' vieille^ observation délJôliri vHûntêc Junior, ' lue 'le ! 23'juin' 1824" à''lâJ'Société)médico-ch
par, exemple, choisir de. préférence les'faits; cliniques simples et, ' autant que, possible,, observés, 4 ! ns..ce.)ut
si cet observateur n'en a pas exagéré l'im- portance. , " ,, " 1 · ' ' Obliquement;'d'abord, la valeur de cette obse
cet observateur n'en a pas exagéré l'im- portance. , " ,, " 1 · ' ' Obliquement;'d'abord, la valeur de cette observat
'de dix-sept ans est pi'ise ! defeéphà]algie viôlente'et opiniâtre, ' de' ver- tiges, de syncopes,' puis de- douleurs
defeéphà]algie viôlente'et opiniâtre,' de' ver- tiges, de syncopes, ' puis de- douleurs vertébrales,' articulaires;1 et
iâtre,' de' ver- tiges, de syncopes,' puis de- douleurs vertébrales, ' articulaires;1 etc.7 qui ne lui laissent aucun
e goût diminuent et dispa- 116 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. en t ' ! 2<T : ! I'{H : ;¡¡¡r ;'¡,)o,rr.r'rfq 10 l CV
116 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. en t ' ! 2<T : ! I'{H : ;¡¡¡r ; ' ¡,)o,rr.r'rfq 10 l CV-IFI,,i raissent à leur tou
' tumeur, 1 aucun» dessin.de coupe n'y est annexé : < : : J1""fl/ ' 'Il, p.' , c t,.r,7t -il. ,G ! "l : f1, ? h " 115
lles - dues à 'des lésions : 1° des nerfs, 2° de la capsule'interne, ' 3° ou J de" la' couche optique leile-iiièàie ?
p' étendue, trop ''diffuse, trop incomplètement décrite; d'ailleurs, ' peut justifier' chacune de ces'trois' hypothèse
peut justifier' chacune de ces'trois' hypothèses et 'n'en justifie, ' par conséquent.- aucune.- La tuméur', en effet;
aux; bien qu'il- n'en-'soit nullement question ; la capsule interne, ' d'autre part; était sans' doute plus : ou' moins
le dernier temps,7 sembleraient, ainsi, que le re- marquent 11111 : ' Lussana et Lemoigne, impliquer le trijumeau dans
eau dans l'affaire;- mais rien 'ne nous servirait de continuer -des ' hypothèses sur'une observation' incomplète et,'
t de continuer -des ' hypothèses sur'une observation' incomplète et, ' par1' elle-même,1 dénuée dans l'espèce de' tout
1 dénuée dans l'espèce de' toute valeur démonstrative.' 'c 1·° 1 J ( ' ''l'/l\j1 " 'JI Ceci' n'empêche pas M.' Luys de
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 117 7 j{tr -9'. t "1 ? -. )'11 y 1 Ifi, T ' rfl;1 r' j ,i rv.Gr rité est moins dans les liv
lar. f. Psych : u; psych.,gC1'ichtr : \ Medie ? XXXIX; 2 et'3.) t : ' (Ii ta 14.4VT9`) ,f tA Z . ' 1 [.le ytrl ? 4b't'i
'ichtr : \ Medie ? XXXIX; 2 et'3.) t : ' (Ii ta 14.4VT9`) ,f tA Z . ' 1 [.le ytrl ? 4b't'i t '1 £ .. I G4' -r e L'obs
ques. Inégalilé'pupi,lIaire, ataxie, linguale, aphasie¡¡pa ? sagère, ' contractures alternantes des, extrémités, dimi-
érale, qu'il y,a, dans l'espèce, un.e ? 1}c. tion directe. d. ploml) ' [ sl1l'lles JCelltres, et.que,les symptômes qui
aux troubles de nutrition de même cause. 3, ., , P.. K.'1 " . r. ' N . " ' f ? I ....'1J'11'11411 1. ? 1(' ...qc,rJi
roubles de nutrition de même cause. 3, ., , P.. K.'1 " . r. ' N . " ' f ? I ....'1J'11'11411 1. ? 1(' ...qc,rJi'3¡ 3.
se. 3, ., , P.. K.'1 " . r. ' N . " ' f ? I ....'1J'11'11411 1. ? 1( ' ...qc,rJi'3¡ 3. Il.' EPILEPSIE J,\CKSO : -l1\IE
,\MOLLISSEME1\T DE LA FRONTALE ASCENDANTE DU CÔTÉ DROIT, U OCCUPANT ' LE CENTRE DU . P.\CLIL;,par 11NECHT : (All. Zcits
t;\'I.JJ3UP '1.tnE".GHl) )b qmrnorf r J ob La' première observation, ' qui serti de soutènement ,à ce; travail, 1 conc
ès'p'rononcée du fond-de l'oeil.' Peu 'après ? iiouvel état' de mal ' (on1 compte jusqu'à qrïarante-sixà cin- quantetc
acerebrale).0n trouve, à ,1 autopsie, un ventricule latéral : droit ' trè`sedilüté; J' 1'Q) : ¡'éE' d 'n1111qúide') clâ
b81·e ? ëéi·éhélléûx t`gaûche ? cônsidérahlèmeiiL diminué dé volume, ' est'atrophié; induré ; l'aliération-a'porté'de
ais 'd.Jl" . ? J.J d ? 11""t ? - 1 · w, u,t `J nll il.m yl' tll' ,. ' ,1 "'IJI.'t'\ft ISSemll1ees ans OUL 1 organe, en
s lrÓublès' de J la ;ll1otiJilé 'de'la moitié du'corps homologue ;-* ' J Ell9'IÈn flo '1 " ! J t '1.1 J, 1 9'f i ? 2"'Un
rmop. K,<¡j.r¡O'T't 9rh",J ! J ? I Il . 20upIllifiQ9,) nJ;2'JJV"( ' : J ''11 'wdi ? th, trfoyenI tf, fip tuf "...1
l1'eJ·venlc., XII,i 2.) 3Ei tar ? -· . 111 . ;\;\ >J : . utr,l ? a ' \ î\ < ! . Un homme de quarante-quatre ans, a
l'illl Ilm ht III -, UI, Il \* tW I ? i 111) ,, ,,lii,nl,l 'H'II' , ' [ iD'fÚiel1j : ës acompagnée de la disparition des
'orteils ; suppression totàlel'des réflexes' cutanés et tendineux. ' En'dépit ddu traitement1 mercuriel' (frictions),
it ddu traitement1 mercuriel' (frictions), associé'à'l'inges- - f ? ' n. ? . ,Jt. -, ? ' i f J` 1 att n 'i ? ? i n-t t.
mercuriel' (frictions), associé'à'l'inges- - f ? ' n. ? . ,Jt. -, ? ' i f J` 1 att n 'i ? ? i n-t t. r. · tion diodur
- Il. I.1.11 - tl : ,l.p m.,... , ,4, , .n. ".... 'l ? l ? l , 1, fY. ' t, sanguines locales, moins d nn mois -ai)res 1
bÙt¡j' de l'affeè- Il D j .. u l I¿ HIJ ,^'i lU...,.... JJ ." i', u ' t-, 1 il lit zltion slirvenaientrdesitroublés d
des 'bras' sont ébâlêmënt41nexcitâbles à l'électrisation galvanique, ' lés etéÍiséîirsr pré'sIÍiarit1la : réaction P.1
erveux ! le ramol-"1 li .t -.i 1 1 ..)t« .alflY ir·flli '111111 W 1 ' Svli 1.4, 1· 1 '11.11 q plissement de la moelle
Il - sur les préparations durcies, la umc- ft ? Ij'l ? ? '. £ ? « ? ' 'v"'l' "1"->I"1-»'J-V ? e ! n'uu3 faction du
lf..rY}r ? n)},I;,n : lOt, il s'âgirâita i jj-i i-jj ? u e. -. i 'J" ' ? J. ju.i;u.«i auJ.um.i ? '«y i.o. ,...J d'une
l s'âgirâita i jj-i i-jj ? u e. -. i 'J"' ? J. ju.i;u.«i auJ.um.i ? ' «y i.o. ,...J d'une poliomyélite antérieure ^ ai
- ayant,, participé aux lésions, notamment, les eord011s Í lat]'aux ' : J; l'ori gine syphilitique, semble de toute i
d'observer un fait'analogue toutrécëmlrient.t `'h ¡Bq1] P'°K ? t"` ' ,1 : > 1 ntr 'Jfl'IIFIII M 19fJJJIJ £ ? '.Bql r
11 nn-mp / "J z Qr'TT7T'ï7QC'AVA'NTF'C ? t4 LLnT I,-jfl.\VJJ'J'1 ' "" J< ? 1 . ? 4. ..l.f( 11T'Jffi'J'IqO'Iq ,'
T I,-jfl.\VJJ'J'1 ' "" J< ? 1 . ? 4. ..l.f( 11T'Jffi'J'IqO'Iq , ' ) >1113J) tJ811r¡ flU121Ji,b onu'b Uqqi; "1JJJ1
) : )ju j SOC IÉ TÉ 41ÉDIC 0 -PS Y. C Il 0 L 0 GIQUE nr5r u.c rf ' , jol ib la n mis. ,)il ('l'lnII ? 1 `7 iI·'IJI
qui, vient d' tre¡,JipOS ! t1 5lp,1 SJ1,\ ? ) ! O.w08 les, l g .1, ' ' cl'- l' ? d ? ? ' des établissements ! ? ...[ .
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JipOS ! t1 5lp,1 SJ1,\ ? ) ! O.w08 les, l g .1, ' ' cl'- l' ? d ? ? ' des établissements ! ? ...[ .[ ? ...;.j ? t) ? ia
ifications intercalées clans le tester < r..in ? i , '. r J¡fnfJ ' {'f1'-I,if 1. HI,. - . ? tl I .' JI .ttll-,... ? t
1c¡mfJ2J010D1j11t1 i ab llJyiJ'11 f El\LP ? Foy'ILLE f'dermÍndèf si[ ' , 'd'après 31aï1ônfèlle lÓWTùÎ1 'malade'1* maint
e lÓWTùÎ1 'malade'1* maintenu par : décision de ! la' chambré 'du : ' conseil';¡ aura(letcdroit d'interjeter, apel;,3
vuelopposépsin un parent, qui ,a,obtenuJe- placement d'un(des siens, ' aura ledroit,-1 de faire, appel.de. la, décisio
lques jours avant que la sortie ne diJŸienne'efrective r d'el faço'¡ ' (à' p'é'rn1èitre'IuJ intél : esséS' 1% Il iérj'ètë
esses d interjeter appelle lâ^écision^qÛi^'âutorisé cettelbrlie : ™ ' : \\Ù' : \'iSMI\I'l'\ 111J b 'La¡"question)\ àn
s si» de¡ : pareils cas ! \,se sontg présentés à-leur, observation.) ' { ab BSOflonoiq 89ld0OTÎ agl .fiuvmt - lui. BcW
t-ils pas faire appel d'une décision prise dans ces conditions ? `I ' ' M. Blanche. Cette guérison aurait mérité d'êt
ils pas faire appel d'une décision prise dans ces conditions ? `I ' ' M. Blanche. Cette guérison aurait mérité d'être
seoir li'rune' décision de sortie, dont l'effet doit être immédiat. ' Il'II(l ? 1ll, ,l, n, '1 '' M. DAGONET fait ren
reil cas' la responsabilité du ''médecin est complètement dégagée. " ' "' ? t"1 " '< ' » -1 M. Blanche ! ' Assuréme
l cas' la responsabilité du ''médecin est complètement dégagée. "' " ' ? t"1 " '< ' » -1 M. Blanche ! ' Assurément,
sabilité du ''médecin est complètement dégagée. "' "' ? t"1 " '< ' » -1 M. Blanche ! ' Assurément, mais il ne s ag
n est complètement dégagée. "' "' ? t"1 " '< ' » -1 M. Blanche ! ' Assurément, mais il ne s agit pas .seulement de
! ' Assurément, mais il ne s agit pas .seulement de responsabilité, ' il faut aussi penser aux dangers'1 que court l'en
'1 que court l'entou- race de certains aliénés. - \ " ! JI, 'fi "i' ' " t r.f 1 .- r '1 ? , , «r n ' vn , t < j-" i
certains aliénés. - \ " ! JI, 'fi "i' '" t r.f 1 .- r '1 ? , , «r n ' vn , t < j-" i i "i" ? tif'-ro fr ? 1 i ? M.
s n'examinent même pas les dossiers avant .de prendre une décision. ' Je connais un aliéné 'dangereux' remis' en libert
;3° la.situation 'des 'aliénés crinlinels : I. ( - 1 1 . 111,1' 1 ( ' (,t'1(1 l ,q[lfJf G1UI . On7` T - ." Ces questio
ns-seront mises à l'ordre 'du jour' de la Société.' PU fiif ? IJ 1p, ' ¡fr,Cf jJl ,fi (111'11'41' "..... 'II HP t,lfjJJJJ
p,'¡fr,Cf jJl ,fi (111'11'41' "..... 'II HP t,lfjJJJJl\I : B. '1-j" ' z'' '' Séance du 9 av)·il I 883 : - Présidence DE
' Séance du 9 av)·il I 883 : - Présidence DE'M. Motet; J." tJ`f ? - ' )H t I) "'\1ÎJ 'I-- yi Il i'ni ! ,r'm, ? l'fU'I(1
u 9 av)·il I 883 : - Présidence DE'M. Motet; J." tJ`f ? - ')H t I) " ' \1ÎJ 'I-- yi Il i'ni ! ,r'm, ? l'fU'I(1 .1,¡lOhd ,
onne lec- j'LÓre'du discours qu'il a'prononcé au nom de'la,Sociélé. ' ' ' ' "La séance est ensuite levée en-signe de
ne lec- j'LÓre'du discours qu'il a'prononcé au nom de'la,Sociélé. ' ' ' ' "La séance est ensuite levée en-signe de de
lec- j'LÓre'du discours qu'il a'prononcé au nom de'la,Sociélé. ' ' ' ' "La séance est ensuite levée en-signe de deui
- j'LÓre'du discours qu'il a'prononcé au nom de'la,Sociélé. ' ' ' ' "La séance est ensuite levée en-signe de deuil. "
121,3,tlD)·Ll 4 HS3 ? PRft91DE.CE"I ? ? I.,MpTF ? jfll j'I' } (1 ? / ' si 1 - . I .y- f' 111)1 t.. 111 ? jl;" l' ? j1'1.
/' si 1 - . I .y- f' 111)1 t.. 111 ? jl;" l' ? j1'1. rytj;rtl Wo ..( ' Prix Esqttirol. Après la lecture du rapport de-
end ensuite la parole pour pro- noncer l'éloge de Pa¡ : chappe."} n ' ''1 ", 1 JlL" "'\, M. 'B.-0' ' Z}Hhl ,\',1\\, '
role pour pro- noncer l'éloge de Pa¡ : chappe."} n ' ''1 ", 1 JlL" " ' \, M. 'B.-0' ' Z}Hhl ,\',1\\, '\1. ,.\j, ). t\\\
noncer l'éloge de Pa¡ : chappe."} n ' ''1 ", 1 JlL" "'\, M. 'B.-0' ' Z}Hhl ,\',1\\, '\1. ,.\j, ). t\\\ ,\). ·, v 'I
éloge de Pa¡ : chappe."} n ' ''1 ", 1 JlL" "'\, M. 'B.-0' ' Z}Hhl ,\ ' ,1\\, '\1. ,.\j, ). t\\\ ,\). ·, v 'I ) ) j .' l.t
e Pa¡ : chappe."} n ' ''1 ", 1 JlL" "'\, M. 'B.-0' ' Z}Hhl ,\',1\\, ' \1. ,.\j, ). t\\\ ,\). ·, v 'I ) ) j .' l.t" 'fll1
I ? vue spécial de la médecine mentale et de la .médecine, légale ? ' " " On comprend sous le nom d'hypnotisme plusieu
ieurs états nerveux ? m ? t ? ? f ? t" < ? - 1,.... " J nr '< ? ' if, ", . dlfferents j qUI peuvent être ramenés,
dlfferents j qUI peuvent être ramenés, d après M. Chariot a trous f" ' ¡'tf" '11 q. ? i ? '¡, J " t 1"I,f" ! ? l' 'Il ? ,
vent être ramenés, d après M. Chariot a trous f"'¡'tf" '11 q. ? i ? ' ¡, J " t 1"I,f" ! ? l' 'Il ? , C ? '¡I ? IFn, ty
t a trous f"'¡'tf" '11 q. ? i ? '¡, J " t 1"I,f" ! ? l' 'Il ? , C ? ' ¡I ? IFn, types, fondamentaux^ : 4°, étal catale
Il ? , C ? '¡I ? IFn, types, fondamentaux^ : 4°, étal cataleptique; ' 2° état léthargique ; '3° état dé somnambulisme
provoqué : Nous allons' rappeler brize- . ,1" l' '....... 'l ? "1. ' · 1 1 ? ? 1 f . W 111 I « t , n .ment les carac
ncipaux de ces trois états. un ni m lu IU.1 ? J) JUI.lq J n. y, -n { ' » l'1 ' l'U'I" i- "- uni'»- 1,- s-nr, M 1'1 A. É
de ces trois états. un ni m lu IU.1 ? J) JUI.lq J n. y, -n {'» l'1 ' l'U'I" i- "- uni'»- 1,- s-nr, M 1'1 A. Étal cat
ni'»- 1,- s-nr, M 1'1 A. Étal cataleptique. - Il peut se produire : ' 10, primitivement isous l'influence d'un bruit
10, primitivement isous l'influence d'un bruit intense et inattendu, ' d'une lumière.,vive ,qui frappe le regard, -par
ation ; quand la suggestion a cessé, le sujet redevient 'immobile.' ' 1 l' ->s ' 14· , t n , , .< . - i. T "V&g
la suggestion a cessé, le sujet redevient 'immobile.' ' 1 l' ->s ' 14· , t n , , .< . - i. T "V> ' I 1 V 'il
t 'immobile.' ' 1 l' ->s ' 14· , t n , , .< . - i. T "V> ' I 1 V 'il 'II' t '' n fl z '»' 11, " j'\' ' p.·y
' 14· , t n , , .< . - i. T "V> ' I 1 V 'il 'II' t '' n fl z ' »' 11, " j'\' ' p.·y y , f ? 3. Éltil ,W ! \l'qiql
14· , t n , , .< . - i. T "V> ' I 1 V 'il 'II' t '' n fl z '» ' 11, " j'\' ' p.·y y , f ? 3. Éltil ,W ! \l'qiqlle
, , .< . - i. T "V> ' I 1 V 'il 'II' t '' n fl z '»' 11, " j'\ ' ' p.·y y , f ? 3. Éltil ,W ! \l'qiqlle : \;;oo1Le
, .< . - i. T "V> ' I 1 V 'il 'II' t '' n fl z '»' 11, " j'\' ' p.·y y , f ? 3. Éltil ,W ! \l'qiqlle : \;;oo1Le,V
tériques (Archives-de'Netirologie; t. IIl;'188Q.) 8t : P' ? 2y -1\ " ' \1 ,r 2 H. Legrand du Saulle. Les hystériques; é
par l'occlusionldespaupires ou'par le passage dans un lieu obscur : ' On entend un 'bruit'laryngé spécial,' il vient
passage dans un lieu obscur : ' On entend un 'bruit'laryngé spécial, ' il vient unpeu'd'écume aux lèvres et le sujet s
excitabilité'neuro-musculairo* existe toujours à desl degrésfdivers ' : les muscles se contractent sous^ l'influence
tement' sur les muscles eux-mêmes; soit sur le nerf qui' les' anime; ' s'agir d'une'1 contraction permanente; d'une co
clôt l'oeil du cûté correspondant. » I ,,ri ii, 1 nlL' f'1t 4hJ"V11 ' ,u r "Uiril'Ull 7H ) "tint-1- 7 ir 1-11 J 1 ' C
ii, 1 nlL' f'1t 4hJ"V11 ' ,u r "Uiril'Ull 7H ) "tint-1- 7 ir 1-11 J 1 ' C. État de somnambulisme , provoqué. - Il,peut
avec' lui et lui dÓnnel"( des subes= tions,ou,,des impulsions^ IJJ1" ' ) ? J,dJ jl dJJwt lv 'Jlp ! 1'\"I' t ? \ 1>,11.
°·n) ,'t1 : 3'.i >jl1 `· 1'1 3f tn ! \'hU¡]j -)1'1' 'tl"l1;Jc'1 ' Si on' attire son regard'en'agitant'la main" deva
e 'ou horrible, on provoque les mêmes modifications de l'expression; ' on t rt » W .il il. L.I nt¡' ·-,1,6J'1` '')hf[t
es mêmes modifications de l'expression;' on t rt » W .il il. L.I nt¡ ' ·-,1,6J'1` '')hf[t 9n·tIJW 1,1 F "hl1l.flf ? t j
ontribution à l'élude 'de' /'hypÍ/otis1'¡ie 'chez' les hystériques. ' [Archives de Neurologie, 1881 etJSS3.)'`t " 'i°. t
'¡ie 'chez' les hystériques. '[Archives de Neurologie, 1881 etJSS3.) ' `t " 'i°. t "'2 JI ? .1 2 Cliarcot`et Rielier.'
ogie, 1881 etJSS3.)'`t " 'i°. t "'2 JI ? .1 2 Cliarcot`et Rielier.' ' Note' on ' certain facts of cérébral' automatisai
etJSS3.)'`t " 'i°. t "'2 JI ? .1 2 Cliarcot`et Rielier.' ' Note' on ' certain facts of cérébral' automatisai observed
her ? Etudes.* cliniques sûr la* grande hystérie, iu-8^, 158t. , i" ' a zizi, -r .d . q 126 SOCIÉTÉS' SAVANTES.'
ns sur les sens du ? Ollt 04 de l'odorat, l ? TT H) "'ri", " "V, ? " ' ) " "Il " Mais,1 tandis que, par l'intermédiaire
ls d'une certaine dtll'ée ? Ain,i, 'si o'n"suggère au'sujet 'l'idée ' "d'im1 bruit terrible1, et' continu ? ou'' d'un
VI'a,-e COIIIII-lCllcé ; Il récularise'la''pôsitiôn''des deux" objets, ' ? ouvragé commencé,- elle régularise ' L'imposi
''pôsitiôn''des deux" objets,' ? ouvragé commencé,- elle régularise ' L'imposition' des deux 'objets ? CL"së"1-nt à f
avec la même régularité automatique.' Un' fait intéressant' à noter, ' c'est que, pendant que le sujet est ainsi'occupé
'activité' automatique ? il, reste possible' do'dédoubler' le sujet ' (hémicatalepsie, hémi ! é-' thargie). ' 1 1 1 1
ible' do'dédoubler' le sujet '(hémicatalepsie, hémi ! é-' thargie). ' 1 1 1 1 ' ' ? 1 ' D'autres actes analogues peuv
édoubler' le sujet '(hémicatalepsie, hémi ! é-' thargie). ' 1 1 1 1 ' ' ? 1 ' D'autres actes analogues peuvent être p
oubler' le sujet '(hémicatalepsie, hémi ! é-' thargie). ' 1 1 1 1 ' ' ? 1 ' D'autres actes analogues peuvent être pro
' le sujet '(hémicatalepsie, hémi ! é-' thargie). ' 1 1 1 1 ' ' ? 1 ' D'autres actes analogues peuvent être provoqués
. Cependant, en prenant soin ,dc rectifier la position de,, la main, ' on peut obtenir un. autographe à peu' près impo
urnir, la, preuve en, pârticulier ? en"ce ,qui, concerne la. vision, ' ? si,l'oll,,faitliapf11'Oc)lel' ou éloigner l'obj
n y. ? iltl p\ : pille.se dilater pr° ! J°rLlOnnell\1lCI1t. i' tll' ' ""m,I', "1 r,n, (1. ,C;est, là un,phénomène qui
poraires, ne persistant que ¡'It., il ri -liiffl i- -I ilu'1- ? ).l ' Il si "h -li 1 l t t r- ., 1 Ch. Féré. Mouvemen
. [Société de Biologie, 17 décembre' 1881. - Archives de Neurologie, ' 1882, t. 111,'p. 29 ? ) " ' n"" , rt=' Cil. Fer
écembre' 1881. - Archives de Neurologie,' 1882, t. 111,'p. 29 ? ) " ' n"" , rt=' Cil. Feré. Note sur quelques phénomè
81. - Archives de Neurologie,' 1882, t. 111,'p. 29 ? ) " ' n"" , rt= ' Cil. Feré. Note sur quelques phénomènes observes
29 octobre 1881, et Archives de Neurologie, 1882, t. III, p. 2S1.) ' '- 77(' ! K ? tyC)'M</tc ? e sensitive et hémi
bre 1881, et Archives de Neurologie, 1882, t. III, p. 2S1.) ' '- 77( ' ! K ? tyC)'M</tc ? e sensitive et hémi-anestlt
anestltésie sensorielle.' [Société de Biologie, 5 novembre 1881.) , ' , . Ch. Fére/ Contribution' il l'étude des trou
la visiozz ar lésions cénéLrales. 9582, p.t 44 i, 449; 198, etc. l ' .m 1 j 128 SOCIÉTÉS SAVANTES. pendant la duré
...n ? ? MOKMMMMM r 1·r r mülr ju"J ? < " > ~> <"< ·· ' suivante. .,> ? L.p^iiPr[ , ,1 -r-mhnJi Ji-y
t; ··' suivante. .,> ? L.p^iiPr[ , ,1 -r-mhnJi Ji-yn po '. ? P ' Sur une feuille-de papier blanc, nous plaçons une
mais les hallucinations * et les illusions provoquées ..de ? -. ™- . ' V' t -- 'ii'j- ? il- j ' l^ t,ulo i ir, m .. 1. V
* et les illusions provoquées ..de ? -. ™- . ' V' t -- 'ii'j- ? il- j ' l^ t,ulo i ir, m .. 1. V... 1 odoraL'de 1 ouïe,
odoraL'de 1 ouïe, du goût, du toucher ne sont ,pas moins , saisis- " ' loc'»" ! 1 i" ? ,fl,nrnj°[ nu u<- '>">si
ns , saisis- "' loc'»" ! 1 i" ? ,fl,nrnj°[ nu u<- '>">siq , ' ^Mint ? -"\ - -i ? ^ ? - sa '- ? T'T(`0 nu "No
;qt,F ouï' lt1·)·lttt) t9, dllm. -91 J> ov .» ^> - es.sens,upe7 ' , ^v'm-i.n^r ....ew .v ? 1 ·rw ... ? 9 ? ab' tr-
, cette ^manoeuvre, avec) X ,- , ... » . nr ? f*p«l f»..J IflTl 1 ^ ' ' l ..î'1 ...1 ? -. j succès pour 'faire cesser
cette ^manoeuvre, avec) X ,- , ... » . nr ? f*p«l f»..J IflTl 1 ^ ' ' l ..î'1 ...1 ? -. j succès pour 'faire cesser d
t aller jusqu'à produire une erreur sur l'identité d'une personne : ' tollé 1 lyp'n'otique Il l'état '.de ? veille iy'p
dont on aura évoqué la présence pendant 'le sommeil- somnambulique. ' ^'l .vVi ? »). ;n»> to>UWjWf'%' -'f.j) ? O
nt 'le sommeil- somnambulique. '^'l .vVi ? »). ;n»> to>UWjWf'% ' -'f.j) ? Ouïe. Sous l'influence de la suggestio
il existe sur certains points du corps des régions (zones érogénes) ' 1 qui ne sont pas sans analogie avec les zones
e, analogies, signification nosologique, etc. Thèse de Paris; 1881. ' 132 SOCIÉTÉS SAVANTES. que, dans les hallucin
dans l'état de somnambulisme provoqué de suggérer des idées fixes; ' des impulsions irrésisli6les auxquelles l'hypnoti
dumémoire de Jolly, publié dans lesArchiv sur Psychiatrie, XIII, 2 ' , tout en y apportant les résultats de son expér
'asile. On se rappelle, en effet, qu'à la fin de sa communica- tion ' , il soumettait ces deux points à la discussion de
la folie systématique hypochon- driaque n'aboutit pas à la démence. ' M. Gnauck. Valeur de l'hyoscyamizze pour la pra
quand on ajoute beaucoup d'alcool, a des effets très peu constants, ' incertains et souvent toxiques à la dose moyenn
se prête très bien,4 vu sa solubilité, à l'injection hypo- , 1 \I' ' \ \\ -VU * t 1'1 Il '.Il j 1 ÍI 1 Archives de Ne
1'1 Il '.Il j 1 ÍI 1 Archives de Neurologie', t : IV, p.' 137, 235. ' > * * t 1.2 SOCIÉTÉS SAVANTES. dermique. S
5.) P. KÉRAVAL. 144 SOCIÉTÉS SAVANTES. - i - ." 1111Í11 5'. £ ' . 7 ? , 1 < ? '" i "T» ».q i .rpŸ ""ùf1. fJf
144 SOCIÉTÉS SAVANTES. - i - ." 1111Í11 5'. £ ' . 7 ? , 1 < ? ' " i "T» ».q i .rpŸ ""ùf1. fJf )1.1\(1 1, ' 1|j"
5'. £ ' . 7 ? , 1 < ? '" i "T» ».q i .rpŸ ""ùf1. fJf )1.1\(1 1, ' 1|j" u .' il' 1 SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET PSYCH
)" "1\"" ,S2 4 qup "t&'¡cfU{{I1Jc; 10 - .if ? 1 ? n fHnd, ? ...( ' 1 1 'm,I,1 r3t Jo" 'fI91'Jf ? ¡"¡, ' » .ui ,"1
10 - .if ? 1 ? n fHnd, ? ...(' 1 1 'm,I,1 r3t Jo" 'fI91'Jf ? ¡"¡, ' » .ui ,"1 1"'1J(¡.JJ ? ) ,-»'i9»--bJt« CtlPi91th1
t;1 souhaite la"bienvenue"aux membres1' de la société 'réunis' pour ' reprendre -le 'cours' des 'séances ? ? croit de
sthésie 'de'la muqueuse pharyngienne, de, l'hyperesthésie cervicale, ' de la' sensi- bilité à la pression au lieu de p
lIoJloender provoque des phénomènes d'hypnotisme et de Lansfért.,q ' p =aty ' · 1 , M. HOLLER,' trésorier-économe .d
der provoque des phénomènes d'hypnotisme et de Lansfért.,q ' p =aty ' · 1 , M. HOLLER,' trésorier-économe .de la soci
hénomènes d'hypnotisme et de Lansfért.,q ' p =aty ' · 1 , M. HOLLER, ' trésorier-économe .de la société/ reçoit»1 les" r
ses comptes ont été apurés parles censeurs 1\ll\I;,Poh]'et Schwab, ' " /nii"*4") '' - {L", 1 yr otr,1· é4e. ? - · ;-1
c ? il't» .1'r ? Q1J, ? ....1' 21 ,.t "h ? ,i'r\..\.fidO,J4ljre.M ' ` ; .vt·tiiCB ? uft 91, brrW ·f nr ? ·r,,W 41)t'
(,Mtttff"..."<)t't)t''fN ? P."< ? r.' ,1 ... H '1..f .f 1 f -¡ ' "J , 1 ," l ! )J) M, ' ! \1EYNERT présente un ma
'fN ? P."< ? r.' ,1 ... H '1..f .f 1 f -¡'"J , 1 ," l ! )J) M, ' ! \1EYNERT présente un malade de sa clinique 'et*
ples directions' conceptuelles ? ce ? - ...,11 Iili,")b 3 ,.1 "*»* -0 ' - 'I e-qj ' f 1 V. aux Revues analytiques. -
ons' conceptuelles ? ce ? - ...,11 Iili,")b 3 ,.1 "*»* -0 ' - 'I e-qj ' f 1 V. aux Revues analytiques. - SOCIÉTÉS SAV
-r,4 'JJéllÍ ? i\IYNIR}¡Ïlds"è1{ëTaH11ÜÜd¡;s j-V-i '. j ? y'»*/ 0)3 ' (.», M. Meynert présente deux malades de sa clin
antd aphasie; un cas de démence. ? 9tbltiJn'UH 1U ressant ap aSIe j ' un cas de ernencju' ! J¡;1 sb 91'10'))'1 9b lioil
résse de-Sj paroles^ de,, bienvenue, aux memloes de lax1 Société, ! ' ¡Ls}¿mQlél' pouJ ? r ! 3PJc\re le, cours^de leur
ésident annonce le, retrait, de 'N : ,Fiebel" ! 10 '1 J ? 81 'JI¡ .,1 ' " M. le professeur Meynert. De nouvelles manière
, capsule interne., L'auteur fait, remarquer, que tel est le nombre, ' destrous- QIl19J2'. j ,4 I( ill(ft¡"/} : ;0'10'
hasie par destruction, ou inflam- mation de l'écorce de l'insula. , ' ` ' ' . - Séance dû 12 décembre )88 Discussio
e par destruction, ou inflam- mation de l'écorce de l'insula. , ' ` ' ' . - Séance dû 12 décembre )88 Discussion su
par destruction, ou inflam- mation de l'écorce de l'insula. , ' ` ' ' . - Séance dû 12 décembre )88 Discussion sur
,théodq'ù'es, 'Oli' se 'guidera1 sur' l'histoire d'un cas 'concret, ' dont` 1\C Fritscli' trace 'avec le"soi'n le plus
? f,\tT, après avoir discuté les mobiles et les raisons des '1 CiU , ' r- .' '' -1 J . z actes du sujet en question,,
à M. Pohl si, pour lui, la folie impulsive est une maladie autonome, ' ou si elle ne constitue que l'élément morbide d
ion naturelle aux'troubles de la parole des^paralytiques gé- nérâux; ' qui ont pour' substratum'anatomique l'interruptio
on détruites et- la mise hors de'fonction des' cellules corticales. ' Comme ces altérations -sont grossières dans l'e
nt plus caractérisés dans -la première que' dans la seconde. » {^ - ' , ' ' M. Meynert prend la parole sur un- cas d'
lus caractérisés dans -la première que' dans la seconde. » {^ - ' , ' ' M. Meynert prend la parole sur un- cas d'apha
s caractérisés dans -la première que' dans la seconde. » {^ - ' , ' ' M. Meynert prend la parole sur un- cas d'aphasi
nerait une anémie continue, des centres du langage. ? ... ? ? ? " ' ' ' x ' ' 't'a a . - it . ~ . ? q- i i'" ? ' .-
rait une anémie continue, des centres du langage. ? ... ? ? ? " ' ' ' x ' ' 't'a a . - it . ~ . ? q- i i'" ? ' .- S
it une anémie continue, des centres du langage. ? ... ? ? ? " ' ' ' x ' ' 't'a a . - it . ~ . ? q- i i'" ? ' .- Séa
ne anémie continue, des centres du langage. ? ... ? ? ? " ' ' ' x ' ' 't'a a . - it . ~ . ? q- i i'" ? ' .- Séance
anémie continue, des centres du langage. ? ... ? ? ? " ' ' ' x ' ' 't'a a . - it . ~ . ? q- i i'" ? ' .- Séance du
ngage. ? ... ? ? ? " ' ' ' x ' ' 't'a a . - it . ~ . ? q- i i'" ? ' .- Séance du 1er février 1883. , t , it MM. Pol
rcules quadrijumeaux. Ce mémoire sera publié en détail. (JaAr6MC/te) ' f : Psychiatrie,'IV; 1, 2, 3.) . ' >"" ," 11
ra publié en détail. (JaAr6MC/te)' f : Psychiatrie,'IV; 1, 2, 3.) . ' >"" ," 111 ' ' ' P.'KÉRA\'AL,' "1\ - '»<
ail. (JaAr6MC/te)' f : Psychiatrie,'IV; 1, 2, 3.) . ' >"" ," 111 ' ' ' P.'KÉRA\'AL,' "1\ - '»< >> si 1 J
l. (JaAr6MC/te)' f : Psychiatrie,'IV; 1, 2, 3.) . ' >"" ," 111 ' ' ' P.'KÉRA\'AL,' "1\ - '»< >> si 1 J f
(JaAr6MC/te)' f : Psychiatrie,'IV; 1, 2, 3.) . ' >"" ," 111 ' ' ' P.'KÉRA\'AL,' "1\ - '»< >> si 1 J f 1
f : Psychiatrie,'IV; 1, 2, 3.) . ' >"" ," 111 ' ' ' P.'KÉRA\'AL, ' "1\ - '»< >> si 1 J f 1 J >< ? ?
iatrie,'IV; 1, 2, 3.) . ' >"" ," 111 ' ' ' P.'KÉRA\'AL,' "1\ - ' »< >> si 1 J f 1 J >< ? ? ' ... 1
' ' P.'KÉRA\'AL,' "1\ - '»< >> si 1 J f 1 J >< ? ? ' ... 1)H' SOCIÉTÉ PSYCHIATRIQUE DE LA PROVINCE D
; ? ? ' ... 1)H' SOCIÉTÉ PSYCHIATRIQUE DE LA PROVINCE DU RHIN - ' Séance du 18 juin 881 1. '. i 1 . , <, n. ?
INCE DU RHIN - ' Séance du 18 juin 881 1. '. i 1 . , <, n. ? - ' ., . MM. Hecker," l3urhardt et Siebert sont nom
ions, même en dehors des accès. Il exis- . r IHH $fi u iVyn. v > ' i . ' i- " 'j ' ? rn ,- " ' j tait comme aura u
même en dehors des accès. Il exis- . r IHH $fi u iVyn. v > ' i . ' i- " 'j ' ? rn ,- " ' j tait comme aura une ode
hors des accès. Il exis- . r IHH $fi u iVyn. v > ' i . ' i- " 'j ' ? rn ,- " ' j tait comme aura une odeur subject
ès. Il exis- . r IHH $fi u iVyn. v > ' i . ' i- " 'j ' ? rn ,- " ' j tait comme aura une odeur subjective de musc.
t. On eut grande peine à lui faire comprendre 1 Revues analytiques. ' 1 il, 1 ! 50 SOCIÉTÉS SAVANTES. qu'il devait
" , , .f 1 , il»» ? 1. ! 01"-1 1 i j ? n.t Il il ` . , Séance du ' )2 ? novervbre ,1 S81., r , .. . l, , i ' ? . 1
.t Il il ` . , Séance du ')2 ? novervbre ,1 S81., r , .. . l, , i ' ? . 1 tf J J 1 1 IJ Les nouveaux membres 'admis
veaux membres 'admis, sont MM. i Rolleiv Schreiber, Rumpf, Gergens. ' " ,l'If A la suite de quelques résolutions conce
ux statuts de la Société, on passe aux commu- nications suivantes : ' 10 Rippiug. Rapports des maladies de femmes ave
dérales qui suivent les accès d'épi- lepsie. Publié in extenso 2; , ' ' ' ' ? ' ' , 30 Eickholdt. Pathogénie des atta
rales qui suivent les accès d'épi- lepsie. Publié in extenso 2; , ' ' ' ' ? ' ' , 30 Eickholdt. Pathogénie des attaqu
les qui suivent les accès d'épi- lepsie. Publié in extenso 2; , ' ' ' ' ? ' ' , 30 Eickholdt. Pathogénie des attaques
s qui suivent les accès d'épi- lepsie. Publié in extenso 2; , ' ' ' ' ? ' ' , 30 Eickholdt. Pathogénie des attaques d
i suivent les accès d'épi- lepsie. Publié in extenso 2; , ' ' ' ' ? ' ' , 30 Eickholdt. Pathogénie des attaques de pa
suivent les accès d'épi- lepsie. Publié in extenso 2; , ' ' ' ' ? ' ' , 30 Eickholdt. Pathogénie des attaques de para
mala- dies mentales. Sera publié 3. ", ` ".... J 1 i r , 1 1 1 ' . i \1 Séance du 17 juin 1882. ' SI. le Prési
3. ", ` ".... J 1 i r , 1 1 1 ' . i \1 Séance du 17 juin 1882. ' SI. le Président informe l'assemblée de la mort
ollaborateur actif et ardent. L'assistance se lève en~sa mémoire. ' 1 ' ? 1 Archives de .Neurologie, Revues analyti
borateur actif et ardent. L'assistance se lève en~sa mémoire. ' 1 ' ? 1 Archives de .Neurologie, Revues analytiques
? 1 Archives de .Neurologie, Revues analytiques, t. V, p. 371. - ' ld., id., t. V, p. 370. . Nous l'analyserons al
p. 371. - ' ld., id., t. V, p. 370. . Nous l'analyserons alors. , ' . SOCIETES SAVANTES. 151 s 01.- Hertz,. Sur l
jette, dansée sinus droit pour gagner le sinus transverse, gauche : ' RÜdinger. est ']e ,seul' qui' consi- dère les d
nus droit pour gagner le sinus transverse, gauche : ' RÜdinger. est ' ]e ,seul' qui' consi- dère les différences de di
différences de diamètre de; ces canaux commet normales-; d'ailleurs, ' ilrajoutequ'ilne.les a jamais, trouvés tous deux-
à peu près 1 millimètre de moins,que n"o ? )alqlen t. "'1,\,))1 \¡( ' 1 ¡' , .. ' >'» 't iiVflT ? 1T»'\Ç1 V. 3 . 1
u près 1 millimètre de moins,que n"o ? )alqlen t. "'1,\,))1 \¡(' 1 ¡ ' , .. ' >'» 't iiVflT ? 1T»'\Ç1 V. 3 . 1 V 1\
1 millimètre de moins,que n"o ? )alqlen t. "'1,\,))1 \¡(' 1 ¡' , .. ' >'» 't iiVflT ? 1T»'\Ç1 V. 3 . 1 V 1\.. f ?
e n"o ? )alqlen t. "'1,\,))1 \¡(' 1 ¡' , .. ' >'» 't iiVflT ? 1T» ' \Ç1 V. 3 . 1 V 1\.. f ? L'étude,, nosographique
méningite. L'époque des règles favorise l'explosion de la maladie. ' - , 152 SOCIÉTÉS SAVANTES. La fièvre ne saura
e siasique, vi-aie de l'eîzcél)hale, 2)a ? cause méca- nique. asa j" ' ¡[I' .s·u ? aille .1 lot s î' ,(I, i«f - > ' *
e méca- nique. asa j"'¡[I' .s·u ? aille .1 lot s î' ,(I, i«f - > ' * ' f ... ' * Traitement. Bains, chauds, avec f
ca- nique. asa j"'¡[I' .s·u ? aille .1 lot s î' ,(I, i«f - > ' * ' f ... ' * Traitement. Bains, chauds, avec forte
que. asa j"'¡[I' .s·u ? aille .1 lot s î' ,(I, i«f - > ' * ' f ... ' * Traitement. Bains, chauds, avec fortes..révul
s., Ce travail : sera- publié in ex- tenso séparément^.] 9b à t"'b1; ' 4,b noj 1 G 9 s t ? Vc ( La discussion,¡qui'; s
s'agisse de la manie ou de la mélancolie. 'b hl tu 'f i ? '1" » 'TI ' "l' < 3° Von VOIGT.'Sui* le délire d'épuisem
emblement généralisé, tremblementfibrillaire de la face, titubation, ' troubles légers de la parole, violentes'palpita
rée que le délire alcoolique. .. p </ u > ? 'u* i'T» -* > ? ' " 1 - UI \ 1 f )'c : ¡. l1T 111J ? l'Q, ),1,\ Il
fébriles aiguës graves. (Allg. Zeitsschr. f. Psych. XXXIX, 6.) . , ' " " P. Kéraval. 154 SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉT
urnalières et enfin' en leur substituant, du^chloral ; il éprouva." ' des 'phénomènes, réactionnëts violents, mais' s
(0,0 ? à'Ô,U'centiar.)'et de'nioüôbrôlriûre dé camphré (0,50 cen- ' ? ? -. -1, - . Il il ? "1" ! '"1111 .t : 1 r9 f .
nioüôbrôlriûre dé camphré (0,50 cen- ' ? ? -. -1, - . Il il ? "1" ! ' "1111 .t : 1 r9 f . a tigr.) conviendrait parfai
e. Il en fait inhaler chaque jour aux malades cinq à dix 1 grammes ; ' la narcose qui suit n'est que de courte durée;
'apporter à la prochaine séance les résultats de leurs expériences. ' Les discussions ont été alimentées par MM. Neum
lter, Kalllbaum, ICleudgeu. (Allg. Zeitschr.]f. * Psych., XXXIX, 6.) ' P. KÉHAVAL. i r <",1 valu ir,lciat iiU n B
u ir,lciat iiU n BIBLIOGRAPHIE t'i'<;i.t..lu1 ? tf - ? \- ,\'1\ ' \\ HfOSf l\ . I. HI'STEItO-NEUROSliS (The patlto
glais par Poupines et TnoiNoT. Paris, Lauwereyns; édit ? 1 l 883. . ' ' 11L If 1.'1 1 L'étude des maladies de la moel
ais par Poupines et TnoiNoT. Paris, Lauwereyns; édit ? 1 l 883. . ' ' 11L If 1.'1 1 L'étude des maladies de la moelle
? 1 .... dUlsant cet ovragf'. \.11 : ) " , , ► , .. - CB. I ? j - ' 4 f.J ,,J9 ? r i : " 1 1. l' III. La porencépha
ous n'en sommes plus ! à J'époque 1 où en présence d'un sourd- muet, ' d'un idiot, on se contentait de formuler l'expres
dre ? que la'pneumonie. Il en est ainsi pour l'idiotie. Ces grandes ' mutilations pongéniales ou précoces ne sont que l
alie en évo- lution ; une porencéphalie en'état de développement ; " ' .' 1 céphalie compliquée d'hydrocéphalie; une'p
es zones régionales atteintes. Le siège de la porencéphalie était : ' ' ^'V'" 3111Hu"q, ' siège de . i l , i "ü eu 1
zones régionales atteintes. Le siège de la porencéphalie était : ' ' ^'V'" 3111Hu"q, ' siège de . i l , i "ü eu 1 q
atteintes. Le siège de la porencéphalie était : ' ' ^'V'" 3111Hu"q, ' siège de . i l , i "ü eu 1 q J ! I02 . 2fIG1;19
'" 3111Hu"q, ' siège de . i l , i "ü eu 1 q J ! I02 . 2fIG1;19'· ? " ' .t ., - tMi dl )lfT.6.P <"l1* ai. En 27 ca
l )lfT.6.P <"l1* ai. En 27 cas, le domaine de la sylvienne ? p ? ' 10' 3 de l'artère cérébrale ^antérieure; ' 1 .
ne de la sylvienne ? p ? ' 10' 3 de l'artère cérébrale ^antérieure; ' 1 . 5 - ' '* ? postérieure; , ' 4 un territoi
vienne ? p ? ' 10' 3 de l'artère cérébrale ^antérieure; ' 1 . 5 - ' '* ? postérieure; , ' 4 un territoire non' 'dél
enne ? p ? ' 10' 3 de l'artère cérébrale ^antérieure; ' 1 . 5 - ' ' * ? postérieure; , ' 4 un territoire non' 'délim
de l'artère cérébrale ^antérieure; ' 1 . 5 - ' '* ? postérieure; , ' 4 un territoire non' 'délimité 'parles autenrs;
arles autenrs; ''J *» 3 les lobes ironiaux; 1a- : zit : cz 2 si » z ' > * 5 la région de l'insula et son pourtour;
de l'insula et son pourtour;- " ," -n 5 du sillon de Rolando ? ? ' 12 la convexité des hémisphères; ,. . 5 les lob
mplement dans leur siège à la surface du cerveau et dans leur forme ' qu'explique le haut degré de développement du p
e fréquemment accompagnée de contracture ; 7° les processus acquis' ' pendant la vie extra-utérine, en général plus r
. KÉRAVAL, - - '1" t ¿-.il 'f i, 1 4 If(·u Jiiub -110 i .t i .j . ' ' s1 ? uo q }6... ' .it . · INDEX BIBLIOGRAPHIQ
KÉRAVAL, - - '1" t ¿-.il 'f i, 1 4 If(·u Jiiub -110 i .t i .j . ' ' s1 ? uo q }6... ' .it . · INDEX BIBLIOGRAPHIQUE
t ¿-.il 'f i, 1 4 If(·u Jiiub -110 i .t i .j . ' ' s1 ? uo q }6... ' .it . · INDEX BIBLIOGRAPHIQUE ! » > <«'[&
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INDEX BIBLIOGRAPHIQUE ! » > <«'[< 1 . 1 1.1 jI'-j"1U'4 -UL ' J Il J 1" f" 1 ,1f,I'¡t, Il P Ii. Le délire c
athogénie du crétinisme ; par VERDAN. Thèse de Paris, 1883. , 1 , ? ' Il De l èlongalion du nerf nasal externe dans l
is, )883. ,, . ? Il ..1 Antécédents et causes dans la maladie d6.Pa) ' /tM ! SOH;par LmnoNDEL. Thèse de Paris, 4883. ,
e diabète 'Pill ? 911f Thèse de e Paris, 4 883. ,'1.. 1 /, ? df ! . ' De l'élongation nerveuse dans l'ataxie et les a
goitre exophthalmique chez l'homme; par i BoHnesbE. Thèse de ) .. . ' HJH ? &t'( '.0 . larls, 1883. ' t ? b "(hl
r i BoHnesbE. Thèse de ) .. . ' HJH ? &t'( '.0 . larls, 1883. ' t ? b "(hl ,J ? . H'l»3' «-'Il . ' . '....l'1
? &t'( '.0 . larls, 1883. ' t ? b "(hl ,J ? . H'l»3' «-'Il . ' . '....l'1.JJ11') '-Il FAITS DIVERS Société
héréditaire se montreront, dans le développement de leur délire, ' essentiellement intermittents. Il ne faut point l
UTION A L'ÉTUDE DES NÉVRITES PÉRIPHÉRIQUES NON TRAUMATIQUES [Suite] ' ; Par MM. A. PITRES, professeur il la Faculté de
oche. A ce moment de la vie, comme l'ont établi tous les médecins ' qui se sont surtout voués aux maladies de l'enf
nt qu'à continuer leurs études et à s'acquitter de leurs devoirs. ' On a remarqué qu'une seule de nos observations co
, une des formes de cet état. Grâce à M. Charcot principale- ment, ' nous avons eu l'occasion d'étudier bien des fois
la coupe de l'hémisphère gauche (sain). ItLCUI : 1L I)L rall'l'S. ' aussi quelquefois pour l'étude à l'état frais.
ait plus, et le corps de la cellule était formé par un entrecroise- ' ment de lignes courbes, vivement colorées par l
é- faction des noyaux au point de fermer la lumière du capillaire ' dans certaines parties; prolifération de ces noya
res, avec présence de noyaux libres dans la trame de la névroglie ' ')' 1 Le fait que nous indiquons ici est sembla
s, avec présence de noyaux libres dans la trame de la névroglie ' ' )' 1 Le fait que nous indiquons ici est semblabl
avec présence de noyaux libres dans la trame de la névroglie ' ') ' 1 Le fait que nous indiquons ici est semblable
t limitées sur un certain espace de la substance grise corticale. ' M. le professeur Charcot, qui, avec sa bienveilla
tées avec celles qu'il a décrites pour la première fois, en 18721, ' , sur les cellules des cornes antérieures de la
Traitement des accès par l'acide sclérotinique. État de mal. -Tempé/ ' [tt1l1'e élevée.- Amélioration.- Broncho-¡Jnell1no
s, T. 42°; à I heure du matin, T. 42°,2 ; il 3 heures, ·1·, 4.o°,ü. ' 2. zut. R. 42°,4. Dans la journée, 199 accès. L
éro-postérieur de la calotte crânienne = 17 centimètres; transverse ' ! 4 centimètres). Rase du crâne symétrique. Liq
ation cancéreuse sur la grande courbure, au voisinage de la rate. ' Observation IX. - M. Vincent (Compte rendu de l'A
aliments presque sans trituration. Il avait moins de quinze ans. ' L'existence de la voracité, très nette dans le ca
de M. le professeur Brown Sequard, rapporté par M. R. Blanchard. ' Gazette médicale de Sie,asboi4-g,' année 1870, p.
rapporté par M. R. Blanchard. ' Gazette médicale de Sie,asboi4-g, ' année 1870, p. 123. DU MÉRYCISME. L) 5 7 Obse
maux ruminants. (Dictionnaire en soixante volumes, art. Mérycisme.) ' Nous avons vu aussi le mérycisme apparaître à l
evant l'Académie au nom des faits, de la morale et de la légalité.- ' E. Chambard. " II. Des rapports DE la démence p
servation de 1\1. 1 Snell avaient eu antérieurement la syphilis. La ' rareté'de'la'paralysie générale chez là femme,' r
ent la syphilis. La ' rareté'de'la'paralysie générale chez là femme, ' rapprochée de la bien moindre fréquence de'la s
traîne l'intervention du médecin-conseil- ler (LftHesstH ! /M<6') ' (/t). Voici dans quel sens ce dernier rédigea son
constituent autant de facteurs additionnels d'irresponsabilité. '- ' '' P. K. , r. ' ' ' IX. Contribution A L'ÉTUD
t de facteurs additionnels d'irresponsabilité. '- ' '' P. K. , r. ' ' ' IX. Contribution A L'ÉTUDE DE la sensation
de facteurs additionnels d'irresponsabilité. '- ' '' P. K. , r. ' ' ' IX. Contribution A L'ÉTUDE DE la sensation se
facteurs additionnels d'irresponsabilité. '- ' '' P. K. , r. ' ' ' IX. Contribution A L'ÉTUDE DE la sensation sexu
'sion'dù sens génital); par Sterz'. (Jahrb. f. Psych., III, 3.) . t ' \ ' Le fait rapporté en détail dans cette note n
on'dù sens génital); par Sterz'. (Jahrb. f. Psych., III, 3.) . t '\ ' Le fait rapporté en détail dans cette note n'aj
e exaltée avec hallucinations (hérédité). C'est surtout à la fièvre ' , au sens de M. Fritsch, qu'il faudrait attribuer
? q Jd Il'1 i gup oloyplo .oiiiiJôqlRg ni oh '1U81' p ! IJ( ! 2C1J.;[ ' ait ! Et gb aGOqo1'l «non ji noilchirino .nI J;
1[9 ,()hoq rl .9t, sdk'1 V<\7 ! 3'H ? U" "h f'r)[) ? )trf) b'H'.) ' )'t ! ? )'\ nh ;.r,r, rtr; tt ? < ! xi Quelqu
rl .9t, sdk'1 V<\7 ! 3'H ? U" "h f'r)[) ? )trf) b'H'.)')'t ! ? ) ' \ nh ;.r,r, rtr; tt ? < ! xi Quelques observa
rvent de justification au rtravail de' e > M. Haase. Il prenait' ' ¿ ! lez ces n{'a]ÜdessJa 1 ted1peratÚl'éIJ IhaLIll
soW."Ÿ oi'cÍ ! lésnëÓi1'èIÜi'ns¡jiiú(il\ëlleslil JcsLf' aI'J'rvê , : ' ]'ag./[¡iliÓn - He maniaques 'est. tH ! ijJu'rs"
eJés CTaliêYi'6';P aM Ii.)éq( sent l¡¡j"ij'pc''l ! l'e¡;ffi'iri\/er ' ¡hWrsWttJblp8].¡ÜtriJè 'f)Yà'thYarel plüs 'C-IeJé'
clll q) ! e'ia'ië]Hp6ratLfropé'r ? p'eh'danf'lei ? m'es ? s "Jn9V ! ' "<)' il ? \--1.(" d'l,d" "U' JI ,,1 ? 'dit ?
q) ! e'ia'ië]Hp6ratLfropé'r ? p'eh'danf'lei ? m'es ? s "Jn9V ! '"<) ' il ? \--1.(" d'l,d" "U' JI ,,1 ? 'dit ? io ? il
s eux 01Jef\'il IOn ''qÛi''6ntf l'il ! . , Il me lInc e cOlice 'l1clh ' u ? ? c'th'M-nnque''as ? cp'b'c[a'&]&L(
ôlifi'rijin .olinônôi; ? dj n ? ) K ? j j/ nu moq aoJ)U.nn''J ! n ; ' {IfI¡¡j"fI(]'l1¡" ? 9ft ,lnoi(i'd : .h.'l 'j'u))ij
''J ! n ;'{IfI¡¡j"fI(]'l1¡" ? 9ft ,lnoi(i'd : .h.'l 'j'u))ij;.nt) : ) ' )mnt GlU ? IlILH j; "II ? J')JI'In : mJJ b t il
<;g')Jr.tn ? (J ? .3b)u[u3't')n)o')Ju ! i,sJt)). - .l'1'Iilw'l S; ' (`G j L J T` L o ? 4 r i r A r l , T , L ,i S 'l !
r A r l , T , L ,i S 'l ! 'jvunq '1fIf)'j unifr·j alit")\{pl;JI} ,h, ' ",M/iJ ? )'Îd'c : 1f1lJ1JJ\ 'wcoÍm1 ciJli¿ .f.noq
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1 : 'Illtlpl'l,9f1 ou B b'otdl;'b s-))j0f))ûj noid'ODjdq oa hsc¡;r') ' ,1 .rua il.2 un .1(, - ofnfftSCi.ËT MI : ,L11GOP
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¡ f : : ca1/¡;e \lu';¡ : J nan 1 83. - Présidence de M. Motet. , '1 ' ' ! lob ./IUII 1"11 11111, mJ .îr. ? III 'I.,r;
f : : ca1/¡;e \lu';¡ : J nan 1 83. - Présidence de M. Motet. , '1 ' ' ! lob ./IUII 1"11 11111, mJ .îr. ? III 'I.,r;] l
' ! lob ./IUII 1"11 11111, mJ .îr. ? III 'I.,r;] l lit) loi ? l'IOIf) ' /fi ) o .. , , , «mm '4' Í' "L¡ : rll,l¡lI" rrfl
candida- ture» dtlr'ili ? 'll : nr ? ¡l ! i 'C'sL¡J/iblhrHéÎ'bë//I]\ ' (jlllllil¡'d¡'cJâh h't'IS'O({ : éllf, M,- MÓgrJd
-qe' h'it ? lUx ? defHi'staClte dIPÍ1cr : ¡1 IJ SlIltltdll' : J"P. ' )11'1 ., 9f1/f S'J1118 , ! j',r.I'1 fini xI Il 1
lité. Et alors l'expert ré- pond, sans froisser aucune susccptibité, ' car chaque fils d'aliéné qui l'écoute pourra di
à celle dont il est ici question.. (B.) . SOCiI : I'1 : S SAVANTES. ' ,275 SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES NERVEUSE
tion dès cellules pyramidales' et déchéance de leurs prolongements. ' l ? ' M. Binswanger présente un' cerveau 'attei
ès cellules pyramidales' et déchéance de leurs prolongements. ' l ? ' M. Binswanger présente un' cerveau 'atteinE'dè
aboutissant à la nécrose (préparations' microscopiques' à l'appui). " ' t. , 1 1 dlHI ,) ? 1'-1'\ t,1 311 ici t' ; 7UJ.
11 ici t' ; 7UJ. If" 11' f : i , .' p.' "I(¡'1.t Iv rrr....m nn l't' ' (('l'O tV ? 1 ' (J'. '1 ? ,1 tIf UO Séance du 13
. If" 11' f : i , .' p.' "I(¡'1.t Iv rrr....m nn l't''(('l'O tV ? 1 ' (J'. '1 ? ,1 tIf UO Séance du 13 mars 1882 ? Pt
1 ? Il 1t.Jb.. A " itr1 I 1 i· r yr i 'o l.n , y ! ) ",fr., n1o 'rq" ' ) ? f4, v·,ltt ,.>>, ? > M. ilOLn,p1'é
ilOLn,p1'éSeT' 4e des préparations de la moelle cervicale, d une f ' 1 t« .'j'i " T,. f. f ! , , ...... ? l' ,ï ,' 1 '
le cervicale, d une f ' 1 t« .'j'i " T,. f. f ! , , ...... ? l' ,ï , ' 1 'llL ¡ f il lemme morte de myélite atgue. Voi
: l ? f ? ff 1(,e(fTlf'9o. ? if ? h X P : J1.qiJ ? i,, i ? ? ? i . ' kl., id., tL ? i3. .mIl9m lai IP5 h m"h » ! » ..
lacés a bien pu exercer une influence sur le. réflexe rotulien. , , ' \ " . t . Il l ? r ? 1 Discussion : M. Reoat : d
ns qu'il existât de modi- fication dans la forme des convulsions.1' ' > " UJ Inl ? M ? , , ? IH, 4)11'1 ? Itl 1 1
e ... ? 1 ? 1 .. , d.1.1 .JU donne lieu à aucune discussion ? , , ' ,r ? J , M. GN\ucxqirend la parole sur les rapp
conde ? il'ne voit aucune raison de rejeter les idées de l'auteur ? ' ) il z 1 l 1 · SOCIÉTÉS SAVANTES. 277 M. Westp
SIDCNCE de M.' \\'ESTPIL1L1 '' , j;pr7 i,·1 )J. · 11,' : 1, -\ r 'l ' ' >' n ,T' u : i l "f r\L'lfoeli : Remarques
DCNCE de M.' \\'ESTPIL1L1 '' , j;pr7 i,·1 )J. · 11,' : 1, -\ r 'l ' ' >' n ,T' u : i l "f r\L'lfoeli : Remarques s
sur l'examen de la réaction des pupillts. (Publié in extenso 2.) i ' ? 1 Disi;usion : MM. Sander et Reinhard pensent'
son directe de la diminution de l'élut 'b 'de" 1111'J J, 'Ir')11 f- ' ' T'oi ? t'" ' . n 1 t i ,J Analysé aux Revues
n directe de la diminution de l'élut 'b 'de" 1111'J J, 'Ir')11 f- ' ' T'oi ? t'" ' . n 1 t i ,J Analysé aux Revues an
la diminution de l'élut 'b 'de" 1111'J J, 'Ir')11 f- ' ' T'oi ? t'" ' . n 1 t i ,J Analysé aux Revues analytiques., ;
n 1 t i ,J Analysé aux Revues analytiques., ;11 ," 1;, III '11 ,, . ' 2 On en trouvera l'analyse aux Revues analytiqu
s chez ceux dont la réac- tion pupillaire est indiquée comme nulle. ' M. Mendel fait une communication, accompagnée d
s de servir de régula- teurs aux mouvements et l'attitude du corps. ' ' . .... j. t J po 1" ,J , - 1 r . w l ` u ,
de servir de régula- teurs aux mouvements et l'attitude du corps. ' ' . .... j. t J po 1" ,J , - 1 r . w l ` u , ,I
exemples topiques sont'relatés à l'appui de chacun de ces groupes. ' ,- - . JO L'heure avancée contraint à remettre
e avancée contraint à remettre la discussion à la prochaine séance. ' rr(jjt1lh ri iqw ! wa( HWi ,·n r t l(iJ) 1 Jf '1
DE M. Westphal. ? IJ 1 -* ? «.. " ? I , , . r ? . U.I'J i ? Î0'I ? " ' (H)'. 'f 'f' "'¡'-If 1 "If' *' ." « 1.' M. Sewro
? IJ 1 -* ? «.. " ? I , , . r ? . U.I'J i ? Î0'I ? "'(H)'. 'f 'f' " ' ¡'-If 1 "If' *' ." « 1.' M. Sewron rapporte un c
«.. " ? I , , . r ? . U.I'J i ? Î0'I ? "'(H)'. 'f 'f' "'¡'-If 1 "If' * ' ." « 1.' M. Sewron rapporte un cas du trijumeau
1> /.»,» ? -Il-- . : t,9 ? Iqf.9t 1 1, , Il' 1'1"1 lie, 1. In r ' "1,' .\l"p- 1 11 '.tfo"H'11 1- : 1 1 A, ! alysée
rJ nlaYaÙJJ'àn'ÙiW¡,jè\ir vu de ,sè'in- 'J blable, 'J Mf.1 Sr.l)iùl{ ' ¡lépo1Íd ([Ie',I.dlIh' la béiièsh;rl'iiltbiçati'b'
r 8 : : 1'101 ¡;l anJ3D f10dJJnimib 9' ! 9M 9JIJJ 12GIJ £ Jn9Jn2è'lfl ' /9 o1 .slijit t)Up e Séance du 1 \¡ déCèmbre A
,à,contours nettement accusés. Uni examens ultérieur, dé- . ,c è le ' ) uIl"e.r.'pa11alysi eL pl'og ! 'e ? ive (,éï} den
el pai'iFùrs.tnei'j chez les paralyiques;énéraux ! 1 -.smsu'o5 : oi`1 ' \ ? AÏ ? WHR\)'CKË'')'apport6 lbJf'ailflll'uIÍ'pil
môme celui d'hémianopie, le sens reposant en somme sur l'emploi de ] ' privatif. (Arch. f. Psych. ts. 11'eruenh., XIV,
1 l , » 1 1 SOCIÉTÉ PSYCHIATRIQUE DE 13EIlLliN . 1, , , 1 . ir ' I , iItlSCunce du la juin 183 ? . , ' > i
13EIlLliN . 1, , , 1 . ir ' I , iItlSCunce du la juin 183 ? . , ' > i f , .. , , , ., M. LOEun' : cn sa qual
oisi de nouveau comme président, M. Bérnhard' est nommé secrétaire. ' 4 '' 1 il , u ' ' ' t ' M. Loehr prend la parol
comme président, M. Bérnhard' est nommé secrétaire. ' 4 '' 1 il , u ' ' ' t ' M. Loehr prend la parole sur l'examen d
mme président, M. Bérnhard' est nommé secrétaire. ' 4 '' 1 il , u ' ' ' t ' M. Loehr prend la parole sur l'examen dan
e président, M. Bérnhard' est nommé secrétaire. ' 4 '' 1 il , u ' ' ' t ' M. Loehr prend la parole sur l'examen dans'
ésident, M. Bérnhard' est nommé secrétaire. ' 4 '' 1 il , u ' ' ' t ' M. Loehr prend la parole sur l'examen dans' les
en somme la même que' celle' traitée à la séance de'décehibre'1881 ' , ainsi qu'au Congrès des alcénistesallemands (L
us nous contenterons de reproduire les conclusions de l'auteur : '' ' io Quand, dans un cas douteux;'il sera nécessai
,e ? d';tutle- cultivés . les suffrages' d'autres Etals cultivés;1' ' ''1 ? \ .' 4" Tant qu'il n'existera pas de cons
;lJ \ 1 . : ,t d.. 10 -fol, ? ¡UIJ .. fil " a combler. ? *H..q u' t ' ! - t>i , , iii-"< , mu "i M. MENDEL comm
i-"< , mu "i M. MENDEL communique à la .Société un raitt,de"l)({) ' (IUsico pro- ! l ? sÏ1JC des aliénés., s'agit d'un
de la pupille, liuit ans après l'occurrence des un, t4 1 >.' ? » ' ,l' t t Al'chil'CS de Neurologie, t. VI, p. 139.
lle; le cas sera publié in 1t ? SO. ;.iH..\ ? 1\" \ ,{ " ,,1 ? iJ 1 ' (1' . , Discussion : M. J,\STIlOW1TZ met en lum
que du cerveau. 11 ne tend pas à admettre que la paralysie générale ' procède d'une .encéphalite parenchy;nateuse.'J
gt;l" j 7 ? "fi t. 1 <<"\ : ;00 ? o £ >'jt'1.....f"( 1J t = ' '1h ." ,"' ' t M. Mendel est d avis que la rema
? "fi t. 1 <<"\ : ;00 ? o £ >'jt'1.....f"( 1J t =' '1h ." ," ' ' t M. Mendel est d avis que la remarque de Gro
fi t. 1 <<"\ : ;00 ? o £ >'jt'1.....f"( 1J t =' '1h ." ,"' ' t M. Mendel est d avis que la remarque de Groefo
C il 'd'autres états de la pupille qu'à celui de ô'n '1'cils." Bien, ' que l'on ne puisse admettre, dans l'espèce, une
s deflar,poudre c d'iodoforme : (Allg. Z(;itsler. ? Ps»/g71ï;iXXX1X; ' ji : )q, 3t,n1 ? : lia.w.ar.. - ="tf : : 1;16 n
.. - ="tf : : 1;16 nl 'Ji ! ¡jf : 1 'u 11 1" <1') .')111111C,1'1 ' ¡¡;r¡ 1,'}',1')fl1' 31 ' ! J ? tb 'n't ' ! » ? O
: : 1;16 nl 'Ji ! ¡jf : 1 'u 11 1" <1') .')111111C,1'1 '¡¡;r¡ 1,'} ' ,1')fl1' 31 ' ! J ? tb 'n't ' ! » ? On en' trouv
'Ji ! ¡jf : 1 'u 11 1" <1') .')111111C,1'1 '¡¡;r¡ 1,'}',1')fl1' 31 ' ! J ? tb 'n't ' ! » ? On en' trouvera l'tinï<
11 1" <1') .')111111C,1'1 '¡¡;r¡ 1,'}',1')fl1' 31 ' ! J ? tb 'n't ' ! » ? On en' trouvera l'tinï<Isé aux Hevues'
» ? On en' trouvera l'tinï<Isé aux Hevues'Maiiques ? >(JI" 'II ' )i' inl amii'ii'iiinr, 2l1pfJ6't' : mdo ; : 9' J
' inl amii'ii'iiinr, 2l1pfJ6't' : mdo ; : 9' Jrob 91hfili>i.i "1 ' > ''r ni' I mt' - 'til3J> aJs Jï(·a" ir,t
,inniJrl.'nr 'f ? Iclr.li't%1r ob v v Ii'iip - - ? - HI'h', = ! on ? ' ,'10/ - r.f3 & ! ) %'JUrlJfl.)') ub flOiJ·
Ii'iip - - ? - HI'h', = ! on ? ' ,'10/ - r.f3 & ! ) %'JUrlJfl.) ' ) ub flOiJ· ? (" n'rl ><>un\ loi ,01, 1"(
i, J11'ltrl'JU nul llir'l'l9j 1 ! If '11l' In fIIIIIBJtIrrJ '1'}IG') ' ¡ "l'l'1'(l 2110'r6 ? ! J.. ? ) ? ...nJdj;f101j.
,. 119 "'lll' ilJitrl'mit, IW : Iftrr'1 un ? 1¡''41 ? "'<)'.1 91 ' )j¡¡b nui ? 19 ,,\1 )t' ! t nu .tJ( Irncrw l, ?
ni 'J ! -IoCl' ! lO(llJ) ol '11'1 ? illl'fll : ,.1 ¡,i6h[ »<> ' ¡¡"IIIGh'ni" ''ilooiinb ? 1°f¡ -hlki111Jiwi 9'iJâ
ni" ''ilooiinb ? 1°f¡ -hlki111Jiwi 9'iJâ 1.1"'PlI'l G111111"1oJ-ol , ' [j[(j61h lmom. l'ilou jWc;lb ou\, 0') i,l itu . :
[(j61h lmom. l'ilou jWc;lb ou\, 0') i,l itu . : rntlt, -. 1TVD 'J ? ' *'<" i I ! '1 t £ 1 Il 111....1 · mlrl I t1'
11....1 · mlrl I t1'" 1 titi -1 1.11 ? Il I- 111-d '-l" i t,.n "ini ' nti ' u, ? '11J1'((1 "....u'JIJ ? fI ! IIIJ l '11
1 · mlrl I t1'" 1 titi -1 1.11 ? Il I- 111-d '-l" i t,.n "ini ' nti ' u, ? '11J1'((1 "....u'JIJ ? fI ! IIIJ l '11h'l ?
JIJ ? fI ! IIIJ l '11h'l ? -dtlf : - .o' .. TI) ! , "\1 ! · I ? '.d't ' )f. un ,/1-1 . - '. ,1L.w,\-" BIBLIOGIi 1l'Htt .
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't - "to .1 . u fayJ, I J : aoutJr.rr,y ? 1 ytm'. ·J a -ttul·nu·r r ' .ctJ.tr · ,bm. t fl j¡'IHIl I 'S "'uÍJJ;[.&
ions scientifiques, i 4583.)1 iiIK 9"p ¡ ? Ild' Il J Hl si 1..Il : \ ' \, \ ? ( ? 1\ 1 m , ' ¡IÔ3 Ill' 1 il 41;, mtl 9-
4583.)1 iiIK 9"p ¡ ? Ild' Il J Hl si 1..Il : \'\, \ ? ( ? 1\ 1 m , ' ¡IÔ3 Ill' 1 il 41;, mtl 9-niiHiquq nolJj.li.lib e
oute ,1a, rigueur .des, procédés (IW ·1 p·W I|I1 ? U. l.l .il-MJ. I ' llJllli U ., Iitillu0,S. lii.T.j'/ '...,» V sci
ifiques. Dans cet examen, nous, n avons pas, invoque,]es ga- 'III ? ' 11"'11 Il 1 ILlj1 ? l'HtjiJiv ? UIU ? 1 ,.IL [l
olennel de la canonisation et le caractère divin elè .rEgHe 4,q,n,t ' },lé.r ? dt¡ritJt,mltml ! rl1.; J .ovs n avons p
une incontestable authenticité; procédé très légitime ce- ( pendant, ' ) employé l'avec beaucoup 'de"succès ? dans ce geh
et-idc remonter , avec, certitude jusqu'l'.l;brigineades phénomènes, ' etsil'in'est1 pas rare de voir le médecin, par
bien l'action d'un être supérieur, étranger à notre monde visible. ' « L'hystérie, dans ses manifestations ordinaire
y introduisent parfois par l'immixtion de phénomènes hypnotiques. ' «'Après avoir ainsi déterminé la nature de cette m
eloppement au récit des événements qui ont rempli sa vie. 1 i. Ifl ( ' . 1 JI .. i Tô ! « Ces faits nous ont permis d'
la névrose hystérique.' l' - .. 1 .1/" « Au début de notre travail, ' nous avions déduit de l'observation expérimenta
la surprenons jamais en défaut dans sa descrip- tion des faits. , . ' « Pouvons-nous en dire autant de l'interprétati
e1'l1\in'àlc delà forme aiguë pernicieuse ; ? 3° ]es7[t/('op)s : cs, ' soit'dans le tissu cellulaire sous-cutané; soit
üü abaissement de fccclivité réz'cale ? 1" h hnui·ly , ? CX ? J " ? ' '"Quant à" la1 nature' de l'affection', l'auteu
baissement de fccclivité réz'cale ? 1" h hnui·ly , ? CX ? J " ? ' ' "Quant à" la1 nature' de l'affection', l'auteur ,
? 1 il'a vu aussi que' les1 muscles 'atrophiés^ étaient1 infiltrés ' d'élé'l1eÍ1Ls : ' IÍÍbr;o ! ¡ naires avec augme
que' les1 muscles 'atrophiés^ étaient1 infiltrés ' d'élé'l1eÍ1Ls : ' IÍÍbr;o ! ¡ naires avec augmentation du tissu c
avec augmentation du tissu conjoriëlif,ur eC''¡3'll' conclut qu'ils, ' étaient`le`siége-' d'une' inflammation "aboutissa
des celtules'des'cornes'ahtérieuros'qu'il'a trouvée1' dans un cas, ' la regarde comme secondaire. D'ailleurs, l'aspe
' de' la'' maladie ? il''y a' diminution''de l'excitabilité ,. , 'f ' ) 1., ')' -el' l'" J't"I1- Hql Il ! lIt'" .1" il
a'' maladie ? il''y a' diminution''de l'excitabilité ,. , 'f ') 1., ' )' -el' l'" J't"I1- Hql Il ! lIt'" .1" il électr
' maladie ? il''y a' diminution''de l'excitabilité ,. , 'f ') 1., ') ' -el' l'" J't"I1- Hql Il ! lIt'" .1" il électriq
? dll,J i'^VH1-' troncs ne1'vOLIx'etldO.s muscles 'il là pressIOn. ' , Aitciuvrs, l. VI. HJ 290 BIBLIOGRAPHIE. .
nouvelles acquisitions sur la rage; par Roux. Thèse de Paris, 1883. ' ' Des paralysies, névralgies, troubles trophiqu
uvelles acquisitions sur la rage; par Roux. Thèse de Paris, 1883. ' ' Des paralysies, névralgies, troubles trophiques
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IAIICOT et Cn. FËRË. Décrites pour la première fois par 1'un.detous ' , les affections osseuses et articulaires des at
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fehr. ISSU.) On the affection of boues and joints in /OCOM ! 0<0) ' ataxy and ils association tcillt gailric criscs.
Vaillant rapportent un cas d'arthropulhie île l'articulation mftaca) ' ))0-))ha)augienne de l'index droit chez un atniyue
l médical conyress. London, 1881, t. I, z. (R<'t7 ? ('t<.yoi;) ' ) : ,a ? rit 183 ? p. 772.) AFFECTIONS DU PIED C
yphilis. Elle s'est mariée à dix-sept ans. Un an après tout au plus ' , elle commença à avoir dans la tête et dans 1 M
técédents héréditaires l'existence d'une tante et d'un oncle 312 ' CLINIQUE NERVEUSE. maternels aliénés. Elle-même
1;> -) lation. Du côté gauche, le condyle externe semble porte : ' ).).). fois en arrière et en dehors; mais le fém
...,- M CJ . Ma . , -ils Cî U f U S 5 S ils g U P 3 ' " 11- n - .J U,¡ ? U J o : : J o : : J fI'
31\1lIIIsell\\elg", 1856. Darwin. - 7'o</)'j/tL/teS ? eei ? : ei, ' liicules, dans Cosmos, t. le" : Sï7, lt. 7 i allu
(Gcnzserz's IlmzclGttclz,. n Tuiuu. - llectte plulusopktqtte, t. I« ' , I S7G. 1 Lulislt. - Ë;tci( ? i(H ? e4'c/tiC/t(
" Preyer. Psychoyenesis, clans Deutsche Ittuzclschtur. 1Un t8S0. ' » il»'o 6"unonovicli. Observations sur l'acquisiti
n par les considérations suivantes. Les con- sonnes linguales (t, n, ' et aussi s) résultent de l'appli- cation de la
tion inquiète par les mots : « Je n'ai jamais eu de chance» . 31O ' CLINIQUE MENTALE. A vingt-six ans, le délire s'
mala- die ; l'hémisphère droit répondant au côté gauche dis- 312' ' CLINIQUE MENTALE. posé à la joie et faisant pre
ste Jean Bodin, d'Angers, dans son ouvrage sur la dérnonorna- nie ' . Il s'agit d'un personnage qui. après avoir pe
plus fréquents, plusieurs accès de délire toxique, s'accompagnant ' l3odin. Angevin. La démonomanic des sorciers, CIO
tées avec beaucoup de détails dans le bel ouvrage de M. Paul Richer ' , on agit successivement sur l'un et l'autre hém
Ilitzig, Reicheert's und Du Bois Iteynzond's Arch., 1S73- 1874. " ' 3 rerrier. Des fonctions du cerveau, Paris, 1878;
'inverse qui se produit, les images visuelles font les principaux ' Magnan. - Apltasie, surdité des mots ou surdité p
s dies erst in der Hirnrinde SescUiet. » 1Prag. F ! p)'<e/y'C[) ' /t., Bd. 11,\ und 142; Separatabdruck 1879, p. 157
r LeitulIg'slhlhllPII im Grosshi1'l1 des I\lclIschell. (A¡'c/¡iv fÜ¡ ' Anatomie und Eiitwiekelangsyesliichle, 1 88 1 .
, Circonvolution centrale antérieure. Se. Il., Scissure de Rolando. ' C. c. p., Circonvolution centrale postérieure.
dans les quelques au- 1 Voir le nu 16, p. 86, et le ni 17, p. 247. ' DU MÉRYCISME. 377 Î topsies de méricoles qu'o
bandon de son amant la rendit comme folle pendant quelques semaines, ' mais elle ne fut pas enfermée. Une tante maternel
ns précédentes, ainsi que dans celle que nous allons rapporter. " . ' 0) ! SKnv\noN XXXI. Idiotie; épilepsie. Mérycis
position de fibres dans l'ecoree. (Archives de Neurologie.) P. K. ' II)4 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. culaire qui e
aliénés; par TIGGES. (,Il/g. Zeitsschr. f. Psych., XXXIX, 2 et 3.) ' Ce mémoire traite successivement des sensations
venaient deux à trois fois par mois dans la der- nière année. C'est ' ), ]il suite d'une de ces attaques, qu'elle fut co
hé- nomènes intermittents, s'exaspèrent par intervalles. Pourquoi ? ' ! c'est qu'avec la lésion fixe, immobile ou len
oreille très pénibles dans un cas d'hyperostose du rocher. M. Jou) ' met en garde contre la tendance que l'on a à attr
duellement selon le besoin, et prolonger ensuite l'ingestion médi- ' Nous lui consacrerons alors une plus ample analys
aînent de l'excitation cérébrale, et présentèrent, par intervalles, ' Archives de Neurologie, t. IV, p. 137. ' 'Archi
tèrent, par intervalles, ' Archives de Neurologie, t. IV, p. 137. ' 'Archives de Neurologie, t. VI, p. 141. 1. '' *
moment, on observe parfois une légère rémission. Puis, sans répit ' (30 SOCIÉTÉS SAVANTES. ni trêve, le patient assi
.Jor.r.Y insiste vivement sur le danger d'une em- bolie graisseuse ' , mentionnée par M. Fischer dans certains états
trou- bles mentaux qui se présentent chez un épileptique. M. Magnan ' 1 a montré qu'un épileptique peut être en même
r la pathogénie du crétinisme; par V ERDAN. Thèse de Pa- ris, 1883. ' ' Observation d'hystérie chez un jeune homme de
la pathogénie du crétinisme; par V ERDAN. Thèse de Pa- ris, 1883. ' ' Observation d'hystérie chez un jeune homme de d
gument externe; par le Dr MERKLEN. (France médicale, t. ler, 1882). ' FAITS DIVERS Asiles d'aliénés DE la Seine. Co
e). Les premiers reçus au concours sont nommés internes titulaires. ' La durée des fonctions des internes titulaires
soins pré- ventifs à l'égard des), 137; (accusé d'incendie), 148. ' Ergotisine, 111. Exposition phréniâtrique de
t, 155. Hirschberg, 280. Hollamder, 145, 406. Ideler, 420, 421. ' Jehn, 152, 410. Jorissenne, 98. Kéraval, 95
Kojewnikof, 357. Krantz, 271. Kretz, 265, 429. Kundrat, 156. ' Lachmann, 109. Landouzy, 99. Laura, 97. L
sphère gauche immédiatement sous l'opercule. L. f., Lobe fruntal. ' L. t., Lobe temporal. L. oc., Lobe occipital.
Lobe occipital. Se. S. Scissure de SUvius. Ins., lusula de Ileil. ' V. l., Ventricule latéral. N. c., Noyau caudé
, Noyau caudé. X, Place où ont été trouvés les corps granuleux. , ' 1 ' Archives de Neurologie z ; ,y.l T .VI P
u caudé. X, Place où ont été trouvés les corps granuleux. , ' 1 ' Archives de Neurologie z ; ,y.l T .VI Pl. 1.
urologie. T VI. Pl VU Fier C Fin. l EXPLICATION DES l'I,ANC¡¡[ ' ;8. 159 PLANCHE VU Fig. 3. Coupe horizontale d
. S. f, 1., Sillon frontal le,. Se. pur., Scissure pi-wceiitrale. ' C. c. a., Circonvolution centrale antérieure.
aux, qui se terminent au fond de la scissure de Rolando. t.vrCU1, ' : 11 lluiliosry, lilil-' ? 1g3.
3 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
t))H)t)HnHCH4Ïtf.HSH)- : tt)'t : ! Hy. ARCHIVES DE NEUROLOGIE ' REVUE TRIMESTRIELLE DES MALADIES NERVEUSES ET M
A COURONNE RAYONNANTE D'APRÈS LA CÉRÉ13ROTO,)IIE MÉTHODIQUE (Suite) ' ; Par le Dr P.-A. BITOT, Professeur honoraire
s'en ren- dre compte. Sur la coupe sagittale faite sur le trajet ' Huguenin, loc. cit., p. 106,107. 16 ANATOMIE.
u'on ne pour- rait le supposer au premier abord. La preuve, c'est ' Bitot, Ion. cit. DE LA CAPSULE INTERNE ET DE LA
ement. Bartholin, Flechsig préconisent la coupe horizontale. Pitres ' cherche à faire prévaloir les sections parallèl
st formé de fibres rectilignes brisées, formant un angle rentrant ' Pitres. Recherches sur les lésions du centre oval
? tiLres tlc Grutiolet. f. l. i., faisceau longitudinal inférieur. ' f. l. s., faisceau longitudinal supérieur. ·
e haut en bas, a été vivement combattue par Cayrade et par Vulpian. ' Enfin, il ne faut pas oublier que la classifica
le corps du muscle extenseur commun des doigts (avant-bras droit). ' L'avant-bras droit est placé dans la demi-flexi
- S 5 J g « f y ! z I ·J .2 z V S, U z h 0 V - ' ? ! C . ? .2 S ? C i, « U y c' ii
f 0 3 2 S T) > z M 0 r 0 0 s a Mt / ' /(/. S.- Contracture par pression brusque sur le t
3) : a) La supination de l'avant-bras; b) L'extension du poignet; ' c) L'extension de tous les doigts. Cette extens
l'exemple de cette femme quise trouvant depuis longtemps dans mon ' Bourcevet. Société anatomique (mai 1875), ÉTUDE
solidée, à cal volumineux, des deux os de l'avant-bras droit 2. » ' M. Charcot, dans ses conférences faites à la Salp
Outre cette action locale si caractéristique, il est impossible 10 ' REVUE CRITIQUE. de méconnaître une action à dis
chy, Paris, 87).L(tme<aKot<.')'ap : c dans le service de 3,r. 1( ' professeur Verneuil, Paris, 1877.-La métallothé
nerrosi. Milano 18G9. Ueber dcn 1,,infltiss der illagizetisintis «M/ ' das befruchtcte Ei (alla. Wien. med. Zeit., 187
nische zcochenschrisft , 9881, n° 90.) Les Archives de Neurologie ' ont déjà rendu compte de l'étude que Westphal a
ances relativement assez rares et encore mal déterminées. On a pu ' ? 3, p. 435. 120 REVUE DE PHYSIOLOGIE. voir,
ié de paradoxale cette variété de contracture provoquée. Erlenmeyer ' n'admet pas que le relâchement d'un muscle puis
- sième genre de folie à deux où il n'y aurait qu'un seul aliéné, ' REVUE DE PATHOLOGIE PALE. 129 sans forcer outre
, exister et que, parfois même, elle enveloppe par places. On la ' rencontre chez les sujets de tout âge, sobres ou
pect typhiquc de ces malades semble, en effet, lui donner raison. ' Le diagnostic différentiel par rapport à la manie
lui disant « Jette-la ». Aussitôt il jeta au loin pipe et tabac. ' 3° 11 se tenait auprès d'un des employés de l'hôt
certificat d'un médecin public. (Annuaire de législation comparée, ' )880.) Empire D'ALLEMAGNE. Maisons DE santé. E
n trouve dans le règlement de la caisse de retraite de l'Orne, du 1" ' février 1862, une disposition spéciale qui a ét
e quependant quatre ans. Avait-il le droit à la pension dans l'Orne ' ? Le Conseil d'Etat a décidé la question affirm
vzm.K. Ecreax Qi. littllss £ (nW. - 781 Archives de Neurologie . - ' - T. Il PL 1 Archives de Neurologie. T. II . PL
'une ma- nière spéciale : il faut s'abstenir d'employer l'es- 172 ' ANATOMIE. sence de térébenthine, qui produit av
ation mécanique des mêmes points moteurs amenait des résultats sem- ' blables à ceux que produisaient, pendant la vei
si N ri O ,7 ..a O d " ,*j tû CO " Cp -2 ° - Su ' ? . 3 S s tC ça 'c 'S S rt « ci g « C u;
; t, M g CU - o 10" 180 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Ai3 s S ^ ' · U g ° £ 3 a S 3 " S m 5 " - 1 rt 2 S S
-> 53 2 ^ a ri orp ^ *êô " ^ " o C 3 | .SP oT S .2 Z S U ' E 'S 3 a. § S raz « - 3 U a ~ 11 S 3 o P.
ité neuro-mus- culaire des hypnotisées. Les analogies résultent : ' a) Delà possibilité de localiser l'excitation à
ue sorte le milieu entre les muscles des membres et ceux de la face; ' 3° Malgré la persistance de l'excitation, l'act
gne) dans ses expériences électro-physiologiques sur l'action des ' ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. N$',y
es sur l'action des ' ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. N$ ' ,y} ' ? / r, . muscles de la face, et nous mettr
r l'action des ' ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. N$',y} ' ? / r, . muscles de la face, et nous mettrons e
lui (petit zygomatique, élévateur propre de la lèvre supérieure , ' élévateur commun de la lèvre supé- rieure et de
élévateur commun de la lèvre supé- rieure et de ''l'aile^du " nez, ' q41"'reçoi 'vent' leurs filets moteurs 'd'un mê
uscle, ainsi que le montre les Figures l'et'3 de la Planche XI ? 1' ' Le petit ZYGOMATIQUE''possède'une action bien
I ? 1' ' Le petit ZYGOMATIQUE''possède'une action bien différente ' de celle' du grand' zygomatique. C'est un muscl
de la' pommette 'et une légère élévation de la paupière inférieure. ' ' La contraction tisolé6'du petit zygomatique p
la' pommette 'et une légère élévation de la paupière inférieure. ' ' La contraction tisolé6'du petit zygomatique peu
même -temps, que l'aile du,nez du -même côté [est* un peu-relevée. ' En comparant cette figure à la suivante, (qui r
la première, doit être attribuée au- petit zygomatique. , , - ur ' L'élévateur commun 1 DE 1 LA PLÈVRE' supérieure E
btenue chez notre malade. Dans la Figure 4 de la Planche XI, la , ' Fig. 3. t, î 1 19 Contraction du petit' zygomat
XI, la , ' Fig. 3. t, î 1 19 Contraction du petit' zygomatique.' ' ' Muscle du pleurer, de Duchenne.' - T t d''f
I, la , ' Fig. 3. t, î 1 19 Contraction du petit' zygomatique.' ' ' Muscle du pleurer, de Duchenne.' - T t d''f&l
Duchenne.' - T t d''f<i 1 ) i, t Fig. 4. ! ,r-t 1 Contraction ' du muscle élévateur ,t commun , de l'aile du ne
vateur ,t commun , de l'aile du nez. et de la lèvre sicérieiü·re. ' ' ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 1
teur ,t commun , de l'aile du nez. et de la lèvre sicérieiü·re. ' ' ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 197
n'a pu être'obtenue. t^~A / Par contre, chez cette dernière ma)ade, ' )es muscles dilatateurs, des narines peuvent êtè
cles pairs de la' face, dont nous avons déjà parlé. Si l'excitation, ' tout en demeurant' unique, se rap- proche de la
élicate. Néanmoins, nous pensons que ce mouvement des narines s'est ' inscrit assez nettement sur'notre figure pour e
'on la comparera aux figures voisines' (1 et, 2 de la même planche), ' sur lesquelles le nez est à' l'état, de repos.,
ême planche),' sur lesquelles le nez est à' l'état, de repos., jr ? ' ' "' ' L'orbiculaire, des lèvres répond'aussi f
e planche),' sur lesquelles le nez est à' l'état, de repos., jr ? ' ' "' ' L'orbiculaire, des lèvres répond'aussi for
lanche),' sur lesquelles le nez est à' l'état, de repos., jr ? ' ' " ' ' L'orbiculaire, des lèvres répond'aussi fort n
nche),' sur lesquelles le nez est à' l'état, de repos., jr ? ' ' "' ' L'orbiculaire, des lèvres répond'aussi fort net
bâton' entre les deux lèvres et de' frotter légèrement ! L'orifice ' buccal se 'resserre 'alors avec énergie en ense
so-labiaile allongée tend à devenir réctiligne, la lèvre supérieure ' est attirée obliquement en bas et en dehors, la
t en dehors, la narine est abaissée et moins ouverte.- (Fig. 25). ' ' ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 1
en dehors, la narine est abaissée et moins ouverte.- (Fig. 25). ' ' ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 199
ngulaire, et à peu près à la Fig. ? 5. 1 p p i i du MtMc/e <) ' ! a7 : - 'y ! ti'a;M'ed'esMt))'e ? 1 , t f ?
iveau que le carré du menton se dégage de dessous le triangu7 1 T ' t.*tl%;. Il 1 * ' laire, pour devenir superfici
ré du menton se dégage de dessous le triangu7 1 T ' t.*tl%;. Il 1 * ' laire, pour devenir superficiel. , , Sur la 1
1 ? 1 el ? , , - ments du menton un mouvement d élévation, et les ' . t . ! ' lfllv(,tl 'el 1111l'q y, t' ' ' ,v, - .
, , - ments du menton un mouvement d élévation, et les ' . t . ! ' lfllv(,tl 'el 1111l'q y, t' ' ' ,v, - .. zip ap
uvement d élévation, et les ' . t . ! ' lfllv(,tl 'el 1111l'q y, t' ' ' ,v, - .. zip appliquent contre la symphyse de
ement d élévation, et les ' . t . ! ' lfllv(,tl 'el 1111l'q y, t' ' ' ,v, - .. zip appliquent contre la symphyse de l
ède qu'une action très faible sur la mâchoire '' n(1 lit f ? ? ? .. ' inférieure.. - prieure ? ,), .j , . lf =y «,
ne, la contraction partielle du.peaus- n 11 , ..«Il < te ; M ? t ' 1 . 'Il ' ' ·· sier est inexpressive et., ne pr
traction partielle du.peaus- n 11 , ..«Il < te ; M ? t ' 1 . 'Il ' ' ·· sier est inexpressive et., ne produit qu'u
action partielle du.peaus- n 11 , ..«Il < te ; M ? t ' 1 . 'Il ' ' ·· sier est inexpressive et., ne produit qu'une
et., ne produit qu'une grimace. ..1; 411- 'Il '1) 1 &i "t ...." ' " ? Mais, si au mouvement des traits occasionnés
aucier vient s'ajouter l'action d'un des muscles mo- t, ." i ? , ,1 ' 1 ' ' 1 .. 1 l teurs du sourcil, le. frontal pa
er vient s'ajouter l'action d'un des muscles mo- t, ." i ? , ,1 ' 1 ' ' 1 .. 1 l teurs du sourcil, le. frontal par, e
vient s'ajouter l'action d'un des muscles mo- t, ." i ? , ,1 ' 1 ' ' 1 .. 1 l teurs du sourcil, le. frontal par, exe
teurs du sourcil, le. frontal par, exemple, on voit aussi- - 'llj ' r '. -' «"M H tn ? l f " ' ' 1 tôt se peindre s
du sourcil, le. frontal par, exemple, on voit aussi- - 'llj ' r '. - ' «"M H tn ? l f " ' ' 1 tôt se peindre sur la ph
ntal par, exemple, on voit aussi- - 'llj ' r '. -' «"M H tn ? l f " ' ' 1 tôt se peindre sur la physionomie une expre
al par, exemple, on voit aussi- - 'llj ' r '. -' «"M H tn ? l f " ' ' 1 tôt se peindre sur la physionomie une express
par les mêmes procédés persiste pendant l'état cata- leptique'. " ' z Pour compléter nos recherches sur l'hyperexci
onomie ne tardent pas à se détendre et a s'effacer peu à peu. 202 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. physionomie une expre
esse ou de dégoût, suivant le degré de contraction du triangulaire. ' i Au contraire, la contraction du grand zygomat
n seul muscle- à 'retentir sur le muscle homologue' du' côté opposé, ' gêne l'action locale. Il faut alors insister da
ôté opposé,' gêne l'action locale. Il faut alors insister davantage, ' et> il y a parfois un peu- de diffusion de,
. caractèresrprincipaux de d'expression cher- chée, et le contraste ' que présentent les deux moitiés de la'facen'en
résentent les deux moitiés de la'facen'en est pas moins frappant, 1 ' i" ' - i Nous savons que, la malade étant en lé
tent les deux moitiés de la'facen'en est pas moins frappant, 1 ' i" ' - i Nous savons que, la malade étant en létharg
prouvent pé-t remptoiremenf. Le tronc de''la'septième paire est ac- ' i cessible. à l'excitation*1 électrique par le
umide- et, en appuyant sur- le . cartilage inférieur; dans ce point, ' son. tronc-1 nerveux . n'est séparé du rhéophor
de cette moitié du visage sont entrés en contraction ? «o u u»/- 't ' " '" . ' . . Cette expérience de l'excitation m
ette moitié du visage sont entrés en contraction ? «o u u»/- 't ' " ' " . ' . . Cette expérience de l'excitation mécan
moitié du visage sont entrés en contraction ? «o u u»/- 't ' " '" . ' . . Cette expérience de l'excitation mécanique
{ ? ) . ry.. IJ'iw i'1 r,i w(I,LÎ1 ? i.} Il. DE QUELQUES CARACTÈRES ' DE L'A CONTRACTURE 'PRO- YUQUÉE DANS' L'ÉTAT &g
ts wfr 111 r ! i ? 1,11''3(,ni It· 1., 1 it UIIy ,1 1, *1 '1 111, J' ' . La contracture musculaire -provoquée par l'ex
I'excitation des tendons, t> des» nerfs ou des.muscles'eux-mêmes; ' ) · lplm : 'l'ir,1 1",ri· n . 1 .vi t Nous;ne fe
eurs; » en- n'insistant que-sur quelques; particularités de détail. ' ? ' a) La contracture cède à l'excitation des a
; » en- n'insistant que-sur quelques; particularités de détail. ' ? ' a) La contracture cède à l'excitation des antag
de à l'excitation des antagonistes. 206 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ! ' zon - f ...a en o S w ) .. ( :
.. ( : 1 v. s I I £ ><v. S I"- - ÿ a c. 3 - n : C ~ ' 3. S F3 w s .. v C Û g z - - I" I §
I § .§3., G' U v ? gs S -" .2 S §- - 2 ë Ÿ C C3 W S S ' ! si ° W a i I <2 a 3 S h. u u
u o 'J -g'1 1 o i /H i * à %Is 'l'iljj 'I' V , P7 ' « 'il 11 La contracture ainsi pro- voquée pen
rac- ture première ? elle peut don- iiernaissancelà une seconde ' contracture localisée.' '' Cette ' action - d'a
iiernaissancelà une seconde ' contracture localisée.' '' Cette ' action - d'arrêt de ! l'excitation des antagonis-
rrêt de ! l'excitation des antagonis- tes n'a lieu que-pendant la ' léthargie, elle''est'impuis- i santé' contre la
, une, attitude semblable à celle- qui existait d'abord à droite. ' 41 z La même expérience peut être répétée avec
ntôt le médius se trouve immobilisé en extension forcée. - u > . ' 1, <>.<"<" 1,; p t En même temps qu
omplète, le relâchement à gauche ne laissait plus rien à désirer. ' d) Contracture localisée latente. Transfert de la
scle à se contracturer sous l'influence des excitants ordinaires. ' La malaxation d'un membre ainsi anémié ne déter-
le excitation, au sur et à mesure que la circu- lation se rétablit. ' ' ' ''Cette expérience est importante au point
excitation, au sur et à mesure que la circu- lation se rétablit. ' ' ' ''Cette expérience est importante au point de
itation, au sur et à mesure que la circu- lation se rétablit. ' ' ' ''Cette expérience est importante au point de vue
our avec la circulation de l'aptitude du muscle à la contracture. · ' -y.j '4 » - , , .. ,1 1 ' Proyrès tv Médical,
ptitude du muscle à la contracture. · ' -y.j '4 » - , , .. ,1 1 ' Proyrès tv Médical, nOs 19, 2 23 et 24, 1 1880. ,
ttitude du membre qui est dans la résolution la plus complète. Mais, ' il n'en est plus de même lorsque quelques insta
t manifeste et maintenue par une contracture muscu- laiêintéise ? ' "' " , ,fJ . , Comme dans les expériences précé
manifeste et maintenue par une contracture muscu- laiêintéise ? ' " ' " , ,fJ . , Comme dans les expériences précéden
a région, du. coude. Nulle modifica- tion de l'état'des' muscles. " ' 'r L'aimant est' appliqué près de l'avant-bras
VUE CRITIQUE 1 , 1 . 1 DE LA CÉCITÉ ET DE LA SURDITÉ DES MOTS;- ' Il i Par le Dr Narine SIiWORTZOrr. , La pensé
-,t ? '> Parmi les phénomènes qui se rencontrent dans l'aphasie, ' les plus curieux et les moins connus sont sans
revue ce qui a été écrit sur chacun de ces deux derniers troubles. ' ' ')'' m, .' , ? ' .i / A. De la cécité des m
evue ce qui a été écrit sur chacun de ces deux derniers troubles. ' ' ')'' m, .' , ? ' .i / A. De la cécité des mot
ue ce qui a été écrit sur chacun de ces deux derniers troubles. ' ' ' )'' m, .' , ? ' .i / A. De la cécité des mots.
crit sur chacun de ces deux derniers troubles. ' ' ')'' m, .' , ? ' .i / A. De la cécité des mots. On entend par cé
e un cas complexe ; la perte de la paro'e y est accompagnée de l'a- ' graphie ainsi que de la cécité et de la surdité
e le fait frappant de la cécité des mots qui se trouve men- tionné. ' a) Un homme âgé de soixante-cinq ans, à la suit
il avait écrit. '' b) Un homme, à la suite d'une blessure à la tête, ' était inca- pable de lire, mais il était cepend
cependant en état d'écrire très cou- ramment et très correctement. ' ' Trousseau, dans son discours prononcé à l'Aca
ependant en état d'écrire très cou- ramment et très correctement. ' ' Trousseau, dans son discours prononcé à l'Acadé
façon singulière ». ? " Cet homme devient aphasique et hémiplégique, ' droit à la ( suite d'une attaque. Il ne peut pl
i-même, comme la phrase suivante : « Je suis bien heureux, Monsieur, ' d'être 'venu vous voir, j'espère m'en retourner
assure facilement en lui faisant ramasser à terre une épingle, etc. ' ' ' i ' u La même année, M. Van den Abeele publ
sure facilement en lui faisant ramasser à terre une épingle, etc. ' ' ' i ' u La même année, M. Van den Abeele publie
re facilement en lui faisant ramasser à terre une épingle, etc. ' ' ' i ' u La même année, M. Van den Abeele publie u
acilement en lui faisant ramasser à terre une épingle, etc. ' ' ' i ' u La même année, M. Van den Abeele publie une o
t quelque'temps' après la disparition de tout trouble de la parole. ' ° M-6 X..., âgée de quarante-six ans/devenue hé
Elle peut écrire, mais elle' est inca1'" 2)8- ? '' 'REVUE CRITIQUE. ' "' pàblé de reconnaître une seule lettre soit i
e peut écrire, mais elle' est inca1'" 2)8- ? '' 'REVUE CRITIQUE. ' " ' pàblé de reconnaître une seule lettre soit impr
elle reconnaît les dessins et explique la signification des rébus.' ' " l ' ' Une'observation prise 'avec beaucoup de
reconnaît les dessins et explique la signification des rébus.' '" l ' ' Une'observation prise 'avec beaucoup de soin,
nnaît les dessins et explique la signification des rébus.' '" l ' ' Une'observation prise 'avec beaucoup de soin, qua
' delnature aphasique et qui est due à M. Broadbent, parut en 1872. ' En voici le résumé, fait par l'auteur lui-même.
nt) ; le malade pouvait pourtant écrire correctement sous la dictée, ' composer et écrire les lettres lorsqu'on l'y aida
e prolongement sphénoïdal. Hémorrha- gie récente au même endroit. ' En 1874, M. Westphal a présenté à la Société d'An
t dans son esprit le nom des lettres qu'il traçait avec son, doigt. ' , , Dans, la thèse d'agrégation de M. Legroux (
où ce trouble a précédé de douze jours les désordres de la parole. ' . \ , "·, M. L..., âgé de soixante-huit ans, éc
une action automatique, instinctive, qu'il ne pouvait pas lire les ' mots 112. Hormis a donné, en 1877,' un résumé d
chapitre dans sa' thèse : « Essai sur les troubles de' la parole, n ' m ' ' 1 22 J . REVUE CRITIQUE. qu'il avait éc
itre dans sa' thèse : « Essai sur les troubles de' la parole, n ' m ' ' 1 22 J . REVUE CRITIQUE. qu'il avait écrits
re dans sa' thèse : « Essai sur les troubles de' la parole, n ' m ' ' 1 22 J . REVUE CRITIQUE. qu'il avait écrits.
ollissement à la partie pos- térieure du lobule pariétal supérieur. ' ' ' ' *" "" M. Magnan a terminé sa communicatio
lissement à la partie pos- térieure du lobule pariétal supérieur. ' ' ' ' *" "" M. Magnan a terminé sa communication
ssement à la partie pos- térieure du lobule pariétal supérieur. ' ' ' ' *" "" M. Magnan a terminé sa communication pa
ement à la partie pos- térieure du lobule pariétal supérieur. ' ' ' ' *" "" M. Magnan a terminé sa communication par
à imaginé pour expliquer les différents phénomènes dans l'aphasie. ' " ' 1 " ? Ce schéma s'appuie, d'une part, sur la
imaginé pour expliquer les différents phénomènes dans l'aphasie. '" ' 1 " ? Ce schéma s'appuie, d'une part, sur la lo
sens de toutes les notions' que nous avons sur le monde extérieur. ' " ` I Les centres sensitifs sont indiqués sur c
les points indiqués, viennent à l'appui de cette manière de voir : ' ' ' ' Quant à l'acquisition de nos' notions sur
es points indiqués, viennent à l'appui de cette manière de voir : ' ' ' ' Quant à l'acquisition de nos' notions sur l
points indiqués, viennent à l'appui de cette manière de voir : ' ' ' ' Quant à l'acquisition de nos' notions sur les
oints indiqués, viennent à l'appui de cette manière de voir : ' ' ' ' Quant à l'acquisition de nos' notions sur les'
sait copier et écrire quoi DE LA CÉCITÉ ET DE LA SURDITÉ DES MOTS. ' 233 que ce soit sous la dictée. Il articule net
e d'aphasie, placé à côté des cas de cécité des mots. ( , 1 J 224 ' REVUE CRITIQUE. Nous avons réuni dans notre thè
ges sensitives d'un objet quelconque des associations secondaires. * ' C'est grâce à ces nouveaux liens organiques qu'
s peuvent distinguer au timbre différentes sonnettes. Ils peuvent ' apprendre à chanter une mélodie, sans paroles, ce
nfus. En 1874, M. Wernicke présente deux cas de surdité des mots ^ ' qu'il a décrits sous le nom d'aphasie sensorielle
l, esl-tou- jours logique. Il n'y a aucune trace de pertes d'idées ; ' mais elle ne comprend absolument rien de ce qu'
ependant ? 1 on" doit avoir soin de ne pas se trahir par des gestes, ' qu'elle comprend par- faitement. En effet, on p
e avait entendu chanter par une autre·malade. = ^ Guérison. - - , . ' tSM " La'seconde malade de M. Wernicke, M-1 R..
temporo-sphénoïdale et dans une grande partie de la deuxième. : ... ' in. . - . X " En 1876, M. Küssmaul a réuni, d
phasie dite ataxique), fait rejeter l'idée de l'existence de la cé- ' cité des mots dans ce cas. Les autres observati
mettraient de poser sûrement le diagnostic de surdité des mots. ( ` ' " En 1880, deux cas ont été observés dans le ser
oïdale et la partie postérieure de la deuxième temporo-sphénoïdale. ' ' il, ' Le second cas appartient à M. Pasternat
dale et la partie postérieure de la deuxième temporo-sphénoïdale. ' ' il, ' Le second cas appartient à M. Pasternatzk
t la partie postérieure de la deuxième temporo-sphénoïdale. ' ' il, ' Le second cas appartient à M. Pasternatzky. La
nt à présent, qui puisse nous conduire à faire cette distinction. ' Tout dernièrement, M. Mathieu vient de faire para
e pour des cas d'un diagnostic si délicat, n'y sont pas mentionnés. ' ' '" Si nous laissons de côté la question de la
pour des cas d'un diagnostic si délicat, n'y sont pas mentionnés. ' ' '" Si nous laissons de côté la question de la l
ur des cas d'un diagnostic si délicat, n'y sont pas mentionnés. ' ' ' " Si nous laissons de côté la question de la loc
de l'étudié^ avec une scrupuleuse attention et sans parti pris. ., ' ,, u ^ , n .}, > .1 . - ! .(.1 . r, , BIBL
lles'; crises gastriques; paraplégie ; atrophie musculaire. ^ r ; ' rt . Il n'y a aucun antécédent héréditaire à no
C'est dans ces conditions,'1 qu'en 4 876, le malade passa à Verviers ' les fêtes du mardi-gras, qui furent pour lui l'
d'une durée de une minute, avec un jet excessi- vement i iolent. - ' - - ' Au bout de quinze jours, survint une cris
durée de une minute, avec un jet excessi- vement i iolent. - ' - - ' Au bout de quinze jours, survint une crise (la
chaque fois, avec un affaiblissement plus grand qu'auparavant. - * ' En février 1877, il y eut'une'crise très violen
ris' consulter M. Charcot, qui voulut bien confier ce malade à' mes ' 1 soins. Le traitement consista en deux douches
ricité (faradisation > et galvanisation trois fois par semaine). ' ' Voici quel était alors l'état du système musc
cité (faradisation > et galvanisation trois fois par semaine). ' ' Voici quel était alors l'état du système muscul
uscles des bras ne présentent rien de particu- lier à noter. t -( ? ' t . A l'avant-bras, au contraire, il y a une at
de la main et des doigts répondent très peu à la faradisation, mais ' répondent 236 RECUEIL DE faits. à la galvanis
ue considérable; on remarqua un amaigrissement assez marqué, malgré ' l'appétit excessif et le besoin fréquent de man
d'une vie régulière, de l'hydrothé- rapie et de l'électrothérapie. ' ' Puis, le malade ayant repris une vie de fatig
ne vie régulière, de l'hydrothé- rapie et de l'électrothérapie. ' ' Puis, le malade ayant repris une vie de fatigues
ts'; un crétin ; deux peu intelligents ;'un était cryptorchide ; un ' avait ( un -pénis extrêmement petit,' sans désir'
;'un était cryptorchide ; un ' avait ( un -pénis extrêmement petit, ' sans désir' sexuel; un autre' présentait, une.
arquable 'par la variété des symptômes, et, dans la'plupart des cas, ' par la'différehce entré ces symptômes et la lésio
Des qua- torze autres ? huit ont 'présentera un'1 degré quelconque, ' de la paralysie ? treize de' la douleur,"et cel
e'cas' encore'de respiration 'anormale ; palpitations dans un cas. - ' ^ ' 'La céphalalgie fut un'symptôme capital dan
encore'de respiration 'anormale ; palpitations dans un cas. -' ^ ' 'La céphalalgie fut un'symptôme capital dans deux
lades seulement présentaient des troubles en rapport avec la lésion" ' '; ' ' r ' ' Le diagnostic est souvent difficil
des seulement présentaient des troubles en rapport avec la lésion"' ' ; ' ' r ' ' Le diagnostic est souvent difficile.
seulement présentaient des troubles en rapport avec la lésion"' '; ' ' r ' ' Le diagnostic est souvent difficile. La
eulement présentaient des troubles en rapport avec la lésion"' '; ' ' r ' ' Le diagnostic est souvent difficile. La d
ment présentaient des troubles en rapport avec la lésion"' '; ' ' r ' ' Le diagnostic est souvent difficile. La doule
nt présentaient des troubles en rapport avec la lésion"' '; ' ' r ' ' Le diagnostic est souvent difficile. La douleur
, bien développée, suffisamment fournie de tissu adipeux, normale ' 16 243 REVUE DE pathologie NERVEUSE. dans ses
HOLOGIE"DE'LA'MOBLLE''ËPINiÈRE'; par Adôlf STR11111PELL'(Arch'irv ! ' f ? Psÿcl. û.<<J'Veraetl;ianlc, t ? X'ë*'
ntôt 'chez un1 malade 'atteint d'hvdromyélie et" de 'dégénérescence ' systématique des côrdôns lâtérâux; soit dàns'le
la sclérose multiloculaire'des centres nerveux et l'hydro- cé' h'l " ' ' " " "" ' limitée au' cerveau 'ont'' aussi ' fou
sclérose multiloculaire'des centres nerveux et l'hydro- cé' h'l "' ' " " "" ' limitée au' cerveau 'ont'' aussi ' fourn
multiloculaire'des centres nerveux et l'hydro- cé' h'l "' ' " " "" ' limitée au' cerveau 'ont'' aussi ' fourni leur
et l'hydro- cé' h'l "' ' " " "" ' limitée au' cerveau 'ont'' aussi ' fourni leur ,,p -. a,ii-e.elironique imitée au'
ss foùrni leur contingent du cornpleiùs symptomatique'1 envisagé ! ' M. Strù'm'- pell arrive à cette conclusion que
parfaitement a 1 ensemble-* des phénomènes cliniques qu'elle' fixé/ ' l'expression spasmodique différenciant "d'emblé
fixé/' l'expression spasmodique différenciant "d'emblée la1 variété ' dé' paralysie'' én qûêstionrdés'pàraly'siës fla
ysie'' én qûêstionrdés'pàraly'siës flasques/ Elle désigne, en effet, ' la'caractéristique)'du0 groupe symptôinàtqûe ?
raux'rdans le fait' de Schultz {DeutsctiArïh'.yrKlinTA/éd : 1 XXIII, ' 351)' et l'atteinte simultanée yde'bien`'d'antï
dans le fait' de Schultz {DeutsctiArïh'.yrKlinTA/éd : 1 XXIII,' 351) ' et l'atteinte simultanée yde'bien`'d'antï·esrsy
pagnent, souvent, l'exagération- des ré- flexes tendineux, les unes, ' passives, réflexes ordinaires, s'éta- blissent
tricre ;/te(<< ! e<tOH.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 247 ' : aboutissant à la dégénérescence stéato-pigmen
es grises, la perte de l'intelligence consécutive à la maladie. ` ' ' " ! j , , Reste à expliquer le mécanisme de l
grises, la perte de l'intelligence consécutive à la maladie. ` ' ' " ! j , , Reste à expliquer le mécanisme de l'a
la localisation des quatre autres 248 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' sens, goût, odorat, ouïe, vue en des régions as
rée par les études de Meynert; il en est de même pour lés relations ' établies entre'la corne'etle lobe occipital, la
la substance blanche^ du lobe sphénoïdal; l'écorcé grise dû cerveau, ' 'là ligné médiane des hémisphères (rôle de la'
iculée d'Arnold et du corps bordant)'. Quoiqu'il'en soit ? au reste, ' de la corne' comme foyer de 'sensibilité, l'inc
e cérébrale et hystérique. ` > f, r' z r p .-irf r-Ml/j n ,-[ ,j( ' i' ' ' P K ' ? " . . v , . 11. 1 t '| ; , f .
ébrale et hystérique. ` > f, r' z r p .-irf r-Ml/j n ,-[ ,j(' i' ' ' P K ' ? " . . v , . 11. 1 t '| ; , f . . r
rale et hystérique. ` > f, r' z r p .-irf r-Ml/j n ,-[ ,j(' i' ' ' P K ' ? " . . v , . 11. 1 t '| ; , f . . r .)
t hystérique. ` > f, r' z r p .-irf r-Ml/j n ,-[ ,j(' i' ' ' P K ' ? " . . v , . 11. 1 t '| ; , f . . r .) , H h
r' z r p .-irf r-Ml/j n ,-[ ,j(' i' ' ' P K ' ? " . . v , . 11. 1 t ' | ; , f . . r .) , H h 1 f ' ' ; ' VI. CÉPHALA
(' i' ' ' P K ' ? " . . v , . 11. 1 t '| ; , f . . r .) , H h 1 f ' ' ; ' VI. CÉPHALALGIE OCCIPITALE COMME SYMPTÔME
i' ' ' P K ' ? " . . v , . 11. 1 t '| ; , f . . r .) , H h 1 f ' ' ; ' VI. CÉPHALALGIE OCCIPITALE COMME SYMPTÔME'D
' ' P K ' ? " . . v , . 11. 1 t '| ; , f . . r .) , H h 1 f ' ' ; ' VI. CÉPHALALGIE OCCIPITALE COMME SYMPTÔME'DE L'
E.-C. SEGUIN. (Arch : o f. med.'Nevv-Yôrlt, âût 1880,` p·. 98.) · ' T ? i 1 1 , î 1 ... n f C'LT( Pli.) i'ijli-'iï' ?
nettement paroxystique, mais nullene'n t"périodique; "elle "s'é"c66" ' "' ' " ' ' de 'nausées. Les symptômes rénaux ét
tement paroxystique, mais nullene'n t"périodique; "elle "s'é"c66"' " ' ' " ' ' de 'nausées. Les symptômes rénaux étaie
ment paroxystique, mais nullene'n t"périodique; "elle "s'é"c66"' "' ' " ' ' de 'nausées. Les symptômes rénaux étaient
paroxystique, mais nullene'n t"périodique; "elle "s'é"c66"' "' ' " ' ' de 'nausées. Les symptômes rénaux étaient peu
aroxystique, mais nullene'n t"périodique; "elle "s'é"c66"' "' ' " ' ' de 'nausées. Les symptômes rénaux étaient peu m
as; le cerveau était sain; les reins étaient indurés et granuleux ? ' ' C. T. -i , T 1` 'y ^J t 1(1 t P . "''' a "
; le cerveau était sain; les reins étaient indurés et granuleux ? ' ' C. T. -i , T 1` 'y ^J t 1(1 t P . "''' a " RE
E'DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 249 VII. SUR le1 priapisme persistant 'et ' non attribuable A UNE LÉSION DU'SYSTÈME NERVEUX
UX CENTRAL; paru. PEABODY. 7VeM-ybyAm. Journ. Mai, 1880, p."463.) ( ' ' L'existence du priapisme dans le cours de la
CENTRAL; paru. PEABODY. 7VeM-ybyAm. Journ. Mai, 1880, p."463.) ( ' ' L'existence du priapisme dans le cours de la le
sion par, des ganglions hypertrophiés. ? » ? ,. ? , , ? h .. 1 1111 ' ) 'n,la ? )U " t ,1,1 1 1 ' W .' L auteur conclu
ypertrophiés. ? » ? ,. ? , , ? h .. 1 1111 ') 'n,la ? )U " t ,1,1 1 1 ' W .' L auteur conclut en ces termes : le priapi
nt l'entité clinique (Detttsch. " A2eli. f. ? Clin. Med., t. XXIII.) ' ; tous les autres cas, y compris deux nouvelles
encontre des dégénératiôns secondaires. P. K. ,5.. . " ( 1 . .` nt7 ' 2m , ,1 , IX. HÉMIOPIE DU MÊME CÔTÉ TERMINÉE PA
CÔTÉ TERMINÉE PAR LA GUÉRISON par le z Dr FUCKEL, de Schmalkalden : ' (Deutsch. Arch. F. Klin lVleda'z : , 1880.) n '
, de Schmalkalden : ' (Deutsch. Arch. F. Klin lVleda'z : , 1880.) n ' " ? *< I - " ' 1 - rt tV ,.). f - -"î Ce '
: ' (Deutsch. Arch. F. Klin lVleda'z : , 1880.) n ' " ? *< I - " ' 1 - rt tV ,.). f - -"î Ce 'diagnostic concern
et du facial gauche. Une circulation 'collatérale suffisante aurait ' bientôt suppléé à l'anémie des régions citées.
s. Janvier, '881.) , " - , · 1 4 .. y i ,, <, , . A M ,* . . , ' H I - ,. Il résulte du travail de M. Brunet, ré
les autres, la proportion delà fibrine s'élève seulement quand les ' phénomènes inflamma- toires prennent un caractè
rmes précoces DE la' syphilis; par Cari LECHNER. (Vienne, 1881.) '' ' ? ' ÏM *< l'I" '. b ir , Les hémorrhagies du
précoces DE la' syphilis; par Cari LECHNER. (Vienne, 1881.) '' ' ? ' ÏM *< l'I" '. b ir , Les hémorrhagies du- ce
es affections syphilitiques de la peau; des muqueuses, des viscères, ' puis'rappelle'que, dans'tous ces ^points; on pe
foyerhémorrhamque ? s61t dans'' le cerveau soit dans la' moelle.' ; ' ' "" -, ·, ,··· 11 v r·"j, , ? m ' · n. mot 6j
yerhémorrhamque ? s61t dans'' le cerveau soit dans la' moelle.' ; ' ' "" -, ·, ,··· 11 v r·"j, , ? m ' · n. mot 6j ?
cerveau soit dans la' moelle.' ; ' ' "" -, ·, ,··· 11 v r·"j, , ? m ' · n. mot 6j ? th ? 111 i .1 )i"i ? i(> -1, q
-; daires survient dans les premiers temps de cette période (du ? t ' ," '1t)- t-ttt "fh ' tr.'ttt W 't ft ' ib ? l i '
dans les premiers temps de cette période (du ? t ' ," '1t)- t-ttt "fh ' tr.'ttt W 't ft ' ib ? l i 'c ? rc n . ' z quat
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(du ? t ' ," '1t)- t-ttt "fh ' tr.'ttt W 't ft ' ib ? l i 'c ? rc n . ' z quatrième au douzième, mois .après 1 infectio
ximum dé'fréquence deThémorrhagie cérébrale'dans' la1' période' des ' accidents secôndâiréscorréspond;' d'après les'
cérébrale'dans' la1' période' des ' accidents secôndâiréscorréspond; ' d'après les' rêlevés'dél'âizteùr,5en`rrioyénné"
s les' rêlevés'dél'âizteùr,5en`rrioyénné"à"27'âris'et démi`1`Lhémis= ' phère 'cérébral -'gauche se 'trouvé plus souven
Ifl. IlTed., T. II', fasc. 3 : ) igivi , îl 1- hni-0 il Mm nu b' il ' h(( .1 't9 ? ? r,id.tll 2r1 in Il 9tly '' 'j r
u' .8'-t n, 1 T, : I , i i P ? X.F J rl 9'rl tnlli qij I· IJJ>ym ' ni. y, -li J,1 (j&1· '9`rrlYrt' Ltt'uup il
r Kirchhoff. ATClt2v. "Psych : u I lVervenkrank...' 1880.) ? i'1'1"^ ' ' ' · t r ''r r ' ? lïti-j t l afil. 7'I(J.f,3
Kirchhoff. ATClt2v. "Psych : u I lVervenkrank...' 1880.) ? i'1'1"^' ' ' · t r ''r r ' ? lïti-j t l afil. 7'I(J.f,3 qu
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'1'1"^' ' ' · t r ''r r ' ? lïti-j t l afil. 7'I(J.f,3 qu si h. W w ' 3^ t ? ruz r t if'4 li, tif Un jeune menuisier,
Séance de l'Académie- des sciences de . Berlaa, du 13 janvier 1881.) ' w *> -^ -- " ,l '. .t. ' ., ..i/ I ? 31 'uJJ
nces de . Berlaa, du 13 janvier 1881.)' w *> -^ -- " ,l '. .t. ' ., ..i/ I ? 31 'uJJ)..i, . ? .. j 'O ? ' L'aute
w *> -^ -- " ,l '. .t. ' ., ..i/ I ? 31 'uJJ)..i, . ? .. j 'O ? ' L'auteur a injecté différents liquides, sous de
tioner de juillet 1879, les traits caractéristiques. «, Ces 1 U Y1h ' 1 Y ·f'zL 11 l. ' IVyrL 1. ! 1 personnes, dit-i
1879, les traits caractéristiques. «, Ces 1 U Y1h ' 1 Y ·f'zL 11 l. ' IVyrL 1. ! 1 personnes, dit-il,,ont le regard h
-il,,ont le regard humide et doux, la pupille dila- "<Éiris"bleû, ' la paüplèré sûperlëûré L systéme tee, 1 iris bl
apable de prononcer correctement les mots quand il lit à haute voix, ' ou de, diriger ses doigts quand il. écrit, ou s
ELL. (7'Ae)Ke'eaeco ? janv. 1881, p : 120.) - V 1 %j41 · , ,l . 1 n ' > - , Une jeune femme avait perdu complèteme
nze jours, les fonctions perdues étaient - complètement' rétablies. ' ? o - - i ? C. T. <- ",qli .-it, 1. PJCT fil
ies. ' ? o - - i ? C. T. <- ",qli .-it, 1. PJCT fil.1,tll Fb,i i ' PI.. ..i il ,t5 `1J'IU'It' yl9tqlfft4Fl ' LtUJ
1. PJCT fil.1,tll Fb,i i ' PI.. ..i il ,t5 `1J'IU'It' yl9tqlfft4Fl ' LtUJ lClt i 1m kil- i si » .p FI REVUE DE PATHO
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hé médical Record.-New-York, janv. 18t31 ? 'jq'j \J t'I.t ? i "u 'ngi/ ' r m, i- ...,j ;.i (1 i W °i J` G,.it;Il'J1'V 'l
auf, une^extrême facilité aux pleurs. .m J z n a >. d. : H. D 0. ' XXI. UN CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AIYOTROPHIQUE;
ement et des opinions des auteur 1s 1s.u1r1ce.s'ujét. A(1 ? OfTi "™ ' 1 «a^-M.'101' \., `· ? 1;W1 3-\ . AT/iy/OHtl vi
attaques d'aucune sorte. JJn samedi, elle1 fit une longue promenade, ' le lendemain elle était soûffânte : ' Le lundi,
lle1 fit une longue promenade,' le lendemain elle était soûffânte : ' Le lundi, elle se'plaignit''dérouleur et dé`'râ
dëùr'dâns la'nuque' et- dans l'épaule gauche; elle'refuse de manger; ' Même état le mardi' et'le mercredi ! Le'jeudi .
oitrine ? le' crâne',1 qui pût 'expliquer la mort : -Dans. la, moelle, ' à la ►partie inférieure de la région cervicale,
it ellë sëufiait;ét que la cause immédiate i ,-«.' i j-.ii .[> ? ' ^-Tinin.in'rp.T rp rr rt, q ? t. t ? .... de la
RVEUSES MODERNES ; - L'ÉDUCATION DANS SES RAPPORTS AVEC LES MALA- ' ? ufc.iju ? eo.. ein.l. 01 , dies mentales ; pa
ies, ? vol Vi, pârt 2,`p; 169). ,a ? ,8 *" ? m E.IeTYA3 ,U81 . .... ' t" %M. >.^ i <* ' * t ? » T8l| , CJ.I30M j
; 169). ,a ? ,8 *" ? m E.IeTYA3 ,U81 . .... ' t" %M. >.^ i <* ' * t ? » T8l| , CJ.I30M j n B3 ! Vm3 La seule co
Associ,tiôn`'fm'édicalë britanniqùé,I'àz Carri- .t ? tt , f. " Ix u ' )t.j slorlib6 *'ti''i<R's 'ii- ni> 'tû^rnivi
^rnivirom EOf ? a b t;9`'n c tT t 9^ ! 71 ITt1` - F. 9n v '1r. '1 afy ' `r.·, rt * ., ,h,M. Cnchton-Browne sefehcite d a
la voie choisie, me - ''doit' être qu'une différenciation' tardive, ' et qu'elle' a tout- inté- J rêt'à à s'appuyer *
une solide et complète éducation' médicale ^ préalable. En revanche, ' l'orateur applaudit'de tout'^coeur à la créatio
it les aliénés proprement dits ; le moyen, les sujets 262 REVUE' DE ' PATHOLOGIE --MENTALE. que l'on appelle' communé
ues} tandis' ne rieur'renfermerait les diverses névroses.1- Il s'en ' faut-' de ? beau- coup1 'que cette délimitation
d un cerclè à 1 autre, soit progressivement; soit régressi- rveméht^ ' Il faut' reconnaître, -en outre,' que,' même.en d
ssivement; soit régressi- rveméht^' Il faut' reconnaître, -en outre, ' que,' même.en dehors 'du'"cercle extérieur', 'd
ent; soit régressi- rveméht^' Il faut' reconnaître, -en outre,' que, ' même.en dehors 'du'"cercle extérieur', 'du^'cer
des maladies indirectement nerveuses, 'c'est-à-dire' dé1 celles qui, ' sans avoir leur siège dans'ie système nervéûx,,
Jj(îqriif,o-ij.' In-ho-i - "Celâ étalit; on conçoit que l'éducation, ' qui n'est autre chose qu'une-'préparation' à ce
e et multiple des relations intérieures aux rela- tions extérieures, ' puisse .devenir ? au point., des vue,, qui ^nous
nous r' occûpe,` un danger ou une sauvegarde. Elle est un dangers ' le' fait* est' plus facile à signaler qu'à préven
la : dualité d'activité des-centres nérveux,,actmté"defôiiction et ' "activité1 de1 nutritiont» Le (fait que ces cent
s lû oveàa*blement, REVUE, DE, PATHOLOGIE, .MENTALE. 263 1 1 IJ ? ' ' tus ne-se développent.pas ;.le fait encore, p
lû oveàa*blement, REVUE, DE, PATHOLOGIE, .MENTALE. 263 1 1 IJ ? ' ' tus ne-se développent.pas ;.le fait encore, plu
eloppent.pas ;.le fait encore, plus, digne de remarque, f- ,)j. ) i ' - ' ' ' 1 , À , 01,L)u 1b ilti 1 iïf. qu'unefoi
pent.pas ;.le fait encore, plus, digne de remarque, f- ,)j. ) i ' - ' ' ' 1 , À , 01,L)u 1b ilti 1 iïf. qu'unefois dé
nt.pas ;.le fait encore, plus, digne de remarque, f- ,)j. ) i ' - ' ' ' 1 , À , 01,L)u 1b ilti 1 iïf. qu'unefois déve
.pas ;.le fait encore, plus, digne de remarque, f- ,)j. ) i ' - ' ' ' 1 , À , 01,L)u 1b ilti 1 iïf. qu'unefois dévelo
DES maladies' aiguës SUR la genèse DES maladies - I II MENTALES ; ; ' par' le Dr 1 Emile KRAPELIN. (A ? Cltl*V. f.' Psy
ELIN. (A ? Cltl*V. f.' Psych. zr( ? tNer'vënlc ? t : XI;'1880.)'. ™ ' > ki* d"4p Il) ,Ha0j -llqtllO'i 9K 'fTHlIquI
e' d'une analyse critique 'basée principalement sur la' statistique^ ' dresse 1 le bilan de * l'ensemble'1 des' questi
ier'fcliapitre,, qui devrait i porter le titre I'del,6 ? é- ralités, ' établit que,^.parmi cesfmanifestations, les,,unes
pérament nerveux ? anémie -préalable, émotion ? violente 'antérieure), ' le- sexei (masculin) et : l'âge,,(inférieur à s
mieux' côïnprisé aüx taiclésspééiâüx'`deTnôsôgrâplüe.`CëTtziris"sÿn= ' drômes'vésaniques'apparaissent non'plus'à'1'acm
llyperthriiê'l et à-laccélération fébrile des échanges moléculaires, ' sans' oublier' lés propriétés (irritantes oûhéc
ettre que cette causé puisse encore agir, comme agent névropâthiqué; ' des années après '-l'épuisement de' la maladie,
au'delà de" quelques' semaines,'de,quelques'mois au plus. irii il , ' '" Ut. ? i"c ifr.m."1 ? ,'iin'ili|.T ? <-' ^
'delà de" quelques' semaines,'de,quelques'mois au plus. irii il , ' ' " Ut. ? i"c ifr.m."1 ? ,'iin'ili|.T ? <-' ^ni
, pour, ! 40 p.100; REVUE 'DE PATHOLOGIE MENTALE ? 265" des faits, ' exercer la'plus forte influence, l'apparition et,
'psychoses yjsont'plus rares · que chez l'adulte. ,f r ? ? 4.' B à ' c'-i f ' c.,rwm- alur" 4 -')0< LI R ? I''llï
es yjsont'plus rares · que chez l'adulte. ,f r ? ? 4.' B à ' c'-i f ' c.,rwm- alur" 4 -')0< LI R ? I''llï9' ta 6 -
· que chez l'adulte. ,f r ? ? 4.' B à ' c'-i f ' c.,rwm- alur" 4 - ' )0< LI R ? I''llï9' ta 6 -il de 9') i i 9 Z9 'l
r pendant l'accès), les foyers pigmentaires de-, l'écorce cérébrale, ' etc., pârfois même, des.exsudats plastiques^ su
favorable ;'guérison par la quinine. ou quelquefois'' spontanément; ' ni la méningo- 266 REVUE9DE.·.PATHOLOGIE : IIiE
érininablér'L'dürée;`oscillant`entre n'uatre'semaines'et des années, ' implique un pronostic assez 1- mim,ll IYI h bl
plique un pronostic assez 1- mim,ll IYI h bl Il ? 1, 1 t,t nln. I,.· ' , n;v ,défavorable d'autant que la quinine n a,
cations de l'anémie. - Bjnno 3f ze`rD, rc,s n oo : , 1 Jf'i'jq -n. " ' ul 4 ? , 'P.'K ? lB1 79f1Vt F 7a t 1 : .11" h 1
une grande analogie avec Z1'afiection,,étûdiée,par,LégTând,du,,Sulë ' sous, le 1 nom de folie - ,du doute avec délire
été du'groupe qd'âffections'a.üquel appartiénnent' la pyromanié; la, ' kleptomanie, etc. Ce n est pas non plus une for
malades conservent un certain degré de contrôle sur leurs ? j tt.un ' t r.l )n t. ! .. , v1 m ? 17 < b . Sm .mJ -...
vations ède-Legrand(du Saule;.la,crainte de;toucher certains objets, ' le REVUE%DE,L PATHOLOGIE,- MENTALE. 267 besoi
esquels ! - est fondéeuladescription^ de Ham- mond ont été observés ' chez desfemlries.· Dans plusieurs;·la mala.die'
s ,rbnsd .iitii+Llo3 noiJr.goqfibe'iq 9h rnoo <tËq9 ? <)j haï ' )<'Lpn ? t rrovr;t 'npinih iqv.t eh 9-i9n^ nM
avon; à'1 l'aciderrphéhique et'àutrës' subs- tances 'désinfectantes, ' elle ne fut' pas<convaincue de lai destruction
er les enfants, et ne permettait pas à^un enfant de la toucher ou ' rohe-d'ell. D - ? la iiie 7'èllè évitait -dvëc ?
ent;·l'idéë des 'poux s'était'éffàcée,'et, depuis] plusieurs' m'ois, ' )a crainte de'se salir avait pris une plus large
iosseset',ses peignes,3 elle'passait'ie'reste du Etemps à'inspecter ' chaque] pièce" de 'l'ameublement 'et' àll'épous-
n'était plus ! que trouMe;T anxiété p : f .IfTY'·.11. aiuoaomAn aa ' )a 268 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. t. jJ'. L,
force.t9 8` xsli^ J 't)01 q ie sb alaJut noditiffmd bcur aliiiob ' "t- au »0(>t .q SS dll Hammonda traité tous s
rtq,·.y(J'1rJ 11 (ltrl ( .`4 G : T. -,sI t1.·· s"4 s'»d 0)01 m 0" L' ' Of itioq anus-t - mi-ç « -t ? p'u- J ,Y11. L'ÉP
M : G : EcHEVERRIA.(7%eyOMr'- eb )ji'jb ? < ? ` 12 sa m1' Xt) ,b ' y) · IU n -'i > ui< ^..J .iii ''" Dans ce
ons seulement ,ici les données numériques lès,plus importantes ,. ? ' ^ Lés recherches ont porté sur 572 malades, don
l'épilepsie a été, lé résultat d'excès alcooliques associés taux . ' ' *, lit# 1- di . 'i ... , 1 - ' ' si*- i L<
'épilepsie a été, lé résultat d'excès alcooliques associés taux . ' ' *, lit# 1- di . 'i ... , 1 - ' ' si*- i L< c
'excès alcooliques associés taux . ' ' *, lit# 1- di . 'i ... , 1 - ' ' si*- i L< causes adjuvantes qui suivent :
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1 tiloi ,. , - lit, Il 1 ., ., z de la chique ? dans 1 cas (t homme) ' ; inquiétudes morales dans l'hl. ? 1 , ,, , . ,
tribué'àaMraver ? Jf`I ^zyJJ9f/8JJ2 rfIyIJ : JY LU ·1·Ufi'1 y tlU, · ' ,91* 1 - nl (T- . 1 f B ? f nit y 'SffT . t7· U
é,les résultats suivants : 3 jr^rneiMlqrrioo te ,rsnunub 61 up illi ' " jup as1° Chezz122 hommes (39,73=pIç100) et'cli
p'l'100); lâ tare héréditaire a été rëcué'dirëctement''dês parents. ' 1l *'u JUÎ - ! r ? l ? h-tf-.rr w4 1 7 , t .mt-
de 17,30p ? t100 : ^nT ai .en eb.slsm sas auoj ,jlg.1j r banmmsH ' ' 3° L'intempéranèeldes parents,' associera l'épi
e 17,30p ? t100 : ^nT ai .en eb.slsm sas auoj ,jlg.1j r banmmsH ' ' 3° L'intempéranèeldes parents,' associera l'épile
b.slsm sas auoj ,jlg.1j r banmmsH ' ' 3° L'intempéranèeldes parents, ' associera l'épilepsie" où'à'la foliée a<'été
,99fp. 100), ce qui'donne'comme pr'oporti'on totale : ,5'N p ? 100. ' e,, I;e7l résültat"géiléral , de 1 énquêtet,éti
hérédité ou d autres causes'adjuvantes âècidéiitellès. ^^l'" . "™T - ' , 2 tj' W 1 m . Lrt1 T 4T1 ? r.'thn ? nff ? : 1
és lésitiii's encépliâliques âcéldëntellés (çëre- braux de Lasègue) ' niais ! qu'il s'agisse d'unë épilepsie post-alcoo
lcoolisme post-épileptique, les symptômes soma- ? ? ..w ? mnl ? l. ? " ' ^ ,' V ' Iliil IIO'Jl 'l rH ( ? 1111n ? U -,Il
isme post-épileptique, les symptômes soma- ? ? ..w ? mnl ? l. ? "' ^ , ' V ' Iliil IIO'Jl 'l rH ( ? 1111n ? U -,Il tique
post-épileptique, les symptômes soma- ? ? ..w ? mnl ? l. ? "' ^ ,' V ' Iliil IIO'Jl 'l rH ( ? 1111n ? U -,Il tiques et
coolisés méthodi- quement, sans habituellement atteindre l'ivresse. ' .. et La tendance au suicide et1 à l'homicide e
la température s'élève, et-lessueurs sont plus .ou moins abondantes; ' l'urine est rare, sa 'densité augmente' ; elle'
r"Psÿcfa : M ? 7Ve ? 'ueKA. ~(-t XI) '' ,- ( il) anal 7r,1, f. vf^ - ' yf«9'r ? tl`' 1°F, ql ! 41.,i f ? , ^ t,a. 291
7Ve ? 'ueKA. ~(-t XI) '' ,- ( il) anal 7r,1, f. vf^ -' yf«9'r ? tl` ' 1°F, ql ! 41.,i f ? , ^ t,a. 291 trns"'i·1 ir°
décèle une.per-' i - ^ll/-1 X*-T1A t .rl tnm·r r -r .r., -r , ra'1 ' , 272 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. yi 9h .-f.i
de 1 oreille gauche (écorne-. 1*1 *. -iu...f,.l ? 11. ., ,, .ia.ll - ' . "t ment,, bourdonnements, etc.. il il démontr
s doiqts et le bras droits : Tout en ayant un peu conscience de · n ' , J fIW I · 1 Jn,n ? n·ylll; I f· -v 1 : 11'fIl) i
. -i- l a >>t' ->.. "'r > ,. " «I .1r(lj-iri"»'01. - "1- ' "1", /j i sur lui-même'pour'continuer Fexercice'
pour continuer 1 exercice de ses lonctions (de .ii.Hl. ? . il....x, ' ,Rvli ? ' ...' ? .. -....... ',.... juger d ins
inuer 1 exercice de ses lonctions (de .ii.Hl. ? . il....x,' ,Rvli ? ' ...' ? .. -....... ',.... juger d instruction;,
es lonctions (de .ii.Hl. ? . il....x,' ,Rvli ? ' ...' ? .. -....... ' ,.... juger d instruction;, explique ces. phénom
ger d instruction;, explique ces. phénomènes par une relation ? r)t i ' 't'' I,i "I ii,etf 4 ? tf ' 'l 1 ? ' ')il 1 ' - l
ces. phénomènes par une relation ? r)t i ' 't'' I,i "I ii,etf 4 ? tf ' 'l 1 ? ' ')il 1 ' - li électrique établie entre
nomènes par une relation ? r)t i ' 't'' I,i "I ii,etf 4 ? tf ' 'l 1 ? ' ')il 1 ' - li électrique établie entre ses cord
mènes par une relation ? r)t i ' 't'' I,i "I ii,etf 4 ? tf ' 'l 1 ? ' ' )il 1 ' - li électrique établie entre ses cordes
ar une relation ? r)t i ' 't'' I,i "I ii,etf 4 ? tf ' 'l 1 ? ' ')il 1 ' - li électrique établie entre ses cordes vocale
microphone, phonographe), sa pensée avant qu elle ne fût'exprimée : ' il'avouer malgré'son - - -. -4t ne fut exprimée
des jours, et,des nuits. If)1 4lif ? 1, 'jivk 1TW'(111 (I ! 3 2tI ' ifl -tn- 11' k 1 .Fr '1' ? n'< ? ''rïi,' .1, "
ivk 1TW'(111 (I ! 3 2tI ' ifl -tn- 11' k 1 .Fr '1' ? n'< ? ''rïi, ' .1, ". rlmW ttf)ftnrt ? Le Dr Buch rend l'otite
né une lésion de l'écorce cerébrale, hémi- 111 F4.1 f 1111ti,% ) il, ' ) 1- ·' 1 ·W I ·1 ,épllepsŸeçaractéristique)Idon
lésion de l'écorce cerébrale, hémi- 111 F4.1 f 1111ti,% ) il,') 1- · ' 1 ·W I ·1 ,épllepsŸeçaractéristique)Idontlâ pSs
buée à" l'application et l'ouverture de .j0.t\ ? - m 1 11f 't n. ? » ' » ? .t-, "i y 11.' la cathode ( obtenue par de t
e (cathode sur 1 âpopysé mastoïde;'gauche-ét anode sur le `frônt) ' r, ' r; , p pyse ? 41 ? T"Q... ... ......... au
cathode sur 1 âpopysé mastoïde;'gauche-ét anode sur le `frônt) ' r, ' r; , p pyse ? 41 ? T"Q... ... ......... aurait,
.t.tt tf6 W IP. K. . , dhallucinations ? ,, , . P. K. te "r) 1 ·I ' », ? ' 'ni t'1 h rl1 91 . t n I ,t u (lr · . (1.,
f6 W IP. K. . , dhallucinations ? ,, , . P. K. te "r) 1 ·I ' », ? ' 'ni t'1 h rl1 91 . t n I ,t u (lr · . (1., v ,( !
) des muscles; celle-ci était prononcée surtout dans les adducteurs, ' le triceps fémoral/ les droits de'l'abd omen, l
riceps fémoral/ les droits de'l'abd omen, lé biceps,'le 'diaphragmé, ' les intercostaux, les muscles du 'cou. : infilt
ires (dy's- trophie) : un second examen pratiqué, par le même moyen, ' un mois plus tard, sur le muscle droit interne
la, même dégénérescence, mais plus étendue. A raison 'i îu' "" 1 "i ' rl 1 ? i 14 1, 1 Il...., 1 '. de 1 hyperthermie
tité du délire aigu, mais, comme syndrome.- lui 11-i --Il tLi )il - ' , n refuse,' comme, aux, psychoses , d'ailleurs
aigu, mais, comme syndrome.- lui 11-i --Il tLi )il - ' , n refuse, ' comme, aux, psychoses , d'ailleurs, même); aux pl
, Il affections, - centrales,)y 4éfiition' ! dé" chüle, i.1et Jelin ' ,Mais sa , symptomatologie enseigner qu'à l'exem
t aux lestons musculaires qui n ont été jusqu ici rencon- trées que ' dans des maladies somatiques graves ( typhoïdes,,
ue ' dans des maladies somatiques graves ( typhoïdes,, infectieuses, ' etc ? ), avant 'de rien spécifier sur leur origin
.a XtIDELA,TH&ORIE,DES,HAILUCINATIONS;IparVlctor Kandinskt' 7" ' de 'M " - '- (Arch. ? ycA. M/'7VeeH& ? t.'XI'
"que rénaissaitt- l'activité (psycliique ? disp'a"raiss"aie'n't les ' hallucina- tions. zVoiciiles'conclusions1 qui "
raissent. Des 'occupations17 proportionnées, aux' forces du * , y ? ' , J p i 1 ·I1"I4 t A.11) .JU" JG1J malade', 'co
valescence a supprimer les hallucinations ? "* `'uT' gt'st j' ? uk» ' *M " W"A ^ I 2° Les hallucinations se différenci
e , sur l'hallucination. ,-Bien- . -*k . 1 1 l'i'^TArr ? c ., insu- ' Il I i ,. o ',*- - ' - Pl s, chez- les, monomai
ucination. ,-Bien- . -*k . 1 1 l'i'^TArr ? c ., insu- ' Il I i ,. o ' ,*- - ' - Pl s, chez- les, monomaiiiaques ou les
on. ,-Bien- . -*k . 1 1 l'i'^TArr ? c ., insu- ' Il I i ,. o ',*- - ' - Pl s, chez- les, monomaiiiaques ou les aliéné
Pl s, chez- les, monomaiiiaques ou les aliénés, la représentation ! ' 1 A . -1- 1 >i- *"" ? 411" r ,» - . L . idéa
les mouve ments,du globe oculaire (diagnostic différentiel ).' `` " ' '"J'*1" k i L'auteur a, de'plus,'depuis sa guér
es mouve ments,du globe oculaire (diagnostic différentiel ).' `` "' ' "J'*1" k i L'auteur a, de'plus,'depuis sa guéris
re,1'én idétdùrner. De là-- cette dernière conclusion ` w uoq u ? 4 ' il, A «.' ,ibw<-.k>- 5° Le mécanisme et l
- perceptions issues de l'excitation spontanée des centres parvien- ' nent à la'connaissance; commences sensatiohsjne s
e centrel infracortical et' cette : dncitàtion' remonte, dans 1 ! k^ ' centre "- cortical dont'l'activité m'est plus r-r
? tq > udqin qh lirtntts qfjpij r4·,u rro d at"r. n1 j., -rj)|f ' [rnff - sib Une séries de} recherches , institué
, ascrIITmixtlôn a 1 u;in'e, de,spérme.foo afinumi-TtiaiA jaOE IX ' 5°Je n'ai observé^ de cylindres urinifères que ch
RD.1'(.ArcA. f. &3m I^cl'ï ù ? Weïvenk.\H3 : 'XL) ! ,V-f>»l' ' «Ioa ? zrhtoüaT au .tdSJtu' 8 9' iinuiiia ahnr.
Leprin- 278' REVUE 'DE PATHOLOGIE MENTALE. ! cipe actif,. amorphe, ' solubkf dans l'eau-, injectérsous carpeau à» la
tiq» w^^-uvr aJ°H 7TTTT' T. nTTr\*)rlonrl 4. in .. -M 1 o 4c.«--... ' . ^ -(,-^rr ->» -.+» ? ? t. XIII. DU PCIDS D
lusions ? 7;I ""là Chez tous les' épileptiques/ quelle, que 'solfia ' forme de' 1'61lepsie, 1 e 1 poids -, (1 du corp
cès ? 2° ette perte de poids n'est'point uniforme'dans tous les cas; ' ellé'dépend'de la''durée'de la' maladie 'et 'de
cas;' ellé'dépend'de la''durée'de la' maladie 'et 'de ll'intensité1" ' de l'âccès ? 3° Lésfaits' d'épilépsie de longue
nt' toutes les formes d'épilépsie motrice Fét1'so*màtiqùes') ''sont ' celles qui entraînent la plus grande perte de p
, restitution .pondérale^ se,, montre ,très- W·lér : LI1.1 Ilu .1 J ' ? ...tt. -r " Jji.u V . ,V. i ,.41..., 41..il p
t toutes les Ifr-HTÏ ? .f'"T«,<.n- ? tT /1t ? <r. ? ,. ,) t ' ? neqcrQitpoint ! qu'ôn puîssëlba'serRsufr,'eux*J
té''ou',déflà simulation''de 1`a maladie.3- RienR de- plus facile - ' n éffét3qûé él'ilifliâër at'sohr"économie'-luné p
liénés ? parj E^MENDELy (A ? ^/«.i ? ^î/ç/iy u : Ner.venk., 1880 : ) ' z31S3 seb a91d jijsnnoo rr9 no ,siipi,tYk'i £ q a
la proportion qui, pour 'le- premier groupe,"atteint 34 8 p .1100, ' fldépas's'e15'6rp ? 11po')à"régard du' second-/ S
' fldépas's'e15'6rp ? 11po')à"régard du' second-/ Signalons- sur 6 ' ("cas-de dêlliénce paralvtlque, héréditaire' "la
on ;,dé l'apoplexie eb éerélrrale^ 1jG',fd,is , p'àrmP'lés' parents; ' l'influence maternelle, 9 sans être Vissi^ëlevé
6Psyéh ? Iit9î3 ? 18ï8);r`'sâns s"é'clliffrér' par' le'rrappôrt,vde ' 39'p.lo8'est'Mle'véë'14;fois,'et,'l'apoplexie che
chez 'la'mère'iigure pour 6 ? cas ? IjÉT paralysi'é'geiiêfàk'1 dë'ê ' individus' éiita'chés''d'hé- rédïté' présente'
ccombèrent 'i un1 en- deux* ans, ^l'autre én'trois1 'ans et' demi ? ' Ce^soht'1 là' trois types^cliniques f »1t`.p rl
ssociations, d'idées non- contrôlées ;- dans.le- sommeil, 'en effet, ' le pouvoir' d'exercer l'attention sélective est
tion sélective est, suspendu; mais ! comme alors' nous- ne ramenons, ' plus, nos idées, pour (les lui -comparer; à : la
ementabsûrde ? R. DE M." C. .91'T9n31 9h fI01t61lF'ItfJO Fl 41` Dit ' ( nf;i· ilioq VI. n LE1 RBSTRAINT 1 »(PHARMACEUT
aceutique : lit dénonce- -la( morphine, 1 le, chloral,irhyoscyàmine, ' comme . des, moyens de contention dont la douce
- l'auteur, a'complètémeilt rerioncé à i 1 emploi des' calmants; : ; ' il' a faiticette réforme àl'insu1- des' gardien
s 'pour' les' malades confiés à leurs soins;'aux divers hypnotiques, ' il asubs-' tituét des médicaments'indifférents
ans l'asile, sàns le.secours des agents hypnotiques : 0 h b b Cette ' substitutions peut» - être) faite ' -sans détrime
nts hypnotiques : 0 h b b Cette ' substitutions peut» - être) faite ' -sans détriment 1 pourl'laT santé : des malades
ce qui»touche; à'propre- mont,parler la centralisation de l'énergie, ' sont les suivantes : lq jll.y a dans, toute la
ON DES asiles ; par Nathan» Allen (de Lowell, "" 2Mâ'srsâéliusétts.) ' (Tlaé jou·ncil o f psychologa'calf mèdicine-and
u 'nombreux ? mais, compétents', .'consciencieux P , 't)..<ti;if ' "uu L . im mrm 1 lu b,et suffisamment rémunérés,
sécutif aux enfin 1- , 1 Iv si 0vin, i ... 1 : 14 II 11 ,i,i ? i, : ' ,. ATTAQUES; Pa  IER; (da hebdomad. de, méd. e
ATTAQUES; Pa  IER; (da hebdomad. de, méd. et de chirurgie, 97'f " ' loon \"' Il ? ""t- 0' -J""Oin*i....Ujiîiji *jjj*i
; Pa  IER; (da hebdomad. de, méd. et de chirurgie, 97'f " ' loon \" ' Il ? ""t- 0' -J""Oin*i....Ujiîiji *jjj*i. ? -m
devoir -d'adresser un dernier adiéti d6c\eur'Mirchant.-lJaului,J". ' 6UI^IU J 'ihspe'ctèuf' général' du' service ! d
tal,, o'est-d-lie au champ ? d'iipnneur/ du fl-.médecm.j, a^v» T7o»» ' »«u3 ">u'j ? 0 Mutina "n'i : anmT··1 ? Le burea
ecin en chef de l'asile d'Avignon ? mouraitr subitement, immolé par ' 1 uilépilèpti'qtlë ? auquel il n'avait .cessé d
.cessé de, donner, dessoins,assidus : Depiris,=l'(talie, l'Angletene, ' peut-être" d'autres pays encore, ont eu à déplo
? lier, 'pour la corporation des médecins des asiles -des aliénés ? ' Quel cha- Il grin pour eux' de' voir se termine
ur eux' de' voir se terminer,, ainsi la' carrière ! de''leur ! 'doyen, ' du-1 dernier 'dès élèves d*EsquiroI quifut,eric
' est bien certain d'en revenir vivant ? Et.,parfois, vous le voyez, ' il n'en revient pas 1 ' ' " ,, * P Y a-t-il bea
revenir vivant ? Et.,parfois, vous le voyez,' il n'en revient pas 1 ' ' " ,, * P Y a-t-il beaucoup de manières plus n
venir vivant ? Et.,parfois, vous le voyez,' il n'en revient pas 1 ' ' " ,, * P Y a-t-il beaucoup de manières plus nob
evient pas 1 ' ' " ,, * P Y a-t-il beaucoup de manières plus nobles ' d'accomplir son devoir,' et' le danger est-il,
Y a-t-il beaucoup de manières plus nobles ' d'accomplir son devoir, ' et' le danger est-il, moindre parce, qu'il esti
e parce, qu'il esti de tous les jours et' de tous les '4 instants ! ' -" Ne croyez pas cependant, messieurs, rque 1 p
à'accomplir ce devoir, dussent-ils aussi : enfmourir.™1 ! 6 111 '11 ' "' ? »" - , ? i,^. ? , , , , , , . W i r,.Îi, lt
accomplir ce devoir, dussent-ils aussi : enfmourir.™1 ! 6 111 '11 '" ' ? »" - , ? i,^. ? , , , , , , . W i r,.Îi, ltu
6 111 '11 '"' ? »" - , ? i,^. ? , , , , , , . W i r,.Îi, ltu )11 J ' ,11fi1ry (1OG Marchant leur aura ouvert la voie.
u,'ni de ceux auxquels nous apprendrons à, le connaître.,1 ? Q'Br" " ' " ? 'J " ? ''"' ? 1n ? qh ^ ;,w B;. yvwnm nevh l
uxquels nous apprendrons à, le connaître.,1 ? Q'Br" "'" ? 'J " ? ''" ' ? 1n ? qh ^ ;,w B;. yvwnm nevh li 4t"P"' H ioi^
,1 ? Q'Br" "'" ? 'J " ? ''"' ? 1n ? qh ^ ;,w B;. yvwnm nevh li 4t"P" ' H ioi^9lmq hi 30 ,j ., î4rl <r· i·,·,t W s o
' H ioi^9lmq hi 30 ,j ., î4rl <r· i·,·,t W s o ilnSCJ rmu n E 41 ' 1 pn'n yuv ,6 y( il i el, discours ? esta,accue
pn'n yuv ,6 y( il i el, discours ? esta,accueilli. parc d'unanimes ' applaudissements/et le président remercie le se
ansigeante s'est plu à travestir Jes faits et à dénaturer la vérité) ' et qu'il est''bon de protester, contre ses allé
a vérité)' et qu'il est''bon de protester, contre ses allégations : ' 'IT1'*rT '"tI1 ? ? s'il y,a sept ou huit mois u
et qu'il est''bon de protester, contre ses allégations : ' 'IT1'*rT ' "tI1 ? ? s'il y,a sept ou huit mois un capitaine
Quelques mois après, à la sûiLé`'dè menaces qu'il avait' adressées ' 'àu'général'l'autorité'militaire,jle fituarrêlero
aient» de deux ou trois, revolvers, dont un.de très petit calibre ? ' , "J -j,,q ' 'u' ' Un mois après,' la suite d'un
deux ou trois, revolvers, dont un.de très petit calibre ? ', "J -j,,q ' 'u' ' Un mois après,' la suite d'une enquête mé
trois, revolvers, dont un.de très petit calibre ? ', "J -j,,q ' 'u' ' Un mois après,' la suite d'une enquête médico-lég
, dont un.de très petit calibre ? ', "J -j,,q ' 'u' ' Un mois après, ' la suite d'une enquête médico-légale, ce capi-,
abdominale.' C'est ainsi que' pendant vingt jours, il put conserver, ' cette arme-sur lui. Le'^ 8 au matin, à une, vis
jépondit par, ces, paroles, d'espérance >- et d'encouragement^ que ' nous donnons à ces malheureux,' et --sortait de
rance >- et d'encouragement^ que ' nous donnons à ces malheureux, ' et --sortait de'la chambre en lui'1,1 promettan
la. victime a succombé à la suite d'une' venge'ance"mé'- 31 ritée. ' " ' ' , .lUt>J. Pour bien comprendre ce langa
. victime a succombé à la suite d'une' venge'ance"mé'- 31 ritée. '" ' ' , .lUt>J. Pour bien comprendre ce langage,
victime a succombé à la suite d'une' venge'ance"mé'- 31 ritée. '" ' ' , .lUt>J. Pour bien comprendre ce langage,'1
as aliéné, et qu'il avait été arrêté pour des raisons poli- tiques. ' ' ' " ' 1, 1". ' J'ajouterai en terminant que j
aliéné, et qu'il avait été arrêté pour des raisons poli- tiques. ' ' ' " ' 1, 1". ' J'ajouterai en terminant que je
liéné, et qu'il avait été arrêté pour des raisons poli- tiques. ' ' ' " ' 1, 1". ' J'ajouterai en terminant que je vi
é, et qu'il avait été arrêté pour des raisons poli- tiques. ' ' ' " ' 1, 1". ' J'ajouterai en terminant que je viens
avait été arrêté pour des raisons poli- tiques. ' ' ' " ' 1, 1". ' J'ajouterai en terminant que je viens de recevoir
ire de Marchant', et s'inscrit pour une somme de cinq cents francs. ' ' il Cette idée est évidemment bonne, mais elle
e de Marchant', et s'inscrit pour une somme de cinq cents francs. ' ' il Cette idée est évidemment bonne, mais elle e
t évidemment bonne, mais elle est aussi d'une exécu- tion difficile, ' et je crois qu'il faudrait mieux que la Société t
ontribuer par un moyen quel- conque au tombeau qui lui'sera élevé.' ' t il... W (Une commission composée de MM. Lunie
on, Bou- 1- chereàà ek Cliristian est chargée d'étudier ce projet.) ' j ? ' . r. .. , i ? tl>» I i Prix Aubanel.
1- chereàà ek Cliristian est chargée d'étudier ce projet.) ' j ? ' . r. .. , i ? tl>» I i Prix Aubanel. M. Mote
Après une courte discussion, la rédaction suivante est adoptée : - ' , 1 '' c) La, Société médico-psychologique décer
nom. Les membres titulaires de la Société sont exclus du concours. ' 4 M. DOUTREBENTE donne lecture de son rapport s
ion sans tache, au point de vue de la moralité, il Llr f » iu : ... ' i - t t i. ' » ' I ' ' 2 ? i·Yf JA ? 89TRi')Or
e, au point de vue de la moralité, il Llr f » iu : ... ' i - t t i. ' » ' I ' ' 2 ? i·Yf JA ? 89TRi')Or ? : : socié
u point de vue de la moralité, il Llr f » iu : ... ' i - t t i. ' » ' I ' ' 2 ? i·Yf JA ? 89TRi')Or ? : : sociétés
int de vue de la moralité, il Llr f » iu : ... ' i - t t i. ' » ' I ' ' 2 ? i·Yf JA ? 89TRi')Or ? : : sociétés sava
t de vue de la moralité, il Llr f » iu : ... ' i - t t i. ' » ' I ' ' 2 ? i·Yf JA ? 89TRi')Or ? : : sociétés savant
rédictions, sinistres; sur, la, responsabilité, .qu'ilt en ? ôurt f ' me' lautoritéiadministra-; cour ? d'avoir, dési
et la fille purent, heureusement, le désarmer et 1 la' tentative ! ' de meurtre n'a pas abouti, il fut arrêté aussit
aire, à la façon; délirante-habituelle'des 'persécutés ;<> mais, ' comme uni persécuté n'en arrive pas'd'emblée' à
quilibre intellectuel et'' le faire entrer dans un délire actif.' " ' " ? 11, '' 1 '' ' "' ''J'ai cru devoir conclure
tuel et'' le faire entrer dans un délire actif.' " '" ? 11, '' 1 '' ' "' ''J'ai cru devoir conclure la séquestration
l et'' le faire entrer dans un délire actif.' " '" ? 11, '' 1 '' ' " ' ''J'ai cru devoir conclure la séquestration à c
it pas par hasard pré- senté''déjà'* quelques'accidents alcooliques ' avant l'arrestation de M-0 Eyben. ? ' - ? i *,r
uelques'accidents alcooliques ' avant l'arrestation de M-0 Eyben. ? ' - ? i *,r> ' 1 tri 1 ? ' ' 1 "" ar; . , ; M;
s alcooliques ' avant l'arrestation de M-0 Eyben. ? ' - ? i *,r> ' 1 tri 1 ? ' ' 1 "" ar; . , ; M;Motet. Il faisai
s ' avant l'arrestation de M-0 Eyben. ? ' - ? i *,r> ' 1 tri 1 ? ' ' 1 "" ar; . , ; M;Motet. Il faisait bien son s
' avant l'arrestation de M-0 Eyben. ? ' - ? i *,r> ' 1 tri 1 ? ' ' 1 "" ar; . , ; M;Motet. Il faisait bien son ser
nte à droite ne s'ac- conipagne d'aucun trouble du langage. t' , ., ' ' 1 MAGNAN. Je vois bien sur une de ces pièces
e à droite ne s'ac- conipagne d'aucun trouble du langage. t' , ., ' ' 1 MAGNAN. Je vois bien sur une de ces pièces qu
orie des faits que signale SOCIÉTÉS SAVANTES. 291 ^'itu* )<, ! ' r ? "l1 , 1,, ? J., 1 "1 ., t f 1")(1 1 ! ·y ? ,
e lobe occi- pital chez un individu qui entendait très bien. , ,. n ' 1, ? f.. ? t ? r .h .... nIARCRL·BRL1ND. I t'ir
.Il BI f' n ,.I, i> < . , , i , . i .1 ri, . ? > ? - t f ' ? t) XIII- CONGRÈS DES ALIÉNISTES DE L'ALLEAIAG
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ÈS DES ALIÉNISTES DE L'ALLEAIAGINE, , ' DU SUD-OUEST. , , , , , , , ' , u-i |Fin )' i ui r i ? )..r" -i, ' .ff I' HI
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SESSION DE KARLSRUHE,11", n t , . r ,i ,, n , , f 5 1 fi, 1 , 1, 1 ' ! » >' ("i.l,. , '1. , .I , -II - r , Séance
4° installer les'épileptiques incurables et t, t, n ? 1" h. , <" ' f '. u 1 Nous'en présentons l'analyse clans ce
; il , 1, 1 . ? incapables de travail, selon les conditions locales, ' dans les'établis- sements d'infirmes ou hospice
qu'on n'a pas besoin de préparatifs spéciaux pour.disposera au rez- ' de-chaussée des services d'épileptiques avec les
).u,n , m . , 1 , o., P, ? ? u , , ,M ? ? *" A propos du traitement, ' M. Fischer demande' qu'on expérimente - le brom
rbations mentales observées dans les établissements pénitenciers '. ' La séance est levée à six heures du soir. ' ' '
sements pénitenciers '. ' La séance est levée à six heures du soir. ' ' ' , * Séance du 17 octobre 4880. Présidence D
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'JOLLY. ; t'"f f 111 1 ? J ! .1 \I ...,v , i , m v' nlt m 1v w -. ' i*xe( filv -Ij / . > , .,» ... ,, M. FuRSTNE
alement' l'existence en commun."1* ",fi z Il t ? l'1 , 1 , ? ,, 1 ? ' " ? '<"< ' ? " 5111,jrçn 1 1 il Fi .,il ,
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lt;"< ' ? " 5111,jrçn 1 1 il Fi .,il , "")- . il . 1 z p : int 1 ' t1' c K 1 Nous en donnerons bient8t l'analysv.
donnerons bient8t l'analysv. 3 °9t ;U ? < f3 SOCIÉTÉS, SAVANTES. ' 293 - i-></" "îli ni Sy "M. JOLLY, moin
coercition que M. Fürstner, redoute moins que lui les narcotiques. ' `'1 `'qw`I' - -' ' l * il.. , ., ... , . | ! .)
. Fürstner, redoute moins que lui les narcotiques. ' `'1 `'qw`I' - - ' ' l * il.. , ., ... , . | ! .)ffff).j wlli : FU
Fürstner, redoute moins que lui les narcotiques. ' `'1 `'qw`I' - -' ' l * il.. , ., ... , . | ! .)ffff).j wlli : FURS
céhàliqûés,'inventée' par le Dr Witkowski, dei Strasbourg. Aplatie, ' elle' mesure'1 10 0 'centimètres de long'sur 5' d
s de long'sur 5' de large et est revêtue' d'une- éponge.' En' somme, ' elle' n'est qu'une modification dé' l'électrode
nc mince et flexible, elle s'adapte en outre à toutes les courbures, ' de' sorte -que''son usage 'est 'compatible avec
GeneM. medic, @t.,XXXVIII, 1881 - .... ? ........<. i .,m,, 4 " ' '" « ? "' " , ......... P. ? IC. . ,i ? ,t, .c ,
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nce dit 15 décembre 1881. ' ' I ' ? * "" ' ' r n 't ' t y . ' v r ' J t. , l ,1 ,1 .'] 1· I t t em La séance est ou
mme membres titulaires les Drs, Reinhardt, Stenger et Schmidt. i u, ' . il 1 - - 1, 1 - 0, . ,c. ï, ùi "' Le Dr 0.'Af
rdt, Stenger et Schmidt. i u, ' . il 1 - - 1, 1 - 0, . ,c. ï, ùi " ' Le Dr 0.'Afur.r,En communique à la Société un cas
nifestation principale, voire la seule'de'1'aliéna- tiori : exemple, ' l'agoraphobie. 'Ainsi; l'observation en 'question
se sociale élevée, entaché d'hérédité névropathique, mais jouissant, ' à part quelques perturbations digestives, d'une
pension" à 'la diarrliéé' : teis'absolument les effets d'une peur ' effroyable^ brutale. Grande excitabilité sensorie
dans un milieu sombre; en proie à l'insomnie ainsi qu'aux phéno- ' mènes d'inappétence' progressifs', il devient de
uatrième des accès depuis l'âge de vingt-cinq ans ; tous semblables, ' ils ne l'empêchèrent pas, tant la guérison fut
te-huit ans. L'analyse clinique révèle l'intégrité de l'entendement, ' une' hypo- (choi)drie 1. exeinfte' de mélancoli
qües, les crises émotives; l'érythème persistant' de la région cer- ' vicale, la' fréquence de la miction, les tremblem
ychophbbie alternait avec'des conceptions iri,esislibles; le second, ' sur ce fait" que la 'vue 'des femmes troublé le
malade (conception monomaniaque) ; NI ! Jastro- witz la compare au ' «mal de toucher».. '" ' L"" ' ? » "-I » 1 ''y i
monomaniaque) ; NI ! Jastro- witz la compare au '«mal de toucher».. ' " ' L"" ' ? » "-I » 1 ''y i , 1 ,i, , , v ,| .)
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même, syndrome. .Enfin, toutes les formes de psychophobie, qu'elles^ ' appellent ago- raphobie, mal, de touher,j gynéc
1 épigastrique 1 engendre,1 ellei aussi, deilégers' états d'anxiété, ' et M. Jastrowitz met * en évidence que' les' se
'ir ·"·,·1 M.1 Gocs. i'A-t-onr dirigé' des . essais@ thérapeutiques ' contré 'les ' troubles vasomoteurs ? 1 ? Sur la
.1 Gocs. i'A-t-onr dirigé' des . essais@ thérapeutiques ' contré 'les ' troubles vasomoteurs ? 1 ? Sur la réponse négat
ltat est' très prompt sur l'agitation motrice dénature alcoolique;. ' )0 milligrammes amenèrent une sédation en un qua
ns le'cas'de katatonie, '10 milligrammes ont déterminé constipation ' et ' rétention ' d'urine opiniâtres (paralysie
'cas'de katatonie, '10 milligrammes ont déterminé constipation ' et ' rétention ' d'urine opiniâtres (paralysie des s
tonie, '10 milligrammes ont déterminé constipation ' et ' rétention ' d'urine opiniâtres (paralysie des sphincters pa
d'urine opiniâtres (paralysie des sphincters par intoxication). ? m ' ;l '' ? Il - -Discussion1 : [ ' "» 'r1' " * ? "
s sphincters par intoxication). ? m ' ;l '' ? Il - -Discussion1 : [ ' "» 'r1' " * ? "J ' ' "' ,n, ·i T M.RICâien,ltro
toxication). ? m ' ;l '' ? Il - -Discussion1 : [ ' "» 'r1' " * ? "J ' ' "' ,n, ·i T M.RICâien,ltrouvantqûel'hyôscyâin
xication). ? m ' ;l '' ? Il - -Discussion1 : [ ' "» 'r1' " * ? "J ' ' "' ,n, ·i T M.RICâien,ltrouvantqûel'hyôscyâinin
ation). ? m ' ;l '' ? Il - -Discussion1 : [ ' "» 'r1' " * ? "J ' ' " ' ,n, ·i T M.RICâien,ltrouvantqûel'hyôscyâininé'e
âcheux rl résultats. Ce dernier fait observer ! qu'il faudrait," en ' de pareils.1 ` cas,' tenir compte de l'impureté
Ce dernier fait observer ! qu'il faudrait," en ' de pareils.1 ` cas, ' tenir compte de l'impureté de la préparation et'
ion et' du mauvais' ! état de la'nutrition des malades. Il constate; ' comme un fait'nou-M veau, son action sur les év
e séance est fixée au 15 mars 188'). (Allg : 'Zèitsh ? f. Psych. M. ' psych. -Gericht. medic ? t.* XXXVIII, 1881.)"1 -'
sh ? f. Psych. M. ' psych. -Gericht. medic ? t.* XXXVIII, 1881.)"1 - ' » P.' K ? ™" ? ) ? j i u i , ' ? ,rr,··r · ? rr r
Gericht. medic ? t.* XXXVIII, 1881.)"1 -'» P.' K ? ™" ? ) ? j i u i , ' ? ,rr,··r · ? rr r ! i. , , Ar, "tpMiT' ? t. , r
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-i i ..i ,i i ? m, 7o.d , ... . , 0 1 : r5 juin . , , . ,,ii ? I ' 1>1 J9 .. , , , ? , . ' '- i I < ËfM : j
... . , 0 1 : r5 juin . , , . ,,ii ? I ' 1>1 J9 .. , , , ? , . ' '- i I < ËfM : j oii'i III. Za Fièvre ; Etud
)J Ce travail se trouvera dans i l'une des revues analytiques ? ru ' 'mirlq 298 bibliographie. les moyens à l'aide
ibre entre 'l'accroissement' et la diminution de la calorification ; ; ' les 'phénomènes thermiques 'de' la fièvre et la
t la théorie de la fièvre constituent les' deux derniers'chapitres. ' " · ' a ttl . drJ%1 (" 17 , ,r 'Ti el ( )" 1 .
héorie de la fièvre constituent les' deux derniers'chapitres. ' " · ' a ttl . drJ%1 (" 17 , ,r 'Ti el ( )" 1 . 1 Wy t
coup de chaleur (Ch'. VALLIN ? A ? 'Ch2*VéS gén : de Méd., 1871) : ' M. Wood'a commencé 'par confirmer' ces* recherc
; t '4j i ? e)t ! 'i<" dh *-" ! il »*» - U -.iqi.in- iiii/iid'ii ' pt tlDanst lai première série, on ? eut,les.rés
e un1 quart. 'f ` R.' ? 49° au' moins1.' T ! 1 de la serre' =` 99°, ' ' expériezce' 4 0. Chat mort en''un' quarto d'I
un1 quart. 'f ` R.' ? 49° au' moins1.' T ! 1 de la serre' =` 99°, ' ' expériezce' 4 0. Chat mort en''un' quarto d'Iic
apin, eau = 60 à 80° : T. R., 4·1 ° I ? durée 'une' heure1 et demie; ' l'animal' a sur- vécu;' expérience 13. Chat, ea
. R., 4·1 ° I ? durée 'une' heure1 et demie;' l'animal' a sur- vécu; ' expérience 13. Chat, eau'= 60 à 70° mort en une d
eau = 70.à 80 ? mort en deux heures. T. intra-cérébrale = 46° 111 : ' 1'Vood'`conclut de ces-expérieilces'que : 1° une
e son application,clinique chaque jour. , . , .J lllllr n . p || (P ' , . ! -t'il 1 l' t' ' ' ' ' '" " t r, Les tempé
ique chaque jour. , . , .J lllllr n . p || (P ' , . ! -t'il 1 l' t' ' ' ' ' '" " t r, Les températures indiquées par
ue chaque jour. , . , .J lllllr n . p || (P ' , . ! -t'il 1 l' t' ' ' ' ' '" " t r, Les températures indiquées par M.
chaque jour. , . , .J lllllr n . p || (P ' , . ! -t'il 1 l' t' ' ' ' ' '" " t r, Les températures indiquées par M. W
haque jour. , . , .J lllllr n . p || (P ' , . ! -t'il 1 l' t' ' ' ' ' '" " t r, Les températures indiquées par M. Woo
que jour. , . , .J lllllr n . p || (P ' , . ! -t'il 1 l' t' ' ' ' ' ' " " t r, Les températures indiquées par M. Wood
'Expériences 39 à 43.), 1 , j ? c j - , il- il () . ! ° . lit m( t" ' - " in' 1 Ce centre est donc placé là où l'avai
ction, ni comprimées par le sang épanché àütôur"dn' bûlbé`(p : 6)a = ' D'àutrés' ézpériencés'' [Expériences*^ et'T 55)
érience (p : 65). » I ! j - .- Il « aw",Ir ? 1 . i ., t, 11) qr, "; ' P ? >'w -t Plus loin, par de nouvelles expér
expériences [Expériences 56 à 59), M. Wood reconnaît que : iiim'.i ' " H * u "Wi >'' > 91 ? inl | , U ? f')'' v
'plus 'élevée après qu'avant cette section. » *i *>f r a' '< ' bf'' ^ ' ' "" 9> n.l 1 ? (' I S"l , fr" ,' :
levée après qu'avant cette section. » *i *>f r a' '< ' bf'' ^ ' ' "" 9> n.l 1 ? (' I S"l , fr" ,' : r " t 1
vée après qu'avant cette section. » *i *>f r a' '< ' bf'' ^ ' ' "" 9> n.l 1 ? (' I S"l , fr" ,' : r " t 1 -
ette section. » *i *>f r a' '< ' bf'' ^ ' ' "" 9> n.l 1 ? ( ' I S"l , fr" ,' : r " t 1 - ' ' ' ']>'' .11 C
*i *>f r a' '< ' bf'' ^ ' ' "" 9> n.l 1 ? (' I S"l , fr" , ' : r " t 1 - ' ' ' ']>'' .11 Cette perte de c
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lt; ' bf'' ^ ' ' "" 9> n.l 1 ? (' I S"l , fr" ,' : r " t 1 - ' ' ' ']>'' .11 Cette perte de calorique pourrait
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7T"ao 7-nTTqT, rt0* BIBLIOGRAPHIE. 301 - ? i ? , - .. m t^ ? n ' , l'.i'i'.rn ii-îLih^o.T'.rriT * irritatifs par
ature se trouvait abaissée et elle ne s est accrue* que peu à péû : ' Il faut"donc'admettre' une' influence paralytiq
que peu à péû : ' Il faut"donc'admettre' une' influence paralytique] ' que 141 : Wodd compare aux actions trophiques, en
ent de température ,'malgré,l'élévation de' la' pression artérielle, ' malgré même l'interruption de la circulation loca
nifestations. variables et confuses. E ! l,r r' · ? fr,r ? -> ? ( ' z 1 i-F . , - Ces centres thermiques peuvent' d
une hyperther- mie croisée, correspondant à l'hémiplégie croisée ! ' M Wood a consacré de nombreuses-'expériences à'
consacré de nombreuses-'expériences à'la vérification de ces 'faits, ' eti c'est là le point capital de son travail. Dix
Expériences' 76 à'95) : On peut'en conclure 'avec l'auteur' que' : ' " ? * ii iqi iir, nu' il' 'm 1,1 mit) ri i.iii-
ion. 'Celle des quatorze' expériences), (lui semble faire exception, ' peut s'expliquer par un' accident opératoire' Un'
er par un' accident opératoire' Un' grand sinus s'est'trouvé blessé, ' le sang'a fusé autour'de l'encéphale et a causé
olutions ont été intéressées à la fois. Sur les. treize expériences, ' sept} ont, porté sur une seule circonvolution e
augmentation, de, cha- leur de 4 0, 20', 4 l ? 4 3; 30, 4 2 p.' 100 ' ; six expériences ont atteint les deux circonvol
0 '; six expériences ont atteint les deux circonvolutions à la fois) ' elles ont donné 35, 74, 36, 27, 65, 47 p. 400'd
t la ( chaleur animale; on-peut donc s'imposer qu'elles excitent le ' centre modérateur contenu dans la région de Hit
tre modérateur contenu dans la région de Hitzig. » - .r i-/5 < ' t 1 . ' . ' ' ' 1 ''Il fallait'donc irriter, sa
rateur contenu dans la région de Hitzig. » - .r i-/5 < ' t 1 . ' . ' ' ' 1 ''Il fallait'donc irriter, sans le dé
ur contenu dans la région de Hitzig. » - .r i-/5 < ' t 1 . ' . ' ' ' 1 ''Il fallait'donc irriter, sans le détrui
contenu dans la région de Hitzig. » - .r i-/5 < ' t 1 . ' . ' ' ' 1 ''Il fallait'donc irriter, sans le détruire
ontenu dans la région de Hitzig. » - .r i-/5 < ' t 1 . ' . ' ' ' 1 ''Il fallait'donc irriter, sans le détruire,
. Wood a eu recours (Ex- périences 96 et 97) au sel marin ; dans ce ' but, il perforait le crâne par une couronne de
ant probablement être ? contenus dans le pont de Varole., i . , t j ' u'uji. - < i'i '' i ^>J .'Les expériences
ression artérielle,,et que , la ^destruction^ totale,, de,,ces de1s ' ' " '; , la, nsion artérielle ; : par zones, de
ssion artérielle,,et que , la ^destruction^ totale,, de,,ces de1s ' ' " '; , la, nsion artérielle ; : par zones, des
n artérielle,,et que , la ^destruction^ totale,, de,,ces de1s ' ' " ' ; , la, nsion artérielle ; : par zones, des deux
duit ou si l'on irrite un'1 nerf sensitif : (Expériences 98 à 109.) ' h > ? "'< ` ' 'h z, 'J L'existence des ce
te un'1 nerf sensitif : (Expériences 98 à 109.) ' h > ? "'< ` ' 'h z, 'J L'existence des centres thermiques che
le de la température à la suite de lésions du mésocéphale (p. 158). ' ' ' ' r , f ), ,/ mi 71 > ' -'i' ' > '" «
de la température à la suite de lésions du mésocéphale (p. 158). ' ' ' ' r , f ), ,/ mi 71 > ' -'i' ' > '" «
e la température à la suite de lésions du mésocéphale (p. 158). ' ' ' ' r , f ), ,/ mi 71 > ' -'i' ' > '" « i
la température à la suite de lésions du mésocéphale (p. 158). ' ' ' ' r , f ), ,/ mi 71 > ' -'i' ' > '" « ici
e lésions du mésocéphale (p. 158). ' ' ' ' r , f ), ,/ mi 71 > ' -'i' ' > '" « ici. Nous ne ferons que' signa
ns du mésocéphale (p. 158). ' ' ' ' r , f ), ,/ mi 71 > ' -'i' ' > '" « ici. Nous ne ferons que' signaler la
mésocéphale (p. 158). ' ' ' ' r , f ), ,/ mi 71 > ' -'i' ' > ' " « ici. Nous ne ferons que' signaler la troisiè
pable de réagir vite et puissamment, comme dans l'état de santé. ' Cet état s'accompagne d'un trouble des centres va
loie pour se débarrasser de cet excès de calorique (P 55). » )7 " ' t On voit quelle ' est en somme 'l'idée directr
ser de cet excès de calorique (P 55). » )7 " ' t On voit quelle ' est en somme 'l'idée directrice qui a guidé M.
alement incurables. Nasse a décrit une pseudo-para- lysie e potu. 1 ' ' BIBLIOGRAPHIE. 305 La paralysie générale se
ement incurables. Nasse a décrit une pseudo-para- lysie e potu. 1 ' ' BIBLIOGRAPHIE. 305 La paralysie générale se m
ou violents et souvent ces deux caractères s'associent.' il " à '' ' , il , 't' ' ''\ ' )' Les affections du'coeùr p
et souvent ces deux caractères s'associent.' il " à '' ' , il , 't' ' ''\ ' )' Les affections du'coeùr peuvent,' chez
vent ces deux caractères s'associent.' il " à '' ' , il , 't' ' ''\ ' )' Les affections du'coeùr peuvent,' chez les s
t ces deux caractères s'associent.' il " à '' ' , il , 't' ' ''\ ' ) ' Les affections du'coeùr peuvent,' chez les suje
' il " à '' ' , il , 't' ' ''\ ' )' Les affections du'coeùr peuvent, ' chez les sujets prédisposés, déter- minera une
ent, un délire vulgaire, surtout nocturne. " Cii. FÉRÉ. , , . r . ' . i|i| 'I , il '' VI. Contribution à l'étude de
a est constitué. Ch. FÉRÉ. ? q, il 1 : n' , f) si ti u t u , - Il h 1 ' J.iq . - VII. Lésion du nerf sciatique poplité
- . ,v '. « La fracture de la tête du péroné, soit.par arrachement, ' soit par choc direct, est une lésion rare. Les
tement par l'électrisation n'est que pal-' Hâtif.. , - - Cil. Féré. ' xlsv'" ' ' i . ? , , « INDEX BIBLIOGRAPHIQUE
l'électrisation n'est que pal-' Hâtif.. , - - Cil. Féré. ' xlsv'" ' ' i . ? , , « INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Contributio
électrisation n'est que pal-' Hâtif.. , - - Cil. Féré. ' xlsv'" ' ' i . ? , , « INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Contribution
Contribution à l'étude de la rage ; par M. DARGET. (Thèse de Paris, ' 881.) .. ,- Contribution à l'étude de l'épile
ie d'origine syphilitique; par, A.' PÉRIER.'(Thèse de Paris, 1881.) ' , 1 Du tremblement mercuriel ; par E. SCHOBLL.
Kt/ee;parA.-M.-L. BOPPE. (Thèse de Paris, 1881.) Une obser- vation. ' 1 Contribution à l'étude du traitement du tétan
chais. (Thèse de Paris, 1 881 .) I'4-a^at ^xi-'h. "u. °ZJ11 JG ) ' vti 7f.aW1 "i ? ' m j'hitJ, li ^mu.- < ? *,
Paris, 1 881 .) I'4-a^at ^xi-'h. "u. °ZJ11 JG )' vti 7f.aW1 "i ? ' m j'hitJ, li ^mu.- < ? *, - sq9S ! .tt,sa7j6
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leine victoire dans un laborieux con- cours, Henry CLOZEL DE BOYER. ' . C'est à l'hospice des Enfants-Assistés, en re
s de Neurologie, ont rendu un deï-a nier hommage à Clozel de Boyer. ' ' ' Sur cette tombe qui s'ouvrait'avant l'heure
de Neurologie, ont rendu un deï-a nier hommage à Clozel de Boyer. ' ' ' Sur cette tombe qui s'ouvrait'avant l'heure p
eurologie, ont rendu un deï-a nier hommage à Clozel de Boyer. ' ' ' Sur cette tombe qui s'ouvrait'avant l'heure pour
mies se sont d'ailleurs fait entendre, et Henry de Boyer a été digne- ' ment loué; mais l'amitié de dix années qui nous
rès médical savent combien sa collaboration était active et assidue, ' et avec quelle compétence il traitait les questio
é les articles relatifs au système'ner- veux et à la thérapeutique. ' '' ' - .se m4 Dans ces derniers temps un nouvea
articles relatifs au système'ner- veux et à la thérapeutique. ' '' ' - .se m4 Dans ces derniers temps un nouveau cha
rcot et Bournévillé résolurent de fonder les Archives de Neurologie, ' ils n'hésitèrent pas à lui confier le poste de
un grand nombre d'analyses de tra- vaux tant français'qu'étrangers. ' i.n»iee Enfin, appelé de bonne heure par Huguie
' i.n»iee Enfin, appelé de bonne heure par Huguier comme prosecteur ' à à l'Ecole des Beaux-Arts, il rendit en cette
s et vraiment saintes : la science, l'humanité, le progrès. 3,1 r ' ., ? > e - r Br'DE AlUSGR9VE-CLAY. r . , ;r
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Br'DE AlUSGR9VE-CLAY. r . , ;r fUi-fl i(l 1* 7. i . 3· , i ' i il - ' fiS. g, h » . , ; ,. ,..., . , ,, i "9 9f cff
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l 'rt i, t i .,>,, l (1 , gs^y 1 2 ? 3r : \ ' ? , \ "» - t, -. , ' ''t i '<R '. f. , ,y Asile d'aliénés DE VILL
lemagne du (, sud-ouest ? tenu à Karlsrluhe 291. 1, s Contagion ' (cas de contagion des illusions), par Morandon d
de la), par H.-B. 'll BigelOV,` 126. yUi "u · . Il Corne d'Ammon ' (morphologie et -ai embryologie)' par M.'Uuval,
26. yUi "u · . Il Corne d'Ammon ' (morphologie et -ai embryologie) ' par M.'Uuval, 162; Relations étiologiques entre
246. 1 P ? l' Couronnerrayonnante,'parBitot, 2. Crises gastriques, ' 232 : »'" (Il 14 am5)cy tn s.·r, ol rr 'hf'f*
? l' Couronnerrayonnante,'parBitot, 2. Crises gastriques,' 232 : » ' " (Il 14 am5)cy tn s.·r, ol rr 'hf'f* Dégénére
humai- nes, 136. W<t i. - -A /"il Délire aigu, par llLaBriand, ' 144;- par Furstnei,, 273. 4 ? 1 ? Délire'de p
cution, 288.,1 il r'1 Délire partiel diffus, 131. * ^ Diabétiques, ' (contributions' à@ l'é- tude de quelques troubl
itenciers (per- turbations mentales, observées 2ddans les),rl292. ' -i -'u'I I r .il Faciale (hémiatrophie progre
eMontheil; 198 ; (Systématique aiguë primitive) par Buch, 271. ' , . i ' -i- Galvanisme (V. Goût). - ," Goût (p
theil; 198 ; (Systématique aiguë primitive) par Buch, 271. ', . i ' -i- Galvanisme (V. Goût). - ," Goût (perte co
e l'odorat ; guérison par le galvanisme), par Bock- v vvell, 358. ' - ' ' ' ' ,1/1 Graphiques (tracés ? de' la mar-
odorat ; guérison par le galvanisme), par Bock- v vvell, 358. ' - ' ' ' ' ,1/1 Graphiques (tracés ? de' la mar- c
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at ; guérison par le galvanisme), par Bock- v vvell, 358. ' - ' ' ' ' ,1/1 Graphiques (tracés ? de' la mar- clie)
; guérison par le galvanisme), par Bock- v vvell, 358. ' - ' ' ' ' ,1/1 Graphiques (tracés ? de' la mar- clie),
l 1 11(i Hallucinations (de la théorie des) par Kaudinslcy, 74 : * ' ? , Hémiatrophie faciale progressive, par Mar
4 : *' ? , Hémiatrophie faciale progressive, par Maragliano, 241. ' 'l Hémiopie'du même côté guérie°,par Fuicliel
? nants); 259. (Accompagnée S'd'aphasie' et suivie de guérison), ' "2S9. ' o £ V ? " -^ Hémorrhagie cérébrale (path
s); 259. (Accompagnée S'd'aphasie' et suivie de guérison), '"2S9. ' o £ V ? " -^ Hémorrhagie cérébrale (pathogénie
i et'' de 'action de l') chez les aliénés et 1,1 les épileptiques, ' par Kowaiews- ki, 477 ; par Dôrremberg, 296.
notisme (chez les hystériques) par Charcot et'Richer, 32, 173 ; - ' (Les 'manifestations 'de'I'), ''a par Wille,123.
'manifestations 'de'I'), ''a par Wille,123. - Il r 4 Hystériques ' (hypnotisme et hype- rexcitabilité yneuro - mus
. 0, il' 1, 1 il 1 a Kakké du Japon, par D.-B. Sim- mons, 140 : ' Labio-glosso-pharyngée (,paralysie il, d'orig
es" récentes' expé- - s nences de Ferrier; par, Pierson, 122. ot , ' ^'K. i' TABLEiDES MATIERES. 315 Main (note s
épinière (contribution à la pathologie de la), 244 ; (Mort subite ' rupture d'un vaisseau ' dans la région cervical
a pathologie de la), 244 ; (Mort subite ' rupture d'un vaisseau ' dans la région cervicale de la), par Paye, 260.
culaire (contraction) paradoxa- , le, par,, lllendelssohn, .119 ; ' spasmes (désignés sous / le nom ,, des réflexes
sous / le nom ,, des réflexes tendineux), par A. - Waller, 124 ? ' 1%J , ,' ' Mysp phobie, par Hammond, 266. , -
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ysies progressive des aliénés j (prédisposition m héréditaire et) ' 280. f. il .Paralysie générale (marche défila)
s, 304.. z Paralysie spinale et spasmodique, 4 parSchultz, 250. · ' .3 Péricérébrite ( de l'augmentation de la fi
'id Lesauvage, 15, a f Prix de l'Académie de Belgique, 155. 1 , ' " ttj -Pseudo-monomanie, 131. tu '.Psychologie
urs (les) du Maine, par Beard, Sciatique Poplité externe (lésions ' : du) dans les fractures de la tête ri du péron
urdité (cécité et) des mots, par ni Skwortzoff, 215. · S),pliilis ' (sui ? Ia 'patliogénie de 1'liémori,ha,-ie céréb
dans les - ? formes- précoces 1 de la), ''par ., Lechner, 251. -i ' t » Tabétiques (arthropathies) ,tipâr ou-De
.n« i » un Tumeurs métastatiques à la' base du crâne, 253. ,(-» ' -Hifqn " ' j »* Urémie ( céphalalgies occipital
Tumeurs métastatiques à la' base du crâne, 253. ,(-» ' -Hifqn " ' j »* Urémie ( céphalalgies occipitale comme s
PLICATION DES PLANCHES. p l'anche' Il -1 C. i., capsule interne ? ' " C. op., couche optique. j ''T ' F. op., fibr
' Il -1 C. i., capsule interne ? '" C. op., couche optique. j ''T ' F. op., fibres optiques.' ? ' ' A', c, noyaû'
? '" C. op., couche optique. j ''T ' F. op., fibres optiques.' ? ' ' A', c, noyaû'caudé. ' ' " ' ` -J' ' '' ? j ·
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ique. j ''T ' F. op., fibres optiques.' ? ' ' A', c, noyaû'caudé. ' ' " ' ` -J' ' '' ? j · N. I., noyau lenticulair
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ulaire. P. c. op., Pulvinar de la couche optique. 324 EXPLICATION ' DES ' PLANCHES. PLIN-CHEji' C, claustrum ou a
. P. c. op., Pulvinar de la couche optique. 324 EXPLICATION ' DES ' PLANCHES. PLIN-CHEji' C, claustrum ou avant-m
ji' C, claustrum ou avant-mur. ? 31 ? s` r C. e, capsule externe. ' "M'h'Zt. T, ? ? C. i. f. M. e., capsule interne;
p., bandelette optique. ? 3vs M , C. claustrnm ou avant-mur... r, ' capsule eaterne. atT ? i ? 9 C. e., capsule ext
orps genouillé externe. ? v .. C. g. i., corps genouillé interne. f ' ♦ » C. i. f. p., capsule interne; faisceaux pos
du côté gauche. Archives de Neurologie T. II. Pl.1. 1 ! '19. 1. ' Il il 2. Fig. 3. Fig. 4. Archives de Neurolog
4 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
iivisla spel'imentale di In·cralrri, cli Alecliciua loyale el l'AI'ch¡ ' ¡'io italiagio per le malallie narcose. En Fra
dit à ce sujet par les auteurs les plus compétents : MM. lfevnert, ' 1 Iluguenin, Sappey et Mathias Duval. ". M. H
déjà entrecroisées à ce niveau. Pour MM. Sappey et Mathias Duval ' , l'entrecroise- ment sensitif commence lorsque
particulier. - Le faisceau latéral ou moteur était sclérosé, non ' Sappey et DllV,Ll.-ColI ! ¡des l'endus Acad. des
le bloc protoplasmique et qu'il n'est pas interrompu à son niveau. ' Ailleurs enfin (fig. 6), les amas de myéline gr
de la névrite segmentaire périaxile 2Ï le ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ' la période de restauration ou à la fin de la péri
la fibre ne s'effectue pas par un procédé plus voisin de l'atro- ' phie simple, par une sorte de destruction molécul
même résultat, la disparition totale ou partielle de cette gaine. ' Ranvier, loc. citât., T. L, p. 2G6 et suw. - l'1.
lésions du même genre dans un cas de névrite traumatique, chez un ' Voy.Debove et GûmbaultCo)' : & : <<iOt
s un cas de névrite traumatique, chez un ' Voy.Debove et GûmbaultCo) ' : & : <<iOt ! a fe'Me c/A'OM/N'a/e 1
montrée habituelle- ment la névrite destructive dû cylindre- d'axe, ' comme e dans la' dégénération Wallérienne. Acce
génération Wallérienne. Accessoire ! 1 chez le ("¡n1(1 J' u" C 'l I ' 1 . - '< r ('fI "o1'f/)IO') cochon d'Inde sa
ues de^ la /névrite parenchymateuse, ne sont -l'une, et l'autre que ' deux effets d'une même cause, deux phases succe
miIl pendant 24 heures au moins. Les nerfs ont été recueillis aussi ' frais que possible. Dans un cas, le nerf sciati
ant une' portion' de segment large A, intercalée entre deii- séries ' (le 1 seg- ments interannulaires minces et court
A, cylindre d'axe coloré^ en rose et situé longitu'dinalement.'r JB, ' B, amas' de myéline granuleuse renfermant un gr
énération n'a pas atteint 'la partie profonde de cette gaine. <1 ' ' " i ? 1 -1\ i > ! * , d ,f , Fig. 13, 14,
ération n'a pas atteint 'la partie profonde de cette gaine. <1 ' ' " i ? 1 -1\ i > ! * , d ,f , Fig. 13, 14, 15
demeurée normale. En c, ces deux portions se réunissent de nouveau. ' ' Fig. 15. Deux segments interannulaires limité
meurée normale. En c, ces deux portions se réunissent de nouveau. ' ' Fig. 15. Deux segments interannulaires limités
B, C, portions minces intercalées dans la continuité de la fibre.' ' ' Fig.' 17. Le point B de la figure précédente,
, C, portions minces intercalées dans la continuité de la fibre.' ' ' Fig.' 17. Le point B de la figure précédente, e
ranglement interannulaire. N, N, noyau du segment interan- nulaire. ' ' Fig. 19. 'Névrite traumatique. - A, portion m
nglement interannulaire. N, N, noyau du segment interan- nulaire. ' ' Fig. 19. 'Névrite traumatique. - A, portion min
il l'extrémité d'un segment large, B, R, étranglement annulaire. ' \H\ CI 1 : II111 cnll1lJJ,1 n PATHOLOGIE R
E RECHERCHES SUR L'INCOORDINATION MOTRICE ." , -1 DES ATAXIQUES ' ¡H[I' r, .... . Il n Par r le, D. 1L, DEROVE, ag
tre et le Dr. M. BOUDET DE PARIS, ancien interne des hôpitaux. (\\ ' " ? \ i .¡ . , , 'i "lr1 i . Les recherches qu
ie de l'incoordination déjà soutenue autrefois par Lockharti Clarke ' , 'mais à l'appui'de' laquelle nous croyons avoi
1 L. Clarke. On locomotor ataxy. (l3rifisl médical Journal, 1862.) ' boudent de Paris. - Société de Biologie, janvier
al, 1862.) ' boudent de Paris. - Société de Biologie, janvier 1880. ' INCOORDINATION DES ATAXIQUES. 11 1 extenseurs
uscles. La seule que nous ayons constatée porte sur-le temps perdu. ' t i ? 1 1 \ .. \ ,l(j On sait qu'une excitation
iques, un temps perdu plus considérable que ceux de 'la jambe. li ' "Nous ne voudrions pas qu'on se méprît sur la vale
des muscles, et nous croyons que celle-ci est la cause de celle-là. ' ,1 En effet; pour qu'un mouvement se produise, i
eux aune tonicité moindre, il se contractera moins énergiquement et ' avec une' brusquerie plus grande. On sait en ef
force agissant brusque- ri 1 . 1 } / r /1 1 H" 1 H '' PATHOLOGIE. ' ''1 . .' l\.Jf f ...J.I'T ) HId ? ..1 -tl men
lévation du levier; si le fil est détendu, il'se ¡., (- , i J ? 11,) ' 111l1,n1 produira une sorte de choc qui amènera
uira une sorte de choc qui amènera sa brusque , , '. t ..., . 't ? ) ' jnu.'b ? tlb élévation. , r 1 `L ·. mu a i w U
égulier r de flexion, par ., 1 C ... , l' , 1 ? ? 11 t qu exemple, ' est le résultat, non'seulement de 1 actIon, des
on,'une stimulation centripète, qui se réfléchit par la médiation ' Vulpian. Article Moelle. (Dict. encyclopédique de
la moelle, surlles,nerssmo, GVJ ? ? Q1'O()'1P '1 H. ¡llPi 0 ,'O¡/1( ' ! 1 1'" il 111 ? U/'I b 3 ii teurs destinés à c
sphincter. - .^Bl.ro^Ti ^t.orao.1 , 6**11 fj ,.1"1,,5". U"lj n,h1 , ' .4'Iib ? 1`1 ? l'T '3Jr )Iuùl .;J 6;2 £ : \11 B
,fait cesser le. tonus. Rosen- arrmgyW 1 ayl uv" It-- J 11, ? t '' " ' "' HUI)'J 11.... 1. thal a répété les expérienc
it cesser le. tonus. Rosen- arrmgyW 1 ayl uv" It-- J 11, ? t '' "' " ' HUI)'J 11.... 1. thal a répété les expériences
até les mêmes résultats. » a ,-^n v- ^i JtlJ m... " - 9" yTUla L") ' '¡l'Ut" il tt ? }Ll]l,t, : : >"11 ¿"o ? .]]l'j
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tonus musculaire, dû, à une excitation 'fit ? » 'Ih 11 ? 1111''11' ' , e : 1Jl"" J'I')I" ? J 1 -. 1 - des nerfs sens
vaincre de dissocier les fibres d'une même ra- 9v , 1 U 1 1 Li). .. ' 1 V' * z WR-e ? 4}rfôé, de fibres saines, on en
lité dans le tonus des muscles. Ce n'est g 1+ ? r p^M v ^- 1 1 .. I ' ? 1...a... Il - ~ . pas la première fois qu'on
e des troubles moteurs bien connus des physiologistes. Ils 'doivent ' être r rapportés à' là 'suppression de' la toni
par-la suppres- sion1 du tonus,'mais' par l'inégalité du tonus : * ' j Lorsqu'on'sectionne toutes les racines postér
membre,,on remarque une certaine gêne dans la marche 'de l'animal : ' Les 'musclés d'un côté sont tonifiés, ceux du c
sclés d'un côté sont tonifiés, ceux du côté opposé 'ne lè'sont plus, ' 'd'où défaut de synergie dans l'action 'des mem
nes postérieures des nerfs destinés à1' un des membres postérieurs ; ' on voit-que'les mouvements' de ce membre cessen
re mem- bre postérieur, pour les mouvements de nage et de 'saut ? ' La marche elle-même ne s'exécute plus avec une
fait existe chez les ataxiques, pour les muscles d'un même membre. * ' Tschirjew, dans son remarquable travail, a sout
quand il n'y a pas de complication telle que la contracture. > 1 ' ' M. Pierret a soutenu que l'incoordination éta
d il n'y a pas de complication telle que la contracture. > 1 ' ' M. Pierret a soutenu que l'incoordination était l
e le muscle normal, mais sous l'influence d'une' excitation -^forte, ' il.se contracte très énergiquement, et un sujet
Z LE MÊME ALIÉNÉ Par le Dur MAGNAN, médecin de l'asile Sainte-Anne. ' I. Les faits cliniques, en aliénation mentale,
recouvre passagèrement le délire préexistant. DÉLIRES MULTIPLES. ' 57 Observation IV. Un mélancolique persécuté, C
les asiles, offrant des alterna- tives d'agitation et de dépression, ' et conservant toujours des idées de suicide. Le
alade, dont l'observation a été publiée avec détails par M. Garnier ' , il m'avait été éga- lement facile de faire res
nt inva- riables. L'observation suivante offre le même intérêt au ' point de vue de la coexistence de trois délires
ères cérébelleux . ( Obs. rec. par MM. DOUR1'fB\lLLB et Hauranger), ' R... Marie-Emilie, entrée dans le service de M.
aut. C'est une fosse ellipsoïde à grand diamètre antéro-postérieur. ' ' Il n'y a pas de liquide céphalo-rachidien sou
t. C'est une fosse ellipsoïde à grand diamètre antéro-postérieur. ' ' Il n'y a pas de liquide céphalo-rachidien sous
les sont aplaties, étalées. La substance encéphalique est ramollie. ' Cerveau énorme, remplissant à lui seul toute la
et la partie inférieure du poumon gauche. Pas de tubercules. - Coeu¡ ' (60 gr.), hypertrophie concentrique du ventricu
AUX FAITS D'HÉMIPLÉGIE DE LA MOT1LITÉ ET DE LA SENSIBILITÉ. GUÉR1S0\ ' PAR UNE APPLICATION D'AIMANTS. Dans une commu
IMANTS. Dans une communication à la Société médicale des hôpitaux ' nous avons montré que, sous l'influence d'agent
rès limités; le malade soulève la jambe dans le lit, avec la plus ' Debove. Recherches sur les hémianesthésies accomp
r, transpercer de part en part avec des épingles la peau du malade. ' A l'hémianesthésie sensitive se joint l'hé1ltl'
s ces derniers temps, très grandes fatigues physiques. 30 J/ars.M" ' S., s'étant baissée pour relever un objet, fut
phères cérébraux une pile do bismuth DE LA THERMOMETRIE CÉPHALIQUE. ' 103 et de cuivre et on laisse la cicatrisation
1° Que les tubercules antérieurs dérivent seuls du mésen- céphale ; ' 2° Que la paire postérieure est une addition se
uva d'atrophie que dans les tubercules antérieurs. - Ces tubercules ' sont atrophiés chez la taupe, la chauve-souris, e
que Jackson appelle le style des symptômes nerveux syphili- tiques. ' C. TALAmoN.. V. Sarcome DU cerveau. (Dled. Time
Moreau, à qui nous devons déjà plusieurs monographies intéressantes ' , n'a pas craint de se mesurer avec ce nouveau s
istre de l'Intérieur, instituant le concours pour la nomination des ' Voir le programme et les questions données aux ca
ance, passer d'un quartier d'hospice à un autre quartier d'hospice. ' ART. 5. - Les médecins-adjoints des quartiers d
leurs relations avec le centre spinal, se place un autre processus, ' différant du pre- mier par ses caractères anato
ation, du biceps se traduit par une courl;ebigém'néel,I ? 1J ? h" ' LI"'1J III - caf) .' : : »'1 t¡ I : i' Le premi
provoquée par une seule excitation du triceps. q l,¿O b Il r \s \ , ' U3JOO PATHOGÉNIE DES TREMBLEMENTS. 195 périén
? l, J - On saisit l'extrémité d'une épaisse bande de caout- . * ' 1 ..... 1 , 4f"') ) chouc attachée à un point f
isit l'extrémité d'une épaisse bande de caout- . * ' 1 ..... 1 , 4f" ' ) ) chouc attachée à un point fixe, puis on la t
re uniquement avec les muscles du membre supé- - , J' -j,Il. ta m U ' - rieur, et il faut éviter de pencher le tronc
a m U ' - rieur, et il faut éviter de pencher le tronc en arrière ' . r 1 01, ,. #* t et de contrebalancer la force
nombre d'oscillations produites en un temps donné. z , 1 1'1 £ ? ' La-transmission électrique n'a été pour nous qu
ez l'homme M : M. Variations d'am plitude produites par la fatigue. ' , 198. PATHOLOGIE INTERNE. JOBTA3 alors porte
le, ne lui permette plus de lutter contre la force du caoutchouc. " ' "1" Or, il faut un certain temps pour que ces p
emps pour que ces phéno- PATHOGÉNIE DES TREMBLEMENTS. 199 mènes, ' certainement d'ordre réflexe, se produisent, et
étudier» maintenant ce même phénomène daÍ : 1svl'étaV'pathàlogique, ' ) et nous) commencerons' par l'expérïeÍ1ce'-la 1
l'expérïeÍ1ce'-la 1111us''Jsi.mple, c'est-à-dire par un choc - 1/ q ' ? h93 5Up 191n113B ? JOG .P,(> 1. b i porté
tion du phénomène du geîzoz4 ? l A, muscles antérieurs de la cuisse; ' - M P, muscles postérieurs de la cuisse. 1 " 1
, tions sont inverses, c'est-à-dire que le raccourcissement ? - n.. ' ? ). ' 1 .. ? ,...., ...j..tt actif des muscles
ns sont inverses, c'est-à-dire que le raccourcissement ? - n.. ' ? ). ' 1 .. ? ,...., ...j..tt actif des muscles antéri
..i ture, c'est-à-dire sur des muscles dont la force élas- . 1 ? ' tlT tique est considérablement accrue, une seul
? ' tlT tique est considérablement accrue, une seule excitation . ' t l . I, 1 électrique du biceps va nous fournir
1 électrique du biceps va nous fournir non plus une se- , ..r,r, ' r' y, v·II· ? ' çvit.m ? '' cousse bigéminée (c
du biceps va nous fournir non plus une se- , ..r,r, ' r' y, v·II· ? ' çvit.m ? '' cousse bigéminée (comme dans la 5),
cé B (Jig, 10); qui ne diffère du précédent que par l'absence de la ' première "secousse;1 celle-ci devait forcément
rtaine brusquerie, on obtient un tremblement qu'il est facile dj. ' - mi if . i ' 1 "l d'inscrire ? , " , , , ..^t
uerie, on obtient un tremblement qu'il est facile dj. ' - mi if . i ' 1 "l d'inscrire ? , " , , , ..^t Dans la fig.
ure' de la jambe. Le tracé fourni par'ëês' muscles 'est. dicr'otë; ' ce qui n'avait pas lieu' pouf 'le tracé de la f
; - D, diapason de 30 vibrations doubles à la seconde ? " ? t ? ? D ' » 204 'PATHOLOGIE INTERNE. Le second tracé de
s sujets atteints de contracture ; celle-ci n'est pas'forcé- ment ' permanente ; elle peut se montrer, ou plus vrai
s grande que celle du biceps à qui. elle sert d'antagoniste. , ,. , ' , Chez les sujets, atteints de paraplégie avec
inés à des mouvements de supination et de pronation : IUSI l' iig , ' : >li 'WlI Hl : ) ? , supination et de prona
>li 'WlI Hl : ) ? , supination et de pronation : " - 'Ot. 1 1 ? ' i ! Ail'avant-brasp'on sentileslmusclesipalmair
? ? tt ? Vt J " niuU'tUu' extenseurs et sur les radiaux. e 1&" " ' ' Lez i je 'u "J " 1 Le malade l'dit ! qu'en"gé
? tt ? Vt J " niuU'tUu' extenseurs et sur les radiaux. e 1&" "' ' Lez i je 'u "J " 1 Le malade l'dit ! qu'en"géné
econde secousse provoquée par la contraction de leurs antagonistes. ' Fig. 13. - T,e»2blen ? eeîl sénile.- M Et tremb
nt des muscles fléchisseurs du poignet' (palmairès) 'colliacturés : ' ,,> ? '·' f ' 1 rJij' 1 t . 1 . j 1 J 1 J-&g
scles fléchisseurs du poignet' (palmairès) 'colliacturés : ' ,,> ? ' ·' f ' 1 rJij' 1 t . 1 . j 1 J 1 J-> "" titi
les fléchisseurs du poignet' (palmairès) 'colliacturés : ' ,,> ? '· ' f ' 1 rJij' 1 t . 1 . j 1 J 1 J-> "" titi ,
échisseurs du poignet' (palmairès) 'colliacturés : ' ,,> ? '·' f ' 1 rJij' 1 t . 1 . j 1 J 1 J-> "" titi , PATH
' 1 t . 1 . j 1 J 1 J-> "" titi , PATHOGÉNIE, DES, TREMBLEMENTS. ' 207 Le tremblement,qchez Urspring ? comme du re
u reste chéîntous' les' trembleurs(séniles, n'est pas continu; il ' .. if9rn9vrtom atJ si ? (l r1n`) t", '011", JJw f
puis, la machine une fois misé enniarche; les"oscillations' peu ? ' ,l ? rJf ? '11 ? c 9,1 'rr<\fffqtj,c' a Kt ·r7
nos" parâpléiques : w En exécutant avec le caoutchouc une traction" ' lente et ,'f1"' lllnJ : l r t 2.¡QJ' .r : t t i
: w En exécutant avec le caoutchouc une traction"' lente et ,'f1" ' lllnJ : l r t 2.¡QJ' .r : t t i , 'Il,, ? 1 U1 t
s 'devient dur, rigide; la dureté du triceps est'beaucoup moindre : ' fL · myrYmn H" 1 - r J 9, s %'" Au début'du tre
té du triceps est'beaucoup moindre : ' fL · myrYmn H" 1 - r J 9, s % ' " Au début'du tremblement, le premier' phénomène
tion facile, grâce à l'extrême mai- greur du .1 sujet., ¡.1 ( . , ` ' L , i' tI' ¡ JI' 1J11<- : J Le malade racont
marqué et qui n'apparaît que dans certaines positiorÍs ! 'A la tête, ' petit mouvement oscillatoire de droite à gauche
ite à gauche, ~et, de. gauche à droite. - ? r VTf1 t 1 i if J 1 ¡J. ' 111vr... Voici les tracés recueillis chez ce ma
Ici; en effet, le tremblement avait un 'siège spécial, 1f 1 i i ii ' 4 4 les muscles du bras..C'est une,, localisati
nnihilé, et la cause déterminante du phénomène du tendon disparaît. ' 01 ? r L'action de la pesanteur a donc aussi un
gement de ce muscle et qui, en somme, 14 210 PATHOLOGIE' INTERNEE ' est le point de départ du phénomène réflexe.' C
arge de livres, 'par exemple^avait^ajouté1 son poids Z, j , 'Ir 1 . ' ( '1'- f' .1,1 , ¡' p à celui de l'avant-bras po
r exemple^avait^ajouté1 son poids Z, j , 'Ir 1 . '( '1'- f' .1,1 , ¡ ' p à celui de l'avant-bras pour allonger le bice
1 t D'après ce qui vient d'être dit, il est facile de se 1 l 1 il ' ' I, ) f , < ' fIl) faire une idée du trembl
t D'après ce qui vient d'être dit, il est facile de se 1 l 1 il ' ' I, ) f , < ' fIl) faire une idée du tremblem
ui vient d'être dit, il est facile de se 1 l 1 il ' ' I, ) f , < ' fIl) faire une idée du tremblement des hémiplég
sur tous les membres, les ni'uscles sont rigides et contracturés. ' Voici les détails observés au membre supérieur ga
fois que le malade a dormi. Il s'arrête complètement dans le bain. ' l, ' - JbiU.1t; .· il, , . h . Nous croyons i
que le malade a dormi. Il s'arrête complètement dans le bain. ' l, ' - JbiU.1t; .· il, , . h . Nous croyons inutil
rect avec la force qui l'a déterminée .1' l r,,^~ ! ! lv 'V ! ! 0- , ' i '1'¡Uit ? lfjl¡lnfIÁ1" * ItrJ,tltllltl 2° C
ne traction mécanique de son point d'attache, ou par une i hni mi ' ' "<) ' z forte contraction du muscle antago
traction mécanique de son point d'attache, ou par une i hni mi ' ' "<) ' z forte contraction du muscle antagoni
on mécanique de son point d'attache, ou par une i hni mi ' ' "<) ' z forte contraction du muscle antagoniste; ., .
ée sur un muscle sain est, 11 1 i . M- I ll>l| il 1 ? ¡ 1 1) il. ' persistante, avec des variations d'intensité (b
musculaire antagoniste. i , 1 f , -i ¡ , lr' ! I)T j, (fIW 1 f Id ' * ^1 j, J,rujqb ^ ? CLINIQUE MENTALE 00 'nb' .
vité de cet état, dit-il, Y attention est faible, inefficace, nulle ' la mémoire est confuse, infidèle, 'entièrement
or- tées ou fausses ? l'enchaînement des idées pénible, incorrect, ' impossible; l'imagination sans essor; lés déter
tilation1 intellectuelle découle, comme une conséquence nécessaire, ' l'anéantissement des manifestations mo- rales :
ence nécessaire,' l'anéantissement des manifestations mo- rales : ' sentiments, affections, instincts. La vie physiqu
i la produi- sent, l'épilepsie doit être regardée comme l'une des ' - \. ? . '),\ \ \'\rr t....... 1 plus important
- sent, l'épilepsie doit être regardée comme l'une des ' - \. ? . ' ),\ \ \'\rr t....... 1 plus importantes.. Il , e
, l'épilepsie doit être regardée comme l'une des ' - \. ? . '),\ \ \ ' \rr t....... 1 plus importantes.. Il , est génér
curieux, en dehors même du sujet spécial que nous traitons. 0 1 , ' Voir : Leroy. -De l'état de mal épileptique, 1880
UE. 215 - Tes , » m loi i '.i ? v'ï Observation I ? «<iS' s " ' \ )ú.I1111V ij^Tf^'i ex "If Convulsions; paralys
" cle '11 G)II(")(I ? G ! [J'iJP'')j,. Matouil... Eugénie) 20' aris\ ' est entrée à la Salpêtrière le 25 janvier 1874
de 18 ans, n'ont jamais eu d'accidents nerveux. Une fausse couche. ' Notre malade est née à terme, a été élevée en n
par le bromure de potas- sium'et les douches froides (M. Lasègué)'. ' ' ", al tr" .c.¡1 ^rrta fI")1"r : ;) T(1( 'rrrl
r le bromure de potas- sium'et les douches froides (M. Lasègué)'. ' ' ", al tr" .c.¡1 ^rrta fI")1"r : ;) T(1( 'rrrl}'
ûlures étendues. Pendant,, la , cicatrisation de ces ."T'IUIII .1 , ' IHI ,'1 MHI .lLIJ,\/.n'JJ cof .Ji.l »;n Il c Ml n
n'JJ cof .Ji.l »;n Il c Ml na .. plaies, oui dura dé41tx"4m'lois",J, ' lui lit prendre du bro-r p .i f ? N ? n'ta''t a
compter du jour de l'accident sans avoir d'accès; lorsque . ceux-ci ' reparurent , , ils furent) aussi beaucoup moins
coup de 'nft.'r ? tTr.Tfft' : .)Ofnrmn ! .W1' .*'<' "1 l . "r . ' violentes convulsions qui ne paraissent pas pré
dent presque toujours par séries-de 5 ou 6 dans les ? )le heures. ? ' ? " ' 1 . ' gaz 7 ? ! M<a/'(t'K'6u. 187'é).
resque toujours par séries-de 5 ou 6 dans les ? )le heures. ? ' ? " ' 1 . ' gaz 7 ? ! M<a/'(t'K'6u. 187'é). L'inte
toujours par séries-de 5 ou 6 dans les ? )le heures. ? ' ? " ' 1 . ' gaz 7 ? ! M<a/'(t'K'6u. 187'é). L'intelligen
de 5 ou 6 dans les ? )le heures. ? ' ? " ' 1 . ' gaz 7 ? ! M<a/ ' (t'K'6u. 187'é). L'intelligence a notablement ba
a jamais'su faire^aucun métier. Elle est tou- jours restée enfant.' ' ' -- 'Etart'actuel (9 déc.) , Attitude de la tê
jamais'su faire^aucun métier. Elle est tou- jours restée enfant.' ' ' -- 'Etart'actuel (9 déc.) , Attitude de la tête
malade rit ou siffle, la bouche est fortement tirée à droite. , ,, ' , : Membre supérieur droit. La malade s'en sert
ent moins volumineux que ceux de la main droite. it >rrt r;7 , . ' ,.¥ '11 h... ? 1 1 . )q. ' Membres inférieurs b
ux de la main droite. it >rrt r;7 , . ' ,.¥ '11 h... ? 1 1 . )q. ' Membres inférieurs bien conformés, sauf, pour l
nsurations'suivantes : 1,rqJ f. t £ 14 ? ¡fl ¡[II. 1 -r .J-) aro. 1 ' » 218 1 .CLINIQUE MENTALE. J. ,, 19 juillet. -
e est morte; elle entend les cloches; ace moment, légère excitation, ' impatience ; elle donne un soufflet à\la filfe'
la mémoire devient de plus en plus con- fuse. Soir : T. R. 39°,2. " ' ' ^ f . J .. 2 août. -Diarrhée; gâtisme; eschar
mémoire devient de plus en plus con- fuse. Soir : T. R. 39°,2. " ' ' ^ f . J .. 2 août. -Diarrhée; gâtisme; eschare
nt rien de particulier. Encéphale, H20 gr. , Cornes d'Ammon, saines, ' non indurées. L'abla- tion de la pie-mère se fa
' z Les accès ont eu la marche suivante : janviér 9; février, 4 ; ' mars, 4 et un vertige; avril, 8 accès et deux ver
s d'épi- lepsie. , DE LA DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 219 Relevons, eti ' passant;, la' suspensiôndes accès du- rant la c
rescrit 'sans 'résuItaU-f La Iatlcisie, à marche , t .'f f Ir . n H ' Pi . m R rr i *)t', -fï 1a` n , subaisue, qui a
n , subaisue, qui a mis^fin aux jours de la malade n a subai-uë, ' (Iui"a' 'n'i i s'fi i ti àüx ? j - JR]F,S de' la m
F,S de' la malade, n a zD . .,1;, r -,).t... 111 Ji , 1 - · 1 W,1·, ' u déterminé qu'une simple diminution, des accès
i - 'Li- 19f1'l1f..l ? 1.' 1 r ? J t'If. dl 'f t, -ti. t 1Jf ? J '1 ' 1 "'TÍ t .. . OBSERVATION Il. ')(\ , 'i 1',Tf
t'If. dl 'f t, -ti. t 1Jf ? J '1 ' 1 "'TÍ t .. . OBSERVATION Il. ' )(\ , 'i 1',Tftl 1 tjlj,'1 1", ,pi - Absence d'a
lobes / ? 'OMMa ? HM ? 'a<MMe la coi,ize d'Aiîziiio ? du caMeAe ' \ l" " ? 9``c-`v`c `v ? , ) ' ? Jh lo JI" . Il
e la coi,ize d'Aiîziiio ? du caMeAe ' \ l" " ? 9``c-`v`c `v ? , ) ' ? Jh lo JI" . Il jITUI)'1(j '1 (,'t l' l, P"[1'1(
la Salpé- trière (service de M. DELA'siAu'VE), le 4 mars ''t875 ? " ' 1 1 rJ{ 1 n.nr : "'f'J 1 1/ ( 1 ? r ? Reîseti
1 rJ{ 1 n.nr : "'f'J 1 1/ ( 1 ? r ? Reîsetieene21ts /btM'HM;y.)a ? ' lr znère (1878). - Père, mort à 52 ans, en mars
d'aliénés, d'épileptiques, ni de difformes, etc., dans la famille]. ' JIèie, â-ée.aett,iellemeiit de as,'bien riMiiii
HJD an; n'était pas enflée, mais était devenue très jaune. - Trois` ' frèÿesbien,portants.,Unautre, mort,'a,20,ans d'
I {. Trois[ enfants" : 1 notre malade; ! 2° un' garçon de 119 ? ans, ' tousse beaucoup ;13°'un' garçom de 14'anis, bie
mère jusqu'à 22 mois.1Ellè're"stabien1pôrtante,jiïsqu'à'râge^dé e ' )0m'61s"bù'ëlle'fut prise'de convulsions qui attei
ans, accès presque quotidiens et surtout diurnes. Il 1 ,· f' 1 " ' ' l' 1 i 1 ' i Aura : -il parait qu'elle averti
ns, accès presque quotidiens et surtout diurnes. Il 1 ,· f' 1 " ' ' l' 1 i 1 ' i Aura : -il parait qu'elle avertiss
presque quotidiens et surtout diurnes. Il 1 ,· f' 1 " ' ' l' 1 i 1 ' i Aura : -il parait qu'elle avertissait sa mère
is ! de'mars. A compter du 15 avril, la.température, oscilla ,entre, ' 38" t]et''40°u et les) lésions t pulmonaires s'
ne déchéance intellect ri W : 1 tn ? 1 ? : HI1Jt.J'fl.;).r '1",1 ? " ' ¡IIJ \ t 11' 11"'...1 r1 tuelle complète. " l 'f
'1",1 ? "'¡IIJ \ t 11' 11"'...1 r1 tuelle complète. " l 'f, 111 -t, ' h < c 222 " "JI CLINIQUE. MENTALE. AUTOPSI
étrique; bosse frontale droite un peu plus saillante. I....l - " (f ' " 01, ., 4 L 1 li. lut J 41 'i. zip Encéphale.
l : 1260 gr. Pas d'abondance exagérée du liquidé céphalo-rachidien. ' ' '1 . 1 ..., .... ''j' 9eTi x , ? )(t')-1 -,).
: 1260 gr. Pas d'abondance exagérée du liquidé céphalo-rachidien. ' ' '1 . 1 ..., .... ''j' 9eTi x , ? )(t')-1 -,).Il
hidien. ' ' '1 . 1 ..., .... ''j' 9eTi x , ? )(t')-1 -,).Il : ) ? 1 ' ¡,"),r r'1Jr ? . Artères. Les deux communicantes
s ,sont reunies en un tronc commun'sur une'longueur d'un centimètre ' et demi, puis se séparenttpour, donner naissanc
ndurée.1 Vasculari- sation, de la pie mèrer.sur toutes la convexité, ' principalement en,arrière (il en est de même su
hère droit). Les mas- ses centrales ne présentent aucune lésion.' ' ' , j 1 Il '' Il - '' Hémisphère cérébral droit
re droit). Les mas- ses centrales ne présentent aucune lésion.' ' ' , j 1 Il '' Il - '' Hémisphère cérébral droit :
rébral droit : Décortication facile. - Circonvo- lutions intactes. " ' If " z ? ' 1 G' 1,1 ' 'Cervelet et' isthme ! Po
t : Décortication facile. - Circonvo- lutions intactes. "' If " z ? ' 1 G' 1,1 ' 'Cervelet et' isthme ! Poids total :
cation facile. - Circonvo- lutions intactes. "' If " z ? ' 1 G' 1,1 ' 'Cervelet et' isthme ! Poids total : z175 gr :
bulbe et les pyramides antérieures. il 31 ? 0 A" ,-1 : ; t.i. l . ' ? ) Poumons. Ils sont adhérents à la cage thora
râ'dè cinq a quinze ans; pour revenir 'sans^cause : HJ".llJ,. '1 tt . ' m z connue avec une fréquence extrême. Durant q
1 "Il années, ils étaient précédés d'une ,aura0 qui,. n'existait ' plus quand la- malade est'entrée ài la Salpêtrièr
« La tuberculose pulmonaire qui a enlevé Gr'osj ? en 4 où'5 mois ' ^déterminé une diininutià,' mais''nonune 1 T - ,
ire qui a enlevé Gr'osj ? en 4 où'5 mois '^déterminé une diininutià, ' mais''nonune 1 T - ,Il 1 1 - riliai5* I(\l1f il
fu ., 1 - ii disparition, complète, des accès ? '1 If(¡'f "JI - . ' Cette jeune'] fille', avait; 'comme. la précédént
ent..C'est à'a eux, surtout qu'il faut 'attribuer la"démence ? 'Ici; ' ] encore, , ? 1"-\ \ \1, ? "" ,\\'\ pql -1 l ,\'
faut 'attribuer la"démence ? 'Ici;'] encore, , ? 1"-\ \ \1, ? "" ,\\ ' \ pql -1 l ,\' , l'autopsie a été négative en ce
r la"démence ? 'Ici;'] encore, , ? 1"-\ \ \1, ? "" ,\\'\ pql -1 l ,\ ' , l'autopsie a été négative en ce qui concerne
psie a été négative en ce qui concerne les mé- .<Y I, l , , ,^ , ' " .'1''1' ^ r.,Wn9 el 2c<r ? ninges,et,la·su
, ' " .'1''1' ^ r.,Wn9 el 2c<r ? ninges,et,la·substance grise. r ' ,] '.t, j IJ"¡ z il 11 , }" 't l, 1 J ? ? 1 Il,t
il 11 , }" 't l, 1 J ? ? 1 Il,t v r ! n;>r[<v t r li 9 ? rTt ' Nous pourrions'1 relater bien des'-faits sembla
lques 1 "1 1 l'on, 1 maires... ? , , ., ? - i q, t -n . i >' h ' If i ,l< Lam... Eugénie, âgée de 29 ans,, es
le des facultés intellectuelles. A l'autopsie, résultats négatifs ? ' t ' , ' ', '' ' 1 BI... Pauline, était complète
es facultés intellectuelles. A l'autopsie, résultats négatifs ? ' t ' , ' ', '' ' 1 BI... Pauline, était complètement
acultés intellectuelles. A l'autopsie, résultats négatifs ? ' t ' , ' ', '' ' 1 BI... Pauline, était complètement en
ultés intellectuelles. A l'autopsie, résultats négatifs ? ' t ' , ' ' , '' ' 1 BI... Pauline, était complètement en dé
intellectuelles. A l'autopsie, résultats négatifs ? ' t ' , ' ', '' ' 1 BI... Pauline, était complètement en démence
, ' ', '' ' 1 BI... Pauline, était complètement en démence lors- ' Cette observation que l'un de nous a recueillie à
des méninges'. On voit donc qu'iLest des cas dans lesquels la dé- ' menée, bien qu'elle soit très prononcée, même par
, ten- tatives de suicide ; refus des aliments. - ,r.i ? 4 : amotro ' * le , 98 13. 13 Janvier. - On trouve, noté : ,
cl i,i" ''û û' -Aura. Fracture du lémur. WP. 9 ) "1 '1 1 i, ...., ' ,1.)" 1 )" ).l "h()'T"q j'}")I[, ,)11 bp \,OU11
110 gram- mes ; rate, 120 grammes, ne présentaient rien de spécial. ' Ici encore, la démence épileptique a donné lieu
notre arrivée dans le service, il n'en était pas tenu compte. 1 " ' Observation VII. Antécédents négatifs. - Début
attaques. » Dans l'année, on a compté 409 accès, et 533 en 1878. ' 1879. Octobre. Institution d'un traitement (bromu
ctuelle s'accuse de plus en plus. On est obligé de le faire manger. ' il janvier. - 20 accès de six heures du matin à
à dix heures du soir. Depuis le 1 or janvier, M... a eu 1`30'âccès` ' Autopsie (trente-six heures après la mort). Crâ
u : 1,220 gr. Cervelet et isthme : 165 gr., rien de " . u spécial ' 1 l ? f'' " ' spécial ! 1' » ? ' ' (L'hémisph
Cervelet et isthme : 165 gr., rien de " . u spécial ' 1 l ? f'' " ' spécial ! 1' » ? ' ' (L'hémisphère gauche pès
165 gr., rien de " . u spécial ' 1 l ? f'' " ' spécial ! 1' » ? ' ' (L'hémisphère gauche pèse 15 grammes de plus
5 gr., rien de " . u spécial ' 1 l ? f'' " ' spécial ! 1' » ? ' ' (L'hémisphère gauche pèse 15 grammes de plus qu
ccipitaux'; la par ? ) tie moyenne des hémisphères et, entre autres, ' 4 es J - o ,/i u .tt tt. ' 1 4v¡rlïll circonv
moyenne des hémisphères et, entre autres,' 4 es J - o ,/i u .tt tt. ' 1 4v¡rlïll circonvolutions frontale et pariétal
paralysie, relevée durant' 'la vie.'11 111nt`I" il,q 5 ^ '11\1' \. ' ,\ "......,t" 1 ? l ? D Ce cas tire encore un a
ait,r dE1a meuré dément. On confond quelquefois., ces faits de 1. ' ' ? - 1" *Jt-i..( " , \ .' démence de l'adolesc
t,r dE1a meuré dément. On confond quelquefois., ces faits de 1. ' ' ? - 1" *Jt-i..( " , \ .' démence de l'adolescen
ile sont susceptibles d'être améliorés , l'enfant dément peut 1 7 ' ? tIf 1 1 1 I / 1 -+' l' 1 être regardé comme à
s d'être améliorés , l'enfant dément peut 1 7 ' ? tIf 1 1 1 I / 1 -+ ' l' 1 être regardé comme à peu près absolument i
1 -+' l' 1 être regardé comme à peu près absolument incurable. 1 ' 1 I¡,q l il'iiJI J'1Hlll¡(ld ' t ' . ? Observ
à peu près absolument incurable. 1 ' 1 I¡,q l il'iiJI J'1Hlll¡(ld ' t ' . ? Observation VIII. , 1 l ... \. '" - A
u près absolument incurable. 1 ' 1 I¡,q l il'iiJI J'1Hlll¡(ld ' t ' . ? Observation VIII. , 1 l ... \. '" - Alcoo
,q l il'iiJI J'1Hlll¡(ld ' t ' . ? Observation VIII. , 1 l ... \. ' " - Alcoolisme. Excès vénériens. 'Epilepsie. 'Dé
base; inégalité des hémisphères cérébraux ? ^ méningo-encéphalite. ' ' ' ' ? ' f|' "^H 1 ? t<<n·v m · -" U " n
ase; inégalité des hémisphères cérébraux ? ^ méningo-encéphalite. ' ' ' ' ? ' f|' "^H 1 ? t<<n·v m · -" U " n1
e; inégalité des hémisphères cérébraux ? ^ méningo-encéphalite. ' ' ' ' ? ' f|' "^H 1 ? t<<n·v m · -" U " n1 mi
inégalité des hémisphères cérébraux ? ^ méningo-encéphalite. ' ' ' ' ? ' f|' "^H 1 ? t<<n·v m · -" U " n1 mic
galité des hémisphères cérébraux ? ^ méningo-encéphalite. ' ' ' ' ? ' f|' "^H 1 ? t<<n·v m · -" U " n1 mic i.
té des hémisphères cérébraux ? ^ méningo-encéphalite. ' ' ' ' ? ' f| ' "^H 1 ? t<<n·v m · -" U " n1 mic i. Fon
Premier accès d'épilepsie à 26 ans,'à'la suite d'ex- cès vénériens. ' · · 1 t 1,11 'la ·.r1 Au début, les accès étaie
ement plus volumineuse que la droite, qui est filiforme. 1;s23g r ' . clinique mentale. lIJp Au niveau de. l'hexago
oup plus petite que la droite. Les deux cérébrales antérieures sont ' largement anastomosées par la communi- - 'icimt
2'stJame : 200 gr. (lobes cérébelleux droit et gau- t 'l. - si . ' che, 85 gr.) - Bulbe et protubérance, 30 gr. -
émité supérieure du sillon de Rolando de la pÔite3du-Ible frontal : ' sur l'hémisphère droit 18 cent., sur - L'hémisp
- céphale, on voit qu'il y a là des lésions de méningite récente, ' vraisemblablement suffisantes pour expliquer la m
semblent englobées dans la couche la 16 242 ? CLINIQUE MENTALE. T ' plus superficielle de' la' substance 'grise ; i
es'élastiques forment des touffes[ intriquées avec' les vaisseaux : ' Chose1 'cu- rieuse', 'les 'vaisseaux sontlJ tou
iendrons' sur ce' fait' à l'occasion de la' subs- tance blanche. '' ' " '' t' ^ ' r ! ' ' nn rail^ii, h Somme'toute, l
ur ce' fait' à l'occasion de la' subs- tance blanche. '' '" '' t' ^ ' r ! ' ' nn rail^ii, h Somme'toute, le 'processu
fait' à l'occasion de la' subs- tance blanche. '' '" '' t' ^ ' r ! ' ' nn rail^ii, h Somme'toute, le 'processus méni
ait' à l'occasion de la' subs- tance blanche. '' '" '' t' ^ ' r ! ' ' nn rail^ii, h Somme'toute, le 'processus méning
ables'produits ùe' scléros'e : "l'a- dhérence méningée est profonde, ' mais elle 'n'entraîne pas de modifications cons
ons considérables dans' la constitution des parties' sous-jacentes. ' " ' ' ' , l ""1 tf' il " Il 1 t , 1 ti t i m;
considérables dans' la constitution des parties' sous-jacentes. ' " ' ' ' , l ""1 tf' il " Il 1 t , 1 ti t i m; Sub
nsidérables dans' la constitution des parties' sous-jacentes. ' " ' ' ' , l ""1 tf' il " Il 1 t , 1 ti t i m; Subst
idérables dans' la constitution des parties' sous-jacentes. ' " ' ' ' , l ""1 tf' il " Il 1 t , 1 ti t i m; Substan
rpuscu1esr bizarres,qu'on,a désignés,, sous le p nOIn¡dfj;cçll{tles ' (J7¡ai[Jnff : : s,(P : ¡Y,'fi ! ], 2).etçlont il s
nts de l'écorce grise, 244 CLINIQUE MENTALE. JI 1 11 loti 1."J "T ' ¡"<;Jf. Ht J...I ni dans les cas dont il s'ag
? Y plusieurs fois a noire observation ? et elle mérité d etre ? 1 · ' lf·1n11(.' YO fl'nlr't; 41111v·nl, 10 "J"Jl"t'.r
etre ? 1 ·' lf·1n11(.' YO fl'nlr't; 41111v·nl, 10 "J"Jl"t'.r ? 1 . . ' ( ? 1 prise, en considération sérieuse, c est la
d encéphalite chronique, des cellules nerveuses munies , '0*UjJjJR') ' ,-l ? sa ? f· . 1 ' mv I. · ! a 'n de deux noya
que, des cellules nerveuses munies , '0*UjJjJR')' ,-l ? sa ? f· . 1 ' mv I. · ! a 'n de deux noyaux. Le fait tut cont
,\ ? \\1) tour, nous pouvons dire que nous 1 avons très nette- 1 ' l ' ? i'1 1);"> J11 1r-11 '''À. ? In / 'o ? &g
? \\1) tour, nous pouvons dire que nous 1 avons très nette- 1 ' l ' ? i'1 1);"> J11 1r-11 '''À. ? In / 'o ? > :
: t, ruz ment constaté. On reconnaît d abord 1 existence de '') , ' , ? 1 III'of .'I\lIL.'1 .g : ; ? ? 'rf'')t ? 1q -
tence de '') ,' , ? 1 III'of .'I\lIL.'1 .g : ; ? ? 'rf'')t ? 1q -j"( ' '11 deux nucléoles, ce qui est un fait d'ailleu
dans l'état normal ; mais, en faisant varier, la 11'' ? ? T ? 1' '1 ' ? = ? T ? f'r.. 1 distance du foyer a laide de
? T ? f'r.. 1 distance du foyer a laide de la vis micrométrique' ' " "1' It{J ? 1 ¡dl. J f ? 1". l" ? ? ,I ? H j o
? H j on peut s assurer que les deux nucléoles, dans les ,, si t · ' , i 1 1 1 1 1, If et Il 1' I 1 r, 1 cellules pa
s, appar- tiennent bien à deux noyaux différents, et parfois très ' I ..J, J , I i ^ t. l' , t f 1 | , '-vT' si \ m
| , '-vT' si \ manifestement séparés l'un l'autrè'(Pr. V, fii '8). ' 1 '\11' 1 f ¡ l ' t .. ? 1' Il 1 1 1 c '1 Peu
-vT' si \ manifestement séparés l'un l'autrè'(Pr. V, fii '8). ' 1 ' \11' 1 f ¡ l ' t .. ? 1' Il 1 1 1 c '1 Peut-être
nifestement séparés l'un l'autrè'(Pr. V, fii '8). ' 1 '\11' 1 f ¡ l ' t .. ? 1' Il 1 1 1 c '1 Peut-être jugerait-on q
n'appartiennent pas plutôt à cette caté- .J .1 " \; si i ? , .. Il, ' .J 1 . 1 -' r, ? '1 1 tf gorie d'éléments inter
nent pas plutôt à cette caté- .J .1 " \; si i ? , .. Il,' .J 1 . 1 - ' r, ? '1 1 tf gorie d'éléments intermédiaires qu
ns' ce- pendant affirmer que la nature des cellules, où nous ·, ! ' )) -. J4 - ' . , ' avons constaté l'existence de
ndant affirmer que la nature des cellules, où nous ·, ! ')) -. J4 - ' . , ' avons constaté l'existence de deux' noyau
affirmer que la nature des cellules, où nous ·, ! ')) -. J4 - ' . , ' avons constaté l'existence de deux' noyaux, ne
s de la substance grise; et ensuite juloiin JJ'J)j ? nJ-' i - ! ,i ) ' . Yif'i ',l . di ce qui nous permet, de nous ,
bstance grise; et ensuite juloiin JJ'J)j ? nJ-' i - ! ,i )' . Yif'i ' ,l . di ce qui nous permet, de nous , prononcer
dSJ Jet; l'I J9 : . ll'J ? ) ! Iid-1( ? }1 , ¿ J' lî",\ " ,JI Pt... ' \1 i, . ment, c'est précisément que ces cellules
lement ganglionnaires, Vlh-lIjJ llvlc.1VII ! .Tl J ? ) , r `Ilfll"5 ' ;m''lul'W Ji 1 `l li i ? `· ont les caractères t
1. ç . plasma, l'existence de la substance granuleuse au - il il ' )I...iJ ! IOJ)jlllllll 1 ¡ "JB{I¡ilXIr'hl'" pour
hl'" pourtour,'de leurs noyaux, . t vljAv ? JI hUq."III'i 1J t'L' ' ! Jlhl ,.¡ 1 ...,Ihl.... - <4^i t W1`lll.flJ
1 - <S'M ? ? cc e ? C est dans la substance blanche - 9'j Ut, ' , Il i -i . il | ' ' ri)f. , () <llllll, Ifl'
cc e ? C est dans la substance blanche - 9'j Ut, ', Il i -i . il | ' ' ri)f. , () <llllll, Ifl' des circonvolutio
c e ? C est dans la substance blanche - 9'j Ut, ', Il i -i . il | ' ' ri)f. , () <llllll, Ifl' des circonvolutions
le de comparer les 1.). ,J'Jl'tfj Jfjbt"1J.. 'I Hjl.1 1>l' O. f. ' 1 ? . 1 préparations avec des coupes faites dan
pes faites dans les parties J·tJJ J`mm'J 11' -J ht Il' Il'1 i l, -i ' i' . \ ' ->> ? homologues de cerveaux sai
s dans les parties J·tJJ J`mm'J 11' -J ht Il' Il'1 i l, -i ' i' . \ ' ->> ? homologues de cerveaux sains. Ce qu
rence, d'ailleurs, n'est pas, uniformément la même dans JL.ij ? t)) ' ' 1 1 -1' l , d »- 1 .i , z toute l'étendue de
ence, d'ailleurs, n'est pas, uniformément la même dans JL.ij ? t))' ' 1 1 -1' l , d »- 1 .i , z toute l'étendue de la
il 1 - retrouve les altérations dont il s'agit assez loin de la - ' } .4 .. .jm . 1 I , ! il. ^ A , 1 T 1 ,. substan
. substance grise pour qu on ne puisse être tente de les t>'1 " ' t ! -t ? <'- 1 'f , t .. attribuer à la prop
la propagation, par contiguïté, des lésions ) , j J " , , 1 1 .... ' , 1 , de l'écorce. ' ` Ici encore, trois part
ntiguïté, des lésions ) , j J " , , 1 1 .... ' , 1 , de l'écorce. ' ` Ici encore, trois parties essentielles sont .
Ici encore, trois parties essentielles sont . " étudier : 1 H t \ ' .. t, if l' .. le parenchyme, la névroglie et l
? Bs.qf, mémoire remarquable de cet auteur a donc singu- L ü ? a ' ' r a ? W · "J 11."ltrw 7lwillliL ! `JWI ") W ,fn
Bs.qf, mémoire remarquable de cet auteur a donc singu- L ü ? a ' ' r a ? W · "J 11."ltrw 7lwillliL ! `JWI ") W ,fn`j
1 h.'p ? 11 ? Hn.t1liJI ? ) J(i;"1 lierement facilite notre tache. ' , L n J ! 1 ttll'IJ 'jJt) .')'Il,If1 . ', , tfl
ment facilite notre tache. ' , L n J ! 1 ttll'IJ 'jJt) .')'Il,If1 . ' , , tflt..7`my tW <'[ fr Sur des coupes de ci
es de myéline. Cette' inégalité se traduit par des r J-"r-o«i I,.J` ' 81T ! t vffh '\l')'III ? (1'¡ t mlt1 : 'r)1 dif
Cette' inégalité se traduit par des r J-"r-o«i I,.J` ' 81T ! t vffh ' \l')'III ? (1'¡ t mlt1 : 'r)1 différences telles
G .1t¡ ? d autres atteignent jusqu'à 12 fi- environ. Au con- . , ^ ' ' » du " Ii V 'i¡,f ! LJ,nrn ;1<j,I00. : >l
.1t¡ ? d autres atteignent jusqu'à 12 fi- environ. Au con- . , ^' ' » du " Ii V 'i¡,f ! LJ,nrn ;1<j,I00. : >ln&
utes nos préparations de menlllgo- , ,7,rjl ! I ,l,iiJ : . 11 : I,h ' , i " 1) ffillp.- encéphalite, nous n avons obs
¡CI tubes nerveux , se colorant .vivement par le carmin , , 1 , , ' j 1 a i h LI 1 '011J. )J' lOtr; tri, ;1 sépares
pares les uns des autres, par un tissu de, névroglie , "1, 1 ! (, 0 ' ill)'t - . il 1 rJ' til1-1,1 9 Il 1 f()r rosé,
élicat et parsemé de noyaux recouvrant ça - 1", ? l 't il j HI j"" ( ' Il " 1 t. 1 ) l' ? 1 ? ¡ f .- et là plusieurs c
¡ f .- et là plusieurs cylindres axiles. Est-il possible de tirer ' j' , u i i c i' ' i ' f " iii mi i-i'i i -, ilnf'
sieurs cylindres axiles. Est-il possible de tirer ' j' , u i i c i' ' i ' f " iii mi i-i'i i -, ilnf' de là une concl
rs cylindres axiles. Est-il possible de tirer ' j' , u i i c i' ' i ' f " iii mi i-i'i i -, ilnf' de là une conclusio
érer ces tubes uni- ,Ir JI "'II ! 1 ! .1 .. 1 nJ . ? t.l f' 1 ... 1 ' (11 ra rflfn formement de petit calibre comme de
n admettre que, ce sont des - 1 mt ; .y il Il If 1 l 1 rll ) l' r. ( ' " 1) tubes de formation nouvelle, tels que ceux
Jn, générale ? Quelle que soit l'hypothèse à laquelle on se 'I 1 ' il.1. I 11,1 J1 ? W Ol,1*')" rf'l |T , range, i
e soit l'hypothèse à laquelle on se 'I 1 ' il.1. I 11,1 J1 ? W Ol,1* ' )" rf'l |T , range, il est .certain que ce fait
e, il est .certain que ce fait mérite une mention u ") M' i i- » i, ' '))f ? )t0 1 ; rir.rl 1 I ? " spéciale. Quanta
il est .certain que ce fait mérite une mention u ") M' i i- » i, ' ' ))f ? )t0 1 ; rir.rl 1 I ? " spéciale. Quanta di
l 1 I ? " spéciale. Quanta dire si ces.tubes nerveux sont envahis ' . .) , 1, J 1 1 . l, t 1 j 1'1 \ 1 l ')' Il 1)1.f
s.tubes nerveux sont envahis ' . .) , 1, J 1 1 . l, t 1 j 1'1 \ 1 l ' )' Il 1)1.fl ff1 1 1 ou non par le processus de
tubes nerveux sont envahis ' . .) , 1, J 1 1 . l, t 1 j 1'1 \ 1 l ') ' Il 1)1.fl ff1 1 1 ou non par le processus de né
ymateuse, cela est, croyons-nous, impossible, les dissociations t ' "J . - ' ,. 1 , 1 .. c 1 1.1 11 1, Il(, seules
cela est, croyons-nous, impossible, les dissociations t ' "J . - ' ,. 1 , 1 .. c 1 1.1 11 1, Il(, seules pouvant d
à cet égard des renseignements valables. . " . r f ? l , 1. ? fi, ! ' , " ' . ! . ? ' l ,1 i L'élude de la névroglie
égard des renseignements valables. . " . r f ? l , 1. ? fi, ! ' , " ' . ! . ? ' l ,1 i L'élude de la névroglie est pa
renseignements valables. . " . r f ? l , 1. ? fi, ! ' , " ' . ! . ? ' l ,1 i L'élude de la névroglie est particulière
la substance blanche, de colo- ? < ! i ,, 'H ! 1 t, 1. t 1 i s , . ' ration plus rouge qui révèle l'existence de foy
. Harem, et en choisissant des préparations tut. 111, ? t. ? il '' \ ' 'f' .1 B ),<-' qui paraissaient avoir la mêm
raissaient avoir la même épaisseur, nous avons r 1.t,I .. ? .; '.il ' 1 ' - -1 i / 1 : ,....,t. C)1111 '1J ¡t" t"'4' ?
saient avoir la même épaisseur, nous avons r 1.t,I .. ? .; '.il ' 1 ' - -1 i / 1 : ,....,t. C)1111 '1J ¡t" t"'4' ? }1 ,
ous assurer que ces noyaux sont au moins deux ."Il ., 1,(.(,. " M.1 ' |,< ,11 ? 1 I i, 1- fois plus nombreux que d
Ces éléments, qu'on appelle a tort noyaux de la'ne- iir P ? U'Jj ' . 11) '... ' I 1 a.'V -* ? lof « vroglie, sont
ts, qu'on appelle a tort noyaux de la'ne- iir P ? U'Jj ' . 11) '... ' I 1 a.'V -* ? lof « vroglie, sont de plusieurs
ranuleux, ont des dimensions légère- r If J ,4 'I b t ... t "'1 r J ' 1 lf ) l '\ no " l' ? w ment supérieures (il a
nt des dimensions légère- r If J ,4 'I b t ... t "'1 r J ' 1 lf ) l ' \ no " l' ? w ment supérieures (il a 13 |A Les u
|A Les uns et les autres I.nl,2f 11 -J f '1.... l ''j) ,,( ? ? r ? ' , ? 1 ? ' 'i ..... ... sont évidemment des cell
s et les autres I.nl,2f 11 -J f '1.... l ''j) ,,( ? ? r ? ' , ? 1 ? ' 'i ..... ... sont évidemment des cellules dont
lules dont le protoplasma , .. 1" f;" , " 1. l ; 1 1 il, 1 ;1 F.T I ' , l" i, - . . dans les, circonstances ordinaire
les, circonstances ordinaires, n est pas toujours '1 . , Il : ., i ' 1 +fJ A ' f l / f-, Ir. of 1 l, ,JI, ¡ l' ..." 1
onstances ordinaires, n est pas toujours '1 . , Il : ., i ' 1 +fJ A ' f l / f-, Ir. of 1 l, ,JI, ¡ l' ..." 1 1 1 . (
( facile à reconnaître. D'une manière générale, ils sont f n l' . ' 1 III" ., 1 t l l ' 1 il t l , ' plus ou moins
ître. D'une manière générale, ils sont f n l' . ' 1 III" ., 1 t l l ' 1 il t l , ' plus ou moins allongés; mais leur
anière générale, ils sont f n l' . ' 1 III" ., 1 t l l ' 1 il t l , ' plus ou moins allongés; mais leur allongement n
- ? , présente pas régulièrement dans un sens parallèle a Il 1 '1" ' t l' l',j il il - 1 1 ;I ,, , celui des fibres
celui des fibres nerveuses. Enfin, parmi ces cellules, . i' m ... " ' ' 1. ? ) -1 sont éparpillés, en nombre variable
lui des fibres nerveuses. Enfin, parmi ces cellules, . i' m ... " ' ' 1. ? ) -1 sont éparpillés, en nombre variable,
.i. ). gnéeset le point le plus intéressant de l'examen des o .). ' ! ... r , . l, j | /,l ,, ,1 , , ) . , , . pièc
, ) . , , . pièces réside assurément dans l'étude des rapports de ' \ ? 1,' ? ? ( i 1 r. ('1 "f 1 , , ,. . ces éléme
'1 \ 1 1 \ , Un premier fait d'abord apparaît avec netteté, c'est ' 1 l' ' "1 " , , -, ,J ( z que la multiplication
1 \ , Un premier fait d'abord apparaît avec netteté, c'est ' 1 l' ' "1 " , , -, ,J ( z que la multiplication de ces
ion est plus ancienne. Déjà, nous l 1 l " " t.'(""1 . - 1'" ! ! t i ' : ,- i 1 t', F avons signalé l'existence des ce
s où la lésion est encore, jeune,, ces-, ce , , . ? < ? f't ? ? ( ' ; lulessont "déjif'èri quantité considérable; da
sque aussi .nombreuses, que , , f't ,T..>rptr ! o;>.VrO' ? IT ' ? , ? } ? «M.H",J" ? ,jJ'1 : lesi'noyaux,1 enfi
T T, rt·n(1fT rlll nf)rJiHll'll1 ! otlhl..lJ1 \.)1.1) ? d - noyaux, ' et même, sur certains points, il n'ya plus ? leT'
e, sur certains points, il n'ya plus ? leT' ? r,), .tttC, Gb.111 l ? \ ' R. noyaux ,'il-n y a plus que des .çél uléscara
çél uléscarainées ? Rienzf, '. . , i, /-firr si "-i-i'Mrtjilq .10 ? ' '. - que ce fait' nous semble établir que les,,
1 mv z guées se' forment aux dépens, des prétendus, noyaux, m 1'" ' [li'1 ! i p,ql11l1',) 1 î'll 'iJ...,p w11U1ciW ul.
'll 'iJ...,p w11U1ciW ul.. ? denevroghe ? ? ? ......rr. de `7 -\h ' : )f t ? \11' iL¡l J ? f) f{ ! ,) ? 'If' ? f11 ..
? r- - I"1 Ainsi1 que'dans la paralysi'e ? énérale "les 1 cellules [ ' )'1 . , 1, r, 1 p,IW i-t l'1 Ilfl'TVj7. , .. y,
i'qui consistent en ceJIules, sensi- ,; , ..., f '1 t 1 1, - 1 .... ' blement'' plus petites,1 soit fusiformes ,(PL.
po- ,~ f laires'. Lorsqu'on'à' affaire à'des préparations qui ren-, ' ferment côte - côte* des cellules araignées et
lules araignées des noyaux . 'ln1 ...(1' 11 ,1 11.· ? r , 1\ '' . , ' . / ? ! simples.1 " si ? f. . '11' k' 1,1 1 1.
' . / ? ! simples.1 " si ? f. . '11' k' 1,1 1 1. : " , 1 ;;> 1 ' ! Elitre' ëes 'variétés qui ne présentent rien d'
és qui ne présentent rien d'absolu, 1,. ,- 1 It ? J,'1 Il Il ? ..., ' une foule d'intermédiaires permettent de suivre
noyau, en ? cellules.- , > ,1" . ,ri . ? >> ''il "" J"" * ' ' ' araisnées ? Cë n'est pas tout. A côté des,
oyau, en ? cellules.- , > ,1" . ,ri . ? >> ''il "" J"" * ' ' ' araisnées ? Cë n'est pas tout. A côté des, ce
au, en ? cellules.- , > ,1" . ,ri . ? >> ''il "" J"" * ' ' ' araisnées ? Cë n'est pas tout. A côté des, cell
est d'un rose pâle, uniforme. De cette absence, de noyaux ? nr r' ' 'T, '"1 1 ? 1111'U . H'M1" ' " " M. Mierzeievsl
un rose pâle, uniforme. De cette absence, de noyaux ? nr r' ' 'T, ' "1 1 ? 1111'U . H'M1" ' " " M. Mierzeievslÿ crut
e. De cette absence, de noyaux ? nr r' ' 'T, '"1 1 ? 1111'U . H'M1" ' " " M. Mierzeievslÿ crut pouvoir conclure que^c
erzeievslÿ crut pouvoir conclure que^ces masses , Il lit ) ? 111 mi ' *»' J.... ne sont'pas"des cellules, mais des co
ievslÿ crut pouvoir conclure que^ces masses , Il lit ) ? 111 mi ' *» ' J.... ne sont'pas"des cellules, mais des conden
à description et les planches ,du savant. , .. HI" 1 1 1 . r 'H il' ' , neurologiste' russe coïncident exactement, av
1 i nous avons observé, nous'ne faisons aucun, doute que v i . A ' i ' ' ' les masses ramifiées dont il s'agit soi
nous avons observé, nous'ne faisons aucun, doute que v i . A ' i ' ' ' les masses ramifiées dont il s'agit soient
nous avons observé, nous'ne faisons aucun, doute que v i . A ' i ' ' ' les masses ramifiées dont il s'agit soient de
ous avons observé, nous'ne faisons aucun, doute que v i . A ' i ' ' ' les masses ramifiées dont il s'agit soient de m
ture dans là paralysie'générale des aliénés et,dans nos , cas -dé ' m,liiiii -,o-ècé plia 1 i te des épileptiques., M
caractère de la coloration ne suffit pas . ..... , i i 1 p I, . 7 1 ' ")'" w " pour qu'on' 'pu'i's'se lflirmer qu'il
ctère de la coloration ne suffit pas . ..... , i i 1 p I, . 7 1 ' ") ' " w " pour qu'on' 'pu'i's'se lflirmer qu'il ne s
if micro- chimique de là fibrine. Au contraire, un certain nombre , ' ' de considérations nous décident à envisager c
micro- chimique de là fibrine. Au contraire, un certain nombre , ' ' de considérations nous décident à envisager ces
pent au sein du protoplasma cellulaire, une situa- is ? i ? j 1 m J ' ' ) ·i tj ir, tj.J, tion très^.variable, et abs
nt au sein du protoplasma cellulaire, une situa- is ? i ? j 1 m J ' ' ) ·i tj ir, tj.J, tion très^.variable, et absol
éments., toujours assez aié de. ? .1 C<1 ? \IRelt, , .J ? i, H'' ' ) volumineux, peuvent être sectionnés de telle s
i, H'' ') volumineux, peuvent être sectionnés de telle sorte que ' j.J°'1 t'f l' le -noyau ne, soit pas compris, d
j.J°'1 t'f l' le -noyau ne, soit pas compris, dans la préparation ? ' Uni autre, fait présente, également une certain
ration ? ' Uni autre, fait présente, également une certaine im- . ' r.. j ... 1.1 , , .... . 1, - ? j portance : c'
? j portance : c'est ,que ces |cellules) ramifiées s'anasto- r 1 ' i . ) , j. f. j ' - ' ! mosent souvent entre, e
c'est ,que ces |cellules) ramifiées s'anasto- r 1 ' i . ) , j. f. j ' - ' ! mosent souvent entre, elles, et que leurs
t ,que ces |cellules) ramifiées s'anasto- r 1 ' i . ) , j. f. j ' - ' ! mosent souvent entre, elles, et que leurs^ram
dans' la constitution Il 11 ,11 rfArT.'ll t'iMl i'- . j,rif, 'ri 1 ' 1 , ,%. des noyaux. Leurs 'dimensions* se1 sont
ôint` rélltif à;l'hi-stoiré 'desncel= r r 1f(1 T·u` ilifrr fil, n ? ' , r, r,rn T" Iules araignées nous reste'a â mênt
l, t, cellules an -iop i astiques ne"sâurait être rationnellement ' substitué1 ! a celui'dé'cëllzcles'`ccrai.gnées' q
appellation1 dè^céllules plas2zies conviendrait à, tous es égards. " ' ,(1 " " ,fr yr v, "" '' `i ' - ? ' . 1 est iiii
2zies conviendrait à, tous es égards. "' ,(1 " " ,fr yr v, "" '' `i ' - ? ' . 1 est iiiipossible'de 'donner 'quelques
conviendrait à, tous es égards. "' ,(1 " " ,fr yr v, "" '' `i ' - ? ' . 1 est iiiipossible'de 'donner 'quelques détai
s d imputer a ces altérations la .I-'fnrt"tf l'¡"('nf' : t" xji +il" ' 1 t 1 qq 'tltfl";I ? ,fWl'O ? IOEO'li) plupart
1 mal; sur une coupe, a un faible grossissement, . on - .v.. -'C\( ' t ? l ? l1d ? T : > ? ldI9') >] ? flJJd" r
ance blanche saine, les capillaires '5.. ? t1n nn·r ? f nrr, rrn Dr, ' r tinT,'1t ne HlOI/i 1(ilil) ? 1'1 ? "'1""(' : rr
t1n nn·r ? f nrr, rrn Dr,' r tinT,'1t ne HlOI/i 1(ilil) ? 1'1 ? "'1""( ' : rrf) "diri.-és dans le sens'des fibres sont'
4P nerveuses. Leur trajet est donc a peu près rectiusne. >'1' ' "Arl"'1 tC 't`r "il 1)"; t'1 flH'I"'I ? rrl; 8"t'
l11>J Ict'cesttout le contraire; on les voit, en beaucoup \ wl ' r(I 4ff(tll' Fa IoIÎ ? lf( Il,`)fr : 'jYt·I(îrO·T
; et comme ils sont tortueux, on n en distingue que rr n'str,r o t) ' ;> ,1 <1')11(\1,,11. th off<)(1 t; ] U"
sont tous de très petit calibre, capillaires ,dn1 ? 1 11fI11.11 ,. ' ,f \ y·rr·, 41) ? non m r. 91c m>.W )(1nt ! Il
tuniques. - 1 \ '1. ? i "'If Il, , " ? 1 1. ( ? Tt q ) "fi 't. ! 10; ' Le fait de 1 augmentation du nombre des vaissea
e. C est donc la encore une analogie ltimpor- 13 a...., M 1 » ll.if ' n <)(o ? t ? f ? ' .1', <l > ? P ? ;;¡,
e une analogie ltimpor- 13 a...., M 1 » ll.if ' n <)(o ? t ? f ? ' .1', <l > ? P ? ;;¡, 'II 1"'s 41 " 1 ...Id
lt;l > ? P ? ;;¡, 'II 1"'s 41 " 1 ...Id tH' f Il,,lp',q l' t'Il il ' J ? It) tante avec les cas que nous avons rappo
rapportés. Nous avons -r,K prn·" 111.)tl t... 1 1 W , 1 -1 r Il' Il ' ·, i , ' ' ' .1 également remarque une multipli
. Nous avons -r,K prn·" 111.)tl t... 1 1 W , 1 -1 r Il' Il ' ·, i , ' ' ' .1 également remarque une multiplication no
Nous avons -r,K prn·" 111.)tl t... 1 1 W , 1 -1 r Il' Il ' ·, i , ' ' ' .1 également remarque une multiplication nota
us avons -r,K prn·" 111.)tl t... 1 1 W , 1 -1 r Il' Il ' ·, i , ' ' ' .1 également remarque une multiplication notabl
, ' ' ' .1 également remarque une multiplication notable des . - ' -)) ? 1 - . tif 1. 1 fil *1 ) 1 noyaux des paro
d'ar- tériolesJdont\ la"gairie né renfermât des agglomérations 7 ' I . 1 - . l ' * il'1 de corpuscules sanguins. E
lesJdont\ la"gairie né renfermât des agglomérations 7 ' I . 1 - . l ' * il'1 de corpuscules sanguins. Enfin, pour ter
es, nous dirons que, 'contrairement à ce qui s'observe dans la 1 ( ' " .11 l, ? ). u Il l n ' ? ,. 1 1." "J.. r enéra
contrairement à ce qui s'observe dans la 1 ('" .11 l, ? ). u Il l n ' ? ,. 1 1." "J.. r enéra e ' nôûs "'avns pas 'un
ve dans la 1 ('" .11 l, ? ). u Il l n ' ? ,. 1 1." "J.. r enéra e ' nôûs "'avns pas 'un ' sule'f'o'ls rè- paralysie
l, ? ). u Il l n ' ? ,. 1 1." "J.. r enéra e ' nôûs "'avns pas 'un ' sule'f'o'ls rè- paralysie générale, nous n'avon
;.' ? I) ? )'lC1 a-1 , liai3 ·,v ? tll. r,WVf; yflfT nlrrl si ) 2'i ' Mais il y encore lieu de revenir sur ce. que,, no
' Mais il y encore lieu de revenir sur ce. que,, nous RI ? fl()It"· ' il' ')^ ' file, Il "-je ? " 1"U : "I' * avons d
s il y encore lieu de revenir sur ce. que,, nous RI ? fl()It"·' il' ' )^ ' file, Il "-je ? " 1"U : "I' * avons déjà si
y encore lieu de revenir sur ce. que,, nous RI ? fl()It"·' il' ')^ ' file, Il "-je ? " 1"U : "I' * avons déjà signal
que ces cellules, relativement peu nom, pWnrlirq tf;tu l'9qt 11'(I') ' , L ! uu ? >'1-.mr '11"11 tlJJ¡ 'J'hJt : : JJLo
tantôt séparées du vaisseau et ne lui étant reliées que; ('Hroo ? / ' )>1 nrJ .,tif)" (1 -1 'Ill . "f"tl)1Jl") e -1,
roi elle-même, il est peu, près, H(V||) " 1 -j ? il.1 ? <) ? " " ' dj ? 4 1 1 - , impossible d'en rien dire de pré
mpossible d'en rien dire de précis. Il semble toutefois - ? Utr)tVi ' ta -i' ln| ? i ? i » qu Y ait plus qu'un simple
it plus qu'un simple accolement, ,de telle J"i,Jplilll, n ? i1- 'il* ' >U l )<JiP> ' - ' ? -'Mi i',»] ..., so
colement, ,de telle J"i,Jplilll, n ? i1- 'il*' >U l )<JiP> ' - ' ? -'Mi i',»] ..., sorte que ce trait, d'uni
ment, ,de telle J"i,Jplilll, n ? i1- 'il*' >U l )<JiP> ' - ' ? -'Mi i',»] ..., sorte que ce trait, d'union d
ion du capillaire et de, la cel- ·r· 1 ? n r rn· ri, 1, m m 1 i> ' .1 .' .5 ..m jii - » ! ''' ' z Iule n'appartien
el- ·r· 1 ? n r rn· ri, 1, m m 1 i> ' .1 .' .5 ..m jii - » ! ''' ' z Iule n'appartient pas plus à celle-ci qu'à ce
' z Iule n'appartient pas plus à celle-ci qu'à celui-là. En .c : ' f;n 1.. W ICI' filait.1' l'i-" 1 -" -"i.i^n,, q}
ulaire, contient elle-même HIHj.ni yf·II>r 'i·. 4v , ,nh v.l fit" ' 1 w ' 1·· '-y·ï il, des éléments à prolongement
, contient elle-même HIHj.ni yf·II>r 'i·. 4v , ,nh v.l fit"' 1 w ' 1·· '-y·ï il, des éléments à prolongements rami
ient elle-même HIHj.ni yf·II>r 'i·. 4v , ,nh v.l fit"' 1 w ' 1·· ' -y·ï il, des éléments à prolongements ramifiés,
des éléments à prolongements ramifiés, destinés à se -111 "M", 2ft ' / a',t . n|f'li 1 p'W e, ,lmn w'y rt·' Il Il i, 'J
, destinés à se -111 "M", 2ft '/ a',t . n|f'li 1 p'W e, ,lmn w'y rt· ' Il Il i, 'JJ'Ilil mettre en communication avec
il y a de certain, c est que le fait avancé par Il il lui' 4 ? * 1 ' '" P '" ? " "-' le- ''ri M. Lubimoff à l'occasi
l y a de certain, c est que le fait avancé par Il il lui' 4 ? * 1 ' ' " P '" ? " "-' le- ''ri M. Lubimoff à l'occasion
de certain, c est que le fait avancé par Il il lui' 4 ? * 1 ' '" P ' " ? " "-' le- ''ri M. Lubimoff à l'occasion des
in, c est que le fait avancé par Il il lui' 4 ? * 1 ' '" P '" ? " "- ' le- ''ri M. Lubimoff à l'occasion des lésions d
e- ''ri M. Lubimoff à l'occasion des lésions de la paralysie' ë ? ' ! " h ,. ? ' ' "I ', ? ? i >' r.ftj ? ') 1 " &
Lubimoff à l'occasion des lésions de la paralysie' ë ? ' ! " h ,. ? ' ' "I ', ? ? i >' r.ftj ? ') 1 " > t I » g
bimoff à l'occasion des lésions de la paralysie' ë ? ' ! " h ,. ? ' ' "I ', ? ? i >' r.ftj ? ') 1 " > t I » gén
f à l'occasion des lésions de la paralysie' ë ? ' ! " h ,. ? ' ' "I ' , ? ? i >' r.ftj ? ') 1 " > t I » générale
ons de la paralysie' ë ? ' ! " h ,. ? ' ' "I ', ? ? i >' r.ftj ? ' ) 1 " > t I » générale, se retrouve ici dans
les vaisseaux, on peut admettre qu'elles représentent ariéts '...- ' . " rts co . '1 t- des variétés d'éléments conj
. '1 t- des variétés d'éléments conjonctifs modifiés par le ,mi' ' " l "'t i 254 éf 1()I'CLI ? TIQUEI MENTLE.,r 11
desicapillairesncTelles sont, aussi celles4qtiitsel forment dansjla ' paroi) mêmofdés ,vaisseaux,1sansJ donner accès
elle ! r¡.1J ;>/1 ¡; LéS" lésions 1 cérébrales n'occupaient' que ' les- lobes 1 fron'talÍx r;-Jrespectant"entièrem
jiii ? ij si ,jr-ri 1r9 ? 1 Dh , ,'1'b1lo ? 71,; nnà le- " "i() ,,1 ' . IV. Les observations qui forment la base de c
base de ce 9" <j ? )'<'' '' W r> > ,.v I .Mil' t r M 1 ' 'Il (- ? il travail nous paraissaient justifier
nt, à savoir que, parfois, i ? ...lv/,j1,.jjJt', ? 7U'' MU 7, nr,r" ' I II « t 1.' > , ' 1 Il , la démence épilept
ois, i ? ...lv/,j1,.jjJt', ? 7U'' MU 7, nr,r" ' I II « t 1.' > , ' 1 Il , la démence épileptique. ne se traduisait
par aucune 11 M.;1 r, , ..MM il .. U" ,n.,m. lésion appréciable , ' caractérisée, tandis que, dans léston appréciab
émoire correspondant, relatif à l'Idiotie. 3 iATY3ti à 'l Ç) 7 -K 1 ' .hA.. REVUE' CRITIQUE v : ! rH ,1' ,.Jq ,9
f Illhrl Ig1HJ ! 1JH{ J) < ? JtHllJ)JJ) ¡ : . HHrj,1 ,J"\ h- * " ' (o'I'rr 9J y;nrrtrn ir3smvJ4frfnxv;mi jlnlls ,8 -
nrrtrn ir3smvJ4frfnxv;mi jlnlls ,8 - Jru.D Sodt ; ? 01 -"i*1 1 «mom ' )10'H1 ! 1 ¡o"a¡¡r'q Par le D" Rouais V1GOUROUX. t
*1 1 «mom ')10'H1 ! 1 ¡o"a¡¡r'q Par le D" Rouais V1GOUROUX. t'»1" b ' ' T'dJlq ? lnL,IfILJ ? ->iq 91' 'IJ1' 1 h Tt·
1 «mom ')10'H1 ! 1 ¡o"a¡¡r'q Par le D" Rouais V1GOUROUX. t'»1" b ' ' T'dJlq ? lnL,IfILJ ? ->iq 91' 'IJ1' 1 h Tt· &g
1 - UI\[cnq ¡ .111ni'l eau 1" ·Fim(1 ? l,t )i J(I( 1 ? 1, 1 rq 1 1 \ ' "1 Les faits auxquels est consacrée cette revue
si que les effets physiologiques, déterminés par la plaque de métal, ' peuvent' être, avec plus de simplicité, obtenus
ne action spéciale sur la sensibilité et quelques autres fonctions. ' Nous allons commencer par exposer les travaux d
les développe- ments ultérieurs. 17 258 REVUE CRITIQUE. I ., ' 1 . Faits et théories de M. Burq. - Il nous p
isparaît néanmoins, après un temps JI, tres, YJr ! ¡tble"l'G"1'r'x9 ' ` j - : ;j'HI Mai& ce n'est pas, seulement
, "C'e ? ce qu'on peut. vérifier, en. faisant tenir à la malade un ' [1 thermomètre, dans la main,' du côté de l'applic
ier, en. faisant tenir à la malade un '[1 thermomètre, dans la main, ' du côté de l'application. M. Burq, ? IP6r;niettre
,temps, il y a de la moiteur, etc. '' Enfin, quatrième modification, ' la force musculaire, très gé- néralement diminu
'- d'une pression de quelques kilogrammes, peut, lorsque la sen-- , ' sibilité est revenue dans l'avant-bras marquer 40
aine- ment le plus exact et le plus commode des instruments simi- ' * laircs. M. Burq, ainsi que nous aurons l'occasio
t de cette proportion est l'indice certain d'un état névropathique. ' , li,J> P P , ' ' 'H >> FIr(9Tflmr i )
ion est l'indice certain d'un état névropathique. ', li,J> P P , ' ' 'H >> FIr(9Tflmr i ) j ? j ! t ? j<r'
n est l'indice certain d'un état névropathique. ', li,J> P P , ' ' 'H >> FIr(9Tflmr i ) j ? j ! t ? j<r'
ais à' titre d'exceptions, dés "sensibilités bi ou polymétalliques. ' " . , 1, Jusqu'à présent, nous avons parlé'de m
étalliques. ' " . , 1, Jusqu'à présent, nous avons parlé'de métal ? ' mais' sans rien spécifier. Les métaux employés
SIÉTALLOSCOPIE, MÉTALLOTHÉRAPIE, ÆSTHÉSIOGÈNES. 261 - - /'f4w. pT ) ' " - .. temps ses idées. Elle n'est peut-être qu
t guère été recherchées, soit parce que le fin.. v , i i 1.' 1 ? t, ' \ . l métal pouvait être dangereux, comme le pl
siques le rendent impropre à être appli- qüé`sôûs forme de plaqué ? ' l'" ™v )f; ! <0 5\f' 1 '<' t' j 1 (f q !
orme de plaqué ? ' l'" ™v )f; ! <0 5\f' 1 '<' t' j 1 (f q ! . ' ql -04t r, 1 'f ? ,1,. " Il , 1 La i ? 2étall
¡Si\"p' àf-éxëmple,"on 'sait que le fer ou le zinc ont déjà été tr \ ' ) \, \y ,. t ? ? ' ,\ " ... administres intérieu
,"on 'sait que le fer ou le zinc ont déjà été tr \') \, \y ,. t ? ? ' ,\ " ... administres intérieurement sans utilit
r (ou de l'aes- thésiomètre de Burq) de quelques millimètres. 262 ' REVUE critique'. el ! '(l') ? I1,, 1 oJt' , La
mètre de Burq) de quelques millimètres. 262 ' REVUE critique'. el ! ' (l') ? I1,, 1 oJt' , La difficulté pourra paraît
1 oJt' , La difficulté pourra paraître insurmontable; même chez une ' ) hystérique, s'il se présente ce que M. Burq ap
tuelle' ne donne plus que des résultats négatifs. Ce fait4 peut1 se" ' prô- '- duire dans diverses circonstances qu'il
l'un 'd'eux est aptéa'pro1 duire, par son application sllr'] paü : ' des' pIÍénún'l.èn'es''ilïéta]- ' 1 . ! . , I. !
re, par son application sllr'] paü : ' des' pIÍénún'l.èn'es''ilïéta]- ' 1 . ! . , I. ! i."H'fll ,r z1 .1 ,'il.H...u u ?
un' amendement des symptômes de lâ'nalnilie : 'Cela nous'scrvirait ' de transition naturelle pour parler' dé 'la 'm$
'alJie in ? 1 terne ; mais il nous faut ajouterCqlI61rlùds"détai]s. ' "'c'1 ? On vient de voir que la sensibilité mét
d'ap- pliquer d'autres métaux il pourra s'en trouver un qui 'agisse, ' bien que, auparavant, il n'eùt donné que des ré
s cholériques (pour ceux-ci il n'y a pas d'examen préalable à faire; ' c'est le cuivre qui doit être ' em- ployé pourt
'y a pas d'examen préalable à faire;' c'est le cuivre qui doit être ' em- ployé pourttous les cas indistinctement), l
- ployé pourttous les cas indistinctement), les accès convulsifs de ' i l'hystérie, dans lesquels il faut mettre' la
lus'grande surface' possible , la migraine et d'autres. névroses. " ' ' Mais, malgré son utilité, fort grande on le v
s'grande surface' possible , la migraine et d'autres. névroses. " ' ' Mais, malgré son utilité, fort grande on le voi
métalliques, est l'objet principal, le couronnement de la méthode. ' ' '' ' ' ' " ? Or, voici la voie qui mène de l'
étalliques, est l'objet principal, le couronnement de la méthode. ' ' '' ' ' ' " ? Or, voici la voie qui mène de l'ap
iques, est l'objet principal, le couronnement de la méthode. ' ' '' ' ' ' " ? Or, voici la voie qui mène de l'applica
ues, est l'objet principal, le couronnement de la méthode. ' ' '' ' ' ' " ? Or, voici la voie qui mène de l'applicati
s, est l'objet principal, le couronnement de la méthode. ' ' '' ' ' ' " ? Or, voici la voie qui mène de l'application
de 'la' métallotliérapie interne dans une autre partie de travail. ' ' Nous dirons pourtant, dès à présent, que, pou
e 'la' métallotliérapie interne dans une autre partie de travail. ' ' Nous dirons pourtant, dès à présent, que, pour
urq; le premier a deux symptômes très-fréquents dans les névroses : ' : l'anesthésie cutanée et l'amyosthém"e, Il en
l'influence sur, la nutrition générale est évidente. , - , m , , . ' , " Quant au principe même de l'action des méta
son président, M. Char- cot, à la Salpêtrière '. , . , 1 , . Il . ' 1 , 1 , ' . ' " , Il'' if .. , , Ce qui pré
M. Char- cot, à la Salpêtrière '. , . , 1 , . Il . ' 1 , 1 , ' . ' " , Il'' if .. , , Ce qui précède peut être
Char- cot, à la Salpêtrière '. , . , 1 , . Il . ' 1 , 1 , ' . ' " , Il'' if .. , , Ce qui précède peut être con
nature des faits annoncés par M. Burq, la question avait déjà fait, ' à la Salpêtrière même, un pas décisif. 1."Bou¡'
xpérience;, suivante : deux électrodes (tantôt des lames de platine, ' tantôt des' lares 'd'étaiii'7ecouvèrtes de peau
faisait entrevoir les autres; '' j Chose' singulière 'sur laquelle ' ] nous] avons appelé l'atten- tion, la force'du
courant d'induction possède, mais à un degré évidem- ment. moindre, ' une action1 anâlogue"àecelle du 'courant galva-
: Vulpian dans l'hémianestl1ésie dè caüs'è'orÓ-inique : "J ïJ ? i ? ' " 1¡J' " < * 11(11 1 : r .1' W y1 11 ? 1.' yr
s de-grand mémoire d'Andry et Thouret (So- ciété royale de médecine, ' 1779), travail intéressant que nous aurons souv
Gilbert, t6()0. Après cet auteur , les physiciens 4'\ - t '1 ? . - ' T rr. f" 288 ~ REVUE CRITIQUE. ? 1 1, ? ? - i,r
C est même dune polé- mique entre lè `'P : Iell''ét Mesmer que prit ' naissance' le magnétisme animal^'dont le'nom in
de vente qu'il pouvait y avoir dans les exagérations des parti- ? ? ? ' 'f' 14" \1", . J-'f' /,1 ? si sans'de l'aimant
imant et ils conclurent, après avoir rapporté un .. 1 l'" i . V ? 1 ' . " J' ? 1.. \ , l, I grand nombre d'histoires
. V ? 1 ' . " J' ? 1.. \ , l, I grand nombre d'histoires de malades, ' que'l'aimant jouit d'une efficacité certaine, '
gravures annexées à leur travail montrent la forme des plaques .. i ' ? , ;> ! " ' ? ? ,. nr'* " "-il 'iir ,.1 - 1 /
s à leur travail montrent la forme des plaques .. i ' ? , ;> ! " ' ? ? ,. nr'* " "-il 'iir ,.1 - 1 / ou armures et
sayâmes comme' iA'lè'cé-¡ , dané des métaux, pour la métalloscopie. ' 1411 , ? <1 "'1 ,¡ 1 Jo Il peut être utile,'
r la métalloscopie. ' 1411 , ? <1 "'1 ,¡ 1 Jo Il peut être utile, ' à divers points de vue, de préciser, , avec que
dans l'effi- MÉTALLOSCOPIE, METALLOTHERAPIE, ^ESTHÉSIOGÈNES. 269 ' o. ! I ! -J ! lf,1 ,. 1 cacité des plaques ou a
té éveillée par la lecture du . 1,1, mu, 1 ? il-, ? H. nr 1 1 - n * ' nIm " ' " - ; ' beau mémoire d'Andry : et Thour
lée par la lecture du . 1,1, mu, 1 ? il-, ? H. nr 1 1 - n * ' nIm " ' " - ; ' beau mémoire d'Andry : et Thouret. Nos
la lecture du . 1,1, mu, 1 ? il-, ? H. nr 1 1 - n * ' nIm " ' " - ; ' beau mémoire d'Andry : et Thouret. Nos première
s originales italiennes : La magnete e di nervosi et diffé- 270 , i ' T f REVUE CRITIQUE. ' 71 , ,. '.U rents mémoire
s : La magnete e di nervosi et diffé- 270 , i ' T f REVUE CRITIQUE. ' 71 , ,. '.U rents mémoires. Cette lecture nous
étalliques et de, 1 aimant. Le.livre de M.f Maggio- " '' ''V '' ,"j' ' 11 ? ''» lll ? i-, , ..fin,- J ? 1111 I ,-i OD
contient d ailleurs une riche collection de laits et de vues, > ' J ! > 4 ? '1...'1 4 l ? > : z et nous nou
nstatation anticipée de nos propres résultats. , il J{c' Jr' J ? ,. ' : ,1 u. ' . n iiirin t'j ? 1 r. ? L I», '1 1 ll
anticipée de nos propres résultats. , il J{c' Jr' J ? ,. ' : ,1 u. ' . n iiirin t'j ? 1 r. ? L I», '1 1 llA I ! fOf)
épéter en partie cc qui' a été dit de l'aimant. Comme pour celui-ci, ' nous renverrons le lecteur, aux mémoires de l'a
er à volonté desétincelles'longues et grêles, ou courtes et grosses, ' en d'autres termes, à varier sous le rapport de
exe (excitation du bout central du nerf dépresseur du côté sain). ' $ REVUE DE PII1'sIOI,OGIG. X. RECHERCHES SUR l'i
me- dicà, 30 juin 1880.) II. DE B. REVUE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE ' I. Dégénération ET régénération DU CI'LIDIIt-.1
! ,02.1QU111. mations héréditaires. , Il s'agit d'une .famille dont/ ' plusieurs générations ont été atteintes de pied
.FSa fllè ? 2 ? (M^ ? actuellement âgée de ? 35 ans, ("dl Ifl 'fi 1( ' JV ? J ? L l....1..1 ? (- " 1 'a les pieds bien
analogues' rapportés par ndës0jaufeurs anglaise Broâdhui'st\Little; ' \Adams;let ûns`cas'rëniarqliâblé de 1 y > 1 i
rères furent atteints d'hypospadias et. une des soeurs iA ? < ? , ' ) ? 'i)T'T),tH ? h).n) f ? )jj.nc.J3 1 dé, b`ëc=
O mere'de'toute cette hgnee ne présentaient au un vice de con- (. ' 't' ? uj ! 1 £ 9 ! Dt' .TexW u fc,i..mulm .oU{.m^
Lôrsddérla ml(}¡,e' t ? l ? Wlt 8, g ? fr,JI9 ? I qIJI,n¡ne J ! all) ' cas cite Rlu{ hut,.aft ? n;( : R'lqnlenW¿hJ1h ?
9 £ q, ? , . ? ,l, ? T. i r},H'"1f ? OR'R ? il ,;tU. ! <6 ? t'JJUt ' «1.11 si - que les individus épargnes sont des l
mmes, ce qui confirmer q l,e ? Id ? lJePrr9 ! 1.\ rlr y,Rr ! 1vne ? ' ,J ? CBnrf\1j)r  rait 1 opinion que les malform
. 9J{;1[f ? ¡...'fH 'Jlt('J ? H.A....lI Ü>J .JVH),l.t"'11'OU ? \..) ' quI' dans espèce, est important a 1110)til'))i
1HlOéJ 711c 20111'\01 1", N SIiIL\L,i%GO\IL OSI'flN CHIMIQUE'' DÉS* ' ¡'¡f ? rNI ,1",+ Ho' ? ·P 1TIIIEt`DÎ : SI'rrlB&a
lOéJ 711c 20111'\01 1", N SIiIL\L,i%GO\IL OSI'flN CHIMIQUE'' DÉS* '¡ ' ¡f ? rNI ,1",+ Ho' ? ·P 1TIIIEt`DÎ : SI'rrlB&
t des.chlornres : coo j11ff no ,PÍlfo.l-J8 Í ..r/nflJY ? cIJjrpjçW} ' ! r > : jnLJ : 13'1>Qlh : I o.ur1 proúver ,
Sfll'tT/2ubX : t.t¡¡;rIIIHlfl ! fc 1 uo Jzft01 1 ab 44tisrtti VII : ' Corne D'A,11MON· dans L'ÉPILEPSIE; par PFLEGER !
o, ? t9P1p ? Pl%.s,c,lér ? ,s C.q, l, 1 . uiiir.ij'i'j.i ? ? 1 ? " ' 0<J ... ,. I .IE Pfleffera,trouye,,deivelopp
peeûaurmaximiim. et .avec, le plus.de IIILJQ GllIJlJ", lu..LI111J.J] ' ,.G1 ? f. .* ? i- . "1 jj ? IJ.i'-1 c l..J. ! ).u
quence chez les épilepr(irlues ,qui = avaient eu, des attaques : 1L b ' "j< J cmnl., m . J . '>j ? ^iij ju.1jiii y,·
.q"1..) , . Gt't' ! fG 1 G OI 1 "'0 . ,J..JI .HI", R, ... ? t, ,0. ' . I j. troubles circulatoires, déterminés, par
circulatoires, déterminés, par les attaques convulsives Ï 11J1' 1M - ' f rj.t ? m' 1,I1 ", t-u ? 1 . J." i elles-mêmes
1(tl Ilb 11 si il a £ j àb slliy "INUI. 'LE CERVEAUl D'UN¡)ASSASSIN; ' par JBROCA : 1toh'[).sl 8H t Q('('mnd' ! '1",h
"INUI. 'LE CERVEAUl D'UN¡)ASSASSIN;' par JBROCA : 1toh'[).sl 8H t Q( ' ('mnd' ! '1",h ? 11 .r ? l ? ll·( ? (''Tt'l1 '11,;
'Soc. antlarop , 1880, p. , 233), le moule du cer- /1 .W .'1 u, oe. ' 1 n, m 1 1· I,n J117' mou iltpv t0 veau d'un ('
te ; il n avait que quarante-trois ans, mais 1 évolution dblJlIl"JU ' : HI,'1.¡,.Ht 7J1 Jl ' IbJSu JJ 7W1 . "lJtJllr,(6
rante-trois ans, mais 1 évolution dblJlIl"JU ' : HI,'1.¡,.Ht 7J1 Jl ' IbJSu JJ 7W1 . "lJtJllr,(6 7 ...r des sutures,
ssins'ont opéré'de concert,'celui-qui-a conçu le crimeTtnrè presque ' (tdùjbm : ¡P"une ¡r'cap'acité 1 crânienne"sùpérie
et occipitaux, ? ^· ffl7f. -fl; IrrP f : t r;.Lrn l ? f) 4'1'-1 J1.d ' (11 ? ) (J 1 Il ? , qui parait n, avoir pas été
qui parait n, avoir pas été signalée : le second sillon .temporal ' Jil'Jj. im. un -i '"10" 1 C t· [ ! Ym , . n ? -il
r pas été signalée : le second sillon .temporal ' Jil'Jj. im. un -i ' "10" 1 C t· [ ! Ym , . n ? -illi / . r,,i il et
on C"ht. t' yIIUt : a,O1 `ai` ? nr'[trlc7Q' 'r,...-n ry "qj r.'Yr"r, ' ' sillon non interrompu qui r va CIe la pointe
C"ht. t' yIIUt : a,O1 `ai` ? nr'[trlc7Q' 'r,...-n ry "qj r.'Yr"r,' ' sillon non interrompu qui r va CIe la pointe du
sément dans la' région tf'rrn rt Hf'I') ? 1. t 8'.JIJ'" f, · · W 11 ' nrr·W nrr ? m ? 1 1 amer temporo-occipitale, do
encore inconnues, r¡ht, ffr'Y '1`1 lé' ? r y1'T)I (r 1· L"n II ( i ' 1 ')a »rie nTlTR'n et dont les lésions'ne'déter
ore inconnues, r¡ht, ffr'Y '1`1 lé' ? r y1'T)I (r 1· L"n II ( i ' 1 ' )a »rie nTlTR'n et dont les lésions'ne'détermine
,'fUOH1jQ 'ifll 3 J ¡ : >IR fJ .t'¡¡Ofl" 'lu "JJf. 0')lUII ",UIT ' , '1[111"111' ? 1wh 11 ,13111, Ol .1..0 ; cl if
1wh 11 ,13111, Ol .1..0 ; cl ifi ,"fI" 'fU-f i. J'I. I. ""J ? [J H, ' ¡ 1111.11 L flll' fin ,"WIJ Td;1[ '11^' ' t .nA,
'fU-f i. J'I. I. ""J ? [J H,'¡ 1111.11 L flll' fin ,"WIJ Td;1[ '11^ ' ' t .nA,i j ' "if Ift' 11T'ptlï'W ti J IIl'lfJ !
fU-f i. J'I. I. ""J ? [J H,'¡ 1111.11 L flll' fin ,"WIJ Td;1[ '11^' ' t .nA,i j ' "if Ift' 11T'ptlï'W ti J IIl'lfJ ! CJ
I. ""J ? [J H,'¡ 1111.11 L flll' fin ,"WIJ Td;1[ '11^' ' t .nA,i j ' "if Ift' 11T'ptlï'W ti J IIl'lfJ ! CJW;1J "REVU
t .r' 1 "f\ll'lTjfl Il ? 1fI'.IJI'td : '<¡Jjm tt\ ! lHIII 1f111" ' (hr¡ ,p , 1JI<f ? I 'II ? J" 7.,11' C)'ÜJJTOf['
, 1JI<f ? I 'II ? J" 7.,11' C)'ÜJJTOf['1 'W)(lroq ! J JlJ,)¡T'J" , ' ¡J ? ,\'1 HL 1111 ? p n' lW;tlr .1 c)Ittla.W(mt 'r
JI; ,) (()'i'8t J , rY rc ? vr t 1 7 " ? n.. f, ,YT'r('d' trh h...1 ' )VIFl ? ', L auteur rappelle, que sous le nom ap
)'i'8t J , rY rc ? vr t 1 7 " ? n.. f, ,YT'r('d' trh h...1 ')VIFl ? ' , L auteur rappelle, que sous le nom ap t ongze,
e due a une "1 ! I'11 Il ? 111 j ,Ir Il J I,J 1 . Ill...,0 si f' 'J ' ! £ '1 ? S1 crampe dans le domaine du facial. E
fj ljr,1Jl11J11, an f111`)lal : , /IjrlIlT <'91, 9'1'1' T TlfmffOV ' ,)lf.(J9 ? 1 4rJrnrr ny 'Ilt r rri%mn ..Iq ? T ?
qû,'Irsédissait apârlr. Elle,avâlttdébute (n ,.>. n'uni . 1 1 . ' i < 1 1. / 'liiiiiiiif m ? ) i "il ? -| Tir- ?
mordre. Le spasme cessait bientôt 0 f'vi-iii'ii V> i ? iJ.ifi-i ' U ? i , I ? i ? iiir-.n'i'n'fi'-f'i ,, *-i-, +
le plus rrW Iflm % ,r,JH W yum At '1jJ1n.' £ 1 ? 1111 f : -'Pff lr¡ ' ? C\ ? r'11'drl souvent, la, crampe revenait po
, la, crampe revenait pour le commencement'de'la a -liV'i-l m )..tu, ' kA-u-i j)i ,i'.i.Jf,111 ? rfTis"f> rtfi.on ? f
inq mois .une, grande amélioration, L.f^l ! ,»/< <«.II>*,l ' " M '.l'j'J ? »'lP lll H|i,V <, ' mais seulem
L.f^l ! ,»/< <«.II>*,l '" M '.l'j'J ? »'lP lll H|i,V <, ' mais seulement temporaire. L entant commença a
isage animée, et v j J ylJw 1J· 'J\ ·, et··, °) Ju lit '111'11 ! 1f ' pourtant timide. Santé générale parfaite. Les m
pourtant timide. Santé générale parfaite. Les mouvements de la T' ' l'-i-i, < ? - -i, i°n ..)' n1 ' fflH» ? i ? '"
ale parfaite. Les mouvements de la T' ' l'-i-i, < ? - -i, i°n ..) ' n1 ' fflH» ? i ? '"t ? >'in u...." langue, d
arfaite. Les mouvements de la T' ' l'-i-i, < ? - -i, i°n ..)' n1 ' fflH» ? i ? '"t ? >'in u...." langue, des lè
ouvements de la T' ' l'-i-i, < ? - -i, i°n ..)' n1 ' fflH» ? i ? ' "t ? >'in u...." langue, des lèvres, et du re
- 'bÙU..lIJVG t".i.LJ....U.lJJ1'.1Ll,.i.1lJ.J ? jr'I'(fuH ou - \ \\" ' \\""1,¡ ? \\1 est rement remue es evres mais la
'/tl JJh.,r ,l : 'JllJ C¡J1' IIJ : .klli ? 11 II ? <" rl 1, l ? Al ' 1 .consistait le, spasme : dès que le, malade v
les muscles abdominaux ; la* respiration 1a ¡..."'1 .'u' JJq¡ V 1'» ' ,1 lJllyli, 11(1 1111 ? 1'1 1 1 )oni : , [ i ; i.i
\I)Lb9.1;lH ? er.tr Oy ? laissait,voir la langue con- 1- n 1 ? t- ? ' t'" ,l' yl X H'i'ilH, Il ? J 1 -r,H'l ? P. il'...
'palais. Après quelques - jm jd, d"vJ.l .¡Jd1 J .11 II 111 1 1 p ? ¡ ' , tlll Il If ? . J.H 1'-)\1 (1, «instants, la, t
apite'm'é'n't'éle'ét'riq'üé'fiit'co-m' M-èùcé le 2 novembre' 1876 : ' Galvanisation dé1lâ,tètè,'ràsseztéhèrgique pour;
fàradisa les nerfs phréniques.'sans Sy v rrr .,t rrr n r r, . il ? ' - · /"i i, « plus,de succès. Alors, en-janvier
dire bonjour'et commençait à ré- , a'IS" .010091 I E, .usmlJ t1u Tq ' )'{ £ 'll1s imo J n,'t115 1 ·, . 29t REVUE DE'PA
re bonjour'et commençait à ré- , a'IS" .010091 I E, .usmlJ t1u Tq ') ' { £ 'll1s imo J n,'t115 1 ·, . 29t REVUE DE'PATH
.c9S21S\q 91 SStnlSll ,92Si4St5 9Sc2DC(ZO`ClSiC95 -moi ou '9 .99 ? \ ' ? t'J\ ? ,IÙ\\ 9\' \SH\\ ! I\J ,\\I\"\m "1f<n\
ll ,92Si4St5 9Sc2DC(ZO`ClSiC95 -moi ou '9 .99 ? \' ? t'J\ ? ,IÙ\\ 9\ ' \SH\\ ! I\J ,\\I\"\m "1f<n\Y\1'\\I : \ ! \.G.
possible, 9 toù(l'aùt'plhsl'la 'répone'\sè\1faisaitelle quelquefois* ' attendre^ ,La "seule' 'tracè0 de Jt-sp'as;.rtc"qu
ëridant'quèlqûes secondês.`Dû 1 ? jûin au 1" 'décembre M 877 ? \ le" ' traitement éleëtfiqùë' fùt' tout, à''fâit lâiss
ê`de`pôâ's`siûinràla dose; de 2' grammes3 par. Jour.<1 L état du ' malade n ayant ete nullement modifié par ce" re
ars'1878.Alôrs'lâ`gûérisôîl' pût être' considérée comme'completo'et, ' au rapport du père ? , son7 filsipouvait le sup
ERVEUSE; 295 XI.. CAS GRAVE'' de PROSOPOSPASMB A' marche singulière; ' par .t-M : A.. EULENBURG de Greisswald. (Ceratr
att f.·1 Nerven= I'heillcunde; etc.; n ? 1;1880.) ,¡ "tiI¡¡¡O ? 1 ! ' T,rfl1"')(in" 11 ? IGCa .... - . , , . ,·mvrr,
Nerven= I'heillcunde; etc.; n ? 1;1880.) ,¡ "tiI¡¡¡O ? 1 ! ' T,rfl1" ' )(in" 11 ? IGCa .... - . , , . ,·mvrr, 9f. fI 1"
la ./cure. infé- gcrieure, diminution fleja paralysie ? \ 'C' '1 i [ ' [boIT' 1'1 ! ,mc¡I/UJl -dn iTur ->r» 'IIJ ? l
rs' dè 'la' m'ain,ret~>ldés11doigts;t toujoûrsJdu êcôté 19auche ; ' cependant,' dans : les^crises'lès^plus fortes;;
m'ain,ret~>ldés11doigts;t toujoûrsJdu êcôté 19auche ;' cependant, ' dans : les^crises'lès^plus fortes;; le' côté dr
- riphérique,'Ile bromure de potassium et lè9chloral'à haute 'dosé, ' 296 REVUE DE pathologie nerveuse.1' des injec
sous-cutanées de morphine (mal supportées) d'a tropine et de curare, ' ce dernier au moyen de disques'de·géla-" tine d
(j14)UI"11 ? at : n ! Uo ii 'Alors fut pratiquée par le professeur ' 1 Schrimèr 1 1 a)'névroto-3 mie du- sus-orbitai
de l'excitabilité fai41qllp,,et,igalvaniquede î,ü,tq*s"i ? ? du "" " ' -" "" . 72 toutesbles, branches du facial,, à l
'exception duS¡raIpe : gJ,¡auricu" laire postérieur qui, évidemment, ' n'avait pas été, compris. dans 1 ? 10p.gf.t0 !
? s" \1 ? A°n,1J,a¡ ? l, ! ucl1}e contraction,; excepté -dans les' ' ? r.nt.- ? u.ir. ,; ? -j ? t ? <-L / v ? t m
anormale1 entre' ''le f '. Il tll" II.; ""l' ? H. ? ? 1 ? 1 ? 1 ? " ' ( ? JI,hl)t l^acialret'lerglofs'sb1plïar,yngieh;
¡ ? \. c ! A J1j' : I1U : .>q93 - ml .\M')a\ S\) 'j ! <0' 11\ ' 9 ? \a'a ""\"\)l'l'Iri\ . ! <n\j ? A ? \\ 'i'\
'j ! <0' 11\' 9 ? \a'a ""\"\)l'l'Iri\ . ! <n\j ? A ? \\ 'i'\ : ' scss5 9 ! 91 .\\ \\\\)1.\1' ')K' \ ? ,S\.IJl;' 11
"\)l'l'Iri\ . ! <n\j ? A ? \\ 'i'\ : ' scss5 9 ! 91 .\\ \\\\)1.\1' ' )K' \ ? ,S\.IJl;' 110\<'\ .1 : )\ 9 MM9\) XII
lt;n\j ? A ? \\ 'i'\ : ' scss5 9 ! 91 .\\ \\\\)1.\1' ')K' \ ? ,S\.IJl; ' 110\<'\ .1 : )\ 9 MM9\) XII. Cinq'1 cas tde
sjpiillj 'DEÆ ! td.6t 298 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. - . : IJd" ' }l : d(f 0 ! 1 't;)1 I.lVll , t 1 JU ...........
nd J ? B.apga fut consulté ;))Sd..9QidJqt.3Pill,'aisai.p ? 1 çOHé £ ' : l.qfs/) une-, chute sur, le, moignon, de, 1 é
, mais n ? aucune relation nécessaire'avec le'degré de cette paraly^ ' ., \ 2° Les résultats que nous donne l'explc;tI
stic certain.' , , . -" r . - , , b · 3 · C'est seulemént d âprès ` ' çe ? f pr ? ôstic que nous pouvons» juger de' l
e' l'efficacité sûpposéé des.aitements préconisés.1 q 9 Quand il '1 ' 0" a aucun 'chan>ment marqué' dans^l'action de
iqûés'surA ? nerf et le' muscle ? la paralysie est* de courte'durée ' ;'la 'o'l ? l'Ison est la règle, en trois semames
utre cl1ose" que d'aider le'processus naturel' de -régénération' et ' "peut-être1 de'maintenir, les phénomènes ' de"1
rel' de -régénération' et '"peut-être1 de'maintenir, les phénomènes ' de"1 dégénération^dàns'de^cer1' ? taines limite
£ 8ln'la 1 ? 1 bfl , 'la ? t[, 2 USGvS\`rv·l G112U1WFl'9 ''y1J ¡I{(\ ' \''&) y.'\ .N ? OE1J<..S'pRtL fJ ! : ML&g
J<..S'pRtL fJ ! : ML> : SJ DISSOÇIÉE IDEpLA TROISIÈME J PAIRE, ' DANS; LA SYPHILIS, CÉRÉBRALE J parjPARINAUD ? 5oC
ÍO 3, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Il ; ? 'T J{ ? jtT ! tf/1lQ'1 ' ! "il ... Les cO'11tions dans lesquelles (lésio
' ! 'supérieure0 par' 1", observations. de, MM "L d Grasset ? 1 Mf1 ' ? ljj ? u; J ? ll r, Cette dissociation ne peut
ébraux' des nerfs. aecommodateurs,1'Hensen et Woelkers (A¡'chlV. (Ü¡ ' ophthalm, t." XXIV) sont arrivés'aux'conclusion
expériences pour interpréter les cas,- , , ? |\ i ^,'1 . i ? .«h, r, ' r-'t .v.tr,Hllllj..l J/.Jiiil observés' en 'cli
limitéenà-Tirisret 'à'1'accommodation .impliquerait \ , ., ? . 1 f ' , Lf °, . i ¡ V "T I\t . \\ "\.. \ .\\ . \" . u
le ventricule' moyen ? au ? 1 r '1,1, -Cil r ? T--> 'fj''ci'h'- ' t\Hf W'> «"U) "llJ dessous de'l'orifice' de
ice' de 1 aqueduc de Sylvius.. , , t ? hr' 91r.nl 'fIB flO ! 1J911L ' )(11' ')'I1 11 ,'u,q ¡jlp assura cl 0 ,1 ? 11 ? \)
1 aqueduc de Sylvius.. , , t ? hr' 91r.nl 'fIB flO ! 1J911L ')(11' ' )'I1 11 ,'u,q ¡jlp assura cl 0 ,1 ? 11 ? \)1) anu
')(11' ')'I1 11 ,'u,q ¡jlp assura cl 0 ,1 ? 11 ? \)1) anu s uo iulin ' ) : 1rrl> u : J1'I uu s on ! , *ldm9B 91bJ,Lr.m
'H ,.r-¡ H REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ? 301 rh',dr TP ... ? 1 ' ,'1 "'f ¡. ? ... fI 1 'M ...f"1 " portants mais
à la S6'e,6té, nédië'al des Éôpitàux. " '' Vt ¡ ? LIJI' ll(1 ? '' ' - ' 'J' \ j ) I ... r 1 "'t ? 1 'i III Jfj )HI"
S6'e,6té, nédië'al des Éôpitàux. " '' Vt ¡ ? LIJI' ll(1 ? '' ' - ' 'J' \ j ) I ... r 1 "'t ? 1 'i III Jfj )HI" 1 !
1 "'t ? 1 'i III Jfj )HI" 1 ! l1,1 qJJ ''l'f ( il' 1. ''{ l' l I ! ' ", 1'1 11 1 1., ¡ "1 1'1 - Il ? 'fil ! xvoeJ 1
), 'r' ? " ? rlll J" "'1 ""'wrq en 9b juillet 1880, p ? 37.), ''Ir ( ' t ¡'')') 4111'O"rj ,'}"Ilnq '-lffJ'1fP.fO'1 t B
" ? rlll J" "'1 ""'wrq en 9b juillet 1880, p ? 37.), ''Ir (' t ¡'') ' ) 4111'O"rj ,'}"Ilnq '-lffJ'1fP.fO'1 t B;8VWi ?
'1 ""'wrq en 9b juillet 1880, p ? 37.), ''Ir (' t ¡'')') 4111'O"rj , ' }"Ilnq '-lffJ'1fP.fO'1 t B;8VWi ? I7V ? Im ? , 1
ppée. E e marc le,s, genRx en,dedans, le pi ? 9auche r)é4lui'n'' ' Quand d les mouvements Eontpréeipités;teIIe' en
en-varus éqmn. Quand les mouvements sont précipites; ! elle. ni " ' le"'ur les orteils dés deux,pieds ;, sinon, ,cela
ssus ,fle, la plante du pied. A',droite,J -^I.^j.m.t .... 1 ? m · * ' ' i .. , a j t s ? J- t J- ? les mouvements son
us ,fle, la plante du pied. A',droite,J -^I.^j.m.t .... 1 ? m · * ' ' i .. , a j t s ? J- t J- ? les mouvements sont
de la. vessie. Divers appareils n'ame-i t fh Il '1 ? 11 Il'' ." h . ' \ltJ 01 ? .- , . nerent qu une amélioration pass
l ou à une dén'éné- ration des .cordons latéraux delà moelle.* 3.) ¡ ' ())'l'vJI''2aB IV X .' J " , , c I ISCSn( n·y. \
CSn( n·y. \ ? Î'' 10'1 "J i'ok»»- nr '- i £ ? 1 rV> \\tl"\\ ",y, ' " ? \1'' 'l'" an" 10-* Observation Effet de l'en
n non seulement il y avait une grande amélioration dans. le langage, ' I-r1ais"lâ : main : ët le bras droit, presque san
atisfaisante/ ri t.. 0 ? 1 - ib9m 811rtc1B,tJI 61 anni. g-i^c-. au] ' "fqv8 jupilBi-^ ¡l.> JIIP[ v>«v<v.oC\,
jupilBi-^ ¡l.> JIIP[ v>«v<v.oC\, Jloueiq sb -a>-~ n sd ' \ (, il nA-^il ? ,AbO NÙVRALGLEDU -trijumeau cau
il nA-^il ? ,AbO NÙVRALGLEDU -trijumeau causée par1* l'a ^syphilis5; ' 8f : par,j Edwin 1-Walker\(Aî,cà."\o/> med.,
nt)-, antisyphilitique p les' m,I(B,t1Grgs, 11 pMq, ,de traitement') ' ) antisyphilitique ? P les' médecins lui affirma
el ! ll1 ! lade' -UOXJ t Jl".4\l4.W*.^ 1^,4 ^w ii. i.4 -. - ... - ? ' 'i - - REYUEiDB'PATHOLOGIE NERVEUSE. 303 alla
re.l L'iodure de'potassium fut repris ? Le 5{ la, douleur avait ces ' '1.1 " ? '' ">v in ."f'JIJrn(, 92 'II-iq ^De
e a reparu ainsi que le 'goût et l'odorat : - e ! c ? q t' : > ! ' \11'r' PU .. fll,l, , 0 1 ? tn fT j , l ' : I.JC;
: - e ! c ? q t' : > ! '\11'r' PU .. fll,l, , 0 1 ? tn fT j , l ' : I.JC; 'T ! 'IJ - h'JU02 toi 1 ' .J ** -. - »
PU .. fll,l, , 0 1 ? tn fT j , l ' : I.JC; 'T ! 'IJ - h'JU02 toi 1 ' .J ** -. - » .t. ,"f(, 1 t If' ! >lH ? flj ? 1
tique .causée gi iiriii 1,1 ? ,··,· , ,i Io... -Yorkm ed., 91 par ' LA syphilis'; ..par, R ? W ? j TAYL R r, (New -
, . j ,...1 ? ourn mars 1880, p,. 235.), " : J[" lë àt9 111J ! J.,¡¡ ' 'l £ V61Bq Jl.....Jl'ÛY, ",(11 ? J.J ? 1 J J c
£ V61Bq Jl.....Jl'ÛY, ",(11 ? J.J ? 1 J J c \ ? L nn f.H."1 ty v ' rrL7 ir. 7rtJtn'1 ., .'3',1111.1'" Ct 1 fJrrt,9hl
ns du rachis), deux cas de Gérard, cités dans l'ou- vrage ,'de Gros ' et Lancereaux ? l'auteur rapporte' 'quatre'1 obse
e'1 obser- vations .personnelles ? Dans- la "première ? uÍl' nomrnè; ' âgé' dé 24 ans, fut prisai dans le cours de la'
leurs crurales, satt nuant le jour;"mais'gênant encore'la m'archë ! ' Le)'IIÍâladÍ1'a ? 1 vait jamais eù ni goutte; n
ntre. On ordonna des injections de bichlo- r . ti il' t t ? 1 ! t M ' . j 1 t "kl . l \ 1 ...J rur. e ,n;e ? tre,R !
and'soulagement dJif;tr1 ? TIe, jour; .l ! 1,.traI- r r J ,, >,T ' 1 T .- ° I "' il "j 1 '. t "'14, t J > ' ' ' I
t dJif;tr1 ? TIe, jour; .l ! 1,.traI- r r J ,, >,T ' 1 T .- ° I " ' il "j 1 '. t "'14, t J > ' ' ' I I'- tement
,.traI- r r J ,, >,T ' 1 T .- ° I "' il "j 1 '. t "'14, t J > ' ' ' I I'- tement fut suivi régulièrement jusqu'
traI- r r J ,, >,T ' 1 T .- ° I "' il "j 1 '. t "'14, t J > ' ' ' I I'- tement fut suivi régulièrement jusqu'en
aI- r r J ,, >,T ' 1 T .- ° I "' il "j 1 '. t "'14, t J > ' ' ' I I'- tement fut suivi régulièrement jusqu'en n
me "" r ? . . Il l' ..., 1 t 1 H hl, '. 1 t.lo '. J. . J.. temps, ' engourdissement.dans 1(,egIpn ? ? CltIqle, droit.
riiérûre et 1 Iôduz : e``dé potassium ne le soulagèrent ,1 ( ? .... ' )' 1,1" , , 1 dl '1' l" J ¡ '1 ? 1 ¡ici. . 1. un
iérûre et 1 Iôduz : e``dé potassium ne le soulagèrent ,1 ( ? .... ') ' 1,1" , , 1 dl '1' l" J ¡ '1 ? 1 ¡ici. . 1. un p
erfs, avec , exacerbations nocturnes. 11 était pale et ca- -rt '' . ' ' In, Il 1[4 - e , - ,'t'T ? ) ? ' ? i' . l,jll
fs, avec , exacerbations nocturnes. 11 était pale et ca- -rt '' . ' ' In, Il 1[4 - e , - ,'t'T ? ) ? ' ? i' . l,jll c
s. 11 était pale et ca- -rt '' . ' ' In, Il 1[4 - e , - ,'t'T ? ) ? ' ? i' . l,jll chectique, mais il n y. avait aucu
ç,llA}lh ! F ! }Hle1 ! Iui,¡ansila sixième ('i, ï, 1-i-J à ;< i- ' Il n ." ' '^ '' ,' i-J4 ? 'i annee de sa syphil
F ! }Hle1 ! Iui,¡ansila sixième ('i, ï, 1-i-J à ;< i- ' Il n ." ' '^ '' ,' i-J4 ? 'i annee de sa syphilis, ayant
! }Hle1 ! Iui,¡ansila sixième ('i, ï, 1-i-J à ;< i- ' Il n ." ' ' ^ '' ,' i-J4 ? 'i annee de sa syphilis, ayant .p
1 ! Iui,¡ansila sixième ('i, ï, 1-i-J à ;< i- ' Il n ." ' '^ '' , ' i-J4 ? 'i annee de sa syphilis, ayant .plusieur
d'une hémiplégie droite. 1 Un,an apres , l'attaque d'hémi- - 9.'Iw; ' ru·l. .1... ? ...,L p. u . d'}1éi- plégie, .il
sciatique eut probablement pour r f . ,il \ \ ." \ \\ .\u. ? ? 1 V1 ' ," ? l'. . t cause une compression par des prod
mois de traitement antisy- philitique. ? u· ? : ¡,Jp S'I7.11 11'. ) ' : 1 hf l 'II n C. T.e.. " REVUE- DE PATHOLOGIE
e'grand"dorsal. Les. muscles I -<- p' j or' 1 l' ? \ III I¡Ilv 1( ' 1 i i J * 'de'l'épaule étaient sains.' Ce sont
sont 'les phénomènes ocnlô-pupll- , 141 ? - 4, , , il) K ? ti.in ? » ' r'' i. ·'y W ulm.1 ...JwJil I.lü laires;'observ
des racines plutôt que, des troncs nerveux. En effet, la pupille ? 1 ' 1 r4 , - -le 1 1 tU)t ? f' 1, gauche, bien qu e
lmre était rétracté dans 1 orbite et ? ,.t ,1 , -fi ? nr i " fj ? f ? ' )'" la largeur de- la lente palpebrale diminuée,
re était rétracté dans 1 orbite et ? ,.t ,1 , -fi ? nr i " fj ? f ? ') ' " la largeur de- la lente palpebrale diminuée, t
oire évidelnt' : : ,la main ! était livide 1 ? 1 ( rrr,t 1.\If ",1 " ' 'HOI 1 l' 1 1 , .I, 7 Wu : ,. et froide' et le
et froide' et le pouls ne 'pouvait être que difficilement senti au ' f"- 9 ,, . r'·IlO'n L 1`I E.11 fil W ''1' U' .\ ?
cette variété particulière de, ruptures du plexus 1( ,. rl' f· u : ' ....'\1. ( 'Ht 1<) '')1 ;jft m'It'It, ? brac
faitI5 nioinst'eposée que les autres à, la ? t'- 'r ]",1], 911 f,thl ) ' 11 Clf7 ! (Il III ''t r,.n 'H' 1'0" tlClJJlt fu
"1 «i A U, `H. D'LIER. 71 'UH ! 39 d9nffn4Jll i ! n,("¡ l' If7l III ' ,1 1 l,of 271111 .1, m .J.Jud )j Tjttif n117 I «
bution A l'étude des r localisations cérébiules, (par M. R ! AMlDoN; ' (The jOtl1'nal of nel'Vous'and melatnl-diseuse. 4r
jOtl1'nal of nel'Vous'and melatnl-diseuse. 4r fas- .lk" "l' J1880'( ' 43 'lJ()lIJH)""I aa,-> lj54 ""1"" '11¡JIU : ;
latentes, restées sans symptômes. Comme le fait remarquer l'auteur, ' en terminant, les faits'discutables, en matière
on cérébrale, peuvent être dus à des con- formations particulières, ' individuelles, des couches corticales du cervea
al of neraous and, 2nental disease, 1 °r fascieule 1 S80, p. 5 t .) ' , Travail de thermométrie cérébrale dont il a1
ermométrie cé- phalique, page 99.) . ,1 i 1 1 t ,Il -dlo " ? .1 r, ' ,... 1 t 1. - 1 , , Il ' - .'1 'J l' 1 " i 1 tn
, page 99.) . ,1 i 1 1 t ,Il -dlo " ? .1 r,' ,... 1 t 1. - 1 , , Il ' - .'1 'J l' 1 " i 1 tn 1 , Ju y . "111' \ ' . 1
,... 1 t 1. - 1 , , Il ' - .'1 'J l' 1 " i 1 tn 1 , Ju y . "111' \ ' . 1 ...,' ,1 111. - -i XXIII. Tumeur du pédoncu
1. - 1 , , Il ' - .'1 'J l' 1 " i 1 tn 1 , Ju y . "111' \ ' . 1 ..., ' ,1 111. - -i XXIII. Tumeur du pédoncule cérébra
i XXIII. Tumeur du pédoncule cérébral. (illed. Tii2îes and Gaz. . ' "'17 janvier 1880.) " "' 1 , 1 f ' ' , ii r C
ncule cérébral. (illed. Tii2îes and Gaz. . ' "'17 janvier 1880.) " " ' 1 , 1 f ' ' , ii r Cette observation concerne
al. (illed. Tii2îes and Gaz. . ' "'17 janvier 1880.) " "' 1 , 1 f ' ' , ii r Cette observation concerne une enfant
. (illed. Tii2îes and Gaz. . ' "'17 janvier 1880.) " "' 1 , 1 f ' ' , ii r Cette observation concerne une enfant de
tié antérieure du pédoncule cérébral droit une petite tumeur 'dure, ' lobulée, de 6 millimètres de diamètre environ ;
t assez loin dans le pédoncule, où elle^se perdait graduellement. ' L'hémiplégie gauche partielle et la paralysie du
naient des' granulations tuberculeuses. H. D'OLIER. XXIV. SUR les ' tumeurs du cervelet; par IIUGHLINGS JACKSON. '\
IER. XXIV. SUR les ' tumeurs du cervelet; par IIUGHLINGS JACKSON. ' \ " 1 ! ! L. Un homme de 3o ans, n'ayant eu d'au
ente, et 0'lIlnBlS21·ISeS tétalllÎOiiiJ(I tI'ITIIII ? ,. ? . C, T. - ' J'HI Jluli1 U'llUU'1'4 'l1J.JI.uJ( tjlllTtHl li
ier 4880, p., 280.) t ? 1'[, 1 Homme "de' 48 'ans'iidmis à l'âsyle ) ' ) 'de' Cambridge en sep- tembre'')879;à'péuprès'
e les nerfs optiques. , il ? r ru IJJ ? i' " t;-)h ? r""O0Îii. ^,.5" ' ffL.. h ylm,l , , uii s '-j'f'C¡ q XXVI. 1 ÉTIO
T- " ECHiNsoN.' (Med.1 TÙnes and Gaz ? 31 janv., 1880.)Itonr, I j ' 'f11 8" '\" -1 "1 - , , , 'hJi'ii Iln, ,]. <,|
iNsoN.' (Med.1 TÙnes and Gaz ? 31 janv., 1880.)Itonr, I j ' 'f11 8" ' \" -1 "1 - , , , 'hJi'ii Iln, ,]. <,| afinb L
haleur doit également être -" .-t M", U- \ . -4, .4 ? ...^...'«.«"t; ' ». .;nnTi ? « nm .1 m ., mentionnée, et en parti
ersonnes. ? I III -- II' ¡ d ? <=,1\ \C-'H' IIIJ'O'1' l' 1 III'J j ' ,r J '\'1 ? f..J L'auteur indique encore les exc
es. ? I III -- II' ¡ d ? <=,1\ \C-'H' IIIJ'O'1' l' 1 III'J j ',r J ' \'1 ? f..J L'auteur indique encore les excès de
., r ? r )\J ? . \ r 1`\ t t r il ? iH"J f L masculin,1' f , |() , ( ' \\''\Ut' \\, 'v ri ,^ L'affection peut' enfin pr
peut quel- i ? nfj ? ...m-.iij ,J frf.) l'.cfo-'i' : '<<]1f't ' ,' <-"ilr ? iT'.y'.i c y ? >. quelois, re
t quel- i ? nfj ? ...m-.iij ,J frf.) l'.cfo-'i' : '<<]1f't ' , ' <-"ilr ? iT'.y'.i c y ? >. quelois, relev
is), tH ? h ? . Ilnl IIIIY11 9'1 Illr 1' l1[/1 n r 1 , 1 I 11 ? ? W ' , dans d autres cas, au contraire, plusieurs ca
"tA .g h'"<.'t)t'i surmenage 1'01 humide) ont agi simultanément. ' ` ' 1 Jt11 un .1.1' )"1"'1.14]' ? >JlI\HI 3e
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1'01 humide) ont agi simultanément. '` ' 1 Jt11 un .1.1' )"1"'1.14] ' ? >JlI\HI 3e .'(Jty,r,n 1 uii.i'i'iv cl 12f11F
n,JI, 1880, p., 29.) ,¡I1',l[, .at", b Jrr.1,)W"« no 1s «991>. ,( ' "hl"') 'l'11"'9 ! ' i rr flrïl l 'fGrt f' rr)(' G
1880, p., 29.) ,¡I1',l[, .at", b Jrr.1,)W"« no 1s «991>. ,('"hl" ' ) 'l'11"'9 ! ' i rr flrïl l 'fGrt f' rr)(' G ? rl1
) ,¡I1',l[, .at", b Jrr.1,)W"« no 1s «991>. ,('"hl"') 'l'11"'9 ! ' i rr flrïl l 'fGrt f' rr)(' G ? rl1'lTIrr,-¡lr 1
"« no 1s «991>. ,('"hl"') 'l'11"'9 ! ' i rr flrïl l 'fGrt f' rr)( ' G ? rl1'lTIrr,-¡lr 1 ? 1 ? \¡ : riR'1 , Un sait
Un sait 1 importance, attachée a la présence ou a 1 absence 1 " -/« ' " 1 s ,1 1.. 111 c tllm ? Jr ? t.ht.tt ? tt 11 cul
otulien ! " ? H. DE B. 'inc-.iq1 1 a , ! ! ) .1 d,"oU t fI1 ! J" i- ' nj·n .1, 1 t'I.I ,' fJf ui'1 ,II ' * . , '1 ) &
B. 'inc-.iq1 1 a , ! ! ) .1 d,"oU t fI1 ! J" i- ' nj·n .1, 1 t'I.I , ' fJf ui'1 ,II ' * . , '1 ) > i . f "iqr. i rc
a , ! ! ) .1 d,"oU t fI1 ! J" i- ' nj·n .1, 1 t'I.I ,' fJf ui'1 ,II ' * . , '1 ) > i . f "iqr. i rcyip '1"i.XXVIII
tir., nr q'Tf.'P'}i'j6,D'' S : \.T1X¡\.GE.(de;]Londry,s). i, J ' : } ? f 1161c, iJuft ? t J'on, di j i- .1 (1 . .
57), puis dans lesl3ulletans de, la Clen. Soc. (Oct.·t879.), ? , ' La maladie consiste'essentiellement dans la forma
ophie du tissu conjonctif, qui s observe d'abord - i Il " /[je 1. 1 ' 'mi.. J; ? Il 1 - l , ." 1 dans la peau. Le dr
certainement aussi dans''la moelle et péut-ètre'dàris1 le cerveau ! ' 'Les malades ont les paupières plis- sées et on
il est dur et résistant : la 'pression 'du doigt ne laisse pas ? n ! ' ()fi ]||(;. ,i .;Tp,lfy Il 41 r il o i. 1 t l ,
isses, les pommettes présentent une vive injection' des capillaires, ' les ailes du nez sont dilatées. Partout, la pea
, la peau est sèche et rude. La température 'est' abaissée. '' ,il, ' ' i' '" l' .J. 01)' ? I Les malades sont engour
la peau est sèche et rude. La température 'est' abaissée. '' ,il, ' ' i' '" l' .J. 01)' ? I Les malades sont engourdi
au est sèche et rude. La température 'est' abaissée. '' ,il, ' ' i' ' " l' .J. 01)' ? I Les malades sont engourdies et
et rude. La température 'est' abaissée. '' ,il, ' ' i' '" l' .J. 01) ' ? I Les malades sont engourdies et très lentes
'spéciale : la mémoirêfse perd, et la démarche devient 'chancelante^ ' bien" qu'il' n'y ait" aucune paralysie dés memb
hancelante^' bien" qu'il' n'y ait" aucune paralysie dés membres. ? " ' ' 1 1 ? ? ut I] n'y a généralement pas d'halluc
ncelante^' bien" qu'il' n'y ait" aucune paralysie dés membres. ? "' ' 1 1 ? ? ut I] n'y a généralement pas d'hallucin
théories' proposées pour 'expliquer la' torpeïiP iritellectuelle. ¡ ' ('Jr¡Û¡"'iat'o(' l11'erital"sêirHi'Ce,' j Î1vi el'
sées pour 'expliquer la' torpeïiP iritellectuelle. ¡'('Jr¡Û¡"'iat'o( ' l11'erital"sêirHi'Ce,' j Î1vi el' 1880.) Nous r
la' torpeïiP iritellectuelle. ¡'('Jr¡Û¡"'iat'o(' l11'erital"sêirHi'Ce, ' j Î1vi el' 1880.) Nous reviendrons prochainemen
ru ? llil l' t'II" . ri , 1H|- -Il ? P',1 i .} PI z J 1 : : i.h(J 1 ' Il < ' . . l ? r'\I, Il f-HJ c.10L.t XXIX ?
l' t'II" . ri , 1H|- -Il ? P',1 i .} PI z J 1 : : i.h(J 1 ' Il < ' . . l ? r'\I, Il f-HJ c.10L.t XXIX ? MY&LIT
t, and sw'g,jOltl'1J., fév. 1880, p. 157 et 173.) m "IL 11 .. fI Ji ' or ? ,r i . si .,Y] ¡ ! lW1J 3'i'rnir' (;Dans c
t les parties atteintes en premier lieu ayant été les'plus exposées; ' il est-juste dC'rapporter.'}.'origine de la' ma
ment'ou'à" l'effort exagéré.-Ainsi, dans'les observations I et III , ' les pieds furent les parties sou- mises'à l'act
d'octobre'<sur la'térro;1 les premiers t bl' ,<n'té' f" t d"l ' éJ'd ? ? l., t"d ? 0' b' '0 'IIOV troublés 'not
réflexe rotulien' était exagéré; dans deux, il manquait.1 7. 1 1 O¡ ' ,i'<1 , , "\ \ -, \'" t xt ., , Comme traitem
t exagéré; dans deux, il manquait.1 7. 1 1 O¡',i'<1 , , "\ \ -, \ ' " t xt ., , Comme traitement, le docteur Webber
um est indiqué 's'il y a a 1- eu' 11 syphilis. i 1 ? 1 '1 1 . J - I ' il c. fc - .. r . ' ,, , -j 1 ' ' t . li , 11
y a a 1- eu' 11 syphilis. i 1 ? 1 '1 1 . J - I ' il c. fc - .. r . ' ,, , -j 1 ' ' t . li , 11 Il ,rp 1 (1 ... r ..
' 11 syphilis. i 1 ? 1 '1 1 . J - I ' il c. fc - .. r . ' ,, , -j 1 ' ' t . li , 11 Il ,rp 1 (1 ... r .. , j . XXX.
11 syphilis. i 1 ? 1 '1 1 . J - I ' il c. fc - .. r . ' ,, , -j 1 ' ' t . li , 11 Il ,rp 1 (1 ... r .. , j . XXX. O
cations, étudie en détail les divers phénomènes présen- tés par le, ' malade. ^ ' '' ,, , I , . l ,) ' , " IJ . .)q t !
die en détail les divers phénomènes présen- tés par le, ' malade. ^ ' '' ,, , I , . l ,) ' , " IJ . .)q t ! TI J j ri,
ers phénomènes présen- tés par le, ' malade. ^ ' '' ,, , I , . l ,) ' , " IJ . .)q t ! TI J j ri, 1/1 , Il examine d'
férence constante d'environ un degré (3ï°,G-3G°,8). M. , M'ill fait ' ' 'l" de cé qu'onlvient de - . J, 1, fait .1. q
rence constante d'environ un degré (3ï°,G-3G°,8). M. , M'ill fait ' ' 'l" de cé qu'onlvient de - . J, 1, fait .1. qu
de, traumatisme de 31O REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE ? 4 , III t - ' la moelle une élévation thermique. C'est ainsi
"géiérale-' ment d'un 1'alenlz"ssemerilJ dupouls qui devient petit, ' dépressible et peut tomber jusqu'à 40 et au-des
res trochantérienne. gauche et, sacrée, présentées par son malade ! ' l'auteur examine les diverses .théories relativ
e spontanément. Au 1 . , y , ? r-, ? « .i 1 n Ili, 1n , ) 11 / 1... ' " sujet de l'a/CN ! /i'' ? M'<e'e ? M7 ? Here
parKovnLEwsüi. (Saint-Petersbccrg7néd. Wochensch., 1879'.) T ? 1 t ' , , h 'ni. ', I t ," - ' fJ '" z Cette diminu
(Saint-Petersbccrg7néd. Wochensch., 1879'.) T ? 1 t ' , , h 'ni. ' , I t ," - ' fJ '" z Cette diminution, d'autant
rsbccrg7néd. Wochensch., 1879'.) T ? 1 t ' , , h 'ni. ', I t ," - ' fJ '" z Cette diminution, d'autant plus considé
rg7néd. Wochensch., 1879'.) T ? 1 t ' , , h 'ni. ', I t ," - ' fJ ' " z Cette diminution, d'autant plus considérable
,) serait appréciable' même dans les attaques de petit mal. ? b'. , ' im, ' , ! t1 4't «4 " . i " ' t'. i" ' t ' "Kl1
ait appréciable' même dans les attaques de petit mal. ? b'. , ' im, ' , ! t1 4't «4 " . i " ' t'. i" ' t ' "Kl1 XXX
ns les attaques de petit mal. ? b'. , ' im, ' , ! t1 4't «4 " . i " ' t'. i" ' t ' "Kl1 XXXII.. Observations de, trou
taques de petit mal. ? b'. , ' im, ' , ! t1 4't «4 " . i " ' t'. i" ' t ' "Kl1 XXXII.. Observations de, troubles nerv
es de petit mal. ? b'. , ' im, ' , ! t1 4't «4 " . i " ' t'. i" ' t ' "Kl1 XXXII.. Observations de, troubles nerveux
ts de l'abdomen) liés, a la fièvre TELLUnIQUS,D'ALGLRIE ; par s E ? ' ' (Ga' -4. hé6dômad. de médic. et,de,chi7uigie, 2
de l'abdomen) liés, a la fièvre TELLUnIQUS,D'ALGLRIE ; par s E ? ' ' (Ga' -4. hé6dômad. de médic. et,de,chi7uigie, 21
ie, 21 mai,4 880.) ? lliqq 1 ,il 1 le , 1 il qçz;t Il z ., . tii-ii ' ? 1- .et il, , 1 '' ? >' ! lhr I' 171 XXXIIL
171 XXXIILETUDEDETHERrf0111ÉTRIECÉRÉBRALE;parMWORIirfAN. r ,fflit ' (Tlaé'tdl2énist atad Néurologist, lô,ô, tl°e i 8t
tdl2énist atad Néurologist, lô,ô, tl°e i 8t 9.), yl .. . n n(m4yJ,n ' fU'Ji ' ». y > . , i Le travail de M. Worlcm
t atad Néurologist, lô,ô, tl°e i 8t 9.), yl .. . n n(m4yJ,n ' fU'Ji ' ». y > . , i Le travail de M. Worlcman est u
z'/ ? eyîie'cn'/(7Me,'p. 99. ) ·if..9tfrt tloo'tt o'1,>r''..., f ' '^i ? 1 ' ,'1 ? ? XXXIV. Cas d'hystérie précoce
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mbretS79.) ? ? rl t ! ),j vr n r· in '' i m, ? ? )).)f. ) ft . ri"n ' -<L t- 1 (,it' >.»>)'-> i j , a I X
s§'i.'(Lâ Sc : colâ médicéc Naiolitaüa, 3° année, iasc. IV, avril.. ' .non t,LurTt il · n, n,il r 1 , . 1, . .slnorn
il 't np '> 'ir;til,flf o-.iioa« iimi-.ii ,.... u 'd.nlGni `il ? ' li'ltlfl bl 4h *r,...ini«.i f(l ? 1 m' t, XXXVI
XXXVII. SYI;iPTOIIESrHYDnOPHOBIQUES (avec-.un examen liistolôgiqué` ' de 1 rüoellei ; par J. CoLLms,, CH.,IIILLS, C :
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n[na juBRiïl'ia anrlsl ? 8.1911 .,1 ii ? jji.i'i'" ' "* » ' Jr Ji,l ' ' . ,n,f.o, "ir, > -n mi 15 9-"ioni Jrt, muq
na juBRiïl'ia anrlsl ? 8.1911 .,1 ii ? jji.i'i'" ' "* » ' Jr Ji,l ' ' . ,n,f.o, "ir, > -n mi 15 9-"ioni Jrt, muq e
sëtIV,48î9· tl r,r (1,,f| ? [ ? h : .t otiIi 'i.)'J)i'lH'iq i. sa ? ' `ill' . "'l'1TIIOlI"r -j XXXIX : Syphilis; DU[
.-Ti.IÇFUT.I(Çlçieago med. ,.», Tinies; aoùt,i septembre 1880.) " H ' i 1 I ,, 'I If 1. 1 ' ' , , . ' ' 4 ? H| ? - in
med. ,.», Tinies; aoùt,i septembre 1880.) " H ' i 1 I ,, 'I If 1. 1 ' ' , , . ' ' 4 ? H| ? - in il(3'11W0111 1' . ffn
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Tinies; aoùt,i septembre 1880.) " H ' i 1 I ,, 'I If 1. 1 ' ' , , . ' ' 4 ? H| ? - in il(3'11W0111 1' . ffn I`rIl(, u ,
? H| ? - in il(3'11W0111 1' . ffn I`rIl(, u , wm - ? ru ^ ttOinr·· ' [ClClJfî P( `ah ? Q ! n'n'1J tltfiil'illlU " i ? 9
lU " i ? 9 fif. t·L,v t1't , ! M,.7. n r (j ..«r-i.-^vd., * .«<« ' ·' " It'1f. ? ' 0'a .t1 -jupidq.n- .. ur, r ' 1
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1 -jupidq.n- .. ur, r ' 1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE " '">' ' ' 'A 1 : rr \'1 .J ? L II ' j...) .1) 4 'J a ¡ '
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE " '">' ' ' 'A 1 : rr \'1 .J ? L II ' j...) .1) 4 'J a ¡ ' XI. LE VOL aux étalages, e
ENTALE " '">' ' ' 'A 1 : rr \'1 .J ? L II ' j...) .1) 4 'J a ¡ ' XI. LE VOL aux étalages, esquisse 11ZF'.DICO-LD
, esquisse 11ZF'.DICO-LD·.GALE; r . ? ,1 par le Dr Cri. Lasègue ? 1 , ' - l' , , fil vi , m'1 ; " i J' (-1r, J } ? rtpr
Lasègue ? 1 , ' - l' , , fil vi , m'1 ; " i J' (-1r, J } ? rtpr..¡. ' - ' La transformation ! subie depuis une trenta
e ? 1 , ' - l' , , fil vi , m'1 ; " i J' (-1r, J } ? rtpr..¡. ' - ' La transformation ! subie depuis une trentaine d'
n, rentrent dans la catégorie des délits ordi- naires ; 'les autres, ' commis le plus souvent --par des. femmes, const
nt intellectuel ; 'quelquefois-, à, l'inverse ? le trouble cérébral, ' impossible à constater au'moment, de l'arres- t
onclure que ces cas n'existent pas. En dehors' de toute' morbidité, ' le sens moral a parfois d'étranges défaillances
T(I{ `1l1·ITL· )l· 9 : M·t j TT al1je d.`10°(IW 2;1^ > -1q 1'1')[ ' ,)0 f'. t el\f ? rr "11.1)j ni1 1 : \ afJIi I("'U
-]DEipathologie mentale ;.i ? )u ? jiftmtdtdparleDCH. LAsÈGUE..v -il , ' )1'WIr 'I11'1;t1 a-l.'>r. ni/ icq t«n Il 0.')
eurr pronosticationa propres ? De 'même qu'une périmétrite laissera ' après elle un tempérament patho- logique .périu
ns fait une clinte de, cheval, 'peid on naissance une heure ou deux, ' se re ? bht, 1lI, ,alout de six mois, un an, 'd
érébral d'un individu indemne » ? Ou bien encore, un en- o- ? i ? ,* ' II. »,,«'" lj il il, 1 il, lrg" '11,1 1. il I;-Ir
un individu indemne » ? Ou bien encore, un en- o- ? i ? ,*' II. »,,« ' " lj il il, 1 il, lrg" '11,1 1. il I;-Iri ? .,i-
' -.11 ? )<">' '1ttrllh t autre fois ? il tombera en mangeant, ' etc'. Peut-on logiquement ne voir là que l'infl
le cérébral un malade avant, par le fait dlun 1 ., . t l If. 1 1 1 - ' III' j 0)' "1 " f.' 1 l r> r. Il ,L, t (f ,' .
un malade avant, par le fait dlun 1 ., . t l If. 1 1 1 -' III' j 0) ' "1 " f.' 1 l r> r. Il ,L, t (f ,' . <| 1
1 ., . t l If. 1 1 1 -' III' j 0)' "1 " f.' 1 l r> r. Il ,L, t (f , ' . <| 1 accident primitif, acquis « une diath
f gique » n uvea u. ussi len M. Lasègue, dIt,11 1 aIlleurs : 0 t- ' i ? i , t Il 1 ? ,it< ? -il -ji». ''iiiioa su
pension des accidents. » C'est, en termes meilleurs et'plus absolus, ' ce que nous disions tout à l'heure... , 6. A ce
d'une maladie organique.- Mais avec une signification aussi étendue, ' l'expression n'aurait pas de raison d'être ;' aus
ication aussi étendue,' l'expression n'aurait pas de raison d'être ; ' aussi M. Lasègue lui donne-t-il un sens' plus r
c un peu de, bonne volonté, surtout '-HI ¡.¡ ? (. 1 1 il) .q Il IJ' ' II 1 d : . si 1 on consent à regarder comme tel
dans, les pérIOdes lucides, ,une infériorité, intellectuelle'1'» ! ' Ramenée à ces limites', làdénomination de. /il,
/il, l' fllfl 1 ? ..> 'I.,j Il; ..... 'II, TI' j U 111,'1.) Hi : ' 'H n cérébraux ne s appliquerait plus qu à des
arle M. Lasègue, cette démence d emblée ne se trouve, "fi ( . \..., ' " 1 " Ij,' ¡. rt,... {' Hot hl ,,\1- r 1 ? , I ? .
sègue, cette démence d emblée ne se trouve, "fi ( . \..., '" 1 " Ij, ' ¡. rt,... {' Hot hl ,,\1- r 1 ? , I ? . s que c
démence d emblée ne se trouve, "fi ( . \..., '" 1 " Ij,' ¡. rt,... { ' Hot hl ,,\1- r 1 ? , I ? . s que chez les paral
chez les paralytiques et se retrouve chez tous plus ou ^1, -4|. , I ' \, «J . A, , . II | 1 | 4, , , |Mi ^ ,1 I .. , I
^1, -4|. , I ' \, «J . A, , . II | 1 | 4, , , |Mi ^ ,1 I .. , I UJ r ' moins profonde. L excItatIonJ maniaque ne" suff
r ' moins profonde. L excItatIonJ maniaque ne" suffit pas même à ' ¡p ? 1 Il )111, 1,\, 'Ifl ? I -iH .1¡jIJl.ql ' 'J1
ne" suffit pas même à '¡p ? 1 Il )111, 1,\, 'Ifl ? I -iH .1¡jIJl.ql ' 'J1J; la masquer ? Que les' rémissions survienn
moins durables, peu importe ? Le malade. ? i rp. ? r'.tff, ? j ? t ? ] ' Il Il d ? n en est pas moins marque des le débu
dent initial, on n'hésitera 'jJ(l rt : t1JpH li|i'>n9 >sol tu ' p,t Pl ? pt ...11. .I. 318 REVUE DE PATHOLOGIE
es caractères. [Annales nzéd : psych., avril 1880.) , ,1 I t t ., I ' ' « ... 1 1 1 -\1 -CE XIII. AUTOMATISME DE NATU
caractères. [Annales nzéd : psych., avril 1880.) , ,1 I t t ., I ' ' « ... 1 1 1 -\1 -CE XIII. AUTOMATISME DE NATURE
Saint-Louis'. (The Alienist cind 7VeM ? '</o gz'st, avril 1880.) ' f I 1 lui Il 1... , 1 r 1 1 rH' ' is IL (- 3" 1
eM ? '</o gz'st, avril 1880.)' f I 1 lui Il 1... , 1 r 1 1 rH' ' is IL (- 3" 1 1 lilvi ? 1 : \- Il 1 II. y ? L'imp
' étendue» qui va ` suivre 'et'' que9 nous traduiso'nà'i2 extenso. - ' IfJ l > 'ifl ' z 1p, '"t"'1' ''J" >'1..1. I
` suivre 'et'' que9 nous traduiso'nà'i2 extenso. -' IfJ l > 'ifl ' z 1p, '"t"'1' ''J" >'1..1. If ? 1l1 Il''7) ""
'et'' que9 nous traduiso'nà'i2 extenso. -' IfJ l > 'ifl ' z 1p, ' "t"'1' ''J" >'1..1. If ? 1l1 Il''7) "" ! -Le ca
de la perte dé connaissance plus ou moins passagèré; mais constante, ' relatée par cet ! auteur : ' Ce fait' exception
lus ou moins passagèré; mais constante,' relatée par cet ! auteur : ' Ce fait' exceptionnel rappelle la proposition é
mplétée par les observations de Samt ? 7ep<MC/ : e/n'Me ! KS/b ? ' ! KeH. In Au ? u. sur Psychiatrie, Y,Yl.). M. S
lep- tique précédant l'accès convulsif ou l'état mental équivalent ; ' 4° folie épileptique n'existant que dans l'inte
rer leurs, testaments comme, non valables. y> ,,1 ? ui> .«1 . ' i . ? ' ' r 1, a1v , ' 1" ¡1t -\ 1 .I · II(1 ,j r
urs, testaments comme, non valables. y> ,,1 ? ui> .«1 . ' i . ? ' ' r 1, a1v , ' 1" ¡1t -\ 1 .I · II(1 ,j r '» ' &g
s, testaments comme, non valables. y> ,,1 ? ui> .«1 . ' i . ? ' ' r 1, a1v , ' 1" ¡1t -\ 1 .I · II(1 ,j r '» ' >
comme, non valables. y> ,,1 ? ui> .«1 . ' i . ? ' ' r 1, a1v , ' 1" ¡1t -\ 1 .I · II(1 ,j r '» ' > .........
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, t'.t t 1 XV. ETUDE CLINIQUE SUR QUELQUES POINTS DE LA LYPEMANIE ; ' XV. Etude clinique sur quelques points À de , l
tinale., Dans deux^des observations.. de M.,Mabille\(9bs. ,xx t X4n) ' " il este manifestes que île défaut d'ini ecti v
fluence sur la produc- tion.de l'anesthésie,, puisque, la sonde fut, ' (dans,.ces deux cas, ' employée des que.,les mal
tion.de l'anesthésie,, puisque, la sonde fut,'(dans,.ces deux cas, ' employée des que.,les malades refusèrent de mange
se constituer un cercle vicieux, différents' effets réagissant , 14 ' 4...J¡J ,4 1,4 .6.1j ? +1""\' ....... -- 1 - , ..
x, différents' effets réagissant , 14 ' 4...J¡J ,4 1,4 .6.1j ? +1""\ ' ....... -- 1 - , ...O les uns sur les autres ,
ent à faire remettre' en liberté des individus dangereux : ils sont, ' 'l'intérieur des asiles, une cause incessante d
e création, l'établissement de Gaillon étant insuffisant. (Ib2d.) ' ,1 ' ' k, -1 ' " XVIII. Rapport MÉDICO-LÉGAL SUR
création, l'établissement de Gaillon étant insuffisant. (Ib2d.) ',1 ' ' k, -1 ' " XVIII. Rapport MÉDICO-LÉGAL SUR l'é
éation, l'établissement de Gaillon étant insuffisant. (Ib2d.) ',1 ' ' k, -1 ' " XVIII. Rapport MÉDICO-LÉGAL SUR l'éta
l'établissement de Gaillon étant insuffisant. (Ib2d.) ',1 ' ' k, -1 ' " XVIII. Rapport MÉDICO-LÉGAL SUR l'état mental
, -1 ' " XVIII. Rapport MÉDICO-LÉGAL SUR l'état mental DE F... ; " ' )11< ? Par MM. BIDAULT, FORTIN et Broc. )'4 ,
e sous le coup du délire épileptique ou sous l'influence toxique. » ' 1 H. D'O. XXIII. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE anatomo
tubérantielle ; par M. Luys. (SOC. de biologie, 3 juillet 880.) 9 1 ' XXIV. Du Morphinisme ; revue critique par RIKLI
by G. BALFOUR. (Brlt. med. Journ., fév. 4 880,, p. 319.) H. DE B. ' ? 1. -, 1 L t 1 )' REVUE DE THERAPEUTIQUE I
med. Journ., fév. 4 880,, p. 319.) H. DE B. ' ? 1. -, 1 L t 1 ) ' REVUE DE THERAPEUTIQUE III. PHYSIOLOGIE patho
on arrive en fin de compte à unrésultat encore moins satisfaisant. ' H. D'O. I ? t.f VIII. Tétanos consécutif A UN
ou très faibles, ou très forts, selon les différents cas. H. DE B. ' XIV. Du TRAITEMENT DU DELIRIUM TREMEMS PAR L'AL
s probantes pour re- commander, chez les alcoolisés de vieille date, ' contre le déli- rium tremens, l'emploi de l'alc
ST UNIVERSAL PARALYSIS WITH RECOVERY. (The Lancet, 1,1880, p. 448.) ' " " XVII. 'IIINTS UPON THE TREATMENT OF PARALYS
te sur l'impor- tance de ce diagnostic au point de vue médico-légal, ' et sur l'analogie qui semble exister entre ces
sions ner- veuses sont susceptibles d'une complète guérison. - j) ' - A'i 'ils ? 1 ? cl 1 1 1 M. LAwsoN TAIT rappor
ntes; M. Lawson Tait espère que l'amélioration n'en restera pas là. ' " ah iab M. Bacon (Fulbourn) a châtré deux ho
ceux que nous avons cités dans le premier fascicule de ces Archives ' : l'opinion de M. Blaise est absolument con- fo
c. de biologie, 15 juin 1867. 344 re BIBLIOGRAPHIE. dans sa thèse ' tous les cas recueillis par l'Ecole de la Salpê-
rmométriques sur les maladies du système nerveux. Paris, 1872-1873. ' FAITS DIVERS. 345 complément de celles de M.
cement de AL' Dôntebënte ; q : ~ ? , logie mentale eil t.. de 4J iJ ' b -utrii"J PJ .5U/-Q.~T Asile DE BRAQUEVILLI ?
la section' des hommes de.l'asile de Marseille. j ! > ii3b\^.s,q ' f' U" j')o',j8 'r'il "ID Bd' fr, 'd . ? td"" 1
nelle de son grade (4,000 f.) ? 'OUÏT -ICI TV,JIfJTJJ' in ua l , '1 ' l'T Asile de Saint-Lizier;1 lII : ' le' D; Fabr
T -ICI TV,JIfJTJJ' in ua l , '1 ' l'T Asile de Saint-Lizier;1 lII : ' le' D; Fabre, médecin en chef de la section des
t nommé médecin di-' recteur de l'asile deSaint-Liziei· (Ariège). " ' " ' ` ? \ ? \ ? \, H" '\H',\...\\\' .n O ' \ ? ''
mmé médecin di-' recteur de l'asile deSaint-Liziei· (Ariège). " ' " ' ` ? \ ? \ ? \, H" '\H',\...\\\' .n O ' \ ? '' \1\
ecteur de l'asile deSaint-Liziei· (Ariège). " ' " ' ` ? \ ? \ ? \, H" ' \H',\...\\\' .n O ' \ ? '' \1\\ ' Asile d Arïien
asile deSaint-Liziei· (Ariège). " ' " ' ` ? \ ? \ ? \, H" '\H',\...\\\ ' .n O ' \ ? '' \1\\ ' Asile d Arïientières. AI.
eSaint-Liziei· (Ariège). " ' " ' ` ? \ ? \ ? \, H" '\H',\...\\\' .n O ' \ ? '' \1\\ ' Asile d Arïientières. AI. le Dr D
(Ariège). " ' " ' ` ? \ ? \ ? \, H" '\H',\...\\\' .n O ' \ ? '' \1\\ ' Asile d Arïientières. AI. le Dr Dubiau, directe
la Roche-sur-Ypn, est nommé directeur médecin de l'asile n, , " ... ' ' I -auiHi'li.o <> . d'Arméntières.yb o«b
Roche-sur-Ypn, est nommé directeur médecin de l'asile n, , " ... ' ' I -auiHi'li.o <> . d'Arméntières.yb o«bIf
; . d'Arméntières.yb o«bIfl ? , l ", " .i j ijo /i> onoiln 141 ' 1 Asile DE la RocHE-sun-YON. M. le Dr Cullerre,
sile de Cadillac, est nommé médecin directeur de l'asile de Breuty. ' , Asile DE Cadillac ? M. le Dr Campan, directeu
zier, est nommé médecin en chef de l'asile de Cadillac (Gironde). : ' - 'iri ' Asile, DE SAINT-ROBI : ,RT. - Par arrê
nommé médecin en chef de l'asile de Cadillac (Gironde). : ' - 'iri ' Asile, DE SAINT-ROBI : ,RT. - Par arrêté du 29
ÉBRALES f (observation . DE porencéphalie fausse ? double) ; r .. ' Par le professeur MIERZEJEWSKY. Dans certaine
qui s'accompagnaient, durant )a vie, de certains troubles sensibles, ' moteurs et psy- chiques. Ces faits viennent con
es faits viennent confirmer les résultats, ? ¡II', 1 l ? if Il) - . t ' ' d'ailleurs ? incontestables, qui nous sont ac
faits viennent confirmer les résultats, ? ¡II', 1 l ? if Il) - . t ' ' d'ailleurs ? incontestables, qui nous sont acqu
arc. Si on arrivait, de vive force, à redresser un de ces membres ' Cruveithier ? l)M<OM ! epa</to ? Me du corp
ce de l'hémis- phère gauche, et contenait 20 onces d'une sérosité ' Campbel Clark. -d detached left occipital lobe, a
e ou une parésie du côté opposé du corps. Observation. Idiotie. ' z- Mutisme. Paraplégie. Contractures. Attitude
térieure de l'insula. In : p, portion postérieure de l'insula. T' ' , premier sillon temporal. T ', deuxième sillon
portion postérieure de l'insula. T' ', premier sillon temporal. T ' , deuxième sillon temporal. po, sillon pariéto-o
deuxième sillon frontal. Tu', sillon occipital transverse. T 1, T ' , premier et deuxième sillons temporaux. PLANCHE
aussi le citons-nous de préférence à tout autre. Observation II. ' Première attaque de rhumatisme articulaire, che
e attaque de rhumatisme articulaire, chez un homme de 54 ans.Mora ? ' méningite suppurée. Delphin Racris, 54 ans, gar
ible', permettront à nos lecteurs de s'en rendre un compte exact. ' Voir le No 1, p. 69. = Nous devons cependant fa
on à l'hospice, il n'a eu qu'une selle, composée de matières dures, ' de la grosseur d'une noisette. -La verge est bi
s au même niveau, n'ont guère plus de 5 à 6 millimètres d'épaisseur ' . 1. Le septum cardiaque est incomplet (Fig. 21
urtout des cas de sclérose en plaques. Mais la véritable encépha- ' Ces mêmes lésions existaient dans l'OBs. V; c'est
'un arc viscéral, mais bien aux dépens d'une vertèbre cépha- lique. ' C'est à cause de leur origine commune que ces o
n, que nous les avons formulées nous-même dans un travail antérieur ' . Nous pensons au contraire que l'interprétatio
oite, trntôt a gauche; alternatives d'affaissement et de réveil 460 ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. intellectuel, aff
nie ; par JOHN HADDON (Edinburgh Médical Journal, mai 1880, p. 796.) ' L'auteur cite trois observations de laryngite s
la malade quittait l'hôpital, n'ayant plus que de l'aphonie. C. T. ' 468 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LX. L'ÉLÉME
ossède en mon corps. Je recevrai les anges dans mon coeur, dans mon ' coeur d'or. J'ai sans difficultés tout renfermé
des accidents initiaux. Guérison par le traitement spécifi- que. ' M. XX. EPILEPSIE. Traitement par la PICROTOXINE
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lls an3 .(oc^.llLX rédacteurAgéi'mt;,BovRiiEYiu.i.QLiij -tfBvjj'I P ' \ ,IIIX .al) 9V0Oif no t9l £ nr°'UBrn-03olLso siua
xtest °'ëgaissi' (5 ? lu§lgrâüiléi`épaisseur estr,del1 rhillimètres) ' ;risa " coiirburërenfiiîfp'f ésèritetùn : âr#trj
Cérié+i3lthdûrvréntricülé 1`ttérall'Icèüterjsubstançe,rrs'adossttnt ' ,aûI'cbrps'c'âllèu^, -va1 formel, 'aveei'Uu'ijalej
- 'f`ce9`dt`l'liélni§plièiôtfquéopâ une mince : latme3^.céiébrale ' (ëE ? XIT'fi' .2,s'; c'=ï fig ? 2,ts.')lzAiitsi;i1
er, 'entre elles. lés'ci'rcorfvolutidnâ centrales.' D ! 'autre'part, ' le. corps calleûxèpénètfé'iaù'ssi dan5'le"ventr
c- ttementselcônfondre3 avec ila ;substance,grisej djiLÇSyâHiSâHâ ? ' Ne. Dans la partie supérieure de la coupe, nota
psule 516 6 '2ANATÔMIEPATHÔLOGIQUE.I inbtep'r) nep,à rC'îrz+,e le( ' ii4o'v'arû "elaud 6'), 1 Ncé-u et t un e,ar Lie I
lraéillriil'.IlVÎâis1'avâlît=mur, 0/'frappejpar> cesiénor- *1-1 ' 'di ? o 1) ? 9 i-nillim ! fldiamètp, més>'di
une quiproémiîle en''r`elief sur3la substance cérébrale' Ip, l'autr" ' qui' s'enfon éé'i.'dan s il l'hémisphère,, 1 et f
éé'i.'dan s il l'hémisphère,, 1 et f s'yi cache;, pour 8àinsildirér/ ' la\ilS0n^iS 2xusizulq s9TJrIOaIr9T no ,91 q r E,
us aucune trace de l'avant-mur. semait .Tt ! N3 90 et . ? f{3Mf"t) ' )T5ffn ? TTAff') . 1^r,r..w ? ...,i j . . , , r
ent^ que 1M : 112eynerGrrattach,et.àlson`cc Système, d'association^^ ' : les plus - longues, de, cesocellule me,surent
n 's,ir9h . (9n Dé.j à, du , reste; ; suRi deux cerveaux ? d'idiots, ' j'avais . observé ' ""i.... , ? JOuutn< : \
à, du , reste; ; suRi deux cerveaux ? d'idiots,' j'avais . observé ' ""i.... , ? JOuutn< : \ te ,s la même dispos
dans la région des circonvolutionsup" 188Ufi cenl'ales831 iUOi ,u ? ' ^^ U(S £ 'a -^o^Ip'I (c^^hJoi ? '^ ? P-ntrales ...
sup" 188Ufi cenl'ales831 iUOi ,u ? '^^ U(S £ 'a -^o^Ip'I (c^^hJoi ? ' ^ ? P-ntrales ..... zu2 zsfas7 ug.s : rr .IoIA`l,
delalprotubéranelanuaùe.lud0evntdes `" pédoncules cérébelleui^r;^ : ' ^^.^^*^ ? '.3 .aV 3 3 Longueur de la protubéranc
3 .aV 3 3 Longueur de la protubérance 'annulaire (ou'pont'dé^Varole) ' ? li , re"2 2 2tIJ;L jito'ijaii'iq tup `2fI01di
noïdien : mais Us ne se trouvent, dans la région iÉ ? )")f.)'jr ? ? ' 'f 1)1 fr f ? rr ? n "'i -11 du lobe central, s
cûle.lâtérâlcomn3uniqùe directement avçq dâc surf ace;dul cerveau ; ' tandis, qu§ , 1 dans m ojLre^cas , jcet, ori-^
e- : cela. se .comprend ? de;soi.b ,11'Iais, encore .fânt-il , qûe, ' ,1'.liypothèse ÿ`prôpJoségjislacéordea convenabl
ansnotre.,Jçgsr,ifayoirfJéalisé,Jçeûte condition. 60 > 6fli"iî'" ' t,11Junt""1 -iJiniaïUa iuoi liJjpdur, .omtsioH rù
rn rrn rr 2 r ? t.I ·,r · C du. cerveVin"dÊPsT'teiÏb'&i déalâu ' mdl'Tde lâ ? vie flUfrr'I 81 snR6 JIIOVü07,t 9a
ie flUfrr'I 81 snR6 JIIOVü07,t 9a anait -ern r1' IJIhfUrrli c 2lrr" ' at T foetale ? rA.ce.mpmenten eiïet, n.se.produ
sedévelopperdavantage.ELes circonvolutions centrales hett frontales, ' ^ ainsi arrêtées n dans tcl eur allongement, dré
erl3odanôw sens, 911btru'cture3dhs : circonvolutions* ! centrales ' ^explique 91'cet ? i3npuiSsânctés'dés cerittesfo
le noyau caudé du,côté,droit,,et où - uu'iavfi e.nfao ,00 lf;'l9lYr) ' 21198 q ! 9 - lie 119111 JjJ9q I ? jju i 1 on r
, de la gross6uil-d ? un -ira in ? 'dé 6 ™M^&éjnjn £ esj;uçJ^ ' ZMcA) ? ï ? tVMM< ? e;'lS58. 9sqa3"91911·- qbs
çJ^ ' ZMcA) ? ï ? tVMM< ? e;'lS58. 9sqa3"91911·- qbsilo39U smsïl ' = Gaz. medica italiana. Lomb. 1838. Ne 30..ees
> jjoAvuV ! ° * Virchow's Archiv. Bd 56.. ? t bu .«'ss\o'<k ^ ' ^HO ! ^ots^ < 5 Virchow's Archiv. Bd 58. nrq
Virchow's Archiv. Bd 58. nrq -Il M 9`'tasSSJls2q '<M'\ ! A3-<)\ ' · LOCA SAM ? ? S ÇREBRA-LES. 523 -ncMgs.chedg
<t : <e ? Hiitzst4bstanz.Vii,cho 'ws Arcltiv, Bd 50. pag 299. ' Ot, Y[ gegt dmoJ .r'smwlv3 *«*»«« 00 z Virchow'
2sq IfI989T fI9>rI Irrs9vn9a nb u33Bq'I anjsb gldnoi) nisi'193 ^ ' ^-T^Uff-,0 agl auoi "fiËb <u0 2as6 9ldlrotl .
%P'™er ^chacune des dimcul«sen - iffi ub Iioa h'up ifirujùfiqq ip, " ' piviser cliacune des,,difflculésen -101 01) .11
, tels ,que Meynert, Luvs, avaient, eu recours aux coupes 1 tf. 1 ' M'Mj fiq 911auq nRVMj.nn Prif;ct frontales et h
rtance, et a mesure que nous avaiicerons ? ouse.nzyerroR§ ? né- W% ' 37 VIAVIlC. f ASi ' ! L;IZoh J-) - 1 au ra dVIFI5
e que nous avaiicerons ? ouse.nzyerroR§ ? né- W%' 37 VIAVIlC. f ASi ' ! L;IZoh J-) - 1 au ra dVIFI51TI d I 17`JA ) A1 a
i puisque, le cerveau représente une masse irrea-uhere- j)rt;rr'm ' , ir-jMihqqB'i 4 t3HBJ9u 81.' 'UHjiiJiPbtU a3 me
question des localisations cérébrales 110- 9Jl ) UI`flyl .tCfi.'M^ ' ; le . *»fi ! ~t.ii" 4ti 7L111J ne tardera pas a
ti 7L111J ne tardera pas a recevoir une solution, définitive.-On; ' 9111`IJlülrd iio h.i't ? u ayO.i/ut» 110 1 Jl U a
: 1 ? se plaindraient des défaits, ie rappellerai dopinion ,, , , ' j . , .2,uiod0oxj0b01 d'un des maîtres les plus
11 est impossible de -tracer 1 histoire de la capsule - ûp ? b4h ' )(T)4m ? nG 19vmr,.noy0Oq eu 9]a9j.< ? intern
B0J su aJi-tiiMtJp 900 idyinuy ijq lu t coupes frontales. , . , , " ' z anoilaoup au 0)00 9 ,91))9mi9q 9mi0oq ,31QEb
ace celle de double centre , demi-circulaire r,4' i". ? " ! lir- 3J ' ·at '11h'ifl9r` 9 0OU emp yeecpar Vieussens 'et,
eecpar Vieussens 'et, après lui, par les auteurs /îlt,'P^;itiî\î207^ ' i ? 1 ? ? tE. dJ tUtOJ ( ! ^ u-G J classiques.
000 9{,j.js Dh 9tijj')mib 1 le àlrbuB .1 .81via 528 ANATOMIE. " ? ' - atl Tq H,4R'41'Vl Ai sirl versent aujourd'hui
nt aujourd'hui tant d'efforts expérimentaux eU ° J . V 91 "Of0>' ' ttU lBr«0 cliniques, est compris dans la masse,
partie, que la continuation, ainsi que 'espère le ~, r , r, < ? ' ,irt9Mji Hiuat^u.ïl a £ t»j0ai't démontrer. En"d
l a £ t»j0ai't démontrer. En"d'autres.e9 è,IT capsule interne est ' )" "' fur91 ! y-'t'ij'iB <>** K,l\ la part
t»j0ai't démontrer. En"d'autres.e9 è,IT capsule interne est ')" " ' fur91 ! y-'t'ij'iB <>** K,l\ la partie bl
noyaux : ]4e'nov.'al)u'cbjajuid'é'É,L' , ..... -"» i- Fr ao-nBjyn 0 ' -Iloti 11,2 le noyau lenticulaire, la couche, o
HI uL qu'après 1 avoir soumise à cette .espèce d analyse, , n . " ' à V\»U.'^ ^«VSOV U»-. MA I qu'on pourra se fair
I qu'on pourra se faire une juste idée de sa direction, , r i -, ' ,' ? ' . *<AA,)-»> ,'«li<5\ -U .-J *1»»»
qu'on pourra se faire une juste idée de sa direction, , r i -, ' , ' ? ' . *<AA,)-»> ,'«li<5\ -U .-J *1»»»6«J
'on pourra se faire une juste idée de sa direction, , r i -, ' ,' ? ' . *<AA,)-»> ,'«li<5\ -U .-J *1»»»6«J ?
ne juste idée de sa direction, , r i -, ' ,' ? ' . *<AA,)-»> , ' «li<5\ -U .-J *1»»»6«J ? de son ensemble, de
de la ceàpsule intéifél Wàî2 les coupes' frontales" 9î,n' -o"in , ' i Dans ce sens,lësszonesJmésôlôbairës d'un' cen
-o"in , ' i Dans ce sens,lësszonesJmésôlôbairës d'un' centimètre" ' d'épaisseur sont e suffisantes11' pour atteindr
imètre"' d'épaisseur sont e suffisantes11' pour atteindre8 le ? but* ' désiré. o '2tj 91U8qfiO rl sb a. If jjGc4,.Yc)
but*' désiré. o '2tj 91U8qfiO rl sb a. If jjGc4,.Yc) 39. i ,. ^, ' yvr-/>q .,Irra ' 1 'it ·7r`1 ay - `t ? b A u
2tj 91U8qfiO rl sb a. If jjGc4,.Yc) 39. i ,. ^, ' yvr-/>q .,Irra ' 1 'it ·7r`1 ay - `t ? b A un centimètre en arri
tion olfactive, et, dépasse en haut notablement la tête ,.903 m 9H ' )9Pi ly.RT : ? ,110;r,fi 1 ^,9"/IB DU ,J8'i, : i I
le manière uti ci f tXD.Llt'1 IC ü l,àit)4 JJL11.W14G J ? G 10Jùûll; ' )%/ 0 les expansions de la capsule interne se co
AI T Sr ce point si important. Pour le moment, je me contente 8'j ' t -rh "'"o nh s1»1» ? 'Y* If i ,^09^ '>. de
ce point si important. Pour le moment, je me contente 8'j ' t -rh " ' "o nh s1»1» ? 'Y* If i ,^09^ '>. de faire rem
ou .substance corticale. Le fait anatomique justifie pleme- & ' -, ? i^oo ~'o 9bil'd Rt ilI'uho', 9)tr ? n90 me
>,i, caractérise le reste du manteau.. On. lui a attribue a fc^ ' ^^j'" yrr^h 8pi> ci r^rrr A .aHnMt ? tort (-d
tort (-des propriétés , qui n appartiennent en réalité - qq ! 'tj ? ' ) ? )tni7f ? ont Bt 9)09aaiq 90p ou aux libres b
Bt 9)09aaiq 90p ou aux libres blanches, capsulaires. ,. ,, * , - " ' ;Iffovf ;ji)- .1111) ,'llO;) S\V oa'.[9\',m I &am
capsulaires. ,. ,, * , - "' ;Iffovf ;ji)- .1111) ,'llO;) S\V oa'.[9\ ' ,m I &11-J .t-if, 9191H Dans cette région, l
vm&uït veaux.. La capsule' interne a donc. la forme dune cla- ? ' ? ,è)t'7&itxf,'i drrhgf, ng o^ ? gîc,'tt9 jnf
0U6l)i. HA mension. Nous verrons bientôt dans une coupe sagittale ' 'X,4ï *11;(, JnouaO'Tjq 0b jSni"if}9 comment le
ui la constituent se comportent if ? ) tif) 41.Tlitl'I', sa au av.'^ ' /jy .<Ai;i0an en avant de cette section. Pour
0 connaître, la section de la .portion de la capsule, con- - , le ' ,Illlt,tlél Q<')f'f ? no3 ? ) si P-1-iw fondu
r . , , e 1 3'.) ? il iJ9liqi i.. aJ 'j.jj 9) rlue ,,Ti t44 T/ ve ' Ibt LA CAPSULE INTERNE ET DE LA COURONNE RAYONN
COURONNE RAYONNANTE. 531 ;jflf)fflo.) 8fff qi 91 - 'l Ify, t, 4 ? f ' ^- - " A deux centimètres en arrière du genou du
ière du genou du corps fil , --jL- .u"i UiuJfMu 9u0 .1p lat'l^Uia ? ' . , calleux la section empiète sur le noyau len
, blanche ou. centre ovale 8V'911<b 'h; . ! ;.')'< "i\r; rj ; ' « ? ;>ijsiia,<alf. -»jj-» z tronto-orbita
interne et, du fasciculus uncinatus. 3-Uit-vil ili'li') tu'. 0 ? J ' "roi ,* : >< 1 Comme le noyau lenticulair
aire, est relativement^ con- 3Br 'iki; 9a .;;iAïi0 a" "> ïaufli-» ' -ie .1". siderable, il en resuite que la capsul
1) .. ,est,repoussee en dehors, et la capsule interne G 10'0'J.1 ► ' ÎU'.II'I, s li,) 1 t;IL IL 4, ? 4 1 , z . en .
1 , z . en . dedans. Aussi la direction des deux segments )n);4') ' ] ? 014'll"f,J''>U'Ifi i ! ? 0>. ? i"1 " , '
au lenti- - «1 £ 1- pql l'TRV[lI8 .V'.l'^W fc0 ? ll' jeu 8l'' ) i ? ' ' 1 11 a culairejiest pas interesse. Le segment
lenti- - «1 £ 1- pql l'TRV[lI8 .V'.l'^W fc0 ? ll' jeu 8l'' ) i ? ' ' 1 11 a culairejiest pas interesse. Le segment s
dedans 1 extrémité supe- C FI, q fir 1 (TOI RI 1, ? «'.1( ! P ? ) ? ' <; . -4 : , 1 rieure du noyau caudé, qui s'o
en tr ? rfro 14P i<0uu,fi;i >-i 1 't)t' - : >' "-il j 't- , ' dedans, concave en dehors, se termine en pointe
1 anse caudo-lenticulaire -n..oi'o P"4r Ul - «aic "< 1 elti'tl. ' " , par laquelle la capsule externe communique
apsule externe communique avec le c.iin^. i» jTrrr} '1911r, '7'tl * ' "lh,'U", 1 1. septum lucidum. Comme dans la zone
ne précédente, la 9H ..i Hit rfi'TArr; - . *'P ? , '.t r v, ,'<0 ' \n : .' queue, ou extrémité inférieure, de la c
ieure, de la capsule interne -i ? r\o c'r,P1 . .Tnnir T ? >( ^ ] ' ? t"' t converge vers la circonvolution olfacti
de la capsule interne -i ? r\o c'r,P1 . .Tnnir T ? >( ^ ] ' ? t" ' t converge vers la circonvolution olfactive ext
e fl , Ir. CI'q' ;)14.11 IT A" 401l. - 1- - zip segment inférieur ' est manifestement formé par une , . . iMH.îfn :
' est manifestement formé par une , . . iMH.îfn : "} r-ii'ij é' tu ' " ' ;' '1t , , série de stries empilées les unes
est manifestement formé par une , . . iMH.îfn : "} r-ii'ij é' tu '" ' ;' '1t , , série de stries empilées les unes su
manifestement formé par une , . . iMH.îfn : "} r-ii'ij é' tu '" ' ; ' '1t , , série de stries empilées les unes sur l
- .-tit ? '.aJiij aï : Sfl\,fru 9Jr.r<A-07.t'ço'l1 ? Kr9« ? "1 « ' moins longues suivant les suiets..Les interstic
rnicato- ? <t.. au l'Ida ^"ciaB Jl'^i ? .trf"93J, ~.rn.n>.%< ' «^-rrfT -, prr',^ sylvienne effleure 1 extrémit
enne effleure 1 extrémité, supérieure de'la capsule - . J >*< ' £ as uuu 000010090 <»09qay 930 no 19ùiicla0Bil
! ;»i.f",^ coupe précédente : comme le dernier, il embrasse f,,7 ' -y ? 1 ? tà9'li , ""H'' ep 0RW.r rj, 1.< ? riai
par - le .commencement de la' couche optique (corpus ï» «JQto 1JJ ! ' S>" h-l'^B ? > q.[j'.)t0' r;rlOjrr%rn^flK V
des rapports avec lestra- iV&t 1, 1)) ? - yj> IWlf'l ftl Tq ' )nf0 ri(, n. ! >F(" -r i -t tum zonale de. ce
f fl Ir et avec les lames médullaires du noyau lenticulaire : Ce ' llill . Jim. 9TT«IOtACTR1 rro 4 £ 3f-,Fs, t îtt=&
le genou. ov>b00t.iJ J-3M0 ? JUx-,t. ? JU ! ()y .fra ûrTta S") ' » ,ie'R. = rA quatre centimètres en arrière du g
? < r.\nS M"jjbf- 0KV>-0 J : f[t 9'' ,0 'Onasi ai- < *< - ' ,dehors et en.haut, et'que sur d autres coupes,
ut, et'que sur d autres coupes, nous 0J3 jt'i ? ? lirj0 ? j9-iq ttf( ' RI R IrrctcriGTT-Hc-r.y. ,verrôns ne7tement pro
&la- ]f ^ .(Faisceau de Meynert) ? ? i 'y t j r91<1 > ! ' 8R0 (Ttt j : -n ! «- , , t... 2° Ou elle est cô
... 2° Ou elle est côtoyée en dedans par une tramée étroite 90^)90^- ' ^» ih '1 a.iBî0J0.' 90ÏH.],rRl ? 9 ? Ba<-. ,
s étale vers le bas - blJ2 yl JW, 9.·,Utmj· ? Ji.l `JIbT"IIT <,( ' o)"' t , r ? r1 entre, le faisceau de Meynert e
ale vers le bas - blJ2 yl JW, 9.·,Utmj· ? Ji.l `JIbT"IIT <,(' o)" ' t , r ? r1 entre, le faisceau de Meynert et le
cérébral, : cette traînée ou bandelette formée par des ^'1'3'4 J' ' ^0' »i ·.it ·1 yr Cl : lll ! Ell lr af'jt(< ? t
r des ^'1'3'4 J''^0' »i ·.it ·1 yr Cl : lll ! Ell lr af'jt(< ? t ' ..libres, fines procède également du noyau roug
comme un ruban' de fibres; courbes1, convexes 9en9dèhors,lrr venant" ' les4 internes "'du' corps caHeux ? es moyennes^
ulë"iàtériielcét I§e'dirigeant versilés circonvolutions1"media'nesf ' sü'pé,,rieuresl'il c'est-à-dire vers* lé`'lôbûl
lusjarge.et plus courte,au.niveau.de son genou,.cela 1 -s- 0 - -t » ' -. ? vJ , jx.j^h.j jujuiiiaiijj.'lJ *'jU vient
s imbri- qués en. partie, seulement les uns, sur les. autres... ? ' - ? ? , tj .e.BYj smVu les rapports de lai caps
81éî-uptions pustuleuses, » ayant de,iLanalôSié âvectl , ècthyrlîa. ' ' 11 ? 1 1111a 291LIfi',tlJ1-13 1,oly,oici, e4.
éî-uptions pustuleuses, » ayant de,iLanalôSié âvectl , ècthyrlîa. ' ' 11 ? 1 1111a 291LIfi',tlJ1-13 1,oly,oici, e4.qu
"d'OÜI-étirs' fulgurantes itècu - J- -- - i Il- 4, il;" tlll e.6q ' spéciales a.l'ataxie ' locomotrice]1 Chez une fe(
es itècu - J- -- - i Il- 4, il;" tlll e.6q ' spéciales a.l'ataxie ' locomotrice]1 Chez une fe(lime ac- ^ eit ? j' ,
s a.l'ataxie ' locomotrice]1 Chez une fe(lime ac- ^ eit ? j' , 1. t ' Y(tfTllCl' 98 tueliemeutien;traitement;àvlatSal
· meretres rapide, .car .les. premiers ! , accèside, douleurs - , ' H) JTjilWB-^ ! » ? 11' ? '* ... - ; z fulgurant
.les. premiers ! , accèside, douleurs - ,' H) JTjilWB-^ ! » ? 11' ? ' * ... - ; z fulgurantes datent du mois' de mars
re commun là, toutes ces éruptions,- et - 't ! j G; iutu iit, -- - - ' - ' e : e . ceoaa«èjeaestlbienpropre à'faire vo
ommun là, toutes ces éruptions,- et - 't ! j G; iutu iit, -- - -' - ' e : e . ceoaa«èjeaestlbienpropre à'faire voir'q
pas, en pareil cas,.d éruptions banales, -c'est qu'elles ? s ? P . ' I se montrent de.concet ? avec ? certaines exac
c ? certaines exacerbations, a9tL 1 L)II ? , , , j , , - -- , " t , ' exceptionnellement , intenses et 1 tenaces, des
ptionnellement , intenses et 1 tenaces, des-douleurs tit fl-10), ju" ' i, - ' z spéciales, I en,Lquelquesoxteapathonom
llement , intenses et 1 tenaces, des-douleurs tit fl-10), ju"' i, - ' z spéciales, I en,Lquelquesoxteapathonomoniques
^ 31fA;h 900010100 * « M[rf<51L,r,n.'>.| ? t ? Vi'ff .♦rpl * ' , «i-trr ? M.'lè professeur Vu] pian relate des
,'tn crises .de douleurs . fulgurantes des membres, et de , r 3'0" ' »JJ'i)0 CI) atyi'OIOlV P,4 1'l - h <;trjjg ri -
que la malade redou- f lut) 'ÉliiDil(1 Ill) » .a''U rU^.<; : .(i ' "ov) oo\Ti.'M.i0\rTi tait cette sorte de phénomè
? 90O91 *)U ItiLtio 3qtno.t ils des crises gastriques elles-mêmes ? ' . ,, r 09 111 ! iitl IIL) satto flous UV'rrioK'
e. la,1 face, 9f y XUO0'O.19J .9X91191 at i o upi >vmq,pp tud si ' : rtRb e b antérieure des cuisses, se couvraien
01 .ciOJlOBJ âbl) ; 9Vl) moins étendus . » , ± ,, , . moins ''i*V, ' \tJ'iÛ,rA )I191,6)9 , =000 . .9 ? uit9)'n (lu Le
ulgurantes une connexion éjl, ;je,t)(1 fi, ou .i;uyq 8r>vju .)U3 ' )'f("f),0<)( -tf()V évidente : ils constituen
constituent du reste,, ainsi que le font re-, cimj 4WVY.V.9".» Si) ' «VU ! M WVAft tM\A°.\<, ? ft31n ! ,=f\ld marq
Léçoiis sw'léè^nîhladié'^ M ? s)/s<c ! e' ? tM'ue ! M', as édition; ' liJ»iP; 7,6tBa81-o6 a li ; , IJ3,Jv jjb )ibv^ I
je veux parler de nappa- .=90 iu ? ) 3Tiv o'iji./iKOu' ! onHfi')st) ' ); ! T)-)ii)t s ? P-firs« rition de tac71es ecch
tion de tac71es ecchymotzïiës sur là peau des.mem- .oi' il, 3M'jo : ' )ar' -i ? ) -) 8 ? rr;ir ? Ain)1 ? il'c>0;ob 9K
ion.. Un ataxique de, D0091 Ol'-BiJ'/U 'il 00"^ ,^O1'XV'IO( ? 080/, ' , ? 8Unr'RO ? .nR(T,,0b mon service (voir p. 540
mplètement aboli chez lui. Un matin, en (lir 'gitil-1 gi 91 1 b ,.r, ' (9Y, set ,300a 119 JG i %) le découvrant, je fus
entiques a celles qui résulte- -19V -S i 91tq,) et) lljrte3t \hi Lf( ' ) ;»i 10/i qngft-.ni raient d un fort coup ayant
*SO.- ? 09v 8000 90p'gl09)06 sanaumem grandes crises fulgurantes. , ' , ° 10,1110010001 Olffifj j 1 «Ah 81000 f[j Alf
211J(j.tA W vlir; , Il@,ie6O r,ri9 jjl ? <h .. tj ? TTDn n ylrn ' 'tf. f ? t ? jt ? r 1· Depuis,lors, ) ai'retrou
grcéurs ? - Incoordination 9p. motrice 4fiffl ! }k4^r^.fiJls ? ri : ' \.fiP}§s- 4MOM,,aoMMM/M/û'MraM- ,1, te~s,i auxl
- VlCe de M,f STRAUS. Cr, UV, tf,i 9' r ? t.y , 3·rir. T,Tr, r· J : ' {." Il habite Paris depuis 22 ans. En 1862, il e
ion dorsale, des, douleurs,, passageres comme celles, du t D -* f-' ' J ? '- .f.)<t ? 0 ? u tw^tj ? ,r,...lA>HlJ
ves, qu'il compare à uile sensàtion de tenaillément. >-«>.' . ' . .'ii.|iojinii;ni u : # i- 1111&;)I.t 1 11 W
t. de nature rhuma- tismale. , l)J1 ? - ? , Jl) ? J sx.i , vji,t " ' »>, ? l'THD.'t-tnfT, ftn nd m ,· j · o· 1`'n !
trice est extrême- ment accus malàde gàrde le-lit`coristâmment, -ou ' passe quelques heures sur une chaise jamais' il
tin); il lance les jambes, les projette en dehors, frappe du talon ; ' parfois même 1 incoordination' est telle qu'il af
sent'-le sol, et .n'éprouve pas la sensation de "de 'velours. 91" ' 'Ult> u au" SL" smqtb Bfi 1 ? Lesmuscles'desex
1 Jfâye é ? j f,o,ü teëildbre'e11 amble malgré lui ? 1 J' "° t; p = ' "1 î8™" ! x 4b aoll **' nargif- B b b Il''épr6'u
ëildbre'e11 amble malgré lui ? 1 J' "° t; p ='"1 î8™" ! x 4b aoll ** ' nargif- B b b Il''épr6'uve d à ns l'é's-l' é"x
ôt passagères, ne se produisant que par instants ^'d'autres' fois ' 542 PATHOLOGIE NERVEUSE. - r( .. ,*j«'r1,1 » ;.
éprouve a la basé' du thorax' dés douleurs con'strictives, comme , ' ' n'114.^, "l11'1 ? 1 'lll 111) 1111Y fH `1'll 1
prouve a la basé' du thorax' dés douleurs con'strictives, comme , ' ' n'114.^, "l11'1 ? 1 'lll 111) 1111Y fH `1'll 1 t
ou bien eu s'appliquant une compresse -d'eau 1 n. I) 11W 41 - 1 ., ' ,<.i - : <' r, "' -, ',ruir.mf.. -m nl.ji.j
t une compresse -d'eau 1 n. I) 11W 41 - 1 ., ',<.i - : <' r, " ' -, ',ruir.mf.. -m nl.ji.j iroide sur la région,
compresse -d'eau 1 n. I) 11W 41 - 1 ., ',<.i - : <' r, "' -, ' ,ruir.mf.. -m nl.ji.j iroide sur la région, ' Il
;.i - : <' r, "' -, ',ruir.mf.. -m nl.ji.j iroide sur la région, ' Il . 1 - le ? , .thoraciques - ;,r, nl· ,r." ,1
de crises gastralgiques proprement dlteSlt 11 " l' r ? ) t 21J.111W ' 3l.tr il· , ? ./b i« fr r->«aB (iij -> 9d
; iii. i -i.iij,. ;'i,,j,1jiai... ? wi'ir^..."-i. te ~.j..r......^1"»" ' de monnaie dans 1 obscurité. ? ? feau'MiJ eau
x extrémitéssupérieures,, ainsi que sur le ? U)H ? -<(.fU..A' t.if ' 1 ? et, face, la sensibilité est à peu, près in
atigue après un court ,exercice. Au bout de cinq minutes de lecture, ' un. nuage -s'étend devant-les yeux,, et' empêch
habituelle. Le, malade , reste 8 ou 9 jours sans aller a la selle ; ' encore faut-il recourir à un lavement ou un pur
e, bien.au- 8 ? t).t .'v.tJt.un ? Uu.e'ji.-tci'j J .... --1..J -. " ' ' ( ,v ,1ur lui. ,in,^"i -5 ik ,k jlll jr, h su
bien.au- 8 ? t).t .'v.tJt.un ? Uu.e'ji.-tci'j J .... --1..J -. " ' ' ( ,v ,1ur lui. ,in,^"i -5 ik ,k jlll jr, h sutt
on pour, soulager ses douleurs, se, remue ^constamment, frgt,, se ' réveille à" peu près chaque ' demi-heure sous l'i
rs, se, remue ^constamment, frgt,, se ' réveille à" peu près chaque ' demi-heure sous l'influence^des douleur. " lt
l'influence^des douleur. " lt F 7 r fvy 0''trr. > ? > -,41 ' .uallil -III o lr 2y1 ''7ï ? , ' Le 8 mars, pou
F 7 r fvy 0''trr. > ? > -,41 ' .uallil -III o lr 2y1 ''7ï ? , ' Le 8 mars, pour la'première,fois ? 5 on constate
up. On pensa ou elles étaient le résul- t[ ? )'t ? ï<t1H.)f ? tU, ' H ? t. ! n ? ti ? l)""t' tat de percussions tro
oque ou les"douleurs1s611t''dêvêhûês violentes' eYde'lon^iie -durée, ' 1 ëbnhié--el'Ids- I'd-s*oÎi't êdéb auj5u5^,hm7n,r
>' r - '. qs a 9 3v ? jsq n s6 t8, lq Pilf s -L ? "< ? f 'f'H ' ) ? t ? r...f;ff(t ! 'fl ? 18' mars. Toute trac
l ? 18' mars. Toute trace des dernières ecchymoses a dis- 110 ijj( ' )u''b ! i 11 'ni -r "* -j ' i '.i.' ? t't,... ? 1
des dernières ecchymoses a dis- 110 ijj(')u''b ! i 11 'ni -r "* -j ' i '.i.' ? t't,... ? 1 '1 ! r .vr r1 . r.. «r ' ,
'b ! i 11 'ni -r "* -j ' i '.i.' ? t't,... ? 1 '1 ! r .vr r1 . r.. «r ' , ? ., , t' i,1-, T» tu ? .....1 ressent ,.11,
Le malade Ir ne ressent actuellement que, des douleurs tj cons- 91s ' (.J" ,'<' 't. tj[ ' i 1 J ... ? '.r al . l'L '
actuellement que, des douleurs tj cons- 91s ' (.J" ,'<' 't. tj[ ' i 1 J ... ? '.r al . l'L ' \\ Jui " GR; n`101T;
eurs tj cons- 91s ' (.J" ,'<' 't. tj[ ' i 1 J ... ? '.r al . l'L ' \\ Jui " GR; n`101T;TrIfT »as=oi.'THioa - 54t
eux - tMUUb t> nr : n,Cr J,1 31 1))'i)))i / r.l ;J, ;w tl ! H(t'\ ' a9F.9 e là) .idcnisr i>i.3li tri'iiii ? u oM
s. Ici donc, comme aux extrémités infé- ECCHYMOSES TABÉTIQUES. 55 ' -ig - crq,4 q ln("l 'i e 'î r rieures, les ecch
reprirent le soir au point d'empêcher le sommeil. Ces douleurs ? '- ? ' - " f V11' ils Il 1(l ej ait ? i « >4jiii it
"avant" midi, et ce'moment'il n'avait pas trouve trace'de'tache. ' Comme'' d'habitude^ \em apparition coïncide^ avec
presque certitude d r trouver ces taches ; il a dormi cette nuit, - ' et ce matin 29, nous constatons de véritables t
taches ecchymoti- ues, dont deux d la' grandeur d'une pièce °der 2 ' francs,' brun- rouges au 'centre, vét : datres
cchymoti- ues, dont deux d la' grandeur d'une pièce °der 2 ' francs, ' brun- rouges au 'centre, vét : datres àli périp
nt ete moins fortes, pas d ecchymoses; 'lés anciennes ont disparu ? ' t'Il'faut noter que, malgré l'exis- 9t`eriëél'd
thoraciques, 'et marquées par des'vomisse- -tfiii ? 4 ? i .» ? , i , ' ." ? *-... ? j")'" x ^,) .j*;r'j i i .' orl,irrR^
arquées par des'vomisse- -tfiii ? 4 ? i .» ? , i ,' ." ? *-... ? j") ' " x ^,) .j*;r'j i i .' orl,irrR^> ments, le m
orl,irrR^> ments, le malade n a amais vomi de sang' t -*JJ>1 ' 1 mm*,^ 'lllrby G ? NJJf,IJOnt·I1 ? JP `iftJJil
arlc)iiousl signale' l'apparition dedaches. jaunes ? disséminées1 sur ' lavpeau' du1 bras,b ressemblant à-i des 1 ecchy-
nt'surleLmembren6ndouIoureux,Hp 41dlT wl li rJ+111 ? IJIr'(ia`l.ilH ' ! (r(6 9tt'If1T11C fil R91fn.71li ,j1 ril 271, BJ
f nL ? mrrJUnm e uii ? iu tl ? P ? 17n1 nquënous oUsOEVQns «ôtel^ ' ^ntiijàmaisipu SVrf-ft^lSOM^i^ cc§ ? -'Mfi.te ?
eU'ans3 survinrent .iioil ,à, 1 -1 11 ... - -. îr,» ? ^ ? i"r'irftP ' |iii''11111" .-iliOn .ii01 1 .Jl,i.n' ! suivi8Cd'a
bé' tg9llé Jusix rnaiiia. i Ces *«f âmûes^taîent8 l'e'^plus^souVenf ' que vie iBsifmam3.tCes''%râmp6s"n étaient le pl
sifmam3.tCes''%râmp6s"n étaient le plus souvent t,, q2 io .1 r n.i* ' -J, ji~r.-l i-woop - 1() ttfic . ecj IOP <jti*
rap0roestans,e se tenir, oti'éqîüliliuélsuc ûnéFSéii'1 .iYi'be. jI " ' ? u.-i si p.ixeM ? ... j-no- i .... m, trî^i^'UlU
ux douleurs que le malade éprouve dans les jambes ? EIlessuiventces ' douleurs ? omdu' moins île' malade n'é11 `â' ja
oment, ou nous exami- JftB ! M'<(r.t)'')nJTj)uJUtJ6j dl(I1'HJlli ' ) 11 ? al yf) ? nous le malade., .Quelquestiours
maladeieut les janibosigelees "flkns lam'éiçé'.n Après I quclqifes[ ' ]icuresud ! eng'ourdissement|iles 0,méttbrès'Ire
irrégulièrespourlarriver.au point.desi- -"gné'âu malade.' De -plus; ' il y a de l'atfophie.musculaire et perte des fo
mplQyé\de magasin. Douleurs fulgurantes -t - r ? f'Tj ? On ? V9f ! ) ' . °. des extrémités e r À 6wrlés depuro qûmzé t
sllillitg étalt évidéinalnen' erroûsseb,9ra"u'ie , ....mon <m.vi ' "inii'.Hn/ J f a-ollc ^yp" Aii.-i,"nM ` ^malade
ppréciait imparfaitement le terrain sur lequel' îl'mar- chaït *J 9e ' -0"1"0™0 ^ 'Jl aoiviaa il ? nf;hMvo tca j 'itar
j'oûrle3lOttdu rt,çhis,, bâins sul'ûreuxo r r« 1 de>ix pr rl fdi ' f Î131; f sdfhhilïe J`/6' ! I fil9fITfItB,tOfI
e ioreli.9s eiiô e lie atMaus.noa.Yonreph ? 551*. PATHOLOGIE NÉIt\ ' );ÛÊ'Ê.I chez) lefmâlâde fdé° dcêliÿüidesuslibnt
11J1'tfll cJJ08 1fï ! , 9 ëmipéé'H'i t cofflle`e rièiltfe s mefl. ' aY°f 7<' 9 tor4f 9v ? 9`IB : 21 ((IJf ! ')IJfi
lle`e rièiltfe s mefl. ' aY°f 7<' 9 tor4f 9v ? 9`IB : 21 ((IJf ! ' )IJfi9d saunavet) ,tll9lf,h : ''ldr p`9lusinu ôï
ôï ? â'rr G ôlusue;oi, matafQyS ? tSvcRSta ? d au a17 f, R Yl l ? ' )h( ? CII ,.l aJlJJI`3Jl'l'ylIlW ] ? ? sm a.Tü ? .
.d un pois , pu .cLune moiSEtte-. présentant tw Trro0 ;)K*Tijr5'()(; ' ) m1 ! 3UÎj çhEd des limites effacées, ne dispar
3 eiffoi <)rjlli3fp sa s Il, 1 19J (lJy1 .e Ji 2'IIJ911J0 zs . ' ? e9 ? 4P06 juscu au 15 ce br L ? ? Pdyo il o
pparaisséatu(chez P, un cértdiùb nombrè ? d3fita ? ïûés;9 ^stîx'lâs ' êândtésrint'e`'librést`a 'rlâ'1 f( 1 r91f;It'sr
ûrs aiiuë àh ? dâiYs' 13l. ffr -if;'jtai jâinbér ? dëlla9clûisç 3 ? ' "nu'b 6'aàt ? 31 1 9911(ILQIII L`1 fI01229'Tq b
oIeuietL'paR.Jn&omnië <st : p ! €in''dànoisses.ao[. 39 ! iff ' r t t t m r r . "" 1 ", -M " ! , si RCf il ,Élé
el avec ;nee,;t av 9 Jpüiÿéen deÿ ? 7 jeluii ? ? j ? ? 'V/ r ) ' r·r ? ·r 2cr ntrvr.·, . 556 PATHOLOGIE NERVEUSE
ois , dès le 9 rdébu t°9 ëîiès0 présentent" une^cou leur nh an I"r); ' )fri'rfT'nqrB.Qtit) 'rm01< ! tTt,rft nh ? 1ftl
ion delà'matière colorante du sang extravase. De +,in wrrctF v) nt') ' ! frr ? ittrrftrff.PtU ? ? b la brun- brun-ro
irrégulièrement circulaire; l'it ? 's ? f"-)iRr' ? I ? T ? a ? ? ( ' Ln<t ? (Jt ? 9ni les'dimensions en'sont vari
leur donnenr'naissance.' Les fulgurations passagères, ,'fn., ni,iri ' "rTl>t(iCf"vrt'i.'11 P1f)')r ? n (V'.t4r( ? (t
fulgurations passagères, ,'fn., ni,iri '"rTl>t(iCf"vrt'i.'11 P1f) ' )r ? n (V'.t4r( ? (t ? J,... ., les'douleurs enl
bre qui esttle.sièse-principaL.des, dour riJllr tr1'( ^.'ULl'jl t1'» ' b|i»0 fwblt7ti11W auï ? J'-A leurs tabétiques,
, J''J malade, qu'on enfonce une tige 0 de fer ,un ppm- ,0B6q ).l ' : i3 J0O01ayinq J1U1 ltf3 i dj-'0 .oM^'v1' &^
mmunément, non pas,sur la,partie de u zif q cmiioiu( inud (.1`rt UD ' ; cu.u'tT peau correspondant au siège maximum.d
tON. III. ie n oserais 100>.9.-U9,U">'U''T' éOdllO Cfi) jus 1 ' ! J."u l" z cependant rétablir û ôiL niéyèelgén
ntérieures. Il existe cependant des expériences de M. Brown-Séquard ' qui tendraient à faire admettre que les racines
réflexe, vaso-dilatatrice et non d'effets vaso-moteurs directs '. ' Cité par Beaimis. Éléments de physiol. humaine, I
instituées sous la direction de M. Vulpian, et M. Vulpian lui-même ' , ont reproduit les expériences de Stricker sans
icker sans observer les résultats obtenus par ce physiolo- giste. ' ' La question cependant n'est pas encore défini
ker sans observer les résultats obtenus par ce physiolo- giste. ' ' La question cependant n'est pas encore définiti
rch. de physiol., mai 1878.) ECCHYMOSES TABËTIQUES. 563 récente ' , maintient, malgré les résultats contradic- toi
s cesse de se manifester. Proximité d'une attaque. Il arrive par- ' Voir le N- 2, p. 257, et le ? 3, p. 413. MÉTALL
avant de se prononcer sur la valeur négative d'une applica- tion. ' 3° Influence réciproque des aAesMeHes.Ainsi que
ement tout s'arrête. Si cette seconde application est faite en même ' temps que la première, l'or ne manifeste même pas
perturbation que celui-ci apporte dans la marche des phéno- mènes. ' Voilà un premier fait. M. Dumontpallier, témoin
le action propre qui vient s'ajouter à celle du métal actif. Le 1) ' Pietro Grocco(dePavie) insiste très justement sur
bles. Cette méthode de fixation n'a pas passé dans la pratique '. ' Nous signalerons à ce propos à notre excellent co
etc. » (R. Boussi. thèse de Paris, 1880.) 568 REVUE CRITIQUE. - " ' Influence d'une expérience sur les expériences
l'attribuer qu'à une action persistante- de l'application du matin. ' ' Le fait peut même se présenter sous des appar
attribuer qu'à une action persistante- de l'application du matin. ' ' Le fait peut même se présenter sous des apparen
de la liste des oesthésiogènes, parce que leur action est 570 4 '' ' REVUE CRITIQUE. 0 ' ' ' plus énergique et qu'el
thésiogènes, parce que leur action est 570 4 '' ' REVUE CRITIQUE. 0 ' ' ' plus énergique et qu'elle se manifeste dans
ésiogènes, parce que leur action est 570 4 '' ' REVUE CRITIQUE. 0 ' ' ' plus énergique et qu'elle se manifeste dans l
iogènes, parce que leur action est 570 4 '' ' REVUE CRITIQUE. 0 ' ' ' plus énergique et qu'elle se manifeste dans la
nces notables comparativement à ceux observés chez les hystériques. ' ' *" Il D'abord l'absence de transfert, ensuite
es notables comparativement à ceux observés chez les hystériques. ' ' *" Il D'abord l'absence de transfert, ensuite l
chez l'une de ces malades, l'hémichorée persiste à un faible degré. ' REVUE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 573 quelques m
ur Schikp (de Genève). (Archiv f. Psych. u. Nervenlc., 1880.) , 0 ' i Dans tous les cas où il est difficile de suiv
i qu'à la perte de l'excitabilité faradique (10 à 16 jours après le` ' début des accidents); simultanément', altératio
lade aux influences nocives. Cependant, comme le diagnostic de la ' délimitation exacte de la lésion est difficile, c
e p2,ocessus pa2,enchy71zateux des cordons postérieurs : t .. P. K. ' . r XVI. Étude minutieuse DES lésions DES COR
ines postérieures dans la moelle et leur territoire d'irradiation ; ' D. Les ramifications des cloisons qui, dans la
s du parenchyme conjointement avec le courant sanguin artériel ». , ' ... , ' C'est une sclérose véritable, analogue
enchyme conjointement avec le courant sanguin artériel ». , ' ... , ' C'est une sclérose véritable, analogue en tous
crites , mais se'refuse aux conclusions qu'en tire l'auteur. , M. ' ! i r <i ' ' XVII. NOTE SUR UN cas d'ataxie
se'refuse aux conclusions qu'en tire l'auteur. , M. ' ! i r <i ' ' XVII. NOTE SUR UN cas d'ataxie locomotrice av
se'refuse aux conclusions qu'en tire l'auteur. , M. ' ! i r <i ' ' XVII. NOTE SUR UN cas d'ataxie locomotrice avec
MENER. (Congrès de Bade., 1880. et Archiv. f. Pschzâtraé.) ir·r 1- ' F.. ' <*... ? ? z XX. DES relations anatomiq
. (Congrès de Bade., 1880. et Archiv. f. Pschzâtraé.) ir·r 1- ' F.. ' <*... ? ? z XX. DES relations anatomiques en
uves ana- tomiques ; deux d'entre eux sont personnels au professeur; ' 'la dernière observation émane du travail de Fl
te pathogénie serait peut- être assez fréquente chez les aliénés. ' Le-'danger de l'embolie graisseuse résulte évidem
parer aux accidents locaux (sugillations, suppurations, frac- tures, ' etc.) repose sur les appareils de coercition au l
dans un état anormal, l'hallucination sera prise pour une réalité. ' , ; Dans le cas que décrit Hammond, les halluci
-craniai diseases. In ./)/ea ? 7Y ? HM and Gaz.; août 1871; p. 242.) ' 1 1., - 1 1 Il, i £ -1 , - - A. côté de la névr
mie des disques optiques sans oedème qui se rencontre parfois. > ' ' » -a . 9cLes trois théories proposées pour ex
e des disques optiques sans oedème qui se rencontre parfois. > ' ' » -a . 9cLes trois théories proposées pour expl
nd de' l'oeil ; cette dernière théorie est soutenue par H. Jackson. ' '" -' q 1 Bramwell admet deux variétés de verti
de' l'oeil ; cette dernière théorie est soutenue par H. Jackson. ' ' " -' q 1 Bramwell admet deux variétés de vertige
l'oeil ; cette dernière théorie est soutenue par H. Jackson. ' '" - ' q 1 Bramwell admet deux variétés de vertige : l
ell admet deux variétés de vertige : l'une due-. à des troubles de' ' la circulation cérébrale, vertige circulatoire;
mbre d'exemples, au bout de 18 mois. Le retour de la menstruation ' semble avoir entraîné de l'amélioration. Inversem
ins moments," elle'avait'toutes les peines du mondé à voir ses mots, ' cc' qui' lai mettait en grande colère contre la l
oir ses mots,' cc' qui' lai mettait en grande colère contre la luné, ' ajoutait-, elle-en riant,<et elle écrivait m
vait moins lisiblement.11 't'1 ? ? rt ) '1 , Ces faits' sont connus; ' et vous en' trouverez '.d'excessivement curieux
excessivement curieux dans l'ouvrage'de Carpènter 1,' dè Ma'ul'y'2. ' l\l.i' ! \1esnèt"en a cité d'autres, maisil'fau
s; 2° le retour, complet aussi, de la mémoire dans un accès suivant, ' sauf sur la notion du temps écoulé. "I" Il Suiv
nder une surveillance qui permette à un moment donné, 1 : j t '1 in) ' ( (f Mi Il Il. t 1 f....1 ,. JI' j ., f 1 r ? ?
1 t £ 'lt ,1 ,1 r\ fI HJ 'V'')'Ateeso/'MMMP/t ! o/o ? L6ndon,1874.' ' » Maury.1 Le Sommeil et les Rêves;' Didier, 186
o/'MMMP/t ! o/o ? L6ndon,1874.' ' » Maury.1 Le Sommeil et les Rêves; ' Didier, 1865. ' -'1 1 Il bibliographie. 625 e
? L6ndon,1874.' ' » Maury.1 Le Sommeil et les Rêves;' Didier, 1865. ' -'1 1 Il bibliographie. 625 en profilant d'un
us les cas* la' contracture impose au membre supérieur une attitude ' particulière; 'la bras est plus ou moins solide
ent 'fixé 'contre le' thorax, l'avant-bras est fléchi. sur le 'bras, ' en pronation' ainsi' que la main, qui est ordin
ppement', porte à la fois sur les os et les muscles ! " Quelquefois, ' le côté paralysé est le siège d'une hémichorée
sé est le siège d'une hémichorée ou 'd'une' hémiathé- tose. , , , " ' ` , ' , ' eti 1 1 f1l j > ' Tous ces sujets
le siège d'une hémichorée ou 'd'une' hémiathé- tose. , , , " ' ` , ' , ' eti 1 1 f1l j > ' Tous ces sujets sont a
siège d'une hémichorée ou 'd'une' hémiathé- tose. , , , " ' ` , ' , ' eti 1 1 f1l j > ' Tous ces sujets sont attei
ou 'd'une' hémiathé- tose. , , , " ' ` , ' , ' eti 1 1 f1l j > ' Tous ces sujets sont atteints d'atrophie cérébral
ls se blessent ce^qui, les différencie des épileptiques ordinaires. ' ' ' '11 Le cri initial fait en,général défaut.
se blessent ce^qui, les différencie des épileptiques ordinaires. ' ' ' '11 Le cri initial fait en,général défaut. Da
e blessent ce^qui, les différencie des épileptiques ordinaires. ' ' ' '11 Le cri initial fait en,général défaut. Dans
e moins désagréable et moins vio- lent que les autres épileptiques. ' 0 ' - lit, Dans l'épilepsie partielle, tonique,
ins désagréable et moins vio- lent que les autres épileptiques. ' 0 ' - lit, Dans l'épilepsie partielle, tonique, ou
emars, et elles continuent a 9') ? ? H1 ? ^rt'i» il.7. ! ? u .. , , ' ? il iiii..> voir des. choses e ravantes apr
s. choses e ravantes aprcs ou elles ont ouvert les veux; OT ? ( ? i ' )[ ? j r.' ? IIUn a ? ? tit ....J w, , t il autr
quelque sorte aux différentes scènes qui se succé- dent.-t`l%rt.li ' ·· ' - . . , , , " 'ru Enfin, ce volume renferme
lque sorte aux différentes scènes qui se succé- dent.-t`l%rt.li '·· ' - . . , , , " 'ru Enfin, ce volume renferme une
. combien -cet ouvrage, qui a - (coûté tant de peines à ses auteurs; ' mérite d'appeler l'attention t;de'tous ceux qui
1'étudc des maladies nerveuses 9Jet'mentales. q 1 -it) j11>'> ' ! - ,. 'i - . L Cil. Férue. «mpl'llti-Vi ! ?
' ! - ,. 'i - . L Cil. Férue. «mpl'llti-Vi ! ? ¡I \, ,'1"\11' il ' ;(111111'1 - t nul L'J'. 1 1(1 * 1.f'J ? Hf\ 2rr
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e ^personnelle des auteurs, 'et' le compte rendu de la clinique ? j ' ' ? Il 'I1rft.. i'i ? .'f ï ' '11\., £ 1', f.' '
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de Aew-iork. Deux'fascICules de ce recueil ont'déjà paru. H. ns B : ' 1nf #. .^f1 i^ u '11 ni'. c , ' , ' ' . - 29
ce recueil ont'déjà paru. H. ns B : ' 1nf #. .^f1 i^ u '11 ni'. c , ' , ' ' . - 29 z. te, n·r. Il vl )q"t -i ,1 . ' i
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f"'b' '1 ? E -lIIaRAGLIA\0, i.n-8ot XI. La température*^ cérébrale; ' par 'Maragliano, i.n-8°, ''L1 ? T'l Bologiie, t
ent en cours de publicatioil au moment (i3r4 Ii- s bibliographie. ' / ,- où nous avons publié une revue critique sur
tribuliozz à l'histoire des névrites. (Thèse de Lyon, 1879.) TM 'If ' (lcIC'}J ' '" l ,¡¡¡¡obi-" ')b 'YIHB;UJ JI' J'61
à l'histoire des névrites. (Thèse de Lyon, 1879.) TM 'If '(lcIC'}J ' '" l ,¡¡¡¡obi-" ')b 'YIHB;UJ JI' J'61 ! Ju',} "
l'histoire des névrites. (Thèse de Lyon, 1879.) TM 'If '(lcIC'}J ' ' " l ,¡¡¡¡obi-" ')b 'YIHB;UJ JI' J'61 ! Ju',} " '
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j JrnffHh j')dO 1 (fUJUHH', H[.J.I t1.iJ 111)j JlqR"f H ? ilfJ(1 Jnp ' (" : 011 - J;19 b IJ ? JJ H'lOJ,,1 9ffi £ hl 2mq
collaborateur, 'le Dr Cotard'ancien in- tërné)des hû' italX ? lrll" ' (111 LI' ql q'fqd(t' ! r1(" ...qb ? < ? .... '"
des hû' italX ? lrll"'(111 LI' ql q'fqd(t' ! r1(" ...qb ? < ? .... ' "1 ri r. ! 1' tG 1 Reçu interne ? dans ies'preno
880,t nous'avons'été a même, plus que personne, d'apprécier les ém¡- ' / ? ,-( ? 1 ? ,.rl..... , ' i ... \.< ,' ? '
plus que personne, d'apprécier les ém¡-' / ? ,-( ? 1 ? ,.rl..... , ' i ... \.< ,' ? ' , · i ? t,9,i , | 'D'une in
ne, d'apprécier les ém¡-' / ? ,-( ? 1 ? ,.rl..... , ' i ... \.< , ' ? ' , · i ? t,9,i , | 'D'une intelligence supér
d'apprécier les ém¡-' / ? ,-( ? 1 ? ,.rl..... , ' i ... \.< ,' ? ' , · i ? t,9,i , | 'D'une intelligence supérieur
olide instruc- tion,'l'esprit'ouvert à toutes les idées généreuses, ' doué d'une grande aptit'udë'au.'trav'aH ? d'0)i
i content d'exécuter le programme dés travaux convenus' entré' nous, ' provoquant,sans cesse de nouvéauŸ suJets d'étûd
entré' nous,' provoquant,sans cesse de nouvéauŸ suJets d'étûdé. ? " ' , .C'est à celte entente si agréable qui régnait
éable qui régnait entre nous,'que sont 114 1 1 1 1 j it r i i j 1 1 ' i > t .....p 1 f t i 1'" > i dus plusieur
eurs travaux insérés dans le Progrès' 'médical et dans les Archives ' de " Neurologie et, diverses communications à la
mier volume pour voir la part considé- rable qui lui revient. j" '' ' D'Olier voulut encore utiliser une autre partie
ommuns et déposa pour le concours du prix ESfluirol,1f úilJ mémoire ' "nourri1 de faits' intéressants' et plein d'a- p
uelques leçons aux élèves de l'Ecole des infirmières de'cet hospice, ' il la place de son collègue, notre ami M., Poir
'Assistance publique plaider la cause,de ses collègues. C'est de là, ' après qu'on lui eût fait subir une longue ° l x
e$malades,, pour son dévouement sans bornes; -^ les employés,1 pour ' la>,il5nité, inal lér;tLl JLdg' son carac- 1
prit, pour son .caractère élevé, indépendant, >< ? ? , .' , , ' , ' ' m itiiv U J j J r" mu' ' pour la, bonté in
t, pour son .caractère élevé, indépendant, >< ? ? , .' , , ', ' ' m itiiv U J j J r" mu' ' pour la, bonté inépu
pour son .caractère élevé, indépendant, >< ? ? , .' , , ', ' ' m itiiv U J j J r" mu' ' pour la, bonté inépuis
é, indépendant, >< ? ? , .' , , ', ' ' m itiiv U J j J r" mu' ' pour la, bonté inépuisable de ? n coe ! r ! z '
n dernier témoignage d'affec- lion à,notre cher et regretté, Olier, ' '1(1'10' ' 'hnl : RJ;='I,1.Lf-' 1 '1 J 9t L ¡ 1
émoignage d'affec- lion à,notre cher et regretté, Olier, ' '1(1'10' ' 'hnl : RJ;='I,1.Lf-' 1 '1 J 9t L ¡ 1 n- 'u Jt.f
' '1(1'10' ' 'hnl : RJ;='I,1.Lf-' 1 '1 J 9t L ¡ 1 n- 'u Jt.ff'1 1 (, ' d\ \1 '1 1 lurt, rs` ' , -i*j J .. ) t I 'u U·t
='I,1.Lf-' 1 '1 J 9t L ¡ 1 n- 'u Jt.ff'1 1 (,' d\ \1 '1 1 lurt, rs` ' , -i*j J .. ) t I 'u U·t I...j' 1.-fl 19 t'1lJ(
. ) t I 'u U·t I...j' 1.-fl 19 t'1lJ(=."( ? 1() .LL. 1 «.'ï1 ll-( ' f .. ' 1 If " .1' ! 1 "11 ! Ç'l" i' Ti ? sl . .a'
I 'u U·t I...j' 1.-fl 19 t'1lJ(=."( ? 1() .LL. 1 «.'ï1 ll-( ' f .. ' 1 If " .1' ! 1 "11 ! Ç'l" i' Ti ? sl . .a''1 ? "
. 1 Il l' I >lk< If j i walrJv ? 10'IIJt iCltu4 lit) '1 , , ; ' " Il ? .. (t ... l 10,0,111 9 tt· i...i r'(t"" i t
rie el pratique de l'éducation des idiots (leçons aux jeunes idiots ' de l'hospice des' Incurables), deux semestres z
graduées à l'usage des enfants arriérés 'et T idiots (grand album)/ ' 1846;' -,J. R. Pel'ei¡'é'unalyse '¡'aisoiiJïJè de
es à l'usage des enfants arriérés 'et T idiots (grand album)/' 1846; ' -,J. R. Pel'ei¡'é'unalyse '¡'aisoiiJïJè de sa m
iérés 'et T idiots (grand album)/' 1846;' -,J. R. Pel'ei¡'é'unalyse ' ¡'aisoiiJïJè de sa méthode, 4817; 'Ilistorical '
ts Tréutézizëizt 6ÿ thé' ! physioloyieal methode; revu par son fils; ' le D° E ? C. ..11 .... i , physiological méthod
son'fils," le D''E ? C. Seguin ? vo in-8° de 457 pages ; New-York'' ' ·1866;"='New Facts'ftHd Remarks concel'l11ny id
oct. 1879); - The psyeho-1Jh¡¡siolo[Jical Training of an idiotie éfjë; ' 1 l61d, déc. 1880) ; citons enfin de nombreux''
1 divers" journaux américains et dans le Progrès médical. ,J, ? B ? ' 1 f ' ... 1 . ¡ 1. h l Il' n.. j..) 1 1 t I ? ,
" journaux américains et dans le Progrès médical. ,J, ? B ? ' 1 f ' ... 1 . ¡ 1. h l Il' n.. j..) 1 1 t I ? ,1 t 1
B ? ' 1 f ' ... 1 . ¡ 1. h l Il' n.. j..) 1 1 t I ? ,1 t 1 VARIA' ' ., ? , " " , 'J T , 1 1 ' ' Il' .. RAPPORT
Il' n.. j..) 1 1 t I ? ,1 t 1 VARIA' ' ., ? , " " , 'J T , 1 1 ' ' Il' .. RAPPORT AU PRESIDENT DE LA, REPUBLIQUE
l' n.. j..) 1 1 t I ? ,1 t 1 VARIA' ' ., ? , " " , 'J T , 1 1 ' ' Il' .. RAPPORT AU PRESIDENT DE LA, REPUBLIQUE S
RAPPORT AU PRESIDENT DE LA, REPUBLIQUE SUR LA CONSTITUTION D UNE 1 \ ' '1 l' Id COMMISSION CHARGEE D EIUDIER LES RÉFOR
ORTER' 1 LA LÉGISLATION ET LES RÈGLEMENTS CONCERNANT LES ALIÉNÉS. " ' ' , , " , III 1 , .11 III " I ' ' ' ' ' ' ( ,
TER' 1 LA LÉGISLATION ET LES RÈGLEMENTS CONCERNANT LES ALIÉNÉS. " ' ' , , " , III 1 , .11 III " I ' ' ' ' ' ' ( ,
LEMENTS CONCERNANT LES ALIÉNÉS. " ' ' , , " , III 1 , .11 III " I ' ' ' ' ' ' ( , Monsieur le Président, ' ' , " l
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CONCERNANT LES ALIÉNÉS. " ' ' , , " , III 1 , .11 III " I ' ' ' ' ' ' ( , Monsieur le Président, ' ' , " l " " ,;
NCERNANT LES ALIÉNÉS. " ' ' , , " , III 1 , .11 III " I ' ' ' ' ' ' ( , Monsieur le Président, ' ' , " l " " ,; J
, " , III 1 , .11 III " I ' ' ' ' ' ' ( , Monsieur le Président, ' ' , " l " " ,; JI dl Il ? t . | '^ Au moment
" , III 1 , .11 III " I ' ' ' ' ' ' ( , Monsieur le Président, ' ' , " l " " ,; JI dl Il ? t . | '^ Au moment où
' ' ( , Monsieur le Président, ' ' , " l " " ,; JI dl Il ? t . | ' ^ Au moment où l'extension et le perfectionnemen
ment résolu aucun des problèmes qui se rattachent à ce grave sujet. ' ' ,>1,¡.¡, , ' Répondant à des voeux souvent
nt résolu aucun des problèmes qui se rattachent à ce grave sujet. ' ' ,>1,¡.¡, , ' Répondant à des voeux souvent e
n des problèmes qui se rattachent à ce grave sujet. ' ' ,>1,¡.¡, , ' Répondant à des voeux souvent exprimés, j'ai l'
de se rendre r compte de l'état actuel de la' question des aliénés. ' ? , Dès 18f,9, le : Gouvernement avait eu cette
pensée; mais les évé- 1 ll11 1 P 1 ri VARIA. , . , 6U i », v in ' « .or 1t1,' E \ - Oi,t i 1, ,Y., 6'e . 1 1 uemé
,11 est temps de soumettre à,un contrôle, plus large' et une élude ' plus'complète,' à la fois, l'exécution decla lo
e soumettre à,un contrôle, plus large' et une élude ' plus'complète, ' à la fois, l'exécution decla loi"de 1838 et celle
orations peuvent êLt;eiappcïrtéës ù la loi.,¡ .n t"1 '114 l~ .I 8 m ' ;\'IJ'n'ls. ! ? \1"" Sans craindre d'étendre out
vent, êtr \ .la 'fois' administratil'es, , médicale t. 'I ! 'nq on") ' HP ? ' ,.h ? La Commission devra donc étudier,
tr \ .la 'fois' administratil'es, , médicale t. 'I ! 'nq on")' HP ? ' ,.h ? La Commission devra donc étudier, au poin
ble d'appliquer pratiquement les voeux formulés. si . » ,. .If" 1 l ' ' >"' IL Enfin, la Commission devra nécessai
e d'appliquer pratiquement les voeux formulés. si . » ,. .If" 1 l ' ' >"' IL Enfin, la Commission devra nécessaire
liquer pratiquement les voeux formulés. si . » ,. .If" 1 l ' ' >" ' IL Enfin, la Commission devra nécessairement ac
? 1 mations et aux utopies, il,faut reconnaître que,;lc législateur ' de' 1838, soucieux avant tout de l'état d'aband
t prospérité. (Tiibune Médicale, zig septembre 1880.) 61 Í VARIA. ' r., The Lance ! du 18 septembre s'exprime ainsi
le premier numéro d'un journal trimestriel (Archives de Neurologie), ' consacré à ces matières, viehtrde paraître sous
ail des mémoires contenus dans notre premier fascicule et conclut : ' Il- JU, j 1 ;; / « Ce premier numéro est plein
cule, les'sui- vants seront lus avec soin et largement répandus.» " ' '* . ° 1 - 1 i J llb m,* ", 4 The British méd
le, les'sui- vants seront lus avec soin et largement répandus.» " ' ' * . ° 1 - 1 i J llb m,* ", 4 The British médic
toutes les études faites sur les maladies nerveuses et mentales. 1 ' " « De même qu'il est d'un louable orgueil de pl
ent en bien pour l'humanité qui souffre. (La Sperimentale, 1880.) ' ;J 'j f : ;1 (" , il . . Voici maintenant l'appr
er ~* gramme de chaque fascicule comprend des mémoires originaux, ' une revue critique, des revues analytiques embras
e les plus grands services et à obtenir ainsi un légitime succès. » ' , . i 'JO I,n -.tll ¡ ? , LOI'DU 27 février
uis tous les dimanches il la même heure. 1 j '1.0\.1 'url¡1" JJJ9 . ' " , r t ? f . l '1 ... )J. ff orl. Il,,.... '-1 ?
Faculté de'médecine. de llb'NTPiLLiER'l'- La' chaire de/pathologie* ' et de 'thérapeutique générales de' la; Facullé
ar. décret.en date, du Hr février - 1 88 1 M. Grasset, 'agrégé, est ! ' nommé professeurl dei' thérapcutiquc' et de mat
curée ; c'est à l'aide de cet ins- 1 î' J'\", blessé 1 BoW . .. n'a ' " 1(-1 trument que Z... a blessé M. Bo\É. Le cou
Le coup n'a heureusement atteint , fj duè pCl'-i'ost'e de' la i,éci ' ' ? * se l'ai-tèi,é' que le" périoste de' la ré
coup n'a heureusement atteint , fj duè pCl'-i'ost'e de' la i,éci ' ' ? * se l'ai-tèi,é' que le" périoste de' la régi
rop insister au sujet de cet incident, , sur la responsabilité' qui, ' incombe aux1' directeurs d'asiles,' chargés de
t, , sur la responsabilité' qui,' incombe aux1' directeurs d'asiles, ' chargés de faire exécuter strictement les règle
èéé" Préoc'cupé 'do l'exercice' de' son art, le méde- .04/ 18 ., If, ' '\ II' ? '01\ l' Il ? ¡. l' 1111 ., H'¡ 1'" .p
é" Préoc'cupé 'do l'exercice' de' son art, le méde- .04/ 18 ., If,' ' \ II' ? '01\ l' Il ? ¡. l' 1111 ., H'¡ 1'" .p ,,
rchée par les amateurs. On possède encore de Collin de' PliiÍ1'êÿ' ; ' Lit Diable peint 'par lui-même, 1819, livre curie
primé des sentiments qui sont ceux de la. profession tout entière : ' ' 1 ? Un aliéniste anglais bien connu, M. William
imé des sentiments qui sont ceux de la. profession tout entière : ' ' 1 ? Un aliéniste anglais bien connu, M. William L
n dehors de cette branche médi- 11 ? ",fG"1 HI {I . "II ..." cale, ' tels que ceux relatifs à quelques points de toxic
e propos, être mis en parallèle avec le livre'de Toussenel. t>. * ' '-<>'9u|- f* Nos lecteurs n'auront pas ou
hren, 1877-1880, vol. grand in-8". Berlin, 1881. Chez Hirsclwvaltl. ' 111130T (Th.). Les maladies -de la mémoire, 1 v
a), après ablation du gyrus sigmoïde, par Franck et Pitres, 278. ' Morphinisme (le), par Richlin, 326. Morpholog
Sens génésique (aberrations du), par Paul Moreau (de Tours), 156. ' Sensibilité cutanée (analyse de la), par Bruc
rébrale, par Workman, 313. Trijumeau (névralgie syphilitique du» ' , par "'airer, 302. " Tonga (la), contre les név
nière (cas de), par Guye, 462. Vol aux étalages, par Lasègue, 3t4 ' z TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS A
149. Dufour, 147, 490. Duret, 273. Duterque, 148. Duval, 124. ' Duval (Mathias), 430, 440. Eastwood, 339. E
Vigouroux (R.), 136, 139, 257, 282, 285, 292, 295, 413, 446, 455. ' Walker (Edw.), 302. Waller (A.), 493. Watte
, portion postérieure de l'insula. T', premier sillon temporal. T ' , deuxième sillon temporal. po, sillon pariéto-o
PLANCHES. PLANCHE XI Surface externe de l'hémisphère gauche. f ' , premier sillon frontal. f, deuxième sillon fro
ojdicus). - N L, noyau lenticulaire. 682 EXPLICATION DES PLANCHES. ' C n, capsule interne, - C x, capsule externe.
dullo-orhitaire. C i, capsule interne. G F, gyrus forniçatus. F ' , première circonvolution frontale. F', deuxième
Archives de Neurologie Tome I. P1.II 1 lenbaLth Imp Lemerclerk C" ' Pans Archives de Neurologie T I Pl III lellba
et Pans Archives de Neurologie T I Pl VIII Archives de Neurologie ' T I Pl LX Archives de Neurologie . T. I . PL. X
5 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
PRIMERIE DE CHARLES IIÉRI93EY. ARCHIVES DE " NEUROLOGIE REVUE ' DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SO
ation de Thomsen, nous voyons que deux de ses 22 CLINIQUE NERVEUSE. ' oncles, qui présentaient les raideurs musculair
primé à la moindre contraction de l'appareil d'accom- modation. - ' Je pourrais citer par analogie des faits curieu
e, laissant au milieu du chemin sa compagne toute interdite de sa ' )6 V PATHOLOGIE MENTALE. brusque disparition. Ce
tion. D'ailleurs, aussi bien dans le cas d'amputation que dans le ' cas d'arrêt de développement, quel que soit l'asp
(F", 1, 2, PI. I.) Quant à la troisième circonvolution frontale (F" ' ), elle se trouve interrompue par une dépression
e épinière (analyse et critique du mémoire de M. Adamkiewicz [Suite) ' ; par M. Durent, chirurgien des hôpitaux. Deux
sous; si je ne peux pas maintenant, j'attendrai d'être plus grand. ' " Son visage s'éclaira d'une étrange façon quand
les de la Réunion des natura- listes et médecins à Wiesbaden (f873) ' , une brochure de liasse2 et enfin le travail ré
ments faits dans les établissements d'aliénés. See/<o) : p)cmt( ' )'c. Des placements volontaires. ART. 11. Les ch
préfet. Section III. Des condamnés devenus aliénés et des aliénés ' dits criminels. ART. 32. Les condamnés à des pe
Auburtin ont été réélus membres de la commission de publication. ' Société T1ÉDICO-PS1CIIULOGIQUG. Le bureau de la S
, fourmillement et faiblesse assez marquée dans tout le côté droit. ' Le 17 juillet la voix est nasonnée. Le 19, le
x par un déplacement de la tète quand on la fait regarder à droite. ' Les pupilles sont égales et se contractent norm
SES RAPPORTS AVEC LES LÉSIONS DES FENÊTRES OVALE ET RONDE (Suite) ' ; Pai- le D, GELLL. Quand on n'obtient ni vert
entendent moins leur bourdonnement au milieu du bruit de la ville. ' PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DE
ectionnés, quand on l'étudié trois ou quatre mois après la section. ' Dans la plupart des cas, le tissucoujonctif int
'a<to ? t des nerfs cutanés correspondant aux lésions de la peau ' . 1. Jolfre, maçon, âgé de soixante-quatre ans,
emme âgée de trente ans, morte le 15 juin 1882 d'une pleuro-pneu- ' Charcot. -Note sur la formation rapide des eschar
base du cerveau et de la portion cervicale antérieure de la moelle. ' Pipa... (Ernest), âgé de 21 ans. Entré le 19 ma
e succession chez, des malades de nationalité diffé- rente). (Suite) ' ; Par le Dur P. 111CIIE11. III. L'lastéo-épile
n" 13, p. 66. 2 Etudes cliniques sur l'hystéro-épilepsie, p. 212. ' D L'tII3TGIt0-CLILEPàI. 223 impressionnable. El
au devant du corps, s'abaissent sur les couvertures où elles sein- ' blent ramasser des objets qui doivent être bien d
, qui passe par toutes les nuances du violet jusqu'au violet rouge. ' R. BL11\cunnD et J. Pignol. III. Sur la cause D
I, fatta al Il. Istituto Lombardo, nella seduta del 22 giugno 1882. ' Les auteurs confirment les recherches de M. Cha
par le courant galvanique avait diminué des 2/3, tandis que celles ' provoquées par le courant faradique avaient dim
oteur et peut être sensitif du pouce et de celui des autres doigts. ' Il. IL 246 REVUE DE pathologie NERVEUSE. XXI.
finalement si basse que le thermomètre e employé ne put l'évaluer. ' A l'autopsie, épanchement purulent en dehors de
me des douleurs ayant tous les caractères des douleurs fulgurantes. ' Quelquefois on a noté de l'exophtlialmie. Chez
cal(1880), et parallèlement par l'abais- sement de la température ; ' 2° L'état oedémateux, solide, de la peau et du
oliose; de là, l'inopportunité de l'inclinaison du cahier à droite. ' Sollicité parla discussion qui s'engage à ce su
confiés aux familles est aujourd'hui de trente-deux. La progression ' Voir le XV° Congrès de la Société. (Archives de N
XV° Congrès de la Société. (Archives de Neurologie, t. V, p. 125.) ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 267 estlente, et c'est des
y of z from ils organisation. (Second série). New-York, 1882. JVe) ' (;6-t) : '6t'u<M ? : and excitation as agents i
de de la paralysie bilatérale des dilatateurs de la glotte ; ,- par ' )'ou; ! L\. Thèse de Paris, 1882, FAITS DIVERS.
domaine de 28 hectares, situé à douze kilomètres 270 FAITS DIVERS. ' d'Hyères, dans la commune de l'ierrefeu qui en
ue possible. Il ne tarda pas à devenir un aliénisto non seulement 1· ' \ L'l' D11'f'slt. -271 distingué, mais encore e
édentes, mais à la suite de laquelle le bras gauche resta paralysé. ' État actuel (9 mars). Il existe une paralysie f
21 mars 1882. Voir i Bulletins de lit Société, IS82, p. 192. )7(i ' PATHOLOGIE NERVEUSE. ' Au membre inférieur, la
etins de lit Société, IS82, p. 192. )7(i ' PATHOLOGIE NERVEUSE. ' Au membre inférieur, la paralysie est absolue. To
ût, l'ouïe, la vue, sont intacts. Le champ visuel mesuré pair' AI ! ' Parinaud' rie présente rien d'anormal. 1 . '
suel mesuré pair' AI ! ' Parinaud' rie présente rien d'anormal. 1 . ' Rêflexesitendoieux : Nùis'du côté paralysé ; 'c
Nùis'du côté paralysé ; 'comme du côté sain.. »i» g-i'i- » - il /un ' ? ( -i1 >di il -v 1 Outre les -symptômes ner
symptômes nerveux qui précèdent, on constate que la malade est pâle, ' émaciée, qu'elle a' de la fièvre (T. vag. 39",5
c'est un léger oedème au pourtour des malléoles de la jambe gauche. ' 1 12 na·s. Motilité, sensibilité, réflexes comm
pied est dans l'ex- tension forcée et légèrement déjeté en dehors.') ' ' Le membre supérieur est inerte. Cependant la
est dans l'ex- tension forcée et légèrement déjeté en dehors.')' ' Le membre supérieur est inerte. Cependant la mala
de. , ? .^0 ,j.-... > La sensibilité est toujours intacte. li;il ' Morte le 14 mars. ,, il Autopsie. Les poiiiii
euse. Il est très remarquable qu'en dehors des lésions très pro-, ' ' '" ' I . , n.r I - ! 1 me I 278 8 pathologie
se. Il est très remarquable qu'en dehors des lésions très pro-, ' ' '" ' I . , n.r I - ! 1 me I 278 8 pathologie ne
. Il est très remarquable qu'en dehors des lésions très pro-, ' ' ' " ' I . , n.r I - ! 1 me I 278 8 pathologie nerv
Il est très remarquable qu'en dehors des lésions très pro-, ' ' '" ' I . , n.r I - ! 1 me I 278 8 pathologie nerveus
e fémorale du côté gauche. , ! 12`t) .1 . (. t r yt¢Ilymtt .rfl I 1 ' · rn .i,l. I .. En résumé, dans lé cas précédent
paralysie limitée tout d'abord au membre . ues, o ·m i y. ,i . 7 .n» ' "> '(.t"t ? .. . intérieur gauche, et^qui a g
ie limitée tout d'abord au membre . ues, o ·m i y. ,i . 7 .n»'"> ' (.t"t ? .. . intérieur gauche, et^qui a gagne le
, i correspondant seulement au bout de plusieurs jours : .-le . 1 ' (Min ,it s « " 1 " . ? ( t n t 111 , jout,s qua
rconvolutions trou- DES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU. 279 '' ' i Il z·'1- Y 1 -14 - il >( 1, 1-, ' ;j~ laie
MOTRICES DU CERVEAU. 279 '' ' i Il z·'1- Y 1 -14 - il >( 1, 1-, ' ;j~ laie et pariétale ascendantes, à l'égard de
de lésions des circonvolutions frontale et pariétale ascendantes, ' '' If J ? )< ? <'( r,t ! .' ? : 7)f-i : ,i
de -Scliiff;"ilIunlt et R. Tripier-. v et, - ·ry, (J ·1'r 1 rr i 1r ' 1 1 ' La deuxième observation qui, -comme on va
liiff;"ilIunlt et R. Tripier-. v et, - ·ry, (J ·1'r 1 rr i 1r ' 1 1 ' La deuxième observation qui, -comme on va le vo
, est calquée sur la précédente,- a été recueillie, l'année 'r lt ' ) 1 ' 1 1 t 4 à 1 Recherches analomiques et clin
st calquée sur la précédente,- a été recueillie, l'année 'r lt ') 1 ' 1 1 t 4 à 1 Recherches analomiques et cliniques
t 2, 1880,) 280 PATHOLOGIE NERVEUSE. I 1 . i 't1 , , l,il u - / ' i ' " " ' ' i dernière, à la Salpétrière ar ? n
1880,) 280 PATHOLOGIE NERVEUSE. I 1 . i 't1 , , l,il u - / ' i ' " " ' ' i dernière, à la Salpétrière ar ? notrë
0,) 280 PATHOLOGIE NERVEUSE. I 1 . i 't1 , , l,il u - / ' i ' " " ' ' i dernière, à la Salpétrière ar ? notrëi, ami
) 280 PATHOLOGIE NERVEUSE. I 1 . i 't1 , , l,il u - / ' i ' " " ' ' i dernière, à la Salpétrière ar ? notrëi, ami,
pétrière ar ? notrëi, ami, Féré, qui .ai r ,, i , i''nil''i-i 1 ? i ' mlr <> l... ? 1 j ...il i bien voulu nous
us la, communiquer. -ilirt, l'iim" i-i" . z ,,jj , , f[ , oin'y r ( ' ·I '·wn',r, ,'1W ·nlZC,l il l .11, , t(I : , 1 ,
a, communiquer. -ilirt, l'iim" i-i" . z ,,jj , , f[ , oin'y r ( '·I ' ·wn',r, ,'1W ·nlZC,l il l .11, , t(I : , 1 ,, t
t >$<* ..it''41r v.t'ino -ih - ef) )t.lt> itil 1, -1 Il vil ' . Observation 11. Monpplégie^ du membre-inférie
o ? > rr r. r , n't,llt q Kl 1 ! ? n' ? ny l(1 l 'l'IV h ,I1 f'T ' ' Lar ... (Rose) est .entrée à l'hospice delà S
? > rr r. r , n't,llt q Kl 1 ! ? n' ? ny l(1 l 'l'IV h ,I1 f'T ' ' Lar ... (Rose) est .entrée à l'hospice delà Sal
s eu de rhumatismes, ^et elle affirme que\ c'est la première fo *'S" ' " " el 1 éi)'o Li-é il trouble t qelcon q Li o ?
ie supers-interne de là cuisse. A' cë 'môrïiént elle pouvait encore ' marcher, bien qu'elle sentit un notable affaibl
ieur gauche est complètement indemne. Il fait tous les mouvements ? ' . , ' , Elle se plaint d'une sensation d'engour
auche est complètement indemne. Il fait tous les mouvements ? ' . , ' , Elle se plaint d'une sensation d'engourdissem
i i il 1·N DES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU. 281 ? , ? > « " ' ."i 1 , fl , -,Il 11 , , , ! 't.1 ! (1 'ii ! bi
e^ anesthésique. La plante du pied,,>It, part ie'up 6.rièui-e, d% ' la j'a fii bèet- ]a' CUisse, ou la sensibilité
La iaco est toujours indemne, quant aux troübles'dé'la`rübtilité : ' 11 eii'ést'dô"Iiynèfhotii,la sensi-7 bilité gén
impossible' d'apprécier cxacte'ment"l'étaf"'des"rénexes tendineux ? ' ? ' "" ' T|fa,001f 911U ," 1) -K. ..., .... , )
ssible' d'apprécier cxacte'ment"l'étaf"'des"rénexes tendineux ? ' ? ' "" ' T|fa,001f 911U ," 1) -K. ..., .... , ))(tu
e' d'apprécier cxacte'ment"l'étaf"'des"rénexes tendineux ? ' ? ' "" ' T|fa,001f 911U ," 1) -K. ..., .... , ))(tu'.) !
neux ? ' ? ' "" ' T|fa,001f 911U ," 1) -K. ..., .... , ))(tu'.) ! , ' '.tt ? h...'' 6 avril.-Il existe sur la fesse g
francs., Rien de nouveau du' côté des membres et 'de la face. .4 " ' ., i , ". i. .if'1 " -w,.y '<n `Ir) intil'.n
'de la face. .4 " ' ., i , ". i. .if'1 " -w,.y '<n `Ir) intil'.n ' 7 a ? La malade se plaint d'avoir éprouve penda
à la bouche., .. , ? z, '' I Pas de déviation' des traits du visage, ' cependant, la narine droite est un peu plus lar
.. Jusqu'au 13, il n'y a rien à noter, sauf l'évolution de l'es- ' -)) ? H % l NI % , , i 111 ? t,(t<) carre.,\
ue, aussi bien à la périphérie que dans la pro- fondeur. A droite, ' l'artère. cérébrale antérieure, vers, Impartie po
5'gr. ;-diffluente. ^Estomac sain ? Reins, droit', 130 gr. ; gauche, ' 165 gr.; granuleux,, avec de nom- I)reux '1yste
rait des Bulletins de la Société analoiuique, juin 1881.) <'> ' ' wa 'If ii "r ? ·n , ..f) i , ,. Robert Th..
it des Bulletins de la Société analoiuique, juin 1881.) <'> ' ' wa 'If ii "r ? ·n , ..f) i , ,. Robert Th....
erre, et, en revenant à lui; il était paralysé de la jambe gauche.. ' . " ' u - Transporté à l'hôpital quelques jours
et, en revenant à lui; il était paralysé de la jambe gauche.. ' . " ' u - Transporté à l'hôpital quelques jours après
gauche, avec crampes dou- û4 . W '' %'1 'I'.W'lIOLOGIE NERVEUSE.' a ' a t i ' IW ' ' 'f' ' - t'fi J·iw loureusesii
ec crampes dou- û4 . W '' %'1 'I'.W'lIOLOGIE NERVEUSE.' a ' a t i ' IW ' ' 'f' ' - t'fi J·iw loureusesii fréquentés
ampes dou- û4 . W '' %'1 'I'.W'lIOLOGIE NERVEUSE.' a ' a t i ' IW ' ' 'f' ' - t'fi J·iw loureusesii fréquentés dans
pes dou- û4 . W '' %'1 'I'.W'lIOLOGIE NERVEUSE.' a ' a t i ' IW ' ' 'f' ' - t'fi J·iw loureusesii fréquentés dans l
u- û4 . W '' %'1 'I'.W'lIOLOGIE NERVEUSE.' a ' a t i ' IW ' ' 'f' ' - t'fi J·iw loureusesii fréquentés dans le moll
ine le malade, ainsi frappé{Jd'lymipléjie -auclie,-Ià face exceptée, ' succombait dansée 'çoina.ri/i{1 ! u ,)f(i ,, ,n
ur- face ,du lobe carré, existe également-une pstite'plaque 'do nîé= ' ningite. Sur la face. externe du \cerveau ? on
ssies. A la base du cerveau, il n'y a pas@de lésions'méningitiques. ' , ' . J -'17, Jl» <'l r i' 1 Observation I
A la base du cerveau, il n'y a pas@de lésions'méningitiques. ' , ' . J -'17, Jl» <'l r i' 1 Observation IV. Ce
à la Société anatomique par M. Jean, dans la séance du 17 mars i ' * i 1 ni ? il .111 l t Il - 1882. La noterelati
s cieux poumons.1» 1 Il ? i-.j'il- i > «r-o- t t')"rm .t -i- * ' ««1 rnin4ul s'fiiu . )19trq 41 ! «* bioiu t- mf un
^f . P Les observations qui- précècleiit"p-rés'etntënt'e'ntreelle ? ' ,, ... , . ? ,( ? -mi <il«'l 11KJ-I H'I-'j ?
tque.peu commun ? une paralysie limitée 11 1,1 i' .«Ullljl.il' i I - ' 1 1 J d'abord- à J'un< des «membres' *>in
? qui gagne ultérieurement le membre thoracique cor- respondant : ' quatre1 fois* oh' l'observe et' quatre fois la ?
fois la ? ,, ... t, ,.l. t. ? nui ? 1 r- "'t jlMJ'U'Hll -m ,-U ? ^ ' ., ' ? ' lésion z le même siei2 : e,,le r ),n
la ? ,, ... t, ,.l. t. ? nui ? 1 r- "'t jlMJ'U'Hll -m ,-U ? ^ ' ., ' ? ' lésion z le même siei2 : e,,le r ),n ;)")
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' ? ' lésion z le même siei2 : e,,le r ),n ;)")./j ,... ? tj 1 0 ' lobule paracentral : , 'p'asi Iki un ensei-neii
iiciit lobule paracentrah. N'y, a-t-il ipasilà un enseignement ? -* ' Enseignement d'autant' plus net',1 d'autant plu
Enseignement d'autant' plus net',1 d'autant plus démons- tratif ! ' que ''si' nous'1 rapprochons..des. faits que- nou
. faits que- nous., . (i1,l'-lCH til Jp ilr-iMli -il ? iT .. " -1 . ' pubuons ceux;ana)ogues.que nous trouvons épars
iT .. " -1 . ' pubuons ceux;ana)ogues.que nous trouvons épars dans' ' r la- science ? nous constatons' entré tous lun
dance, si bien que nous pouvons établir, comme , , r.t 'U J. w7 w ? ' " J . ' une loi rigoureusement conforme aux obse
si bien que nous pouvons établir, comme , , r.t 'U J. w7 w ? '" J . ' une loi rigoureusement conforme aux observation
rigoureusement conforme aux observations, . p.. Oui'. j ^. j-* -i - ' ' la proposition suivante : lorsqueiv clinique'
goureusement conforme aux observations, . p.. Oui'. j ^. j-* -i - ' ' la proposition suivante : lorsqueiv clinique' o
nte : lorsqueiv clinique' on'- trouve '' . ,, 7 . , -. ? <., - ? ' 1 ' -.1 1 ? t isolée ou secondairement associée
: lorsqueiv clinique' on'- trouve '' . ,, 7 . , -. ? <., - ? ' 1 ' -.1 1 ? t isolée ou secondairement associée a a
u secondairement associée a a autres paralysies la ? . a 1 iy ,l ? " ' ) ? "*>;" ? a,y ? ^ /rki.' ' monoplegie de, l
utres paralysies la ? . a 1 iy ,l ? "') ? "*>;" ? a,y ? ^ /rki.' ' monoplegie de, l un des s 2 ci une lésion du
es s 2 ci une lésion du lobule paracentral- ou 'c la partie la plus ' élevée>des\ frontale et pariétale' ascendant
s contenterons de mentionner lès faits dont il s'agitez 386 m 1 ? ' PATHOLOGIE NERVEUSE., . "I)s sont de deux-ordre
e.à la jambe. sans jamais se gé- néraliser. r , ; n- yi'^ni f >n ' t ^f \'> ? mh i) la. ;' Les faits de- cette
e gé- néraliser. r , ; n- yi'^ni f >n ' t ^f \'> ? mh i) la. ; ' Les faits de- cette dernière. classe^ ne sont,,
res analogues, tels que ceux par nous réunis. ,) ? n, M. Landouzy ' a rapporté, d'après Becquerel, l'obser- vation
-1870, p. 211. DES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU. 287 droit ! ' a relaté, une i observation qui, bien' ! qùé"no
le fait très intéressant communiqué par M. Dérignac àeCI.1de Broyer ' et.'qui-.tient en-quel- que sorte le'milieu ent
émisphère cérébral droit. F, Circonvolution frontale ascendante. } ' , pariétale ascendante. (i, Plaque de méningite
ue de méningite tuberculeuse. Anciuvrs, t. V. il Il f t.f . , , ' ivii ? 1'' If.lf ? >,. |i > . ( t. ? <(.
f t.f . , , ' ivii ? 1'' If.lf ? >,. |i > . ( t. ? <(., ! ' , CO\TRII3U'l'IO\''t1 L'ÉTUDE DES NÉVRITES PÉRI
O\TRII3U'l'IO\''t1 L'ÉTUDE DES NÉVRITES PÉRIPHÉRIQUES pyryrl yn`j\0\ ' fl.1U11r1'fIIUIS,(SttilC ? tt7 - ? K ,(v Par1 M
or,·Ic, seconde, classe. z ? Il tU' H - .l| - .) ,<'j .. , ? t ' V'(|i| 11 ! t t'it) | -1. , ? ..rlllll. 13eeren
centc, ^h7oicles\A)hive^'de Neurologie, n f14, 1).' 19 ? t' 'J"»iJ * ' =Boerewhrunâ ? ttytlcrt det;Gliat·ité,vo1.;111,
iJ *' =Boerewhrunâ ? ttytlcrt det;Gliat·ité,vo1.;111,;Burlin. t8U8.) ' ( . ) 3 Clrarcot et Cotartl. - Soeiélé tle l31ol
iqüe`'du ? aulionr'sur'les fibres" 'sensitives correspondantes, 'il ' "est ! malaisé ' de' supposer que' l'altération'
nr'sur'les fibres" 'sensitives correspondantes, 'il '"est ! malaisé ' de' supposer que' l'altération', des'ganglions
puisse agir sur lé"filbts 1 niôtèüg 'd'ufi" iierf, 1 iiii,te l'pour ' provo- quer des paralysies 'ou''des"amyotrophie
l'étati"d ? hylôthèsel'p'ure;18'ét dans l'état actuel'de la'science, ' on ne'serait pas* autorisé" à con- z dure de'1'
ce,' on ne'serait pas* autorisé" à con- z dure de'1'existence` d'un ' zona^cutané à l'existence d'une' lésion drihiga
ril-,[ t tanctenne,,est,ie,s]ea'e,dune névrite mixte, avec des- . ' " .Jl ? il ? u Oui ii.r-iu-»Ci nia J-JC'JMtU'JU ?
ostérieurej9cor^s- 'pôndâiité Sur' le trajet de l 'éruption-récente, ' le. onzième r., su· : 11 t rlfft9frr -Iliftc>
n ? lâ2tél;c ? nais I ? .i/04 ..i,^ A jUBijjirKh.J ( ( ? Jt)-;tJHad ' ) ? 3tt' ! f -.2 Mill.|ji.f,^ .tlcranlioyc.et le
lstântérir dans' les : deux cas, est i.l 9rCltl 9(,1`) m : iT 7 irf ' r,l ..t, r ? M r ., t - fM .laoyç,llatnéityte,p
ç,llatnéityte,p,eriplaeriquêf ? ellétseûlefasufGàdé- 1 Il -q t1 ` ` ' £ OaéA qi-01çtri, ? f 4c Fi, j4 c ? terminer le
us'.le zona';réoent : <Il;;se,,piourr,aityfôrt,bjenqtue 'dans la` ' lésion - ' 1 ' tibdf;aiicieiine,-3lesalté- tlul
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érique] et'que ? liar)conséqûeut;. elles n,e se,pro- S.rT ËOj ! t1f) ' )fRm,r 1 1t sntn Jrfn.tf.t ? ...., ? udmsssevtLJ
1 h ,rt certain temps. Quoi qu il en soit, il ressort de 1 étude ' ' '1J11yt 5t.du' faitt)précédent que,le,,zona n
h ,rt certain temps. Quoi qu il en soit, il ressort de 1 étude ' ' '1J11yt 5t.du' faitt)précédent que,le,,zona n'e
ns;f·étqu'ilapeut 'tf m'cl`tlllttUJll4tlf é1'f3ff ? H 1·mlTt'r,·r : ' ·rr.viyny or ? - ' . J"être,la,ucoys,é,quençe Jc
'tf m'cl`tlllttUJll4tlf é1'f3ff ? H 1·mlTt'r,·r : '·rr.viyny or ? - ' . J"être,la,ucoys,é,quençe Jci'lr,eçtçtJd ajtér
ts. au ùili.i Jaa 1193 tnii'J - (l9ÿjdvt p.) 91·i3.t. ? '1 ? % uw 1 ' `· -t.i Observation V ? eMCoevMe ? ? ;ie, aHMMps
nlonniers'. - ? J' ? J : i ,L<ut, ,;jmj.) -].t .n-tjsuu ! ys'. ' »onÉ^ : Y : L ? 9<f.t jE' -.n-.U ib tunl-if, ,.
ter a fiotui t. u^l^j^n^u, - ! it-]il')fjot p;h ii/i ? i0o(|Jol. )t) ' )[t ! ' renseignements cliniques fournis par M.
iotui t. u^l^j^n^u, - ! it-]il')fjot p;h ii/i ? i0o(|Jol. )t)')[t ! ' renseignements cliniques fournis par M. Priolcau,
élleursl.rlrédiaGs`y,sgnal ? tpasildjÎl ? - lisme, ni de syphilis ? ' ? T joon -l ? ' ? ' "l'il'l'ifllilf'îl >"»(..
Gs`y,sgnal ? tpasildjÎl ? - lisme, ni de syphilis ? ' ? T joon -l ? ' ? ' "l'il'l'ifllilf'îl >"»(.. nt .1 ? . En 1
,sgnal ? tpasildjÎl ? - lisme, ni de syphilis ? ' ? T joon -l ? ' ? ' "l'il'l'ifllilf'îl >"»(.. nt .1 ? . En 1880,
9f'F6hdâÏit leTrësté delâttraverséeltet jus4Li'autmoment ? de jijl, ' (3nti,éq-,àtl'liôpital, : Ips,iii'n-lesl-svmptÔl-n
iôpital, : Ips,iii'n-lesl-svmptÔl-nes généraux persistent, .' . i , ' / ? < ? <piUt ? . ? ainsi/ que les douleur
au niveau du menton ? t ? n.))f) ? )uh1.i<'j...,...,n ? [ ? 29t ' ' PATHOLOGIE NERVEUSE. ' ' et de la lèvre infér
u niveau du menton ? t ? n.))f) ? )uh1.i<'j...,...,n ? [ ? 29t ' ' PATHOLOGIE NERVEUSE. ' ' et de la lèvre inférie
? n.))f) ? )uh1.i<'j...,...,n ? [ ? 29t ' ' PATHOLOGIE NERVEUSE. ' ' et de la lèvre inférieure. Ces derniers sympt
n.))f) ? )uh1.i<'j...,...,n ? [ ? 29t ' ' PATHOLOGIE NERVEUSE. ' ' et de la lèvre inférieure. Ces derniers symptôm
èvre et des muscles du menton sont intacts. , 't, , .,1 w.xn-< ' Il existe sur le bord interne de la lèvre inférie
ord interne de la lèvre inférieure une. ulcé- 'ratibn superficielle, ' arrondie; de'la-'dimension-, d'une pièce de 20
facilement ( et .longtemps a.'la moindre piqûre d'épingle. ; 'r, ? ' ;v . ? (;,1,,1'7 ? ,, ,\ Inappétence complète,
T"a'u"iii\,eau 1 de la sertissure des dents. L'estomac est ballonné, ' non douloureux. ' ' ' " ' '' '" t··r m , . 1 1,
e la sertissure des dents. L'estomac est ballonné,' non douloureux. ' ' ' " ' '' '" t··r m , . 1 1, "n' ". , -il f r»
la sertissure des dents. L'estomac est ballonné,' non douloureux. ' ' ' " ' '' '" t··r m , . 1 1, "n' ". , -il f r» ?
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tissure des dents. L'estomac est ballonné,' non douloureux. ' ' ' " ' '' '" t··r m , . 1 1, "n' ". , -il f r» ? ? 3,
re des dents. L'estomac est ballonné,' non douloureux. ' ' ' " ' '' ' " t··r m , . 1 1, "n' ". , -il f r» ? ? 3, Foi
, o.,»f I' , l > y I ! , 1 La rate mesure 16 centimètres sur 10. ' ' ' u i Les poumons et le coeur ne présentent r
o.,»f I' , l > y I ! , 1 La rate mesure 16 centimètres sur 10. ' ' ' u i Les poumons et le coeur ne présentent rie
,»f I' , l > y I ! , 1 La rate mesure 16 centimètres sur 10. ' ' ' u i Les poumons et le coeur ne présentent rien
ondântes;'tivilblés,"sédimentcûses, salis albumné ni sucrë. ^ ? 1 » ' « * ' "' z (1 Les jours suivants les mêmes sympt
tes;'tivilblés,"sédimentcûses, salis albumné ni sucrë. ^ ? 1 » '« * ' "' z (1 Les jours suivants les mêmes symptômes
;'tivilblés,"sédimentcûses, salis albumné ni sucrë. ^ ? 1 » '« * ' " ' z (1 Les jours suivants les mêmes symptômes per
» '« * ' "' z (1 Les jours suivants les mêmes symptômes persistent^ ' mais , avec une accentuation progressive; la fa
cive inférieure, à la base des dents, un suintement incessant' de ' sang noirâtre ! La' lingue est 'épaisse,' peu- mo
suintement incessant' de ' sang noirâtre ! La' lingue est 'épaisse, ' peu- mobile,1 recouverte d'une croute'desang al
et ? le 23, on remarque qu'elle est "'légèremènt'déviée'a gauche.' ' - -1) n'i ? i "-> ! In ? r Il,r 27 juillet L
e "normale,pouls â·1 ? 0 ? 1` 'zlt ? t.'t, ,1. ? yr ,1 ^> .... ; ' . 28. - Au niveau de 'quelques -unes des pétéch
pétéchies'de la bou- Che, 1 a e u h e a e muqueuse" s'est détachée; ' lais- sant à nu de petites ulcérations noirâtre
-'(tr1h111 ,,ltrl· ? tI 1, 4c.1 Iv ·W. 'lt 1f'·Iï ? ft ? [.) ? Im , ' W 211,9;t=, Le malade est, toujours abattu et t
mes d'urée; elles sont troubles'sédimentcu'se's'/sans albumine ni ' ui f u- Cvl-1111111`·' tl( 17lt'tl ·t.;n ? sucr
t troubles'sédimentcu'se's'/sans albumine ni ' ui f u- Cvl-1111111`· ' tl( 17lt'tl ·t.;n ? sucre mi-r », 11*11 ·· >
us ,I nômhieûi qu a-l'étaiEjnôrmal, ôri en comptent ^sur le champ ' du'mic'roscope (oculaire 1, objectif 7'deVerick)
lt 1· 11 ;filtllllw ? t-.p·W .tuh.) , a malC.' 1)O111S - tJ. Il lli ' 11 >9,,(| · ^ r,,u ? m al , ? · 1 150. mli(1
· 1 150. mli(1J- vlrl -lui('11· ? 1, ,9t'r 1 .. Ru·l- ! y'Ir. .,·'1· ' 30. Le malade,est dalisuii état,(1'affaissement e
rie, nihémorrhagies par le tube digestif ? '' i,1 ? îi'" - OJ~* J ? " ' ' "7 . ...... ? la illt)'] fb IL(11(;tli'`(()r.11
e, nihémorrhagies par le tube digestif ? '' i,1 ? îi'" - OJ~* J ? " ' ' "7 . ...... ? la illt)'] fb IL(11(;tli'`(()r.11t1
tube digestif ? '' i,1 ? îi'" - OJ~* J ? " ' ' "7 . ...... ? la illt) ' ] fb IL(11(;tli'`(()r.11t11 AUTOPSIE. retrouve s
cutanées et sous-muqueuses observées êntlant la vie ? 11 ,9'IstF- . ' 1 ! ' '.111. "UT ? 1-U. M ? ) i ... ? , 1 .) La
es et sous-muqueuses observées êntlant la vie ? 11 ,9'IstF- . ' 1 ! ' '.111. "UT ? 1-U. M ? ) i ... ? , 1 .) Lamle Ih
"et j pénétrant m légèrement le inyoarde ! r(1 ? r'ttllr»l'`s(1 ,a" ' ; ^'l'1 ? >'- ? legeremenUe myocarde. ( ^ ^
,^,8 , M. Cavité abdominale. LargeSj.ecchymQsesisous-péritonéales1' ' occupant la 'face liosterléilre dü.musçle,;grau
tions, dont1 Ua- grosseur varie de celle 1 d'une, lentille,* àicellct^ ' d'un'poist'Cës saillies sont d')*me'coloration
les, et absolument analogues a celles ? de la,surface qui, du reste, ' leur correspondent.. , , , ? nui La. foie,; trè
ns,un étatlde putréfaction'si avancé que des fragments ? ,, , 1 1 , ' L .4 ' 1 - l'n.illMHïl ? Il ° . »* ' T ' ' " de
tatlde putréfaction'si avancé que des fragments ? ,, , 1 1 , ' L .4 ' 1 - l'n.illMHïl ? Il ° . »* ' T ' ' " de sa sub
que des fragments ? ,, , 1 1 , ' L .4 ' 1 - l'n.illMHïl ? Il ° . »* ' T ' ' " de sa substance 11 ont pu être- pris po
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s fragments ? ,, , 1 1 , ' L .4 ' 1 - l'n.illMHïl ? Il ° . »* ' T ' ' " de sa substance 11 ont pu être- pris pour 1 ç
est volumineuse j 2t centimètt'es-de'fonaûélir'siil· 25 de largeur, ' de consistance, très, ferme, Iprosquesdureétuel'û
ï1 'épais qui ëiitûre iéstûbes étI glomqrulcs ! Ces éli;=11 '' I p. ' r ? fl "tn i -l|i|'lMd iil 'JU ! *u . ? ' u a 1 .
lcs ! Ces éli;=11 '' I p. ' r ? fl "tn i -l|i|'lMd iil 'JU ! *u . ? ' u a 1 . merits lymphatiques sont i particulière
oe ! [e'de ? a'diaphyse.du tibia.\CoUe-ci après`ime'llllèl's1a0119 j , ' i Il 1 j 'lit,, ? ? .r') ! tn-) ' dans l'alco
Ue-ci après`ime'llllèl's1a0119 j ,' i Il 1 j 'lit,, ? ? .r') ! tn-) ' dans l'alcool absolu a pns.une.cQns'staneessuih
) ' dans l'alcool absolu a pns.une.cQns'staneessuihsante pdur'nn )t' ' y lut possible d y pratiquer desj. coupes. On;m
z Leur tronc et les branches terminales qui rampent sous la 298 | ' ' PATHOLOGIE-. NERVEUSE. · muqueuse de la lèvre
Leur tronc et les branches terminales qui rampent sous la 298 | ' ' PATHOLOGIE-. NERVEUSE. · muqueuse de la lèvre i
dessinées,; de ce ,nérf.y.Queltlues,yflorës ii - pii..i>i'imii ' il j ( ? j,- 1 t. -4 t i ? 'l Il. »I il .il- pl
es granulations ambrées parsemées de noyaux (type le). (PL.'II ? ? " ' 'r ? (hj ? j ? )/')() 'irii« ! 1 ii'utrtii'jqi I
rées parsemées de noyaux (type le). (PL.'II ? ? "' 'r ? (hj ? j ? )/ ' )() 'irii« ! 1 ii'utrtii'jqi I '1 ! Mil ? f8) »
stence. Ce furent au début des fourmillements ? ? ... 1 .s .y ., 1.11 ' W11 W \wW ., W 11W ,. -dans,. la .'lèvre,, infé
e long ,des .deux, nerfs nientoniiiers ? qès,le leiidemain,,appa- ' deux, ! .. ,-il 1, Il ..... -, t - " J. plM-^.1
préciser ? mais., rapprochée cependant du début - des t.'accidents, ' une t anesthésie abolù"è ? établit s'ürl'é's"ré
, au ''moment de l'eütréé'dû''niâlade'a'l'hopital, c'est-à-dire - ' « p ? ") ? I 11M-.M. 111M-. in ? H (| . -([Il ' Mi
ital, c'est-à-dire - '« p ? ") ? I 11M-.M. 111M-. in ? H (| . -([Il ' Mil' ? z neuf ours après,1 apparition des premi
é 'de sa ,marche. 1> V. If i ft f - 1 1 114 . , [Ili q ; 1, ., , ' 1 ? i/ , r . marche. ,lj( . ,t . , |It Mjj . ,
n. jusqu a ses origines centrales. Il aurait été. intéressant " i ' " 1 ' ,........1, ,, '" ' -I' l-'IMI de savoir s
jusqu a ses origines centrales. Il aurait été. intéressant " i '" 1 ' ,........1, ,, '" ' -I' l-'IMI de savoir si la
nes centrales. Il aurait été. intéressant " i '" 1 ' ,........1, ,, ' " ' -I' l-'IMI de savoir si la névrite était. le
centrales. Il aurait été. intéressant " i '" 1 ' ,........1, ,, '" ' -I' l-'IMI de savoir si la névrite était. le ré
si la névrite était. le résultat d'une altération locale' du' nerf ' "par le fait d'un' ymplhadénpme ? Noûs ? I *r,| 1
ieucocythémie bien constatée présente un cer- 'tain intérêt. if/P * ' , ! ' ' ! l'1`i r » 1, I ? /,>./ i , z '')'&
cythémie bien constatée présente un cer- 'tain intérêt. if/P *' , ! ' ' ! l'1`i r » 1, I ? /,>./ i , z '')'< ?
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ie : Sclérose des cordons 1,1 poster ieurs^ dè''la(,moelk'épinière ; ' altération' des 'branches ;n;j6/j/ie)'MMM ! He
)f(t')) lîCé" 1 jJVÏpl.iT vi 1 ·· t, ,-t ? IIOv1."t,'1 ,>>"- / ' r t .1 Souq... (Marguerite), couturière, âgée d
couturière, âgée de trcnte-ncui ans, est entrée' leJ ? ''mârs' 18g1; ' àtl l'hôpital Samt,-Andr6'(ser\'ice de \I : PIT
l'âge de quinze ans une fièvre typhoïde assez grave et trois ans ' 1 ? ? 'iut ? 4"" 41' t Oit ? )) ? plus tard une
'Réglée 'depuis l'âgé de douze ans, elle n'a jamais' eu de troubles ' sérieux de la menstruation.. Pas de syphilis. Il
uelques moments seulement, tantôt plusieurs heures 1$#fi# ? W y.u z ' · , n n t.. consécutives.Tjës''crisesn'étaiëht
n- gements de température, ni par le retour, dosrègles : -Presquc ' , Observation communiquée par l'un de nous 1 la So
d'anatomie et dé'hysiôlie'<lë l3ôr,leaw, le 7 mai îssa ? 1 ? t' ' ' 'v ' ' f 300 -,1 " lrrre rts P.lTiIOLOGrC'NrI
'anatomie et dé'hysiôlie'<lë l3ôr,leaw, le 7 mai îssa ? 1 ? t' ' ' 'v ' ' f 300 -,1 " lrrre rts P.lTiIOLOGrC'NrItV
omie et dé'hysiôlie'<lë l3ôr,leaw, le 7 mai îssa ? 1 ? t' ' ' 'v ' ' f 300 -,1 " lrrre rts P.lTiIOLOGrC'NrItVI;USE
ie et dé'hysiôlie'<lë l3ôr,leaw, le 7 mai îssa ? 1 ? t' ' ' 'v ' ' f 300 -,1 " lrrre rts P.lTiIOLOGrC'NrItVI;USE.
s, cibli- g'écde'se priver d'aller travailler, hors de chez elle.)% ' * ? p 1 e'l i 3 si ? De1 18731 1 8 1 ;, elle, fitp
s; auciiiii succès (,toutes, sortes, de traitements ? hydrothérapie, ' applications- de poin tes. dë,f6u sur `-lâr`çol
2 ? mars t881,`IOn constateles ssymptqméssui- ? ints : pqlfltilrq -il ' )nt M\o>. y[)jsn"qa ? ne» ? aj zs`H4q , , Les
st cependant' encore' bien' corisefvod,0 'car si'on'lui dit'devenir ' 'la' jambe'en'extënsiôn iPfaiit' exercer 'un1 'ei
i]. 9tJpfnjB<t 17't- n f;t';t ? .qt )). t.t ? r, , . ? ... ? U. , ' . ,,1 , .. - 17 Le membre intérieur gauche est
- h.'ii Ji ? ii..>';lr>" 'il ? =]-, n *.r r.- ,- ? . î,r ? , ' , cuisse iusquaux malléoles. La peau est `pùle;
s. La peau est `pùle;'elle' a,censer-é 4, 1 si 1- Il tri, r"r.)f... ' <'* nt ' > ,U . .ses.plis et ses sillons
st `pùle;'elle' a,censer-é 4, 1 si 1- Il tri, r"r.)f... ' <'* nt ' > ,U . .ses.plis et ses sillons epidermiques
empreinte 'comme/dans les Mil ? l ? i-;o''f1."nï;°n Un ? =.-' -pr , ' i 7 ? 7 ,1 , ' , , .'oedëmes%'rdinaires ? Lette
me/dans les Mil ? l ? i-;o''f1."nï;°n Un ? =.-' -pr ,' i 7 ? 7 ,1 , ' , , .'oedëmes%'rdinaires ? Lette tumetaclion du
toujours, elle fau"tnent(, lj-1 lu ? II..11 il > «l.i'fMl' n ! " ' (T - ', . ,, .1™, ,, .. -7 14 ? ll, lit, diminu
rs, elle fau"tnent(, lj-1 lu ? II..11 il > «l.i'fMl' n ! "' (T - ' , . ,, .1™, ,, .. -7 14 ? ll, lit, diminue parfo
es J appreciablesl'JLllei'coincide r t ri ! ltl-flf4"1.p.,l nr ? 11 ' 1 i ' . ," 1 , avec une légère arthropathie du
ppreciablesl'JLllei'coincide r t ri ! ltl-flf4"1.p.,l nr ? 11 ' 1 i ' . ," 1 , avec une légère arthropathie du genou^
tandis que le gauche en : mesurej trente-sept. ? (. ? ? ? f ? ,l\, ' ts l,,a,lifr, &'l0Trbublesi de' lai sensibi
tait, très violentet après quelques .minutes d examen il cessait "* ' 1 " A *- J-' "Jt i " -Un. il .. n.i.'T ).tt"ttrï
en il cessait "* ' 1 " A *- J-' "Jt i " -Un. il .. n.i.'T ).tt"ttrï ' r, f wrçle.selorodulre ? 0y,pguyill alors percu
al/mouvement, hrusque, d'eŸtéusi,ôn yë la-ïambe; et ce rellexe . ' .- , ' 1 a ', ' 1 ? mvj'I'H -m, J 'il'Ji'.lMjITMl
ouvement, hrusque, d'eŸtéusi,ôn yë la-ïambe; et ce rellexe . ' .- , ' 1 a ', ' 1 ? mvj'I'H -m, J 'il'Ji'.lMjITMl MPI ?
nt, hrusque, d'eŸtéusi,ôn yë la-ïambe; et ce rellexe . ' .- , ' 1 a ' , ' 1 ? mvj'I'H -m, J 'il'Ji'.lMjITMl MPI ? oL à
hrusque, d'eŸtéusi,ôn yë la-ïambe; et ce rellexe . ' .- , ' 1 a ', ' 1 ? mvj'I'H -m, J 'il'Ji'.lMjITMl MPI ? oL à on
qu'elle le satis- fasse aussitôt, sous peine de mouiller son linge. ' Après être restée dans le service jusqu'au mois
882.. it- " m t i - rv . ", , 1 L'autopsie est pratiquée le 5 mars. ' 1 Cavité thoraciquej Dans la cavité -pleurale g
reils- valvulaires sont sains. L'aorte est flexible,'sans athérome. ' Cavité abdominale. 'Un peu d'épanchement asciti
e se ? reux. La rate est'molle et volumineuse. Le foie est jaunâtre, ' sec, un peu graisseux. ' ' ' ' ' ' ' . Les re
molle et volumineuse. Le foie est jaunâtre,' sec, un peu graisseux. ' ' ' ' ' ' ' . Les reins sont normaux. La muqueu
lle et volumineuse. Le foie est jaunâtre,' sec, un peu graisseux. ' ' ' ' ' ' ' . Les reins sont normaux. La muqueuse
e et volumineuse. Le foie est jaunâtre,' sec, un peu graisseux. ' ' ' ' ' ' ' . Les reins sont normaux. La muqueuse v
et volumineuse. Le foie est jaunâtre,' sec, un peu graisseux. ' ' ' ' ' ' ' . Les reins sont normaux. La muqueuse vés
volumineuse. Le foie est jaunâtre,' sec, un peu graisseux. ' ' ' ' ' ' ' . Les reins sont normaux. La muqueuse vésic
olumineuse. Le foie est jaunâtre,' sec, un peu graisseux. ' ' ' ' ' ' ' . Les reins sont normaux. La muqueuse vésical
umineuse. Le foie est jaunâtre,' sec, un peu graisseux. ' ' ' ' ' ' ' . Les reins sont normaux. La muqueuse vésicale
ation.' Dans le bassin'on trouve un kyste'de l'ovaire, uniloculaire, ' Lt' t contenu séreux, liquide, du volume d'une
re,' Lt' t contenu séreux, liquide, du volume d'une tête de foetus/ ' " "1"' - L'oedème'récent dés''membres'inférieur
' t contenu séreux, liquide, du volume d'une tête de foetus/ ' " "1" ' - L'oedème'récent dés''membres'inférieurs's'exp
de" caillots fibrine-globulaires, adhérents' aux parois veineuses ? ' " ,L'articulation tibic iarsienn'e gauche renfer
s,'des'masses centrales,- ne 'révèle aucune altération appréciable. ' ' '' - ' 'Après avoir enlevé' la moelle et-inci
'des'masses centrales,- ne 'révèle aucune altération appréciable. ' ' '' - ' 'Après avoir enlevé' la moelle et-incisé
sses centrales,- ne 'révèle aucune altération appréciable. ' ' '' - ' 'Après avoir enlevé' la moelle et-incisé' longi
noïde est louche, épaisse, fi'- hroïdc, adhérente à la face interne ' de la dure-mère, d'une part,"et. à la .face i e
Sur plusieurs, préparations les tubes nerveux paraissent avoir 30 ' ' ' PATHOLOGIE NERVEUSE. leurs' caractères norm
Sur plusieurs, préparations les tubes nerveux paraissent avoir 30 ' ' ' PATHOLOGIE NERVEUSE. leurs' caractères normau
r plusieurs, préparations les tubes nerveux paraissent avoir 30 ' ' ' PATHOLOGIE NERVEUSE. leurs' caractères normaux
taines fibres ne sont plus représentées que parla gaine dc'Schvvann, ' coritériant-dé' loin en loin, .autour des, noya
.autour des, noyaux,; quelques, granulations am-) brees'(tvpé'4) ! ' (PL.'lII.) ? ' , ' , , ., i V\V'm/-I.V H. i, IMl
noyaux,; quelques, granulations am-) brees'(tvpé'4) ! '(PL.'lII.) ? ' , ' , , ., i V\V'm/-I.V H. i, IMll.l.lUÎ, 1. ,
ux,; quelques, granulations am-) brees'(tvpé'4) ! '(PL.'lII.) ? ' , ' , , ., i V\V'm/-I.V H. i, IMll.l.lUÎ, 1. , ( ,
? ' , ' , , ., i V\V'm/-I.V H. i, IMll.l.lUÎ, 1. , ( , ` , 11 t w - ' '1 ",f il On ne trouve pas dans ces préparation
bes nerveux de nouvelle formation.twlr (1·1 ? m ? l' i. i/i.i : . i ' »( - -<'| «W \{Nerfi,\ai;liculqire. ? .\Les,i
omplètement atrophiés (type 5), .de, coloration jaune ou sépia. { ? 1 ' *< MM I I tl 11 / ' I ' L ' " ' M ^ ^ L I -"Il
type 5), .de, coloration jaune ou sépia. { ? 1 ' *< MM I I tl 11 / ' I ' L ' " ' M ^ ^ L I -"Il /I H.' I» ' ». ' '" "
5), .de, coloration jaune ou sépia. { ? 1 ' *< MM I I tl 11 / ' I ' L ' " ' M ^ ^ L I -"Il /I H.' I» ' ». ' '" " M- *
.de, coloration jaune ou sépia. { ? 1 ' *< MM I I tl 11 / ' I ' L ' " ' M ^ ^ L I -"Il /I H.' I» ' ». ' '" " M- * ' '
, coloration jaune ou sépia. { ? 1 ' *< MM I I tl 11 / ' I ' L ' " ' M ^ ^ L I -"Il /I H.' I» ' ». ' '" " M- * ' ' *
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1 ' *< MM I I tl 11 / ' I ' L ' " ' M ^ ^ L I -"Il /I H.' I» ' ». ' '" " M- * ' ' * D'ailleurs, même intégrité d'un
' *< MM I I tl 11 / ' I ' L ' " ' M ^ ^ L I -"Il /I H.' I» ' ». ' ' " " M- * ' ' * D'ailleurs, même intégrité d'un c
M I I tl 11 / ' I ' L ' " ' M ^ ^ L I -"Il /I H.' I» ' ». ' '" " M- * ' ' * D'ailleurs, même intégrité d'un certain nom
I I tl 11 / ' I ' L ' " ' M ^ ^ L I -"Il /I H.' I» ' ». ' '" " M- * ' ' * D'ailleurs, même intégrité d'un certain nombr
s le rameau articulaire ? 1 'i,1'1 1tt) w ·11t pmtl ·alt`1 . tl ? ? ' " )`14`11 > 11 )tt ? It tlll a t'Ifti` -a'((l
e1 vulgaire'.1" Mais 'ce qui 'est' moins1 connu' et' plus^digue'lde» ' fixer l'attention ? c'est'* la coéiis(ei1`ce' d
is(ei1`ce' d'une arthropathiè alax7ué 'avec'des 'altérations1' ner- ' ` vetscs péri7aéricies. J">1 ' |i'i ' 1 . z
7ué 'avec'des 'altérations1' ner- ' ` vetscs péri7aéricies. J">1 ' |i'i ' 1 . z iBien ! obscure est .encore la pat
ec'des 'altérations1' ner- ' ` vetscs péri7aéricies. J">1 ' |i'i ' 1 . z iBien ! obscure est .encore la pathogénie
cours de l'alaxieflLes' arlhropalhies ? les1 fractures spontanées, ' DES NÉVRITES PÉRIPHÉRIQUES NON, TRAUMATIQUES. 3
gles,, les éruptions ! les,, plus variées, l'oedème- dur de la peau, ' etc,' 1"sdiit loin' d'être rares chez' )estabet
les éruptions ! les,, plus variées, l'oedème- dur de la peau,' etc, ' 1"sdiit loin' d'être rares chez' )estabetiqu'ës
estabetiqu'ës. i 1 époque ou ces - >l 4 ? nJri VM'l.J J l --M si ' [\i, f> 1111M '" 'lUUl.iH ,IW. W r1 .t,r ,d, ,,
époque ou ces - >l 4 ? nJri VM'l.J J l --M si '[\i, f> 1111M ' " 'lUUl.iH ,IW. W r1 .t,r ,d, ,,r accidents comm
t,1'illtéritét de la-,nutritiol des .muscles- avec 1'l iité- ri téï; ' (Ies 1 cel lui e§ljdes" cornes' antérieures' de' '
dans des cornes' antérieures : \ Quelques fails,3semblôrént t t 1 J' ' ? MC". -ih pT,f-lni5,f,r 'i-ri.. , , . m`l4. t' .
y tout d abord confirmer cette idée- mais bientôt des y )m' ? ;))) ' ). f. ^ ii.ii;i'iu.«'- JUii ti uj A ".» - - > .
'examiner' lés 7·i'T irt Il n , '1f( : W t1 fWÜT .il il -lil, -1111 ' ·1t 1,1 -uj'Ht' 'J inoelles d'iitaxiques peiidal
e''dû''gehbu]a' lu mm .1 1 `f .·lt.ar niT ,·VTV;livrltr· l.i ? i,i , ' t rl.f·I s1t'7 ih ·t ' seconde d une fracture s
.1 1 `f .·lt.ar niT ,·VTV;livrltr· l.i ? i,i ,' t rl.f·I s1t'7 ih ·t ' seconde d une fracture spontanée du bras. Les m
lules des cornes ai bilé, F-- e eti 1 tk 1 J 1 M < > 1 1 « i * ' /il A antérieures, comment ne se produiraient-e
tions analogues : ,et]a,localisation, de ces alté- 't<J;)- u ? n ' )< : c.tt0)f;t)n) ? ft m ;IY Jtl)J). ,·1 v ra
, effet entre Ltjjj ^i>i ? > j^v- i'li.. à- ilU'< ,1 un .r ' jn.tl 'tf . la lésion décénérative des, nerfs,
lésion décénérative des, nerfs, et,, 1 es % troubles tro^ .fj' )Jt' ' 1 'Àjià ? J ? , J".l i. > ! Illj* phiques ob
ues observés dans le membre correspondant, '>'► n .. I,t i ,n -, ' 1 · .. ( suivre.\ ' . -I m''t1J PI ,. , ryfïr
embre correspondant, '>'► n .. I,t i ,n -, ' 1 · .. ( suivre.\ ' . -I m''t1J PI ,. , ryfïrll i/ `I 111 : n·nsf11
1`),·J tl.t yll.1 * f-iubtiinq.- -oit }M. ji -`31 .1'r 9fti1 t "7" ' PHYSIOLOGIE ' PATHOLOGIQUE^1 d|M" : .tr% 1 ri.ri
ll.1 * f-iubtiinq.- -oit }M. ji -`31 .1'r 9fti1 t "7" ' PHYSIOLOGIE ' PATHOLOGIQUE^1 d|M" : .tr% 1 ri.ri =.jti i 1 ' &l
t "7" ' PHYSIOLOGIE ' PATHOLOGIQUE^1 d|M" : .tr% 1 ri.ri =.jti i 1 ' < ? IIliI,T,·iry )3 li ,I ? ) ! tv t1'i r ? `r
l-gn'"f,"Tl 9`Ilbl : l'lItIT I;Ittl ? I Sh Jtt` '311-I(`t;itiJ Util, ' ) ." I. 3(",f) 1|7r - ? «" ! " tl« l,|n>.l. : s
t;itiJ Util,') ." I. 3(",f) 1|7r - ? «" ! " tl« l,|n>.l. : s ,lf ' (Mr., ? o. ,f ; . » CONTRIBUTION A L'ETUDE DE '
l,|n>.l. : s ,lf ' (Mr., ? o. ,f ; . » CONTRIBUTION A L'ETUDE DE ' L'HYPNOTISME CHEZ LES . HYSTÉRIQUES DUI'IILN011
;'HYPERE\ClTAf31LIT$ rt NEURO-DIUSCUL11RE(Suitc) ; ? au ,1· i"Itl`r ' z ' ' il rf'7 ·l 1 ! i» 11O 011>Ir)· P i)1LJ
RE\ClTAf31LIT$ rt NEURO-DIUSCUL11RE(Suitc) ; ? au ,1· i"Itl`r ' z ' ' il rf'7 ·l 1 ! i» 11O 011>Ir)· P i)1LJ)O(Tlm
\ClTAf31LIT$ rt NEURO-DIUSCUL11RE(Suitc) ; ? au ,1· i"Itl`r ' z ' ' il rf'7 ·l 1 ! i» 11O 011>Ir)· P i)1LJ)O(Tlmü`
"Itl`r ' z ' ' il rf'7 ·l 1 ! i» 11O 011>Ir)· P i)1LJ)O(Tlmü`tl') ' . ' r-1J·, .. , , .Par MM. CHAnCOT uLPALL RICHE
`r ' z ' ' il rf'7 ·l 1 ! i» 11O 011>Ir)· P i)1LJ)O(Tlmü`tl')' . ' r-1J·, .. , , .Par MM. CHAnCOT uLPALL RICHER.,
h"-i/ ? Pvr`1111.iIIIiCOT;iPéiuiitC,'H ? l.`7.i1 ;)rtl Cl -JlJlt'jD ' )I1 lloi `JI ? t(·i.jtlVlla ? l10'l 2`rt WltLli 'I
mt` 1 0) u ? jllJmltl s' T-trtt5 -k`v ? `nirjo'JI), 1 ·Jlttia, t;r ' "Ncltie' intentioü'n'estlpa'si d'élitt·eprënarélic
catioiï'physiolôgique^p'our'le^moins' prématurée; des phénomènes si ' complexWet 'encore ''incomplètement étudiés que
s'à ! établir, au moyen des' données' actuelles 'de -la physiologie, ' les trois pro- positions 'suivantes relativemen
ulairequi a fait't'objet''de l'étude' clinique' pré- 'cédénte a- t` ' · I f e )Lltr.lll a'n lifi tlr(1 Itb Ilb : rt `' &
pré- 'cédénte a- t` '· I f e )Lltr.lll a'n lifi tlr(1 Itb Ilb : rt ` ' > "à) L'e''phénomène''dèurhy'péréxcitâbilité
itâbilité' neuro-mus- culaire est un phénomène de nature renexe"° " ' '" c01 ) La nature 'dé' ses manifestations'a'sa
âbilité' neuro-mus- culaire est un phénomène de nature renexe"° " ' ' " c01 ) La nature 'dé' ses manifestations'a'sa'r
âutre que Celle dë5''Iiërfs·``sèri'sitifs'ëntâliés.' `'tG'I iu"r '' ' ''t 'q ? n , iJi.lllll i · ill.ii -. ! 1 '·.tl
ntâliés.' `'tG'I iu"r '' ' ''t 'q ? n , iJi.lllll i · ill.ii -. ! 1 ' ·.tl i 2 ry`lilr vOÎI' le n° 5;'p. 139; Il° 6, t
OLOGIE PATHOLOGIQUE. » ? ).. ? Tl-l. j .,1 . ! ? ) ;> > ? " ! ' '1,,1 " T,I A. Le phénomène de l ' hijperexcila
. j .,1 . ! ? ) ;> > ? " ! ' '1,,1 " T,I A. Le phénomène de l ' hijperexcilabilité 'néuro-'1 ,...,.j ? <6'CM
ne de nature réflexe Jl) ! -,qv,n >. -M- ^iLtilï - 'i ''«. ! } " " ' " »' t)Ij ? ,I"i ! i Les faits,, qui plaident en
e nature réflexe Jl) ! -,qv,n >. -M- ^iLtilï - 'i ''«. ! } " " '" » ' t)Ij ? ,I"i ! i Les faits,, qui plaident en.fav
rici.-iquoi. -mi '. ? ? t.»» ? 1 ? il.1V ? M » ? il · (rll,mi 1 Ili : ' Itl II`tll ''a) La production d une contracture
' Itl II`tll ''a) La production d une contracture musculaire con- ' i .d.. , ? t ..fff«.i. - .Mit .f ? tn<v. kI l-
que, entre 1 excitation et son - WiHi. ? «^.If,. 't.'™l ^"V ]fW./tt) ' "îVi- V ' 1 résultat, ! 1 action spéciale du ce
1 excitation et son - WiHi. ? «^.If,. 't.'™l ^"V ]fW./tt)' "îVi- V ' 1 résultat, ! 1 action spéciale du centre nerve
! 1 action spéciale du centre nerveux a du luter- - ti t Mm a- ? » ' r rl' 11`1 '-(,ir71 ? 4 ,.y., p' ! 1 venir ! 1
), ttr, r/ rry ·, ,rr,. i·.r .m,J, n`t11 rl'i911 '.91. `ifll; : ou - ' nous 'avons vu' la contraction remplacer la con-
friction des t antagonistes., ce qui ,s'exp)ique'trës.. tacitement, ' sijt'ont admet ^quo IJexpitatiojijpprléejsur Ie
lle la contracture était maintenue ? ^ ., % >,<> > Il ` ' 1 On. n'ignore,. pas les.- connexions' qui exis
s,'1 par exemple. 1<L'eacitâtionfclest'antaonistés;"dit'111. Vu)- ' pian,dans.IleslcasdeW iôuvements`ivololitairest
r exemple, une.cer-, 1. , , 111 Itlt, ),lit, , " >i ? a," ? ;\ ? ' 1 ' laine excitation se transmet du,foyer médul
emple, une.cer-, 1. , , 111 Itlt, ),lit, , " >i ? a," ? ;\ ? ' 1 ' laine excitation se transmet du,foyer médull,ai
1 ' laine excitation se transmet du,foyer médull,ai.re,d ? ori-, ' st ,1 : ·Otmm ..·f tm,m ? mn-w ii.iU">i' - ?
anisme, 1,1,1 ,1 W(1 ·Iltl ('1 1 In U"l iTlUilIlh -ii> n- > " ' analogue, que nous invoquons, ici. L'excitation
de venir du. cerveau, comme dans l'action,,volontaire i, idllil' I ' "' ? ,1lU"'J"«' l''ii'| - i '»«» » »" "' * dont
venir du. cerveau, comme dans l'action,,volontaire i, idllil' I ' " ' ? ,1lU"'J"«' l''ii'| - i '»«» » »" "' * dont pa
rveau, comme dans l'action,,volontaire i, idllil' I ' "' ? ,1lU"'J"« ' l''ii'| - i '»«» » »" "' * dont parle M. Vulpia
ans l'action,,volontaire i, idllil' I ' "' ? ,1lU"'J"«' l''ii'| - i ' »«» » »" "' * dont parle M. Vulpian, vient de la
n,,volontaire i, idllil' I ' "' ? ,1lU"'J"«' l''ii'| - i '»«» » »" " ' * dont parle M. Vulpian, vient de la .périphéri
foyers.d onginei jibti 1 'Il -1 ''ni"1 " le 9 )J,Ié z m .m.l ...5 - ' des nerfs qui se rendent aux muscles antagonist
té ? orie, les deux' ordres''de'phénomènes ? t ·nll I t [ ? t"t> ' j' l' Mi o lit > i- "' '' bit Vu ! a'n ? A'r
s''de'phénomènes ? t ·nll I t [ ? t"t> ' j' l' Mi o lit > i- " ' '' bit Vu ! a'n ? A'r) ? 6e//t-/i'OK-< ? c ?
lit > i- "' '' bit Vu ! a'n ? A'r) ? 6e//t-/i'OK-< ? c ? I`f' ' y, S , n ! 310 ? IJvfa-ptiYSIOLOGIEPATHOLOGIQUE
*iài'Pleifaitde)voisiiiage ? Elle,tn'a,'ridii,d6 coinparabie à1' la" ' diffusion ' detil'eXitaritlélectrique trop' inten
tde)voisiiiage ? Elle,tn'a,'ridii,d6 coinparabie à1' la"' diffusion ' detil'eXitaritlélectrique trop' intense'. En ét
rent, et iliestufacile detvoir que 'ces .musclés ne fônt;s en somme, ' que continuer.au bras le inouvemeiit'comménc6-à
elèvent directement du médian. ÉTUDE DE L'HYPNOTISME 1 CIIEZ, LES ' (HYSTÉRIQUES. 311 1 A,i 1 ai, face, til'excitati
Le muscle répond à peu près de la même façon à J'excitaiit ? leci ' triquesqitpendant(JajveiHe,'soit.jpe)idaij ! a')é
ônnjj'vnb àn5 ? (s`c iup 8`fr3;àtGlio'itl aelaauirn u«ibàm 312 '' ' ' ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ' ')' ,1 ' ? .1 i
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312 '' ' ' ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ' ')' ,1 ' ? .1 il-' , , , ' Il) `it 'I Il 1- )t(..)t,) i i "5 ? des manifes
Il 1- )t(..)t,) i i "5 ? des manifestations de ï hyperexcila- ,. ' "bilité 2eüo=zusctilâiré'cc sâ raison'' d'être da
la- ,. ' "bilité 2eüo=zusctilâiré'cc sâ raison'' d'être dans' une ' modification 'spéciale- de"l 'activité' du" centr
chémin'd'air- rivée ou nerfs sensitifs ;h2° le,, lieu, de réception, ' ou centre' nerveux; '3° le1 chemin 'de -retotir
'plûs' à'1 l'iinpéessi'on se ilsit*ve(Ide-1-fiéiiétrer 1 -jusqu'au ' "centre1 et -1 es-réflexes sont abolis le-'ptùs' s
es sont abolis le-'ptùs' souvent : < Dans ? la'paràlysie infantile, ' 'c'est lé,ceiiireliierveuxilui-mêiiie "qui' est
,, abo 1 i t l.dii des réflexes. '-Dans'testrychnisme au 'contraire; ' l'excitabilité'; du centre moteur estlexaltée ;
tre moteur estlexaltée ; d'oùH'suit que les réflexes sont exagérés. ' } rt(m t ! y/n rlJ· y j'}'1·I 'f 1 U / Dans l'hy
iculièrement dans la phase désignée sous' le; nom' dé ! éthargiéj'i) ' "seinb)e sé;ùsser * . ,;... ? 'i'.r ; .lui 1 1 1
dana- logue à ce qui a lieu dans le stryclinisiiie., Les preuves ' ' sont' nombreuses' qui' font penser1 à une 'modi
ana- logue à ce qui a lieu dans le stryclinisiiie., Les preuves ' ' sont' nombreuses' qui' font penser1 à une 'modifi
fonctionnelle du centre' 'nerveux lui-même', 'mddifica- · ? . . V ' > I )J''t | /t ? f)t.h ? i i ( | z tion dyna
al. La plupart des raisons que nous» avons invoquées plus haut en ? ' » x .. >W . '.il.. |l ,-^J. n «faveur, de. l
umn l'GL'Nous avons, donc : soumis aux itibilatioiis ide. chloro- ' , ' ? iJ . w forme uuemaladehypuotisée : et,,en;
l'GL'Nous avons, donc : soumis aux itibilatioiis ide. chloro- ', ' ? iJ . w forme uuemaladehypuotisée : et,,en;lét
ère plla,s,e d',elaltati·on,le,.plyno- del, I'Iiyperexcitabi '1 ilé ' ileuro -- i*nu'seul aiej dispi- z sous, l'influ
t -, 311 1· " T'Ill ? PIiTSIOLOGI)JIP.ITIfOLOGIlUl;. 11 ,ISI l' t ' Apres quelques inhalations ! nous constatons une
1ontrac ! I ture'se généralise aussitôt au membre* tout entier. ''^ ' "l -11"J' Nous cohtihùons'Ies inhalations dé'chl
lemembre.' 1 L,a secousse 'retentit' sur le membre du1' côté opposé, ' mais la contracture "reste toujours lôcalisée'â
chant le nerf facial' en avant do 1 oreille, on provoque dans I ? , ' ,1 ". ? f ? l c| lilf, I. I,- . J . I, f r, , .1 ?
I ? , ',1 ". ? f ? l c| lilf, I. I,- . J . I, f r, , .1 ? ..... J , , ' or. -. tout ce côte de la'face'une grimace beau
usée que dans l'état léthargique ordinaire. Les muscles''d'u' front, ' du riézfde là bouche et' du méntoirréporidérit 'a
t,' du riézfde là bouche et' du méntoirréporidérit 'a'Té'xci- , .*V, ' ' - , ni... '1l.) ? t( ? lrr .rty f.t,.m ? » , I.
' du riézfde là bouche et' du méntoirréporidérit 'a'Té'xci- , .*V,' ' - , ni... '1l.) ? t( ? lrr .rty f.t,.m ? » , I.,
cture 'ne' duré'pas longtemps'et cède biëntôt'd'ellé-'mêmë ? ? 7ti " ' "'l^ ''ï ? t'i' 'i'"h cède 1, 'r t. I l-i e 6-11
1 -jb 'U iiuiimi..ihili.fil servons les modifications suivantes : " ' ' ' ? Il se produit par instants dans les membr
-jb 'U iiuiimi..ihili.fil servons les modifications suivantes : "' ' ' ? Il se produit par instants dans les membres
jb 'U iiuiimi..ihili.fil servons les modifications suivantes : "' ' ' ? Il se produit par instants dans les membres s
esl(3;3;=.N)i entre l'excitation ët'Icrniôuvéinnt t réflexe ? t'.t) ' )14 lllu dn'i'i iJIm- %' ! hhr")'toqqtnë 2vue Pa
citation ët'Icrniôuvéinnt t réflexe ? t'.t) ')14 lllu dn'i'i iJIm- % ' ! hhr")'toqqtnë 2vue Par instants 1'llyperexcit
scuJail-P, cesse tout ,, J L' 'JC.r f . t"t '. 't j't 1, je, -.1.1. ' tt 1 d'un coup dans un membre supérieur, seulem
atives de perte et de retour de l'hyperexcita- 1)lllte..yf[197'y'f' ' [O^ ? j,,) ·, t ? y^., ,l .1 ! 1 , : .[Puis,, sous
réto,ur;tlet l'byper- excitabilité n eÙo-rtiseu 1 aire. , . i , ? a ' | l, , . r 1 z , a 'l'.lJ[f ! '1 r"C ! 1"(Y ? ?
ine, à maintenir la malade et il. faut la coucher à terre sur des . ' , . u . n ,. i..i . j,ji .... ? t 1 1 . %,/1 V
.... ? t 1 1 . %,/1 V oreillers. ? 1 1 m[·vI`rtlll n 1f''r 1 irm,l ' ·r ? ., irp· f. lrestlu'alussitôt, les, convulsi
avoir repris connaissance la malade demeure dans un t ,n · f - 1, " ' ·11 '1 -J ti I 1 état d'ébriété dû à ·1 action
que. Elle tutoie tout, le > . -'H.* .. - > , ....... livre à - ' »' 'I. zou monde, demande de l'éther, etc., se l
e. Elle tutoie tout, le > . -'H.* .. - > , ....... livre à -'» ' 'I. zou monde, demande de l'éther, etc., se liv
ya< ? ? e neùrôlmùs- , , , , czclaare est-il un réflexe cutané ? ' , . .' h'')t'h ? )'j ? ' lit, 1 ? 'i'l' il, v '
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un réflexe cutané ? ', . .' h'')t'h ? )'j ? ' lit, 1 ? 'i'l' il, v ' ij .. \it nt \ \> "' - ' et '1,, li, If -f ,
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tude ont été signalés depuis longtemps déjà par les physiôloistes ? ' ' '" "' HerbertMaYO et Caluieil'avaient remarqu
de ont été signalés depuis longtemps déjà par les physiôloistes ? ' ' '" "' HerbertMaYO et Caluieil'avaient remarqué
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ra-i cilles sensitives excitées.. ,-m ? .Oi- ? <il, ril-f > ' - i Sanders-Ezn, dans des expériences sur les m
êmes musçles; 11Î. ? Y,ulpianp,ésumc ainsi.l'état cle la question : ' « Il est.probable, àit7.il ,,que,,Ies fibres, s
. ll'l.lll > 1 Vulpian, loc.c'd. * | ,t ,i , ,i '<)t' t> c ' ? i ' 0( ÉTUDE DE 1,'HYPNOTI.)[C CHEZ LES 'HYST
.lll > 1 Vulpian, loc.c'd. * | ,t ,i , ,i '<)t' t> c ' ? i ' 0( ÉTUDE DE 1,'HYPNOTI.)[C CHEZ LES 'HYSTERIQUE
"tèl qu'un muscle,tuh tendon jà, -un nerf,I\létè'rminerihîiiîédiale~ ' ment la production'de la 'contracture' localisé
f ? - » ? éi "t t , t. les ]ois ! que'nous'àvons fait connaître ? ^" ' ? ? ' " ' i'Le '.système sei'sitifr'cutané'e'st
» ? éi "t t , t. les ]ois ! que'nous'àvons fait connaître ? ^"' ? ? ' " ' i'Le '.système sei'sitifr'cutané'e'st·donc
éi "t t , t. les ]ois ! que'nous'àvons fait connaître ? ^"' ? ? ' " ' i'Le '.système sei'sitifr'cutané'e'st·donc 'iue
ans la' période de létlîârië'liÿpilci ? tique dont .il.s'agit ici'.» ' in »b<ni ? n'n ? i un t' ? Imt C'est donc da
recherches de Sachs,Tschiriew 318 1 ! I'PllYqIOLOCIE PATHOLOGIQUE. « ' 1 1 ' 1 1 et autres qu'il existe'dansles tèndon
ches de Sachs,Tschiriew 318 1 ! I'PllYqIOLOCIE PATHOLOGIQUE. «' 1 1 ' 1 1 et autres qu'il existe'dansles tèndons'et l
eXéstendineuxét ],iphénomèné de l'hypereXitabilité'neûrô-musculaire; ' légitime cette manière de'.vdir : '» - Àinsil d
pereXitabilité'neûrô-musculaire;' légitime cette manière de'.vdir : ' » - Àinsil donc3, b lorsque l'excitation mécaniq
freW er veux ? `b r.c .'11)ltioi").).l b Ilm ? tol (>-) Il 1 I ' ` Lôrsqû'à°la'suite de 'la pression- du '"nerf «c
Ilm ? tol (>-) Il 1 I ' ` Lôrsqû'à°la'suite de 'la pression- du ' "nerf «cubital ! au coudé,' par'» éxempleio Ja c
` Lôrsqû'à°la'suite de 'la pression- du '"nerf «cubital ! au coudé, ' par'» éxempleio Ja contracture''se0 produit'a )a
main èt'à l'avant-bras^dans lé'domaine'du nerficubital seulement} ' le - phénomène 'doit 8'exp ! iquer,d'après la a
ur lesiliuscles'tribütaires -dül nérf ? `i ° tl' ` rt`tJlltl i 'w ' 't9f liltpt ! I un I )%;r ? jy Zf;'11 1 lli, ,'t.
au presser ou malaxer le 320 . PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. 1 LI (,. ' O,IStl1- lt i t t 1 tfi 5 rv(r-tr1 ! ·1 rn v t "'
LOGIQUE. 1 LI (,. ' O,IStl1- lt i t t 1 tfi 5 rv(r-tr1 ! ·1 rn v t " ' ' membre qui, tout à l'heure -7 pendant l'état
GIQUE. 1 LI (,. ' O,IStl1- lt i t t 1 tfi 5 rv(r-tr1 ! ·1 rn v t "' ' membre qui, tout à l'heure -7 pendant l'état lé
musculaire nest aucunement : t(j"IJirR ? <n<ia n'lli*,)fill 11) ' ^'l'r'1(' if`1 i l' ' ! m r9ll'fl( modifiée, le
e nest aucunement : t(j"IJirR ? <n<ia n'lli*,)fill 11) '^'l'r'1( ' if`1 i l' ' ! m r9ll'fl( modifiée, le membre re
ement : t(j"IJirR ? <n<ia n'lli*,)fill 11) '^'l'r'1(' if`1 i l' ' ! m r9ll'fl( modifiée, le membre reste inerte.e
fl( modifiée, le membre reste inerte.et dans la résolution. - ? f; ' t t ,te ^'(rfN)I;`t1(ill'1 (at rtt rT('t`t[ltlfl'
iée, le membre reste inerte.et dans la résolution. - ? f;' t t ,te ^ ' (rfN)I;`t1(ill'1 (at rtt rT('t`t[ltlfl'1`T i t rrt
est autres moyens de mettre en jeu 1 exci- Il a ? ? 9'Y'f[f ? 2'il ' " t1-1 tabihtédu muscle. Il suffit alors de l'ex
ont désignées sous le nom de son nrrn||ina«nr : nrno3 ? ^ ? <i,« ' ! f) ,vl r`,7n;'rtrtlti « passes », pour produi
, sommes que peu arrêtes préférant nous attacher pour , 'ariPtfti ' ,t : 5 I l 'llrt'1 `rtftfi`t f : t f'nt'fmj.Ufp ?
sculaire - plus grossier, et plus ,.tf.7" /n"irihn'.t ? ? i1"1lto,J ' "n* , ? r.T>j : >iRnYjl V" ? h ? i'w : H f
èrement' tizoq r ? 11-t iltcilit - a.^`rtj ? r;r«r; ? ImJf7 3) ? r' ' )-H)' ! attire 1 attention sur des phénomènes, d
nt' tizoq r ? 11-t iltcilit - a.^`rtj ? r;r«r; ? ImJf7 3) ? r' ')-H) ' ! attire 1 attention sur des phénomènes, de con
? r' ')-H)' ! attire 1 attention sur des phénomènes, de contracture ' rtrt P . n«5lrP"(yi atmp ttr)'t ! t rttrlr : f[
ali b IIVla7(l1V y»l H'IOII'1 fund uo r`iflr`)1`t il13ft1llnu 11" ' J , t nn 5r5t ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HY
ères distinctifs sont les suivants : 1 l, - - , t, -» |, . I .. , , ' ? . i ' '. ' Pour la production de la contractu
tinctifs sont les suivants : 1 l, - - , t, -» |, . I .. , , ' ? . i ' '. ' Pour la production de la contracture de l'
ifs sont les suivants : 1 l, - - , t, -» |, . I .. , , ' ? . i ' '. ' Pour la production de la contracture de l'état
'. ' Pour la production de la contracture de l'état léthar- , i , ' . < ' ' t ' / - 11 ' ' % 1 ' 1 . ' ' I ' giq
ur la production de la contracture de l'état léthar- , i , ' . < ' ' t ' / - 11 ' ' % 1 ' 1 . ' ' I ' gique, les e
la production de la contracture de l'état léthar- , i , ' . < ' ' t ' / - 11 ' ' % 1 ' 1 . ' ' I ' gique, les exc
production de la contracture de l'état léthar- , i , ' . < ' ' t ' / - 11 ' ' % 1 ' 1 . ' ' I ' gique, les excitat
n de la contracture de l'état léthar- , i , ' . < ' ' t ' / - 11 ' ' % 1 ' 1 . ' ' I ' gique, les excitations cuta
de la contracture de l'état léthar- , i , ' . < ' ' t ' / - 11 ' ' % 1 ' 1 . ' ' I ' gique, les excitations cutané
contracture de l'état léthar- , i , ' . < ' ' t ' / - 11 ' ' % 1 ' 1 . ' ' I ' gique, les excitations cutanées seu
cture de l'état léthar- , i , ' . < ' ' t ' / - 11 ' ' % 1 ' 1 . ' ' I ' gique, les excitations cutanées seules de
ure de l'état léthar- , i , ' . < ' ' t ' / - 11 ' ' % 1 ' 1 . ' ' I ' gique, les excitations cutanées seules deme
de l'état léthar- , i , ' . < ' ' t ' / - 11 ' ' % 1 ' 1 . ' ' I ' gique, les excitations cutanées seules demeuren
anées seules demeurent inef- ° . -in I ,vw ? il t ). t ni' u W ,m ? ' «' * ficaces, il faut une excitation mécanique,
es seules demeurent inef- ° . -in I ,vw ? il t ). t ni' u W ,m ? ' « ' * ficaces, il faut une excitation mécanique, pr
aces, il faut une excitation mécanique, pression ou - 1 y t .. 11 t ' t t .' i- i < -i ? 1 ? . xi ? , malaxation,
. xi ? , malaxation, qui intéresse les parties sous-cutanées. Au ' ·7 )( tt '. ïï J ' 11 «i.l, . - , , ,am·t ? t'i |
tion, qui intéresse les parties sous-cutanées. Au '·7 )( tt '. ïï J ' 11 «i.l, . - , , ,am·t ? t'i | contraire, la co
rvient que sous l'influence des excitations cutanées t. ·,1 t ( iii ' ? i, ... les plus légères; dans ce cas, la pres
s masses musculaires, des nerfs ou des tendons ? , j ; O l ? ( Il t) ' '.H «'Il ' , w -. , ! , , '(' demeurent ineffic
sculaires, des nerfs ou des tendons ? , j ; O l ? ( Il t)' '.H «'Il ' , w -. , ! , , '(' demeurent inefficaces. , .
rfs ou des tendons ? , j ; O l ? ( Il t)' '.H «'Il ' , w -. , ! , , ' (' demeurent inefficaces. , . Nous avons vu de
s ou des tendons ? , j ; O l ? ( Il t)' '.H «'Il ' , w -. , ! , , '( ' demeurent inefficaces. , . Nous avons vu de q
localisation précise était la 't' ? t . lit .il - ? l.. ,IL] * ) 0 ' « ' Il rit 9 0 susceptible la contracture de l'é
calisation précise était la 't' ? t . lit .il - ? l.. ,IL] * ) 0 '« ' Il rit 9 0 susceptible la contracture de l'état
lle envahit habituellement tout un membre.. ,.ltl 1 , ? »* ...' · I ' ni . - 't I...' ? ll.JI w Dans l'état léthargiq
Dans l'état léthargique, les réflexes tendineux sont .' y <) ; ' .t , t v 1 . - Il I Il,- ) -l' il ,, , · · ! 1 ,·
les tendons produit bientôt la - . t ! Il' i : » - . . , .. , i ? . ' - "I contracture., Dans l'état somnambulique, l
I">1 tendineux sont également exaltés, mais ils ne donnent 1 ! ' /. - . w .7 . j, . ? y i ? n ? i .lit.» ...j .
l'état léthargique ne se résout ,. ! > Hl La )-Il#, - , ,. , .1 ' ......i à que par un seul procédé, qui est l'ex
procédé, qui est l'excitation mécanique fi' 1 |i ri'ii|. , il 41 ? ' > ' e iil.,Ol,ft il 1 q-1 t Ir " xi '" porté
é, qui est l'excitation mécanique fi' 1 |i ri'ii|. , il 41 ? ' > ' e iil.,Ol,ft il 1 q-1 t Ir " xi '" portée sur l
fi' 1 |i ri'ii|. , il 41 ? ' > ' e iil.,Ol,ft il 1 q-1 t Ir " xi ' " portée sur les muscles antagonistes; tandis qu
cles antagonistes; tandis quclacon- , mn H l'il'l ? T ? <-> . ' . - t * . I ? tracture somnambulique cède sous
ussi légère que la première, 1 , i j ) t ! ,· m n ii -i. «-" i .. * ' ? quel que soit son point d'application à la su
face du membre contracture. , , . t t .. , . ! 1,11' | ,1 ., 1 ., ' , t " I ' - I . ' ' . M - 1 I ! Nous rappellero
membre contracture. , , . t t .. , . ! 1,11' | ,1 ., 1 ., ' , t " I ' - I . ' ' . M - 1 I ! Nous rappellerons que l'é
ontracture. , , . t t .. , . ! 1,11' | ,1 ., 1 ., ' , t " I ' - I . ' ' . M - 1 I ! Nous rappellerons que l'état léth
tracture. , , . t t .. , . ! 1,11' | ,1 ., 1 ., ' , t " I ' - I . ' ' . M - 1 I ! Nous rappellerons que l'état léthar
PATHOLOGIQUE. ,.mui, ,. r.h .7'ii.pl,nn,ihi>.' \ . rr,»..., r ? , ' (ii'-^ '. grand diapason brusquement suspendues.
and diapason brusquement suspendues. Quellé suc- f 1 ,··1 f n n¢ r · ' ! wenin , rr i- vrfi rr 1. r.l,·· cède a 1 état
«elle'surVierïhê4'pâr suite dë''lanxati6n"du'rëgard sur un 'objet q ' ue 16Ô711 qu su a a m 'étwd(l e '(dëB r 'àid, l
nxati6n"du'rëgard sur un 'objet q ' ue 16Ô711 qu su a a m 'étwd(l e ' (dëB r 'àid, le début en est subit, en quelque s
clîèré'séntè que des phéno- - jt' ! f ? T ? t ? < ? )f) : .t<) ' 1 . menés psychiques nuls ou très incomplets, t
l'état somnambulique, en outre des faits de contracture -n^i IfU191 ' ,If °ilWljf 1 > i rfilf ''11"If; ^1CV 1 ? lr7tt
culaire,, offre la,plupart, des,phénomènes, attribues i ? î - 1 in. ' , jjli c n«| lie iii 1.ts .Il r'=nusomineilrdit
`difficiiltést qui`e : istëntr'elcore''au'sujetdû·Jnocie''de 71 t, ' ,n : rrnfri 'y' ° nnn rrr ·,. v·,ywn" vf , Ifi rfr
1rii-i'i p'r serions assez'tentésd'admettre,idu"moins7provisoire- ' "ïnerit'le'sdifiérencé suivàntes : fL" cozzt·actur
altique musculaire, ainsi que nous - 1-lili , ",). ,, , Il' ,i ,1,. ' 1 .. I ... ? il, ? 1 ? n. ,.> iifl ,' ,avons
lili , ",). ,, , Il' ,i ,1,. ' 1 .. I ... ? il, ? 1 ? n. ,.> iifl , ' ,avonsf essaye-, de J.ejipro,uverJl.plus1haut,
J.ejipro,uverJl.plus1haut, tandis que, la ? avonsfessaye..de 1 y .- " ' taudis 'e que, la contracture somnambulique sui
INGITE. 323' diastilltique cutané. L'indépendance, de ..ces. deux ' ^ . ' '" l-M ? »,L- u. f . a s m`mlritt· rl3tr.,
. 323' diastilltique cutané. L'indépendance, de ..ces. deux ' ^ . ' '" l-M ? »,L- u. f . a s m`mlritt· rl3tr., arcs
323' diastilltique cutané. L'indépendance, de ..ces. deux ' ^ . ' ' " l-M ? »,L- u. f . a s m`mlritt· rl3tr., arcs.d
ffjq ff ? j'jq ? 9'IfP'l,lffOa IfR .sirpdii(frnf,nino< 1r1s ,1 ' "wu'i 3 -vp '-ta.T >"ijnb sxdq arlrr·ri)ff1 `ry
tffnrt(1 -(IfJ'J·1h 1«< ! , . , OîORItHCE, PSEUD0.11G\I\Gt1'E l ' et - 1 -·rlr`W rl.rf7T11 ft1 ? f,l rr·rt t yr`i
rimédecin,des hôpitaux,™ , n , et DERIGNAC, interne clos hôpitaux.. ' juj> mlurr.l ? 1=,yrn ? rlr yx1 rm *sii,jfi
ans 1 enchaînement, dans la mar- che de ses diverses manifestations) ' s'il. est une'affections qui ? impose, Irs, plus
nsultera avec, fruit, cet égiild, le Traité des névroses, cl'Axeli- ' feïd,1 'augmenté pâivHenri''lluchànl ? ='`l'acis,
é des névroses, cl'Axeli- ' feïd,1 'augmenté pâivHenri''lluchànl ? = ' `l'acis,j18S3,T=p ? 1047tetr`sui· ? .vantes. -((t/
àle reprodüireltëut''d'abôrd';l le* lecteur suivra' mieux; ensuite, ' lës'-rélléxions1 qu'il nous a su ? gérées ? '=
uivra' mieux; ensuite,' lës'-rélléxions1 qu'il nous a su ? gérées ? ' = ? "rf''1 n4 fnl;ltrbuul s1 noijl.041qr iuii rlcn
s 1880, sans, pause ! appré,çiablp,J,san ? xnalJ le, gqr,ç,lsans ta] ' âàië" -t", eure..CVIÇ[ell.tç> larJJ7là,de ët u
rJJ7là,de ët un, .écoulement,, de, . ". · y, W 1 : 1 v .m W.i .nJi , ' 1 n T r .1J.1 ... V ' ' l'oreille di-OiLé et ie
lement,, de, . ". · y, W 1 : 1 v .m W.i .nJi ,' 1 n T r .1J.1 ... V ' ' l'oreille di-OiLé et ieiitôt, un écot 'étté
ment,, de, . ". · y, W 1 : 1 v .m W.i .nJi ,' 1 n T r .1J.1 ... V ' ' l'oreille di-OiLé et ieiitôt, un écot 'étté ü
ce côté; si on les soulevait, Hs.retombaientjnei'tes, elle ne ! .1 ' r J11W r 13 In J h : , W J.1L J n ol f 1 ` u IG J
d,.en,. i/.r.,iii v r'i.iii ,'jjh. il'.i.i ? ui ->'i« ? J i^ ? i, ' ,j.. j.n ? JiiJ -i. r r.ijE3 marchant et sa fac
ue, 1 des'g)obu)è d< ? sa'n'ët de p3s. s' '1JJf ^ 9^l,n0t.%^Z,T, ' f ? '"Hex'ist'eunec'ohtrà6tùre très accusée'dum
des'g)obu)è d< ? sa'n'ët de p3s. s' '1JJf ^ 9^l,n0t.%^Z,T, ' f ? ' "Hex'ist'eunec'ohtrà6tùre très accusée'dumembre'in
existe''de la'contractuïè ? f· mais -1*cil I)é,âüeou moins^ accusée, ' beaucoup moins torte^que du côté 'gauche p',n.i
Jtr,,iiir,q on v2y'lu a1L il il) -il Jncj ub fup-'j.X iVa j. < ? ' 4 ri 'j : ,Lr ? -I ? tf ? f ? 7 ? 0f ? ) ? ï ? t
.X iVa j. < ? ' 4 ri 'j : ,Lr ? -I ? tf ? f ? 7 ? 0f ? ) ? ï ? t ' ! 'La face ? lors de la première attaque, était
eC* esl ey1a01 oL iiq-) na ''T"1 B ^ , qu'e'ne'ut'soufHe'r.ctcctc ? ' n· .. "" ? ' ' , II," l'JI >">', "l-\ ? =
1 oL iiq-) na ''T"1 B ^ , qu'e'ne'ut'soufHe'r.ctcctc ? ' n· .. "" ? ' ' , II," l'JI >">', "l-\ ? =,». ? rt ', «
oL iiq-) na ''T"1 B ^ , qu'e'ne'ut'soufHe'r.ctcctc ? ' n· .. "" ? ' ' , II," l'JI >">', "l-\ ? =,». ? rt ', «I
.ctcctc ? ' n· .. "" ? ' ' , II," l'JI >">', "l-\ ? =,». ? rt ' , «I ? "»1U-r|j -"i,l«. -I .-» ? '.l'-IOl 'La la
eure, c, se'mâ'ssë' vérs'ré'i'coté'' gauche ? Il9 est1 impossible1'^ ' là 'malade' de^ la fâï ës;ilüiyâu delioîs, de l
26 . RECUEIL DE FAITS. · L i Lyf t | ..Il - , si : r 1 ? tjf 1 ? .a ' ); ·° ,t a m r i , La luette est peut-être dévié
difficile de porter sur.elle, alternativement a droite et a gauche, ' un corps sapide; cependant, ta sensibilité gust
e acétique et de l'ammoniaque, restent sans déterminer aucune · " , ' UJJ^ir'jll ilU ? ljVlll ? «tlLlill.lJj, ,IJI ? I
rs; du côte droit, le vert 9 ? , .i ? ..au flU.u I.I.ï Iln i Ilill· ' 1,1 et le violet sont vus indistinctement en, g
, au contraire, 1 orange, le,jaune ? I%bl 1 U' S. i Il t , peiçus. " ' 1 Il 1 . illli li' fil r `1>n ,-fin il Lexam
ques ? " Rien ,,du côté, de la. vessie; rien du côté du l'ectum ? " ' ,iHiijl4liii,i'J L'intelli ence est intacte, la,
int^du .corps .trace de -tu 1,, . -. ? , À' , ""I * " les sses /J" " ' iiasales, - . le .trace de tumeur ? la voûte cr
st point douloureuse, nulle part ellcne porté traces'd'inMëxi6n ? " ' OT0RRIIÉE, Z 337 ! . (. ,, En présence des pa
e 1 loi lie comme' ces accidents a ... <iA |i ? lr. l-l. à",i ,1 ' >' 1,, comnie rien dans avaient été consécut
b ! oJul'9 ™S«i-l .1 Le )7, la,maladevéut ? a" l'aidé"de' béquilles, ' faire'1 quelques pas dans 'la 'salle ; aprJs,v
Js,v ir,°L.ill,ttjlltesa9 tt7rrtus"deief rie;iLcI'ly intënses. ? B' ' d 1 · Le 18, crise épileptiforme, le matin, et
qui dure environ' mie ou ? J1 1. 1 ? Il t - i Il - " - ''i i , ! l7 , ' 7- - - ' 1 deux minutes; la contracture semble,
environ' mie ou ? J1 1. 1 ? Il t - i Il - " - ''i i , ! l7 , ' 7- - - ' 1 deux minutes; la contracture semble, le soir,
, le soir, avoir diminue quelque peu'c'épèndant'.1" : lluii' " <" ' Poa ;'9a ? P 2111111.J : : «j1'|ihb3 ui> .jjjm
oa ;'9a ? P 2111111.J : : «j1'|ihb3 ui> .jjjmj peu'c'ependant ? ; ' ? " ? P ub ,f JXJ'iii'l*-t'(M ? 1 ? ? t j i »»
calisées. s'urtoué dans Le 19, "attaques épiteptiformosfi'équente's; ' ]oca]isécs.surt,outdaus le membre, supérieur gau
t qui continuent à se reproduire 'fréquemment le lendemain ! "1'' f ' "M^' lit,. I ,J'Lé'2l, attaque épileptiforme tr
continuent à se reproduire 'fréquemment le lendemain ! "1'' f ' "M^ ' lit,. I ,J'Lé'2l, attaque épileptiforme très vi
le liiiçnii ÿ iupeii,ea,âlilc11.1 °;l,dl'J '->ulSi Ja *ùu* ,(ltJ ' 'J '-U ? » Les troubles sensitifs.restent la ph
'et,'idôs ? qû'on'Jclierclie'à dirifiro la pupille en haut1 pour ' la ., 1 ? 1, 1 . . *ù " dirige la pupitie en ha
e en haut1 pour ' la ., 1 ? 1, 1 . . *ù " dirige la pupitie en haut, ' pHuF'ta masquer sous'')a ? paupiere''su- rjérf.
il' ii,-i ,Itif)olj 1)1) Juru`l .9lJ,nr(lr urrflsliy : J'u .Ir(iu'I ' ceiltigram^è's'c'aToViëi ? ^- : 1; f ^isli^'usjùo
' Jnalâde est z -C-Oll,l liii, 19 I» (Itl'lf. , 1 1 ? 1 1 t. f ? .r ' l torpeur delaquelle on ne la tire que lorsqu o
'élii6r- ube'yéé désdivet'sesl; iicliésadu'trijâiiïeaû,'1es 'points ' douloureux 'et sotï -oi·1)itâire inalaire nasô-
gues. à celle que1nous.,venons1de,1signale,riidu ,côté de la lèvre. ' )n9n ? ? -j JM (bi311""4 ? »' I : isummib 'ddmaa
1de,1signale,riidu ,côté de la lèvre. ' )n9n ? ? -j JM (bi311""4 ? » ' I : isummib 'ddmaa 2o, même état. Cependant la,
urjla^èvre^supérieure.près.de . la commissure, t., huJioo'nr.-iJ ne ' Le 6, ia pa,qûeoççûpe,loutll.e,,uord Îibre'della
rJalÈYreupér)cue gaucbp s'e.st aifaissée ; ,1'iH>j Cil ] IIiiIIm ' »n 'l»n > ' uiL le derme au-dessous d'elle e
e gaucbp s'e.st aifaissée ; ,1'iH>j Cil ] IIiiIIm ' »n 'l»n > ' uiL le derme au-dessous d'elle estbianc.jaunatr
te.de réveiller sa souffrance, la malade refuse, toute alimentation, ' ét;,luisse.sa salive - ? ? OTORRHEE, PSEUDOME
EUDOMENING1TE. 329 s'écouler en dehors ? T6ute la face à'gauche'est, ' le "Siège (I'llypeles- tliésie', les points'dou
le. Z lâ mâÎade semble ''cependant se 'dissipe' ? . U 'Ijsill "n se ' creuse ' sur' la' lèvre inférieure pour séparer
mâÎade semble ''cependant se 'dissipe' ? . U 'Ijsill "n se ' creuse ' sur' la' lèvre inférieure pour séparer' la lési
m : u']de'N6us' la . I,-1 -'... , ? T. r' ? 1.1. «r..TWlt'i ? ? ? R ' > -revoyons^ en ville le 3 mars; Le begayeme
ét'ilini paraître, sifrapidementi desmanifestationst méni 'géc5lli= ' dant, nous n'oserions affirmer qu'il ne se soit
ecidentshhyslé/iqites ^us- qu'î'ci,2»eslés,late;its ? ) et -n«b .')) ' }' -'J' ! L)% sIIy1 96 "351't Li ob .1 ? '"Les l
identshhyslé/iqites ^us- qu'î'ci,2»eslés,late;its ? ) et -n«b .'))'} ' -'J' ! L)% sIIy1 96 "351't Li ob .1 ? '"Les lés
,late;its ? ) et -n«b .'))'}' -'J' ! L)% sIIy1 96 "351't Li ob .1 ? ' "Les lésions'de' l'breille,ll'si',Iaii'débtitl,'el
de fièvre, auraient pu à vrai dire, du fait seul de la fièvre, ° ? ' ? ? -1 . 1.. 11, 1 % ,te 1% %%, ,1Hmi ? l éveil
solvit; enfin,, 1 on , peut.se .demander s'il n a point existe un . ' , , i ' , 11 ? .-l.li.-IM >|. VHI-, |... ? J. t
enfin,, 1 on , peut.se .demander s'il n a point existe un . ', , i ' , 11 ? .-l.li.-IM >|. VHI-, |... ? J. t. 1jh|
"h petit abcès dans la substance nerveuse, une zone de congestion, ' ? .r .I1 11 ? H ? ))lin.1 ? f,. toutaujmoms,, q
s quelle.que soit,l hypothèse que 1 on adopte, un tait res- ? ? I. l' ' 7.-i '7 1 J1 ? VMrirr.vn,) * = ? 01 '= ï.ffr-T-1
adopte, un tait res- ? ? I. l' ' 7.-i '7 1 J1 ? VMrirr.vn,) * = ? 01 ' = ï.ffr-T-1 sort clairement de l'étude (le notre
n'r.des'medecins'de 1 école de la Salpétriëre ? dc itf ? t ? 1 ? ? ) ' ]'< ') ? ,, q'ITe) fT"= ? ,T)t),'ff't 11Z12 ?
medecins'de 1 école de la Salpétriëre ? dc itf ? t ? 1 ? ? )']'< ' ) ? ,, q'ITe) fT"= ? ,T)t),'ff't 11Z12 ? GliarGô
sseur Germain Sée, dans ses belles études sur 1 améliorée1,' fl;ir·, ' n n 111 v.,y·y : jl nl·rrl( p,tfrn ? i + r,, , J
tabès dôrsal(5o' qui`avait'été mG- ,110;lt 1-lil-f et (1 1- li.1 Il ' 1 , Il ., connu, tabès dont « les accidents ava
? 1, '.Iiji'iii un -Iii-ibnij; OTORRHÉE, PSEUDOMÉNINGITE. 33 il ? I ' i , . * festalions une fois développées peuvent
a marche, /a'm<omoo ? e/)01 absorbera' elll lit i ;, 1. ? ? '' "" ' - ,, Dans, un cas semblable ou analogue a celui
enons de rapporter, les antécédents devront être examinés avec soin; ' s'ils sont insuffisants pour dicter le diagnost
es, de leur marche, de 'leur enctialiiiiiie'nt, dé 1 ? i évolutiôn, ' ? 1 1 d'rin' enchaînement, de leur évolution po
de 1 oreille, et pour les raisons que nous avons signalées.... r ), ' ? 1.I...I, ....- -D ? ~ - .lU -lll' i > -'il
vialcie, la respiration avec son r iyt ime. Clieynes-Stolcés . ° ' 'il; ) -J .. , r'.[ ! tt ? ....u ,rr . .mit' ]e
ogie patiiq o gique ou,,leur. comparaison avec les pli-noinèi s du ' môme .ordre. aux, travaux qui. ont ete iusqu ic
quels 1 on'ai vu' une- vivl'e'i nipression- dej o i é'll'dé frayeur ? ' la'foi en un médicament Oiïjla' seule 'influenc
néritzsübitement''apres' l'administration d'une'pi )u ! e°domië''de ' ,pain,' déeorée"*du nomi deipilul© fulminante1 !
übitement''apres' l'administration d'une'pi )u ! e°domië''de ',pain, ' déeorée"*du nomi deipilul© fulminante1 ! ' rosi
)u ! e°domië''de ',pain,' déeorée"*du nomi deipilul© fulminante1 ! ' rosira 110 ,911«Hub-im sslIST9nl;r ftrlr n f' 3
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t, ,.v i vvt> sci s·vv ti·i ? .i<.>ï>'>ii\ >« rtm ' \ «i\->Vi^ l-c81 >bnii\ .k-i[..^iieril csly·
;Vi^ l-c81 >bnii\ .k-i[..^iieril csly·sstass,r·· ? Par Ch. FÉRÉ. ' " 'I " bfI - ! ·cst' al.ren,l·,ysx·sWr 3 Snlssss
ux.neris.,desmembres ? a.) de.,tout temps préoccupé les anatomistes, ' avant-mêmequa la patfo-y logie.des. nerfs .fut
on comprend mieux aujourd'hui tout`l'intérètl ? ? 9 t", l"'u *,DVJ ' »^H ;^ - »«'«» ' /. .1 1 ii-i'Ï r .··,'t·sitp·c9
mieux aujourd'hui tout`l'intérètl ? ? 9 t", l"'u *,DVJ '»^H ;^ - »« ' «» ' /. .1 1 ii-i'Ï r .··,'t·sitp·c9lt,stl·, ·."
ux aujourd'hui tout`l'intérètl ? ? 9 t", l"'u *,DVJ '»^H ;^ - »«'«» ' /. .1 1 ii-i'Ï r .··,'t·sitp·c9lt,stl·, ·."l. 1
l·, ·."l. 1",ss ,s"y,·\ tct·tW .9v'vl\ ·mjt r,·wst9sClctss tt H ? w·W ' tlyrtls,·v·1 tt 1 /tenue rfe médecine, septembr
/tenue rfe médecine, septembre>U88î ? vM V 'w'K) .lss·s.l 'I-.t. ' A. Scarpa. Anatomicarunv annoialiomtnV liber prim
I-.t. ' A. Scarpa. Anatomicarunv annoialiomtnV liber primus; 'tfeie) ' no>·una yanylüs et ple.zibus; Ticini`179 ? 4
s; 'tfeie)' no>·una yanylüs et ple.zibus; Ticini`179 ? 4 ? s\'s " ' '<3 ' r J.-AV'Schmiilt. 'Cohimentaritts de n
)' no>·una yanylüs et ple.zibus; Ticini`179 ? 4 ? s\'s "' '<3 ' r J.-AV'Schmiilt. 'Cohimentaritts de nervis loi
bus eorumquè plexus anatomico-pathologicus ; 4°. Vinslobronm, 1794. ' * SUR LES PLL,1LSIDCS NERFS, SPINAUX. 333; ' .
°. Vinslobronm, 1794. '* SUR LES PLL,1LSIDCS NERFS, SPINAUX. 333; ' .Si O11,C.Yal111ne,a,veCSOlll CBltaines,né'ralgl5
ep. 1856, p., 586) ? T ,r.i ? ,...'- 19`1 t °°i r y 1Tr vite 'r< ' : 1`,t -dt Kaufmann. Die varielilten des Plexus
t Kaufmann. Die varielilten des Plexus brachiahs; Gieseil, 1861.. ' t -,b - .<ff* TT ? "'< ? ? f'' ,9tft', tr't
.. ' t -,b - .<ff* TT ? "'< ? ? f'' ,9tft', tr'tf/<''t-) t ' c'lé Lit c.1-ts ? L'Po normal arrangement on th
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A's<M ? tM<. Med. 1 éreins, N. S., 1. 8/1874.)' ? 1 -Mji,umr " ' '. '»> ..\..i..iMt.i4o^.^\0^n r 3 3 se , REV
t;M ? tM<. Med. 1 éreins, N. S., 1. 8/1874.)' ? 1 -Mji,umr "' '. ' »> ..\..i..iMt.i4o^.^\0^n r 3 3 se , REVUE ,
te sur, le médian, peut s'accompagner, par exemple, d'une douleur 1 ' " 1 : l il PIPSI , , plus accen- . tuée, à la .
ne. pourrait-on, pas attribuer les troubles, fonctionnels' a une e ' ailection plus ou 'moinsrpasséâeré 'de' la,moelle
on plus ou 'moinsrpasséâeré 'de' la,moelle ou des me- ...l.i t v.). ' ° . 1 ? H."lli-ir t . .'tn<' ff .. nmges,. p
mis hors de doute par 1 examen anatomique : on X `1 I , i * 0 i J- ' si ' * ' ' - v Ir 1 1 I ^ rt ' . ' , voit des s
hors de doute par 1 examen anatomique : on X `1 I , i * 0 i J- ' si ' * ' ' - v Ir 1 1 I ^ rt ' . ' , voit des sciati
de doute par 1 examen anatomique : on X `1 I , i * 0 i J- ' si ' * ' ' - v Ir 1 1 I ^ rt ' . ' , voit des sciatiques
e doute par 1 examen anatomique : on X `1 I , i * 0 i J- ' si ' * ' ' - v Ir 1 1 I ^ rt ' . ' , voit des sciatiques d
anatomique : on X `1 I , i * 0 i J- ' si ' * ' ' - v Ir 1 1 I ^ rt ' . ' , voit des sciatiques doubles déterminées :
tomique : on X `1 I , i * 0 i J- ' si ' * ' ' - v Ir 1 1 I ^ rt ' . ' , voit des sciatiques doubles déterminées : 1°
., 2°, par les exsudats ménmgiens, dans la paralysie générale des ' '. f , ' L' 'I "'D : U ? IIIUOII'.1 - Jll.j'l J.
par les exsudats ménmgiens, dans la paralysie générale des ' '. f , ' L' 'I "'D : U ? IIIUOII'.1 - Jll.j'l J. ? ll î-ll
Si on peut soupçonner 1 origine centrale pu médullaire de quel- ., ' crues névralgies d'apparence périphérique, , lé,
, antérieures de lamoelle qu'une double altération des paires ncr- ' ' ? ' . tf. J j i ' t t i Jf 'f f ))t ) t ) '<
antérieures de lamoelle qu'une double altération des paires ncr- ' ' ? ' . tf. J j i ' t t i Jf 'f f ))t ) t ) '< )
érieures de lamoelle qu'une double altération des paires ncr- ' ' ? ' . tf. J j i ' t t i Jf 'f f ))t ) t ) '< ) 1 l
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? Mais, à défaut, d'autopsies, l'·origine,·Ide ces névralgies et.de ' , . , l V , . ' 1 ? 1 1 t. Mil, -J. , » t cespa
, d'autopsies, l'·origine,·Ide ces névralgies et.de ' , . , l V , . ' 1 ? 1 1 t. Mil, -J. , » t cesparalysiescomplexe
ce qui appartient aux lésions intra- ? 1-acliid.i.ennes. ? ... ,, ? , ' = ? ? r ·, , I ? n ? I I Trois ordres de faits t
sie de'chaque muscle' qui entre`en action' Le' degré''de 71 7't 1%.· ' ( ,itro(rt i|, i,j.,T|ftPsi. r»'r.r-r ,~ ...1, , .
mobilité du membre qu après avoir sectionne toutes les racines. "1 " ' Les expériences dé A4Vf : P. l3ei't et 21,'fait
ts arrivent à un résultat concordant aveclescon- -ï|l 7 'l ^orr.|i. ' ;1r,ri 117, .1 .inir.' -.r - - ,-rn ? i , aussi qu
Usatio'n'des fibres neWeuà'éii)iiériqÏiê ? dbs'Irer origine. ny ti' ' ' ' fï ? ' " ? T'trr rt ... )f".<") f ? < ?
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origine. ny ti' ' ' ' fï ? ' " ? T'trr rt ... )f".<") f ? < ? ' r -, En résumé, ces diverses expériences semble
1 -.b - ''\ 'f I '1-oiTiei' et Yeo.D<e7''t<) : e<M'e/Mt-'e) ' /t«</M ! 'Me (ici, motorischen ll·'ttr- zelii
nernéllnerf phrénique, dont les origines, seraient- plus, t élevées^ ' une paire.chez Je.s,singes : )f-tt;(t ? rt) ' >
ient- plus, t élevées^' une paire.chez Je.s,singes : )f-tt;(t ? rt) ' > si» ilmiri 'u ? t L'expérimentation a été
nq onpi .1 > ^1llVl-*11"9|-ll|l| .b'I- '3l'»T)il 'll'l.iîll »M'C ' ' 'fllll9t t nf· ! 7"t) II, Si,)maintenant nous
onpi .1 > ^1llVl-*11"9|-ll|l| .b'I- '3l'»T)il 'll'l.iîll »M'C ' ' 'fllll9t t nf· ! 7"t) II, Si,)maintenant nous,
tildl. Leipxig unfl Ileitlelllcrg,l8G ? ·« . A r i ... ,j - - £ ' SUR LES PLEXUS DES NERFS SPINAUX. ' 337 ' que l
l8G ? ·« . A r i ... ,j - - £ ' SUR LES PLEXUS DES NERFS SPINAUX. ' 337 ' que lesracines soit antérieures, soit pos
·« . A r i ... ,j - - £ ' SUR LES PLEXUS DES NERFS SPINAUX. ' 337 ' que lesracines soit antérieures, soit postérieu
ntérieures, soit postérieures qui' constituent' une paire' nerveuse, ' sont' souvent en'nombre différent et de volume
en'nombre différent et de volume variable' des déuY'côtés.'De "plus, ' les paires nerveuses'' `' ont un.volume relatif
volume variable' des déuY'côtés.'De "plus,' les paires nerveuses'' ` ' ont un.volume relatif très variable' suivant le
ont un.volume relatif très variable' suivant les sujets. 'Il résulte ' ` même des recherches "de M-1-Adamkiewicz''1 !
s. 'Il résulte ' ` même des recherches "de M-1-Adamkiewicz''1 ! qùe, ' lâ'plup'àrt'du"" temps,ril manque une ou'plusie
â'plup'àrt'du"" temps,ril manque une ou'plusieurs paires1 nerveuses, ' principe' lement dans larégion'dorsale. En outr
oùs'pai-aissentl'déjà'de711atù'ere'-à' faire' " croire à priori,que, ' chez'riiomme'au m-'oins,' 1 Iles'oiiduéteÙis'dé ?
1atù'ere'-à' faire' " croire à priori,que,' chez'riiomme'au m-'oins, ' 1 Iles'oiiduéteÙis'dé ? l'excitation'des' mouve
lt; La- description* anatomique" des plexus tellè'4uIld'est donnée ; ' dans 'les'ilivres classiques,' ne-peut; rien 'p
" des plexus tellè'4uIld'est donnée ;' dans 'les'ilivres classiques, ' ne-peut; rien 'pour la"soluti6n"dé' la ? questi
question ! 1 Scarpa,`tProchasliâ`,t Seeminerül; 13alléz : ; Iïlint; ' Krô='" nenberg; Walsh;Iahân ? étc ? ânt'ehercli
stion ! 1 Scarpa,`tProchasliâ`,t Seeminerül; 13alléz : ; Iïlint;' Krô= ' " nenberg; Walsh;Iahân ? étc ? ânt'ehercliéàîrli
ë ^ savor9si;.chezll'homme; il existe une'SYstématisation fonction- ' -f nellei dans chaque 'paire, nerveuse.- <ni
fonction- ' -f nellei dans chaque 'paire, nerveuse.- <niin ? ? - ' Le seul ! point 'qui soif'établi par "esl'disse
' que chaque paire nerveuse fournit' plusieurs nerfs;'dâns'jdesprô= ' portions variables, et que chaque nerf reçoit d
t; mnob - · ) ? 7'4[t - <<t')tt t 'A[]amk ! ewic ? Ue&e) ' *de)t haiifigen ullângël So)'M) ? ? c/fCMMa) ? I
r- Il - quera toutefois que les discordances ne sontjpasfondamen- ' llîg. 2. - des pnuc[pates)jranc ! )es nerveuses f
, 4, S, 6, 7, 8, 1. Les huit paires cervicales et la première paire ' ilorsale. PDL, nerf du petit droit ] : tt.eral;PD
r ce nerf jusqu'à ses origines.)GAG', grande abdomino-génitale; . t ' ' . 1 I 3t2 ' REVUE CRITIQUE. ' PAG, petite a
ce nerf jusqu'à ses origines.)GAG', grande abdomino-génitale; . t ' ' . 1 I 3t2 ' REVUE CRITIQUE. ' PAG, petite abd
à ses origines.)GAG', grande abdomino-génitale; . t ' ' . 1 I 3t2 ' REVUE CRITIQUE. ' PAG, petite abdomino-génita)e
G', grande abdomino-génitale; . t ' ' . 1 I 3t2 ' REVUE CRITIQUE. ' PAG, petite abdomino-génita)e;FCE,, fémorale cu
rpo- sition, quine parait. pas souffrir, d'exception ? t) <) i , ' 'j ? Nous avons représenté dansiai/ ? <7c<
qui ? prennent naissance dans les paires lombaires et sacrées. 1., ' ♦uiîlm>iifji *t»ilil - ,1 A u [,- i -nui, .d-iM
ez lesquels les troncs ner- veux, sans aucune préparation préalable, ' se prêtent beaucoup mieux aux dissociations, en
uite de dissections multipliées, nous avons obtenu des préparations ' tout à fait confirmatives. des recherches de Kr
ion étendue d'acide nitrique. · 3 H REVUE'CRITIQUE. , dc, .. - 1. ' ' ' . fondent pour se séparer bientôt, puis se
n étendue d'acide nitrique. · 3 H REVUE'CRITIQUE. , dc, .. - 1. ' ' ' . fondent pour se séparer bientôt, puis se ré
étendue d'acide nitrique. · 3 H REVUE'CRITIQUE. , dc, .. - 1. ' ' ' . fondent pour se séparer bientôt, puis se réun
' somme, dans'.le trajet des fibres nerveuses, il ne parait y avoir" ' · que deux points constants : le point de dépar
s fonctionnels de la vi- sion par lésions cérébrales, 1882, p. 236. ' SUR LES PLEXUS DES NERFS SPINAUX. 3 lt5 , ..
p. 236. ' SUR LES PLEXUS DES NERFS SPINAUX. 3 lt5 , .. . »- j,, 1 ' trW ! ( l,l.p·i 9 ? wrr,tl 11Ji1(5v·, If 111 ?
ines etjdes. cornes grises, , ., ,t,1 pm, . 11 . j ^.11 u 11) "iJll ' -I» »" "o dans une 'étendue correspondante.^, |
miFt ! t-Jr, , , . j - - .,r J, *(1 yn·iws' 7vlG ? IJiÎ 3'r 19W1 `J ' ' En résumé : 1° si des expériences, faites sur
! t-Jr, , , . j - - .,r J, *(1 yn·iws' 7vlG ? IJiÎ 3'r 19W1 `J ' ' En résumé : 1° si des expériences, faites sur les
identique. , .... i. '...u.,t.)o) ? J -.10 a1 I J yL 2° 'Si' cette* ' systématisation existe dans la,,moelle, .elle, ne
pondent. ? ... ,-r ? rw «1 i'â 21o'e" ... ? i ? i- », - -- ca8 ^, ' Troisier. Note sur l'état de la moelle épinière d
senthal remarque- que la chute a lieu. lorsqu'on ferme l'oeil sain, ' du côté de cet oeil, tandis qu'il n'y a'pas'de
(mémoire, etc.); troubles'de coor- dination'et`de 'l'équilibration ' (vertiges) ? Le1 'nitrite7 d'amyle; dilatant le
Signalons les éléments - ,.J'. t lit .<»,....' /i.- .i ? - 1 i, ' ..n n ." ''.'...,« ? ,,n, cliniques suivants. L
amaurose heilii n ? ;, ii,iHJi -H 'n -.IH'i'i' i-i n uni ,l.i i il ' , ,i , , n', 'fm'1 qu la-latérale sans paroxysme
Etant donné 'oui ? . ? i1 ,, v» . i> <> fin -- ? »*" .' f ' , t si v ii, -'·'·1·1 TI G 1f une. hémianesthési
'oui ? . ? i1 ,, v» . i> <> fin -- ? »*" .' f ', t si v ii, - ' ·'·1·1 TI G 1f une. hémianesthésique, amblyopiqu
ui ? . ? i1 ,, v» . i> <> fin -- ? »*" .' f ', t si v ii, -'· ' ·1·1 TI G 1f une. hémianesthésique, amblyopique
lles;'alors,du'une·demi-liéure aupara- vant'et' pendant 'lés pauses, ' le 'fond de 1 aell rëprésentait l'état normal"
es,' le 'fond de 1 aell rëprésentait l'état normal" ·1 1 ? r ? n'fn ' ,nt . r tt ? n ,'1, cl ,r 1 ,1 'o'h 11' ft't :
l" ·1 1 ? r ? n'fn ' ,nt . r tt ? n ,'1, cl ,r 1 ,1 'o'h 11' ft't : ' v, Y111n vlfl i n·· .-i'. I-. - i j'ih '. ii.i'.»
lalive. C est, toujours un défaut de perception ? ? ? . correspondant ' au'"côté r ? i f m-.» ? ,0 ? nij.'iii-. t i ? , .
. correspondant ' au'"côté r ? i f m-.» ? ,0 ? nij.'iii-. t i ? , .'l ' 'n.... n '- , n . , ? ? ? ? -i.1, ' ' 1 cédant
-.» ? ,0 ? nij.'iii-. t i ? , .'l ' 'n.... n '- , n . , ? ? ? ? -i.1, ' ' 1 cédant au transfert obtenu par aimant et le
» ? ,0 ? nij.'iii-. t i ? , .'l ' 'n.... n '- , n . , ? ? ? ? -i.1, ' ' 1 cédant au transfert obtenu par aimant et le n
et présentant une'série de particularités propres à l'innervation - ' ? l,.l ? JU'II '.I ' X ' I 1 -t," I I , ? I ,.l &
rie de particularités propres à l'innervation -' ? l,.l ? JU'II '.I ' X ' I 1 -t," I I , ? I ,.l >l ? 'I" "I U', H
de particularités propres à l'innervation -' ? l,.l ? JU'II '.I ' X ' I 1 -t," I I , ? I ,.l >l ? 'I" "I U', H spé
conformément aux dispositions anato- ,1- . ni ? 1, . r m , " ? ? -j ' . , ! '....)>> l,i , ? miques et physiolo
ferons pas. y ? , 1 l r' l 11'ill r, n r 'frtlmlfl·r 5 It·mhl. , . ' , ;Ift ' 1 s ; If -illlluf ? l 'r- ' - lit 'lll-
s pas. y ? , 1 l r' l 11'ill r, n r 'frtlmlfl·r 5 It·mhl. , . ', ;Ift ' 1 s ; If -illlluf ? l 'r- ' - lit 'lll-l'll il
, n r 'frtlmlfl·r 5 It·mhl. , . ', ;Ift ' 1 s ; If -illlluf ? l 'r- ' - lit 'lll-l'll il . I ''llKlild'ilt n-;if»t . 'i
la physiologie et à la pathologie du transfert. Telle est, en effet, ' la rubrique, sous ' 350 REVUE DE PATHOLOGIE NER
la pathologie du transfert. Telle est, en effet,' la rubrique, sous ' 350 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. laquelle M. R
yant et. après la section du scia- tique, déjà faradisation cutanée ' ; celles de Rosenthal (jV,àën. ? aeclic. presse,
lenburg)'ëtde catalepsie (Stùbing) au courant des accès (Regnard) ; ' ; l'étude'du transfert par embolie cérébrale (an
ion dé la moelle chez le' même les troubles fonctionnels du'grand ' ' ' , » , »*. 1 Congres cles'âliénistes et neur
n dé la moelle chez le' même les troubles fonctionnels du'grand ' ' ' , » , »*. 1 Congres cles'âliénistes et neurol
dé la moelle chez le' même les troubles fonctionnels du'grand ' ' ' , » , »*. 1 Congres cles'âliénistes et neurolog
emagne du Sud-Ouest. (Archives de- Neurologie] t. 11, p. 1'2'2.) -1 ' .. 1 . - . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. -3jl
, le transfert dis- parait par oscillation, comme il était apparu.' ' Ces assertions expliquent la concomitance de la
à l'aide d'un appareil spécial qui n'entame presque 'que l'épiderme, ' suivie' de l'application d'un remède huileux se
par la congestion cutanée : compensation entre les sinus de la 1 ' '» > V 'if ,t ,j - l i'" ? 1, - ,1W Fi - , 1,
ar la congestion cutanée : compensation entre les sinus de la 1 ' ' » > V 'if ,t ,j - l i'" ? 1, - ,1W Fi - , 1, r
igation commune des téguments .céphaliques et des , 1,131 "i ? r a- ' ' llljilii'v 1 il- m, D ' ? Il t'. Mi'l h ? im-"
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nts .céphaliques et des , 1,131 "i ? r a- ' ' llljilii'v 1 il- m, D ' ? Il t'. Mi'l h ? im-" . I' organes mtracrânien
s mtracrâniens. , 1 , , , . P. K. , , Il il / Il , ? / -'' i l<l ' 9 £ 11 u . - . Ji t ·v,ItW-t, "ut)'') vl : . ,(
lt;l ' 9 £ 11 u . - . Ji t ·v,ItW-t, "ut)'') vl : . ,(,q f u ? <) ' ? f .t ? ( ? »i XXIX. Des DE S ? «G; pâr'A'.7bi
uveaux faits qu'expose 11a D·ain`alivle rallient a cette opinion. - ' '; ? i'* j "f w , Il t v·t I· ? , ! L : t 1 . m
ux faits qu'expose 11a D·ain`alivle rallient a cette opinion. - ' ' ; ? i'* j "f w , Il t v·t I· ? , ! L : t 1 . m· ,i
e la capitale, fait le sujet'de là i, éiiiièi-e 1ol)ser,at io»ii. " ' ' Kn 18/7, a la suite d une violente émotion, I
la capitale, fait le sujet'de là i, éiiiièi-e 1ol)ser,at io»ii. " ' ' Kn 18/7, a la suite d une violente émotion, I..
de crache- I iliciits' fde"s .atizd 11, qu-otidicii, de photophobie, ' de rougeur et de' I larmoiement' de^sang,' acci
otidicii, de photophobie,' de rougeur et de' I larmoiement' de^sang, ' accidents qui' disparaissent'au bout' de huit m
mois ot'1'éapparaissent en 1879,' 1880 et[ 1881. On constate 'alors, ' z outre les symptômes précédents, un léger stra
e- ment à heure fixe, comme jadis les hémoptvsies. Hémianesthésie' , ' total" 't' 1" , - ? d , " " ' ? * "<iii 4,i
dis les hémoptvsies. Hémianesthésie' ,' total" 't' 1" , - ? d , " " ' ? * "<iii 4,i i i , , ) totale a gauche. , ,
pondante. 'Les .k1 .1', · ? F Il,,[% "tfrr'ftlii'' -«l'hn '-» "un h ' 'l y m '' ISCIll1'CS, t. V. 23 35 si REVUE DE
fois par jour et ne cessent qu'après l'établissement des règles. ' Desprès et Brun, en 1877, constatent la présence
4 et se terminant par la guérison); par J. DÉJERI ? 1,. {Revue de ' médecine, 1882, nOm 3 et 4.) L'auteur avait obs
. B. XXXII. Altérations des cellules nerveuses D1NS'L'IN1L : lvi- ' TIrl1'ION de la moelle épinière ; par Luis BARAQU
vacuolaire ; 4° l'altération pigmentaire et l'atrophie pigmentaire. ' ' 1° Hpertroplué.'=Aprèsavoirrappelé Ie mé'moir
olaire ; 4° l'altération pigmentaire et l'atrophie pigmentaire. ' ' 1° Hpertroplué.'=Aprèsavoirrappelé Ie mé'moire de
ences de MM. Dujardin-Beaumetz z etGrancher (myélite expérimentale), ' l'auteur' fait connaître son opinion sur la nat
cavités; celui-ci les fixe dans leur forme et les colore en brun. ' Quelles sont maintenant la nature et l'origine de
ire » ! celui d'infiltration médullaire des cellules nerveuses ? 1, ' ' " ' ' ' 1 4° Altération pigmentaire et atroph
e » ! celui d'infiltration médullaire des cellules nerveuses ? 1, ' ' " ' ' ' 1 4° Altération pigmentaire et atrophie
! celui d'infiltration médullaire des cellules nerveuses ? 1, ' ' " ' ' ' 1 4° Altération pigmentaire et atrophie pig
celui d'infiltration médullaire des cellules nerveuses ? 1, ' ' " ' ' ' 1 4° Altération pigmentaire et atrophie pigme
lui d'infiltration médullaire des cellules nerveuses ? 1, ' ' " ' ' ' 1 4° Altération pigmentaire et atrophie pigment
omprend la dégénérescence kys- tique avec atrophie des deux organes, ' l'hydronéphrose'et l'atrophie granuleuse, l'atr
'et l'atrophie granuleuse, l'atrophie par malformation congénitale; ' les pesées fournissent un maximum de 67 à 82 gr
e anomalie... ·, n - .» .i- / 'h n « · )" P ? 111() W if,ty · 't'W ( ' II · , t'17,·,il 1 IfUI9t1'I i`aI Voir Archives
anciens. Jusqu'ici, l'auteur n'a pas 'd'autopsies. 'Il fournit une ' observation détaillée à l'appui; en faisant rem
sence de toute maladie ou lésion de l'ensemble du système osseux. - ' ' ? ' Dans l'impossibilité où se, trouvait 11.
nce de toute maladie ou lésion de l'ensemble du système osseux. - ' ' ? ' Dans l'impossibilité où se, trouvait 11. Ri
de toute maladie ou lésion de l'ensemble du système osseux. - ' ' ? ' Dans l'impossibilité où se, trouvait 11. Richte
x cents aliénés et les mêmes chez autant d'individus sains d'esprit; ' il a choisi comme - terme de- comparaison la pa
mcnt, par extension, chez les gens'sains d'esprit. P. K. ;. c...j ) ' ! n 1'u Il jj, lie '"« ' i · '" ,. Y ". L ? lm'
chez les gens'sains d'esprit. P. K. ;. c...j ) ' ! n 1'u Il jj, lie ' "« ' i · '" ,. Y ". L ? lm'J 11 ' ? " ' . ' ii
les gens'sains d'esprit. P. K. ;. c...j ) ' ! n 1'u Il jj, lie '"« ' i · '" ,. Y ". L ? lm'J 11 ' ? " ' . ' iil. D
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j ) ' ! n 1'u Il jj, lie '"« ' i · '" ,. Y ". L ? lm'J 11 ' ? " ' . ' iil. DE L EXCITABILITE ELECTRIQUE DANS LES LESI
me de ces faits concernent le développement autono- mique typique : ' ' P. KI. V. 0))PF.RVATION D'O't'UËMATOMK chez u
de ces faits concernent le développement autono- mique typique : ' ' P. KI. V. 0))PF.RVATION D'O't'UËMATOMK chez un
ment par l'accident, les efforts et l'émotion qui en sont résultés. ' C ! fAnpr : XTH : n. VI. Contribution A L\ path
. Psych. - : l4t·ilvyi «on ? i ? r'] ? z W Itf.JevaClr 1 lnec ? y v% ' IIIbJi : l1 °v«tt-Itn·ltt0f1.111 ? lUTitl «jua'
°v«tt-Itn·ltt0f1.111 ? lUTitl «jua'/Kof 5)341 J«Bclrll01 on igep un ' )'[ ! j ? t' ! iJ ? r-un'ft ? t't ? ï-)tti ? i)J ?
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'hn ? r ? t ? Tf""J ? ft't ? 1 ? r ? ) ? )f ? ? ? i ? ti r, il Il ? ' q , , ? let, iuénfile'jiisÎu'au aiis. Dè'cetté
et mentaiemsquau. l.t ? y,l 1r - · 1 nr Imnl .r · t· / y · n· r· ·1 ' r I . In·t 1·· tour ou, a la suite d unciembtio
suite d unciembtion violente, elle devient le jouet il,, c i ? T'T ' te -» . -I-.T'.T j ? <;' Il ? 5'i'T 1 . IIV-.
e, elle devient le jouet il,, c i ? T'T ' te -» . -I-.T'.T j ? <; ' Il ? 5'i'T 1 . IIV-. 'I" '» ! ( il .T ,, n,. Il ?
,, c i ? T'T ' te -» . -I-.T'.T j ? <;' Il ? 5'i'T 1 . IIV-. 'I" ' » ! ( il .T ,, n,. Il ? »ll ,, |. folie systémat
u'ss ? (MUC ? M ? t'ësr( ! Ht<c défectuosité1 de' ^'cplilimèlïfë ' côte paraît hu-nîûin'è0ûii'pc'i/,plus,ïoiirl !
tonicité mentale et à l'affaiblissement intellectuel proprement dit ' au milieu duquel l'aphasie'n'est plus que l'acc
. Incidents CIIIRI;IIGIC.Il;1 chez les aliénés; par Sciiùle. (Allg. ' Zcitschi-. f. Psych. u. psych. gerichtl. Medic, X
Zeilschi-. f. Psych. M. psych. gerichtl' Diedic., XXXIX, 2 et 3).'W ' il > ' / Les recherches instituées sur ce
. Psych. M. psych. gerichtl' Diedic., XXXIX, 2 et 3).'W ' il > ' / Les recherches instituées sur ce point par l'
nt par l'auteur l'entraînent aux conclusions textuelles que voici : ' 1- « Il est hors' de doute que la perte de poid
es; qu'il est même fréquent d'observer de « l'augmentation de poids; ' enfin, que tout homme sain peut faire « les fra
rais des mêmes variations en 'des proportions qui n'ont, du « reste, ' rien d'anormale »' .... t » K. . '" 1>, ...I
ations en 'des proportions qui n'ont, du « reste,' rien d'anormale » ' .... t » K. . '" 1>, ...I , si i , ,, ? T
portions qui n'ont, du « reste,' rien d'anormale »' .... t » K. . ' " 1>, ...I , si i , ,, ? T XIV. LÉSION.DES co
tion ,le . , 1 1 Il . e 1 Archives de Neurologie, t. IV, p. 13 i. ' * Archives de Neurologie, ti' 111, p. 236. '
logie, t. IV, p. 13 i. ' * Archives de Neurologie, ti' 111, p. 236. ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 371 de la démarc
n soit des phénomènes cliniques, la 'lésion des cordons postérieurs, ' palpable, est en soi généralement beaucoup plus
rtu des raisons'alléguées, les symptômes peuvent manquer pendant la ' vie. P. K. i ' , .i..., .r ') nt ! XV. Sur
lléguées, les symptômes peuvent manquer pendant la ' vie. P. K. i ' , .i..., .r ') nt ! XV. Sur LES relations A éta
symptômes peuvent manquer pendant la ' vie. P. K. i ' , .i..., .r ' ) nt ! XV. Sur LES relations A établir 'entre, l
. Zeilsch.11 i 'f : Psych., XXXIX, 1 .) , 1 -. 1 " , t 1 1 1,1 , " ' Les affections de l'appareil générateur de la f
ait remarquer enfin, que nulle affecz , ? -Tl ? 11.» ? I < I î | ' " 372 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE ! tion géni
e en dépit de l'affection sexuelle et de sa réaction sur l'écono- 1; ' P ? ......,,1, mie." L'intervention f- gynécolo
seraient bien, préférables. , ,1 P. Iv. ut/i/r' 9r,1n1;oply-` bi , " ' "i '»» ' Ah u- ? "" m '«r»q iKluoil JIf9f(1 ? o
ent bien, préférables. , ,1 P. Iv. ut/i/r' 9r,1n1;oply-` bi , "' "i ' »» ' Ah u- ? "" m '«r»q iKluoil JIf9f(1 ? o j' f
bien, préférables. , ,1 P. Iv. ut/i/r' 9r,1n1;oply-` bi , "' "i '»» ' Ah u- ? "" m '«r»q iKluoil JIf9f(1 ? o j' f^ui
es. , ,1 P. Iv. ut/i/r' 9r,1n1;oply-` bi , "' "i '»» ' Ah u- ? "" m ' «r»q iKluoil JIf9f(1 ? o j' f^ui l In7111% -i^lI
'DE l'ëPILEPSÏe \ tpar.RudoIf ! Gx.\.ucK'/(/b'-c ? M.YJ ? X[P,'3 ! ) ' ilUrioa't' 11r71ftJ1t ? ffu'll fil on î lilll&g
«op is'i" mn t41('1 nliml REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 373 iVII : ' IALFOR\fATION PARTICUI,1LRE du cerveau UT DE la ?
IALFOR\fATION PARTICUI,1LRE du cerveau UT DE la ? 11f0ELLE ? L1.SI0\S ' ·SECO\DAIRES des ''deux organes; par ? FuRSTNER et
r' l'im 'li .n j'» ? i-' |i>-n|i|> iim-iIi » 'i ? J .i ,J . i ' 7" r...... I iip i.r.il'ir .» > -,it> 1°
7" r...... I iip i.r.il'ir .» > -,it> 1° .it-ay v> '.i"i' ' »->îii- i .i 1 y , i ' . Après avoir constat
'ir .» > -,it> 1° .it-ay v> '.i"i' ' »->îii- i .i 1 y , i ' . Après avoir constaté pendant la.,vie, la, sym
pétées' du -côté droit et des phénomènes parétiques du. côté gauche, ' les' observateurs' relevaient ià 1'autopsieeurl
auômâlie miaiZifestémënt congé-' nitaleidans l'hémisphère1 uaiiclie" ' (Iti -cèreàu""dtie a près ? sions exercée'sur lo
eàu""dtie a près ? sions exercée'sur lobé'fro"fit- 0 ? t, r.. , t - ' ' " - l'l siont exercée 'sur le1. lobé' frontal
u""dtie a près ? sions exercée'sur lobé'fro"fit- 0 ? t, r.. , t - ' ' " - l'l siont exercée 'sur le1. lobé' frontal a
élie`nd5,niaires dans le erikricul,e ? L,, La moelle épinière,- elle, ' » dans, lairé-io 1 il,tlo r sal'e(inférieureet l
le tronc originel, fond, brusquement 1)Ollrdispa-. leii.1 li. Alti ' ' ? '"" Il .. paire lombaire,, tandis que i la,
e tronc originel, fond, brusquement 1)Ollrdispa-. leii.1 li. Alti ' ' ? '"" Il .. paire lombaire,, tandis que i la, r
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Grafenberg) : <(ii.rc7t. f. Psyc)c : M. Neovcmlc : ; XI1, 2.) ? -- ' - - l' , ·'I 1 i in n Ili if i ... 1 Il, - i Ï
-- ' - - l' , ·'I 1 i in n Ili if i ... 1 Il, - i Ï 1 (If, ,. ,). , ' t Les=deux cas de paralysie générale progressiv
r une pause de rémission de quinze mois/- - » ? I I/P. K. r,r , t ' 0, t. --Il - 1 .1 n, vu ' · rt ? , i t t -, ni 1
de quinze mois/- - » ? I I/P. K. r,r , t ' 0, t. --Il - 1 .1 n, vu ' · rt ? , i t t -, ni 1 i . X1X. SUB L1 folie sy
X. SUB L1 folie systématique; par Jung. (11lig. Zeitsch. f.'Psyrh. · ' zc : psélc ? erlcletl : 'rlledi ? XIXVIII, 5 ei 6
f.'Psyrh. ·' zc : psélc ? erlcletl : 'rlledi ? XIXVIII, 5 ei 6.)'t" ' ·· ' ' I» - '' y , 1 W , m' ......)n. ! w ,i,) ?
Psyrh. ·' zc : psélc ? erlcletl : 'rlledi ? XIXVIII, 5 ei 6.)'t"'·· ' ' I» - '' y , 1 W , m' ......)n. ! w ,i,) ? ( ,
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C'est à la dégénérescence 'soinâtidlié'étps3clriclüé de l'humanité] ' dégénérescence qui 'gagne dej6urenjour,"qu'il f
sque . "d , la'nianie et de. la mélancolie, ? 1, ? l' · ... " 1 11, t ' nL'ib'uà'lctir vérital)le pour 'se* dévoiler pl
nfondant avec'elle.'Les vésa- nle purés dui nous occupent demeurent, ' au1 contraire', curables, quelles que .soient l
ent lés conceptions'délirantes ou systématiques) les hallucinations, ' les'impulsions'irréfléchies cjùi les hantent ! 'P
mixtions avec les autres syn- dronies vesaniques. 311l ll>.l * " ' f imt raltttpt h. lié , / ! - s ' -"» V,v' Jl ''
onies vesaniques. 311l ll>.l * " ' f imt raltttpt h. lié , / ! - s ' -"» V,v' Jl '' -ni fl/J W ·1 .i-JJ ' u1Q ·rt, ? )
f imt raltttpt h. lié , / ! - s ' -"» V,v' Jl '' -ni fl/J W ·1 .i-JJ ' u1Q ·rt, ? )' r : rfl ,.i, t.' i. ,111 ? t·'x1b
t h. lié , / ! - s ' -"» V,v' Jl '' -ni fl/J W ·1 .i-JJ ' u1Q ·rt, ? ) ' r : rfl ,.i, t.' i. ,111 ? t·'x1b \\\V-. , ,y (
-JJ ' u1Q ·rt, ? )' r : rfl ,.i, t.' i. ,111 ? t·'x1b \\\V-. , ,y (, ' \1c·y s .V/«-\ ' XX. 1)E l'importance clinico-lé
)' r : rfl ,.i, t.' i. ,111 ? t·'x1b \\\V-. , ,y (,'\1c·y s .V/«-\ ' XX. 1)E l'importance clinico-légale de la perve
Kirn consacre- enfin quelques pages à la sensation sexuelle inverse ' , dont il apporte deux nouvelles observations. La
rze ans. . Nous, reproduisons les quatre conclusions terminales : : ' 40 Tous les cas douteux ressortissant à une acc
ature imposent l'obligation d'une expertise médico- légale; , . " . ' '" 2° Le rapport doit avant tout, approfondir s
ure imposent l'obligation d'une expertise médico- légale; , . " . ' ' " 2° Le rapport doit avant tout, approfondir si
ententiattirés' par le même sexeique celui auquel ils appartiennent] ' souvent- dès leur jeune làge,' en1 tous des cas
eique celui auquel ils appartiennent]' souvent- dès leur jeune làge, ' en1 tous des cas,i bieii' avant l'établissement'
u reste, il en existerait tojsdegrés 1,'attrac- ..vhii... i ? » ? » ' ;"* y"»-» ? ? <»* J t t i " ' fil 1 ..)l . i
rés 1,'attrac- ..vhii... i ? » ? » ' ;"* y"»-» ? ? <»* J t t i " ' fil 1 ..)l . ii 1 É , , t 1, ? i, i " 1 U, 1 ps
tion simple, 1 attraction avec les modifications, psvchiques cor- p ' lI : If,t 1 ` Illl t` /IJ ï 1a '.W R.lu. c'1... m
du. sexe lacticement senti : jamaild,her .f 1 1 .5-i, iq>flf vf ' ntlJ.rft W If W u ytJWc cm s. ? t maphrodisme.
i 1 organisation spéciale des centres cérébraux ; deux.varieles a ' ? no. ? r.i i ^^."in-i t ,-ui'iiii-iiii ? i'-ir»-
cul individu a conscience et souffre morale- - 'r ? t ? 211. : tWtt; ' .·,1 ? )'t"i ? untt.uj : W 41 ment de cette ano
1 ment de cette anomalie; 2° cas, ou inconscience absolue,, 1 in- ? ' , ,.m t""r ? < i .,t ,'vn.v. )f'nit - ! tjn tUt
? < i .,t ,'vn.v. )f'nit - ! tjn tUt< ? u uiuij.i jti j-t >»; ' .< .>J< dividu" regrettant la rigueur
et'eprouvant les mamtestations physiques et psychiques : , de 1J , ' r.-o .-rn r r,l,1l.l«-- »llfll» ? )). 1 1 1 amo
ricature de I. amour avec toute 1 exaltation. quejCiOm- ,...' -i71 » ' * '* ? «* i"»"frI>il'>'iTt1^'» -j ? t'.)'<
ature de I. amour avec toute 1 exaltation. quejCiOm- ,...' -i71 »'* ' * ? «* i"»"frI>il'>'iTt1^'» -j ? t'.)'<'
xaltation. quejCiOm- ,...' -i71 »'* '* ? «* i"»"frI>il'>'iTt1^ ' » -j ? t'.)'<' J^'i.uinii ? 1'» i-3 «" ? port
n .qui seule le satisfait r~.. , "H- ? T ? v ? 01Tj ? 'll blisei " - ' «m.'nJl'A. ltu ,,Ji 1111..1,' iiientalembnt.'(Ob
lembnt.'(Obs. l' 9 e ( 'Il). - Se manifestant dans la, pluralité j , ' ? in' , 1 'L 9'"i i "f>'J «' o'iiii'i.-i 1 t t
e manifestant dans la, pluralité j ,' ? in' , 1 'L 9'"i i "f>'J « ' o'iiii'i.-i 1 t t. il yll; Ill. 1 i W J» des ca
tilL pase,)qu.andj'aventure se;lioue, ! aux. embrassements)simple's; ' ) aux caresses » avec ou.sans.attouchements de's
'est=à"-dïr'è'éiil'âb'séiiceh't`d'â rës ? ? U.rvi , .r»o> » ? » , " ' 5' 1 , I ·1(InN'I,)1. f ry (llle UOiJ anomalies
. f ry (llle UOiJ anomalies1 psychiques; mente plus ample examen; , ' , L ut t ...)...')rff ? i f : l 9fi1" '1R : f.f
mo4a.1 cap,abe, ? i =«^1» (ti( GI1,·m nPL(v···yl, l'INII··11 t t.J" · ' lmuyvaJ dl'àr5r'àtè'r."On""d'it, en outre, se r
e, se rendre compte quel attraction t .-r ? ^ ! » ! ! ,") >MU'lr ' "if ! 'l1>;iliîi«tillllii.,I-1 ? i1 JlliilJljlq
ttributs d une sensation naturelle ? puis7, ? .», ? i, ,.i fiRii ? ).[ ' ) niii3 i.;ui." m lal,l"1 ? qu elle lui apparaît
saurait être question ici de fourberie. P. K. WTT <-1 ? m m 1 ' 1 »....il . 1 I tl ! '") ? ? .. XXII. CAS DE PS
n ici de fourberie. P. K. WTT <-1 ? m m 1 ' 1 »....il . 1 I tl ! ' ") ? ? .. XXII. CAS DE PSYCHOSE EN APPARENCE REF
. C'est tout au plus si l'on pourrait arguer de l'influence de la ' commotion cérébrale. 'Il- n'y aipoint eu continui
remarquer les allures cliniques des symptômes; c'est bien là du » ' . ' . / 1 Archives de Neurologie, t. Il[, p. 9,
marquer les allures cliniques des symptômes; c'est bien là du » ' . ' . / 1 Archives de Neurologie, t. Il[, p. 9,1 ?
Il ., / XXIV'. COURTES' communications SUR LES psychoses DES PRI- ' 'sons ; par Ld ? ic ? KiRNI. (Allg. Zci(scht f.·P
Zci(scht f.·Pscla. 2c. psych. ? éickll. Vleclic : , YlÎYII;'6 : )'t'" ' '' ·' . ·" 1 , I L ». ! .j.ft" ' h ? l> Ir,
ht f.·Pscla. 2c. psych. ? éickll. Vleclic : , YlÎYII;'6 : )'t'" ' '' · ' . ·" 1 , I L ». ! .j.ft" ' h ? l> Ir, , ? II
kll. Vleclic : , YlÎYII;'6 : )'t'" ' '' ·' . ·" 1 , I L ». ! .j.ft" ' h ? l> Ir, , ? II.. t,f. · 1 ' Ce'sont les'
'' ·' . ·" 1 , I L ». ! .j.ft" ' h ? l> Ir, , ? II.. t,f. · 1 ' Ce'sont les' résultats- d'une observation.de deux
àliinatiôü;l,iûoralle'de'lalânâuérdu pavs nuisant' a'ia distraction* ' les' 'Preoccup ât i'oii d 6 famille;1 lé remords
n commun>(troublés0de'1 nutrition1 cérébrale). "Toiis'Tés1 - ? ? ' ,i'i»*>(i > n-, ,i- »,( ? -i ? t ? i» ? i ?
.) M. Claus s'est donné la tâche de contrôler l'assertion de 3.tt ' r ETt dl " IfIJii E5 71f a 1 ? ' ? ) REVUE DE P
e de contrôler l'assertion de 3.tt ' r ETt dl " IfIJii E5 71f a 1 ? ' ? ) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 381 il 1- l'
rdons postérieurs, de la moelle, lombaire. ,. La dege ^.. > g- ^ ' e 1 tf uJ 1 G'·l '.JW 1. J -'Ji' ''<YJ ? 3jl J
ne explique ici du môme coup.l impuissance matérielle.de 1 organe ' , J- , ij.l ? J|l|,^ J ? i,U",&«'| Mil «v.4 il
issance matérielle.de 1 organe ', J- , ij.l ? J|l|,^ J ? i,U",&« ' | Mil «v.4 il. I ,ii«^< ,JJ J .1.- 'il , ~ .1'
? i,U",&«'| Mil «v.4 il. I ,ii«^< ,JJ J .1.- 'il , ~ .1' .1 T ' "| cent dans- sa, fonction normale d'arrêter le
xception-.demeurent, inexpliquées (voir ifij iiiO / -i ? '.al ? i ; ' «lu Jim. i '.i.' aii,l.iii'i1.î.i» »., ' n V'' 'L
ifij iiiO / -i ? '.al ? i ; ' «lu Jim. i '.i.' aii,l.iii'i1.î.i» »., ' n V'' 'L notamment, 1 1" Obs. yI). Les réfleaes
celle des phénomènes tendineux;.ainsi les, premiers seront cqn-. ' lai.UJiil-i Jiil.1 c »' l . £ ,. - 'i, i. '.Iljli
tendineux;.ainsi les, premiers seront cqn-. ' lai.UJiil-i Jiil.1 c » ' l . £ ,. - 'i, i. '.Iljli -J-jj . jiH-^i i . i- i
1 c »' l . £ ,. - 'i, i. '.Iljli -J-jj . jiH-^i i . i- i. 1 .' .- ,.l ' M servés alors qtiq , 1, 1 e p ieiio,@ mèlip,,t
toutes les fpis qu'il y a tabes p/osi i`euL.,Iyq ^^.P^ 1 ? 'JJ1T " ' 9 1 1 1 %%r Q : J.I 1.101t i aa ? V(1 ? , ? ? f--
l.t 1,1 'tlfttit. t'i r Ut.ir"· 11 SOCIÉTÉS SAVANTES ; 14 , i t , ' 1 1 1 . >" ' 1 , .il , , , 1 j. n "SOCIÉTÉ
. t'i r Ut.ir"· 11 SOCIÉTÉS SAVANTES ; 14 , i t , ' 1 1 1 . >" ' 1 , .il , , , 1 j. n "SOCIÉTÉ MÉDICO-PSYCHOLO
m de la Société, à une institution quelconque. < t < ! " ,, , ' Grâce à la persévérance de ses membres, la Soci
De la conduite ci tenir pour le médecin, quand il est consulté par un ' · sujet qui se 'croit menacé de folie parce qu'
, dont le devoir pour le médecin estsouventde charger sa conscience, ' on peut se heurter à deux' écueils ! ou ne pas co
e notre confrère, de Nice ; ne pas faire illusion aux mourants, 38t ' SOCIÉTÉS SAVANTES. « ce serait, écrit-il, ne'vo
' <<-''. i ? ^rl si ? ilij.n'.i/ lr.[ï.-»r.'i ? 71 i. I - fil ' lI. Billod croit qui ! y aurait du danger a intro
.)controbalancer,,dans' une, certaine III "»1 I. IU ? ll ? »-J"f J" ' -' ,7">I, ''»'' . ? ' mesure, linfluence.. p
ontrobalancer,,dans' une, certaine III "»1 I. IU ? ll ? »-J"f J" ' - ' ,7">I, ''»'' . ? ' mesure, linfluence.. pern
ne, certaine III "»1 I. IU ? ll ? »-J"f J" ' -' ,7">I, ''»'' . ? ' mesure, linfluence.. pernicieuse de 1 autre con
du prédispose la' folie, qui vient nous, faire part de ses craintes, ' nous devons mentir ; ' 1 c'est, de la bonne) th
ie, qui vient nous, faire part de ses craintes,' nous devons mentir ; ' 1 c'est, de la bonne) thérapeutique. libn-il 9b
être" certaine', donne toute latitude pour répondre aux intéressés. ' ? ' - ,..., c .' · , ? ? n : r noc't · n rl `vt
" certaine', donne toute latitude pour répondre aux intéressés. ' ? ' - ,..., c .' · , ? ? n : r noc't · n rl `vt ? v
d que le lteichstag s'occupe, en dernier ressort, du projet de loi. ' La Société décide l'insertion au procès-verbal
construit, il obtient les courbes céphaliques qui doivent y abouti] ' par un fil de plomb, et le tout est porté sur l
du terme « imbécillité o ne paraîtrait pas démontrée à M. Westphal. ' Avant qu'il soit procédé à la discussion, M. le
admises, 1 guérit et les 3 autres furent transférées à Broadmoor. ' Woking, à trente-huit milles anglais S.-O. de Lon
1 mars 1SS0, on comptait : 99 aliénés, insuffisants, épileptiques ; ' )27 malades par affections pulmonaires ; 81 card
'aussitôt cesse l'état aigu et apparaît l'imbécillité congénitale. ' Sur cette question, AI11. lticliter (de Pankow) e
ignement obligatoire de la psychopathologie dans les Universités. ' La discussion, à laquelle prennent part AI11. 1 a
. La mort devrait, selon lui, être attribuée à l'affection pul- 408 ' BIBLIOGRAPHIE. monaire. En réalité, l'aliéné co
génie qui, pourtant, ne nous paraissent pas encore bien démontrées. ' Le chapitre v, sur la folie hystérique, avec se
romateuses ; mais les cinq observations, qui sont suivies d'autopsie, ' , sontjahsolument muettes sur ces symptômes, qui
pté dans la folie puerpérale, de nature infectieuse par excellence. ' « Les procédés techniques, l'application des de
tei- et Zacher, 373. Manie chronique a forme rémittente, par 268. ' Méningite tuberculeuse cérébro-spi- nale avec
40. Jlarie, 1, W ? zSJ. Slanz, 262. Mathe]in,2o, Slayor, 418. ' Miles, 121. ' Mills, 11S. Ioettei',36 ? S
W ? zSJ. Slanz, 262. Mathe]in,2o, Slayor, 418. ' Miles, 121. ' Mills, 11S. Ioettei',36 ? Slonakow, 91. S
Sclltilt7C, 99, 238, 260, 361. Seguin, 117, 122. Senator, 104. ' Se;)piU.240. Snell, 123, 263, 266, 267. Sie
par trois plis, 11, 12 et 43.. S 0 E, Scissure occipitaleexterne. " ' ARCgIYE3, t. V. 28 434 EXPLICATION DES PLANCH
6 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
éré, sont dans un état permanent de fatigue psychique qui se tra- ' Ces travaux, déjà anciens, publiés en 1886 et 188
s dmu- lions, 1872, p. 158. 2 Oppeinheim, op. cit., 1880, p. 3. ' Jolly, op. cit., p. 12. ' Les stigmates mentaux
. 2 Oppeinheim, op. cit., 1880, p. 3. ' Jolly, op. cit., p. 12. ' Les stigmates mentaux des hystériques, p. 137. JG
iqué ; chez l'hystérique elles se produisent d'une façon beaucoup ' Automatisme psychologique, p. 188. ' 1. Pick. -
duisent d'une façon beaucoup ' Automatisme psychologique, p. 188. ' 1. Pick. - Ueber die sogenal1nle « conscience mus
ses phénomènes psycho- logiques, de les assimiler à sa personnalité ' . ' Autom. psych., p. JS9. .lutom. psych., p.
énomènes psycho- logiques, de les assimiler à sa personnalité ' . ' Autom. psych., p. JS9. .lutom. psych., p. 19É.
quantité totale est déterminée, et qui, toutes les fois qu'il se ' L. Laurent. Etals seconds, 1892, p. 127. DÉFINI
battements du coeur, la fièvre hystérique déjà signalée par Briquet ' et qui, aujour- d'hui, attire justement l'atten
s sé- crétions peuvent présenter des modifications pathologiques. ' Briquet, op. (;il., p. 481. ' Despine (d'Aix).
er des modifications pathologiques. ' Briquet, op. (;il., p. 481. ' Despine (d'Aix). Traitement des maladies nerveuse
qués et modifiés d'une façon 1 Despine (d'Aix), op. cit., p. 222. ' Charcot.. Mal. du sysl. nerveux, t. III, p. 238.
les or- ganes, les uns sur les autres, sont trop nombreuses pour ' Beaucoup de ces expériences sont résumées d'une m
, 4. Strumpell, op. cit., 7. DÉFINITIONS RÉCENTES DE L'HYSTERIE. '1 ' i qu'une insuffisance du fonctionnement cérébra
exten- sion et nous croyons qu'il continuera encore et que nombre ' : \roeiJill, op. ci(., p. 5. Archive ? t. XXVI.
ême incomplet sans être contraint de constater tôt ou tard un en- ' Despine (d'Aix), op. cil., p. 86; Despine (de Mar
e, p. 3t3, ii6. 3 Général Noizet. Le somnambulisme, 1854, p. 187. ' Gilles de la Tourette. - Hypnotisme et étals anal
1891, p. 15.) a Blocq. - Gazelle des Hôpitaux, 23 janvier 1893. ' Laurent, op. cit., 1892, p. 1 : '9. 8 Strumpell
' Laurent, op. cit., 1892, p. 1 : '9. 8 Strumpell, op. cil., p. 18. ' " Breuer et Freud, op. cil., p. 7. 10 Donkin,
aint-Aubin qui semblait se proposer la discussion de. ce diagnostic ' , malheu- reusement l'auteur ne décrit que des h
bien plus à l'hystérie qu'à l'épilepsie. Tout en tenant compte f ' Louis Saint-Aubin. Des fugues inconscientes, lzys
' somnambulisme rentre tout entier dans le domaine' de l'hystérie.' ' 1 .. ' - On pourrait répéter la même discussion
mbulisme rentre tout entier dans le domaine' de l'hystérie.' ' 1 .. ' - On pourrait répéter la même discussion à prop
dans les phénomènes médiani- miques, c'est précisément ce que nous ' appelons hystérie, parce qu'elle se retrouve da
es obsessions, des impulsions, des pliobïes de toutes espèces. Je ' Tabaraud. Les rapports de la dégénérescence menta
ue ce symptôme n'était pas toujours carac- téristique de l'hystérie, ' qu'il devait se présenter d'une ma- nière parti
chons la signification qu'il a au- jourd'hui pour quelques auteurs. ' Pour essayer de résumer ce que nous avons empru
de phénomènes élémentaires, sensations et images, cessent d'être ' ' ! un)un, p. 11. Breuer 'c Iren op. cil., p. 3.
e phénomènes élémentaires, sensations et images, cessent d'être ' ' ! un)un, p. 11. Breuer 'c Iren op. cil., p. 3.
coexistent, ce qui donne naissance aux attaques, aux somnambulismes, ' aux actes subconscients; enfin ce défaut de syn
e de la jambe sous forme de monoplégies. Du syndrome de l'aphasie ' Chemin faisant, je ferai remarquer que ce caractè
ES sinus ET LES veines DES parois DE la cavité rachidienne par le D' ' TuoLARD. M. le professeur Trolard frappé de la
. Leur terminaison a lieu au niveau de la première vertèbre sacrée. ' Dans tout son trajet, le sinus est régulièremen
l'aniline est plus rapide, ce qui expose à des excès de coloration. ' Bien que le bleu d'aniline seul donne, en génér
re et déterminant l'obstruction partielle de l'orifice oesophagien. ' 2° Vaisseaux de la base du cerveau avec embolie
moteurs partiels (muscles de l'oeil); paralysie faciale, hémiplégie ' · plus fréquente. Ces leçons constituent un e
s, j'ai voulu m'élever à la hauteur de ce glorieux apostolat... » ' Nous citerons les mémoires suivants : Descente ta
pontanément, 1840; Consul- fiC ? E3, : . ? Ÿ . J 66 NÉCROLOGIE. ' A la même époque il fit à l'Ecole pratique un cou
ur l'angine laryngée cedémaleuse; - ? Ean : eK t ! e : i)e ! 'ses c ? ' ! <t<yuei ! de < pAre'ttotoM; jEsa ! de
maladie ou la misère obligent à faire appel à la solidarité sociale ' ; par son ardeur, qui ne s'est jamais démentie,
on populaire et la politique, à laquelle il fut toujours mêlé de la ' · façon la plus active. Il publia alors son l
ès incessants de l'espèce humaine. 74 4 NÉCROLOGIE. Puis, M. le D' ' CHRISTIAN a parlé ainsi au nom de la Société mé
evions à sa mémoire. Aui nom de tous, adieu, cher et vénéré maître. ' Au nom de la Société d'anthropologie le discour
raux; sur un crâne parisien déformé ; sur l'homme et les animaux ; , ' sur le siège des phénomènes intellectuels ; sur
alue'de ces hommages respectueux et reconnaissants, la mémoire du D' ' Delasiauve. M. le Dr ISA11OEARD, député de l'Eu
qualité dans la 2° classe du cadre (6.000 fr.); 26 juin 1893. Le D' ' FABRE, directeur-médecin de l'asile de Saint- D
armes dangereuses, et je viens me mettre sous votre protection. » , ' Comme elle était, au reste, fort calme, M. Bene
. Août 1893. N" 78. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TUMEURS NÉVROGLIQUES
is- ceaux blancs environnants subissent une lésion à peu près 126 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. analogue à celle que l'on
c'est ce qui permet de comprendre pourquoi les muscles de la main ' ' 'd'T ? IIT'I ? 9 T'a - 1 "» 7'T 1 (,J T'11ft a
est ce qui permet de comprendre pourquoi les muscles de la main ' ' 'd'T ? IIT'I ? 9 T'a - 1 "» 7'T 1 (,J T'11ft a :
és relativement intacts et pourquoi 1 atropine pre- 4 1 f' 1 t /1" / ' l'¡ ¡ ) (\ " ,\ 1 . , 1 \ \ 1 " ... dominait su
, la partie moyenne delà région dorsale. , Il Il f' , '1 .<. u ' " 'j..1 ,t l, Il 1 1 La lésion considérable du f
éristique, ainsi que l'ont, bien montré MM. Charcot et Joffroy... / ' ,¡ j \.. ' Quoi qu'il en soit, on voit qu'il il'
ainsi que l'ont, bien montré MM. Charcot et Joffroy... / ',¡ j \.. ' Quoi qu'il en soit, on voit qu'il il'est,pas né
que la, syringomyélie soit due toujours à la même cause.,En mettant ' à part l'hydromyélié, liée certainement à un vi
sauf quil ne se généralise pas, et j.que e lé gliome f ibrillaire'é ' d fque le gliome fibrillaire répond ( très exac
- variable d'éléments cellulaires. Dans l'observation que je viens ' de rapporter,' en bien des points, la tumeur tour
léments cellulaires. Dans l'observation que je viens ' de rapporter, ' en bien des points, la tumeur tournait très sensi
i- blement au gliome cellulaire ; à côté d'espaces formés presque ' exclusivement'de fibrilles, on en trouvait facile
s font bien apprécier la valeur "dès'classjfiëatiÓrls : n"¡ "1) ? " ' ' W ' r ! f"' . '.) i - : Je ne'reviendrai pas
font bien apprécier la valeur "dès'classjfiëatiÓrls : n"¡ "1) ? " ' ' W ' r ! f"' . '.) i - : Je ne'reviendrai pas ic
bien apprécier la valeur "dès'classjfiëatiÓrls : n"¡ "1) ? " ' ' W ' r ! f"' . '.) i - : Je ne'reviendrai pas ici su
précier la valeur "dès'classjfiëatiÓrls : n"¡ "1) ? " ' ' W ' r ! f" ' . '.) i - : Je ne'reviendrai pas ici sur la nat
- : Je ne'reviendrai pas ici sur la nature du processus cavitaire, ' que'j'ài décrit' longuement dans l'examen histolo
poser qu'elle est sous la dépendance d'une irrigation sanguine " ' pc ? .... , ? ·w , ·rr,, insuffisante ? , ? t,
4ur : mo il ,/JO"" 9') si 81 90 : {n ! Hlfjh,\ e,j ? rl -91+y·. ? i ' "t,'3J ? <)'Idfl sb h .J ! : >lll ! f'lD <
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r , fII.ffJ anttvi'iq'nlpv.^l) ,,0 ,2'7dtS(y as 9'1'4. : q ? IP.WI' ' I : ' UN Cas d'alexie sous-corticale (DE Wernicke
I.ffJ anttvi'iq'nlpv.^l) ,,0 ,2'7dtS(y as 9'1'4. : q ? IP.WI' ' I : ' UN Cas d'alexie sous-corticale (DE Wernicke) ; 'p
'par 0.' BERauaN. + ni ? : d ? 4 (A2-chiv'f Psychiat., XXlIl;'2.)¡¿ ' t4,ui Il elh'j .' ? Itu t.f' ! ;11j.'qJfftt 1 2 .
4,ui Il elh'j .' ? Itu t.f' ! ;11j.'qJfftt 1 2 . S ttf'fJ r.' .. 11 ! ' ;1- *' .«nriini i ? i~ifit ? Un boulanger de : 1
l elh'j .' ? Itu t.f' ! ;11j.'qJfftt 1 2 . S ttf'fJ r.' .. 11 ! ';1- * ' .«nriini i ? i~ifit ? Un boulanger de : 1rWluan
courbe. Endartérite très nette du côté de la sylvienne gauche qui, ' en un point, est' totalement 'oblitérée. Dégénére
est' totalement 'oblitérée. Dégénérescence kystique des deux reins. ' " J U,11" t Ici , \ ' P. K. , 1.'1 ..1 ? l, ",
érée. Dégénérescence kystique des deux reins. ' " J U,11" t Ici , \ ' P. K. , 1.'1 ..1 ? l, ", ? \ ¡ ? Jl,¡",j 1 (" '
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T ? 1 , : ' Il . ? p Il' Un cas 'de' pellagre avec SYaINGOiYÉLIB j ' par ' le' Dr PELLIZZI., f ... J (Riv. sp.'di {¡
, : ' Il . ? p Il' Un cas 'de' pellagre avec SYaINGOiYÉLIB j ' par ' le' Dr PELLIZZI., f ... J (Riv. sp.'di {¡'en ?
sp.'di {¡'en ? fasc. 111-1V,'1892.) se "10 ,>' 1, si (1 i^.ti - ' ..\ ? ¡'l ? ql/.< ,'\ 1')/ ,1")); 11 ? . r 'l'
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malade»)¡1'IfjV Hl. '11j'IWl 9`Ir°I « ? lfIEt GLAS. "q PO'JI"1'») ' '1 '1 ? ^''l'1' FI3'l''fl >1 ll 9ltylfl7' ici
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CORPS calleux; It{,"il" hl 11, 1 1 1 zl"u 1 1 1 .1'1 ? in\ '- Jj,.} ' 0'. A "l,'H" ? pa'r,GrESE ? A1'Clt.l f. Fsychïa
j,.}' 0'. A "l,'H" ? pa'r,GrESE ? A1'Clt.l f. Fsychïai, XXII1,3.) ? ' )' * , , 1- r, 911*l'M , '" t, i" t^v r> -<
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GrESE ? A1'Clt.l f. Fsychïai, XXII1,3.) ? ')' * , , 1- r, 911*l'M , ' " t, i" t^v r> -< il il ".Jjjau ' . 't.. jJ'
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, 911*l'M , '" t, i" t^v r> -< il il ".Jjjau ' . 't.. jJ' 11' a" ' 1 L f Homme de- cinquante-trois ans.1 D'abord a
encent' par';le°bras' et"la jambe droite ? avèc douleurtcéplialique; ' voiiiissenieiits ? parapa-1 résie des extrémité
arapa-1 résie des extrémités, 'somnolence.* Pendant 'plusieurs mois} ' stase des vaisseaux' rétiniens, puis'papille''é
occipital, comprime les tubercules quadrijumeaux 'et le' cervelet. ' upil' 'x " 1 ? <¡1,¡'¡ tlllrlitl J '1' âup ,
tubercules quadrijumeaux 'et le' cervelet. ' upil' 'x " 1 ? <¡1,¡ ' ¡ tlllrlitl J '1' âup ,¡ n ! oj'iH1' C Jf1'Hfl'JJ'
J '1' âup ,¡ n ! oj'iH1' C Jf1'Hfl'JJ'D'I ! f )L1) 'I p,'I1. ;.1'1f' ' ! ¿ - ,j Cl.m <(j : l 'hJiJ'- ? 1 ? ) q' ! 4
'1f' ' ! ¿ - ,j Cl.m <(j : l 'hJiJ'- ? 1 ? ) q' ! 4 t.P,I r'b r " ' [1 ^fI1 u tu in .H3 W.ril")#' ,1. nul - ] ? r. n
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ET du tabès ; par L. I on.`(Nezyol : je ? lûalbl.,tl8cJ.),f fIU'b ' ..t)j..n l ? i....oc 1J : : iJ.jil.uu.u. tJ1J.- ,
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l'I i h - f ,1 . ..11 Juifs ? : ... ? ,u fa9al . JIJP ? J),3 "t;q : ' du ? v Il . ? r' .0' .. ' 1 ? "'1 i ? ." ' " ?
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9al . JIJP ? J),3 "t;q : ' du ? v Il . ? r' .0' .. ' 1 ? "'1 i ? ." ' " ? J(,1() it ? ('t t.' /tt ? t0' ' .... En tou
. ? r' .0' .. ' 1 ? "'1 i ? ." ' " ? J(,1() it ? ('t t.' /tt ? t0' ' .... En tout seize cent quarante-deux nerveux.
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/tt ? t0' ' .... En tout seize cent quarante-deux nerveux. '" " " l ' "i Chez les Jûisslôlîtroûve'5 \yphililiqJè : ?
troûve'5 \yphililiqJè : ? èé'rt'àinsJ1" 5,5p.`100;t chez les Juives, ' 5 syphilitiques certaines = 1 p. 100. Chez les Ru
e'tabes.')1 ! " '' 'rrtli. ri Illf L l ? t' i, il "nl' i-' Pyltitm', " ' \') p .t.xL,t..0 ? 4. (1 ..... Ihll 1 lU tll]1 -
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r K..H ! f.llO ? r ? E,R '.1 ,^v J' d. - L(All. Zeitscit. 1 , Psy 1 ' ' 'XL 1. X y 9, Il .) ! · JW · a ' 1 t rrl ? If "
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1- » j'" I 1 ? ,1 ienc. Itt1 (Il 1 1 '111 1 -, 1 f1 1 . 1 Ci J H"-( ' 'I VI. Recherches sur l'hypnotisme ; -par 0. HEBO
J H"-( ' 'I VI. Recherches sur l'hypnotisme ; -par 0. HEBOLD. ;r... ' ' ' ' t (lllg ! Zeitsclc : 'f : Psyclaiat : ; X
H"-( ' 'I VI. Recherches sur l'hypnotisme ; -par 0. HEBOLD. ;r... ' ' ' ' t (lllg ! Zeitsclc : 'f : Psyclaiat : ; XLIX;
-( ' 'I VI. Recherches sur l'hypnotisme ; -par 0. HEBOLD. ;r... ' ' ' ' t (lllg ! Zeitsclc : 'f : Psyclaiat : ; XLIX;`4
' 'I VI. Recherches sur l'hypnotisme ; -par 0. HEBOLD. ;r... ' ' ' ' t (lllg ! Zeitsclc : 'f : Psyclaiat : ; XLIX;`4;'
' ' ' t (lllg ! Zeitsclc : 'f : Psyclaiat : ; XLIX;`4;'2.) , . Ui ' *> i t .'1 ¡ dl .1',1'"1 : : )..h 1¡..nU 1 ? tt
long- temps et n'a pas son pareil en fait dé moyen thérapeutique ? ' si : , ? 9 t 9 ('A'IJ l ..0) 1 t t..t . "'1 ? lfI
N. \ ? t'> at ), (The Joumal of ! OEental Science, janvier 1890.) ' ' k '\ .,1 , > ., I 1 (" ', , Il . JI 1 t 1
\ ? t'> at ), (The Joumal of ! OEental Science, janvier 1890.)' ' k '\ .,1 , > ., I 1 (" ', , Il . JI 1 t 1 .
t'> at ), (The Joumal of ! OEental Science, janvier 1890.)' ' k ' \ .,1 , > ., I 1 (" ', , Il . JI 1 t 1 . t...
l of ! OEental Science, janvier 1890.)' ' k '\ .,1 , > ., I 1 (" ' , , Il . JI 1 t 1 . t.... », ... 1. , , Les comm
a' violence du malade peut être invoquée à l'appui de cette opinion) ' que le poinUde départ a été une concussion céré
eur estime que chez ce malade il y a- eu, comme accidentrprimordial; ' une· concussion' cérébrale, ayant' eu., pour .'
calisée de substance nerveuse, suivie de> méningite" chronique : ' les' troubles psychiques 'ont'été consécutifs'à
'l.'13 t'Wrl9 : fioiiv »j '9'1·'v ? i. J t '' - ry 1/ in 1r.' ? ) n ' \(1 J ? ") 3lYf ? , >' < ,h **-. r- VIII.'
1/ du.Dr E ? V : nlac'DOWAL, observation recueillie parJouN CLARKE ' " FENWiCK).' (The Journal ofr Mental Science,'avr
).' (The Journal ofr Mental Science,'avri14890.) t ·t l ? JI''I . : ' \ : U.. J11 ... i. t·. nri' niCi > - rhf ·'4et
. : ' \ : U.. J11 ... i. t·. nri' niCi > - rhf ·'4et Il , >i ' , ,- Observation très, intéressante : les phénom
t le téaiteniént,éri,elfét, a consisté à sevrer' la malade d alcool, ' a ]a nourrir d'une; manière substantielle, *à' là
imple, mais absolue de 1 agent toxique. ,j1 - -l"ll» .' 41 U<H ! ' ; . ,» Û...". "I¡J ? ;,of ? JO : ) J. 1 l" 'I.J
IE NERVEUSE. 135 IX;rcNŸRîBûTÎÓÑ A l'a1' SYMPT03f.1TOLOG1E'DU TABES ' ;1 par' 0.' Rosen- *" ,II '>.j BACH. (Ceiitz.
- *" ,II '>.j BACH. (Ceiitz.nlLl.'f. e)'u6Kt ? N. F ? III,"489.) ' 'olt ,(If ? 1 1UTI a4"t ? -1 , ? r ? ( yfr51 ' i
Kt ? N. F ? III,"489.) ' 'olt ,(If ? 1 1UTI a4"t ? -1 , ? r ? ( yfr51 ' i -.u-.nh-fïtf »< ' · ' ! 3. , -1 f1 ¡O¡r,q...
' 'olt ,(If ? 1 1UTI a4"t ? -1 , ? r ? ( yfr51 ' i -.u-.nh-fïtf »< ' · ' ! 3. , -1 f1 ¡O¡r,q...t la On diagnostiquer
lt ,(If ? 1 1UTI a4"t ? -1 , ? r ? ( yfr51 ' i -.u-.nh-fïtf »< ' · ' ! 3. , -1 f1 ¡O¡r,q...t la On diagnostiquera de
prévient bien des accidents), en¡ recherchant : '1 ? \ , ? t « ? , ' ) 1°' L'exagération des réflexes du revêtement abd
té de.se : hausser et de se tenir sur la'pointe des pieds (orteils), ' les yeux' fermés : > »' sU 1[, «' «i"0<,ii(
tenir sur la'pointe des pieds (orteils),' les yeux' fermés : > » ' sU 1[, «' «i"0<,ii( p. K : v-j . est ( m s !
la'pointe des pieds (orteils),' les yeux' fermés : > »' sU 1[, « ' «i"0<,ii( p. K : v-j . est ( m s ! 1 Î'- ? 1
U 1[, «' «i"0<,ii( p. K : v-j . est ( m s ! 1 Î'- ? 11j jas ? 1)( ' " t) ? ). =»,il jrJ..r- ,1g li' j ? i- P11 .'t : ;
d - ? 1)1 X. Contribution' a' l'étude DES troubles DE la' parole; ` ' l 0(. ? W m. , ? , XXlll,"3.)' , t - ' tht ur
'étude DES troubles DE la' parole; ` ' l 0(. ? W m. , ? , XXlll,"3.) ' , t - ' tht ur ""rI"H;'q 1 iiitt ? )91 .]"ex J,
ES troubles DE la' parole; ` ' l 0(. ? W m. , ? , XXlll,"3.)' , t - ' tht ur ""rI"H;'q 1 iiitt ? )91 .]"ex J, "1- .1'
a parole, mais com- prend l'écriture et les caractères d'imprimerie; ' Parle* spontané- . nient' et* écrit aussi, ne p
rle* spontané- . nient' et* écrit aussi, ne peut lire à' haute voix, ' répéter ce,qu'on lui dit, écrire sous la dictée
ure de la' frontale 'ascendante et de la ^frontale inférieure 'sont, ' à droite, transformées 'en une matière \ colloï
à droite, transformées 'en une matière \ colloïde',^ jaune paillé ! ' Sérum jaunâtre 'dans' le1 ventricule latéral dr
volutions altérées; sur une coupe perpendiculaire . et" tan'vecsalé, ' lë i.àmôllissëirièüt, atteint la frontale ascen
es," de petits' ictus.r.Démence ; signes fd'àtite .moyenne suppurée, ' n'expliquant J ¡'Jas ¡Je) trouble 1 de la percept
opsie. · P. KERAYAL. 18=<nl T : 'J ,1 ? >mSJU : >IIH"t : ' \(1 'JTfT 'I.1l 3a aJIlII.n;wr.r2 A3 ;q¡¡(1 111/
EIDER. (Neu1'olog. CeH<t'6[6 ? t 1892.) ? 1 r ? t't1 itrii'-1 ! ) ' 1K111100 11H '0' hl êthllJ ? ,f. t u il' 1, <
3ïn ` Bb 1 lîts , ! J1. lu '.i. lé' · .P.,h.;l ? - , 1. 1 'i 1 l 'f ' ='ir in . I..lfU ! \ : ! 1 Il-' i b- If >' «j
est celle des cas de Beevoret Remak, etc.' t . -.JIJ,··IJnv° . loI ' " '.oH 'IF 1 lii ,1 - Il : y a lieu en. tout'cas
comprenant les nerfs axillaire, ! I sus et sous-scapulaire : , ? ? ' : 1 [ 111/ u. 4 il 1' , ca. 1 ? [ t Les trouble
XIII. Deux cas singuliers DE maladie DE FIHEDIlEICII; par Rossi. - ' ' ï (Il manicomio; fac : 2-3; 1892.) " "" ' . V
XIII. Deux cas singuliers DE maladie DE FIHEDIlEICII; par Rossi. -' ' ï (Il manicomio; fac : 2-3; 1892.) " "" ' . V »
HEDIlEICII; par Rossi. -' ' ï (Il manicomio; fac : 2-3; 1892.) " "" ' . V » i l .V <« , f 1.1 ú l 'f . hl 1J" e a
r 'ses' troubles particuliers' du- mouvement et de la sensibilité ! ' Elle se développe en effet dans l'enfance, tout a
irement par l'hyperplasie de né- 138 REVUETDE,PATHOLOGIE',NERVEUSE;¡ ' « vroglic ? l'atl'Ophie l,et la ldégéuérationr
tlbper( 8;iil«tnon ? "X1V.8SDR UN CAS 4D-Ê TON; pa' L·GREPPIN ? lrd ' ' ? ' 'l "'' >,.p, "JIJ(Aréhiv ;rf. : J PJychi
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lrd ' ' ? ' 'l "'' >,.p, "JIJ(Aréhiv ;rf. : J PJychiat1 XXIV, 1 ' )', 1 le 6 si uni - 1'1(' ! ) l{J/'J9'J ,9W';IUt
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l{J/'J9'J ,9W';IUtY" du1 . : ¡moril.¡v' 8T''¡H sait b J : I : ,r, "f ' InUlTL10b tu' iup Homme, de, cinquante;sixt ans
f, qui, après cela', se sont mises a'pro)iférér; il y a eu, par suite; ' irritation' de' là substance' cérébrale à1' laq
ici - .u=,t Ii ,11. ".lhd "lfJt -il ] «viik'jl,;) af. r'1...qE Í ' \ V^ ".....r) ? iQ;f-tnnf. ut, "rp r =c ",\f' ? 1'
me,nerveux4éentral, joue un rôle (centres, vaso-moteurs -, cerJtres, ' th,er,m.iq,es)"lL,a '.fièvre» sans substratum o
ganique, dont l'hyperthermie n'est pas due à, un travail musculaire, ' aux' convulsions) par exemple. Deux formes : fa
réciable, à intensité variable (hyperthermies élevées ou' modérées), ' qui accompagnent- fréql1erilment'J un ensemble'
à la pseudo-fièvre, et à la fièvre hystérique con- tinue,'ces trois ' genres pouvant, aussi : se conlbiuer : ,Les accès
si bien dans'l'hystérie simple que dans l'hystéro-épi- lepsie. '1'. ' ""d '110 ? JI 'p'I v r·ify 4 ? n ,P. Keraval.. ,
'p'I v r·ify 4 ? n ,P. Keraval.. , y ? ¡-, IfJ1f.¡ ? tt ? t' 0'" , ? ' l'IT ''h 'ntïttuj -= »0 XVL'TuMEUa DU'CENTRE OV
SE' UNE PARALYSIE DU MOU- 'f ? - VE31ENT ET'DU SENS* MUSCULAIRE : ' OPÉRATION ; 'AUTOPSIE par. Land011 (Brain,part
; 'AUTOPSIE par. Land011 (Brain,part ! 3 LIX et LX; P"443,.) 1 r 0, ' l 7-^t> t. r I ' , i. . nr ,, (Il) ; n'ivl t
11 (Brain,part ! 3 LIX et LX; P"443,.) 1 r 0, ' l 7-^t> t. r I ' , i. . nr ,, (Il) ; n'ivl tu y· 1 1, , ' i ·. i
1 r 0, ' l 7-^t> t. r I ' , i. . nr ,, (Il) ; n'ivl tu y· 1 1, , ' i ·. i '1¡,HmJ ! 1e ayant présenté plusieurs. t
pérature conservée. Sens mus7 culaire presque totalement aboli. ` ' Diagnostic : tumeur du centre ovale, basé sur l'a
le sens musculaire à l'exception de toutes les autres- fonctions 1; ' ) 1 '' il 1 ' f. : , l ? ? 1, ; 'h'r ? ·P. S. '
ulaire à l'exception de toutes les autres- fonctions 1;') 1 '' il 1 ' f. : , l ? ? 1, ; 'h'r ? ·P. S. ' J1 ! t fI. ).
autres- fonctions 1;') 1 '' il 1 ' f. : , l ? ? 1, ; 'h'r ? ·P. S. ' J1 ! t fI. ).f' 11r1HMp.f', t'd ? - 1 ,.tC,'1 -
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1, W· ! .vr· t% .. % , e1*4 ' VU fcit;,r tVadl)» ·. 1l P Itl1'/¡jJJ ' il "I <1, u ? f. .1 r .' t ^ Homme de quaran
]<<fj I ! )<ff\'<-.sl1'J"c.¡ fil' ! 111 ? ,vnlltl7" : · ? ' ('> 1 ' ; 1 ? . ' Des, résultats de.ce, genre
j I ! )<ff\'<-.sl1'J"c.¡ fil' ! 111 ? ,vnlltl7" : · ? '('> 1 ' ; 1 ? . ' Des, résultats de.ce, genre devraient
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TOT-t" Aq -ts a Ia'( 140 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ^r rt ? r; ' J. ·'1 ot , n.l ·, ' i, ,I91 'rfJ()1Tf 9a '111.I
140 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ^r rt ? r;' J. ·'1 ot , n.l ·, ' i, ,I91 'rfJ()1Tf 9a '111.I ? no- 1 ·a;r ayant
rps calleux est le centre sensitif du bras. , . . , ;; i, 'i rj.'i * ' le ii ? ai tt'UU ? < I : l''¡ 'f liai-- 1 ,f
du bras. , . . , ;; i, 'i rj.'i *' le ii ? ai tt'UU ? < I : l' ' ¡ 'f liai-- 1 ,f ? t, , ' , , , 0 j, 1 ''11., .°1
'i rj.'i *' le ii ? ai tt'UU ? < I : l''¡ 'f liai-- 1 ,f ? t, , ' , , , 0 j, 1 ''11., .°1 .¡.b.J 11 1 .rll' 1 rI"
' , , , 0 j, 1 ''11., .°1 .¡.b.J 11 1 .rll' 1 rI" M 1 > " 'r 'tu ' '1 1 XVIILP.1R.111TUTOV1E.IT.aSIQUE ET maladie
s . membres inférieurs avec anesthésie partiel[6. le P : 'K ''1'; ' b,,1 ,l' ito^1 Il....I1 : Ut (Il lu uJ j[lM"f ? 1
1' «orr··rr,ado ,\J)(¡¡) ¡'3; hJ '4 t1. h ? n p ? ... i'\ tilV rrs · ' 1, ,i ,nn XIX. Paramyoclonus multiplex hérédita
, R. GUCCL1 J ? (7 ? ? sp ? t/'t-e) ? fasc.III-lV,1892.) ? ? ? J. ' l ". " (Riv. sp. di (l'cn., filse. III-IV, 1892.)
1892.), J ¡'P "Il ,"q t"Q"1 ? ..LjJf ? . ir . r i.. w,·t -ni' -1 n ' 1 J jj 'f '1 '11° Observation généalogique 'd'u
rche, s'étendant de la même' manière ;et'les' désordres' psychiques, ' chez 'trois* membres de cette famille, ont prés
i du diagnostic paramyoclonus et à l'exclusion de; celui de. chorée ' de1 Hutinglon, tout en -considérant' ces deux'
établir comme 'un trait d'union entre 'ces deux"myo-" clonies.) y 1 ' ' i ? >- 1 ''f" J : Séglas. ? ? ' 1 v· 1 l.y
ablir comme 'un trait d'union entre 'ces deux"myo-" clonies.) y 1 ' ' i ? >- 1 ''f" J : Séglas. ? ? ' 1 v· 1 l.y,·
'ces deux"myo-" clonies.) y 1 ' ' i ? >- 1 ''f" J : Séglas. ? ? ' 1 v· 1 l.y,·r «1 t j" fspd . » ' il \,... ...,
' i ? >- 1 ''f" J : Séglas. ? ? ' 1 v· 1 l.y,·r «1 t j" fspd . » ' il \,... ..., , W ·.1 '" 1 tr ? ." t fil 1 XA.'
églas. ? ? ' 1 v· 1 l.y,·r «1 t j" fspd . » ' il \,... ..., , W ·.1 ' " 1 tr ? ." t fil 1 XA.'DEUS cas d'ataxie'locomo
RCOT; par Henry DAVY et Arthur G.' Blomfield. (B/'M<oM : ed ! co ? ' Chirurgical Journal, décembre 1892; n° 38 : ) ?
lt;oM : ed ! co ? ' Chirurgical Journal, décembre 1892; n° 38 : ) ? ' "f '11 " 'J.I ? . ici, je 9 .1. ' ? t 1" >,
urnal, décembre 1892; n° 38 : ) ? ' "f '11 " 'J.I ? . ici, je 9 .1. ' ? t 1" >, 1 . ' W ·5. > '. M 1 , Dans la
2; n° 38 : ) ? ' "f '11 " 'J.I ? . ici, je 9 .1. ' ? t 1" >, 1 . ' W ·5. > '. M 1 , Dans la première observatio
ent est assis, le genou .revue DE pathologie NERVEUSE. 141 1 ! 1t" ' \ J t /jj.i/ 0l') iw ? ·1 ? 1 1 1 >IV ,f .1-.
ec une béquille" il se pivdùit4ûne lirâatiô'Jidü'fémûr,`et du tibia" ' La' ligne' du ' fémur 'n'est' plus normale, ,et l
il se pivdùit4ûne lirâatiô'Jidü'fémûr,`et du tibia"' La' ligne' du ' fémur 'n'est' plus normale, ,et le condyle exte
de genu vaigum accentué. Pas de douleur; le genou droit est intact. ' Le malade présente des symptômes de tabes tels
s de ren- seignements précis au sujet-dellasypliiiis. m, ? m 'J.),J¡ ' " l'j ? i," C'est il y, a ( seuleJllent,.1lUjt ,
été rapportés parle Dr James Murphy dans le B¡'it.'1ÍiedJ JOll1'n : ' de '1886,' vol. ' II; p.1 '4G8.r` Or; ceux' qui
e Dr James Murphy dans le B¡'it.'1ÍiedJ JOll1'n : ' de '1886,' vol. ' II; p.1 '4G8.r` Or; ceux' qui voûdraient'mettre
ité est certaine,'1 elle est'absolument'douteuse dans le second.' r ' , Vir't'how'préte'nd" que l'affection ''articul
u-1' IIO4l9 si .1n"i1 Jr drl31x.lj Ni JI li ? JJll9 ? fm Il', . ? 1 ' 'l'" t '142 'ÍiÈ'"ÚÍ1fTDE PATHOLOGIE NERVEUSE.
XXI. DE l'aphasie dans la paralysie générale ; par B. 1SCIIEB. . : ' «ni ' ! ,fI' (AU. Zeitsch. f. Pschiut., XLIX,,f "2
DE l'aphasie dans la paralysie générale ; par B. 1SCIIEB. . : '«ni ' ! ,fI' (AU. Zeitsch. f. Pschiut., XLIX,,f "2.) ?
«ni ' ! ,fI' (AU. Zeitsch. f. Pschiut., XLIX,,f "2.) ? ,1 Hr4 fi` r ' ,t t tAa,, \.1\ ,.) w ? y V dq 1 ,... -... 1 ? t'I
rescence secondai re" du ic6rpsr'g"e- nouillé interne.' 1 -.rD '- »" ' » ? n- , . ? "* i " P. KERAVAL.'I. - - - ,W ? 1
.rD '- »"'» ? n- , . ? "* i " P. KERAVAL.'I. - - - ,W ? 1 : : ICi.^ ' 91 ? <.1'rI ? 1 1'ar t ii."i ii t ir"i j J ,
0.-D..(T/tejIoMmao ? e ! u'OMSaM , Mental Diseuse, février 1893.) ? ' ' l. Fflr ? ? ¡ ,- > i 1 1 Ii 1 f 1/ .. ? J' -
-D..(T/tejIoMmao ? e ! u'OMSaM , Mental Diseuse, février 1893.) ? ' ' l. Fflr ? ? ¡ ,- > i 1 1 Ii 1 f 1/ .. ? J' - ,
? ¡ ,- > i 1 1 Ii 1 f 1/ .. ? J' - , r : .¡ I Ii ? : 'I/-It -r J ' ).u J f. 1 . ,,¡'. ? r r .. . Po 1 ? chronique :
L'auteur divise en quatre les 'form 's 'de" la 'elloré6 chronique, : ' : 1° chorée chronique* des enfants'' apparaissa
apparaître' d'` n'importe» quelle ? -Il, LI " .. >'L' g 'période ' de' la vie ; 3° la .chorée d'Hûntington' caractér
rdive ? les'troubles psychiques' et la pr 'ere i ? appariLioii tard ' ' ti·ôûbles psyhiques et la marche progressive
ive ? les'troubles psychiques' et la pr 'ere i ? appariLioii tard ' ' ti·ôûbles psyhiques et la marche progressive 'e
minant toujours 'par`la guerispd. L'auteur pu- blié ênsuÏle" deu ? [ ' (ohsehatiàn5' dè chorée1 d'il untingtdnl remarqua-
>)1 a 3lu an;tuJ 13C.^ . , ? ah '1" Iqi ? - ,¡, . , f(I'wff0 2tiEq ' ;J' llun art . t.9. r ? I- 1"XX111. La peptonuri
un art . t.9. r ? I- 1"XX111. La peptonurie chez1, les paralytiques ' ; ! par le Dr Fronda ? ob, ' '(Il'niâl21cornzo,'
. La peptonurie chez1, les paralytiques '; ! par le Dr Fronda ? ob, ' '(Il'niâl21cornzo,'fasèu·ITq8rJ.),L " '7r[fI J,'F
La peptonurie chez1, les paralytiques '; ! par le Dr Fronda ? ob, ' ' (Il'niâl21cornzo,'fasèu·ITq8rJ.),L " '7r[fI J,'Fr
hypertl'ophie musculaire, ''surtout' aux 'extrémités infé- `rieures` ' =' et3dü'trouble-myotoniqué"du mouvement, notammen
pertl'ophie musculaire, ''surtout' aux 'extrémités infé- `rieures`'= ' et3dü'trouble-myotoniqué"du mouvement, notamment
e-myotoniqué"du mouvement, notamment - da.ns les'mlisèlës des euâ ? ' 11'¡ ? "1/" ".= ? p.K : .i'' >' ? tu.. '1, ').
es'mlisèlës des euâ ? ' 11'¡ ? "1/" ".= ? p.K : .i'' >' ? tu.. '1, ' ).. } "- `fc J,r',J{' ! 1 'Ift 9'l"lfi ? nf 19'6'
' 11'¡ ? "1/" ".= ? p.K : .i'' >' ? tu.. '1, ').. } "- `fc J,r',J{ ' ! 1 'Ift 9'l"lfi ? nf 19'6' : i}'l ? l» i M ? l
LES. (Neurol. Centralbl., 1892.) 8.K.1 , ? (jP rr ·r rr T -a ? "6«v ' -' rl1via.' ? .tu r.^,iou a ? 1 ¡rup p'o{ 1;J 7N
. (Neurol. Centralbl., 1892.) 8.K.1 , ? (jP rr ·r rr T -a ? "6«v ' - ' rl1via.' ? .tu r.^,iou a ? 1 ¡rup p'o{ 1;J 7N " ?
comparativement sur les endroits sciérêmateux et les endroits sains; ' et'sur une per- . sonne saine. Dans les^ région
férences sont bien plus faibles, l.très peu. notables ; par. places, ' la peau encore intacte'présente une ; résistanc
onne ..saine ne présentait suivant cet auteur rien de pathologique. ' ,, *- , ti . -' il"J fi'i'l'urtSKl x ? ou n ? (
présentait suivant cet auteur rien de pathologique. ' ,, *- , ti . - ' il"J fi'i'l'urtSKl x ? ou n ? ()' 1 ? di' ';U"
de pathologique. ' ,, *- , ti . -' il"J fi'i'l'urtSKl x ? ou n ? () ' 1 ? di' ';U" ...f : ¡ ¿ ? ? h." .J o1...I.J I r
ique. ' ,, *- , ti . -' il"J fi'i'l'urtSKl x ? ou n ? ()' 1 ? di' ' ;U" ...f : ¡ ¿ ? ? h." .J o1...I.J I rf;1"`I,je 1
1"`I,je 1 P. K'I.T 144 REVUE DE PATHOLOGIE nerveuse. , Il ? , . I ' .1. t , XXVI. Du symptôme de DE GRAÆFE dans la'
., par L. BRUNS. (Neurol. Cetiwlbl.; 1892.) . i i 'T )l î .") o " ' ' . ». La paupière supérieure ne suit pas l'aba
par L. BRUNS. (Neurol. Cetiwlbl.; 1892.) . i i 'T )l î .") o " ' ' . ». La paupière supérieure ne suit pas l'abais
ribue ce symptôme à l'effort que fait le malade pour ouvrir l'oeil. ' 1 1 P. le " · XXVI.. CUR £ E CONGÉNITALE; INCAP
Cuaniec- tomie linéaire ; par Wymann. (The Med. Times and Register, ' 1" octobre 1892, p.,391.) . Il s'agit d'un en
. l `r > > ` s lxf 1 REVUE 'DE -PATHOLOGIE -NERVEUSE.- 145 ' XXVIII.(1Un,cas d'anurie hystérique;, par IIOLST.
hystérique;, par IIOLST. (Ceiitralbl. f ? z " t' Ne1'vel ? ei{f¡, N ' )"" III, 89,2..), ), 1 , ; , Durée : 17 jours. E
bsente au point de vue de l'état de la physiologie de la nutrition. ' ' ''J'1'" 'P. K. ' ¡ ri : ' Il e o ? n Uh 119ft
ente au point de vue de l'état de la physiologie de la nutrition. ' ' ''J'1'" 'P. K. ' ¡ ri : ' Il e o ? n Uh 119ft1·
vue de l'état de la physiologie de la nutrition. ' ' ''J'1'" 'P. K. ' ¡ ri : ' Il e o ? n Uh 119ft1·,7mln . . 1fj, c
at de la physiologie de la nutrition. ' ' ''J'1'" 'P. K. ' ¡ ri : ' Il e o ? n Uh 119ft1·,7mln . . 1fj, c I ? 1 11 '
'" 'P. K. ' ¡ ri : ' Il e o ? n Uh 119ft1·,7mln . . 1fj, c I ? 1 11 ' (' )l ? q ! ..if ? (..41 ? 0;. a'T ? ( ! f"I ?
. K. ' ¡ ri : ' Il e o ? n Uh 119ft1·,7mln . . 1fj, c I ? 1 11 ' ( ' )l ? q ! ..if ? (..41 ? 0;. a'T ? ( ! f"I ? d' ni
Sérieux. (Bulletin de Soc. '' de niéd ? mëi¡t;"de' Belgique, 1892'.) ' ? II ? Il' ¡ ? , ¡ " ' >< "1J ? v {IPtj11
oc. '' de niéd ? mëi¡t;"de' Belgique, 1892'.)' ? II ? Il' ¡ ? , ¡ " ' >< "1J ? v {IPtj111 4 ? ? .yJ t'})"11'l}t
ques' et sans altération des, régions psyho-rnoti-ices. 1 - , 1 , ' Il s'agit donc, dans,ces cas, d'une agraphie d'or
, fasc. 2-3, 1892.) < Rapport médico-légal pour interdiction) ,/ ' " ' , ' r" ' ' ' ' ? ' i ' XXXI. Contribution
sc. 2-3, 1892.) < Rapport médico-légal pour interdiction) ,/ ' " ' , ' r" ' ' ' ' ? ' i ' XXXI. Contribution ...
3, 1892.) < Rapport médico-légal pour interdiction) ,/ ' " ' , ' r" ' ' ' ' ? ' i ' XXXI. Contribution ..... LA
92.) < Rapport médico-légal pour interdiction) ,/ ' " ' , ' r" ' ' ' ' ? ' i ' XXXI. Contribution ..... LA quest
.) < Rapport médico-légal pour interdiction) ,/ ' " ' , ' r" ' ' ' ' ? ' i ' XXXI. Contribution ..... LA questio
< Rapport médico-légal pour interdiction) ,/ ' " ' , ' r" ' ' ' ' ? ' i ' XXXI. Contribution ..... LA question
lt; Rapport médico-légal pour interdiction) ,/ ' " ' , ' r" ' ' ' ' ? ' i ' XXXI. Contribution ..... LA question DE
Rapport médico-légal pour interdiction) ,/ ' " ' , ' r" ' ' ' ' ? ' i ' XXXI. Contribution ..... LA question DE la
pport médico-légal pour interdiction) ,/ ' " ' , ' r" ' ' ' ' ? ' i ' XXXI. Contribution ..... LA question DE la surd
, pure, sans cause, exclusivement fonc- tiànn"el1essaÍls "spasllles, ' iJOtamment d'origine hystérique : '= 2° Un' peu
nc- tiànn"el1essaÍls "spasllles,' iJOtamment d'origine hystérique : ' = 2° Un' peu plus fréquente paraît-elle être qua
elle occupe. Ces phénomènes convulsifs .doivent d'ailleurs faire .1 ' ' * ..." fi, Il. fl , i - 1, « .1 suspecter, l'
le occupe. Ces phénomènes convulsifs .doivent d'ailleurs faire .1 ' ' * ..." fi, Il. fl , i - 1, « .1 suspecter, l'au
e dé Brissaud et. Marie ii'est'pas 1 invinciblénient,'fatale me rit, ' aussi net que le veulent ces auteurs. Ainsi il
entre une hémiplégie organique et une hémiplégie sans lésions. ,1 ' . P. Keraval. 'J r i '.<-,, , , (1 11- i .
XXXIII. UN cas D'HÉTÉROTOPIE de la moelle CHEZ un paralytique, t ' général; par B. Feist. (Neurol. Centralbl., 1892.
'analyse ne peut suppléer à la lecture et à l'examen' des planches. ' ' ' P. K. ! - 1 1 l . / " , XXXIV. Un cas de pa
nalyse ne peut suppléer à la lecture et à l'examen' des planches. ' ' ' P. K. ! - 1 1 l . / " , XXXIV. Un cas de para
lyse ne peut suppléer à la lecture et à l'examen' des planches. ' ' ' P. K. ! - 1 1 l . / " , XXXIV. Un cas de paraly
congénitale; par F. Schultze. , (Neurol. Centrnlbl., 1892.) .. -1. ' " . Paralysie' périphérique du facial gauche ave
ment d'un noyau isolé de ce nerf le centre en étant demeuré intact. ' l,r 1 . ! - - - p. K. , '1..11 RË'iÙÊ7DE-r P ÃT
XXXV; Contribution A la pymptomatologiede la maladie DE BASSEDO N ; ' - 'O'b ? "'Opal; E.7'A. HOMEN. (Neurol. Central
1 fQ'1. tI"...) , .11111 '4lll hi t>......"f.Oj ? J>' ! fI' 1 ' 1 f .11 'd ' ? ''Observation'.1 Une femme' appa
...) , .11111 '4lll hi t>......"f.Oj ? J>' ! fI' 1 ' 1 f .11 'd ' ? ''Observation'.1 Une femme' appartenant à une
dé Basedo"les']'p]us"éaràclél'istiqù't3s"âvec;1 de temps" à' autre, ' des troubles ne'rveu'x' : 'parésie'. Óú'pa'ràpa
¡ pal' de fortes conr vulsions oü une.,pausé coûrte, 'iristantanée; ' à la fei'meture ' des paupières.' Ce tremblemen
conr vulsions oü une.,pausé coûrte, 'iristantanée;' à la fei'meture ' des paupières.' Ce tremblement palpébral n'a fa
que ! chez deux malade sur 13 'observations de l'auteur ? '6<1 - ' ? P. K.' " .. -t l >' '1 J.)j,1'.r1 qr ? 0 '
n vu'un'cas authentique de mutisme hystérique lorsqu'il ''décrivait ' si parfaitement'la* maladie de Lucinde.Obser- v
' si parfaitement'la* maladie de Lucinde.Obser- vation àl'appui ? " ' ' t ,W.iLf'J erfly·t1, ,1 <» f1 i P. K. z &g
si parfaitement'la* maladie de Lucinde.Obser- vation àl'appui ? "' ' t ,W.iLf'J erfly·t1, ,1 <» f1 i P. K. z >
y·t1, ,1 <» f1 i P. K. z > i-no'. '' {J(P I.J 1\, n ir.,71 il ' , r ,1 \ ,[/ ? m , \1 XXXVII. Paralysie spinale
pénibles dans le dos : Pas d'hystérie. L'issue n'en'est pas' connue; ' il'est à'supposr 'que la guérison est impossibl
alisées'' aux muscles, augmentant à* l'occasion 'des mouvements, et, ' de' temps' à' autre,' à tel point'que la malade
augmentant à* l'occasion 'des mouvements, et,' de' temps' à' autre, ' à tel point'que la malade ne peuf'plus'se -mouv
, de la nutrition chez,une personne immobile depuis plus d'un an. ' , , , , . , "P. KERAVAL. ' ,1, i i - . lin 1 j
e personne immobile depuis plus d'un an. ' , , , , . , "P. KERAVAL. ' ,1, i i - . lin 1 j 1 1,1 ., ' 1 , 1 H ! If !
n an. ' , , , , . , "P. KERAVAL. ' ,1, i i - . lin 1 j 1 1,1 ., ' 1 , 1 H ! If ! 'i f '< 1 i '+ XXXIX. Attaque
L. ' ,1, i i - . lin 1 j 1 1,1 ., ' 1 , 1 H ! If ! 'i f '< 1 i ' + XXXIX. Attaques DE léthargie ET suggestion hyp
ze jours et'durait chaque fois de trente-quatre à quarante heures. ( ' " ^ Par la suggestion hypnotiquel'auleur parvin
'1 n ? nl ? P,f.dr. ? m.sj,i ? HssiSg ! J811t ? i . il 1 ... Il t l ' -j ' 1.1. b1 Y4'I J. ' ' Voy. Archives de Neuro
? nl ? P,f.dr. ? m.sj,i ? HssiSg ! J811t ? i . il 1 ... Il t l ' -j ' 1.1. b1 Y4'I J. ' ' Voy. Archives de Neurologie
j,i ? HssiSg ! J811t ? i . il 1 ... Il t l ' -j ' 1.1. b1 Y4'I J. ' ' Voy. Archives de Neurologie, Revues analytiques
i ? HssiSg ! J811t ? i . il 1 ... Il t l ' -j ' 1.1. b1 Y4'I J. ' ' Voy. Archives de Neurologie, Revues analytiques.
4'I J. ' ' Voy. Archives de Neurologie, Revues analytiques. 1 1 ? 1 ' lA) ? REVUE% DE pathologie MENTALE.7 149 très
l'urine décrites par MM. Gilles de la Tournette et Catheli-i néit. ' ' ' ' <. t ? .t.. P. S. neau. '1 tmtf m-i t
'urine décrites par MM. Gilles de la Tournette et Catheli-i néit. ' ' ' ' <. t ? .t.. P. S. neau. '1 tmtf m-i t 'F
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1 tmtf m-i t 'F r,, 'I' fui i j ' P. S. £ tf ;.I i tttt trli ., 110" ' H ! 'f r., Irl (11' 1 j 1. ' ' E K , 1 1 1 1, 0
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110"' H ! 'f r., Irl (11' 1 j 1. ' ' E K , 1 1 1 1, 011 ? , . If I ' . m U ( .( 1 1 , . 9 i ? 1 1n·, , ? 1 'r· 1 1 ,
. If I ' . m U ( .( 1 1 , . 9 i ? 1 1n·, , ? 1 'r· 1 1 , 1 5· ^;1, ' , 1 - 1 1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE, ,1 t'b
1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE, ,1 t'bnon t l'¡ ? t Il' ? 1 r 1lnl" ' ri j1"'lI (n ? f1 Í- ,(l'I(I') f . ri r I., CRA
skridge aux soins duquel il a été confié depuis quatre semaines'. ? ' 'J ' ? , ? 111'.im'.t.» ? .il ... - . ? , . i L
ge aux soins duquel il a été confié depuis quatre semaines'. ? ' 'J ' ? , ? 111'.im'.t.» ? .il ... - . ? , . i L. A..
gauche était affectée. Le Dr Chase prof céda à l'examen des yeux. , ' e l 1 , Comme vous le voyez, l'enfant est bien
cernant les débuts de' cette condition l'un, qu'il y a ossification ' prématurée des'os 'du 'cI'l/ne \ empêchant de la
t celte'condition, quelle'que soit la cause qui y - donne lieu. - 1 ' .. " que soit la cause qui y ? aÍÍ : elo¡jgue fai
ales qui pourraient "se développer par l'extension même du cerveau. ' ;' : l11w REVUE' DE PATHOLOGIE['MENTALE, -' I
s qui pourraient "se développer par l'extension même du cerveau. ' ; ' : l11w REVUE' DE PATHOLOGIE['MENTALE, -' Il a
sion même du cerveau. ' ;' : l11w REVUE' DE PATHOLOGIE['MENTALE, - ' Il appela'cette opération c ? '< ! H ! ee<o
tion.'Lorsque lai terminaison Wectomie » est jointe à'une'opération; ' elle signifie qu'il y a ablation complète de l'
r Wyetli et DIàcClintoch.lls enlevèrent une languette d'os d'an ici ' "côté ou^de l'autre de la ligne'médiane, prolongèr
apport à la mortalité qui a3suivi l'opéra- tion ainsi- poussée loin, ' je' ne' crois pas qu'il'y,f ait justification à
à faire une opération aussi étendue. ? i f, j'/ 1 n, , 1.' . 1 j ' ,1 Hors]ey croit que,' 1 à" cause, du 'développeme
on aussi étendue. ? i f, j'/ 1 n, , 1.' . 1 j ',1 Hors]ey croit que, ' 1 à" cause, du 'développement imparfait du sys-
1 sage d'essayer cette méthode plutôt que.de-recourir à,des mesures ' ' aussi radicales que celles'que nous avons formu
sage d'essayer cette méthode plutôt que.de-recourir à,des mesures ' ' aussi radicales que celles'que nous avons formulé
éparé avec soin pour l'opération. On a rasé son "cuir chevelu' hier, ' on l'a' frotté et lavé avec du savon. et dell'eau
hevelu' hier,' on l'a' frotté et lavé avec du savon. et dell'eau, 3 ' ensuite avec de l'éther,' et finalement avec une
tté et lavé avec du savon. et dell'eau, 3 ' ensuite avec de l'éther, ' et finalement avec une solution de bichlo- S'ru
'rure 'de mercure au' 1/2. 000. 'La tête a été enveloppée, dans^une ' serviette saturée de cette solution,-et, comme vo
t encore 'en 'place ? Nous. allo11s 'FenJever, et-mesurer le-crâne. ' ''L'éther'a été' employé ! comme anesthésique.et.
i- chlorure, et sous la tête nous placerons un vase de caoutchouc ' "rempli d'eau chaude.111111.11P' ç,, rbjt-jF, "1 g
ondante l'entaille de l'os. ,Je laverai la plaie avec une "solution^ ' sublimée de z p. 3,000 pour, enlever les nf fra
If pouce'1' antérieurement, trois, quarts de pouce postérieurement. ' "Vous'remarquerez, que">je n'ai'pas préparé'- d
marquerez, que">je n'ai'pas préparé'- de j drains, mais si la '1` ' nécessité s'en faisait sentir, on drainerait la p
'WI L'enfant la 'bien 9 supporté) lanesthésique et paraît en bonnes ' "^conditions ? on va' maintenant le faire. coucher
répandre' de l'i6dofdÏriie et' faire' notre pansement antiseptique'. ' Au^lieu de placer un 'bandage pour main lenir'i
de Keen,"de Gerster et Saclis; ceiui'de Wyeth et Mac Clintock, 111.^ ' Clistow' Parhwell ajoute que dans un 4 cas opér
4 cas opéré par lui, Morrison a noté une véritable amélioration.1' ' ' Ilorsley a opéré deux malades en'Angleterre.'
cas opéré par lui, Morrison a noté une véritable amélioration.1' ' ' Ilorsley a opéré deux malades en'Angleterre.'L'un
e ne puis être d'accord. même avec ce chirurgien distingué. Sur ces ' 41 cas, 5 sont morts-et 36' ont été suivis d'am
1 assez longtemps sous l'observation pour pouvoir juger oùatteindra" ' l'amélioration qu'on peut obteuir. Le cas que j
a"' l'amélioration qu'on peut obteuir. Le cas que je vous ai montré ' 1 est, le premier, qui ait étéropéré dans l'Oue
remier, qui ait étéropéré dans l'Ouest et nous.ne,pouvons REVUE' DE ' PATHOLOGIE7 MENTALE S1 1S3 espérer'qu'une chose
st qu'il continuera à s'améliorer autant qu'ir'promet de'le'faire : ' '... ? .' ? '' : ' ' RouTILn ? "P JJ "1d' '("tt
à s'améliorer autant qu'ir'promet de'le'faire : ' '... ? .' ? '' : ' ' RouTILn ? "P JJ "1d' '("tt ? lIt i" '. ;"1 H
s'améliorer autant qu'ir'promet de'le'faire : ' '... ? .' ? '' : ' ' RouTILn ? "P JJ "1d' '("tt ? lIt i" '. ;"1 H 1f
ir'promet de'le'faire : ' '... ? .' ? '' : ' ' RouTILn ? "P JJ "1d' ' ("tt ? lIt i" '. ;"1 H 1ft' f,¡ ? (-} {Pli ? 1' ,1
JJ "1d' '("tt ? lIt i" '. ;"1 H 1ft' f,¡ ? (-} {Pli ? 1' ,1.· c " "* ' ' 'QPT j 1- t'Il ? t , 1 1 .... < * , t 1.,
J "1d' '("tt ? lIt i" '. ;"1 H 1ft' f,¡ ? (-} {Pli ? 1' ,1.· c " "* ' ' 'QPT j 1- t'Il ? t , 1 1 .... < * , t 1., '
i ? 1' ,1.· c " "* ' ' 'QPT j 1- t'Il ? t , 1 1 .... < * , t 1., ' I 1 d, 1 \. . II. Sur LE délire dans, l'influen
cation relevant de la maladie infectieuse.' ? J. Séglas. ? t ..rl, ( ' "'1/U' ? t". ¡.c.rn'Y \1 't9'ti ? f < ? ff' It
las. ? t ..rl, (' "'1/U' ? t". ¡.c.rn'Y \1 't9'ti ? f < ? ff' It ' 'IF ï f1 '\1 f&.¡ q ., JI(f t..I 1'C,IJ Id
rl, (' "'1/U' ? t". ¡.c.rn'Y \1 't9'ti ? f < ? ff' It ' 'IF ï f1 ' \1 f&.¡ q ., JI(f t..I 1'C,IJ Id rr1l ? ....,
'1 J .t i , (Bull. de ln Soc. de méd. menl. de l3clgique, 1832.) i ' '... '1 " 1... ? - r ,îj.*î ? - · Observation
thyroïdienne.. r ,G. D. ,11111 ,( i", 1 11J1 Rr Il ( 1 t. 'Il,, ," ' , 1 IV. Des TROUBLES'DE'LA parole chez les alié
IV. Des TROUBLES'DE'LA parole chez les aliénés; par O. 11LINKS. .. ' r ' (Allg. Zeilsch. f.'Psyclr ? tYLIX', i, 2.) "
Des TROUBLES'DE'LA parole chez les aliénés; par O. 11LINKS. .. ' r ' (Allg. Zeilsch. f.'Psyclr ? tYLIX', i, 2.) " l' ,
KS. .. ' r ' (Allg. Zeilsch. f.'Psyclr ? tYLIX', i, 2.) " l' , Il ' ? 'Il ')(,<Tq '11 f tf". . (I 1 , Étude crit
' r ' (Allg. Zeilsch. f.'Psyclr ? tYLIX', i, 2.) " l' , Il ' ? 'Il ' )(,<Tq '11 f tf". . (I 1 , Étude critique des
sur une confu- sion mentale chronique... , t I .' 1" , I z . 'i· - ' ficulté à s'exprimer (c'était un acteur); 'il e
paraphasique,'il trace dans le vide les mots qu'il ne peut trouver, ' désigne inexactement les couleurs;·lit et écrit i
taut"que le lui permet' son état' nientai.tf Ir. HI, \ > >- , ' i *» f , n . ? Il ' . ;Enfin il s'agit d'un par
et' son état' nientai.tf Ir. HI, \ > >- , ' i *» f , n . ? Il ' . ;Enfin il s'agit d'un paralytique général à l
agit d'un paralytique général à la dernière période'll 154 REVUE"DE ' '' PATHOLOGIE . ? 11ENTALE. "rés'semblé'assëz a
sensofielles ? JJJtil&Jer ? ! iJ HlqWIHI Jiu;'Hio\ L,< ? (,,0, ' ), IÍI tf¡ 1sio'ns"'sensofielles.vlJ-nini,j8fs «
de perturbations dans la mémoire ekl'association des, conceptions, ' d'une obnubilation des facultés symboliques. La p
es facultés symboliques. La parole est, ralentie, balbutiée, lourde; ' hésitânte;tout à coup ils s'arrêtent, et ne se
répètent fréquemment Iles propositions les plus simples,et lés mots; ' ilsl présentent une.verbigération très pauvre, de
ilf;nl ` .y G.1 - - 'tify tl 'IA1 nitn'1 1(Li ! bv . ,t ,1·,.i, f : ' Modèles des troubles de l'écriture des aliénés, d
us corriger les imperfections signalées plus haut).^ 1, uu 1-, ? - ` ' ` Résumé de quelques- travaux, sur la parole des,
lr 'b.5 Il r411 lt401" J ,1e-Q {;t.,tf d) 11;1 11J"J : ¡.l1q MU'15'rr ' t'1 , « " V. De LA VARIABILITE DES CONCEPTION
; par TH. 11LLE. (A llg. Zeitsch., Psych., XLIX, " , ,1, '2.). '1', ' W) ? ? t'ucU ? 2es'1 r 1 ,i '1* 1/ 1 j, ; ,{T ?
W) ? ? t'ucU ? 2es'1 r 1 ,i '1* 1/ 1 j, ; ,{T ? I ij 4 o 11 ? I'fAW ' ¡(1111 Il lep f, '.vtr.y Observation I. Délire
out est mobile; (,il y, â,suocéssivemënt augmentation 'du u déljr'e, ' 1 changerrié : Ilt complet' des allégations' qu
délire qui s'étend est celui qui s'amplifie, soit quant à sa teneur, ' en changeant de sujet, soit quant aux personnes
à> la mégalomanie..77- Un délire varie'dans le sens large du mot, ' quand il se .modifie en général ; il' variei da
même 1 seuls les détails'se modifient .Un', délire s'accroît, quand ' }..ne ! change-pas de.sujet ! : tel individu qui s
u délire est composée des diverses sortes de variabilités. , ¡. f ? ' ¡¡'U[(f ZUrrq '111(0, rMCr ÎTJJ/lTJI)1,Po.l}RytL'r
ie complète; au péri- "mtre, hémianopsie bilatérale ? Graduellement, ' phénomènes de cé- {,. cité psychique, photopsie
Tout,disparait,,sâüf l'hémiôpie'qui, tout en diminuant ."d'étendue, ' persiste encore cinq, mois apr8s,l'iétli,s ? P :
decin' n'ait pas hypnotisé' la malade. La suggestion' eût certaine- ' : Lmentréussi ? >ls9 aJI1l 1s¡q fia r9ltâr as
iC6 Soc. de métl., ment. de,Beliqûe, mars 1893.) l ,l'if. , Il '1'1 ' 1 a ,l , i ", . , .. , , l lit ( i 1 .h u (1
d'un accès de mé- lancolie'et manifesta presque immédiatement' des ' idées de néga-' tien nettement systématisées. ,
ment' des ' idées de néga-' tien nettement systématisées. , t-4 , , ' 0, jfi-' -, «Les idées de négative de cette mal
t associées des idées d'immortalité et aussi de damnation. -'' l'l, ' " '1 Cette observation montre donc que les idée
ons de la sensibilité, si fl'équeÍ1tes'ch(iz les mélancoliques jouent ' sans doute à cet égard un rôle plus important.
lancoliques jouent ' sans doute à cet égard un rôle plus important. ' ' Il ressort encore de cette observation, d'apr
ncoliques jouent ' sans doute à cet égard un rôle plus important. ' ' Il ressort encore de cette observation, d'après
l' est très envahissant.et arrive à jouer le rôle prédo- t minant. , ' Il' '" ? 1 1 G. 1), 1 minant. .f.l ; l ,\-,j 1
très envahissant.et arrive à jouer le rôle prédo- t minant. ,' Il' ' " ? 1 1 G. 1), 1 minant. .f.l ; l ,\-,j 1 t tf '
'" ? 1 1 G. 1), 1 minant. .f.l ; l ,\-,j 1 t tf 'j' i i tt ` G; 1) ' .4111111 X. DU délire de jalousie chez l'homme;
"KitkF"T'-E'DIN'9., ,. , .. (Jcilerhâic%. f. Pschiat., X, 23. ) , " ' , - tA., . u .. t J . Le délire de jalousie ex
x ? Il est augmenté par les incompatibilités1 du,'ména'ge ? la gêne, ' 1 Le'délire'de jalousie peut encore se combiner
n il` 2 : t ,ni , n'ti1 .'¡1ùqb ? Il...-;11.,< : , Si 6 u - cl7w,· ' -* " ' XI. DES TROUBLES DE la parole DUS al'hyp
: t ,ni , n'ti1 .'¡1ùqb ? Il...-;11.,< : , Si 6 u - cl7w,· ' -* " ' XI. DES TROUBLES DE la parole DUS al'hypochondr
11LI\EE. (Allg. Zeitschr. Psychiut., XLV111, ? 2.) , 'il Il'1,11'' / ' ta un. ' ''1 7 ,yu '.t i "h i ' 1.1 . jii'mii ?
(Allg. Zeitschr. Psychiut., XLV111, ? 2.) , 'il Il'1,11'' / ' ta un. ' ''1 7 ,yu '.t i "h i ' 1.1 . jii'mii ? il 1'<
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' ''1 7 ,yu '.t i "h i ' 1.1 . jii'mii ? il 1'<' J·1,, u i j , j ' r ., . Balbutiement ,, et parole indistincte ra
" 1 w ? IER,\VAL. - q \ f iJ t . 1 , \ 1 -..., i , , ! ( j...., c J ' ' 'un' ' 'XlI'TRoÍs cas cliniques; par Clarke.
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' 'un' ' 'XlI'TRoÍs cas cliniques; par Clarke. 1 annn.t`a ·n --i ' " w I ifi il' )\('if rrW1 i- ' >» j rit. . t
iques; par Clarke. 1 annn.t`a ·n --i ' " w I ifi il' )\('if rrW1 i- ' >» j rit. . t 11 est de règle, parmi'' les a
' cas' cliniques intéressants,'où le'résultat afété tout différent. ' ' 'b >- ' '* f» r. Tut.' . ,...,.1 , .\.,...
cas' cliniques intéressants,'où le'résultat afété tout différent. ' ' 'b >- ' '* f» r. Tut.' . ,...,.1 , .\.,....
ues intéressants,'où le'résultat afété tout différent. ' ' 'b >- ' '* f» r. Tut.' . ,...,.1 , .\.,.... 'Of' 4 "...
s intéressants,'où le'résultat afété tout différent. ' ' 'b >- ' ' * f» r. Tut.' . ,...,.1 , .\.,.... 'Of' 4 "...,
nt. ' ' 'b >- ' '* f» r. Tut.' . ,...,.1 , .\.,.... 'Of' 4 "..., ' Cas I. j- Un homme de trente-quatre ans, mélanc
coup d'hallucinations. \. Enfin, six.ans après son entrée à l'asile, ' il se décide, à parler à la femme du, docteur.
trouble mental. [remontait à l'époque où il avait - ) S8 REVUE1' DE ' PATHOLOGIE1 M"ÊNTALE.1l reçu un 'coup' 'sur la
x'lui' disant qu'on le' tuerait s'il avait lé malheur de parler ? 1" ' ' nu nu 901l £ 'J m`,Tr ? "'1 ? tL' fr n't ioIf
lui' disant qu'on le' tuerait s'il avait lé malheur de parler ? 1"' ' nu nu 901l £ 'J m`,Tr ? "'1 ? tL' fr n't ioIfI'
"L'e Dr 'Clarke' eSt ap' pelé un jour auprès* d'une malade urémique, ' présentant un état maniaque'. Le pouls était' m
ues'jours, mais l'excitation et la température 'persistèrent.1 ? 'i ' "u^x - . La manie était'caractérisée'par des int
lucinations'. En deux an's;'la'guérison fut complète. lUI. '1 1 . - ' ,)t') , ) 1 -i ï ,CI. , . i , T Cas 1)1 ? L'aut
e ses occu- pations. (Americanj ? 1fl'lwl of insanity, 1892,) E. B. ' , fil l' ¡ 1 . XIII. INTERVENTION DE la chiru
American med. Association, Chi- cago, 1 cr octobre 1892, p. 400.) , ' JO> Lu à la section de Neurologie' et de Jur
de l'Association médicale américaine, tenu à'Détroit, en juin 1892. ' -1 , .. Microcéphalie. La. pathologie des affec
nt défendue, par les chirurgiens des deux côtés de l'Atlantique.' ` ' Tandis que Lannelongue a modifié sa première th
u ^développement du cerveau. - Nous ne, pouvons dire si - ;aladi"d' ' " "* 1 ' ' t .Nous ne pouvons dire si la maladi
ppement du cerveau. - Nous ne, pouvons dire si - ;aladi"d' ' " "* 1 ' ' t .Nous ne pouvons dire si la maladie du foet
ement du cerveau. - Nous ne, pouvons dire si - ;aladi"d' ' " "* 1 ' ' t .Nous ne pouvons dire si la maladie du foetus
ur en produisant ce rétrécissement du cerveau dans tous > 'f,. ? ' Il rl' "I .9,1*1 - rétrécissement du, cerveau 1
lie au plus haut degré,, sans synostose,^ comme un exemple frappant/ ' dans lequel il ne faut considérer'autré chose'
sance se produit vers le sixième mois de la gestation. » ? ? 1 ! '' ' ? ° , --ive" ! '1(>*' ftr, , .. ..... Flet
xième mois de la gestation. » ? ? 1 ! '' ' ? ° , --ive" ! '1(>* ' ftr, , .. ..... Fletcher Beach soutient cet avi
e considéré, comme, liquide, autant que la transmission de ''11' «, ' Ir i < ' u ? Nous signalerons à l'auteur les t
comme, liquide, autant que la transmission de ''11' «, ' Ir i < ' u ? Nous signalerons à l'auteur les treize volume
ts de l'expérience, après l'opération de la craniec- tomie linéaire, ' ne soutiennent pas la réclame faite pour elle par
la suite l'un de l'autre, la leçon sur la craniotomie faite par le ' D Clyton Parkyle (p. 149). Immédiatement avant
le ' D Clyton Parkyle (p. 149). Immédiatement avant l'article du D' ' Parsons Norbury. Par suite d'une erreur de mise
première opération de craniotomie a été pratiquée en 1878 par le D' ' Fuler (de Mont- réal), ainsi que nous l'avons r
me cas, l'opération a fait constater que les os Auciiives, t. XXVI. ' Il I 162 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. étaient
es accidents graves, est beaucoup plus considérable que le dit le D' ' C. Par- kyle, puisque, sur les quatre-vingt-tro
des comptes rendus de notre service, dans les années 1840 et 1841. ' BOURNEVILLE. XIV. DES causes ET DE l'hérédité D
ns délicates et non un appareil à mailles étroites qui les étouffe. ' c Voyez plutôt le développement que dans les vi
Les Sociétés de patronage des aliénés. Banquet à 7 heures du soir. ' Jeudi 4 août. A 8 heures du matin, séance à l'a
8° Elimination de l'acide phosphorique chez les idiots, par M. le D' ' Mabille. Questions générales : 1 Les auto -into
ques; M. le Dr Dericq. Etats mélanco- liques et urticaires; M. le D' ' labi1le. 2° Les faux témoignages des aliénés de
TIQUE SUR la nomination DES médecins ALIÉNlsn : 3 . aux Etats-Unis. ' t , Dans les derniers numéros des Annales médic
mes justement distin- gués. En voici quelques passages : . « Le D' ' Dewey médecin directeur de l'asile de Kankakée es
er professeur de psychiatrie en remplacement de M. Meynert, décédé. ' Académie royale DE médecine DE BELGIQUE. Prix :
u professeur Bail. - 1 - J.-B. Charcot et Georges GUINON. i . - . ' - Distinction honorifique. Nos bien sincères co
de Requin, l'art. Anévrysmes de l'aorte du Dict. encyclop., etc. ' Ces leçons ont été publiées par M. Benjamin Bail.
cyclop., etc. ' Ces leçons ont été publiées par M. Benjamin Bail. ' Nous avons publié ces leçons dans la Gazette des
il exploita ie nouveau champ d'investigation mis à sa disposition. ' Après la guerre, M. Charcot reprit son enseigne
laystéro-épi- lepsie qui terminent ce volume '. Souvent, dans les ' Il parut enfin en 1872. M. le D' Max Simon s'expr
qui sont demeurées enfouies dans ses car- tons. · Nommé, en 1872 ' , professeur d'anatomie patholo- gique à la Facu
ours un nom- breux auditoire. Pour le rendre attrayant et compré- ' Cette même année, il fut élu membre de l'Académie
f- d'oeuvre d'examen des malades, de séméiologie et de diagnostic ' , et les deux volumes. de Clinique des mala- die
ite par l'usage prolongé des préparations arsenicales, l'Expecta- ' La traduction allemande est en cours de publicati
l'Expecta- ' La traduction allemande est en cours de publication. ' Publiés par Georges Guinon. 192 J.-M. CHARCOT.
e ses tra- vaux étaient appréciés à l'étranger, nous rappellerons ' C'est dans son service, avec son assentiment, sou
grand feu, presque dans la taille de l'original 2 ; une deuxième ' Ce précieux album lui avait été cédé par M. Burty
rare que le plus profond de la science. » {L'Eclair du 23 août). ' En collaboration avec notre ami P. Richer que nou
squisse de Rubens représentant une démo- niaque. , J.-M. CHARCOT. ' 50'1 derniers temps, étaient tournées vers les
nant, à l'occasion, le Progrès médical recevra les souscriptions. ' On trouvera au Bulletin bibliographique l'indicat
e Fresque de Florence; Le paralytique de Raphaël; Les aveugles dans ' l'art ; Les Syphilitiques dans l'art, - 1889 :
heresse de la gorge, diminution des forces et léger amaigrissement. ' · Les résultats obtenus dans la manie vésanique
NE PALUSTRE Par le D' TRIANTAPIIYLLIDÉS (de Batoum). Observation. ' Chalmag..., restaurateur, trente-six ans, né à
écoce que ma faible expérience vient de me faire porter sur elle. ' Nous rappellerons que la première craniectomie a
ent ici d'excellents résultats. Bien qu'on ne puisse formuler à cet ' égard une thérapeutique définitive, les faits s
n ce moment toute tentative de synthèse serait au moins prématurée. ' Séance du 1° août (soir). Le Président donne
n n'a également qu'à se louer de l'anti- sepsie gastro-intestinale. ' t M. Séglas conclut que dans toutes ces obser
xicité des urines des aliénés. Chez les ar- SOCIÉTÉS SAVANTES. 24 ? ' thritiques, ces auteurs ont presque constamment
s alcooliques qui supposent un terrain de pré- disposition spécial. ' M. Séglas rappelle la diminution de l'urée post
lègues avaient répondu que le besoin d'une Société de patronage ne ' se faisait pas sentir dans leur département. Que
persécutions : le fait intéressant à relever c'est qu'en même temps ' Nous avons déjà eu l'occasion de signaler quelque
du 4 novembre 1891 . M. I'aixsce. - Mensonge et aliénation mentale. ' ( J Nous rappelons que tous les mémoires inscri
analysés, par suite, à leur place, avec le JahrGücla. t. Psychiat. ' P. K. sociétés savantes. 263 Séance du 4 févr
oir à une autre, elle se décidait à le tuer et à se tuer elle-même. ' BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BlAKCH ! e PiCCIMKO
ne fléchissent d'ailleurs pas sous elle et la force musculaire est ' encore relativement bien conservée ; il n'existe
gai; elle n'avait jamais eu de crises ni d'attaques d'aucune sorte. ' Il y a trois mois, étant aux bains de mer avec
ns les plèvres, les autres organes ne présentent rien à 1 signaler. ' ' ' · Examen histologique. Les pièces ont été é
les plèvres, les autres organes ne présentent rien à 1 signaler. ' ' ' · Examen histologique. Les pièces ont été étu
es plèvres, les autres organes ne présentent rien à 1 signaler. ' ' ' · Examen histologique. Les pièces ont été étudi
colorés en masse dans le picro-carmin et inclus dans la paraffine. ' 1 ' ? r 1 , o z 1° La tumeur. - Sur les dissoci
orés en masse dans le picro-carmin et inclus dans la paraffine. ' 1 ' ? r 1 , o z 1° La tumeur. - Sur les dissociatio
côté de ces cellules, où la division des noyaux parait s'effectuer. ' 11'1 .Il.... ,,1. 'i : o dll ,1(l Á}\ Y"" 2o4 C
ièrë ét semblent avorter, dans leur évolution. r" , : " t ? 1 ? f., ' ? En résumé, les éléments, que nous venons de d
7, Vérick, oc. 1.) 1 1't UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 285 1- " ' ". '/> s prolifépation; puisse, mesure qu'on
rick, oc. 1.) 1 1't UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 285 1- "' ". ' /> s prolifépation; puisse, mesure qu'on se r
oxyline. (Immers. 1/10, Vérick, oc.) 1 286 " CLINIQUE NERVEUSE. ; ' ceaux parcourent le tissu dans tous les sens. L
uefois pourtant leurs tuniques sont. infiltrées de leucocytes. 1 ,r ' ,"·, , . .1. <» >' <'> : n.'1 Souve
ailleurs on conçoit fort bien a priori qu'il doive en être ainsi. ' Un point remarquable est l'immunité relative dont
, ainsi qu'on pourra s'en convaincre en comparant les schémas ci- ' joints, qui appartiennent à ma première observati
ère gauche. (Loc cil.) '' if Il UN CAS ! DE GLIOME NEURO FORMATIF ' ,12üD ^néanmoins il n'est- pas impossible qu'ell
lle était formée de cellules à la périphérie, de fibres au . centre, ' présentait à sa surface des rudiments de circonvo
évidemment d'une , (inclusion remontant à la, période embryonnaire. ' 1 Lesage et Legrand ont décrit avec beaucoup de
pina bifida, qui contiennent des 'cellules "ganglionnaires^.^/ ^ -" ' "nV f `On voit .par ces quelques faits que les
ES D'ALIÉNÉS. Notice SUR l'asile d'aliénés DE La ROCIIE-SUR-5'oN; ' Par le Dr CULLERRE. I. En 1841, trois ans après
antes; bien' que leur'n'ombre T ne dépassât pas 90 en moyenne., , - ' ' I ? r '1 Ir ? r si t o,j ? nf Cependant,. ces
tes; bien' que leur'n'ombre T ne dépassât pas 90 en moyenne., , - ' ' I ? r '1 Ir ? r si t o,j ? nf Cependant,. ces a
allut se résoudre à la création d'un'asile. En 1845,'lé'conseil gré-' ' 1 néral décide qu'un.établissement' d'aliénés s
département de =la Vendée, et parla loi du 3 juillet» 1846,' il'-est" ' autorisé à emprunter la somme nécessaire à cett
d'agglomération d'habitants, à l'abri des exhalaisons insalubres 'et' ' du bruit ; une source précieuse y existe : dans
50,000 fr. et l'adjudication des travaux fut faite Ie23janvierl817; ' Les travaux furent commencés, mais avec unè sag
s'opère, et en 1849 le' conseil général ne veut plus de l'asile; et : ' nomme une commission pour chercher quoi on pour
ourrait bien' Uli1l liser les bâtiments en voie de construction.' - ' '' «Une autre destination de l'hospice des alié
-elle avanta- geuse pour le département ? vient dire le rapporteur. ' ' ? » Votre commission, à l'unanimité moins une
lle avanta- geuse pour le département ? vient dire le rapporteur. ' ' ? » Votre commission, à l'unanimité moins une v
t dont elle veut faire profiter le départe- ment de la Vendée. D Il ' , ; . "4 En ferait-on une ferme régionale d'agr
tallations défectueuses et l'encombrement continuèrent à subsister. ' En 1885 le nombre des aliénés dépassait 400. On
u'il soit signalé sur de nombreux points. asiles d'aliénés. 317 ' Le vin blanc récolté en quantité assez considérab
r 1M. llinc, (The lot.i7,iial of Mental Science, janvier 1890.) z ' ' . , l) Il s'agit d'une femme de soixante-quat
1M. llinc, (The lot.i7,iial of Mental Science, janvier 1890.) z ' ' . , l) Il s'agit d'une femme de soixante-quatre
presque des traduc- tions : ce sera le cas pour le présent mémoire. ' L'auteur rappelle d'abord qu'en traitant des fo
cas de folie amnésique. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 32t) . ' il "'1 fr, '1' 1'1 ,.[, .. UN cas DE mélancolie
ant; par F. Feulach, , (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., XLVIII, 6.) '' ' , - Il ? Fillette de dix ans, bien développée
sens musculaire qui sont en rapport avec l'appa- reil de la parole. ' , , ' 1 Keuaval. g - l , {.1 : ..., tr - -. .
usculaire qui sont en rapport avec l'appa- reil de la parole. ' , , ' 1 Keuaval. g - l , {.1 : ..., tr - -. . XXX
ELDTLER, (Allg. ZC2tSCÎ6, f. Psychicit., , XLVIII,, 6.) . , : '1' ' ~ Type de pseudo-réminiscences de Kroepelin. -P. K
f ()iI - " XXXf. La folie en Norvège (1891); par William HABGOOD. ' (The Journal of Mental Science, janvier 1892.)
e personnel a droit à un congé annuel de huit jours consécutifs. 'd ' - ' contient z - L'asile'i'n ? ncip'al"4.e Berg
rsonnel a droit à un congé annuel de huit jours consécutifs. 'd ' - ' contient z - L'asile'i'n ? ncip'al"4.e Bergen e
simplement soignées dans une salle spéciale dû bâtiment commun. 'f' ' r ' > L'auteur termine par quelques considér
lement soignées dans une salle spéciale dû bâtiment commun. 'f' ' r ' > L'auteur termine par quelques considératio
XXXII. SUR LES TROUBLES psychiques dans LES NÉVRITES périphériques; ' par James Ross. (The Journal of Mental Science, a
ues; ' par James Ross. (The Journal of Mental Science, avril 1890.) ' On a depuis quelques années, réuni en, un seul
ou bien par des états convulsifs; 4° une période finale de démence. ' L'auteur décrit avec soin ces quatre périodes,
mons; b) présence d'infarctus dans le poumon ; c) pneumonie loca- ' lisée, liée ou non aux infarctus. 4° La source
l'oisiveté. La profession elle-même n'est pas sans influence. Ainsi ' Voir Charcot.- Un calculateur proche Inaudi. (Pro
, la médecine resterait singulièrement désarmée en face de,la folie ' R. 11.-C XXXVII. Manie ET mélancolie; par John
r John MACPHEIisON. (The Journal .. of Mental Science, avril 1891.) ' '1> . Les conclusions de ce travail sont les
sion- muscu- laires ont pour origine le système génital. 1 P : Ii : ' J . t' '1"- ? ' XXXIX. Contribution A l'étiol
res ont pour origine le système génital. 1 P : Ii : ' J . t' '1"- ? ' XXXIX. Contribution A l'étiologie DE la paralys
plus dans les nerfs périphé- riques que dans les organes centraux.' ' 1 ? < -*' ' J1> -^ > z Comparant cette
nerfs périphé- riques que dans les organes centraux.' ' 1 ? < -* ' ' J1> -^ > z Comparant cette observation
erfs périphé- riques que dans les organes centraux.' ' 1 ? < -*' ' J1> -^ > z Comparant cette observation au
disséminée, affec- tions combinées des faisceaux de la moelle, etc. ' } - M. Jolly vient de dire que Westphal admettai
onique puisqu'on en constate toutes les modalités intermédiaires. ` ' , 336 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. MARINESCO. Sur le
tion très défec- tueuse, et de la sensibilité des os à la pression. ' Discussion. M. SPERLING rappelle des expérience
de gauche à droite en dépassant la ligne médiane, ce qui prouve . ' Voir Archives de Neurologie. Revues analytiques.
t d'air nécessaire pour - '1 ... - 1 1 .... ¡. - 4 z..., 1 ? 1 ,... ' (. f . , .. o.. ¿ Í. cette opération ne,, peut
ques, après s'être montrés passagers pendant de nombreuses an- nées, ' sont devenus permanents par suite de la complicat
ils exécutaient des mouve- ments ordinaires de la physionomie'. " , ' ., 'J . Voici une observation frappante tirée d
En terminant le rapporteur présente, les conclusions suivantes : " ' r- r J'11'. 1° La maladie des tics convulsifs d
ue le tic convulsif de la face doit être distingué della myoclonie. ' , ' ' 01- ~ ' 3° La inériatchénié, la maladie d
e tic convulsif de la face doit être distingué della myoclonie. ' , ' ' 01- ~ ' 3° La inériatchénié, la maladie des t
tic convulsif de la face doit être distingué della myoclonie. ' , ' ' 01- ~ ' 3° La inériatchénié, la maladie des tic
sif de la face doit être distingué della myoclonie. ' , ' ' 01- ~ ' 3° La inériatchénié, la maladie des tics convulsi
convulsifs et la myoclonie sont trois formes cliniques distinctes. ' Cette communication a été l'objet dè`débats vif
dées et- mouvements obsédants,'et d'autre part desitics simples. r- ' ' o f ri ''... ? '" . ? ? ? - ai.- ? i ' - - -
es et- mouvements obsédants,'et d'autre part desitics simples. r- ' ' o f ri ''... ? '" . ? ? ? - ai.- ? i ' - - - --
obsédants,'et d'autre part desitics simples. r- ' ' o f ri ''... ? ' " . ? ? ? - ai.- ? i ' - - - -- - - . 1 t 11 I
art desitics simples. r- ' ' o f ri ''... ? '" . ? ? ? - ai.- ? i ' - - - -- - - . 1 t 11 Il ' - > - i, ' ' 3hCU
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? '" . ? ? ? - ai.- ? i ' - - - -- - - . 1 t 11 Il ' - > - i, ' ' 3hCU u(.· ? 1 q 1 ,t 4, lf,f 1 1 : I,è 1 , t
'" . ? ? ? - ai.- ? i ' - - - -- - - . 1 t 11 Il ' - > - i, ' ' 3hCU u(.· ? 1 q 1 ,t 4, lf,f 1 1 : I,è 1 , t -
- i, ' ' 3hCU u(.· ? 1 q 1 ,t 4, lf,f 1 1 : I,è 1 , t - . o. , 3. , ' " ? t-t to;. .<. ', ? {-. .... ? .. -' ....
q 1 ,t 4, lf,f 1 1 : I,è 1 , t - . o. , 3. , '" ? t-t to;. .<. ' , ? {-. .... ? .. -' .... . '" "r .... , ? f";ll
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C ? édi- teurs. q-` 1$93. ^ '1 ? "t'. <- *». - wt C u ,tC ? \ ' =if(lf t.<J '. , o..Fe - . j 1.f ? 1 1 Ir, f -
t l'histoire, est encore peu connue. , - .- - , 1 .f' ,<,JI l ! \ ' ',)-'1 1 ? 'j Il s'agit de neurasthéniques ou d
l'histoire, est encore peu connue. , - .- - , 1 .f' ,<,JI l ! \' ' ,)-'1 1 ? 'j Il s'agit de neurasthéniques ou d'h
nt il n'est pas difficile de reconstituer les origines.. ? vjW -, i[ ' " Il J r...1 rr .;... ' ,, t ., A certaines époq
le de reconstituer les origines.. ? vjW -, i['" Il J r...1 rr .;... ' ,, t ., A certaines époques de sa vie, écrit Ma
de la Sal- pétrière. » J.-B. CIIARCOT. VARIA. LA MORTE- VIVANTE ' ' Il 1 1 , l - Un des faits les plus curieux,
la Sal- pétrière. » J.-B. CIIARCOT. VARIA. LA MORTE- VIVANTE ' ' Il 1 1 , l - Un des faits les plus curieux, e
celui de la morte-vivante d'Oriuy-aiute=Beuoite. i - ." - VARIA : ' 347 Cette, femme; âgée d'une trentaine d'années
: campagne," son. 'enfant a été tué èÍi- vè"Í1aÍ'¡t au mbndej'et ! ' à1 la 'suite : de' cet incident; les maut vaise
'et ! ' à1 la 'suite : de' cet incident; les maut vaises "IlaÍ1gues\ ' dû Ï5ajsf ayant prononcé, «"assez' haut pour qu'i
judiciaire fut ordonnée ? "1 ott Su ,.1'1> 1 ? 9 ,1" ? . t ! 1ot ' ,rI"" r n>- «< ' l 10 -, A la vue des gend
née ? "1 ott Su ,.1'1> 1 ? 9 ,1" ? . t ! 1ot ',rI"" r n>- «< ' l 10 -, A la vue des gendarmes, la jeune fille
ue et's'endormit. Depuis, elle- ne s'est jamais réveillée ! '' il ? ' ! Jf ! 1 lu : "ù ? ,'0 i'1 -, 1>(1\ 3P' < *
? ,'0 i'1 -, 1>(1\ 3P' < * Pendant les deux premières- années, ' la- malade fut soignée par le' médeciIÎ 'du1p'&
de, l'éther; les antispasmodiques restèrent inutiles et sans 'effet™ ' z '- 1 ? 1"Hi -- ? ' - '- 0.0" î / 14-1 .. De t
spasmodiques restèrent inutiles et sans 'effet™' z '- 1 ? 1"Hi -- ? ' - '- 0.0" î / 14-1 .. De tous les points de la
vèrent "et l'un 'd'éL,xi médecin à Lorient; qui avait eu, paraît-il, ' un-cas analogue dans son'' service ? formula :
malade' se 'réveillera, 'son réveil sera suivi aussitôt de sa mort. ' Inutile de' dire que, depuis cette époque, aussi
'sa famille un -objet de rapport assez lucratif. tr¡" 1, ? ,¡; . ? ' «'" » h .JI '11""1 0 Etendue- sur une couchette
sa famille un -objet de rapport assez lucratif. tr¡" 1, ? ,¡; . ? '« ' " » h .JI '11""1 0 Etendue- sur une couchette en
s dents n'ont eu' d'autres résultats que d'en briser plusieurs'. il ' < 1 Dans ce corps inerte et réduit à l'état
ès faibles, les mouvements du coeur sont réguliers et perceptibles. ' ' '" t. r Depuis' dix ans,'la morte-vivante d'O
faibles, les mouvements du coeur sont réguliers et perceptibles. ' ' '" t. r Depuis' dix ans,'la morte-vivante d'Ori
aibles, les mouvements du coeur sont réguliers et perceptibles. ' ' ' " t. r Depuis' dix ans,'la morte-vivante d'Orign
illance ? le relevé des' secours* en'nature pendant l'année écoulée, ' et'l'état de; situation ¡ du vestiatre, dans, cha
n ¡ du vestiatre, dans, chaque a , sile,,Iau 31 décembre : *1' -r,c ' "3- '" - T, ? "0 '10.' IL 9- £ t- 1,.1 b -'J'rq
vestiatre, dans, chaque a , sile,,Iau 31 décembre : *1' -r,c ' "3- ' " - T, ? "0 '10.' IL 9- £ t- 1,.1 b -'J'rq '4'
- '" - T, ? "0 '10.' IL 9- £ t- 1,.1 b -'J'rq '4' i I t -tHI' t f ' « t 1 , r *{<aï -"1 ,f , lnt3^ Y'' 1 , ( fF
,f , lnt3^ Y'' 1 , ( fF ú NOU\'EL EXEMPLE D'UNE JEUNE^DORMEUSE, . , ' ^j, . . ? . 1 J uf...) r11 t nt,"t ... > 1
motions extérieures. (The Lancei, 29 juillet 1893, p. 267.) ` · v n ' r Q1 j '- Nous .nous- permettrons de, rappele
ils Gela remonte à 1877 (lcono- graphie phOtOg1', de la Salpêtrière) ' ! Depuis, cette question a fait l'objet de, nom
e. C'est pour éviter pareil oubli que que nous faisons ce rappel. 5 ' ' (1 ".1 ? , ' ' ' r ... , Il : : - - j J 1 1
C'est pour éviter pareil oubli que que nous faisons ce rappel. 5 ' ' (1 ".1 ? , ' ' ' r ... , Il : : - - j J 1 14
ter pareil oubli que que nous faisons ce rappel. 5 ' ' (1 ".1 ? , ' ' ' r ... , Il : : - - j J 1 14 , r' 1 , 14 a .
r pareil oubli que que nous faisons ce rappel. 5 ' ' (1 ".1 ? , ' ' ' r ... , Il : : - - j J 1 14 , r' 1 , 14 a . -
pareil oubli que que nous faisons ce rappel. 5 ' ' (1 ".1 ? , ' ' ' r ... , Il : : - - j J 1 14 , r' 1 , 14 a . -
... , Il : : - - j J 1 14 , r' 1 , 14 a . - r FAITS DIVERS.. .. ? ' b ? t 1. 1 ? Ir -1.. = - Brillant acte de, cour
ne quinzaine d'années, 'montés sur un véhicule' dit « Jardinière ». ' ' ' ' ' 1 Le docteur se jeta courageusement à l
quinzaine d'années, 'montés sur un véhicule' dit « Jardinière ». ' ' ' ' ' 1 Le docteur se jeta courageusement à la
uinzaine d'années, 'montés sur un véhicule' dit « Jardinière ». ' ' ' ' ' 1 Le docteur se jeta courageusement à la tê
nzaine d'années, 'montés sur un véhicule' dit « Jardinière ». ' ' ' ' ' 1 Le docteur se jeta courageusement à la tête
aine d'années, 'montés sur un véhicule' dit « Jardinière ». ' ' ' ' ' 1 Le docteur se jeta courageusement à la tête d
uisse gauche, après lui avoir contusionné fortement lajambe droite. ' · Le conducteur avait été précipité de son sièg
Dr Chevalier, acte qui fait honneur et à lui et à notre profession. ' Asile départemental DES aliénés- de-la CHARENTE
ommé médecin en chef de l'asile du, Mans en remplacement de M. le D' ' MORDRET. Arrêté du 27 juillet : M. le Dr Ciiaus
the Uaiversal lfedical Sciences a ycarl,y report of llie progress o/ ' the gênerai sanilary zciences t/ ! 1'ougllOut the
ons cette occasion pour faire en quelque sorte une revue générale ' J. Collet. Le tremblement des cordes vocales et l
la figure 371 (protub. normale), que nous avons placée en regard ' Cette figure a été remplacée par un simple pointi
riétés et les fonctions du système nerveux. 2" édit. Paris, 1842. ' Luciani. Linee generali della fisiologia del cerv
re observations d'atrophie, celles d'Otto 2, de Fischer de Verdelle ' * et de Lallement font exception à la règle, mai
eu- lement dans celles qui, par l'augmentation de volume qu'elles ' Traité de diagnostic des maladies de l'encéphale.
suiv. 1 Otto. Arch. für Psych. und Nervezlcranklz., t. IV et VI. ' Fischer. Id., t. V. ' Verdelli. Rivista clinica
ür Psych. und Nervezlcranklz., t. IV et VI. ' Fischer. Id., t. V. ' Verdelli. Rivista clinica, 1874. Alaggio. 366 A
par de nombreuses fibres venant du cervelet et se rendant direc- ' Schultze. Ueber einen Fall von KleinhÙ'nschwund m
ent, croyons-nous, la place que nous leur donnons dans cette revue. ' Le tremblement, par exemple, se trouve signalé
parole qu'on observe dans l'atrophie du noyau de l'hypoglosse D ; ' Parmi les affections du cervelet, l'atrophie ne p
nalomique, une tumeur du cervelet qui avait provoqué ce symptôme. ' V. Prince. Boston med. Journal, 26 mai 92. Tumeur
cette maladie. Cette conclusion trop affirmative était en partie ' Lallement. Bulletin de la Société anatomique. Avr
tre observation avec la sclérose en plaques, en partie par les tra- ' 1 vaux antérieurs que nous avions pu rassembler
cueillies en Allemagne par des cliniciens de valeur indis- cutable. ' La rareté des documents et l'état encore embryo
psie. 1 Leube. Deutsche Arch. f. Klinische Medicin, 1870 et 1871. ' Krzysvicki. Intentionstremor der Slimmbauder. Ana
ent au moins trois fois plus nombreux dans le cas de Spencer : de ' Krauseï Travail analysé in Journal of Laryngology
dination de leurs mou- vements, ni découvrir la trace de sa lésion. ' Si nous jetons maintenant un coup d'oeil rétros
indistinctement condamnés. Ainsi se passaient autrefois les choses. ' Le cas de ces délinquants n'inspira aucun écrit
ême ouvrage, enfin, nous rencontrons, signalé pour la première fois, ' un nouveau type pathologique bien plus intéress
nctions cérébrales de tels hommes. C'est M. Magnan qui en a donné ' Magnan. Recherches sur les centres nerveux. Paris
st à remarquer en effet que, -aucun appétit de copulation, aucune ' Charcot et Magnan. De l'Onomatomanie (Archives de
in extenso son observation. « On voit, dit M. Paul Moreau (de Tours) ' , traduire en justice ' Paul Moreau de Tours. De
n. « On voit, dit M. Paul Moreau (de Tours)', traduire en justice ' Paul Moreau de Tours. Des aberrations du sens gén
n'eut heureusement, pas de suite et elle mourut peu de temps après. ' . J. T...n'a jamais eu ni maladie grave, ni con
sodiques. Notre malade, comme on l'a vu, n'a pas échappé à ceux-ci. ' L'acte est différent de celui du premier malade
ue signaler ce travail dont le compte rendu, pour être intelligible, ' nécessiterait l'exposé préalable de la légis- l
logues avaient été constatés par d'autres observateurs : seul, le D' ' Carlyle Johnstone lui a fait ' connaître qu'il
r d'autres observateurs : seul, le D'' Carlyle Johnstone lui a fait ' connaître qu'il avait rencontré deux faits sembla
s articles consacrés « au délire des négations b, articles que le D' ' Serbsky résume en quelques mots au début de sa
rononcés. Le rapporteur présente leur observation détaillée. Le D' ' Tchirwinsky fait remarquer que quelques-uns des p
t par le phosphore. Le professeur Korsakov se range à l'avis du D' ' Sémidalov et insiste tout particulièrement sur
and il ouvre la bouche, le maxillaire inférieur dévie du côté para- ' Voy. Archives de Neurologie, n° 73, p. t. 426 6
es hallucinations génitales. Ce sont souvent ces différents symp- ' J. Séglas.- Variété psycho-motrice des délires de
'elle raconte, dans ses antécédents héréditaires ou person- nels. ' Le début des accidents actuels remonte à sept ans
es misères, en lui disant : « Tu as refusé, tu t'en repentiras. » ' Dès ce moment, elle a présenté quelques-uns des s
e persécutée ce fait vaut, il nous semble, la peine d'être signalé. ' * ' . Notons encore des hallucinations génitale
rsécutée ce fait vaut, il nous semble, la peine d'être signalé. ' * ' . Notons encore des hallucinations génitales et
ressent comme une grande secousse ; la communication était établie. ' , Pour lui faire ressentir tout ce qu'elle épro
psychopathiques, ne laisse pas d'avoir une teinte assez spéciale. ' r Au premier abord 2 on peut croire que l'on a af
ment. C'est en agissant directement sur un être qui ne fait qu'un ' J. Séglas et P. Bezançon. De l'antagonisme des id
re ressentir par contre-coup des souffrances absolument identiques. ' ' Ce n'est pas seulement pour le mode d'express
ressentir par contre-coup des souffrances absolument identiques. ' ' Ce n'est pas seulement pour le mode d'expressio
ui est devenue une possession de l'individu hanté par les esprits ' D . ' ' z D'autres fois, les troubles phycho-mo
st devenue une possession de l'individu hanté par les esprits ' D . ' ' z D'autres fois, les troubles phycho-moteurs,
devenue une possession de l'individu hanté par les esprits ' D . ' ' z D'autres fois, les troubles phycho-moteurs, l
elle est 'allée dans une ville de province pour retrouver son amant, ' forcée par lui à distance d'accomplir ce voyage.
s cas où il en arrive à formuler un délire de négation systématisé. ' Ces malades, étudiés autrefois sous la dénomina
semble qu'il y aurait intérêt à leur faire une petite place dans ' J. Séglas. (Congrès de Paris, 1889 et congrès de
ecours à la suggestion à l'état de veille, qui fournit d'excel- 448 ' CLINIQUE MENTALE. lents résutats, en donnant au
moment sa mère, lui disant l'argent qu'elle avait emporté, les per- ' sonnes qu'elle avait rencontrées dans le cours de
Il perd la mémoire des mouvements coordonnés des lèvres et de la ' Elle fut atteinte il y a quelques jours de cécité
à l'abri des mauvaises fréquentations, devient tout à coup folle ' Nous croyons devoir faire des réserves au sujet d
furieuse, mais dans la mélancolie. Les fous qui se croient des cri- ' minels, qui sont assaillis de remords, sont les g
de. P. K. z XX. MAGNÉTOTHÉRAPIE ET suggestion; par M. BENEDIET. - ' (Neurolog. Centralbl., 1893.) D'après Paterson
REVUE' D'ANAT01111E · ET' DE PHYSIOLOGIE "... i '.PATHOLOGIQUES... ' " ? ? 1 't p il v 1-; 1, "'<)"' mi- i<| '
OGIE "... i '.PATHOLOGIQUES... ' " ? ? 1 't p il v 1-; 1, "'<)" ' mi- i<| ') . ttt t't'r.')Ljt.j< )'. t (f
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...-M u ,. Il' r t'il 1 t ' ' . zon , - ' "* " 1, , "I JllP> , , ' > < 1 i (C XLV. DE l'altération DES NERFS
amputations ? contribution ArL'I;TUDE'DELA"FO : VCTI01 trophique ' des NEftFS;,pat : G. IARINÇSÇO..(NeurOl.Çentyalbl
' des NEftFS;,pat : G. IARINÇSÇO..(NeurOl.Çentyalbl ? l892.),t' "7" ' ' ' 'Trois observations 'caractérisées par l'at
' des NEftFS;,pat : G. IARINÇSÇO..(NeurOl.Çentyalbl ? l892.),t' "7"' ' ' 'Trois observations 'caractérisées par l'atro
des NEftFS;,pat : G. IARINÇSÇO..(NeurOl.Çentyalbl ? l892.),t' "7"' ' ' 'Trois observations 'caractérisées par l'atroph
dépend de l'espècelietjsurtout )do l'âge de l'animal. eni expérience, ' ainsi, que, du | temps pendant lequel l'animal
; provoque dans les ganglions spinaux des modifications biologiques, ' probablement ! de nature clinique, qui exercent
nuellement pro- gressive des fibres . nerveuses qui', en' partent : ' 5° les extrémités ner- veuses sensibles, -notam
avec les corpuscules de Meissner, mais d'autres fibres sensitives. ' P. KERAVAL. XL VI. Des modifications dans la ra
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. i, 1 . , , il,yn l , 11,Y · W 1 1 ' t te @)MIre , , 1 l'esprit proportionnellement
exité, excepté lorsqu'il s'agit des associations d'idées' qui1 sont" ' alors' accélérées. C'est'pourquoi'chez le paral
ion vespérale 'des opérations de l'entendement; -, 9° la vieillesse, ' de'même que le défaut 'de culture, intellectuelle
6SCHENITSCH et S. TICIIONOw.. (Neurolog . Centralbl., 1893.) un, Il ' ' r.-iitri , .' t ' ;il f) t f , ; .n. Tj ; E
CHENITSCH et S. TICIIONOw.. (Neurolog . Centralbl., 1893.) un, Il ' ' r.-iitri , .' t ' ;il f) t f , ; .n. Tj ; Etu
IONOw.. (Neurolog . Centralbl., 1893.) un, Il ' ' r.-iitri , .' t ' ;il f) t f , ; .n. Tj ; Etude microscopique dan
date,du' bout central, entre le ganglion géniculé et le noyau du 7t ' I . I ? t ·1· ... I ' ? -.f I ', , t i / . , i.`)
entre le ganglion géniculé et le noyau du 7t ' I . I ? t ·1· ... I ' ? -.f I ', , t i / . , i.`)fW XLVIII. Remarque
ganglion géniculé et le noyau du 7t ' I . I ? t ·1· ... I ' ? -.f I ' , , t i / . , i.`)fW XLVIII. Remarque SUR la loc
,fibres les plus postérieures delà couronne rayonnante en, ce point, ' on obtient le même résultat.. lit, 4 m ;, >
e point,' on obtient le même résultat.. lit, 4 m ;, > - r P. K. " ' ' \ ' ' t . ,i i ' >* 1 » XLIX. Examens du
int,' on obtient le même résultat.. lit, 4 m ;, > - r P. K. "' ' \ ' ' t . ,i i ' >* 1 » XLIX. Examens du sen
' on obtient le même résultat.. lit, 4 m ;, > - r P. K. "' ' \ ' ' t . ,i i ' >* 1 » XLIX. Examens du sens ol
on obtient le même résultat.. lit, 4 m ;, > - r P. K. "' ' \ ' ' t . ,i i ' >* 1 » XLIX. Examens du sens olfa
t le même résultat.. lit, 4 m ;, > - r P. K. "' ' \ ' ' t . ,i i ' >* 1 » XLIX. Examens du sens olfactif au poi
par il " r N. SAVELIEw. (11'eterolog. Centralbl., 4893.; · "3 " ! ' )')) ' n , ' tii, n n n a· .Critique des méthode
r il " r N. SAVELIEw. (11'eterolog. Centralbl., 4893.; · "3 " ! ') ' )) ' n , ' tii, n n n a· .Critique des méthodes,
il " r N. SAVELIEw. (11'eterolog. Centralbl., 4893.; · "3 " ! ')')) ' n , ' tii, n n n a· .Critique des méthodes, et
N. SAVELIEw. (11'eterolog. Centralbl., 4893.; · "3 " ! ')')) ' n , ' tii, n n n a· .Critique des méthodes, et des ap
troduit dans les , l'I n ##lit il 1 1 1 .. Il, f-191 Il ., 'Ul<™ ' -,il 1 "TtT( ifin^lTT/O 1T)i.' Tnfovtj T T^ TI'
t;™ ' -,il 1 "TtT( ifin^lTT/O 1T)i.' Tnfovtj T T^ TI'T-T»^/ f' -1 . ' T '< ,' ' y ,,ytt4 Il 'l 1 Ir-7 e Il t 1,1
1 "TtT( ifin^lTT/O 1T)i.' Tnfovtj T T^ TI'T-T»^/ f' -1 . ' T '< , ' ' y ,,ytt4 Il 'l 1 Ir-7 e Il t 1,1 REVUE DANA
"TtT( ifin^lTT/O 1T)i.' Tnfovtj T T^ TI'T-T»^/ f' -1 . ' T '< ,' ' y ,,ytt4 Il 'l 1 Ir-7 e Il t 1,1 REVUE DANATO
483 ti-;r «..h up ? i'<"> » ,*i il.id" ne- ni'irti <n mu' ' '"< 11' . ' 1. 9narinej. Avant.djj se servir
83 ti-;r «..h up ? i'<"> » ,*i il.id" ne- ni'irti <n mu' ' ' "< 11' . ' 1. 9narinej. Avant.djj se servir d
.h up ? i'<"> » ,*i il.id" ne- ni'irti <n mu' ' '"< 11' . ' 1. 9narinej. Avant.djj se servir de l'appareil,
ciinU, contenant chlorure . de ,)caicium;g']ycérine, pierre ponce ? ' * 10 <.it. i'i( < *' ' i> z 8-cli Peur
. de ,)caicium;g']ycérine, pierre ponce ? '* 10 <.it. i'i( < * ' ' i> z 8-cli Peur doser la faculteotfactomet
de ,)caicium;g']ycérine, pierre ponce ? '* 10 <.it. i'i( < *' ' i> z 8-cli Peur doser la faculteotfactometri
....< ? T< ? ...' r. f.'V'l.'ll" f). 'IR'll.-ri 1 ? , ? .... ' "I ' ? ),' .jusqu a ce que- le.sujet,a examiner
..< ? T< ? ...' r. f.'V'l.'ll" f). 'IR'll.-ri 1 ? , ? .... ' "I ' ? ),' .jusqu a ce que- le.sujet,a examiner ne,
? T< ? ...' r. f.'V'l.'ll" f). 'IR'll.-ri 1 ? , ? .... ' "I ' ? ), ' .jusqu a ce que- le.sujet,a examiner ne, sente
SYLTQUG , par,. Kaiser., ? (Neurolog. Centralbl., 1893.) r) n ? , ' w , r · ? 1 TT f -7 tfI r / v.r- (1 V ] On plac
. Alors on les fait séjourner huit jours dans la liqueur 'de larchi ' : - Il' , '14 't' " ,n " uil ' «"< ! "< * n
uit jours dans la liqueur 'de larchi ' : - Il' , '14 't' " ,n " uil ' «"< ! "< * n 1 ,3 REVUE D'ÀNATOMIE ET DE
3 REVUE D'ÀNATOMIE ET DE 'PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES ? 485 riences, ' le centre delà contraction du sphincter anal est
og. Pl Cén ti-tilbl., 1893.) Il 4 (Jfl" 41 'T'cri 9"( u..i 3,f.^J " ' " i ? J' 1)13 W'IIJI il cb' 'f''f't ) `.Ii,t· ,,
JI il cb' 'f''f't ) `.Ii,t· ,,O,t9Jl0·rjl- a.ri fl- a'lt, x1 ri) < ' '' Ce sont les deuxième et troisième couches de
des fibres intra-corticales. La'largeur'de l'écorce à la' convexité, ' 'sur le sommet de la circon- 'v`ôl'ûtion,l esfd
nte est.de 3 millimètres 3 ? , P. K ? i 1 Bl iiiiii.->i- ,jq -j. ' < . ) 1 n,l.,itiv. , , l.jjijiv- ff 'mrT- LV
le'postérieure', celui qui^anime.la partie. supérieure de la moelle; ' syphilis probable Z1 'q A q , ni .1 ').tl(ht ?
rtie. supérieure de la moelle;' syphilis probable Z1 'q A q , ni .1 ' ).tl(ht ? t't,< ? ()t. £ , ? ), ufi LVII. CON
UTION au développement pathologique DU système NER- VEUS 'central ! ' Observation D 1NENCÉPH.1LIE, .1VEC ? 1M1'l.LIE to
on D 1NENCÉPH.1LIE, .1VEC ? 1M1'l.LIE totale ; par 0. Di : LE6NO\VA; ' (JY'e'u)'oo'. Cëiatrill6l : ; 1893) "M " ' ? Etude
le ; par 0. Di : LE6NO\VA;'(JY'e'u)'oo'. Cëiatrill6l : ; 1893) "M " ' ? Etude complète avec planches.' On' sait'que' l'
appartient pas à ce mémoire, ou, ce qui est' plus probabfe.le tuyau ' médullaire j était, déjà ferm6 avec r la. vésic
ons sympathiques, des ganglions spinaux et des racines postérieures, ' normaux, ce. qui prouve leur indépen- * danco e
]a vésicule oculaire, résulte de l'invagination ., ? < , . ",.... ' ! (U...JP- ' UU 111' 0lh/>.U .of du cerveau
oculaire, résulte de l'invagination ., ? < , . ",.... ' ! (U...JP- ' UU 111' 0lh/>.U .of du cerveau antérieur, .p
animal nouveau-ne la bandelette et le nerf optique, 1 appareil ? -/ , ' , " -, .- il» i ne ? mini «"t n> fiiui'i'ip 'j
pjd*nio .ilu.'inoh'iq a) r11, f9 I ",rt ? , i iI'm "il I n" yt7 HI'· ' ·,t,y(t ub ? It`a 'tr, r.97v'rWBÎ Coupetobliquet
agner la j 1 profondeur interne de's'céutt'es où'on le perd de vue. ' z / ' s Les ^fibres dû lobule du pneumogastriqu
la j 1 profondeur interne de's'céutt'es où'on le perd de vue. ' z / ' s Les ^fibres dû lobule du pneumogastrique qui
z / ' s Les ^fibres dû lobule du pneumogastrique qui se dirigent en ' dedans, que' deviennent-elles ? Unecoupe perpen
dedans, que' deviennent-elles ? Unecoupe perpendiculaire au niveau ' du pédoncule cérébelleux supéro-antérieur montr
trique. n'existe aussi des fibres obliques qui vont en dedans dans ' ' ! les'noy'aux' du nerf vestibulaire,lç'est-a-
trique. n'existe aussi des fibres obliques qui vont en dedans dans ' ' ! les'noy'aux' du nerf vestibulaire,lç'est-a-'d
s dû neéf vestibulaire vont'non pascaux noyaux centraux du cervelet, ' mais' infra au' lobule dii' pneumogastrique. '
centraux du cervelet,' mais' infra au' lobule dii' pneumogastrique. ' T1 'h ' ' ? L'étudedu développement des fibres
du cervelet,' mais' infra au' lobule dii' pneumogastrique. ' T1 'h ' ' ? L'étudedu développement des fibres du' pédo
u cervelet,' mais' infra au' lobule dii' pneumogastrique. ' T1 'h ' ' ? L'étudedu développement des fibres du' pédonc
ule du pneumogastrique permet de distinguer les fibres de' cepédon-^ ' ' culetde celles du pédoncule cérébelleux supér
e du pneumogastrique permet de distinguer les fibres de' cepédon-^' ' culetde celles du pédoncule cérébelleux supérie
e celles du pédoncule prennent une direction'obliqùe supérb-interne^ ' i La partie externe du segment interne d'ii'cbr
La partie externe du segment interne d'ii'cbrps restiforme réunie, ' ™ pour'unè'pàrt,' au pédoncule 'du lobule 'dti '
e du segment interne d'ii'cbrps restiforme réunie, '™ pour'unè'pàrt, ' au pédoncule 'du lobule 'dti 'pneumogastrique ? v
pour'unè'pàrt,' au pédoncule 'du lobule 'dti 'pneumogastrique ? va'1 ' avecMûi aux noyaux accessoires de'l'olive céréb
et participe à là'for ? 1' mation dé' là commissure postérieure ! v ' ' ' ' '' ? Mais'Me pédoncule' cérébelleux supér
participe à là'for ? 1' mation dé' là commissure postérieure ! v ' ' ' ' '' ? Mais'Me pédoncule' cérébelleux supérie
articipe à là'for ? 1' mation dé' là commissure postérieure ! v ' ' ' ' '' ? Mais'Me pédoncule' cérébelleux supérieur
ticipe à là'for ? 1' mation dé' là commissure postérieure ! v ' ' ' ' '' ? Mais'Me pédoncule' cérébelleux supérieur n
? Mais'Me pédoncule' cérébelleux supérieur n'a qu'un rapport topo-1 ' ·' graphique avec'le pédoncule'du lobule du' pn
Mais'Me pédoncule' cérébelleux supérieur n'a qu'un rapport topo-1 ' · ' graphique avec'le pédoncule'du lobule du' pneum
le dû'lobble'n'existè pas, la' partie a'nléfb-inférieure'dupédonc'ule ' 88 REVUE d'anatomiè ET' DÉ PHYSIOLOGIE' P.11'HO
'après l'apparition du pédoncule du'lobe du imcumo'sùlrique ? ? ? ? ' '' ? q'1' ' ' " , '1'. li : y m .... ,. *.»., M
arition du pédoncule du'lobe du imcumo'sùlrique ? ? ? ? ' '' ? q'1' ' ' " , '1'. li : y m .... ,. *.»., Mi.'yul Il rt
ition du pédoncule du'lobe du imcumo'sùlrique ? ? ? ? ' '' ? q'1' ' ' " , '1'. li : y m .... ,. *.»., Mi.'yul Il rtri
110SIsND.IGII. (qch lî-(t lb l.e f. Nei,'ven iN. F ? 1 1 V, 1893.)" ' .A rt,,(1 3 ? b JJ 1 ) 1 t tt) '1 · ffj 11' i '
F ? 1 1 V, 1893.)" ' .A rt,,(1 3 ? b JJ 1 ) 1 t tt) '1 · ffj 11' i ' 4 1 1, t 1 ') F t- , ' .. . Une partie .des, fi
893.)" ' .A rt,,(1 3 ? b JJ 1 ) 1 t tt) '1 · ffj 11' i ' 4 1 1, t 1 ' ) F t- , ' .. . Une partie .des, fibres de l'aco
A rt,,(1 3 ? b JJ 1 ) 1 t tt) '1 · ffj 11' i ' 4 1 1, t 1 ') F t- , ' .. . Une partie .des, fibres de l'acoustique se
àllàl'g'Ué qie'les 'd3,*saéoàsiques'arlent trop haut où trop bas.' ' ' ' ` ,< . . u ' '" ' PLK, ' ifî L ? LE noya
llàl'g'Ué qie'les 'd3,*saéoàsiques'arlent trop haut où trop bas.' ' ' ' ` ,< . . u ' '" ' PLK, ' ifî L ? LE noyau
àl'g'Ué qie'les 'd3,*saéoàsiques'arlent trop haut où trop bas.' ' ' ' ` ,< . . u ' '" ' PLK, ' ifî L ? LE noyau do
'd3,*saéoàsiques'arlent trop haut où trop bas.' ' ' ' ` ,< . . u ' '" ' PLK, ' ifî L ? LE noyau dorsal et LE noyau
3,*saéoàsiques'arlent trop haut où trop bas.' ' ' ' ` ,< . . u ' ' " ' PLK, ' ifî L ? LE noyau dorsal et LE noyau s
saéoàsiques'arlent trop haut où trop bas.' ' ' ' ` ,< . . u ' '" ' PLK, ' ifî L ? LE noyau dorsal et LE noyau sens
ques'arlent trop haut où trop bas.' ' ' ' ` ,< . . u ' '" ' PLK, ' ifî L ? LE noyau dorsal et LE noyau sensoriel d
N. MACHIN. (Centralbl. ? JfC) ? CH/(etM ? N. F. IV, , /i893.) / " ? ' 1 ' " » ? '- ' .. 1 ' . , ! fxj ,\' Sur une,, c
ACHIN. (Centralbl. ? JfC) ? CH/(etM ? N. F. IV, , /i893.) / " ? ' 1 ' " » ? '- ' .. 1 ' . , ! fxj ,\' Sur une,, coupe
tralbl. ? JfC) ? CH/(etM ? N. F. IV, , /i893.) / " ? ' 1 ' " » ? '- ' .. 1 ' . , ! fxj ,\' Sur une,, coupe , transver
? JfC) ? CH/(etM ? N. F. IV, , /i893.) / " ? ' 1 ' " » ? '- ' .. 1 ' . , ! fxj ,\' Sur une,, coupe , transverse du b
M ? N. F. IV, , /i893.) / " ? ' 1 ' " » ? '- ' .. 1 ' . , ! fxj ,\ ' Sur une,, coupe , transverse du bulbe, à peu près
e 'presque 'jusqu'au* niveau de l'olive'accessoire "externe.* ? l 4 ' . loin '' Tel, est'le' noyau' dorsal qui,'en ré
4'Au niveaulde l'extrémité supérieure' du noyau'de" l'h 1pd ? ioie; ' le noyau dorsal touche au noyau -interne de l'a
yau.' Dans la protubérance et au-dessus, nous savons rien w de lui. ' " " ' , ? 5 "' " i. En réalité, ce n'est pas un
Dans la protubérance et au-dessus, nous savons rien w de lui. '" " ' , ? 5 "' " i. En réalité, ce n'est pas un noyau
protubérance et au-dessus, nous savons rien w de lui. '" " ' , ? 5 " ' " i. En réalité, ce n'est pas un noyau d'origin
iologiques qui président au sommeil, 'à'la veille et' à'T'iiisomnie, ' l'auteur -publie'1 le «.compte rendu. des 'résu
t'i- stilfonal.11 - R.'DE 111USGnAVECL.'<x : z rI s,r.f101, nt ? ' 7G rft. l : i n, ub m, U> irr) ,.1 r r 1 , ..
91LIL'SUlt''LES'CDANULATI0N5'DEL'ÉPENDYME VÉNTIIICUL.IIR r par D' ' Pellizzi. (Riv. sh. di frett ? fas.lI, 1893.) ^»
éonsidééescôriünë`lé stâde initial, des, granulations, 1, Celles-ci, ' dans leur développement, , prennent , en . généra
SEGLAS' ," 1.11, - ï'l Il , )7 fil i-i- if fli Fi III, '1V h ,la · ' ! m ? .nt K LXIlIi' Influence1 de la'paralysie
NERFS SENSITIFS SUR LE DÉVELOPPEMENT DE L'INFAMMATIONET DE L'ABCÈS , ' , produits par'le-streptocoque'de' L'OTHMÉATOMÉ
TOMÉ d^s' 'aliénés par le D PELLIZI ? (Riv : 'sp, di f·én ? fasc. I; ' 1893 : )'i"" ttil '"V"4-1""11 ,ib iil J,I·.u`J
ar le D PELLIZI ? (Riv : 'sp, di f·én ? fasc. I;' 1893 : )'i"" ttil ' "V"4-1""11 ,ib iil J,I·.u`J l y. -but l7tli· I 1
.. ? .. -; - -/ (< f t-.m ? n., , 1 i >.(, m( ifiv. 17fllr,f. ' " 1' ' SOCII : ,T-L` : 11ÉDIC0 PSYCIIOLOGIQ UÇ ? I
. -; - -/ (< f t-.m ? n., , 1 i >.(, m( ifiv. 17fllr,f. '" 1' ' SOCII : ,T-L` : 11ÉDIC0 PSYCIIOLOGIQ UÇ ? If ? r'
·UI IlJ .II . m ! u. 11J J IJf.. ,. , -oif"iPii',f -,1'ir^;»- .v ? ) ' ) , il ">". il ? 1'.1 ".^ l.uij Le Président
^;»- .v ? )') , il ">". il ? 1'.1 ".^ l.uij Le Président annonce, ' à la' Société, la perte quelle vient d'éprouver
suite ! leclure'dil'discours'qu'il'1a'prononcé(sur 'il la tombé.1 M; ' Blanche 'ayant "été' président' de la Société1, '
ES. 491' UT.i. po,| -trfau< ? 3h ? (q'H ? v("r)nt''r<'ti''v ? ' i| . Id il 3.120vemb ? c,j PRÉSIDENCE DE M. CII
iésidét-"iL'-Ia'Idièeti611 du'pi-ochain oti ? res. lie discussion ? ' f 1 ,- -,t, 1 ? ).t ? f 7.nli' e GWue ru0 .a ...,
*àtiàii du . a'uldroid'organisat.ioti du C6ngrcs"do'nt"eHe'est'râme ' ? ' B"') iflr; m '^'1 "Kl'i 'il Jirj'/li si ' 1
i du . a'uldroid'organisat.ioti du C6ngrcs"do'nt"eHe'est'râme ' ? ' B"') iflr; m '^'1 "Kl'i 'il Jirj'/li si ' 1 t à G
. a'uldroid'organisat.ioti du C6ngrcs"do'nt"eHe'est'râme ' ? ' B" ' ) iflr; m '^'1 "Kl'i 'il Jirj'/li si ' 1 t à G ..
oid'organisat.ioti du C6ngrcs"do'nt"eHe'est'râme ' ? ' B"') iflr; m ' ^'1 "Kl'i 'il Jirj'/li si ' 1 t à G .. ' «' "lliii
cs"do'nt"eHe'est'râme ' ? ' B"') iflr; m '^'1 "Kl'i 'il Jirj'/li si ' 1 t à G .. ' «' "lliiiui 'lf : , IaLnçT nslste
est'râme ' ? ' B"') iflr; m '^'1 "Kl'i 'il Jirj'/li si ' 1 t à G .. ' «' "lliiiui 'lf : , IaLnçT nslste pour qûelâ ?
'râme ' ? ' B"') iflr; m '^'1 "Kl'i 'il Jirj'/li si ' 1 t à G .. ' « ' "lliiiui 'lf : , IaLnçT nslste pour qûelâ ? Soi
ffroy et Pierret, président du proçlJain,CourAS.rrIUrt1 bim iioi u· ' ,n,t " '.q ? V[ tlt nn'J'' e1 . ? \ ? ? ', .h ,t
CourAS.rrIUrt1 bim iioi u· ',n,t " '.q ? V[ tlt nn'J'' e1 . ? \ ? ? ' , .h ,t''ii-, /... a S ! '·111z Wi1t ! Commissio
',n,t " '.q ? V[ tlt nn'J'' e1 . ? \ ? ? ', .h ,t''ii-, /... a S ! ' ·111z Wi1t ! Commission de classement des candid
etTVALLO'. ,t91 , Marcel Briand. ,, 9b 2.lBJt1)aHn r,91 Jf.lf s ! 4" ' , f J ? ivwo7) ·. ,·.i."·;a ? mi. " .6'IJi'notl
J ? ivwo7) ·. ,·.i."·;a ? mi. " .6'IJi'notl) ? Î1 ift aJ[. ,114' · ' m : hr· 1171 ! im r, 'tnf'i'j ;y7.i 29' m» «al1 ?
m r, 'tnf'i'j ;y7.i 29' m» «al1 ? j llJ ? 91 3 SH]nr ! )J.'7fi <, ' 'b t)^L1^S7 i, ù ;il.1u : »«»fH'" vi1`3J snp ait'
consécutifs au sevrage^de la morphine et' L t, de llqtoi7za(,. , i ' 1, C'rLailis de .5 accideilts,qtii,ipendaiiL l'ou
tant ressemblent aux accidents nerveux qui accompagnent la bas-3 ' p...T;- >;r ? ..(T ? Tr.' 492 SOCIETES SAVAN
? Tr.' 492 SOCIETES SAVANTES. ? .">« ti Cf l'1· fllT 'lil rl° 1 ' si .IJI' i 'tltt. '.r ? ^ \''4h< i tritercat
e une'acidité ou une ? sûb-âciditéartifiielle"ét'qüé, d'autre' part, ' la' tënêur ètï acide 'chlorhydrique'du suc, gas
observe dans, la gastrite catarrhale par excès d acidité. On a en ™ ' , ''^ . ..4 ? w ? t ' -, '«CI ? l'ijl k effet co
trite catarrhale par excès d acidité. On a en ™', ''^ . ..4 ? w ? t ' -, '«CI ? l'ijl k effet constate chez un morphi
catarrhale par excès d acidité. On a en ™', ''^ . ..4 ? w ? t ' -, ' «CI ? l'ijl k effet constate chez un morphinoman
es de morphine va, de pair avec la disparition J 1 ! " 'J ->"l I ' "V' J ' ? i 1 1 - - 14 l"1 ! 1' " "" ? W i<\ ?
orphine va, de pair avec la disparition J 1 ! " 'J ->"l I '"V' J ' ? i 1 1 - - 14 l"1 ! 1' " "" ? W i<\ ? A'' ? '
'J ->"l I '"V' J ' ? i 1 1 - - 14 l"1 ! 1' " "" ? W i<\ ? A'' ? ' de'l'acide''cht6rhydrique stomacal et que celui
stomacal et que celui-ci reparaît et atteint ? l-.i'.l'J, ''V' <«" ' I ? 1 "J-V, '<-. ^If/A'nnH ? fj'nm ? 1' 1 ? '
-.i'.l'J, ''V' <«"' I ? 1 "J-V, '<-. ^If/A'nnH ? fj'nm ? 1' 1 ? ' ? lVJ ' bientôt des proportions élevées (0,205
, ''V' <«"' I ? 1 "J-V, '<-. ^If/A'nnH ? fj'nm ? 1' 1 ? ' ? lVJ ' bientôt des proportions élevées (0,205 p. 100)
ais;i) ne survient pas réellement e ,ruz. yll,vpl....,i t al,'Ir : · ' i,i· t pas rée me ·vit, r d hyperacidile absolu
mme'propre à^ entretenir^ l'état neutre'des liquides de'J'estomac.y ' 1 n Irant.'i '«tf il,' f.h)j ? fjM nii'h .m «((
ntretenir^ l'état neutre'des liquides de'J'estomac.y ' 1 n Irant.'i ' «tf il,' f.h)j ? fjM nii'h .m «((» -)' Ji""o "in
r^ l'état neutre'des liquides de'J'estomac.y ' 1 n Irant.'i '«tf il, ' f.h)j ? fjM nii'h .m «((» -)' Ji""o "in iliddr
de'J'estomac.y ' 1 n Irant.'i '«tf il,' f.h)j ? fjM nii'h .m «((» -) ' Ji""o "in iliddr tsv p( h Inn·7.t 3tmt " anntvfnf
nëa·ést''éâle ment précieuse dans l'espèce.9jjP ? v. nu y'a" "on,lu ' 111 * 21'i 0 i, - . 1 () 1 , tyl 0 , " 1 ef, ri
111 * 21'i 0 i, - . 1 () 1 , tyl 0 , " 1 ef, ri T 1 , 1 , 1 , 1 , , ' Q , -q Î MfOpENiiEiM ? DJs ? o ? M atypiques de
.-t oedème qui .dépend d'une lésion de la corne postérieure^du même ' c6té,(voir Rôssôr.inô, Coztribictiôri ci''la ph
ès élendu''dé'la'r' sensibilité.' Dans"trois 'observations fruste's, ' il' fallut cliércliër`éédèrniëisÿinpt6më; c'est
ue, dans 1 espèce, les remissions constatées, par ce fait 'i ,.^.. , ' (i'i ? r ? '.i u-^v-nx ...-...( ? 1 -1 , 1 11 1 q
luirmeme rétrocède... , speciaLen jeu avait lui-même rétrocède. up = ' ^rzv,· s`·,h`la lr"" I bJU°, (il 'Hl'Ui a 3 Vf.
quable parles accidents rappelan , . tle ebnleus'syn-ipràtiq- ne de ' 13S own-, Séquard. , );lles ? ont, été publiées
s les,, A'chiv" f. Psychiat., t, RX1V1.1 Je" ! i ,,lui' Loi 3S' h ! ' [-ii;'tft'. 89 avj; 'tgfvjnt pîh( ici'i/ of3'I :
tordre. Avec l'oedème; il y avait une infiltration dure,- ligneuse, ' des^muscles.du braslgauclieuetsde l'épaule,,de,
d'un r. nnnn t1(t at1 fY9r'I'. r °Itr l9LI Q'l'ri,r r tl1 f<'t' ' v°ll tétanique. , ? '... i , ., r r 1(in ., V
turbations également indolentes à raison de l'analgésie. 11>. - ' dem.' 1 e si inriltratioii' "ligneuse des muscles
névroses'ou'aux troubles angio- . ,d, .. 1.1fi i , , (1 7 ? l il, ` ' paralytiques d origine spinale. , .; , .. ^ . ,
. , £ ,n Ltr.y . v ? t ar tt` .I.r Icyl ü 1 ? 11v r,lfi(ltn Intl ,l' ' · r.y.v" .jM^Oppenheim ? , c Le,,mode,de,répar,
tielle. de, la sensibilité et, en particulier la , ''li"Vyi.lïi - ? ' ' '<iip- 'ni '. o ' "' "' <i> t ' ; ! "
elle. de, la sensibilité et, en particulier la , ''li"Vyi.lïi - ? ' ' '<iip- 'ni '. o ' "' "' <i> t ' ; ! " Jq
ité et, en particulier la , ''li"Vyi.lïi - ? ' ' '<iip- 'ni '. o ' "' "' <i> t ' ; ! " Jq < ' ? ? l'wn<&
et, en particulier la , ''li"Vyi.lïi - ? ' ' '<iip- 'ni '. o ' " ' "' <i> t ' ; ! " Jq < ' ? ? l'wn<>
, en particulier la , ''li"Vyi.lïi - ? ' ' '<iip- 'ni '. o ' "' " ' <i> t ' ; ! " Jq < ' ? ? l'wn<>"
er la , ''li"Vyi.lïi - ? ' ' '<iip- 'ni '. o ' "' "' <i> t ' ; ! " Jq < ' ? ? l'wn<>" Voyez,Aiciiiv
yi.lïi - ? ' ' '<iip- 'ni '. o ' "' "' <i> t ' ; ! " Jq < ' ? ? l'wn<>" Voyez,Aiciiives .1, de Neurol
.1, de Neurologie., Revues analytiques. , 4112 ? ,n,,= 494 SOCIÉTÉS ' SAVANTES. ' thermo-aneslhésie; est rare dans' l
gie., Revues analytiques. , 4112 ? ,n,,= 494 SOCIÉTÉS ' SAVANTES. ' thermo-aneslhésie; est rare dans' le tabès. Toute
)J ,LSéInce,du : 4 décembre A8Q2'. tPRsiDENCE'DE M. JOLL-Y ? IDOd ' qh fTtnf) 8' ? ? lfr9Wn'·sl' aanîî J9 enr.rt (l
9Wn'·sl' aanîî J9 enr.rt (lit 111 ? Bruns.' Présentation d'un cas ' cénicalê inférieure. ,fl l;tüdé ? du`'i·éflésé, t
ntelé ? 'Publié ïin, extenso dans 1g Ncacolocg : ce 22 ti,â 1 b 1. ] ' onn9&ttil 'jiftn t' J ? t. 1 - rl·o irrT rt
onn9&ttil 'jiftn t' J ? t. 1 - rl·o irrT rtt'1"n'fil5 Jrf,Vt v ' .< : 1 ,CitU `9r1 9t1 ! 1rQ IplBB 91Y'jf.41bt(
J9beT 01 Mi wooeiira «wii r,l "<.">h ? ? -supnEdqmYl «w>ii ' »' « I '' '1turn ? Séance clu 3 juin 4893.,PRÉSfDE
beT 01 Mi wooeiira «wii r,l "<.">h ? ? -supnEdqmYl «w>ii '» ' « I '' '1turn ? Séance clu 3 juin 4893.,PRÉSfDENC
gt;iilq'>tluX,mii «.L^jlj Odo'i» ? *»« ? T ? ? r, ? 1 . ? ) ? i ? ) ' )Mf ? t'0 ? t)Hd n Voyez- Archives de -Neurologi
ie. Revues, analytiques. it g j t, ,v2rt2, » 2 Ibicl. Ibid. v" * "" ' ' ' . Ail, le >> ? Voirie XV11° Congrès 1
. Revues, analytiques. it g j t, ,v2rt2, » 2 Ibicl. Ibid. v" * "" ' ' ' . Ail, le >> ? Voirie XV11° Congrès 189
Revues, analytiques. it g j t, ,v2rt2, » 2 Ibicl. Ibid. v" * "" ' ' ' . Ail, le >> ? Voirie XV11° Congrès 1892,
dëpüissix mois(voir, ]a)B6 ? 'HK rHm.Woc/tcnsc/t ? <) ? M ; ''ih'j" ' ) 89(jM. - spéciale à'diverses formes'de'dégénér
vent sous le nom de bourgeonnmusculaire un e'semble' anaeo-miq"u"è'« ' 'c'o'ii"sLitué"'pà'r' 1 un'è" ? ai'n.e ? de %"p,r
es péroniers, il y avait atrophie muscu- Igire, excessive, etq l'on ' constatait' une lénorme'multiplication· des noy
par places, on. voyait entrel ellési quelquès i no'yau- -x" n4"-eti ' lüs' olu- minouk.)Les mêmes altérations se retr
s). Chez un troisième malade présentant de isTdystrophie musculaire ' associée à 1&""p"sendo-hypettrophie, le bou
lyre n'est qu'une commissure de l'écorce de la corne d'Ammon. ? , v ' * ,. La. substance blanche de la région (Olfact
t pas une unité anatomique ». Et nous sommes heureux de constater ' Ce sont des causes dont nous avons souvent signal
DES IDIOTS Souvent, avons-nous dit, les idiots, enfants ou adultes, ' servent d'instrument aux malfaiteurs pour comme
u d'une médaille d'or) pour les internes des asiles et des VARIA. , ' su11 quartiers d'hospice. Le premier concours a
'y'a qu'un malheur à cela1 ? ? c'est qu'il'n'existe ni dans 'l'Orne/ ' ni même en France, aucune ]OC¡¡ ! lvf lité du'n
, aucune ]OC¡¡ ! lvf lité du'nom'de' Lug¡{Ólles ! ? t'\1 Jll ? "O i ' ? l'JLl't .'19 ? f,'l 1 spi Il , sur n"I1 ? >
>;> ".1 Il'1 ? si ? ? ;\¡1' M" 1'/lUl¡ 'jJ" j F A'Í l'S' b Í \ ' É',R'S ? I )f'IO 'J)Ijq ')[111 '(Ir ! , rJ. c;i
? ;\¡1' M" 1'/lUl¡ 'jJ" j F A'Í l'S' b Í \' É',R'S ? I )f'IO 'J)Ijq ' )[111 '(Ir ! , rJ. c;i'L1.711f.fl;'1 'P'i. ! J"'
M" 1'/lUl¡ 'jJ" j F A'Í l'S' b Í \' É',R'S ? I )f'IO 'J)Ijq ')[111 ' (Ir ! , rJ. c;i'L1.711f.fl;'1 'P'i. ! J"'... ? ?
Jr'JJ1 ? I t=1 'J11 , ! ..... , .. 'J "... f J 1 ? - r' ? f.- ro" - ' l, {l'' , r t . ASILES' D'ALIÉNÉS,1 1\0111 : VA
? I t=1 'J11 , ! ..... , .. 'J "... f J 1 ? - r' ? f.- ro" -' l, {l' ' , r t . ASILES' D'ALIÉNÉS,1 1\0111 : VATIONSrET
mé decin' en 'chèf 'à J) Montdevergues en remplacement de M. F'\BRE\ ' nomÍnéfilU Niatis en ,1 remplacement de M. le D
médecin-directeur à l'asile de Dote en remplacement'de 'M. BECOU : ' LET'/admis à'1 faire valoir ses droits'à 'la re
ecin) la Roche-Gahdon.en'-rémplacement t t> de M. Frière, décédé ' (3 novembre' 4893) : 1j,> .,1 Id . ? 1 .1, 1/'
de M. Frière, décédé '(3 novembre' 4893) : 1j,> .,1 Id . ? 1 .1, 1/ ' 1 l/,fI J '1.. 1'1" JI ino t 4 lyv YIJ a`J ! i
r Jml1 '11ft' vu- e LE crime DE Locunolé. On télégraphie de Brest : ' Une 'affaire ? émouvante vient de se dérouler à
ant iaqueliecomparaissaitlenommé'Le'Dain," cultivateur à Locul nolé, ' qui, le' juillet dernier/dans un accès d'aliénati
coupa^lalrs gorge' à l'un J de ses enfants; âgé' de trois ans, qui ' ¡mourut¡ sur-le ? i champ..Le'second,' âgé de ci
fants; âgé' de trois ans, qui '¡mourut¡ sur-le ? i champ..Le'second, ' âgé de cinq ans; fut blessé grièvement au cou et
n introduit-son fils, à peine remis desesir blessures;¡,Reconnu i ! ' ['esponsable ? iL été'acquitté,'mais .iltiseran
hilis /rage. Brochure in-81 de 28 pages. Bonn, 1893. Chez l'auteur. ' ' ', , j Pecharman (A.). Essai sur les psychose
lis /rage. Brochure in-81 de 28 pages. Bonn, 1893. Chez l'auteur. ' ' ', , j Pecharman (A.). Essai sur les psychoses
s /rage. Brochure in-81 de 28 pages. Bonn, 1893. Chez l'auteur. ' ' ' , , j Pecharman (A.). Essai sur les psychoses de
sse. Volume in-8° de 119 pages. Paris, 1893/ Imprimerie II. Jouve.' ' " "' Pick (A.). Ueber Asymétrie der Riic/cenmw'
Volume in-8° de 119 pages. Paris, 1893/ Imprimerie II. Jouve.' ' " " ' Pick (A.). Ueber Asymétrie der Riic/cenmw'kshæl
z. Brochure in-8° de 10 pages. - pagne, 1893. Chez l'auteur. 1 r. " ' J' VIALET. Les centres cérébraux de la vision e
BOURNEVILLE. 1 J ÍI J Il 'JI, ,T. -III' un ff 1 Il' , 1. 1 J i J ' TABLE DES MATIÈRES ,1) ACOUSTIQUE, contI ibulio
x d'origine et du trajet contrai du nerf-, par KiriltzefT, G2 ! . ' " v ." 'ACRoIÉGÁLm, par 1ojernilow, 61; par K
ernilow, 61; par Kornilow, 341 Action de 1 neurique daiis,ses " ' rapports avec les fonctioris mén- tales du cerv
Il tt eIÇIIV11'L .musculaire, troubles de la 1 pondération de Il ' chez 'les sourds-muets, par Rosenbach, ,v 485
HA(;HtE,des diverses formes d ? et en particulier de , l'agraphie ' d'origine sensorielle, par P. Sé- rieux, 1 45.
a protection des médecins par, la loi , anglaise sur Il mer- tale, ' par Rentôtn, 395" ' ' Aliénés, hôpitaux proposé
ecins par, la loi , anglaise sur Il mer- tale,' par Rentôtn, 395" ' ' Aliénés, hôpitaux proposés pour le traiteme
ins par, la loi , anglaise sur Il mer- tale,' par Rentôtn, 395" ' ' Aliénés, hôpitaux proposés pour le traitement
la politique- dans ,. la nomination des, médecins aux Etats-Unis, ' 174. Amnésique, de la folie -, par Cri. 1'iUn
, cas d'épilepsie traités par l'hydrate ti ? par E. 'Dtum, 329. 1 ' ' Anatomiques, remarques sommaires sur quelqu
cas d'épilepsie traités par l'hydrate ti ? par E. 'Dtum, 329. 1 ' ' Anatomiques, remarques sommaires sur quelques
Necddam, 83; l' - 'de la ltoche-sur-Yon, , 300 ? d'aliénés, 431., ' 0 ? Assistance des aliénés, par 'les fa- \ mi
Assistance des aliénés, par 'les fa- \ milles, par, Nmcl : e ? 260; ' de l'- "familiale des aliénés, par A. Ilotlie
annuelle de 1 ? à l'asile royal de Gartnavel, par Yellowlees, 83. ' Ataxie, un cas d' - locomotrice avec maladie
58.' " " ., AU'L0-ACCUSnTItICE, par Séglas lI'et Brouardel, 262. ' " "' , AUTO-11TO11CA'l'IO : IS,sur les maladies
" " ., AU'L0-ACCUSnTItICE, par Séglas lI'et Brouardel, 262. ' " " ' , AUTO-11TO11CA'l'IO : IS,sur les maladies me
S,sur les maladies mentales`dans leurs rapports avec les -, ` par ' Régis et Chevallier- , Lavaure, 240; -, par Leg
Groefe'dans la ? par Bruns, ,144; contribution iL la ? par Homen, ' 147; des' altérations des os dans la -, par Koe
ans la -, par Koeppen, 336; BLE\\OIIHH1G1QUE, l'infection --envi- ' sagée comme moment étiologique dans les affecti
s anatomiques dans un cas de - congénitale, par siemerling; 402.' ' ' ' Bouche, la chez ! les' enfants ar- riérés
anatomiques dans un cas de - congénitale, par siemerling; 402.' ' ' ' Bouche, la chez ! les' enfants ar- riérés d
atomiques dans un cas de - congénitale, par siemerling; 402.' ' ' ' Bouche, la chez ! les' enfants ar- riérés du
z ! les' enfants ar- riérés du type mongolien, par R. Jones, 327. ' , ' 0 Bourse DE voyage des internes des asile
les' enfants ar- riérés du type mongolien, par R. Jones, 327. ' , ' 0 Bourse DE voyage des internes des asiles ?
327. ' , ' 0 Bourse DE voyage des internes des asiles ? 510. J : ' ' . '' Bulbe, contribution, il la question de
27. ' , ' 0 Bourse DE voyage des internes des asiles ? 510. J : ' ' . '' Bulbe, contribution, il la question des
stion des stries médullaires du ? par . J Betcherew' "1' 399; tll ' "' 01 Caisses de secours pour les aliénés néc
on des stries médullaires du ? par . J Betcherew' "1' 399; tll ' " ' 01 Caisses de secours pour les aliénés nécess
l ' "' 01 Caisses de secours pour les aliénés nécessiteux, 348. , ' Calorimétrie chez les oiseaux, par , rsaac Ot
, ' Calorimétrie chez les oiseaux, par , rsaac Ott, 57. '. ""11. ' "" - Calotte, des lésions de la ? dans le 'po
t de Varole, par lliceli ? 425. Cancer, le' ''dans' ses' rapports ' avec' la' folie,' par'H.' Snow; 395. Catalepsie
liceli ? 425. Cancer, le' ''dans' ses' rapports ' avec' la' folie, ' par'H.' Snow; 395. Catalepsie, 93. 1 ? - r.I '1
Catalepsie, 93. 1 ? - r.I '1' 1 1, Catatonie,1 des symptômes 'de' ' dans le cours;> de ' la -paralysie 1 général
I '1' 1 1, Catatonie,1 des symptômes 'de' ' dans le cours;> de ' la -paralysie 1 générale chez la femme ? par
s le cours;> de ' la -paralysie 1 générale chez la femme ? par ' Naecl : e, 330." si ? ' =r" ¡ud Causes, des 'et
-paralysie 1 générale chez la femme ? par ' Naecl : e, 330." si ? ' =r" ¡ud Causes, des 'et'de l'hérédité dans le
dans les 1 affections 1 nerveuses etf men- , 0, taies, par Rieger, ' 1G ? .1" 11/9 Il') Cécité, sur un cas"d'hémiano
Céphalée, traitement delà ^ner- veuse par la douche statique. par ' A. Voisin,413. 1 1 i ;, - , ' .1, Cérébrale,' a
- veuse par la douche statique. par ' A. Voisin,413. 1 1 i ;, - , ' .1, Cérébrale,' attributs fonctionnels de l'é
ouche statique. par ' A. Voisin,413. 1 1 i ;, - , ' .1, Cérébrale, ' attributs fonctionnels de l'écorce , par A'. Wa
A'. Waller; 40'r; description de la couche' motrice 4 de l'écorce ' ) par, Goodall,'40û. Cerveau, méthode d'examen d
ielles de l'écorce du'-humain aux divers âges de la vie; par Vul- ' pius,40û; les' expériences' faites '' par la na
Cervelet ? sur une lésion'systémn- tysée"du/ et' de' ses dépeu- ' ' dances 'bûlbo-protubérantielles, par Rojet et
Cervelet ? sur une lésion'systémn- tysée"du/ et' de' ses dépeu- ' ' dances 'bûlbo-protubérantielles, par Rojet et C
lles, par Rojet et Collet, zip CHAHCOT, par Bourtievillel 177 ; ' travaux' de ? 203 ; ;' obsèques de , 208 ; homm
llet, zip CHAHCOT, par Bourtievillel 177 ; ' travaux' de ? 203 ; ; ' obsèques de , 208 ; hommage u' '='; 507.' Chi
lel 177 ; ' travaux' de ? 203 ; ;' obsèques de , 208 ; hommage u' ' ='; 507.' Chirurgie, intervention de t lat - ,
l 177 ; ' travaux' de ? 203 ; ;' obsèques de , 208 ; hommage u' '= ' ; 507.' Chirurgie, intervention de t lat - ,J
reppin, 138;'rye- '' marques 'sur les formes de la .. - chronique, ' par W. Osier, 142; - ar¡r ,. r"T 11' 'J ? .....
t det ses rappoyts aV,e.ÿ lç' ¡ : (rlyI n. sympathique,, par Laquer, ' 499. Coc.ïwsntE,.note sur le ^7 par'Co- ? nolly
. gistes et aliénistes du sud-ouest a·"1e l'Allemane, F9` ? ? t,. ' ,, .Contraction ? de certains, phénomè- nes d
hésie duc à' une. lésion de it., laj circonvolution ,du ? par Th. ' (. Gal1l11, 139; ., quelques,, rèmar- m ques sur
égénérescence. expé- lt,rimpntale du , par 111ut,atow; 397 : ? -m ' , 397, 1'11.1' "" \ CnANIEcTOIIE,,1 chorée, c
ariabilité des conceptions et des hallucina- I tions sensorielles, ' par' Tli. Koelle, 1 151. - ? J ? l,; 't j" . ?
. - ? J ? l,; 't j" . ? 1 j Délire, dans l'influenza, par Hanter, ' 153 ; z des négations - y,à apparition précoce
ions - y,à apparition précoce chez une mélancolique, par Toulouse, ' 156; ' de' jalousie ? chez l'homme, ' par Kra
y,à apparition précoce chez une mélancolique, par Toulouse,' 156; ' de' jalousie ? chez l'homme, ' par Kraft Ebing;
mélancolique, par Toulouse,' 156; ' de' jalousie ? chez l'homme, ' par Kraft Ebing; 156 ;. sur le des négations,,
émence, un" cas de = aigue, par A. Robertson; 239. ( Déments, des ' altérations dans, les noyaux des nerfs crâniens
nerfs crâniens chez les . paralytiques, par Autbkra- , tow, 403. ' " ' ' ' ' Dérivatifs,, de l'emploi des mél31ca-
fs crâniens chez les . paralytiques, par Autbkra- , tow, 403. ' " ' ' ' ' Dérivatifs,, de l'emploi des mél31ca- m
crâniens chez les . paralytiques, par Autbkra- , tow, 403. ' " ' ' ' ' Dérivatifs,, de l'emploi des mél31ca- men
râniens chez les . paralytiques, par Autbkra- , tow, 403. ' " ' ' ' ' Dérivatifs,, de l'emploi des mél31ca- ments
niens chez les . paralytiques, par Autbkra- , tow, 403. ' " ' ' ' ' Dérivatifs,, de l'emploi des mél31ca- ments -
165. ; , Diplégies, - cérébrales de l'enfance. par Rosenthal, 503 ' ,, 1 Doigt, en,forme" de bauette de ? tambour,
', 310. " Drame,] de famille^ 93 ; le - de , la rue Truffant, 94. ' " ' , T Dl'BOIÍ : iE, .de l'action sédative de l
310. " Drame,] de famille^ 93 ; le - de , la rue Truffant, 94. '" ' , T Dl'BOIÍ : iE, .de l'action sédative de la
s, les' - dans l'Inde, ? 90. . ? ... ...., .. .J 'f . q"l'('I) ) '1 ' ¡ ? Epilepsie, quelques cas,,d ? traités ., pa
ne yo nouvelle, méthode de traitement - 'de 1 ? par,rléclsi" 478. ' " Ependyme', sur'ies'.granniations de 1 ? ven
llizzi,"i89. Epileptiques,, les colonies d ? par Th. Ewart," 80 ; ' aliénés ;' toxi- cité des urines ' chez les , p
. Epileptiques,, les colonies d ? par Th. Ewart," 80 ; ' aliénés ; ' toxi- cité des urines ' chez les , par 518 r
onies d ? par Th. Ewart," 80 ; ' aliénés ;' toxi- cité des urines ' chez les , par 518 r TABLE DES 'MATIÈRES. J.
r TABLE DES 'MATIÈRES. J. Vuisin, 21b; occupation des - , a00. Il ' Epuisement, des phénomènes psy- chiques de l
ent, des phénomènes psy- chiques de l ? par Aschatlen- bur, 501. - ' '1 ' Esprit, la disposition de ·l ? par Kroep
des phénomènes psy- chiques de l ? par Aschatlen- bur, 501. -' '1 ' Esprit, la disposition de ·l ? par Kroepeiin,
r, 501. -' '1 ' Esprit, la disposition de ·l ? par Kroepeiin,500. ' ' ' Etat mental, sur l'- de Christine, reine
501. -' '1 ' Esprit, la disposition de ·l ? par Kroepeiin,500. ' ' ' Etat mental, sur l'- de Christine, reine de
01. -' '1 ' Esprit, la disposition de ·l ? par Kroepeiin,500. ' ' ' Etat mental, sur l'- de Christine, reine de S
r, - dans les maladies nerveuses et mentales, par Ven- tura, 236. ' ' 1 Exercice illégal de la médecine, 89. Exop
- dans les maladies nerveuses et mentales, par Ven- tura, 236. ' ' 1 Exercice illégal de la médecine, 89. Exopht
sser, 318; un cas de associée à la chorée à un 1 âg-e avancé, par ' Mac-Farlane, 323; de la - amnésique, par Th, Ti
: Le - et les gendarmes, 92; officier - à la frontière, tu'2; un ' à la recherche de sa femme, 93 ; suicide d'un ,
; suicide d'un , 94; les , 13l. Force, un appareil pour mesurer ' ^ la des jambes, par Krauss;' h83. ' FIIIEDIIE
13l. Force, un appareil pour mesurer '^ la des jambes, par Krauss; ' h83. ' FIIIEDIIEICII (Maladie de). Un cas de
rce, un appareil pour mesurer '^ la des jambes, par Krauss;' h83. ' FIIIEDIIEICII (Maladie de). Un cas de ! 1 , p
GnosE, des formes atypiques de l' la spinale, par Ôppenheim, 492. ' l GLOSSO-PIIARY\GICV, noyam dorsal et ' noyau
le, par Ôppenheim, 492. ' l GLOSSO-PIIARY\GICV, noyam dorsal et ' noyau sensoriel du nerf -, par lllucliin, 488.
du nerf -, par lllucliin, 488. 4 Goût, localisation du centre du ' ' chez le lapin, par Schtsbherbak, 482. - G
nerf -, par lllucliin, 488. 4 Goût, localisation du centre du ' ' chez le lapin, par Schtsbherbak, 482. - Grave
sbherbak, 482. - Graves (Maladie DE) -, par Dour- 'f dorfi, 62. ' ¡ , i * Hallucinations, de la variabilité des
as ci'- bilaté- rale avec cécité psychique, par Vorster, 155. , , ' Hémiplégie cérébrale spasmodique 1 .avec imbé
et Ventura, 145; de l'atteinte du facial et de l'hypoglosse dans ' f l'- fonctionnelle, par Koeni", 372. , Hér
nctionnelle, par Koeni", 372. , Hérédité, des causes* et de 1' i. ' dans les affections nerveuses et ' mentales,
édité, des causes* et de 1' i. ' dans les affections nerveuses et ' mentales, par Rieer, 162; normale etlrathologtq
ue, parSan- son, 269, 1 II¡ : TtlloPIE, un cas d'- de la moelle ' chez un paralytique général, par Feist, 146. 1
1 mes de l ? par Bourneville et Noir, 259. dans les maladies ' chroniques, par René Barde et Materne, 501. I
Materne, 501. Ilr reuesrntam, hémi-- croisée, par llemak, 425. l' ' H1PEHHYVIIOE, llémi-- croisée, par Bauer, 120
llemak, 425. l' ' H1PEHHYVIIOE, llémi-- croisée, par Bauer, 120. ' TABLE DES MATIÈRES. 519 Hypnotisme, l'escroqu
chez l'homme, par Min- gazzini, 53; des altérations des 520" 111 ' -1 1-1 il, "Ti TABLE^DES, MATIERES. 'fflO1r,nr {(
346" ,r Ir : . Morvan (maladie de), un cas de ? par Grasset, 504. ' Motrice, prétendue aire jdel'é-; , corce céré
borde : d'lsambard 1G3; Charcot, t par Boui'Î1eville, 177. '.1 j, ' ;1 Néoplasme, observation de dans le 4"t ventr
'l Vu 1 0usi : yuESde M. ,1 le D' Chariot, par ¡ J. Dauriac, 208. ' ',... . ,. m. 1"{ "'UI lt 1] ? 1'1 Obsessions
u 1 0usi : yuESde M. ,1 le D' Chariot, par ¡ J. Dauriac, 208. ' ' ,... . ,. m. 1"{ "'UI lt 1] ? 1'1 Obsessions, su
ns,, forme/continue, par, ltoelilïovltch; 201 ? r o, nv OLFACTn ? ' Examens..dusehs) ? au point de vue clinique lla
s..dusehs) ? au point de vue clinique llar5aveliér, . 482.q '1- . ' ¡ : : : ) r t ? b ',¡i' 'Ha,; Optique, 1 q,es",a
oint de vue clinique llar5aveliér, . 482.q '1- . '¡ : : : ) r t ? b ' ,¡i' 'Ha,; Optique, 1 q,es",a1t,ratlOnsd,u t,npu
402. ,. (f(1 ? OpHTALMOPLËGiE.De progressive ? ar;Ho;he,49f.ty ? i, ' '1" nn Osides altérations,,des,= dans, la , m
,de la, folie, par Morton, 177 : t .t 011 '' ` r ·1W tm · n.· <) ' ) ? } Palatine. Ronllement de la, voûte; ? nouve
ctant deux i 'soeurs sous la forme de ? pro- agressive, par Homen, ' 49 ; de.s, du plexus brachial, et du trouble
achial, et du trouble de ;la sensibilité) dans la ,'axil; ^ laire, ' par'Pagenstedier, ,136; de , " l'aphasie dans I
pinale syplilitique, par, llfucUiu et 1 Konalewsky H7;, nouvelles ' observations de générale, pro- gressive à march
par',Chostelc ? 36; immo- ,f,bilité. des pupilles dansla' 'gèné- ' 'raie, par Hediich, 265;'de la genèse 'et du su
s la faciale périphé- ''phérique' p : u ? 1 D : Írskewitsch, 'et « ' Tichonow,1 482. Influence/de la- vaso motrice '
h, 'et «' Tichonow,1 482. Influence/de la- vaso motrice ''sur' le ' développe- '^ ment'de l'inflammation produite
honow,1 482. Influence/de la- vaso motrice ''sur' le ' développe- ' ^ ment'de l'inflammation produite ''par' le' str
a langue . dans .'la' périphériquefldu 1 facial "'par Hitig ? 91. ' " ? f' ;.C"U ? Paralytiques,' des fibres ^d'asso
riquefldu 1 facial "'par Hitig ? 91. '" ? f' ;.C"U ? Paralytiques, ' des fibres ^d'associa- tion dans l'écorce céréb
a- tion dans l'écorce cérébrale'des'- 'néïiéraûï,"par `Lioubinrow, ' 53; ;' ,un cas d'hétérotopie';¡'dâns 'lIa si
on dans l'écorce cérébrale'des'- 'néïiéraûï,"par `Lioubinrow,' 53; ; ' ,un cas d'hétérotopie';¡'dâns 'lIa si moelle,
ABAMYOTONIE 1 ataxiqup.' et 1 maladie 1 de,'Tliomseril 'par' Gowers, ' 140. Parole, contribution à l'étude des .trou
énés, par'0."Klinke, 153; des 3'troÙbles de. laJ1 '' dus' 1'lis-' ' pocliondrie, par 111 '457. fi, Pellagre, |cas d
par 111 '457. fi, Pellagre, |cas de' -^ avec syringo- ,0'ihyélie, ' par Pellizzi, 131. ' ? , Peptonurie, de la chez
Pellagre, |cas de' -^ avec syringo- ,0'ihyélie,' par Pellizzi, 131. ' ? , Peptonurie, de la chez les para- 3'lyti(l
' ? , Peptonurie, de la chez les para- 3'lyti(liies', par Fronda, ' 143.l J" Persécuté Pal : ' les"jésuites,"92 ?
ez les para- 3'lyti(liies', par Fronda,' 143.l J" Persécuté Pal : ' les"jésuites,"92 ? ..1 auto : accusateurs 'et p
o : accusateurs 'et possédés, par lis églas et,Brouardel, 133.r" 1- ' ,' Persécuteur migrateur, par Frièse, n 2 ? a
accusateurs 'et possédés, par lis églas et,Brouardel, 133.r" 1- ' , ' Persécuteur migrateur, par Frièse, n 2 ? aJW
ns SE\UGLLES'r7L' formes obsédantes ? par'Boissier et La- 1 chaux, ' 37'F; un'cas'de par '1 Urquh ? t; 388.' ? ? ? ?
? ? - PITUITAIRE; de la destruction' ! de la "glande, par' Vassal, ' 54 t' PNEMiOGASTHiQUEP : Le pédoncule ? dû' lob
ar' Vassal,' 54 t' PNEMiOGASTHiQUEP : Le pédoncule ? dû' lobule, dû ' "par Schts'cher- bach; 48GJ' ",11 ,1' - /, Po
avec altérations) nerveuses péri- phériques, par J., Bullen; 58. ' ; Politique; influence; de la dans la nominati
s la nomination des médecins alié- Pnistes aux.États-Unis,. 174 : ' " Pru1 ! ;ARATIO : 'iS; une nouvelleinéthode
leinéthode 01 de"'... ? sèches' du' T cerveau,"par "stiéda; 397 : ' ' ? ? 1 ? 1" , PsEUDo-somnosE eh ' plaqués d'or
inéthode 01 de"'... ? sèches' du' T cerveau,"par "stiéda; 397 : ' ' ? ? 1 ? 1" , PsEUDo-somnosE eh ' plaqués d'ori-
T cerveau,"par "stiéda; 397 : ' ' ? ? 1 ? 1" , PsEUDo-somnosE eh ' plaqués d'ori- nixe palustre ! ' par Triantaphy
' ? ? 1 ? 1" , PsEUDo-somnosE eh ' plaqués d'ori- nixe palustre ! ' par Triantaphyl- Midès, 232 : ,, '" , ,,luUs,
plaqués d'ori- nixe palustre ! ' par Triantaphyl- Midès, 232 : ,, ' " , ,,luUs, 232 : . 10. 1 1 11 "d . r4 ! t 111
,, '" , ,,luUs, 232 : . 10. 1 1 11 "d . r4 ! t 11111 W f lu' , 1 ' Psychique,' arrêt de développement par lésion
uUs, 232 : . 10. 1 1 11 "d . r4 ! t 11111 W f lu' , 1 ' Psychique, ' arrêt de développement par lésions de la tête d
r lésions de la tête de l'en- *'fani avant, , pendant l'accouche- ' ment'et''aussitôt après lai nais- - 1 sance,' p
pendant l'accouche- ' ment'et''aussitôt après lai nais- - 1 sance, ' par \Vulf; 50. Des modifi- ? cations dans la rapi
.A( niiii '0 A1 " ? s.11rt 'V" { Quantité;. lesr notions' 'de., - ' et' d'é- tendue "cliéz' les - aliénés, par Pel-
notions' 'de., -' et' d'é- tendue "cliéz' les - aliénés, par Pel- ' ]egrit]i322 ? < ? - ? $' 'tt il 1 ' 11 I ,f 1
tendue "cliéz' les - aliénés, par Pel- ']egrit]i322 ? < ? - ? $ ' 'tt il 1 ' 11 I ,f 11J ' ! Yhfft u . Bncumten
éz' les - aliénés, par Pel- ']egrit]i322 ? < ? - ? $' 'tt il 1 ' 11 I ,f 11J ' ! Yhfft u . Bncumtennr, les sinus
nés, par Pel- ']egrit]i322 ? < ? - ? $' 'tt il 1 ' 11 I ,f 11J ' ! Yhfft u . Bncumtennr, les sinus et lés' veine
ntales 'et' chez les' épi- leptiques, par dc'Betcherew,'321. nf ! ' t . 1/ f < C ;l(hH -.4 , Sang ? sur'l'isoton
t . 1/ f < C ;l(hH -.4 , Sang ? sur'l'isotonie 'du ? chez les ' "aUénés,'par-Ago=tini; 32f. ." Il SATUnNISF..lr'
énés,'par-Ago=tini; 32f. ." Il SATUnNISF..lr'èc¡;ehhê expérim'en- ' tales' sur l'intoxication,' etc ? par l,iSiegli
Il SATUnNISF..lr'èc¡;ehhê expérim'en- ' tales' sur l'intoxication, ' etc ? par l,iSieglitz, 4.S ? " 1-1 1 , , Sclé
cas de et 61 hystérie' associées avec autopsie, par Grasset; 503 ' il t" ` " Scotome] - Du ="'scintillant' par -
par Grasset; 503 ' il t" ` " Scotome] - Du ="'scintillant' par - ' Manz,'495 ? m 9' J "1 ut ' Sensibilité,' contri
" Scotome] - Du ="'scintillant' par - ' Manz,'495 ? m 9' J "1 ut ' Sensibilité,' contribution a. l'examen , obje
Du ="'scintillant' par - ' Manz,'495 ? m 9' J "1 ut ' Sensibilité, ' contribution a. l'examen , objectif delà ' dans
J "1 ut ' Sensibilité,' contribution a. l'examen , objectif delà ' dans' la névrose 'traumatique, 'par Goldscheide
'traumatique, 'par Goldscheider, "'136, 339.' , 1 Il 1 4d ? t r, ' SITIOPIIOBES,'de'S injections de chlo- ' rure
339.' , 1 Il 1 4d ? t r, ' SITIOPIIOBES,'de'S injections de chlo- ' rure de sodium chez les aliénés ' =en état de c
IOBES,'de'S injections de chlo- ' rure de sodium chez les aliénés ' =en état de collapsus, par libero, 239 ? ? 1 '.
té dés médecins neurologistes "'et'aliénistes de Moscou, 60, 340, ' "414;-médico=psychologique; 59, 1 163, 413,490 ;
es de Berlin, 232, 419; de patronage pour les aliénés sor- U.I '' ' -iL' U il u " < << "tu) Il n ' 1 522
r les aliénés sor- U.I '' ' -iL' U il u " < << "tu) Il n ' 1 522 table DES matières. tants, par Giraud,
ibution'à. la question de, la ? par Scarano, 145. >;O, ,h·W nt ' È n Suspension," de l'influence de la sur les
l'influence vaso- motrice du -cervical, par Cavaz- zani, 396 ? , ' l 1 i " ;. . Synostose^ crânienne congénitale,'
az- zani, 396 ? , ' l 1 i " ;. . Synostose^ crânienne congénitale, ' par Calvert, 318.' . Syphilitique, aliénation
nitale,' par Calvert, 318.' . Syphilitique, aliénation mentale ? , ' par l\Iairet,' 64. Il I : '1' Syphilis, contr
lvert, 318.' . Syphilitique, aliénation mentale ? ,' par l\Iairet, ' 64. Il I : '1' Syphilis, contribution statistiq
Syphilis, contribution statistique' à à I ! f la question' de 'la ' et du tabès,' par L. Minora 132; aphasie dans
ntribution statistique' à à I ! f la question' de 'la ' et du tabès, ' par L. Minora 132; aphasie dans la cérébrale,
s, sur la maladie, des con- ? vulsifs, par Tokarsky,'341 ! 'Alpl'0- ' pas'd'un cas de maladie des par Roubihowitch, 5
0*^*1 Tumeur, corticale occasionl1 ant June hémiplégie, etc ? par, ' Hàdden, '50; névrogl iques, (113' la moelle é
r,' Hàdden, '50; névrogl iques, (113' la moelle épinière, par F : ' Raymond ,t 97; "casuistique des 1-L du'11 corps
inière, par F : ' Raymond ,t 97; "casuistique des 1-L du'11 corps ' calleux ? par Giése,; ')32 ? du ''centre ovale
d ,t 97; "casuistique des 1-L du'11 corps ' calleux ? par Giése,; ' )32 ? du ''centre ovale ayant causé'une pa- I
du t'sens1 musculaire, etc ? par Lan- or, don'(Carter Gray; ! 39; ' Contri- bution à l'étude- des' ''du'cer- ''ve
fièvre , par' Pechère et ,·runcl : , 502.'d : : , , · r r w,m·,r ' I ! . I I . si t ? lIfJ'lfJ Variations , transÍ
'acquises par Richardson ? 56." Vélocipède, le dans l'aliénation ' mentale, par Th. Ewart, 393.' J Villa-Hôpital,
DES' COLLABORATEURS. ...H' 1 ? .. il l'Il uJ' . 1-1 1 «or i h ,r ' ' · O" 'Agostini, 321. 1 1'1 , Albutt, 81." ?
ES' COLLABORATEURS. ...H' 1 ? .. il l'Il uJ' . 1-1 1 «or i h ,r ' ' · O" 'Agostini, 321. 1 1'1 , Albutt, 81." ? ,
01., , ? Ascher, 12..., " . l, ? Autolcratov, 403. , ? 1)- , : 1 ! - ' 'jjti ' Bajanow, 60. , nr' t/ 1 ? Bauer, ? 0. ,
Ascher, 12..., " . l, ? Autolcratov, 403. , ? 1)- , : 1 ! -' 'jjti ' Bajanow, 60. , nr' t/ 1 ? Bauer, ? 0. , `I ,,
00. , 3rouard l (G.), 2G2·;r, Bruns, 144. Buddeber, 16É. ,. ? ' Bullen, 58, 407, .410. HUI ,. \ . ! ,1 Cal ve
, "Cavazzani, 396. , , AI Chevallier-Lavaure,2f0. Choosek, 265" ' ;1 : 1 i\ Chostek, 205. , , . Christian, 1G3,
29. Friedmann ? 98.r, " , Frièse, 262. Fritsch, 264,, 265. t..o ' Fronda, 143 ? m i Frûs, 143. n i - Il l, ,,
143. n i - Il l, ,, Fuerstner,. 49, 495.3ti - Funcl;, 502. i.i ' '< Ganger, 153. ' Gamll, 139. ~ Giese, 1
Fuerstner,. 49, 495.3ti - Funcl;, 502. i.i ' '< Ganger, 153. ' Gamll, 139. ~ Giese, 132., ? ,l( Giraud, 25
r, 132. Hitzig, aS,4 ! J1. Hoche, 494. lIoefült, 155. Iif 1'; ' " Holst, 145 ,·'i f10lnCn, 49, 14î , lippe,
lst, 145 ,·'i f10lnCn, 49, 14î , lippe, 332. Ii lIollden, 81 ,1 ' ? i hl ' : 1; : 1 rr Ilberg, 1239 ? Ireland
'i f10lnCn, 49, 14î , lippe, 332. Ii lIollden, 81 ,1 ' ? i hl ' : 1; : 1 rr Ilberg, 1239 ? Ireland, 328, , '
en, 81 ,1 ' ? i hl ' : 1; : 1 rr Ilberg, 1239 ? Ireland, 328, , ' Isambard, 163. r . - ,; .j- ,'1 ! Jackson,
7 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à))a'directioQdès'lA'cM ? ? ? , .7 ° 9 ï nr S`L, a5 n.^Ly In ortrr-ft ' . nLL41 t VcM ? 'o/oc<e; quiis nous z perfec
ortrr-ft ' . nLL41 t VcM ? 'o/oc<e; quiis nous z perfectionner ' ' .' 4'jilgU 114t -'<ni M' Updot et à les re
trr-ft ' . nLL41 t VcM ? 'o/oc<e; quiis nous z perfectionner ' ' .' 4'jilgU 114t -'<ni M' Updot et à les rend
b 29b Jn9msldmsnJ ,911piiooalB aaiito'h x.ussnu3 si(sb sb r[i iJe , ' ,9' ,n3 sl ab zsloznm .«««vmrYlna nn. M ? vL ?
ues , al,été laconséquence .d'un, rétrécissement^ du canal de I'uï, ' - - - 1 -t, - - . - - - 1 - 1. , - i z lureinre
- 1. , - i z lureinre. o t ™,,jk ? ;,v^i sel gront Rrf ? h i 1) -à ' « ' Mais je ne sache pas que parmi ces accident
, - i z lureinre. o t ™,,jk ? ;,v^i sel gront Rrf ? h i 1) -à ' « ' Mais je ne sache pas que parmi ces accidents urem
bre après un mois de séjourà l'asile ? lll;TflU 31JO'3 HO 2A0 ;,U W ' TO/" On le ramène le 21 novembre suivant, avec,
ire continu', marié trois fois, tous les enfants qu'il a eus'de ses ' deux premières femmes'sont'morts ; 'dé'la'1 derni
i 'ivre-mort ; mais depuis quelques àniés, ses éxèè : , StpLle21eTJ ' ;ufn- t.T ·no vrrr y ? 'U ? 'rOY1 4 CLINIQUE MEN
n dernier lieu il lui arrivait encore de rester plusieurs' jours de ' 'suite'en ait6 Ses boissons préférées sont l'ea
"depâille"et resta' un'' instant' étourdi t' ? . . ? iil,s ? m( "ir ' ,^im...,i| i.rr,i ? i(', tu * ? .* ` ' sur le co
' instant' étourdi t' ? . . ? iil,s ? m( "ir ',^im...,i| i.rr,i ? i( ' , tu * ? .* ` ' sur le coup. Ces temps derniers,
rdi t' ? . . ? iil,s ? m( "ir ',^im...,i| i.rr,i ? i(', tu * ? .* ` ' sur le coup. Ces temps derniers, il a travaille
IP 8ôï'IJi «oq Je Jaauoatia om...rebd in ,MttKr'< Hua )t)OJ -) ? ' "<t lo'ttp - r,aai ? ^ ? l no 1,i 25 novembre
, panopliobtque; ntrès hébété, regard effrayé ; immobilité, inertie ' ; on ne peut lui arracher un mot ; pas d'accès d
aire avait diagnostique uti rétrécissement et avait voulu l'opérer, ' mais il s'y'étaitrëfusé.'Tout ,, s`éâpliqûë dès
nt'ëntrainé` niié`rétèntionld'uri)ie3d'abord partielle, puis totale; ' et les' troubles intellectuels sont causés selon
.m T - - .9r.;l,m : r4 Ew £ j.tjt.tttu ? 91v 11 `/1 ? '1r ? r- '1f7 ' ^ h-'f n,ao^ C.` «i n ? t), j - 10 décembre. si
e du temps il urine par regorgement. Sûbâgitatitin ; délire bizarre, ' s'imagine que son bain est plein de microbes, q
lui donne n'est pas de l'huile de ricin. Se lève la nuit se met nu, ' dlt qù'il ? trôP`chaud : "Egaré, air hébété, pü
laxatifs, .4tl .u Jazz ,I onctions.belladonées ? 1 ? "'8 . , ? ? ' ^ J8f* t J* 1 122 décembre. rT., m ,38°,l.,Hier.
sible; né semblé'pas trop mal Lait, scâillmonee. T. s. 39°,4.' `l - ' "«'«""V 6s c.t,n rî»'ni iv- it>,lyr'"i4. Mi'
le; né semblé'pas trop mal Lait, scâillmonee. T. s. 39°,4.' `l - '"« ' «""V 6s c.t,n rî»'ni iv- it>,lyr'"i4. Mi' ' ,
T. s. 39°,4.' `l - '"«'«""V 6s c.t,n rî»'ni iv- it>,lyr'"i4. Mi' ' ,'l fin % *ili9,i, : lit ? ,1^", ' t. ,Jt 23 dé
t,n rî»'ni iv- it>,lyr'"i4. Mi' ' ,'l fin % *ili9,i, : lit ? ,1^", ' t. ,Jt 23 décembre. r.(m. 39,1 ? Langue épaisse
qûoi;`Illüss,taliôn;Jie comprend pas pourquoi' on'lui met le ther- ' "momètré,1 etc ! 1 Urine rouge, épaisse,' odeur am
rquoi' on'lui met le ther- '"momètré,1 etc ! 1 Urine rouge, épaisse, ' odeur ammoniacale, sans albu- "mineT ? sf3T',8.
',8.<'n&.i'6fn .M"1"^ 19'f76nttJU(jyy .oHik f "^°24 décembre] ' 'T.' m. 37°,5 ? Langue meilleure, ! nuit calme,
angue bonne. 1 ° " t i)J ? 1H41 : 'tsou Jnoaut dSxuLm ;,r,d,po sr ' T ? s., 37 ,5" W»,Igw -Itra ? ...r" , ..rf ? m ?
d,po sr ' T ? s., 37 ,5" W»,Igw -Itra ? ...r" , ..rf ? m ? . a a, y ' 26 cdécémbre. - T. m. 38,2 , Langue bonne, calm
peu, de son1 élasticité' et il urine mieux c r'1 ">>'<' m" ' -il ut· 'i.K'- .viip1 ynarnç' ? 91 ThfJ 91 ,Tw Il
l'uréthrotomié intérne^èst faite 'avec succès ? Le malade-' se'montre ' l inqûiét;usé demande" ce'qû'bn^eûtFfaire ? .
Pouls petit, serré à 400;Iroù=f geurs foncées à la face. T. s. 37°. ' 2 Janvzer. -T. m. 36 ,9. Bien ; moins déliéant.
.Depuis r quelques, ours,3,1'ame o ation,s aceentueul nettement : ' le malade a l'air plus éveillé ! parle. dé sa fam
ectuelle. p ,; 911s·r31JsqaluoQa E,i6Jnstd lagrfBm blsaao6·sw stq é ' " w<>\ û 2J99;'t6 é7Jd Cette longue obs3rv
tion de'1'uréth'rotomie interne* vienne' sup- priméi3l'ôbstâclé qûi ' "s'opposait^à''1 l'excrétion0 de1' l'urine1.' ''A'
rê s'at- r ? i|V^ I 01rT ? r^ f) c"> - ntar o cve .nl ? ^ ! "I, , ' , 1 ntt 'in. tenue progressivement et le malade
ment la ! , production1 de" cette maladie"mentale^,deûx prédomi- ' li t' i .*>llrlll>i e m 9 ttim ? Ut ? 1,.i)
'i9q ab ah5bi suplsup ·s7ooas 8 3ri,M3flCLINIQUEtIIENTALE.Lie 3TO ' ( Màis"r'âvant';f d'allér^plùs'1 loin dans" les c
n dans" les considérations'' qui d ,e'oÜlent],de,ée"cds7,c]iiqu 1 l) ' +, -6; ' que' 1, nous -1 1 Il qu 'àlifion's,de,fol
les considérations'' qui d ,e'oÜlent],de,ée"cds7,c]iiqu 1 l)'+, -6; ' que' 1, nous -1 1 Il qu 'àlifion's,de,folie uré
r'quelques jours d'un calme trompeur et 'd'une" lucidité imparfaite; ' puis- ,q'ü'ilsîlbsistâit ? ûne'certâine`hébétud
"ont-ils été touchés ? Cela est,pos- sible ? 'CépeiTdant'l'albumine ' a constamment* fait'défaut dans l'urine examiné
,9'U aD ? Dans1 sa1' première^ phase,- la/maladie'1 revêt, 1 a. 1 for ' m et dés 'délires' toxiques ;fç'estr' la confus
tre contester qu^à"ce moment L'urémie soit bien réellement en cause, ' le malade'étaht en outre alcoolique,' et le dél
soit bien réellement en cause,' le malade'étaht en outre alcoolique, ' et le délire" 'alcoolique' étant' précisément t
plus profonde que celle de l'alcoolique, même'en état de stupidité. ' "* ' Brissaud et Lamy : l«ayMesM<ah'uM chez un
profonde que celle de l'alcoolique, même'en état de stupidité. '"* ' Brissaud et Lamy : l«ayMesM<ah'uM chez un &
i se manifestent déjà à par,l'expression du.visaoe,-Iadém " ? " d " ' »' par, l'expression du.visage.^a^démarchejirab
e manifestent déjà à par,l'expression du.visaoe,-Iadém " ? " d " ' » ' par, l'expression du.visage.^a^démarchejirabsen
;<M'<'M.M mçoSoiWvjî^ ah t't ? n\<''<« ? tA .{«ghEV ih .H ' 1 Spigaglia. De la folie* urémique ou /'oe.7'c'
rnrnos Ioosls'1 L-4b Jiuiip 9sïli,tzuzsg J88'a PSYCHOLOGIE9"119 ? 0 ' acirb aanpirf : . si 9up 9fIÛ2tli121.tR2 2(IIUf
E ET LES COURS DELCLARB : UNIVERSITY fil' ab JfIgfII9Vt2lIiaX9 ta ? ' "5 ? irr vrrg·0 y,U&fR3fII 291ttJ0lJ 9 ? 1 AiW
' ce laboratoire à Y Anthropoloqical 13uildzizg de la'PFo'M's Fair. ' " Aÿântreûl ôccastond'étûdteî'-sur les lieux)mèm
e à peiner aiamzsb a9Mbt osvs 9upilooaslêm smio3 9tsznqm noleu3ao ' H. de Vari.-II3,. Le laboratoire de psychologie e
complètement ignorée dans notre ''pays jusqu'à ces derniers temps ? ' , ' - ? ? ; ` J* . Il y a quelques années, Clar
lètement ignorée dans notre ''pays jusqu'à ces derniers temps ? ' , ' - ? ? ; ` J* . Il y a quelques années, Clark Un
i . - 1# , 1, e CI 4tm,4n(j9'7'^ A i), ( 4 , ,4 1,is . rtn v t . 1 ' ,Comme I. de Variny, j'ai vu Har,,vard University
lle, et enfin celle de Chicago, toujours' en voie' de construction. ' Naturellement, c'est une institution absolument p
de Clark University 44 ? "TV'aJ- ! à .Worcester. ! ^jfy ? 4&^ " ' ^,{ I, Laboraloire de psychologie* expérimentale
oire de psychologie* expérimentale; 2, Laboratoire'de chimie. '' '' ' £ ? " f " ... -- , î'i ' î z LA. PSYCHOLOGIE EX
rimentale; 2, Laboratoire'de chimie. '' '' ' £ ? " f " ... -- , î'i ' î z LA. PSYCHOLOGIE EXPÉRIMENTALE EN AMÉRIQUE.
"hs-clïlcigie ? (Ilîi'ÿ'â actûellémentrnP'facultéide théologie, 'ni* ' faculté* de' droit1 nir faculté ou°école^de méde-
sveliologie physiologique du pro- fésséur'G ? S',tânléy, Hâll. 0û y, ' trôûve âûssi des laboratoires de ....n ., c r,
û y,' trôûve âûssi des laboratoires de ....n ., c r, 1 ? J 1 î. v 1 ' W ., '1,1(1 j 1 s ] ? n mi 'physique et de, bio
rayonne un soleil, avec ces mots : Fiat l2cxa ? -1 t ? ? - " 2.1, ' - Le ? P ? " e ye e*éxîériinéii*tli àClali Uiiie
écision'pour l'étudè"'déà'ëèntre3 'nerveux, vaut rr ? io..n t p.,H. ' , , 1e iw r ? Mt ? Y ? i , >»i'i)n certaineme
ement en voie .. r ? HMI ? . -III - ? > ? -. -, " ? ? lO .l«l'IH\ ' ,ltl/-t ^* dèfôrmâtiôn;'ët`i1J peut nourrir. 1 e
'Professeur" : M' 1 le le ` Hôd,;è,'âssistant. . Ï ., iltt 141 4 e. ' ^Professeur' : M.1 le D1' HÔdgV'assb^ *i -2° - P
piïnmewta/e/'cbmpréhant1 les 'réflexes,'le' sommeil,'1 l'hypnotisme} ' l'aùtomotismeles témpérà- ments, etc. (Laborato
2. ? < «onlo ? vrlii 311 »<* 9rmntRMt t"3 a'9 ? tTB y'iRVBtl eb ' "loi ' Cf. A. Binet.7)t'onc< ! OMa h la Psych
; «onlo ? vrlii 311 »<* 9rmntRMt t"3 a'9 ? tTB y'iRVBtl eb '"loi ' Cf. A. Binet.7)t'onc< ! OMa h la Psychologie e
1 outî-ëf* qu'elqùes documents' sur les 'installations ! de New-l'orl, ' '4 New-Ilaven,lthaca, etc. "peut-être lestferai-j
mêmel(1y16),,onl`l'a rien publié en France sur ces laboratoires ? * ' ' ? , >.>,, ...., it \ ni. ? » TJrt^ii 3,
mel(1y16),,onl`l'a rien publié en France sur ces laboratoires ? *' ' ? , >.>,, ...., it \ ni. ? » TJrt^ii 3,&g
' ? , >.>,, ...., it \ ni. ? » TJrt^ii 3,>ni*f ! 'V ail ' Un cours de psychologie' animale et comparée va ê
RIQUE, do ? 3°Psyçhologie morbide et anormale- : le mondeides nerveux, ' les pro- d-es; les génies, le monde des, dégéné
. (Etudes cliniques à Ï hôpital, par M. üal)1 rPi ôfûsi eûr ..1..rv ' ù I", Tt ' , ? K ? ,'«» -ri- 1) aill^u i JjttHti
liniques à Ï hôpital, par M. üal)1 rPi ôfûsi eûr ..1..rv ' ù I", Tt ' , ? K ? ,'«» -ri- 1) aill^u i JjttHti * l MM. D
Ï hôpital, par M. üal)1 rPi ôfûsi eûr ..1..rv ' ù I", Tt ' , ? K ? , ' «» -ri- 1) aill^u i JjttHti * l MM. Donaldson et
tion 15l tl- (qui passionne tant les Américains). Professeurs : D' ' Burnliaiti, instructeur, etM. Hall 0\j sb ? ojo
e le malade comme sujet d'observations psychologiques..... Jil l ^ ' 1l "i t ? i"\t'<'" " )n'< ? Mt ? , Sanfor
oratoire d expériences psychofo- -«.1- ilitx. u 'iin . -iiu'' ;i»iw ' 'in ? ', "C'^iitn. r '.<-'T ? ) ' giques, es
d expériences psychofo- -«.1- ilitx. u 'iin . -iiu'' ;i»iw ' 'in ? ' , "C'^iitn. r '.<-'T ? ) ' giques, est de mêm
.1- ilitx. u 'iin . -iiu'' ;i»iw ' 'in ? ', "C'^iitn. r '.<-'T ? ) ' giques, est de même. très connu en A'Ini'ériq"'
x, sur'l'ahatomiedu cellules^neryeuses*l'des>'gangHpnsiV'spinaux, ' sur,'ranatbmie. : du .cerveau,-etc.; il a étudi
s; 4° le laboratoire de psychologie expérimen- tale proprement dit. ' Ce dernier laboratoire, le plus important, comp
-dix- sept témoins. Son objectif était de dégager la vérité de ce ' La première réunion de l'American Psychologicâl A
igieuses, et en scrutant la conduite de cet ecclésiastique avec ces ' religieuses, afin de découvrir si les tentation
econnu à ses yeux qu'elle-même était possédée. Puis elle ajouta que ' 1 « les baisers reçus de la soeur Buvée lui cau
r la fenêtre de cette soeur et décrivit le costume de l'un d'eux. ' Manuscrit n' 18696, loc. cit., folio 148. 2 Id.
efusé à insérer tout ce qu'elle avait dit, en l'invitant à l'écrire ' Manuscrit n° 18696, loc. cit., folio 149. ' 2 I
n l'invitant à l'écrire ' Manuscrit n° 18696, loc. cit., folio 149. ' 2 Id., loc. cit., folio 15 o. ' Id., loc. cit
t n° 18696, loc. cit., folio 149. ' 2 Id., loc. cit., folio 15 o. ' Id., loc. cit., folio 1 50. * ld., loc. cit., f
ix heures jusqu'à mi- 1 Manuscrit ne 18696, loc. cit., folio li2. ' Id., loc. cit., folio 152. ' Id., 'ce. cit., fo
crit ne 18696, loc. cit., folio li2. ' Id., loc. cit., folio 152. ' Id., 'ce. cit., folio 152. , BARBE BUVÉE. 23
ait qu'un conte, et que soeur Buvée ne tomberait pas sous le bras ' Manuscrit 18696 B.N, lor. cil. 24 HISTOIRE ET C
servi de boyaux pour com- mettre sur elle des actions impures, lui ' avaient fait des attouchements et souffrir des'
ée, elle ne pouvait consommer les saintes espèces ou croyait voir « ' un spectre impur d'homme et un de femme qui com
nes, et en l'absence de soeur Surmain qui s'était rendue à matines. ' Dans sa version devant le Commissaire, Margueri
les coquilles, étaient de la main d'un exorciste ; ce qui prouva ' Manuscrit 18696, loc. cit., folio iS6, Bibliothèq
de Villemerle. procureur, et le contenu d'un papier qu'il présenta ' ». Enfin il fut reconnu qu'elles s'exorcisaient
es tiré Î,u manuscrit de M. Legoux : 32 , HISTOIRE(ET CRITIQUE. ' ' L'attachement de Nouvelet pour Claudine Bourgeo
tiré Î,u manuscrit de M. Legoux : 32 , HISTOIRE(ET CRITIQUE. ' ' L'attachement de Nouvelet pour Claudine Bourgeot
'advis qui luy fust donné que Claudine Bourgeot faisoit scandale il ' obligea Nouvelet de s'esloigner. De Laperrière
t Nou- velet seul; elle, sa mère et le petit, clerc du dit Nouvelet, ' âgé "r de dix à douze ans, dans une autre.' De
accord d'avoir logé chez une pauvre femme et d'avoir'couché dans la ' mesme chambre dans des litz' séparez avec le'di
ans la ' mesme chambre dans des litz' séparez avec le'dit Nouvelet; ' elle ditqu'elle'`fist"deà, prières pendant' neu
lôn' ils prirent résolution d'aller à Dôle. Le père du dit Nouvelet, ' ' ` sur l'advis qu'il èn'reçéut et sur les mauv
n' ils prirent résolution d'aller à Dôle. Le père du dit Nouvelet,' ' ` sur l'advis qu'il èn'reçéut et sur les mauvai
bn" père qu'il nevouloitpas s'en séparer, son père alla trouver les ' magistrats de Dôle pour les prier de faire ferm
es ' magistrats de Dôle pour les prier de faire fermer les portes ' ? ? "3 ' 1 J . I j 1 I 'i >>,( | 1 Manusc
gistrats de Dôle pour les prier de faire fermer les portes ' ? ? "3 ' 1 J . I j 1 I 'i >>,( | 1 Manuscrit 18696
1 I 'i >>,( | 1 Manuscrit 18696, loc. cit., folios 167-168. - ' ' ,t ' - in ? ,, ' Charnay-les-Chaions, canton
I 'i >>,( | 1 Manuscrit 18696, loc. cit., folios 167-168. - ' ' ,t ' - in ? ,, ' Charnay-les-Chaions, canton de
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1 Manuscrit 18696, loc. cit., folios 167-168. - ' ' ,t ' - in ? ,, ' Charnay-les-Chaions, canton de Verdun sur le Uoub
suyvre, crainte qu'elle se précipitât. Archives, t. XXVIII. 3 34 ' 'HISTOIRE ET CRITIQUE. 2- De Dôle ils allèrent
isonnière, il retourna après qu'elle fust élargie- des prisons. z ' ' «On laissa entrer dans Auxonne la mère de la di
onnière, il retourna après qu'elle fust élargie- des prisons. z ' ' «On laissa entrer dans Auxonne la mère de la ditt
' ' «On laissa entrer dans Auxonne la mère de la ditte Bour- geot, ' mais pour elle on ne voulut pas' la recevoir. Nou
it un enfant à nourrir; il y alla pour l'obliger de la faire sortir, ' que la ditte Bourgeot tenoit un.crucifix à la m
a et que le dit Nouvelet luy appella ma fille. *<'»% '' r ? t , ' « Au mois de novembre de l'année mil. six'cent so
veleti la- .conduisit hors les portes et luy donna; du gasteau. e , ' ; *'Nouvelet dit que les magistrats l'avoit obl
elet dit que les magistrats l'avoit obligé de la rece- voir le soir, ' ce qui n'est pas, parce qu'ils-ne l'auroient pas
ée dans sa maison elle ne seseroit pas cachée sous le four. » ,ir , ' 9 Les preuves recueillies qui rendaient la cond
, ? ><, 1, 1 r. rti« ^ **< ? t*> Kf ., .. , /4 suivre.) ' ) "REVUE DE" PATHOLOGIE1 NERVEUSE. e , tee, If
, malade à une sensation ressentie du côté symé- triquement opposé. ' -ji- r z 5 L'allocbirie observée, par Ferrier,
euses et' tous' les 'appareils' sen'sitifs"senso- riels ltyr ? ? .' ' ")r "P ' J" W* >I '- 'TJb'T-- <",<ri '
tous' les 'appareils' sen'sitifs"senso- riels ltyr ? ? .' ' ")r "P ' J" W* >I '- 'TJb'T-- <",<ri 'D'après H
de sensation" seraient liées àL , une lésion de la zone rolandique. ' t ·1 >'#<* ? v v 1, iDans le cas auquel G
oi- gnet droit est prisé pour une piqûre à la pulpe du pouce droit. ' - -it. -. A M\RIE 1 ji.ii.4li '<c ? 4 ? a
'ir'i«iW,'> . T- ».i rf>"^ un s' In «3 ? ^m -^ -n wrl. - I , ' i - T .* 1 .y- i.- .3- - 1 T ll., CASLDjACROlÉG
^l. L ,l ? L..wlodicccl joLcrnal, janvier189, n f 73 ) si,l : -a ? * ' L'observation rapportée est un type de la maladie
ubles fonction- nets le malade présentait l'atrophie des papilles ? ' symptôme rare, et une dyspnée' intense. Ces deu
ns le premier cas et thymus dans le deuxième ? ? "-«« -" aJjflr = 1 ' "v le 71l lot'&" 0 .Comme dans le cas d'Hen
tives de cette façon de voir, entre autres celles de GauthierHoIsti, ' Duçhesneau,.cei)es de Marie et Marinesco où le
'l'hOpital,'d'où'i1L'sortit après'trois semaines. A. Marie. 9' le ' Kj.tati* tiuu i ? a ? i. in;. '-i , <.m · InrL
tt.r Rtii'i"1^ ii> u .' jii->*i .y,a ? wyjr '4t; 6 XD`Jl 9,U' ' Uy » W'tb ,Mle.n ·1 1. IJ 1 1f ? flt ' - o C'es
.y,a ? wyjr '4t; 6 XD`Jl 9,U' ' Uy » W'tb ,Mle.n ·1 1. IJ 1 1f ? flt ' - o C'est une .paralysie double ? permanente ap
rie. t )-<t- ,san4're-asfduur f ? U' ? 1 -.i uà e ? fm ? 9 ? i9, ' B*iU "'n'rç 1V ? t H UIT ' C.1S 1 UE f 1 1CI11
fduur f ? U' ? 1 -.i uà e ? fm ? 9 ? i9, ' B*iU "'n'rç 1V ? t H UIT ' C.1S 1 UE f 1 1CI11 : 1Lli\I\GITE RÉ6LORnH : IGIQ
iquès récents, ;mâis'a`vé fausses membranes, è'n 'voie dé'formation ' : ' les deux , dernières présentent Jt.J ut.d u
s récents, ;mâis'a`vé fausses membranes, è'n 'voie dé'formation ' : ' les deux , dernières présentent Jt.J ut.d u,, r
1C ".Ilji,lijb-10 ! ? ><« " u lu .8b'(1 Jtu>».' > *. .1 ' , , , ! 1 ? ' ,r k ? ! : a·. ? 3c 7 l'-iaqfiis-»
b-10 ! ? ><« " u lu .8b'(1 Jtu>».' > *. .1 ', , , ! 1 ? ' ,r k ? ! : a·. ? 3c 7 l'-iaqfiis-» ïh< REVUE
. ? 3c 7 l'-iaqfiis-» ïh< REVUE.DE,PATHOLOGIE NERVEUSE.Et ? ! i , ' ? 37 1 .- »- -f"r t-" »> -...> -I - .r ·
chronique diffuse plus ou moins pro- noncée. Dans un'cas seulement; ' la' dure-mère paraissait-atteinte, encore celte
tfr 'sesh ? = .·. A·,iIaRIE. ,.·o - 3 ? d, t" >>"»0'i'ii i(J ' ' hn,'31·,1·... ? C- '«'" ? ) ? <-.q t7ri V.
fr 'sesh ? = .·. A·,iIaRIE. ,.·o - 3 ? d, t" >>"»0'i'ii i(J ' ' hn,'31·,1·... ? C- '«'" ? ) ? <-.q t7ri V. A
IaRIE. ,.·o - 3 ? d, t" >>"»0'i'ii i(J ' ' hn,'31·,1·... ? C- ' «'" ? ) ? <-.q t7ri V. Atrophie musculaire pr
RIE. ,.·o - 3 ? d, t" >>"»0'i'ii i(J ' ' hn,'31·,1·... ? C- '« ' " ? ) ? <-.q t7ri V. Atrophie musculaire prog
les condi- tions-ordinaires"'d'âge; de sexe; d'hérédité des malades, ' l'évolution de l'affection et son traitement-pa
strychnine. (The Alienist and'Neuro- logist, XIV, 93,,n° t, p. 60.) ' - A. Marie." ' >- i I : ` LÈl'RE'SYSTÉU.1TI5
e Alienist and'Neuro- logist, XIV, 93,,n° t, p. 60.) ' - A. Marie." ' >- i I : ` LÈl'RE'SYSTÉU.1TI5ÉEF NERVEUSE '
60.) ' - A. Marie." ' >- i I : ` LÈl'RE'SYSTÉU.1TI5ÉEF NERVEUSE ' A'* forme SYR1NG031YÉL1QUE par ' Mli.`le Drs PI
: ` LÈl'RE'SYSTÉU.1TI5ÉEF NERVEUSE ' A'* forme SYR1NG031YÉL1QUE par ' Mli.`le Drs PITRESf·et·.J. SABRizÈs. (NouvJ lconâ
alpé- `9 trière,`r1893' Il ? 3.) °l" w <"*>> ik m,. -t ju, ' ,) · , ? · ·I,.ri3"9t î", ..(lit» SiiJii y 9·.r·
n fragment de, nerf de l'avant-bras qui fit reconnaître la lèpre Il ' - ? Homme de quarante-six ans, non diathésique,
nerf est à peu 1 près réduit à'un simple cordon conjonctif. * ? 0, " ' ^ ? i-y Quelque tempsapîès,ialôrë que' le diagn
ssent'fixé le diagnostic, si elles s'étaient montrées plus tôt. ''' ' ' *%' On connaît deux autres`faits analogues à
ent'fixé le diagnostic, si elles s'étaient montrées plus tôt. ''' ' ' *%' On connaît deux autres`faits analogues à ce
fixé le diagnostic, si elles s'étaient montrées plus tôt. ''' ' ' *% ' On connaît deux autres`faits analogues à celui-
est endémique ? L'affection n'a jamais débuté avant l'âge adulte. - ' IL existe toujours des 1 symptômes céphaliques,
is, en somme, l'examen bactériolugique : 'rigou= reusement conduit, ' reste le principal, sinon le seul élément de di
, ' reste le principal, sinon le seul élément de diagnostic." ., .` ' ,.r . . ' ' , ' ' t s 4 i .. , - : ,r . r 1 C. '.
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ncipal, sinon le seul élément de diagnostic." ., .` ' ,.r . . ' ' , ' ' t s 4 i .. , - : ,r . r 1 C. '. . ·.1 ? t eJJ `
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é- rieurs, et, admet-on, sous, la dépendance de lésions médullaires, ' on l'observe parfois dans la myélite chronique,
o- lution congénitale de nature inconnue. ., N.u, ? u, C.*^ ? 1 1 ' t H,J ? Pa 'Uni" , 1- , i, V 1 ' .),. *fl)'ll V
inconnue. ., N.u, ? u, C.*^ ? 1 1 ' t H,J ? Pa 'Uni" , 1- , i, V 1 ' .),. *fl)'ll VIII. Sur un cas d'artiiropathie t
ose dite TRAUMATiQUE; par Harold Mater ( .nii,w, " (de Chicago).. . ' (i, ? , , , ' L'auteur fait la'critique de la te
TiQUE; par Harold Mater ( .nii,w, " (de Chicago).. . '(i, ? , , , ' L'auteur fait la'critique de la terminologie si v
ériques de l'innervation sont organiques et non fonctionnels.' '' ? ' ' ' ' 4 Quant aux désordres des centres nerveux
iques de l'innervation sont organiques et non fonctionnels.' '' ? ' ' ' ' 4 Quant aux désordres des centres nerveux,
ues de l'innervation sont organiques et non fonctionnels.' '' ? ' ' ' ' 4 Quant aux désordres des centres nerveux, mo
s de l'innervation sont organiques et non fonctionnels.' '' ? ' ' ' ' 4 Quant aux désordres des centres nerveux, moel
,vertébrale. (The Alienist and Neurolôgist, XIV, 93, n b.) ? .en ï , ' ? A.Marie. 40 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1
FER J . par le Dr BADAL. (&a ? /ie6d.det sc. néd : de Bordeaux, ' 1893, p ? 130 et 137.) . ;r,-fFT.^r,^u m1'.t3
réservée" -" ? fl', 9nnstf A' elkhr. trJO·> " . l.(r·i L. «>- ' o*> 'TSett)f1t) nl tt,gciyt°9 dl ? °lûTft19 :
t; 'TSett)f1t) nl tt,gciyt°9 dl ? °lûTft19 : 1 ? 2'e.'foud`t aax, T ' RO UBLF visuels dans les IIliuIPLÉGIES,tpar,Ie'D4
x, T ' RO UBLF visuels dans les IIliuIPLÉGIES,tpar,Ie'D4fROmAGET. ' i . - '(Ga ? hebd. des se. . ,, méd. v dc Bordecu
RO UBLF visuels dans les IIliuIPLÉGIES,tpar,Ie'D4fROmAGET. ' i . - ' (Ga ? hebd. des se. . ,, méd. v dc Bordecux, .....
n. 490.) · `trr,et ^, - «lii,, ? f<1t.u tu > 'au- j 'tt5aux i ' ! i.i'i ? r> r· w ItrVV[`HJ Deux cas'd'hémip
ux cas'd'hémiplégie transitoire avec troubles persistants de la vue, ' se rapprochant de ceux'de Guglino; Boucheron; Fér
.^ '< ? 'kjo t JP.tiE. I;.7 i') V - 'fi eS.1.1't9,I. ft : ? >" ' ? V' S `sfŸ.. ,Drt.I' zLl nt 9&(¢ XII. Les
mpor- tantes erreurs de diagnostic et de pronostic.,ire ,yt,. 1 ,,f ' tantes erreurs de/ti.agnostic et de pronostic.
AS DE 91UNOPLÉGIE1'ERSISTaNTE DU MEMBRE INFERIEUR GAUCHE CAUSÉE PAR ' UNE* LÉSION TRÈS LIMITEE DE LA CAPSULE INTERNE
I : n° : 1,) 3b szoru supl ip '' . 1 u- 'i(-m3 .1lonEà- ? ♦ blet. ' irt`t071 '' - h1 1 Shf`JJl ! i. · 9 : (i2(r1` rtv
eu à des monoplégies persistantes ? yA3tbt.,ï ? ..<^tv i i.i ? ► ' E.,R. , < </ t9 sàsioio t.i'{'>\ldm --
>" < >-4'citt d : 319 llil'OJtIt i·i9l : q o - q,l n, T4La ' ' "t," .·1..5"' " XVI. C.1S DE GUÉRISON D'UNE p
t;" < >-4'citt d : 319 llil'OJtIt i·i9l : q o - q,l n, T4La ' ' "t," .·1..5"' " XVI. C.1S DE GUÉRISON D'UNE par
;-4'citt d : 319 llil'OJtIt i·i9l : q o - q,l n, T4La ' ' "t," .·1..5" ' " XVI. C.1S DE GUÉRISON D'UNE paraplégie alcool
d. de Bordeaux, n° 17.) ifiq , "Uyl" .« '' ,3,.1'UOi / il ? . . · " ' SdfU.-4 cas d'athétose double; par le Dr A ? AI
ar le Dr A ? AIOUSSOUS. - (Jovrn, de méd. de Borcievux, n° 18.) ? K, ' t XVIII. : À Un S cas -d'automatisme 'ambulatoi
ux, n° 18.) ? K,' t XVIII. : À Un S cas -d'automatisme 'ambulatoire ' hystérique S par le Dr E. RÉGIS. (Journ. de méd
par une' femme de cinquante-deux ans dans un état de somnambulisme, ' terminé par des attaques d'hystérie. Le souveni
de la façon la plus nette dans t l'état hypnotique. A propos de ce ' fait; M., Pitres et li : Régis- résument les ca
rasthénie, s .1 1 ? ,d I .'. -1p a'" tr ? tn .DU.t ? r-·t^` '9J1SU1 ' ['e "r'\ bhufïE' 1 l-l.t'Up-n\ . ,x ! -ru cf \ v A
'9J1SU1 '['e "r'\ bhufïE' 1 l-l.t'Up-n\ . ,x ! -ru cf \ v A JG.^.. ? ' XIX : TREIIBLE31ENT hystérique; par le D 1 : :
es des la TOURETTE. (Nouv. Iconogr. de la Satpétrière, 1894, no 1.)- ' - ! 9 ? '' , " ' ' '' ' 1' r .. t." « T't Obser
TTE. (Nouv. Iconogr. de la Satpétrière, 1894, no 1.)-' - ! 9 ? '' , " ' ' '' ' 1' r .. t." « T't Observation détaillée
E. (Nouv. Iconogr. de la Satpétrière, 1894, no 1.)-' - ! 9 ? '' , " ' ' '' ' 1' r .. t." « T't Observation détaillée d'
ouv. Iconogr. de la Satpétrière, 1894, no 1.)-' - ! 9 ? '' , " ' ' '' ' 1' r .. t." « T't Observation détaillée d'un ca
mais les lésions prédomi-, nent toujours sur l'un d'eux. ... ? , , ' 1 1. . L'observation de M. Gilles de la Tourett
leur niveau. Il y a aussi hypertrophie des,os'*du tarse à droite.. ' .. r, ? , ? , , ... Cette observation est suivi
lades et de l'urine du sujet. La, seconde note est de M. H. Meunier, ' interne des hôpitaux. M. Meunier relate, lui au
de la matière organique et à l'augmentation des sels. " i i- i i n. ' ) ) > ,G. i'" f i f m , ' .. z , - z - '.
augmentation des sels. " i i- i i n. ' ) ) > ,G. i'" f i f m , ' .. z , - z - '. XXII. Les POSSDliSt,DES dieux D
des Offices a Florence, l'autre dans la collection Jatttr in Ravo. ' Il ne s'agit naturellement pas de scènes d'exor
névrites multiples, en excluant quelques cas de para- . ,fT ftdf 3 € ' . ·' ï : 44 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. - !
tes multiples, en excluant quelques cas de para- . ,fT ftdf 3 €' . · ' ï : 44 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. - ! ? ;
' ï : 44 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. - ! ? ; r*»" - ". =>-4V ' . ? ®yF.4-aC' .âY. '1 .sie diphtéritique. L'un
- la" sensibilité 'était revenue. : ·- '3 q, '' i inrm `t eéwiyri9; ' "t)dt)0';f aii -eq ' -tmlrlq6Jq , ' ,1- ^lr,f.-
tait revenue. : ·- '3 q, '' i inrm `t eéwiyri9; '"t)dt)0';f aii -eq ' -tmlrlq6Jq , ' ,1- ^lr,f.- ~tth {9^Q-î^1 »<*
·- '3 q, '' i inrm `t eéwiyri9; '"t)dt)0';f aii -eq ' -tmlrlq6Jq , ' ,1- ^lr,f.- ~tth {9^Q-î^1 »<*1t" î- ' -J'IfVI1
';f aii -eq ' -tmlrlq6Jq , ' ,1- ^lr,f.- ~tth {9^Q-î^1 »<*1t" î- ' -J'IfVI1 y,411··luf Ca : IL-Un'mélancolique;res
é.' Peu à peu il .éprouve de. la, difficulté à monter les escaliers) ' les muscles deviennent sensibles à la pression
u)ou'rèux ? Pasd'àtaxie.Pas de diminution de la sensibilité. ? ? » " ' "" ? 3C ? t*11'" 'Mtf «"«f» "" 1 · -1 ? ,, .i,t
LA'ToURETTE et HuDELO. f (Nouiellé Iconoyraplaie de la Salpêtrièrl·; ' 1893, n° 1.) ? " ni, fl. "90 8f1 6HL$t w 37Dul
rl·;' 1893, n° 1.) ? " ni, fl. "90 8f1 6HL$t w 37Dul Jn·2 ? I : : - ' ' - ... » .Ces deux observations sont .prises à
·;' 1893, n° 1.) ? " ni, fl. "90 8f1 6HL$t w 37Dul Jn·2 ? I : : - ' ' - ... » .Ces deux observations sont .prises à,S
peu, prononcés., Le traitement spéci- rqùë' estsâns aucune action. ' , , n « n-u z , ^.observation. Femme,] trente-ne
Les auteurs discutent ces deux observations et établissent, dans ' 1 es s deux 'cas,6 Je' diagnostic d " - ' ' " 1 '
ions et établissent, dans ' 1 es s deux 'cas,6 Je' diagnostic d " - ' ' " 1 ' ' " ' h *Iitiqii ? P ui - ils exposent
ns et établissent, dans ' 1 es s deux 'cas,6 Je' diagnostic d " - ' ' " 1 ' ' " ' h *Iitiqii ? P ui - ils exposent lé
établissent, dans ' 1 es s deux 'cas,6 Je' diagnostic d " - ' ' " 1 ' ' " ' h *Iitiqii ? P ui - ils exposent lésquelq
ablissent, dans ' 1 es s deux 'cas,6 Je' diagnostic d " - ' ' " 1 ' ' " ' h *Iitiqii ? P ui - ils exposent lésquelquè
ssent, dans ' 1 es s deux 'cas,6 Je' diagnostic d " - ' ' " 1 ' ' " ' h *Iitiqii ? P ui - ils exposent lésquelquès co
ui - ils exposent lésquelquès considérations eliiiiqu4e siv-alites ' " ` '* La1 myélite syphilitique se caractérise l
ls exposent lésquelquès considérations eliiiiqu4e siv-alites '" ` ' * La1 myélite syphilitique se caractérise le plus
rodromes. Ces" 'deux"1 caractères- f6nt"défa'ùt''chez' let' premier ' malade . - Cés"pfodromes' sont' constitués5 par
ti'lqcr'Ui'.i K<jq ,"9rp"i Observation 1. - Homme, quarante-deux ' ans."L'aS'ection a débuté à dix-huit ans par de
aS'ection a débuté à dix-huit ans par de la difficulté de la marche, ' puis elle a progressivement' évolué 'jusqu'au '
elle a progressivement' évolué 'jusqu'au 'moment actuel ? La' face ' est envahie^' mais ' sans 'le 'signe ' de ' Lan
ssivement' évolué 'jusqu'au 'moment actuel ? La' face ' est envahie^ ' mais ' sans 'le 'signe ' de ' Landouzy (impossibi
nt' évolué 'jusqu'au 'moment actuel ? La' face ' est envahie^' mais ' sans 'le 'signe ' de ' Landouzy (impossibilité- d
au 'moment actuel ? La' face ' est envahie^' mais ' sans 'le 'signe ' de ' Landouzy (impossibilité- de clore complète
oment actuel ? La' face ' est envahie^' mais ' sans 'le 'signe ' de ' Landouzy (impossibilité- de clore complètement
mollet. Les mouvements sont très limités^ certains sont impossibles; ' par suite' d'impotence' muscu- laire. Réaction
tions fibrillaires'des muscles à la suite d'un effort." ''> ? '') ' ) ? Cette"obsérvationiest concluante,' on y voit
ite d'un effort." ''> ? '')') ? Cette"obsérvationiest concluante, ' on y voit la coexistence'de l'atrophie et'de la
o-hypertrophie, d'où'résulte parfois''un aspect étrange des membres, ' ainsi l'atrophie du'bras très pro- iioâeée' tra
ns le service, les pseudo-hyper- trophies" s'établir petit'à' petit, ' et'du reste les''muscles hypertro- phiés ont pe
une règle générale et on a. exagéré ce caractère. '310bservation 2. ' Analogue à la précédente. Homme de vingt- cinq
ceps crural gauche. , »" , tPhCr'11 ? i nlj·· n ,-rI'l.1 4.ü - v. ' XXVtTB.OS cas d'arthropathies 9SYÉLOPaTHIQUES ;
DÉOUD. (Nouv.'Icoizogi-. tiell(tSalpêtrière ? 1893, Zl tst n° 2.) i ' i 'r ? 1-t' ; n«vii" , i, i - . , 4 , 1 , ' iii
? 1893, Zl tst n° 2.) i ' i 'r ? 1-t' ; n«vii" , i, i - . , 4 , 1 , ' iii(f i le, cas. Femme, cinquante-neuf ans, i
pieds, lesquels sont raccourcis, la voûte plantaire très accentuée, ' le tarse faisant saillie en haut, les orteils d
d et que,, chez elle, les réflexes patellaires sont abolis. -L -i ' ... .. i in f "; XXVII. DE la MÉNIXGO-MYËHTE sy
(jyottv. 1(.onogi ? de la Salpe- trière, 1893, nos 2, 3, 4 et 5.) . ' ' ' ' - ' i a . Cette étude date de 1892, dep
yottv. 1(.onogi ? de la Salpe- trière, 1893, nos 2, 3, 4 et 5.) . ' ' ' ' - ' i a . Cette étude date de 1892, depui
ttv. 1(.onogi ? de la Salpe- trière, 1893, nos 2, 3, 4 et 5.) . ' ' ' ' - ' i a . Cette étude date de 1892, depuis
1(.onogi ? de la Salpe- trière, 1893, nos 2, 3, 4 et 5.) . ' ' ' ' - ' i a . Cette étude date de 1892, depuis cett
onogi ? de la Salpe- trière, 1893, nos 2, 3, 4 et 5.) . ' ' ' ' - ' i a . Cette étude date de 1892, depuis cette ép
de trois cas d'origine certainement syphilitique, avec autopsie. - ' , Ire observation. Homme, cinquante ans, syphil
ut abondantes autour des capillaires et dans- les parois des veines, ' les artères de- calibre en sont dépour- vues !
ration du vaisseau. ""f @-1,1 I ? ? & se hiim,, , ;1, .. ;,1. - ' La moelle, elle, n'est atteinte qu'à la région do
omme, vingt-six ans; alors que la syphilis est * ancienne dej un an, ' paraplégie complète qui se développe en sept jo
a interrompu le processus presque.au début de celui-ci. >'> " ' ? z ? F ? . t· ? z 3e observation. Il s'agit d'
que la moitié postérieure est fortement sclérosée et atrophiée. ».«» ' >-- -f z Ces trois autopsies font voir'que d
me conclusion : 'On ne peut pas encore, au point de vue des lésions, ' différencier d'une façon précise les méninge-myél
ies oculaires.'1La seconde période, celle 'des-lésions, médullaires, ' est' constituée par des paralysies à formes div
la myé- lite transverse. On l'en distingue jusqu'à'un certain point, ' non par les symptômes du' moment,' mais par ceu
stingue jusqu'à'un certain point,' non par les symptômes du' moment, ' mais par ceux de' la1 période 'prodro- mique, c
s ; de' la myélite centrale aii;uë ? nf ? eu ? vi<"-1 Y ? 1 .'f. ' rhr ' ll, 'J ? uni ïï, . '' ? . : -.1 «....1. ?
' la myélite centrale aii;uë ? nf ? eu ? vi<"-1 Y ? 1 .'f. ' rhr ' ll, 'J ? uni ïï, . '' ? . : -.1 «....1. ? t<
? p.Ef·111É^DECIrErL i'GLL ? v· ? ? .[.' ? r4 n ? : r -Il§, i L ? ) J' ' )"<")t ? ) ? tt)n ' - - - "' ' ,- . Il ? 1 Il
LL ? v· ? ? .[.' ? r4 n ? : r -Il§, i L ? ) J'')"<")t ? ) ? tt)n ' - - - "' ' ,- . Il ? 1 Il . 1. s 1 . , .TV-3 i \r
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lXV,;l.) ·, 1 Il i - , 1.. " . ^ 1 Il est probable, dit l'auteur, ' que les femmes normales, compa- rées aux femmes
E de' la' pyromanie; par le 71 il Jt) ...ul.r· t Dr CAiUSET. ? >» ' ' " " ♦->J*, * lln-v *> ! ...(,, is-'i ni
de' la' pyromanie; par le 71 il Jt) ...ul.r· t Dr CAiUSET. ? >»' ' " " ♦->J*, * lln-v *> ! ...(,, is-'i ni i
rresponsabilité; " ? ; . " * Jt.S W fpal' lr'ORAtAN 11ERR. 1 · ? - " ' ~s", ' · d'à Rn3-ji ? « -î .j......'. 14 J' ' ^
sabilité; " ? ; . " * Jt.S W fpal' lr'ORAtAN 11ERR. 1 · ? - "' ~s", ' · d'à Rn3-ji ? « -î .j......'. 14 J' ' ^1t· , .
RAtAN 11ERR. 1 · ? - "' ~s", ' · d'à Rn3-ji ? « -î .j......'. 14 J' ' ^1t· , . L'auteur rapporte plusieurs cas de pro
ez nous d'équivalent. (The Alienist and Neurologist, X1V,` 93, n ? " ' » 9^5f.' u.r -* y Dji rlrfy 9rr; f A. lAIIIE. 1"A
FAIRES CRIMINELLES; r'' - wnn . par Spuingtiiorpe et Dür-LR . u : f ' "1l'»>i ? i On, a longtemps professé la théor
es, jouirait-il pour toutes les autres d'une raison par- faite ? 9 " ' '' 1r9.a· 4 1 .. 3 FrodJcWry 1 f Irat3t'IC'lüdfl
né'd'uie passion alors que la personne est'par- faitement saine esr ' s'-hmuiI,. uot "a-1j Bob ai ? - 'A ? " l d 1 "
éfinit la folie1'* une ma- nière de s-"«c,'oiidù e i è'),"et 1 "non ' « une maladie'du'corps' ou-'de l'esprit ». La lo
ü; commettre''des"crimes, doit être considéré comme res- ponsable., ' " u 0f> '3"Jf* l~'1l ? >* ""don airrn f' (3s
n b 1 , i - "e 4b ? e ",k [ : v REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 53 i" ' il» . f (( ? » . ? Il , 1 1. 1 "1 '"» ? ) - hom
REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 53 i" ' il» . f (( ? » . ? Il , 1 1. 1 "1 ' "» ? ) - homme sain d'esprit agit de telle façon
à chaque cas. iou ? ,i2al of insanit, 1893.)r,ilv F , sy t ,, 'f\ , ' ,. , ^ ` -" E. B. It' ^013 JlOt IIj1 rtl ut. I
y t ,, 'f\ ,' ,. , ^ ` -" E. B. It' ^013 JlOt IIj1 rtl ut. I J' il- ' f. ? "t ? j .t .& . . V Rapport médico-léga
TIrrUq sb lie nct ? i'.tu q 91 ". r,n ? I 1u9 v3vr$,t , ^ilmu f" - ' -VI7 Contributions- casuistiques A la psychiatrie
st-à-dire d'une des. formes de la folie systématique (Yerrùc6theit) ' , mais à début anormal parce qu'il 's'est développ
, chez un dégénéré alcoolique. 0 1jSJ . ; .. . ? M lui 'ï f ,1 «. ' * .. ' 1 Voir Archives de Neurologie. Terminolog
ez un dégénéré alcoolique. 0 1jSJ . ; .. . ? M lui 'ï f ,1 «. '* .. ' 1 Voir Archives de Neurologie. Terminologie.
ale d'origine épileptique ; Impudicité, hallucinations ? violences. ' '` P. K. i-" - - 31. > '» .' il : "t " ' .
e d'origine épileptique ; Impudicité, hallucinations ? violences. ' ' ` P. K. i-" - - 31. > '» .' il : "t " ' .-]
Impudicité, hallucinations ? violences. ' '` P. K. i-" - - 31. > ' » .' il : "t " ' .-] . 1. ' j vY1 .. - ' - S ' h
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violences. ' '` P. K. i-" - - 31. > '» .' il : "t " ' .-] . 1. ' j vY1 .. - ' - S ' h VU. Note 31l : DICO-LGALE
'` P. K. i-" - - 31. > '» .' il : "t " ' .-] . 1. ' j vY1 .. - ' - S ' h VU. Note 31l : DICO-LGALE A propos d'un
K. i-" - - 31. > '» .' il : "t " ' .-] . 1. ' j vY1 .. - ' - S ' h VU. Note 31l : DICO-LGALE A propos d'un incen
érobe. s ,. ? Bull. de la Soc. de méd. ment, de Belg., juin'1893.)1 ' ) L'étude des facultés mentales de certains inc
s de certains incendiaires et la'déter- mination de leur 'degré' de ' responsabilité constituent l'un des problèmes l
ction unique et°irrésistible dans une intelligence d'ailleurs saine, ' si elle existe,' est un fait excessi- vement ra
rrésistible dans une intelligence d'ailleurs saine,' si elle existe, ' est un fait excessi- vement rare. ? ,9J- ? t9 ?
,' si elle existe,' est un fait excessi- vement rare. ? ,9J- ? t9 ? ' ? "' ? ? s'-fs Mi' n( ? t 1 y Plus souvent;' il
elle existe,' est un fait excessi- vement rare. ? ,9J- ? t9 ? ' ? " ' ? ? s'-fs Mi' n( ? t 1 y Plus souvent;' il s'ag
nt rare. ? ,9J- ? t9 ? ' ? "' ? ? s'-fs Mi' n( ? t 1 y Plus souvent; ' il s'agit d'épileptiques ou d'alcooliques. Sans p
i,, obéissant' à une' impulsion irrésistible' et i inexplicable; * " ' d'- sans motif ni'raison il 1 existe une, caté-
vidus qui allument' des incendies 'pour un' motif très futile,'mais* ' suffisant' néanmoins-pour expliquer leur rmauvais
la grande classe des dégénérés, des héréditaires vésa- niques. "wn ' ,ca4· ? 1; f,j, . j« > it> > ff Ces pr
e relate l'observation d'un dégénéré qui tenta ? sans'motif sérieux, ' de mettre le feu à'la mai- son de son oncle,'et
é à bénéficié, car il n'a été condamné qu'à une peine très légère : ' T"' ? r,, 1% >," »1 1- ',p ' G. 4D ? i VIII.
bénéficié, car il n'a été condamné qu'à une peine très légère : ' T" ' ? r,, 1% >," »1 1- ',p ' G. 4D ? i VIII. Du
é condamné qu'à une peine très légère : ' T"' ? r,, 1% >," »1 1- ' ,p ' G. 4D ? i VIII. Du RESTRAINT mécanique dans
ndamné qu'à une peine très légère : ' T"' ? r,, 1% >," »1 1- ',p ' G. 4D ? i VIII. Du RESTRAINT mécanique dans LE
inr , . iw.h . ; a · . , ? , ^, 'nqirn IX. Du''SECRET professionnel; ' par Albert Bach. ' ,-4)t'o i)k r, |ii« gt 4 ? t
· . , ? , ^, 'nqirn IX. Du''SECRET professionnel;' par Albert Bach. ' ,-4)t'o i)k r, |ii« gt 4 ? tu. j ' - ? ' t ., ,
professionnel;' par Albert Bach. ' ,-4)t'o i)k r, |ii« gt 4 ? tu. j ' - ? ' t ., , .-Étude d'actualité en Angleterre
sionnel;' par Albert Bach. ' ,-4)t'o i)k r, |ii« gt 4 ? tu. j ' - ? ' t ., , .-Étude d'actualité en Angleterre comme
ile à concilier avec l'intérêt personnel du client..) j s ( , <, ' La question des assurances sur la vie et du sec
edico-lcgal-Journal, v. X, n° 1.) t\IARIE.1, "Q -.h t)9,t9 ? 0l'' ' f), ·'o il nitf V i, . , ? ryt j ... ,.».. - -f,
al, v. X, no,l) r f ,-A. 114AnIE., ? 9 at· . ·r,e A f., ? ? .1. 1 ? ? ' , , XI. L'affaire YARROw; par Wood RENTON. '
A f., ? ? .1. 1 ? ? ' , , XI. L'affaire YARROw; par Wood RENTON. ' ')' ùr ? f' ! a.' . , --b ? » y , .- . ,- , t. ,.
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t inventé pour la circonstance,» ! (Medico-legal Journal, X, n" 2.) ' , ? 1.. ? s. T * "À. 'Marie. 56 REVUE DE médecin
2.) ', ? 1.. ? s. T * "À. 'Marie. 56 REVUE DE médecine LÉGALE. -, ' t t.. ri -t L . XIII. L'affaire par Clark BLL.
urs, perversion). (edM;o-6gVo : n'M( ? Y n 3.)aw"'i" ''A.'MARIE ? * ' XV. 11-1LPRACTICE; par Clark BELI. De la resp
nière très "documentée 'avéc"'tableaux"1'ettfigures" nom- breuses : ' (àfe dico-legal Jozcrnal," v X,t3 : )y'=" 'e Qç 'A
uses : '(àfe dico-legal Jozcrnal," v X,t3 : )y'=" 'e Qç 'AT'-Marie.' ` ' - " 11 h M z ' >U <-w n H' ! 1ty(Y. l · I
-legal Jozcrnal," v X,t3 : )y'=" 'e Qç 'AT'-Marie.' `' - " 11 h M z ' >U <-w n H' ! 1ty(Y. l · I.wb4tn 9b 45L k,
>U <-w n H' ! 1ty(Y. l · I.wb4tn 9b 45L k, rvi.i. v-irTT T ? ' "' "">-" i'" ! " Wi n .. c* a > " "' v...,
t;U <-w n H' ! 1ty(Y. l · I.wb4tn 9b 45L k, rvi.i. v-irTT T ? ' " ' "">-" i'" ! " Wi n .. c* a > " "' v..., ? 1
45L k, rvi.i. v-irTT T ? ' "' "">-" i'" ! " Wi n .. c* a > " " ' v..., ? 1 'XVII. L`EVOLU71ON de la jurisprudenc
isprudence pour la responsabilité des . ;* ? alcooliques ; pâI lé`D' ' Clal·li"BELL : '1 ? "' 1 : 1 y o ? t, > ..)"
onsabilité des . ;* ? alcooliques ; pâI lé`D'' Clal·li"BELL : '1 ? " ' 1 : 1 y o ? t, > ..)".)t ? ? >4r . ? natj
imum d'internement de dix ans pour l'aliéné alcoo- lique homicide.' ' " , ', ? ', "" ' ? A". 'Marie. - XVIII. Respons
'internement de dix ans pour l'aliéné alcoo- lique homicide.' ' " , ' , ? ', "" ' ? A". 'Marie. - XVIII. Responsabilit
rnement de dix ans pour l'aliéné alcoo- lique homicide.' ' " , ', ? ' , "" ' ? A". 'Marie. - XVIII. Responsabilité CRI
t de dix ans pour l'aliéné alcoo- lique homicide.' ' " , ', ? ', "" ' ? A". 'Marie. - XVIII. Responsabilité CRIMINELL
XVIII. Responsabilité CRIMINELLE DES paralytiques généraux au s, ' ^ ? ' DBUT; par, Franlz P-iRso ? s. ,- , appelle
III. Responsabilité CRIMINELLE DES paralytiques généraux au s, '^ ? ' DBUT; par, Franlz P-iRso ? s. ,- , appelle l'at
. z A. Marie. - 1 va ? J'W Ji i' e S : 'Icr·r.y u.er r . ,-v 7FI U` ' ! ·1' ? W il i ''P°3Lt 9.ifl' r-iam*ti»i' nu h
Iua-' < ir, ? .9^Pii.Ci ih v . . ? c'rTnpt7'c ? c'At7'\rï ? c ? . ' .9, a, 3 , ,ai.,SOGIL'ÉS, SÂV1NTES ? 7 ? ? XX
1 : 17U SUD-OUEST " ? 9ft0t)tt'mi ? t ? j'9f.r.) i l'ifytm · f °, i ' -iiu-sdl'"1 » i .t y, SESSION, DE KARLSRUHE., a4
dl'"1 » i .t y, SESSION, DE KARLSRUHE., a4 ? , , . -ni . » ri. -i ' Séance, du 5 novembre 4S9 ? ? PnèslnrvcE de hl.,
ri. -i ' Séance, du 5 novembre 4S9 ? ? PnèslnrvcE de hl., LUDN1G : ' i vtin, <non< , Vis<V)Jc ' n> >'
? ? PnèslnrvcE de hl., LUDN1G : ' i vtin, <non< , Vis<V)Jc ' n> >' , iiV.,«o'u> t « >» 1 1 « 'li,
< , Vis<V)Jc ' n> >' , iiV.,«o'u> t « >» 1 1 « 'li, ' ' . De l'importance et de l'emploi de l'hydroth
t; , Vis<V)Jc ' n> >' , iiV.,«o'u> t « >» 1 1 « 'li, ' ' . De l'importance et de l'emploi de l'hydrothér
tion du grand bain chaud est triple ; il calme, appelle le .sommeil, ' active les échanges nutritifs. 11 contribue à l
vices dans les psychoses d'origine or- ganique, et, au premier chef, ' dans, la paralysie générale; l'action congestiv
de commencer' par des bains très courts ? ^ ? t c·;y » "j'^n Iiiir ' - o . ' - '' , - Discussion : M. KnOEPEUN ? Les
encer' par des bains très courts ? ^ ? t c·;y » "j'^n Iiiir ' - o . ' - '' , - Discussion : M. KnOEPEUN ? Les bains c
eures ! M. Stark préfère un bain chaud' d'une demi-heure au maximum; ' en' le répétant,' au besoin, deux'fois par jour
réfère un bain chaud' d'une demi-heure au maximum;' en' le répétant, ' au besoin, deux'fois par jour ? .t 7.y ' `t4j t
maximum;' en' le répétant,' au besoin, deux'fois par jour ? .t 7.y ' `t4j t.« ' '<>* v- - » z t' M.' FUERS'1NE
en' le répétant,' au besoin, deux'fois par jour ? .t 7.y ' `t4j t.« ' '<>* v- - » z t' M.' FUERS'1NER. - II est
ieux et les malades affaiblis'par une maladie physique aitérieure2 , ' ? P ,1, '" * ;"»* / ! ' / - MM. Sioli et Schuel
s malades affaiblis'par une maladie physique aitérieure2 ,' ? P ,1, ' " * ;"»* / ! ' / - MM. Sioli et Schuele prolonge
iblis'par une maladie physique aitérieure2 ,' ? P ,1, '" * ;"»* / ! ' / - MM. Sioli et Schuele prolongent f aussi la
ele prolongent f aussi la durée* du bain chaud pendant une| heure.' ' ^-' M. 'KROEPEUK se passe de bains quand il a af
prolongent f aussi la durée* du bain chaud pendant une| heure.' '^- ' M. 'KROEPEUK se passe de bains quand il a affai
et l'on doit absolument s'abstenir des baignoires' a couvercles. ` ' ', 1,, Conclusion 6. M. KROEPELIN regrette que
t l'on doit absolument s'abstenir des baignoires' a couvercles. ` ' ' , 1,, Conclusion 6. M. KROEPELIN regrette que le
AR ? Les grands bains chauds ne font pas. dormir. -,..., , , . m · ' Conclusiori 9 : ' -`M. FoERSTNERsur le désir de M
bains chauds ne font pas. dormir. -,..., , , . m ·' Conclusiori 9 : ' -`M. FoERSTNERsur le désir de M. Schuele, .-exp
entend parler des moyens d'administrer l'eau de source froide : 3' - ' ' " ' , " ' , 60 SOCIÉTÉS savantes. ? .. - . a
tend parler des moyens d'administrer l'eau de source froide : 3' -' ' " ' , " ' , 60 SOCIÉTÉS savantes. ? .. - . a -
parler des moyens d'administrer l'eau de source froide : 3' -' ' " ' , " ' , 60 SOCIÉTÉS savantes. ? .. - . a - ' -.
r des moyens d'administrer l'eau de source froide : 3' -' ' " ' , " ' , 60 SOCIÉTÉS savantes. ? .. - . a - ' -.1 1t..
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Stephansfeid on utilise depuis neuf ans ^un ; bain ici froid libre. ' , i W ,, tu - Le congrès msistesur la nécessité
es ;le séjour, au bord de la mer" est bien plus* utile pour' 'eux ? ' " " ? : " a- ait ' trio.. ,Ji ilj -iJATifif M
d de la mer" est bien plus* utile pour' 'eux ? ' " " ? : " a- ait ' trio.. ,Ji ilj -iJATifif M. Fuerstner. En somme
chiatrie. Il faut espérer, que l'avenir améliorera cet état. 1. 1 ' «.tiunn nuv .fit"" "ui"- <»; <i->iJi,'i.-
f L'ora- tp r E' La, 1.. - et - l'étiide on a de.,la inétlecine., i ' L'ora- teur propose d'adresser, une,pétition au
iHapa- ranoïa hallucinatoire aiguë des alcooliques ? " 418 - " s, - ' 'M.KpOEpELiN. " On' désigne aujourd'hui encore
s, coup férir, lorsque les facultés mentales se développent.».. u t ' "M ? Kirn. 11' y, a ? des' cas de paranoïa1 aig
ù' se1 termine'par la 'démence" niais 'ne devient pas chronique ? 1 ' ? ftj Il ? n=-a;bJ' f, " ` Tul"' M. ,VORSTER.
is 'ne devient pas chronique ? 1 ' ? ftj Il ? n=-a;bJ' f, " ` Tul" ' M. ,VORSTER. Etat du poids spécifique, du, sang
moglobine à" l'aide' de l'hémato- tomètre de Fleiscbl. 1 ? 'l-4 . ' Il examiné 116 aliènes (103 hommes et 11 femmes)
03 hommes et 11 femmes) à l'âge moyen de la vie. Dans la mélancolie, ' la'manie périodique, le délire sÿsténiâtiqilê'a
sÿsténiâtiqilê'aiâüyôïicôïîstate;`à la pério'de* d'acmé de la maladie, ' une diminution de, la densité," et''de 'l'hémog
e 'l'hémoglobine.' Celles-ci se relèvent àvec ler' pôids du' corps, ' iquând ? ômmenee E la guérison. Chez un malade
state souvent une' ascension considérable des dëux'elémènts du sang ' (densité ? hémoglobine); la dépression', lors- q
e là'circulatibh. '' ! ,1'B'" ? '' " Chez'les paralytiques généraux, ' tandis que "progresse la dé- chéance, la densit
057- à'i4,06 ? et' l'hémoglobine de 85 ùz 95 p. 100; en deux '' '9t) ' ? U ? jLt ? ? t r t . -t' ' '. r 7 . ` '62 SOCI
bine de 85 ùz 95 p. 100; en deux '' '9t)' ? U ? jLt ? ? t r t . -t' ' '. r 7 . ` '62 SOCIÉTÉS SAVANTES. jours on re
hiffres qui étaient notés avant l'attaque congestive. r Wt > » ! ' * ' - ; - 1 1 il z A la suite d'attaques d'épile
fres qui étaient notés avant l'attaque congestive. r Wt > » ! '* ' - ; - 1 1 il z A la suite d'attaques d'épilepsi
obine de 110 p : 100 un- nombre> d'hé- maties de 8,360,000. ? t » ' i. : k ? ,loar - -1" ' ? ni- ? 14jet i Voici, p
- nombre> d'hé- maties de 8,360,000. ? t »' i. : k ? ,loar - -1" ' ? ni- ? 14jet i Voici, par contraste; une démen
agéré, par exemple, pu réaliser des phénomènes'°serü- 1)1a111eS ? * ' ? vw·t ,·,i1 »n y v1 41 ''ü- ', ? M. Vorster !
des phénomènes'°serü- 1)1a111eS ? * ' ? vw·t ,·,i1 »n y v1 41 ''ü- ' , ? M. Vorster ! Non. D'autant plus 'qu'il'me pa
t aussi continue'' que les'aliénés en dépensent pendant une période ' d'agitation.n (Allg : Zeitsch. f. Psyçhiatrie'
,1 ? ? ? : tflJ 9 I . KER.1VAL. . ? > - . ii, H'1' : : t .nui» )« ' )11 ( ? tJ`t`'·9 Xrl' Yuflu ltl.t ,i.. , -r. ·w
9 I . KER.1VAL. . ? > - . ii, H'1' : : t .nui» )«' )11 ( ? tJ`t` ' ·9 Xrl' Yuflu ltl.t ,i.. , -r. ·w ? r ·t irr rr.
ru Séance du 6 raovembre : 189. , Présidence de M.' rUEnsTEa.-u , ' .· t , -119 Y 5t,i41 IlL ? ^n·.3·n '1 : sQfriC 2l
ble profond' de la connaissance, à évo- lution, ! aiguë ou subaiguë, ' qui, tantôt guérit complètement soit après réci
marche, de la terminaison, du début (élude de Kroepelin de 1886). " ' 11 en existe des formes dues à des intoxication
e pli,courbe et se continuait dans le, lobe occipital...) , ( . ,.} ' v s ni' ' ? ► t ' < t Lé trajet réel du ramo
be et se continuait dans le, lobe occipital...) , ( . ,.} ' v s ni' ' ? ► t ' < t Lé trajet réel du ramollissement
continuait dans le, lobe occipital...) , ( . ,.} ' v s ni' ' ? ► t ' < t Lé trajet réel du ramollissement constat
e l'aura panoramique a son point de départ dans le nerf optique. i, ' M. Charpentier. Ce qui me paraît bizarre dans l
s de' cet ouvrage, d'être pro- profondément sincère. Médecin érudit; ' praticien consommé, M. H. Dagonet ne cherche pa
c'est une rare bonne fortune de se trouver en face d'un livre vécu. ' ' ,L : , J : Séglas. i ,' m .. " ? t ' .- · ,
est une rare bonne fortune de se trouver en face d'un livre vécu. ' ' ,L : , J : Séglas. i ,' m .. " ? t ' .- · ,»
ne de se trouver en face d'un livre vécu. ' ' ,L : , J : Séglas. i , ' m .. " ? t ' .- · ,» ' il : ' ** / '< ? &g
en face d'un livre vécu. ' ' ,L : , J : Séglas. i ,' m .. " ? t ' .- · ,» ' il : ' ** / '< ? > ! ' i.1 .' x
d'un livre vécu. ' ' ,L : , J : Séglas. i ,' m .. " ? t ' .- · ,» ' il : ' ** / '< ? > ! ' i.1 .' x II. Etude
vre vécu. ' ' ,L : , J : Séglas. i ,' m .. " ? t ' .- · ,» ' il : ' ** / '< ? > ! ' i.1 .' x II. Etude sur la
: Séglas. i ,' m .. " ? t ' .- · ,» ' il : ' ** / '< ? > ! ' i.1 .' x II. Etude sur la physionomie et la phy
quelles 'que'soient la' science et la perspicacité de l'observateur, ' ne permet pas de'porter un jugement formel sur
les mouvements musculaires d'expression les plus essentiels. . , "1 ' " r.·;r E. R." '* Il SOUSCRIPTION POUR LE MONU
usculaires d'expression les plus essentiels. . , "1 '" r.·;r E. R." ' * Il SOUSCRIPTION POUR LE MONUMENT J. M. CHARC
s, sur ces questions, seront adressés en temps utile aux adhérents. ' Des séances spéciales seront réservées aux comm
sont priées d'adresser leur adhésion et leur cotisation à M.' le D' ' P. Hospital, médecin en chef de l'établissement
er les protestants par les catholiques, et récipro- quement. . -* " ' ly u *' ' ' " ' " ' ;j , ' >-' * , ASILES
rotestants par les catholiques, et récipro- quement. . -* " ' ly u * ' ' ' " ' " ' ;j , ' >-' * , ASILES D'ALIÉNÉ
testants par les catholiques, et récipro- quement. . -* " ' ly u *' ' ' " ' " ' ;j , ' >-' * , ASILES D'ALIÉNÉS
stants par les catholiques, et récipro- quement. . -* " ' ly u *' ' ' " ' " ' ;j , ' >-' * , ASILES D'ALIÉNÉS DE
ts par les catholiques, et récipro- quement. . -* " ' ly u *' ' ' " ' " ' ;j , ' >-' * , ASILES D'ALIÉNÉS DE FRA
ar les catholiques, et récipro- quement. . -* " ' ly u *' ' ' " ' " ' ;j , ' >-' * , ASILES D'ALIÉNÉS DE FRANCE
tholiques, et récipro- quement. . -* " ' ly u *' ' ' " ' " ' ;j , ' >-' * , ASILES D'ALIÉNÉS DE FRANCE , , r, ?
félicita- tions du jury pour son brillant concours.- -< : 1, i$à ' 't. Concours de Nancy. "Le 'jury était' composé
aculté; Langtois'(Mare- ville), Paris (Maréville), Gallopain (Pains, ' Meuse).- Quatre candi- dats étaient inscrits, t
nt ; Mayet, professeur à la Faculté de Lyon ; Pierret, profes- seur, ' à la même Faculté, Gamin,' Bellut, médecins en ch
Faculté de Lyon ; Pierret, profes- seur,' à la même Faculté, Gamin, ' Bellut, médecins en chef; Brun, médecin en chef
Gamin,' Bellut, médecins en chef; Brun, médecin en chef, suppléant. ' " Epreuve' écrite . 'La question tirée au sort a
l'ordre suivant : 1° Bourdin, 2° Viallon ; 3°Alombert.. " , . lu- ' ' - Concours de Bordeaux, Montpellier et Toulou
ordre suivant : 1° Bourdin, 2° Viallon ; 3°Alombert.. " , . lu- ' ' - Concours de Bordeaux, Montpellier et Touloupe
'intelligence et de qualités laborieuses, se mettra vite au courant, ' sous la direction du médecin en chef, et sachant,
l a pu observer dans la rage expérimentale. Nous reviendrons plus ' Azoulay. - Soc. anal., mai 91. 2 Soc. de Biolog
lis. Pupilles dilatées, la gauche un peu plus grande que la droite. ' . 16 janvier 1894. Escarres sacrées assez prono
l'aide des autres procédés. Cette méthode ne permet pas d'as- 90 ' ANATOMIE PATHOLOGIQUE. signer à la destruction
centuer graduellement et s'appro- cher de la neurasthénie palustre. ' La neurasthénie palustre consiste : a) en des t
palu- disme larvé que la quinine a promptement guéri. Le sexe ne ' joue aucun rôle et au point de vue de l'âge ma pl
ns aucun antécédent morbide, il n'a jamais souffert de palu- disme. ' Depuis neuf mois, me dit-il, il se sentait de t
is avant elle a eu ses couches normales et elle nourrit son enfant. ' Elle me raconte que depuis trois mois, elle épr
sse, inquiétude vague, caractère irascible, amyosthénie, etc., etc. ' Examen de tous les organes négatif. Présence
0. La guérison fut de nouveau obtenue après la quatrième injection. ' Cette malade, dans l'espace de trois ans, a eu
irt 1). Cependant, tout récemment, 13enschen 2 a publié un cas où ' Hirt. Pathologie du système nerveux. (Edit. franc
e fait admettre la participation de la moelle au processus morbide. ' Les paralysies arsenicales ont été moins étudié
ions d'intensité, chez les divers animaux. Notons princi- palement ; ' de la conjonctivite ; des lésions tro'pho-cutanée
seni- cisme est souvent très complexe (Richardière 3) . A côté de ' Pitre et Vaillard. (C. R. Soc. Biol., 1887.) 1
ceux qui s'étaient montrés hostiles à la croyance de la possession, ' s'y appliquèrent de tout leur pouvoir. La sup
juste Rapin dont le châtiment est encore manifeste aujour- d'hui. ' Et plus loin : D. Que faut-il faire pour le d
Manuscrit 18695, folio ;6 et 37. Bibliothèque nationale, loc. cit. ' Jugement de nosseigneurs, etc., à Chalon-sur-Saôn
t, tant séculières que régulières et sans en excepter une luy ont ' Voir la note précédente. BARBE BUVÉE. z lui p
les phénomènes de la contracture muscu- 126 REVUE DE thérapeutique. ' laire réflexe, c'est-à-dire qu'une excitation q
ste pas limitée à un lieu circonscrit, mais se transmet aux centres ' sensoriels d'un même hémisphère avec une intensit
ci être influencée que par la médication bromurée qui la modère ; ' 6° Elle appartient à l'époque tertiaire de la syp
entre tout de suite dans le récit de ses observations personnelles. ' Le premier cas qu'il a observé date du 15 décem
ir la guérison. (Annales Médico-psychologiqztes, mars- avril 1894.) ' . E. B. XVII. DÉMENCE PROGRESSIVE ET INCOORDINA
XVII. DÉMENCE PROGRESSIVE ET INCOORDINATION DES MOUVEMENTS DANS LES ' QUATRE MEMBRES, CHEZ DEUX ENFANTS LE FRÈRE ET LA
médecin sort de son rôle s'il se place au point SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 139 de vue purement théorique. Il doit, au cont
Assistance publique et à l'hospice delà Salpêtrière lès bustes du D' ' Baillarger et de mon père, le De Jean-Pierre Falr
. ? mobiles supérieurs, l'amour des aliénés et le désir constant de ' - * faire progresser la science spéciale, encore
ure qu'ils l'étudient et qu'ils l'approfon- · varia. 153 'dissent, ' ils sont forcés de convenir qu'elle est simple, p
és chroniques de la Salpêtrière, passa dans la section de Rambuteau, ' réservée, à cette époque, aux aliénés en traiteme
visités, aux distractions qu'on organisera pour recevoir le mieux ' varia. 157 Î possible le Congrès, enfin il rece
à huit heures du matin, dans la grande salle de l'Hôtel de Ville. D' ' IIOSI'IT1L. FAITS DIVERS. AS1LL : 5 d'aliénés
Thibaud, Seulecq, Poitou et Monod. Faculté de BUDA-PESTIi. M. le D' ' Donath a été nommé privat-docent de neuropathol
té permis d'en obtenir le gra- phique sur le cylindre enregistreur. ' Passons rapidement en revue les différents proc
tat de repos il n'est pas permis d'en avoir le graphique. M. le D' ' Dutil, danssonetude clinique des Tremblements hys
ent au moyen d'un système d'horlogerie avec régulateur de Foucault. ' Technique. 1° POUR LE tremblement DE la langue
a vitesse lente du cylindre enregistreur, à régulateur de Foucault. ' CLINIQUE NERVEUSE AMNÉSIE RÉTRO-ANTÉROGRADE A
loppement des mal. ment. A ? in. méd.-psycla., 1874, t. XI, p. 350. ' Ribot. Les maladies de la mémoire, 8e édition, 18
50. ' Ribot. Les maladies de la mémoire, 8e édition, 1893, p. 69. ' Rouillai d. Essai sur les amnésies, 1885, p. 84.
'émotion morale. (Bull. Soc. méd. clin., Bordeaux, 1887, p. 588.) ' Charcot. Sur un cas d'amnésie rétro-antérograde p
probablement d'origine hystérique. ( Rev. de méd., février 1892). ' Féré. La pathologie des émotions, 1892, p. 325.
temps et ne sachant donner sur elle-même aucune indication précise. ' Un point semble établi, c'est que l'incendie a
la main; car elle oubliait aussitôt les ordres qu'on lui donnait. ' M. Solfier (ouvr. cité) a eu raison d'insister su
les notes laissées sur elle au début de son internement la décri- ' vaient. Je l'ai interrogée à diverses reprises de
er bien exactement la distance minima à laquelle sont perçues les . ' Recherches dynamométriques chez les aliénés, comm
araissent mieux conservées que les images verbales correspondantes. ' L'acuité auditive est quelque peu diminuée. Les
'elle vécut seule et travailla pour des maisons de lingerie. - " Il ' La vérité est qu'elle est incapable de se rappe
viendrait très nettement de leurs figures sur leurs lits de mort. * ' ' Pour ce qui est des événements les plus récen
endrait très nettement de leurs figures sur leurs lits de mort. * ' ' Pour ce qui est des événements les plus récents
ue l'Afrique est une contrée très lointaine où se trouve l'Algérie. ' La musique a laissé chez elle des impressions p
c'est là un des points intéressants à étudier de cette amnésie.. t ' Jz r M™eB... est incapable d'une attention quel
par exemple une circonférence, une croix,* une M.' Elle les perçoit^ ' les yeux fixés -ailleurs, mais deux minutes s'é-
il est' probable qu'elle en a encore le goût , amer dans la bouche. ' * ' '- ? < ! ' ' ' . 1 J Cette amnésie a des
est' probable qu'elle en a encore le goût , amer dans la bouche. '* ' '- ? < ! ' ' ' . 1 J Cette amnésie a des con
qu'elle en a encore le goût , amer dans la bouche. '* ' '- ? < ! ' ' ' . 1 J Cette amnésie a des conséquences sur
'elle en a encore le goût , amer dans la bouche. '* ' '- ? < ! ' ' ' . 1 J Cette amnésie a des conséquences sur se
lle en a encore le goût , amer dans la bouche. '* ' '- ? < ! ' ' ' . 1 J Cette amnésie a des conséquences sur ses
re actuelle. Elle se fie en général sur l'état du ciel. " * 'li- .' ' - ^Le 3 février à 10 heures du matin, elle me d
euné, elle en'conclut que * nous sommes en automne et l'après-midi. ' ' ' > · De même elle ne sait pas apprécier l
né, elle en'conclut que * nous sommes en automne et l'après-midi. ' ' ' > · De même elle ne sait pas apprécier le
, elle en'conclut que * nous sommes en automne et l'après-midi. ' ' ' > · De même elle ne sait pas apprécier le te
met difficilement à mes examens et qu'elle se les rappelle, non 180 ' CLINIQUE NERVEUSE. pas dans les détails, mais d
el je lui avais soulevé la robe pour explorer ses réflexes du genou, ' elle refusa de revenir causer,avec moi, parlant v
bien le souvenir de l'émotion désagréable qui l'avait accompagnée*. ' ` 'CM1 ? . - . · « '> .-'.>-> ,» ' Mal
qui l'avait accompagnée*. ' ` 'CM1 ? . - . · « '> .-'.>-> ,» ' Malgré son incapacité à' fixer des souvenirs ré
et une mé- moires ! restreinte, aMme B ? 1 n'est pas une démente : ' Elle' parait raisonnable et apprécie assez just
définitive chez M018 B... et devenir de jour en jour plus complète. ' ' ' ' ` ' J'ai essayé divers moyens thérapeutiq
finitive chez M018 B... et devenir de jour en jour plus complète. ' ' ' ' ` ' J'ai essayé divers moyens thérapeutique
nitive chez M018 B... et devenir de jour en jour plus complète. ' ' ' ' ` ' J'ai essayé divers moyens thérapeutiques'
tive chez M018 B... et devenir de jour en jour plus complète. ' ' ' ' ` ' J'ai essayé divers moyens thérapeutiques'.
chez M018 B... et devenir de jour en jour plus complète. ' ' ' ' ` ' J'ai essayé divers moyens thérapeutiques'. D'ab
jours, je n'avais d'ailleurs constaté aucune amélioration sensible. ' ' '- '" Enfin, j'avais pensé à expérimenter le
urs, je n'avais d'ailleurs constaté aucune amélioration sensible. ' ' '- '" Enfin, j'avais pensé à expérimenter le tr
je n'avais d'ailleurs constaté aucune amélioration sensible. ' ' '- ' " Enfin, j'avais pensé à expérimenter le traitem
60, p. 386.) AMNÉSIE RÉTRO-ANTÉROGRADE 181 qui consiste à donner, ' par divers procédés'artificiels, une plus grand
pour tout ce qui est examen médical, se' soumettre à ce traitement. ' ' Je me suis assez étendu sur chacun des points
ur tout ce qui est examen médical, se' soumettre à ce traitement. ' ' Je me suis assez étendu sur chacun des points i
avaient une physionomie nettement fonc- 182 CLINIQUE NERVEUSE. '' " ' tionnelle. Faut-il pour cela admettre que les-
f s'emrriâgâsinent à l'état de résidus dansées- cellules nerveuses^ ' quelles modifications elles'y4 déterminent et dan
s, avant de sortir'de la conscience, s'effacent temporairement. 'Il ' est probable qu'entre lé champ de l'amnésie et
es suppose-t-elle ? L'étude de la nutrition des malades de ce genre ' pourrait donner quelques renseignements sur cet
le du mécanisme psychologique de ces troubles morbides. , , 9 ri ? · ' ( 1 -'t i, 1 1 .Ilty a une tendance) actuelle à
sou- venirs effacés réapparaîtraient. Ce mécanisme parait exister ' Paul Janet. Voir Etal mental des hystériques, 2 v
d'un autre Moi, or la chose n'est' pas toujours commode à établir. ' ^ ? ? · 1. ? ? " 3UP'1 ` Dans le cas dont j'vie
ique ? L'ancienneté de 1'.am'nésiê, 'qui, daté' de plusieurs années, ' sa marche progrès-' sive et l'âge avancé'de la'
t permis d'établir un groupement plus vaste qui puisse le contenir. ' ' · ' s " ' ' -' c - ' s r '" i " ASILES D'ALIÉ
permis d'établir un groupement plus vaste qui puisse le contenir. ' ' · ' s " ' ' -' c - ' s r '" i " ASILES D'ALIÉNÉ
is d'établir un groupement plus vaste qui puisse le contenir. ' ' · ' s " ' ' -' c - ' s r '" i " ASILES D'ALIÉNÉS.'
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ent plus vaste qui puisse le contenir. ' ' · ' s " ' ' -' c - ' s r ' " i " ASILES D'ALIÉNÉS.' " ? ' 'Cjf.J ,i ? , -
tenir. ' ' · ' s " ' ' -' c - ' s r '" i " ASILES D'ALIÉNÉS.' " ? ' 'Cjf.J ,i ? , -, ... j J NOTICE SUR L'ASILE DÉP
Cjf.J ,i ? , -, ... j J NOTICE SUR L'ASILE DÉPARTEMENTAL 'D'ALIÉNÉS ' 1 DE BONNEVAL (EURE-ET-LOIR) ;' ™ ,M ' ' » .
UR L'ASILE DÉPARTEMENTAL 'D'ALIÉNÉS ' 1 DE BONNEVAL (EURE-ET-LOIR) ; ' ™ ,M ' ' » . parIeU'CAMUSET. · ` ' r . 9 » .
E DÉPARTEMENTAL 'D'ALIÉNÉS ' 1 DE BONNEVAL (EURE-ET-LOIR) ;' ™ ,M ' ' » . parIeU'CAMUSET. · ` ' r . 9 » . . -e .
DÉPARTEMENTAL 'D'ALIÉNÉS ' 1 DE BONNEVAL (EURE-ET-LOIR) ;' ™ ,M ' ' » . parIeU'CAMUSET. · ` ' r . 9 » . . -e . I.
DE BONNEVAL (EURE-ET-LOIR) ;' ™ ,M ' ' » . parIeU'CAMUSET. · ` ' r . 9 » . . -e . I. Le département d'Eure-et-Lo
le pour les enfants trouvés et pour les jeunes orphelins pauvres. - ' ' Ainsi, la vieille abbaye de Bonneval, qui abr
pour les enfants trouvés et pour les jeunes orphelins pauvres. - ' ' Ainsi, la vieille abbaye de Bonneval, qui abrit
i fut transformée en asile départemental d'aliénés>- H ? '- tilr ' nrc, ,,) ° r ' <1 - 1 tt -t=c if -. 3 Le' no
ée en asile départemental d'aliénés>- H ? '- tilr ' nrc, ,,) ° r ' <1 - 1 tt -t=c if -. 3 Le' nouvel asile ne c
nstallation de quartiers nouveaux, édification des. services divers, ' tout a'été conçu et exécuté de façon à ne rien}
Quand il a fallu faire disparaître une , autre portion de ces mêmes ' cloîtres, n on 'a conservé, encastrées : dans l
t les archéologues'qui'voient là' un spécimen très rare, disent-ils, ' d'un moment de transition. Les : ) profanes, do
elui de la commission de surveillance.-) , 41, n ,nf ., ? h - .1- . ' , - On comprend maintenant. pourquoi l'asile de
s, sacrifié Futile, à l'aâréable ? 3os ? >.u... - -r ,* t i* a , ' t- ? ? ,, 'A ces questions ? je répondrai en to
s,, etc., et je noterai ensuite les points qui sont défectueux. q,. ' ? >« ! 3,3 ( v · .f->Hûl'r' ' j ' j,1 ? l
points qui sont défectueux. q,. ' ? >« ! 3,3 ( v · .f->Hûl'r' ' j ' j,1 ? le' ." . jT.(in>n fir jr-> .. .o-
ts qui sont défectueux. q,. ' ? >« ! 3,3 ( v · .f->Hûl'r' ' j ' j,1 ? le' ." . jT.(in>n fir jr-> .. .o-t 'f
orte de communication, laquelle, dans le fait, constitue une sorte de ' petite voûte. -' ' ' ' ' >-»" . , 1 , ' 1 .
on, laquelle, dans le fait, constitue une sorte de ' petite voûte. - ' ' ' ' ' >-»" . , 1 , ' 1 . 188 asiles d'alié
, laquelle, dans le fait, constitue une sorte de ' petite voûte. -' ' ' ' ' >-»" . , 1 , ' 1 . 188 asiles d'aliéné
laquelle, dans le fait, constitue une sorte de ' petite voûte. -' ' ' ' ' >-»" . , 1 , ' 1 . 188 asiles d'aliénés.
quelle, dans le fait, constitue une sorte de ' petite voûte. -' ' ' ' ' >-»" . , 1 , ' 1 . 188 asiles d'aliénés.
elle, dans le fait, constitue une sorte de ' petite voûte. -' ' ' ' ' >-»" . , 1 , ' 1 . 188 asiles d'aliénés. I
, constitue une sorte de ' petite voûte. -' ' ' ' ' >-»" . , 1 , ' 1 . 188 asiles d'aliénés. Il a 42 hectares de
é dans sa plus" grande longueur, et du nord au sud. =. o, ? ? - v,v ' ; ? ? - - L'asile est donc divisé en deux parti
oteau boisé ;-et la partie située sur la rive droite qui est tout à ' ,fait -plate.-C*est sur.lapartie gauche et dans l
, pensionnat; etc ? La [partie droite est occupée exclusivement *"x ' par la ferme et les cultures, Il faut noter, comm
la ferme et les cultures, Il faut noter, comme point de repère ? ^ ,. ' que la-ville et la porte d'entrée de 'l'asile s
s' deux bras de la rivière, d'autre part, est occupé par la cuisine, ' asile DE BONNEVAL. 189 l'hydrothépapie et la
grand, clair, bien disposé et également de date récente. ? .. ? j,. ' . '. . u .-«Tous les bâtiments que je viens, d'
gement de l'interne; M, Ferme; - N, Abattoir; 0, Machine hydraulique; ' 'l P, P, P", Trois ponts allant, l'un a la ferm
n a la ferme, l'autre au potager et le troisième au : t pensionnat. ' 190 asiles 'd'aliénés. ' passer sur un pont e
tager et le troisième au : t pensionnat. ' 190 asiles 'd'aliénés. ' passer sur un pont en fer situé derrière l'hydr
af rivière ; on grimpe ensuite un chemin' beaucoup trop raide' qui, ' à travers le parc, conduit 'aû` pén- sionnat. '
up trop raide' qui, ' à travers le parc, conduit 'aû` pén- sionnat. ' " . , , , .. . r p Après ce coup d'oeil d'ensemb
lques détails, les quartiers de malades et les principaux services. ' ' t n ` Asile proprement dit. Les anciens cloît
ues détails, les quartiers de malades et les principaux services. ' ' t n ` Asile proprement dit. Les anciens cloître
Ces cloîtres sont un très vaste bâtiment à deux étages très élevés, ' de la formé'd'un quadrilatère régulier, avec un
ssives' colonnes carrées en pierre. Ce grand bâtiment est, en somme, ' un assemblage de quatre corps de bâtiments semb
, . par rapport au nombre total des malades. Mais si l'on considère ' chaque local en particulier, on constate que, p
suffisant, et cependant la chose est irréalisable, pour les raisons ' sur lesquelles j'ai insisté plus haut. On ne peut
leusement exact, et comme j'ai aussi la prétention d'être impartial, ' asile DE BONNEVAL. 191 j'ajouterai que ces su
u. Inutile d'insister sur les inconvé- nients qui en résultent. - . ' ' t3° Il n'y a pas de quartier particulier pour
Inutile d'insister sur les inconvé- nients qui en résultent. - . ' ' t3° Il n'y a pas de quartier particulier pour l
l'hospitalisation des jeunes imbéciles et idiots en pro- vince'. k ' A Bonneval, nous n'avons qu'un nombre très rest
pourrait faire pour eux, si la disposition des locaux le permettait, ' ce qui n'est pas, ce serait de les réunir tous
avec un faîte au centre; B, B, B, Galerie couverte qui circonscrit ' les cours (cloîtres); C et F, Quartier des hommes
Cette section d'agités est très bien comprise et elle ne présente ' pas de défectuosité, mais elle est trop petite po
s'ap- puyant sur le jugement de la commission royale, en date du ' Voir les trois précédents numéros. BARBE BUVÉE.
amplement les phases diverses de toute cette longue procédure. « ' Vu l'arrêt du cinquième janvier mil six cent soix
procès sera faict et parfaict à la dicte Bourgeot en prison fermé. ' , « Faict à la Tournelle de Dijon, le quatriesm
brèche, par tous les moyens possibles et en obtenir la cassation. ' Le hasard vint les servir à souhait en leur fourn
ËNCEPHALOCÈLE {ablation et hydrocéphalie consécutive suivie de mort) ' ; par W. Mackie. (Brilish AM. Joum., -10 mars 1894
ontra l'opération. Après la fermeture de la fistule consécutive par ' laquelle coulait du liquide céphalo-rachidien, l'
, 28 avril 1894.) A.MARIE. 208 REVUE DE pathologie nerveuse. À , ' . ' XXXII. Myélite diffuse aiguë'; par 1. DRESC
28 avril 1894.) A.MARIE. 208 REVUE DE pathologie nerveuse. À ,' . ' XXXII. Myélite diffuse aiguë'; par 1. DRESCHFEL
préparations microscopiques à l'appui. Les préparations de moelle ' sont des types de dégénération secondaire par foy
é " une névrite optique double avec diplopie et symptômes de ménin- ' gite basilaire coïncidant avec un état cbloroli
luisanstraitementspécifiquc. (B ? ,ilish31ed. Jou ? nz., 18 mai 1994.) ' ` A. Marie. z XXXV. Cinq cas DE paralysie PSEU
cs étaient atteints de pseudo-hypertro- phie musculaire). A. Marie. ' XXXVI. Monoplécjie brachiale DROITE ET dysesthé
es consistent en une tumeur volumineuse, d'apparence gliomateuse. ' Cette tumeur fait saillie à la surface des circon
ace externe au niveau du pli courbe qu'elle détruit, et sur la face ' interne au niveau de la partie inférieure du lobu
'incon- tinence par surexcitation du muscle qui vide la vessie (d6() ' : Mor vesiex). P. KERAVAL. XLV. Observation D
(de Paris), DEVAY (de Lyon). Le secrétaire général était - NI. le D' ' Hospital, médecin de l'asile Sainte-Marie, qui av
M. CHARCOT que va ma pensée; c'est lui qui devrait être ici. 1 . , ' ,1 ^ , or Je voudrais être encore à cette heureu
e dans les dédales de la philosophie, vient, sans renier son passé, ' ° briser des liens trop serrés, faire son profi
désormais connu. Ces notions capitales sont le résultat des efforts ' ` convergents des neuropathologistes et des ali
effet, vers la médecine générale. C'est alors qu'il étudie la goutte, ' le rhumatisme, les maladies rénales et les proc
avaient - · .été commencées par les deux amis. - , , . ? SOCIÉTÉS ' SAVANTES . 217 Î -L'analyse des scléroses médul
e avec détails ! t ce qu'ils appellent la psychose polynévritique ? ' Tout n'est pas terminé cependant, et les deux b
es. Les Jussieu de la psy- chiatrie sont à bout de classifications. ' Sans doute, il est excellent d'avoirmontré que
ons regarder comme indépendants de toute lésion matérielle. Il faut, ' à nos yeux myopes, de très grosses lésions, et
bles, ou des actions dynamiques que, seule, la chimie sait expliquer. ' Le dynamisme cellulaire, considéré comme la som
ongrès aborde la discussion de la première question générale. - - ' -' , ' ? RAPPORTS DE L HYSTERIE ET DE I.A 1·'OLII
rès aborde la discussion de la première question générale. - - ' - ' , ' ? RAPPORTS DE L HYSTERIE ET DE I.A 1·'OLII :
aborde la discussion de la première question générale. - - ' -' , ' ? RAPPORTS DE L HYSTERIE ET DE I.A 1·'OLII : .
servation ulté- rieure montrera que nous avons conservé-le souvenir, ' que nous 'avons commandé le mouvement. Pour se
de cette névrose ou ressortissent à d'autres maladies psychiques. ` ' , ' La raison principale qui explique la fréque
tte névrose ou ressortissent à d'autres maladies psychiques. `' , ' La raison principale qui explique la fréquence re
famille névropathique, dont les membres constitutifs représentent ' les diverses formes de déviation qu'imprime aux o
L'observation démontre que la prédisposition fâcheuse qu'apporte ' sa naissance le produit d'une génération viciée s
e tendance à certaines formes de délire transitoires ou durables. ' Or, c'est chose commune de voir l'hystérie se dév
les prendre et en préviennent l'entourage. Les malades se livrent ' Il nous semble prudent de faire des réserves à ce
34 SOCIÉTÉS SAVANTES. Un autre point du rapport de M. Ballet que je ' tiens à relever, mais alors pour l'approuver, c
e côté les considérations psychologiques intéres- santes sans doute, ' mais dont on abuse aujourd'hui. J'ai eu dans mo
glionnaire, dont le cylindre-axe dépend en tant qu'il y a pris son, ' · origine première. Je suis encore moins de ceu
sensitive et celui issu d'une cellule motrice ou d'une sensorielle. ' .La structure des cylindres-axes est une et uni
médicale, pour une durée minima de six mois et maxima de deux ans. ' ' .... 14. L'abstinence totale des boissons alc
édicale, pour une durée minima de six mois et maxima de deux ans. ' ' .... 14. L'abstinence totale des boissons alcoo
vivre dans la société, qu'il est un danger pour SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 2S7 elle, je demande à ce qu'on l'enferme dans
des malades de ces dépar- tements, qu'on transforme en incurables, ' qu'on n'hospitalise pas parce qu'ils coûtent, t
rmes que, dans un intérêt social, nous avons le devoir de réclamer. ' M. DENY (de Paris) fait remarquer que si, confo
roposition de M. Joffroy concernant la monopo- lisation par l'Etat. ' M. Roui3y lit sur ['alcoolisme en Algérie un mé
ait beaucoup plus de ravages parmi les colons que parmi les Arabes. ' , La séance est levée. Le congrès charge MM.
cher trop vite; mais cependant il y a lieu de prendre une décision. ' M. BOURNEVILLE fait observer que le moment n'es
r le tabes; je n'y reviendrai pas, je désire 266 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' seulement consigner aujourd'hui les principaux
ux central que d'en faire une maladie exclusivement périphérique. ' Mais il y a un second point que je désire mettre
ison de sa demi-imbécillité. X... a été condamné à un an de prison. ' Après quelques observations de MM. Vallon et Ch
nts et le souvenir partiel et souvent vague au moment du retour à ' l'état normal; ce sont : les états frustes de Ber
d'Alençon, en remplacement de .M. PAGES, décédé (Iûjuillet);M. le D' ' LwpFF, médecin adjointà l'asile d'Aux erre,, es
de la folie. L'une fragmente le grand complexus symptomatique par ' Leçon faite à la Clinique, recueillie par le D Pé
. Que sont devenues les monomanies en face de cette évolu- tion ? ' Mais voici un deuxième sujet. Celui-là, il est
léments significatifs que nous cherchons, seront également opposés. ' Je vous disais, il y a un instant, qu'une conce
este du personnel est continuellement en contact avec les malades : ' 286 . asiles d'aliénés. .conditions hygiéniqu
d'aisances, et d'arrêter le fonctionne- ment de l'égout collecteur. ' ` ASILE DE BONNEVAL. 287 ' Régime alimentaire
ctionne- ment de l'égout collecteur. ' ` ASILE DE BONNEVAL. 287 ' Régime alimentaire. Il est satisfaisant. Au risqu
différentes classes dont les pensions plus ou moins élevées accrois- ' sent les ressources pécuniaires de l'établissem
peu considérables en' général, sauf pour les années d'épidémie... . ' ' ". : ' ! l Au point de vue delà pathologie me
u considérables en' général, sauf pour les années d'épidémie... . ' ' ". : ' ! l Au point de vue delà pathologie ment
dérables en' général, sauf pour les années d'épidémie... . ' ' ". : ' ! l Au point de vue delà pathologie mentale, ma
mentale, maintenant, quelques' particularités doivent être notées. ' - - ' ' Il est reconnu que les asiles d'aliénés
le, maintenant, quelques' particularités doivent être notées. ' - - ' ' Il est reconnu que les asiles d'aliénés n'ont
, maintenant, quelques' particularités doivent être notées. ' - - ' ' Il est reconnu que les asiles d'aliénés n'ont p
hie médicale, l'intoxication alcoolique et la paralysie générale. ' A s'en tenir scrupuleusement au tableau, les cas
nale et des Archives de l'ancienne province de Bourgogne.) Par le D' ' SAMUEL GARNIER, Médecin en chef, Directeur de l
elier en son hôtel à Paris la lettre probante à cet égard que voici ' : r « Monseigneur, « Puisque vous avez eu la
ttre la procédure au Procureur Général ou à l'un de ses substituts. ' Le substitut Jannin se présenta trois fois pour
phases de cette longue procédure, par les considérations suivantes ' : * C'est cet arrest qui nous donne sujet de re
ils695, fol. 14S. Preuves qui résultent, etc. Archives, t. XXVIII. ' 20 306 HISTOIRE ET CRITIQUE. point « leur som
admis- sion d'aucune intervention démoniaque. Ajoutons cependant ' Contrairement aux affirmations du jugement ecclés
ons du jugement ecclésiastique de 1662. Biblio- thèque nationale. ' Manuscrit fonds français, n° [8695, fol. 23 à 36,
t son exorciste, mais ne laissaient pas non plus que de se répandre, ' spontanément, en imprécations et en blasphèmes,
es, donnent également l'explication scientifique de l'impossibilité ' ` momentanée dans laquelle une religieuse, cité
s empêcher de fléchir le corps au-dessous d'un angle de 110°. P. K. ' Il. La QUESTION du ruban DE REIL dans l'écorce
. B. VII. SUR LE RÔLE du nerf facial dans la sécrétion DES larmes ; ' par le professeur Jendrassik. Quelques observ
s. XI. DES lésions DU système NERVEUX par LE poison diphtérique ? ' par le Dr STCHERBAA. L'accord est loin d'être f
MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES DES PAYS DE LANGUE FRANÇAISE ' SESSION DE CLERMONT-FERRAND. Séance du 10 août
te, pour aborder le terrain trop négligé de nos intérêts matériels. ' Je me suis déjà fait auprès de vous le champion
aux charges et bénéfices des caisses de retraites départementales. ' Or, là est toute l'erreur qui raye d'un trait d
e dans notre pro- chain numéro.) sociétés savantes. 32 3 - < ' z Hallucinations oniriques DES dégénérés. - M
des points des persécuteurs, qui sont assez sujets à des hallucina- ' tiens : je veux parler des dégénérés mystiques. V
souvent ces hallucinations ont lieu la nuit et durant le sommeil. ' On peut cependant les observer le jour dans des c
du malade, le plus souvent animée et céleste, mais toujours envi- ' ronnée d'une clarté plus ou moins brillante. Pres
- riques, le rapprochement entre la créature et l'être surnaturel ' devient plus étroit; il y a possession, incarnati
Cette participation de tous les sens indique assez que les hallu- ' cinations oniriques sont des hallucinations psych
en effet, se rencontrer chez tous les alié- - nés à délire mystique, ' notamment chez ceux qui sont atteints de folie
ectieuses et, d'une façon générale, dans tous les délires toxiques. ' M. S. Garnier lui objecte que des inculpés de c
rquable des symptômes moteurs et ladisparitiou du signe de Romberg. ' Ces faits ne sont pas absolument isolés; j'ai d
linique du rein flottant douloureux. sociétés savantes. 327 *"A ' SUR deux cas D'HÊRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE. M. P
es deux malades dont il s'agit, observés dans le service de M. le D' ' A. Robin, sont frère et soeur. Ils ont été pris
s caractérisant des groupes établis sur des distinctions cliniques. ' Dans l'état actuel de la science, je crois que
neux consistant en de l'eau plus ou moins chargée de sels minéraux. ' - Dans l'état normal, la cavité vaginale des tr
au point de vue clinique et anatomo- pathologique. Dans le premier ' , nous avons rapporté l'observation d'un microcé
erveau (pl. XXVI), ainsi que celle du cerveau d'Eder... (pl. XXVI). ' Dans notre second mémoire sur la microcéphalie,
). ' Dans notre second mémoire sur la microcéphalie, fait en colla- ' boralion avec M. Camescasse, et qui a été commu
archives, les chroniques du temps, les relations des ambassadeurs). ' Cause prédisposante. Ligne paternelle (père, Ch
nger de l'hôtel Servant, où un excellent lunch était servi. M. le D' ' LAUSSEDAT, au nom des méde- cins de Royat, a po
nale infantile, de la sclérose en plaques, des encé- phalites, etc. ' L'ouvrage nouveau de MM. Grasset et Rauzier com
ts par la folie au cours des trente dernières années. On comptait : ' FAITS DIVERS. 351 1 LE traitement DE la morph
94. - Librairie 0. )Iassoii. 0 Prichard (A.). The early histonj o/ ' lhe Bristol médical School. - Brochure z de 31
tic Asyluni Reports, 1874.) y Rabow. - Archiv. fur. Psych., 1877. ' Laitier. Ann. méclie. psych., 1876. ' A. Voisin
Archiv. fur. Psych., 1877. ' Laitier. Ann. méclie. psych., 1876. ' A. Voisin. Traité de la paralysie génér. des alié
substances anormales n'a conduit à rien de plus certain. Rabenan ' avait signalé la présence fréquente de l'albumine
- triction et il croit que la peptonurie ne saurait être invoquée ' Rabenau. Analyse des urines des aliénés paralytiq
t ainsi dans tous les asiles d'aliénés) des paralytiques généraux ' Marro. Giornale délia I. Accad. di Aiedic. di Tor
, tandis que Addison, Merson, le notent comme diminué. Nos analyses ' (tableau I et II) en montrent partout l'excré-
Élimination des chlorures en dehors de la paralysie générale. 378 ' CHIMIE PATHOLOGIQUE. quantité. Il n'y en a jama
i concerne Clark University à Worcester, comme nous l'avons déjàdit ' , nous possédons quelques données sur un certain
s de docteur en philosophie 4. Les aspirants à ce titre doivent y ' Baudouin (Marcel). La Psychologie expérimentale e
, destiné à des étudiants plus jeunes. Ce dernier est fait par le D' ' Herbert Nichols, docteur en philosophie, instru
anced students) ; le second comprend des expériences de laboratoire ' sur la méthode psychophysiologique. Le labora
plan tout à fait identique. Le professeur est M. Lightner Witmer, ' M. Nichols, quoique encore jeune, est l'auteur de
en voulu me charger de soumettre à votre bienveillante attention. ' Communication au Congrès des médecins aliénistes
ilà donc privés à tout jamais de ces ressources qui leur seraient ' Nous avons soumis la difficulté à des magistrats
ratique et qui nous ont exprimé le regret de ne pouvoir intervenir. ' - 388 asiles d'aliénés. d'un si grand secours
rait à vil prix de tous les débris, loques et hardes sans valeur. ' De plus, ces mobiliers, par suite de la maladie d
NERVEUSE. avec une vive reconnaissance toutes les indications qu'on ' vou- drait bien nous donner à ce sujet et qui n
ier Withers. (British. Med. Journ., mai S et 12, et 2 juin 1894.) ' La cause la plus fréquente relevée est l'irritati
consista en bromure de lithium, colchique et salicylate de soude ' A la suite de cette communication, le Congrès a é
et un cas de crampe professionnelle chez un tailleur de pierres (D' ' Hamburry).. A. Marie. LVII. Paralysie DU grand
; par G. GALLERANI ET G. PACI\OTTI. Netl- rol. Centralbl., 1893.) . ' Fragment de porcelaine enkysté au point d'émerg
corps du délit supprime les accidents; guérison graduelle complète. ' P. K. LXIII. UN cas d'hémiplégie DIPHTÉRITIQUE;
nt d'extension puis le mouvement de flexion coordonnés de la jambe. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 399 La régulari
hyperexcitabilité réflexe pathologique de la moelle lombaire. P. K. ' LXV. Des formes de diplégie cérébrale héréditai
voix; 3° les troubles spasmodiques des mouvements des extrémités. ' Il y en a quatre formes cliniques : 1° raideur gé
VIII. Recherches sur LE crétinisme; par WAGNER. .Illlt1'IJtICIt. f. ' Psychiat., XII, 1 et 2.) En treize tableaux, l'
: une prédisposition psychopathique et une impression vésani- que. ' La prédisposition psychopathique peut ne pas êt
ives A la lecture d'un roman passionnel chez un dégénéré ; par le D' ' Daguillon. Intéressante observation d'un dégéné
XXI. Névrose paresthésique chez une dégénérée héréditaire; par le D' ' RUBENS Hirschberg. 11 s'agit d'une dégénérée hé
, sous le nom de névrose paresthésique. (Revue neurologique, 1894.) ' E. BLIN. XXXII. Note sur une paralysie nocturne
E. B. XXXIII. HS'PERTIiICiI0Sl, faciale chez les femmes aliénées ; ' ' par Harris Liston. Les photographies de fem
B. XXXIII. HS'PERTIiICiI0Sl, faciale chez les femmes aliénées ; ' ' par Harris Liston. Les photographies de femmes
s horreurs du paupérisme. (British Sied. Jozt7,i2.1 : , 31 mai 1894.) ' ' Echo d'une enquête qui nous dévoile des abus
horreurs du paupérisme. (British Sied. Jozt7,i2.1 : , 31 mai 1894.) ' ' Echo d'une enquête qui nous dévoile des abus se
Société arrivée au vingt-cinquième anni- versaire de sa fondation.. ' ' Trois d'entre nous ont vu les origines de la
ciété arrivée au vingt-cinquième anni- versaire de sa fondation.. ' ' Trois d'entre nous ont vu les origines de la So
rchives de Neurologie Revues, analytiques. 420 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' M. Ittnrt. La tendance à la criminalité n'est pas
de leurs services que nous avons pu visiter en compagnie de M. le D' ' Hamel deDôle; nous croyons être les seuls Franç
mis. Ne s'en éloignent-ils pas aussi par les stigmates physiques; ' 2° Leur conduite dans les asiles ordinaires est t
nd nombre d'observations person- nelles. En agissant ainsi, M. le D' ' Truchon a fait preuve d'un grand talent d'obser
emplacer les internes titulaires en cas d'absence ou d'empêchement. ' La durée des fonctions d'interne provisoire est
ne : Asile clinique, Asiles de Vaucluse, Ville-Evrard et Villejuif. ' ` Le lundi 12 novembre 1894, à une heure précis
on sera ouvert du lundi 15 au samedi 27 octobre 1894 inclusivement. ' ' 1 VARIA. 429 CONDITIONS DE l'admission au c
sera ouvert du lundi 15 au samedi 27 octobre 1894 inclusivement. ' ' 1 VARIA. 429 CONDITIONS DE l'admission au con
n des services de l'Asile Clinique, situé dans l'enceinte de Paris. ' Un interne ne pourra rester plus de deux ans da
placer les internes titulaires en cas d'absence ou d'empêchement. ' La durée des fonctions d'interne provisoire est l
r de guide aux départements qui voudraient organiser le concours. ' Société évangélique DE DIACONNESSL ? S; par II. L
oi,salis. -Feuillet in-8° de 2 pages. Leipzig, 189f. = Vet et Comp. ' BEC))TERE\v et IIOLZINGER. Die sensibles Bahnem
1894. Veit et Comp. 13GC11'l'ERE1V et OSTANKO1V. Ueber e ! 6r'J ? : ' ? )/ ! MSS der Grosslxirwinde auf den Schluckac
ochure in-8° de 33 pages. Montpellier, 1894. Typographie Ch. Boehm. ' Le rédacteur-gérant, Bourneville. Evreux, Ch.
de corps dans le vagin, dans le rectum, qu'on prostitue leur bouche, ' qu'on coud leur anus, etc. Elles essayent de pr
la sensibilité générale : électricité, magnétisme. 0... (Henriette), ' veuve F..., est âgée de cinquante ans. Son père
rsécutés de nos jours font place aux empereurs, aux présidents de ' Magnan. Leçons cliniques, 278. 448 8 CLINIQUE M
hieu communiquaient à la Société médicale des hôpitaux1 une série ' Soc. mécl. des laûpit. de Paris, 1891, p. 421, 5G
bien voulu nous remettre M. Gellé, d'une otite suppurée cicatrisée. ' Etat actuel (mai 1894.) D... est un homme d'app
nt mesurées ; les aliments et les excré- ment rigoureusement pesés. ' Pendant un mois D... est resté en observation.
peut être la seule manifestation actuelle de la grande névrose 3. ' Potain. De l'llydru71e. (Semaine méd., 1894, p. 2
Loin de nons la pensée de suspecter l'existence et même la fréquence ' de la polyurie traumatique. Les recherches anat
tous les cas de polyurie hystérique récents et authentiques con- ' Consulter : Ballet. Iib Thèse de Taboureau. Paris
rne d'urine et les excès éthyliques sont pour beaucoup et ont une ' Debove. - Soc. méd. des larip., 1891, p. 571. '
aucoup et ont une ' Debove. - Soc. méd. des larip., 1891, p. 571. ' Mathieu. Soc. méd. des ? 11 mars 1892. 3 Ehrhar
ryonnaires dont quelques-unes étaient pourvues de cellules géantes. ' z . 3° Les altérations des vaisseaux nourricier
avons retrouvé la même lésion, consistant en foyers de 2,a ? nol- ' Ces derniers sont généralement considérés comme d
. Nous croyons devoir l'emprunter presque en entier au mémoire de ' AGg·eazactg mad Di/Jérenlial-cliagtose cler Paran
lément hallucinatoire. Cette idée du délire organisé primitif (/) ? ' : Mïoe ? 'e Ve ? ' ? 'MC/Ae) finit par être acc
re. Cette idée du délire organisé primitif (/) ? ' : Mïoe ? 'e Ve ? ' ? 'MC/Ae) finit par être acceptée par Griesinge
pliquer en Fran- çais ou en allemand, le Wahnsinn acuter ou la Ve ? ' )'MeA</[e ! < actile, par l'expression de
ODIFIÉE, POUR L'ÉTUDE DU CERVEAU HUMAIN ; par LEOYD Andriezem. (B ! ' (<tsAJ7ed. Journ., 28 avril 1894.) La méthode
es semblables qui ne peuvent alors s'expliquer par une compression. ' * Archives, t. XXVIII. 31 48'-) REVUE D'ANATO
ns postérieurs D\NS LE diabète; par Williamson. (British Oled. Jo2l) ' ? a., 24 février 1894.) Comme celles de Saudmey
ezem (de Londres). British médical Journal, janvier 1894, n° 1724.) ' De l'étude histologique des embryons animaux, d
tc.). A. Marie. XXVI. DE la papille étranglée ; par ADA3161EVICZ. ' (Neztrolog. Ceitti-albl., 1893.) Le terme allem
inextricable. Prenons par exemple la confusion mentale (Ve ! 't0t ! ' )'</tet<). - Elle s'applique à l'ameuta co
le; enfin C. Westphal, en 1878, montre que la folie systématique (V( ' ? ')'MC/t</tet<) peut se développer d'emblé
enfin C. Westphal, en 1878, montre que la folie systématique (V(' ? ' )'MC/t</tet<) peut se développer d'emblée de
c'est l'exaltation de l'humeur qui a produit les idées de grandeur; ' ou si celles-ci ont procédé à celle-là, par suite
rès qu'apparaissent quelques impressions sensorielles bizarres ; le ' monde extérieur leur semble c tout autre ». - A
des nerfs, plus souvent recherchées, ont été qualifiées polynévrites. ' Dans un cas ce sont des lésions de névrite para
s de la vie de chaque jour. 2 folie systématique chronique simple*. ' 2 hallucinatoire 2. 1 démence consécutive lég
matique chronique hallucinatoire'. 3 confusion mentale secondaire'. ' 2 folie systématique chronique simple (déchéanc
lancolie. 1 consécutive à la folie de la puberté. 1 idiotie. 20 ' 'L'un d'eux en est à sa troisième admission; l'
vre chez lui, l'autre est obsédé et ne peut se placer nulle part. ' Deux d'entre eux sont tombés dans la démence pend
oix et de surveillance. Le directeur-médecin reste le maître absolu ' de la réception et du renvoi de ses infirmiers
la mort re- montait à quelques heures. 1 En Allemagne. (P. K.) ' faits DIVERS. 529 Depuis longtemps, cette malhe
ement des constructions par- Arciiives, t. XX VIII. 34 530 J \ \ ^ ' 1 v ? ? r'A1TS DIVERS. tout,\4J™fcttî\&%l&g
infantile d'ori- gine grippale, par Massatongo et Silvestri, 211. ' Scotome scintillant, par Manz, 397. SEcnETpRO
3't3. , Vigouroux, 342. Vorster, 61. Wagner, 401. West, 123. ' Wheaton, 39.-). Wherrv, 392. Williamson, 48
8 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ile clinique (Sle- : lnne). F. RAYMOND Professeur de clinique ' des maladies du système nerveux à la Facullé
it de l'anémie cutanée (syncope locale et asphyxie des extrémités). ' . Nous avons eu l'occasion d'observer presque s
auche, la différence de coloration s'accentue pendant les crises. ' La couche adipeuse sous-cutanée de la région sous
t jours, une crise bleue reparut dans les circonstances suivantes : ' La malade allant mieux, j'avais obtenu qu'elle
coïncidence, mais vérita- blement un rapport. Comment l'expliquer ? ' ? L'attention a été attirée dans l'étude du rhu
nt d'une' façon progressive, c'est ainsi que chez les hystériques ' Barbillon. Th. Paris, 1894. · ' * Traité de Méd
st ainsi que chez les hystériques ' Barbillon. Th. Paris, 1894. · ' * Traité de Médecine, t. V, p. 510. 3 De Saint-
- fusion mentale hallucinatoire (hallucinalorische Verivirrlheit) ' Voir Archives de Neurologie, n" 94. 26 CLINIQUE
tion de l'humeur, et se distinguant de la folie systématique ou e ? ' ? 'MCAe de même nuance, par l'acuité de son évo
IX. Le SIÈGE SENSORIEL DE l'aphasie; par SIIAW. (Brain, part. IV, ' 1893, p. 492.) L'auteur passe en revue les diff
flammatoire du nerf, irritation qui amène des lésions de la cornée. ' ' P. S. . XIII. Classification DES actes réflex
ammatoire du nerf, irritation qui amène des lésions de la cornée. ' ' P. S. . XIII. Classification DES actes réflexes
ve (ob. 6 et 41) provient de l'ingestion de REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. ' 47 grandes quantités de sulfonal en peu de temp
s devenir aliéné ou perdre la raison sans faire de grands excès ? 2 ' s M. Motet. En face du danger social qui nous m
DE BRESLAU. Séance du 26 novembre 1892. Présidence de M. WERNicKE. ' M. Wernicke présente quatorze malades de sa cli
t au pourtour du sillon collatéral (2° scissure temporo-occipitale) ' ; ce foyer a également détruit la substance blan
eu de l'épilepsie corticale, on l'a trépané et on a vidé le foyer.) ' M. NEISSER fait un rapport sur un malade qui, à
II- CONGRÈS DE LA SOCIÉTÉ DES ALIÉNISTES DE L'EST DE L'ALLEMAGNE. ' SESSION DE SORAU. Séance du 25 juin 1893. Prési
des maladies inflammatoires du cerveau, ou histoire analomo-patho- ' Cet admirable ouvrage devrait être dans la biblio
alable des dépenses d'entretien (prix de jour- asiles d'aliénés. 73 ' née). Or, c'est ce que fait ressortir la loi, p
ous le rapport de la facilité des admissions et avec notre ami le D' ' Napias, nous croyons que la substitution du mot
ni pour la gestion de sa fortune, ni pour sauvegarder sa personne. ' - Sans doute les médecins dans leur rapport l'o
Par L. IIALLION, ancien interne des hôpitaux, et J.-B. CIIARCOT, ' interne des hôpitaux. ' Les quelques observatio
en interne des hôpitaux, et J.-B. CIIARCOT, ' interne des hôpitaux. ' Les quelques observations que nous allons rappo
tes à gauche, enfin, fracture sus-malléolaire de la jambe gauche. ' Nous avons appris récemment que M. M... continuai
ES PLUS OU MOINS COHÉRENTS DÉSIGNÉS SOUS LE NOM DE PARANOÏA (suite) ' ; Par le D' P. KERAVAL, Médecin en chef des a
caractères différentiels. Mayser propose -pour la confusion mentale ' { Verwirrtheit), ou la folie systématique aiguë
STÉRIQUE DE LA MALADIE DE RAYNAUD ET DE L'ÉRY'CIIROMÉ1,ALGIE (suite) ' ; Par Léopold LÉVI, Interne des hôpitaux de Pa
ènes ne sont-ils pas liés à une cause plus générale, l'hystérie ? : ' La transformation d'anurie en polyurie (jusqu'à
ie de Raynaud et de l'hystérie sera plus souvent observée encore. ' Thèse, Paris, 1887. FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHRO
viron. Il y a trois ans, on arrêta son neveu. Elle travaillait au ' Raynaud avait déjà dit : « Dans quelques cas l'ap
éprouve des sensations de chaleur, de boule, des énervements pro- ' Dans sa thèse, Raynaud signale le cas de deux frè
alheureux épileptiques qui en peuvent être les auteurs. A. Marie. ' Expression d'IIutcliinson. REVUE DE MÉDECINE LÉ
temps qui ne peut être moindre de six mois ni excéder deux années. ' A. M. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. ' 'Il î VIII.
six mois ni excéder deux années. ' A. M. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. ' 'Il î VIII. De la pluralité DES TYPES DE crimin
rveux, soit par une maladie organique, soit par des névroses. » · ' La démonstration est acquise pour les maladies or
à dater de ce moment quelques autres observations ont été publiées. ' Nous avons pensé qu'il n'était pas dénué d'inté
ade. La lésion occupait aussi toute l'aire transverse de la moelle. ' M. Wulff présente une tumeur, du frontal gauche
nt été remarquées. La prochaine séance aura lieu à Hanovre le 1<" ' mai 1895. (Allg. Zeitsch. f. Pschiat., LI, 2.)
xante-treizième année, à l'asile de Vaucluse, chez, son neveu, le D' ' Boudrie, auprès duquel il s'était retiré depuis
e (Ibid., 1846); Mémoire sur la pyélo-néphrile (Revue med : co-c/tt) ' ! t;-y : 'cc[, 185r); De lit BIBLIOGRAPHIE. 153
irait sous la porte cochère un petit chien à poil ras et lui enfon- ' Avec un certain nombre de médecins, nous avons co
dès maintenant les inscriptions et toutes communications à M. le D' ' E. Régis, chargé de cours à la Faculté de Médec
ions à M. le D'' E. Régis, chargé de cours à la Faculté de Médecine, ' 54, rue Huguerie, à Bordeaux, secrétaire généra
on d'août 1894) sur l'asile d'aliénés d'Evreux. Brochure in-8° de ' 72 pages. Evrcux, 1894. Imprimerie E. (Juettier.
HOLOGIE NERVEUSE. D'UNE FORME HYSTÉRIQUE DE LA MALADIE DE RAYNAUD ' 1;T DG L'ÉRY'CIIRO\iÉLALGII : (suile)'; Par Léo
QUE DE LA MALADIE DE RAYNAUD ' 1;T DG L'ÉRY'CIIRO\iÉLALGII : (suile) ' ; Par Léopoltl LÉVI, interne des hôpitaux de P
t se produire des gangrènes spon- tanées. Après Riehl et Ehrl, Féré ' a publié un cas de gan- grène spontanée de la p
eur d'une hypothèse. C'est à vrai dire une cause locali- salrice. ' La malade a été revue en novembre, décembre et ja
, puis Souques ont guéri des cas de polyurie par l'hypnose. Nous- ' réré. Pathologie des émotions. Deux chapitres son
claensc., 1892. l'ixarsewsky. Gazella Lekai,ska, 1891. Féré, etc. ' Clinique des maladies du système nerveux, t. I, 1
éré, etc. ' Clinique des maladies du système nerveux, t. I, 1892. ' Voir pour l'oedème bleu la thèse de Trintignan, i
ie dure depuis vingt-deux ans. 1 Société de biologie, janvier 1894. ' si Voir pour la maladie de Raynaud : Hutchinson
inion des auteurs (Berliner Kliie. Cen- tralblatt, janvier 1894). ' Société de dermatologie. MALADIE DE RAYNAUD ET
une faible distance de la terminaison dans les parois vasculaires. ' La symétrie s'explique par le fait qu'il s'agit
tiques et des troubles convulsifs de l'épilepsie, par exemple. Féré ' a publié plusieurs cas, dont un d'asphyxie c di
re cas. Les phé- 1 Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1891. ' Société de biologie, 1894. 3 Annales médico-psy
e départ central (émotion, idée fixe) qui cause la symptomatologie. ' Il serait séduisant d'aborder, à propos de nos
PLUS OU MOINS COHÉRENTS DÉSIGNÉS S SOUS LE NOM DE PARANOÏA (suite) ' ; Par le Dl P. KERAVAL, Médecin en chef des a
, au moment opportun, des commentaires utiles, supprimerait toute ' Voir Archives de Neurologie, n°' 94, 95, z. , 1
présentent la classification suivante : -. 194 CLINIQUE MENTALE. ' DE LA PARANOÏA. 195 quant à la paranoïa aiguë (
. 292 et suivantes) indiquera sur-le- champ ses manières de voir. ' Kours psichiatrii. Moscou, 1893. 196 CLINIQUE M
es systèmes embryonnaires de fibres. {Revue neui,olo- gique, 1893.) ' E. B. XL. Note sur la comparaison DU béribéri a
ontestablement l'existence d'une lésion cérébrale de peu d'étendue. ' e6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Mais d'autre
de la rigidité paraplégique (tabès dorsal spasmodique des enfants) ; ' de l'hémiplégie spasmodique double; et enfin de
rie. VI. Revue CRITIQUE sur la paralysie générale; par J. Mickle. ' (Brain, part. I, 1894, p. 50.) VII. REVUE CRITI
R DES ARCADES DENTAIRES COMME STIGMATE DE DÉGÉNÉRESCENCE J par le D' ' C.4.MUSET. (Annales médico-psychologiques, nov. 1
era tenu désormais de passer un examen sur les maladies men- tales. ' G.D. XVI. CONTRIBUTION A L'HISTOIRE du choc mor
ui voient leurs interlocuteurs en même temps qu'ils les entendent ; ' ' 4° Il n'est pas rare d'observer des hallucina
voient leurs interlocuteurs en même temps qu'ils les entendent ; ' ' 4° Il n'est pas rare d'observer des hallucinati
ée aux gouvernements de la Bavière, de Wurtemberg, du grand-duché ' Voy. Archives de Neurologie. Revue analytique.
ptomatique et de traiter de celle-ci dans ces chapitres : épilepsie, ' alcoolisme, etc. Sous le titre de confusion men
s spécifiait en outre, que les recettes provenant de la fabrication ' de l'alcool et de l'impôt sur les alcools d'impor
Ces articles de la Constitution n'avaient pas institué formelle- ' ment le monopole. La loi établissant le monopole
s plus actifs de l'intoxication alcoolique en Suisse. Leur nombre a ' été réduit par suite de la décision de l'administ
u monopole. Celle-ci ne le vend au commerce qu'après rectification. ' C'est dans l'emploi rationnel du dixième de l'a
en fut, ingrate par excellence, funeste souvent, inutile toujours. ' L'auteur conclue : 1° La folie puerpérale n'est
affectent point un caractère de bienfaisance net- tement déterminé. ' J'ai l'honneur, Monsieur le Président, de vous
t à faire une démarche en com- pagnie de M. Le Roux et de M. Lépine, ' préfet de police, auprès du ministre du Commerc
t l'annexe de Jessen. ; b. Zschadrass.. l c. JJntergoeltzsch. ' d. Hubertusbourg avec la métairie de Reckvitz et
Hubertusbourg avec la métairie de Reckvitz et l'annexe de Lipsilz. ' Chacun de ces établissements recevra des aliéné
un par l'instituteur en chef. Dans ces deux établissements ils sont, ' sauf ceux qui sont inéducables, instruits; quat
nombre de ceux des malades de nos asiles territoriaux de 52 p. 100. ' En 1890, il y avait en Saxe 1 aliéné pour 437 h
asiles régionaux, 951 sont morts; et 9,19 p. 100 des épileptiques.- ' ' varia. 253 A la fin septembre 1891, ' 254
iles régionaux, 951 sont morts; et 9,19 p. 100 des épileptiques.- ' ' varia. 253 A la fin septembre 1891, ' 254 f
p. 100 des épileptiques.- ' ' varia. 253 A la fin septembre 1891, ' 254 faits DIVERS. Bicétrd ou l'admettre dans
es. Padova, 1894. Clinica iliedica délia R. Universita di Padova. ' MASSALONGO (R.) Erisipela periodica catamaniale.
chure in-81 de 12 pages. Bordeaux, 1894. - Librairie Féret et fils. ' SEGUIN (E.). Rapport et mémoires sur l'éducation
OGIE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE ' ; Par le D' J. VOISIN, médecin de la Salpêtrièr
lutions céré- brales pouvaient provoquer des convulsions partielles ' où générales des membres. Enfin les expériences
Christian'a, Mabille19, Bowell20 et Saundly 2' qui la repoussent. ' Seyfert. Dublin, guarlelerl Journal, 1854. 2 Be
inh. On Epilepsy, 2° édit., 1861. ` Sailly. Thèse de Paris, 1861. ' Bazin. Thèse de Paris, 1868. ° Huppert.(tF ? c/
. /'i ! 2- psycli., lid. VII.) "Otto.('r/ ! )t.A't. Woch., 1875.) ' Fiori. (Ilalia Medica 1881.) . " Hallarger. V-'
65 Enfin, un de nous a fait avec M. Péron, interne des hôpi- taux ' , une série d'expériences sur ce sujet qui nous o
ie, 1S90). 5 Chevalier-Lavaure. Thèse de doctorat Bordeaux, 1890. ' Jules Voisin et Péron. (Archives de Neurologie, n
onc une véri- table élimination de toxines après les accès. il t, , ' 1 . Nous [avons repris .ces expériences )non,se
tièmes 'de milligramme. Il faut avouer que ces résultats sont peu ' encourageants. Toutefois, si la recherche' du coe
o- toxique de l'urine est épineuse, si les résultats ne' sont-pas ' rigoureux, s'ils.sont incertains même, il' ne s'e
de très utiles services; quand ils viennent' se joindre à d'autres ' " MM. Godart et Schlosse. (Aitiz. et Bulletin de l
et Bulletin de la Société de'iliéde- cine de Gand, septembre 1893.) ' ' '' il 268 , PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. i rés
Bulletin de la Société de'iliéde- cine de Gand, septembre 1893.) ' ' '' il 268 , PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. i résul
4[ d'urines employées ,pour,, obtenir,, le., mêmet résultat, .. Y,r ' f,l 1( "1 t t- pli., » , ^Nous concluerons donc
-» , ·1 l , LES. DÉLIRES PLUS OU MOINS COHÉRENTS DÉSIGNÉS '' ''l ' ' SOUS LE NOM DE PARANOÏA (suite) ' ; .. , ? .
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', Médecin , . . en chef des asites de la Seine. «t' (un , 1 , ? ( ' . i - h , , ? ? I 'il f| > <"W - . "' ^ i
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ont ils ont été scrupuleusement accompagnés/n'éprouverait en vérité ' point de grandes difficultés. Voici en effet l'
és. Voici en effet l'exacte signification1 du précédent historique. ' ? » ijii jii >,- Voir Archives de Neurolog
» ijii jii >,- Voir Archives de Neurologie, n'" 9f, 9J, 06, 97.' ' . ''i3 DE eA-1PARANOIA ? 275 : Si nous'prenons'
é les 'mobiles de leurs di-' visions et de leurs définitions. u ? ? ' t Sûr la modalité 'morbide de folie systématisé
ans le cadrer,de Chaslin : =confusion mentale .-aiguë) primitive. » ' Si 'vous' êtes^én'"1 présence d'une môdalitétcbro
l qui implique l'exis- n tence d'une'folie systématique progressive, ' et^vous' les' faites - 'suivre'des'variétés : d
'hallucinations vous avez 'le'droit'd'ajouter hallucinatoria. r' 1' ' 1 «' 1 . , 1,, '- ' Lës'sbus-varictés ou' les i
ucinations vous avez 'le'droit'd'ajouter hallucinatoria. r' 1' ' 1 « ' 1 . , 1,, '- ' Lës'sbus-varictés ou' les incide
vez 'le'droit'd'ajouter hallucinatoria. r' 1' ' 1 «' 1 . , 1,, '- ' Lës'sbus-varictés ou' les incidents dés genres et
tisfaction à la fois à' l'es- prit, à la fois à'l'enseignement ? "- ' ' - '' ' " On a dû être frappé, en lisant l'his
sfaction à la fois à' l'es- prit, à la fois à'l'enseignement ? "- ' ' - '' ' " On a dû être frappé, en lisant l'histo
n à la fois à' l'es- prit, à la fois à'l'enseignement ? "- ' ' - '' ' " On a dû être frappé, en lisant l'historique,
la légitimité de la pathogénie qui subordonne les éléments morbides, ' syndromes ou symptômes les uns aux autres, a fo
us- 1 mêmes plus certains d'ailleurs quand'nous parlons de'mélan- ' `colie avec idées de persécution, alors que quelq
' `colie avec idées de persécution, alors que quelques mois plus ' -tard1,'1 nous voyons se,- manifester 'un délire
' -tard1,'1 nous voyons se,- manifester 'un délire chronique 'bien ' " systématisé qui aboutit à la cristallisation. N'
'" systématisé qui aboutit à la cristallisation. N'avons-nous pas ' "vu disparaître de"'la scènelé délire aigu que l'o
t3 tisme ? Ainsi," voici comment 's'exprime. M.' Cramer pour éli- ' "miner'la notion du délire chronique de Magnan ? "
mer pour éli- '"miner'la notion du délire chronique de Magnan ? " " ' ' 280 CLINIQUE MENTALE. .L'étude de la biblio
r pour éli- '"miner'la notion du délire chronique de Magnan ? " " ' ' 280 CLINIQUE MENTALE. .L'étude de la bibliogr
cinatoire* aigu' ou la 'paranoïa 'hallucina- toire aiguë' ordinaire ' (Zietien).'1' Orch'ansky 'identifie1 'encore = d
guës' de trouble paranoïque fquand il dit que'la'confusion' mentale, ' tantôt' épisddiqué, tan- " tôt à l'état d'accès
onfusion' mentale,' tantôt' épisddiqué, tan- " tôt à l'état d'accès, ' peut également constituer un'stade de'dé- velop
folie systématique dégénérative (degenefa- J tive Verrûcktheit) P ` ' 1 ' - , f ? ? " '''> - 1'Déi à - en 1878 l'e
e systématique dégénérative (degenefa- J tive Verrûcktheit) P ` ' 1 ' - , f ? ? " '''> - 1'Déi à - en 1878 l'espri
1'Déi à - en 1878 l'esprit'généralisateur si puissant' de Enimin- ' ghaus avait faitWahnsihn synonyme dé Verrûcktheit
t en tout cas se figurer une image précise des termes. ">i . ... ' - . .' ' I ? La paranoïa en général c'est la dé
as se figurer une image précise des termes. ">i . ... ' - . .' ' I ? La paranoïa en général c'est la déviation, la
délirantes systéma- titisées, diffuses, non cimentées entre elles. ' , 1 si 1,1 3.' 'Verwirrtheit on' paranoïa surai
é psychiatrique de Berlin. ,(Voir la Bibliographie.) ? ? , , r - * ' ' ,1 l'il i 17 t ,. ' ,/t il. 1\ t .. .. « i !
psychiatrique de Berlin. ,(Voir la Bibliographie.) ? ? , , r - *' ' ,1 l'il i 17 t ,. ' ,/t il. 1\ t .. .. « i ! ,
erlin. ,(Voir la Bibliographie.) ? ? , , r - *' ' ,1 l'il i 17 t ,. ' ,/t il. 1\ t .. .. « i ! , nff... , - j ? l., J
l i 17 t ,. ' ,/t il. 1\ t .. .. « i ! , nff... , - j ? l., J. «« C ' \ \' > » , ., - ,, ,». III. Pathologie généra
17 t ,. ' ,/t il. 1\ t .. .. « i ! , nff... , - j ? l., J. «« C '\ \ ' > » , ., - ,, ,». III. Pathologie générale.
les autres sur la cause présumée' des accidents psychopathiques ; ' ceux-ci sur l'évolutiontplusou moins rapide, ceux
r l'évolutiontplusou moins rapide, ceux-làsur l'issue de'la maladie; ' tous sur le pronostic du--syndrome ou'de la psy
aquelle les troubles de la sensibilité mo- DE i LAt. PARANOÏA' ! -t ' 287 - ' raie (sentiment,' émotivité) sont secon
les troubles de la sensibilité mo- DE i LAt. PARANOÏA' ! -t ' 287 - ' raie (sentiment,' émotivité) sont secondaires,'
ensibilité mo- DE i LAt. PARANOÏA' ! -t ' 287 - ' raie (sentiment, ' émotivité) sont secondaires,' tandis que la mé'21
ANOÏA' ! -t ' 287 - ' raie (sentiment,' émotivité) sont secondaires, ' tandis que la mé'21 lancolie et la' manie; affe
' prédominant, pri-t mitif, admis par tous ? l'état du sentiment. » ' ('' ? ''\lajnan''et ses élèves,1 Gàrnier par exe
res toxiques, les délires liés aux mala- dies aiguës fébriles. '' " ' lf'l l Il'est intéressant de présenter "sous, f
e tableau les points principaux du diagnostic différentiel. '' "'1' ' ' . ? I ,r "t. r- '>l I ' 1 " ' , . ' '1 -
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ux du diagnostic différentiel. '' "'1' ' ' . ? I ,r "t. r- '>l I ' 1 " ' , . ' '1 -'I', 'PARANOÏAS . MÉLANCOLIE !
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I ' 1 " ' , . ' '1 -'I', 'PARANOÏAS . MÉLANCOLIE ! "" ' MAME '< ' Conceptions, délirantes .Fondsdet'humeur Turbul
es' grine et angoisse , , , . modifient graduellement; primitives ? ' ? ' - m ' ' 'I .. ' ' '. ! t) , .. : f ' '. t '
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raduellement; primitives ? ' ? ' - m ' ' 'I .. ' ' '. ! t) , .. : f ' '. t '< ' ï I i ' j '« Hallucinations rares/
primitives ? ' ? ' - m ' ' 'I .. ' ' '. ! t) , .. : f ' '. t '< ' ï I i ' j '« Hallucinations rares/ Modificati
s ? ' ? ' - m ' ' 'I .. ' ' '. ! t) , .. : f ' '. t '< ' ï I i ' j '« Hallucinations rares/ Modification seconda
' ? ' - m ' ' 'I .. ' ' '. ! t) , .. : f ' '. t '< ' ï I i ' j ' « Hallucinations rares/ Modification secondaire,
de 1'llunieur , illusions .plus fore-, . * ... I rt . t ? quentes., ' ' < T.' Gaité ou dépression en 1 Idées, d'in
1'llunieur , illusions .plus fore-, . * ... I rt . t ? quentes., ' ' < T.' Gaité ou dépression en 1 Idées, d'indi
quentes., ' ' < T.' Gaité ou dépression en 1 Idées, d'indignité ' 1 i * " i" rapport avec la perversion secondair
lacées, vagues puis s'accu- , t . f, c, ? . déviées (verlcé 111-1). ' sant. ' m . » (" ' . qr ' Expressions, et néo]6
vagues puis s'accu- , t . f, c, ? . déviées (verlcé 111-1). ' sant. ' m . » (" ' . qr ' Expressions, et néo]6gis-' .
s'accu- , t . f, c, ? . déviées (verlcé 111-1). ' sant. ' m . » (" ' . qr ' Expressions, et néo]6gis-' . I tel, Expr
- , t . f, c, ? . déviées (verlcé 111-1). ' sant. ' m . » (" ' . qr ' Expressions, et néo]6gis-' . I tel, Expressions
, sans liaison. , ; , Le persécuté est toujours' Le mélancolique '' ' ? ' ' ,J- " unemictime illégitime. n'est pas pe
ns liaison. , ; , Le persécuté est toujours' Le mélancolique '' ' ? ' ' ,J- " unemictime illégitime. n'est pas perséc
liaison. , ; , Le persécuté est toujours' Le mélancolique '' ' ? ' ' ,J- " unemictime illégitime. n'est pas persécut
liai- la parole intérieure, triceps permanentes' et lucmatioiis.1'' ' '" '' "'constantes. ' ? '' 288 CLINIQUE MENTALE
ai- la parole intérieure, triceps permanentes' et lucmatioiis.1'' ' ' " '' "'constantes. ' ? '' 288 CLINIQUE MENTALE.
eure, triceps permanentes' et lucmatioiis.1'' ' '" '' "'constantes. ' ? '' 288 CLINIQUE MENTALE. PARANOÏAS .mélanco
de palpitations; elle pâlissait, mais ne perdait pas connaissance. ' Les grands accès furent assez fréquents au mois
elle les exécutait avec peu de force, et elle se plaignait toujours ' Loc. cit., p. 154. - RECUEIL DE FAITS. 297 d'
partie inférieure de la moelle dorsale. P. K. XXIV. nIICItOCÉPH.1L1$ ' AVEC FENTE simienne sans trouble intellectuel;
II. OPPEXUEIM et t IL-(I. LIOPPE. (Archiv f. Psychiat., XXV, 3.) ' Deux observations ayant ceci de particulier qu'il
tion de fatigue n'est pas moins facilement reconnue..1 .< . < ' if* ,Mais le deuxième mode de reproduction du s
en retour de l'état affectif. (Revzceazeu'olopiqié, janvier, 1894.) ' ' ' . . ' 1 : . 13. ' XXIII.' LA VALEUR DES, si
retour de l'état affectif. (Revzceazeu'olopiqié, janvier, 1894.) ' ' ' . . ' 1 : . 13. ' XXIII.' LA VALEUR DES, sign
etour de l'état affectif. (Revzceazeu'olopiqié, janvier, 1894.) ' ' ' . . ' 1 : . 13. ' XXIII.' LA VALEUR DES, signes
de l'état affectif. (Revzceazeu'olopiqié, janvier, 1894.) ' ' ' . . ' 1 : . 13. ' XXIII.' LA VALEUR DES, signes DE dé
fectif. (Revzceazeu'olopiqié, janvier, 1894.) ' ' ' . . ' 1 : . 13. ' XXIII.' LA VALEUR DES, signes DE dégénérescence
' . . ' 1 : . 13. ' XXIII.' LA VALEUR DES, signes DE dégénérescence ' ' DANS. D'ÉTUDE D E,s' 1 maladies mentales; par
. . ' 1 : . 13. ' XXIII.' LA VALEUR DES, signes DE dégénérescence ' ' DANS. D'ÉTUDE D E,s' 1 maladies mentales; par e
. D'ÉTUDE D E,s' 1 maladies mentales; par e')) j\ 1ECEE.y., 1 . . ' Les stigmates morphologiques de dégénérescence so
t atteintes 0 .' - . a* p .<' f "f.' ? ) ? f en même temps ? , ' t w . : ' ? t "" ,·vus. L'auteur donne, comme c
s 0 .' - . a* p .<' f "f.' ? ) ? f en même temps ? , ' t w . : ' ? t "" ,·vus. L'auteur donne, comme chiffre app
e approximatif, cinq signes sur quatre parties du'corps. .' . (] '' ' " , Il y a toutefois bien des exceptions,' et,'
ies du'corps. .' . (] '' ' " , Il y a toutefois bien des exceptions, ' et,' dans un cas concret, il faudra toujours êt
u'corps. .' . (] '' ' " , Il y a toutefois bien des exceptions,' et, ' dans un cas concret, il faudra toujours être pr
es ? Hëd ! co-ps)/c/t0os't<yugs/ oc- tobre 1894.) . r 1 E. BLIN. ' ' z XXIV. La folie dans ses rapports avec la LO
? Hëd ! co-ps)/c/t0os't<yugs/ oc- tobre 1894.) . r 1 E. BLIN. ' ' z XXIV. La folie dans ses rapports avec la LOI.
elques publi- cations au sujet de la castration chez les criminels. ' , Dès 1 8S1 ,' l'auteur' appelait l'attention d
ations au sujet de la castration chez les criminels. ' , Dès 1 8S1 , ' l'auteur' appelait l'attention du législateur sur
moral des malades. (The alie- nist and 22eu7loig'î*st, avril 1894.) ' ' , E. B. , z XXV. Sur les moyens de prévenir l
ral des malades. (The alie- nist and 22eu7loig'î*st, avril 1894.) ' ' , E. B. , z XXV. Sur les moyens de prévenir la
t contaminés, et l'on peut dire, 312 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ' tout au moins, que pour produire leurs'néfastes e
e pour prévenir le développement de ces prédispositions morbides. ' Ces précautions doivent déjà être prises pendant
ire prendre des habitudes d'obéis- sance du plus salutaire effet. ' L'auteur condamne la pratique de l'hypnotisme pou
nes habitudes vicieuses, la masturbation ou l'incontinence d'urine. ' , Quant à la formation du caractère, il faut te
tion du lien logique qui réunit naturellement les idées à exprimer. ' La dépression des malades peut aller jusqu'à la
n veut lui faire faire. La condition étiologique la plus importante, ' aux yeux de l'au- teur, est la constitution mêm
de confusion mentale. * En somme, sous le nom de confusion mentale, ' l'auteur décrit un' groupe de symptômes qui peu
XXVIII. Substratum physique DE la folie ET DIATIIÈSE DE la folie , ' . par le Dr ŸIIITE. ' ", . r - Il est indubitab
ysique DE la folie ET DIATIIÈSE DE la folie , ' . par le Dr ŸIIITE. ' ", . r - Il est indubitable que l'écorce cérébr
st donc rien autre qu'un symptôme^ complexe de maladie corticale. t ' ' ' M ->f ;.On, peut dire que le développeme
donc rien autre qu'un symptôme^ complexe de maladie corticale. t ' ' ' M ->f ;.On, peut dire que le développement
onc rien autre qu'un symptôme^ complexe de maladie corticale. t ' ' ' M ->f ;.On, peut dire que le développement f
c ses modifications profondes et destructives des tlSSUS...'IW r c , ' là,. j 1> N 4 ( ? j REVUE,DE PATHOLOGIE MENT
a ? ? oMnt6o/'u ! sa ? ! tt ? 1894.) t,i,t , ,.E. B. i j .l ri h .. ' ( , 'l 1 1· . i .1,, YI1.L.1 folie chez LES cri
ement' l'attention de l'aliéniste. , " , i - i - 1 - 1,1 1. e , , " ' · sd 'Les signes de dégénérescence sont si fréq
n, présentent un type assez particulier. D'une manière générale;'ce ' sont des types simples de>folie; le trouble
vent est associée'à.un arrêt de. développement physique ou mental : ' ' - "Ce qui : rend ces aliénés' criminels 'souv
nt est associée'à.un arrêt de. développement physique ou mental : ' ' - "Ce qui : rend ces aliénés' criminels 'souven
- la plupart, on relate le manque d'édu- cation et l'intempérance. » ' *-'> ' 1- j 1 316 REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL
rt, on relate le manque d'édu- cation et l'intempérance. »' *-'> ' 1- j 1 316 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Mais
infectieuse; 11L' SrcuEnr.mG partage les vues de l. Hoffiiiann. « i ' ' '"I M. Geriiardt. De la manière d'être des ré
fectieuse; 11L' SrcuEnr.mG partage les vues de l. Hoffiiiann. « i ' ' '"I M. Geriiardt. De la manière d'être des réfl
ctieuse; 11L' SrcuEnr.mG partage les vues de l. Hoffiiiann. « i ' ' ' "I M. Geriiardt. De la manière d'être des réflex
ntre le faisceau longitu- dinal postérieur et l'aqueduc de Sylvius. ' ' En 1891, dans un travail paru sur la paralysi
le faisceau longitu- dinal postérieur et l'aqueduc de Sylvius. ' ' En 1891, dans un travail paru sur la paralysie pr
mandent aux muscles sont lésés, seul le noyau principal du pathé- ' tique reste intact et qu'alors les branches intra
e du crâne révèle une hyperostose très marquée; la consistance 320- ' SOCIÉTÉS SAVANTES ? 0" du cerveau est très dimi
cadavérique, congestion assez vive des vaisseaux; il n'y a point de ' tumeur, ni d'abcès. Le malade guérit complèteme
e ' tumeur, ni d'abcès. Le malade guérit complètement et sans réci- ' dive. L'orateur croit que l'hyperostose crânien
braux ! Mais quant à la nature de l'hyperostose, il' est impossible ' " de se prononcer. La seconde observation conce
facial droit et s'étendant au membre supérieur droit; ils respec- " ' tent la jambe, puis survient une perte complète
"' tent la jambe, puis survient une perte complète de connaissance, ' ' respiration stertoreuse et irrégulière, irrég
' tent la jambe, puis survient une perte complète de connaissance,' ' respiration stertoreuse et irrégulière, irrégul
accélération du pouls. L'attaque dure à peu près deux heures ; à ce ' moment le*- pouls est de 100; la température de
'' papille étranglée. Revenu à lui, le malade est atteint d'aphasie ' amnésique pendant plusieurs jours. Quatre jours
; '' perte totale de connaissance, gâtisme.' Puis, le pouls devient ' lent (60); cette attaque dure trois quarts d'he
- u che ou, plus exactement, la partie antérieure de celui-ci, près ' de la région motrice. On ouvre le crâne à 3 cen
mots^ étrangers som.res. Ces malades ne vous expriment ou n'ont pas ' l'intention de vous exprimer des idées précises
l'intention de vous exprimer des idées précises et solides; ce n'est ' qu'un cliquetis de mots insensés, tout à fait a
pas chez eux de troubles de la conception proprement z 1 - T - ! f ' i . SOCIÉTÉS SAVANTES. 333 dite. Ils tendent
associations d'idées successives telles qu'elles se présentent chez ' d (1 1 > 'Siil >0- 324 , SOCIÉTÉS SAVANTE
t nor- mal, dans les pires, conditions du travail intellectuel. i ' ' i Conclusions. L'ideenflucht a pour caractère
nor- mal, dans les pires, conditions du travail intellectuel. i ' ' i Conclusions. L'ideenflucht a pour caractères
ble que l'augmentation de l'effet utile du travail intellectuel. '' ' I M. H. DEiiio. De certaines formes de folie pé
modifications du tableau ordinaire de la stupeur. 'En quelques cas, ' il y a catatonie; en d'autres, point. Dans les
u tabès et déjà paralysie ne suffisent pas pour identifier les deux ' maladies.. En ce qui concerne la paralysie généra
eut-être dans les organes périphériques. (Voy. Neurolog. Centrai).) ' ' " ' ii ' >" i M. Brandis. M. Morlon a im
être dans les organes périphériques. (Voy. Neurolog. Centrai).) ' ' " ' ii ' >" i M. Brandis. M. Morlon a imagin
dans les organes périphériques. (Voy. Neurolog. Centrai).) ' ' " ' ii ' >" i M. Brandis. M. Morlon a imaginé un
les organes périphériques. (Voy. Neurolog. Centrai).) ' ' " ' ii ' >" i M. Brandis. M. Morlon a imaginé une mét
donc penser à une anomalie fonctionnelle de la glande thyroïde. z ' M. Struempell montre une série de préparations mi
constate en effet mais sans autre trouble matériel ou fonctionnel. ' ' ' ' Le jeune homme parvient à arrêter, à son
onstate en effet mais sans autre trouble matériel ou fonctionnel. ' ' ' ' Le jeune homme parvient à arrêter, à son gr
state en effet mais sans autre trouble matériel ou fonctionnel. ' ' ' ' Le jeune homme parvient à arrêter, à son gré,
e en effet mais sans autre trouble matériel ou fonctionnel. ' ' ' ' Le jeune homme parvient à arrêter, à son gré, les
le lentement en gouttes. (Voy. l3erlin. klin. Vochens- c/tn/'<.) ' M. H. Reiniiold. Protocole d'autopsie et étude
vation d'affection spinale chronique présentée au Congrès pat'BasMm/6) ' le' 7 juin 1890'. Il s'agissait, on se le rappe
11 t li 1 1 n. '< ? Voy. Archives de Neurologie, XV Congrès ? .' ' ' SOCIÉTÉS : SAVANTES. ` ''329 Signe de 13rac
t li 1 1 n. '< ? Voy. Archives de Neurologie, XV Congrès ? .' ' ' SOCIÉTÉS : SAVANTES. ` ''329 Signe de 13rache
des jeux de la physionomie léger trouble de la vessie et du rectum. ' < Il fut impossible de poser un diagnostic.
enlevés plus tôt, s'efface déjà dans les ombrés du' passé. Bientôt, ' car ceux qui ont connu cette première' générati
ées, il eût été trop tard. Pour accomplir cette oeuvre pieuse, le D' ' René Semelaigne est venu à l'heure propice et s
vaux des uns et des autres, y sont énuméres.avec une érudition sûre, ' leurs doctrines analysées avec' fidélité, Jeur
igieux apparent ni extase. (.Illy. Zcitsclari ? Psyclaictl., Ll, 4.) ' , ,1'. li.· 334 faits' divers. t .L HYPNOTISM
téressant. c FAITS DIVERS. 'I'.1 ( - , 1 > 1 "- ? *( 7 . 1,, p ' 1 't . ! '1 . ' Asiles d'aliénés. -^Mutations e
AITS DIVERS. 'I'.1 ( - , 1 > 1 "- ? *( 7 . 1,, p ' 1 't . ! '1 . ' Asiles d'aliénés. -^Mutations et nominations :
lques soins empressés a repris complètement connaissance. (Petit Va) ' , 13 mars 1895.) ? { ' , " " ! j 1 ' , Le spec
a repris complètement connaissance. (Petit Va)', 13 mars 1895.) ? { ' , " " ! j 1 ' , Le spectacle seul des crises-ép
ètement connaissance. (Petit Va)', 13 mars 1895.) ? { ' , " " ! j 1 ' , Le spectacle seul des crises-épileptiques n'e
xeville. Es reux, Ch. lléwsser, imp. - 495 Vol. XXIX. H'Mai 1895. ' - N° 99 ,, f;, . ? 1 ? Il ' l+ li'i ir- " , ( 1
er, imp. - 495 Vol. XXIX. H'Mai 1895. ' - N° 99 ,, f;, . ? 1 ? Il ' l+ li'i ir- " , ( 1 t . , a t 1'i fo -, 4, lit
' l+ li'i ir- " , ( 1 t . , a t 1'i fo -, 4, lit l , j ii r ? j' IW ' 11, 0 -il , ,. , 1 1 n , tr. y· 't f ARCHIVES
, j ii r ? j' IW ' 11, 0 -il , ,. , 1 1 n , tr. y· 't f ARCHIVES ' DE - NEUROLOGIE w j-j j"-i ; t ? , 1 .r ? Y, ?
ARCHIVES ' DE - NEUROLOGIE w j-j j"-i ; t ? , 1 .r ? Y, ? 4" - ' CLINIQUE NERVEUSE' ! il, ' ' *' ;. ,o .. , ",
w j-j j"-i ; t ? , 1 .r ? Y, ? 4" - ' CLINIQUE NERVEUSE' ! il, ' ' *' ;. ,o .. , ", UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉ
j-j j"-i ; t ? , 1 .r ? Y, ? 4" - ' CLINIQUE NERVEUSE' ! il, ' ' *' ;. ,o .. , ", UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRI
j-j j"-i ; t ? , 1 .r ? Y, ? 4" - ' CLINIQUE NERVEUSE' ! il, ' ' * ' ;. ,o .. , ", UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQUE
SE' ! il, ' ' *' ;. ,o .. , ", UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQUE. ' CONFÉRENCE FAITE A LA SALPÊTRIÈRE LE .25 JANVIE
STÉRIQUE. ' CONFÉRENCE FAITE A LA SALPÊTRIÈRE LE .25 JANVIER 1895 ; ' · , ! ! I ;1 , , Par 111. le D Pieeae JA'ET.
5 JANVIER 1895 ; ' · , ! ! I ;1 , , Par 111. le D Pieeae JA'ET. , ' ? ! n i i ' ' " Messieurs) ' ' " Jx'ti " ' ' '
; ' · , ! ! I ;1 , , Par 111. le D Pieeae JA'ET. , ' ? ! n i i ' ' " Messieurs) ' ' " Jx'ti " ' ' ' ', '' Mu : l
' · , ! ! I ;1 , , Par 111. le D Pieeae JA'ET. , ' ? ! n i i ' ' " Messieurs) ' ' " Jx'ti " ' ' ' ', '' Mu : le
;1 , , Par 111. le D Pieeae JA'ET. , ' ? ! n i i ' ' " Messieurs) ' ' " Jx'ti " ' ' ' ', '' Mu : le professeur'Raym
;1 , , Par 111. le D Pieeae JA'ET. , ' ? ! n i i ' ' " Messieurs) ' ' " Jx'ti " ' ' ' ', '' Mu : le professeur'Raymon
11. le D Pieeae JA'ET. , ' ? ! n i i ' ' " Messieurs) ' ' " Jx'ti " ' ' ' ', '' Mu : le professeur'Raymond a' bien, v
. le D Pieeae JA'ET. , ' ? ! n i i ' ' " Messieurs) ' ' " Jx'ti " ' ' ' ', '' Mu : le professeur'Raymond a' bien, vou
le D Pieeae JA'ET. , ' ? ! n i i ' ' " Messieurs) ' ' " Jx'ti " ' ' ' ', '' Mu : le professeur'Raymond a' bien, voulu
D Pieeae JA'ET. , ' ? ! n i i ' ' " Messieurs) ' ' " Jx'ti " ' ' ' ' , '' Mu : le professeur'Raymond a' bien, voulu m
etite part, ils pourront, comme les'recherches de ses autres élèves, ' l'assister dans ses efforts pour conserver et a
conserver et accroître là vieille réputation de'l'a clinique. " " " ' ul , " "l " ',l , , 1 1 Mon maître M. Raymond m
ccroître là vieille réputation de'l'a clinique. " " " ' ul , " "l " ' ,l , , 1 1 Mon maître M. Raymond m'a chargé aujo
érie, p. 295. 8 Zvynos. Amblyopie et amauroses hystériques, 1873. ' Bellouard. De l'hémianopsie. Paris, 1880. ' 1·'
es hystériques, 1873. ' Bellouard. De l'hémianopsie. Paris, 1880. ' 1·'éré. Conl. à l'élude des troubles fonctionnels
troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrales. 1882. ' Chareot. Leçons du mardi, I, 88. 0 Babinski. De
. 2 Pierre Janet. Stigmates mentaux des hystériques, 1893, p. 73. ' Sigm. Freud. Paralysies motrices organiques et hy
aniques et hystériques. (Ar- c%ives de Neurologie, 1893, 11, 36.) ' Déjerine et Vialet. -Société de Biologie, 28 juil
conscients qui se développent parallèlement à la conscience normale, ' mais à son insu. Ce sont ces caractères psychol
eB apparaisse peu à peu au travers de celle de A. Autrefois Justine ' a'éprouvé des faits analogues, mais c'était alo
ne certaine, image déterminée, uni, certain objet, toujours le même, ' qui persistait ainsi et gênait la vision, et le
oint de-fixation est toujours respectée. Malgré. ce détail,. il y a ' dans ce cas une perte presque complète de la moit
cas une perte presque complète de la moitié du champ visuel/ -'> ' . 1 ' z L'examen de l'oeil» droit est plus diff
e perte presque complète de la moitié du champ visuel/ -'> ' . 1 ' z L'examen de l'oeil» droit est plus difficile
L'examen de l'oeil» droit est plus difficile pour des' raisons que, ' nous étildierons', toiiti à l'heure, mais on peut
rne ou nasale. \ <*>. i, if;r>(* n-v ? n4fItVV'Ty(J ? ,"L. ' -' r ? q']Éj > , .. s- '. ? - ? - . 1 J , .
ou nasale. \ <*>. i, if;r>(* n-v ? n4fItVV'Ty(J ? ,"L. ' - ' r ? q']Éj > , .. s- '. ? - ? - . 1 J , . L-
, .. s- '. ? - ? - . 1 J , . L- 1 TTT- j i , ! ., , Il '. ? r : v" ' Que cette^hémianopsie existe et qu'elle soit pe
e n'est pas complètement anesthésique mais très fortement'hypoes- ' Cliârcot. - Alal. clû s,yst. nenu., IV, 12f. ' '
ès fortement'hypoes- ' Cliârcot. - Alal. clû s,yst. nenu., IV, 12f. ' ' "' UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQUE. 345 thé
fortement'hypoes- ' Cliârcot. - Alal. clû s,yst. nenu., IV, 12f. ' ' "' UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQUE. 345 thési
rtement'hypoes- ' Cliârcot. - Alal. clû s,yst. nenu., IV, 12f. ' ' " ' UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQUE. 345 thésique
.du- côté gauche; il y a là, si, on peut me permettrefce barbarisme, ' une véritable allochirie de l'oreille.) r. ';&g
ermettrefce barbarisme,' une véritable allochirie de l'oreille.) r. ' ;>u v.h .*ancs> zon Les autres sens sont'
et celui de l'odorat sont complètement supprimés. des deux côtés, ù ' 1 r . ' . ,il w 3.t ? fos, csl Quant au sens vi
de l'odorat sont complètement supprimés. des deux côtés, ù ' 1 r . ' . ,il w 3.t ? fos, csl Quant au sens visuel qui
n spasme'de l'accommodation dont nous parlerons tout l'heure ? ? v * ' ">* -9l vu[><uiA) Le champ visuel des d
' le champ visuel était' rétréci comme il' l'est encore maintenant. ' ' '' '> . ' R' *lm,'inG Je n'insisterai pas
le champ visuel était' rétréci comme il' l'est encore maintenant. ' ' '' '> . ' R' *lm,'inG Je n'insisterai pas su
el était' rétréci comme il' l'est encore maintenant. ' ' '' '> . ' R' *lm,'inG Je n'insisterai pas sur 'd'autres t
- vous attendiez à trouver le schéma du champ visuel également .. ' ' 0 ? tl,·rq 1 Op. cil., p. 1't(i, et Stigmates
vous attendiez à trouver le schéma du champ visuel également .. ' ' 0 ? tl,·rq 1 Op. cil., p. 1't(i, et Stigmates m
a sensation d'une hémianopsie droite. Le malade devrait bien plutôt, ' à mon avis, voir le côté droit et le côté gauche
les, phénomènes qui ont précédé et en quelque sorte ,f.1 1 , " " « ' Depuis longtemps la malade se plaint préparé' l
aint préparé' l'hémianopsie. Depuis longtemps la malade se plaint ' Pierre Janet. Histoire d'une idée fixe. (Revue ph
izarre, et ^encore peu-décrit, je crois ? d'une hémi-dz)olopte mono ' cula'i'îe7li ^ 3Mj tqr'.ic.. J. t TO1,i1f,bwj an
iopsie.; Sans parleri d'ailleurs, des combinait sons plus complexes, ' car-Justine a'eu un.jour, toujours pour' cet oe
rechercher dans ce cas d'hémianopsie les deux carac- tères que j'ai ' autrefois 'décrits comme essentiels dans les an
deuxième * point, le caractère contradictoire de cette hémianopsie, ' c'est au contraire un fait 'essentiel' dont l'i
osophique; 1887, I, 467.) 3 Archives de Neurologie, mai 1892. 350 ' ' CLINIQUE NERVEUSE. ' -- pour déterminer défin
ophique; 1887, I, 467.) 3 Archives de Neurologie, mai 1892. 350 ' ' CLINIQUE NERVEUSE. ' -- pour déterminer définit
.) 3 Archives de Neurologie, mai 1892. 350 ' ' CLINIQUE NERVEUSE. ' -- pour déterminer définitivement la nature hys
lle voit un papie ûr on front. C'est là une suggestion appoint de ' , t, . T ? M ? tr't ? repère qui) s'exécutërâ)`
ion des idées;, au moment : ourla^sensation* tactile ïïk /»,<+'' ' ' i. f 1 . y t, â . ,, ? tTtt.. ) , t n n i r i I
n des idées;, au moment : ourla^sensation* tactile ïïk /»,<+'' ' ' i. f 1 . y t, â . ,, ? tTtt.. ) , t n n i r i I '
ïïk /»,<+'' ' ' i. f 1 . y t, â . ,, ? tTtt.. ) , t n n i r i I ' Vlrllm J' "/ ' du'pincement,' t la 'sensatioilw
' ' i. f 1 . y t, â . ,, ? tTtt.. ) , t n n i r i I ' Vlrllm J' "/ ' du'pincement,' t la 'sensatioilwisuelle durpapley
t, â . ,, ? tTtt.. ) , t n n i r i I ' Vlrllm J' "/ ' du'pincement, ' t la 'sensatioilwisuelle durpapleysur mon, front1
1 ? t . -% f t i > W1-' J Eh bien, je lui pince la' main droite, ' : 1a main anesthésique,* ,e . ; comme vous; sav
me ma- nière pour les yeux. Les deux yeux ouverts, la malade me t ' r I,lt k li -1 "Ji V.- , hl) regarde et déclare
rétinienne et démontre la nature hystérique de cette hémia- nopsie. ' ' ! ;1. - " .1 ' UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQU
tinienne et démontre la nature hystérique de cette hémia- nopsie. ' ' ! ;1. - " .1 ' UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQUE.
ontre la nature hystérique de cette hémia- nopsie. ' ' ! ;1. - " .1 ' UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQUE. 351 I Une no
t con- céntrtqûé du champ visuel. " , si 1r r .t - " . n.jti' I ' - IV. *' li.lmj si ' ' n Cherchons donc maint
ntrtqûé du champ visuel. " , si 1r r .t - " . n.jti' I ' - IV. * ' li.lmj si ' ' n Cherchons donc maintenant, en r
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mp visuel. " , si 1r r .t - " . n.jti' I ' - IV. *' li.lmj si ' ' n Cherchons donc maintenant, en restant dans le
u champ t isuc) subconscient. .. (T < fn ? . -1 v 1.1 1 -1 352 ' CLINIQUE NERVEUSE. ' gulier qui préside à sa-1
nscient. .. (T < fn ? . -1 v 1.1 1 -1 352 ' CLINIQUE NERVEUSE. ' gulier qui préside à sa-1 formation me paraît b
-1 formation me paraît bien audacieuse. Je préfère faire intervenir ' un inécariisme' psychôlügiqûë'et donner un rôle
es idées fixes qui constitùenti'commeje'vous l'ai dit, le caractère ' fondamental de' l'esprit 'de' cette malade. - I
es malades; mais c'est peut-être que l'attention dés'observateurs ! ' 1 ' ; 1 1 r m. ' . F r r ' ,I e r 1 (1 1 n a pa
malades; mais c'est peut-être que l'attention dés'observateurs ! ' 1 ' ; 1 1 r m. ' . F r r ' ,I e r 1 (1 1 n a pas ét
s c'est peut-être que l'attention dés'observateurs ! ' 1 ' ; 1 1 r m. ' . F r r ' ,I e r 1 (1 1 n a pas été attachée su
ut-être que l'attention dés'observateurs ! ' 1 ' ; 1 1 r m. ' . F r r ' ,I e r 1 (1 1 n a pas été attachée surjce point
notes : 'Une malade G..v àla suite ! de divers incidents (elle ë, h ' t ' -; j"" . ' ' 1 1 1 · le : ? t)j ? ' ,,vu le
s : 'Une malade G..v àla suite ! de divers incidents (elle ë, h ' t ' -; j"" . ' ' 1 1 1 · le : ? t)j ? ' ,,vu le cer
lade G..v àla suite ! de divers incidents (elle ë, h ' t ' -; j"" . ' ' 1 1 1 · le : ? t)j ? ' ,,vu le cercueil dèi s
de G..v àla suite ! de divers incidents (elle ë, h ' t ' -; j"" . ' ' 1 1 1 · le : ? t)j ? ' ,,vu le cercueil dèi son
vers incidents (elle ë, h ' t ' -; j"" . ' ' 1 1 1 · le : ? t)j ? ' ,,vu le cercueil dèi son père j'entoure, de fleur
fréquent chez les hystériques qui,ont des associations d'idées zip ' extrêmement tenaces^et puissantes quoiqu'elles ne
laquelle elle voit encore le cercueil,- les fleurs rouges) etç ! En* ' prenant' des Tprécautions, on peut déterlilirié
Jjlt® Limites du champ visuel pour la couleur blanche. - +++ Limites' ' " ofjSjj ijn, h , » du champ visuel pour la cou
Sjj ijn, h , » du champ visuel pour la couleur rouge. YÎ111 a ? t t ' i . * 354 fl CLINIQUE, NERVEUSE. » , raître,
lité supprimer, ^une partie plusou moins considérable du @cha "ip,v ' iÏel, ,.y fïirq2r 1 sorte, que, le sujette yoie p
sobjéts.'LéyfaitJs'ësrparfaitementlxéalis"aû- n,l ï r n<9.·· .r - ' uq-4 -oni i- . i ? . , tant du- moins, que 1 on
st pas constatée par des procédés .W 11G 9f«t>iiInsJU )c ! iLl.1 ' \"<' am,, v ftuiex bi jC-jjIOtj ai .omuau gp
t.un peu- plus précise., Eh bien, l'hémianopsie sug- - - . -.6t"-^ ' ! 5 ? 5-Jz^lI'éiTiianoi)sie droite homonyme déter
ubles les plus, marques. L'oeil droit,sur' tout dont nous avons, 4é ' 1 t 1 i t 1 1 peu 1 , 1 , i . t ,-s eiit6 et prés
iz, 1 .»/, .troubles fonctionnels extrêmement curieux. I 1 jft il i ' < \ / 't<'U ? "T ? ' ! t r < V'-l1* ,
onnels extrêmement curieux. I 1 jft il i ' < \ / 't<'U ? "T ? ' ! t r < V'-l1* , e 'J I ' ' ''/iL>p ^ . '/f
1 jft il i ' < \ / 't<'U ? "T ? ' ! t r < V'-l1* , e 'J I ' ' ''/iL>p ^ . '/f ' t / .Ir.Cet oeil droit p
jft il i ' < \ / 't<'U ? "T ? ' ! t r < V'-l1* , e 'J I ' ' ''/iL>p ^ . '/f ' t / .Ir.Cet oeil droit pré
\ / 't<'U ? "T ? ' ! t r < V'-l1* , e 'J I ' ' ''/iL>p ^ . ' /f ' t / .Ir.Cet oeil droit présentait autrefois
/ 't<'U ? "T ? ' ! t r < V'-l1* , e 'J I ' ' ''/iL>p ^ . '/f ' t / .Ir.Cet oeil droit présentait autrefois, ma
rs d'une, manière , \ i I ? t'\ g 1 1 -1 k , 1 i".1 1 4 j" i - i U, ' * : t 1 ' '\ (, complète, dans toute ! 1 étendue
manière , \ i I ? t'\ g 1 1 -1 k , 1 i".1 1 4 j" i - i U, '* : t 1 ' '\ (, complète, dans toute ! 1 étendue du» cham
anière , \ i I ? t'\ g 1 1 -1 k , 1 i".1 1 4 j" i - i U, '* : t 1 ' ' \ (, complète, dans toute ! 1 étendue du» champ
tés' dans laimoitieidroiteau champtvisueip S t ,, L ., i^»v ,hiT111 ' / ' . 1 ; , j.l .« j , r. i r .' .' . t . 'il ê
dans laimoitieidroiteau champtvisueip S t ,, L ., i^»v ,hiT111 ' / ' . 1 ; , j.l .« j , r. i r .' .' . t . 'il ê'A'r
. ? ) i i , , 1 - 14 t r't 1 i / t .. , 1 -1 ? r . . 1 1 i i 1 1 -1 , ' \ mécanisme)' Aujourd'hui cet oeil droit voit,
- 14 t r't 1 i / t .. , 1 -1 ? r . . 1 1 i i 1 1 -1 , ' \ mécanisme) ' Aujourd'hui cet oeil droit voit, de.moins en moin
, £ ? ipréséiltedâûstôités ses tonctions.des itroublés fort graves « ' vK 1 i 1 t * ! 1 t, 1 w avec l'état . ,».' , Le'p
fort graves «' vK 1 i 1 t * ! 1 t, 1 w avec l'état . ,».' , Le'pld ' 0 et est en'rapportTcependait, avec 1 état hyst
lle .'Quoi Iqu'ilcenrsoit;Yétte'-inéââlité>pulüllaire;"ce myosis; ' ce trouble 'des'réflexes;' efirïcl ! hémiiopsie
étte'-inéââlité>pulüllaire;"ce myosis;' ce trouble 'des'réflexes; ' efirïcl ! hémiiopsie"doht'sè1-plai-nt la malade;
à eu 1 occasion de le faire remarquer'Un examen, attentif, .que , ' ..1' u.l, .« JPIIII " it ·t(r ? ·1 " , 1 Km tjo,
attentif, .que , ' ..1' u.l, .« JPIIII " it ·t(r ? ·1 " , 1 Km tjo, ' " ? >7'l M. Sauvineau a bien voulu taire de c
ucune lésion du fond de l'oeil.Tous ces symptômes'même ? ).... ? r; ? ' 1 'il il" (FI ts .if4rt .011b i-1p, les trouble
emps, quand Justine est plus tourmentée par ses idées fixes. Y ." ? ' "<> " t" " " (rT 0.) 5"rri"ril"l""l 911 T|;
odation qui/1 ont^été ? si1 bien0 étudiés* par ? M ? 1 3arinaud. Ce ' '' ' ! 1 H ? ' ? 1 n ' '' ,TT«.t"1 .')''1 ? ? "'J
on qui/1 ont^été ? si1 bien0 étudiés* par ? M ? 1 3arinaud. Ce ' '' ' ! 1 H ? ' ? 1 n ' '' ,TT«.t"1 .')''1 ? ? "'J'1 vl
nt^été ? si1 bien0 étudiés* par ? M ? 1 3arinaud. Ce ' '' ' ! 1 H ? ' ? 1 n ' '' ,TT«.t"1 .')''1 ? ? "'J'1 vl spasme
si1 bien0 étudiés* par ? M ? 1 3arinaud. Ce ' '' ' ! 1 H ? ' ? 1 n ' '' ,TT«.t"1 .')''1 ? ? "'J'1 vl spasme 'de 1 ac
ccommodâtion est difficile a observer, et.donne Pv . ^71 W If·· = ? ' 'i a ·IHf ? ftsnr '1111 t'1 '%1;, > ? lieu a
bserver, et.donne Pv . ^71 W If·· = ? ' 'i a ·IHf ? ftsnr '1111 t'1 ' %1;, > ? lieu a bien des contestations singul
l droit que toutes les autres sensibilités de ce cote sont égaler ' ? x11 ii' v "' '^" ' / .i ? 1" '" , .,il -il' <
outes les autres sensibilités de ce cote sont égaler ' ? x11 ii' v " ' '^" ' / .i ? 1" '" , .,il -il' <tU ? t ? P ? 1
tes les autres sensibilités de ce cote sont égaler ' ? x11 ii' v "' ' ^" ' / .i ? 1" '" , .,il -il' <tU ? t ? P ? 1
les autres sensibilités de ce cote sont égaler ' ? x11 ii' v "' '^" ' / .i ? 1" '" , .,il -il' <tU ? t ? P ? 1 men
ensibilités de ce cote sont égaler ' ? x11 ii' v "' '^" ' / .i ? 1" ' " , .,il -il' <tU ? t ? P ? 1 ment altérées,
s que vous rappeler l'anesthésie tact le \,l "4M . ? ; ? il ? L ? i ' pi'a"'1 ,,Il .\ ? i' etet) '< ? f ? et muscu
i a fim par.rerilarquer avec'tristesse t3us es ient'du' côté'dr'o't" ' ' ... ; . y...r" une ces'troubles' qui siégeaie
a fim par.rerilarquer avec'tristesse t3us es ient'du' côté'dr'o't"' ' ... ; . y...r" une ces'troubles' qui siégeaient
théorie sur les malheurs de ce côté' droit : « C'est Ie'côté °rhâu- ' "» .. i....r ! ; ? , · .qy j.sT t ? IJ tl(ibllj, ·
. i....r ! ; ? , · .qy j.sT t ? IJ tl(ibllj, ·tIlO,t'Itf&918fr$ ' Pierre Jaunet.' Revué philosoplnigtie; février118
p;918fr$ ' Pierre Jaunet.' Revué philosoplnigtie; février11894; p : ' 148, sb Ji £ 91 · UN CAS D'HÉMIANOPSIE, HYSTÉRI
'Ia.qui ? s'est passé quand la CilM . - il.1 ! 14 ? IPP.. U> ? » ' , ...Il.btll , . '- I.t.. L 11, ^ ? i malade at
objets même vus unique- u mj,rn< ? f.) 1s1)Rn nf W ·1 4t. ? ... ' , ' L t .' z mentTparvl oeil. gauche,, tous ces
ets même vus unique- u mj,rn< ? f.) 1s1)Rn nf W ·1 4t. ? ... ' , ' L t .' z mentTparvl oeil. gauche,, tous ces ,tr
ordinaire aussi remarques, Mt')t ? vf ? < ? .. ? 'n ? 1 . t .u». ' »< . ^ . . ' z aussi étudies, parla malade, q
remarques, Mt')t ? vf ? < ? .. ? 'n ? 1 . t .u». '»< . ^ . . ' z aussi étudies, parla malade, qu îln y, a pas
sition aussi forte, aux, idées, fixes. En un 41W ., ti9l lllf,1) ,.( ' ,11 .>illlll"|Jl P Mil ? I^ ? ' ? mot'un ense
xes. En un 41W ., ti9l lllf,1) ,.(',11 .>illlll"|Jl P Mil ? I^ ? ' ? mot'un ensemble de circonstances, qui sont ,d
, ont réalise, le symptôme quelle présente. mj J411a111 ; J u i »m^| ' m ''i"i ? iir 'A J1 I : L' J 0" n)3.este" direz
pas de0cet,oeil. Elle ne se mani- leste quau,moment,où l'on examine, ' l'oeil gauche. Elle .est, à mon^vis^la^conséque
sciente passa- - -)<1f e vV : rr±v.t·tW q.m rrr7 .0,.) '......' ; ' . z blement niaise qui est un des grands caract
es grands caractères des idées fixes. ajip'ixjf' j : | llttrr' ! ., ' "folio jm "t ? ji .·1 nu -p..i-iii ' i -, r,;Dun
. ajip'ixjf' j : | llttrr' ! ., '"folio jm "t ? ji .·1 nu -p..i-iii ' i -, r,;Duneman 4ère générale, dans son ensembl
éressante. Justine continue à être une malade à idées fixes et "ces" ' idées fixes conservent -la* forme', hystérique.'
t ? gulièrement, des contractures» de forme étrangères paresies. " ' .- ? Jw u r= · un ? ? Mit< ? 1hjt 0' t ? jlt
traitait les idées ^fixes. Il ést prôbable j" . t'te' 1 a jiu "(nu ' - il 4"1F7111 'IJAnC "<)-<.<t''t ? -nul*
ile d'affirmer, qu'il est,impossible de rencontrer un 111, zut, -là, ' t. it I 4JP,I'. l.JX311l./xlv> J,i oliJbU ôfHU
.1 symptôme particulier dans 1 hystérie. ol,czd f{ ;r3jil'.h j-ît, ' iTôliFi,),.t4j(lf "4jlû jaa `DrPe,T,reTJAûET·mI
» ,mn* ttrEln pi rtr, F, rr rï IF, (3'fftl%l 1;1 r'tf : 1 'lntlfrt^ ' 'fnna .' Le traitement de cette hémianopsie a é
momentanée. ` « . I 1t. 3 '4'1Ym " -noout» aueiooïq J8t> t't : ' t.p qldrf^ "'t u ,9lltd8Eve. 3tt , ,«<. . ar
up^h 9.` 1· y . j.rt4t(dry T « , 9x M'L f 1rq t9rr;d`, qi' "i < ' ? o' -ij,. 1 ,JA'InfdlE euplwp s3te` mt 91(1 -n
t; ' ? o' -ij,. 1 ,JA'InfdlE euplwp s3te` mt 91(1 -ni, 3ht,1 10 f- , ' ) .«J.-+- L .crpi;qblo DEqL'lNTOXlGA.TiON'' DANS
OXlGA.TiON'' DANS 1 L'ÉPILEPSIEH ;ï ... z saxo 8»èbl JE 9bs ! B'ï ! ' )un 1 t 8Lrtld$1')J 9 ltr. t. 1 ...é9'W, ParEle'
si, des ^-'v™*-^.. ^uq'^b t..«.fc.-v 9b <suiJIUi&<91) J : ' ' ? rt ! '6 : ,P,rne es h8pitam ? t. ? )rIrb , mb
, des ^-'v™*-^.. ^uq'^b t..«.fc.-v 9b <suiJIUi&<91) J : ' ' ? rt ! '6 : ,P,rne es h8pitam ? t. ? )rIrb , mblv
culaire. L'état du système circulatoire et parti- ..(1·, ·aqurlvR ! ' Pricp ,ix,l a- . . 5 , 1 ? r(..t-T.Tr ,rtnrt i- r
ils ont donne lieu a plusieurs théordes sur cëtté âffection'. "* "^ ' ^\ ? ™ * * Jll m(11,, 'Jy ? ? ? ' * ^ ns ? r. n,
héordes sur cëtté âffection'. "* "^'^\ ? ™ * * Jll m(11,, 'Jy ? ? ? ' * ^ ns ? r. n, La pâleur subite du visage quand
nt*anémiée ; ils ? 0 rf" ? T"f ? 1. '')i ? ? «V"f . P ,, i i J 't., 9 ' * r invoquaient des lors 1 anémie cérébrale. Les
anémie cérébrale. Les autres preten- c1 Irl 1`, W r ,tl, -ro y h .1 ' ,<n'M ? , ·,·. daient que la pâleur du visage
on ne peut songer à F( rW t. irtlt 'tIJ, ` t ! `t1lIO...., " , , .t ' " ? 1" V iV1,- ' ' - r employerile. spnygmomanom
r à F( rW t. irtlt 'tIJ, ` t ! `t1lIO...., " , , .t '" ? 1" V iV1,- ' ' - r employerile. spnygmomanometre du, profess
à F( rW t. irtlt 'tIJ, ` t ! `t1lIO...., " , , .t '" ? 1" V iV1,- ' ' - r employerile. spnygmomanometre du, professeu
rvir.bien, que leur précision suffisante. en clinique ne soit,pas w ' ,1U^| J X ? ? p· · r uc *v.'x "< 1 ....j. >
'tr'oisiè-me' élément, "la^-'pulpe G '1 1 : : 1G i)C JG''11 ! t.7ll ' .. ,n.'LLL ., ? t ? i , . : de L index de. 1 oper
développée'au'mème point- chez 'tout' le'monde, elle n'est - Mi. au) ' it : ,.t ? '""' 1 l^x^fi " nl '1 m 1 '" J- même
'mème point- chez 'tout' le'monde, elle n'est - Mi. au)' it : ,.t ? ' ""' 1 l^x^fi " nl '1 m 1 '" J- même pas égale, a
me point- chez 'tout' le'monde, elle n'est - Mi. au)' it : ,.t ? '"" ' 1 l^x^fi " nl '1 m 1 '" J- même pas égale, at,t
e'monde, elle n'est - Mi. au)' it : ,.t ? '""' 1 l^x^fi " nl '1 m 1 ' " J- même pas égale, at,tous|1l,es ? rnomentsJ e
ême pas égale, at,tous|1l,es ? rnomentsJ et dans, toutes les condi- ' tiens chez le même observateur. Ces deuuspfygmomè
de graduation ;*le.premier 1 'll.Jlt9tT10lT' " >'' 1 " jf tiï ? ' ' "' <i ' Voir Archives de Neurologie, n° 98
e graduation ;*le.premier 1 'll.Jlt9tT10lT' " >'' 1 " jf tiï ? ' ' "' <i ' Voir Archives de Neurologie, n° 98.
raduation ;*le.premier 1 'll.Jlt9tT10lT' " >'' 1 " jf tiï ? ' ' " ' <i ' Voir Archives de Neurologie, n° 98. 3
;*le.premier 1 'll.Jlt9tT10lT' " >'' 1 " jf tiï ? ' ' "' <i ' Voir Archives de Neurologie, n° 98. 360 airpHYS
avons toujours opéré sur l'artère a'I' . it)'' .... i «l'i'-i'oq'ni ' J " sur les relevésflt)sltpi'i-9 T radiale a la
shi ·nn't1. % q . luo9 Pouls, ...f. .... 72,IyImpos lible sentir : ' 92 , 8fi, Tension en centimètres 1.&Ëà ui -
Tension en centimètres 1.&Ëà ui - "8 ? Tension en centimètres ' de mercure 12 Impossible à mesurer. 17 15 mtt
n centimètres ' de mercure 12 Impossible à mesurer. 17 15 mtt't'] ' ! ftj S'Unit p-fun 91 J ,...,11)11 Dos..., tren
BÉIORS R Ii ,J9uz ss mz zsds'i;lrtes`z a'tDaI21lIq iirl Bjàb t Izul ' /I .DEsp..., trente-sept ans.Epiieptique ? tofB
àb t Izul ' /I .DEsp..., trente-sept ans.Epiieptique ? tofBOfnt'q ! ' t 3Y1 lf, Pôulsn5"n.3la^.ll ? t; ,i8,g01191mpos
è 2ri 16 s 13 1 o(ZBv Q 71·5`(nm'i ? 1 ? '1 'V19-S sammos 3HOn rlmf ' AixLi..., 'vingt-neuf ans. Epileptique. ? , t f
,, 20 16 t z zovalsi 391 'ii)a 6't'LUV tttr .«>uoq rit. pinnm»* » ' -. Cûàv y dix-neuf âns''JÉpil p`siettro ? t-3ll
-.I ? n 1 rr aan - , * Gou..., vingt-trois ans. Épilepsie. . wi , ' D r r-jiipiJq9Uqxtl >fi. <Iu-,i onr , va.
It Impossible. J6 ? Tension 11 Impossible. 16 ? ; : lt i Idrzn·m· ' r '' SOLIV..., vingt ans. Épilepsie. « < 8
"i'"i Pouls 96 Impossible à sentir. 9b 80 Tension .1 .# .9.3 . .( ' -v \., 10 \ Impossible à mesurer. u 20 17 1 362
362 ai ? physiologie, pathologique. 3(j PENDANT "îdt. 3".J 31L ' «') on 'AVANT; d) / "pi JOlO *3 ') ! ')'.f : t.tj
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ique. 3(j PENDANT "îdt. 3".J 31L '«') on 'AVANT; d) / "pi JOlO *3 ' ) ! ')'.f : t.tj Le'I10J'Iq ? 9b a shn jmq a"iJi
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! ,3 p™»A"iL,'ACc; ! S.ri9') j3,tOLhTliBJ ? K%ïîi,D-I"Sxr' )''t.f) ' Y)'* if nb 9l>on«q b) ? .tu.I> 9-,xtnr .tut
3 p™»A"iL,'ACc; ! S.ri9') j3,tOLhTliBJ ? K%ïîi,D-I"Sxr' )''t.f) ' Y) ' * if nb 9l>on«q b) ? .tu.I> 9-,xtnr .tut 911
991J; roûIs^-V.1' ? {T^. 80 Impossible. 4 ? Tension ? f Tyzy.f; ? ' "11' Impossible. don Ta..b 153upn(1.4tt(a - fiap
n0 2 : ltJ(f( ! 1 ]31FNv..., trente-cinq ans. Epilepsie. , , . , , ' . )le(bljq,;Iitl,4 11,11.1tj t abqqs lae ao biz
facijë,dé se rendre cômptëénlassistant à quelques accès, convulsifs, ' que,- dès9qu'une «malade tombe, i il -est riell
e Nev ? ayant t'ait'une'chute''dans un'accès 'se- blessa'au front : ' On lui 'lit "un pansement provisoire et environ
1 examiner, et la panser. Pendant, que nous lavions au p v^*'1 ! . ' ' ^ . .a. Xi|. , ,li Ur- 1 J .14 4'. u Il £ 11X0,
examiner, et la panser. Pendant, que nous lavions au p v^*'1 ! . ' ' ^ . .a. Xi|. , ,li Ur- 1 J .14 4'. u Il £ 11X0,1X
sang,fut arrété,et,,cela,pendant,touté : laldurbe DE l'intoxication ' dans 'l'épilepsie. 363 . ''au ? » des période
-vient de se blesser en'tombant dans un accès. il1"^ ? i , m .i ? ? ? ' (i ? <. r orwilq,l Les plaies qu'ils présente
e 1 'dé Re v 0 iiecessitei- dans'les grandes foporations quelques ' inHalations de chloroforme. 364 Mie c PHYSIOLOG
abcès termmeelle se relève* ne sacliànt pâs`'qu'ëlle''éstblês"séè : ' Ellërhërs'eh'raperçoit'quë lorsqu'elle yoit'du
a nuit; le lendemain on. réduit de nouveau la fracture on remet ? j ! ' ));j ? a."t ? 1 ^x. ? ox~ ? 3 ? u U... u , l'app
u dans un.accès tt't .'t ? tt.' 1 8 i,) .'Jl-(< ->,, j« tt ** ' i "4. ^.->...>^ *u- ...I J -1- et se lait
xa- M-, r I.JIHIJv/ rjll>l\'j J1n f t >U'/01 l-x lui ! V-> ' .LJLU.. UAJ)1L iJUtJ ^d* J'J miner sans, paraît
, voit nuela,sensibiutetdouloureuse,etait profondément b Î.-1,' ,lx ' ? ^jjp ? ^w(ojj 'u i^vi ? u»t ^"'1' ? profondémen
une observation isolée ? l t ? 1 .n i ,r ? r< n ? t,r nt l'T't'T' ' c ? tnf tn ( ffirtp 1 ,'r 4 Inn Userait a désir
n Userait a désirer que, dans tous les , cas analogues, 1 analyse ' ,«,nri.io«H ? i ! i'pi ? iMii1s ;<')<. )b tl
s.9 V«198 0 no imip aujse srl.7sm Jrrq slls E) 8 ngm5ls-5 atTr'dr ? ' ;">' f,r. *.f>,vi\ «iiivi ? i"f'i>.' e ?
^temps "que. l'on'constate cette altérabilité 'des globules* rouges; ' on siânalèll'apparition'dungrand nombrérde glob
quelques cas aller iusqu l'apliasie complète mais.temporaire. tr · ' : .) i r PL, JM1 ^ r u-.dlHr,' . j w le (juxwli t
iasie complète mais.temporaire. tr · ' : .) i r PL, JM1 ^ r u-.dlHr, ' . j w le (juxwli tn . 1 a ! r JvJ Ces troubles
ngage ont déjà,été mentionnes dans 1 en- ? , * "1) /.) 1)r.fl1>Ab5" ' Clli 1 " ! 1 wi'i,xm ? U',M ? i ...x/ semble pa
ssent d abord, après 1 1 accès, épileptique,, et ni ? ? f ? t' "'f; ' ))tmj<t-.«t tj , -'tu u xi&ix'.jxvr .1 ittt
% rapporte des cas dans lesquels les phrases étaient interrompues ' ? 11, irl-1 1 u t, Ir .' ? . ) rrlv a , 'la. t .1
)t - luiluirykakl ni spinal par congestion permanente du bulbe. , : ' ,r ,Ir ? ... ° ,i -j"'ir' r....» ····r Jr trfl9
bout de quelques minutes ou de quelques heures, .ils persis- 't't" ' 'J"'f ) 1 1, 'l -1 ""TT'' a ? J". i ait Jij ten
tent pendant plusieurs, jours. Non seulement la prononciation ? t' 1 ' n. l'-i -x'i"9 ,vr,f -, m 5-1 ? ir . Il, 1,111 ,'
rononciation ? t' 1 ' n. l'-i -x'i"9 ,vr,f -, m 5-1 ? ir . Il, 1,111 , ' y1 a Imr43,a t vr est tente et hésitée, les phr
surtout'quànd'il''v''a''eù de grandes séries ou un état de mal ? ) .. ' -, t. - ...0 tnn .· ? < rr oq)-.r ? t avec a
et au " -rr. t ? », ,-o»,i lnan S. , ..lift. <>, Ml Ip nt,W ] ' ,t}tL. ., ttm îrmlü'ê 'dës âcès ; elle varie dé
ots sont abolies ou plutôt, suspendues..Mettez f'f)t')''tt'i't<t ' i -f.,o '.) ? ni/ ? )''i n 4 p.. ,.u.... ,un cr
es veux sur le papier et ainsi d,e,s,ûite;llter- ? -.' mi'iu M). . 11 ' `t4r 1 1' ? H" "' " '" " ' " ? - z llâtivëment.
ier et ainsi d,e,s,ûite;llter- ? -.' mi'iu M). . 11 ' `t4r 1 1' ? H" " ' " '" " ' " ? - z llâtivëment. >Jssaie-t-on d
et ainsi d,e,s,ûite;llter- ? -.' mi'iu M). . 11 ' `t4r 1 1' ? H" "' " ' " " ' " ? - z llâtivëment. >Jssaie-t-on de le
nsi d,e,s,ûite;llter- ? -.' mi'iu M). . 11 ' `t4r 1 1' ? H" "' " '" " ' " ? - z llâtivëment. >Jssaie-t-on de leur fa
intenant, quelle peut être la cause, immédiate de, ces acci- dents. ' ? z . On,ne;peut)évidemment pas,songer,ici à un
u début, et ayant secon- dairement''envahi les méninges crâniennes. ' ? ? ` - Or l'autopsie nous-amenait peu* de jour
nt porté seulement sur les organes thoraciques et abdomi- naux" J ? ' , ? ? ''> ? ' *" - naux. .t ? , . - . et'Là
nt sur les organes thoraciques et abdomi- naux" J ? ', ? ? ''> ? ' *" - naux. .t ? , . - . et'Là encore, la cong
t et autres défauts de - muta" tfAd : 7 ;i|PaiIi(« 1 ·ch·llltrfif »" ' » ? > ! >¥ dj i-.c .l'm.ii"» ? `.i rorbes' W
ils sont toujours exagérés après les crises épi- leptiques. Féré ' a démontré à l'aide du glosso-dynamètre, modifica
s différentes et qui en sont à des degrés divers de leur évolution. ' Au début l'hémiplégie est complète, mais les mo
TRANSITOIRE OBSERVEE AU COURS D'UNE PNEUMONIE GRIPPALE; l'av le 1) ' PAILIIAS (d'ilbi). Esp... 28 ans, maçon, sujet
présentent ni sucre, ni albumine. Mort dans la nuit du 3 au 4 mars. ' Cette observation, qui peut bien être rangée au
tion ci-dessous, intéressante à plus d'un titre, en sera la preuve. ' Le 21 octobre 1894, je fus appelé auprès de àl'
héréditaire. (British Médical Journal, 17 juillet). A. Marie.- , ' L. Névrite MULTiPLE chez l'enfant; par nZ.ICEE1.
e femme âgée de trente- neuf ans, morte à Charing Cross Hospital. " ' ' 388 .REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. . La moel
femme âgée de trente- neuf ans, morte à Charing Cross Hospital. " ' ' 388 .REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. . La moelle
soit 7,03, ont eu la paralysie générale. Eléments statistiques. - ' Conclusions : 1° La paralysie progressive, qui es
e l'écorce... Nous raconterions le fait et nous mettrions un point. ' J. Roubinovitcii. SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ
après avoir occupé une situation brillante dans les affaires, avait, ' par ses excès et sa débauche, réduit les siens
M. RITTI. Dans le cas indiqué par AI. Toulouze la comparaison 398 ' " SOCIÉTÉS SAVANTES. - n'est pas très exacte.'
Fontenay-sous-Bois, où il s'était retiré depuis plusieurs années. * ' Le Secrétaire général donne lecture du discours q
dans ces cas particuliers l'hyperthermie est due à la puerpéralité. ' M. CULERRE a fait à quelques épileptiques des i
meur, il n'était pas libre de prendre une détermination volontaire, ' les idées délirantes se succédaient en bataillo
BERE, l'assemblée adopte à l'unanimité la proposi- tion suivante : ' La Société psychiatrique de la province du Rhin
LEMAGNE. PREMIÈRE SESSION DE ZOPPOT. Séance du 30 juillet 1894. ' Pour se sentir les coudes, et échanger leurs idée
ceux que donnent les cultivateurs auxquels, -par cette raison, on ' BIBLIOGRAPHIE. 405 enlève des travailleurs; ils
uif en remplacement de M. BAR- Roux décédé (16 avril 1895). M. le D' ' BaessoN est nommé médecin- directeur de l'asile
GIE ASILES D'ALIÉNÉS. DES ÉLÉMENTS COMMUNS A TOUS LES QUARTIERS ' D'UN ASILE D'ALIÉNÉS ; Par le D' MARANDON DE MO
u mauvais. Il y aurait donc un grand intérêt, je crois, à établir ' Bourneville. Rapport sur la construction d'un cin
e celui de M. Laurel, qui fournit instantanément de l'eau chaude. ' ÉLÉMENTS COMMUNS. 425 5 malades. J'opinerai pou
oirs, l'autre, la décharge qui sera ainsi suscep- Ancemrs, t. XXIX. ' 28 434 asiles d'aliénés. tible d'avoir toute
aisse avec une cheminée d'appel où le tirage est entretenu par un ' La construction de ce quartier annexé à l'asile a
(B.) PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE ' ; Par le D' J. VOISIN, médecin de la Salpêtrièr
le siège de cette localisation apparente comme l'ont déjà montré ' Voir Archives de Neurologie, n°' 98, 99. DE l'i
e père. On peut se demander si les deux opinions ne sont pas con- ' P. Lucas. Traité philosophique et psychologique d
s maladies mentales. D'ailleurs, les expériences de Brown-Séquard ' et de Luciani 2 prouvent nettement cette transm
familles où l'on ne puisse trouver la moindre tare héréditaire 1 ' Brown-Séquard. - (Comptes rendus, mars 1882.) *
se félicite de n'être pas le fruit d'un ennuyeux devoir conjugal. ' P. Bert. Revue scient, de la République Française
Burlureaux. D ! C< ! OHM ! ? 'ee ? )cycop<M ? Ke,.E'p ? M;'e. ' H. Martin. Ann. inédico-psychol., 1879, v. I, p.
verse. On pourrait objecter que l'état saburral commence à dispa- ' Jules Voisin. Congrès de médecine mentale, La Roc
ue de la contraction mus- culaire produite par l'étincelle statique ' de M. Henry Bordier, pré- parateur de physique
sur la tension du pouls (Soc. franc. d'éiectroth., 17 mai 1894). ' Archives d'électricité médicale expérimentales et
(type Aran-Duchennel, 2 cas de paralysie périphérique du facial (a / ' ? '0 ! 'e), 1 de polynévrite chronique, 3 de né
eil à douches d'une part, soit d'autre part par un second jet d'eau, ' ou par celle qui baigne le sol de la cabine. Ce
tielle. La même observation est applicable au 6hazzg, etc., etc.; . ' 1 Archives, t. XXIX. 30 466 REVUE DE THÉRAPEU
éter- mination de l'origine des troubles nerveux réflexes; C . .' ' - ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 467 2° On ne peut
- mination de l'origine des troubles nerveux réflexes; C . .' ' - ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 467 2° On ne peut for
par A. SISITII. (Centralbl. f. Nervenheillc, XVII. 111 ? V. 1894.) ' La dipsomanie, la passion de l'ivrognerie, n'ex
Tuke se le rappellent, promettait d'être brillante. Plus tard le D' ' Tuke fixa sa résidence à Hauwell, où la proximi
des réunions sociales qu'il goûlait invariablement. 484 nécrologie. ' Il aimait à causer sur les choses de toutes sor
ux, ainsi que son influence sur : la « psychiatrie B anglaise. Le 1) ' Tuke avait une aptitude à un travail intellectu
les malades des asiles et ceux du dehors et fut un des auteurs de ' Aftercare », société de patronage pour les malade
me de l'internement précoce des aliénés dans les asiles. R. M. C. ' SOUSCRIPTION Pour le Monument J.-M. CHARCOT.
e musculaire clans la para- lysie générale progressive, par Hoche, ' 325 Aurowrlc.aTtov, par Freymuth, 333. S02 TA
ning et Jollye, 121. Choc moral chez les enfants, par Féré, 215, ' Chorée, agents provocateurs de la par Chauffa
l'aliénation mentale sur le molimeu -, par Sclioeffer, 393. · " ' ^^ 50$' TABLE DES MATIÈRES. OCÉPIIALIE, craniec
ation mentale sur le molimeu -, par Sclioeffer, 393. · "' ^^ 50$ ' TABLE DES MATIÈRES. OCÉPIIALIE, craniectomie po
9 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
ique. Nous rappelons que, dans notre étude sur la capsule interne ' , nous avons démontré les propositions sui- vant
les sont influencées par des altérations de voisinage. Toutes les ' La ligne fornicato-sylvienne s'étend du fond de l
comme dans l'autre cas, il survient une perte absolue de la parole, ' une aphasie permanente. En fait de lésions dire
e la thèse de M. Pitres (résumé). Aphasie. Lésion de la substance ' blanche avoisinant la troisième circonvolution du
oduisent dans leur descendance des affections céré- bro-spinales. ' L'hérédité directe des convulsions de l'enfance a
1861, p. 120. « Echeverria. On Epilepsy. New-York, 1870, p. 152. ' Gowers. - Epilepsy and other convulsive chronic d
près d'une affection cérébrale. Un cousin germain de la ligne 42 - ' ) PATHOLOGIE NERVEUSE. maternelle estné chétif,
ie, comme les convulsions sans forme déterminées et l'hystérie '. » ' D'autre part, si un certain nombre d'auteurs, e
ucune conclusion au point de vue de la pathogénie de l'éclampsie. ' R. Barnes. An address on pregnancy regkrded as on
e primipare éclamptique dont une soeur était épileptique. Chui-toii ' rapporte un cas de convulsions puerpérales chez
peut déterminer à elle seule l'apparition des attaques épileptiques ' , s'est accompagnée d'une recru- descence des ma
res contre la thèse que nous soutenons ; mais ils nous conduisent ' Le Ilolland. De l'influence de la grossesse sur l
la marche de l'hys- térie et de l'épilepsie. Thèse, 1879, p. 34. ' Hervé. De la chorée pendant la grossesse. Thèse,
qui les unissent aux différents membres de la famille névropathique ' . '. 1 Cli. Féré. - La fmi7ftf'uro/)< ! <
is frères étaient atteints. Aujourd'hui, nous possédons la relation ' d'un état analogue qui existe non plus en Améri
Dr Hammond JUMPING, LATAH, MYRIACHIT. 73 en rapporte des exemples ' d'après le témoignage d'officiers américains qu
nale aigué de l'enfance a pour origine des hémorrhagies primitives. ' 13. K. 11. Situation DE l'omoplate dans LES par
dent cinquante à soixante fois par minute. La parole et la dégluti- ' Archives de Neurologie, t. II, p. 242 ; t. VII, p
appétit, empêche l'infection de l'air. Il faut simplement veiller à ' V. A,chives de Neurologie, L. VI, l. 28li. Ht :
'rItIQUh : h : 1 Ud ? Isvl\ItK, en Suède et en VUR1') : GF. (Suite) ' ; Par le D CLAUS (de l'asile de Sachsenberâ).
S U11YJ'l'lsfilli. 131 - -'observateurs, notamment par M. P. Richer ' , nous au- torisent, en effet, à avancer qu'elle
cinctement dans le Progrès médical1, ressortiront d'une façon très ' nette des observations et des développe- ments
malade dit qu'elle voit une boule noire qui se'déroule; se déploie, ' va'et l vient. «La voyez-vous ? » s'écrie-t-ell
nt isolées des phénomènes convulsifs, après un intervalle de repos. ' ? , ' *- -»ij j Les accès épileptoïdes, loin de
lées des phénomènes convulsifs, après un intervalle de repos. ' ? , ' *- -»ij j Les accès épileptoïdes, loin de dimin
les souvent fort longues, mais-moins terrifiantes qu'au début. '' " ' f ~"'ï ? ? 7 ? : ··', Enfin, on observe encore
ues, mais-moins terrifiantes qu'au début. '' " ' f ~"'ï ? ? 7 ? : ·· ' , Enfin, on observe encore pendant quelques jour
temps*, la température n'appas cessé d'étre . normâle".i(1%ig · 3.) ' "-'* x .ï 77 2 - ..... 4d·t·, .7 .. , Examen de'
ps*, la température n'appas cessé d'étre . normâle".i(1%ig · 3.) '"- ' * x .ï 77 2 - ..... 4d·t·, .7 .. , Examen de' la
et un rétrécissement caractéristique du champ visuel de ce' côté ' ', - - , > . a . ' ? ? r.7· : ? d 1 Nous ne
et un rétrécissement caractéristique du champ visuel de ce' côté ' ' , - - , > . a . ' ? ? r.7· : ? d 1 Nous ne co
t caractéristique du champ visuel de ce' côté ' ', - - , > . a . ' ? ? r.7· : ? d 1 Nous ne connaissons pas d'obse
d'autre part, la nature hystérique non douteuse de ces accidents. ' En. ce qui concerne le premier fait, les détail
,* comme elle l'est aux convulsions à forme de grand accès comitial, ' si bien qu'on peut poser la règle suivante : -
nd accès comitial,' si bien qu'on peut poser la règle suivante : - " ' ? " '' En présence d'accidents convulsifs parti
21 mars 1881, elle vient pour la deuxième fois à la Salpétrière. " ' ' Description DES ACCIDENTS. - Elle a été obser
1 mars 1881, elle vient pour la deuxième fois à la Salpétrière. " ' ' Description DES ACCIDENTS. - Elle a été observé
les deux* dernières phases, les pupilles sont dilatées. 7*u ! ) s " ' ' iii "'l * Les accès ? constitués comme il 'vi
es deux* dernières phases, les pupilles sont dilatées. 7*u ! ) s "' ' iii "'l * Les accès ? constitués comme il 'vien
e dans tous, la connais- sancc'est éonsèrvée ? w· ? 1 ? a 3" it., ? ' ' ? ! "' ? 4 tA ' ' il t ) 1 ! . h "*)IV ? qi n
dans tous, la connais- sancc'est éonsèrvée ? w· ? 1 ? a 3" it., ? ' ' ? ! "' ? 4 tA ' ' il t ) 1 ! . h "*)IV ? qi n11
us, la connais- sancc'est éonsèrvée ? w· ? 1 ? a 3" it., ? ' ' ? ! " ' ? 4 tA ' ' il t ) 1 ! . h "*)IV ? qi n11 b (' f
ais- sancc'est éonsèrvée ? w· ? 1 ? a 3" it., ? ' ' ? ! "' ? 4 tA ' ' il t ) 1 ! . h "*)IV ? qi n11 b (' fSN1 ii 1E6P
s- sancc'est éonsèrvée ? w· ? 1 ? a 3" it., ? ' ' ? ! "' ? 4 tA ' ' il t ) 1 ! . h "*)IV ? qi n11 b (' fSN1 ii 1E6P "
a 3" it., ? ' ' ? ! "' ? 4 tA ' ' il t ) 1 ! . h "*)IV ? qi n11 b ( ' fSN1 ii 1E6P "n0 ru ' G. Variétés des acc< ?
' ? 4 tA ' ' il t ) 1 ! . h "*)IV ? qi n11 b (' fSN1 ii 1E6P "n0 ru ' G. Variétés des acc< ? s. -Les attaques'revê
Tig '4a'=r CoûrUés ilésâttâqué.s" êtdê lâ` témp5naf'ûre'cliez Fôisn ? ' ttfdàb UB rist B tuoi nonis ,aéa3p'b ''nsa tfii
' ttfdàb UB rist B tuoi nonis ,aéa3p'b ''nsa tfiirjtalo zautr . rat ' , DES ATTAQUES D'tIYSTEItIE. 147 qulemment dév
u des membres. Foisn... a aussi de nombreux vertiges. En août 1881, ' on compte 47 vertiges, en mai, 12le, en juin 38
- nrèle'at)tpla pointe du pied, de l'épilepsie spinale. Toutefois; ' les réflexes semblent plus forts à gauche qu'à dr
s para- lysées. rt2 .q ,[7 .1 e8gi .stçolo-tuV/l 9 xMtA-)- - «IUucO ' t ? teidfnon ju'nMCKB9)wKt)t)\ ? i.. us. i... /
noa > slbi 911p a ? Tms3nol afliom lnsi,fninm se site 9-liojie ' Cétie9s°ôbsërvâtibn est5" inteféssalite11 e à' pl
uesrde, fixer,l'attention. Ce qu'il importe ici de mettre en relief, ' c'est, d'une tpart, la ressemblance symp- tomat
r cas, - le gauche dans )etsecond) qu'elles s'y.limitent dans une ' ^certaine mesüre;rquenlatêteetlles yeux se tournen
.. survit après la formidable,série DES IRRADIATIONS CAPSULAIRES. 1 ' k t ,151 de 21,708 attaques, Foisn... succombé
s 9vs('z ParlfDITT,pJofesu lynorirelelv Faculté (le .Médecine, z ' ` de Bordeaw. é»'»"H aadjoqbi» dfl .9-id,qigrn
ITT,pJofesu lynorirelelv Faculté (le .Médecine, z ' ` de Bordeaw. é» ' »"H aadjoqbi» dfl .9-id,qigrn 89b 891aYlB'icq oh
elui de Littré; par contre, il descend davantage dans ce . ii, 'n ' ? t7tt'LIO.) dernier que dans le premier. , ? q
es moteurs, fi- 1 ive nombre de faisceaux capsu]aires l'héniiplég ' ' * n i ^ '. < ' J ' t ? ttOj Jf v'-i Vl est
moteurs, fi- 1 ive nombre de faisceaux capsu]aires l'héniiplég ' ' * n i ^ '. < ' J ' t ? ttOj Jf v'-i Vl est c
e nombre de faisceaux capsu]aires l'héniiplég ' ' * n i ^ '. < ' J ' t ? ttOj Jf v'-i Vl est complète. En bas, l
nombre de faisceaux capsu]aires l'héniiplég ' ' * n i ^ '. < ' J ' t ? ttOj Jf v'-i Vl est complète. En bas, le fo
eule 1 até- ral, par conséquent de cinq millimétrés seulement des ' l u UJ'Jl'.Ud irradiations capsulaires frontale
, i,l ? e-co"m" me une piece rdé trente sous, était au-dessus ... ' )rfR).<f[',fTi9,,fm Irr rhn. rr(t r9 t r 'n f
o"m" me une piece rdé trente sous, était au-dessus ... ')rfR).<f[ ' ,fTi9,,fm Irr rhn. rr(t r9 t r 'n f du ventricul
àyclïé.9 61 aasb 89èibfii 391d3 asb aanataixa non cl 9b 89ldfiiul ' '- HuUeHii rde la'Socinté'anntômiqTt ? de Pari ?
le fait de M. Oulmont, les irradiations cap- - ? 1 'Ip 'nn,....y h ( ' ·1 , - « , .11 et sulairei frontales extra-nucl
moitié, antérieure, de ,p ? r · rirt ? i-)fj,0j '...S l 1.9 * P, , ' lf)fl , t 89, ë.lMU la paroi externe du, ventri
été réellement en- vahi. : , >9·, · ,>, ,Iro . v · > ..., ' ,. j m' ,- f , . - . Il , . M ? 101> Notre
, encore un appui dans tes manifes- f .<> g' t ,T'. tel i . - ' Vu ? )' 1 - uill tations caractéristiques, des
un appui dans tes manifes- f .<> g' t ,T'. tel i . - ' Vu ? ) ' 1 - uill tations caractéristiques, des hémorrha
- uill tations caractéristiques, des hémorrha-ies du corps ? [ ? tf, ' ? R ? ? 1 ? ! d -; -'i < " I z strie et de l
une lésion de l'in- sula et l'intégrité de la troisième frontale. ' .H* i i sa L'aphasie par lésion insulaire n'est
qui les avait' recueillis'dé' 18G6' à : 9 8G8 : Dans' tous ces cas, ' la lésion1 cohs'\siail'dans\iri>'ramollissemer
nsul'a] Lës^'aulresiobsérvations/sontl de '- 1111 : 'L Charcot j (I) ' ,1 GornilIôrVi (IV) ,9Sabourinl (L)n Séjûin`(Il)
j ^sg ; r,a p peler. Je$. distance^ g\ii,,f danstJavpremièrâcZQtiei ' ^solgbjjrej^sppargi^yeSj^raT 160 ANATOMIE PATHOL
ent le^coude supérieur de la capsulé interné (section verticale).^ " ' ` ' . i fii. Ceci trouvera sa confirmation dans
le^coude supérieur de la capsulé interné (section verticale).^ "' ` ' . i fii. Ceci trouvera sa confirmation dans ce'
vera sa confirmation dans ce'qui nous reste a,exposer.)&) %x t. ' H^jV, » t*vm ? i4 d c ? ., DES IRRADIATIONS C.l
.lJdu`t ? 1. , 1 - - EllX9 z91strroa329`II&ItIZCIG 3ftf')huLoi ' 30)J i g'1oa/i Ol;scavaTlo : v 11 (Rochoux). -f
ans, les .n ? fT.;n) ? r.rt'c)ntr,. , li't'é"ral-,uii -p-c-ti )U); ) ' ( ! t ! ) ! tt,t les troisième 'et "iûtl`ièmé. A
é brune., 7f out le 101)elpptît, r.. n« ? rf')r')()<Hi ? 911w1;n ' '. ? J.4, t 6,')Jtt ? p t rieur gauche est rédu
perte de la' parole; ensuite, un ramollissement du lobe postérieur, ' causé de la perte de la vue et de l'ouïe. " 11
9 f .2° Lésions situées loin du bord externe du ventricule îo") . ' ' latéral. Sf- 931 Au fait de Dieulafoy (p. 1
f .2° Lésions situées loin du bord externe du ventricule îo") . ' ' latéral. Sf- 931 Au fait de Dieulafoy (p. 13)
tale droite. Dans les faits de Dieulafoy et de Hughlings-Jackson, ' le siège de la lésion est le même. Dans l'un comm
isceaux capsulai- y7rèswextrâ : rïucléairéV,r'et aphaie,épliémèe.1, ' llICn'i'ffTnO ri,i pf. It ., Irn-11 ? . /-t, f
f , . fir,,t,Dansle1faitiderrHughlings-Jackson, la' lésion s est ' )')ULt,jj, Jit.ih.tttfL attt ? j ? )Vi01)J)/numf3
, . fir,,t,Dansle1faitiderrHughlings-Jackson, la' lésion s est ') ' )ULt,jj, Jit.ih.tttfL attt ? j ? )Vi01)J)/numf3
nditions où s'est faite celle décrite dans l'observation de Dieu- ' '' , 1 t" "JU ' 3lï31n lafoy, n'amène des effet
est faite celle décrite dans l'observation de Dieu- ' '' , 1 t" "JU ' 3lï31n lafoy, n'amène des effets identiques à c
sur les, suivants, -dans lesquels, la compression ou la congestion, ' .peut- 'être'l'uile et l'autre,' ont'causé l'ap
s, la compression ou la congestion,' .peut- 'être'l'uile et l'autre, ' ont'causé l'aphasie. f- *'j0r oa - sd) lafilwii
réquence' peut ne dépendrei'que de3raisonspurei ment. secondaires : ' Ce qu,,i 1) nous- i ni porte) defeonstater ? c'
sous ce titre : Lésions localisées à l'insula. En voici le résumé ' : Observation (II). Foyer hémorrhagique gros co
; parole difficile; hoquet ; sensibilité générale obtuse. » <"" ' 1 . J It"'yji ! i a 'jjiai1 , Aurrir- hiv < '
ale obtuse. » <"" ' 1 . J It"'yji ! i a 'jjiai1 , Aurrir- hiv < ' , , 1 ''fn ? t i .'i .- . 'ttt ni1)' ,->^ "»
i a 'jjiai1 , Aurrir- hiv < ' , , 1 ''fn ? t i .'i .- . 'ttt ni1) ' ,->^ "» ''4 » ' 'Dans le but de luire mieux
r- hiv < ' , , 1 ''fn ? t i .'i .- . 'ttt ni1)' ,->^ "» ''4 » ' 'Dans le but de luire mieux saisir 1 importance
s18 le N troisième cas. Isolée, la première observation auraitétc ' 4 ' t-i(JO défavorable à l'activité du'district
le N troisième cas. Isolée, la première observation auraitétc ' 4 ' t-i(JO défavorable à l'activité du'district ins
onde; cee simple trouble de la parole n'eût fait place à une , .' ' . u/ 1 bjj " "" vu perte totale de cette facult
sé à affirmer que l'écorce de la troisième frontale, quelle qu'elle ' soit, ne renferme pas le centre de la parole, c
es. A savoir : la conservation r ·'il.lr, rrr ·T <trn ? J7'Tt Pi ' . 91 AdaW n 9'eOrc· 1 de la parole avec la dest
lle), il s'agit d'un athérome généralisé, d'ob- turations multiples, ' avec les circonstances suivantes rendues partic
ditl jusqu'àprésent. " . '' t ? ? , >> l · si -- > oui. , ' ju Hémisphère gauche : atrophie delà troisième
flim'isplaèle dioit : cramollisseméiStrMe`2Jcêntiinètrés9`detdiâ`=1 ' ^y^jâi^Ff^Çfti^SÎià'v10 tcentiiriètrejd'épaiss.eur
la parole. Déjà, DU DÉLIRE CHRONIQUE. 173 depuis 1879, M. Magnan ' n'accordait plus l'élément psychique au centre
n'csspoint susceptible de la moindre amelibra- tion. , - 't' " 1 ? ' , "" , -*«r ' t J -1 L étiologie du délire chro
sceptible de la moindre amelibra- tion. , - 't' " 1 ? ' , "" , -*«r ' t J -1 L étiologie du délire chronique. est^tou
hronique. est^tout entière dans,l'1 ér- dité; et; pour, cela' moine, ' souvent impossible à reconnaître,, la famille ?
famille ? les arents dissimuilant de leur, mieux, hij.tare qui .Y ' nnr r n'l.ofTl9 II W 'r,` yÏ r'u pèse sur eux :
aftik;js ! ) t)T ? h n ihrf, x Y ? t u ? lJ.i,r92tIS 2ritti1.9.'1 ' "Les idées de persécution surviennent et- avec eux
a période d'inquiétude, il est aisé V|Jé* . "" ., i , °l' t lljl ( ' ' - r ? ' ' , , , ,' Gérante. Thèse. `. » t) '
période d'inquiétude, il est aisé V|Jé* . "" ., i , °l' t lljl (' ' - r ? ' ' , , , ,' Gérante. Thèse. `. » t) ' -
d'inquiétude, il est aisé V|Jé* . "" ., i , °l' t lljl (' ' - r ? ' ' , , , ,' Gérante. Thèse. `. » t) ' - ? 9.f ?
inquiétude, il est aisé V|Jé* . "" ., i , °l' t lljl (' ' - r ? ' ' , , , ,' Gérante. Thèse. `. » t) ' - ? 9.f ? vh
il est aisé V|Jé* . "" ., i , °l' t lljl (' ' - r ? ' ' , , , , ' Gérante. Thèse. `. » t) ' - ? 9.f ? vh .,nl yJ,l6
., i , °l' t lljl (' ' - r ? ' ' , , , ,' Gérante. Thèse. `. » t) ' - ? 9.f ? vh .,nl yJ,l6(t v ' ? V ' ' i ' ' D
' ' , , , ,' Gérante. Thèse. `. » t) ' - ? 9.f ? vh .,nl yJ,l6(t v ' ? V ' ' i ' ' DU DELIRE CHRONIQUE. i 7 à la
, ,' Gérante. Thèse. `. » t) ' - ? 9.f ? vh .,nl yJ,l6(t v ' ? V ' ' i ' ' DU DELIRE CHRONIQUE. i 7 à la période
,' Gérante. Thèse. `. » t) ' - ? 9.f ? vh .,nl yJ,l6(t v ' ? V ' ' i ' ' DU DELIRE CHRONIQUE. i 7 à la période d
' Gérante. Thèse. `. » t) ' - ? 9.f ? vh .,nl yJ,l6(t v ' ? V ' ' i ' ' DU DELIRE CHRONIQUE. i 7 à la période de pe
Gérante. Thèse. `. » t) ' - ? 9.f ? vh .,nl yJ,l6(t v ' ? V ' ' i ' ' DU DELIRE CHRONIQUE. i 7 à la période de pers
déménager mon père. » Elle entend des voix, on fouille sa pensée. ' Elle reste en ce moment el la période de la persé
i on lui demande la signification de ces accouplements singu- liers, ' de ces mots dépourvus de signification, elle ne r
nsi que le prou- verait l'observation suivante : h , i f- j. ii . ' i , . Observation II. Clotilde D..., i^géc' de'
speî·sécüteiu's lui bouchent le rectum', ou lui, introduisant un '' ' ' 1 "" LizÏ'ailleiiL"ce conduit 'par l'électricit
eî·sécüteiu's lui bouchent le rectum', ou lui, introduisant un '' ' ' 1 "" LizÏ'ailleiiL"ce conduit 'par l'électricité
analogues' à celle'de l'accouchement; aussi, pour se défendre d'eu\ ' , elle avait imaginé de s'asseoir dans une marmi
sion dépourvue de signification. 41) `)W,iJ bJII91l91T9`I 91W111f % ' ...tt" ! df ? bfnr3 ? ) » ',Un,voit aussi .part
n. 41) `)W,iJ bJII91l91T9`I 91W111f % ' ...tt" ! df ? bfnr3 ? ) » ' ,Un,voit aussi .parties, .détails précédents que .
iaâe,.e,t,rest entrée dans les asiles en <8 ? poursuivie par des^ ' ennemis imaginaires' et.'des hallucinations. El
s. Elle n'est point, encore parvenue l'incohérence dans ses paroles, ' niais la transition ap.1 d eiili'e les idées qu'e
ii,iiur-` iluént déjà à l'état lat'enU/dissociàtion'r'^ ? ^ ^^b g ? ' , ! 11 nous, semble inulile;lde,râpp,ortere ilne
raissent comme des bouffées' d'idées ambitieuses et de' persé- .. - ' - ? ) i t.,u. ' r > lui 1 ilOc 3 . ut ütI011
es bouffées' d'idées ambitieuses et de' persé- .. - ' - ? ) i t.,u. ' r > lui 1 ilOc 3 . ut ütI011. l, 1 t.a ? t/J
(r"'I JII't , W ,j,[;119trp00 lf(1 t)nD.ltl9 9119 Ujl 9 : 'UI(1115 ' 'Tels olitt-les 'cas simples due délirei chroniqu
lyRéspâut"`Il's'aâit-'d'un homme1 épileptique/ âge de trente- si. £ ' ans)" 'avant eu'des'convulsions 'dân's`-son Ienl'
ente- si. £ ' ans)" 'avant eu'des'convulsions 'dân's`-son Ienl'ance; ' d'un caractère 'très' irritable ? Dans sa' jeun
voulait. Il y avait des gens en face et au-dessus de chez lui qui ' l'empêchaient de travailler ; il entendait des pe
ale : `Aux différentes phases d'inquiétude, per- sécution, ambition, ' l'épilepsie' imprime sa caractéristique, son ca
"s6n délire avec sa marche habituelle et l'automa- tisme en plus. " ' ' > r * Il ? t 1 d ., - Il 1. "»< T">-
6n délire avec sa marche habituelle et l'automa- tisme en plus. " ' ' > r * Il ? t 1 d ., - Il 1. "»< T">- ,
1. "»< T">- , . ? >, ."> ,r V), - vf· m ft. «-> -t ,, ' Cê'qûê;pt'ôduit l'épilepsie n.apliartient;guère
nique n ? »qv|i b-1 innfn',1 i ? « 1 ? an-l ..S ? 11l"'<1 . Ml . ' , . . ? tt se présente avec des caractères le's'
l'étude de l'aliénation mentale. j Iti- ,1 , lu. REVUE CRITIQUE , ' 1 1 14 LA SYNONYMIE DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉB
Par P. KÉRAVAI.. 1 Médecin-adjoint des asiles de la Seine, m, t, ' Quiconque fait des recherches dans la bibliogra
peut être utile dégrouper dans un seul mémoire les diverses , ` .f ' ( orr .<* ! Ida 9'U il « tiio.»--5 1 Leçons s
inivindungen des Menichen, ]31@iiilz;m@icl ISç3. '> 110 top, 'au ' .au O-* rtO -vnM» T ,'<'r ? t-' 182 ' REVUE
ISç3. '> 110 top, 'au ' .au O-* rtO -vnM» T ,'<'r ? t-' 182 ' REVUE CRITIQUE. expressions qui désignent telle
au lecteur, ou de lui expliquer certaines expressions peu communes. ' I. Face externe ET inférieure DE la convexité D
n de' T oilc de la ,spis- sure cle Slvius (Biscboll. 1-1 ? -, ? 1 1 ' . ? 1 Sans vouloir en suivre pas à pas le traje
bras duqucli-est l'opercule. Seliwall)e 1 en distingue un troisième, ' (très petit, qui constitue, en réalité, la conti
térieur horizontal. 2° La scissure de lîolando (heuret) : T : loi . ' Synonymie : Scissura di Rolando (Giâcomini) ; S
a transverse anlerior (Pansch) ; Posleroparielal sulcus (Huxley). ' ' ,t..t .jt)J. lu- 4* Nous insisterons sur les
transverse anlerior (Pansch) ; Posleroparielal sulcus (Huxley). ' ' ,t..t .jt)J. lu- 4* Nous insisterons sur les de
erse antérieure (cetverticale en' eût mieux stéréotypé les allures), ' encore' moins,1 celle, de postéro- pariétale, p
be pariétal. T Scissure perpendiculaire externe (Gratiolet)." 1 ? s ' Synonymie : Pars superior sive' latéral/s' fiss
-occi- ;)tM/<s' (Eeker) ; 0< ? poane<a/ fiss2t,e (Huxley); ' Fi»ssiti-e î)a- 21ét( ? Occipit'ale 'externe (T
II en 1 c);'Ff e;i 1 e's i' ? h iei ? ;i Oîp a lié (S li-Wal 1) e.) ' 1 1 1 l'n 4t1131 9( TRrr- ! il , for' ? (T9 ? °T(
éro-pos- térieures de ce sillon les épithètes de M/CMs /oH<<t« ' ) ! a/ ? He<«6', sulcus longiludinalis extemu
185 rejoindre ceux de la face convexe latérale, mais très souvent, ' dans la partie de substance nerveuse intermédia
i, première circonvolution temhoro-occyitalè, ou lobule fiisi forme; ' TO-2,' deuxième ' cinconvolntion ;. temporo-occ
onvolution temhoro-occyitalè, ou lobule fiisi forme;' TO-2,' deuxième ' cinconvolntion ;. temporo-occipitale, ou lobule
cinconvolntion ;. temporo-occipitale, ou lobuletlinaal. " '>0'1 ' ('"l'"b> .. ".\,.... 186 REVUE CRITIQUE. L
cinconvolntion ;. temporo-occipitale, ou lobuletlinaal. " '>0'1 ' ( ' "l'"b> .. ".\,.... 186 REVUE CRITIQUE. Le g
Siipe2,ioi frontal gyrus (Turner) ; Troisième frontale (Meynert). ' La dernière expression correspond à l'habitude pr
veux. Eilit. française de Relier et- Jlatliias- Dnval, Paris, 1875. ' 1) - 1 «. ,»». 18q REVUE CRITIQUE. dius sive
Deuxième ou moyenne du groupe des circonvolutions frontales. Zee ? ' oder mitllerer Stir·rzzvticdungsug (BischofF);
(ascendante. Monakow a commis cette faute (voy. Cuarcot'jet Pitres, ' Revue de médecine, 9883'). · , .. r .. t ..\ vr
us l'imiterons afin de ne rien oublier. Procédons de haut en bas. ' .mJ : fr a. Première circonvolution de passage
Première scissure occipitale longitudinale ou supérieure (Pozzi). " ' '" Svnonymie : Sulcus occipilalis superior (Eck
remière scissure occipitale longitudinale ou supérieure (Pozzi). "' ' " Svnonymie : Sulcus occipilalis superior (Ecker
(Pozzi). "' '" Svnonymie : Sulcus occipilalis superior (Ecker). ' ' . Elle continue, d'après Pozzi, la scissureji
(Pozzi). "' '" Svnonymie : Sulcus occipilalis superior (Ecker). ' ' . Elle continue, d'après Pozzi, la scissurejint
tior.cipitalisal·lorzgitudtiralis médius (Schwalbe). ">»-. ri- . ' ; ,'g. J2 uru 196 , REVUE CRITIQUE. Schwalbe
pe (BiscIiofT) ; Superior temporosphe- noidal convolution (Turner). ' " DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES. 197 Située
tion temporale (Broca). ... , Synonymie : Gyrus temporalis ! 'H/e ? ' ! 0 (Ecker); Gyrus tem- poralis tertz'2cs sive
- . 1 ? c , W n1 '1, ) ;r,'c ? . , . pose, en;zigszags morcelés : ' Dans^ce cas; la partie postérieure de.cette, sc
à part, comme on peut le voir dans une des figures de Richer p .1 ' ' 198 pu 2 ? . icrvus CRITIQUE. (hémisphère d
à part, comme on peut le voir dans une des figures de Richer p .1 ' ' 198 pu 2 ? . icrvus CRITIQUE. (hémisphère dro
ynert. Elle s'entre-croise parfois avec le deuxième sillon temporal, ' et constitue alors le fuî,cheeiconflitx de Jensen
onvolution occipitale; 03, troisième circonvo- lution occipitale. n ' e DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES. 199'') i te
: Gyrus occipito-tempoî-alis late7·alis (Pansch) ; 7M<eraMSse/'e) ' Rintei,hatiptsîvi ? zdu ? zgszug (Bischoff) ; Lob
ficier du vieil adage romain : « De minimi, non curât p ! 'a;<0 ! ' )', et ceux de ses collègues de France qui pourr
icier du vieil adage romain : « De minimi, non curât p ! 'a;<0 ! ') ' , et ceux de ses collègues de France qui pourron
sée et le tableau clinique de la para- lysie générale. - R. M. C. r ' ' XX. Sur les effets de H. fièvre typhoïde chez
e et le tableau clinique de la para- lysie générale. - R. M. C. r ' ' XX. Sur les effets de H. fièvre typhoïde chez l
per aux distractions et aux amu- sements du monde. extérieur. ».' t ' t R. 111. C..l a izs 1 ,; cn i-< ai ? i 1 ,1
aques peu'fréquentes ''depuis lrois*anç.*A>')plusièurs" reprisés, ' accidents pulmonaires à REVUE DE PATHOLOGIE MEN
ie... Le critérium grossier dont se contente la loi pour déterminer ' si un homme est ou non sain d'esprit, ce critér
forme, il ne faudi'ait'Iienmoins'assurément qüé la reconstitution - ' sur de nouvelles bases déboutes les prisons et de
e tous les asiles d'a- liénés ; mais nous ne sommes pas'du tout sûr, ' dit-il en terminant, qu'une reconstitution de c
ÉRiTE,rtA'vEc'rFoûÈ 1 : T APILSiE,'pal' BICIII't'd J 2. wnn I rrm I ' j >I1 ` f 7' p. '223.)' ' i Jo ,adouci x9dud
PILSiE,'pal' BICIII't'd J 2. wnn I rrm I ' j >I1 ` f 7' p. '223.) ' ' i Jo ,adouci x9dud7 ub ,9JLIüDfI9D2f 9JIWIb y
LSiE,'pal' BICIII't'd J 2. wnn I rrm I ' j >I1 ` f 7' p. '223.)' ' i Jo ,adouci x9dud7 ub ,9JLIüDfI9D2f 9JIWIb yl
rtént'surtoùt's'ur trbisspoihtsVl 2S0 sn'toaooo Jusoq srn3cPlou a.1 ' Le plus important' de'' ce's1'pbihts, c'est 1'i,i
issait']iée/à' aucune1 absence sôit1'd'idée,nsoit,'J d'intelligence; ' elle^ comprenait1' bien /ce1 qu'on'lui disâit;é
ique, ! ) une forme de^défectuôsité de la mémôirepâr incoordination, ' forme* dans' laquelle là malade' oublié 'les mo
s laT moelle' allongée,"ni dans la ré- « gibn cervicale delà moelle, ' bien que des coupes prises dans- ces- REVUE DE
fit du groupe ouïe réflexe, manque ? ;,«f fl r tr -'r·h /IIy h F7Jl ' JI I nl a .1 .yll I 1ï 1 "l'ilT4) . 4° Hémiparé
à des phénomènes convulsifs - la même. règle que les, deux symp- 1 ' ., JJlaJlJUJJI .I ? n.W LW n.f C, 7· ? . 1 .n. "m
-t-il là qu'une coïncidence, fortmte.)iqfn; ob jj3jà'i a ohnbcn Jz" ' "'s toi fil, 1 > r,l"7o H'.tMMnn< ! 0) :
9v 9t8 Incontialgiçeob'zcriate : En- considorantarensombles des cas, ' on trouve que, Ia,ma)propreté.ot longâtisme, le
souvent absente ou anaiblie dans le groupe où le' réflexe est nul. ' ? 1;EVUDEP1'HOLOG1H IL11 ? 1LE. 21 t -r^J ? i
1o° Tiwt des.vcux.par rapport cc .la .lumière. Dans les cas où le ' ? <« ii" , ? iii ! Hir-1 ? .'iiai'i'fi^» i ? v
e dillcrcnce marquée, entre les deux groupes. , , ? J11U JrJUV.nI a ' f, 1. 11 n. ` (a`. 1U1,.1 ;, ! ? o ao.uuo'cJ f :
I. UN CAS. UE, PAIlALYSlE.GÉNÉ)lALE,CUËZ,pNC,FKUMEpar, F< M.,Cp- ? ' O. ' Mil-, ,H -UJbi» "^ ? i/,Ii;111 cir ^J.*l . -
CAS. UE, PAIlALYSlE.GÉNÉ)lALE,CUËZ,pNC,FKUMEpar, F< M.,Cp- ? ' O. ' Mil-, ,H -UJbi» "^ ? i/,Ii;111 cir ^J.*l . -j.,1"
vv.vN. ( The Journal of mental Science, janvier 1884, p.S30.j ? - r` ' ,19 91w^ e^'ii ? 1 « r· 11(' "V^ ,")iw'\ ! 9n,\}'
l Science, janvier 1884, p.S30.j ? - r`' ,19 91w^ e^'ii ? 1 « r· 11( ' "V^ ,")iw'\ ! 9n,\}'piiMfC Observation, -1`inmè
ce parah tique. Le début remonte, a deux .ans; il y a, eu, une .p ? ' * '' ? ii 1 t , «mvififiiii.A m/ II'" 'i.lt-l 5>
de granulations..Juül3h Jici toAn'microscope; au Diicuidc» 'trouver, ' comme 'd'ordinâiré^desUé- sions'de la névroglie
observation est une femme'de'trenle-deux ansplmère de trois enfants, ' n'ayant éupanléi'ieurement''aucunoOnialadici|sé
a a, lieurdesremarquer ensuite l'ordre d'apparition des phénomènes; ' cet ordre, en elfet, n'cst',point'1celui'"que l
caractère capri- Viçux1, une excitabilité ! émotionnelle'' marquée, ' 'des manifestations 'hysteriques,des,'alterha.t
excilationcina- "niaque1. àvec"é"ma1ciatibnet'épuisein'ent extrêmes, ' et'qui présentait Jtoïïs les symptôni'es'pénibl
liriié0 persistante s-;auche a'vaispiKfuire . prévoir l'éventualité, ' l'existence délésions`cérébralésgraves'.devint
âniulli ? zriéntrouâ6`'érlvâliisiaif toute' la subslancctjcorticale ' des"dex tiërTa.htérieurs''d6 l'hémisphère droit e
lei lobe droit,quelqnes,l.3ïsteûde la grosseur d'unipois, contenant ' unej, substance, blanche, cireuse, colloïde. :
jo 31M'f .ibïmytt sq'mo ub solqonJ9qwI'I suas J ? 9 9HM8 r-ih-rcr- ' ' - XXVIH ? Uni C9SBESSEVBLA\T,ALA PAR1LYFIE gé
o 31M'f .ibïmytt sq'mo ub solqonJ9qwI'I suas J ? 9 9HM8 r-ih-rcr- ' ' - XXVIH ? Uni C9SBESSEVBLA\T,ALA PAR1LYFIE géné
ui)]esonIit;ii) a menace sa,,mère;,c est .ce qui a motive son în- , ' * - ,- ^ > ' 1 ,L , fternement. La parole est
a menace sa,,mère;,c est .ce qui a motive son în- , '* - ,- ^ > ' 1 ,L , fternement. La parole est épaisse ; i/ét
près normâleÿnlL9s p ? 9yr15'rf3tlhA xlJB,lfto'IÎ 2Jf101 It. M. G.J14 ' - 'it.«)jfta')H ? tni)iu/iM9;)na' ! affhAxnËJno
les.il -consulte divet'smédec}ns : Puis>ib : devient - irritable, ' émotifuet. sa 'mënloird ditiiinu6 ! iEtisuite s
tes'entendueslla nuit; conversations, id'ailléurs'tii'idilTéréhles , ' : critondues ? a dcsiidistancèsuinvraisom- htdM
tdMesi'etc;), auxqucf ! csuccodent de6)ha))ucinat.ions de.l'odorat. ' En même temps il iilairit;rs'afl'aihlit;`etfinalé
9b, un.iJroa. un, DJ79T l ètuooa JibJù'è fa9rnmoa fin.,ij 5. ")Jpqf ' )l 41uo : )àjfrj'k lflqffli-oa Voici -le résume
uatrp'mbis. Pupilles égales.1 Parole lente, parfois 'hésitante pour ' , U ? 1" 1 l,h ? n" P ? I', ,« ''fl.lil ? fj l'ri
paisse, com- prenant l'arachnoïde (pachyméningito). Adhérences 'sur, ' toute la surface des lobes frontaux. Adhérence
ot. Dépôts pigmentaires en divers points, notamment sur, Il - a, d' ' "r ? m' rè 11 au1nivéau de lior- zontale du fro
iv - A2ttopsiç ? ? jDure-mèe,fieile à détàclier ? àridroité,tmais)t ' a(ilié-1 rente, à.,gauch4,à l'arachnoïde; dont,
ide tellemeiitinaïve'queilai3simûlation,futl'aussitôtisLisl)ecLéê ? t* ' parlir de, ce moment illrefusaide) travailler;
5tn't u ni ancQ XXI11. De l'admission des^aliénés dans'les : asiles; ' parle' DrlLéo- iMna.M'\XÉîiER ? (Journal b ? Kr
' soit'1 soumise à l'éxa'h'ieiV d'un juge dé la' 'cdur' assisté1 dé ' "deux experts'/1 'il1 y au- raitrliëu ! '}fàr su
dé la' 'cdur' assisté1 dé '"deux experts'/1 'il1 y au- raitrliëu ! ' }fàr suié9dd'lf0'mmér dé`cottnrissàires sliéciâuxq
s'cha'nce's0 de1 guérison sônt''d'autint`plus^'sîtresque 1 rapide ! ' Il Il ini- 'porté' par ë,0,liséqil1e1lit i-, l'
parnûneL loi-' sévère. Ecosystème d'inspccliohr,'d5s asitcs"tct'fp) ' ! r'so1pratiquë"en' .`nleterre,'n'a jâniais méi
umtI1C1111Tf·.11ESSG ? ILWIr a6 'lt3JI'l 111 jfiifb ! (i lp z ni .') ' ) JfBvo h'up G'lf>l4b - n'to nnu lir;nei.,rts
sls1 -iab ™eb 89L ^o^FTFSl,,SV\fV^ANTR^ ? l "m&til ,H sa an ' )3 ciup amoi'jy V1^-1 "M i ? ? hJl./V1Jl i ^pjiiv.
iijfi) sn'un 93BiJ 9nu911BTolori Jfjoqon nn riflaa aqineJgnol 'Ml B ' ( 'i tio ? agrrçia 59f> 9")n9J>dr«'I n3no
1 7c.E1 · ! var rhna·.·io In 1ni m nr "r.. a,t ·II)IJG1'fiul2 f i ' Jii9 '^séânc'e'du 2G iiâi ? · PizG : ' ioçrcEn l1
· ! var rhna·.·io In 1ni m nr "r.. a,t ·II)IJG1'fiul2 f i ' Jii9 ' ^séânc'e'du 2G iiâi ? · PizG : ' ioçrcEn l11'rovii
r.. a,t ·II)IJG1'fiul2 f i ' Jii9 '^séânc'e'du 2G iiâi ? · PizG : ' ioçrcEn l11'roviiii ? f ' - Séa ? zce dit 26 m(
i ' Jii9 '^séânc'e'du 2G iiâi ? · PizG : ' ioçrcEn l11'roviiii ? f ' - Séa ? zce dit 26 m(iî .z;lUd9U z·nnnunsq DE r
'ux"de iaproChainc ! ]b)4o'ntdô'n'c pleinement justinës ? 7fh ! i 4 ' Im".91J r 94r111119 9JK.» ")' ! 9Vjin ! , J ·7l,f
ô'n'c pleinement justinës ? 7fh ! i 4 ' Im".91J r 94r111119 9JK.» ") ' ! 9Vjin ! , J ·7l,fllnt.7 1 t`i 91'tH' Lappucat
ucation des mesures édictées par la Jorsera, difficile. ;Qui 1(1,1= ' ,i;rr.ifll4, 79 9-1(1,1 il ,'< 1 9 l'7.I,I : II
e de policerll vaudrait mieux .n.'.... <>f)I,i(«n(,-l«viV. «u ' «, nj"') ->) .flf", 'y Wu,n. t'U'l my institu
licerll vaudrait mieux .n.'.... <>f)I,i(«n(,-l«viV. «u '«, nj" ' ) ->) .flf", 'y Wu,n. t'U'l my instituer des
? «. 1 pnT»1 ! lnfiir',iT->npi , pf) fi' , 'mm. 1W n ? W 1 ? > ' 1 ? .' mission centrale traitanl toutes les que
traitanl toutes les questions relatives aux a)oenes. - IIa1$· ^ ·`" ' W r n I (11 I IZ y11 W11 : 11 'ul ? t- .j-t ? .
r, il lr ( , '1 Il,. rl -I ? .'i>lii, lll.». h Ivr, 1. i-IHli rï ' ! faut itné santionr : ï7éur deçosious' c est l
tribunaux T trt |,(«i , niTir',10'1,,1 ,I fl 117JIr II,,IU).'1M ? I ' ( 17 tbn v fi', I <..1.1 u .qui seront en as
re, ou sera consigne tout ce qui aura trait au ma- ,'j'j' saVi-'ii- ' ? i iiiil'i in ? Ir I nl l' nll 1 mp·n'Im 'ii jiu
réellement maltraites, après une loiiffue "Ilài4l é --HiT.iii.i0.-» ' et' nnnutieuse information, une .ordonnance de
. « r.-11'Jit>1-jpm '.ivi'i'ii -l'i-y i ? ifj J ` 1 1 n I ...r- ,r ' habitant des dos hameaux écartes; e tes sont ex
de logement, de milieu rfrC'. [1 I ? ni5'Viiq',011ll -simili 1 n .n ' r.if t-311.y c tn 1 , , . u, ne s y, prêtant gu
du jour où il devient incommode ou dans'e- f ? t ? tt ? t <' 't)) ' ) ? t il iLt <T.) ? H'U3JULMJCt5.t. ['eux, on
t, et cela, pour une raison bien si ip ci c est quon non a pas 'H-}) ' .' è, ? 100,1 j, lqj 1,'Il ? U ? < ? H'J ! H.J
? < ? H'J ! H.J5tttJcLi.)Ut'J ? II" 01' ., ." «'il nn 1' '-9j, I, ' ]' fi'llll.l : i9+1llir; iii ,1,1 -J.IJw pour so
< ? H'J ! H.J5tttJcLi.)Ut'J ? II" 01' ., ." «'il nn 1' '-9j, I,'] ' fi'llll.l : i9+1llir; iii ,1,1 -J.IJw pour soi-
pour soi-même. On ne le couche ni mieux nt plus s 1 t -1,-n >« ' ] ? y ri ri ? ? t ? )>lli,il(, r- - .u J, t. JU
parce, qu il est une bouche, inutile, qu il, ne rapporte, s a nie- ' " ? i ! si =9l> T ? V'«.f I.TI ^-l..lll ' ,91-S
, ne rapporte, s a nie- '" ? i ! si =9l> T ? V'«.f I.TI ^-l..lll ' ,91-Sl -il n'.ii1 ', i .'ITOily I j. nage. Pour
ie- '" ? i ! si =9l> T ? V'«.f I.TI ^-l..lll ' ,91-Sl -il n'.ii1 ' , i .'ITOily I j. nage. Pour, ces infortunes, 1
ant assumer les frais d entretien ! Que vouiez-vous , «imuir : «n|^ ' ;n-"HtoO " liloo Pln'.J .. n ,3r- ,'>^,7rr, ,.j
li `dé .dire quels1 iiilérôls 'majeurs peuvent être di.. cn J ? u ' , lîRTo^n «mi in[ -1 1')qtjfftO''fTfdO ? .9' ! tJ'
e, ou' une femme mélancolique hvpochôudriaque, ou un, mari ateoo- ' i l lI`(J l' pt ' Ilw -·1 l)J Jm 1 pose cette p
mélancolique hvpochôudriaque, ou un, mari ateoo- ' i l lI`(J l' pt ' Ilw -·1 l)J Jm 1 pose cette premiere,queslion,
dôuté s[11 é, la11âtur( diiiinal, ,querC0, soit, réellement - ! W , ' L 'i 1 1 I J JJTI . i J ? ...r ? une. maladie,
, sa connance. a qui elte-dtt.sçs douleurs les plus intimes ? , Lui ' )Utt iJ ? J'J ? ? t.t.t,'Uiilt ? < ? ? S ? de
SOCIETES SAVANTES. 223 ! r)f ? h ? rt.Tf ? f-"f ? T ? fmj ? f'['n) ? = ' par le médecin de 1 administration ? Le père ne
.. vous donnerez une primée la"délalion1.-3''^" 9lll"1J11 -\^ ? 3"r" ' ? \ " <ct"'^ prm)a;détat ? % ? ? - llla;sj
z une primée la"délalion1.-3''^" 9lll"1J11 -\^ ? 3"r"' ? \ " <ct" ' ^ prm)a;détat ? % ? ? - llla;sje me trompe l'T
ellé I v r n ? (fl.f ,,< S ,[, qh ni'fli.r.. '. ,. 0/1 .USI-'l'l ' ,P ? (( i' ? 1 r est oriénlec, si elle a le euge
euge d'air indiqué dans les, livres d'hy giène lësrplus" récents ? ' conlrûlefa-t'-il Je's'prescriptidus du'iiiê- de
r ? 1'™1 "^» 4'lJy ? J< ? < J tJuJJJ7tJm u.ilfS h- r ir,,n.-r ' ,·rir,t r.'lnr° v6 ? 2 ·t 31( . Je crois que le
ii'pût'y'ûtro deroB'àjn'61ng.3'un"intérût'sup6- ... ? Ài ,.a i'\ ., ' . ? ? f<°f<-) ? )f( I,' ? lll.'ll'l rieur
'un"intérût'sup6- ... ? Ài ,.a i'\ ., ' . ? ? f<°f<-) ? )f( I, ' ? lll.'ll'l rieur, suffisant pour motiver la dé
est- notre sollici- tude'1,1' pour quoi' Jaf bornéV à'I'iiliéiié' ? ' Ce que1 vous" craignez1 pour i ! ..ii'- j '' i
fq'uélnmàla'dc1.1 En est-il 'uïr sb'ulJqûi"s.bit assure 'de garder ' sa" vigueur' intellectuelle, son énergie morale;
uéyrdc'paréiU'sJdvôüéstét lerets, et qui ne soit jamais entouré que ' de parents, dévoues et désintéressés ? Pour êtr
'vons demandiez dbs inspections dans un"c'as'conimc dans l'autre1 : ' Notezj'd'ailleurs, que1 si'votrc ? Joi forcémen
t, pour ces familles, votre loi sera v'éx'atbirc^insupp'orlibléT1™1 ' ' oi t rf 'nJVU 1119r1 ll Irlr a'f 9111,J1S9 Il
pour ces familles, votre loi sera v'éx'atbirc^insupp'orlibléT1™1 ' ' oi t rf 'nJVU 1119r1 ll Irlr a'f 9111,J1S9 Il m
la mauvaise fortune^et dont elles voyaient avec désespoir sdmb'rë ! ' l'iiitëlliâéûce'$RiciW 'avait ja- mais pu les r
ue d'abandonner leurs enfants, voilà ce qui excite votre méfiance ! ' ' Reste un dernier argument : la législation qu
d'abandonner leurs enfants, voilà ce qui excite votre méfiance ! ' ' Reste un dernier argument : la législation qui
ité, nilapossi- bilité de son introduction chez nous. · - ^a W'fo ' ' '' , Marcel Biuand. - "9 MulO 'y il ? t"-1 "
é, nilapossi- bilité de son introduction chez nous. · - ^a W'fo ' ' '' , Marcel Biuand. - "9 MulO 'y il ? t"-1 " '
ous. · - ^a W'fo ' ' '' , Marcel Biuand. - "9 MulO 'y il ? t"-1 " ' -. ,M.mtiJUi; .,oi '. , . ùri»«,r'i,r. .. , .Ir
il ? t"-1 " ' -. ,M.mtiJUi; .,oi '. , . ùri»«,r'i,r. .. , .Irl.rf ^ ' ? nie onr. F , obfhoi 1 1 , ,jinG'd8 9 T2W i 1
' ? nie onr. F , obfhoi 1 1 , ,jinG'd8 9 T2W i 1 1, I' .Illlt ? 1 ' ' -j 21Jlt f10 acq 1 ? it CONGRÈS DES NATURALIS
? nie onr. F , obfhoi 1 1 , ,jinG'd8 9 T2W i 1 1, I' .Illlt ? 1 ' ' -j 21Jlt f10 acq 1 ? it CONGRÈS DES NATURALISTE
S NATURALISTES ET MÉDECINS ALLEMANDS ? ? 1 , 1 1 i a - "*r* ? " )f, ' ! ' « . 13. , SLsiotg uc lmuouuc -1333. ? . yel
TURALISTES ET MÉDECINS ALLEMANDS ? ? 1 , 1 1 i a - "*r* ? " )f, ' ! ' « . 13. , SLsiotg uc lmuouuc -1333. ? . yel (
' ! ' « . 13. , SLsiotg uc lmuouuc -1333. ? . yel (il ,1 (, ! ),( ' ' . `2' , ' '» rT<I ''h/ Section de psychiat
! ' « . 13. , SLsiotg uc lmuouuc -1333. ? . yel (il ,1 (, ! ),(' ' . `2' , ' '» rT<I ''h/ Section de psychiatri
13. , SLsiotg uc lmuouuc -1333. ? . yel (il ,1 (, ! ),(' ' . `2' , ' '» rT<I ''h/ Section de psychiatrie et neuro
3. , SLsiotg uc lmuouuc -1333. ? . yel (il ,1 (, ! ),(' ' . `2' , ' ' » rT<I ''h/ Section de psychiatrie et neurolo
l'exposition d'hygiène de Berlin portent celle' année préjudice au ' , VI -jh 'oy..4rclurcs de Neurologie, t. VIII,
udice au ' , VI -jh 'oy..4rclurcs de Neurologie, t. VIII, p. 339. ' - SOCIÉTÉS j SAVANTES..22o congrès des natura
près , 1 1 r. iuiq j ? j J f , lvlj, 11 , il 9l nç"- 'sue» tu in n · ' inl, J09" : sq 'ai...hïc'0 ? ,1(. ^n^-uoiq 9lli-j
1, 3 `11W ytt·I,l J'· ((0(1 t(tIYltUi, ! (·l,(`.i`\I11 In ua.i^'Ti. ' 9 in >f> »>ti '>)«.,> ar"t e·()
) ? )=iItliSIDEnGE DE.11L`Jor.Lr (de Strasbourg).1 ! itn ? lu;> , ' (J;1f38 8(xz.f ? 97J(1. > «*<xi~«-' ? j ?
ourg).1 ! itn ? lu;> ,'(J;1f38 8(xz.f ? 97J(1. > «*<xi~«- ' ? j ? 1 i >.1 t (U 1·v 1,(y=p, i.a . 1(ty. ? t
emps prolongésjreprésentés presque .absolument par de l'eau-de-vie; ' - = 4° L'alcoolisme chronique possède différent
parfois même impbssibie'quan'd le`temps d'observation est limité; ' "6° Ce diagnostic repose avant tout'sur ]es élémen
sons sont'parfois'complètes; mais* dans 'l'immense majorité des cas, ' élles'sont défeeLûeues; 9n917'sqxy 's.l 'u5 - r
encéphalile''diffuse7 l'alcoolisme chro niquétljprocède 8plut0l' de ' `tuôublës'1 locüï °dul'sj·sténie' `ïzéivëûâ cen
iel générale,1 engendrent. des forriies 'mixtes.' Règle1 gé- nérale, ' la paralysie générale"alcb6lique a1 une' évolutio
u'alôrs il s'agissaitfnoiï plus'd'unc évolution chronique ordinaire, ' mais d'une marche aiguë et souvent' sur'aigûë con
'lêôôlisnié chrônifluê`l5rôlpitr uri'1 tàblèau^'clinique1 semblable* ' à' céln7desl'a ? paralv'siè"génér'àle ? qù'b'if
être tenu pour'umdes éléments eliologiqubs délapara- Iysie'gcnérà)e, ' il en "existé 'encore, ePi]s'sei'aiei)t''asez"fre
duçtion, c'est-à-dire en ;a,liantcd|u, général aii|P,ar,r ticulier ; ' ce mécanisme s^r'ait^djx.^fojs .plus fréquent^que
quçncgSjdQ P^A'îïl lié o^i^'af^r1 4 11 ;'C i^î^fY é e.s '> -0e l ' ^5î P L»i' «%> Ç P ijf> n\e. r ik b§ ci s e
révation est - 1'l., . ... , Inilliarui-. ? >' ilij,ii<-.t«i - ' ! - , 11141-k - Pgu ? ' tre 1 iiioiiis accusée,
.. , Inilliarui-. ? >' ilij,ii<-.t«i -' ! - , 11141-k - Pgu ? ' tre 1 iiioiiis accusée,que par ,1 ether,, cause d
et agent est celui = qui, procède. de, consonnanceset.d'habitudes.' ' Différences indi- ividuelles.lLa. fréquence .,
'points de repéré aTappui d'une appréciation scientifique exacte) ? ' ^ ''^ n'P'%fBu"l ? 0 ? M. Kirn (dé Fribburg). Su
les doses exagérées, longtemps-prolongées^ de] nicotine, d'ergotine ' , de morphine, d'alcôol.`On' a'àussisiôalé'3rüiie
t' du* chloral, elle n'a jamais 'été"1 décrite avânt'111 : 'ICiiw : ' Voici' l'observation. - Un^hoTrinie* do trente-
m amaigri sseme.nl, progressif,, ,dutenesmo vesical , des douleurs " ' "".«" i-Oij "\ ,li..."1l> Rii « 'H. r1) ? . |l
insomnie, ^de l'affaiblissement des facultés, morales, de l'aboulie, ' de l'agitation p'svchique.' Le'4' 4',jyillét (â
uirsuivent," agitation J-jJf1311.I'inij ? i ? > .i» ? mA ,... 10 ' *' itr ? 1 " ? -- 1. j r excessive, hallucinati
suivent," agitation J-jJf1311.I'inij ? i ? > .i» ? mA ,... 10 ' * ' itr ? 1 " ? -- 1. j r excessive, hallucinations
ue de la céphalée et des bourdonnements d'oreilles. A la fiu d'août) ' reparaissent les accès d'asthme sans qu'il y ai
sropiniillrérrient51^^ les pértiirbations'somatiques ont'rétrocédé ; ' )o'patient'a'regagne - Ji lcilô^'S3'=`'I : ës`na
phénôinénésr(périddé'Té1'acmé corresporidaut alla suppression Me ' ;J 'excitant acctbùtiimé)'Jqii'en"ce quicuncernê.l
; alorsi ? ippàraifHun' nouveau) tahieau''morbide 9 (hallucinations) ' agitation)', créé,pir·l'liypérémie.'I1 faut ensui
ppàraifHun' nouveau) tahieau''morbide 9 (hallucinations)' agitation) ' , créé,pir·l'liypérémie.'I1 faut ensuite un "i'c
du 9,slu,ço'RL Pas P.u$,aé : 9' Ltég qr t riûo-lâ sÿ PI ? ,r,gs i°n ' Il se demande si les phénomènes pathologiques s
e, supprimer brutalement le chloral, on avait lelrocede lentement. " ' ? ? sociétés savantes. 231 < ' aT 1 V/8 ?
on avait lelrocede lentement. "' ? ? sociétés savantes. 231 < ' aT 1 V/8 ? L4T : 11')OP 0 £ O M. Fischer, en em
très longtemps, chez les agités) "de'très'hautes"doses" de i .1 z ' ^a»\\"' r I 2nr,b r·nnsrn·,rrr,f de dommages sem
ngtemps, chez les agités) "de'très'hautes"doses" de i .1 z '^a»\\" ' r I 2nr,b r·nnsrn·,rrr,f de dommages semlrlable
ses observations. particulières ? «i )uod ut, ïinst nu ? r rn 9JJc ' 1T1 1T - jiil 9;. n-ii1r.11l(l J J.1 ah rOllr ? )
JJc ' 1T1 1T - jiil 9;. n-ii1r.11l(l J J.1 ah rOllr ? ) W 11 ,. , ' nL 9t TII . ntr 1-r9n k ,'r " ? ), Piufn ,I ? nih
« ? hn Séance du 20. septembre 1883. , ium '' ? J , 931 « n" ? .« ! ' r,q , ", "U pr e7mmu ri .Jmrn·,naW'ruorl ' 'f 3
? J , 931 « n" ? .« ! ' r,q , ", "U pr e7mmu ri .Jmrn·,naW'ruorl ' 'f 3rron -'L"4" j;. , ? , ? «nif[lê /, ? «, , Pré
''définitivement démontrée.- z a,l : rarl t - sio*>91.)Ps(l ? Bq ' Dtscussi'e ? M.'JoLLY.' Les cas d'h'émiatrophie f
mpell. Déjà, dans sa monographie sur la paralysie spinale infantile, ' il a·e1 supposé l'infection. Il a à son actif l
saturnine s'explique par ce fait qu'au fond c'est le domaine 'du59 ' radial qui se trouve atteint ? or, dans la para
ij''i9t sur les «<t'op/tte.s co)'<<(;s, avec pteces 1 Il « ' Les expériences, t ont été'pratiquées chez dos'
rt f'atropbieado;)a. sphÈrenvisueHe ? d'autre part, pai'ciesi'memes ' phénomènes que.lorsqu'onia enlevé cette sphère
ntre les altérations de Monakow et la lésion des tractus sensibles. ' . ! - Séance du 21 septembre 1883. Présidence d
Giërkél èt Ranvier. 1 Voy. les Archiies'dé* Neurologie1, t ! YU)'p] ' 367 : 2sa's\· yoV 1 - «., t. VII, p. 365. ^ M
organisés qui ? rigoureusement, sont en rapport avec les' parois ' vâsculaires. Comme on ne. saurait parler de cellu
t, clair. Quant H l'anatomie pathologique de,iencéphatito chronique, ' les f préparations,' discussions et analyses de
natomie pathologique de,iencéphatito chronique,' les f préparations, ' discussions et analyses deMendel entraincnt t'ass
esTibres^itcs.rtangentielles dans le cerveau de para- ilytique's .. ' '- Ji; .0 .1 - d 1 atis 1, -1.1 1 e cerveau r Jt
pécialement lest épilez tiques et les criminels. Mais la régularité ' et la9.forme du corps n'ont souvent rien à voir
iOSO'1 s1 Sw 1 Archives de Neurologie, * t. VI, p. 449. " J , M) ' t Voy. Revues analytiques dans les Archives de
bres du congrès. On lui donne pleins pouvoirs à cet effet, - ivibnt ' = ni 1*10) 9 ' 9b * ' é ,taoiinoc ? ' " ," T '
. On lui donne pleins pouvoirs à cet effet, - ivibnt ' = ni 1*10) 9 ' 9b * ' é ,taoiinoc ? ' " ," T ' ' br : 1 Voy.
i donne pleins pouvoirs à cet effet, - ivibnt ' = ni 1*10) 9 ' 9b * ' é ,taoiinoc ? ' " ," T ' ' br : 1 Voy. A2-ch.
voirs à cet effet, - ivibnt ' = ni 1*10) 9 ' 9b * ' é ,taoiinoc ? ' " ," T ' ' br : 1 Voy. A2-ch.de'Aleizi-ologie,
et effet, - ivibnt ' = ni 1*10) 9 ' 9b * ' é ,taoiinoc ? ' " ," T ' ' br : 1 Voy. A2-ch.de'Aleizi-ologie, t. V, p.
effet, - ivibnt ' = ni 1*10) 9 ' 9b * ' é ,taoiinoc ? ' " ," T ' ' br : 1 Voy. A2-ch.de'Aleizi-ologie, t. V, p. 3G
3 Voy. Arch. de Neurologie, t. VI, p. 143. i /d., t. VII, 11. 359. ' " V * ! 0' ' . i^ ' 1238 SOCIÉTÉS SAVANTES.
e Neurologie, t. VI, p. 143. i /d., t. VII, 11. 359. ' " V * ! 0' ' . i^ ' 1238 SOCIÉTÉS SAVANTES. Séance du 13 j
logie, t. VI, p. 143. i /d., t. VII, 11. 359. ' " V * ! 0' ' . i^ ' 1238 SOCIÉTÉS SAVANTES. Séance du 13 juin 188
ision sera effectuée par deux des membres présents à chaque séance. ' On procède au choix du bureau. Par acclamations
février^ avril, juin. La discus- sion soulevée aboutit à un rejet. ' , " «' - '-j z M. Oppenheiu lit un long mémoire
r^ avril, juin. La discus- sion soulevée aboutit à un rejet. ' , " « ' - '-j z M. Oppenheiu lit un long mémoire sur l'
uche Sourit, 1 idée douloureuse est interrompue par unielïensée f " ' Ï-i' i 1 ce moment qu' il lie réçonfo'rtânt'c ?
: compagne d'aucune expression de la face qui levasse soup'çonne'r" ' généralement^ il représente non pas une impulsi
pose de diagnostiquer, à son aide, les sentiments intimes du sujet. ' (Mil el regard. L'expression brillante et lumin
uscitera des recherches de la part des autorités scientifiques..« ' "Le temps étant mesuré, la discussion est écartée,
t mesuré, la discussion est écartée, b.n '. n t 111. K\HL))\UM.SM) ' les affections nerveuses et mentales de la jeun
heures de la matinée sont consacrées à l'ensei- gnement psychique. ' u sh Entre chaque heure, on intercale une pause
s exercices, des jeux, des chants; Deux par des travaux horticoles. ' Les professeurs de science sont encore chargés
on, ne pourra parler plus de dix minutes. Cette motion est adoptée. ' La séance close, on visite l'exposition d'hygiè
, on visite l'exposition d'hygiène. (A ? Zeitsrhr. Psych., XL, ri.) ' P. ICéhaval. 2'lG SOCIÉTÉS SAVANTES. Jrn,i ?
' P. ICéhaval. 2'lG SOCIÉTÉS SAVANTES. Jrn,i ? . uyrrtyrr,1 t - ' , ')i OCl);Tl ? D1 ? PSYCHIATRIE ET MALADIES NER
ICéhaval. 2'lG SOCIÉTÉS SAVANTES. Jrn,i ? . uyrrtyrr,1 t - ', ' )i OCl);Tl ? D1 ? PSYCHIATRIE ET MALADIES NERVEUSE
' - o2nl· : n; ,·mlmo , tt-7 ,3lr mn,n . , ,, . objt Ifllllr- ' IJt(1 1` ? Itlf n , . o ? 'Le bureau et les c
tions numériques intéressantes, il continuera5 ses recherches. "w s ' ^ 1> ? » ? J M. fait sur le faisceau solitai
taire une communication ap- Or- M ,1 il-i-IMl ..y t : u·, , , , ,, ) ' ' Voy..ArcA. le ? Nleti -0 lofl ie, t. VI, p. 7
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olitaire ? or, ils n'ont certainement aucune relation avec celui-ci, ' ils montent plus haut que ce dernier, sans que
ii'i Séance du 12 mnrs,lSS3 ? lPrésidence,de.lf. \lESlen.lL ? r,r ' ' ? .............. r-"p,.1 0| ? ? ^ , ,, , ^f l^
'i Séance du 12 mnrs,lSS3 ? lPrésidence,de.lf. \lESlen.lL ? r,r ' ' ? .............. r-"p,.1 0| ? ? ^ , ,, , ^f l^
nclut à l'existence d'un ramollissement inflammatoire; le pourtour,) ' du foyer, très vasculaire et très injecté, est,
ection en foyer toutspeciate, dontt'origine'premiere -i-i i* i " i. ' ? <^rtai.-irii .^i était une Leinorrliasrie.
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unesse, se sentait irrésistiblement attiré vers le seae mas- culin. ' ' ^1,} ", ' , Jwl1 .n i Discussion ? , , jazz
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tait irrésistiblement attiré vers le seae mas- culin. ' ' ^1,} ", ' , Jwl1 .n i Discussion ? , , jazz M. \\'na'l'
le; contre l'anomalie psychique, il ii'y a pas de remède. Séance du ' avril 1883. Présidence de M. V'naTnuw.. M. Koht
hénomènes observés pendant la vie de l'élat'nécroscopirlue décrit'. ' -1' ? ! " ' M.'Mi-xDtl traité ; De la 1 (1 ? '(
servés pendant la vie de l'élat'nécroscopirlue décrit'. ' -1' ? ! " ' M.'Mi-xDtl traité ; De la 1 (1 ? '(11101tl seco
roscopirlue décrit'. ' -1' ? ! " ' M.'Mi-xDtl traité ; De la 1 (1 ? ' (11101tl secondaire'' Le mot grec ttkok- Joi«, s
ntateur à même d'évaluer la force du courant en unités absolues.^,, ' ,' ....J^b "r,qm ? ^ ? ^ 1 1 1 ')fitlij, ul, ,t
teur à même d'évaluer la force du courant en unités absolues.^,, ' , ' ....J^b "r,qm ? ^ ? ^ 1 1 1 ')fitlij, ul, ,t :
u courant en unités absolues.^,, ' ,' ....J^b "r,qm ? ^ ? ^ 1 1 1 ' )fitlij, ul, ,t : , si li il) ·mr.J 252 SOCIÉTÉS
le D CL.US (de l'asUe de SachscnuerDl. II. Hôpital CoM)'t<6<') ' de Slochliolm. Médecin en chef : pro- fesseur O
prix de pen- sion déjà indiqués. . L'établissement occupe, dans [ ' ! le do Kungshoim, sur le lac nue hauteur. On l
lément dans le bassin. Or, il y a longtemps que nous avons démontré ' que la disposition anatomique invoquée par Lefebv
èce morbide distincte,- mais une variété de la migraine vulgaire. - ' Les preuves de cette identité sont : l'identité
sformation de l'une et l'autre formes par transmission héréditaire. ' " On doit regarder comme migraines oplitbalmique
formes d'aliénation mentales; par iVnc.». (Thèse de Paris, 1884.) ' Quelques considérations sur le traitement du goit
de 47 pages. Loudon, t88 ? II. K. Lewis- 136, 6uwel street. W.-C. ' Boukxevillc, Boorteu, Borrvame, Leflaive et Z Rec
medico chirurgica di Napoli. Napoli, 188 Tipograha F. Dis- cops. ' . Le rédacteur-gérant, BOUIINCVILLE. lieux, Ch.
ble rétrécissement très accusé du champ visuel (Fig. 8, 8, a et b). ' . , 280 CLINIQUE NERVEUSE. III. Points doulou
oit un téf.misme; -e, Cow ulsions cloniqucsdes mêmes muscles; -a' b ' , Muscles de l',m.mt-br : m gnwlic au lepos; L', '
es muscles; -a' b ', Muscles de l',m.mt-br : m gnwlic au lepos; L', ' , Ces muscles entrent en contr,iclou en G ', alo
: m gnwlic au lepos; L', ', Ces muscles entrent en contr,iclou en G ' , alors que ceux du droit sont déjà convulsés depu
nd en larmes, gémit quelques instants et est 292 CLINIQUE NERVEUSE. ' prise aussitôt après d'un fou rire. » N'est-ce
ans, a fait l'objet d'une communication à la Société de bio- logie ' , intitulée : Contribution à l'étude des localisat
tions frontale et pariétale ascendantes et le lobule paracentral 2 ' Séance du 5 janvier 1876 (Gaz. i ? zéd., 1876, p.
, il est presque toujours malade ; bronchite et catarrhe pulmonaire ' : épistaxis fréquentes depuis deux ans; un peu
ours le temps de s'asseoir avant l'accès. 300 RECUEIL DE FAITS. ' Description de l'accès. Si l'accès n'a pu être ar
r l'avant-bras. 11 existe une tendance delà main à se contracture ! ' en flexion dans tbutes les parties, ten- dance
ssion marquée com- blée par la pie-mère infiltrée (pseudo-kyste). ' ! rois coupes verticales pratiquées sur la lésion
.- Face interne. Hémisphère gauche. 1, sillon de Rolando ; 2, scis- ' sure fronto-pariétale interne; 3, scissure callos
ncontre : a. En avant, la première circonvolution frontale interne. ' Synonymie : Second pli ou pli de la zone extern
Archives de Neurologie, Congrès des Naturalistes, t. VIII, p. 233. ' Voy. Archives de Neurologie, VI, p. 403, et Progr
s ou moins complète de la dégénérescence. La dernière observation ' Voy. Congrès de Bade du 11 juin 1882. Archives de
et sil'étude microscopique de l'hypoglosse gauche a été effectuée. ' M. SÉKATOR pense que les fibres de l'oculomoteu
la durée de la maladie a-t-elle été trop courte pour qu'il se soit ' V. Archives de Neurologie, t. VIII, p. 246. 2 N
n graduelle ou rapide (dès les vingt-quatre heures ultérieures '388 ' BIBLIOGRAPHIE. du champ visuelqui revient à la
l'asile de la Roche-Gandon (Mayenne), en remplacement de M. le 1) ' REVERCHON. nommé directeur-médecin de l'asile de
ébral dtsease. Brochure in-8" de 53 pages. New-York, 1881. 1'hc z o/ ' the médical sciences. Grasset (J.). Des rappo
Hcester- mann, 95. Acétal, 383. Acoustique (noyau externe de ! ' ), 9. Admission des aliénés dans les asiles,
ransversale de ce faisceau. 3, Noyau caudé. hâves de Neurologie . ' T. VIII . PI . I Archives de Neurologie T VIII
mées par l'extrémité interne des faisceaux de la cap- sule interne. ' ' g, Gyrus fornicatus ou circonvolution du corp
es par l'extrémité interne des faisceaux de la cap- sule interne. ' ' g, Gyrus fornicatus ou circonvolution du corps
. 408 EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE V C i, Capsnle interne. ' C op, Couche optique. F S, Ligne fornicato-sy
dimension. ! mrm il 1 11, 11 I m - 11&4. Archives de Neurologie ' T. VIII. PI IX. ,l 1. eu-ba litli ImP Becquet i
10 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
nsidérables, de même que l'impotence fonctionnelle s'est accentuée. ' Les membres inférieurs sont contracturés dans l
s mouvements fibrillaires au niveau des deltoïdes et des pectoraux. ' Les réflexes tendineux au niveau du poignet (fa
du trapèze, du rhomboïde et des mucles de l'épaule en général '. ' Quant à la face, les rides du front sont prononcé
de nombre, c'est à peine si on parvient à en trouver quelques-unes. ' La pariétale ascendante gauche au niveau du lob
. Dans le court fléchisseur des orteils droits, la striation a en ' grande partie disparu : granulations graisseuses,
volumineuses, aussi belles qu'à l'état nor- Archives, t. X. 3 3t ' PATHOLOGIE NERVEUSE. mal, leurs prolongements s
venons 'de le dire, 'la majorité des corps granuleux semble siéger ' sur le trajet des fibres nerveuses, et vraisemb
ns DE la moelle ÉPINIÈRE causées par l'élongation du nerf sciatique ' ; Par PAULINE TAUNOWSKL Bénédikt2 fait part d
t un grand nombre de corpuscules amyloïdes autour du canal central. ' ALTÉRATIONS DE LA MOELLE EPIXIHRH. 39 GROUPE
tance, « transfert par irritation; transfert mécanique ». Prévost ' répéta les expériences de MM. Brown- Séquard et
qui fait descendre le crochet g au niveau des supports métalliques ff ' , qui sont mobiles, afin de pouvoir être écarté
sant le cordon postérieur, comme le dé- montre la figure. Il PL. I. ' Il va sans dire que les altérations de la moell
bras, tels que la petite malade ne pouvait pas saisir les objets ô$ ' ' RECUEIL DE FAITS. placés devant elle. Sa main
ras, tels que la petite malade ne pouvait pas saisir les objets ô$' ' RECUEIL DE FAITS. placés devant elle. Sa main p
e au sein de l'orga- DE LA NUTRITION DU SYSTEME NERVEUX. 79 nisme ' », force encore est d'admettre que le travail int
voyons que, plus augmente le premier plus diminue le second. Ainsi, ' chez l'individu qui fait le sujet du tableau I,
pposé à l'opération. Pas de modifications pupillaires appréciables. ' P. K. III. DE l'importance DES ganglions interv
n de la substance grise est simplement l'effet de la séparation des ' ganglions spinaux en connexion avec les racines
é, le carré des lombes, le grand dentelé et le grand dorsal entrent ' en jeu. Le patient n'éprouve aucune sensation.
e indien, par Richter (de Pankow). (Neurolog. Centralbl., 1884. : ) ' , .. · Le haschisch, d'après le pharmacien Bo
mal; la voûte palatine est très ogivale. Pas d'asymé- trie faciale. ' M. Magnan présente une autre malade, âgée de tr
rite par M. Ma- gnan et qu'on ne retrouve pas chez les diabétiques. ' MARCEL BRIAND. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALA
raduction, a rendu un véritable service au public médical français. ' DENY. 136 bibliographie. IV. Lehrbuch der spe
, d'une superficie de 100 hectares, desservirait 400,000 habitants. ' Province DE Saxe. Asile, de Nietleben, près Hal
ait des pensées. Comme on le sait, l'expérience de la lecture des ' Herbert Spencer. - Principes de psychologie, t. I
. J'ai appris à deviner le chiffre 4 en partant du chiffre 9 , et ' Pour le commencement de ces exercices, je conseil
sessions et d'impulsions qui accompagnent le dégénéré héréditaire. ' ' \ ' . , -, Les deux faits suivants montrent
essions et d'impulsions qui accompagnent le dégénéré héréditaire. ' ' \ ' . , -, Les deux faits suivants montrent l
ons et d'impulsions qui accompagnent le dégénéré héréditaire. ' ' \ ' . , -, Les deux faits suivants montrent le sy
les malades et'n'ayant pas pu nous renseigner sur les antécédents. ' t . f n .u -. i aJI... . u,J ? f, k . , Obser
t par exemple, et ces mots, dit-il, passaient à l'état d'idée fixe. ' Voici encore une observation très courte rappor
pos du mot pénétrant dans l'estomac à la façon d'un corps solide. ' l' Observation VII. Il s'agit d'un homme de soi
se sentait immédiatement soulagé; se calmait, se tranquillisait. ' Lorsque ces premiers efforts n'étaient pas couron
pourlcelles1de la'moelle, nous \voulons faire quelques, remarques.') ' )U111.'l. ' z Grâce. à, la. recherche ni étliod
de la'moelle, nous \voulons faire quelques, remarques.')' )U111.'l. ' z Grâce. à, la. recherche ni étliodi que, (les,
' , avons, dans la moelle cervicale, constaté [Fia. 6. PL. 14 11) ' « t - t ' ; ' f '' ' < ' l'existence de corp
s, dans la moelle cervicale, constaté [Fia. 6. PL. 14 11) ' « t - t ' ; ' f '' ' < ' l'existence de corps granuleu
ans la moelle cervicale, constaté [Fia. 6. PL. 14 11) ' « t - t ' ; ' f '' ' < ' l'existence de corps granuleux da
moelle cervicale, constaté [Fia. 6. PL. 14 11) ' « t - t ' ; ' f '' ' < ' l'existence de corps granuleux dans une
cervicale, constaté [Fia. 6. PL. 14 11) ' « t - t ' ; ' f '' ' < ' l'existence de corps granuleux dans une partie
il n'y en avait que quelques-uns, mais ils se voyaient nettement. ' Dans la moelle dorsale, il en était de même pour
la zone de substance blanche qui contient les faisceaux pyramidaux, ' il existe encore d'autres fibres, et que suivan
uelle qu'en soit d'ailleurs la valeur, l'observation de 0. Vierordt ' ; cette observation, il est vrai, n'est pas cons
tainement le point le plus défavorable pour ce genre de recherches. ' Au point de vue clinique nous n'insisterons pas
édoncule une localisation différente de la dégénération descen- . ' Charcot. Leçons sur les maladies du système nerve
le : 4 m,36. .1883. Janvier. Poids : 36 kil. 400. Taille : 1m,42. ' )884. Janvier. Poids : 43 kil. 100. Taille : Im,50
en obliquant en''avant' : gencives saines ! - Menton rond. , ? rn . ' : .1 m" " l "'1 1(, Cou régulier, u^petit gangl
b saillant, 'le foie etda,rale sontnormaux.nus -1 r , t1 l "'U : ' ? Organes génitaux : verge assez volumine1Íse : l
au niveau des premières vertèbres dorsales. ,, T ? , % . . 1'\ . " ; ' - La, sensibilité générale « est normale; les s
nmométre : ·M : -D· : 78 : " -- M.-C, ,69.' t J ? . Il,MI tH '.1" i ' Les progrès que''cet'ehfant a réalisés depuis son
parents, c est surtout, parce qu'ils lui apportent des friandises - ' , ? . '. ' .* ' 1 ' ? - ? U u J.n4W ou qu'ils l'
est surtout, parce qu'ils lui apportent des friandises - ', ? . '. ' .* ' 1 ' ? - ? U u J.n4W ou qu'ils l'emmènent à
surtout, parce qu'ils lui apportent des friandises - ', ? . '. ' .* ' 1 ' ? - ? U u J.n4W ou qu'ils l'emmènent à la p
out, parce qu'ils lui apportent des friandises - ', ? . '. ' .* ' 1 ' ? - ? U u J.n4W ou qu'ils l'emmènent à la prome
t progrès.' - Lepilepsie ...¡ ? '... ? ..c, " .11 ? Q ( ? ,° .' ? . ' " " 4 ., . . paraît s aggraver, comme, l'indique
? " ? ? Pf»lTr,r. ,ra|T>( ,y <%'. : n '' -.«> - , ? t t- - - ' . . ' éhxir poly bromure). Les signes delà pube
? Pf»lTr,r. ,ra|T>( ,y <%'. : n '' -.«> - , ? t t- - - ' . . ' éhxir poly bromure). Les signes delà puberté ne
avancé sans'avoirs,eu d'affections du système nerveux. 1 il tBqf"l, ' Il " ` ' ,, t cm Son 'lJèl'elesl âgé de soixant
ns'avoirs,eu d'affections du système nerveux. 1 il tBqf"l, ' Il " ` ' ,, t cm Son 'lJèl'elesl âgé de soixante-dix-sep
ière et n'a jamais fait aucun excès. Petit cl trapu, il ne présente, ' aucun phénomène nerveux. Marié tardivement, il
rveux. Marié tardivement, il a eu néanmoins une, nombreuse famille. ' Sa mère, âgée de cinquante-cinq ans, est petite
urviennent la nuit avec assez d'intensité pour provoquer le réveil. ' . '«nu . n1.·,1·tb · ? i, Il . M. et1\Ime M...
ennent la nuit avec assez d'intensité pour provoquer le réveil. ' . ' «nu . n1.·,1·tb · ? i, Il . M. et1\Ime M... on{¡
e^'celte famille et voici les notes que nous avons prises sur eux ? ' ' 1 1° L'aîné dés enfants de r : 'eÚl';oI ? âgé
'celte famille et voici les notes que nous avons prises sur eux ? ' ' 1 1° L'aîné dés enfants de r : 'eÚl';oI ? âgé'd
joui, jusqu'à l'explosion 'des accidents' diphtéritiqué's,1 d'une ] ' 't'" Il J. Il JII'I >111,,1 )\. ¡II'/111 '111'
l est vrai, une année de service militaire à l'âge de vingt ans ; , ' " 5° Edouard M..., notre malade, arrive le cinq
e malade, arrive le cinquième dans l'ordre de la progéniture ; '' ' 6° Le plus jeune des enfants est une jeune fille
diminué peu à peu et il n'en reste.plus traces aujourd'hui. 1 le, , ' 1 ' ' Antécédents personnels. N.. Edouard M..
é peu à peu et il n'en reste.plus traces aujourd'hui. 1 le, , ' 1 ' ' Antécédents personnels. N.. Edouard M... a ét
peu à peu et il n'en reste.plus traces aujourd'hui. 1 le, , ' 1 ' ' Antécédents personnels. N.. Edouard M... a été
un ah.'ll -a eu la rougeole vers u l t -t n il. >tlll qi 1 il tt ' 1 trois ans. -1 '1 Il,, 1,.1. , 1 '1'. J, , I
ladie a progresse avec une extrême tes- l ? r ? nr" l ,1. 1 'J'Ir : ' j) II ? e YI-') 'f"" ' , , Depuis-^cette, époqu
une extrême tes- l ? r ? nr" l ,1. 1 'J'Ir : ' j) II ? e YI-') 'f"" ' , , Depuis-^cette, époque, elle^a^ fait, ( para
s, même pendant l'été. Il n'y a jamais eu d'aggravation brusque. ,\ ' fI fI); , , ' , Etat actuel en 1884.^ ? Le prem
t l'été. Il n'y a jamais eu d'aggravation brusque. ,\ ' fI fI); , , ' , Etat actuel en 1884.^ ? Le premier symptôme q
SZ=KSZ 20 éléments : 1 = 19 milliampères. KSTe KOZ très faible. ' An OZ=0 0 An STe Il. Courants faradiques. (
et de quelques cellules épithéliales. 2° Examen physico-chimique : ' Densités 1031. 1 Réaction acide. L'acidité to
lides : 54 gr. par litre et par vingt-quatre heures, comprenant : , ' ' 212 RECUEIL DE FAITS. La matière colorante
des : 54 gr. par litre et par vingt-quatre heures, comprenant : , ' ' 212 RECUEIL DE FAITS. La matière colorante es
vail du Dr Camuset, dans les Annales rsédico-sciaologtques de 1882 ' ; et M. Th. Ribot, au cours de son livre sur les m
des périodes d'état prime et des phases antérieures d'état second. ' Or, notre malade en état prime a perdu, il est
par toutes les phases que parcourt l'en- fant qui apprend à parler. ' Poussons plus loin l'analyse de cette observati
ar Eulenburg. (IVeU ? '01. Centralbl., 1884). , '.>." tif t jf, ' .' Ce symptôme, consistant en une névrite optiq
la vie, c'est pourquoi M. Siemens em- ploya la sonde oesophagienne ' ; sinon, la sonde, dit l'auteur, fait plus de m
st la conséquence. Malheureusement ce rapport suit la condamnation. ' P. K. XV. Rapport STATIST1C0-CASUISTIQUE SUR LE
tier D'ALIÉ- NÉS DE L'HOPITAL JULIUS DE WURZBOURG POUR LES ANNÉES ' 1873-1882 INCLUS par K. LIND (Allg. Zeilsch. f. P
s accès d'epilepsie est faible et souvent nulle chez les ...., ,. - ' ? , , l ? l 1. i... ? i;1'1'1 r')'t . ' vieux é
t nulle chez les ...., ,. - ' ? , , l ? l 1. i... ? i;1'1'1 r')'t . ' vieux épileptiques, au elle n est pas proportio
, au elle n est pas proportionnelle, aux accès i -j" f ii- - . 7 -j ' ? '►'M'j ? .i1; *" ! t que les fortes diminutio
elle n est pas proportionnelle, aux accès i -j" f ii- - . 7 -j ' ? ' ►'M'j ? .i1; *" ! t que les fortes diminutions d
ndividus fortement héréditaires. ? .. ? ... ? l, j'T ? t ? )" (\ 1" t ' ¡' .. i ,'...., j 1. i ¡ ¡ ..... t 1 J' .J" « Le
ividus fortement héréditaires. ? .. ? ... ? l, j'T ? t ? )" (\ 1" t '¡ ' .. i ,'...., j 1. i ¡ ¡ ..... t 1 J' .J" « Lent
de démence paralytique; cette affection ? " -t ">" ... ifrt,il 1, ' ,t llàliq,4.il-i-'f qui atteignait cent neuf hom
f qui atteignait cent neuf hominés"préélominé Ici'-dnsq lé ,qu'a- ' ., t n si z t-"( '-... 1 l'lU mt : rttrt·t 11 %1.
·r· trième dixième de la vie : Voir Observation VI . (lypeniatio- : ' I "'1,... , tr ·,-ro ? ·,.r,llr r : .. fJ"I : i.'
les derniers Jours de la vie : ,29,1) ? ? ., ,1 i-trïrli/1 r ? .tP'), ' )r ? H't ....... tt.f.t ? ' OBSERVATION,'VII r(p
ie : ,29,1) ? ? ., ,1 i-trïrli/1 r ? .tP'),')r ? H't ....... tt.f.t ? ' OBSERVATION,'VII r(paralÿséfigeriei·âlé, due a
? ' OBSERVATION,'VII r(paralÿséfigeriei·âlé, due a la misère, 4. ' ' 1, ? f' ! t,,ff ? n ? H"MU.< ? )< itn) ?
' OBSERVATION,'VII r(paralÿséfigeriei·âlé, due a la misère, 4. ' ' 1, ? f' ! t,,ff ? n ? H"MU.< ? )< itn) ? T
f, vingt-sept attaques , epileptitormes . toniques; précédant la ' Il ? ? ".1 t co; : >m'trHF'/I;'¡1 - 'l ? i ? I
itormes . toniques; précédant la ' Il ? ? ".1 t co; : >m'trHF'/I; ' ¡1 - 'l ? i ? Ir', l' mort, hyperthermie à 42,1f
à 42,1f-) : 'm OBSE3VATION VIII (paralysie , ? i ? 1 h"I't ? 1fd ? , ' )" : trrl' ,t'l, P,1111'" ? H-ul,}' "l'/I'd '(. i
ralysie , ? i ? 1 h"I't ? 1fd ? ,')" : trrl' ,t'l, P,1111'" ? H-ul,} ' "l'/I'd '(. i générale syphilitique, mais s ina
, ? i ? 1 h"I't ? 1fd ? ,')" : trrl' ,t'l, P,1111'" ? H-ul,}' "l'/I'd ' (. i générale syphilitique, mais s inanitë de, t
i générale syphilitique, mais s inanitë de, traitement, hydrar- g ' ? \ 1 ? f- -; ? ir 'rrrrl)tT.9t .-sl. n,I .rfl` y
g ' ? \ 1 ? f- -; ? ir 'rrrrl)tT.9t .-sl. n,I .rfl` yte.t,r . un') ' Au ? (iD' 'loro ? '\nt'\rrr¡t ? r,('l lPJ,q 1 ...
? ir 'rrrrl)tT.9t .-sl. n,I .rfl` yte.t,r . un')' Au ? (iD' 'loro ? ' \nt'\rrr¡t ? r,('l lPJ,q 1 ... ? ,M ? jl...ftIO't.
, consacrées' les OasER- , ? v1T ! 'VYT'<VTrT'')'r°J ? ) ? Il ". ' { 1 olll' à 1> lw Varions , , , " . a ,0 le a
, " . a ,0 le al' ma a te soma l uc f 63' f' ? , v i ''Ij']'' ,'r ." ' "in ¡'dTlI ? lJ ]'0" l'l,II" ,lfWl.tt. 13 ,.t z
e le numero.XIV (RosaR..., p. T49).,LesOBSER- devrait prenare' le ? ' ."i I .' XIV* osa ? p, 74 ? ,'f L69013âR- ., va
fôlié cdûe à il- des lésions 'cérébrales ''t ? 1 yy · t. ? cf)- ? t ' ,r '1 I ; rflltvr r' 1 jf))r( ? < ? matériell
îi'e XVlI..Ennn quelques observations ne rentrent pas nr. ·mr t t·t ' ! n qt 1 t')I ! : ft.lf " 1 ? t"Y' 'aW t `rtt 1
trtn(1 fll-J Id ? ¡;. tHfli1 .'it1»«»<. reformes ou chorélformes ' (Sabme, ib. p. 7a/ ; Anna M...) avant - (far r !
guéri par le changement de milieu. .On pouirait, sous la /11" ? d' ' t" 4 . si t) 9 1t·a l .,1 ? ]"0'\ ? )<n'/i ? .
ter le résume des causes de la ,Wi · , tlmr 1 f , r·r' .g· r·otn ·t ' «' .< ? «« t' «Ott mortalii'élef'ld teneur d'
r le résume des causes de la ,Wi · , tlmr 1 f , r·r' .g· r·otn ·t '« ' .< ? «« t' «Ott mortalii'élef'ld teneur d'un
t delà soi-disant intoxication' chlorahique' de deux maras- tiques. ' ptjnj iv ? r P 'J Il If' n 'Iff(UPÎ)'J fiJufm3
Il If' n 'Iff(UPÎ)'J fiJufm3 ! < ! tV/ L ,sua : l'1 t : InuS7 ( ' t, ri. , f nr : Ima «h t(tnrr)n <".ff(-)t 9t)
ance, en ,rt tc : W TI '1f I ) en 'ECOSSE ET 'J...-nB ? .1 ? lJ'ir" ' ¡OH' Il' ? w ? PI'" JI)' ..., J('A' 'll" Ecosse
1f I ) en 'ECOSSE ET 'J...-nB ? .1 ? lJ'ir" '¡OH' Il' ? w ? PI'" JI) ' ..., J('A' 'll" Ecosse ET en'' Belgique; '.par.
Ecosse ET en'' Belgique; '.par. H. A..AVILDERMUTH (Allq. 'z " 'b 1/ ' f l'pl ? h XLtt5)'tlltil 1 ··n ? ItrN 111H ? j. ¡
trN 111H ? j. ¡H ? ,'Zelit'seèlil'. f.@"Ps%'ycfh., xi, 5). Il, Í 'J ' , 111 -/ 1 'l-1 , Il -. -1 ? rt. iliti, .4 1 ·r
' , 111 -/ 1 'l-1 , Il -. -1 ? rt. iliti, .4 1 ·r 7Ja Il Il, (1111) ' \ lui ui> L'auteur'a visité en\ France' 'la"S
enleva les chaînes aux 1 Voy. Archives de Neurologie, t. V, p. 402. ' ' Archives, t. X. 16 G 242 SOCIÉTÉS savantes.
leva les chaînes aux 1 Voy. Archives de Neurologie, t. V, p. 402. ' ' Archives, t. X. 16 G 242 SOCIÉTÉS savantes.
pour les régions occipito- pâriéto-temporâlës, dès vingt-cinq ans. ' Enfin lés résultats généraux et lés résultats r
s derniers temps de,sa vie il crovait toujours ou un ... ? .. , ? . ' ' ... ? ï 1 ? I.I,q.n·,. sort lui avait été'J'e
derniers temps de,sa vie il crovait toujours ou un ... ? .. , ? . ' ' ... ? ï 1 ? I.I,q.n·,. sort lui avait été'J'elé
élûant'h ônique. La seconde, observation est.cette d'un héréditaire, ' 'dont ? là' ! folie resta à l'état latent tant
nispl1èi : è'droitt'esi'udiful'- mément atrophié; cette femme était, ' par'alVséén'du"'côté'gaûche. ? ... ? ? Wlisl , v.
os frontal, restée ina- perçue pendant toute la durée'de la- vie ! ' Le'malade est. mort réceniment él'un''abéès'du
abcès ? IC ? VP,u¡ a ,l 1 ? f' ? f ? T.gue,ne ? \ I : il ? ? n . ? " ' " J ? * ,f'. l<r'ii'i;i'»(. J>. , (,1 ;'( ?
? \ I : il ? ? n . ? "'" J ? * ,f'. l<r'ii'i;i'»(. J>. , (,1 ; ' ( ? M-ir» >> causée par le déplacement de
ieurs mois après la chute qui a détermine information 'de 1 abeès ? ' ' ? ' z i; - > "'UfJ.1 i . ,1l1'·y : . ,. i
urs mois après la chute qui a détermine information 'de 1 abeès ? ' ' ? ' z i; - > "'UfJ.1 i . ,1l1'·y : . ,. i ,
mois après la chute qui a détermine information 'de 1 abeès ? ' ' ? ' z i; - > "'UfJ.1 i . ,1l1'·y : . ,. i , ?
précise, mais il croit la fracture ancienne... ),,< l , '1 r ? / ' ,; . ; f. n .. t J M. Christian pense, au 'cont
nte et pro- gressive a fini par déterminer la mort du sujet.. , z ' M.wtccr.I3nr.v,rn. SOCIETES SAVANTES. 2tà 'Vi
RÈS' DE LA. SOCIÉTÉ PSYCHIATRIQUE ? * DE L'ALLEMAGNE DU bUD-OUEST1. ' -on- (j ' 1, fltqt¡f'H. jln lez 'J ? 1 1 1 p
. SOCIÉTÉ PSYCHIATRIQUE ? * DE L'ALLEMAGNE DU bUD-OUEST1. ' -on- (j ' 1, fltqt¡f'H. jln lez 'J ? 1 1 1 p loi l' 1/
n' I . · J 11 ? n , fyr q . , , '1 ? If'ëns'¿iller aulique Schuele, ' ouvre le congrès par des 'fit 1.... 11 communiq
ommunique une lettre du bureau delà Société des aliénistes allemand» ' , d'après laquelle on a écarté les revendication
urance contre''l es''accidents du personnel'-1 des cardiens en ; 2. ' "> ' 0 fit 1 1 j ? ` service,2. ! Ml-ll 1 I
ontre''l es''accidents du personnel'-1 des cardiens en ; 2. ' "> ' 0 fit 1 1 j ? ` service,2. ! Ml-ll 1 I -1 'Jn..
lJ1' Vo ? OEf;). Tous les'auteurs la » - . 1 i -il* 49". i. - * , . ' i ,i recommandent'. C'est pourquoi M. Jolly vie
ul système complexe 3. Tout d'abord on l'a appliqué à une caté- . 1 ' ' Voy. Archives de Neurologie, t, VI, p. 423. I
ystème complexe 3. Tout d'abord on l'a appliqué à une caté- . 1 ' ' Voy. Archives de Neurologie, t, VI, p. 423. I I
vi'iq «oli ? jB*h a puberté. f.- ? i P eivi-iq 1 J -.6 11n1' 1 il ' 11 itW , ee ,· f ·l,rrm,mL,rw. .1'\ffQ JI #t : )
...' 1 < tt ! r ...,1 ,l'.p ? ri i. ,110 / .c)iiprioJf"iH .'\\\1\ ' \\I\\)'\IJ\{ Mi h, Mr Fl ! ERSTE,R ? Ces...an !
< tt ! r ...,1 ,l'.p ? ri i. ,110 / .c)iiprioJf"iH .'\\\1\'\\I\\) ' \IJ\{ Mi h, Mr Fl ! ERSTE,R ? Ces...an ! m ! quJ
En somme, d'après lui, le nouveau/projet de loi 1- , ...' 1 1 , il " ' ¡,III... ? Id proposer des, mesures -de-surveill
I'I ,j,. iu. hH,t 11 ! Jli : ,1,'111 ,lill,WÍI 1;1 Discussion : .' ' ? 5n)-ci)utt ",noleitJ euuii 1Jp ao J9 J llllUE
)-ci)utt ",noleitJ euuii 1Jp ao J9 J llllUE·ItSTNER. N'é' è[.uïipls ' ¿rué la"è0uuaissalice 'de 'cé tte' '1 o i'a il é
aux aliénés qui ont commis des actes cri- minels dans les asiles : ( ' "1//1'1. > i » m j, ., . '04° Admission ! pr
énergie chez les alié- nisles français ? 1« .. a', ? ! l'l ? 'l"" J ' M. L7ncour.ac. C'est contre certains asiles pri
existence indépendante; ceux qui font fonction d'asiles publics , , ' "<'' .... H-<K.< 'ti J ii uu-.i ? ii, I
la. qt,'1J dJ -Ill- U."U ¿ : fJu.JJfdJ ! t : GoJ i,.ji,dv , 'IL) ! ' JoLLY'. A'-t-on,' à côté' des décisions vexatoire
l- U."U ¿ : fJu.JJfdJ ! t : GoJ i,.ji,dv , 'IL) ! ' JoLLY'. A'-t-on, ' à côté' des décisions vexatoires, mainlenu les
RK (d Illenau). Sur la situation actuelle de la question de lu pa ? ' «MJ/t)/(/e.Historique. Voir" a e'sujet, lalhèâdell
nombreuses ubservatious.lttérapetitiques'toutesinouvelles : iautuv ' ( ubnW, 1 M. Sta'rI23 ? üë sli"ëôtéllbhlè'i1Ul'l
")11"¡(13 2Jb 90.')lo'l IIO¡J.6Ú' : Jlllllj,'1 ctiU'I·l,t tr ¡ ..1111 ' (, , MOfIBIDES TOTAUX RIÍSULTAT, RIÍSULTAT ÉTA
ÉTATS MORBIDES TOTAUX Cl)111'LE'f T DEMI-IIESULTAT. 1Nu't ? IoA : ST ' ;. Ù' jet si V<\i/\q JT11'n -Jf1 .1 ( ? 11t1
s ? ",11891 I,ul ïl ? b ? 4 "'i ? >* s> 0 r' 1 e."rSlOl1 v uu ' TI11 ni : , '. ,n I.· 7j t, .·ill-1 : i ? a ! 4
·,S 010 , ")U.jn-<i.i ? tt ? ? f ? itu<< ? ) ! t-( ! it... ' "CS'1CllJJ2UrC : yytlTll ? ,, (i . ? j, ti^fll
100. M. JoLLY la dissolvait à l'origine dans ]'.eau,Ievin,Iessjrops, ' mais elle s'en précipite facilement si l'on ne
uccès tous les' narcotiques ; la première dose de pa- raldéhyde l'a ' sur-le-champ fait dprmjr d/un sommeil calme. L'
ts à'des sympathies et si ! dj3 autipaLlne,s, inéylicaliléa ? 'mais, ' ce quiles'ditférenciesdes" iqjols'ê 1f1.tPr.eJII
) cqncrIle( : uIle.. Pfqlçl confuse 'dès;4 u"q1autiliel' les' S011S; ' cette¡ parole ,vague, noyée, llo,u¡ carac,- ter
sultat; L'al' bopenenLsy)I1 ? Licjùè,l rai'emèuCpur'chez·lestidiots; ' existait prononcé,chez deux soeursmicrocépbates
née, convulsions du côté gauche avec perte complète de connaissance, ' sous forme- d'accès laissant après eux'unë1' lé
l eréera" des' mots( po UI" spécifier. cerl ! lill j -jouets ctel,s ' ¡iue[aës' sol dals : 3l\ui pose-t-on : une questio
}, la rareté, de 1 aphasie ; il 1 attribue proba- ., , . V ,. "- ? ' " ? U ? 't-J Jill eJOtU r-l.'l 't-'jn'J)1 thlem
spéciale'. Il disaitnonpa'i : ! C'est IIlIe.loqglle,lJeHe ;fJI1ai ? , ' bien. : c'est une ficelle qui 'est longue.'olU"
ne ficelle qui 'est longue.'olU"j -II ",[¡fI/'111 ne dIlOIJ' il -mm ' " 1\1. l uiis'rt : ne ? Voit' on" f réqutJll1lllel
e existante dispa- milre sou l'illlluence d'affeclions cérébrales ? ' pt "t" 254 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. TILDEIt111U'
on trouvait un développement défectueux de celte région. . i - ' Séance du 19 octobre. ' . l' f - ' ' Présiden
ppement défectueux de celte région. . i - ' Séance du 19 octobre. ' . l' f - ' ' Présidence de il. le conseiller
tueux de celte région. . i - ' Séance du 19 octobre. ' . l' f - ' ' Présidence de il. le conseiller auliqrie Scxt
eux de celte région. . i - ' Séance du 19 octobre. ' . l' f - ' ' Présidence de il. le conseiller auliqrie ScxtiL
ptiques : 1° les épileptiques inofIensifs,t faciles 1 à''¡1Ospitalise\ ' comme à Wurzbourg. Ils ne sont cependant pas au
on de les garder; 3° épileptiques a accès ..I 'l ? ".1'" li'- 1 1 1 ' 1 tl oh) .,¡ ? 1.1 ' * de manie périodique, ave
épileptiques a accès ..I 'l ? ".1'" li'- 1 1 1 ' 1 tl oh) .,¡ ? 1.1 ' * de manie périodique, avec intervalles' en que
amais on ne leur permettra de s oc- cuper dans les jardins, etc.' ? ' I ..(()r '" III' W 1,.....t.q ( . 1 l ,')1 Il '
leur permettra de s oc- cuper dans les jardins, etc.' ? ' I ..(()r ' " III' W 1,.....t.q ( . 1 l ,')1 Il ' 1 111 11 ^
dans les jardins, etc.' ? ' I ..(()r '" III' W 1,.....t.q ( . 1 l , ' )1 Il ' 1 111 11 ^i, tHI'U(' 1) · tl ' L1 f .1'
es jardins, etc.' ? ' I ..(()r '" III' W 1,.....t.q ( . 1 l ,')1 Il ' 1 111 11 ^i, tHI'U(' 1) · tl ' L1 f .1' M. WiLD
I ..(()r '" III' W 1,.....t.q ( . 1 l ,')1 Il ' 1 111 11 ^i, tHI'U( ' 1) · tl ' L1 f .1' M. WiLDKKMUTH. Les asiles d'
'" III' W 1,.....t.q ( . 1 l ,')1 Il ' 1 111 11 ^i, tHI'U(' 1) · tl ' L1 f .1' M. WiLDKKMUTH. Les asiles d'iiospitati
sont munis de locaux d'isolement. En. ce qui ,concerne la sur- fi" " ' * ' ' ? si 1"iieiii'ment veillance, on est aver
munis de locaux d'isolement. En. ce qui ,concerne la sur- fi" "' * ' ' ? si 1"iieiii'ment veillance, on est averti p
unis de locaux d'isolement. En. ce qui ,concerne la sur- fi" "' * ' ' ? si 1"iieiii'ment veillance, on est averti par
trêmement a-ressif. . # 'i).' , Il ? t' . t. J J . $j 8 agressif. ' ' , 1. - 'Jl tll ! )tl#i ) 11 t( f " <" M. W
êmement a-ressif. . # 'i).' , Il ? t' . t. J J . $j 8 agressif. ' ' , 1. - 'Jl tll ! )tl#i ) 11 t( f " <" M. W,\
es phases anormales sont rares. D'autre part, est évident que, 1 .r, ' : , l "1 , SOCIÉTÉS SAVANTES. 257 ,, r i, ,11
eillies dans le courant de l'an dernier il, ) ? '- (lI'J' ...q ,. t ' \)I ? 1 "1 . " il , t; f 1. "J¡ J.. 1 ., ..... L
schr. r psych"ftXXXVll), ,sans "autre trouble, s'observe 1) ( 11ft. ' ,1 -rd ,1 i IL .... ....... , mais encore sous cel
lle'1 brùtalé"interruption' de' la' ëOllactibilité : "voiolii'e , 1 ' . -n , ......., ., ? ...,r ? ? remplaçant les't
., ? ...,r ? ? remplaçant les'troÓbfds"de la'éonnaiss ! iiice ? Il ' ¿ü;;viènt déJs'ongèÍ' aux 1 pi>intsùê l'eiib'
'ép1îale Óù' lesjtrâctus'1 moteurs sont, condensés (capsule interne) ' /ou encore à la substance -rise du` plancher'du
ancher'du troisième veiiTri'culé`(centré dé Chéistiâniét ? eçht.r,1) ' ¡ Eni o cas,'n'y'a y 'Il' # Ill,ll", "' " 1 11,
é dé Chéistiâniét ? eçht.r,1)'¡ Eni o cas,'n'y'a y 'Il' # Ill,ll", " ' " 1 11, ." encore,inconnue, cas,' il1 y lieu'de
o cas,'n'y'a y 'Il' # Ill,ll", "' " 1 11, ." encore,inconnue, cas, ' il1 y lieu'de ! supposer que la modification, enc
ance', etc ? par exception, ellepeut demeurer limitée a son origine, ' de ' là'l'attaque rudihientairé. Le mémoire' rema
, etc ? par exception, ellepeut demeurer limitée a son origine,' de ' là'l'attaque rudihientairé. Le mémoire' remanié '
n pas seulement dans la 'folie à forme d'accès, non pas - " .. 11 \ ' 1. , , 1 Voy, .ll'chives de Neurologie, Ueviiés
té (d'ailleurs inconstante) delà modalité de la vésanie épileptique, ' mais. dans l'association des symptômes psychiqu
men plus approfondi révèle tou- jours erronée. Les auteurs français, ' Falret en tête, ont eu raison de signaler le fr
bsolument aucun exemple d'identité parfaite de toutes les attaques. ' -' Je n'ai pas retrouvé le rétrécissement pupil
lument aucun exemple d'identité parfaite de toutes les attaques. ' - ' Je n'ai pas retrouvé le rétrécissement pupillai
e 'valeur assez considérable, quoique probablement non exclusive. " ' , iqi ' - '; 1 ... ? <1 1t « i v t - , ni t'
r assez considérable, quoique probablement non exclusive. " ' , iqi ' - '; 1 ... ? <1 1t « i v t - , ni t' il .
sez considérable, quoique probablement non exclusive. " ' , iqi ' - ' ; 1 ... ? <1 1t « i v t - , ni t' il . , ..
nc incontestablement partie de la caractéristique'de ces malades. - ' ' 1 ,1 "t M. Iimx. Maints épileptiques ne prése
incontestablement partie de la caractéristique'de ces malades. - ' ' 1 ,1 "t M. Iimx. Maints épileptiques ne présent
ptômes intervallaires, maints autres présentent, dans' l'intervalle ' des attaques, des modifications psychiques qui
cation précédente n'a trait, qu'à des accès Jpurs d'épilepie vraie. ' n - je , Il, 1 b allmlt lit, ynii'J M. FREUSBIO
lt lit, ynii'J M. FREUSBIOEG appuie la' manière' de- voir' dèc1\I : ' Wilkowski. Cependant dans les accès on'peut voi
d'é- quivalents ayant succédé à des troubles moteurs graves." -, , ' 1 'à M. STARK se rappelle un jeune homme qui av
lepsie. Le second jour de son arrivée il avait sa première attaque. ' M. RIEGER a observé chez un épileptique des acc
il y avait exagération tout à fait énorme des réflexes tendineux. , ' i r, M'. WITKOWSKI n'a encore pas observé cela.
r r f i ,r ( , t ? ,r i' ""11' SESSION N DE Lh : ll'Z1G' G I 'u' ' ' Séance du 4 septembre 1884 r t , . Le burea
r f i ,r ( , t ? ,r i' ""11' SESSION N DE Lh : ll'Z1G' G I 'u' ' ' Séance du 4 septembre 1884 r t , . Le bureau
re du bureau relative aux décisions antérieures ! de la société. '1 ' 1 " ".1 z I. En ce qui concerne la statistique
lanc comportera les rubriques suivantes : . '1"11.1\ ? .. lu- i z ' un t « Io Réception le.... >i ? '10,; t ¡"hl
libataire ? ... Marié ? ....Veuf ? ... Divorcé ? ... 7o Religion... ' " 8° Etat social ou profession ? ... 9° Durée
ou profession ? ... 9° Durée de la maladie avant l'admission...,i-i ' , ¡ . oJ 10° A. Y avait-il parenté du père et d
ile d'aliénés ? ... Dans lequel ? ... 264 SOCIÉTÉS SAVANTES. .0;. ' ' ? 1 enfin le projet présenté par le chancelie
e d'aliénés ? ... Dans lequel ? ... 264 SOCIÉTÉS SAVANTES. .0;. ' ' ? 1 enfin le projet présenté par le chancelier
1 t... , exemple, pour cela, quelle ait duré trois ans J ? , , ? b , ' ).,).T , r * r . , i i ,^ | i , l(, ,, , >ti
, , ? b ,').,).T , r * r . , i i ,^ | i , l(, ,, , >ti t ,"»V * ' t' l'I -" ' * ' i En' ce 'gui concerne la' prem
.,).T , r * r . , i i ,^ | i , l(, ,, , >ti t ,"»V * ' t' l'I -" ' * ' i En' ce 'gui concerne la' première questio
T , r * r . , i i ,^ | i , l(, ,, , >ti t ,"»V * ' t' l'I -" ' * ' i En' ce 'gui concerne la' première question, ,
uestion, ,1e président rappelle, que W ? SANDM s'exprimait ainsi' : ' " '' que W.' Sander s exprimait ainsi : 'JJ,lld
' " '' que W.' Sander s exprimait ainsi : 'JJ,lldhll' uni. 'VI ! I ' Io La société n'a pas à se préoccuper si, en pr
re ténue pour incurable , 1 4v. l'examen de l'état mental aura lieu; ' comme 'dans le1' cas d'intëa'vei ? I tion n fin
l'autre le sut... , ,, « I ? t .1 .. , , I 1 " t fi'l- J.' ... , '' ' ' ' M. Scander, a été chargé du rapport /'Le mé
autre le sut... , ,, « I ? t .1 .. , , I 1 " t fi'l- J.' ... , '' ' ' ' M. Scander, a été chargé du rapport /'Le mémo
tre le sut... , ,, « I ? t .1 .. , , I 1 " t fi'l- J.' ... , '' ' ' ' M. Scander, a été chargé du rapport /'Le mémoir
Le mémoire qu'il lit, très. étendu'et' circonstancié à tous égards, ' "' - - "1"sd les manières I ? f, ,V cite- iii e
mémoire qu'il lit, très. étendu'et' circonstancié à tous égards, ' " ' - - "1"sd les manières I ? f, ,V cite- iii ex e
manières I ? f, ,V cite- iii ex e -I* de voir'du professeur Hazan, ' des directeurs Wendt, Hasse, des docteurs'KnehL
j. Il 1 1 t , 14 1 V. i ile 1";eu).Ologie, t. Vll, 1, [ ? 1-, 9. .1 ' SOCIÉTÉS 'SAVANTES. 265 '' 3° L'examen de l'é
e ne lui avait pas été notifiée auparavant.1» ! 1 . l't ! JH 1 "l," ' ' , . Discussion : ? Hl1l1LnU 1 t j'Nh 1 - Il.
ne lui avait pas été notifiée auparavant.1» ! 1 . l't ! JH 1 "l," ' ' , . Discussion : ? Hl1l1LnU 1 t j'Nh 1 - Il. »
von' ! GÚDDN ? Il'và\t' mieux s'en .tenir au point de vue mé- dieàl} ' ? 'e'st\-.à-.dirë'¡11 : s'occuper que delà réglem
trois' spécialistes et d écarter la durée de la maladie comme 1 ... ' ! -Il ? n't Jf' un '<)/ cause d'incurahilité
pèce ? c'est' âù' médecili"tlii'iI',a¡jpiÚ.dei1't de formuler un ,1 ' , ,,11/ ? ,»| , t., ' *l»l '' M- Il i jugement
cili"tlii'iI',a¡jpiÚ.dei1't de formuler un ,1 ' , ,,11/ ? ,»| , t., ' *l»l '' M- Il i jugement à .1'¡pÎ)UiWq\y ? ;rpè
»| , t., ' *l»l '' M- Il i jugement à .1'¡pÎ)UiWq\y ? ;rpè : Mrl,a,¡ ' ¡'d7 car lui seul sait les consé- quences de'la'
tion de formalités. 1 ni l ," l, Il (l''li ? 111' 11"" .1 1 n "01'" ' ,Votes. Adoption uhanime'de' la'cônclusion l' E
s problèmes que ,.( '1.1,1, 1 J'hl,II.IU 1'1 11' ? ) ? 1...... P. P ' 1 soulève le divorce; on prépare un code civil,
u'on' laissera tomber'le débat sur tout le resté, de la question. - ' ? J i> Il, . ,. ' ' V. Dans quelle- mesure l
'le débat sur tout le resté, de la question. - ' ? J i> Il, . ,. ' ' V. Dans quelle- mesure les gens qui ont versé
e débat sur tout le resté, de la question. - ' ? J i> Il, . ,. ' ' V. Dans quelle- mesure les gens qui ont versé l
mécon- naissant'le caractère pathologique 'de leurs' manifestations; ' toute opposition dans l'espèce constitue un dev
' toute opposition dans l'espèce constitue un devoir ? /Adopte. - * ' Le bureau a'envoyé'des félicitations à Hoffmann
comptes de'la' société et transmission au' bureau de.leur révision. ' ' ' 1 1 " - - "1 1 Il. 1 ? 1 ivL. 1 ? -i il ''R
mptes de'la' société et transmission au' bureau de.leur révision. ' ' ' 1 1 " - - "1 1 Il. 1 ? 1 ivL. 1 ? -i il ''Ren
tes de'la' société et transmission au' bureau de.leur révision. ' ' ' 1 1 " - - "1 1 Il. 1 ? 1 ivL. 1 ? -i il ''Renou
t. Nomination par acclamation ,de MAI. de Gudden et Schüle. , , l . ' " ,l, , , j l - ? ... - ',1 : , 1 l' 1.1 (Visite
tion ,de MAI. de Gudden et Schüle. , , l . '" ,l, , , j l - ? ... - ' ,1 : , 1 l' 1.1 (Visite de,la clinique psychiatr
(Visite de,la clinique psychiatrique,sous,la conduite de 1lechsig. ' ' '" Ir' 1 t 1 J. ' 1 il 1 Il, Il 1111, lit t c
Visite de,la clinique psychiatrique,sous,la conduite de 1lechsig. ' ' '" Ir' 1 t 1 J. ' 1 il 1 Il, Il 1111, lit t c 1
site de,la clinique psychiatrique,sous,la conduite de 1lechsig. ' ' ' " Ir' 1 t 1 J. ' 1 il 1 Il, Il 1111, lit t c 11,
que psychiatrique,sous,la conduite de 1lechsig. ' ' '" Ir' 1 t 1 J. ' 1 il 1 Il, Il 1111, lit t c 11,.1. * '- lit ' !
' ' '" Ir' 1 t 1 J. ' 1 il 1 Il, Il 1111, lit t c 11,.1. * '- lit ' ! ]U J '1'1"" lu..{ ? ou 'lt.H," t tul ¡j( t 1 hl
'- lit ' ! ]U J '1'1"" lu..{ ? ou 'lt.H," t tul ¡j( t 1 hl if; J i" ' ,1 . i , , , . rr il. .... hl' J , ; JI La séan
rapport sur les, progrès de l'assistance en Alle- magne pu ? , les ' asiles d'aliénés pendant ces dernièl'cs ft ? )në6
pu ? , les ' asiles d'aliénés pendant ces dernièl'cs ft ? )në6s*. ,( ' , M. FLECHSIG, Contribution au traitement gynéc
e, d'en donner l'analyse la plus substantielle et la plus complète. ' i. P. KÉRÂVAL. SOCIÉTÉS' SAVANTES . 2 67 Î Ob
tête d'enfant.. Amputation supravagmale de l'utérus. Bon résultat. ' c Observation Ici ? Hystéroépitepsie; rétréciss
" - , 1 . .. ,i i.i " 1 'i tli' ts z 1 . , -.· r.. f J.. 'l^'i-i ' i . r 'itti'ft ? ) I >.i f ? t.. ? 14f. MENDEL
es psychoses, aucune im- 1 l I J~ -^J ? f ° -I V 1 v" j j Il . f. I ' t t Ij portance essentielle. l ",1 l i<.....
j j Il . f. I ' t t Ij portance essentielle. l ",1 l i<...... ? ' l '1 ' ., ,,r ? ? is : \1.. LLliCHSIG. - Actuel
. f. I ' t t Ij portance essentielle. l ",1 l i<...... ? ' l '1 ' ., ,,r ? ? is : \1.. LLliCHSIG. - Actuellement.
e morale n'est pasldénuée d'importance. Il'01,1'11'' ? J '1" ,, 1 1/ ' ? ,,1 IHJl\1. ILITZIG communique un cas à évolu
avorable.. c ? , < )11\'1'1\1 ? l ,l, doute " " que lâ'gûéristin ' " '. ]1 d JI' b ' ' . 1, ESCllEDE doute que a gu
t; )11\'1'1\1 ? l ,l, doute " " que lâ'gûéristin '" '. ]1 d JI' b ' ' . 1, ESCllEDE doute que a guerlson ait* été 'ré
)11\'1'1\1 ? l ,l, doute " " que lâ'gûéristin '" '. ]1 d JI' b ' ' . 1, ESCllEDE doute que a guerlson ait* été 'réel
impose,,tout, d'abord. Il, ne faut pas, opérer à j'aveugle toutes les ' hydriques.. }) n, th' ;1 l' , . , , .. ' . " ,
rer à j'aveugle toutes les ' hydriques.. }) n, th' ;1 l' , . , , .. ' . " , . M. GUDDEN. User de la plus grande prude
srésu ! tats e.n sont toujours' douteux. " - ..< < t,. \ l' .) ' \ \ ? ...... z i\1. RICHTER (de Dalldorf). Sur
ntil le ,long ? « ? ,... l .,J ? 1 , ],l ? tPl,l| tricules latéraux, ' dont les parois ressemblent^ (v une épaisse couen
, il s'agit' non pas d'une' lésion - essentiéllê"dü1systl'mè"optiqllé\ ' ¡11Í11s d'une compression de-3ce système par un
r avec t'atrophie spinale des paralytiques généraux. Il ? ,c5 -- ,i ' · ? 1 ; '<- - Une démente sénile présente un
. Il ? ,c5 -- ,i ' · ? 1 ; '<- - Une démente sénile présente une ' hémianopsie' homonyme' gauche complète, absolue
nec'outient'pas d'observations semblables à la nôtre. D'où réserve. ' " ' ' , ' '4 ' Un syphilitique avéré est, il l'â
'outient'pas d'observations semblables à la nôtre. D'où réserve. '" ' ' , ' '4 ' Un syphilitique avéré est, il l'âge
utient'pas d'observations semblables à la nôtre. D'où réserve. '" ' ' , ' '4 ' Un syphilitique avéré est, il l'âge de
nt'pas d'observations semblables à la nôtre. D'où réserve. '" ' ' , ' '4 ' Un syphilitique avéré est, il l'âge de qua
s d'observations semblables à la nôtre. D'où réserve. '" ' ' , ' '4 ' Un syphilitique avéré est, il l'âge de quarante
nopsie homo- nyme gauche. L'examen opthalmoscopiquo rêve)) à Ubthot) ' et Jloeli (décembre 18S2, janvier-mars 1883), u
er. l'atrophie de la pa- pille observ'ee'de'ce côté pendant la vie. ' ? 11 ' ..f()I, \.,lvf / ,t En,, somme une des ,
trophie de la pa- pille observ'ee'de'ce côté pendant la vie. ' ? 11 ' ..f()I, \.,lvf / ,t En,, somme une des , neuf o
raie. Intégrité 'des' cellules corticales des''lobes' occipitaux.' ' l" ' Quelle'' est ! dans'les cerveaux d'Iiémial
ie. Intégrité 'des' cellules corticales des''lobes' occipitaux.' ' l" ' Quelle'' est ! dans'les cerveaux d'IiémialOpsiq
es cerveaux d'IiémialOpsiqïlës, J'à. "'oie 'qû'J-1 .' 1'" . t., , " ' /f ? . d., . 1\\ .II; ! ? 'i' JI' t J rait pu su
lation entre cet accident et le lobe occipital n'est pas démontrée. ' '' " " l' Conclusions : v 1 Une atrophie du ner
t de lui les mêmes altérations que l'atrophie du nerf optique. Il ' t i , . . l' 1, t. l' l ,< i. , v. M. E. MEN
ès avoir fixe 1 j¡lstologlC normale des cellules nerveuses, 1 \. ,1 ' .. Il \'\\ \ \ 1 \ il ? j- '\' . I\q \ "...... 1
fixe 1 j¡lstologlC normale des cellules nerveuses, 1 \. ,1 ' .. Il \ ' \\ \ \ 1 \ il ? j- '\' . I\q \ "...... 1 F 1 aut
ormale des cellules nerveuses, 1 \. ,1 ' .. Il \'\\ \ \ 1 \ il ? j- ' \' . I\q \ "...... 1 F 1 auteur a établi que. la
male des cellules nerveuses, 1 \. ,1 ' .. Il \'\\ \ \ 1 \ il ? j- '\ ' . I\q \ "...... 1 F 1 auteur a établi que. la p
. 1 F 1 auteur a établi que. la paralysie générale se traduit par - ' ) ? Un agrandissement des espaces pericellulaire
ires de Mendel. Peut-êlre cette différence tient-elle à la 'méthode ' ? ' Au premier stade, c'est principalement le n
de Mendel. Peut-êlre cette différence tient-elle à la 'méthode ' ? ' Au premier stade, c'est principalement le noyau
te une pigmentation anormale ne permettent pas'de distin- ; r c. "\ ' " ' ''ci )' n .1 .n .) guer nettement leur noya
ne pigmentation anormale ne permettent pas'de distin- ; r c. "\ ' " ' ''ci )' n .1 .n .) guer nettement leur noyau. 1
ntation anormale ne permettent pas'de distin- ; r c. "\ ' " ' ''ci ) ' n .1 .n .) guer nettement leur noyau. 1 \1' f .
' " ' ''ci )' n .1 .n .) guer nettement leur noyau. 1 \1' f . \q ,. ' \ 11 d ,\ .. \ ' \ \ M. von GUDDEN. La méthode
.n .) guer nettement leur noyau. 1 \1' f . \q ,. '\ 11 d ,\ .. \ ' \ \ M. von GUDDEN. La méthode d'examen est pour
ère, et rien de semblable ne se présente dans l'écorce des animaux. ' ' -mu' '" r. ',»> ... t..i-- · ... La . v...
e, et rien de semblable ne se présente dans l'écorce des animaux. ' ' -mu' '" r. ',»> ... t..i-- · ... La . v.....
n de semblable ne se présente dans l'écorce des animaux. ' ' -mu' ' " r. ',»> ... t..i-- · ... La . v..... M. von
emblable ne se présente dans l'écorce des animaux. ' ' -mu' '" r. ' ,»> ... t..i-- · ... La . v..... M. von Gudde
e préparations aussi claires, aussi nettes que celles de Nissl. " · ' " .. M .#I' ' M. Binswanger mentionne que Fle
ussi claires, aussi nettes que celles de Nissl. " · ' " .. M .#I' ' M. Binswanger mentionne que Flemming durcit exc
ejapport entre les établissements fermés et les colonies d'aliénés. ' , , Visite d'Altscherbitz sous la conduite de P
, 'fi 1 1 ï'.i'l"1 1 1,1 si ? n fl'I ( 1 'UJ.' ,. i ] 4, If I If ' , .,1 1 it Il t f i , 1 1 J 1 t ? J, ',j l.1 ,
( 1 'UJ.' ,. i ] 4, If I If ' , .,1 1 it Il t f i , 1 1 J 1 t ? J, ' ,j l.1 , . 1 f , ; 1 Il 1 ,.fH' ....t' * fI r ;,
1 , . 1 f , ; 1 Il 1 ,.fH' ....t' * fI r ;, ? , r . r.... t'f 1 . ' ? ? ? t BIBLIOGRAPHIE ' '1 fi' 4 t , 1 .... 1 .
.fH' ....t' * fI r ;, ? , r . r.... t'f 1 . ' ? ? ? t BIBLIOGRAPHIE ' '1 fi' 4 t , 1 .... 1 . t', ..., .... IV. His
oires, disputes et discours des illusions el impostures des diaúles, ' dts magiciens infâmes, sorcières et empoisonneurs
x du Progrès médical et chez Delahaye et Lecrosmer). 1 f y 1 " < ' f 1 9 , , 1 Cet ouvrage est le troisième' de la
e l'aqueduc de Sylvius, fonctionne. dans^un sens.expira- Loil'e'l't ' ;011 excitation amène l des Racées d'expiration ou
très forts arrêts expiratoires, qui finissent' vile' par "là" mort, ' tandis que sa( destruction complète produit seu
oies différentes, notamment- : 1° Par les nerfs optique et auditif; ' , ici' 1 2° Parles nerfs sensitifs de là peau;
ptique et auditif; ' , ici' 1 2° Parles nerfs sensitifs de là peau; ' , 3o Et par une parlie'dcs fibres du pneumo-gas
Pinel était représentée par M. Honoré Pinel et le Dr Charles Pinel. ' 1 Plusieurs intéressants discours, interrompus
illustre qui a tant contribué à l'amélioration du sort des aliénés. ' «Au nom de la Société médico-psychologique, je
ant Pinel, ce qu'il a fait pour eux, et ce qu'ils sont aujourd'hui. ' « A Bicêtre, à la Salpêlrière, dit Pariset, dan
l ! » Discours de M. POUBELLE, préfet de la Seine. ` « Messieurs, ' , t l ,i « M. le président du conseil municip
donner l'assurance que, comme il est bien reçu, il sera bien gardé. ' « Cette statue, élevée par vous à la mémoire de
dit-il à Pinel, « de vouloir déchaîner toutes ces bêtes féroces ? ) ' «Non, répondit « le médecin de Bicêtre, j'ai la
vre et pros- pérer toutes ses oeuvres, et, à cette heure solennelle, ' si M. Baillar- ger est retenu loin de nous par
sortir une des plus belles réformes que notre époque ait produites. ' « La Révolution venait d'éclater, soufflant par
VARIA. « Eh bien ! fais en ce que tu voudras, je te les abandonne ; ' « mais j'ai grand'peur que tu ne sois victime d
« mais j'ai grand'peur que tu ne sois victime de ta présomption. » ' « Se croyant suffisamment autorisé par ces parole
aient tombées celles des fous de Bicêtre. «Pour rendre la réforme ' plus complète et plus efficace, un progrès impo
en second, or Weibel; médecin assistant (il change chaque année).. ' Canton de B.\LE- VILLE, -10 Une division de l'h
ice des aliénés (90-100 lits), sous la direction du . ,D J. KUNZ. 1 ' ,CANTON DE TüURGOVIE. - 1° IIIül1stel'lingen, A
en second, Dr Lisibach; médecin assistant (change chaque année). ' Canton DE ZUIIICH. lu Bti7,ghol,i. Asile de l'Eta
WALD-LE-BAS. Stau ? Asile pour 40 incurables, sans médecin spécial. ' LES cantons DE TESSIN, GLARIS, SCHWYTZ, URI, UN
tons veulent bâtir soit isolément, soit en s'associant entre eux. " ' Canton des (;RISONS. - Realta. Asile pour 30 in
u MOYEN DES asiles pendant ces dernières années; par LOEHR 1, , . . ' Province du RIIIN (suite). Bonz.' Ouverture de
couvert; transformation complète des poêles à bain inutili- sables. ' , . , . Grafenberg. On, a augmenté le territoir
comme terrain de labour et jardins. En 1882 i Voy. le t. X, p. 138. ' ' 2 Nous appelons l'attention sur cet instrumen
mme terrain de labour et jardins. En 1882 i Voy. le t. X, p. 138. ' ' 2 Nous appelons l'attention sur cet instrument,
notamment de remplir à peu de frais un ou plusieurs réservoirs.- ; ' -< '' P. K. z 296 VARIA. on a acheté cinq
sement. Agrandissement des locaux de la buanderie et de la machine. ' Province de POSFN. Owinsk. Le nouvel asile de 1
(réservée à l'horticulture),-une cuisine neuve. En arrière et plus ' Voy. Archives de Neurologie, t, III, p. 108. -
onditions purement anatomiques. L'année passée, MM. Ballet et Minor ' ont étudié toutes les observations existant dan
ciments. Observation. Anna 0..., paysanne, âgée de vingt-deux ans, ' entre à l'hôpital militaire Saint-Nicolas à Péter
pasmodique telle qu'elle existe à présent dans la science. M. Erb ' en décrivant la symptomatologie de la maladie é
x qu'on ne peut pas réunir à une lésion des fais- ceaux pyramidaux. ' Les résultats principaux de cet article peuvent
a moelle épinière; 3) La première place parmi ces affections appar- ' tient à la sclérose diffuse. , 1 Traité des
ils éclatent de préférence le dimanche soir à la sortie du cabaret. ' II. Malgré tous ces caractères communs, ces inc
ux qui ont agi sous l'influence d'un mobile plus ou moins futile. ' III. Ceux qui ont agi sans mobile ont cédé à un
ont jamais des pyro- manes ; car il est impossible, dans aucun cas, ' de retrouver chez eux la symptomatologie ainsi
roduit plusieurs enfants idiots ou imbéciles. IV. Famille HORN... ' ty Père alcoolique ( ? ) Mère débauchée, enfa
et qui a eu des convulsions à cinq ou six mois, à plusieurs reprises ' ; - 9° une fille, neuf ans en 1881, bien portan
. Taille : 1 m. 46. " Juin. Poids : 41 kil. : i0. Taille : 1 m. 50. ' 'i885. Janvier. Poids : 46 kil. 50 : Taille : l
: 1 m. 50. ' 'i885. Janvier. Poids : 46 kil. 50 : Taille : l'm. 52. ' ' ' Juin. Poids : 45 kjl. 70. Taille : 1 kil. 5
1 m. 50. ' 'i885. Janvier. Poids : 46 kil. 50 : Taille : l'm. 52. ' ' ' Juin. Poids : 45 kjl. 70. Taille : 1 kil. 52.
50. ' 'i885. Janvier. Poids : 46 kil. 50 : Taille : l'm. 52. ' ' ' Juin. Poids : 45 kjl. 70. Taille : 1 kil. 52. R
nements fournis par sa mère, 12 janvier 1881). Pendant la grossesse ' , la mère a eu des contra- riétés nombreuses par
it « en'étisie ». Sa mère l'a repris alors et l'a élevé au biberon. ' Depuis quatre mois et demi jusqu'à huit mois, l
extrait et vin de quinquina, sirop d'iodure de l'er, hydrothérapie. ' 31 janvier. Poids : 26 kil. 20; taille : lm,30.
ues ganglions seulement dans les deux aines de l'ais- selle droite. ' Au point de vue intellectuel, cet enfant est un
tipation. Jusqu'à quatre ans, il n'eut rien autre que des engelures, ' quelques croûtes dans les cheveux, sur les main
une petite élévation de deux millimètres de lon- gueur (syphilis). ' , , 1883. 30 janvier. La syphilis est en voie d
bien conformés, quoique un peu grêles. Pas de traces de rachitisme. ' Les cheveux sont blonds et peu abondants; sur l
auche. Le ventre est assez développé et un peu tendu. Pas d'ictère. ' ' ' 1 Respiration. - Submatité au sommet des de
che. Le ventre est assez développé et un peu tendu. Pas d'ictère. ' ' ' 1 Respiration. - Submatité au sommet des deux
e. Le ventre est assez développé et un peu tendu. Pas d'ictère. ' ' ' 1 Respiration. - Submatité au sommet des deux p
st plus attentif; en décembre il s'habille seul, travaille mieux. , ' En mars et avril 1882, il est plus docile et pl
ent au goitre exophthalmique; les récentes recherches de MM. Ballet ' et Marie 2 le montrent fréquemment uni par l'hé
cès alcooliques; pas de syphilis; excès vénériens et onanistillues. ' Chagrins d'amour suivis d'accès de tristesse, d'e
us n'indiquerons ici que les traits principaux de leur affec- tion. ' Observation VHI. Idiotie complète. Gui... (Lo
sont égales, peu saillantes; au-dessous d'elles, légère dépression. ' 372 CLINIQUE MENTALE. Système dentaire très d
lirante, le délire habituel reste ce qu'il était avant l'at- taque. ' 29. - Deux attaques convulsives le matin : le s
assez facilement à l'action inhi- bitoire directe de l'hypnotisme. ' Nous sommes bien convaincu que dans ce cas l'hy
ux d'ensemble intéressant, la revue critique de MM. Féré et Bernard ' et la thèse de \1. Dreyfous. Nous insiste- rons
- rielle insuffisante. Ces deux ordres de troubles névropathiques ' Des troubles nerveux chez les diabétiques. Féru e
diabétiques. Féru et l3ernarl. Archives de Neurologie, 188,2, t. 1\ ' , p. 336. 2 Dreyfous. - Patltogenie pl accidents
ième malade, un an environ avant la mort, 406 " 1 v REVUE CRITIQUE. ' on constata' un' trouble' des' plus marqués de
lancher des valvules et amener en fin de compte leur perforation. ' Rien pendant la vie n'avait décélé chez les deux
e chez un jeune homme de dix-huit ans. Sclérose de la corne d'Ammon ' , dégénérescence grais- seuse étendue des vaisse
e Sommer et thèse de Coul- bault, t. III, p. 373 et|t. II., p. 246. ' 420 REVUE DE pathologie mentale. 1873. L'acte
d'aliénés. Second cas. Condamnations répétées pour vol. Fait sem- ' blable ; transfert dans un établissement d'aliéné
t de la tolérance dont les tissus font parfois preuve à leur égard. ' Ce qui distingue surtout les deux cas de ce sec
oy. Archives deNeurofugie, t. VIII, p. 328. REVUE DE thérapeutique. ' 125 X. LE MODE d'action thérapeutique dissembla
orbitaire par un aliéné qui l'a fort maltraité. Le coup a été si ' Les deux séances de mai et de juin ont déjà été p
s sur les troubles nerveux consécutifs aux maladies aiguës. Thore ' , M. Christian 2 et plus récemment le Dr Kraepelin
. - B. D. XI, XII. 436 SOCIÉTÉS SAVANTES. dies aiguës; M. Foville ' a signalé consécutivement à la variole des para
de l'enfance. (Gaz. illid. de Paris, 1871). 1 Westph : ) ? Be1'line¡ ' hlinzsclce lVoclcezcsclcz·ijl, 1872, n" 47. 5 V
zarre à parler malgré soi et à raconter ce que l'on voudrait taire. ' Un déséquilibré d'une grande intelligence a tortu
nt aux actes les plus extravagants et parfois les plus dangereux. ' D'autres fois, c'est l'inverse qui : e produit :
alle Cabanis, nu il ; il a vu hier M. Voisin; il attend sa visite.. ' ' 440 SOCIÉTÉS SAVANTES. Ce changement saisis
le Cabanis, nu il ; il a vu hier M. Voisin; il attend sa visite.. ' ' 440 SOCIÉTÉS SAVANTES. Ce changement saisissa
. 11 est poli, timide, triste; son intelligence paraît très obtuse; ' ; sa mémoire confuse; il ne sait rien des person
folie systématique, infinitésimaux de paralysie générale typique.. ' M. SCHUCHARDT. Quelques observations sur les ma
06 et 383; t. X, p. 107 et Thèse de Nercam (Paris, 1884)........ '. ' Archives, t. X. 29 450 SOCIÉTÉS SAVANTES. a
as qu'il faille les exclure du cadre des conceptions irrésistibles. ' /. j 1 M. Friedmann. Sur ce que l'on entend par
, '0 gouttes. Faites digérer 6 heures à la température de 30-32" R. ' Il reste alors 240 gr. de liquide peptique. '
pérature de 30-32" R. ' Il reste alors 240 gr. de liquide peptique. ' Cette dose est administrée, en alternant avec d
fisamment signifi- 458 BIBLIOGRAPHIE. calif : « La dualité de f'e, ' }Jl'it ». A l'appui de sa manière de voir, il in
en un mot, qu'il possède deux organes de l'idéation, deux cerveaux. ' Telle est cette consciencieuse étude que l'aute
s d'origine périphérique ; par IL FAU- vel. (Thèse de Paris, 1885.) ' ' Contribution à l'étude de la méningite cérébr
origine périphérique ; par IL FAU- vel. (Thèse de Paris, 1885.) ' ' Contribution à l'étude de la méningite cérébro-sp
13reslau, est décédé la 10 juillet, à l'âge de quarante et un ans. ' Le Dr L. Lanier, membre, fondateur et secrétair
uelquefois même l'aliénation consiste simplement en hallucinations. ' BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Càmmahem (V.). Un ca
moelle épinière causées par l'élongation du), par Tarnowski, 35. ' Sclérose latérale amlotrophique (doux nouveau
. Schulz, 90. Séglas, 186, 347, 376. Senator, 410. Shaw, 415. ' Siemens, 101, 232. Sikorsky, 145. Spitzka.
11 (1934) Oeuvre scientifique
ski I INTRODUCTION A LA SÉMIOLOGIE DES MALADIES DU SIS- TÈ1JIIj, ' NERVEUX. DES SYMPTOMES OBJECTIFS QUE LA VOLONTÉ
ST INCAPABLE DE REPRODUIRE. DE LEUR IMPORTANCE EN MÉDECINE LÉGALL' ( ' ). J. 13aBmsxi. Publié dans la Gazelle des hôp
vous montrant par quelques exemples la prépondérance de leur rôle. ' Vous êtes consulté par un sujet qui se plaint d
Basedow, n'est pas non plus susceptible d'être créé par la volonté ? ' ? Enfin, il est une affection nerveuse, l'intox
qui a été à cet égard très instructive pour moi. Baiunski. j 18 ' LA MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE Une femme se plaignant
étendus stigmates oculaires de l'hystérie, je disais en terminant : ' « J'ai étudié de cette manière, en collaboratio
certains cas douteux. IV RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX( ' ) 1 [J. BABliNSKI.] Publié dans le Bulletin Mé
mes recherches personnelles éparses en diverses communications. ( ' ) Leçons laites à l'hôpital de la Pitié. 4o SÉMI
n, qui présentent la même constance que le rotulien et 1',tchilléen( ' ). Si maintenant, dans le groupe des individus p
la garde républicaine, qui examina 23o gardes âgés de 22 à 54 ans ( ' ). J'ajouterai que, même chez les vieillards, mê
er la première idée, c'est la deuxième qu'on est obligé d'admettre. ' Babinski. 4 5o SÉMIOLOGIE Abstraction faite
lexion apparaît, même quand le choc porte sur le tendon tricipital ( ' ). La flexion de la jambe sur la cuisse, consécu
j'ai décrit sous la dénomination d'inver- sion du réflexe du radius( ' ) et dont la réalité a été confirmée depuis par
nons à cette triade pathologique la maladie de Friedreich que nous ( ' ) Voir Bulletins et Mémoires de la Société médical
onstant chez l'individu sain, j'ai pu tirer parti de son abolition ( ' ). Je me suis convaincu que ce symptôme est très
pour cause des fautes de technique dans l'exploration des réflexes ( ' ) a) Sur le réflexe du tendon d'Achille dans les t
igne de Lasègue, sur la scoliose, que Charcot et moi avons étudiée ( ' ). Cependant, lorsque le réflexe achilléen est c
FLEXES OSSEUX 55 La névrite radiale, dans la forme que j'ai décrite( ' ), est caractérisée par des douleurs violentes,
guë, comme je l'ai dit, les réflexes, après avoir été abolis, peu- ( ' ) Voir Revue neurologique, 1903, p. 734 : Névrite
spondylose sous la dénomination de « pseudo-tabes spondylosique » ( ' ). Il nous reste à voir dans quelle mesure les m
t pour ce motif que je range cette affection à la suite de la dys- ( ' ) J. Babinski. - Pseudo tabes spondylosique (Revue
la myopathie progressive primitive, par J. Babinski et J. Jarkowski. ' 58 SÉMIOLOGIE trophie musculaire progressive
une abo- lition des réflexes tendineux au-dessous de la zone lésée ( ' ). Si cette irré- flectivité n'est pas sous la d
uliens sans qu'il y eût de troubles de sensibilité. 60 SÉMIOLOGIE ' ne provoqueraient pas dans la partie sous-jacen
s : moyens ou faibles chez les uns, ils sont forts chez les autres ( ' ). Aussi s'agit-il de déterminer les caractères
i soutient et accompagne le pied, la sensation d'un rythme parfait. ' Ce phénomène peut être facilement distingué de
ères et sur laquelle je reviendrai en traitant de l'hystérie. '. ( ' ) Un certain nombre d'auteurs emploient indistinct
non, on peut avoir affaire à une trépidation que j'appelle fruste ( ' ), phénomène banal qu'on observe chez des sujets
inale. Et pourtant, il est essentiel de les distinguer puisque, je ( ' ) De l'épilepsie spinale fruste, par J. Babinski (
suffisante, ceux de la contraction idio-musculaire. 64 SEMIOLOGIE ' ' Toutes ces manifestations cliniques que nous
suffisante, ceux de la contraction idio-musculaire. 64 SEMIOLOGIE ' ' Toutes ces manifestations cliniques que nous ve
us y insistons d'affirmer que les réflexes tendineux sont exagérés. ' ' . DES DIVERS MODES DE LA SURREFLECTIVITE. L
y insistons d'affirmer que les réflexes tendineux sont exagérés. ' ' . DES DIVERS MODES DE LA SURREFLECTIVITE. La
nte sous des aspects divers. Les deux modes les plus communs sont : ' a) La surréflectivité unilatérale, liée le plus
'hémiplégie cérébelleuse des troubles de motilité unilatéraux sans ( ' ) Contribution à l'étude de quelques réflexes dans
e puis répondre par l'affirmative à la question posée. J'ai relaté ( ' ) l'observation d'un malade atteint d'une tumeur
on du faisceau pyramidal, peuvent-elles entraver la surréflectivité ? ' ? Ce qui conduit à émettre cette idée simple hy
ons de la moelle. La surréflectivité dans les lésions de la moelle ( ' ) De la paralysie par compression du faisceau pyra
ues s'étendent au moins du cinquième segment, centre du réflexe de ( ' ) Si j'en juge par mes observations, la méningo-my
membres inférieurs après section transversale de la moelle dorsale ( ' ). (') J'ai publié, en collaboration avec MM. Ja
inférieurs après section transversale de la moelle dorsale ('). ( ' ) J'ai publié, en collaboration avec MM. Jarkowski
jambe et de la cuisse est parfois portée à son degré le plus élevé ( ' ). Dans certains cas la contraction musculaire s
t et J. Jarkowski (Société de neurologie de Paris, 7 mars 1912). ( ' ) Dans certaines attitudes, l'excitation des tégum
uences, une grande importance, ainsi qu'on le verra ultérieurement ( ' ). Je me suis borné jusqu'à présent à l'étude de
sence est beaucoup plus commune. Mais, dans cet ordre de faits, la ( ' ) MM. Marie et Foix ont émis sur le mécanisme des
Je rappelle à ce propos que dans l'observation de MM. Dejerine et ( ' ) Sur la transformation du régime des réflexes cut
idents m'avait toujours empêché de mettre cette idée à exécution » ( ' ). Deux ans plus tard, en 1908, Foerster eut le
des autres, on doit n'en couper qu'une sur deux ou deux sur trois ( ' ). En procédant ainsi, à la surréflectivité succèd
cles cervicaux et la raideur qui en est la conséquence ne se mani- ( ' ) L'observation de cette règle, il est vrai, n'est
a des analogies cliniques avec la rigidité de la maladie de Wilson( ' ) ; elle se rapproche plus du spasme que de la c
; cependant cette stabilité n'atteint guère le même degré que dans ( ' ) Voir : Dégénération lenticulaire progressive. Ma
ont été confirmées sur tous les points par plusieurs neurologistes ( ' ). Cette forme de contracture, surtout commune a
début, mes idées trouvèrent une vive opposition. Actuellement, au ( ' ) a) Souques. Paraplégie spasmodique organique, av
ment par leur irrégularité de celles du vrai clonus. Claude et Rose( ' ), en employant des procédés graphiques, ont con
ostics erronés dont une semblable règle a dû être la source, ainsi ( ' ) Étude graphique du clonus dans les maladies orga
l'exagération des mouvements passifs sont des phénomènes connexes. ' VI DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE L'HÉMIPLÉGIE OR
ORGANIQUE ET DE L'IIF,, , 11 / P L É G IE, . Il YS 7'1,, 111 Q UE, ( ' ) [J. Babinski.] Publiée dans la, Gazelle des
ic sera porté généralement, même chez un sujet jeune atteint d'hé- ( ' ) Leçon clinique faite à l'hôpital de la Pitié.
genre que mon interne, M. Cestàn, a relaté à la Société anatomique ( ' ). Il est certain que l'hémiplégie organique est
HYSTÉRIQUE 93 associations hystéro-organiques sont très fréquentes ( ' ), que, par exemple, une hémianesthésie hystériq
ne paralysie, ces deux ordres de mouvements peuvent être troublés. ( ' ) Voir à ce sujet : « Association de l'hystérie av
, Bull, de la Soc. méd. des hôpit. de Paris, 1892, p. 775· -. -> ' ; ; g4 SÉMIOLOGIE Enfin, la contractilité réf
a donné de l'hémispasme glosso-labié une description magis- trale ( ' ) que toutes les observations recueillies depuis n
temesse (4). Koening a produit sur ce sujet un travail intéressant ( ' ) et pour ma part j'ai relaté, dans deux communi
ppelé l'attention dans une présentation faite à la Société médicale( ' ). C'est dans l'hémiplégie organique que j'ai ob
opres à nous conduire au but que nous nous proposons d'atteindre. . ' J'ai fait remarquer précédemment que l'abaissem
e faciale qui s'impose à l'atten- tion, mais, comme je l'ai montré ( ' ), elle peut atteindre aussi les membres. Elle s
ne, porte le tronc en arrière pour reprendre la position primitive ( ' ). C'est surtout quand le malade se renverse ave
r comprendre l'interprétation que je propose, il faut d'abord ana- ( ' ) Pour plus de détails voir : « De quelques mouvem
érentiel de grande valeur. Dans un travail publié il y a sept ans( ' ), j'ai soutenu l'opinion contraire et l'expérie
J. Babinski, Bail de la Soc. méd. des hdpit. de Paris, 5 mai 1893. ' HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE ET HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE i
ssociée au mouvement d'ouverture de la bouche ou de flexion du cou. ' Si dans l'hémiplégie hystérique les troubles de
très prononcée, ou encore s'opérer du côté opposé à la paralysie. ' 5° Il n'y a pas d'hypotonicité muscu- laire.
avoir été t mentionnés pour la première fois en 1784 par Prochaska ( ' ). L'expé- rience faite par cet auteur a été mai
rs la périphérie du membre. Nous reviendrons plus loin sur ce fait. ' La piqûre, l'application d'un corps chaud ou d'
s particu- lières qu'il importe de ne jamais négliger en pareil cas( ' ). (') Je dois faire remarquer que les mouvement
cu- lières qu'il importe de ne jamais négliger en pareil cas('). ( ' ) Je dois faire remarquer que les mouvements spasm
naître à la Société de Biologie le phénomène des orteils, Schaefer ( ' ) montra que dans l'hémiplégie organique la pres-
nt, mais il n'en est pas toujours ainsi. Dans un travail antérieur ( ' ), auquel je renvoie le lecteur, j'ai indiqué pl
Pastine a publié récemment Q des faits qui confirment mon opinion. ( ' ) Voir à ce sujet : Rétlexes tendineux et réflexes
eut exister du côté anesthésié (2) ou du côté des troubles moteurs ( ' ). Parfois on les voit apparaître du côté de l'a
ctivité est bilatérale, dans certains cas, mais prédomine d'un côté( ' ). I)ans la maladie de Friedreich les réflexes d
quer, est très vaste ; il peut même comprendre toute la surface du ( ' ) Claude, Sur certains phénomènes d'hvperkincsiu r
a maladie de Friedreich. Revue neurologique, 31 mars 1912. 2. 122 ' SÉMIOLOGIE corps. En outre, l'exagération des r
jet et de reproduire ici en partie ce que j'ai déjà écrit ailleurs ( ' ) sur ce point : « Dans la paraplégie spastique
pend comme celle-ci de lésions du système nerveux central intéres- ( ' ) Voir : Exposé des travaux scientifiques du Dr Ba
ènes spasmodiques sous l'influence de l'excitation de la peau éta- ( ' ) Les réflexes de défense pouvant être provoqués n
l- laire au moyen des réflexes de défense fut vérifiée dans 16 cas ( ' ) : dans 12 cas, il s'agissait de tumeurs intra-
e couteau ; dans un cas, de méningite hypertrophique cervicale, où ( ' ) Voici les publications dans lesquelles furent re
e lieu au mouvement habituel, c'est-à-dire à la triple flexion, 128 ' SÉMIOLOGIE une irritation portant sur la cuisse
vation anatomo- clinique relatée par Dejerine, Lévi-Valensi et Long( ' ) : il s'agissait d'un cas de paraplégie par sec
raplégie par section complète de la moelle où il existait, en même ( ' ) Revue Neurologique, njn, t. XXII, p. 141 et 1912
lo- gique. » Je rappelle aussi l'Observation publiée par Pastine ( ' ) se rapportant à un sujet atteint de paraplégie
, pu reproduire les expériences de Babinski, mais l'interprétation ( ' ) Revue Neurologique, 1\)1 ? vol. XXVI, p. 4"3.
ns leur premier article sur le retrait réflexe du membre inférieur ( ' ), ils écrivent ceci : « Il (le retrait réflexe)
rve en effet en dehors de ce signe, particulièrement chez certains ( ' ) Revue Neurologique, IUI2, t. XXIII, p. 1 z. RÉ
dans un deuxième travail sur les réflexes d'automatisme médullaire ( ' ), ils écrivent encore : « l'on peut cependant v
ues de neurologie fait foi, d'ailleurs, de ce réel discrédit.. - ( ' ) Revue Neurologique, 19[0, t. XX, p. 122. e) Re
ions in Gross Injuries of the Spinal Cord » (Brain, 1917, 40, 217). ' George Riddoch. « The Reflex Fonctions of the C
erse Division of the Spinal Cord » (Médical Science, 192 1, 5, 49). ' George Riddoch and Farquhar Buzzard. « Reflex M
teur de Sherrington, mérite aussi d'être particulière- ment retenu. ' Après ce court historique, reprenons le fil de
é déjà en 1898, dans un travail relatif au phéno- mène des orteils ( ' ), sur la coexistence de ce signe avec la subréfle
de Neurologie. Voici un pas- sage du travail où ce fait est relaté ( ' ) : « Ce qui est capital c'est que, chez cette m
ou à des hauteurs différentes, pourvu qu'elle soit dûment établie. ' . « Il est encore essentiel de savoir que les r
ère générale et sauf à la période initiale quand il y a shock, plus ' accentués dans les lésions spinales que dans les
nt à confirmer cette opinion ont été rapportées par divers auteurs ( ' ). Les faits de section complète de la moelle ob
er une idée que de citer un passage du travail de MM. Marie et Foix( ' ). Les observations qu'ils ont faites servent de b
dant souvent partiellement avec lui, l'extension du membre croisé. ( ' ) Revue Neurologique, 1912. t. \\III, h. 668. c4
ant des exceptions si l'on s'en réfère à une observation de Lhermitte( ' ) et dont voici le résumé : « Syndrome de sectio
one réflexogène du réflexe en flexion ne dépasserait pas le genou. ( ' ) Sur la section totale de la moelle, 1919 C\laloi
phénomènes d'hyperkinésie ŸAIt1\AI. I O r{¡6 SÉMIOLOGIE réflexe( ' ) » a décrit dans l'hémiplégie cérébrale des réact
u néoplasique un peu adhérent à la dure-mère, un nouvel examen des ( ' ) Encéphale, 1910, p. 287. RÉFLEXES DE DÉFENSE 1
oir a été généralement acceptée, et dans un article récent M. Foix ( ' ) écrit ceci : « Contracture d'automatisme médul
mmunication intitulée : « De la surréflectivité hyperalgé- sique » ( ' ), nous avons relaté, Jarkowski et moi, trois Obse
e, mai ig2. : : (2) fievue Neurologique, 3 mars I ! P, p. 3oo. 1554 ' SÉMIOLOGIE Ces réactions motrices diffèrent cli
, l'élément « irritation » ne peut pas jouer aussi un certain rôle. ' C'est une idée que M. Foix tend à admettre, com
nt par l'extension unilatérale. Des recherches nouvelles de Bersot ( ' ), de Lantuéjoul Q ont montré qu'il y avait lieu
in de 2 à 3 mois et leurs relations avec le système nerveux foetal ( ' ). » J'extrais de cet article (p. 1 n3) le passa
penser, ainsi qu'on l'a déjà supposé pour les réflexes de défense ( ' ), que les divers groupes musculaires dont la cont
permanente parait être la cause la plus importante et la Babinski. ' Il 1 16a SEMIOLOGIE plus fréquente : elle aug
e dans la position la plus favorable à l'exécution de l'acte projeté ( ' ). Il résulte de ce qui précède que les mouvemen
us de la Société de Neurologie de Paris, séance du 9 novembre 191 l ' ¡j¡fu, On sait que la compression d'un membre pa
ques où il y a hyperréflexie tendineuse et trépidation épileptoïde. ' Des expériences que j'ai faites sur des sujets
le côté du corps sur lequel auront porté les divers attouchements. ( ' ) J. Babinski et J. Jarkowski, Société de neurolog
exes de défense, et qui permettent d'habi- tude de les reconnaitre. ' Ce que nous nous proposons d'établir dans cette
boration avec Chauvet (voir Revue neurologique, igi3, n° 12, p. 857) ' .Il nous paraît inutile de transcrire ici cette o
s en extension ; à gauche, il y a tantôt extension, tantôt flexion. ' Les réflexes abdominaux sont plus forts à gauch
mbilic; mais cette réaction est inconstante et relativement faible. ' Les excitations de la peau du côté droit ne son
e, en même temps qu'on perçoit une inspiration brusque et bruyante. ' '. " Comme dans le cas I, cette surréflectivité
exes de défense doivent être distingués des réflexes hyperalgé- 172 ' SÉMIOLOGIE siques et si, comme dans l'observati
en quelque sorte intermédiaires entre ces deux ordres de réactions ( ' ). (') Dans l'hémiplégie liée à une lésion céréb
que sorte intermédiaires entre ces deux ordres de réactions ('). ( ' ) Dans l'hémiplégie liée à une lésion cérébrale, o
ièce sombre, suivant la méthode dont j'ai cou- tume de faire usage ( ' ), étaient dilatées et ne réagissaient pas du tout
olongée qu'elle soit, et le réflexe consensuel est également aboli. ' L'étude des faits que je viens de rapporter m'a
on ouvre les deux yeux, l'équilibre tend à se rétablir rapidement ( ' ). Il y a lieu de rappeler que l'obscuration, qu
nt à l'appui de cette manière de voir, c'est que le signe d'Argyll ( ' ) Voira) Bulletin de la Société de dermatologie, s
b) Société médicale des Hôpitaux de Paris, séance du 17 mai 1901 - ' ? -- ............. - . , . 182 SEMIOLOGIE Rob
réflexes achilléens sont abolis ; je crois, en effet, avoir montré ( ' ) que l'abolition du réflexe du tendon d'Achille
le système nerveux central est touché par la syphilis, par Harris ( ' ), pour qui le phénomène d'Argyll Robertson est un
ébel- leuse chez la malade qui fait le sujet de l'observation II... ' 186 SÉMIOLOGIE Pour bien comprendre la signif
ces mouvements et la synergie entre ces deux ordres de mouvements. ' Chez H. M., la force musculaire étant normale,
ou du bulbe ; en effet leur parole est scandée, ils ont du nystag- ( ' ) J. Babinski (Extrait du premier travail : Sur le
dans le rapport au congrès international de médecine, Londres, igi3. ' INTRODUCTION (') 'ETUDE des symptômes des mal
u congrès international de médecine, Londres, igi3. ' INTRODUCTION ( ' ) 'ETUDE des symptômes des maladies du cervelet
deuxième partie, des symptômes qui pour la plupart n'ont guère été ( ' ) Extrait de l'introduction du rapport. / SÉMI
er les résultats de ces deux ordres de recherches. PREMIÈRE PARTIE ( ' ) La constatation des analogies entre les effets
ore en droit de considérer tous comme caractéristiques ; quelques- ( ' ) Extrait de la première partie du rapport. (2)
ort. (2) Extrait de la deuxième partie du rapport. igo SÉMIOLOGIE ' ' uns, en effet, sont de valeur discutable et n
t. (2) Extrait de la deuxième partie du rapport. igo SÉMIOLOGIE ' ' uns, en effet, sont de valeur discutable et nou
exemple, portez l'extrémité de votre index au bout de votre nez, vite, ' encore plus vite. Le doigt dépasse le but. Le s
n'avions pas eu connaissance d'une observation isolée de Hup- pert( ' ) lorsque nous avons fait paraître notre mémoire e
oui, peut-on les distinguer des mouvements démesurés cérébelleux ? ' ? Au cours de l'ataxie qui se rencontre chez l'
kelthatigkeit », et que je nomme « dis- « metria dei movimenti ». » ' SÉMIOLOGIE CÉRÉBELLEUSE tg3 demandons, c'est
. Par cette expression, assez couramment employée, que désigne-t-on ' ? Certains expérimentateurs s'en servent. « Con
i concerne l'équilibre volitionnel cinétique. » TROISIÈME PARTIE ( ' ) Dans cette troisième partie nous nous occupero
e encore quand les deux labyrinthes sont détruits (Lewandowsky). ( ' ) (Unlersuchunyen und lieo6achtunyen über die Wir/
hique dénudé, l'autre un demi-centimètre en dehors de cet appareil ( ' ). En disposant l'expé- rience de cette manière,
ère. C'est la reproduction de certains faits observés chez l'homme. ' EXPÉRIMENTATION SUR LE COBAYE (En collaborati
illes, le passage d'un courant galvanique de 3 millimampères et au ( ' ) Je tiens à remercier mon collègue et ami le Dr N
Nageotte du précieux concours qu'il m'a prêté dans ces expériences. ' 212 SÉMIOLOGIE delà, détermine une rotation d
nt on a détruit un labyrinthe. Ewald a déjà signalé cette analogie ( ' ). En augmentant la puissance du courant on obti
our de l'axe longitudinal du corps en direction du pôle positif. ( ' ) Ewald : (Physiologische Untersuchungen v. d. End
obtenir par différents excitants : les courants continus (Breüer- ( ' ) J. Babinski. Comptes rendus de la Société de Bio
che constitue un mouvement réactionnel com- plexe. Étudiée par Buys( ' ) après les épreuves caloriques, par Gèzes C) ap
e par l'un de nous pour le membre supérieur par le procédé suivant ( ' ) : sur une feuille de papier fixée dans un cadr
pendant le premier trajet, à laquelle succédera une contre-dévia- ( ' ) G. A. Weill (Soc. Paris, d'Oto-rhino-laryng. 10
d'une période d'augmentation. Enfin, d'après Jeanselme et Lermoyez( ' ), chez les cholé- riques, le muscle avant de mo
, l'électrode indiffé- rente est appliquée à la région sternale. ( ' ) Archives de Physiologie, tri. 1,'LECTROI,OGIE
la contractilite faradique et de la contraction voltaïque. 220 , ' SÉMIOLOGIE Muscles de la région postérieure de
ulier la modification qualitative de l'excitabilité galvanique (Erb) ( ' ), est sous la dépendance des modifications hist
fluence du système nerveux et que l'excitation électrique ne porte ( ' ) Traité d'Électrothérapie traduit par RuefT, page
ù l'excitabi- lité des fibres nerveux intra-musculaires est abolie ( ' ). HYPEREXC1TABlLITÉ ÉLECTRIQUE DU NERF FACIAL
malade le tronc du facial, tous les muscles innervés par le facial ( ' ) Dans des expériences inédites que j'ai pratiquée
R LECTROLO CI E 225 seurs, d'atrophie musculaire ab-articulaire ( ' ). D'après Huet, ce fait s'ob- serve dans la mal
secousses faradiques se manifeste de la manière la plus éclatante ( ' ). A PROPOS DE LA COMMUNICATION DU Dr BORDIER
s qui est connexe à l'excitation voltaïque. Ils ont insisté sur la ( ' ) Quand il s'agit de paralysies réflexes du membre
'EMPLOI DE DEUX COURANTS EN ÉLECTRODIAGNOSTIC ET EN ÉLECTROTHÉRAPIE( ' ) LA RÉACTION FARADIQUE LATENTE, LA FARADO-GALVA
ieu d'employer la batterie 2 on se sert de l'appareil faradique. ( ' ). Babinski, Delherm et Jarkowski, Archives d'Elec
une communication faite à la Société Fran- çaise d'Electrothérapie ( ' ), nous avons attiré l'attention sur une réaction
provisoirement au moins, cette réaction de la manière suivante : ( ' ) Babinski, Delherm et Jarkowski, Soc. d'Éleclrolh
andarine, qui avait refoulé le cerveau et s'y creusait une loge. ( ' ) J. Babinski et de Martel, Société de Neurologie,
ânienne épaissie par un mince pédicule qui traversait la dure-mère. ' Elle se laissa énucléer facilement, mais il y e
aru, ainsi que les vomissements. L'oedème de la papille subsiste. , ' M. Babinski insiste depuis longtemps sur la néc
la cuisse et du bassin à droite, ainsi que le signe du peaucier. " ' ......... ? u ." .' ......... ? ....... "- Le
de la souplesse, et on ne note aucune tendance à la contracture. ( ' ) J. Babinski et J. Clunet, Société de Neurologie
res appartiennent aux paralysies par compression des centres nerveux ( ' ). Le 3 mai un nouvel examen du fond de l'oeil,
lanches qui semblent dues à la présence de fibres à myéline et qui ( ' ) a) Sur une forme de paraplégie spasmodique consé
ce l'hémisphère du côté de la lésion sur l'hémisphère du côté sain ( ' ). (') Un travail plus complet sur ce sujet, sur
misphère du côté de la lésion sur l'hémisphère du côté sain ('). ( ' ) Un travail plus complet sur ce sujet, surtout au
ue, paraitra prochaine- ment dans l'Iconographie de la Salpêtrière. ' IV DE LA CRANIECTOMIE DG'C0111'IESSIYE . If
nfrères trop timorés ou insuffisamment renseignés en cette matière. ' DE LA CRANIECTOMIE DÉCOM PRESSI V E 21) S'il
rapporté des observations de ce genre. J'ai relaté avec Chaillous ( ' ) des faits ana- logues et particulièrement prob
nécessaire pour faire l'épreuve de la cure hydrargyrique et de la ( ' ) J. Babinski et Chaillous, Résultats thérapeutiqu
un pareil laps de temps un DE LA CRANIECTOMIE f)1C(¡llll)Hr;SSIVI : ' E 'j.'u traitement spécifique, même intensif, n
tance pratique, doi- vent devenir familières à tous les cliniciens ( ' ). (') Voir à ce sujet la thèse très documentée
ratique, doi- vent devenir familières à tous les cliniciens ('). ( ' ) Voir à ce sujet la thèse très documentée d'un de
qu'à nouvel ordre à la balnéothérapie, s'est sensiblement amélioré. ' Bamssbi. 10 . r n SUR LE SPASME DU COU [J
et Ig01. J'ai présenté l'année dernière à la Société de Neurologie ( ' ) un malade j atteint d'un hémispasme prédominan
18 ans, il a subi l'ablation du gros orteil gauche pour une tumeur ( ' ) Revue neurologique, 1900, p. 142. (2) Torticol
région et qu'elle a intéressé les fibres de la voie pyramidale. ( ' ) Extrait de l'exposé des travaux scientifiques de
e tronc vers la droite. Il fut examiné à cette époque par Kirmisson( ' ) aux enfants malades, qui remarqua que cette sc
e long du tronc, la main, à demi fléchie, regarde la cuisse par sa ( ' ) Les photographies de l'article de la Clinique mo
pied droit, on observe des réactions analogues mais moins marquées. ' TORTICOLIS SPASMODIQUE 265 Les divers modes d
ieur gauches, qui rappellent ceux que l'on observe dans l'athétose. ' (') Voir, pour l'énumération de ces exostoses,
gauches, qui rappellent ceux que l'on observe dans l'athétose. ' ( ' ) Voir, pour l'énumération de ces exostoses, une n
et 1910. J'ai présenté à la Société de Neurologie il y a trois ans ( ' ) une malade atteinte d'un torticolis dit mental
ieur gauche, consécutive à l'opération, s'est notablement atténuée. ' Je puis donc dire aujourd'hui que le résultat t
remière présentation, en novembre 1907, le sterno-mastoïdien était ( ' ) Voir Revue neurologique, tf)0 ? page 1208 et sui
areil cas le retour à l'état normal chez l'adulte est exceptionnel. ' ' .. v . DE LA SECTION DU SPINAL EXTERNE DANS L
eil cas le retour à l'état normal chez l'adulte est exceptionnel. ' ' .. v . DE LA SECTION DU SPINAL EXTERNE DANS LE
e ce genre et notamment une obser- vation que j'ai relatée en 1907 ( ' ). La malade qui en fait l'objet a été revue par
pporté aussi des faits où l'amélioration obtenue a été persistante ( ' ). J'extrais de ce travail le passage suivant :
égitime dans certains cas, notamment quand les spasmes prédominent ( ' ) Revue neurologique, 1921, p. 291. Section bilaté
oncées et que les troubles atteignent leur intensité maxima. 27fi ' AFFECTIONS NON PYRAMIDALES S On observe chez el
nt, il ne peut proférer un seul mot malgré les plus grands efforts ( ' ). » Ce malade d'ailleurs était au point de vue
'un de nous(3), très analogue à un cas rapporté en q) 1'1 par Meige( ' ) et qui, à (1) A. Souques, Les syndromes parkin
ériel à la séance annuelle de la Société de Neurologie enjuin 1921 ( ' ), de celle de MM. Pierre Marie, Binet et M"" Lé
le nombre des inspirations peut descendre jusqu'à six par minute. ( ' ) Troubles respiratoires dans les états parkinsoni
on natu- rellement vicieuse en raison de l'origine basque du sujet. ' - (Examen dans le décubitus.) -' Lorsque le mal
ison de l'origine basque du sujet. ' - (Examen dans le décubitus.) - ' Lorsque le malade, après s'être placé à plat sur
, à peu près aussi longtemps que les yeux soient ouverts ou fermés. ' Lorsque le malade cherche à porter la tête en a
avancer que si les aides ont soin, tout en maintenant la partie supé- ' rieure du corps, de lui imprimer en même temps
chez qui la fonction de l'équilibre cinétique s'accomplit correc- ( ' ) Extrait de la communication faite à la Société d
r un homme normal ; c'est presque une fixité de cire, cataleptique ( ' ), qui n'est trou- blée par aucune secousse musc
une question de définition de mot. il J SYNDROME Cls'11131sLL EU \ ' Publié dans le Bulletin de l'Académie de Médeci
es mêmes conditions, que deviennent les réflexes vaso-constricteurs : ' Considérons-les d'abord au début de l'expérienc
lète de la myéline au centre des ilots de sclérose, constituent au ( ' ) M. J. Babinski a consacré sa thèse inaugurale (t
d'investigation. On peut la dénommer : pseudo-sclérose en plaques. ' , II SUR UNE FORME DE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE
des pieds donne lieu à de la flexion des orteils sur le métatarse. ' . L'état de L. Michel s'aggrave rapidement. La
'excitation de la plante du pied donne lieu au phénomène des orteils ( ' ). La malade se plaint de ressentir des douleurs
t comprime la moelle. Les muscles des membres inférieurs sont plus ( ' ) Voir : Du phénomène des orteils et de sa valeur
s caractères du tremblement dit sénile. Pas de troubles sensoriels. ' La malade quitte l'hôpital après y être restée
ès y être restée plusieurs mois, sans que son état se soit modifié. ' ' - Elle revient dans le milieu de l'année 18g6
y être restée plusieurs mois, sans que son état se soit modifié. ' ' - Elle revient dans le milieu de l'année 18g6.
as nécessairement accompagnée d'exagération des réflexes tendineux ( ' ). L'examen anatomique ayant fait voir que l'aff
temps aux membres paralysés l'attitude de l'extension, mais tôt ou ( ' ) Voir à ce sujet le très intéressant travail du p
lleurs, nous échappe entièrement, un caractère dis- tinctif absolu ( ' ). » Ces remarques sont, en partie, corroborées
ils étaient encore plus marqués dans ce cas que dans les autres. ( ' ) Leçons sur les maladies du système nerveux, 1886
ion de pseudo-sclérose en plaques que j'ai rapportée dans ma thèse ( ' ) ; il s'agit d'un malade atteint de paraplégie
ublié dans les comptes rendus de la Société de Neurologie de Paris, ' séance du 5 juillet igo6. Ai observé et suivi p
une observa- tion rapportée dans un travail publié il y a sept ans( ' ) m'avaient en effet appris que les tumeurs céré
aire quelques pas ; pas de céphalée, pas de nausées. En mai, le D' ' Chaillous constate d'une manière manifeste une au
hère nullement à la substance cérébrale. La tumeur pèse 31o grammes( ' ). Immédiatement après l'opération, il y a une n
janvier 1911". Dans un travail publié il y a déjà plus de dix ans ( ' ), j'ai cherché à éta- blir qu'il existe une for
lement qu'il se distingue par les signes suivants : contracture en ( ' ) Sur une forme de paraplégie spasmodique consécut
contracture en flexion, il est vrai, a été signalée depuis longtemps ( ' ), mais ce qui, dans l'espèce, lui donne un cach
e que je soumets aujourd'hui à l'examen de la SociétéQ et qui est, ( ' ) Voir à ce sujet le travail de l. Noïca, ayant po
int sur lequel porte l'excitation et suivant la position du membre ( ' ), mais ce sont les mouvements de flexion de la
des réflexes tendineux à la contracture du tabes dorsal spasmodi- ( ' ) Voir à ce sujet un travail que j'ai publié en co
paraplégie flasque liée à une myélite aiguë; elle est alors fruste, ' la contracture en flexion n'étant pas très pron
s les fléchis- seurs, nécessite l'exagération des réflexes cutanés ( ' ) (réflexes cutanés de défense). 1 Avant de te
rmie prononcée du pied et de la jambe du côté droit, avec surex- - ( ' ) 11 est bien entendu que je n'ai pas en vue tous
linique a été rapportée récemment par Mme Dejerine et l'un de nous ( ' ), jamais ces auteurs n'ont observé les poussées r
gauche et qu'elle s'étend dans la corne antérieure jusqu'aux cel- ( ' ) Tumeur illlrall1<;,JuIJaire de nature complex
absence de tout phénomène d'irritation pyramidale entre les crises. ' Il nous paraît impossible de ne pas tenir compt
lantaire sont normaux et il n'existe aucun trouble de la marche. ( ' ) J. Babinski,. Société de Neurologie de Paris, sé
8. Il y a deux ans, j'ai attiré l'attention de la Société médicale ( ' ) sur l'affai- blissement ou l'abolition du réfl
parallèle entre ce phénomène et le signe de Westphal. Ce sont les ( ' ) Abolition du réflexe du tendon d'Achille dans la
résent, en particulier dans l'obser- vation de liZ. llchard et Lévy( ' ). De ce qui précède, il ressort qu'il y a intér
raison des conséquences thérapeutiques qui peuvent en découler. ( ' ) Achard et Lévy, Iconographie de la Salpêtrière,
? Ne s'agit-il pas plutôt d'une forme d'arthropathie syphilitique ( ' ) ? » TABES HÉRÉDO-SYPHI LITIQUE(2) (TABES HÉRÉD
l'a fait Gumpertz (3) dans un cas analogue, soutenir qu'il s'agit ( ' ) Publié dans les comptes-rendus de la S. W. 6 mai
aire observer, comme je l'ai fait autrefois pour le tabès conjugal ( ' ), que le tabès hérédo-syphilitidue risque d'être
qu'il pût avoir une affection du système nerveux ; si, après avoir ( ' ) J. Babinski, Revue Neurologique, 1900, p. 34o.
ème nerveux, et ce n'est que sur mon conseil qu'il me l'a conduite. ' Il est pourtant essentiel de dépister le tabes
mps, 11 ans, 13 ans, après que l'un des conjoints avait été conta- ( ' ) Société de Neurologie de Paris, séance du 5 avri
lai au delà duquel la syphilis ne risque plus d'être transmissible. ' (1) J. Babinski et IL Barré, La Tribune médical
reste indemne, malgré un rétrécissement concentrique considérable. ' D'après nos recherches, ces faits auraient été
ce qui tendrait à prouver que cette forme n'est pas exceptionnelle. ' Il existe donc des cas d'atrophie tabétique des
atteinte du côté où siègent lès troubles de la sensibilité cutanée ( ' ). Sans faire la critique des hypothèses que cet
upérieure de l'anesthésie, nous voyons que ces deux lignes, qui se ( ' ) L'autour, pour expliquer ces faits, suppose que
involontaires des membres sont plus violents, et presque continus. ' Observation IL Mme B..., 4g ans. Il y a ro an
s nettes qu'on excite le territoire d'une racine plus inférieure. ' Cette disposition particulière existait déjà en i
ondeur de la lésion. (DEUXIÈME NOTE.) Nous avons montré récemment( ' ) que, dans certaines paraplégies médul- laires
isse et le pied sur la jambe ; dans tous les mouvements, le membre ( ' ) Société de Neurologie, 10 février 19 10. (2) S
ment conservée : le malade répond vite, avec assurance et justesse ( ' ). (') Nos recherches bibliographiques viennent
nservée : le malade répond vite, avec assurance et justesse ('). ( ' ) Nos recherches bibliographiques viennent de nous
exemple l'inversion du réflexe du radius, décrite par l'un de nous( ' ). Mais dans les cas les plus communs, où la lésio
ndineux ne sont d'aucun secours au point de vue que nous visons. ( ' ) Inversion du réflexe du radius, par J. Babinski
S DE LA MOELLE Il en est autrement des réflexes cutanés de défense ( ' ) qui fournissent des données précieuses, ainsi
la moelle. Voici comment on les provoque et en quoi ils consistent. ' En excitant les téguments des membres inférieur
s dans certaines positions, on obtient parfois d'autres mouvements ( ' ). Le territoire cutané dont l'excitation peut p
et en guettant le moment où les réflexes de défense disparaissent ( ' ) Voir à ce sujet : Paraplégie spasmodique organiq
extrêmement probable qu'il s'agit d'une tumeur intra-dure-mérienne ( ' ), (1) N. D. L. H. Nous croyons devoir ajouter,
même à la région plantaire et au bord externe du pied des deux côtés ( ' ). Lorsque (') Voir à ce sujet : Remarques sur l
n plantaire et au bord externe du pied des deux côtés ('). Lorsque ( ' ) Voir à ce sujet : Remarques sur la persistance d
pérature. · b) Zone où la sensibilité thermique est nor- male. ' , c) Bande d'hypoesthésie. d) Point douloureu
este fait l'objet d'une com- munication à la Société de neurologie ( ' ). Il s'agit d'une malade qui fut examinée pour
me époque elle était sujette à de fréquentes migraines. Ces divers ( ' ) Séance du 25 janvier 1912. Revue Neurologique, 1
abolis ; le réflexe plantaire se fait en extension des deux côtés. ' L'excitabilité faradique et l'excitabilité galv
nesthésie dans les lésions transversales destructives de la moelle. ' Voici un cas de ce genre (fig. 53), les signes
ionnelle, dans les paraplégies dues aux lésions non destruc- tives ( ' ) ; nous avons aussi insisté à maintes reprises su
vec celle des lésions transversales destructives ; elle peut occu- ( ' ) J. Babinski et J. Jarkowski, Revue Neurologique,
aires, disposition que nous avons ob- servée parfois avec A. Barré ( ' ) et que nous retrouvons dans certains sché- mas
thésie atteigne tous les modes de la sensibilité ou qu'il existe . ( ' ) Babinski, Barré, Jarkowski, Société de Neurologi
t dorsal. Fig. 56. Tumeur intra-duremé- rienne 5e segment dorsal. ' 394 PARAPLÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE u
tiles au point de vue diagnostic. Nous priâmes notre collègue, le I) ' Bailleul, dont on connaît la compétence en path
cas où l'amélioration a été encore plus tardive. Dans un de ces cas( ' ) où il s'agissait d'une tumeur intra-dure- méri
avait affaire à une paraplégie type extension-flexion, liée à une ( ' ) Voir : Revue Neurologique. Sur le traitement des
emier mouvement volontaire n'apparut que 10 mois après l'opération ( ' ). Or, actuellement, depuis 8 ans, la malade est
it, et depuis l'été de ig23 l'état de la malade reste stationnaire. ' Nous l'examinons pour la première fois en janvi
e rejoint les parties latérales de la voûte supérieure qui n'a pas ( ' ) Voir : Revue Neurologique. Paraplégie crurale pa
oration avec Enriquez et Jumen- tié, a rapporté un cas de ce genre ( ' ). Mais l'observation que nous venons de relater
mées avant l'opération, dans notre première communication du 6 mars( ' ), ont été, comme on l'a vu, entièrement confirmée
en était ainsi ; en effet lorsque vingt jours environ après l'in- ( ' ) Voir Presse médicale, 26 avril 1924, p. 374. C
l'injection de lipiodol n'est pas toujours absolument inoffensive ( ' ). Mais ces adhérences ne doivent pas se produir
érences dans quelques cas d'injec- tions intra-durales de lipiodol. ' XVI PARAPLÉGIE CRURALE PAR NÉOPLASME IXTlI-
de pas, même sous l'in- fluence de divers procédés dynamogénisants ( ' ) (faradisation, application de la bande d'Esmar
nsi dire, complète ; pourtant, à certains examens (qui furent très ( ' ) J. Babinski et J. Jarkowski, Réapparition provoq
tablies dans un travail antérieur, relatives aux réflexes de défense ( ' ). Nous avons été conduits ainsi à penser que la
lade commence à sentir le passage des urines pendant la miction. ( ' ) J. Babinski et J. Jarkowski. Sur la possibilité
re et demi à 2 centimètres de la limite supérieure de l'anesthésie ( ' ). Epreuve du lipiodol, pratiquée en utilisant l
a relaté les résultats de son étude à la séance du 15 décembre ig2 ( ' ). Nous rapportons aujourd'hui l'observation cli
xamen (9 février ig25), la malade'se plaint uniquement d'une impo- ( ' ) Voir Revue Neurologique, 1(J27, t. II, p. 741. «
les des cornes antérieures delà moelle. L'un de nous a publié déjà ( ' ) un fait de cet ordre dans un cas où il s'agiss
iété clinique : paraplégie spasmodique, type « extension-flexion » ( ' ). Mais ces deux formes de paraplégie spasmodiqu
à la lésion, éprouvent là une sensation différente de la normale. ( ' ) J. Babinski et J. Jarkowski. Contribution à l'ét
érieure de la compression, nous renvoyons à nos travaux antérieurs ( ' ). Les conclusions auxquelles nous étions arrivés
e limitée, où le tableau clinique paraissait semblable à celui des ( ' ) J. Babinski et J. Jarkowski. Sur la possibilité
nt sur des observa- tions faites autrefois et que j'ai relatées ici( ' ) en en tirant cette conclusion que la paraplégi
de cette opinion que cette femme a eu deux grossesses terminées ( ' ) Sur une forme de paraplégie spasmodique consécut
la motilité d'une manière bien appré- ciable. PARALYSIE CUBITALE ( ' ) En tenant compte seulement de certaines partic
e la voie centripète de cet arc pourra produire un spasme oculaire ( ' ). » Dans l'affection dénommée « tic douloureux
e crois pas non plus qu'une lésion du système nerveux siégeant au- ( ' ) Brissaud, Leçons sur les maladies nerveuses, r8g
e sous différentes formes que nous ne décri- rons pas avec détails ( ' ), dont nous nous contenterons de faire ressortir
r nous ne nous occupons ici que de la localisation de l'affection, ( ' ) Pour l'historique de la question et la descripti
périeurs et la face, cela est démontré par un certain nombre de cas( ' ), peuvent se prendre aussi dans la suite. La fo
, il y a certaines régions qui ne sont envahies que très rarement. ( ' ) Il y a actuellement, à la Salpêtrière, dans le s
a cause de la prédisposition de certains muscles à la myo- pathie ? ' ? Pourquoi, au contraire, certains muscles sont
n moins abondante, les champs de Cohnheim sont bien plus apparents ( ' ), les noyaux plus nombreux et ils occupent dans
de développement de chaque muscle. Si, par exemple, nous fixons au ( ' ) Dans les fibres en voie de développement, comme
un lien entre l'anatomie pathologique et l'anatomie de développement ( ' ). (') C'est, en particulier pour les centres ne
entre l'anatomie pathologique et l'anatomie de développement ('). ( ' ) C'est, en particulier pour les centres nerveux,
onne lieu à une flexion des doigts (inversion du réflexe du radius)( ' ). Les réflexes rotuliens sont abolis. Les réfle
primitive pouvant servir à différencier cette affection de l'amyo- ( ' ) li. Thomas a observe déjà (Revue 11'euroloigue,
a déformation caractéristique de la face dans la paralysie du nerf ( ' ) J'ai déjà développé cette idée dans mon travail
vre d'un moyen propre à inspirer au malade l'espoir de la guérison ( ' ). Aucune autre affection ne se comporté de cett
d'appeler encore hystériques des troubles qui, sans présenter les ( ' ) Voir : Hypnotisme et Hystérie. Du rôle de l'hypn
les l'épithète de secondaires. L'atrophie musculaire dans l'hystérie ( ' ) est le type du genre : elle n'apparrait jamais
c'est qu'ils sont étroitement subordonnés à des troubles primitifs( ' ). Comme on vient de le voir, j'ai été conduit à
e qui concerne les troubles qui sont l'objet de discussions, j'es- ( ' ) Voir à ce sujet : De l'atrophie musculaire dans
ation des réflexes tendineux ne peut être provoquée par l'hystérie ( ' ). Je dis qu'il est impos- sible d'exagérer par
avec les troubles présentant les caractères sur lesquels je viens ( ' ) Voir : Contracture organique cl hystérique, par
Leçon publiée dans la Gazelle des Hôpitaux, 5 et 8 mai igoo. 464 ' IlYSTf;RIE-PITII1.1TISME d'insister un groupe n
un néologisme, leur donner la dénomination de troubles pithiatiques( ' ), qui exprimerait au moins l'un de leurs caract
ux et de produire ainsi des désordres variant avec le siège du mal. ' . Messieurs, je vais maintenant soumettre à la
par le malade des objets ayant des formes diverses. Si je n'en 470 ' ? II YS T l Il 1 E - P 1 T Il LI TI S JI E obti
s rappeler la définition que j'en ai donnée il y a près de cinq ans( ' ) et qui est fondée sans doute sur des arguments s
, celle de disparaître sous l'influence exclusive de la persuasion. ' Avant de chercher à vous prouver l'exactitude d
oeuvre d'un moyen propre à inspirer au malade l'espoir de la guérison( ' ). Aucune autre affection ne se comporte de la m
'épithète de secondaires. L'atrophie mus- culaire, dans l'hystérie ( ' ), serait le type du genre; elle n'apparaît jamais
ification au texte de la définition que j'ai donnée antérieurement. ' En résumé, voici la définition que je vous soum
rer les uns des autres des troubles n'ayant pas les mêmes qualités. ' En possession d'une définition précise, nous so
toutes les caractères distinc- tifs des manifestations hystériques ( ' ). Il est impossible de reproduire par suggestio
rfs offrant ces particularités ne peuvent donc être hystériques. ( ' ) Voir : « Introduction à la séméiologie des malad
conférence m'empêchent de discuter cette question dans ses détails ( ' ) et je me contenterai d'attirer votre atten- ti
nt loin d'être démonstratives. On a, par exemple, publié des faits ( ' ) Voir à ce sujet : Diagnostic différentiel de l'h
dies viscérales. J'ai insisté sur la fréquence de ces associations ( ' ) que Charcot avait été le premier à signa- ler,
nt l'un avec l'autre, ainsi que je l'ai soutenu, il y a déjà 15 ans( ' ), et contrairement à ce que déclarait alors M. Be
à 15 ans('), et contrairement à ce que déclarait alors M. Bernheim ( ' ) Voir : Hypnotisme et hystérie, par J. Babinski.
s'associant l'une à l'autre que chacune d'elles prouve sa réalité ( ' ). , (') Le sens que l'on prête à un mot étant a
ant l'une à l'autre que chacune d'elles prouve sa réalité ('). , ( ' ) Le sens que l'on prête à un mot étant affaire de
entre les phénomènes pithiatiques et ceux des deux autres groupes ( ' ). Nous venons de voir, après avoir écarté de l'
nous l'a transmise, tout ce qui y avait été incorporé indûment par ( ' ) J'ai eu, jusqu'à présent, l'habitude d'appeler a
vait « de grandes analogies entre la psychasthénie et l'hystérie » ( ' ). Que certaines phobies puissent être le résult
puissent être le résultat d'une suggestion, soient susceptibles de ( ' ) Voir Revue Neurologique, 3o mai 1908, p. 5oi.
pas compte qu'il agit à l'instigation d'autrui (amnésie au réveil). ' Enfin, certains individus n'auraient pas le pou
fait les mêmes allures que l'hystérie avec laquelle il se confond ( ' ). Les sujets hypnotisables et les hystériques s
e maître de sa maladie et si sa sincérité n'était pas absolue : .' ( ' ) Voir J. Babinski. Ma conception de l'hystérie et
e de dire que l'hystérique est en quelque sorte un demi-simulateur ( ' ). L'hypnotisme se prête à des réflexions analog
cendant sur eux qu'après avoir donné satisfaction à leur idée ; il ( ' ) Voir : L'année psychologique, publiée par A. Bin
mple, pour- raient-elles apparaître sous l'influence d'une émotion ( ' ) sans aucune (') Dans un travail fait en collab
nt-elles apparaître sous l'influence d'une émotion (') sans aucune ( ' ) Dans un travail fait en collaboration avec J. Da
rme sur les faits exposés par les présentateurs, sur la valeur des ( ' ) A propos de la communication de MM. Tinel, Baruk
s montreront que son opinion est tout à fait conforme à la mienne : ' J'ai relevé autrefois bien des rétrécissements
n par un fossé, mais par un abîme. l'iq i : l > ! « v .y p 1 i . ' , ? ; : ' : ...I : ' ! ..a 1 ? Tii i II J'r 11111
ossé, mais par un abîme. l'iq i : l > ! « v .y p 1 i . ' , ? ; : ' : ...I : ' ! ..a 1 ? Tii i II J'r 111111 ? Inr ?
par un abîme. l'iq i : l > ! « v .y p 1 i . ' , ? ; : ' : ...I : ' ! ..a 1 ? Tii i II J'r 111111 ? Inr ? 11 : J. : .
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d, a fait d'intéressantes observations sur les effets de l'émotion. ' Nous extrayons des notes qu'il a prises sur ce
emain (période de phéno- mènes pithiatiques et de thérapeutique); , ' , 4° en rade de Milo, à bord des divers navires
dre la conception ancienne des stigmates permanents de l'hystérie ? ' Les troubles nerveux qui ont été décrits sous l
'oublier. Nous nous sommes déjà suffisamment expliqués à cet égard. ' Quelle signification clinique convient-il de le
celle des anesthésies liées aux lésions des troncs nerveux. , ". , ' .. 1 ? ? L'HYSTÉRIE PENDANT LA GUERRE 537 Ces
ession est alors lente ; ils pourraient même devenir irréductibles. ' . 5 2 II YSTI`RIE-PITIII : 1TIS.lIL Quelques
uques, de Meige, d'Albert Charpentier, de Clovis Vincent, de Roussy( ' ), de Léri ainsi que des faits nombreux observés
oubles pithiatiques, nous a déclaré les avoir guéris presque tousQ. ' Dans le domaine des troubles oculaires hystériq
thique, subsistent et ne sont susceptibles de se modifier que sous ( ' ) Roussy, Boisseau et d'Oclsnilz ont obtenu égalem
avec gratification de taux propor- tionné à la gêne fonctionnelle ( ' ). Il résulte de ces voeux et des discussions qu
UES 1 TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE Syndrome physiopathique ( ' ). ' [J. Babinski ET J. Froment.] Extrait du l
1 TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE Syndrome physiopathique ('). ' [J. Babinski ET J. Froment.] Extrait du livre
es réflexes tendineux; des modifications des réflexes cutanés pou- ( ' ) Hystérie-pithiatisme et troubles nerveux d'ordre
roment. Collection Horizon, Paris (Masson). ire édition, a3 février ' \117' - : Je édition, 4 janvier 191S. z Edition
monte aux travaux de Hunter, de Charcot et de Vulpian. John Hunter ( ' ) appela le premier l'attention sur l'affaiblissem
tement aux muscles eux-mêmes. » Ces premières constatations furent ( ' ) John Hunter, OEuvres complètes, traduction de Bi
x. Nous retiendrons seulement parmi ceux-ci le mémoire où Gosselin ( ' ) décrivit l'atrophie musculaire consécutive aux
tive aux fractures des os longs ; la thèse d'agrégation d'Ollivier ( ' ) consacrée aux atrophies musculaires ; les commun
e enfin de remarquables descriptions des accidents de cette espèce. ' Charcot('), étudiant les atrophies consécutives
emarquables descriptions des accidents de cette espèce. ' Charcot( ' ), étudiant les atrophies consécutives aux lésions
ion exercée sur tout le trajet du nerf déterminait une sorte d'en- ( ' ) Gosselin, Mémoire sur l'irréductibilité et les d
sur l'importance de ce caractère fon- damentale et nous écrivions ( ' ) : «Nous devons reconnaitre que, même dans les
tracture d'origine psychique n'ayant que des rapports lointains et ( ' ) J. Babinski et .T. Froment. Les modifications de
le, des plus nets, qui subsista pendant l'heure qui suivit le réveil ( ' ). Depuis cette époque, nous avons examiné, dans
ne série de publications. H. Meige, Mme Ath. Bénisty et Mule Lévy( ' ) décrivent sous le nom de « main figée » certai
'observation attentive d'un malade présentant un type de paralysie ( ' ) H. Meige, Mm° Ath. Bénisty et Mule G. Lévy, Impo
ctrique des muscles avec fusion anticipée des secousses faradiques ( ' ). Des signes objectifs sur lesquels la volonté
ait des raisons de penser que les autres étaient de même nature. ( ' ) J. Babinski et J. Froment, Paralysie et hypolbon
ocale dans le mécanisme de la régulation vaso-motrice et thermique ( ' ). Les recherches sphygmométriques et oscillomét
onsacré aux caractères des troubles moteurs dits fonctionnels. Les ( ' ) .J. Babinski et J. Froment, Contractures et para
ui ont été adoptées, à l'unanimité, pour clôturer cette discussion ( ' ). En se plaçant exclusivement au point de vue d
trouble moteur réflexe peut-il entrainer une impotence complète ou ( ' ) Discussion générale sur les caractères des troub
le plus haut degré d'intensité et qu'on peut le mieux les étudier ( ' ). Nous faisons abstraction dans cette étude des
oloration de la peau apparaît nettement par la comparaison du côté ( ' ) Cette étude des troubles vaso-moteurs et thermiq
LEXE 563 Voici quelques chiffres constatés chez des sujets normaux ( ' ). A l'humé- rale et à la fémorale : 14° pour If
té mécanique des muscles. Elle est surtout marquée dans les formes ( ' ) Tous ces examens ont été pratiqués avec le même
deux ordres de faits, nous avons eu recours à la méthode graphique ( ' ). L'étude, parla méthode graphique, vient confi
radique et voltaïque des muscles ou, au contraire, légère subexci- ( ' ) .1. Babinski, Ilallion et J. Froment, La lenteur
observer encore une surexcitabilité mécanique des troncs ne ? veux( ' ). La percussion du nerf cubital dans la gouttière
erver une hypotonie semblable accompagnée de laxité articulaire. ( ' ) J. Babinski et J. Froment, Contractures et paral
achilléen avec lenteur du mouvement comme l'a montré Clovis Vincent( ' ). Dans ces cas les troubles physiopathiques, en p
est assez fréquente ; elle est toujours associée à une hypothermie ( ' ) Cl. Vincent, Variations du réflexe achilléen che
z de nombreux malades et elle a toujours donné les mêmes résultats ( ' ). Ces troubles doivent être rapprochés de la su
à nouveau par Gougerot et Charpentier (''), par Guillain et Barré ( ' ) et par Tinel(''). Chez les sujets atteints de
qui donnait à ces réactions douloureuses un cachet de sincérité. ( ' ) J. Babinski et.). Froment, Abolition du réflexe
iopathiques. Constitution d'un syndrome radiculo-symphatique réflexe ( ' ) écrivent : En examinant avec soin des blessé
ations de la sensibilité non seulement ne pouvait être rapportée à ( ' ) Lnrtat-Jacob, Oppenheim et Tournay, Topographie
ns pu voir les gouttes de sueur perler à la surface des deux mains ( ' ). On observe, tout particulièrement lorsque la
urables. Elles ne font presque jamais complètement défaut dans les ( ' ) J. Babinski et J. Froment, Parésie réflexe do la
ordre réflexe, leur croissance est moins rapide que du côté sain. . ' Examen pendant la narcose chloroformique. Nous
la contracture jusqu'à une phase avancée du sommeil chloroformique ( ' ). La plupart de ces faits concer- nent des cont
et trophique ou exclusivement sur la fonction trophique. Charcot ( ' ), prenant en considération non seulement l'amyotr
u'il en soit, qu'il s'agisse de paralysie flasque avec amyotrophie ( ' ) J.-M. Charcot, Leçons sur les maladies du systèm
e par les spasmes qu'on provoque pendant le sommeil chloroformique ( ' ). Mais peut-on expliquer par une action réflexe
ction, comme le prouvent d'une manière incontestable les résultats ( ' ) Il y a lieu de rapprocher de ces faits les intér
l'autre bras présente quelques troubles vaso- moteurs et sudoraux ( ' ). Tous ces phénomènes sont difficilement concil
tre la voie centrifuge du réflexe, pour ce qui concerne les phéno- ( ' ) Cette répercussion sur le membre symétrique de t
té mécanique des muscles et la lenteur de la secousse mus- culaire ( ' ). Ces données cadrent-elles avec celles qui sont
à ces organismes. « La perfection du mouvement, écrit Ch. Richet( ' ), est liée sans doute à une certaine élévation
ès caractérisés. Les deux mécanismes, du reste, paraissent souvent ( ' ) Ch. Richet, Chaleur, lu Dictionnaire de Physiolo
la fois dans les centres spinaux et dans le système sympa- thique ( ' ). TRAITEMENT ET DÉCISIONS MÉDICO-MILITAIRES L
particulier, Pathogénic, p. 151 et Notes complémentaires, p. 9,3r. ' \. D. L. R. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 583
r le médecin, comme il a été ins- titué à Tours par Clovis Vincent ( ' ), comme il est pratiqué à Salins par Roussy, Bo
réflexe observés à la suite des lésions ostéo-articulaires. . ( ' ) Clovis Vincent, La rééducation définitive des hy
proposer une réforme, mais celle-ci devra toujours être temporaire ( ' ). » , (') Dans un article récent nous avons che
e réforme, mais celle-ci devra toujours être temporaire ('). » , ( ' ) Dans un article récent nous avons cherché à prém
é les troubles qui relèvent direc- tement de la lésion radiculaire. ' De toutes les modifications du tabes la scléros
pure ou associée àdes lésions cicatricielles de l'oreille moyenne ( ' ). ' (1) Lumincau, Thèse de Paris, igo3. " ' ' '
e ou associée àdes lésions cicatricielles de l'oreille moyenne ('). ' (1) Lumincau, Thèse de Paris, igo3. " ' ' ' I
s de l'oreille moyenne ('). ' (1) Lumincau, Thèse de Paris, igo3. " ' ' ' IV SUR LE TRAITEMENT DÈS TUMEURS ./M71 /W
de l'oreille moyenne ('). ' (1) Lumincau, Thèse de Paris, igo3. " ' ' ' IV SUR LE TRAITEMENT DÈS TUMEURS ./M71 /WZZ
l'oreille moyenne ('). ' (1) Lumincau, Thèse de Paris, igo3. " ' ' ' IV SUR LE TRAITEMENT DÈS TUMEURS ./M71 /WZZ ?
ces trois cas (femme de 60 ans) qui, en France, a été le premier cas( ' ) que l'on ait publié de guérison de paraplégie
mme cela avait été supposé, de la troisième à la septième vertèbre ( ' ) Tumeur méningée. Paraplégie crurale par compress
e une tumeur extra-durale bilobée, d'une longueur de 7 centimètres ( ' ), s'étendant de la cinquième apophyse dorsale j
u jour de l'opération, la sensibilité a déjà reparu sur une grande ( ' ) Il est à noter que la tumeur, épaisse au niveau
eignements qui me furent donnés. Il me fut adressé par mon ami le 1) ' Hepp et fut admis dans mon service le 26 juin. Vo
qu'à gauche ; les autres modes de sensibilité ne sont pas atteints. ' La main droite est manifestement moins chaude q
S NÉVRALGIQUES TRÈS ATTÉNUÉES A LA SUITE DE PRATIQUES /}D/07'E ? ES( ' ) Le malade que je présente est atteint depuis s
s, consécutivement à deux cures hydro-minérales à Bourhon-Lancy. ( ' ) J. Babinski, Société de Neurologie du 5 mars igo
ux, . séance du 1 el' mars igoy. Ai rapporté, en novembre dernier( ' ), l'observation d'un enfant de t quinze ans att
tracture n'a été que tardive, il n'y a eu que de la compression et ( ' ) Voir : Contracture généralisée duc à une compres
es deux malades l'atrophie s'est atténuée à la suite du traitement ( ' ). Ces faits, dont je n'ai eu connaissance que r
ou de se mettre sur son séant. La partie supérieure du tronc, les ( ' ) Voir : Rivista critica di clinica medica, anno V
du g octobre la malade est soumise, dans mon laboratoire radiologique( ' ), à l'action des rayons X sous la direction du
ire radiologique('), à l'action des rayons X sous la direction du 1) ' Charpentier qui opère de la manière suivante. L
un cercle coupant en haut la 3e vertèbre dorsale environ et en bas ( ' ) Le laboratoire radiologique de mon service à la
giques très atténuées à la suite de pratiques radiothéra- piques » ( ' ). Il s'agissait d'un homme qui souffrait des chev
cuisse, le mollet droits, sont le siège de douleurs très vives. Le ( ' ) Babinski, in Revue Neurologique, 1908, p. 262.
nique et sans dégénération du système pyramidal (Id., il\ mars 1899) ' 52. De la contractilité des muscles striés aprè
ite (en collaboration avec Heitz. Société de Neurologie, 3 mai J917) ' 247. Paraplégie organique. Troubles vaso-moteur
s (en collaboration avec Froment. Presse médi- cale, 9 juillet 1917) ' 249. Hypotonie et laxité articulaire dans les a
on avec Jarkowski et Plichet. Société de Neurologie, 7 avril ig21). ' 265. Sur la section de la branche externe du sp
aboration avec Jumentié. Revue neurologique, rer dé- cembre 192 1). ' 268. Sarcome mélanique du cerveau à foyers mult
collaboration avec de Martel. Société de Neurologie, 5 mars 1925). ' , 283. Syndrome cérébelleux (Bulletin de l'Acad
kinsonien fruste post-encéphalitique. Troubles respiratoires... 279 ' CINQUIÈME PARTIE . AFFECTIONS DU CERVELET, DU B
mo-asymétrie d'origine bulbaire 302 ; Affections du labyrinthe. y : ' . . V. Affections de l'appareil vestibulaire ,.
12 (1911) La pratique neurologique
hérapie de la clinique des maladies nerveuses à la Salpêtrière. D' ' LA1V1VOIS; Professeur -adjoint. à la Faculté de M
E DES MATIÈRES. TAULE DES MATIÈRES. XI'lI xnu TABLE DES MATIÈRES. ' ? ? LA PRATIQUE NEUROLOGIQUE . TROUBLES NER
s) se perd, tandis que l'autre (vision des formes) est con- servée. ' EXPLORATION DE LA VISION CENTRALE Vision cent
XPLORATION DE LA VISION CENTRALE Vision centrale pour les formes. - ' (Acuité visuelle centrale.) . L'acuité visuel
ne devraient être lues par un oeil possédant une .acuité normale. ' Manière de procéder pour prendre l'acuité vis
es plus grosses lettres de l'échelle. C'est que son acuité est . 51 ' moindre que 50 ou 10'. . Dans ce cas, on le f
r la cause du trouble èt obtenir avec exactitude l'acuité visuelle. ' Correction des vices de réfraction. La correcti
les verres convexes sphériques en commençant par les plus faibles. ' , ft) Ils permettent au malade de lire l'échell
est qu'il était hyper- métrope avec une accommodation insuffisante. ' , b) Il n'est pas amélioré. Dans ce cas il y a
uel peut encore être dù à de l'astig- matisme. Donc continuez et. : ' 5° Essayez les verres cylindriques. - Prenez
iquement, décrivez une circonférence entière si vous voulez.' , - , ' a) Le cylindre permet de lire l'échelle optomét
près que de loin. Le trou sténopéique améliore comme chez le myope. ' S'agit-il d'un astigmate ? Le trou sténopéique
u sténopéique n'améliore pas la vision, il la diminue au contraire. ' , Grâce- à l'utilisation d'ailleurs facile des
central pour le vert, le rouge, etc., ou pour toutes les couleurs. ' , * . Il peut exister un scotome central non se
ie et de l'anopsie centrale peut se faire de différentes manières : ' ' 1° On peut se servir d'un carton ou d'une pla
et de l'anopsie centrale peut se faire de différentes manières : ' ' 1° On peut se servir d'un carton ou d'une plaqu
e vert; si aucune des couleurs n'est perçue, il y a scotome absolu. ' -- Mais il vaut mieux se servir de l'arc périmé
fixait. Il est alors perçu immédiatement et sa couleur reconnue. " ' Une .des dificultés de la recherche du scotome
scotome central, mais en déterminer la forme et l'étendue (fig. 5). ' Il ne suffit pas de rechercher si la vision p
nt de fixation, autour de la ligne visuelle, c'est le champ visuel. ' Le champ visuel comprend une portion de l'espac
rme d'une de ces sections est re- présentée sur le schéma (fig. 7). ' Limites périphériques du champ visuel. (Étend
l'arc périmétrique. En joignant ensuite par une ligne circulaire ' toutes les marques du schéma, on obtient, mesur
de réapparition et marquez-la sur le schéma (o sur le mérid. '15°). ' , Explorez ainsi plusieurs méridiens en suivant
peut être modifié (inversion des champs visuels pour les couleurs). ' ' [POULARD] ] 1 ik TROUBLES NERVEUX DE L'APPA
être modifié (inversion des champs visuels pour les couleurs). ' ' [POULARD] ] 1 ik TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL
sse rarement échapper une lésion oculaire de quel- que. importance. ' ' - , , En outre, l'exploration subjective est
e rarement échapper une lésion oculaire de quel- que. importance. ' ' - , , En outre, l'exploration subjective est pl
nt fixes et siègent dans le cristallin (opacités cristallinienncs). ' Rétinite. Choroïdite. - Choriorétinite. Ces aff
e l'oeil prend un aspect tigré blanc et noir très, caractéristique. ' Ces rétinites, ces choroïdites, les troubles de
nc avec inLenlion qu'clIcs n'onI1]38 été données. [FOULARD.] 1G ' TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. ? - " II
uquel se trouve la bougie. Et l'on obtient ainsi une men- PllATIQUE ' ,EUROI.. 2 [POULARD.] Fig. Ifi. Mensuration du
mathématiquement l'action ,d'un muscle, doser son msmn- sance. " ' De plus, la paralysie isolée d'un - muscle, d
au moyen du périmètre-dyna- momètre sera de la plus grande utilité. ' 3° Diplopie. Quand, par suite d'une insuffisa
la perception . de deux objets, une vision double, de la diplopie. ' , . Dans les cas très légers d'insuffisance mus
aître ce symptôme et d'ap- prendre à l'utiliser pour le diagnostic. ' ' Recherche de la diplopie. Il est, en général,
tre ce symptôme et d'ap- prendre à l'utiliser pour le diagnostic. ' ' Recherche de la diplopie. Il est, en général, f
d'un oeil à l'autre., . Baguette de Maddox. On place devant 1 un ' des yeux, l'oeil droit par exemple, un appareil
la bougie : la fixation est incorrecte, il y a diplopie verticale. ' . 22 " -- TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAI
ccupé par la fausse image, quel est le degré de déviation oculaire. ' , On peut suivre sur ce tableau, par la constat
lopie, ou, ce qui est la même chose, clans la déviation oculaire. " ' : '...- . Avec le même tableau, on peut, par un
n le conçoit, avec- les muscles paralysés et le degré de paralysie. ' " . On peut également utiliser le mur quadrillé
n peuvent supprimer- ou dimi- nuer le pouvoir accommodateür de fil. ' , Comment constater une abolition ou une atténu
une abolition ou une atténuation du pouvoir '1("COMI-nod,itetir ? . ' Moyens pour explorer l'accommodation. - Ils son
état de réfraction du malade qu'il observe (hypermétropie, myopie). ' " , Voici un procédé qui dispense de déterminer
ogue à celui que j'ai indiqué au momént de la recherche de l'acuité ' ruLAan.7 Ivia. 23. Schémas destinés à montrer l
les. Pour que l'image du -point lumineux se fasse sur la macula (il[ ' ), le cristallin Ci ne se modifie pas. En B, le po
eut être placé devntlll'oeil sans troubler nettement la vue, mesure, ' en dioptries, la puissance d'accommodation de l'o
de réaliser, sinon â `la première épreuve, du moins aux suivantes. ' , 2° Recherche à la lumière artificielle. Cette
ux qu'on envoie dans l'oeil. L'un des yeux est couvert par la main. ' , EXPLORATION DE LA MOTILITÉ INTRINSEQUE DU GLO
- . Fis. 29. Recherche du réflexe lumineux à l'aide de la bougie. 2* ' temps : le médecin enlève brusquement sa main q
ui fait écran, la bougie éclaire lad et la pupille se contracte. 28 ' ; TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. . Da
étroit qui ne puisse diffuser sur la portion voyante de la rétine. ' Pour cela, on se sert d'une lampe munie d'un éc
ée; 5r platine. 52 . TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. . V ' .. EXPLORATION DES PAUPIÈRES La sensibilité d
l'oeil peut suivre l'objet et lit les lettres jusqu'à 45° (fig. ? ). ' On peut aussi, comme pour la mensuration d'un s
t ignorées dans d'autres (intoxication alcoolique, urémique, etc.). ' L'amaurose ne diffère de l'amblyopie que par le
dans l'hystérie peut se trouver modifiée sous diverses influences ( ' ) : ' 1 ° Troubles visuels par action dynamique
l'hystérie peut se trouver modifiée sous diverses influences (') : ' 1 ° Troubles visuels par action dynamique sur l
exister avec une intégrité parfaite de la sensibilité rétinienne.. ' 2° Troubles ,isuelsJ6sultant d'une lésion organ
roïdite, les kératites, les iritis, l'épisclérite, l'herpès cornéen, ' etc.... Ces affections accompagnées de lésions
la 'sensibilité rétinienne sans lésions objectivement appréciables. ' Amaurose bilatérale : Cécité absolue. Réflexes
signes oculaires qu'on a coutume d'appeler stigmates de l'hystérie. ' - DIMINUTION DE LA VISION. 55 souvent dans la
, quelquefois sur la vision centrale et périphérique en même temps. ' Dans certains cas, on aurait observé de l'achro
que j'ai pro- duit l'énumération précédente. " . IPOVLARD.l 5fi ' )'n()U) ! L);SE)iYEU\DHL'AÏ't'.\t : H ! LOOELA ! !
manque des observa- tions récentes et précises sur cette variété (\ ' : 1111 hlyopie fréquemment signalée par les anc
pas d'ailleurs, pour le neurologiste, une im- portance primordiale. ' Amblyopie diabétique. Parmi les nombreux troubl
s, dans certains cas de débilitation considérable de l'organisme. , ' , Comme on le voit, un certain nombre de ces am
es optiques . et n'altèrent que certaines portions du champ visuel. ' La destruction d'une partie des fibres optiques
u de cette lacune,, encore appelée scotome, ne sont point perçus. ' Les lacunes peuvent varier dans leur siège, l
es en encoches.; rétrécissement irrégulier du champ visuel (Morax). ' Fig : 57. - Lacunes- intermédiaires [moraux].
le malade voit sur l'objet qu'il fixe une tache noire, ou un voile. ' Ce dernier fait ne se produit que dans certaine
éaliser ces conditions. Le malade voit sa lésion, son hémorragie. , ' Ainsi, dans la figure 58, une lésion hémorragiq
é à ceux-ci, tandis que les autres sont appelés scotomes objectifs. ' Cette distinction est importante, puisque, dans
omes objectifs du groupe de scotomes ou. lacunes du champ visuel. , ' La diminution de l'acuité visuelle centrale peu
talmoscope aucune lésion marquée suffisant à établir le diagnostic. ' Amblyopie diabétique. Voir p. 57. Lésions mac
de avec le rétrécissement concentrique. Dans ce cas, il existe 1111( ' zonp annll- laire dans l'étendue de laquelle la
visuels. C'est l'laémianopsie hé- té°olaté°ale bitempo- mle. - ' . Dans certaines condi- tions exceptionnelles
es et prennent les formes d' hémianopsie en secteur (lig. 41, D), t\ ' hémianopsie insulaire (Iig-. 41. E), d' hémianops
ûl lotîtes les deux dans les .- . z - LACUNES DANS LE CUAMP VISUEL. ' .47 moitiés droites, ou toutes clans les moitié
hs) ; elle est pourvue d'une double vascularisation (1<'orstér). ' Le faisceau maculaire compact, hien systématisé
ticale de ce faisceau- de la vision centrale (Monakow, Bernheimer). ' Chaque macula a une représentation dans les deu
ulière qu'on a coutume de désigner sous le nom de cécité corticale. ' . Une de ses plus étonnantes particularités, c'
du mésocéphale), une voie centrifuge (les nerfs moteurs de l'oeil). ' Coupez les voies optiques en avant des noyaux d
psie d'un oeil et une cécité de l'autre (fig. 40, 2 et fig. 42, B). ' ' Enfin, la localisation périphérique des lésio
ie d'un oeil et une cécité de l'autre (fig. 40, 2 et fig. 42, B). ' ' Enfin, la localisation périphérique des lésions
est dans ce cas moins accentuée que dans l'hémianopsie bitemporale. ' LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL. ' ' -51 La pert
e dans l'hémianopsie bitemporale. ' LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL. ' ' -51 La perte des moitiés nasales des deux cha
dans l'hémianopsie bitemporale. ' LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL. ' ' -51 La perte des moitiés nasales des deux champ
iations de l'hémianopsie aident grandement i à localiser la lésion. ' Hémianopsie par lésion cérébrale corticale. Ell
ui montre, il ne se rappelle plus sa signification, son usage, etc. ' Perte du sens de l'orientation. Ce trouble, qui
es modifications pupillaires (mydriase, inégalité) sont fréquentes. ' Le corps genouillé externe paraît être le seul
la déviation secondaire est plus grande que la déviation primaire. ' Un autre caractère de ce strabisme, mais qui n'
ussement projetée) le doigt passe à côté du but sans l'atteindre. - ' - , Cette épreuve réussit constamment dans les
- , Cette épreuve réussit constamment dans les paralysies récentes, ' tant qu'une nouvelle adaptation n'est pas venue
sur ce symptôme important (Voir Strabisme non paralytique, p. 59). ' Rétrécissement du champ de fixation monoculaire
xterne de l'oeil droit est paralysé, la tète se tourne à droite : , ' - Occlusion d'un OEiL. Cette occlusion spontané
son constitue encore un bon signe pour reconnaître l'oeil paralysé. ' Nystagmus. - Quand l'oeil se porte dans le sens
optiques de la lésion interruplrice; 5° la nature de cette lésion. ' Diagnostic des muscles paralysés. Il peut y en
e ensuite posément le diagnostic delapàralysie. PIIATIQUE JOEUIlOL. ' 5 - - [FOULARD : ] . Fig. 46. Recherche de
ion des images dans la para- lysie du muscle droit externe de l'OD. ' Hi TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.. -
e intrinsèque contraste avec la paralysie des muscles extrinsèques. ' Cette paralysie, ordinairement bilatérale, donn
s généraux (céphalée, vomissements, vertiges, tendance au sommeil). ' Dans la forme chronique, plus fréquente, l'affe
les ophtalmoplégies de la- paralysie bulbaire asthénique (fig. 54). ' Paralysie du droit externe d'origine nucléaire.
(lumineuses) ont également une action sur le centre sensorio-moteur. ' Sous l'inlluence de ces incitations, et si la v
ieur; les fibres postérieures accompagnent les radiations optiques. ' Au niveau du pédoncule, on ne peut actuellement
rieure, avant celui des fibres du facial (Voir syndromes Foville) . ' Il existe certainement dans le mésocéphale un n
ie, assez bien déterminée, des mouvements associés de laté- ralité. ' Les mouvements d'élévation, d'abaissement, de c
aires varient dans leurs caractères, non seulement suivant le siège, ' mais encore suivant la nature des lésions product
irido-dilatateurs, qui proviennent de deux régions diffe- rentes : ' a) Des origines bulbaires du trijumeau (centre
ble à l'iris, par la voie de l'ophtalmique, branche du trijumeau. ' TROUBLES PUPILLAIRES. 85 La paralysie de l'appa
aire. Il faut, en effet, à l'encontre des habitudes actuelles, G* ' [POULARD.] Tig. 58. Schéma pour expliquer le mé
eur oculaire commun; V, carotide; G0, ganglion ophtalmique; I, iris ' avec, c, le constricteur et, d, le dilatateur. En
eaucoup au diagnostic des affec- tions pupillaires. D'après Coppez ( ' ), l'épreuve des collyres peut être faite avec l
Schwaiitz. Die Bedcutnng der Auc/enstrtcracleta fiir Diag. der 77)) ' )t. 1898. 13.v.vs. Die semiotisclte Bedeulung der
. Ensuite seulement pensez aux autres causes. G ? [POULARD.] 88 ' TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. - Si v
e l'iris et de la cor- née (iritis, synéchies, lésions cornéennes), ' " Substances chimiques : Agissant localement (és
La syphilis, dans certains cas, agit peut-être de la même manière. ' Affections du système nerveux. On rencontre le
'iris se met souvent 11 tl't'mbloUPI' dans les mouvements du globe. ' Enfin, la pupille peut être le siège d'une défo
erva une épidémie. Le ptosis est le dernier symptôme à disparaître. ' Le ¡¡{osis myopatlrique, toujours double, évolu
au du front est plus lisse, le sourcil plus élevé que du côté sain ( ' ¡g. Ii 1). Pendant l'examen de l'oeil. les paupi
dues à une lésion siégeant entre le noyau hulbaire et la périphérie. ' Cependant, dans les paralysies centrales, l'o
nnes obligé, quelquefois à faire une blépharorraphie précoce. VII ' . EXOPHTALMIE L'exophtalmie, symptôme commun
e l'oreille. Une injection trop .NYSTAGMUS OU TREMBLEMENT OCULAIRE. ' " III t vivement poussée dans le conduit auditif
aciales intrapétreuses diminuent la section lacrymale (Goldzielici- ' ). L'expérimentation a d'ailleurs confirmé ces f
[POULAIW.] ] 118 8 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. . - ' XI . TROUBLES DE LA PERCEPTION DES COULEURS L
spectre sont vues incolores, grises avec des clartés différentes. ' Gécité congénitale pour certaines couleurs (dysch
des troubles de l'ouïe; 30 Maladies de l'oreille interne et dit 1/( ' )'/ acous- tique; 4° Troubles nerveux déterminés
es troubles de l'ouïe; 30 Maladies de l'oreille interne et dit 1/(') ' / acous- tique; 4° Troubles nerveux déterminés p
l'III' IlIl"l'anisllH' ('st ('IH'Orl' obsl'III' : on a inyol{lH" 1111( ' action SUI' fp l'('I'\L'all 011 SUI' la 1l1O¡;f
gites et 5111't011t 111('lllll- gite cérébro-spinale 1"pidl"llIiql]( ' ) et de névrite ascendante consécutive aux labyr
découle naturellement de la constatation des lésions auriculaires. ' A cette question se rattache celle de l'asymétr
: les cellules du vesti- ILANNOIS.] 144 MALADIES DE L'OREILLE; . ' buleetdes canaux semi-circulaires ayant disparu
tant au passage des ponts et distincte de la peur de l'espace, etc. ' Enfin les maladies de l'oreille peuvent être un
hiques qui peuvent gêner le fonctionnement de la tache olfactive. - ' . L'anosmie centrale est celle qui nous intéres
i paraît liée à l'atrophie ou à la sclérose des bulbes olfactifs. ' Les anosmies d'ordre dynamique peuvent s'observer
ts après les repas, au début ou pendant le travail de la digestion. ' TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS AUX MALADIES DU NE
t souvent diminuer la sensation ; dans d'autres cas elle l'exagère ( ' ). Le sujet a toujours, au moins au début du ver
es ou cinétiques, illusions d'attitudes ou illusions de mouvements; ' (" les hallucinations d'espace, également d'altitu
dédoublée, etc.. (Bonnier, Lannois et Chavanne). [A.LÉRL] '.150 ? ' VERTIGES. - il écarte les pieds et les déplacé
tuation de notre corps et de ses .différentes parties - PATHOGÉNIE. ' -157. dans l'espace nous est fournie par la réu
tement et progressivement; elle se fait aussi vers le pôle positif ( ' ). ' Le vertige voltaïque avait été attribué par
nt et progressivement; elle se fait aussi vers le pôle positif ('). ' Le vertige voltaïque avait été attribué par cer
lésion organique de l'oreille interne du même côté. SJ1111OLO(;1 E. ' Ilii ni ère hypothèse était la vraie; ses reche
uriculaires déterminent, soit, chez l'homme, soit chez les animaux ( ' ), des modifications du vertige voltaïque dont nou
riculaire de Babinski » a été confirmée par Cros, Napieratski, Mann( ' ), etc. 2° La résistance au vertige voltaïque, q
la vessie sont rares. Des douleurs spinales du cou ou [A. LEM 104 ' VERTIGES. des lombes, des névralgies de la face
rie de vertiges auriculaires auxquels conviendrait plus ou moins, par ' opposition avec les précédents, la dénomination
nce : de contractures unilatérales des muscles du con, d'après Fl'r¡ ' " ou de convulsions partielles des muscles des y
ngé s'observe soit au cours d'une lésion du larynx, soit comme cons; ' nonce d'une lésion bulbaire pouvant déterminer à
t la ponction lombaire qui acte préconisée récemment, par Babinski ( ' ) et dont plusieurs auteurs ont confirmé le pouv
e agit sans doute en diminuant la pression du liquide )abyrinthiqne( ' ). Elle atténue ou fait disparaître le vertige d
tivement rare de constater de la déviation de la tète et du regard ( ' ). Cette déviation est un indice utile; on sait
aperçoit une plaque érythémateuse, uvlématiée, d'un rouge sombre. . ' - APOPLEXIE ET COMA. 181 Puis surviennent rapid
esque immédiat. L'ictus auriculaire s'accompagne de bruits subjectifs* ' extrêmement violents dans une oreille, avec ver
vulsés, la température est normale, tarespi- [MOUTIER] 18-4 . - , ' APOPLEXIE ET COMA. / >V . ration câline, le
ême des conditions déterminantes, un tableau bien distinct du coma. ' Diagnostic étiologique de l'apoplexie et du com
ictus participe a priori à la béni- gnité antérieure des accidents. ' Le diagnostic de traumatisme est en général évi
enfin de rééduquer, s'il y a lieu, l'aphasique ou le para- lytique. ' SOMMEIL MORBIDE, INSOMNIE par le Dr MOUTIER
esse de l'exciter. La somnolence; aboutit enfin aun coma profond ». ' Le sommeil, dans les tumeurs cérébrales, peut s
e plus souvent un équivalent. Le sommeil est ici des plus profonds. ' Au cours des sommeils morbides que nous venons
affaiblissement intellectuel, gâtisme. LES TROUBLES DE LA PAROLE.. ' 199 1° Dysarthries d'origine pa-1'étique. Ces d
absence de secousses fibrillaires et de réaction de dégénérescence. ' L'hémorragie et le ramollissement cérébraux dét
fois mal posée, bitonale, quelquefois aussi extrê- mement tremblée. ' On observe encore de la scansion dans la maladi
lysies du bras droit chez les droitiers (pu n'ont pas eu le temps ¡] ' ("dlUll1('1' leur main gauche ou qui ne l'out pu,
les augmentent considérablement lorsque le malade ferme les yeux. , ' , ' , La chorée exagère beaucoup les modificati
augmentent considérablement lorsque le malade ferme les yeux. , ' , ' , La chorée exagère beaucoup les modifications
urs spontanées ou provoquées le long des troncs nerveux principaux. ' ' '. , TROUBLES DE L'ÉCRITURE.- 207 L'impoten
s spontanées ou provoquées le long des troncs nerveux principaux. ' ' '. , TROUBLES DE L'ÉCRITURE.- 207 L'impotence
fisants comme technique. La perspective y l'ail défaut d'ordinaire ( ' ). 1. Pour en Unir avec les troubles du langage,
chapitres de l'aphasie, de l'attitude et du faciès pour la mimique. ' /'1 ( ItATlyl'F : \E : UIIUI.. 1't [MOUTIER
oire tête et louchez ensuite votre oreille avec le pouce gauche » . ' Si le malade ne peut lire un ordre, peut-il, du
ant au malade de suivre avec ses doigts les con- tours des lettres. ' b) Lecture des chiffres. Lecture de chiffres is
). A ce propos interroger le malade sur la table de multiplication. ' c) Lecture de l'heure. Sur une montre le malade
ade une partie de bataille, d'écarté. Faire compter de l'argent. / ' ) Lecture des mots écrits dans la main (I\allwinl\
écessaires pour former le mot demandé. - c) Écriture à la dictée. ' , d) Écriture en copiant. a) En transcrivant le
e la motilité. Le malade était-il droitier ? gaucher ? ambidextre ? ' ? Est-il hémiplégique ? des membres seulement o
troubles de la déglutition ? quel est l'état du réflexe pharyngé ? ' ? L [MOUTIER ] ' : 2W . L'APHASIE. Constate
tition ? quel est l'état du réflexe pharyngé ? ' ? L [MOUTIER ] ' : 2W . L'APHASIE. Constate-t-on, lorsque le mal
ciés des membres du côté droit observés par Pierre Marie et Sainton( ' ) ? ` ? , Nous avons parlé plus haut de la reche
de la recherche de l'Apraxie, il est donc inutile d'y revenir ici. ' IX. Examen de la sensibilité. Sensihilité à la
constatés chez des aphasiques non hémiplégiques. TYPES D'APHASIE. ' 217 anarthrie répond cliniquement il l'ancienne
à venl). Des mots nouveaux, vocables dénués de , [AfOUTIER.] 218 ' L'APHASIE. sens, sont forgés. Cette jargonaphas
aucun progrès. Le langage spontané, sauf en certains cas de lésions ' TYPES D'APHASIE. 219 peu étendues, est donc seu
les anciens auteurs dési- gnaient sous le nom d' « aphasie totale ( ' ) ». Les aphasiques de Broca sont des hémiplégiq
ent extrêmement schématiques. Il existe diverses variétés d'apraxie( ' ). La plus fréquente, la plus légi- time aussi e
hoisir du côté apraxique (épreuve du choix d'un objet. Liepmann.) , ' Le diagnostic de l'apraxie est souvent délicat.
cérébrale postérieure, notamment des lobules lingual et fusiforme. ' Le diagnostic des agnosies est délicat. II repo
a conduite et les actes, puis les principaux phénomènes psychiques ( ' ). LES TROUBLES DU LANGAGE CHEZ LES ALIÉNÉS No
rtains nl'ologisIIll's par assonance tels qu'on les observe dans l'( ' \l'll;1t1011 maniaque, la paralysie générale n'ont
t la mimique proprement dite qui sert il l'expression de la pensée. ' La mimique émotive peut être exagérée (hypermim
ndividuelle : S34 SH,liIOLOGI1. PSYCHIATRIQUE... 1 z1- L'AMNÉSIE. ' 25Ô orient, déchirent, leurs vêtements. Les dém
cations (urémie, dia- bète), dans certains cas de tumeur cérébrale. ' 11 faut distinguer aussi la démence de la débil
arqué Ribot, du plus nouveau au plus ancien, du complexe au simple. ' Les amnésies fonctionnelles, contrairement aux
le plus souvent 7,éti,o-aiitéi-oli@ade. - - LES. HALLUCINATIONS.. ' 237 7 L'amnésie générale est rare. On aurait vu
ent, ils peuvent réapparaître dans le délire, l'état somnambulique. ' LES HALLUCINATIONS Esquirol donne de l'halluc
continuées, enfin quelles sont devant ces faits leurs réactions' ? ' ? Les idées de persécution sont très importante
lourdes; ils méri- te. CUILLAIN. 24ô . SÉMIOLOGIE PSYCHIATRIQUE. ' tent l'enfer, sont damnés. Ces idées de damnati
nt aussi dans les périodes mélancoliques de la folie intermittente. ' Les débiles ont des idées religieuses exagérées
nt les caractères hallucina- toires oniriques des délires toxiques. ' Les idées érotiques. - Un groupe spécial d'idée
nes ou des ; choses qu'en réalité ils voient pour la première fois. ' THÉRAPEUTIQUE DES AFFECTIONS MENTALES Nous n'
alade. Ce registre constatera éga- lement les sorties et les décès. ' Ce registre sera soumis aux personnes qui, d'ap
les dispositions seront applicables aux individus placés d'office. ' AUT. 19. En cas de danger imminent, attesté par
nce de l'administrateur désigné en exécution des articles 51 et 52. ' Le recouvrement des sommes dues sera poursuivi
lIt;\I : S A TOUTES LES PËUSOKNES PLACÉES DANS LES ÉTABLISSEMENTS () ' ALIÉNÉS : 1r 29. Toute personne placée ou retenue
il y a lieu, au profil, de la personne placée dans l'établissement. ' Le cautionnement du receveur sera affecté a la
ablissement d'aliénés, lors même qu'elles ne seront pas interdites. ' TITRE III Dispositions générales. Aiit. 41.
ement, les commissions nommeront leur président et leur secrétaire. ' Airr. 7.. Les directeurs et les médecins en che
ocation au directeur. En cas de dissentiment, le préfet prononcera. ' - Art. 7. Le directeur est exclusivement chargé
où l'éta- hlissemenl devra être situé. . ART. 18. Il justifiera : ' 1° Ilu'il est majeur el exerçant, ses droits ci
atué, pour le retrait des autorisations, par une ordonnance royale. ' Dispositions générales. All1'. 51. Les établi
ans les départements les préfets qui ordon- [G. GUILLAIN . 2U4' , ' / SEMIOLOGIE PSiCIIIfLT.I31UG. .' - ' nent le p
on- [G. GUILLAIN . 2U4' , ' / SEMIOLOGIE PSiCIIIfLT.I31UG. .' - ' nent le placement de l'aliéné par un arrêté. L'ar
lité du danger que fait courir le malade main- tenu eh liberté. " . ' , Les enfants peuvent être placés dans les asil
et placement d'office) dans les mêmes conditions- que les adultes. ' Les étrangers-né sont pas soumis en principe au
oit, s'ils le veulent, d'exiger l'expression « asiles d'.aliénés ». ' Voici un spécimen de certificat proposé par. Ré
oposé par. Régis (Précis de Psychia- trie, 5e édition, p. 905). ? ' 1lTLIiII,)I11T DES ALIÉNÉS. 205 « Je, soussigné
et difficiles. Chez les arriérés, ils se rapprochent de la normale. ' Troubles de la digestion. La mastication est in
t quelquefois les extrémités cyanosées par suite de leur impotence. ' Sécrétions. 11 v a souvent une salivation exagé
utres manifestations de la per- version sexuelle : pédérastie, etc. ' A tous ces troubles psychiques et fonctionnels
Variétés, d'idioties. L'idiotie peut présenter des variétés mul- - ' IDIOTIES'. 2(j ! l 2M tiples dues, à son début,
à son intensité ou aux sypmtômes qui l'accom- pagnent. '1" l, " .. ' ¡' " Le début de l'idiotie permettra de différen
son intensité ou aux sypmtômes qui l'accom- pagnent. '1" l, " .. '¡ ' " Le début de l'idiotie permettra de différenci
la seconde enfance, c'est-à-dire de- 7 ans au début de la puberté. ' Nous avons choisi comme type de notre descripti
tiquer, d'avaler et la persistance de l'habitude d'uriner au lit... ' . L'intensité de l'idiotie permettra de décrire
tense, quelquefois de niouvty ments dhenllchoree ou d'hémiathétose. ' b) Idiotie diplégique. Dans ce cas, il y a para
les épilepliques la déchéance de l'état intellectuel amène l'idiotie ( ' ). cl) Idiotie amaurotique. Cette maladie, appel
e au point de vue intellectuel les mongoliens des autres idiots. / ' ) Idiotie polysarcique. Elle est caractérisée par
s frontale et pariétale ascendantes (BOUR11EVILI.Eet BtussAno). - · ' '272 - ' .. IDIOTIE-. '' ¡ . - .r ? \ J glu Idi
e et pariétale ascendantes (BOUR11EVILI.Eet BtussAno). - · ' '272 - ' .. IDIOTIE-. '' ¡ . - .r ? \ J glu Idiotie symp
lissement, à des pseudo-kystes, à une infiltration celluleuse, etc. ' - 7° Idiotie myxoedémateuse. - L'idiotie rnyodé
nomie, à la bouffissure des pau- pières, au gonflement des joues, ' , à l'absence de glande thyroïde au niveau du
57 pour 100 des cas elle serait une cause associée à l'alcoolisme. ' Complications. Les complications de l'idiotie .
entale du sujet s'accentue. - .. Hoffmann (Deutsche Zeilschrifl fil) ' Nervenkranken, 1894) a. signalé l'association d
s maladies intercurrentes que l'on : peut observer chez l'adulte. , ' Le pronostic de l'idiotie dépendra d'abord de l
jets, et cela d'autant plus '1 est privé de tout moyen de contrôle. ' , NOTIONS ELEMENTAIRES SUR L'ANATOMIE ET LA PHY
directement dans les noyaux du plan- cher du quatrième ventricule. ' Le trajet des voies sensitives centrales, à par
t médian de In couche optique (Dejerine, y. Monakow). D'après Long ( ' ) le ruban de Reil ne doit pas être considéré co
relais, dont le premier se lait au niveau de l'olive cérébelleuse. ' 4" Neurone olivo-thalamigue. De là, elles se re
n), par l'excitation du cortex chez l'homme (Krause, Mills, , . \ ' [ROUSSY.] ' : 178 SENSIBILITÉ. Frazicr. Llowl
tation du cortex chez l'homme (Krause, Mills, , . \ ' [ROUSSY.] ' : 178 SENSIBILITÉ. Frazicr. Llowl et Cusbing),
dans certaines affections médullaires, Strumpeit, Marinesco, etc.) ( ' ). 1. Nous reviendrons sur cette question dans l
ner. de Mott, et l'absence de troubles de la sensibilité dans les af1( ' ('- tions cérébelleuses (le faisceau de Gowers s
sensations, étudier le sens musculaire et le sens stéréognostique. ' 1 ' . TECHNIQUE A SUIVRE POUR LA RECHERCHE DES
sations, étudier le sens musculaire et le sens stéréognostique. ' 1 ' . TECHNIQUE A SUIVRE POUR LA RECHERCHE DES TROU
r éviter l'influence de la suggestion verbale sur [ROUSSY.] ] - . ' ' . SENSIBILITE.. ? ;' ' '' - les réponses du m
éviter l'influence de la suggestion verbale sur [ROUSSY.] ] - . ' ' . SENSIBILITE.. ? ;' ' '' - les réponses du mal
la suggestion verbale sur [ROUSSY.] ] - . ' ' . SENSIBILITE.. ? ; ' ' '' - les réponses du malade; aussi lorsqu'on
a suggestion verbale sur [ROUSSY.] ] - . ' ' . SENSIBILITE.. ? ;' ' '' - les réponses du malade; aussi lorsqu'on a
ier une seconde fois les - résultats obtenus par un premier examen. ' . I. SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES A) Sensibili
ésique, faire l'épreuve dans les deux sens, et prendre une moyenne. ' , Les régions pileuses sont douées d'une sensib
on extrême finesse, a été décrite et désignée par Vaschide et Rous- ' TROUBLES DE W SENSIBILITÉ OB.IECTTVE : 285 seau
elà perception tactile (anesthésie ou hyperesthésie), mais encore : ' 1° le degré de la perception tactile ; 2" la
perception tactile ; 2" la localisation des impressions tactiles; ' 5° l'interprétation des impressions périphériques
nomène des st/ucslltsics n« a ,tyzolrc·sics (Guhier, de Frummltcl) ( ' ) constitué par des sensations tactiles ou doulo
qûre 1. Les stnrt ! ésie.s et les sijnextlwxies, ,) 888. : 1. TIt ! ' Uril. 111e £ l. journ., 1894. y. 1. 1. TROUBLES
dgésie; si au contraire, elle est exaltée, c'est de 1"/¡ ! lpenl/yësi( ' ,]Je même que pour le tact, on reporte avec soin
reuses et thermiques sont fortement di- [ROUSSY.] 288 SENSIBILITE, ' minuées ou même abolies (dissociation de la sen
Ceci nous oblige à entrer ici dans quelques détails. Von Strumpell ( ' ) a montré que la sensibilité à la pression est in
oixantaine de malades cet égard, arrive aux conclusions suivantes : ' Dans le tabes les troubles de la haresthésie so
la topographie radiculaire (voir fig. 5) aux membres supérieurs, 8` ' cervicale et 1 dorsale). Habituellement bilatérau
transmise uniquement par les filets nerveux du périoste. Pour Rydel ( ' ) 1. Arch. f. Psychiatrie 1l. Nervenheilk, Bd.,
durée de la perception vibratoire des différentes parties du corps ' (Rydel et Seiffer). Voir le schéma de l'état norma
s cinq dernières côtes, chez la malade précédente (d'après Dejerine). ' . Fig. 12. - Défaut de parallélisme entre la to
'exercer de chaque côté la même pres- sion. . -. [ROUSSI'.] 500 ' SENSIBILITÉ. On a construit des appareils pour
oit entendre par asléréognosie, agnosie tactile, asymbolie tactile ( ' ). Agnosie et asymbolie. L' agnosie (-) consiste
la main différents objets usuels tels que : couteau , crayon, clef ' , pièce de monnaie, montre^ mouchoir, etc.. qu'i
les troubles moteurs qui Pratique veuuoi,. 20 , [ROUSSY] 1 506 ' . SENSIBILITÉ. rétrocèdent rapidement : hémiane
et élargisse- ment des cercles de Weber. Ces faits sont d'autant ' ,plus marqués que l'hémianesthésie est pins réce
esthésies centrales. L'hémianesthésie thalamique ne s'observe pas, ' comme l'liéluianes- thésie cérébrale du reste,
nique du « syndrome prolubéranliel supérieur » de Raymond et Cestan( ' ). Ce syndrome se caractérise par une hémiplégie l
ervir à apprécier le degré de compression médullaire (VanGehuchten)( ' ). . L'étendue de l'anesthésie dépend du siège d
yélie, syrin- I. Presse médicale, 1 X ! HI. [ROUSSY.] ] 520 - " ' ' SENSIBILITE.... ' gomyélie), aux cordons post
lie, syrin- I. Presse médicale, 1 X ! HI. [ROUSSY.] ] 520 - " ' ' SENSIBILITE.... ' gomyélie), aux cordons postér
resse médicale, 1 X ! HI. [ROUSSY.] ] 520 - " ' ' SENSIBILITE.... ' gomyélie), aux cordons postérieurs (tabès), et
re au territoire de plu- sieurs nerfs sensitifs. PftATIQBE NEUML. ' 21 [ROUSSY.] Fig. 21. Distribution radiculair
ège au cou et à la nuque,- dans le domaine des 2e et 5" cervicales. ' Quels sont les caractères de ces troubles sensi
adden, Klein, Bonhoffer, Mills et Weisenburg, .Fischer, Goldstein) ( ' ), que l'on doive admettre la présence de troubles
matémérique spinale n'a guère rallié de partisans. Aussi Brissaud ( ' ), modifiant en'partie sa première hypothèse, adme
oteurs répondant à l'innervation motrice des mêmes racines (5" et (; ' cerv.), soit une paralysie du biceps, du deltoïde
ure d'une narine. PIt : lTiyll : NI : UIt171.. 22 [ROUSSY.] 558 ' SENSIBILITE. C) Type total. Dans ce type, l'ane
dors.). La face interne du bras conservé sa sensibilité normale ,(2` ' et 5e dors.). Les troubles moteurs consistent e
une composante du tableau symptoma- tique présenté par le malade. , ' La même topographie des troubles sensitifs (typ
ésion. Le syndrome de la queue. de cheval peut être également donné ' [ROUSSY.] : 540 - ' ' - . ? . SÉNStBmiTE. .; ?
la queue. de cheval peut être également donné ' [ROUSSY.] : 540 - ' ' - . ? . SÉNStBmiTE. .; ? : ' "' en clinique p
queue. de cheval peut être également donné ' [ROUSSY.] : 540 - ' ' - . ? . SÉNStBmiTE. .; ? : ' "' en clinique par
galement donné ' [ROUSSY.] : 540 - ' ' - . ? . SÉNStBmiTE. .; ? : ' "' en clinique par une lésion intéressant. les
ement donné ' [ROUSSY.] : 540 - ' ' - . ? . SÉNStBmiTE. .; ? : ' " ' en clinique par une lésion intéressant. les seg
de la moelle sacrée et. des trois derniers segments lombaires. « - ' . .a) Dans -les lésions siégeant au niveau des
ied (partie du domaine de 1'5 elS¡). (Cas Desho..., Bicêtre, 1905). ' 'TROUBLES DE LA. SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 541 scr
e aujourd'hui, à la suite des travaux de Dejerine et de ses élèves ( ' ), les ra- cudililes, « dont les symptômes el le
pour permettre de les diagnostiquer sans hési- tation, mais encore, ' et surtout, pour pouvoir les traiter en connaissa
oussy, Rev. de Neur., 190). TROUBLES DE LA .SENSIBILITÉ OBJECTIVE : ' 547 IV. - TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES
u tact; hypoesthésie à la piqûre. (Cas Hub..., Bicêtre, 1906). M8 ' , : 0 SENSIBILITÉ.. " ? ' - ' 1 Topographie pér
piqûre. (Cas Hub..., Bicêtre, 1906). M8 ' , : 0 SENSIBILITÉ.. " ? ' - ' 1 Topographie périphérique. En se reportant
re. (Cas Hub..., Bicêtre, 1906). M8 ' , : 0 SENSIBILITÉ.. " ? ' - ' 1 Topographie périphérique. En se reportant au
lique surtout aux territoires sensitifs des extrémités des membres. ' Fig. '39. Paralysie du cubital par luxation du
riphérie à la racine des mem- hres.[Cas(;an...,Bice(re,1886). 550 ' " SENSIBILITÉ.. .. troubles sensitifs dans les
du corps. (Cas l'uuru..., l31ci'lrc, 1903). 556 . SENSIBILITÉ. ? ' , ; - Ces divisions sont en réalité schématique
AFFECTIONS VISCÉRALES Un célèbre neurologiste anglais, Henri Ilead( ' ), a attiré l'attention sur la présence des zone
nes suivantes : Zone dorso-cuhitale (D,), zone dorso-hrachiale (\)2) ' srapulo-h\1lnérale : (IL), dorso-axillaire (DJ,
i phoïdienne (D7), épigastrique moyenne (Da), supra-ombilicale (\)9) ' sus-ombilicale (Di0), sacro-iliaque (Du), sacro-
ur en indique le siège exact, par rapport aux segments médullaires ( ' ). La constatation de ces laits pourrait avoir d
tuh0ralll.iel supérieur de Raymond et Cestan. [ROUSSY.] 5 72 ` ? ' ' SENSIBILITÉ. Caractères. Ces douleurs sont pr
uh0ralll.iel supérieur de Raymond et Cestan. [ROUSSY.] 5 72 ` ? ' ' SENSIBILITÉ. Caractères. Ces douleurs sont préc
oubles de la sensibilité pro- fonde. (Cas lioac..., Bicêtre, 1901.) ' 570 SENSIBILITÉ. , . premier symptôme en date
° Dans les affections des nerfs) les phénomènes dysesthésiques sont ' réalisés expérimentalement par la compression vio
ue) que les dysesthésies revêtent certains caractères qui méritent de ' nous arrêter un instant. Nous voulons parler de
claudication intermittente' de la moelle épinière (de Deje- rine) ( ' ). Ce syndrome est essentiellement caractérisé par
rologique, n° 8, 1906. [ROUSSY.] ''578 " "\.. , ; - SENSIBILITÉ.. ' -. ; -\ -" ? ? z gers, intermittents (amnésie,
bide, un nerf est presque totalement détruit, NÉVRALGIES ET ALGIES. ' 385 l'anesthésie en sera la conséquence, tandis
'111011, poillt doulou- reux il l'épine de Spyx) ; névralgie du /la/ ' altl'iclllo-telllpo/'{{1 (douleurs a la tempe,
- reux il l'épine de Spyx) ; névralgie du /la/' altl'iclllo-telllpo/ ' {{1 (douleurs a la tempe, il la partie antérieur
, au bord antérieur du masséter et à la partie moyenne de la joue). ' Parmi les variétés symptomatiques des névralgie
oint apophysaire au niveau des deux premières vertèbres cervicales. ' . NÉVRALGIE CERVICO-BRACHIALE . La névralgie
rd cubital légèrement, incliné en dedans, les doigts fortement 11l'( ' \lis, l'avant-bras en extension. L'ouvrier doit
le dos, la mamelle, la face interne; du bras (anastomose des 2° et 5* ' nerfs intercostaux avec l'accessoire du brachia
enveloppes. La scia- tique double se voit aussi dans le diabète. ' MÉTATARSALGIE La métatarsalgie' ou névralgie de
.i02 NÉVRALGIES ET ALGIES. Pilules : TRAITEMENT DES NÉVRALGIES. ' 405 Quinine. Les préparations de quinine sont i
en potion, pilules, cachets. ? 'V 1 1.. TRAITEMENT DES NÉVRALGIES. ' ." 405 406 . " ' -NÉVRALGIES ET ALGIES. ? : - '
, cachets. ? 'V 1 1.. TRAITEMENT DES NÉVRALGIES. ' ." 405 406 . " ' -NÉVRALGIES ET ALGIES. ? : - ' Injection 7ypodé
ENT DES NÉVRALGIES. ' ." 405 406 . " ' -NÉVRALGIES ET ALGIES. ? : - ' Injection 7ypodérmique : . ... . n TRAITEME
TRAITEMENT DES NÉVRALGIES. 411 412 . NÉVRALGIES ET T ALGIES; - . ' - Le sirop d'opium du Codex contient 0 gr. 04 d
hef a conseillé la formule suivante : - 4 NÉVRALGIES ET ALGIES. , ? ' ; Le sirop de chloral du Codex contient 1 gramm
t 1 gramme de chloral par cuil- lerée à -soupe. . Potions : : . ' TRAITEMENT DES NÉVRALGIES. 4.-ia Croton-chloral
de bifurcation descendante de la racine TRAITEMENT DES NÉVRALGIES. ' 425 longitudinale du zygoma), cette arrête osse
la surface [GUILLAIIV.] ] Fig. s. Fig. 4. Ilig. 5. Groupe des ' orifices périphériques. Nert sus-orbitaire A; sou
us mentionnerons donc seulement le réflexometre rotulien de Castex ( ' ). L'appareil permet de mesurer l'intensité de la
e et a pour résultat un mouvement d'extension du pied sur la jambe. ' Pour l'apprécier, il faut que le malade se mett
du pied qui est le signe de l'exagération du réflexe achilléen. - , ' Ce clonus du pied (ou phénomène du pied ou épil
al ce phéno- mène au niveau des deux tendons achilléens (Babinski) ( ' ). Nous verrons que celte fausse épilepsie spina
t-ils des variations dans l'enfance et dans la vieillesse ? Mobius ( ' ) a examiné les réflexes rotuliens de 56 malades â
mettre en évidence des réflexes difficiles à trouver. Orschanski ( ' ), en faisait travailler un membre, a vu tout d'ab
ier à ceux du membre inférieur) ou suivant qu'elle est généralisée. ' 1° Abolition partielle des réflexes tendineux.
e réflexe rotulien réap- paraissait du côté de l'hémiplégie. Cayla ( ' ), dans sa thèse sur l'hémiplégie dans le tabes,
e, surtout chez les diabétiques jeunes, au- dessous de 50 ans (Lpnn( ' ,); elle est une contre-indication il une inter-
en est de même de la méningite cérébro-spinale. [CROUZON] ] - M3 ' " . RÉFLEXES. M. Triboulet (Société médicale de
bolition des réflexes dans les tumeurs cérébrales et cérébelleuses. ' En ce qui concerne les tumeurs du cervelet, l'a
amyolropliique, sclérose en pla- ques, tumeur cérébrale. [CROUZON] ' .44< : ' RÉFLEXES. Elle est également un s
, sclérose en pla- ques, tumeur cérébrale. [CROUZON]' .44< : ' RÉFLEXES. Elle est également un symptôme de la
donc comme une extension des orteils ayant une valeur véritablement ' " ' - RÉFLEXES. CUTANÉS. - 449 pathognomonique
comme une extension des orteils ayant une valeur véritablement ' " ' - RÉFLEXES. CUTANÉS. - 449 pathognomonique que
c une aiguille et montrant la flexion plantaire normale des orteils.. ' z (Babinski, Gazelle des It6pîtaux.)..., . Fi
ne de Babinski se rencontre également dans le tabes quand il existe ' des lésions de sclérose combinée des cordons post
inférieur du tenseur du fascia lata et le bord externe du couturier. ' Quand le tenseur du fascia lata se contracte se
tion est d'autant plus fréquente que l'hémiplé- gique est plus âge. ' Marandon de Montyel a étudié le réflexe crémast
n de ces réflexes quelle était sa valeur spéciale. [CROUZON.] 456 ' RÉFLEXES. , - . nous n'envisagerons ici que leu
motrices reçoivent-elles l'influx nerveux des centres supérieurs ? ' ? Suivant Van Gehuchten, il y aurait deux voies
plégiques qu'on a laissés trop longtemps au lit sans les faire lever. ' Quand l'hémiplégie est ancienne et assez pronon
flexe plantaire en extension. L'étude des mouvements involontaires ( ' ) dans les membres est inté- ressante : l'un des
se combiner avec celle-ci, c'est l'apraxie, étudiée par Liclmnann ( ' ), qui con- siste en une sorte d'agnosie des mou
paralysie, de l'autre anesthésie de la face avec on sans paralysie. ' Syndrome cérébelleux alterne de Babinski et Nag
uvements, sur certains actes plutôt que sur cer- tains muscles. - ' Elle est et reste en général flasque ; quand elle
ant à considérer est celui de l'étiologie. Dans quelles conditions ) ' ))émi])tégies'cst-ei ! e produite ? Y a-t-il eu tr
es membres. Le réflexe plantaire est presque toujours en extension ( ' ).. ' L'aphasie ne se montre guère dans l'hémipl
mbres. Le réflexe plantaire est presque toujours en extension (').. ' L'aphasie ne se montre guère dans l'hémiplégie
1904) pour décrire ce signe et rechercher sa valeur séméloiogique. ' Technique de la recherche du signe de Kernig. I
t empêchée, le malade ne peut s asseoir, le signe de Kernig existe. ' " , 2° On peut asseoir le malade sur son lit et
suf- fis : mtes. lésions méningées qu'il a pu révéler cliniquement. ' 11 faut donc considérer ce signe comme ayant un
s'accuse da- vantage aux membres supérieurs, paraplégie cervicale. - ' Examen du malade. Le malade peut-il marcher, et
graphie de la colonne vertébrale termineront au besoin cette étude. ' - Description du syndrome paraplégie et formes
ta- nés peuvent être normaux ou abolis, ils sont rarement exagérés. ' Les troubles de la sensibilité sont essentielle
nt de la sorte et déterminent une para- plégie, flasque en général. ' Les .affections chroniques, la tuberculose, la
isitions indéniables au sujet des réflexes dans les paraplégies ? , ' Nous laisserons de côté toute discussion théori
peuvent réaliser le double syndrome de Brown-Sequard, par- exemple. ' Une fréquence particulière et un ensemble carac
uissance génitale, à la difficulté de résister aux envies d'uriner. ' Lorsque surviennent les troubles de la marche,
t insuffisamment familiarisé, est un des plus fréquents qui soient. ' - Nous rencontrerons plus loin les méningo-myél
tômes méningés initiaux. Ils sont de deux ordres : les uns cérébraux, ' , diplopie, céphalée, les autres rachidiens, dou
sque, suivi d'une évolution traînante vers la spasmodicité. On peut, ' à vrai dire; observer exactement l'inverse. La
nous l'étudierons au chapitre particulier consacré au jeune âge. " ' 6° Paraplégies spasmodiques ne s'accompagnant e
ou confirmer le diagnostic d'hystérie, [MOUTIER.] Mi2 PARAPLÉGIE. ' par exemple. L'instauration rapide des contract
eux, parfois trois semaines et plus. Dans la maladie de l cmdor/ ( ' ), la mort survient en de 2 à 5 jours. Les réfle
me analogue il la maladie de Landry. [MOUTIER.] 504 - PARAPLÉGIE. ' "' ; L'atrophie existe néanmoins et au plus hau
analogue il la maladie de Landry. [MOUTIER.] 504 - PARAPLÉGIE. ' " ' ; L'atrophie existe néanmoins et au plus haut p
le à demeurer immobiles dans la station verticale, éprouvent une o') ' [mde peine à maintenir leur équilibre et piétinent
ours flasque : les réflexes pourraient être exagérés avec extension ' [MOUTIER] ] 506 PARAPLÉGIE. de l'orteil et qu
peu fruste, on tenait aussitôt la névrose pour facteur étiologique. ' Nous avons longuement insisté sur le diagnostic
r être tout à fait impotents, mais cette évolution est fort lente.' ' 2" Paraplégies à démarche al axo-spasmodique. Scl
e anesthésique correspond a la 1 le racine dorsale, on comptera 11 = ' - 8, c'est-à- dire que le segment d'émergence r
ompressions du renflement, cervical (5 ? 6", 7e, 8'' cervicale et 1" ' dorsale). On peut observer soit une tétraplégie à
s particulièrement soumises aux effets nocifs du processus morbide ( ' ). 1. Pour compléter ce chapitre, voir plus haut
re de l'excitabilité électrique, caractère familial et héréditaire. ' PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE SÉMÉIOLOGIE DES PARALY
s à la suppression de la fonction d'un ou de plusieurs d'entre eux ( ' ). I. MUSCLES DU MEMBRE SUPÉRIEUR MUSCLES DE L
r autour de son angle interne, en élève l'angle externe acro- mial. ' Le mouvement d'abduction du bras est très impor
grossi ! tubérosité de l'humérus. Innervation. NeÍ7f sus-scapulair( ' , branche du plexus brachial. Physiologie. Le su
apulaire et dans les larges gouttières qui les [G. GUILLAIN ] 524 ' PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. séparent : 5° sur la lè
agit avec plus d'énergie sur le 5'' métacarpien que sur les autres. ' * Le cubital antérieur est considéré, par beauco
nsion sur les deux dernières phalanges tient un peu à la "("81stanc¡ ' tonique des muscles fléchisseurs, niais surtout i
mité supérieure du cinquième métacarpien. Innervation. Nerf radial. ' Physiologie. Le cubital postérieur es) un exten
la flexion de la première phalange et l'extension des deux autres. ' Interosseux. Insertions. Il existe des muscles
on de la cuisse; ce mouvement s'ef- fectue d'ailleurs sans énergie. ' Quand le grand fessier prend un point fixe sur
t-à-dire un mouvement de flexion associé il l'abduction (Duchenne). ' Quand les muscles pdvitrochanteriens sont paral
eut plus écarter les genoux l'un de l'autre. [G. GUILLAIN.] a43 ' . PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. MUSCLES DE LA CUISSE
; le faisceau antérieur ou horizontal contourne, d'arrière en avant, ' la tubérosité interne du tibia et s'insère sur la
muscles paralysés ne peuvent plus limiter l'extension de la jambe. ' MUSCLES DE LA JAMBE . Région antérieure. Ja
ied, mais plus faiblement, la même action que le jambier antérieur. ' Péronier antérieur. Insertions. Le péronicr ant
Duchenne a dénommée talus pied creux tordu en dehors (11-illioii). ' Plantaire grêle. Insertions. Le plantaire grêle
uelques auteurs Pont considéré comme exten- seur du pied (Poirier). ' Long fléchisseur propre du gros orteil ou fléch
contractent ensemble, ils sont simplement fléchisseurs de la tête. ' - Le chef profond du muscle, le cléïdo-mastoïdi
glosse. D'après lloll ce rameau pro- viendrait des nerfs cervicaux. ' Physiologie. Le thyro-hyoïdien abaisse t'es hyo
long du cou fléchit la colonne cervicale et l'incline latéralement. ' MUSCLES DU THORAX. 561 t IV. MUSCLES DU THORA
ectoral, branche du plexus brachial. IIt.\TIQI'F \F : I'It0l,. 3U ' [G. GUILLAIN.] ] ? G2 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE.
itable ligament actif de l'articulation st{} ! 'l1o-cla- viculaire. ' Grand dentelé. Insertions. Le grand dentelé peu
irection transversale, les autres sont obliques en bas et en avant. ' Innervation. Nerf du grand dentelé ou nerf thor
sont dirigés en bas et en arrière. Innervation. Nerfs intercostaux. ' Physiologie. Le rôle des muscles intercostaux e
que certains autres d'entre eux. ? Innervation. Nerfs intercostaux. ' " r Physiologie. Les muscles sous-costaux n'ont
rs du diaphragme. Le pilier droit s'insère sur le corps des 2c et 5* ' vertèbres lombaires et sur les disques interverté
res lombaires et sur les disques intervertébraux situés entre les 1" ' et 2", 2'' et 3 ? 3" et 4'' vertèbres lombaires ;
les deux nerfs abdomino-génitaux, branches du plexus 10111- baire. ' Physiologie. Le grand droit de l'abdomen, en pr
x inférieurs, grand abdolllino-génital et petit abdolllino-génitai. ' Physiologie. Le grand oblique, en prenant son p
ont une action surtout dans l'expiration forcée, la toux, le chant. ' Carré des lombes. Insertions. Le carré des lomb
tement au fémur en longeant le bord inférieur du tendon du psoas. ' Innervation. Rameaux provenant directement du ple
fères, les sauteurs par exemple. n'a chez l'homme aucun rôle utile. ' [G. GUILLAIN.] S70 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE.
, au-dessous les trois muscles fusionnés forment la niasse commune. ' Voici la description anatomique que donne Testu
riété de lordose paralytique le fil il plomb tom- PRATIQUE NEUROI,. ' 57 [G. GUILLAIN,] 1 '78 , PHYSIOLOGIE MUSCULA
physionomie, ils sont les muscles de la mimique. [G. GUILLAIN] ; ' )80 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. Le muscle peaucier d
re supérieure et par suite l'agrandissement de la fente palpébrale. ' Le frontal agit avec le releveur de la paupière
rcilier, qui leur permet de voir dans les conditions de la fente sl¡ ' ! llOpéi(J11 ! (Charpy). Duchenne a appelé le f
és et toutes les nuances depuis le plus simple [G. GUILLAIN.] 58G ' PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. sourire jusqu'au rire l
s la partie de ce bord [G. GUILLAW. : 588 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. ' qui correspond aux trois grosses molaires, sur
onstituée par lepro- [G. GUILLAIN.] 590 . PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. ' longuement des muscles radiés, l'autre, l'orbic
omiques, mais à des nerfs articulo-moteurs et segmento-sensitifs. » ' .. Plusieurs figures m'ont paru mériter d'être
rieur, coraco-brachial, long supinateur. TOPOGRAPHIE RADICULAIRE. ' ' 605 Tableau de l'innervation motrice des nerf
eur, coraco-brachial, long supinateur. TOPOGRAPHIE RADICULAIRE. ' ' 605 Tableau de l'innervation motrice des nerfs
l'impossibilité de la supination, la paralysie du court supinateur. ' La paralysie du biceps, du brachial antérieur,
GUILLAIN.] glu G SÉMÉIOLOGIE DES PARALYSIES D'ORIGINE RADICULAIRE. ' leurs, dans la majorité des cas, totale que dur
ns de. la hanche, la luxation du genou, les accouchements laborieux( ' ), les névrites infectieuses ou toxiques. La név
tés, nous allons les retrouver à propos de la pathologie humaine. - ' Au niveau du bulbe, la représentation du larynx
porte de sensibilité du larynx dans les anesthésies chirurgicales. ' . Les svniplôincs subjectifs sont le plus souve
enue normale : tout rentre dans l'ordre jusqu'à une nouvelle crise. ' Enfin on peut assister à des phénomènes plus gr
bégaiement, la dysphonie nerveuse chronique et la voix eunuchoïde. ' Cette névrose se rencontre surtout chez les per
re viscérale (intestin, estomac, vessie, vésicule biliaire, coeur) ( ' ); plus récemment nous avons trouvé une amyotrophi
parenchymateuse : des travaux plus récents, surtout ceux de Hayem ( ' ), confirmés par Du- rante (3), ont montré qu'il
s n'est rien et leur affaiblissement est tout (P. Marie et Guinon) ( ' ). C'est un fait qu'il ne faut pas perdre de vue
atrophie de cette portion. 1. P. MAillE et GuiNoi. Rev. méd., 1885. ' SIGNES DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. ( ! 59 La pa
s sur la description de ces instruments. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL. ' 661 DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL L'atrophie muscul
phénomènes étaient confondus : l'un des grands mérites de Duchenne ( ' ) de Boulogne est précisément d'avoir montré, en
ent pouvoir servir de base à une classification bien plus légitime. ' Les atrophies musculaires peuvent être secondai
la m<"ningo-I11YI"lite syphilitique (Raymond, 1895, Léri, 1905) ( ' ) : c'est à peine si t on peut dire aujourd'hui
éveloppement s'est l'ait le plus rapidement. (Babinski et Onanoff) ( ' ), etc.... Dans ce groupe des maladies de dévelo
rose en piques, de névrites ? ; poliomyélite antérieure chronique ? ' ? IL Atrophies musculaires secondaires : A) C
es » : d'origine articulaire : arthrites, luxations, contu- sions ; ' d'origine tebarticulaire : muscle : traumatisme
scapulo-humérale, sont héréditaires, d'après la statistique de Erb ( ' ), dans 56 pour 100 des cas; l'amyotrophie Charcot
té signalée chez, le père de deux myopathiques (Cénas et Douillet) ( ' ), dans la famille de plusieurs myopathiques (Yi
ffection ne frappe que 10 ou 11 filles sur 100 malades (Marinesco) ( ' ), Gowers admet une fille sur 4 malades, .\['ne
, bien que nous n'ayons pu les retrouver au moment de notre examen ( ' ). Des contractions fibrillaires existent donc a
te d'une paralysie, de la paralysie infantile, par exemple. Gordon ( ' ) a signalé récemment la pseudo-hypcrtrophie des
certains muscles peuvent exister dans toutes les 1. (;OIIfJON. J. o/ ' ne1'U. a. ment, dis., juin 1905. ' MYOPATHIES.
toutes les 1. (;OIIfJON. J. o/' ne1'U. a. ment, dis., juin 1905. ' MYOPATHIES. 671 1 formes de myopathies : elles
ns la forme Lan- douzy-Dejerine (Friedreich, Landouzy et Dejerine) ( ' ), ainsi que dans la paralysie pseudo-hypertroph
étractent sur leurs antagonistes plus précocement atrophiés (Blocq ( ' ), Sacara). Les rétractions affectent tout spécial
ied plat, etc. ; elles peuvent être presque généralisées (Scherb ( ' ), Cestan et Lejonne) (8). Cestan et Lejonne ont
IILES11GEIt. Wiell. Med. Club, oct. 1899. 7. SciiEitit. Rev. nenr., ' )000.. 8. CESTAN et Lejonne. Rev. tieurol., 15 n
ants plus forts sont diminuées d'étendue et de puis- sance (Iluet) ( ' ); il n'y a pas de modification qualitative, pas d
est pas ainsi. Dans leur nie-, moire de 1885, Landouzy et Dejerine ( ' ) avaient noté que le réflexe patellaire avait d
s exceptions : tel le cas, suivi d'autopsie, d'Oppenheim et Cassirer ( ' ) où l'atrophie s'était localisée aux membres in
Symptômes non musculaires. (Signes accessoires de dégénérescence.) ' Les os paraissent présenter fréquemment des tro
eut être parfois très accentuée, connue chez les malades de Sacaze ( ' ), de P. Marie e), de Scherb (5) ; il est possib
avec la colonne cervico-dorsale sans l'encoche normale de la nuque. ' 1. Sacaze. Arch. de uerrnol., 1895. " 2. P. L
e el Onanoff. Soc. 11léd. hôl)., 26 février 1891. ., . MYOPATHIES.. ' 677 Une autre déformation du même ordre, que no
a hanche, la bascule du bassin qui tend à le faire tomber en avant. ' .. , La peau des myopathiques est souvent mince
i. Guillain. Soc. Neicrol., 2 filai 1901. MYOPATHIES. 679 Stembo ( ' ) qui a constaté cette hypertrophie cardiaque par
fflant qui nous a fait penser à l'exis- tence d'une sténose. Babès ( ' ) et Kalindero ont constaté plusieurs fois des l
cas qu'il connaissait, avait frappé Du- chenne au point qu'en 1861 ( ' ), dans son travail initial, il avait dénommé la
lysie hypertrophique de l'en- fance de cause cérébrale » ; en 1868 ( ' ) il renonça lui-même à attribuer la maladie à u
lier aux altérations myopathiques, a inspiré au professeur Joffroy ( ' ) 'une très inté- ressante leçon sur les affecti
dio (5 cas) (2), Sachs et Browks (3), Ballet et Delherm(4), Perrin ( ' ), etc.... Joffroy a lui-même 'signalé un cas de
s ces variétés se retrouvent dans les cas de Buss, Sacara. Lannois ( ' ) (myotonie loca- lisée), de Lépine (2) (myopath
langue présente une pseudo- hypertrophie assez fréquente (Marinesco ' ), (Foggie 2). L'affaiblissement progressif des
mbent de la coiffure : l'aspect est celui que G. Ballet et Delherm ( ' ) ont désigné sous le nom de « faciès de sphinx
, par Bouveret (2), l'atro- phie des masticateurs par Reinhold ( ' ), parHoff- mann (*), l'atrophie à la fois du re
Rev. méd., 1885, p. 277. 2. Bouveret. Lyonmédic, '1895, p. M8.' '. ' 5. RrrmoLn.,D. Zeilsch. "Ne1'venh., 1895, p. 18
; dans quelques cas d'amyotrophie Charcot- Marie, Charcot et Marie ( ' ), Dejerine (2), Reinhardt (3), Stumpf (4), 1. C
Mal., 189Ô. . [A.LÉRL] fi'1'2 12 ATROPHIES MUSCULAIRES. Gordon ( ' ) ont signalé une adipose limitée et sans doute pl
t la localisation. 1. Type Charcot-Marie (type péronier de Tootli) ( ' ). L'amyotrophie Charcot-Marie n'est pas très ra
eilsch. f. 11'crucnlieilk, t8 ? 5. Heriuxgham. Brain. 1888, p. 250. ' 4, Sainton. Th. Paris, 188 ! J. v [A LÉRI.]
rfois même sur la partie externe de leur face dorsale (Ganghofner) ( ' ) ; les orteils sont en griffe. Le pied est plus o
mbres supérieurs de même qu'aux membres inférieurs, comme Guillain ( ' ) en a fait la remarque, les fonctions sont souven
nt rare ; on n'en connait que les 2 observations de Werdnig (1890) ( ' ), les 4 observations de Hoffmann (1895) (1), une
e P. Marie; une élude récente des cas de Pierre Marie a 1. WEIIII : ' \lG. A/'{'/I. f. Psych. n. J'\el'l'el/h.. 1890, p.
ie; une élude récente des cas de Pierre Marie a 1. WEIIII : '\lG. A/ ' {'/I. f. Psych. n. J'\el'l'el/h.. 1890, p. 757; 18
; une élude récente des cas de Pierre Marie a 1. WEIIII : '\lG. A/'{ ' /I. f. Psych. n. J'\el'l'el/h.. 1890, p. 757; 1894
Psych. n. J'\el'l'el/h.. 1890, p. 757; 1894, p. 700. 2, IIOFFJL\ : ' \ : '\. D. Zeilsch. ? tVervenG., 1895, p. 427. ,
h. n. J'\el'l'el/h.. 1890, p. 757; 1894, p. 700. 2, IIOFFJL\ : '\ : ' \. D. Zeilsch. ? tVervenG., 1895, p. 427. , 5. B
urrait faire défaut cliniquement (cas de Dejerine, de Brasch ? ) ( ' ); elle est parfois extrêmement prononcée, au po
lle- ment par les pieds et les jambes (cas de Raymond et Philippe) ( ' ). Le premier muscle frappé est généralement le
ial antérieur, le deltoïde, beaucoup plus tar- divement le triceps ; ' aux épaules, le trapèze dans ses deux tiers infér
tions entourées de muscles atrophiés restent lâches. Il. Meu- nier ( ' ) a pourtant signalé dans un cas une contracture i
entait deux hernies de l'endo- carde à travers la paroi musculaire ( ' ). Variétés OSOLOGIQUES du syndrome DUCIIG\\I ?
r que Charcot ait décrit une « forme amyotrophique ». Pour Lejonne ( ' ),.qui en a récem- ment repris l'étude, cette fo
cas où ce syndrome-a été observé plus ou moins pur. Notre opinion ( ' ) a été basée sur plusieurs examens anatomiques
des cellules radiculaires antérieures de la moelle [(Pierre Marie ( ' ). Condoléon (2), Leyden, Charcot et Pierret, Scha
es cornes antérieures, peut-être aussi sur la mé- ninge antérieure ( ' ). Le syndrome d'=lrau-Duchenne a été signalé au
dication intermittente, soit de gangrène des extrémités. Marinesco ( ' ) en particulier a étudié les lésions musculaires
LAIRES. tives dans ces cas d' « angiomyopathie » ; Rénon et Louste ( ' ) ont mis en doute l'origine vasculaire exclusiv
ne intégrité complète de la moelle, défendue sur- tout par Raymond ( ' ) et par lIoffa (*) qui ont montré qu'on pouvait
été combattue par Klippel, par Achard et Lévi, par Mignot et Mally ( ' ) qui, les premiers par l'anatomie patholo- giqu
ite d'une carie sèche de l'articulation scapulo-humérale, Ilalipré ( ' ) a vu l'atrophie affecter tous les muscles du g
Tillaux, Gosselin), en particulier fractures de la rotule (Christin) ( ' ); aux lésions des téguments, traumatisme quelco
particulièrement friable et vulnérable du foetus et du nouveau-né ( ' ). L'atrophie musculaire peut affecter chez l'ad
en, nous en avons publié avec Wilson un cas absolument typique (2). ' L'atrophie consécutive à une hématomyélie est t
1904 et Acon. Snlpèlr., mai-juin 1904. z. Séné. Thèse Paris, 1884. ' ZA. LÉRI] 714 ATROPHIES MUSCULAIRES. ' ' dé
. Séné. Thèse Paris, 1884. ' ZA. LÉRI] 714 ATROPHIES MUSCULAIRES. ' ' dés membres paralysés; dans, tous ces cas l'a
Séné. Thèse Paris, 1884. ' ZA. LÉRI] 714 ATROPHIES MUSCULAIRES. ' ' dés membres paralysés; dans, tous ces cas l'atr
Quincke à la lésion de cen- tres trophiques cérébraux spéciaux de ' l'écorce ou de la couche optique, pour Roth et
de la Tourette à des arthropathies. Pour Schaffer et Mari- nesco( ' ), Parton Ct Popesco ('), l'amyo- trophie serait
arthropathies. Pour Schaffer et Mari- nesco('), Parton Ct Popesco ( ' ), l'amyo- trophie serait constante, à un degré
ov. 1898. 2. PAI\IION et Porrsco. Roiiiaiiia medica., avril 1898. ' [A. LERI-1 Fig. 17. Hémiplégie gauche acquise.
du squelette en épaisseur et même en lon- gueur (Bouchard, Debove ( ' ), Joffroy et Achard, Dejerine), très fréquem- m
ar l'usage pro- longé de la machine à coudre (J. Charcot et Meigc) ( ' ) ou par l'aponé- vrose du biceps dans la positi
unilaté- rates. i. J. CIIAHCOT et MEIGE. Pl'ogl'èsmédic., 1891. ' [A. LÉRI.] 718 ATROPHIES MUSCULAIRES. La symp
on signe pour dépister l'atteinte ganglionnaire (Dejerine, Sicard) ( ' ). L'évolution est d'ordinaire très lente, ells
C01SÉCUTfYES A UNE PARALYSIE. 721 1 tiforrne (Dubois, Margoullès) ( ' ), marquée par une douleur violente presque auss
optique des tabétiques, que nous avons parti- culièrement étudiées ( ' ), sont à notre sens d'origine interstitielle, et
lr., 1904, p. 425. [A. LÉRI. 726 ATROPHIES MUSCULAIRES. Achard ( ' ), par Lorenz, Oppenheim, Dutil et Lamy, Schlesing
ons résultats ; mais, à part de très rares auteurs (Leuf,. Allard) ( ' ), les effets ont toujours été absolument nuls;
lande thymique par Macalister, Pitres. Cruchet, Cullere, Marinesco ( ' ) n'ont été ni très concluants, ni confirmés par
03; - Allard. Joum. de clin. et de thé1'ap, infant., 25 sept. 1897. ' . [A. LÉRI.] 728 ATROPHIES MUSCULAIRES. ret
ent l'omoplate, soit au bord interne de l'omoplate opposée (Laehr) ( ' ), soit aux côtes (Ehrhardt, Raymond) (2) : on imm
, IX, p. t¡5, TRAITEMENT DES ATROPHIES MUSCULAIRES. 729 Lannois) ( ' ) était en réalité la cause ordinaire du syndrome
scle à électriscr et plus volontiers sur son point moteur. Denoyès ( ' ) a constaté que les courants de haute fréquence
nnaires ou régressives) : A) Consécutives A une lésion locale : " . ' a) Atrophies par lésions vasculaires : exceptio
hémi-chorécs post-hémiplégiques de l'adulte (Obs. de Sicard, etc.) ( ' ); Lannois considère qu'elles sont dues sans doute
rophie musculaire : il s'agit d'hypertrophies d'origine vasculaire ( ' ). ·I. Une observation de Sicard est particulièr
mourut à 90 mois : ses circonvolutions cérébrales étaient altérées. ' . Quoiqu'il en soit, que la lésion musculaire a
e ataxique qui devient aveugle, ainsi que nous avons pu l'observer. ' Ces deux caractères se retrouvent aussi bien da
entre très souvent pour une part dans les troubles de l'équilibre. ' Peut-être l'incoordination de certains muscles
s modérée comme intensité, soit aux membres inférieurs seuls, soit ¡ ' ¡la fois aux membres inférieurs et supé- rieurs
a station INCOORDINATION ATAXIQUE. 759 debout, les talons joints]; ' et les yeux fermés, à la difficulté de porter e
statique comme l'équilibre cinétique sont beaucoup moins atteints. ' Dejerine et Egger, qui ont bien étudié les cara
s (cas de Probst et Wieg, de Donath, de Sabrazès ctCabannes. etc,), ' De plus, par suite de cette parfaite sensibilit
taté que les cérébelleux exécutent beaucoup moins [A. LÉRI] - 774 ' ^COORDINATIONS-. - . vite que des sujets normau
ents successifs, il y a chez eux diminution de la diadococinésie. ' Or, cette fonction est des plus importantes pou
soit à la fois incapable de marcher et de se tenir debout (astasie- ' abasie) sans qu'aucun des groupes de muscles qui
e : exagération de l'équilibre statique volitionnel. [A,LÉRL] 784 ' INCOORDINATIONS. Variétés topographiques : a)
core de méthode qui s'applique il ces malades. Pour ce qui est de 1* ' (ilaxie, on est aujourd'hui tout autrement pourvu.
nts associés et les « oublient » souvent avec une extrême rapidité ( ' ). . CONDITIONS NÉCESSAIRES POUR LA RÉÉDUCATION
ipline et audacieux, comme particulièrement aptes à la rééducation. ' 5° Il faut que l'éducateur soit très au courant
e repos; elles seront répétées deux ou trois fois dans une journée ( ' ). Ce qu'on demandera uniquement aux mouvements
que la distance transversale maxima des empreintes = ? il centim.). ' Empreintes des pieds disposéesen rosace, marqué
de périodes de tirage ou même de crises de sufl'ocation dramatique. ' Ajoutons que cet ensemble de lésions expose tou
mment individualisé fait défaut. SYNDROMES ET MALADIES BULBAIRES. ' 805 Paralysie labio-glosso-palato-laryngée (Cha
uer après un ictus unique, ce qui demeure exceptionnel. Plus souvent, ' l'affection se développe insidieusement, sans q
ion de la cellule musculaire, n'est-il pas étranger il ces douleurs ! ' Ces manifestations locales ne sont pas tout. 11
ériphérique ou viscérale (épilepsie pleurale diaque, nasale, etc.). ' Nous venons d'énumérer les cas où le diagnostic
une idée acquise. Dans la suite, ils se répètent involontairement. ' Les mouvements du tahétique ne sont ni régulier
, Les spasmes fonctionnels sont également différents des 1renr ! JI( ' ]lle1ts : ce sont, comme l'a montré Brissaud, de
aines affections de l'appareil cérébelleux, nous faisons allusiol1 , ' \ l'Iu\lIli tr'(,11 Iblel1 Il'11 associé, à l'héll
assique, on dit que le malade file de la laine ou compte des écus.. ' , Aux membres inférieurs, le tremblement produi
de. Voici du reste les chiffres donnés par les différents auteurs : ' M2 TREMBLEMENTS. suivant Brissaud, un argumen
iniquenient du tremblement parkinsonien et l'on ne saurait adlllellJ'( ' l'opinion de Démange (Revue de Médecine, 1882)
est le sujet de la thèse inau- [CROUZON.] ] su , TREMBLEMENTS. , ' gurale de Dutil, et antérieurement il était déj
volontaires; dans d'autres cas, il persiste à l'état de repos. , - ' - Enfin- le même sujet peut présenter un trembl
dans les cas de Rendu, d'Oppcnheim. [CROUZON.] 846 TREMBLEMENTS. ' Le tableau ci-dessous résume les caractères de
nant aux extrémités, il oscillations répétées, , [CROUZON.] ] 8t8 ' TREMBLEMENTS. petites, menues, rapides, au nomb
st la un phénomène de l'hippus (Cruchet, Revue neurologique, 1904). ' Quand les membres supérieurs sont atteints, le
erver en dehors de toute complication apparente, elle annonce alors ' CcaovzoN. 852 - CHORÉES. ' l'état de mal chor
lication apparente, elle annonce alors ' CcaovzoN. 852 - CHORÉES. ' l'état de mal choréique; dans certains cas, l'a
n où une hémiplégie droite parut au cours d'une chorée de Sydenham. ' Enfin on peut voir survenir des complications r
endant, d'après les travaux qui ont été publiés sur ce sujet, dire ( ' ) que la mort dans ce 1. Guillemet. Thèse de Par
icale des Hôpitaux, lévrier 1904. DvvnAXDE. Thèse de Paris, 1905. ' . - CHORÉES. 855 cas peut se produire de la faç
avec assez d'exactitude ces mouvements à des mouvements de poulpe. ' z La maladie des tics peut quelquefois être con
es tics en chacun des actes pseudo- intentionnels qui le constitue. ' Les myoclonies et, en particulier, le paramyocl
é la chorée après la pneumonie et la fièvre typhoïde. Haus- halte ! ' (Revue médicale de l'Est, 1894) l'a observés à la
remontrances dont il ne tient aucun compte. , [CROUZON.] ] 856 ' CHORÉES. Les prodromes peuvent être sensitifs,
Les prodromes peuvent être sensitifs, ce sont des douleurs erratiques, ' de la fatigue, bientôt les mouvements involonta
Congrès de l'IIa°seille; 1899), il pense que la tendance habituelle ' des symptômes de la chorée est la distribution
. Thèse de Paris, 1904. Londe. Société médicale des Hôpitaux, 1899. ' [CROUZON.] ] 858 CHORÉES. de la fièvre est
èle à la fièvre quand celle-ci survient dès le début de la maladie. ' Formes. Le type qne nous venons de décrire est la
ocardite et la chorée simple semblent être de nature rhumatismale. - ' .... Ces complications cardiaques peuvent être
a forme : on peut donc dire qu'elle est variable et polymorphe. - - ' La variabilité dans le temps est marquée par la
s le temps est marquée par la disparition et réappari- tion subite. ' " . Le polymorphisme est caractérisé par l'irrég
ngtemps et finir par guérir, le malade reste néanmoins un dégénéré. ' CHORÉE CHRONIQUE La chorée chronique, chorée
elles cessent pen- dant le sommeil et sont arrêtées par la volonté. ' Les contractions tétaniques différent des précé
stitué par les contractions si brilla ire s uni, l'io.,rncr .emoi.. ' 55 LC7 ! 0[fZOJV.] 866 MYOCLONIES. comme le
ète, ce sont des mouvements brusques {.CROUZON.} .869 MYOCLONIES. ' d'extension et de flexion ; au tronc, ce sont d
te, en dehors de ces secousses, de véritables attaques convulsives. ' ' Il n'y a guère de troubles de la sensibilité
, en dehors de ces secousses, de véritables attaques convulsives. ' ' Il n'y a guère de troubles de la sensibilité ni
taux, 7 juin 1910) qui distinguent les trois variétés suivantes : , ' 1° myoclonie épileptique intermittente. Les sec
te (Rogues de Fursac et Capgrasl. [CROUZON.] ] 870 .. MYOCLONIES. ' On les a rencontrées aussi à la suite des malad
que familial chez une débile persécutée. ICROUZON] 871k ATHETOSE. ' L'évolution de l'athétose double est lente, la
excellente Bévue générale de Ferrand ( Gazette des Hôpitaux, 1900). ' - L'hémiathétose est liée à une hémiplégie; ce
les mouvements athetofdes sont superposés à l'llimui- 1 ¡]¡"gi l' , ' Enfin, dans certains cas, on trouve dans t'hemi
inir et à délimiter le tic : nous citerons les travaux de Brissaud ( ' ), de ses élèves Meige et I eindel (=), de Noguè
et déterminés par une idée, parfois une hallucina- tion (Joffroy) ( ' ) ; mais l'acte ne devient jamais tic sans que la
l est inutilement exagéré à la fois dans le temps et dans l'espace. ' L'acte fonctionnel a une cause et un but : le t
et Meige, elle pourrait présenter quelques exceptions pour Cruchet ( ' ) : ce dernier a même décrit une variété spéciale
plus aisément par le « phéno- mène de la chute des bras » (Meige) ( ' ). Les tendances plus ou moins accusées, en appa
usquement ses mains : à l'état normal, les bras tombent immédiatement, ' par un mouvement uniformément accéléré, jusque
ntrôle cortical exercé par la volonté et du trouble de l'émotivité ( ' ). Nous avons insisté, dans l'analyse tant des r
qui présentent le déséquilibre de la volonté, de l'attention et d( ) ' ( : moli"ité qllc nous a\'On5 si¡.rnall : : « le
s les tics sont jusqu'à un certain point psy- cho-moteurs. Grasset ( ' ) exprime une Idéea peu près analogue enadnietlant
de psychisme; ceux-ci ne diffèrent guère des spasmes. Pour Joifroy ( ' ) les tics, et particulière- ment la maladie des
, en particulier le phénomène des orteils, prou- vaient la réalité ( ' ). Tics des membres supérieurs. Tics de l'épaule
C. , - . - , Un certain nombre de signes, sur lesquels Babinski ,( ' ) a justement insisté, ne peuvent être reproduit
stériques. - Le tic de Salaam est à peu près exclusif à la première ' enfance ; or c'est le seul âge où l'on.n'observ
cas il s'agit le plus souvent d'enfants et de déséquilibrés. Oddo ( ' ) a particulièrement étudié le dia- gnostic de l
. Les séances seront alors espacées au sur et à mesure des progrès. ' Meige recommande, pour tous ces exercices, dépl
i ; il implique l'idée d'une douleur qui est loin d'être constante ( ' ). Les termes de contractures, de spasmes, d'imp
ades sont très préoccupés de ce qu'ils ont si écrire. TA. LÉRIÏ ! ' ()2 CRAMPES FONCTIONNELLES ET PROFESSIONNELLES.
ectement, sans que la con- tracture apparaisse. Bien plus, Jolfroy ( ' ) a signalé, chez un sujet névro- pathe, sous l'
ns d'autres cas, on peut constater des lésions évidentes de névrite, ' de myosite, des noyaux fibreux intra-musculaire
mes règles que pour les tics seront applicables. Meige a récemment ( ' ) donné une « formule » pour le traitement de la
e. C'est ce que l'on a désigné sous le nom de /i ? M<<<7S { ' ('l'en. La catalepsie se voit dans un très grand
ger le moins possible. TF. MOUTIER.] n08 CATALEPSIE ET CATATONIE. ' - - On rencontre enfin les attitudes cataleptiq
it. 2. Hypotonie musculaire 0 chez un tabétique-. 910 -HYPOTONIE. ' écart; les deux membres inférieurs se trouvent
(18C5) et surtout il Frenkel (1896) (Ne1l1'ol. Certlrall3latt. 1898), ' que l'on doit la connaissance de l'hypotonie. E
bY1'inthique (Egger); dans la 111yafonie congénitale d'Oppcnlceint. ' Elle a été rencontrée dans Y hémiplégie organiq
ux, ou au con- traire se disséminer en taches plus ou moins isolées, ' plus ou moins vastes. Au niveau des lésions éte
t-on rapprocher des trophonévroses la dermatose huileuse hé1'édo- 1) ' (iiiiii(iliqiie, dans laquelle la simple friction
rophie considérable de tout le membre supé- rieur droit. - ! )0 ' 1 TROUBLES TROPHIQUES. aire d'atrophie cutane
i : NEUROL. un [E DESNOS.] i)4(i TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE. ' , besoin violent ayant été le point, de départ
mps avant la maladie confirmée : mais c'cst NÉVRALGIES VESICALES. - ' 947 à cette dernière période qu'on les observe
iode qu'on les observe surtout; elle sont rarement très prolongées. ' . Précoces et tenaces dans l'hystérie, elles va
enne, fixe» continue- ou par accès, irra- diant le long de la verge, ' ou vers la vulve, les aines, le coccyx, le sacrum
titudes les pro- voquent; d'autres les calment ou les interrompent. ' . [E. DESNOS.] 918 ' TROUBLES DE L'APPAREIL U
t; d'autres les calment ou les interrompent. ' . [E. DESNOS.] 918 ' TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE. Que la névralg
me; telles sont la tuberculose et la lithiase rénales, et le tabès. ' Traitement. Il dépend de la cause à laquelle il
simples à l'eau stérilisée, boriquée; s'il y a rétention purulente ' dans le bas-fond, lavages modificateurs (permanga
x et rectaux sont relâchés. Elle est plus fréquente dans les ménin- ' RÉTENTIONS D'URINE. 9.')1 gÎtes spinales aiguës
ces instruments de, gomme sont quelque peu offensifs; aussi apporte) ' : )- t-on aux manoeuvres la plus grande, douceu
ncter. On observe aussi, dans l'épilepsie jacksonnienne des émis- 1 ' [E. DESNOS.] i)S6 . TROUBLES DE L'APPAREIL URIN
es émis- 1 ' [E. DESNOS.] i)S6 . TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE. ' - . sions involontaires . abondantes produites
taire conviendrait mieux. , Elle est symptomatique ou idiopathique. ' A) Symptomatique. 1° La cause réside dans la ve
égulière l'infection persiste, on emploiera l'ou-c5-nnure d'Ilg g a ' 5 . O.oU' J ou le protargol à 500 ou le perman- .
mène souvent une polyurie qui fait défaut dans d'autres conditions. ' Traitement. La polyurie n'est qu'un symptôme; c
ir la sécrétion rénale en faisant cesser la congestion du rein. . - ' y . NÉVROPATHIE URINAIRE LES faux urinaires
ns des conditions que nous aurons il déterminer. [E DESNOS ] a170 ' TROUBLES DE L'APPAREIL GÉNITAL. L'écoulement du
es du sperme et sont des productions muco-purulentes (Malécot). ,. - ' ' b) Spermatorrée pathologique. La spermatorrée
du sperme et sont des productions muco-purulentes (Malécot). ,. -' ' b) Spermatorrée pathologique. La spermatorrée e
s entraînés par l'urine chez des sujets continents depuis longtemps, ' ce qui constitue un phénomène physio- logique.
uence, suppression des travaux intellectuels, de [E. DESNOS.] 972 ' . TROUBLES- 'DE L'APPAREIL -GÉNITAL. ,. , tou
. Enfin, on fera cesser la continence si elle est trop prolongée. . ' La médication interne est rarement indiquée et
à laquelle on appli- Huera un traitement approprié. f ONANISME * ' N'ayant considérer ici cet acte contre, nature
, enfin et surtout l'alcool, et, chez certains individus, le tabac. ' A côté de cette impuissance d'origine spinale s
ujets peuvent conserver des désirs et même avoir de la spcl1llalorn'.{ ' sans érection. Traitement. S'il s'agit, d'imp
répétées des ma- lades. SÉMÉI0L0G1E DKS VOIES DIGESTIVES SUPIIl[¡ ' ;LIIES. 977 Les dents peuvent tomber en totalité
umeau. Le spasme est caractérisé par une sensation de strangulation ' au début de la déglutition; une contrac- tion v
jette presque aussitôt le bol alimentaire dans la bouche du malade. ' Nous reviendrons sur ces symptômes à propos des
fait de vains efforts de déglutition, cherche à refouler du doigt . ' [F. MOUTIER.] 980 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREI
graves. [F MOUTIER] 988 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. ' Ptyalisme. - La sialorrhée est plus spécialemen
as oublier que le mercure, l'iodure provoquent de l'hypersécrétion. ' Les bulbaires et pseudo-bulbaires présentent un
ou de ses nerfs, mais il est parfois malaisé de préciser davantage. ' C'est ainsi que le vertige stomacal peut affect
entre autres, occasionnent, surtout au début,, de la constipation. ' Enfin, les paralytiques généraux, les tabétique
eviennent tous les trois des inanitiés parce qu'ils raisonnent mal. ' L'hystérique a une véritable perversion du rais
ant longtemps le même régime restreint. A côté de ce neurasthénique ' ) 'ni TROUBLES PSYCHIQUES. 1003 type simple, i
ures de l'après-midi; en même temps se produit une légère sensation ' de vertige avec salivation, et quelquefois même
des, plutôt que d'augmenter sans cesse les doses du THÉRAPEUTIQUE.' ' 1007 même produit. Il faut également limiter l'
arfois épisodique, dans un certain nombre d'affections diverses de / ' ( ? (;(' cél'éúJ'o-spil1(/l. Sa valeur séinéiolo
pisodique, dans un certain nombre d'affections diverses de /'( ? (;( ' cél'éúJ'o-spil1(/l. Sa valeur séinéiologiquc es
vieillards lacunaires et chez ceux qui présentent des ! n.ry;e eumn.. ' 04 , [F. MOUTIER.] 1010 ' GATISME. foyers d
ceux qui présentent des ! n.ry;e eumn.. ' 04 , [F. MOUTIER.] 1010 ' GATISME. foyers de ramollissement, le gâtisme e
rmités, généralement acquises : A) Difformités ostéo-articulaires : ' a) Alfections systématisées qui hyperl/'opltien
lépreuse, ])Iellnoli',I-iqiie. B) Difformités des parties molles : ' Main succulente. Myxoedème. OEdèmes des hystéri
ffe -.médiane ; main d'Aran-Duchenne. IV. - Mouvements anormaux : , ' Maladie de Parldnson. Athélose : hémi-athétose,
Athélose : hémi-athétose, - athétose double. Tétanie. = Crampes. - ' . z I. TROUBLES DU DÉVELOPPEMENT A. DIFFORMIT
t. 1. Mégalodactylie. Il 3· hypertrophie de l'index et du médius ci, ' en même temps, des métacarpiens correspondants.
a pathologie intra-utérine que de la térato- logie proprement dite. ' Avec les difformités tératologiques nous devrio
ostic qui sera complété par le nanisme, le volume excessif de la tête, ' la micromélie, l'intellect infantile ou puéril,
la tête,' la micromélie, l'intellect infantile ou puéril, etc. v . ' Dolichosténtimélie. Marfan a décrit sous ce nom
.] Fig. 2. 4c)'fM) ! e<y< ? f ! . Mains en battoir, épaisses, ' courtes et massives. 1M8 SÉMÉIOLOGIE DE LA
re, Bamberger les affections cardiaques, d'autres auteurs la pyélo- ' néphrite, la dysenterie, etc... : il est probable
Les articula- tions du pouce sont en flexion ou en extension.. ' : La main peut être non seulement en flexio
Laforme de rhumatisme sénile (fig. 7) décrite parP. Marie etA.Leri( ' ), intéresse tout spécialement les mains. Elle e
vers le poignet et formant des replis indurés. Fig. 10. Goutte., ' Déformation de la main, flexion des doigls, top
thorax en carène ou cn sablier, un front olympien ou un crâne nati- ' ,il ventre bombé, etc., complètent le tableau morb
un gonflement uniquement pé¡'Ùll'tÙ'ulim'e au niveau d'une ou plu- " ' DIFFORMITÉS ACQUISES. 1027 sieurs phalanges :
pigmentaires, rendront le diagnostic facile pour peu (pion y pense ( ' ). 1. Un cas de ce genre, que nous avons observé
ial peuvent provoquer une altération très analogue. - Nalbandofl ( ' ) a rapporté une observation de syringomyélie où l
st d'autant plus à rapprocher de la maladie de Raynaud que Etienne ( ' ) a constaté la diminution des battements de la ra
spasmodique (déformation très pro- noncée) avec pied-bot. 'J054 . ' SÉMIOLOGIE DELA MAIN.. V -1 - - leurs caractère
erminer lllïg. 14. - Atrophie du mem- bré supérieur droit il la ' suite d'une paralysie in- fantile.. Main-bote p
relativement indemnes et restent étendus plus ou moins complètement ; ' - il en résulte une main « en pince de homard
te flasque, elle est beaucoup plus rare que la forme spasmodique. ' . La main contracturée des hémi- plégiques or
ions médullaires portant sur l'origine des W paire cer- vicale et )" ' paire dorsale (d'où partent la plus grande partie
resque toujours bilatérale dans la poliomyélite antérieure chronique ( ' ) et dans la sclérose latérale amyotrophique : d
: dans l'hémi-athétose post-hémiplégique et dans l'athétose double. ' . L'hémi-athétose post-hémiplégique est bien pl
des deux jambes, ectrodactylie (4 orteils à gauche, 3 à droite). ' DIFFORMITÉS ACQUISES. 1045 une macroclcccly
t à un trouble de développement, du squelette : nous y reviendrons. ' B. DYSTROPHIES CONGÉNITALES Chez les achondro
et à l'amincissement des os dans la dolieliosténoiiiélie de Marfan. ' ? DIFFORMITÉS ACQUISES il) D.11S LES AFFECTIONS
ppui de la plante : l'articulation uietatarso-phatangienne du pouce, ' celle du petit orteil et le talon. Par l'ulcéra
gelure, etc., sont le plus volontiers atteints de maux perforants. ' \ Iii. ATTITUDES VICIEUSES Il Irnüfwsting
ndineux sont exagérés et l'on constate souvent du clonus du pied. ' [A. LÉRI.] Fig. 5. Pied-bot congénital avec m
s'agit d'un pied paralytique plutôt que d'un pied-bot paralytique. ' En dehors de ce cas. la paralysie ou l'atrophie
cas de soi-disant maladie de Little on trouve une lésion cérébrale ( ' ) et non seulement,. 4. Les lésions cérébrales g
tions étiologiques qui produisent en général le syndrome de Little. ' , Fig. 6 : - Pied-bot congénital spasmo- diqu
ique est rare dans l'hystérie : c'est un pied équin ou varus équin. ' * Le pied-bot acquis spasmodique s'observe dans
des rapports numériques établis entre les chiffres précédents. ... ' Ce chapitre est essentiellement clinique. Nous
vante, en reprenant notre exemple. i r - i r IMXIOC .H. ? Indice ( ' ('1' 1 : 1 /(111(' = 15 ? 1.111.. lo3 ANTHROPO
t notre exemple. i r - i r IMXIOC .H. ? Indice ('('1' 1 : 1 /(111( ' = 15 ? 1.111.. lo3 ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE. 1
le numérateur par 100; on aurait aussi bien pu écrire. . ,. 152 ) ' Indice céphaliquo = rnr= 0,8210. loi) Il es
t accru en ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE. lOlï'3 même temps, il traduit ' un faible développement encéphalique. D. ant.-p
é à la plagiocéphalie, l'acrocéphalie donne le crâne réi11fornie... ' . Il est logique de constater un D. frontal min
ns du compas-glissière. Broca lui assigne en moyenne sur le crâne : ' H. 1,5 millimètres; F. 125.5. Papil- lault a no
5. Point .de repère du II. sus-auricutairc. G. Point mentonnier. ' 7. Point alvolaire.-8. Gonion.-9.llastoïln. 10.
u sommet de la malléole interne. . t1 : \TIIItOP01LÉTItIE CLINIQUE. ' -1060 base du crâne ou accroissement de la face
Chez l'homme 1= 97.0; chez la femme 1= 9.7.6 (Pahill2ul.t : ) . ? ? ' Indice sus-auriculo-transverse maximums C'est l
la femme. Les modifications de la taille les influencent fort peu. ' ' 1070 , ' ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE. - repère,
a femme. Les modifications de la taille les influencent fort peu. ' ' 1070 , ' ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE. - repère, l
s modifications de la taille les influencent fort peu. ' ' 1070 , ' ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE. - repère, l'ongle marq
re, l'ongle marque la limite. On y place alors les branches du com- ' pas d'épaisseur; on note le chiffre et l'on serre
mal des muscles masticateurs. fOi2 . ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE. - , ' L'opération se résume alors en une addition de lo
possibles, ni même peut-être de toutes celles que nous indiquerons. ' Si, encore une fois, tant d'observations anthro
es en ne déplaçant le malade devant la toise que le moins possible. ' Chaque chiffre sera écrit par un secrétaire et
n du géant serait, incomplet sans radiographie des articulations. ' GIGANTISME. 1051 Infantilisme. Le type clinique
phie singulière non congénitale des extrémités supérieures, inf'é- ) ' )frr ? << ? <7//</)<(P.arIc).On ren
st fréclucl- [F. MOUTIER] 1084 GIGANTISME. INFANTILISME, NANISME. ' ment, signalée ; on peut même rencontrer la céc
e leur impuissance, font de l'hypocondrie génitale et se suicident. ' Infantilisme gigantesque. L'esquisse précédente
in tout à fait saisissant et facile à reconnaître (Hommes bassets). ' Il convient d'insister sur les différents carac
évolution retardée ou avancée, volume (micro- Il1f1C1'o(lolltlS111( ' ) : amorphisme (canines ayant l'aspect d'incisives
avité buccale. Zygomas saillants. Lèvres épaisses, sail- lantes. 1'\ ' (,I'sl'es. Atrésie ou illalmrl'oralioll de l'orifi
ée à l'accroisse- [r.MûtrrjM] ] 1100 STIGMATES DE DÉGÉNÉRESCENCE. ' ~ ment des espaces intercostaux », par Tétroite
l'onanisme, il s'agit ici d'une réelle hyper- trophie du gland . .. ' Hypospadias. Epispadias. Exstrophie vésicale.
gera, pour être clair et suffisamment complet . à quelques redites. ' Troubles de la motilité. Ils sont nombreux et l
ation fruste des notions de poids, de température, de résistance. , ' , Troubfes intellectuels. Lenteur ou insuffisan
le hypertrophique progres- sive de l'enfance de Dejerine et Sottas. ' Myopathies. Maladie de Thomsen. Paralysies péri
sus de méningite subaiguë ou chro- nique, est un signe de syphilis. ' L'apoplexie de l'adulte est également souvent l
s, ce caractère atténué et effacé est un témoin de leur ancienneté. ' Stigmates testiculaires. - Ce sont, ou bien une
En dehors de ces stigmates très importants, on peut encore signaler ' [O. CROUZON.] ! il 2 STIGMATES DE LA SYPHILIS.
U LIQUIDE CÉPHALO-RACHIDIEN par le D' CROUZON PONCTION LOMBAIRE ' La ponction lombaire est une ponction des ménin
le l'écou- lement du liquide céphalo-rachidien (cas de Furbringer). ' B) L'aiguille pourra buter contre une lame vert
ou 350 d'après Kroenig. Parisot a construit un manomètre double. ' En pratique, on peut souvent se passer du manom
x, des vaisseaux piemériens et aussi de l'épithélium ventriculaire. ' Il convient, de plus, de faire toutes réserves
urémie (Castagne). [0 CROUZON.] 1152 . LtQUIDECËPHALO-RAMHDOEN. ' EXAMEN BACTÉRIOLOGIQUE Nous ne pouvons entrer i
e infantile, il s'agissait donc alors de méningite cérébro-spinale. ' Triboulet et Lippmann ont observé un cas analog
droi.. , ,'l [O. CROUZON ] 1158 . LIQUIDE CLP11AL0=RACF11Uf1s1T : ' Dans la scarlatine, Dufour et Gùon (Soc. médica
énitaux, Ravaut et Darré ont trouvé la lymphocytose 21 fois sur 26. ' . Dans les dermatoses huileuses, Milian et Chir
o-rachidien dans les cas de manifestations nerveuses syphilitiques. ' Widal et Le Sourd ont constaté la lymphocytose
nt comme un bon moyen de traite- ment des convulsions éclamptiques. ' . Quoi qu'il en soit, les résultats ne sont nul
utre ponction fil. sortir le malade de létal comateux. Trocmé (Thès ! ' de Paris, 1 ! IOD) a résumé l'état de la questi
n cas d'amélioration (f oedètue papillaire après ponction lombaire. ' t.Ifll.IDf; ( : Ia'11 : 1L0-R : 11;1111)II\. 1 14
lles, les otites sèches, Mignon, dans une thèse de Bordeaux (i')05-) ' )04), admet aussi que la ponction lombaire agit
méthode des injections sous-arachnoïdiennes a été l'objet de nombre; ' 5 tentatives d'application en thérapeutique médic
mbre;' 5 tentatives d'application en thérapeutique médicale (Sicard) ( ' ). Les douleurs du tabès, la sciatique, le lumba
ycé- phalic, crâne en tour), de cécité, de surdi-mutité, d'idiotie ( ' ). Les symptômes cliniques imposent le diagnosti
s éplleptiformes avec perle de connaissance et raideur de la nuque ( ' ); de la torpeur; un sommeil irrésistible et que
s par l'injection directe, rapide d'une quantité d'eau supérieure à ' ) 00 grammes provoque le ralentissement du pouls
s retard aux épendymites séreuses des hél'l'.do-syphi Ii ti 1111es, ' Pour les 11ll"ningo-épendYlnites à meuiugocoquc
utile et peut même être né- cessaire pour la radiographie du coeur( ' ), du poumon ; elle supprime les mouvements resp
ganes. [A. LÉRI.] 1166 RADIOLOGIE. B. L'ASPECT RADIOGRAPHIQUE a ' DANS LES DIFFÉRENTES AFFECTIONS NERVEUSES t N
étrangers; .4 2° Déformations pathologiques du crâne et du rachis : ' 5° Déformations trophiques osseuses et articula
donnent les renseignements les plus précis si le corps étranger es) ' particulièrement opaque aux rayons X, si c'est
éance tenante il l'extraction. Ce procédé est considéré par Loison ( ' ) comme un procédé de choix; il considère les pi
médullaires, dépen- dant bien réellement du traumatisme préalable. ' ? Les troubles cérébraux, et tout spécialement le
-rachidiens partant des ligaments jaunes antérieu- rement déchirés ( ' ). Nous avons pu nous assurer, avec le concours de
nfantile portant sur un des côtés de la région S11C1'O-1O1171);111'( ' une scoliose il direction inverse. Il est d'ail
ours situées de façon à limiter autant que possible la déformation ( ' ). Peut-être pour- rait-on voir sur les radiogra
ifférenciation anatomique et pathoge- nique de ces deux affections ( ' ) : nous avons constaté que le rhumatisme vertéb
thie primitivement raréfiante, d'une ostéomalacic relative. M. le D' ' Béclère a montré, en radiographiant deux de nos m
ts. cet;) notamment, grâce aux documents radiographiques de lilrert( ' ) et de Dupré et 1)evau(r). Ces auteurs ont d'
médullaires, les autres il des lésions névritiques, D'après Destot ( ' ), en effet, ces deux ordres de lésions donnerai
, 13 ! IS. [A. LÉRl.] H7Cf ( - - jazz RADIOLOGIE. 1170 ( " y : · ' : ? s3 ? " RADIûWGIE. une pÓ'1 ? } ? quée de la
teint essentiellement le tissu musculaire. Pierre Marie et Crouzon ( ' ) et d'autres auteurs ont pu s'assurer qu'il- ex
la selle turcique chez un acromégale, mais les mémoires de Béclère ( ' ) sont par- ticulièrement précis et importants s
ence du sacrum dans l'aire du détroit supérieur. Raymond et Claude ( ' ) ont décrit, une forme de dyschondropldsie avec
trepris en collaboration avec G. Legros, et après L. Levi et fonde ( ' ) et Iludelo et Ileitz, l'étude radiologique de la
ffisamment la violence mo- dérée de la cause vulnérante. » terrier ( ' ) a apporté il l'appui de cette conception un ce
rrois au début par une phase CMl'tl1y111Cllsl'. II. RADIOTHÉRAPIE ' (Emploi des rayons X en thérapeutique neurologi
e toujours évita- Irlcs. L'évaluation des mesures exactes comporte ( ' ) : : 1" la connaissance de la quantité de rayon
écart est d'ailleurs susceptible d'être diminué et réduit (Béclère) ( ' ) par éloignement, du foyer d'émission, par l'em
ayons de Rontgen. B. - TRAITEMENT DE DIVERSES AFFECTIONS NERVEUSES ( ' ) Syringomyélie. Un fait actuellement bien connu
. méd. des Hôpitaux de Paris, 1" mars 1907). [A. LÉRI ] 1188 Q8 ' . RACIOLOGIE, . leur disparition complète, les
a parfois atténué des crises gastriques (Zim- mern, Laquerrière). ' Un cas très intéressant de spondylose rhizoméliqu
ditionnaient les doses profondément données à l'hypophyse. Cramegna ' ), d'autre part, en même temps qùe M. Béclère (2),
brèche osseuse faite par trépanation. Goitre exophtalmique Beck ( ' ), Schmidl : et Rolland, notamment, dans une. vi
as de sciatiques graves favorablement influencées par les rayons X ( ' ). 1. l3rch. Berlin. MM. Woch., 15 mai 1905. 2
STIC ET AU TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX par E. HUET ' Chef dit Service d'Élcclrothérapie de la Clin
ntenir facilement en bon état et en attendre un bon fonctionnement. ' 11 est très important, .pour les applications d
au des électrodes. La loi d'Ohm permet de connaître ,. ]11' ln ET l ' ¡ " cette résistance au moyen de la formule R ^=
tique du rhéostat en dérivation. R, entre les deux points ;1, et et ' 1 ? En il' résistance qu'il est utile souvent d'a
rface qu'il doit recouvrir. Pratique NEUROL. 76 [E HUET] ] 1202 ' APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ. L'étain a l'avan
pas à y insister pour les applications de la pratique neurologique ( ' ). Il n'a été question jusqu'alors du transport
hérapiques, les manifestations électrotoniques sont plus difficiles ' à saisir, et les recherches faites dans ce but
des muscles avec le pôle négatif et au moment de la fermeture, NFC ( ' ). Aucune excitation ne se manifeste avec le pôl
éthode polaire. Électrode neutre sur la nuque. E)cctrode exploratrice ' sur l'élévateur de l'aile du nez et de iatcvre
Applications A l'électao-diagnostic des effets DE l'état variable ' du courait galvanique Pour procéder à l'explora
sur la nuque. [E HOET.] 1220'è.\ ; APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ. ' une électrode plus petite, de forme et de dimen
des muscles. Cette dernière, électrode différente ou exploratrice ( ' ), doit être placée en des points déterminés, di
e au moment des premières fermetures qui suivent le renver- sement ( ' ). C'est pourquoi, dans la comparaison de l'action
tique on peut se contenter de rechercher les seuils des excitations ' de fermeture à la cathode et à l'anode. Si l'on
est la façon de faire que nous adoptons pour les examens minutieux. ' [E HUET.] Fic;. 24. - Interrupteurs. ' A, c
r les examens minutieux. ' [E HUET.] Fic;. 24. - Interrupteurs. ' A, clef de Morse. - B, Pédale interruptrice à
te d'en tenir compte dans l'appréciation des résultats de l'examen ( ' ) , 1 . Avec la double clef de Mergier, basée su
novembre 1895, ou Archives d'électricité médi- cale, décembre 1895. ' ro.. 28. - Métronome inverseur COURANTS GALVA
pédale, ou à la clef double en ne faisant agir que l'une des clefs ( ' ). Dans certains cas, on laisse passer le couran
on peut les rendre assez fréquentes, fréquentes ou très fréquentes; ' de plus, cet appareil est généralement muni aussi
muscles on excite dans les mêmes conditions le nerf qui les anime. ' . Lorsqu'on augmente la fréquence des interrupt
equel apparaît le seuil de l'excita- tion des nerfs ou des muscles ( ' ). Lorsqu'on emploie des appareils faradiques da
s mêmes raisons. Pour E HUET.] Flj. 50. FIG. 35. Pc. 55 et 3(\ ' Onde galvano-faradique. G Courant galvanique e; F
ar exemple la résistance de la peau se trouve notablement diminuée ( ' ). Lorsque l'augmentation de l'excita- bilité fa
Quand elle est suffisamment prononcée elfe devient bien manifeste ( ' ). Dans certains cas elle peut être extrême et a
rescence dans les processus aigus et dans les processus chroniques. ' . Pour abréger l'écriture et le langage, nous n
nt à son maximum de développement, puis ne disparaît que lentement ( ' ). Cette lenteur de la contraction, très prononcée
développer et se montre plus durable. - . - [E. HUET 1 - 1248 . ' ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. ' tation de fermeture à la
tre plus durable. - . - [E. HUET 1 - 1248 . ' ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. ' tation de fermeture à la cathode apparaisse la
édominer sur l'excitation de fermeture à la cathode (PFC > NFC) ( ' ). Parfois l'inversion polaire est moins accusée,
point moteur; de plus, elle se montre aussi altérée qualitativement, ' les contractions,' en effet, sont lentes, mais l'
us, elle se montre aussi altérée qualitativement,' les contractions, ' en effet, sont lentes, mais l'excitation 1. Il
e habituellement plus forte que l'excitation de l'anode, NFC>PFC( ' ). Cet état de la réaction longitudinale n'est p
e du nerf facial où l'on peut la voir persister d'assez longs mois ( ' ). La deuxième correspond au temps pendant leque
térations qualitatives de l'excitabilité galvanique se montrent moins ' nettes, les contractions musculaires produites
ne supposée. Dans des cas d'accidents du tra- [E. HUET.] g 56 ... ' - ' Li;);GTRO-D1AGOSTIG : . . vail, par exemple
upposée. Dans des cas d'accidents du tra- [E. HUET.] g 56 ... ' - ' Li;);GTRO-D1AGOSTIG : . . vail, par exemple, il
racines nerveuses, soit avec des lésions de nerfs périphériques. ' [E. HUET.] 1258 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. communéme
er les conclusions qu'elle comporte au point de vue du pronos- tic ( ' ). Ainsi, pour prendre un exemple souvent cité, da
s'affaiblit de plus en plus et peut même disparaître complètement ( ' ) : . Lorsqu'on a obtenu l'épuisement de l'excit
se produit surtout l'excitation fara- dique du muscle, on comprend ' que des effets semblables il ceux que nous venons
la sensation de ND ait disparu après avoir diminué progressivement ( ' ) on voit appa- raître à NO une sensation faible
anique est augmentée ou diminuée ou si elle reste peu près normale. ' L'excitation faradique de la peau, avec des éle
on peut rechercher à quel moment le minimum de sensation commence : ' être perçu, puis à quel moment la sensation devie
phile mouillée, elle est introduite dans 1 conduit auditif externe. ' Il peut arriver, en pratiquant l'examen de cett
btient des indications importantes sur l'état de l'appareil auditif. ( ' ) Ces indications sont résumées dans le tableau
iagnostic dans les olopalhies, Archives d'électri- cité médicale, 2; ' ) juillet 'l 909. 2. 1'10(;1 ? 11, l : lccrrotlr
PAR L'EXAMEN DES RÉACTIONS ÉLECTRIQUES - . DE L'APPAREIL AUDITIF - ' 1278 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC...' plus ou moins rap
ance ainsi recherchée varie entre 100000 et 400 000 unités Siemens ( ' ); la résis- tance du corps est beaucoup plus fa
on des ions des électrodes dans les canalicules glandulaires (Leduc) ( ' ). Ces trois ordres de causes se font sentir non
diffé- rences de potentiel variables. Cependant le procédé de Weiss( ' ), avec le pont de Wheatstone, présente quelques
c des électrodes inégales, l'une grande, de 1 UU ? par exemple (10e" ' de côté) sera placée sur la poitrine, au-devant d
un des membres inférieurs, ou sur tous les deux, on se sert avec : \\ ' ,111- lay, comme l'une des électrodes d'un bain
ntervalles de repos il convient souvent de continuer on d'appliquer ' d'autres modes de traitement tels que massage, ba
ouvent médiocres, parfois peu satisfaisants; généralement cependant ' : '' . ' : POLYNÉVRITES, I u01 1 une améliorati
diocres, parfois peu satisfaisants; généralement cependant ' : '' . ' : POLYNÉVRITES, I u01 1 une amélioration plus o
cles où la réparai ion est le moins avancée, par [E. HUET] 1 1508 ' , ÉLECTROTHÉRAPIE. , exemple, dans le cas actue
urée totale de l'électrisation est le plus souvent de à 15 minutes. ' . On a cherché aussi à agir plus directement su
. Comme type principal de ces affections nous pouvons considérer \ ' atrophie musculaire mclopalhiqlce l'almur-Duclrel
sont aussi utili- sables dans les mêmes conditions d'application. ' Lorsque les applications externes sont restées in
ble. IV. - NÉVROSES ET AFFECTIONS DIVERSES, GOITRE EXOPHTALMIQUE, ' , PARALYSIE AGITANTE, ETC. Hystérie. Les accide
recte, indirecte ou spontanée, a joué elle-même un très grand rôle. ' Les contractures hystériques, assez faciles sou
era le courant de tension avec le pinceau ou le rouleau métallique. ' S'il existe des troubles cardiaques, tachycardi
tifs momentanés que sous l'influence du traitement électrique même. ' Chorée. La Chorée de Sydenham est une affection
ant une intensité de 10 à 15 m. A. et une durée d'un quart d'heure. ' La faradisation avec le pinceau faradique a été
suivants sont d'un emploi fréquent dans les études neurologiques : ' cf Liquide de Müller. , INCLUSIONS. 155t de
U les fragments que l'on mettra ensuite dans le liquide de Miillcr. ' Les fragments qui sont traités par la méthode d
cubes de la solution I, à 10 centimètres cubes de la solution II. ' MÉTHODES DE COLORATION.. 1567 Liquide d'Angladc
précipitent certains fixateurs comme le sublimé ou l'acide osmique. ' Différents fixateurs sont à recommander : 1°
des nerfs recommande les procédés sui- vants : A) Coloration par / ' hématoxyline et le Van Gieson. 1" Coloration de
avage et coloration sur lames pendant quelques secondes avec : 1574 ' MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX B) Méthode
Amnésie, 255. organique, rétro- grade, antérograde, 23û. ? géné- ) ' ( ! <e, continue, 257. Amyotrophie. C/)N)'L'o
olution lente, G4. Pied, 1054. Traitement électrique, 1510. z lVe/ ' (lnig-Hoffma/l11. Début dans la pre- mière enfan
enfance. Affaiblissement des mem- 87 1578 INDEX ALPHABÉTIQUE. ' bres inférieurs et du dos. Évolution rapide, 69
Asphyxie locale des extrémités. Traite- ment électrique, 1541. ' Astasie-abasie, 781. 1. Asymbolie, 501. Asyne
des réactions électriques, lu)77. Voy. Nerf. Audition colorée, z, ' Auscultation des centres nerveux, 1118. Auto-
des affections bulbaires, 806. Réac- tion de dégénérescence, 1250. ' Bulbo-protubérntielles. Lésions,ataxie, 763.
irlue, 1328. Convulsions déterminées par les lésions de l'oreille, ' 144. et crises convul- sives. Définition, S 18.
ues continus, collecteur d'élé- ments, rhéostat en tension, 1197. ' Réducteur de potentiel, 1199. Électro- des, 120
. sy- philitique, 1026. Daltonisme, 118. Débilité mentale, 269. ' Défécation. Troubles révélant un état mental,
slalies fonctionnelles, 202. Dyspermatisme, 972. Traitement, 973. ' Dysphonie spaslique, 655. nerveuse chronique,
e, 655. nerveuse chronique, 656. Dyspnée, 940. Dyspneumie, 198. ' Dystrophies musculaires progressives, traitem
ions de l'oreille, '127. du laly- rinthe, )5). du névraxe. examen ' du liquide céphalorachidien, 1135. méningées, s
958. Hyperkératose, trouble trophique. si 1 ). Hypérosmie, 'j.8. ' Hypersécrétion lacrymale, 1 15. Hypertension
tics, mouvements, 267. - TitouDLE.3 PIIT- SIQUES, 268. - Variétés, ' 268. - Diagnostic, 270. - Complications, 275.
halorachidieu. Séméiologie, 11 ` ? 0..lspcct,112 : ï. -1)cttsito, l ' : 1G.- Coagulation, H 27. - Crvoscopie, 1127.
sucré, 515. du cône médullaire, z'16. - de la queue de cheval, 517. ' THauu.ysxs; recherche des corps étrangers par
symptômes spinaux, 815. - Réaction myasthénique. Diagnostic, 816. ' . Myasthénies épisodiques, 813. Mala- dies fa
variété facio- scapulo-ltztmérale de Landouzy et De- jerine, 687. ' Myopathies, 505, 668. - Symptômes. Absence de
ladies des - -). Traitement par l'électricité, z19.95, 1501, 1503. , ' Fixation, coloration, étude, 1572. rachidiens
Névrome plexi/brnce de la main, 1028. Névropathie urinaire, 966. ' Névroses, phénomènes auriculaires, 128. - ver
0. Oligurie, 9fiv. Omo-hyoïdien. Innervation, physiologie, 558. ' Onanisme, 975. Ongles. Troubles trophiques, 9
but de la vie, 126. - Lé- sions déterminées par les méningites, l ' : 1ü. - par l'hémorragie et le ramollis- sement
éaction de dégénéres- cence, 1262. - Traitement électrique, 1550. ' générale. Amyotrophie de type Aran- Duchenne,
que, 805. à marche rapide. Poliencéphaliteinférietire aiguë, 805. ' - périodique familiale, description cli- niqu
QUE. 1395 - Paraplégie myélopathique ? Myo- pathie sénile; 51 L ' Paraplégies radiothérapiques, 1185. Paresthés
s chez les aliénés, 251. - Chez les idiots, 266. Parosmie, 150. - ' Paupières, exploration, 32. - Troubles de la
laires dans les tumeurs des -, 125. Lésions, hémianesthésie, 514. ' Pédonculo-protubérantielle. (Paralysies ocula
, 611. - Lésions et compressions, atrophies secondaires, 717. 7 . ' - lombaire, névralgie, 595. Paralysies radicu
- condaires, 718. Pneumogastrique. Voy. Nerf pnewno- gastrique. ' 1596 INDEX ALPHABÉTIQUE. Poils. Troubles tr
llaires, 542. - Compression. Pied bot, 1055. R Rachialgie, 599. ' Rachis. Traumatismes. Ponction lombaire théra
nisme, 1004. - Radiodiagnostic. l 178, 1180. Rachistovaïnisation, ' 1145. Racines spinales, territoires de distribu
Raynaud. Voy. Gangrène symétrique. Réaction de dégénérescence, J ' : 14G. - Dans les processus aigus, 1240. Allé-
ration. Ab- sence ou diminution, 456. Abolition . localisée, 457. ' - à point de départ nasal, 153. - dans l'hémi
808. Risorius de Santoi-iiii. Innervation, phy- siologie, 585. - ' Romberg (Signe de -), 756. Rond pronateur. In
tions anormales, 114. sud orale, troubles, 98. Sénilisme, ·190. ' Sensations internes, cénesthésie, 578. Sens d
des couleurs, 119. - périphérique, exploration. Champ visuel, 9. ' Vitiligo et syphilis, hou Voies cérébelleuses
ombreuses figures dans le texte et près de 100 planches hors texte. ' ABONNEMENT ANNUEL : Paris....... 30 fr. 1 Dép
age, doublant ainsi l'utilité scientifique d'un intérêt artistique. ' ' , ' .
e, doublant ainsi l'utilité scientifique d'un intérêt artistique. ' ' , ' .
oublant ainsi l'utilité scientifique d'un intérêt artistique. ' ' , ' .
13 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). ' F. RAYMOND Professeur de clinique des maladie
e- Il'ii'l'e élai ! Ù).(("e d, ifI all loI" du j)('el1liel' examen. ' ¡U;llu'il GO ' ans elle avait toujours joui d'un
élai ! Ù).(("e d, ifI all loI" du j)('el1liel' examen. '¡U;llu'il GO ' ans elle avait toujours joui d'une lmnne canl :
nl'uW., tlunt G emum uclta·lle- ment vivaO·. * Depuis l'¡\¡ : e d, ' GO : ni ? bronchite» fréquentes. A l'ye de (ïfi
IH"I'ieul' 1[111' lïllrt'ol'Ïl'ul', pal'al,il' Il'i'<'PI'OIlOU(,( ' ,I', fla«lul' If/g, 1 \, L'l'\('ilabililé J'al'adi
ue, au cours d'une épidémie de grippe. Pendant 5 an, la pa l'al ? i( ' l'aria II' 1"1 ai demeurée le seul symptôme, sans
facial a été étudié sur les trois points suivants de son tra- jet. ' a) A sa sortie du bulbe, s'enfonce presque immé
euse. - 1), tumeur (point sarcomateux). (j CLlN\Q1. : E NERVEUSE. ' ' "entd'èll'I' [l1'1'{'t'plilill ? It, gaint ?
se. - 1), tumeur (point sarcomateux). (j CLlN\Q1. : E NERVEUSE. ' ' "entd'èll'I' [l1'1'{'t'plilill ? It, gaint ? dl
centrale et externe du noyau étant seule com- plètement respectée. ' Nous n'avons contate aucune lésion dégénérative
alement, les fibres nerveu- \ ! 'us ! 's selllhlaÍPl11. i 11dpIIIIJ( ' d'a Il ? I'al ion" 110la hlp", apl'I's l'aI'l ion
u sarcome. Mais il im- porte de préciser l'origine de ce néoplasme. ' En décrivant les résultats de l'autopsie, nous
ment impossible de publier ces graphiques en raison de leur étendue ' et de leur nombre ; nous le regrettons d'autant
ments. Mélancolie. - Observation 1. - JI ? ? Li3 ail', est atteinte ' depuis 1808 de mélancolie ; l'intelligence est
esl quotidiennement obligé de donnPl' 1111 h p"oliqw', IHai ? l 'a( ' ('olliIl l/ialIl'I' ? p pl'odllil assez vile ave
bout prolongée sont redevenues telles qu'elles étaient autrefois. - ' (Ilts. V. Mm" li., 511 an" e( atteinte depuis 1
. de véronal ; sous l'influence du médicament, le 1J11l- mcil >0( ' prolonge 7 heures, moyenne de 60 jours. Après 10
et des bains prolongés. Folie périodique. Uss. X\'111. lllle L., ' ,Il ans, présente depuis février 1904 des accès
at maniaque. Après 71 jours d'emploi, aucun signe d'accoutu- maure. ' De ces deux observations nous ne pouvons tirer
cun accident nerveux. Dans le reste de la famille, rien à noter.] . ' Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 2 an
2 ans (mère plus âgée). Un seul enfant . Température à l'entrée. ' sclérose ATROPHIQUE hémisphérique. 21 chlorof
tour du cou ; l'enfant a crié tout de suite, elle paraissait bien ' portante et pesait 10 livres. Nourrie au biberon'
' portante et pesait 10 livres. Nourrie au biberon' (lait de va- ' che). Sevrée à 15 mois. Première dent, à 6 mois.
nger de couleur, sauf au début des accès, où elle devient violacée. ' Elle sait se débarbouiller et se peigner seule,
; fièvre très irrégulière. Elle tousse moins, et n'est pas alitée. ' Décembre. Pas de vertiges. Même nombre d'accès.
lleurs, augmentation de la quantité du li- quide céphalo-rachidien ( ' ? ), bien qu'il y eût une notable dilatation du
Tar... il 8 ans (1899). Fig. 5. - Tar... à 12 ans (1903). 40 ' RECUEIL DE FAITS. liorer notablement sous l'inf
agnostic et du pronostic et leur connaissance est de nature à ren-$* ' cire service, non seulement aux neurologistes,
eau antérieur, sans l'intermédiaire de la couche optique (ligure^). ' > P. lvra.w.ar. II. Contribution à l'étude d
a question de la régénération de la moelle ; par A. Eicrler (Ibid). ' Les observations I et 111 de M. Bielschowsky, c
ent jaune REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 43 du ' ? e stade de la myélite transverse. Ces altératio
aques, par M. C.tI<T : LS (Neurolog. Centralblatt, XXIH, 1901, n" ' 2 et 3). 31. BIE1.SCHOVSKY décrit les lésions q
mme le myéloaxostroma, et que Straehuber appelle l'axochroinalénine ' ? Userait tenté de croire, comme ce dernier aut
se perdent dans la substance grise du canal encé- ptialomédullaire. ' Il existe encore un tractus de fibres dégénérée
3.) Un homme de 45 ans est affecté d'une mydriase persistante de [ ' ! T'il gauche ; toute réaction à la lumière, à l'
buccale ou pharyngienne du sang de l'estomac ne s'applique pas aux ' ( symptômes si divers et si graves du côté de l'
éance pro- gl'essill' dl' gl'andl's ('1.'[111 [es p l'aillidal( ? d( ' fihl'l' langl'nlil'I[I ? . des libres radiaires
descendante des l'aicl'au.\ pl'aillidal1x dans la('apsldt, inll'I'n( ' , le pédoncule cere- hml, la pl'oLnh¡"ran('I', I
l'ijnllll'(lII, du l'uhan dt' ! ll'i[,du Sl'gllll'nt ]l' l'hl : , ¡ ' ,IcI (\ dl ? ('I)I'(lon" de Goill'I dl' rol'IH' an
ent une substance grenue accolée à la couche granuleuse externe; ce; ' (, pour Jlnlm, un débris de l'épithélium pigment
! ll1\ "0111 : Il' 1'11101'01'01'1111', l'iol\ofol'll1e, ]'alcool, \ ' ('Ihl'I', la pa1'llltllo1l(Il', le C1l101'dl, Il'
rs la flill'('OSe qu'ils pl'IHluil'111 a loujoul' le lI1èll1e cal'a( ' [('I'l' Pl, pal' suite, sa théorie pourrait s'ap
lule et au moyen de l'hydrothérapie ; par.W. ALTER, (Centralblatt ' f. 1\'eroenlaeilla, XXV, X. F. XIII, 1902.) Contr
K. ! ! oNHOE)'pKR. (CÙJ1, t1'llib ? Xer- rcnheilla, \\'I, \. I ? \I\ ' , 1903.) Un homme de 5-1 ans, porteur d'une dépr
LOGII. Séance du IedécmnLrv 1,10l.- Présidence de )1. Uéjerine. R( ' (wl< : mciI t clJntinu de 1 i'lu ide c' : l,luÛ
au maximum, on comprend dès lors (me la chaleur soit hypnogenique. ' 31. Raffegeau. - .J'utilise, à mon établissemen
. - ? o Neurologie : Des névrites ascendantes. Rapporteur : M. le 1) ' Si- (le Paris. - : l Assistance : Dalul'aLÍon e
à enregistrer des faits aussi épouvantables que celui qui précède. ' Le 1 1 janv ici-, à Iiancourl, L. MARINIER, 39
l'iège), promu il la classe exceptionnelle ; 31. le D'Chevalier- L\\ ' vure, directeur médecin il l'asile d'Auch promu à
âge critique ; neurasthénie; intoxication al- ('o(Jli'lul' I ? i ? ( ' j lialincil1aLioll el délire toxique passager; cr
ent en fureur alel' illlp1JI,iou ail 'ilit-idl' l'i ¡\ la' ioll'Ilc( ' 1 i,-il-' is dl' Lqul ,'P qlli 1 : '\ : CI r\lI
'ilit-idl' l'i ¡\ la' ioll'Ilc(' 1 i,-il-' is dl' Lqul ,'P qlli 1 : ' \ : CI r\lIO'i SEXUELLE BANS LES PSYCHOPATHIES wn
. ce moment la crise cerce après avoir duré une demi-heure environ. ' Dans l'intervalle des crises elle présente un é
? « Un peu ». « Vous n'avez donc plus peur qu'on vous fasse mourir ' ! » « Oh ! si : encore parfois o. - « EL voire
aniaque et le désordre instinctif des actes actuellement existants. ' 4 novembre 1900. -,Frappé d'une attaque d apopl
trois ans et demi, un intervalle lucidc Slll'ycnu il lïl11lll'oYisl( ' , mais qui n'a duré que quelques jours. Cette
ohiqllf' tll' : tli,"nl" 1 ? lIliI'III ? (AnI ! , me ? ps."clz" 1\0\ ' ('1111 ? 1Sit) : 1 ? (11A 110 : \ SI : "I I : LL
lI1enlalt', automatisme, anxiété continue avec excitation sexuelle. ' Jl..., l'I·mme .1..., 4l an, o·l arlmiae le 1 j
il'lIl'S' ioll'nll' accompagnées d'exci- tation génilale prolongée. ' IL.. 26 ans, admis le 25 juin 1899. Le père el
upeur avec phénomènes catatoni- (jules, crises délirantes à forme l( ' 1 i ? i ('Lise, crises mélancoliques avec délir
8 jan- \il ? 1894. i l'âge de 4(J Elle avait épousé le nommé G..... ' ' Ù ? é alors de 3;j an, pUiqllï1 était né le G
jan- \il ? 1894. i l'âge de 4(J Elle avait épousé le nommé G..... ' ' Ù ? é alors de 3;j an, pUiqllï1 était né le G s
ie B..., on con-tata chez elle les phénomènes suivants : embarras l' ' \LI'('nu' de la parole, all'l""il' des pupilles,
ère suicidé, lui- même étant syphilitique et alcoolique. par lk ]) ' Simoun (Asile clinique. Service de l'Admission.
n- trer. L'observation que nous rapportons ici est du même ordre. ' Cit. 1\..., esl un homme de 4 ! ans, encore sol
e de dil'o ll' moi, Sa 1l1¡"moil'e ne lui pCl'nH'L pas (le J'oumi ! ' un l'éeil macL tle ca v iu anLûrieure. II n'esL
u non ; 2° dans quelles pro- portions il conviendrait de l'augmente] ' ; 3° quelles modi- . fications seraient il appo
ère qui ne répond plus du tout aux idées, aux desiderata du jour. ' Une question se pose avant tout : Veut-on, oui
quotidienne, diurne et nocturne, d'un homme, peut- elle y suffire ? ' ? Qu'arrive-t-il alors ? Deux cas peuvent se pr
L certaines garanties de connaissances en aliénation men- tale ? ' Eh bien ! malgré les différences profondes entr
uvernement la faculté de proposer une loi tendant à les y obliger ? ' ! On l'a fait en 1838, pour la création des asi
tulé : Cellule nerveuse et psychose; par 1\ ISSL. (Centralúlatt (il} ' Ne1'renhl ! il- Kunde, XX\'lI, N. F. XV, mai 19
ntiennent des cellules ner- \l'U('S ne pll¡"danl pas de 110) au dol( ' 11'\1111' nH'lllhl'anl' nuclt;- aire bien diffé
existait aussi des phénoillè- ncs inflammatoires dans les papilles. ' Deux cenl-qualre cascoiislituent le matériel cl
la vision malgré l'exis- tence d'altérations ophl a 1111l1ro pi qU( ' Il la 1''1 11l"I ? Un ne saurait toujours expli
s relations mé- caniques entre l'élévation de la 1"'L ? ion inlm-I') ' ¡illil'Ilne et l'hy- dropisie venlriculaire joue
n de l'acuité visuelle. 'r<''))'< ? \'t'))'<ttn ? « ? ftf ) ' €) ? r)y)< ? t ! 'o)ne par Ivam- .\ncunr ? 2°
du cerveau; par \Y. 11. Bechierew. (0&o : i'<.tt't ? c/h<) ' ) ? \'111. ]\)03.) . Il r.\¡sLe llans l'écol'c
]\)03.) . Il r.\¡sLe llans l'écol'cc (les 1u;misphi'l'cs .lcu,} : / ' ('III,'('s de (li('I'- gence oculaire, un centre
) . Il r.\¡sLe llans l'écol'cc (les 1u;misphi'l'cs .lcu,} : /'('III, ' ('s de (li('I'- gence oculaire, un centre postér
l'écorce entraîne une cécité complète des deux yeux ; la cécité peut ' · se transformer en amhlyopie ou hémianopsie, e
nimètre ; par F. 13Etctt. (Nru- rolog. Centralblatt, XXlll, 190'i.) ' 11 s'agit d'un vase de verre cylindrique en rap
elte poliomyélite antérieure aiguë laisse l'intelligence in- tacLe. ' L. W, \' 1 1.- Aperçu historique sur la pathogé
yélite antérieure aiguë laisse l'intelligence in- tacLe. ' L. W, \ ' 1 1.- Aperçu historique sur la pathogénie du béga
tement ? il propose le placement dans un institut d'arriérés. .. j - ' L. W. IX. -Contribution clinique et critique à
demeura capable de ré- péter, et fort nettement, les mots entendus ' ? La répétition auto- malique du mot entendu s'
é verbale, d'une lésion du cen- (re des images phonétiques des moLs ' ? Sans doute, il est de règle (qu'une surdité v
ger. De même, faiL remarquer M. Erbsloeh que dans l'aphasie amné- ' sique nous pouvons rencontrer un oubli des images
des phéno- mènes catatoniques ; par R. Gaupp. (Centralblatt j'il ! ' Xer- l'cn/¡cil1wndc, XXVI, N. F. XIV, 1903). Co
onie; 1an 5..1.1ROSCHawsr.v. (OLo ? rérripsicltiniri'i, 1\, 190 ? ) ' M. Gaupp insiste surce point. Certains malades
? oui élé les J'll111"ions; linalt'lI1l'nl 'I'1 élahli un déficit. ' " IJ'(\duiaI11 pal' Il's éléments évidents de la
remière stupeur sont ullérieu- rement devenus déments calaloniqucs. ' Pou l' .\1. ALTER, il l'SL hol's dl' doul(' qll
s déments calaloniqucs. ' Pou l' .\1. ALTER, il l'SL hol's dl' doul( ' qlll' Il, ile ! lrrliri,\li/C peut procéder de
nie, si elle possède tous les éléments propres il lui assurer l'auto- ' no mie, est encore quelque peu énigmatique. P.
a région supérieure du facial ne participe-t-ellepasà la pa- ra sie ' ! Les auteurs on supposé que l'innervation cort
que les complications assez bénignes d'ailleurs de celle l' légi'l'( ' i nlpl'\ l'n Lion il faut faire exception dans le
iODZE\\'ITSCH. (0<')o;rt ? ii'f ? <tc/i<'f.t ? X,100 ? ) ' L'isolement, en formelle contradiction avec le no
no-restraint en Russie; par 1\-A. USTANKOW. (0&0 : t'd) ! MXf'( ' /t;nt)'tC[, VIII, 1903.) ( : 'est Saint-Pétersbo
ché de Bade ; parGAUPp. (Ce/)0-&/. ? lYel'vt ? I1}¡t'llh, XX : \ ' , X. F. XIII, 1902.) z Partout les maladies me
malades chez lesquels la paralysie générale adure de 10 à 30 ans. ' 1. 11. Séance du 10 décembre 7M. Présidence de
vaincus que les escharres peuvent être évitées, on n'en verra plus. ' . 11, l;auner.-I1 mc paraîLulil· de ralhcli·rlm
vait, même en dehors de ses accès, \ ienL à l'appui de celte thèse. ' Troubles psychiques d'origine probablement sulf
e de la cuisse el du tronc, 1'aiL qu'il a plusieurs fois renconlré. ' Macrodactylie congénitale. MM. ll.wuon tL Iuo
SSJlW, S()CIIn IrIIH ? OWt;1E IT DE PSYCIiOLUt;IE SW ace lu naodi ' ! 7 clcenabne 1901. l'taoam : rrc ur : Jl. l'au
tents. Archives, 2° série, 1005, t. X1X, 11 jus soc ? 11 : : 3$,\\ ' ,\ : \ Il;S. Sourdlcs 11J11,licalio'l¡; de lu j/
11(-Il)atix peuvent se présenter : 1° le malade, en étal de narcose, ' reçoit la uggl ? Lion curative, comme s'il étit
e Imite suggestion. JI. Bernard (de Cannesl, Lit élh 1-111t"[h liqU( ' m'a permis d'obtenir des résultats thérapeutiqu
Jean-Jacques Rousseau, le Tasse, Gérard de Nerval, Gustave Cou 1'1)( ' jusqu'au dépravé et mélancolique Musse ! , peuven
ts, on leur l'ail même subir dans ce but une opération chirurgicale ' ! Noire inonde s'accommode mal (Tune telle prat
nt ne pas être une trop lourde charge pour la 'lH'il'I('. (;1'11,' ( ' ,lllca[ion ? 1 très dillicile à faire, car il fa
Tidiol en particu- 11t ? )an-.))i('thcas,i ! fauLtoutapprt'nt ! ra( ' ( ? nK)ihcut'L'u\,(h'- puis la 1"'olH'pLé la plu
nomie mal comprise, de les hospitaliser dans les asiles d'aliénés. - ' · . ! ! (h'\rai(,yavnH'()(6ta))H ? emnLssp('iau\p
emnLssp('iau\pm'tc-dt ? n( ? l'l ? bUI'(ouL pOlll' Il's dt'g('nél'( ' , snpél'ienl ? Ll' 1 jcil'n \ son ! en petit nom
a collection des Couytes-r u.ius clio Bi('j\I¡'e (lO,1903', (lî.) . ' . 1GS f;.ORRT : SPOND\NCr. d'abord obtenir d'
à la gendarmerie, le malade leul' dit (¡u'il s'et évadé de l'l1Upic( ' d(' TUIII' : il ('I ha- hillé des \ èlemenls de
gendarmerie, le malade leul' dit (¡u'il s'et évadé de l'l1Upic(' d( ' TUIII' : il ('I ha- hillé des \ èlemenls de IR
ses. » Ir. Partie. -Le développement de l'assistance des aliénés en ' .\II<'lI1agl1l' peul se diviser en qualre pé
' mO)l'n à¡ ? L', les l'ous onl .i1llil'iahll' dl's ll'ÏhlllHlll'\, d, ' et non de la science médicale. Dans la deuxième
rme de l'organisation du service médical dans les asiles d'aliénés. ' 1"" Partie. Parlant d'abord des asiles-colonies
énés. ' 1"" Partie. Parlant d'abord des asiles-colonies, M. Sérieux ' ( donne les éléments caractéristiques de ces éta
quartiers cellulaires, leur nombre insuffisant de médecins, d'in- ' bibliographie. 173 lirmicrs et de veilleurs, l'
e, qui ne donne qu'une idée bien imparfaite du livre de M. Sérieux. ' Les médecins aliénistes et toutes les personnes
vancés dans l'assistance et le traitement des aliénés. L. Marchand. ' ll. - Cotcrs stcpér·ieur cl'éJrrcatioz plt,ysiq
ercices gradués qu'il décompose en leurs éléments el termine par l'¡ ' \- posé d'une leçon modèle pour les Irois cours.
re. Col homme qui, depuis quelque temps, l'aisa i 1 la t 1'l'I'I'lI[ ' (lu pu ? sc 1 i \ l'a i L il Loul e epèces d'l' \(
el' l'ol'cl'né qui ('L aclul'lIl'rnenl illLl'l'nl' il L\sile,(Sell1Cu/ ' '/( ? 0f ? th)''(.'janvier 190;7.) En alluman
l'ol'cl'né qui ('L aclul'lIl'rnenl illLl'l'nl' il L\sile,(Sell1Cu/' ' /( ? 0f ? th)''(.'janvier 190;7.) En allumant hi
isoires : MM. Courbon, Froissait, Mlle ( : rünslwn, )1. lluurillml. ' Les questions qui oint fait l'objet des épreuve
evue des pé- riodiques étrangers.. Livres nouveaux. Abonnement dn 1" ' jall' vier : un an, Paris, MO l'r. ; départemen
ence est certainement beau- coup plus forte dans Fli. que dans Rlh. ' Nous avons déj relevé que le point 1. confirme
ater égale- ment que la substance blanche latérale et inférieure de ' c. g. c. est intacte et n'a donc probablement p
ihlic- nomène dans un assez grand nombre d'observations ; les 190 ' CLINIQUE MENTALE autres - et ce sont les plus i
mécanisme actuel de la siLio- - phobie et du mutisme chez ce malade ' ? Nous ne pouvons pas en chercher l'origine dan
arquable. Une troisième hypothèse se pose, et l'on peut se deman- ' der si le refus de nourriture et le mutisme nie s
22 ans ; il ne faut jamais rien lui dire. « Sa\ez-\ous 111OJlllom ' ? - Vous êtes docteur ; je lui donne sa bénédic
troubler ; sans céder ; je ne sais pas. « \'oull'z-\oUS partir ? ' ? Oui ; je ne sais pas ; sans se troubler; sans
le caractère stéréotypé de l'écriture, au lieu de 198 CLINIQCY : MI· ' ,NTL1· ? porter sur l'expression verbale, réside
auteurs se soient accordés à signaler l'onanisme parmi les causes ' favorisantes de la démence précoce, nous sommes p
emcnts qui les mettent en communication les unes avec les autres ». ' 1° Stéréotypies primitives. (Attitudes prolongé
des modifications dans la vie fonctionnelle de la cellule elle-même, ' modi- fications en vertu desquelles cette derni
s éteinte. L'observation de Mme N.... nous en fournit le plus bel ' exemple. Cette malade prononce constamment la m
. ce contenu ayant disparu, l'acte s'est transformé en stéréotypie. ' Si les actes primitivement adéquats à un délire
du visage n'attend ni approbation ni desappro- bation delà parte ! ' autrui. Si donc nous cherchons il établir une c
ire qu'elle résume toute la vie motrice de nos dé- ments retraités. ' III. Valeur clinique. A. Fréquence. S'il est vr
hrénique plus faible, plus superficiel. plus lâche, plus décousu. 1 ' c) La différence de fréquence s'accroît si, au
éréotypie toute sa valeur clinique, il importe d'en marquer les li- ' mites d'une façon précise, et pour cela il faut
initivement s'immobiliser après s la période active de la maladie ? ' ? Avant de répondre il cette question, il est u
e a été étudié spécialement par les professeurs ? met et lian mond. ' .' . . - L. Wahl. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYS
rs accompa- gnés ou non de modifications, de l'ouverture pupillaire ' ? Pour ré- soudre complètement la question il f
; par Cappezolli. (Riv. crit. di clinica med., 1904, n° 31 et 32.) - ' Résumé fait essentiellement au point de vue des
ux plus ou moins graves que l'on peut rencontrer dans l'urémie. - ' ' L. W. XXXI. Lamaladiede Stocke s--Adains; par
plus ou moins graves que l'on peut rencontrer dans l'urémie. - ' ' L. W. XXXI. Lamaladiede Stocke s--Adains; par C
ômes sont éminemment changeants indivi- duellement. t. l'.11ERAVaL. ' XL. De l'amaurose hystérique ; par Il. litzoN.
par r I>rcROi.v. (l'olielitiqace cle l3nu,cellcs, 1903, n" 23.) ' \ Une Slalisliyuo dressée en ! t)()Í par le Dr G
urologique du 15 décembre 1904, lt.. 1179). - SOCIETES SAVANTES . ' ; z 1 . SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE Séance dit 2
née. Tabès avec atrophie dans le domaine moteur clac trijuntroar. ' MM. P. Marie et LERI amènent un malade qui offre
éliques sont dus à celte méningite de la base. 1\Turite ascendante. ' )1M. Raymond et GUILLAIN présentent un malade q
ie de la maladie de Parkinson. Est-il mvopathique, 111)('lopalhique ' ! Yil'nt-il éclairer la nature vle l'alfecliun "
n au point de vue de la palhogénie des af- fections de cet ordre. ' ' Confusion mentale. Mil. OILBEI2T-Li.WLET et F
au point de vue de la palhogénie des af- fections de cet ordre. ' ' Confusion mentale. Mil. OILBEI2T-Li.WLET et F.
me chez un malade alteint de paralysie infantile myélnpa- Ihique. - ' F. Boissier. CORRESPONDANCE Personnel médical
iénés. Mayenne, le 13 février 1903. Monsieurettres honoré Maître, ' Je n'ai pu répondre plus loi à la circulaire qu
en cliel, de deux adjoints est, à menais, tout à fait insuffisante. ' Un professeur de la Faculté de médecine de Lill
el asile créé pût, à l'aide de ses bénéfices annuels, rem- bourse ! ' par annuités le département des sommes avancées p
le D1' Siiiioii, 1). 108 ligne 4 : au lieu de «réaction el suicide ) ' , lire : réaction suicide. Page 110, à la 3e lig
xuel, évolution et dissolution, 2" édit , 1J02, p. 3J0. .\ncIIIY¡¡ ' , 2» série, I. XIX. 1 -1 258 physiologie me de
asteté habi- tuelle antérieure n'exclut pas la tendance aux excès ' conjugaux : Tout est permis dans le mariage, tout
dans la,journée qui pré- cl'del'attar[ue pt dans celle qui la suif. ' Dru,uiL·me entm·r; en avcil 1S ! I1. - Elle a d
dans le côté gauche toujours, puis elle se sent élecLl'i<l'e d" ( ' (ité gauche uniquement et souffre, au point décr
e ou de la gymnastique coïncide avec l'heure de la visite médicale. ' Asile-École de Clermont (Oise). M. LESVIER, d
s il y a quelques mois et lisant aujourd'hui à peu près couramment. ' 282 ASSISTANCE ET PÉDAGOGIE. Mais l'instructi
'on profite do chaque sortie pour solliciter leurattention, tenir ' leur curiosité en éveil et les renseigner sur le
l'examen du certificat d'études. Enseignement médico-pédagogique. ' L'enseignement médico-pédagogique, selon la mét
auteur, sur lesquels on a placé un grillage, forment couloir commu- ' niquant avec le chemin de ronde par une porte.
us a adressé la note suivante sur le fonctionnement de son asile- ' école. 288 ASSISTANCE ET PEDAGOGIE gymnastiqu
forme sociale dont les faits, chaque jour, nous prouvent l'urgence. ' REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
tervalle, et se lixe à la- pointe de la corne latérale. P. KERAVAL. ' LXVll. Du réflexe acromial ; par W. de BECHTERE
pétition de l'article russe, réflexe sacrofémoral de /'0o : )'f ? )( ' /);f;<r/t VI. 19011, déjà analysé.. P. Keraval.
faveur de l'existence de nerfs de la chaleur et de nerfs du froid. ' P. Keraval. LXX1\ . Revue des plus récents trav
té dans la pathogénie de la démence primitive ou pré- coce ; par LE\ ' ! Bianchini. (7c..s'p. dipen. V. XXIX, l'asc. Ill
51 %), c'est-à-dire avec un retard de 10 ans sur les pre- mières. - ' La démence primilive représente 28 % des malade
des intelligences pauv res et jamais une intelligence supé- rieure. ' ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 307 10 010 drs
intelligences pauv res et jamais une intelligence supé- rieure. ' ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 307 10 010 drs dém
Dans la forme Iv pique, qui et d'aiIll'l11's (l'ès l'are el qu'a ([{ ' ('l'i[e Eloc-Demaz¡-, il n'y si ni hal- lucinati
issAUD etGRENET. (1\'occv. lconogr, de laSalpê- tricre, na ? 1904). ' , Sujet rhumatisant, suspect de tuberculose, do
angoisse précordiale et de lipothymie, pouls de 95 a RE\Tr- : nE P.\ ' ! HOLOGm IOER\'ITsr. 313 10, sans signes object
par Dopter en 1901. Le zona relèverait donc d'une infection banale. ' L. W. LX11. Récents travaux sur l'alcoolisme; p
plus de chances de guérir que celles des ple- xus nerveux. Pourquoi ' ? Après avoir examiné avec soin les di- vers mo
e la deuxième piqûre. XV. Ergothérapie et psychothérapie ; par 131A¡ ' ;CHINl, (Nouv. 7eo)tor. de la Sal2êtriL·re, N° 2
la plus simple de l'application du no-restraint. et de l'open-door. ' R. C. XVI. Observation d'empoisonnement parle v
: lavage tardif de l'estomac, ali- mentation rectale. P. Keraval. ' ( XVII. De l'intervention chirurgicale dans l'ép
-il l'augmentation de la dépense et lesdiflicullés mises en relief. ' 11. -- Ce qu'il y a encore de mieux pour le mal
Directeur au Conseil général P°Ul' 1903. Dr DAUDIN. BIBLIOGRAPHIE ' 1 \-, Rapport du directeur médecin (lez' ('.ULI
ume dans une bonne hygiène, une vite tranquilteet. calme. 1. CaaBn. ' 1-f.-Les psychoses puerpérales et les processus
-Les psychoses puerpérales et les processus il' auto-intoxication ; ' par Roger Dupouy. (Thèse do Paris, J. Gousset, 19
s par épuisement ne sont que des psychoses par auto-in(ovi- cation. ' 2° Psychoses puerpérales par infection. - Comme
hiatrie et cle La Thérapie psychique et diététique, rédigé lrw le 1) ' Lacl ll csovEC (l'rauc. l'erluwl, ut. 9.). La r
s le profond regret d'annoncer la mort de notre cullahoraLeur, lc 1) ' l'. Carnier. Nous donnerons dans le prochain nu
ns la vision binoculaire (à pro- pos d'un nouveau cas) ; Par le 1) ' R. CHCCIIET, Chef de Clinique* il l'Université
ient constante, correspondant ainsi à l'état nor- mal de la vision. ' Une autre fillette, atteinte d'amblyopie hystér
ncstltéie droite sensitivo-sensorielle avec amblyopie du même côté. ' Antécédents héréditaires : La mère, âgée de 44
nt cessé, mais elle a continué à éprouver des cauchemars nocturnes. ' Rougeole à 6 ans, coqueluche à 9 ans. Enfant to
ffre des modifications importan- - AMBLYOPIE HYSTÉRIQUE MONOCULAIRE ' , SA DISPARITION. 343 tes. Nous ne ferons que le
grandeur plus petite qu'avec l'oeil gau- che : - E au lieu de E. ' Le sens chromatique est tout à fait normal à gauc
s blanches et à peine distinctes par l'oeil amblyope seul ou- vert. ' Et ainsi de suite avec les différentes couleurs
lle voit donc de l'oeil droit au moment de la vision binoculaire. - ' Expériences 1 8 à 22 (Epreuve du stéréoscope).
lyope est entièrement normale : c'est ce que nous allons démontrer. ' Expérience 23. Les yeux de la malade regardant
s ronds comme dans la figure 22. l; p·nieucv·.s - ? 1, ? i, ''(i ct ' ? Ï. - I : n reltrm tnL les expériences 18, l'.
ran. Le rétrécissement est, alors, sensiblement ¡"gai il (;elui de [ ' ,l,il gall('IIl', 11011 alllblyopl'. Is : nlmime
couleur rose et verte (le la lig.1 (image Ilruilcl, placés de 40 il ' ! 5 cculim. de l'mil. Elle l ? di ? linglll' pa
in devant la région orbi lairD gauche du sujet, de façon il sa i 1'( ' l'obscu rilé POUI' 1'( l'il gall- i- che, mais
t sur l'oeil, les ronds sont perçus identiques par l'oeil droit. l. ' Avec des cornets de papier vert clair ou foncé,
estant ;'111' "oei[, Il'Sl'OIHls ? nnl \ Il'' plll" pl'lils ('0111111( ' avec les cornets de teinte très foncée. Seul,
sa vision était parfaite. En ('011- \1ztiit 1'teil gauche avec les { ' ('l'an" (le papier aux couleurs les plu< vari
il n est doncpas amblyope, même en dehors de la vision binoculaire. ' 3° L'élude des faits semble montrer que la disp
t être informé déjà de toute sa vie passée. Mais comment nlllan yni ' ? \e l'allaiL-il pas une complicité. ' Les so
sée. Mais comment nlllan yni ' ? \e l'allaiL-il pas une complicité. ' Les soupçons de Mlle .\... se dirigèrent sur un
ssions sur Claudine, Jlme 13... lui avait dit sans rire : ? I;lamlint· ' ? 'e.L Loi. » l'lüs Lar<l, comme \Ille U... ln
ma petite, quand 011 a la protection d'un littérateur, on a autre ' : 11),) à faire qu'a lrwaillw ·. · .le comprend-
sser dans les bras de .'d ho III 1111'. )) Puis d'aull'e t'ail lui [ ' ('\ iennent il l'espl'il. ;\lml' IL.. l'avait un
er dans les bras de .'d ho III 1111'. )) Puis d'aull'e t'ail lui ['( ' \ iennent il l'espl'il. ;\lml' IL.. l'avait un j
arrêter, que je pourrais tuer celte femme. Puis, le désir de tatue ! ' 111'('n\allÎl a\ec une il'I'éi"lihililé que je
Inl lruraly : u ; .I· 'c'·lai aW unlic, cluuuc aun llacc ; un cri · ' (Onll'u ilan· ma ;.m ? u I ,p· nc pus liru yuc I
e de faire oeuvre utile, travaillant, dans la mesure de mon pouvoir, ' au progrès de la science et par conséquent au b
se l'orme sur les rhizomes des feuilles à la place de tu- bercules. ' La baleine, en adoptant la vie aquatique, ayant
énérale, 1903, y. 537. Archives, 2' série, 1905, t. XIX, " 24 370 ' PSYCHOLOGIE. Prisonniers dans ces lycées qui ra
2) Yves 1)r.i.we. Aoc. cit., p. 803. ( : J) l''i,I, p. 83.-). 372 ' PSYCHOLOGIE. ques et par conséquent morphologiq
iques et sociales, en un mot de toutes les défectuosités du milieu. ' . Sous nos climats, l'alcoolisme est la princip
e des ascendants ou du sujet lui-même crée le terrain favorable : . ' . Or, de tous les tissus de l'organisme, il n'e
e nerveux qui est surtout atteint chez les dégénérés alcooliques. J, ' Tantôt une portion de la substance pronerveuse
e humaine. L. ,. La société, Messieurs, ressemble à une machine qui, ' pour bien fonctionner, a besoin d'organes fort
actaient au point de se séparer momen- tanément les uns des autres. ' ? Peut-être même s'est-on trompé en voyant dans l
rie phylo- génique, de l'état du spermatozoïde et de l'ovule dans ' l'évolution individuelle, plus il est contractile
l'enfant, la facilité avec laquelle il passe d'une idée à une autre, ' son extrême suggestibilité. Dès lors, chez to
ons par les prophètes juifs... REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE ' PATHOLOGIQUES LXXX1Y. Contribution à la questio
n desdon- nées, ni quant aux résultats cliniques jusqu'ici obtenus. ' Cela tient principalement à ce que nous avons a
la moelle au niveau de l'origine des nerfs des membres, par G. 131K¡ ' ;l.ES. (¡Yeu- rolog. Cent1"alblatt, \\llI, 1904.
Jambon. (Bull. soc. 1Hàl. des hop. de Lyon. 31 mai l'.Id4, P. 235.) ' (-Uniquement : Cinq atteintes de chorée de Syle
gique mon Ire que la néoplasie avait pour origine le lissii osseux. ' ' Il s'agissait donc. sans aucune réserve, d'un
que mon Ire que la néoplasie avait pour origine le lissii osseux. ' ' Il s'agissait donc. sans aucune réserve, d'un c
n processus spécial où Dtémorritagie est secon- daire il l'embolie. ' Le cas de M. Leclerc est tout autre, il a trait
t et expérimentalement. Résultat négatif de l'examen après la mort. ' 4e Cas : Forme furieuse chez un homme. Diagnost
rabiques. G. C. 1C11. Les troubles de la psycho-motilité; par le 1} ' ! JE Bucks (Jour, de Neurologie, 1 ! J01, no ?
était bien en cause dans l'arrêt de la crise. Les résultats obtenus, ' quoique moins marqués que dans le décubitus gau
a consisté en injections de sérum antitétanique jointes au chloral. ' Tois injections de sérum de 20 ce. chaque furen
ussi à le faire disparaître. L'hypnose n'avait pu être pro- voquée. ' Afin de le plonger dans un étal, de réceptivité
égralement en français, parce qu'elle est oninemmentsuggestnc. '1 ' P. KERAVAL. REVUE DE THERAPEUTIQUE XXV. -Note
ote présentée au nom de MM. les .])rus Gauthier et nUMMER (de W 'nŸ( ' ), par M. le prof. LANNE- (IC(tiléi;IiC ile Métl
urtout aux recherches du Dr Crislini. 'Comme choix de porte-greffes, ' on s'est adressé à l'homme et il convient encor
che à quel groupe il a affaire (13.). 301 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. ' transformations plus complètes et définitivemen
Voir : Greffe Ilyroïd. el ensemencement Ibyr. par Cl'i"tiIll11. (Re¡ ' ,l1léd. de la Suisse romande. 1902, p. 705.) · s
je l'ai observé é souvent dans mon service de la Salpêtrière. 396 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. Un cas de sommeil hystérique
lasuitedepratiques de spiritisme. Séance du mardi 21 mars 190 ? PR) ' : SIDENCE de M. Jules Voisin Les Hayons N exist
190 ? PR)' : SIDENCE de M. Jules Voisin Les Hayons N existent-ils } ' )1. Louis FAURE commence une étude critique des
les hypothèses, instituer les expériences et tirer les conclusions. ' '¡lJ; ! " ... ' La psychologie des jeux de ha
s hypothèses, instituer les expériences et tirer les conclusions. ' ' ¡lJ; ! " ... ' La psychologie des jeux de hasa
ituer les expériences et tirer les conclusions. ' '¡lJ; ! " ... ' La psychologie des jeux de hasard. M. Ilermann
; certains cha- pelets sont porte-bonheur et d'autres porte-guigne. ' M. 13t : cH. - Des gens, même très sérieux, mai
ement les chances et recherchent des gains modestes, mais 5 sûrs. : ' ii'Y'-f-' - " 1 f+/I · - SOCIÉTÉ \I1 : ULCn-l
applique pas très exactement aux faits signalés har 11. l'Irilippe. ' 1. PHILIPPE n'a utilisé le mot de mensonge que
avoir satisfait leur impulsion sexuelle, ce qui semble confirmer 1( ' jJJ'OH'l'be « post cuitul1l animal 1 rite. » 11
lles mette à l'abri de tout contage la population non atteinte (1). ' Ce que nous dirons ici, c'est que les résultats
plan est bien conçu et pourrait servir de base à un rapport modèle. ' Au 1,'r janvier 1903, il y avait 780 malades (3
de l'asile pour retraites des fonction- naires, s'exprimait ainsi : ' «Pour ne laisser aucune indécision dans la perc
pour le service des pensions d'anciens fonctionnaires de l'asile. » ' «Interpellé à la réunion de la commission desur
re. L'enseignement par la méthode Braille est donné aux aveu- gles. ' Nous accueillerons avec plaisir tous les rensei
ical et secondaire à l'Asile Clinique. Paris, le 21 février 1905. ' Mon cher 1\1. Bourneville, .l'estime, pour ma p
des travaux de pathologie mentale et nerveuse. Prix Bailla1'ge1' : ' ! ,000 francs. Ce prix, destiné à l'auteur du mei
is, et Pierre 1toy, de Paris : Etudes biologiques sur les géants. L' ' \ca- démie accorde en outre des mentions très ho
démie accorde en outre des mentions très honorables : 1° à M. le 1) ' \I\UR(C7 : de Fleurs, de Paris : Manuel pour l'ét
Yaucluse : Essai de diagnostic entre les états de débilité mentale. ' Prix Aldophe Jlombinne : 1.500 francs. L'Académ
e présenté la môme année à deux concours de l'Académie de médecine. ' LES ALIÉNÉS EN LIBERTÉ. E. 51. Cazaux, instit
eul, l'avocat de la princesse, M" Albert Clemen- ceau, y assistait. ' Concert des jeunes aveugles de l'Institut de 1)
MENTALE Le réflexe lumineux dans la paralysie généràTÎ, Par le \) ' E. 1.\1t\. : \))(). : \ lIE I(). : \TYEL Médeci
embrasseront, pour les mêmes malades, toute la durée compli-ll' (1( ' l'affection. Les voici : 422 crl ? 1 QI-le -
litre exceptionnel, la normalité constante durant toute la période. ' CHIRURGIE DES ALIENES Des corps étrangers de
suites opératoires sont normales, sans élévation de j température. ' (1) Celte observation a élé communiquée par M.
de l'oesophage et même pour cette région les renseignements qu'elle ' donne sont nuls ou manquent de précision. Il en
cvillca rapporté l'observation dans le Progrès médical du 29 juin 1 ' ,)0 1. Ce malade, atteint d'i- diotie complète,
elle- ci augmente proportionnellement au développement des fibres ' myéliniques. Il est donc fort probable que l'exci
ité de 1'1;- 444 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES ' j. corce dépend surtout du développement des li
cocaïne loco dolenti ; par VERGER. (7'o. de méd., janvier 1904.) ' On saitqu'une injection de chlorhydrate de cocaïn
u même côté un myosis avec diminu- Archives, 2' série 1903, t. XIX. ' 29 450 SOCIÉTÉS SAVANTES. tion de la fente pa
troubles sensoriels, lésion probable de l'is- thme de l'encéphale . ' Hémiplégie spinale. l' lI. 1)H> : .RiNr :
n des deux surrénales, épithéliome et adénome. SOCIÉTÉS SAVANTES. ' " 451 (1'" , Rl1do/¡'èl;oma c ? bl'((I, , tlL
un appareil pour enregistrer les varia- tioncde volume des doigts. ' 1·'. BOISSIER. BIBLIOGRAPHIE X. Asile publia,
réelle du service est de 888 femmes au 1 ? janvier de cette année. ' « Notre quartier des idiotes perfectibles s'est
qu'à nous louer des résultais obtenus sur les ? 0 sorties données : ' ) titre d'essai en 1903 (10 s'a- 1156 bibliograp
vérification nécropsique. C'est la mort par « cachexie paralyti- ' que » qui fournit le plus gros chiffre. « Mais
s sur l'aliénation mentale qu'il fait aux étudiants de l'école de : ' \antes, donnant ainsi un excellent exemple que l
écès, dont 28 de paralysie générale et 7 de tuberculose pulmonaire. ' Sur 1213 malades traités, le Dr Bonnet signale
cteur, médecin en chef. Existants au 1 ? janvier 4-28 (201 II. et ? ' ? 7 1 ? ). Admis dans l'année 117 (56 il. et Gl
oselle); pour l'exercice 1903, par M. le Dr Paris, médecin en chef. ' « Le 31 décembre 1902,1e service des femmes com
- nuels le nombre des admissions de malades âgées est en progres- ' sion constante ; il entrait en 1901,22 aliénées â
diminuer le nombre des premières et augmenter ce- lui des seconds.) ' Guérisons 45, améliorations 28. M. le D1' Paris
les, à défaut d'un hospice destiné spécia- lement à ces incurables. ' « De six enfants âgés de moins de dix ans, doux
11lilIS, ; excès vénériens, 12 ; onanisme, 5 ; mysticisme, 16, etc. ' « L'internement précoce permet seul d'escompter
NECROLOGIE Le monde médical vient de perdre dans la personne du D' ' Garnier, un des hommes les plus connus elles pl
s de dix ans, alternative- ment avec notre excellent collègue, le D' ' Charpentier. Sous sa plume facile, nos discussi
de M. Legras, premier Médecin-adjoint de . l'Infirmerie spéciale. ' , \ Cher Maître, , , Au moment de votre dépar
tait impos- , AnCII1\'T : O, 2- série, 1. XIX. 31 482 NÉCROLOGIE. ' sible de solutionner tel problème médical que l
rai de la ,.e,t ? i Préfecture de police. .. .i.4 . ? , ... - . ' - . , . ...<». t - Mesdames, >, . · -i
nt n'est venu ébranler pendant une aussi longue période d'années. ' La liste est longue des pauvres malades les plu
t étudié dans les meilleurs hôpi- taux, auprès de maîtres de Paris. ' ' z Si). John Sibbald a écrit beaucoup dans le
étudié dans les meilleurs hôpi- taux, auprès de maîtres de Paris. ' ' z Si). John Sibbald a écrit beaucoup dans le Jo
il est nommé médecin en chef de Argyll Asylum, et c'est là que si ! ' John a adapté ses idées avan- cées. 1 · 11 a
es et doux, aliénés ou imbéciles, organisé par sir Arthur Mitchell. ' Un de ses traits frappants, c'étaitles façons e
velles du département de la Seine. Personnellement lié avec le ]) ' Doucbereau, qu'il avait reçu en Ecosse avec Fovil
. Sa mort est une perle cruelle pour les psy- chiatres d'Ecosse. Si) ' John laisse sa femme, Lady Sibbald, deux lils e
bles au\ asiles publics d'aliénés de Maison-Blanche et de r()is('l1{ ' (Seine- et-(lise). » CORRESPONDANCE Personn
ersonnel médical des asiles : Les médecins adjoints. - Cher Maître, ' - ' ? . Je -sous remercie d'avoir bien voulu te
nnel médical des asiles : Les médecins adjoints. - Cher Maître, ' - ' ? . Je -sous remercie d'avoir bien voulu tenir
lion opi- nion dans votre rapport sur les médecins dans les asiles. ' J'ai su par M. Lande que le Conseil supérieur d
as d'immobiliser les nlé- decins-adjoints en voulant les utiliser ? ' ? Ce n'est pas que les services de chroniques m
ion préfectorale, en attendant mieux, respon- sable de ce service ! ' (1) C'est là une vérité sur laquelle on ne saur
n comprend trois groupes : l'inférieur, le moyen et le supé- rieur. ' . Le groupe inférieur correspond aux enfants do
le Compte- rendu de 1903, lt.l\'III, LXIV et CLXIV. (R.) = VARIA. ' 491 à Kit,n du docteur Sikoraky, à Saint-Pétcrs
dans la bibliothèque du Collège royal de médecine d'Edimbourg. Le)) ' I)Ial'ait, présidait, de nom- breux médecins ét
' h'eland qui remercia ses confrères. Puis, sur la proposition du D' ' Gellow lees, on vota des remerciements au comit
gnement professionnel des infirmiers des asiles d'aliénés, par le 1) ' VAN 1EVENTER. Cette question se trouve pour ain
in, 21, rue Ilaulefeuille. Prix : 0 fr. 60. - - - Er,¡El1. D. l\I¡ ' ;l1.R ! [,L. New or nole-wor6ly Philippine plants,
mel'ican Medicine.) Jamin-I) vviau. De la dia thèse goutteuse au ..\ ' : \'111' sieclcct au commencement du Xi', In-8"
role intérieure. In-8" de 24 pages. Institut Général psychologique. ' Revue philosophique. Sommaire du n" d'avril 19)
chologique. ' Revue philosophique. Sommaire du n" d'avril 19)3 : : \ ' \ ? I.LE (Adrien). La primauté logique, des juge
rigine névritico-spi- nale oud'origine myopathique, par Cohn, 55. ' AVEUGLE. Déviation de la tête et des veux che
AVEUGLE. Déviation de la tête et des veux chez un de naissance, ' par Déjerine et Roussy,' 160. Aveugles. Voir
tête et des veux chez un de naissance, ' par Déjerine et Roussy, ' 160. Aveugles. Voir Institut de Di- ].011.
. Du cor TABLE. DES MATIÈRES. 499 tical de la vue, par Bechterew, ' z 299. CÉpn LEE.La neurasthénique, par Bast
r Tumeurs. DÉLIRE. Voir Epilepsie. Démence. Voir Sclérose. Fré- ' quence et étiologie de la précoce, par Crocq, 6
Fièvre typhoïde. Voir Myopa- thie hystérique, par Gar- gano, 239. ' FLECHXtc. Sur la doctrine de des zones percep
cardite milrale végétante, par Gallavardin et Jambon, 381. 502 ' TABLE DES MATIÈRES. cérébrale. Voir Rétrécisse-
p- port fait au Conseil supérieur de l'Assistance publique, par ' Bourneville, 416. Mélancolie. Voir Epilepsie.
nsécutifs aux aiguës simples, par Courlellemont, 416. 11 ! 1¡ : ' \Il"GO-MYILI'fE, par Mosny et Malloizel, 159.
vements associé-». Voir Hémiplégie. Le mécanisme des volontaires, ' par Store ! \ : , 297. Essai sur la physiologie
YOKYMiE. Contribution il la casuistique de la -, par Pini, 236. - ' Myopathie HYPERTROPHIQUE con- 504 TABLE DES M
-, par de Buck, 305. Les puerpé- rales et les processus d'auto- ' intoxication, par Dupouy, 331. Psychothérapie.
rique de la -.cellule nerveuse des vertèbres, par Donaggio, 149. ' Radium. Action thérapeutique du , par Raymond
valeur clinique de la os- seuse ou vibratoire, par Minor, 379. ' SéOUES'l'n \'1'1011'. La - des crimi- nels al
u au moyen d'un nou- vel esthésiomètre, par S. Graham Brown, 297. ' Tmrs DYNASTIQUES. 25j.' 'l'r-S.cus. Voir Idio
cas de cérébrale à forme psy- cho-paralytique. par Cornu, 303. ' . Type infantile. Voir Gigall- tlS112e, . z
des mécaniques, par Schtscherbak, 379. Vision binoculaire. Voir ' Amblyopie . VOIE TECTOSPI1\ALE. Voir Rétine.
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ona et affections banales de l'appareildigestif, par Rouyer, 317. ' Zones perceptives et asso- ciatives. Voir ile
159. Bontenko, 63. Borowikow.299. Gouchard,445. Boudet, 316. ' Bourneville, 18, 269, 408,416, 441. Bournev
,451. Colin, 55, Cotella, 141. Collucci, 1 : 38. Contet, 176. ' Cornu, 303. Uoryllos, 251.' Coste, 382. C
Faure-Beaulieu, 7a, 250, 451. Feinberg, 318. Féré, 257, 308. ' Feuillade, 391. Fickler, 42. Forestier, 311
449. \taltzew, J 53, Marandon de Mon- tvel, 61, 307, 309 411. ' Marchand, 154. Marfan, 320. Margulies, 231.
ud, 389. Mignon, 9. Minor, 3/9. nLon(eri, 24G. Muller, 176. ' N Naecl : e, G2. Nageolle, 301. Nalbandoll'
Pain, 336. Pandy, 242. Paris, 461. Parhon, 23 \ Pasini, un. ' P6hu, 382, 390. Perpère, 155. Petren, 234.
14 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
encou- rager les médecins praticiens à recourir à ce médicament, ' Bibliographie. Bourneville, Communications à la S
son. En collaboration avec M. Katz. (Compte rendu de 1898, p. 3). ' Dernièrement, nous avons vu une malade de Pologne
r les petites lèvres brunes. Les règles n'ont point encore paru.. , ' . ' 1896. Juin. Ptt&e ? Quelquesrares poils
s petites lèvres brunes. Les règles n'ont point encore paru.. , ' . ' 1896. Juin. Ptt&e ? Quelquesrares poils dan
l garni de poils longs et noirs sur toute sa longueur. Poils moyen- ' 4 nement abondants sous les aisselles. Rachel
oles bien dessinées, mamelons bien développés. Même état du système ' , pileux. Grandes lèvres un peu plus épaisses.
caractère · coïncide avec une diminution considérable des vertiges. ' Juin. Puberté. Pas de changement notable, sauf
vation II. Épilepsie idiopathique z). Bromure DE camphre. Guérison. ' ' Sommaire . Père, aucun accident nerveux, mort
tion II. Épilepsie idiopathique z). Bromure DE camphre. Guérison. ' ' Sommaire . Père, aucun accident nerveux, mort d
de dans les jambes suivie au bout de cinq asixjours,det)e)'<7es. ' En somme après des phénomènes prémonitoires sur
à la Fondation Vallée. Température à l'entrée. 16 THÉRAPEUTIQUE. ' son caractère avant de tomber. Elle paraissait
e la température durant les cinq premiers jours de l'ad= mission. - ' Juin. Les vertiges diminuent. De Mich... a asse
ccueille les remontrances avec un sourire moqueur. Même traitement. ' - Puberté. Quelques poils rares sous les aissel
eu trois vertiges le jour où elle a appris la'] Ï mort de son père. ' ' 1900. JetKUte ? Pu6e ? ? Même état des aissel
trois vertiges le jour où elle a appris la'] Ï mort de son père. ' ' 1900. JetKUte ? Pu6e ? ? Même état des aisselle
1 appelle ces vertiges des accès debout. 20 THÉRAPEUTIQUE. 0 *~ ' 1895. 6 avril. Description d'un accès. H... tombe
t à fait à lui ? Parfois, il tombe en avant (cicatrices du menton). ' 24 juin. Aulne accès. Sans avertissement, sans
aire. Durée une minute. Il se relève, ramasse et remet sa ceinture. ' On assure qu'au réfectoire, s'il a un vertige,
tiges, les mai- tres constatent que la mémoire devient meilleure. - ' 1897. Avril. Accès : Avant de tomber en arrière
oppées. Seuls les seins indiquaient une transformation prochaine. ' Eh 1896, le pénil se garnit de poils alors que le
les seins doublent presque de volume et les règles apparaissent. ' Tandis que les poils du pénil s'étendent, s'allon
ent des règles s'est annoncé par une poussée du côté des seins '. ' Le lecteur trouvera de nombreuses descriptions de
e de médecine et de chirurgie pratique, t. XXXVIII, 1885, p. 220. ' Grisar. Experimenlelle Beili-iige zur l'harnza7oc
e valériane [Bulletin géit. de thérapeutique, 1860, LIX, p. 211). ' Sikorska. Loc. cil., p. 5. ' Ch. Féré, Note sur
thérapeutique, 1860, LIX, p. 211). ' Sikorska. Loc. cil., p. 5. ' Ch. Féré, Note sur l'influence de l'opium sur le
Gicl., p. 696). -Les poisons nerveux [L'année psychologique, 1902). ' Ch. Féré. Note sur l'action excitante de Vanlipyr
26 PHYSIOLOGIE. ACTION DE LA VALÉRIANE ET DES VALÉRIANATES. 27 28 ' PHYSIOLOGIE. '"' Il ACTION DE LA VALERIANE ET D
ACTION DE LA VALÉRIANE ET DES VALÉRIANATES. 27 28 ' PHYSIOLOGIE. ' "' Il ACTION DE LA VALERIANE ET DES V.1LRL1N1TES
ACTION DE LA VALÉRIANE ET DES VALÉRIANATES. 27 28 ' PHYSIOLOGIE. '" ' Il ACTION DE LA VALERIANE ET DES V.1LRL1N1TES.
s la 9° série, on prend de nouveau 0 gr. 25 d'extrait de valériane. ' ACTION DE LA VALÉRIANE ET DES VALÉRIANATES..31.
de valériane. ACTION DE LA VALÉRIANE ET DES VALÉRIANATES. 83 34 . ' PHYSIOLOGIE. . - -. ACTION DE LA VALÉRIANE ET D
un pain azyme. ACTION DE LA VALÉRIANE ET DES VALÉRIANATES. 39 40 ' PHYSIOLOGIE.' ACTION DE LA VALÉRIANE ET DES VAL
.' ACTION DE LA VALÉRIANE ET DES VALÉRIANATHS. 41 42 PHYSIOLOGIE. ' ' ' Immédiatement avant la f 0° série, on repre
ACTION DE LA VALÉRIANE ET DES VALÉRIANATHS. 41 42 PHYSIOLOGIE. ' ' ' Immédiatement avant la f 0° série, on reprend
ACTION DE LA VALÉRIANE ET DES VALÉRIANATHS. 41 42 PHYSIOLOGIE. ' ' ' Immédiatement avant la f 0° série, on reprend 9
kg. 95, dans l'expérience XII, 69 kg .03 dans l'expérience XIII. ) ' La valériane et ses composés produisent à faibl
sang des épileptiques ; L o*,41 ? - 1 p : tt-M.M.BRA. 1 0- - ! ° ' - ' , f, Des,prélèvements de sang par ponction
g des épileptiques ; L o*,41 ? - 1 p : tt-M.M.BRA. 1 0- - ! ° ' - ' , f, Des,prélèvements de sang par ponction des
ériodes de l'affection, la présence .constante d'un microorganisme. ' ? > Dans les longs intervalles interparoxyst
e sérum, soit accolés aux hématies ou englobés dans les phagocytes. ' Examen avec coloration. Les préparations du san
ez faiblement, et rien ne vaut -31. l'examen du sang frais ? \. , - ' '. ! << '>. j Ensemencements et cultur
terre. Pas de culture apparente à l'oeil nu, bien que le micros ? ) ' cope montre un développement appréciable. Le
ac- tères morphologiques et biologiques, constitue une variété très, ' spéciale et que nous n'avons trouvé que chez le
dans une Note ultérieure le résultat des recherches expérimentales. ' ' ' ` II. Altérations pathologiques dans la dém
ns une Note ultérieure le résultat des recherches expérimentales. ' ' ' ` II. Altérations pathologiques dans la démen
une Note ultérieure le résultat des recherches expérimentales. ' ' ' ` II. Altérations pathologiques dans la démence
II. Altérations pathologiques dans la démence ; par Joseph SHaw ? * ' 130LTON (Tlie-Jouî-12(il oflieîital Science, Av
aw ? *' 130LTON (Tlie-Jouî-12(il oflieîital Science, Avril 1901). ` ' ' e L'auteur conclut : 1° que l'épaisseur de la
? *' 130LTON (Tlie-Jouî-12(il oflieîital Science, Avril 1901). ` ' ' e L'auteur conclut : 1° que l'épaisseur de la c
temps pendant lequel la folie a existé. R. de Musgrave CLAY. 111. ' Méthode pour rendre permanentes les préparations
giques des cellules corticales dans les cas d'aliénation mentale. - ' R. de MUSGRAVE Clay. IV. Un cas de sarcome intr
Léonard WEBER, (77te 1'ew Yo ? ,Iz Médical Journal, Ier juin 1901.) ' Observation curieuse et intéressante, relatée d
lus anciens. L'hémisphère gauche était sain. R. DE MUSGRAVE-CLAY. ' ' R. de Musgrave-Clay. VI. Le sens musculaire;
s anciens. L'hémisphère gauche était sain. R. DE MUSGRAVE-CLAY. ' ' R. de Musgrave-Clay. VI. Le sens musculaire; pa
ire; par John RFID. (Tite Journal of'mental Science, juillet 1901.) ' On a soutenu à propos du sens musculaire que la
ge teiiiporo- 58 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.' ' - pariétales profondes de Broca ou transverses
* poral profond ; d) du système des fibres de la corne d'Ammon. II. ' "* une excessive dégénérescence ; a) des frontal
ascendante et du lobe pariétal; c) de l'iusula; d) de la circonvo- ' · lution du corps calleux; e) des deuxième et t
· lution du corps calleux; e) des deuxième et troisième temporales. ' * ! Cette observation, tout en se confondant, qu
" de la dégénérescence avec les cas de paralysie générale typique, ' * en présente cependant un développement plus in
e typique, '* en présente cependant un développement plus intense.' ' v ' Conclusions. Le fait dominant en l'espèce e
pique, '* en présente cependant un développement plus intense.' ' v ' Conclusions. Le fait dominant en l'espèce est l
ive des compartiments sensoriels centraux : la dégénérescence porte ' principalement sur les territoires des hémisphè
désignés sous le nom de centres d'association. Siemerling n'a-t-il ' '' pas dit que les fibres les plus résistantes
centripètes, se 'termine, dans l'écorce motrice (sphère tactile du ' ' corps de Flechsig) au niveau des cellules pyr
centripètes, se 'termine, dans l'écorce motrice (sphère tactile du ' ' corps de Flechsig) au niveau des cellules pyram
rosseur, et, dans l'écorce visuelle, au niveau des cellules nerveuses ' étoilées (Stzadien u6. d. Hirnrinde d. Afensche
étoilées (Stzadien u6. d. Hirnrinde d. Afenschelz. Bewengugsrinde, ' 1900.) Ce plexus manque dans les centres d'asso
1900.) Ce plexus manque dans les centres d'association de I'lechsig. ' ; ' L'écorce de la pariétale ascendante ne le p
0.) Ce plexus manque dans les centres d'association de I'lechsig. ' ; ' L'écorce de la pariétale ascendante ne le possè
cture se rapproche plutôt de celle de l'écorce d'associa- tion. » *" ' Eh bien, nous voyons dans la paralysie générale
gique, j' z la nature associative de la pariétale ascendante. >' ' · La paralysie générale typique, accompagnée ou
;' ' · La paralysie générale typique, accompagnée ou non de tabès, * ' '' se traduit par un processus dégénératif qui
ion de Flechsig; les centres sensoriels sont relativement épargnés. ' · Ces faitspathologiques militent en faveur de
e névrite optique; par ZACHER. (iyeu- rolog. Centrulbl., XX, 1901). ' ? ' ' c Ce foyer occupe exactement et exclusive
vrite optique; par ZACHER. (iyeu- rolog. Centrulbl., XX, 1901). ' ? ' ' c Ce foyer occupe exactement et exclusivement
ite optique; par ZACHER. (iyeu- rolog. Centrulbl., XX, 1901). ' ? ' ' c Ce foyer occupe exactement et exclusivement l
le sens ordinaire du mot, car il répondait généralement prompte- ' ment et correctement dans un ton enjoué, avec ass
- à envoyer aisément promener les gens; il perdait vite patience. ' Plus tard, il était devenu d'une douceur, d'une i
naire, compliquée d'hémorragies. Quoi qu'il en soit, il est impos- ' sible de la rattacher aux foyers de ramollissemen
ible de la rattacher aux foyers de ramollissement; il n'existe pas - ' ici de névrite optique descendante, et rien n'est
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. de concert avec les accidents ' cérébraux, d'abord penser à' une tumeur cérébra
ltaïque du vertige étant négatif, il y a une lésion bi-auriculaire. ' " "' Faciès de Sphinx dans la myopathie. MM.
ue du vertige étant négatif, il y a une lésion bi-auriculaire. ' " " ' Faciès de Sphinx dans la myopathie. MM. Gilbe
ont très raréfiés. L'affection était familiale et, fait curieux, le ' phénomène d'Argyll-ltobertson existait chez les t
à percussion automatique et graduée 1, se compose d'un petit mar- ' Cet appareil a été construit sur les indications
réflexe a lieu avec un contact d'une durée inap- préciable. - .. , ' . -- ' - -itt. i-e ,>} M. Dupont fait voir s
e a lieu avec un contact d'une durée inap- préciable. - .. , ' . -- ' - -itt. i-e ,>} M. Dupont fait voir sur des
i a son intérêt dans des maladies à marche lente comme le tabes.. * ' Cet appareil aura son utilité à l'hôpital et po
les photographies d'un cas d'hémiplégie avec aphasie sensorielle. - ' ' ' 111. Halipré envoie une observation de synd
s photographies d'un cas d'hémiplégie avec aphasie sensorielle. - ' ' ' 111. Halipré envoie une observation de syndro
photographies d'un cas d'hémiplégie avec aphasie sensorielle. - ' ' ' 111. Halipré envoie une observation de syndrona
es'aient été signalées cà et là antérieurement par quelques auteurs, ' date de la' communication de P. Marie au Congrè
aine une place à ceux qui l'avaient perdue par suite d'une maladie. ' III. Diagnostic des maladies de la moelle. Sièg
diteur.) Etant donné un malade chez lequel on a reconnu une maladie ' de la moelle, comment peut-on cliniquement déte
us-;S cussion de la 2e question : Les tics en général. Rapporteur : ' M. Noguès, de Toulouse. 2 heures, continuation
du président. Le soir, banquet du Congrès à par souscription..), v ' Dimanche 3. Excursion à la Mure ; retour en voi
erme ; 10 heures, visite de l'asile ; déjeuner offert par le Conseil " ' général ; 2 heures, séance à l'asile ; communic
nt - et séance; communications diverses. (Les dames ne sont pas ad- ' mises à l'intérieur du monastère). Excursion tr
lle de Saint-Bruno. Retour et coucher à Saint-Pierre-de-Chartreuse. ' ` ' Jeudi 7. Excursions au choix : 1° ascension
de Saint-Bruno. Retour et coucher à Saint-Pierre-de-Chartreuse. ' ` ' Jeudi 7. Excursions au choix : 1° ascension au
use. ' ` ' Jeudi 7. Excursions au choix : 1° ascension au Grand-Som ' (2 033 mètres d'altitude). Se munir de bonnes c
le Sappey. (Si un certain nombre de congressistes le désirent, une ' excursion aura lieu le vendredi 8, à Bourg-d'Oi
à l'excursion à la Y Chartreuse et à l'ascension du Grand-Som. ci- ' ' ' IL MM. les adhérents qui désireront profite
l'excursion à la Y Chartreuse et à l'ascension du Grand-Som. ci- ' ' ' IL MM. les adhérents qui désireront profiter
'excursion à la Y Chartreuse et à l'ascension du Grand-Som. ci- ' ' ' IL MM. les adhérents qui désireront profiter de
ont invités à - adresser directement, avant le 6 juillet, à M. le D' ' Régis, président du Congrès (154, rue Saint-Ser
- néral les titres des communications qu'ils se proposent de faire. ' ' IV. Nous prions MM. les congressistes qui ne
néral les titres des communications qu'ils se proposent de faire. ' ' IV. Nous prions MM. les congressistes qui ne no
in. wrMi',1 CONCOURS POUR l'emploi DE médecin adjoint >&** ' DES ASILES PUBLICS D'ALIÉNÉS .1 j- ... Le pré
té des ins- pecteurs généraux en date du 10 décembre 1901, arrête : ' Article premier. Un concours pour l'admission a
cérès, qui est exclusivement chargé de l'organisation du concours). ' ' Cette demande sera accompagnée de l'acte de n
rès, qui est exclusivement chargé de l'organisation du concours). ' ' Cette demande sera accompagnée de l'acte de nai
e des vacances d'emploi qui se produiront dans les asiles d'aliénés, ' les candidats déclarés admis seront nommés sui-
e déterminés par le règlement (logement, chauffage, éclairage) ! j" ' * 1 1 1 . rnR^. W wfn 1 , LES ALIÉNÉS EN LIBER
angereux, le Progrès de l'Eure du 13 mai relaté - le fait suivant : ' , , , , r ? ? '13 T- ', , « La gendarmerie a co
l'Eure du 13 mai relaté - le fait suivant : ' , , , , r ? ? '13 T- ' , , « La gendarmerie a conduit hier matin à Bern
jeté des pierres dans la porte, l'avait menacé de son fusil. » .... ' . '. Cet homme aurait dû être hospitalisé « dep
du 8 mai relate le fait suivant : « François Lecoeur, trente-six ans, ' ' journalier, à Sainte-Marguerite-de-Viette, a
u 8 mai relate le fait suivant : « François Lecoeur, trente-six ans,' ' journalier, à Sainte-Marguerite-de-Viette, a de
se livrer devant elle à des actes coupables. La jeune Charlotte Le- ' · puyader, quatorze ans, servante, revenait de
a promis de le surveiller. (Le Progrès de l'liure, n 10 juin 1902.) ' ' 1 , . .( )'" > <<(. VARIA. 75 Outr
promis de le surveiller. (Le Progrès de l'liure, n 10 juin 1902.) ' ' 1 , . .( )'" > <<(. VARIA. 75 Outrag
surveiller. (Le Progrès de l'liure, n 10 juin 1902.) ' ' 1 , . .( ) ' " > <<(. VARIA. 75 Outrage public à l
ecin de l'asile de Navarre (.P)'<wes6<'B ! t ? 'e, 13 mai). . ' ? W ? u : 4W . Le directeur DE l'asile DES alié
un an, plusieurs enfants sont tombés dans l'Elbe et s'y sont noyés. ' Elle a constaté que tous ces accidents sont dus
neuf ans, fils d'un balayeur de rues, dans le faubourg de Pieschen. ' Il y a trois jours encore, il a poussé l'enfant
é d'hygiène, fascicule I. In-8° de 500 pages. Mas- son et C ? édtt. ' Pi ? i (P.). L'epilessia. Eliologia. Patogenesi
-8" de 248 pages. Prix : 6 fr, FOEKSTER. Uie z ttzzcl pathologie de; ' coordination. In-8° de 316 pages avec G3 ligure
. Cendant le malade présente de gros troubles moteurs ainsi faits : ' ' a) La démarche est titubante ; les jambes son
Cendant le malade présente de gros troubles moteurs ainsi faits : ' ' a) La démarche est titubante ; les jambes sont
lièrement dans la Fig. 6. Paralysie du droit supérieur gauche. 86 ' ' CLINIQUE NERVEUSE. marche; le malade talonne
èrement dans la Fig. 6. Paralysie du droit supérieur gauche. 86 ' ' CLINIQUE NERVEUSE. marche; le malade talonne de
brusquement. Ces phénomènes ne se pro- duisent pas du côté gauche. ' f) 11 est impossible au malade de se relever to
t marqué pour le nerf de, la troisième paire gauche, moins net pour ' . celui de la troisième paire droite, les autre
° la nature de la tumeur; 2° les effets pro- duits par la tumeur. ' 1° Nature de la tumeur. -La tumeur estconstituéep
ns de recherche ordi- naires. Ii J. 9. 92 1) CLINIQUE NERVEUSE. ' , Au surplus, ce noyau cancéreux secondaire ser
sa naissance. Il avait des attaques épilepliformes avec écume de ' Achard et Soupault. Gaz. Ieebclon., 22 avril 1897
mois. La maladie est plus fréquente chez les filles et l'hérédité ' Raymond et Cestan. Soc. de Neurol. Séance du jeud
8. Un cas de tremblement essentiel con- génital (du type sénile). ' Thomson. Sur l'éliolorlie du spasme nulant avec .
pen- dulaires absolument analogues aux mouvements nystag- miques. ' - A. Nystagmus essentiels simples. Observatio
aussi un léger état de spasticité et de la trémuia- tion des mains. ' Ecriture du sujet à la date L'écriture du suj
e la tête. La mère raconte que le nystagmus aurait toujours existé. ' Les réflexes rotuliens sont notablement exagéré
comme atteints de TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNITAUX ' ]'Il sclérose en plaque fruste ? Cette opinion e
and'mère maternelle, âgée de soixante-onze ans est bien portante. ' Du côté latewzel Un frère du père est bien portan
s de strabisme. Emmétropie. Pas d'anomalies ni de lésions des yeux. ' TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNITAU
a sensibilité est normale. Les réflexes patellaires sont normaux. ' Examen des yeux. Le nystagmus et le tremblement d
s c'était le corps strié, la couche optique, enfin le cervelet et ' Etude sur le Nystagmus, Paris, 1869, TREMBLEMEN
héno- mène semble pouvoir être lié tantôt à un état de dépression ' Cité par Mosny. Manuel de médecine, Debove-Achard
ques, p. 613. 1 2 Loc. cil., p. 600 : 118 PATHOLOGIE NERVEUSE...* ' . tantôt à un état d'excitation des centres ner
con- firmation anatomique qui seule serait juge de la valeur des ' arguments que nous proposons, nous avons cru devo
aide et le trouvent, à la suite de l'attaque, en proie à un délire ' maniaque très violent. D'après les renseignemen
ût prématuré des macérations et les ramener aux jeux de l'enfance.. ' Son entrée au couvent. A l'âge de douze ans, Th
xion pendant quelques minutes ; c'est Archives, surie, t. XIV. 10 ' [46 REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQU
dépendance de la toxémie; par SirDvcE DucrwoRTa. ( L7ee .Toacravl o/ ' llelctcal Science, Avril 1901). L'auteur pass
. XXIV. Un cas de fracture spontanée : par Herbert SIIICER. (Tlte ' Journal of Mental Science, octobre 1901.) Il s'
'autre. Ce sont de véritables interférences de la sensibilité. < ' P. Keraval. REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
Maintenant, la folie. chez les juifs, se rapporte-t-elle à la race ' ? et. actuellement, la race juive est-elle pure
-elle à la race ' ? et. actuellement, la race juive est-elle pure'' ' ? Les recherches de Luschau sur les crânes de l
t se servir de cette expression, ils sont extrêmement plastiques. , ' Ils ne sont pas d'ailleurs une nation, au vrai
gard à leur sexe, et sont devenues bizarres et sou- vent perverses. ' De ces diverses circonstances est résulté le ré
iciels l'accroissement du nombre des cas de folie chez les juifs. ' R. de Musgravc-Clay. IX. Un arbre généalogique
sui- cide ; par J.-M.-S. Wood et A.-ri. Urquiiart. (1'lve Journal o/ ' Mental Science, octobre 1901.) Il faudrait po
ubles marqués de la sensibilité, pas d'altération des sphincters. ' En attendant que l'anatomie pathologique nous écl
été exploré, le malade étant daltoniste à l'égard de cette couleur. ' Le diagnostic d'hystérie fut porté nettement.
se joignaient des phéno- mènes de nature franchement anesthésique. ' * li. DE Musgrave-Clay. XI. Contribution à la
age mentale et le souvenir dont cette image est'au moins la base. . ' ' M. J. Philippe. L'image mentale et le souveni
e mentale et le souvenir dont cette image est'au moins la base. . ' ' M. J. Philippe. L'image mentale et le souvenir'
dié sept sujets appartenant tous à un milieu assez élevé (étudiants, ' artistes, médecins). M. Vallon voudrait savoir
'autres éléments de représentation plutôt sensorielles quementales. ' M. J. Philippe admet que, dans les éléments log
ont d'une permanence et d'une intensité comparables à ce que l'on ' voit dans les délires systématisés ordinaires. Il
ine de jours, puis le délire hallucinatoire reprend son activité. ` ' En avril et en octobre 1901, consécutivement à
tration, la médecine légale, la jurisprudence et la statistique ».- ' Enfin, une place fut faite à des questions d'or
éléments ont per- mis d'aborder la question des fous héréditaires. ' Au cours d'une discussion qui occupa plusieurs
nan, Garnier. J. Falret, Bail, Briand, Cotard, Christian, Ballet. , ' . Les questions touchant la classification ont
es faits à l'aide d'un seul ou d'un,petit nombre de carac- tères. » ' . ? En 1888, lorsqu'il s'est agi de donner l'op
malade est un bégayeur et il a de l'incontinence nocturne d'urines. ' Il existe dans la science un certain nombre de
sedow fruste ou d'une névrite pneumogas- trique alcoolique isolée ? ' M. Déjerine a vu plusieurs cas de névrite alcoo
ie dès le début au moyen du calomel, à haute dose, souvent répétée. ' '.41. 1)IJERINE. On voit un si grand nombre de
, et les Aliénés et les asiles d'aliénés (Paris, l3aillière, 1890). ' ' Malgré leur importance et leur nombre, ces di
et les Aliénés et les asiles d'aliénés (Paris, l3aillière, 1890). ' ' Malgré leur importance et leur nombre, ces divers
président de la Société'de médecine légale de France (1893-1894). ' Mais Jules Falret n'était pas seulement un savant
e profondément humanitaire du patronage pour les aliénés indigents ; ' Jules Falret consacra à cette oeuvre le meilleu
il eu fut pendant trente années la cheville ouvrière, et il' a 184 ' BIBLIOGRAPHIE. contribué plus que personne à la
a de son devoir de- rester dans les plus grandes réserves. E. Blin. ' BIBLIOGRAPHIE. 185 V. Essai l'usile de Pau du
me, coup de chaleurs sénilité ; 6° considérations médico-légales. - ' ; 1 .. ' 1 .. , A. MARIE ? ,, varia : 18 ? 1
chaleurs sénilité ; 6° considérations médico-légales. - ' ; 1 .. ' 1 .. , A. MARIE ? ,, varia : 18 ? 1 VIII. Gui
rendre les plus grands services au gynécologue et à l'électricien. ' VARIA. Les alcooliques. Fureur alcoolique.-
esté cinq jours sans manger ! (Indicateur de Cognac, 9 mars 1902.) , ' LE sang humain contre l'épilepsie (VIII, 648).
t les a préservées de l'épilepsie pour toujours )) t. 11, p. 749. - ' . ' , La phrase de Franck fait boire à un épile
s a préservées de l'épilepsie pour toujours )) t. 11, p. 749. - ' . ' , La phrase de Franck fait boire à un épileptiq
que médicale du 1 ? mai 1902.) " * Dr DAuviN (Saint-Nazaire). 190 ' VARIA. LES Aliénés EN liberté Désiré Boucheri
e la clinique psychiatrique 1 de Moscou. Et Pierre G1NNOUCIIIINE. ' Le nombre des malades qui ont visité la salle d
s venons de citer, relatifs, nous aurons les résultats suivants : ' paralysie générale. ' 195 du nombre des hommes
elatifs, nous aurons les résultats suivants : ' paralysie générale. ' 195 du nombre des hommes paralytiques au nombre
tre années nous aurons les résultats suivants : Tableau III 196 ' CLINIQUE mentale.. du nombre des femmes paralyt
s allures revêtent quelque chose de niais, d'enfantin, de gauche. ' , .Observation V. Louis R..., âgé de quatre-vingt-
et même davantage. Souvent aussi la période menstruelle est inter- ' Voir pour un historique complet de la question le
r- ' Voir pour un historique complet de la question les deux thèses ' suivantes : Conard (Du sein hystérique, Paris 1
r-1 miné, a causé raisonnablement avec les jeunes filles couchant ' dans la même chambre; n'a pas pu s'endormir, est
uche est toujours un peu plus gros que le droit. Même Pig. 3. 234 ' RECUEIL DE FAITS. état général; s'alimente cepe
région du mamelon, des picotements plus ou moins considérables. » ' Lannelongue. Article Mamelles. In Dict. de médeci
hysiologie). In Diction encyclop. des sciences médicales, p. 379. ' Depaul et Guénot. Article Menstruation. In dictio
arler dans ce sens. L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE Par le Dr ROUBY1 ' r (Suite) 'HALLUCINATIONS hystériques. - Ma
a même façon : aussi conservons-nous pour ces sortes d'hallucina- ' lions la désignation de Baillarger, hallucination
en lui. Je ne pouvais comprendre pourquoi cet aimable Sauveur ne se ' découvrait à moi que peu à peu, puisqu'il devai
n venir à bout, tant sa blancheur et son éclat surpassaient tout ce ' qu'on peut imaginer; ce que je voyais paraissai
stion ; on tourne son imagination du côté de Satan, il va paraître. ' « Cinq ou six grands serviteurs de Dieu, écrit-
s si grandes de l'enfer auxquelles tant de personnes s'exposent ! » ' Cette description de l'enfer qui consiste à êtr
la frayeur va jusqu'à faire dresser les che- veux sur la tête. » ' (A suivre.) SOCIÉTÉS SAVANTES. XIIe CONGRÈS
ouré de M. le Dr Régis, de Bordeaux, président du Congrès ; M. le D' ' Gilbert Ballet, professeur agrégé de la Faculté
s confrères du corps médical grenoblois, si distingué et si réputé. ' Merci enfin à tous qui, par leur présence à cet
fréquemment applaudi de M. le Dr Régis. Séance du 1er août [soir). ' Après avoir visité l'Hôtel de Ville, le Musée,
moelle et ceux du cerveau, du même point de vue que ceux du eoeM ? ' , du rein ou du foie : là ou vos prédécesseurs p
te, n'a-t-elle pas précisément pour devise : , Veritas liberabit. ' Messieurs, Je ne veux pas retarder plus longtem
ventif. Hydrothérapie froide, pour combattre les causes déprimantes, ' physiques et morales. Lutte des anciens, pour f
des auto-intoxications dans les états anxieux. sociétés savantes. ' 253 Au sujet de la même question, M. Samuel GAR
ts directs ou collatéraux des'malades au- cune tare névropathique ; ' La troisième, 21 cas, où les ascendants directs
une exagération, tantôt par une suspension à peu près complète des ' tics. Les exemples de ces deux modes de réactio
ccentuait à mesure que l'état physique général s'amendait lui-mêmc. ' Que penser d'un cas de ce genre ? Evidemment, i
très bien avoir son centre. chez l'homme, dans la région cérébrale. ' M. Ballet (de Paris). Au cours de cette discuss
alade de M. Obreja n'appartient pas à l'une de ces catégories. J'ai ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 273 souvent observé des para
me parait nécessaire pour réaliser définitivement, pour stéréotype] ' , comme on l'a dit justement, certaines expressi
Conduit au commissariat de police de la rue d'Astorg, cet indi- 284 ' VARIA. , vidu, qui paraissait très exalté, a dé
sse. Krafft-Ebing est un clinicien et un orateur remarquables : son ' habileté à interroger les aliénés, la facilité
en pension chez ces tortionnaires. La justice ouvert une enquête. - ' FAITS DIVERS. Asiles d'aliénés. Nominations e
in-adjoint à l'asile d'aliénés d'Auxerre en remplacement de M. le D' ' Bonne, nommé à t3raqueville (Haute-Garonne), po
e caaclère. In-18" de 300 pages. Prix : 4 francs. Doin, édit. , - ' Muggia. Un Lumore délia base clel cranio. In-8° d
délia base clel cranio. In-8° de 12 pages. Estrat- to dalla 7{ ! /b) ' )KC medica. Roma. 1902, Falli typogr. Robin (Eug
nervensyslems zu den llirânenorganen 2cr birzcleltaul tzzzcl sur Ao; ' ? t/ ! aM<. lzazzclbuch friu nerven-und auge
pas lieu d'un aliéné à un individu sain d'esprit, de même que la ' Legrand du Saulle. Du délire des persécutions, ch
es deux individus est l'élément actif; plus intelligent que l'autre, ' il crée le délire et l'impose progressivement a
et- dans la constitution névropathique 2, dans la prédisposition, ' Régis, thèse, Paris, 1880. larancloii de llonty
nt de découvrir des différences entre les sujets, dont l'un, plus ' intelligent, sans être toutefois l'agent provocat
' intelligent, sans être toutefois l'agent provocateur, dirige en ' Baillarger, loc. cil. Régis, thèse, p. 22. 29
bricant de soieries en province, il devient 296 , CLINIQUE MENTALE. ' marchand de confections à Paris zig). Là encore
se laissent réprimander par elle et lui passent souvent la parole. ' Elle a été, des trois, la seule indépendante. P
tous les points de l'auditoire.elle surveille l'effet des paroles. ' De son aveu et de l'aveu de ses soeurs, c'est e
Annette. Non, je l'avais proposé. C'est Clotilde qui n'a pas voulu. ' (A Suivre.) Dans notre prochain numéro, nous ra
malades dans les hôtels et nous terminerons par quelques remarques. ' Assistance DES idiots. Un imbécile cettre. Da
six ans ». * Loin de s'améliorer dans les jours qui suivent l'entré^ ' l'état mental semble plutôt s'aggraver : l'agit
jour il affirme qu'il est ici depuis dix ans. 308 RECUEIL DE FAITS. ' ' - Le 20 décembre, nouvelle attaque épileptifo
ur il affirme qu'il est ici depuis dix ans. 308 RECUEIL DE FAITS. ' ' - Le 20 décembre, nouvelle attaque épileptiform
che. Pas de lésions circonscrites. Pas d'athérome artérielle. 310 ' RECUEIL DE FAITS. Poumons, rien de spécial. Coe
les températures rectales correspondantes. 312 RECUEILS DE FAITS. ' cette affection; 3° Produire une paralysie géné
qu'il me semblait qu'on m'arrachât l'âme; mais ces grands trans- ' Voir 11» So, août 1902, p. 124, 110 Si, septembre
hé- rèse, la Transverbératioll. de son coeur, c'est-à-dire la plaie ' 3 1 6 l'hystérie DE SAINTE THÉRÈSE faite par
science doivent prendre la place de toutes les folies religieuses. ' Le 15 décembre 10 j. Vallée des Consuls (Alge
E LANGUE FRANÇAISE Tenu et Grenoble du 1 ? au 7 août 1902 (suite) ' . Séance du 4 Août 1902. Visite de l'Asile de
des goitreux va progressivement en diminuant. -Au 30 avril 1902, - ' Nous empruntons une partie de ces renseignements
retrouver ici son 328 SOCIÉTÉS SAVANTES. ancien maître, 11, le D' ' Afottet. II lève son verre à 111. le préfet, à
e préfet, à M. Dubost, à M. Bonnet, à 111. Gex, à M. le D1' Mottet. ' ill. Gex dit que c'est un honneur et une fête p
illes, . 1)s omrmmes délirants, Nous avons connu les merveilles ! ' - Le vin qu'on doit boire à genoux, Vous le s
an, ils n'ont pas eu de nouvel accès; 2 sont encore actuellement en ' traitement; le cinquième a succombé en état de ma
tance et l'Education soient rendues obligatoires pour les anormaux; ' « Que, transitoirement, l'Etat, les département
munication, ainsi que celle de M. le D1' Courjon SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 341 (de Meyzieux) au Congrès de 1901 de V Assoc
ps, il montrait son nez pour sa tête, son pied pour sa main, etc. ' Rapport à la Chambre des députés en 1889. 342.
nde, il s'en va en pleurant (5 photogra- pliies =.1897-1901). , , ' Prov... (Edmond), neuf ans. Est entré dans le ser
de plus en plus embarrassé, fait espérer une amélioration à douze ' « M. Bourneville, dit M. Courjon (loc. cil.), a r
Ces retards ont diminué les 'chances d'amélioration et de guérison. ' Nous nous bornerons à ces renseignements et à c
. ' Nous nous bornerons à ces renseignements et à ces conseils pra- ' · tiques, espérant que joints à ceux que nous a
lus solide et plus vraisem- blable que chez les débiles précédents. ' Les débiles moraux, égoïstes, mystificateurs et
re le rôle du subconscient dans le mécanisme de l'auto-accusation : ' . Il s'agit d'un débile mélancolique qui, au co
nier n'avait joué cette comédie que sur les conseils de son avocat. ' M. Vallon. A mon avis, la recherche de la toxic
bords indécis. Chez vingt-deux malades, ces deux aspects sont des ' états préliminaires de l'atrophie papillaire. C
ntribution à l'élude des localisations cancéreuses sur le système . ' nerveux périphérique. MM. J. Obertiiur et A. Mo
ement et cliniquement des polynévrites cancéreuses d'ordre toxique. ' V. Les nerfs crâniens peuvent être atteints dan
s la tumeur avait une marche bien plus envahissante et destructive. ' Les éléments essentiels sont toujours des cellu
vrogliques liées à des processus d'inflammation chronique banale. ' Il ne faudrait pas par un véritable abus de langa
ent; formations angiomateuses). Insistons sur. - SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 365 une dégénérescence spéciale, développée aux
s d'épilepsie jalisonuienne ; hémiplégie flasque persistante). Leur ' évolution symptomatique générale rappela plutôt
- qui peuvent contenir un certain nombre de cylindraxes intacts. ' M. Brissaud conteste le fait qu'une section médul
ontact a persisté jusqu'à la mort. La lésion élait donc incomplète. ' M. de Buck s'appuie sur les arguments invoqués
he ses ligaments et déchire ses muscles, sans même s'en apercevoir. ' ' 378 . SOCIÉTÉS SAVANTES. C'est à ce titre d
es ligaments et déchire ses muscles, sans même s'en apercevoir. ' ' 378 . SOCIÉTÉS SAVANTES. C'est à ce titre de st
gnostic, et l'examen histologique a montré les lésions cérébrales. ' hépatiques, rénales de la maladie. L'anamnèse a
, En résumé : 1° la tache blanche, indice de la circulafion locale, ' , permet de distinguer la rougeur par paralysie
. Le délire des négations de Cola2-(l it'esi-il syi ? cll,olîie ? ' 31. Castix (de Montdevergues), dans une communica
coeur suivant l'opinion de Short Lunier et Feré. SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 391.. u Sur le signe pupillaire cl'lrgyll-Ro6er
, 11111. CI : ST1N et DUPUT-DUTEIfP3. Depuis trois ans, les auteurs ' ont recherché la réaction de la pupille à la lu
ont recherché la réaction de la pupille à la lumière chez tous les ' malades ayant fréquenté la clinique Charcot. Il
étiques ni des paralytiques géné- raux, étaient tous syphilitiques. ' Peut-être existe-t-il des cas de névrite inters
. Rapport médical, pour 1901, sur l'asile public de Saint-Robert, ' parle D1' J. Bonnet, médecin en chef. - Nous av
uné naîtra faible d'esprit, imbécile ou idiot, comme 1 Voir p. 326. ' ' 396 bibliographie. , d'autres naissent infi
é naîtra faible d'esprit, imbécile ou idiot, comme 1 Voir p. 326. ' ' 396 bibliographie. , d'autres naissent infirm
s à l'hôpital, on éviterait leur décès dans un asile d'aliénés. o - ' Cette remarque est très juste; une pratique aus
mère se noya à son tour. (Bonhomme Normand, du 12 au 18 juillet). ' Une fortune qui flambe. Il y a quelques mois, M.
902.) Une femme d'Ecquetot (Eure), âgée de cinquante-cinq ans; la ' veuve Citéron, journalière, ayant déjà donné des
ues jours l'idée fixe de tuer sa mère. Pour échapper à cette obses- ' sion, elle tenta de se noyer dans l'Albanne, à Ch
ée chez elle, elle se donna deux coups de couteau. Elle a succombé. ' · UN fou. danger eux. M. Martin, secrétaire d
mal, sur une croix de pierre, au bord du chemin.. ; - Admirable ! ' ' ' - Cette vengeance n'est point banale et la
l, sur une croix de pierre, au bord du chemin.. ; - Admirable ! ' ' ' - Cette vengeance n'est point banale et la ca
sur une croix de pierre, au bord du chemin.. ; - Admirable ! ' ' ' - Cette vengeance n'est point banale et la caus
irectrices, et des obsessions; de leurs rapports dans les délires ' vésaniques ; Par ALFx. AtIS S Médecin de l'As
vec elle. Ces circonstances déterminent le place- ment à Maréville. ' , Etat au moment de l'entrée (fin mars) : J...
jamais rien fait de mal à leur âge qu'auraient-ils pu faire de mal ? ' ? Pourquoi est-on contre nous comme çà ? » Malg
it avoir trouvé, l'accalmie relative qui persiste ensuite : voilà ' 1 S11Gus. Leçons cliniques sur les maladies menta
'étant pas un domicile, on ne pouvait se servir de notre nom (sic). ' Dans les voitures, nous étions chez nous et la
e a sucombé n'était pas la forme consomptive (pneu- monie caséuse). ' , Au début de la période aiguë, ses deux soeurs
fils avait mis le feu et on dut employer la force pour les emmener. ' En résumé : délire communiqué par la mère à son
e la malade et l'entrée. Détails sur les attouche- ments paternels ( ' ? ). Versatilité du caractère. - Evolution de la
a moindre indisposition, ni syncopes, ni malaises d'aucune sorte. ' M. le Dr Viel nous a écrit que Tar... (Louis) (Ha
de l'année Albertine, dont nous aurions voulu faire une infirmière ' , est pla- cée comme bonne chez 141 ? B., où ell
t de véracité, et de l'instinct de propriété (mensonges et vols). ' ce sujet, il nous revient à la mémoire le cas d'u
e se plaît à le dire, puisque la visite faite par le D1' D..., le D' ' Chaslin et nous-même, a constaté l'intégrité de
ttention du patient. Celui-ci finit en effet par s'apercevoir qu'il ' Nous avons eu l'occasion de faire suivre les cour
u fréquente et guéris par la gymnastique méthodique de l'attention. ' 0 IL C. XXII. Sur les atrophies musculaires pro
acro hystériques et acro-épi- leptiques et quelquefois le diabète. ' R. C. XXV. Un cas d'hémianopsie hystérique tran
aladie, il faut t mentionner spécialement, en outre, du pneumocoque, ' le ménin- gocoque de Weichselbaum, que M. Nette
ation probable, causée par une chute sur les pieds ou sur le siège. ' Archives, 2e série, t. XIV. 28 434 REVUE DE P
hystérie droite et sur l'hystérie gauche ; par le P RAYMOND et le 1) ' Janet. (Revue neurologique, décembre 1899.) B
lus on pourrait dire : trois anesthésies à gauche et deux à droite. ' De plus, cette statistique montre une prédomina
n ou une intoxication concomitante. 4° Des paraplégies hystériques. ' E. B. XXXV. De l'asynergie cérébelleuse ; par l
a- tion de la sylvienne et ayant déterminé sans prodromes un coma ' brusque avec hémiplégie droite, aphasie, phénomèn
laquelle ce traitement sera le plus utile est la manie aiguë d'ori- ' gine suffisamment récente et sans complication
inée à ouvrir la voie à d'autres observateurs. IL DE MUSGRAVE-CLAY. ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 441 II. Le séjour au
taillée de la question et 18 nouvelles observa- tions personnelles. ' Conclusions. 1° L'alitement des aliénés n'est p
de nouveau que leur application si elle venait à se réaliser. - - ' R. de IUSGRAVE.CLH. V. Traitement moderne de la
ment couchés les malades excités, surtout les malades dits furieux. ' Mais l'expérience apprend que les malades, même
e- cins-répartiteurs, et médecins en chef en 1879. - H. DAGONE'r. ' " 453 En 1877, des conférences cliniques de pat
étranger restera dans le souvenir de tous les psychiatres français. ' II. Dagonet ayant voulu reposer en terre lorrai
l'extension de la tuberculose que sur 56 décès (en 1901), il n'y a ' BIBLIOGRAPHIE. 457 que deux cas de tuberculose,
carême à la Salpêtrière. Nous avons eu l'occasion, l'an der- 462 ' VARIA. nier, de décrire la matinée dramatique s
lisons dans la Gazelle des Bains de mer de Royan du 14 septembre : ' « Le paisible quartier de Saint-Pierre a été mi
pparaît, nous causant du plaisir ou du déplai- sir selon sa nature. ' Il n'est personne qui n'ait éprouvé ce phénomèn
distraire et nous forcent, comme vaincus, à les accepter un moment. ' Puis, par un effort de volonté, on peut se repr
l'état normal, avec au contraire une angoisse douloureuse qui la ' rend irrésistible à l'état pathologique. » cc P
côtés faibles; on les juge seulement sous leurs dehors trompeurs, ' on excuse facilement leurs bizarreries de caractè
devient plus redouté. Ce n'est encore là que la phobie systématisée, ' à manifestations purement intermittentes. Mais
stiques de l'angoisse-se retrouvent toujours à un-degré quelconque. ' Mais en général autant l'obsession tend à s'int
incisions multiples, drainages, lavages, pansements antiseptiques. ' Le 30 décembre, l'écoulement purulent, très abo
uche, de cinq centi- mètres environ de largeur totale en tous sens. ' Un stylet introduit avec précaution par l'orifi
sont recouverts et unis par des fausses-membranes peu résistantes. ' De ce qui précède, s'impose le diagnostic de pn
uvent ainsi d'ailleurs. Cela a été constaté à plusieurs reprises '. ' 1 Cette péricardite est souvent une découverte
s'exciter et à s'agiter. Il répond assez volontiers aux questions . ' L'orientation de l'épingle ne permet pas d'admett
llement polymorphe, et en l'absence de toute indication, la cause ' V. von Israfft-Ebing, Traité de Psychiatrie, p. 3
nc une véritable solution de continuité de la barrière épithéliale. ' 3° A cette invagination se rattachent intimemen
gliques immigrées dans la par- tie la plus postérieure de la moelle, ' de chaque côté du septum. - 4° Outre cette inva
comparative à la fatigue avant et après l'application de l'aimant. ' AI. II. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. X. Intro
enne méthode de division non seulement admissible, mais nécessaire. ' Dans l'étude des enfants de mentalité défectueu
e cours des affections cardiaques, par A. ZEDERUAUM. (The t1'eea 7o) ' /L médical Journal, 27 juillet 1901.) Après av
réelle ? E. B. XX. De l'épilepsie consciente et mnésique ; par le D' ' .Minier. - (rinnales médico-psclcologi2ces, fév
des jeunes gens. Contribution à l'étude de l'hébéphrénie ; par le D' ' Christian. (Annales médico- psychologiques, jan
est uni symptôme qui ne manque jamais, c'est la tendance impulsive, ' l'impulsion soudaine. La démence précoce peut
e sa folie avant les accidents termi- Ancmvrs, 20 série, t. XIV. 34 ' 530 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. naux, M. Ire
tre, ce sont deux effets d'un même état du système nerveux central. ' Un cas de paralysie radiculaire supérieure bila
partie droite de la protubérance. Sclérose en plaques familiale. ' nI. HmssAUD présente un malade de cinquante-tro
tensité. Méningite cérébro-spinale ci forme de syndrome de Liltle ' et de pseudo-bulbaire. MM. HUET et SICARD rappo
nt, et l'on connaît la rareté de telles observa- SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 537 lions. 11 ne semble pas que l'on puisse inv
aliénés, tous peuvent d'un instant à l'autre, devenir dangereux. ' 11 y a chaque année dans tous les asiles quelques
aux préfets les avantages de la fabrication du pain par les asiles. ' B. XIII. De la démence précoce chez les jeunes
ndais. Suicide du meurtrier. G[t01r<GUK, 27 septembre. A Veendam, ' dans la province de Groningue, le maître d'école,
(Le Petit Bleu, 3 novembre 1902). AVIS ANOS ABONNÉS.Z'ëc/tëce du I" ' 1V7 ? étant l'une des plus importantes de l'ann
\ti- irouroux et Juquelter, 173. Voir Obsessions. Le des néga- ' Lions de Cotard n'est-il qu'un syn- I diome, pa
ian, 518. De la - précoce chez les jeunes gens, par - Méeus, 542. ' (le Grèzes, -10 i Dépression KÉnATtOCE et éta
ude de l'état et du développe- ment des cellules nerveuses de l' - ' chez quelques vertébrés - nouveaux-nés, par Sot
ce hépatique. Voir Délire. Juif aliéné, Le -, lettre ouverte au 1) ' Beadles, par Benedik, 154. Korsakoff (de). Cont
, par Adamkicwcz, 148. De la- à l'aimant, par 17éi-(, 506. SERUMS ' toxiques. Action des sur l'écorce cérébrale du'
et Delherm, 533. Trichotillomanie. - Voir Paralysie générale . ' Trophonévrose IléMiati-OPIliClUe to- tale et
383. Cal rière, 432 Caskey, 100. Castaigne, 427. Castiu, 330. ' Cestan, 81, 179, 364, 391. Cliarvet, 437.
Laurent, 519. Leeper, 153, 50r. Le Menant des Clies- nais, 279. ' Legrain, 344. Lemeste, 539. Lenob1e,901.
4. Z Sikora. 433. Simpsons, 446. Souhlauo(1; 150, 193. 438. ' Souques. 427, 433. Spicer, 148. Stéfanowska
15 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
? On l'ignore complètement. Provisoire- Arciiives, 21 série, t. XI. ' ' '1 1 2 REVUE CRITIQUE. ment, on doit songer
On l'ignore complètement. Provisoire- Arciiives, 21 série, t. XI. ' ' '1 1 2 REVUE CRITIQUE. ment, on doit songer,
théorie de Leyden ou théorie sensitive du tabès 2. A l'influence du ' Leyden und Goldscheider. Die Erkrankungen des Rûc
laysio- logie der Tabès. Zeitschr. f. klin. llediziu, XXXV, 1891. ' Frenkel. Die Ursachen der Ataxie bei der Tabès do
ainsi l'ataxie des tabétiques, car il s'agit bien d'une lésion des ' E. Hering. (7e&e ? 'een ? pee<a.x ! e beim
eim Menschenund beim Affen. Neurol. Centralbl., 1897, 1077--[094. ' H.-E. Hering. Das llebeplzüzzoznezz beim Frosch u
observa, comme l'avait vu Mott et Sherrington, que l'animal nepou- ' Cf. Margulies. On sectionna à un singe toutes les
it point. Comme ce singe devait servir à d'autres expériences, il ' Jules Soury. Le Système nerveux central, structur
ne dégénération des cordons postérieurs, et des parties de ces cor- ' Cf. A. Biclcel. Ueber Einfluss der sensiblen Nerv
155, 166, etc. et 400. Le Système nerveux central, t. II, 962-3. ' Obersteiner. Die Pathogenese de)- Tabes dorsalis.
sont les prolongements 121l ? ,antédi(Ilaii-es des racines pos- /e') ' : 6M)'M. Les fibres endogènes de la moelle ou ne
ge. Aus dem. Laborat. von Prof. Obersteiner in Wien). lena, 1897. ' Laehr. Ueber Sezsibilitütsslrtezgez bei Tabes dor
région motrice de la moelle épinière reçoit des collatérales pro- ' Cwald Hering. Ueber cenlripelale Ataxie. Prag. me
s. 1 Dans deux cas de lèpre étudiés par E. Janselme et Pierre Marie ' , les lésions du système exogène étaient au mini
nnes de Clarke, sont très vraisemblablement d'origine endogène. » ' Sur les lésions des cordons postérieurs dans la m
- nes après. » J. Séglas, dans sa thèse, inspirée par Bourneville ' , rapporte trente-quatre observations ayant trai
au cours de la pyrexie. Dans le service de notre collègue, M. le D' ' Toulouse, des recherches ont été faites par M.
bruits cardiaques sont sourds, le pouls est à 125. Le 2, même état. ' Le 3, la température atteint 41°, à à neuf heur
EIGNEMENT Les Cliniques psychiatriques des Universités allemandes ' ; Par le D' Peul SÉRIEUX, Médecin des asiles
ants de cette étude sur les cliniques psychiatriques d'Alle- magne. ' Nombre de ces établissements. Leur nombre est é
centre universitaire dont le matériel clinique, les laboratoires, ' Voir Archives de Neurologie, 11-- 57, 59 et 60, t
ur l'organisation des cliniques psychiatriques et des hôpitaux de ' Il faudrait encore parler des progrès considérabl
quirol. Traité des maladies mentales, 1.11, p. 404. Paris, 1838.) ' Griesinger. Weiteres uber psyclzialrische Klinilc
r le domaine qu'il a choisi. Pour cela il lui faut non seulement le ' La durée moyenne du séjour des malades est la sui
: Berlin, 20 jours ; Breslau, 70 jours ; Wùrzbourô, 73 jours. 32 ' , ENSEIGNEMENT. matériel clinique indispensable
à l'asile de Nietleben, à la Charité de Berlin. En 1880-1883, le D' ' Paetz fait construire à Alt-Scherbitz, le premi
à Alt-Scherbitz, le premier pavillon de surveillance spécialement ' Parchappe. Des principes à suivre dans la fondati
essants sur certains appareils en usage à la clinique de Gies- sen. ' « M. Sommer, dit M. Ladame, attache une grande
. En attendant, nous avons pu nous convaincre de l'importance des ' Voir le Bulletin de la Société de médecine mental
ns vertical, en haut et en bas, horizontal, en arrière et en avant. ' Kurze Mittheilung ùber stereoscopische Portrat-Au
- clirift sur Psychologie und Physiologie der sinne, XVI, p. 175. ' Ladame. Une visite à la clinique psychiatrique de
rW. Henry KE5TEVEN. (Tlte Journal of Mental Science, juillet 1897.) ' L'auteur définit l'habitude : « Une action nerv
bi- tudes mentales, qui pour être de nature subjective et peut-être ' même inconsciemment pratiquées, n'en peuvent pa
cas graves et surtout dans ceux ! 1 qui s'accompagnent de stupeur. ' Cette rigidité a ceci de particulier qu'elle se
eur basée sur l'étude de 16 cas traités par lui dont 3 autopsies. ' Voir les 11-- 57, 58, 59 et 60. SOCIÉTÉS SAVANT
ne prédominent pas spécialement dans les cordons postérieures. 68 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. Quant aux lésions purement s
tibilité spéciale de la moelle vis-à-vis des agents d'intoxication. ' Souvent le -début de la maladie peut manifestem
t lui-même que le, résultat de la fixation en ce SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 71 point et de l'exacerbation de lésions inflam
s altérations des cellules cordonales dans la sclérose des cordons. ' De l'étude des faits et de cette considération
s). Séance de l'après-midi. Présidence de MM. LADAME (de Genève), ' l3auc (d'Edimbourg), Contribution à l'élude de
. d'affaiblissement général ainsi que quelques douleurs vagues et ' Voir : Du Phénomène des orteils et de sa valeur s
l3ullel. el nzézn. de la Société de ? hôp. de Paris. 21 oct. 1898. ' Journal of nervous and mental diseases, 1899, Mar
grave et durable du nerf sciatique poplité externe (nerf péronier). ' j Des cas analogues ont été observés par Kocher
us de myélite. Archives, 2° série, t. Xt. 6 82 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' Comme traitement causal, j'ai employé le sérum
de se faire une idée nette sur le début du tabès à ce point de vue. ' M. Touche présente une pièce d'hémorragie céréb
rationnelle et l'on voit qu'elle a abouti à un très beau succès. ' 111. Voisin. Dans le cas de M. Aubeau, la symptom
vaso-moteurs donne la clef de ces succès thérapeutiques; elle ouvre ' Il est probable qu'il ne s'agit pas là d'idiotie,
mp très vaste pour les applications futures de la psychothérapie. ' M. Bérillon. Dans les prétendues guérisons de can
muscles delà face expriment particulièrement la douleur. surtout ' Voir ce sujet le livre de Charcot : La /b : qui g
evés par la poste, et nos abonnés n'ont i-iegi et paye· en SMS du ' prix de leur renouvellement. Nous leur rappelon
ortent- ils un ensemble de particularités communes qui permettent ' Aux faits qu'a récoltés M. Soukhanoff dans la lit
ssion, trente-trois cas de folie gémellaire connus jusqu'à ce jour. ' Archives, 21 série, t. XI 7 98 CLINIQUE MENTA
l'avait déjà indiqué, que dans un certain nombre de cas, la gros- ' Société obstétricale de Paris, juillet 1879. DE
e, un certain nombre de jumeaux dont je résume ici l'observation. ' Académie de médecine, 23-30 octobre 1900. À A C
» . Cette assertion qui flatte l'appétit du merveilleux qui som- ' J. Christian. De la démence précoce des jeunes ge
té à peu près Fig. 3. - Célestine G... 106 CLINIQUE MENTALE.. 1 . ' en même temps que celui de sa soeur. C'est une
aux éclats d'un air bêle quand on lui adresse seulement la parole. ' Peu à peu son intelligence s'est affaiblie; act
ait atteint d'une maladie de langueur. Il a eu une soeur aliénée. ' La mère est morte à soixante-six ans de variole h
pond à peu près cor Fig. 5. a. Constant T... b. IIenri T... 112 ' CLINIQUE MENTALE. ' rectement aux questions qui
Fig. 5. a. Constant T... b. IIenri T... 112 ' CLINIQUE MENTALE. ' rectement aux questions qui concernent sa vie p
é; il était alors d'une incohérence complète qui diminua peu à peu. ' Actuellement, Henri T... est calme et travaille
s. REVUE CRITIQUE. Anatomie et physiologie pathologiques du tabès ' . (Doctrines de l'école de Vienne contemporaine
faisceau cérébelleux direct. Marinesco a trouvé que, dans le tabès, ' les colonnes de Clarke présentent certaines alt
prolifération nucléaire v. Redlich observa, avec de l'intumescence ' K. Schaffer. Das Verhalten der Spinalganglienzell
capables de provoquer les dégé- nérations des cordons postérieurs. ' ' Emil Hedich. Die hinleren 11'ezr : ,ehz des B
ables de provoquer les dégé- nérations des cordons postérieurs. ' ' Emil Hedich. Die hinleren 11'ezr : ,ehz des Bilck
atho- logische Anatomie der Tabes dorsalis. Jahrb. f. Psych., 1892. ' 118 REVUE CRITIQUE. des tabéliques avec la co
elques-unes qu'on puisse considérer comme décidément pathologiques. ' La substance chromatique, le substratum de la c
enzellell. 2. Mittheil. Fortschrute der Medicin. 1897. 1\ 15 et 16. ' ' 8111 ! e allerazioni délie cellule 1 ! eI'l'o
llell. 2. Mittheil. Fortschrute der Medicin. 1897. 1\ 15 et 16. ' ' 8111 ! e allerazioni délie cellule 1 ! eI'l'ose d
moelle tabétique dont le sujet avait présenté une atrophie muscu- ' Ch. Schaffer. Sur l'origine de l'amyotrophie tabé
les de cette diminution de vie. Otto Juliusburger et Ernest Meyer ' témoignent être arrivés aux mêmes résultats que
. cellule d'origine sur ses prolongements est hors de doute. » Et ' l3eilrttg zur Pathologie der Spinalganglienzelle.
- raîtront des éléments qui, sous l'action continue des excitations, ' anormales, se trouveront être capables de suppo
cellule succombent et meurent, tandis que d'autres survivent et 124 ' REVUE CRITIQUE. ' continuent d'exister '. Voilà
et meurent, tandis que d'autres survivent et 124 ' REVUE CRITIQUE. ' continuent d'exister '. Voilà comment ces auteu
- ration des cordons postérieurs semblable à celle que réalise le ' Cf. W. Roux. Ver Kampf der Theile iiii 0) ? a)) !
e dans les cas de lésion combinée de ces cordons. Les cordons anté- ' rieurs des pyramides n'étaient que très raremen
ù ces cordons avaient dégénéré au cours de l'affection cérébrale. » ' , Quelle que soit la cause des altérations dire
blable, nous ne pensons pas que ce soit vrai (Ramon y Cajal). , ' Ed. Hitzig. Ue&et'/t'Mma/MC/fe Tabes und die
abes und die l'alhogellese der Tabes im Alloemeillell. Berlin, 189" ' 1 Leyden a de plus en plus incliné à croire que
iné à croire que le tabes est d'origine périphérique (1894-1897). ' Voir la liste bibliographique de ces auteurs et d
eurs et de leurs travaux dans Redlich. loc. ci ? p. 1 53. 128 . . ' REVUE CRITIQUE.. - : Mais continuons la démonst
la dégénération des racines postérieures; l'atrophie des cordons ' Il n'est pas exact de compter Redlich au nombre d
REVUE CRITIQUE. : - . postérieurs pouvait d'ailleurs' dériver aussi, ' selon' lui, des lésions cellulaires de la moell
, des produits anormaux d'échange se forment dans l'organisme qui ' Obersteiner u. Redlich. Ueber 1Vesen und Pathogen
ces, poisons au nombre des facteurs éliologiques du tabes. Le froid, ' et bien d'autres causes agissent de même, mais
vec raisou la tentative qu'avait faite Jendrassik2 de chercher dans ' Cf. W. Erb. Zur étiologie der Tabes. Berl. klin.
sus cérébraux.. Il fait remarquer que, dans.le tabès, ce sont 132 . ' ' - - . REVUE CRITIQUE. - - les lésions de l'éc
s cérébraux.. Il fait remarquer que, dans.le tabès, ce sont 132 . ' ' - - . REVUE CRITIQUE. - - les lésions de l'écor
tirent leur origine de la substance grise de la moelle épinière. ' Marie. Leçons sur les maladies de la moelle. Pari
, àla vague conscience d'un mouvement du pharynx, de l'oesophage, ' Voir le beau Mémoire publié par Klippel dans les
reil olfactif, appareil gustatif chez les tabétiques.) 134 " ;, : « ' 'REVUE CRITIQUE. -- ? qui se fait en sens inver
des extré- unités inférieures), n'auraient peut-être pas évolué. « ' Le tabes nous apparaît, quant à nous, comme une d
ital on acquis, de résistance des différentes provinces du névraxe. ' REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
oniques, il y a une atrophie considérable des lobes occipitaux. . ' `s1 t`2,11w,.... REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
1w,.... REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 131 ·E. ' t11\Lc. r"N ^l >" Il est bien entendu que, e
intellectuelle des lobes postérieurs. - Il. DE 1\1 VSG RAVE-CU Y. ' V. Communication sur les lésions macroscopiques e
n des fibres axiales dans le cerveau, par leD'' PAUL Flechsig, le D' ' DÙLLREN et le Dr Nissl. Résumé par W.-W. 1REL\
ent il l'égard de la matière coloranle une avidité .extraordinaire. ' Pigment. - On sait que, en. dehors de la pigmen
disposition qui, dans les cellules géantes et lés pyramides saines, ' est celle de bâtonnets ou de fuseaux dont le gran
ession. 11 y a presque toujours plus ou moins de - pigment jaune. ' La déviation la plus ordinaire de ce type cellula
ues d cet état elles ne tardent pas à disparaître -complètement. -- ' ' . Une autre modification est l'absence partie
s d cet état elles ne tardent pas à disparaître -complètement. -- ' ' . Une autre modification est l'absence partiell
se. Ces cellules peuvent être abondamment chargées - de pigment. , ' Enfin, il est une dernière altération que l'auteu
jours central et volumineux, entouré d'une zone pâle et mal limitée ' (noyau). - Généralement il y a très peu de pigme
: diverses périodes de la dégénérescence granuleuse ... . 140 REVU) ' : D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 1
,. Xi. Contribution à la dissociation fasciculaire ou hersage des ' nerfs dans les troubles angio-neurotrophiques ; p
ciculaire du sciatique. gauche sui- vant la méthode, de P. I)elbct. ' G. D. XII. Un cas de lipomatose symétrique par
n présence de simples variétés individuelles de la cellule normale. ' G. D. Xi. Un cas de cysticerques multiples de l
on de poids; par le Dr Ley. , (Journal de Neurologie, 1900, n° 16.) ' On sait que de deux objets, de poids égaux, nia
du bras paralysé portant presque exclusivement, comme le montrent ' Voir les Il'- 57, 58, 59, 60 et 61. 154 SOCIÉTÉ
Les symptômes décrits par J. de L. sont si nets que l'auteur pro- ' pose de les comprendre parmi les signes cardinaux
les concernant l'action de l'alcool; par LAD. HASEOVEC (de Prague). ' 1° L'injection intra-veineuse de S centimètres
thésie sensitivo-sensoriellè com- plète du type usuel. (Charcot.) ' Voir Gazelle hebdomadaire et Archives de Neurotog
orité des cas, associée à l'hémianesthésie sen- sitivo-sensorielle. ' Dans l'hémiplégie due à des lésions du faisceau
cours, et peut dis- paraître subitement après une durée indéfinie. ' 5° Les réflexes profonds et superficiels. Dans
ômes, intimement liés à l'hémiplégie et le mode de son évolution, ' Symptômes intrinsèques de Babinski. Archives, 2
seule au début de l'hémiplégie doit être prise en con- sidération. ' VI. L'7eé)nicéneslleésie est moins accusée que
e. Prédominance parfois de la diminu- tion du sens stéréognostique. ' VIL. 1. L'11(,M[ANOISIE. 2. Absence d'altératio
toxications, etc. L'examen ophtalmoscopique est de rigueur. 164 ^ ' SOCIÉTÉS SAVANTES. m Les circonstances d'appa
t n'ont aucune valeur décisive dans l'appréciation des cas douteux. ' . L'évolution d'une hémiplégie (par exemple par
mais je déclare n'avoir jamais rien vu de pareil et je suis con- ' vaincu qu'il s'agissait dans ce cas d'association
semble moins lourd et moins volumineux qu'il ne l'est en réalité. ' J'ai eu l'occasion d'observer une hystérique qui
1\I.l\JAGNA;,\, La pression sanguine chez les aliénés. M. LEGUA ! ' ) rend compte d'un travail de AI. Pilez, médecin a
t même une aggra- vation et ne voit pas là un signe d'amélioration. ' M. Séglas répond que son malade s'est amélioré
osseuses sur les tibias et traités Archives, 2* série, t. XI. 12 ' )78 ' " SOCIÉTÉS SAVANTES. par l'iodure de potas
uses sur les tibias et traités Archives, 2* série, t. XI. 12 ')78 ' " SOCIÉTÉS SAVANTES. par l'iodure de potassium
peut sans doute aller jusqu'à la lésion des faisceaux pyrami- daux. ' M. Babinski demande si la trépidation était ass
certaine constance de situation vis-à-vis des éléments du nucléole. ' , 2° Division amitosique des cellules nerveuses
2° Les cas de surdité corticale suivis d'autopsie sont très rares; ' l'existence d'une lésion symétrique des deux lo
1900. 'PRÉSIDENCE de M. Jules Voisin. Guérison d'un cas d'/t ? /pe) ' /tt'a ? ose émotive. M. DOMINCOS Jaguaribe (de S
mal, et parce qu'il possède des qualités psychiques supérieures, et ' parce qu'il est névropathe. Mais il est faux de
t l'hypnotisation. Séance du 15 janvier 1901. Présidence DE M. LE D' ' Jules Voisin. Stigmates de dégénérescence menta
e, mal définie, à allures de paraplégie spasmodique transitoire ; ' Par E. LENOBLE, Ancien interne des Hôpitaux d
be, la gauche, a refusé tout service. Le malade revenait des champs, ' où il avait travaillé .de son métier de cultiva
cataplas- mes de 'farine de moutarde.1 Enfin, durant cette période, ' la jambe - avait maigri et, à l'heure actuelle,
x-huit ans, bien portante. Lui-même aurait eu une fièvre cérébrale ( ' ? ) à l'âge de onze. ans. Il y a deux ans, il a
olument conservée aux membres intérieurs, il n'y a pas de pied bot. ' MENSURATIONS DE LA CUISSE ET DE LA JAMBE. Cui
entimètres au-dessous du bord supérieur de la rotule, 30 cent, 1 2. ' Jambe droite à 1;i centimètres au-dessous du bo
st. Le sujet est journalier et porte de lourdes charges de bois : ' Le sujet ne se souvient pas avoir jamais été séri
pendant tout ce temps, il n'a présenté de troubles des sphincters. ' ' - Etat actuel. Note clinique prise le 10 janv
endant tout ce temps, il n'a présenté de troubles des sphincters. ' ' - Etat actuel. Note clinique prise le 10 janvie
. Par contre, l'évolution progressive de la maladie, l'envahisse- ' Semaine Médicale, 1894, n° 57, p. t53. 2 Lorrai
la paraplégie )fMH ! 0(He familiale, Th. Paris, 1898, p. 18 et sq.. ' ' Revue de Médecine, 183fui. MALADIE NERVEUSE
araplégie )fMH ! 0(He familiale, Th. Paris, 1898, p. 18 et sq.. ' ' Revue de Médecine, 183fui. MALADIE NERVEUSE FAM
ntrée une sclérose disposée sous forme de petits foyers (Wagner), ' Arch fdr Psychiatrie (Bd. X, 1880, p. ill). In th
d. 11'och ? 9 août 1894. Anal., in Revue Xeurol., 1895, p. 81. 1. ' Ed. \illy Taylor. Jourct. of Xerv. and ment., cli
illy Taylor. Jourct. of Xerv. and ment., clis., sept. et oct. 1898. ' 9tner. Jourca. of llee Med. Scient., nov. 1899.
22 et 29 janvier 1900. Zeilsch. sur /t7 ? Ve ? '1900,' p. 93-100. ' 'Amer. Jour) ! . of lhe 31ed. Scient., fév., 1900
3-100. ' 'Amer. Jour) ! . of lhe 31ed. Scient., fév., 1900 p. 150 ' 'Berlin. 7tH. 11'octieosc%., 1885, p. 489 et 509.
i par la quinine. Nous n'in- sisterons pas sur les cas de Friedmann ' dans lesquels il Deiilsche Zeitsch. sur Yei-vei
de nouveau les mêmes symptômes. Après trois jours la paralysie se ' Nouvelle contribution A la paralysie paroxysmale
on A la paralysie paroxysmale familiale. (Deutsche Zeilsch. sur A'e) ' ! )C)t/;e ! 7 ? vu, 1895. Anal, in Xeurologische
ol., 1900, obs. II, p. 285. Archives, 2« série, t. XI. 1 1 210. ' CLINIQUE >NERVEUSE : - transformaièn parésie
ui peut exister entre le moment' où la cause. intervient (infection, ' refroidissement) etil'appa- rilioirs de. lai pa
lec- trique; Aussi' Goldflamm admet-il' que* peut-être' chez' ces ' J. Donath. Wiener ut. «'ochensch., 1900, n- 2.
q ans; qui; à la suite d'une chute de voiture fut prise brusquement, ' le troi- sième jour, d'une paralysie, de- tout#
EIGNEMENT Les Cliniques psychiatriques des Universités allemandes ' ; Par le D' Paul SERIEUX, Médecin des asiles
ment secondaire. Les droits d'immatricu- lation sont de 18 marks. ' Voir Archives de Neurologie, n" 57, 59 et 60, t.
ogie, n" 57, 59 et 60, t. X, p. 103, 371 et 473, 61 ; t. XI, p. 27. ' LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 213 La durée de
nférieur, à trois mois..La note mal.ajourne.le candidat à six mois. ' .La* commission d'examen (Prufungs Commission).
. Lejars, « la différence pécuniaire est compensée, et *de beaucoup, ' par' le caractère plus complet, plus direct, plus
ns; une clinique psychiatrique soit obligatoire 216 6 ENSEIGNEMENT. ' pour les étudiants. Cependant, tout le monde re
, épreuve qui devrait être passée devant un médecin aliéniste. Le D' ' Zinn demande que les candi- dats aux places de
ns. La psychiatrie et la neuropathologie sont enseignées dans les ' Schultze. Die Psychiatrie Prùfungsgegensland sur
bi ses examens de doctorat (Promotion) 2n52n1 CLlI7d biude et avoir ' terminé-ses études (Quadriennium académique) de
d'ailleurs été emprunté à l'Alle- magne par l'Autriche, la Hongrie, ' la Russie; 1'lialie, la Suisse, etc. On peut le
ions est presque illimitée : quatre, 'cinq, six et sept ans même. ' « Ce n'est pas humilier la science française, dit
des assistants des asiles allemands varie de 1225 à ! r 000 francs. ' Grâce à l'excellente institution des assistants l
TRIQUES. 221 Cours de vacances. Les « cours de vacances » (F<; ? ' «') ! Cttte), qui fonctionnent d'une façon régul
IQUES. 221 Cours de vacances. Les « cours de vacances » (F<; ? '« ' ) ! Cttte), qui fonctionnent d'une façon réguliè
nt été adoptées. 2^2 1) ENSEIGNEMENT.' flexions de 1t. le D Jayle ' : « Une des plus belles installations de Berlin
, formalités nécessaires pour l'admission des malades- dans- les- ' Jayle.. Les cliniques, et les grands hôpitaux de
la clinique a pleinement rempli, la. tâche qui lui était dévolue. ' propos de l'organisation des cliniques chirurgica
an.der Ila7zd eines Berichles- über ùen l3elrieb der Unt't)ef'stM-7) ' )'e)t/fHn ? u Ileiclelberg withi-eizd der Jaltre.l
'stM-7)')'e)t/fHn ? u Ileiclelberg withi-eizd der Jaltre.l31S-IBdJ, ' ;on professor 1) i''ursmer, Director der llinil,,
s au point de vue de l'enseignement et de l'assistance des aliénés. ' « La clinique psychiatrique de Triboztry-eza-Br
à une heure de la ville, insiste particulièrement sur la nécessite ' Die 7)')'M/t'H ? der Universilicl Leipzig und iho
eure de la ville, insiste particulièrement sur la nécessite ' Die 7) ' )'M/t'H ? der Universilicl Leipzig und ihoe Wirksa
te science prend une importance de plus en plus considé- rable 1. ' Le médecin français qui visite les cliniques alle
ïdes : 1° Démence paranoide ; 2° Dé- lires systématisés fantasques. ' VI. La démence paralytique. VII. LES psychose
La folie obsédante. C. La folie impulsive. D. L'inversion sexuelle. ' XIII. Les arrêts DE développement psychique : A
traordinaire qu'a pris en Allemagne l'étude des maladies men- tales ' et les réformes capitales apportées aux modes d'a
maladies mentales est incontestable : vingt foyers scientifiques ' Il existe, en Allemagne, onze revues spécialement
iénés moderne : elles constituent autant de petits asiles modèles . ' L'assistance des aliénés a été en effet métamor
de guérison les plus élevés, à savoir de 55 à 61 p. 100 Le public ' Le professeur Meschede fait remarquer avec raison
lle de Wiesbaden (18-29); la plus récente, celle de Eichberg 188t). ' - 232 ENSEIGNEMENT. d'installations rudimenta
mplacemen6, dans une large mesure, des concours par la concurrence. ' . 4° Organisation de cours cliniques payants d'
au concours pour deux ans ; 3° un stagiaire (docteur ou étudiant). ' Terminons en empruntant notre conclusion au U''
s le traite- ment des maladies mentales. Arch. neurol., (léc. 1889. ' - 1'nscranea. L'organisation médicale en .4llez
inique psychiatrique de Giessen. Annal, médico-psychol., nov. 1898. ' P. Sérieux. La clinique de psychiatrie de l'Uni
88-89, Wolfe. -Die Aztfrtctleme-zvzd Enllasmngs betli)2giiiigeiz de) ' Wiirz- 6M)'$fe) ? )cAf< ? 'eAe ? ! Kiiiiilc.
. -Die Aztfrtctleme-zvzd Enllasmngs betli)2giiiigeiz de)' Wiirz- 6M) ' $fe) ? )cAf< ? 'eAe ? ! Kiiiiilc. Centralbl. f.
a manie aiguë et se montre nettement nuisible dans la mélancolie. ' La duboisine est préférable à l'hyoscine et à l'h
. M. Woods a constaté que la suggestion avec ou sans hypnose 2 : ]8 ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. était utile non s
able ; le traitement est celui des névralgies. R. DE MUSGHAVE CLAY. ' X. Un cas d'acromégalie avec autopsie; par Harl
rs qui apparaissent en même temps que REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 249 les troubles de la sensibilité ou très peu
s circonvolutions centrales droites. Opération. Pas d'amélioration; ' 8° Tumeur des aires motrices droites. Mort. Pas
Abcès dans la circonvolution temporale gauche. Mort. Autopsie; . / ' - 14° Nodules tuberculeux dans les lobes droit
uleux dans les lobes droit et gauche du cer- velet. Mort. Autopsie; ' 15" Kyste du lobe droit du cervelet. Mort. Auto
res. Par une analogie de symptômes et de mécanisme avec la crampe ' Voir dans les Comptes rendus du service de Bicêtr
due aune compression. Les corps vertébraux n'ayant pas été enlevés, ' on ne peut pas déterminer s'ils ont été ou non
opathie grippale à terminai- son favorable. R. de 111csca,vE-CLar. - ' XXV. Le diagnostic précoce de tabes ; par Phili
u lavage d'un estomac dilaté, par J.-C. Clemesih. (1'lie 7Ve ! f-Yo) ' /t Médical Journal 23 juin 1898.) Le titre de
uence ? Les rapports du rhumatisme et de la chorée sont classiques. ' Ici, il n'y avait pas de rhumatisme, mais il y
E. 111. L'iliteiiieiit cIfi71s le ti-aitenent des aliénés; par le D' ' Meunier (Thèse, Paris, 1900). Même sujet; par l
régulatrice évidente sur le pouls et la température; BIBLIOGRAPHIE. ' 2G 1 la perte de poids net au début va s'atténu
sident de chambre à la Cour d'appel de Riom, lauréat de l'Institut. ' 1 vol., 673 pages. Bibliothèque de philosophie
en a fait l'auteur lui-même; Il a mené bonne fin cette lourde 2M 1) ' BIBLIOGRAPHIE. tâche, grâce à une érudition pro
r sur des faits précis pour juger de la responsabilité du criminel. ' 11 ne faut pas tomber cependant dans l'excès co
de toute sa raison. (Le Rappel de l'Eure du janvier 1901.) varia. ' ' * 269 Ces deux faits montrent que dans le dép
toute sa raison. (Le Rappel de l'Eure du janvier 1901.) varia. ' ' * 269 Ces deux faits montrent que dans le dépar
laisir. Peusons-y bien. » (L'Indicateur de Cognac, 3 janvier 1901.) ' Nouveau journal. Nous venons de recevoir le pre
Volume in-8° de vi-l2s6 pages. Berlin, 1900. Verlag von S. Iiurger. ' Mignot (R.). Élude des troubles pupillaires dan
Baie, sons et Danielsson. MoTT (F.-W.) and Tredgold. llemialrophy o/ ' llie l3nain and ils 2,esitlls on the'eei,ebelli
nés, In-8" de 4 pages. Chez l'auteur : Asile d'aliénés à Villejuif. ' Petit (G.). Accès répétés d'épilepsie survenus
phalique : cerveau pseudo-kystique ; Par BOUI3NCVILLE et OBERTIIUR. ' Ainsi que nous l'avons fait souvent remarquer,
; suggestionnable. Grand-père maternel, excès de boisson. oe ! <) ' morte de méningite. ' Revue de médecine, 1888,
-père maternel, excès de boisson. oe ! <)' morte de méningite. ' Revue de médecine, 1888, p. 462 et S52. Archive
et S52. Archives, 2 série, t. XI. 18 274 " ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ' · Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de deux
ipital, épaississement plus ou moins marqué des membranes du kyste), ' l'examen du grand kyste du ventricule latéral,
commissure blanche est conservée. Examen histologique ; par le D' ' 013rRTIIUR. Les lésions de ce cerveau qui prése
umière, comme le bruit, augmente sa céphalée; le visage est pâle... ' ' Léger degré de macrocéphulic avec asymétrie c
ière, comme le bruit, augmente sa céphalée; le visage est pâle... ' ' Léger degré de macrocéphulic avec asymétrie crâ
rotation à droite comme dans le torticolis de moyenne intensité. " ' ' D'ailleurs nous ne notons aucune particularit
otation à droite comme dans le torticolis de moyenne intensité. " ' ' D'ailleurs nous ne notons aucune particularité
illeurs nous ne notons aucune particularité au niveau des sterno. - ' '; Pas d'inégalité pupillaire, les pupilles réa
leurs nous ne notons aucune particularité au niveau des sterno. - ' ' ; Pas d'inégalité pupillaire, les pupilles réagi
entissante communication qu'il fit en 1861 à l'Académie de médecine ' et dans ses leçons cliniques 2 porta à la « con
- tion cérébrale apoplectique dans ses rapports avec l'épilepsie. ' Trousseau. Leçons de clinique médicale de l'Hôtel
aux objets environnants et aux personnes qui sont autour de lui. t ' - Au bout d'une demi-heure d'agitation, le calm
ornée est insensible ; la respiration stertoreuse, accélérée ; (il ) ' 14X respirations par minute). 304 RECUEIL DE FA
érée ; (il )' 14X respirations par minute). 304 RECUEIL DE FAITS. ' Les réflexes rotulieus sont exagérés des deux c
de plus en plus asphyxique, il succombe à 4 heures de l'après-midi. ' Autopsie faite le 16 novembre à 9 heures du mat
l'ceil nu. Nous ajoutons enfin que l'encéphale ayant macéré dans ' Le corps de l'enfant a été disposé de façon à évi
teurs, depuis Trousseau, voudraient rayer du cadre noso- logique 1. ' " REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
tes pour affirmer l'existence d'une infection rabi- i- que. G. D. ' Voir I;oLirneville. Sur le traitement des congest
ers le testicule et l'extrémité de la verge : * mictions fréquentes : ' mauvais estomac ; quelque temps après, chute de
amyloïdes une étroite ressemblance, et qui en diffèrent pourtant à ' certains égards importants. Ils sont plus grands,
uvement d'expansion dans les périodes plus actives de cons- cience. ' · . Van Giesen a tiré de la structure fibrillai
Francis 0. SmrsoN. (The Journal of Mental Science, octobre 1898.) ' Les recherches de l'auteur ont porté sur quator
on de l'hippocampe est presque identique dans les deux hémisphères. ' Il faudrait traduire textuellement, comme nous
goût pour le sel est pour ainsi dire cons- tante (21 fois sur 22). ' - L'abolition ou la diminution de l'olfaction e
tout médecin en présence d'un malade suspect de paralysie générale. ' G. D. XX. De l'influence de la détention cellul
ceux qui présentent déjà un commencement d'altération des facultés. ' G. D. XXI. Les rapports del'hypnotisme et du su
épathie thérapeutique : nous résumons, en l'abré- geant notablement, ' le récit auquel nous laissons, pour plus de bri
il y aurait peut-être quelque chose à faire. Où demeure votre mère ' ? -11 m'indiqua le domicile qui était à une dis
venu à la connaissance de l'auteur sur le même sujet est celui du D' ' Whitmore Sfeelle, qui considère tous les mélanc
folie chez mille malades; par J.-V. 1;1 ? CIIFORD. (7'/te Journal 0/ ' Mental Science, juillet 1898.) Le groupe des ma
eux sexes, que la transmission vienne soit du père soit de la mère. ' . Chez 64. hommes et 22 femmes, -la maladie men
six semaines on peut voir se suivre toutes ces formes cliniques ». ' Les hallucinations de la vue et de l'ouïe sont
nergique, il jouit partout aujourd'hui de la con- asiles d'aliénés. ' 333 sidération qu'il mérite. Sur le second poin
s. Le no restranit est prescrit par arrêté ministériel. L'opM'e-doo) ' est appliqué à 20 p. 100 des malades à Augyalfô
State Hospital; par Chas- U. ILGUlii. M. D. (TAe American Journal o/ ' Iiisaaily, 1900 p. r'7 ? ) \ Sur522 admission
es morales, 20 p. 100; alcooliques, 14 p. 100; hérédité, 34 p. 100. ' L'auteur attribue l'accroissement dans le nombr
dant d'être reçus à l'hôpital, ne soient pas main- tenus en prison. ' Simon. XV. La place de l'étude de la psychopath
; par Théo. KLINGMKINN. (77te American Journal of Insanily, 1900, ' p. 681-708.) L'article a surtout pour but d'ind
RANDU. (2'/t6 American Journal of ! 6'u ? M< ? 1900, p.43-45.) . ' Après un mot sur, la tendance actuelle qui est
du 7 février 1901. Présidence de M. Raymond. Glyomalose cérébrale. ' M. GILI3ERT-I3.1LLET présente trois cerveaux at
bre, légèrement en rotation en'dehors, s'écarte de la ligne médiane; ' la cuisse se fléchit sur le bassin et le pied se
e voltaïc/ue et les lésions auriculaires que celui-ci peut révéler. ' F. B. / Séance du 7 mars. Présidence de M. Ra
e l'in- telligence permet cependant de spécifier l'athétose double. ' M. DÊjhR)NE a vu à Angers un malade identique a
s de généralisation cancéreuse sur le système nerveux périphérique. ' M. Obertiiùr rapporte trois cas avec autopsie d
elle provoque l'impuissance chez le mari. 348 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' M. Félix Regnault. Cette influence du psychique
- sement intellectuel progressif. - De cette étude critique, le D' ' Capgras, conclut que la mélancolie chez l'adult
égrité des gan- glions de la base, de la bandelette et du cervelet. ' , L'atrophie de l'écorce seule entraîne donc la
lonie d'aliénés de Lierneux ; par le D1' DLVERON. Ed. Miiil, Liège. ' Cet exposé contient un historique de la créatio
autres pour la désignation des aliénés aptes au régime familial. D' ' A. Marie. XVI. Archives de médecine expérimenta
u contraire fort heureusement pour le bien des mala- des ». M. le 1) ' Viret était membre fondateur de la Société médico
tares qui est loué. L'ensemble du domaine a coûté 100 000 francs. ' Die psychialrische A7 ! )/b in 1'clüngela von pro
des autres établissements universitaires : les cliniques de méde- ' cine et de gynécologie sont à 4 minutes de distan
distribués aux adhérents du Congrès, le 1 ? juillet, au plus tard. ' LES aliénés en liberté. La folle de la rue Fr
out de quelques . mois et se remit au travail comme par le passé. ' Lorsque hier, dans la soirée, à la suite d'une cr
Revue des périodiques étrangers. Livres nouveaux. Abonne- ment du 1" ' janvier : un an, Paris, 30 francs; départements e
lz at Il'iiifield. Iu-8° de 10 pages. 'l'opeka, 1900. W. J. Morgan. ' - - TUE case or FLOMXCR-E. 1AY13RICh. Report of
de 72 pages, avec 20 figures. Paris, 1900. Librairie G. Steiuheil. ' z Nous appelons vivement l'attention de nos lec
aitement'' ? Par le professeur RAYMOND, M6dGcnidûIaëa ! pti'iôre. ' Messieurs · En interrogeant les faits cliniqu
du système nerveux, t. V (sous presse), du professeur F. llaymond. ' ? ' ARCHIVES, 2- Série, t. XI. 24 .370 CLINIQ
système nerveux, t. V (sous presse), du professeur F. llaymond. ' ? ' ARCHIVES, 2- Série, t. XI. 24 .370 CLINIQUE N
x, chez les animaux supérieurs tels que le singe, puis chez l'homme, ' par voie d'excitation directe, c'est-à-dire en
- vements volontaires exécutés par l'ensemble du membre supérieur; ' elles sont entraînées dans les mouvements associé
epsie jacksonienne d'origine traumatique, me facilitera ma lâche. ' Braun. Ucber die Erfolge der operativen Behandlun
andlung der partiellen Epilepsie. Deulsche medicin. Voc/te ? ! 6C/t) ' ? /'t, 1896, n° 35, p. 559, obs. XII). Un hom
s cellules pyramidales, et une condensation du tissu névro- glique. ' 374 CLINIQUE NERVEUSE. 8° Doyen-Raymond (Il s
ments dans l'articulation du poignet. On extirpa ces mêmes parties. ' Pendant les cinq mois qui ont suivi, le nombre
l avait des vertiges, il était apathique, pleurnichard. Par moments, ' les vertiges aboutissaient à des pertes de la con
ne subsistait plus la moindre trace de manifestations paralytiques. ' Le 17 juillet, le malade a quitté l'hôpital. Da
si : Insuccès à peu près complet, dans cinq cas (Horsley, Gerster ' et Sachs (deux cas), Nancrède, Doyen) ; Amélior
ntervention opératoire limitée à une portion de l'écorce grise. , ' J. Putnam. On the relation of Epilepsy to injurie
(Tite New-Yoik 31edic(il Jour- 1 nal, 30 juillet et 6 août 1898.) ' Les conclusions de ce travail, qui reposent sur d
affection avec les caractères particuliers suivants : Au point de ' Voir : Robert (Paul). Thèse de Paris, 1901, De V
r BENOIT et BERNARD. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrère, n° 1, 1900.) ' XL. Sur un cas de sommeil prolongé pendant sept
; par CESTAN. (Nom. 7eo) ! o) ? de lcz Scalpêtt·iète, n° , 1cJ00.) ' , D'après l'histoire de treize observations de
par MAniNEsco. (Nouv. Iconogr. de la Sa<)'<e)'6, no 2, 1900.) ' .... Cas d'hémiplégie hystérique à droite chez
ordinairement l'atrophie du nerf optique qui révèle le diagnostic. ' Tous les cas d'impuissance génitale dus à l'abs
e cerveau, la rareté du carcinome et la grande fréquence du gliome. ' Quelle est donc la nature de la tumeur dont il
ningo-myélite, la poliomyélite antérieure et la polioencéphalite. ' Voici les éléments de différenciation : dans la n
, 9898.1 >, Eulenburg distingue trois degrés tdans les anomalies ' ™t f Eulenburg distingue trois degrés .dans les
. Keraval. XXXIV. Le coup de foudre ; par FERÉ. (Revue de médecine, ' juillet 1900.) , L'attraction sexuelle subite
H. XXXVI. Etude sur le délire ; par William Kirsch. (The Ne2o Yb ? ' /t Médical Journal, 22 juillet 1899.) L'auteur
les J. Douglas. (The Ne2v Yoi-li Médical Journal, 28 octobre 1899.) ' Il est peu de maladies qui soient plus accessib
miplégie droite, par exemple, qui peut empêcher le malade d'écrire. ' 424 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. La forme d'a
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. - phtisie chez les hommes de 35 à 45 ans, ' c'est-à-dire pour la période décennale qui, dan
; par F.-W. Mott. (The Journal of Mental Science, octobre 1899.) 1 ' Quand on étudie les rapports de la syphilis ave
ay. XLV. Folie et mariage; par G. E. Moum. (The Journal of Mental ' Science, octobre 1899). L'auteur examine la que
ls sont installés sur le tabouret et soumis à la douche électrique. ' La constatation exacte des troubles de sensibil
saisonnière semble résulter de la concordance de divers diagrammes. ' La seconde partie de cette intéressante étude t
e corps étrangers vésicaux dans tous les pays, chez les deux sexes. ' En Europe, la machine à coudre, la bicyclette e
t cérébral, mais au contraire le favorisant, n'est pas une maladie. ' En somme, pour être juste, il faut dire que les
ortions et de les expliquer avec simplicité et partant avec clarté. ' P. B. XVIII. Irritabilité dans la série animale
dérangement des facultés. (Le Bonhomme Normand, 1 juil- let 1900.) ' Le crime d'une alcoolique. Dans un accès de fol
ué d'une poigne solide, le rattrapa et le remit sur ses jambes. 446 ' FAITS DIVERS. Il lui fallut ensuite soutenir un
e la vision : M. le Dr Carra. Examen de l'audition : M. le Dr Mahu. ' Pour prendre part à ces travaux, s'adresser au
par la faradisation du nerf tibial postérieur. In-8» de 4 pages. ' brucelles, 1900. Journal de neurologie. Crocq (
Archives DE Neurologie. - T. XL PL. II. 1 Archives de Neurologie. ' T; XI. 1 - PL. Ilf. Vol. XI. Juin 1901. N, 66.
jour- d'liui, représentée par une centaine d'observations émanées ' A'o/e sur la paralysie générale prématurée, A pro
cate, est affaiblie intellectuellement et incapable de tout travail ' manuel. Père charretier, buveur, mais surtout d
que ophtalmologique du professeur liadal, ne révèle pas de lésions. ' 2° Embarras de la parole, se traduisant par de
question, en particulier l'excellente thèse du Dr Thiry (de Nancy) ' , et celle plus récente de mon élève M. Delmas 1,
seur Alf. Fournier ; avec ceci en plus de significatif que le fils ' Thiry. De la paralysie générale dans le jeune âge
De la paralysie générale dans le jeune âge. (Thèse de Kancv, 1898.) ' - 2 L. Delmas. De la paralysie générale des ado
alysie générale des adolescents. (Thèse de Bor- deaux, 1899.) 456 ' CLINIQUE MENTALE. aine, antérieur à la syphilis
a première maladie a été la rougeole, qu'il a passé d'ailleurs sans ' Il y en a une belle collection au Musée du Dr Bou
en 1885, l'observation d'un cas dont la maladie avait commencé à ' Le syndrome de Lille : par H. Cestan. Paris, 1899
La plus grande partie des cellules pyramidales étaient intactes. ' Dictionnaire encyclopédique. Archives, 2' série
atement la dégénération descendante, que l'on devait / ? '0 ! fue ? ' d'après les lésions cérébrales et les symptômes
son article du nicl. Pucyclnr. HÉMIPLÉGIE SPASMODIQUE INFANTILE. ' 467 articulations, mais qui généralement, si ce
eil- leurs résultats dans les cas où l'opération vise à supprimer ' Lu ! gi Roncoroni. Trait, clini. dell' Epilepsia,
le faisait lieu de soupape. Il termine, appuyant sur l'importance ' Congrès d'aliénisles d'Angers (Archives de Neurol
uels je l'ai soumis, celui qui a présenté un succès plus complet. ' Congrès Français de chirurgie, 31 mars 1891. HÉ
e. Ce cas est d'autant plus intéressant qu'il a passé par une des ' Voir les observations de lîourneville dans l'Icoi
ient brusquement l'un l'autre et -menait frapper vôtre paume '. » " ' . Nous avons recherché ce signe chez les malade
e sur- veillance assidue de voler le vin de ses compagnes. Cepen- ' Médecine moderne, IS juillet 1900. Moniteur théra
nclusions auxquelles nous sommes arrivés, ce sont celles aussi du D' ' Maridort qui nous les a confirmées dans une let
le d'autres symptômes qu'on pourrait peut-être mieux interpréter. ' Ne serait-il pas plutôt un phénomène de même ordr
on donnée au traitement des buveurs, par George R. Wilson. (7'Ae7oM) ' ? ? a< Mental Science, octobre 1898.) On n
ation de cataracte pratiquée chez un aliéné. Il. de lfuscrc.we-CEr. ' XVII. Un cas d'idiosyncrasie remarquable à l'ég
question pour provoquer ces symptômes à un (le-té é très accentué. ' R. de lLiSGI(AVF-CL.IY. 1VIIL- Traitement des a
que les altitudes qu'on a proposé de donner à l'opéré, et les divers ' points d'élection préconisés par les différents
ux classer supérieures, ainsi que l'observation médicale détaillée. ' \< Le maître ou la maîtresse accompagne l'enf
ue ces écoles auxiliaires. Il existe une sorte de concurrence entre ' les asiles d'idiots et les écoles auxiliaires. Qu
ucination, mais bien plutôt un exemple d'auto-sugges- tion intense. ' 11. de Musgrave-Clay. 'Nous avons eu l'occasion
P. Kerwal. LVII. Du sourire obsédant ; par \1 ? I. ) ! t,cni[ : RË\\ ' (0o'M : e/)- clvcclrü, I\', 1S99). Il s'agit d
e obsédant ; par \1 ? I. ) ! t,cni[ : RË\\'(0o'M : e/)- clvcclrü, I\ ' , 1S99). Il s'agit d'un professeur neurasthéniqu
rouble vague de la respiration et des tiraillements des extrémités. ' Les renseignements montrent que cet individu es
r de la lésion des eschares sacrées dues au séjour prolongé au lit. ' , Co)tSRl(;l'CllZOIIS Srll' lct purvlysic énc'r
'CllZOIIS Srll' lct purvlysic énc'rule, ci 2))'0)oS Cl'rlR C(IS S2l ? ' ))711G citez une jeune fille lié rédo-syphililiq
os yeux quelques photographies macroscopiques. A vous de juger. 0 ' Journal des Connaissances médicales du professeur
un trouble d'ailleurs léner, de la parole, de troubles pupillaires, ' de l'exagé- ration des réflexes. Ce qui fait
ques du spiritisme se crut d'abord médium moteur, puis médecin 506 ' · SOCIÉTÉS SAVANTES. entendant. Longtemps spiri
ent étaient visibles pour lui, alors que la glace lui sem- SOCIÉTÉS ' SAVANTES. 807 ï blait un verre transparent. Guy
l est préférable d'administrer le bromure aussitôt après l'attaque. ' 'Marcel l3er.wn. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE. Séanc
siégeaient sur la capsule interne et le pédoncule. F. r ! oiss)ER. ' Séance du 2 m<tt 1901. PRIIDE £ ÇCE de M. le
eu amincie à sa pointe conserve presque tous ses sociétés savantes. ' .515 mouvements mais au repos elle fait saillie
sait l'effet de trois causes : alcoolisme, hystérie et compression. ' Importance du réflexe du tendon (1'-Ichille.
nomination, celle de paranoïa epileptica. Le nom 520 BIBLIOGRAPHIE. ' pourrait prêter à confusion et d'autre part, le
ques, 12,3 p. 100 des psychiques, 8,4 p. 100 des psychiques hystéri- ' ques. En moyenne, l'auteur admet avec les autre
ine, c) méninge-encéphalite, d) encéphalite,e) syphilis cérébrale, / ' ) tumeurs cérébrales, h) ané- vrisme de la carot
t m) ophtalmoplégie. 3° Maladie de la moelle épinière et du bulbe : ' a) ankylose de la colonne vertébrale, b) méning
in) myotétanie, K) maladie de Bawsedav, o) mixideme, p) hémicranie, ' /) maladie de Meniere, r) inyosthénie, s) bégaye
Cette manifestation était bien, croyons-nous, telle que le maître £ ' et ses amis pouvaient la désirer. Elle leur lai
res qui accompagne le Sommaire. AVIS A NOS ABONNÉS. L'échéance du 1" ' JUILLET étant l'une des plus importantes de l'a
398. ADC\0-LI('OÛ1.1'l'OSE symétrique, par Lannois et f3ensamle, ' ,0 l . ADn'osE douloureuse, par Icliai(1 et La
es des Uni- versités allemandes, par P. Sérieux, 27, 212. Faits - ' par Crooshank, 3 ? 7. - de'1·uhineu, par Sérieu
gerley, 413. Protubérance. Hémorragie de la , par Leszynsky, 244. ' Psyciii wrie. Importance de l'ensei- gnement
Blair, 323. 486. Bloch, 172. Bloumenau, 392, 399. Blumer, 339. ' Boissier. 86. Bojenoff, 332. Boldo, 408.
rallié, 1-il, 172. Mitchell, 398. Monakow 400. z Monisset, 513/ ' ' llonod, 346 (ils). li2, I 4'1, 145. .lott
llié, 1-il, 172. Mitchell, 398. Monakow 400. z Monisset, 513/ ' ' llonod, 346 (ils). li2, I 4'1, 145. .lott,
391. Partez, 178. Paris, 388. nariuaud, 509. l'nwsor, 150 150 ' l'amore, 57. 57. l'atriclc, 62, 246. · l'at
16 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'yicales des nerfs. Th. agrég., 1866. Archives, L. XXIII. 1 ? 2 \ ' ANATOMIE, queuses dans l'épaisseur des gros tro
ours, car nous n'avons rien trouve dans les crits de M. Verneuil. ' Medicin..Jahrb.. Wien., 18&5, p. 272. ÉTUDE
iti, u Ubb 1 ai-cauu pal- tere radiale. C, artère collatérale inté- ' * rieure. C\ artèrecubitalc. R', récurrente moi
ras (lïq. 3), les branchioles qui lui viennent de l'humérale sont ' Peut-être est-ce là la cause des douleurs qu'on o
es de la veine du nerf avec la grosse \ ci ne sous- cutanée. 20 ' ANATOMIE. moses (BB) destinées au tronc veineux
ème circu- lation embryonnaire amène la disparition de la première. ' Fig. 9. Nerfs collatéraux des doigts. N, N, n
vasa vasorum, et qui naît dans l'épaisseur du vaste interne. - 30 ' ANATOMIE. actionner à la fois la circulation de
à encore, associées les veines des nerfs et les yeines musculaires. ' Nous n'insisterons pas plus longuement, et nous
s très fines. Mais la circulation veineuse est surtout remarquable. ' Nous trouvons ici un nouvel et frappant exemple
our et à prévenir la stase '. De ces faits, on peut tirer de nom- ' On peut admettre, d'autre part, que la dilatation
ne maison de santé. Fils unique, ayant perdu de bonne heure sa"mère, ' II..., qui est âgé d'environ quarante ans aujou
, il l'entend, elle vient la nuit, mais on l'empêche d'approcher. ' Ce malade est évidemment un persécuté, mais, quoi
du médecin qui l'a soigné dans l'asile ou il a été d'abord enfermé. ' Observation XXI. Le malade de l'observation pré
rs 1890. Doutrebente, Id., mai 1890. 42 , .. CLINIQUE MENTALE. > ' son argumentation. J'éviterai à l'avenir les.»
saire si l'on veut éviter toute confusion. Admettons si l'on veut, ' que j'aie été trop absolu; admettons qu'il conv
galement des idées ambitieuses, mais moins fixes, moins dominantes. ' Enfin il en restera toujours un certain nombre,
une grande importance. Mais, dans la genèse des idées délirantes, ' Toutes réserves faites sur la quatrième période,
trois semaines après notre malade aurait quitté l'hôpital Saint- ' Antoine, non complètement guéri cependant. En eff
à l'hôpital Saint-Antoine où il fut soumis à un régime approprié ' et d'où il put sortir quelque temps après, très s
où il put sortir quelque temps après, très sensiblement amé- lioré. ' L'année suivante, en 1883, il rentra à l'hôpita
te opinion contre laquelle s'est élevé récemment M. Ger- main Sée ' semble parfaitement établie. Elle repose du res
leur évolu- tion, nous pensons qu'il s'agit ici d'une association ' Bullet. de l'Académie de Aféd., septembre 1891.
athologiques distinctes quoique unies par des liens de famille 2, ' Soc. de méd. de Goudres, 28 octobre 1889. 1 Les
ruosités soient le résultat de l'hérédité progressive ou accumulée. ' «Mais il est impossible de ne pas se rendre à l
e une place clinique aux cas d'association, qui la méritent bien. ' Dans les recherches que nous avons faites, nous
S, LES TIQUEUX ET DANS QUELQUES AUTRES MALADIES DES CENTRES NERVEUX ' ; MESSIEURS, . Les hasards de la clinique ont
en même temps parfois que les voies aériennes supérieures, voile- ' Leçon du 22 mars 1886. La présente leçon a été
contraction subite du diaphragme suivie d'un bruit laryngé rauque. ' Mais quel que soit le mécanisme inspiratoire ou
t-à-dire par un phénomène d'imitation inconscient, de suggestion, ' qu'il faut interpréter les faits analogues à celu
s pour la plupart à la très remarquable description que Lasègue a ' Blachez. Chorée du larynx (Gazette hebdomadaire,
, ETC. 75 peuvent cesser de même brusquement, soit spontané- ment, ' soit à la suite encore d'une attaque hystérique
rment un instant. La malade n'a jamais eu d'attaques convulsives; ' mais la présence des stigmates permanents est trè
age a employer cette dénomination. Il importe de savoir en tout cas, ' qu'il n'existe en réalité pas de chorée de Syde
naturellement, dans la catégorie des bruits laryngés hystériques'. ' . Les difficultés sont plus grandes quand il s'
xister, mais celle-ci ne dérive pas de celle- 'là ou inversement. ' Avant d'en finir je voudrais insister encore sur
s, ayant une santé délicate, mais sans signes de ner-' vosisme.. -- ' Antécédents personnels. Rougeole dans l'enfance
S ventricules; par ILUNGWORTH, (British med. Joum" 4 avril 1891, p. ' ? 5a.) Les notes du Dr Lowson sur l'importance
gutta-percha, et changées de temps en temps par la mère du malade. ' ' , , ' On continua l'usage du drain pendant qu
utta-percha, et changées de temps en temps par la mère du malade. ' ' , , ' On continua l'usage du drain pendant quel
ercha, et changées de temps en temps par la mère du malade. ' ' , , ' On continua l'usage du drain pendant quelques j
rophie du z cervelet; par BOURSOUT. (Ann. méd.-psychol., mai 1891.) ' Les fonctions du cervelet sont encore aujourd'h
e le développement du cervelet et le pen- chant à l'amour physique. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 97 Contrairemen
tale chez un individu dont le cervelet pesait seulement 80 grammes. ' 2° Des faits cliniques et anatomo-pathologiques
P. K. Archives, t. XXIII. 7 vs REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. i. ' * XIII. Contribution LA pathologie DES TUMEURS
s de pression cérébrale, mais ces symptômes n'assurent pas la loca- ' ¡¡station. En revanche les cas dans lesquels on co
tation. En revanche les cas dans lesquels on constate nettement des ' symptômes de lésions un foyer tandis que les phén
oplégie HYSTÉRIQUE; par H. DETERMANN. (Neurol. CGIlL>'4lGl., c , ' 1890.) Observation de monoplégie du membre infé
oite. Traitement efficace au pinceau galvano-faradique (24 éléments, ' très fort cou- rant faradique).. P. K. XV. D'
ule supérieur du même côté. Intégrité des moyennes des nerfs. P. K. ' ' XVI. D'UNE paralysie isolée du NERF sus-scapu
e supérieur du même côté. Intégrité des moyennes des nerfs. P. K. ' ' XVI. D'UNE paralysie isolée du NERF sus-scapula
NS LES CAS DE FOYERS CÉRÉBRAUX; pal' C. EISENLOHR. (Neurol. Ces<) ' ( ! ;6 ? 1890.) Voici deux obervations avec auto
x. P. K. XXIII. LE TABES DORSAL EST-IL UNE AFFECTION SYSTÉMATIQUE ? ' par P. Flechsig. (Neurol. Centralbl., 1890.)
le première, les fibres les plus fines sont finalement atteintes). ' Tel est l'ordinaire dans la moelle dorsale et d
ire : la moelle cervicale présente des variations individuelles.. z ' P. Keraval. ' XXIV. UN cas DE tabès dorsal avec
e cervicale présente des variations individuelles.. z ' P. Keraval. ' XXIV. UN cas DE tabès dorsal avec méningite cér
l'intelligence et de la parole, disparition des réflexes patellaires, ' signe de Romberg peu marqué ; hypalgésie des or
fille anémique affectée de goitre exophthal- mique. P.$ER.1V.1L. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 105 XXVII. Contri
plus en plus à rayer la maladie de Parkinson du cadre des névroses. ' G. DENY. XXXIV. SUR UN cas DE NÉVRITE périphéri
motrice, surdité et cécité verbales, à l'autopsie duquel on trouva ' trois petits foyers de ramollissement siégeant
réflexes sont exagérés. On administre 1 gr. 50 de chloral, le ma- ' Jade dort; le lendemain tous les accidents ont ce
te aucune tendance du délire à la fixation ou à la systématisation. ' Dans la plupart des cas, la maladie dure des se
ie simple et la mélancolie anxieuse périodique. Six obser- vations. ' Théorie. - Si l'on admet que la mélancolie éman
pensée qu'une for- mule générale qui comporte quelques exceptions. ' M. -B. BIBLIOGRAPHIE 1. Traité clinique et th
élargir le cadre de l'hystérie... C'est, si je ne me trompe, un 124 ' BIBLIOGRAPHIE. travail complet qu'il nous prése
asile de llfarseille; Jaumes, professeur à la Facullé; suppléant, D' ' 111auuier, médecin de l'asile de Pierrefeu. L
candidats ont été éliminés. Il en reste 17 à subir l'épreuve orale. ' Concours pour l'internat en pharmacie. - Ce con
arquable, étrange, dirions-nous, s'il était absolument sans exem- ' Voir à ce sujet la leçon de M. le professeur Char
rmules rigou- reuses. Voici cependant quelques remarques qui très ' Turnbull. Journ. of mental sciences, oct. 1881.
'apparaît que dans les périodes avancées de l'affection ? i - j i v ' l, '' Les malades précédents, les persécutés,1
r esprit; soit sous l'influence de la passion, soit spontanément et ' sans raison autre qu'un état pathologique : spé
re autres, les meurtres accomplis par certains épileptiques. 1 1/ ' Après les persécutés,' ce sont très probablement
es accomplis par certains épileptiques. 1 1/ ' Après les persécutés, ' ce sont très probablement les épileptiques, les
demi-idiots qui four-; nissent le plus d'aliénés homicides. n I . ' Les épileptiques deviennent homicides dans deux
e ces accès de folie fui ieuse (fureur épilép- tique) et la névrose ' épileptique elle-même. Nous devons nous : naint
axqJufu soient ou non des : attaques d'épilepsie, non plus motrices, ' mais, purement intellectuelles,'1'' il importe
es,' mais, purement intellectuelles,'1'' il importe peu en pratique" ' Ce qui est certain, c'est qu'on les, observe so
soit avant, soit plus fréquemment' après les attaques' convulsives, ' i -' ') <'1 lu'| 'JI il 1]- 0 " 'u', ' 1(1.
ant, soit plus fréquemment' après les attaques' convulsives, ' i - ' ') <'1 lu'| 'JI il 1]- 0 " 'u', ' 1(1. X'IH si
t, soit plus fréquemment' après les attaques' convulsives, ' i -' ' ) <'1 lu'| 'JI il 1]- 0 " 'u', ' 1(1. X'IH si "
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? comme s'ils s'étaient, substitués' à quelques-unes d'entre elles; ' '' ' ' ' "> Or LI l '.1.") 1 1;1 ')d 'HV-'F
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à quelques-unes d'entre elles;' '' ' ' ' "> Or LI l '.1.") 1 1;1 ' )d 'HV-'F 1 ""lli'l "l' Or, pendant ces accès de
mettent que trop souvent 'des' meur- q. '1 r I¡fH()..J ,fI 1., 1.. " ' )'fI. ""Ô il 't) 1. t 1 ? . tres" et alors, ]],s
une observation typique de manie homicide chez un épileptique.. 1 ' ' . , · .. .. Le nommé L..., quarante ans, entr
e observation typique de manie homicide chez un épileptique.. 1 ' ' . , · .. .. Le nommé L..., quarante ans, entré
iagnostic : Manie, et sans aucun renseignement sur ses antécédents. ' i , , A son entrée, le malade semble être arriv
fluence de la passion plutôt que de la folie dite épi- leptique. ' L'état mental habituel des épileptiques est bie
raison, comme un des plus dange- reux aliénés de l'asile. 166 . M ' MÉDECINE LÉGALE. ( C... (Louis), âgé de trente-
rès inconnus ; en traitement à l'asile de Bonneval depuis huit ans. ' Avant son entrée C.- avait subi plusieurs conda
is,¡ à cause du traitement auquel il est '. ,. 1 t' · . ( soumis. ' ' t ' ' Deux' ou' trois fois par an, à la suite
,¡ à cause du traitement auquel il est '. ,. 1 t' · . ( soumis. ' ' t ' ' Deux' ou' trois fois par an, à la suite o
cause du traitement auquel il est '. ,. 1 t' · . ( soumis. ' ' t ' ' Deux' ou' trois fois par an, à la suite ordin
se du traitement auquel il est '. ,. 1 t' · . ( soumis. ' ' t ' ' Deux' ou' trois fois par an, à la suite ordinaire
emi-comateux, et au réveil, le malade ne se souvient plus.de rien., ' , t 1(. '.ri z En outre de ces accès qui sont i
iquer, sans beaucoup de difficulté, l'état mental du sujet. , , . ' " ' ? ' ' , ? ? ' z . Les imbéciles et les semi-
er, sans beaucoup de difficulté, l'état mental du sujet. , , . '" ' ? ' ' , ? ? ' z . Les imbéciles et les semi-idi
sans beaucoup de difficulté, l'état mental du sujet. , , . '" ' ? ' ' , ? ? ' z . Les imbéciles et les semi-idiots
ns beaucoup de difficulté, l'état mental du sujet. , , . '" ' ? ' ' , ? ? ' z . Les imbéciles et les semi-idiots co
ucoup de difficulté, l'état mental du sujet. , , . '" ' ? ' ' , ? ? ' z . Les imbéciles et les semi-idiots comptent a
. Les imbéciles et les semi-idiots comptent aussi parmi . ,j, J . t' ' tf'i'' 1 1 ( ? ¡ ' ' i Il. ! ' rl . L les alién
les semi-idiots comptent aussi parmi . ,j, J . t'' tf'i'' 1 1 ( ? ¡ ' ' i Il. ! ' rl . L les aliénés homicides. Ces s
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ots comptent aussi parmi . ,j, J . t'' tf'i'' 1 1 ( ? ¡ ' ' i Il. ! ' rl . L les aliénés homicides. Ces sujets sont l
onfond -alors avec celui d'autres aliénés à accès ! de folie sou- ' vent brusques et transitoires;, dont il sera ques
'imbéciles et d'idiots non délirants, auteurs r ..j 1 1 1 1 1 - , . ' des actes les,plus graves, comme , viols ? ince
être rap- Porté : - 1 f v r ? t : i < j 1 r ? i : . ,"i \ , 'l ' 1 .'1 J 1 l - i " , , , l ' ri si 1 ? ? i f ,-
r ? t : i < j 1 r ? i : . ,"i \ , 'l ' 1 .'1 J 1 l - i " , , , l ' ri si 1 ? ? i f ,- H... (Louis), trente-cinq.an
On arrive à l'occuper à la ferme aux travaux les , plus simples. , ' " 1 ' ' ' ? 1 ; j Cet idiot a vécu libre jusqu'à
rrive à l'occuper à la ferme aux travaux les , plus simples. , '" 1 ' ' ' ? 1 ; j Cet idiot a vécu libre jusqu'à l'âg
ive à l'occuper à la ferme aux travaux les , plus simples. , '" 1 ' ' ' ? 1 ; j Cet idiot a vécu libre jusqu'à l'âge
e à l'occuper à la ferme aux travaux les , plus simples. , '" 1 ' ' ' ? 1 ; j Cet idiot a vécu libre jusqu'à l'âge de
appris affaire dans bien des circonstances, on arrive à l'atténuer, ' et par- fois à la faire, disparaître,, ce qui e
vir, de type aux psychoses par empoi- sonnement chronique.. ,, : il ' 'J .1111 " ." \"1'\ , ,I(I..Ç'S dans, cette,, f
nie, les cauchemars, les, (hallucinations nocturnes, le tremblement ' des extrémités, etc. L'accès établi, le malade
utissant ? dans certains cas' d'alcoolisme, du 172 MÉDECINE LÉGALE. ' meurtre accompli pendant son cours persiste, ma
, par son 174* MÉDECINE LÉGALE. , fait, annihiléa momentanément ? ' On évalue aussi la' gravité du' mobile qui' a'
pas oublier non plus 'que si/pour les uns, l'ivresse ! 1 constitue ' une circonstance atténuante, elle est envi-' sa
'efforcera aussi- de rendre plus rares les cas semblables au sien ? ' Nous venons de passer eii revue un certain nomb
s ou moins fréquent; la tendancé au meurtre.'1 Dans chacune d'elles, ' nous 'avons essayé d'établir le processus psych
liénés à cer- veau valide, et aliénés à cerveau invalide. En France, ' on dit des seconds qu'ils sont entachés de dégé
s en deux grandes classes. ! t-< ) 'l' ., .1, " foi ? t .fIl il - ' 1 fil 1\" Il Sans entrer, dans aucune discussio
ues 'de 'la plupart des maladies mentales dont ils' sont atteints.* ' ' Il - r ' Il est inutile de rappeler que dégén
s 'de 'la plupart des maladies mentales dont ils' sont atteints.* ' ' Il - r ' Il est inutile de rappeler que dégénér
plupart des maladies mentales dont ils' sont atteints.* ' ' Il - r ' Il est inutile de rappeler que dégénérescence i
nfance et même pendant l'adolescence. En réalité, des hérédi- , I ' . 1 \ . .11 . J ', 1 rI ,') l w 1 Société nuJdi
endant l'adolescence. En réalité, des hérédi- , I ' . 1 \ . .11 . J ' , 1 rI ,') l w 1 Société nuJdico-psychologique,
adolescence. En réalité, des hérédi- , I ' . 1 \ . .11 . J ', 1 rI , ' ) l w 1 Société nuJdico-psychologique, séance du
1 Société nuJdico-psychologique, séance du 25 janvier 1886. , 176 ' MÉDECINE LÉGALE. taires à lourde hérédité quelq
ne origine commune. Cette origine est la dégénérescence qui aboutit, ' soit à la folie, soit à la criminalité. Nous
rs symptômes, la question serait résolue en faveur du pseudo-tabes. ' ,. 184 PATHOLOGIE NERVEUSE. A côté de cette p
icales, dans la majorité des cas de pseudo-tabes jusqu'ici observés ' i » ; 3° Les troubles vésicaux. Si la rétention
ubles uiinaires du tabes; il est inutile d'insister sur ce point; ' Charcot, loc. cit., p. 315. * Bazy. Troubles ur
xiste (Pa- rinaud),de l'atrophie nacrée du tabès. M. Galezowsky 2 ' Althaus. Maladies de la moelle épinière. Traducti
ici parlent toutes en ce sens. Dans le cas d'Oppenheim, la malade ' Dreyfous. PathQ[jénilJ et accidents nerveux du di
J et accidents nerveux du diabète sacré. Th. agréa., 1883, p. 89. · ' 188 PATHOLOGIE NERVEUSE. rendait de 7 à 13 gr
ien d'absolu. La densité des urines tabétiques glycosuriques sem- ' Le Gendre. - Traité de médecine, t. I, p. 407. Pa
e polyurie modérée (2, 3, 4 litres dans les vingt-quatre heures). ' En somme, la valeur comparative de ce parallèle
nesthésie dans le domaine du trijumeau ; 2° la fréquence du pouls ; ' .; . Ce sont là deux symptômes qui semblent con
lluci- nations verbales auditives 3. Nous croyons qu'à ses degrés ' J. Séglas; in Progrès médical, 1888, et Archives
e tout le temps; auparavant elle pensait sans parler. D r i i t . ' J. Séglas et P. Bezançon, toc. cil. \ DES HALLU
pas fait. c D'ailleurs, ajoute-t-elle, il y a toujours en moi deux ' idées qui se contredisent. » Une voix intérieure
au coeur, et un autre répond à la même place : « Tu es ironique. » ' ' Voilà donc une mélancolique qui nous offre ré
u coeur, et un autre répond à la même place : « Tu es ironique. » ' ' Voilà donc une mélancolique qui nous offre réun
e chez des malades et nous chercherons à mon- 204 RECUEIL DE FAITS. ' trer comment, chez les anxieux surtout, elle de
cile- ment passer à un examen superficiel pour une véritable voix ' -extérieure. - Observation Il 1f ? 13..., âgée
a jamais été malade. Elle fut facile à élever, elle apprenait bien. ' Etant jeune, elle était très scrupuleuse, avait
e ans. Sa mère qui a quatre-vingts ans est encore d'un bon conseil. ' Une soeur morte d'apoplexie à soixante-dix ans.
élan- colique. Elle est décédée dans le service le 14 février 1890. ' Cette malade se fait remarquer par une phraséol
ssi aimait-elle davantage le plus jeune qui ressemblait à son mari. ' 1890. 25 août. Elle revient sur son fils. « On
saviez comme dans cette mala- die on ressent tout péniblement. 1 . ' «Quand je suis couchée, j'ai mal partout; c'est
eut suivre ma lecture. Je le vois par les réflexions qu'on fait.... ' 1 Archives, t. XXIII. 14 210 RECUEIL DE FAITS
ssi : Bourdon, Toursechoppe (une tante ma- ternelle), Uelleville... ' Elle est persuadée que les internes sont là pou
certitude même rend impossible la produc- tion d'hallucinations. Il ' ne se produit pas en elle d'ima- .ges assez viv
savoir. Elles furent enchaînées toutes deux, dit-elle, par deux vers ' 1 solitaires qui les empêchait de remuer. Ell
à Vaucluse. La cause de cet accès semble avoir été la perte de la ' fortune de son amant. Elle s'imaginait qu'elle ét
it-elle, j'ai su souffrir par jalousie. » 214 - RECUEIL DE FAITS. ' Vers 1875, on note une maladie d'épuisement, ap
mais accusé à l'interrogatoire à ce sujet aucune sensation précise. ' (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE VII.
ent : 1° Etat soupçonneux et agressif, avec inactivité; - 2° Vanité, ' contentement de soi, rappelant la paralysie gén
normale. La mémoire est bonne, mais lente, comme toutes les autres ' fonctions cérébrales. R. M. C. VIII. UNE obse
; par John TUHNER. (The Journal of Mental Science, octobre 1888.) ' Ce cas est celui d'un jeune garçon de seize ans,
la prétention de tirer de ses recherches des conclusions générales. ' La quantité d'urine émise dans les vingt-quatre
S. XXXI. Les épilepsies PSYCHIQUES; par OTTOLENGH1. (Riv. sp. di / ' ? -en., t. XVII, fasc. I-u.) L'auteur rapporte
r le système ganglionnaire dans les phases initiales de la folie. ' Le début de beaucoup de troubles mentaux est dû à
qu'on l'enseigne généralement. R. M. C. 234 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. ' III. SUR l'emploi DU bain TURC dans LE traiteme
par des bourdonnements d'oreilles. En d'autres circonstances, elle ' la surprend subitement, voire dans la rue. Une
cert avec M. Kuemmel, provoqué des foyers d'inflammation'cérébrale. ' ,. Les expériences avaient pour but d'élucider
e. ' ,. Les expériences avaient pour but d'élucider deux questions. ' ¡ t 1" . l ! t ' ' " - 1° Un foyer d'inflamma
iences avaient pour but d'élucider deux questions. ' ¡ t 1" . l ! t ' ' " - 1° Un foyer d'inflammation dans le territ
nces avaient pour but d'élucider deux questions. ' ¡ t 1" . l ! t ' ' " - 1° Un foyer d'inflammation dans le territoi
si bien que chez l'homme ? Voici les conclusions de ces recherches. ' 1° Un foyer d'inflammation de la zone motrice d
ilation. Cette opinion parait corroborée par l'étude des pigeons. ' Voyez Archives de Neurologie. Revues analytiques.
igeons. ' Voyez Archives de Neurologie. Revues analytiques. ! Id. ' Id, SOCIÉTÉS SAVANTES. 243 Voici, par exemple
ction étendue du cerveau, tienne à l'absence de faisceau pyramidal. ' Il y a en somme analogie entre la clinique huma
ation de la névroglie ? N'était-ce point une encéphalite septique ? ' '. \ M. Kahlden. Ou peutrépondre non à la derni
supérieurs, avec anoma- lies du squelette, lipomes,'télangiectasies, ' petits angiomes thora- ciques ; elle était atte
ement, hyperexcitabilité neuro-musculaire, troubles mentaux) il est ' Voir Archives de Neurologie, Revue analytique.
sciatique unilatérale. Comme exemples, il cite les faits suivants : ' - a). Une paysanne, âgée de soixante-six ans, s
men microscopique a démontré la nature cancé- reuse de ces tumeurs. ' b). Une malade de vingt-un ans est depnis un mo
nsidérés comme un arrêt du développement du côté gauche de la face. ' 1 , M. le Dr KORNILOFF n'admet pas que l'hémiat
et vaso-moteurs, dépendante d'une lésion périphérique du trijumeau. ' >** ^ . M. le Dr KORNILOFF. Il est impossibl
s au fond du troisième ventricule du cerveau. Ils distinguent trois ' systèmes de fibres : la commissure de Gudden, c
lité faradique des muscles, directe, surtout aflaiblie. NFC=FFC. C. ' A l'autopsie, moelle et racines normales; altér
granuleuse des faisceaux musculaires avec prolifération des noyaux. ' L'auteur suppose que les altérations musculaire
1891. Bibliothèque de philosophie contemporaine, F. Alcan, éditeur. ' M. Sollier définit l'idiotie : « une affection
le voit sans peine par la lecture des travaux publiés dans ce livre. ' Telle n'est pas non plus l'opinion de M. Bourne
ma considération la plus distinguée. Le Ministre de <'7n<e') ' : eM ? CONSTANS. CONGRÈS ANNUEL DES MÉDECINS
s n'ait un succès égal aux deux précédents. LES EXPLOITS D'UN FOU ' : r Vers 2 heures de l'après-midi, avant-hier,
mbes et les cuisses, le bassin et une partie du corps à travers les ' barreaux qui n'avaient que douze centimètres de l
s établissements de bienfaisance, et en particulier sur les asiles. ' BOURNEVILLE. SERVICE DES aliénés DE la SEINE
. LEGRAIN (Colonie d'en- fants idiots). Interne : 111.-111.1Ue.lTÉ. ' Asile de Ville-Evrard. - Directeur : M. Balet.
pouvant être renommé pour des périodes subsé- quentes de six ans. 1 ' , , Cette commission, logée dans le capitule d'
; par le Dr EVERTS. (American journal of insanity, octobre 1890.) \ ' Le devoir du médecin est de protéger la société
es causes qui peuvent amener la maladie, d'en arrêter les progrès ; ' il y a pour lui obligation générale de connaître
a limite des capacités personnelles, tout ce qui doit être connu. ' Ces conditions sont-elles appliquées en ce qui co
rence, avec laquelle elle est traitée par le plus grand nombre des ' praticiens. ' ' VARIA. 378 Il est permis de s
aquelle elle est traitée par le plus grand nombre des ' praticiens. ' ' VARIA. 378 Il est permis de se demander en
uelle elle est traitée par le plus grand nombre des ' praticiens. ' ' VARIA. 378 Il est permis de se demander en ef
siège du ministère public. Les débats sont présidés par M. Richard. ' M. et Mmo Dourches, le père et la mère de Louis
nd, tu la prendras facilement d'ans tes bras et tu l'en- lèveras. » ' . D. Et qu'avez-vous fait ? , : R. Tout ce qu
pour vol à l'étalage, en 1890. J'ai rachelé cette faute, dit-il. ' , M. LE Président. - En abandonnant votre famil
qu'il avait ins- pirée, elle se mit en tête de devenir sa femme. ' -Lorsqu'elle apprit qu'il était marié, il se mani
ue Louise Dourches à l'Asile clinique où elle fnt examinée par le D' ' Magnan, puis envoyée à l'Asile de Villejuif. Au
Elle est connue de nos lecteurs (V. p. 131). , , , 282 9 VARIA. ' M. LE président. Ce n'est pas la préoccupation ab
s sa fille, Louise n'a donné aucun signe de dérange- ment mental... ' ' Elle travaillait comme une négresse. ' Sur
sa fille, Louise n'a donné aucun signe de dérange- ment mental... ' ' Elle travaillait comme une négresse. ' Sur in
dérange- ment mental... ' ' Elle travaillait comme une négresse. ' Sur interpellation de ! \le Fontaine de Ramboui
olice en signalant Louise Dourches comme une malade à réintégrer. - ' C'est ensuite le défilé des surveillantes et in
emaines de liberté, affirment qu'elle ne leur paraissait pas folle. ' M. le substitut Trouard-Riolle demande au tribu
l'asile public de Villejuif, à partir du 1er janvier 1892; M. le D' ' SÉRIEOx, médecin-adjoint à l'asile public de Vill
tu- laires, MM. : 1. Lachaud ; 2. Escat; 3. Lefilliâtre; 4. Mounlie; ' 5. Croustel; 6. Lersergne; .7. Maupâté ; 8. Des
personnes de la suite'de la princesse. L'infante dona FAITS DIVERS. ' '287 Eulalia a paru prendre un vif intérêt à ce
med. and surg. Journ., 4 fév. 1892. p. 129.) Nécrologie. M. le D' ' Despine (de Marseille), à qui l'on doit de nomb
exagérée, fait mille projets de fêtes, de plaisirs, de parties de - ' Archives générales de médecine, février 1860. s
gré d'excitation cérébrale. Le 24 avril apparaît la première crise. ' J'extrais d'une note fort détaillée, et fort bi
dont nous allons retracer les caractères les plus manifestes. 292 ' ' clinique mentale. Après une demi-heure de som
dont nous allons retracer les caractères les plus manifestes. 292 ' ' clinique mentale. Après une demi-heure de somme
e, réveil cinq minutes après dans ^un état d'inconscience parfaite. ' : dater de ce jour, la périodicité - caractère es
ules variantes' à signaler, et vraiment importantes se rapportent : ' - 1° A la durée plus ou moins longue des crises
u moins grande de l'agitation dans quel- ques-unes d'entre elles; - ' 3v Et surtout à l'influence que les impressions
de mes idées, que je n'ai plus la libre disposition de mon esprit. ' , En effet, elle se remet au lit, y reste calme
u'elle ne put prendre, ses règles ayant paru quelques heures avant. ' Encouragé par ce premier résultat, conforme à m
ent, j'eus fréquemment de ses nou- velles, toujours satisfaisantes. ' . DÉDUCTIONS. L'étude et l'analyse de cette obs
tion se prêteraient assurément à des considérations intéressantes : ' Sur les troubles multiples des sensibilités et
eurs, salaces et deviennent conséquemment des êtres fort dangereux. ' Pour mieux comprendre les troubles fonctionnels
mbetta, notre grand patriote, notre puissant orateur, quoique 316 ' CLINIQUE MENTALE. le poids du cerveau ne dépass
nous entendre sur ce mot. Autrefois, dans les ouvrages de médecine, ' on réunissait sous ce titre « étal mental du ma
nés ici même pour rester toujours dans la spéculation abs- l' 326 ' CLINIQUE NERVEUSE. traite. Je vous décrirai des
le champ des hypothèses psychologiques, tel est le plan que nous ' suivrons ensemble dans l'étude de l'anesthésie hy
leçon. 'Mesnet. - Automatisme, 1871, p. 19. 32 CLINIQUE NERVEUSE. ' que la lampe apportée par elle avait besoin d'ê
andis que la sensibilité est intacte à la main et à l'avant-bras. - ' Electivité ou- esthésie systématisée , 111 Automa
avec un rétrécissement double de 1° ? Est-ce que Messieurs les 332 ' CLINIQUE NERVEUSE. .médecins oculistes ont suff
irmer sin- gulièrement ces remarques et augmenter notre embarras. ' Il y a déjà quelques années, j'observais des mala
té- rique et l'amaurose suggestive *. M. Pitres a également pour- ' Pitres, op. cit., t. I, p. 102. * Gilles de la
ement montré à l'oeil gauche pen- dant que l'oeil droit était fermé ' , mais nous aurons à vous parler plus tard de c
ive s'expliquer par la différence de la vision monoculaire ou bino- ' culaire. Ce caractère contradictoire, nous l'av
es disséminées. Elle est 1 Automatisme psychologique, p. 295. · . ' L'ANESTHÉSIE HYSTÉRIQUE. 337 -1 anesthésique du
a pile ne marche pas, comme vous le voyez, le zinc n'est pas baissé ' . Je ne puis pas répéter devant vous l'expérien
Il faut sortir de ces explications grossières et puisque l'in- 340 ' CLINIQUE NERVEUSE. sensibilité comme la sensibi
our. Il y a donc dans le « je sens », deux choses en présence, un ' Wundt. - Psychologie physiologique. Traduct. 1886
logiques, consulter Automatisme psycholo- gique, p. 39 et p. 305. ' Herzen. - Le cerveau et l'activité cérébrale, 188
parle, sans se préoccuper des impressions tactiles qui con- Fig. 3. ' 344 CLINIQUE NERVEUSE. tinueront à l'assailli
ts que nous avons constatés. Elles consistent à supposer un petit ' On trouvera la discussion plus précise de ces thé
ntenant ces manifestations sur les sujets que je vous ai présentés. ' Vous savez, sans que j'insiste sur la théorie d
z-moi, messieurs, de ne pas vous expliquer ce phénomène aujourd'hui, ' il est trop complexe : constatons seulement les
OGIE PATHOLOGIQUE, RECHERCHES SUR L'ALBUMINURIE POST-PAROXYSTIQUE ' CHEZ LES ÉPILEPTIQUES; Par Jules VOISIN, médeci
en rapport avec l'in- 1 Seyfert. - Dublin Qualerly Journal, 1854. ' Sieveking. -OnEpilepsy, 2*'édition, 1861. ' Rey
alerly Journal, 1854. ' Sieveking. -OnEpilepsy, 2*'édition, 1861. ' Reynold. - On Epilepsy, 1861. ' Sailly. - Th. d
g. -OnEpilepsy, 2*'édition, 1861. ' Reynold. - On Epilepsy, 1861. ' Sailly. - Th. de Paris. 1861. 8 Bazin. Th. de P
;M ? t/<'t<') : MM ? (Nord. Méd. Aïk, Stockholm, 1889.) . , ' Richter. Archiv. sur Psych., Bd. VI. " Rabenau.
. , ' Richter. Archiv. sur Psych., Bd. VI. " Rabenau. Archiv. {il} ' Psych., Bd. VII. '' Karrer. Beolin Klin 11'och,
ndbv. On the alburninuria o/ epilepsy. (àled. Times and Gaz, 1882). ' " Kleudgen. )'e/t. sur Psych., 1881, Bd. XI.
and Gaz, 1882). ' " Kleudgen. )'e/t. sur Psych., 1881, Bd. XI. " ' Feré. Les Epilepsies et les Epileptiques, 1800.
en- dant et à la suite des accès en série; 5° Dans l'état de mal. ' ALBUMINURIE POST-PAROXYSTIQUE CHEZ LES EPILEPTI
enne dans la 1 ? Intense dans la 2e; Traces dans les 3 dernières. ' 28 ans, Saul..., 1 accès : Albumine intense d
358 PHYSIOLOGIE pathologique. 23 ans, Gou..., 1 accès, 5 urines : : ' - -. ' Traces d'albumine dans la 1"° urine seul
SIOLOGIE pathologique. 23 ans, Gou..., 1 accès, 5 urines : : ' - -. ' Traces d'albumine dans la 1"° urine seulement.
nt plus facilement que les autres épileptiques d'état de mal. 362 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Nous n'avons aucune o
tations aussi passagères, aussi fugaces que le vertige épileptique. ' Aussi lorsqu'on cherche à se procurer des urine
t demie. A Il 1 heures, on recueille une urine : traces d'albumine. ' Thé..., quarante-sept ans : excitation violente
utif aux accès. Une urine recueillie le 2° jour : pas d'albumine. , ' ' Le 12 août, Vill... est excitée toute la jour
if aux accès. Une urine recueillie le 2° jour : pas d'albumine. , ' ' Le 12 août, Vill... est excitée toute la journé
... est excitée toute la journée. Pas d'attaques, pas d'albumine. ' ? 3. Vill... ert encore excitée. La surveillante
our, plus d'albumine. T R, 37° 8'. Tantôt les malades sont mortes : ' 23 ans, Pet... Etat de mal de trois jours, 135
qui sem- blait exceptionnel rentre dans la règle commune. En , ' Voy. t. XXIII, n° 68, p. 157. NOTE SUR UN ALIÉN
'il n'en sait rien, « mais que ça lui disait de faire comme cela ». ' Il parait aussi qu'après avoir tué sa première
ous en donner l'explication. Ça lui disait de faire comme cela. » - ' Le surlendemain, 12 septembre, A... fut envoyé
tant la chose est évidente, d'exposer un diagnostic différentiel ' Dans beaucoup de circonstances, ces phénomènes mo
oit et ne durent pas. Transférée en province le 30 novembre 1889. ' Voirn" 68, p. 201. DES HALLUCINATIONS VERBALES
. Puis elle mangeait en cachette quantité de pain « pour s'étouffer ' » et buvait de l'eau de vaisselle pour se brûle
les maladies cérébrales et mentales, p. 425. 392 RECUEIL DE FAITS. ' trairement aux persécutés qui, suivant l'expres
TRIBUTION A l'histologie pathologique DE la paralysie PRO- GRESSI%R ' par A. PicK. (Neurol. Cenlralbl., 1890.) Cervea
cellules de l'écorce, l'hématoxyline ne prend que peu ou ne prend 1 ' Voyez Archives de Neurologie, t. XX, p. 431, 85.
s éminences thénar et hypothénar et des interosseux (mais égale à ' celle du bras et de l'avant-bras), qui ne présent
trouble oculaire ni des sens spéciaux, aucun signe de paralysie. ' L'apparition de ce gonflement fut le premier sign
aussi. Cette propriété parait comparable à l'inertie en mécanique. ' (73). Retard dans l'expression. C'est le rappor
ntelligence. L'intelligence n'est pas une propriété du cerveau p6 ! ' se : elle est un fait physique, accessible à l'ob
sements spéciaux pour cette catégorie peu intéressante d'individus. ' M. CARNIER se rallie à cette proposition. M.
M. ERLENMEYER. Sur une affection cérébrale produite par la syphilis ' Voy. Archives de Neurologie, XLVI" session de 189
NELL M. WAHRIVDOIIFF. De l'assistance familiale des aliénés 2. Ce ' Voyez Archives de Neurologie, XXIV session (notée
mâle, a pour caractéristique l'absence de tous symptômes objectifs. ' La majorité des cas relève de la seconde catégo
ie, mal de Pott vertébral. Obs. VII. Cas d'hys- térie chez l'homme. ' On voudra bien faire attention àla notation de
VIII. Séméiologie et diagnostic des maladies nerveuses; par le D' ' Paul BLOCQ et J. ONANOFF,. 1 vol. avec 88 figures
e que les auteurs font jouer au sens musculaire dans sa production. ' Une étude également intéressante est celle du f
. Permettez-moi de vous le rappeler, mon cher maître, cette année ' de 1863 a dû rester aussi profondément gravée dan
t qui a grandement contribué déjà à rehausser, dans ces dernières ' années, l'éclat de la Médecine française. « Apr
lée sont venus, comme d'habi- tude, assister à la représentation. ' Législation sur les Aliénés et les Enfants assist
lation sur les Aliénés et les Enfants assistés, 1.1", p. 65. VARIA. ' 4B3 Les aliénés EN LIBERTÉ Une arrestation de
ta adultorunz. Brochure il-81 de 4 pages. New-York, 1892. Journal o/ ' zieruous and mental disease. KRAUSs. - Rhus aro
Gallerani, 't07. Champ visuel des hystériques, par Moravcsik, 96. ' CHORÉE et rOLIE, par Cape, 225. Circonvolutio
que chro- nique, par Hahn, aiguë chez un enfant, par Wahu, 437. - ' Glande pituitaire, tumeur de la-, par Wliitwe
or- bide familiale du -, par Nonne, 106. Tabès et diabète sucré, ' par G. Gui- non et Souques, 48, 181 ; - le es
09. Borgherini, 404, 107. Bourneville, 131, 135, 261, 269, 441. ' Boursout, 96. Bouveret, 109. Briand,96,122,
. Reniait, 9f. . Baller, 433, Itorie, 221. Rosenbach, 100, 11 ' ¡, Boubll1ovltch, 92, 131, 278. - ltouillard
17 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
LINIQUE NERVEUSE Morphinisme familial par contagion , 1'.\Jl LE 1) ' BI\I.\ : : \'11 Médecin eu clic ! à l'Asile de
esse plus ou moins manifeste Archives, 2" série, 1903, l. XX. 1 2 ' CLINIQUE N8RVEUSE. des facultés intellectuelles
bli de la réalité, pour assister, sans voir. à la bacchanale ('I\ ' ¡'énél' des siens qui dévalisaient littéralement l
être trop systéma- tique dont on a coutume de couvrir ces malades ? ' ? C'est une tendance aujourd'hui de plus en plu
t. sous l'influence impérieuse et aveuglante de la soif morphinique, ' comme ils sont les seuls fauteurs d'un état qui
tenir par un domestique la prescription de morphine sol- licitée ? ' ? Enfin, dans cette recherche des responsabilit
ier 190, dans la section des maladies nerveuses et. de ly-clviWnic ( ' ). En général, après avoir (1) Centralblaitf. Xe
l'isolement el sa mi-anlhropic, provenaient (le la Il ('l'cs ? i 1( ' d'l'ludil'I' soigneusement la chimie pour laque
sortait, dans la la rue;ilc;YffY/)tat<<7t'}'ft)'</< ? ) ' «M.)'<'uf6'f ? <;siquelquunj('- tailun reg
choires a disparu. Le malade se tient un peu courbé ; son regarde ! ' ), sombre, l'expression esl morose, les gestes s
ue cela lui était désagréable et obligeait l'entourage de l'exiler. ' , z Quelquefois,-à la sensation du regard d'aul
resté tout ce temps bien portant physiquement, quoique un peu pâle. ' Il quitta la clinique pour continuer le traitem
de me trouver dans un étal dans lequel on sent LA PHOBIE DU REGARD. ' 25 que tout brûle, le centre, les mains, la poi
ement des paroles d'amour' ? )) (que c'nstlrivial, 1, n'c;;l-ce pas ' ! ) .le lui répondis, en riant : .le dirais alors
hez la malade (1) Mois d'une romance russe. '23 CLINIQUE MENTALE. ' - l'idée et la sensation d'avoir l'expression i
trition suffisante ; point d'écarts essentiels LA PHOBIE DU REGARD. ' 27 au point de vue physique si on n'y compte pa
e de psychiatrie, 190J, page 497 (en russe) Ceatr. f. pspch., 1902. ' LA PHOBIE DU REGARD. 29 même article, dans ce
acquérir force de loi dans presque tous les asiles, croyons-nous. * ' D'ailleurs un assez grand nombre d'articles de
sile moyen de 500 malades ef- fectuer d'une manière bien parfaite : ' , , PART. 59. - Il règle le mode de placement,
és pour- ront être visités et soignés convenablement chaque jour. ' Mais comme l'ordonnance de 1839 et l'arrêté de
de départements, d'un arrêté préfectoral lui concédant ce droit. ' Il serait nécessaire, si ces nouvelles mesures
évité dans l'avenir, ce qui ne peut être qu'avec des textes précis. ' fJu'il nous soit permis de rappeler que c'est à
tion el devient le système /c/<o-co)'<t'co-/) ? /)'OE) ? t;W. ' A l'état normal la sphère psychique volontaire et
ation centripètes et cen- trifuges qui les relient l'une à l'autre. ' A l'état pathologique, il n'en est plus de même
névraxique ou la névraxopathologie du système corlico-p5-ramytlal. ' Cette conception ps)clto-anatoiiio-pliysiolo-iq
AVAL. revue d'anatomie ET de physiologie pathologiques. 41 . , \ ' , - Nouveau réflexe de la face; par A. Fucus. (Neu
utopsie), le réflexe était fort exagéré. Ainsi s'exprime M. CARTHY, ' M. DOCHTER> : \V fait observer que,lorsque l
)VM ! f-'pM- rhiatrii IX,1\JOL) . L'observation de M. (ISTAN1C0\\ ' concerne un homme de 59 ans et une méninge-myél
ogression rapide, enfin l'atteinte simultanée du système osseux (1)( ' ,i-iostite), Lou[ conduit au diagnostic énoncé plu
t pourvues de prolongements peu rami- fiés sans pointes latérales ? ' ? 46 REVUE d'anatomie ET DE .physiologie pathol
des préparations. Dans la paralysie générale, l'infiltration péri- ' vasculaire est formée presque exclusivement par l
ypertrophie de la mem- brane élastique, - .T Chorée et catatonie, ' M. ACHARD rapporte le cas d'une fille de dix-hu
nérale. OEdème cérébral probable ajouté au foyer de ramollissement. ' Tabès cervical chez un enfant de quinze ans.
ar dis- tension du cul-de-sac méningé péri-radiculaire enflammé. * ' Scopolamine dans la maladie de Parkinson. M. Ro
pour résultat que de hâter ou de rendre définitive sa guéri- son. ' . « Dans ces conditions il serait à souhaiter q
du chef d'un établissement consacré aux malades. Population au 1" ' janvier 1'J04, 536 aliénés ; admissions en 1904
unités à celui de 1903 et sensiblement égal à celui des guérisons. ' «L'asile, écrit M. Charon, tend de plus en plus
x idées exprimées par M. Charron. Parmi les 78 décès (ô' ? Il. et ' ? 6 In.), relevons 8 cas de tuber- culose pulmo
l de la dépense : BIBLIOGRAPHIE. 61 années. C'est à elle que le D' ' Bourneville consacre toute son énergie, heureux
ès important mémoire occupe plus delà moitié du volume. FIG.1. 1. ' - 62 BIBLIOGRAPHIE. A signaler aussi tout par
mpressionnabilité, atténuer leurs préoccu- pations et leur anxiété. ' L'hygiène alimentaire mérite une notion spécial
s enfants arriérés. Quimper le 16 décembre 1904. Mon cher Maître, ' J'éprouve une véritable satisfaction à apporter
s e déclarer, l'administration départementale s'est toujours mon- ' PERSONNEL DES ASILES. 73 trée satisfaite de mes
tre adressées à M. le directeur de l'Asile de Lesvellec (Morbihan). ' Asile d'aliénés de TAUGEA'r (Haute-Vienne). Une
n concours pour les médecins-adjoints des asiles publics d'aliénés. ' Nouveau JOURNAL. - Nous venons de recevoir le n
est réduit d 28 francs pour la France et 30 francs pour l'Ltranger. ' . BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Cu.wnonr (P.). Loi
les (5) Bsecu.NN. - );in Fall von Caudaerkrankung auf tuberculose ! ' Uasis-Païuietnik tovvarlyslvve lekarskiego (.Ia
très léger amaigrissement des muscles des mains et des avant- bras. ' n 0 Membres inférieurs : Troubles moteurs : Le
e myéline et quelques rares libres éparses en voie de dégénération. ' Au niveau du 5'' segment lombaire, les granulat
préciable se réduit à l'exagération de la striation .longitudinale ' qui frappe- peu de libres sans phénomène dégénéra
ultérieur réactionnel de la dure -mère sus CHOLEMIE ET MÉLANCOLIE. ' 97 ceptible d'augmenter jusqu'à la destruction
e comme une affection exclusivement psychique ou psycho-névrosique. ' En pathologie mentale on se cantonne trop au ce
à un rapport entre les affections hépatiques et les psy- choses. ' Quant aux états mélancoliques, directement liés
1) TOULOUSE et ROUOINOVITCH. - La Mélancolie. 104 ASILES D'ALIÉNÉS. ' -- l'oeuvre de déchéance et de désorganisation
LIENES Fixation du nombre des médecins dans les asiles d'aliénés. ' Telle était la question dont l'examen nous a ét
e laquelle nous aurions à faire des remarques sérieuses : 4fx ? ·· ' e7 CINS DANS LES ASILES 1)'ALINLS. 105 \. : 11-
gées syphilitiques : et cependant elle mérite de lixer l'attention. ' - XsssL écrit un long mémoire très documenté, f
ure normal quand la lésion n'est « pas exactement sur les méninges. ' -, -· « La ponction lombaire enrichit notre ars
Nissl par A. A. PIEWNITZKI. (Oboz- ¡'cniJ psichiatrii, VIU, 1903.) ' Cette variante appartiendrait à Chenzinski, On
let fendre sont aussi colorées les granulations et mottes de \issl, ' à la condition qu'on opère sur des pièces extrême
otable dilatation des portions intra et cxtra-ccllulaircs (figure). ' " Une seconde méthode est consacrée à l'étude d
ite par compression et dans la myélite chronique. 3. La topographie ' de la thermo-analgésie spinale à la surface de la
ces chimiques élaborées par des microbes étrangers à l'orga- nisme. ' Pom BECHTEREW le mieux, afin d'obtenir le bourr
n d'obtenir le bourrelet musculai- Archives, 2° série, 1905, l. XX, ' 9 130 SOCIÉTÉS SAVANTES. re, est de comprimer
e doit être strictement médullaire. M. Marie n'est pas de cet avis. ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 133 Paraplégie fiasco-spas
llon, D'une façon générale, les enfants normaux, SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 139 tenus à l'écart des influences pernicieuses
hypnotisme aura tôt fait de le déloger. Autres communications : D' ' Jules Voisin. Phobie alimentaire datant de cinq a
udra savoir à la fois exciter, ménager et développer l'atten- tion. ' . L'auteur envisage ensuite, dans une deuxième
s. A quoi bondés lors un Conseil supérieur de l'Assistance publique ' ? Celui-ci délibère longuement sur des question
et très honoré Maître, l'assurance de mon respectueux dévouement. l) ' 1)onouanrrU. P. -S. .le viens de lire un articl
Nous comp- tons beaucoup sur vous, mon cher confrère, pour réussir. ' Mes hommages dévoués. \Is.tnoov de )IONTYEL.
dont les antécédents sont généralement inconnus et qui peuvent être ' fort dangereux, il n'y a qu'un seul infirmier p
esquels il faut soit des soins constants, soit une surveillance at- ' tentive, on trouve 4 infirmiers soit i infirmier
e langue française. (Rennes, 1-7 août 1905) Programme définitif ' Présenté par le Dr SIZ.1RET, secrétaire général
ef à l'Asile d'aliénés de Rennes. Vu : le Lr°S1d211t. D`A. GIR.1UD. ' Nous faisons appel aux auteurs des communicatio
et administration. VARIA. 157 .Xo-resh'ainL Isolement en cellule. ' Section de surveil- lance. -'1·ra'ail et coloni
e général . Un comité national belge, sous la présidence de M. le 1) ' Crocq, , avecM. le ])1' Sano pour sociétaire, e
(Genre dt'pos- session russe), par M. P. NIKITINE. (Obo<.rél71e ' [Jsichiatrii, VIII. 1903.) .. Elude faite au m
TS DIVERS Asiles d'aliénés. -=- Mouvement de juin 1\10.J. - M. le 1) ' Lv- griffe, médecin-adjoint à Quimper, promu il
ault, Drouineau, Crocq, Vallon, Sizaret, Pe- trucci, Brissaud, etc. ' Mais vers onze heures du soir, les congressiste
ue. 3° Dans les toxi-infections, en particulier dans l'alcoolisme ' chronique, l'intensité des troubles de la sensibi
provoquer, ou tout au moins localiser, les préoccupations morbides. ' Ayant passé en revue les diverses maladies dont
le ; l'ex- ploration électrique pourrait à cet égard être utilisée. ' Enfin le rapporteur n'a parlé que de l'hypochon
estement primitif dans les auto-mutilations des hypo- chondriaques. ' M. 13RISSAUD (de Paris) pense que peut-être l'h
dire, la conduite du chirurgien chez les vrais hypochondria- ques . ' En résumé, l'évolution des idées qui se fait ac
tion du virus rabique,mais due a d'autres microbes d'as- sociation. ' Pour l'ensemble de ces raisons, ;e pense qu'il
or- bide vésanique et méningite infantile ont accumulé leurs effets ' pour déterminer l'infirmité mentale. Il s'agit
ts précoces et la stupeur sitopho- bique de quelques mélancoliques. ' - Albumino-diagnostic. MM. les D ? A. Marie (
convient sur- 212 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES ' tout de s'adresser au traitement préventif et i
ise et aux bains médicamenteux, sulfureux, al- calins, aromatiques. ' 5 La fréquence des syncopes observées par Wurth
suivis de lotions stimulantes froides, ou bien au bain si-- napisé. ' Les manuluves et pédiluves chauds ou sinapisés
surve- nant au cours des affections chroniques, seront soumis aux ' BALNÉOTHÉRAPIE ET HYDROTHÉRAPIE. 219 règles gén
eu à notre stupéfaction,par les douches froi- des. L'année suivante, ' étant interne 'à la Salpêtrière, nous avions po
tous les hôpitaux et hospices de Paris. Elle a été fructueuse. Il \ ' Dans notre service, depuis ISï9, nous faisons u
s, de s'assurer s'il a les aptitudes nécessaires, de faire un choix, ' car il y a des infir- miers qui ne doucheront j
fois très prononcé d'occlusion de la trachée ; ce phénomène, pri- ' vant le patient d'air respiratoire, a pu être con
vation des sentiments affectifs et l'intégrité de l'intelli- gence. ' · 1 ; "' 1 » . . , Tics des sphincters ^ HENR
s sentiments affectifs et l'intégrité de l'intelli- gence. ' · 1 ; " ' 1 » . . , Tics des sphincters ^ HENRI MEIGE (
, qui est un symptôme fixe et permanent. LÉSIONS DU FOND DE L'OEIL. ' " Les formes des lésions du fond de l'oeil que
nneur.qu'il lui fait, et accepte la présidence du Congrès de Lille. ' Observation de troubles mélancoliques d'origine
aiter leur délire, rectifier leur juge- ment sans les surexciter. ' Chaque catégorie de malades demande en outre des
l'intérêt pratique de ce guide, dont le besoin se faisait sentir. D' ' PAUL-BONCOUM. ASILES D'ALIENES Personnel médi
s adjoints des asiles d'aliénés lors de l'examen du budget de 1906. ' Le Ministre de l'Intérieur, Eug. L : TIENNE.
I. Van den IIEUVEL, Ministre du la Justice. Vice - Présidents - d' ' / honneur : 1)1. PETY DF : THOZÉE, gouverneur de
s'intitulera « Congrès belge de Neuro- logie et de Psychiatrie u. ' , Les praticiens de toutes nationalités pourront
ux respectifs des deux sociétés fondatrices. Présidents : Milo le 1) ' IOTF,Yl0, présidente de la Société de Neurologi
FRANCOT- TE, professeur à l'Université de Liège. Membres : M. le D' ' (;UTTGENBACH, directeur de la Maison de santé d
apporteur : M. 10 DI' ï.UYLITS, médecin en chef de l'asile d'Evère. ' b) Neurologie : La ponction lombaire au point d
est un être extraordinaire, la femme fléau, le mystère del'Incar. ' nation. L'état anxieux s'exagère au sur et à mesu
ofondes altérations de l'affecti- vité et de la sensibilité morale. ' Le trouble de la cénesthésie cérébrale ayant en
gation sont en rapport avec des troubles cénesthésiques, se relient ' 1 il l'altération des sensations dans leur élab
. COTARD. - Etudes sur les maladies cérébrales et mentales, p. 388. ' (2) SÉGLAS. Leçons clin. sur les maladies menta
iser. , Avant de commencer la recherche et l'examen de ces signes, ' nous devons prendre position sur une question p
ynert. -Rapportà la séance de l'Académie de Vienne, LX, sept. 1869. ' 284 PSYCHOLOGIE. de la conscience. Mais qui d
des sur le cerveau. Trad. franc ? de L. Lévi, Paris 1898, p. 76-77. ' (21 P. Flechsig. - Etudes sur le cerveau. Trad.
que, 1901.) (1) l'ttr : 1'Fit. -L'ân : e de l'etafant. p 2,4 et 99.) ' · (2) Prêter. L'âme de l'enfant, p. 206. Arch
YCHOLOGIE . à la main un cheveu qu'il avait ramassé lui-même 'et le ' passait d'une main l'autre (1). Au pointde vue
précises. - Consultation médico-pédagogique, le jeudi, il 0 h. 1 ? ' CONGRÈS FRANÇAIS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET
ujours l'amélioration du sort des malades confiés à sa charge ? D' ' Brousse exprime le regret de voir arrivera la fin
le. Il ne faut pas s'occuper spécialement de telle ou telle folie : ' les folies varient suivant les régions où elles
is d'avis que la spécialisation ne doit pas être poussée trop loin. ' je. PICHENOT. - Je m'associe aux paroles de mon
Celle-ci et les Maladies mentales n'ont-elles pas des liens inlimes ' ? Le" l)i,utiqtie les neurologistes font de plu
e- vet, chaque département n'aura it-il pas son concours spécial (]) ' ? (1) 'oirle n° 33 Mu Progès mcdical, 1..ï31.
tice est sans doute celle qui doit résumer toutes les autres. De , ' [landes injustices auraient-elles donc été commise
oit commun et ce qu'est vrai pour les uns est vrai pour les autres. ' Avec la majorité de mes collègues d'asiles, je
r Lucien Lagriffc. Médecin des asiles publics d'aliénés de France ' (y compris la Seine'). Nous continuons il laisse
u sens stéréognostique; par P. M. SNIKER. (0&0)'<'Mt<'J'f) ' )ft<<'t;, IX, 1904.) Cinq attaques épilept
qu'un autre diagnostic puisse être posé que celui d'hystérie ; rien ' ne rappelle ici ni l'association bystéro-tabéliqu
. Ils ne signalent pas davantage les corpus- cules de Negri. " L. \\ ' ,TEL. XIX. Nouvelles recherches chimiques sur l'
re lieu de modifier notre con- ception pathogéniquede cette maladie ' ? De la discussion des di- verses théories émis
nerfs périphériques n'offrent que des lésions de peu d'importance. ' Les auteurs l'ont remarquer qu'en dépit de la p
s en général les idées ne persévèrent que pendant quelques minutes. ' Quand Kroepelin avance que le travail est facil
sons et avait, par suite, l'air de lire dans la pensée de son père. ' P. KrRAVAL. il XXXIV.-Technique sphygmographiqu
s instruments dérivent du sphygmogra- phe de Marey (1850.) L. WAHL. ' BIBLIOGRAPHIE - Rapport médical de l'asile d'
domaine qu'on a l'intention d'acheter et d'an- nexer à l'asile (1). ' Nous avons émis l'idée, mal acceptée par certai
ous les aliénistes sont d'accord, mais qu'on ne saura trop répéter. ' « Les décès sont dus en grande partie à la tube
marquables au point de vue de l'agitation et de l'in- somnie » ( 1. ' 1)1. Dubourdieu réclame avec juste raison la co
ôpital de Greno- ble est une innovation excellente, écrit 51 . le D' ' Dubourdieu. Les malades seront ainsi assurés de
sociation médico-psychotogique d'Angleterre el les conférences du 1) ' Level. (2) Le nombre par trop réduit de nos inf
s ordres, et de m'accuser récep- tion des présentes instructions. l ' . , " Pour le Ministre de l'Intérieur, le Conse
seiller d'Etat, directeur de l'Assistance et de l'hygiène publiques ' Il. }10NOD. Asile Saint-Robert : PERSONNEL médi
accident. Carini aurait été étranglé par sa camisole. Mais comment ' ? Par qui ? La supérieure a déclaré que le fou
la nuit un in- lirmier aux cellules. Pourquoi cellule et camisole ? ' ? Les asiles d'aliénés aux colonies. Le docteur
humatisme. Mort en 1901 des suites d'une pleurésie avec hémoptysie. ' Sa famille. Son père buvait beaucoup (vin) et s
ux, sauf unc blépharite ciliaire à 9 ans. Température à l'entrée. ' 340 ' CLINIQUE NERVEUSE. contre l'oreiller. L
unc blépharite ciliaire à 9 ans. Température à l'entrée. ' 340 ' CLINIQUE NERVEUSE. contre l'oreiller. Les yeux
.). Testicules descendus, de la grosseur d'un petit oeuf de pigeon. ' 1 1% 17. - Janvier l8()D.. v Fig. 18. - I ? c
en plus mauvaise. Le corps et surtou la t6tc se penchent en avant. ' 1902. Janvier. Puberté. Petite bande de poils r
aturellement il ne faut pas se contenter d'une seule expérience. ( ' ) Contrairement Ù 1. ! talJitudl'. "u Il'a )1 : 1"
la 1f>llIp('l'a 1 111'1' a ? cz ¡"II ? ll'lllpS. (3) Celle Pl'é( ' : lIIIÏ<1l1 01"11 ? 1ppli'lllcr tous les cnfan
- lancolie, depuis la forme simple jusqu'à la mélancolie stupide. ' Un autre f·uiL, c'csL que l'intensité de la cho
e sachant de quoi. Cettepremière crise n'a duré que quelques jours. ' Le premier internement est de date récente (nov
. Ni sucre, ni albumine, ni indican. Sérum peu leiiité. très léger. ' i Cette observation est intéressante. Louise
alllll- mine. Urobilinurie légère. Sérum peu teinté ; Gmelin léger. ' Observation 1-Il. Mélancolie anxieuse. Cholémie
l'insomnie, de l'anxiété, de la tris- tesse, du découragement, etc. ' Nous pouvons donc dire que le traitement ration
trant en jeu qu'à l'occasion des douleurs d'origine pathologique. ' La lllèsc de .Mlle 1-otcyl.o allait trop à rencon
ue comme une diversion d'ordre humanitaire applicable seulement aux ' ( remissions ou à la convalescence de la folie.
ité, l'incontinence d'urine, etc , etc. , M. ]e P" Yas ( ? Ht CHT¡ ' ;N (de Lowain) s'cstélcvé contre celle extension
ment par un banquet ofl'ert il tous les congres- sistes par M. le D' ' Glorieux. Ajoutons en terminant que les étrange
mulation, d'autant qu'il y eut en l'espèce une rémission prolongée. ' M. lntoss n'envisage pas la disjonction dans le
mence précoce il l'a 11crgie des éléments concourant à l'activité Ù( ' ! acOI1"Ciellce. P. 1\.l : R.\YAL. rI. De l'éta
de la face dans la démence paralytique ; par \Y. ,,1. GECHTI : IOE\\ ' {Obozréniè ysir3xintniz, \'lU, 1\Jm j VeH1'ulo
t. par suite, avant tout, le réflexe 111l'IItollllit'r du ré- 111'\( ' buccal. En quelques cas, quand ou frappe la lèvre
condaire, esl due à une lésion de la zone 1llOlri('1' de' l'I;C(II'( ' (' Ironlale. Xalurcllemenl, le- déments parai) t
ndaire, esl due à une lésion de la zone 1llOlri('1' de' l'I;C(II'('( ' Ironlale. Xalurcllemenl, le- déments parai) tiq
ssi une altération des l't''111'.\I'' 11111'l'ulail ? du troue et d( ' , 1'.\II";lIli ? qui, dall '1111'1- 888 REVUE DE
dies mentales; lan\ISSI.. (('wxtoaLLl.j'. \'w'ccnlz'ill;molr .'\.'\\ ' ]1. \. F.S\', 1 ! 10'l). Des causes réelles des
s; lan\ISSI.. (('wxtoaLLl.j'. \'w'ccnlz'ill;molr .'\.'\\']1. \. F.S\ ' , 1 ! 10'l). Des causes réelles des p'CltllI ? d
particulièrement labo- 1-ietil; ; mais elle 1'111 mise l'illfltlell( ' ( du chloroforme un peu avant la naissance de l'
n bon caractère et se laissait facilement examiner. Les Che\ellX 11( ' (ail'lll ni clairsemés, ni épais, il n'y avait auc
ue ; mais, comme je l'ai dit, 3Û , ¡U-;\,UE DE P,\ III0LO(;I[o; 1ï.¡ ' ;T\U'. 111011 aheIH'(' 11l01l)('ntalll'p rut cau
dit, 3Û , ¡U-;\,UE DE P,\ III0LO(;I[o; 1ï.¡';T\U'. 111011 aheIH'( ' 11l01l)('ntalll'p rut caup appal'enlllH'utqlW le
er à la liste très restreinte des cas de celle incurable maladie. ' Voici à titre de renseignement quelques indicatio
1,I1LLIALI : .1DIAUItOSIQUh OU .\\1.\I : ItOTIQUE. I. Warren 'l'a\ ' : Tmns. of the 0/tf/t. soc. or the United ]{il1(/
. 178). \'111. Un amaurotic family illincy, a disease chieOy of 111( ' (;l'ay mattfr nl Ih lv·nllal ncl'ton, cyclcm. I
\111'11('11. (The JOIl/'IUtI or m.'nt. SI', janc. t ! 105, p. 125.) ' Il va matière, avec toutes ces indication», à u
(( LI' pw"I'ili"ml' 111 l'Il lai appal'aîll'aiL ain"i C('IIII1)(; l ' ('\[1n ? ion cli- nique du l'rmrl. 1)l'Inlllil'
(( LI' pw"I'ili"ml' 111 l'Il lai appal'aîll'aiL ain"i C('IIII1)(; l '( ' \[1n ? ion cli- nique du l'rmrl. 1)l'Inlllil' rl
ées. A l'appui de celle Ihèse, l'auteur publie 6 observa- ti ! )nsd( ' ('eenrnd(j)ii\(i11t.f ! atypctahu ! iqm;. Il con
ue. De l'analyse de- fait-, il semble résulter que les s IIlpl(IIII( ' Ill'I'\( ! UX Hï'IOltll'lll qtll' Il'11' el ii'
ll'p- lilorines, puis hémiplégie droite. Il succomba l'apidenll'nl ( ' [ 1(', ailleurs trouvèrent à l'autopsie, connue
lilorines, puis hémiplégie droite. Il succomba l'apidenll'nl ('[ 1( ' , ailleurs trouvèrent à l'autopsie, connue cause
ln inépuisable des deux \ pil'd, IUlI' a 1l1'llléie 1'0111],[;'11',( ' " la rétention urinaii et fécale persistante.
latérale du tronc si elle <Ol'IHN' à l'inflexion latérale de la ( ' (donne venlubralc rln rôle où porte le REVUE DE
in(11vidll" lIHtign'setlllusc[¡ ? permet de l'c('ollnai- tre quel ( ' ,1 le ('l'Ill' sUI'1Pquel porte le poids du corps,
bril- lail'es. [)t"huL appal'ellt il J a 3 ans et demi, Bmtlycal'di¡ ' acluelle- ment. L'intérêt de cette uhservation
e- ment. L'intérêt de cette uhservation réside dansée fait que la ' ! 11lpLomatologie bulbaire est très fruste. Elle
ques île la maladie de Gharcol. l;el1\ahi ? enll'nt hulhail'c e;,L ( ' ("'tain mais se traduit ici par des phénomènes d
- gération très marquée du réflexe olecrauieu du coté paralysé. 0) ' )f)ne)iota ! dedeb(Loits et du dos de la main. Séc
éformations séniles du squelette simulant la maladie de Paget ; par ' \locQuoT et Montier. (1\'OIlV. Ico- 11001'. delà
de Séguin), le premier degré de» anomalies mineures. Il" pementl'cd¡ ' \"('nir aples il [H'olill'l' df' l ? ùucatinn nOI'
; il arrive souvent même que l'accès convulsif ne se pro- duit pas, ' comme s'il avait avorté dès la manifestation des
aux. Xous avons eu l'occasion de publier,en collaboration avec le 1) ' Lournoville, un cas d'idiotie morale caractéris
tons pas, ce sera pour les auleurs la IIJl'illenre de l'écol11ppne. ' .1. BOYER, XVtt. Etudes biologiques sur les géa
it constater un agrandissement très notable de la selle turci- que. ' La distinction entre les deux variétés de géant
pur pendant un certain nombre d'années, tend h évoluer vers le I 1)( ' acromégaliqne pour se confondre plus lard compl
l'étude de l'homme ne saurait rester étrangère. IL LEROY. \1'll(. ' Die polyneuritischen ]> ? l''¡wsen; par A. Kna
ester étrangère. IL LEROY. \1'll(. ' Die polyneuritischen ]> ? l' ' ¡wsen; par A. Knapp. 13el'gI11nn, édit., Wiesbad
e de l'obscurcissement de la conscience, mais l'on peut rencontre ! ' des rétentions et. des incontinences 11'otiine
1, \'l'ai moL (ICN-1lil êlile suppléant. (13.) 410 VARIA. sitanc( ' , l'Ill' dp Sainls-Pl'l'P, no 4g, - .\1.'1. les Do
sultation etdu rapport sera faite au début de.la séance suivante ; , ' )0 une épreuve clinique ·nr ilruv malades d'un s
ximum des points à attribuer pour chacune de ces ('pl'cm es l'sI Ii ' \é ainsi qu ï 1 suit : pou l' la pl'em ière épreuv
gaillard les vêtements des demoiselles tierdonlet. . Faits Imvers. ' 413 Les recherches continuèrent, mais la nuit é
lles avaient à coeur de mourir ensemble. (Petite Gironde, 27 sept.) ' Un liPfLEI'TI(ZI;I : en correctionnelle « Une
a ses jours en se jetant dans la riv ière « le Thérain ". (Le Semeu¡ ' de l'Oise, 8 ol'tuhre 1\,)03.) ASILE départemen
et inscriptions, s'adresser à la direc- tion. Hospice ])] ! : )hc) ' : TRE.M. BOURNEVILLE. Visite du service (gJI1na
ico-1Jédagogique gratuite pour les enfants, le jeudi à, rJ It. 1; . ' 11;CROr.OGII : . -luus aons le regret d'apprend
es. Cuocn lUX (1; : ). - Happort médical el adlllinisll'alif pOll ! ' l'alluce ]903dct' : <si)opu)))i(;d' : ()ienc
. Happorl sur l'asile public d'aliénés de la Haute- GHI'onne pOli ! ' 1904, ln-S" de 30 pages. " (int.LOPAI\ (( : .1.
\lett·u0v. - ( : ompc-rnudu : ulministr : Uil' cL rapport ! ncd ! ca) ' )c ) ? si ! ed'a)ici)csd0ui)npe ! 'pour 1904. In
ébral provoqué par la cy- AncmvES, 2' série, 1005, ) t XX, 27 418 ' - PATHOLOGIE NERVEUSE. phose ou par simple disl
ris 1827. (2) Louis.- Mémoire sur l'étal de la moelle dans la carie ' "l'dé- ])l'[lIl', 182G, (3) ECIIE\'Ll\ItIA, -
. A travers la dure-mère et les gaines des racines nerveuses qui la ' traversent, l'inflammation se propage aux ménin
vertébral et comprime plus ou moins la moelle : pour cette raison ' déjà peuvent survenir des lésions des éléments ne
i se passe dans le voisinage immédiat de la moelle épinière ne joue ' pas un rôle dans la production de ces altératio
IE NERVEUSE. produite par une dislocation lente ou subite des verte ' bres ou par un abcès qui soulève le périoste, l
des Nervensystemu \'II. S., 737. 1°0·t, 420 pathologie nerveusic. ' des cas relevées de compression médullaire par
ont été recueillies sur un petit nombre d'autopsies, inférieur il 1( ' , pratiquées sur des pottiques à paraplégie pers
: 1CHARD (4) : dans ce cas il n'y avait pas de 1)tellyiiiéiiiiigitc, ' et bien que l'arête osseuse ait porté sa pressi
utri- , i (1) (;HtP.ltJI.T.-( : Iriruryir· niédiillaii-e, 1894. ' (2) (litocQ. Journal de Neurologie. 1901. p. 390.
utsche Zeitschrift sur Ververrlrcillcurrde. fil ! . 16. s. 1. 1899. ' (·1l Long et MvciiAnn. Revue Neurologique, 1901
e du canal vertébral peut être rétrécie et la moelle com- primée. ' .. , . On voit donc que les auteurs récents inc
mention- née dans 10 cas sur 20 ; de façon qu'on peul à peu près ' admettre, avec Kraske, qu'au moins dans la moitié
de ptomaï- nes tuberculeuses que dans la tuberculose pulmonaire.' " ' Cet 'auteur n'est pas non plus convaincu de la
bien nécroser la dure-mère et agir ainsi directement sur la moelle. ' . Mais même sur les éléments qui concourent il
ans lé mal de 1'ott, pour la production des faits dégéné- ratifs de ' la substance nerveuse ne laisse pas que d'être
'action des toxines tuberculeuses, facteur hypothétique, si on veut, ' mais le seul que l'on puisse invoquer, à l'heur
ne vertébrale et la moelle, ce qui résulte du protocole d'autopsie. ' 4 PREMIER cas. .\I. IL ? 2j ans. Début de la ma
pour toutes les sensations ; pas de gibbosilé. Mort le 27 mai 1904. ' . Autopsie.' Pas de déformai ion vertébrale ; c
ssis dans leurs deux tuniques externes, mais largement perméables, ¡ ' ¡ calibre plutôt dilaté que rétréci remplis de s
féro-latéral ne nous montre d'autres zones dégénérées que celle du'] ' Py C. , , . " Immédiatement au-dessus de la pac
a pachyméningite. Les cellules, à part quelques rares, ou il existe ' une légère chromalolyse, sont intactes. ' Rem
lques rares, ou il existe ' une légère chromalolyse, sont intactes. ' Remarques. Les lésions rencontrées dans la moel
équence d'un processus inflammatoire ayant évolué dans la moelle. ' Nous ne pouvons pas non plus interpréter celle fo
ntral qui existe la où cette péri-pachyméningite est la plus forte. ' Au point de ,vue des dégénérescences secondaire
re, et celle du fais- ceau de Turk qui descend jusqu'au niveau du 1" ' seg- ment lombaire. Au-dessus, les dégénérescen
gé nérescence secondaire touchant les fibres moyennes et courtes. ' SUR LA PATHOGÉNIE DES ALTÉRATIONS MEDULLAIRES.
progrossifdos membres inférieurs, sans accompagnement de douleurs.. ' Leli janvier, rétention d'urine et constipation
au niveau delà 4° vertèbre dorsale : paraplégie flasque des membres ' inférieurs : pas de douleurs dans les jambes :
resque complètement de manière que de la gaine ll1\éliniqlH' I('l ! ' seulement comme trace un mince bord noirâ- tre
tion disséminés dans toute la moelle sont cependant plus abondants ¡ ' ¡ la partie externe du cordon latéral, dans la m
il existe, dans les cordons A nCntvr.s, 2° scric. t. l\. 2a 4.GU ' PATHOLOGIE NERVEUSE. postérieurs, desdegenerati
ervical, légère décoloration presque limitée au faisceau du Goll. - ' . Les cellules radiculaires au-dessous et au-de
Il chl'uJ1latulye légère ; cellulc de la colonne (le iii- Lactés. · ' · La pie-mère est légèrement épaissie sur toute
nt,tlall la muelle 10J1lbo-acl'ée et dorsale, aucune particularité. ' . ' Remarques. Cç cas offre plusieurs points in
lall la muelle 10J1lbo-acl'ée et dorsale, aucune particularité. ' . ' Remarques. Cç cas offre plusieurs points intére
ent des gaines, hypertrophie cylindraxileparfois colos- sale, etc.) ' ' , 1 La compression qui s'exerce sur la partie
t des gaines, hypertrophie cylindraxileparfois colos- sale, etc.) ' ' , 1 La compression qui s'exerce sur la partie m
ées partout largement perméables et rem- plies d'hématies normales. ' La constatation anatomique la plus saillante n'
ase dans le système lymphatique spinal produite par la compression, ' ou même un ralentissement de courant dans les p
constaté ces troubles cir- culatoires dans la moelle inférieure. , ' L'hypothèse la plus vraisemblable est que l'abo
e des fongosilés péri-pachyméningiliques correspondant aux segments ' 1 aplatis, l'impression due à la saillie osseus
oit, on retrouve autours des vaisseaux quelques cellules allongées. ' La dure est discrètement épaissie, sclérosée su
olongements manquent et il existe une légère chroma- II( L\ i'\IïIO¡ ' ¡ ? \IE DI : S \[(1 IC : UL\IïO : \S 11 : I>l !
itée en haut par une zone ifltyperesthésie passant au niveau de la \ ' ( ? Ít1l1 IUIII- baire ('1 hvpogaslrique, sailli
l'o- phi{'. parfois remplissant presque complètement la 11lailll' n{ ' \ 1'0- gliquo : dans plusieurs de ces mailles, o
I segm. lomhail et au-dl'su,la lésion de la substance blanche 1 t'I" ' {'l'nle presque exclusivement le tableau de la dég
espondant. - Le malade examiné, M. A. était un jeune homme de 2 : ' ) ans-, de deux mètres de hauteur, du poids de 72
ce micio- coque au milieu d'autres microbes dans le sang des mala- ' * des qui présentent une activité musculaire ex
g des mala- ' * des qui présentent une activité musculaire extrême. ' Dans la même séance, M. Minot, répondant à M. M
a medica, Palcnno, 1903, XIX, 934-936. 472 REVUE critique. v ,f t ' J'ajoute que M.Alberto ENTRLcn, médecin de l'hô
as arrivé à les voir réunis en chaî- i nettes (1). v, , ? - . , t ' : i \ ? "- .. J ? Je regrette de ne pouvoir ind
arrondis comme s'ils provenaient de globules parasités dis- parus. ' ( '1">. 1 La figure schématique ci-dessus re
éfibriné sert à ensemencer des tubes de bouillon neutre ou alcalin. ' - Comme je l'ai fait observer dans mes première
ieu à un réel développement dans le bouillon qui reste limpide ». " ' , " Pour la culture sur les autres milieux, je
persistance du mi-, crobe dans le sang est extrêmement remarquable. ' Je reviendrai sur l'expérimentation, mais je ti
epiderniqueetle creti- nisme sporadique sur la théorie de "il'cho\\ ' ; théorie de la synos- tose hâtive du sphénoïde
ande différence d'aspect d'une (1) D'après une analyse de Wiffium \\ ' , It'l'Iand, dans The Jour- nal of. mental scien
e; par le D USTWALT, (l3rulletinde l'Académie de médecine, 30 mai). ' M. I. IIvymond. Je dépose sur le bureau de l'Ac
lu- nyl constituent un traitement actif de la syphilis cérébrale. ' ' Les auteursontinjecté à ces divers malades, en
- nyl constituent un traitement actif de la syphilis cérébrale. ' ' Les auteursontinjecté à ces divers malades, en se
éaction locale,pas de persistance du nodule inflam- matoire induré. ' "> ,. Abstraction faite de la quatrième obse
F. T. II. -'De la nécessité de lutter contre la tuberculose dans ' les asiles d'aliénés; par N. N. ToroRhow. (Obozre
énés en quel- ques pays de l'Europe occidentale ; par N. WVROUBOW ' (0&0 : reM ! ftf/tMt ? -t ! , VU. 1902.) Ex
nce DE M. Vallon. Confusion mentale et otite suppuree (discussion). ' M. l'IC2uÉ. Si l'on constate, avec M. Roy, qu'u
er ? miner des troubles intellectuels se manifestant surtout par de ' i la confusion mentale. C'est ainsi que s'expli
es consécutifs aux accouchements. Je ne crois pas qu'il faille voir ' 1 là de simples coïncidences, car ces cas sont
on a évolué plus lentement, car elle a duré 14 ans ; mais le malade, ' dément SOCIÉTÉS SAVANTES. 489 précoce type, e
uis lors cette guérison s'est maintenue. , 490 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' Présentation cc71èces anatomiques. " MM. Marie
e asepti- tluement, avant l'âge adulte, comme dans notre cas (1). · ' M. Vallon fait remarquer combien est illogique
LOGIE. Séance du 9 novembre 1905. - Présidence de )1. P)RISS.1,D. ' Epilepsie. Bromure et déchloracration. M. THOMA
électrique et interrompre sa conductibilité neuro-volition- nelle. ' Commotion médullaire ; paralysie des membres su
tuberculeuse ayant agi sur le système pyramidal. Père tuberculeux. ' ... , Tic avec phobie de la parole et de la lec
. Lésion cérébelleuse probablement limitée ;t certains faisceaux. ' Syndrome de l3asedoxv chez une goitreuse. \I11.
chez les lh) roilliens Lrophoedémateux. 492 bibliographie. " < ' Rhumatisme chronique . '' t ,i : 1 M. GAucKLER.
du corps genouillé externe. . Déjerine combat cette manièrede voir. ' 'v> Origine périphérique des hallucination
atérialisant, pour ainsi dire sous une forme objective et du- rable, ' le fonctionnement défectueux à la fois des muscle
xications, l'arriération et la dégénérescence men- tale, etc., etc. ' , Les troubles graphiques particuliers à chacun
cadémie des sciences et le prix Broca à la Société d'anthropologie. ' ° ' Bien que ne se faisantalors aucun doute sur
mie des sciences et le prix Broca à la Société d'anthropologie. ' ° ' Bien que ne se faisantalors aucun doute sur l'é
r.)-9. Exostoses multiples ayant suppuré. Syndrome sYl'Îngomyélique ' (ampulation spontanée des doigts, thermo-anesthé
xplélnelxtail'e : Pathologie géné- rale du système uervew, il. le ]) ' Ctaudt : : Séméiologie des ma- ladies du systèm
de V'·Rr'o2athologic, sous la direction du D1' Henry Claude, agrégé, ' avec le concours et la collaboration de .\1.\1.
, .. , . ? " 1 l.V I-(7U qui veut E' : T124\c;LI : RSO11\TI'12\i : . ' Le Petit Journal du 17 octobre raconte le fait
'hôpital Saint Pierre à Un ancien jockey, Poeis, qui avait déjà été ' interné plusieurs fois, et qu'on supposait guér
de six agents de police pour qu'on ptiL l'enfermer dans un cabanon. ' Folie meurtrière. A,llivccaltes, un fou qui é
vaiuL-l'liu f,ful,tl, nommé médecin-adjoint il I ! ro)i(i ! ii6nc). ' . Société médicale DES asiles d'aliénés de la S
? ? 8, rue Serpente, Paris. {Journal officiel, du 1=- "août 1905.) ' ' Mariage des épileptiques. Dans certains cas,
? 8, rue Serpente, Paris. {Journal officiel, du 1=- "août 1905.) ' ' Mariage des épileptiques. Dans certains cas, le
it prévenir la femme très nettement et la choisir hors d'en- (ant.. ' Nécrologie. Nous avons le très \ il' regret d'a
ang. Affections cérébro - spinales. Voir timibles qicyullaires. ' Analyse de quelques cas cl'- cérébrales, par Fe
se psychologique de travaux manuels des -, par Toporkoff, p. 485. ' Altérations médullaires. Sur la pathogénie de
mputés. Voir Hallucinations. Anomalies congénitales, par nlroplJi( ' numérique, par Klippel, p. 133. Les men- tale
0. - - laïques, p. 160. Un con- cert à l'- de Clermont, p. 255. ' Mouvement dans le personnel médical, p. 335.
privée, par le Dr Lentz, p. 486. Mouvement de novembre, p. 501. ' Assistance des enfants arriérés. Voir Personn
a respiration chez les pl .son Il'1111 ? ment, par Faure, p. 235. ' Atiiéromateux. Voir Parésie,. Atrophie muscul
7- 1/111élie. CHCLÉMIE et mélancolie, par Cololian, p. 97, 356. ' Chorée et catatonie, par Achard, p. 54.. Ci
gistes de France et de5 paYR de lan- gue française, p. 78. 155. ' international de l'assistance des aliénés, p. 1
zaret, p. 226. C1'l'O-DL1G\OQTIC. 7oirl'oitetioib Le - - du li- ' quide cérébro-spinal, par Schoenborn, p. 109.
r Schoenborn, p. 109. i 1 DÉC'HLORUR.1TI0\. Voir E(flP ? sie. ' ' Déformations séniles du sque- lette simulan
Schoenborn, p. 109. i 1 DÉC'HLORUR.1TI0\. Voir E(flP ? sie. ' ' Déformations séniles du sque- lette simulant
éréditaire, par Dé- ierine,Leenhardtctforéro, P. 13 . - Voir Olis( ' , - Voir Folie. et 801(ellelie, p. 255. Nouvel
..t : ! ti.)n qUI \'eul 01 1'11 11gll'l' {JIlIIlIt'I'liI'. p.3U). ' Friedreich. Maladie de et ]iérédo-ataxic céré
ée par la psy- chothérapie, pai '4Tmo Li- pinsl : : t 'p. ` ? 33. ' Géants. Etudes biologiques sur les , par Laun
decine, par Boucard, p. 136. Grimace. La -, par Bloch, p. 140. ' Hallucinations. Voir Hynn- condriuqnc. Origin
se, par Marie et Léri, p. 491. ? IlI'.I ! \IUI'III : : \YL. VOIr , ' )Y/¡/lItls.1 Hoquet. Voir Suggestion.^ HYPEREX
cl ? par Delins, p. 141. Il chez les animaux, pnr Lépi- nay et ( ' .1-011et. ' 1-lypoCHo ? DltlAQUE ? 7'oir DnliwP
elins, p. 141. Il chez les animaux, pnr Lépi- nay et (' .1-011et. ' 1-lypoCHo ? DltlAQUE ? 7'oir DnliwP. Préoccup
délirantes dans la folie do la persécution, par Leroy, p. 185. ' HYPOOHOX[>I\TE et lésions orga- niques lat
vail dans la thérapeutique des men- tales, par Cuylttz, p. 372. ' Critique de l'article de Ztchen intitulé : De q
ieuse comme cause d'aliénation mentale, par Marchand, p. 332. ' : ¡lÉ ? IXGO-EXCÉPHALI1E 5711111- tidue awec ép
'étude de la ophtalmoplé- gique,parLec ! éxio.p.4H. Moelle. Voir ] ' "riuloIl1Nie, Contribution il la question de l
par Vitek, p. 128. Ontogenèse. Les phénomènes de conscience dans ) ' par Lahy, p. 280. Opérations corticales. Cont
et rémission dans la générale, par A. Marie, TABLE DES MATIERES. ' 311 n. 55. Suppurations et ré- missions dans
spasmodique des athé- romateux, par Dupré et Le- n7aire, p. 132. ' Parkinson. Voir Scopolamine. Maladie ,le ? pa
typhus, par Sacco- nuglu. p. 319. Perception stéréognostique, p. ' · 255. Personnel médical. Sur le dans les a
es asi- les, par Dubourdieu, p. 153. médical. Concours de l'ad- ' juvat, par Bourneville, p. 247. médical. Asile
sexuelles, par 13crillon, p. 138. -. Voir al/st 1 ite hystéTique. ' Puérilisme. Le démentiel sénile, par Dupré, p
p. 379. Note sur le rôle pathogène de la simulation, par Féré, ' p 389. Sommeil. La conscience du -, par Dpl1J
l'n- /107lIyellte. Histologie patho- ]()gtquec ! pa ! hng(''nt('d( ' )n parTtiomasctHauser,}]. 322. Système nerve
les. TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS Ach ! u'd ? )4.. . ' Adnmki,'\\'jez, 12 : J. \lyoicl', 4Jt. Anll
BLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS Ach ! u'd ? )4.. . ' Adnmki, ' \\'jez, 12 : J. \lyoicl', 4Jt. Anllieaume, 134
Barban, 490. ] ! : u)()nn) ? ).'),l ? 3. Bayo, 481. Bechlcrcw, ] ' ,4t), 41, 42, 4 : 3, 1 : 8, : 387, 38'.). BI
484. ( : ourl;wll, 1 : 37. ( : ruclrel, 155, 1s6. Cuylilz, 372. ' lJal'eaunc, 199, 200. Debrav, 378. ])ccrniv
i·r. 115. Froment. 399. Fuclis. 41 1 Fnrsac. 4)2. (;nlla\"l ! ' (lin, 483, (iauckler. 492. (;nn"spl. : 315.
(;"0111'1. Hl. Gross. 380. Guenon. 141. Guillain. 133. (;nie\ ' , 13. Gurenwilsch, 45. ]lHtn)i.6.401. Ilamcl
18 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Jlikr. Anat., Bd III, p. 441, Bd IV, p. 407, et Bd. V, p. 317.) ' Kôlliker. Gewebelehre, 18G7, page 306. 1 L. Sti
d'embryons de lapins pris à toutes les périodes du développement, ' Kupffer. Op. cit., page 9 : « Proxime ante plicam
e-même. Voyons un peu les aperçus des auteurs à ce sujet. Huguenm ' reconnaît au nerf auditif trois noyaux d'origin
pond à ce que Krause désigne sous le nom de noyaux latéraux des 1 ' \NI. Krause. Allgemeine und nzicnoscopische fuaton
rause. Allgemeine und nzicnoscopische fuatonzie. Ilannover, 1875. ' J. HcH)c. Iliiidbitch der des /c ? i ! C/ ! 0 ! .
antérieures de Krause, et au noyau externe de Huguenin. Schwalbe ' de son côté distingue trois noyaux d'ori- gine
divers de son parcours. 1 Wiener Sitzungsberichte. 1875, april. ' Axel Key und Gustav Retzius. - Studien in der ana
dans du bichromate de potasse, avec addi- tion de sulfate de cuivre ' , furent d'abord pratiquées à l'endroit de son i
ransversales. 9- Pour ce qui est du faisceau antérieur et inférieur, ' il se compose exactement, comme à son émergence
essions de l'espace. Cyon fait ressortir encore que ces résultats ' Ettc Cyon ccAc'c/tM ce ? e/aM f /bKC'o ? M M ctOE
re le corps restiforme et le méat auditif interne. , , -i < i i' ' '' En se basant sur ces faits, il nous semble q
ns des nerfs sympathiques, rappelons-nous que Pouchet et Tourneux ' citent des ganglions sur le trajet du nerf ling
ns le bulbe, rachidien et appartenant au nerf auditif (Hu- guenin) ' ; d'autres'prétendirent qu'il ne faisait partie du
téro-supérieur montrant parmi Archives de physiologie, etc. 1869. ' toc cit. Hannover, 1879, s. 738. ' Loc cit. s.
ves de physiologie, etc. 1869. ' toc cit. Hannover, 1879, s. 738. ' Loc cit. s. 853, PATHOLOGIE MENTALE. 53 des t
yau ovale avec un nucléole et des prolongements protoplasmatiques. " ' ' , ' k PATHOLOGIE MENTALE INVERSION DU , SEN
u ovale avec un nucléole et des prolongements protoplasmatiques. "' ' , ' k PATHOLOGIE MENTALE INVERSION DU , SENS
ale avec un nucléole et des prolongements protoplasmatiques. "' ' , ' k PATHOLOGIE MENTALE INVERSION DU , SENS "GÉN
s Krueg, fHM ! 'M'ot ! 6 dcll'istinto sessuale. Tomassia Ariggio.) " ' ? ° r7 y ? ' ParMM.CHARCOTetMAGNAN. mr un - . ^
! 'M'ot ! 6 dcll'istinto sessuale. Tomassia Ariggio.) "' ? ° r7 y ? ' ParMM.CHARCOTetMAGNAN. mr un - . ^ " r ,r" i,
7 y ? ' ParMM.CHARCOTetMAGNAN. mr un - . ^ " r ,r" i, . -ni .yt;1 ' "sH ', - La perversion du sens génital s'associe
' ParMM.CHARCOTetMAGNAN. mr un - . ^ " r ,r" i, . -ni .yt;1 '"sH ' , - La perversion du sens génital s'associe à1 d
faiblissement ou la perversion des. facultés morales ou affectives. ' - ? " ? > ? -\e - '. z ? i' < . » « i i, «
nature de George Sand, ont pour lui les plus grands charmes, j - f ' Il est bienveillant, un peu complimenteur, d'un
chef de clinique a la Faculté de médecine de Montpellier. 'Y') » ' ) i ' ' La cachexie pachydermique n'est pas en
de clinique a la Faculté de médecine de Montpellier. 'Y') » ' ) i ' ' La cachexie pachydermique n'est pas en réalit
clinique a la Faculté de médecine de Montpellier. 'Y') » ' ) i ' ' La cachexie pachydermique n'est pas en réalité
sous le nom générique et vague de poly- sarcie adipeuse. » Savage ' publie le premier cas observé chez l'homme. Ham
lte, alors que le cerveau est arrivé à son complet développement, ' Goodhart. cietiizi6m sporadic and 31yxoederna. (J
oues, des lèvres et des paupières. La lèvre inférieure est forte- ' Bournevillp et d'Olier. -Alole siti, 1121 cces de
ste pas de troubles digestifs et le sommeil 70 PATHOLOGIE NERVEUSE. ' est tranquille. Un fait remarquable est l'améli
La contrac- tion cardiaque est faible, le pouls 'généralement au- ' Dyce Duckworth. Two cases of myxoedema. (Lc ! nce
ersellement admise, ne fait que la confirmer. ÉTUDE DE L'APHASIE. ' 1 Observation' I. Cirrhose atrophique du foie c
e peut prononcer un mot. Fièvre violente ; l'eschare s'étend. Mort. ' A l'autopsie : ramollissement du pied de la 3°
yenne des circonvolutions frontale et pariétale ascendante droites. ' .. ' J à M. H. de Boyer, dans son remarquable
es circonvolutions frontale et pariétale ascendante droites. ' .. ' J à M. H. de Boyer, dans son remarquable travai
,y ., , Observation III (résumée). Wodhmn (Saint-George' Hospital ' ? Reports, 1869).- ' ' ' ' r ; r .. . Hémiplé
II (résumée). Wodhmn (Saint-George' Hospital ' ? Reports, 1869).- ' ' ' ' r ; r .. . Hémiplégie du côté gauche chez
(résumée). Wodhmn (Saint-George' Hospital ' ? Reports, 1869).- ' ' ' ' r ; r .. . Hémiplégie du côté gauche chez u
résumée). Wodhmn (Saint-George' Hospital ' ? Reports, 1869).- ' ' ' ' r ; r .. . Hémiplégie du côté gauche chez un
sumée). Wodhmn (Saint-George' Hospital ' ? Reports, 1869).- ' ' ' ' r ; r .. . Hémiplégie du côté gauche chez un ga
Cliarcot etVulpian, appartient exclusivement au ramol- plissement.' ' - . Entrée le 29 septembre à l'hôpital, la mala
de graduer en milliwebers les galvanomètres des appareils médicaux. ' Il avait, avant de Watteville, montré que l'on
CaIZULZ)'7t. of. 9)Zed. se., avril 1881, ns 17. a5C.) .- , )11 '' i ' ' ' >r™" ,1~ ·7 ,· au Le malade, âgé de quar
IZULZ)'7t. of. 9)Zed. se., avril 1881, ns 17. a5C.) .- , )11 '' i ' ' ' >r™" ,1~ ·7 ,· au Le malade, âgé de quaran
ULZ)'7t. of. 9)Zed. se., avril 1881, ns 17. a5C.) .- , )11 '' i ' ' ' >r™" ,1~ ·7 ,· au Le malade, âgé de quarante
PHILIS CÉRÉBRALE ET SPINALE ; par STE111AN BULL. (American journ. o/ ' ? He. se, avril 1881 , p. 382.) La fréquence de
'observations1 dont nous nous'contenterons de donner le sommaire.- ' '. ei4-ra`r·STn'v· sb nidèb nst i 1 ·F 1 , - ;t
'. ei4-ra`r·STn'v· sb nidèb nst i 1 ·F 1 , - ;t.f)f ? <..J'" ° 1 ' T nJ 4' t92nB t3t, 'I,llffTt Mi'-^ll' ' 013SERV
, - ;t.f)f ? <..J'" ° 1 ' T nJ 4' t92nB t3t, 'I,llffTt Mi'-^ll' ' 013SERV,TIO,41.' I. -Parésie du droit supérieur g
tôiré'àJplusieürs''r'éprisës ? paraplébie; atrophie des nerfs opti- ' crues consécutive' à' la' névrite"1'1'1 "* f ? ?
"* f ? ? " °nnt.y tttTRT 17Li 7· .t' ·^-to lt 'tl ? 9'7 ? 1 ? îti' ' Observation IL .Parasie de la troisième paire"d
tion IL .Parasie de la troisième paire"droite et du droit supérieur ' droit ;. 'atrophié blanche simple, des rnerfs opt
tiges avec perle de l'équilibre et bourdonnements d'oreilles. Ces ' symptômes cédèrent au traitenïetil aiitisÿpliilit
`1Wv " >' XII : De'l'élongatiôn' DES''NERFS;'par L ? WlTKOAVSKI, ' de Strasbourg. (Arch. f. Psycli. 21. lle2veizk.
KOAVSKI,' de Strasbourg. (Arch. f. Psycli. 21. lle2veizk.'l' t.'XI.) ' "1 1 . V> 'r 9nLsptal t^·tt' 2fIf1'' ' = (7l.
. 21. lle2veizk.'l' t.'XI.)'"1 1 . V> 'r 9nLsptal t^·tt' 2fIf1'' ' = (7l.Ljt .'Imtlt 91lUa 1· ILes recherches 1 li
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été siiivii'd ? auio-se. Y ? ? m" ? "° R.'DE'M.C ? ' '' ' r r;l il ' si"" tW i '' " < ' 1. 1f,1 am -1 ;) sn 'T3, ',
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e que 112 : Lidell a puisé les matériaux de son impor- tant travail, ' dont nous reproduisons ici les conclusions : .un
e; i au contraire,, 'la- proportion des guérisons est considérable ; ' 'ICrjWf'W I n7n i, I(1 ! lirll J-v. ' , 1 2° Le
s guérisons est considérable ;' 'ICrjWf'W I n7n i, I(1 ! lirll J-v. ' , 1 2° Les malades qui guérissent le mieux ,sen
l J-v. ' , 1 2° Les malades qui guérissent le mieux ,senti ceux que ' [l'on tient au repos, que l'on traite par la mét
olu,let d ûnLSevèrë régime antiphlogis- tique. ? ? ... ? , ? q i' 1 ' lt*'Dr l@(C , tique. ,nu f)T,ir[,n tlr 3n r,lil
r l@(C , tique. ,nu f)T,ir[,n tlr 3n r,lilfJ m,.J; y0 r s»\ - ",r ' '->< ' » 11» Tl| ! - -ttffut -)J. »'(0,l et
que. ,nu f)T,ir[,n tlr 3n r,lilfJ m,.J; y0 r s»\ - ",r ' '->< ' » 11» Tl| ! - -ttffut -)J. »'(0,l et fi, k,,1[, g
lfJ m,.J; y0 r s»\ - ",r ' '->< ' » 11» Tl| ! - -ttffut -)J. » ' (0,l et fi, k,,1[, gui XV. ETUDE SUR LES'IIrRIOR
M ! M' : eaH Journal of the Médical Sr.iefzces, n° de ju111et1881.) ' `n, m ? I" " "-«'fi'' »' (,. if'i'f > 11 - '
the Médical Sr.iefzces, n° de ju111et1881.) '`n, m ? I" " "-«'fi'' » ' (,. if'i'f > 11 - ' ? ! h .-il I o" i f ii,
° de ju111et1881.) '`n, m ? I" " "-«'fi'' »' (,. if'i'f > 11 - ' ? ! h .-il I o" i f ii, ? t. 1" ,. L'auteur n'e
a délivrance récente, treize fois l'augmentation de volume du coeur ' (avec hypertrophie gauche 'très^accusée dans cinq
hémorrhagie ou une hémiplégie antérieure, une fois la leucocythémie, ' une fois le scorbut; une fois lé pur- pura, une
s reproduisons, les éléments de ce double diagnostic différentiel : ' '' ' ' ' 1^;m : ronttu.c,cy-at;Tmcuamr ? ·, '
roduisons, les éléments de ce double diagnostic différentiel : ' '' ' ' ' 1^;m : ronttu.c,cy-at;Tmcuamr ? ·, ' Fréq
duisons, les éléments de ce double diagnostic différentiel : ' '' ' ' ' 1^;m : ronttu.c,cy-at;Tmcuamr ? ·, ' Fréque
isons, les éléments de ce double diagnostic différentiel : ' '' ' ' ' 1^;m : ronttu.c,cy-at;Tmcuamr ? ·, ' Fréquent
nostic différentiel : ' '' ' ' ' 1^;m : ronttu.c,cy-at;Tmcuamr ? ·, ' Fréquente chez leslsujets' jeunes M' ou âgés.
Coma ordinairement très profond j datant tout a ,, 'la maladie.1'^ ' ! "M^ Jii-ith Convulsions fréquentes. '<H f1
erai, la lésion. Les symptômes prémonitoires ne sont pas rares. ' , ? pN Céphalalgie 'rare ? t il'm Si la paral
nes. Vomissements moins fréquents. Pas de symptômes de 'méningite ' secondaire avec fièvre ? "l'imii1 I,r, Mort
s lentlet moins violent. t9Cpmar| généralement moins ptp- fond. ? ' "I"' "" - ' uip a^u ? ^ob smI ) 'lOtspriMi -jb
ntlet moins violent. t9Cpmar| généralement moins ptp- fond. ? '"I" ' "" - ' uip a^u ? ^ob smI ) 'lOtspriMi -jb^Coh
oins violent. t9Cpmar| généralement moins ptp- fond. ? '"I"' "" - ' uip a^u ? ^ob smI ) 'lOtspriMi -jb^Cohvulsion
lle rc- vêt "généralement la' forme i hé- 't' 3 miplégïque'I yTrr ' " ''M ? L'amélioration passagère estbeau- Imn
,y.,tt La Lagnelison est fréquente." 'ai > ouo 'iiipra nqirut) ' un t. t s .Même en cas'de terminaison . .1·u-
lte un traumatisme. Ces. symptômes manquent ordi- nairement ? ir * ' ' "r'> Céphalalgie fréquente (Ramskill). L
e un traumatisme. Ces. symptômes manquent ordi- nairement ? ir *' ' "r'> Céphalalgie fréquente (Ramskill). La
est exceptionnelle (Nothnagel). Ces délations sont rares (Rams- ' .'kill).' "' ? Lacontracture, quoiquefrequentc,
onnelle (Nothnagel). Ces délations sont rares (Rams- ' .'kill).' " ' ? Lacontracture, quoiquefrequentc, 'nestmoins
' "' ? Lacontracture, quoiquefrequentc, 'nestmoinscommune.(i, . 1 ' jj Les coinulsions sontja régie. Vomissements
1 ' jj Les coinulsions sontja régie. Vomissements très fréquents. ' Il Symptômes de méningite secon- l'i'daire av
liègle générale, la', vie' se prolonge pendant plusieurs jours."5 ? ' r REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 103 Le pronos
icule. 13. DE M. C. XVI. SUR' CERTAINES PHASES PEU CONNUES"DU TABES ' DORSAL ; par Th. BUZZARD. (The Lancet, septembr
arquées dans les'' cellules ganglionnaires des colonnes de* Clarke, ' du groupe la- téral et des p'artie's,céntrales,
lonnes de* Clarke, ' du groupe la- téral et des p'artie's,céntrales, ' tandis que les' cellules' m'ultipo ? laires ant
'ultipo ? laires antérieures participaient à un degré bien' moindre, ' mais manifeste^ au processus' pathologique. Dan
t beaucoup moins marquées. CH. FÉRÉ etRiCHARD. · f f vu 9'. ., f.«t ' . XVIIL1 DLUlII : IE contribution L'ÉTUDE des l
'frontale et pariétale ascendantes," avec les, mouvements 'du 'bras ' du côté opposé ; ' la partie supérieure des deu
ale ascendantes," avec les, mouvements 'du 'bras ' du côté opposé ; ' la partie supérieure des deux'méines circonvoluti
te. , , , ni. c Ris , 1 , cominu'mduë , lâ sôciété l'obsérvation` 1 ' t')') - - 1 M. 'II TIAN communique à la société
, , ni. c Ris , 1 , cominu'mduë , lâ sôciété l'obsérvation` 1 ' t') ' ) - - 1 M. 'II TIAN communique à la société l'ob
rant chronique présentant des idéës' depersécutioi ? âssociées à''dés ' i idées' de grandeurs ! 'chez lequel le moindre
de grandeurs ! 'chez lequel le moindre malaise se traduisait par'-1' ' une exaspération du délire. Ce malade'était en'
une exaspération du délire. Ce malade'était en' outre cryptorchide; ' * et M. Christiandemander·siZCe vicecdetconform
dée, délirante, , A, la suite d'une administration de tartre stibié, ' il empoisonné, et a conservé ensuite'cette idée
état congestif des'centres- nerveux, 'comme r'b'iit'eà'lobse'rvè 'dés` ' exemples dans les cours de certaines affections
près la guérison de la maladie, intercurrente. '> ? T sf ? 7"'JT" ' ' ' * ? û1™ ? nit -i z jag i M. Luys croit que,
ès la guérison de la maladie, intercurrente. '> ? T sf ? 7"'JT"' ' ' * ? û1™ ? nit -i z jag i M. Luys croit que, s
la guérison de la maladie, intercurrente. '> ? T sf ? 7"'JT"' ' ' * ? û1™ ? nit -i z jag i M. Luys croit que, sou
atale' quand elle'survenait'dans les* formes dépressives.") ? 'it ? ' )'t.f)t ? )t ? ti'9 ? bqt') ? ' .' l Luys crain
les* formes dépressives.") ? 'it ? ' )'t.f)t ? )t ? ti'9 ? bqt') ? ' .' l Luys craint qu'il n'y ait' siinpie coiiiei
inpie coiiieideiice rlle et lion . z une relation de cause à effet. ' ' ,lh' ' Il <"' ' 1"1, 1 ? '" " 106 SOCIÉTÉS
pie coiiieideiice rlle et lion . z une relation de cause à effet. ' ' ,lh' ' Il <"' ' 1"1, 1 ? '" " 106 SOCIÉTÉS S
iieideiice rlle et lion . z une relation de cause à effet. ' ' ,lh' ' Il <"' ' 1"1, 1 ? '" " 106 SOCIÉTÉS SAVANTES
rlle et lion . z une relation de cause à effet. ' ' ,lh' ' Il <" ' ' 1"1, 1 ? '" " 106 SOCIÉTÉS SAVANTES.- , M.1
lle et lion . z une relation de cause à effet. ' ' ,lh' ' Il <"' ' 1"1, 1 ? '" " 106 SOCIÉTÉS SAVANTES.- , M.1 V
. z une relation de cause à effet. ' ' ,lh' ' Il <"' ' 1"1, 1 ? ' " " 106 SOCIÉTÉS SAVANTES.- , M.1 Voisin a vu
ées d'em- poisonnement dont il se débarrasse ensuite difficilement. ' M. Magnan lit un rapport sur trois candidats qu
innd et'le De sont nommés, les^deux premiers membres correspondants, ' et le troisième membre titulaire delà Société i
e troisième membre titulaire delà Société iiiédico-Sy11010,-i(ILIC. ' ` 111ncer. Briand. Séti)zce du ·30 octobre 88 ?
n présente à la Société un' mémoire sur l'aaztoztomnsie. On désigne, ' dit-il, sous le nom d'aphasiques une catégorie d'
ond pas à la pensée. Ils disent, par exemple : allumer ma pantoufle; ' au lieu de : allumer ma lampe, allumer mabougie
ngage écrit comme .ils le manifestent dans le langage parlé'.c < ' ? )r ? ? dJri t ,trs2z «= .-j ? " M. Boonnm. Le
s'appliquerait1 aussi bien aux yrccp7aiques qu'aux aphasiques. . ' l ? t - Wo" l.'r Discussion sur la création d'u
E, 3DUlasctt rrlncrLll3w.wu.car . - HCt)9t<i ? yi' r..iti'; W{ ? ' ,tl* 1, 1, .1 ? .Ilül.l, x. *, (` v . 111 1, il
sociétés 'savantes. SOCIÉTÉ PSYCHIATRIQUE DE LA PROVINCE DU RHIN ' ' Séance du\ % juin 1880. n ' "" Le Dr Schuchar
ociétés 'savantes. SOCIÉTÉ PSYCHIATRIQUE DE LA PROVINCE DU RHIN ' ' Séance du\ % juin 1880. n ' "" Le Dr Schuchardt
PSYCHIATRIQUE DE LA PROVINCE DU RHIN ' ' Séance du\ % juin 1880. n ' "" Le Dr Schuchardt, d'Andernach; est nommé mem
tés ? des 'entrants;11 Chacun 'des locaux cellulaires est séparé du ' corps de logis respectif non ' seulement par de
des locaux cellulaires est séparé du ' corps de logis respectif non ' seulement par des portes, mais' encore par des
utres. Chaque compartiment cellulaire comprend un lieu d'habitation, ' un corridor, un cabinet d'aisances et une issue
par un manteau de'maçonnerie, que l'on alimente dans les corridors; ' la' solidité des murailles préservant également
principaux avantages de l'aménagement. vjluztim » n ,i, , , , . - ' M : Ripping communique un fait concernant un garç
m- ploi (interne ou en injections hypodermiques) ? t Xl · - V -i' ' £ -I t.Mv p .1 c.. p .ln.h' ! rv n. , )7 ri. Sé
e { dut 6, novembre ,1880..., ", , V'Jfi ! 'ih ? )'10' nh 'ni ? l . ' s.'O , t -, Après la réception comme-, membres
s ; le connaître, c'est déjà donner au savoir humain une conclusion, ' tandis que l'essence delà causalité échappeet éch
envi- sageant les causes, nous parlons des 'propriétés des; choses ' et. dési- gnons celles que nous avons-apprisnà
Iüais''l'eüèleccirzemenG successif des phénomènes. Malheureusement, ' en rassemblant" l'ensemble dos manifestations '
es. Malheureusement,' en rassemblant" l'ensemble dos manifestations ' ordonnées par étapes 'temporelles, l'homme a ap
emporelles, l'homme a appliqué à la notion des successions de temps, ' l'idée de cause, et comblé par des conceptions,
é par lui à l'occasion du congrès de Naturalistes de 111unich. ? t' ' ' · 1 a" ' ? 1' i.l, 'L'époque de la prochaine
par lui à l'occasion du congrès de Naturalistes de 111unich. ? t' ' ' · 1 a" ' ? 1' i.l, 'L'époque de la prochaine 'r
l'occasion du congrès de Naturalistes de 111unich. ? t' ' ' · 1 a" ' ? 1' i.l, 'L'époque de la prochaine 'réunion' e
ae. psych-g'esielttl tilledici2z;"Ixxxvlll, 1, 1881.) 'ic^Jatl -rl ' ^P. I. · .«. I t1 i .. ' , , 1 r . · oj'1 , . S
dici2z;"Ixxxvlll, 1, 1881.) 'ic^Jatl -rl ' ^P. I. · .«. I t1 i .. ' , , 1 r . · oj'1 , . SI 1 BIBLIOGPAJPIIIIJ 1 f
, 1 r . · oj'1 , . SI 1 BIBLIOGPAJPIIIIJ 1 f I m , i, m i 4ï 3'') ' m- 14tml f1 al LV1 tk;u5t'i»n'l . 'i uifiii , i
des établissements d'aliénés' à Gand, t par z % GUISL,1,N.-e Avec ' 54 figures intercalées dans le texte, un plan gén
ins duDr 0. Ingeli, médecin en chef de l'hospice Guislain à Gand. ' " ' i l L " 4, ii i , Il 1 n oq lulll." ( ...jij.,
duDr 0. Ingeli, médecin en chef de l'hospice Guislain à Gand. '" ' i l L " 4, ii i , Il 1 n oq lulll." ( ...jij., tl
n à Gand. '" ' i l L " 4, ii i , Il 1 n oq lulll." ( ...jij., tl, ' Lorsque la première édition, des "Leçons sur- les
e l'intelligence, s'écrie Guislain, que, dans un but financier; ils ' sont l'objet d'uni trafic infâme et considérés
utorités furent sourdes à ces réclamations courageuses. ? " z " " ` ' ` Si le célèbre médecin do Gand n'obtint pas un
rt vint avant qu'il eût pu accomplir la tâche qu'il s'était tracée, ' -t ? ' r tr · · >>VV Il appartenait à M. l
t avant qu'il eût pu accomplir la tâche qu'il s'était tracée, '-t ? ' r tr · · >>VV Il appartenait à M. le Dl C
ncipales conquêtes de la science depuis, la mort de l'auteur ? . , " ' , t ; à l Pour ceux qui ne se rendraient' qu'im
t pour la pluspart. Toutesfois ces affemblees Diaboliques se font ' Bodin. De la Démonomanie des Sorciers, &c., p
o. En oultre, ils ont d'habitude des jours préfix, divers suivant ' Boguet, loc. cit., p. ioo. Loc. cit., p. 81. 1.
IQUES; DU PHÉNOMÈNE DE L'HYPEREXCITABILITÉ NEURO-MUSCULAIRE (Suite) ' ; Par MM. CHARCOT et PeuL RICIIER. III. DES D
sont que des atténuations plus ou moins accusées. Cependant on se ' Voir le il" 5, p. 32, 11- 6, 1). 173. 9 130 P
du côté gauche. Le réflexe patellaire est tou- jours très exagéré. ' Le choc répété sur les tendons de la face antér
ent d'elles-mêmes. Pendant que les yeux sont ouverts, l'état mus- ' culaire ne change pas, pas de catalepsie possible
anglais). OBSERVATION NOUVELLE AVEC ALIÉNATION MENTALE TRANSITOIRE ' ; 1; Par la D H. BIAISE, chef de clinique u la
érature ambiante étant 19° c. If4S PATHOLOGIE NERVEUSE. J tCUf'Le) ' ( 11 : SOlI'), Z. AX. l11 ? ? ts féanLèr (10 li
fort. La préhension peut être faible, difficile; les mains sont 1 ' ) 19. PATHOLOGIE NERVEUSE. inhabiles, particuliè
entale avec ou sans illusions et hallucinations des sens spéciaux, ( ' /est ainsi qu'on a observé de la mélancolie, un
l s'agisse d'une pleurodynie, on 1 Castes. France médicale, 1877. ' Richer. - Études clenigtees sur l'hslBro-Apâlep.c
moindre pression, le contact de la chemise exaspère les douleurs. , ' Le 2, mêmes douleurs qui empêchent tout sommeil
ttaques disparaitre à la dernière période de la phthisie pulmonaire ' ; mais, 1 Rourncullo et Regnnrd. /co7 ! t ? fpo
; mais, 1 Rourncullo et Regnnrd. /co7 ! t ? fpo ? N'yMec ? N/- f/) ' ! <'rf,lS7C-)8 ! iO,t.),Uet)n. 170 CLINIQUE
sance. 1 Briquet. Traité clinique rt thérapeutique de <'Av ! /f') ' ;f, )Mf., DE 171 Réglée à onze ans. A douze an
de M. l3ouawvu,x,L). Retzseignemet7ts fournis par sa &e6-sa'« ? ' '. M, cultivateur, mort on ne sait de quoi. Mèr
état et du délire malicieux (Ann. med. psych. 1877, p. 356. 192 a ' z REVUE . CRITIQUE.' «. t cret; l'aliéné frappé
du puits de Grenelle : et l'on arrive naturellement à temps pour ' la'retenir ; un autre jour elle prend un flacon d
r, dit- elle ; puis' elle se pratique une saignée avec des ciseaux ; ' enfin uÎe'Jautre fois elle prend sans cause vin
oncevables et se porte quelquefois aux extrémités les plus funestes ' ». « Elles portent encore, dit Morel, la manie
oiges. (Ann. tnedico-psych. t. VI, 1881.) 198 - REVUE CRITIQUE. ' tion qui n'est pas rare dans l'histoire de l'hyst
ion profonde et durable dans leur esprit, puisque les hystériques ' croient à la réalité de leurs rêves pendant un te
- tiles, les attouchements dont elle a été victime dans son rêve, ' et les termes dont elle se sert, contrastent souv
f l'hallucination et l'excitation qui l'accompagne suggèrent chez ' -les malades, au dire de Brierre de Boismont « des
s pen- dant des journées entières, laissant tomber ou contractant ' ' Lire la relation extrêmement intéressante de ce
pen- dant des journées entières, laissant tomber ou contractant ' ' Lire la relation extrêmement intéressante de ce p
vec une réelle indifférence, et même avec une certaine répugnance ! ' Ce qui a pu faire dire le contraire, c'est qu'e
esthésie et de l'ataxie hystériques. (Arch. de zéd., 1864, p. 391.) ' ' -' . pi H02 REVUE CRITIQUE, i Dans certains
thésie et de l'ataxie hystériques. (Arch. de zéd., 1864, p. 391.) ' ' -' . pi H02 REVUE CRITIQUE, i Dans certains c
sie et de l'ataxie hystériques. (Arch. de zéd., 1864, p. 391.) ' ' - ' . pi H02 REVUE CRITIQUE, i Dans certains cas
esprit, c'est « l'impuissance de la volonté à refréner les passions ' a. (Ch. Richet.) Les hystériques s'agitent, et
e son autorité, et lui démontre que son affection va devenir très ' Ch. Richet. -Les démoniaques d'aujourd'hui, etc.
et le ventre creusé en bateau, face pâle et blême, yeux excavés, ' On sait qu'autrefois Cruveilhier parvenait a fair
état était réellement grave, j'ai voulu manger, et j'ai mangé. » ` ' ' ° Une autre hystérique était atteinte d'une p
tat était réellement grave, j'ai voulu manger, et j'ai mangé. » ` ' ' ° Une autre hystérique était atteinte d'une par
ines se passent sans' aucune amélioration, quand une nuit elle voit, ' elle entend dansrun rêve le médecin consultant
ytique et leur a rendu'rapi-' dément la faculté locomotrice ! a ' VIII. En terminant ces considérations sur le cara
ala- dies des enfants, 1880, p. 135. ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. ' 209 lalgie très intense, elle s'en plaint surto
use, et souvent accompagnés de tendances érotiques si bien décrites ' par M. Noël Guesneau de Mussy . Enfin, nous a
iste pas de constitution hysté- rique comme l'entendent les auteurs ' ». - Malgré cette assertion un peu exclusive de
imperfection des apophyses cli- noïdes antérieures et postérieures. ' Les grosses malformations cérébrales qui corres
cipale- ment les racines postérieures dans la région lombaire' .. ' i u c Jln tl( il 1r, En résumé, les onze cas tr
is plus tard, il s'évada de nouveau; on ignore ce qu'il est devenu. ' ' · Les deux points sur lesquels l'auteur insis
plus tard, il s'évada de nouveau; on ignore ce qu'il est devenu. ' ' · Les deux points sur lesquels l'auteur insiste
observés a l'asile DES aliénés DE CEYLAN; parJ.-W. PLAXTON. (7%c7oM) ' )Mo/'me ? ! tacM ? ! ce, n° de janvier 1881, p.
un cas d'apoplexie bulbaire avec paralysie croisée de la sensibilité ' . 1. Il s'agissait effectivement, ainsi qu'en t
rois mois après le malade présente une pupille droite mesu- rant de ' ),5 à 2 millim. se dilatant du double pour la visi
par la communication de M. Westphal sur un cas de psychose réflexe ' du moins en apparence. (Archiv. f. Psych. ii. i
ncules cérébraux dans la cavité crânienne, SOCIETES SAVANTES. 241 ' les nerfs optiques dansl'orbite, on observe la di
é- ressantes des D6 KAST (de Fribourg) et Schwaab (de Werneck) au ' Nous en donnerons le résumé dans la Revue analyti
Sauvages, Bosquillon signalent la paralysie des membres supérieurs ' dans le cours de l'empyème ; en 1875, M. Raymon
ou moins étendus qui siègent le plus souvent du côté de l'em- 2't6 ' BIBLIOGRAPHIE. pyème. Il s'agit ordinairement d
uuerent aussi en ce lieu six Diables, qui eftoient en forme humaine ' , mais fort hideux à veoir, &c. Apres la dan
es. Paris, 1882, chez 0. Doin et J. Lechevalier. Prix : 2 fr. 3Î9 ' BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. `l3snnn (G ? 1.). - T
conducteurs spéciaux pour chaque mode spécial de sensibilité. 280 ' CLINIQUE NERVEUSE. La paralysie vaso-motrice av
ion, mais surtout dans les grands efforts musculaires (R. Vigoureux) ' qui S'accoiii- pagnent de dilatation pupillaire
e la pupille, ajoute Leeser, le phénomène s'explique en admettant ' Comptes-rendus de l'Académie des sciences, 1863,
pine a a pu constater, par la pression latérale 1 C'té par Despine. ' ' P. Despine. Etude scientifique sur le somnamb
a a pu constater, par la pression latérale 1 C'té par Despine. ' ' P. Despine. Etude scientifique sur le somnambulis
f dans les hallucinations spontanées d'un hystérique mâle ; M. Bail ' a observé un autre fait semblable. Un point int
r rapport à cette ligne, un mouvement'de descente très appréciable. ' Ce mouvement de descente s'est encore accentué
de novembre ; elle était alors au neuvième mois de sa gros- sesse. ' Les attaques ne se sont pas renouvelées depuis
encore à la suite d'un bruit violent inattendu (coup de gong)- ' Voir le n° 5, p. 32 ; n° 6, p. 173 ; n° 8, p. 129
ique. Les caractères de cet état catalep- tique sont les suivants : ' 1° Les yeux sont ouverts, et le regard possède
a été trouvé tout à fait saine. 1\111. Coyne et Troisier3. M. Tho- ' Miehaud. Note sur la pathogénie du pied bot congé
ale de la moelle épinière. (Archives de Physiologie, 1S74, p. 586). ' Déjerine. Note sur l'état de la moelle épinière d
la moelle épinière. (Archives de Physiologie, 1871-1872, p. 655). ' 21 322 RECUEIL DE FAITS. rens ' ont rapporté
hysiologie, 1871-1872, p. 655). ' 21 322 RECUEIL DE FAITS. rens ' ont rapporté des cas qui ne laissent aucun doute
bot varus congénitale (Thèse de doctorat, Paris, 1873, Obs.III'. ' Brown-Séquard. Journal de la Physiologie de l'hom
ions jusqu'à l'âge de six ou septans. [Son pére eslmorl subitement ( ' ! ); il était sobre. Sa mère, mariée à quinze ans
aucune lésion tuberculeuse, que la diarrhée n'a laissé aucune trace ' et pas- sons aux lésions cérébrales qui, à notr
zopsie zczzd ihr Verhaltniss zu topischen Diagnose der Gehii)1- t ! ' (tnA7te : <e ? t, Berlin, 4881. Ch. FËRE. Contr
des bandelettes et du faisceau sensitif de la capsule interne ne ' 22 338 REVUE CRITIQUE. fournit pas de données
ituantes. P. K. V.Du FAISCEAU LONGITUDINAL POSTÉRIEUR DE LA CALOTTE ' DANS la moelle allongée; par le Dl ROLLER, de S
e lombaire chez le lapin, probablement la 3° et la 41 chez l'homme. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 355 Deuxième pa
n mémoire ultérieur, publié avec la colla- boration de M. A. Waller ' , M. Prévost reconnaît que le mou- vement du côt
'au- teur : 1 Rev. med. de la Suisse Romande, t. I", 1881, il- 6. ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 357 1° La dépres
il- lusions de grandeur, les idées exaltées, et dans l'hémisphère ' gauche d'un « centre de dépression » dont l'initi
de mourir. Le docteurPeeters, dans cette deuxième lettre, insiste ' revue de pathologie mentale. 359 surtout sur le
issée aux aliénés, le bien- être moral plus grand résultant pour eu\ ' d'une manière de vivre moins monotone et de la
w-Yoik. (Extrait du Journal o/ nervous and mental flese(7.çe, 1882.) ' - 71-niipe muscle rcading. Brochure in-8^ cart.
s', par Prévost, 353; - (conserva- tioii des dans locolilo- hic[ ' ),2t ? 1LIleaca (accidents survenant après l'o
ettres comme ci-dessus. 392 EXPLICATION DES PLANCHES. 'LANGUE 1\ ' Développement de la corne d' luuuon et des pler
19 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
RIS MAS SON ET oe, Éditeurs LIBRAIRES DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE ' 120, Boulevard Saint-Germain 1896 NOUVELLE IC
nt-Germain 1896 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE NOTE - ' SUR L'APPLICATION DE LA MÉTHODE DE M. ROENTGEN
IÈRE NOTE -' SUR L'APPLICATION DE LA MÉTHODE DE M. ROENTGEN PAR ' ALBERT LONDE Directeur du service photographi
pas un écran capable d'arrêter les rayons X. Dans ces conditions, ' il est bien entendu que nous ne pouvons obtenir
e 6 mois, em- portée par une méningite. La malade, âgée de 38 ans, ' est mariée, sans profession. Elle est née à 6 N
locnunus, Zur Kenntniss des Ruckenuiarcksgtioms. Deutsches Archiv (il, ' klin. Medicin., 1891, t. 47, fasc. 5 et ti, p.
is régions surtout étaient envahies par la gliomatose, à sa- voir : ' 1° La partie contiguë à la commissure grise pos
icale, a sectionné à peu près complètement les cordons postérieurs. ' La lésion est-elle limitée à la substance grise
S PLATS VALGUS DOULOUREUX DANS LA BLENNORRHAGIE PAR L. Bizard ' Externe à l'Hôpital St-Louis. Nous avons pensé
la Ire et'2° pha- lange du médius de la main gauche. (PI. Y et VI.) ' . Il y a4mois'a commencé ]'arthropathiedel'arti
istique sur laquelle nous allons avoir à revenir dans un ins- tant. ' " Presque en même temps l'articulation métacarpo
traction. Réactions faradiques normales peut-être un peu exagérées. ' En somme de tout ce qui précède, notamment de l
avec un tambour Vlarey par un tuyau de la même substance. ix 3 ' Fie. 3. - Le Clonographe. TRACÉS OBTENUS AVEC L
eil. Les courbes sont représentées dans une 1/2 grandeur naturelle. ' , (1) L'appareil a été présenté à la Société
: dès'seins'petits, mais bien formés, un sexe mâle de jeune enfant. ' , ? -, , . Il est inutile de revenu- ici su- ''
ifformes au même titre que les obèses, les géants ou les nains (2). ' , . Dans les peintures pompéiennes, la prédomin
aux convives de salutaires réflexions, pendant et après les repas. ' De toutes les peintures du Musée de Naples, la
vec l'instrument employé de nos jours sous le nom de forceps (1) ». ' L'auteur d'Eaée blessé s'est certainement inspi
sont de forme identique à èelles'qu'on emploie encore aujourd'hui. ' Les spéculums sont d'un mécanisme extrêmement i
ubitus dorsal, la tète relevée, les yeux dirigés vers le.plafond... ' Son intelligence est parfaitement lucide; il co
effet. La température est de 37°4. 1 Examen du système nerveux : ' , I. Motricité. Les troubles moteurssont caràct
-dessous de la 'clavicule, c'est-à-dire^m niveau de la tre côte ? " ' - " La sensibilité tégumenlaire des membres sup
celle du cou et de la face né présente également aucune altération. ' III. Réflexes. Les réflexes roluliens sont comp
liens sont complètement abolis : il n'existe pas de clonus du pied. ' ' ' IV. Réservoirs. Les. troubles de la miction
ens sont complètement abolis : il n'existe pas de clonus du pied. ' ' ' IV. Réservoirs. Les. troubles de la miction o
s sont complètement abolis : il n'existe pas de clonus du pied. ' ' ' IV. Réservoirs. Les. troubles de la miction obs
s ces régions. Les masses musculaires ne paraissent pas atrophiées. ' En présence de ce tableau clinique, et en se ba
ématomyélie ? myélite aiguë localisée ? ramollissement transverse ? ' Traitement. (Lavement purgatif. Frictions mercu
es; les mouvements sont possibles, mais faibles, surtout à gauche. , ' . 1 v . Le lavement a amené une débâcle ; l'inc
a amené une débâcle ; l'incontinence d'urine ne s'est pas modifiée. ' (Piqûre de morphine le sbir.) 1 , ' * GOMME S
'urine ne s'est pas modifiée. ' (Piqûre de morphine le sbir.) 1 , ' * GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA MOELLE ÉPINIÈ
es, puis se concentre dans la région delà corne antérieure (P1.1,8, ' coupe 119) pour se continuer enfin, vers la parti
es de l'arachnoïde à la pie-mère. III. Pie-mère. Des trois méninges, ' la pie-mère est, suivant la règle, de beaucoup
tion des gaines vasculaires ou des tuniques externes des vaisseaux. ' IV. Vaisseaux. Les vaisseaux périmédullaires no
éningo-vasculaire" qui présente ici son plus parfait développement. ' Artères et veines sont également atteintes, d'u
nt le détail de ces lésions, nous consta- tons les faits suivants : ' L'artère spinale antérieure présente, dans tous
gomme la moins élevée, c'est-. à-dire au-dessous de la gomme droite, ' celle artère est déjà très altérée : FiG. la. -
nguins, artères et veines, et ne diffèrent pas des lésions que nous ' venons de décrire pour les vaisseaux de gros cali
le qui se traduit sur les coupes successives par une fente étoilée. ' La limite inférieure de la gomme droite diffère
s être aussi positives, n'en ont pas moins une va- leur importante. ' " Notre malade n'était porteur d'aucune autre l
inal dans son entier, lorsque le cerveau n'é- tait pas seul touché. ' Depuis 1889, quelques travaux ont vu le jour su
tions du foie décrites par Gubler dans la syphilis congé- nitale. l ' « Les cerveaux ne parurent pas altérés, ils off
loc. cit.), bien que l'ensemble clinique soit ici un peu différent. ' Il s'agit d'un enfant de ans présentant un déve
présenté les miracles opérés par les disciples de St Do- minique. ' Trois scènes d'intervention miraculeuse occupent
sur ceux de la malade, il évoque l'idée d'une scène' d'hypnotisme. ' A droite, un personnage est étendu inanimé sur
saient déjà tant de miracles. Bas-relief en Albâtre (XVe siècle). ' Cathédrale de Ste-Waudru, Mons, Scènes de la
deleine, ainsi que plusieurs autres morceaux assez détériorés. , .. ' Le personnage qui nous intéresse est une femme
ent des possédés. Les deux derniers surtout sont fort intéressants. ' Le panneau n° 6 représente St Rombaut exorcisan
servateur ayant le souci de rester sincère,ment fidèle à la nature. ' (1) Voy. Les Démoniaques dans l'Arl, p. 108. I
du XVIle siècle), 'Statue en marbre, au Rijks Muséum d'Amsterdam. ' L'Image du Délire. 1 Ce précieux document, uniq
par M. Obreen, directeur général du Rijks Muséum d'Amster- dams , , ' C'est, a notre connaissance, le seul exemple' d
lesquels nous sommes heureux de lui témoigner notre gratitude. , . ' ' . Cette statue est originaire de l'ancien Hos
esquels nous sommes heureux de lui témoigner notre gratitude. , . ' ' . Cette statue est originaire de l'ancien Hospi
des aHénés'd'Amsterdam et se, trouve actuellement au Rijks Muséum. ' . ' . ' 1 94 , .. , Elle date' d'environ 1615
aHénés'd'Amsterdam et se, trouve actuellement au Rijks Muséum. ' . ' . ' 1 94 , .. , Elle date' d'environ 1615', e
nés'd'Amsterdam et se, trouve actuellement au Rijks Muséum. ' . ' . ' 1 94 , .. , Elle date' d'environ 1615', et c'
r, St Paul guérissant les malades (collection privée). Le prin- 108 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE cipal m
(V. Kiuus, Di Wandgemiilde in der St-Georgskirche zist Oberzell, au/ ' der Reiclzenau, t. Il, p. 355 et 39). Signalés pa
ée; pas d'accès épileptiques, pas de stra- bisme ni de nystagmus. ' Nous ajouterons môme que,depuis 1893, un traiteme
'avait rendu hémiplé- gique droit et aphasique. Mère bien portante. ' - Un frère mort il 25 ans d'une maladie indéter
pris le malade) auraient tous eu des convulsions pendant l'enfance. ' .4. P. Rougeole dans la première enfance. Convu
urs le malade n'a jamais pu courir à aucun moment de son existence. ' A 20 ans, fièvre typhoïde à la suite de laquelle
ent si prononcé qu'il ne pouvait plus le mouvoir ; il dut s'aliter. ' Le lendemain, il marcha encore avec une canne m
lésions qui méritent d'être minutieuse- ment décrites. Mâchoire M) ' ! M<)'e.Asymétrique, Il manque l'incisive laté
térale droite et la LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE . ' 113 médiane gauche. Toutes les grosses molaires
pagnant de perte de connaissance. En octobre, diminution de l'ouïe. ' En novembre, surdité et cécité, vertiges, démar
rés. Les artères cérébrales présentaient de l'endo- périartérite. - ' Au niveau de la moelle, la dure-mère était sain
markeskrankheiten, Archiv. f. Psychiatrie, Bd. XXVI, p. 649, 189 : i. ' (2) A. Fournier. La syphilis héréditaire tardiv
médication antisyphi- litique a fait justice de cette paraplégie ». ' M. Filatoff (I) a présenté à la Société.de pédi
icle original). LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE l21 ' Les dents, d'ailleurs anormales, n'offrent pas le
ralysie spasmodique avec incontinence- d'urine ; guérison en un an. ' A 10 ans, troisième attaque et guérison complèt
année, paralysie du bras gauche qui dure six semaines et guérit. t. ' - . - A 4 ans, paralysie spasmodique des membre
d'urine qui dure six mois et guérit sous l'influence du traitement ' antisyphilitique. Les réflexes rotuliens étaient
tion qu'il se pose est que cette paraplégie semble toujours revêtir ' le type continu tandis que/ dans ses observations
tions, de faits de passage dont notre observation I est un exemple. ' , L'absence de phénomènes cérébraux dans ces de
elle s'est affaissée; ses jambes étaient flasques et paralysées. , ' Elle ne donne aucun autre renseignement à ce su
attribuables à des cautères qu'on lui aurait mis vers cette époque. ' Depuis le début, à l'âge de 6 ans, l'impotence
actions fibro-tendineuses qui les fixent dans cette situation anor- ' maie. 1 e. Les pieds reposent sur le plan du li
rotation forcéo du pied en dedans par rapport a l'axe de la jambe. ' La marche est complètement impossible. Les deux
thorax qui a la forme d'une pyramide très basse à base très large. ' L'abdomen bombe également et est fortement sail
upilles égales, réagissant bien à la lumière et à l'accommodation ? ' \ Réflexes rotuliens très exagérés, trépidation
lante et indurée (qui a diminué peu il peu pour s'effacer ensuite). ' Février 1896. L'ulcération de la voûte a laissé
ec les pieds. Forte céphalée 8 ou 10 jours avant l'engourdissement. ' - - D'aussi loin qu'il pouvait se souvenir, sa
ncxsos. The Médical Times and Gazette, 1861, t. II, p. 83. Op. cit. ' LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 1
nifeste ses besoins à l'in- firmière (ce qui est une amélioration). ' 10 février. - Amélioration graduelle; peut s'as
Paris, 1884, p. 323. 130 « NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE ' mes etc.). En outre, détérioration de l'état gé
e, est âgé de 19 ans 1/2 ; taille 1m. 60, assez bien développé. " . ' Père bien portant, n'aurait jamais été malade ;
rend, il ce sujet, que des renseignements incomplets et peu précis. ' Les parents sont de taille moyenne. Marius R.
yeux formés ; les membres inférieurs étaient paralysés, flasques, non ' raides. , Le 25, on le transporte dans un ser
toujours envahi par des crampes, ne lui permet pas de bien écrire. ' Nous le voyons pour la première fois le 7 mars
où il est arrivé avec un diagnostic aussi peu précis que possible. ' L'état général est satisfaisant, peut-être exis
gauche ; un peu diminué à droite ; réflexes olécrâniens normaux. ' , A quoi donc attribuer, disions-nous, les accide
des adhérences méningées qui étaient tirail- lées par ce mouvement. ' « Nous croyons donc que Marius R... a été attei
mment soumis au traite- ment mixte qu'il n'a cessé qu'en juin 1895. ' . Actuellement (janvier 1896), l'état général e
plusieurs années,quelques troubles des fonctions circulatoires 134 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE se trad
mment, dans le cas de Marius R..., la syphilis n'a pas été exclusi- ' vement médullairepuisqu'au début, au moins, a exi
du cerveau, le bulbeêt la région cervi- cale de la moelle épinière. ' On remarquera que la malade qui en fait l'objet
ardives, elle fut saisie d'une peur ( ? ) qui la rendit malade ( ? ) ' pendant 18 mois avec suppression du flux menstrue
obre 1894. Nous l'y trouvons en prenant le service en janvier 1896. ' La malade reste constamment couchée ri cause de
métatarso-phalangienne du gros orteil, lequel est dévié en dehors. ' Les dents offrent toutefois des lésions marquée
e 2, la malade et lui. Il dit n'avoir jamais été souffrant ; taille, ' 1 m. 66; rien de particulier a noter si ce n'es
osses molaires adroite, il reste seulement une 2c grosse molaire. , ' A gauche : ire petite molaire, relativement sai
cas inédits qui vont suivre sont intéressants à des degrés divers. ' Le premier montre que la syphilis héréditaire t
dans sa chambre, sans cependant pouvoir descendre les escaliers. ' Yers le 1er décembre 1894, elle estprise d'une in
uivis de chute des cheveux et de syphilides de la muqueuse buccale. ' Toutefois, les renseignements qu'elle donne son
encore exclusivement médullaire et l'affection revêt en outre un type ' clinique qu'il n'est pas souvent donné d'observ
s décrits. Nous prescrivons alors(juillet 1805)l'iodnrede potassium; ' ¡ la dose de3 gram- mes par jour et l'estomac ét
4 grammes d'iodure de potassium par jour et une pilule de Dupuytren. ' En septembre, l'amélioration est très marquée;
ent de syphilis. Des renseignements ultérieurs, recueillis par le D' ' Baudier,nous ayant permis d'éliminer la syphili
que lorsque l'axe médullaire lui-môme est principa- lement touché. ' Les travaux de M. le professeur Raymond (1) pub
férieurs semble en relation directe avec les troubles articulaires. ' ' Intégrité des sphincters vésical et rectal ;
rieurs semble en relation directe avec les troubles articulaires. ' ' Intégrité des sphincters vésical et rectal ; pa
rière,; la cavité cotyloide est vide et l'on trouve la tête fémorale, ' en arrière et au-dessus d'elle, immobilisée dan
throse permettant les mouvements du membre inférieur sur le bassin. ' . Le genou droit est élargi dans le sens transv
lésions dentaires forment un faisceau de preuves très concluantes. ' Ce qu'il faut surtout faire ressortir, c'est le
urs d'une série d'accidents qui* suivirent sa .première vaccination, ' faite vers l'âge de trois ans et qui relevèrent
1811, p. 211 et Clinical observations on the syphilitic lesions of ' the bones of the hands in the young children. Arc
té jusqu'à l'âge de 5 ans. Coqueluche à 6 ans, variole il 9 ans ; : ' ) l'âge de 5 ans il fut conduit chez M. J. Simon
aucune amélioration. L'état général s'était sensiblement aggravé, on ' tâcha à ce moment de lu faire marcher mais on p
déformation des côtes qui n'a fait que progresser jusqu'à présent. ' Etat actuel le 16 janvier 1896. Le petit malade
ux diffé- rents muscles de la jambe, leur impuissance est complète. ' Les réflexes rotuliens sont très exagérés. Le
ilité ou de la sen- sibilité. Du côté de la face rien à relever.' ' Yeux. Les pupilles sont égales et réagissent bi
ormal. La respiration un peu rapide est celle d'un emphysémateux. ' A l'auscultation du. coeur on' constate un peu d'
à cataloguer dans les cadres nosographiques acceptés aujourd'hui. · ' Dans les figurations de ce genre, il s'agit tan
corporel du féminisme chez certains Hermaphrodites antiques, etc. ` ' Il n'est donc pas interdit d'essayer un groupem
e, survenu à l'époque de la puberté, donnera lieu au fémi- 1 nisme. ' Ces anomalies évolutives sont fort nombreuses e
réduites. Cependant le volume de la tète est sensiblement exagéré. ' M. E. Garnier cite également, comme exemples hi
n, Babet Schl'eier, né à Piegelshach, près·VIalmheim, le 31 octobre ' ! 8)0, véritable « miniature humaine ». Toutes
ieux » dont parle Eliante dans le Misanthrope, est encore à naître. ' (1) Cité par E. Garnier, p. 141. - (2) Il s'a
géants. , La définition du nain ne peut donc pas être très précise. ' > Le mieux sera, je crois, de s'en tenir à c
c., etc., sont de beaux exemples de nanisme et rachitisme combinés. ' Au nanisme vient parfois s'ajouter l'idiotie, l
. L'An- thropologie, t. VI, 1S93. (3) Cité par E. Garnier, p. 85. ' 172 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE C
ellement de graisse où se noient les reliefs des muscles et des os. ' ' , - Deux paquets adipeux gonflent la poitrine
lement de graisse où se noient les reliefs des muscles et des os. ' ' , - Deux paquets adipeux gonflent la poitrine f
rieur du pectoral, comme il est de règle chez tous les sujets gras. ' L'abdomen surchargé de graisse s'effondre sur l
s 'les flancs par un épais bourrelet qui encercle la crête iliaque. ' ' De cette masse,les cuisses naissent comme deu
'les flancs par un épais bourrelet qui encercle la crête iliaque. ' ' De cette masse,les cuisses naissent comme deux
orton oedémateux est d'un réalisme surprenant. Chez lui, évidemment, ' le nanisme est indiscutable ; on peut aussi soup-
prolifératiompolysarcique et une infil- tration myxoedémateuse. - , ' La coexistence fréquemment signalée de l'infant
rviteur de la ménagerie semblent, appartenir surtout au rachitisme. ' On y retrouve aussi ces déformations de la face
Escurial représentant la reddition de St-Quentin, par Luca Giordano, ' etc.' Tel sera plus tard le portrait au pastel de
sse bien connue sert également à établir l'échelle des proportions. ' Ce,procédé.in ? el'se est'd'un effet moins sais
t, ne permet de saisir qu'une très 'légère, incurvation des jambes. ' La face, encadrée au carré par la coupe des che
raphie est cependant assez riche et méritera une étude dé- taillée. ' A côté des figurations grotesques de bossus ano
monte un trèfle irrégulier, percé à son -centre d'un trou rond (2). ' (1) L'Archéologie Egyptienne, Bibl. de l'Enseig
au niveau du siège peut laisser supposer aussi qu'elle était assise. ' 184 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE L
ils à rendre le diagnostic de Mal de Pott infiniment vraisemblable. ' . On ne peut guère songer aux déformations ra
12 octobre 1891. - LE BORAX DANS LE TRAITEMENT DE L'EPILEPSIE 199 ' TABLEAU DES ACCÈS DE L'OBSERVATION I 200 NOUVEL
pura, consid. étiologiqlles et palhogéniqlles. Th. 1896. 1 - - IX ' 14 LA TERMINAISON CORTICALE DU FAISCEAU LATÉR
d pas si on lui demande quelque chose, mais crie de temps en temps. ' \ Le le, octobre, la température est un peu éle
la gauche est plus petite à cause de l'atrophie du tissu ner- veux. ' 6° Le fornix et la fimbria sont plus minces.
nous avons surtout fixé notre attention sur les tractus olfactifs. ' Le corps mammillaire gauche paraît être plus mi
· (2) Allgemein Zeitschrift sur Psychiatrie, 1892. (3) Loc. cit. ' (4) Psychiatrische Bladen, 18S6. (5) Nede1'la
tydschrift voor Geneeskunde, 1886. (6) Loc. cit. (7) Archiv. fil} ' Psychiatrie, 1888. ' (S) Loc. cit. (9) Nederl
eskunde, 1886. (6) Loc. cit. (7) Archiv. fil}' Psychiatrie, 1888. ' (S) Loc. cit. (9) Nederlaadsch tydschrift voo
. cit. (9) Nederlaadsch tydschrift voor Geizeeskiiiide, 1889. 1 ' 1 214 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
9) Nederlaadsch tydschrift voor Geizeeskiiiide, 1889. 1 ' 1 214 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE 'al6 NO
KOW, Untersuchungen, Archiv. sur Psychiatrie, 1895. (2) Archiv. (il¡ ' Psychiatrie, 189 ? (3) Allflem. Zeitschrifl fii
1tl,.Iei (1885). Une destruction étendue du lobe pariétal comme a . ' 15 222 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
ait renommée dans le pays pour sa piété et sa résignation au mal' , ' Chacun, dans le village, se montrait plein de c
ientôt sa maladie empira. Ce furent d'abord d'atroces douleurs dans ' les reins et dans le bas-ventre qui empêchaient G
; le lendemain, on la découvrait ici ou là, endormie sur la terre. ' Par contre, dans la journée, elle se renfermait
plusieurs reprises vint encore grossir le nombre de ses accidents. ' Cependant, l'évêque de Langres n'abandonnait pa
cèse de Langres, prêtres ou laïques, sans en excepter les médecins. ' Sa tâche était délicate. Il l'accomplit avec un
lles, soit par en haut, soit par en bas, pour être rejettes peu après ' dans un vomissement ou dans une miction ». C'
même d'une difficulté d'uriner, ce qui lui était absolument inconnu, ' ayant jusque-là toujours eu de la peine à reten
t presque la peau, comme auraient fait de forts vésicatoires. 234 ' , NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Cette
des douleurs continuelles, qui lui faisaient jeter de grands cris.. ' . . Les vomissements d'urine étaient aussi préc
de topiques, ces tumeurs abscèdent et viennent il suppuration. * . ' La malade dit s'être aussi quelquefois aperçue
t menacée de devenir hydropique : cet état était accompagné de /iè- ' t ? e, et dans certains moments de difficulté de
s d'uriner sont presque continuelles, ainsi que les dou- leurs. , - ' ' Le 26 août, dans un accès de transport, elle
d'uriner sont presque continuelles, ainsi que les dou- leurs. , - ' ' Le 26 août, dans un accès de transport, elle en
z maigres, et marqués de cicatrices qu'on dirait être des brûlures. ' Ses yeux et ses paupières étaient très rouges,
a remarqué qu'il passe LA MALADIE DE LA FILLE DE SAINT-GÉOSMES 239 ' mieux lorsqu'il est froid; en total la bonne no
cotiques, ce. n'est qu'à l'extrémité qu'on à recours à ces remèdes. ' Il y a 15 ans qu'elle a été à Bourbonne à deux
occasionnées par les instruments avec lesquels on les avait tirées. ' Elle ajouta qu'elle avait beaucoup de peine à s
vait beaucoup de capacité et que la pierre était d'un petit volume. ' Je dois observer que j'ai été surpris de ne tro
champ, elle était de la grosseur d'une olive, mais un peu pointue. ' Elle était accompagnée de cinq autres petites,
lade avec MM, Charles et Diez. « Il ne s'y trouva aucun gravier » . ' * Une matière blanche, floconneuse, s'y voyait e
es bras et les jambes, le corps s'é- 246 NOUVELLE 1CONOGR11'L11G DE ' LA SALPÊTRIÈRE levant de dessus le lit ». Enfin
firmer la nature du mal dont était atteinte la Fille de St-Géosmes. ' Sur les troubles sensitifs et sensoriels, Moran
ux et avec les autres manifestations de la névrose est bien connue. ' Chez Geneviève, il y eut'successivement alterna
iments tient une place importante. Geneviève n'y a pas échappé. . ' « Elle resta, dit Morand, plus d'une fois, huit jo
non, Bourguinon, Challeix-Vivié, Mesnard, Gilles de la Tou- rette). ' ' - On serait surpris de ne pas voir signaler l
n, Bourguinon, Challeix-Vivié, Mesnard, Gilles de la Tou- rette). ' ' - On serait surpris de ne pas voir signaler l'h
vage, Boyer, Chopart, Henry Morrin, Legueu, Gilles de la Tourelle). ' (1) Dissert. Epislol. de Afféct. llist., Cap. V
G, t. I, p. III, cité par Gilles de la Tourette, Loc. cit., p. 407. ' (2) Loc. cit., p. 397. ` LA MALADIE DE LA FIL
tin restent conformes à l'idée qu'on peut s'en faire aujour- d'hui. ' « Il M'est pas, dit-il, nécessaire de 1'echerch
ne considérer que l'histoire de la maladie de la Fille de St-Géosmes, ' il nous semble qu'un respectueux hommage doit ê
soit spontanément, soit à l'aide d'une inter- vention chirurgicale. ' . D'autres faits se rapprochent plus directemen
tte même personne, mais il reconnut ensuite qu'il s'é- tait trompé. ' L'observation'suivante, toute à l'honneur du cé
opposa, par la seule crainte des douleurs, à ce qu'elle prétendait. ' M. Tenon, pour découvrir la supercherie, plaign
t, où l'on pré- tend qu'elle avait déjà essayé la même fourberie. ' Elle revint quelque temps après à la Salpêtrière,
ration brune plus intense; enfin le pubis ne présente pas de poils. ' Les organes génitaux sont réduits il bien peu d
lu la première place à l'école, avec certificat d'études à l'appui, ' 262 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE D
resté localisé, systématisé au feuillet moyen et à ses dépendances. ' - Il était intéressant devant une atrophie semb
yphilis comme élément étio- 1, logique important mais non exclusif. ' " . '1 i Ici, la dégénérescence a épargné le sy
ante, niais dans le cas présent les facteurs .'habituels : syphilis, ' intoxication, hérédité arthritique, nénopathique.
ls : syphilis,' intoxication, hérédité arthritique, nénopathique... ' nous échappent- absolument. ' j Nous nous trouv
hérédité arthritique, nénopathique... ' nous échappent- absolument. ' j Nous nous trouvons en présence- d'un fait rar
lements, des bourdonnements d'oreille; . DE L'HÉMARTHROSE TABÉTIQUE ' 267 il a l'oreille dure ; enfin son intelligenc
icle Tabès dorsalis, dit,[. Decliamlre. i (4) Raymond, Loco cilato. ' (5) Morion Prince, Journal of nervous aud menta
ntation (4). Le neurone moteur périphérique ne pourrait-il pas être, ' lui aussi, le 1 (1) Fournier, De l'ataxie loc
les cas d'Oppenheim et de Siemerling (3), de Wolf (4), de Muller (5) ' , on trouve, soit du liquide sanguinolent, soit du
d avec les faits auxquels MM. Picqué et Mauciair (3) font allusion. ' ,« Quant aux hémarthroses nencnses, dans les cas
; on y trouve égale- ment des caillots cruoriclues'`ou fibrincux. ' (1) Chipault, Traité de chirurgie t'linique et opé
phale. L'altéra- tion des méninges se prolonge sur la protubérance. ' « La pie-mère spinale, dans les régions cervica
malléole interne droite. Pas d'autres symptômes. Mort de diphtérie. ' . « Autopsie. Gomme cérébrale, hydrocéphalie in
téresse environ la moitié du territoire du cordon latéral droit. l. ' « Gomme du rein gauche. Périhépatite et périspl
une série de phénomènes presque exclusivement d'ordre encéphalique. ' " Le résumé de l'aulopsie est ainsi formulé :
tion se rapporte à un enfant de ? jours né d'une mère syphilitique. ' « Rien macroscopiquement, si ce n'est un affais
rophie des fibres nerveuses et des cellules ganglionnaires. ix 19 ' 290 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE L
s épaisses végétations sont restés totalement ou pres- que intacts. ' J'ai vu une foule d'artères dont la tunique adv
au pro- cessus spécifique. Sept avaient des lésions intermédiaires. ' 296 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE A
onjonctif esfmince, délié, avec quelques noyaux mais peu abondants. ' L'arachnoïde est éloignée d'elle de toute l'épa
dre. Autour des vaisseaux, les noyaux embryonnaires se multiplient. ' Cet as- pect se retrouve sur les vaisseaux radi
mois environ. Mère spécifique secondaire. Pas trace de macération. ' Organes viscéraux ne présentent rien de particu
re friable qui s'étend entre elle et les parois du canal rachidien. ' Au microscope on note difficilement l'état des
ssoires de l'opérateur sont insuffisants pour trancher la question. ' Constatons seulement que le barbier opère avec
officine conserve son allure rusti- (1.) No 1915. H, 38. L, 28. B : ' 320 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA -SALPÊTRIÈRE
france qu'il endure et le rire par ses grimaces et ses contorsions. ' L'habitation du chirurgien de Brouwer est encor
on voit se développer à la suite d'un empoisonnement par l'arsenic. ' Voyons d'abord dans quelles circonstances vous
aucoup de cheveux ; ceux qui lui restaient se mirent à gri- sonner. ' Voilà déjà un enchaînement de symptômes propres
réflexes tendineux, les signes de la réaction de dégénéres- cence. ' Vers la même époque le docteur Barrs (2) a prés
re parfaitement avec ce que nous avons observé chez notre ma- lade. ' Une autre fois c'est un sujet atteint de la mal
vins empoisonnés d'Hyères. Annales d'hygiène, octobre 1888, p. 248. ' (3) SCII,\I'EII, Beilrage zuder Lehre von de)'
obre 1888, p. 248. ' (3) SCII,\I'EII, Beilrage zuder Lehre von de) ' Arsenik-Vergiftung, Berlin, 1846. lx ' 22 338
Beilrage zuder Lehre von de)' Arsenik-Vergiftung, Berlin, 1846. lx ' 22 338 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
la faradisation, cette jeune personne s'est complètement rétablie. ' Dans le mémoire de M. Imbert-Courbeyre vous tro
ne. Qu'il me suffise de vous en donner comme preuve un travail du D' ' Putnam (2), de Boston, basé sur vingt-cinq cas
peine de distinguer la syringomyélie d'une paralysie arsenicale. e. ' Enfin il importe que vous ayez présent l'esprit
uleuses, festonnées : coupes de vaisseaux néoformés gorgés de sang. ' Les gros vaisseaux spinaux antérieurs sont diff
8° jour après sa naissance. Organes viscéraux d'apparence normale.' ' Les sinus veineux de l'encéphale sont extraordi
l supérieur atteignent les dimen- sions du petit doigt d'un adulte. ' La substance cérébrale parait normale. Moelle
ré pèse 750 grammes. Organes ^viscéraux normaux. Encéphale. sain. ' Moelle. N'a pu être examinée par suite de faute
ssi les méninges mal conservées ne montrent pas bien leurs lésions. ' Région cervicale. Ce qui frappe d'abord, c'est
ifique morte en asystolie. Opération césarienne, l'enfant est mort. ' C'est une des moelles que nous avons prise pour
ts et 3 fausses-couches antérieurement. Mort-né, légèrement macéré. ' La moelle est normale dans toutes ses parties,
un septum volumineux, entièrement fibreux, contenant peu de noyaux. ' Les vaisseaux spinaux antérieurs sont sains, ma
, mère spécifique secondaire. Macéré, poids 1120 grammes. Le foie, ' les reins, les muscles de l'abdomen ont été exami
Foetus de 7 mois 1/2. Mère spécifique secondaire. Mort-né, macéré. ' 1 LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDIT
étude il résulte que les lésions méningo-médujlaires constatées 368 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE " chez
observations et qu'il était intéressant de mettre ici en relief. ix ' 24 TROUBLES TROPHIQUES DES ONGLES AU COURS DE
localisation presque exclusivement digitale des troubles sensitifs. ' Il n'y a pas lieu d'insister sur l'identité des
ure même qui ici encore a servi de guide à la fantaisie populaire ? ' « L'étude de certains documents historiques est
E. {ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE). L'OPÉRATION SUR LE DOS par ' , HENRY MEIGE. Le même Adriaen Brouwer qui no
rées et moins basses, traduisent l'inquiétude et la peur du client. ' Cette dissociation de la physionomie, loin de n
étrer plus avant dans l'intimité des moeurs médicales'de son temps. ' z1) Telle était la formule consacrée pour le se
Charcot (J.-B.) et DUFOUR (HENRI). Hé- marthrose tabétique. 265. ' Chipault (A.). Déformations de la main et des
20 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES - PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE ' J.-1%1. CIIARCOT AVEC LA COLLABORATION DE ,
BRIAND (11.), BB1SSAUD (E.), BROUAIIDEL (P.), CAMUSET, CATSAI(AS, ' CHARPENTIER, CIIASLIN, CHRISTIAN, DAUIIIAC (J.),
RCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE DE L'ONOMATOMANIE (suite) ' ; ) Par MM. CIIARCOT et MAGNAN. II. L'OBSESSIO
bouteilles, etc., elle s'empresse d'en demander une sixième pour ' ne pas avoir à réfléchir au nombre cinq ou iL le
le est obligée de lutter vigoureusement pour repousser cette idée ! ' Sauf son mari, elle craint le contact de tous l
dans sa famille ne recherchant plus du tout la société de ses amis. ' A vingt-six ans, il prétend qu'on trouble son s
Il ressent au crâne des tiraillements qui diminuent par la coupe ' Magnan. Etude clinique sur les impulsions et les
articulièrement une personne respectable. Il fait de grands efforts ' pour ne pas le prononcer; quelquefois, il réussit
mur, et là, dit-il, il se décharge, il prononce rapidement et plu- ' M. Magnan. Des hallucinations bilatérales à carac
é. (Arch. de Neurol., no 18, novembre 1883.) 16 pathologie mentale. ' * sieurs fois les mots grossiers, et il se sent
ait aussi un ténia imaginaire dont elle se croyait atteinte. if , , ' Depuis longtemps elle se sentait poussée à rech
ont été plus altérées dans ces cas que dans d'autres...1 - - 1 1 1) ' 1 1 1 , Quant la première forme, elle est depui
la deuxième variété établie par Duchenne. 22 s » PATHOLOGIE mentale/ ' J « Il consisterait dans l'extension du process
- Mort par complications inflammatoires des voies urinaires. " 1 ' ) , - ;f, 1 ( j . 1 1 Homme de trente-deux ans,
s. Rien à noter dans ses antécédents personnels ou héréditaires. '' ' Le début de sa maladie remonte au 2 décembre 18
ent de la rétention d'urine et on fut dès lors obligé de le sonder. ' ' ' 1 Trois semaines après le début de la malad
t de la rétention d'urine et on fut dès lors obligé de le sonder. ' ' ' 1 Trois semaines après le début de la maladie
de la rétention d'urine et on fut dès lors obligé de le sonder. ' ' ' 1 Trois semaines après le début de la maladie,
e la paupière supérieure survint en même temps qu'il voyait double. ' ' Au cours de tous ces accidents, un travail es
la paupière supérieure survint en même temps qu'il voyait double. ' ' Au cours de tous ces accidents, un travail esch
eschare dans le creux de laquelle on- pouvait loger une mandarine. ' 'i . , 1 ) i C'est dans cet état, réduit au déc
urtout marqué dans la moitié gauche du corps. i. 'i - oj ,1 j J;, 1 ' . f .. r r f 1 f,. . If . . Etat actuel (22 j
et de la cuisse sont flasques et ont considérablement maigri. 1 , 1 ' ' L'atrophie est très prononcée, bien que la fo
de la cuisse sont flasques et ont considérablement maigri. 1 , 1 ' ' L'atrophie est très prononcée, bien que la form
e. 'Etat de la sensibilité. - Sensibilité générale. · 1 f - 1 1 , ' Le malade n'accuse aucune douleur pas plus dans l
on quoique forte ne produit qu'une sensation obtuse et non pénible. ' 1 ' z ' La pression le long des trajets nerveux
uoique forte ne produit qu'une sensation obtuse et non pénible. ' 1 ' z ' La pression le long des trajets nerveux est
ue forte ne produit qu'une sensation obtuse et non pénible. ' 1 ' z ' La pression le long des trajets nerveux est pén
schare dans le creux de laquelle on pourrait loger une mandarine. ' Etat général. La maladie parait avoir été marquée
à se remuer, à s'étirer et ces phéno- 26 1, - o PATHOLOGIE MENTALE. ' -- mènes s'accompagnaient d'une certaine crispa
it une mimique particulière, 'une expression de souffrance. , , i f ' . . - Etat de la contractilité électrique. L'ex
n du malade ne se prêtant pas à ce genre de recherches. "<-' i f ' ' ' 29 janvier. L'état du malade s'agârave. L'a
du malade ne se prêtant pas à ce genre de recherches. "<-' i f ' ' ' 29 janvier. L'état du malade s'agârave. L'ata
malade ne se prêtant pas à ce genre de recherches. "<-' i f ' ' ' 29 janvier. L'état du malade s'agârave. L'ataxo
1er février à des phénomènes broncho-pulmonaires d'origine rénale.' ' ? 1 . ! 1 ! l, ' , 1 ¡ r ? i . 1 ' '1" . , ,
phénomènes broncho-pulmonaires d'origine rénale.' ' ? 1 . ! 1 ! l, ' , 1 ¡ r ? i . 1 ' '1" . , , , , i ? . ' 1 ri ,
pulmonaires d'origine rénale.' ' ? 1 . ! 1 ! l, ' , 1 ¡ r ? i . 1 ' '1" . , , , , i ? . ' 1 ri , ' 1 . Voilà un mal
rénale.' ' ? 1 . ! 1 ! l, ' , 1 ¡ r ? i . 1 ' '1" . , , , , i ? . ' 1 ri , ' 1 . Voilà un malade qui est. mort de c
' ? 1 . ! 1 ! l, ' , 1 ¡ r ? i . 1 ' '1" . , , , , i ? . ' 1 ri , ' 1 . Voilà un malade qui est. mort de complicati
un mouchoir pour enlever de( sa bouche, les mucosités qui s'y accu- ' mulent. De plus, cette paralysie s'accompagne d
plantaire et l'absence de tout phénomène con- vulsif médullaire' : ' ' ' . < 1 ( 1 1 ' ' Dirons-nous avec Vulpian
lantaire et l'absence de tout phénomène con- vulsif médullaire' : ' ' ' . < 1 ( 1 1 ' ' Dirons-nous avec Vulpian,
ntaire et l'absence de tout phénomène con- vulsif médullaire' : ' ' ' . < 1 ( 1 1 ' ' Dirons-nous avec Vulpian, qu
ce de tout phénomène con- vulsif médullaire' : ' ' ' . < 1 ( 1 1 ' ' Dirons-nous avec Vulpian, qu'il s'agit d'une'
de tout phénomène con- vulsif médullaire' : ' ' ' . < 1 ( 1 1 ' ' Dirons-nous avec Vulpian, qu'il s'agit d'une'my
plexe est loin d'être aussi avancée. Les expériences, si tant est ' Voy. Archives de Neurologie, n° 69, p. 323. 30
près connu, et les suppositions qui me paraissent vraisemblables. i ' ' D'ailleurs, pour faciliter ce travail et ne p
ès connu, et les suppositions qui me paraissent vraisemblables. i ' ' D'ailleurs, pour faciliter ce travail et ne pas
y a du vrai et du faux dans ce qu'il raconte, mais c'est au médecin, ' ainsi que je vous le' disais l'autre jour, à savo
t l'histoire d'une hystérique, les maladies qu'elle avait déjà eues, ' les hôpitaux où elle avait été soignée, etc. ;
vation à M. Charcot, la malade amenée devant le médecin racontait ' tout le contraire.' J'ai trouvé' d'ailleurs exact
es mêmes remarques' dans l'ouvrage de M. Gilles de la, Tourette2. ' Mille détails que ,1'on, peut' relever,' quand on
. Gilles de la, Tourette2. ' Mille détails que ,1'on, peut' relever, ' quand on observe leur manière d'être dans le se
a- tion verticale et dans la marche' ». Le malade ne sait plus se ' Paul Blocq. Sur une affection caractérisée par de
s à des troubles psychologiques analogues à l'amnésie systématisée. ' Les amnésies localisées sont encore plus connue
anormaux qui suivent quelquefois l'attaque semblent ne 1 Voir dans \ ' Automatisme psychologique, 1889, p. 93, l'observa
présents. J'avais remarqué déjà des troubles de ce genre plus ou ' Despine (d'Aix). De l'emploi du magnétisme animal
ues malades, en particulier chez une malade du service de M. Falret ' , mais je n'avais jamais eu l'occasion de voir c
ient presque constamment se surajouter aux autres formes d'oublis ' Etude sur un cas d'aboulie et d'idées fixes. (Rev
e prie une autre personne, mon ami M. Carpentier, de causer avec la ' malade ; elle répond à ses questions, parait fa
s'appellent les deux malades qui sont vos voisines dans la salle, » ' Ses lèvres remuent et elle répond tout bas : Mm
sens», qu'une nouvelle opération s'ajoute à la première. Il faut ' Il est peine nécessaire de faire remarquer que ce
harcot, n'est que cela, une sorte de distraction de la personnalité; ' mais alors ce n'est rien et l'on peut dire que
somnambulisme qui probablement m'aurait donné d'autres résultats. ' Automatisme psychologique, 1889, p. 91. l'amnés
que je lui suggérais de voir, mais elle les voyait toujours gris ' H. Bourru et P. Burot. Variations de la personnal
c., associer les images correspondantes, images tactiles t t' t", ' 1f. Paul Richer signalé, le premier je crois, ce
quel tous les autres souvenirs sont coordonnés et la perte de ces ' L'hystérique, incapable à cause du rétrécissement
aux d'entre eux; je désire seulement vous en signaler quelques-uns. ' Les somnambulismes, pour ne les considérer qu'à
avec soin, car nous y attachons une assez grande impor- tance 2. ' Azam. Hypnotisme, double conscience et altération
ion visuelle qu'on lui a suggérée, celle d'une souris blanche. La ' Pour l'étude de ce somnambulisme complet de Wit..
tervenir. . RECUEIL DE FAITS. Asile PUBLIC d'aliénés DE BONNEVAL. ' ÉPILEPSIE ANCIENNE D'ORIGINE TRAUMATIQUE (FRACT
, qu'u n grand-oncle paternel ait eu quelques attaques convulsives. ' Antécédents personnels. La grossesse de la mère
ces accès d'intempérance, les attaques devenaient plus fréquentes. ' Le malade étant arrivé à l'asile le 14 septembr
propos de marchands de vin que son mari buvait avant le mariage. ' Et c'est très vraisemblable. En effet L.... pre
d'un mois, sans avoir présenté aucun phénomène digne d'être noté, h ' 13 mars 1892. Le malade est revenu nous revoir
gir d'une impulsion dipsomaniaque prolongée sous forme ambulatoire. ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1. CONTRIBUTION A
ée de mauie avec désordre dans les idées..... Guérison. P. KERAVAL. ' IV. LE champ visuel DES épileptiques (en dehors
es criminels congénitaux (fous moraux); par S. OTTOLENGIII. (Cen- ' t·al6l. f. Nervenheill), N. F. L, octobre 1890.)
r, d'utiliser l'appareil de SAHLI (Cor- respondez-blatt f. Schweize¡ ' Aerzte. le, septembre 1890 Ueber Aus- waschung
h, Organismes) et d'employer une solution à 0,73 p. 100 stérilisée. ' P. K. III. De la DUBOISINE COMME SÉDATIF ET HYP
comprendre le sens. Conclusion. Sixième forme clinique de Lichtheim ' : interrup- tion des faisceaux nerveux qui unis
nt en avant et la marche ne pouvant dépasser cent à deux cents pas. ' ' - P. K. , IX. Un cas DE POLIOENCÉPHALITE supé
en avant et la marche ne pouvant dépasser cent à deux cents pas. ' ' - P. K. , IX. Un cas DE POLIOENCÉPHALITE supéri
tinuité, que les phénomènes observés étaient liés à la compression. ' ° SOCIÉTÉS SAVANTES. 85 - M. JOFFAOY. La majo
IAND. Mais le malade de M. Christian n'était pas un fébrici- tant ! ' M..CHRISTIAN se défend d'avoir voulu donner une
1 Voyez Archives de Neurologie. Revues analytiques. « Id. v 88 ' SOCIÉTÉS savantes. la marche d'une psychose inf
ndrait que les départements (Loender), venant en aide aux communes, ' M. Gauster en sait quelque chose, puisqu'il a été
e sont peut-être pas en effet ce qu'elles devraient être. Mais déjà ' on s'est inquiété de la situation. L'an dernier,
en avait pas idée), on s'étonne à bon droit que la justice conserve ' deux dénominatives uniques. ' La loi est encore
à bon droit que la justice conserve ' deux dénominatives uniques. ' La loi est encore plus dure. Elle ordonne l'affic
projet de loi pénal n'a pas encore été une seule fois délibéré. · ' Sans doute, il faut remplacer les vieux mots de d
licatesse des procédés de la magistrature, elle tient à la routine. ' Notre société a déjà traité à fond la réforme d
au moyen de sa signature. C'est ce qu'il y a de mieux à faire. , , ' . . La première motion do M. Svetlin est seule
veillance pour des aliénés laissés chez eux ou errant à l'aventure. ' * z . i M. GAUSTER. Quand on aura fait tomber
r à l'auditeur tous les types voire les types curables. En revanche, ' il serait excellent de construire des établisse
M. de KRAFFT-EBING. Toute à l'heure je me suis opposé à la créa- ' C'est la thèse que nous soutenons depuis longtemp
du prolongement inférieur du ventricule latéral, ycompris la corne. ' Voyez Archives de Neurologie, t. XI, p. 116. Séan
e députation composée de MM. Meynert, de Krafft-Ebing et Gauster. ' ". Séance du 8 janvier 1891. Présidence DE M. M
ion à l'anatomie pathologique du labes dorsal. (Publié in extenso.) ' Séance du 9 avril 1891. - PRÉSIDENCE DE M. MEYN
venant par accès chez une paralytique générale. Mémoire publié2.' ' Voyez Archives de Neurologie, t. XXII, p. 418.
nements de l'empire n'ont pas donné suite à la motion de M. Moeli ' Voir Archives de Neurologie, session d'Iéna, t. X
te. Je sou- haite que l'avenir porte la lumière dans cette affaire. ' Commençons, si nous pouvons, par faire table ra
aux mélancoliques, aux mal- heureux affectés de démence aiguë, etc. ' M. OEsEae. La cause de l'excès de mortalité par
d'abord les conclu- sions du rapport de M. Pelman Cession de 1883) ' et la discussion qui s'en est suivie à Eisenach
oniques des épileptiques aliénés. ` Voyez Archives de Neurologie. ' Id. 110 SOCIÉTÉS SAVANTES. Or, l'étude de nos
rationnelle par la construction intérieure de différents quartiers. ' C'est ainsi que se sont développés les plus gra
nts; 3° bâtiments économi- ques propres aux épileptiques occupés à \ ' agriculture ; 4° quar- tier d'épileptiques atte
n entrave, disent-ils, leur ministère. Ceci est tout à fait erroné. ' M. POETz. Le conseil provincial de la province
M. MOELI rappelle les recherches de Fristsch et Hitzig, les travaux ' de Wernicke, Kussmaul, Lichtheim, Grashey, enfin
lettres que l'on vient d'apprendre. La parole écrite (le langage ' des lettres) dépend de l'intégrité des trois élém
acte de la parole et de la répétition des mots, celui qui préside z ' à l'intelligence de la parole et de l'écriture, c
lligence de la parole et de l'écriture, constituent des fonc- 1 . ' ' On trouvera ces travaux dans les Archives de Ne
igence de la parole et de l'écriture, constituent des fonc- 1 . ' ' On trouvera ces travaux dans les Archives de Neur
brales est, en temps que science des faits, tout à fait indépendant ' Voyez Archives de Neurologie. SOCIÉTÉS SAVANTES
ves à adresser au malade suggéré pour faire cesser ces accidents. ' La théorie permet donc de ne fonder d'espérances,
des délires primordiaux ni des idées fausses, d'ordre mélancolique, ' appliquées à un raisonnement systématique : des
2. M. le Dr M1N : 1R. Contribution à la statistique des rapports ' entre la syphilis et le tabès. La nouvelle statis
es indi- cations thérapeutiques de l'opération qui fut pratiquée. ' Séance du 20 décembre 1891. M. le Dr W. Roxa pr
un même groupe d'affections héréditaires il caractère dégénératif. ' Les deux maladies ne seraient alors que les ext
atiquée dans LES cas D'HYDRO- CÉPHALIE aiguë ET CHRONIQUE; par le D` ' HAYES AGNEW. {University Medical Magazine, octo
ide cérébro-spinal les pulsations du cerveau devin- rent sensibles. ' L'opération fut suivie d'une élévation de la te
drain. On ne dit pas combien de temps celui-ci resta dans la plaie. ' Au huitième jour, l'enfant pouvait se tenir ass
encore par la forme plus agréable-et plus soignée de -l'impression. ' Nous croyons ne pas nous tromper en prédisant u
e pas nous tromper en prédisant un succès pro- gressif à ce volume. ' P. KERAVAL. IV. Contribution à l'étude anatomiq
s joue de son côté un certain rôle dans les déformations observées. ' Cette thèse, quoique ne renfermant qu'une obser
départemental avec affec- tation spéciale au bien-être des aliénés. ' ART. 22. - Nul changement aux présents statuts
ces et des asiles ou comme hommes de peine chargés de gros travaux. ' B. SUICIDE D'UNE aliénée. Une vieille femme p
l'école communale, rue Etienne-Marcel, une femme se dressait devant ' eux, et, bran- dissant un revolver, criait à pl
dans le corps. Disant ces mots, elle se dirigea'vers le professeur, ' M. Le- breton, et à deux reprises différentes f
ts. Il a été emmené à l'hospice de Bas. Les Pompel ont été arrêtés. ' Ce fait, lui aussi, prouve combien les administ
ande de M. le docteur Riu, le rapport préfectoral s'exprime ainsi : ' « Le prix très élevé demandé par les asiles de
eptembre lé92. N, 71. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE ' DE L'ONOMATOMANIE (suite)1; ? ` , Par MM. CHA
ur inspirent. . Une fois en butte à ces préoccupations maladives, ' Voy. Arcli. de Neurol., n° 29, sept. 1885, p. 157
menée à prononcer sans s'en apercevoir l'un ou l'autre de ces mots. ' . Un jour, elle était allé faire une visite à u
». Ces réponses, nettement formulées, suffisent à la tranquilliser. ' - 172 PATHOLOGIE MENTALE. Plus tard, elle a d
e. Onomalomanie, mauvais-mots z poussant ù la répétition des actes. ' M. M ? âgé de trente-cinq ans, dont le frère es
hésitations incessantes et la répétition fréquente des mêmes actes. ' 1 . DE L'ONOMATOMANIE. 173 Le jour oit il est
nt nous DE L'oN0fA1'OSfANIE. 17S j avons déjà rapporté l'histoire ' on constate trois modes de manifestation du mot
eu ayant entière conscience, reconnaissant leur caractère maladif. ' Depuis fort longtemps cette dégénérée était éch
er, elle ne peut porter la main sur la peau velou- tée d'une pêche. ' Il a présenté à diverses reprises des périodes
- tendre l'un de ces mots ou de voir des choses, un convoi funèbre, ' par exemple, lui rappelant le mot. Malgré toute
tous ces phénomènes pathologiques. (A suivre. Archives, t. XXIV. ' 12 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE RECHERCHES SUR LA
on ammoniacale, dans les deux autres cas la diurèse était diminuée. ' . Ces expériences ont été faites chez les épile
odes de calme d'une dizaine de jours. 180 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ' Dans une seconde note (10 mai), M. Féré relève
, mais l'injection est impossible. Ligature. Pansement collodionné. ' L'animal détaché est assez vif. Il a guéri comp
lisées à plusieurs reprises. Salivation très abondante. A 90, mort. ' 192 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ' La totalité d
ation très abondante. A 90, mort. ' 192 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ' La totalité des urines recueillies dans les vin
ine, un grand accès. Q = 1.500 c. c. ; . , Lapin de 1 kil. 550. f " ' L'urine injectée a été naphtolée. Sa réaction e
is, agitation; à 55, nouveaux cris, irrégularités respira- toires ; ' ,à 62, 'rejet brusque en arrière,^ convulsion toni
crum par un violent mouvement tonique, projection des bras en avant, ' légère projection de la' tête en arrière. Exorbit
corps est raide et peut être soulevé d'un bloc sur la planchette.' ' Exorbitisme énorme : perte du réflexe cornéen.
itent les poils du museau pendant une minute et demie environ. 1- , ' , . Une seule miction peu abondante au début de
ogues à celles que produit l'empoisonnement par la strychnine.) , ' Autopsie. - Le coeur continue à battre. Les reins
in de 2,480 grammes. - Urines à réaction acide, filtrées avec soin. ' · Vers 15 c.c., myosis. Respiration accélérée e
s. Une seule miction d'urines, troubles au début de l'ex- périence. ' Autopsie. - Le coeur bat. Congestion rénale int
gt-quatre heures après le dernier accès. Réaction acide, filtrée. ' DE LA TOXICITÉ URINAIRE CHEZ LES ÉP1LEPTIQUES. 19
ur. 7 Deux accès incomplets de jour. 8 Deux grands accès de jour. ' 9 Un - 13 - Deux ' 21.. Un . - - - 22 Un
mplets de jour. 8 Deux grands accès de jour. ' 9 Un - 13 - Deux ' 21.. Un . - - - 22 Un accès incomplet de jour
21.. Un . - - - 22 Un accès incomplet de jour. Un accès de nuit. ' . 24 Un grand accès de jour. 25 Trois grands
hement de liquide dans le péritoine. Coefficient urotoxique, 0,121. ' Urines pendant l'accès. 5 avril. Hug... a eu, l
c. c. Urines non albumineuses, acides, filtrées, non naphtolées. ' Lapin de 1.950 grammes. Injection en quarante min
lusieurs mictions et plusieurs défécations pendant l'injection. , , ' Autopsie. - Congestion rénale et pulmonaire int
ériode délirante. 1 Urines recueillies du 3 mai, 4 heures du soir, ' au 4 mai, même heure. - Totalité, affirmée par
Relevé des accès de Hug... · 4 avril. Une attaque complète de jour. ' ' 4 de nuit. 5 Trois attaques complètes de jo
levé des accès de Hug... · 4 avril. Une attaque complète de jour. ' ' 4 de nuit. 5 Trois attaques complètes de jour
ns sa thèse (20), oubien le malade dont M. Javal a montré un dessin ' ) nous disent le plus souvent que le scotôme com
ividu qui souffre de la migraine ordinaire, sans aucun trouble du ' Compte rendu de la Société d'ophtalm, de Paris, s
, il en est de même pour les autres formes d'amblyopie transitoire. ' - Chez les sujets déjà migraineux les accès peu
pe le plus l'attention du malade et du. médecin.. Quant l'amblyopie, ' elle peut se présenter sous différentes formes
.) et elle peut être suivie ou non des phénomènes du scintillement. ' . Pour nous épargner toute redite, et sans insi
s généraux entre l'accès d'amblyopie et le syndrome migraineux. , ' A ce propos, l'observation rapportée par M. Galéz
es cas qui tirent leur origine de lésions organiques de l'encéphale ' , peut être la forme de scotôme sous laquelle, c
sitoire à forme d'hémiopie homonyme (à droite), est encore celle de ' M. Mazza (45). Le trouble visuel était sans dou
a · première attaque dura 10 à 12 minutes, et la seconde, surve-' ' Rappelons le cas de Wollaston, qui fit époque pou
ment, et dans la plupart des cas elle est suivie par les photes- ' tésies du scotôme scintillant. Les troubles visue
s de la parole seulement à la fin des accès. Migraine vio- lente. ' Cette particularité se rattache à la question de
dire au livre de M. Bouveret, et surtout à celui de) ! . Levillain. ' y6 CLINIQUE NERVEUSE. sique sur la neurasthénie
rvient l'amblyopie et non rarement les phénomènes du scintillement. ' Dans un des cas relatés par Babinski, il exista
entation d'un rétrécissement concentrique existant nor- malement. ' Gilles de la Tourette et Ctuitelmeau. La nutritio
vertigi- neuse proprement dite existe. - . Il est vrai, pourtant, ' que l'amblyopie transitoire à crises bien carac
ence et de se mordre la langue. Pas d'incontinence d'urine la nuit. ' Les crises sont très irrégulières. Il reste par
généralisation des mouvements convulsifs, la morsure de la langue. ' Les attaques avec perte de connaissance sont pl
Accuse toujours faiblesse et trouble de la vue dans l'oeil gauche. ' ' i Observation Il. Scotôme scintillant rudim
ccuse toujours faiblesse et trouble de la vue dans l'oeil gauche. ' ' i Observation Il. Scotôme scintillant rudimen
trois ans (consultation externe de la Salpê- trière, 6 avril 1886). ' En 1878, premières attaques d'épilepsie partiel
que. '. OBSERVATION. 111. Epdepsie partielle anormale et migraine ' ophtalmique. - - M. Len..., trente ans. (Consul
e ans. (Consultation externe de la Salpêtrière, 16'août 1881.) , -- ' ' A fait pendant son enfance une chute sur la t
ans. (Consultation externe de la Salpêtrière, 16'août 1881.) , -- ' ' A fait pendant son enfance une chute sur la têt
ecousses convuç ;, sives au bras droit, le prennent tous les jours. ' ', .. * Après un an (consultation du 11 août 18
ousses convuç ;, sives au bras droit, le prennent tous les jours. ' ' , .. * Après un an (consultation du 11 août 1882
pagnées de migraines, mais suivies de phosphènes scintillants, sont ' un peu plus fréquentes que les accès convulsifs,
e s'est repré- sentée. Examen ophtalmoscopique tout à fait négatif. ' En résumé, on peut dire que souvent les accès d
ès huit à dix minutes l'engourdissement avait complètement disparu. ' Depuis cette époque, et toujours au milieu de s
on semblable à celle qu'on va lire eût été mieux à sa place en 1865 ' qu'en 1892, car Broca n'en eut à son service qu
s. Sa mère est encore vivante. Il a un frère sourd-muet, un autre ' bien portant, une soeur morte de la poitrine. .
rtère basilaire non athéromateuse, artère sylvienne gauche normale. ' ' . Hémisphère gauche. Lorqu'on écarte le pied
ère basilaire non athéromateuse, artère sylvienne gauche normale. ' ' . Hémisphère gauche. Lorqu'on écarte le pied de
sion daus les noyaux gris de la base ni dans les ventricules. 236 ' RECUEIL DE FAITS. Coeur. Adhérence péricardique
é de la lecture. « Chez la plupart des individus, dit-il, on peut ' G. Ballet. Thèse d'agrégation, 1886. ' D. Ferri
individus, dit-il, on peut ' G. Ballet. Thèse d'agrégation, 1886. ' D. Ferrier. -'Les Fonctions du cerveau, p. 436. J
on, 1886. ' D. Ferrier. -'Les Fonctions du cerveau, p. 436. J 238 ' THÉRAPEUTIQUE. observer une tendance, durant la
ce aura été jugée suffisante. DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 239 ' Tout récemment, les conditions du concours se son
ts, dans l'histoire de la médecine, des progrès 240. THÉRAPEUTIQUE. ' - des sciences et des arts, qui donnent la mesu
l'hérédité épileptique chez l'homme. DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. ' 247 Dans les méthodes expérimentales qui se pro
y a de ce côté une véritable terre promise ouverte aux recherches. ' 254 THÉRAPEUTIQUE. L'épilepsie et les convuls
rent impuissants à soulager. Je veux parler des tumeurs cérébrales. ' m Malheureusement, une forte proportion de tume
un plus grand nombre de volutes pour que le contenu restât normal. ' Archives, t. XXIV. 17 258 REVUE D'ANATOMIE ET
eurs des cordons postérieurs, par la méthode embryogénique. P. K. ' Voy. Archives de Neurologie, Revues analytiques.
res (dorsales) de la masse des pyramides.-Il Il en estde même.'pour ' les troubles de la déglutition ; tant qu'il n'y a
motrice complète; cécité verbale, diminution de la sensibilité à ' A comparer avec le cI'(1niomètl'e optique de Béné
plus grands. Tableau n° 8. Opérations pour des tumeurs du cerveau. ' 274 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XVII. DE l'
se à la syphilis, voici les proportions que nous trouvons : . 278 ' REVUE DE pathologie NERVEUSE. L'évolution, exam
du Congrès. Puis M. Bouchereau, président du Comité d'organisation, ' remercié M. le préfet. Les congressistes de Fra
i peuvent être résumées ainsi qu'il suit : SOCIÉTÉS SAVANTES. 28S ' 1° Il existe un état psychopathique essentielleme
assez tard. Il en est de même du dédouble- ment de la personnalité. ' Les idées de négation sont rares chez les persé
que le fait est connu de tous, de quelques-uns ou du médecin seul. ' M. V. Parant (de 'l'oulouse) pense que, pour le
n ordinaire à l'égard des cas de maladie conta- gieuse. M. Régis. ' ' En matière de secret médical, on ne peut pas co
ordinaire à l'égard des cas de maladie conta- gieuse. M. Régis. ' ' En matière de secret médical, on ne peut pas codi
aux travaux agricoles, l'appelle la « réforme de lerrus a. Renaudiu ' a nettement résumé notre opinion commune surce
Vaucluse et à Ville Evrard. Ils ont été mal conduits et ont échoué. ' Commentaires medico-adna, sur les asiles d'aliéné
colonie de Dun; il est plus familial, puisque le malade serait soi- ' En causant avec nos collègues, nous avons appris
rables'. M. DENY (de Paris). Au moment où va être tenté en France ' Des renseignements qui ont été donnés publiquemen
ns des asiles fermés où le placement initial précoce est préconisé. ' M. Charpentier. 11 faut désencombrer les asiles
s- tion première qui s'impose. Que cet encombrement résulte de la ' C'est ce que nous avons demandé bien des fois de
collègues, sur les différents points du réseau de la compagnie de ' Voir le compte rendu du Congrès de Rouen (Archive
moment, les cas évoluent comme un délire de persécution vulgaire. ' M. Ballet répond qu'il n'ignore pas cela et que l
articulier des idées de persécution de quelques-uns de ces malades. ' M. Régis demande si, chez les persécutés qui ti
pelle l'attention de l'Académie sur une opération absolument nou- ' velle qui fait le plus grand honneur au chirurgie
dans nos Comptes rendus annuels, de 1880 à ce jour, des descrip- ' De la craniectomie chez les microcéphales, chez l
fait démonstrative et en faveur du traitement médico-pédu- gogique. ' M. Gilbert-Ballet demande à M. Bourneville s'il
ltat. M. Bouchereau. Je suis absolument convaincu, comme M. Bour- ' Voir le Compte rendu de Bicêtre de 1890, p. 163 e
toujours d'une perte totale de connais- Archives, t. XXIV. 21 322 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. sauce. A sa suite, tous les
ndre la parole, dit que les choses utiles ont été dites par M. le D' ' Giraud. Oui, la reconstruction de l'asile d'ali
onstante du corps médical avec les adminis- trations républicaines. ' La journée s'est terminée par une visite à Oliv
le résumé de notre communication au Congrès de Blois (p. 316)1 . ' Voir n' 70, p. 131. ' ' Notre travail débute pa
mmunication au Congrès de Blois (p. 316)1 . ' Voir n' 70, p. 131. ' ' Notre travail débute par un historique de la qu
unication au Congrès de Blois (p. 316)1 . ' Voir n' 70, p. 131. ' ' Notre travail débute par un historique de la ques
r chevelu. Je ne laisserai pas de pont d'os à la suture coronale. ' M. Keen ignorait par conséquent le cas du D' Lane
n ignorait par conséquent le cas du D' Lane, résumé plus haut. (B.) ' DU TRAITEMENT CHIRURGICAL DE I : IDIOTIE, : i35
avec Dupoytren, son émule, un des fondateurs de l'anatomie palho- ' logique en France. » M. Guermollprez plésente ens
l'hypothèse de pré- venir le lecteur des réserves qui conviennent. ' Il s'autorise des conceptions qui lui semblent
esseur Charcot, qu'il n'est excessif de prétendre qu'on la lui doit ' toute, elle n'en est pas moins séduisante, au pre
es chaque année. Au sujet d'un médecin adjoint supplémentaire, le D' ' Kirkbude dit : « Quand le nombre des malades s'
veu figures dans le texte. Prix : 8 fr.; pour nos abonnés : 6 Ir. ' STEMBofL.). Akromegalie und akromikrie. Brochure
* * ruz ^ « . : ? - ? "*->; ? 1 : ? ? ? PATHOLOGIE MENTALE " ' DE L'ONOMATOMANIE (suite)1; Par Mil. CHARCOT et
e s'angoisser par l'obligation de répéter un grand nombre de fois ' Voy. AI'ch. de New'ol., n° 29, sept. 1885, p. 157
un malheur. En se lavant les mains, elle était forcée de dire « mains ' divines » en souvenir des mains du divin crucif
ce du caractère maladif de ces obsessions et de ces impul- sions. ' Observation XXV. Dégénérescence mentale. Folie
ur m'empêcher quelque temps de me livrer à des actes ridicules. » . ' Parfois le mot erreur s'installe dans son espri
1 monnaie touché par sa bonne qui avait touché un canapé sur lequel ' s'était assise une demoiselle mordue par un chi
et a été obligée de fermer les yeux et de se blottir dans un coin. ' ' ' Cette observation est une des plus instruct
t a été obligée de fermer les yeux et de se blottir dans un coin. ' ' ' Cette observation est une des plus instructiv
a été obligée de fermer les yeux et de se blottir dans un coin. ' ' ' Cette observation est une des plus instructives
se raidissent ainsi plus facilement contre le découra- gement. ' En dehors de l'action morale si puissante du mé-
re très variables de siège et de se réveiller pur la comptes- sion. ' Pour ce qui est des grandes attaques, elles son
r des accès d'aphasie motrice, que G... présenta dans sa première ' L'amnésie hystérique est à présent l'objet dans l
der K7t ! t ? sur Ohrenkranken Prager medicinische Wochenschrift, ? ' 22, 23, 21 juin 1880. Rizu. Surdimutité hystéri
ité annuelle. {Bulletin de la Société des médecins de Jussyr 1887.) ' 3 Voir dans les Leçons sur les maladies du syst
aclisonienne. (Arch. sur Psichialrie, XXI. Observation première.) ' V. Charcot. Epilepsie partielle crurale et tuberc
de la région paracentrale. (Gazette hebdomadaire de Paris, 1891.) ' Della méningite cronica dell' adulto e di una sua
us lucratif d'imprimeur, qui lui avait été promis à brève échéance. ' Là, il eut à subir de violentes émotions morale
d'un côté à l'autre. Le clonus du pied est absent. Examen viscéral. ' '- Il nous révèle l'existence d'un emphisème pu
ctement limité à là base du coeur, et il ne se modifie pas pour les ' mouvements respiratoires. L'examen des viscères a
motrice, tous phénomènes qui accompagnent ou précèdent la, crise, ' trouveraient une explication tout à fait naturell
entre ces ordres de causes etle développement de l'hystérie grave'. ' V. G. Guinon. Les agents provocateurs de l'hystér
me. (Arch. géu. de méd., nov. 1890.) , 406 PATHOLOGIE NERVEUSE. ' Nous avons'donc là des causes très puissantes d'h
de famille est, favorable à l'entretien des accidents hystériques. ' ' * J 414 4 PATHOLOGIE NERVEUSE. l'est des de
e famille est, favorable à l'entretien des accidents hystériques. ' ' * J 414 4 PATHOLOGIE NERVEUSE. l'est des deux
nt qu'il était occupé 1 Policlinique du Mardi, 1888-1890, p. 435. ' Virchow's.- Archiv., 1880, t. LXXX, p. 345. 416
ois par mois à des crises nerveuses ayant le caractère hystérique.. ' * F... a toujours été d'un bon caractère jusqu'
corps est perçu avec toute la rapidité et la netteté dési- rables. ' L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEA
traitement spécifique. Et cependant, même dans ce cas, le dia- 420 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. gnostic d'hystérie nous pa
ine. Tous les deux peuvent se rencontrer aussi bien dans l'hystérie ' , que dans les affections organiques,.sans que d
sie. Elle est complète pour toutes les sortes de sensibilité. Seule, ' la sensibilité tactile est conservée; or, cette
ions, à savoir en débilitant - toutes les fonctions organiques '. ' V. Georges Guinon. - Les agents provocateurs de l
E ? 1 contribution A l'étude DES TROUBLES VISUELS dans LES maladies ' nerveuses; . par le D' ALBERT ANTONELLI. §
flexe qui provoque le trouble vaso- moteur dans l'appareil optique. ' « L'Ù'1'itation périphérique du pneurno-gast1'i
d sympathique se transmettrait aux centres médullaires, pour être ' goy. Arch. de Nei41,ol., n° 72, sept. 1892, p. 20
permis d'abord d'en envisager plus justement la physiopa- thologie. ' Bientôt on écarta l'irisalgie de Piorry, l'anes
nerf optique ou des tractus de Dianoux; on admit le trouble vaso- ' 111. Parinaud a eu l'occasion (1882) d'examiner à
que l'amblyopie transitoire à forme hémiopique ne se rapporte pas ' Parmi les observations intéressantes de scolôme c
de la mémoire optique, dont les centres occupent le lobe occipital. ' En effet, il semble, d'après les nombreuses obs
lus tard, soit des névroses plus complexes, telles que l'hys- térie ' et l'épilepsie, soit des maladies organiques du s
aire du champ visuel qu'une véritable hémiopie ! Archives, t. XXIV. ' 28 434 CLINIQUE NERVEUSE. simplement prédispo
e. Chez les névropathes, c'est-à-dire chez les individus qui sont ' atteints de troubles nerveux plus ou moins graves
es encore fournissent les observations de Trousseau, G. Sée, Swanzy ' et Fitzgérald 2, concernant des " troubles visu
visuels persistants chez des choréiques, et enfin les cas de Naftel ' et de Fûrstner , cités par Robin 5. g). Enfin,
ce trouble, pour les mettre d'accord avec leurpatho- génie commune. ' Plusieurs cas, entre autres celui de Dianoux et
cintillant. Le cas de Dianoux et autres semblables, où le scotôme ' gagnait encore, après l'hémiopie droite, le point
e ophtalmique ce sont les troubles visuels qui ouvrent la marche, ' Forster. Ueber Rindblindheit (et v. Gme(e's Arcli
action pupillaire bien faible à la lumière. Rien au fond de l'oeil. ' 'Observations de Hosch, Wernicke, Forster, etc.
Greco. - Dell'emianopsia islerica. (Pisa, Il ,11ol'gagni, n° 8 del ' 1891.) 50. Levillain. La neurasthénie. (Paris,
oup plus sûr et vous remarquerez que les suggestions dont je vais ' Pierre Janet. Les actes inconscients et la mémoir
Je ne veux pas », mais cela signifie : « Je ne peux pas vouloir '. ' Ce que le médecin anglais exprime ainsi, les ma
signe de plus de la faiblesse de l'attention chez les hystériques. ' 460 CLINIQUE NERVEUSE. lisent, elles n'ont ja
ce, après avoir suivi les leçons de M. Charcot, je n'hésite plus. ' Marcelle était une hystérique, comme M"10 D... en
vées. - . J'ai pu, dans l'étude du cas typique dont je vous parlais, ' établir une distinction entre les mouvements qu
suite d'une suggestion. Une expérience Archives, t. XXIV. 30 466 ' CLINIQUE NERVEUSE. curieuse, faite autrefois su
plus d'hallucinations en contradiction avec les sensations réelles ' ; 2° en même temps, vous voyez que l'anesthésie
s'est sensiblement amendée et permet quelques mouvements limités. ' 13 aviil. Nouvelle séance d'hypnotisme. On lui su
alvaniser. Ce pieux devoir vient d'être rempli par M. A. Bonjean ». ' 478 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. M. Bonjean, avo
VII. Crime ET responsabilité; par le Dr Clark (American journal. ' ofinsanity, avril 1891.) ' Les conclusions de c
lité; par le Dr Clark (American journal. ' ofinsanity, avril 1891.) ' Les conclusions de ce mémoire sont les suivante
és du type normal et se rappro- chent de ceux des êtres inférieurs. ' 2° La plupart de ces individus sont aussi impui
sujet d'études morales en dehors de ses rapports avec la pénalité. ' 6° Folie et responsabilité peuvent coexister. ¡
sain d'esprit : ils conservent donc des rudiments de libre arbitre. ' " 484 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 10° Beaucoup
e maladie de coeur à cause de son action déprimante sur le coeur. ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 487 Chez trente malades
llg. Zeitsch. f. Psychiat., XLVIII, 4.) Vingt-neuf malades. Doses, ' par la voie gastrique, de 1 à 6, et même de 8 m
é à Sainte-Atine-pour la raison qu'on ne peut le placer ail- leurs. ' M. Marandon DE Montyel. Ma communication ne sau
rojet de loi de l'Etat contre l'ivresse (séance de septembre 1891). ' * Discussion : M. ScHROETER. Il faut absolument
bihté absolue des pupilles. Les muscles des yeux ne sont pas para- ' Voy. Archives de Neurologie, séance de décembre 1
Y., M. JOLLY. Chorée héréditaire, présentation d'une malade. Publié ' 1 dans le Neurol. Centralb. M. Remak présente
. Il est évident qu'ailleurs on les a dénommés autrement, surtout ' Voy. Archives de Neurologie, revues analytiques.
une déviation à droite de la colonne cervicale qu'une subluw- tion. ' - . M. SPERLING présente des photographies d'un
r dans un autre recueil un compte rendu assez complet de ce congrès ' et il m'est impossible de le reproduire. Je dés
ve- 51 CORRESPONDANCE. ments et les sensations corrélatives. Le D' ' W. B. Ransom a rapporté une observation d'épile
suite aucun trouble appréciable dans l'attitude de l'animal. Le D' ' II. Doneldson présente la description du cerveau
aux centres admis pour les sens qui manquaient à la malade. Le D' ' S. E. Hanschen, d'Upsals, a étudié les voies suiv
une grande précision dans l'écorce de la scissure calcarinc. Le D' ' H. Hebbinghaus, de Berlin, résume et discute les
ra Ladd Francklin, présente une autre étude sur le même sujet. Le D' ' E.-B. Titcbener, de Leipsig, montre les effets bi
la sensibilité des femmes, normales, aliénées et criminelles, le D' ' Goldscheider, des recherches sur le sens muscul
liénés de Bordeaux, est promu à la classe exceptionnelle. - M. le D' ' llfonnnEx, médecin en chef de l'asile du Mans,
ux, est nom- mé médecin adjoint à Bazas, en remplacement de M. le D' ' pAREL, décédé, (arrêté du il novembre). Asile
ain nombre de travaux importants parmi lesquels nous trouverons à ' citer des recherches sur la déformation du crâne
, rapport médico-légal sur un devenu homicide, par Gar- nier, 85. ' QUEUE de cheval, compression de la -, par Laq
, 134. Placzek, 506. Popoff, 78. Preisz, 278. , l'roust, 320. ' Quincke, 133. Ransoholï, 347. Raymond, 312.
Spanbock, 259. Spencer Smith, 132. Sperling, 503. Stéfani, 67. ' Svethn, 90. Taequet, 356. 'l'bivet, 293.
21 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
1 DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES f Fondée PAR,J.-M. CMARCOT ' FUItLIf : E SOUS I.A DIIIKC11ON DE A. JOFFROY
CULLEIIHE, DANJEAN, UEBOVE (M.), DENY, DUVAL (Mmllu), FÉIiÉ (Cu.), ' FENAYIi0ll, FERIIIKII, FRANCOTTE, GARNIR (S.),
s tendineux. (Leçon de M. le Professeur RAYMOND, 12 décembre 1902) ' t Messieurs, Il existe dans les questions les
passé pathologique et de la situation actuelle de cette ma- lade. ' Recueillie et publiée par MM. les D6 Philippe et
ule cérébral correspondant et des tubercules quadrijumeaux voisins. ' l . 8 CLINIQUE NERVEUSE. . Une digression est
il a été décrit dans quelques observations, d'ailleurs assez rares. ' Tel est, Messieurs, le point particulier sur le
tant seulement par un affaiblisse- ÉTUDE DE LA DÉMENCE CATATONIQUE. ' (5 ment et par une diminution de l'impulsion vol
ant, disait que le dernier temn.s il la soupçonnait de 'lwlque chose. ' Lorsque le malade fut amené dans le bureau d'ad
olice, on nota ce flui suit : le malade avait un air opprimé, la tête ' baissée sur la poitrine, la ligure avait, une e
confusion mentale, un affaiblissement de combinaison et de mémoire, ' une humeur opprimée et triste; le malade se pla
dant deux ans. A ce qu'il pardit, it'a des hallucinations visuelles. ' car il raconte qu'il voit des gens sur le mur e
voit des gens sur le mur et qu'à cause de ces z gens il va périr. : ' Elut présent, 30-4 1896. - Le malade est d'une
' lumière et à l'accommodation conservées ; la sensibilité de même. ' 1 Les mains tenduesdu malade tremblent. Les réf
sais cela » ou bien : « le diable le sait » et sourit sans raison. ' Février 1-14, 1897. La pose favorite du malade
encement de la maladie on a noté encore des illusions sensorielles. ' Par conséquent, contre la mélancolie parlent le
naître ici la forme à laquelle Kahlbaum donne le nom de catatonie . ' Ce qui parle encore en faveur de la catatonie,
du ; syndrome de Kahlbaum, à savoir : des poses stéréotypes incom- ' molles, des phénomènes de négativisme et de mut
t de mutisme, parfois une k catalepsie et des mouvements impulsifs. ' es Comme on le voit, d'après les renseignements
al) la \ maladie a débuté par une période mélancolique; mais nous ' , n'avons pas de description précise de son séjour
tout 'j commencement de la maladie, lorsque la psychose primaire ' était encore présumée, entrent déjà des idées dél
nen in der Katatonie » (1896) , vient aux conclusions suivantes : ' 1° Les rémissions apparaissent assez souvent dans
catatonie comme entité morbide. ÉTUDE DE LA DÉMENCE CATATONIQUE. ' 33 Cette question admet une résolution différen
que de connexion organique entre les phénomènes catatoniques isoles ' , La première objection n'a pas beaucoup d'impo
ituelles des catatoniques, il les rapporte plutôt à la contracture. ' En 1874, lorsque l'ouvrage de Kahlbaum venait d
ent. Nous posons la question ainsi : Pour combien et de quelle 36 ' CLINIQUE MENTALE. manière la sphère motrice est
is que dans d'autres elle est sujette à une inhibition nor- male. ' D'ici provient l'impulsion, et en même temps l'
épend, des changements très rapides des représentations, c'est-à-; , ' dire de l'excitation de différents centres cort
ons spinaux, et qu'il n'a rien trouvé qui fut particulier au tabes. ' REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
imulants », par exemple la syphilis, l'alcool, la pella-- gre, etc. ' D'autre part il existe une théorie suivant laqu
use des détails de technique électro-thérapique qu'elle comporte. ' H. M.-C. IV. Un cas d'hydrencéphalocèle; par Da
agnées de figures, dont l'auteur tire les conclu- sions suivantes : ' 1. Les préparations de cerveau emprunté aux ani
ulaires du tubercule quadrijumeau antérieur, où elles se terminent. ' Le tubercule quadrijumeau antérieur ou supérieu
'on fixe par la méthode rapide de Golgi. Voici ce que l'on voit : - ' . 54 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
mécanique d'un muscle à un muscle voisin innervé par le même nerf. ' P. KERAvaL. XV.'DU réflexe acromial; par W.-M.
ur l'importance de la latéropulsion pour le diagnostic des lésions. ' R. Charron. XVII. Les lésions histologiques de
s, il n'ait pu se déshabituer d'écrire en miroir de la main gauche. ' G. D. XXXIII. Examen histologique d'une tumeur
e font croire à l'auteur qu'il s'agit d'une syringomyélie au début. ' , . G. D ' REVUE DE pathologie NERVEUSE. 67 I
re à l'auteur qu'il s'agit d'une syringomyélie au début. ' , . G. D ' REVUE DE pathologie NERVEUSE. 67 IV. Un cas d
VII. Un cas d'hystéro-syphilis; par le Dr THOORIS. (Journ. de Neu- ' ' rologie, 1903, n° 2.) Cette obseruation conce
II. Un cas d'hystéro-syphilis; par le Dr THOORIS. (Journ. de Neu- ' ' rologie, 1903, n° 2.) Cette obseruation concern
D. X. Tabes incipiens; parle Dr de Buatt. (Journal de Neurologie, ' 1903, na 5.) Il s'agit d'un homme de 35 ans, ni
- XV. Sur deux cas de syringomyélie à topographie radiculaire des ' troubles sensitifs et des troubles moteurs; par l
. E. B. XVII. L'examen des malades atteints de paraphasie; par le ' Dr SAINT-PAUL. Comme Pitres l'a établi, la para
principaux sont la dysphémie la dyslexie, la dyséchophémie motrice. ' B. Pamg1'aphie. Les symptômes principaux sont :
u'il lit. ne gêne pas ou même ne supprime pas la lecture machinale. ' C. Paraphémie et paragraphie associées, réuniss
graphie associées, réunissant les .symp- tômes des deux affections. ' D. Paracécité verbale dont les symptômes sont l
symptômes sont la dysopsie, la dyslexie, la dyscopie sensorielles. ' E. Parasurdité verbale dont les symptômes sont
agissant sur la sensibilité générale, en diminuant l'angoisse et la ' douleur morale, en supprimant le cauchemar. Le ph
étermine quelquefois des phénomènes d'irritation ou de compression. ' On peut trouver de grands avantages dans la dim
teur, aucune conséquence. lâcheuse à redouter. Si, après l'enlève- ' ment de la dure-mère, les membranes paraissent op
exagérée à la non-intervention aconduit à une abs- tention funeste. ' R. de D1USGItAVE-CLY. SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCI
erminées. Le liquide céphalo-rachidien des paralytiques généraux. - ' M. ARDIN-ULLTEIL a étudié le liquide céphalo-ra
nales. Tuberculose pleuro-pulmo- naire et ganglionnaire médiastine. ' Cliniquement, première étape, six ans auparavan
la parésie ou plutôt de la faiblesse des membres du côté gauche. ' A l'autopsie, on trouva un volumineux tubercule c
s portions du système nerveux dans lesquelles il s'est développé. ' M. DÉJER1NE est nommé président et M. BftISSAUD v
t nommé président et M. BftISSAUD vice-président pour l'année 1904. ' F. BoissiER. . SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCH
du Saule a signalé des cas de cette nature. 84 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' M. Jules Voisin. Eudoxie que j'ai eue autrefois
ques des malades auxquels ils prescrivent un traitement physique. ' J. BOYER. 86 BIBLIOGRAPHIE. IL Le Névraxe; re
lité entraînant la responsabilité civile soit d'un très grand intérêt ' i pour le psychologue, pour le médecin, pour le
and intérêt ' i pour le psychologue, pour le médecin, pour le juge. ' Cette distinction juridique capitale entre le c
Cette distinction juridique capitale entre le civil et le criminel, ' M. Maxwell s'efforce de la retrouver en patholo
, permanente, périodique, complète ou incomplète (ou même absente). ' L'auteur étudie alors la question des relations
ont rédigées par le jury chaque jour d'épreuves, au nombre de trois, ' immédiatement avant d'entrer en séance. Les can
Les épreuves orales sont publiques. Le jugement définitif VARIA. 91 ' porte sur l'ensemble des épreuves. Il pourra êt
celle de l'épilepsie vraie, de Archives, 2' série, t. XVII. 7 98 ' CLINIQUE NERVEUSE. l'épilepsie stéréotypée en q
t quelle sécrétion pouvait être incriminée surtout dans l'épilepsie, ' je finis par être frappé de la rareté du goitre
oitre : en Suède on n'en constate que dans une ou deux localités. , ' En France « l'endémie du crétinisme sévit avec
rol. Des maladies mentales, t. I, pages ` ? sur et suivantes, 1838. ' Art. Crétinisme, du Dict. Dechambre. EPILEPSIE
étinisme pur et les causes de décès du demi-crétin ou du crétineux. ' J'ai parcouru un grand nombre d'ouvrages traita
Rosières-aux-Salines (meurtre). Nancy, 1831. 104 CLINIQUE NERVEUSE. ' dances à l'ivrognerie, tel autre descend d'un i
me et l'épilepsie doivent avoir des causes diamétralement opposées. ' Les grands caractères différentiels que je vien
ne sont pas là de simples vues de l'esprit, je vais le démon- trer. ' " ' J'ai été amené, il y a plusieurs années déj
ont pas là de simples vues de l'esprit, je vais le démon- trer. ' " ' J'ai été amené, il y a plusieurs années déjà, p
sité du troisième jour et la dépassèrent bientôt sensible- ment. ' Toutes les épileptiques qui ingérèrent ainsi du c
ifesta- tions symptomatiques de l'épilepsie, voici ce que je trouve ' : ' Sur 60 épileptiques, j'en rencontre 7 goitr
- tions symptomatiques de l'épilepsie, voici ce que je trouve ' : ' Sur 60 épileptiques, j'en rencontre 7 goitreuses,
ne trentaine seulement en 1895, mais, en 1896, à la suite de cha- ' Les épilepsies et les épileptiques. Paris, Alcan,
leptiques. Paris, Alcan, 1890. Archives, 20 série, t. XVII. S 114 ' CLINIQUE NERVEUSE. grins, perte de son mari, tr
ts analogues dont le total doit être d'une qua- rantaine environ. ' Société de neurologie, 13 mars l(J02. °- .1. CU
e une intelligence capable de raisonner et d'accepter l'évidence. " ' Dans son dernier livre ? Grasset cherche à étab
ètes (idéo-sensorielles), les autres centrifuges (idéo-motrices). ' L'Hypnotisme et la suggestion. ' Page 6. 3 Pa
res centrifuges (idéo-motrices). ' L'Hypnotisme et la suggestion. ' Page 6. 3 Page 7. CONCEPTIONS DE L'HYPNOTISME
centres psychiques inférieurs ou de l'automatisme psycholo- gique ; ' A, centre auditif, écorce des circonvolutions t
0 et le polygone. Ce dernier obéit au centre 0 de l'hypnoti- seur. » ' D'où cette définition schématique de l'état de su
térique consent à ce mode d'intervention, il n'y a pas de raison ' Définition de l'hystérie. Société de Neurologie .
tisables ont un état mental spécial, caractéristique de l'hystérie ' , du pitltiatisrne comme dit Babinski, état path
ous étendrons-nous pas longue- Ascmves, 2° série, t. XVII. 'J 130 ' REVUE CRITIQUE. ment sur ce chapitre. Nous somm
Grasset). C'est affaire de définition et ensuite de classification. ' A propos des suggestions dans les appareils hab
- firmer - et cette pensée ressort de tous ses travaux depuis dix ' ans - que si autrefois, conformément à l'enseigne
s cas chroniques et n'a pas la place suffisante pour les cas aigus. ' ' Le remède proposé est celui-ci : dans chaque
cas chroniques et n'a pas la place suffisante pour les cas aigus. ' ' Le remède proposé est celui-ci : dans chaque vi
la simple contradiction des gens à qui s'adressent ces re- proches. ' M. Pick fait remarquer que les mêmes caractères
tales. - R. de MUSGRAVE-CLAY. Archives, 20 série, t. XVII. 10 146 ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XIV. Un cas d'idio
SouKLAiioFF et GANNOUCK1"E. (JOU1'1l. de neurologie, 1903, n° 7). , ' Des recherches faites à la clinique psychiatriq
te entre quinze et vingt-cinq ans. 148 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ' Sur 80 sujets qui en étaient atteints il n'y en
aphobie. Il raisonne bien, a le don de la parole, lit énormé- ment. ' - L'auteur a également observé une jeune fille
référence ou simultanément. Observations de deux espèces à l'appui. ' Il s'agit toujours d'héréditaires qui souvent a
étiquette à donner au' cas actuel est celle de démence épileptique. ' R. LEROY. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. un XXX
fois plus atteints que les femmes; 5° sa terminaison est fatale 160 ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. et, le plus souven
Krauss (The American journal of Insanily, avril 1902, p. 607, 623). ' XXXIX. Sénilité et démence sénile ; par William
, l'intermittence est peut-être considérée comme un signe du début. ' . M. Ballet. La paralysie générale débute parfo
e dernière doctrine qui semble aujourd'hui guider la jurisprudence. ' 111. Jorrnol. Si la recherche de la prédisposit
me mieux par la grande extensibilité de terme prédisposition. - - ' Dans certains cas la prédisposition est très accu
main apparurent les premiers symptômes de l'hystéro-trauma- tisme. ' - Il était nettement prédisposé, il avait eu de
sentent de nombreux voyageurs pendant les voyages en chemin de fer. ' Psychologie de l'entraînement dans la course en
e fer. ' Psychologie de l'entraînement dans la course en flexion. ' M. Félix REGNAULT expose les conséquences psychol
trophiques nettement indépendants de chacun d'eux en particu- lier. ' Les paralytiques généraux sont d'autant plus pr
tive, caractérisée par l'absence habituelle de dé- sordres moteurs. ' f. Tétanie par action toxique, générale et à di
lippe et Poulain. Librairie du Progrès médical, 14, rue des Carmes. ' Le Dr Bourneville publie le XXIII0 compte rendu
irecteur de ce remarquable service et à ses dévoués collaborateurs. ' · La deuxième partie, consacrée à la clinique,
dans les comptes rendus antérieurs : idiotie complète avec diplégie; ' l'autopsie montre une sclérose atrophique surtout
travaux forcés le meurtrier inconscient (Le Matin, 20 janvier 190). ' , Les deux faits qui précèdent montrent la néce
Le Petit Yar, (19 sept. 1903). Oui, si comme le dit le Petit Va ? ' et comme nous l'avons dit nous- même et écrit t
l'idée de yrosseise. 1 vol in-8- de 102 pages, imp. Kreiss, Nancy. ' HÈmssEY (Paul). Etude clinique sur les troubles
1 vol, in-8° de 556 pages. John tlopkins. Press., Baltimore 1903." ' ' 1 Le rédacteur-gérant : Boluneville. 1 Eire
vol, in-8° de 556 pages. John tlopkins. Press., Baltimore 1903." ' ' 1 Le rédacteur-gérant : Boluneville. 1 Eireux
elles, 1903, in Revue Neurologique, Il' 16, 3L août 1903, page 826. ' Archives, 2' série, t. XVII. 13 194 -il CLINI
violentes; pleurnicheries. Signes physiques : pupilles dilatées et ' inégales; les réactions en sont conservées mais l
le 8 août 1902. Avant son entrée cette malade a présenté deux fois ' , des vertiges avec chute et perte de connaissance
lement hypertrophiés, le gros orteil sur- tout. Langue volumineuse. ' .A l'ophthalmoscope, les papilles apparaissent
s étroites à réaction lente tant à la lumière qu'à l'accommodation. ' L'examen ophthalmoscopique révèle des papilles
hthalmoscopique révèle des papilles normales quoi- qu'un peu pâles. ' Observation XII. - Duv..., veuve Hé..., quarant
de la semaine, ne sait depuis combien de temps elle est à l'asile. ' , Tremblement ribrillaire de la langue ; inégal
te et un ans, entrée le 3 août 1903. Examen du 9 seplembre 1903. - ' Affaiblissement intellectuel; désorientation co
a malade dit ne pas voir distinctement les caractères d'imprimerie. ' A l'ophthalmoscope, papille droite à bords flou
From..., femme Dels..., trente-huit ans, entrée le 24 juillet 1903. ' A l'entrée, affaiblissement intellectuel avec l
les sur le système nerveux; modifications du côté de l'intelligence ' Voir numéro 98, février 190 p. 97. ÉPILEPSIE PA
` ? « Que nous révèle, du reste, la chirurgie du corps thyroïde ? ' Art. Epilepsie, du Dict. Dechambre, page 187. É
éni- tale, la puberté, qui verrait éclore le plus grand nombre de ' Thiébierge. Loc. cit., page 17, - . Archives, 2
e l'imbécillité avec épilepsie sont consécu- 214 CLINIQUE NERVEUSE. ' tives à l'épilepsie et non causes de celle-ci;
ce qui concerne le système nerveux de l'épileptique adulte et ne ' Baillarger et Krishaber. Art. Crétinisme, du Dict
rger et Krishaber. Art. Crétinisme, du Dict. Dechambre, page 182. ' L'homme et l'intelligence. Alcan, édit. ' . 216
t. Dechambre, page 182. ' L'homme et l'intelligence. Alcan, édit. ' . 216 CLINIQUE NERVEUSE. ' serait-elle pas ab
L'homme et l'intelligence. Alcan, édit. ' . 216 CLINIQUE NERVEUSE. ' serait-elle pas absolument justifiée par des fa
comme causes des convulsions infantiles, de l'épilepsie infantile. ' La glande thyroïde étant évidemment un des prin
rs profuses même. L'état de mal des épileptiques permet les mêmes ' Cette influence de l'activité fonctionnelle du co
dans le sang un autre poison, alcool ou poison d'origine alimen- ' L'embonpoint de l'âge critique est évidemment dû
n du corps thyroïde aggrave l'épi- lepsie. 220 CLINIQUE NERVEUSE. ' taire, ce poison jouera un rôle adjuvant épilep
nt 1. » » Ces observations de M. Féré confirment bien celles dont ' CI]. Féré. Les épilepsies et les épileptiques. Pa
en jeu comme dans la pathogénie de la grande attaque d'épilepsie ? ' De ce qui se produit dans certaines épilepsies
utilisé assez/ heureusement déjà ces indications thérapeu- tiques. ' REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
ens dans le péritoine d'ordinaire. En ce qui con- cerne la thyroïde, ' plusieurs des chiens ayant été sacrifiés à des
acio-scapulo-humérale. Cette affection est^en réalité dentéropalhi- ' que et qu'il doit exister dans les cornes antérie
erveuse; par L. BEDRJITZFTY. (Obozi,é7zié psi- chiatrii, VI, 1901). ' 1. Ces enfants présentent périodiquement de l'e
. - XLVIII. Les lésions de la moelle épinière chez les amputés, " ' . par M. SIVIT : ILSIÜ. ' L'auteur a pu examine
la moelle épinière chez les amputés, " ' . par M. SIVIT : ILSIÜ. ' L'auteur a pu examiner cinq moelles d'amputés. Da
une atrophie de la moelle, du côté correspondant à l'ampu- tation ! ' A : cette atrophie, participent aussi bien la sub
bstance' grise est, in loto', le siège d'une- atrophie; cepen; dant, ' les cornes postérieures semblent plus atrophiées
proviennent du côté opposé (Revue neurolo- riqice; janvier'4901j.= ' '' 1.. B. IL' Diagnostic de l'ostéomalacie à la
n porta le diagnostic de méningo- myélite et de myélite transverse. ' - -' - . Dans ces deux cas, les phénomènes d'or
ta le diagnostic de méningo- myélite et de myélite transverse. ' - - ' - . Dans ces deux cas, les phénomènes d'ordre n
d'ordre nerveux prédomi- nants ont été : l'exagération des réflexes, ' la trépidation épilep- toïde, voire même des co
e par le fait de l'intensité plus grande de l'effort en pareil cas. ' Pour M. Bard, le signe de l'orbiculaire a une i
is soumis à un traitement éducationnel à la fin physique et mental. ' R. de nlUSG9A1'E-CLAY. II. Les mesures à prendr
par Carlos h'. MacDoxALD, avec compte-rendu de l'autopsie par Ed- ' C'est la thèse que nous avons toujours soutenue,
ue le meurtrier étaitsain d'esprit et responsable de ses actes. . . ' lt. M.-C. iv. Rapport sur l'examen de l'état me
C. iv. Rapport sur l'examen de l'état mental de Machetto Charles; ' par les Dr Weber et KOHLER. (Reu. métl' de la Sui
auteurs ont conclu à l'irresponsabilité du prévenu. D'après le D' ' Neber la démence de Machetto, qui avait débuté à
aranoïde qui est, comme on le sait, une variété de démence précoce. ' Le Dr Weber fait suivre la publication de son r
ble, il en résulte que les aliénés criminels ne peuvent être placés ' que chez les agités, ce bâtiment offrant seul une
quels l'aberration mentale est compliquée de criminalité grave. , ' G. D. . r 1 ' Pareille communication, regrett
on mentale est compliquée de criminalité grave. , ' G. D. . r 1 ' Pareille communication, regrettable à tous égards
ports r i 'd'experts a été faite en France à des aliénés internés.. ' .. ' i , 248 REVUE DE MÉDECINE LEGALE. V. Les
r i 'd'experts a été faite en France à des aliénés internés.. ' .. ' i , 248 REVUE DE MÉDECINE LEGALE. V. Les résu
iles en Belgique, par J. Crocq. (Journ. de neurologie, 1903, n° 1.) ' Ce travail, qui a été communiqué au Congrès de
III. Rapport annuel de la section des aliénés de l'hopital arménien ' du St-Sauveur à Constantinople ; par le D1' Luigi
toxine du germe tuberculeux le rôle d'une antitoxine spécifique. ' n. DE Musgrave-Clay. VIII. La possibilité d'ass
HOLQGIQUE 'Séance du 215 janvier 1904. Présidence de G. Ballet ET ' , ... ' ' Brunet. ) , M. BALLET, avant d'abando
E 'Séance du 215 janvier 1904. Présidence de G. Ballet ET ' , ... ' ' Brunet. ) , M. BALLET, avant d'abandonner la
'Séance du 215 janvier 1904. Présidence de G. Ballet ET ' , ... ' ' Brunet. ) , M. BALLET, avant d'abandonner la pr
ues dont la bien- veillance, a facilité sa lâche de président.... ? ' la bieil- -SOCIÉTÉS SAVANTES. 5â : 113. BRUNET,
la Société qui entre dans sa cinquante-deuxième année d'existence. ' .. ' " Deux cas de délire de médillmnilé. , M
ociété qui entre dans sa cinquante-deuxième année d'existence. ' .. ' " Deux cas de délire de médillmnilé. , MM. So
pports avec l' « au-delà » et faisant beau- coup de vers.. - > * ' 1 Le second malade, ancien phobique, légèrement
us-Christ et 'évolue vers un 'délire -mystique avec -hallucinations ' impératives brutales et érotisme. Il commet pou
ques-uns des nerfs atteints l'hyperthrophie a beaucoup rétrocédé. ' Polynévrite sulfocarbonée. , MM. GUILLAIN et CO
i pourrait être utile au point de vue social. Amaurose tabétique. ' MM. Pierre Marie et André LÉRI attirent l'attenti
Soixante-cinq cas de pseudo-oedème catatonique observés à l'asile ? ' * - ' 'EurcMa;, M. Trepsat. Chez 65 malades, on
xante-cinq cas de pseudo-oedème catatonique observés à l'asile ? '* - ' 'EurcMa;, M. Trepsat. Chez 65 malades, on retro
rer dans de bien différentes lésions graves générales du cer- veau. ' N. P. PosTOVSKY trouve le diagnostic du lues cé
ys il n'existe pas de loi spéciale sur les aliénés; leur assistance ' est réglementée : 1° par des articles du Code pén
^plus particulièrement dans la confusion primitive ou secondaire et ' dans l'alcoolisme aigu, où, par leur physionomie
anisme ancestrul, achondroplasie ethnique, par M. le professeur l'O; ' \CET et M. Lai- CHE. (Lyorz médical, 3j octobre
pathogénie est encore mal connue, une achondroplasie physiologique. ' Cette dernière est constituée par le rappel ata
e ; à ce moment, une longue intoxication l'a rendu irrespon- sable. ' Devant d'aussi nettes et d'aussi radicales conc
t, aux aînés, à la région axillaire opposée, à la région cervicale. ' Prenons maintenant les membres en détail : le m
ns localisation préalable dans un organe « de voisinage immédiat. » ' Quant au cancer primitif des nerfs, je n'ai pas
son origine, et d'être ensuite disséminées dans toute l'éco- nomie. ' . Les localisations cancéreuses, affectant le s
es et des points d'émergence des nerfs provoque d'atroces douleurs. ' Le signe de Lasègue est des plus nets. Les réfl
ylique chez une tuberculeuse ; et, ceci sans aucune arrière-pensée. ' Une surprise nous était réservée à l'autopsie.
tol'1l1dtion des gaines sarculemuaauques en acini glandulaires. 290 ' CLINIQUE NERVEUSE. Tout autre est la condition
ai entretenu, rentrait dans cette dernière catégorie. A vrai dire, ' les névrites isolées sont rares. La compression
en dehors du crâne. 11(iul-t'elle-ci comme pour les ti-oli.-S 111'( ' \'pux r,"ri/,hériqurs elle est rare et 1'.lIère
La palpation révéla que nous avions affaire à une tumeur gastrique. ' LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX.
L DE FAITS. Paralysie saturnine à type partiel Aran-Duchenne. PAR ' Pnosrre 111ERIiLEN hT- IIENRI GUIARD Ancien i
istant suppléant de consultation de la Seine. - à l'hôpital Bichat. ' r Nous n'avons d'autre prétention que de rappor
VIII) intitulée « Para- lysie incomplète des doigts et du poignet » ' il s'agit une paralysie très accentuée du court
it une paralysie très accentuée du court abducteur de pouce, sans ' RC\1\K, Ai'ch. sur psijch. and Xervenkr. 1876-187
s. Essai sur la paralysie du plomb 'ou saturnine. Thèse 4S3r. 310 ' RECUEIL DE FAITS. que les autres muscles de la
ne cause générale (paludisme, rhumatisme, saturnisme). Raymond' ¡ ' JI"'a DI : .ICItI\E-IVLU31PICE. Polynévrites en g
la sensibilité au contact et à la douleur le long du trajet du nerf ' cubital est diminuée, surtout au niveau de la m
est légèrement atténuée. Sur le trajet du radial, rien à noter. - ' L'examen électrique donne les résultats suivants
gnostic, confirmé encore par la constatation d'un liséré de Burton. ' Cette même notion de profession soulève un poin
ent longs à revenir et l'atrophie persiste plus longtemps encore. ' Duchenne (de Boulogne). Traité de l'Eleclrisaiion
ion se produit deux mois après, avec un chevauchement très marqué.. ' Les observations de fractures spontanées dans l
(aspect de main de singe) un peu plus accusée à droite qu'à gauche. ' L'intégrité des masses musculaires des avant-br
u'elle n'avait dans l'urine que des traces non dosables d'albumine. ' Il semble donc que certaines éclampsies peuvent
yon médical, 1901. n°39. p. 430). - ACI1lVES, 2' séi ie, t. XVII. ' 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Il s'agi
graphie de la lésion rend compte des principaux symptômes observés. ' Ce syndrome cérébelleux a donc été la conséquen
omme chez le cheval, caractérisé par un syndrome particulier. G. C. ' XXVIII. Névrite périphérique des membres inféri
nce des fibres vaso-constrictives, la rétraction du globe oculaire. ' Quelles que soient les théories admises (Morel
ésions macroscopiques, l'examen microscopique n'a pas été pratiqué. ' M. Josserand attire l'attention sur deux points
psychique coordinatrice sont altérés. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 327 - Le symptôme important est la différence d
as d'aboulie hystérique simulant la maladie de Thomsen. G. Carrier. ' XXXII. Incontinence urinaire et myélite ; par M
eur Weill (Société médicale des hôpitaux de Lyon, 28 février 1002). ' 31. Weill résume l'observation d'une fille de q
s, étudie à un point de vue purement clinique la variété délirante. ' L'auteur pense que la folie brightique, pas plu
de maladie de Friedreich, dttirent l'attention sur deux points : ' " La formule cytologique du liquide céphalo-rachid
entier, mouvements de fronde, arcs-de-cercle, sans que la connais- ' sance soit considérablement troublée. Les renseig
colie qui, ayant glissé sur le parquet fit une chute qui détermina ' une légère conpure au-dessus du sourcil droit. Ci
alomanie ? phase mixte intermédiaire (ou d'emblée en certains cas). ' D'autres réalisent des délires mélancoliques ch
ycho-moteurs et autres ? Marcel Briand. SOCIETE DE NEUROLOGIE f ' Séance du 3 mars 1904. Présidence de M. DÉJERIi'O
res- cence du côté paralysé. Ganglions rachidiens dans le tabès : ' M. Thomas a examiné systématiquement et compara
Charles-S. Mayens. (The Journal of Mental Science. Octo- bre 1903.) ' - - Dans ses visites aux Universités des Etats-
A. malouine, 25-27, rue de l'Ecole-de-Médecine. Prix : 2 francs. ' SCliUTTLFWORTII. Les enfants anormaux au point de
es observations : 1° G..., 37 ans, paralytique général (Examen du D' ' Sau- vineau), 21 décembre 1893 : pupilles réagi
me traitement, le malade avait tout simplement été soumis au repos. ' 2°X..., paralytique général, 1er examen : inéga
omme 42 fois des lésions du fond de l'oeil sur 51 malades examinés. ' ' L'examen de nos malades donne, vous allez le
me 42 fois des lésions du fond de l'oeil sur 51 malades examinés. ' ' L'examen de nos malades donne, vous allez le vo
soit dans ses attitudes et sa mimique, soit dans son langage,elle ' lui proposait ses faveurs. Nous ne voulons pas
paralysie faciale, in Revue Neurologique, no 18, 30 septembre 1902. ' Archives, 2' série, t. XVII. 24 370 PHYSIOLOG
un exer- cice musculaire quelconque, c'est le muscle lui-même qui ' travaille, qui se fatigue. Il en résulte son épui
onnons l'observation suivante, véritable recherche expérimentale, ' C. POT11V. La pression artérielle de 'l'homme lc
complai- sait dans le plein épanouissement de son activité mentale. ' C'est là une expérience rare, peut-être même un
ATHOLOGIQUES. 377 clartés variables, vision aperçue dans les brumes ' sans foime précise, mais donnant l'intuition de
ntes, suivies d'autopsie : ce tra- vail est accompagné de planches. ' R. Ai.-C. LUI. L'habitude de la morphine; son t
Ribadeau-Dumas et S : 1DAR.IIrU. (Presse médicale, 16 avril 1902). ' Les localisations à la face de la maladie de Ra
un chien dont le facial est déjà sectionné en avant de la parotide, ' on voit immédiatement après la face entraînée d
ur était indemne. Le corps génicuié interne gauche était très petit, ' le droit d'un volume inusité. Les tubercules mami
lite hémorrhagique en particulier de nature tuberculeuse ; par le D' ' l3oIQICCI. (Riv. Sp, di (l'en. 1903, fasc. 1, t
er à signaler, car elle ne peut se résumer sans perdre son intérêt. ' R. ni.-C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 391 X
purement irritative de la tumeur. C'est cette dernière théorie que ' les auteurs appliquent à leur cas. G. Carrier.
r. XXXXVII. Formes sévères de l'aérophagie nerveuse ; par M. Bou- ' veret. (Lyon médical, 1901, na 10, p. 349). Sou
en 1891 une névrose du pharynx caractérisée par des mouvements de ' déglutition incessants, convulsifs, entraînant de
lmonaires ou autres avec état pyrétique durant la dernière semaine. ' - - . R. de 1\IUSGIU YE-CL\ y, LXIII. Un cas
N GREENLEES. (rA6youn ! a< of Mental Science. Octobre 1902) . '. ' Ce travail est très intéressant, et les recherc
quence l'insuffisance du cube d'air attribué à chaque malade pen- ' d;int le jour, et surtout pendant la nuit; 2° l'i
entaux que d'attribuer à la toxémie une importance fondamentale ? : ' 42° En ce qui touche la théorie moderne suivant
pontanément malade, il est clair que tout trai- tement est inutile. ' M. M.mR pense que les opinions de M. Clouston e
. LXXXII. Fébricitants délirants pris pour des aliénés ; par le D' ' C. Rouge. De ce travail se dégagent les réflexi
d'après l'auteur, exiger que dans tout certificat médical joint à la ' demande d'internement, il soit fait mention que
malheu- reusement cette idée a une fâcheuse tendance à reparaître : ' ). chaque accès d'aliénation mentale.' {Annales
aliénation mentale.' {Annales médico-psychologiques, août t f 903). ' E. B. LXXXV. Sur deux cas de folie du doute ave
nte en particulier. {Annales médico-. Psychologiques, octobre 1903. ' ) : . 1;. ici 4 ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. LXX
{Annales médico-. Psychologiques, octobre 1903. ' ) : . 1;. ici 4 ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. LXXXVH. Contribution à
. LXXXVH. Contribution à l'étude de la névrose d'angoisse; par le ' D1' Capghas. . Cet article renferme deux observ
ouloureuses à la condition de ne pas dépasser le titre de 5 p. 100. ' -" .. - - G. C. XIII. La prophylaxie et le trai
deux processus différents. OEdème de la main chez une hémiplégique. ' MM. RAYMOND et Courteliemont présentent une mal
d'elle- même au besoin qui la poussait irrésistiblement à danser. ' Un cas d'écriture automatique. M. BERILLON. Le
on initiale, phase de souvenir, phase d'irradiation. BIBLIOGRAPHIE. ' 421 La seconde phase semble pouvoir se produire
ées semblent fuir, et il lui arrive d'avoir conscience de son état. ' L'incohérence de ses idées ne doit pas être att
1902; vu l'avis des inspecteurs généraux du 22 mars 1904, arrête : ' Article premier. Un concours pour l'admission a
ste collaborateur dans les termes suivants : « Mesdames, Messieurs, ' ' ' Vous devinez l'émotion qui m'étreint au'mom
e collaborateur dans les termes suivants : « Mesdames, Messieurs, ' ' ' Vous devinez l'émotion qui m'étreint au'momen
llaborateur dans les termes suivants : « Mesdames, Messieurs, ' ' ' Vous devinez l'émotion qui m'étreint au'moment de
t : Bouhnevius. EvrpttT,Ch.HtBtttt.imp.4[04 Vol. XVII. Juin 1904. ' N° 102. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTA
e Dr Sérieux, le 10 octobre 1902. Appartenant à une famille de robe, ' le malade, d'après les ren- seignements recueil
sent à la suite désemparé, Isole dans la vie : il n'épiouve qu'une ' Travail fait dans le service de M. le Dr Sérieux.
t dans le service de M. le Dr Sérieux. Archives, 2' série, t. XVII. ' ? 8 . 131· li CLINIQUE MENTALE. faible affect
tale qui a dû persister plusieurs mois jusqu'à la sortie du malade. ' A sa sortie de Ville-Evrard, sa famille lui fai
11. N... ne semble guère ressentir les émotions bien profondé- 440 ' CLINIQUE MENTALE. ment. Il est assez difficile
gagé; la durée est alors plus lon- gue, elle est de quatre minutes. ' Je recherche ensuite quelles représentations a
représenté la gare telle qu'il l'avait vue dans un- arrêt du train. ' Port-Tarczscon. - Il a pensé que Daudet avait v
mentales. Voilà donc une forme morbide dans' laquelle, à la suite ' J'ai au cours de l'observation émis un doute au s
en 1890, et cependant les événements ont montré que M. N... était ' AscHAFFEXHURG. Die Kalalonief ravage. 411,q. Zeil
isation du capital intellectuel existant encore. C'est là une 4S6 6 ' CLINIQUE MENTALE. simple hypothèse, mais elle m
er à cette maladie. On les signale mais on ne s'y arrête pas; et il ' faut bien avouer que la plupart du temps elles
nnent peu de place 1 Paralysie générale, in Collect. Séauté, 189L ' PARALYTIQUES GÉNÉRAUX DANGEREUX. 457 dans le dé
mère de soixante trois-ans, tous les deux jouissent d'une assez 460 ' · CLINIQUE MENTALE. bonne santé. D'après eux, p
malade et que ses organes sont en nieilleurétatque ceux du médecin. ' mais Dépression générale, reste la majeure part
° Hérédité névropathique et psychopathique niée. Depuis plusieurs ' Die akliien Geisteskraakheilen der Gewohnlieitslr
exposé à la lumière. Cette expérience constitue une preuve directe. ' 50 La réciproque est vraie : l'absence d'influx
CL4S'. LXXX. L'alcalinité du sang dans les maladies mentales; par ' Robert Pucu. (Tlee Journal of Nental Science. Jan
inaisons périphériques que le tronc et les racines du nerf affecté. ' C- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 487 XVL Sur l'empl
Ces différents cas présentaient les symptômes suivants, relevant ' Opinion ancienne, soutenue naguère par Charcot.
Dans ce travail l'auteur étudie avec sagacité les moyens les plus ' Très Souvent et avec succès ilans nombre de cas,
AVE-CLAY. XXIV. De l'action thérapeutique de la bromipine; par le D' ' DE Ioo[\. (Bull. de la Soc. de méd. ment, de Be
git donc là d'une maladie familiale caractérisée SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 497 cliniquement par l'idiotie et la diplégie c
érébrale infantile et ana- tomiquement par l'atrophie cérébelleuse. ' Scléroses combinées médullaires chez deux paral
téraux et sclérose à topographie tabétique des cordons postérieurs. ' L'examen du névraxe en coupes sériées démontre
et métatarsien des deux gros orteils. Les auteurs ne concluent pas. ' Névrite radiculaire sensitivo-molrice à marche
la jambe gauches. Première apparition Archives, 21 série, t. XVII. ' 32 498 SOCIÉTÉS savantes. de troubles sensiti
très douloureux à la pression, de même que les masses musculaires. ' Poliomyélite de l'adulte et paralysie infantile
La dormeuse de Thenelles. M. Paul Fanez présente au nom de M. le D' ' Charlier (d'Origny- Sainte-Benoîte) une longue
modifier aussi l'entourage ; cela rendrait l'isolement superflu. ' " Le bégaiement graphique. M. BERILLON. Dans l
deux groupes de maladie sont pos- sibles des formes transitoires. ' Bra, voir Arch. cle \'eur., 1902, t. XIV, p, 51.
Bra, voir Arch. cle \'eur., 1902, t. XIV, p, 51. sociétés savantes. ' 505 N.-P. PoTOvsKY ne peut pas reconnaître comm
n cas d'épilepsie de 110aERN11;OP1· (épilepsia parlialis continua). ' [Un malade de 36 ans remarqua il y a un an et d
té foradique un peu diminuée; la sensibilité est sans modification. ' - Sur l'influence thérapeutique du patronage po
iianoff. BIBLIOGRAPHIE. XIV. La démence précoce ; par René ;\1ASS¡ ' ;LO : -l, avec une préf., 1904. Joanin et Cie, é
is débiles ou déments secondaires ou dégénérés à délire polymorphe. ' Un ancien interne de Sérieux, notre collègue Ma
iques peuvent même évoluer en passant par des formes diffé- rentes. ' Ce qui fait l'homogénéité de ces diverses varié
se divisant en 35 hommes et 33 femmes. Ce chiffre est 518 . VARIA. ' faible, mais il est peut-être dû à ce que l'asi
lissements distincts des hôpitaux généraux et des asiles d'aliénés. ' De quelque nom qu'on le désigne, ces hôpitaux n
MM. Cl. Albutt, pour la pre- mière et J.-W. Mott, pour la deuxième. ' La catatonie et la stupeur ont fait l'objet du
du Congrès, médecin-directeur de l'Asile public des aliénés de Pau. ' Nous prions, dès maintenant, les auteurs à ce C
ion actuelle de la colonie de Gheel. In-8° de 16 pages. Mool. 1904. ' Schuster (P.). Die inte1'suclw/1,r¡ nesvenhranh
Amaurose. Voir ldiolie, tactique par Pierre 1\lal'lI' et Léii, 258. ' Amnésie. Voir épilepsie. Amyothopiiils. . 1,C
ques sur le SIII"I"" dans les-. par lienham, 251. - Voir 1nfti : ' misères. Vuir Phtisie. - \omi- nations et pro
ales, par Karpinsky, 149. Babinski. A propos du réflexe de - 236. ' Bégaiement. Le - graphique, par Berillon, 502
OGNI11ON. Voir Anatomie, Colonne vertébrale. Voir l'arlcirt- son. ' Commission DE la Tuberculose. Rap- pot t de l
légale du - de dépossession ou de revendication, par Mabille 411. ' DELIIIIUM TRI : 11EVS. Un cas de au cuurs d'u
lrie, par Char- pentier (A), 118. Lien Russie, par Orlitzky, 499. ' Hystérie. Voir Hypnotisme. Voir Epilepsie. -
mmte. Voir Délire. Mélancolie. Voir Délire. La intermittente, par ' Gilbert-Ballet. 2. De quelques maladies ter-
refois. amsmancestral,nchou- dropiusie ethnique, par Poncet, 168, ' Nanisme. Deux cas rie achondro- plasique chez
491. - radiculaire seu.,ilicu-mo- tricea marche chrouiliue par ' Ur·.jNrme et L : gner, lt. 497. NFVROGL1R. Item
érapie. Deux cas de - i, Sao-I'aulo (Brésil), par Jaguanhe. 3'r5. ' Psychose polynévritique. Voir Cer- veau. Voir
237. - à forme de sclérose en plaques occasionné par unosteo-a ! ' ) ! jro- paihie du coude, par Brissaud et G l'
72. Comu, 153. Coin-mont, 380. Coin tellemout, 258, 418, 49t. ' " Cwv n, 937. Cuwlp, 160, Coynald IdNI, 4 ?
rm 344. Delille, 59, 79. Delitis, 26L - Demeny, 85. l1emolldl\ ' , 345, 499. Uem, 415. IIPI'Cllm, 159, 210. D
3+1. Marie (t'.), î9, 80, 258, 417. Mark, 415. Ma1'llay, 265. ' ilarr,'40 î. \lasoin, 71. Masselon, 433.
avot. 58, Tl, 380. Pawloff, 47. Péhu, 321, 392. Pelletier, 425. ' Perpère, 163. Pewnitzki, 175, 345. Phelps,
336. Wat,on, 377, Weatherlv, 137. Weber, 217. Weill, 327,392. ' We y garnit. 50. Whec]er.46. White, 489.
22 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
COOLISME, HÉRÉDITÉ NERVEUSE, · Leçon recueillie par Georges GUINON, ' Chef de clinique. Sommaire. Progrès réalisés
en de fois n'ai-je pas entendu tenir ce langage par mes collègues ? ' ? Enfin d'autres documents nous montrent qu'en
psie dans Fig. 1. Anesthésie dans le domaine du facial inférieur. ' -10 CLINIQUE NERVEUSE. les deux yeux, sans scot
eçon sur la paralysie hystérique Todd écrivait les lignes suivantes ' : « L'étendue de la paralysie des membres, alor
s lùp., 1890. J Chantemesse. sou. ucérl. cles h(ili., 1890. 16 () ' CLINIQUE NERVEUSE. chez l'homme. Il faisait rem
puis voir chez notre malade qu'un cas d'hystérie « comme un autre; ' » dans lequel étiologiquement, l'alcoolisme non
à leur suite des idées de persécution, associées aux idées ambi- ' Communication faite au Congrès international de m
sont entretenues par des troubles hallucinatoires très intenses, ' Ce sont d'abord des hallucinations de l'ouïe, ce
de ce genre et le dédoublement de la personnalité qui en dé- coule. ' Antérieurement, Lélut (A mulette dePascal) avai
un singe, vêtu en soldat, saute sur le véhicule, puis s'élance à ' Hystérie et traumatisme. Thèse de Paris, 1887.
du soir, attaque convulsive avec arc de cercle, grands mouvements. ' Le 28, à 7 heures, nouvelle attaque, suivie jus
d'anesthésie occupant toute la paroi antérieure de l'abdomen, du ' Nous devons faire remarquer que dans ce premier e
cune douleur. La guérison complète et rapide semble être la règle. ' Pour le professeur Germain Sée, la chorée élect
e, la cause des secousses a été comme chez D... une vive frayeur. ' Dans toutes les observations de chorée électrique
d'au- cune autre cause apparente ? Peut-on, au contraire, ratta- ' cher le développement de la paralysie des quatre
hypnose ont également échoué. Nous avons alors employé la sugges- ' Le professeur Charcot cite des exemples de dispar
disparition subite de pa- raplég-ie ¡\ la suite d'une attaque. 52 ' ANATOMIÉ. ' tion à l'état de veille, ne cessant
subite de pa- raplég-ie ¡\ la suite d'une attaque. 52 ' ANATOMIÉ. ' tion à l'état de veille, ne cessant d'affimer l
ce dernier cas, j'ai choisi comme objet d'observation le cobaye. ' Mais avant de commencer l'expérimentation sur cet
j'ai toujours choisi des cobayes assez gros; j'étendais l'animal e7 ' ANATOMIE. ' sur le ventre, sur une petite table
s choisi des cobayes assez gros; j'étendais l'animal e7 ' ANATOMIE. ' sur le ventre, sur une petite table spéciale, e
r- sale de la moelle épinière, il s'en suit paralysie complète de ' l'extrémité postérieure du côté correspondant. Po
rieure du côté correspondant. Pour appuyer Fig. 11. 56 ,ANATOMIE. ' 1 1 ce fait, on peut rappeler des cas, lorsque
de collodium iodoformé. Aussitôt après l'opération, on a fait des ' E. Homen. - Contribution à la pathologie et il l'
nés, dans les extrémités postérieures, sont égaux des deux côtés. ' En percutant l'os sacré, on remarque que les mouv
e dans le côté gauche, ainsi que l'anesthésie dans le côté droit. ' DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 59 23 avril. - L'état gé
servi de trois réactifs : de l'hélllatoxyline (d'après 60 ANATOMIE. ' · Weigerl), du picrocarminate et du bleu solubl
rtie de fibres était dans le bout postérieur DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. ' ' 61 et elle diminuait peu à peu vers la direct
ie de fibres était dans le bout postérieur DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. ' ' 61 et elle diminuait peu à peu vers la directio
jamais apercevoir la dégénération décrite dernièrement par Gozoers ' dans les cas de dégénération ascendante de la moe
icatrisèrent au moyen d'une cicatrice du tissu conjonctif, dans la- ' cowpers. - On the anlero-laleral ascendinq tract
ésultait une ré- génération d'éléments nerveux dans la cicatrice. ' Hl'OWI1-SÚqnard. Régénération des tissus de la mo
pinière démontra dans la cicatrice des fibres nerveuses dégénérées. ' Bientôt après, Naunyn avec Eichorst' publièrent
rétablis- saient beaucoup plus lentement qu'après un écrasement. ' H. Millier. - Ueber Régénération der Wirbelsoeule
t analomiqne de la moelle épinière. (Diss. irzau,g. Berne 187 : 1.) ' Naunyn unrl Eicliorst. - Ueber Régénération und J
on und J'el'ændel'Imgen im liiclce7l ? ? Iae-ke na el ! st¡'ekweise¡ ' totale/' Ze1'stoel'ltng desselben. (Arch. f. ea
el'ændel'Imgen im liiclce7l ? ? Iae-ke na el ! st¡'ekweise¡' totale/ ' Ze1'stoel'ltng desselben. (Arch. f. eapr.rétti.
e. , Eichorst protesta assez énergiquement contre SchieITerdecker ' Girolamo Piccolo et Santi-Sirena. -Sulle faite de
o ctatbio bbSclumidts Jalihucher. Jahrg. 1878. B1. 177, s. 197. ¡ ' P. Schiefferdecker. Ueber Régénération, Deqenerat
énération, Deqeneration und Archi- leclur des ILÜclcenmarkes. (Vire) ' ). Arch.) Bd. 67. s. ')12. 1876. ' A. Freusberg.
n und Archi- leclur des ILÜclcenmarkes. (Vire)'). Arch.) Bd. 67. s. ' )12. 1876. ' A. Freusberg. /ff/ ! c.r&eu;eyM
leclur des ILÜclcenmarkes. (Vire)'). Arch.) Bd. 67. s. ')12. 1876. ' A. Freusberg. /ff/ ! c.r&eu;eyMHf/g)t beim Il
. }l°ie/te". Akiid. d. IJ11ssen,.cltaften.) Rd. LXXX. s. 310. 1879. ' ' DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 65 qui l'avait blessé
}l°ie/te". Akiid. d. IJ11ssen,.cltaften.) Rd. LXXX. s. 310. 1879. ' ' DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 65 qui l'avait blessé d
les éléments de la moitié opposée non atteinte de la moelle épi- ' W. Kusmine. Experimenlelle unter,<llcll1lngen
est-ce le résultat des conditions naturelles qui ne sont pas les ' P. Fraise. - Die Régénération von Geweben und (ln
quelquefoisle faisseau de raccordement passait même par-dessus la ' Voyez le n° GO, 1). 335; n" 62, p. 183. 70 ANAT
sceau compris ainsi entre deux espaces vàsculaires. C'est dans ce ' Sur deux autres pièces, j'ai eu occasion, depuis
ette hypoihèse, laquelle, du reste, pourra être jugée définitivemen; ' et assez vite par des anato- mistes plus habile
qu'il faut chercher le filet rachidien et dans l'épaisseur du tube¡ ' cinerium quand il n'est pas à découvert. DE L
l'existence de ces fibres motrices chez l'homme. Nerfs olfactifs ( ' ! le : ; les an encéphales. - D'après Pressât,
e que le ruban en question s'élargit et atteint 3 ou 4 millimètres. ' En dedans et en avant, le ruban ainsi constitué
lquefois entre lui et le pilier postérieur de la voûte, au moment ' Au sujet du dénia, je dirai que la lame cornée, l
r antérieur, et par l'autre, dans l'épaisseur de la couche optique. ' La bandelette étant admise avec Vicq d'Azyr et
tre « dans la substance grise de l'uncus. Archives, t. XXII. 6 82 ' ANATOMIE. Au point de vue du caractère olfactif
eter, d'une part, sur l'écorce de la corne d'Ammon et se continuer, ' d'une autre part, au corps bordant. DE L'APPA
édiane, on trouve un échange de faisceaux plus ou moins nombreux. ' Le chiasma ne s'arrête pas là. Dans l'écartemen
probablement dans la formation ammonique) ; on verra que je suis ' Le ténia, qui n'est qu'une portion du ruban péri-
porte de noter que, même en admettant chez l'homme - ce qui n'est ' Plus exactement, les tubercules mamillaires repré
des malades qui font le sujet des observations publiées par le D' ' Blocq, sont des hystériques avérés, porteurs de s
ale peut provoquer des accès convulsifs sur le côté opposé du corps ' ; ces accès débutaient par la con- traction mus
es mo- teurs, probablement situés à la base et dans le bulbe, ca- ' Luciani et Seppilli. Die Functions-Localisation,
urs de l'accès d'épilepsie (pâleur, cyanose, perte de connaissance) ' . Telle était, dès 1878, et telle est encore po
au 3° congrès de phréniatrie de Reggio (1880), sur le même sujet. ' Tout en reconnaissant fondées les critiques de Lu
ment excités peut arrêter les convulsions (Heidenhain, Munk, Novi). ' Deux élèves distingués de Luciani, A. Rovighi e
eau, ni anomalie de déve- loppement, ni asymétrie. L. L., p. 211. ' Rovighi et Santini. Sulle convulsiolli epilettich
de plus en plus frustes à mesure que, descendant l'échelle zoolo- ' Azione di alcune sostanze naedicamentose sull' ec
'épilepsie partielle peut être de nature organique ou fonctionnelle ' . Dans les quatre cas de Seppilli, la cause pro
u'on observe chez les déments paralytiques. De nouvelles observa- ' Seppilli. -L'epilessia corticale. Renâio-Emilia,1
o- trices proprement dites. Dans le premier cas, écrit M. le pro- ' Il. Ventra. Sitl valore semiologico délia epiless
t un rôle important dans la propagation de l'accès épileptique 2. » ' L. Bianchi s'est demandé naguère si tous les pr
Il paraît bien, toutefois, que les lésions pathologiques ou expé- ' Meynert. Psychiatrie. Klimk der Erkrankungen des
cuité de l'ouïe, toujours moindre du côté opposé à laplagiocéphalie ' , était diminuée, alors que celle ' Cf. Silvio V
côté opposé à laplagiocéphalie ', était diminuée, alors que celle ' Cf. Silvio Venturi. Sull'udito degli epileilici.
de l'ouïe était diminuée sur la moitié de la tête hyper- hémiée. ' Zur Frage der experimentellen Epilepsie. Dissert.
des contractions cloniques des muscles de la face, mais point de ' A. Vetter. Ueber die Pathogenese der Epilepsie au
neue- ren Expérimente, Deutsches Arch. f. klin. llled. XL, 17. ° ' Alex. Koranyi und Fr. Tauszk. Breitrsege zur Phys
sont la conséquence d'une lésion plus ou moins étendue des circon- ' volutions de l'aire sensitivo-motrice des auteu
ale ». « On peut sans doute, dit-il, en excitant l'écorce cérébrale, ' provoquer des accès d'épi- lepsie, mais non tou
epsie. » Th. Ziehen, qui a travaillé dans le laboratoire de Munk, ' Cf., sur la nature des auras sensitives, sensorie
ices, Bernez, Epilepsie jacksonnienne. Gaz. des Hôpi- taux, 1888. ' l31uswanger. Gxperi»aeulcllc und lcrilische ! 7M&
ticaux 2. Dans une observation clinique, suivie d'autopsie, Toma- ' Th. Ziehen. Ueber die Kroempfe in Folge elclctr·i
en Brisgau, juin 1888.) Arch. f. Psych. u. Ncooerrlcranklt, 1890. ' Unverricht Ueber tonische und klonische lIluslcel
ticipaient que peu ou point du tout aux convulsions épileptiques 1. ' Seppilli demande comment, dans l'hypothèse anci
on des accès. Donc, au point de vue clinique aussi, la zone exci- ' B. Tomaschewski. Zur Frage ùber die Betheilung de
umeur cérébrale; par OPPENHEIm et Remak. (Neurol. Centralbl., 1889.) ' M. Oppenheim diagnostique une tumeur cérébrale
rée minime de quelques secondes, que les auras fugitives iso- lées. ' * L'observation avec autopsie de Roller confirme
cas précédents, il y avait quatre exemples de lésions médullaires. ' P. K. ) , XIX. Contribution A L.t ' T11ÉORIE
les de lésions médullaires. ' P. K. ) , XIX. Contribution A L.t ' T11ÉORIE 'de l'entrecroisement DES fibres nerve
névrite disséminée et sur les progrès de la chirurgie du cerveau. ' Cette séance a inauguré l'ère d'activité de la no
us les mois, il huis-clos (il l'exception des séances annuelles). ' La déciatine vaut 1,092 hectares. SOCIÉTÉS SAVA
ment du courant de batterie par celui d'une machine dynamique. Le D' ' Repmann estime que le nombre invariable des vol
ontré en invoquant les expériences de Luchsinger comment, malgré la ' contracture vasculaire, les glandes sudorales p
iter. M. AMER. Le traitement au lit a un autre avantage, celui de ' montrer aux infirmiers qu'il s'agit de malades. -
n organique du coeur, etc... sont-elles des contre-indications ? `7 ' M. Tokarski a répondu que ces conditions doiven
tes, qui se tient cette année à Lyon. Chaque année a lieu un Cou- ' l ? 1 , , ? FAITS DIVERS. d57 grès de ce genr
de. Volume m-8" de 108 pages. Lille, 1890, imprimerie Liégeois-Six. ' KRAUSS (\V : C.). Jliisez4lai-atrophics : A cli
DE LA MOELLE, D'ORIGINE TRAUMATIQUE SIMULANT LA SYRIN- GOMYÉLIE. ' LEÇON DE M. LE PROFESSEUR C1L11tCOT 1 Recueil
ncée. Ces cas difficiles, auxquels je fais allusion, 1 5, mai 1891. ' Archives, t. XXII. 11 162 CLINIQUE NERVEUSE.
il se fait accidentellement à la partie in- - terne de l'avant-bras, ' toujours du côté droit, il cons- tate avec éton
se faire comme 1 Transaction of th. path. Soc. of London. XXXIX. ' Thèse de Paris. 1890, p. 188. ' P. 181. CAS D
th. path. Soc. of London. XXXIX. ' Thèse de Paris. 1890, p. 188. ' P. 181. CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE D
e qui est -particulièrement fréquent dans lacompression spinale'. ' Charcot. Leçons sur les Mal. du syst. nerveux, t.
omyélie, et qu'il peut se montrer en diverses circonstances. Con- ' Dans un cas de lèpre anesthésique par places la s
t perd beaucoup de sang. On le transporte de- suite à l'infirmerie. ' TRAUMATISME AVEC PERFORATION DU CRANE. Il -11)
tion ne s'impose encore par aucun signe sérieux également pressant. ' Le pus sort suffisamment par la plaie; l'introd
circonvolution crêtée ou seconde circonvolution frontale interne. - ' ), première circonvolution frontale interne. G, sc
terne. G, scissure perpendiculaire interne. - 7, scissure calcanne. ' 184 CLINIQUE NERVEUSE. et très intimes à la f
sthésie prononcée. Les organes pelviens sont dans un état normal. ' 14. Aux phénomènes observés la veille s'est ajout
rêterai sur l'expérimentation correspondante et sur son résultat. ' OBSERVATION VIf. 23 décembre 1885. - Cobaye femel
mouvements de la jambe droite. La sensibilité est annulée dans 200 ' ANATOMIE. l'extrémité droite postérieure et un
plaie de la moelle sont très enflés. La plaie est pansée (fig. 28). ' Aussitôt après l'opération, le cobaye se trouve
iennent de la moelle épinière se rendant au cerveau et celles qui ' Voyez le n° fi0, p. 335; n° 62, p. 183; n° 61, p.
s qui ' Voyez le n° fi0, p. 335; n° 62, p. 183; n° 61, p. 69. 204 ' ANATOMIE. viennent du cerveau pour aller à la m
dont je ne pus la détacher qu'en rompant des adhérences intimes. ' Au lieu de comprendre dans l'arc direct ces derni
faire un simple raccordement entre le carrefour et l'arc cérébral. ' 908 ' . ANATOMIE. ' En résumé, l'arc direct e
n simple raccordement entre le carrefour et l'arc cérébral. ' 908 ' . ANATOMIE. ' En résumé, l'arc direct est const
ement entre le carrefour et l'arc cérébral. ' 908 ' . ANATOMIE. ' En résumé, l'arc direct est constitué : 1° par la
s de Lancisi, d'une part; et avec les piliers antérieurs du trigone, ' d'une autre part. L'existence de l'arc direct e
une et l'autre, mais principalement sur le lobe du corps calleux. » ' ' Piliers antérieurs. Huguenin : « Cette partie
e et l'autre, mais principalement sur le lobe du corps calleux. » ' ' Piliers antérieurs. Huguenin : « Cette partie a
issurants du conarium mettent-ils aussi d'au-; Archives, t. XXII. 1 ' ¡. 210 . 1 anatomie. tres centres sensitifs en
actes nombreux qui se passent dans le cerveau d'un chien en chasse. ' L'homme que Broca classe dans les anosmatiques,
pas abuser de ce qu'il peut y avoir de vrai dans le dicton 216 ." ' ANATOMIE. populaire - d'après lequel un homme e
ntiennent, paraît-il, le fond du livre de la sagesse des nations. ' 1 Je n'irai pas, non plus, jusqu'à dire avec J.-J
t un étranger ou un Indien qui passe à une certaine distance d'eux. ' , - Enfin, quand d'autres sens n'existent pas,
tical sont évidemment là pour idéaliser la perception matérielle. ' Mais, toutes les dissertations sur un sujet quelc
AlI : DICO-LI : G.1L ; par ASCHER. (Centrant, f. Nel'venh.; 1889.) ' Revue des opinions de la Dlcdico-légal Society
fameux, comme criminel, qu'il est devenu illustre comme conquérant. ' L'auteur arrive à cette double conclusion : 1°
iable à partir de la trentième année. Cela peut être dû, d'ailleurs, ' à ce que les malades qui présentent des impulsi
tant d'une des plus vieilles, des plus riches familles nobles du pays, ' qui fut jugé il y a quelques années pour commer
- ce qui concerne la psychose première, 'ni contre les symptômes ' dus à l'abus de la morphine ; au contraire, effet
; par le D1' Celso SIGIMCELL1. (Il manicomio, 1890, fasc. 1 et 2.) ' La préparation employée fut l'iodhydrate en sol
es inconvénients. Ne vousen servez pas, pienez plutôt l'hyoscine, ' . P K. XI. DE l'action DE l'hyoscine chez LES a
dosage exact, sûr, commode), chez 18 malades : analyse physiolo- ' gique complète. Telle est la prostration des mala
ongrès, dont la lourde tâche est enfin couronnée de succès. M. le 1) ' Bouchereau remercie la ville de Lyon de son hospi
les vingt-deux observa- tions qu'il donne la fin de son rapport. ' Voir aussi sur le même sujet : SOLLIEH : Du rôle
. Magnan exprime son étonnement relativement à l'affirmation de '1\[ ' Pierret concernant des cas de paralysie générale
nt de la malade rien n'ait pu faire prévoir une paralysie générale. ' Archives, t. XXII. IG () 242 SOCIÉTÉS SAVANTE
rale. ' Archives, t. XXII. IG () 242 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. le D' ' Ballet demande la parole pour faire observer que
ui a trait aux rapports de la syphilis et de la paralysie générale. ' En attendant des documents statistiques suffisa
eprend les conclusions des rapports de MM. Coutagne et Charpentier. ' M. Giraud prend la parole pour appeler l'attent
sécuteur tel qu'on n'hésite plus à le reconnaitre de nos jours. » ' Séance du 4 août 1891, soir. - Présidence DE M. L
, pour remplacer la loi du 30 juin 1848, devenue le delenda Car- , ' Voir : Bourneville. - Rapport sur la création de
ns, si touchante dans ses manifestations, et tenir grand compte des ' Personnellement, depuis 1876 ou 1879, nous avons
sure que le traitement a été plus complet. 250 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' On se trouvait, comme dans beaucoup d'asiles, dan
raissant donner garantie nouvelle aux malades, on les res- treint'. ' Au point de vue médical, par ce système, l'alié
curabilité des aliénés. Il ressort des rapports des inspecteurs la ' Voir noire rapport sur le projet de budget de l'a
, deux observations recueillies à l'asile d'aliénés de Montpellier. ' M. CULLERRE envoie un mémoire sur un effet para
fance. Fillette de quinze ans présentant les symp- tômes suivants : ' atrophie bilatérale du nerf optique, immobilité
oteur commun séparé du centre par un processus dégénératif. 270 O ' SOCIÉTÉS SAVANTES. M. SPERLING. - Cas insolite
i qu'une paralysie du trijumeau du même côté (branches sensitives ' toutes); la muqueuse buccale et les fibres gustat
des thromboses de l'artère basilaire. Delà la forme apopleclique. ' M. Goldscheider. D'un rapport qui existe entre la
rement à ce que pensait Westphal, succéder à une mélancolie pure. ? ' Voici maintenant. une malade actuellement en co
eil de projection. , SESSION DE LEUBUS. Séance du : 15 juin 1890. ' M. KaOEpELM. De la catalepsie. Il s'agit d'alié
epsie, quand il existe encore une activité psy- chique considérable ' (folie systématique, paralysie générale, hys- té
rs de la fièvre : psychoses asthéniques, mélancoliques ou maniaques; ' mais les formes mélancoliques prédominent. La
mptômes graves, une évolution prolongée, un pronostic douteux. , ", ' On a également mis sur le compte de l'influenza
ns, rattaché à la grippe, c'est une pseudo-psychose de l'intluenza. ' 1 Evidemment, l'influenza distille uri poison d
encore indéterminée ; celle-ci est engendrée par la 1 l l '. J 1 ' Voy ? cA : M3 de Neurologie, XIX, congrès. Les au
ère des enfants : de gais ils sont devenus tristes et irritables. ' La recherche des antécédents héréditaires a été s
ont ceux de la tête et du cou, mais ce n'est guère que vers le qua- ' trième mois que les mouvements de la tête et des
t (Oise), à partir du 1er juillet 1891 ; à la lro classé : M. le. D' ' Jules SIZARFT, médecin-adjoint de l'asile publi
et.) Sont promus à partir du 1er juillet, à la Ire classe : M. le D' ' Vallon, médecin en chef de l'asile public de Vi
PIERREFEU. - « Dans la séance du 20 août du conseil général du Var, ' M. MICHEL demandeque lebudgetde l'asile soit lu
t rédigées par le D' P. POnTALIEn.) Volume in-8° de421 pages. - Paris, ' 1891. - Librairie G. Masson. FRANCOTTE (X.).
écouverte du sucre dans l'urine est venue réformer le diagnostic. ' Bouchard. De a po'e M )'e'/ ? M;M )'o<t;e ! M
nçaise pour l'avancement des sciences. Congrès de Blois, 188 r. ) ' Rosenstein. Weber das Verlcalten des À''tt'ep/t&l
du réflexe rotulien dans le diabète sucré. (Rev. de méd., 1880.) ' 1\,1YIlIOIlII et Oulmont, - Douleurs fulgurantes
dont l'urine avait ren- fermé du sucre d'une manière temporaire. ' Smith. - (Brit. met. io, 1/1' ! 1. 7 avril 1883.)
coslt/'ie (J'Î ! 'chow's .9rclt., XXIX DI ? 1885, p. 2( ! ) . 308 ' ' CLINIQUE NERVEUSE. On avait donc, avant Oppen
slt/'ie (J'Î ! 'chow's .9rclt., XXIX DI ? 1885, p. 2( ! ) . 308 ' ' CLINIQUE NERVEUSE. On avait donc, avant Oppenhe
étique. (Archiv. de Neurol., t. XIX, p. 305, 1890.) . - .. 4 310 , ' . CLINIQUE NERVEUSE. placer ud second. Dans cel
eret et Fleury, Savage, de los Santos, Leroux, etc., etc.. Jordao ' a vu un père épileptique engendrer un fils épil
diabète sucré. Seegen a observé que chez les ascendants de diabé- ' Jordao. Considér. sur un cas de diabète sucré. Th
lis entre le diabète et le goitre exophthalmique (Dumont- pallier ' , Panas=, Pavy, etc.), sans oublier que la gly-
du diabète, ainsi que l'a démontré M. Grenier 4. Nous pouvons du ' Dumontpallier. -Goitre exophthalmique et glycosur
llier. -Goitre exophthalmique et glycosurie. (Soc. de Biol., 1867.) ' , . ' Panas. - Arclaiv. d'ophthalm., 1881. '
Goitre exophthalmique et glycosurie. (Soc. de Biol., 1867.) ' , . ' Panas. - Arclaiv. d'ophthalm., 1881. ' Boucharr
. de Biol., 1867.) ' , . ' Panas. - Arclaiv. d'ophthalm., 1881. ' Boucharrl. - Maladies par ralentissement de la nu
Maladies par ralentissement de la nutrition. Paris, 1882, p. 182. ' Grenier. - Diabète et hystérie. (Archiv. génér. d
au complet dans l'article Persécution (délire de) du Dictionnaire ' Ann. ? aéd. psychol" 1887, VI, p. 302. 326 CLIN
rie 2. En 1860, il formula son idée plus nettement : le délire de ' Dans son article sur les persécutés génitaux à id
de persécution systématisés, dont il décrit plusieurs variétés 3. ' Leçons cliniques sur les maladies mentales, Paris
ni à l' hypochondriaque, ni à aucun de nos autres types morbides. ' 1890, YII, n°' 2 et 3 (sept. et nov.). ..J 33
2. » Aussi n'ai-je jamais vu de persécuté qui ne proteste que sa ' .1'ai longuement insisté sur ce point dans mon Ét
sté sur ce point dans mon Étude sur la mélan- colie, Paris, 1876. ' Goc. cit., n° 60, p. 19. DES IDÉES DE GRANDEUR
ersonne D, et finalement qu'il est prince, héritier du trône, etc.. ' . C'est là une théorie inspirée des doctrines d
s lien apparent avec nos préoccupations actuelles, idée qui s'im- ' J'ai développé ces idées dans la discussion qui a
me vague d'orgueil, d'infatuation, de haute idée de soi- même ; . ' Ma¡¡nan, loc. cit., p. 2ti6 et suivantes. DES I
rale, ramollissement du cerveau, etc.) : j'en ai rencontré des cas. ' (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE IIEMIATROPHIE F
ie Spinal-Irritation, 1840. a Klinische Ergebnisse., 1846-1851. ' Studien über die halbseitigen Atrophiez, etc. (rh
nous n'en n'avons pas d'autres qui soient confirmées par l'autopsie ' ; toutefois on trouve dans la littérature quelq
é prise de maux de tète, de vertige, et il s'ensuivit une attaque ' Deux cas avec autopsies apportés par Pissling et
articipation de ce nerf soit moins évi- Archives, t. XXII. 23 354 ' CLINIQUE NERVEUSE. dente, le tableau clinique e
ns excepter même l'irritation violente par le courant interrompu. - ' Ce qui, dans notre cas, contribue éminemment à
er. Ein Fait von halbseitiger Gesichtsatrophie. (Wiener med. Blatte¡ ' , 1885, no 1.) BOREL. - Contribution à l'étude d
1. CAIIEN. - Ein Full. von Hemiatrophia facial. progress. T'erhandl, ' des med. Yereins in Gl'eifowald, 1888-1889. R
8-1889. RuHEMANN. - Bezichungen des Trigeminus zur Gesichtsa.hophie, ' Centralb. f. Klin, Déclic., 1889, n° 1. RONA.
f. Nervenheilkunde, 1889, n° 10. 11ALT. - Le Progrès médical, 1889. ' BLUME.\AU. Cas d'atrophie faciale unilatérale.
n haut, les pupilles fortement dilatées, la respi- ration bruyante. ' . Une troisième période épileptoïde survient ma
trophie musculaire de la main droite.» 0 Envoyé en cellule. 372 " ' RECUEIL DE FAITS. 10 août. - Tranquille depuis
oir. 1888. - 2%. mars. - Réintégré le 21 mars. A été arrêté vendant ' un journal boulangiste et annonçant de fausses
se levait la nuit, traversait une pièce, allait dans la chambre de ' Jean Wier. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉR
relative avoir échappé à l'attention de quelques auteurs récents. ' Enfin, à propos de ces deux nouveaux cas d'hystér
nne avec les persels de fer une coloration rouge caractéristique. ' On obtient la même réaction d'après RITSERT en su
aussi peu efficace que celle du chloral dans les mêmes conditions. ' Otto a expérimenté le sulfonal comme calmant, d
rison en quelques semaines. P. K. XXXVI. Barbes du CALAMUS (Stria, ' acusticæ) ET partie inférieure du ruban DE REIL
Dr PEETERS. (Bztll. de la Soc. de méd. ment, de Belgiqtie, 18J0.)" ' ' ? ,. ' Il résulte de cette statistique qu'il
r PEETERS. (Bztll. de la Soc. de méd. ment, de Belgiqtie, 18J0.)" ' ' ? ,. ' Il résulte de cette statistique qu'il a
RS. (Bztll. de la Soc. de méd. ment, de Belgiqtie, 18J0.)" ' ' ? ,. ' Il résulte de cette statistique qu'il a été adm
des paralytiques est de 12 p. 100, pour les femmes de 4 p. 100." . ' En divisant la période de trente ans comprise d
e un rapport de causalité entre le mariage et la folie paralytique. ' G. D. Il. Syphilis ET paralysie générale; par l
avoir si, oui ou non, les paralytiques généraux ont eu la syphilis. ' ,l Il est probable que des statistiques bien fa
névralgie tenace : l'union fréquente REVUE *DE PATHOLOGIE MENTALE. ' 405 de l'ataxie locomotrice et de la paralysie
nées nouvelles en étudiant la para- lysie générale chez les Arabes. ' Du le, janvier 1860 au 31 décembre 1889, sur 49
hez les Arabes et. elle revêt surtout la forme maniaque; .i ,. ; , , ' 2° Bile ne parait pas antérieure à 1877; . ( '.
souvent des travaux intellectuels excessifs, du surmenage, fournis- ' sent à la paralysie générale son plus fort contin
trouvons-nous parmi les autres causes de la para- lysie générale ? ' ! Les excès vénériens. Cette opinion, qui est c
ions de goitres. P. K. XII. DE la FOLIE systématique {VerrùcUtheil) ' , mélancolique; par H. SCHLOESS. {Jahrbuech, f.
halite interstitielle diffuse terminée par de l'atrophie cérébrale. ' P. K. XVIII. QUELQUES MOTS sur l'association DE
bien des individus 1 Voy. Archives de Neurologie, t. XX, p. 118. ' Id., t. XX, p. 73. ' /d., Revues analytiques.
Voy. Archives de Neurologie, t. XX, p. 118. ' Id., t. XX, p. 73. ' /d., Revues analytiques. ` ld., lof. .. 1 \ S
ura lieu, en juin 1891. (Allg. Zeilsch. f. Psych., XLVIII, t, 2.) . ' , y P. KERAVAL. " ..u ? 1 , .1 SOCIÉTÉ PSYCHIA
odroné du même côté réduit de moitié contient peu de , . r . J .. ' Voyez Archives de Neurologie. Séance de décembre
s de 80 p. 100, on n'observa rien de spécial; pas d'amélioration. ' Somme toute, l'amylène n'exerça d'action spéciale
paratifs faits en vue du Congrès International de Berlin. Grâce à ' Voy. Archives de Neurologie, séances de juin 1889
démence, qui guérit à la suite d'une néphror- rhagie traumatique. , ' Discussion. M. NEUE : -IDORFF (de Bernbourg). C
a hospitalisé 1,185 aliénés; on a dû enregistrer quatre, suicides. ' , ,. -. ) Or, le § 222 du Code pénal allemand d
eux en individus plus valides; la santé générale n'a qu'à y gagner. ' -' - ' ' M. OTTO (de Dalldorf). De la Microgyri
en individus plus valides; la santé générale n'a qu'à y gagner. ' - ' - ' ' M. OTTO (de Dalldorf). De la Microgyrie (
individus plus valides; la santé générale n'a qu'à y gagner. ' -' - ' ' M. OTTO (de Dalldorf). De la Microgyrie (avec
dividus plus valides; la santé générale n'a qu'à y gagner. ' -' - ' ' M. OTTO (de Dalldorf). De la Microgyrie (avec p
ns organiques du système nerveux. Voy. Neurol. Centralbl., 18906. ' Voy. Archives de Neuroloqie. Séance de mai 1890.
ralbl., 18906. ' Voy. Archives de Neuroloqie. Séance de mai 1890. ' Id., Revues analytiques. ' Id., id. 4 ld., id
ves de Neuroloqie. Séance de mai 1890. ' Id., Revues analytiques. ' Id., id. 4 ld., id. ° Id., id. ' Id., id.
' Id., Revues analytiques. ' Id., id. 4 ld., id. ° Id., id. ' Id., id. sociétés savantes. 425 Séance du 10
culaire des paupières). Mémoire publié dans les Arch. f. Psychiat. ' Voy. le rapport de M. Bourneville au Conseil supé
pèce divers arrêts de formation, notamment aux mains et aux doigts. ' M. Lei-,4. Un cas médico-légal d'abus de la coc
s. ORGANISATION DES ASILES LA RÉORGANISATION DU SERVICE MÉDICAL ' . DANS LES ASILES D'ALIÉNÉS; ' , .. 11 Par le
LA RÉORGANISATION DU SERVICE MÉDICAL ' . DANS LES ASILES D'ALIÉNÉS; ' , .. 11 Par le D' MARANDON DE DIONTYEL. ' 1
S LES ASILES D'ALIÉNÉS; ' , .. 11 Par le D' MARANDON DE DIONTYEL. ' 1 A propos de la diminution progressive du no
la loi sénatoriale sur les aliénés. Le médecin lyonnais a attribué ' ce fâcheux résultat sur lequel il appelait l'atte
e que' je n'ai point hésité dans mon mémoire sur la loi sénatoriale ' 1 sup- plier la Chambre d'être plus démocratiqu
dies incidentes. Un service d'aliénés ne devrait comporterau maxi- ' ' Annales d'Ilyqiène pratique et de Médecine léga
ies incidentes. Un service d'aliénés ne devrait comporterau maxi- ' ' Annales d'Ilyqiène pratique et de Médecine légale
outes les difficultés et à toutes les complications que M. Chambard ' a déjà signalées. Cette solution aurait en outre
ses prérogatives, aimant assez à exercer son autorité; quand même ' Annales médico-psychologiques, 1889. 430 ORGANI
ouffrons. Tous, en effet, m'opposent la situation actuelle dans les ' Nous laissons de côté pour le moment les remarque
aire au sujet de la réunion des fonctions de médecin-direc- teur. ' * Rapport sur l'organisation du personnel médical
rganisation du personnel médical et administratif, 1882.. z 436 . ' ORGANISATION DES ASILES. · 1 asiles où les serv
sident, Bail, l.unier, Foville, Pilon et Bourneville rapporteur : ' » Tous ont reconnu la nécessité de placer les asi
même n'aurait pas parlé avec plus d'assurance des événements 438 ' . ORGANISATION DES ASILES. ' ' futurs, mais voy
ec plus d'assurance des événements 438 ' . ORGANISATION DES ASILES. ' ' futurs, mais voyez comme les temps sont mauva
plus d'assurance des événements 438 ' . ORGANISATION DES ASILES. ' ' futurs, mais voyez comme les temps sont mauvais
amélioration à réaliser. C'est en réfléchissant sur les moyens pra- ' tiques d'y arriver que je me suis mieux rendu com
sité de relever l'enseignement de la médecine mentale à Paris, et ' d'avoir dans les asiles un personnel instruit et
RAPHIE Y. Etudes de psychologie expérimentale; par Alfred BmET. - ' .. -. (0. Doin, Paris, 1888.) . L'auteur a réun
métrique, mais par un agrandissement des caractères graphiques. .. ' -, Paul BLOCQ. XI. Les aliénés criminels; par l
Un procès-verbal d'enquête sérieux rédigé après enquête per- VARIA. ' 449 sonnelle par le maire de la commune ou le c
de l'obsession et de l'ivresse. Le blessé est à l'hôpital Necker. - ' t , FAITS DIVERS. 253 Du juge criminel. A la
z les -, par Roger, 261 ; osteo- malacie chez les ? par Wagner, ' 't08 ; - curatelle des - et procé- dure de l'in
obsédantes, par Séglas, 266. Noyaux arciformes, par Jelgersma, ' 126. OCULO-teTBUR commun, nouveau groupe cell
ques et les religieux, par Bouchaud 406; - aiué, par Zacher, 416. ' Peau, excitation trophique de la par le coura
azidine, expériences sur le chlorhydrate de -, par Peretti, 417. " ' l'OLIEECCI'IfAl.Orl1'(iLl1'E progressive, par
Erlenmeyer, 125. Eulenburg, 272. Fauser, 412. Flechaig, 132. ' · Frankl-Hochewait, 409. Friedmann, 132. Fr
Gerlach, 230. Goldscheidel', 275. Gosselet, 291. Guimbail, 413. ' Guinon, 1, 305. Hadden, 288. Hale-White, 39
. Roscioli, 227. RosenuaCh. 125, 127. Rossolimo,52, 129, 137, ' 138, 148, 189. liotli, 138. Roubinovitcli, 15
23 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ARCHIVES DE ' NEUROLOGIE RV11RUS, IMPRIMERIE DE CIlARLES He
rticu- lières, indépendantes de la volonté de l'auteur. D.. 4 2 ' PATHOLOGIE MENTALE. ' Cependant les années s'éc
dantes de la volonté de l'auteur. D.. 4 2 ' PATHOLOGIE MENTALE. ' Cependant les années s'écoulent. L'occasion s'est
sure que la catalepsie l'emporte, le champ de la pensée se rétrécit, ' son jeu devient moins facile. De plus en plus,
n trouve que les membres supérieurs du côté opposé à l'hémiplégie ' ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HEMIPLEGIQUES. 33 ont
fatigant, et sentant ses forces diminuer, il croit devoir recourir, ' à titre de stimulant, à l'usage de boissons spi
tre suivant : La micro- céplaalie au point de vue de l'atavisme*. ' Genève, 1867. In-4" de 210 pages et 26 planches n
voir ses amis.Peut-être était-il un pou soucieux depuis deux jours ( ' ? ). Le matin, il avait remis son porte-monnaie
eu injectées; le larynx^ n'offre ni ecchymose, ni fracture. Le coeu) ' pèse 3.'i0 gr.; pas d'ec- chymoses péi-icardiqu
ambe saine. OusERvmoN. Hémiplégie droite <<'cf<me71'o)'ee;) ' )'n<(t<Mtt périphérique et cltoc sur la ja
énéralise aux deux membres inférieurs et au membre supérieur droit. ' La trépidation du pied et l'exagération du réfl
recherches patientes, long- temps répétées, et souvent contrôlées. ' Or, lorsqu'on interroge les faits on y cherche
, mais ne put y parvenir. En janvier 1889, elle alla consulter le D' ' Walser, qui me l'adressa. Voici le résultat de
re inscrite d'urgence à l'une des séances. Deux éminents aliénistes ' ont été invités par la commission parlementaire
inels aliénés, qu'ils soient en congé ou renvoyés définitive- ment. ' Il demande que la commission se compose de juri
urs, ne se ren- dent que trop tardivement à l'évidence de la folie. ' M. L.EHR comprend d'autant mieux la mise à exéc
à ses débuts, en prévision de cette manifestation si re- doutable. ' Cn.F. FAITS DIVERS Asiles d'aliénés DE VAUCLU
it de l'Union médicale. Paris, fdjrairie Doin, 8, place de l'Odéon. ' Westpiial. Zur localisation fier hemianopsie un
ste portant sur l'état de leurs facultés morales et intellectuelles, ' et présentant déjà une forme négative évidente.
dies ignobles, quelques-uns croient avoir la syphilis , et Fodéré ' avait déjà remarqué la connexion de cette der-
êmes et de leur organisation assez robuste pour supporter tant de ' maux; ils s'en prennent aux influences extérieure
agitation inquiète rend incapables de recueille- ment et de prière. ' Ce ne serait pas assez d'une rapide description
les différences et les contrastes qu'il présente avec le persécuté, ' que. je cher- che à dépeindre le négateur. '' s
vec le persécuté,' que. je cher- che à dépeindre le négateur. '' si ' "' '' "' ' 1 J'ai déjà commencé ce paranèle'en'
le persécuté,' que. je cher- che à dépeindre le négateur. '' si ' " ' '' "' ' 1 J'ai déjà commencé ce paranèle'en'mar
rsécuté,' que. je cher- che à dépeindre le négateur. '' si ' "' '' " ' ' 1 J'ai déjà commencé ce paranèle'en'marquant
écuté,' que. je cher- che à dépeindre le négateur. '' si ' "' '' "' ' 1 J'ai déjà commencé ce paranèle'en'marquant la
de ruine et de culpabilité, des phéno- ? n Li v 1 911 ''1rn n · . tf ' r ' menés nouveaux qui mentent de fixer 1 atten
ruine et de culpabilité, des phéno- ? n Li v 1 911 ''1rn n · . tf ' r ' menés nouveaux qui mentent de fixer 1 attention
leurs caractères spéciaux : ce sont les halluci- nations. "L "" "a ' 1 Ces hallucinations sont fréquentes surtout da
malades à En général,, les hallucinations, chez les malades à a . ' Il 1.111, . 1 1. le . idées de culpabilité, app
e aperçoit presque constamment à ses pieds la cordé qui doit ser- ' ' ' t'$r u ., 1 ? , Il i -)t) ? vir à I étrangl
aperçoit presque constamment à ses pieds la cordé qui doit ser- ' ' ' t'$r u ., 1 ? , Il i -)t) ? vir à I étrangler
erçoit presque constamment à ses pieds la cordé qui doit ser- ' ' ' t'$r u ., 1 ? , Il i -)t) ? vir à I étrangler e
iographie française, on trouve certaines indications. Chez Esquirol ' , ces indications sont très générales. Guislain2
leurs anomalies peuvent être cause de la folie chez la femme, sans, ' toutefois, aborder, comme les précédents auteur
r. Seelenkrankeitcn, 1866. u Leidesdorf. Pathologie und Thérapie de; ' psychischen Krankcilen, 1873. » Sclilager. Ze
ur Zeit der Menstruation. 9 Rippitig. Die Geistes-Stoerungen </e) ' Sclawangererz, Woechitei,i ? aiten uiidSoeugeie
PATHOLOGIE MENTALE. plusieurs autres sont du même avis. Emminghaus ' , remarque brièvement que les anomalies de la me
ure de 86 p. 100. En même temps, il note som- Il. Fuke. .1(arzual o/ ' psychological medicine, 1862. - .L-C. Skene. Ra
e ! indication sur la méthode des recherches, j'ai fait les miennes, ' comme' dans. mon précédent travail, d'après le
s la fréquence même et dans le rôle important des organes affectés. ' En terminant mon travail, je remercie M. le pro
sa thèse, d'une période mélanco- lique. Or, tandis que les malades ' n'apprécient point leur exaltation cérébrale, d
1880, p. 305. , Alpii. Robcrt. - Bull. Soc. anat., 1878, p. 512. ' A Report on the Conyî,ess Muséum, p. 20. LÉSION
formations do l'épaule et du genou gauches. 206 RECUEIL DE FAITS. ' irrégulier, lisse et dur, comme éburné. L'extré
elques fractures du bassin. (Progrès médical, 1880, p. 3.) , 1208 ' RKCUEIL DE FAITS. chanter n'est plus représenté
e- ment poreuse, mais il n'y a pas de destruc- tion de cartilage. ' 6° Genou gauche. (Fig. 9). A. Fémur. L'extrém
et destinée à recevoir l'extrémité supérieure déformée du tibia. ' B. Tibia (Fig. 10). La surface articulaire des
un aspect poreux tout spécial, indiquant une raréfaction de l'os. ' B. Fémur (Fig. 12 La moitié inférieure de la tê
Fémur droit, usure de la moitié inférieure de la tète. 212 - ' RECUEIL DE FAITS. ' - La partie antérieure' du
e de la moitié inférieure de la tète. 212 - ' RECUEIL DE FAITS. ' - La partie antérieure' du col est dépolie et o
iy. 15. - Fracture de l'humé- rus gauche. 214 RECUEIL DE FAITS. ' Le tibia a étéfracturé plus de dix centimètres au
ère, du côté de la fosse iliaque avec laquelle elle se confond. · ' B. -Fémur. La tête et le col ont complètement dis
cotyloïde, disparition de la tète fémorale. . 1 RECUEIL DE FAITS. ' ' gieux. 11 n'existe plus de trace de cartilage
tyloïde, disparition de la tète fémorale. . 1 RECUEIL DE FAITS. ' ' gieux. 11 n'existe plus de trace de cartilage a
rtie du corps inférieure, du fémur et reproduites expérimentalement ' ; mais elle en diffère seulement parce que le t
ve du cerveau, GUÉRISON; par William Wood. (77te american Journal o/ ' the médical Sciences, juillet 1881, p. 168.) .
te de soude dans les mêmes circonstances que le sulfate de quinine. ' (Cu. I.) 222 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Le
U directes des ventricules cérébraux (2e partie Sympto- matologie ' ) ; par Edward Sanders. (77te American Journal of
ésumé; l'auteur examine, successivement les questions suivantes : ' Quelle idée doit-on se former des aliénés ? - A q
érale; par SCHÜLE. (Allgemeine Zeitschrifl sur .Ps ? /e ! /ta< ? ' /e ; Bulletin de la So- ciété de médecine mental
ainsi en est- il de la mysophobie de Hammond avec ses trois stades ' à laquelle l'auteur ajoute deux observations. V
évident entre l'exanthème et la psychose, à l'exemple de Kroepelin ' , mais c'est précisément l'affection cutanée qui
N. D. R,) sociétés savantes. 37 7 Souscription pour un buste du D' ' Marchant. - La Société décide qu'une souscripti
nts qu'il vient de recevoir sur l'agression dont a été victime le D' ' Orange, méde- cin de l'asile de Broadmoor : a C
s en accusation qui, cette fois, rendra une ordonnance de non-lieu. ' M. Lunier connaît un idiot qui attend depuis tr
ar le fait de. leur état intellectuel. 2 le le sociétés savantes. ' M. BILLOD passe ensuite en revue les modificati
relative à l'indépendance des lésions des cordons postérieurs et du ' On en trouvera le résumé aux Remues analytiques.
ce-président : Dr Gauster, Tré- sorier : D' Holler; Secrétaires : D* ' Fritsch et Hollaender. Membres du conseil' d'ad
ient été atteints de phénomènes prononcés de vertige avec surdité, ' des lésions du labyrinthe et surtout.des ca- na
outes. Souvent, l'accès de ver- tige'passe comme un éclair; souvent, ' il apparaît à de longs intervalles, pendant les
e délire de culpa- bilité et le délire des persécutions. Première ' catégorie. Observation I. NI ? E..., âgée de ci
es journées entières à gémir et à implorer la Vierge et les saints. ' Paroxysmes d'agitation très intenses avec tenta
elle n'est ni morte ni vivante, elle est une personne surnaturelle, ' sa place n'est ni parmi les vivants, ni parmi les
famille, ayant toujours mené une existence régulière et laborieuse, ' n'a fait d'autres excès, dit-on, que des excès
on X. «1-0 G..., âgée de quarante-deux ans, mariée, mère de famille, ' eu il y a plusieurs années de vio- lentes attaq
stupidité, 4843. La théorie de l'automatisme ianîi. znéd.-psycle., ' )8oC). Note sur le délire hypochondriaque {Acadé
mi3.iULT. Annales ? KedtCO-psyc/t0o ? y : fes, 8o2, t. IV, p. 1 46. ' Petit. Archives cliniques, p. 59. Miciiéa. Du d
les qui les entourent. Hallucinations de la vue assez fréquentes. ' Hypocllondrle pliy sillue cunsécu- tive. Lesm
surveillantes, les suppliant de cohabiter avec elle ; se montrant, ' d'autre part, indifférente à l'égard des hommes
fait, sur lequel Griesinger2 avait aussi attiré l'attention, est ' Csper. Uebsr Not)attcltt uttd p< ! e)'as<;e
eur dis- tingué laisse une porte entre-baillée à la folie. Et 4 ' Tardieu. Elude médico-légale sur les attentats au
dont il donne l'histoire détaillée. Dans les deux sexes, les phé- ' Karl Heîuricli Ulriélts â puLliW une série de bro
et Ara spei, 1865; Glacliets fureus et Memmon, 1868; Incubus, 1869. ' ' Westphal. - Die coutrtlre .seeualenzlynttlttz
ra spei, 1865; Glacliets fureus et Memmon, 1868; Incubus, 1869. ' ' Westphal. - Die coutrtlre .seeualenzlynttlttztg.
ttidung. (dlly. zlsch. f. psych.) Bd. XXXIII, 209 à,2oG, 1877.) ... ' , .... Tomassia Ariggio. Suit' irtcersione dell
ione dell' titstlrtto sessitale. (Itiv. Syeint. p. 97 a 3S7, 1878.) ' Julius Krur-'g. Peroerted sexuel mtstincts. (Br
e très incomplète d'une femme de chambre de vingt- cinq ans. ;| ^ , ' . j , i ' Gock.Bei7)'a : M<' Kenntniss der c
plète d'une femme de chambre de vingt- cinq ans. ;| ^ , ' . j , i ' Gock.Bei7)'a : M<' Kenntniss der contrarer sex
ux avaient des rêves voluptueux rappelant les jeunes filles aimées. ' Quand les désirs ne pouvaient pas être satisfai
ues sur'un sujet enta- ché de dégénérescence. ,, i m .nOi i iln I ' )' ' Ces i quatre cas "de perversion de l'instin
s sur'un sujet enta- ché de dégénérescence. ,, i m .nOi i iln I ') ' ' Ces i quatre cas "de perversion de l'instinct
sur'un sujet enta- ché de dégénérescence. ,, i m .nOi i iln I ')' ' Ces i quatre cas "de perversion de l'instinct g
ces malades l'hérédité fait sentir son in- fluence'. , tn. i .,(. ' )'' nlrt ! . . '' t,\o4 ^appelons encore les deu
le, elle se place loin de lui, mais pendant toute la durée du repas, ' elle éprouve des spasmes, du malaise à l'es- to
rl'n ? p,·,l besoin de boire s empare du sujet, nous voyons dans ' ,le ? mêmes luttes, les''mêmes résistances, j'ii
tisfaction 'finale'du besoin' maladif. Chez quelques- 'IJIIh'1 fil) ' i 1 il 1 I ln 4,.Mc ? rppùlsifs'Ùiême, comme 'd
i r 1 1 1 1 . 1 1 1 "i 1 1 ii.iu - , i 011,.l ., ? I tg el 1 - , , r " ' es, 1 " , Il i- RECUEIL DE' FIAIS ? La mu, entr
t ne pouvait plus prendre aucune nourriture, ni boisson, à cause j. ' j 1. 1 'iiiiid-' ? iin- .u , ii->ryp.(i| PfiM
u pharynx qui se manifestaient au moment de la déglutition. 11, ,t)) ' )h ! )li'i.),i'i,> tIIII 0'1981u fI0 tout Le
e nous ne parvînmes à l'examiner qu'avec beaucoup de difficulté. '' ' '< ni n 1,1 --l cil fil; ni Cet examen nous.
roupe et moindre dL',s 'ordre. 1 »b -,1,, 1 ,,f , t t | ^5 as : r ' Par contre, l'état psychique du malade étaiï keW
, la bouche ouverte, il prenait la tasse, puis la laissait retomber, ' en proie aux crampes du pharynx provoquées par la
r de son lit pour s'enfuir, il avait de la peine à se tenir debout, ' fléchissait et finalement retombait sur son matel
ssement de la température, ni d'une plus grande fréquence du pouls. ' i, Vers le milieu du troisième jour la scène ch
ec le idéfunt qui passait tous ses loisirs à s'amuser avec eux. . ' Or, il paraît que deux mois auparavant, on avait
aux'dépehs de la moelle, sans provoquer aucun trouble de ce côté : ' 1,tiri Le fait était trop important et intéress
pour quoi in'egà ? it pas d'en déterminer l'origine. Je fis 'durcir, ' à 'cet efletj'lla1 n1b'elle malade dans du sulf
umbur et le tissu ambiant lerïlulie série de coupes transversales ? ' '' Il .1(1 ' ? m'tan'r) - - -il La première par
issu ambiant lerïlulie série de coupes transversales ? ' '' Il .1(1 ' ? m'tan'r) - - -il La première particularité qu
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e plus bas (Fin. 2) que cette masse néoplasique prenait ? 'jr ? ? "' « ' ? il . ? ' un, caractère dînèrent ? ( , , , '
(Fin. 2) que cette masse néoplasique prenait ? 'jr ? ? "' «' ? il . ? ' un, caractère dînèrent ? ( , , , ' 0 1 ,t j I
enait ? 'jr ? ? "' «' ? il . ? ' un, caractère dînèrent ? ( , , , ' 0 1 ,t j Il ,il 1111 11.1 1 . épâissie une tachè
de tissu conjonctif (Pl. \,fig. 3). Sur la coupe transversale cette, ' tumeur avait là' forme d'une W nl r yin P),lt
traire, festonné, sinueux et ne formait pas avec le reste du tissu ' »; '"Jp ? I : >i11.r> -. '.un .11 1 . 11 il
ire, festonné, sinueux et ne formait pas avec le reste du tissu '»; ' "Jp ? I : >i11.r> -. '.un .11 1 . 11 il r
1.r> -. '.un .11 1 . 11 il r mçdp4airenuner couclje continue. , · ' - Des, deux pôles dé cette ellipse,' l'interne
airenuner couclje continue. , ·' - Des, deux pôles dé cette ellipse, ' l'interne s'enfonçait profondé- nient. dans. la
- 1 in . à Au point de vue de la structure histologique, la- tumeur, ' vue a un 1 ? é[' ossls$einelïyy ·Ifrâlt l'âs(]
nt de vue de la structure histologique, la- tumeur,' vue a un 1 ? é[ ' ossls$einelïyy ·Ifrâlt l'âs(] ect ·d'én ensém111e
utres (Pi. V, fig. 4).. 11 li r 1 Î .,IJ JirilliJ'l . 'JJU.ttU'th ? ' i , - ! ' 7 rn ? Ji... , Pour,mieux, l'econnait
V, fig. 4).. 11 li r 1 Î .,IJ JirilliJ'l . 'JJU.ttU'th ? ' i , - ! ' 7 rn ? Ji... , Pour,mieux, l'econnaitre.les élé
s de la nioelle. Je me sers '.\llt< ? r1' i"f8ri'i/i m/'i'j'ii, * ' i ' / 1 ,. ? ? i J .. , T , de préférence pour
la nioelle. Je me sers '.\llt< ? r1' i"f8ri'i/i m/'i'j'ii, *' i ' / 1 ,. ? ? i J .. , T , de préférence pour colo
%à1 l'avantage' tout laaoticû- SARCOME DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 327 ' ' ' OJ- lier de teindre en violet la.substance
1 l'avantage' tout laaoticû- SARCOME DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 327 ' ' ' OJ- lier de teindre en violet la.substance bl
l'avantage' tout laaoticû- SARCOME DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 327 ' ' ' OJ- lier de teindre en violet la.substance blan
ise et des stries radiées de la substance blanche par le violet' j- ' ,. '" '' 'I ' U l inllil i J, *iU mv illi de ge
t des stries radiées de la substance blanche par le violet' j- ' ,. ' " '' 'I ' U l inllil i J, *iU mv illi de gentian
ies radiées de la substance blanche par le violet' j- ' ,. '" '' 'I ' U l inllil i J, *iU mv illi de gentiane.. '" "
let' j- ' ,. '" '' 'I ' U l inllil i J, *iU mv illi de gentiane.. ' " " t , ."T ? Je dois avant tout mentionner ici
. '" " t , ."T ? Je dois avant tout mentionner ici qu'ayant examiné, ' sur' des s coupes colorées, les pelotes à un fo
seaux 5 en- trecroisant dans tous les sens. Sur cliaq'ue'4cfo'up'èl, ' ôn Wôÿiait'$es parties tantôt plus riches, tant
jonctif, un fibrome à l'état jeune bà'tin'Sdi- corne vrai. , Il.. , ' i 11·W 1 y 1- : , il., ,En divisant la tumeur,
nt des concrétions cristallines." Ces dépôts, insolubles dans l'eau, ' l'alcool, l'éther, le' ch)or6 ! '6rme''et l'amm
elle', aux .dépens de ? , ces ciux - -j ? e ? 1 - 1 ? il Il P6) 4 i ' ' "i1' ..i i.jiit i ..)...,f ? , lu-, 'iiuiq ih'i
le', aux .dépens de ? , ces ciux - -j ? e ? 1 - 1 ? il Il P6) 4 i ' ' "i1' ..i i.jiit i ..)...,f ? , lu-, 'iiuiq ih'i'i
esrlrl'f ? q.S eySlerl1 L zif,ill iqn, -, ? ? ,i a= 1 is s,s , . il ' ·1 ! · 328 RECUEIL DE FAITS. et 5) qu'il n'en
ué de volume, comparés à ceux de la moitié' droite de; la moelle. ! ' i Les modifications de la substance grise étaie
eurs pointes vers l'intérieur et s'entrecroisent ! entre elles. - j ' ' Dans notre cas, la substance grise s'était tr
rs pointes vers l'intérieur et s'entrecroisent ! entre elles. - j ' ' Dans notre cas, la substance grise s'était tran
les. - j ' ' Dans notre cas, la substance grise s'était transformée, ' sous l'in-, fluence de la pression exercée par
ette métamorphose des ganglions et leur diminution de volume.1, v " ' ? v ' ' Il i » - . » i , ..... ,» Je donne da
étamorphose des ganglions et leur diminution de volume.1, v " ' ? v ' ' Il i » - . » i , ..... ,» Je donne dans le
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ersales citées plus liant ? ,,) ? ? n vl 1 , y "" t , r . ! ! · il, ' ! u : il s-'j|> 'ilfll'i/ .l'il u i . u t i'
i/ .l'il u i . u t i' 1, 1 .1 SARCOME DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 331 ( ' , NC.LION- '. 332 RECUEIL DE FAITS. Nous ente
qu'on ne peut pas prévoir et qu'elles ne sauraient, par conséquent, ' 'être repor- tées sur l'homme. Tout en accord
s sont''ceuxqui sont composés de tissu conjonctif 'jeune; 'primitif; ' tous '.Mes autres, qu'on; distingue généralemen
qu'on; distingue généralement'sous ce nom;lsont des neurogliomes.' ' m ' . · · ·'1 ' < ! ''Plus loin Klebs indiqu
on; distingue généralement'sous ce nom;lsont des neurogliomes.' ' m ' . · · ·'1 ' < ! ''Plus loin Klebs indique le
e généralement'sous ce nom;lsont des neurogliomes.' ' m ' . · · ·'1 ' < ! ''Plus loin Klebs indique les différence
t les neurogliomes sous le rapportée l'oriâine et d'es fonctions. " ' ' ' » ' 0. 1 'l i' Les sarcomes naissent de la
les neurogliomes sous le rapportée l'oriâine et d'es fonctions. " ' ' ' » ' 0. 1 'l i' Les sarcomes naissent de la su
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urogliomes sous le rapportée l'oriâine et d'es fonctions. " ' ' ' » ' 0. 1 'l i' Les sarcomes naissent de la surface'
la nature histologique du tissu de la.névroglie.. - - t, I m. <) ' t Il Quand un .vrai sarcome surgit de la substa
nce do soutien dans le domaine des capillaires, c'est la névroglie. ' : . ,'n .. 111 I' ' ' | ,n 1 I ' , t . I Mil li
le domaine des capillaires, c'est la névroglie. ' : . ,'n .. 111 I' ' ' | ,n 1 I ' , t . I Mil li I ' \k\l II - " , I
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115. 2 Journal de médecine et de chirurgie pratiques, lévrier 1882. ' ' DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LLS DIABETIQUES. 33
5. 2 Journal de médecine et de chirurgie pratiques, lévrier 1882. ' ' DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LLS DIABETIQUES. 33J
plète et tout à fait éphémère comme chez un malade de M. Charcot. ' Observation VI. Le D IL ? diabétique. Faiblesse d
locomotion, on- doit encore ranger les crampes et les convulsions. ' Cité par Marchai (le Cal·i), loc. cil., p. 207
ulsions. ' Cité par Marchai (le Cal·i), loc. cil., p. 207 et 3 ? 1. ' ' 3 ltq REVUE CRITIQUE. Le phénomène si doulo
sions. ' Cité par Marchai (le Cal·i), loc. cil., p. 207 et 3 ? 1. ' ' 3 ltq REVUE CRITIQUE. Le phénomène si doulour
. 283. 1 LécorchG et Tfttamon. Etudes médicales, etc., 1881, p. 27, ' DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 343
à la Maison de santé, p. 31. - Dionis. Monit. des ht'ip., 1S."i7. ' Leudet. - Clire, ntérl., y. 31. , *M : n'ch ! d
térl., y. 31. , *M : n'ch ! d(()cC.t)yi),/oe. < ? ? p. 3 : ,3. ' Loiidel. Clin, mi'/l. ]i. 279. , DES TROUBLES N
parmi lesquelles les sciatiques, étudiées tout d'abord par M. Worms ' , semblent les plus fré- quentes. (Buzzard2, Dra
e médecine, 2e s(rie, t. IX. 5 Buzzard. The Gancet, t. 1, 18S2. . ' Drasche. Diabetis che neuralgien (It'iener. ? 21e
. = Leroux.77t. Paris, 1881. 3 Peter. Clin, medic, t. II. p. 7G0. ' 1 Panas. ? c/t. d'ophthalmologie, 1881. MI. P
ent les troubles oculaires est considérable. Poueliardat l'évalue à ' , ou '4. lauconneau\2. Dufresneà ? ou . Selon Le
l, les deux yeux sont iné- galement atteints. Le professeur Panas ' a le mieux décrit cette forme d'amblyo- pie et
si fréquent dans l'albuminurie et 1 Panas. In Bouchardat, p. SS. ' Lccorchu. Traité dit diabète, p. 3jf : . a Leco
er liaru. Francfort 1810. 350 REVUE CRITIQUE. le diabète. (Mialhe ' ). » Les glycosuriques vieillissent vite, selon
cette amblyopie peuvent coïncider des vertiges. Mar- chai (de Calvi) ' voit dans l'union de ces deux symptômes le sign
e Calvi). - Lue. cil., p. 2oS. Wickerslieiiner. Thèse de l',ma; 187 ' DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 351
Dictionnaire de Jacuud, art. Reliuiles. 0 Kiwatkowski. -Luc. cil. ' Ilevl. Loc. cit. 35li RKVUE CRITIQUE. santés
altération du sys- tème nerveux, n'-est rien moins que démontrée. ' Cependant, on a quelquefois observé dans le diabè
sidérations sur le mal perforant chez les diabétiques , thèse 1881. ' * 2 Caiitaili. Un caso eliiiico di atrofia cula
nette ou ehloroformiquo tout à 1 Progrès médical, 1875, 1). 1) Î. ' H. Lcpiue. Lyon médical, 1880, u" lu. 356 . REV
a.- L'urémie a aussi été in- criminée en raison des lésions rénales, ' (Dickinson, Griesinger) rencontrées chez des dia
Progrès médical, 188 p. 967. °- Gazette hebdomadaire, 18S1, n" zou. ' 3 Bouchard. Maladies par ralentissement de la·
uchard. Maladies par ralentissement de la· nutriliot,1882, p. 19 i. ' Lnchsingcr plonge des grenouilles dans une soluti
la'cause'des'accidents. (Arch. J'iir die ge- saîanate Ylejt; 1880.) ' ' ' " ' , revue d'anatomie. 357 conclut que l
a'cause'des'accidents. (Arch. J'iir die ge- saîanate Ylejt; 1880.)' ' ' " ' , revue d'anatomie. 357 conclut que le
cause'des'accidents. (Arch. J'iir die ge- saîanate Ylejt; 1880.)' ' ' " ' , revue d'anatomie. 357 conclut que le di
e'des'accidents. (Arch. J'iir die ge- saîanate Ylejt; 1880.)' ' ' " ' , revue d'anatomie. 357 conclut que le diabèt
ion des réseaux capillaires dans la moelle épinière : Un réseau 1 " ' 4 360 REVUE d'anatomie. à mailles très fines
plus facile cette illusion, on excite les nerfs cutanés de ce point, ' par des frottements, des pincements légers, etc
n muscle, dont la volonté ne peut pas amener le relâchement '. ,. ' Or, cette contracture du tibial antérieur est-ell
quée par l'allongement de ce muscle. D'où l'épithète de paradoxale. ' Abstraction faite du mode différent de contract
goniste et réaction par une contraction tonique ou contrac- ture. ? ' t 1 La désignation de contraction paradoxale ne
es ; et pour la distinguer de la contrac- 1 Brissaud et Ch. Richet. ' Faits pour servir à l'histoire des conlrac-, Iz
up- poser une excitation, d'une certaine durée, du centre spinal, ' R. V. XXIV. Aphasie traumatique ; par G. ALLEN.
. P. XXIX. Ataxie locomotrice, suite DE variole; par IIENDEITSON. ' (Louisville med. Me/M, 1 février 1882). Dans un
ajoute M. Kohn, avant même qu'aucun signe psychique se soit montré, ' la pupille change, témoignant d'un trouble de cir
onstration, anatomique sur, laquelle l'auteur reviendra... , Cn. F. ' t ' .... ' z XVII. Sur la folie morale; par J
ration, anatomique sur, laquelle l'auteur reviendra... , Cn. F. ' t ' .... ' z XVII. Sur la folie morale; par J.-Il
natomique sur, laquelle l'auteur reviendra... , Cn. F. ' t ' .... ' z XVII. Sur la folie morale; par J.-Il. GASQuET
GASQuET. 7 ? e Journal - ! of Mental Science, avril 1882, p. 1.) ' M.- Gasquet pense que si l'on éprouve quelque dif
faut, la notion du bien et du mal est troublée, ou, ce qui est plus ' fâcheux encore, complètement retournée. La ph
e aiguë, ainsi qu'à la première période de la paralysie générale. » ' R. DE M.-C. XVIII. De l'emploi DE l'atropine co
x; mais l'administration impériale a tout fait dis- paraître.' (B.) ' 394 le REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. an enviro
précise, chez les soldats atteints de folie non aiguë, la paralysie ' générale étant exclue, les hallu- cinations de
iais et tourne pour ainsi dire, la loi, afin d'obtenir, malgré elle, ' ce que le sens commun voudrait qu'elle prescriv
mieux que de résumer les con- clusions de cet intéressant travail. ' I. En dehors de toute prédisposition héréditair
ie, dans ses recherches sur la paralysie générale et sur l'aphasie. ' Dans un autre ordre d'idées, les chapitres sur
1882. Sur l'angine de poitrine; par Auury. Thèse de Paris, 1882. ' Des crises douloureuses qui peuvent se montrer su
saturnisme cei-éb ro -spin($1; par Charlier. Thèse de Paris, 1882. ' Névralgie par Parmilleux. Thèse de Paris, 1882.
depuis longtemps. 11 est vivement à désirer qu'elle se généralise. ' Asile d'aliénés DE Ville-Evrard. M. le Dr Espia
dé- viation est de 3 milliweber et est atteint en 8 minutes. 41.4 ' EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE IV Résistan
24 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s. 1889 Vol. XVII. Janvier 1889. N° 49 ARCHIVES DE NEUROLOGIE ' MÉDECINE LÉGALE . t 1 . .. QUELQUES FAITS MED
et on ne note pas chez lui de troubles de la sensibilité générale. ' . ', ' . , . Quand on l'interroge sur les actes
on ne note pas chez lui de troubles de la sensibilité générale. ' . ' , ' . , . Quand on l'interroge sur les actes qu'
ne note pas chez lui de troubles de la sensibilité générale. ' . ', ' . , . Quand on l'interroge sur les actes qu'on
u lieu d'être payé, j'ai été condamné à payer; on a saisi mes biens, ' on m'a forcé à vendre mes récoltes; j'ai été ru
inhumains à mon égard et m'ont forcé à être plus Archives, t. XVII. ' l 2' * MÉDECINE LÉGALE. inhumain qu'eux. L'hu
f ans, pâle, anémiée, très maigre, est accusée de vols multiples. ' Depuis une fausse couche faite il y a trois ans,
DI : R1101 : UROSI : S'l'GL3GOGLiAPIIIQUL, l : t' 1131"1'lIRIS111 ' ' CflE7. UV flIBCCILI : ALCOOL1QU1 : ; EL,iiesL
DI : R1101 : UROSI : S'l'GL3GOGLiAPIIIQUL, l : t' 1131"1'lIRIS111 ' ' CflE7. UV flIBCCILI : ALCOOL1QU1 : ; EL,iiesL C
Parle D' Prnest ClIAIt3.lRD, ancien interne des hôpitaux de Paris, ' médecin adjoint des asiles d'aliénés de la Seine.
, en ce moment, à la division des hommes de l'asile de Ville-Evrard ' , un sujet de trente- trois ans, nomméGeoresR...
excès alcooliques avoués remontant « plusieurs années ; interne- ' Cette division a été placée, depuis la rédaction
portant. Six frères, morts tout jeunes d'affections indéterminées. ' Les antécédents héréditaires de R... seraient d
cès d'épilepsie, ni agitation choréique, ni affections vénériennes. ' Depuis l'âge de vingt-quatre ans, c'est-à-dire
nfin, constaté chez lui, ni anesthésie, ni hypéresthésie partielles, ' ni zones hystérogènes, ni sensibilité testicula
et sur laquelle il ne songeait nullement à attirer notre attention. ' . Sténographie cutanée. C'est aussi par hasard
détermination une influence occasionnelle évidente, puissante et ' Vu ! pin.n. Communication craie à M. Dujarelin-Be
tradermiques par la sérosité épanchée dans l'épaisseur du derme ? ' Mare ? Mémoire sur la contractilité vasczclaire (
t. Art. Dermatoses, \x\Dict. encyclopédique des sciences médicales. ' Depuis la rédaction de ce travail. M. Lowff, a pr
gique (Annales ! He'6 ! ! eo-psyc/M ! y : MS. K" de novembre 1888). ' CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET EXP
ques Si l'on jette un coup d'oeil au tableau précédent, on est en ' Voir Archives de Neurologie, n° 17, p. 1 ib, n° 1
ue presque invariable pour tous 28 CLINIQUE NERVEUSE. les cas, C'( ' ,St-21-dll'e, paralysie motrice et sensitive, ré
rrivait fréquemment de perdre la notion de position de ses membres. ' Au commencement de juin, après une très longue
t survenu le 13 juin 1883. Première immersion, 1 1 heures du matin, ' ,)0 brasses de profondeur; une heure et demie de
tion de ventouses scarifiées à la région lombaire et des purgatifs. ' Le J 5 juin, ce médecin constate l'absence de f
dans les accidents nerveux con- sécutifs aux explosions du grisou. ' DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. Il,
r les malades des Observations XXIV et XXV étaient les suivants : ' a). Perte de connaissance chez le malade de l'O
ionnaire, mais presque jamais, pour ne pas dire jamais progressive. ' a). Symptômes sensilifs. On se rappelle que la
s la dénaturer, faire entrer dans une maladie spi- nale quelconque. ' variété extra-spinale OU EXTRA-MYËLlTIQUE DE
ouvements. A ce moment, son membre aurait commencé à devenir grêle. ' Le 3 octobre 1883, le malade a été effrayé en c
t où l'on distinguait des stries transversales. Afcm)'es ! <pe) ' ! eu ! 'd)'ot. Ce membre est parétique. Il y a un
s. Il appartient à une famille nombreuse : six frères, une t'OE : ;) ' , tous ivrognes. Leur père était également buveu
ACHYDERMIQUE. 91 passage, qui nous a été envoyée par notre ami le D' ' Guil- 1 au m in '. 1. Si l'on veut bien compa
le a ses symptômes particuliers et une lésion anatomique constante. ' REVUE CRITIQUE GRAND ET PETIT HYPNOTISME; P
CRITIQUE. venons de décrire, constitue ce que M. Charcot appelle le ' Grand hypnotisme. » M. Charcot, dans sa descr
s la première expérience comme on l'a observé ù la Sa)pu- trière. ' Voici en quoi consistent ces phénomènes : , Si
e voyons pas que les résultais soient encore bien précis. P. IEIt 1\ ' : 1L. VII. Contribution A l'étude DES lésions D
ion du malade, on peut préciser l'origine des lésions consta- tées. ' R. M. C. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ 11LDIC0-I'
ra moindre que celle qu'ils entrai- neraient dans les seconds. Le D' ' J. Wiglesworth considère la monomanie comme due
otrice lorsque se produisent les lésions des centres optiques. Le D' ' Conolly Norman admet que la monomanie existe souv
réside dans des malformations des circonvolutions cérébrales. Le D' ' Campbell Clark amène la discussion sur les ? -ela
monitoires de la folie puerpérale. Dans le même ordre d'idées, le D' ' IL Sa v mie entretient le congrès des SOCIÉTÉS
« céphaloscopie clmas les maladies mentales et cérébrales. · Le D' ' Hack-Tuke admet que dans la production d'une idée
quatre cas. Le Dr W. JuiiusMickie lit un lravail sur,l'autifébrine. ' A. Raoult. XVI 11° CONGRÈS DES ALIÉNISTES DE L'
a- triques des médecins qui se trouvent rarement en relation avec ' 11 D'y a pas eu de séance en 1885. Le rapport du
. Les autres prescriptions du susdit article ne sont pas exigées. » ' M. Théophile Roussel, rapporteur. Messieurs, l'
421; t. XV, p. 138, 311, iSt; t. XVI, p. 101, 30G, ij8. 134 SÉNAT. ' fâcheuses conséquences au début de la discussio
judiciaire, non pas préalable, mais consécutive à l'inter- nement. ' M. le Président. Demandez-vous la parole, monsi
tion de l'état mental des prévenus ou des accusés présumés aliénés. ' Les dispositions que nous proposons auraient pu
ion de leur peine ? Non ! 1 M. LE Rapporteur. Je demande la parole. ' M. LE Président. La parole est à M. le rapporte
TIBUS ET nocentibus. Autrement dit faire servir la connaissance, à ' l'établissement du diagnostic, la façon dont se c
looot;v. 111. Dégénérescence et criminalité. Essai physiologique, ' par Ch. Féré. (Paris, Félix Alcan, 1888.) M. Th
tion du Droit de punir. - Une société dont l'objet principal est la ' protection des associés doit, pour remplir son
es exploits de ces empi- riques plus que les éloges de M. Liégeois. ' Nous avons aussi été fort étonné, nous qui suiv
- telligence et les connaissances des candidats. Il y a longtemps ' d'ailleurs que le Conseil général de la Seine en
part les hommes qui ont l'ambition de faire leur chemin à Paris, ' Arrêté du 3 mars 1879. Botirrieville. Rapport s
rutement des médecins ordinaires des hôpitaux. A Paris, par exemple, ' les conditions pour les places des médecins, chef
inconleslables services à l'enseignement de la médecine mentale'. ' Le jury Ju concours des médecins aliénistes de Bi
jury d'examen et de l'heure à laquelle ils devront se présenter. ' ! 7 varia. Assurément, nous sommes très heureux
pias, inspecteur général des établissements de bienfai- sance; le D' ' Cortyl, médecin en chef de l'asile de Bailleul;
Dr Delaporte, directeur-médecin de l'asile de Quatremares; M. le D' ' Mordret, secrétaire. Candidats : MM. les Des Arna
irecteur-médecin de l'asile public de Saint-Alban (Lozère), M. le D' ' Pons, médecin en chef de l'asile public de Bord
le public de Barqtleville (Haute-Garonne). Juré suppléant : M. le D' ' Belle, directeur-médecin de l'asile public de S
r Huchard, médecin à Bichat; S..., chirurgien des hôpitaux; M. le D' ' Picqué, chirurgien du bureau central. La compos
on de la Chambre des députés a nommé M. BOUR.IEVILLE, rapporteur. ' Voir Progrès médical, n1" 43, iG et 18. Avis A
IE ANATOMIE RECHERCHES SUR LA STRUCTURE DES CORDONS POSTÉRIEURS ' DE LA MOELLE ÉP1NIÈRE DE L'HOMME ; Par le Profe
ent embryon- naire, confirme pleinement une telle subdivision. Au ' Die Leiti411gsbah ? ten iiee Gehim und, Ruckenmar
urvus de myé- line. Quand la portion antéro-externe contenait des ' Ueber die Bestandtheile der ttinlerslrange des Ru
orlion externe du faisceau de Goll. I). Le faisceau de Burdach. - 1) ' Lu portion posléio- penphen<)neduYaisseandcU
uve -probablement dans la dualité de leur origine (flq. 5, G et 7). ' Une partie des fibres, d'après Flechsig, part d
longue série d'observations consciencieuses et importantes et 184 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. par la voie de la statisti
iles pour l'éclair- cissement de contradictions si fondamentales. ' Voir Strumpell. Neurol. CeitrulGlntt, n° 19, p. 4
rès les résumés des histoires des maladies, il AticiiivLs, 1. XVII. ' 13 19 lé PATHOLOGIE NERVEUSE. n'y avait d'amy
nous a obli- 200 6 PATHOLOGIE NERVEUSE. geamment fournies M. le D' ' Korsakoff. Pendant les trois dernières années,
auteurs aient mis en plus grand relief ces états mor- bides, le D' ' Bastian avait, auparavant, reconnu com- plèteme
s Weviiicke. Der Aphasische Si/mploinencomplex.liros\au, 1871. î. ' On the Various Fornas of Loss of Speech in Cérébr
toujours les réponses furent analogues à celles citées plus haut. ' Cependant l'organe de l'ouïe est intact, il n'exi
onsultant un auriste qui, ne trouvant aucune lésion de l'appareil ' Giraudeau. Note sur un cas de sisi,dild ps ! lchi
uera que la surdité verbale implique la perte complète des images ' CeH<< ? f<« sur )'M/te;7/ct<)t, 1882.
tte brochure, traduite par M. Ydtard, se trouve au Progrès médical. ' SURDITÉ VERBALE. 215 veau, et ancune influenc
re. » Quelques jours après, on observa un autre curieux symptôme. ' G. Ballet, 0/). cit., p. 97. ' SURDITÉ VERBALE.
n observa un autre curieux symptôme. ' G. Ballet, 0/). cit., p. 97. ' SURDITÉ VERBALE. 217 -1 Il voulut essayer de
n'étaient pas en rap- port avec ses impressions mentales, car le D' ' Osborne affirme clairement que, en dépit du jar
ou un trouble de transmission. Ross. - On Aphasie, 1887, 1). 13. ' Dublin journal of Médical and Chemical science, 1
furent prises, il paraît avoir obtenu des résul- tats différents. ' Rivisla Sperimenlale di Frenialna, 1881, p. 9'r.
différents. ' Rivisla Sperimenlale di Frenialna, 1881, p. 9'r. 1. ' on Spécial Sensé Localisation in lhe Cortex Cereb
te le cas suivant rapporté par Pflügcr in berline jE7. Woc ? cn ? M/ ' 1885 : un jeune homme reçoit de près un coup de
eine être considérées comme rigoureusement applicables à l'homme. ' Charcot. Levons sur les Maladies dtt systéme nerv
n instant sont transitoires, fugitives; elles ne durent que quel- ' Voir Archives de Neurologie, iil n, p. 1 FJ j n°
êche d'épongés, pendant trois ans, sans jamais avoir eu d'accident. ' " * Le 15 mai 1886, cet homme se lève le matin,
ie motrice; (6), la surdité verbale et (y), l'aphasie complexe. , ' a). Aphasie MOTRICE.- Les trois observations qu
25 brasses, même séjour et même décompression brusque. Il se 230 ' " CLINIQUE NERVEUSE. fait remonter et immédiate
ondeur, mais encore il a prolongé son séjour jusqu'à douze minutes. ' Il se fait brusquement remonter comme toujours.
d'exprimer sa pensée, il s'entendait avec ceux qui l'entou- raient. ' Le malade concevait bien ce qu'on lui disait et
a pas cessé son travail dans l'air comprimé, faisant ses campagnes. ' , Le 10 juillet, à son retour à Erine, ayant fa
durée totale de l'aphasie n'avait pas été de plus de deux heures. ' Observation XXXIII. Accident provoqué le 10 octob
' Observation XXXIII. Accident provoqué le 10 octobre, à la pré- ' mièie immersion, profondeur de 32 brasses, séjour
is il ne pouvait y répondre. Le malade ne savait ni lire ni écrire. ' ' Dans l'après-midi, vers z heures, le malade a
il ne pouvait y répondre. Le malade ne savait ni lire ni écrire. ' ' Dans l'après-midi, vers z heures, le malade a c
immersion, profondeur de 22-24 et quatre à cinq minutes de séjour. ' Quatre immersions antérieures faites tout à fait
e la même profondeur et bien au-dessus, de même décompression, le ' séjour n'ayant jamais duré plus de quinze à vingt
role entendue. Impossibilité de com- prendre tout ce qui est écrit. ' Agraphie. Traitement par coin- pression. Immers
p- pelle en toute hâte. Je me rendis aussitôt près de mon malade. ' Etat du malade le 10 octobre à deux heures du soi
de marcher même contre lui. Il s'est fait brusquement décomprimer. ' C., Il aurait déjà antérieurement fait un grand
yeux une grande tache noire qui quelquefois changeait de couleur. ' Au début de quatrième semaine le malade, à sa gra
ni autres symptômes céphaliques, pas d'autres troubles quelconques. ' Au bout d'une semaine, il a commencé par entend
de la face et du membre supérieur gauche. a). Paralysie faciale. ' Observation XLVII. Aggelis Couroupis, âgé de
us les phénomènes produits pur l'hypothèse commode, de la simula- ' Voir Archiues de u'euroloyie, u° Ffl, p. 32. ,
- nomènes des trois états admis par l'École de la Salpêtrière. Je ' Revista )M'i'n : M<a/e di Freniatrica (1881, a
r un hypnotique une expérience qui avait été faite par M. Charcot ' llipnotivîeo y 5'ugestion, par 0. Maira et D. Ben
ugestion, par 0. Maira et D. Benavente. Santiago de Cliile, 1887. ' Revue de la Suisse romande. no du la mai 1881, pa
e, 1887. ' Revue de la Suisse romande. no du la mai 1881, page 290. ' 264 REVUE CRITIQUE. sur une hystérique et don
ion) a été pu- bliée dans le Progrès médical (n° 4, p. 80, 1889.) ' En ce qui concerne la bibliographie de l'hypnotis
s névroses. Enfin je terminerai par la bibliog ? -a- phie générale. ' I. ENCÉPHALE. Le développement morphologique
xistent sur ce sujet un des plus intéressants est le suivant : Le D' ' Kompaneyskaïa, après étude comparative des circ
développement d'un système et de ses fondions. Les recherches du D' ' Bechterew montrent bien les varia- tions des fo
d'hui en pathologie nerveuse. Les travaux suivants, do M. Bechterew, ' montrent combien est juste l'idée de la systéma
faisceau cérébelleux; 2° des fibres du noyau du faisceau cunéiforme; ' 3° des fibres du faisceau latéral. Toutes ces f
e myéline en même temps que celles des nerfs crâniens. M. Jakovenkô, ' en. relatant le premier cas connu de dégénéresc
ire. ; Dégénérescence de la commissure blanche antérieure. Le', D' ' Popoft a publié un cas de dégénérescence de la co
elle épinière ; son épaisseur atteignait jusqu'à un centimètre à un ' centimètre et demi. La moelle comprimée, offrai
de la parole, de la sensibilité ni des organes sensoriels, pas de ' strabisme ; facultés intellectuelles intactes. Un
a été déjà analysée dans le présent recueil (t. XIV. p. 416). Le D' ' Bechterew avait déjà démontré expérimentalement
Parcours central des racines postérieures ; leur terminaison. Le D' ' Bechterew, élève de Flechsig, a étudié le parcour
qu( passent soit en dedans, soit en dehors de la colonne de Clarke, ' traversent la commissure grise et forment le fa
es remplissaient tout l'espace sub-dural entre la quatrième et la 7* ' vertèbre thoraciques. Des foyers de ramollissem
idité muscu- laire. La suspension comme traitement du tabès. Le D' ' Moczout- kovsky a découvert un nouveau mode de
Nous avons pu constater par nous-mêmes à Odessa les succès obtenus. ' En outre, la frigidité génésique diminue ou dis
rf, à partir d'un certain degré, qui est 1' optimum de l'excitation, ' on voit la contraction diminuer, puis disparaît
suivants sur l'anatomie descriptive des nerfs périphériques. Le D' ' Pototsky a étudié le plexus lombo-sacré. Le-D''
commencement, la fin et les différents temps de l'expérience. Le D' ' Béliarminoffa a montré à l'nide de cet appareil
la pupille. De l'inégalité pupillaire dans les maladies du poumon. ' M. Paternatsk-v a constaté l'inégalité des pupi
pille, issues de l'encéphale, sortent de la moelle avec la huitième ' paire cervicale et les première et deuxième pai
P. K. IV. Contribution a la question de l'acoustique; par A. Fonix. ' HEPLIQL'LB AUX PRÉCÉDENTES REMARQUES; par P. lL
expiration soufflante (fume la pipe). L'atta- que dure 3/4 d'heure, ' elle cesse sous l'influence de 0,02 de mor- phi
iques et les faisceaux de conjonction des divers centres primitifs.' * ' Les hémisphères se formant bien après que le tr
TH01tSFa;, par M. 13ERVHaRDT (Centrulbl. t. y6)'KCHA.eifA, 1887). ' Suite de l'observation relatée dans son mémoire d
on de l'aimant et des courants continus détermina une amélioration. ' P. K. XVI. Un cas d'ophthalmoplégie bilatérale
légie bilatérale avec accidents d'ataxïe ET PARÉSIE LINILATÉRALE DE ' L'APPAREIL MUSCULAIRE DE L\ MASTI- CATION', par
itique avec courants d'induction détermina de l'amélioration. P. K. ' XVII. Un cas D'OPIITI3dLMOPLÉGIE externe progre
ce A CETTE communication; par le même (Neurol- Cent1·a161., 188). , ' Relation des accès de migraine avec la paralysi
on organique à l'appui de la syphilis. Issue rapidement mor- telle. ' ' P. K. XVIII. DE LA PARALYSIE DU MOUVEMENT DE
organique à l'appui de la syphilis. Issue rapidement mor- telle. ' ' P. K. XVIII. DE LA PARALYSIE DU MOUVEMENT DE CO
intermédiaire au faisceau de Goll et au faisceau de Burdach. P, K , ' , SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ 111 : DIC0-PSYCHOL
. Le délire, auquel on attache une trop grande part dans la clas- ' sification proposée, n'est que le cri d'un cervea
née, s'était récusé les années précédentes. SOCIÉTÉS SAVANTES. 2 ! ) ' ? r tiqué avéré qui cherche toujours à frapper
S DES NATURALISTES ET MÉDECINS ALLEMANDS , Session de Wimudex, 1887 ' Séances du 18 au 24 septembre. I. SECTION DE
es tissus un -bacille qui est le même que celui du maïs corrompu, ' Voy. Archives de Neurologie. XIIe Congrès des neu
bien durent les premiers accès ? En quoi consiste le traitement ? : ' M. Tuczek. Traitement tonique simple. M. Eule
massage central et améliorant les malades en quelques séances. . ' A rapprocher des frictions, massages, procédés hy
obe oculaire est anomalement enfoncé dans l'orbite. OEil enfoncé. ' 3" La synostose postérieure, de la suture sagitta
ius, mais elle se termine surtout dans les grosses cellules du toit ' qui sont pourvues de prolongements auostomotiqu
que. Donnez contre l'insomnie le chloral en une dose assez forte. ' M. Laquer. 11 est difficile de séquestrer les par
- cienne date. Amélioration et guérison presque complète en quel- ' Voy. Manuel technique et pratique d'anthropométri
rit en quelques minutes. Sorte d'agraphie amnésique correspondante. ' M. NEISIER (de Leubus). De la folie systématiqu
orce étant demeurée tout à fait normale (examen microsco- pique). ' Quoi qu'il en soit, les images commémoratives opt
E DE BERLIN Séance du 16 décembre l88ï =. - Présidence DE M. LOEHR. ' M. MINDEL (de Berlin). Des formes périodiques d
ft-Ebing, Lelai,buch der Psycliiati,ie, 2e édit., p. 260, 1883, - ' SOCIÉTÉS SAVANTE^. 313 d'affaiblissement psychi
. Pour qu'il y ait paranoia, il faut constater un ensemble syllo- ' gistiqué de conceptions vraiment organisées dans
s qui avaient pu encourir les ressentiments de l'individu acquitté. ' Des faits extrêmement graves et des exemples ré
il y a lieu tout au moins d'examiner à nouveau l'individu acquitté. ' A cette circonstance nous avons cru, messieurs,
sposition de l'autorité administrative : c'est excessif à mes yeux. ' Nous serions d'accord, je crois, avec la commis
oolique ? , sous le nom de delirium BIBLIOGRAPHIE. 3 î ti,einci2s, ' sans chercher à reconnaître les étapes par où ont
épond pas à son titre, mais plutôt à l'inversion de ce titre : Le D' ' Coste, étude d'un inconscient; aussi nos lecteurs
U MEMOIRE DE M. ROTH 1. Balmer. 7J« : d.</oArwcH bei progressive) ' Mushelalrophie. (Aaclv. der 7fet ! f) : (<e,
rc uott dot sogennnnten partiellen 7mp/mdM))( ? a/t))tK)M .Beauté ? ' klinische lVoclr,etzschrift, n"31, 1883. Broca.
Virchoio's arch, 1884, Bd. 98, p. 3G9.-Remah. Fin Tull von centrale) ' Gliomatose (Syoingo- myelie) Deutsche medicinis
[7e. UeberSpalt-Ilohletz und Gliombildung im Ruckenniurke und in de) ' medulbi oblongata Vir- c/tOM's Arclvio, 1882, B
Vir- c/tOM's Arclvio, 1882, Bd 87 p. 510. Le même. Beitrag Lehi-e ' Voir Archives de Neurologie, 1888, p. 23, 195 et
881, Bd 85, p. t. Meyer. Ein Full voit eillgeiiieiiici, progressive) ' tlluskelatrophie. (V<)'cActM''s Archiv 1863, B
nation de M. le Dr SIZARET fils. Nominations et promotions. M. le D' ' OLLÉ (asile de Saint-Venant, Pas-de-Calais) est n
89.) Sont promus, à partir du 1er janvier, à la 2° classe : M. le D' ' C.WU3ET, directeur-médecin de l'asile public de
c de Bonneval (Eure- et-Loir). A la classe exceptionnelle : M. le D' ' BROQUÈRE, méde- cin-adjoint à l'asile public de
les thèses, devront être déposés le 31 décembre 1889, chez M. le D' ' Ant. Ritti, médecin de la maison nationale de Cha
f. Vier : ,igsler Jahres-Bericht de'' Ileil- tind 7eea7M<(d</i/) ' Seliwacltsiititio ,7e und' Epileptische. Brochu
d'histoire des doctrines con- temporaines des fonctions du cerveau ' , n'embrassera que l'étude des faits et des idée
de ses succes- seurs, on considérait la surface du cerveau comme ' Voy. Histoire des doctrines psychologiques contem
nouvelles'. » Tamburini, Luciani et Seppilli sont aujourd'hui les ' Il. Taine. De l'Intelligence, I, 2îl (3e édit.) :
ons de la Société de biologie sur les locali- sations cérébrales. ' Leçons sur les localisations dans les maladies du
les éloges de Charcot, par l'heureuse alliance des recherches de ' Die ? it) : c< ! o ? oca/tsa< ! 0 ! t au/'
des recherches de ' Die ? it) : c< ! o ? oca/tsa< ! 0 ! t au/ ' (Ici, Gi-o8shiî, ? &-iitde. Deutsche und ve
théo- rie des localisations cérébrales en Italie, et en particu- ` ' Sulla geiiesi délie alitici)i(t-io711. Rit,. di f
n'est pas encore satisfait de cette nouvelle définition. Le phy- ' Ric. serim. di fnen., 1V (1878), p· 2a9. LES RO
oute fonction appréciable à la partie du cerveau qui a été extirpée ' ». ' Le localizzazioni funzionali, p. 6. C'est
nction appréciable à la partie du cerveau qui a été extirpée ' ». ' Le localizzazioni funzionali, p. 6. C'est nous qu
e. La plus défectueuse est évidemment celle des faits positifs '. » ' Enfin, comme le font remarquer les auteurs fran
uteurs fran- çais et les auteurs. italiens dont nous parlons, les ' Charcot et Pitres. Elude critique el clinique de
le, et tout essai de localisation véritable demeurerait arbitraire. ' Ce n'est pas le lieu d'insister sur les défauts
ébrales, publié dans la Wiener naedi- ziiîische Wochenschrift (1886) ' , Exner s'est-il borné à remarquer que, quoiqu'i
on que cela pourrait être fait sur les animaux par la méthode des ' Charcot et Pitres, Etudes critiques et cliniques
le profes- seur Kojewnitkoff puisque, quoique ce chiffre de 3 cas ' Voy. Arclt. de Neurologie, n° b0, p. 183. ? TUD
on ; mais le plus important c'est que l'un des 3 malades de M. le D' ' Korsakou' figure déjà dans une statistique; c'e
e même cas est le seul qui se trouve dans la statistique de M. le D' ' Korsakoff. En résumant de cette manière les rés
tion suivante se pose : cette cause E'IEDE DE LETIOLOG1C DG T.1BE5. ' 360 existe-t-elle seulement dans la très grande
er en lui des accès d'un état fébrile, qui commençaient par un acca* ' blement, des frissons, et se terminaient par un
; bientôt se produisirent des saignements de nez qui affaiblirent ' encore plus le malade. C'est précisément à cett
èvre intermittente (voir Herz', Bourru2, Gibney , Gubler ? Btizzard ' , Jaccoud", ]Macario\ Pearson Nash8), nous ne po
e étiologique serait à notre avis invraisemblable dans le cas qui ' 7/<'M ! MMM tfa ? i(li). rlrlic. Malaria', s
Jaccolid. Les paraplégies et l'ataxie du mouv. Paris, 1864, p. 405. ' Des paralysies e.seitt. Ann. méd. de la Flandre o
par. dy7ani., )8j. 8 Caries of spinal haralysis. 1862. Lancel. ' Beili-age zur Pathologie... des Nerreit.c., 1819,
rniers temps. Par conséquent, en basant notre diagnostic, non pas ' Real-Encyclopedic, t. XIII, p. 385. : Maladies du
es auteurs ont donné à des cas de ce genre le nom de i)8etedo-labes ' , d'autres celui d'ataxie aiguë, etc. Eu nous se
intéressant de M. Leval-Piquechef 2, nous pouvons reconnaître les ' Notre nomenclature n'a pas encore fixé de règles
es, parce qu'il s'y trou- 1 Des paralysies toxiques, 1886, p. 38. ' .9nch. f. Psch. Bi. \lll, n^ 1. 388 8 pathologi
s du soir. , Histoire : .' Constantin Coulouchis, âgé de vingt-cinq ' ans. L'hérédité interrogée avec grand soin nous
nt détachées de la tempe, dents mal implantées.- La lare congéni- ' Voir Archives de Neurologie, n° 47, p. 1 45 ; n°
nre, qui représentent deux beaux exemples du syndrome de Ménière. ' Observation L. Le nommé Georges Myris, âgé de
ngtemps à la maladie de Ménière. 7. FORME DE PERTE DE CONNAISSANCE. ' La perte de connaissance figure parmi les symp-
es membres, il aboyait et se jetait sur ceux 406 CLINIQUE NERVEUSE. ' qui l'entouraient pour les mordre, ce qu'il a*f
scampsie des articulations très marquée, surioutà gauche. - Souvent, ' son membre gauche et parfois le droit se raidit e
mp visuel, atrophie de la papille du même oeil, vertiges, amnésie). ' L'existence du syndrome spasmodique apporte une
dant un temps suf- fisant au développement des symptômes spastiques, ' 408 CLINIQUE NERVEUSE. sont spasmodiques ». L
Cinq minutes après l'enlèvement du casque, il a été atteint 41(5 ' CLINIQUE NERVEUSE. d'une brûlure dans les yeux
si vive un si grand nombre de points concernant la neuropathologie. ' · . MULTIPLICITÉ ET VARIABILITÉ DES ACCIDENTS C
S CHEZ LE MÊME PLONGEUR A SCAPHANDRE AU COURS DE SON TRAVAIL DANS ' L'AIR COMPRIMÉ. - Si parfois il arrive au même
; mais il n'a jamais demeuré plus d'un quart d'heure tout au plus. ' ' . Dix minutes après la décompression et l'enl
mais il n'a jamais demeuré plus d'un quart d'heure tout au plus. ' ' . Dix minutes après la décompression et l'enlèv
travail profondeur de 22 brasses, séjour de dix à douze minutes et ' décompression toujoursLmtsqite. Perte de connaiss
s fonctions des autres organes paraissent se faire réguliè- rement. ' Etat du malade, le 15 novembre 1883. Rien. Guér
e quinquina ; des toniques à l'in- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES 5( ' : 1P11\DREc. 427 térieur et une nourriture toni
à l'oeil gauche et demandait à ses compagnons si ses yeux étaient ' Loc. cil. 4,3 CLINIQUE NERVEUSE. ACCIDENTS PAR
les centres psychiques. Plus tard, il a envahi les centres moteurs ' qui sont peu à peu, devenus incapables d'extéri
jours facile de préciser quel est celui de ces états qui domine '. ' Voir pour ce qui concerne les troubbles oculaires
AL\IOLOG1QUC. 4.).) O /156 BEVUE STATISTIQUE. SERVICE Z 457 458 ' REVUE STATISTIQUE. SERVICE OPHTHALT101,OGIQUE.
értque dont nous avons donné des exemples dans cette statis- tique. ' Dans l'Observation 137 l'abolition totale de la
e à fumer. Influence de V antipyrine sur le système nerveux. Le D' ' Blumenau. montré, en employant la méthode de Turc
es. Lésions des nerfs périphériques dans la phtisie, D'après le D' ' Japp, dans tous les cas de de phtisie, il existe
Aucuives, t. XVII. 3U 16b REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. - Le D' ' Soudakevitch observé que dans la Icpro les cap-
illo, Popoff, Tchige, Hardine; dans l'ina- nition par Roscnbach). ' VI. NÉVROSÉS. Etudes comparées sur l'hypnotisme
VI. NÉVROSÉS. Etudes comparées sur l'hypnotisme chez .les animaux. ' Le professeur Danilewsky (de Karkofi) a entrepr
e leurs mouvements. Action de l'aimant sur le système nerveux. Le D' ' Blume- nau n'a obtenu que des résultats négatif
l'inutilité d'un grand nombre de cellules non reliées entre elles. ' Nous avons examiné, avec M. Erlitsky, agrégé à
a seule lésion consistait en deux plaques de sclérose, identiques ' celles de la sclérose en plaques, qui occupaient
iénés. A la clinique de M. Mierjiewsky, à Saint-Pétersbourg, le D' ' Blumenau nous a présenté un cas de Maladie de Tli
1888. Dostoewsky. Du muscle dilatateur de la pupille. Le Médecin, ' n" 30, 1880. Fursteter. Un cas de guérison de c
l posté- rieur. -Journ. de Dlierjiems>ti, G° an., fasc. 1, 1888. ' Japp. Contribution à l'étude des altérations de
illaire chez les individus bien por- tants. Le Médecin, n° 7, 1387. ' Kompaneyskaia. De l'anatomie microscopique comp
la névrite multiple. Archives de Kov(ile7vslii, l. IX, n° 3, 1887. ' Kostewitsch. Du développement [de la rétine de
de la rétine de l'homme. Thèse inaugurale, Saint-Pétersbourg, 1887. ' Kosturine. Des altérations de l'écorce cérébral
Kosturine. Des altérations de l'écorce cérébrale dans la démence ' ' séniie.LeiVedec ! ') ! ,n''2,t88G. REVUE DE P
Kosturine. Des altérations de l'écorce cérébrale dans la démence ' ' séniie.LeiVedec ! ') ! ,n''2,t88G. REVUE DE PAT
rations de l'écorce cérébrale dans la démence ' ' séniie.LeiVedec ! ' ) ! ,n''2,t88G. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 47
aramyoclonus multiplex. Archives de Kotalezvsky, t. IX, n° 1, 1887. ' - Tabès dorsalis illusoria. Kaikoff, 1886. La
Mandelbaum. - Un cas de rbinosclérome. - Le Médecin, n° 38, 1886. ' Milovsoroff. Des altérations microscopiques de-
les striés dans la rigidité cadavérique. Thèse inaugurale, Saint- ' Pétersbourg, 1883. Minor. Etiologie du tabès do
letin de la Société de médecine mentale de Belgique (1888), M. le D' ' G. CousoT a publié un cas très intéressant d'id
te'question, soit seul, soit en collabo- ration avec notre ami le D' ' Bricon, ainsi que nous aurons l'occasion de le
l'âge de deux ans, Elisa X... subit une légère atteinte de variole. ' On éprouvait un sentiment de répulsion quand on
ON. SECTION DE NEUROLOGIE. 1° jour : 18 septembre t888. M. le D' ' PHILIIIC. Knapp (de Boston). Affections nerveuses
maladies des reins et celles du système nerveux. (Urémie.) M. le D' ' C.-L. (de New-York). Localisations cérébrales des
oteur, sans réapparition des attaques au bout de deux mois. M. le D' ' Fermer (de Londres) a eu le plus souvent des insu
pération. M. le Dr Séguin dit que dans le cas opéré par lui et le D' ' Weir, l'épilepsie a réapparu avec une parésie p
culté de la déglutition. Il est actuellement en bon état. M. le 1) ' Welber cite un cas de fracture de la colonne cerv
qui a guéri, gardant une parésie des membres supérieurs. AL le 1) ' Putnam pense que dans un cas du D'' \1'alton, l'a
des membres supérieurs. AL le 1)' Putnam pense que dans un cas du D' ' \1'alton, l'atrophie peut être expliquée par un
as et de la langue due à de la pachy-méningite cervicale. M. le D' ' Saanoa C. Gray (de New-York). Symptômes typiques
érieùre du chiasma optique et une hémianopsie 6ttempo)'a. M. le D' ' F. Peterson (de New-York). Contribution a l'étude
m- ment changeantes, la volonté n'ayant, en un mot, pas d'existence ' réelle, comment peut-elle être susceptible de m
individuelle à la réaction affective par un organisme dans un cas ' Voyez Archives de Neurologie, 1884, t. VIII, p. 3
ons la douleur d'annoncer à nos lecteurs la mort de notre ami, le D' ' Paul BRICON, un des plus fidèles colla- borateu
e de di- vorce, par Lipman, 309; - (dia- bete et , par Lieb, 31f. ' Aliénés (ici des - au Sénat), 134, 314. Ant
e-, par Minor, 295. Thomsen (maladie de), par Ber- nhardt, 292. ' Thyroïde (altérations du système nerveux cons
25 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
L, KOUIND1 1,Al)illlE, LA\U(IIiZY, LEG1141N, LENOBLE. L6 : It0Y, L1\ ' (lff ? 11ABILLIi, lfAlW NUO\ DE i)10-iTYEL, MARI
uctions méningitiques plus ou moins diffuses, occupant tel ou tel ' Van Gehuchten. Les différentes formes de paraplég
flac- cides chroniques. On connaissait bien les paraplégies flac- ' Voy., par exemple, la collection de la Revue neur
s denx côtés. Le clonus provoqué du pied n'existe que du côté droit; ' il semble inépuisable. La nuit, Fig. 9. - Sensi
riques. On ne trouve pas de fibres moniliformes ni de gaines vides. ' En résumé cette observation nous offre un exemp
- vation à la nôtre, parce qu'il n'est pas fait mention des trou- ' Spiller. A microscopical slucly of llre spinal co
ler les analogies de notre cas avec celui de Charcot et lfichaud 1. ' L'un de nous2 a déjà rappelé des faits où la lé
hésie, analgésie et perte du sens musculaire et ostéoarticulaire. ' Brissaud. Leçons sur les maladies nerveuses, 1895
même très complet, comprendra toujours assez difficilement les . ' Van Gehuchten. La dissociation syringomyélique de
. Ray- mond. C'est lui qui l'a découverte dans la belle ville méri- ' ` dionale russe, et qui l'a fait connaître à Ch
eau en état de faire de lon- gues courses sans avoir besoin d'appui ' ». Telle est égale- ment l'opinion du professeu
compres- sion, etc. MM. IIaushalter et Adam sont également d'avis ' Professeur Raymond : Clinique des maladies du sys
de Santiago, de Buenos-Ayres, etc. Notre confrère de Santiago, le D' ' Luca, nous communiqua récemment que, l'année de
n'a pas donné tout ce qu'elle a promis à son début. Strumpfle est ' M. Dujardin-Beaumetz. De la suspension chez les t
la suspension chez les tabétiques. (Bul. gén. de thérap., 1889.) ' M. Benedikt. Die Melhodç Bonnugri de;' Behancllun
l. gén. de thérap., 1889.) ' M. Benedikt. Die Melhodç Bonnugri de; ' Behancllung des Tabès, (lVien. Medicinisch. l3l
na des nombreux inconvénients, qui forcèrent la plupart de neuro- ' O. lotcloutlcowslci. Leçons sur le labes dorsalis
permet également d'obtenir une traction graduellement croissante. ' Lande. Traitement des ataxiques par la suspension
e rendre la traction graduelle et pro- gressivement accroissante. ' Le fauteuil est léger, peu encombrant ; il se déc
s du relâchement des muscles, Archives, 2. série, t. XIII. 3 34 - ' THERAPEUTIQUE. étudiés par le professeur Leyden
éance. Le procédé de Bonuzzi est moins brutal; il consiste à flé- ' chir les membres inférieurs vers le tronc, quand
lus. Il est évident que ce procédé est l'un des plus inoffensifs. ' Notre confrère et ami le Dr Jacob de Berlin a mod
une large bande, appliquée autour du bassin et dont . Fig. il. 38 ' THÉRAPEUTIQUE. - les extrémités passent entre l
ins sont maladroites et P... urine dans son lit à côté de l'urinal. ' Le 30 janvier, il se lève comme d'habitude mais
e Bright. Comment interpréter cette hémorrhagie de siège insolite ? ' ! A quelmoment s'est-elle produite ? Nous admet
Les conclusions de ce travail peuvent être formulées de la façon ' suivante : Les maladies nerveuses, dites maladies
stipation existant dès l'enfance, du fait d'une bride mésentérique. ' ' SIMON. XXV. Les névroses traumatiques pures,
ipation existant dès l'enfance, du fait d'une bride mésentérique. ' ' SIMON. XXV. Les névroses traumatiques pures, co
rale. Très faible diminution de la sensibilité cutanée des mains. ' Evidemment il s'agit d'une apoplexie des cornes a
chez cinq individus bien portants. En tout quarante-huit personnes. ' Il a trouvé que le procédé de la tension de l'o
ce d'hémoglobinurie, de strangurie, de vomissements, de somnolence. ' Observation II. Psychose aiguë, provoquée par l
s troubles sensitifs de la face antéro-externe de la cuisse gauche. ' Archives, 2° série, t. XIII. 5 66 REVUE DE PA
ent. Ainsi parle M. Anphimow, en s'ap- puyant sur la bibliographie. ' Il fournit enfin 20 observations qu'il analyse
P. KERAVAL. z XLVIII. Des accès périodiques d'amnésie rétroactive ; ' par W.-M'. BSCIITEItEW. (Oboz1'énié psychialrii
, l'attaque ou l'équivalent de l'attaque d'épilepsie essen- tielle. ' Il est dû à l'empoisonnement qui produit les ét
amélioration ? Un système de prison qui n'essaie pas cette amélio- ' ration pendant l'emprisonnement, est en faillite.
éance du 11 novembre 1901, PRÉSIDENCE DE M. LE professeur RAYMOND,. ' Diagnostic de la poliomyélite et de la névrite
x cas d'élongation trophique (mal perforant, ulcère variqueux). 1 ' M. CHIPAULT. - Je vous présente quinze nouvelle
ommuniquent des coupes de lésions cadavériques des centres nerveux. ' Séance du 5 décembre 1901. PRÉSIDENCE DE M. LE
omènes rabiques éventuels pouvaient obscurcir encore le diagnostic. ' M. Marie propose de renvoyer à une date ultérie
e. Il y aurait des réserves à faire sur le diagnostic de myopathie. ' M. Marie. En effet le sujet est trop paralysé e
saut sur la région interne et sur la partie supérieure du membre ' gauche, où la thermoanesthésie s'arrête net en co
de leurs descendants. La proposition paraît utopique à plusieurs ' membres. Une commission sera nommée pour en exami
nce des phénomènes généraux après le début du syndrome. G. Carrier. ' CORRESPONDANCE. La GUERRE au TRANSVAAL et la
UE NERVEUSE.. Travail DE la clinique DE M. LE professeur A. Pitres. ' , ... ? 1 i Étude sur six cas de paralysie hy
main, la sensibilité est redevenue normale, mais la faiblesse per- ' siste. Une deuxième séance pratiquée le lendemain
ouvement d'opposition du pouce et de l'index est à- peine esquissé. ' La sensibilité est normale sur tout le membre :
bien portante mais n'en a pas eu d'enfant. Antécédents personnels. ' Jusqu'à l'âge de vingt-un ans, il vécut dans le
bourg, sur la circulation des méninges, en produisant une hyperé- ' Voir Archives de Se1ll'olo,r¡ie, no 73, t. XIII,
encore de nos mensurations que l'élongation proprement dite de la ' A. Ilégar. Die Dehnuag des 7{MM ! M) ? M'iener 1l
urette. Leçons svr les maladies nerveuses, 1898. 112 THÉRAPEUTIQUE. ' moelle épinière ne porte pas avec une égale int
grise du voisinage des ventricules et de la surface du cerveau. . ' A. Bogroff. Contributions au traitement des malad
(W ! 'M<Kt7; t/e pc/t : 'a ? e e< te neurologie, 1891, n* 1). ' TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES. 1113 De' s
artères et par conséquent une éléva- AIICHIVES, 2' série, 1.' XIII. ' 8 H4 THÉRAPEUTIQUE. tion de la pression artér
les vésicaux et rectaux : Eulenbourg, Mendel, Rosenbaum, Bélougou. - ' Amélioration des troubles des nerfs moteurs des
ïe : Bernhardt. Amélioration du spasme de déglutition : IIammond. ' 0. Motchoutkowski. Leçons sur le tabès dorsalis (
Vra<c/t, nos 22, 23, 24, 25, 27, 28, 1898). 120 THÉRAPEUTIQUE. ' Suppression du morphinisme : Gilles de la Toure
amélioration notable des troubles moteurs, des douleurs fulgurantes, ' du signe de Romberg, etc. En somme sur 10 cas n
signe d'Argyl-Itobertson, signe de Westphal en plein développement. ' TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES. 121 1 11 y
Beau- metz et tous ceux qui ont eu l'occasion d'appliquer la sus- ' pension, sont unanimes à dire que la suspension a
quente que l'amélioration de l'incoordination. Sur 207 cas d'amé- ' F. Raymond. Clinique des maladies du système nerv
ns sur les maladies de la moelle, p. 330. P. Marie. /.epOM ! < ? ' maM : Me a moee, p. 330. 126 6 THÉRAPEUTIQUE.
Alors découragée, je revins une deuxième fois à la consultation; ' c'est alors qu'on m'annonça que l'élongation n'ag
n, ne ressent plus de douleurs. Marche mieux. Digestion améliorée.' ' Le 11 octobre 1901. - La malade se porte toujou
agit sur les affections aiguës des yeux des tabétiques. M. Darier ' W. Bechtereff. Uebel' den Eillflus des suspension
e dos. Elle marchait sans hésitation et voyait parfaite- ment bien. ' Nous avons déjà dit plus haut, qu'au cours de l
i ont tendance aux vertiges, aux syncopes 5° enfin chez les obèses. ' Nous avons vu par l'exposé de ce travail, que p
rmes. Nous faisons en ce moment l'extension avec notre fauteuil à ' l'une de nos hémiplégiques d'un âge avancé; et pe
permettent d'obtenir une extension graduelle et calculée d'avance. ' REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
s phénomènes* 132 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ' de pensée) sur la nécessité d'une étude plus pr
regrette que physiologie et psychologie semblent s'ignorer. Simoun. ' IV. Numération des globules blancs du sang dans
que, ce qui pourrait par conséquent en faire soupçonner l'approche. ' SIUOIv. V. Quelques difficultés à la théorie de
veau du segment le plus inférieur de la moelle, et, pour les libres ' du cordon postérieur au niveau du segment le plus
if et même différentiel des kystes parasi- taires du cerveau. IL C. ' XIX. Sur l'état atrophique de la moëlle épinièr
ion au grade d'o ? i- cier de la Légion d'honneui de notre ami le D' ' Magnan, membre du Comité de rédaction des Archi
de ce terrain, variation de la maladie ou variation thérapeutique ? ' - . SOCIÉTÉS SAVANTES. 159 M. Marie. Je parta
ns'et qui va encore à pied d'un bout à l'autre de la ville. 1 GO' ' , SOCIÉTÉS SAVANTES. - M. Ballet a la même opin
iculation dans la phonation laryngée. Cerveaux de lube ? ,cttle21x. ' M. AxoLADE constate sur les cerveaux de tubercu
. M. KLIPPEL au nom de M. lIANNION lit une observation relative à ' un enfant de treize mois qui fut atteint de ménin
TÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Séance du mardi 17 décembre 1901. ' Automicrosthésie et incoordination motrice. M
la campagne. Il s'agissait d'une fausse ataxie chez un hystérique. ' MM. IIlAGNIN, Lemesle, PAREZ, REGNAULT, BLOCI1
tique. C'est un nouveau cas d'hystérie apparais- SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 163 sant à un âge très avancé sous l'influence
influence de quelques-unes de ses causes provocatrices habituelles. ' Les tremblements sont, chez les vieillards, tro
liques en plus dans les couches superficielles et dans la subs- 164 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. tance blanche. Les cellules
tique, la mère est syphilitique), on institua le traitement ioduré. ' Il s'en suivit une amélioration sensible dans l
central dans le spizà bifide ! (hydrocéphalie du IVeventricule). ' Les altérations qu'on observe souvent dans le spi
Laparamnésie consiste en une erreur de cette mémoire; on croit '170 ' bibliographie. reconnaître ce qu'on voit ou ent
Il est difficile d'analyser un pareil traité. L'auteur passe succès- ' sivement en revue toutes les variétés d'épileps
, le jeune Vila a eu une attitude cynique, riant et 1 FAITS DIVERS. ' 173 plaisantant comme s'il n'avait rien fait de
xtrait des Archives médicales (l'.J/I,r¡e/'s). iiENED)KT. - Tabes-{/ ' (1fjen vom standpolllcte der e/'{ahl'lInh und der
'.J/I,r¡e/'s). iiENED)KT. - Tabes-{/'(1fjen vom standpolllcte der e/ ' {ahl'lInh und der Lionzechanilc. 1 Picii,FR (J
EUSE-. L'obsession de la rougeur ou éreuthopl (NOTE ADDITIONNELLE ' ) ; Par les D" A. PITRES et E. RÉGIS. Nous avo
, dont le cas remarquable avait été reproduit en partie par West- ' Extrait d'un ouvrage actuellement sous presse : L
elques rares observations, notamment celles de Casper et de Boucher ' , où la préoccupation'pénible de la rougeur émot
vants bien plus anciens. Sans sortir du siècle actuel, nous pour- ' rions citer des noms tels que ceux de Lavater', C
easo, avec observations, date en réalité de six mois avant, ayant ' Lavater. L'arl de connaître les hommes par la phy
bie/ avec sa description spéciale, nous appartient donc sans con- ' Giese (de Saint-Pétersbourg). Neurologisches Cent
' 11 (1« juin). Du même' Sur les obses- sions. (l'oslraggehalten au/ ' der 30 Versammlung sûdwestdevsscleer Irrenarzle
ur écrire sur la théorie des émotions un important article critique ' , reproduit dans son bel ouvrage sur le système
certains auteurs, dont M. Arnaud mais une maladie de l'émotivité. ' J. Soury. Théorie des Émotions. (.17111ales médic
us semble-t-il, un fait déjà suffisamment établi par la clinique. ' Vaschide et Marchand. Loc. cil. * Hartenberg. L
hésitons pas à les reproduire intégralement. 188 CLINIQUE NERVEUSE. ' alors que la facilité de rougir, sans préoccupa
ntre moi. Si je suis seul, j'emploie les moyens que vous connaissez ' déjà, communs probablement à tous les malades de
pas troublé comme par l'abord d'un homme supérieur. Et pour- '192 ' CLINIQUE NERVEUSE. tant, si je veux accoster un
stion. Voici ce que nous avons trouvé (voir le tableau ci-contre) : ' Ce tableau, en dépit de quelques oscillations,
ed droit ? 'La plante des pieds est libre, les fourmis ont passé. ' Le signe + signifie : sentez thivantagu. , 204
le mollet, des noeuds; le tout disparait au bout de dix mi- nutes. ' - Sentez l'os de la jambe : mouvements de flexi
ment pour les lèvres, les joues, les mâchoires, la Jangue, la 206 ' RECUEIL DE FAITS. bouche. -Je réveille Louis, q
ants ? J'ai 12 ans et demi + Nous allons te mener à Carry,ça te 208 ' RECUEIL DE FAITS. passera + Nouvelle crise -t-
ien, va z- C'est de la tisane, ce que vous me donnez ? - Qu'as-tu : ' - Crise ? Vous ne me tiendrez pas, je suis plus
au fond, fond (bulbe ? ) qui est encore bloqué + Louis ne m'entend ' plus-)- Grand soubresaut + Ça a fait bonm, c'es
ts, la paralysie de la langue sont allés en diminuant de quantité ' et d'intensité. Je dois toutefois signaler que le
I. Les aliénés criminels; par le D1' Lentz. (bill. de la S'oc. de ' Jléd. ment, de Be1gique, mars 1901.) Etude stat
ourg; par le Dr Hémy. (Reu. méd. de la Suisse Romande, 1901, n° 6.) ' L'auteur, qui est médecin-adjoint de l'asile de
utes sortes et au surmenage qu'apporte avec elle la civilisa- tion. ' G. U. V. Contribution à l'étude des rapports de
) L'auteur préconise la réorganisation des services d'asiles dans ' le sens de la suppression des garderies et de la
èle de colonies pour chronique, type Ghel et Altscherbitz fermes. ' A. Marie. VII. Folie puerpérale; par W. Ilmscu-
ique ne se mêle pas du choix des méde- cins ; pas de favoritisme. . ' Le progrès de l'éducation publique doit faire c
s au contraire qui ne se portent bien que pen- dant leur grossesse. ' La folie arrive le plus souvent chez les primip
altérant sérieu- sement leur force vitale, sont défectueux. SnlO : ' \. XXIII. De l'infection des plaies comme facteu
rien à reprocher, pas même les mau- vaises notes qu'il avait eues. ' Or on finit par savoir que la veille où cette i
pents, crapauds, grenouilles. Voici trois observations de ce genre. ' Observation 1. Un paysan maigre et nerveux, de
pu en arrêter les mouvements. Depuis l'animal ronge son intérieur. ' Il en sent continuellement les déplacements, qu
rü, V, 1900.) L'intérêt de ce mémoire gît dans les observations : : ' - 1° Particulièrement embrouillés sont les cas
, difficile il surprendre a son début, de la première à la seconde. ' Le diagnostic différentiel, si important au poi
ndon gauche ne produisait la contraction que du quadriceps droit. ' Au moment où cette communication était faite il v
la passion de la maternité a été le facteur étiologique essentiel. ' Constipation opiniâtre et suggestion hypnotique
va dé- livrée de sa phobie. Présentation d'une grande hystérique. ' BLRILLON et PAUL MAGNIN présentent une jeune hy
a été instan- tanée. (Tablettes des Deux-Charentes, 7 septembre). ' La veuve Lamotte, habitant Étampes (Seine-et-Oise
ez des voisins. Quand ceux-ci arrivèrent, ils trouvèrent la femme ' Labrot riant aux éclats à côté du cadavre. (Bonho
ge-Ançlslalterf, in-8° de 28 pages avec 16 ligures. Kobenhavn 1901. ' - Duprit (G.-L.). La Morale. Fondements psycho-
S DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE. Sur la théorie de l'obsession ' ; Par le D' F.-L. ARNAUD, Médecin dii'cclcur
es) est l'état psychique que nous appelons l'émotion '. » Spinoza ' Th. Ribot. La psychologie des sentiments. Paris,
la vie animale par les sensations, matière de la vie intellectuelle ' ». End'autres termes, l'émotion consciente se c
us sommes tristes, parce que nous frappons que nous ressentons la ' Hibot. La psychologie des sentiments, p. 429. 2
el ou d'émotions répétées, si bien que les malades, ainsi que l'a ' Ribot. Loc. cil., p. 96. Voir en faveur de la thé
Contre la théorie. Roubino- vitch et Toulouse. La mélancolie. Paris, ' casson, 1897, et surtout J. Soury. Système nerv
ux central. Paris. Carré et Naud, 18J9,-t. If, p. 1333 et suiv. - ' Séglas. Leçons cliniques sur les maladies mentale
complexes, dérivées, pour les' émotions intellectuelles et morales ' , ' \'V. James excluait de sa théorie, la plupar
lexes, dérivées, pour les' émotions intellectuelles et morales ', ' \'V. James excluait de sa théorie, la plupart des
ons tristes, elles n'ont pu démontrer la constance de ces rapports. ' En dehors de toute expérimentation, il est d'ob
n peu confus entraînent des conclusions contradictoires. G. Dumas ' , le traducteur de Lange et partisan de sa théor
affectif, avec la cause qui a déchaîné l'avalanche nerveuse i. » ' J. Soury. Le système nerveux central. Paris, Carr
aux circonstances 3.» Chez l'aboulique, dirons-nous, l'adaptation ' Baymond et Arnaud. Sur certains cas d'aboulie ave
avec délire du toucher). Annal, méd. psych., sept., octobre 1892. ' Billod. Maladies de la volonté. Annal, méd. psycl
ement, sa gradation jusqu'à la fin, jusqu'à son redoutable sommet ' D' Joh.-Ludw. Casper. /J6)t ? tcM)'</te ! '<
e) ! : ;ll1' medicinischen Slalis- lik und SM/M) ? e ! 7t«)tf/e fil/ ' Cl'iminalislen und lei,zle, p. 165-191 (Berlin,
s cvei-ezilhophobie (Casopis céskych lék, 1900). (Pitres et Régis). ' BIOGRAPHIE D'UNE IDÉE FIXE. 271 1 terminal, nou
feuille, il m'arrivait de la retourner dix fois de suite pour me ' convaincre que je n'en avais pas sauté ; si j'ava
eine reconnu tellement tu es devenu subitement rouge. Qu'as-tu donc ' ? » Je me déplus beaucoup pendant ces vacances,
ment d'angoisse, que je parcourus pendant les premiers jours les ' lues de la ville. Les cours ne devant pas encor
que nouvel entretien, je suis convaincu qu'il n'a rien caché de ce ' qu'il aurait eu à cacher. Avec un traitement psyc
nfant (Bulletin, no 5, p. 120. 1901). 288 RECUEIL DE FAITS. lie¡ ' , Convulsions de, l'enfance à plusieurs reprises.
nelle très nerveuse, morte phtisique à trente-neuf ans, ses enfants ' sont malingres, très nerveux, surtout l'aîné, q
iquc spéciale, travaille en classe et au jardin ; traitement moral. ' Avril. Le naturel annoncé se manifeste par troi
a disparition de ceux-ci, la diathèse nerveuse, et mettre le malade ' dans de meilleures conditions pour bénéficier du
es, qu'il est resté plusieurs jours sans causer il qui que ce soit. ' Juillet. Bon mois au point de vue de la véracit
pédagogique spécial, mais avant tout d'une inter- vention médicale. ' II. A... est le type du menteur, dénaturant la
nt qu'il n'y a rien à chercher avec les toxines du bacille de Koch. ' M. Lannois a l'ait plus de cent injections de c
ique et notamment de celui deKozlawshy. (Voy. Vratsch, 1897, n° 14. ' a REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 299 Un dynamo est m
que pour préserver le malade de rechutes. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. ' 301 VII. Traitement moral dans les maladies ner
bi l'arrachement des ganglions spinaux pas non plus de dégénéres- ' cence des fibres longitudinales de la corne posté
re est à gauche presque dans toute son étendue fortement épaissie : ' elle 308 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PAT
ur commun et du nerf optique à l'extrémité postérieure de l'orbite. ' Dans l'espèce on est favorisé, pour obtenir la
a phase maniaque et à la phase mélancolique ; à des catatoniques. : ' P. KERAVAL. XXXIX. Nouvelles communications sur
vation : 312- . REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ' de paralysie unilatérale de l'oculomoteur commun
, fermer résolument les yeux et de les rouvrir rapidement (myosis à ' la fermeture de l'orbiculaire), soit en maintenan
chez les gens bien portants. Le second procédé en revanche produit ' une contraction de l'orbiculaire plus énergique,
- de l'orifice pupillaire. Ce signe précède parfois le début de la ' maladie. On peut l'observer chez des sujets norma
at ; par Ch. FÉRÉ. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, n,l 4, 1901.) ' .Des expériences antérieures ont montré que, d'
i- taire et vient uniquement de la mère. SOCIÉTÉS SAVANTES. 319 ' Etat mental des aphasiques sensoriels. M. ViGou
cardiaque. Il se croyait faussement atteint d'une maladie de coeur. ' L'autopsie n'a pu être faite. On n'a pu détermi
n. Ce n'est même pas un syndrome ; c'est une simple idée délirante. ' - M. Duram a vu plusieurs paralytiques généraux
Trésorier : M.' D. Brunet; Bibliothécaire archiviste : M. BOISSIER. ' Comité de publication : 1111. B.t,r, Briand, Va
otablement moins accusés dans la psychose à base d'interprétations. ' Grâce à sa mémoire souvent très exercée, à sa d
ésidence de M. G011B.\ULT. Paraplégie post-épileplique transitoire. ' M. IlEVEROca (de Kral) a observé des cas de par
tique ; est-ce à cause de l'ancienneté des cas observés à Bicètre, ' où n'entrent que des malades dont l'affection est
symptômes nerveux vagues. Aucun de ces malades n'avoue la syphilis. ' - - M. Souques rappelle que M. Broc trouve le v
iris est ou va être atteinte : tabès, paralysie générale, syphilis. ' On la rencontre bien aussi, comme l'a remarqué
ement de l'un ou de deux réflexes pupillaires et le signe d'Argyll. ' \111. ,Iorrnoo et Sciirameck ont pu voir plusie
et alors même que les réflexes pupillaires sont encore intacts, être ' · considéré comme un signe probable de tabes, d
ne opérée. M. 1 aDLr présente un malade qui reçut, il y a onze- ans, ' une balle de revolver dans la tête et qui eut,
e séance. F. l3oISSIEt;. SOCIÉTÉS SAVANTES. 335 'SOCIÉTÉ D'llrP : ' {OLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE - Séance du 2 : ; féro
iques du facial gauche et un spasme tonique du bras du même côté. ' Ce cas s'ajoute à ceux que nous avons publiés sur
entimètres cubes de liquide nécessaires pour l'examen cytoscopique. ' Toutefois, dans certaines formes de psychoses (
vitro; enfin quel rôle attribuera-t-on au brome à l'état naissant ? ' En résumé, de ces faits il découle que le carba
s à l'attention de tous les médecins aliénistes et neurologistes. ' D'' FnEEMAN, XIII. Essai sur les phénomènes cli
l'attention de tous les médecins aliénistes et neurologistes. ' D' ' FnEEMAN, XIII. Essai sur les phénomènes cliniqu
nelles rythmiques constituant le syndrome périodique complet. 350 ' VARIA. Pour lI. Téchoueyres les anciennes théor
ctes, avec ecchymoses spontanées et accès de lièvre hystérique; , ' Par le D' M. MUTTERER, 1 Médecin à l'hôpital de
les vertiges disparaissent. Cessation des poudres de seigle ergoté. ' 5. Ce matin à 7 heures, attaque convulsive que
e se trouvait, puis ne tarda pas à s'endormir d'un profond sommeil. ' Au moment de la visite (à 9 h. 1/2 du matin), l
Ce matin, léger saignement de nez. Ce soir, apparition des règles. ' 5 janvier 1901. Ce matin, la malade se plaint d
des crises observées purent lui être attribuées ; de plus, on put ' Note sur un cas d' hystéro-épilepsie chez l'homme
res, absolument indolores et qui disparaissaient au bout de quel- ' Die Epilepsie (Wien, 1899), p. 218. ! Traité clin
fièvre ; jamais nous n'eûmes lieu de soupçonner une supercherie. ' Voir entre autres : Gilles de la Tourette, Op, ci
é de médecine de Charcot, Bouchard et Bi issaud, t. VI, p. 1322). ' Cf. Gazette hebdomadaire, t. XXII, 1885, p. 123.
rale de l'Embryon, (Traité de Pathologie de Bouchard.) Cet auteur ' Nous avons publié autrefois dans la Revue photogr
lerons le cas très intéressant de 111bi. Garmer et Santenoise (B.). ' · HÉMIMÉLIE CHEZ UN ALIÉNÉ. 369 après avor én
sidérables (jusque 12 ans). Soukhanoff dans un travail paru en 1900 ' , a réuni les cas de confusion mentale avec exci
re et écrire, entre àl'asile d'Armentières, le 14 septembre 1888. ' Soukhanof. Iilinikitschesky journal, no 4, 1900.
uit années, s'écoula entre l'affection de l'un et celle de l'autre. ' Faut-il admettre une simple coïncidence ? La si
droit, légère, en septembre 1898; la seconde, du côté gauche, grave, ' en septembre dernier. L'histoire du malade est
celle de luit gauche, il boucha d'abord ce dernier puis le laissa ' Voir, au point de vue du Sein, la thèse de l'un d
Or, depuis il a observé trois 38 : 2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' cas dans lesquels, sans aucun doute la syphilis
est la plus atteinte, les consonnes labiales sont les plus gênées. ' Quelques contorsions du visage se montrent de t
en raison des caractères constants qu'elle présente : symétrie des ' lésions, leur localisation à l'épiphyse des os lo
IE NERVEUSE. 393 LXXXVII. Syphilis du système nerveux; par B. ONU ! ' (Onuf¡'owicz) (The New-York Médical Journal, 11
ses observées dans la pratique de l'orthopédie ; par- B.-E. UACKE : ' \ZOE. (The New York Médical Journal, 13 juillet
sur la complicité la plus ordinaire des éléments toxiques associés. ' - A. M. XCIV. Torticolis spasmodique et spasmes
libre consentement de la personne qui le signe, et par conséquent ' nullité de tout engagement pris par une personne
ujets étaient aliénés avant de commettre l'acte criminel incriminé. ' P. SÉftrLU\. XVIII. Un cas de meurtre par impul
lquefois cependant le malade se réveille en état de manie furieuse. ' 410 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. Les troubles me
e manie ; l'auteur relate ici plusieurs observations de ce genre; ' 2" Après l'attaque, les troubles mentaux varient
née de la nécessité fondamentale de la conservation de l'individu. ' - - L'effet préservateur de la punition est con
nel professionnel représentent trois degrés d'insensibilité morale; ' 3° Ils représentent aussi Lrois degrés d insens
s- tinct maternel si puissant chez la femme ? C'est ce qu'examine ' REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 415 sommairement M. A
t, la fit tenir enfermée pendant des années à l'asile de Villejuif. ' L'intérêt de son cas réside dans la logique et
s périphériques sont souvent accompagnées de troubles centraux. 0 ' M. PAI11XAUD. Les paralysies toxiques ont souve
une communicaticn sur un cas de syndrome de Bénédict avec autopsie. ' M. IlASCOVB : K communique ses observations sur
ralysé. M. Toocus montre deux cerveaux tl'liéiî21al-opltie faciale. ' Double abcès contl'(lvalaires du lobe frontal d
ro- spinale métapneumonique que M. Talabère étudie dans sa thèse. ' Les symptômes ne présentent rien de particulier ;
française de la parenté entre le pneumocoque et le ménin- gocoqué. ' G. C. XVI. Les nerfs de l'orbite, leurs paralys
-en contact est plus souvent atteinte par des traits . de fracture. ' Ces paralysies peuvent être primitives : dues à
) A propos d'une nouvelle observation d'ostéo-arthropathie syrin- ' gomyélique (ostéo-arthropathie du pied droit avec
- cin à l'asile de Moulins, promu à la 1° classe du cadre; - le D' ' Marif, médecin en chef à l'asile de Villejuif (Se
es asiles d'aliénés de la Seine. - Officiers d'Aca- démie : M. le D' ' Dicrico, directeur-médecin de l'asile d'aliénés d
brochure sur le choléra asiatique 432 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. '. ' -- où il préconisait les vieilles méthodes de t
osof·. L'effort intellectuel. G. Milhaud. La loi des quatre états. - ' )r G. Dumas. L'état mental de Saint-Simon (1" ar
dans les deux moitiés gauches des deux champs visuels. On dira : ' Hémianopsie croisée temporale et, plus couramme
jet de lumière est dirigé sur la portion abolie du champ visuel. ' La malade n'a plus d'hallucinations de la vue. El
ques convulsives qui sont le propre de l'épilepsie essen- tielle. ' Pour rendre compte des accidents convulsifs qui s
fond de l'oeil n'a donné que des résultats normaux, et cela s'ap- ' plique en particulier à l'état des papilles. La r
désordres étaient sous la dépendance ma- nifeste de l'hémianopsie. ' Aux quatre membres, les réflexes tendineux se p
ur de ce siège unilatéral du processus mor-, 448 CLINIQUE NERVEUSE. ' bide, à savoir : l'hémiparésie droite et l'apha
très nette sur la figure schématique placée devant vous (fig. 25). ' Je vous rappelle aussi qu'au point où l'axe ant
quadrijumeaux antérieurs, partie postérieure des couches optiques. ' Les autres pénétrant directement dans la substa
ne peut t plus tranchées. Il est entendu que les fibres nerveuses, ' dont se composent SUR TROIS cas d'hémianopsie.
de la couche optique, de faisceau optique intra- cérébral (Testut). ' A son origine, il occupe la région rétro-lentic
l s'y ajoute une hémianopsie homonyme droite. Un examen périopto- ' Laqueur et B. Sclimidt. Ueber die Lage des Centru
du lobe occipital, s'étendait jus- qu'à 18 millimètres de celle-ci. ' / L'observation de Laqueur et Schmidt confirme
ère. A vrai dire, il s'agit encore là d'une opinion controversée. ' Ainsi, d'après Foerster, si la vision centrale es
faveur du siège unilatéral des lésions encéphaliques présumées, en ' r faveur de leur circonscription à l'hémisphère
n une preuve, qu'elle est située dans l'angle antérieur du chiasma. ' - Si à une hémianopsie bitemporale ou à une hém
lieu social, tantôt sur le monde cosmique, soit sur le sujet lui- ' N. Vaschide et Cl. Vurpas. Recherches sur les tro
d'insister. Nous voudrions simplement attirer l'attention sur un ' N. Vaschide et CI. Vurpas. Di alcune attitudini c
e ainsi entre le sujet et des personnes qui causent. en lui-même. · ' 1 Remarquons que L... croit à l'existence réell
nous facilite largement la confirmation expérimentale de nos idées ' à savoir l'explica- tion et le mécanisme de la
que d'une forme d'hallucinations qu'habituellement on nomme psycho- ' motrice. Mais dans l'étude de l'état mental de
t les enquêtes nécessaires à leur complète connaissance sont sou- ' Vaschide et Vurpas. De la vitesse des temps de ré
côté et le centre sphinctérien de l'autre côté (obs. III et IV).- · ' P. RERAVAL REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 499 X
d'éclai- rage ; par WEYGANDT. (Nell1'olog. Centralbl., XIX, 1900.) ' ' ' f Auto-observation. En se préparant un bain
'éclai- rage ; par WEYGANDT. (Nell1'olog. Centralbl., XIX, 1900.) ' ' ' f Auto-observation. En se préparant un bain d
clai- rage ; par WEYGANDT. (Nell1'olog. Centralbl., XIX, 1900.) ' ' ' f Auto-observation. En se préparant un bain dan
outre, qu'une tare héréditaire lourde et multiple n'est pas aussi ' fréquente dans la paralysie générale que dans d'a
. VIL. Phobie du regard d'autrui; par W. M. Bechterew. (06ozrénié ' - psichiatrii, V, 1900.) . Certains neurasthéni
- possibles, de le rencontrer, en détournant les yeux, en les bais- ' sant, etc., etc. Souvent ils portent des conserve
tre observations du présent mémoire. Le malade décrit en personne ' son mal. « Devant le monde, la rougeur me monte
publics, fréquentés. M'aborde-t-on, pour me soustraire aux regards ' de mon interlocuteur, je suis forcé de me moucher
' de mon interlocuteur, je suis forcé de me moucher, de me mettre ' fumer une cigarette, de me dandiner. Avec les per
\ leur, timidité et me paralysent en quelque sorte. Si par hasard ' mes yeux se portent sur une personne qui se prése
- lement, après cela, je ne peux plus le ramener promptement à sa ' posture primordiale, je ne peux de nouveau regard
' posture primordiale, je ne peux de nouveau regarder en face cet ' étranger; il faut que je procède graduellement, a
bée qui je rencontre et de juger si j'ai affaire à un homme flegma- ' 'tique, à un homme hardi ou à un homme ardent.
hardiesse. Lorsque je ris, je puis également regarder en face... » ' ' .. , M. Bechterew ne croit pas que cette phob
ardiesse. Lorsque je ris, je puis également regarder en face... » ' ' .. , M. Bechterew ne croit pas que cette phobie
ernelle histoire du « sort » jeté par un mauvais regard, de la jet- ' tatura, de l'ensorcellement. « Cette croyance, di
res dépenses; par A.-R. WImTEWAY. (The Journal of Mental Science, ' juillet 1900.) L'asile de Saint-Luc, à Pau, a u
urs, et les évasions sont néanmoins très rares, aussi bien que les - ' dents. Enfin l'auteur résume son opinion généra
n que les -' dents. Enfin l'auteur résume son opinion générale dans, ' phrase : « Ce que l'on fait à Saint-Luc est bie
médecine ou les laboratoires sont dans les grandes villes. Il en ' résulte qu'actuellement l'étudiant en médecine es
r à la folie; et cependant un médecin de pratique asiles d'aliénés. ' '807 générale devrait la connaitre ; le diagnos
IX. Le patronage familial en Ecosse ; par le Dr PLETERS. (Bull. de ' la Société de Jléd. mentale de Belgique, juin 190
aliénés dangereux, en Prusse. · , (Psych. Wochenschr, 3 août 1901.) ' - Décret du ministre des Affaires médicales et
es asiles d'aliénés de malades dangereux. (Berlin, 15 juin 1901.) , ' L'expérience a prouvé l'insuffisance des garant
ue dans les cas de mise en liberté de certains alié- nés dangereux. ' Il convient, qu'avant la sortie de sujets que l
Il convient, qu'avant la sortie de sujets que leur passé doit faire ' considérer comme dangereux, l'autorité administra
cuper un rang important à côté des facteurs infectieux et toxiques. ' ' . M. CROU50N présente un malade de cinquante-
per un rang important à côté des facteurs infectieux et toxiques. ' ' . M. CROU50N présente un malade de cinquante-si
èces d'un cas de cécité avec conserva- tion de la vision interne. ' M. DUPONT montre un appareil ingénieux pour exami
- - A l'autopsie d'un enfant atteint d'idiotie avec microcéphalie, ' Bourneville et Oberthur ont trouvé une lésion f
coces ; par le Dr René \fsssEov. (Thèse Paris, Boyer, 1902, 265 p.) ' - L'auteur s'est efforcé de caractériser les dé
ois elle parvient à se fixer : la fatigue survient très rapidement. ' La durée des temps de réaction est considérable
Bruxelles. (Le Petit Parisien du 11 novembre 1901). . VARIA. 531 ' Une femme trouvée morte. Ces jours, derniers M. B
du vertige et le suicide, par J. Hegnault. ! 11. La pratique de ) ' -, par Coste de La.-rave, 335. B.SEDOW. Contr
, par Kalnius, 385. Benedikt. Syndrome de -, par Bo- nafonte, 55. ' Benzol ET TOLUOL. Intoxication par les dérivé
383. Ecobce. Fonctions et psychologie, par Herbert Ntcltols, 131. ' ELONGATION TROPHIQUE, par Chipault, 86. ) E
des pieds pour l'étude de jft. par Moenkemoeller et Kaplan, 311. ' IARYLA ? D. Loi -. Voir aliéi6s ~ Masochistes
an Bieivliet, 168. MLM\GO-E\CÉ1'HAUTE. Voir Ilalltt- cinaiions. ' Méningite cérébro-spinale il forme de paialys
287. Meurtre par impulsion homicide pure, par Wylesworth, 406. ' 11CRODACT1LIE. Voir Vao'of/ctc ? e. Migraine
commun de - avec bâterie inter- mittente, par A. Gordon, 1,4. - ' traitement, par Phcque, 171. He- lattons entre-
intérieures du plexus brachial, par Btassert, 390. - périphérique ' cas peu commun de - brachiale survenue pendant
E. Feindel, 1. - post-épiteptique transitoire, par Héveroch, 320. ' Paramyoclonus multiples, par Mar- ton, 395.
éréditaire d'états pathologiques acquis, par Obers- teiller, 387. ' Trophadèmes, par lleige, 8u. chronique hérédi
theim-Solomonson. 500. Troubles \1071 : LItS. Voir Tics. - a. S42 ' TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS. évolut
doxal des pupilles de -, par Antal, 63 . Vitiligo. dans le tabès. ' " - et tabès, par Souques, 330. ? , - et tabè
Coste de Lagrave, 91, 335, Coastensoux, 244. Cosvles, 77. 226. ' Crothers, 905. Cionsen, 516. Crauzen, 517.
n, 517. Dana, 51, 398. Decroby, 17, 18, 53. Pelabarre, 146. î6. ' Uenoyès, 50. Destara, 401. Detchpff, 523.
bO, 1 i : J. Dewey ,227. 301. Diax-Uelacio. 372. Dide, 514. l, ' Dioni3 du Séjour, 517. Drew, f04. 1)111108,
26 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ique des maladies mentales a la Faculté de médecine de Paris. ' V. MAGNAN Membre de l'Académie e de médecin
Deuxième série, tome XII. 1901. Avec 19 figures dans le texte. ' PARIS BUREAUX DU PROGRÈS MÉDICAL ' 14, rue de
ec 19 figures dans le texte. ' PARIS BUREAUX DU PROGRÈS MÉDICAL ' 14, rue des Carmes. 1901 Vol. XII. Juillet 19
o- lique et hypocondriaque. Le patient se plaignait d'être obsédé ' sans cesse par des maximes latines et de ne pouvo
scrite une lettre qu'il écrit à cette époque. « Mon cher docteur, ' « Je ne sais pas comment se fait que je sens la
je ne sais pas pour- quoi : je sais qu'un homme qui s'appelait le D' ' Marie te reçut de la femme et te retenait toute
le plus souvent des choses agréables, érotiques. Parfois même ces ' femmes empruntent sa voix et causent par sa bouch
ux faire mourir monsieur G... c'est pour avoir ces 40 mille francs. ' « Ce monsieur est un cochon, roche assassin je
x, Marseille, Toulon. J'ai beaucoup voyagé à toutes mes facultés ». ' Dans ses écrits, comme dans ses paroles, on sai
désagréable, tantôt agréable des propos que le « don » lui tient. ' / Il est intéressant de noter la gradation qui
les conceptions délirantes génitales des paraly- tiques généraux. " ' : XVIII. Aux deux premières périodes de la mala
e sa dernière publication intitulée Anatomie cérébrale et Psycho- ' L. Edinger. Vorlesunçien iibcr den Ban (1er )e-v6
tudier à part la conscience et le monde, les choses ne nous appa- ' Voy. Jules Soury. Le Système nerveux central. Str
écé- rébrés *. L'acuité, la rare pénétration de l'esprit critique ' Alfred Schaper. Experinxenlelle Sllldien an Amphi
irbellosen l'hiere. Leipzig, 1899. 36 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' que la question de la conscience soit épuisée.
ette certitude suffirait à l'empêcher d'écouter les propositions de ' Sigm. Exner. Entwll1'f' ? 11 eizzer physiologisch
cause des réactions névrogliques et des dilatations épendy- maires. ' G. D. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. L'affaire
libérales en matière de responsabilité, que l'on adopte personnel- ' Nous ne pouvons accepter absolument cette opinion
AT. V. Sur l'irresponsabilité des criminels; par Charles Mercier. ' (Tlee Journal of Mental Science, avril 1900.) N
quartiers, les informent des changements survenus chez les malades, ' leur montrent les nouveaux entrants, et inscri-
; 2° Si cette hypothèse admise, on a des raisons valables de con- ' sidérer un aliéné comme partiellement responsable
on. » « 2° La division d'un asile en deux portions, de dimensions ' C'est la pratique que nous n'avons cessé de recom
s quand le recouvrement doit avoir lieu sur le contingent communal. ' 56 SOCIÉTÉS SAVANTES. Mais cette façon de pro
t la queue de cheval; l'affection a été à la fin suivie d'atrophie. ' - Arthropathie dans l'amyotrophie. M. Etienne
ne communication sur l'évolutionnisme moderne et la dégénérescence. ' Secrétaires des séances : A. Bernstein ; V. lOU
cupe correspond aux numéros 53, 54, : i9 et 61 du schéma d'Exner. ' Le cas est intéressant au point de vue chirurgica
s. Vouloir, c'est désirer le possible ; il implique l'assurance; 72 ' BIBLIOGRAPHIE. l'éducation physique aura servi
doive toujours être touché en dernier lieu après le reste du corps. ' D'ailleurs l'idée de prédisposition entraîne ap
la plupart des établissements d'enseignement secondaire. 76 VARIA. ' communications; déjeuner individuel. A 2 heures
ente-trois ans, demeurant 14, avenue Hoche, a jeté, hier à , VARIA. ' 77 7 midi, du cinquième étage, sur le trottoir,
ns (Allier); M. le Dol' NOLÉ, directeur- médecin à Sainte-Catherine, ' nommé diJecteur-médecin à Saint- Alban; M. le D
rger. Horrww (A.). Pathologie und thérapie der Huzneurosen und de ? ' functionellen kreislansslorungen. Iu-S° de ix-3
tte délicate question des droits et des devoirs des médecins dans ' le traitement des malades atteints d'affections m
des pièces, deux chambres et une cuisine; il revoit la place des ' meubles, la couleur du papier. Par contre, il se
médecine légale, 1885. Tli,)msen. ctH ? <7<) ? Wbc/te/ ! sc/i) ' ? /7, 1888. 5 Brouardel. Bulletin de l'Académie
nes, puisque des souvenirs datant de cette époque ne peuvent être ' Malgaigne. Gaz. met., 1825. Ferrus. Gaz. méd., 18
chez R... et chez les hystériques de M. Janet d'une façon analogue. ' Cet auteur conclut, en effet, forl ingénieuseme
1'cep- tion personnelle ; c'est ce troisième élément qui rattache ' Janet. L'amnésie hystérique. Névroses el idées fi
sie antérograde émotive. (Rev. de psychiatrie, sep- tembre 1900.) ' Régis. Note sur des tentatives de suicide par pen
ements combinés par lesquels le corps s'adapte aux variations des ' Voir Archives de Neurologie, n° fii, 1901, t. XII
, 2° série, t. XII. 1 98 , REVUE CRITIQUE. conditions extérieures ' ». Huxley avait résolument écarté les interprét
à chez les embryons de poissons comme chez les larves décérébrées ' Th. Huxley. L'Écrevisse. Introduction ci ta zoolo
'orientation des animaux. Il faut bien prendre garde que l'hérédité, ' non seulement des mécanismes, mais celle de leu
créent de nouveaux centres et de nouvelles voies d'associa- tion. ' Toutes les observations des vingt dernières ann
'irradient ces faisceaux de projec- tion. L'impression qui s'impose, ' c'est que ce mécanisme cortical réalise, dans u
dérivée de l'étude directe, com- ANATOMIE CÉRÉBRALE ET PSYCHOLOGIE. ' '103 parée, de la constitution anatomique de l'
ctes, aussi bien que l'encéphale, sont relativement très simples. , ' Avant tout, il convient d'établir dans quelles
méthode d'Unna au bleu de méthylène polychrome; par T. ALDUUS CL1 ! ' \cu. (The Joul'nal of Mental Science, juillet 1899
e, sans lésion du nez, et paraissant d'origine pure- ment nerveuse. ' Le cas que l'auteur décrit dans le présent trav
ment et de sa fin : on n'aura tranché que la question de vitesse, ' 16 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQU
de 13l< : ellTEtliè\\". (Neurolog. Ceutrul6lutt, XIX, 1 ! jojo,) ' Confirmant son mémoire russe de l'Obozrénié psi
ations microscopiques des cornes d'Ammon, qui, généralement avaient ' marché de pair avec des altérations d'autres pa
s ont un long ou court trajet et suivant l'étendue du nerf réséqué. ' La condition de la réparation complète est la r
sation de la tumeur, enfin sur la possibilité d'une inter- vention. ' L. D. XX. Des réflexes vaso-moteurs, dans l'éry
e la vie, et surtout pendant la période de maturation des fonctions ' nerveuses plaide fortement en faveur de l'opinion
signes proprement dits de folie. . REVUE-.DE pathologie : mentale. ' 135 Il est légitime de supposer, pourtant que l
.tion des paupières (supérieures); indiquant un trouble fonctionnel ' dans le troisième noyau ou l'un de ses éléments c
face, uni ou bilatérale, sueurs unilatérales, dans diverses formes ' de' manie et ^spécialement chez les épileptique
is le mot aphasie a actuellement une signification trop étendue, et ' conception qu'il éveille comprend certaines var
de se souvenir est stimulée ou inhibée. L'auteur a signalé dans son ' ,138 REVUE DE- PATHOLOGIE lIiENTALE.- travail qu
ouvent interrompu, qui suggérait naturellement l'idée d'alcoolisme. ' IL de M. X. Sur les maladies corporelles consid
- XI. Sur l'état mental' d'Auguste Comte; par William-W. IRELAND, ' (7'/te</otfr/ : «o ? f;K<f(/e ! eHce, janvi
le- ment le résultat d'un processus inflammatoire local adjacent. ' Sans nécropsie, le diagnostic de la nature des lé
- sence de manifestations hystériques. l'OULARD, XIX. Cas anormal ' de paralysie saturnine, suivi d'autopsie par" w
s anormal ' de paralysie saturnine, suivi d'autopsie par" w Dr B." " ' 0,NLJF. (Tlte Journal o' ' Nel'vous and mental De
turnine, suivi d'autopsie par" w Dr B." "' 0,NLJF. (Tlte Journal o' ' Nel'vous and mental Desease, Alarch 1900.) L'
Alarch 1900.) L'intoxication saturnine : donna lieu à une paralysie ' flaccide complète des deux extrémités inférieur
de la sensibilité au contact, à la douleur, à la température dans. ' la partie supérieure et interne de la cuisse' dro
de Landry, partant des pieds et remontant jusqu'aux nerfs crâniens. ' Bien que la substance toxique qui produit la pa
rder les cordons postérieurs comme la voie des sensations tactiles. ' Poulard. 150 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XX
ique. P. XXVI. Etudes sur l'astéréognose ; par F.-X. Dercum. (7oM) ' ) : . of ' Ne¡'v. and Mental Disease, novembre 1
XXVI. Etudes sur l'astéréognose ; par F.-X. Dercum. (7oM)') : . of ' Ne¡'v. and Mental Disease, novembre 1900.) Ces
lirant. Il n'est pourtant qu'un aphasique. 154 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' Sclérodermie. M. Brissaud présente un homme qui
t isolée de la troisième paire par ramollissement pédonculaire. ... ' MM. AcuARD et LOPOLD LEVI. Lorsqu'une lésion pé
re spasmodique avec une destruction complète du vermis inférieur. ' L'encéphalite aiguë sénile. MM. F. HA DIOND et
e pseudobulbaire par désintégration locunaire bilatéral du putamen. ' MM. E. Dupré et Dcvaus. L'observation anatomiqu
I[JR. Dans beaucoup de cas les accidents de com- SOCIÉTÉS SAVANTES. ' lg9 pression carcinomateuse de la moelle et des
'étudier l'invasion des tubes nerveux par les tumeurs épithéliales. ' . Etude d'un cas de paraplégie diabétique. M.
is par la pointe, comme cela arrive ordinairement dans le steppage. ' L'examen du système nerveux central et périphér
faisceaux nerveux on ne voit pas beaucoup de fibres saines. - 160 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. En résumé, l'altération, qui
il a par bonheur trouvé la biographie consciencieuse due à Matter. ' BIBLIOGRAPHIE. '163 puis il a fallu lire les in
er. Connaissant suffisamment Swedenborg on est porté à croire qu'il ' y a eu en lui deux hommes bien distincts et que
moins : même origine, mêmes phénomènes, même marche, mêmes effets. ' * Nous voyons là combien les termes précis ont
, une petite bonne femme qui avait l'air de lui sortir de la poche. ' En outre des pensionnaires de l'asile, le publi
chef de Maréville, promu à la 1'° classe du cadre (janvier 1901). ' SUICIDE d'adolescent. Un jeune homme de dix-sept
Evreux, Ch. lléuisscv, im. - 7-J DO 1. Vol. XII. Septembre 1901. ' N° 69. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEU
la vision en apercevant le dos rouge d'un livre posé sur une table. ' La troisième (7° crise) se produit dans des con
moment, sans cause connue, elle a recouvré la sensation du clair. * ' L'examen pratiqué par notre ami M. Ginestous, i
L'examen pratiqué par notre ami M. Ginestous, interne de M.le le D' ' Lagrange, confirme aujourd'hui les détails enregi
ale ; les troubles parétiques seuls se sont montrés moins accentués, ' la malade pouvant maintenant surveiller ses mou
dans sa moitié anesthésique soit dans l'autre moitié. Si on pro- ' Leçons cliniques sur l'hystérie, t. I, p. 111-12.
e, à 1t peine un mois après la fin de la précédente (14-17 mars). ' On ne peut nier, dans ces conditions, une relatio
pres- crire à notre malade des composés ferrugineux. Mais M. le D' ' Régis, dans la discussion à laquelle donna lieu l
h. de Montpellier, '1892, p. 80. 3 Leçons du mardi. 1889, p. 517. ' Leçons clin, sur l'hyst., p. 140. HYSTÉRIE JUVÉ
te... mais dans la grande majorité des cas, la surdité hystérique ' Noie pour servira l'histoire 4le l'lcysléro-épile
, p. lot. Cité par Gilles de la Tourette, loc : cit., t. I, p. 337. ' t3 Ncw YoOc policl, 1S ! J ? p. 299. ' Loc. c
loc : cit., t. I, p. 337. ' t3 Ncw YoOc policl, 1S ! J ? p. 299. ' Loc. cil. " Maladies de l'appareil visuel, t. I
9. ' Loc. cil. " Maladies de l'appareil visuel, t. II, 472, 1897. ' 10 7'milé de palhol. générale, 1901, t. V, p. 1
ut M. Pitres, l'amaurose absolument complète avec abolition de la ' E. Fucus. Manuel d'ophtalmologie, 2c édit. frança
neHi. a f/tMoczcon (/e /a UMMK & : ) : oeMa</'e c/;e f/MeMes ' A. Antonelli. La dissociation de la vision binocu
e Bordeaux, na 27, 8 juillet 1900, p. 486.) ° Loc. cil., p. 225-26. ' 200 CLINIQUE NERVEUSE. - vont se passer, ne s
, in- termittente : elle montre que le sujet à un certain moment, ' Loc. cit., p. 231. « Il semble, dit Gilbert Bal
s dont l'examen a servi de point de départ à l'article d'Antonelli. ' HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEL UNE FILLETTE. 201 1 à
ela- tivement rare, et si, après avoir constaté la persistance de ' t. Dor (fils). Une observation de persistance de
it pas réellement, et qu'on la considère comme telle en clinique. ' Loc. cil., p. 226-28. 2 Loc. cit., p. 227. Voir
nalogue de Parinaud. (Art. cité des Annales d'oculistiq., p. 36-37. ' 206 CLINIQUE NERVEUSE. * Et cependant la pers
rsistance de la sensibilité visuelle est certaine dans la cécité. l ' Comprenons-nous mieux pour cela cette non-perce
r rétrécir, plus ou moins, le champ de conscience de cette fonction ' ». Mais qu'on se rallie à l'une de ces trois th
sque toujours incomplète, en rapport avec l'oeil amblyope : il en ' hoc. cil., p. 231-32. HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UN
CHOLOGIQUES. 209 ment, ce que pouvait provoquer dans une conscience, ' ne présentant aucun Irouble morbide, l'existenc
céphalée et ces douleurs dans le dos sont à peu près continuelles. ' G... présente de certains moments des idées obs
s déterminées. RECHERCHES SUR LES TROUBLES PSYCHOLOGIQUES. 1.3 IV ' Voici maintenant les résultats auxquels nous so
opos, que nous tient G... au moment de ses grandes hallucinations.- ' Les actes ne sont pas moins désordonnés que les
ce qui. vient de se passer, sa.cons- cience est de nouveau normale. ' Cet état de réveil, pendant lequel malgré la di
s ont' en outre le mérite d'apporter quelque contribution à la psy- ' chologie de l'hallucination. 2° Notre cas pré
s de sa maladie, tandis qu'elle serait en rapport direct avec l'âge ' de l'individu, et spécialement avec la gravité
t plus vite dans le cas de mauvaise humeur que dans le cas inverse. ' P. KEHAVAL. XLVII. Altérations spinales dans la
la flexion; 230 REVUE d'anatomie ET DE physiologie pathologiques. ' 3° Le réflexe de. Babinski s'obtient chez environ
ment du réflexe rotulien exagéré et de la trépidation épileptoïde ; ' il peut persister un certain temps après la dis
incipe des courants moléculaires aux cellules paroiicliyinaue uses. ' L'inhibition est une manifestation tardive dans
Drouineau, repré- sentant le ministre de l'Intérieur, et de M. le D' ' Chénieux, directeur de l'École de Médecine de L
veau dont l'humanité aura à profiter. (Applaudissements.) M. le D' ' Ciiénieux, directeur de l'Ecole de Médecine, pro-
e ! Tous les progrès ne sont-ils pas solidaires les uns des autres' ? ' ? Le président du congrès se trouve, cette anné
ique conventionnelle avait repandues sur la nature de « l'esprit )J ' ! Comme l'a dit Bacon, nous ne recevons pas ave
M. le De Théophile Raymond, conseiller général de Limoges; M. le D' ' Urouineau, délégué du Ministre de l'Intérieur;
esseur Pitres; M. le professeur Raymond. Vice-présidents : Dl. le D' ' Boubila, médecin de l'asile de Marseille ; M. l
somnie est absolue. Pendant la veille, les sujets ont déjà des hal- ' lucinations terrifiantes; ils éprouvent une irrit
une symptomatologie spé- ciale qu'il est impossible de méconnaître. ' Les principaux symptômes qui les caractérisent
nous apparaît donc comme un délire d'origine toxique susceptible de ' survenir, dans des conditions étiologiques favo
olente dans le délire aigu, est tou- jours accompagnée de frayeurs. ' Le délirant aigu refuse les aliments, va, vient
des mélancoliques. Ils peuvent du reste avoir des idées de suicide. ' M. le professeur BRISSAUD, qui présidait cette
éfet d'avoir honoré de sa présence notre fête de famille. M. le D' ' Ballet, en quelques mots, a répondu que dans to
ses après les crises épilepliques, mais chez des sujets hémophiles. ' 4 M. BOURNEVILLE. - Les épileptiques chez lesqu
e la main droite change complète- ment. Psychose )o-ope)'a<0 ! ' )'e. M. DEVAY (de Lyon). La question des rapport
ieurs. L'observation que je rapporte rentre dans ce cadre clinique. ' V..., 24 ans, cultivateur, ne présente dans ses
quitter l'hôpital. Son état mental alla en s'aggravant jusqu'au 268 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 29 septembre; il était carac
e à midi. Séance du vendredi 2 août (soir) à Saint-Priesl-Taurion ' Présidence DE M. Gilbert Ballet. Tumeur cérébel
est très heureux de voir M. Martin confirmer les SOCIÉTÉS SAVANTES. ' , 271 1 idées de son maître, M. le professeur B
les et cliniques sur l'hédonal, hynoptique du groupe des uréthanes. ' MM. Roubinowitch et Philippet (Paris). - D'une
ème nerveux à impressionnabilité différente, selon les individus. - ' Parmi les intoxications primitives, causes de l
deviendra une thérapeutique pathogénétique et non plus empirique. ' 6. Contribution à l'Étude du délire des Invention
ce ; 3° dans le lobe pariétal gauche pour la lecture de la musique. ' 9. Psychologie de l'expertise médico-légale (fé
, médecin adjoint à Saiut-1'lie, promu à la 11'0 classe du cadre. ' Distinctions honorifiques. Ont été nommés chevali
rifiques. Ont été nommés chevalier de la Légion d'honneur : M. le D' ' Garnier, médecin en chef, directeur de l'asile
jon ; M. Balet, directeur de l'asile d'a- liénés de Ville-Evrard. ' Asile d'aliénés DE 1\aoGEaT (Haute-Vienne). - Un
e. S'adresser à M. le D1' Dour- sout, médecin-directeur de l'asile. ' ' Le ? 'ët<ae/e ? f/ë< ? < Bourneville
'adresser à M. le D1' Dour- sout, médecin-directeur de l'asile. ' ' Le ? 'ët<ae/e ? f/ë< ? < Bourneville.
nile. Voici le texte complet des remarques présentées par M. le D' ' Régis sur la communication de M. le Dr DEVAY. M
i vinrent y chercher un asile durant les guerres du pays albigeois. ' Le nombre d'aliénés originaires d'Ambialet rapp
ons. . Un cas de paralysie générale à début anormal ; par M. le D' ' Pailhas (d'Albi). Séance du samedi 3 août (mati
du neurone est gêné, un éréthisme Ft ? 2. 1 SOCIÉTÉS PAVANTES. ' 317 fonctionnel qui donne lieu à une exagératio
ticaux. Certains réflexes défensifs continuent à parcourir I% i. 8. ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 323 les voies courtes; 4°
uisent, comme chez les vertébrés inférieurs, par des voies courtes. ' L'orateur fait ensuite la physiologie des réfle
hysiologie du système nerveux de l'homme, il nous semble que, seule, ' la méthode anatomo-clinique pourra servir il ét
es différentes profes- sions insalubres exercées par les parents. ' Voir Bourneville, Substitution du blanc de zinc a
rageux, les nuages figurent de vagues formes d'animaux, de monstres, ' de fantômes. Dans les voyages noc- turnes, les
imple vue théorique, mais la conclusion même qui découle des faits. ' Tout récemment encore, je voyais une malade att
ait, à mon sens, mieux indiquer ce qui se passe dans l'obsession. · ' 3° Il est des cas enfin où l'on voit la maladie
e de M. le D1' Gilbert Ballet, l'autre dans le service de 111. le D' ' Béclère à l'hôpital Saint-Antoine, il a constaté
d'une i'eçon presque exclusive l'action paralysante de la cocaïne. ' A côté de ces avantages, l'injection sous-arach
ontre successivement marchant et propres, se développant - 3 xj -. - ' ? 344 ? . ' SOCIÉTÉS SAVANTES. - " f. \1 ?
vement marchant et propres, se développant - 3 xj -. -' ? 344 ? . ' SOCIÉTÉS SAVANTES. - " f. \1 ? physiquement e
des barres et des 0 et travaille bien à la gymnastique. Apprenti ' cordonnier, il est chaque semaine récompensé. Au
a longueur des phrases qu'il forme et les idées qu'elles expriment. ' Très mal doué sous le rapport de la mémoire, St
imprimés et s'intéresse davantage à tous les exercices classiques. ' . Enfin, cette année (1900), les progrès ont ét
is sauvages; mordant ceux qui l'entouraient, gâtant jour et nuit. ' Cet enfant, signalé dans le Compte rendu de 1899
N11. RLCrs et L\LANt<E. Sous le nom de « Catatonie n, Iiablbaum ' G. Pautet. La mimique faciale. Paris, Baillière,
ÉTÉS SAVANTES. · SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Séance du ' 16 juillet 1901. Présidence DE M. JULES Voisin
omis- sements en badigeonnant de collodion au bleu de méthylène les ' * régions cutanées qui correspondent à l'estoma
upporte toute espèce d'alimentation et ne tarde pas à engraisser. ' Le deuxième cas est celui d'une femme de trente-c
à mon rythme vocal. Fausses grossesses et grossesses nerveuses. D' ' Henry Lr31ESr.r (de Paris). Les récents événement
ici une analyse, la seule table incomplète des matières dépas- 362 ' " bibliographie. serait de beaucoup les limites
ttribué à un accès de folie. (Le Bonhomme Normand, du 10 mai 1901.) ' Rue Descartes, en l'absence de son mari, la dam
FAITS DIVERS. Asiles d'aliénés. Nominations et promotions. M. le D' ' Colin, médecin-adjoint des asiles, en disponibi
x et criminels. Il est compris dans la 3° classe du cadre. AI. le 1) ' 1 ? aDreR, médecin de lr° classe à Rodez, est p
o de 10 pages, avec 10 ligures. Napoli, tipografia Metfi et Joebre. ' LADAVE (Charles). Le phénomène de la ch¡'omatol
tants sensoriels et de quelques narcotiques 1 montre que ces deux ' Ch. Féré. Études expérimentales sur le travail ch
amique sur la valeur du travail musculaire, etc. (Ibid., p. 110.) ' P. Nacke. Die Epilepsiebehandlung nach ,Toulouse
ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL. 375' · 376 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. \ ' ·',1 ? 4 r. é ? l'influence DE l'alcool ET DU ta
DU TABAC SUR LE TRAVAIL. 375' · 376 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. \'· ' ,1 ? 4 r. é ? l'influence DE l'alcool ET DU taba
istaient et même plus fréquentes que celles-ci des altérations en ' L'influence de l'alcool sur le travail. (C. R. So
ographie, ils ne figurent pas dans le tableau de MM. Féré et Lance. ' Les hystériques qui ont le maximum de dermograp
la création de classes spéciales annexées aux écoles primaires de ' La section d'idiotes de Villejuif a été supprimée
en Hollande un, en Suisse trois, en Italie cinq et en France cinq : ' en outre de ces cinq asilee fran- çais les épil
aralysie générale : elle est caractérisée par l'absence de tonicité ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 413 dans les attaq
rs de la médication, sédative ; par C.-K. HITCHCOCK. (The Journal o/ ' Olentcal Science, janvier 1900 ) Voici le détai
il a obtenu, chez ses malades, un nombre stipe- rieur de guérison^, ' peut-être une diminution de mortalité, et proba
es sous-surveillants, les sous-surveillantes, les infirmiers et les ' Voir Archives de Neurologie, non 69 et 10, t. XII
; stage dans les quartiers imposé aux agents des services généraux. ' Bien que ces diverses propositions n'aient rien
2° Organisation du service de veille, en laissant à chaque asile ' L'administration a été plus loin et a créé cette
une garantie pour le public. Un registre des candidats reçus est ' Procès-verbaux de la Commission de surveillance d
té.) 424 SOCIÉTÉS SAVANTES. 6° Organisation du service de veille. ' M. 'l'AGUET pense qu'il faut laisser chacun lib
veilles par des infirmiers veilleurs ou des infirmières veilleuses. ' M. Doutrebente fait remarquer qne dans ces cond
rappelle que la pension de repos en nature ou en SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 425 argent existe depuis longtemps dans les hôp
vieillesse. L'asile pourrait contribuer pour partie aux versements, ' Rapport sur la fondation d'une Caisse de prévoyan
demnités de repos (pour ceux qui veulent vivre hors de l'asile). ' M. Taguet ne voit pas d'inconvénient à ce que les
ombreux fonctionnaires, assis- taient également à ce vin d'honneur. ' M. Labussière a pris la ^parole pour féliciter
-Anne comme annexe de l'asile de Bicêtre. (B.). asiles d'aliénés. ' 4 : : 1'1 -ces aménagements. Dans la distributi
les aménagements. les plus perfectionnés; application de l'open-doo/ ' dans la plus grande partie de l'établisse- ment
ileptiques, on a distribué gratuitement pour 104 francs de bromure. ' La Société a versé 968 fr. 50 pour 10 aliénés i
ut joindre les aliénés qui ont manifesté des tendances homi- cides. ' Pour les deux dernières catégories, le placemen
8 novembre et 13 décembre 1898. 10. janvier et 7 février 1899. et ' portant modification de l'arrêté réglementaire du
commissaire de police du quartier; 6° un certificat de l'Assistance ' Nous avons enfin obtenu gain de cause sur ce poin
enceinte même, des hôpitaux pour le traitement des aliénés aigus. ' La question des petits asiles urbains, ou mieux d
proportion des cas aigus nécessitant une hospitalisation immédiate. ' 2° Cette catégorie de cas aigus dont la proport
Le chemin de fer, les tramways électriques ne se prêtent pas au 442 ' BIBLIOGRAPHE. transfèrement de ces sujets, non
nsidère comme suffisants 4 pavillons avec un total de 60 à 80 lits. ' M. le or Dannemann a étudié en même temps que M
s, avec Si figures. Prix : 7fr. 50. J.-B. Bailliere, 1901. FOUI : ' (EAU. - Formulaire de thérapeutique infantile. In-
(J.). Beilrag ZUI' 7fe)U ! <n ! M der analomischen Goundlage de; ' Dluskelatroplzie. (Deulsclies archives sur klinis
ion par rétention fécale, par lésion des organes digestifs, estomac, ' foie, intestin. Le plus souvent elle pro- vient
se ne pesant chacun que 80 grammes. Vessie rétractée, sans urine. ' Pas de lésions cérébrales macroscopiques sauf un
mière fois le 14 décembre 1887. Père mort à soixante ans, mélau- ' Je n'avais pas encore, à cette époque, mis en usa
r de l'Asile clinique; M. Gillet, économe, 1\1. Péronne, architecte, ' sont venus visiter le pavillon de chirurgie de
sont par- fois insuffisantes : dans certains services ou j'ai passé, ' elles manquent absolument : à l'hôpital Bichat,
IE PATHOLOGIQUE. L'influence de l'alcool et du tabac sur le travail ' ; Par Cii. FÉRÉ, médecin de Bicêtre. II. En c
ogique. INFLUENCE DE l'alcool ET DU tabac SUR LE travail. 468 466 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. EXPÉRIENCE V. -On com
par Esquirol2, Tardieu3, Morel 1, Griesinger 5. Dans le traité de ' Guislain. Leçons orales sur les phi-énopathies. I
ie ita- lienne : l'une est due à Brugia et Marzocchi13, l'autre à ' Dagonet. Traité des Mal. mentales. Paris, 1894. -
systématisés et sur leur valeur, 0. Doin. Paris, 1892, 144" p. - ' Scinde. Traité des Maladies mentales, traduit par
psychiatrie italienne). Milan, sept. 1887. Fasc. V. Anno XXIV. 418 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. ' Riccie. Enfin, blondio=,
. Milan, sept. 1887. Fasc. V. Anno XXIV. 418 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. ' Riccie. Enfin, blondio=, tout récemment a fait
e l'ap- p(l1'ence d'actes intentionnels ou professionnels, qui se ' C. Ricci. Le sléoeotypie nelle demen;;e e special
décem- bre 1898, M. Deny fournissait le certificat trimestriel : ' Ph. Chaslin. La confusion mentale primitive. Anna
eu près sous la même forme, mais des idées de grandeur sont appa- ' Cit. par J. Séglas. Les troubles du langage chez
u'il timbre toujours, porte invariable- ment l'adresse suivante : ' Lettre, Papiers d'Affaires. A Messieurs les Pro
ve dans les délires systématiques. Aussi les prendrons-nous comme ' J. Seglas. Troubles du langage, p. 230. ' J. Sé
es prendrons-nous comme ' J. Seglas. Troubles du langage, p. 230. ' J. Séglas. 1(l., p. 241. ' CONTRIBUTION A L'ÉTU
J. Seglas. Troubles du langage, p. 230. ' J. Séglas. 1(l., p. 241. ' CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES STÉRÉOTYPIES. 487
lle est restée au début longtemps sur une chaise, sans parler,immo- ' J. Séglas. Sociélé médico-psychologique (Discussi
- mie. Elle est magnétisée et fait des « signes excavalatiques ». ' Cela tient sans doute à ce que les premières se v
ment, quand la volonté et la conscience commencent à disparaitre. ' A. Marie, loc. cit. Obs. VI, due à M. Séglas. 4
tte période, survient la ruine mentale du sujet, les stéréotypies ' ' J. P. Falret. Leçons cliniques de médecine ment
e période, survient la ruine mentale du sujet, les stéréotypies ' ' J. P. Falret. Leçons cliniques de médecine mental
malade a fourni cette expli- cation pendant un temps assez long. ' Pierre Janet. Névroses et Idées fixes, I, p. 398.
lus pouvoir donner de cet acte familier une explication quelconque. ' ' En résumé quand le délire est systématisé, le
s pouvoir donner de cet acte familier une explication quelconque. ' ' En résumé quand le délire est systématisé, les
. Névroses et Idées fixes, II, Paris, p. 385. Alcan, Paris, 1898. ' Nous repoussons donc les autres hypothèses propos
fond -instinctif qui réapparaît après la perte de la personnalité. ' 111. Les stéréotypies nous révèlent toujours la
tout leur vocabulaire au mot « non » qu'ils répètent à tout propos. ' La folie d'opposition si fréquente chez les nég
tis. Idées de négation. (Il Manicomio mode1'llo. Année XVI, n°3). ' Morel. Traité des Maladies mentales, p. 360. 49
uis quinze ans, a des maux de tête et des bourdonnements d'oreille. ' C'etait un bon ouvrier, très sobre. Il aimait l
i dans un coin, assis sur sa chaise, le visage caché dans ses mains, ' les traits semblant pleurnicher et CONTRIBUTION
nnelier, quarante-huit ans, entré à Bicêtre le 12 septembre 1900. ' Knecht, cité par Binder. 1 E. Brissaud. Leçons
93-94. 21' leçon. 0. Doin, Paris, 1895. Archives, 2' série, t. XII. ' 32 498 PATHOLOGIE NERVEUSE. Le début de l'aff
malades n'ont jamais su la raison pourlaquelle ils les exécutaient; ' d'emblée 502 PATHOLOGIE NERVEUSE. ils ont été
de nature comitialeet regardée d'.ordinaire comme la caractéris- ' Joffroy. Annales médico-psychologiqlles. Paris, 1
28 mai 1894, t. XX. 7° série, p. 123. 504 - PATHOLOGIE NERVEUSE. ' \ tique de l'acte épileptique. Des mouvements de
s et demi le traitement psy- chothérapique a amené la guérison. : ' 13rissaud. Loco citato, p. 502. - 1 E. Feindel.
origine. CLINIQUE NERVEUSE. Le mutisme hystérique dans l'histoire ' ; . Par le D' RAOUL LEROY, Médecin adjoint de
vec la plus grande vraisemblance comme des syndromes hystériques. ' Cartaz. Du mutisme hystérique. (Progrès médical,
tte. Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, tome II. 508 ' . CLINIQUE NERVEUSE. Perte de l'ouïe pendant de
culté de parler à la suite de maux de coeur suivis' de plusieurs ' Th. Bartholin. Act. Hafnia, 1671, obs. 71. * OE
du très grand traumatisme produit, ainsi que l'indique ! I1acario5. ' Nous n'avons pas l'intention de citer ici toute
jl.U7. ¥ \ 1 1 Histoire de l'Académie royale des Sciences, 1719. , ' - . ' Médian, septenl. lib. de Pect. affect. ?
¥ \ 1 1 Histoire de l'Académie royale des Sciences, 1719. ,' - . ' Médian, septenl. lib. de Pect. affect. ? '' ? 3
t. ? '' ? 3 Cartaz. Du mutisme hystérique. (Progrès médical, 1886.) ' . 4 Histoire de l'Académie royale des Sciences,
cal, 1886.) ' . 4 Histoire de l'Académie royale des Sciences, 1738. ' , . ° lllacario. Des paralysies dynamiques ou n
H.' LIV. Des foyers lacunaires de désintégration ; par P. Marie. ' (Revue de Médecine, avril 1901.) L'hémiplégie d
ranes seules étaient affectées viennent à l'appui de l'opinion du D' ' Ohlmacher que cet état débute par les membranes
LXVIII. Relation d'un cas de névrite faciale associée à une névrite ' rétro-orbitaire unilatérale ; par William M. LESZ
de Babinski, à savoir une perturbation dans le sys- tème pyramidal. ' G. D. LXXIII. Sur la raison physiologique et la
le se manifeste par le syndrome cérébelleux REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. ' 1 529 commun à toutes les atrophies cérébelleus
ivantes : 1° les doses toxi- .lrscurvES, 2' série, t. XII. 3+ 530 ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. ques de gelsemium déter
cervical supérieur est indiquée dans tous les cas de glaucome, où ' elle a pour résultat d'abolir la douleur, de cont
UE. Séance solennelle du 29 avril 1901. Présidence DE M. JoFFROY. ' Rapports des Commissions des prix. Prix Bellcom
es mentions honorables sont décernées à MM. Far- narier et Ducoste. ' Prix Sémelaigne . - Conformément aux conclusion
générale. hI. B. Séance du 20 mai 1901. Présidence DE M. JOFFROY. ' LE président fait part à la Société de la perte
A cette méthode était adjointe l'alimentation faiblement chlorurée. ' BIBLIOGRAPHIE. 543 M. BRiAND. Ainsi que je l'
e, dans les myélites par' compression elle donne de bons résultats. ' i > ; Quelle est l'action de la suspension ?
près la suspension ces phénomènes changent, il se produit alors' un ' agrandissement du calibre des artères cérébrale
' cadre; M. le Dr DousooT, médecin directeur de l'asile 'de Naugeat, ' est admis à faire valoir ses droits à la retrai
79, 168. Laïcisation de l'- de Naugeat, 548 TABLE DES MATIÈRES. ' 172. Représentation de gala à l'- de Villejuif,
5. Le pavillon de chirurgie des - d'aliénés de la Seine, par Pic- ' que, 452. Aspirine. Traitement des douleurs d
. - des aliénés à domicile, 170. - des idiots, 367, Association ' médico-psychologique de Londres. Discours de Fl
'J'uruer, 50. - de l'histologie des cellules de la névroglie, pd ! ' 1\0- bertson, 520. llrnno-w;urso-cmttouerose.
, par Lannols et Pau- tet, 352. Moelle. Ligature de la chez les ' animaux, par Crocq, 528. Morphine. Traitement d
sujets, par de Mer- rit, 307. La nature de la , par Ladova, 310. ' Névralgie. Relation entre la du trijumeau et
urs spasmodiques par - nucléo- capillaire antérieur, par E. Dupre ' et Devaux. 156. Réflexes. Dissociation et ant
27 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Janvier 1884. NU 19. ARCHIVES DE NEUROLOGIE AT11OLOGIIaJ GÉNÉRALE ' LA FAMILLE NÉVKOPATH 1Q LIE : Par Cn. FEUE. *
dies mentales, 183, t. II, p. 74. 4 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. nerveuse ' : on ne devient fou d'amour que quand on avait
1877. 3 Baillarger, Delasiauve. - Soc. méd. psych., 31 mai 1875. ' Legrand du Sanlle. - La folie héréditaire, 1873,
lle est un lien à différentes maladies nerveuses. MM. Bail et Régis ' , se basant sur certains caractères biologiques
e. (The jozerzz. of mental science, 1870.) "Sauze. /iec/terc/iMSM; ' la folie pénitentiaire. (Ann. med. psych., 3' s
els. (Ann, )/te'6<. psycrt., 1872, 5° série, t, VIII, p. 321.) ' Howard. The Somalie etiology of crime (The amer,
e l'allia, lie édit., 1882. LA. FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 19 Pascal ' a bien montré la réalité de la coexistence de t
la for- mule le génie estime névrose. Si toutes les formes de la ' nervosité peuvent se rencontrer chez les hommes d
quente 1, sont le plus souvent des candidats à l'imbécillité ou à ' la folie. C'est sans aucune preuve qu'on a avancé
883, p. 115. LA FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 25 l'épilepsie, l'hystérie ' , l'aliénation mentale 2. (OBs. VI, XII.) Obse
tante. - Oncle maternel aliéné (manie aiguë). Le tremblement sénile ' se développe quelquefois sous l'influence d'une
vec des états cérébraux divers vont à l'appui de l'origine centrale ' dont nous avons pu fournir un exempter peut-êtr
des émotions chez l'homme et les animaux, la édit. 1877, p. 338. ' Fér6 et Levillain. Anorexie hystérique. (Progrès
on XXXIX. M. X... de .\I...) paralytique général. - Frère ataxique. ' Observation XL. 11 ? A..., ataxique; début à tr
'ataxie héréditaire qui est une maladie de famille au premier chef. ' La maladie de Thomsen peut être, par ses origin
l'adulte. - Mère, plusieurs accès de folie puerpérale. M. Grasset ' admet une parenté entre les myélites diffuses c
l. of mental science, 1SS2, t. XXVIII, p. 144. 3Chvostek. - lVeitac, ' 13eilrng zur Itcl'dwcisen sclérose de,' central
. 144. 3Chvostek. - lVeitac,' 13eilrng zur Itcl'dwcisen sclérose de, ' central 71ei-veiisysteis. (.l11gm. Wiener mediz
ue ne vient mettre en jeu leur prédisposition. L'épuisement nerveux ' produit par le surmenage physique et intellectu
e pour propager sans cesse cette famille morbide. (A suivre.) z ' lîouclmt. Du rzercosisnze aigu et chronique et de
me. Pareille lésion a été décrite cependant. Dans une thèse récente ' , M. Jubineau rapporte trois obser- vations de s
rieurs, compliquée d'une sclérose symé- trique des cordons latéraux) ' , Westphal (dégénéres- cences combinées et primi
nalogie avec le pré- cédent. La quatrième observation de Westphal ' nous paraît aussi pouvoir être rapprochée de ce
ves d'un foyer intra-médullaire. A la région cervicale, en effet, ' Nous Mgnalerons simplement en note les observatio
omme il résulte des travaux de Jastrowitz \ de Golgi 3, de Fr. Boll ' , de Debove 5. Mais, dans le cas d'irritation de
de M. Babesiu, fort analogue à la nôtre, on l'a vu, 1 Charcot. Si» ' la tuméfaction des cellules nerveuses motrices, e
ux, qui ne soit fort mal connue quant à ses lésions primordiales. ' Or, la pathologie comparée des cirrhoses viscéral
,ickellmw'/oes. - S : l : ,uttgaLericltle der lIïCltel' Akadcmic de/ ' 11'issettscltateti, lSb3, p. 'iG9. 76 PATHOLOGI
ger de- gré de diplopie au moment des attaques. Pour ce qui est de ] ' ('tat intellectuel, il est moyennement développé
ses jeux se con- vulser en haut et il cesse aussitôt de répondre au\ ' questions qu'on lui pose; le corps devient risi
82. Nous repiodliisoiis ci-contre, sous forme de tableau synoptique, ' l'ensemble des attaques qu'on a observées penda
t, il lui arrive souvent de tourner sur lui-même pendant longtemps. ' 106 REVUE CRITIQUE. Il n'est pas gourmand, ni
suicidés, de crimi- nels, etc.] Mère, vingt-neuf ans, couturière, ' bien portante. Pas de maladies antérieures, de
-jusqu'aux arcades dentaires, et en général sont ravalés très vite. ' L'intervalle des renvois varie suivant la natur
ns déjà analysé les^ premières expériences de l'auteur sur ce sujet ' , ainsi que son mode de procéder, son système de r
bien que la surélévation du bromure de potassium, Archives, t. VII. ' 9 130 sociétés savantes. dont la dose est act
çons sur les maladies du système nerveux, 4° édit., t. I, p. 376. ' Bourneville et P. Regnard. - Iconog. photographiq
mal : j'ai rapporté quelques exemples de cet ordre dans un mémoire ' 1 présenté l'an dernier à l'Académie de médecin
is que ces parties étaient insensibles aux stimulations mécaniques. ' Ainsi on a déjà souvent essayé de trouver la ca
a tenir compte ne ce nowel argument pour l'agrandissement des 140 ' FAITS DIVERS. services généraux, et qu'elle sau
annuel de 800 francs et sont logés, nourris, chauffés et éclairés. ' ' 't, ' , Asile d'aliénés DE IEUIiTHE-ET-11OS
uel de 800 francs et sont logés, nourris, chauffés et éclairés. ' ' 't, ' , Asile d'aliénés DE IEUIiTHE-ET-11OSCLLE
800 francs et sont logés, nourris, chauffés et éclairés. ' ' 't, ' , Asile d'aliénés DE IEUIiTHE-ET-11OSCLLE. En e
ancy, pour la nomination de' trois internes à l'asile de Maréville. ' Sont admis à concourir les étudiants en médecin
du cou- rant faradique. « Pour résumer l'état cérébral, dit le 1) ' Barlow, il paraissait y avoir perte du mouvement
rieure sont normaux ainsi que les mouvelnents de diduc- tion. . "M. ' il ull ' j ' ' I i La voix est nasonnée et l'ar
nt normaux ainsi que les mouvelnents de diduc- tion. . "M. ' il ull ' j ' ' I i La voix est nasonnée et l'articulatio
ormaux ainsi que les mouvelnents de diduc- tion. . "M. ' il ull ' j ' ' I i La voix est nasonnée et l'articulation de
maux ainsi que les mouvelnents de diduc- tion. . "M. ' il ull ' j ' ' I i La voix est nasonnée et l'articulation des
xamen de la figure 1 (coupe frontale de Pitres). '' .' J ,f, . ,1. \ ' " f.' Dans tous ces faits, nous relevons les pri
maladie de Duchenne, ils présentent, dans leur mode d'apparition * ' ? 1 ? : .1tf 1. l 11 ,ilnl. v i ( r et dans leu
ermettent toujours d'établir le diâüostic'difé- .. ? ) 1 J 1) l , t ' (f.' 't' ? \ 7<m reiitiel ? 1 ' , , . , ' , l
ostic'difé- .. ? ) 1 J 1) l , t '(f.' 't' ? \ 7<m reiitiel ? 1 ' , , . , ' , lmi , y S ? lv\i ')·tyw Dans la par
- .. ? ) 1 J 1) l , t '(f.' 't' ? \ 7<m reiitiel ? 1 ' , , . , ' , lmi , y S ? lv\i ')·tyw Dans la paralysie glo
t '(f.' 't' ? \ 7<m reiitiel ? 1 ' , , . , ' , lmi , y S ? lv\i ' )·tyw Dans la paralysie glo5so.1abiée cérébrale,
1 d ¡, qu'rI ne peut mouvoir la tangue, qu'il ne peut rap- ? f ? T,\ ' 1 y, -9 ? i.. 1,. 1 400"'}. procher les lèvres;
voir la tangue, qu'il ne peut rap- ? f ? T,\' 1 y, -9 ? i.. 1,. 1 400" ' }. procher les lèvres; ces divers signes coïncid
c une Nara ? ac ? une hémiplégze des membres, , "'1 f ..1 ? 1 If n, ' " \t -0 1 h avec des troubles etue tels que ceux
e dans le ramollissement de l'encéphale (affai- .... - , ne't'; r ° ' : " t'Jqt ,rI ? f] ! 1 ? HJ...,f1U ? blissement
tr'é.,lfletc.) ou des convulsions, des attaques épile¡jiijor'n'es : ' I\1ÿPa, la' 't ? T;)t.' l"f')'11 fGIfI'd'T'1d'
glosso-lablee d origine cérébrale, tout un ensemble de ri 1 vtll ' 6t -t t . r " 1,{i.. ? 1«2 ¿I ? Jlr"11' . e sym
ui font défaut dans la maladie ... ¡ ,"t.' hl 1'1 i ? q" .T. n 1 t " ' (tun'tI ? L ? 11nt de Duchéune; de pltis, dans c
'n'<.)'<tt';j[) lèvres 'l' '11'\1.1 <d p'a'iâis ? 1"'t' "I ' "Ilff'l'oi ? c l ;14/1 DES LOCALISATIONS CÉRÉBR
ions où les 1 ,II '1..... * 1 .. l" ? t muscles ont subi une alté ' tin d muscles ont subi une altération dégénérat
e se termine par une crise dyspnéique ou .iii;ii J" t'd ci- »< - ' , t , J r , ? syncopale,. tandis que, dans la p
r , ? syncopale,. tandis que, dans la paralysie glosso-labiée am, ' " l ,\, \. 1 - \ . d'origine cérébrale, le malad
, le malade est emporté soit par 1 .. ,1 1) 1 f'(.. t Il 1 \ \\ \ \ ' une nouvelle attaque d'hémon'haa'ie ou de ramol
aque d'hémon'haa'ie ou de ramollis- Hi, i|l>ll«'-i m . . 1 . ""V, ' 1 1 sèment, soit par une affection intercurrent
ection intercurrente du pou- . 1 - 41.1,, j·)1/. >.e lU Il'1't i ' 1 j q 1 t , mon ou du rein. , 1 ta 1 ? \ \" ?
lU Il'1't i ' 1 j q 1 t , mon ou du rein. , 1 ta 1 ? \ \" ? \'' * ' \' » ? \' v Itr W"1 11 ·w 1 .' Il semble étrange
U Il'1't i ' 1 j q 1 t , mon ou du rein. , 1 ta 1 ? \ \" ? \'' *'\ ' » ? \' v Itr W"1 11 ·w 1 .' Il semble étrange,
t i ' 1 j q 1 t , mon ou du rein. , 1 ta 1 ? \ \" ? \'' *'\' » ? \ ' v Itr W"1 11 ·w 1 .' Il semble étrange, au prem
1 1 cérébrale puisse donner lieu aux symptômes de la ii-ni "]* Ot ' u . i'i J t * z paralysie glosso-labiée ; mais,
lysie glosso-labiée ; mais, de' fait, ainsi que le , \ 11...t si z" ' ' 1 . ' "\\\ a, - fait remarquer M. le professe
sie glosso-labiée ; mais, de' fait, ainsi que le , \ 11...t si z" ' ' 1 . ' "\\\ a, - fait remarquer M. le professeur
osso-labiée ; mais, de' fait, ainsi que le , \ 11...t si z" ' ' 1 . ' "\\\ a, - fait remarquer M. le professeur Lépin
ar lésion de la capsule interne, il r< r11 ! 5111' 1,1 + 11t '' · ' ll-i' t existe toujours, à un degré plus ou moi
oyer dans la, deuxième portion ,1 d noyau lenticulaire.' ? , , , 1 / ' "\1 A gauche, premier foyer symétrique, de deux
losso-labiée,aussi nets que -les malades de .Barlow et de.Rosenthal; ' et cependant la lésion trouvée , . ,chez elle
cro et microscopique) de la protubérance, du bulbe et de la moelle. ' "' l' ' "' ' , . 1 '<" 1 '11tHJ 1 - 3° Cas
et microscopique) de la protubérance, du bulbe et de la moelle. ' " ' l' ' "' ' , . 1 '<" 1 '11tHJ 1 - 3° Cas de
icroscopique) de la protubérance, du bulbe et de la moelle. ' "' l' ' "' ' , . 1 '<" 1 '11tHJ 1 - 3° Cas de Ross
oscopique) de la protubérance, du bulbe et de la moelle. ' "' l' ' " ' ' , . 1 '<" 1 '11tHJ 1 - 3° Cas de Ross :
copique) de la protubérance, du bulbe et de la moelle. ' "' l' ' "' ' , . 1 '<" 1 '11tHJ 1 - 3° Cas de Ross : ·
s de la'main droite une crampe qui remonte le long du membre .' Pas ' de perte de connais- sance, mais trouble du lan
e bulbe ; myélite transverse dans là régi'on 'dorà-Ion1baire\. 1 '' ' l '1' -" 1. l ( Il 11 >l'l a u1 b 1 U J 1 .1
r. , . 't Par Cii. 1FÉIIL. 1 i.ilii ./il z / . ? l' 1 , - )tIW ' ·J ) -i VII., - ..1 .1 , , flul '1 >q d i i i
' 1 , - )tIW '·J ) -i VII., - ..1 .1 , , flul '1 >q d i i in , ' " 1 - il Laye' famille névropathique, ainsi cons
névropathique, ainsi constituée en groupe naturel, est loin d'être ' isolée ' des autres ? J.ad' l " , 1 J ¡ , f , If'
hique, ainsi constituée en groupe naturel, est loin d'être ' isolée ' des autres ? J.ad' l " , 1 J ¡ , f , If'l 1 gro
la famille. Mais un fait moins connu, c'est que les névropathies ' Voir Archives de Neurologie, t. VII, p. 1. ' le
que les névropathies ' Voir Archives de Neurologie, t. VII, p. 1. ' leur. - De la surdi-mutité. Thèse, 1881, p. 1- ?
elevons aussi la' coïncidence des vices d'implanta- . l'If 1 > f ' , j i J j 1 ' . tion et de la caducité des dent
la' coïncidence des vices d'implanta- . l'If 1 > f ' , j i J j 1 ' . tion et de la caducité des dents chez ces mêm
. tion et de la caducité des dents chez ces mêmes sujets (B' 'Il') ' \11111 ,JI' . " , (Bourneville). ni ,1", 1 yn
rneville). ni ,1", 1 yn,4 mi J' · "1" 1 i .' Ulîl;^ ? 1('1 "r ? î ' l ' - 1 A. Ollivier. - Su la pathogénie des vic
ille). ni ,1", 1 yn,4 mi J' · "1" 1 i .' Ulîl;^ ? 1('1 "r ? î ' l ' - 1 A. Ollivier. - Su la pathogénie des vices d
c. anthiop., 1878; p. t50.) 1 , , - Il . , , 9 'Iretand. 7'/te ! ou; ' ? t. o/'(yaeatlecience,1881, t. XXVII, ,131. J
p., 1878; p. t50.) 1 , , - Il . , , 9 'Iretand. 7'/te ! ou;' ? t. o/ ' (yaeatlecience,1881, t. XXVII, ,131. J 11 i . ',
7'/te ! ou;' ? t. o/'(yaeatlecience,1881, t. XXVII, ,131. J 11 i . ' , i « . 1 1 1,. ' ' ' . ; ; i i ' 3 Ch. Féré. -
. o/'(yaeatlecience,1881, t. XXVII, ,131. J 11 i . ', i « . 1 1 1,. ' ' ' . ; ; i i ' 3 Ch. Féré. - Etudes sur les or
o/'(yaeatlecience,1881, t. XXVII, ,131. J 11 i . ', i « . 1 1 1,. ' ' ' . ; ; i i ' 3 Ch. Féré. - Etudes sur les orif
'(yaeatlecience,1881, t. XXVII, ,131. J 11 i . ', i « . 1 1 1,. ' ' ' . ; ; i i ' 3 Ch. Féré. - Etudes sur les orific
nce,1881, t. XXVII, ,131. J 11 i . ', i « . 1 1 1,. ' ' ' . ; ; i i ' 3 Ch. Féré. - Etudes sur les orifices herniaire
'affections nerveuses ou dans leurs familles... , 1 1 , VIII. a ' " Le groupe psychopathiqueen particulier a été
-motrice et que, partant, il constitue une névrose complexe '. '' 1 ' , , . . i 1 , IX. ' ' ? ' "1 ' . , i ""1 u
, il constitue une névrose complexe '. '' 1 ' , , . . i 1 , IX. ' ' ? ' "1 ' . , i ""1 u Mais c'est surtout dan
il constitue une névrose complexe '. '' 1 ' , , . . i 1 , IX. ' ' ? ' "1 ' . , i ""1 u Mais c'est surtout dans
onstitue une névrose complexe '. '' 1 ' , , . . i 1 , IX. ' ' ? ' "1 ' . , i ""1 u Mais c'est surtout dans la g
tue une névrose complexe '. '' 1 ' , , . . i 1 , IX. ' ' ? ' "1 ' . , i ""1 u Mais c'est surtout dans la goutte
s;'et'its méritent de fixer plus particulièrement notre attention ! ' Ils peuvent'se mani- fester comme symptômes pré
étastases, d'autant plus fréquentes que la goutte est plus ancienne ' , sont les plus redoutables par leur brusquerie
* Da Costa. T'he nervous symptoms of lithoemia. (Arne,'ican jour, o/ ' nzed. se, october 1881.) 5 Gastowtl. Des acci
iniques sur les maladies des vieillards, 2e édit., 1874, p. 65. - ' Troûsseau. - Clinique de l'Hôtel-Dieu, t. III, p.
un cas de coexistence de la goutte et de l'hys- térie, et M. Mossé ' a rapporté l'histoire d'un enfant de dix ans et
e and cure of gout and gravel, etc., 41 édit. London, tS23, p. 499. ' 'Dyce Durkworth. -On 1tIICquivocal,qonty diseas
ts, de la lenteur delà parole. Son écriture est petite et tremblée. ' ; M. Lhirondel a noté plusieurs fois la coexist
la famille MÉVROPATHIQUE. 183 d'une impression subite quelconque ' d'excès de tra- vail cérébral, on cite les cong
t, its history, ils cause and ils cure, 40 édit. Lon- doit, 1856. ' Musgrave. De arlhritide anomala. Genève, 1736.
n- doit, 1856. ' Musgrave. De arlhritide anomala. Genève, 1736. ' Guilbert, De la goutte. Paris, 1820. n Darnay.
nt rapporté des exemples, et depuis les publications de ces auteurs ' , il est bien peu de méde- cins, habitués à la f
sen) qui l'indique en passant ; pour 1\1. Grasset' et pour 31. Ross ' qui la mentionnent. « Accidentellement, dit M.
taxie et, de plus, un commencement d'atrophie des muscles de l'é- ' Grasset ? 5·aite ywatigue des maladies du système
enta notablement de volume ; mais cotte 19 CLINIQUE NEUN EUl11. f ? ' ? "'J ? h.1 -¡ ! dt.-... tuméfaction ne fut p
nde partie; il y a un applatisscment de l'épaule caractéristique. " ' ' Les sus-épinenx et sous-épineux sont complète
e partie; il y a un applatisscment de l'épaule caractéristique. " ' ' Les sus-épinenx et sous-épineux sont complèteme
'quelle il aurait éprouvé les frémissements pour la première fois. ' ' ? ^\ Actuellement, il n'y a pas de phénomènes
quelle il aurait éprouvé les frémissements pour la première fois. ' ' ? ^\ Actuellement, il n'y a pas de phénomènes o
és, avec peu de précision, il est vrai, des troubles de la vision; ' dans celui' de M. Vidal, une paralysie de la si
ne durée de temps qui est d'ailleurs fort variable suivant les cas. ' ' La pathogénie de ces accidents est encore trè
durée de temps qui est d'ailleurs fort variable suivant les cas. ' ' La pathogénie de ces accidents est encore très
élé- ments moteurs de la moelle et déterminer une para- lysie. » ' ' Qu'on admette ou non l'hypothèse pathogénique
lé- ments moteurs de la moelle et déterminer une para- lysie. » ' ' Qu'on admette ou non l'hypothèse pathogénique
ue (racine du trijumeau). Nous devons, à la vérité, reconnaître que, ' dans un certain nombre de faits relatifs à des
dissement de la face du côté droit allant jusqu'à la ligne 'médiane, ' ét'de toute la moitié correspon- dante de la la
tte plaie, 'avec les soins appropriés, a guéri très rapidement. » " ' ' , Depuis quelques jours, la vue baisse rapide
e plaie, 'avec les soins appropriés, a guéri très rapidement. » " ' ' , Depuis quelques jours, la vue baisse rapideme
s'est endormi et nous le retrouvons ce matin dans son état habituel, ' avec une température normale. La douleur frontale
te, il est précipité dans la mer. l ? \ 1. \ . d u· ! f, .0 1 . . ' ! IC,' ,1uillet, - Fauv ? t,e ? complètement amau
est précipité dans la mer. l ? \ 1. \ . d u· ! f, .0 1 . . ' ! IC, ' ,1uillet, - Fauv ? t,e ? complètement amaurotique
colores et caractérisées par la diminution de tous les principes ' AI. Charcot. - Leçons sur les maladies du système
eçons sur les maladies du système nerveux, t. I, 'i° éd., p. 279. ' Rabow. llettrtt,ge zur Kenntniss der 13escha/Jeth
rébrale. (Gazette hebdoi ? z., 1875, 11°' Il,12, 13.) '' Kan'er ? u) ' (tMMmt' ! U)'<e&et'ept<ept<'.(Be. Kt
MMmt' ! U)'<e&et'ept<ept<'.(Be. Kt ? : . Woch., 1875.) ' Otto. - Zur albuminurie als symptolll des epilept
convenable de conserver encore une certaine réserve à cet égard. ' 'A. 0))i\ier. De la polyurie et des variations de
ale. (arcs. de ph ! ls. et yath. ; 2' Série, t. III, p. 85, 1876. ' , Communication orale de M. Magnan. 2 Laporte.
reprendre avec la môme vigueur sous l'influence d'un nouvel effort. ' Cette forme de rétention s'observe dans certain
ment de l'attaque d'épilepsie, au début de la con- vulsion tonique. ' Une forme moins grave encore de l'incontinence
produit que mécaniquement, sous l'influence d'un effort, de la toux ' par exemple. Ces divers états constituent des a
xiste-t-il des névralgies de la vessie et de l'urèthre ? M. Gergaud ' met en doute et, avec raison, la cystalgi'e idzop
t de rester sur la réserve Quant à la névralgie de l'urèthre, à ] ' w'étll1'al,qie, dont on a signalé des formes cont
, la moelle n'est pas atteinte, il s'agit de fausses paraplégies. ' /il. . \\"" ¡. 1 .. fla ? \ " 1 . A. Dans l'
peuvent se 'produire de deux manières : tantôt c'est' à la suite dé ' crises douloureuses sur les voies urinaires 5 t
s de .toute autre manifes- tation. t1 la suite d'une crise vésicale, ' et à la suite seulement de quelques" accès ? ce
le,' et à la suite seulement de quelques" accès ? certains' malades ' éprouvent un besoin impérieux d'uriner, et ils
ion qui ont été signalés pour les glandes de l'appareil digestif '. ' "" ' 1 ',iI ' ? , l, ., 1'1 ` Il 1.1q - , Nou
ui ont été signalés pour les glandes de l'appareil digestif '. ' "" ' 1 ',iI ' ? , l, ., 1'1 ` Il 1.1q - , Nous nou
nt été signalés pour les glandes de l'appareil digestif '. ' "" ' 1 ' ,iI ' ? , l, ., 1'1 ` Il 1.1q - , Nous nous co
é signalés pour les glandes de l'appareil digestif '. ' "" ' 1 ',iI ' ? , l, ., 1'1 ` Il 1.1q - , Nous nous content
niers temps l'objet d'une étude détaillée de la part de M. Fournier ' et de M. Geffrier qui, sous un titre beaucoup p
ème nerveux qui 'offre' les troubles les plus variés de la miction. ' t 1 . 1 1° La rétention d'urine' se présente à
. en trente vol., 9e rez., t. III, p. z8,2,. ( Loc. cit., p. 125, ' Straus. Des ecchymoses tabétiques à la suite des
rises de douleurs fulgurantes (A2-ch. de Neurologie, t. I, p. b63.) ' " ° '1 l' 'l' 1',1 , 1 Gaz. méd. de Paris, 1881,
tuera pas d'empêchements réels à la continuation de cette pratique. ' Les sorties à titre d'essai admises, il reste à
ministratives et judiciaires appliquées à l'entrée ? Dans la loi de ' )83S, tous les aliénés, quel que soit leur mode
e com- posée ? Serait-elle formée uniquement de médecins ou mixte ? ' ! Ne vaut-il pas mieux, au contraire, laisser a
les sorties, les diffi- cultés pratiques seront grandes. 1 n. z 1 1 ' Le fonctionnement de ces commissions sera facil
levé suivant : 1' , ? lr , . t t 1 . Asile d'aliénés de la Seine. ' Exercice de 1882 j' 1 Il IH.' J I 1 SOCIÉTÉS
l'opportunité, et renvoya la demande au médecin traitant. 4" , , ' Voici maintenant un cas qui vous montrera comment
e, dans aucun endroit du Si-Yuen-Lu, il n'est question des exper- ' Uses auxquelles peuvent donner lieu l'aliénation
a jurisprudence civile, telles que successions, interdictions, etc. ' Cela tient, d'après l'auteur, à ce que la folie e
40 individus. Il faut remarquer en outre que certains arrêts de de- ' veloppement et en particulier le bec-de-lièvre se
s et variables. Résumons d'ailleurs les conclusions de l'auteur : : ' t i . .1/. Les lésions en foyer situées dans l'
urs. M. Ollive préconise le traitement arsenical et les toniques. 1 ' Cil, F. i 1 , I .... , .. m. Il INDEX BIBLI
m. Il INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 1 1 '11 . Le masque sclérodermique; ' par OBIER. Thèse de Paris, 1883. Note sur un ca
ralysie glosso-labiée cérébrale; par PuicA. Thèse de Pa- ris, 1883. ' 1 ' Contribution à l'élude du vertige oculaire
sie glosso-labiée cérébrale; par PuicA. Thèse de Pa- ris, 1883. ' 1 ' Contribution à l'élude du vertige oculaire ; pa
formes rares d'éclampsie chez les femmes en- ceintes; parJ. ROD/ ! \ ' , Thèse de Paris. 1883. Studio de ]1sicf)patolog
ons sont : la privation de sortie, les amendes,'le renvoi immédiat. ' Il i i d\, 1H 1 ¡ 'II ! i Il Tous les établis
és n'attendent que l'approbation indubitable du corps législatif. ' , '1 .i .. , 111 1 f Il .. i, 'il . I. 1. Asi
t la section des hommes. Le petit côté orienté au sud comprend un ' bâtiment destiné à l'habitation de la direction,
2R 'l VARIA. 'i Jq nj Il RÉSUMÉ DU MOUVEMENT DE LA POPULATION 1 6 ' ' '' Depuis le 3 avril 1 858 jusqu'au 31 1 décemb
'l VARIA. 'i Jq nj Il RÉSUMÉ DU MOUVEMENT DE LA POPULATION 1 6 ' ' '' Depuis le 3 avril 1 858 jusqu'au 31 1 décembre
Pour la première année, ISO couronnes (252 fr.) : ^ , ,, ,, ,. ,. . ' (GO l'hiver^' 120 l'été). · Pour, la seconde an
re année, ISO couronnes (252 fr.) : ^ , ,, ,, ,. ,. . ' (GO l'hiver^ ' 120 l'été). · Pour, la seconde année, 200 couro
en- sionnaires de troisième classe : le nombre des malades a, par ' arrêté ministériel du 21 janvier 1881, éte porté
élévatoire àvapeur, quisertébalementdlacuisine et il la buanderie. ' Cinquante-quatre et demi pour cent des ' ¡ alié
uisine et il la buanderie. ' Cinquante-quatre et demi pour cent des ' ¡ aliénés travaillent. Comme il s'agit d'affect
ille; les enterrements se font au cimetière de Viborg. (.1 suivre.) ' FAITS DIVERS Académie des Sciences, Arts et B
en ; mais leb auteurs ont la liberté d'en faire prendre des copies. ' Asiles D'ALIÉNÉS DE la SEINE. - Nominations. -
Vol VII. Mai 1884. Nu 21 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE ' ; ,H ¡ 1 4f' ? L^. -PERTE DE LA VISION MENTALE
des objets extérieurs ou de la personnalité, du malade lui-même. ' ' 1 f > Je me suis borné à un simple exposé
des objets extérieurs ou de la personnalité, du malade lui-même. ' ' 1 f > Je me suis borné à un simple exposé de
ui-même. ' ' 1 f > Je me suis borné à un simple exposé des faits, ' sans autre but que de déterminer la valeur clin
appelé, il y a quelques semaines, auprès d'un homme d'une 292 -) ' CLINIQUE MENTALE. quarantaine d'années, dont l'
aucoup d'attention, est actuellement au-dessus de ses forces. M. " ' attribue son incapacité à ce qu'il ne peut plus
e positive; Tms.sim. Voir la table analytique ¡J'Hel1l'i d'Olier. ' Pierre Prévost. - Essais de philosophie ou Etude
le faisceau destiné à la transmission des impressions sensibles; ' 2° Les deux tiers antérieurs'idu segment postér
t : 1° Un faisceau postérieur faisant suite au faisceau sensitif; ' 2° Un faisceau moyen faisant suite au faisceau
lectuel) ou daus des faisceaux différents ? Telle est la question ' que nous allons examiner. Brissaud, qui a bien
on d'un cas intéressant donné par Kurschmann (Dpittç- che Archiv fü, ' kltnische Medicin, 187.) où la tumeur s'est formé
sans que la circula- tion du sang; ait été visiblement troublée. ' Virchow's Archiv, t. VIII. 1 Lancet, 1875, ne 1
Guérison en cinq mois. X..., philologue. La mala- AncurvHa, t. VII. ' 21 I 322 REVUE CRITIQUE. die s'était développ
m " ra V bj t4 - ë 3 a M C1 O g O- O h a » z C/î i ' CD CD- CD b ps e H (D 5 ta Asile
ines cervicales en dehors ou dans l'intérieur du canal vertébral. ' P. K. XXVI. LES amyotrophies spinales PROTOPATH
flottent en tous sens (torsion et mobilité fantastiques des doigts ' ). Nulle symptomatologie en ce qui concerne la moe
XXXVI. Contribution a l'étude des localisations spiniles (Autopsie ' d'une ancienne paralysie infantile avec atrophie
ogie, qui résultent de la solidarité organique et de l'étio- logie. ' Quatrième groupe. - A côté de ce troisième grou
e) ; Tesseira Brandao (de Rio-Janeiro); Milan Vassitch (de Serbie). ' Si nous avons eu nos joies, messieurs, nous les
Le lieu et l'époque de cette réunion sont motivés, celte année, par ' Archives de Neurologie, t. VI, p. 135. 360 . SO
nombre des matières qui constituent les épreuves de l'examen d'Etal ' . 1. une pétition a été envoyée au ministre de
extension des soins pré- t Archives de Neurologie, t. VI, p. 136. ' Archives de Neurologie, t. VI, p. 139. SOCIÉTÉS
i ou fromage, ou préparation d'oeufs, un pain blanc beurré, demi- ' litre de bière de Bavière. Telle est l'ébauche
. La moitié externe de chacun d'eux est affectée aux malades calmes; ' la moitié interne appartient aux agités et aux id
ans la Riuislu di discipline carcerarie, si la direction y consent. ' Dans le premier cas, l'auteur est obligé de don
évropathique), par Bloch, 334. Gliôme (inflammation parenchyma- ' teuse du système nerveux central 420 TABLE DE
rotubérance an- nulaire, par Romlot, 276. Hérédité morbide (de 1' ' et de ses manifestations vésaniques dans la p
énet, 396. Bernhardt, 335. Binswanger, 368, 371. 131ooh, 334. ' Bonnaire, 86. Bouchereau, 358. Bourneville, 8
173, 224, 246, 253, 275, 276, 177, 394, 395, 396. Flatten, 249. ' Foville, 273, 355, 357 Frémont, 247. Frensb
28 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
23, place DE l'école-de-médecine, 23 1895 NOUVELLE ICONOGRAPHIE : ' A q DELA SALPETRIÈRE AVERTISSEMENT Avec c
criture par exemple, et celle déjà faculté de jouer d'un instrument ' ou de copier de la musique. A cela je répondrai q
é obligeamment confié par AI. J. B. Cliarcot, interne des hôpitaux. ' 4 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE 'LA SALPÊTRIÈRE sé
de ce malade a été prise par mon interne M. Gilles de la Tourette. ' Voici d'abord en quelques mots le résumé de l'o
nausées et de vomis- sements, enfin il s'endort et tout est fini. ' Vous avez sans doute reconnus pour la plupart, Me
hlhalmique est accompagnée. J'ajouterai, que les engourdissements des ' membres et de la face, l'aphasie, ne sont pas l
dra bien se présenter à nous de nouveau, dans la le- çon prochaine. ' PARALYSIE BILATÉRALE DU DELTOIDE PAR ÉLONGATI
e bras puisse continuer de s'élever jusqu'à la verti- cale, il faut, ' comme vous le savez, que le grand dentelé intervi
e qu'a dû se produire la paralysie des deltoïdes chez notre malade. ' Je suis sûr qu'en m'entendant discuter l'étiolo
aralysies par élongation des nerfs. Médecine moderne. 1802, p. 130. ' 20 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE su
la paralysie considérée chez les aliénés, Paris, 9 82G, p. 2 : jO. ' DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 31 C
cerveau a confirmé les conclusions que j'avais cru pouvoir adopter. ' Observation. - PARALYSIE générale A début spina
sible que si les pieds étaient écartés. Les pupilles étaient égales, ' légèrement contractées et insensibles à la lumièr
rès affaiblie aux jambes et aux cuisses, plus à gauche qu'à droite. ' Le malade ne présentait d'affaiblissement ni de
cerveau, principalement au niveau des lobes temporaux et pariétaux. ' Les gros troncs artériels de la base, les artèr
mais en général moins prononcées que dans les cordons de Goll. . ' La sclérose est constituée dans les cordons de Go
de la corne pos- térieure. Les racines, antérieures sont saines. ' Dans les racines postérieures il y a épaississe
ite au niveau de la région dorsale moyenne (PI. IV, 3 et 3 biS). 38 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Les cor
t bien portant. Il a neuf frères ou soeurs qui sont en bonne santé. ' G... est né dans le département de la Drôme, où
toute la nuit. Ils se sont effacés le lendemain matin, 15 oc- tobre, ' pour reparaître la nuit suivante, et troubler le
de l'Infantilisme et du Féminisme, suivie d'une critique des prin- ' cipaux hermaphrodites de l'art antique, critique
a fesse, la cuisse, le genou et la jambe, ainsi- qu'à l'avant-bras. ' . En résumé il est resté, malgré ses 17 ans, un
l pour y finir sa convalescence. Nouv. ICONOGR· DE LA SALPÊTRIÈRE ` ' T. VIII PL. X INFANTILISME Chez un sujet âgé
dus. L BATTAILLE ET C" EDTT1;URS NOUV.tCOHOC.DELASALPÊTKtÈRE T. ' \'111. PL. XI ,}, : XII. PHOTOTYPE NhG. H. MEIGE
seule constante chez la femme; la supérieure n'est pas visible. 62 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE La grai
phologique : c'est le type idéal. DEUX CAS D HERMAPHRODISME ANTIQUE ' 63 Les artistes y ont exagéré les caractères se
ésenter la malade qui me fournit l'occasion de cette étude. 1 vin ' 1 5 66 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
ence des troubles très accusés de la molililé et de la troplaicité. ' . Remarquez d'abord comme son pied gauche est t
d'une eschare unilatérale il gau- che de la rainure inlerfessière. ' * Il me reste maintenant à vous faire connaître
e de la jambe et sur le dos du pied, quelques plaques d'anesthésie. ' Voilà un tableau assez net, et dont il vous est
nce, avec des sortes de rémission passagères. , . Si j'ajoute que, ' depuis cette époque, se sont produits des haut et
agnostic qui va nous fixer sur le pronostic 'et le traitement'. , " ' , ... * ... ...... : ' * * " .. , i Aupar
sur le pronostic 'et le traitement'. , " ' , ... * ... ...... : ' * * " .. , i Auparavant, permettez-moi, Messi
C'est ce que j'essayerai de vous démontrer dans ma prochaine leçon. ' II C" LEÇON DU 21 DÉCEMBRE 1894 Messieurs, 1
s affections de la queue de cheval, avec quelques dé- veloppements. ' Cette étude ne saurait être bien comprise de vo
ns l'innervation des membres inférieurs et des orga- nes pelviens. , ' ' . C'est dire qu'un préambule anatômique s'imp
l'innervation des membres inférieurs et des orga- nes pelviens. ,' ' . C'est dire qu'un préambule anatômique s'impos
al. Je ne saurai donc les séparer l'une de l'autre. 1 \ / \ 1 / ' Vous savez que sous le nom de queue de cheval,
queue de cheval avec les pièces qui constituent le canal rachidien. ' Au point de vue de l'étude clinique que nous al
les. L. Paires lombaires. S. Paires sacrées. Co Nerf coccygien. ' 1 dure-mère rachidienne ; 2 ligament dentelé ;
ale, c'est ce qu'a constaté, entre autres, Laquer, chez son malade. ' 1 D'autres fois, on constate une diminution de
imètres, comprimait exclusive- ment les nerfs destinés à la vessie. ' SUR LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 93 C
es nerfs qui en partent. Chez le malade de Kirchhoff, les accidents, ' survenus à la suite d'un traumatisme, ont début
ion-inférieure du névraxe, à la suite d'une contusion du sciatique. ' MODE DE DÉBUT ; MARCHE ; TERMINAISON. PRONOSTIC
mment. La parésie motrice, l'anesthésie, les troubles de la miction, ' de la défécation et des fonctions génitales ne
ertèbre lombaire (rotation à gauche et en avant).- vin 7 98 " " ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Le chir
e la queue de cheval ou de la partie correspondante de la moelle. ' Voici d'ailleurs quelle signification exacte il f
cheval (Zeitschrift für klin. Medicin, 1893, t. XXI fasc. 3, p. 245) ' : '1 Les affections intra-vertébrales qui siège
e pro- cédé toute l'attention de la malade qui redoute un cancer ». ' Astley Cooper (5) rapporte plusieurs cas de cet
ma- melle. 1- Congrès de chirurgie. Paris, 1893. C. R. p. 747. (2) ' : \IASSOX, édit. Paris. 112 NOUVELLE ICONOGRAPH
que celui qu'il s'agit d'expliquer, c'est-à-dire la mas- todynie ». ' - .. Pour l'auteur, le seul fait certain, c'est
en plus cette manifestation d'ordre psychique qui doit, de ce chef, ' être traitée par des procédés tout à fait différe
ses hystériques. Celles-ci cessèrent avec l'a- blation de l'organe. ' Il ajoute qu' « une jeune fille de dix-huit ans
néanmoins tout à fait aussi gros que celui de la mamelle droite ». ' D'après ce flue nous savons aujourd'hui des tro
déterminer des adénites et des fistules par in- fection secondaire. ' ÉTUDES DE PHYSIOLOGIE MORPHOLOGIQUE DE LA FOR
toujours moindre que le relief dû au simple relâchement musculaire. ' La conclusion de ceci, aussi intéressante pour
ier, agissent dans le même sens et s'ajoutent. Prenons un exemple : ' Considérons les mouvements de llexion et d'exte
. C'est la contraction dynamique avec travail négatif des auteurs . ' Cette dernière forme delà contraction est d'un
re il faut .bien admettre. que les deux forces- sont égales'. '., . ' .. ,'.. 1 Donc Contration statique. =' P. ! j .
forces- sont égales'. '., . ' .. ,'.. 1 Donc Contration statique. = ' P. ! j . ' . ? . ' ; , Dans le' second cas,1 pu
nt égales'. '., . ' .. ,'.. 1 Donc Contration statique. =' P. ! j . ' . ? . ' ; , Dans le' second cas,1 puisqu'il y a
s'. '., . ' .. ,'.. 1 Donc Contration statique. =' P. ! j . ' . ? . ' ; , Dans le' second cas,1 puisqu'il y a' nexiol
il y a' nexioll, . [1actio'n' musculire l'emporte sur la pesanteur. ' ." ' ,>' , : . ? . Donc : Contraction dynami
a' nexioll, . [1actio'n' musculire l'emporte sur la pesanteur. ' ." ' ,>' , : . ? . Donc : Contraction dynamique a
ntraction musculaire cède à la pesanteur puis- qu'il y a extension. ' i ,; 1 .. J ? ' ; ' Donc Contraction'dynamique
aire cède à la pesanteur puis- qu'il y a extension. ' i ,; 1 .. J ? ' ; ' Donc Contraction'dynamique avec travail nég
cède à la pesanteur puis- qu'il y a extension. ' i ,; 1 .. J ? ' ; ' Donc Contraction'dynamique avec travail négatif
; 1 .. J ? ' ; ' Donc Contraction'dynamique avec travail négatif Pu ' '/ z D'où nous pouvons conclure que l'effort st
1 .. J ? ' ; ' Donc Contraction'dynamique avec travail négatif Pu ' ' / z D'où nous pouvons conclure que l'effort stat
du' bicp.s en contraction dyna- mique ou en contraction 'frénatrice, ' des différences morphologiques correspon- dant
rénatrice' étaient semblables à -celles de la contraction dynamique, ' et que l'image d'un membre qui s'étend rie'. diff
ront au contraire avec la- rapidité du mouvement. ,, . , 1 En effet, ' si le. mouvement- de' flexion et dfextension de '
iers antérieurs sont élévateurs, son tiers postérieur, au contraire, ' est aliaisseur du bras ; ce dernier tiers est d
e et saisi juste au moment où' les deux membres sont au même niveau, ' il est impossible de dire, d'après le seul exam
s poulies. Mais dans les deux@as ? 1.1, con- traction est évidente. ' ' ' * '> ? : Si maintenant nous considérons
poulies. Mais dans les deux@as ? 1.1, con- traction est évidente. ' ' ' * '> ? : Si maintenant nous considérons l'
ulies. Mais dans les deux@as ? 1.1, con- traction est évidente. ' ' ' * '> ? : Si maintenant nous considérons l'ép
érieur. Les photographies instantanées sont très démonstratives.. ! ' .' Dans ce cas. il nous, sera donc très facile
bre en action ne changera guère quel que soit le sens du mouvement. ' Dans la deuxième série des mouvements lents, ce
antagonistes du mouvement sont généralement légèrement contractés. ' B. Dans les mouvements très rapides, il 11' ! J
tension, et les muscles antagonistes sont manifestement re- lâchés. ' Dans ce cas, la forme du membre est telle qu'a
l'opération entre l'os et la dure-mère, sur la face antéro-latérale ' gauche du canal, fut laissé en place et fixé par
ent et fut suivie d'une légère suppuration de la surface décollée.' ' ' ' .' ' De^ce fait, l'opéré dont là- températu
t et fut suivie d'une légère suppuration de la surface décollée.' ' ' ' .' ' De^ce fait, l'opéré dont là- température
et fut suivie d'une légère suppuration de la surface décollée.' ' ' ' .' ' De^ce fait, l'opéré dont là- température :
t suivie d'une légère suppuration de la surface décollée.' ' ' ' .' ' De^ce fait, l'opéré dont là- température : s'él
température : s'éleva à 38°, 3805,lé soir pen- dantune' h.uita ine, ' dutlprolonger son' séjour à l'hôpital' jusqu'au '
ypique et fort instructif. Laissez-moi vous l'exposer briè- vement. ' Il s'agit d'un homme de 35 ans, maçon de son mé
inty insister davantage et j'arrive au fait. Un jour du mois d'août ' )8M, noire homme était en Irain de ramasser des
le subsiste, alternant parfois avec de l'incontinence des matières. ' Les choses en étaient là lorsqu'au mois d'octob
ospice et rentre dans son pays. Malgré sa triste. infirmité vésicale, ' il s'occupe toute la journée aux champs et supp
deux caractères, pour préciser le siège de la lésion causale. 152 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Avec ce
e par le grand dentelé. Je ne parle pas du grand dorsal uniformément- ' .' étendu sur toute la région et qui ne fait qu
grand dentelé, il existe un espace étroit, de forme triangulaire, , ' \ sommet dirigé en haut et en dedans vers l'angl
idus, car le nombre de ceux que nous avons observés n'est pas assez ' considérable pour qu'il soit permis de généralise
(1, nez 11. (2). Justus Gaule. Die /rophischen li,qen.w'har/e71 dcr ' )'M'c ? Berliner Klinische Wochenschrift, 1893,
, DU RAPPORT DE L'ECZÉMA CURONIQUE AVEC L'ANESTHÉSIE DE LA PEAU 165 ' dans les affections de la peau où, pour une raiso
vaisseaux et enfin l'eczéma si elle attaque/les centres trophiques. ' On peut accorder aux irritations extérieures qu
solu ct'rerrilrtGrrLlité : Elle occupe, très exactement et très ri- ' goureusement, une des moitiés du corps, sur l'éte
e du premier espace intermétacarpien, et à la face dorsale du pouce, ' à la face antérieure du ler espace intermétacar-
re de l'avant-bras, au- dessous du pli du coude (PI..XXVI et XXYI1.) ' ? ? . Toutes les régions précitées sont le sièg
e'éruption intense, qui en quelques points, comme aun ¡veau dn sein; ' de\' iOIl L e\Lrl'lIlel1 ! CHteoÎl 1) lIntê,. C
ption intense, qui en quelques points, comme aun ¡veau dn sein;' de\ ' iOIl L e\Lrl'lIlel1 ! CHteoÎl 1) lIntê,. Comme
endue d'une pièce de 20 centimes, de 50 centimes, voire d'un franc. ' Ces agminations croûteuses sont alors remarquab
ves ou subérosives, rouges, et tout à fais eczématoïdes d'as- pect. ' ' Les points qui ont été le siège de cette conf
ou subérosives, rouges, et tout à fais eczématoïdes d'as- pect. ' ' Les points qui ont été le siège de cette confluen
ortie du nerf grand hy- poglosse. On pouvait constater en effet : ' 1° Une hémiplégie complète des membres supérieu
indique l'absence d'albumine, mais -une forte réaction d'urobiline. ' 1 - ' ' Cet état reste stationnaire, sauf les c
e l'absence d'albumine, mais -une forte réaction d'urobiline. ' 1 - ' ' Cet état reste stationnaire, sauf les conséqu
l'absence d'albumine, mais -une forte réaction d'urobiline. ' 1 - ' ' Cet état reste stationnaire, sauf les conséquen
ultés intellectuelles, qui ont entraîné la mort le 22 février 1891. ' - , ' \ (1) C'est l'usage à' la clinique de G
intellectuelles, qui ont entraîné la mort le 22 février 1891. ' - , ' \ (1) C'est l'usage à' la clinique de Genève de
)olll'SIILV1CS dans la langue, qu'à son origine, S(,I11- de lout; ' ¡ fail nlrophié (voir plus loin son examen nicro
hyprrémiée; elle présente un aspect sale, jaune, bleuâtre. La paroi ' est très épaissie et présente également sur la co
porcelaine enveloppé dans du papier collé, au-devant des bronches ; ' . 4° Plusieurs couches de papier collé, au-deva
' . 4° Plusieurs couches de papier collé, au-devant de la poitrine ; ' 5° Une cuirasse de fer-blanc qu'il remplace cin
paule, un brassard en plomb, les deux pesant près de 2 kilogrammes. ' Ainsi donc, en nous résumant dans ce tableau ci
le Rijks-Museuni possède trois tableaux de S. van Hoogs- Iraalel1 : ' .' ' . · . Le Portrait de MaUhoeus van den BI :
jks-Museuni possède trois tableaux de S. van Hoogs- Iraalel1 : ' .' ' . · . Le Portrait de MaUhoeus van den BI : ouck
rnière, dont on ne voit qu'une partie dans l'encadrement d'une' porte, ' est pleine de lumière et richement décorée : on
a blancheur des .draps.et des oreillers. (III,Wa\111)., i ( . . . , ' Deux personnages seulement anime)1L cel intérie
u froid : /unë jeune femme, la,nialadcr et un homme entre deux'ages, ' le 'mé- c1eci11 - debout derrière. elle. , . ?
le. , . ? ... La malade.est assise, une chaufferette sous les pieds, ' le coude gauche appuyé sur une table,' couverte
chaufferette sous les pieds,' le coude gauche appuyé sur une table, ' couverte d'un .lapis'rouge .à ornements noirs et
vie humaine, réservent encore un / . LES PEINTRES DE LA MÉDECINE ' 197 coin sombre-de leur tableau pour peindre ce
lus ignorant. Il a d'ailleurs affaire à un cas beaucoup plus grave. ' La Malade de J. Steen, bien qu'elle appuie nonc
s'en allèrent, l'un il sa maison des champs, l'autre à son négoce. ' 6° Les autres se saisirent de ses serviteurs et
prêt, mais ceux qui y avaient été appelés n'en ont pas été dignes. ' 9° Allez donc dans les carrefours, et appelez a
nerveux. Reportons-nous maintenant à la parabole de St-Malhieii : ' On avait convié au repas de noces tout le peuple
atement une idée très nette de la topographie de la région envahie. ' Dans les préparations traitées par la méthode d
qui guérissent sans aucun traitement et gé- néralement assez vite. ' Si la contagion ne pouvait pas être constalée d
éminisme et l'infantilisme chez les tuberculeux, thèse Paris, 1811. ' (2) BnouAuDEL. Sur le surmenage intellectuel et
pathogénique, mais morphologiquement bien différente, le Féminisme. ' L'enfant, lorsqu'il vient au monde bien conform
le 30 juillet 1890, dans le service deVl. le professeur Brouardel. ' Elle a toutes les apparences d'une fillette de 12
ain, pied-bot et rachitique, qui reproduit une difformité naturelle ' très exactement rendue. - Les infirmes, boiteux
ez nombreuses pour pouvoir être subdivisées en plusieurs catégories, ' suivant le siège de l'opération. Il y a d'abo
s opérations chirurgicales sur le crâne sont relativement nombreux. ' J'ai pu, jusqu'à ce jour, en recueillir douze e
de la main d'artistes flamands ou hollandais du 1V au XVIIe siècle. ' En voici la liste par noms d'auteurs et suivant
les tumeurs du crâne justiciables d'une intervention chirurgicale ? ' D'abord les tumeurs bénignes du cuir chevelu- d
s quand il s'agit d'une figuration sans aucun but scientifique. - ' Nous nous bornerons donc à dire, en ce qui concer
vre VIII, ch. XXII. (2) Paul n'EG1NJ;, liv. VI, ch. 5, G, 7. VIII ' 1ü 238 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
chées. Mais à côté de la fantasmagorie, on sent poindre la satire. ' Dans les divagations de son pinceau délirant, J
reproduction. Il s'agit d'une opération chirurgicale en plein air. ' . Le personnage principal, le chirurgien, opère
ard. C'est un vieux praticien qui n'en est pas à son- coup d'essai. ' Il a une bonhommie compatissante aux misères hu
evé ses man- ches,.et opère, comme aujourd'hui, les avant-bras nus. ' L'opéré est assis devant lui sur une sorte de f
n'autre tableau de Van Ilemessen : Une Vierge avec V En fànï Jésus. ' · '' " ' 'o' " ' ' . (2) D. PEDRO nE Madrazo. C
ableau de Van Ilemessen : Une Vierge avec V En fànï Jésus. ' · '' " ' 'o' " ' ' . (2) D. PEDRO nE Madrazo. Calai, des
e Van Ilemessen : Une Vierge avec V En fànï Jésus. ' · '' " ' 'o' " ' ' . (2) D. PEDRO nE Madrazo. Calai, des tableau
Van Ilemessen : Une Vierge avec V En fànï Jésus. ' · '' " ' 'o' " ' ' . (2) D. PEDRO nE Madrazo. Calai, des tableaux
VI* Siècle-). L BATTAILLE ET Cie Nouv Iconogr. n tw SwtvfiiRnfiRR ' ` · ? ·-··· A 4- -· '- i. ? i.f Yt, xtm. « LES
Le personnage qui paraît tomber en pamoison a aussi son intérêt. - ' Pierre Bruegel le Vieux ou le Drole, peintre
iques, des allégories fan- tastiques, et des fantaisies burlesques. ' Parmi toutes ces compositions, plusieurs présen
x ont été déjà signalés. Il suffira de les rappeler sommai- rement. ' 1. La première place doit être donnée à une scè
plaques, je tiens cependant à faire quelques réserves à cet égard. ' Nous voici donc arrivés, Messieurs, à une solut
uels personne ne songe à mettre en doute l'influence de l'hystérie. ' Aussi dans son récent Traité de l'hystérie, l'u
marchait pas et était presque tout le temps dans les con- vulsions. ' Elle a commencé à parler a un an et demi. Var
s avons signalés tout à l'heure. Elle n'a pas de crises de tétanie. ' 284 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALI'ÊTRlÈIIE
mbres supérieurs. Les mains étaient raides, mais non douloureuses." ' Cette première crise dura une heure et se termi
artout dans le corps, dans les bras, dans les jambes, dans la tête. ' - 1 ils, , Elle était agitée par un besoin irré
un besoin irrésistible -lie. mouvements ; elle se levait, marchait, ' se recouchait, remuait, gesticulait, ne pouvait r
'oreilles ;"c'était, dit-èllc, comme un roule- ment de voitures.. . ' * \ Tout lui sautait dans'la face, son nez, ses
ignet reposant sur le ventre est fortement fléchi sur l'avant-bras. ' . . - - -' z Les doigts .sont tellement fléchis
ant sur le ventre est fortement fléchi sur l'avant-bras. ' . . - - - ' z Les doigts .sont tellement fléchis dans la pa
pénètrent dans la chair et laissent des écorchures après la crise. ' . , Celte fois, il n'y'eut pas de pronation du
ATTAILLE ET C" NATURE HYSTÉRIQUE DE LA TÉTANIE DES FEMMES ENCEINTES ' · 28ü quand on la touchait pour essayer d'empêc
r l'exa- men). Micromégnlopsie très manifeste. Abolition du goût. ' ' NATURE HYSTÉRIQUE DE LA TÉTANIE DES FEMMES EN
l'exa- men). Micromégnlopsie très manifeste. Abolition du goût. ' ' NATURE HYSTÉRIQUE DE LA TÉTANIE DES FEMMES ENCE
étoupe en llammée, et se transperçait les joues avec des aiguilles. ' Du côté des sens, ouïe diminuée à gauche, odora
V. de IÜ'ycu ? T. G. Excudit. En voici' la traduction littérale : ' Vous, habitants dé Mallegem, soyez bien d'accor
nt. Entrez librement, les grands et les humbles, venez sans retard. ' Avez-vous la guêpe dans la lêle, ou est-ce que
er le jargon des charlatans guérisseurs comme a fait Potière dans 1% ' Médecin malgré lui. Le latin dans un boniment fai
alicieusement celui qui lui suc- cédera sur le fauteuil opératoire. ' Non loin de là, arrive en effet un client bien
, accoudé sur le mur, regardant d'un oeil attristé le vin 20 ;¿98 ' . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE succè
voile un curieux chapitre de la chirurgie populaire du XVI" siècle. ' Nicolas Weydmans. . Peintre et graveur hollan
RES DE TÈTE » Tableau de FRANS HALS LE JEUNE, peintre hollandais (X\ ' [[c Siècle). Musée 13oijmans, a Rotterdam. L.
(1), et qui ne manque ni d'origi- nalité ni de vigueur(Pi. XLVIII). ' Il s'agit encore de l'opération dés « pierres d
sagistes'hollandais' tels que Adriaen van der Velde et Albert Cuyp. ' ' : Quant à Andries, il profita des conseils d'
gistes'hollandais' tels que Adriaen van der Velde et Albert Cuyp. ' ' : Quant à Andries, il profita des conseils d'un
e façon tragique; à Venise, en 1650. A la suite d'un copieux festin, ' il tomba de sa gondole et se noya dans un canal.
lors de son séjour à Rome, à jeter un ecclésiastique dans le Tibre ' . , - ' Les tableaux d'Andries Both sont pen no
son séjour à Rome, à jeter un ecclésiastique dans le Tibre ' . , - ' Les tableaux d'Andries Both sont pen nombreux,
e, et, vraisemblablement, d'une extirpation de « pierres de tête ». ' L'artiste nous montre l'intérieur d'une misérab
ersonnages d'A. Both, elle a les mains énormes, de grosses mains de ' paysans déformées par le travail. Adroite, troi
es Estampes du Rijks Muséum (Amsterdam). LES OPÉRATIONS SUR LA TETE ' 313 Il est assis sur le classique fauteuil de b
séjourna quelque temps à Leyde, puis à Ilaarlem où mourut sa femme. ' , Jan Steen revint à Leyde vers 1670 - il rouvr
aut que chacun suppose que l'opération se fait sans douleur, (1) \ ' 347. ,310 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTnl1
chien, l'épagneufclier ;i Jan Sleen, flaire le sol au premier plan. ' A droite, une affreuse mégère, sordidement vêtu
ans une autre pièce peu éclairée. Nouv. ICONOGR. Dp 1.10. SAJPIUII'¡ ' ¡ T vin PLLI. « LES PIERRES DE TETE » Tableau
12 \ ! 9a ? ,cN6Bt : tLE iCONOG'RAPU)E DE LA SALPÈTIUÈRE o. ? LS ' ? La m 4ê-qui l'amène à l'hôpital a débuté sans
en part des pointes irrégulières qui se dirigent vers la périphérie. ' Au niveau de la 3e dorsale ces pointes irréguli
avant de l'émer- gence des racines postérieures gauches (Fig. 64). ' A partir de la 5e dorsale l'étendue de la tache
'observation qui va suivre, mais la lésion transverse était totale. ' La sensibilité a été moins éprouvée quelamotili
entes sensibilités occupent dans la moelle des places différentes ? ' ? 336 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
ace de section ; la subs- tance blanche a pris une teinte grisàtre. ' Les racines antérieures ont perdu leur teinte n
macroscopique, sauf un léger dépoli de l'épendyme du 4° ventricule. ' Le cerveau paraît complètement sain. Aux poum
rondis, mais leur lùmiËire'n'a pas subi le moindre rétrécissement.' ' Les vaisseaux intra-médullaires, à part quelque
cicules présente des traces manifestes d'irritation et porte un assez ' grand nombre des granulations péri-vasculaires
M. X... dans ses rapports avec l'acte cle désertion qu'il a commis. ' , Cependant, s'il faut préciser, nous dirons :
it donc être rendu responsable de cette « fugue'incons- ciente ». ' (Muni de ce rapport médico-légal, M. X... est rent
RESSIVE CHEZ U111YS'l'LRIQUD ATTEINT D'INCONTINENCE D'URINE par ' GASNE, interne des hôpitaux. Le cas suivant
ler. De.même nous avons vu quelquefois presque" tous les muscles du ' malade être agités de secousses fibrillaires fréq
ger, il ne bave pas. Cependant nous observons qu'il est très facile ' malgré les efforts énergiques' du- malade de rele
ifflait fort bien est dans l'impossibilité absolue de siffler. '' ' Au contraire les déformations des membres sont fr
côté opposé, le mouvement de supination est difficile mais beaucoup ' moins qu'à droite, le dynamomètre marque égalemen
ésiste peu quand on essaie d'étendre son pied préalablement fléchi. ' A droite les muscles sont manifestement atrophi
ts des membres, mais uniquement' localisées au côté droit du corps. ' Peu à peu tous les mouvements, et en particulie
ments, et en particulier la marche, sont deve- nus très difficiles. ' Etal actuel le Ier juin 1895. Un simple coup d'
aciès. La face est figée, sans expression ; la tête inclinée en avant, ' le tronc, légèrement affaissé, également penché
ns pour la mettre debout et l'installer en équilibre sur sa base. , ' . Les pieds glissent péniblement sûr le sol,- l
ouche. Il y a de l'hyperhyclrose surtout au tronc et } à la figure. ' Les chevilles et les pieds sont fortement oedém
s détails passent-ils inaperçus, ces'détails ont cependant leur im- ' portance tant au point de vue du diagnoslic des c
tie postérieure du bras, le triceps est aussi rigide que le bicèps, ' et ainsi par tout le corps. A l'abdomen où il e
istique, le chapitre sur la contrac- tion musculaire physiologique. ' ÉTUDE MORPHOLOGIQUE DE LA MALADIE DE PARKINSON
Jules de Médicis « Reverendissimo iu Christo Patri et Domino , vin ' 25 374 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
constate, en outre des symptômes précédents, l'issue de la matière ' cérébrale, et. il peut survenir au-dessous de la
une note lue à l'Académie de médecine le 28 novembre 1893, M. le D' ' Clozier de 13eauvais appelle l'attention sur une
toire (Rap- port médico-légal sur un militaire déser- teur), 348. ' Fournier et GILLES DE la TOURETTE. La notion
ade de Par- kinson, 361. Savill (T. D.). « Epidémie skin disease)) ' 48. Souques et J. B. Charcot. Un cas de pa-
29 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
infâme, Hésite et suspend son aveu. Pour faire sa beauté maudite ' Chaque sexe apporte son don Tout homme dit :
°. Nulle sensibilité anormale au froid, et transpiration conservée. ' Pas de troubles moteurs ni sensitifs ; les réfl
moyenne. Crâne de dimensions et d'aspect réguliers. Malgré son âge, ' le malade garde encore les cheveux noirs ; ils so
ptible à la palpation. Réaction de Wassermann : positive. ? <- ' ? ? ¥..f(d : iI ? -, ? v»' ? V W-f T vvutîi r, 17
action de Wassermann : positive. ? <- ' ? ? ¥..f(d : iI ? -, ? v» ' ? V W-f T vvutîi r, 17 Nouvelle Iconographie DE
tîi r, 17 Nouvelle Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE. % J ? ¢r t .F ? \ ' *« T. XXVIII. PL. V Obs. VI Obs. VIII Obs.
yse normale, grande augmentation des sinus frontaux et sphénoïdaux. ' Observation IX (PI. VI) (Hospital da Miserico
de développement du pénis et des testicules de dimensions insigni- ' 1 \ " 1 - mmm ,; DE LA SALPLI'R1ÉRE. T. XXVIII.
tiples, qui ont apparu depuis quelques années et qui s'aggravent. ' L'apparence du sujet est celle d'un-garçon de 12
rmal sur les membres et le tronc. Pénis insignifiant (2 cent. 1/2). ' Testicules comme des grains de blé; celui du cô
14. (2) Voir WEBER, Nouvelle Iconographie, 1907. (3) WEDER, Ibid. ' (4) Il est probable qu'il s'agit de crises épil
ndemain elle s'affaisse subitement et meurt d'embolie pulmonaire. , ' Troubles oculaires. A 22 ans (1901), la malade
gisse de muscles innervés les uns et les autres par le même nerf. , ' ' XXVIII 2 18 FLOURNOY Autopsie. Crâne. -
sse de muscles innervés les uns et les autres par le même nerf. , ' ' XXVIII 2 18 FLOURNOY Autopsie. Crâne. - A
aissent atrophiées. Sur les coupes sagittales, le lobe occipital sur- ' tout présente des circonvolutions très nombreus
amme, ne présente rien de particulier au point de vue histologique. ' Les nerfs optiques ont été coupés dans le sens
es de l'hémisphère gauche, rapprochées de la ligne médiane ; e' et / ' sur une autre série de 10 coupes passant plus en
errons plus loin quelle explication possible on pourrait en donner. ' PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UNE ORYCÉPHAL1QUE 25
rtielle à l'extrémité antérieure du noyau de l'oculo-moteur commun. ' Arrivés au bout de notre simple étude, nous con
8 - 9 ? CAMPTOCORMIE Mlle Rosa iioff-Sa loff. 13 14 15 ( ' A Tf PTII'l1R MTF 16 17 18 CAMPTOCORMIE
8 d'albumine par litre) qui a disparu au boul de quelques semaines. ' D'autre côté, on pourrait rapprocher nos cas de
, . ..C...' 'fff "1 "" ,. ¡I ? ,1- '1 ? j I ? hP ? \f. ? 11J ? r ? r.\ ' : J. : J'l.t\;" t ...... ? 1 , '1'. " 1 ? C
n citant les observations publiées, mirent en doute l'atteinte de . ' ? '...' , l'hypophyse. D'après ces auteurs, il
ture de l'observation et la photographie publiée dans notre tra- .( ' ; . , 1 ' . J j (1) ALOYSIQ de CASTItO, Sur la
observation et la photographie publiée dans notre tra- .( ' ; . , 1 ' . J j (1) ALOYSIQ de CASTItO, Sur la coexistenc
ypophyse e dos synd1"omas hypophyse- rios. Rio de Janeiro, 1915. ? - ' Fc. 4. 36 DE CASTRO 4 centimètres ; côté ga
périodes différentes de -la maladie; se trarisfor- t ti'-t" , ii * ' i f i 1 Il DE LA DYSTONIE DANS LA DÉSORGANISATI
arésies et contractures montrant le typé d'élec- tion de Wernick'e); ' pour l'absence- de lu titubation 'cérébe))éùse 'e
été la base de ces recherches : 1° Des cas graves de chorée mineure; ' les 'malades montraient dès conlrac- tiohs 'mus
Cè malade'est'lé frère de la malade mentionnée'dans le 4e groupe. ? ' j ? ", ;" ' " '' "l' 1 ' 2° Des cas d'illhétose
t'lé frère de la malade mentionnée'dans le 4e groupe. ? ' j ? ", ;" ' " '' "l' 1 ' 2° Des cas d'illhétose (chorée) un
la malade mentionnée'dans le 4e groupe. ? ' j ? ", ;" ' " '' "l' 1 ' 2° Des cas d'illhétose (chorée) unilatérale. Un
cture en flexion qui persiste pendant toute la dùrée'de l'effort/ i ' ? .l Le trouble décrit n'est pas signalé dans l
ue l'amplitude du mouvement en extension diminuait progressivement. ' < ; 1 1 1 Dans certains cas, l'impulsion de
e se met tout de suite en opposition et erf flexion. 1 1 . ? -i z ' Mais la faute de l'innervation musculaire peut se
e le malade essaie de mettre l'avant-bras en pronation (supination), ' il exécuté des' mouvements dans le'coude, dans ie
s lèvres en côrilractionj'rempli'ssàit cet"acte en'fumant une pipe. ' ' En résumé : Le' trouble que montrent rios mal
lèvres en côrilractionj'rempli'ssàit cet"acte en'fumant une pipe. ' ' En résumé : Le' trouble que montrent rios malad
- tant, se manifestant surtout dans'les actes les plus élémentaires, ' dispa- raissant ou diminuant' dans'd'autrès fon
ons musculaires. Les muscles inté1'essés 'ne sont pas paralytiques , ' il a a plutôt parésie de certaines de leurs fon
ytiques ,' il a a plutôt parésie de certaines de leurs fonctions. , ' ' '" " ' Il .- A côté des cas où le malade n'es
iques ,' il a a plutôt parésie de certaines de leurs fonctions. , ' ' '" " ' Il .- A côté des cas où le malade n'est
ues ,' il a a plutôt parésie de certaines de leurs fonctions. , ' ' ' " " ' Il .- A côté des cas où le malade n'est pa
' il a a plutôt parésie de certaines de leurs fonctions. , ' ' '" " ' Il .- A côté des cas où le malade n'est pas mêm
mbre s'élance sans être arrêté par la contraction des antagonistes. ' ' ' Il y a un autre phénomène qui mérite de ret
re s'élance sans être arrêté par la contraction des antagonistes. ' ' ' Il y a un autre phénomène qui mérite de reten
s'élance sans être arrêté par la contraction des antagonistes. ' ' ' Il y a un autre phénomène qui mérite de retenir
ue le mouvement est répété, même dans le'cas d'uri'èrdre contraire. ' ' ->-» Dans lés âctes ou l'amplitude' du mou
le mouvement est répété, même dans le'cas d'uri'èrdre contraire. ' ' ->-» Dans lés âctes ou l'amplitude' du mouve
s lés âctes ou l'amplitude' du mouvement est limitée par un but, - - ' >- . '' '> s l, j l' 11 « " l' . .. t .1 :
t maintenant la base physiologique qui est commune à tous ces cas ? ' ' Le trait marquant de ces cas, comme nous l'av
maintenant la base physiologique qui est commune à tous ces cas ? ' ' Le trait marquant de ces cas, comme nous l'avon
ceptive reflexes), qui nous a fourni de précieux renseigne- 46 ., , ' ;WOERKOM, , ., - ? , 1; » «- ments à ce, sujet.
DE LA DYSTONIE DANS LA DESORGANISATION DES MOUVEMENTS 47 I . ; . t ' 1 Il t '1 où le système tonique était conservé
l'abolition du système tonique ils.avaient perdu cette faculté. - 1 ' 1 L'homme sain est capable de faire remplir à l
on sous-thalami- que (corps de Luys) (3). Dans les couches optiques, ' des processus d'invo- lution sont constatés à l
de ces muscles dans certains stades du développement humain. " '' t ' (3) Dans un de nos cas, des altérations microsc
(Mme Athanassio-Benisty). MASSON et Ci., Éditeurs. oe .1 41#- - ' NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIEAE. IM ? 4ï ?
oe .1 41#- - ' NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIEAE. IM ? 4ï ? Ï' ^ ' T- XXVIII, PL. XVII. J 1.\ ,>;"r'\....11 .1&
et du sujet en demi-extension et lui demander d'étendre les doigts. ' Si les extenseurs des doigts sont paralysés, au
ion devient possible. * -H £ *« ! £ , ., ,-. H- Paralysie cubitale. ' ', t ? l...... 11, - PARAI,YSIE CUBITALE. 1 E
devient possible. * -H £ *« ! £ , ., ,-. H- Paralysie cubitale. ' ' , t ? l...... 11, - PARAI,YSIE CUBITALE. 1 En ca
. 1 ? y / ? - w..k ? J 1U'f : ! IhL ! BLESSTIRES DES NERFS DFFOR\ ' f '8 DE LA MU1\ ! ,PAR BLESSURES DES NERFS 1 Da
point qu'elle se fendille et qu'elle desquame par petites écailles. ' Dans d'autres cas, la sudation est augmentée et
rsqu'un projectile a sectionné ou écrasé les deux nerfs du bras par ' DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DES NERFS 7
re là une prédisposition du blessé ? une dégénérescence du muscle ? : ' Ou s'agit-il d'un équilibre spécial entre le fl
bre 1915, Revue Neurologique, novembre-décembre 1915, p. 1273-1276. ' (1) J. Babinski et J. Froment, Les modification
es nerveux d'origine réflexe. Examen pendant l'anesthésie cltlorofor· ' z 80 ' 1 MADAME ATHALVASSIU-BENISTY tous les
x d'origine réflexe. Examen pendant l'anesthésie cltlorofor· ' z 80 ' 1 MADAME ATHALVASSIU-BENISTY tous les symptômes
ume de la main. Cet aspect serait dû d'après M. Sicard à la con trac- ' ture des fléchisseurs de l'avant-bras ; « main
1 doigts et des interosseux ; « main des nerfs radial et cubital ». ' d) La main en col de cygne, « main des nerfs mé
eur DE COUTEAU. Paralysie de l'adduc- teur du pouce par lésion de C™ ' et hypertonie des interosseux par irrita- tion
qui surmontent l'hypertonie du deuxième interosseux palmaire, privé, ' lui, du secours du digastrique, puisque le cinq
e la main et qui a, croyons-nous, sous sa dé- pendance l'hypotonie. ' - La preuve peut en être recherchée dans la dim
plan intermédiaire, et le troisième doigt sur un plan pos- térieur. ' Le pouce conserve son indépendance et sa mobili
température. Très léger refroidissement habituel. 1 \ . Pression : ' 88 LAIGNEL-UVASl1NE ET PAUL COURBON griffe cu
à l'oppo- sition du pouce ainsi que celle à la flexion du poignet. ' 6. Sensibilité. Anesthésie dans le territoire d
sensible et elle fait disparaître en une demi-heure la contracture. ' 9. Excitabilité électrique. - Faradisation. - L
ur la deuxième est possible et indolore ; leur flexion provoque une ' résistance que l'on peut vaincre, mais en détermi
ppréciable des deux mains à la sortie de l'eau chaude. 4 Pff.Mtnn ' · · 98 TAIGNEL-LAVASTINE ET PAUL COURBON effe
tie allongée transversalement.et adhérant aux tendons fléchisseurs. ' ' 2. Conséquences immédiates. Le canon de son f
e allongée transversalement.et adhérant aux tendons fléchisseurs. ' ' 2. Conséquences immédiates. Le canon de son fus
se osseuse de l'articulation phalango-pha- langinienne de ce doigt. ' 6. Sensibilité. - Pas de trouble de la sensibil
dduction en est volontaire. 106 LAIGNEL- LAVA STINE ET PAUL COURBON ' 5. Motilité provoquée. - La réduction de toutes
osseux dorsaux. Galvanisation. Pas de modification de la formule. ' 10. Vaso-motricité et température. - Léger refr
- Hypoexcitabilité électrique de tous les muscles du membre droit. ' - 8. Excitabilité mécanique. Hyperexcitabilité
ctionnelle ou pseudo-paralysie radiale comme dans XIII et XIV. xxvm ' 8 il 4 LÀ1GNEL-LAVA9PINE ET PAUL COURBON Enco
et après blessure des masses musculaires internes de l'avant-bras). ' 2° L'apparence est celle d'une immobilisation a
(IV, V, VI, toutes réflexes). Troubles trophiques tendineux, VI (R. ' + M.). Anoler l'absence de décalcification des p
substitution d'une attitude à une autre comme chpz 11, III et. XI. ' . CONCLUSIONS. Cette étude nous a permis de r
à la Faculté de Paris, chef du Centre Neurologique de la Ile Armée, ' Nous réunissons sous ce titre une série de fait
, tentative de mouvements passifs paraissent être très dou- lourez. ' Aucun trouble de motililé électrique. Ni albu
DE la SALPP'I'RI1 : R1 : . sr.n, ? T. XXV111. PL. 1XVIII A, ? ·. ' ? > ? 8 ? . n . J/il ' i' : A' B D C
sr.n, ? T. XXV111. PL. 1XVIII A, ? ·. ' ? > ? 8 ? . n . J/il ' i' : A' B D C E DÉFORMATIONS DES MAIN
TIONS DES MAINS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX (A. Léri.) IX^.LLL'I. IL ' 'I 1'>ÀLIII Itll . L. v ` - V 111. L.. 1 ? i ?
e, les autres mou- vements auraient disparu quand apparut l'oedème. ' Cas ly (fig. D). D..., 23 ans, se présente le 2
que petit à petit la main s'est gonflée et contracturée en flexion. ' * 124 . LÉRI 1 Ces diverses observations ont u
acter. DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES PIEDS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX ' 125 Le meilleur moyen pour s'assurer de la natu
nt tous les caractères de la causalgie, dans le domaine de ce nerf. ' " (1) Pierre Marie et Mme Bénisty, Revue neurolo
outre, il y a des douleurs spontanées continuelles sur la face dor- ' sale de la main et des doigts, douleurs très vive
PAR BLESSURES DE GUERRE (A. Léri.) Masson & Cie, Editeurs. ' "ppIBLLL GONOGRAPHIL DE LA ,5.1LP1 : 'l'RIEI2&
teurs. ' "ppIBLLL GONOGRAPHIL DE LA ,5.1LP1 : 'l'RIEI2&. X^ "r \ ' . ,. 1. \ 1V111. IJL, 1111 ? 11';1..... (1" 't.\'
SCIATIQUE (PORTION INTERNE DU TRONC OU SCIATIQUE POPLITÉ INTERNE). ' Nous avons signalé occasionnellement à la séanc
erf (découverte de la simulation, expertises médico-légales, etc.). ' Ce signe a d'autant plus de valeur qu'il peut ê
nnulaire ne présentent qu ? légère saillie tranversale à droite 142 ' LÉRI ces deux mêmes articulations ne présentent
oubles ou bilobées; elles sont plus ou moins latérales ou médianes. ' Les index sont indemnes, à l'exception d'une lé
externe) s'adap- terait au contenu osseux (manchon interne). xxvm ' 10 0 146 SIGARD, NAUDIN ET CANTALOUBE Sous qu
NOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE \ \. 7 1 i% 4< ? T. XXVIII. PL. XXXV ' ? t ¡lIt\)/ ....- (jBHfleWSGKAl'mL . JA21$.JJ
ien-Gaston, né le 27 août 1889. Léon-Joseph, né le 16 janvier 1893. ' De ces sept enfants, trois étaient polydactyles
presque toujours l'ainé de chaque génération. i - BIBLIOGRAPHIE ' , Dans les conditions actuelles, il nous est im
p. 454. NOUVELLE IC01'>.OGRAPHIE I)I· LA SALPI ? 1'RIlli1·. - " ' '1'. »Vlll ? 1 ? T\\ ? r ? ·m·nncreraW 7T'TFNNRS
x grands groupes, sui- vant qu'ils sont musulmans ou fétichistes. ' Les fétichistes sont les habitants des contrées p
en photographier. Après la mort ils sont la propriété des enfants. ' - Le gri-gri interne est une boisson formée par
lques-uns s'huilent les cheveux et les poudrent de charbon pilé. - " ' Ils aiment 'beaucoup la musique, improvisant de
rabia est l'oeuvre des premiers sous-officiers qui eurent à les 182 ' COURBON conduire. Pour ridicule qu'il soit il n
janvier 1914; MARA- îion, Bull. de la Soc. Exp. de biologie, 1915. ' 11. Camus etRoussy. - Presse méd., 1914. 12.
r 1916 par le professeur Francisco Gentil par la méthode de Krause. ' TUMEUR DE L'ANGLE PONTO-CÉKÉBELLEUX (Egai Mon
érée par la pression ; sous la zone hépatique, point douloureux 200 ' ETIENNE à la pression. Tête très mobile. Pas de
leur à la palpation des masses musculaires. Abolition des réflexes. ' XXVIII 14 202 ÉTIENNE 1 Pas de contractur
es. ' XXVIII 14 202 ÉTIENNE 1 Pas de contracture de la nuque. ' Faiblesse des membres supérieurs. 27. Reprena
e malade râle sans plainte. Mort 2 heures après. Observation III. ' 1 Bon... Georges-Jean, soldat au X5e régiment d
, un peu blanche. Pas de vomissement. Selles normales. Foie normal. ' Exagération des réflexes rotuliens des deux côt
s exagérés. Clonus épileptoïde du pied. Hypersensibilité plantaire. ' Céphalée intense. Le malade se plaint de douleu
is quand on soulève les membres inférieurs, ils ne retom- bent pas. ' Pas de déformation de la colonne lombaire sacré
d'invasion. Le même fait a été signalé dans un cas par Hellier (1). ' En somme, souvent période de troubles d'aspect
ent la scène. Nous l'avons indiqué en étudiant la phase d'invasion. ' A la phase d'état, nous les trouvons encore au
la douleur notablement plus que la pression des muscles ou de l'os. ' Les viscéralgies extrêmement violentes dans l'obs
sie infantile. Société médicale des hôpitaux, 27 mars 1914, p. 571. ' 12) FLLLER EXGLA;\D, Sur quelques cas de paralysi
22 août. 22. La photographie radiologique ne nous montre aucune 11 ' ['ration des articulations coxo-fémorales, ni de
e syphilis). Il est superflu de donner ici une des- XXVIII 16 234 ' PETREN » cription de ce qu'il faut demander pou
is, amélioration d'un bras, mais aggravation de l'autre. CI D 238 ' PETREN CESTAN (obs. II). - Syphilis de 1 mois.
upérieur, quatorze ANS après UNE fracture méconnue DE la clavicule. ' ' III. - ATROPHIE musculaire syphilitique A typ
érieur, quatorze ANS après UNE fracture méconnue DE la clavicule. ' ' III. - ATROPHIE musculaire syphilitique A type
.. Atrophie musculaire' syphilitique A TYPE péronier (simulant , ' , l'amyotrophie Charcot-Marie) (Pl. XLVIII). Da
hilitique (2) et que nous avons retrouvée à plusieurs reprises. - ' La lésion syphilitique reste plus ou moins locali
muscle pédieux. La mensuration donne les chiffres suivants : 264 ' LÉRI soulevant. Les artères pédieuses se senten
Pourtant, c'est un cas unique dans la famille ; aucun de ses parents, ' proches ou éloignés, n'a présenté d'amyotrophie
ollatéraux, qui fut atteint dans l'âge adulte d'une amyo- 268 LÉRI. ' ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES signe d'Argyll-
pétit, digestions faciles, selles régulières. Ni albumine ni sucre. ' Pas de palpitations de coeur. Appareil respir
u seize ans à la suite d'une émotion ? Cependant l'impossibilité de ' plisser le front serait peut-être de beaucoup ant
uscles de l'oeil envoient d'après Coyne et Troisier des prolongements ' \ dans l'aponévrose orbitaire. Celle-ci en émet
ressemblent, un trouble plus complexe que le trophoedème habituel. ' Pourtant, à notre sens, le trouble lingual et c
REGESIGO, RIO-DE-JANEIRO SUR UN CAS DE SYNDROME DE DERCUM PAR MM. ' R. TEIXEIRA-MENDES, et MONTE-SERRA, Assistant
t bien portant est mort à 44 ans à la suite d'une artério-sclérose. ' Etat actuel. La maladie a débuté il y a quatre
ERCUhf (7'cv. Melides et Moule Serra.) Masson & Cie. Editeurs ' .. IMP. CATALA FRERES, PARIS. sur un cas DE S
leurs dans ces régions, douleurs qui sont spontanées ou provoquées. ' Le syndrome de cette maladie a été décrit pour
joute d'autres variant suivant 290 TEIXEIRA-MENDES ET monte-serra ' les cas et qu'on peut ainsi énumérer : asthénie,
avait une dispo- sition anormale des circonvolutions cérébrales. ' e) Théorie toxique. Dans cette théorie, le syndro
la pathogénie de l'adipose douloureuse à des agents spécifiques. ' c) Théorie glandulaire. Les glandes devaient auss
pied de la troisième circonvolution frontale ou région de Broca. / ' L'enfant a été transférée dans la Clinique de C
a besoin, mais il éprouve une grande difficulté à les prononcer. - ' ' BIBLIOGRAPHIE 1. PIRIIftE Marie. Bull. de l
besoin, mais il éprouve une grande difficulté à les prononcer. - ' ' BIBLIOGRAPHIE 1. PIRIIftE Marie. Bull. de la So
étude de l'hémiplégie cérébrale infantile. Thèse de Genève, 1884. - ' 4. IIIeaTrt BERXHAKDT. Vichow's Archiv., Bd 102
hrallühmu»g, nolhnagel's Sp. Palh. u. Ther. Bd IX, 3, p. 111, 1901. ' 6. Déjerine. - Séméiologie des affections du sy
N- TRE CORTICAL DE LA DÉVIATION CONJUGUÉE DES YEUX ET DE LA TÊTE. ' A PROPOS D'UN CAS DE SARCOME PROFOND A LA PARTI
DANTE A LA HAUTEUR DE LA SECONDE FRONTALE. EXTIRPATION (1), PAR ' Egas MONIZ, Professeur de neurologie àja Facult
à goutte. Ni hyperalbuminose, ni lymphocytose accentuées. Poul, 42. ' ' 28 et 29 : Même état. Pouls environ 42. , 3
goutte. Ni hyperalbuminose, ni lymphocytose accentuées. Poul, 42. ' ' 28 et 29 : Même état. Pouls environ 42. , 30
r monosyllabes. Elle avait la plus grande difficulté à s'alimenter. ' Pouls 58. Apyrexie. En l'observant j'ai const
uniforme et brillant à l'oeil nu. Par pression ne donne pas de suc. ' Les coupes faites perpendiculairement au diamèt
s réactions inflammatoires plus ou moins intenses qui atteignent la ' substance cérébrale environnante. Sur une malad
ande tous les jours la permission d'aller chez elle, à son village. ' Quels ont été les phénomènes spéciaux qui se so
érite, dans ce cas, d'être appréciée à cause du siège de la lésion. ' 1) Cas publié dans la Afedecina conlemporanea,
, professeur à la Faculté. SUR LES HÉMORRAGIES MÉNINGÉES, Par R ' Sven INGVAR, interne à la clinique médicale. -
sérieusement étudiés et décrits et qui seront mentionnés plus tard. ' Si l'on réussit à éliminer l'hémorragie artific
du ventricule dans cet espace. " * SUR LES HÉMORRAGIES MÉNINGÉES ' 315 Ces formes d'hémorragies cérébrales, qui so
Femme de constitution normale, embonpoint et musculature ordinaire. ' Extraordinairement apathique et abattue. Ne parvi
tion pour le bacille de la'`tuherculose n'a donné aucun résultat. ' Après la ponction lombaire, la malade s'est senti
ons, de même que le foie et la rate, ne présentent rien à signaler. ' SUR LitS HÉMORRAGIES MÉNINGÉES 319 A la repri
rupture antérieure, cicatrisée, de la limitante élastique interne. ' , A un examen microscopique plus approfondi de
ux a continué son action dans les artères cérébrales de la patiente, ' et une nou- velle irruption, avec rupture compl
accidents pathogéniques que dans le cas en question. Observation IL ' Rut V..., employée de commerce, H5 ans. Tout
e violence. La botte crânienne est intacte et d'épaisseur ordinaire, ' la dure-mère également d'épaisseur ordinaire. Sa
à l'endroit où celui-ci tourne à la base de la pyramide pétreuse. ' Au prélèvement du cerveau, on a clairement trouvé
lus ou moins long (Martin etRibierre). On comprendra facilement 324 ' INGVAR que lorsque l'accident se produit, on a
la lumière-de la pupille droite. Fort myosis de la pupille gauche. ' 12 heures Parfois respiration à la Cheyne-Stoke
s cérébrales ventriculaires. SUR LES HÉlIlORIlAGmS MÉNINGÉES { 329"\ ' ¡ , '4 J i ? l i Observation V. z E. H..., t
était raide, mais il n'avait pas de convulsions ni de vomissements. ' Conduit par la police à la section médicale de
tement pleins d'un sang liquide rouge sombre entremêlé de caillots. ' Après un prudent lavage afin d'enlever les mass
as doit être considéré comme intéressant à plusieurs points de vue. ' \ - Ainsi qu'il a déjà été relevé, ce n'est qu'
ux, pour ne pas dire indispensable, dans les hémorragies méningées. ' Je tiens à témoigner toute ma profonde et respe
ac. miitt. publiées par l'ordre du ministre de la Guerre, 63, 1914. ' . BENDA (C.). - Lehrbuch der Patholog. Anatomie
orragies méningées sous-araclmoïdieunes. Gaz. des hôp., 1904. 342 ' INGVAR. SUR LES HÉMORRAGIES MÉNINGÉES HMUET (G.
qui siège encore près de la première vertèbre dorsale e (PI. L1X). ' Immédiatement après la blessure il y eut une gr
la température atmosphérique, ingurgitation de liquides abondants. ' Dans toutes ces conditions, le corps du sujet se
(Laignel-Lavastine et Paul Courbon.) Masson et Cie, Editeurs ? ' à SYNDROME SYMPATHIQUE CERVICAL OCULAIRE 34S' i
ralentissement de 13 pour l'oeil gauche et de 21 pour l'oeil droit. ' Le réflexe cilio-spinal est diminué, les réflex
e correspondante, comme dans les expériences de François Frank (3). ' Puisque dans notre cas il n'existe aucun troubl
us du creux sus-cfaviculaire, Société de Neu- rologie, 7 juin 1917. ' (2) GARNISR Ch. et VILLEMIN F., Sur une anse ne
pbySi014, 1910, p. 405-481. 0A 332 LAIGNEL-LAVASTINE ET COURBON ' par l'atropine avant la phase de. paralysie et
e, juillet 1916 ; C.R. de l'Académie des Sciences, Il juillet 1916. ' "" ? " LES SYNDROMES FRUSTES D'IRRITATION DU PL
uel le courant doit passer pour avoir le seuil galvanique classique, ' Le temps utile est désigné par la lettre T. Pra
'adducteur du cinquième doigt, côté sain : 12,1 côté malade : 14,6. ' Pour le médian et pour les muscles du groupe ra
2,l'examen montre toujours la corde gauche rigoureusement immobile. ' .. ' - 25. - Pouls : 108-120, même état de la p
xamen montre toujours la corde gauche rigoureusement immobile. ' .. ' - 25. - Pouls : 108-120, même état de la plaie
avec reprise inspiratoire sonore simulant une sténose du larynx. - ' 1er mai 1916. - Corde vocale droite immobile, s
r se juxtaposer, son aryténolde passant un peu en avant de l'autre. ' La radiographie pratiquée le 9, septembre montr
fance que de l'adulte rapportant un cas de cette .dernière variété. ' Depuis que nous avons rédigé les notes publiées
aire tertiaire : l'ostéo- arthropathie et la périsynovite gommeuse. ' ' (1) Cn. FOUQUET, De la syphilis articulaire.
re tertiaire : l'ostéo- arthropathie et la périsynovite gommeuse. ' ' (1) Cn. FOUQUET, De la syphilis articulaire. Th
métacarpo-métacarpiennes sont extrêmement lâches, et chaque ? Õ'V' ' (1 . . j\'uU\ 1 1 I. Icwuc;u.wmn. m-. -v W Lm.rm
- tion morphologique analogue à celle du malade, dans sa famille. ' Enfance souffreteuse, pas d'information exacte qu
Cie, 1'dnems. iuv meu vtcES,vwx DYSTROPHIE SÉNITO-GLANDULAIRE' 391" ' 1 bassin, dont les diamètres transverses sont
allongées, de type féminin, avec hyperdis- tensibilité des doigts. ' Adipose prononcée des seins, des fesses et de l
s avons observé la malade, les douleurs avaient diminué d'intensité, ' et pris un caractère latent. Il n'y avait point
Absence complète de poils dans la région pubienne et aux aisselles. ' Examen radiographique : tumeur hypophysaire de
actères sexuels primaires, secondaires, tertiaires et quaternaires. ' a) Caractères sexuels primaires : se rapportant
e simple z Sénilisme (gérodermie Dystrophie . Infantilisme sexuel ' génito-dystrophique) f génito-glandulaire z -
es séminales sont atrophiées, et la pros- tale très peu développée. ' Un semblable état des organes génitaux fait com
rd anormal dans l'ossification des carti- lages juxta-épiphysaires. ' « Il s'agit d'une hypercroissance, en relation
t, leur volume décroit, avec périodes fonctions génésiques et chute ' des poils, sans rien déplus. Il nous parait qu'il
tation et de lui donner l'interprétation qui nous paraît logique. ~ ' 1 Pour corroborer l'inclusion de l'infantilisme
vocaux qui persistent tels qu'ils existaient-dans l'enfance (3). » ' La description consacrée à ces cas d'infantilis
évidence la coparticipation morbide des autres glandes endocrines. ' Un argument de grande valeur à l'appui de la co
yroïdien) et un infantilisme non m)'xoedé- mateux (congénital) (1). ' Les nombreux cas que nous avons cités constitue
(2) Voir les .observations III, V, VI, VII, VIII, IX, XVI et XVII. ' (3) Le travail initial sous le litre : Geroderm
accentuer la fragilité osseuse prononcée qui s'observe dans ces cas, ' quand la graisse et la stature élevée feraient
que les signes acromégaliques que Pende pense avoir rencontrés : et ' en ce qui concerne la radiographie, la selle turc
surtout d'une complète imbécillité, sont beaucoup moins nombreuses. ' La conscience de son incapacité sexuelle, acqui
dulte, que Gandy subordonnait au dysthyroïdisme avec dysorchidisme. ' Mais dans d'autres cas, comme on l'a dit à prop
dive, en particulier, est tout à fait exceptionnelle chez la femme. ' Ces types, dans le sexe féminin, se se révèlent
dans l'eunuchoïdisme féminin (l'ex- (t) PENDE, op. cit., p. 133. ' DYSTROPHIE GÉNITO-GLANDULAIRE 415 pression est
l'abaissement du sillon chiasma- tique et du fond de la selle (3). ' L'extension de la tumeur peut être telle qu'il
uvée expéri- (1) R. Birrc, Lehrbuch der Neruenkoanlsheiten, 1 462.. ' (1) R. DING, Lehrbuch der Nervenkmnkheitell, 19
assé, comme atteint d'un écrasement de la quatrième vertèbre loin-, ' - baire et d'une compression de la queue de cheva
nc était toujours plié en deux et la région lombaire douloureuse. ' Le 9 avril, son état général s'étant amélioré, on
ment.) (Souques, Ayt ? <t;/</. ? <' Nardi/(b et Ra/halld ' off TRAITEMENT DE LA CAMPTOCORMIE PAR l'ÉLECTRO
re 1916). Le tronc est courbé presque à angle droit sur les cuisses, ' et le malade ne peut pas le redresser. On voit un
e. Pas de troubles trophiques, ni vaso-moteurs, ni sphinctériens. - ' Un examen radiographique fait à Bordeaux n'a dé
rieurs et supérieurs est bonne ; la force mus- culaire est normale. ' Les réflexes rotuliens et achilléens sont égaux
st tout à fait redressé. La séance dure une quarantaine de minutes. ' Les jours suivants, exercices de gymnastique ;
en temps le malade accuse une gêne plutôt qu'une véritable douleur. ' Le 22 octobre 1916, traitement électrique (cour
ses musculaires sacro-lombaires révèle des douleurs des deux côtés. ' Le 29 janvier 1917, traitement électrique, cour
r doit donc les premières tentatives de chirurgie psychothérapique. ' A la même époque, le traitement médical des mal
enaient bien à des maladies qui sont encore pour nous des mystères. ' J'ai recueilli jadis à ce sujet une série de do
les des documents précédents. Mais elle porte Je cachet spécial des ' figurations flamandes (PI. LXIX). , Nous sommes
docteur, le genre de clients qu'il guérit, et pourquoi, et comment. ' « Vous, malades, hommes et femmes, voulez-vous
, d'après votre physio- nomie, ce qui vous adviendra dans l'avenir. ' « N'avez-vous aucun repos du fait des vers, acc
bre les succès du grand chimiste - . presque alchimiste qui a ' , 1 - trouvé le secret surprenant ' de dompte
presque alchimiste qui a ' , 1 - trouvé le secret surprenant ' de dompter tout mauvais penchant. par le moyen
es mouvements volonlai- res), par W. van 'VoEIIKmr, 37. 4 454 , ' TABLE DES MATIÈRES Dystrophie génito-glandulair
la hauteur de la seconde frontale ; extirpation, par Monis, 306. ' Sympathique cervical (Syndrome - ocu- laire d
question de la poly- névrile - ou mercurielle), par Petren, 226. ' (Atrophie musculaire - à type péro. nier), pa
, 353. CANTALOU13E (P.), SICARD et Naudin. Macro- dactylie, 144 : ' Carati E.). Deux cas de myopathie atro- phiqu
éri. Atrophie musculaire pure par tiraillement du plexus brachial, ' 252. D'Espine (Ad.). Aphasie et dysarthrie à
30 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
école complémentaire. aux enfants à se laver la figure et les mains, ' à s'ha- biller, etc ; 3° les exercices pour l'é
bte- nir jamais aucun résultat pour la lecture, lorsque cette année, ' grâce à l'emploi des petits papiers portant un
recteur M. Fontaine, a bien voulu leur expliquer le fonctionnement. ' Visites. Les enfants ont reçu 15.098 visites ;
ecteur de l'Ecole Bischofssheim; Dr Alb. Bjorkman (de Finlande) ; D` ' Chaddock (de Saint-Louis) Dr Dmitrevsky, médeci
n suppléant de l'hôpital Notre- Dame des affligés, l'étersl)ourg; D' ' J. Forsmann, assistant à l'institut pathologiqu
stant à l'institut pathologique de l'Université de Lund (Suède) ; D' ' Fchistovich, de l'Académie de méde- cine de Sai
urg; 1\I. Hamilton, docteur en médecine ; Dr Huet (d'Amsterdam) ; D' ' J. IIagelstan, docent à l'Université d'Helsingf
es) ; M. Jakmvleffde (Pétersbourg) ; Dr P. Minos (de Londres) ; D' ' Mac-Latchie (d'Edimbourg) ; Dr Magnus (cle Chris-
) ; Mlle Rabinouwicth (cle New- ork) ; Dr Som- mer (de Giessen) ; D' ' Et. de Saint-Hilaire, médecin de l'Institut dép
Voss (de Pétersl)ourg) ; Mlle E. Volovatz externe, des hôpitaux; D' ' A. L. Warner (de Chicago). De même que les anné
2.615 brosses en tous genres (dont Il,000 pour le Magasin Central). ' , Vannerie . 324 mannes neuves fabriquées (do
e décompo- sant ainsi : . Décès. IX III DÉCÈS. noms. 1 AGE. 1 ' maladie. - Date du décès. Gerv .......... 2 ans
v .......... 2 ans. Idiotie méningitique Epilepsie. 12 mai. Cécité. ' Delay........ 3 ans. Idiotie complète. Paraplég
7 mai. IIair.........1 )Gans. i Idiotie complète. Gâtisme. 20 juin. ' Hanta 17 ans. 1 Epilepsie symptomatique. 27 jui
a pie-mère . -i^tfÉ> Sinus distendus par des caillots. Cerveau ' ^W*F gélatiniforme. Faces internes et convexes d
de ce genre existant à l'étranger, au moins une Classes spéciales. ' lxvii grande partie d'entre elles. Nous espério
uisse, l'Angleterre et la Belgique.. . I. Suisse. Notre ami, le D' ' Laclame (de Genève), a bien voulu, sur notre de
et idiots, en Suisse, a été fondé, comme on sait, en 1840 par le D' ' Guggenbuh ! (de Glaris), sur l'Abendherj près d
istance des enfants idiots. enfants arriérés, sur l'initiative du D' ' Largiarder, direc- teur de l'école secondaire d
isants que ceux des autres vil- les suisses. Votre bien dévoué, 1) ' Ladame. Nous manquerions à notre devoir si nous
pour vagabondage, 110 pour mendicité. Déjà, 11 l'âge le plus tendre, ' les instincts immoraux ou brutaux se manifestent.
'hébétude, la gaieté, etc., s'y dessi- nent tour à tour. 1/ëtëuafeu) ' de la paupière supérieure est le siège de convu
oncé. Les pupilles égales paraissent réagir normalement. Vision : ? ' ? Nez un peu camus assez bien conformé extérieu
ète de celle du côté opposé. Le cervelet n'a rien de particulier. ' Thorax. Pas de trace de thymus. - Corps thyroïd
r. La plèvre diaphraumaliqlte est aussi couverte de gra- nulations. ' Abdomen, - Granulations tuberculeuses nombreuse
asins. Il est rangé, fait parfois quelques excès - Athétose double. ' 27 alcooliques, mais ne boit que du vin et n'es
on de l'épaule. N'a jamais eu de convulsions, est très intelligente ' - /1° notre malade. Notre malade. - Au moment
poils blonds d'un centimètre ; - sur le pubis, poils bruns étendus ' transversalement sur mie longueur de 9 centimèt
R. 40°, 5. - Mort à 10 heures 1/2 du soir. Température après décès. ' CRANE ET cerveau. 35 plagiocéphalie . (sailli
segments par dos scissures accessoires. - Première temporale (T1.), ' régulière, se tcr- mine au contact de la scissu
éas est très-volumineux et, au niveau de sa-tête, siègent de gros ' -g5'riâliôns'-calééüx.' ? Hem'.gaucher rien1' dé
ure. Capsuieurenaie rien, - Vessie, organes génitaux, rien à noter. ' " ? .' ,1 : 1.q 1 , . '1 ,"1; (ti';>'I ! 11 H
ttend plus les chances d'une modification sérieuse diminuent. - - ' - A THÉTOSE DOUBLE. 39 V. L'athélose était nett
ois. - Rougeole à un an. Coqueluche et otite sup- purée à 2 a ? is. ' 1884. - Ulcération des cicatrices de brûlure.
été traité sans, succès par l'électricité à l'ho- pital de Troycs. ' ! L'intelligence s'était très affaiblie. La par
a- ture. 13 mars. Avril. Stomatite et adénites sous-maxillaires ' légères, d'origine suspecte. Il n'y a pas d'autre
Perie'etc. Il.se bat continuellement.'11 ? ? > ! : \1 ? ? ? ? « ? , ' ) : . : : M'> . , , ,c ? ntl,\pleJCl,1,( ? : ?
hant, taquine moins souvent ses camarades. Imbécillité athétosique. ' 47 . Décembre,. - Les progrès sont toujours de
ue- ments humides. A droite : soufflé caverneux en arrière. -Quel-. ' ques bouffées de râle humides en avant. Le coeu
écès : 38 kilogr.. en ? " ; .- ... '. ? . , ... z t : Ó O : - ? ' - ' .. ' C .. ' g ' - Mesures- délai tête. :
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96 1897 1898 - H - < - .\ -\ .-...... ? '. - . 'co> j ... ' ? > y . N > ^" CJ ' ? d ; : p N ÿ n- ' '5
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3 . 'S g 'S 3 'S'S 'S 'S a -ce ? . ,5'hh ? hhhhh"h c : 2> - ? td ' 00' ' ' ' - ' S ' co - - 0 . î°- Circonfére
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3 'S'S 'S 'S a -ce ? . ,5'hh ? hhhhh"h c : 2> - ? td ' 00' ' ' ' - ' S ' co - - 0 . î°- Circonférence horizont
'S 'S 'S a -ce ? . ,5'hh ? hhhhh"h c : 2> - ? td ' 00' ' ' ' - ' S ' co - - 0 . î°- Circonférence horizontale
S 'S a -ce ? . ,5'hh ? hhhhh"h c : 2> - ? td ' 00' ' ' ' - ' S ' co - - 0 . î°- Circonférence horizontale maxi
3S.5 36 39 39 36 0 z ; H Distance de l'articulation occipito-at- ' t-1 loïdienne à la racine du nez 32.5 36 37 38
14.6 14.6 14.6 14.6 14.6 14.6 15 15 1515.5 - tu-temporal " " » » » ' » » u 11.5 11.5 12 12 12 12 12 Hauteur médiane d
4 4 4.5 5 5 5 5 5 5 5 5 5 5, 5 5 - - ,- ...- . : .... » ,. -\ -, , ' . co. 50 Autopsie : CRANE ET cerveau. Autopsi
bornerons à rappeler qu'un mémoire comprenant presque toutes sinon ' toutes -les pesées des cerveaux des femmes de l
uve- ments, on produit la rigidité des muscles. Aux membres infé- ' Faisceau pyramidal. 61 rieurs : contractures gé
contacts, car il il'y a pas de cellules ou de chambres d'isolement. ' 74 Amélioration progressive. jours très grand
iveau des sommets, viande, crue, lait, etc. Manie ET nymphomanie. ' 75 10 juin. - L'enfant, qui avait été plus calm
se de travers. Parfois aussi le regard n'a pas une expression tout.¡ ' ¡-fait naturelle, il est vague. C.... est comme
nt à droite qu'à gauche. Le quatrième ventricule est un peu dilaté ( ' ? ), mais l'aqueduc cle Sylvius n'est pas diste
s un peu au-dessous de 37° et le malade sort guéri le 23 septembre. ' . - Traitement. Diète lactée, potion de Todd, b
e l'enfant ne man- geait plus, était brûlant le soir. T.R. 39°, 5 : ' Le malade ne peut fournir aucun renseignement.
sséminés. Pas de troubles nerveux, pas d'abattement. A partir du le, ' octobre la courbe thermique présente à nouveau
maternelle convulsions de l'enfance, ainsi qu'un de ses enfants. ' Accouchement à 8 mots t 2. -.1'remiène dent à 2
int-dé -mal de tôte et dè'MlP dues. Sôit· : T : R. h0 ? 5 : - " ? ? ' ;. ? - - 6 septembre. Se plaint toujours de. ma
en haut et a droite. Pouls plein' et rapide.' Urines albumincu'ses. ' Dans l'apl'ès-lilidi ? épi : . staxis dbonclaïi
caféine et d'un litre de..sérum artificiel en vingt-quatre heures. ' . 10 septembre*. Même état. Rythme ombryooardiq
, bains froids au nombre de 39. - Opposition iL l'autopsie (/)). .. ' OBS, XVI. - Myopathie progressive. Sommaire.
maternels tuberculeux, T Quatorze oncles et tantes morls en bas-âge; ' un-mort idiot et présentant la même affection q
les deux hémisphères. Il en est de même des lobes <fnt)<0) ? \ ' dont les circonvolutions sont grosses, unies, p
un liquide purulent. - Ganglions trachéo-bronchiques engorgés. . ' IDIOTIE `CONGÉNITALE. Tableau du poids et de la
ile, ... - Pas de consanpuinité. - Différence d'âge cle 7 an ? -, . ' Accouchement avant terme. - Gémellarité ? Attaq
ns et du coeur négative. Quelques ganglions dans les ais- selles. " ' Les membres sont normaux, symétriques : on n'ob
Catarrhe oculaire et nasal très prononcé. T. R. 40°, G et 39°, 2.' " ' 23 novembre, - L'éruption commence déjà à pâlir
s de son corps. - Caractère' un peu fantasque, mais bon cependant : ' w -" '. ". 1893. = Dléme état, même traitement.
bon cependant : ' w -" '. ". 1893. = Dléme état, même traitement. -- ' ;- - ! -' Fig. 10. - Scarlatine....... Cas su
ant : ' w -" '. ". 1893. = Dléme état, même traitement. --' ;- - ! - ' Fig. 10. - Scarlatine....... Cas suivis DE dé
iL gauche, - Pouls rapide, mais régulier et assez 1 ! ,bicn,rrapl)( ' , Le mil tin la température est tombée ,iL 37°, 4
in la température est tombée ,iL 37°, 4 et remonte le soir à 39°. ' - - 1,ig. 11. -- Fièvre tyloSule. -- lI. mort.
d'anormal. IDIOTIE congénitale : HÉRÉDITÉ. 137 Poids des organes. ' . ' : 13S ''L'PID\I1E : DE rIVltE TYPHOÏDE.'
ormal. IDIOTIE congénitale : HÉRÉDITÉ. 137 Poids des organes. ' . ' : 13S ''L'PID\I1E : DE rIVltE TYPHOÏDE.' II.
mieux se rendre compte de la température clans la fièvre typhoïde.' ' ? : .; , V..En ce qui concerne cette dernière m
rforation intestinale et l'élévation de la tempéra- ture terminale. ' 1 1 OBS. XX. - Idiotie et épilepsie. - Fièvre t
ère tuberculeuse : . père, mère, frère et deux soeu1'S tuberculeux. ' . Premières convulsions limitées à la face. - A
? -Teigne; - Fièvre typhoïde. Mort'par péritonite généralisée. - ? ' , : ? Epidémie de fièvre typhoïde. - 139 Lau.
arrière du thorax. Pas de diarrhée, ventre légèrement météorisé. ' ]',IL 3\1", 9 et hU°, 'i. Fi octobre. Bronchite
arrière du thorax. Pas de diarrhée, ventre légèrement météorisé. '] ' ,IL 3\1", 9 et hU°, 'i. Fi octobre. Bronchite di
térieur de l'intestin : - Poids des organes. Cas SUIVIS de décès. ' 1'51 Aprèsêtre resté à peu près stationnaire (1
es à la mort. A l'autopsie, épanchement puriforme dans' la cavité ' péritonéale, péritonite, appendicite. Les sympt
és. Pas de troubles apparents de la niotilité sensibilité, normale. ' 1 - Cas suivis de décès ? - . 155' Puberté. =
8 avril, les urines ont pré- senté une notable quantité d'albumine. ' 1897. Janvier. - Puberté. - Corps et visage com
Il n'est plus écholalique, ni, coprotalique; les tics ont disparu. ' z6 avril. Char ? guéri de sa teigne,' quitte le
ique; les tics ont disparu. ' z6 avril. Char ? guéri de sa teigne, ' quitte le pavillon d'isolement. , 10 novembre
158 Épidémie DE fièvre typhoïde. Cas suivis DE décès. 15,9 160 ' Épidémie de fièvre typhoïde. les pyramides para
ux cas enfin on n'a pu découvrir de cause immédiate de la mort. ' 2° Que dans la plupart des cas les symptômes ga
age. - Conduite et travail réguliers jusqu'en juin 1894 (16 ans j/2) ' - Périodes de tristesse et de taciturnité alter-
et quitte ses patrons sans motif sérieux. - Pseudo-grivélerie. - ' Actes extravagants : correction, taciturnité cons
menton. Thorax très bien constitué, largo, épais, région pectorale ' proéminente, sans exagération. Af<')))h)'<
Idiotie symptomatique de sclérose tubéreuse ou hyper- trophique. ' - PAR BOUIRNEVILLE. L'idiotie symptomatique d
surdité - apparente, balancement aKfëro-postëTteMrdM 0)T.c,pa ! ett) ' - (t) Voirplus loin -le tableau récapitulatif,
ein sur cette lésion initiale, nous réservant de revenir, avec te D' ' Chaddoolk, sur la portée qu'elle peut avoir pou
e collection de M. Bour- neville. 198 - ? .- SCLÉROSE TUBÉREUSE' - ' - J 2000 RL1 : : nosE Tum : : TIITSE, Réflexi
l'alcoolisme sur la production de l'idiotie : - et de l'épilepsie. ' l'An IROURNrtVII.1,E. 1773 enfants idiots, épil
holog sept. 1881) et tirage à part aux bureaux du Progrès Médical). ' SAD11AIN (G.). - Etude sur le traitement des at
.rches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie. Thèse de Paris. ' MOI\LOT (E.). - Sur une forme grave de. l'(;pil
Des Lésions de la corne d'Ammon dans l'èpilepsie. Thèse de Paris. . ' " ' ? f, " 90t Il Thèses faites dans LE service.
Lésions de la corne d'Ammon dans l'èpilepsie. Thèse de Paris. . '" ' ? f, " 90t Il Thèses faites dans LE service.
igne 13, au lieu de Rungès, lire Hungis. EXPLICATION DES PLANCHES . ' . ? ? J. ' 1 ? ... 208 EXPLICATION DES PLANCH
ieu de Rungès, lire Hungis. EXPLICATION DES PLANCHES . ' . ? ? J. ' 1 ? ... 208 EXPLICATION DES PLANCHES. Planche
représentent le malade Pet... it diffé- rents âges (voir page 26). ' nO¡;Il : "HILU : , RicN ? IStl8, Il[,. 1. ? !
perpendiculaire externe. Se. f. s., scissure frontale supérieure. , ' Se. f. i., scissure frontale inférieure. Se.
4 représentent le malade Gur... à diHë- rents âges. (Voir p. 40). - ' HO¡ : IINF.\"ILI.1 ? llialir, I¡.¡a ? l'L. 1\'.
, F2, F3' première, seconde et troisième circonvolutions frontales. ' F A, frontale ascendante. P A, pariétale asce
P S, lobule pariétal supérieur. L P I, lobule pariétal inférieur. ' P C, pli courbe-. S P, scissure parallèle. 0.
cule frontal. - C C'3, cap de la troisième circonvolution frontale. ' r l3ounnrvn.rr, Bicêtre, 1898. p 1'. \-. 8 1
it. F,, première circonvolution frontale. S R, sillon de Rolando. ' L P., lobule paracentral. S P E., scissure pe
olution du corps calleux. 00, corps calleux. C 0 S, corps strié . ' . V, ventricule latéral. - P, pédoncule. .. '
0 S, corps strié . ' . V, ventricule latéral. - P, pédoncule. .. ' C B, carrefour olfactif de Broca. - P F L., p
e. T3; troisième circonvolution temporale, L G, lobule lingual. - ' BOURVEVILLE, Bicêtre, 1898. PL. VI. ? ? 0 ) E
V. p. 97). Face externe ou convexe, de l'hémisphère gauche. I ? 1· ' =, F3, première, deuxième et troisième circonvolut
tions occipitales, . BOÜRNEVILLE, Bicêtre, 1898. - PL. VII. 222 ' Explication DES plane i- Planche VIII. Idioti
ique. G R, gyrus reotus. Ta, couche optique. P, Pédoncule. - .' ' C, coin. L G, lobule lingual. .. . Tb T3, T
onvolutions temporales.... . C H, circonvolution de l'hippocampe. ' BOURNEVILLE, Bicêtre, 1898, PL. VIII. 22 i Ex
1LLE, Bicêtre, 1898. - - " PL. IX, ] : OL'nxE\ ! LH ? c6h'c, ! 8U8. ' V> -) 22(i.- Explication. des planches. Pl
et troisième circonvolutions frontales. - S R, sillon de Rolando. ' - L P S, lobule pariétal supérieur. L P I, lo
s chiffres 1, 2, 3, 4, G indiquent les ilôts de sclérose tubéreuse. ' " - BOURNEV'LLE, Bicêtre. 1898. PL. X. 22S l'
1 : : \'l'IW \ IIa l'L.\\f : IIIsS. Planche XI. l, ? t : L ! 1\o"'E ' ['l'BÍ< : BEliSE (V, ]). l'.l ? ). Face inter
Se p e, scissure perpendiculaire interne c a, scissure calcarine. ' [',pédoncule. 0, nerf opti([ue. C A, corne d'
p e, scissure perpendiculaire interne c a, scissure calcarine. ' [ ' ,pédoncule. 0, nerf opti([ue. C A, corne d'Amm
ts xxv Thymus et glande thyroïde xxv Tableau des décès. , , . , , ' , , , , , . , , . , , , , , , , . xxvm Maladies
................... 57 ` ? 3ô- - - - TA73LPDESlIf : TIÈItP;B. - ? ? ' "" vu. ? Etat dû jiscca21.pzlyan21cla-l.l`lmcllm
.l`lmcllm et moelle.) 'dans quatre cas de contracture spasmodique ' infantile (syndrome de Lit/lc); par CH, PHi- -
me sur la production des maladies nerveuses ; par Bourneville - . ' TRAVAUX scientifiques faits dans le service (th
31 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ses et à d'irré- parables conséquences. , Archives, t. XXI. 1 2 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. Les faits qui vont suivre
nous ont paru devoir rentrer dans le cadre DE L'OBSESSION DENTAIRE. ' 3 de notre travail. Que ces malades soient des
- guales seraient souvent des candidats à l'aliénation v mentale. ' M. Hardy a surtout constaté ces manifestations
nie unique qu'il propose et si ses malades étaient des arthritiques, ' c'étaient aussi des nerveux, pour ne pas dire d
pour la voir s'accumuler dans la cavité buccale. Il y a un peu de ' Les dents supérieures aussi bien que les inférieu
; mais l'avenir mental de cette malade n'en reste pas moins sombre. ' La seconde observation d'obsession dentaire m'a
bsession dentaire m'a été communiquée par M. le Pr Charcot. M. le D' ' Keller, chez lequel ce malade recevait des soin
séters par un spécialiste étranger en renom, sans plus de succès. ' Mm0 de X... glissait de plus eu plus sur la pente
8; n" G'r, p. 360, n" 5p, p. 78 et 167. LES FONCTIONS DU CERVEAU. ' 25 tout ce qui lui est nécessaire pour croître
, de Corso et de Tanzi. Je n'écris pas ici le nom de Roberto Ardigo ' ; je ne parle pas, en effet, des philosophes : m
idées doivent nécessairement changer d'une façon cor- respondante. ' De ouvre de Gabriel Buccola, interrompue par
ditions de la conscience, chez l'homme sain d'esprit et chez l'a- ' Albertoni. - Le localizz. cereGrali, I. 1. Cf. L.
été, dès 1879, exposées dans un mémoire intitulé : Il moto siclaico ' / e la coscienza (Firenze, 18T9) 3. L'élève bie
ell'uomo alienato. - Archau. ital. per le mal. net., 1881, 82 sq. ' Al. Herzen. - Journal of mental seience, 1884 ; R
rveux, un phéno- mène d'accompagnement de certains processus ner- ' V. Herzen. Fisiologia del libero arbitriez umano.
isions physiques de la conscience, p. 19. LES FONCTIONS DU CERVEAU. ' 3t. nèse centrale réduite au minimum. La répéti
, devenus inconscients, automatiques, chez les vertébrés supé- 32 ' PHYSIOLOGIE. rieurs, ne servent plus guère que
, les tics convulsifs avec ou sans échokinésie et coprolalie, les ' Buccola. .e ! <<ee se e <e <0 ! 'o MM
nisnzo della scriltura; Sulla durata délie percezioni ol/atlive. ' Dei znovimenti sistemalizzati in alcune forme di
r excitations fonctionnelles des résidus moteurs (résidui di moto). ' Il n'est pas rare d'observer, dans les asiles d
les caractérise. Bianchi compare aux oscillations irrégulières du ' L. blanchi. - Conlribuzione alla nozione semiolic
é du cer- veau, mais les fonctions de cet organe, les sensations, ' losso. - La circolazione del sangue nel cervello
éd. di Toriiio, 1889, et Aieli. ital. d. de biol., XIII, 1890, 451. ' Gley. - Etude expérimentale sur l'élat du pouls c
i et Tamburini, dans leurs études sur les phé- nomènes de l'hypnose ' , ont rapproché de ces faits ce qui s'observe lo
-à-dire une 1 L. Bianchi. Gli orrizonti della psichialria, p. 22. ' Archives italiennes de biologie, IX, 1887, 57. Cf
tto di alcuni agenti terapeutici. Archiv. di psichiatria, 188G. - ' Rev. scientifique, 11 et 18 déc. 1886; l"janv. 18
'éloquence, a rappelé, comme il aime à le faire, que depuis Lavoi- " ' sier l'être vivant est une « machine à force ch
ication molé- culaire "survenant dans les muscles. » Pour G. Pou- ' Rev. scientif., 5 févr. 1887. 56 PHYSIOLOGIE.
seul acte de la marche 8 », exposent les mêmes symptômes en 1885. ' Jaccoud. - Paraplégie et ataxie du mouvement, pag
on en relate également une observation 1. M. Charcot consacre une ' Paul Blocq. - Sur une affection caractérisée pnr
. - Sur un cas d'astasie et d'abasic. (Lyon méd., juillet .1889). ' Salemi Pace. - .4MtnM ! OEptM')' ! a/e] : ;ta<
sic. (Lyon méd., juillet .1889). ' Salemi Pace. - .4MtnM ! OEptM') ' ! a/e] : ;ta<e.. GazettaSicula, Anno IX, p.
résente à la Salpêtrière le 28 octobre 1888. Elle descend d'une fa- ' Nous remercions le D" G. Waller, de Paris, de son
Après un exposé de onze observations, M. Blocq dit dans son travail ' : « Le début est assez brusque, dans la plu- pa
pêtrière 1, M. Charcot dit : « Les troubles neu- 1 Loco citato. , ' Loco citato. ' Charcot. Leçons du Mardi, 89, 5
arcot dit : « Les troubles neu- 1 Loco citato. , ' Loco citato. ' Charcot. Leçons du Mardi, 89, 5 mars. sur l'ast
alade, âgé de 58 ans, du même auteur; et son troisième malade, un ' Loco citato. 'Loco citato. ' Loco citato. - ?
uteur; et son troisième malade, un ' Loco citato. 'Loco citato. ' Loco citato. - ? Loco citato. Loco citato. AR
tablir que si l'astasie-abasie survient souvent d'emblée, ou dans ' Loc. cit. ' Loc. cît. SUR l'astasie-abasie. 6
i l'astasie-abasie survient souvent d'emblée, ou dans ' Loc. cit. ' Loc. cît. SUR l'astasie-abasie. 67 les vingt-
fut un ivrogne, et M. Binswanger dite que son premier malade des- ' Loco citato, p. 201. * Charcot. - Leçons du Mar
opposé, pupilles largement dilatées. 70 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ' , et pariétale ascendante) et lobule postero pa
ation de la région présigmoïde, d'une façon visuelle par Krause 1 ; ' On the central motor innervation of the larynx, j
ral motor innervation of the larynx, journal, 21 dé- cembre 1889. ' l'fiuger's Arehiu., 1883. Fig. 2. Arm bras ;
Trunk, tronc; Upper, supérieur ; Lower, inférieur; Wrist, poignet. ' 73 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. cependant, j'ai
de la circonvolution de l'hippocampe donne des mouvements sembla- ' Sui ceralri psico-sensori corlicali, 1879. 1 Pr
es et qui obser- 1 American Journ. Dled. Sciences. April, 1874. / ' Archiv.. di. Psychiatrie, 1882. Lu devant le Co
des centres près l'un de l'autre. Le fait que l'excitation du bord ' Am. Journ. nled. Sciences, nov. 1888. ' lin. Jo
it que l'excitation du bord ' Am. Journ. nled. Sciences, nov. 1888. ' lin. Journ. j1M. Sciences, nov. 1888, lied. N
truction, soit par la méthode de l'excitation, soit par les deux. ' The functionnal relations of the neator rooth of
1'ait, queue ; Thumb, pouce ; Tongue (a), langue; Wrest, poignet. " ' ? (a) A la page 423, du t. XX, dans la légende
ol. XVIII, 1889, p. 145. 3 Neurol. Cenlralbl., 15 septembre 1889. ' Silzüngsbericltle der Akad, d. Wiss zii flel'fin
lui 4 h. 10. - L'animal, après être resté dans un état de stupeur ' Ë.\péruneuL XXIV. Phil. 75ans., vol CLXV, p. 2, 1
courait en aveugle contre tous les obstacles sur son passage", et ' Expériment. 1X11. Plail. T1'Glls" vol. CLXV, part
t ' Expériment. 1X11. Plail. T1'Glls" vol. CLXV, part. II, p. 25. ' Expériment. XXIII. Phil. Trans. sup. cit. ' Exp
LXV, part. II, p. 25. ' Expériment. XXIII. Phil. Trans. sup. cit. ' Expériment. IX. Pli. Trans., 1881. ' Voir fig.
XIII. Phil. Trans. sup. cit. ' Expériment. IX. Pli. Trans., 1881. ' Voir fig. 1, planche 20. Phil. 7Sans, pan. II, 18
seulement était désor- ganisée et sur le pli courbe exclusivement. ' Ces faits semblent justifier l'opinion que les
courut tête baissée contre le pied de la table où il resta quelques ' Voir Expériences 111, IV, V, VI. l'lt. Trans., vo
tait comme un trait contre le mur où il se couchait. Une demi-heure ' plus tard, pendant qu'il restait tranquillement
vision ni d'un côté ni de l'autre. Le jour suivant, l'oeil gauche ' Exp. V. Phil. Trairas., vol. Il, 1881. Exp. VII
' Exp. V. Phil. Trairas., vol. Il, 1881. Exp. VII, Op. cil. 86 ' PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE. étant toujours fermé,
plus petits objets autour de sa cage ou qu'on lui jetait. » Munck ' 1 a le premier montré que l'effet permanent d'une
l'effet de la destruction unilatérale du pli courbe est l'hémiopie ' UeGer die funclionen der Grosslairnrinde, 1881.
he illoitkey's (Brain Phil. Trapus., vol. CLXXIX, 1888. Bd. XXX.) ' Influences des lésions corticales sur la vue. (Ar
ticales sur la vue. (Archives de médecine expérimentale, 1889.) , ' The centre for vision, liesearclaes ol the Loomis
tats soient dus à l'ablation du lobe occipital tel quel. - Schoefer ' lui-même admet que' le centre visuel n'embrasse p
note de l'hémiopie temporaire il la suite de lésions de la région ' Eleclrical excitation of the fMKa ! area. (Brain,
n of the fMKa ! area. (Brain, april 1888.) , Brain, vol. X, p. 372. ' 3 Ceci cependant ne s'accorde pas très bien ave
sition que le pli courbe a des relations avec tout l'oeil opposé. ' Ph. Traus, vol. II, 1881. Experiments XXVII et XX
- ment, d'un côté. Dans une autre expérience, ils trouvent que la ' Op. cit. 92 PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUES. destru
x yeux 1. Des résultats de mes expériences semblent démontrer que ' Ceci s'accorde avec l'hypothèse de Gowers que sur
é est représenté. » Diseases of 'leI'VOUS sys(enz., vol. II, p. 19. ' CPrebralunablyopia and leemiopta. Bmin, vol. III,
ions, \01, 1XVI1, 1884. 2 Diseases of the nervoiss System, p. 19. ' Le malade était un homme de tlellte-neuf ans. Deu
sensibilité de l'oeil, fréquemment amène aussi des désordlcs fo- ' Ueben Sehnerven Degeneration unel ICreu4ztag, 188
es lobes occi- pitaux sans aucun trouble visuel d'aucune sorte. - ' Amer. Jourt. Med. Science) : , 1887, cas I. ' O
l d'aucune sorte. - ' Amer. Jourt. Med. Science) : , 1887, cas I. ' Ophthal. Soc. Nov. z, 1889. ' '-Tite journal of
urt. Med. Science) : , 1887, cas I. ' Ophthal. Soc. Nov. z, 1889. ' '-Tite journal of Nervous and Mental Diseases, vo
I, jawier 86. . Neural, CevlralGlatt., 1887, p. 213. , Op. cit. ' Depuis la rédaction de cette leçon, un cas a été
les rapports de l'hémiopie et les lésions du coin en particulier. ' Excessive Sensory, Cortical Discharges and their
s, et que, pour un 'Centralblatt f. med. Il'issenscha/'ten, 187î. ' Centres 0/ Vision in the cérébral hémisphères. (M
isations in the Cortex cerebri. (BI'ain, vol. VII, 1885, p. 145.) ' Op. cit. LES LOCALISATIONS CEREBRALES. M03 mo
recherches de Singer et Munger, auquel nous avons déjà fait allu- ' Extrait du Neurol. Centralisait. April 1890. 2
rtielles du centre visuel, n'est pas dû à la pratiqne, nia l'acqui- ' Op. cit., p. 175. ` 5 Sitzungsberichte Aked d.
tièrement abolie dans l'oeil opposé par la destruction de l'écorce ' Irchiu. de physiologie, 1871-72 : Sur les communi
quence du pouls diminue et la tension artérielle augmente i. Le D' ' Lépine a également obtenu de bons effets de l'acé
arquée sur le système nerveux et principalement sur la moelle. Le D' ' Lépine l'a employée avec succès pour combattre
tité d'acide phénique et quelques gouttes de solution de chlorure ' L'on observe parfois de la cyanose lorsque la dos
noyau caudé. Archives, t. XXI. 8 114 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ' L'auteur insiste sur le peu de,durée de ces hém
IV. DES traumatismes, DE l'épilepsie ET DE l'aliénation mentale, ' par J. Wagner. (Jahrbttch. . Psych., VIII, 1, 2.)
en tous points d'idées délirantes; cette dernière les accepte et les ' fait siennes ; si l'autorité du délirant-contag
et de tendances, d'espérances et de craintes, d'impressions et de ' Voy. Société psychiatrique de Berlin, 10 juillet
revêtir une forme tangible. M. Hoppe propose la théorie suivante : ' A l'état normal, les léflexions ou la lecture p
; 2° les attitudes délirantes. Ces deux espèces ont un lien commun, ' car elles apparaissent'de préférence chez les i
intensité suivant les sujets, mais constantes dans leur existence. ' Il faut rechercher dans quelle mesure le retard
; 1 névrose traumatique (homme); 3 paralysies agitantes (femmes). ' Nombreux tableaux; étude critique complète. Il es
est intégralement publié dans I*Allgc711. Zeilsch. f. Psychiat 1, ' On en trouvera l'analyse aux Revues analytiques.
folie, démontra que sous le nom de mélancolie, on confondait deux ( ' tats de nature différente, car il y a des mélanco
maladies infectieuses dans les asiles publics d'aliénés. il. M. C. ' Les Almshouses des Etats-Unis ressemblent aux Wor
récit est exact. Et elle précise. Tout en tenant compte de ce fait ' que la malade était hystérique, on a cru devoir
he lithographique et 3 phototypies. Prix : 5 fr. - Pour nos abonnés ' 4 fr. Bourneville, SOLLIER et Pilliet (A.). Rec
nf., 1890. Tipografia del àJal1lcomio, ZIcnE" (Ta.). Leiftaden de; ' P¡ ! 1lsiologischen Psychologie in 14 1'01'- le
neux, cutanés, etc., et de troubles vaso-moteurs ou sécrétoires. ' Leçon du 8 août 1890. Archives, t. XXI. 11 '1
ade peut raidir la jambe, c'est-à-dire contracter .on triceps. Il ' P. Richer. Description des formes extérieures du
s. La plupart des névrites chroniques ou subaiguës dont les symp- ' Consultera ce sujet une bonne thèse de Boisvert :
ulière, puisqu'elle est en rapport avec la distribution ner- veuse. ' Il nous reste maintenant à rechercher comment l
ent des modifications analogues. 1 Thèse inaugurale, Paris, 1885. ' Davul W. Finlay. - iS9edico-r/ci·u·gical transact
le segment dé moelle lésé, sont encore profondément altérés 1. » ' Vulpian. - Maladies du système nerveux, t. II, p.
t qui vont constituer l'origine des nerfs de Lancisi. 190 ANATOMIE. ' ' t Quelquefois cette branche interne se poursu
qui vont constituer l'origine des nerfs de Lancisi. 190 ANATOMIE. ' ' t Quelquefois cette branche interne se poursuit
le du carrefour. Nerfs de Lancisi inférieurs Aux nerfs de Lancisi ' J'ai eu occasion de voir une fois sur le milieu d
masse commune, hors rang, s'accommodent assez bien avec le carac- ' Thèses de Pans, 1837. 198 ANATOMIE. tère de s
ps bordé ne forment qu'un seul et même système et sont continues. » ' Milne-Edwards incline àpenser, en s'appuyant su
onnée dans le ventricule calleux, mais il ne l'a pas rattachée au ' carrefour olfactif. Pour moi, je m'explique les
ifficile de méconnaître leur analogie avec celle du ruban fibreux ' Ce que quelques auteuis décrivent aujourd'hui sou
sur laquelle ils sont 'Voir Archives de Neurologie, n° 61, p. 58. ' Charcot. - Loco citato. 212 PATHOLOGIE NERVEUSE
SUR l'astasie-abasie. 213 accès, de plus le malade de M. Brissaud ' ne se range pas non plus dans cette catégorie.
ystériques, mais ne déterminent pas en réalité le trouble abasique. ' Nous serons très court sur le diagnostic; la co
t con- firmées par un certain nombre d'expériences, notamment par ' Briquet. Traité de l'hystérie, p. 477. . Lasèôu
477. . Lasèôue. - Anesthésie et ataxie hystériques, t. II, p. 25. ' Charcot. - Leçons du mardi, 1889, p. 359. · SUR
dans chaque cas particulier, il y aura à se demander si l'affec- ' Considcrando el caso della mia osservazione perso
ur finit par intituler son observation n Amuesia parziale (parziale : ' parce que les mouvements sont libres dans le li
imples et faciles à contrôler, avec des limites nettement tranchées, ' des'procès extraordi- nairement difficiles et e
ion ici d'une non activité (Ausfall) de centres fonctionnels bien ' déterminés, mais que cette perte d'une fonction e
nt parle Blocq, entre les paralysies psychiques « dependent on idea ' , » dont parle M. Charcot 2, qui, chez les sujet
it l'ablation de l'un des hémisphères cérébraux du squale, celui- ' Russe) Reynolcio. - Brit. med. jours., nov. 1869.
animal continue à nager en cercle. J'ajoute, que d'après M. Moebius ' (loc. cit.) l'hystérique ob- serve lui-même qu'
s deux facultés, il n'a pas fait attention à l'inconstance de ces ' Thyssen. Thèse de Paris, 1888. " Uoeckel, loco
miques, et, en particulier, à celle du refroidissement du muscle, ' Haeckel. Die aufreehte gang. und die gegliederte
a température, qui correspond exactement au mouvement de soulève- ' Laborde. Modifications de la température liées au
n générale ou locale du cerveau, il ne restait qu'une hypothèse à ' Tanzi. - Ricerche termo-elettriche sulla coreccia
ments du cer- veau seraient la cause des oscillations thermiques. ' Tanzi. L. e., b. 37. ' Tanzi et Musso. Le varia
ient la cause des oscillations thermiques. ' Tanzi. L. e., b. 37. ' Tanzi et Musso. Le variazioni terrniche del capo
. Sludi di termometria cérébrale ltiv. speriment. di fren., 1879. ' Contributo alla doltrina della temperatura cefali
alla doltrina della temperatura cefalica. La Psi- chiatria, 1885. ' Seppilli. / nautavaenli fisico-chemici dei nervi
OLOGIQUE « THE CROONIAN LECTURES SUR LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES ' Par DAVID FERRIER Médecin du King's Collège H
des deux côtés. Il décrit ainsi les résultats de leurs expériences ' : « Chez six singes, nous avons plus ou moins c
périences faites sur les chicns, coirespond à la égion auditive . ' LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 2SI ). plus léger
t les fonctions d'un 1 suri centri psico-sensori Corticali, 1879. ' Sur les localisations sensorielles dans l'écorce
deux circonvolutions temporales supérieures. Il y a cependant deux ' De Windungen der convexen Obel'flache des Vonder-
flache des Vonder-Hirns, (Arch. für Psychiatrie, vol. VII, 1877). ' Report on the Seals, Challenger Expédition, Part.
importante dans lesquels cette double lésion s'est rencontrée. Shaw ' a rapporté le cas d'une femme âgée de trente-quat
a surdité survint subitement avec les autres symptômes de maladie ' Portschritte der Médecin, vol. I, n" 6, 15 mars,
nr, vol. II, p. 21. s Sensory cortical discharges, (Lancet 1889). ' Un/v81'Syty médical magazine, nov. 1889. " Jour
)z zu Berlin, 1886, 12. . Neurolog. Centmlblatt, déc. 1886 ? * De; ' Vertauf notorischen und sensibles Bltanen durcie
ntes de celui des impressions, plutôt afférentes et centripètes). ' Neurol. Centmlblatt, 1885. LES LÙCALIsATloNS CÉ
par Brown-Séquard dans les Archives de Physiologie, vol. I et II. ' Perroud. - Journ. de méd. de Lyon, vol. II, 1868
Neurolog., t. III, p. 275 ; Bayne, Lancet, vol. II, 1865, p. 117. ' Brown-Séquard, Lancet, vol. II, 1868, p. 689, cas
à droite ils existaient même bien marqués. Etat des membres : la ' Dundas, Edin. Med.journ., 1885, p. 301. ' Sir C
. Etat des membres : la ' Dundas, Edin. Med.journ., 1885, p. 301. ' Sir Charles Bell's. - Case, Ne/'vous system, p. 2
et, 1883, vol. I, p. 995.) 0 Archiv. f. Klin. med., 1877, p. 208. ' Leçons de Clin, méd ? 1867, p. 45. REVUE DE PAT
a eu 3 cas de rage 1,8 p. 100. En 1887, sur 101 il y a eu zéro - 0. ' En 1888, sur 60 il y a eu 5 - 8 p. 100. L'enf
des racines antérieures de la moelle explique, en l'absence de lé- ' Voy. Archives de Neurol., t. XVII, p. 131 REVUE
veuses du noyau supérieur (dorsal) et inférieur (ventral) commun ' au pneumogastrique et au glossophary;ien ; les fi
DU PHÉNOMÈNE DU GENOU ; par A. PICK. (Archiv. f. Psychiat., XX, 3.) ' . D'après cette observation, les fibres qui pré
l'enfance. (Allg. Zeitsch. f., Psych., XLVII, 3. 4.) P. Keraval. ' Voyez Archives de Neurologie, t. XX, p. 282. BI
culaires intra-médullaires sont absolument normales des deux côtés. ' Les lésions constatées dans le bulbe consistent
par MM. Kojevnikoff dans un cas de sclérose amyotrophique latérale ' , on a pu trouver une quan- tité considérable de
ise ces cas extrêmes, il faut admettre tous les cas intermédiaires. ' Quel est le pronostic de ces atrophies ? Il est
à l'asile public d'livreux, est compris dans la 2° classe. M. le D' ' Marie, interne des asiles publics d'aliénés de
public deCadillac(Gironde), est compris dans la 3° classe. M. le D' ' SCUlLS, directeur-médecin, est nommé de l'asile
de Bourges à l'asile de Lesvellec (Morbihan), en remplacement du D' ' Chambard, non installé, et est maintenu dans la
tanément le défaut de débauche chez l'homme comme cliez la femme. ' Ce t;aU6 vaut son poids d'or. Prière 1 tons, le
clinique. Vous vous souvenez sans doute que cette jeune fille se ' Leçon du 24 février 1891. Archives, t. XXI. 2l
be occipital étaient touchés, de telle manière que, si en réalité ' Weber. - A Contribution to the Palliology of the
Palliology of the Crura Cerebri. Dled. chirury. Transact., 1863.) ' lfavor. Bitilet. delà Soc. NKa<., mars 1877.
e 1 Amiral. - Clinique méd., Paris, 1840, 4° édit., t. V, p. 320. ' Gintrac. Traité théorique et pratique des maladie
e des maladies de l'appareil nerveux. Paris, 1869, t. IV, p. 860. ' Duchenne. Electrisation localisée. Paris, 1SG1, 2
vous 1 voulez, sous le nom de syndrome lJ11llal'd-Gublel', déuo- ' Oyon. Hémiplégie gauche avec paralysie alterne de
déterminent la nature et le nombre des manifesta- tions cliniques. ' J'en ai fini, Messieurs, avec ces notions quelq
ment hystérique. Sans doute le problème n'est pas pour cela complè- ' tement résolu. Il se pourrait assurément que l'
du côté malade, nous l'a- vons retrouvé, avec les mêmes caractères ' , sur un certain ' Nouvelle Iconogr. de la Salpê
s l'a- vons retrouvé, avec les mêmes caractères ', sur un certain ' Nouvelle Iconogr. de la Salpêtrière, 1889, p. 1 t
Iconogr. de la Salpêtrière, 1889, p. 1 tO et 118. Archives, t. XXI. ' il 338 CLINIQUE NERVEUSE. , nombre de photogr
nce et qui paraît particulier au blépharospasme hystérique'. Nous ' Gilles de la Tourelle - Superposition des trouble
sans amélioration. Jamais elle n'auraiteu de crises convulsives. ' Etat actuel. - Jeune fille de taille moyenne, d
térogènes et hypnogènes; des attaques de sommeil. Bordeaux, 1885. ' Charcot,. -Leçons du mardi, t. II, p. 326. ' Sé
eil. Bordeaux, 1885. ' Charcot,. -Leçons du mardi, t. II, p. 326. ' Ségal. - Des hallucinations sous l'influence des
dans l'expérience précédente avec le vert bleu. (Voir plus naut.) ' En Russie, le peuple en buvant de l'eau-de-vie, m
t un monsieur qui la coupe profitant de ce qu'elle est toute seule. ' Piqûres la région p ! 'eco)'dtft<e.Monsieur,
dentiques les uns aux autres, non pas que la même impression sen- ' son' elle produise chez tous la même hallucinatio
sensorielles dans la phase cataleptique du grand hypnotisme. Nous ' L'observation complète de ce malade sera d'ailleu
donné le nom de bégayement hystérique, et publié dans les Archives ' G. Ballet. Du Bégayement hystérique. In Bulletins
ibre. Au reste, la difficulté que C. éprouve à mouvoir la langue se ' Séance du 11 octobre 1889 (malade n° 3).-\I. Desn
que ce soit un bègue. » * Archiv. de Neural., page 7, loc. cit. ' Page 6, loc. cit. A PROPOS DU BÉGAYEMENT HYSTÉR
ractère important qui se trouve chez tous nos sujets, dit M. Ballet ' , c'est la lenteur de la parole. Ils traînent, ils
tés par M. Ballet relèvent de la paralysie générale, de la sclérose ' P. 21, loc. cit. 2 P. 20, loc. cit. A PROPOS
use de la langue dans la production des consonnes soufflées z, s. ' P. 750, loc. cit. ' P. 752, loc. cit. A PROPO
la production des consonnes soufflées z, s. ' P. 750, loc. cit. ' P. 752, loc. cit. A PROPOS DU BÉGAYEMENT HYSTÉR
oy. Arch. de Neurolog., n° 60, p. 405; n° 61, p. 68; n° 62, p. 240. ' Neurol. Centralblatt., n° 7, 1886. 378 PHYSIOLO
le le passage des fibres sensitives. Les expériences de Veyssière ' et les recherches de Charcot sur ],hémianesthé1
ues et expérimentales sur l'hémianestésie de cause cérébrale, 1874. ' LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 379 moins grand
vés et montrent que la sensibilité tactile était dans tous les cas ' Voir fig. 105. Flt7 ! cti07 ! S of the Brai7 ! ,
1 Functions of the cérébral Cortex. B. XX Phil. trans. 1888. - 382 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. altérée moins facilem
riences sur le gyrus fornicatus, qu'il semblait qu'une région avait ' Op. cil. op. cit. ' ' Op. cit. 384 - PHYSIO
nicatus, qu'il semblait qu'une région avait ' Op. cil. op. cit. ' ' Op. cit. 384 - PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ét
catus, qu'il semblait qu'une région avait ' Op. cil. op. cit. ' ' Op. cit. 384 - PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. été
I. 2 Fiy. 29 (d'après Obersteiner). 386 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ' factives avec l'hémisphère, est la racine exter
grandeur de l'hippocampe soient très claires, mais, la grandeur du ' Dans mes expériences sur la région de l'hippocamp
r la portion postérieure au temporal de la commissure antérieure. ' Comparative analomy of the vertebral. Fig. 3 ,
ctement dans « Brain ». Si l'on se reporte à l'expérience originale ' ,on voit que la lésion était dans l'hémisphère g
- Localisations auf der Grasshirnrinde, p. 117. Brait, Octob. 1889. ' Amer. Journal of Insanily, July 1887. New-Yor
la moelle avec contracture secondaire des membresparalysés. Comme ' Emin, vol. IX, 1887, p.385. 400 PHYSIOLOGIE PAT
nt aussi une diminution dans l'énergie des mouvements des membres ' * Leçons sur les fonctions motrices du cerveau. 1
s membres ' * Leçons sur les fonctions motrices du cerveau. 1887. ' Sitzung s b - d IViener Akad. 3 abth. - pp. 185-1
Luciani, etc., ont maintenu que 'Op. cit., p. 15. Oo. cit, 17. ' Pflugers Archiv., Bd. XXXIV, 1884, p. 465. ` Op
est dans la majorité des cas essentiellement motrice et ne s'accom- ' pagne d'aucun désordre delà sensibilité tactile,
Une cause n'est prouvée que s'il y a un rapport constant et inva- ' Sensibilitcets stocrungen bei Hirnrin den Idsione
bilitcets stocrungen bei Hirnrin den Idsionen, Zeitseh f. Heilkunde ' Bd. II, p. 375,1881. ' Z.oes<Ma : <Mttder
Hirnrin den Idsionen, Zeitseh f. Heilkunde ' Bd. II, p. 375,1881. ' Z.oes<Ma : <Mttder7''MKe< : OMe ! t : '
. II, p. 375,1881. ' Z.oes<Ma : <Mttder7''MKe< : OMe ! t : ' ? : der Grosshirnrinde des Menschen, 1881. 3 Di
rosshirnrinde des Menschen, 1881. 3 Die Functions - Localisation au/ ' der Grosslzirnrinde, 1886. , Locatased cérébral
Se. 1884. » Cortical Localisation o f cutaneous sensations, 1888. ' ZMr Lehre von de)' Localisation des Gefuhls in. d
cal Localisation o f cutaneous sensations, 1888. ' ZMr Lehre von de) ' Localisation des Gefuhls in. der Grosshirnzinde,
mentionnée dans deux. Dans un «, la sensibilité à la douleur était ' Cas. de S. H. Brain, vol. X, p. 95. * Tripier.
e membre paralysé, mais cela disparut le jour suivant. Dans l'autre ' , la jambe se gangrena après avoir pré- senté de
ed. Se. 1880, p. 477. Jackson et llorsley (Brain, vol. X, p. 93). ' Martin. Chicano. Med. Jour., vol. XLVI, p. 21.
1878. Pett,itia. - Zeitsch. f. lleilkunde, vol. XI, 1881, cas 1. ' lbrd., cas 6. ' Petrina. - Sup. cit. cas 3. '
. - Zeitsch. f. lleilkunde, vol. XI, 1881, cas 1. ' lbrd., cas 6. ' Petrina. - Sup. cit. cas 3. ' Mins (Trans. Amer
XI, 1881, cas 1. ' lbrd., cas 6. ' Petrina. - Sup. cit. cas 3. ' Mins (Trans. Amer. Cong. of Phys., etc., 1888, p.
dans la position voulue pour tel effet et nous associons aussi avec ' VI Congress für inl1ere Médecin, Neurolog. Centra
ür inl1ere Médecin, Neurolog. Centralblatl 1887, vol. VI, p. 213. ' Zor localisation des hémianopsies unddes Muskelge
e tout sens de mouvement. Das le cas bien connu décrit par Schùppel ' , le malade anesthésique par maladie de la moell
ue dire habituelle dans l'hémianesthésie hystérique, spécialement ' Archiv d. Heilkunde, 1874 Bd. XV, p. 44. 2 The
ntalement, produisent une dégénérescence descendante de ces cordons ' , qu'on ne peut suivre au delà de la partie supé-
conclut que les cordons internes du pied du pédoncule réunissent ' Voir fig. 122, Fonctions of the Umin, 4 Contrac
ction permanente des hémiplégiques, 1880. Archives, t. XXI 27 418 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. les régions frontales
ngtemps que je ne l'avais observe dans aucune de mes Fig. 38. 420 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. expériences antérieur
été discuté ailleurs, je ne veux aujourd'hui m'étendre plus long- ' Archiv. sur Psychiatrie, 1887 vol. 15. p. 270.
t des règles et qui avaient été inutilement traitées par d'autres ' moyens. En résumé, malgré les critiques de M. H
magis- tratuie, porter atteinte à la liberté du malade, l'enfe1'me, ' dans une cellule d'isolement lorsqu'il est furi
cellule d'isolement lorsqu'il est furieux, le forcer à prendre des ' En regard des assertions de M. Cottignies, le déf
ain souvenir de son inconvénient le gour- mandant et le tyrannisant ' ». - Westphal distingue quatre espèces d'obsess
es de toutes pièces. (Voy. Archives de Neurologie, t. XIX, p. 418.) ' P. 11liR11'.1L. XXXI. De L'nLDoiD01'IIRLi'i¡r.;
ans, il a déjà subi cinq condamnations; c'est un épileptique ! B. ' Voir entre inities notre Compte rendu du service
par Erb, 132; - par troubles de la sensibilité, par Baumler 132. ' Athétose dans le tabes, par Laquer, 133. At
par Chervin, 365; - par Ballet, 3H. Béribéri, par Jelgersma, 2G5, ' Bibliographie : Recherches sur les maladies m
453. Orchansky, 117. Otto, 126. Pick, 279, 282, 289. Papa\\ ' , 286. Preisz, 281. Í. Rabow, 125, Radzlzens
32 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
xte et 58 planches PARIS LECROSNIER et BABÉ, LIBRAIRES-ÉDITEURS ' PLACE DE L'ÉCOLE- DE-MÉDECINE 1889 NOUVELLE I
ux mains vues par leur face dorsale ont le type de la main de singe, ' vues par leur face palmaire les paumes sont 1 e
Les ongles sont sains. Il n'y a pas d'autres trpubles trophiques- . ' ' ' '' ,. I . . : L'examen électrique a été fai
s ongles sont sains. Il n'y a pas d'autres trpubles trophiques- . ' ' ' '' ,. I . . : L'examen électrique a été faitp
ongles sont sains. Il n'y a pas d'autres trpubles trophiques- . ' ' ' '' ,. I . . : L'examen électrique a été faitpar
e) dans les.muscles innervés par le cubital. Les autres sont sains. ' ' z -' Dans le cas qu'on vient de lire le traum
dans les.muscles innervés par le cubital. Les autres sont sains. ' ' z -' Dans le cas qu'on vient de lire le traumat
les.muscles innervés par le cubital. Les autres sont sains. ' ' z - ' Dans le cas qu'on vient de lire le traumatisme
rôle prépondérant quoique indirect dans la genèse des accidents.- - ' ' On peut rappeler à cette, occasion que M. Jof
rôle prépondérant quoique indirect dans la genèse des accidents.- - ' ' On peut rappeler à cette, occasion que M. Joffr
côté droit il pouvait se développer une'névrite dans le nerf radial ? ' ` Mais dans' l'observation suivante, le rôle`dt
t à-chacune de ces causes dans la production de l'affection-. ; " - ' ' . . 'j , i a i . . Op1¡.. VI 2. - 'Du ! ) ? â
à-chacune de ces causes dans la production de l'affection-. ; " - ' ' . . 'j , i a i . . Op1¡.. VI 2. - 'Du ! ) ? âgé
nt sa jeunesse : il n'a pas eu la syphilis et n'est pas alcoolique. ' Il a eu le bras gauche fracturé à l'âge de huit a
-atropliielde tous'les, muscles innervés par le cuhital(P1; Il) ? , ' ? > ? ? ' . ' ? , , .. , . v La pression du
tous'les, muscles innervés par le cuhital(P1; Il) ? , ' ? > ? ? ' . ' ? , , .. , . v La pression du nerf dans la
s'les, muscles innervés par le cuhital(P1; Il) ? , ' ? > ? ? ' . ' ? , , .. , . v La pression du nerf dans la gout
st;abolie seulement.dans les,artüw- lations du petit doigt. : , 1 ? ' ; , ' ,, ; " ; ' ., ! . L'examen de-la,région d
lie seulement.dans les,artüw- lations du petit doigt. : , 1 ? ' ; , ' ,, ; " ; ' ., ! . L'examen de-la,région du coud
nt.dans les,artüw- lations du petit doigt. : , 1 ? ' ; , ' ,, ; " ; ' ., ! . L'examen de-la,région du coude- montre q
es mouvements d'extension seuls .sont limites. 'L;é'piCii(1 vi 1 e ( ' nÓtÓil'éÎlièJt 'IJlus' ? l11111ÍI;eux', mais dans
'' ..... " , . ! Il n'existe pas d'autres trouilles, trophiques. - - ' ' c : .. ? j ? 't 1 Examen électrique (note due
..... " , . ! Il n'existe pas d'autres trouilles, trophiques. - -' ' c : .. ? j ? 't 1 Examen électrique (note due a
pour l'hypothénar qui la : présente dans toutes ses'parties.' \ 1 : ' ., ' ' '' - ' L'excitation galvanique du cubita
l'hypothénar qui la : présente dans toutes ses'parties.' \ 1 : ' ., ' ' '' - ' L'excitation galvanique du cubital' au
l'hypothénar qui la : présente dans toutes ses'parties.' \ 1 : ' ., ' ' '' - ' L'excitation galvanique du cubital' au-d
nar qui la : présente dans toutes ses'parties.' \ 1 : ' ., ' ' '' - ' L'excitation galvanique du cubital' au-dessus du
d'envisager cette hypothèse avec moins d'appréhensions. M. Panas ' a relaté l'observation d'un malade atteint d'une
rer quelques nouveaux doutes à l'endroit de cette relation causale. ' ' Aussi, étant données les conceptions dès long
r quelques nouveaux doutes à l'endroit de cette relation causale. ' ' Aussi, étant données les conceptions dès longte
unilatéralité, on pensera qu'elle peut se montrer symétriquement. ' IV Les relations qui unissent les diverses obse
le ? En un mot, s'agit-il d'un syndrome ou d'une espèce morbide ? ' Ainsi que nous l'avons fait prévoir, nous ne prét
, et que des exemples du même ordre ont été fournis par M. Joffroy. ' Ne s'agissait-il pas là, selon la réserve expri
ctement représentée l'aug- mentation de volume du coudontil s'agit. ' Ces quelques mots suffisent pour signaler la pl
E LA MOELLE, EN PARTICULIER DANS LES FRACTURES DU RACHIS S (Suite ' ) Les trois observations que nous avons déjà pré
voulu nous le présenter et nous l'avons examiné le 18 juin dernier. ' D... est un homme fort et vigoureux qui ne prés
eures. L'enfant se porte bien. Nous examinons la malade le in mars. ' . Elle a les apparences d'une bonne santé; elle
ue la fesse droite et une disparition du pli fessier à gauche...... ' Lorsque la malade veut marcher sans béquilles,
très abondante. - La sudation locale met à se manifester : . : il ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S.1L1'$TRIUIIE. le
tous, nous avons relevé des troubles persistants de l'innervation. ' S'il est permis de fonder une induction sur un
la paralysie musculaire, variable comme intensité et comme siège. ' Dans le cas le plus récent, datant de huit mois,
nt, il existait de l'atrophie musculaire, généralement asymétrique. ' . Comme troubles trophiques cutanés, on trouvai
s fécales s'ob- DES SUITES ÉLOIGNÉES DES TRAUMATISMES DE LA MOELLE. ' : 37 serve. Elle est moins fâcheuse encore que
sujet. C'est un fait assez important au point de vue médico-légal. ' L Fin. 8. Courbe dynamogrnphiquc de la main dro
près un accès d'épilepsie chez G..., atteint d'hémiathétose gaucho. ' , NOTE SUIt L'ÉTAT DES FORCE ? -13 111 pas seul
peuvent produire le même résultat. J'ai déjà cilé un malade qui, sous ' l'influence d'un effort léger de la main droite
a. à l'état normal; b. sous l'influence d'une excitation auditive. ' t Fig. 14. - Courbe pneumographiquo et courbe m
sculature est, dans le corps entier, assez pauvrement développée et ' un peu molle. Il n'existe aucune manifestation pa
bondance ordinaires. Pas d'augmentation de la sensation de la soif. ' L'intelligence du malade est libre; la parole e
r le trouble que tout cela a apporté à l'exercice de sa profession. ' ' OBs. XV ? Femme de cinquante-huit ans; pas d'
le trouble que tout cela a apporté à l'exercice de sa profession. ' ' OBs. XV ? Femme de cinquante-huit ans; pas d'an
pointe, 7 centimètres 11 la partie moyenne, la langue étant tirée. ' Le palais et la luette paraissent manifestement
sont très larges, ce dernier est cyphotique dans la région dorsale. ' Thorax grand, large, rigide. Circonférence 100
triés en long, très courts (6 à 9 mm.) et très larges (15 à 25 mm). ' La musculature de l'épaule et du bras est en bo
tre à droite 12°; à gauche 11° (au lieu de 30°-50° chiffre normal). ' Les petits muscles des mains exécutent tous les
anique des muscles normale, le réflexe tendineux du'triceps existe. ' , Légers troubles de la sensibilité surtout au
au contact sur les avant-bras, les mains, les dernières phalanges. ' . ' Suit une série de mensurations dont nous ex
contact sur les avant-bras, les mains, les dernières phalanges. ' . ' Suit une série de mensurations dont nous extray
(le rival Et la Grèce l'eût pris pour le Dieu d'Épidaure. - . - , ' Qu'étaitle M. Pallissot qui signa des vers auss
de ses doctrines, car Mesmer avait des doc- trines et lesquelles 1 ' 1 Traduisait-il l'opinion publique ? Dans la ci
n publique ? Dans la circonstance, oui et non, et cela se comprend. ' , . La science de Mesmer paraissait en effet si
t d'avoir inspiré, bien involontairement d'ailleurs, les recherches ' qui amenèrent Puységur à la découverte du somnamb
es ; de plus, notre mâître,M.le professeur Charcot, a bien voulu 60 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. avec s
ontribué, d'ailleurs, à jeter dans une crise d'hystérie convulsive. ' . La Faculté était toujours dissidente, niais l
'elle trouve et on peut à peine vaincre la raideur de ses membres.. ' , ! Le 28 juillet nous nous apercevons pour la
la faire changer de pièce et surtout l'amener au réfectoire. Pendant ' tout ce mois de juillet, sa température n'a att
IÈRE. Dans un précédent travail, en collaboration avec le D'Chaslin ' , nous avons exposé longuement et discuté des te
ations rapportées par des auteurs français tels que Baillar- gel' \ ' Cullerre2, Lagardellea, qui cependant ne rappelle
gel' \ ' Cullerre2, Lagardellea, qui cependant ne rappellent, comme ' nous l'avons dit dans notre précédeiittrivai 14 ,
raient peut-être en rapport plus étroit avec un terrain hystérique. ' ; Cette existence chez les malades de ce genre
équence relative. Ces faits sont très évidents chez notre malade. - ' ¡ Dans sa période de stupeur la respiration est
uvent au-dessous de la normale, ne donnant que 52 pulsations ? ,. " ' . La température axillaire pendant plus d'un mo
n exemple dans la figure 28, tracé pris pendant la deuxième minute, ' '. 'Rien de tout cehin'existe chez notre malade
lus ou moins longue, n'est pas suivie, comme on peut le voir, d'une - ' ; chute brusque en sens inverse, trahissant une
chute brusque en sens inverse, trahissant une inspiration compensa- ' trice ; mais la respiration reprend tout de sui
ndes. (Ce tracé a été pris pendant 3 minutes consécutives.) ... ? 1 ' " z Fie. 28. - Respiration du même sujet les br
27 secondes. (Ce trace a été pris pondant 3 minutes consécutives.) ' Etc. 30. - Respiration de la même malade'les bia
ntalement. (Ce tracé reproduit 7 secondes de la huitième minute.) ; ; ' . 80 . NOUVELLE ICONOGRAPHIE. DE LA S1LP'PRIÈRE
tête est volu- mineuse, plus la boucle doit être placée en dehors. ' : Il est parfois, nécessaire, lors des première
de même que certains symptômes du tabes sont plus particulièrement ' influencés d'une façon heureuse. Cette sélection
institué avec confiance, car il nous a paru toujours, lorsqu'il est ' convenablement appliqué, être totalement inoffens
5, 'main gauche 30. La tête ne présente pas de déformation notable. ' L'oreille gauche est un peu plus écartée. - Les
s le long du corps (pl. XIII), on voit du côté gauche au-dessous de ' -la 'clavicule 'une dépression qui n'existe pas
e et spéciale et une augmentation de la durée du temps de réaction. ' L'absence du grand- pectoral n'est pas une anom
Jla>agel der Pecloralmuskeln nebst Bemerkung über die Wirkung de; ' Intercostalmuskeln (Deulsch. med. Woch., 1885,
skeln (Deulsch. med. Woch., 1885, il, 39). L'ACROMÉGALIE (Suite ' ) OBS. XVI2. - Femme de quarante et un ans, avai
ut bien lui dire en confidence : Mon enfant, conçois mon dessein, ' Peu m'importe que l'on m'affiche Partout pour p
-t-il afin que je punisse ce faquin. » Très bien, dit Cassandre : ' Mais avant que je commence Il me faudrait vin
ux aussi commencent à ressentir les effets du magnétisme... animal. ' D'ailleurs, comme nous l'avons dit, rien ne rés
Chef de clinirluc (le mal.ultCs du sjstùinc ri,iveii\. Le gérant : ' ;\111,1; LECH0bMi : n. ,rOrll;n07.. - Imprimerie
s. - llorteuse J..., couturière, âgée de seize an el demi, entre à ' la Salpètrière, salle Duchenne, de Boulogne, serv
oins très appréciable. 112 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ' Les mouvements dévolus aux muscles extrinsèques
t les paupières supérieure et inférieure, el s'étendanl dans une zone ' périorbitaire d'environ deux centimètres. L'a
avec l'oeil gauche; mais celle suggestion reste sans effet. Le 1" ' décembre 1887, on fait les mêmes suggestions à ne
de : elles sont complètes dans tout le segment supérieur de la moitié ' gauche du corpsy compris le bras; le segment su
sez rugueuse pour l'attache des ligaments et des muscles propres ». ' Autopsie de l'Observation IX (Brigidi). La long
s en substance médullaire. (A suivre). PIERRE Marie. FIG, 47. ' .lcromégalie (Brigidi). LES MALADES DANS L'ART1
Dans le bréviaire Grimani, conservé à la Bibliothèque Saint-Marc à ' ¡ Venise, il existe, parmi les illustrations qui
able, un paysan, l'épaule nue, les traits contractés par la douleur, ' pousse des cris perçants, pendant que le chirurgi
de l'autre et marche vers le )iL C'est le traitement qui commence. ' Citons encore de Jan Steen nn tableau du musée
les paralytiques généraux (Ann. méd. I)silcii., 1885, uov. p. 'il : ' ). 2. L. Gniuict, Quelques Cas de zona chez les
ns lu paralysie générale (Ann. méd. psych., 1882, t. 1111, p. 230). ' 4, Traité clinique des maladies mentales, p. 3.
L'écriture est absolument impossible, c'est avec peine que G... ar- ' rive il tracer quelques caractères tremblés absol
ve il tracer quelques caractères tremblés absolument indéchiffrables. ' Pas plus dans les membres supérieurs qu'inférie
fois cependant on le voit sourire lorsqu'on lui parle de ses enfants. ' Vu l'état mental de notre malade, l'examen de l
résentées très nettement sur plusieurs points dans la planche XXV.' ' ' ' . Cet état squameux de la peau donne au tou
sentées très nettement sur plusieurs points dans la planche XXV.' ' ' ' . Cet état squameux de la peau donne au touch
ntées très nettement sur plusieurs points dans la planche XXV.' ' ' ' . Cet état squameux de la peau donne au toucher
ominées squames de peu d'étendue, analogues'à celles du pityriasis. ' ' ' - Sur les mains, absence- complète d'écaill
inées squames de peu d'étendue, analogues'à celles du pityriasis. ' ' ' - Sur les mains, absence- complète d'écaillés
ées squames de peu d'étendue, analogues'à celles du pityriasis. ' ' ' - Sur les mains, absence- complète d'écaillés,
ent compte. Depuis trois mois il y a de la difficulté de la parole. ' Actuellement la parole est traînante et tremblo
ement, pour reparaître il nouveau et s'ac- centuer de plus en plus. ' Les modifications pigmentaires qu'on peut const
on touche à peine le sol, l'avant-pied appuyant surtout sur le sol. ' ' Par contre, la position du membre supérieur g
ouche à peine le sol, l'avant-pied appuyant surtout sur le sol. ' ' Par contre, la position du membre supérieur gauch
ête el du tronc donne à la malade un air de majesté très singulier. ' Pendant la marche, toute cette altitude persist
daire. Les réflexes tendineux ne 'sont nullement exagérés.' · . - ' La sensibilité est intacte à lous les modes d'exp
· . - ' La sensibilité est intacte à lous les modes d'exploration. ' ' Par contre, la malade se plaint avec insistan
- ' La sensibilité est intacte à lous les modes d'exploration. ' ' Par contre, la malade se plaint avec insistance d
haleur excessive. Elle. n'a jamais éprouvé de véritables douleurs.- ' . Il n'y a aucun trouble du côté des sphinclers
dans l'hémiplégie livstérique (Progrès médical, il,, 5 et 7, 1887). ' 3. Nouvelle Iconogarphie, t. I, ,,1. XIV, 1688.
hamp visuel est'également marqué des deux côtés : L'acuité visuelle, ' qui est de 1 [10, est modifiée aussi bilaté- ra
té visuelle,' qui est de 1 [10, est modifiée aussi bilaté- ralement ' - 1 Sans chercher le pourquoi des limiles'bizar
e très nerveuse. La maladc a antérieurement joui d'une bonne santé. ' En mai 1881, sans cause connue, elle a été pris
e cou, l'épaule et la partie supérieure de la poi- trine à droite ? ' ? La distribution de l'insensibilité ne mérite-
e rigide. La tète est légèrement inclinée à gauche sans rota- tion. ' Sur toute l'étendue et dans les limites de cett
ier, « graveur de monnaies sous Louis XVI » qui le lui avait donné. ' « Les amis de Pascal étaient désolés de n'avoir
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE DES CONTRACTURES SPONTANÉES ' " ET PROVOQUÉES DE LA LANGUE 1 CHEZ LES IIYSTÉIt
oduit ainsi sont le plus souvent passagères, mais que parfois elles ' ont de la tendance à durer pendant assez longtemp
rs phénomènes, je désire seulement présenter quelques conclusions : ' a) On peut chez les hystériques produire des co
provoquées de la langue ne diffèrent pas de celles que l'on observe ' spontanément chez les hystériques. Elles prenne
s il autre et les con- tractions du jambier antérieur et des jumeau\ ' : sont très manifestes. Des phénomènes analogue
ment de l'incision, qui donne issue à du pus, mais n'a pas d'accès. ' Soulagemennt immédiat, nuit bonne, pas de trépi
Il en résulte, entre le pli cutané et le bassin, une connexion intime ' qui fait que l'un suit les mouvements de l'autr
'à la répercussion sur cet 7. Voir les n" n, G, t. I, 1888 et les n" ' 9, 2, 3, 4, t. il, 1889. AV.1'l'\III : PATHOLOG
térygoïdes ont un développement proportionné à celui des mâchoires. ' 230 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAI,I)PTI11rRE.
s extérieurement, et les apophyses épineuses plus ou moins bifides. ' Quant aux'vertèbres dorsales, la face antérieur
ment. AUTOPSIE DU MALADE DE L'OBSERVATION XI ('1'1 ès résumée) ' 1 (FnI'1SCIIE ET Bleus) L'enveloppe cutanée d
trait presque au diag- nostic de s'établir sur des bases solides. , ' Aussi, pour toutes ces raisons, suivrons-nous p
LaProvidence qui avoit des desseins de miséricorde sur cette fille, ' eut soin de la soustraire à ses parents dès ses p
incapable qu'elle est d'être utile à celle qui la comble de bontés. ' Aussi notre paralytique, ce se sentant vivement
excoriations par suite de la faible vitalité des tissus comprimés. ' ' Du côté de la face, notre malade présentait e
oriations par suite de la faible vitalité des tissus comprimés. ' ' Du côté de la face, notre malade présentait encor
es qui lui faisoient faire des contorsions de bouche effroyables ». ' t Elle n'était donc ni muette ni aphasique, pui
terminé par la guérison. Puis les travaux se succèdent, Massalongo ' , Leroux s, Brissaud 3, P. Blocq', Ballet5, Debo
e avec atrophie musculaire (Archives de physiologie, 1887, p. 338). ' " i. Des rétractions fibro-tendineuscs compliqu
, en 1879 et 1880; 1 hystérique à attaques. Antécédents personnels. ' Santé bonne avant le début de l'affection actue
e bras avaient re- pris leurs fonctions, l'atrophie avait disparu.. ' ' , , C'estalors que la main et le bras gauche
bras avaient re- pris leurs fonctions, l'atrophie avait disparu.. ' ' , , C'estalors que la main et le bras gauche co
tobre 1889) la main gauche présente l'aspect suivant (fig. 74, 75). ' ' ' 'l i FlG, 7>, Fie 75. Les deux derni
bre 1889) la main gauche présente l'aspect suivant (fig. 74, 75). ' ' ' 'l i FlG, 7>, Fie 75. Les deux dernièr
e 1889) la main gauche présente l'aspect suivant (fig. 74, 75). ' ' ' 'l i FlG, 7>, Fie 75. Les deux dernières
n isolé du poignet. Quand le malade fait un effort pour déplacer : Se; ' doigts, on voit quelques légères secousses du p
pa- ralysie est flasque ; pas tracés de contracture ou de raideur.. ' ' : ' Sensibilité. Analgésie absolue de la face
- ralysie est flasque ; pas tracés de contracture ou de raideur.. ' ' : ' Sensibilité. Analgésie absolue de la face d
ralysie est flasque ; pas tracés de contracture ou de raideur.. ' ' : ' Sensibilité. Analgésie absolue de la face dorsa
complète de la paume do la main ut de la face palmaire des doigts.. ' ' ' Thermo-anesthésie absolue dans les mêmes ré
mplète de la paume do la main ut de la face palmaire des doigts.. ' ' ' Thermo-anesthésie absolue dans les mêmes régi
lète de la paume do la main ut de la face palmaire des doigts.. ' ' ' Thermo-anesthésie absolue dans les mêmes région
'est tout ce qu'il peut donner lorsque sa main est en pleine force. ' Le mardi 23, à sept heures et demie du soir, ve
Ît. - Le lendemain, 24 juillet, l'oedème et la paralysie ont reparu ' ;]72 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. du
piqûres ne faisaient pas sourdre de sérosité dans les cas observés. ' En résumé : oedème dur, bleuté, indolent ou dou
cil., p. 15. 2. Mâchez, Société médicale des Hôpitaux, 1872. 288 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. pendan
DERMOGRAPHIE L : &.CROSNIB ET BASÉ, ÉDITEURS LA DERMOGRAPHIE. ' 289 Pendant la stupeur nous n'avons même pas pu
dans l'état de mal de sommeil hystérique depuis le 31 mais'1883 ^S^ ' é., S zon F ? Grâce aux notes qui nous avaien
c'est encore de cette façon qu'elle est actuellement nourrie. II ' ' La conservation de l'existence pendant ces lo
'est encore de cette façon qu'elle est actuellement nourrie. II ' ' La conservation de l'existence pendant ces long
révoir la durée de l'accès et de prédire le retom il l'état normal. ' Si l'on considère les figures 79 et 80, on note
-.Chez le second (dont nous donnons ici la photographie, pl : XLVI), ' après une durée à peu près égale, elle est actu
Cit. Féré, II. LA,)iy, Médecin de Bicêtre. Interne des hôpitaux. ' 1. Gowors, Traduction française de Carrier, p. -1
9, nous avons été conduits, à l'instigation de notre éminent maître ' , à étudier les phénomènes de même ordre dans la
ares tombent tous les niois. Elles existent depuis l'âge de 17 ans. ' . , . ' Sensibilité à la douleur (fig. 81, 82).
bent tous les niois. Elles existent depuis l'âge de 17 ans. ' . , . ' Sensibilité à la douleur (fig. 81, 82). - Aux m
de pudeur scientifique, un orgueil de race curieux à enregistrer... ' » Pour tous commentaires du cas suivant, nous f
1. Aspect typique des attaques. 2. Présence de zones hystérogènes. ' 3. Possibilité d'arrêter à volonté l'attaque.
En juin, il ne restait plus guère que le changement d'humeur qu'il ' avait éprouvé ; puis, peu à peu, le malade se mit
voit en avant que les os intermaxillaires ne sont pas soudés sur la ' ligne médiane, leur suture palatine latérale est
33 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
A SYPHILIS MÉNINGÉE-' ET LA SYPHILIS GOMMEUSE DE L'ENCEPHALE; ? " - ' PAII ns DOCTEURS J. TEISSIER. Professeur à
on. ET T JO.\XNY ROUX, E\.-l11lcrnc des hôpitaux , de Lyon. ' La syphilis peut frapper l'encéphale de façons tr
ingées, syphilis artérielle, etc.). « Quels que soient, dit Mauriac ' , le siège primitif des lésions encéphaliques et
troubles de la motilité, de la sensibilité, de l'intelligence. 4 ' CLINIQUE NERVEUSE. A. Troubles moteurs. Ce que
apable d'un excès de travail. Tant qu'elle n'est soumise qu'à' un ' Deulafoy. Des artérites cérébrales syphilitiques
utre symptôme qu'un peu d'en- gourdissement de la région paralysée. ' La paralysie est limitée, mais elle est le plus
ire, intermittente, a été décrite pour la première fois par Mauriac ' , et après lui par un grand nombre d'auteurs. Ma
e malade s'est aperçu de la diminution de sa mémoire, tout effort ' Mauriac. Gaz. hebd., 1876, n° 5. 5. Leçons sur l'
al, par une dilatation de la carotide interne. Dans un cas de Knapp ' il y avait une dilatation bilatérale des artère
as assez importants pour ustifier la création d'un type clinique. ' Knapp (de Kew-York). Arch. of isc. and pract. med
ure de la sylvienne gauche à son émergence. Ces cas de rupture ne ' Charrier et Klippel. - Revue de méd., 18(H, p. 77
l'inondation sanguine produit un excès de pression considérable. ' Loc. cil., p. 607. 12 '2 CLINIQUE NERVEUSE. C
DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 13 14 ? CLINIQUE NERVEUSE. ' · absolument indolent. On trouve de plus actuel
es. \/^p En suivant la sylvienne gauche, au niveau du point où elle^ ' donner le tronc commun des artères frontale inf
sociation a été signalée dans la syphilis de la moelle par Brissaud ' , Oppenheim 2, Schlesinger 3, Raymond 4, Max Lue
aris, Masson, 1895. - Oppenheim. 13e·licz. t'; ? . 1Voch., 1889, Il" ' 18 et 49. : Schlesinger. Club médical de Vienne,
i a tant reproché d'avoir admis un instant pour les voies optiques. ' ' Uhthoff. Urger die Loehmung bei der Syphilis
tant reproché d'avoir admis un instant pour les voies optiques. ' ' Uhthoff. Urger die Loehmung bei der Syphilis des
bjections. Nous avons vu que ces monoplégies 1 Loc. cil., p. 369. ' Gajkiewicz. Gaz. lel.arslsa, II et III, 1895, ana
pro- grès. Mais depuis Bayle' qui, le premier, constitua la para- ' Bayle. Sur l'arachzzilis chronique, etc. (Thèse d
2 CLINIQUE MENTALE. lysie générale comme entité morbide, et Calmeil ' , qui en a donné la première description classiq
ns cliniques, signala les lésions nerveuses de la paralysie géné- ' Magnan. De la lésion anatomique de la paralysie g
r les troubles physiques et psychiques qui suffisent am- plement. ' Magnan. De. ceroe i< Ke) ? o«y«e < f/e ne)'
nt am- plement. ' Magnan. De. ceroe i< Ke) ? o«y«e < f/e ne) ' mo/eM te ' Magnan. - De.la sclérose du nerf 'Op
ent. ' Magnan. De. ceroe i< Ke) ? o«y«e < f/e ne)' mo/eM te ' Magnan. - De.la sclérose du nerf 'Optique et des
générale (Archives de physiol. norm. et pallcol., novembre 1877). ' Krafft-Ebing. Lel ! 1'buch der psychiatrie. Dritt
der psychiatrie. Dritte umgens beitete Aulla.-e. Stuttgard, 1888. ' Babinsky. - Traité de médecine Charcot-Bouchard,
at passager d'hyperesthésie considérable à la surface de la peau. ' L'oedème est dû souvent à cette même influence
es par la névrite périphérique. Ranvier5 d'abord. I)tiisBoddaerL6 ' Klippel. - La paralysie générale, lésions et symp
formes spéciales (Arch. de médec, expél-im.), janvier 1894. 7''o) ' )) ! M pcci'<M (J;'e/t. </e H ! e<7cc. ep
daert. Noie sur la lm/holortie du goitre exophtalmique. Gand, 1872. ' TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 2
de Lower) ne produit de l'oedème qu'au cas de section du sciatique. ' L'oedème a été constaté dans les plaies ou cont
l du nerf optique dans les maladies cérébrales (Union août 1866). ' Magnan. Signes essentiels et accessoires de la pa
paralysie générale (Gaz. des 116pi1., 12, li, 19 et 23 mai 1868). ' Duterque. - Des lésions ophtalmiques dans la para
oir.) . Nous abordons maintenant le chapitre de nos observations. ' S. Ballet. Les troubles oculaires dans la paralys
pathologique de la paralysie générale (Arch. f'. Psych., Ud. XIV). ' Durante. Les troubles trophiques de la paralysie
fessière et de la partie postérieure des jambes. Ce malade est op5-" ' ché depuis une semaine ; par moments il gâte. L
t inaperçues presque toujours chez un grand nombre de paralytiques. ' Beaucoup, parmi nos malades, présentaient de ce
bitieuses. Emotivilé. Hésitation de la parole. » (De Ch. Vallon.) . ' Rien de particulier dans ses antécédents. Ni sy
ion qui peuvent en être la consé- quence. » (Leloir.) Et M. Brocq ' range dans ce groupe certains purpuras à côté d
alcoolique et ne parait pas être syphilitique. Au mois d'août 1896, ' Société médicale des ltûpilaux, séance du 27 nove
Eschare. Amaigrissement. Ch... Charles, vingt-huit ans, menuisier. ' Certificat de M. Vallon : « Est atteint de para
as. Notre malade a éte vue plusieurs fois et examinée par M. le D' ' Sérieux, qui a confirmé le diagnostic de mal perf
. Hémianesthésie droite. Retard de la sensibilité au côté gauche. ' Lanceraux. - Trccilé d'anatomie pathologique, 187
. Des eschares dans la paralysie générale (Thèse de Paris, 1876). ' Loc. cil. 42 CLINIQUE MENTALE. L'eschare peut
jour, le moi s'effondrait, et la paralysie marchait à grands pas. ' Zacher. Loc. cit. 44 CLINIQUE MENTALE. Observ
t très accentué. La parole très embarrassée. Les pupilles inégales. ' Il est couché depuis son entrée. Les eschares d
empêchaient de dormir. Inégalité pupillaire. Embarras de la parole. ' ' ' La peau des deux jambes est sèche, rugueuse
pêchaient de dormir. Inégalité pupillaire. Embarras de la parole. ' ' ' La peau des deux jambes est sèche, rugueuse a
chaient de dormir. Inégalité pupillaire. Embarras de la parole. ' ' ' La peau des deux jambes est sèche, rugueuse au
PRÉPARATIONS DURCIES A LA FORMALINE; par On. 13UbCH. (Nelll'olQg. ' Centralbl., XV, 1896.) Ce sont, comme on voit,
oyau. Ce serait presque le noyau dorsale (postérieur) de de Gudden. ' 2° La moitié antérieure du segment reculé (post
s granulations des prolongements demeuraient indemnes constamment : ' 4° intégrité eu noyau et du nucléole; 5° quelle q
volume, écartement, température, mobi- lité de l'extrémité fantôme; ' douleurs spontanées siégeant dans les extrémité
, par suite de la diminution de pouvoir de régénération des tissus. ' A. FENAYaou. XXIII. ÉTUDE CLINIQUE du dynamisme
cellules ganglionnaires semblables à celles des ganglions spinaux. ' Ces mêmes cellules donnent naissance, d'une par
urs de la moelle, sont parallèles à l'axe longitudinal de celle-ci. ' Et, malgré la netteté de ces indications, il es
s ; les récidives sont fréquentes dans les cas .suivis de guérison. ' A. f ENnvaoo. - VII. GOITRE ExOPHTIIALMIQUE tra
st de nouveau en décroissance et la malade sort guérie le 14 avril. ' Depuis lors, disent en note les auteurs, ce rés
mes. Ils cèdent à de fausses déductions d'un sens moral défectueux. ' P. RELLAY. II. HYPNOTISME ET crime; par CI. BEL
rares, quand il peut par ailleurs rendre des services incontestés ? ' A. Marie. III. Responsabilité criminelle DES im
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Abricossof (M"0 G.). L'hystérie aux AF7/ ' et XVIII° siècles (Étude historique et bibliogr
ume in-8° de 145 pages. Paris, 1897. - Librairie G. Steinheil. 96 ' · BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. ' Busciian (G.). -
1897. - Librairie G. Steinheil. 96 ' · BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. ' Busciian (G.). - l31blioyapltischer Senxeslerbe
J. TEISSIER, PlOfcsscur à la Faculté de médecine de LSon. L T ' Jo.wsu ROUC,' ,' E\-iiitenie des hôpitaux de
PlOfcsscur à la Faculté de médecine de LSon. L T ' Jo.wsu ROUC, ' ,' E\-iiitenie des hôpitaux de Lvon. CHAPIT
Ofcsscur à la Faculté de médecine de LSon. L T ' Jo.wsu ROUC,' , ' E\-iiitenie des hôpitaux de Lvon. CHAPITRE
e beaucoup la forme la plus fréquente et la mieux connue. Oppenheim ' croit ses symptômes si caractéristiques qu'ils
rogressive et tuber- culose pulmonaire comme dans le cas suivant. ' Oppenheim. Bei-liii Klin. Vocle., n° 98, p. 1033.
que la pression, sans modification des caractères de la souffrance. ' ` Il y a souvent des souffrances, quelquefois t
xis- tence dans les membres de douleurs d'origine centrale, l'in- ' Cet examen a été fait par M. Z la compétence est
cerveau 2@ et qui a été signalé aussi autour des gommes (Janson). ' Bouveret. Lyon 21éd., 1895, t. LXXX, p. 279, et 1
. ' Bouveret. Lyon 21éd., 1895, t. LXXX, p. 279, et 1896, p. 459. ' Cette observation est inédite : il s'agissait d'u
ente susceptible d'expliquer les phénomènes et la lésion récente. ' Gamel (de Marseille). Thèse Montpellicr, 1871.
uvi- gnaud, BouvereL', admettent l'action tout au moins prétlomi- ' Bouveret. Lyon méd., )89C. DIAGNOSTIC DIFFÉRENT
atté- nuer, par suppléance des parties voisines, création de nou- ' Revue de médecine, 1897. 118 CLINIQUE NERVEUSE.
e céphalique cette nuit. On ordonne des frictions mercurielles. 1" ' Avril. L'amélioration a continué. La malade se di
de Gunsburg négative. Teinte jaune par le négatif d'Gtfelmanu. 1" ' Juillet. La maiade n'a pris ni mercure ni iodure,
quait à ce qu'on lui demande. Aussi on lui dit : « Souffrez-vous n` ' elle répond : « Non. » Tout de suite après on i
médecine de Paris (1892) et dans la Revue médicale de l'Est (1893) ' , ces pseudo-para- lysés généraux que comme des
vent encore les cliniciens et par la diversité des rémissions, et ' )32 CLINIQUE MENTALE. par les variations symptom
es symptômes de l'urémie la symptomatologie d'une entité morbide ? ` ' La dénomination c paralysie générale » ne rappe
ctieuse doit jouer un rôle dansl'étiotogie de la paralysie générale ' ? D'autre part, il est démontré qu'il existe de
août 1897.) E. B. VU. La signification DE quelques rêves ; par le D' ' Tii0àlYER. Le sommeil et le rêve méritent plus
London Ontario, et fait les opérations nécessaires. Sur 100 femmes ' 93 avaient des affections pelviennes et 69 avai
'a remarqué un fonctionnaire civil qui a écrit sur ce sujet, c'est de ' '' voir que chez des femmes d'un âge avancé la
le sommeil, et de se produire dès 182 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ' qu'on examine la malade ou qu'on lui parle; il
uf la confusion mentale qui persiste encore trois semaines environ. ' Il s'est agi, dans ce cas, non de méningite, ma
ésultant d'actino- mycose et guéri par l'intervention chirurgicale. ' Aujourd'hui il répond affirmativement à deux qu
ement. A. V. XI. UN crétin traité par l'extrait thyroïde ; par le D' ' RUSHTON PAnTaEa.'(Bret. med. journ., février 18
ours devront être envoyés au Secréta- riat de l'Institut avant le 1" ' juin de chaque année. Prix POURAT (question pro
: t(MKSp/tt/MO<06f ! </uM, par G. Marinesco; Les nerfs du COEM) ' cl la glande thyroïde, par E. de Cyon; Sur quel
cpus, vient d'être nommé commandeur de la Légion d'honneur; M. le D' ' F. RAYMoND, professeur de clinique nerveuse, mé
PARALYSIE GÉ\R : i ? i ? -1 (étude CLINIQUE ET statistique), .. ' ' ' Par P. C'OLOLAN, 1 Interne de l'Asile clini
RALYSIE GÉ\R : i ? i ? -1 (étude CLINIQUE ET statistique), .. ' ' ' Par P. C'OLOLAN, 1 Interne de l'Asile cliniqu
LYSIE GÉ\R : i ? i ? -1 (étude CLINIQUE ET statistique), .. ' ' ' Par P. C'OLOLAN, 1 Interne de l'Asile clinique
, 1 Interne de l'Asile clinique (Sainte-Anne). · (Suite e11 fin.) ' II. Troubles TROPuiQUES chroniques. A côté des
ion du système nerveux central, ganglion- naire ou périphérique* ». ' Ichthyose. - * Il existe, dit Brocq3, chez cert
ar l'amincissement, la sécheresse et la, desquamation de la peau. » ' . , z C'est par la sécheresse du revêtement cut
a peau devient rugueuse, elle 1 Voir Archives de Neurologie, n° 25. ' ' ' ' , 2 Lenoir. Journal.des maladies cutanées
peau devient rugueuse, elle 1 Voir Archives de Neurologie, n° 25. ' ' ' ' , 2 Lenoir. Journal.des maladies cutanées e
au devient rugueuse, elle 1 Voir Archives de Neurologie, n° 25. ' ' ' ' , 2 Lenoir. Journal.des maladies cutanées et
devient rugueuse, elle 1 Voir Archives de Neurologie, n° 25. ' ' ' ' , 2 Lenoir. Journal.des maladies cutanées et sy
itiques, 1.1", n° 6. 1890, p. 321, article Dena<o ? teM ? 'osM.' ' f ' ' . ,, 3 Loc. cit., p. 821. , . , . au , .
ues, 1.1", n° 6. 1890, p. 321, article Dena<o ? teM ? 'osM.' ' f ' ' . ,, 3 Loc. cit., p. 821. , . , . au , . , ..
s, 1.1", n° 6. 1890, p. 321, article Dena<o ? teM ? 'osM.' ' f ' ' . ,, 3 Loc. cit., p. 821. , . , . au , . , ..
trente-sept ans, est entré à Villejuif, le 18 août 1896. M. le D' ' Pacteta porté le diagnostic suivant : « Paralysie
her de place, est. entré à Ville- juif le 5 juillet 1896. M. le D' ' Vallon signe le certificat suivant : c Est attein
voit la pulpe, jaune, entourée d'un tissu blanc grisâtre. , . 182 ' clinique mentale. Observation XXIV. Déformation
Observation XLIII. -Alopécie. Abrasion dentaire. OE'CMC des mains. ' C... Ernest, trente-cinq ans, porteur de pain,
tion vigoureuse; ce devait être probablement, concluait Verneuil, ' Foville. - dnnales méclico-ysclt., nov. 1880, p.
lent. Les articulations sont également atteintes, mais les obser- ' Régis. De la dynamise ou exaltation fonctionnelle
e ou exaltation fonctionnelle au début de la parai, génér., 1878. ' Arnozan. Des lésions trophiques consécutives aux
aralytiques généraux. (Annales 71édico-psych., z, t. il, p. 412.) ' FroeHch. Fracture spontanée chez un paralytique g
sensitives de la moelle », aussi bien que par celles du cerveau. ' Shaw. - Des arlhropallties dans la paralysie géné
53. ° 'P.-W. Mac Dowald. Journal of mental science, octobre 1872. ' Grellière. Etude sur l'atrophie musculaire dans l
phigus, et plus tard l'atrophie des muscles de la main gauche. ' Joflroy. Sur les formes spinales de la paralysie
générale. (Journal de méd. et de chir. pratiques, 1894, p. 280.) ' Hoche. De l'atrophie musculaire dans la paralysie
ses digestions sont faciles, il engraisse, sa face se colore, il ' Déjerine. Archives de physiologie, 1876. , '198
m d'extension 1 centimètre de diamètre. Nous n'avons l'iy. 1. 204 ' RECUEIL DE FAITS. pu savoir comment fonctionnen
la déformation du pied qui est sous la dépendance de ces faisceaux. ' A. V. 228 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. X. SU
E HYSTÉRIQUE; par M. E. BRISSAUD. (Presse médicale, 14 avril 1897.) ' La polyurie dite essentielle est presque toujou
d'in- tensité pour produire le même résultat dès le premier accès. ' A. FENaYROU. XXII. LES causes DES paralysies
lisme c'est bien d'un enchaînement de causes et d'effets à réper- ' Ces chapitres sont extraits du rapport présenté u
je n'aurais pas besoin aujourd'hui d'écrire les présentes lignes. ' D' Legrain. Du principe de la liberté individuell
x, qui n'a pas une bonne alimentation, un bon logis, un bon vête- ' Les sociétés d'abstinence françaises, hormis la C
acune à combler dans notre législation. « C'est ainsi que M. le D' ' Dufour n'ayantpas sousles yeux le rap- port du
ns moins deux mois, il ne fût pas placé avec les enfants. M. le D' ' TiiunÉ. Vous n'avez que trop raison. M. le D''
s enfants. M. le D'' TiiunÉ. Vous n'avez que trop raison. M. le D' ' 130LI1NEYILLE. C'est l'importance de ces deux exe
de (année 1897) (suite) '. 3. Existence du libre arbitre ; par le D' ' PAILIIA-9, médecin légiste. M. Pailhas c affirm
d'en- voyer des délégués aux congrès d'anthropologie criminelle. ' 8. Les faux témoignages d'une hystérique; par le
r. 2. Du délire raisonnant de dépossession au point de vue clinique ' ' et médico-légal ; par Charles CncuoN. Le dé
2. Du délire raisonnant de dépossession au point de vue clinique ' ' et médico-légal ; par Charles CncuoN. Le déli
sur les hypermnésies. Etude de psychologie morbide; par A. Guillon. ' Très important et très sérieux travail de 260 p
13. La bicyclette considérée au point de vie hygiénique et moral; ' par G.-lL ? 11.nrm. L'auteur consacre un chapit
c prudence ce genre de sport chez un grand nombre de névro- pathos. ' (A suivre.) 268 bibliographie. VI. L'épilepsi
<e ; Délire aigu hydro- p/t0& ! 'ç ! <e ; p/taste aucc A( ' / ? t ! p/e6't'e gattc/te; amjage du Var; Mémoir
tement ou indirectement sera, par ce seul fait, exclu du concours. ' Les concurrents aux prix Amussat, d'Areni-euil, A
années. Si, comme la plupart des névropathies et des psychopathies ' , elles paraissent plus fréquentes qu'autrefois,
dance de causes dites psychiques, on peut intervenir utilement en ' Ch. Féré. Civilisation et néuropathie. (Revue phi
ue j'ai déjà exposées ailleurs en les appuyant d'un fait nouveau. ' L. Schwartz. Contribution à l'élude de l'inversio
liée à l'ataxie locomotrice. (La Belgique médicale, 1897, n" 2.) ' La descendance d'un inverti, contribution à l'hyg
peut être un homme non seulement inoffensif, mais un homme utile. ' M. A. Raffalovich. Uranisme et unisexualité. Élud
s utiles à l'humanité ont vécu dans le célibat et dans la chasteté. ' Le génie est en général célibataire et souvent
a- tion à réclamer le droit de s'accoupler suivant leur instinct, ' C'est actuellement un homme de soixante-cinq ans,
e que son âge, sobre, n'ayant eu aucune maladie depuis son mariage. ' Annales de l'iiiiisexiialilé, 1897, p. 37. ' Ib
depuis son mariage. ' Annales de l'iiiiisexiialilé, 1897, p. 37. ' Ibid., p. 47 et suivantes. ÉTUDE DE LA DESCENDA
ment parce que les invertis sont des dégénérés et que, lorsqu'ils ' Ch. Féré. Note sur une amnésie consécutive (t des
( ? ). Scezc1· morte avec des convulsions de l'enfance. Azetre oe«) ' , convulsions de l'enfance, intelligente. Pas de
is circulaires du cordon. -Alleeitement maternel. Première dent à ' Compte rendu de 1893, p. 171-372. IDIOTIE HYDRO
par M. le D' Legrain, délégué officiel de la France au Congrès. 300 ' HYGIÈNE SOCIALE. truisme, 'voguant très haut au
é l'abnégation jusqu'à faire le sacrifice de la seconde jouissance. ' Il y a cette raison et il y en a bien d'autres.
références personnelles, soit par l'esprit de parti politique. » (D' ' Van COILLIE.) Le Dr Van Coillie, de Bruxelles,
une acquisition de l'expérience. Assurément, comme l'a exprimé le D' ' Mahain, de Liège, l'inter- vention du législate
d'appui de l'opinion qui leur manque pour frapper le grand coup. ' 1 l'Ueure actuelle, les sociétés fédérées atteign
DÉGÉNÉRESCENCE POUR LA pratique générale DE la médecine ; par le D' ' HALDOR SNÉVË. Ce sont surtout les caractères an
dangereuse de toutes les formes; l'épileptique, le fou, l'imbécile. ' L'importance est grande pour le praticien de co
97.) E. B. XXXII. Syphilis DU système nerveux central ; par le 1) ' SYDNEY Hun. Dans un long et intéressant mémoire
ur remède de cette forme de syphilis. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 311 Alors que les iodures seront donnés par la
r et même disparaître sous l'in- Iluence d'un traitement énergique; ' 3° Ce dernier consiste surtout en alimentation
ET IMPULSION pyromaniaques chez une dégénérée hystérique; par le D' ' A. VIGOUROUX. Bel exemple d'impulsion nettement
B. XXXIV. PROGRÈS réalisés en neurologie ET LEUR relation avec la ' psychiatrie ; par le Dr SACIiS. Dans une intére
E. C. XXXVI. JAMES Braid chirurgien ET iiypnologistk ; par 1`I1L\G ' Bauv-ELL. part. L1XI11, 1806.) L'auteur, qui
et à celle de Nancy. F. BOISSIER. .XXXVII. Délire grave; par le D' ' Rowley. Le terme ancien de phrénilis, ceux plus
I. L'assistance ET LE classement DES aliénés EN BELGIQUF,; par le 1) ' PEETERS. (Bull. de la Soc. de médecine mentale de
erviteurs ordi- naires. (American Journal of insanity, oct. 189 ï.) ' E. B. BIBLIOGRAPHIE. VII. REVUE DES thèses DE
-gérant : BOURNEVILLE. Evreux, Ch. Hébissby, imp. - 498. Vol. V. ' Mai 1898. ? 29 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLO
mental. c On peut admettre comme règle générale, dit aussi Costard ' , que la conscience du caractère maladif du'trou
voile... quelques- uns même se plaignent de ne plus souffrir ? » ' Cotard. OEuvres complètes, p. SOS. ' lbid., p.
nent de ne plus souffrir ? » ' Cotard. OEuvres complètes, p. SOS. ' lbid., p. 26. . Archives, 2e série, t. V. 23
ologique. » « Chaque organe intérieur, dit aussi Maudsley2, a une ' Janet. Annales médico-psychologiques, 50 série, t
Annales médico-psychologiques, 50 série, t. XX, septem- bre 1878. ' Pathologie de l'esprit. Traduction Doumic, 1883.
ner, et dès le début on peut observer l'analgésie cutanée complète. ' c Les idées hypocondriaques semblent n'être qu'
nsations internes correspondant à ces viscères sont supprimées 2. » ' Dans la mélancolie, les perceptions cénesthétiq
'autrefois. « Ils ont honte, ou même horreur, de leur propre per- ' ScUule. Traduction Dagonet et Duhamel. ' Couard
eur, de leur propre per- ' ScUule. Traduction Dagonet et Duhamel. ' Couard, p. 31-2. -Biiiet et Fe. Sensation el mo
' Couard, p. 31-2. -Biiiet et Fe. Sensation el mouvement, ch. \v. ' ' LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE. 359 sonne et se dés
' Couard, p. 31-2. -Biiiet et Fe. Sensation el mouvement, ch. \v. ' ' LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE. 359 sonne et se déses
comment la malade s'exprimait elle-même au sujet de ces derniers : ' « Autant j'étais gaie autrefois, autant je suis
e aujourd'hui; autant j'avais d'énergie, autant je n'en ai plus ; ' Cité par Cotard. De l'hypochondrie. ! Névrose cér
par Cotard. De l'hypochondrie. ! Névrose cérébro-carcliaque, p. 75. ' Ribot. Maladies de la personnalité, p. 63. LE D
teurs de ces phénomènes qui se passent en quelque sorte en dehors ' Revue philosophique, t. 1, p. 289. L'Intelligence
éd., t. Il, App. ; Ribot. Des maladies de la personnalité, p. 105. ' 2 Cotarr], p. 325. 3 Délire des négations, p.
lles. Une diminution d'énergie affectant essentiellement la réac- ' Cotard, p. 420. = Cotard. De l'origine psycho-m
ancolie n'est donc que scission, dissociation de la personnalité. ' Cotard, lu. 420. ' ! Tome 1, p. 405. 3 Fragm. p
c que scission, dissociation de la personnalité. ' Cotard, lu. 420. ' ! Tome 1, p. 405. 3 Fragm. psych., 183, p. 433.
Traité clinique et pratique des maladies mentales, 1881, p. 239. ' Séglas. Loc. cit. - LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE. 365
ales sphères fonctionnelles. C'est alors l'hypochondrie, la noso- ' Leuret. Fragments psychologiques sur la folie.
drie, la noso- ' Leuret. Fragments psychologiques sur la folie. . ' Dagonet. Observations, p. 238. (Traité des maladi
e infernale, de possession, de damna- tion... » On doit à M. le D' ' Séglas d'avoir démontré l'influence des impulsi
notions antérieurement acquises et du sens dans lequel son éduca- ' Cotard. Eludes sur les maladies mentales, p. 426.
chet particulier que nous allons nous attacher à mettre en lumière. ' Sous l'influence de l'éducation religieuse, le
370 PATHOLOGIE MENTALE. « Il faut signaler. disait déjà Esquirol ' , comme une variété de démonomanie l'état dans l
mimer intérieurement, s'en esquisser à soi-même les mouvements *. ' Esquirol. Traité des maladies mentales, Paris, 18
838, t. I, p. 517. * Fodére. Traité des maladies mentales, Paris. ' Guislain. Traité sur l'aliénation, Amsterdam, 18`
, Paris. ' Guislain. Traité sur l'aliénation, Amsterdam, 18` ? G. ' Voir Binet et Féré. Sensation el mouvement. THÉ
outes ses compagnes d'asile. Une démonopathe immor- telle de Cotard ' s'imagine que sa tête a pris des proportions te
trale des invertébrés comme des analogues des dendrites sortant ici, ' non', comme chez les vertébrés, du corps cellul
stribuent leurs stimuli aux cellules pyramidales dont les dendrites ' G. Retzins. Die snirnow'sclcen freien Nervenendig
ne action d'inhibition s'exerçant sur les centres de la perception. ' R. CaARON. LXI. DES rapports DE la station hanc
quante jours, les deux autres, six jours seulement. Dans tous ces ' trois cas la cavité crânienne ne contenait que le
Puis il créa, seul, les « Archives of Medicine qui ont paru de 1859 ' Voir la notice sur E. Séguin, le grand éducateur
t l'histoire fidèle de l'art du Pédicure, duJia)'6 : 'e)'<Mce ! « ' ,del'/) ! C ! 'se : ft'; l'histoire de cette ter
e idée semblable a été émise il y a une trentaine d'années par le D' ' Caffe, à propos des crétins et des crétines; il
s sommes étonné de rencontrer des médecins, où s'arrêterait- on ? ' B. 428 VARIA. Drame dans un ÉVÈCHÉ. « Un si
emparé d'une hache et voulait les frapper avec cette arme terrible. ' Ce malheureux s'était évadé, il y a quelque tem
FAITS DIVERS. Asiles d'aliénés. Nominations et promotions : M. le D' ' ALLE- MAN, médecin adjoint à l'asile d'Auxerre,
ches de son père sur son tra- vail.(Petit Parisien, 10 avril 1898). ' Enseignement des maladies MENTaLES.- M. le D1'
énation mentale ont eu lieu dans le semestre d'été, et que M. le `D' ' DOURSOIT a pu se convaincre, par l'assiduité de s
l'auscultation fait entendre un souffle tubaiie à la base droite. - ' Mort le 18 septembre. Autopsie le 19 septembre.
au contraire exaltées. Les contacts et les piqûres cutanées, les ' Raymond. Contribution u l'élude des tumeurs névro
ôté où le sympathique a été respecté (Luchsinger et Gillo- beau). ' Schiff. l'lys. des \'erreussl., 18à8, p. 199. S
t. f. opltl., 1878, XXIV. 454 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. b). Chaùveau ' 1 isolant la région cilio-spinale par deux sec-
es de la sensibilité affectant la disposition signalée plus haut. ' Chauveau. Journ. de la l'Ics., IV, 370, 1861. '
alée plus haut. ' Chauveau. Journ. de la l'Ics., IV, 370, 1861. ' Art. Sympathique (Dict. Uechaoabre.) Loc. cil.
plus grande au niveau de la queue de cheval. D'ailleurs, nous le ' Raymond. Loc. cil. * -Moeller. Gliosarcome de l
com- munes de mélancolie, engendrent à l'état faible les idées de ' Voir Archives de Neurologie, n° °9. LE DÉLIRE M
ntrent violents envers les personnes qui les entourent; il semble ' Dans les délires religieux à systématisation prim
tégrité, les négations partielles précèdent la négation complète. ' Camuset. - Ou délire des négations, p. 17. Congrè
oucher, puisqu'il n'a ni yeux, ni oreilles, ni mains..., plus rien. ' A ce propos, il n'est pas sans intérêt de noter
idée '. » Ce raisonnement s'applique d'une façon absolument iden- ' Albert llanry. Le Sommeil et les Rêves, p. 170, e
nt d'une région de l'âme qui reste dans l'obscurité pour le moi ; ' Alosso. La Peur. LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE. 463
y en a une autre partie qu'il attribue à une personne étrangère. ' Griesiner. Maladies mentales, traduction Doumie,
end à reprendre la direction des idées, et la mémoire et l'imagi- ' nation qui continuent à agir d'une façon automati
, dans la rue, sans en avoir conscience. » « Le malade, dit Janet ' , constate que ses muscles font, à son insu et m
t manoeuvrer à son gré les différentes pièces de leurs corps 2. » ' P. Janet. Automatisme psychologique, p. ii0. -
l se dit damné, qu'il demande à être rebaptisé, et marmotte cons- ' Esqtjirol. Maladies mentales : De la démonomanie,
llité, voulant faire une chose et s'en retenant tout à la fois ». ' Th. Willis. Opéra, in-4-, IG81. J. Yweri. Opéra
, et J. l3oclin. Dêmonomanie : des sorciers , in-4°, Paris, 1582. ' Plaleri l'loaxeos médias, t. I, in-1», Basilie, 1
'idée qu'elle est abandonnée deDieu et de ses ministres, et vouée ' Baillarger, p. 317-323. - Séméiologie et pcitho
torture de mille manières; elle ne mourra jamais. La deuxième n'a ' Séglas. L'hallucination dans ses rapports avec la
, loc. cit. (Annales médico-psychologiques, janvier 1889, p. 24.) ' Esctuirol. Uémoao»7anie, ch. ix, t. I, loc. cil.
me temps, elle sentie diable qui lui dit d'aller se noyer. Leuret ' rapporte des cas analogues. Cotard 2, qui rappe
plus de Dieu, lui dit le diable ; il appelle à grands cris le bour- ' Fragments psychologiques, loc. cit. ' Cotard. U
elle à grands cris le bour- ' Fragments psychologiques, loc. cit. ' Cotard. Une forme grave de mélancolie anxieuse. (
lique. 11. lllagnan, dans une observation communiquée à M. le D' ' Dupain ', rapporte un fait à peu près semblable a
11. lllagnan, dans une observation communiquée à M. le D'' Dupain ' , rapporte un fait à peu près semblable au précé-
pas capable de dire ces choses-là; moi, je vous aime. » Et d'au- ' Dupain.ThÈse Paris, p. 188. Observation LXXXVI11.
ion diabolique de la mère au fils.) Chez une malade de Griesinger ' se forme une contradic- tion intérieure entre s
. 293. 1. III, ch, w, à propos des Déutonolâtres d'Avignon, 1582. ' Syranner et Ilenricus. lii illcilleo maleficorum.
e où surviendront de nouveaux accès d'exaltation, et les paroxysmes ' indiqués par la voix éclatent à l'heure indi- q
elui de Dieu. La pensée et l'image du démon le suivaient partout. ' Jehan Boulcese, in-t". Paris, 1478. Cité par Calm
oi'eMMM des possédées de Flandre. Paris, 1623. Deux volumes iu-8. ' Calmeil. - De lct folie, l. IV., ch. u, p. u3É.
je veux veiller et publiquement se vante qu'il est mon maître '. M ' C'est littéralement la paraphase délirante de c
te étude. Conclusions. On le voit, dans le groupe des mélancolies ' Lettre au père Attichi, 3 mai 1635. REVUE D'ANA
osurie et d'autres effets moins habituels de la maladie de Basedow. ' ' On peut donc concevoir le goitre exophtalmiqu
urie et d'autres effets moins habituels de la maladie de Basedow. ' ' On peut donc concevoir le goitre exophtalmique
n jeu par une excitation perçue, l'auteur Archives, 2e série, t. V. ' 31 482 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
ppré- ciables. A. FENAYROU. LXXXIV. L'évolution DU langage CONS11) ' [iÉ'r au point de vue DI : l'aphasie; par M. P.
. Keraval. LXXXIX. Observation DE paralysie du tact ; par DUMERS. ' (z\Tettrolord. Centrulbl., XVI, 1897.) Homme de
? XVI, 1897.) Dans ce liquide (voy. iV6zi7olog. CerztrcclGl., 1896 ' ), on laisse séjourner deux à quatte jours de to
térébenthine rectifiée, 5 p., et d'alcool absolu, 100 p.; l'alcool ' Voy..lrchives cle \'eurolorie. REVUE D'ANATOMIE
existence de spasmes unilatéraux du même côté que le trauma- tisme. ' ' Peut-être le caractère tonique des convulsion
istence de spasmes unilatéraux du même côté que le trauma- tisme. ' ' Peut-être le caractère tonique des convulsions
ale est excisé au thermocautère. Le résultat fut très satisfaisant. ' Si donc l'inlervention chirurgicale dans certai
intes de feu, emplâtre de Vigo, qui ne doivent pas être négligés. D' ' F. DEVAY. XV. Considérations critiques sur l'ét
tude cli- nique et anatomique. - Bourdicaud-Dumay (Hippolyte-Pierre) ' Recherches cliniques sur les troubles de la sen
hôpitaux d'aliénés; par Wise D'ODENSBURG. (.me ? Ca; ! t./OU)'HC[0/ ' Insanily, juillet 95.) L'auteur relève d'abord
se, har Vithe, 318. - spi- nale syphilitique, par Pelletier, 508. ' Mental. Troubles de l'état - aux Antilles, pa
Chauffard, 104. Christian, 83, 135, 412. Clirist iaiii, 211. 1. ' Christopher, 228. Chaton, 261. Ciaglinski,
34 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
58 ligures dans le texte. PARIS BUREAUX DU PIfOGItÈS MÉDICAL 1 ' " r/le des Cannes, 189 : ; Vol. XXV. Janvier 1
s, quand nous avons étudié ensemble le vertige des artério-scléreux ' , nous avons dû analyser la symptomato- logie du
core pénétré, me semble, en tout cas, en relation directe avec le ' Du vertige cnrclio-vasculaire, ou vertige des arl
des arlério-scléreux. Leçons de Clinique médicale, 1891, p. 522. ' Loc. cit., p. 528. DU VERTIGE DES ATAXIQUES . 3
ni- fiant. Au contraire, les véroles qui dès le début se montrent ' Fournier. De l'ataxie locomotrice d'origine syphi
locomotrice d'origine syphilitique. Tabes spécifique, 1882, p. 6. ' Maladies du système nerveux, 1. 1, 1878, p. 329,
, 1880. 3 Pierre Marie. Leçons sur les maladies de la moelle, 1892. ' 6 CLINIQUE NERVEUSE. syphilis l'origine uniqu
he beau- coup plus mal, titube facilement, lance ses jambes d'une ' Voir Nouveau Montpellier médical, décembre 1892 e
ellier médical, décembre 1892 et janvier 1893. 8 CLINIQUE NERVEUSE. ' façon plus accentuée, et perd l'équilibre lorsq
fection est chronique par excellence, le plus souvent hérédi- 1 ' A. Trousseau. Clinique médicale de l'Ilôtel-Dieu
vue mental, elle raisonne juste; caractère doux, mais très méfiant. ' Début de la maladie. Le début de l'affection re
vre inférieure ; retirée aussitôt, le maxillaire est abaissé et amené ' en diduction vers la droite, la commissure labi
econdes.) se fait avec une vigueur et une rapidité inouïes (fig. 2) ' ; par contre ' Qu'il nous soit permis de remerc
it avec une vigueur et une rapidité inouïes (fig. 2) ' ; par contre ' Qu'il nous soit permis de remercier ici notre dis
rirons les phénomènes coprolaliques auxquels ils sont associés. - i ' . . Le nombre des mouvements est très variable.
isposition les appareils nécessaires pour ce tracé et les suivants. ' ' ' Traduction littérale : Parbleu et voilà, hé
position les appareils nécessaires pour ce tracé et les suivants. ' ' ' Traduction littérale : Parbleu et voilà, hé !
tion les appareils nécessaires pour ce tracé et les suivants. ' ' ' Traduction littérale : Parbleu et voilà, hé ! oui
non va te faire foutre; c'est ainsi. » DE LA MALADIE DES TICS. 21 ' Mais en plus de ces exclamations franchement arti
duire la moindre parcelle de tabac; puis, portant la main derrière. ' « Putain, putain de vie, salope, maquerelle. »
re. ' « Putain, putain de vie, salope, maquerelle. » « Bonjour. » ' " - De la sorte, ça va bien. » ,... . 1 . 22
le bassin. Cette comparaison donne une très bonne idée de l'acte, ' G. de la Tourette. Archives de Neurologie, vol. I
le choréique, trahissent les contorsions dont le membre est agité. ' A ces signes extérieurs s'ajoutent ceux emprumt
oite. La durée de la contraction est à peine d'un quart de seconde. ' . 32 U2 PATHOLOGIE NERVEUSE. segment de membr
rmal par notre excellent confrère, M. le Par Fort, de Car- bonne. ' ..... » .... 1 .. 1 DE LA MALADIE DES TICS. 3
nter- valles qui séparent deux contractions sont des plus variables ' ; en outre, ils persistent bien qu'atténués pend
ste pas, les contractions ne présentent ni uniformité ni cadence. ' Ti. 11. - lnscriplou eles muuvemeuts Jes musclca
ents, des paralytiques , des originaux qui figurent au nombre des ' Pour les lésions en foyer du cerveau qui, selon t
dont l'émission se produit à intervalles très irréguliers. Ainsi ' A. Pitres. - Leçons cliniques sur l'hystérie et l
° 37, p. 364, et Archives de Neurologie, vol. XXIII, n 67, p. 83. ' G. Guinon. Revue de médecine, 7° année, n° 6, p.
c engorgements glandulaires multiples et une hérédité cancéreuse. 0 ' ZD Dans aucun de ces cas, il n'était possible d
is fait d'excès alcooliques. Il n'a jamais contracté la sy- philis. ' Dès sa jeunesse, il a exercé toujours le métier
ues visibles d'atéromasie artérielle, circonstances qui prédis- t ' Debove. Apoplexie hystérique. (Bull, de li Soc. d
stic*. La paralysie faciale, pourvu qu'elle soit bornée au facial ' V. Charcot. Hémispasme glosso-labié unilatéral ch
d'une contu- L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 53 ' si.on très diffuse, on lui appliqua de la glace.
elle on note les sourcils de gauche plus élevés que ceux de droite. ' Attitude et démarche. Dans la station debout, B
ADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 59 3° L'absence de paralysie du facial ' ; 4° Le caractère contradictoire de l'hémiplégi
dans les rachialgies hystériques a été observée plusieurs fois 3 ; ' 6° Pour ce qui est de l'exagération des réflexe
6° Pour ce qui est de l'exagération des réflexes, bien que rare- ' Il ne faut pas considérer ceci comme un argument
elle peut être observée dans l'hystérie dans les membres paralysés ' ; 7° La démarche hélicopoide peut s'observer da
on, que seulement l'hystérie était la cause de tous ces phénomènes. ' La marche de la maladie a de tous points confir
s une attaque de rachialgie. Pour ce qui est du membre supérieur, ' son amélioration est plus lente, mais non moins r
la main après avoir donné une gifle à l'un de ses enfants '. Dans ' Y. Charcot. Leçons du Mardi, 1887-1888, p. 111.
., parce que l'urine filtrée manque; deuxième arrêt à 260 pour la ' Voir le n° 71, p. 178. Archives, t. XXV. 5 66
t me laisser indifférent. Elle intéresse d'ailleurs tout médecin, ' Sous ce titre · The faith-healing, La foi qui gué
érit », la Xe1V Revieiv, de Londres, a publié, dans son numéro du 1" ' décembre, un article du directeur des Archives
ntons la traduction il la Revue hebdomadaire. LA FOI QUI GUÉRIT. I ) ' le but essentiel de la médecine étant la guéris
lière, produit direct de la failli- 74 THÉRAPEUTIQUE PSYCHOLOGIQUE. ' leealing, que l'on appelle communément en théra
r pour implorer sa protection aux lieu et place de leurs clients. ' Cf. l'Asctépien tl' Athènes, d'après de récentes
ué- rison s'était opérée rapidement, et à côté du moule se trouvait ' la photographie de la jeune fille, droite sur s
t mourir pour mourir, il falloit autant qu'elle ne souffrit pas. JI ' Ajoutons que, dès 1718, la malade avait été fra
Tourette. (T. I, Paris, 1891 ; il, en prépara- lion.) Pion, édit. ' Neurolic Tumours of Ilic Greast; read bejore Vie
lorsque l'oedème produit de la gangrène cutanée, tous phénomènes ' " Comme toutes les femmes de semblable tempéramen
B. et P. Regnard, Iconogr. phot. de la Salpêtrière, 1876, 1880). ' « Il y a plus de choses dans le ciel et sur la te
alade. Là s'arrête le premier temps. . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ' 89 Deuxième temps. - Après quelques instans de
ANS SES RAPPORTS AVEC L'HÉRÉDITÉ NÉVROPATHIQUE; par le Dr CULLERRE. ' Dans une série de vingt observations, l'auteur
t., XLVIII, 4.) Les folies aiguës se présentent sous deux formes. ' 1° Désordre des idées hallucinatoire (amentia a
que, et, dans la bandelette, la partie inférieure (ventrale). P. K. ' III. Contribution A la QUESTION [des FIBRES ext
plus économiquement par les laïques que par les religieuses. (B.) ' G. Ballet. Leçon à l'hôpital Saint-Antoine. (Sema
té. Par conséquent, le traite- ment est inscrit dans l'étiologie. ' Voy. Archives de Neurologie, XXII' congrès, t. XX
Les séances durent de trois à quatre heures tous les jours. M. le D' ' ¡\IJNOR riposte que dans les cas de ce genre c'es
phie des muscles linguaux semblent confirmer cette manière de voir. ' M. le or MINOR pense qu'il est plus probable d'
des troubles bul- baires et l'hémiatrophie de la langue. M. le D' ' DARNSCHEWITSCH se basant sur l'intégrité de l'exc
rver l'existence du faisceau allant au ganglion habenulaë, que le D' ' Darkschevitsch envisage comme un faisceau de fibr
de preuves plus efficaces. Séance du 17 avril 1892. 1). M. le D' ' W.-A. MOURATOV fait une communication sur les dég
uts osseux par un os décalcifié, que proposa un Améri- cain M. le D' ' Ilienn, tout en se bornant aux défauts du crâne,
LINSKY et G. Rossolimo ont pris part à la discussion. III). M. le D' ' L. Minor communique les résultats de l'opération
é psychique. Mais le travail forcé et prolongé, amène, au contraire, ' une dépres- sion des fonctions de nutrition et
éunion DES FONCTIONS médicales ET administratives dans 150 VARIA. ' les asiles d'aliénés; par le Dr LAPOINTC. (Annale
- tions pour tout ce qui concerne l'hygiène et le fonctionnemen t ' -Voir à ce sujet, Archives de Neurologie, t. XXI,
e, avec sa colonie, et comporte 104 lits pour aliénés incurables. ' Entre l'asile de traitement et l'asile des chroni
te rivière eontiguë'1'Utiata, elle l'envoie dans. un filtre spécial, ' d'où' ella passe dans le réservoir. En arrièr
lle calholique. A droite et à gauche des bâtiments d'administration, ' division des hommes et division des femmes, d'é
édifices avec leur rez-de-chaussée surélevé et leur premier-étage. ' , Le premier édifice destiné à 100 malades du r
uré de son jardin avec sa haie' vive. Les jardins seront contigus., ' Le chauffage s'effectue- par des poëles en terr
(en tout 104 incurables) ? Un , troisième bâti- ment ,est; réservé, ' pour le rez-de-chaussée, à. des ateliers, pour le
t.les écuries. , ,, , . varia.. 153 L'asile a sa pharmacie à lui. ' ' ' , Voici maintenant les statuts de l'établis
les écuries. , ,, , . varia.. 153 L'asile a sa pharmacie à lui. ' ' ' , Voici maintenant les statuts de l'établisse
s écuries. , ,, , . varia.. 153 L'asile a sa pharmacie à lui. ' ' ' , Voici maintenant les statuts de l'établisseme
donnera le nom d'Uchtspringe qui correspond à celui de la localité. ' VARIA. 155. Voici comment sont concédés et ré
la parole. Brochure in-8° de 11 pages. Paris, 1892. Union Médicale. ' Dedichex (H.). Philippe Pinel (ln Studie). Broc
trouble, aucun stigmate. DU VERTIGE DES ATAXIQUES (Signe de ROMBEnG) ' J Par le Professeur J. GRASSET. LEÇONS CLINIQ
ence de l'occlusion des 4 Voy. Archives de Neurologie, n° 73, p. 1. ' 8 Rosenthal. Traité clinique des maladies du sy
thorst. Traité de pathologie interne, édition franc., 1889, t. III. ' rab.- Ziemssen's laanclbuclader specielleit Patho
système nerveux; trad. franc, de Labailie-Lagrave, 1879, p. 681. ' Duchenne. Eleclrisalion localisée, 3" édition, 18
st dans ce sens qu'il faut comprendre le passage suivant de Althaüs ' : : Le malade emploie ses yeux en guise de béqu
le. Il m'est impossible d'adopter sur ce point l'opinion de Vulpian ' qui dit à propos de la pathogénie du signe de -
lité est intacte. » Vulpian admet aussi cette théorie et attribue ' Vantail-, loc. cil., p. 183. ° Marie, loc. cit.
tribue ' Vantail-, loc. cil., p. 183. ° Marie, loc. cit., p. 168. ' 3 Jaccoud. Traité de Pathol. interne, t. I de l
r Erb qui se rallie encore à l'opinion classique. Quant à Eichhorst ' , il s'exprime en ces termes : « Le symptôme de
ait bien tabétique, et dans l'obscurité, ces troubles de la coor- ' Duchenne, loc. cit., p. 781. , . 186 CLINIQUE N
ifférents de ceux qui appartiennent au signe de Romberg. Duchenne ' et Lasègue 2 ont très bien analysé ces phéno- m
in degré d'angoisse et de terreur. 1 Duchenne, loc. cil., p. 786. ' Lasègue. Anesthésie et ataxie hystérique. (Arch.
nos malades. Les auteurs également le reconnaissent tous. Jaccoud ' note « le sentiment profond de terreur » des ma
uement on ne veut pas l'accepter. 1 Jaccoud, loc. cil., p. 651. ' Vanlair, loc. cil., p. 180. 3 Axenfeld, loc. ci
limitée par' un contour 200 , PATUOLOGIE NERVEUSE. parfois simple, ' parfois double ou triple, et présentent dans le
nold, Stadelmann et Nonne) dans des états pathologiques différents. ' Il est d'avis, et Kopp confirme cette manière d
ive, c'est-à-dire sans altération appréciable du système nerveux. ' Schuitxe. Ueber circonscriple Bindegewebs hgpcrpl
yo-, patine' primitive semble rentrer dans cette catégorie il est ' Brb. - Dystropliie musculaire progressive. (De2ct
(De2ctsclae Zeilschrifl für NeraezJceillcüzde, 1891, p. 13-173.) ' Babinski et Otiatioff. De la myopathie primitive
actuellement la plus admissible sur ce point délicat. M. Krosing ' 1 entrepris ses recherches sur des muscles d'em
ue s'opère l'atrophie des muscles des tétards en voie de dévelop- ' R. Krosing. Ueber die Riiclibildung und Entwic/oe
ie Metchnikoff. {Revue Scientifique, 10 sept. IS9` ? ; p. 324.) 208 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. pement. La substance contr
la nutrition exubérante du sarcoplasma. HOSPICE DE la SALPÊTRIÈRE, ' -' SERVICE DE M. CHARCOT. SERVICE OTOLOGIQUE
nutrition exubérante du sarcoplasma. HOSPICE DE la SALPÊTRIÈRE,' - ' SERVICE DE M. CHARCOT. SERVICE OTOLOGIQUE ann
'observation suivante est curieuse entre toutes à ce point de vue : ' UDSERVAT;ON CCLVIII du registre 1891-1892. (Rés
cile, aspect normal, pâleur générale des mu- queuses, règles rares. ' Le soulagement a été obtenu par le traitement g
D. V. central.' M. Bien perçue sur le crâne à droite et à gauche. : ' 1 A droite, pressions centripètes positives, D/
PAR SUCCION CHEZ UN PARALYTIQUE GENERAL'; Par le Dr Cu. VALLON, z ' Médecin de l'asile d'aliénés de Villejuif.. L
z considé- Anciuvus, L. XXV. iq Fig. 18. 226 recueil' DE faits. ' rable à la partie médiane intéressant plus de l
ourt constamment, ne peut rester en place et tourne fréquemment sur ' lui-même. Il reconnaît ses parents, mais est da
entre parfois en colère et se mord furieuse- ment le dos des mains. ' . , 1888. Juillet. Pas de modification notable
a Cristiani. (Riu. sp. cdi (J'en., t. XVIII, fasc. 1, 1892.) Le D' ' Cristiani a cherché à déterminer le mécanisme du
x, niés par Percy et Lau- rent, et que nous avions, pour notre part ' , également constatés chez les malades observés
l'organe vénérien. G. D. XXV. DE l'état sain DE L'ESPRIT ; par le D' ' 13UCRE. L'auteur se propose d'établir qu'il est
s qu'en réalité nous sommes constamment en mouvement dans l'espace. ' 2° L'esprit sain renferme au nombre de ses fonc
PSY- CHIQUES) CHEZ LES PERSONNES HYPNOTISÉES; par W. BECIITEI\EV. ' (Neurolog. Centralbl., 1892.) Recherches de F. H
a constaté pour la première fois l'existence de celte maladie, le D' ' Gerlier en a observé une dizaine de cas nouveau
lysies hystériques provoquées par la crainte DES examens ; par le D' ' KRAFFT. Histoire d'une jeune fille de treize an
ires, rupture consécutive de ces nouveaux vaisseaux et hémorrhagie. ' L'auteur pense au contraire que les apparences
x comprimés contre les apophyses transverses des vertèbres cervi- ' cales. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 271
ière du globe' de l'oeil, terminée par une atrophie partielle. Mal- ' Voy. Archives de Neurologie, session de 1891. "
11 nous paraît donc impossible de dresser une statistique fidèle ' Voy. Archives de Neurologie, Revues analytiques.
n autorité les asiles d'idiots, de même que les asiles d'aliénés '. ' Logique avec elle-même, la commission a égaleme
s fibres en question avaient dégé- néré exactement à la même place. ' M. PicK. De l'association des troubles oculaire
ale la modification apportée à la coloration myélinique de Weigert, ' Voir Archives de Neurologie, Revues analytiques.
té. Examinons maintenant le groupe des 47 aliénées ayant subi des ' Voyez Archives de Neurologie, séance de décembre
a tare dégénérative déjà signalée. Rareté de la paralysie générale. ' . - Comment faut-il assister et traiter les dél
lusieurs reprises d'un vernis à bon marché, en solution faible dans ' Voy. Revues analytiques. f - ' 296 6 THÉRAPEUTI
bon marché, en solution faible dans ' Voy. Revues analytiques. f - ' 296 6 THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE. la térébent
tractés que celui-ci. (Allg. Zeitschr. f. Psy- chiat., XLIX, 1, 2.) ' P. KKRAVAL. DU TRAITEMENT CHIRURGICAL DE L'IDIO
, XLIX, 1, 2.) ' P. KKRAVAL. DU TRAITEMENT CHIRURGICAL DE L'IDIOTIE ' 1 Nous continuons l'exposé résumé des travaux p
nt fermée, et de là, l'arrêt de développement du cerveau. M. le D' ' Broome dit qu'il croyait que l'opération n'aurait
ation ne peut réussir tant qu'on ne trouvera pas un remède. M. le D' ' BARCLAY dit que dans ce cas l'opération aurait pu
ue l'amélioration mentale s'en est suivie. M. le Dr HURT dit : le D' ' Bauduy a parfaitement établi que la dure-mère s
e croître jusqu'à ce qu'elle ait atteint son complet développement. ' M. le Dr BRUMER dit : « Cette discussion montre
amélioration, mais OU . THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE. la mère, elle, ' la vit. » Rien de plus naturel n'a été accompli d
e nerveux central ou périphérique, ou de laloneuroses spasmodiques. ' Il est difficile d'analyser un travail aussi to
général du Var, président; Dr Segalas, conseiller général du Var; D' ' Allemand (Basses-Alpes); Martin (Hautes-Alpes);
à la Ira classe à dater du 1er mars 1893 (4 février 1893); M. le D' ' ALLAMAN (concours 15 décembre 1891, Montpellier),
Pria; Alvarenga de Piarchy (Brésil) (800 fr.), 400 fr. à M. le D' ' COURMONT pour son ouvrage : Le cervelet et ses fo
- Parmi les récompenses accor. dées, nous relevons les suivantes : ' FAITS DIVERS. 313 là . Prix Monlyon (médecine
our LE traitement DES affections MEII- tales ET nerveuses. 11. le D' ' PACHOUD, ancien médecin directeur de l'asile ca
de jeûneurs doivent être considérées comme immorales et criminelles ' et devraient être défendues par la loi P. La du
aîtront tous LES mois. Le rédacteur-gérant, 1l0un : OE\'ILLE, I ? ' "PII' f.1, lltptqsrv lmp - 8p3 Vol. XXV. Mai 189
vrescon : plètes : Leçons sur les maladies du système nerveux, t. III, ' p. 299-3G9. - Cette observation a été de la p
isolément pour l'index et toujours par imitation de la main saine. ' 26. Séance d'une heure. Les mouvements de flexi
lité, mais en suggérant au sujet l'absence de ces troubles *. 1 . , ' 1 Nous parlons de monoplégie flasque sans contr
1 . , ' 1 Nous parlons de monoplégie flasque sans contracture. ' Charcot. OEuvres complètes : Leçons sur la maladi
. Souques, examiner, à la Salpêtrière, une femme atteinte d'amnésie ' manifestement hystérique et hypnotisable; nous
é- crit par M. le professeur Charcot 2. Généralement associé tan- ' f , ' L'histoire de cette malade, au point de v
t par M. le professeur Charcot 2. Généralement associé tan- ' f , ' L'histoire de cette malade, au point de vue amnés
: Essai sur l'amnésie 1'éll'o-allté- rograde. (Rev. de méd.) . 1 ' Charcot. - Leçons du mardi, t. II, juin 1889. (Pr
me. (Observation recueillie par M. Garnie, interne des hôpitaux.) ' Le nommé Cherb..., âgé de cinquante-trois ans, pe
index. Le poignet reste encore immobile. Le malade remarque qu'il ' peut mettre beaucoup plus d'énergie dans les mouv
t se développer des accès quotidiens de migraine ophthalmique qui ' Charcot,. - Leçons du mardi, 26 juin 1886. (Bulle
ns du mardi. 1887-1888. Policlinique du 10 jan- vier 1888, p. 10. ' Babinsbi. - De la migraine ophthaliiiique hystéri
chives de Neurologie, vol. XX, nov. 1890, n° 60, p. 305 et suiv.) ' Fink. - Des rapports de la migraine ophthalmique
taient stationnaires en ce qui concerne les mouvements de l'épaule. ' Ce cas est complexe, on ne saurait l'interpréte
ciées les symptômes appartenant à chacune d'elles (M. Char- cot) ' . Charcot. - Leçons du mardi, policlinique, Il
. Leçons sur les maladies du sys- tème nerveux, t. III, p. 299-3G9. ' r-G. Marie et SOUZ : 1-LGITE. Revue de médecine
ystéro-traumalique. (Archives de Ne¡¡- rl),lce, l. Xl V, 1337, p. 1; ' 7.) 356 CLINIQUE NERVEUSE. 19. Journée. Monop
roite qui occupe un plan plus antérieur que celle du côté opposé. ' La lordose lombaire que nous avions notée dans de
l'hérédité d'abord, et puis à cause du cachet spécia Fig. 16. 364 ' CLINIQUE NERVEUSE de l'atrophie qui n'a été pré
festations névrosiques, rôle sur lequel insistent plusieurs auteurs ' , et en particulier l'Ecole de Montpellier 2. No
e se montre au premier coup d'oeil est accompagnée des autres dé- ' Déjerine. Hérédité dans les maladies du système n
mme un symptôme d'hystérie ait attiré l'attention des cliniciens. ' Bouvier. Art. Rachis, du Dictionnaire encyclopédi
jours et n'exercent aucune influence sur l'at- taque successive. · ' Le malade ne peut pas indiquer la cause de sa m
is la vie quoti- dienne la montre égoïste, violente et sans pudeur. ' Elle recherche des propos obscènes, fait des ou
juin 1892.) E. B. XXXVII. Considérations sur L catalepsie; par le D' ' Hospital. Dans un article intéressant, M. le D1
ruire l'affaire ou à juger l'accusé. L'auteur a eu l'occasion du le, ' juin 1891 au 30 mai 1892, d'exa- miner un grand
fut seulement le 16 novembre 1879 que M. Ball fit sa première leçon ' , c'est-à-dire plus de deux ans et demi après sa
e dire toute la vérité. Tel n'est pas, à notre avis, le devoir d'un ' Voir Progrès médical, 1879, p. 220. ' " Benjami
à notre avis, le devoir d'un ' Voir Progrès médical, 1879, p. 220. ' " Benjamin Ball. SOCIÉTÉS SAVANTES. 401 hom
et privés (avec M. Rouillard), 1889; - De 1882 à 1889, AI. Ball a ' Ce travail a été fait en partie avec des observat
e, on réunira les fragments et on recomposera le tout de la maladie ' ». Le conseil donné par Lasègue a été suivi et
r phénomène. (Aus neurologischen Centralblalt, E. 111endal, 1893, n" ' 1 et 2.) DÉFINITIONS RÉCENTES DE L'HYSTÉRIE. 42
1'... » Plus tard, M. Charcot applique les mêmes réflexions à des ' Reynolds. - Remarlcs on paralysis and others diso
l, « l'hystérie est un ensemble de maladies par représentation. » ' Moebius, op. cil., p. 1. - Moebius, op. cil., p
tation. » ' Moebius, op. cil., p. 1. - Moebius, op. cil., p. 2. ' Strumpel, op. cil., p. 8. 426 REVUE GÉNÉRALE.
- core, à notre avis, un petit fait quelconque, une sensation dé- ' Les actes inconscients et la mémoire pendant le s
ui- vante les actes ou les rêves commencés dans la précédente, il ' Autam, psycho., p. 455. = Les rêveries et les e
301. Pitres, Leçons cliniques sur l'hystérie, 1891, t. 11, p. 235. ' * Aulom. psysch., p. j2, 3 Actes inconscients
nom- breuses ne se contrôlent pas et ne se modifient pas les unes ' Automatisme psych., 1889, p. 456. Même remarque,
e qui est analogue à un somnambulisme plus ou moins rudimentaire. ' Actes inconscients et dédoublement de la personna
ance de ces idées dépend précisément de leur isolement. Les idées ' Automatisme psychologique, 1889, p. 436. Mêmes re
nomènes spycho- logiques. (Revue philosophique, 1887, t. I, 472.) ' Automatisme psychologique, 1889, p. 362. ' Ibid
que, 1887, t. I, 472.) ' Automatisme psychologique, 1889, p. 362. ' Ibid., 1889, p. 367. s Jules Janet. Hystérie et
s, quand il parvient à retrouver la conscience claire de son idée ' Jules Janet, op. cil., p. 622. s L. Laurent. De
lles de Benedikt. Nous regrettons de ne pas connaître ce travail. ' A. Pitres.- Leçons cliniques sur l'hystérie et l'
la soirée dans une maison amie, à quelques kilomètres de l'habi- ' Qu'il nous soit permis d'adresser ici nos remerci
ur en dire les derniers couplets. Enfin, il franchit le seuil de la ' porte, monte à sa chambre, se couche. Il était au
, au point que l'oreille les saisit difficilement. Mais il convient ' Le terme cri-cri employé par le malade pour quali
est déclarée à cinquante-trois ans, à la suite de chagrins, d'une ' émotion vive; son début a été marqué par des doul
récisse- ment concentrique du champ visuel =, la dyschromatopsie, ' Le réflexe massétérin aurait été seulement consta
rnier cas était accompagné d'hallucinations d'ordre mélanco- lique. ' R.M.-C. LXXIV. Une observation DE manie POST-ÉC
s des médecins-directeurs, ils seront organisés comme ces derniers. ' 2° L'Etat seul, c'est-à-dire l'administration p
ïa, c'est-à-dire réserver le mot paranoïa pour une forme clinique ' Voy. Archives de Neurologie, séance de 1891. SO
idées morbides. En un mot, c'est un pseudoparanoïa. , Discussion : ' M. 6tiRicii. Que serait-il advenu du malade s'i
par von S.-E. HENSCHEN. (Upsala, 1892. Deuxième volume, 232 pages ' in-4°, avec 20 planches et 6 cartes.) Voilà déj
abordera aussi la question des centres visuels supérieurs. ...... . ' . E.-A. HOMES. ? Nous venons de recevoir le premi
mis à faire valoir ses droits à la retraite. 24 mai 4893. - M. le D' ' ! \IARTI : '<II' : NQ, médecin en chef de l'
se communiquait à tout le pavillon d'une longueur de cent' mètres. ' L'alarme fut donnée et une foule nombreuse acco
ulsives et affaiblisse- ment intellectuel, par Francotte, 4 : 57. ' Obsession avec conscience, par Ber- bez, 253.
nterne hémorrhagique, par Wi- glesworth, 267; par Whitcombe. 260. ' 1'.%IESTII,Slr des extrémités, par La- quer,
ns consécutives du central, par Darkchévitch et Fik- lionof, 471. ' - Tares dorsal, par Dinlcler, 274. T IX.\TOPH
26î, 356. Smiller, 95. Salzo, 92. Savane,461. Schaffer, 106. ' Schlesinger, 269. Schoenthal, 124. Schnetz,
. Thomsen, 284. Tigg-es, 103. Toulouse, 272 'l'repinski, 289. ' Tultoll¡e, 297. Tulle, 468. Turner, 461.
35 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
A TOURETTE, GOMBAULT, GIIASSET, JOIFItOY (A.), KERAVAL (P.), LANDOZ) ' , MAGNAN, MARIE, MIEIIZEJEWSKY, MUSGHAYE-C.LAY,
troubles du langage et de la parole chez les hystériques avaient ' G. Ballet. Du bégaiement hystérique, in Bulletins
res parlaient aussi d'aphasie, mais nulle part on ne trouvait une ' analyse symptomatique attentive de tous ces désor
faiblesse très accusée des deux membres droits, particulièrement ' de l'inférieur. La parcsie de ce dernier entraîne
térie, qu'il est une manifesta- tion hystérique. Archives, L. XX. ' . 2 18 PATHOLOGIE NERVEUSE. Cela ressort nett
out de cinq mi- nutes environ le malade constata une parésie très ' : 20 PATHOLOGIE NERVEUSE. marquée de son bras e
s syllabes, « tandis qu'il en allonge au contraire, outre mesure, ' certaines autres. » Nous' ne reviendrons pas ic
leçons de M. Charcot. Loc. cit. maladie DES TICS ET tremblement. ' 27 -j rappelle par ses caractères ceux qu'on dé
otilité de la langue (parésie, déviation spasmodique, tremblement). ' CLINIQUE NERVEUSE LEÇONS SUR UN CAS DE MALADI
1SS0, et article Parali/sie du Dictionnaire encyclopédique, p. 560. ' 30 clinique NERVEUSE. marche par exemple ; pa
« Se- cousses singulières, souvent symétriques, ordinairement non ' Leçons sur un cas d'hyslerie mâle avec astasie-ab
ndent nullement, sous certains rapports, à la définition que nous ' avons donnée des tics dès les premières lignes de
est moi, monsieur qui suis heureux d'avoir pu vous être agréable. » ' Voilà une scène de pure fantaisie, mais de prof
onne à notre cas, comme il ceux de Küssuer et Brosin, d'Achard et ' Sur un cas de myélile aiguë diffuse... (Archives
- T. 90, pl. IV, fig, 86 et 10. 52 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Guinon ' , un caractère spécial, c'est l'abondance de ces
myélite diffuse ou myélite syphilitique secondaire, dit Lancereaux ' , ne repose que sur un petit nombre de faits et
quence d'une chute dans le foyer de sa chambre pendant une attaque. ' 2 février. Huit jours après son arrivée, le mal
une opinion. - Il me semble plus exact d'admettre que chez 62 Ruz) ' RECUEIL DE FAITS. L... l'épilepsie a amené prog
d'un état convulsif par un autre état convulsif tout différent ? : ' Les théories de physiologie pathologique du tét
é de préparation. Peu de temps après, Kunckel le retira de l'urine, ' , mais il ne put être extrait en grande quantité
paroxys- tiques d'hémicpphalée fronto-occipitalc et oculaire. P. K. ' ' 74 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XIII. CONT
roxys- tiques d'hémicpphalée fronto-occipitalc et oculaire. P. K. ' ' 74 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XIII. CONTRI
sujets empoisonnés que chez les individus conservés comme témoins. ' P. K. XVI. Contribution A la théorie DE l'hypno
ivement et ne sont pas encore terminés au moment de l'accouchement. ' P. K. XXVI. Contribution A la perception unilat
ITES SOUS LE NOM DE 1',\CdnnNINGITE) chez les aliénés; par Joseph \\ ' IGLESWOItTiI. (Tite Juu1'nul ut ¡JI cntat Science
L'auteur résume dans les termes suivants les points les plus 108 ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. saillants de cette
) Le stade terminal du coït a chez certains individus une ressem- ' ;lance marquée avec une attaque d'épilepsie. Les e
. J. Voisin, propose aux candidats pour le prix Belhomme le sujet ' suivant : De la vision chez les idiots et les imb
chroniques. La culture se développa si bien qu'en 1879 la colonie ' Voir Archives de Neurologie. Hevups Analytiques.
, JSchuchardt. Kahlbaum, Knecht et Alüller, empêchés de se rendre ' Voyez Archives de Neurologie, .séance du 15 mars
u bacille ? (Allg. Zeilsch., f. Psych., XLVI, 5.) P. KERAVAL. 118 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS DE LA SOCIÉTÉ PSYCHI
travaux qui nous intéressent particulièrement : 1° un travail du D' ' 1'eber- ghien sur le traitement des maladies de
'\OE, avec une préface par Ch. Rictel, 1 vol. tn-12. \Iasson, 1890. ' M ? Manacéine effrayée comme bien d'autres du s
e des aliénés en Allemagne qu'il a laissée à l'époque de la Réforme ' , sans ouvrir une parenthèse sans laquelle la ps
militaire 66. Dans les populations civiles pour 100 suicides il y ' Voyez Archives de Neurologie. ' C'est le cas de
ns civiles pour 100 suicides il y ' Voyez Archives de Neurologie. ' C'est le cas de lire la Bibliothèque diabolique,
le Dr VAN CAPpELLE, ex-inspecteur général des aliénés faits DIVERS. ' 143 pour les Pays-Bas ; M. le D TARTIVEL, médec
sortes de complications de plus ou moins mauvaise nature (Lasègue). ' Ces complications ont elles-mêmes été éludiées
ur tour. Nous connaissons les divers troubles tro- .\ncmvHa, t. 1\. ' 10 , 146 PATHOLOGIE NERVEUSE. phiques consécu
ndant. Plusieurs années avant le travail de M. Landouzy, M. Bianchi ' 1 avait rapporté des cas de compression du nerf
incurable^ avec amyotrophie dégénérative, des muscles du mollet. ' Bianchi. De* paralysies traumatiques des membres
Sensibilité obtuse à la partie antérieure de la jambe, en dehors du ' ( tibia, à la face dorsale du pied. Trouble de la
uleur a occupé seulement le domaine du nerf sciatique poplité ex- ' terne. Puis une paralysie survient portant exclus
. La malade en était encore affectée trois aus après le début des ' , accidents et l'atrophie surtout, à ce moment, ét
r la lésion, mais seulement le nerf tibial antérieur. L'inté- \ . ' grité du nerf musculo-cutané, qui fournit aux p
ntérieur et les extenseurs étaient devenus absolument inexcitables. ' . Dans l'observation suivante, empruntée au mêm
tte branche ner- 'veuse est formée uniquement par le tronc lombo- ' sacré. I ! a constaté en séparant par la dissecti
Seligmüller, par exemple, dans lequel une sciatique consécutive à ' Lefebvre. - Thèse citée. 158 PATHOLOGIE NERVEUS
ans bien des cas les paralysies occupaient également à un plus ou ' Dorion. -'l'Uèse cité4. SUR UNE COMPLICATION DE
à la seconde catégorie de faits 1 fil'il"ois, Thèse citée. '1(7O ' PATHOLOGIE NERVEUSE. que nous nous sommes propo
la clinique, soit de la policlinique de M. le professeur Charcot. ' Nous remercions ici bien sincèrement notre éminen
aucune sorte en dehors de celles dont nous allons parler plus loin. ' Il était autrefois tailleur d'Ilibits; aujourd'
bier antérieur, extenseurs des orteils, a apparu il y a trois mois. ' Il existe une réaction type de dégénérescence a
rant. Pédieux à peu près normal. Jumeaux inexcitables faradiquement ' ; galvani- quement répondent à un courant fort p
ubles de la sensi- .lacmvES, t. XX. 12 - 118 PATHOLOGIE NERVEUSE. ' bilité. Ils se présentent exactement sous le mê
ble. La recherche des points douloureux, la pression des muscles, ' l'exécution des mouvements du pied et de la jambe
rcot lorsqu'il présenta ce malade dans une de ses leçons cliniques. ' Du groupement de tous ces faits que nous venons
UN CAS DE TREMBLEMENT SINGULIER DE LA TÈTE ET DES MEMBRES GAUCHES ' ; Par le professeur J. GRASSET ( de lltontpelli
ie. Durant sa jeunesse, la malade était vive et alerte, mais elle ' Voy. Arch. de Neuool., t. XX, p. 27. 188 CLINIQ
nalyse plus complète des phénomènes'permet d'écarter ce diagnostic. ' Le tremblement de la maladie de Parkinson porte
la trépidation de la main ne prête à aucune comparaison de ce genre; ' c'est un mouvement d'os- cillation verticale, e
e ces deux mouvements imprime à la tête 'des oscillations obliques. ' ...... Le tremblement des membres supérieurs es
.paralysie agitante , des mouvements de métier. Si, pendant que le ' bras est étendu et agité de tremblement, on ordon
ctères le rapprochent, au contraire; du tremblement -;sénile. · 1 , ' ' ' j " Est-ce là un diagnostic complet, un dia
ères le rapprochent, au contraire; du tremblement -;sénile. · 1 , ' ' ' j " Est-ce là un diagnostic complet, un diagn
es le rapprochent, au contraire; du tremblement -;sénile. · 1 , ' ' ' j " Est-ce là un diagnostic complet, un diagnos
tremblement sénile ? Jusqu'à ces " derniers temps,- déclare Démange, ' le tremblement sénile était 'considéré comme' e
disait Axenfeld, faisait presque partie de l'état physiologique. » ' . - ' ' Aujourd'hui, on est complètement revenu
Axenfeld, faisait presque partie de l'état physiologique. » ' . - ' ' Aujourd'hui, on est complètement revenu- de cet
enfeld, faisait presque partie de l'état physiologique. » ' . - ' ' Aujourd'hui, on est complètement revenu- de cette
dans des recherches pratiquées en 1876, à en relever que cinq cas. ' Il , , 1. . Enfin, Démange étudie avec soin la-
isons, on peut affirmer la réalité de l'hystérie chez notre malade. ' Pouvons-nous en conclure que le tremblement qu'
« Les' tremblements' de cette espèce sont constitués par de très ' petites secousses, brèves et uniformes, imprimant
'arrêtent aussitôt que les bras pendent inertes le 'long du corps.' ' j' ' . ' : En général, ils n'empêchent pas abso
tent aussitôt que les bras pendent inertes le 'long du corps.' ' j' ' . ' : En général, ils n'empêchent pas absolumen
aussitôt que les bras pendent inertes le 'long du corps.' ' j' ' . ' : En général, ils n'empêchent pas absolument l'
ce de la névrose, ne constituera- donc pas un fait exceptionnel. ,. ' ,. Si nous nous rapportons à la classification
èce, et un tremblement hystérique à forme de tremblement' sénile. ' Je ne vous- ai point parlé jusqu'à présent d'un é
par seconde) et des tremblements à fréquence minime (trois oscil- ' . i" r . , . , ' Pendant l'impression même de'c
es tremblements à fréquence minime (trois oscil- ' . i" r . , . , ' Pendant l'impression même de'ce travail Dutil pub
les tremblements hystériques (1890, n° 1 et suiv.)... , , , .. - 1 ' 304 . - CLINIQUE NERVEUSE. lations par second
. Dans la paralysie agitante, les choses paraissent aussi se' 206 ' CLINIQUE NERVEUSE.' r. passer différemment. Au
la Tourette et Cathelineau, aucuue modifica- des excréta urinaires. ' ' ' ' . Un fait vous frappera à la suite dé ce
Tourette et Cathelineau, aucuue modifica- des excréta urinaires. ' ' ' ' . Un fait vous frappera à la suite dé ce co
ourette et Cathelineau, aucuue modifica- des excréta urinaires. ' ' ' ' . Un fait vous frappera à la suite dé ce cour
rette et Cathelineau, aucuue modifica- des excréta urinaires. ' ' ' ' . Un fait vous frappera à la suite dé ce court
s et 0 gr., 60 d'acide' phos- phorique uni aux terres, c'est-à-dire ' un rapport de 2 à 1. La', seconde a révélé, sur
de 1 gr.,34, 0 gr., 814' d'acide phosphorique combiné aux alcalis, ' et 0 gr., 527 ' ( d'acide phosphorique combiné
gr., 814' d'acide phosphorique combiné aux alcalis, ' et 0 gr., 527 ' ( d'acide phosphorique combiné aux terres, ce q
apport plus faible encore'de 1,54 à 1. " La formule' de l'inversion ' des phosphates s'est trouvée' pleinement vérifi
uni aux alcalis et rend'de l'acide phospho- rique uni aux terres ? ' . i ' '1" ') il. : 1 t « 2° Le travail intellec
ux alcalis et rend'de l'acide phospho- rique uni aux terres ? ' . i ' '1" ') il. : 1 t « 2° Le travail intellectuel r
alis et rend'de l'acide phospho- rique uni aux terres ? ' . i ' '1" ' ) il. : 1 t « 2° Le travail intellectuel retenti
ccidents et l'empoisonnement par le charbon une simple coïncidence. ' ' Bourdon. - Thèse, Paris 1843. ' Brissaud. -
ents et l'empoisonnement par le charbon une simple coïncidence. ' ' Bourdon. - Thèse, Paris 1843. ' Brissaud. - Des
charbon une simple coïncidence. ' ' Bourdon. - Thèse, Paris 1843. ' Brissaud. - Des paralysies toxiques. Thèse d'agré
ies succédant à l'empoisonnement par le charbon, et nous en avons ' Lancereaux. - Leç. clin, de la Pitié. (Ballet. 31
ériode comateuse était tout à fait inerte, le pied tourné en dehors, ' l'impotence fonctionnelle de la jambe et l'inse
es 6, soit primitives, se montrant aussitôt après l'asphyxie. Les ' Knapp. Archiva. {iil'Augenheilknl'de, IX, p. 229,
pu à un segment de membre, ou répondant au trajet d'un nerf. Bourru ' a signalé une névralgie sciatique très tenace c
observe dans le membre paralysé. Ainsi, dans un cas cité par Lytten ' de paralysie du membre supérieur, il y avait un
ie du mem- bre inférieur droit, signale une rougeur gravatique de ' Lytten. - Communie, à la Société de Médec. intern
n est fait mention, d'une façon incomplète d'ailleurs, dans quel- ' Remak. Oestr. Zeitsch1' sur praklische Ileilltund
é signalée aussi bien sur un membre entier (Bour- don, Hurchzeimer) ' que sur des groupes musculaires isolés. Trop so
es cas très graves dès le début. (Observations de Bourdon, de Klebs ' , de Poelchen2); elle est due alors à des lésion
hes sur l'intoxication oxycarbonée. (Virchow Archiv,. Bd. XXXII.) ' Poelchen. - Ramollissement du cerveau après l'int
tour des noyaux, en un mot, névrite parenchymateuse au dé- but ». ' Une autre fois, Klebs a observé des lésions des
mon 2, les observations et les recherches de Klebs. La congestion ' Poelchen. - Loc. cit. et Archiv. für Pathologisch
sible les échanges gazeux. Il peut même y avoir une diminution du ' Simon. - Thèse, Paris, 1883. 228 CLINIQUE NERVE
vingt-huit ans qui après être resté plusieurs jours dans le coma ' Baur. - Un cas d'empoisonné nent par le charbon.
ie chez des sujets prédisposés. Telle est l'opi- nion de M. Charcot ' qui a récemment publié l'histoire d'un malade c
'une 1 Charcot. - Leçon clin., in Bullet. Médical, 10 avril 1880. ' Bourdon. - Loc. cit. - CHOC NERVEUX LOCAL ET HY
uisse de la paralysie hystérique 1 Groeningen. - liber den Shock. ' Ibidem. 234 RECUEIL DE FAITS. traumatique Che
sisterons pas sur ce diagnostic différentiel, le mode de distri- ' bution de l'anesthésie nous en dispense. Notre
es présentent une remarquable intolérance à l'égard des spiritueux. ' p. K XXXIV. FEUILLES détachées DE MON carnet d'
cès est réduite à trois mois et les accès disparaissent totalement. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 245 Observation
cabrant, heurter le palais et se fléchir en arrière. Pas d'autre ' annomalie qu'un certain degré d'inquiétude morale
es. P. K. VIII. DES phénomènes tendineux ; par A. DE `VATTEVILLE. ' (Cent ? f. Ndvenh : , 1886.) Le phénomène du- m
, 1886.) Le phénomène du- maxillaire inférieur (réflexe massétérin) ' est un phénomène tendineux etnonpériostique car
tendineux sont d'ailleurs des phénomènes mus- culaires directs, ca.¡ ' ]¡i7eolltraction de l'extenseur est puissante, ca
ctrisation, guérison. - L'autre, de paralysie d'ori- gine cérébrale ' : un traumatisme ayant porté sur les parties les
des fibres nerveuses qui disparaissent par bouquets. P. KERAVAL. ' Voy. Archives de Neurologie, t. X, p. 10' ; t. II
brement. 11 en est de même de l'accès d'épilepsie; il doit en cer- ' 256 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tains cas êt
kenberg, observée par Siemens et Tuczek il y a sept ans '. Des 29 ' V. Arch. Neurol., t. IV, p. 93; t. VI, p. 111; t.
procédé ensuite à l'inclusion dans le paraffine, en séries. 1'. K. ' 266 revue d'anatomie ET de physiologie patholog
.) Idiote de vingt ans (amenée le 23 mai -1857), présentant para- ' -Mémoire d'Onufrowicz. Archives de Neurologie, t.
l'obli- geance de M. Thénot, et sept autres cas empruntés l'un au D' ' llan- ning, les autres au D' Stirling. Il fait
me garde plus facilement le souvenir de certains faits récents *. ' Cette observation sera publiée in extenso dans le
es imbéciles, avec lesquels ces déments pourraient être confondus.. ' Cliniquement, il les divise en trois groupes, s
même que le délire paraîtrait celui de la paralysie générale vraie. ' M. COSTE DE LAGRAVE (de Rouen) communique un mé
e mot de Samt, On a parlé de la tuberculose dans la séance dernière ' , son processus univoque frappe beaucoup d'organ
mélancolie légère chez un jeune débile qui venait d'être condamné. ' 1 Dans notre service de Bicêtre, nous avons eu
GNE.- M. le Dr S. ToNNiNi est nommé privat-docent de psychiatrie. ' Voir pour plus amples détails sur ce concours les
se inattendue, chez des sujets primitifs, rudes, dépourvus de toute ' culture intellectuelle et différant de la maniè
trique du champ visuel. Le mutisme , après avoir persisté pendant ' Voir OEuvres complètes de M. Charcot, t. III, p.
e, diplopie monoculaire, rétrécissement bilatéral du champ visuel. - ' Les attaques convulsives et les accès de migrai
ée. Observation II. - Jeune fille âgée de seize ans. - Stigmates de ' l'hystérie : hémianesthésie sensitivo-sensoriel
gnements que donne la malade, il n'y a rien à signaler à cet égard. ' Antécédents personnels. Plusieurs maladies dans
uche, avec hémianesthésie cutanée de la région externe de la jambe. ' Enfin, après une nouvelle période de cinq jours
tingue pas le violet et le bleu du noir. Le champ visuel de l'oeil ' droit est un.peu rétréci. Il y a une diminution d
convolutions au niveau des vertèbres crâniennes (cornes cérébrales) ' 1 représentent des centres d'ordre de plus en p
n plus élevé et sont mis en communication les uns avec les autres ' La couche grise de l'intellect serait surajoutée
d. d. Arc demi-direct rattachant l'arc cérébral à la bande diagonale. ' Les arcs rachidien, cérébral et intermédiaire s
du moins, comme une émanation de la formation go- dronnée. 348 ' ANATOMIE. Substance blanche de l'espace perforé
ésence d'un grand arc à concavité postérieure. Cet arc olfac- tif ' est en continuité, par la partie moyenne de sa
x », il la rattache aussi à la charpente des fibres d'associations. ' , BROCA. - « L'origine du corps calleux où se re
té DIF- FÉRENTIELLE DU sens DE la VUE chez l'homme sain ET MALADE ' . III. Observations et faits cliniques. Avant
3 rapport entre les valeurs de deux yeux reste toujours constant. ' " Un fait intéressant est encore à noter. L'éta
diffé- rentielle au-dessus, du seuil ( ) qui correspond au 96 9b ' n° 47, tandis que le seuil de nos yeux normaux
res, qui sont aisément lisibles à une dis- tance de 33 centimètres. ' Il reste encore à expliquer un point concernant
e. - La mère est morte à l'Hôtel-Dieu d'une attaque de paralysie. ' Communication faite au Congrès de médecine mental
ions dont la plupart sont transmises au sensorium. Or, chez notre ' Archives de Neurologie, 1888. 398 CLINIQUE MENT
tes ne peuvent suppléer à la défectuosité des images kinesthétiques ' ? , Ces mêmes remarques pourraient peut-être s'
es chiffres; or ce calcul abstrait lui est absolument impossible, ' Binet et Feré. - Arcliives de physiologie, 1887,
ré. - Arcliives de physiologie, 1887, et Minet, lieu. phil. 1889. ' Maladies de la Mémoire, 1887. 3 Pierre Janet. A
sons osseux est guidée par la vision ; par suite, chez le chien de ' Système nerveux, p. 669. " ' Comptes rendus, t.
vision ; par suite, chez le chien de ' Système nerveux, p. 669. " ' Comptes rendus, t. CI ! et CIII, 1886. , ,' ' D
tème nerveux, p. 669. " ' Comptes rendus, t. CI ! et CIII, 1886. , , ' ' Die fonctionen des Centravensystènae : Zweite
nerveux, p. 669. " ' Comptes rendus, t. CI ! et CIII, 1886. , ,' ' Die fonctionen des Centravensystènae : Zweite Abt
tionen des Centravensystènae : Zweite Abteitllng, die Fische, 1888. ' , 4 Steiner. Op. cil. , \ 408 PHYSIOLOGIE PAT
fond sommeil. On les réveille facilement par un petit coup ou en ' Physiologie des Frosclegelions. (Pflllger's A l'c
rs mouvements d'après leurs impressions rétiniennes. -- Mackendrick ' pense que l'ablation d'un seul hé- misphère pro
voir plus bas). Les expériences de Blaschko 5, sous la direction ' Anatomie et physiologie du système nerveux, 1842.
uns de ces animaux les observations de Longet, que les sons écla- ' Ueberdie centalen Organe tiir das Seheauad das Hm
r valeur à ce point de vue et envisageons les faits en eux-mêmes. ' Physiologie des Gehirtts, 1887. ' Verrichtungen
sageons les faits en eux-mêmes. ' Physiologie des Gehirtts, 1887. ' Verrichtungen der G,'ooshil'ns. (Pfluger's Archiv
avec tous leurs muscles. Ils ne montraient aucun signe de plaisir; ' Op. cit., p. 134. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES.
ts des lésions cérébrales a fourni à f3rown-Séquard des arguments ' Pysiological pathology of the ISrain (Lallcel, 18
ation der Functionen in der Grosshir1l1'inde des A2enschen, 1881. - ' Reichert U. Du Bois Raymond' Archiv, 1870, heft
pas être poussée trop loin, car toutes les réactions cesseraient, ' Comptes rendus, March. 1879. * Archives de phys
détruit com- 1 Le cerveau moteur (Archives de physiologie, 1883.) ' Examen de]quelques points de la physiologie du ce
s extirpations du NERF vague; par DEES. (Neurol. Centralbl., 1888). ' Lapins chez lesquels de Gudden avait, aussitôt
embre et de ne les laisser exercer leur action qu'au moment précis. ' L'aptitude des extrémités inférieures à l'appré
it ainsi. La généralité des individus perçoit de 0 à 70 ou 90 grammes, ' mais non à 60 ; la distinction entre 200 et 250
de Carlsruhe. une analyse plus complète n'en dirait pas davantage. ' P. K. XL11L Un cas grave de pseudo-paralysie gé
êmement rare après cinquante ans, ne se voit jamais après soixante. ' P. K. LVI. Etats d'affaiblissement psychique co
olument neuf concernant la note médico-légale de la question. Enfin, ' les deux derniers cha- Ë1BL10GRAPHIE 445 pitr
tat dans un autre; pas d'automatisme; au réveil, amnésie ab- solue ( ' ? ). Le contre-expert, en la personne du Dl' Ca
lettre adressée au l3r·itsila Médical Journal, par notre ami, le D' ' Flechter Beach. « Il serait à désirer qu'on fit
collection des statistiques et par la publication des résultais. » ' B. CONCOURS D'ADMISSIBILITÉ AUX EMPLOIS DE MÉDE
s attaques VARIA. 455 dirigées contre celte. institution par le D' ' Tuke, il y six ans dans son ouvrage sur les asi
is sur sa demande à faire valoir ses droits à la retraite, est com- ' pris dans la 3° classe (arrêté du 2 octobre 1890)
ale, absence de corps cal- 1- feux Ichez un -, par Omfrovicz, 93. ' Migraine, cytisine contre la -, par Kl'oepeli
102, 103, 101, 105, 106, 107, 109. Nasse, 438. 'euentlorfl, 115. ' Nonne, 204. Omefrovicz, 93. Oppenheim, 74.
84. Si.,7au(l, 430. Sikoskv, 254. Simnn, 69, 70. Sioli, t33. ' Sriell, 113, 255, 137. Sollier, 125, 126, 127
36 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
"papille était altérée, la droite dans 12 cas, la gauche dans 5. ' Chez 9 malades nous n'avons pas trouvé de lésion
ophtahnoskopische Untersuchungen bei Geistes- kranken. l3ericht de) ' ophthali ? 2olog.Gesellschaft zil Ileidelbery.lSS
LE. Note sur l'évolution des obsessions et leur passage au délire ' ; Par le D'J. SÉGLAS, Médecin de l'hospice de
rcklin, Sommer, Schuele, Heilbronner, Mielile, Ventra, Bianchi... ' Communication au Congrès des aliénâtes et neurolo
interrogations consécutives, les doutes angoissants. Elle en arrive ' Ne pouvant rapporter ici les observations détaill
de vue quantitatif et surtout qualiatif, notablement aug- menté. ' Il n'est pas besoin d'insister pour faire compr
ien établies. Etant donné que tous les mouvements coordonnés nor- ' maux n'ont été obtenus chez l'enfant ou l'adulte
eut rétablir que la quantité et non la qualité du travail effectué. ' La possibilité des suppléances organiques est d
moins par une progression continue que par poussées successives. Or, ' ces notions sont ici de première importance. Qu
QUE. sensibilité et surtout de la sensibilité profonde. Enfin les ' localisations propres à ces différents symptômes
rien à faire avec l'immobilité pupillaire réflexe ; l'instillation ' d'une solution faible de cocaïne dilate prompteme
ont parfaitement résor- bées et n'ont donné lieu à aucun phénomène. ' Malheureusement une nouvelle hémorrhagie trop b
0.) Reproduction de l'article russe de l'0&os)titpe ! C/M'o<) ' ! t de 1899. Déjà analysé. P. KERAVAL. XI. Ré
nsuccès. Il traite ainsi des hystériques, des hystéro-neuras- 102 - ' SOCIÉTÉS SAVANTES. théniques, des neurasthéniqu
Examen de la moelle d'un malade porteur du signe 6t'A)'o ? ? o ! 'e) ' (M : . Tabes fruste. M. Henri Dufour montre les
liniques spéciaux et faits médico-légaux. Remarques thérapeutiques. ' F. B. VARIA. Asiles d'aliénés ; Concours DE l
écrivit le mot manger », il laissa l'autre sans aucune inscription. ' « Ceci fait, le premier carton fut placé sur un
Nerveat- heilkiiiide. Leipzig, 1900. - Z Ueber die darstellung de; ' Rizeke ? zi ? 2a ? ,ksystyme inil hulfe der eii
pulo-humeralreflexes. Ueber eiaz weinig bekannles faseisysten an de) ' périphérie des antero- laleralen abschnittes de
Falret. De la folie à deux (Annales médico-psycholo- giques, 1877. ' ° Régis. Folie à deux ou folie simultanée, th.,
dans le premier temps, incorporation du délire dans le deuxième. ' Marandon de Montyel. Contribution ci l'élude de l
ses rapports avec la folie communiquée (encéphale, 1882. p. 58J. ' Lehmann. Zur Casuislilz des inducirten Irreseins
ation combinée des deux codélirants (Ifev. neurol., 1893, p. 575. ' De Boeck. De la contagion de la folie (Bulletin d
énés (cas d'infec- tion musicale). (liev. neurol., 1902, p. 106). ' 1'réel. Maladies mentales familiales (Soc. niécl.
Moutier. Contagion de la neurasthénie (Rev. neurol., 1900, p. 776). ' R. Dewey. Remarques sur la contagion mentale et l
folie et dégénérescence (American Journ. of 171saîzily, oct. 1S99). ' Recliterew, Rôle de la suggestion dans la vie pub
s conditions d'après lesquelles un esprit peut agir sur un autre. ' illacoy. De la folie communiquée ou du délire à d
lequel on vit, les idées et les faits à accepter ou à rejetter. . ' Tarde. Loc. cil. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES FOL
' Tarde. Loc. cil. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES FOLIES PAR CONTAGION. ' ! 37 Il en est de même au point de vue morbide,
lie simultanée, type Régis ; la folie communiquée, type Marandon. ' Sérieux et Capgras. ? M/. méd. -psychol., mai-jui
Antécédents héréditaires. Son père, alcoolique avéré est mort de ' Cette observation, qui a été le point de départ d
mois d'août, moment où le délire du sujet passif est entré dans lu ' CLINIQUE MENTALE. une phase active, que le suje
puis menace d'y mettre le feu si les persécutions ne cessent pas. » ' Jusqu'au mois de décembre, l'état morbide ne fa
nt de vue médico-légal, considérés comme absolument irresponsables. ' Dans les folies simultanées et communiquées, la
donnée la coïncidence fréquente de ces divers tableaux cliniques. ' Travail fait dans le Service de M. le D, )1.GNAN(
dont ces syndromes doivent être envisagés aujourd'hui en clinique. ' « L'obsession, dit M. Magnan, est un mode d'act
ns de sensations voluptueuses que l'onanisme exercé à sa manière. ' Toujours à la.même époque, elle était devenue plu
raconte très nettement lous ces incidents. Du côté physique, elle ' DES OBSESSIONS ET IMPULSIONS. 173 présente des
avant-bras ; traumatisme suivi aussitôt de la paralysie de la main. ' 1H. Un cas d'ostéite déformante de Paget avec m
de l'ivrognerie; par Joseph Collins. (77teV<;KTor/te : cc[JoM ? ' ? ! (, 4 mai 1901.) Exposé très concis, mais
elles sont absolument indiquées : d'abord dans ceux où il est éta- ' REVUE DE médecine légale. 193, bli que l'indivi
rs. Le sujet dont il s'agit ici devrait être un gaucher rectifié. ' Trophoedème sec/mentaire acquis. MM. LA1G\GL-L.
contractilité électrique sont allé en s'aggravant progressivement. ' Le malade rentre en mars 1900 avec des signes i
juin 1899). - Professeur Duplay in'reste médicale, 28 juin 1899). ' Callienzis d'Athènes et Montprofit d'Angers (.tng
r des vrais délires sous le nom de faux délires post-opératoires. ' Picqué et Dagonet. r\eurasllténie posl-opéraloire
ne première communication à la Société de Chi- rurgie, l'un de nous ' avait présenté ces malades sans étiquette en se
» et c'est encore là une raison de séparer ces formes de la forme ' M. Lucien Picqué. Soc. de chirurgie, 1897, 214
été de psychoses ne peut se produire que chez les dégénérés; nous ' Faite à la Société de chirurgie, du 2 mars 1898.
trau- matisme opératoire. En attendant, il suffira au chirurgien ' Les idées morbides et les délires de persécution.
ans et il en connaît les moindres antécédents. Un oncle'maternel de ' ÉTUDE DES PSYCHOSES POST-OPÉRATOIRES. 231 la je
s espèces, elle fut couchée dans une chambre (elle avait été isolée) ' , où furent soignés trois autres malades, et aus
ut le monde lui connaît. {Journal de médecine de Bordeaux, du 1<" ' février 1903). Nous aussi, nous adressons nos p
lever chez une série de malades atteints de névralgie du trijumeau. ' II. Traitement DE la ..névralgie faciale La n
sons, alors que Bergonié n'annonçait qu'une action pallia- tive. ' Nos premières tentatives de traitement électriq
ble de savoir auquel des deux types appartient l'affection traitée. ' Sans doute les auteurs ont eu toujours soin de
agnent pas habituellement la paralysie faciale d'origine basilaire. ' L'auteur insiste sur ce fait à retenir, qu'il p
l'auteur ne reconnaissait pas d'autre cause que l'hérédo- syphilis. ' G. D. XXXI. Nouveau cas de tabès fruste chez un
XXXII. Un cas de névrose traumatique grave; par J. CROCQ. (Jozwn. ' de Neurologie, 1902, n° 10). Un homme de quaran
ileptiques, thèse de Paris, 1900). Nous relèverons les différences. ' . BOURNEVILLE. XXXIV. Névralgie paresthésique s
acial inférieur dans un cas de paralysie pseudo-bulbaire ; par le D' ' l'cRac : as. II s'agit d'un malade atteint, san
ue la paraplégie spasmodique s'est installée 288 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' pour s'amender partiellement et reparaître enfi
à ce qu'on observe quelquefois dans les psychoses polynévritiques. ' M. `'1GOUROUS.-Dans la thèse de Maurice Faure i
t les résultats thérapeutiques sont à la fois plus nombreux et plus ' stables. .M. Félix REGNAULT. Dans l'emploi de l
tomane, etc., de plus, ils sont très difficilement hypnoti- sables. ' M. Félix Regnault. Donc, si l'on'parvient à les
mme par exemple, un trouble dans l'appareil oculomoteur commun. ! ' Séance du 15 février 1902. Dr N.-P. POSTOVSKY.
nt ses cas d'après le critérium, qui lui-même est élevé de ces cas. ' Dr W. SERBSKY ne voit pas de raison d'attribuer
adjoint, 1 interne ; le personnel secondaire : 2b surveillants et ' L'asile est alimenté- par la source de Sainte-Mar
deaux et comme Président M. Bayssellance, ancien maire de Bordeaux. ' Les questions suivantes qui ferontl'objet de ra
isation de l'assistance aux valides trop âgés pour trou- 316 varia. ' ver du travail, sans l'être assez pour particip
cours. Ils devront remplir les conditions suivantes : 1° Etre Fran- ' VARIA. 317 çais et avoir satisfait à la loi de
s. Cette communication a servi de base aux décisions de la section. ' . , A. M. 318 faits divers. Une IDIOTE A l'ét
e sera faite avec les noms propres sans l'autorisation des auteurs. ' Hospice de la Salpêtrière. Maladies mentales et
es mentales et nerveuses, M. J. Voisin : jeudi à 10 heures. , , , ' On trouvera de nombreux renseignements sur cette
Physio-psychologie des religieuses; les religieuses de Port-Royal. ' (Cinquième série de cinq observations). Par l
de janvier 1662 3. » C'étaient des abcès de foie. En effet sa bio ' Jérôme Besoigne, Histoire de l'abbaye de Port-Roy
ye de Port-Royal. A Cologne aux dépens de la NIDCCLII, t. II. 20t ' Vies intéressantes et édifiantes des religieuses
este par de grands accès de fièvre, et dure une année entière ; 0 ' Vies, IL 364-7. 1 et 3 Jérôme Besoigne, I, 476.
fluence des suggestions religieuses, 1 Jérôme Besoigne, I, 476-7. ' et 3 lbid. II, 208. ', ', °, ' Vies, il, 381.
religieuses, 1 Jérôme Besoigne, I, 476-7. ' et 3 lbid. II, 208. ' , ', °, ' Vies, il, 381. 'et Vies, II, 384. 10
igieuses, 1 Jérôme Besoigne, I, 476-7. ' et 3 lbid. II, 208. ', ' , °, ' Vies, il, 381. 'et Vies, II, 384. 10 Vi
es, 1 Jérôme Besoigne, I, 476-7. ' et 3 lbid. II, 208. ', ', °, ' Vies, il, 381. 'et Vies, II, 384. 10 Vies, il
ar son intercession»8. Cela donne la mesure de sa suggestibilité. ' Jérôme Besoigne, II, 206. 5 Recueil des pièces
érôme Besoigne, il, 208. 4et 1 Ibid., II, 215. ° Vies. II, 373. ' Jérôme Besoigne, II, 215. 8 Vies, II, 368. PH
a de signer le formulaire de 1665. Bien plus, voulant multi- plie) ' les preuves de son repentir, elle fit de sa rétra
'Annonciades commémorait la légendaire annonciation de la Vierge. ' , 3, °, ' Vies, 11, 371. 1. 328 HISTOIRE ET CRIT
des commémorait la légendaire annonciation de la Vierge. ', 3, °, ' Vies, 11, 371. 1. 328 HISTOIRE ET CRITIQUE. a
ril 1684, vers 8 heures du matin, à l'âge de cinquante et un ans. ' Recueil de pièces relatives à la signature du for
ps, ordre de Cileaux. institut du Saint-Sacrement, etc., D1DCCX1XV. ' -' * Recueil de pièces, etc,, Belatioii citée,
ordre de Cileaux. institut du Saint-Sacrement, etc., D1DCCX1XV. ' - ' * Recueil de pièces, etc,, Belatioii citée, 16.
me transportoit de joie; mais la crainte de n'en pas faire un saint ' Vies intéressantes et édifiantes des religieuses
ôme Besoigne, lI, 128-9. 0 Recueil de pièces.-Relation citée. 60. ' Mémoires pour servir « l'histoire de Port-Royal e
. Pendant le trajet de Port-Royal aux Ursulines, elle dit.« trois ' Recueil de pièces. Relation citée, 3. lbid., 10
3. - ibis., 61. * Ibid., 74. '' Supplément au Nécrologe, 518. ' Recueil de pièces. Relation citée, 3. PHYSIO-PS
oit ses fréquentes larmes" » Enfin, dans la nuit du 24 au 25 jan- ' Pierre Guilbert. Mémoires historiques et chronolo
ayede Poi,I-Royal-des-Chan ? ps. A Utrecht, MDCCLVI, t. VII, 321. ' et 1 Ibid.. VII, 61-5. ' Ibid., VII, 69. 5 Su
n ? ps. A Utrecht, MDCCLVI, t. VII, 321. ' et 1 Ibid.. VII, 61-5. ' Ibid., VII, 69. 5 Supplément au Nécrologe, 347.
69. 5 Supplément au Nécrologe, 347. 8 Pierre Guilbert, VH, 60. ' et 8 Ibitl., VII, 66. 0 ibid., VII, 321. PHYS
ns des grands sentiments de piété et fut enterrée. (A suivre) . ' Supplément au Nécrologe. 347. 2 Jérôme Besoigne
3 Pierre Guilbert, VI, 188. ibis., 1'II, 64. 5lbicl., VII, 65. ' Supplément au-Nécrologe. 152. CLINIQUE-NERVEUSE
se remettre au traitement ioduré, mais cela sans aucun bénéfice. ' État actuel. La douleur se montre chez cette mala
iser en maintenant sur sa figure une immobilité absolue des traits. ' Les douleurs surviennent vers trois heures de l
oulagement, en ce qui concerne du moins l'intensité des dou- leurs. ' Il n'est resté après ce traitement que des doul
cerne les grandes douleurs. Il faut ajouter qu'en dehors des accès ' Application de tampons sur les points d'émergence
ions, qui reviennent à des périodes régulières et ne varient point. ' L.-F. ARNAUD. Deux cas de paralysie générale avec
roubles psychiques dans un cas de tumeur du lobe frontal; par les D" ' Cestan et Lejonne. Il s'agit d'une femme de tre
que cette variation dépende de distri- butions des nerfs cutanés. ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 377 4° La sensibilité même d
s de relation entre le degré de lymphocytose et la symptomatologie. ' M. Vaquez a trouvé la lymphocytose dans un cas
étaient tantôt très fréquents, tantôt plus rares. Pendant les accès, ' la malade conservait toujours sa conscience; le
remarque point ni rigidité, ni contractures. Point d'ataxie, ni de ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 387 mouvements choréiques in
significative de l'oeil gauche. L'examen du fond de l'mil par le D' ' Averbach, donna des résul- tats négatifs concer
s clair et très complet de la méthode employée dans le service du D' ' Bourneville, que termine l'exposé des méthodes
ce de M. le professeur HntssAUD (Paris. Masson et Ci0, édit. 1902). ' En publiant ce livre de plus de 600 pages sur l
que conservent toujours les liqueurs, malgré les progrès de l'age. ' Après cette entrée en matière qui d'emblée l'ai
vre dans ce chapitre l'évolution de l'étude nosographique des tics, ' Cette analyse est extraite de la Gaz. (le Nantes,
ne imperfection de l'état mental et en particulier de la volonté. ' J. inoin, Etude sur les tics chez les dégénérés,
ur qu'après une lecture sérieuse et réfléchie. 1 J. Nom. VARIA. ' Assistance des enfants idiots. La très grande m
11-8- de 1-1 pages. Journal of nervous and mental ilisease, 1903. ' Le rédacteur-gérant : f3oowFVn.c,e. Evreux, Cli
utrement dit, 1 Mendel. Leilfaden der Psychiatrie. Stuttgai 1902. ' ZIEIIEN. Psychiatrie. Zweile du/luge. Leipzig, 19
tériel de l'hôpital. La régularité des considérations sus-citées, ' Moniteur (russe) de Neuropalhologie, de Psychiatr
nées par nous sous ce rapport ; d'après nos données la tare hérédi- ' taire dans la paralysie générale est notée appr
nous avons trouvé que notre matériel n'était pas assez suffisant. ' W. Iakovexko. Les aliénés du 'gouvernement de Mos
lt; : ueber die hreud'sclze « Agstneurose » Muizch. med. Vbc/t6 ? M/ ' ) ? t. n° 13, 1895 Zun Lehre von de;' nurotische
rose » Muizch. med. Vbc/t6 ? M/') ? t. n° 13, 1895 Zun Lehre von de; ' nurotischenAngslusztuzden. illuzzch. med. Wochens
Curé qu'il lui avoit enlevé. Il lui parla en effet avec chaleur; se ' et Pierre Thomas du Fossé, `357, et 1 Ibid. 258
prit7 ». Gentien Thomas II n'en continua pas moins à vivre « dans ' Nécrologe. ' Ibicl. 24. 3 Ibid. 26. 1 Jérôm
ien Thomas II n'en continua pas moins à vivre « dans ' Nécrologe. ' Ibicl. 24. 3 Ibid. 26. 1 Jérôme Besoiône, Ilf
s du Fossé. Loc. cil, 30. * Pierre Thomas du Fossé. Loc. cil. 79. ' Ibicl. 30. I'II1 S10-PSI CHOLOGIE DES RELIGIEUS
urtout pendant l'été, se compliqua « d'une hydropisie très fâcheuse* ' », fit beau- coup souffrir la malade, s'aggrava
ée a la suite d'une longue marche. Elle avait « l'esprit naturellc- ' \'écrologecle Porl-Ifo"ul, l'il. °Pierre Thomas
ogecle Porl-Ifo"ul, l'il. °Pierre Thomas du Fossé.- Loc. cit. 79. ' lie de M. Thomas du Fossé : en tête (lèses mémoir
Thomas du Fossé. Luc. cil. 212. ` \'écrologc de Port-Ruïal, 43 1. ' Pierre Thomas du Fossé. Loc. cit,. L'7. et Ibid
à observer les jeûnes 1 Ibid, 431. Pierre Thomas du Fossé, 27. ' et* Jérôme Besoigne. Loc. cit., IV, 297. ' Jérô
e Thomas du Fossé, 27. ' et* Jérôme Besoigne. Loc. cit., IV, 297. ' Jérôme Besoigne. Loc. cit. II1, 121. 'Pierre Th
gne. Loc. cit. II1, 121. 'Pierre Thomas du Fossé, Loc. cil., 340. ' Nécrologe de Port-Roïal, 431. 1 Pierre Thomas d
loge de Port-Roïal, 431. 1 Pierre Thomas du Fossé, Loc. cit. 386. ' Ibid. 387. 11, Ibid. 386. PHYSIO-PSYCHOLOGIE
j'étois en un état de souffrances bien pénibles. Cela dura tout le ' Nécrologe de Port-Roial, 131. ' Pierre Thomas d
bien pénibles. Cela dura tout le ' Nécrologe de Port-Roial, 131. ' Pierre Thomas du Fossé. 1 Ibid. 387. Ibid. 38
Roial, 131. ' Pierre Thomas du Fossé. 1 Ibid. 387. Ibid. 383. ' "' Pierre Thomas du Fossé. Loc. cil. 98. * Mémo
al, 131. ' Pierre Thomas du Fossé. 1 Ibid. 387. Ibid. 383. ' " ' Pierre Thomas du Fossé. Loc. cil. 98. * Mémoire
voulut lui l'aire peur. N'ayant vu aucune trace que personne fut ' Pierre Thomas du Fossé. Loc. cit., 96-7. ' Ibid
trace que personne fut ' Pierre Thomas du Fossé. Loc. cit., 96-7. ' Ibid. 164. Il est remarquable que, personne ne
n effet cet avertissement comme lui venant de la part de Dieu » » ' Nicolas ronlaine. llémoires, If, 179. ' Mémoire
de la part de Dieu » » ' Nicolas ronlaine. llémoires, If, 179. ' Mémoires du sieur de Pontis, Paris, 1778 11, : m'
on donne sur la fin le feu très violent, c'est-à-dire les quatre ou ' Vie de 31. Thomas du Fossé, XVII. 9 Pierre Thom
il m'ordonna, qui étoit 1 Pierre Thomas du Fossé. Loc. cil., 2. · ' et 7&)t/. 488. 4 Ibid. 410. PHYSIO-PSYCII
s miraculeuses, eût recours « à l'intercession de plusieurs saints » ' , fit« divers pèlerinages et plusieurs neuvaines
e pro- duisaient. Le deuxième ou troisième jour du carême de 1697 ' La bétoine passait pour tonique, stimulante, céph
ion progressive et incurable dure en moyenne de deux à trois ans. ' Pierre Thomas du Fossé . Loc. cil. 506. ' Vie d
ne de deux à trois ans. ' Pierre Thomas du Fossé . Loc. cil. 506. ' Vie de M. Thomas du Fossé, en tête de ses mémoire
ans), obligé de sortir des Granges, il alla demeurer à Paris avec ' Epitaphe de Pierre Thomas du Fossé, en tète de se
ses mémoires. XXXIX. * Pierre Thomas du Fossé. Loc. cit., 104. ' Ibid. 252. 4 Pierre Thomas du Fossé. Loc. cil..
s solitaires de Port-Royal. Il était « d'une piété éclairée et uni- ' Vie de Il. Thomas du fusse, en tète de ses mémoir
mas du Fossé, XXXI. 1 Pierre Thomas du Fossé, loc. cit., 492. 432 ' HISTOIRE ET CRITIQUE. forme 1 ». Un de ses amis
e vivre avec plus de liberté dans la retraite et dans les exercices ' Nicolas du Fontaine. Loc. cit., II. 180. ' Epit
et dans les exercices ' Nicolas du Fontaine. Loc. cit., II. 180. ' Epitaphes en tête de ses mémoires, XXXIX. 3 Dic
rt- Vie (le.11. Thomas du Fossé, en tète de ses mémoires, XXXIII. ' Dictionnaire de lIoiei,i. A-1. Thomas. ' Vie de
de ses mémoires, XXXIII. ' Dictionnaire de lIoiei,i. A-1. Thomas. ' Vie de M. Thomas du Fossé, XXVIII. * Nécrologe
sep- /tem6e< dix-huitième siècles. Acte. : 11DCCLX. t. IV, 95. ' Vie de M. Thomas du Fossé, XXIII. · " Pierre Th
t. Elle naquit en 1628, et, comme son frère Pierre, mourut par le ' Pierre Thomas du Fossé. Loc. cil,, 367. PHYSIO-
quiétude de ce que j'avois fait, craignant beaucoup d'avoir offensé ' Pierre Thomas du Fossé. Loc. cit, 474. Ces mouche
al, qui rendirent la fièvre palustre endémique dans ce monastère. ' Ibid. 251. ' Ibid. 473. 'Ibid. 251. 'Recuei
nt la fièvre palustre endémique dans ce monastère. ' Ibid. 251. ' Ibid. 473. 'Ibid. 251. 'Recueil de pièces, et
choisir les religieuses de Port-Royal comme sujets d'observation. ' Recueil de pièces, etc,. Lettre citée, 5. ' Ibi
sujets d'observation. ' Recueil de pièces, etc,. Lettre citée, 5. ' Ibid. 6. 3 Pierre Thomas du Fossé. Loc. cit.. 2
ne chose miraculeuse, ainsi qu'il me l'a raconté plusieurs fois5 ». ' Nécrologe de l'ort-Roial, 175. ' Nécrologe de P
e l'a raconté plusieurs fois5 ». ' Nécrologe de l'ort-Roial, 175. ' Nécrologe de Porl-Roïal, 175. 3 Ibid. 176. '
l'ort-Roial, 175. ' Nécrologe de Porl-Roïal, 175. 3 Ibid. 176. ' Mémoires pour servir, etc.. Relation de Marguerit
e prit l'habit de novice le 8 septembre 1628 (dix-sept ans), et fit ' Nécrologie, 177. ! Ibid. 167. 3 Ibid. 418. 1
esprit pénitent et abbatu devant Dieu. Elle me parloit si admira- ;» ' blement de Dieu et de toutes les vertus chrétienn
eu même me parloit... j'avois écrit un petit recueil de ses paroles ' ». Elle resta trente ans sans écrire à sa soeur
ée de la vie de ces quatre religieuses'est' de soixante-huit ans *. ' % Une (Anne-Marie de Flècelles de Brégy) passait
e des aliénés de Marseille, promu à la iro classe du cadre. M. le D' ' ViGNouRoux, médecin en chef à l'asile de Vauctu
T, directeur de l'asile-cltuique (Ste-Anne). Officiers d'académies. ' M. CuvELtnn, directeur de l'asile d'aliénés de
s. ' M. CuvELtnn, directeur de l'asile d'aliénés de Rennes. M. le D' ' DUBOURDIEU, médecin-adjoint de l'asile d'aliéné
ecin de l'asile d'aliénésde St-Gemmes-sur-Loire (Maine-et-Loire). ' Lorsque j'établirai cette moyenne sur l'ensemble
a dégénérescence obstétricale sous les reproches que seules méri- ' Communications à l'Académie de Médecine (2 août 1
ille, dans les observations si complètes qu'il prend de ses malades ' , avait recherché si les enfants arriérés, idiots
léchir, puisqu'il ne peut s'étendre. » Ainsi s'exprime M. Pinard 1. ' On comprend que les accoucheurs, qui affirmaien
Ce fils, un véritable enfant du siège (Féré), est un dégénéré phy- ' Thèse IL Larger. Série 11. Obs. 51, 52, 5a; - p.
raiment trop légères pour qu'il en soit tenu compte pratiquement. ' Thèse H. Larger. Série 1., et Da. Obs. 127-14; p.
ans certains cas même l'occlusion peut être complète ou à peu près. ' IL 11 y a un rapport étroit entre la position d
ES. avoir son noyau d'innervation distinct dans la corne antérieure, ' d'autres (Van Gehuchten, de Neef) croient que l
cile d'établir une moyenne pour l'emploi de ces agents. Mais le D' ' Ellcins donne la statistique de sa pratique, avec
y a certains malades qui ne sauraient être soignés par des femmes, ' , mais tous ceux qui ont loyalement tenté l'expé
r modérateur; on se trouve en présence d'une véri- table obsession. ' SOCIÉTÉ DE \EUROP1'l'IIOLOGIE ET DE PSYCHIATRIE
de la société, et quelques questions ont été posées au rapporteur. ' Elude sur les obsessions morbides. Dry Pierre
ten- dance au pédantisme, abondance de phénomènes vaso-moteurs. D' ' V. Vot3oBlFr.r insiste sur l'état émotionnel mobi
ses traitées (23) pour l'iso- lement desquelles il n'a aucun local. ' * Le prix de journée est de 0 fr.9a>. 41 ali
. Le nombre restreint d'enfants qui vont en classe s'explique par ' la qualité de nos malades en grande majorité idio
ubliée par la Gaz, 971éd. de Nantes (1903, n° ·11, p. 19u), M. le D' ' Biaute, rappelant l'enquête provoquée par la Re
me on ne connaît guère que la bestialité passive avec le chien 5. ' Ch. Féré. L'instinct sexuel, évolution et dissolu
e à forme obsédante. (Arcla. de Neurologie, 1893, t.XXVI p. 383). ' Boëteau. Un cas bestialité (France médicale, 4891
masturbation par des procédés divers qui n'amenaient aucune satis- ' faction. Elle ne connaissait toujours la satisfac
Elle n'a pas échappé à la névropathie comme on le verra plus tard. ' Les obsessions de chiens qui avaient disparu pe
s droits d'aînesse c'est par son étude que nous commen- cerons. ' Voir « Extraits des comptes rendus des séances de
disparaître et qui sont iden- tiques aux accidents hystériques. » ' Voir Diagnostic différentiel de l'hémiplégie orga
hique particulier, le plus souvent comme un trouble de la volonté ' Hypnotisme et Hystérie (1891), G. Masson, édit.
i,ic avec les maladies organiques... etc. (1892) G. Masson, édit. ' Contractures organiques et hystériques (1S93), G.
' Contractures organiques et hystériques (1S93), G. Masson, édit. ' Paralysie faciale hystérique (1892), G. Masson, é
laires. Jamais l'hystérie ne fera une paralysie radiale avec con- ' servation de la contraction du long supinateur, c
ique ». L'auteur, à propos des hystéries dites toxiques ou infec- ' Cas de Charcot, ltaymond, Mathieu, Séglas, Babins
s pouvoir faire aboutir le projet, malgré de longues discussions. ' M. le professeur Grasset (de Montpellier) vient d
chambres d'examen clinique à proximité des salles de surveillance. ' Proscription des moyens de contrainte (restrâin
Installation téléphonique très complète. Eclairage électrique. ' La Faculté de médecine de Giessen compte 17 Profe
culières du premier étage sont remplacées par une chambre à 3 lits. ' Dans tous les locaux des pavillons, les parquet
Ville-Evrard possède, depuis 1897, des chambres d'examen analogues. ' 524 4 ENSEIGNEMGNT. Pavillons d'isolement. Ce
ploi de cette substance ne serait indiqué que dans les locaux 528 8 ' ENSEIGNEMENT. qui ne sont exposés ni à des soui
CLINIQUE psychiatrique DE l'université DE GIESSEN. 52U la cuisine, ' la villa du professeur, les chambres des médecins
ue, de la région postérieure du tronc et de la ceinture pel- vienne, ' d'où attitude et imptoence extraordinaires. Rappe
drome de Little » les diverses affections qui s'y rapportent. R. C. ' LXXXIX. Diplégie faciale congénitale avec paral
l'écorce semble satisfaire à cette dualité. La radiation tactile et ' le faisceau pyramidal, la radiation optique prima
aît le segment moyen situé entre les champs n° 14 (nouveau), et 34. ' Du premier sillon temporal, se développe d'abor
1898. Il ne saurait donc plus avoir de doute sur l'existence d'un ) ' [tppp0)'( de cause ci effet entre le développement
l ne saurait donc plus avoir de doute sur l'existence d'un )'[tppp0) ' ( de cause ci effet entre le développement par cas
édimn éctivant. Le lait constant, chez le médium, c'est la tendance ' la dissociation de la personnalité, c'est la désa
fonder un Institut neurologique sous le nom de A. J. Kojevnikoff. ' A. BFRNSTEIN. B. Mouravieff. S. SOUHHANOFF. SOC
es radiographies d'un enfant de cinq ans et demi actuellement aussi ' grand et aussi développé physiquement qu'un jeu
t; iibei, die Leislungen uazcl Fortschrifte attf tlem Gebreile de ? ' Neurologie zzncl Psychiatrie. L'Annuaire des tr
ar un appendice, consacré à la litté- rature italienne, oeuvre du D' ' Lugaro de Florence. On se rend aisément compte
critique toutes les fois que l'importance du travail le comportait. ' XX. Le cerveau; par les Drs TOULOUSE et L. AIar
résultats actuels. ASILES D'ALIÉNÉS. ASILES PUBLICS D'ALIÉNÉS ' ASILES PRIVÉS FAISANT FONCTIONS D'ASILES PUBLICS,
des asiles ; par Ed. Goodvll. (l3rit. nzecl. Journ., octobre 1901.) ' L'auteur propose un questionnaire spécial qu'il
(1902); a. Pcychiatrie : Catatonie et stupeur. Rapporteur 111. le D' ' CLAUS (d'Anvers), b. Neurologie : Histologie de
ie dans les maladies mentales et nerveuses. ltap- porteur : M. le D' ' Trenel (de Saint-Yon); 2° Travaux divers, démon
e ET DE BIENFAI- Sanve privée. Ce congrès aura lieu à Bordeaux du 1" ' au 7 juin (voir page 31j). ENSEIGNEMENT DES M
evue des périodiques étrangers. Livres nouveaux. Abonne- ment, du 1" ' janvier : Un an, Paris, 30 fr. ; départements et
n, '-186. Cas d' pro- gressive de la langue et de la face, par 11^ ' ^ Voods 535. 11L111'LI.GIyURS. Voir Marche de
, 177. Paiialdeiiyde. La chez les aliénés, Par (,al latia, 97. ] ' %IIILYSIE générale. L'état du fond de l'oeil che
Voir Hystérie. De la en pédagogie scolaire, par ltaf- fegau,298. ' Suicide d'adolescent, 493. Tentative de de je
ir Cécité. Surveillance des aliénés pendant la nuit, par Kay 509. ' Sympathique cervical. Résection du - pour név
de l'idée fixe. Crainte de voir tomber la tête, par Scherb, 284. ' Transmission aux descendants des lésions expé
37 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
J. Res- sayre ont également obtcnu ce certificat au mois de juin. ' Les projections à la lumière oxhydrique ont eu li
s votre mémoire des notions qui vous sont enseignées chaque jour. ' Lorsque, guéris, vous nous aurez quitté, à l'at
tout de l'élixir polybromuré de Yvon et du bromure de camphre du D' ' Clin et des médicaments antiscrofuleux ont cont
lbert Asylum for idiots (Lancaster), J. Spalldding, Trapeznikoff, D' ' J. A. Tschudnowsky. Citons encore les visites d
des leçons de choses, aux petites filles de cet établissement. t ' ' ' III. Statistique. MOUVEMENT DE la populat
es leçons de choses, aux petites filles de cet établissement. t ' ' ' III. Statistique. MOUVEMENT DE la populatio
leçons de choses, aux petites filles de cet établissement. t ' ' ' III. Statistique. MOUVEMENT DE la population.
d'un perruquier et d'un portier; total du personnel secondaire, 78. ' (1) Elle a remplacé Mm. Joliot, décédée le 24 n
1889, le gros oeuvre des trois pavillons était à peu près terminé. ' Les travaux, conduits avec un peu trop de lente
s francs, qui sera, au décès de l'un doux, constituée au survivant. ' « A la mort de l'un et de l'autre, le capital,
nnement seront annuellement comprises dans le bud- get dudit asile. ' , Durant ce temps, le procès intenté au départe
ne prononça son jugement le 7 décembre 1888. En voici- le texte : ' Le Tribunal civil de première instance de la Se
té. \ Par ces motifs, déclare les époux Baetge mal fondés en leur ' demande, les en déboute et les condamme aux dépen
gissant en qualité de légataire universelle de M. Vallée, déclare : ' 10 Qu'elle acquiesce au jugement du Tribunal ci
rat avec j\lm" veuve Regniault, aux conditions ci-dcssns indiquées. ' Tant. 2. Le Préfet de la Seine, est également a
du 4 ? janvier ISSU. 11 est bien entendu que pendant cette période, ' M. Otto Baetge continuerait à payer les loyers
il n'était pas facile d'arriver à une organisation plus économique. ' L'énumération que nous venons de donner nous su
proposition de M. le Dr Bourneville est adoptée par la Commission. ' 2° Affectation des locaux actuels à leur ancien
, consultée, adopte la proposition de la Sous-Commission. M. le D' ' Bourneville reprend la lecture de son rapport :
. Quelle catégorie d'enfants placera- t-on dans cette institution ? ' ? M.Roux.- La fondation Vallée, à Gentilly, rem
éjà sur la section des idiots confiée aux soins médicaux de M. le D' ' Bourneville. M. le Dr BounxEViLLE. Je ne fais a
r de lui faire ob- server qu'il résulte, du rapport même de M. le D' ' Douze- ville, « que le Directeur de l'Asile cli
sponsabilité de la part de l'Institution des jeunes filles idiotes. ' M. le Dr Taule. -.T ferai remarquera M. le Prés
ne autre personne. M. BAILLY. -J'ai lu dans le rapport de 1\I. le D' ' Bo t7, ? -Le- ville « que, conformément à une d
mière. M. Roux. Nous n'avons pas de suppléantes dans nos- asiles. ' M. le Dr BOURNEVILLE, - Puisque ce service sera
s promptement par la Commission de surveillance et le Conseil gêné- ' rai, et, dès que la décision aura été prise, il
'i-" lisèr1 provisoirement l'institution telle qu'elle a été léguée ' et de l'aménager de façon il y hospitaliser 40
miques'' de l'Institution seraient assurés par l'hospice de Bicêtre, ' contre remboursement d'un prix de journée égal
,. niais, qui ne seront . nommés qu'au sur et à mesure des besoins. ' Ce perspnnel seraplaçé sous votre autorité immé
n -de 2 ? ·, .20 cent, par enfant et par. journée de présence. ,- - ' . , Ces enfants ne seront jamais admises direct
l.espremienjpur ? d\1..I1lQis;prop,ba.in. lxxxvi Fondation Vallée. ' Il est urgent d'autre part que vous preniez liv
s retard ces réparations par les ateliers des enfants de Bicétre. , ' Le mobilier ainsi inventorié, sera évidemment i
e Conseil adopta l'avis sui- vant : z LXXXVin Fondation Vallée. ' Le Conseil, - Vu la lettre par laquelle M. le Pré
"été porté à un chiffre suffisant uour qu'il ne résulte de l'al- ' location de cette indemnité' aucune dépense à la
e, il a été décidé qu'en attendant la création d'un établissement ' autonome pouvant contenir 3 ou 400 jeunes filles
de Bicêtre et - moyennant le payement l'Assistance publique, par ' l'entremise du Directeur de l'Asile clinique, d'u
vaient être ! terminés pour la fin de décembre 1889 et ce n'est que ' le 1 cr mars 1890 qu'a eu lieu l'ouverture de la
ptiques, ni suicidés, ni criminels, etc, danslafamille paternelle]. ' Mère, 32 ans, fleuriste, grande, forte, mariée
leptiques, pas de sui- cidés, etc., dans la famille maternelle. ] - ' Pas de consangteinité (Père de la Manche. Mère
hagards. Il riait quelquefois et paraissait s'intéresser un peu aux ' jouets qu'on lui donnait. Il n'a pu se lever de
tte.- Il était très maladroit de ses membres, tom- - z Antécédents. ' 3 - bait fréquemment. C'est à 4 ans qu'il comme
tinc- z te. Il a toujours bavé. Il grince parfois des dents. Depuis ' ses premières années, il présente un balancemen
araissait plus maladroit de la main droite que de : la main gauche. ' L'enfant n'a jamais eu de. maladies infectieuse
ux avec ses parents. De 1888 à 1889 il a été placé-, à la campagne. ' : Etat actuel (13 juin 1889). Enfant de taille
as de cicatrices cuta- ; nées. Adénopathie cervicale assez marquée. ' ' La tête est arrondie, symétrique. Le crâne es
de cicatrices cuta- ; nées. Adénopathie cervicale assez marquée. ' ' La tête est arrondie, symétrique. Le crâne est
est; petit, régulier. L'odorat est normal. La bouche est régulière ' " et petite. Le goût est norm il. - Le menton e
insuffi- sant pour recevoir les dents nouvelles. La mâchoire ùi/'ë- ' rieure présente toutes les incisives permanente
et à lui faire reconnaî- tre une partie des objets qui l'entourent. ' IIII. Nous n'avons pas pu nous rendre compte de
demi-heure après la mort elle est de 35°,5 et de 34° à 1 heure 1/2. ' Autopsie le 8 avril 1890, 40 heures après la mo
cadavérique. Lividités cadavériques au niveau des régions déclives. ' Tête. Ecchymose violacée au niveau de la région
de la substance 1% ig. 1. , : 48 Autopsie : Sarcomes DU ceryelet. ' nerveuse avec laquelle elles ne paraissent cepe
té placé à Bicêtre (service de M. Bourneville), le 17 février 1890. ' Antécédents (Renseignements fournis par la mère
à Bicêtre {service de M, BOURNEVILLE), est décédé le 17 juin 1886. ' Renseignements fournis par sa mère (16 décembre
plis de passage unissant ces deux circonvolutions entre elles. F ' est assez nettement distincte de la 2lne à laquel
ents de dents, des grimaces de la face, des cris ou des rires, etc, ' Réflexions : hydrocéphalie. 87 V. Signalons e
ppement du cer- veau et en particulier des lobes frontaux. VII. ' Cas d'hystérie chez l'homme ; PAR BOURNEVILLE e
en avant; la bosse frontale droite est plus saillante que la gauche, ' il en est de même de la bosse pariétale : c'est
s sur sa famille dans laquelle il n'y aurait jamais eu de nerveux). ' Mère : aucun accident nerveux, sobre, morte de
lever au point de vue des antécédents.] , . Pas de consanguinité. ' 3 enfants : 1° une fille morte en nourrice à qu
e 11 et 12 ans qui n'ont jamais eu de convulsions; 3° notre malade. ' Antécédents personnels. - Pendant sa grossesse,
. 50 Juillet. Poids : 57 k. 50. Taille lm' 57. Hydrothérapie du 1" ' avril au 15 octobre. Purgatif tous les mois. 18
trouve peu après toute sa connaissance. Durée' totale : li-2 heure. ' 1er juillet. On prescrit de nouveau comme ci-de
eure après l'atta- que 37°, 8; deux heures après l'attaque, 37°, 7. ' - Guérison. 103 15 décembre. Aura : le malade
malade assure voir mieux de l'oeil gauche. Sensibilité tégumentaire ' normale. Ouïe, goût, odorat normaux. ; Zones
n arc de cercle : perte de connaissance complète. TROISIÈME PARTIE. ' Communications faites au Congrès international
aît pour cause la porencéphalie. B. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1891. 8 ' " ' " IX. . Nouvelle contribution à l'étude d
pour cause la porencéphalie. B. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1891. 8 ' " ' " IX. . Nouvelle contribution à l'étude de la
Ursachen, Inaugural Dissertation ztw Erlangung der Doctorwurde bei de) ' Medizinisclien Facilitai (le ? - 7 ! /teinisc/)
a verge était très développée, les testicules étaient assez gros... ' . Les organes génitaux d'Eder.. étaient très dé
phales, la possi- bilité de les améliorer, même très notablement. ' Observation I. SOMMAIRE. Antécédents paternels
deux mois environ avant la conception la mère a été vivement ill1- ' pressionnée par la vue toute une nuit, d'une vo
coeur sont faibles. Pas d'engorgement ganglion- naire. T. IL /il,. ' Le vomitif (sirop d'ipéca 50 gr., ipéca 1 r.j,
ituitaire également. La dure-mère ne présente rien de particulier. " ' - z128 Autopsie : cerveau. L'encéphale dans s
ulier qui délimite imparfaitement des circonvolutions peu précises. ' Face La I ! assez plissée dans sa moitié antéri
e relevé d'un certain nombre de phrases sans suite qu'il prononce : ' « Ça sent la charogne, par ici, ça sent le musc
plusieurs mois il est sage à l'atelier et com- mence à bien piquer. ' ' le* décem6re.- 1'ait peu de progrès; toujours
usieurs mois il est sage à l'atelier et com- mence à bien piquer. ' ' le* décem6re.- 1'ait peu de progrès; toujours a
qu'autrefois, il ne donne plus de coups; i Microcéphalie; SALACITÉ, ' 149 il aide à faire les corvées; il lui arrive
gé- néralement aux questions qu'on lui pose ; mais sa parole est ' [;7$j\IICIIOCliI'II : 1LI ; tète. toujours peu i
auchemars, de peurs nocturnes; pas de pyromanie, ni de kleptomanie. ' Etat actuel. 30 juin 1889. Tête ovoïde à grosse
is- sement de la moitié droite de l'occipital, surtout dans sa par- ' tie supérieure; les régions pariétales sont arr
sa partie : moyenne. - Pas de déviation de la colonne vertébrale. - ' - 5 octobre. Une demi-heure après son repas, il
ion qui répond en avant à la corne temporale du ventricule latéral. ' Il est très difficile, en se basant sur les ren
gênée, Râles muqueux abondants. Toux fréquente. Fièvre persistante. ' 8 janvier. La diarrhée a cessé presque complète
fice, de même qu'à gauche, est l'aboutissant d'une sorte d'entonnai, ' dont les parois sont fro- mées par les ci ['cOI
erficiels. Les deux pre- mières masses semblent correspondre à la 1" ' frontale. Vient ensuite une masse allongée, ovo
aire. Fat Antoine, âgé de sept ans, est entré à Bicêtre le 2t mai ' )8S5 (service de M. Bourneville), et est décédé le
une enquête mi- nutieuse, de découvrir la cause de cet accident. ' )2 Juillet. Amaigrissement léger. Bon appétit. Eru
avec le lobe orbitaire par un pli très contourné et très saillant. ' La frontale ascendante est large et présente in
a santé habi- tuelle était bonne. Il a eu la rougeole à trois mois. ' Tel était son état lorsque, à de 7 ans, il fut
rt de sueur. Iiaie méningitique très marquée. Coma profond. - Mort, ' AUTOPSIE. 199 Voici le relevé des accès consi
u milieu, et distinct du lobe occipital, grâce à un profond sillon. ' ' Lobe occipital. Il est formé d'une grosse -ci
milieu, et distinct du lobe occipital, grâce à un profond sillon. ' ' Lobe occipital. Il est formé d'une grosse -circ
ale ascendante, sur laquelle elle ne s'insère due par un polit pli ; ' ¡la partie inférieure. - La /'nomtate ascendante
et Magnan ont montré dans leurs cours. (M. Bourneville fait passer ' aux membres du Congrès les photographies prises
s documents sur la question. En 1886, avec notre ami, le regretté D' ' P. Bricon, nous avons inséré dans les Archives
sont tout à fait conformes à ce que nous avons précédemment écrit. ' Dans la même session du Congrès intercolonial,
ment écrit. ' Dans la même session du Congrès intercolonial, le D' ' E.-C. Stirling, chirurgien de l'hôpital Adélaïde
sans expression ; peau sèche et rude, tendance au dou- ble menton ( ' ? ); grosseurs süs-c1w-icuhires; gonflement des
'asile par l'hospice d'Autun, parce qu'il se louchait et cherchait ¿ ' ¡ lever le ? jupes des petites filles. Poids : 4
¡ ? Í, 11f : 'J"I;" lin a ? ¡d fi" 'l'IÕ('I'¡¡;¡(JII")'ri : ) - .r : ' )1"ut11f à des selles quotidiennes. Le pouls est
l 'J (t ? ·isïl ;1C(1J) J' ? lI ? J; ? 111}1 ·o ? C)(y Iw'f) ; ' );,i ! ip ? o ! jicr ? cl'f Ji< ? )' ! ju<
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, , ? Distance, de la racine du nez 1\ l'artil : ulation ocçipito- ' . '. ) (.1 atMïdiene ? \\\'.\\\ ? ... ? f... ?
Bourneville, Bicêtre, 1890. 15 22J) Idiotie polysarcique. 4- . . ' z Membres. Circonférence du bras au niveau des
GIQUP. - .227 Les médecins, désireux d'étudier l'idiotie myxoedé- ' mateuse et de vérifier l'exactitude dela.descript
pour 1889 (p. 100-112,), nous croyons inutile de le réimpri- mer. ' 1 EXPLICATION DES PLANCHES. 230 Explication
1, p. 120). Il PL. ni Procédé G. PiUWBL-1, A. 3LUnt & CI. : ; ' 'l-.ilé. l'ari. 236 Explication DES planches.
). La figure 1 le montre en gâteux. 244 Explication DES planches. ' 1 Planche VIII. Microcéphalie : observation de
38 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
nt sur le fond de l'oeil. Discours V, pp. 128-129. Paris, 1902. 4 ' TCHIRIEV dit dans le Discours V de son oeuvre L
ieu de ces concavités, et est proprement le siège du sens commun. » ' Ainsi déjà Descartes dans la première moitié du
chez des chats l'hypophyse et ne constataient point de changements. ' Le Dr Sakowitsch (1) lésait le tuber cinereum,
erscheinungen, keine Sensil)ilittitssii51,un(yen bestehen, etc. » . ' Pli. Zenner (3) nous communique un cas d'une tu
léser le fornix du côté droit opposé, ainsi que ses embranchements. ' Après que l'animal eut perdu connaissance et ap
animal prêtait attention à des sons quelconques et à des images xxi ' 2 1 8 . TCHIRIEV optiques, il réagissait avec
es pieds, il LE SIÈGE DES PROCESSUS CONSCIE\TS CHEZ LES ANIMAUX ? r ' (TJr4 - k lk < ? LE SIÈGE DES PROCESSUS PS
de tout ce que j'ai expliqué plus haut, consistent en ce qui suit : ' Toutes les fonctions psychiques des animaux et
16. I. Cerveau d'un lapin, divisé en sections horizontales séparées ' prises d'en haut. X. Lésion par la pointe de l'
oite, section gauche supérieure X.) 1. Fornix. 2. Nucl. caudatus. ' 3. Nucl. lentiformis. 4. Thalamus opt. 5. C
London, 1856 (cité par BouctiAhD, Arch. de mëd., 1856, II, p. 216). ' (3) BOUCHARD, Des dégénérations secondaires de
cu de cette théorie de Bouchard,montra par ses expériences célèbres, ' que si on serre un membre contracturé à sa raci
Où sont localisés ces mouvements ? où est leur siège de production ? ' Hitzig et Fritch ont montré par l'extirpalion d
ns (1) Von D'En. EIITZIG, Ueber die Anffasiung einiger Annmalien de, ' Muskelilll1e¡ j vation. Archiv fiir Psychiatrie
llemand par J. L. Jouaow, 2, éd., t. Il, p. 86. Cité d'après Camus. ' (2) VULPIAN, Article Moelle. Dictionnaire Decha
des réflexes el la contracture. Journ. de neurologie, 1897. xxi 3 ' 34 N01CA le faisceau en virgule de Schultze e
ules motrices médullaires, comme dans la théorie de Charcot-Bouchard- ' Vulpian-Brissaud ; seulement tandis que pour ce
sure de Sylvius on constate l'absence presque totale de l'in- sula. ' . Il n'existe à la place que devraient occuper
sidérable de volume de la substance blanche, on constate (fig. 7) : ' 1° Qu'il n'y a pas dans le pied de la couronne
oscopiques sériées pour éviter d'en tirer des conclusions erronées. ' Dans la seconde observation le centre cortical
lieu d'avril 1907 surviennent de vives douleurs au 5e doigt gauche. ' L'évolution de cette maladie a été une succession
main gauche, les deux doigts les plus atteints sont les 3e et 4°. ' Main gauche. Les douleurs sont intenses, spontané
sie au niveau de l'ul- cération. Ces lésions datent de cinq mois. - ' 60 RAYMOND ET GOUGEROT Auriculaire. Ce doigt
ome et artériosclérose, ne nous échappent-elles pas le plus souvent ? ' ! Par sa lésion anatomique (l'artérite chroniqu
our des douleurs et un oedème de la main et de l'avant-bras droits. ' Ses antécédents éloignés n'offrent pas grand in
trémité supérieure du péroné à la pointe de la malléole ex- terne). ' La circonférence du membre n'est pas la même le
y a un petit noevus fileux ;'1 la face interne de la curie gauche. ' La jambe saine n'a pas de varices et pas trace
iderano per lo più gli indizî che si ricavano dal modo di vestire ' degli alienati e dal loro abbigliamento, come i
Trad. di 1 ? Amaldi e B. Manzoni. Socf edit. libr. Milano, 19U ? , ' . (2) G. VmcwNnr; Atlas-manuel de Psychiatrie.
se, par Itoubinovitsch, Paris,.libr. J. B. Baillière et Fils, 1904. ' (3) E. Zanzi, 1'I'atlalo dette malattre meniali
aniaque-dépressive, J. B. Baillière et Fils, éditeurs, Paris, 1907. ' Nouvelle Iconographie DE la SALPE'IRIEItE. T.
qu'il en soit, cela est commode pour l'exposition de l'argument. ' L'ornementation du vêtement est. avant tout, en r
le mouvement prompt et vigoureux, la dignité personnelle haute, et ' sereine. Et au delà, bien avant qu'apparaissent l
s prodromes d'une forme de démence précoce. Et cette nervosité de c ' . (1) Archives de Neurologie, août 1907, p. 138
lades d'esprit, adultes et même âgés, ont l'habitude de se préparer ' (fig. 16-17). La malade de la figure 11 porte su
la série des- spas- mes glosso-labiés si bien étudiés par Charcot. ' Quelques.mois plus tard, le Dr Pol Gosset, dans
pement exagéré du corps pituitaireà l'intérieur de la boite crâ- 92 ' JEAN HEITZ nienne. A vrai dire, la céphalée, ch
on médiane du crâne dysostosique d'Helsingfors (demi-grandeur). 100 ' HULTKRANTZ trous ovales et épineux et des canau
es autres cavités aérifères de ces crânes étaient très petites (2). ' La face a, dans la dysostosecléidocrânienne, des
simples indiquent l'hyperesthésie, les croisées l'anesthésie totale. ' * 120 LAIGNEL- LAVAST1NE mollissement par a
ré d'inflamma- mation et de symphyse scléreuse méningo-radiculaire. ' La mort survint 6 mois plus tard. L'autopsie,
gauches adhèrent au noyau fibreux principal long de 2 centimètres. ' Cette symphyse méningo-radiculaire, après séjou
. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRI1RE. 1 : lCxr : -Pr.xxr 1 ' SYNDROME D'HL\IIOUEUE DE CHEVAL PAR MENINGO-MYELI
te de la préparation que les faisceaux de fibres, cerclés de sclérose, ' Fis. 4. Symphyse mëniogo-radicutaire droite. On
ines droites de la queue de cheval engainées par la sclérose, 122 ' LAIGNEL-LAVASTINE " n'ont plus de gaines myélin
des fibres sensitives des deux premières racines lombaires gauches. ' 124 LA1GNEL-LAVASTIN1; lez Enfin l'aire de gr
ons postérieurs, consécutives aux lésions des racines postérieures. ' Le dessin net de la zone marginale de Westphal,
a continuité de ces formations éta- blit leur communauté d'origine. ' Particulièrement la diminution de la zone cornu
s encore dans les zones les plus périphériques de leur protoplasme. ' Ces mêmes faits on les rencontre à n'importe qu
fibres. Les nerfs iltramus- culaires ont perdu toutes leurs fibres. ' Vaisseau : Les artères intra-musculaires présen
rrait donc venir à l'appui des re- cherches expérimentales de Hamac) ' (1898) qui observa que les manifes- tations dég
gie u. palholog. Anatomie des Zentral- nervensystems, S. 234, 1898. ' 56. Tiiii.311eii (il ! .). - Ueber Ruckenmarksd
04. 84. Steinert. Millheilungen über die Polyneurilis bei 7'M&e) ' /cM/o.;e ? t. Miinchencr mediz. Woch., n° 13, 19
rès Marie, Traité de médecine l3rouardal-Gilberl, vol. VIII,, p. 458. ' xxi 11 158 NOICA chisseurs de la jambe, flé
on des mouve- ments du pied. LE MÉCANISME DE LA CONTRACTURE 15U ' Mouvements associés. Nous n'avons pas l'intenti
out si on oppose de la résistance à ses mouve- ments volontaires. ' Le mécanisme de la contracture chez les spasmodiq
ne aux nouvelles situations que son esprit ne cesse point de créer. ' - Si certaines mêmes idées se maintiennent au c
Et voilà comment « Baucis devint tilleul, Philémon devint chêne ». ' Je pourrais poursuivre ainsi l'explication de t
s,d'un bel officier et de son amante, de Cécile et de Fernand, etc. ' J'ajouterai qu'en examinant certains dessins de
de suicide par pendaison et section du cou à l'aide d'un rasoir. ' Comme on le voit, jusqu'à ce moment les crises d'
stations d'art et de certains processus psychiques inter- mittents. ' Si malgré la qualité intellectuelle des sujets
izier (Haute-Marne). OEDÈME PERSISTANT HÉRÉDITAIRE . DES JAMBES ' AVEC EXACERBATIONS AIGUËS PAR W. B. HOPE et H
uent, une preuve indirecte en faveur de la théorie angioneurotique. ' Transmission par une mère indemne. Ceci est u
de des trophoedèmes. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1904. ' Sicard et LUGXEI..L I\'ASTIlOE. - Tl'ophoedéme
mographisme. Les divers objets métalliques amenés au contact du 202 ' DESPLATS membre supérieur droit ou du thorax du
p. 134. LES TROUBLES PHYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS ' PAR M. LAIGNEL-LAVASTINE, Médecin des Hôpitau
ue ceux-ci sont sous la dépendance d'une intoxication thyroïdienne. ' b) Les psychoses chez les basedowiens. , Dans
contraire, du dé- lire inquiet, mélancolique ou persécuté (Renaut). ' Mais ce n'est là que l'apparence. Au fond, fa
coïncidence. Il y a d'ailleurs des nuances dans l'interprétation. ' 'Le professeur Gilbert Ballet, cherchant la signi
uns, du myxoedème, et, les autres, du syndrome de Ba- t i, sedow. . ' La constance de ces troubles permet de dire qu'
z les dégénérés. Revue gén. de clin. et de thérap., fé- vrier 1893. ' Bauton (Jacobs). Manie rapidement mortelle dans
me. Presse méd., 23 septembre 1899. FHEUKU (H.). Die Beziehungen de) ' Schilddrüse zu den. weiblichen Geschlechtsor- g
é l'attention en 1856 sur la démarche dans l'hémiplégie hystérique. ' ..... « Je désire, dit-il, appeler particulière
arcot fondent le diagnostic différentiel entre les deux affections. ' Ce diagnostic ne pourrait-il donc être fait au
tte la salle de consul- tation en marchant tout à fait normalement. ' Ce sont ces mouvements rythmiques et absurdes à
hier un malade dont la marche ressemble tout à fait à la « valse ». ' Lorsqu'on est habitué à observer la démarche da
he simulant la coxalgie. P.1GET. - Leçons de clinique chirurgicale. ' OppENHEU ! . Ti-aitato delle nznlallie nervose.
que chirurgicale. ' OppENHEU ! . Ti-aitato delle nznlallie nervose. ' GOWERS. - 1 d. ALLDUTT. Id. BnissAun. Spasm
erre Veriguine, que les Douchoboris disaient avoir été son amant. ' La loi sur le service militaire obligatoire fit r
réduction des fractures des mem- bres, les suivantes aux luxations. ' La PI. XXXIX représente un procédé de réduction
nt de P... Cependant depuis lors xxi 1 17 250 SÉGLAS ET STROEHL1N ' il ne cessa de se croire lésé dans ses intérêts
nferme ; il défend qu'on y entre et si on insiste, devient violent. ' Quelque temps après, il sort à nouveau dans la
les persistent en dehors de tout retentissement sur l'état général. ' Le 20. - Les douleurs se sont étendues aux memb
si le 8 mai entre-t-il à l'Hôtel-Dieu, salle Saint-Charles, lit n° 1. ' , ' C'est un homme de 1 m. 81, du poids de 90 ki
le 8 mai entre-t-il à l'Hôtel-Dieu, salle Saint-Charles, lit n° 1. ', ' C'est un homme de 1 m. 81, du poids de 90 kilog
t lisse ; toute ride frontale a disparu ainsi que les plis normaux. ' Si l'on examine les yeux, on constate que les p
'mais le dex- trogyre paraît un peu moins atteint que le levogyre. ' ' Les mouvements de convergence sont de même di
mais le dex- trogyre paraît un peu moins atteint que le levogyre. ' ' Les mouvements de convergence sont de même dimi
agissent à la lumière et à la distance. Réflexe consensuel normal. - ' Ajoutons enfin que le malade se plaint que sa v
ir, fait contraste avec'le retrait apparent de la lèvre supérieure. ' ' 256 BRISSAUD ET GY L'ouverture buccale ne p
, fait contraste avec'le retrait apparent de la lèvre supérieure. ' ' 256 BRISSAUD ET GY L'ouverture buccale ne par
dans la fosse sus-épineuse gauche, mais beau- coup plus lucalisés. ' Appareil circulatoire. Aucun bruit surajouté à
ements. Cette arythmie cesse deux jours après l'entrée du malade. - ' Pouls à 80. Appareil génito-urinaire. - Les u
to-urinaire. - Les urines contiennent un léger louche albu- mineur. ' ' . De plus, depuis le début de-l'affection, le
-urinaire. - Les urines contiennent un léger louche albu- mineur. ' ' . De plus, depuis le début de-l'affection, les
n des muscles adducteurs de la cuisse du côté opposé ; P. Marie (5), ' quelques années plus tard, reprend l'étude de c
ation de l'état général ; la douleur disparut au bout de deux mois. ' z Aucun antécédent héréditaire connu ; comme ma
ant lui. L'ankylose des épaules et des hanches est complète, et xxi ' 19 282 ODDO quand on secoue le malade par l'é
ure avec constriction thoracique, elles sont du reste peu intenses. ' La palpation de la colonne vertébrale dénote un
association pathologique très rare, développée à t'age xxi 20 298 ' ITTOIIE LEVI adulte quand le syndrome infantili
normaux et les fausses couches se suivirent dans l'ordre suivant : ' 4r° Grossesse. Accouchement normal. Enrichetta,
18 Grossesse. Fausse couche au 3e mois. - Observation I (PI. LI). ' Marguerite Ser..., âgée de 20 ans et 6 mois, née
ubère. Je ne publie pas ici in extenso l'observation clinique corres- ' pondant à cette époque, car l'ayant revue cette
doigts par la palpa- tion, elle écrit des phrases assez correctes. ' ' Si on lui raconte des histoires, elle les rép
oigts par la palpa- tion, elle écrit des phrases assez correctes. ' ' Si on lui raconte des histoires, elle les répèt
le sourit et répond que les enfants seulement croient à ces choses. ' 306 ETTORE LEVI Pudeur. Sensations sexuelles.
parce que j'ai fait mes classes sans jamais échouer à mes examens. ' Courage. - Il faut être courageuse, n'avoir jam
i beaucoup pleuré, mais j'avais tort ; à présent je ne pleure plus. ' * Plaisirs, joies. - C'est d'aller se promener,
ucoup manger de bonnes choses. Couteau. Je me suis coupée une fois. ' Examen somatique. Le crâne est très petit, même
la Va et de la Vlle paire sont indo- lents à la pression digitale. ' La peau est sur toute la figure très pâle et av
de chapelet rachilique. La peau est partout fine et élastique; 310 ' ETTORE LEVI i Les seins ne sont aucunement déve
le est très bonne, douce et affectueuse avec la soeur aveugle qu'elle ' conduit partout avec grand soin ; mais elle fai
ite et Adrienne Ser. ont été soumises, depuis le 3J 8 E1"I'ORE LEVI ' mois de janvier 1908, à un énergique traitement
santé ; bien conformée elle est de taille au-dessus de. la moyenne. ' Le patient ne sait rien nous dire sur le reste
exécutées-par M. le D' Siciliano que je tiens à remer- cier ici. - ' ' 322 ETTORE LEVI . Au niveau de tous les os
xécutées-par M. le D' Siciliano que je tiens à remer- cier ici. - ' ' 322 ETTORE LEVI . Au niveau de tous les os lo
qui ne se voit pas dans la radiographie de l'infirmière de 19 ans. ' La main de notre troisième sujet (PI. LV),le je
R : PROFESSEUR GROCCU » ENCORE SUR L'ACROMEGALIE NOTES cliniques ( ' ) PAR GIUSEPPE FRANCHINI et G. J. GIGLIOLI D
ctif; je rendrai compte aussi de certaines recherches personnelles. ' Observations. le, cas. Filippo Pierattini, âg
x travers de doigt [l'arcade costale sur la ligne hémiclaviculaire. ' II° cas (PI. LVI, B). Felindo Nardi, âgé de 37
Felindo Nardi, âgé de 37 ans, peintre en bâtiments, de Galluzzo.. " ' Antécédents héréditaires . Sa mère mourut de ca
ent, et même les tendons ont suhi des proces- sus de calcification. ' ' Quant aux autres parties du corps, les altéra
t, et même les tendons ont suhi des proces- sus de calcification. ' ' Quant aux autres parties du corps, les altérati
. Icon. de la Salpêtrière, n. 6. 1907, p. 443. (2) Fortschritle ait/ ' dem Gebiete der Rontgenstl'ahlen. Bd IX, Heft. 2,
scopique et radiographi- que de la selle turcique n'a pas été fait. ' De tout cela je conclus que l'examen radiograph
mann. Ces altérations ont été signalées par Parhon, Silva, Benda ; ' Wlaieff (2) trouva de la leucocytose et de l'éo
lade répété quelque temps après le premier, elle n'existait plus. ' . (1) Handbuck derPath. des Stoffvechsels Band,
et une rétention de Ca 0 de gr. 0,45 et de magnésie de gr. 1,29. ' IIIE cas. Malheureusement dans ce cas je ne fus p
té. (1) Berl. klin. Woch., 1903. (2) Arch. f. klin. Med., Bd. 81. ' encore SUR l'acromégalie 347 7 Il n'est pas à
juger par cet examen on a l'impression d'une synostose com- plète. ' Un autre fait important chez ce malade est la d
, 1867. (2) POMMEROLLE De la dynostose normale, Th. de Paris, 1869. ' * DEUX cas D'OXYCÉPHALIE . 355 Légère diminut
atrophie optique secondaire, diagnostiqué par la lésion papillaire. ' 3° Des signes oculaires accessoires : L'exoph
Le 3e ventricule est en effet réduit à une fente oblique (fig. 2). ' L'épaississement épendymaire est général ; c'es
xpliquer amplement l'amaurose et le rétrécissement du champ visuel. ' La tumeur, un sarcome, a pénétré comme une sort
al au lieu du tuber- cule diagnostiqué. (Voir obs. VI, n° 3, 1906.) ' Remarque commune aux deux CAS.-Les tumeurs n'ag
orte tassé et le ventricule avec lui, sous la poussée du néoplasme. ' Nous nous trouvons donc en présence du fait rem
us diffuses quoique moins bien étudiées de la substance blanche ? : ' Travail intellectuel estsynonyme d'association
cident dans la nature, une production naturelle. 374 L. LEFÈVRE ' Le langage fausse le jugement et la tradition fai
En vertu de la propriété d'inertie de la matière, même de la matière ' vivante dont le mouvement est, non pas spontané
ue re sonl elles précisément qui ont déterminé et qui .\\( 23 378 ' L. LEFÈVRE maintiennent son équilibre actuel ;
st le caractère blâmable, nuisible ou néfaste de 380 . t. LEFÈVRE . ' certaines manifestations naturelles et aussi, p
te vie Qui font maint homme deshaicté ; Le second livre parlera ' D'homme qui au monde s'amord ; - Le tiers la fi
ècle. Jacques de Besan- 4,on, Paris, Il, Champion, 1892, in 8°, pl. ' UN ACCOUCHEMENT AU COMMENCEMENT DU XVIe SIÈCLE
ent normaux, sans fausses-couches ni mort-naissances antérieures. ' L'aîné est un garçon de 35 ans, bien portant, auj
moment il se confina dans sa chambre et refusa d'aller aux champs. ' ' L'attitude de Pierre, à cette époque, est dig
oment il se confina dans sa chambre et refusa d'aller aux champs. ' ' L'attitude de Pierre, à cette époque, est digne
aissa pas, chez lui, de traces apparentes d'affaiblissemenl mental. ' Quatre ans après, sans qu'il ait fait le moindr
CHEZ UN DI : MT=NT Y121 : COC> : I211G1 : : Ililtl· , ? ¡.>;t\ ' \1'\ SYNDACTYLIE ECTRODACTYLIE CL1NODACTYLIE '
Ililtl· , ? ¡.>;t\' \1'\ SYNDACTYLIE ECTRODACTYLIE CL1NODACTYLIE ' 07 un mouchoir qu'il élève rapidement à la haut
paraît impossible de la main droite vu la disposition des doicts. t ' b) Radiographie. Les extrémités du malade ont é
rt au quatrième et la disparition complète des phalanges du médius. ' Main gauche, C'est la même disposition ; mais b
irige vers les pha- langes du cinquième orteil, au nombre de trois. ' Le squelette des deux pieds présente, en résumé
'existe pas, l'éminence hypothénar est au contraire bien développée, ' ce qui tient à ce que le malade emploie son auric
écriture est suffisamment bonne. En voici un exemplaire (fig, 1.), ' Fig. 1. NOUVELLLE Iconographie DE la SALPÊTRI
t et Morisetti.) Masson & Cie, Éditeurs. Phnl(,I ? ""...1 ? l ' "- ABSENCE CONGÉNITALE BILATÉRALE DU RADIUS 413
à droite au contraire le bras peut être levé presque verticalement. ' Le reste du tronc, le cou, la tête, les membres
la tête, les membres inférieurs ne présentent rien de particulier. ' rig. 3. - Main gauche. NOUVELLE Iconographie
à gauche, les fossettes coronoïde et olécranienne sont effacées. ' Radius. - En avant et en dessus de l'extrémité in
transversalement, et semblant correspondre au semi-lu- xxi 28 418 ' APERT ET MORISETTI naire et au pyramidal fusion
phies cardio-vasculaires diffuses appartiennent les cas d'in- 422 2 ' ETTORE LEVI fantilisme du type Lorain qui sont
'infantilisme du type Lorain et des cas très démonstratifs dans 424 ' ETTORE LEVI ce sens furent publiés par Ed. Four
orain. Chez tous les infantiles les épiphyses seraient non soudées. ' Selon les vues de cet auteur l'atteinte primiti
d est moins évident que chez les infantiles myxoedémateux, mais 428 ' ETTORE LEVI il est néanmoins évident chez des i
aucun de ces individus il y eût de symptômes de dys- thyroïdie. -. ' Bichon et Jn,andelize ont constaté la persistan
e bouffissure, ni des paupières, ni d'aucune autre partie du corps» ' ' 1 430 ETTORE LEVI Chez l'une comme chez l'a
bouffissure, ni des paupières, ni d'aucune autre partie du corps» ' ' 1 430 ETTORE LEVI Chez l'une comme chez l'aut
re imputables simplement au rachitisme. Nous savons par Fournie ? ' et son école combien il faut être prudent dans
ne sont jamais précoces mais au contraire toujours retardés. \XI ' - 3'J 434. - . ETTORE, LEVI h ,- . r™ » Chez
ne de l'arrêt, de développement général, mais même si cet arrêt est ' amené par la lésion d'une ou de plusieurs glandes
lles où celle empreinte fait totalement défaut à l'examen clinique. ' M. Brissaud est revenu récemment sur cette ques
ient avoir été influencées par la même cause dystrophianle commune. ' Il ne nous semble pas légitime d'admettre comme
quoique leur mécanisme intime soit encore très obs- cur pour nous. ' , L'acromégalie a été attribuée par la plus gra
compliqué des résultats non m'oins contradictoires que la clinique. ' " On a constaté expérimentalement l'hypertrophi
u après l'ablation graduelle des capsules surrénales (111arenglai). ' Lusena considère l'hypophyse comme faisant part
oces de la vie une influence analogue doit être reconnue au thymus. ' Il n'est pas douteux d'ailleurs que les glandes
lque chose d'analogue se vérifie chez les bovides : chez les taureaux ' les cartilages épiphysaires s'ossifient au cour
dans la grossesse. Aux capsules surrénales on a voulu attribuer 442 ' * J 't 1 ' ; .ETTORE ;LEVI) ? t't '1 1 'te' ' )' t
ossesse. Aux capsules surrénales on a voulu attribuer 442 '* J 't 1 ' ; .ETTORE ;LEVI) ? t't '1 1 'te' ' )' t, aussi
a voulu attribuer 442 '* J 't 1 ' ; .ETTORE ;LEVI) ? t't '1 1 'te' ' )' t, aussi des faits d'arrêt,de croissance gén
voulu attribuer 442 '* J 't 1 ' ; .ETTORE ;LEVI) ? t't '1 1 'te' ' ) ' t, aussi des faits d'arrêt,de croissance généra
a observé un syndrome d'infantilisme de Lorain chez un addisonien. ' l;tl>·017b Bramivel a décrit un infantilisme
que suffisamment contrôlé et solidement admis. 446 .. ETTORE LEVI ' De la lecture du travail de M. Halmagrand nous
éremment des infantiles du type Brissaud et de ceux du type Lorain. ' M.Gaspero reconnaît deux groupes de psycho-infa
, chute des cheveux, pauvreté de poils, dystrophies unguéales, etc. ' Une autre série de cas présente pour nous un pl
kystique de l'hypophyse apparte- nait au groupe des colestéatomes. ' Selon Nazari son observation, par l'évidente mu
re, la vivacité de notre patiente a été toujours remarquable et 458 ' ' 'ETTORE LEVI ne s'est pas altérée pendant le
, la vivacité de notre patiente a été toujours remarquable et 458 ' ' 'ETTORE LEVI ne s'est pas altérée pendant le dé
t surtout pal' FOllrnier, Bârensprung, Landoy, Heller, Hoche- singe¡ ' , Neumann, Audéoud, Haushalter, d'Asti,os, Thierry
que dans l'un des cas,hérédo-syphi- litique dans les deux autres. ' Tous les caractères cliniques que nous avons mis
ucunement à considérer comme une de ses caractéristiques cliniques. ' Sur la foi de nombreuses observations cliniques
1890 ; Soc. méd. des hôpitaux, 17 jan- vier 1896, 22 janvier 1897. ' BRECMANN et STE11OEAUS. - Tumeurs de l'hypophys
Kindesalters. Gerhardt's Handbuch der Kinderkrank. Tubingen, 1887. ' EIIDHBIM. Ueber Epillaellc8rperbefunde, bei Ost
me el l infanlilisme chez les tuberculeux, Thèse de Paris, 1871 ? , ' ' FÉeÉ. Revue de méd., 1893. Ferranini Lez In
el l infanlilisme chez les tuberculeux, Thèse de Paris, 1871 ? , ' ' FÉeÉ. Revue de méd., 1893. Ferranini Lez Infa
. int., 1899 ; Riforma medica, 1900. · Feulard. Progrès méd., 1890. ' . ' Fichera. - 8ul'l'hypel'tl'ophie de la gland
t., 1899 ; Riforma medica, 1900. · Feulard. Progrès méd., 1890. ' . ' Fichera. - 8ul'l'hypel'tl'ophie de la glande pi
cutive à la cas It-alion. Arcli. itaL'de Biologie, 1905, Bd. XLIII. ' - CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILlS;\1E DU
ties du corps. Paris, 1903. G01'ZL et Erdheim. - Zur Kasuistik de; ' trophischen Slürun,gen bei Hir·nlumorert. Zeits
9punch. med. Woch., 1897, n° 51 und Berl. klin. Woch., 1897, n» 51. ' Hendeiison. Journal of Physiol. Bd XXXI, p. 221
thyroïdismus. Munchen, 1900 I.F.L. Lehmann. , ? " 468 ETTORE LEVI ' HIRTZ. - Thèse de Paris, 1836. HocHsiNGER. -
tr., 1907, n° 1. PATON. - Journal of Physiology, vol. XXXII, p. 28. ' Peu. - Acromégalie partielle avec infantilisme.
hôpit., 1S90. ` Potnam. Aiieric. Journ. of the med. Sciences, 1898. ' RAYMOND. Le sommeil dans les tumeurs cérébrales
¡/antt- lisme. Province médicale, 23 juin 1906. 470 ETTORE LEVI - ' ' RANSCHBUaO. - Ein Fall von 1¡¡{anlilisTIlus a
antt- lisme. Province médicale, 23 juin 1906. 470 ETTORE LEVI - ' ' RANSCHBUaO. - Ein Fall von 1¡¡{anlilisTIlus auf
târ luetisclier1 Grundlage . Ref. Neurol. Centralbl., 1906, p. 621. ' 1 " Ronchetti. Un cas d'infantilisme. L'ospedal
olico. Entita clinica. Nota preventiva : Riforma medica., ag. 1897. ' ScHÔx. Zvei Faite von Infantilismus. Ref. Neuro
. Les dimensions de ces doigts sont les suivantes : 474 TH1BIERGE ' ' * façon à constituer un crochet ; en outre, l
Les dimensions de ces doigts sont les suivantes : 474 TH1BIERGE ' ' * façon à constituer un crochet ; en outre, la
ne des deux orteils a la forme de boudins ou mieux de navets. 1 b ' Au pied droit, au contraire, la base du deuxième
'exécute mal ; elle oublie une commis- sion qu'on lui dit de faire. ' Elle n'a sans doute jamais présenté d'idées de
he de la paralysie générale. Examen du SVSTÈMENERVEUXDEjNANNE B.... ' (PI. LXX). Dans les viscères, hors le foyer de
emain, il répète le pansement, et il donne le .\NI 32 482 VALOBRA ' conseil à la malade de continuer elle-même la m
hypothèses, devons-nous renoncer au diagnostic ? Je crois que non. ' En regardant les plaques de sphacèle, en songea
cutanée de la peau ayant un rapport de dépendance avec l'hystérie ? ' ? Selon les lois de la pathologie, il faudrait
te émotion, nous parlons d'une diarrhée chez un sujet basedo- wien. ' 490 ' VALOBRA - d'investigation, mais elle se
on, nous parlons d'une diarrhée chez un sujet basedo- wien. ' 490 ' VALOBRA - d'investigation, mais elle se traduit
ait pas démontré chez eux l'existence d'une hystérie latente. 494 ' VALOBRA ' . ' If » presque) chez les hystérique
montré chez eux l'existence d'une hystérie latente. 494 ' VALOBRA ' . ' If » presque) chez les hystériques, et puis
ré chez eux l'existence d'une hystérie latente. 494 ' VALOBRA ' . ' If » presque) chez les hystériques, et puisque
Paris, 1891-1895. - Traité de Aléd. de 13·ouardel-Gtlberl, p. 254. ' Ilucnnan. Traité clinique des maladies du coeur
ylactique dont l'importance sociale apparaît chaque jour davantage. ' Mais, bien que l'étude des maladies mentales, q
pour adoucir le choc à ceux qui l'entouraient de leur NYI si 514 ' HENRY 111E1(E affection. Il régla lui-même jusq
our les autres, et ne recherchant pour lui- même que la simplicité. ' Une telle simplicité ne va pas sans grandeur.1
vec dissociation syringomyélique des sensi- bilités (1 pl.), 200. ' I·'ICwcuw et Giglioli. Encore sur l'acromé- g
210. RAYMOND et ALQUIER. Mal de Pott sarcoma- teux (2 pl.), 113. ' RA1\IOD et Gougerot. Gangrène symétri- que de
du lissu dues à la présence de tumeurs) (6 pl.), par Weber, 359. ' Chirurgiens grecs (Dessins de la collection d
us d'aliments, sléréoty- pies, affaiblissement intellectuel) (2 pl.) ' par Séglas et STROEIILII<, 249. ' Démarche
lissement intellectuel) (2 pl.)' par Séglas et STROEIILII<, 249. ' Démarche (Caractères paradoxaux de la-) chez
lquier), XIX et XX. Processus psychiques conscients (TCIII- RlE\ ' ), 1 à ! II. Sculptures de Reims (HEITZ), XV.
39 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
S), FEllllrEII, GILLES DE LA TOUIOETTR, GOMBAULT, GIUSSET, JOFI'IIO\ ' (A.), 1(EItA\'AL (P.), LA : I)OUGY, IAGNAN, MAR
OUGY, IAGNAN, MARIE, MIEIIZEJI¡WSK\" 111NOR, 111liSGItAVI : -I : LA) ' , PARIS, PARINAliD, P1LI.IET, l'IEIIIIET, l'ITIIES
BlNOVITCH, W. ItOT11, SÉGLAS, SEGUIN (IS.-l : .), SOLI,1111, SOIIl\\ ' (J.), TEINTURIER (l;.), TIIULIK (II.), TIIOI<
, Paris, 1865, p. 211.) C'est Schlager, de Vienne, (Zeitsch2,ift de) ' Gesellsch. de}' Wiener Aerzte, VIII, p. 454), q
211.) C'est Schlager, de Vienne, (Zeitsch2,ift de)' Gesellsch. de} ' Wiener Aerzte, VIII, p. 454), qui, le premier,
a faux ? Je n'ai malheureusement pas étudié à ce point de vue les ' Je ne parle pas des esquilles qui ont pu se détac
de moins que celle du centre cortical de la vision. Après Tamburini ' et Verga, Luciani et Seppilli ont rapelé commen
o Lombardo di scienze, littere ed arti. Milano, 1856, V, 375-390. ' Cf. Gudden. Recherches expérimentales sur la croi
s cérébrales, comme Munk lui-même au début, du moins quant au chien ' , Panizza n'admettait pas la décussation partiel
ez l'homme même, « opinion, écrivait-il, qui rend facilement rai- ' Munk. Ueber die Functionen der G,'osshiI'111'inde
les singes, mais aussi chez le chien, la LÈS FONCTIONS DU CERVEAU. ' 33 sphère visuelle d'un côté est en rapport ave
e d'autres centres de la vision. Car, rappelant que- dans les cas ' C. R. de I'Àcad. des sciences, 10 juin 1878; Arch
orselli, sur la pathogénie de l'épilepsie 2. « Il n'est pas connu ' Ingranaôgio, parziale confusione, conglobazione.
'est pas connu ' Ingranaôgio, parziale confusione, conglobazione. ' Archivio italiano par le malatie nervose 1881. A
omonyme. Mais Munk soutient, en outre, que les faisceaux optiques ' I corpi gellicolati dei mammiferi studiali nei lo
: les sen- sations brutes, les sensations élémentaires, ont donc ' Pubblicazioni del R. Ist. di studt super... in Fi
Stenger, des « cécités corticales ». (Die cerebralen Sehstcerungen de, ' Pa ! '< ? < ! 7eer. - Arch. sur Psych., X
résultats expérimentaux auxquels ils étaient arrivés, après Fer- ' Dans les Alinali universali di medicina e chirurg
li courbe) relativement à la théo- rie des localisations cérébrales ' . Ce médecin partit de cette vue, profonde selo
halie portant sur les deux lobes occipitaux, publié par Monakow ? ' Eugenio Giovanardi ? lzzloinzo ad un caso dianoft
d'ensemble sur la théorie des hallucinations de la vue. Tamburini ' 1 reconnaît expressément que cette Sulla gelles
ns ou les images intenses de l'hallucination'. Hitzig, Ferrier et ' K Une image mentale, quand elle est suffisamment
e au delà de ces limites), et, chez le singe, sur les première et ' l'lie Funclions of the 73nain, 2* édit. 460. 62
el. Les résultats de leurs expériences à ce sujet, publiés en 187-9 ' , établissaient qu'après la destruction unilatér
cali. (riz, spernnenl. di /<'6 ! t : 'a't<f, 1879, V, 1 sq.). ' LES FONCTIONS DU CERVEAU. 63 mouvements obser
n excitant la zone motrice de Hitzig ? Les auteurs italiens ne le ' Aug. Tamburini, Co&KZMMe sM /tSto/oM e pao'a
' Aug. Tamburini, Co&KZMMe sM /tSto/oM e pao'a c ! e/ < : M- ' Aug. Tamburini, Contribuzione alla flsiologia e p
ita- lien. Il y a peu de choses à dire des recherches récentes ' Cette thèse de Golgi est particulièrement bien ex
u'il a surtout étudié avec prédilection, on sait avec quel succès ' , c'est l'affection décrite d'abord parAVernicke
anatomo- putotogio ? <n)..< ! er;n ! eK<.< ? )'e ? a : ) ' )'a, 'Jf-1 ? 8. 68 PHYSIOLOGIE. plus la signif
n de ces symboles ou images acoustiques verbales. Un cas de Cattani ' , où un homme de soixante-un ans, 'atteint d'amn
ait la moitié antérieure du lobe temporal gauche, mais la T était ' Cattani a publié une étude comprenant vingt-quatr
firmer les résultats de l'expérimentation physiologique. L')'e/t ! ) ' ! 0 italiano per le malulie nerv. (1881, p. 353
diaires de ce nerf dans les tuber- Archiv. sur psychiatrie, 1882. ' Archiv f. psych" 1885. - i le PHYSIOLOGIE. cu
exposé les doctrines sur les centres sensoriels de l'écorce céré- ' Le localizzazioni funs. clel ceruello, p. 237 de
erce. La compression par conséquent porte en soi son cor- rectif. ' « La décompression démasque en quelque sorte le
t l'excès de pression se porte sur les délicates parties nerveuses, ' Expériences comparatives sur la décompression b
forme ainsi une concavité antérieure. Mais cette paroi n'est pas ' l'ulhogéuie des hémorrhagies. Taris, 18G ! J. D
effets particuliers, je les laisse à la spéculation des médecins. » ' Cette hypothèse de l'influence funeste des gaz
im- perméable et d'un casque métallique fixé sur la collerette de ' Mémoire sur la pression atmosphérique, dans ses r
pondre : c'est bien le dégagement de gaz dans le système artériel ' )02 CLINIQUE NERVEUSE. qui est la cause prochain
agnin, qui a si bien étudié cette question dans sa thèse inaugurale ' , a fait remarquer que ce sont tou- jours des ac
eurs ont fait des injections d'air dans les artères. Ainsi M. Petit ' est arrivé à la conclusion suivante : ' Socié
s artères. Ainsi M. Petit ' est arrivé à la conclusion suivante : ' Sociél. de biol., 187a, iio 1. page 58. , '104
des expériences sur les effets des gaz artériels généralisés, dit : ' 1 « L'air peut être injecté directement dans l'
oduire par son accumulation dans le coeur droit une asystolie par ' Gaz hebd. de méd. et de chir., t. XII, 21 série,
écrire et d'où il fut renvoyé à différentes reprises. De quatre à ' Nous avons toujours eu soin de noter ce détail, p
lulaire sous-cutané est infiltré, dur, lardacé. Pansement phéniqué. ' 7. - La température est toujours élevée. L'état
e la suspension dans le traitement du tabes. C'est en 1882 que le D' ' Motchoutkowsky 1 (d'Odessa), après s'être servi
Abadie, Darier et Desnos en ont 1 Vracha. Saint-Pétersbourg 1883. ' Voir Dict. encyclopédique art. Tabès et Compte re
trois ou quatre minutes; ce chiffre de trois minutes étant pris 134 ' REVUE CRITIQUE. comme moyen terme. On commence
ecins ne se sont pas servis du même appareil. D'après M. Lespinasse ' , * le système actuellement en vigueur à l'hôpit
es pre- miers effets de la suspension, sur l'incoordination motrice, ' puis sur les douleurs fulgurantes, l'anesthésie
' troubles viscéraux et l'impuissanee sexuelle. M. le l'r Charcot ' New-York, mtid. journal. 12 mai 1889, p. 510. z
le l'r Charcot ' New-York, mtid. journal. 12 mai 1889, p. 510. z ' Voir art. Biocq, in Bulletin médical,' 9 juin 188
rnal. 12 mai 1889, p. 510. z ' Voir art. Biocq, in Bulletin médical, ' 9 juin 1889, p : 'i28." - .. ' ? 13G REVUE CRIT
' Voir art. Biocq, in Bulletin médical,' 9 juin 1889, p : 'i28." - .. ' ? 13G REVUE CRITIQUE. n'a jamais observé le r
édical 27 avril 1889, p. 320. SUSPENSION DANS L'ATAXIE LOCOMOTRICE. ' triques sont devenues bien moins fréquentes. Da
mbre d'observations du mode de traitement dont il s'agit. M. le D' ' W.-J. Morton ' a soigné six ataxiques par ce proc
ations du mode de traitement dont il s'agit. M. le D'' W.-J. Morton ' a soigné six ataxiques par ce procédé (200 susp
qui marche fort bien, et ne ressent plus aucune douleur. - M. le D' ' Dana 2 cite 6 cas d'ataxie traités; chez un ata
ser ou toutaumoins être moins sensibles la journée écoulée. M. le D' ' W.-A. Ham- mond 3 a employé la suspension dans
peu d'incontinence d'urine, qui disparaît progressivement. M. le D' ' Simpson4 a soigné deux malades par la suspension;
cherchant à retrouver quelque semblant de jeunesse passagère. Le D' ' Motchoutkowsky a obtenu de bons résultats de la
de la compression, comment peut agir cette méthode de traitement. ' lievista clinica et therapeutiea, mars 1889, p. 1
raitement. ' lievista clinica et therapeutiea, mars 1889, p. 163. ' Revue d'ophtalmologie et We/tp)' med. prep. SUS
t therapeutiea, mars 1889, p. 163. ' Revue d'ophtalmologie et We/tp) ' med. prep. SUSPENSION DANS L'ATAXIE LOCOMOTRICE
artérielle paraît plus élevée qu'à l'état normal. » Pour M. Althaus ' , la suspen- sion déchire les adhérences méningi
ndications. Il paraît maintenant prudent pour le moins, dit M. le D' ' Blocq e, que l'application de ce traitement soit
si un médecin eût été présent. Un cas a été relaté dans the Lancet ' , celui d'une femme s'étant étranglée dans ces m
n de New-York 2, le Du Vincent, qui se suspendait lui-même. M. le D' ' Blocq signale aussi un accident dont il tient l
ait tombé dans une sorte de coma et mort au bout de 24 heures. Le D' ' Gorechi' 3 relate un cas de mort chez un tabéti
athéromateuse due à la compression exercée sur l'aisselle. M. le D' ' Hammond a observé, 'à la suite de la suspension
erait pas, dans l'es- pèce, une conséquence du délire de la malade. ' M. Legrain croit qu'il n'y a aucun rapport de c
- continence ; diminution des rapports sexuels. Inégalité des pu- ' Voyez Archives de Neurologie. Séance du mois de m
e, ni troubles de la sensibilité. Diagnostic encore impossible. 1 ' M. 1h'sTexar.. D'une lésion anatomique des muscle
un asile de traitement, toutes les ressources de la science moderne ' et qu'ils en bénéficieront. Naturellement, il f
iedreich, la myopathie progressive, la compression par Mal de Bott. ' » Tous ces agents produisent l'hystérie ou bien
elatives à l'étiologie de l'hystérie. Charpentier. IL Lell1'bueh de) ' Psychiatrie par de Krafft-Ebing. - 3° édition,
érieurement au sur et à mesure de l'agrandissement de de l'asile. - ' Veuillez agréer, monsieur et très honoré confrè
aux soeurs, ni aux frères, elle est due à un de nos confrères, le D' ' Benoit, maire de Privas. Nous n'avons pu dissim
re, mais après explication notre élonnement a cessé : en effet le D' ' Benoît est un ancien élève lu D'' L.1 leury, le
lonnement a cessé : en effet le D'' Benoît est un ancien élève lu D' ' L.1 leury, le-maUre à tous en hydrothérapie.
de Donato. Nous en avons deux ou trois actuellement à Paris, dont ' les affiches s'étalent à côlé de celles de nos gr
ie Berge r- Levrault. STETTEN. - I'ierzigsler Jahres-3ericht £ le} ' Ileil- und Pflegeallslalt sur Schwachsinnige un
CRANE DANS LEURS RAPPORTS AVEC L'ALIÉNATION MENTALE » ; PAR LE 1) ' J. CIIRTSTIA\ Médecin de la Maison nationale de
s du crâne, dans le lieu où le coup avait porté, était aminci par ' Observations semblables dans Fabrice de Hilden, c
ours ou quelques heures, que la guérison sera certaine et durable ? ' ? Bien téméraire serait le médecin qui se montr
u des cloches à air comprimé et quel est son mode d'action. Main- ' Les causes des maladies mentales sont toujours co
u séjour de 8 h. 2 ni. à 9 h. 3 m., décompression 1 minute. A 10 h. ' 48 m., paralysie du train postérieur qui rapide
est l'accident suivant, dont le même plongeur a été la victime. ' Le Il,' août, 1887, il 3 heures du soir, ce scaph
accident suivant, dont le même plongeur a été la victime. ' Le Il, ' août, 1887, il 3 heures du soir, ce scaphan- dr
myxoedème. Il serait injuste de passer sous silence le travail du D' ' Bourneville, qui en rattachant la question du m
ri- pares et sébacées, sur le réseau des vaisseaux capillaires et ' fiiill. Transac. of the clinic. Society. London,
cette manière les fonctions de ces dernières. Bientôt après, le D' ' Olive * déclara que cette maladie était connue
mental Science, 1880. 3 Goodhart. Médical Time.9 and Gaz., 1880. ' Le Progrès médical, 1880. n0' 30 et 31. 1. 111Y
\iIDLIE OU CACHEXIE PACHYDERMIQUE. '2 li IJ De même que Savage le D' ' Ballet' publia l'observation d'un cas de myxoed
sy- chique proviennent de l'accumulation de la substance muqueuse ' Ballet. Le Progr. médit, 1880. q 1'haon.- Revue
qu'on rencontre souvent ici et là. En 1882 apparut le travail du D' ' Biaise 4. La seconde partie de ce travail conti
de, âgée de trente-quatre ans, sans hérédité neurasthénique, d'un ' Ialioirip(l.- 1lieLtiticet, 1881, 21, XII. I. ! -
d'état mental dépression profonde, irritabilité, mauvaise humeur, ' 13a11. - L'Encéphale, 1882. = 13ouchau ? Journa
cienc. méd. de Lille, 1883. 3 Charpentier. Le Progrès méd., 1882. ' Coxwell. The Bril. med. Journal, 1883. ''Ruth ?
on de volume ou bien d'absence totale de la glande thyroïde. Le D' ' Bourneville dit que ce phénomène ne présente rien
faits qui confirment leurs suppositions. Le mérite principal du D' ' Bourneville consiste en ce que d'un côté il est l
nts : gonflement 1 Bourneville et Bricon. Archives de Neurologie, n" ' 3j et : 30. ' Fagge. 0)t sporaclic crétinisme o
1 Bourneville et Bricon. Archives de Neurologie, n"' 3j et : 30. ' Fagge. 0)t sporaclic crétinisme occuring in Engla
due dans l'étude et l'éclaircissement de cette maladie. J. Reverdin ' , en octobre 1882, fit connaître que l'extirpati
s hommes, par les chirurgiens déjà nommés, ainsi que par Julliard ' , Baumgartner 5, Koënig 6, Bruns', KÜsler 8, Gor-
ation partielle aura donc le même elfet que l'extirpation totale. ' Gordon.- The Lance ! , 188G, n" 11. " Pietrzico
nt à une température élevée, on peut obtenir une survie de longue ' Ewald. Berlin. Min. Wochensclcrift, 1887, n° 11.
chrift, 1881, 52. , Canalis.- Cenlralb. med. 1T'issea.sch., 188b. ' Fuhr.- Arch. expér. fa</to/oy., 1886. 5 Rogo
e et l'anasarque, mais un liquide muqueux contenant de la mucine. ' Prof. V. Paschoutin, Travaux du second Congrès de
n, Travaux du second Congrès des médecins russes, t. Il, p. 2L 1. ' Munk. Neurolog. Ceiitralblati, 1887, n°22. ' Av
s, t. Il, p. 2L 1. ' Munk. Neurolog. Ceiitralblati, 1887, n°22. ' Avtokratoll ? lYralch, 1887, 110. îù et 17. DU
le tient à la fois de l'hallucination sensorielle et de l'impulsion, ' d'où le nom d'hallucination psycho-7notrice; 3°
CIÉTÉS SAVANTES.' SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE. ET I)IALADIES NERVEUSES ' DE BERLIN. Séance du 9 janvier 1888 '. Présiden
abinski dans les Archives de Neurologie., t. XVII, p. 92 (P. K.). ' Nous avouons préférer la médecine des faits à la
'ex- périmentateur exercé. Le rire même de la personne hypnotisée ' Cette interprétation nous éloigne delà médecine p
mpire allemand. L'orateur, commentant le paragraphe 28, relatif à ' Voy. Archives de Neurologie. Séance de décembre 1
en visitant celles de cette ville : « C'est pire qu'un chenil ! . x ' 308 VARIA. A A..., la visite des cellules a é
ctement à leurs fonctions, les commissions opposent ces résistances, ' comment' serait-on surpris de les rencontrer en
héorique; dans divers départe- ments elle a été mise en pratique. ' Je prévois et je signale une objection de sentime
r VilliaM-W. IRELAND (The Journal of Mental Science, juillet 1886). ' L'opinion de l'auteur, basée sur les renseignem
, à partir du 4° juillet 1889, à la classe exceptionnelle : M. le D' ' Tacorr, directeur-médecin de l'asile pu- blic d
e public de Rodez, promu à la lre classe P, à partir du 1e a01lt, ' Faculté de médecine DE Brunn. M. le Dr Pelmann es
hilitiichen Eritrankung der Iltnlerstr31l/ge des 7<uc/fetin : c[) ' /M. Brochure in-li° de 16 pages, avec une planch
phalite, d'autre part, rendent compte jusqu'à un certain point de ' Un travail prochain de M. le D' Babinski aura pou
ons qui lui sont propres, satisfait évidemment à cette condition. ' Leçons du mardi à la Salpêtrière, 1887-1888. - Vf
élateurs et caractéristiques de la paralysie générale. Dans notre ' Parinaud. - Migraine ophtalmique au début d'une p
it au bras droit qui paraissait à la malade lourd et gonflé, puis à ' 328 . pathologie NERVEUSE. la jambe droite. La
e migraine ophtalmique accompagnée, plus enfin si l'un des signes ' Gilles de la Tourette et P. Blocq. Sur le traitem
renseignent que sur la région des centres nerveux qui est touchée, ' et nullement sur la façon dont cette région est
t voir sur ce sujet la thèse du Dl' Hutinel, élève de Parrot, qui ' plaide aussi en ce sens. Observation IV. Chez u
es prolonge- ments vers la substance blanche sont irréguliers. De ' là l'aspect chagriné du cerveau. Observation VI
stence de taches grises d'encéphalite au voisinage des points les ' Les autres organes, larynx, estomac, foie, rate,
27, 1883. Herbert Mayor. Journal of mrzztul Science, p. 532, 1883. ' o Luys, - Structure de la substance grise. - L'
Archives sur Psychiatrie, 1883. -ln revue de Hayem, p. 5î, 1885. ' Tnczek. Congrès annuel des aliénistes allemands.
première et la seconde couche de l'écorce, très nette d'ordinaire, ' est ici confuse (picro-carmin, baume). 3° Petit
mouvements possibles, - à l'exception toutefois de ceux dont les ' Hitzig. - {Mer Funktionen des Gl'osshims (Biologi
héorie, absolument motrice, de David Fer- LES FONCTIONS DU CERVEAU. ' 365 rier, dont les centres moteurs sont tout à
res ae. Siii centri cerebrali di movimento (Sperintentale, 1876). ' Des centres moteurs encéphaliques. Recherches phy
74), dans les lésions superficielles de l'écorce de la zone motrice ' , sans que les ventricules latéraux aient été ou
on de fonctions psycho-motrices aux corps striés, n'était t point ' C'est ce qui vient d'être encore vérifié au point
le perfectionne- ment d'une propriété préexistante, tandis que la ' Cf. OEhl, Sulla probabile dif/'usione dei centri
er Funk- lioaen des Grosshiras(188G).Bioloâ. Centralbl., VI, 5G9. ' S. Venturi. Se lo studio délie psicopalie possa v
du froid ^après la section des cordons postérieurs, c'est que la ' ' Selon Herzen, la même région du cerveau (gyrus
u froid ^après la section des cordons postérieurs, c'est que la ' ' Selon Herzen, la même région du cerveau (gyrus si
es cordons postérieurs, Schiff a lésé la voie motrice des pyramides ' ! III. Frappé de la force des arguments des d
était bien faite, ce semble, pour rapprocher ces interprétations ' Horsley.- A further and final criticism of Prof.
na) dans l'écorce cérébrale. » Avec Seppilli, Luciani avait cons- ' Luciani et Tamburini. Sui centri psico-sensori co
uvements, toujours uniformes et localisés à un groupe de muscles, ' Danillo a prouvé que les mouvements des yeux obse
ofondément dans le cerveau, probablement les couches optiques'. » ' ' Bechtft'ew. P ? 0 ? <' de s t'to) : ? ob ? c
ondément dans le cerveau, probablement les couches optiques'. » ' ' Bechtft'ew. P ? 0 ? <' de s t'to) : ? ob ? ce
' ' Bechtft'ew. P ? 0 ? <' de s t'to) : ? ob ? ce df a SMance ' ' Bechterew. Physiologie de la région motrice de
' ' Bechtft'ew. P ? 0 ? <' de s t'to) : ? ob ? ce df a SMance ' ' Bechterew. Physiologie de la région motrice de la
vements que par l'intermédiaire des centres directement moteurs'. ' Albertoni.- Le <ocaHz : a ? on ! cere<')'a/
s centres sous- corticaux sont impuissants à suppléer. Quant à la ' Jules Soury. - Les fonctions du cerveau. - Doctri
Après une' extirpation partielle ou totale de la zone dite motrice, ' · les phénomènes de parésie ou de paralysie aff
qu'aux parties postérieures du lobe parié- tal (région F. de Munk). ' Voici d'ailleurs la représentation schématique
normal. Parmi les symptômes bilatéraux de l'hémiplégie, Pitres a ' Le /ou ? molrici nella c-rlcccia cérébrale, in /{
le. Riv. speiiment. di freniatria, 1886, XI, -992; 1887, XII, ? 08. ' ' LES FONCTIONS DU CERVEAU. 409 relevé la dim
Riv. speiiment. di freniatria, 1886, XI, -992; 1887, XII, ? 08. ' ' LES FONCTIONS DU CERVEAU. 409 relevé la diminut
ai que pour mémoire les belles expériences semblables de Llitzij. ' V. Arch. dephjsiol., 3° série, Il[, 1884, 176.
re maître, M. Charcot, nous croyons utile de rapporter trois nou- ' François Franck et Pitres (1877). qui ont vérifié
m- pagnée d'hallucinations de la vue. Première attaque à quatorze ' ans et demi. Etourdissements, vertiges, attaques
devenir fous. Tous ces symptômes approchent de très près ceux que ' EuIe))burg.Z ! 'entïC7 : 'sanfMuc/ 13. XII, h. 2,
t enfin ces changements de structure et fonctionnels peuvent être ' Leube. - Clin. Beilage zu dem C01'l'esponden;blll
gensblatt, 187, n° 16. . Reynaud.-Arclaiues gen. de méd., p. 7G9. ' Bartolow.-Chicago, Journal of neroous and ment di
ût 1889; analyse dans le Progrès médical, du 17 août 1889, p. 149). ' Bournlvillk. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I.
vec les autres hémorrhagies dans la paralysie générale des aliénés. ' R. M. C. II. SUR la prétendue fragilité DES OS
D<}Me/KeSMtod ! CM<t07 ! Sd6St)HMSea : fJ; de la rétine dans / ' artériosclérose généralisée. Limitées à certains
la rétine dans /' artériosclérose généralisée. Limitées à certains ' Une erreur dans la mise en pages du dernier numér
veau de la calotte, elle envahit encore la moitié droite du bulbe. ' Voy. Archives de Neurologie, XXI* congiès, mai 18
La Commission n'étant pas d'accord, et la discussion révélant un ' Voy. Arch. de Neurologie. Session DE STR.1SBOURG,
ditions. Le droit commun et la législation moderne semblent recon- ' naître la responsabilité pleine et entière, même
d'anatomie appliquée au sytème nerveux, en remplacement de M. le D' ' CaAMBEps, qui est attaché a la chaire de chirur
'ont connu en lui que le médecin ou l'homme de science. - M. le f) ' Rota, ancien directeur de la maison de santé, sis
ge de la clinique, de remanie avec le concours de l'auteur par le 1) ' P. 11EILAVAL. Ouvrage pré- cédé d'une préface d
et une planche. Prix .- tr. - Paris, 1889. - Lecrusiiier, et liabé. ' Bianchi (L.) - Gli orizzonti della psichiatria.
Horsley et hcheefer, 148. Ecriture automatique, par Richet. 284. ' Encéphalites chroniques de l'enfance (lésions
40 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e dernier, sous les auspices de MM. Dujardin-Beaumetz et Bardet'. ' Friedel. Note sur la constitution des acétones in
ipt. rend, de la Soc. de Biologie, séance du 19 décembre, p. 750. ' Laborde. Conipt. rend. de la Soc. de Biol., séanc
lence léger et passager que fait cesser la moindre excitation des ' Dujardin-Beaumetz {Gazette méd., 29 janvier 1886)
on de ces auteurs, les faits nous obligent de maintenir notre dire. ' DE L'ACÉTOPHÉNONE EN ALIÉNATION MENTALE. 7 pl
ade, il ne peut et ne doit le faire, dans les conditions ordinaires, ' au détriment du fonds, c'est-à-dire au détrimen
té a diminué, la malade a été plus obéissante, mais pas de sommeil. ' L'hémoglobine a chuté de 2,7 p. 100. Observat
. La malade n'a plus que peu crié; aucune influence sur le sommeil. ' Observation XIX. - M. B..., trente-neuf ans, à
en le ren- dant criminel. "Et, dans ce cas, il faudrait se garder ' d'attribuer à l'ivresse ce qui est dû à l'action
née précédente, il se plaignit de céphalalgie et au commencement de ' )883, ses maux de tête de- vinrent tels qu'il du
aurait-il appris ces choses et comment les aurait-il inventées ? ' L'incendie du 13 septembre, résulte-t-il de ses
avec inconscience, le diagnostic de pyromanie s'imposait dès lors. ' DE LA PYROMANIE. 47 Observation VI. Caractère
nes poussent leurs prolongements jusqu'à la paroi des vaisseaux. '- ' Description du cerveau. Ce qui frappe dans l'as
mple, principale- ment dans sa moitié postérieure. (Fig. 1 et 2.) ' Scissures. La scissure de Sylvius possède ses deu
E LA PARANOÏA DÉLIRES SYSTÉMATISÉS ET DÉGÉNÉRESCENCES' MENTALES ' Historique' et critique; Par J. SÉGLAS, médecin
. En 18t8, nous retrouvons le terme paranoïa employé par Heinroth ' , mais il n'en a qu'une idée vague et peu précise.
pas été l'objet d'une description particulière exacte. C'est La- ' Ueinroth. Lehrbucie der St6rt : ngen des Seelenle
eut dire que la théorie de la Paranoïa a germé en France, il faut ' Wukowski. Beerliner klinische bVochenschr... 1876
nce, il faut ' Wukowski. Beerliner klinische bVochenschr... 1876. ' LasÈuB- Arch. demed., 1852. ' Morel. Etudes cli
iner klinische bVochenschr... 1876. ' LasÈuB- Arch. demed., 1852. ' Morel. Etudes cliniques 1852, t. 1, p. 163 à 106
dispositions héréditaires qui se manifestent dès l'enfance (ano- ' KaMbaum. Gruppirung der psychische ? t K2-aitkhei
folie systématisée secondaire ou impropre, adoptée depuis par Hertz ' , Ripping, Nasse. ' Saint en 1874 décrit la vari
secondaire ou impropre, adoptée depuis par Hertz ', Ripping, Nasse. ' Saint en 1874 décrit la variété hallucinatoire
a folie systématisée (Verrüclclkeil) qu'il divise en quatre groupes ' : 1° La forme hypochondriaque déjà décrite par
.) Kahlbaum. - Die Calalonie, Berlin, 1874. LA PARANOÏA 69 Murh ' , en 1876, rapporte l'autopsie d'un individu attei
Gezsterstdr2eng, 1878. ° Emminghaus. A ligem. Psychopath., 1878. ' Féaux.- Ueber die hallucizzat. Wahnsinn, inaug. d
Acute Formai des ïya/t ? ? tH ? ts. Jahrb. f. Psych. B. II 1881. ' Mendel. Die Manie, 1882, p. 55. » Tilling. Psyc
épare de l'épilepsie en méconnaissant son caractère pa- thogénique. ' Aloeli7 (188 : ) décrit des cas de folie systém
n de la parole ; il goûte encore la musique. - Autopsie. Des deux ' Voy Archives de Neurologie, t. IX, p. 25G, et XI,
nef optique; le corps de Luys n'a rien à voir avec le nerf optique. ' P. K. VU. SUR UNE connexion jusqu'alors inconnu
a COMMUNI- cation précédente; par P. FLECHSIG. (ueurol. Centralbl., ' )883.) L'examen de l'encéphale d'un nouveau-né d
, au milieu de la formation réticulaire, et finit par s'appli- quer, ' à la hauteur du tubercule quadrijumeau supérieur,
question, semble, chez le nouveau-né d'un mois, Archives, t. XIII. ' 6 82 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. se c
s médecins aliénistes allemands du moisde sep- tembre 1884 (Leipzig) ' ,M. Richter disait que l'on rencontre, une dimin
er- tions sont complétées par l'étude d'un cerveau dans lequel le ' Voy. )'6/tt[ ? fM)'o<ot, t. X, 107. REVUE D'
mais seulement dans le pulvinar, et dans la partie postérieure et ' postéro-interno de la couche optique. Quant à la
ble. Aujourd'hui que cette espèce nosologique est bien connue, le ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 93 délire des persécutions e
édiaire, ils sont tel- lement rapprochés des dégénirés héréditaires, ' qu'ils vont à peu près se confondre avec eux, e
mmandant à une personne, au moment où elle entendra tomber le plomb, ' de presser un contact électrique qui inscrira u
a lieu de poursuivre en l'espèce ? Après quoi l'on provoquera un ' Voy. Arch. de Neurologie, t. X, p. 9(i4 et t. VII
en- tation gastrique. M. PnEyEn. Les expériences chez les animaux ' n'autorisent pas à transporter ces faits chez l
uit ma théorie au sujet des localisations (centres tro- phiques). ' Voy. Arch. de Neurologie, t. VIII, p. 79. 2 Voy
tions de M. de Gudden, elles n'empêchent pas les faits cliniques. ' Voyez Kussmaul {Stoerïmgen der spreche) ; Charcot
sans tache et que toute sa vie avait été remplie par le travail. 1 ' Sur ces entrefaites, quand la fille se vit sépa
in au milieu, des trois lacs d'Yverdun, de Morat et de Bienne.' , , ' ' C'est dans un lieu semblable que la jeune App
au milieu, des trois lacs d'Yverdun, de Morat et de Bienne.' , , ' ' C'est dans un lieu semblable que la jeune AppoI
eux et leur fille de cet épouvantable malheur. z .. / . " <<* ' ' ' , j , DEUXIÈME NARRATION.... '- Il y avai
ux et leur fille de cet épouvantable malheur. z .. / . " <<*' ' ' , j , DEUXIÈME NARRATION.... '- Il y avait
et leur fille de cet épouvantable malheur. z .. / . " <<*' ' ' , j , DEUXIÈME NARRATION.... '- Il y avait dé
a première narration, comment et dans quel état nous avions observé ' pendant l'été et pendant la canicule la jeune A
éri- diques, dejeilneursétantaujourd'hui à lamode 1. Bourneville. ' Ce fait est à rapprocher du cas de Louise Lateau
146 SÉNAT. M. LE président. La parole est à monsieur le rapporteur. ' M. Théophile Roussel, rapporteur. Messieurs, ap
ier 837, le projet de loi qui est devenu la loi du 28 juin 1838 . , ' , i J'ai rappelé ces précédents, messieurs, par
ablissements spéciaux. Cette lacune, le Gouvernement l'a recon- 148 ' SÉNAT. nue, et dans un article (l'article 35 de
ts de se produire en réglant, dans la loi, une pareille question. ' M. Paris. Comment empêcherez-vous ces aliénés de
cas, des êtres dangereux dont la présence à l'asile fait peser sur ' son directeur une grave responsabilité. Aussi voi
pays, malgré son peu de goût pour les emprunts faits à l'étranger. ' En Angleterre, où le gouvernement dépense plusde
s. Washington, 1886. Governement printing Office. LETOtMEAU (CH.) - ' L'Evolution, de 'la morale. Volume m-8° de 4,79
irer de bien vouloir nous adresser le montant de leur réabonnement. ' Le rédacteur-gérant, Bourneville. Errouz Ch.,
ts cliniques appartenant à la surdité verbale. D'après M. Bernard ' , « la surdité verbale est l'im- possibilité de
le, M. G. Bal- let admet avec raison, je crois d'après H. Munck 3 ' Liclteim. - a) Communication au Congrès des Neuro
nfondus sous ce même nom. Nous allons les examiner tour à tour. 1 ' t , I. -On admet généralement que les mots ente
est ce qui ne me semble pas contestable; on comprend en effet que ' Charcot. Note mentionnée par C. Ballet, loc. cit.
les mots qu'elle entendait dire, sans paraître y ajouter aucun sens ' ». Quand donc, l'intelligence étant normale, il
x des Archives . ) 2 Béhier. -- Gaz. des Hôpitaux, 1869, p. 59. ' Bernard. Loc. cit., p. 20. DE LA SURDITÉ VERBAL
vation de celle de H. P., le malade de M. Charcot'. Le malade de M" ' Skwortzoff paraît être par rapport à la surdité
t cette répétition n'est pas atteinte; mais la parole ne sera pas ' Skwortzoff. Loc. cit. ; Obs. X, p. 120. 1 Charc
arole. Je pense qu'on a tort, de désigner ainsi le centre de Broca. ' Un fait hors de contestation, c'est que le cent
un centre moteur, en rapport avec des fibres pédonculaires motrices ' ? Enfin pour donner une nouvelle preuve de la d
fonctionnement de la 'Voir G. BaUet. ? ee/t. aM<. e< c/mMM SM) ' <e /'at ! ceaM MKS/< ? 'Voir G. Ballet. R
, pas ; nous voyons encore ces secousses se produire en apparence ' Vzscliow's Aî,citiv, t LXXXI, p. 421. Voir aussi
witle du médecin Zon IIisseli7l. Jahrfiong, VVIII, Bel II, p. 4â. ' Arch. Psychiatrie, t XV, p. 853. lli,ogrès médi
inuaient. Dans notre observation, au contraire, le mouvement parait ' les favoriser, au moins celles des extrémités i
uses et souvent très intenses au moment où le malade va s'endormir. ' Comme particulier à notre observation, il faut
cas de cette,maladie mentionnés par Henoch doivent probablement, ' Loc. cit. 'Revue de Médecine, janvier 1886, p.
be. Pour les raisons déjà données par Marie, le nom depa ? -amyo- ' Voir la communication de Henoch sur la clior6o de
conspectionqu'exige lasituationdevan tlepublic. Aucun des traités ' Bulletin de la Société anatomique, mars 1869, p.
e7tschi,ifl, n'" 43 et 44, oct. 1886. . Archives, t. XIII. 14 210 ' CLINIQUE NER4'I· : USE. de pathologie, de ncuro
n'a traité la question et d'une manière absolument satisfaisante... ' Si l'on a négligé ce sujet, ajoute-t-il, la fau
dans nos publications personnelles, soit dans celles de nos élèves ' . 11 paraît que M. Witkowski les ignore. Si, da
é ou dépression ; puis surviennent des troubles sensoriels (ouïe, ' Voir le 11- 37, p. 62. 222 REVUE CRITIQUE. go
s en la reléguant tout à fait au second plan. Dans un autre travail ' , il avait déjà in- sisté sur sa rareté (cinq ca
Sitziiltq, 9 avril 1883. Seuroloyisches Centrnlblalt, 11- 5, 1883.) ' 2 A la suite de la lecture de ce travail présen
ns les modalités chroniques de la folie systéma- tique primitive. ' Witkoswki. Cony'M fMTtue dM .IMcci'tM a ? enM<
ve. ' Witkoswki. Cony'M fMTtue dM .IMcci'tM a ? enM<M a//eman. ' Witkoswki. - Congrès annuel des Médecins aliénist
éditaire. D'un autre côté, c'est dans la première classe (psychoses ' chez l'individu complètement développé), mais d
, en somme, les idées émises dans les principaux ouvrages allemands ' sur la folie systématisée ; les autres pays s o
erches bibliogra- pliiques. = Rosenbaclr. Messager russe, 1884. ' Greidenberg. Messager russe, 1885. '22S REVUE C
olent. 1 Buknill et Tuke. - A mmtual of psychol. ntedicin., 1879. ' Maudsley. La pathologie de l'esprit, 1883. Trad.
y. La pathologie de l'esprit, 1883. Trad. française de Ger- mont. ' Spitzka. - Un cas de monomanie originaire (in méd
e plus souvent de couleur érotique ou religieuse. Les idées fixes ' Beard. onon : a7t)'a and monohypocondria (New-Yor
non : a7t)'a and monohypocondria (New-York med. rec., mars 1882). ' Feun. - Original moMmatua (Anzeric, med. lveekly,
. ' Feun. - Original moMmatua (Anzeric, med. lveekly, août 1882). ' Hammond. - A treatzse of insanity. Londres, 1883.
, août 1882). ' Hammond. - A treatzse of insanity. Londres, 1883. ' Buccola. / deliri sistezaatizzatz prinzztivi (i,i
folie lucide ou raisonnante. 90 Les excentriques, les originaux. ' Voir aussi Buccola. Leidee fisse (Ifie. sper. di
Ifie. sper. di 1t,e71 1880.) , LA PARANOÏA. 231 Amadei et Tonnini ' (1883) nous donnent une description très complè
ment ? Une recherche plus complète est de rigueur. P. K. . r., V ' II. Contribution A l'anatomie pathologique DE l
Sur LE phénomène du pied ; par D. AXENFELD. (Arch. f. " . -< 1. ' Psych., XVI, 3.) > i~- . ? '- Faites asseo
'Eisenlohr'. 1. P. K. Voy. Archives de Neurologie, t. XI, p. 424. ' Id., t. X, p. 104, 425; t. XI, p. 425. ' Id., t
urologie, t. XI, p. 424. ' Id., t. X, p. 104, 425; t. XI, p. 425. ' Id., t. VIII, p. Mi, 329, 37; t. IX, p. 255 et 25
rendrait, à mon avis, plus obscur l'étude des maladies men- tales. - ' M. A. Voisin rapporte qu'il a amélioré et guéri
urs distinguées par le sujet. En même temps, on pouvait noter une ' Bull. Soc. Biologie, ISR5-1886, et Rev. pliilosop
leurs un maximum d'excitation ; enfin les recher- ches de 0. Berger ' 1 confirment ces faits : mais il ajoute qu'il ne
du côté droit. Au bout de deux jours, l'exploration nous donne à ' Philosophische siiidien, 13. 111; fasc. 1 et 2.
en- berg (Etals Scandinaves), Ramaer (Hollande), A. Verga (Italie), ' Wille (Suisse), Cl. Bell (Etats-Unis), Sola (Am
r quels sont les points sur lesquels porte surtout leur critique. ' Voy. Arc/c. de Neurologie, p. 135. SÉNAT. 259
fini l'asile d'aliénés, qui est une création de la science moderne. ' Mais le Gouvernement, lorsqu'il a décidé de dem
t modèle approprié au traitement des jeunes épileptiques indigents. ' J'espère que Bicêtre ne tardera pas à offrir un
ien de plus dangereux ni de plus redoutable que ce rapprochement. ' J'ai vu des faits dont je ne veux pas entretenir
! sur plusieurs bancs.) . . 111. ne GAVARDIE. Je demande la parole. ' · M. LE Président. La parole est à M. de Gavard
1°' ajoute à la loi de 4814... ;) ,. , '' Plusieurs voix. De 1838 1 ' ' ' M. de GAVARDIE. Pardon ! c'est la loi sur l
' ajoute à la loi de 4814... ;) ,. , '' Plusieurs voix. De 1838 1 ' ' ' M. de GAVARDIE. Pardon ! c'est la loi sur la
ajoute à la loi de 4814... ;) ,. , '' Plusieurs voix. De 1838 1 ' ' ' M. de GAVARDIE. Pardon ! c'est la loi sur la ch
'l'aliénation mentale û. Et'd'abord, dans le projet du Gouvernement; ' or. écarte une catégorie d'indi- vidus très dig
dies spéciales, si dignes d'intérêt ? Dans lae asiles publics ? Non, ' le Gouvernement le reconnaît lui-même ;'et la c
le; cela représente un chiffre de cinquante mille aliénés....; u ii ' 1 M. DE Gavardie. Nous reviendrons sur ce sujet
ndrons sur ce sujet des aliénés qui ne sout'pas dans les asiles ? 1 ' Aujourd'hui, d'après le; : médecins aliénistes,
es penseurs ne connaissent pas et qu'ils ne peuvent pas comprendre. ' Tenez, il m'est venu un souvenir pendant les dé
ipe. Je ne connais pas, pour ma part, ce grand principe; je ne l'ai ' pas saisi. Je demande seulement à M. le commiss
propose la création. ,l M. GEORGES Martin. Je demande la parole. f * ' ' M. L PRÉSmszJT, L'a parole est à \l. Georges
opose la création. ,l M. GEORGES Martin. Je demande la parole. f *' ' M. L PRÉSmszJT, L'a parole est à \l. Georges Ma
que, depuis Pinel, la science et l'expérience moderne l'ont établi. ' 1 La série des rapports des inspecteurs générau
LE Ministre. Je suis donc d'accord avec la commission ? (Oui ! oui ' ) . Je demande donc que ce paragraphe soit réser
... Je consulte le Sénat. (L'article 5 est mis aux voix et adopté.) ' ' 1 " M. LE Président. « Art. 6. Les médecins d
. Je consulte le Sénat. (L'article 5 est mis aux voix et adopté.) ' ' 1 " M. LE Président. « Art. 6. Les médecins dir
ni rapports de tutelle. (Très bien ! très bien ! sur divers bancs.) ' M. LE Rapporteur, de sa place. Le Sénat compren
n, et qui n'est pas du tout celui siir le- quel vous avez raisonné. ' M. Lacombe. C'est pour cela que j'ai proposé d'
aison et ne préside personnellemeutaux soins qui lui sont donnés. » ' Plusieurs membres de la commission. Eh bien, c'
reur que je rectifierai. , AI. LE RAPPORTEUR. Je demande la parole. ' M. le Président. La parole est à AI. le rapport
bestiale,la morale sauvage, la morale barbare, la morale indus- 302 ' bibliographie. trielle ou mercantile, l'influen
nerveuses et mentales. A la séance suivante (le 6 janvier) M. le D' ' Savei-Moouilewitsch a parlé « Des principes de
ablissements de charité de Simphéropol par M. greidenberg (Ibidem). ' Les maisons d'aliénés en Russie ont commencé se
1, 2,) Ou a exercé par des procédés déjà exposés" quarante-quatre ' Voy. Arcleiues de Neurologie, V, 402. X, 240. 1
'accès; nous diviserons donc notre sujet de la manière suivante : ' Perte de connaissance, a\ec sensation de tournoie
quotidiens à type procursif. Observation I. Epilepsie PROCURSIVE. ' Père neurasthénique, sujet à des céphalalgies.
gents. Aïeule mater- aliénée. Demi-frère mort de méningite. 6'c°M ! ' morte phtisique. Peurs de un à quatre ans. Dé
: l'un est bien portant ; l'autre tremble des mains (cinquante ans) ' , pas d'excès de boisson ; tous deux sont médioc
re, quatre- vingt-cinq ans, femme de ménage, bien portante . Deux ' C'est l'ainé, il n'est que frère de mère ; né ava
' C'est l'ainé, il n'est que frère de mère ; né avant le mariage. ' Elle est morte en juin 1882, de bronchite avec dy
e cent. 5 ; les lèvres sont minces, normales, le menton est rond. ' Le cou, assez large, a 33 centimètres. Le thorax
eté. 20. Julep avec 0 gr. O'4 centigr. de nitrate de pilocarpine. ' Cette première partie de l'observation a déjà par
nsister de nouveau aujour- d'hui pour hâter une solution favorable. ' Veuillez agréer, etc. M. Gragnon répondit qu'
chives, t. XIII. 22 338 CLINIQUE nerveuse. Monsieur le Président, ' Je viens signaler à votre haute justice un fait
our du poêle et revient à son point de départ. On l'assied sur un ' Il va de soi que ce chiffre n'est qu'approximatif
s syllabes sans suite ou des fragments de mots comme un homme ivre. ' On lui demande s'il veut aller voir des filles,
u de rencontrer, comme M. Etoc Demazy l'avait signalé dans sa thèse ' de l'aedème du cerveau et des méninges, nous tr
drons à bien connaître que par la multiplicité de cas semblables. ' Luys. - ri-aile clinique et pratique des maladies
simples souvenirs, je me bornerai à la relation des trois autres. ' Vuy. tome XIII, p. 1 î î. 1. DE LA SURDITE VERB
que celle-ci sera perçue (voie M IV) le mot sera aussi perçu par ' Je désigne ainsi le centre ou les centres des nua
l paraissait admis sans * Gazette des Hôpitaux, 28 août 1881. 382 ' PATHOLOGIE 1VEIWI;USE. conteste que tout l'honn
ètres, mais mettait une heure ou une heure et demie pour les faire. ' ' Le 21 mars/entre dans le service de M. HUCIIA
res, mais mettait une heure ou une heure et demie pour les faire. ' ' Le 21 mars/entre dans le service de M. HUCIIARD
me lors même qu'il reste les jambes pendantes sur le bord du lit. " ' La trépidation spinale est facilement provoquée
HS SYSTÉMATISÉS ET DÉGÉNÉRESCENCES MENTALES Historique et critique; ' Par J. SECLAS, médecin-adjoint de l'hospice de
( kvahiisiîiîz de Ira(ft-Ebinn)vrai type de délire asysté- matique, ' peut passer à la Paranoïa à travers le stade des
lires à marche aiguë, chose incompatible avec une idée de dégéné- ' Voir le iio 37, p. 62, n° 38, p. 221. Kaggi. De
aut faire de la plupart d'entr'eux. Cette même année (488'N), Tanzi ' publie une étude histo- rique sur la Paranoia,
es, etc...). Les caractères psychiques de cette constitution vont ' Tatizi. - La Paranoia (</e/t ! 't0 sistematizz
, An- driani7 regardent ces formes comme étant toujours des mani- ' Guicciardi. Psycologia e psychiat,ia (Riu. sper.
toa;tcoM<eHf<7ty< ! ! [ (Arch. ? Psileh., Bd. VI et V111). ' Kroepeliu. Comp. der psych. Leipsicli, 188s. '
, Bd. VI et V111). ' Kroepeliu. Comp. der psych. Leipsicli, 188s. ' 3lorselli ? llanuale della semejotica delle malat
nuale della semejotica delle malattie H ! <;7t<aH., II, 1885. ' 11 est à remarquer que Morselli désigne ces forme
nalerons principalement. dans ce sens le travail de M. Ach. Foville ' sur la folie avec prédominance du délire des gr
ndeurs (1871); puis le délire des persécutions de Legrand du Saulle ' (1873), amplification du mémoire de Lasègue sur l
e persécution se présentant chez, des sujets héréditairement tarés. ' ''Ach. Foville. - Elude clinique sur la folie a
on psychique de la Paranoia ; certains seraient même des exemples ' Pottier. Etude sur les aliénés persécuteurs (Th.
- - Cotard. Le délire des négations (Archia. de neûrolog.,1889). ' J. Séglas. Note sur un cas de mélancolie anxieuse
anxieuse (délire des négations). (Arckia. de nei41,olog., 1884.) ' Magnan. Leçons sur la folie héréditaire, 1882-188
les psychiques comme caractéristiques d'un état de dégé- nérescence ' (stigmates psychiques). De plus, ces syndromiqu
u trois générations pré- parant le terrain, il faut être prédisposé ' . L'auteur va même plus loin, lorsqu'il dit à p
in. -Du délire chez les dégénères (Thèse de Paris, L886), p. 272. - ' Saury.&'<iif/f ? t;t;M< : sur la jolie
noia et nous terminerons cette revue en citant le livre de M. Régis ' (1885) où sous le nom de folie partielle il rep
es, que seule une observation attentive pourra faire distinguer'. ' Voir à ce propos : Magnan, Arclo. Neur., n° 1 ; G
ans celle du coin, du lobule lingual, du gyrus descendons*. P. K. ' Voy. I releire.s de Neurologie. Synonymie des cir
i- culièrement : 4° les fibres fines de la zone marginale; 3° les ' Voy. Archives de Neurologie, t. XII, 21f. REVUE
t, des taches dont l'aspect rappelait les taches sper- ma.tique ? . ' Ajoutons enfin, que ce malade, hormis ses organ
ouveau cas d'hermaphrodisme. (Bull. soc. d'Anthrop. 2 juin 1881.) ' Goujon. Etude d'un cas d'hermaphrodisme bisexuel
t le cadre nosologique des différents groupes de formes mentales. ' Voy. Archives </< Neurologie, année 1882. i
beau jeu ; il ne faut pas leur rendre la tâche encore plus facile. ' M. Dautrebente rappelle que, pour M. de Rochas,
o- ries d'après l'acte délictueux, sans tenir compte de leur état ' Voy. Aicliîves de Neurologie, XIII, p. Hj. SOCI
- tes. Dans tous les autres, existent des quartiers plus ou moins ' Voy. Archiva de Neurologie, t. X, p. 240, et Anné
u- vertes parce qu'ils tendent, surtout dans les cas de psychoses ' Voy. Archives de Neurologie, t. X, Rapport de Aoe
t forcé de recevoir tous les malades maniaques, agités de Nietleben ' qui viennent de toute la province. Qu'on n'aill
tout autre procédé. S'il n'y a pas nécessité, qu'on se relâche de ' Voy. Archives de Neurologie, t. X, Rapport de Loe
pleine satisfaction, d'insérer dans le texte même de l'ar- ticle 1" ' une disposition, établissant en termes formels qu
voté à la dernière séance et n'a donné lieu à aucune difficulté. Ce ' ) ? paragraphe est ainsi conçu : « Nul ne peut c
s une nouvelle forme dans les articles 7 et 8 qui vous sont soumis. ' M. LE Rapporteur. Ce sont les articles 3 et 10
nt. Ce rapport de la minorité est-il dû à une réflexion tardive ? : ' tous les membres de la commission ayant signé J
ward, 458. Bromure de magnésium, 319. Bulletins bibliographiques, ' )75, 319, 468. Champ visuel (Epreuve électro-
DES MATIERES. 471 Mandée- et aliénation mentale, par Schulle, 96. ' Médecin expert et exclusion du libre ai-bitre
J. Voi- sin, 94. Surdité verbale (étude clinique), par Arnaud, ' )77, 366. Surveillance (installation des quart
(Gilles de la), 305, 381. Voisin (Jules), 94, 354. Westphal, 235. ' * Wilkowski, 114. EXPLICATION DE LA PLANCHE
41 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
e long d'un talus finissant dans la rivière. En déchargeant sa voi- ' tur la terre s'éboula sous ses pieds et il tomba
int du corps de traces visibles à l'oeil nu d'atrophie musculaire ! ' Les avant-bras donnent des résultats identiques
rogressif du membre inférieur et du membre supérieur du côté droit; ' Enfin des troubles Irophiques qui ont pour sièg
s c'est à la main droite que l'éruption se produit le plus souvent. ' Ces divers troubles, faiblesse des membres du c
aucun point une saillie anguleuse d'un ou de deux corps vertébraux. ' Cette déformation n'existait pas, au dire du ma
à la dou1elll' (¡oÏtI'Îre) rt a la l,empél'atllre (challd et froid). ' ; NOUVELLE ICONOGRAPHIE. T. 111. PL. V FACE
L. V FACE PALMAIRE MONTRANT L'ATROPHIE MUSCULAIRE DES ÉMINENCES ' DEUX CAS DE MALADIE DE MORVAN. 13 Les muscles d
sens musculaire n'est pas intéressé. Sens. -Odorat aboli à droite. ' Vision. - Indépendamment du nystagmus que nous
côté droit intéressant les sens supérieurs (vison, odorat, le goût, ' DEUX CAS DE MALADIE DE MORVAN ? ? - 15 Fouie) e
sauf pourtant aux cous-de-pied, car les pieds sont immobilisés dans ' ^l'extension. Du côté des orteils, il y a égalem
spéciale- (froid,; chaleur,- courants continus et inter- mittents). ' . ' ' , ... : - Les réflexes tendineux sont pou
iale- (froid,; chaleur,- courants continus et inter- mittents). ' . ' ' , ... : - Les réflexes tendineux sont pourtan
le- (froid,; chaleur,- courants continus et inter- mittents). ' . ' ' , ... : - Les réflexes tendineux sont pourtant
surtout à l'état morbide des articulations et'de la' musculature. ' Le d"' octobre, on la soumit au traitement suivan
ut à l'état morbide des articulations et'de la' musculature. ' Le d" ' octobre, on la soumit au traitement suivant : ' .
musculature. ' Le d"' octobre, on la soumit au traitement suivant : ' . a. Tous les jours, une' séance de 15 minutes
ontinus (appareil Trouvé de quarante éléments) le long des muscles. ' . Bains sulfureux (durée de 20 minutes), tous l
chez- la petite malade immédiatement après les premières atteintes. ' 3" L'étiologie. - Antécédents héréditaires, art
nt, mais il se reproduit avec une grande facilité. » Et c'est tout. ' ) Les ouvrages les plus récents de neuropatholog
nos malades le tremblement se montra ainsi d'une manière si brusque, ' si intense, qu'une personne du service croyant
est jamais adonné à la boisson. Voici comment il est devenu malade. ' Il est employé à la compagnie du chemin de fer
de marchandises. Dans ce fourgon qui fut, paraît-il, mis en pièces, ' se trouvait un employé. Relevé sans connaissanc
ériphérie; les poils se raréfient graduellement, et la peau reprend, ' sans ligne de. démarcation brusque, son aspect
roi rachidienne. Sous la forme où elles se présentent assez souvent, ' ces plaques velues constituent une difformité' a
bligé de les couper à. cause de la gêne qu'ils lui apportaient 4. ' Cn. Féré, ' ' Médecin de Bicèll'c. 1. Ohmann-
couper à. cause de la gêne qu'ils lui apportaient 4. ' Cn. Féré, ' ' Médecin de Bicèll'c. 1. Ohmann-Dumcsnil, Ci
per à. cause de la gêne qu'ils lui apportaient 4. ' Cn. Féré, ' ' Médecin de Bicèll'c. 1. Ohmann-Dumcsnil, Circum
e ces observations sont beaucoup trop compréhensives dans l'espèce. ' Sous ce rapport, M. Charcot a, dans ces dernièr
Ballet et ses élèves, sans oublier les observations de M. Séglas '. ' L'hystérique, on le sait, est un nerveux hérédi
ées et d'autres chez lesquelles l'attaque fait complètement défaut. ' , Aussi nous faut-il tenir désormais le plus gr
Ne forçons point notre talent . Nous'ne ferions rien avec grâce, ' Jamais un lourdaud, quoi qu'il fasse, Ne saur
couverte; nous n'avons ici à nous occuper que de cette dernière'. . ' Un exemple emprunté encore il M. Charcot - et i
t. 11, 1875, p. 3t : l. 72 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ' déré au point de vue mental un peu différemment
sselle, ni de générali- sation visible du néoplasme en aucun point. ' Vers le mois de juin 1889, il y a environ huit
ral la parole est lente et traînante comme i. C.h. Feré, Vo<e SM) ' 'e.forattOM des ))M) ! <MmeH de t )MC, (C. r.
issement sensible des divers segments du membre atteint de parésie. ' Le membre inférieur a une tendance à se porter
nt de la pointe du pied ne provoque pas de trépidation èpileptoïde. ' L'atrophie des membres est peu marquée. La circ
du côté opposé se contracte quel- quefois en même temps (pl. XIV). ' On voit quelquefois aussi le faisceau supérieur
bres 'inférieurs se changer en paralysie. « Il avait cette idée-1 : ' ) en tête ». Tel était l'état du malade lorsqu'i
une officine, un homme vu de dos pile des drogues dans un mortier. ' Le tableau du musée de Munich est plus importan
opinions, nous intitulerons la planche XV : Dessin d'Adrien \BraMwe} ' ; élude pour les tableaux des musées de Vienne et
, les corroborant par les nouveaux faits que nous avons recueillis. ' Nous ne pouvons cependant passer sous silence u
lements; lorsque ceux-ci reviennent, ils sont moins fréquents et sur- ' 1 tout il existe entre chaque bâillement des mo
itude du levier au minimum. - Chaque ligne représente une fraction de ' minute de 32 secondes (une demi-grandeur nature
ts respiratoires reparaissent; peu o " .2 '5' ii z S s 00 ' " · ..= 9'= "S 0"" "= o c en v ? ? == 0
0> - .ji «o 3 : : o 0 - g en n .§ -5 : J g : : » S ' " 0 ? y * r o .5.f " '" " U GO C ;
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ui fait l'objet de cette observation, après avoir été placée c© * ' : 2 ? Y. ' . > o . --t. p O "-0.;
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es remarque 110 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL1'1 : 1'Itll : r.l;. ' aujourd'hui. Pendant cette première attaque, il
légère hyperesthésie pour la chaleur au niveau de la cuisse gauche. ' L'odorat, normal à l'examen, esl, dit-elle, obn
L'odorat, normal à l'examen, esl, dit-elle, obnubilé certains jours ' lorsqu'elle doit avoir sa crise nul. - L'ouïe est
LDITkURS CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES, lit ' La perception des sensations gustatives est notab
du moins, elle est suivie ou précédée de l'attaque de bâillements. ' . , ? , Ce ne sontpoint des bâillements ressemb
uscultation du coeur, la présence d'un très léger souffle anémique. ' III . Les bâillements hystériques peuvent se
jusque-là seulement observés dans les intervalles des accès (Féré). ' Dans le cas de crises, on peut faire intervenir
utre par terre, puis il la ramasse un instant après et l'engloutit. ' Le jeudi et le dimanche,' sans que personne le
amasse un instant après et l'engloutit. ' Le jeudi et le dimanche, ' sans que personne le prévienne, il sait que ses
tal ce jour-là, et attend-il, pour manger,.la visite de sa famille. ' Par moments, il se metà parler puis s'arrête br
d'exaltation théâtrale ou d'extase religieuse, et la verbigération. ' Par contre les attitudes bizarres, qui, au débu
TAXIE LOCOMOTRICE ET DE QUELQUES AUTRES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ' Depuis que M. le professeur Charcot a publié le
bien tolérée deux ou trois fois, les syncopes ne se montrent plus. ' Enfin, dans tous les cas, on aura le plus grand
ERITE, par NICOLAS DE PISE, dans L'ÉGLISE s^-marguerite A CORTONE ' DEUX BAS-RELIEFS DE NICOLAS DE PISE. 135 manife
r des preuves plus convaincantes à l'appui de cette identification. ' Ce sont ces preuves que représentent les deux o
e l'une et l'autre de ces autopsies se rapportent à des cas récents, ' car ce dernier examen a eu lieu deux ans seulem
ement retenus aux point de vue de l'étiologie de l'acro- mégalie. , ' , Antécédents personnels. - Alphonsine Prev...
pas de matité rétro-sternale telle qu'elle a é.té signalée par Erb. ' Rien d'anormal à noter du côté de l'appareil di
leau des principales men- suration pratiquées chez Alphonsine Prev. ' i 52 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIËRE.
née ; 3° L'affection paraît revêtir alors une marche plus rapide. ' Dr IL SUR111ONT, Chef de Clinique à la Faculté
même côté. Signalé pour la première fois en France par M. de Wecker ' il avait déjà été observé en Angle- terre par M
s Gnnn et en Allemagne par IIelfreich, Fuchs, Fraenkel 3, Bernhardt ' , Uhthoff', et enfin par Bull °. Cette associati
clt., 1861, n° 16.- Deulsch. Idin., n" 16. ? ,Vonf ! h&<ft«c) ' ,p. 183). 158 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S,1LI'
ent est-elle quelquefois désignée sous le nom de signe de Stelhuag. ' z Mais, dans le goitre exophthalmique, la rétra
sence dé syner- gie dans l'abaissement de l'oeil et de la paupière. ' En dehors du goitre exophthalmique et des cas r
ion notable e et il est actuellement assez facile de. l'étudier.. ? ' , ' Il ne présente aucun des troubles viscéraux
notable e et il est actuellement assez facile de. l'étudier.. ? ', ' Il ne présente aucun des troubles viscéraux qu'
olument différent, presque continue et fort gênante pour la malade. ' . Etat actuel (avril 1890).' Extrémité céphaliq
par la saillie considérable de la paroi supérieure de l'orbite. i ' Les yeux sont un peu saillants. Les paupières son
plus que l'instabilité des mains et les troubles de la marche, les ' troubles du langage ne sont dus chez les paralyti
)a sécrétion du mucus, tout en y provoquant, par une action réflexe, ' l'hy- peractivité du champ sécrétoire. Mais q
nue ses propriétés vivifiantes en diminuant le champ de l'hématose ? ' ? Quelle qu'en soit la cause, cette action noci
Impimcrirn vunic, B, rue Mignon, n - et lloi eEnOt, nlirn·Ucure. - ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE DE L'
atteignit successivement les différents muscles externes de l'oeil. ' ' ., 'l, j Meyer a fourni la première et jusqu'
teignit successivement les différents muscles externes de l'oeil. ' ' ., 'l, j Meyer a fourni la première et jusqu'ic
3. )'. Meyer, Soc. de méd. de Strasbourg (Bulletin médical, 1888). ' DE L'OPIiTIIAL1V10PLÉGIE EXTERNE. 189 ment pa
2). 3. Fr. \ramer, Op/¡//¡almoplegia externa complicaling a case o/ ' Graves disease (Med. chir. trans., vol. LXVI, p
se o/' Graves disease (Med. chir. trans., vol. LXVI, p. 107, lSS3). ' 4. S. firistowc, Cases of oplrllhalmoplegia, co
itiés de la moelle, le côté droit est plus intensément intéressé. t ' y Le faisceau pyramidal est atteint d'une scl
'i8 mars. - Pas de diarrhée depuis quelques jours. État général m. ' 14 ? 0° NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S.VL1 ? fRI
in droite, la température de la main gauche a monté de 33° à 33° 6. ' 23 décembre. - Dans l'après-midi d'hier, la mal
l'articulation scapulo-humérale, on POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES. ' M7 obtient une crépitation qui indique une arth
Ic B Brissaod.) Fic. 59. Communiqué par M. le Dr Brissaud.) 208 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. la sal
it obligé de pousser, d'attendre, de s'y prendre en plusieurs fois. ' En même temps apparurent les premiers troubles
deux yeux et de leur innervation commune pour un même mouvement. ' \ Chez notre malade il s'agit d'un trouble du mê
est d'ailleurs pas absolument nécessaire, se manifestent toujours par ' , une hémiplégie alterne, ainsi que Gubler l'a d
irurgiens polonais une communication sur la scoliose neuropathique. ' Depuis ses premières observations, M. le profes
availler en bras de chemise et même en maillot. Plusieurs fois III. ' - 16 ' 231 Í NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA Salpêt
r en bras de chemise et même en maillot. Plusieurs fois III. ' - 16 ' 231 Í NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA Salpêtrière.
tion. En ce point existent quelques sillons transversaux cutanés. - ' . Les deux membres inférieurs ne sont pas paral
cuisse), dans une attitude favorable à la diminution de la douleur. ' Le pied du côté droit repose sur le sol par tou
tion (diaphragmé, viscères thoraciques) parla déformation du tronc. ' En dehors de cette sciatique déformante, le mal
mais dès qu'il a fait quelques pas elle reprend son degré primitif. ' 1 Le 6 février 1890, il est renvoyé du service
arlé d'affection osseuse des vertèbres et porté un pronostic grave. ' 238 NOUVELLE ICONOGRAPHIE E n ELA S ALI' ln n 1
it. La fesse présente toujours la même gouttière large et profonde. ' En résumé, au point de vue de la sciatique, si
ée, et les drastiques rendent des services dans les cas de stupeur. ' ' L'intoxication bromique en général est plus e
, et les drastiques rendent des services dans les cas de stupeur. ' ' L'intoxication bromique en général est plus eff
PL XL PHO'IOTYP6 NtGATi1' A. LOND6 PHOTOCOLLOGRAPHtECHLEEïLONGUCT ' ÉRUPTION BROMIQUE LECROSNIER & BABÉ NOUVE
xLi PHOTOTYPE NSGATIF A. LONDE PHOTOCOLLOORAPHL6 Chêne ET LONGUET ' ÉRUPTION BROMIQUE LECROSNIER & BABÉ - ÉDI
EPSIE INTESTINALE. 271 Tableau XX POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES ' Travail du Laboratoire de M. le professeur Char
1. Voy. les n™ 4 et 5, 1890. POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES. 273 ' Dans notre observation, l'affection a débuté insi
intéressants par eux-mêmes, en dehors de leur valeur diagnostique. ' Ce sont l'état général grave, le délire, les oe
misère ni les privations; elle n'a jamais habité de chambre humide. ' A vingt ans, elle se marie; elle n'a pas d'enfa
tion d'éléphantiasis l'expression de maladie « locale et localisée » ' , que lui donne M. Besnier. Il s'agit donc de
tement à la suite d'une série deparoxysmes suc- cessifs, etc., etc. ' Elle présente cependant quelques particularités
e du moteur-oculaire droit, tout près du plancher du 4e ventricule. ' ' . ' Certes, si nous n'aviolls pas eu les phén
du moteur-oculaire droit, tout près du plancher du 4e ventricule. ' ' . ' Certes, si nous n'aviolls pas eu les phénom
oteur-oculaire droit, tout près du plancher du 4e ventricule. ' ' . ' Certes, si nous n'aviolls pas eu les phénomènes
re LlI/UIIUn[) des Abducens und Pol ! Jurie (Deulsclte med. 11'oc/e., ' n° 30, 1885, et Ilea. des se. méd., t. XXVIII,
est atteinte d'une paralysie de la 6e paire droite avec diplopie.. ' Au printemps de 18-16, double ptosis et faibles
r mourir d'une syncope en février 1880. On ne put faire l'autopsie. ' Pendant toute la durée de la maladie l'iris et
santé générale est intacte. L'examen des yeux pratiqué par M. le D' ' Parinaud donne les résultats suivants : Ophth
rJlil;mv. (A suivre.) ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ' 1 ICONOGRAPHIE PHOTOGRAPHIQUE L'Atlas dont no
RÉGION DORSALE INFÉRIEURE ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE ' T 111 PL L SYRINGOMYÉLIE (RENFLEMENT LOMBAIRE
hie musculaire progressive), par Guinon et I'armentier, 185, zut89. ' « Nicolas de Pise (Deux bas-reliefs de -), par
, 70, 71. 1. Suspension (Appareil à - du D' Motchow- kowsky), .5. ' Stéatopygie chez les femmes boschimanes, 11,
42 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ons de sue thyroïdien. (Session de Pau, 1892,1r8 partie, p. 292.) ' La malade qui a reçu le moins d'injections était
se. La température rectale du malade prise avec soin à diverses , ' Nous prenons la température rectale des malades,
ouls est descendu à 60. 6 juillet. Urine : 500 grammes. Pouls : G0. ' 7 juillet. - La température s'élève de nouveau
nte, le malade est moins engourdi- Pouls : 90. Urine : 500 grammes. ' 28 juillet. - Bien que la médication soit suspe
ation III. IDIOTIE MYXOEDËMATEUSE. , , Enfant naturelle. Père sobre, ' caractère sournois; renseignements- , insuffisa
ment à la face; elle est douce au toucher et n'offre pas, quant il ' Note de M. le D' Bouvet, médecin-dentiste à l'hos
à causer un peu avec tout le monde et fait des petites réflexions. ' 5 juillet. Le traitement a été suspendu depuis
s le jugez nécessaire. » Puis il s'est relevé complètement guéri. » ' i Le D'' R. Petit, ancien interne des hôpitaux
nécessaire. » Puis il s'est relevé complètement guéri. » ' i Le D' ' R. Petit, ancien interne des hôpitaux de Paris, p
oir volé M. Quesneville ; quant aux circonstances dans lesquelles ' Ce rapport a été publié in exlenso dans le n' 14
esneville a envoyé chercher des agents et on m'a arrêté. » , 1 32 ' - MÉDECINE LÉGALE. Le système de défense adopté
s à partager à cet égard la manière de voir de notre confrère, le D' ' Dubuisson. ' En résumé, nous dirons pour conclu
à cet égard la manière de voir de notre confrère, le D'' Dubuisson. ' En résumé, nous dirons pour conclure : Delann
ngtemps la science. Delannoy a été condamné à quatre ans de . V ? ' - " .'y ? ANATOMIE PATHOLOU ? COMMENT DÉBUTEN
avec disparition sur ce point des cercles concentriques normaux; ' Congrès des Aliénistes el Xe 11l'oloflisles. Cler
façon à offrir sur les coupes des figures tout à fait singulières. ' On sait que, sur la coupe transversale d'un tub
s micrométrique, on constate facile- ment que toutes les parties du ' ^cylindraxe ainsi contournées, ne sont pas sur l
nous une manière de se détruire du tube nerveux et de la cellule ' Contribution ci l'ancelonaie pathologique de la p
à des foyers cérébraux; elle se montre dans les scléroses combinées ' , elle existait dans les observations de Minnich
ndement des symptômes de la maladie de Graves (Scanes Spicer). Le D' ' Stoker a cité un cas de goitre simple avec poly
ET névroses; par H. SUINT. (NU1'oloa. Ccnt'cc161., XIII, 18rJ4.) ' Méthode chimique de Pfeiffer. Examen de 24 malade
SCALLT. (Journal of Ncruous and Mental Diseases, juin 1874.) Le D' ' Memom donne le somnal à la dose de 3 à 5 grammes
du malade qui guérit par le trépan (méthode de Horsley). A. M. 60 ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 111. DE la RfiOJIALIi'O
ymus. A. 11. V. Traitement familial DES aliénés en Ecosse; par le D" ' H1GGS. Relation intéressante d'une visite aux l
roïdien, son histoire ET son emploi en médecine interne; par S.-J. - ' ¡ETLZER. (The-New 1'01'" médical journal, 25 mai
par S.-J. -'¡ETLZER. (The-New 1'01'" médical journal, 25 mai 1895.) ' Après avoir débuté par un historique bien fait
rois "cas, la médication thyroïdienne donne d'excellents résultats ; ' mais l'auteur s'occupe surtout ici du myxoedème
ion de la province aux criminels aliénés. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. ' 67 En 1887, le ministre de l'Intérieur de Pruss
n de Tapiau. Les frais sont évalués à 130,208 11. P. Sérieux.. 68 ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. XIV. Traitement CBIUUII
n; guérison; par J.-T. );srRIDGE et F.-r.lllAC-1.UGnT. (The New- Yo¡ ' /i Médical Journal, 1er juin 1895.) . Le sujet
observée : elle débute de deux manières; la première forme de début, ' qui est de beaucoup la plus ordinaire, est cara
soumis à la moindre pression on le voit sourdre spontanément. 18 ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. Les cas rapportés par l
gent et F. S4om,. (Tlce Neiu- York médical journal, 31 mars 189 1.) ' L'auteur s'est proposé de démontrer qu'il exist
; . B. liénés proprement date. l ç< ? \ IC ? ? c.¿ : l'I, ,13. ' " ? \ si \i,P¡ : T : )1 i : : nl( : " Séance du
mental, le magistrat devrait pouvoir tenir au criminel le raisonne- ' ment suivant : « Votre état mental vous rend irre
plades africaines; l'orateur en cite plusieurs exemples. Le voeu ' D' moelles. Internationale Monalschr. zur Ilelwnt
ntre l'incendie, Adalbertstrasse, G/3, Munich. . Comité exécutif. D' ' Lipps, D'' Schrenck-Notzing, Retter, Parish, D1
ndie, Adalbertstrasse, G/3, Munich. . Comité exécutif. D'' Lipps, D' ' Schrenck-Notzing, Retter, Parish, D1' Fogt, Dr
Université de Munich, Georgenstrasse, 18 ? Secré- taire général : D' ' baron de Sclirenck-Notzing, médecin, Munich, Al
verture du congrès au secrétariat (Munich, Bavière, Alax-Josepbst.). ' Les personnes qui voudront assister aux séances
ouvez-vous pas que le besoin d'un ltobyns français se fait sentir ? ' ! MOEURS anglaises,' tel est le titre donné par
esoin d'un ltobyns français se fait sentir ? ' ! MOEURS anglaises, ' tel est le titre donné par le Petit Pari- sien
,000 litres de bière, et seulement 322,000,000 de litres de vin. Le ' nombre ,des habitants étant de 49,428,470, chaq
Ce fait montre une fois de plus la nécessité d'organiser , VARIA ' 93 dans tous les départements des Asiles-Ecoles
é en deux endroits et neuf côtes fracturées.... - - i .. - t 94 ' 1 FAITS DIVERS. t L'instruction ouverte aussitô
èrent sur un lit. Ni le directeur, ni le médecin ne furent informés, ' ce ne fut que le lendemain, alors qu'on s'aperç
me in-8° de 123 pages. - Paris, 1895. Librairie A. Maloine. Zin[E\ ' (Th.). Leitfaden der 7'/t</6to/w ? t'/<ett
En outre Merc..., notre malade a eu des convulsions en bas âge. '. ' Il est intelligent, a exercé divers métiers et
if- ficile à un observateur de localiser des phénomènes de ce 100 ' CLINIQUE MENTALE. genre dans l'oeil droit ou da
mais un illu- sionné. Pratiquement, et dans certaines circonstances, ' ces deux phénomènes sont plus difficiles à dist
1 Régis. Des hallucinations unilatérales. (Encéphale, 1881, p. 13.) ' Ed. Toulouse. Les hallucinations unilatérales. (R
sion circonscrite du cerveau. (Gazelle des hôpitaux, 1892, p. 591.) ' Tomaschewski et Simonowitsch. Analysé in Neurolog
monowitsch. Analysé in Neurologisclies Cen- tralblall, 1889, p. 22. ' . 106 CLINIQUE MENTALE. mais il y a lieu de s
u du pli courbe fit cesser ces symptômes .morbides. Or toutes ces ' Wormser. Les hallucinations unilatérales. Th. Par
, Lick. Analysé in Neul'Olo,r¡isches Cenlralblall, 1892, p. 329. ' Gowers. Archives de Neurologie, 1891, t. XXI, p.
, p. 329. ' Gowers. Archives de Neurologie, 1891, t. XXI, p. 256. ' Hughes Bennett. The Lancel, 1889, t. I, p. 674.
tion comme une condition essentielle, il conviendrait de préciser ' C'PSt intentionnellement, et pour ne pas compliqu
n terminant, l'auteur s'excuse des lacunes que présente son travail, ' et il exprime une fois de plus l'espoir de voir l
malade était, à l'état normal, sensible aux impressions musicales. ' Dans les cas de « melancholia attonita » toutes
à signaler au point de vue de la législation comparée des aliénés. ' R. M. C. VI. UN cas DE grossesse TUBAIRE sans R
; par John CARSWELL. (The Journal of mental Science, juillet 1894.) ' . \ . Cette expérience relative surtout au mo
leur situation même à la fois plus éloignées de leurs centres tro- ' phiques, et doués d'un degré plus élevé d'organis
dorsalis et de la paralysie ! ! é11hal-&, , . : 1) ? H. 11 .C. ' ¡' ? ' ' ! 1 t 'r S, 1 l ? I' r ? r. \ X. L'opin
orsalis et de la paralysie ! ! é11hal-&, , . : 1) ? H. 11 .C. '¡ ' ? ' ' ! 1 t 'r S, 1 l ? I' r ? r. \ X. L'opinio
lis et de la paralysie ! ! é11hal-&, , . : 1) ? H. 11 .C. '¡' ? ' ' ! 1 t 'r S, 1 l ? I' r ? r. \ X. L'opinion co
s et de la paralysie ! ! é11hal-&, , . : 1) ? H. 11 .C. '¡' ? ' ' ! 1 t 'r S, 1 l ? I' r ? r. \ X. L'opinion cour
The Journal of mental Science, octobre 1894.) Les recherches du D' ' Andriezen ont été publiées dans le Brain de 189
ue - e) Troubles somatiques ; f) Lucidité habituelle et angoisse. ' Cet ensemble de symptômes constituerait une entit
du pneumogastrique. (American journal of insazzity, octobre 1894.) ' E. B. XXVIII. POIDS du corps ET aliénation ment
- quence première une modification du tonus psychique soit en - ? ' " , ? 1- ? ; 1 : : ° 1S3 J REVUE DE PATHOLOGIE M
en - ? '" , ? 1- ? ; 1 : : ° 1S3 J REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. : ' ;t : t ; plus,(états maniaques), soiten moins (
ologiques (autopsies, examens histologiques et bactériolo- giques). ' Il convient, de plus, que le chef de service fa
les si on les compare à ceux de l'internat des hôpitaux'. M. le D' ' Bourneville, dans un Rapport sur le service des
les portes des asiles d'aliénés à des élèves qui, pour cette double ' raison qu'ils sont habituellement au début de l
habiles ouvriers ? Comment qualifierait-on ce travail de Pénélope ? ' ? l'internat DES asiles d'aliénés DE la SEINE.
d'aliénés, le ministre com- mentait ainsi l'article 54 du Règlement ' : « J'appelle toute votre attention sur le choi
« médecins des asiles publics d'aliénés que des élèves y ayant fait ' " Art. 5 ? Les élèves internes sont nommés par le
appartenant par droit de concours à « l'administration des hôpitaux, ' rien ne les liant à la position « qu'ils occupe
1 Il n'a d'ailleurs pas toujours été tenu compte de cette règle. ' Législation sur les aliénés et les enfants assist
ans les bureaux du commissariat de police du quartier Clignancourt. ' « Il dit d'une voix fébrile : Je me nomme Gasto
la main et en asséna sur la tête de son mari un coup très violent. ' « M. Ythier, malgré la grave blessure qu'il ven
96. Vol. I. Mars 1896. N° 3. ARCHIVES DE NE Ir T " f% 'r 1% il 'F ' " ANATOMIE PATHO ? u ? CONTRIBUTION A L'ÉTUDE
istincte des cellules des cornes antérieures de la substance grise. ' C'est M. le professeur Iiorsalcow3 qui démontra
se. ' C'est M. le professeur Iiorsalcow3 qui démontra dans sa mo- ' Degeneration der Goll'scletz S/range bei einem l'
ow. De la paralysie alcoolique, thèse de Moscou, 1887, p. 300, 301. ' , Idem, p. 307. ' Archives, 2e série, t. I. '
alcoolique, thèse de Moscou, 1887, p. 300, 301. ' , Idem, p. 307. ' Archives, 2e série, t. I. ' 12 178 s ANATOMIE
887, p. 300, 301. ' , Idem, p. 307. ' Archives, 2e série, t. I. ' 12 178 s ANATOMIE PATHOLOGIQUE. nographie bie
s visible dans les racines postérieures que dans les inférieures. ' Prof. Kojéwnikow. De la paralysie alcoolique. Wes
permit pas de faire une plus exacte auscultation et une percussion. ' Après quelques jours de l'entrée du malade à la
sultats est le suivant qui m'a été communiqué par M. le Dur Roux. ' Les corps thyroïdes doivent être enlevés sur l'an
d'une manière uniforme. En se conformant aux indications de M. le D' ' Bra qui adopte comme moyenne des divers titres
omme de la viande crue. C'est à ce mode d'admi- nistration que le D' ' Marie donne la préférence, il présente d'après
n trouva, à l'autopsie, une inégalité marquée des deux hémisphères. ' Si l'on recherche sur quelles preuves cette thé
ilatés et REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 211 I ' contiennent un excès de liquide. L'épendyme ventr
senta des signes de phtisie et mourut de tuberculose péritonéale. ' A l'autopsie : crâne asymétrique, plus volumineux
parésie ou la rigidité des muscles. > li. de 'I\IUSGRAVE-CLAY. ' 1ô REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQU
âchement involontaire des sphincters et de con- vulsions cloniques. ' Inflammation pyo[Jénique pU1'enc ! ty¡¡¡atellse
t : fuseaux, coiffes, cônes, selon les dessins qu'elles figurent. · ' Ce sera la meilleure terminologie pour les élém
a la forme d'un triangle à base vers le pied du pédoncule cérébral, ' à angle dirigé vers l'aqueduc de Sylvius c'est-
de l'autre côté il y a des vaisseaux très fins qui établissent une ' communication entre le vaisseau médian d'un côt
rs terminaisons A L'éc \Rd d'une même excitation; pal' 111.LEVy-DoR¡ ' ¡. (Centralbl. f. Ne1'venheilk, XVII, NF. V. 189
Neroenkrank- *,heiten-, t. XXVII, 1, 3, 1895.) L'âil,téüï' étudié ' trois malades chez lesquels les opératious intel-
as de ce genre n'a été publié jusq ? i,c ? t : r ? 11>.;......" - ' .xi ' r'r ? t ? / ? * Lwoff. - £ ,0 l ' P ? I
ce genre n'a été publié jusq ? i,c ? t : r ? 11>.;......" -' .xi ' r'r ? t ? / ? * Lwoff. - £ ,0 l ' P ? I'I1Ji
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PIiTALM f Cl r .... ? DIENS DANS UN CAS DE GOITRE EXOPHTALMIQ 'Ii.¡ ' ¡.i\fl'<Cbofl ? \ ? On s'accorde à considérer
D' PAUL SÉRIEUX, Ancien interne des Asiles d'aliénés de la Seine, ' médecin-adjoint à l'Asile de Villejuif. Examino
ons- tans, Lunier et Dumesnil. Paris. Imprimerie nationale, 1878. ' A Charenton, et dans nombre d'asiles de province
Traité des maladies mentales. Paris, 1838. 244 - asiles d'aliénés. ' encours de l'internat des étudiants à huit insc
isation libérale dont nous avons montré les résultats favorables. ' Il y a tout avantage, disent les inspecteurs géné
concours sur titres pourrait être organisé. 246 asiles d'aliénés. - ' dues, leur traitement augmenté. Ils échangeraie
de voir renaître en France le goût des études de psychiatrie 3 ? ' On s'est demandé, à diverses reprises, s'il ne co
ieux que toutes les « visites « et « contre-visites » du règlement. ' M. Bourneville défend depuis longtemps une idée a
l'asile d'idiots de Dalldorf. (Krayatsch. Reise- btricht t<6e ? ' die Besuche einiger dcutscher Idioten nlastaltez.
. - Les veines caves ne présentent rien d'a- normal. Le cas : ; ? ' débarrassé des caillots adhérents apparaît couver
uées, elles sont pratiquement indemnes de tout risque de mortalité. ' R. 11. C. 1 XXXIX. Abcès du cerveau; parN.-B.
jamais cessé d'être sous l'influence REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 265 de l'alcool. A neuf ans il commença à fumer
l'hypoglosse adroite, dégénérescence légère des noyaux adjacents, ' dégénérescence complète du faisceau respiratoire.
à forme céphalalgique : il est remarquable par la longue durée du ' symptôme céphalalgie sans apparition ultérieure d
e, on ne peut s'empêcher de remarquer que ce n'est pao là la règle. ' Dans les cas d'Adamkievicz, de Wieting et de l'
fiir Psychiatrie und iYo'venk1'al1kheiten, t. XXVII, 1. 3, 1893.) ' Parmi les troubles de la sensibilité, l'hypesthés
rrurlîveau, exactement comme dans les obsessions^ ? P. IiElch ? " ' ;, l' H.Pt : I'Jui'l) ? r 110 ? z 1 XIT Sun LA.
1E ? (S,,LA PARALYSIE' rA(f[.\.LE 1,Xl". SUR LA RECIDIVE ET LA DIPL¡ ' ;G1E '\ ! '\19.S,L,\ p.lnALYSll' : P Ctl,l ? E r
S,,LA PARALYSIE' rA(f[.\.LE 1,Xl". SUR LA RECIDIVE ET LA DIPL¡';G1E ' \ ! '\19.S,L,\ p.lnALYSll' : P Ctl,l ? E rhumati
PARALYSIE' rA(f[.\.LE 1,Xl". SUR LA RECIDIVE ET LA DIPL¡';G1E '\ ! ' \19.S,L,\ p.lnALYSll' : P Ctl,l ? E rhumatismale
. LXIV. UN CAS D'ARTHROPATHIE DU GEKOU, DlLATÉnALE ET SYMETRIQUE; ' par les D''s Glorieux et VAN GP : IIUCiITE\. Be
cholo- giques, mai 1895). E. B. 292 , REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. ' IV. Les MESURES législatives CONTRE LES DITS déli
, avril f 89). E. B. VII. LES aliénés ET LE droit civil; par le D' ' L. DERODE. (Bzlll. de la Soc. de Médecine Ment,
pourrait être trouvée dans l'influence combinée de la situa- 296 ,~ ' ` . SOCIÉTÉS SAVANTES. tion et dé la forme part
t dé la forme particulière d'amnésie (amnésie continue, antérograde) ' qui existent chez ce malade. Cette observation
etit nombre d'exemples de troublés de la mémoire liés au paludisme. ' M. JANNET critique le terme de fausse mémoire.
uant à des maléfices de ses persécuteurs, on illusion de déjà vu. ' M. BRIAND.- Quand vous lui demandez quelle va êtr
it assister pour la seconde fois, quelle terminaison lui donne-t-il ' ? M. ARNAUD. - Il me répond invariablement que
-vx SOCIÉTÉ D'1\'l'li ? kÿ ? LOGIL;" «.* \<ï £ J «^S CM AtO^- ' " LE CERVEAU DU MOUFLON; par le professeur Bened
M. J. VoLAN. (The Journal of Mental Science, octobre 1894.) Le « ' \Vll1'l¡ho¡ise », institution de charité paroissia
rielle D'UN asile d'aliénés moderne; par KRAYATSCH. (./tt/t)'6MC/t6) ' sur Psychiatrie, t. XIII, f. 2, 3, 1895.). L'
n fer. Pas de grilles. Le tiers supérieur servira à la ventilation. ' Dortoirs. - 25 mètres cubes par lit. Ventilatio
la méthode DE LIBERTÉ ET SON APPLICATION A VILLE-EvR.\RD ; par le D' ' l\JARAND0N DE MONTYEL. Au moment où le Consei
possibilité de cette méthode, ni sur. son efficacité. Mais une objec- ' tion était à prévoir, c'est que ce qui peut se
f. Psychiatrie, f. 1 et 2, 1895.) P. Sérieux. 1 1. 1 BIBLIOGRAPHE ' \ ? \i ¡t ! "1 dt) Li.. * : . : III. Les névro
mé le résultat de cette enquête dans le tableau ci-contre (p. 317). ' Eu ce qui concerne les écoles maternelles, sur
l'honneur de faire la délégation cantonale du Ve arrondissement. ' On voit qu'à Londres on n'hésite pas à préparer d
xcep- tionnelle à partir du 1 ? février 1896 (19 février) ; M. le D' ' PICHENOT, médecin en chef de l'asile de Montdev
gues, est élevé à la deuxième classe du cadre (19 février); M. le D' ' Bonnet, médecin-adjoint de l'asile public d'ali
de Levallec, est nommé à la même qualité à l'asile public de Blois. ' 1 MM. les rapporteurs qui pourront envoyer leur
C'est avec peine QU'OI/Pl1t la dégager; les apents la conduisirent " ' 'dansune....pharmacie'et, de là, chez M. Duranton
e 119 pages. - Valparaiso, 1895. - Imprenta y litografia central. 0 ' GARNIER (F.). - Barbe Buvée, en religion, soeur
° de 24 pages. - Valparaiso, 1894. - Imprenta y litografia central. ' R.1Y3(OND. - Clinique des maladies du système n
ges, avec 103 figures et 2 planches hors texte. Prix : 16 francs. ' Le rédacteur-gérant : Bourneville. Evreux, Cli.
r l'hospitalité qu'il m'a donnée dans son laboratoire, et à M. le D' ' Nageotte pour l'aide qu'il m'a porté et pour ses
(c). Fig. 4. Nerf de la peau dégénéré, pris à la région oedématlée. ' l'ill. 1, 2 et 3. - Grossissement de 75. Fi.
fièvre typhoïde évolue avec des symptômes graves adynamiques et l' ' tous les signes cliniques classiques. La températ
mme un halluciné avec des idées de persécutton et de grandeur. Le D' ' Bauer examina le pri- sonnier, mais il ne trouv
ncier et de les classer. On peut cependant, dès le pre- mier abord, ' diviser les persécutés en deux grands groupes : l
r ces types comme des esp1 £ i ? Ù ? 111nctes.» ? t ! R 1\1" C : . ( ' ,I ? , ? '; t 6,1 \ S ! rU'Ht ? t XXXHI. Rech
comme des esp1 £ i ? Ù ? 111nctes.» ? t ! R 1\1" C : . (' ,I ? , ? ' ; t 6,1 \ S ! rU'Ht ? t XXXHI. Recherches coll
i-stupeur, de pseudo-catalepsie avec conservation de la conscience. ' Chez la deuxième malade, au lieu de voir la fol
i'1ues, déc. 1895.) E. B. LVI. La folie chez LES nègres; par le D' ' BABCOCK. Sous le nom de nègres, l'auteur compre
. 1893.) E. B. ,- ? \.y J ? 'ICVI ? DE PATHOLOGIE NERVEUSE. c.. ' \... ? LXI. DEUX cas DE TUMEUR DU canal rachidie
es douloureux. Anesthésie remontante jusqu'à la huitième vertèbre ' Ces figures ont été mises à notre disposition par
ENY. LXII. SURDITÉ ET aphasie hystériques chez UN homme; par le D' ' EmoRy SANPIIEAR. Il s'agit d'un homme de quaran
le type Phulpin, elle est subite et passagère dans le type Higier. ' P. IiERA\·.1L. LXX. Contribution A la casuistiq
V. Deux cas d'abcès cérébraux ; par \I11. BARIiAU etIliRSCHFELDER . ' (de San Francisco). (Occidental médical Times, jui
assemblent en la région dorsale de cet organe; puis, de là, gagnent ' Voy. Archives de Neurologie, Revues analytiques.
Les relations des centres entre eux ou avec la périphérie ne sont 1 ' ^pas^dçs' rapports d'activité à passivité ; le po
çs' rapports d'activité à passivité ; le point récepteur n'est nul- ' ..Sèment passif par ? rapport à celui d'où part l
elle b\aimt,r1.a. vie est aquatique ? ÿ)\3\ lll<\ £ .E ? \., ; ' ; .. ' u.tJ ? LXXII. Sur LE rLOCcuLus; par A. BR
\aimt,r1.a. vie est aquatique ? ÿ)\3\ lll<\ £ .E ? \., ; '; .. ' u.tJ ? LXXII. Sur LE rLOCcuLus; par A. BR.6'f :
L'auteur a montré en 1892 que les fibres du Ilaciiit ? rt : : veii ' connexion avec les noyaux interne, externe et a
l. BIBLIOGRAPHIE. 407 On voit combien les faits signalés par le D' ' Garnier sont impor- tants à connaître pour le m
. X. Des étals cataleptiques dans les maladies mentales; par le D' ' P. Lr;uairaE (1. Steinheil, éditeur, Paris, 1895)
blissement municipal d'épileptiques de l31csdol·f, près Berlin. 410 ' asiles d'aliénés. Cet établissement est exclusi
Dr.LEU.cNE, prof., de méd. légale, Bruxelles; second rapporteur : D' ' A. BAER, à Berlin.) 3. Tempérament et crimina
préfecture ,de police à Paris.) 5. L'inversion génitale. (Rapp. : D' ' lIAGtTOr, membre de l'Académie de médecine, à P
tation des testaments et des faux témoignages suggérés. (Rapp. : D' ' BLarLr.ov, à Paris.) 5. Le diagnostic de la « M
criminel-né, selon les sexes, les âges, les types, etc. (Rapp. : D' ' Lounnoso, prof. à Turin.) 4. Dans quelles lim
rl;.) VARIA. 415 S 3. Education des fils de criminels. (Rapp. : D' ' DE BAETS, à Gand; abbé DE BaTS, à Gand.) 4. L
annoncés. Le rédacteur-gérant : BOURNEVILLE. Evreux, Ch, HÉRI55E\ ' , imp. - 596. Archives DE Neurologie, ;898, T I
loin les détails de sa struc- ture en étudiant ses dégénérescences. ' : Ce que nous savons actuellement de la physiol
énérescence ou mieux l'atrophie rétrograde dans sa forme typique. ' Revue de Méd., janvier 1895 et numéros suivants.
cons- tater cette dernière lésion au début de la paralysie générale ' . Au point de vue pathologique les prolongement
vague, mais elle est néces- saire dans notre ignorance actuelle. ' Travail en collaboration avec le Dr Azoulay. (.1t
le la section est faite paraît en tout cas jouer un cer- tain rôle. ' Quoi qu'il en soit, les dégénérescences walléri
en- drites du second neurone. Ce second neurone (téléneurone) est ' Dans une chaîne de neurones, on nomme archiueuron
déformés que par des rétrac- tions. 3° En supposant que les deux ' neurones précédents soient LES NEURONES. 429
neurone à neurone que nous avons éta- blie pour le système moteur. ' ' Bulletins de la Soc. méd. des hôp., 1893. Con
rone à neurone que nous avons éta- blie pour le système moteur. ' ' Bulletins de la Soc. méd. des hôp., 1893. Congrès
et de l'association. Ils ont des collatérales qui Leçons inédites. ' LES NEURONES.. 1 439 se terminent de la même
natomie et en physiologie / sont encore fort restreintes. M. Flatau ' , dans son remarquable mémoire sur le neurone, p
rine se rétrécit à partir de la pointe de ces os. Le reste du tronc ' En 1896, la circonférence du cou est de 31 centim
'. Les muscles deltoïdes, biceps et triceps brachiaux forment des ' Les lésions ont toujours été beaucoup plus étendu
r, au tact et à la douleur au niveau de la face dorsale des doigts, ' Nous avons rédigé tout cet état actuel d'après le
nvier. La nuit a été bonne. L'oedème a diminué, T. R. 38° et 38°,4. ' 20 janvier. Le coude est le siège de douleurs v
ablement symptomatiques d'une sclérose cérébrale, le premier groupe ' d'accidents pathologiques observés chez B... et
t cette période de .huit années. L'hémiplégie s'accompagne en outre, ' comme d'habitude, d'un arrêt de développement d
membres frappés de paralysie. Rappelons que l'arrêt de développe- ' Cette opinion a été confirmée par noire collègue,
eloppe- ' Cette opinion a été confirmée par noire collègue, M. le D' ' CIIAI'UT, chirurgien de Bicêtre, qui a bien vou
qui a bien voulu examiner le malade au point de vue chirurgical. ' Bourneville. Elude sur les al'lhl'opalhies conséc
ouff), p. 249; 1889 (cas de ProufC et Gombault), p. 308, etc., etc. ' Joffroy et Achard. Soc. nzéd. des hôpitaux, 11 ju
e biologie, 5 juillet 1890, et Médecine moderne, 10 juillet 1890. ' Bruhl. Contribution il l'élude de la syringomyéli
e la contractilité muscu- laire nous avons suivi la méthode de Erb. ' MEMBRE SUPÉRIEUR GAUCHE 468 RECUEIL DE FAITS.
u sang sont restés négatifs. J. S. 480 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ' LXXXIX. RECHERCHES expérimentales sur L'INFLUEN
BASSE-SAXE ET DE WESTPHALIE. Hanovre, le, mai 1895. Présidence du D' ' GctsTENBCRG. M. Bruns (de Hanovre) présente un
i, 479. PORENCÉPIIALIF. Un cas de -, par Conolly Norman et Fraser, ' 205. Possédés du diable, 319. Por ? Mal de -
rs, 49. BalTus, 146. Ba ry, 368. Batty-Tuke, 205. Bauer, 335. ' Baum, 291. Beadles, 222. Bechterew (de), 54
OLLABORATEURS. joui Hermann, 147. Herringham, 47. Herting, 392. ' Hess, 368. j Higier, 369. Hillenberg, 356.
re, 399. Mayor, 474. .Nlei,7e, 146. \leiôe, 142. I Memon, 59. ' Mendel,403. lenzies, 300. Mercier, 395. M
43 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
ures que nous avons cru devoir placer sous les yeux des lecteurs. ' III.l;nfa71t.srohre.s et valides, imbéciles, ar
us les formes les plus diverses en m a; *a> u 3 ir. 'C " ' " V '" ? c ta '" : ... 0. 1) : - ...,
rmes les plus diverses en m a; *a> u 3 ir. 'C " '" V ' " ? c ta '" : ... 0. 1) : - ..., '" ?
diverses en m a; *a> u 3 ir. 'C " '" V '" ? c ta ' " : ... 0. 1) : - ..., '" ? - « 2 " 5 W
u 3 ir. 'C " '" V '" ? c ta '" : ... 0. 1) : - ..., ' " ? - « 2 " 5 W n c c 1180 0. *j to C 4)
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c - '" ^ 2 '" - 3 S 0"" S 3 to e3 - S s '" l 5 a ce ' " cl : ;1 es o o o to "3 ? OUT ..., 5
ce '" cl : ;1 es o o o to "3 ? OUT ..., 5 . ........ ? ' « 3 " ë U d ? 2- £ , Co) « Il - Q 6
'asile de Nee- - viligardcn (Norwègc), Decroix, pharmacien, le Dr ' Dol)sa, de Barcelone, le Dr Kroug, de Pétersbourg
e Dr B. Semiclaloff, de la clinique psychiatrique de Moscou, le D' ' Subotio (Serbie), le D1' Voi5lau (Serbie) et le D
Çu <-i Vf. »- sr f H m. r-, 02 ET El rv u © £ T î- , £ t ' O ce- OJc 7' · m - 5 V 8 .. 3, a ^ CD
E' c : : n n w ! . y ; '. S · . ce * JTJ . 13 ! 3 K> ' O : 1 . 13 . · S .. ? 7. a : > >d
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ient l'inconvénient de se déplacer dans les mouvements des enfants. ' Maladies éhiclénirjzces. L'enfant Duth... est
r te H 3 > a r M ci a t7 en en w 0 : : = ' H en en Personnel DU service. LI enfant
-Il restait à la Fondation 13l enfants se décomposant ainsi : LII ' FONDATION VALLÉE, III. Construction d'un bâti
du rapport de M. le Dr Bourneville sont adoptées par la Commission. ' 9° Il n'est pas question de l'éclairage artific
atique de microcéphale ou idiotie microcéphalique ; .... : ...i ; ? ' ,-j ' 3° Idiotie symptomatique d'un arrêt de dé
de microcéphale ou idiotie microcéphalique ; .... : ...i ; ? ' ,-j ' 3° Idiotie symptomatique d'un arrêt de développ
ne cstd'une minceur considérable, 0,001 mm. à0,0015. Le côté gau- ' clic est nettement plus épais que le droit, sans
de l'écorce cérébrale. Corps thyroïde : 10 gr. Traces de thymus. ' Loui... Joseph est né à Paris le 10 mars 1883 (
la pie-mère. - Adhérences nombreuses de la face interne des lobes / ' )'on- Fig. G. - ODS. IV. 26 IDIOTIE. taux.
. -Crispations des mains. Gâtisme, - Congestion pulmonaire. Mort. " ' . ' ' AUTOPSIE. - Pas d'adhérences de la pie-11
rispations des mains. Gâtisme, - Congestion pulmonaire. Mort. " ' . ' ' AUTOPSIE. - Pas d'adhérences de la pie-111ère
spations des mains. Gâtisme, - Congestion pulmonaire. Mort. " ' . ' ' AUTOPSIE. - Pas d'adhérences de la pie-111ère;
rsistant (10 gr). ? Corps ilyroïde, 4 r. - G'oiagèstioi pulzotai°e. ' ' -' Gatea.... Emile est né. le 15 avril 1891 (
istant (10 gr). ? Corps ilyroïde, 4 r. - G'oiagèstioi pulzotai°e. ' ' -' Gatea.... Emile est né. le 15 avril 1891 (18
ant (10 gr). ? Corps ilyroïde, 4 r. - G'oiagèstioi pulzotai°e. ' ' - ' Gatea.... Emile est né. le 15 avril 1891 (18 mo
le antérieure, qui persiste, mesure 40 millimètres sur 35 (1 i. 8). ' OBS.VI. - IDIOTIE symptomatique D'UN arrêt DE D
s très nombreux ; affaiblissement pro- 1'essif; hpother1121e; mort. ' " , Autopsie. Adhérences de la dure-mère au crâ
r- tie moyenne de la branche droite de la même suture. Le der- 30 ' IDIOTIE. ` hier de ces os wormiens n'est presqu
pariétales, de l'occipital et de la suture coronale. ! Fig. 10). ' 1 ' OBS. VIII. - IDIOTIE congénitale. SOMMAIRE.
iétales, de l'occipital et de la suture coronale. ! Fig. 10). ' 1 ' OBS. VIII. - IDIOTIE congénitale. SOMMAIRE. Pèr
ents. Attention et affectivité nulles. - Onanisme. Octobre : Toux, ' diarrhée, amaigrissement. 1892. Cachexie tuberc
s de la grossesse. Frayeur légère au lime mois. AccoHchenlCmenl abo) ' )'eu.\'. Asphyxie et déformation crânienne à la
janvier 1889 (3 ans 1/2). Fia. 2'ibis. . - 0 IS - XI bis. 48 < ' ' IDIOTIE. Crâne. - Il est ovoïde avec dépressi
nvier 1889 (3 ans 1/2). Fia. 2'ibis. . - 0 IS - XI bis. 48 < ' ' IDIOTIE. Crâne. - Il est ovoïde avec dépression
sance il. 7 mots Première dent à 9 mois; dentition complète à 2 ans ' /2' Début de la parole il. 1G mois. Bronchite à
Convulsions iL 9 mois. Arrêt de l'intelligence. Scarlatine à 7 ans ' /2' -731'îcltcle iL 7 ans, suivie d'un trembleme
Deshaye... (Eugène) est né à Paris le 20 juillet 1878 (15 ans 1/2) ' ' Crâne. Il est régulièrement ovoïde, son épais
Deshaye... (Eugène) est né à Paris le 20 juillet 1878 (15 ans 1/2)' ' Crâne. Il est régulièrement ovoïde, son épaisse
ncendie. - Granulie. - Mort. Fig. 30. - Ons. Xl\-. 56, : idiotie. ' - AUTOPSIE. - Lésions méningitiques généralisée
rmain, i idiots. - klère, sujette des douleurs névralgiques, très ' nerveuse. Grand-père maternel, excès de boisson.
. Grand . mère maternelle, hystérique. Arrière-grand-père maternel, ' excès de boisson, mort d'une attaque de paralys
s- lucides dans la plus grande partie de leur étendue. Toutes les ' sutures persistent, même lasuture métopique. La f
8 avril 1871 (22 ans). Crâne. - La calotte est mince (un millimètre ' /2 à trois millimètres), facile à scier; un frag
e, très colère; a eu dès attaques de nerfs : Pas de consanguinité ' - Inégalité d'âge de 6 ans. ' . '. Syncopes et
aques de nerfs : Pas de consanguinité ' - Inégalité d'âge de 6 ans. ' . '. Syncopes et attitude particulière de la mè
fosse occipitale gauche est un peu plus Bourneville, Bicêtre, 1893. ' 5 .. ].'1{J.3 ? - 0115. XIX. - lcal"tel\1ent de
e un. peu en avant, sur la suture fronto-parictale. La dure- mère ' n'adhère pas avec le crâne, même au niveau de la
s dentelures sont fines et irrégulières. A droite, iL 4 centimètres ' /a du lambda, les dentelures s'exagèrent et form
ents exercices scolaires dont l'enfant est devenu capable. 76 - ; ' IDIOTIE. OBS. - I. Imbécillité congénitale pron
9 et 1893. OBS. IL-IDIOTIE PROBABLEMENT SYMPTOMATIQUE.DE SCLÉROSE ' CÉRÉBRALE. Sommaire. -Père, nombreux excès debo
ance. Marche à 3 ans. Début de la parole vers 3 ans. - Rachitisme à ' ( ans : séjour à 13e7'ch. Viole7l,ces envers les
seulement. Tournoiement des yeux. Attention diffi- cile à soutenir. ' Feutri.... (Robert Henri) est né le 5 avril 188
pour manger ; ne connaît pas ses lettres, ne sait . pas compter. v ' Perri... (Joseph) est né à Paris, le 27 juillet
pe aux exercices de la grande gymnastique. Passé à la grande école. ' 1887 : Lecture courante, commence la multiplica
près la scarlatine. -Diminution de la paralysie, au bout de 2 mois. ' (1) Nom procédons pour la photographie des hémi
ciné sans succès; il présente 3 cicatrices anciennes à chaque bras. ' Décembre. - Lev.. a fait quelques progrès en le
Sinapismos -Soir : T. R. 3T,9. 5 janvier. - Matin : T. R. 38°. Sot) ' : T. 39°,5. 6 janvier. Matin : T. Il. 38°. Soir
as de matité, T. Il. 38°. -Soir : T. R. 39°. Langue rouge et sèche. ' Ventre non douloureux, pas de diarrhée. . 7 j
es'. bizarre. - Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 8 ans. ' Durant les 6e, 7° et 8° mois de la grossesse, é
semeent intellec- tuel. Onanisme à 8 ans. Traitement par l'hydro- ' thérapie seule, puis combinée avec l'élixir polyb
, du poids, de la . taille et de la puberté durant la même période. ' AUTOPSIE. - Congestion intense des os du crâne,
me) le 1er octobre lasso, estentréà 131cAtre (service de M. 13oUR : ' \EVILLE),le 19 avril t8'JO. Traitement du 13 fév
phy- sionomie est moins bonne. Les accès ont été plus nom- breux. ' OBS. XX. - Épilepsie.. Rous... (Jules), né à
oitié de la, jambe, Bourneville, Bicêtre, 1893. il Fig. 40. 161 ' - IMBÉCILLITÉ. ' ' ? .. qui correspond au fémur
e, Bourneville, Bicêtre, 1893. il Fig. 40. 161 ' - IMBÉCILLITÉ. ' ' ? .. qui correspond au fémur; l'autre moitié
Bourneville, Bicêtre, 1893. il Fig. 40. 161 ' - IMBÉCILLITÉ. ' ' ? .. qui correspond au fémur; l'autre moitié de
63 les chevilles ne se touchent pas. Habillé, le malade s'aide en ' marchant d'une petite canne qui a 46 cm. de long.
mal épileptique; broncho-pneu- monie. - Mort. -Atypie cérébrale. ' IDIOTIE et 'Epilepsie 165 Mont Léon, né le 30 o
, est entré à Bicétre (service de M. BOURNEVILLE), le 19 juin 1891. ' ANTÉCÉDENTS. - (Renseignements fournis par le p
, avec le nombre correspondant des accès qui furent de 32 : t' .. ' AUTOPSIE . M9 avec '38°,5, Le reste de la nuit,
, l'absence de corps calleux ou des hémis- phères cérébelleux, etc. ' I. Cas d'hydrocéphalie simple sans malformation
depuis le mois de mai 1883, il s'est mieux servi de sa main droite. ' 180 Hydrocéphalie : épilepsie partielle. sour
sé. Sourcils noirs et peu fournis. Cils BOURNEViLLE, Bicêtre, 1893. ' 13 194 - Hydrocéphalie : accès épileptiformes.
existe pas de réflexes ( ? ). (fig. 0 et 00) Hydrocéphalie : crâne. ' 207 ble, prépuce long de 2 centimètres. Bourses
ui ? est représenté par une plaque de substance cérébrale offrant : ' l'aspect de circonvolutions mal délimitées et p
d'aspect normal. 'Les vaisseaux et les nerfs de la basé sont étirés, ' milices, atrophiés, mais symétriques et n'ont r
sont étirés,' milices, atrophiés, mais symétriques et n'ont rien de ' nettement z anormal. 212 Hydrocéphalie : ré
cette première catégorie. Fig. 45. 214 . IDIOTIE HYDROCÉPHALIQUE. ' t . Obs. IV. HYDROCÉPHALIE; - IDIOTIE complétée
seaux méningés sont peu profonds et plus nets à gauche qu'à droite. ' '> - 218 Hydrocéphalie : cerveau. région t
ement, ne parait pas être le siège d'une dégénérescence quelconque. ' , - Thorax. - Persistance du thymus (4 gr.). Co
ques adhé- rences péricardiques. Le trou de Botal est oblitéré. , ' Abdomen. - Foie j2fi0 gr.), rien de particulier.
-Tableau - des accès épileptiformes. -Description des accès. Mort ' subite. ' Autopsie. 'Adhérences pleurales. - Po
- des accès épileptiformes. -Description des accès. Mort ' subite. ' Autopsie. 'Adhérences pleurales. - Poumons cong
subite. ' Autopsie. 'Adhérences pleurales. - Poumons congestion- ' nées. Léger athérome de l'aorte. Dilatation ventr
ermes à droite, au niveau de la circonvolution de l'hippocampe. , ' Gren... (Antoine), né le 3 avril 1866, entre le 1
riers qu'il aurait tenu devant les infirmières à diverses reprises. ' 1882. Mat. - A l'école, on a constaté qu'il sai
és intellectuelles. Sa santé générale a été toujours satisfaisante. ' Hydrocéphalie : autopsié. 223' du matin. Il s
Rien d'irrégulier en dehors des dépressions causées par la tumeur. ' - Hydrocéphalie ; tumeur méningée. 225 , Gren
signaler qu'une hernie ombilicale de la grosseur d'une noisette. ' Membres supérieurs non déformés, en état de demi-
ré- sente que de très légers sillons pour les vaisseaux méningés. ' Hydrocéphalie : cerveau. 231. face interne circ
mbrane lisse, incolore, assez épaisse, tapisse cette vaste poche. ' Hémisphère cérébral gauche. La même description
, testicules, estomac, intestins : rien de parti- culier à noter. ' L'alcoolisme du côté du père, les migraines et le
s de la parole, contracture du bras-, ¡ Hydrocéphalie ; observation» ' 233 / gauche ( ? .). Développement anormal de l
roit. Ascarides.- Cauchemar... - Épilepsi.e â 14 azs. - Pneumonie. - ' Mort. t. AUTOPSIE. - Examen de la calotte crâ
taine contracture, rendant l'extension complète difficile et doulou» ' reuse à l'articulation du coude. La main, droit
cale est difficile, le malade se tient incliné à gauche, les genoux ' juxtaposés, les jambes écartées, la hanche droi
mine son décès le 12 janvier 1890. Poids après le décès : 30 kilog. ' Autopsie (13 janvier 1890). Le cuir chevelu est
Inégalité d'âge de 9 ans. Quatre enfants : 1° garçon, mort à 2 mois ' /3 de convul- sions; conformé normalement, tête
le"paraissent normaux; le canal de l'épendyme n'est pas dilaté. . ' . . - , Examen du squelette. Crâne. La calotte
. La circonférence est réduite de 630 mm. à 307. 254 Hydrocéphalie. ' suffisamment compromettante, nous croyons devoi
d'elles les os frontaux ne se sont pas soudés sur la ligne médiane. ' La calotte crânienne représente environ les ? 5
élevé est blanchâtre, d'aspect cartilagi- neux ; il a un centimètre ' /2 de long sur un centimètre de large. Immédiate
dans le tiers postérieur au niveau du pariétal, mais non dans les = ' /3 antérieurs où il est presque complètement uni
une petite fille de deux ans et demi en bonne santé. - Une soeK ? ' , 31 ans, bien portante, ainsi que les deux enfant
he. L'aîné est mort de convul- sions à 5 mois ; notre malade est la ' ;le, le 3e est un garçon de 10 ans et demi, bien
s sont très minces, poreux, d'aspect Crâne ET cerveau. 2.75 ... , ' J membraneux, transparents et rayonnes. Une ban
ie ven- triculaire. Tubercules crétacés. Cavernules. Mat de Pott. ' Charm.... (Emile), né le 23 mai 1875, entre le
al. Le lobe frontal droit est recouvert de taches ecchynmotiques. ' Cerveau. - Hémisphère gauche. - Les circonvolutio
ne paraissent pas, macroscopicluemeut, être le siège d'une lésion. ' 290 HYDRO-SCAPHOCIPHALIE. ploiement disparu.
antité cle liquide hydrocéphalique que contenaient les ventricules. ' OBS. XVI. - 11-1-DROCI"PHALIE SCAPHOCÉPHALIQUE.
ervation; antécédents. 301' .. § III. Hydrocéphalie Symptomatique. * ' - . Cette forme est commune et l'un de nous en
e des rémissions Fig. 59. Face convexe du crâne de Ber... 1 i ! ' Observation. 317 t dans leur marche. La vie a
'elle se rende parfaitement compte du bien et du mal. OBSERVATION : ' '. 343 Elle est onychop liage effrénée. Son int
s ; longueur : 35 millimè- tres. Prépuce long, gland iiiéat normal. ' Juin. - Les notes de classe et d'atelier sont p
rieure débordant l'inférieure. Bouche assez grande. Langue normale. ' Dents très défectueuses, bord libre des incisiv
r à tête volumineuse. Autre soeur morte de méningite. Émotion 358 ' Hydrocéphalie chronique. au 2o mois de la gross
aie, donne toujours des marques d'intelligence. Poids : 8 lui. 400. ' Fig. 08. - Esco... (avec sa mère), vue de profi
s expressif et plus Fig. 7G. - Esco... à l'âge de 3 ans 3 mois. s ' a Z en a » ! » ..., O s : en
ans 3 mois. s ' a Z en a » ! » ..., O s : en 0 ' " ta f1 i> H tl ..., M oo o
44 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
atorium de Bou- Médecin adjoint du Sanatorium ; '' logne-sur-Seine. ' de Boulogne-sur-Seine. Au moment où MM. Gilbert
développé et précisé dans la seconde pour s'atténuer dans la suite. ' 1° Phase. - Rêverie et distraction. - 111 ? Cam
. En somme, pendant cette première phase, elle avait sans influence ' extérieure spéciale évolué vers une religiosité
rmés, revenir sur les méandres d'une ligne qu'elle venait de tracer ' (fig. 7). Ces dessins cessèrent presque complèt
te, « nommée depuis Siloë, fille de la beauté et de l'amour ou de ' Sollier. Du sens de la direction dans ses rapport
ermine : « Sera une « religion de transition, base de la tolérance. ' ) Elle ajoute alors quelques explications orales
eloppement tout autant que l'inextensibilité de la boite osseuse. ' Papillault. Salure métopique (Mémoires de la Soci
rie et l'idiotie, compte rendu de Bicêtre pour 1901, page 193. 30 ' ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Si au contraire les sutu
ces rapports. Nanisme in Société d'Anthropologie, 16 avril 1896. ' Le crâne dans les idioties. ATROPHIES CÉRÉBRALE
our la diminution des diamètres) : le retard de développement. 32 ' ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ' Nous pensons que ces e
iamètres) : le retard de développement. 32 ' ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ' Nous pensons que ces explications donnent entiè
aleur de véritables expériences réalisées par un processus morbide. ' Nos observations portent sur les crânes de suje
'autant plus profonde que le phénomène aura agi plus longtemps et ' Etude morphologique de la base du crâne (-1898),
basilaire). Voici les valeurs de l'angle orbito-horizontal : 34 . ' ANATOMIE PATHOLOGIQUE. peu accentuée d'autre pa
a- galli. Mais toute cette paroi interne se laisse déprimer parla ' pression normale de l'hémisphère sain, qui n'est
agrandit donc sa loge aux dépens de la loge de l'hémisphère opposé. ' Les déformations de l'apophyse sont les suivant
; ces aspects sont à rapprocher de ceux qui se retrouvent sur les ' Archives de Neurologie, 1903 et Comptes rendus de
orte a modifié aisément le corps de l'os creusé de sinus et amené ' Nous l'avons aussi constaté sur les crânes ayant
nstaté sur les crânes ayant donné asile â une porencéphalie double. ' ATROPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 37 un aspe
equel l'atrophie des lobes frontaux a laissé un large Fig. 10. 42 ' ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 1, .espace retro-frontal
normal et nullement un effet direct du processus pathologi- que. ' . Sur la moitié du crâne insuffisamment dévelop
l31eélre et Bulletin de la Société d'Anthropologie e 1900 et 1901. ' pu. III. Encéphale de Perr... (Voir obs. complè
1. ¡ i ARcmvEs, 2' sél'ie, PL. t. XVIII. IV. - Encéphale de PCI'I'... ' 4 50 ' ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des lésions cér
cmvEs, 2' sél'ie, PL. t. XVIII. IV. - Encéphale de PCI'I'... ' 4 50 ' ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des lésions cérébrales e
Bourneville, crânes qui sont déposés dans son Musée de Bicêtre). ' Le crâne dans les idioties, loc. cit. 2 On trou
ration de Cheyne-Stokes. Une inhibition cérébrale profonde semble £ ' être la raison fondamentale de ces deux phénomè
les deux côtés du corps. (Revue neurologique, octobre 1903.) E. B. ' XIII. Note sur un cas de ramollissement du cerv
lules d'aspect épithélioïde. Ces cellules sont très volumineuses, ' polyédriques ou arrondies; leur protoplasme est c
e- lique a conservé son apparence normale ; elle se présente sous ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 75 l'aspect de lipomes et d'
.-K. Roin, A. -A. [OR- NILOFF, N.-N. BAGENOFF et B'-J. SGÙ11DALOPf. ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 87; Contribution à l'étude
poliomyélite, qui peut présenter aussi de certaines particularités. ' BIBLIOGRAPHIE. 1. Les glandes parathyroïdes.
yroïdectomie avec parathyroïdectomie est tou- jours suivie de mort. ' * Dans les cas de parathyroïdectomie la survie
o- nique, tandis que la parathyroïdectomie est suivie d'un syndrome ' toxique à grand tapage survenant en général en
ins cas d'éclampsie puerpuérale parais- sent être la conséquence ." ' G. C.. II. Contribution ci l'étude des échanges
reusement brûlée et son état laisse peu d'espoir. (Radical 24 mai). ' Le crime d'une folle. Les époux Justier, domici
t réduit à 28 francs pour la France et 30 francs pour l'Étranger. l ' Le rédacteur-gérant : BOURNEVILLE. Evreux, Ch
ondes et multiples qu'elle peut produire dans l'organisme; elle a ' Leçon faite à la Salpêtrière le 20 mai 1901, recu
aite à la Salpêtrière le 20 mai 1901, recueillie et publiée par le " ' COi7S1'EMSOUX, chef de clinique adjoint. Archiv
re comment celle-ci a évo- lué dans les deux cas qui nous occupenl. ' Le malade que je vous présente est un nommé X..
ns au membre supérieur gauche d'une part et à la face d'autre part. ' Le membre supérieur gauche est le siège d'une p
que dans les muscles innervés par les sciatiques poplités externes. ' Les réflexes rotuliens présentaient une légère
ormaux et qu'à part les symptômes spéciaux que je viens d'énumérer, ' l'examen des divers appareils ne présentait rie
trouvez. Ici nous n'avons pas à songer à l'adjonction d'anesthésie ' ^hystérique, car les anesthésies que nous ren- c
ren- controns n'en ont pas les caractères, et nos malades ne pré- ' sentent aucun stigmate d'hystérie. Le diagnostic
t déterminer leurs rapports avec la syringomyélie et avec la lèpre. ' Il n'est pas douteux qu'un certain nombre de sy
rmer sans crainte d'erreur que vous avez affaire à un cas de lèpre. ' Mais ce n'est pas assez que d'avoir déterminé l
bué aux moustiques un rôle important dans la contagion de la lèpre. ' L'agent spécifique de la lèpre est représenté p
'est le bacille de lIaris'en et quelles réactions histologiques 'sa ' présence pro- DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 127
idées que naguère elle condensait en style sentencieux pour com- / ' 132 CLINIQUE MENTALE. poser son recueil de pe
s connaître la cause Quand nous prions le coeur sur l'infini penché ' Dieu pénètre en nos coeurs et reste aux yeux ca
lui arrive d'agréable, lui affirme que c'est lui qui l'inspire dans ' Ce vers compte un pied de trop « donc » ajouté co
e courtes rechutes paroxystiques de malaise anxieux à chacun des- ' quels les hallucinations redevenaient actives et
l'esprit de D... ». Henri est satisfait et s'éloigne de la fenêtre. ' » La nuit suivante, pendant son insomnie, il vo
térieur, caractérisé ho CLINIQUE MENTALE. par ses grandes phobies ' et son délire vésanique actuel qui le porte con
, si nous ne nous trompons pas, incor- porés parmi les démonomanes. ' Ils ne nous paraissent pourtant pas être des dé
les théomanes raisonnants de la famille des délirants mystiques. ' Pendant sa longue période de névrose phobique, le
n spirite qui un esprit avait dit que cette dernière le trompait. 1 ' REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
peut néanmoins se demander si certains cas d'atrophie diffuse ne ' Voy. Archives de Xenrologie, t. XIV, 1902. p. b7.
nfluence de l'ombre; par J. PILTZ. (Neurolog. Ceatral6. YYI. 1902.) ' Long mémoire dont voici les conclusions : Io
hasies sensorielles. Ncevus avec varices et hypertrophie osseuse. ' MM. GUILLAIN et COURTELLEMONT présentent un sujet
n service ; toutefois il ne nie point le rôle du trouble trophique. ' La prétendue bienveillance des paralytiques gén
de troubles mentaux. Ils en tirent l'aperçu médico-légal suivant : ' 1° Par suite des applications de plus en plus f
i immédiatement, ou à longue échéance, des trau- matismes crâniens. ' 2e Au cours des enquêtes, on a pour base d'appr
excès), survenues entre le traumatisme et l'apparition de la folie. ' 3° Parmi les cas où il peut y avoir lieu à expe
voir que dans un avenir proche, les familles de traumatisés aliénés ' demanderont des indemnités au sujet des trouble
LOGIE ET DE PSYCHIATRIE DE MOSCOU - . SÉANCE DU 21 FÉVRIER 1903 ' Un cas de myolrynie dans la polioence phalo-rnéni
ES. 173 Sur la question du diagnostic de la psychose de K01'sakotf. ' S.-A. SOUKHAXOFF et A.-A. Boorcrrro. - La psych
. - La psychose polynévri- tique, d'après l'opinion des rapporteurs, ' est une forme morbide autonome, où les accès ps
- tiques. M. MouRATOFF est porté à limiter les maladies de KopSAMFF ' > seulement par le cas typique de psychose d
s endroits analogues de la moelle épinière dans différents niveaux. ' G.-J. PRIBYTKOFF compte très grave la dispositi
myélite infectieuse avec abcès, les hémor- rhagies indépendantes). ' A.-A. Iioaw.or.orr doute, si l'on peut dire, qu
vaille avec zèle. Cette guérison persiste depuis trois ans et demi. ' En outre de certains alcooliques, il est des ob
gestibilité, verbalisme pathologique, théomégalomanie, impulsivité. ' Présentation du sthénomèt·e. M. Paul JOIRE (d
olongés, parfois même des réformes ou des démissions définitives. ' Hypnose et sorcellerie. M. DEHONCHY. - Les mala
e son origine tuberculeuse probable, par la transfusion capillaire. ' ASILES D'ALIÉNÉS. ASILES PUBLICS D'ALIÉNÉS 1
peu lenticulaires et s'accroissent graduellement. Situés, le plus ' Traité de Médecine, de Brouardel et Gilbert, tome
Les naevi acquis ne sont pas moins fréquents chez ces malades. , ' Loc. cil. in Traité de Médecine, de Brouardel et
ordeaux, 9 janvier ! 903), pour cet auteur les naevi occuperaient : ' Dos. Poitrine. Abdomen. Avec une fréquenc
rsonne aux regards étrangers. Chaque fois qu'il doit paraître £ , ' V. Les Timides et la Timidité, par P. Hartenberg.
tes de faiblesse et d'infériorité qui les prépa- raient au malheur. ' Heureusement, un curé qui me connut par la suit
et de la parole, une envie de fuir et de se cacher à tous les yeux. ' Ce sont les regards fixés sur son visage qui lu
elle veut préserver son intérieur silence de toute profanation'... ' Elisabeth de Bavière, impératrice d'Aulrielhe; pa
opathiques protéiformes (céphalée, neurasthénie, crises convulsives, ' etc.), suivis d'accidents délirants polymorphes,
fixer de nouvelles images, ainsi que cela appa- SOCIÉTÉS SAVANTES. ' I'J rait clairement dans leur verbigération écr
'observent des troubles sensoriels et des concep- tions délirantes. ' Ces conceptions délirantes ne présentent rien d
gue, la tête légèrement inclinée, les bras ramenés le long du tronc, ' les membres tantôt résistants, impossibles à dépl
de Kroepelin. Si celle-ci rencontre encore une si grande opposition, ' c'est qu'au dire de certains auteurs il s'écouler
ine, qui a été confirmée depuis par un grand nombre d'observateurs. ' La démence, quelle que soit son origine, dit M.
es physiques de la démence précoce, si utiles pour un prompt dia- ' Travail du laboratoire de M. Gilbert Ballet, à l'
s racines médullaires peut être une cause d'erreur, étant donné que ' le nombre des racines peut varier de 30 à 37 su
e masse bien circonscrite excepté pour le médian et le cubital, 236 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. qui ont un noyau principal c
e D contient au contraire dix cellules normales. En conclusion : .' ' 1° Des neurones de la chaîne sympathique thorac
tres diacriti- ques externes, le drainage sudoral, urinaire, etc. ' Travail du laboratoire de M. Gilbert Ballet, à 1'
hommes), la proportion des résul- tats positifs a été de 54 p. 100. ' L'auteur a rencontré le plus de résultats posit
oncerne le tabes : 1° la cécité est rare dans le SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 249 tabes confirmé, avec grands symptômes; elle
résultats de l'éducation physique et de la méthode hypnagogique. ' Des mesures à prendre à l'égard des aliénés crimi
s, ou délictueux. Et il passe en revue toute une SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 255 série de procédés efficaces. Pour prévenir
au point de vue de la reproduction. La méthode lcypno-pédagogiqzee. ' Ses applications au traitement des habitudes vi
ve crédulité des opérés et l'audacieuse fourberie des opé- rateurs. ' Névrite et atrophie optique dans l'erysipèle fa
e. Nous pensons que cette compression du nerf, à laquelle s'ajou- ' Voir aussi la thèse d'un de nos élèves, M. FIUVEA
observations nous croyons pouvoir tirer l'enseignement sui- vant : ' 1° Cette douleur avec ses deux points xiphoïdie
vrite éthylique ayant évolué sous la fonn3 de paralysie ascendante. ' " 11\i. OBERT3SUR et ROGER (de Paris). Il s'agi
icularités intéressantes à relever dans ce cas sont les suivantes : ' 1° La longue période pendant laquelle l'encépha
tes, il faut admettre une plus grande extension de l'an- giospasme. ' D'autre part, la succulence faciale est l'indic
baire, l'accès migraineux s'accompagnant de phénomènes angoissants. ' . Il est intéressant de remarquer qu'à de certa
ue. In-8o de 28 pages. lilinische therapeut. Wochenschrift. Ween. ' MULLER (Edouard). Die multiple sidérose des Gehir
ait pas, obsédé et angoissé par cette idée contre laquelle il luttait ' '' avec force, car en somme, il était du nombre
qué plus facilement que dans d'autres états par suite de l'ins- 318 ' RECUEIL D'E FAITS. tabilité psychique de ces ma
un état psychique spécial créé de toute pièce par l'anes- thésie. ' Actuellement cette malade est très améliorée : la
mières minutes ce qu'elle était avant, plus rarement elle s'accroît ' mais alors moins notablement qu'après la premiè
scence ? Ce n'est point l'intoxication générale de l'organisme : en ' effet, à l'époque où déjà les réflexes étaient ab
hez tout homme une musique excitante gaie stimulera infailliblement, ' d'un seul coup, avant tout la por- tion de cet
s impressions REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 339 ' corticales. Il est surtout dû à ce que les phén
moteur d'un mouvement donné produit-elle un mouvement antagoniste ? ' ? Cela tient à ce que tout mouvement d'un group
e, défectueuse ou inexacte, mais par une exagération de l'idéation. ' , Le mécanisme en est du reste différent. Dans
s à la première menstruation, la jeune personne ne paraissant avoir ' à aucune tare héréditaire, et, tout en étant mo
s isolés, l'absence de symétrie et de Archives, 2' série, t. XV111. ' 23 351 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. simultané
ce qui donne une proportion de 6,19 pour 100. Observée d'après les ' divers cas d'aliénation, c'est chez les paralyt
re de cette somnolence que pour manger et faire ses besoins. Si des ' hallucinations et de l'agitation surviennent, o
laboration scrupuleuse des éléments scientifiques de la question. ' P. 11EFAVAL. 356 , REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. , '
es de la question. ' P. 11EFAVAL. 356 , REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. , ' V. Les principes de l'action thérapeutique de l
DES instituteurs BELGES Congrès international de l'enseignement p ? ' : ma : )'e.La Fédération. Générale des Institut
i ! )0. Vol. XVIII. Novembre 1904. N° 107. ARCHIVES DE NEURO* " " ' " CLINIQUE NERVEUSE Epilepsie, pathogénie et i
un petit nombre de cas, viennent complètement à l'appui de notre ' Voir 190f, n- 98, p. 97 ; n° 99, p. 206. Archiv
- 98, p. 97 ; n° 99, p. 206. Archives, 2" série, t. XVIII. 24 370 ' CLINIQUE NERVEUSE. interprétation. Ils prouvent
onna- bilité et d'éviter ainsi le plus possible toutes les causes ' Revue d'hygiène, janvier 1897. = Société obstét
es rela- tions avec ses camarades, que l'on veillera même sur son ' C'est à ce titre que je proscrüais l'usage de la
érait comme un candidat' la maladie ou comme un malade ordinaire. ' Caractère qu'il faut, par conséquent, décrire ave
, par conséquent, décrire avec soin dans les ouvra- ges classiques. ' / ÉPILEPSIE : PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRA
haque fois que de l'exci- tation se produitla jugule immédiatement. ' Il m'a, du reste, permis, dans la même année 19
bisme externe qui lui donnaient une physionomie toute particulière. ' Autopsie. Glio-.<(t1'come ayant envahi tout
Il y avait en même temps tendance irrésistible au rire. Westphal ' , qui a observé un cas semblable s'exprime ainsi
avait observé chez une fille de quinze ans. Cet auteur analysant ' Cité par Nothnagel, in Traité clinique du diagnos
semi-lunaire détruite et occupé par un kyste rempli de liquide et ' Cité par Nothnagel in Traité clinique, etc., p. 2
que peut faire aussi une tumeur originaire de la couche opti- que. ' P. KKHAYAL. LXXV. Des relations du faisceau lon
ale; par le Dr Roncoroni (Riu. Sp.,cli fren. 1903, fasc. 1, t. II). ' - J. S. LXXIX. La psycholepsie de Janet et la t
re, être rattachées à l'hébéphrénie (Kraepelin) 1. Paul Sérieux. ( ' ) On trouvera dans le compte rendu du service des
comprimée peut exercer un pou- voir d'inhibition sur sa production. ' Par contre, dans la démence précoce, les auteur
e la sensibilité au moyen d'exci- tations mécaniques périphériques. ' ' Au moment où le réveil se produit, le sujet p
la sensibilité au moyen d'exci- tations mécaniques périphériques. ' ' Au moment où le réveil se produit, le sujet pas
. 1902.) Centralblatl sur Neraenheillcunde. XXVI. N. F. XIV. 1903). ' 11 s'agit d'un prêtre qui appréhende de ne pas
ne pas pratiquer la ponction dans les cas de tumeur céré- brale. ' Voir l'observation que nous avons publiée dans le
inence. Le bétel n'a point d'action sur le corps ni sur le cerveau. ' Sur 370 indigènes aliénés, il n'a pas trouvé un
es dysarthriques permanents chez un enfant épilep- tique ; par le 1) ' DECROLY. (Journ. de Neurologie, 1904, u° 4.) .)
(sclérose en plaques probable) auxquels il succombe en trois ans. ' P. hERW 'AL. XLV. Observation de névrite périph
et experts; par P. NOECKE. (Neurolog. Centralblatt. XXI. 1902.) - ' 1 M. Naecke dit : « L'expert sachant indubitabl
r 1903). E. B. IL L'Assistance publique des épileptiques ; par le D' ' V. Parent. Dans cet article sont étudiés les pr
ssai dépassant un jour. (Annales médico-psychologiques, août 1903). ' E. B. ASILES D'ALIÉNÉS. 435 IV. Sur l'autonom
le issue possible des hospices était la mort, il y a dans la vie de ' famille comme un espoir de guérison et celle-ci
ons devront s'étendre à toutes les catégories d'anormaux éducables. ' Même en ce qui concerne les sourds-muets et les
l'incendie. Dans ces derniers, on voit ordinairement la pyromanie ' Raoul LEROY. Contribution' à l'étude de l'alcooli
nnée 1901). Archives, 2' série, t. XVIII. 29 450 MÉDECINE LÉGALE. ' ' " éclater à l'occasion de la puberté. Telle e
ée 1901). Archives, 2' série, t. XVIII. 29 450 MÉDECINE LÉGALE. ' ' " éclater à l'occasion de la puberté. Telle est
llement longues, durant jus- qu'au 2 mai, date du premier incendie. ' . Le 29 avril, c'est-à-dire cinq jours après le
es- tion du régime des aliénés dangereux et criminels. Il est bon, ' croyons-nous, lorsqu'un malheureux événement se
s suffisamment envisagé les dangers d'ordre moral qu'elle présente. ' Pour résumer nos idées, nous conclurons : , I
à dix mois. Pas de renseignements sur la date de la fermeture des ' fontanelles. A onze mois, l'enfant, qui jusque-
PLÉGIE GAUCHE, ÉPILEPSIE. 4G5 Température ci l'entrée (t3-18 mars). ' 466 RECUEIL DE FAITS. lantes. Joues régulière
lève plus ou moins vite, monte au delà de 40° et le malade succombe ' (période méningitique) . Enfin, dans d'autres ca
compliqué, lésion rare, d'une absence complète du corps calleux '. ' REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE ' PATHOLOG
mplète du corps calleux '. ' REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE ' PATHOLOGIQUES. XCI. Gliome volumineux du lobe f
a- tion apportée aux phénomènes visuels par la ponction lombaire. ' Nous en donnons la description il l'explication d
ire, comme l'a fait M. Bra, un streptocoque de l'épilepsie. . G. C. ' XCV. Idiotie microcéphalique ; épilepsie; asymé
rement couronné de succès, et a le mérite de la nouveauté ; car le ' Consul, à l'Hippodrome. ; L'hypertrophie n'étai
ue la signification exacte de cette lésion reste encore à préciser. ' ' ' ' Il est possible qu'il s'agisse d'une lési
la signification exacte de cette lésion reste encore à préciser. ' ' ' ' Il est possible qu'il s'agisse d'une lésion
a signification exacte de cette lésion reste encore à préciser. ' ' ' ' Il est possible qu'il s'agisse d'une lésion m
signification exacte de cette lésion reste encore à préciser. ' ' ' ' Il est possible qu'il s'agisse d'une lésion méd
hémiplégie eut une prédominance marquée pour le membre supérieur. ' Le cas que l'auteur présente autorise à rejeter l
Il en serait ainsi pour les centres moteurs du membre supé- rieur. ' G. C. XCVIII. Lésions du cervelet dans quelques
d'abcès du cerveau ; par IIermonC. Goiidinier (Amez·icun Journzal o/ ' Izzsuzzily, I, 03, p. 441-446. 1 planche). S. C
ton Fisiier (Tlie American Journal or Insmily, IV. 03, p. 559-381). ' , 1° Résumé des recherches antérieures. 2" An
accroissement de poids accompagne l'amélioration de l'état mental. ' Simon, ', REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LIV.
ement de poids accompagne l'amélioration de l'état mental. ' Simon, ' , REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LIV. Sur les H
à cette variété de sclérose polyfasciculaire pseudo-systéma- tique. ' G. Carrier, LVII. Surdité verbale par lésion te
ce de spasmes, de contractures; l'état intellectuel était normal. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 495- Les auteurs
s, qui, pour eux comme pour M. Ballet, peuvent exister sans spasme. ' , Dans l'étiologie de cette variété de chorée c
éterminée, mais plus ou moins généralisé à tout le système nerveux. ' Ces neuromyéhtes optiques aiguës ne seraient qu
sie générale compliquant un tabes, avec délire hallucinatoire, etc. ' L'observation et la description des lésions par
elle repose, un résumé des conclusions d'autrui sur le même sujet. ' Smox. XL. Des facteurs héréditaires dans l'épil
héréditaire est forte, plus l'épilepsie est pré- coce. SIMON. 806 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. XLI. Nature et genèse de l'i
se et la démence précoce qu'ils ont trouvés trop SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 507 particulièrement réunis dans leurs observat
e démarcation entre la démence et l'affaiblisse- ment intellectuel. ' M. DtNY. Je veux tâcher de concilier MM. Toulou
ardiens ou étouffé par suite de leur incurie ou de leur imprudence. ' Nous avons demandé des renseignements dans le b
e des recommandations qu'il adresse si fréquemment à son personnel. ' Le corps de E... ne portait cependant aucune tr
ins qu'on doit aux aliénés. PSYCHOLOGIE DES émeutes. - A. Manzoni, ' dans Ses Fiancés, a décrit avec un grand soin l
r les personnes qu'on menace, ceux-là sans autre impulsion qu'une ' Manzoni, Les Fiancés, trad. Hev. Dusseuil. Biblio
ce nouveau sujet tombait en des crises d'hystérie répétées, avec ' Voir les nos il et 43 du Progrès médical de 1904
Plainte fut donc portée par le père du jeune malade; une enquête ' laborieuse intervint et finalement, après qu'une
très nettement le degré d'atrophie de l'hémisphère cérébral droit. ' Planche VII. Hémisphère cérébral gauche : face
la première frontale ou frontale interne. - LP, lobe para- central. ' CCC, circonvolution du corps calleux. CC, corps c
euse traitée par la résection, par Patel et Cavaillon, 501. Asile ' de Bron : condamnation d'un infirmier.- d'alién
sme. Contribution iL la psy- cho-physiologie du -, par Vogt, 338. ' Nerf auditif. Voir Tumeur. op- tique. Voir Am
n autogène chez l'hom- me et la théorie du -, par Du- Faute, 407. ' Xevr algie. Deux cas de - guéris par la sugge
. Euphorie délirante des . Etude anatomo-chnique, par Dupré. 282. ' Pied. Voir liéflexe.- Plexus choroïdes. Voir
nouveau système moteur de couronne rayonnante, par Schuetz, 398. ' RCIIE'lORATlO, La périodique des souvenirs mu
oncerne l'observation des criminels alié- nés, par de Berry, 428. ' Véronal. Communications sur le-, parMatthey,
323. Gallavardin, 52, 65, .85, 500. Garnier, 43L Gartié, 335. ' Gauchier, 71, 163. i Geljerslam, J10. Gerha
80. Joffroy, G H.i. Joire, 179. Jones, 505. Josserand, 493. « ' Joukowsky, 401. Jourdan, 312. Jouty, 88.
80. Viollet, 166, 16. 232, 361. Vigouroux, 1G,3G0. Vont. 338 ' Voisin, 81 Vurpas, 166, 411, 417. Wagner, 5
G0. Vont. 338 ' Voisin, 81 Vurpas, 166, 411, 417. Wagner, 501 ' Walter, 428. Wedensky, 158, 503. Weill, 65,
Wolll' 355. \\y'roubom, 323, 329. Young\, 423. Zal1leto\\'old, ' 351. Evreux, Cli H€mesev, imp.
45 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
ALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX DANS LE MAL DE POTT SANS GIBBOSITÉ ' (SÉMÉIOLOGIE ET DIAGNOSTIC) PAR L. ALQUIER
la'lre lombaire avec com- pression et ramollissement de la moelle. ' Le malade de Verger et Laubie (2) commença à re
lit brusquement une rétention complète d'urines. Mort le lendemain. ' A l'autopsie (V. pl. II, fig. c), caverne tuber
tan et Babonneix. Schéma des troubles sensitifs chez leur malade. ' LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 15
difficulté au diagnostic, déjà, cependant, si délicat d'habi- tude. ' Puis, apparaît une paraplégie flasque, avec atr
lier, de la myélite syphilitique ; après un début tan- 24 ALQUIER , ' tôt lent et d'autres fois brusque, on pense obs
apophyse (1) BROCA, Journal des Praticiens, 1904, n-s 9 et 10. 28 ' ALQUIER épineuse de la 78 dorsale fait urie sai
PATHOLOGIQUE ET PATHOGÉNIE PAR PIERRE MARIE et ANDRÉ LÉRI. I ' La Spondylose Rhizomélique a été décrite par Pier
dehors de l'évolution clinique, sur des données étiologiques. II ' Or Ntiologie de la spondylose rhizomélique n'es
n Traité de médecine de BROUAIIDEL et Gilbert, 2e édit., 190. xix ' 3 34 MARIE ET Llhn distinguer cliniquement de
s' le service de M. Pierre Marie et mort de tuberculose pulmonaire. ' Le squelette a été enlevé tout d'une pièce depu
i sur la moitié gauche ; on NOUVELLE Iconographie DE la SAii'ÊrmfKt ' T. XIX. Pl. VIII DIFFERENTES VARIÉTÉS D'ANKYLOS
urs ont identifiée avec la rigidité de la colonne vertébrale de Bech- ' " terew et avec la maladie dite « de Kümmel ». C
n du rachis par des ponts osseux à la suite d'une lami- nectomie. , ' (1) LÉRI, loc. cit., p. 812. Nouvelle Iconogr
l'infantilisme » (1), le masculisme dont l'expression elle-même est ' assez mal déterminée (Féré), et encore certaines
». Etant possesseur d'une grosse fortune, il dissipa tout son bien. ' Oncle : Est mort de tuberculose vers l'âge de 5
qui le conduisait ; il était nécessaire de l'y maintenir de force. ' . Il y avait des époques auxquelles il se senta
a peur disparaissait comme par enchantement et on le laissait seul. ' INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 57 C
vrai ; et encore les géants à typé infantile qui s'en rapprochent. ' Le cas que nous rapportons prouve tout particuliè
dont on ne pouvait pas faire pour le mo- ment un diagnostic exact. ' Le médecin s'étant aussi adressé à moi pour me
urt. Dès que je découvrirai le corps et les extrémités, vous 78 PEL ' aurez de la peine à retenir des cris de surpris
s mesures du crâne. ACROMÉGALIE PARTIELLE AVEC INFANTILISME 79 80 ' PEL semble, que surtout les parties osseuses, l
Garçon normal de 16 ans. Flores. Garçon normal de 16 ans. Floris. ' ACROMÉGALIE PARTIELLE AVEC INFANTILISME (P. K
hlorose l'expression d'une sécrétion interne incomplète des ovaires 1 ' Mais je me sentirais bien embarrassé, si je dev
d le pied y repose. En aucun point la pres- sion ne forme de godet. ' La teinte de cet oedème est très foncée, cyanot
entimes, à bords à pic et à fond blafard (Constatation du 10 juin). ' Les mains présentent aussi de l'infiltration tr
a aucune modification de l'oedème, de sa consistance, de son volume ' - Observation II (PI. XVII). Idiotie avec nom
té autrefois à leur niveau un oedème chronique aujourd'hui disparu. ' Le repos au lit prolongé, avec régime lacté n'a
du pied du pédoncule et qui se terminerait dans le lobe occipital. ' Brissaud (3) admet ces mêmes idées, mais subdiv
res qui passent dans la partie posté- rieure de la capsule interne. ' Sehellenberg pense que la majeure partie du fai
faisceau longitudinal n'envoie aucune fibre à la capsule ex- terne. ' Dans des cas de lésions de la couche optique et
ps genouillé externe, et dans ce cas, £ ces noyaux sont in- demnes. ' Les lobes pariétal et occipital envoient des fi
de, Archiv sur klinisch Medizin, Bd. 13, 110 LA SALLE AHCHAMBAULT ' faisceau d'association qui relie le lobe occipi
ital au lobe temporal et vice versai Dans un cas où, pendant la vie, ' l-'on'aVait'pratiqué l'ablàti'omdu lobe temporal,
rf optique ; b) des fibres ayant leur origine dans le mésencéphale. ' ' 1 ? '. Ces fibres mésencéphaliques ou pédoncu
optique ; b) des fibres ayant leur origine dans le mésencéphale. ' ' 1 ? '. Ces fibres mésencéphaliques ou pédoncula
le deux sens, ce faisceau représenterait une seconde voie motrice. ' -1 , 1 il ' 1 , ' , Niessl-ll9ayendo·/' (2), él
s, ce faisceau représenterait une seconde voie motrice. ' -1 , 1 il ' 1 , ' , Niessl-ll9ayendo·/' (2), élève de Flech
faisceau représenterait une seconde voie motrice. ' -1 , 1 il ' 1 , ' , Niessl-ll9ayendo·/' (2), élève de Flechsig,ap
une seconde voie motrice. ' -1 , 1 il ' 1 , ' , Niessl-ll9ayendo·/ ' (2), élève de Flechsig,après avoir étudié la myél
nvolution temporale, fait l'analyse succincte de ses constatations. ' Il se sert surtout des termes que Flehsig a int
langage ana- tomique, m : is après en avoir indiqué les synonymes : ' ' 1° Les radiations optiques primaires de Flech
ngage ana- tomique, m : is après en avoir indiqué les synonymes : ' ' 1° Les radiations optiques primaires de Flechsi
au faisceau longitudinal inférieur, à la couche sagittale externe. ' " ' ' 2° Les radiations optiques secondaires de
faisceau longitudinal inférieur, à la couche sagittale externe. '" ' ' 2° Les radiations optiques secondaires de Fle
aisceau longitudinal inférieur, à la couche sagittale externe. '" ' ' 2° Les radiations optiques secondaires de Flesc
et (telles que décrites actuellement), la couche sagittale interne. ' Les radiations optiques primaires tirent leur o
du'corps genouillé externe et du noyau latéral de la couche optique, ' se dirigent irrégulièrement en avant et légèrem
couches superficielles et moyennes du corps quadrijumeau antérieur. ' Les radiations optiques primaires et secondaire
ayonnante, qu'il ne peut guère 's'agir d'un faisceau d'association. ' Toutefois, Redlich ne nie pas que le faisceau l
stes. (A suivre.) HOSPICE DE BICÈTRE CONTRIBUTION EXPÉRIMENTALE ' A LA PSYCHOPHYSIOLOGIE DE L'USAGE DES LUNETTE
la Salpêtrière. T. XIX PI. XIX 1 Mathieu. Philippe. Jacob. il ' : 9 ? II & £ yi4ff>i4 : 4*4 <Sfiti+
ique prouve que les lunettes étaient déjà connues par le peintre. ' Ce tableau représente donc un document inédit de
ux l'expression des yeux qu'une surabondance des effets de lumière, ' ,qui donne l'impression de quelque chose d'artif
HITISME TARDIF ET SCOLIOSE DES ADOLESCENTS .. (Brissaud et Moutier) ' RACHITISME TARDIF ET SCOLIOSE DES ADOLESCENTS 1
r une nouvelle, c'est elle qui fera l'objet de cette présentation : ' Observation. Geneviève G... est âgée de 14 an
nographie nE la Salpêtrière. T. XIX. PI. XXII Radiographie; Infrmt. ' . fmtmypm ttoULnud, l'nrm ACHONDROPLAS1E PARTIE
numérique. Traité d'Anat. path. de CORAIL et Ranvieh (nouv. édit.) ' KLIPPEL, Soc. de neurologie, 6 juillet 1905.
ubles de la voie pyramidale. ........... -3mr-im, - 5 e- "TT ? 1 1 - ' T> T ? ., . ^^ ? ^^^ SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE D
ence au niveau du sommet droit d'une bacillose à la phase de début. ' A part la petitesse de la taille, on observe ch
mes qu'au moment de la puberté. (1) Ba,11,LON, Thèse Paris,-4905. , ' DEUX FRÈRES ATTEINTS DE MYOPATHIE PRIMITIVE P
E MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE. NOTE additionnelle (1) PAR ' NOICA Médecin adjoint de M. le Prof. Memrrssco,
au diapason d'Egger et la sensibilité à la pression sont normales. ' Au contraire la perception des attitudes segmen
ui est agréable,mais l'odeur de l'asa-foetida lui est indifférente. ' Le 10 novembre. L'anesthésie tactile sur le dos
oubles de la sensibilité à la dou- leur. Hypoalgésie. 154 NOICA . ' et une ligne horizontale inter-mamelonnaires. L
oratoire de M. le professeur Marinesco par M. le D' Goldstein. 16( ' NOICA. DEUX FRÈRES ATTEINTS DE MYOPATHIE PRIMITIV
QUELQUES CAS DE TRICHOTILLOMANIE CHEZ DES ALIÉNÉS PAR CH. FÉRÉ, ' Médecin deBicêtre. La trichotillomanie a été
xaminé privé de tout vêtement et on n'avait remarqué aucune lé- 170 ' FÉRÉ sion cutanée. Le 2S il s'est épilé presque
OUCh ? lO'itt.l]t' 1,tl'lÏll ? S(TI r........( : ()l1chp 'l(Titt.,It' ' \"tP1'11 ;ntfr'I)4; : <J ? nir t ? inl1 ? .....
la couche sagittale interne,et les gros fascicules restent intacts. ' Ces fascicules ne contiennent que des fibres de
du cingulum. Or, la même chose se passe au niveau du lobe occipital, ' le faisceau transverse de Sachs est l'analogue du
vre sur une coupe normale, se transforme en faisceau régu- z xix 14 ' 210 0 LASALLE-ABCF11MBA UB'r fièrement confor
s circonvolutions non lésées. de la face interne de l'hémisphère. ' La figure 7 a trait à une lésion de la troisième
du cingulum, c'est-à-dire au-dessus et au-dessous du corps calleux. ' Nous avons observé des faits analogues dans un
XIV Fig. 2 Fig. 3 RÉGÉNÉRATION DES FIBRES NERVEUSES /Y ATrf1.) ' /f.L. . m««M<tjL jt ! NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
la capsule péri-cellulaire, NOUVELLE Iconographie de la Salpêtrière ' T. XIX. PI. XXXVHI RÉGÉNÉRATION DES FIBRES NERV
compliquées que je n'ai pu acquérir aucune certitude à cet égard. ' Massues des centres nerveux (cervelet et substanc
ERVEUSES 235 siologique, d'une sorte de mue normale des cylindraxes, ' ou bien cette disposition trahit-elle en réalit
me jeunes (fibres terminées par des boules encapsulées de Cajal). ' On retrouve des formations analogues dans la subs
» qui terminent les fibres néo-formées. Soc. de Biol., 3 mars 1906. ' MARINESCO. - Contribution à l'étude de l'histol
indraxes dans la racine postérieure au point 1 du schéma précédant. ' Fig. 4. Racine antérieure au point 2 du schéma
de leurs capsules nucléées. - b, b') massues petites. - c, c', c", c" ' ), massues allongées ou difformes (la capsule n'
ur des fibres plus volumineuses, anciennes ou néo- , formées ; en /¿ ' ,une fibre est emhrassée par la bifurcation d'une
thies organiques, in Traité de path. mentale de Gilbert-Ballet. 240 ' DUPRÉ ET DEVAUX Evolution. Les premiers jours d
se cons- tate des deux côtés, surtout à droite. Les jours suivants, ' devant l'aggravation de l'état général, l'altér
liquide, épais, cohérent, visqueux, franchement vert (Fig.1, 2, 3). ' Un second abcès, beaucoup plus vaste, de même c
e de la zone de nécrose ; plasmazellen et deux cellules réticulées. ' C. - Paroi de l'abcès. ire zone; cellules névro
Paroi de l'abcès. ire zone; cellules névrogliques en dégénérescence. ' D. - A droite, altérations nécrotiques des cell
es nerveuses de l'écorce, petites et moyennes pyra- ... ? r ! f'lC' ' \ ()""1 ? 1"\n ? r.l1,,1,....(' ... ? ........."r-
es et moyennes pyra- ... ? r ! f'lC' '\ ()""1 ? 1"\n ? r.l1,,1,....( ' ... ? ........."r-"1 : ,... ? r.(' ni; ..........
lC' '\ ()""1 ? 1"\n ? r.l1,,1,....(' ... ? ........."r-"1 : ,... ? r.( ' ni; .............l : (A ? t-;1"'\" . n.... ? H ?
.(' ... ? ........."r-"1 : ,... ? r.(' ni; .............l : (A ? t-;1" ' \" . n.... ? H ? 1' ""1'"\,"\('>11n ? hrY11,'f\
ns petits éléments nerveux, se colorent les corpuscules po- laires. ' . Les cellules névrogliques, qui se présentent
alade de la poitrine. Travail intellectuel nettement ralenti. 248 ' WEBER . Très maigre, visage exprimant l'indiffé
urte distance. Per- sistance du gâtisme. Exitus en état de marasme. ' B... fut interné comme éthylique et dément. A l
pensa alors à l'existence d'une tumeur, de préférence un tubercule ' dans la région des corps quadrijumeaux. Autopsi
111(1,-i;11n ? 11 t"\('It ? ¿ : ) ? At-- f--r. : I7 ? J.l.T 'T7 TT ? - ' - rr "'1 ? 7T ? ? DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TI
st exclusivement méningée. Phéno- mènes de compression font défaut. ' Remarques. 1. De même que dans l'observation
affections myopathiques (type de Empis, de Bail), s'accompagnent ' 1 J Nouvelle Iconographie DE la SALPÈTRIÈRF. . T.
\r71,Ul;¡ ? i> -,g z ? .JI.iÓ" 1.. \ ... . -1 . - . 1. 1 11.1 1 ' PARAPLÉGIES PAR RÉTRACTION CHEZ LES VIEILLARDS 26
nt encore exécuter les malades malgré de considérables rétractions. ' " Tous les viscères sont en état d'atrophie plu
ps amyloïdes, une réaction névroglique modérée, une atrophie des cel- ' Iules pyramidales pigmentées; en somme rien que
ébraux. Presse médicale, 29 janvier 1898. 288 KLIPPEL ET MAILLARD ' A côté de cette diminution dynamique du côté dr
ion d'une petite tumeur, d'un kyste du cuir chevelu ? C'est possible. ' « Ou bien serait-ce encore une de ces opération
r des urines ? C'est un praticien de la même espèce que l'Arrachez¿¡ ' de dents de la ga- lerie de Schwerin ; et, chos
ces deux derniers animaux les troncs mixtes n'ont pas été examinés. ' SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES
ques, par suite au-des- sus des racines sectionnées chez le chat V. ' Les dissociations pratiquées sur les splanchniq
s de temps, sur l'état des cellules ganglionnaires sous-jacentes. ' Examens des ganglions spinaux. L'état histologi
périphé- rique étaient faiblement colorées et en partie atrophiées. ' ' L'année suivante Kleist (5) devait confirmer
riphé- rique étaient faiblement colorées et en partie atrophiées. ' ' L'année suivante Kleist (5) devait confirmer pr
es étroites, mal colorées, avec çà et là disparition de la myéline. ' Personnellement, nous avons trouvé le bout gang
ce est plus lente et plus tardive que dans les nerfs périphériques. ' Les fibres régénérées du bout médullaire nous p
ons pouvons- nous en tirer pour l'étude de la pathogénie du labes ? ' ! Du côté DES neurones sensitifs, les dégénéres
té DES neurones sensitifs, les dégénérescences que nous avons consta- ' tées dès le 15" jouir dans les nerfs mixtes (ch
ives, et des altérations sympathiques. Cette opinion s'accorde avec ' les conclusions du travail récent de Paviot (2),
ystème lymphatique postérieur de la moelle (Marie et Guillain) (5). ' Mais, d'autre part, les différences qui existen
ndant aux racines coupées. Intégrité des filets symétriques droits. ' 3 kilos 500, opéré le 28 février 1904, choloral
aires postérieurs gauches, correspondant aux 2. et 3' nerfs sacrés. ' Guérison par première intention, sans paralysie
à-dire absence de toute différence appréciable d'un côté à l'autre. ' Les nerfs périphériques cutanés, sur dissociati
sur cet animal comme chez l'animal IV, il existait des altérations ' de dégénérescence rétrograde tout au moins d'un c
s intercostaux, quelques-unes grosses, la plupart de petit calibre. ' Chat adulte, opéré sous éther le 21 juillet 189
enant en leur centre une artère ou une veine altérée ou thrombosée. ' Pour les auteurs qui considèrent la sclérose en
e, les foyers d'origine syphilitique y compris. 344 GIUNIO CATOLA ' En somme nous pouvons conclure : 1° Dans la s
droite et 18 à gauche. L'écriture n'est plus possible depuis un an. ' La sensibilité tactile est conservée au niveau
papulo-pustuleusé, état subcomateux. Mort. Le sujet, qui était 348 ' GIUN10 CATOLA- syphilitique, avait été soigné i
né il y ce deux. ans à New-York par des frictions mercu- rielles. , ' , 1 La ponction lombaire pratiquée pendant le d
ieure et des noyaux du pont sont pres- que complètement conservées. ' Région bulbaire supérieure. La zone de sclérose
systèmes des fibres arquées. Toutes les lésions sont symé- triques. ' Région bulbaire moyenne. - Dans la moitié gauch
u Weigert-Pal. Les cellules des cornes de la moelle sont présentes. ' Moelle cervicale supérieure.- Dans toute la sec
e spécifique pour les foyers de la sclé- rose en plaques classique. ' La pie-mère médullaire est un peu plus épaisse
LIl, LI, lui (OBS. I FI. 1. Protubérance dans sa moitié supérieure. ' Fio. 2. Idem dans sa moitié inférieure. FiG.
gmentation des noyaux de névroglie dans la région des noyaux dentés ' du cervelet. Coloration : hématoxylineéosine. - G
ématoxylineéosine. - Grossissement : Ocul. 6 comp., Ob. A. Zeiss. ? ' FiG. 14. Infiltration et gliose périvasculaires
6° racine dorsale. FiG. 5. lle-12e racine dorsale. "BIBLIOGRAPHIE ' 1. Adamkiëwicz. Ueber degenerative Erkrankungen
multiple sklerose und akute 1yelitis. Archiv. f. Psychiatrie, 1888. ' ' . 21. Dejerine. - Elude sur la sclérose en pl
ltiple sklerose und akute 1yelitis. Archiv. f. Psychiatrie, 1888. ' ' . 21. Dejerine. - Elude sur la sclérose en plaq
logie der multiplen sklerose. Neurolog. Central. blatt, n° 4, 1898. ' 27. Finkelnburg. - Ueber Dlyeloenceplzalilis di
grossen meningealen und Gehirngummata sourie der /t<c/ce) : ma ? ' /M4 ? jo/tt7 ! X. Archiv. f. Dermat u. Syphiligr.,
eur schéma général des asymbolies. (1) HosrirnAL, loc. cit., p. 30. ' 1 (2) Knoblauch, Ueber Stierungen der Dlüsileal
\ possibilité de chanter), musical). - \ MtMne mMSîca ('1 ne peut ' Motrice. ) Amimie musicale (il ne peut Motrice.
t). pas jouer un instrument). \ I Agraphie musicale (il ne peut ' ^ pas écrire de musique). Ces auteurs décrivent
ogie, février 1892. (2) Ferrand, loc. cit. (3) Ireland, loc. Cit. ' (4) Cité par FERRAND, loc. cit. 372 -INGEGNIE
complexe. Le cas de Charcot est un des mieux décrits et ob- servés. ' ' : ' , I ? Amusies pures et combinées. ' De
mplexe. Le cas de Charcot est un des mieux décrits et ob- servés. ' ' : ' , I ? Amusies pures et combinées. ' De mê
xe. Le cas de Charcot est un des mieux décrits et ob- servés. ' ' : ' , I ? Amusies pures et combinées. ' De même q
décrits et ob- servés. ' ' : ' , I ? Amusies pures et combinées. ' De même qu'il y a des amusies associées aux aph
de chanter, tout en conservant la. faculté de répondre correctement ' (il n'y a pas d'aphasie) aux paroles qu'il entend
sicale negli islerici. Il Manicomio. Nocera inferiore, Anno XXI, no 3 ' ; - Le langage musical et ses troubles hystériqu
ncapable de jouer), sans éprouver aucun symptôme d'aphasie verbale. ' . Nous croyons utile de signaler que ces deux c
le chant entendu ; toutes les autres fonctions restent intac- tes. ' , 2° Suppression du centre des images de sons (
sicale). » . Hyperniusies \ < Exagérations et impulsions musi- ' " Ca 1 es. . 1 Plaisir morbide pour les bruits,
différent à droite. Le réflexe cutané abdominal est aboli à gauche. ' La température est ce jour-là de 38°8 le matin
INE DE NANCY ARTHROPATHIES SÉNILES DES DOIGTS PAR P. PARISOT ET ' G. ETIENNE Professeur à la Faculté de Chargé de
/0. Elle est accentuée à un degré variable : 388 PARISOT ET ETIENNE ' Cette déformation consiste essentiellement en u
et par contre être très marquée sur des doigts nulle- ment émaciés. ' Cette forme sénile ne comporte nulle déviation,
nsés, inégalement et irrégulièrement (V. radiogr. n° '1, PI. LVII). ' Les cartilages et les espaces interosseux ne so
sur une hypothèse que nous avions émise dans notre premier travail. ' Il est nécessaire de récapituler brièvement l'h
dans mon pre- mier travail, je suis arrivé à l'hypothèse suivante : ' « La fonction exagérée de l'hypophyse active le
s comparer avec ceux qui furent décrits dans mon premier tra- vail. ' Tête et main (en comparant les radiographies de
e faite en 19°3. Radiographie faite en 1906. GIGANTISME PRÉCOCE ' SUR UN CAS DE GIGANTISME PRÉCOCE 408 combinée a
égard à l'âge de l'enfant, ils étaient encore fortement développés. ' Enfin, l'instinct sexuel du garçon ne fut pas m
que leur état avait rendu intransportables par l'armée en retraite. ' Le vieil adage disait : « Le plomb est l'ami de
supérieur et inférieur gauche. Pas de troubles intellectuels. 110 ' MATIGNON PI. LXI. na 2. Volumineuse hernie céré
entimètre. Par cette ouver- ture le cerveau fait une légère hernie. ' Parésie légère des membres inférieurs. Légers t
ntimètres transversalement et à droite de son point de pénétration. ' ` Explosion de l'os sur le trajet du projectile
lles de la Tourette et la compétence photographique d'Albert Londe. ' C'est en restant fidèle il cette tradition que
er la série, tant est péné- trante leur puissance de démonstration. ' Désormais, vous êtes en pleine possession de vo
rragie. vensystems und in Kompressions gebietem des 7M : c&eMma) ' /fs. Journal sur Psychologie und Neurologie, jui
rer les fibres de nouvelle formation, de même que d'autres conditions, ' encore indéterminées, font échouer le processus
tion des racines est changée el leur différenciation est diffi- 436 ' MARINESCO ET MINE A cile.Les méninges sont norm
remière lombaire. On y voit des artères et des veines (v, v', v", v" ' ) dilatés. Dans leurs adventices, il existe par ci
encontrent pas la plupart du temps les neurones corres- pondants. ' Le lecteur a rencontré, au cours de ce travail, l
demi. 1\ ! YA et 1,1;1;A[)A. - Revista de Pathologia Nervosa, 1898. ' El.w;sn,t : rrn. Revue de Médecine, 10 juin 189
CLINIQUE DE M. LE PROFESSEUR GRASSET. SYRINGOMYÉLIE OU LÈPRE PAR ' GAUSSEL, et A. LÉVY, Chef de clinique à l'Uni
de clinique à l'Université de .. Externe des hôpitaux. Montpellier. ' Le diagnostic'entre la syringomyélie et la lèpr
ne fait que s'accuser et, le 5 avril, la mort arrive dans le coma. ' Nécropsie. On ne trouve rien de particulier à l
A LA SALPÊTRIÈRE. ? DYSTROPHIE D'ORIGINE PULMONAIRE (1) - PAR ". ' ' P. LEJONNE et M. CHARTIER. A côté de l'infant
LA SALPÊTRIÈRE. ? DYSTROPHIE D'ORIGINE PULMONAIRE (1) - PAR ". ' ' P. LEJONNE et M. CHARTIER. A côté de l'infantil
eloppement aboutissant à des tares organiques et intellectuelles. ' La malade que nous présentons nous a paru rentrer
pouls est à 90°. Il n'existe aucun signe clinique de chloro-anémie. ' L'examen du sang fournit les données suivantes
ULMONAIRE (Lejonne el Chartier). DYSTROPIIIE D'ORIGINE PULMONAIRE ' 469 rynx supérieur est très réduit dans ses deu
ige, Gazette des hôpitaux, 1902 ;.Iconog. delà Salp., 1895-1891, ., ' (2) GILBERT et I;ATIIERY, Presse médicale, 1901
En. FoumuEn. Thèse de Paris, 1898. DYSTROPHIE D'ORIGINE PULMONAIRE ' 471 L'attention est d'ailleurs rapidement attir
u-dessous de la composition, proclame 'la gloire de saint Etienne : ' . ' Signa patret nord, prodigiis miracula junga
ous de la composition, proclame 'la gloire de saint Etienne : ' . ' Signa patret nord, prodigiis miracula jungat, N
esser son travail, et reste chez sa mère à trier des vieux papiers. ' Depuis cette époque, il touche à l'Assistance p
inférieur droit (frac- ture ancienne) est raccourci (PI. LXXII C). ' Les deux pieds présentent la déformation suivan
l'état de repos, pas de nystagmus. Pendant les mouvements des globes ' oculaires, nystagmus très net. Si l'on dit au m
93, fournit les renseignements suivants : OEil gauche et oeil droit, ' hypermétropie et as- tigmatisme, vision normale
in la dégénérescence n'atteint pas en bloc toute la fibre mus- 4Sô' ' ' . - DEJERINE ET ANDIiG-'l'Ii0111AS culaire, c
la dégénérescence n'atteint pas en bloc toute la fibre mus- 4Sô' ' ' . - DEJERINE ET ANDIiG-'l'Ii0111AS culaire, cer
lles se voient mieux sur les coupes colorées par la méthode de Pal. ' . Chaque fibre à myéline est entourée par une g
ont moins nombreuses et la sclérose monotubulaire y est plus nette. ' On retrouve les mêmes lésions mais à un degré m
yaux. · Le grand sympathique présente des altérations semblables. ' Examen des racines par dissociation. Cet examen
t constitués par une fibre nerveuse entou- rée de tissu conjonctif. ' En résumé,les fibres radiculaires paraissent so
rieurs de la voûte plantaire et se comporte ensuite comme à droite. ' Dans les régions totalement analgésiques et dan
n pratiqué par Vialet.) Ouïe, goût, odorat, intacts des deux côtés. ' D'après ces trois observations on peut se rendr
LE PROFESSEUR RAYMOND QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE ' ÉTUDE DES LÉSIONS NERVEUSES ' PAR ) L. ALQU
OPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE ' ÉTUDE DES LÉSIONS NERVEUSES ' PAR ) L. ALQUIER, , Chef des travaux anatomiq
ec tuméfaction des cylindres-axes, épaississe- ment de la névroglie, ' lésions qui paraissent pouvoir aller jusqu'à la
cipales constatations anatomo-histologiques faites dans ces 15 cas. ' Pour me rapprocher le plus possible de la clini
A eu deux pleurésies à 8 ans ; à 11 ans, rougeole puis scarlatine. ' Débuta 25 ans par des douleurs interscapulaires
molles deux ordres de lésions. 1° Dans la région lombaire (de il ! ' à Ve L) de nombreuses gaines myéliniques très d
e ponctionnée deux fois et diagnostiquée péritonite tuber- culeuse. ' 55 ans, douleurs lombaires vagues, exagérées pa
(L. Alquier). QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 52 ! ' Dans le second cas, un fragment du corps de la
uses, dont les cylindres- axes sont irrégulièrement tuméfiés. xix ' 35 526 ' ALQUIER A distance, on trouve, au-de
les cylindres- axes sont irrégulièrement tuméfiés. xix ' 35 526 ' ALQUIER A distance, on trouve, au-dessus,une pâ
nt pas notablement de celles observées dans le mal de Pott simple ; ' il semble que les deux maladies aient évolué para
mois d'immo- bilisation. 15 jours plus tard méningite tuberculeuse. ' Jeune fille de 18 ans. A 16 ans, à la suite d'u
ts au niveau des cordons postérieurs à la région dorsale moyenne. ' Tels sont les faits : leur interprétation soulève
, à la compression osseuse et à la présence des lésions épidurales. ' Obs. I. : la saillie de. la VIe dorsale, aplati
uième de nos cas, est loin de représenter un élé- ment négligeable. ' Dans les autres cas, il ne saurait être questio
ette com- pression n'avait, cliniquement, déterminé aucun symptôme. ' L'examen histologique nous a montré des lésions
araissent surtout dans les cas de mal de Pott lombaire ou cervical. ' Il nous est difficile d'apprécier exactement l'
vec la lésion osseuse, ni avec le maximum des lé- sions épidurales. ' La coexistence variable des lésions médullaires
e de vie du lobe (1) Vigouhoux et LAIGNEL-LAVASTIIVE, lac. cit., p, ' 134. (2) V. DRJHRINE, Anatomie des centres nerv
nt. Sur une coupe (Fig. 5) passant immédiatement au-dessous du laye/ ' dest1'11C- li/, dont un prolongement occupe la
n du feutrage cortical ; dimi- ? ± nnrinn ci feutra intn-"livlirf " ' i.iiii.LMM'-J.tlrl^^a^^^a,^ HÉIIfIASYNERGIE DRO
ès rares parce que la syringomiélie est une maladie peu fréquente.' ' Enfin, doit-on conclure, à cause de cela, que l
supination active et passive est limitée. A la face postérieure, le ' cubitus est plus proéminent que dans la normale,
aires de l'artério- sclérose. Grasset : Revue neurologique, 1906. ' BtEGANSKT : D. Med. Woch., 1895. TESTI : Cong
les du segment postéro-inférieur de la couronne rayonnante, une 566 ' LASALLE ARCHAMBAULT alimentation essentiellemen
s des échanges nu- tritifs au niveau du prolongement cylindraxile ? ' Dans les deux cas très intéressants que nous ex
unité ; il n'y va que du principe et il nous pa- rait fort précieux ' Nous sommes d'ailleurs d'autant plus autorisé à
re du bourrelet du corps èalleux les fibres du faisceau optique 580 ' LASALLE ARCHAMBAULT central se déploient progre
il reste en effet quelques particularités dignes d'être -signalées. ' La voie pyramidale comporte des fascicules aber
ucoup dans l'explication des anomalies des irrégularités de trajet. ' Au niveau de l'hémisphère, le grand facteur c'e
Ferrari fort intéressant au point de vue de la médecine dans l'art. ' Parmi les Démoniaques que Charcot et Faut Riche
énitales par atrophie numérique des tissus (1 pl., 4 dess.), 136. ' KLIPPEL et Maillard. Un cas de maladie de Rec
e, syndrome méningé (3 fig., 1 pl.), par Dupré et DE- veaux, 239. ' Achondroplasie partielle, forme atypique (3 p
es at- teints de) {note additionnelle) (11 fig.), par NoïcA, 951. ' Neurofibromatose généralisée (un cas de) (1 p
, XL. Ankyloses vertébrales (Pierre Marie et A. Léri), VII, VIII. ' Anomalies multiples congénitales (M. KLIP- re
46 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
che que nous nous sommes volontairement proposée. PAUL RICIIER. ' GILLES DE la Tourette. ALBERT LONDE. NOUVELLE
le siège d'une atrophie très-marquée, étudiée déjà par M. Babinski ' dans un travail fort intéressant. La face ne pa
é à la douleur est abolie complètement dans tout ce côté (fig. 1 et ' : 2). Toutefois, la moitié gauche postérieure et
s ses moindres détails, la conformation extérieure du corps humain. ' Ce n'est pas d'ailleurs la première fois que M.
vres exposées au Luxembourg, on reconnaîtra la proéminence lombaire ' médiane de la station assise dans les statues d
renflements dus à la proéminence isolée de chacune des apophyses.' ' ' II . Les quelques considérations que nous v
enflements dus à la proéminence isolée de chacune des apophyses.' ' ' II . Les quelques considérations que nous ven
éritable claquement dû au tendon d'Achille brus- quement tiré. > ' Il en est de même pour le gros orteil qu'on n'a
hystérique des deux pieds. Disparition des phénomènes spasmodiques. ' Persistance des déformations par rétractions fibr
malade marche seule et sans béquilles et n'accuse aucune douleur '. ' Quand M. Charcot présenta cette malade à ses au
les regardait attentivement, espérant recevoir d'eux quelque chose. ' « Alors Pierre dit : « De l'argent et de l'or,
PL. VIII PHOTOTYPIU BERTHAUD CLICHF A LE LEPREUX D'ALBERT DURER ' · i (151.3 ) DHLAHAYE&LECOSNtr-'H. IJ' II
es et, le plus souvent même, disparaissent à peu près complètement. ' Si, alors, on lui dit de toucher avec son pied
lier ? Il serait, croyons-nous, difficile de répondre, toutefois nous ' inclinerions volontiers vers la rareté relative
t bien conformés, les érections faciles et l'éjacu- lalion normale. ' Il n'existe en aucune partie du corps des troub
e, au point de vue thérapeutique, devient tout à fait particulière. ' Si le spasme pcutdisparaîtrespontanément, la lé
justifie pleinement la ligne de conduite que nous préco- nisons. ' P. BLOCQ, Interne de la Clinique des maladies d
s qui ait été signalé est dû au professeur Hergott, de Strasbourg'. ' Un cas rapporté par Brandi en 1877, compliquait u
aquelle portait le corps. Elle tombe et roule en bas de l'escalier. ' La malade n'accusait de douleur qu'à la partie su
rétrécie avait opposé moins de résistance que les ligaments qui le * ' fixent au tibia. f ; 2° Arrachement par mouve
iété de chirurgie sur ce même sujet, à l'occasion d'un malade dont , ' nous indiquons plus loin l'observation qui sera r
péroné est notablement plus volumineuse que celle du côté opposé. ' Mouvement. - Le malade ne peut communiquer au pie
ital sans présenter aucune sorte de consoli- dation de sa fracture. ' Quant au pronostic de la lésion du nerf sciatiq
complète des muscles extenseurs du pied et des péroniers latéraux. ' Chez le malade.de Perrin, la paralysie, au bout
des tours de Notre-Dame do Paris., \OUVELLE ICOnOGRAPIIIE T. 1. PL. ' \]Il MASCARON GROTESQUE DE L'ÉGLISE SANTA MARI
elle-même un des traits les plus caractéristiques de l'affection. ' Sans avoir à nous étendre ici sur ce que la réuni
RVENTION CHIRURGICALE. '7 . fibreux qui l'entourent sont indurés et, ' épaissis ; d'autre part, le muscle proprement d
cachée sous les circonvolutions qui bordaient la couche optique.. - ' 4 f l' . Cette bandelette mérite une descriptio
rophie notable; les autres parties des hémisphères sont nor- males. ' , 6° Les circonvolutions de la face interne aff
celles qui intéressaient le corps calleux et le trigone cérébral. - ' Otusait que ces organes sont des formations emb
érébrales au nombre desquelles il ci le l'absence du corps calleux. ' Riel, cité également par Tiedeman, rapporte une
et dont il se remettait aussi rapidement que d'une simple syncope. ' C'élail un homme de taille moyenne, de complexi
09, 210. 1.1 0 en C. : 3 "i n en =* o s Ili n ' ] 0 en C CI C CI r M n Fie 48.
tation de l'impulsion, comme on le voit sur les figures 53, 54, 55. ' 1. Il s'agit du malade atteint d'épilepsie trau
uoI'I1111/ ! do N... - b. \na'rlfnrt ,'e 11 ma : " go : > : chu. ' (', .\;\l'Î'' 'C' il" de la m,i.i "'oitc. LU NO
'I1111/ ! do N... - b. \na'rlfnrt ,'e 11 ma : " go : > : chu. ' ( ' , .\;\l'Î'' 'C' il" de la m,i.i "'oitc. LU NOUVE
leur caractère normal après un temps variable, suivant les sujets. ' Cette modification ne peut guère avoir une orig
ression de 100 à 250 grammes moins considérable qu'à l'état normal. ' Fig. Gb. a. Pouls radul droit normal de F... -
groupe de faits de ce genre que nous désirons appeler l'attention. ' « C'est au mois d'avril 1881 que nous avons obs
se faisant tout entière dans le plan vertical. M. le docteur Boyer ' a noté l'absence de celle déviation en dehors,
onvexité dorsale, peut être comparé très justement au pied chinois. ' M. Chauffard a également insisté sur l'empreint
dans toute sa surface externe et surtout à son bord antérieur, et son ' 1 aspect pourrait faire croire à une fracture a
éroné. En cet endroit, il n'existe plus de trace de cartilage arlicn- ' laire : l'os est rouge, rugueux, granité. , L
ore par places; , la lésion est moins avancée que sur le calcanéum. ' Les autres os du pied ne présentent rien d'anor
és dans les régions sclérosées, un grand nombre de corps amyloïdes. ' A celle môme région, la plus grande partie des
certaine quantité reprendre progressivement sa position nor- male. ' '. - ' - Aussi je conseille de ne faire après l
ne quantité reprendre progressivement sa position nor- male. ' '. - ' - Aussi je conseille de ne faire après la secti
'Opération) LECROSNIER & BASÉ, ÉDITEURS NOUVELLE ICONOGRAPHIE ' T 1, PL. XXXIII j Cliché A. LONDE PHOTORYFIE BE
nduits pour agir sur la contractilité, les courants 1 tG ) ! () l1 \ ' l' : L L E [C O : 'i () (; n ,\ P III E nE LAS AL
tG ) ! () l1 \' l' : L L E [C O : 'i () (; n ,\ P III E nE LAS AL P l ' [' It II : It E, continus pour activer la nutrit
) ! () l1 \' l' : L L E [C O : 'i () (; n ,\ P III E nE LAS AL P l '[ ' It II : It E, continus pour activer la nutritio
letin médical, 1887, n° 7, p,99. DE L'INTERVENTION CIIII;UiCIC4f.G. ' 117 la gêne venait exclusivement de la résistan
hique, et la sensibilité est normale. L'état général est excellent. ' 10 mars 1887. - Section sous-cutanée des deux t
mois de mai, mais en laissant après lui une rétraction des muscles ' postérieurs qui immobilise les pieds dans l'équin
arsiens, le talon restant éloigné du sol d'environ dix centimètres. ' Dans la situation debout un peu prolongée, les
qu'il sentait quelquefois ses jambes se dérober sous lui. De plus, ' tandis qu'auparavant il pouvait faire facilement
embarrassée, traînante ressemblant un peu à celle des gens avinés. ' Le pied est déformé. Le malade ne peut nous ren
ez bien, mais il faut l'avouer, rarement avec une sécurité absolue. ' Je me suis servi aussi du compas de Weber pour
'est pas mordu la langue, n'a pas uriné. Sitôt après l'accès, on le ' BAILLEMENTS CHEZ UN EPILEPTIQUE. 165 relève, ma
hilosophique, on peut le critiquer ; mais mon seul but en le créant ' était de rappeler le symptôme majeur de cette mal
était de rappeler le symptôme majeur de cette maladie (axpov extré- ' mité, p.É ? aç grand), de façon à le mettre assez
ice de M. le professeur Charcot; et, à cette occasion, recherché et ' reproduit des observations analogues publiées par
e vertical, G centimètres; diamètre tranversal, 6 centi- ,. mètres. ' Les condyles du fémur ne font pas de saillie an
mètres. Circonférence au niveau du cou-de-pied, 28 centimètres. ; ' Circonférence passant immédiatement au-dessous de
2 centimètres. , Circonférence du petit orteil, 75 millimètres. = n ' Le second orteil, surtout au pied gauche, est u
varices, mais leur développement est bien loin d'être considérable. ' 1 . Il existe aussi des hémorrhoïdes qui se son
depuis cette défor- mation n'a fait et ne'fait encore qu'augmenter. ' La forme générale de la face est très allongée;
ur ainsi dire pas conscience des difformités dont il était atteint. ' Pour en revenir à cette céphalalgie, voici ce q
les photo- graphies qui nous ont servi à rédiger cotte observation. ' .2. Voy. au point de vue des phénomènes hystéri
t pas d'ailleurs à ébranler notre incrédulité sur ce point spécial. ' ; Nous pensâmes qu'il était plus logique d'attr
thésique fut assez avancé pour que toute sensibi- lité fût disparue, ' la déformation lombaire et l'attitude du thorax p
orteils et remontaient jusqu'à la partie su- périeure de la cuisse. ' A la suite de ces douleurs, le deuxième orteil
é à ressentir dans les membres inférieurs des douleurs fulgurantes. ' Aftrenle-cinq ans, après quelques jours de gran
tement qui, comme usés par place, offrent de véritables éro- sions. ' Autour de l'articulation, il existe très souven
lésions les plus accusées : les épiphyses sont rapidement altérées. ' 1 Les surfaces articulaires de l'astragale, du
icules de Havers sont dilatés, il y a destruction des ostéoplastes. ' M. Regnard, en 1879, a montré, par des analyses
l'intermédiaire de certains nerfs trophiques ? Est-il, au contraire, ' placé sous l'influence du grand sympathique ? N
s propres à l'arthro- pathie tabétique, est parfois très difficile. ' Dans la plupart des cas, le diagnostic sera fac
douloureuses alapression : les têtes osseuses sont hypertrophiées. ' - L'arthrite sèche est confondue avec l'arthropat
es malades. Ainsi, chez B... les sourcils sont élevés, et les rides, ' exclusivement transversales , ainsi qu'on le vo
et. semblant correspondre au filet descendant du l'é- moro-cutané. ' . Motilité. Tous les mouvements sont possibles,
sie- ne se déclare'que quelque temps après la lésion médullaire. Il ' semble donc que notre observation doive s'ajout
été obligeamment communiquée par M. Blocq, interne du service. 1 ' : J30 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
tacarpiens est de 29.5. Circonférence au niveau du cou-de-pied, 29. ' Longueur du talon à l'extrémité du gros orteil,
e au niveau de la phalangette, G.3. Circonférence du poignet, 18.5. ' Plus grande circonférence de l'avant-bras, 27.
assez bien, mais cependant leur puissance semble aussi diminuée. " ' En somme, quoiqu'un grand nombre de mouvements
s un mètre au moins. Longueur totale du corps (mesurée debout), l" ' 54. La circonférence de la taille a augmenté au
ise à la Salpêtrière. Elle continue à souffrir de ses hémorrhoïdes. ' En 1872 elle est prise de violentes névralgies,
ise de violentes névralgies, et ses dents tombent presque e toutes. ' Actuellement (3e trimestre de 1885). -Les doigt
ien de particulier, si ce n'est une saillie assez forte de l'épine. ' Le relief des côtes est assez marqué, surtout l
des varices assez développées se voient aux jambes et aux cuisses. ' La face (pi. XLIX) présente un ovale très allon
périeure; sa .largeur à la base des narines est de 42 millimètres.. ' ' ' Le maxillaire inférieur, augmenté de volume
rieure; sa .largeur à la base des narines est de 42 millimètres.. ' ' ' Le maxillaire inférieur, augmenté de volume d
eure; sa .largeur à la base des narines est de 42 millimètres.. ' ' ' Le maxillaire inférieur, augmenté de volume dan
u maxillaire inférieur et l'os hyoïde est de près de 8 centimètres. ' @ Toutes les sutures du crâne, mais surtout cel
inférieure de la symphyse mentonnière, 14.6. Mento-bregmatique, 26. ' · Diamètre transversal du front au niveau de la
pe, 10.8; droit, 10.5. Circonférence du deuxième orteil droit, 6.8 ; ' gauche, 6.8. Longueur du tibia sans tenir compt
ntés de volume ; au contraire, les os du carpe semblent plus épais. ' Diamètre antéro-postérieur du carpe un peu en d
antéro-postérieur du carpe un peu en dedans de la base du pouce, 4. ' L'aspect général de la malade estïun peu cachec
et je recueillis du Dr Chiapponi l'assez curieuse notice qui suit : ' Maria B... est de Milan; sa mère mourut à vingt
505 et suiv. . 18 246 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ' L'A C Il O)l É 6, L 1 L. 247 Ons. IX1. Ghirlenz
dernières années que les jambes devinrent douloureuses, particulière- ' ment les genoux cet été, mais jamais les pieds
glions inguinaux sont un peu gros, à part cela il n'existe nulle part ' de tuméfaction ganglionnaire. Les dents sont
Dans l'articulation scapulo-humérale il existe également des frotte- ' ments secs. Au niveau du rachis cyphotique le
inuer alors avec l'appendice xyphoïde ,\ fortement plié en dedans. ; ' Les côtes sont, comme dans la cyphose en généra
dit corps thyroïde. Matitc cardiaque : bord supérieur de la deuxième ' ¡ L'.\Clt031 £ GALIE, : ! jÍ et quatrième côt
arie. (A suivre.) . . h .1, ,. -J .' ... ? ) " 1. l , .' i 1 ( J' ' . r. : f- ,1 ? . ,. j i : . ' : '" r f' , . (
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' ;J . '- ? f L : . ' '4 ? t .. .l'LËS SYPHILITIQUES DANS L'ART1 ' ' L) f>" f' > . l'ji J ? . r . , C'ést
' ;J . '- ? f L : . ' '4 ? t .. .l'LËS SYPHILITIQUES DANS L'ART1 ' ' L) f>" f' > . l'ji J ? . r . , C'ést au
le sévit' d'une- façon terrible sousda forme, d'épidémies violentes, ' au même moment' en Italie,' en Espagne, en Fran
ble sousda forme, d'épidémies violentes,' au même moment' en Italie, ' en Espagne, en France, en' Allemagie et en Angl
a syphilis que nous connaissons datent précisément de cette époque. ' . C' est d,4bord, une gravure extraite du trait
(configuration extérieure dans l'), 36, 37, 38, 39, 46, 47, 48, 49. ' Arthropathie (voy. tabétique). Aveugle (Tobie
47 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
LTOT (P.-A.), BLANCFIAlIU, BI.OCQ. 110(\\Alltt's (E.), BOUCHER EAU. ' IJHIAND (11.), BITISSALI) (1 : .), UItOf'AIiUEI
uestion est convexe du côté malade, concave du côté sain. .- - - - - ' , \ Nous ajouterons toutefois qu'il n'est pas t
té sain et du côté malade, et comme nous avons pu' nous en rendre ' Richer. Note sur l'anatomie. morphologique. ' L
pu' nous en rendre ' Richer. Note sur l'anatomie. morphologique. ' L'intervalle costo-iliaque (F) n'a pas partout le
ui a le premier insisté sur ce symptôme, pour en tirer un Fig. 9. ' * Fig. 10. DES SCOLIOSES DANS LES NÉVRALGIES
ment à la station debout prolongée : « Si vous considérez, dit Todd ' , une personne souf- frant d'une hémiplégie ordi
« cloche-pied ». Or, quand on marche, ou plutôt, quand on saute à ' Clinical lectures on paralgsis 2° édit., London,
antage illusoire de ramener la ligne des épaules à l'horizontalité. ' Quant à la permanence de la scoliose sciatique,
88-80. Leçon du 5 mars 1889. UN cas d'abasie-astasie. 41 chaise, ' fait très bien les mouvements de natation, marc
tudier les effets. La suite immédiate de l'embolie eazeuse est la ' Voir Archives de Neurologie, n° 47, p. 145; n° 48
un certain nombre de tubes nerveux restés intacts au milieu du 52 ' CLINIQUE NERVEUSE. - tisssu sclérotique ; il m'
if sous-jacent et de la tunique musculaire. » 58 CLINIQUE NERVEUSE. ' Pour être complet, on ne peut pas omettre le tr
rs sont complètement paralysés; le malade, même quand il est couché, ' n'est pas en état de mouvoir ses membres qui so
très obtuse à gauche; nécessité de vider la vessie par la sonde. ' 29 juillet. = La paralysie aussi bien de la motil
jours irrégulièrement ovale. Le tissu çircpnvQisin des cordons 60 - ' CLINIQUE NERVEUSE. postérieurs offrait plus ou
iques, la bal- néothérapie, les frictions, la strychine, etc., etc. ' Il faut enfin sévèrement proscrire l'emploi de
cervelet*. L'existence d'un faisceau fronto-cérébelleux, reliant ' Lussana. Sul cerveletto ricercge fisio-parologich
ordre des t : mouvements qui ne va pas, sans doute, jusqu'à empê- ' L. Luciani Linee ycuerali délia fisiologia del ce
ésenté deux chiens au Congrès de Pavie : chez le premier, dont la ' Archives italiennes de biologie, IX, 1887, p. 17.
des localisations cérébrales, à Brown-Séquard, à Goltz, à Marcacci ' , a constaté sur l'homme vivant, à travers la du
on considé- rable de cet os : l'ouverture mesurait 35 millimètres ' Centri motori centrait. Studio critico sperimenta
par le vent d'un soufflet capillaire ou l'action de l'aimant, de ' G. Sciamanna. Gli awersari délie localizzazioni c
tériques. 88 PHYSIOLOGIE. la chaleur, de la lumière, du son, etc. ' : la tête du sujet une hystéro-épileptique de v
ation d'un processus physiologique com- mun à tous les individus 2. ' L'année suivante, au Congrès de l'Association m
ciation médi- cale italienne, à Pavie (1887), Rainoldi a présenté ' C. R. de la Soc. de biol., 14 janvier 1882. · '
inoldi a présenté ' C. R. de la Soc. de biol., 14 janvier 1882. · ' V. Lo Sperimentale de nov. 1885; et la lettre de
cerveau dans les 47 cas cliniques recueillis par Sep- oilli : 92 ' PHYSIOLOGIE. Les lésions provocatrices des alté
rine des localisations n. Etude critique et clinique, etc., p.. 16. ' Livio Viucenzi. Sulla sclerosi dell' alveus cnei
les obser- vations cliniques confirment un jour ces vues, si les ' Eu regard de ces objections, faites du point de v
uivant les auteurs italiens, et toujours en vertu de la théorie de ] ' « engrenage », qu'une lésion limitée de l'aire s
convolutions ascendantes, et que celles des extrémités correspon- ' dent surtout aux lésions des parties supérieures
GARÇONS; Par BOURNEVILLE et P. SOLLIER. UNE FAMILLE D'HYSTÉRIQUES ' 1 Nous devons compléter l'observation de notre
ole, ne prend plus ses douches depuis un mois. - Règles régulières. ' 20 décembre. - Une attaque sans cause. 1887.
. 3 mars. - Nouvelles attaques le 3, le 4, le 5 et le 10 février. ' Comme on le voit par l'histoire de La. E, et par
l'école; d'où, nous le répétons, la nécessité de l'hospitalisation. ' ' 106 RECUEIL DE faits. 5 août.-Marie n'a pas
école; d'où, nous le répétons, la nécessité de l'hospitalisation. ' ' 106 RECUEIL DE faits. 5 août.-Marie n'a pas e
r recoquillement déterminé des ectasies et des tumeurs secondaires. ' P. Keraval. IX. Contribution A la QUESTION DES
) 1. Contrôle du grand travail de Golgi. M. Forci. accorde ce qui ' On donnera l'ensemble de la question traitée dans
s organes séparés, selon l'importance de l'un des morceaux divisés. ' P. K. XI. De l'allure des nerfs sensibles dans
une garçon. R. M. C. - 122 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. VIII. U : ' \ C \5 de folie saturnine; par Hall Willl'r. (The
e par des phénomènes en tout semblables à ceux de l'ivresse. Le D' ' Crothers cite plusieurs faits se rattachant à ce
t et plusieurs autres membres s'associent à l'opinion de M. Briand. ' M. FALRET demande que les termes dont il s'est
ANTES. XIXe CONGRÈS DES ALIÉNISTES DE L'ALLEMAGNE DU SUD-OUEST1 ' SESSION DE C.OELSRUHE 1888. Séance dit 27 octob
du tissu néoformé en éléments ostéoïdes n'a rien d'extraordinaire. ' - , ? . M. LANDERER (de Goeppingen), Des expé
L'autopsie se traduisit par les lésions du décubitus acutus, des ' Nous avons traité au Congrès international d'Assi
réables qu'ils contre-balançaient et au delà l'effet thérapeutique. ' 2° Quatre-vingt huit aliénés en ont pris à l'in
roubles digestifs graves ? Arrête-t-elle réellement la salivation ? ' ! .1\1. KNY n'a observé, en fait des manifestat
2. M. de GAVARDIE. Monsieur le président, j'aurais un mot à dire. ' Voir Archives de Neurologie, t. XVIII, p. 456.
nt qu'un individu a été acquitté, vous devez le mettre en liberté ! ' L'autorité administrative pourra, sous sa respo
ment des voles.) M. le Président. Voici le résultat du scrutin : -. ' SÉNAT. 141 M. ROGER-MARVAISE. C'est une rédac
i sont prélevés pour la retraite de tous les autres fonctionnaires. ' M. Casimir Fournier. Mais on ne peut pas parler
e modifi- cation de rédaction. Il n'y aurait qu'un mot à changer. ' Archives, t. XV1TI. 10 146 bibliographie. M.
n'y a qu'à dire : «... sont reversées dans la caisse de l'Etat. » ' M. le rapporteur. C'est cela ! M. LE président.
que l'on a groupés sous le nom de folie morale, raisonnante. Enfin, ' les deux mémoires les plus récents ont pour obj
ction à l'étude de la Spécificité cellulaire chez l'homme; par le D' ' L. HILLEIfAND. (Paris ? Steinheil 1889.) M. Hil
loppement suffisant pour exercer une compression. Ainsi, Friedreich ' , 'Archives de Virchow, t. XXVI. Fig. 21. É1
nerveux z. La méthode de la coloration noire, où les pièces sont ' Voy. Arch. de Neurologie, u° 51, p. 337; no 52, p
au, et non un simple entrelacement '. C'est au moyen de ce réseau ' Sutta fina anatomia cln.,7li organi ccnll'al ? [1
ure mo- trice ou de nature soit sensitive soit sensorielle. C'est ' Sulla fina analomia degli organi centrait... p. 4
s de netteté que les tissus sont plus jeunes. Voilà comment Golgi ' Sulla fiiia Anatomie : degli organi cenlrali... p
té extra- ordinaire, que la continuité et l'expansion des centres ' Golgi. Considérations anatomiques sur la doctrine
calisations cérébrales. - Archives ital. de biologie, 11, p. 249. ' Mosso et Peitacani. Sur les fonctions de la vessi
-,çl)i,ung ? t)ztl Eittwielceliiii ! l (lei, Siii ? ieswe),Iczeu.Qe ' 1;. liaecl : el. C'eGer 2tatiti,e und Entwickelll
ent par exagération de l'une des propriétés au détriment des autres ' ». C'est précisément sur celte « spécialisation
guère que celles de Meynert. Les éléments nerveux des centres de ' CI. Bernard. Leçons sur les phénomènes de lu vie
énomènes de lu vie commune aux ani- maux et aux végétaux. 1, 3G8. ' 11. Vluul : . Ueber die centrale Organe sur das S
fonctions du cerveau'. Et, comme Nissl, après Gudden, avait fait ' Bericlit ueber die Jaliresversammlung des Ve rein
ions. Que certaines catégories de cellules nerveuses l'emportent en ' nombre dans certaines régions déterminées; qu'e
et périphé- rique, est un fait incompatible avec la doctrine, ou ' Seppilli. Sulla slrultura islologica della corlec
s devront être en connexion intime avec des fibres nerveuses sen- ' A. Cattaneo. 5ugli organi nervosi terminali muscu
uses on fusi- formes, varient de 20 à 50 , et leurs noyaux de 5 à ' V. Ial'chi" Nota pl'eventiva sulla fina anlltolll
istoloie de l'en- céphale des Téléostéens (Cyprinoïdes, Salmonidés) ' , à côté de ces habitudes de précision, de clart
irigé par le professeur Giacomini, sont sortis aussi de remarqua- ' Romeo Fusari. 11110l'no alla fina analolllia lieU
q d'Azyr, qui correspond aux quatrième, cinquième et sixième cou- ' Internationale Monatsschnft ruer Anatomiu und His
comparable à ceux qui existent déjà pour cette région du cerveau ? ' ! L'étude d'anatomie pathologique de Cionini es
orino, 1887), où les objections de Franceschi se trouvent réfutées. ' Tamburini e Riva.- Ricerche sulla Anatomia patolo
essiva. A contributo delle loccalizzazioni cerebrali. Milano, 1884. ' Morselli ? <pMo. ! pM ? eo dell' encefalo negl
degli emisjeri cerebrali. - Riv. speriment. di fren., 1882, 450. ' Seppilli. -Il peso degli emisferi cerebrali nei 1
s individus sains d'esprit. Meynert et Sommer étaient arrivés, on ' Peli.- halorno alla craniolo.'1ÏrI degli aliennli
ans la démence sénile. Ajoutons que, d'après les recherches de Peli ' , le poids de la calotte crânienne est plus élev
océphalie intéresse directement l'étude des fonctions du cerveau. ' Peli. - Sul peso della calolla cnaniense rispelto
roduction à l'étude scientifique des fonctions de l'intelligence. ' Cf. Bourneville et Sollier.- Epilepsie et asymétr
parallèlement aux phénomènes d'arièt de développement céré- bral. ' Tanzi. -L'equazione personale degli epilellici. A
ans mon service, à Bicêtre. Ce malade nous a été envoyé par M. le D' ' \Ioizard, médecin de l'hôpital Tenon, qui l'ava
ns son développement et qu'il est devenu gros et bouffi. Il mange ' Nous aurions voulu avoir des renseignements plus
ux axillaire. Circonférence du thorax au niveau des mamelons 0'"665 ' de l'abdomen en passant par les plis des flan
r l'avancement des sciences, nous avons reçu le 18 août, de M. le D' ' Arnaud (de Saint-Gilles), qui avait assisté à la
y ont prêté attention à l'exception du professeur H. Munck et du D' ' Drobnik. Je partage l'avis de la majorité. Tout
ablation totale de la glande thyroïde, surtout la tétanie, par le D' ' Anton von Eiselsberg, assistant de la clinique
al. Il me semble que ces observations du professeur Schiff, et du D' ' Eiselsberg ont une valeur particu- lière, et me
nt dormir les quatre cinquièmes des malades quelconques en cinq à ' quinze minutes. Si on les réveille, elles ne tard
paraldéhyde, et son exhalation pulmonaire n'infeste pas une salle. ' ' P. K. VII. Remarques, SUR l'usage ET l'abus D
araldéhyde, et son exhalation pulmonaire n'infeste pas une salle. ' ' P. K. VII. Remarques, SUR l'usage ET l'abus DE
t. On a dit : L'hypnolisme est un modificateur psychique qui, s'i ' Voy. Archives de Neurologie. Séance de décembre 1
Archives de Neurologie. Séance de décembre 1888. sociétés SAVANTES. ' ' 253 échappe encore à une explication physiolo
chives de Neurologie. Séance de décembre 1888. sociétés SAVANTES. ' ' 253 échappe encore à une explication physiologi
cenle. La physiologie est muette sur le mécanisme de l'hypno- 254 ' sociétés savantes. tisme. Pour moi il agit (c'e
'. suivirent la dernière résection, notre chien pouvait encore et ' Voy. Archives de Neurologie, XIII" Congrès, t. XV
et Honchgeest, les intestins restent en repos, mais demeurent long- ' temps excitables. Dans ces conditions. l'applic
este sous la forme d'idées de culpabilité associée à des obscénités, ' à des blasphèmes, obscénités, et blas- phèmes s
e froid et d'engourdissement (à forme hémiplégique), tremblements ' Voyez sur ce sujet Archives de Neurologie, XVIII,
velle hémorrhagie intestinale, il tomba dans une démence incurable. ' Brierre de Boismont (Gaz. des hôpit., 7 mars 18
(Alg. Zeitsch f. Psych. XLVI. t .) P. Keraval. sociétés savantes. ' 21\1 SOCIÉTÉ PSYCHIATRIQUE DE BERLIN, Séance
ouis continua pourtant de régner trois mois encore, et c'est VARIA. ' 293 le 9 juin seulement que le roi fut déposé,
ale que les aliénistes connaissent bien sous le nom de paranvio : . ' 2° De la marche progressive et continue de cett
ces altérations avaient pour origine les unes des anomalies de 294 ' VARIA. développement, les autres des processus
les conséquences héréditaires de l'alcoolisme et de l'ivrognerie ? : ' faits DIVERS. 297 Quels sont les moyens à pre
d'influence auprès de l'administration supérieure que nos journaux ' ( de médecine, que nos Sociétés de médecine, que
ANis, médecin directeur de l'asile deSaint- Dizier (Marne). M. le D' ' Brusque, ancien médecin de la marine, médecin-a
arine, médecin-adjointde l'asile de V ducluse. - M, le professeur W¡ ' ;STPlI \L (de Berlin). Né à Berlin le 23 mars 18
meinc Zeitschrift fier Psychiatrie, dans Yirchow's Archtu., Berline¡ ' Kliazische W(¡chenschi'ift, Charité- Annalen V
selle internationale de 1889 à Paris. - Volume in-8 de : ,80-X : \x\ ' , avec 293 figures. - Prix : 10 fr. - Pour nos a
ie J.-B. Baillière et Fils. STATH or EW-YORK. First annual report 0/ ' </toc stale commission in Lunacy, 1839. Volu
simplement annoncés. . Le rédacteur- gérant, l3otnKewLLe. Erretui ' ;1;. H&K lI.'8l \ , iiap - 39o. Vol. XIX. Ma
s observations de Drasche (1882) et surtout celle de Ziemssen (1885) ' ; cette der- nière est particulièrement intéress
igts. Il s'agissait donc là bien vraisemblablement d'une névrite. ' .1. Worms. - Des névralgies symétriques dans le d
es névralgies symétriques dans le diabète. (Acad. de med., 1880.) ' \'on7.iemssen ? \-coruldie ttnd Veurilis bei Diab
à laquelle j'ai proposé d'appliquer le nom de démarche de steppe ! ' et qui paraît tenir à ce que la paralysie muscu
lectrique des muscles des membres Inférieurs pra- tiqué par M. le D' ' Vigouroux, le 7 décembre 1889. A droite, réacti
ois notre malade rendait jusqu'à 180 grammes d'urée par jour. 328 ' CLINIQUE NERVEUSE. Aujourd'hui il n'en excrète
ion faite sur le même sujet par MM. Déjerine et Letulle (7 mars). ' Gilles de la Tourette, P. Blocq, Huet. - Cinq cas
e. Examen histologique. On a prélevé pour cet examen : le cerveau, ' le cervelet, la protubérance, le bulbe, la moelle
elle que dans la sclérose de la moelle et d,tns le tabes ordinaire. ' On ne peut apercevoir les cellules de Deiters;
eux tiers postérieurs des cordons posté- 350 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ' rieurs et sur toutes les parties médianes, on c
de Friedreich. En effet, si on examine dans ces cas* les diverses ' Ce qu'il nous a été donné de faire, grâce à l'obl
rière. ANATOMIE PATHOLOGIQUE ÉTUDES SUR I/ANATOM1E PATHOLOGIQUE ' DE LA MOELLE ÉPINIÈRE1 1 (SYRING011Y1¡LlE. - SC
asilis. Le malade était entré à l'hôpital de Bavière pour une pa- ' Voir Archives de Neurologie, t. XIX, li. 181. É
dont la base arrive au bord de la moelle et dont le sommet dirigé ' Nous parlons toujours de coupes traitées par le p
e. J'en citerai quelques exemples. Dans un cas publié par Gowers, ' dont l'évolution s'est accomplie sous la forme
sclérose des faisceaux pyramidaux croisés portait sur une surface ' Zur 1%rage M6e;' die combitzirte Systemerkrankung
isceaux pyramidaux croisés portait sur une surface ' Zur 1%rage M6e; ' die combitzirte Systemerkrankungen des 1/Ûcken-
s étendue que dans le cas de dégénérescence secondaire descendante. ' Comme on le voit par ces exemples, le tableau a
protubérance. (Archives de phy- siologie, t. VIII, 1886, p. 84.) ' Goco cilato. 4 Etude d'un cas de fausse scléros
chiatrie, t. IX, p. 118. * Archives de physiologie, 1877, p. 761. ' Loco citato. * Archiv sur Psychiatrie, t. VIII.
elle, à la partie supérieure de la région cervicale, chez le nou- ' Parmi les nombreuses figures que j'ai examinées,
intillées sont celles qui n'ont pas en- core acquis leur myéline. ' ÉTUDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. 389 rieurs que j
sal, chacune de ces deux parties peut s'entre- prendre isolément. ' Recherches sur la structure des cordons postérieu
re. 1 Ueber die lleslandtheilc der Hinte·sldn,ye des Rûckenmarks au/ ' GI'1t1ld der Untersuchung ihl'cl' ElIlwickeill1
dal ne cor- respond pas au foyer que l'on rencontre dans les cor- ' dons latéraux au cas de dégénérescence secondaire
u'est-ce qu'un criminel aliéné ? Qu'est-ce qu'un aliéné criminel' ? : ' 396 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. - Voilà comment
r. M. B. CONGRÈS ANNUEL DE LA SOCIÉTÉ DES ALIÉNISTES ALLEMANDS. ' SESSION DE IÉNA 1. Séance du 12 juin 1889. - Pr
Archives de Neurologie, Session DE Bons, 1888, t. XVIII, p. 450. 1 ' Id. « . t. 1VILI, p. 160. 406 SOCIÉTÉS SAVANTES
mots des significations si différentes qu'il importe de s'entendre ' . L'expression de Verrucktheit qui, pour les ge
de psychopathies secondaires incurables. En 1865, Snell signale une ' Voy. Archives de Neurologie, t. XIX, et l'Année m
on à ces expressions ? de Krafft-Ebing (Leltrbttch der Psychiatrie) ' tend à adopter les idées de Griesinger et prend
. corner, signalé traits pour traits les mômes errements. (P. K.) ' Voy. Archives de Neurologie, XVIII. p. 159. SOC
-t-il offrir aux magistrats dans le cas d'expertises médico-légales ' ! Nous proposerons donc de ne plus formuler de
Société psychiatrique de Berlin, en 1881, pour remplacer celui de - ' Voy. Archives de Neurologie, t XVII, p. 312-313,
es membres d'une même génération atteints à des degrés variables. ' 20. La démence secondaire pure et sans complicati
ne ferait qu'anticiper sur la mort intellectuelle et reproductive, ' déjà physiologiquement commencée. 30. Les anima
la présidence de M. Godding, directeur de l'asile de Washing- ton. ' Enseignement des maladies mentales. - Le Loiicl
ar Stadelmann, 111. Névroses (alternance des), par Sa- vage, 211 ; ' - caléfaction artifi- cielle dans diverses), pa
sur le), 217. Tabac (prix de la Société co.tre l'abus du), 432. ' Tabès dorsal, et lésions des nerfs périphériq
su sain qui contourne la corne postérieure; h, canal épendymaire; ? ' , i, zone externe de Lissaller saine. Pl. I, fig
48 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
généralisées pendant la nuit et mourut sans que j'aie pu la revoir. ' L'autopsie de cette femme révéla l'existence d'
er). Masson & Cie, Éditeurs. SUR UN CAS D'ACRODACTYLOPATHIE ' HYPERTROPHIANTE par Paul CHEVALLIER, Ancien
lleux, celui de l'annulaire gauche n'existe pour ainsi dire plus. ? ' Les radiographies mettent en évidence deux sort
t d'opacité. A certains doigts même (Cf. index main gauche, fig.'V), ' forme un large anneau autour de cette articula-
1 . 1 1 Il r" . SUR UN CAS D ACRODACTYLOPATHIE HYPERTROPHIANTE . .^ ' 51 < ostéophytiques dans la phalangette. C'e
i, A case o/ double polydactylie, etc. Lancet. 1899, t. II, p, 739. ' (4) DARIER, Quelques observations de rétinite pig
troubles de certaines glandes à sécrétion interne chez notre sujet. ' Observation. Marguerite Cattelino, 39 ans, né
amp; Ciel Éditeurs POLYDACTYLIE ET TERATOME fiYPOPHŸSxŸfTé ? = 19 ' On note que le plancher (pavimentum sellae) de la
montrer t'existence de la lumeur à localisa- tion sus-hypophysaire. ' Nous sommes aujourd'hui au point de vue du diag
- L'an",lomia normale e 1"adiogl'afica della buse del cranio, dans ' la traduction italienne du Traité de médecine et
les trois feuillets blastodermiques se trouvent en rapport intime. ' A de telles conditions correspond parfaitement
coces, tandis qu'ils ne sont pas encore apparus aux rayons normaux. ' Il nous parait donc logique d'établir un lien e
madré acro- megalica. Rivista di Clinica Pediatrica, n°8, 1913.' ' (1) G. Fumakola, Contribution à l'étude des diffo
entifique de l'Académie roumaine, ass. l, p. 240-247, 10 mars 1913. ' 30 BERTOLÛTTt anormale des membres et particu
l'amnios. (3) ROZABAL-FARNÈS, loc. cit. (4) L. Calori, IOC. cit. ' POLYDACTYLIE ET TE 11 ATOME HYPOPHYSAIRE 31 p
LI SUR LE SPASME A BASCULE DE'L'ORBICULAIRE DES 1 PAUPIÈRES PAR ' Antonio MENDICINI ' et Gustavo ARTOM' * Priva
ASCULE DE'L'ORBICULAIRE DES 1 PAUPIÈRES PAR ' Antonio MENDICINI ' et Gustavo ARTOM' * Privat-Docent à l'Universit
ENDICINI ' et Gustavo ARTOM' * Privat-Docent à l'Université de Rome ' Assistant à la clinique Neuropathologique Le sp
isuel de l'oeil droit. Le fond de l'oeil est normal des deux côtés. ' L'examen des organes internes est complètement
ar une paralysie des muscles intrinsèques ou extrinsèques des yeux. ' Ces faits faisaient défaut chez notre malade, t
e nahestehende Krankheil. Deutsch. Zeitschr. f. Nervenheilk., 1912. ' Í2) Beilrag zur Le/ire von der Pseudoskterose.
un groupe. Pourtant G (1) Zeilschrift sur die Ges. Neur., 1912, Bd, ' . ' , (2) Archiv f. Psychiatrie, 1913, , CIRR
roupe. Pourtant G (1) Zeilschrift sur die Ges. Neur., 1912, Bd, ' . ' , (2) Archiv f. Psychiatrie, 1913, , CIRRHOSE
Fio. 2. Grands noyaux névrogliques (x) dans un des noyaux dentelés ' du cervelet. Fia. 3. Quelques noyaux névrogliqu
Pancréas, consistance augmentée, brun jaune. Le long du pancréas des ' ganglions lymphatiques bruns. Cerveau (1.210
s droit et gauche sur une hauteur d'environ trois travers de doigt. ' Rien d'analogue à ce moment au niveau des deux
uostic. Bientôt cependant la conjonctive opposée s'est injectée, 54 ' MARCHAND 'ET USSE . les deux paupières supérieu
eux, et est reparu aussitôt que la pression a cessé. Voici le cas : ' V. H..., 46 ans, commerçant, marié. Père vivant
ique. Nouvelle Iconographie de la S.Lri'11t11RF. T. XXVII. Pl. XI\ ' UN BEC-DE-LIVRE EN PEINTURE École Hollandaise
il ? ({Jill iimMillIfu;1t tili\v.1clj dtHm".N ! uiM<i3 <ït ¡J# ' Bt..cLItEÜ}Y;Jl.;1'; hl\N p;I¡N1t;(j¡r¡.,R rJ.P
,lellciflIFtuIESIèici ? ESfoiQlt l di ? Ia,ulab ? qf ? s iull;saull ' ,siLI§oSP ? ol.éiA ? 4û'IES. z Lep li t41 gi la
xe cor- respond donc au côté gauche du dessin. )4 LONG ED. LONG ' PL. XVI 1'10. 1. - begm. C8 Fic,. 2. - Segm.
coupes, on peut les diviser en trois groupes net- tement définis : ' 1° Le premier groupe est formé par un semis abo
mine dans un noyau placé en dedans et en avant de la racine 72 LONG ' ED. LONG PL. XIX Fw, 15 FIO. 16 DÉGÉNÉRES
de Gowers (texte polonais). Anal, in Neurol. Centr., 1908, p. 264. ' BOC'IIF.IOEK. Dégénérescence des fibres endogèn
vol. I, p. 13, anal. in Jahresb. f. Neur. u. Psych., 1904, p. 67. - ' KAFKA. - Zum Kapilel der iraumatischen Rückenma
lla oblongata. C. R. in Neur. Centr., 1902, p. 280. WonoTYNsRi. Z¡¡¡ ' Lehre von den secunddren Degenerationen im Ritcl¡
ncules cérébelleux supérieurs. - x Py, entrecroise- ment pyramidal. ' TRAVAIL DO SERVICE DU D' FAISANS ET DU LABORA
. - But. et Mém. de la Société Méd. des Hôp. de Paris, 1899 p. 342. ' ( (2) Paraplégie spasmodique organique avec con
iste, âgé de 31 ans, entre à l'Hôpital Beaujon dans le service du D' ' Faisans, le 17 juillet 1912. Il vient pour une
son étui dure-mérien. L'aspect extérieur ne dénote rien d'anormal. ' On ouvre : et avant d'avoir étalé latéralement
on postérieur de l'adulte indépendamment de tout état pathologique. ' La partie la plus superficielle des cordons de
rophie nette du groupe cellulaire de la co- lonne de Clarke droite. ' Dans la région du canal de l'épendyme se trouve u
mbreuses à droite qu'à gauche et quel- quefois absentes de ce côté. ' Se dorsale. Les différents éléments de la subst
s zones occupées par les fibres endogènes et qui étaient en D3 et D' ' par exemple, seules normales au sein des cordons
au sein des cordons postérieurs, sont maintenant les moins foncées. ' L'examen au fort grossissement permet de donner
P&TRIÈR TxXVlI3 ? XXVI. mous. ICONOGRAPHIE Dr, LA SALPÈTI ztiè. ' , ? - - ? - ,, PL. Xxvl. DYSTROPHIES GIGANTIQUE
sans acromégalie (Adda) MASSON et C". Éditeurs. * Se. €u < ' > ** -W- DYSTROPHIES GIGANTIQUES SANS ACRODI
nt tous les deux d'une façon symétrique en apparence, mais inégale. ' Du côté des mains, l'hypertrophie porte exclusi
ucoup de mononucléaires menus, des leucocytes remplis de vacuoles ; ' 3° D. R., âgée de 35 ans ; malade 4 mois de 3 p
de. Pendant le jour, il conserve, en partie cette attitude foetale. ' Dans la station debout ou assise, sa cuisse gau
aujourd'hui doit être signalée, parce NouvrLi.r. Iconographie de la ' ,3.LPtFRILRF. r. XXVII. PI. XXIX A B C D
tant, dont l'incoordination est comparable à celle de son écriture. ' Une autre explication lui fut donnée, en rappel
tats. Il était toutefois évident qu'il avait l'intention de prendra ' " \ U)f.1'\'U.1 ? , CONSIDÉRATIONS SUR LES PSYCH
e moment où j'examinais un cerveau en cherchant les corps de Negri. ' « Ma première réminiscence est ensuite de me tr
et était presque constamment sous l'influence du whisky, j'étais donc ' obligé de rester dans la pharmacie de 6 h.30 du
132 RU1RAQUER. S1111PTG\IATOLOGIE nu SYSTEME NERVEUX Les ligures 1, ' : 2, 2', 3, 4, 4', ai, G, 7, 8, 9 démontrent l'in
taille. Il a des lépromes dans la peau des avant-bras et des mains. ' Les symptômes nerveux consistent en aneslhésie
loucher avec l'index le bout de son nez ou d'une oreille, la main est ' alors élevée sans tremblement ni déviations ata
de la lésion, provoque aussi des spasmes. Fig. 50 . Fig. 51 51 ' Fie. 52 156 BARRAQUER. SYMPTOMATOLOGIE DU SYS
ent des nerfs moteurs, contribue à faire accepter le diagnostic 164 ' BARRAQUER topographique que j'indique. Il en es
rte certainement de beaucoup quant au nombre et quant à la variété. ' La maladie de Morvan constitue un syndrome qui
nt de tous les obstacles qui les empêchent de passer à l'extérieur. ' Dans ces derniers cas, le processus commence pa
lésions d'ordre régressif qui peuvent arriver jusqu'à la gangrène. ' (1) Voir il ce sujet mon travail sur la dégénér
ière. T. XXVII. PL. XXXII 1 ATROPHIE MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE . ' ' Obs. 1 ' (A. Soiiqiies) . '. Masson & C
re. T. XXVII. PL. XXXII 1 ATROPHIE MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE . ' ' Obs. 1 ' (A. Soiiqiies) . '. Masson & Cie
I. PL. XXXII 1 ATROPHIE MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE . ' ' Obs. 1 ' (A. Soiiqiies) . '. Masson & Cie, Editeurs
II (A. Souques) Masson & Cie, Editeurs - - - \ d, à'VVtW^ ' ) NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. '' \
aires correspondants se fassent avec une étendue normale. A la main, ' la flexion et l'extension des doigts sont possibl
rès vive. C'est là un poinlsur lequel je reviendrai dans un moment. ' L'amyotrophie Charcot-Marie évolue très lenteme
opi, und der Regio SilO- thalamica, Archiv. f. Psych. XXV, 1893. ' LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 189 9
it aucune altération portant sur la charpente grise du noyau rouge. ' (1) htlNOA2111\I, Experimetttelle wul 'alllOloq
homme. Archives italiennes de Biologie, t.Lli fasc, 1, pp. 31 à 48. ' " J ! J2 LA SALLE ARCHAMBAULT - Jusqu'à prése
lobe préfrontal, l'autre au niveau de la région cenlro-operculaire. ' Von Monakow termine son remarquable travail en
ur du trigone et la partie inférieure du splénium du corps calleux. ' Il existe également dans ce cas une lésion cent
S DU NOYAU ROUGE (Lasa llc-A rcbambault) t M < ? no ? Çi ? F'/¡ ' (>I11 ? LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU RO
dégénérescence très marquée de la majeure partie du noyau u rouge. ' Les coupes servant à illustrer cette observatio
ce dernier noyau est sensiblement moins fournie qu'à l'état normal. ' Sur les coupes passant par le tiers antérieur d
émiplégiques, etc. L'épilepsie jacksonnienne n'est xxvtc 15 5 222 ' LA SALLE ARCHAMBAULT pas rare dans les lésions
4, n" 1, p. 18. , ? s t LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROCSË"^ ' '" lit se transforment en zones fonctionnelles
n" 1, p. 18. , ? s t LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROCSË"^' ' " lit se transforment en zones fonctionnelles vé
urieux qui s'observe dans certaines lésions de la cou- che optique. ' On a fréquemment constaté dans ces cas que le m
constaté de petites selles, le syndrome acromégatique était fruste. ' Nous ajouterons enfin, relativement à la techni
on des libres musculaires lisses et d'autre part 236 CLUZET ET lévy ' commanderait le métabolisme des hydrates de car
pophysaire. Paris médical, 4 avril 1914, n° 8, p. 43. xxvn 16 238 ' CLUZET ET LÉVY déterminisme de la glycosurie di
de céphalo·rrachidien. Dissociation étude D'UN cas D'ACRO\7RGALI1 : ' 243 l'acide nitrique sur la paroi du tube à une
rayons de Roentgen dans " . ÉTUDE D'UN CAS D4&OM$GALIE 245 . ' ? Nf te r·. radiothérapie, ils ont obtenu très
XXVII. PL. aL' h v ! r ,'f II k\ /j' vs ? trii ? 3( l^ f \ ' S C \ V ? 'h' cet X ^^V ·`'· ? s· ? a-' v*- '"v
f II k\ /j' vs ? trii ? 3( l^ f \ ' S C \ V ? 'h' cet X ^^V ·` ' · ? s· ? a-' v*- '"v** ^r*^ / ? r· ? Ay ,z7 ? aï
? trii ? 3( l^ f \ ' S C \ V ? 'h' cet X ^^V ·`'· ? s· ? a-' v*- ' "v** ^r*^ / ? r· ? Ay ,z7 ? aï v^i^. v'->&
v^i^. v'->&y £ ; i-\- " C- ; : ? nt, ? .. : . ; f;v... d ( ' . n x.,r'·, t ;r ? ...·· ? Pa ·, ? \ ? i,...J..
dans leur essence, sont parfaitement comparables dans tous les cas. ' Le cas depoly-svndactylie que nous venons de dé
Le cas est très différent ; il constitue une poly-syndactylie vraie. ' Nous ne nous attarderons pas à rechercher le mé
- (t; Communication faite à la Société de Neurologie, le 7 mai 1914. ' 252 SOUQUES, BAUDOUIN ET LANTUÉJOUL 2° Au niv
l, 1906. (2) PAULIIAN, Les phénomènes affectifs. Alcan, édit. 1901. ' (3 Jeues, 1 principi di psicologia. Trad. Itali
ns le mécanisme des actes automatiques. 262 ? . , , SALAI ON '. ' JI · · . . ' ' Toutes ces considérations qui dé
des actes automatiques. 262 ? . , , SALAI ON '. ' JI · · . . ' ' Toutes ces considérations qui découlent de l'ét
des actes automatiques. 262 ? . , , SALAI ON '. ' JI · · . . ' ' Toutes ces considérations qui découlent de l'étud
et pour expliquer le pouvoir plas- tique de, leurs représentations. ' 1 '' ' . La tendance impulsive très vive inhére
expliquer le pouvoir plas- tique de, leurs représentations. ' 1 '' ' . La tendance impulsive très vive inhérente aux
et moteur se liant à l'image céIle,lliési4.ue de l'acte lui-même. , ' 1 Le désintéressement, l'indifférence, l'adapla
nt sans que les sujets aient l'idée ou la voionlé de les effectuer. ' La suggestibilité spéciale des hystériques, qui
s conservent leur scepticisme vis-à-vis du syndrome du corps strié. ' - Voyons si la physiologie moderne peut nous do
sé (après une chute). Nous remarquons les mêmes mouvements rou- 278 ' VAN WOEI1KOM ' " lants du pouce contre l'index,
hute). Nous remarquons les mêmes mouvements rou- 278 ' VAN WOEI1KOM ' " lants du pouce contre l'index, qui à son tour
ions continuelles des muscles. Les mouvements passifs dans les cou- ' des présentent les mêmes particularités, avec cet
. les deux il la fois. simultanément les bras sont mis en abduction. ' Si nous prions le malade de relever le bras en
le malade est prié d'exécuter un simple mouvement .d'extension -de ' t'avant-bras sur le bras, c'est encore la positio
rs insuffisamment relâchés et dont la' contraction fait rebondir le ' membre. Au moment où les avant-bras sont jetés en
. De temps en temps des trémulations générali- sées sont observées. ' La sensibilité (superficielle et profonde) est
st à peine si on peut constater une légère différence en intensité. ' En étudiant le cerveau moyen et la protubérance
ans les coupes d'après Weigert-Pal et d'après Spielmeyer, l'as- 288 ' VAN WOEIIKOM pect est tout à fait normal. On re
ir en relatant quelques faits physiologiques. 1>- 1 r. Pt& S ' ' , raton TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS L
en relatant quelques faits physiologiques. 1>- 1 r. Pt& S ' ' , raton TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA
ésion des corps striés seuls est en état de provo- quer ce trouble. ' HOSPICE DE B7Cy/<&' DEUX CAS D'AMYOTRO
z la mère. Les antécédents colla- téraux n'ont rien de particulier. ' Dans les antécédents personnels, il faut remarq
bsolument bien portant. Au NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière^ ' ( T XXV ! [. PL. XLIX AMYOTROPHIE PROGRESSIVE TY
r de la rame; il tithne parfojs comme s'il était 2A LA .1LPETRIbRL. ' 1. X ? 11. L. 1 AMYOTROPHIE PROGRESSIVE D'ORI
à la vérification anatomi- que dont voici l'exposé rédigé par le D' ' Askanazy, professeur d'anatomie pathologique à
ans, arrêt 14 ans. Le cas de Bregman et Steinhaus, fille de 7 ans. ' Le cas de Mixer et Anacquenbross, individu de 2
XXVII. PL. 1 NOUVELLE 1 zut i,\ . e , T. XXVII. PL. l l (1 i · A ' .... .( ? NEUROFIBROMATOSE FAMILIALE AVEC CHEIR
els, ses règles durent longtemps et surviennent à date irrégulière. ' L'examen des fonctions nerveuses ne révèle aucu
rence de nature, dystrophie congénitale, mais pouvant se manifester ' cliniquement à une période plus ou moins tardive.
ACTYLIE métacarpo-phalangienne (Ilippel et Ri/baud.) zone sun ras ' \ ? ,... . M ? ('Y¿ DI';S JIErBRES 337 ÉTUDE SUR
onstatation dont nous verrons la portée. Origine de la syndactylie. ' Elle va nous aider d'une façon 1res effective à
a main et par une réduction très accentuée des os de l'avant- bras. ' Il ne s'agit donc pas d'amputation intra-utérin
ssible de préciser, étant donné l'état actuel de nos connaissances. ' IV. - UN cas d'absence bilatérale DU péroné.
nos connaissances. ' IV. - UN cas d'absence bilatérale DU péroné. ' ' - (Pl. LXI et LXII)... ? i . L'absence congén
s connaissances. ' IV. - UN cas d'absence bilatérale DU péroné. ' ' - (Pl. LXI et LXII)... ? i . L'absence congénit
i contredisent cette théorie. La théorie amniotique vaut-elle mieux ' ? Elle repose sur l'observation de quelques cas
embryon, sur lesquelles nous n'avons que des données insuffisantes. ' (1) Frichen, Ueber Kongenilale de fekt des Fibe
indican, acétone ou autres produits de putré- faction intestinale. ' 2° L'épilepsie essentielle n'est certainement p
Des injections de sucs frais des glandes surrénales ne produisent pas ' davantage l'augmentation ou l'aggravation des p
érébrale organique du processus morbide de l'épilepsie essentielle. » ' Sur ce point, sans doute, Binswanger a raison :
au des veines fortement dilatées (hyperémie veineuse des méninges). ' ' Si les symptômes de foyer sont, pendant et im
des veines fortement dilatées (hyperémie veineuse des méninges). ' ' Si les symptômes de foyer sont, pendant et immé
ut être sûr de l'origine cérébrale des phé- nomènes épileptiques. , ' : , Il faut, toutefois, observer que. dans de n
probablement par un épanchement sanguin sous la dure-mère). Et pour- ' tant, en ne considérant que les phénomènes clin
e cérébrale et seulement la minorité à l'épi- lepsie essentielle. ' De telles observations, faites aussi par d'autres
suffisante, peuvent conduire à une auto-intoxication chro- nique. ^ ' Mais il est bien regrettable que pour le moment
les plus courantes relatives à l'action des glandes paralhyroïdes. ' Coolie croit aussi que dans la tétanie il se tr
u fait que les épilepsies essentielles et cérébrales se ressens 400 ' BOLTEN blent parfaitement non seulement sous le
ogique, 1908, p. 860. C%RO. Wechsell/Jirkung der Organe mil Íl1nere¡ ' Selrrelion. Medic. Icliuilc, 1910, p. 136. Co
bleme der physiologischer und palhologischer Chemie. Leipzig, 1912. ' Fiieui) (A.). - Die infantile Centralliihmiing.
ic. \Vochensahr., 1910, n 4 ? . Kraïnsky (N.). - Zi;r Pathologie.de¡ ' Epilepsie. Allgem. Zeitschr. f. Psych., 1897, t
genuinen Epilepsie. Berlin, 1913. Bemcrl,utngett zur Etiologie de; ' Epilepsie. Wiener med. \\'ochenschr., 1906, nus
h., 1910, t. 3, p. 388. SClllil.l.EI1 (A.). - Rriniyvnrüagnoslik de; ' el'kl'ankuJ1gen des Kopfes, 1912. 404 . BOLTEN
ire des neurones centraux, périphériques, DÉBILITÉ NERVEUSE 407 l ' , ou de leurs rapports. L'expression employée p
rvosisme, l'épilepsie, la dipsomanie, et t t\r" ., w. · V/ 408 \ } ' ^ ? \.1.' ? ' 408 '. r., ? . AUSTR'I> même
pilepsie, la dipsomanie, et t t\r" ., w. · V/ 408 \ }'^ ? \.1.' ? ' 408 '. r., ? . AUSTR'I> même pour le délir
e se charger, Chez ces individus, on voit ? - >- 1 1 C. .. : . ' DÉBILITÉ- .NERVEUSE , 409 éclore le syndrome
épend pas exclu- sivement de l'état mental. Il est vrai qu'ils ont / ' abdomen à la tête, mais nous reconnaissons en e
ions se manifestent dans la sphère motrice, sensitive ou psychique. ' Elles peuvent être transitoires ou permanentes
avec ce que les auteurs désignent sous le nom de neuro-arthritisme. ' Leur caractéristique est la myopragie du systèm
.,\ ? \.U'I : II,II ? r ! . 1 416 \-<)- BENON ET Errer , '1; R ' j : .\ ? 7 livré à des excès de 'bb ? (¡tifs. I
plaies. Il souffrait de partout. Journée et nuit à peu près calmes. ' Les jours suivants, les plaies s'étant, infecté
s tue (il se met à rire)... Etes-vous des copains, les gars ? ... » ' Brusquement quelqu'un lui demande : « Dites-nou
en les liquides qu'on lui présente. Traitement : caféine et alcool. ' 28. Vers le soir il dit l'infirmier ; le viens
ui demandait où il souffrait, qu'il avait mal partout. Il est resté ' assis pendant qu'on faisait son lit. L'après-midi
e par signes à leurs questions. Constipation : purgations répétées. ' 13. Immobile,-inerte dans son lit. Quand on dir
horacique, par RLIPPEL et RABAUD, 348. Hypophysaire (Polydactylie ' el tératome ). Influences morphogénetiques des
nfor- mation des lèvres, 57. - Souvent femme varie. A propos du ' groupe Très in una de M. Paul Richer, 120. ME
49 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
OPITAUX DE PARIS LAURÉAT DE L'INSTITUT ET DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE ' TOME PREMIER MÉTHODES GÉNÉRALES D'ÉTUDE EMBRY
n de Claude Bernard, que « la réaction matérielle à une stimulation ' . Au sur et à mesure que l'on s'élève dans la s
urones sensitifs ont abandonné leur situation supcrficiell< £ 3'ir ' \ se groupent ensemble de chaque côté de la colo
plus facile de les étiqueter, en prenant comme point de repère la 1" ' dorsale ou la 1"' lombaire. ''). Examen du cerv
étiqueter, en prenant comme point de repère la 1"' dorsale ou la 1" ' lombaire. ''). Examen du cerveau normal et path
tion des faisceaux par le dur- cissement au bichro- hlatC-\ " ' - " IiH·.lil' ) ^<3&gg.s'aVëtat frais
e petits i Méthode de lJuyal.1 i Inclusion daus col-; lodion. ' i t Lavago de la pièce dans l'eau distill
'alcool absolu. Imbibittoude la pièco pal' 10 collodion tilaut. ' i i ! Emploi du collo- dion épais. *
collodion et enrobe- | ment à la paraffine J pour les pièces des- ' tinécs h êtrc COl1plCS z au miLrntome de GllI
au miLrntome de GllIl-1 I den. I 1 Microtomes. Microtome de ' Gudden modifié par* Forel. 30 ANATOMIE DES
ite plongées dans la solution suivante : 34. ANATOMIE DES CENTRES ' NERVEUX. Déshydratation et éclaircissement de
Riesc. Procédé de Ret- zius our l'emploi du bleu de méthylène ' : hczics Invertébrés. Imprégnations mé- talli
lla struttura du centc°cüi ? i5 e.ç.RicS : e; b80. Songer. ZM)6</ ' Vorlesungen iibel' den Bau dcr nervosen Centl>
s CeK< ! Yd6aM., 1887. H. OBERSTrlNER .4nleitung beim Sludiwn de) ' nervosen Cezztralorgane. Leipzig, I Ed., 1888.
chnik und Histologie. Schmaus. Tes)zozische R'olien zcr Farbuzzg de) ' Axencylineler. (Miinchen. med. Wochenschrift, 1
née n'entré pas dans la constitution de l'axe cérébro-spinal. ' Le cordon inter- médiaire donne nais- sance a
u moyen. Apparition des vésicules encéphali- ques primitives. ' Dans leur mouvement d'ascension les lames neurale
our permettre cette migration, ce glissement particulier de l'ecto- ' rto. 1.i< W L5. - Em- bryon de poulet iL l
ofondeur du sillon semi-lunaire. G8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. ' '' " l ? F' de (léve- ,; L ? '" ? L'arrêt d
G8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. ' '' " l ? F' de (léve- ,; L ? ' " ? L'arrêt do déve- loppement de la troi- s
icule encéphalique. ;. La troisième vé- sicule encéphalique ' donne naissance par sa paroi ventrale il la p
ticule de l'infundibulum. - ro, recessus optique. - STh, région sous- ' thalamique de Forel. Te.tubercinereum. Tm, tube
représente le point culminant de l'axe cncéphalo-mé- d)dtah-c. ' d du pédicule optique, le plancher du cerveau
après nature après éclaircissement par l'essence de girofle. (D'après ' \\'. His.) AC, arrière-cerveau. - C, coeur. - CA
ale de la moelle d'un embryon humain d'environ quatre semaines et - ' mesurant 6,9 mm. (D'après W. His.) Fo, faisceau
des cordons de Burdach. La nièce intermédiaire (Pi) est losans-ique ' elle occupe la partie antc- rieure élargie du c
erveau postérieur et Y arrière-cerveau, qui procèdent de la troisième ' vésicule encéphalique primitive, et qui circons
de la . substance réticulée. Faisceau longitu- dinal postérieur ' et formation blanche ré- ticulée. 1 Lame al
ieur ' et formation blanche ré- ticulée. 1 Lame alaire et ses ' modifications. t ' z . l i ocidaire ext
lanche ré- ticulée. 1 Lame alaire et ses ' modifications. t ' z . l i ocidaire externe et plus haut, au v
ituent les recessus latéraux du quatrième ven- tricule (fig. 36). ' 1 La partie moyenne de la lame céré- belleuse
leux. /, infundibulum. IP, inflexion de la protubérance. Lola, lobe ' . olfactif antérieur, lt, lame terminale embryonn
lui de la partie préchordiale de la base du crâne. Une fois arrivée à ' la base du cerveau intermédiaire, la poche hypo
Nous avons vu précédemment, que l'on doit considérer au cerveau anté- ' rieur trois parties : une petite partie impaire
ima. - FS, fosse sylvienne, - fs, fissura serotina. - fst, fente en ' forme de selle. - BC, hémisphères cérébraux. - HC
nsverse du cerveau moyen, - tb, trou borgne. - 2'c, tuber cinoreum. ' Fia. 45,46,47,48. -Encéphale d'un embryon humai
sa térieur. Substance parfordoi Substancoperforce antérieure. ' ' . 1 J 9 Fig. 49. - Face interne de l'hé
térieur. Substance parfordoi Substancoperforce antérieure. ' ' . 1 J 9 Fig. 49. - Face interne de l'hémisp
enfle pour s'unir au noyau amyg- dalien. 8 tel'avez ^ftji^t--^ ' ^' La capsule interne divise le corys striu
fle pour s'unir au noyau amyg- dalien. 8 tel'avez ^ftji^t--^'^ ' La capsule interne divise le corys striu en
ssance à la région sous-optique de Forel. - MB, masse blanche sous- ' jacente à l'écorce cérébrale. - NA, noyau amygdal
ertion à la lamelle épithéliale qui coiffe les plexus choroïdes des ' ventricules latéraux (fig. 56, 57, 62, 63). Les p
cervelet vers le sixième mois, et dépassent le cervelet vers la fin ' du septième mois de la vie intra-utérine. Leurs
ale de Meckel. La scissure collatérale, très nette au huitième mois, ' affecte une direction antéro-postérieure et s'éte
nain au commencement du cinquième mois. (D'après V. Mihalkovicz.) ' Aq, aqueduc de Sylvius. - B, bulbe. - C, cunéus.
mitante interne, chez un embryon humain de six semaines. (D'après ' \\7. bis.) Ch.pr, chaîne de prolifération. - Mli
astes. Toutes ces parties sont riches en pigments. (D'après W. His.) ' 1 Mli, membrane limitante interne. - Nb, ncurob
ans la moelle cervicale supérieure, les points d'émergence des deux ' 10 Les neuroblastes de la corne anté- rieur
aires qui s'ef- fcctuentdanslestade ., foetal. i : ¡ ! z I. ' Les opinions des .auteurs surla névro- glie.
tion de Vi- gnal, Ramony Cajal, \". Lenhossek. Cellules opemiy- ' maires. 152 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. L
anal central, présentent Cloison primitive i do His. ! i -^- -* ' .. - ; L. j : Cône épendymaire antérieu
cellules névrogliques superficielles et en cellules névroglie- que.\ ' profondes. Les cellules névrogliques profondes
nguent que par leur vo- lume et leur absence de pigment fig. 97). ' Suivant leur situation, les cel- lules nerveu
(Cajal). Les cellules de Cajal se caractérisent en outre, non seu- ' . lement par le mode d'origine de leur cylindre-a
visions du cy- ,lindre-axe. Collatérales de Golgi. i li ! ! ' i Arborisations ter- minales. 1 ¡> i
s il naît toujours d'une dendrite. Le cylindre-axe des ('ellllll('.\ ' de Golgi et de Deiters est unique, il naît dire
n de Cajal. axiles ramifiés ; dans ce cas ces cellules si spéciales ' rentreraient dans la catégorie des cellules de
es, ou lorsque la régénération est rapide et complète. L'atrophie est ' partielle, mais néanmoins évidente, lorsqu'on e
de segments superposés' segments £ nte1annu- lai2,es de Ranvier = ' dont le nombre corres- pond à celui des longues
e foetus les tubes, à myéline ont une apparence moni- iformc. ' ^Hypertrophie du .protoplasma péri- sile chez
'accroisse- ment des segments % intercalaires d'après Vignal. ' t ) Longueur des seg- ments intercalaires.
merkungen über den histologischen Bau des Centralner- vensystems de) ' Suswassermolluskcn. Archiv. für. Anat. Physiol. u
Lierre, 1894. - Gerlach. Von dem Ruc7¡enmark. Stricker's Handbuch de) ' Lehre von den Geweben; t871. - GlERKE. Die Stüt
Die Neuroblccsten zcnd deren Enstehung im embryonalen Mark. Abh. de; ' math-phys Classe d. Konigt. Sachs. Gesellsch. d
Embryo. Arch. f. Anat. u Phys. Anat., Abth. 1891, p. 1. Du même. De) ' feinere Bau des Nervensystems im Lichte neueste
! i Structure des cel- lules névrogliques Ùi l'état adulte. ' vier. Corps do la cellule névrogliquc adult
122). Dans cer- taines cellules, telles que celles du locus nige/ ' de Soemmering ou du lnclls coe/'uleus par exemp
le tissu eonjonctif n'e- . xiste' ql1 : autom'- des vaisseaux. ' Caractères diffé- l'cntieb de la uéyl'o- gl
minate ; conservation dans la glycérine. ( D'après Ran- vier.) ( ' , étranglement du tube en T. - n, noyau du premi
. y Cajal montra en 1891, et ses recherches ont été depuis confirmées ' par v. Gehuchten, Retzius et Sala, que les cell
'animal vivant une injection intra-veineusc de bleu de méthylène. ' 2° L'emploi de l'acide osmique dans l'étude des n
2. Gaine de myéline. La myéline située dans chaque segment inter- : ' annulaire, entre la membrane de Schwann et le c
bliques li- ^ mitant deux segments cylindro-coniques. 35U diam. ' HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADU
nle. Eiidotliéliuiii dol la Endothélium de la gaine de Henle. ' 218 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Tissu conjonc
DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 2111 (Schultze). fuseaux conjonctif) ' (Schultze), système tubulaire (Blocq et Mari- n
par les fibres ner- veuses, signalée par Ranvier, n'a été retrouvée, ' à laide de la méthode de Golgi, ni par Cajal, n
rch. p. le scienze mediche, 188'r, t. IV. - IC0LL1ER. Handbuch de ! ' Gewesbelehz·e des Alenschen. Sechste umgearbeit
itete Azct·rge. Leipzig, 1893. Lantermann. Ueber den feineren Batz de) ' Markhaltigen Nervenfaser. Arch. f. hlihros. Ana
xterne, les faces sont externe, interne et inférieure . L ? 7eae' ? ' /eMeou/e/)'OM/a/ répond à la fosse frontale, l'ext
x, typiques ou lobulaires; ils subdivisent les lobes et sont plus ou " ' moins profonds; ils sont constants, mais souven
Scissure di Rolando (Giacomini). - Fissura tretnsversu nn<e/'t0) ' (Panscli). - Po.stcro-pariélal sulcus (Huxley). -
espond à l'insertion de la deuxième circonvolution fron- tale (F2) ' sur la circonvolution frontale ascendante (Fa).
e- et troisième circonvolutions frontales. - fi, f2, premier et ' deuxième sillons frontaux. - Fa, circonvolution
; d'après Ecker (po); d'après Schwalbe (oc); d'après Brissaud (Oe). ' La scissure pariéto-occipitale d'Ecker (po) (fi
incise plus ou moins profondément en arrière du sillon prérolandique ' inférieur (fig. 166) ; plus exceptionnellement,
pli anastomo- tique le sépare en gé- néral, en avant, du sillon ' f ? 'onto - 'ma ? 'qi- nal de Wernicke (fm) (
nal de Wernicke (fm) (Eg.187). Deuxième sillon frontal ( £ 2) ' - Synony- mie. - Sulcus frontales inferior un
gine au ni- veau de la région orbitaire (lobulo or- bitaire). ' ! Lobule orbitaire. Il 1 La première cir-
1 La première cir- convolution frontale est dédoublée par le ' sillon olfactif. .à i Sillon cruciforme.
érieur (fz) la sépare de la troisième cir- convolution frontale (F3) ' Elle naît dans la région orbitaire par deux ou tr
, et' une partie postérieure, le pied ou partie operculaire (Op F 3) ' situé en arrière de la branche verticale (fig.
ème- circonvolution frontale. po, scissure pariéto-occipitale.joo ? ' , sillon post-rolandique.pr : , sil- lon prérola
nd sillon frontal (fig. 155). Le pied ou partie operculaire (Op F 3) ' se continue avec le cap de Broca sous la forme
er sillon temporal. - l ? sa branche verticale. t2, deuxième sillon ' temporal. . Tp, circonvolution temporale profonde
les pieds d'insertion des deuxième et troisième circonvolutions fron- ' tales (F2, Fla). L'union du premier sillon fron
ant, suit les.sinuosités de la scissure de Rolando, et se termine au- ' dessus de la branche postérieure de la scissure
concavité supérieure l'extrémité inférieure du sillon de Rolando ; sa ' face profonde forme l'opercule rolandique (OpR)
tomique et physiologique, justifient jusqu'à MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. ' 26S j un certain point, la création d'un lobe à
E CÉRÉBRALE. ' 26S j un certain point, la création d'un lobe à part, ' et autorisent la séparation de ces deux circonv
de sillon pariélo-occipital, nom qu'il faut abandonner, puisqu'il est ' réservé aux scissures perpendiculaires interne
e. - ti, premier sillon temporal. t'i,t'i, ses branches verticales. ' tp, sillon temporal profond. 266 ANATOMIE DES C
ntral (por) (fig..158, li9, z163). Ce sillon, même lorsqu'il est très ' net, est généralement interrompu par un pli ana
marginalis, de pli ou lobule marginal supérieur de Gratiolet (Gsm). ' Après avoir formé le premier pli de passage tcmpo
uxième circonvolution pariétale. - pF3, pied de la circonvolution d ' Broca. - po, scissure pariéto-occipitale. - pour,
stomotique interrompant le sillon intor-pariétal. - 7tG" deuxième pli ' vertical de Gromier. - R, scissure de Rolando.
chaque côté par les plis de passage de Gratiolet, ou plis occipito- ' pariétaux. Ces plis, volumineux, superficiels et
l se porte en avant vers le deuxième ou le troisième sillon tem- <, ' poral (t,, tj et constitue souvent la limite in
de : première (0,), deuxième (0» et ou circonvolutions occipitales ' supérieure, moyenne et inférieure, et la circon
t la circonvolution, descendante (D) ou " gyrus descendais d'Ecker. ' Première circonvolution occipitale (0,). - Syno
circonvolution occipitale (Broca). - Notation : 03 (Ecker, Broca). ' 18 Deuxième nircon- volution occipitale.
et s'anastomose avec la troisième circonvolution tem- porale (T 3) ' en formant le qun- trième pli de passage extern
160, 1G1, r16 ? , 171). La troisième circonvolution temporale (1'3) ' à cheval sur le bord inférieur de l'hémisphère,
e du lobule fusiforme (Fus). Deuxième circonvolution temporale (1'2) ' ssos5ve. - Gyrus temporales médius s~ive sectl1
hose qu'un dédoublement de la circonvolution transverse antérieure. ' 5° Lobe de l'insula (I). Lobule du corps strié,
), la scissure collatérale (ot) et la scissure de l'hippocampe (h). ' Les deux premières scissures se réunissent à an
du corps calleux. - Cc(Spl), bourrelet du corps calleux. - Cg, cir- ' convolution godronnée. - cm, sillon calloso-margi
Huxley) ? De ! M;tÉmeM ! .MM)'e(em- poro-OCel1Jitule (Pozzi). - Due; ' m/o ? 0)' longitudinal fissure (Turner). - Notati
De ! M;tÉmeM ! .MM)'e(em- poro-OCel1Jitule (Pozzi). - Due;' m/o ? 0) ' longitudinal fissure (Turner). - Notations : tt
us par la scissure calcarine (K), et du lobule fusiforme par la scis- ' sure collatérale (ot); le cuneus est limité en
3, partie orbitaire de la troisième circonvolution fron- tale.o7'(G) ' ),partieorbitaire de la première circonvolution fr
t, avec la deuxième circonvolution limbique, ou circonvolution de ! ' hippocampe (L2 [IIJ), par l'intermédiaire du pli
es. - , troisième sillon temporal. - Th, thalamus (couche optique). ' U, circonvolution du crochet. MORPHOLOGIE CÉRÉB
olution du corps calleux ou première circonvolution, lim- bique (Li) ' 2° La circonvolution de l 'hippocampe ou deuxiè
e ou circonvolution inlra-limbique (Cg). 5° Le lobe olfactif (Lol). ' MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 297 Première Circonvol
ot (T02). La deuxième circonvolution limbique ou circonvolution de / ' hippocampe (L2[llJ), fait suite en arrière à l'
par une extrémité épaissie qui s'enfonce au-dessous du bourrelet du | ' ' corps calleux, puis se porte en bas et en ava
ar une extrémité épaissie qui s'enfonce au-dessous du bourrelet du |' ' corps calleux, puis se porte en bas et en avant
et désignée généralement sous le nom de bandelette de Giacomini (B( ' ). De son origine au niveau du bord interne du vél
m de finzbrirr, de corps bor- dant ou bordé, de corps //<7</f" ' [(Fi), et qui est extra-ventriculaire comme la c
noyau lenticulaire. (Voy. plus loin Coupes macro et microscopiques.) ' ) Les bandelettes diagonales de Broca (bd) ou fa
gual. mp, sillon marginal postérieur. NA, noyau amygdalien. - oP,(G¡ ' ), partie orbitaire de la première circonvolution
et présente une face externe libre, recouverte par la circonvolution ' de l'hippocampe (L.,[II]), une face interne, li
La bandelette optique et le chiasma ne sont pas formés par un système ' de fibres homogènes; ils renferment au moins tr
e ? n, pilier antérieur du trigone. - TM, trou de Monro.7'm, tuber- ' cule mamillaire. dtlt, ttenia thalami. - Tv, tube
s pédoncules cérébraux. Ces derniers, comme du reste la partie posté- ' rieure du losange opto-pédonculaire, se dévelop
iri. ? t i Division du pédon- cule cérébral en trois régions. ' - - i Etage intérieur ou , pied du pédoncule.
nts, plus arrondis que les précédents, mesurent G millimètres de hau- ' teur sur 8 de largeur. Ils présentent une color
, herausgegeben von Grashey, Wiesbaden, 1889. - IIEVLE. Handbuch de; ' Nervenlehre, 181\J. - Ho.NFGG1--R. Vel'gleichend-
n de Monro (sM), qui se continue en arrière avec l'aqueduc de 6'y/u/ ' «.y (AqS), tandis qu'il s'abouche en avant dans
glion de l'habénula. - Gp, glande pinéale, - Ifa, Ifp, lobe antérieur ' et lobe postérieur du corps pituitaire. - Le, l
-Lig, lingula. Lien, lobe inférieur et moyen du cervelet. - Lip, lobe ' inférieur et postérieur du cervelet. Lsm, lobe
bercules quadrijumeaux antérieur et postérieur. rif, diverticule de . ' l'infundibulum. - Rm, ruban de Reil médian. ro,
ccipitale. - Pi, Pi, première et deuxième circonvolutions pariétales. ' l'a, circonvolution pariétale ascendante. po, s
cule cérébral. 1'0, protubérance. psl, pédoncule du septum lucidum. ' ;tri, 7rfl', plis fronto-limbique. - 7tp{p, pli pa
avaux de Gud- clin et Forel sur le pilier antérieur du trigone. ' trigone; il faut donc les écarter en dehors pou
alleux. (D'après la photographie d'une pièce durcie dans l'alcool.) ' C, cuncus. CA, corne d'Ammon. Cç(Spl), bourrele
du lobe temporo-àccipital. de, diverticule du cuneus. d,gCA, digi- ' tations de la corne d'Ammon. dq, diverticule du l
oupe vertico-transversale de la corne d'Ammon et de la région sous- ' optique, passant par le corps genouillé externe e
ccipitale du ventricule latéral. VSl, ventricule du septum lucidum. ' MORPHOLOGIE CÉRÉRRALE. 3o7 m'6;-fe ? ? <CM
ment dans le sinus droit. Le livli ici ? Mï<-<'</T/< ? \ ' (Hallcr), /'<7y ? < ? cr/eHi ! -c ? M</'c
considère deux parois : l'une supéro-externe, l'autre inféro-interne ' et deux bords : l'un interne ou concave, l'autr
fergot de Morand du bulbe du forceps en haut, de l'éminence colla- ' térale de Meckel en bas. Ces sillons sont toujour
Glomérule chol'oï- J dien. Structure des plexus | choroïdes. ' . ! 1 t i I 362 ANATOMIE DES CENTRES NERV
nce. - Pul, pulvinar. Pue, pyramide du cervelet. Qa, Qp, tubercules ' quadrijumeaux antérieur et postérieur. - rée, div
capsule extrême. Cing, cingulum Cip, segment postérieur de la capsula ' . z interne. CL, corps de Luys. - CO, centre ov
e de Sylvius. 7 ? T2, T3, première, deuxième et troisième circonvo- ' lutiuns temporales. 11, 12, ? premier, deuxième e
ucidum. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - zr, zone ' réticulée, ou grillagée. - II, bandelette optique
veau, à la surface extérieure du cerveau intermédiaire embryonnaire. ' ., La toile choroïdienne (Hérophile) (Tch), pro
E¥,erg0t de Mora-nd.Ft ? forceps major. - Gh, ganglion de l'habé- . ' nula. Gp, glande pinéale. lip, lobe cérébelleux i
a face libre ou intra-ventriculaire. Sa face adhérente. 1 372 ' ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ses rapports avec
Th, thalamus. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - \ ' ' MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 3T3 épendymaire (Sge
, thalamus. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - \' ' MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 3T3 épendymaire (Sge)
rtie de la face supérieure de la couche optique, située en avant et ' en dehors du sillon choroïdien, fait partie du pl
lexus choroïdes du ventricule latéral et le corps bordant ou bordé. ' ' A sa partie externe et. inférieure, le pulvin
xus choroïdes du ventricule latéral et le corps bordant ou bordé. ' ' A sa partie externe et. inférieure, le pulvinar
té an- térieure. 1 f'1 , i Sa face inférieure s 1 ! i ' 1 i 'i 380 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Du reste le repérage de chaque série de coupes est encore indiqué par ' des figures spéciales, sur lesquelles chaque li
irconvolution pariétale ou circonvolution pariétale inférieure (P 2) ' Cette circonvolution intéressée dans presque to
lution occipilale (0,). Le segment vertical du sillon paml- lnle (t, ' ) l'incise au niveau du pli courbe (Pc), mais elle
là capsule externe (Ce), qui lui forment une bordure foncée et nette- ' - ment délimitée; en avant elle se perd insensi
mes et les mêmes dimensions que sur coupe précédente, elle envoie - ' au putamen (NL.,) un pont de substance grise asse
partie infé- rieure de la circonvolution pariétale inférieure (P 2) ' La première circonvolution temporale (tri) se c
te coupe. En arrière de la deuxième circon- volution temporale (1'2) ' la partie verticale du sillon parallèle, (t,') in
volution temporale (1'2)' la partie verticale du sillon parallèle, (t, ' ) incise profon- dément l'écorce cérébrale, et l
térieur de la cap- , sule interne (Cip) par la zone réticulée (Zr). ' La capsule interne (Cia, Cip, Cirl) se présente
T,) par le sillon temporal profond (tp), et limitée en avant par le ' sillon marginal postérieur de l'insula (mp). La p
. - Mo, trou de Monro. znp, sillon marginal postérieur. - Na, noyau ' antérieur de la couche optique. - NC, tète du noy
par une raie blanche, connue sous le nom de ruban de Vicq (4 : ? /) ' (V) ou de Gennari, très apparente au niveau du fo
nche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipilale (K + po) ' , 4t ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. qui sépare l
és. - Cette coupe intéresse le noyau lenticulaire (NL3, Nul. NL" NL, ' ) dans saplus grande largeur; son segment interne
NL" NL,') dans saplus grande largeur; son segment interne (NL,, NL, ' ) est dédouhlé par une petite lamelle médullaire
iés.-Le noyau caudé (NC) et le noyaulenticulaire (NL3, NL ? NL¡, NL¡ ' )ne présentent rien de particulier il noter. La co
émisphère. Ligne 68 des figures 217 et 218. (Grandeur naturelle.) ' Al, anse du noyau lenticulaire. - Abf, avant-mur.
roisième circonvolution frontale (F.,). La deuxième, temporale (T 2) ' au conJraire, est sectionnée dans une grande éten
egment antérieur de la capsule interne (Cia). Le noyau lenti- culai¡ ' ( ! est formé de quatre segments, le putamen (NL3)
de quatre segments, le putamen (NL3) et le globus pallidus (NL2,i'/) ' dont le segment interne est subdivisé ( ? ) par u
e Reichert (Sti) et la partie supérieure du pédoncule cérébral (P). ' Écorce. - L'écorce de cette coupe ne diffère de
uber cinereum (Te). Dans ce triangle gris est englobé, frontal. - 1· ' , champ de Forel. Fli, faisceau longitudinal infér
téral. - II, bandelette optique. Ik28 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. ' en arrière, le /ubel.culema11tillail.e(Tm)etlep
troisième circonvolution frontale (oF.,) et de l'écorce insulaire. ' Coupe n" 82 (fig. 234), passant à 4 millimètres
- L'écorce du lobule orbitaire et celle du lobe slÎcrid+;ta ocah· ? % ' complètement séparées l'une de l'autre, par la
. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral., 1 "ç'\\ v \ . '' ? $ ' 434 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. système du
première circonvolution limbique. - ¡¡¡F" circonvolution frontale ' interne. - OF, faisceau occipito-frontal. oF,, pa
ystème des fibres d'association qui entoure le sillon, olfactif ' (fi). La partie inférieure de la cott- ronne r
noyau lenticulaire (putamen). OF, faisceau occipito-frontal. oF, (G, ' ), partie orbitaire de lapremièrecirconvo- lutin
entre la troisième (1") et la deuxième circonvolution frontale (1"2) ' dont elle est séparée par le sillon prérolandique
en général, sépare de la deuxième circonvolution tempo- rale ('1'2) ' La face inférieure du lobe temporal est constitué
pen- dymaire (Sge) qui le sépare du faisceau occipito-frontal (OF). ' . La masse blanche de cette coupe (n° 55) (fig.
Th). Le noyau caudé (NC) est relié au noyau lenticulaire (NL3' 2' 1) ' par des ponts de substance grise et par les fib
eum (Te) et la partie la plus déclive du troisième ventricule (Va), ' v 1 . A la face inférieure du cerveau entre le
mité antérieure du lobe temporal. Coupes nos 75, 78, 80. Coupe n° ' /5 (hg. : ! 4), passant a 4 millimètres en arrière
4), passant a 4 millimètres en arrière de lê1-ptill. : è.t.1.C : 1Ue" ' et correspondant aux lignes 75 des figures 235
n (CA), elle est au contraire unie, sur les coupes nOS 78 et 80 (fig. ' : 250- 251), qui intéressent l'extrémité postér
abénula (Gh) qui se trouve sectionné sur la coupe n° 86 (fig. 253). ' , Substance blanche. - Le corps calleux (Ce) et
li) qui constitue la couche sagittale externe du lobe <em.o-0f;c) ' /a/. En arrière, les limites externes et inférieur
la troisième paire. 30 466 . X1'\ATOilllE'DES CENTRES'^ NERVEUX, ' ! % Ces îlots gris du noyau lenticulaire'. (NLJ
tion godronnée. - Cge, corps genouillé externe. -C71, corps genouillé ' ~- interne : Cing, cingulum. Cip, segment posté
igone. l'l, ventricule latéral. 474 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. : ' (fig. 258 et 259), cette circonvolution change
illon inler-pariélal (ip), la deuxième circonvolution pariétale (P2) ' que subdivise la partie verticale du sillon par
sillon temporal (t,) et la troisième circonvolution- temporale (T 3) ' La troisième circonvolution temporale (T.,) forme
inférieur. - Fus, lobule fusiforme. - ip, sillon inter-pariétal. - /( ' +pro, branche com- mune aux scissures calcarine
néus, celle qui est en rapport avec le. précunéus. (Voy. fig. 235.) ' .' . Le lobule lingual (Lg), que nous avons vu
incomplètement du pré- cunéus (PrC), du lobule paracentral (Earc) ' et de la face interne de la pro- mière circon
lamus.) Tm, tubercule mamillaire.- Uv, uvula (luette) ? JÕ'ù.\j,W¡";L" ' \5'eq, d'Azyr. F (Czr), partie supérieure (culin
le deuxième et le premier segment du noyau lenti- wlail'c (;\/L" 1) ' Elles appartiennent au système lenticulo-caudé et
la circonvolution du crochet (U) et une partie du pôle temporal (T2) ' Cette coupe montre, ainsi que la coupe précédente
passent entre la zone réticulée (zr) elle globus lJallidlls (NL2, 1) ' Ces fibres correspondent au tiers antérieur du se
(Voc) la saillie de V ergot de Jloraud (EM) (fig. 371). La partie l} ' (l il tale du ventricule latéral a disparu, il s
onvolutions frontales. ? pre- COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU; 30a ' ) dans la capsule interne des fibres du pied du
latéral. - zr, zone réticulée ou grillagée. Il, nerf optique. j ! i ? ' 1 I \ k ! 1 I ? ... ? 506 ANATOMIE DES CENT
e la face inférieure du pulvinar (Pul) est donc extra-ventriculaire, ' et correspond aux parties latérales de la fente
entricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. 2 ? ' , zone réticulée ou grillagée. - Il, bandelette
tion frontale (1%) et les incisures du deuxième sillon frontal (1'2) ' la circonvolution frontale ascendante (Fa), la sc
(OpR) de l'opercule de la deuxième circonvolution pariétale (OpP 2) ' En comparant l'opercule avec la région insulair
u deuxième sillon frontal. - L" première circonvolution limbique. - ' mF,, face interne de la première circonvolution f
., partie orbitaire de la première circonvolution frontale. - ol', (G) ' ), partie orbitaire de la première circonvolutio
terne et entrent dans la constitution de la capsule du noyau rouge. ' L'anse du noyau lenticulaire (Al) est renforcée
cule antérieur de la couche optique (PaTh). Le faisceau 1,x;[I'I'I/( ' , onduleux, beaucoup moins volumineux que le pédon
inférieure du troisième ventricule ou la voûte de l'espace ¡II t 1" ' }i,'dollwlaÎl'c. Cette coupe intéresse le segmen
ient des deuxième et troisième circonvolutions temporales (1'2,1' : 1) ' s'irradie dans un plan postérieur à celui de ce
du pédoncule cérébral et que par conséquent le faisceau.de y'tt;'c/) ' tire son origine corticale exclusivement de l'é
étro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl), passent au-des- Kb2 ' ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fie. 287. Coupe v
ir- convolution de l'hippocampe. Il, sillon de l'hippocampe. ip, il) ' , sillon inter-pariétal et ses incisures. L,, pr
e 12 diamètres. AM, avant-mur. Cc(g), genou du corps calleux. - Ce() ' ), bec du corps calleux (rostrum). Ce, capsule e
les fibres fortement onduleuses des radiations de la calotte (RC). ' Coupe E (lig. 297) passant par la ligne E de la
bitaire les première et troisième circonvolutions frontales (oF uoF 3) ' En arrière elles se réunissent en un épais fais
- lranir-lal (ip), la deuxième ,.il'COIIVO{lItÎOII ])(/l'iétale (P2) ' la circonvolution pariétale ascendante (Pa), le
l'(Iiip (1,,) présente au - COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 581 ' niveau de sa partie moyenne un aspect un peu part
arrière, les radiations calleuses contournent la substance grise Il-( ' et s'infléchissent en dehors et en arrière, com
la face supérieure du troisième segment du noyau lenticulaire (NLJ) ' Les fibres de la capsule interne présentent un
noyau caudé (NC) et le troisième segment du noyau lenticulaire (NLa) ' L'insula (la, Ip), sectionné au niveau de sa pa
alamus (Lme), pour pénétrer dans le noyau externe du thalamus (Ne). ' Le segment rétro-lenticulaire de la capside (Cirl
orme a été comparée par Wernicke à celle d'une corne d'abon- dance. ' Sur les coupes t)e/'<ico ? Y«;.s ? c.s'6[.&l
e passe u u au-dessus de la coupe macro- scopique de la figure 225. ' \ ... Alv, alvéus. AM, avant-mur.. - CA, corne
cielles par des fibres parallèles qui embrassent le fond du sillon. ' 604 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Couche opti
passe par les trois segments du noyau lenticulaire (NL¡,NL2,NL : I) ' par les corps genouillés interne et externe (Cgi,
Qa, bras du tubercule quadriju- meau antérieur. CA, corne d'Ammon. , ' Ce, corps calleux. GeC ? ), genou du corps call
ventricule latéral. Vsph, cornc sphénoïdale du ventricule latéral. 1\ ' , zone de Wernicke. Zi, zona incerta de Forel. I
e l'insula (Ip). Le troisième serr- ment du noyau lenticulaire (NLJ) ' intimement uni au noyau caudé (NC), est mor- ce
postérieur avec le ruban de Reil médian. CA, corne d'Ammon. - Cc(g) ' , genou du corps calleux, Ce, capsule externe. C
rconvolution frontale. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. ' fg, sillon fimbrio-godronné. Fli, faisceau longit
. Tga, pilier antérieur du trigone. Tml, tubercule mamillaire latéral ' de Gudden. - U, circonvolution dû crochet. V3,
EUX. gentielles, très abondantes dans cette région (Voy. Ecorce du ) ' /«HeHcj/<a/0)), p. 703). La corne d'Ammon (CA
et toutes les parties constituantes de la 1'égion 's{s-t/l(llam¡r¡u( ' de Forel. L'élude des coupes que nous venons de
ur la coupe suivante n° 2 x (fig. 317), - cnvoic ses fines libres t' ' [G. 313. Face. interne d'un hémisphère droit, avec
le segment interne du noyau lenticulaire en deux parties (nez, \'L, ' ). lt, lame terminale embryonnaire. ho, face int
(lmil) subdivise le segment interne du noyau lenticulaire (NL,, \L, ' ), de telle sorte que le noyau lenticulaire semb
Zi, zona inc'erta de Forel. Zr, zone réticulée ou grillagée. , ... ' 640 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. substance g
ui relient incomplètement la dit noyau caudé (NC') au pulamen U'{L3) ' Le noyau lenticulaire (NL., NL,, NL,, NL,') est
(NC') au pulamen U'{L3)' Le noyau lenticulaire (NL., NL,, NL,, NL, ' ) est formé de quatre segments, dont les trois i
nes d'égale grandeur appartiennent au globus pallidus (NL,, NL,, NL, ' ). En avant, le ]Jutamp-n (NL,,) criblé de nombreu
erne (Cip). De toute la face interne du globus pallidus (NL, NL" NL, ' ), se détachent de nombreuses fibres transversales
e, il reçoit de nombreuses fibres du glo- bus pallidus (NL,, NL" NL, ' ). L'anse du noyau lenticulaire (Al) a diminué de
interne du noyau lenticulaire, formé encore de deux segments (NL,, , ' ). De là ses fibres se recourbent, se dirigent en
t dans cette coupe ni le segment interne du noyau lenticulaire (NL,, ¡ ' ) en arrière, ni la ligne médiane en avant. La
utamen) (NLJ. Quelques-uns de ces fascicules semblent provenir, 654 ' ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. non pas de la que
Meynert (xM), qui se fait à angle extréme- .ment aigu, et en avant, ' entre les deux noyaux rouges (NR), un entre-crois
se dirige vers [la sub- stance blanche cellule du type II de Golgi. ' 676 6 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les cylin
n névroglique et correspondent aux cellules araignées de .lastrowitz. ' Les cellules névrogliques d'origine épendymaire
e de l'acide osmique, des méthodes de Weigert, de Pal et de Welters ' ; ; elles affectent deux directions principales
ngentielles propre- ment dites ou plexus externe do l'écorce (1" ' plexus). Origine de ces fibres. Son épaisse
sa tige et par ses dendrites collatérales et basilaires, la cellule ' pyramidale se met en rapport avec les éléments co
daptations 'antérieures, soit pour STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. ' 689 d'autres causes, offrent, en compensation d
s la troisième année, la myélinisation est si avancée qu'il est im- ' t4 La myélinisation des fibres nerveuses qu
uche granuleuse interne, enfin, répond à la 4° couche du type commun. ' Hamon y Cajal, étudiant l'écorce occipitale des
r son épaisseur et sa richesse en fibres nerveuses tangentielles. ' Elle présente les caractères fondamentaux de
s, que l'on se rapproche davantage de la cou- che sous-jacente. * ' La partie profonde de la cou- che moléculaire
l'écorce cérébrale, par la multiplicité de leurs cylindres-axes et le ' Fie 340. Coupe de la partie inférieure de l'éco
la couche moléculaire. - j, petite cellule pyramidale. - r, cellule ' pyramidale géante. S, cellules fusiformes de la c
. Le ruban de Vicq 1 d'Azyr est formé par · un plexus de libres ' 1 à myéline. Couche des gran- des cellules
es de la couchc moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 701 1 ' une fibre à myéline, soit de la couche profonde
res entrent dans la constitution de la lyre de David ou psalterium. ' La couche de fibres commissurales est entourée
a semi-circularis. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. ' . dales, le nombre et la variété de forme de se
tum lacunosum et le stratum radia- - tam. l Cellules du stra- ' tum moleculare. f r Cellules du stra- tum
e d'Ammon et dans la région du hile de la circonvolution godronnée. ' ' . En réalité, ces deux. colonnes sont adossée
d'Ammon et dans la région du hile de la circonvolution godronnée. ' ' . En réalité, ces deux. colonnes sont adossées
l'écorce dans la région , du hile de la circonvolution godronnée. ' Il s'agit ici de deux écorces ce'ré- . braies
les trois couches suivantes I, TI,'III appartiennent à la couche ' moléculaire (M), à la couche des cellules pyram
ont obligés de traverser les trois couches de la corne d'Ammon (CA) ' avant d'arriver àl'alvéus (Alv). Les . cylind
r court cylindre-axe se termine par une arborisation étendue et vari- ' queuse, soit dans l'épaisseur même de cette cou
la couche des petites cellules pyramidales de l'écorce typique. , - ' Les cellules pyramidales de la' corne d'\nimdn;
de gros et de fin ua- libre. Collatérales cylin- drC'-axilcs. " ' Fibres intra-eorti- cales de la corne d'Amm
m lacunosum, dans lequel elles s'arborisent librement (lig. 359). ' -io Fibres de la lame médullaire supcrti- c
s du type II de Golgi propres au stratum radiatum (fig. 355, e, f). ' 4. Les arborisations des collatérales et des cy
t : le stratum moleculare (M), le stratum lacunosum (L) et le stra- ' ' tum radiatum (R). ? couche des cellules pyr
: le stratum moleculare (M), le stratum lacunosum (L) et le stra- ' ' tum radiatum (R). ? couche des cellules pyram
couche des cellules polymorphes (Pm) ou stratum oriens.-Alv, al- ' . 1 vous ou substance blanche. Fig. 362. Sché
n godronnée dont le cylindre-axe pénètre dans la corne d'Ammon. ! ' - 730 .ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.- - I Les f
s pyramidales géantes de la région- godronnée de la corne d'Ammon. - ' - - 3° Couche ! des cellules polymorphes. - Cet
be et surtout celle du l,illl,e olfactif est celle de l'écorce ( ' ,énhrale pro1'oll1l0- ment modifiée. Les cinq
s olfactifs. - gl, glol1ll'- rnic olfactif. - o, libres olfactives. ' ï36 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules de
poly- : norplies (3= couche). Couche de sub- stance blanche (4' ' : ouche). Septum lucidum. Il est l'homologue
Ueber feinere Struktur des Anznzoazshoa·azs. - II. Ueber den Eau de ! ' Rinde des unteren Hinte1'hauptslappens de)' kle
II. Ueber den Eau de ! ' Rinde des unteren Hinte1'hauptslappens de) ' kleinen Süuget)ziea·e. Zeitschr. sur wissenchaft.
ie, 1881 et 1882. t. II et III. - ÉDINGER. Zwolf Yorle- sung en M6e) ' den Bau der 77eii)seîz Ceiti,alo2,gane, etc., 3°
l sistema nervoso. Milano 1886. - Greppin. Ein Fall von progressive ! ' Paralyse. Arch. sur Psych. und Nervenkr. Bd XVI
pendymzellen der Centralorgane. Verhand. d. biolog. Vereins, 1891. - ' Du même. Studieit ïcber Ependym und Neuroglia. Bi
athologischen Anatomie und Pathologie der Dementia parnlytica. Berlin, ' 1882. - VICQ D'AzYR. Recherches sur la structur
ch. Ce faisceau reçoit et émet en effet des fibres pour la première ' circonvolution frontale (mF,), pour le lobule par
l. - fa(pri), libres arciformes du sillon pré-rolandique inférieur. ' - Fit. faisceau uncinatus. - io. sillon intcr-occ
dante. -- Pc, pli courbe. -. po, scissure pariéto-occipitale. - p0) ' , sillon post-rolandiduc. - purs, sillon pré-rol
F', fig. 391, p. 790) traversent la substance grise sous-épendymaire, ' , s'entre-croisent, en avant de la corne frontal
iation et de projection. Ces crêtes affectent une direction sagittale ' comme les circonvolutions du lobe occipito-temp
psule interne.- Cing, cingulum. Cip, segment postérieur de la capsule ' " interne. - Fc, fibres calleuses. Fli, faiscea
ire, et qui affecte dans le lobe temporal la formc d'une gouttière. ' Arrivé au niveau du lobe temporal, le faisceau
itudinal supérieur de Burdach et avec celles du faisceau uncinatus. ' . Un petit nombre de fibres entrent dans la con
horizontales III et IV, p. z587 à 657, fig. 303 à 326). - ...... ? ' , Fie. 386. - Coupe horizontale du lobe tempora
ontrant la façon dont le fais- , ceau longitudinal inférieur aborde ' le noyau amygdalien. Méthode de Weigert. 2/1 gr
che annulaire distincte qu'au voisinage immédiat de la cavité ventri- ' culaire. Elles entourent la corne occipitale d'
-spinal. Paris, 1844. Ganser. Ueber die vordere Uirncommissure de ! ' Saiigethiere. Arch. sur Psych. und Nervenkrank.
lernis- p/t<ft'e ! ! nt6[)'A des menschlichen Grossleirns. I. de) ' Hinterhaupthqjpen. Leipzig, 1892. Du même. Vort
2. FIN DU TOME PREMIER TABLE DES MATIÈRES DU TOME PREMIER 812 ' TABLE DES MATIÈRES. TABLE DES MATIÈRES. 813 8
50 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tISSAlIU (E.), 13110t1A13UEL (l'.), CATSAIIAS, CHAIIBEI1T, CHIIRO : ' \. CHRISTIAN, CULLEIlItE, DEBOVE (1VL). UENY, DE
traces d'hémorragies anciennes ainsi que d'hémorragies récentes. » ' UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. 3 Le
ur tronc parait de volume et d'aspect normal et n'est pas dissocié. ' Notons ici que l'oreille gauche (côté de la tum
à son centre un gros noyau fortement coloré par l'héma- toxyline. ' Nous remercions ici M. Flippe ! , médecin des hôp
pides du visage ; il existait de la cécité avec simple pâleur de ' M. Brissaud. Syndrome cérébelleux. (Progrès médic
que de l'oeil qui « n'appartient sûrement pas aux symptômes rele- ' Notlinagel. p. 1 48. 12 PATHOLOGIE NERVEUSE.
toire. Signalons, en passant, l'apparence un peu particulière que ' Lamy. Congrès des aliénistes et neurologistes, 18
cinogène » ont été mis en éveil et par l'irritation périphérique ' Leven et Ollivier. Archives générales de médecine
stinées à s'unir ? Ou bien se passe-t-il ici un tout autre procès ? ' Appliquons- nous à résoudre cette question, en
a faculté d'imitation. Or, comme l'a écrit un éminent physiologiste ' , la parole n'étant qu'un art d'imitation et sa
t était également affligé D... au point de vue physique. D... fut ' Béclard, Physiologie, Paris, 1871 : « La parole e
la classe dans laquelle il a été versé, aux exercices préparatoires ' qui ont, ' La série de ces exercices préparatoi
ans laquelle il a été versé, aux exercices préparatoires ' qui ont, ' La série de ces exercices préparatoires consiste
s même dans l'obligation d'utiliser le secours du sens de la vue 2. ' En même temps qu'il percevait par l'ouïe le son
moment où l'enfant éprouve un besoin ou une sen- sation quelconques ' ,sont aisément comprises et assez vite retenues
s. Un fait se produisant sous les yeux de l'enfant ou étant rappelé ' par quelque circonstance, le maître énonce la p
siné ce matin ? As-tu essuyé la table ? Iras-tu te promener demain ? ' ! Comptes rendus d'actions faits par l'enfant :
écoles d'idiots et d'arriérés de Bicêtre et de la Fondation Vallée ' . ' On pourra remarquer que nous n'avons fait n
les d'idiots et d'arriérés de Bicêtre et de la Fondation Vallée ' . ' On pourra remarquer que nous n'avons fait nulle m
e et d'éducation relatives aux enfants idiots ou arriérés. (A. 13.) ' Voyez le Compte rendu de 1895, p. v, et uetui de
sur la tête. Dans l'hystérie, l'action de l'électricité est nil pe} ' se. Elle n'en reste pas moins un puissant agent
otre confrère est loin d'avoir la portée qu'il lui assigne; M. le D' ' Marandon de Montyel est, à juste titre, l'en- n
er qu'il, ne s'applique qu'à une catégorie déter- minée de malades. ' M. AsaAOU. - Alors ce n'est plus une innovation
a grande figure de Calmeil, dont il prononce un magnifique éloge. ' MARCEL IRL4nT. SOCIETES SAVANTES. 1a J SOCIÉT
sensibilité musculaire chez des paralytiques avec démence profonde. ' M. le professeur KOVALEVSKY (de Varsovie) menti
lie atypique à prédominance bulbaire, ou d'une sclérose en plaques. ' L'évolution générale du tabes fait le sujet de
Pr W. Erb (de Ileidel- berg) : « Ueber die Thérapie der Tabes. » 1" ' J. Grasset de (Mont- pellier) : « Le traitement
raitement du tabes dorsalis. Indications et contre-indications. » D' ' R. Hirschberg (de Paris) : 1. « Surle tabes dor
Pr B. Sachs (de New-York) : « Surgical Treatment of Epilepsy. )) D' ' A. Voisin (de Paris) : « Un cas d'épilepsie jac
e l'asile public de Saint-Meens est élevé à la 11, classe ; M. le D' ' Dubuisson (Maxime), directeur-médecin de l'asil
ais curieuse 3. La première phase de cette grande époque de réno- ' Faites du 7 au 24 mai 1897. - Leçons de clin, n
on étudie le siège et la nature des lésions qui leur correspondent. ' Je n'hésite pas à symboliser clans votre esprit
ous avons essayé, après bien d'autres, de le montrer pour la moelle ' et les névroses-; Raymond a récemment étudié ce
reaux (Hôtel-Dieu) : arthritisme. -Avril 1895, Cornil (Hôtel- 106 ' CLINIQUE NERVEUSE. Dieu) : encéphalomyélite. -
109 On peut rapprocher de notre cas le suivant qui est dû à Nonne ' et qui, étant suivi d'autopsie, complète utilemen
1 Vulpian. ? f«7. du sy ? ncit'. : malud. de la moelle, 181 ! ). ' MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 1 I 1 rieure et mé
elle, est une maladie, - j'espère vous l'avoir démontré ailleurs. ' Voir la Ire édition de mes Leçons sur les maladie
é- rose dans les maladies à processus parenchymateux pri- mitif ? ' « Certains auteurs disent non, notamment Brault
ISSEMENTS ET TERMINAISON DE LA GROSSESSE; Par le Dr F. TERRIEN, ' Ancien interne des Asiles de la Seine. Contre l
deux de nos confrères de la Roche-sur-Yon, les Drs Blé et Genbert. ' Avec toutes les précautions antiseptiques comma
ons dans l'épilepsie doit donc être rétréci mais non pas abandonné. ' F. LtoISSIEft. V. Effets DE la DÉGÉNÉRESCENCE a
l- tats des différents auteurs sont loin de concorder. Un fait bien ' établi, c'est que la dégénérescence ainsi produ
nférieur. En d'autres termes le fais- ceau de Bield serait le sien. ' P. K. XI. UN cas DE paralysie DU nerf récurrent
ÉVULSION GALVANIQUE DU RACHIS DANS LE TRAITEMENT DU TABES; par le D' ' Targowla. La méthode de Frenkel qui consiste à
orité des cas, sont susceptibles d'être amé- liorés ou même guéris. ' Idiots ET alcooliques : descendance. Dans un
d'électro-thérapie. - 4° Les rayons X et la nutrition des tissus. D' ' Auguste DE SUZE1OEii : RGER (de laples) : Contr
liquent à l'ataxie locomotrice, dans ses localisations médullaires. ' " ' ' Le tabès médullaire parait être, avant to
ent à l'ataxie locomotrice, dans ses localisations médullaires. ' " ' ' Le tabès médullaire parait être, avant tout,
t à l'ataxie locomotrice, dans ses localisations médullaires. ' " ' ' Le tabès médullaire parait être, avant tout, un
soudre. et leur topographie et leurs caractères histo- logiques'. , ' Mais, en système nerveux surtout, la clinique d
cts et isolés, dont l'autonomie égale celle du faisceau pyramidal ' Cl. Philippe. Contribution il l'élude anatomique
e hisloloigque actuelle qui décèle le plus petit fascicule dégénéré, ' même à ses débuts (procédé de Weigert-Pal ; pro
cupé tout entier par les fibres radiculaires et leurs collatérales. ' Mais il nous faut savoir où se trouvent plus sp
endogènes (régions quadrillées) aux principaux étages de la moelle. ' Les champs radiculaires ou exogènes occupent :
(a) attenant au boi d interne de la corne ; les champs postérieurs (a" ' ) sont moins décolores. Les racines postérieures
resque aussi complètement que les champs radiculaires (a, a', a", a" ' ). l'ig. 13 (cinquième racine lombaire). - Décol
ilité extrême de la gaine. Par contre, les noyaux interannulaires ' Arche. de médecine expérimentale, juillet 1801.
S. LE PERSONNEL DES ASILES PUBLICS D ? LIIvI.S ET LE RAPPORT DU D' ' DUBIEF A LA CHAMBRE; . Par le D' 11AISAVDON DE
les asiles français, n'est pas seulement inutile mais encore dan- ' Voir Gazelle des hôpitaux, n°" du 16 et 23 févrie
certificats ? » Sur ce point je suis absolument d'accord avec le D` ' Dubief; c'est la thèse que j'ai soutenue en 189
projet de loi. Si on compare, en effet, le texte présenté par le D' ' Dubief avec celui voté par le Sénat, on constat
administratif. Qu'on en soit certain, les médecins traitants du D' ' Tubief ne seront jamais que des débutants et des
ris précisément parmi les refusés du concours des asiles ! Que le D' ' Dubief ne vienne pas nous assurer que le minist
s influents. Donnant toute l'autorité à leur médecin-directeur le D' ' Dubief et la Commission de la Chambre auraient
Le système Archives, 2° série, t. IV. 14 - 210. ASILES D'ALIÉNÉS. ' du "Dl' Dubief met l'aliéniste dans l'obligatio
oreront d'ailleurs le médecin-directeur et le médecin traitant du D' ' Dubief, que mon savant ami en soit convaincu,1
utte, une thérapeutique utile sera irréalisable. Et pourtant le D' ' Dubief est bien dans le vrai quand il avance qu
ustifier la suppression du directeur que nous appelons laïque, le D' ' Dubief m'a déclaré qu'il a semblé à la Commission
nce serait un pugilat. Donc après comme avant les explications du D' ' Dubief toutes les cri- tiques que j'ai formulée
sa révocation ou de s'en aller lui-même. C'est très regrettable. - ' LE PERSONNEL' DES ASILES PUBLICS D'ALIÉNÉS. 219
n n'a d'autres ressources que sa fonction. Ce système a pour le D' ' Dubief des avantages certains. Il permettrait d'a
sonnelles ainsi que les idées qu'elles lui suggèrent. Comment le D' ' Dubief veut-il qu'il trouve le temps de courir la
la paupière doit être un peu en dedans du noyau du droit supérieur, ' quoique immé- diatement à côté de lui. - 6° Il
Ministre de l'Intérieur, et Marveaux, médecin principal. M. le D' ' Ritti a pris le premier la parole et a retracé, e
agit pas d'un paralytique général. Quant aux conceptions délirantes, ' elles n'ont également de valeur pour le diagnos
raduire ce qu'ils éprouvent quand on leur comprime le nerf cubital. ' A l'appui de la théorie syphilitique de M. Régi
isamment ce centre, pas assez pour déterminer le SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 257 Î plein effet de son action d'arrêt sur la
fugace des pieds. Le traitement par la valériane et l'hydrothérapie ' avait été aussi institué. Un cas de trembleme
fait constater. Notre expérience remonte à plus de vingt-cinq ans. ' (B.) SOCIÉTÉS SAVANTES. 265 sur la rareté des
contre la division des fonctions de médecin-chef et de directeur, ' Voir la note de la page précédente. 266 SOCIÉTÉ
charges et aux avantages de la caisse départementale des retraites. ' M. Charpentier (de Bicêtre) déclare qu'il est p
erve qu'aucun orateur n'est venu combattre ou défendre cette thèse. ' M. LE Filliatre a lu un travail intitulé : Néce
éfléchie, je vois cependant les caractères du meurtre pathologique. ' M. ARNAUD. - L'ivresse avec fureur est caractér
git pas ici d'une simple observation, c'est un rapport médico-légal; ' nous ne pouvons pas nous élever contre l'opinio
e droite. Peut-être est-elle en rapport avec une lésion cérébrale ? ' L'Open-door. M. CHRISTIAN. - M. Marandon tien
s, il s'était donné la tâche de réformer nos asiles, qui déjà alors, ' ne donnaient, suivant lui, que de déplorables rés
Telles étaient les aménités que cet excellent homme prodiguait à ' Voir les Annales ) ? ? co-;Mye/;o ? le Journal de
réforme qui se traduit d'abord dans les procédés de la polémique. ' Nous remercions .\I. J. Falret d'avoir rappelé no
nt de ressemblance. Dans ce travail privé de base clinique, M. le D' ' Vial demande à ce qu'on fasse rentrer dans le g
Thérèse Ducoulet a confirmé à M. le commissaire, ainsi qu'a M. le D' ' Giral, le récit qu'elle avait fait à son maître,
ois d'hydrothérapie guériraient très probablement cette hystérique. ' ' Discours présidentiel prononcé A la cinquante
s d'hydrothérapie guériraient très probablement cette hystérique. ' ' Discours présidentiel prononcé A la cinquante-c
à peu près tout à fait impossible avec l'Open- Le rédacteur-gérant, ' 130URNEVILLE. livreuz, Ci). llimse, imp. -'J91.
r se trouve Archives, 2e série, t. IV. 19 9 290 asiles d'aliénés. ' placé à la tête d'un établissement, non parce q
s ne sont pas taillés sur le modèle de celui qui a fourni à M. le D' ' Dagonet l'occasion de faire, en termes aussi ju
ent que le conseil général de la Seine, sur les rapports de M. le D' ' Bour- neville, dont le nom est intimement lié à
ajoutent une telle importance, que lorsqu'ils ne peu- RÈGLEMENT DU ' 20 MARS 1837. 295 vent le donner, ils font appo
é des visites et des sorties. Qu'il survienne, au dehors, quelque ' événement fâcheux, le directeur ne manquera pas d
uvoir. Il en est qui ne se contentent pas d'un visa; ils complètent, ' ' commentent le bulletin sous la signature du m
oir. Il en est qui ne se contentent pas d'un visa; ils complètent,' ' commentent le bulletin sous la signature du méd
a, monsieur le directeur, s'appelle, je crois, un faux en écriture. ' - Le secret des lettres des familles aux malade
imaginer. « J'ai beau chercher le directeur, disait Falret, je ne ' trouve. que le médecin. » C'est là la formule qui
mptoma- tologie première, par leur évolution symptomatique. Il me ' Archives de Neurologie, numéro de juin 1897. 29
de Jules Simon, Charcot et les travaux de Bourneville 3, il reste ' Besy..Hyë'e <H/aM/<7e, Grancher. 7/e ? e c/
. Antécédents personnels. On n'a rien de particulier à noter. 302 ' CLINIQUE NERVEUSE. Pas de maladies depuis la na
nt., fasc. 6, 1896.) XVII. Asystolie POST-li1'ILEI''rrQUE; par le D' ' Féré. La coïncidence de maladies du coeur avec
ui court le plus de chances de la lui évi- ter. (Revue neurologique, ' mars 1897.) E. B. XVIII. Contribution A l'étude
que spinale DES enfants NLS avant terme ; par le Dur Van GEUUCUTEN. ' Un grand nombre d'affections nerveuses de l'enf
qui n'avaient jamais présenté de symptômes médullaires. Il a trou\( ' ! : principalement chez ces derniers une dégéné
r, se mouvoir. Cette gymnastique à deux consé- quences favorables : ' d'abord, elle stimule le cerveau et rétablit l'
teur présente encore une preuve anatomique : . SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 347 Observation III. Epilepsie psychique dès l'
s le premier cas, sans tare héréditaire et sans caractère familial. ' A la discussion ont pris part MM. ROSSOLDIO, AI
dans la littérature qu'une seule observation semblable (de Grec1 ! ' ), mais qui n'est pas aussi de trop grande valeu
lablement les ouvrages de Môbius, qui institua le terme Infantile ! ' ](emschwund et les observations de Schultze, de
ur de la thèse étudie dans la deuxième partie de 360 BIBLIOGRAPHIE. ' son travail. Le monopole de la rectification de
urajouté, ou bien il précède cette, affection et lui prépare accès. ' Les crises convulsives hystériques, certaines n
les atteintes qu'avait subies sa santé depuis long- temps, CAMUSE ! ' a conservé, pour ainsi dire jusqu'au dernier jour
evet (Cher), d'une annexe de la colonie familiale de Dun-sur-Auron. ' BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. 13eeu·rFnFw (\V.).
Librairie Veit et Comp. BECHTEREW (W.). Ueber die Kercle der m ? ' / den Augezzbave ,r¡Il71gen in Re : ;iels1'll71,
n-8° de 187 pages. Prix : 5 fr. 60. Iéna, 1897. Verlog, G. Fischer. ' ' - Collet. (F. -J.). Les troubles auditifs d'a
8° de 187 pages. Prix : 5 fr. 60. Iéna, 1897. Verlog, G. Fischer. ' ' - Collet. (F. -J.). Les troubles auditifs d'ans
OGIE CLINIQUE NERVEUSE. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDGE1; Par le D' ' F. TERRIEN, Ancien interne des asiles de la Sei
réellement ; sans - cela je ne vois comment on pourrait explique ! ' les faits dont j'ai été le témoin, où toute sup
J'ai assisté cette malade durant cinq ou six crises de ce sommeil ' Les paupières ne formaient nullement écran devant
HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 381 médullaire (thèse Souques 1891) ' , elle peut également simu- a u aj 1er les affec
e Erb) chez une jeune hystérique, relaté dans l'llsGé7·ie en Vendée ' , et ce mal de Pott chez une hystérique, avec ho
ofondi pour dissocier ce complexus morbide et donner à chacun des ' Hystérie en Vendée, p. 469, Archives de Neurologi
u champ visuel surtout qui a une signification carac- téristique. ' Hystérie en Vendée, p. 471, ibid. , 384 - CLINI
mme d'un élément de diagnostic. Je viens de dire le résultat. 388 ' CLINIQUE NERVEUSE. Donc de la prudence dans l'e
ands, mous, non TROUBLES TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 393 ' adhérents. Les dents sont mal implantées, barré
Les dents sont mal implantées, barrée^, les inférieures sont usées. ' Le malade est de taille moyenne. Le système oss
fibril- laires aux lèvres et à la langue. Aux membres supérieurs et ' même aux membres inférieurs on observe un peu d
s de la couche moléculaire, cellules d'association', entourent le ' C'est à propos de ces cellules étoilées, dont Gol
ce des variations individuelles utiles, résultat de toute adapta- ' F. Schnopfhaen. Die Fallung der Grosshirnrinde. T
Naturf. u. Aerzt. zu Kôln, 1888; Die EntstelwlIfj der Windungen des ' ;l'osshil'l1s..Jahl'b. f.Psvelh., IY,'1890. Flysch
it pas une des moindres causes des ditficultés auxquelles se sont ' La création d'écoles semblables en France a été à
u Congrès. A. Marie. SECTION DES maladies NERVEUSES ET mentales ' Séméiologie des obsessions et idées fixes. MM.
u monophobique ; 3° L'état obsédant à idée anxieuse ou monoïdéique. ' C'est là, sur une base autre et dans un ordre p
ÉTÉS SAVANTES. * 421 .ou de peurs anxieuses originelles, chroniques, ' portant spécia- lement sur un objet déterminé'
tous les soirs, à la tombée de la nuit, de paroxysmes angoissants. ' Le sommeil est plus ou moins bon.Tantôtl'obsess
ontraint par une force à laquelle il n'a pu résister ». (Code pénal, ' art. 64.) Oboessions hallucinatoires. Un des ca
é sur ce point dans son rapport au Con- grès inteanational de 1889. ' Divers cas d'obsessions aux hallucinations ont
n du trouble, une très légère émotivité. 428 SOCIETES SAVANTES. ' Obsessions. - in. L'obsession est persistante
tives. - VII. L'idée fixe n'a pas d'ac- tion sur la personnalité. ' VIII. L'idée fixe est, un trou- ble fonctionn
s cellules nerveuses ait absorbé toute l'attention des observateurs ' qui ont.pris part à cette discussion. Cela tient
e à l'état pathologique, est généralement laissée au second plan. " ' .. Nous avons, dans un travail publié avec M. C
icrobe m'a montré des lésions nerveuses centrales caractéristiques. ' / Gangrène des extrémités par atrésie et par
0 grammes thyroïdini siccati Merck, 100 grammes d'eau distillée). ' Nous avons jeté par ces faits une nouvelle lumièr
pris du muscle gastro-cnémien, des muscles quadrijumeaux et du 446 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. muscle deltoïde présentent l
s postérieurs secondaire ci une lésion cérébrale en foyer; par le D' ' G. DURANTE (Paris). Nouvelle observation d'alté
nsable. , Moyens thérapeutiques qui s'adressent aux causes du tabès ' (syphilis, arthritisme, surmenage, etc.) ; par M
e la révulsion locale dispa- raissent dans les rémissions du tabes. ' Dès 1887, Brown-Sequard avait montré les bons e
fs, chloroforme, eau chaude, électricité, eaux minérales sédatives ; ' 2° A l'amyosthénie et à l'asthénie on a opposé
nce rétrograde, qui s'étend aux faisceaux des racines postérieures. ' Dans la moelle, ces modifications se localisent
isoire. Voici le discours prononcé au cimetière par M. le Dr Vallon, ' son chef de service : , - < Mesdames, Messie
e, en remplacement de M. Cavalié, non-acceptant (23 août) ; M. le D' ' 13ALLETARD, directeur-médecin de l'asile de Pie
eur-médecin de l'asile de Quatre- Mares, en remplacement de M. le D' ' DEL,\.poRTE, admis sur sa demande à faire valoi
ecteur-médecin de l'asile de Dijon (1er septembre); M..le Dr ROUSSE] ' , médecin-adjoint à l'asile de Bron, est nommé m
eval, en remplacement de M. CAMusET, décédé (20 septembre); M. le D' ' GILBERT-PETIT, médecin-adjoint à l'asile Sainte
est nommé médecin-adjoint à l'asile de Quimper (2 octobre); M. le D' ' DELAPORTE, directeur-médecin de l'asile de Quat
re par heure, dans le service des épileptiques de l'asile Bailleul. ' Feré, d'après des recherches analogues, avait d
as de troubles fonctionnels. Diminution de l'excitation habituelle. ' Le 4, injection de 40 cent. cubes. T. 37,8. Rie
urie. T. 38°. Au bout de quelques heures retour il l'état habituel. ' ' Le 11, injection de 30 cent. cubes. T. 38,4.
ie. T. 38°. Au bout de quelques heures retour il l'état habituel. ' ' Le 11, injection de 30 cent. cubes. T. 38,4. Ex
attaque vers l'âge de dix ans. Attaques d'abord très espacées. Aup- ' mentation progressive jusqu'à 5 il 10 par mois. t
escence DU sang CHEZ LES ÉPILEPTIQUES. 479 En résumé, 33 injections, ' 1.000 centimètres cubes de so- lution, 90 gramm
de* malade* dont les observa/tons précèdent o 1 n 5 1 1 ' " r > 1 > 1 1 Il Cl c C
rès : MANIE AIGUË CHEZ UNE ACRO¡ÉG'-\'I.lQI)R, 487 Fit. 26. 488 ' recueil DE FAITS. . Hypertrophie des mains. Leu
igestion pénible. On sait l'influence de l'estomac sur le caractère ' ; nous avons démontré que déjà la dilatation de
mac peut créer un délire à forme hypochondriaque par un mécanisme ' D'Devay. Contribution il l'étude de la dilatation
olique. Nous ne saisissons pas le lien qui unit au basedowisme la ' Dicl. ciieyclop. des se. méd., art. (loili-e exop
imitive du type Landouzy et Dejerine. Pas de névrite antécédente. , ' P. K lm ,1 VAL. XXXII. Nouvelles remarques SUR
s sur le sujet même de ceque l'indi- vidu a à rejeter. II. Keraval. ' XXXIII. Contribution A l'étude delà I'oItENCLPI
à première vue. P. l3GLt.11'. \\1VII. U,r cas d'amnésie; par le D'· ' Bisiiop. Il s'agit d'un homme qui marchant, sur
matologie de la paralysie faciale; par T. Cobn. (l'eu7·olo. CeK<) ' «<6 ? XV, 1890.) Fillette de dix-neuf ans pré
ropathies des tabétiques, des trois phalanges digitales. Diagnostic ' syringomyélie de la moelle cervicale et dor- sa
ruptions pig- mentaires et bulleuses réparties sur tout le corps. ' C'est par erreur que dans le dernier numéro on a
paraît pas absolument certaine. SOCIÉTÉS SAVANTES.. 511 M. le D' ' IJROWER (Daniel) (de Chicago). La première chose
pique dzccourant galvanique dans le goitre exophtalmique ; par le D' ' Ed. 13ERTllAN (Barcelone). 1 Conclusions : 1. L
été pratiquée et tout fait penser que la gué- rison se maintiendra. ' Résultats de l'intervention c ! zil'llI'(Jicale
de la clinique comme médecin en chef d'un service public d'aliénés. ' ART. 4. - En cas d'absence ou d'empêchement du
in, faite le 11 juin, nous avons fait les remarques sui- vantes : ' M. le Dr Bourneville. - Au procès-verbal de la de
ribution A la question DES gardiens; par H, HOUPPE. (Cel1tl'albl. 1 ' f. Ne1'venheik, XVIII, N. F., vi, 1895.) Longue
nairement trop court, des infirmiers et des infirmières. R. M. C. ' Calmeil fut nommé médecin en chef à cinquante ans
son tour contrôlé par le directeur et les médecins de la colonie. , ' Le médecin-directeur ou un adjoint visite, au m
un certain nombre se livrent à des travaux de couture, decordon- ' Et cela avec juste raison : les malades et tout c
tion, atténue et modère les manifestations hystériques. » DurAMP. ' X111. Contribution ci l'élude de la paralysie gén
lcoolique; par le De Iilnorr. (Thèse de \Iontpellier, 1896-1897, if" ' 40.) L'alcool peut produire à lui seul la ménin
e; 5° nous attribuons une importance considérable au facteur écono- ' mique, qui, agissant sur l'individu physique, c
fenêtre de son propre mouvement. Deux fois déjà, il a été interné ' Revue méd. de la Suisse romande, n° 9, p. 620.
res nécessaires ont été prises à l'égard de ce malheureux enfant. » ' Ce fait montre combien est difficile le rôle de
lequel s'éveilla à la venue du gentil- homme dont il lui fâcha fort, ' car il était las et n'y avait guère qu'il comme
retier, de l'avoir ainsi guéri d'un tel mal comme celui-là... » 542 ' varia. - Nous croyons pouvoir rapprocher de ce
du compte des travaux de l'année 1896. Le Comité a eu à s'occuper ' Noir (J.). - Elude sur les tics chez les dégénéré
. Joly prend alors la parole. Après avoir félicité le Comité de 544 ' varia. défense de Marseille de tous les progrès
im, 526. DYSPRAGIE cérébro-spinale et ich- tytose, par Lévi, 325. ' Dystrophie musculaire progressive, par Wiener
anie algue chez une acromégali- que, par S. damier et Sante- nous( ' , 486. Mélancolie a\cc lipome, par Ht'ar- der,
singer, 509. Mou- vements cloniques dans la , par Uarinesco, 526. ' Système nerveux. Cliniques des ma- ladies du
e, 165. Hodgdon, 326. Hotbelcis, 138. Hunt, 110. Inglis, 225. ' Joins, 165. .long (de), 428. Jonnesco, 522.
ofT. 73. Konstant 1110wskv, 428. Kornfeld, 134. Kornilolï, 348. ' liorsahoff, 347. Lafforgue, 342. Lamarq, 26
51 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ILLES DE LA TOUIITTf3, GOMBAlI1.T, GISASST, JOIeFI10Y (A.), KIÍIIA \ ' AL (l'.), LANUOUG1', hIAGNAN, DIAltll : , h113\UI
. 1888 Vol. XV. Janvier 1888. Nu 43 ARCHIVES DE NEUROLOGIE /. ' · te z PATHOLOGIE NERVEUSE SUR UNE DÉFORMAT
entait, au moment de l'ingestion des aliments, de vives dou- leurs. ' Un an environ après le début des douleurs du me
brusquement et rappelant les douleurs fulgurantes. Ces douleurs 4 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. se manifestent surtout qua
. Léger amaigrissement du membre inférieur gauche, Observation V. ' Malade âgé de quarante-sept ans et demi, examin
tion devien- drait évidemment, chez ces malades, indélébile, même ' si la sciatique venait à disparaître. Nous avon
- saires pour se tenir debout (astasie) et pour marcher (abasie). ' Aussi nous a-t-il semblé indispensable de stigm
cueilli, nous'avons adopté les expressions qui figurent plus haut ? ' . i - ' . i , I. HISTORIQUE. - La littérature
ous'avons adopté les expressions qui figurent plus haut ? ' . i - ' . i , I. HISTORIQUE. - La littérature médicale
complète que par' la con- - servatiôn de la coordination volontaire, ' c'est-à-dire du sens musculaire ; en clinique e
e chez les hystériques, et elle paraît tenir à l'exagération de - ' Voici un extrait, de la lettre que. nous a adress
ici un extrait, de la lettre que. nous a adressé a ce sujet I. Girard, ' C'est L bien astasie (às-zcniz) etabasie (29zst
ir debout entraînant, si je ne me trompe, celle de marcher. J 1 1 1 ' Le mot astasie a été déjà employé par Gubler. I
avoir défaut dans l'action antagoniste normale des muscles. Peut- ' Cliarcot. - Lezioni cliniche dell'anno scolastico
iquer ce mémoire, sur les conclusions duquel nous aurons à revenir. ' ' Weir Metchell. Lect. of diseuses of the ne¡'v
r ce mémoire, sur les conclusions duquel nous aurons à revenir. ' ' Weir Metchell. Lect. of diseuses of the ne¡'vous
bservations représentent en quelque sorte les divers degrés d'al- ' Dr Serafino Roméi. - Paraplegia infantile ne/solo
ns les mouvements. Leréllcxerotulicn n'était ni exagéré ni diminué. ' DE L'ASTASIE ET DE L'ABASIE. 39 De toutes ces
re rigides comme des barres, en flexion à angle droit sur le tronc. ' . En somme, il semble que, à part l'acte du sau
est étendu. Jamais on ne le voit comme symptôme primitif convulsif, ' , toujours il est précédé par une flexion du uen
Intelligence normale. Viscères thoraciques et abdominaux nor- maux. ' Séance tenante je cherche à l'hypnotiser et j'a
février 1886 à l'Hôtel-Dieu, dans le service de M. MOUTARD-MARTIN. ' Jusqu'à présent, cet homme n'a jamais été malad
fluence. Quand il a la tête couverte, le DES ÉPHIDROSES DE LA FACE. ' -1< cuir chevelu est en moiteur dans sa moit
cepti- bles d'être ramenées à l'un des quatre groupes que voici : ' A. Dans une première classe, il y a une altérat
sont plus volumineux qu'à l'état normal. En certains points de la ' Cette planche paraitra avec le prochain numéro.
élimitées. N'observe-t-on pas, du reste, fort souvent une gradua- ' Voy. Archives de Neurologie, vol. XIII, nez 39, m
de Neurologie, vol. XIII, nez 39, mai 1887, p. 321, et vol. XIV, Il" ' 10 et il, p 55 et 23à, juillet et septembre 1887.
rrait se de- mander si ces actes procursifs ne sont pas liés à la ' Déjérine. - De l'hérédité dans les maladies du sy
TÉ A M. LE MINISTRE IDE L'INTÉRIEUR AU SUJET DE L'ALIÉNÉ MISTRAL; ' Par -'DI. CHARCOT et P1ERRET. Jean Mistral étai
fous et les raisonnables. Archives, l. XV. G 82 MÉDECINE LÉGALE. ' Nous aurions hésité à raviver le souvenir de l'
ntérêt bien entendu de l'aliéné Mistral d'être rendu à son tuteur ? ' ? Notre enquête a porté successivement sur l'ét
'il convient d'attribuer la marche extrêmement lente de la démence. ' § II. Conditions matérielles dans lesquelles se
Saint-Rémy ? R. C'est une ville mo- dique. 1). SWPZ-VOU5 écrire : ' - R. Ce n'est pas nécessaire d'écrire; il faut
dernier n'est véritablement appréciable que pour les spécialistes. ' En dépit de l'évidence de son délire, le malheu
4 : « On lit dans le Marteau des Sorciers qu'une femme s'alla dé- ' Etudes cliniques sur les maladies des femmes, 181
nfin, nous trouvons dans l'autobiographie de soeur Jeanne des Anges ' , cette hystérique dont les accusations contribuèr
douzy auxquels nous adjoindrons Pl'endler (de Vienne) dont la thèse ' , soutenue devant la Faculté de Paris, est rem-
taques hystériques avec sommeil sont peu communes et ont très peu ' Quelques observations pour servir H l'histoire de
e- vanciers, progrès qui s'accentue encore avec la thèse de Boutges ' 1 (1875), inspirée par Lasègue. Il était rése
ce qui regarde les symptômes devint dès lors relativement facile. ' De l'hystérie comateuse. Paris, 1875. * Etude d
t qu'une seule question de degré pourrait en apparence les séparer. ' Avant d'aller plus loin, il nous sera permis de
arer. ' Avant d'aller plus loin, il nous sera permis de rapporter ' l'observation de la dormeuse de Thenelles (près O
mme on le sait, appar- tient à la grande famille neuro-pathologique ' et, en ce qui regarde spécialement les attaques
exemplefera mieux comprendre notre pensée. Un médecin est t 11 p- ' Voy. Déjerine. L'hérédité dans les maladies du sy
attaques de convulsions. » « Le sommeil hystérique, dit M. Charcot ' , est une attaque hystéro-épileptique modifiée.
60) : «En résumé, les attaques de sommeil hystérique sont souvent ' Lezioni cliniche; loc. cit., p. 38. 106 REVUE C
négative, à part une légère dégénérescence des nerfs périphériques. ' Après avoir étudié, analysé le diagnostic diffé
propres à l'instruction des enfants atteints de débi- lité mentale ' 1 à Brunswick, Géra, Cologne, Hamhurg, Vienne.
soigneusement surveillé par des personnes sûres et intelligentes. ' Voyez plus loin. 1120 SOCIÉTÉS SAVANTES. Disc
en ont réduit le nombre là même où ils étaient jadis si abondants. ' M. le pasteur PALMER. De l'entretien dans les é
du nombre. D'ailleurs, le sens de la forme se compose de i'intel-' ' Nous ne pouvons nous empêcher de faire remarquer
u cerveau que 1 Voy. Archives de Neurologie, t. VI, Vil, VIII, X. ' Voy. pour tous les faits cités Revues analytiques
la dégénérescence de ce noyau (llunalcow, Vejas) 1, puisque la sec- ' Voy. Revues analytiques. '128 SOCIÉTÉS SAVANTES
dure-mère, de la pie-mère. Pas d'encéphalite apparente, mais le mi- ' Voy. « Revues Analytiques antérieures et Sociétés
intermédiaire à l'alexie et à la paialexie. L'auteur a fait, il y a ' Voy. Analyses des Archives de Neurologie. Volumes
ait son autonomie 1 Voy. Archives de Neurologie, t. VIII, p. 375. ' Voy. Archives de Neurologie, t. IX, p. 92. SOCI
dignes de sa confiance. Laissons, par conséquent, au tribunal le ' Voy. Arc/¡. de Neurologie. XIII, p. 135, 258, 139
archives. » Quelqu'un de- nlaude-t-il la parole sur l'article 14 ? ' ! M. DE Gavardie. Je désirerais savoir si M. le
u'il serait ainsi meilleur que celui qui résulterait d'un concours. ' 1 ' AI. I)PLSOL,7nembi-e de la commission. Le c
serait ainsi meilleur que celui qui résulterait d'un concours. ' 1 ' AI. I)PLSOL,7nembi-e de la commission. Le con c
année courante (i 6o), il retomba dans une mélancolie héroïque ( ? ) ' plus grave. Il songeait déjà à réformer tous le
la fin de 1886 : 49 épilep- leptirlues et 21 paralytiques généraux. ' Les malades jouissant d'une certaine liberté da
8. N" 44 ARCHIVES DE NEUROLOGIE , PATHOLOGIE NERVEUSE s ! 1 u ` ' V CONTRIBUTION A L'ÉTUDE SY11P'fOlI1T00GLQÛE
de restait à la campagne, se portant bien et étant aussi fort que ' Voy. Archives de Neurologie, t. XIV, p. 368. - ER
l'épaule gauche ; la motilité passive y est un peu limitée par les ' muscles qui se contractent; point d'altérations a
orce et préci- sion, tous les mouvements qu'on lui ordonne. Ainsi ' Tome XV, n° 13, p. 2 1. 188 pathologie NERVEUSE
qui a A. Mosso. - La Peur. Tracl. française. Paris, 188G, p. 42. ' J. Mill. Anal. IIt41n, rni1HI., p. 271. DE l'as
tions appropriées. CLINIQUE NERVEUSE DES ÉPHIDROS1 : S DE LA FACE ' ; Par M. Paul RAYMOND, interne des hôpitaux.
tions de la circulation capillaire, à des troubles vaso- moteurs. , ' Il en est d'autres absolument indépendants de t
35. a Gowers. - De l'épilepsie, trad. Carrier. Paris, 1883, p. 485. ' DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 229 9 que la malad
Pas de cauchemars ; pas de secousses, pas de fièvre, pas de peurs. ' Il a eu beaucoup de vers étant jeune. Pas d'ona
i-heure après : 4'1° ; une heure après : 39°, ? . ! % ig. 22) 238 ' CLINIQUE NERVEUSE Poids. - 1886. Janvier. 57 ki
nalée souvent par l'un de nous (lïq. 2 1 et 22). Le premier tracé ' « One or iiiv patients alwaw hopped round the roo
ive, l'autre correspondant à la période mél71ll- gilique terminale. ' Observation XXXVII. Mère, nerveuse. - Grand'mèr
con (P.). Du traitement de l'épilepsie; Paris, 1882, obs. X, p. 97. ' 248 CLINIQUE NERVEUSE. Nous avons ici affaire
Tels sont, par exemple, les cas suivants publiés par Herpin '. ' Herpin. Loc. cil., p. 122. DE L'ÉPILEPSIE PROCU
des adultes; nous consacrerons prochainement à ce sujet une note. ' DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 251 Les divers auteu
rincipal travail sur la Catatonie date de 1874 et est dû à Kahlbaum ' , qui tente, dans une importante monographie, de
inex- plicable. Tandis que la loquacité déclamatoire (Redesucht) ' La confabulation se distingue de la verbigération
du mutisme / et de la verbigération. Cependant il faut ajouter que ' 1 l'arachnoïde n'était pas toujours altérée en
qui, dans ce cas, auraient au contraire le caractère de paralysies. ' Près de ces deux formes de maladies si distinct
ais elle r s'étend plus ou moins sur la totalité des manifestations ' psychiques. Elle ne se développe pas à la suite
lvius et au quatrième ventricule. A propos de cette méningite, il ' Hecker. - illl.7. Zei(sclt. f. Psclt., 1877. Bd.
qui est le point de départ de toute l'évolution morbide. Hammond ' décrit la Catatonie comme une vésanie spéciale
Katatonia. (Amer. Journ. orne¡¡- 'olog. and psch., 1883, p. 302.) ' Spitzka. - Am. Journ. of. neur. and pych., 1883,
. La i raideur motrice peut revêtir un caractère physiognomonique ; ' , et comme telle exprimer plastiquement une idée
keiten. - (Leipsick, 1886.) * Voir à ce propos, J. Srg-Jas. - La Pa¡ ' (/T1oia. (Arch. de .'l'e1l1 ? 1887.) 3 Clemens N
sychiques étant secondaires et subordonnées, comme l'indique Roller ' , et d'ailleurs peu im- portantes. Il admet auss
que de sommeil hystérique, et nous englobons sous cette dénomina- ' Holler. - Ue{¡el' Uislorisehe Slol'Üngen beill ei
Ihel'/llOmell'iqltes sur les maladies du système nerveux, p. 117. ' Leçons sur les maladies du système nerveux, t. I,
t été faites par M. Woodland, fellow de la Société des chimistes. ' Voy. pour l'observation de ce malade, le nommé Ch
ée de contractures généralisées. Le cathétérisme évacua 200 gram- ' Depuis l'époque où il nous écrivait, M. Keser a p
es 1 Lezioni clilliche dell anno scolastico 1883-84, etc., p. 27. ' Voy. ]'ob. d'Albertine dans Pitres, Des zones hys
té M. Keser (Sein, méd.) dans l'observation deCh... « A la jambe, ' L'hypnotisme et les étals analogues au point de v
s. Au bout de trois ans et demi cette zone disparût un beau jour, ' Des zones /t ! /s<<;')'oyene6', etc. 978
demi cette zone disparût un beau jour, ' Des zones /t ! /s<<; ' )'oyene6', etc. 978 ô REVUE CRITIQUE. sans rai
ses notes : « L'anesthésie de la surface cutanée et des muqueuses ' Voy. à ce sujet : Soew' Jeanne des Anges; loc. ci
stérique et celles de léthargie hypnotique spontanées ou provoquées ' . Briquet avait déjà noté la conservation de l'
aucunsouftle d'exis- tence et je fis avec 11\I. rrazl : et Seize ! ' tous les essais pos- sibles pour exciter en ell
taques de 2, 3, i, 5, 6, 8 jours (Briquet); cent heures (Laufenauer) ' ; plusieurs jours, cinq à six semaines (Charcot
vingt ans d'une hémianesthésie observée par M. Charcot. Cette ma- ' Cas d'apoplexie hystérique avec autopsie : Annale
- rielle ; nous savons aussi (Keser) que l'anesthésie sensorielle ' Etude anatomique , physiologique et clinique sur
o ipnotzco, ipnotismo sponlaneo, aufonomo. - Naples, 1886, p. 2 Î.- ' - DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 295 Ea
e leur stupeur qui n'est pas un véritable sommeil, ce qui suffit, ' Sthpeur mélancolique à forme léthargique. Sommeil
les aliénés. (Annales médico-psychologiques, 1885, t. I, p. 20.) ' Note sur la paralysie générale chez la femme; de
o-légal et dans une com- munication à la Société de médecine légale ' ; nous y renvoyons donc le lecteur. Toutefois
de la dysenterie. Au microscope, on trouve dans le tissu ramolli ' Voy. Archives de Neurol., séance du 25 janvier 18
rdi- naire de grandes oscillations dans les symptômes psychiques. ' Aujourd'hui le malade paraîtra d'une lucidité éto
rtier d'hospice. » Je le mets aux voix. (Le paragraphe est adopté.) ' 111. le Président. Je mets aux voix l'ensemble
a parole sur l'ensemble. M. de Gavardie. J'avais réservé mon droit. ' M. le Président. Soyez tranquille, vous n'avez
des raisons différentes, ne peuvent aller dans les réfectoires, et ' C'est la une distinction sur laquelle nous appelo
promus à la classe exceptionnelle à partir du fer février, MM. le D' ' GUILLEMIN, méde- cin-adjoint à l'asile de Dôle
(Archives de Physiologie, 1881.) . 2 Krùcke. Die Pseudo-Tabes de; ' Alcoholiker. (Dezttsche ièe(l. Zeili41lg, 18Si.
t voit netclliplctt Neuritis. jNetcrol. Cenfralb., 1886, p. 212.) ' " Rockwill. ilezv-1-o ? ,k médical Journal, 1881.
lle donner à ce fait, il me paraît assez curieux et assez imprévu ' Lcvat-Piqueehef. Des Pseudo-Tabes. Th. doct. Pari
que l'état malades atteints de paralysie générale, de sclérose en ' Voir à ce sujet : Westphal, Ueber eiize ? 7z dent
; il est atteint d'une paralysie faciale siégeant du côté droit. ' Antécédents héréditaires : Son père, très nerveux
dans la figure; une sevur du malade est hystérique, une autre soeu) ' est rhumatisante. Antécédents personnels : Roug
atteints de paralysie de la septième paire, on retrouve toujours, ' 374 CLINIQUE NERVEUSE. soit les grandes névrose
enfants très bien portants. D'autres soeurs sont mortes l'une de ' Début par un tremblement, pas de délire. DE L'É
en conservée, quoique perçue avec assez de lenteur. Parole nulle. ' 1881. Organes génitaux. Poils rouges au pénil; ve
z ci M' z 1 m M a 5 DE l'épilepsie PROCURSIVE. 383 ' * 386 CLINIQUE NERVEUSE. - On ne peut le fair
eu écartés du tronc, les avant-bras à angle droit transversalement. ' 5 septembre. Soir : T. R. 37°,8. 6. Dans la j
g. - - - z 8.. Pas d'accès nouveaux, pouls fort, plein, 120. Sueurs ' abondantes, évacuation involontaire d'urine; il
sage à niveau. Lobe pariétal. Les <o6u'sp(H't(( ! <a;SMp ? eu) ' et inférieur, le pli courbe sont volumineux, ma
.) PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE ÉTUDE PATHOGÉNIQUE ET EXPÉRIMENTALE ' SUR LE VERTIGE MARIN Par le Dr P.-S. PA11POUKIS
erficielles. Mais cette fréquence de respiration se trouve bientôt * ' interrompue. Plus le balancement continue, plus
n avec tes" 2 et en même temps nous balançons pendant cinq secondes; ' nous avons observé alors que la respiration dia
ment quoique la faradisation continue. (A suivre.) REVUE CRITIQUE ' LA GAT ATOME ; Par J. SÉGLAS, médecin-suppléa
la catatonie', il en est d'autres qui sont d'un avis tout opposé. ' Voy. Archives de Neurologie, n° H, p. 2H. * Nou
atonie. Krafft Ebing fait de la catatonie de Kalhbaum une variété ' Arndt. - Ueber Tétanie und Psychose (Allg. Z. f.
Bd. XXX, S. 28) et Ueber Katalepsie und Psychose. (Ibid. S. 53.) ' Westphal. - Ueber die Veii,iic4-theit. (Allg. Z.
hlbaum's Katatonie. (Allg. Z. f. Psych. Bd. XXXIV, 1878. S. 731.) ' v. Rinecker. - Ueber die Bedezitu71g der Hebephre
éd. t. II. 422 REVUE CRITIQUE. de la folie circulaire. Tamburini ' au cinquième congrès de la Société phréniatriqu
6 Kel(1, Co,2,esp. blatt. f. Psych., 1863, p. 3j7 et 1861, p. 322. ' Guislain. -- Leçons orales sur les P/t)'e' ! Mpa&
Guislain. -- Leçons orales sur les P/t)'e' ! Mpa</t : 'M, 1852. ' 8 Griesinger, - Traité des malade. ment. (trad. f
l'hystérie. L'influence de la dégénérescence est aussi admise par ' Baillarger. Ann. nzed. psych. 1813 et 1853. , 2
le-ci. Enfin dans son livre sur la folie à double forme, M. Ritti 2/ ' signale la présence des états cataleptiques dan
xemples de ces faits de plasticité musculaire à l'état de veille. ' Krafft-Ebing. Lelarbuch. B. I. ! Freusberg. Ueber
i présenter les phénomènes que nous étudions (Morel3, Micl1éa 1). ' Morel. Traité des mal, ment., 1860. Note de la pa
n'avons d'ailleurs constaté chez elle aucun stigmate hystérique. ' B. Battaglia. - Sul hascich e sua azione. (La Psy
ce qu'ils puissent d'autres fois en changer la direction, en sug- ' Knecht. - Ueber die katatonische Erscheinungen in
ion, en sug- ' Knecht. - Ueber die katatonische Erscheinungen in de, ' Paralyse, (Allg.Zeitsch, f. Psych., Bd. XLII, 1
tsch, f. Psych., Bd. XLII, 1886.) . Sage, - Thèse de Lyon, 188 i. ' lllorselli.- Manuale di senzejotica délie maze me
ment régulier. On remarque plutôt simplement, comme le dit Hammond ' , des alternatives plus ou moins régulières d'ex
de voir plus haut qu'il assimile aussi la marche de la catatonie ' Hammond. Loc. cit. ' More). - Traité des mat. m
'il assimile aussi la marche de la catatonie ' Hammond. Loc. cit. ' More). - Traité des mat. ment., p. 489, et Études
taire, si elle est lente, n'en est pas moins fatalement progressive ' . ' Consulter sur ce sujet, Brousse : De l'atax
si elle est lente, n'en est pas moins fatalement progressive ' . ' Consulter sur ce sujet, Brousse : De l'ataxie hér
profession- nels, comme les mouvements des rameurs ou des forgerons ' , et liée d'ordinaire à l'hystérie, diffère trop
z LES aliénés ; par R. Thomsen. (Archiv, f. Psych., XVII, 2.) , . ' L'expression d'anesthésie mixte (sensitivo-sensor
r, le bon mot et l'humour. Dans tous ces cas, il y a une diplopie ' Gancet, mai 1886. 448 sociétés savantes. ment
épisodique, le délire du toucher. « Elle a toujours eu, dit M. Sé- ' glas, la manie de la propreté, un peu comme son p
e développer cinq ans et non deux ans après le début de la maladie. ' Plus loin, M. Séglas, fouillant dans l'excellen
te idée émise par M. Legrain que le délire chronique peut se mon- ' Magnan. Leçons cliniques sur l'épilepsie recueill
s avons un groupe clinique, la mégalomanie, qui réunit des sujets ' A Foville. - Etude clinique de la folie avec préd
plusieurs de ces observations, dans le service même de M. Falret. ' Magnan, Du délire des persécutions. Leçons faites
- tains gestes toujours les mêmes en rapport avec des conceptions ' Magnan. - Des hallucinations bilatérales à caract
é fait remarquer qu'on ne fait alors qu'un diagnostic rétrospectif. ' M. Briand. Rétrospectif dans une certaine mesur
'aliénés franques et écossais : rapport de voyage, a été publié3. ' Voy. Archives de Neurol., tome XII, p. 110. q /
. il. Thomsen. Un cas de paralysie isolée du regard en haut, avec ' goy. Archives de Neurologie. Revues analytiques.
gressive sans lésion anatomique. - Jeune fille de vingt-neuf ans. ' Voy. Archives de Neurologie. Revues analytiques.
croscopiques correspondantes. Ce mémoire sera publié ailleurs '. ' llevues analytiques. SOCIÉTÉS savantes. 479 S
e ciliospinal), de l'anhidrose du côtédroit de la face. Diagnostics ' Voy. Revues analytiques. 1 in. 480 SOCIÉTÉS s
mité supérieure d'une jambe. Sera publié en détail '. P. Keraval. ' V. Revues allalli4ues. BIBLIOGRAPHIE V. Leçon
une fois à la discus- sion de l'article 19, monsieur de Gavardie. ' SÉNAT. 493 DE Gavardie. J'y arrive ! Messieurs,
ncours), 331. Astasie et abasie (affection caracté- risée par de ) ' - et de l' -), par Blocs,2\,187. Athétose dou
fants fai- bles d'), 155. Gliomalose médullaire, par Roth. 161. ' Idiots (assistance des), 118. Ironie (psychol
52 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
i, HOTH (\V.), SÉGLAS, SCGUIN SCIIIEUX, SCLUEK. SOUQUES, SOUI1Y (J.) ' TEINTURIER (E.), TIIULIE (II.), TlIE11CL, Y1LLA
corps, mais trop peu prononcé pour rendre la marche impos- sible. ' La marche était assez facile, en effet, mais elle
ur. Lors de son entrée, le 4 février, nous notâmes l'état suivant : ' Etat actuel. C'est un homme dans la force de l'
affaire à un sarcome pur, sans aucun mélange de tissu ner- veux. ' Or, les sarcomes du cerveau sont relativement r
ramollissement ischémique produit par une artérite oblité- rante. ' Traité pratique des maladies du système nerveux,
ue des maladies du système nerveux, t. I, p. 424, il édition, 1891. ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. DE L'INTOXICATION D
1. ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE ' ; Par le D' J. VOISIN, médecin de la Salpètrièr
'on ne retrouveras le microbe dans le sang d'une façon constante. ' Delore. Congrès de Blois, sept. 1884. * Neumann
QUE. On nous pardonnera cette digression un peu longue peut-être, ' mais elle a son intérêt. En effet dans nos expéri
avons -retrouvé deux fois un petit bacille court à bouts arrondis ' analogue à celui que décrit M. Emile Blanc et pre
OGIQUE. de l'épilepsie, mais il fait bien ressortir comme A. Voisin ' que le médicament une fois adopté doit être con
tions. Nous savons que l'accès paroxystique est généralement pré- ' A. Voisin. Recherche clinique sur le bromure de p
é une attaque en ingurgitant du sel marin dans la bouche d'un ma- ' lade. Nous-mêmes nous avons obtenu ce même résult
ant soixante-douze jours. Trois accès. 34 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 35 36 REVUE DE P
as fréquents (1,3 p. 100). La voracité a été notée dans 2,1 p. 100. ' Le- troubles de la sensibilité générale se renc
e la motilité ont été observés dans la pro- portion suivante : 38 ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. un phénomène habit
ne sont pas soumis ou qui ne sont soumis que depuis peu au bromure. ' Voilà un premier élément de recherches qu'il se
parasyphi- litique (Fournier), etc. L'auteur modifie aujourd'hui, ' ou plutôt étend davantage ses conclusions d'aut
ux doit être construit comme la machine élec- trique par influence. ' Il faut que de deux côtés opposés du champ de l
ns est un malheu- reux journalier marié et père d'une petite fille. ' Aucune tare névropathique, ni chez ses ascendan
mes prohibées, l'autre à quatre mois en 1880 pour menaces et coups. ' Les certificats d'admission au manicome portent
i- gine traumatique, lorsqu'il siège dans l'écorce et lorsqu'il est ' accompagné d'une hémorragie méningée. C'est dan
E NERVEUSE. - membre pelvien gauche qui s'affaiblit progressivement; ' au point de devenir complètement impotent. A
eschare au sacrum. La malade exige sa sortie et est perdue de vue. ' C. X. UN cas DE myopathie primitive PROGRESSIVE
TÉ; par - M. Thomas-D. SA VILLE (de Londres). Traduction de M. le ' Dr Henry Meige. (Nouvelle Iconographie de la Salp
en que les muscles réagissent à l'électricité d'une façon anormale. ' 68 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Observation.
sensitif. Elles accusent une réaction spéciale des éléments anato- ' miques, en présence de certaines excitations des
ngitu- dinal. Pas de douleurs en dehors des douleurs fulgurantes. ' Deuxième observation. Femme, quarante-cinq ans, t
d'iodure de potassium 30 à 50 centigrammes par jour. Amélioration. ' -Deuxième observation. Le père syphilitique est
IÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS ANNUEL DES MÉDECINS ALIÉNISTES ALLEMANDS. ' SESSION DE DRESDE. Séance du 21 septembre 1894.
NHOP; par le Dr PIfiRSON. (Bericht uber die P1'ivat-Heilanstalt fil/ ' Gemüths und Nervenkranke, Lin- denhof beï Coszv
quant à la manie, M. Pierson la considère comme une forme excep- ' tionnelle. Chez la femme, c'est la mélancolie qui
ysiologique avec les études de chimie et d'ana- tomie pathologique. ' A ce laboratoire est attaché le personnel médic
itère la sensibilité morale. Nous avons été chargés récemment, le D' ' Blé, de la Roche- sur-Yon, et moi, d'examiner u
ndes- tinement, avait fait disparaître son enfant. Elle avait été ' Legrand du Saulle. Traité de médecine légale. Par
elle est hystérique avec hémianesthésie accentuée surtout à gauche. ' Le pharynx et l'arrière-gorge sont absolument i
t être tenu compte dans l'appréciation de sa responsabilité morale. ' ' z Après avoir pris connaissance de ce rapport
être tenu compte dans l'appréciation de sa responsabilité morale. ' ' z Après avoir pris connaissance de ce rapport,
moment où le silence ménagé' dans la classe sera le plus complet. ' Les cas de ce genre sont relativement rares, souv
; puis la langue se détache vivement et une explo- sion se produit ' ». La plupart du temps l'enfant ne sait pas rel
resser l'enfant, on suspendra au-dessus de la rainure un grelot 120 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ou un timbre quelconq
ile. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE ' ; Par le D' J. VOISIN, médecin de la Salpètrièr
sie. Grâce à lui les accès sont reculés et quelquefois supprimés, ' Voir Archives de Neurologie, 11" 98, 99, 100, 101
es et les lotions alcoolisées. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE ' PATHOLOGIQUES. I. Les conditions DE l'excitabil
des cerveaux de criminels et d'aliénés héréditairement prédisposés ' , mais « il n'existe pas encore assez de matéria
émie explique l'affaiblissement des fonctions de la vue, etc. P. K. ' 144 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
n ou l'autre ou l'un et l'autre de ces appareils est lésé, le signe ' de Romberg prend des caractères différents. Dans
et avortement : .' 1 fois. 15° Ménopause : 3 fois. 16° Rachitisme : ' 2 fois. 17° Vaccination toxique ; 1 fois. 18° M
AY. XXIV. Un cas d'agoraphobie; par NEVILLE TAYLOR. (The New-York ' Médical Journal, 30 mars 1895.) Il s'agit d'un
rtout fréquente chez la femme à l'époque de la vie qui nous occupe. ' Le pronostic est immédiat ou définitif, et il e
is à une sorte de surveillance; la responsabilité de la per- VARIA. ' 171 L sonne qui réclame la sortie serait engagé
un vif intérêt pour leur « soin ultérieur ». Dans une lettre du D' ' Hack Tuke, écrite en mai 1879, se trouvent ces
seur des membranes rachidiennes, lorsqu'il existe une carie scro- ' G.-L. Bayle. Recherches sur la phtisie pulmonaire
scro- ' G.-L. Bayle. Recherches sur la phtisie pulmonaire, 1810. ' P. Olivier d'Angers. Traité de la moelle épinière
ie pathologique du corps humain, etc., t. I, 1. \Vlll, 1829-1835. ' Carl Bulcitausky. lIandbuch der spec. path. Anato
la partie inférieure de la moelle lombaire. Au point de vue cli- ' G. Hayem. 0&set'us< ! OK pour servir à l'h
? HaKd&uc/t der Krankheitendes Nel'vensystems, II,1876, p. 229. ' Fr. Schultze. Leplomeningitis acuta luberculosa c
leuse, 1878. * A.-C. WIlliams. - Das Vedtallen des 7 ! MC/M)M ! a ? ' /{s u. seiner Haute bei luberkuloser und eitrige
e la moelle dorsale, mais aussi dans ceux de la partie cer- vicale. ' Le processus morbide a atteint son maximum d'ét
marquer au cours d'une myélite consécutive à une carie des os. Voir ' Handbuch der Diagnostik und Thérapie der Nervenkm
ges du cervelet; y). 2 cas de méningite de la convexité du cerveau. ' On a donc trouvé dans quelques cas la tuberculo
a bien voulu mettre à ma disposition ces travaux de statistique. ' Mais il faut tenir compte de ce fait que l'on n'a
ennent à la forme nodulaire. Nous ajoutons encore le cas de Hutinel ' (1874) et celui de Froisier 2. Dans ces deux de
1 Société anatomique, 1874. Thèse de Châtaufort, p. 72, loc. cil. ' Thèse de Chàtaufort, loc. cit. LA TUBERCULOSE D
ement reconnaissables cliniquement quand l'état intellectuel leur ' Magnan. -- Leçons cliniques et recherches sur les
DES NEUROLOGISTES. SIXIÈME SESSION : BORDEAUX. La sixième session ' de ce Congrès a eu lieu le 1e'' août au Dôme ce
culté de médecine de Bordeaux et de son éminent doyen, M. Pitres. ' Première session,' Rouen, 1890; puis, Lyon, 1891;
e Bordeaux et de son éminent doyen, M. Pitres. ' Première session, ' Rouen, 1890; puis, Lyon, 1891; Blois, 1892; La
ionale. Ce discours a été souvent et vivement applaudi. - M. le D' ' DROUINEAU, délégué de M. le ministre de l'intérie
tait en faveur d'une modifi- cation secondaire d'ordre vaso-moteur. ' Plus tard MM. Joffroy et Achard insistent sur l
hoses ambiantes, tremblements légers, éclat du regard, relevés dans ' l'hyperthyroïdisation expérimentale et qu'on ne
origine spécifique. . Archives, t. XXX. 16 242 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' M. MADiLLE(de la Rochelle) apporte une observat
les neurones. Séances du 3 août 1895. - PRÉSIDENCE DE M. Joffroy ' ET DE M. G. Ballet. Le succès du Congrès est dé
'appréciation de l'épilepsie larvée. Il accepte avec tous les alié- ' L'un des meilleurs moyens de découvrir la simulat
évouement à la République et le médecin eu chef de l'asile, M. le D' ' Pons. M. Campana, secrétaire .général, avait bi
emplis de fleurs, on eût dit d'un mariage'. Les congressistes visi- ' Cette rédaction est faite en partie avec le compt
milieu social afin de sauvegarder la sécurité de ses semblables; si, ' parfois, il doit être étroitement surveillé pou
le plus toxique; 24 centigrammes pour 1 kilogramme d'animal tuent. ' M. Jolfroy décrit ensuite la physionomie cliniq
illes, sans qu'il soit atteint de tabès ou de paralysie générale. ' M. Alzheimer. L'atrophie nrtério-scléreuse du cer
e des paralytiques. On observe chez eux des altérations médullaires ' qui expliquent la parésie des membres inférieur
erbale ; aujourd'hui il lit varia. 267 Î mentalement les syllabes ' qui lui sont présentées, car, dans une collecti
ces d'incurables de la rue de Sèvres ou du faubourg Saint-Martin. ' Daignez agréer, je vous prie, monsieur le ministr
mère. Les artères qui entourent la moelle sont absolument saines. ' Les veines, au contraire, sont toutes plus ou moi
elles répondent aux points les plus malades de la tunique externe. ' Les artères de l'espace perforé postérieur ont
ble à la convexité, et surtout sur les ciiconvolulions fron- tales. ' . Les capillaires de l'écorce présentent des tr
même ne participent que relativement peu à la lésion inflammatoire. ' Nous ferons remarquer, sans vouloir en tirer de
cile; troubles urinaires. , En janvier 1891, dérobement des jambes. ' A son entrée dans le service, les douleurs fulg
t en voie d'épaississement; il existe déjà des cellules-araignées. " ' Pirl. 13. Observation 1V. - COUI>E au ni
ent. Méningite; lésions des capillaires. - J/émaloxyline et éosine. ' 298 CLINIQUE NERVEUSE. intégrante du processu
te portée sur les racines en un point où elles sont encore isolées ; ' cette atteinte 'relève bien aussi du processus
ien aussi du processus diffus que nous avons cherché à caractériser, ' mais elle en représente une localisation partic
vulgaire, coexistant avec la paralysie de l'abducens du côté opposé, ' elle doit répondre à l'une des deux localisatio
us la forme clinique d'une épilepsie sensorielle surajoutée à'une ? ' " hémianopsie permanente. -'u ? -... Il s'agit
moelle, en dehors du cas très intéressant décrit par l'auteur. - * ' ' Après deux jours de vives douleurs dans les j
oelle, en dehors du cas très intéressant décrit par l'auteur. - * ' ' Après deux jours de vives douleurs dans les jam
ort six jours après le commencement de la paralysie du côté gauche. ' L'abcès était complètement isolé à l'intérieur
me SUIVI DE phénomènes rares du côté . DU SYSTÈME NERVEUX; par le D' ' HARVEY. - , Cas d'hystéro-traumatisme chez un g
érique, en même temps que le père et la mère sont cousins germains. ' Ce garçon était placé sur un wagon chargé de to
ne lui trouve aucune blessure du côté des membres ou de la poitrine, ' mais tout le côté gauche est contracturé, les m
types d'idiotie myxoedémateuse, c'est-à-dire présentant réunis tous ' Voir Archives de Neurologie, n° 103. Archives,
as se présente. On ne saurait trop encourager ces malades à écrire. ' 7° En ce qui concerne les pyromanes, il faudra
iation de la paralysie générale et de l'hystérie. Cette observation ' est intéressante à ce titre : il faut être très r
e manie chronique et de fibrome du sein : elle a guéri de sa folie. ' Discussion avec 1\lI. Regnier, Laroussinie, Rég
ngressistes. -,Le retour à Bordeaux s'est effectué à six heures'. ; ' '- , ' Ce compte rendu et le suivant sont faits
stes. -,Le retour à Bordeaux s'est effectué à six heures'. ; ' '- , ' Ce compte rendu et le suivant sont faits d'aprè
inué par la découverte de la sclérose latérale amyotrophique. <" ' ' ) » Mais si la maladie de Charcot, la pachymé
ué par la découverte de la sclérose latérale amyotrophique. <" ' ' ) » Mais si la maladie de Charcot, la pachyméni
re des persécutions, puis à l'hôpital Broussais comme alcoolique. " ' . Il rentra finalement à Sainte-Anne avec un ce
es souscriptions doivent être adressées au Irésorier du Comité le D' ' Henry Rayner, 2, Harley Street, London, W. - ,
ie familiale Verpflegung Geislesliranken. Springer. Berlin, 1893. ' H. Dagonet. Traité des maladies mentales. Paris,
1893. ' H. Dagonet. Traité des maladies mentales. Paris, 1894. ' V. Krafïl-Ebing. Lehrbztch der Psychiatrie, 3° éd
bing. Lehrbztch der Psychiatrie, 3° édit. Stuttgart, 1888, p. 42. ' Calmeil. De la folie considérée sous le point de
ostic des maladies mentales, sur la manie et la mélancolie', dis- ' Laehr. Loc. cil. ' 356 asiles d'aliénés. ting
s mentales, sur la manie et la mélancolie', dis- ' Laehr. Loc. cil. ' 356 asiles d'aliénés. tingue cependant, lui a
ition lamentable des aliénés et rapporte l'opinion de J. Franck : ' » Ceux qui ont visité les maisons d'aliénés en All
? de leur procurer des distractions par des concerts, dés rpré- . - ' : sentations théâtrales. Dans la deuxième éditi
malades autant de liberté que leur état le permet..., on les , 4 ' Griesinger. Traité des maladies mentales. 1861. T
être acceptée d'emblée 'en Allemagne comme ailleurs'. En 18o8, le D' ' Brosius défendit la pratique du non-restraint a
rables. On avait alors presque partout renoncé, en Allemagne, non ' llayner, en 1817, s'était déjà prononcé contre l'
le mouvement était assez actif 60 à 80. « C'est en effet à peine, ' L'asile de traitement de Sonnenstein renfermait,
ement de Sonnenstein renfermait, en 1879, 48 p. 100 d'incurables. ' Griesinger. Loc. cit. 3 Griesinger. Uber J¡'l'e
01. Paris, 1838. 2 Il. Laehr. Forlschril-Mcksclerill. Berlin, 1868. ' 3 Meschede. Uber Errichlung gelrennler Anslalle
autre pavillon distinct est réservé aux aliénés atteints d'affec- ' Parchappe. Des principes à suivre dans la fondati
ou presque tous, le caractère d'établissements « fermés ». Quel- ' Parchappe. Art. Aliénés. Dict. encycl. des scienc
sauf pour ce qui concerne la conduite des attelages. En 1871, le D' ' Snell se déclare aussi partisan de la colonisat
onisation des aliénés reçurent, grâce à Kceppe et surtout à M. le D' ' Paetz 2, tout le développement qu'ils méri- tai
la première fois en Allemagne, à la fin du siècle dernier, par le D' ' Engel- ken, directeur de l'établissement privé
entales et dix sociétés de psychiatrie. (Il. Laehr. nie lleil-uncl ] ' (ter;ealls/allell {'iil' l'sychisch-]'l'al1{;e des
]'(ter;ealls/allell {'iil' l'sychisch-]'l'al1{;e des (leiitscheii Sp¡ ' ! lc ! tgebie/es in J. 1890. Berlin, 1891.) .)
. B. IX. Contribution a l'étude DE l'action sédative DU chloralose; ' par le Dr 1\IA RANDON deMontyel. Si l'on s'es
hloralose ET SES propriétés hypnotiques; par le professeur R1CIlET. ' L'effet physiologique caractéristique du chlora
ban DE REIL; par HOESEr ? i (NelU'olog, Canlra6l., XIII, 1894.) ... ' ( Étude minutieuse des altérations déterminées d
qui se termine dans la couche optique (ruban de Reilthala- mique). ' P. Tli. - - z XXVIII. De la situation du noyau
nerf pathétique; par W. KAuscH. (Neztrolog. Centralbl., XIII, 189L) ' (Voyez le XIX. Congrès des neurologues et alién
s paralytiques généraux serait en moyenne inférieur de 84 gr. 65. ' La conclusion qu'on peut tirer des relevés statis
matomyélie dans 1 cas, dilatation du canal central chez 3 hommes. ' Paul SÉRIEUX. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
sang et la dilatation des artères dans tout le système vasculaire. ' Il n'existe pas de sphincters ou de disposition
sanity, avril 1895). E. BLIN. XL. Méthodes DE laboratoire; par le D' ' COOK. Exposé des divers procédés classiques de
l 1895.) XLI. DES relations DE l'urée avec l'épilepsie ; par le D' ' Nelson TEETER. L'épilepsie idiopathique est-ell
UBLES DE l'ouïe; par E. `ŸEINLAND. (A1'chiv. f. Psychiat., XXVI, 2.) ' . On 'constatait cliniquement : de la mydriase
Le rapport qui existe entre la structure des éléments nerveux et ' leur fonction est bien établi pour les cellules q
fications des cellules, des modifications dans la répartition de la ' matière colorante. Le noyau et les nucléoles tr
e à rendre dans l'avenir quand elle sera encore plus perfectionnée. ' M. Kreuser (de Schussenried). Des mesures disci
IÉTÉS SAVANTES. - 417 "1 Live RÉUNION DE LA SOCIÉTÉ PSYCHIATRIQUE ' DE LA PROVINCE RHÉNANE. . 10 novembl'e 1894, -
M. L ! EB6fANN. Une famille de quérulents. - Il s'agit d'une famille ' d'aliénés dont trois membres sont actuellement
ternés. Chacun d'eux présente une variété psychopathique spéciale ? ' L'un, Hubert G..., âgé de soixante-deux ans, sa
reconnaît l'inspiratrice de toutes les requêtes et - dénonciations. ' ' j ` La fille alliée, âgée de'.trente-cinq ans
connaît l'inspiratrice de toutes les requêtes et - dénonciations. ' ' j ` La fille alliée, âgée de'.trente-cinq ans,
portes. Un jour il met en pièces un vêtement de dames qui appar- ' tenait à une voisine et l'enduit de pétrole. Il p
de la tempe gauche une cicatrice qu'il attribuait à un traumatisme. ' - M. SCHULTZE se demande si certains aliénistes
la lenteur excessive et à l'indigence dans la formation des idées. ' Dans le second cas, il s'agit d'un sujet antéri
Sérieux. - ? \ ? . ? . : - y' ">'r' BIBLIOGRAPHIE. , , ? . - ? ' ' r ? c. ' ( - III. Les maladies de la moelle
rieux. - ? \ ? . ? . : - y' ">'r' BIBLIOGRAPHIE. , , ? . - ? ' ' r ? c. ' ( - III. Les maladies de la moelle è
? \ ? . ? . : - y' ">'r' BIBLIOGRAPHIE. , , ? . - ? ' ' r ? c. ' ( - III. Les maladies de la moelle èpiÎ71èl'c e
récise.- Plusieurs figures facilitent la compréhension du texte.' , ' Le deuxième chapitre est un exposé complet de n
es et contractures permanentes dans la varalysie générale; par le D' ' M. Tm ? OEL, (Th. P. 1891, Steinheil.) C'est un
uel d'un délire pour mieux en apprécier les dangers et Ja guérison. ' Dr DEVAY. VI. Glycosurie et psychoses. Contribu
tiellement passager ne s'accompagne d'aucun autre signe de diabète. ' La glycosurie transitoire se voit de préférence
les plus écoutés en matière d'hypnotisme et d'affections nerveuses. ' La municipalité d'Orléans n'en a pas moins cru
FAITS DIVERS. ASILES d'aliénés. Nominations et promotions : M. le D' ' Cue- VALIER-LAVAURE, médecin-adjoint de l'asile
aliénés de Fains, est promu à la classe excep- tonnelle ; - M. le D' ' BILLOT est nommé directeur-médecin de l'asile d
nommé directeur-médecin de l'asile de 13reuly (Charente); - M. le D' ' Chaussinaud est nommé directeur-médecin de l'as
de Dijon, est nommé médecin-direc- teur de l'asile de Dôle; M. le D' ' MONESTlER est nommé médecin- adjoint de l'asile
ONESTlER est nommé médecin- adjoint de l'asile de Lafoud; -11. le D' ' Berbey est nommé médecin- adjoint de l'asile de
l'asille de Mareville, est nommé à la il" classe du grade; M. le D' ' CamanT est nommé médecin-adjoint de l'asile de Sa
cin en chef à Cadillac, est nommé à la ils classe du grade; M. le D' ' Ramadier, directeur-médecin de l'asile de Rodez
l'hystérie et l'idiotie. (Compte rendu du service des enfants idiots, ' épileptiques et arriérés de Uicetre pendant l'a
ie. Prix : 5 fr. Pour nos abonnés : 3 fr. ou. Au Progrès Médical. ' FrAnkl-Hochwart. « lier Meniere'sche Symplomerz c
lier Meniere'sche Symplomerz comple.LOlie el'/u'an., kuuqen cler ! ' ))) ! e)'e)to/))'c ? Voinme in-8°de VI-122pages.-
c, bien entendu, toutes les dispositions requises pour éviter l'hu- ' midité; de plus toutes les pièces doivent être
ux services actuels d'indigents de Ville-Evrard, mon collègue, le D' ' Febvré, ayant eu l'obligeance de me communiquer
EMENT CONGÉNITALE ; SPASMES MUSCULAIRES ET COPROLALIE; PAR ft . ' BOURNEVILLE, et T J. BOYER, Médecin de la secti
Pas de consanguinité. - Inégalité d'Age de six mois. Gémella1'ilé. ' Émotion vive au cinquième mois de la grossesse
sait pas déviée. - Le 9 mars, le malade entre à l'hôpital, et là, le ' voyant pour la première fois, nous constatons a
ion avec elle. J. Ségalas. LVIII. MAL DE BRiGIIT ET folie; par le D' ' BO : \DUIIANT. Au cours des recherches faites d
diamètres crâniens : elle est si marquée en général pour les dia- ' mètres transverses qu'elle permet de ranger ces c
tiologie ET la nature DE l'épilepsie tardive chez l'homme; par le D" ' nlAU1'.1TÉ. L'auteur considère comme tardive l'
'alcool pour cause. Trois médecins ont traité cette question : le D' ' LEGRAIN, médecin en chef de l'asile de Ville-Ev
(goitre exoplUalmique, tabès, chorée, épi- lepsie, hystérie, etc.). ' Le livre 111 traite de la prédisposition vésani
mme vivait seule; elle paraissait être dans une certaine aisance. ' It. Chaparte. Les Mésaventures de Jean Paul, p. 6
Assistance des épilepliques, S9. des aliénés en Allemagne, par ' Sérieux, n3. Asimbolie motrice, par Bonhoffer e
Genou. Phénomène du et équili- bration de la jambe par Sommer, ' 135. GLOSSO-PII \P.YliGOEN. Relations cen- tr
tion de la -, par Binswanger, 258. Paralysie vaso-motrlce dans ' ses rapports avec l'état affectif de la -, par
. Rétlexes superficiels et profonds comme moyens de diagnostic, ' par Agostini, 468. Responsabilité. Critérium de
s, 470. Wassiliewitch. Jean , surnommé le Cruel, par Rothe, 40L ' ZoH : a.asTe Zoopnlie érolique, Bes- tialité et
. Guérm,.238, 329. Guicciardi, 380. Hahn, 477, 478. Hall, 87. ' II arold, 380. llarvey, 320. Iliscovec, 177
53 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
qu'elle mérite d'être envisagée à part, c'est l'extrême fréquence ' de l'hérédité similaire, directe ou collatérale,
- teur parcourrait tout le canal et franchirait le sphincter sans ' Voy. Gilles de la Tourette. Traité de l'hystérie,
ce des rêves mictionnels n'est pas démontrée. Beaucoup d'inconti- ' nents rêvent; mais comme nous l'avons fait remarq
de son analogie avec certains troubles psychiques de l'hystérie ? : ' Une seule suggestion suffit parfois pour suppri
r dans l'historique de la question, que nous avons traitée ailleurs ' , nous rappellerons seulement que M. Liébeault a
n s'est maintenue sans aucun acci- dent depuis la date précédente. - ' TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'URINE PAR SUGGES
d'une santé passable, autre frère idiot à la suite de convulsions. ' Enfant grande et forte, d'aspect florissant, no
aladies graves. Elle pisse au lit toutes les nuits depuis quatre ans. ' TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'URINE PAR SUGGES
culose du rachis ; mère morte de paralysie à cinquante- quatre ans. ' Enfant délicat, pâle et chétif, peu intelligent
omme s'est déchiré pour faire croire qu'il avait été battu par lui. ' Les craintes d'empoisonnement persistent. a J'a
e d'attirer l'attention, c'est cette sorte d'objectivité du délire. ' Le malade craint d'être accusé, il ne cesse d'a
IE NERVEUSE. 49 le rôle d'une condition puissante dans tous les cas, ' indispensable dans la plupart, mais qui ne saur
. La névrose d'obsessions relève d'une cause spécifique très ana- ' Archives, 2e série, t. IL 4 80 REVUE DE PATHOLO
gique, mars 1896.) E. B. XIV. Angiome simple du cervelet; parle D' ' L. IIEx1'OEN. Chez une femme de quarante ans, m
. XV. Étude SUR QUELQUES points DE pathologie cérébrale; par le D' ' A. MEYER. Sur vingt cerveaux d'épileptiques don
une malade a été, à ce point de vue, considérablement amé- liorée. ' L'auteur reproduit la proportion des améliorati
être établis, plusieurs résultats frappants ont elé ms en lumière. ' La nutrition cellulaire est activée, modifiée d
s. On a décrit un grand nombre de signes spécifiques de la crimi- ' ? alité, les uns psychologiques, les autres biolo
e encore l'ennui, les occa- sions qui se présentent en prison, etc. ' L'habitude du tatouage est si répandue chez les
s ou obscènes. (Allg. Zeitscler. f. Psychiatrie, t. LU, fasc. 3.) ' Paul SÉRIEUX. BIBLIOGRAPHIE. I. blanuel prati
ment. Les épreuves cliniques ont eu lieu à l'asile d'Armentières. ' Le concours de la région de Lyon, qui a été excep
Vol. II. Août 1896. N° 8. ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANATOMIE. z ' - 1 SUR LE GROUPEMENT DES FIBRES ENDOGÈIIti4
on Lenhossek sur les cellules particulières de la substance grise ' Bouchard. Archives générales de médecine, 1866.
été esquissée avec grandes réserves par un auteur alle- mand, Hoche ' , qui n'ose encore se prononcer sur le point de
mentionnent. Veut-on s'en rapporter aux examens anatomo-patholo- ' Küllilcer. Zeilsclznifl sur 11-iasr.nsclrafl Zool
Lectures of seciindary clegeneraliou of spinal Card, London, 1889. ' 5 Singer. Silzungsb. den 1\ïen. Akad., 1881.
d, London, 1889. ' 5 Singer. Silzungsb. den 1\ïen. Akad., 1881. ' Odi et Bossu. Archiv. ilal. de Biologie, 1890.
en. Akad., 1881. ' Odi et Bossu. Archiv. ilal. de Biologie, 1890. ' Berdez. Revue médicale de lu Suisse Romande, mai
s. Revue de médecine, 1893. * Kageotte. Revue neurologique, 1895. ' Souques. Bulletin de la Société de Biologie, mai
nôtre. Sur la même coupe on aperçoit également à la partie anté- ' Schultze. Arcli. sur Psychiatrie, 1883. ' Eisen
ement à la partie anté- ' Schultze. Arcli. sur Psychiatrie, 1883. ' Eisenlohr. Xeurologisches CeielnulLlall, 1884.
l, 1884. 3 Barbacci. Lo Sperimenlale, 1891. 4 Hoche. l,oc. cil. ' Gombault et Philippe. Loc. cil. Fig. 6. 86 AN
o-commissural. Coupe au niveau de la cinquième paire sacrée \fig. 7 ' ). La bande intacte de tubes à myéline s'étend a
eporter à la lecture de l'obser- vation de MM. Souques et Marinesco ' , on sera frappé ainsi que nous l'avons été nous
s court. Nous citerons également l'avis de MM. Déjerine et Sottes ' * à propos d'un cas de destruction des racines i
cines inférieures depuis 1 JIW1J/wlo ! )i,\c1/Cs Jahrbucli, 1893. ' Gombault et Philippe. Loc. cil. 3 Schulize. Loc
eure ni la topographie, ni la longueur au moins pour le postérieur. ' 2° Les faisceaux dits endogènes dans les cordon
RES ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 93 cence traumatique de Schiefferdecker ' admise également par Kahler et Pick 2. Les ar
elle, 1892. Semaine médi- cale, 1891. Gazelle des hôpitaux, 1891. ' Carl llayer. - Jahrbuch ritn Psucliialrie und Sel
er. - Jahrbuch ritn Psucliialrie und Sel'venheilklllldc, 13d. XIII. ' 9 1 ANATOMIE. en effet et nous avons déja ins
de l'angle posterouatérieu à la région dorsale moyenne il se - 1 ' 1 Dans la zone cornu-commissurale, en plus des
nes à dilectiun descendante, il en existe à direction ascendante. ' Barbacci Loc. cil. DES FIBRES ENDOGÈNES DE LA M
surales dont nous avons Archives, 2" série, t. II. 7 98 ANATOMIE. ' indiqué les différentes positions et il y aura
ciété de Biologie, juin 189Í ? 32. 1\layer Cai 1. Jah1'buch. l'il ! ' Psychiatrie und Nervenheilkunde. Bd. XIII. 33
. de Biologie, t. XXIII. 37. Raillon y Cajal. Anatomisches AltZeige¡ ' , 1890. 38. Redlich. Centrallilatt /'11l' NC1've
U), on ne trouve pas dans leurs nombreuses observations l'indica- ' Rostan ? tec/t< : <'f;/te.< sur le ramol
mollissement du cerveau. Paris, 1823. , Durant ! Fardet.Rec/tercAeM; ' le ramollissement du cerveau. Pari ? 1823. 1
lion que le diagnostic ait été exactement fait. Par contre Béhier ' se félicite comme d'une chose rare d'avoir reconn
- tais, Christian, Pauvert s, etc., la proposition fut renversée, ' Bondurant. - lltichyn2eiiiizyilis inlemia hemo1'l
illot contre les parois, et inflammation secondaire de la dure-mère ' ; on compare même ce processus à l'organisation
e- mère. Les artères malades des centres nerveux étaient en effet ' Wiglesworth en des travaux très documentés appuie
nombre des malades n'y est que de 55, soit 40 hommes et 15 femmes. ' Alors que les épileptiques et les paralytiques
- logie et comme forme anatomique; et parmi les différentes calé- ' 11. Ilack Tuke étant mort depuis la publication d
fer serré brusquement : elle se sent coupée en deux instantanément; ' · elle est étonnée par le choc et reste ensuite
insanity, janvier 1896.) E. B. IX. UN cas DE folie morale; par le D' ' Gorton. Histoire clinique intéressante d'un cas
son délire chronique. (American journal of insanily, octobre 1895.) ' E. B. XI. Troubles moteurs dans la folie; par l
le signe de Westphall peut exis- ter sans lésions bien prononcées. ' M. NEISSEIi. Dans toutes les recherches qui por
programme. De la sémeiologie des tremblements. Rapporteur, M. le D' ' Lamacq. Discussion. - Mardi, 4 août. Matin, 9
résultats identiques aux nôtres. Avec la nouvelle publication du D' ' Frenkel, parue l'année dernière toute la biblio
taxie locomotrice. Bulletin génér. de thérap., 30 janvier 1893. - ' P. Ostankoff. Nevrologuilscheski Viestnik, t. II,
milalen. Zeitschr. f. klin. Med., t. XXVIII. fasc. 1 et 2, p. 32. ' D' Frenkel. Loc. cil. TRAITEMENT DE L'ATAXIE DA
en l'appelle traitement compensatoire. Dans son travail récent le D' ' Frenkel propose de nommer sa mé- thode : compen
s à des degrés dif- férents, etc. 1) j 1 Leytlell. - I,nc. cil. ' 164 ' " CLINIQUE NERVEUSE. Mouvements coordon
degrés dif- férents, etc. 1) j 1 Leytlell. - I,nc. cil. ' 164 ' " CLINIQUE NERVEUSE. Mouvements coordonnés comp
1° Exercices au lit (le malade étant couché) ; 2° Exercices debout. ' Ces derniers se subdivisent en : a. Exercices d
les genoux fléchis exécuter avec les bras des mouvements de 166 . ' CLINIQUE NERVEUSE. gymnastique; z,161, se tenir
her latéralement ; 7° marcher à grands pas; 8° marcher les genoux ' fléchis; 9° marcher sur la pointe des pieds ; 10°
ercer à monter et descendre un escalier sans se tenir à la rampe. ' Les exercices que nous venons d'énumérer contienn
aucune fatigue même après une marche de plusieurs kilomètres. Le D' ' Frenkel nous a récem- ment montré une tabétique
ême une condition essentielle pour la réussite de notre traitement. ' Voici comment nous expliquons les effets de la
debout, à marcher, courir, nager, faire des mouvements coordonnés ' 'Jendrassik. Detils. klin. Med., t. XLII1, 1888.
et de la sensibilité musculo-articulaire. 172 CLINIQUE NERVEUSE. ' On sait que les organes qui, par les circonstan
plus exquise. Il est cependant plus probable, comme l'admet Frenkel ' , que dans ces cas d'une finesse extraordinaire de
eau du tabétique arrive à force d'habitude, c'est-à-dire d'exercice, ' à apprécier les impressions affaiblies que lui
s deux côtés du corps, et le phénomène d'hype- ? 'esthésie plantaire. ' ' ' Généralement, on admet que le tabes frappe
deux côtés du corps, et le phénomène d'hype- ? 'esthésie plantaire. ' ' ' Généralement, on admet que le tabes frappe le
ux côtés du corps, et le phénomène d'hype- ? 'esthésie plantaire. ' ' ' Généralement, on admet que le tabes frappe les
deux côtés du corps d'une façon symétrique.1 Le professeur Fournier ' est le seul auteur qui à notre connaissance men
. V) chez laquelle la jambe droite était plus incoordonnée que la ' Fournier. Alaxie locomotrice d'origine syphilitiq
possèdent une coordination moindre que les organes situés à droite. ' . Nous avons constaté chez tous nos malades un
Celte cure reste sans aucune influence sur les symptômes de tabès. ' Le malade n'a jamais eu de diplopie, ni de blép
ni du rectum. Il n'a jamais eu non plus de l'impuissance génésique. ' Etat actuel (5 janvier 1894). Le malade est de
dans la sensibilité, ni dans la motilité des membres supé- rieurs. ' Au tronc il est à noter une sensation très péni
essantes. A rapprocher une des observations de E. Wils et D. Cooper ' , et surtout une de Higier2. Juliette L..., ving
'est, au dire de la malade, produit déjà une fois à la Salpêtrière. ' La compression au pli du coude, l'élévation du
du troisième doigt. Mouvements normaux. T. G. 24°,6 ; T. D. 25°,6. ' . 5. La malade, après avoir ressenti des picote
d'ascension est alors très courte, dicrotisme nul, ligne de des- ' A. Alélékoff. Archives de Neurologie, mai 1896.
llet 1895. Archives, 2e serie, t. II. 13 194 . RECUEIL DE FAITS.' ' cente 'très allongée. A droite, la forme de la
de morsure de la langue, quoi qu'il en dise. Pas de perte d'urine. ' Sensibilité tactile, seulement conservée en ava
e la séance on apporte à M. le Président une dépêche ainsi conçue : ' Les aliénistes de Moscou félicitent leurs collè
e, Senudaloff, Thérian, Worobiefl, Pétroil, Sackanoff, Stretzoff. · ' , " Dans l'après-midi, à l'Institut anatomique,
cussion du rapport de M. SÉGLAS sur les hallucinations de l'ouïe. ' . Pathogénie et physiologie pathologique des ha
est à la portée de ses sens, est dans un état d'hallucination. » .. ' , La caractéristique de l'hallucination, dit Me
er l'apparence d'un objet extérieur actuel, qui n'existe pas en 208 ' .SOCIÉTÉS SAVANTES. 1 réalité. C'est donc une f
En fait, l'hallucination auditive est un phénomène beaucoup plus ' complexe que l'épilepsie corticale, beaucoup plus
ar- quaient généralement le début des phénomènes hallucinatoires. ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 2t8 NJ ' M. PAUL Garnier. En
début des phénomènes hallucinatoires. ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 2t8 NJ ' M. PAUL Garnier. En entendant M. Régis, j'ai comp
admise par tous, sous le champ de l'attention et de la discussion. ' Aucune n'est plus propre, en tous les cas, à se
ements d'autrefois, s'annexer des exploitations agricoles et donner, ' dans la mesure du possible, à l'aliéné l'image
répondérant et d'ail- leurs.logique,-dans l'internement des aliénés, ' aient été inférieures SOCIÉTÉS SAVANTES.' 235
ité judiciaire à l'autorité administrative pour l'internement, le D' ' Rouby raconte que les médecins anglais trouvent
es le nombre des guéri- sons : c'est ce qui a lieu dans la Seine. ' Nous avons visité le violon de Nancy le 3 août av
derniers, tous égoïstes mentaux, se complaisant dans leurs idées ' Nous profitons de l'occasion pour signaler nos ra
sur la fixité des hallu- cinations dans le délire mystique observé. ' MM. A. Pitres et E. Régis. - La phobie de la ro
nnerons ce travail in extenso au 33ecùejl'des travaux du Congrès. ' C;.<" ^'après cette communication, le présid
qualité à l'asile de Châlons-sur-Mal'lle en remplacement de M. le D' ' Journiac (19 mai 1896) ; AI. le D'' Leroy est nom
'lle en remplacement de M. le D'' Journiac (19 mai 1896) ; AI. le D' ' Leroy est nommé médecin- adjoint de l'asile de
me qualité à l'asile de Châlons-sur-Marne (17 jnin 1896); - M. le D' ' Santenoise est nommé médecin-adjoint à l'asile de
Ire classe du cadre à partir du 1cr juillet (20 juillet) ; M. le D' ' ADAM, médecin en chef de l'asile de Clermont (O
le s'applique dans les allées et venues de sa course convulsive'. ' Il est toutefois possible d'obtenir le transfert
n peu plus tard mais très rarement après l'âge de onze ou douze ans ' 1 n. Or, chez notre malade, les troubles de la
ce, systématisés en une description méthodique; on s'est contenté ' D' Chervin. Bégaiement et autres défauts de prono
qu'un rôle de surveillance et de contrôle. 272 2 asiles d'aliénés. ' Ce rapport se divise en sept parties principale
dente, indiquer combien ont été réadmis jusqu'au 30 septembre 1894. ' 9. Comment se comporte le conseil d'administrat
ls change- ments sont-ils survenus pendant et après cette période ? ' ! Les manifestations de l'instinct sexuel ont-e
? Grossesses, nombre, date de la première, fréquence, avortement ? ' ! Ont-elles présenté des anomalies pendant, à l
ou les affections ? Dans le caractère ? Agitation ? Irritabilité ? ' ? Existait-il une disposition douloureuse 7 Une
alade se rappelait-il mieux lés événements passés que les récents ? ' A-t-il eu des appétits impérieux ou des désirs
Désirs... Affections... Illusions... Hallucinations... Erreurs... ' (Voilà un cadre bien riche et qui peut servir à s
ts de cette première partie de l'analyse si intéressante de M. le D' ' Darin. Nous nous bornerons à quelques-unes. Rele-
XLI. Saturnisme chronique avec paralysie des nerfs radiaux ; par ' le professeur DE RENZI, de l'Université de Naples
ymptômes en foyer, comme on l'a fait pour les symptômes somatiques. ' Westphal a signalé l'humeur fantasque de ces ma
ec tendances aux plaisanteries et à toutes. sortes d'actes puérils. ' Dans le cas en question peut-on penser à une tu
896.) E. B. XI. Sur l'origine DE l'amyotrophie tabétique ; par le D' ' E. SCHAFFER. L'auteur cherche la cause de la di
teur administratif, M. Denizet, de deux médecins en chef, M. le D' ' Paris, notre distingué collaborateur et M. le D''
en chef, M. le D'' Paris, notre distingué collaborateur et M. le D' ' Vernet, qui a rempli, avec beaucoup de zèle, le
de Maréville, son état sanitaire et son régime alimentaire, parle D' ' J. Giraud ; 3 3° le règlement du service intéri
3° le règlement du service intérieur; d'y ajouter un exposé suc- ' Par suite de la situation de l'asile tout près d'
ngers une singulière idée de notre organisa- tion hospitalière. " ' Revue raid, de l'Est, 1880. SOCJ £ EPLS SAVANTE
on entendait au dehors « le bruit des fers et les cris des victimes ' 1 .. 1 Cela rappelle le « Cri de la Salpêtrière
e ; la violence de l'émotion semblait avoir guéri sa paralysie. » ' Thèses DE la faculté DE médecine DE LYON (Année s
également au fait cité à la page 331 . BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. \ ' \ \ 1" r .' ¿.. =\1 \ - JilBRlSSA ! 1D : {I<
duraient jour et nuit. La malade n'a jamais eu de crises du nerfs. ' - Début de la maladie. - Quelques mois avant de
tenant hémiplégique. Le malade a un frère qui souffre de la goutte. ' Antécédents personnels. - Le malade était toujo
n du côlé de l'ouïe, du goût, de l'odorat, des dents, de la langue. ' Extrémités supérieures. Les mains sont agitées
eu de syphilis. Marié à l'âge de trente ans. Un an après le mariage, ' sa femme fit une fausse couche. Elle a eu depui
minute. Le malade croit que je l'ai brûlé avec un thermocautère. ' La sensibilité profonde (musculaire articulaire)
ée. - Jeux variés, musique, théâtre, danses, promenades, etc., etc. ' ' * Elles utilisent, en général, les draps de p
. - Jeux variés, musique, théâtre, danses, promenades, etc., etc. ' ' * Elles utilisent, en général, les draps de pro
ns. Le jeune homme devient travailleur, poli, sociable, convenable. ' P. K. IL Du TRÉPAN ET DE LA PONCTION VERTÉBRALE
X. Quelques remarques sur LES applications DU trional ; par le D' ' L. Ruiiru (Journ. de Neurologie, 1896, n° 14.)
l'image que notre esprit lui donne, grâce à sa faculté imaginative. ' Le psychicone est donc la nuée odique de force
ire ni l'imprimé ni le manuscrit; s'il écrit, il ne peut se relire. ' Le degré de cécité verbale est encore très vari
. Certaines de ces observations s'accompagnent de dessins des 406 ' VARIA. lésions du cerveau, de reproductions de
« J'appelai quatre religieux, et on apporta solennellementle corps ' Lonensis abbattis. VARIA. 409 de Notre-Seigne
rne, est élevé à la 1'c classe à partir du ICI' septembre ; M. le D' ' UAMEL, médecin adjoint à l'asile de Saint-Yon e
é à la 1 ? classe du cadre à partir du 1er septembre 1896 ; M. le D' ' Beutz, médecin adjoint à l'asile de Dury, est é
eber die Seltenen Formai der lzereclittirezz und {wl ! i- liaren 7H) ' )t und R ! '<e/t'e;t))ta)'/t ? t;'6 ! ! i/f/tet
lzereclittirezz und {wl ! i- liaren 7H)')t und R ! '<e/t'e;t))ta) ' /t ? t;'6 ! ! i/f/tet<eK. Brochure in-8'' de 61
u fond les éléments du délire restent les mêmes. Moreau (de Tours) ' dit de même : On ne délire générale- ment que d
n pathologie 1 Moreau de Tours. Psychologie morbide, p. 221, 222. ' Magnan et Sérieux. Délire chronique, p. 98. v D
dents. 1° Période commune d'incubation. Inquiétudes vaques. 420 0 ' CLINIQUE MENTALE. Les mélancoliques poursuivis
tiples, mais portant surtout encore sur des illusions visuelles. ' Legrand du Saulle et J. Falvet ont développé la m
ublie sur ce sujet un poème de 300 vers. Un autre, cité par Sémerie ' , voit un chat et comprend que c'est le Diable.
es; quelquefois aussi c'est la figure d'un tableau, ou une statue ' Sémerie. Th. Paris 1867, p. 35. /1 il 6 CLINIQU
vine; le corps goûte aussi quelquefois des saveurs tièb douces 1. ' Lettres spirituelles sur l'oraison. DES PSYCHOS
manes ne sont pas seulement infinis dans le temps mais aussi dans ' Calmeil. De la Folie, t. I. 2 La zoophilie et l
iculation mentale qui fait attribuer aux bêtes un langage humain. ' P. Garnier. De la Mégalomanie, th. de Paris. 42
Etude sur quelques symptômes des délires systé- matisés, obs. l.) . ' , DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 429 son lobe fro
r- que qu'ils remuent souvent les lèvres en ayant l'air d'écouter ' et qu'ils répondent ensuite ; ils font ainsi les
t la voix ordinaire, l'autre une sorte de voix gutturale qui rend ' Cotard. Origine psycho-motrice du délire, Congrès
igence qui parle par leur propre bouche (Bertrand). Une malade du D' ' Despine ne fait rien sans consulter intérieurem
urs. Du Hachisch et de l'aliénation mentale. Paris, 1845, p. 351. ' .1. Moreau de Tours. l'sych. morbide, p. 228, 239
p. z153). Nous rappel- lerons à ce sujet une observation de M. le D' ' Baratou, citée par MM. Séglas et Besançon (p. 2
IOTS, DANS LE DÉPARTEMENT DE LOIR-ET-CHER; Par le D' DOUTREBENTE. ! ' 1 : E M 1 È It E PAR TI E , 1-195-182-1 7 Un tr
r sur une période encore bien inconnue, quoiqu'elle date d'hier : ' Le couvent des Capucins était situé dans l'espace
itoyen Guillon seul soumission- naire des ouvrages dont il s'agit ; ' « Vu la nécessité indispensable de construire d
spensable pour le bien de la société d'en écarter le citoyen. » 440 ' asiles d'aliénés. Ces placements se font d'ordi
t que cet emplacement serait rapidement Il- il. ? asiles d'aliénés. ' insuffisant et qu'il était préférable de faire
commission de surveillance des prisons avait d'ailleurs chargé le D' ' Desfray de faire un rap- - port sur la façon dé
juin 1896.) E. B. LVIII. La chorée variable des dégénérés; par le 1) ' BRIS5,1UD. Tous les médecins qui s'occupent plu
laires, être autorisé à intervenir. (Revue neurologique, mai 1896.) ' E. D. LXIV. DE LA DEFORMATION ET DE la paralysi
chlorose et d'affaiblissement. On cesse le suc thyroïdien, alitant ' ) la malade et lui administrant du fer. Le coeur p
t ') la malade et lui administrant du fer. Le coeur paraît se calme¡ ' (il existe encore 100 pulsations), mais les par
oratoire de physiologie de Gênes, sous la direction du Dr Il. Oddi. ' Ce sujet a déjà été étudié par d'autres physiol
Archives de Neurologie (189G, n° de juillet). Il paraît que M. le D' ' Clozier (de Beauvais) avait lui aussi traité le
: D', Char. L. Dana, D'-F.-X. Dercum; DI' Ph. Combs Knopps ; - D' ' Char.-K. Mills; D'' Jas-J. Putnam; D'' B. Sachs;
na, D'-F.-X. Dercum; DI' Ph. Combs Knopps ; - D'' Char.-K. Mills; D' ' Jas-J. Putnam; D'' B. Sachs; D' M.-Atien, Slarr
; DI' Ph. Combs Knopps ; - D'' Char.-K. Mills; D'' Jas-J. Putnam; D' ' B. Sachs; D' M.-Atien, Slarr. - Collaborateurs;
° Jean Wierr (2 volumes). 4° La possession de .femme Ferry. 5° Soeu; ' Jeanne des Anges. - 6° Procès de la dernière sorc
rale, par Gorton, 132. Trou- bles moteurs dans la -, par Ri- cl¡a[ ' (lson, 132. - et alcoolisme, par Banmster, 133 -
e olter les -, par l.uhrnan, 321. PEHY[ : HS)0 ! <SE.\LhLLE,pa[ ' ))Owa)'d, 381. Phobie de la rougeur, par Pitre
, 133. Baraduc, 399. ltechterew(tle),3 ? G, 192. .lJel'l1helln, ' ! 30. Buvan Lewis, 388. Blantlford, 388. li
229. Cullerre, 1. Dalla, 170. Uarlu, 270, 396. Davenport, 62. ' Dehio, 69, 489. Delmas, 128,2l.i. DemouUu,
, 479. Fournier (v.), i i f. Fournier (E.), il. Francesco, 115. ' Fl\lIlCOlte, 63, 3 ? 353. L ? l'cud, '1,8, 52
63, 3 ? 353. L ? l'cud, '1,8, 52. Crey, É91. li'dedmann, 55. ' Lrcenlcel, 385. Garnier (P.), 231, 232 Gasne,
54 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
é par la présence dans notre service d'un certain nombre de mala- ' Leipzig, in-8°, 1878, p. 202. 1 Deutsche medici
bre 1892, in Allgemeine Zeilschri/'t sur Psychiatrie, t. LI, 1891. ' 1.111° Congrès des aliénistes de l'Est de l'Allem
o Allgemeine Zeitschrift für Psychiatrie, XLI. 4. ° Grundriss de, ' Psychiatrie, lu« partie, Leipzig, in-8°, 1894; 2'
« partie, Leipzig, in-8°, 1894; 2' partie, Leipzig, ici-81, 1896. ' 7 Société psychiatrique de 13erlitz, 15 décembre
et à courte évolution. Neurologisches Cenlralblall, t. XIV, 1895. ' Centralblalt für Nel'venheilkllncZ" t. XIX. N. F.
interne à l'établissement, a écrit sur ce sujet sa thèse inaugurale ' qui a été récompensée par la Faculté de Lille.
- ment à l'étude des régions inconnues, il a une idée fixe. Quand ' L'Idée fixe et son rôle en pathologie mentale. Vi
n rumine, sans trouble, la base même ; il les vérifie méthodique- ' ? ment, et, s'appuyant sur des motifs plausibles,
y- chique, du sens critique. Or, c'est sur l'état de l'humeur que ' \VERNICIOE appuie principalement sa théorie, sinon
s. Une idée fixe physiologique et une idée fixe pathologique. , . ' Division des idées fixes. . Quelques idées, dit
le sujet en estfaux et impos- sible par rapport à celui qui l'émet. ' ' - , : t 1 Mécanisme des idées fixes. ... w
sujet en estfaux et impos- sible par rapport à celui qui l'émet. ' ' - , : t 1 Mécanisme des idées fixes. ... w -
rprise, puis une pénible et inquiétante oppression. Pitres et Régis ' croient que l'élément émotif domine l'ob- sessi
aladies; il affirme formellement ne s'être jamais alcoolisé. Il est ' L'IDÉE FIXE. 29" visiblement épuisé, a beaucoup
clinique, le 20 août guéri, sauf quelques malaises neurasthéniques. ' b) Maladies générales. C'est encore le mécanism
ne discret. (A suivre.) PATHOLOGIE MENTALE. MYSTICISME ET FOLIE ' ; Par le D'A. MARIE, Médecin en chef de la Co
c en est un bel exemple. Elle devançait son temps de trois siècles. ' Au sortir des ténèbres du moyen âge, lorsque le
adore, mais la force qu'il représente, la ruse, le courage, etc. ' J. Vinson. Les religions. Delahaye, Paris, 1888.
courage, etc. ' J. Vinson. Les religions. Delahaye, Paris, 1888. ' Les Tarasques, les bêles du Gévaudan, sont rempla
former des hypothèses toujours moins simples et moins exactes que ' Les hypothèses métaphysiques, dit de même Couard,
hragme n'est-elle pas celle de nos hallucinés à voix épigas- trique ' ? ? Les explications adoptées par les halluciné
e et du spiritisme que dérivent à nouveau ces épidémies de disso- ' Marcé. Médecine menlule, p. 100 et 101. MYSTICI
e pour opérer, disaient-ils, la plus glorieuse des résurrections *. ' Un missionnaire, dit Pinel, par ses fougueuses
a par des jeûnes volontaires et mourut phtisique le 8 avril 1806. ' Bibliothèque médicale, p. 76, 1811. 116 PATHOLO
et d'une sortie qui pourrait faire renaître l'épidémie première. ' Nos lecteurs consulteront avec fruit sur ce sujet
1.) . V. Deux cas d'ophtalmoplégie externe chez deux frères jumeaux; ' par le professeur Homen. Il s'agit de deux ca
faveur d'un agent prédisposant : l'arthri- - trisme. A. FENAYROU. ' XI. Chorée variable; par M. E. BRISSAUD. (Presse
ROU. ' XI. Chorée variable; par M. E. BRISSAUD. (Presse médicale, ' 15 février 1899.) L'auteur rapporte un cas rema
voir conservé pendant assez longtemps des troubles de la mémoire. ' Voir le dernier numéro, juin, p. 476-506.- ,60
oiseau et Azam pu- bliaient leurs travaux sur la folie sympathique. ' L'importance des causes physiques dans la genès
créateur et premier directeur de l'asile d'aliénés du Mont-Perrin. ' M. Charles Pontier naquit à Aix le 6 mai 1809. En
. 100 des garçons et 31 p. 100 des filles étaient des héréditaires. ' 11,27 p. 100 des idiots et imbéciles et 7,7 p.
nds stift) la troisième et la deuxième étaient les plus fréquentes. ' Les naissances de jumeaux et de trois jumeaux s
deo, 1898. Imprenta de « la Siglo ». Kende (M.). Die acliolorlie de; ' Tabès d01'salis. Brochure in-8° de 32 pages. Ex
. ]let Tezzuwslels van den Mensch. Buste les Geschied- kundig oce ! ' = ! C/t/. Brochure in-8° de 2t pages. Sano (F.).
899. N° 44 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. L'IDÉE FIXE ' ; ; Par le 1K P. KRRAVAL. ' Iéderin ,directeu
LOGIE CLINIQUE MENTALE. L'IDÉE FIXE ' ; ; Par le 1K P. KRRAVAL. ' Iéderin ,directeur de l'asile d'Armentlèl'(" (N
du mélan- colique est circonscrite et limitée. Mais, en même temps, ' en certains cas, il s'y associe des conceptions
intenable, on l'empêchait de gagner sa vie, on voulut l'assassiner. ' Archives, 2" série, t. VIII. 7 98 CLINIQUE ME
ospice général de Lille; or, réfléchit-il, à ce moment il n'y avait ' aucun moyen de locomotion, et le marquis de la Tr
02 CLINIQUE MENTALE. Voici d'ailleurs ce qu'il écrit il ce sujet. ' « Asile d'Armentières, 5 mars 1898. (D'après le
Ce n'est point une exagération, mes souffrances sont intolérables. ' 108 CLINIQUE MENTALE. « La machine fait craqu
i. Le 1 ? janvier 1898, Chen... étant en permission a été pris de ' La mère de Clien ? a bien voulu répondre par les
es décrits et figurés dans un travail récent de P.-S. de Magalheies ' et dans les mémoires plus anciens de Vogt", Bru
el sont : la paralysie infantile et l'hémiplégie cérébrale infan- ' P.-S. de Magalheies. Un cas de raccourcissement c
tl'enl/unrl {Arcli. de /"an- geitbeek, 1882, Bd. XX\'lI, p. 210). ' G. Jetter, cité par de Magalheies. Il Il y aura
II. Consultation médico-légale au sujet d'un internement ; par le D' ' Henry Bonnet. i Un nommé S..., ayant été inte
r minima ou nulle lors de l'état hypnotique et des états analogues, ' peut, même à l'état de veille chez certains suj
gieuses et délire religieux transitoire dans l'épilepsie ; par le D' ' H. 1.1BILLG. L'auteur rapporte quatre observati
de temps après le début de la claudication est survenue l'atrophie. ' M. Brissaud répond que l'atrophie est survenue
i, à partir de la 9° paire dorsale, avait détruit complètement la ' Les deux cas que nous connaissons sont également
guérison a été complète ; elle s'est maintenue depuis treize mois. ' Incontinence d'urine et suggestion pendant le s
e quels troubles de nutri- tion se produit cette auto-intoxication. ' 9. L'éncrvement ; par le D1' ! lhnGA1N. Il ex
n en remplacement de M. le Dr ViALLON; - Par divers arrêtés M. le D' ' DoDERO a été nommé médecin adjoint à l'asile Sa
nt vingt francs, y compris l'abon- nement de 1899. - A partir du le` ' janvier 1900 le prix de la collection complète
en haut par l'excitation de la zone inférieure, latéralement par ' Joanny Roux. Réflexes rélino-réliniens (arc. d'op
C'est dans la traversée du centre d'association que sont ap- parus ' les deux caractères que nous avons attribués plus
lésions unilatérales. C'est ce que va nous apprendre la pathologie. ' . CHAPITRE II APPLICATIONS A LA PATHOLOGIE
x des mou- vements oculaires. Les uns et les autres peuvent avoir ' Voir en particulier Brissaud, Troubles de la sens
ie. Ce n'est pas à dire cependant que la suppression de ce centre ' On sait que la dissociation de ces mouvements dan
n trouble; en fait, ces troubles exis- tent, mais sont très légers. ' A l'état normal il nous est possible de fermer
plus, il en est qui affirment que son apparition date de l'ictus.. ' Si après avoir fait fermer les yeux à un hémipl
ine, Surmont, Gianelli, etc.). Ce sont ces faits qui ont servi de ' V. Miraillé, loc. cit. 2 In Pughese, loc. cil.
dans la majorité des cas, comme condition anatomique, une lésion ' Grasse). Progrès médical, l8îG, p. 106. s Lando
leur an- cienneté, du inanque de précision dans les observations. ' Charcot et Pitres. Bibl. Charcol-Debove. Lemoin
oine. Rev. de médecine, 188î, p. 5j9. 3 Surmont. Th. Lille, 1887. ' Gianelli. La blephnroplose d'origine corticale (l
ont les seules vraiment probantes que nous ayons trouvées. Wernicke ' cite bien encore un cas d'Andral, et un autre d
ésentait des mouvements de latéralité des yeux incomplets à gauche. ' - - Nous préférons ne pas faire usage de ces ob
e regard à gauche. Cette observation nous a paru trop incomplète. ' Wernicke, loe. cil., p. 273 et 2îf.. - .. - . -
ation inaugurale. Berlin, 1892.. (In Neur. Centr., 1892, p. 473.) . ' DOUBLE CENTRE D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 1K7
e était due à une double lésion des lobules pariétaux inférieurs. ' Cette conclusion ne vaut que pour les quatre cas
es. Cela nous expliquerait pourquoi les troubles oculaires sont .si ' rarement signalés dans les paralysies pseudo-bu
ont .si ' rarement signalés dans les paralysies pseudo-bulbaires. , ' ' Wernicke, loc. cil ? 3 Dans un travail fait
.si ' rarement signalés dans les paralysies pseudo-bulbaires. , ' ' Wernicke, loc. cil ? 3 Dans un travail fait en
). Nous rattachons aujourd'hui cette observation au svndrome d'Erb. ' 1 1 198 PHYSIOLOGIE. Il est inutile de renouv
etcher. Ingravescent apoplexy (Med. Times London, 18f6, XIII, 415). ' William Gull. Cases of aneurism of lhe cérébral v
. TraRSaU.. 1876, LIX, 335). 200 PATHOLOGIE NERVEUSE. Broadbent ' a repris cette étude en 1876 en se basant sur c
siste. Après un temps qui peut varier de quelques minutes à quel- ' Broadbent : On ingnauescertl apoplexij. A contrib
cei-ebi,cil toMVe'co-c/t/r. Transactions, vol. L1Y, p. 335, 1876). ' Puech. Apoplexie progressive et hémorragie ventri
du corps calleux et en arrière vient dilacérer la capsule externe. ' Observation II (Vedel). C... Léon, cinquante-
es convul- sives dans le membre supérieur droit et l'on constate le ' lendemain une hémiplégie droite. Dans plusieurs
. Selon M. Marinesco, cette seconde phase n'est pas fatale. Cette ' Nous avons l'habitude, et nous ne sommes pas le s
rantielle ; lésion unilatérale du nerf vestibulaire gauche, de la S' ' paire, du glossopharyngien, du pneumogastrique
mouvements de chaque articulation. Le médecin veille sur tout. Le D' ' Kratenberg fait faire la gymnas- tique avec des
n autre ordre Archives, 2' série, t. VIII. 1tj 242 BIBLIOGRAPHIE. ' d'idées je me demande s'il faut regarder comme
Le suc ovarien. Effets physiologiques et thérapeutiques ; par le D' ' GESTION. L'auteur conclut : 1° de ses expérienc
ménopause naturelle ou post-opératoire, dans la chlorose et aussi ' Voir Archives de Neurologie, t. VIIT, no H. p. 46
gers à leurs productions. t Je n'y suis pour rien, disait Mozart. » ' Cette démonstration met en lumière l'une des co
rsions de 'l'instinct sexuel chez les enfants ; par le D' PÉLOFI. ' L'hérédité est capable de subir des transformatio
st applicable, c'est-à-dire chez les hystéti- i- BIBLIOGRAPHIE. 219 ' ques et les hystéro-neurasthéniques, elle échou
es, n° 2, il neuf heures et demie du matin. Des communications et ' Voir : Léliii, /. 'Amulette de Pascal. Y C'est
quence, Vacher a été condamné à deux ans de prison. (Le Soleil du ' Voir le Compte rendu de la première séance il la
ompte rendu de la première séance il la page 95 du nu- méro d'août. ' FAITS DIVERS. 255 2 juin 1899.) Voilà encore
ôpitaux de Paris et des asiles d'aliénés du département de la Seine ' , éliminant les délires d'origine médicale, les dé
ogastrique, l'établissement d'un anus contre nature, etc. M. le D' ' Régis', au contraire, distingue, dans l'ensemble
t du deuxième au dixième jour, et qui sont dus soit à la septicé- ' D' Régis. Les troubles psychiques post-opératoire
tre opinion, soutenue par M. le pro- fesseur Joffroy et par M. le D' ' Rayneau1, auteur du rapport si documenté présen
Rayneau les a relatées, en détail, dans son remarquable travail. ' De Rayneau. Les troubles psychiques posl-opéraloi
usqu'au jour où une faute grave le fit renvoyer de l'établissement. ' Il se trouva alors brusquement sans ressources
notre malade, la forme que certains auteurs, en particulier M. le D' ' Régis, considèrent comme caractéristique des état
ique. « Les délires toxi-infectieux ou auto- toxiques, dit M. Régis ' , ont tous pour formule clinique la confusion me
ble aussi avoir été réduite à son minimum. M. le professeur Joffroy ' attribue à cet élément représenté par la « préo
ues consécutivement à une intervention chirurgicale, le rôle pré- ' Professeur Joffroy. Loc. cit. RELATION D'UN CAS
e droite est tirée en haut; la commissure gauche est abaissée. Très ' légère déviation de la langue à gauche. Les pil
et de la couche optique, les deux tiers postérieurs de l'avant-mur ' ! % ig. 5. a. substance grise; b, ,eulriculc5j
que l'orbiculaire gauche. Effacement des sillons et des plis de la ' face à droite ; déviation de la commissure labial
ndemne. Faut-il rechercher dans l'écorce la localisation choréogène ' ? La question reste posée, en tout cas la choré
même avec les plus forts courants utilisables de 1,4 milliampère; - ' GO Les contractions sont toujours d'une lenteur
ysie faciale. Elle a passé inaperçue et à Rose (t. VIII de la Chi- ¡ ' /t/'uie allemande, Stuttgart, 1897) et à Conrad Cr
n une folie périodique vraie. Elle est sus- ceptible de récidive. ' Quant au traitement, il est essentiellement varia
folie est invoquée par la défense une commission composée d'experts ' médicaux particulièrement compétents. Cette j
iges. Nombreuses tumeurs sous-cutanées formées par des cysticerques, ' du volume d'un petit pois ou d'une noisette. Le
n'est pas suffisamment élucidé dans les observations de M. POPOFF. ' Secrétaires des séances : A. Bernstein ; N. VER
s cérébro-spinale (6 ca), d'affections diverses du neurone moteur ' (névrite multiple, amyotrophie spinale, etc.) et
KY. M. Lioubouchine. - Un cas de démence organique chez une femme ' hystérique (avec présentation de la malade). Co
nal ne présentent entre elles aucune différence dans la structure ' Nageotte et OEltlinger. Presse médicale, 1898. (A
le même sens et au même degré pour toutes les cellules examinées ? ' ! On ne saurait donc trop multiplier les compar
des cultures de streptocoques; sur gélatine pas de culture visible. ' Les caractères morphologiques des cultures en b
, Reiiilinger 1), ou même le diplocoque infra-cellulaire (Piccinino ' ) que l'on attribue la genèse des lésions. , N
prit. Mais il suffit, à 4 Roger et Josué. Presse >7écl., 1897. ' Ol : ltinger et )Iariiiebco. Semaine méd., 1895.
erva- tions, elle ne saurait actuellement résister aux travaux où ' Nauwerk et Barth. Zierller's Bei ? Oye : /11' pat
avec des lésions étendues à tout son neurone moteur périphérique. ' Nous pourrions d'ailleurs critiquer sur bien d'au
e. Boudin', dans sa thèse a tenté une catégorisation de ces typcs ' Bodin. Les paralysies ascendantes. (Thèse Paris,
nes moteurs péri- phériques et avec symptômes uniquement moteurs. ' Raymond. Presse médicale, 1896, p. 29. Clinique d
ociées ou non. MM. Ballet 2, Ritti3, Séglas et Londe \ Roubinovitch ' , .Janet 6, Pieracciui7, ont rapporté des cas d'
où la voix intérieure parle, malgré le malade sa langue se meut. ' Jofiroy. Progrès médical, 1893, p. 413. Hallucina
ations de l'ouïe, de la vue et psycho-motniees verbales en 18()G. ' Sellas et Londe. Loc. cil. Mairet. Montpellier
Londe. Loc. cil. Mairet. Montpellier médical, 8 novembre 18 ? ). ' Sérieux. Hallucination psycho-motrice chez une pa
(AI'ch. de neurologie, mai 18Ui). - Gaz. hebdolilad" 189g, il- 19. ' Vallon. Annales médico-psychol., 189a, p. 97. '
ad" 189g, il- 19. ' Vallon. Annales médico-psychol., 189a, p. 97. ' Cololian. Les alcooliques persécutés (Thèse de Pa
elle un dialogue singulier de la voix intérieure aux voix externes. ' Les voix externes disaient : « Tu n'as pas payé
ue. L'examen physique ne nous révèle rien de particulier dans les ' organes. Les urines ne contiennent rien d'anormal
sieurs fois. Comme le malade de M. Val- 384 CLINIQUE MENTALE. Ion ' , notre malade a eu des idées mystiques. Lui, qui
'est marié avant son service militaire. Etait-il heureux en ménage, ' « oh ! non » répond-il, ils se disputaient à ch
enfants, l'un de vingt, l'autre de dix-sept ans. Cela le chagrine ' Ch. Vallon. .11111. 7)édico-I)sycho., 1895, p. 91
éressant la fonction du langage dans ses éléments psycho-moteurs. ' E. Fournie. Physiologie du système nerveux, 1Si`3
s, 1880, p. 100. a Séglas, Progrès médical, 1888, p. 125. 388 v ' CLINIQUE MENTALE. Il est indispensable de voir
tiples, effrayantes. Un bruit, un rien fait sursauter le malade; ' Soury. Les fonctions du cerveau, ? étiit., 1890,
alade; ' Soury. Les fonctions du cerveau, ? étiit., 1890, p. 370. ' Joffroy. Hallucinations unilatérales. (Archives d
fter conclut à l'hystérie. Ce diagnostic est sanctionné par M. le D' ' Gilbert Ballet qui voit l'enfant et con- seille
jours; gymnastique, travaux scolaires et manuels, traitement moral. ' Février. Le 10, trois attaques. - Le 13, une (d
atteinte, et que la zone d'analgésie s'étend parfois plus haut que la ' zone de thermo-anesthésie, permet de penser qu'
sychiatrie, aIVIII) notamment les dégénéres- cences descendantes. ' L'intérêt principal des dégénérescences ascendant
arle professeur Mignault. (Union mé- dicale du Canada, n° 5, 1899.) ' Début d'une série de conférences ayant pour but
au bout de l'année, en rémission complète. (The American Journal o/ ' ittscmily, avril 1879 '.) E. B. XIX. Bains froi
sept ans, fils et frère de névropathes, très impressionnable lui- ' Depuis vingt ans, nous employons dans le service
rmi- ner la valeur réelle de cette méthode. (The American journal o/ ' insanity, avril 1899.) E. 13L1N. XXX. Traitem
1899.) E. B. XXXI. Un cas de tic traité par suggestion; par M. le D' ' Félon. (Journ. de Neurologie, 1899, nu ! 13.)
retrouvés dans la plaine de Gennevilliers, abandonnés sur la route. ' Des constatations médicales il résulte que la f
ur toute la France3. Il ajoute que ce qui l'a rendu si chaud par- ' Pinel. Traité médico-philosophique sur l'aliénati
onsidérer le travail moins comme un moyen de traitement que comme ' Lapointe. De la réunion des fonctions médicales e
ole- ment, le massage, la suralimentation et l'électrothérapie 3. ' Griesinger. Traité des maladies mentales, p. 518-
de 1839, au nom de la Commission des aliénés, par Lefebvre-Duruflé. ' Wen' Mitchell. On rest in lltc lrealrnenl of nerv
le repos au lit chez les femmes hystériques et neurasthé- niques. ' Playfair. Cité par Weir Mitchell in Fat and Llooc
atique des maladies mentales, 1890. II e7-ri THÉRAPEUTIQUE. Régis ' , Dagonet et Duhamel 2 signalent également le re
uës. La même année, Hergt insiste sur la nécessité de l'alitement ' Régis. Manuel pratique des maladies mentales, 189
/clricrlr·ie. (.Illg. Zeilsch. f. l'sych., 1860, t. XX. p. 512.) ' "Brosius. (Irrenfreund, 1862. 6.) Die Jsyte Rendor
l'sychialrische l3larlers, t. VIII et IX.) Il Rabow. Behanrllmrl de/ ' psychischen Erregungszuslânde. (Ilerlin, klinis
méthode est appliquée à l'asile-colonie d'Alt- Scherbilz par Paetz ' , et à l'asile de Baie par Wille 2. A Alt- Scher
lanslrrll Johannisberg bei Kaisersxverlh, 1883, p. 3.\, et ï : i, ' Scliùle. Traité clinique des maladies mentales, 1
et J. Uaonet. 1888.) ° Lever. Die l3ehamlhenJ cler ]Jsychischell 7) ' )'fy)) ? <f/ Depl'es- sionscuslcintle. (Themp
4, et fait connaître en 1896 le résultat de ses observa- tions10. ' IIPbold. l3ellbehnrzcllttnr/ und Zelle. (Allg. Ze
. Die Kolonisirung des Geisleskranken. Berlin, 1893, p. ? os- ? 15. ' Scholz. Die nfichsle Aufgabe der Il'l'enpfll'.7e.
és, dite du lil (en russe). AI ? hiv psikltictlr., t. XIX, p. 3.) ' Bernstein. Sur le rôle du séjour au lil dans le t
.^a dépression, chez les patients faibles, malpropres et chez cè'u' ' : qui se fatiguent rapidement 2. ' En Anglete
aibles, malpropres et chez cè'u' ' : qui se fatiguent rapidement 2. ' En Angleterre, la méthode ne paraît pas encore
s de manie3. Rappelons encore une revue générale de Manhei- mye ! ' 4; un article de P. Kéra val5; la thèse de Lacomb
sation de courbature qui se produit au niveau des muscles fatigués. ' SENS MUSCULAIRE. 463 des mouvements volontair
ons, mais avec quelque chose de plus. A la suite de Johannès Muller ' beaucoup d'auteurs avaient été amenés à admettr
a conscience en un sentiment suieaeris, assez vague en réalité et ' llandbllch d. Physiologie, II, p. 500, 1850. .
u'un résidu de sensations musculaires antérieurement perçues. Or, ' .1. Pitres. Leçons cliniques siii l'hystérie. Par
au sujet de la pathogénie de ses hallucinations psycho-motrices, ' .Magnan et Séiieux. La paralysie générale. HALL
et 24 seulement pour la main droite. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 481 l L'hypertrophie du bras droit parait porte
ent paralysé pendant que, pesamment chargé, il montait un escalier. ' 1 P. KERAVAL. LXII. De l'encéphalite hémorrag
s'enfonce dans sa substance blanche en se rapprochant de la base, ' pénètre obliquement de haut en bas la seconde tem
hémisphère gauche. Où siège plus exactement cette tumeur frontale ? ' ? Près des ascendantes' ? Non pas, car il n'y a
de. C'est une dysurie émotive propre à la jeunesse et à la puberté. ' Mécanisme. Pour uriner (.Tames,Janet, Raymond)
e dans la région périnéale (Guyon) et, finalement, dysurie, anurie. ' Traitement. Détourner l'attention de ces organe
la fois symptômes convulsifs dus à l'influence directe de l'alcool. ' Il est bon de remarquer qu'il ne s'est pas prod
terne ; par W. V ? RD.1. ( ! \'el( ? '010g. Centralbl., XVI, 1897.) ' Il s'agit d'un homme de vingt-trois ans neurast
s de l'épilepsie en général. Elles peuvent survenir sous la forme ' De nombreux faits montrent l'action puissante de
ndra uniquement l'hôpital spécial pour les aigus, que l'on traitera ' comme des malades physiques, l'assistance famil
aient moins pénibles. En ce qui concerne le massage j'ajouterai 512 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. que nous ne l'employons que
ceux du chloro- forme. D'ailleurs, si, après échec de l'hypnotisme, ' on décide de - recourir à un hypnagogue, on est
Dans une suite de chapitres résultant toujours logiquement de 820 ' bibliographie. ses constatations anatomiques- e
iencieuse qui termine son livre est particulièrement instruc- tive. ' X. NÉCROLOGIE. Le D'CALES. Le D1' J.-G. Cal
leptique brûlée vive, 217. Dé- mence - paralytique spasmo- (11(lU( ' à l'époque de la puberté, par Voisin, 331. Obse
meh. Le groupe des trauma- tismes médullaires, par Minor, 336. ) ' ! ionn' : s.Lesnem'asthcnifjnes traitées par au
nd, 57, 150, 231, 3'<6, 509. de neuiopathologie et de psychia- ' trie de Moscou, lî4, 333, 23L - de neurologie,
par f3oblnson,Sl3. Symbolistes et décadents; par Ba- génon, 323. ' Sympathique. Traitement de l'épi- lepsie esse
r 13riand, 16b. Maladies du -, par Robent, 306. Syndrome de LARDR) ' par lésions exclusives des cornes antérieures
Chabaneix, 216. Charon, 433, 481. Chartier, ni. Chauffard, 480. ' Chipault, 513, 519. Clark, 509. Colin, 319.
m9. Ilûrijlo, 160. Hoffmann, 502. Holzin¡;er, 31 L Homen, 42. ' Huches, 330, 425. im'bert, 245. Jakovenko,
Oherthur, 515. OssipOAv, 488. l'ml-Boncout t, 319, ;)1S, 520. ' Pawinski, 48. Pechkrang, ;'06. Pélofi, 248.
55 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
MA11ANUON l)li 110\TYEL, MA1111Î, ! 1lEBZEJEWSKY, \ll1SGIIA YE-CLA \ ' , 1'10111, PAIIIS, l'lEHIIEr, l'IFEIiKOFF, PITII
E AVEC LÉSIONS TABÉTIFORMES DES CORDONS POSTÉRIEURS ; , . 1 . , ' l'AR ¡ . A. JOFFROY, Professeur de clinique d
mentales. ET T Et. RAISAUD, ¡ Chef du laboratoire d'analomic \ ' pathologique à la clinique des maladies * men
forcé de faire de l'une et de l'autre maladies une entité morbide ' Congrès des aliénistes. Toulouse, 1897. Archive
le de syphilis cérébrale, et nous ne serions pas surpris que pour ' Baillarger. Des rapports de l'ataxie locomotrice
de la paralysie générale. (Annales médico-psychologiques, 1885.) ' Ibidem, p. 191. 1 4 z CLINIQUE MENTALE. que
revenait sur cette question en 1894 au Congrès de Clermont- Ferrand ' et publiait une observation très démonstrative à
spinal, publiée dans la Revue de Psy- clriïrtnie. juin 1S9S. 6 ' CLINIQUE MENTALE. Evolution de la maladie. Le 2
, ne présentent pas'de lésions apparentes. 8 CLINIQUE MENTALE.- ' grisâtre et paraissent présenter un certain deg
à la conclusion déjà formulée à diverses reprises par l'un de nous ' due la paralysie générale « ne s'en prend pas c
nt fasciculées. Quant aux autres fibres, elles sont radiculaires, ' A. Joffroy. Contribution Il l'anatomie pathologiq
e et la zone de Lissauer. Pour aller jusqu'au bout, il n'y a rien ' Klippel. Les neurones, les lois fondamentales de
e- ment sur le monde extérieur et disparaissant au bout de peu de ' Depuis l'apparition du livre de M. Séglas sur le
NÉGATION. 25 at't'êté. Il ,emble il1\1u< A... qu'on VIL sll)'eoi) ' Il tout. Eile eottoujout's à se demander : qu'e
re de la malade elle-même, préexis- tait aux accès proprement dits. ' Observation III. - Sommaire : Ménopause ; opéra
qu'il peut y avoir en dehors de la sénile des psychoses primaires ' More). Études cliniques, t. II, obs. II. 40 R
ence, et par lesquels ils subviennent parfaitement à leurs besoins. ' En même temps il y eut un changement complet de
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. IL Ophtamoplégie nucléaire; par M. le D' ' Marfan. (Revue tinter- nationale de médecine et
ourants d'eau froide dans le bonnet de caoutchouc à tube spirale. ' A. Marie. IX. LE traitement de l'ataxie par l'é
GGESTIP dans la clientèle DE ville; parDELiUs. (Zct(se/tt ? </Yt) ' /n/p) ! 0<Mm : <s, t.V,fasc. 2, 3,4.) L'a
une erreur de diagnostic dans les observations qu'ils ont publiées. ' M. Ballet. MM. Mairet et Vires émettent sur la
ombinée de chacune de ces deux infections sur le système ner- veux. ' I. Sous l'influence de la toxine diphtéritique,
es remarques sont faites par MM. Préobrajenski et Rossolimo. Le D' ' Scndrr présente un malade âgé de vingt-un ans ave
ment analysés et groupés; c'est dire qu'il est éminemment personnel, ' et l'intérêt qui s'attache à toute idée personn
hilis et l'hérédité mentale et nerveuse ont un rôle absolument nul. ' Abordant la genèse de la paralysie générale, le
tion ou la prédominance de certains symptômes, tels que l'agitation, ' les attaques apoplecti- formes et épileptiforme
ministériels et préfectoraux des mois de mai et juin 1898 : M. le 1) ' VERNET, médecin en chef de l'asile de Maré- A
mmé médecin en chef de l'asile du Mans, en remplacement «de M. le D' ' JouRNiAf : ; M. le Dr JouRNiAc, médecin en chef
us pour- rions même dire que cette altération est constante en ne ' Congrès des médecins aliénistes el neurologistes,
hoix. , A chacun des éléments qui constituent le système nerveux, ' Contribution il l'élude des lésions spinales de l
tube nerveux dans l'intérieur duquel il n'y a plus place que pour ' Archives de médecine expérimentale, 1891. erger
scription semblent dessinées sur quelques-unes de nos préparations. ' Et dans l'intoxication expérimentale par le pho
au chien, à dose toxique, par Masetti, dans l'intoxication par la ' Comptes rendus de la Société de Biologie, 1896-97
frappé. A l'article : Syphilis MÉDULLAIRE du Traité de médecine, ' Semaine médicale, loc. cit. 96 ANATOMIE PATHO
ériques. La chromatolyse des cellules médullaires a été observée, ' 7'<Y< : <e</emeWec<eCharcot et Bri
attirer sur elle l'attention de son entourage et à le gagner à sa ' Hallucinations. 102 RECUEIL DE FAITS. cause
s'est écoulée depuis la sortie, me permet de publier ce fait sans ' crainte de critiques relativement à la réalité de
rison. Voilà donc un cas de délire systématisé, dont le début re- ' Délire professionnel chez cette malade autrefois
se rap- proche beaucoup d'une observation longuement publiée dans ' les Archives de Neurologie (n° 5, année 1896) par
it quand on promène la préparation à 20 ou 25 centi- mètres du fil. ' L'auteur a pu aussi constater des phénomènes d'
de provoquer l'excitation des nerfs sensitifs de la main. En mel- ' Arch. {ill' exper. Pallt. and 1' ! t(tI'1n" t. XX
le tamponnera à l'ouate, car, autrement, l'eau s'écoulerait par la ' Voy. Traité pratique de coaniomélrie, par Benedik
qui sous l'influence de l'administration du bromure, est la cause ' du bromisme, il n'y avait qu'un pas. En effet, da
ibliographie dans le n° ? 7,1395, p. lô du Progrès médical. M. le D' ' Auguste VOISIN ', Médecin de ].1 Stlpélrière.
le n° ? 7,1395, p. lô du Progrès médical. M. le D'' Auguste VOISIN ' , Médecin de ].1 Stlpélrière. nécrologie. 14
e la 1'é/J/i sipii dans la paralysie générale iio de novembre 1891. ' Les obsèques de notre confrère ont eu lieu à Dô
Ladame, de Genève. Les délires transitoires (discussion) ; par le D' ' Garnier, médecin-chef de l'Infirmerie spéciale à
élire de revendication en dehors de la folie raisonnante ; par le D' ' Cullerre, directeur-méde- cin de l'asile d'alié
élimination du bleu de méthylène chez les épilepti- ques ; par le D' ' Voisin. Application de la suggestion hypnotique c
annois et Jaboulay ltlélano,dcrrnie chez les épileptiques; par le D' ' Lannois. Sur le traitement des tics. Sur quelqu
pilepsie et traitement chirurgical. Idiotie et alcoolisme; par le D' ' Bourneville (Société de patronage de Paris). Lava
l'excursion de Saumur; 4° il l'excursion de Saint-Florent-le-Vieil. ' IL Les indications pour les demandes de billets d
séance ultérieure, à en choisir quatre; une de pathologie mentale, ' une d'anatomie pathologique, une autre de thérape
n trésorier et un comité de direction composé de dix membres . Au\ ' , 5. Le Conseil d'administration se réunit chaque
ssonsse promit de ne plus recevoir désormais le pauvre dément. L. ' )58 FAITS DIVERS. L'ami, ainsi évincé, en conçut
tersuchangen ¡¿bel' den Leprabacillos urzcl itber die Histologie de; ' Lepra. - Volume in-4° de 112 pages, avec 8 planch
les injections inlNI- musculaires de sérum artificiel & ! c/to) ' ;<;'6, ci doses intensives et e/o ? .</nee4.
ELLE; CONTRIBUTION A LA PATUOGÉNIE DES EXCAVATIONS INTHAMÉDULLAfRES ' 1 Par S. ORLOWSKI. (Clinique des maladies ner
sa quatrième année de rougeole et de petite vérole; depuis, jus- ' Communication faite à la Société de Xeitropalholo
t de Psy- chililrie de Moscou dans la séance du 28 novembre 1897. - ' Archives, 2e série, t. VI. 11 f 162 CLINIQU
première observation analogue, publiée encore en 1837, par Ollivier ' , nous ne trouvons dans toute la littéra- ture m
le des Btiscli. Eiii ]7cill voii aiiàfiebi,eileie- Z<;<<. ? « ' A'e<'t)e<f/K'<7/tMH<<e IIieizle
u n'étaient que transitoires et peu impor- tantes : cas de Schultze ' , de Richter= et le nôtre. La paralysie n'est pa
d'éta- blir quelques données générales qui puissent mettre sur la ' Fr. Schullze. Ein Fait von eigenthilmlicher multi
lvienne (Schataloff etNikiforoff), à une myélite transverse (Cramer ' ), à une méningo-myélite aiguë (Schulz), etc. ,
gomyélie restent obscurs ; les deux phénomènes réputés comme pre- ' Schlesinger (11.). Die Syringomyélie. Eille Monog
treschwulsl uacl Illhlenbildnyl im Ritekeunm'l' Stuttgart, 1887. ' Zerrath. Eein Fall von Saerallmuun mil Spina bifi
es- sion de la moelle. Ainsi, d'après Schlesinger, la compression ' Jo(rroy (A.). De la pachyméningite cervicale hype
chow's Archiv. Bd. XXVII. 1 Vulpian. Archives de Physiologie, 1869. ' ° Oppenlteim (H.). Cltal'ilé-.Jllnalen,188 ?
pas seulement les tumeurs médullaires : on a le droit d'y ranger ' Schttltze. Ne/Jl'olor;isches Cenlralblall, 1897.
qui la période intercalaire peut être de huit ou quinze jours '. ' J. Voisin. L'Épilepsie. F. Alcan, 1897. 190 C
190 CHIMIE PHYSIOLOGIQUE. Comme, dans nos recherches antérieures ' , nous avons employé le procédé de MM. Achard et
pte en consultant le tableau des attaques dressé dans le service. ' J. Voisin et Hauser. Remarque sur l'élimination d
97). .T. Voisin et lIauser. Sociélé mécl. des ltôp" 18 juin 1897. ' Féré et Laubry. Sociélé de Biologie, 23 octobre 1
heure, tandis qu'à la 91° heure, le bleu est encore très apparent. ' 1\° 8. Go... (30 ans, moyenne des attaques par
ois de plus que tout traitement rationnel doit compter avec cette ' Bar. Menu et Mercier. Perméabilité rénale de la f
le ministre de l'Intérieur, Cazanavette, procureur général et le D' ' Petrucci, directeur de l'asile de Sainte-Gemmes.
choix de la ville d'Angers pour siège de votre neuvième Congrès. ' Jules Voisin. Epilepsie. Chapitre : Traitement, e
imposées à sa compétence, n'avance rien dont il ne soit pas sûr. ' La médecine légale des aliénés avec les intéressa
ire nerveux en déclarant qu'il se confond avec le délirium tremens. ' Dès lors la question provoque surtout à l'étran
professeur Ma iret, de Montpellier, et la thèse de son élève, le D' ' Denis. Les deux auteurs affirment qu'entre l'op
ntoxication réalisé par l'absorption de matières fécales et de gaz. ' Pieracccini en Italie, Jacobs de Bruxelles, Mar
ve de M. le D'Picqué qui s'est adjoint en la circonstance à M. le D' ' Briand. Nos deux confrères démon- trent que si
été plusieurs fois le mot ou la date qui lui sont venus à l'esprit. ' Un autre malade, cité par Vène dans sa thèse, e
cocaïne; les antiseptiques et en particulier l'iodoforme; ? 1 (j ' SOCIÉTÉS SAVANTES. l'anémie cérébrale ou la cac
des troubles mentaux, Koenig, Krcemer, M. le P'' Berger et M. le D' ' Brun dans sa thèse d'agrégation, ont publié des o
qui fait le sujet du rap- port médico-légal communiqué au Congrès. ' L'auteur donne une observation détaillée du cas
les imbéciles. Pour son compte personnel il en a recueilli deux. ' Tumeur du corps calleux. MM. Ssr.as et P. Loivo
ulpé se trouvait héréditairement prédisposé à l'aliénation mentale. ' J'aborde maintenant un dernier point qui me par
onditions pathogéniques ou tout au moins ses causes déterminantes ? ' A la suite du rapport de M. Vallon, M. Motet, a
: « Lorsque vous m'avez chargé d'organiser le 9° congrès de méde- ' Nous n'avons pas assisté à la séance où notre ami
ies de la toxi-infection qu'elles relèvent toutes de la même cause. ' Nous en dirons autant des affections qui ont po
sidé par M. Delpech, préfet de Maine-et-Loire. SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 247 Pendant le banquet, la musique de l'établis
le de la Roche-sur-l'on, vient appuyer l'affirmation du De Terrien. ' Un cas de chorée saltatoire chronique datant de
ts importants qui ne pourront jamais prendre une grande importance. ' L'asile d'Evreux, qui a 900 lits, dont la popul
state Zambaco Pacha à Constanti- nople. Mais il n'en est pas ainsi. ' Cette doctrine de Zambaco sur l'atténuation de
tout en insistant sur cer- tains points de diagnostic différentiel. ' Le nommé Manuel de la 0..., âgé de dix-neuf ans
errompu. Il a eu parfois des évacuations composées SYRINGOMYÉLIE. ' 279 exclusivement de pus. Il y a contractions v
vertébrale suffi- raient pour la distinguer de la pachyméningite. ' A ce propos les habitudes varient selon les pays,
lèpre sans affection cutanée.» à c Selon la grande expérience du D' ' Danielssen et la nôtre, on pourrait admettre qu
l et d'hérédité homologue qu'affecte quelquefois cette maladie '. ' Ferranini. \'eteleo nosologico délia siringomieli
nora non descrita. (La Ri forma Medica, vol. II. n" 61 à 65, 1894.) ' CLINIQUE MENTALE. TUBERCULOSE ET ALIENATION
hystérie ; QU'EST-CE que l'hystérie; par A. FOREL. (Zeitschrirt fil¡ ' hypnotismes, t. V, fasc. 2, 3, 4.) L'hystérie n
normale est à l'hystérie ce que la . tristesse est à la mélancolie. ' LWOFF, LXHI. Auto-observations PENDANT l'état h
3.) Deux malades hynoptisés racontent leurs sensations : diminu- ' lion de la personnalité; on dort, mais on se sent
n puerpérale, la septicémie. A. Blanc. LXXXIV. Erytrophobie ; par ' BECIITEREW. (Revue de psychiatrie, neurologie e
des de coloration modernes qu'on a pu constater leurs connexions. ' On trouvera des renseignements sur cette question
n volts considérables pour l'excitation (Wertheimer et Salomonson). ' C. Etudes cliniques. - 1° Quelle est l'importan
tudes est rehaussé par des reproductions d'instantanés de M. Londe. ' R. Cuanov. 318 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
tend jusque vers l'extrémité inférieure du quatrième segment sacré. ' G. D. XXI. Etude critique ET expérimentale SUR
ÉNÉ- RALE QUI PRÉCÈDENT DE LONGTEMPS LA MANIFESTATION DE LA MALADIE ' , par M. le professeur Thomsen (de Bonn). (Journ
SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES ' 1 NEUVIÈME SESSION. - (Angers 1898.) Séance d
retentissent dans les sphères sensitives de l'écorce et s'accom- - ' Voir Archives de Neurologie, no 33. SOCIÉTÉS
une grave lésion encéphalique (atrophie unilatérale du cervelet) '. ' La communication de 31. Lannois a été faite a la
oit. R..., ouvrier en cuivre, marié, âgé de trente-sept ans, doué ' Calmeil. - Maladies inflammatoires du cerveau.
ons. Cinquième observation. Sommaire : Folie épileptique; mort du ' Au moyen de notes et de résumés d'autopsies trans
érite. F... meurt de gastro-entérite au commencement de décembre. ' Malade de les D" Binet et Brunet. 334 SOCIÉTÉ
son entrée à l'asile il n'a eu aucune attaque convulsive Signé : D' ' Brunet. 1er avril, démence épileptique. Le 10, il
'est exprimé en ces termes : « Mesdames, Monsieur le Président, ' < Messieurs les Congressistes, « Votre voyag
Regnard, en l'honneur de notre distingué et aimable président, le D' ' Motet et de vous toutes Mesdames, qui venez app
ut le tour du sable, dont elle ava- lait jusqu'à un seau par jour ! ' La quantité d'aliments ordinaires était réduite
r M. Charcot, qui savait discerner les aptitudes et répartir à cha- ' C'est par erreur de l'imprimerie que le portrait
fectieuse et n'est pas en rap- port avec la lésion hépatique 2 ». ' Klippel. - De l'insuffisance hépatique dans les m
bles nerveux d'origine hépatique (Archives gén. de Méd., mai 1896). ' HÉPATISME ET PSYCHOSES. 355 On voit que la
de la détérioration du foie est l'alcool ; aussi est-ce dans les ' Charrin. Maladies du foie et folie (Société de bi
ou auto toxique, de nature à expliquer les désordres psychiques. ' Société méd. des hôpitaux, janvier 1896. 358
old Lévy a publié il y a deux ans, dans les 362 CLINIQUE MENTALE. ' Archives générales de médecine, l'observation d
après en proie à un accès de manie ambitieuse pour quelques liba- ' Léopold Lévy. - Somnolence et narcolepsie hépatiq
ir pour un progrès réel dans la séméiologie des maladies mentales ? ' ? Le rêve à demi-conscient du buveur avec sa du
lés; elle cherche à se laisser couler au fond de sa .baignoire. ' HÉPATISME ET PSYCHOSES. 367 17. - Ce matin, ell
somme il s'agit de démence secondaire avec délire de persécution. ' Le 20 février 1875, la malade est prise de la gri
en commençant par la prodromique. Un de mes oncles maternels, le D' ' Louis de Crozant, alors qu'il était interne des
transmission des sensations, des erreurs dans leur localisation. » ' On voit combien les assertions de nos meilleurs
t ceux déterminés par un courant électrique à interruptions rares'. ' La malade présenta de la fièvre dès son entrée
porter le diagnostic d'abcès cérébral dans le lobe temporal gauche. ' Une intervention fut faite sans résultat. A l'a
ehuchten. Réponse aux objections posées dans un récent travail de ' M. Gerest, à la théorie de l'auteur relative à l'
progressive de Duchenne, constituée REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 409 par la réunion d'un certain nombre de cas e
suivre d'aussi près que possible l'apparition des trouble mentaux. ' Pour réaliser ces internements précoces, il fau
1898.) E. 13. IV. UN aspect DE la folie simulée; par le Dr ALL1SON. ' En raison de l'intérêt qui peut en résulter pou
eux pour la protection de la société c'est de les renfermer. Le D' ' BLANFono, médecin d'asile d'aliénés, fait remarqu
e. A. V. XLV. Diagnostic ET traitement DE la mélancolie; par le D' ' ZtEOEr` (d'Iéna). Travail important qui constit
ont compte de leur erreur. B. Service médical DES prisons; par le D' ' HAMILTON Wey. Le rôle du médecin de prison est
endant ET après LEUR internement dans la maison DE santé ; par le D' ' J. Morel. (ull. de la Soc. de méd. ment, de Belgi
l succomba subi- tement. (Le Temps du 16 mai.) Nécrologie. - Le D' ' SISTEIiAY ancien médecin en chef d'asile d'alié
dont deux en collaboration avec notre excellent collègue M. le D' ' Delaporte ; tous trois sont d'importants document
03 pages. Prix : 1 fr. 20. Napoli, 1898. - Stabilimento Gam- bella. ' Le rédacteur-gérant, BOURNEVILLE. Evreux, Ch.
ous les envisageons pour l'instant comme des foyers de ramol- 440 ' pathologie NERVEUSE. lissement. Plus tard, nous
éterminerons leur vraie nature et sui tout leur mode de production. ' Jusqu'à présent nous n'avons parlé que de la su
t à cette époque au sujet du ramollissement cérébral. Rohitansl : y ' l'identifiait avec l'encéphalite. Yirchow, à la
e comme cause du ramollissement*. Mais la question n'en resta pas ' liokitanslcy. Lelerbttcle der ? t0 ? Analomie. 3
amollissement cérébral, Paris, 1886) la plus riche bibliographie. ' (layem, Etudes sur les diverses formes d'encéphal
rée par une autre appelée zone inflammatoire, qui sépare le tissu ' Virchow, Ueber congénitale Encephalilis und Jlyel
s son évolution l'extravasation des éléments du sang est insigni- ' Friedmann, Zur Histologie und P01'meneintheilun[J
est insigni- ' Friedmann, Zur Histologie und P01'meneintheilun[J de; ' aculen nicht eilrirjen yenninen Encephalitis (A
e. Mais la véritable caractéristique de ces formes d'inflammation ' Leichtenstern, Deulschemed. Vochen., 1890, n° 23;
chl eitl'i[)en Gzzce ? lzalilis (Deut. med. Wochenschrift, 1895). ' 111urawielt', 11'eurolo. Cenlralblall, 1897, n° 3
uines capillaires. On sait d'autre part, comme l'a montré Bollinger ' , que des trau- matismes, insignifiants quelquef
d'une zone de dégénérescence autour des foyers inflam- matoires. ' Bollinger. Ueber lrctztn2alisclze Spælapoplexie.
que ce soit de commun avec les éléments de la paroi vasculaire ? : ' . 3. Les foyers forme B représentent le tableau
les épithélioïdes 2. Mais cet auteur a été trop loin en soutenant ' Loc. cil. - La prolifération des cellules névro
ervient l'attention. MÉCANISME ANATOMIQUE DE L'ATTENTION. 459 ' Le circuit de ce réflexe est aujourd'hui assez bi
neurones, qui rend plus facile le passage de l'influx nerveux 1. ' V. Dr Joaiinv Roux. Béflexes réhino-réliniens. (A
rticalité. En résumé, l'attention, au moins sous l'une de ses faces ' , nous apparaît comme constituée par une série d
77 I XIII. 1.lTnOGLIrIE ET pronostic DU delirium TREMENS ; par le 1) ' VIL- LERS, (Bull, de la Soc. de méd. ment, de B
aTOInES DU délire; par DE BCUrruEw. (Centrulbl. f. NC1'vcnheil, XX , ' \ ,F" îx, 1897.) . Des hallucinations de l'ouï
brale de la syphilis suffit pour engendrer la para- lysie générale. ' P. KERAVAL. XX. LÉSIONS ANATOMIQUES DE LA DEMEN
sité et le développement plus ou moins récent du trouble psychique. ' J. S. XXVIII. La démence paralytique chez les i
ls sont possédés. J. SÉGLAS. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE ' PATHOLOGIQUES. XXXII. Contribution A L'ÉTUDE de
a une tout autre importance que celle qu'on veut bien lui accorder. ' Et d'ahord le corps cellulaire grâce au noyau q
à montrer les modifications pathologiques sans être trop sensibles ' aux altérations post-mortem. Dans un cas de dém
espérons que son exemple trouvera bientôt de nombreux imitateurs. D' ' Margouliès. IV. Archives d'anthropologie crimin
itable base de l'état actuel des choses dans les états civilisés. » ' M. Makarewicz ne voit donc pas un ordre de succ
cales ET économiques SUR l'emploi industriel DES aliénés ; par le 1) ' Aider BLUMER. Bien qu'on ait depuis longtemps p
aker, 321. - syphilitique cérébro-spi- nale, par Gianulli, 110. - ' )11NINGOCILE. Deux cas de - opé- rés avec suc
amp;¡E des uel'fs cutanés de la CUisse, par Benda, 1] 8, I'ArRO ! ' \GEf.uTnttatenHussie,par Sbar·l.ç, 268. Pr.mr.
jumeaux, par de Bechterew, 506. SUGHSTIlIILlTÉ et hystérie, lla ! ' Forel, 2 ! )4. Suicide. Recherches sur le en
56 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
hrift, nos 20, 22, 21, 28, 34, 35, 40 et 42, mai-octobre 18G6. XIII ' 1 2 P. L.1D.1111 : I : 'l' C. )lO : '\AJ\OW s
42, mai-octobre 18G6. XIII ' 1 2 P. L.1D.1111 : I : 'l' C. )lO : ' \AJ\OW sur les coupes de la pièce anatomique, du
santé s'est maintenue jusqu'à l'fige avancé auquel il est parvenu. ' Au printemps 1893 le malade ressentit les premi
é dans ces régions des endroits ramollis, de consistance amoindrie. ' Le tronc cérébral fut. séparé des hémisphères c
oyau dorsal droit, ainsi que dans le noyau terminal de KoelliJ.'e ! ' (dans la substance grise centrale) quelques cellu
e. On constate partout une diminu- tion considérable de ses fibres. ' Les faisceaux des fibres transversales de la pr
halamus une réduction très nette des fibres, localisée seulement dans ' par- ties les plus ventrales. Le pulvinar est
e de ce syndrome, et de le rattacher à une des lésions recon- nues. ' Ainsi que nous l'avons déjà relevé, il n'exista
urs, douleurs dans les masses musculaires, douleurs arthralgiclues. ' NEUROFIBROMATOSE GÉNÉRALISÉE 27 En dehors de
e 1898, son thorax répondait à la des- cription suivante : En avant, ' entre les deux mamelons fait saillie une véritabl
, nerfs cutanés et musculaires, grand sympathique cervical, raci- , ' et ganglions rachidiens). Les nerfs fixés par l
es de tumeurs que l'on rencontre dans la peau. Les unes appartenant ' l'hypoderme sont des nodules en tous points sembl
emble comparativement grêle par rapport à ces man- chons graisseux. ' Dans de nombreuses observations, le malade est
gine ou leur ordre chronologique, mais d'après leurs similitudes. ' Observations résumées. Ors. I (Pl. VII, A). Lau
- vais et cette maladie tout simplement une maladie imaginaire. » ' L'imagination fut plus forte que la volonté de ce
umatisme articulaire aigu d'assez longue durée (mais il ne s'est ë8 ' F. BENOIT ET n, BEII1\.\I1D pas couché), et que
édit., 1898, p. 503. 8. Booms, cité par G. de la Tourette, p : 341. ' 9. RAY310ND et JANET. Névroses et idées fixes,
u molluscum solitaire, mais en différant par son évolution maligne. ' LES PEINTRES DE LA MÉDECINE (ÉCOLES FLAMANDE
taon est devenu guêpe, puis araignée, hanneton, etc. . et même rat. ' Il existe un dessin de C. hischer,daté de 1655,
gite mes mains, je ne peux parvenir il allumer les charbons. » 88 ' HENRY MEIGE . Ick blaese dat ick swcet Om dee
» Quels sont ces « gens de Malgum » auxquels il est fait allusion ? ' ? Une des gravures de P. Bruegel que nous avons
z-vous la guêpe dans la tête, ou est-ce que les pierres vous gênent ? ' ? Ghy lieden van Mallegem, wilt em wel syn gesi
de P. Bruegel et en remontant plus haut l'inspiration de van Bosch. ' Deux détails sont surtout intéressants : D'ab
voici le traitement médical : fumigation ou insufflation de tabac. ' Cette méthode apparemment, passait pour n'être
utres de son sexe mangent du charbon, de la terre, de la suye, etc. ' » Elle disait que tous ces animaux étaient bien
S DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS PAR TUMEUR DE L'HYPOPHYSE ' PAR F. SOCA Professeur à la Faculté de Méde
qu'il a été dit, a l'aspect d'une personne profondément en- dormie ' Quand on la réveille on assiste d'abord à l'évi
réflexe de Babinski physiologique; sphincters : la malade se salit. ' Pas d'atrophie. Les autres appareils normaux.
s sommeils pathologiques. En est-il de même dans la circonstance ? ` ' .Voici les caractères du coma d'après Mayet : L
ent la fréquence réelle du vrai sommeil dans les tumeurs cérébrales ' ; mais je crois que c'est là un phénomène posi-
et de physiologie de Bordeaux, 1SS6, séance du 27 juillet, p. 193. ' (5) B. Auché, Journal de médecine de Bordeaux,
ération nouvelle el passe outre, sans plus revenir sur ce chapitre. ' En 1892, M. Ilallion soutient sa thèse de docto
trouvé aucune déviation, aucune anomalie notable dans leur rachis. ' MM. Mouchet et Coronat, en 1895 (3), reprennent
use. Archives générales de médecine, décembre 1S95 et février 1S96. ' (t) Mirallié, Des déviations du rachis en nell1
un compte exact de la nature et de l'étendue des lésions osseuses. ' On constate d'abord des arthropathies types des
largeur, 25 millimètres de hauteur et présente quelques bosselures. ' La quatrième lombaire a mêmes dimensions, mais
de à gauche mesure cependant jusqu'à 8 mill. 5 D ? Il (PI. XIX, E). ' 1 Les autres vertèbres dorsales sont à peu près
eur correspondant, la malade pouvait encore marcher avec une canne. ' Quelque temps après, sans aucune douleur encore
pliquer les parties correspondantes de la ver- tèbre sus-jacente. - ' Celle-ci, deuxième lombaire (PI. XIX, F, Lut),
aux yeux noirs et vifs. Ataxie confirmée des membres inférieurs. ' LES OSTÉO-ARTnROPATMES VERTÉBRALES DANS LE TABES
en avant et en dehors pendant la marche. Celle-ci est un peu hési- ' tante en effet : la marche à reculons est encore
métatarse, des phalanges ne présentent à considérer à droite comme ' à gauche qu'une laxité extrême des ligaments, abs
d des arthropathies types de la hanche droite et du genou gau- che. ' Le bassin (PI. XX, H) est peu modifié dans son
la face supérieure : en particulier, la surface articulaire verté- ' brale est saine, elle est cependant limitée en av
ns l'obscurité. De temps en temps il fléchit sur lui-même et tombe. ' ' En 1897, un an après le début de ces troubles
l'obscurité. De temps en temps il fléchit sur lui-même et tombe. ' ' En 1897, un an après le début de ces troubles n
ueur de 5 à 6 centimètres : sa largeur est d'un centimètre environ. ' Observation II. Le 23 avril 1899 entre à la s
tuberculose étudier les mani- festations nerveuses de la syphilis ? ' ! L'histoire anatomo-clinique de la syphilis de
gtemps par les cliniciens. Les névralgies de la période secon- 't54 ' R. CESTAN daire ou tertiaire qui.intéressent to
e, DR dans tous les muscles de l'avant-bras et dans le tri- ceps. ' Le 26 examen pratiqué en décembre 1899 a montré :
nusculo-cutaaé et cubitaux. - A droite et il gauche absence de DR. ' Médian. - A droite. pas de DR, à gauche, DR en
s et les masses musculaires ne sont pas douloureux à la pression. ' Cas. III. - RODET, Gazette médicale de 1859. Dé
seurs. Abolition des réflexes tendineux.Perte de l'excitabilité des ' LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE 159 nerfs et R D. A
s la sphère du péroné droit. Amélioration par traitement mercuriel. ' OBS. VII. - MIDDLETON, Glascoio médical Journal
septembre 1893. Syphilis en octobre 1893 avec accidents secon- 160 ' R. CGSTYN daires. Traitement antisyphilitique.
rite de nature syphilitique ou poly- névrite chez un syphilitique ? ' La même question a pu se poser dans ces dernièr
e de nombreuses expé- riences exposées dans la Deutsche Zcit. {il ? ' Nervenkeilk. de 1897, est ar- rivé aux conclusi
doncule. - 1, Foyer scléreux. - II. III, F05 ers de ramollissement. ' "* DOUBLE SYNDROME DE WEBER (4. Souques.) A
et il en est résulté un foyer intra-pédonculaire de ramollissement. ' Pourquoi n'a-t-on pas trouvé, il droite du moins,
issement intra-pédonculaire..A cet égard, tout est simple et clair. ' ' ' ' De même la topographie de ce foyer de ram
sement intra-pédonculaire..A cet égard, tout est simple et clair. ' ' ' ' De même la topographie de ce foyer de ramol
ment intra-pédonculaire..A cet égard, tout est simple et clair. ' ' ' ' De même la topographie de ce foyer de ramolli
nt intra-pédonculaire..A cet égard, tout est simple et clair. ' ' ' ' De même la topographie de ce foyer de ramolliss
pilles étaient égales sensibles à la lumière et il l'accommodation. ' · Fio. 1. 178 . M. G. MARINESCO Il n'y a pa
sert d'aucun acte de circumduction, ne l'ait aucun effort d'aucune ' sorte pour le détacher du sol ; pendant qu'elle m
tronc du côté de.la jambe portante ne semble pas être si indiquée. ' Si, à présent, on compare les données fournies
n relevé ; ce qui fait que la propulsion de la jambe est facilitée. ' Dans l'hémiplégie hystérique au contraire, poin
e ma- ladie toujours semblable à elle-même et facile à reconnaître. ' Si pourtant des erreurs de diagnostic ont été c
otre avis, à l'adéno-lipomatose. 188 P. E. LAUNOIS ET R. BENSAUDE ' Les causes locales, l'hérédité (excepté dans le
nsaude) Masson & Ci-, L-diteura L'ADÉNO-LIPOMATOSE SYMÉTRIQUE ' 195 En attendant, la théorie ganglionnaire s'ap
de la région pec- torale ressemblent aux seins d'une jeune fille. , ' ¡ OBS. XV (PI. XXVIII, U et V). - IlIur.LEr,
teurs NOUV. Iconographie DE la SALPÇ7RIRE 0 T. YIjC ? Y[ : 3Zt.KSI ^ ' ADENOLIPOMATOSE SYMÉTRIQUE (Lvunni.c et Bensa
e genre des Flandres et des Pays- t.. 1' I'I" »« 171 la ].1." I ? r( ' roniribiilion à ces éludes de moeurs mcdi- ' d
»« 171 la ].1." I ? r(' roniribiilion à ces éludes de moeurs mcdi- ' d ? > Les mêmes ral.,ou, que non- axons déjà i
que non- axons déjà indiquées, à propos des 11'1' U ? f'/lI'S de ¡1¡ ' ¡'I'Iï'S de Vie cl de* Pédicures, dewiicnt engager
teur de Téniers. Un charlatan (musée de Dijon). FRANS Molenaeh. ' Un dentiste (musée des offices, Florence). Les
Un dentiste (musée d'Augsburg). CuR.\\r. D1ETRICY (1712-1774). ' Le dentiste (galerie de Schwerin). En Italie :
du Met, à Anvers (Ecole flamande du XVIIe siècle, musée d'Anvers). ' Ce n'est pas tout. ' L'Iconographie des Arrac
e flamande du XVIIe siècle, musée d'Anvers). ' Ce n'est pas tout. ' L'Iconographie des Arracheurs de dents est pres
de la pierre de teste. - Bois, hauteur 0 m. 77, lar- geur 1 m. 07. ' . oc Composition grotesque. Un patient lié à un
nt; il en est d'autres enfin dans des positions diverses. " .. , '. ' ? Acheté en 1881, ce tableau a figuré à l'expos
i, appuyé sur le dossier du fauteuil suit la scène attentivement. ' Dans l'autre, au contraire, la physionomie est to
deux premiers il s'agit mani- festement de l'extraction simulée des ' « Pierres de tête ». Dans le troi- sième, la sup
s à cause de cet intéressant symptôme. xiii 14 210 RENÉ MARTIAL ' Les particularités de certains traumatismes nou
main paralysée et qu'il veuille s'appuyer dessus pour le soulever. ' DE L'HÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE 219 L'hémiplégie
fermer ses yeux et glisser son front également bien des deux côtés. ' Le membre supérieur gauche est raidi en demi-fl
alcoolique. Il avoue cependant qu'il prend un apéritif chaque jour. ' Jamais il n'a eu de grands chagrins ni d'émotio
errailleuse quand elle se sentit faiblir; elle ressentit un malaise ' général ; elle devint hésitante dans sa marche, p
ES OS'rÉ0-ARTIIROPATIIILS VERTÉBRALES DANS LE TABES - - (suite) ' " PAR JEAN ABADIE Interne des hôpitaux de Bo
sation de sursau- LES OSTÉO-ARTHROPATHIES VERTÉBRALES DANS LE TABES ' 263 tement des vertèbres. Réflexes pupillaires
marche. Depuis l'âge de 40 ans, amaigrissement rapide et progressif. ' Premier examen en octobre 1898, à l'âge de quar
891, la malade présente un clignotement des paupières intermittent, ' sans ptose palpébrale véritable, sans strabisme,
e T. XIII. Pl. XLI OSTEO-AR'rHROPATHIES VERTEBRALES DANS LE TABES ' (1. Abtidie) Observation IX. Nsson & G°,
i perte de connaissance, mais très pénible, analogue au mal de mer. ' A trente-sept ans, il a plusieurs crises de vom
service de M. le pro- fesseur Pitres, le 30 avril 1897, pour tabes. ' Rien de particulier à noter dans son hérédité.
onné de rides. Les cheveux sont rares, plantés droits, grisonnants. ' L'oeil est assez vif : il n'existe pas de nysta
encore, le malade ne ressent de douleurs rachidiennes quelconques. ' A suivre.) NOU4. ICO ? OGRAPFlIE DE LA SALPÈT
S (J. Abadie) Observation XIV. Masson & Oe, Jditeurs Ti : ' v i ? t ? 1 1t- 1 : \ ? . ? 1, 1't ," . LA
s. Se- maine médicale, p. 11, n° 9, 28 février 1900. ICONOGRAPHIE ' 1 DES ARRACHEURS DE DENTS PAR HENRY MEIGE
e nous aurons mainte occasion d'approfondir au cours de ce travail. ' La méthode de Nissl ouvre surtout un vaste hori
périmen- tale. Journal de Neurologie, 20 juin 1898, nt) 13, p. 25S. ' 304 CHARLES LADAME deviendront probantes et q
me(16) a été convaincu et s'est tout récemment rangé cette opinion. ' (1) rt.Fnnmc, Vom Bau der Syinalganyzellen. Bei
a définition de Nissl, ces cellules sont à « l'état pychnomorphe ». ' Les prolongements protoplasmiques sont envahis
nalytique qui fera l'objet de la quatrième partie de notre travail. ' Quant aux points qui sont encore en litige, nou
s, nous avons réséqué le pneumogastrique et arraché le sympathique. ' Nous avons eu soin de .nous assurer que les ani
eignements précis au sujet des lentilles utilisées dans chaque cas. ' Expérience I. Lapin adulte auquel on a réséqu
. Iconographie DE la SALPh1k'l.k" T. XIII. Pl. XL\ \ Expérience I ' Expérience II LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE
a vision est d'ailleurs très nette, il n'y a jamais eu de diplopie. ' Les mouvements des lèvres sont assez bien conse
e faible amplitude, et la mimique est extrêmement peu développée. ' Les mouvements d'inclinaison et de rotation de la
les n'a rien de surprenant. l'atrophie OLIVO- PONTo-cÉnÉI3ELLEUSE ' 337 B. Noyaux centraux (PI. XLVIII et XLVII, D)
partie avec un beau faisceau qui contourne le noyau dentelé en 338 ' J. DEJERINE ET A. THOMAS arrière, puis pénètre
ver les pieds écartés, mais très difficilement, s'il n'a pas d'appui. ' Station debout. - Les pieds sont écartés, la ba
très nette- ment les oscillations horizontales des globes oculaires ' Les mouvements compensateurs sont normaux : pen
bo-pi-ol21béi,anlielles. Arch. de Neurologie, 1803. (4) An : 'iD1 : ' 7,ur ral/¡%yie des hleinhims. Arch. für Psychiatr
n brother and sister. Glasgow me- dical Journal, 18S0, fasc. 1. " ' &. 356 J. DEJERINE ET A. THOMAS décolorat
moelle dorsale le canal central est dilaté ; vers l'extrémité infé- ' l'atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBLLLEUSE 359 rieure
anémie pernicieuse. Cinquantenaire de la Société de biologie, 1SU9. ' 1111 366 J. DEJERINE ET A. THOMAS spasmodiq
rébelleuse. HOSPICE DE BICL'TRE TRAVAIL DU LABORATOIRE Des1. LE D' ' PIERRE MARIE DE L'HÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE PAR
la paroi d'entrée demeurait intacte ; elle ne tomba que plus tard. ' Le tableau clinique que peuvent présenter les ble
caudé; BO, bandelette optique; AL. ventricule; CC, corps calleux. " ' Masson Gt' CH', Éditeurs. DE l'hémiplégie tra
is les deux ensemble, ce qui correspond à l'observation cli- nique. ' Ayant fait ces expériences, il nous est venu à
nt la substance grise et atteignant NC, le noyau caude; 1L, lo - ii ' - T fii 1 i <-w~ -~ ? -- " "" ...^mmmt^^^^ D
rend facilement et explique bien les accidents hémiplé- giques..... ' * Quanta la paralysie faciale, elle est très ce
t, il faut inscrire quinze autres cas où nous avons noté le passage ' l'état chronique, c'est-à-dire la persistance d'u
ET DIABÈTE (Achard et Z-oeM') GIGANTISME, ACROMÉGALIE ET DIABÈTE ' 399 un peu relevé « en galoche ». De face, ce q
habituelle dans l'acromégalie et observée aussi dans le gigantisme. ' Dana (2) a rapporté notamment les observations
otyple Bi rthand r.rn UN CAS RARE D'OSTÉO-ARTHROPATHIE (G Gasne.) ' Masson & Ci, EditClI15 UN CAS RARE D'OSTÉ
le temps de sa maladie le malade a eu le bras en écharpe, 406 GASNE ' ce fait peut avoir une certaine importance pour
approcher ou s'écarter par la pression perpendiculaire ou latérale. ' Les mouvements de l'épaule se font très bien et
tion et aux conséquences ré- flexes des lésions ostéo-articulaires. ' L'affection s'est établie lentement, elle n'est
sujet et sa santé antérieure écartent l'idée d'une affection acquise, ' bien que l'absence de tout antécédent nerveux c
e et mérite d'être retenu. Nouv. Iconographie DE la S.1LYlaItIl.Afi ' T. XIII. PI. LIX . D A B c INFANTILISME
loghe.) LE MYXOEDÈME FRANC ET, LE MYXOEDÈME FRUSTE DE L'ENFANCE i ' i *- PAR R le Dr E. HERTOGI-IE (d'Anvers)
S ? Bull. A«.m<1. ;1" JIt ? i de Belgique, mars 1599; vol. XIII. ' 412 HERTOGHE Si cet enfant est hypothyroïdien
que. L'examen des urines effectué par M. le D' Moitessier donne : ' /¡20 ABADIE ET DENOYÉS Etal psychique. -- Notre
ilité ne paraît pas normale, il quelques exceptions près. Aussi bien, ' les modifications qualitatives que nous avons o
puisqu'il lui manque le caractère familial et qu'en outre il n'a : ' Ni contractions fibrillaires prononcées, ni tro
pophyse épineuse LES OSTÉO-ARTIlHOPATHOES VERTÉBRALES DANS LE TABES ' M3 volumineuse, unique, qui se détache du group
ercée même au foyer maximum des lésions, ne provoque pas la moindre ' souffrance, la moindre gène. Des perturbations
s supérieures. Nos observations, en effet, n't'n offrent pas trace. ' Les déformations du bassin et du thorax sont pl
hies propres. Des malformations qui en résultent s'ajoutent alors aux ' * LES OSTÉO-ARTHHOPATUIES VERTÉBRALES DANS LE TA
upé à chauffer un emplâtre ou à triturer des drogues sur une table. ' Il en est de même du décor et des accessoires :
et a pu être consulté par nous, grâce à la complaisance de M. le D' ' Molitor, directeur de la Bibliothèque royale pa
nements que nous avons recueillis sur ce neveu de J. H. Cohausen. ' (2) Le livre fut traduit en allemand par un profe
jacere vidit epotam amphoram Adhuc falerna foece et testa nobilem, ' Odorem quae jucundum lat spargeret : Hune pos
affreuse boîte ? Ce n'est pas là un ornement pour une jeune vierge. ' (1) Ce poète dont parle l'auteur n'est probable
andé cette poudre pour évacuer sûrement la pituite démon cer- veau. ' Je m'en trouve bien et n'ai garde de m'en abste
ollandais Gramazius : Vous médecins, c'e3t moi qui vous l'assure, ' Toute votre éloquence ne peut rien, Laissez a
Ils guériront sans médecins. Si j'ay le coeur mauvais ou la tête, ' Vous y perdrez votre latin, Le tabac est seul m
Le tabac est seul mon médecin. Toutes vos recettes sont imposture, ' . On ne peut forcer mon destin : Je laisse ag
ez-les dans la cuisine, Ajoutez après repas, L'agréable tabac ; ' Vous serez toujours bien sain, Et guérirez sans
bien sain, Et guérirez sans médecins. Prenez la poudre délectable ' ' Vous serez Ilien ay, à table.. . Cohausen c
sain, Et guérirez sans médecins. Prenez la poudre délectable ' ' Vous serez Ilien ay, à table.. . Cohausen consa
n répondre il son médecin qui le dissuadait de pren- dre du tabac : ' « Va-t-en au diable, Puisque dans cette malad
ausen, je ne suis pas ennemi du tabac au point de cacher la vérité. ' Le médecin doit distinguer l'état de l'organism
Dames de qualités, ajoute-t-il, est pire que celles des autres. » ' Une femme qui fume ainsi contre toute nécessité,
a vie Je remets dans mon souvenir, Ce qu'un jour je dois devenir, ' N'étant qu'une cendre animée Et tout confus j
yant fait ce mouvement, la paupière ne reste éle- vée qu'un instant; ' peu peu elle tombe, la chute se fait graduellemen
n que Brissaud, Rosenthal, Gowers, Ziehen parta- gent également. t. ' Il s'agit donc chez notre malade d'une lésion i
CHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE MOSCOU. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE ' L'ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET DE L'HISTOPATHOLOGIE
s 1894 l'anesthésie sensitivo-sensorielle du côté gauche a disparu. ' L'année suivante en octobre 1895, elle est venu
ais aussi par la bénignité de l'évolution du syndrome basedowien. ' Les symptômes basedowiens se sont manifestés long
modification secondaire permanente de la . structure de la glande. ' Je ne reviendrai pas ici sur l'intérêt des coïn
nisme de compensation par les fibres restées intactes, suivant la loi ' des compensations spontanées établie par Bizzoz
on. Elle va s'aplatir, les faces vont s'incliner l'une vers l'autre ' et dans le sens de la concavité de la courbure sc
le noyau qui occupe de nouveau une position centrale (PI.LXXVI,g). ' Ces cellules rappellent, comme nous l'avons vu dé
se présente à un stade moins avancé que le ganglion du côté droit. ' La grande majorité des cellules, à gauche, en e
e névroglique. v b) Ganglion plexiforme droit (coupe transversale). ' Nous sommes ici en présence d'un ganglion qui a
de 118 jours, ni dans l'expérience IV, chez le chien de 122 jours. ' Cette vacuolisation a l'air de frapper les cell
la portion médiane du pariétal gauche. Le grand axe de la déforma- ' tion est oblique en bas, en dehors, et en arrière
un porte- plume de dimensions moyennes. Réflexes. - Pas modifiés. ' Membres inférieurs.- Il n'existe pas de différe
ervation XXVII. H. SCIILOEFFER, Zur aStl2Sl%î der Schædel ünd GBIL2) ' )tvPJ'LeLZtG)tle)t. - l3eilre zur klinischen chi
ancs, à travers laquelle on peut très nettement sentir l'os enfoncé ' 9 mai. - Opération. 10. L'amélioration est gé
nt à la volonté du malade. La sensibilité est diminuée à gauche.... ' Le réflexe abdominal gauche n'existe pas, à dro
duction n'atteint pas l'horizontale; pas de mouvements associés. ' Le malade ne peut marcher saus une canne, il traî
anne, il traîne fortement la jambe, le genou est légèrement fléchi. ' xm 36 554 RENÉ martial W Atrophie très pron
ation continue de jour en jour. Au 13 avril, la malade sort guérie. ' BIBLIOGRAPHIE 1801. SAUTEMOUCEOE. - Observati
c aphasie. Leçons de clinique chirurgicale, 8° sér., Paris, p. 577. ' 1888. 11lATillEu (A.). Un cas d'hémiplégie spas
nt des fonctions. Se- maine méd., p. 73. V. 111osr.Llc Ioonnor -, ' Gesciiwixd / ? - . 1'" dans 1 article ci-dess
L- Emiplegia de causa traumatica. Raccoglitore med. Forli, 5e sér., ' t. XIV, p. 353-317. 1893. V. Krafft-Ebikg. Para
fft-Ebikg. Paralysis traumatica. Allg. Wien. med. Ztg., t. XXXVIII, ' p. 241-255. 1893. Werkicke. Monoplegia bmchiali
it. med. Journ., p. 356. 1896. E.\IICnEL.-Ein 7c : < ? 'a ? <) ' Frange der so.r¡eIW1l1 ! ten t1'(wmatischen splil
tion bei Schilss- wunden der Kopfes. Wissenschaftl. Ve¡-swnml. de; ' Aerzle der Sl-Petersbiwger Ifliczilt fitr Nerven
V. J\10NAKOW \ Prescott-Hevett J KnONLEtN f > in . SCHLOFFER. ' - z Win SCIILUPIEIt. ' ' ' WlESMANN ( LEDDR
t-Hevett J KnONLEtN f > in . SCHLOFFER. ' - z Win SCIILUPIEIt. ' ' ' WlESMANN ( LEDDRIl110SE \ 11lEuDEL /
Hevett J KnONLEtN f > in . SCHLOFFER. ' - z Win SCIILUPIEIt. ' ' ' WlESMANN ( LEDDRIl110SE \ 11lEuDEL / '1
vett J KnONLEtN f > in . SCHLOFFER. ' - z Win SCIILUPIEIt. ' ' ' WlESMANN ( LEDDRIl110SE \ 11lEuDEL / '189
ntralbl., p. 811. 1899. v. BECHTEHEW. - Anal. Neurol. Centralblatt. ' 1899. AE : 1UIB. - llémiopie lat. homonyme par
ment. dis. XVII. ICONOGRAPHIE DES ARRACHEURS DE DENTS [Suite) ' PAR. P, HENRY MEIGE DAV1D BFCIC.1ERT LE JEU
en sont gracieux et finement étudiés. 1 . Le gérant : P. Bouchez. ' lmp. J. 'l'h6v600 t , bainL-L)izjer U,lUtL-larI
- N° 6. NOVEMBRE-DÉCEMBRE NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË ( ' ) PAR G. MARINESCO Professeur à l'Université
ont appliqués à donner une définition plus précise de la myélite et ' il restreindre le cadre un peu trop vaste que leu
uent également un certain rôle dans la myélite aiguë (fig. 7 et 8). ' Dans les nodules inflammatoires de la myélite a
épendymaire et à la pointe des cornes postérieures. 588 MARINESCO ' microbes et le degré de toxicité de leurs produ
Dans un cas de myélite aiguë à forme très douloureuse j'ai Fm. 28. ' 596 MARINESCO pu calmer les douleurs du malad
soudre certains points litigieux de la ques- tion. . Observation. ' Rose Viol... âgée de huit ans 1/2, nous est ame
ctuel (1900). - Rose écrit des deux mains, mais elle écrit plus faci- ' 1 lement de la main gauche que de la droite. L'
ou à Léo- nard de Vinci. A quoi tiennent de semblables variations ? ' ? Ici une première remarque s'impose, si l'écri
e de l'oplttalmoplégie congénitale . Th. Bordeaux, 21 juillet 1900. ' ÉTUDE SUR L'OPHTALMOPLÉGIE CONGÉNITALE 617 7
rdinaires. Depuis ce moment-là, sa santé a toujours'été excellente. ' Il nous apprend que son père actuellement âgé d
Il n'y a cependant pas des progrès bien sensibles de ce côté-là. ' La dernière fois que nous avons vu la malade, ell
t que son niveau venait attein- dre celui des lobules des oreilles. ' Le malade de Schenkl ne pouvait aller sans guid
Pour établir sur des bases solides la palhogénie des ophtalmoplégies ' " congénitales, il faudrait avant tout des docu
dème de la jambe gauche sur lequel nous aurons à revenir (Obs. II). ' Notre malade a eu dix frères ou soeurs dont qua
ond, la face dorsale coupée de rides transversales. - 634 LANNOIS ' Le genou est empâté et a perdu sa forme, mais a
petit haricot, molle, surmontée de quelques poils durs et colorés. ' Dans l'aisselle gauche une macule de couleur ca
es café au lait, du diamètre d'un grain de chènevis. xni 42 642 ' HAUSITALTER Au niveau du coude gauche, une élev
2° deux verrues colorées ; 3° trois petites tumeurs molles pédiculées ' du volume d'une tête d'épingle à l'aspect de mo
ylindraxile et protoplasmiques du neu- rone. 1 646 CHARLES LADAME ' « Il semble résulter » dit van Gehuchten « de t
ien pour les noyaux moteurs que pour les gan- glions plexiformes. ' Nous concluons donc positivement à la non-existen
que les auteurs n'étayaient leur opinion sur aucune mensu- ration. ' Nous avons multiplié nos mesures pour contrôler
é aussi bien que dans celui dont le pneu- mogastnque a été réséqué. ' 11. Le noyau dorsal et le ganglion plexiforme d
esme râpe les dents qui viennent ainsi hors de leur lieu natu- rel. ' « La septiesme arrache les dents qui branlent,
ssive : « Uno avitlso non déficit aller ». Carmeline l'opérateur, ' . Vestu d'un colet de senteur, Chausses de da
is. 1649, in-4° . (2) No 346, H, 33. L., 26. T. 672 HENRY MEIGE ' mes à larges sceaux, s'est transformé par la su
dulité, l'émotivitéet la cruauté des spectateurs seront éternelles. ' Il existe, au musée du Louvre, un dessin de Jan
. (3) N° 803. Un Charlatan de Lingelbach est au musée de Bruxelles. ' xiit 44 674 . HENRY MEIGE Parmi les peintur
dans son château de St-Venant en 1318. arracheurs de DENTS 679 ' ture de l'École allemande, dans le genre' de M. W
57 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
S DES MALADIES CUTANÉES ET DU SYSTÈME NERVEUX . SYPHILITIQUES PAR ' PAUL RICHER GILLES DE la TOURETTE MEMBRE DE L
ni chez son frère au point de vue de l'hérédité neuropathologique. ' " La jeune fille, toujours bien portante jusqu'à
bien des difficultés à l'examen, elle ne semble pas être troublée. ' La malade nous affirme qu'elle ne distingue pas
rquable est la difficulté de la déglutition et de la phona- nation. ' La participation des nerfs crâniens dans ce cas
ésion de la troisième branche gauche du trijumeau, la perte du goût ' de la partie antérieure de la langue est en corre
ssement de la paupière inférieure -gauche, la parésie des lèvres et ' de l'angle gauche de la bouche prouve que le faci
me une localisation anormale de la poliomyélite aiguë' des enfants. ' Quincke a présenté dans son cours le même cas c
aiguë d'une localisation supra-nucléaire. Les cas de Hoppe-Se) le ! ' et Brauer sont très analogues au mien. Il s'a-
ique du Ténia cchinococcus. ( ? 1111\\1'1111'- Ill' r ? )¡]Jdv¡1 pt ' \> ? ) KYSTES parasitaires DU cerveau 2t 1
pluviôse an XII 1804. In mém. de la Faculté de méd. de Paris, 1812. ' Bremser. - Notice sur l'echinococcus hominis. J
détail de l'évolution habituelle des cysticerques dans le cerveau. ' Constitué d'abord par une simple vésicule à cro
xclusion de toute autre région du corps) de plus de vingt hydatides, ' dont six dans les deux lobes temporaux. Obser
s. Les chiffres sont correctement lus mais de la façon suivante : ' 8 ........... 82 centimètres. 342........... 3
substance grise de F2 deux kystes du volume d'un pois séparés par un ' sillon de 3° ordre; les kystes ne sont pas visi
sont appendues aux plexus choroïdes des ventri- t cules latéraux. - ' L'encéphale, après décortication pesait : SUR
ve homme. - Lecture : ... Rouegage un boa... bave... brouette. I .. ' De plus le sens des mots écrits n'était pas com
lors qu'elles étaient manifestes aux hallucinations désagréables. ' Les symptômes paraphasiques accessoires qui vienn
ordinaires de la vie courante s'exécutent dans des conditions tout à ' fait bonnes. Notre homme assure qu'il marche eu
es. Notre homme assure qu'il marche eu moyenne à une allure de N'OU\ ' , ICOSOIiRAI'III £ 1) £ LA SALI'¡'¡HILR , I. lIV.
e eu moyenne à une allure de N'OU\', ICOSOIiRAI'III £ 1) £ LA SALI'¡ ' ¡HILR , I. lIV. Pl. 1' LE GENU RECURVATUM dans
les doctrines se rapprochent quelque peu de celle d'Hennip- pus. ' Le fameux moine anglais Roger Bacon qui fut surno
t que l'un d'eux, l'abbé Picot, ne voulut point croire à sa mort. ' Dans une de ses lettres à M. Quylichem (Voir Lett
en, élève et neveu de l'auteur, professeur à l'Université de Trêves, ' membre de l'académie des curieux de la Nature.
sur des pierres tombales. L'une d'entre elles avait frappé les amis ' du praticien. Elle était ainsi conçue : OEscula
tait ainsi conçue : OEsculapio et sanitati, L. Clodius Hermippus, ' Qui vivit annos CXV. Dies V, puellarum anheli
date commune et même sans se ressentir des in- commodités de l'âge. ' C'est ce point que notre auteur va s'attacher à
e desquelles la vie n'est plus en effet qu'un douloureux fardeau ». ' Parce que le problème n'a pas été résolu jusqu'
en que difficiles ne sont pas en dehors de la puissance de l'homme. ' Après une explication du souffle humain en géné
avait à ce moment 75 ans) avec beaucoup d'es- prit et d'érudition. ' V Hermippus reclivivus a été réimprimé à Stuttg
n ? n ? - ? ? ? ...., ,. T. XIV. Pl. \T ,'... ? ...j- ? -. = - ., £ ' = . ? r- = -- ? T. XIV, Pl. \r A c 1 1 - D
l., p. 11). LES DÉMONIAQUES ET LES MALADES DANS L'ART BYZANTIN 93 ' III. - LE DOUZIÈME SIÈCLE. Après les derniers d
a SALPÈTRILRF, T. XI\'. Pl. IX LES TAPISSERIES DE REIMS (Hel/J') ' Meige) Guéri ? on tl'lIl1 pos ? Jé par S.lint R
dos, a la jambe droite complètement disloquée au ni- veau du genou. ' Enfin, plus en arrière, un homme barbu, rampe s
rant erreur. Tout en haut, l'ange descend du ciel armé d'un bâton . ' L'ange qui descend pour mouvoir . L'eaue, nou
able couché sur un I'abat... ? E1' ? r' u : r .O 1 : 0 1 ; 'f " Z't ' ' - C'est le;l;arlytique de l'Evan'gileJ ? I :
le couché sur un I'abat... ? E1' ? r' u : r .O 1 : 0 1 ; 'f " Z't ' ' - C'est le;l;arlytique de l'Evan'gileJ ? I : 1
1 ; 'f " Z't ' ' - C'est le;l;arlytique de l'Evan'gileJ ? I : 1 j : ' 1 3· · ..\ f l' ( . .' t ? (' , (1 ' 1 . '1 ""
arlytique de l'Evan'gileJ ? I : 1 j : ' 1 3· · ..\ f l' ( . .' t ? ( ' , (1 ' 1 . '1 "" t' l" . 1 ? « ? |1 y avait là
ue de l'Evan'gileJ ? I : 1 j : ' 1 3· · ..\ f l' ( . .' t ? (' , (1 ' 1 . '1 "" t' l" . 1 ? « ? |1 y avait là un homm
dant le temps que je mets à y aller, un autre descend avant moi.. . ' 'Jésus lui dit, : I.evez-vons;'enipôi'tez'vôtrê
. ' 'Jésus lui dit, : I.evez-vons;'enipôi'tez'vôtrê lit et marchez/ ' ' Aussitôt cet homme fut guéri, et prenant solï
' 'Jésus lui dit, : I.evez-vons;'enipôi'tez'vôtrê lit et marchez/ ' ' Aussitôt cet homme fut guéri, et prenant solï-l
t cet homme fut guéri, et prenant solï-lit; il marchait ? 1 * ii '' ' , ? ii ? ? 1 ùS 1 ¡ ? , 1 ; -Evangiles- Saint ! J
n groupe decuriéûx-°semblellésiter à s'approcher.' : n u : : , 1" - ' \ "' ''-'' " - 'Cé'sdnt ? ... , tu; 3 .. E 3.,
upe decuriéûx-°semblellésiter à s'approcher.' : n u : : , 1" - ' \ " ' ''-'' " - 'Cé'sdnt ? ... , tu; 3 .. E 3., . , .
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cueter ' ' " ' ' - - ,; ? ..... Endll1'Y par ce¡.tain ' ? nalicë ,1 ' ' ! ii 1 ( 1)e bien faire leur est,deshonneur,
eter ' ' " ' ' - - ,; ? ..... Endll1'Y par ce¡.tain ' ? nalicë ,1 ' ' ! ii 1 ( 1)e bien faire leur est,deshonneur, ?
r est,deshonneur, ? 1 z - 1 ? - Car- tout leur -^Dieu est avarice'. ' J '"'is>> ? ? Ils représentent les' Juifs
t,deshonneur, ? 1 z - 1 ? - Car- tout leur -^Dieu est avarice'. ' J ' "'is>> ? ? Ils représentent les' Juifs pré
de scènes religieuses. " . , . . - ..., . 'f scènes religieuses. ' ,1, <, , Il ? ? 1 .. \ : \\ De tout temps, en
douleurs; ils servent de centre de' ralliement aux.'mêmes mendiants, ' qui 'quêtent les aumônes « des malades ' et des
ement aux.'mêmes mendiants,' qui 'quêtent les aumônes « des malades ' et des 1anguis'sans»; · ? ... ? . -. Le gérant :
rprétation des lésions scléreuses est moins aisée dans la forme xiv ' 8 106 LONG ET WIKI lente de la paralysie spin
e pulmonaire. Mort le 20 octobre 1899 par pyélonéphrite ascendante. ' ' L'autopsie est faite par M. le professeur Zah
pulmonaire. Mort le 20 octobre 1899 par pyélonéphrite ascendante. ' ' L'autopsie est faite par M. le professeur Zahn
A MÉMOIRE DU PROFESSEUR SERGE KORS.1VOFF PAR R NICOLAS SOLOVTZOFF ' Prosecteur de la Maison des Enfants trouvés e
deux cas la partie abaissée du 4° ventricule est couverte seulement ' d'une membrane contenant la valvule de Tarin. 4°
eux du cordon Nouvelle Iconographie de la SA[,YI : rRII : RF, T. 11\ ' , l'L Xll 11 li u III 8 Il DIFFORMITES
graphie du membre supérieur droit. Masson & Cie, Editeurs , - ' - l'IIot'II\I'11 Ut 1 111 : ! UcJ, l'ulis NOUVF
111 : ! UcJ, l'ulis NOUVFTLE Iconographie DE la Salpêtriére, T, XI\ ' , PI, XVII 1 .) 3 If UN ECTROMÉLIEN HÉMI
droite. IV. - Hohl, 1852 (3). - Enfant màle de 20 semaines ; mort. ' Le cubi- tus manque totalement à droite. - Du m
). Au mem- bre inférieur du côté opposé raccourcissement du fémur. ' XI. - DEVILLE, 1849 (5). Vieillard, mort. - D'u
ent amélioré, mais nous ne pouvons garantir la disparition complète ' de son affection. , Observation II. Notre sec
s spé- ciaux, nécessités par l'exercice de la profession du malade. ' . On peut penser que certaines personnes qui éc
ionnées par les toxines, résultat de leur propre fonctionnement ? : ' C'est possible mais on ne peut l'affirmer. ,
Cf. HcilZ) ,rn<"'11"lI1f" ¡¡Il \'IV*- ? <'< If' 1 ? 01;,( ' .in T( : 11,nl-nill,]i l Cnll.<-.t.111tiIlOnl¡
r la (1) CIIAIICOT et P. Richer, Les démoniaques dans l'arl, p. 49. ' H HEITZ prothèse chirurgicale d'autrefois. A
Hippocrate l'appliquait couramment et avec succès. De son temps xiv ' 12 17U HENRY MEIGE même elle avait déjà ses p
ez. Imp. J. Thovenot, Saint-Dizier (Haute-Marne). 14e Année N° 3. ' MAI-JUIN TUMEUR CÉRÉBRALE (Etude histologique
re, nous donnons ici seulement le résumé de l'examen microscopique. ' Le néoplasme est un spécimen typique d'endotlaé
, étouffant les fibres nerveuses tout le long du tractus op- tique. ' L'examen de la moelle est négatif L'ensemble
est encore peu avancée, nous nous réservons d'y revenir plus loin. ' L'expression d' « endothéliome » quoi qu'il en
très marquée dans le voisinage des diverses formations vasculaires. ' Tout d'abord l'absence de sels calcaires est pr
quantité diminue, mais ils se présentent toujours de la même façon. ' 198 DUPRÉ ET DEVAUX En résumé, la méthode de
d'avis, quand il s'agit de déterminer le mécanisme de cette lésion. ' Pour Nissl (1). la chromatolyse consiste dans l
âchement, le drainage en quelque sorte des éléments préexistants. ' Lugaro (2) au contraire la considère comme une dé
Oxyures depuis l'enfance.- Urticaire et grand dermographisme depuis ' l'âge de treize ans. - Début de l'épilepsie à vin
violacées sur un fond rougeâtre donnant à la peau un aspect marbré. ' Poignet gauche. - Coloration rouge très foncé,
le côté gauche avec une épingle que lorsqu'on pique le côté droit. ' Les piqûres d'ailleurs légères du côté gauche p
cusait la sensation chaude ou froide qu'après un moment d'hési- xiv ' 16 Régions hyperesthésiques pour le chaud ou an
lle la pression de l'index fait apparaître une tache pâle. De plus, ' par les temps froids, ils sont le siège de douleu
sations tactiles se rétractent, des neuro- diélectriques se forment, ' soit dans leurs prolongements par suite de mo-
tile par le seul fait du développement des cellules- ner- veuses. ' 8° Neurones de laztlso-coaastrictioat. J'arrive
lement n'a plus de céphalées. L'examen de la sensibilité nous a 240 ' VASCIIIDE ET VURPAS donné les résultats suivant
à la mémoire et elle est hantée par la crainte d'avoir mal agi. 242 ' VASCHIDE ET VURPAS Au moment où l'acte ava t ét
lieu à des hallucinations vraies au moins au début de l'affection. ' . Lorsque les premiers troubles psychiques appa
NOUVLUE ICONOGRAPHIE DE LA SALPi.TRILI<E. T. RI ? PI. XXVII ! ' 20 l'i Il 21 1 13 22 23 -2li 27 /
éliniques dans le cordon latéral a diminué. Sur les côtés, à la xiv ' 18 254 SOLOVTZOFF périphérie même de la moell
les olives et entre elles est disposée la couche interoli- vaire. ' Là où les olives inférieures ont disparu, nous tr
Renaut, et dont nous rappor- tons plus loin l'observation résumée. ' Qu'il y ait malformation de la colonne vertébra
ticule droit,de bec-de-lièvre et de malformations den- ;uv 19 270 ' MAYET faire personnellement chez plusieurs épil
chronischer Ostilis des llletatarsallcnoclzen und lumbaler Trichome. ' Fille âgée de 9 ans 1/2. Dès la naissance, hype
rer Beitrag sur Casuistih der spina bifida occulta mit 7V)/pe)'<) ' ! cAostS lumbalis. Deux autres cas de spina bif
aire. 11. A. Dood. -The Lance ! , ils81, II, p. 1063. - caeo ? um6a) ' /)ype)'<t' : cyto4' ! S. 12. Thornburn. - Bra
baire. Photographie. (Cf. Zeitschrift ftir Ethonologie, 1892, XX11V : ' Vel'hand- lun,gen der Berliner ant1u'. Gesellsc
weilerer Beitnag zur Casuistik der Spina bifida occulta mit locale, ' Hypertrichosis. Homme, 18 ans. Mère aliénée (
raphie à la Salpê- Nouvelle Iconographie DE la SALPhTRIÜ(c. T, SI\ ' , PI. XXXl\' 1) E C C' 1 MAINS D'ACHONDR
Salpê- Nouvelle Iconographie DE la SALPhTRIÜ(c. T, SI\', PI. XXXl\ ' 1) E C C' 1 MAINS D'ACHONDROPLASIQUES
ril 1901, les résultats de l'examen radiographique de notre malade. ' 282 CESTAN Comment dès lors une maladie aussi
ste sur la photographie ci-jointe de la main de Sicard (Pl. XL, C). ' Au membre inférieur, la cuisse (de l'épine ilia
ment volumineuse (57 centimètres de circonférence maxima), celle de ' Touroff est véritablement énorme. Son chapeau,
piques, on envisage l'idée nosologique que nous devons nous faire de ' cette malformation. Le rachitisme est une malad
assez prononcée, mais qui se trouve liée à une cyphose dont la con- ' vexité est tournée à droite. La courbure vertéb
pas descendus dans les bourses, le scrotum est fort peu développé. ' 5. Louis, 9 ans, non rachitique. Venu à terme
du coeur s'accompagnant de dyspnée et d'une tendance à la cyanose. ' Antécédents héréditaires . Sa mère, très nerveu
le processus (1) RIEDER, loc. cit. MACRODACTYLIE ET MICRODACTYLIE ' 315 est en pleine évolution : cet orteil est en
tesse de la phalan- gine et de la phalangette des doigts malformés. ' On le voit, notre premier malade nous a permis
, il s'affaissait et devait se traîner à quatre pattes, même ainsi il ' " tombait encore quelquefois et devait ramper su
tion d'emblée du pouvoir d'exécuter le même mou- vement volontaire. ' Les effets des excitations sensorielles se mont
tourent. Le développement des vaisseaux est surtout marqué à la pé- ' riphérie de la tumeur, au niveau de la capsule d'
culaires, intoxications, etc.), nous avons étudié les modifications ' '(1) Sérieux et MIGNON, Surdité corticale, avec p
laires, intoxications, etc.), nous avons étudié les modifications ' ' (1) Sérieux et MIGNON, Surdité corticale, avec par
attacher à une action directe ou mécanique exercée par la tumeur. ' Enfin, la nature et la diffusion des lésions névr
es ventricules du cerveau présentent une dilata- tion très marquée. ' Les nerfs optiques ont subi l'atrophie grise, e
n des pièces que M. Touche a bien voulu mettre à notre disposition. ' REMARQUES COMPLÉMENTAIRES SUR LES : NAINS DAN
RE DE M. PIERRE MARIE SUR L'ANATOMIE PATHOLOGIQUE ? y, DE '' S » ' L'HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE PAR SWITALSKI
be sont petits et correspondent comme grandeur il ceux d'un enfant. ' Moelle : la dure-mère rachidienne ne présente r
Salpêtrière. T. I ? PI. XLIX G H HEREDO-ATAXIE CEREBELLEUSE ' )M/;7 ? . H Cervelet normal , coupe faite a la m
plusieurs nerfs périphériques cette lésion était t moins prononcée. ' Dans le cas de Menzel l'examen a révélé que la
men minutieux nous a permis de nous en rendre compte sur le vivant. ' V. Nous avons constaté au niveau des tubercules
e les muscles lisses étaient un peu contractés nous a donné : 404 ' LANNOIS la peau de l'aréole ou le bout du sein
ablir ce diagnostic. Quelle â pu être la cause de cette paralysie ? ' ? Duchenne décrit cinq cas par contusion ou ble
és sont indurées, inégales et fortement incrustées de sels calcairès. ' Nous n'avons pas examiné les artères des membre
e l'épi- Nouvelle Iconographie de la SALPfirRIÈRt. T. XIV, Pl. 1.\ ' MALADIE DE PAGET (Hndeln et Heit1) Squelett
ne augmentation des matières organiques et une diminution des sels. ' Quant aux proportions des différents sels, nous
ême niveau, cette épaisseur est réduite à un ou deux mil- limètres. ' De même les condyles interne et externe, l'un n
atrophié. Un bon nombre de ces UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET ' 425 5 cellules sont absolument saines, les élém
moelle sénile, artérioscléreuse, lésée par ses artères, tandis 426 ' HUDELO ET HEITZ que, les artères du cerveau éta
très rares, et une autre explication est peut-être encore possible. ' Lors de la deuxième autopsie de Gilles de la To
L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE l'activité d'autres muscles 443 444 ri ' féré . TABLEAU II Représentation proportionne
es conditions diverses. - Médius gauche. Fig. 1 b Fig. 2 6 Fig. 3 b ' Fig. 4 b Fig. 5 b Fig. 6 b Fic.. 1 b. - Travail
par les excitations visuelles (C. R. Soc. de Di-1., 1901, p. 671). ' ' L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE l'activité d'aut
ar les excitations visuelles (C. R. Soc. de Di-1., 1901, p. 671). ' ' L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE l'activité d'autre
e parmi les accessoires. Il suffira de les rappeler ici brièvement. ' Dans la Consultation de FRANS VAN MIEIUS le vie
faut pas oublier qu'il existe des cas familiaux et des cas con- 470 ' llGi\121 MEIGE génitaux. Il faut par conséquent
donnée l'inefficacité du traitement thyroïdien dans le trophoedème. ' NOUVELLE Iconographie de la SALPi.1 KILK. @r.
e un exemple de trophoedème localisé à l'un des membres inférieurs. ' ? Mais voici que deux observations de M. Rapin
ers cas une localisation du trophoedème sur une moitié de la face ? ' ! Quelque tenté que je sois d'admettre la possi
trer que la paralysie atrophique spinale de rellraÂêe"À>nÙ11Bi',é.¡ ' ses symptômes caractéristiques, ne se présente
ptômes caractéristiques, ne se présente pas toujours il l'observation ' avec la physionomie univoque que d'habitude nou
rcherons à prouver que, dans cette maladie, où l'atrophie semble ré- " ' gner en maîtresse exclusive, l'hypertrophie peu
ariqueux osléo-hyperlrophique, Arch. gén. de méd., juin 1900. 490 ' E. RAPIN consécutif à une altération - irritati
s de durée, tout serait rentré dans l'ordre sans laisser de traces. ' Malgré les dimensions considérables de ses extr
le raphé palatin, on s'aperçoit que les deux moitiés sont inégales. ' NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XIV
oïdiennes de la soeur doivent aussi être prises en considération. ' Nous avons, à propos du trophoedème de la joue, i
es cas de ce genre sous le nom d'oedème rhumatismal ou arthritique. ' Et nous relevons ce fait particulier que l'accr
l semble bien qu'il y a eu là un manque d'atten- tion de leur part. ' Cette enfant est robuste, bien constituée, mais
bre, les différences sont de moins en moins sensibles. xiv 40 514 ' ANDRÉ THOMAS Les muscles de l'épaule et du cou
A la face l'hypertrophie est surtout marquée pour les parties molles, ' l pour la joue et pour la langue ; pour les aut
joue et pour la langue ; pour les autres parties il n'y a pas de dif- ' férence appréciable. ' Sur le tronc et sur le
pour les autres parties il n'y a pas de dif- ' férence appréciable. ' Sur le tronc et sur les membres, plus particuli
des surfaces articulaires. Je me rends bien volontiers a ses raisons. ' 518 . E. APERT d'un C à concavité postérieure
ogressive et géné- ralisée ; synarthroplayse, thèse de Paris, 1900. ' 522 E. APERT Muscles et tendons. - Tous les m
ors en dedans, il est dirigé de haut en bas et de dehors en dedans. ' La forme en est très irrégulière, toutefois on
pondait à la surface plane qui limite en dedans la tête fé- morale. ' Fig. 1. Face interne de la tète fémorale. Fig
des scytes du IVe siècle. LA SAIGNÉE EN IMAGES (Suite et fin) ' PAR HENRY MEIGE A côté des oeuvres d'art dont
ir les veines des cuisses et des genoux, cruritnt quo que et popli- ' tum venus aúntmpit (1). Mais bientôt il ressent
ivre XV, ch. LVIII. NOUVELLE Iconographie DE LA SALPÊrRJLRI T. \1\ ' , l'l.l.»1\' LA SAIGNÉE EN IMAGE La mort de Sé
LVIII. NOUVELLE Iconographie DE LA SALPÊrRJLRI T. \1\', l'l.l.»1\ ' LA SAIGNÉE EN IMAGE La mort de Sénèque Tabl
ngues privations, et le sang s'échappe en un jet suffisamment fort. ' Nous ne voyons pas non'plus que les veines saph
hirurgie- cales, par Jean IILITZ (1 pl. en photo- collogr.), 528. ' TABLE DES AUTEURS APERT A. Quelques remarques
-LÉVI et Louis LEMAIRE. Un, cas de ladrerie cérébrale (4 fig.), 32. ' LONG E. et Wiki. Sur l'état atiophique de la
58 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
érie, tome VII. 1899. A\ect6 figures dans le texte et 5 planches. ' pAms IIUIIKAI1X DU PROGRÈS MÉDICAL 1 É, rue d
grande; chez d'autres, plus étroite que du côté sain; pendant la ' Rivista spei-i)2e ? ztale di fi,enati-ia, 4, 1896
bser- vations, et que nous remercions de leur précieux concours'. ' Nous sommes heureux de remercier notre excellent
ôté, le sourcil est relevé et presque L'ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. ' 15 immobilisé. La malade ne peut fermer isoléme
st la règle dans l'hémiplégie. Nous avons pu pratiquer l'autopsie ' Société analomique, 1874, p. 59. - In Pugliese
psycho-motrice, nous pouvons encore invoquer un fait récent. Silva ' a publié un cas d'épilepsie jacksonienne ; les
om- mun à l'opercule rolandique. Si l'hémiplégie frappe le facial ' Société médico-chirurgicale de Paris. Juin 1898.
isphère gauche ne montre aucune lésion. Sur la coupe de Flechsig, ' Cité par Pugliese. 2 Nous remercions notre coll
t ; les cas où il persiste sont beaucoup plus rares. Mais je suis ' Prévost. Thèse Paris, 1868. - Cliotippe. Sociél
ciélé analocni jue, 1871, p. 559. 3 Pitos. Progrès médical, 1876. ' Landouzv. Thèse Paris, 1876 et Archives générales
t dans l'impossibilité de fermer L'ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 25 ' l'oeil paralysé. Or, dans la paralysie faciale pé
ication à la Société de Biologie (9 juillet 1898), Ilartley Bunting ' d'un travail sur ce sujet conclut que le releve
ts ; le facial supérieur peut aussi reprendre toute son intégrité ' Lancet, 20 août 1898. Anal, u : Presse médicale,
suffisamment, se nourrissent mal ; l'assimilation ne se fait 38 ' PATHOLOGIE MENTALE. pas, la circulation est en
douches électriques seront essayés, parfois avec un réel bénéfice. ' Observation I. La nommée Guiselle Gr..., âgée d
n état de torpeur. Observation Vlf. Le nommé Jeau-Tudor Petros..., ' âgé de vingt-six ans, cordonnier, entre à l'hos
ations d'aucun sens spécial ou internes. Il est congédié en 1896. ' Le malade est ramené à l'hospice, le 30 juillet 1
Ainsi, le patient est amené à la suite d'une agitation et désor- ' dination extrême, comme il l'avoue lui-même; il c
mangeait des excréments, ne parlait rien. Il est très récalcitrant. ' Les sentiments affectifs diminués. Questionné s'i
ymnastique; travaux du jardin; travaux scolaires; traitement moral. ' A partir du mois d'août l'enfant prend deux dou
n anatomo-pathologique. {Annales médico-psychologiques, août 1898.) ' ' E. B. IX. Conditions pathologiques comparable
anatomo-pathologique. {Annales médico-psychologiques, août 1898.) ' ' E. B. IX. Conditions pathologiques comparables
tribution à la connaissance de l'ophthalmoplégie externe ; par le D' ' E.-A. Homes. Après un précis historique des doc
étaire perpétuel et MM. lier- geron, Empis, Hervieux, etc.; M. le D' ' Kapias, directeur de l'Assis- tance publique. N
e. Après quelques considérations historiques des plus importantes ' Voir dans la llev. phol. des hôp., 1871, notre mé
Comccf (C.). Ricerche sull'nzialomirc e ? Ha fisiologia f/c : ce ? ) ' ) visivi cerebrati. - Brochnre 111-4" de 93 page
NOS ABONNÉS. Jeuerely-eirllrlla nraranal Report of lhe Direclors n/ ' llre Dundee Royal Asylum for liiii(ilics. Broch
Iena, 1898. Verlan G. Fischer. AVIS A NOS ABONNÉS. L'échéance du 1" ' JANVIER étant la plus importante de l'année, no
bonnés n'ont rien ci payer en sacs du prix de leur 'renouvellement. ' - Nous leur rappelons que, à moins d'avis contr
de Neurolortie, no 37. Fig. 9. Groupe de mélancoliques (hommes). ' 106 PATHOLOGIE MENTALE. une' ancienne cicat
nérale est un peu diminuée aux jambes, mais il localise assez bien. ' La sensibilité spéciale est bonne; le malade ne
Peut-être que cet acte est en rapport avec son délire mélancolique. ' La perception est conservée. L'association des
lle veut mourir parce qu'elle a commis un péché devant Dieu, avec ' son cousin, elle dit qu'elle a souffert et souffr
denlaires. Le sens du toucher est conservé. La sensibilité '120 0 ' PATHOLOGIE MENTALE. cutanée est diminuée, mais
ade répond à 4 centimètres au tronc et aux membres supérieurs ; à t) ' centimètres pour les cuisses et la jambe gauche
e serait déjà quelque chose. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE ' PATHOLOGIQUES. 1. Sur les altérations des cellu
un cas de délire aigu et dans un cas de delirium tremens ; par le D' ' A. Ilocri. Les maladies somatiques peuvent prod
rganisme. 148 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ' Dans deux des cas de folie sénile, le liquide cér
gles peuvent, dans certains cas. dépendre d'une cause intra-nasale. ' REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
sont au point de vue embryogé- nique, des conducteurs corticopètes. ' Dans les territoires terminaux, au contraire, l
- nomie a alors grand besoin de suc thyroïdien. La femelle grosse ' Mais il ne nous paraît pas que l'opération le soi
le de considérer le goitre exophthalmique comme une entité morbide ; ' il y a, non une maladie de Basedow, mais des Base
médecin en chef à l'asile de Maréviile ; à la 1 ? classe : M. le 1) ' Bran, médecin en chef à l'asile de Bron ; à la 2e
te terminée sans nouveaux incidents. (Le Temps du 27 janvier 1899.) ' BAROxo'<i(R.).T/o'MHtomMe/tes ? f/tfp'eecMet
me, ni autre cause provocatrice d'attaques. Les recherches de ces ' Desilles. N'olice sur l'épilepsie considérée sous
1876, p. 73. Guillemin. Elude sur l'épilepsie alcoolique, 1877. - , ' ' - - - Archives, 2° série, t. VU. 12 178 p
76, p. 73. Guillemin. Elude sur l'épilepsie alcoolique, 1877. - , ' ' - - - Archives, 2° série, t. VU. 12 178 phy
jà en 1896, dans le service de M. Briand, à l'asile de Villejuif. ' Archives de Neurologie. De l'intoxication dans l'
Re- cherches sur la toxicité de l'urine normale el palhol., 1891. ' Mairet et Vires. Un stigmate permanent de l'épile
pilepsie expérimentale. Ainsi pourquoi la même dose de furfurol 7 ' Delore. Congrès cleBlois, septembre 1881. s Dol
é de Biologie, 1885 et 1886. 3 Blanc. Arch. de toxicologie, 1889. ' Xeumann. Société de médecine de Berlin, janvier 1
quemier. Manuel d'accouchement, 1816, t. II, p. 200. Joflroy et Ser\ ' ( : aux. fc; : sto'c ! <t0)t de la toxicité du
de la morphine. (li-ch. (le mécl. expénina. et cl'anat. pallaol., 1" ' juillet 1898.) ' L.-W. Weber. Miiiieh med. Vocl
-ch. (le mécl. expénina. et cl'anat. pallaol., 1"' juillet 1898.) ' L.-W. Weber. Miiiieh med. Vocle., n° 26. Conséq
CHEZ LES MÊMES MALADES AUX TROIS PÉRIODES DE LA. PARALYSIE GÉNÉRALE ' ; ; Par le D E. MARANDON DE MONTYEL, Médecin
satis- faction physique, par contre 21 fois nous avons relevé son ' Voir Archives de Neurologie, n° 35, t. VI, 1893,
'ailleurs déjà été signalé pour les réflexes dans cette maladie'. ' Voir à ce sujet les quatre mémoires que nous avon
dermatophobies présentent dans leur intensité, leur gravité et leur ' signification pronostique de nom- breuses varié
t réalisée par un malade en état subconscient. (American jourrzal o/ ' 212SCLJ2lG, octobre 1898.) E. B. XVII. Mélancol
CLJ2lG, octobre 1898.) E. B. XVII. Mélancolie de la lèpre; par le D' ' A. Asnaran. Dans le journal de l'Association de
extension, galvanisme, tout échoua et son cas fut réputé incurable. ' A son entrée à l'infirmerie royale il présentai
XXXVII. Paralysie alcoolique et polynévrite infectieuse ; par le D' ' Tiling. - Korsakov a montré qu'à côté de l'alco
penses, mais l'Etat se réserverait naturellement la surveillance et ' Cette manière de voir, prônée il y a quelques ann
l'existence de la dissociation de la sensibilité dans les myélites. ' Secrétaires des séances : G. HOSSOLIMO, N. VERS
t;dMO-ps</c/M<09 : <M, déc. 1898.) E. BuN. FAITS DIVERS. ' Asiles d'aliénés de France. Asile de Bron. Le c
es de la méthode de traitement adoptée en Belgique et en Allemagne. ' Le rédacteur-gérant, Bourneville. 4Nretl%, II
ce travail. La synthèse en a d'ailleurs été magistralement faite ' La mise à l'étude pour le Congrès de des délires
ar le zèle intempestif des cathéchistes comme cela se voit encore ' André Lefèvre. Dictionnaire des sciences anthropo
insu, autant au point de vue pathologique que patrony- mique 2 ' P. Bail. Traité des maladies mentales, p. 492. Ed
2 ' P. Bail. Traité des maladies mentales, p. 492. Edition 1887. ' La Roche-Gandon. Rapport 91, p. 12, D's Friese et
16 novembre 1889. (Caractères généraux des délits mélancoliques.) ' Cotard. drch. de Neurol., 41 et ! 2, 1882. my
t une paranoïa primitive; il en étudie les variétés religieuses7. ' Magnan. Leçons cliniques. (l'ro. Dléd., 1887, p.
der Talenslorung, 186.ï, Birh. * Hertz, Nasse. (lllp. Geitztn7 0/ ' l'scla.) Bd. XXXIV, p. 167, 1878. 5 Saint. Die
ambi- tieux, et avant les formes érotiques. Pour eux, comme nous ' Kroepelin. Compendriens der Psych., 1883, Leipsik
. Compendriens der Psych., 1883, Leipsik, id., derne- dit., 1889. ' Witkowski. Congrès annuel des aliénés allemands,
188G. Traduction française de MM. Duha- mel et Dagouet, P., 1888. ' Spitska. Lzizaite delzzsions. (Journal of nem and
Lzizaite delzzsions. (Journal of nem and mental dizcises, 1881.) ' Morsetti et Buccola. La piazzia sislemalizzalce.
ar opposition à la systématisation progressive ; d'autres, consi- ' Rosenbach. Messager Russe, 1884. ' Greidenberg.
progressive ; d'autres, consi- ' Rosenbach. Messager Russe, 1884. ' Greidenberg. Messager Russe, 1885. 3 Guislain.
1885. 3 Guislain. Leçons orales sur les névropalhies. Gand, 1852. ' Magnan et Sérieux, p. 110. 264 CLINIQUE menta
s maniaques. « Il n'est aucune forme de maladie mentale, dit Cotard ' , où les troubles de l'activité motrice se manif
les plus instables. » (Pas de systématisation donc, en principe.) ' Cottird. Loc. cit., p. 422 et 423. 268 CLINIQ
moins momentanément, une harmonie et un bonheur parfait », Cotard ' place celles toutes différentes, dans lesquelles
ssement, hémorragie, tumeur), les préoccupations religieuses sont ' Cotard, p. 421, 425. MYSTICISME ET FOLIE. 269
s résistent plus que les éléments moins atteints de la mentalité. ' Thivet. De l'état mental des vieillards. (Thèse,
épiteptiques au début de leur affection et fait ressortir ce fait ' Cotard. Loc. cil., p. 371. ' Dupain. Loc. cit.
affection et fait ressortir ce fait ' Cotard. Loc. cil., p. 371. ' Dupain. Loc. cit. Obs. LXV. 3 Le Sabbat des Sor
Richer). Enfin Soeur Jeanne des Anges, supérieure des Ursulines à ' Magnan. Leçons cliniques sur l'épilepsie, 1883, p
ulines à ' Magnan. Leçons cliniques sur l'épilepsie, 1883, p. 44. ' Krafït-Ebing. Lerbuclt der l'sych., t. III, 1830.
erbuclt der l'sych., t. III, 1830. Observations 79, 81, 82 et 88. ' Dupain. Loc. cit. Observation 52. MYSTICISME
et 88. ' Dupain. Loc. cit. Observation 52. MYSTICISME ET FOLIE. ' 273 Loudun (Légué et Gilles de la Tourette) et
sorciers; Françoise 1% oa- laiîze; la Possession de Jeanzze 7-'e ? ' ? ? la Dernière sorcière de Genève. Ajoutons le
rapprochés avec le temps et marqués par une agitation plus grande. ' Les autres membres de la famille, restés depuis
n. Au contraire, ceux à tares héréditaires moins nombreuses coor- ' Feré. Sensation et mouvement. 278 PATHOLOGIE
ar des quan- tités plus ou moins considérables d'indican, d'acétone, ' d'acides diacétique et p oxybutirique, de tyros
r- tainement une des particularités les plus intéressantes et les ' Ballet. Lésions corticales el médullaires dans la
te. Un des signes les plus caractéristiques de cette obnubiiation ' Régis et Gaide. Rapports entre la maladie du somm
le malade retombe, aussitôt abandonné à lui-même, dans son rêve. ' A. Pitres. Leçons sur l'Aphasie amnésique (Progrè
d) Il se compose de scènes de rêve, mobiles, variées, mais suivies. ' e) Le malade est acteur, il est comme dans un r
oses d'attio-iî2toxicatioîî et par suite de la con- fusion mentale. ' Cette idée de faire du délire des intoxications
n désert et voyait autour d'elle des voitures chargées de cercueils) ' (Obs. VII); la malade qui fait le sujet de la qu
2. » 'l'outefois, Baillarger ajoute un correctif à ce rapproche- ' Delasiauve. Du diagnostic différentiel de la 1 ?
colie avec stupeur du Dicl. encycl. des sciences médicales. î96 ' PATHOLOGIE MENTALE. - journée sont remplacées :
re à M. Chaslin, à M. Sérieux et aux auteurs étrangers qui préco- ' Tnty. (le Il';(/(Il dans un cas de l'.sclro.sc. (
oie oe+o qui unit l'image objective à l'image graphique, et la voie ' + k, inverse, conduisant l'image graphique à l'
C'est l'observation d'une femme de dix-huit ans placée à l'asile de ' Durham. L'autopsie montra l'ectasie postérieure
e. La mort survint dix jours après le début des premiers accidents. ' L'étude histologique du système nerveux a fait
apercevoir aucune lésion. Le cerveau était normal sur les coupes. ' Il faut donc supprimer la possibilité, soit d'alt
ion clinique et l'état anatomique. (Revue neurologique, oct. 1898.) ' E. Blin. XXVIII. Sur un cas d'atrophie unilatér
né devront être considérées comme n'ayant aucun rapport avec le ' 316 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
ue de la psychose. (American journal of insa- 121ly, octobre 1898.) ' E. B XXXIII. Validité de la doctrine du neurone
n qui le provoque est non pas sous-corticale, mais bien capsulaire. ' L'auteur pose les conclusions suivantes, pour s
EUSE. 35 LUI. Paralysie pseudo-bulbaire; par le D1' Lad. HASK-OVEC. ' Les points importants de l'observation rapporté
tions foetales ou anatomiques spéciales, difficiles à déter- miner. ' La pathogénie de l'hypertrophie hémifaciale acq
omme agent héroïque de sédation. Catalepsie spontanée chez une /tsM) ' : (/ue.M.BËRiLLOK. Depuis deux ans, la malade e
alades chez qui l'on peut facilement reconnaître cette évolution. ' Magnan. L'étal mental des dégénérés. {Revue Neuro
ianes- thésie et une hémiparaplégie accompagnée d'allochirie sen- ' Frederick W. Mott. Results of Hémiseclion of llee
pitié, que le sort des malheureux que vous recevez dans vos asiles ' ? Mais est-il rien de plus admirable, de plus c
ce qui parait aujourd'hui sous le nom de confusion mentale. Le D' ' Sauze mourait prématurément en 1884, à l'âge de c
y- technique pour lui faire étudier la médecine ; j'ai nommé le D' ' Audiffrent. Vous parlerais-je du D'' Lachaux, u
a médecine ; j'ai nommé le D'' Audiffrent. Vous parlerais-je du D' ' Lachaux, un de nos doyens, élève de Morel, dont
s, au nom du Gouvernement qu'il a mission de repré- senter, M. le D' ' Drouineau félicite les congressistes qui sont a
grès d'Angers, a rendu ses comptes de gestion et, en l'absence du D' ' Motet, président du Congrès d'Angers,. M. le D'
en l'absence du D'' Motet, président du Congrès d'Angers,. M. le D' ' Ritti, ancien président, a présidé à l'installati
président, a présidé à l'installation du nouveau président, M. le D' ' Doutrebente. Ont été nommés présidents d'honneu
l'École de médecine, M. le Dr Kackenko, de Nijni-Novgorod, M. le D' ' Martin de Juove, Genève, etc.; vice-présidents
ternational de 1900. M. le Président adresse ses remerciements au D' ' LivON, directeur de l'École de médecine, qui a
bente, M. le Dr Magnan ne représentant pas à lui seul toute l'École ' française ; et même sur cette question itous-les
progrès dans le domaine des maladies du système nerveux. M. le D' ' Lalanne (de Bordeaux) apporte une observation sur
ociété médico-chirurgicale de Marseille, dont le président, M. le D' ' Arnaud, a porté de façon charmante la santé de
uvent les produire. Polyezévi,iqzte post-iiiflite2zzique. M. le D' ' L.1AROBSSINIE. Il y a quelque temps, j'étais appe
tion. Elle a paré au plus pressé en construisant des quartiers sup- ' Noire statistique ne remonte pas avant 1887 parce
qui fera époque dans notre spécialité. SOCIÉTÉS SAVANTES. 4Û* ' Le docteur Anglade a su, par l'étendue de ses con
arcourir une carrière qui méritera, je l'espère, votre approbation. ' Permettez-moi de lever mon verre en leur honneu
te dont la parole autorisée a jeté un si vif éclat sur nos séances. ' Nous avions espéré posséder ce soir au milieu de
t de pédagogie. J. l3ora. XI. Les alcooliques persécutés ; par le D' ' Cololian. La question de l'alcoolisme est plus
Chez les non héréditaires, le terrain favorable est dû à l'alcool ' M. Duprat cite dans son ouvrage l'observation que
? Si l'on compare le cas d'exemption du service militaire VARIA. ' 429 9 pour cause d'affection nerveuse à ceux d'
ourrait-on presque dire que l'humilité du 436 PATHOLOGIE MENTALE. ' délire n'est qu'une étiquette trompeuse, qu'ell
propos une polémique, il se trouva mêlé indirectement à cette 446 ' PATHOLOGIE MENTALE. affaire. Il n'avait rien à
ou- vons ;t ce sujet dans les auteurs qui ont écrit sur l'aphasie ' Du bégayement et balbutiement (JMyci, 181)2). Abr
st conservée, les sujets peuvent lire et écrire sans pouvoir parler ' ; 3° L'aphasie auditive (surdité verbale) due a
mutisme infantile, parmi ceux des adultes le mutisme fonctionnel. ' Ce mutisme se distinguerait de l'aphasie motrice
é excellente; pas de convulsions ni de manifestations hystériques ' Cette question est traitée en détail dans notre t
ous avons intitulé notre observation hys- térie mâle; ce diagnostic, ' en effet, nous paraît s'imposer. Notre homme ét
ue); par le Dr V.\x Geiiuchten. (JOUI-11. de Neuro- logie, 1899, il, ' 2.) 11 résulte de ces recherches : 1° que les l
etc.). Ces faits regret- tables peuvent et doivent être évités. . ' Voir le dernier numéro, mai, page 366-109. SO
onnu insuffisant. Tous ces moyens ont pour but d'empêcher la con- ' Nous avons relaté un certain nombre de cas de ce
justifier cette hypothèse, dont la réalité serait si honteuse pour ' notre armée ; nous le disons avec d'autant plus d
e M. Pli. Rey est ensuite adopté. Syndrome urinaire neurasthénique. ' M. SÉET. Chez trois neurasthéniques graves nous
s ; le moindre bruit le fait tressaillir, si la porte s'ouvre, pris ' Magnan. De l'alcoolisme, des divers formes du. dé
140. Délire systématisé des grandeurs dans la convalescence de la ' fièvre typhoïde. M. DuFOUR. Parmi les formes de
498 Délires systématisés secondaires ci un état neurasthénique ; ' par Lalanne. Méningite tuberculeuse de l'adulte
sible, pieds tombants; la malade ne peut se tenir debout, troubles ' Voir sur les hémorragies méningées : Clarcot, OEu
IBLIOGRAPHIE. XII. Du bromure de camphre dans l'épilepsie; par le D' ' Louis Haslé. (Thèse de Paris, 1899, aux bureaux
es comme on les prend à Bicêtre. Les conclusions de l'auteur sont ' Thèse de Paris, 1889, publiée par le Progrès Médi
dies de l'esprit et leur traitement. (Amener journal of, iîzsilnity, ' octobre 1898.) C'est la thèse que les Archives
tobre 1898.) C'est la thèse que les Archives ont toujours Soutenue. ' E. B. -, . LES effets DE l'alcoolisme. . , No
mpruntons les deux faits suivants au Bonhomme normand du 22 avril : ' Les nommés Guillemin et Béchet, soldats au 26e
s mains de ce forcené, qui fut arrêté ivre-mort chez ses parents. ' Le sieur Léon Charlemaine, 26 ans, s'est pendu da
détermination sont attribuées à l'abus des boissons alcoo- liques. ' Ai;cfmHa, 2° série, 1. VU. 3-' FAITS DIVERS
orracln, 320. Agitation. Elude séméiologique de l ? par Cololian. ' Alcool. Deux enfants tués par l ? 174. L'- et
AIfYOTHOPI11E. Trois nouveaux cas d'- primitive progressive dans ' l'enfance, par Ilaushalter, 228. AKALGÉS ! E.
soliino, 246. Trois cas d' céré- belleuse héréditaire dans la .même ' famille, par Hossohmo, 360. Suri ? locomotric
-, par Popolf, 333. Confusion mentale. La -, par Gom- bault, 418. ' Congrès des aliénistes et neurolo- gistes, pa
areil sexuel, par inlacliellsie, 150. Sclérose en plaques. Un cas ' de tremblement segmentaire dans la - , par Gr
59 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
miler les infantiles à des myxoedémateux chez lesquels les manifes- ' tations graves de la cachexie strumiprive feraien
tes les vertus de la nour- rice et du sapeur. l'infantilisme vrai ' 15 Et que dire du féminisme ? Sa parenté avec l
es qu'ils ont présentés. En voici encore deux autres exemples : ' Observation III M... Julien, employé, 41 ans à
oeurs ont eu des convulsions de l'enfance. Caractère plutôt sombre ; ' intelligence moyenne : apprenait convenable- me
» On ne saisit aucun lien pré- cis entre ces gestes et le discours. ' Vers la fin de sa vie, en 1903, le malade alité
premier examen, ne se sont pas montrés lors des examens ultérieurs. ' La malade revient en décembre 1905 à la Salpêtr
alisées. Il n'y a trace ni de broncho-pneumonie, ni de tuberculose. ' L'examen du foie ne décèle aucune particularité
ques intervertébraux. A quelle affection avons-nous affaire ici ? ' Il est une maladie dans laquelle on peut voir l
rtébraux, et propagation plus ou moins accentuée vers la dure-mère. ' Entre ce type clinique, dont l'existence d'aill
gr. de la Salpêtrière, t. XVII, n° 2, p. 8S, 100, mars- avril 1904. ' (2) VfipfI00aEN, Les formes cliniques du rhumat
e und Physiologie, vol. VIII, 1855, p. 537. (3) Friedreich, [Te6e» ' progressive Muskelairophie und ùber wahl'e und fa
ilets musculaires. Les filets sensitifs de la peau sont' intacts. ' Friedreich, on le voit, expliquait ces atrophies
en certaines régions envahit la totalité des cordons postérieurs. , ' Dans la suite, et surtout après la publication
rches démonstratives et dernièrement notre collègue et ami Apert (4) ' a publié un ouvrage dans lequel dès le premier
ccommodation conservé. Pas de nystagmus. Motilité des yeux normale. ' Pas de troubles de la sensibilité (superficiell
particulier dans les membres supérieurs était devenu plus accusé. ' Mort le 4 décembre 1905. Il s'agit, comme on vo
nt. Elle a eu deux soeurs mortes étant jeunes d'affections banales. ' Antécédents personnels. - Née à terme. Réglée à
Z UNE TABÉTIQUE (Charlier et Dcscoms.) - Masson et Ce, Editeurs ' }\ ? ¡ 'Q ? f. ? IIIiI Pliotolypie Berthaud CH
adre clinique devons-nous ranger ces déformations squelet- tiques ? ' ? S'agit-il, en premier lieu, d'ostéo-arthropat
une saillie normale avec une exostose surajoutée - Et les muscles ? ' A la table de dissection, la meilleure note éta
du nu per- met seul d'apprécier ces particularités morphologiques. ' ' . Plus tard, poursuivant l'étude de l'être hu
u nu per- met seul d'apprécier ces particularités morphologiques. ' ' . Plus tard, poursuivant l'étude de l'être huma
Physiologie artistique de l'homme en mouvement, Paris, Doin, 1895, ' UNE RÉVOLUTION ANATOMIQUE 107. organes, les mêm
ère, nu 2, 1894, et n" 2, 1898. (2) Ibid., n 2, 1895..... .. 108- ' 'HENRY MEIGE - ' bien connue des médecins afin
et n" 2, 1898. (2) Ibid., n 2, 1895..... .. 108- ' 'HENRY MEIGE - ' bien connue des médecins afin de n'être pas con
rincipe clini- que : « comparer le côté sain et le côté malade ». ' « L'orientation dans toutes les parties du corps d
ée, à l'avantage des médecins, pour le plus grand profit des malades. ' @ Si la nécessité de l'étude et même d'un ensei
FÉRIEUR (ÉCORCIIÉ, SUITE) PL.26. l'un ur8nw £ XTEn.'K a rul .1 /l, ' PLANCHE EXTRAITE DE LA NOUVELLE ANATOMIE ARTI
"Abrégé d' Anatomie ACCOMMODÉ AUX ARTS DE PEINTURE ET DE SCULPTURE ' par François Tortchat (1668). NOUV. ICONOGRAP
e grise du mésencéphale soit envahie sur toute son étendue (1). Ainsi ' dans la poliencéphalite supérieure, qui est sou
XX. PI. XXVII IVs s Ills s Ils - " Is s VI - ? - - - ? ' IV 1 1 III l Nouvelle Iconographie de la Salp
en gauche était la seule manifestation clinique de la poliomyélite. ' Dans le cas de Williams (3) (1899), il s'agit ?
i les relations existant entre (1) Cités par Oppenheim (IOC. cit.). ' (2) BATTEN, The Lancet, 1902, Déc. 20, p. 16-il
) Huent, Revue neurologique, 1900, p. 389. (2) Calabrese, loc. cit. ' (3) AUERBACII, Jahrb. f. Kinderh., 1899, Bd. 50
la famille ait été atteint d'un gonflement quelconque des membres. ' Ce vieillard vient nous consulter au sujet de l
isant de la main succulente syringomyélique par exemple (PI. XXIX). ' Au palper, l'oedème est dur, se laissant très d
ession franchement énergique,ne laissant pas de godet per- sistant. ' Voici les circonférences comparées des deux mem
mparées des deux membres supérieurs soigneuse ment repérées : 148 ' fi;fimrrc ' ,,Il n'existe aucune cause locale p
deux membres supérieurs soigneuse ment repérées : 148 ' fi;fimrrc ' ,,Il n'existe aucune cause locale pouvant, déte
niveau de membre supérieur gauche Le coeur est en état très suffisant, ' paraissant à peine touché par la cardio-scléros
re inférieur à la suite d'une entorse tibio-tarsienne ; dans le nôtre, ' où il apparaît à la main d'abord puis à l'avant
et non du type radiculaire, mal- gré la lésion névritique initiale. ' C'est sous l'influence de cette réaction du sym
nous en trouvons une preuve manifeste sur les oedèmes trophoneuro- ' tiques aigus de Quincke dans les territoires occu
u plusieurs segments de l'un ou de plusieurs membres et persis- 154 ' ÉTIENNE tant la vie entière sans préjudice nota
essée put recom- mencer à patiner trois jours après le traumatisme. ' Mais huit jours plus tard, elle s'aperçut d'un
EUX DANS UN CAS DE , TROPHOEDÈME CONGÉNITAL (1) PAR E. LONG ' (de Genève). ' 1 L'observation clinique du cas
AS DE , TROPHOEDÈME CONGÉNITAL (1) PAR E. LONG ' (de Genève). ' 1 L'observation clinique du cas sur lequel nous
rnières l'état de dissociation au milieu du tissu adipeux (fig. C). ' 11. Ner/'médinu. - Ce nerf est notablement hype
H ? II EXAMEN HISTOLOGIQUE DES TEGUMENTS ET DES TRONCS NERVEUX ' DANS UN CAS DE TROPHOEDEME CONGENITAL. · (E. Lo
NCS NERVEUX ' DANS UN CAS DE TROPHOEDEME CONGENITAL. · (E. Long). ' A. Téguments (gr. 2 1/2 d.) B. Epiderme et derm
a- dies d'évolution). Iconographie de la Salpêtrière, 1907, n- 1. " ' SUR UN CAS DE TROPHOEDÈME CHRONIQUE PAR . C
gauches, en même temps qu'elle présentait un état fébrile. Les dou- ' leurs ont duré deux ans ; dans la dernière année
irconférences comparatives des deux membres à plusieurs niveaux : ' Cuisse droite au niveau du pli Cuisse gauche au m
ntation de l'oedème ainsi que d'une coloration rouge des téguments. ' De même dans une observation de Follet, les tro
me.Mais ce dernier ne devient persistant qu'à la troisième poussée. ' , j Des troubles, en moins, de la sensibilité o
nant avec quelles affections le trophoedème pourrait être confondu. ' C'est d'abord avec l'oedème par compression. Ma
égion qui est normalement chez la femme le siège de dépôts adipeux. ' La mensuration donne les mêmes chiffres à droit
d'altérations diverses des nombreuses glandes à sécrétion interne. ' Sans vouloir prendre parti pour l'une ou l'autre
r les différentes parties du corps qui sont juxtaposées après coup. ' Sur une vue postérieure de cette statue, l'exac
n écorché pour prêter un concours vraiment utile à l'enseignement ? ' ? 1° Il devrait, ditM. Paul Richer, avoir l'att
sse, en particulier dans la région du flanc et de la fesse. Inutile ' d'ajouter que le modelé du genou est conforme à l
n'a jamais eu de troubles sphinctériens. Etat actuel (mai 1903). ' SYNDROME DE WEBER AVEC 11É1111101'JII : DATANT
onculaires de la Ill- paire gauche sont en grande partie dégénérés. ' Le foyer primitif enfin se termine dans la régi
n grand nombre de libres de la IIIe paire, sont là pour le prouver. ' Enfin notre cas présente, au point de vue anato
antes qu'on constatait dans les vais- seaux ; congestion des bases. ' Coeur. Pas de bulles d'air dans le sang ni dans
sion. On constate aussi de rares foyers d'hémorragie peu abondante. ' (1) VAN GEFIUCHIEN, Anatomie du système nerveux
TILE : PSEUDO-PARALYSIE SPINALE INFANTILE PAR Jacinto de LÉON ' (de Montévidéo). La polynévrite aiguë généralis
on de dégénérescence aux muscles innervés par le nerf médian droit. ' 220 JACINTO DE LÉON La petite malade ayant ét
arrondie et saillante comme on le voit rare- ment chez les garçons. ' La force musculaire est diminuée dans la flexio
ès particulière. L'enfant ne présente qu'un nombre de dents infime. ' A la mâchoire supérieure il n'y a que neuf dent
e inférieure percent des incisives, début de la deuxième dentition. ' De plus, toutes les dents de l'enfant sont cari
it articulation de la clavicule avec le sternum ni avec l'acromion. ' Du côté gauche, la portion osseuse est plus con
centigrammes, le droit pèse 3 gr. 54 'centigrammes, le gauche pèse ' ) gr. 58 centigrammes. A l'ouverture de l'abdome
ue provoque l'excitation du sympathique. Plusieurs heures plus lard, ' la cocaïne paralyse les terminaisons nerveuses du
rêt de l'étude clinique que nous entreprenons ici. ? Observation. ' Le malade F..., âge de 18 ans, exerçait la profes
ent de la température; objectivement la main est certainement plus \ ' froide au toucher que celle du côté opposé. Ces t
ubles de la sensibilité aux trois modes. ) 2GG RAYMOND ET LJONNE } ' moins touchée qu'à la partie supérieure du thorax
légers troubles du sens des attitudes aux doigts 1 et aux orteils. ' Dans les mouvements, on constate un certain deg
Si l'on ne tenait compte que de certains symptômes, la déformation ' \ vertébrale et les troubles de sensibilité pourra
ites chroniques du mal de Pott s'accompagnent de paraplégie spasmo- ' clique, de scoliose, de troubles de la sensibilit
t on a parfois pris pour une syringomyélie un "mal de Pott (2). - ' - La maladie de Morvan et surtout la ]épie sont p
e prolonger le diagnostic différentiel : la syringomyélie s'impose. ' Mais il ne nous suffit pas d'avoir catégorisé l
combiné avec la radiographie nous donne des résultats intéressants. ' La chiromégalie chez F...., on s'en rendra bien
avancé le vaisseau est complètement rentré dans l'écorce (fig. 2). ' Le tissu cérébral cède donc déjà à une pression
t surtout altéré dans sa forme ; l'aqueduc de S. est ou- vert. .t, ' \ Il semble naturel d'en conclure que la tumeur
e court supinateur extrêmement développé, avec insertions normales. ' Le nerf médian innerve le rond pronateur et les
on des tissus l'amputation du membre (Kristeller, Menzel, Longuet). ' Il existe enfin une théorie éclectiqne qui veut
tération à l'oeil nu, mais elle n'a pas été examinée au microscope. ' XII. En. MARTIEN et MAURICE LETPLLE. Contributi
upérieures normales; mais, à l'extrémité inférieure du radius, le 1" ' radial glisse sous le second et se termine sur
à droite, sur le petit cartilage calcaire. Il n'y a pas de pédieux. ' Vaisseaux. rM. em&rMeWeurdro. - La radiale,
en bas, par anomalie, qu'avec la partie externe du 2" métacarpien. ' . Le grand os anormal paraît résulter de la fus
at d'ossification du squelette. - Os du carpe : Tous cartilagineux. ' HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 315
domadaire des sciences médicales de Montpel- lier, 31 octobre 1885. ' Il s'agissait d'un sujet de 32 ans, mort de flu
des 2e, 3e, 4° métatarsiens, des phalanges des 2e, 3e, 4° orteils. ' XXIV. - G. Commandeur (de Lyon). Hémimélie unil
ifférenciations ultérieures qu'aurait acquises le tissu conjonctif. ' XXXIX, - E. f3EIlTIN et M. Oui, Monstre ectromé
au carpe, il y a un seul os ; au métacarpe, un seul doigt est entier ; ' le pouce n'a que la première phalange, et l'ind
VYV4ttAYt1lE DE LA SALPETRIERE. 1. t1. T'i. LXII - - ? 11 A , t ' . - '" . foi . - - ' < " < ? . e ,/
t1lE DE LA SALPETRIERE. 1. t1. T'i. LXII - - ? 11 A , t ' . - ' " . foi . - - ' < " < ? . e ,/ . r c
ERE. 1. t1. T'i. LXII - - ? 11 A , t ' . - '" . foi . - - ' < " < ? . e ,/ . r c , ' ! Ii 1 I '
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1 I ' r . ' - ? ' ' ° - '- , ' " ' ,1 <, ' , .. z » ? ? . - , ' .. - ' -' ? ? ''<,- ? . ? - ... ? ,. ' -- !
r . ' - ? ' ' ° - '- , ' " ' ,1 <, ' , .. z » ? ? . - , ' .. - ' -' ? ? ''<,- ? . ? - ... ? ,. ' -- ! B RAD
' - ? ' ' ° - '- , ' " ' ,1 <, ' , .. z » ? ? . - , ' .. - ' - ' ? ? ''<,- ? . ? - ... ? ,. ' -- ! B RADIOD
lt;, ' , .. z » ? ? . - , ' .. - ' -' ? ? ''<,- ? . ? - ... ? ,. ' -- ! B RADIODIAGNOSTIC DANS UN CAS DE DILATAT
que dans ces deux cas l'examen radiosco- pique n'ait pas été fait. ' Une telle entité morbide est très obscure clini
s de tous côtés des mines japo- naises, placées là pour ma perte. » ' « En ce qui concerne les formes d'aliénation, e
graphophone ; ceux qui ne pouvaient marcher y étaient transportés. ' Sur mer, le scorbut disparut promptement, et pr
llement et dans des régions arriérées, mi- sérables et déshéritées. ' Il n'en est pas de même en Espagne ou le maïdis
les aliénés ègyptiens comme dans la population indigène en général. ' Pour l'infection spécifique précitée, j'ai déjà
rement dense ; la zone des grains et la substance blanche se recon- ' (1) W c.noE, Société de Biologie, La réaction név
Bordeaux, novembre 1907 (en préparation). , (3) ANGLAOE, loc. eu. ' TUMEUR CÉRÉBRALE DE LA RÉGION DES CIRCONVOLU-
sans noyau. A la moelle lombaire, la substance grise est normale. ' Les cellules nerveuses des segments médullaires o
- Les capsules surrénales, le corps thyroïde sont normaux. 1 380 ' LHERMITTE ET ARTOM L'hypophyse n'est nullement
t extrêmement facile et la confusion avec l'acromégalie impossible. ' Il peut n'en être pas toujours ainsi et parfois
tie supéro- externe de la jambe. Le genou ne possède pas de rotule. ' Le pied présente les mêmes particularités qu'à
par rapport à la gauche ; a gauche la ligne innominée est redressée, ' l'acétavulum est un peu refoulé en dedans. 39
que le gauche, la saillie des fessiers est plus accusée à gauche. ' Membres supérieurs. - Les membres supérieurs out
harron, Degouy et Tissot.) NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. ' T. XX. PI. LXXIII .1CI10\ DROI'LASIE - - fr :
fet l'humé- rus ne présente qu'une faible diminution de longueur. » ' Hervé soutient « que l'hémimélie est le résulta
t du côté droit que se trouve cette anomalie. S'agit-il xx 26 406 ' KLIPPEL ET BOUCIIET d'un fait de corrélation ?
dans les points où le trouble pathologique est à son minime degré. ' Au bras, en effet, on constate le volume consid
ubercule cutanéo-fibreux, surtout cutané et légère- ment graisseux. ' Les tendons des autres muscles des doigts et de
l'atrophie numérique telle qu'elle fut décrite par l'un de nous. ' MOELLE. - et) Examen de la moelle. Toutes les m
Progrès médical. Paris, 1893, 28 octobre, ne 43, 2" s., XVIII, 281. ' ' BLAGUEZ. Soc. anat. Paris, 1856, p. 281-284.
ogrès médical. Paris, 1893, 28 octobre, ne 43, 2" s., XVIII, 281. ' ' BLAGUEZ. Soc. anat. Paris, 1856, p. 281-284.
EOFFIIOy-ST-liILAJI1E (Etienne). Philosophie anatomique. Paris, 1820. ' G¡;onIlOy-ST-l ! ILAIRE (Isidore). - Histoire g
litique. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1897, no 1 p. 31. ' GunLT. -Lehr6uc/z der Pathol. An. der Haus-Saug
1. ' GunLT. -Lehr6uc/z der Pathol. An. der Haus-Saugelhiere, 1832. , ' HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 4f
curieux d'anomalies multiples. Gazette des hôpitaux, 1851, p. 15. · ' Hervé (G.). - Sur un cas d'hémimélie. Bull. Soc
émimélie. Bull. Soc. anthropol. Paris, 1886, 3 s., IX. p. 752-753.. ' ' HALBRON. - Un cas de phocomélie et d'hémiméli
imélie. Bull. Soc. anthropol. Paris, 1886, 3 s., IX. p. 752-753.. ' ' HALBRON. - Un cas de phocomélie et d'hémimélie.
cas de phocomélie et d'hémimélie. Nouvelle Iconographie de la Salé, ' trière, Paris, 1903, XVI, 123-128, 3 pl. Soc. Neu
phies. Soc. méd. Nancy, C. r., 1899-1900, 25 juillet 1900, p. CIII. ' Mathias-Duval. - Pathogénie générale de l'embry
rvoso centrale siano primitive o secon- . darie aile mostruosita pe, ' difetto (ectromelia, emimetia). Archiv. per le Se
, emimetia). Archiv. per le Se. med. Tonno, 1901, XXV, 53-61, 1 pi. ' Proust. Aïnhum congénital. Bulletin Acad. de mé
ite ectromélien hémimèle, Bull. Soc méd. de Pau, 1902, n" 5, 90-93. ' SERRES. Anatomie comparée du cerveau dans les 4
droite, Bull. Soc méd. de l'Yonne, Auxerre, 4870, XI, 10-12, 2 pl. ' TESTUT. Traité des anomalies musculaires. Tie
tETTHEXE. T. XX. Pl. LXXV rORE)\CIPII¡\I.IE CHEZ UN HYDROCÉPHALE ] ' ;PIt.rPTIdUr (Séglas el Barbé) Aspect du cerve
scissure r7n V;r^Jjli|h]Ai><i^i;miM,J(J]j Jj'JCTJIlll^jMfc^.™^ ' ! ^. et, montrent le foyer hemorl hagiq ue. Nou
tous ces points, déterminés par degrés de longitude et de latitude. ' Pour celle transposition il faut exécuter toute
evint impossible à la malade de passer son alliance au doigt. 41l ' DEDUSCUL 1 La colonne vertébrale se courbant, l
11)rS (Bedllschi) Radiographie des genoux. MflC;C'Ql1 rt ri,. 7 ' ? . , ? .... .7 ? ... ? Nouvelle Iconographie D
Mais ce qui, surtout, rend intéressant le cas que présente ce sont ' deux ordres de faits : la paralysie flasque et le
. (Bediiçcl)i) . - R'ldirlrrt-'1nhip-A"r""1 1'1 ? r ? - ? T . -- - ' ' -* - SUR UN CAS d'acromégalie 447 manifesta
(Bediiçcl)i) . - R'ldirlrrt-'1nhip-A"r""1 1'1 ? r ? - ? T . -- - ' ' -* - SUR UN CAS d'acromégalie 447 manifestati
vue pathogénétique. SUR UN NOUVEAU CAS DE TRO'PHOEDÈME CHRONIQUE ' · 47 C'est le trouble du métabolisme calcique e
ir relater l'observation suivante. Mais je dois d'abord m'excuser : ' Les histoires courtes sont, dit-on, les meilleu
sans jamais d'ailleurs persister longtemps ni l'incommoder beaucoup , ' Or, il y a six mois environ, en juin 1902, Taur
bjet sur une table, dé- placer une chaise, etc. , 466 HENRY MEIGE ' - Pendant la marche, la rotation de la tête à g
entre les deux sterno-mastoïdiens lors du premier examen a disparu. ' 23 janvier 1903. -- Les progrès n'ont cessé de. s
. Tel mouvement impossible aujourd'hui de- viendra possible demain. ' . 4° Eviter les occupations prolongées qui ne s
e promenade. De 5 à 6, sur le lit ou le hamac. A 6 heures, dîner. ' Après dîner comme après le déjeuner. A 8 heur
vec quelques incorrections, les mouvements des épaules et des bras. ' 2° Je suis loin encore de l'aisance et de la be
haite bien, car je ne puis plus, à l'heure xx 31 490 11EKRY MEIGE ' qu'il est, jouir du repos considérable que j'av
u lit. De 3 h. 1/2 à 5, troisième séance d'exercices devant miroir. ' De 5 à 5 1/4, puis 5 1/2, promenade à l'extérie
la main, je pourrais marcher une heure et plus sans être désemparé. ' 8° Je dis que je porte un peu à droite le livre
uelques changements de position sans pro- voquer de contractions. ' Peu à peu l'amélioration gagnait la station debou
me conseillerez pour arriver, si possible, à une guérison complète. ' Je pense depuis quelque temps à me procurer un
arcose géné- rale chloroformique ou d'autre substance anesthésique. ' L'art de la peinture nous a laissé des exemples
te in gans besonders deulficher lVeise das Bell'sche P/¡dno1llen ». ' Un exemple très net du phénomène de Ch. Bell a
irer (31) dans un cas de paralysie double du facial chez une femme. ' SUR LE PHÉNOMÈNE DE CHARLES BELL Si 7 De tout
myélie avec phénomènes bulbunes et troubles tro- phiqups (4 pl.. - ' fig.) 261. Raymond et F, Rose. Myopathie nspudo
Horace Vemrt, 41R. Wladyczko. Troubles mentaux pendant le sieye d ' Port-Arlhur, 340. ZALPLACTA et PARHON Sur un ca
396. Infantilisme Il'\ vrai, par BRISSAUD, 1. Infantilisme et in ' " {fi anre din·tPrnalique (1 pl.), par VIGOUROUX
rcon- volutions pariétales supérieures (2 pi.), par Souques, 365. ' Tumeurs cérébrales[de quelques altérations du
60 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
De l'état- de mal épileptique DE L'ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE (il @ ' L'état de mal épileptique est connu de longue d
in, par exemple, la malade a demandé et bu du bouillon. A 10 heures ' : P. 120 ; température vaginale 38°. - A partir
par le sulfate de cuivre ^pages z18). 6 ÉTAT DE MAL EPILEPTIQUE. ' effacé. Simultanément, secousses cloniques, d'u
quioxydo pour a5Q gr. de foie; ce qui correspond à 0/m3 de fer pur. ' SULFATE DE CUIVRE. 33 une grande facilité, mê
charbonner, on pousse encore le feu jusqu'à carbonisation complète. ' Comme M. Lhôte l'avait indiqué dans son mémoire
l y a donc encore là une cause d'erreur qu'il sera facile d'éviter. ' ,- ? Le résidu de l'incinération sera traité pa
a rénovation moléculaire incessante de celles-ci : Si cette hypo- ' thèse était prouvée (car il est inutile d'ajouter
ie ci-dessus est encore assez hypothétique,) la grande proportion ' de cuivre contenue dans l'alcool de macération, n
or- hydrique, les matières organiques azotées sont rapidement dé- ' sulfate DE cuivre. 37 truites. On obtient une l
e total était par conséquent égal à 162 millig. 5 X 1,544 - 25 0 ml ' ]1' 19. 1. 1,000 50 millig. 1. Ces 239 millig.
RE DE CAMPHRE (1) Des malades épileptiques du service de M. Charcot, ' traitées par le monobromure de camphre, nous ne
s et à por- ter rapidement la dose à 2 grammes et même au-delà (2). ' Pour bien apprécier la valeur des résultats que
au-delà (2). ' Pour bien apprécier la valeur des résultats que nous ' z avons obtenus, et cette remarque s'applique n
physiologique du monobromure de camphre (Prog. 2zed., n"8 25 et 26); , ' - De l'emploi thérapeutique du monobromure de c
difications qui sur viennent du côté de la sécrétion urinaire. 46 ' RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES). Traitement. 1er mai
Bromure de camphre : diminution des accès et surtout des vertiges. ' Ob... Berthe, âgée de 19 ans, est entrée le 3 d
a glace dans les conditions spéciales que nous ve- nons d'énumérer. ' I. H1jsté¡>o-épilepsie, - La glace, cassée e
ment a été continué sans inconvénients aux époques mens- truelles. ' 1 56 recherches thérapeutiques. Pendant l'app
« Je.... .... n'ai........ pas bu; je........ n'ai........ pas bu ! ' /1 Le cou et la face étaient rouges et brûlants
e 144 pulsations. Expérience II. Chat. Avant l'expérience : P. 200 ( ' ? ); T. R. 38°, G. 5 heures 14 M. Inhalation de
établie. L'activité circulatoire est attribuée à une diminution de* ' tension des dernières ramifications artérielles
On retrouve les mêmes particularités dans l'ex- périence suivante. ' DU NITRITE D'AMYLE. 79 Expérience IV.- Chat.
res ou une petite quantité d'aliments. féû^ p t ? 9"4,, , / . - fi^ ' Sécrétions. - M. A. Droz a mentionné l'appariti
niqué notre travail à la Société de bio- logie (juin 1875), M. le D' ' Marsat a inséré dans sa thèse inaugurale la tra
nué de fréquence et ne reviennent plus que tous les 10 ou 20 jours. ' L'usage du nitrite d'amyle n'a déterminé aucun
de cet auteur nous permet de la rappor- ter à peu près in extenso. ' Observations VI, VII, VIII.- Chez trois malades
la terminaison fatale. Observation XXII. Etat de mal épileptiqu(3) ' Nombre des accès ; - Elévation considérable de
s plus tard ; 2° sur la température qui a diminué de 3/10 de degré. ' NITRITE D'AMYLE. P7 Observation YYIII. - Etat
é l'apparitibn de cinq âccès, un a â`issemént de 8 -i0 de degré. " " ' ? < ? ? t 30' janvier. Les accès se sont élo
amélioration mo- mentanée grâce aux inhalations de nitrite d'amyle. ' C. Faits relatifs ci l'hystérie et à 1 ll ! JSl
nous les consignerons ici avec quelques détails. nitrite d'amyle. ' " 99 Observation XXIV. Hystérie. - Hyperesthési
ourent colorée en jaune et des rouas remplis d'étoiles l' Tle t . ~ ' . 4tfk 1 ? E ? ? Observation 11%II. - Hysté1'o-
1 1 11 ,) était de 38. w-d,l-4 c....<<. Zrcce ? n ~ad ÏI. ? G( ' , Od1P4Ê 9'«-i r ? 1l-U-7 /Ulf £ .LL '`l'CC-(G
;<. Zrcce ? n ~ad ÏI. ? G(' , Od1P4Ê 9'«-i r ? 1l-U-7 /Ulf £ .LL ' `l'CC-(G ? ltOr> / ;1ld/d<Æ;.À et-, Observ
ent et de déglutition. Dix minutes après l'inhalation : T.V. 18(J,L ' . 1 1 février. La situation que nous venons de
if1{ convulsifs ont enfin cesse. D.. a éprouve, durant quelque C - ' lJ-' temps, un mal de tète lus intense que de cou
C -' lJ-' temps, un mal de tète lus intense que de cou.tumeaLla5(.e ' l IJ--7-~~~i ' -t de ses crises ? Elle voyait des
, un mal de tète lus intense que de cou.tumeaLla5(.e ' l IJ--7-~~~i ' -t de ses crises ? Elle voyait des 0 Je colorés e
Elle voyait des 0 Je colorés eu vert et en rouge. âfÛ ! J ? {"-l- - ' nitrite d'amyle. 103 qu'elle compare à de vit
r ? y .cette malade. Elle éprouve pour ce médicament une répulsion / ' J ? v frès-accusée. Elle l'accuse de lui donner d
de beaucoup le chloroforme qui lui donne des « rêves agréables. » ' \. \ 27 décembre. Série d'attaques ; T. R. 37°, 8
ue ; - accoutumance. . Mar... C., 26 ans (service de M. Charcot). - ' ¡Si],. 15 dé- cembre. Attaque hystéro-épileptiqu
t droite en la tortillant. La face a une teinte plombée, la con- ' jonclive oculo-palpébrale est couleur lie de vin.
abondance. La cyanose a atteint un degré véritablement effrayant : ' 1 fi'6. - ! 0 et 14 4 mars. Attaque. Nitrite d'
'amyle sont les mêmes chez les animaux que dans l'espèce humaine. - ' 3° A partir du début de l'inhalation, on peut,
sans doute par-dessus lui; trois jours après cet enfant succombait. ' (3) Voir au sujet de cette malade notre mémoire
ses règles qui avaient paru la veille s'arrêtent défi- nitivement. ' . III. Description des attaques. , 98riz. 7
es médius, qui sont allongés; les membres infé- rieurs sont étendus, ' les orteils fléchis sur les métatarsiens, le mé
in, une rétention d'urine qui oblige à pratiquer le ca- thétérisme. ' 21 février. Attaque d'une intensité modérée. 25
dit qu'elle était battue la nuit par le diable. En réponse à cette ' question, Louise m'a avoué avoir été très-éprouvé
question, Louise m'a avoué avoir été très-éprouvée, il y a quelque ' temps, pendant un mois entier, elle était pendant
précations : « Voilà les bourreaux ! oui, voilà 13ouRNEnLLE.. - 1 : ' : 10 ' ' 146 13STI;RO-PILEl'SIE. les bourreau
ons : « Voilà les bourreaux ! oui, voilà 13ouRNEnLLE.. - 1 : ' : 10 ' ' 146 13STI;RO-PILEl'SIE. les bourreaux ! » E
s : « Voilà les bourreaux ! oui, voilà 13ouRNEnLLE.. - 1 : ' : 10 ' ' 146 13STI;RO-PILEl'SIE. les bourreaux ! » Ell
rotte ses mains l'une contre l'autre, parce qu'elle a des « fourmi- ' ches », se gratte la tète; s'imagine que son li
le supposer et sans parler de l'hystérique belge, Louise La- ieau, ' nous pourrions citer plusieurs malades du service
ou grenue comme du maroquin...» (1). Ne sont-ce pas là des symp- ' tomes tout-à-fait semblables à ceux que nous avon
s'est remise à l'ouvrage « comme si elle n'avait pas été malade. » ' " . En 1 a : io, elle se donna « un tour de rei
unesguenille, » pour employer la comparaison pittoresque de 154 ? ' IIYSTÉRO-ÉPILF.PSm, ' la malade. Le troisième j
employer la comparaison pittoresque de 154 ? ' IIYSTÉRO-ÉPILF.PSm, ' la malade. Le troisième jour, elle aurait eu, a
couvrir rien de particulier ni dans la papille, ni dans la rétine.. ' ". - Odorat. La perte de l'odorat paraît complè
u coeur révèle des bruits normaux sans souffle, un peu éclatants... ' Fonctions utérines. Les règles sont fort irrégu
lui en imposant et lui faisant croire à la plénitude de sa vessie. ' 7 mars. Le membre supérieur gauche est dans un
é le prêtre. z (2) On l'a fait communier dans la salle. GUÉRISON. ' 177 lui imprimer, s'est portée vers l'épaule ga
elle les avait fait prévenir par une infirmière. * . Bourneville. ' 12 il8 HYSTÉRO-ÉI'ILEPSIE. Achromatopsie comp
'a- limentation par la sonde oesophagienne, aphonie et dys- pnée. ' . g. Quelques autres symptômes, secondaires à l
ermanente. (2) Voyez aussi : Ferran, loc. cit. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. ' 183 mode d'alimentation.et bien qu'il arrivât t
ce jour-là, la contracture a cessé et en même temps l'is- churie. ' » Cette disposition nous permettra de diviser n
rique semble être en relation avec 'T''1 ! f de l'C : 111, - .... y ' . Fig. 7. La ligue pleine iepréseute les chloru
ulé : Un grand jour pour la Salpétrière.) PLANCHE I. BOURNEVILLE. ' ' 13 PLANCHE I. Atrophie cérébrale. (Page 1
é : Un grand jour pour la Salpétrière.) PLANCHE I. BOURNEVILLE. ' ' 13 PLANCHE I. Atrophie cérébrale. (Page 1 à
ue à la substance des circonvolutions, B. C, coupe du nerf optique. ' 'D, amas de substance grise représentant probab
. A, couche optique. B, noyau intra-ventriculaire du corps strié. ' C, nerf optique. - . D, noyau extra-ventricul
61 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
s. le tremblement était t uvaLLE ICONOGRAPHIE DE la Salpétrière. *- ' ? T. XVII. PI. I MALADIE DE PARKINSON - ? r £
? T. XVII. PI. I MALADIE DE PARKINSON - ? r £ -jiiii"i'if"i"i/i' ' " ... LA MALADIE DE PARKINSON 3 encore localis
et la malade monrut dans le coma, le 9 janvier 1903. C) RAYMOND D ' pénibles ; commissionnaire, homme de peine, liv
onnaire, homme de peine, livrant à domicile de lourds colis, etc. ' En 1897, il perdit son fils. Ce fut, pour lui, la
ctuellement 143 livres, ce qui, dit-il, est son poids habi- tuel. ' Vous pouvez vous rendre compte, Messieurs, mainte
ce de l'un des deux sym- MALADIE DE PARKINSON (F. 'R1/)'lIIond) ' LA MALADIE DE PARKINSON 11 ptômes cardinaux ; r
énéralisé aux quatre membres, ainsi que vous pouvez le constater. ' Six mois après le tremblement, apparut une légère
iat, 1894. (3) Ballet. Soc. méd. des Hôpitaux, 21 juin 1898. (4) ( ' unsTrrKn, Arch. f. Psych,, 1898. (5) CATERINA,
gitans and sarcous. Amer. Journal of med. sciences, nov. 1899. 14 ' RAYMOND rappelé, en quelques mots, celles const
clarant (1) Bunzio, Ann. d. fren. e soient. Turion, 1902, p. 151. ' (2) Schwenn, Ein 13eitrag sur Pallcogenese der Pa
sée par Williamson et Bury : Bromhydrated'hyoscine, 6 milligrammes. ' Eau chloroformée saturée, 180 grammes. Par cu
futer plusieurs données, aujourd'hui classiques, qui sont erronées. ' (1) Travail des service et laboratoire de M. le
er. Ils sont d'autant plus ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSIÉRIEURS ' . 19 développés que les racines de la région so
ns les plus intéressantes ont été faites sur les coupes colorées 20 ' NAGEOTTE par la méthode^de Weigert-Pal. La myél
s synthétiserons les notions acquises sur chaque système de fibres. ' z 5e Sacrée. - Le triangle sacré médian est réd
cornu-commissurale ne s'étendent pas le long des cornes postérieures. ' te Sacrée. L'aspect est semblable, mais le tria
dorsal, 2. article, Presse médicale, 3 janvier 1903, fig. 42 à 45. ' NOU\'LLI e Iconographie UL la SAI.Pil-RILRir 1'
lérose des bandelettes externes va d'ailleurs aussi en décroissant. ' fil, Cervicale. Le cordon de Goll reprend une f
forment chacune une L branche horizontale courte,tournée en dehors. ' : Plus haut, la bandelette prend de plus en plu
vroglique intense et par la rétraction des tissus qui s'est opérée. ' Les coupes colorées à l'hématoxyline montrent l
rcherai à les mettre en lumière et à les discuter. Dans 28 NAGEOTTE ' un premier chapitre j'étudierai : 1° les fibres
liuische Vorlrage aus dem Gebiete der Neruenpalhologie, Iéna, 1900. ' ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS (l.
s avancé, j'ai constaté des lésions très peu avancées de ces zones. ' En voilà plus qu'il n'en faut pour montrer que
égère dégénération de la région ven- trale des cordons postérieurs. ' Fio. 6. Va lombaire. Apparition d'une sclérose
n des cordons latéraux : c'est une sclé- rose combinée tabétique. , ' Les travaux de ces dernières années ont permis
e les lésions systématiques secondaires à des lésions de la moelle. ' Dans le cordon postérieur les lésions systémati
divergence des axes oculaires. Abolition des réflexes rotu- liens. ' 5 1 1 CROUZON - Autopsie. La moelle est petit
ensiblement les mêmes ; la colonne de Clarke est toujours atteinte. ' Au niveau de la moelle cervicale : dans le cord
lequel ait été fait le diagnostic de sclérose combinée tabé- tique. ' Examen histologique. Des coupes microscopiques
t se trouve à la partie posté- rieure de la commissure postérieure. ' 7e et 88 Dorsales.- Même aspect dans le cordon
raux., Enfin les lésions disparaissent au-dessous du 4° ventricule. ' Le nerf optique gauche est dégénéré dans une ce
le pédoncule sont normaux. Le cervelet ne présente pas de lésions. ' , L'écorce cérébrale coupée au niveau des circo
s, nous réser- vant de faire plus tard la démonstration clinique. ' 1 La reproduction graphique des trois mouvement
ligne (1) Ce (race et les tracés suivants ont été rdjtrits de 1/2. ' Tracé nu 1 (1). Etat normal. . pdj : réflex
ndant une fréquence légèrement plus grande du type en flexion pure. ' Nous n'avons jamais vu, sur les graphiques, l'e
n flexion pure ; , Une forme en flexion et extension consécutive. ' Celle extension normaleest toujours d'amplitude m
e droite est un syphilitique, celui de gauche est un acromégalique. ' Le profil acromégalique a depuis longtemps sugg
rtistes. Dans l'oeuvre de Goya, on n'en voit pas d'autre exemple. , ' Deux planches des Caprices dessinent plus parti
'aspect, la silhouette du malade, ont quelque chose de particulier. ' La moitié supérieure de la colonne dorsale est
des douleurs en ceinture, dans les côtés, mais pas dans les jambes. ' , Depuis 18 mois (octobre 1900), le cou est dev
depuis 8 mois, M... est dans l'état ou il se présente aujourd'hui. ' Etat à l'arrivée à Aix-les-Bains (28 août 1901)
ia partie ventrale au tubercule quadrijumeau antérieur du lapin. ' DENDRITES DES CELLULES NERVEUSES 103 trois appe
t démentiel organique, celui des déments apoplectiques par exemple. ' L'état général est médiocre, sans que l'examen
foncée que normalement; l'aspect à la coupe paraît moins humide. ' TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCIlO-PARALYTIQUE 113
clinico, 1895 ; AUVRAY, Traité des tumeurs cérébrales ; Bromwel, BRAI/ ' (, 1899 ; BRAULT et Loeper, op. cit. ; DEVIC et
à fait accessoirement la lésion pulmonaire par elle- 138 BIANCHINI ' même puisqu'on n'a pas encore trouvé jusqu'à ma
vec le bilan sanitaire d'un asile et avec son budget administratif. ' Pour ce qui regarde les critères de technique m
lesquels, d'un côté, l'absolue liberté serait nuisible et dan- 152 ' BIANCHINI gereuse; d'autre côté la réclusion da
qui sont considérés comme les meilleurs et les mieux organisés. 1 ' Il me suffit de faire une courte comparaison entr
de Psichiatria Clinica e Reinica Manicomiale, Iasc, II-III, 1903. 1 ' ERGOTHÉRAPIE ET PSYCHOTHÉRAPIE 153 très rédui
râce à l'intégrité des masses musculaires et de leur innervation. ' Le traitement des aliénés avec le travail physiqu
t des récidives est minime : le chiffre des sorties est au maximum ; ' le chiffre des. frais de maintien pour chaque mal
nt qui exorcise de sa main droite et dans le groupe -des assistants ' émerveillés. La figure du possédé dénote de très
istique de la crise hystérique au même titre que l'arc de cercle. - ' La protusion de la langue, la torsion latérale
nc qui se courbe en arrière avec une telle violence que son frère a ' peine à le soutenir avec l'aide de plusieurs autr
UL Richer et II. MENE, Nouv. Icon. Salpêtrière, 1896, n" 2. 164 Il' ' su ' HEIT ' ' ' " Cette figure-ne présenteras d
cher et II. MENE, Nouv. Icon. Salpêtrière, 1896, n" 2. 164 Il' ' su ' HEIT ' ' ' " Cette figure-ne présenteras de ges
II. MENE, Nouv. Icon. Salpêtrière, 1896, n" 2. 164 Il' ' su ' HEIT ' ' ' " Cette figure-ne présenteras de gestes vio
I. MENE, Nouv. Icon. Salpêtrière, 1896, n" 2. 164 Il' ' su ' HEIT ' ' ' " Cette figure-ne présenteras de gestes viole
MENE, Nouv. Icon. Salpêtrière, 1896, n" 2. 164 Il' ' su ' HEIT ' ' ' " Cette figure-ne présenteras de gestes violent
. BoucnEZ - -- - -- ~ Imp. J. Theveoot, Saint-Dtzier (Haute-Marne). ' - 17" Année N° 3 MAI-JUIN TYPE INFANTILE DU G
ographie de la Salpê- trière, 1902, p. 539. 168 BRISSAUD ET MEIGE ' il énumère ainsi tous les noms qui lui passent
-il jamais les déformations décisives de la maladie de Pierre Marie ? ' ? Peut-être, les années aidant. Mais,chez lui,
pas aux questions qu'on lui adresse, s'alimente diffici ? lement. » ' 25. La malade s'est aperçue vers le 17 mai que
ensibilité à la douleur normale. Sensibilité ther- mique conservée. ' Sensibilité tactile mesurée à l'esthésiomètre.
er, pas de règles. » mars, elles ont duré du 17 au 25. » avril, V ' » du 27 au 2 mai. » mai, pas de règles. » jui
et non la France libre. Q. Alors il faut supprimer le commerce ? : ' li. - Oui, il ne faut pas admettre la multiplic
isonner par les soupes bouillantes, par les légumes. C'est pour que ' les autres n'aillent pas aux cabinets. Q. Pourq
I XXX NEUROFIBROMATOSE (F. zidle). Masson & Cie, Editeurs ' NEUROFIBROMATOSE GÉNÉRALISÉE ' 205 masse de con
zidle). Masson & Cie, Editeurs ' NEUROFIBROMATOSE GÉNÉRALISÉE ' 205 masse de consistance gélatineuse, de 2 ou 3
4, et 5 juillet-août et sept. - oct. 1902. 208 f THOMAS ET HAUSER ' observations que « si la majorité des cellules
axie légère aux membres supérieurs. Abolition des réflexes tendineux. ' Exagération du réflexe cutané plantaire. Troubl
ssi, et plusieurs capsules sont nettement proliférées (fig. 4). z ' 'Au contraire, dans le 4ar ganglion lombaire droi
urée de la maladie dont le début remontait à environ dix-huit mois. ' OBS. VII. Audonn.. entre à l'âge de 60 ans, le
x et la pathogénie du tabès. Arch. des sciences médic., 1896. 232 ' THOMAS ET IIAUSElt de quelques cellules ganglio
oano, Rivista di patologia nervosa e mentale (vol. V, VI, VII, VIII). ' 236 THOMAS ET HAUSER Rosin, Cassirer, Anderso
DU GANGLION RACHIDIEN 239 LÉGENDES DE3 PLANCHES . Planche XXXI. ' Van de 8... (obs. I). Ganglion lombaire. - Coup
édiane et radiée dans la partie antérieure des cordons postérieurs. ' HÉMATOMYÉLIE TRUMATIQUE 245 rieur au niveau d
ules épendymaires et périépendymairesdans les Ille et IVe segments. ' Les lésions des cellules nerveuses, étudiées pa
la solidarité qui unit les différents éléments du système nerveux. ' (1) V. HALLION et Laignel-Lavastine, Soc. de bi
s chaud 1 NOUVELLE IcONOGRAPHIF de la SALPÈTRIÈRE T. XVII. Pl XXX\ ' LA PROCESSION DANSANTE D'ECHTERNACH (Henry Me
s ne (1) CHARCOT et P. RICHE11, l,es Démoniaques dans l'art, p. 36. ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. X
Belgique, la Hollande ou l'Allemagne, mais avec des horaires élas- ' " tiques : vingt trains,- vingt enfers ! où s'engo
qu'on parle en 1550 des Saints dansants du mardi de la Pentecôte., ' Le succès de cette cérémonie alla progressant j
ie et prophylaxie de l'atrophie musculaire chez les hémiplégiques . ' Traitement de l'alaxie par l'élonyalion vraie d
a- gique de Wernicke, qui pourrait se confondre avec la forme aiguë, ' a un début apoplectique, où elle s'accompagne d
ion de dégénéralion, oulre que la paralysie de la langue excède 27G ' DE LÉON celle des masticateurs, et que d'ordina
des de repos, pour éviter la dysmassésie; et des toniques généraux. ' Conclusions. 1° La paralysie myasthénique est
ADIES DU SYSTÈME NERVEUX . PARALYSIE DES NERFS CRANIENS D'UN COTÉ ' ET , DÉFORMATIONS OSSEUSES MULTIPLES D'ORIGIN
dents osseux et nerveux d'origine hérédo-spécifique. NOUVELLE ICO¡ ' ;OGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XVII. PI. XL M
ter brusquement. Signe de Romberg. Démarche ébrieuse. Réflexes très ' faibles, mais non abolis. Secousses fibrillaires.
les pieds joints, il ne peut pas se tenir droit. Signe de Romberg. ' Les réflexes rotuliens plutôt exagérés. Il écar
ues travaux d'aliénés, voire des broderies dues à la main de femmes ' malades. Tout aliéniste praticien sait que le t
issiale d'Echternach. loV'... ? l7f.n rnllCy"Lé I : Â JALI'GlKIrHC. ' * Z" *mmmm™ ' "vit- - j Lir ... i 1. AVIIP ? 1LV
ernach. loV'... ? l7f.n rnllCy"Lé I : Â JALI'GlKIrHC. ' * Z" *mmmm™ ' "vit- - j Lir ... i 1. AVIIP ? 1LV PROCESSION D
TE A MUELEBEECK Dessin à la plume de PIERRE IRUEGHL LE Vieux Cr 569) ' Cabinet des Estampes. Rijks Muséum. Amsterdam.
l'Art antique. Nouv. Iconographie de la Salpêlrii'J'c, no 1, 1894. ' LA PROCESSION DANSANTE D'ECIITERNACTI 329 pur
ol, faisaient jaillir des fontaines de lait ou de ruisseaux de vin. ' Quand les Ménades avaient atteint le plus haut
Empereurs qui don- nèrent l'exemple de la plus complète licence. ' Les auteurs chrétiens ont insisté longuement sur
sté longuement sur l'étrange état mental des adorateurs de Bacchus. ' « Les Bacchanales, dit saint Augustin, se célèb
a 'contagiosité proverbiale. Tels les chants, telle aussi la danse. ' ' ' Si l'on considère isolément chaque individu
'contagiosité proverbiale. Tels les chants, telle aussi la danse. ' ' ' Si l'on considère isolément chaque individu,
'contagiosité proverbiale. Tels les chants, telle aussi la danse. ' ' ' Si l'on considère isolément chaque individu, po
dès l'origine à des actes témoignant d'une certaine 336 HENRY MEIGE ' dysharmonie des fonctions psychiques : exaltati
es convulsifs, impulsions automatiques,e xplosions de chorégraphie. ' Ainsi peut-on concevoir la raison de la pérenni
n'y a pas de gène de la déglu- tition, pas de tendance à s'engouer. ' Entre les crises, et pendant le sommeil, la phy
ème nerveux central ; c'est surtout dans le travail cle lIubricli (7) ' ) que nous trouvons la première description des
alcaire au niveau de la gaine périvasculaire - - et de l'adventice. ' B. - Dépôts calcaires autour des capillaires et
re de l'appareil circulatoire, sur la vitalité des éléments nerveux ? ' ! Nous ne poussons pas si loin l'absolutisme, l
les résultats de l'examen histologique (2). Observation clinique. ' Dlme Poclr ? cardeuse,entrée à la Salpêtrière l
és, sur toute la hauteur. 4 1300Y.' ICOW OGRAPHIE DE LA SALPTRI'RE " ' '" T. XVII. PL. LUI. A. Poch... 2e Dorsale (Gro
, sur toute la hauteur. 4 1300Y.' ICOW OGRAPHIE DE LA SALPTRI'RE "' ' " T. XVII. PL. LUI. A. Poch... 2e Dorsale (Gross
du billon antérieur et de sa branche centrale. {Thomas et Hauser.) ' Masson ET C", Kdileurs. HISTOLOGIE PATHOLOGIQUE
dileurs. HISTOLOGIE PATHOLOGIQUE ET PATIIOGÉNIE DE LA SYRINGOMYÉLIE ' 389 de l'adventice et l'action irritative et de
cette maladie ? Telles sont les questions qui se posent maintenant. ' Mais avant tout, une définition anatomo-patholo
e par une fine membrane conjonctive en conlinuité avec un vaisseau. ' HISTOLOGIE PATHOLOGIQUE ET PATHOGÉNIE DE LA SYR
médullaires ? En aucune façon, - (1) GEoRGEs HAUSER, thèse 1901. 1 ' - 396 THOMAS ET HAUSER et cette simplificatio
ine conjonctivo-vasculaire de certaines cavités syringo- myéliques. ' . Rappelons- ici que l'existence autour de la c
u sillon antérieur dans un cas de syringomyélie (th. de G. Hauser). ' HISTOLOGIE PATHOLOGIQUE ET PATIIOGÉNIE DE LA SY
semblerait volontiers à une croûte ou à une application de topique. ' Enfin l'ensemble de la physionomie est pâle, pr
bres musculaires. Ces secousses fibrillaires sont dues en grande par- ' tie à l'altération dégénérative des fibres musc
ons de répondre par écrit à nos questions : D. - Etes-vous malade ? ' ? R. - (fig. 9G).. D. - Comment vous appelez-
t des syllabes inintelligibles, les lettres suivantes : z T . 1 . ' l .. .. LU IJv1 Lv Uv VUIIW;ICIIG Ut7V1116 ensu
éréditaires. - A encore son père et sa mère qui sont bien portants. ' A eu deux soeurs et un frère. Ses deux soeurs s
ésie cutanée sur tout le corps. La sensibilité à la chaleur existe. ' Quelques faibles douleurs dans les deux membres
lle. Respirations : 16 à la minute. T. : matin, 38.3; soir, 38.6. ' Pouls : 120. 11 octobre. - A uriné sans effor
jambe sur. la cuisse. Etat stationnaire pour les membres supérieurs. ' * Le malade a été purgé là veille au soir ; il
ion : bref le diaphragme fonctionne pas ou peu. T. : matin, 37.1. ' 19. - Le malade est sorti de l'Hôtel-Dieu (aprè
t S. A. K. Wilson.) POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE AIGUË DE L'ADULTE 445 ' Nous avons cru devoir. les réunir afin de montrer
même très loin des hauteurs où l'on constate une lésion des foyers. ' ; L'existence d'une lésion générale de la moell
oit les gaines dis- séminées ; pas de dégénérescence des faisceaux. ' Pas de prolifération conjonctive intra-fascicul
aroi très épaissie et un calibre plus considérable que normalement. ' Nerf radial gauche. Un peu plus atteint que le
normalement. ' Nerf radial gauche. Un peu plus atteint que le droit, ' plus infiltré de graisse. ' z 1 ' ' ' Nerf mé
auche. Un peu plus atteint que le droit,' plus infiltré de graisse. ' z 1 ' ' ' Nerf médian droit. - Même aspect que
Un peu plus atteint que le droit,' plus infiltré de graisse. ' z 1 ' ' ' Nerf médian droit. - Même aspect que le rad
n peu plus atteint que le droit,' plus infiltré de graisse. ' z 1 ' ' ' Nerf médian droit. - Même aspect que le radia
peu plus atteint que le droit,' plus infiltré de graisse. ' z 1 ' ' ' Nerf médian droit. - Même aspect que le radial.
isse. ' z 1 ' ' ' Nerf médian droit. - Même aspect que le radial. : ' . Nerf médian gauche.- Abondante prolifération
vec prolifération con- jonctivo-graisseuse plus prononcée encore. , ' , , Nerf tibial antérieur gauche. - Paraît extr
il était dans une inaction complète, ne voulait même plus se lever. ' 29 novembre 1903. A son entrée, le malade est i
nt constam- ment une main près de sa bouche, l'autre dans sa poche. ' , 8 mars. Même état de stupeur, gâtisme. On con
yses épineu- ses a été constatée (Carlos par Hospodar et Carlotta). ' Du côté des membres, il existe une foule de dif
e la jument Houlette, petite-fille d'Archiduc, étalon de pur sang, « ' ardent propagateur des tares osseuses qu'il pos
bles aux contacts cutanés... signalés dans nos études sur les tics. ' 4. Troubles de la volonté, du caractère. Nous a
. 187. (3)- Cheval rampin, qui s'appuie en marchant sur ses pinces, ' DE LA DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ L'ANIMAL 487 5. Pho
laisse s'enroule à son poignet ; le chien est de toute petite taille, ' tacheté de blanc et de noir, la langue pendante
que. Mais il ne faut pas songer à préciser davantage le diagnostic. ' Tout le monde connaît l'admirable tableau de Gé
e ico-" nographie de la Salpêtrière, 1901, p. 91, pl. VI. ? . 498 ' IIENI11 MEIGE" ressortir-.1'exactitude-pàtholog
àthologique de la pâleur et de la bouffissure du visage.de lamalàde, ' ainsi que de l'oedème de ses membres inférieurs.
s les vêtements et surtout par la position écartée des cuisses (1). ' En dehors des oeuvres d'art proprement dites, o
représente un hydropique auquel on vient de faire laparacen- tèse. ' . . Le patient est assis sur un fauteuil, son v
se dans une officine ornée de quelques ustensiles'pro- fessionnels. ' .. On trouve dans les 02w·es cIdl'ul'gico-allat
. des trocarts. 1 L'hydropisie a aussi prêté à la caricature.. '. , ' Nous reproduisons ici une gravure coloriée du x
cle représentant une opération chirurgicale sur le ventre. La scène ' se passait dans un intérieur hollandais où un' ho
uffon ont dû s'exer- cer plus d'une fois sur le dos de la médecine. ' Sur notre gravure, on voit Arlequin, assis sur
d'his toire de la médecine, France médicale, 25 avril 1903. ,500 ' HENRI MEIGE - raisonne par devant comme un tamb
par devant comme un tambour et par derrière comme une trom- pette. ' " j' j 3 ' LE Docteur. Mangez-vous bien à vos r
omme un tambour et par derrière comme une trom- pette. ' " j' j 3 ' LE Docteur. Mangez-vous bien à vos repas ? Arle
fait tout ce qu'il peut pour seragouter et je me force un peu... . ' LE Docteur - Vous buvez du vin à vos repas ? .
ale 1 Il faut, pour lui rendre l'esprit, Une chose plus glaciale. ' Mon moyen est sûr et savant, Mettez-le de sui
opsie (1 planche), 126. RAYMOND. La maladie de Parkinson (4 plan- ' ches), 1. RosE. Paralysie des nerfs craniens d'
62 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
ures), en leur faisant des frictions stimu- lantes, etc... En 159G, ' ) enfants ont appris à marcher ('2) ; 4 ont été
de petite gymnastique; - G" les exercices élémentaires relatifs à\ ' enseignement primaire dont nous avons si souvent
ent du chant. - Cet enseignement est fait par M. Sutter depuis le 1" ' janvier 1895. Confor- mément à nos instructions
es sciences médicales, article olwnÍS1H('. Perversions sexuelles. ' Nul principal. « L'enfant, en effet, n'a pas de
ient sur la réserve et ne précise pas davantage ; nous l'imiterons. ' Société de gymnastique. - Cette société continu
ons de llaan, médecin de l'Uni- versitc (1' U tredlt (Pays-Bas) ; 1) ' " Crarnostow (de Var- sovie) ; M. Carriot, direc
e de l'Académie Hongroise des Sciences (Budapest); M. Doat (J.) ; D' ' Guedovansi ; D'' GuédevanolT (A.) (t.-I'tcrsJou
ongroise des Sciences (Budapest); M. Doat (J.) ; D'' Guedovansi ; D' ' GuédevanolT (A.) (t.-I'tcrsJour); D'' Giovanni
oat (J.) ; D'' Guedovansi ; D'' GuédevanolT (A.) (t.-I'tcrsJour); D' ' Giovanni Spingazzini; Jorge Vines; 1>'' Koen
crsJour); D'' Giovanni Spingazzini; Jorge Vines; 1>'' Koenig'; D' ' Luhrmann (F.), médecin à l'asile d'aliénés de D
ur des ponts et chaussées; Nicdermann; i\I' Négroscoul (Marie); D' ' Pornain; Dr Planât (Xavier) (de Nice); D'' Pira
Négroscoul (Marie); D'' Pornain; Dr Planât (Xavier) (de Nice); D' ' Pirato; Dur Rivière, interne des hôpitaux do Pa
oloviefl' (Mélanie), docteur en médecine (de Saint-Pétershoury) ; D' ' Séglas ; D'' Sans Fritz ; Dr de Tornery, ex-int
lanie), docteur en médecine (de Saint-Pétershoury) ; D'' Séglas ; D' ' Sans Fritz ; Dr de Tornery, ex-interne des hôpi
'' Sans Fritz ; Dr de Tornery, ex-interne des hôpitaux de Paris ; D' ' Var- riest, professeur il l'Université de Louva
ait argument contre eux pour leur refuser la pension de repos. XX\ ' ! Enseignement professionnel. claire (surveilla
par l'espoir d'une retraite qu'ils auront certainement bien gagnée. ' Mais, ce principe une fois admis, il parait néc
et les hommes de peine de celui de 3° classe (rang des serviteurs). ' Or, dans sa séance du 3 avril dernier, le conse
arloir, sous la direction de M"0 Langlet et de ses collaboratrices. ' Enseignement professionnel. A mesure que les
généralisée. II. Statistique. Mouvement DE la population. Le 1" ' janvier J890, il restait à la Fondation 139 en-
ervice pour 1895, p. LVII. (1) Mentally-Deficient Chilctren, Thei) ' troalment and training. London, 1895. Classes s
r la vue de ces idiots, s'écria : le Il existe des bêtes humaines ! ' » LXXXVI Classes spéciales. Ce qui différenci
ministration générale de l'Assistance publique. Paris, le 1888. ' Monsieur le Directeur, Permettez-nous d'attirer
nés me rappellent, à celle occasion, une lettre adressée il M. le 1) ' " Hourne- ville par l'un de mes prédécesseurs et
ation, l'année suivante, les médecins aliénistes ont adressé à M. P¡ ' ;Y1\ON la lettre cle rappel suivante : Paris,
er à son Conseil de surveillance : 1° De mettre la retraite M. le D' ' Jules Falret,le 31 décembre prochain. 2° De m
nt toujours ». Cette rétraction était plus prononcée du côté droit. ' A quatre ans, étant à l'asile, il a reçu un cou
conférence du cou est de 31 centimètres. DESCRIPTION DU malade.... - ' 9 et le bassin tout entier sont notablement arr
? Membres supérieurs. - On n'observe pas de déformation des bras ' Pig. -1. 10 PARÉSO-ANALGÉSIE DES extrémités SUP
doigts. Il existe un durillon au point de contact I'ir. -r. 1. . ' Description DU malade. 13 du pouce avec la paum
orsque les deux épingles sont à 15 .milli- mètres l'une de l'autre. ' 2° Côté droit. L'anesthésie occupe, à la main l
r en tirer profit, malgré son infirmité, le métier de cordonnier. ' L'enfant ayant été envoyé en nourrice trois ou qu
par des traumatismes et des lésions de nature scro- fuleuse( ? ). . ' ' ' Y a-t-il eu autrefois une coxalgie à droite
r des traumatismes et des lésions de nature scro- fuleuse( ? ). . ' ' ' Y a-t-il eu autrefois une coxalgie à droite,
des traumatismes et des lésions de nature scro- fuleuse( ? ). . ' ' ' Y a-t-il eu autrefois une coxalgie à droite, ai
i- quées. Le membre inférieur gauche, dans son attitude générale, ' Cette opinion a été confirmée par notre collègue,
0'), p. 249; z 1889 (cas de Prouff et Gombault), p. 308, etc., etc. ' Jnttroy et Achard. .Soc. taétl. des hôpitaux, 11
e biologie, 5 juillet 1890, et Médecine moderne, 10 juillet 1890. ' l3ruhl. - Conlribulioa ù l'élucle tle la sringouy
' l3ruhl. - Conlribulioa ù l'élucle tle la sringouyélic, 1890, p. 72. ' 28 PARÉSO-ANALGÉSIE des extrémités supérieures.
service et ils ont confirmé notre diagnostic. " Notre ami, M. le D' ' Régnier, très expert dans les questions d'élect
a remis à son sujet la note ci-après : EXAMEN ÉLECTRO-DIAGNOSTIQUE ' ' .. , Du cas précédent par le D' RÉGNIER. Po
remis à son sujet la note ci-après : EXAMEN ÉLECTRO-DIAGNOSTIQUE ' ' .. , Du cas précédent par le D' RÉGNIER. Pour
e la conlractililé muscu- laire nous avons suivi la méthode de Erb. ' MEMBRE supérieur gauche A. Sensibilité. Main.
Erb. ' MEMBRE supérieur gauche A. Sensibilité. Main. Face dorsale ' " ? 30 Paréso-analgésie DES extrémités supérieur
sie DES extrémités supérieures. Face palmaire. Examen électrique. ' ' .31 Face interne. 32 PARÉSO-ANALGÉSIE DES e
e DES extrémités supérieures. Face palmaire. Examen électrique. ' ' .31 Face interne. 32 PARÉSO-ANALGÉSIE DES ext
.31 Face interne. 32 PARÉSO-ANALGÉSIE DES extrémités supérieures. ' En resumé, l'examen électrique démontre que tan
aitement. - Sirop de raifort iodé, poudre de viande et bains salés. ' 26 juillet. - On remarque que l'enfant rejette
e ; elle est plus bombée et plus développée. Le cervelet est petit. ' Sur les deux faces, la pie-mère est finement va
également des traces Fig. 10. Arrêt DE développement DU cerveau. ' 45 de pachyméningite ; elles sont surtout dével
fois plus épais que le lobe gauche. - Pas de traces de thy- mus. ' : , Thorax. -- Le coeur est petit (30 gr.) ; le
ns rappelé nos recherches sur le Traitement thyroïdien de l'idiotie ' )')t ? ? \'03de ? 7tatettse qui avaient été le p
rappelé nos recherches sur le Traitement thyroïdien de l'idiotie ') ' )t ? ? \'03de ? 7tatettse qui avaient été le poi
nd-père, excès de boisson. - Arrière-grand'mère, morte poitrinaire ( ' ? ).- Second arrière-grand-père atteint de trek.
a qrand'mère maternelle en 1893). Père, 28 ans, mécanicien a la C" ' Bison, grand, bien portant. Marié à 26 ans, ca-
cle boisson. Grandrpèré maternel, quelques excès de boisson. - Une ' cousine maternelle, épileptique. - Une autre ar
(iiii7 plégie droite et idiotie consécutives. - Convulsions pen2- ' "dant trois mois. - Début de l'épilepsie à 13 ans
,r.ld : n'¡r". f;iit des excès de boisson et a « le vin très exa L, ' 1) -, bien ponant, a eu les fièvres intermitten
au pénil ; tronc glabre ; poils aux quatre membres. Pas d'adénite. ' - Quelques petites cicatrices sur le dos du poi
équent. 20 nov. - Plaie à la partie supérieure de l'oreille dans un ' accès. L'étendue du traumatisme est peu .consid
int de vue du développement et de la répartition du système pileux. ' D... hrésente a.u niveau du sacruni à droite :
six accès. Il est pâle, -abattu, ne mange pas. Le pouls est petit. ' 22 juin. - D... a encore eu six accès. Son état
ges. 94 Etat de MAL; mort. 4 août. - 9 accès. T. R. 38°, 4. - Soi¡ ' : T. R. 38°, 6. 5 août. - État de Ill : l 1 dep
aussi très congestionnée, très épaissie et cedématiée -à gauche, ' mince et oer1ématiée à droite. - Les artères et l
i existent et dans les antécédents et dans la description clinique. ' SOMMAIRE. - Père, bronchite ' chronique, rhumat
ts et dans la description clinique. ' SOMMAIRE. - Père, bronchite ' chronique, rhumatisant, caractère emporté. - Mè
)0, p. 1G7; - de 18 ! J1; IL un (planches) ) 1 de 1892, 1', 89 (1'[ ' )' etc. IX. Méningo-encéphalite chronique ou i
0, p. 1G7; - de 18 ! J1; IL un (planches) ) 1 de 1892, 1', 89 (1'[') ' etc. IX. Méningo-encéphalite chronique ou idi
as de cris, ne sont pas salaces. Ils sont 138 DESCRIPTION clinique. ' " susceptihles d'attention, ils ont de la mémoi
s. Dans certains cas, au lieu de donner un demi-lobe tous les jours, ' nous n'avons administré le demi- lobe que tous
loppement de la croissance qui a offert la progres- sion suivante : ' Premier traitement. 160 Idiotie ITXORDI : IfA
reprises avant et pendant la médication thyroïdienne, par M. le D' ' Bouvet, médecin dentiste de Bicêtrc, et qu'il a
se fâche plus aussi facilement qu'autrefois, comprend mieux le jeu. ' 9 février. - Un demi-lobe tous les deux jours.
ycose : néant. Pigment biliaire : néant. Indican : des traces.. , ' z Examen microscopique. Totijotii,s des crist
cation au Congrès des aliénistes et ncurologistes, session de Nal1C) ' , août 1896. 196 Idiotie myxoedémateuse. 3 oct
IL - IDIOTS obèses. Ons. I. - Dri... est née le 16 août z1881. " : ' Du mois de janvier 1894 au mois de juillet 1895
kg. 400 (21 mai). - La taille qui était de 1'" 40 s'est élevée il 1" ' 435. [Second trai- tement du 1 CI' juillet au 1
ût. Tablettes de Flourens et du fin. 38. Médication thyroïdienne, ' 203 30 septembre au 19 novembre, glande fraîche
L 38 kg. 980, puis redescendu iL 37 lt, -- La taille qui était de 1" ' 425 s'est éle- vée iL 1m 455. [Second traitemen
ter la main sur la tète ; on devait l'habiller et le déshabil- ler. ' A partir du moment oit il s'est relevé, il a to
ns produites (0 Bulletin de l'Acad. de méd, séance du 13 ocL ISOfi. ' ('11 Bul/ctin mc ! d, dll : ! Ojnnv : 'IS07,
l'âge de cinq ou six ans. Les parents ne savent à quoi attribue ! ' la maladie, ils s'ac- cusent l'un et l'autre de
onnu ses grands-parents. 228 Imbécillité et paraplégie spasmodique. ' Trois frères morts, l'un d'accident, l'autre d'
is- mes sérieux. Son caractère est doux et affectueux ; il a bon ( ' (fur, pleure s'il voit pleurer, et partage ce qu'i
a verge est de 5 centimètres, sa circonférence de 58 millimètres. ' )9 avril. - Abcès de la paupière inférieure droite
s, participe à leurs jeux; s'émotionne aux matinées dramatiques, ¡ ' ¡ l'audition de la musique, rit bruyamment. La p
u ménage, il affectionne particulièrement le nettoyage des bains. ' La santé physique est généralement bonne. La ph
t tous les ans nous recommençons un apprentissage (le 5 ou 6 mois ! ' (vil La descente tardive des testicules pent êt
it. ,, Bourneville, mettre, 1BCJ1 ! , *;î35PiPRWE ? < : -^WPBBRw ' ^OTBfflP^BBBSPiîPBffl^.^i^WWP-ï-1' FIL. Il 1 IfW
63 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
ouvait toujours de violen- tes douleurs dans les membres inférieurs, ' dans la moitié gauche du ventre et de la portio
anche pas toute l'épaisseur de l'organe. Je me réserve (t examine) ' , a la lin de cette leçon, jusqu quel point des
. 'tscrwaan Station hanchée à gauche. SCOLIOSE DORSALE PRIMITIVE. ' MASSON & (ie, Éditeurs. AMÉLIE. DESCRIP
mme) ; rudiments de bras, contenant un segment d'humérus. (Fig. 8). ' " 2o Amèles imparfaits à tendance phocomélique.
ege f. d. Zeryliederungskunst, Bd. 1, 268, Taf. 1, Fin. 2, Leipzig. ' X, 1803. Account of a living child aged livo at
56. Monslntositadc sent bmços nem pie1'nas, Gaz. med. de Lisb. 'IV. ' 1<IAnTmrz Y MOLINA, 1856. Cuat1'o palabras s
unchcnr ? 1' "" ~"~* Sciineck, 1892. - A child without m'ms or legs, ' J. Am. M. Assoc., XVIII, ;H4, Chicago. GUINAR
e de luxation congénitale de la hanche des lésions con- sidérables. ' J'ai eu l'occasion d'examiner la moelle d'un fo
ne paraît pas avoir été formé par la fusion de deux os con- tiges. ' Au pied gauche, l'apparence extérieure est .la
e. Pline parle de deux soeurs pourvues de six doigts à chaque main. ' ' Enfin, en des siècles plus lointains encore,
Pline parle de deux soeurs pourvues de six doigts à chaque main. ' ' Enfin, en des siècles plus lointains encore, ap
rrues et autres maladies de la peau, par le D ROUSSELOT, chirurgien ' de Mgr le Dauphin, des Princes et de Mesdames, en
n aristotélique, qu'un emplâtre anodin ou un breuvage nauséabond. ' Le rasoir, élément essentiel de la trousse du Bar
u- loureux et se penche pour regarder de plus près le siège du mal. ' Alors, selon qu'il s'agit d'une excoriation, d'
Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, nos 4 et 5, 489,i, (2) Ibid. ' (3) Voy. Henry MEME, Enee Blessé. Nouv. Iconogr.
sé. Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, no 1, 1896, pl. VIII, fig. I. ' LES PÉDICURES AU XVIIe SIÈCLE 53 fois pour la
IIe siècle. Au premier plan, en pleine lumière, la scène médicale : ' Le patient, pauvre hère vêtu de pauvres habits,
peut être l'origine de sérieux ac- cidents. x 5 66 IIENRY MEIGE ' Mais rien n'affirme que ce Pédicure fait usage
u qui se trouve au musée de l'Ermitage, il Saint-Pétersbourg. N° 956. ' 63 HENRY MEIGE qu'il présente, non seulement
t au-dessus des cellules embryonnaires, et non dissociée par elles. ' A sa face inférieure, la tumeur est étroitement
faisante ; car, pour produire une céphalée si terrible et- si diffuse, ' la tumeur devait être de dimensions notables. O
inte une conclusion thérapeutique ra- tionnelle ? - Assurément non. ' Lorsque les convulsions sont généralisées, nous
ion du doigt sur la face dorsale de la main ne laisse pas de godet. ' La tuméfaction des téguments se prolonge un peu v
que les sillons- CL les plis articulaires sont effacés. Les ongles, ' allongés, sont nettement striés longitudinaleme
ononcé avec cyanose de la face dorsale de la main. Même dans ce cas, ' la main affecte une attitude différente. C'est
hors de contestation. z CùN1'HACTUIU : : HVSTL : : fO'TiAUMATIQU¡ ' ; DES MUSCLES DU TRONC. TRAVAIL DU LABORATOIRE D
sujet, la malade disait que ses bonnets depuis un certain temps lui ' devenaient trop petits. Améliorée de ses phénomèn
ce mi traie. Les ar- tères sont dures : 104 pulsations à la minute. ' " La malade tousse, expectore. A l'auscultation
onisme supposé entre les affections cardia- ques et la tuberculose. ' L'existence d'une cardiopathie, pour ainsi dire
scènes chirurgicales d'A. Baoawsn se voient dans les musées de Vienne, ' Cassel, Carlsruhe, etc. Il existe aussi au mu
'esquisse en question est celle du tableau de la galerie Suermondt. ' Iig. 2. - Le Pédicure, d'après un dessin attrib
t. ' Iig. 2. - Le Pédicure, d'après un dessin attribué à Brouwer. ' Collection du professeur Charcol. 132 HENRY MEI
fil n'est pas sans finesse. A défaut de savoir, il doit être malin. ' Tout autrement semble impressionné un personnag
de grotesque, car elle traduit un vio- lent effort de volonté. x ' 10 Fig. 5. - Le Pédicure, d'après un dessin d'A
officines simiesques, composées il ['instar des intérieurs humains. ' Au premier plan sont les Barbiers, au second le
et le Singe-Pédicure. AnnAnAM Teniers, Galerie IIarrach., Vienne, ? ' 145 et 146 (signé) ; Van Helmont, Gale- rie de
BROUWER peintre hollandais (iGo-iG;3) (Pinacothèque de Munich ) ' ,NI vssov rr CIe, éditeurs. SINGES BARBIERS ET S
ires sont particulièrement sensibles à l'ac- tion du virus rabique. ' MM. Germano et Capobiancô (1), de Naples, ont e
sser en revue en établissant une échelle de gra- dation (1). ,. - - ' ' A. Les cellules mesurent de 37 à 40 N sur 24
er en revue en établissant une échelle de gra- dation (1). ,. - - ' ' A. Les cellules mesurent de 37 à 40 N sur 24 à
sissement de 600 D. par M. Rivière, prépara- teur du laboratoire. ' Fio. 2. Fin. 3. A. - Cellule nerveuse dépourv
racines postérieures de la 12e paire. Voici une observation du D' ' G. d'Ail Armi (1) à mettre en parallèle avec la
observation a été publiée par un assistant du professeur Erb, le D' ' Hoffmann, de Heidelberg (2) ; elle~concerne un ho
que l'oreille droite était'plus chaude et plus rouge que la gauche. ' , Dans une observation publiée par Bornlnr-ger
'letzung des Rückenmarkes. Inaugural-Dissertation, Vurzbourg, 1873. ' x t3 f 178 F. RAYMOND un certain degré d'
e demande, pour déterminer des arthropathies, un terrain favorable. ' Mais deux raisons m'éloignenl de cette idée. En
our mieux dire. D'où la diversité des explications patho- géniques. ' Parmi celles-ci la théorie musculaire et par co
ar défaut d'action'de l'ensemble des muscles extenseurs des doigts. ' Or tout, dans la main de M. S... s'est adapté à
yant seuls agi pendant toute la période de développement de la main, ' l'attitude s'est faite presque irrémédiable. DÉ
a phys., 1896, pu , (4) KOOLLIKER, Embryologie, 1882, p.' 317. '. , ' ( : i) Cn. S. Minot, Iluman einbi,yology,'1892,
thétise les inscriptions et les dessins de la médaille. Et de, même, ' quand nous avons associé à cette première médai
projection de ce noyau géométrique sur la face externe du cerveau.. ' De l'ensemble de ces faits on peut donc déduire
us de doute aujourd'hui que la gliose de la syringomyélie ne débute, ' ainsi que M. Hoffmann (1) el moi-même (2) l'avons
ns sur les maladies du système nerveux, 1889, p. 147. 212- : - - - ' G. MARINESCO - pressante, qu'il me soit permis
s du poignet, c'est-à-dire le cubital postérieur et les radiaux. Or, ' chez la plupart de mes malades, le muscle qui a
ie, tout au moins au début, c'est le lype Aran- D uchenne. 21G G - ' ' - - - G. MARINESCO ' " - .. - .. ..VIII. ' Po
, tout au moins au début, c'est le lype Aran- D uchenne. 21G G -' ' - - - G. MARINESCO ' " - .. - .. ..VIII. ' Pour
but, c'est le lype Aran- D uchenne. 21G G -' ' - - - G. MARINESCO ' " - .. - .. ..VIII. ' Pour,'un segment donné du
D uchenne. 21G G -' ' - - - G. MARINESCO ' " - .. - .. ..VIII. ' Pour,'un segment donné du membre supérieur, les m
er (Haute-Marne). Nouv. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. r.v : / ? ' '^r : i ff * * * '/ ? I,V ? -/V ? *'/ . 1'^ ! ^ ?
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i ff * * * '/ ? I,V ? -/V ? *'/ . 1'^ ! ^ ? V ? 1- {"¥ 'S ? ï '* ' ' " * " î "J'~*- "j ? ? # J V ? " 'J ." '1 ? ,¿uli
eint de torticolis : « inclinaison du cou et de la tête sur le tronc, ' disent les classiques (1)), presque toujours ac
nerf ? Pour vous en rendre compte vous'n'avez qu'à vous rap- , ? . ' L I (I) Deciummie, Matiiias DUVAL et Leur : noo
LPORTEUR (Spasme polygonal post-professionnel). TIC DU COLPORTEUR ' 219 peler notre ancien malade, dont je vous pré
d'une partie d'un nerf d'un côté et d'une autre partie de l'autre. ' Chez notre malade le spasme est du reste tout à
uels rapports a-t-il avec les chorées, les myoclonies et les tics ? ' ! Au début de cet exposé et pour le rendre moin
e automatique, coordonné et par conséquent d'origine corticale. » ' TIC DU COLPORTEUR 221 Ici, je demande à faire d
e une fois de plus, cela ne prouve nullement que tous les tics sont ' mentaux pour cette seule raison qu'ils sont coord
bles tournantes et parlantes, cumberlandisme, écriture des médiums. ' Enfin, il y a une pathologie vraie du polygone
as mal choisi » une maladie de l'habitude (Gewolm- heitskrankheit). ' Comment notre homme a-t-il pu prendre l'habitud
xcès nombreux de 17 à 25 ans : voilà une prédisposition de terrain. ' Puis il n'abandonne son métier de colporteur qu
rofesseur agrégé Médecin de l'hôpital Saint-Antoine. , Messieurs, ' La question de l'Infantilisme en général est pa
j'examine- rai ensuite et dont l'étude sera beaucoup plus simple. ' Voici d'abord une jeune femme Savoisienne (Fig. 3
chez elle sous les allures d'un myx- oedème tardif et progressif ? ' ? La première de ces deux suppositions est la p
(1). (1) EUOUAItD Fou. Les bushmen. Revue hebdomadaire, 1897, no 7. ' 258 E. BRISSAUD Cet avenir si court, réservé
t régulièrement accrue au sur et à mesure du développement général. ' Elle est constituée par une large tache (Fig. 2
s la (1) Manchot. Die Haut arterien der menschlichen Korpers, 1S89. ' 274 G. ÉTIENNE théorie de Bmrensprung, caries
e manifester obliquement sui- vant le trajet des nerfs de connexion, ' en croisant d'autres territoires ner- veux appa
n trouve les deux particularités réunies chez trois de mes malades. ' Bien que le tableau indique une diminution rela
Rev. sperim. di freniatria, 1891, vol. XXIII p. I). 286 CH. FÉRÉ ,. ' - ? - A côté de l'apophyse lémurienne l'hémiplé
gauche, trépidation spinale; pas d'atrophie ni d'arthrite; marche. , ' ' ! \ Cas. VII. - Hémiplégie gauche. Ankylose d
uche, trépidation spinale; pas d'atrophie ni d'arthrite; marche. ,' ' ! \ Cas. VII. - Hémiplégie gauche. Ankylose de
e. Atrophie des muscles de la ceinture scapulaire et du thénar. " , ' , v CI. Nic..., femme, soixante-deux ans, hôpita
'un intérêt secon- daire au point de vue de la vérité pathologique. ' A Madrid; au musée de Prado, j'ai noté un table
hez les habitants de certaines vallées de la Savoie et du Valais. ' Le possesseur de ce corps thyroïde débordant ne r
les plis cutanés que les artistes aiment à reproduire. Il existe, ' au musée du Louvre, un dessin de A. Bronzino où c
nique des maladies du système nerveux ? - -- III Messieurs, , III ' Vous voilà, je pense, édifiés sur la symptomato
érieurs, empiètent plus (1) Voir les n-s 1 et 3, 4897. x 22 306 ' " F. RAYMOND .. ' ou moins sur le tronc ; c'est
plus (1) Voir les n-s 1 et 3, 4897. x 22 306 ' " F. RAYMOND .. ' ou moins sur le tronc ; c'est ce qui se voit qu
rachis, vous SUR UN CAS D'nÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 307 ' devez vous imposer comme règle de ne point inte
tenir de deux faits que j'extrais du mémoire de Neumann, déjà cité. ' L'un de ces faits concerne un jeune homme qui a
urch Stich. Virchow's Archiv, 1890, T. 122, fas. 3, p. 496. , 310 ' - F. RAYMOND d'hyperesthésie à gauche. De plus,
ôté gauche, allant gagner la colonne sensitive du côté droit. S20 ' F. RAYMOND pourrait conclure que seules les col
tuméfaction (Quelluy) que d'aucuns avaient pris pour l'indice d'un ' 23 322 F. RAYMOND travail de régénération. En
i 1877, salle Lorain, n° 14, service du Dr Achard, hôpital Tenon. ' Actécédents héréditaires. - Son père est mort à 6
péra sans chloroforme. Le 10 mai 1897 il entra dans le service du D' ' Achard pour une pleuré- sie gauche. Il souffrai
ux névroses et aux psychoses dans l'étiologie de la méla- nodermie. ' On avait bien reconnu que la pigmentation légèr
vincible. Sa famille a fini par se décider à réclamer l'assistance. ' Etat actuel, avril 1890. Il a une taille de 1 m
rence du bras : à droite, 7 centimètres ; à gauche, 27 centimètres. ' Reste confinée au lit. Ankylose de la hanche dr
ions sus et sous-épineuses, sous-claviculaire. Avant-bras normal. , ' 342 GILLES DE LA TOURETTE Les membres inférieur
mpagne une atrophie du premier espace interosseux et du thénar. - ' De plus, ces trois malades ne présentent ni doule
capitale du gouvernement de Kherson est la ville du même nom; Odessa, ' port important de la Mer Noire, appartient à ce
ions mercurielles forment la base de la thérapeutique parasiticide. ' 1 . Dépossédé de ses parchemins aristotéliques,
t les lèvres, l'homme s'apprête à occire un nouvel ennemi (Fig. 4). ' Enfin, c'est une petite pouilleuse, blottie dan
s. (1) No 3 16. - B. H, 0,41. L. 0,54. Signé. 1641. . Figez 368 ' HENRY MEIGE Il doit s'en trouver cependant, car
e. Son asymétrie et ses malformations corporelles nous le montrent. ' Quelle est l'origine de tous ces troubles ? Nou
t enrayé par la soudure indestructible des épiphyses aux diaphyses. ' - Dans ces cas, la couche périostique d'ossific
; les avant-bras et les jambes et surtout les pieds et les mains. ' « Nous ne croyons pas qu'il y ait de rapport à éta
u'ils n'aient pas été la conséquence d'une seule et même maladie. ' Et, si celle-ci continue son oeuvre de déformatio
(1) Union médicale, 1878. (2) Nous enregistrons un nouveau fait de ' \viner,1897 (Revue neurologique, p. 387). Contri
c les différentes formes de rhumatismes. D. Rhumatisme chronique. ' Nous avons vu que J. K. Mitchell frappé de la r
résente le type parfait de l'hypertrophie congé- nitale des doigts. ' Le sexe masculin du malade, l'absence d'hérédit
n'est donc plus synonyme de men- tal «.Ainsi voilà qui est décidé : ' ¥1JX'Í¡ et mens ne signifient plus la même chose,
de 38 ans dont M. Brissaud a rap- porté l'histoire (PI. XLVI, 1). ' Elle était incapable de maintenir, sans le secour
ants. La malade fut soumise à nos soins pendant six semaines en tout. ' Tous les jours, sans exception, nous lui imposi
sage des Saints dont ils voulaient glorifier les actes surnaturels. ' Et, d'autre part, la Lèpre étant regardée comme
ie avaient rendus culs de jatte. (2) Loc. cit., p. 57 et 147. 430 ' HENRY MEME - - Nous savons que de semblables dé
aisant des aumônes aux pauvres. Aux pieds des Apôtres est couché un ' homme qui semble inanimé ; derrière, au 2e plan,
s ; ses jambes sont entourées de bandes, et ses chaussures fendues. ' Dans le coin inférieur droit de la même peintur
dans deux sortes de gouttières en bois munies de courts sup- ports. ' .. Misérablement vêtu, il se soutient à l'aide
r ses manifestations cutanées sur la face. U - - - CONRAD Witz. ' ' . -(Ecole d'Alsace. - Fin du XVe siècle). Dan
ses manifestations cutanées sur la face. U - - - CONRAD Witz. ' ' . -(Ecole d'Alsace. - Fin du XVe siècle). Dans
parfaitement bien conservée, d'un coloris frais et soigné (Pl. L). ' ' . Devant la porte d'une ville dont les murail
arfaitement bien conservée, d'un coloris frais et soigné (Pl. L). ' ' . Devant la porte d'une ville dont les muraille
e munie de supports, sur lesquels l'infortuné se traîne en rampant. ' . Le pied gauche, tuméfié, informe, a cependant
irer, retenir l'oeil du spectateur et provoquer son admiration. » ' ALBERT DURER (1471-1528) Une eau-forte d'ALBE
n clinique, surtout lorsqu'il s'agit d'une oeuvre de date ancienne. ' i', Le Dr Keller demandait quelle autre maladie
ée de Bâle D. Lépreux sur le vokt droit du tryptiql1c du Jugement ' /) 1 w , . ,w 1 ? -, il-. 1. : LA LÈPRE DANS L'A
observés sur nature par l'auteur du tryptique du Jugement dernier. ' Nous savons enfin que la Lèpre trophoneurotique
e d'un individu atteint du mal contagieux. LÈPRE dans L'ART 465 ' Auprès 'de lui, se presse une troupe de miséreux,
ourus par le Saint nous ont paru présenter un réel intérêt médical. ' Dans un grand paysage boisé, avec fond montagne
on voit le bord spinal de l'os s'abaisser et saillir exagéré- ment. ' ' . . x 32 466 HENRY MEIGE Que l'artiste l'
voit le bord spinal de l'os s'abaisser et saillir exagéré- ment. ' ' . . x 32 466 HENRY MEIGE Que l'artiste l'ai
eloppées de bandes; ceux-ci sont peut être également des Lépreux. - ' VI , Dans les oeuvres d'art de l'Ecole Fran
sans parvenir d'ailleurs à le tirer de s'a béate résignation (2). ' Saint'Lazare étant devenu de bonne heure le patro
é avec les stigmates de la peste (en particulier le bubon de l'aine) ' (3), on pouvait espérer des images de Saint Lazare
oelle, par GILLES DE la TOURETTE et A. CHIPAULT (3 figures), 145. ' TABLE DES AUTEURS ACHARD (F.) et LÉOPOLD-LÉVI
8. MEIGE (Henry). Le goitre dans l'Art- (5 photogravures), 294... ' - MEME (HENRY). La Lèpre dans l'Art (9 figure
64 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
IQUE NERVEUSE. i Délire et petit brightisme ; FIR A. VIGOUROUX, ' et T P. JUQUELIER médecin en chef. interne. à
l lie à l'insuffisance des fondions hépalo-î,éitales. Paris 1900. ' Cité par Couvât. Essai sur l'urémie délirante, Th
ns. D'après leur allure clinique les troubles délirants d'origine ' Koeppen. De l'albuminurie chez les aliénés (XIII0
p. 418. 2 Folie Brightique. Société médicale des hôpitaux, 1885. ' Cullère. Archives de Neurologie, décembre 1901.
tremens termina l'évolution d'une granulie. Le même syndrome fut ' Régis et Chevalier Lavaure. Des aulo-inloxicalion
mps le régime lacté absolu devra pourtant se soumettre à une ali- ' Cités par Klippel. Délire et aizlo-i)iloxicalio ?
u début de sa crise délirante une allure spéciale, il n'en serait ' Disons à ce propos que M. le professeur Gilbert,
ava- tion de l'état mental. Il est vrai que le régime alimentaire ' -Moreau de Tours, De l'identité de l'état de rêve
xcès de boissons (Magnan). A l'infirmerie de la Préfecture, M. le D' ' Legras avait 1 Dieulafoy, Société médicale des
ment est situé dans le bâtiment principal, c'est-à-dire à proximité ' Voir le numéro de juin, p. 13. - Le professeur
s au pavillon des agités, qu'il quitte pour un service plus facile. ' Pendant chaque période de cinq jours un même in
ice qui conduisent un ma- lade à la clinique doivent être en civil. ' Les prix de pension de la clinique varient de 1
ible, afin de pouvoir y soumettre le plus grand nombre des malades. ' Le professeur R. Sommer, dans son Traité des mé
vices appréciés à la clinique de Giessen. On peut ainsi reproduire ' Kurze Miltheilung iiber stereoscopische Portral-A
ours mutuels, d'une société d'assurance contre la vieillesse et les ' infirmités, par l'autoiité militaire, le directeu
considérables font les universités allemandes en faveur de leurs ' Nous avons fait de larges emprunts à l'intéressan
l'époque où se place la conception du malade, c'est-à-dire en juin, ' le père pouvait être sur- mené par les travaux
Famille de la mère. Père, sobre, mort d'une paralysie au cer- veau ( ' ? ). Mère, alcoolique, elle buvait de tout et s'e
ns durée. Mange gloutonnement, ne semble jamais rassassié, flaire ' ses aliments. Place bien les couleurs, distingue
sympathiques, l'auteur conclut que le réseau de Golgi est bien un ' Le tableau des mensurations de la tête, offre que
té faites à l'asile de Dorchester de 1883 à 1901 et il a trouvé les ' chiffras suivants : sur quarante autopsies, il a
cution, ils doivent en comprendre le but et en connaître la portée. ' 84 SOCIÉTÉS SAVANTES. La même méthode est app
rester fort longtemps comme dernier vestige de la cellule motrice. ' 7° Ces altérations de la corne antérieure n'int
léments les plus gravement atteints sont ceux de la partie externe. ' 8° Dans la partie externe, quels sont les éléme
' 8° Dans la partie externe, quels sont les éléments qui sont pris ' Sans qu'il soit possible d'affirmer l'existence
prophylactique. 111. Hystérie et maladies gynécologiques ; par te D' ' DUPIN-DULAU. L'hystérie peut à, elle seule simu
x de la main ou sur toute autre partie sensible du corps du malade. ' VARIA. TREIZIÈME CONGRÈS DES MI3DECINS aliéni
t phy- sique et ^intellectuel ; parole très lente; voix aigre, etc. ' Archives, 2- série, t. XVI. 7 98 . RECUEIL DE
r les trois prolongements qu'envoie en arrière la T' (PLAaCUE I). ' Nous avons publié une série de ses photographies
homme moyen (Papillault)*, celui-ci présente un diamètre antéro- ' Le dessin au stéréographe qui figure ici a le dou
es observations : Compte rendu de 1891, p. 35 ; 1894, p. 35, etc. ' )20 0 RECUEIL DE FAITS. Recherche de la mucine d
vons minutieusement décrits dans le Compte rendu de Bicétre de 1889 ' , Deb..., nous le répé- 1 Deh... est entré dans
remière aussi détaillée, ['analyse ch4îîbique de la peau', examen ' Voir une inalyse spinl)l,-tl)le (le, Yvon et Tiii
amants, elle leur donne de l'argent », de persécution « on lui en ' Keraval et ilaviart. L'étal du fond de 'a't7 chez
pour descendre verticalement vers les couches externes delà rétine, ' La couche des fibres nerveuses, ne semble plus
rations intéressantes, surtout au niveau des articles externes. Les ' )t ! <0 ! ) ? te<s ont, comme on peut s'en
deux ans plus tard l'examen ophthalmoseopique fut pratiqué on cons- ' tata l'existence d'une atrophie papillaire blan
et de persécution, excitation passagère et tentative de suicide (D' ' Magnan). Ses antécédents héréditaires nous sont
la fonction rénale était aussi active que possible 1. (A suivre.) ' On peut rapprocher de cette observation le fait s
e lésion traumatique du lobe préfrontal; par R.-A. UnouiiART et W. ) ' "ordHoB ! iRT50N. (Tite Journal of Meittal Scien
ion à la lumière est paresseuse, 172 -REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' surtout à droite. Mais le malade prend de la be
rie présente les pièces d'une méningite postérieure de la moelle. ' Bourneville. SOCIÉTÉS SAVANTES. 179 M. Halbro
00 pages, liacillars, Kew-Vork, 1902. nul Thlsskrift for aA ! : o; ' ? ;tMM6; : e/ onzfalleucle aandssvage, Bliiide-oy
7-1003. Vol. XVI. Septembre 1903. N° 93. ARCHIVES DE NEUROLOGIE ' CLINIQUE MENTALE. Obsession et délire ' ; Par
ARCHIVES DE NEUROLOGIE ' CLINIQUE MENTALE. Obsession et délire ' ; Par le D' E. MARANDON de 110 ? 1 YEL Médeci
obsessions et leur passage au délire. Archives, 2- série, t. XVI. ' 13 . 194 CLINIQUE MENTALE. tardives de son on
e visible sur sa conduite. La manifestation externe des processus ' Serge Souhhanoff et Pierre Gannouelikine. Etiide
hologique autonome. CLINIQUE NERVEUSE. Délire et petit brightisme ' ; S A. VIGOUROUX, médecin en chef. à l'asil
ère, convulsions de l'enfance, mort de tuberculose. De ! ? : t-soeM; ' paternelle, morte d'une affection du cerveau. P
les notes recueil- lies par la surveillante et ses collaboratrices. ' V... rejette la tète tout d'un coup en arrière.
el- ques jours, nous avons appris que la guérison se maintenait'. ' A la fin de décembre 1902, il n'y avait pas de re
grand nombre d'habitations des aliénés sous la direction de M. le D' ' PEETERs, médecin directeur, Bctcck- Arscmvrs, 2
traités dans sa section, et en cas de maladie, avertit les proches. ' 1 Tous les trois mois, le médecin fait un rappo
pareille évolution au moment où sa virulence est du moindre degré ! ' Il est vrai qu'en accordant une grande part à l
ant d'autres décrivent dans les infections cérébrales, viennent en- ' core compléter les analogies. L'un des arguments
us spécialement sur certains territoires de l'axe céré- bro-spinal. ' Ainsi, la diffusion des lésions commune à tous
sans une pointe d'iro- nie. Archives, 2= série, t. XVI. 16 242 ' ). SOCIÉTÉS SAVANTES. Au point de vue de la situ
bâtons. Il compte jusqu'à 60, place les bâtonnets dans les cases, ' Ley. Le traitement des enfants idiots et arriérés
1902. Amélioration notable pour l'orthographe et le calcul, pour ' lesquels il n'avait aucune aptitude. 1903. Actu
ure, chez laquelle nous ne voyons poindre aucun mauvais ins- tinct. ' ' Idiotie profonde. Mill.. (Emile), né à Paris,
e, chez laquelle nous ne voyons poindre aucun mauvais ins- tinct. ' ' Idiotie profonde. Mill.. (Emile), né à Paris, l
de collectionner les papiers. Le progrès sco- laires continuent. - ' 1902. Nous arrivons au résultat inespéré de la
r de grands progrès, lorsqu'une vraie métamorphose s'est, opérée eu ' elle. Un développement autant physique qu'intel
ur des promenades dans les jardins ou les squares publics 1, etc. ' Dont les arbres, les arbustes et les Meurs devrai
constater la réalité des lésions rachitiques Disons en passant que ' Voir dans le n- 91 (1903) des Archives de Neurolo
s au Salon de con- versation du Parc, sous la présidence de M. le D' ' Tou- ticiikine (de Kharkow). La parole a été do
n; l'attention est relati- vement facile, la malade devient docile. ' La pathogénie de ces troubles mentaux peut s'ex
nt pas à comparer avec ceux que donnait la sonde nasale. 11. le D' ' SIZRET rappelle le procédé préconisé par son père
s n'arrivent à tracer les caractères de l'écriture qu'après des hési- ' tations très pénibles. Il nous a paru qu'il y a
la réduction systématique de la volonté. Communications diverses. ' M. Jules Voisin. Un cas d'hémiplégie hystérique
UX 1902 Par le Dr de Plrry. XVII. Névroses et paludisme; par le D' ' Comméléran. Le paludisme est uni par des liens
ti0 pages. Librairie Doin, 8, place de l'Odéoii. Prix : 16 francs. ' Le rédacteur-gérant : Z Bvreua, Cil. liumisse
al et d'étayer mes conclusions sur des bases soli- dement établies. ' D... est âgé de quarante et un ans. D'une haute
oureux, il est porteur de quelques stig- AKOnvES, 2' série, t. XVI. ' 19 290 MÉDECINE LÉGALE. mates de dégénérescen
s. A dix-huit ans, il s'engagea au z cuirassiers à Paris, chaude- ' Depuis l'entrée de D... dans le service, le carac
le faire sortir pendant un après-midi. Elle négligea de le ramener, ' Pendant plusieurs mois, il n'a plus de démêlés
dans les serrures, tantôt il moleste ceux qu'il croit inoffensifs. ' Matheureusement nos asiles sont mal organisées
oncerne les épileptiques sains d'esprit, le pre- 308 THÉRAPEUTIQUE. ' mier établissement ouvert pour eux, fut celui q
la production du sommeil. Mosso, après d'autres, constatait, dans ' Voir dans l'ancienne lconogr. pholhogr. de la Sal
ne façon précise au point de vue clinique. Pourtant Obersteiner a ' )1. de Fleury. L'insomnie et son traitement, 189
i- nué la nuit, sans que les heures perdues soient remplacées par ' Parmi les médicaments qu'on peut employer utileme
ez les sujets déprimés, cet alcaloïde était plus nuisible qu'utile. ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 331 t M. DEvos (de Selzaet
es radiculaires entre le point sectionné et les cellules d'origine. ' Nous croyons avoir trouvé une méthode nouvelle
cherches physiologiques de ces dernières années (Bottazi, Ioteylco) ' , ont montré qu'il existe incontestablement dans
ui, étant moins différencié que la substance fibrillaire, n'est pas ' IOTEYI0. Etudes sur a contraction tonique du musc
ilisme. A propos de la communication sur le Puérilisme de M. le D' ' Duphé, M. Marie rappelle les états d'enfance spir
élicat : il comporte de multiples inconvénients, surtout au réveil. ' 1 Depuis plusieursmois, j'emploie couramment, d
e qui présente un si vif intérêt dans le régime pénitentiaire. M Tn[ ' ;KEL(deSaint-Yon).)1 11 est étonnant de voir un ch
ical'. M. Larrivé (de Meyzieux). L'an dernier, au Congrès de Gre- ' Nous croyons qne les asitcs ordinaires, bienorgan
liens, dont nous avons fait l'autre jour la description (1 sur 9)1. ' Voici d'ailleurs le résultat de notre examen du p
u point de vue des para- lysies, des parésies qui échappent parfois ' , du rachitisme sur lequel nous avons appelé l'a
t reçu un commencement de réalisation et nous devons ajouter dans ' Il s'est créé une Ligue nationale pour la protect
- vent dans un nombre correspondant de cellules nerveuses du lobe ' Nous avons signalé bien des fois, après d'autres,
ns obtenu connaissance de cet objet. Voilà la base de notre savoir. ' Mais, qu'est-ce qui aura lieu dans l'écorce ? E
ye, d'Amsterdam. d'Harlem et d'Anvers, quelques tableaux qui pré- ' Nous avons fait tous nos efforts pour donner un c
ique. 11 nous suffira de dire que presque toutes ont été faites par ' Voir le programme détaillé de l'excursion eu Holl
ond victorieusement aux objections qu'on pourrait lui opposer. Le D' ' Dumas ne discute pas l'opinion de James, il s'est
extract d'hypophisis cerebri ! . Encore la célèbre organothérapie ! ' , ' Professeur S. Tchiriev, Sur le traitement d
t d'hypophisis cerebri ! . Encore la célèbre organothérapie ! ' , ' Professeur S. Tchiriev, Sur le traitement de morb
gie, etc., de M. le Professeur V. Podwyssotskv. t. V, 1898 (russe). ' ' 388 THÉRAPEUTIQUE. Cependant l'affaiblissem
e, etc., de M. le Professeur V. Podwyssotskv. t. V, 1898 (russe). ' ' 388 THÉRAPEUTIQUE. Cependant l'affaiblissemen
ite du cervelet et sur la moelle épinière. Par conséquent Fin. -16. ' UN CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE DE CÉCITÉ. 397 no
en dedans ordonné par messieurs les syphilidologues eux-mêmes '. ' Professeur S. Tchiriev, Sur le traitement de la s
ment des aliénés tuberculeux à l'asile d'Armentières' ; Par les D, ' E. CHARDON, directeur-médecin en chef, et G. IA
evons le dire, avaient donné d'assez bons résultats pour que nous ' Communication faite le 7 août au Congrès de Bruxe
ssez facilement induit en erreur, ainsi qu'en témoignent les pre- ' Lors de sa communication au Congrès de Bruxettes,
automatiques, la malade répond un peu aux questions, pressantes. ' Catatonie et Smt·eurs. Rapport au Congrès de psyc
psychose catatonique dégénérative, comme les précédentes, mais à ' La facilité avec laquelle se produit maintenant l
e descendante. Proviennent-elles des cellules de la substance grise ' ? Voici un fait de tabès dorsal dans lequel les
l y a lieu de croire qu'elle procède d'un arc réflexe périphérique. ' Impossible d'assigner au réflexe orbiculaire, p
s, sueurs continues, pouls fréquent et tendu de plus en plus faible, ' )'. 39 et 40, mort. utopste.Hyperémie veineuse n
AL. XXXV. De la syringomyelie, par L -\f. Onr.ravshr. (0 ! 'o)'<; ' ) ! tf; piclciatrü, VII, 1902). , Revue suivie
cte la virilité appa- rente, et d'empêcher toutefois la pocréation. ' R. DE MUSGRA\'E-CL.1Y. REVUE DE PATHOLOGIE ME
é absolue de ces symptômes moteurs avec l'automatisme de l'idiot. ' Analyses des numéros mars, juin et septembre du B
ont une grande ressemblance avec ceux REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ' 447 que l'on observe à la période correspondant
iter l'intelligence des matières faisant l'objet de l'enseignement. ' Le personnel ne relève que de l'autorité médica
'aliéné-malade » de Pinel pour qu'on y assiste avec indiffé- rence. ' En terminant qu'il nous soit permis de remercie
rminant qu'il nous soit permis de remercier encore une fois M. le D' ' Van Deventer et ses médecins-assistants de la cor
uxelles, a bien voulu ajouter la visite de l'asile de Meerenberg. ' Ces renseignements sont empruntés au rapport sur
eur le ministre, Mesdames et Messieurs, 11 y a dix ans, dit M. le D' ' BitLUroLT, qu'a disparu le grand méde- cin dont
ontairement penchée sous l'effort de la pensée et de la réflexion ? ' ? Jean-Martin Charcot est resté la figure la pl
ographique, que l'observation géniale du savant était en 450 VARIA. ' train de découvrir et dont il n'avait pas encor
rès accomplis, rend hommage à tous ceux qui y ont contribué. Le D' ' Boissier relate ensuite les principaux noms de to
lle avait voué au maitre, lit don à uotre31stinué confrère, M. le D' ' Belugou, du buste en bronze de son mari. Ce buste
mouvements volontaires exécutés dans la zone autrefois paralysée. ' A gauche, l'aneslliésie a fait place à une sorte
s un fourreau de'nie- ninges qui lui adhèrentintimement. Au-dessous, ' jusqu'à'l'a queue de cheval, elle est marbrée e
copique sur lesquels nous voulons tout particulièrement insister... ' "t Examen hislologique. L'examen histolôgique de
ls associés au traumatisme initial produit par le coup de couteau ? ' , Puis, comment expliquer la deuxième étape de
e anesthésie totale et "de troubles vésico-rectaux très accusés ? ; ' Nous avons prélevé uu premier morceau comprenan
Un dernier fragment a été pris au niveau de la 3" ra- cine dorsale. ' Apres inclusion colloïdinée, les coupes furent
moins abondant et moins compact, constitue des granulations isolées, ' placées bout à bout à travers les faisceaux conjo
é, par l'intermédiaire des fibres correspondantes du côté opposé. ' Cette compression a dû. suivant toute vraisemblan
s les parties droites de la moelle situées au-dessus de la section. ' Au début, tous les modes de sensibilité furent
tal réel. On n'a plus à compter alors avec la méfiance, la dissi- ' Nous citerons cependant un intéressant travail de
s que je veux les approcher pour prêter l'oreille à leurs discours. ' D'aucuns mêmes sont influencés par le lieu où i
e suis de la campagne. « Inc. Saint Thomas est blanc comme un mort. ' « Cons. Un saint qui m'est apparu. « Inc. Il
e, en raison des conditions d'obser- vation où nous avons été placé, ' d'établir une statistique précise à cet égard.
de ne subit pas les suggestions d'un interrogatoire, parce qu'il ne ' dissimule pas comme il le fait quelquefois son
spéciaux de la conscience, de manifestations du langage réflexe. ' IV. Valeur PRONOSTIQUE La valeur pronotiqnedu m
f6M gauche. Otite fxte7,lte du même côté. Diminution du trouble eto) ' ! t : 7at'a</e/<'a/'HM<t : h'o)'t'< !
e D' Mabille, directeur-médecin en chef de l'asile de t.a(<ud. ' * J. ? rlas. Les hallucinations Kt ! t<N/e't'a(
t<N/e't'a(l;tKa)))t'ea-pc/t0o- giques de mai à décembre 4902). ' Prise en collaboration avec M. Daigrier, interne
e s'accorde pas davantage avec les données anatomiques actuelles. ' Morat, Fonctions d'innervations (Traité de Physio
es 1 1 les préoccupations dominantes du malade ? » Ajoutons enfin ' Séglas, loc. cil. ' Régis. Encéphale, 1881. M
tions dominantes du malade ? » Ajoutons enfin ' Séglas, loc. cil. ' Régis. Encéphale, 1881. MALADIES UNILATÉRALES D
du sujet et non la lésion cérébrale qui a fait l'hallucination 1 » ' · Celle prédisposition hallucinogène, héréditai
i- iiogëne. Dans la première, elle a pour unique rôle d'alimenter ' Joffroy. Les hallucinations unilatérales (Archive
imul- tanée de lésions périphériques et d'hallucinations uuilalé- ' Les roots souligné le sout par 31. Séâlas. S<
oots souligné le sout par 31. Séâlas. S<'gtas.j ! 'a//to;ye'Hi'e( ' /y)/t.vf ! 0tepa</tO< ? </M<'(/e<'M
la civilisation actuelle, y com- pris l'éducation et l'instruction. ' P.KERAVAL. 111. Sur les résultats favorables du
énés d'un asile dans un autre; par A.-H. UIIQUUAIIT. (The Journal o/ ' Mental Science, octobre 1901.) Tout le monde
ment, la loger convenablement et lui donner une position sûre. Le D' ' lto- bertson et le Dr Keay voudraient que cette
llaitement, ainsi que sa mère et sa nounice. 526 sociétés savantes. ' . M. G. Ballet' fait ressortir que le principal
méiologique du clo- nus du pied n'est donc pas infirmée par ce cas. ' La main bote dans la maladie de Friedreich. M
Voilà le but de mes recherches sur ce sujet que ]'ai entreprises ' il y a déjà quelques années, et que j'ai publiées
ouvent remplacée chez l'homme par une habi- tude similaire, la <) ' : c/t0p/f0<'if, acte de manger les poils de la
médul- laires de l'homme), avec 12 planches (95 dessins); par le D' ' José T. Borda, chef de clinique de psychiatrie.
terne de Burdach; la colonne réticulaire, depuis les segments coxy- ' giens jusqu'au bulbe, où elle se continue avec le
Pour renseignements, s'adresser au Directeur. - Asiles D'ALIÉNÉS. ' Nominations et Promotions. M. le Du ME ! - LHON
le public d'aliénés de Prémontré (Aisne) en remplacement de M. le D' ' Parant, mis eu disponibilité sur sa demande.
est réduit à 28 francs pour la France et 30 francs pour l'Étranger. ' Le rédacteur-gérant : Bouuneville. EXPLICATIO
érales dans la maladie de Friedreich, par Cestan et Sicarrl, 526. ' Anémies. Voir Moelle. Z par riessiuger. 183.
Asthénie bulbo-simnale. Un cas d' . Syndrome d'Krb-Goidfiatn, par ' llawnonri, 160. AsvnluoLU : Voit- Iqnoscie. A
ammond, 151. De traitemeni ries -atteints de défectuosité mentale, ' pargross- mann, 15f. arriéré. \ou'NaeAt- 1181
176. S1\DItOIE OCf.IPITO-LÉIiÉBELLLL\, par .l;ii cliiii(l, 68. ' · S%.NI)11031E, .solaires expérimentaux, par
llarnson-)Iettlel, 61 it7, 179 - Illdl·n;er, : 5. Hopkins, 73. ' Muet, 78, 52î. liupnhe, 531 lute)lio, 3îl.
65 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
s et fins, ils présentent dans leur ensemble un aspect infantile. ' Les deltoides sont très réduits et aplatis, les p
sentait le type le plus intéressant de l'acromégalie hé- réditaire. ' Si l'on regarde de près la radiographie du poig
nomène d'arrêt se serait-il produit d'une façon tellement précoce ? ' ? 16 BERTOLOTTI Il est très probable que cet
par acquisition maladive, n'ont cependant rien en eux d'infantile. ' Dans mon mémoire, j'ai affirmé ma conviction à
rain. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1°OS, p. r37. - 28 ' BAUER lisme. Il ne suffit pas d'avoir constaté
qu'il appele achondroplasie (de « priv. XÓ.1;O;, cartilage, et 7 ! ' )aITûm, former). La remarque de Parrot passa pour-
re et superficiel. Par exemple dans le nanisme on mélange souvent, et ' autrefois on confondait toujours des cas qui so
s atrophiques qui expliquent la déviation de la direction des doigts. ' Sur nos radiophotographies on voit à l'extrémit
re cas pourrait servir plutôt pour une hypothèse que pour une autre ' ? À première vue notre cas ne sert pas une hypo
ELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE Par Edouard FLATAU. ' Une des questions des pl us importantes au moment
laquelle les neurologistes les plus illustres s'efforçaient unique- ' ment de faire les diagnostics les plus précis, le
pinière. C'est de ces dernières que nous 1 traiterons ci-dessous. ' Il y a 22 ans, Gowers, le premier, a attiré l'att
pération fut exécutée par Horsley (1887). C'était un fait d'une im- ' portance inouïe et pourtant pas assez apprécié du
t été publiés avec les Drs Klichen, Sterling Z) et Mlle Zylberbast. ' . Tumeurs de la moelle épinière et DE la COLONN
mbre. - Depuis quelques jours, les membres inférieurs sont parésiés ' surtout celui du côté droit. Hier il y avait des
ieur droit est en état de paralysie flasque, le gauche ne tombe pas ' inerte quandon le soulève(tonus musculaire conser
piqûres ne provoquent pas de réactions (perte de connaissance). Le ' même soir, la malade est morte. 1 , A l'autopsi
on a trouvé de nombreuses métastases visibles à l'oeil nu dans les ' corps vertébraux (dans la VII° cervicale et depui
ébraux (dans la VII° cervicale et depuis la X° dorsale vers le bas) ' aussi bien que dans les trous de conjugaison. Nul
n soulagement lui était procuré par la compresse chaude électrique. ' Au mois de juillet les pieds ont enflé. La colo
te en avant ou de côté plus librement, il la tourne des deux côtés. ' Les nerfs crâniens ne présentent rien de notabl
arqué, le droit aboli. Les abdominaux et crémasté- riens très vifs. ' 1er octobre. - Le malade se plaint de douleurs
istinctes). 2,0 où Mastzellen. -- Se basant sur ces données, le D' ' Klein supposait qu'il s'agit dans ce cas de myé
par la voie anale n'était pas fait). Pas de symptômes de névrite. ' ' Observation V. Le malade Jed, âgé de 40 ans,
r la voie anale n'était pas fait). Pas de symptômes de névrite. ' ' Observation V. Le malade Jed, âgé de 40 ans, s'
s lombaires sont douloureuses, et à l'examen de ces vertèbres, le D' ' Krajëwste y constata une tumeur. L'examen élect
va à la selle uniquement après un lavement et alors « ça coule »). ' Depuis trois semaines la jambe gauche est deven
init par un enfoncement qui la sépare d'une autre tumeur, 64 flatau ' allongée occupant le bord droit du sacrum. Ains
s réllexes abdominaux supérieurs sont faibles, les inférieurs abolis. ' Le réflexe crémastérien est conservé. Les org
Outre les nerfs précités la névralgie peut frapper le nerf cubital. ' Il arrive que les malades se plaignent d'une hy
herpès) et vasomoteurs (oedème) surviennent rarement. 78 FLATTA U ' Le tableau décrit ci-dessus est nécessairement
es à la palpation parle plutôt en faveur du cancer. Les 80 O FLATAU ' douleurs apparaissant à la compression de la ré
s lumeurs vertébrales se présente schéma- tiquement comme il suit : ' I. Tumeurs vertébrales malignes sans lésions mé
le canal rachidien. Après l'opération, amélio- ration durant 9 ans. ' Dans le cas deThornburn-Gardneron opéra un sarc
e dorsale. Deuxième opération, amélioralion. Nouvelle métastase, 86 ' FLATAU mort. Dans le troisième cas on a opéré u
ltérieure. Si on dépasse 70 degrés, la jambe fléchit sur la cuisse. ' Du côté malade, au contraire, la jambe fléchit
). Cette description, par trop succincte, ne permet pas d'identifie¡ ' aveccer- titude l'oiseau que les Grecs appelaie
oiseau détourne sa (1) Gorgias, § 48. (2) Les Oiseaux, vers 1141. ' ·(3) ARISTOTE. Histoire des animaux. Livre IX,
ndre passa dans celui de la poésie (1) Propos de table, Livre XVII. ' (2) Dénatura animalium. Lib. XVII, cap. 13. (
Lors le jugent à morir li plus sage. Se ma dame mevausist regarder ' De ses vairs ieux doucement el visage, Bien p
eproduites par la gravure sur bois'dans l'édition de C. Hippeau. u, ' 2. Ms. fr. 144,4, XIII" siècle, Bestiaire de Ri
ALI'ÊTRIÈRE. T. XXIII. PI. XIII - "" , ,, m i r : ; : "TTlMl Il " ' ? 8 3. Main de Marguerite. 6. Main d'Aurélie.
peau était devenue livide, les extrémités étaient toujours froides. ' La mère, qui avait suivi avec tout son regret m
e à 15 ans ; dès lors son flux menstruel a toujours été régu- lier. ' Etal actuel. - Elle a un air stupide et dans so
ion des cuisses,on peut relever les mêmes altérations des contrac- , ' tions électriques : bien que les muscles de cette
avancée de la papille. - Acuité visuelle encore assez con- servée. ' Paralysie des mouvements conjugués des globes o
sans béquilles. Elisa- beth est assez bien développée pour son âge. ' Examen des sens spécifiques : Examen des yeux.
que chez les deux scenrs. Le réflexe cutané plantaire est absent. ' Il faut rétorquer que chez Elisabeth les membre
infantiles familiales et les paraplégies infantiles fa- miliales. ' Mais dans nos trois observations, nous le répéton
ifester par une atrophie des petits muscles des mains et des pieds. ' (1) Frïud, Neurologische Centralblatt, 1893. '
ains et des pieds. ' (1) Frïud, Neurologische Centralblatt, 1893. ' (2) SESLIGMULLER, Deutche Médical Wochenscrift,
ons tendineuses, l'altitude du pied est en équin ou en varus-équin. ' Si enfin les jumeaux sont pris, nous avons alor
ors cette conformation particulière de la jambe de coq (Sainton). ' On connaît de même les troubles vasomoteurs très
Marie avec atrophie des nerfs optiques, Revue neurol., n° 10, 1904. ' (3) BRASCH, Ueber eine besondre forum der famil
ues, de négation, d'immor- talité. M. A. gémit moins et dort mieux. ' 140 MARCcIInD 15 décembre. Une amélioration n
ïdes se compliquèrent de contractions musculaires à la tempe droite, ' à la joue et aux paupières avec sensation de chal
est survenue un mois après l'apparition des symptômes médullaires. ' L'autopsie découvrit une tumeur du médiastin et
se, la carcinomatose, la néphrite chronique, etc. Observation XI. ' Le malade de 45 ans,est venu me consulter le 13
; 4 enfants bien portants. Sa femme n'a pas eu de fausses couches. ' Etat actuel. Bonne conformation, bon état génér
entendons les douleurs qui dépendaient probable- ment de la tumeur. ' ` Il est un fait connu, c'est que les tumeurs p
es de liquide jaune séreux. 13 juillet. - Opération de la tumeur. ' 15 août. Il y a quelques semaines, après l'opér
ines de myéline sans doute trop fines, pas bien nettement limitées. ' Dans les endroits correspondant aux foyers on p
mais de forme ordinaire, sans déplacement excentrique des noyaux. ' En résumé, dans ce cas il s'agit d'une jeune fill
gauche de Burdach dans les segments supérieurs de la moelle. 172 ' FLATAU Dans ce cas les symptômes cliniques dépe
cation anatomique désirée sur des bases réelles et indiscutables. ' Les trois rapports et les discussions qui viennen
ossible et l'examen microscopique exige des métho- des spéciales. ' On constate alors qu'il existe des lésions étendu
processus anatomiques ou au contraire aux troubles psychologiques ? ' ¡ 196 LADAME En dépit des apparences, les fait
hcanne, Le dermographisme chez les aliénés, 1902. 198 It 0 U I)N E \ ' produite par l'anémie et la manie par l'hyperém
l'un ou f'autre ? A l'excitation de quels nerfs penserons-nous ? : ' haut-it admettre : Il que les deux centres de la
ngée. Si nous admettons (1) Detehmaxn, Les neuroses du cceur, 1895. ' DERMOGRAPHISME ROUGE ET BLANC 201 que dans to
DE L'HYSTÉRIE TRAUMATIQUE - PAR - Johanny ROUX (de St-Etienne) ' § 1 . - Nature et pat/wqéllie de l'hystérie.
ntairement, simule des malaises pour obtenir une indemnité, celui-) : ' ), évidemment, n'est pas un hystérique. Le pat
ifestation. Je crois que tout le monde est d'ac- core à ce sujet, - ' L'hystérie traumatique, en ceci il faut admettr
MENTAUX DANS LA LÈPRE L'ÉTAT PSYCHIQUE HABITUEL DES LÉPREUX (1), ' PAR MM. DE BEURMANN et GOUGEROT Médecin de l'
ble, ne fuyant pas la xxm 15 226 BERNARD société; même féminine, ' qui le recherche encore 'pour, son entrain ? il
ain ? il est instruit et fait autorité dans sa profession. A 62 ans, ' il a'refusé une situation particulièrement bril
itecture soit à peine' dérangée ; car enfin comparée à la « cassure ' » du pottique,l'inclinaison du sC6liotiquen'est
, ESSAI DE PATHOGÉNIE 227 la correction irréprochable ! de la tenue, ' l'altitude' était toujours défec tueuse. L'autr
e pas la timidité elle- même, toute la timidité, mais qui.y touche. ' . Celte relation n'a frappé jusqu'ici.ni les ps
llier). Radiographies des pieds de Char. (Obs. 1). - M.n c : c : ( ' "\ ? G ? I<--Editeu LA BRACHYMÉLIE MTAPOUTALL
s achilléens sont normaux. Il n'y a pas de signe de Babinski. xxm ' 17 250 GIUSEPPE FRANCHI NI ET MAURO ZANAS1 Pa
s épiphyses distales des métacarpes étant, particulièrement massives. ' Aux phalanges il faut remarquer l'exceptionnel
fond des yeux parfaitement normaux. Normale aussi Vacuité visuelle. ' Le nez est plutôt petit, aplati à la base et à
un peu petites ; normale la perception de l'ouïe bilatérale- ment. ' Cou. Il est cylindrique, gros et court. On ne p
ère, l'achondroplasique vivrait et pourrait arriver à l'âge adulte. ' En réalité nous nous demandons si l'achondropla
achitismo congemto. Société de Pédiatrie de Paris, 23 octobre 1908. ' P.1UCAT~f;t GALLINGER. Foetus achondroplasique.
TRILLAT. Achondroplasie foetale. L'Obstétrique, 1908, ne 4, p. 392. ' J. et R. Voisin. Troubles de l'ossification dan
lie osseuse très prononcée, constituée par une apparente 278 CATOLA ' 1 surélévation du pariétal sur l'occipital. Par
ISATION. CÉPHALIQUE 281 De quelle ostéopathie s'agit-il dans ce cas ' ? Evidemment,il serait ici tout à fait déplacé
ne toujours d'une hypertrophie concomitante des par- ties molles. - ' La lésion prédominante au maxillaire inférieur
viennent tout simplement beaucoup plus fragiles qu'à l'état normal. ' Le volume très considérable du maxillaire infér
oins de 26 ohser- OBSERVATIONS CLINIQUES SUIT LA SYPHILIS CKRÉBRADS ' 287 vations de syphilis cérébrales, dans lesque
rf vague ; le sujet mourut. A l'autopsie, on trouva des altérations ' étendues des artères du cerveau et de la moelle é
symptômes de paralysie pseudo-bulbaire (dysarthrie grave, dysphagie, ' pleurs spastiques). Malgré la continuation d'un
DE, LA MOELLE ÉPINIÈRE , 1.. J, , ET DE LA COLONNE VERTEBRALE . ' {Suite) ; " , 'PAR . Edouard FLATAU TROISIÈ
Edouard FLATAU TROISIÈME PARTIE LES TUMEURS INTRA VERTÉBRALES · ' Observation XIV. ' Le malade X. X., âgé de 50 a
SIÈME PARTIE LES TUMEURS INTRA VERTÉBRALES · ' Observation XIV. ' Le malade X. X., âgé de 50 ans environ, a toujour
. Il y a des foyers nécrosiques dans la corne droite posté- rieure. ' Les coupes colorées par la méthode de Weigert m
dessus d'elle.' y a aussi des hémorragies dans la moelle sacrée.1 . ' 18 FLATAU On n'a pas rencontré une seule cell
: la malade ne sait pas définir les petits mouvements des orteils. ' , 7 juin. La malade est transportée dans le ser
s orteils. Rétention complète de l'urine et des ma- tières fécales. ' 20 juin. - Pouls : 10. La température élevée. L
ieur droit. 6. Tumeur. 7. Racine postérieure. xxiii 22 330 FLATAU ' Au niveau du pôle inférieur de la tumeur, la mo
ampes dans les jambes. La plaie n'a pas de pus, mais ne guérit pas. ' le' juin. Vomissements incoercibles. Même état.
long de la moelle lombaire et sacrale. Ici elle diminue peu à peu. ' Les coupes colorées par la méthode de Marchi mo
ordon latéral droit. 1. Foyer dans le cordon latéral droit. 352 , ' . 1. ' FLATAU la dégénérescence se déplace vers
atéral droit. 1. Foyer dans le cordon latéral droit. 352 , ' . 1. ' FLATAU la dégénérescence se déplace vers la lig
n'a pas pu constater de signes inflammatoires ! OBSERVATION XX. ,. ' ' La malade H. L., âgée de 45 ans, est entrée à
'a pas pu constater de signes inflammatoires ! OBSERVATION XX. ,. ' ' La malade H. L., âgée de 45 ans, est entrée à l
Un des points les plus discutés dans la théorie du pithiatisme est la ' question de savoir si les troubles vasomoteurs,
heté de toute la main), les phénomènes cutanés ne sont pas apparus. ' Une fois on constata avec certitude la simulati
etites cellules de Betz, dont le grand diamètre ne dépasse pas 40 {- ' et les grandes où ce diamètre atteint jusqu'à 900
u de chien exa- miné quatre semaines après la section de la moelle. ' Je suis revenu sur cesujet dans un travail publ
10. (5) G. Marinesco, Neue Beobactlungen über die Verdnderuvgen de) ' Pyramides riesenzellen im Verlan/ der Paraplegi
i,chi de la moelle jusqu'au cortex. Revue Neurologique, n' 6, 1906. ' Contribution onalomo-pallaolugique à l'élude de
les de la sensibilité et psychiques. Durée de la maladie, 15 jours. ' Examen macroscopique. Grand foyer hémorragique da
auche avec trou- bles de la sensibilité. Durée de la maladie, 1 an. ' Examen macroscopique. Foyer hémorragique à l'in
au lenti- culaire, les capsules interne et externe et l'avant-mur. - ' Examen microsco- pique. Au Weigert-Pal on voit
névrites diphtériques, la senévrile nsitive des éthyli- ques, etc. ' Une de nos observations cependant (n° VI) nous
NOf ? LLLI Iconographie DL la SA1.1 ? 1'Rll.ar. T. XXIII. PI. 11t\ ' ARTHROPATHIE TABETIQUE VERTÉBRALE (G. Bascbit
c la 4° lombaire. Telles sont les raisons qui m'ont amené à retenir^ ' comme arthropathie tabétique les altérations re
rthropathie vertébrale tabétique. Revue neurologique. 1907, p. 622. ' TROPHOEDÈME DES MEMBHES SUPÉRIEURS AYANT DÉBU
ation des règles ; est-ce une simple coïnci- dence ? Observation. ' Il s'agit d'une femme de 58 ans, confectionneus
oedème analogue ; il ne s'agit donc pas ici de trophedème familial. ' Les particularités de ce cas portent surtout su
.' Nous avons étudié plus spécialement le squelette des extrémités. ' Voici, à titre de document, les dimensions des
stance et coloration différentes). Symptomatologie et Diagnostic. ' Dans une monographie bien connue sur les affectio
par les douleurs radiculaires, les anasthésies et les atrophies. ' Quant aux douleurs, elles constituent sans doute
une ambre, transparent avec beaucoup de lymphocytes et de fibrine). ' Diagnostic différentiel. Ici en première ligne
analogie avec les kystes de la pie-mère décrits par Spi 11er-Musse ! ' et Martin. Schwartz, Schmidt et Schlesinger en
kler, Müller, etc. Nous n'avons pas constaté de cavernes pareilles. ' Enfin les dégénérescences secondaires frappent
ba- sant sur les lésions très prononcées au niveau de la tumeur. ' Ce fait indique également que la moelle possède u
encore dans les cas où la compression est très profonde, c'est 488 ' ' FLATAU .. . . ce que nous prouve la persist
ncore dans les cas où la compression est très profonde, c'est 488 ' ' FLATAU .. . . ce que nous prouve la persistan
les du malade. Miction et défécation normales. · Examen DU langage. ' - Demandes Réponses Corne li chiami ? (Commen
lza il braccio destro. (Lève le bras droit.) Il exécute le mouvement. ' Levati il berreJio. (Ote ton bonnet.) Il ne com
dans les conditions de la section précédente. Rien à charge de Ti. ' Dans une section horizontale à 48 millimètres a
UI"ELLh ! cOl<OGI<Al'II'P DF LA SAI.i'i.IHII'n. l'. \Ill. hl. L\ ' APHASIE CHEZ LES GAUCHERS. G. LVIIIil17711l.
eaux supra et infraradiaires sont en partie disparus. Dans le gyrus ' temporalis transversus il n'est resté intact que
lmeidang des Balkens. Neuro- logisches Centralblatt, novembre 1893. ' AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX 50M Après les lésio
N A LA CONNAISSANCE DE LA MICROSOMIE ESSENTIELLE 11ÉRËDO-FAMILIALE. ' DISTINCTION DE CETTE forme CLINIQUE d'avec LES
LIALE. ' DISTINCTION DE CETTE forme CLINIQUE d'avec LES nanismes, ' LES infantilismes ET LES formes mixtes DE CES d
ns la nanosomia primot'dialis le nanisme daterait dès la naissance. ' Les individus appartenant à cette seconde catég
sujet, qui représente un exemplec lassique de microsomie essentielle, ' l'arrêt apparent du développement nese sei,iitd
le diagnostic entre infantilisme et microsomie. 328 . ETTORE LEVI ' . M. Pellizzi qui a écrit sur la question des i
n 1902, Dobos Janos fut étudié par von Hansemann, et c'est de sa 38 ' ETTOHE LEVI , courte note que nous tirons ces r
au contraire, impropre à pein- dre les infantiles du type Lorain. ' Von Hansemann nous dit que Dobos ne présentait pi
nd notre travail avait déjà été communiqué à l'Académie florentine. ' Nous ne pouvons résumer ici le cas d'infantilis
utôt comme microsomie et infanti- lisme que comme infantilisme pur. ' Le pelit sujet de M. De Sanclis, àgé de 27 ans,
'Italie avec un imprésario qui l'expose dans des cinématographes. ' Son développement sexuel a été parfaitement norma
grammes (urines de la nuit et du matin). - Couleur : jaune clair. ' Aspect : limpide. ' Densité : 1015. Réactio
nuit et du matin). - Couleur : jaune clair. ' Aspect : limpide. ' Densité : 1015. Réaction : acide. Acidité e
e donne une très légère réduction au Trom- mer. Acétone : absent. ' Urobiline : traces. Indican et scatole : abon
ujours son père avec lequel il est exposé dans un ciné- matographe. ' Il s'approche de l'âge pubéral, mais ne montre
iculations des membres, ni aux mains, ni aux pieds. 554 ETTORE LEVI ' Tous les réflexes tendineux aux extrémités supé
rface cutanée est aux extrémités partout normale ; la peau est recou- ' verte de poils assez abondants à la surface dor
rouge : traces nettes. Sédiment : nul élément patho- logique...... ' Examen du sang. - Globules rouges : .4.800.000.
(Séance du 30 juin 1910). ÉTUDES SUR LES NEUFS CILIAIRES PAR ' - ANDRÉ-THOMAS (Travaux du laboratoire du P' De
l, P;III Nouvelle ICONOGRAPHIL DE la SALPÊTRIÈRE. T. XXIII. 1'1. LX\ ' ORIGINE DES NEUFS CILIAIRES. . (André Thomas)
t je ne puis garantir que seul le réflexe photo-moteur ait disparu. ' (1) Dupuy-DUTE.)IPS, Sur une forme spéciale d'a
? Masson 8& CIC, l{t.teurs. l'II(.I.,I}II\C \1.-1111111111, ( ' ¡trIS Nouvelle Iconographie DE la S.1.1'ÉIRIÈRE.
('¡trIS Nouvelle Iconographie DE la S.1.1'ÉIRIÈRE. T. XX ! H. P).LX\ ' ]j LES NERFS CILIAIRES ET LE SIGNE D'ARGYLL R013
re les cloisons sont-elles légèrement épaissies à la périphérie ? : ' (1) J. DEJEUNE et ANI11S-T1f011A5, Contribution
d'un cas suivi d'autopsie). Société de Neurologie, avril t909. 568 ' ANDRÉ-THOMAS b) Examen par l'acide osmique et l
n tirer une conclusion ferme sur l'état des libres et des cellules. ' Observation II. Elle concerne une femme âgée de
ses racines et dans les courts nerfs ciliaires jus- 570 ÀNbRÉ-THOMA ' qu'à leur pénétration dans la sclérotique, on n
ttr, in 17ortsclir. auf d. Gebiete der Rdagenstr. Bd. 6, 1902-1903. ' XXIII 3S 574 CHEVALLIER A priori le retrait
sont saillies et diaphyses des achondroplasiques. A remarquer sont : ' l'ohservation des auteurs précités : jeune homm
dre ou d'ordre différent. Le sexe féminin est plus souvent atteint. ' L'anomalie eslparfois familiale, et l'on peut a
9 HOPITAL ISRAÉLITE DE VARSOVIE SERVICE DES MALADIES NERVEUSES (D' ' E. PLA1'AV) TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET
e et du corps. La même opinion est partagée par Bruns el Stursberb. ' Après avoir dénudé la dure-mère, il faut en bie
la tumeur dans la région correspondant à l'incision de la dure-mère; ' il faut élargir l'orifice et se servir d'une sond
d'Auerbach-Brodnitz, etc.); en outre, peuvent longtemps persiste ! ' ce\'- tains symptômes spastiques aux jambes, le
urch Druck eines Enchondroms. Neurol. Zentralb., 1905, p. 428. SOE'¡ ' ;IIT. - Uber die multiple Carcinomalose des 7eizir
eiziraliieri;eitsysienas. Arch. f. Psychia- trie, 36, 1902, p. 720. ' Stvoa. Beitrag ur Pathologie und pathologischei
'Vaurcrs; musée de Brl1xcll<= (11. l7u/.r<· eI I : >"l'fl" ' ). LA MÉLANCOLIE DU PEINTRE HUGO VAN DER GOES,
achent au contraire en plus foncé sur les coupes. Plaques <' ? ' : ueM/t' ! cu/at<'M. Par l'examen macroscopiqu
e ces corps granuleux disséminés à la périphérie des plaques. 618 ' MEULE ET PAST1NE Chez ce malade, atteint de scl
Ylllites aiguës et subaiguës, Soc. de Neurologie, 14 février 1910). ' L'interprétation qui attribue la localisation p
piques dont la tunique médiane de ce vaisseau est parfois le siège. ' L' aortite moyenne gommeltseon mésao1'lite gom1
férentiel sûr et certain entre ces deux ordres d'altérations. 624 ' LADAME P Ceci n'est cependant pas pour nous jet
t situé à deux centimètres en arrière des tubercules quadrijumeaux. ' La description macroscopique du cerveau ayant é
CORPS CALLEUX (Lnsnlle-Ar t bambou] l) . n-T .r ? Mfa.se ? 4-e ? - ' d ? 'h- -» ? TT, ,-r i AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEU
s du chiasma et qui se continue directement avec la lame terminale. ' Le pulvinar recouvre en arrière le corps genoui
rouve ainsi à former une cavité étroite dirigée d'avant en arrière. ' Au niveau delà paroi interne de la corne tempor
ué une valeur' démonstrative qu'elles sont loin de mériter. D'abord, ' la section du corps calleux a été suivie d'une
eau de la paroi médiane. Ces faits sont suffisamment démonstratifs. ' La capsule externe est une formation d'ordre as
rlatif de l'infantilisme de Brissaud, ainsi que ce dernier l'adit». ' Eh bien ! je suis parfaitemenl d'accord avec M.
abitués à considérer en clinique comme d'origine dysthyroïdienne. - ' De quel droit, en effet, parlerions-nous de dys
ours beaucoup moins accentuée que chez les microsomes et les nains. ' Sur tous ces points il nous semble être à peu p
nes, ni l'absence de gangue adipeuse, ni la voix d'un timbre élevé. ' En somme, notre sujet ne rentre exactement ni d
Ettore Levi). Nouvelle Iconographie de la Salpê- trière, 1910, n 1. ' Bouchard. - Du nanisme, à propos de la naine di
1884, p. 170-178. BnonowsKY. Z2oeiZmerge, cité par Taruffi, p. 104. ' Bruneau DE Laborie. Du nanisme mitral. Maloine.
ngien (il gauche). Ous. V. Pied droit du frère de Clôt. II. 690 ' CHEVALLIER La soeur présentait : un os suppléme
ividu avait aussi un cas curieux de syndactylie des doigts des mains. ' ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALl'È1RIÈRE. T.
idu avait aussi un cas curieux de syndactylie des doigts des mains. ' ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALl'È1RIÈRE. T. XX
tot IHe Hel tJ¡.lUl. Pans Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière.. ' T. XXIII. Pl. LXXXI ANOMALIES DES DOIGTS DE PIE
GTS DE PIEDS .SCCli I . Masson & Cte, Editeurs l'lltItlltpl\ ' 11¡'ltllIlIltl,P.If1' ANOMALIES DES ORTEILS - 7
2 pi.), 369. Meige (Henri). Le Professeur Raymond (1 pl.), 489. ' Merle (Pierre) et PASTIllE (G.). Lésions épen
URS New. Sur un nouveau signe d'hémiplégie organique (1 pi.), 88. ' Pastine (G.) et Merle (Pierre). Lésions épend
66 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
a collaboration de MM. CROUZON, DIONIS DU SÉJOUR, IZARD, LAUReÏj'9s* ' \5^-' e PAUL-BONCOUR, PHILIPPE ET OBERTHUR. ?
laboration de MM. CROUZON, DIONIS DU SÉJOUR, IZARD, LAUReÏj'9s*'\5^- ' e PAUL-BONCOUR, PHILIPPE ET OBERTHUR. ? Volum
lement pour (1) Voir Compte-rendu 1899 : fig. il il, nr et IV, p, 1\ ' , v, VI et vu. (2) Lin ? Cart.. , IJell ? , Niel
la section des Enfants arriérés et épileptiques les flg. 7 : ,1.1 I ' vit Petite école. les opérations arithmétique
et le jour. Incapable de se vêtir, de manger seul, il procède aujou) ' (/Îlili il ces soins d'une manière con- venable.
sir de mordre est enlin guéri de ce penchant. 20 ]'AHD.. C\farce]), ' ) ans 1/2' atteint d'idiotie du second degré com
acilement la multiplication et enfin la division que notre ami le D' ' J. Voisin, dit presque impossible à obtenir, po
ie pour le Congrès inter- national de médecine et de déontologie; D' ' Ar- man, médecin du Manicomio d'Oviédo (Espagne
el, juge d'instruction ; D1' xxvi Visites du service. Boddaert; D' ' E. Barré, maire, médecin du Crédit Fon- cier de
r Buchholz, privât docent il Marburg ; D1' Bykovsky (de Moscou) ; D' ' Louis Borda, conseiller général à Chérngas, prè
u) ; D'' Louis Borda, conseiller général à Chérngas, près Alger; 1)` ' Becker (de Berlin); 1)" Besozzi (de Turin) ; M.
decine de Paris ; D1' Cardenas ; Il Cicrglinski (de Varsovie) ; D' ' Canger (de Turin) ; D1' Danadjieff (de Saint Péte
D'' Canger (de Turin) ; D1' Danadjieff (de Saint Péters- bourg) ; D' ' Ebed (du Caire) ; Dr Fischmann (d'Odessa) ; D1'
l'Institut médico-pédagogique de Turin ; Prof Jolly (de Berlin); D' ' Jahanson (de Stockholm) ; M. Jonsson, sculpteur
M. Jean de l'Atelier, préparateur à l'Institut Pasteur à Paris ; D' ' Mcndel (de Berlin) ; D'' Krumbmiller de Novgoro
éparateur à l'Institut Pasteur à Paris ; D'' Mcndel (de Berlin) ; D' ' Krumbmiller de Novgorod (Russie) ; M. le Prof e
no, de 13uenos-Aires ; 1 ? le Dr Mar- koff, de Saint-Pétersbourg; D' ' Modigliano, de Naples; Dr Morosoff, médecin de
cin de l'asile d'aliénés Saint Pante- leimon à Saint Pétersbourg; D' ' \Iédéa, de Milan; ly Nache, de Leipzig ; Dr Ned
tinople; D" Nikitine, médecin de l'hôpital des aliénés de Moscou. D' ' Ossipow, de Saint-Pétersbourg ; M. et M"10 cl'O
ri de Rothschild, professeur aux écoles d'in- firmières de Paris; D' ' Roy; : \[111" Rosel, institutrice à l'hospice d
Roy; : \[111" Rosel, institutrice à l'hospice de La Salpêtrière; D' ' Risquez, professeur de pathologie générale, dir
pathologie générale, directeur d'hygiène à Caracas (Vénézuclal ; D' ' Pius, délégué du gouvernement espa- gnol au XIl
(Autriche); 1)" Swolfs, de Bruxelles; I)r Schenk, de Breslau ; D' ' Slruttleworth, de Londres ; Dur Sconfeldt; I)1'
cine, de Paris; : \1111" le D1' Tarnowsky, de Saint-Pétersbourg ; D' ' Thiron, professeur de patho- logie générale à l
gouvernement romain au \III° Congrès internationnal de médecine ; D' ' P. Taxil; Dr Trêves, de Turin ; D'' Thulié, vic
internationnal de médecine ; D'' P. Taxil; Dr Trêves, de Turin ; D' ' Thulié, vice-président du Conseil supé- rieur d
vice-président du Conseil supé- rieur de l'Assistance publique ; 1) ' Vlavianos, de Paris ; : \[11" Vogel, institutri
n; D1' A. Vallée, médecin en chef de l'Asile d'aliénés de Québec; D' ' Yitchcff, directeur du service sanitaire de la
aire de la ville de Sophia ; 1)" Wolsffcn, de Saint Pétersbourg ; D' ' Wolf- son, de Saint-Pétersbourg; 1)" Wcrblunsky
" Wcrblunsky, de Klasma (Russie) : I)'' Xercavins, de Barcelone : I) ' ZohlenhoCel', directeur de l'asile d'aliénés de
e musée depuis l'année 17 (1). Enseignement professionnel. xxxi ' l1 ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL 1. Cet enseigne
enfants. MOUVEMENT DE LA POPULATION. xxxvii 1 r- DÉcÈs, XXXVI ! ' 1 xL Décès. 1 Ë m ' 1 - 1 1 1 2 ,
POPULATION. xxxvii 1 r- DÉcÈs, XXXVI ! ' 1 xL Décès. 1 Ë m ' 1 - 1 1 1 2 , ai 1 s H 1. Mou
e toilette qui lui sont nécessaires. Elle a fait beaucoup de pro- ' Enseignement pratique et primaire. L\'II grès e
également transformé. D'insouciante et d'indifférente qu'elle était, ' elle est devenue sérieuse, rél1é- chie, s'intér
ique des grandes avec facilité et exécute bien tous les mouvements. ' 6°GaMch... (Germaine), 10 ans, dont nous signal
tesse de sentiment, ce qui se voit assez rarement chez nos enfants. ' Elle a fait des progrès en couture, elle tient
se. Les exercices de danse ont eu lieu sous la direction de M. LA : ' \DOSSE, instituteur 'à Bicêtre, tous les mercred
manger seules et à perfectionner celles qui mangent malproprement. ' Les deux ateliers que nous possédons ont contin
ULATION. DIïC1'sS, SORTIES, 1 ? AçlON, TRANSFERTS, ETC. 1.\I1 LXX ' DÉCÈS. ? 1 LXXII DÉCÈS. 1 1 1 1 s 1 1
édecins de Dicetre se sont plaints de recevoir trop de malades delà ' ("section (Enfants). Afin de diminuer cet inconv
il conviendrait suivant nous, d'inscrire au budget du service des ' [lignés ou au budget de chaque asile un crédit pou
vail sans toutefois arriver il suffire à leur existence. M. le 1) ' Totcloccse, dans son rapport, fournit il l'appui
position des parents de l'aliéné (1) . (l) Extrait de nolre nnlJ}lo/ ' ¡ stlr Je projet de budget de l'Asile de Ville-
hébétée. Premières dents à 2 ans ; dentition complète à 9 ans. 21 ' . Idiotie myxoedémateuse. Convulsions pendant 5
atoire de musique. Il a joué surtout à l'Opéra-Comique, à Bruxelles, ' à la Martinique : c'était un enfant de vieillar
2 août 1898 avec 48 suspensions, soit 134 jours de traitement. 44 ' Traitement thyroïdien. Quatrième traitement.
e, s'exhale du parenchyme pulmonaire ; aucun noyau gangreneux. Coeu) ' ; péricarde, rien. Gros caillots dans l'auricul
rps thyroïde normal, pas de persistance du thy- mus. Thorax. Coeu; ' : orifices artériels et auriculo-ventricu- ! aire
aucun progrès pour la parole. Il n'est plus gâteux et com- mence ; ' ¡ se laver lui-même. - Il ne ronge plus ses.vêteme
stique. Son intel- Traitement \II·.Dlf.o-PI : DAf;OGTQ1 : 1;. 75 " ' ¡¡cnce s'est bien développée ; son caractère laiss
r d'un : haricot. Verge : longueur Il cm, 5 ; circonférence 5 cm. z ' Anus normal. Octobre. - L'enfant est mis en con
er l'origine de l'idiotie. Est-elle congénitale ou duc à la chute ? ' ( III. Au point de vue intellectuel, l'enfant, s
uveaux progrès, et deviendra à peu près tout à l'ail nor- mal 1). ' (1). Tous les ans, un certain nombre d'enfants
de consanguinité. Inégalité d'âge de deux ans (père plus âgé). - ' Revue de médecine, 18S8, p. 462 et 552. Bournev
lanche est conservée. Examen histologique ; par le Dr Oüca1'aais. ' Les lésions de ce cerveau qui présente, à premi
tion de l'idiotie et de l'épilepsie. Bourneville, Bicêtre, 1900. - ' 7 98 Alcoolisme et idiotie. Tableau statistiq
quelques grandes cellules araignées il. protoplasma granuleux. , ? ' " ' u, : Les diverses couches cellulaires ne sont
elques grandes cellules araignées il. protoplasma granuleux. , ? '" ' u, : Les diverses couches cellulaires ne sont pas
epsie symptomatiques de sclérose atrophique des . lobes frontaux. ' Compte-rendu de Bicêtre, 1897 p. 96. Vayrad....
Sclérose lobaire symétrique, intéressant les deux lobes frontaux. . ' Examen histologique. 1 Examen des lobes frontau
roc-tes ; grandes cellules-araignées . Bourneville, 131cëtre, 1900. ' . 8 11.'s Histologie des idioties. à protopla
uivant donne année par année le résultat de nos recherches. Le même ' · tableau nous montre que si on se reporte il l
tique con- (1) (le 19U0, . 1.\ij, (2) Quelques rcclierclies sur ! ' 'l'lynrttts elle : l'ell ? II/ Il ? 11111'. CUlll
a GLANDE THYROIDE. - Pleurésie purulente. -Examen his- tologique. ' Molli... (Léontine), née à Paris, le 5 janvier
dico-pédagogique des idiots microcéphales; PAR BOURNEVILLE (1). ' Ma communication a surtout un but clinique' et
ig. 16. Jan.... Mario... Ramba... Tabour. (G.) Mazi... Reness... \ ' Tabour, (M.) Laure... 172 Microcéphalie. ment
(l) Cette planche figure dans le Cumpte-remtu de 1890, p. t34. 180 ' nIICROCEPHALIE. tardivement et que pendant plus
890, p. 152. Fig. 18. Imba... Cbaiz... SterArn... Maz... Tab..(M) ' Laur.. I;yl7 Traitement MÉDICO-PËDA60&IQUE.
est très satisfait et enregistre des progrès cous- tauts (1).... ' OuS.VII. IDIOTIE- complète. Sommaire. Père, cho
lésion quelconque n'a pas eu besoin de modifier la forme crânienne. ' (1) Bourneville, Comptes-rendus du service de B
rnevilliî, Bicêtre, 1900. 1 Pi. I. 2) A Explication des planches. ' Planche II. Face convexe de l'hémisphère gauche
ales. Il ? pli pariétal supérieur. P2.. pli pariétal inférieur. ' P3., pli courbe. Se., t ? , scissure temporale.
icêtre, 1900. PL. VI. 22/1 EXPLICATION DES PLANCHES. Planche VII. ' (Obs. de Tout ? p. 107.) Pie-mère de l'hémisp
67 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
SET, li[Cil111), JOFFItOY(%.), K : 111C (T.), Kt : I.LCit, Kl.lt a \ ' \ r. (P.), ICOJEV \ IKOE, IANDOl Z1', LEGBA\11
us sérieusement étudié cette question, entre Archives, t. IX. i 2 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. autres Erichsen, Page, se
t sans l'appui de faits démonstratifs. « On peut affirmer, dit Shaw ' , que ce qui manque surtout pour l'intelligence
matin, 40°,IN; du soir, 40°, 1. Le malade prend, depuis cinq jours, ' quatre centigrammes d'extrait de jusquiame ; la
parmi les Malais. C'est ce que nous apprenait en 1883, M. 0. Brien ' , qui, quoique n'étant pas médecin, a bien vu et
t 1884, vol. VIII, 11, 22, p. 68-74. Jumping, Latah, Aly2,iachil. ' Nous ne croons pas qu'il existe d'autres document
ion externe de M. le professeur Charcot, hospice de la Salpêtrière. ' Son père est mort, dit-il, d'une fièvre typhoïd
ont venus habiter le Havre au mois de mai de 1879, il y a cinq ans. ' Une année ou deux après leur changement de domi
- ments respiratoires, ou tout au moins jusqu'à l'affaiblissement ' Oaude Bernant. .eyon. ! ! <;' /M e d ! <<
au moins jusqu'à l'affaiblissement ' Oaude Bernant. .eyon. ! ! <; ' /M e d ! <<f : )tCM<o.rtMM e< n;e-
s que nous avons obtenus à Bicêtre. · I. HISTORIQUE. Thiercelin ' aurait, le premier, publié deux observations d'
de trente-sept ans, aurait eu, en 1843, une encéphalite très grave ( ' ? ). Premier accès en 1865 sans cause connue; t
dia- thèse psychique. De nombreux insuccès dans les cas invétérés ' M. Benedickt nous apprend que ce malade a été obs
curare, ainsi qu'il résulte du passage suivant de leur brochure : ' A. Voisin et Il. Liouville. Etudes sur le curare.
aratifs antérieurs dans une période à peu près pareille. » Beigel ' a injecté dans un cas d'épilepsie jusqu'à 13 mill
ahrbuch du Practischeiz Medicin de P. Borner, année 1879, p. 25 ? ' DE l'hystérie. 53 de son intégrité à l'esprit.
ause, d'ailleurs passagère, entre la toux et les éternu- ments. " ? ' En écartant ses paupières, on voit les globes o
s à ditlérents auteurs, l'auteur arrive aux conclusions suivantes : ' Io Les divers états que l'on comprend sous le n
pied. Elle est sans rapport aussi avec le réflexe achillien. D. B. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 63 VIII. Un cas
té .que sont dus les mouvements maniaques. Dans l'ordre physique, ' il y a perte de fonction de quelques-uns des grou
moindre que chez les aliénés ordinaires (il s'en faut de 8 p. 100). ' L'isolement pénal ne serait pas aussi dangereux e
t est prêt àfonctionner. P. K. Il. Etude sur l'action ne L'ACËtAL ' 1 (diétlillacétal) ; par Stoltenhotf. (Cenlralb
est envoyé à Ville-Evi-ard, d'où il sort incomplètement guéri, le 1" ' février IS83. Le 28 février, son père demande d
résente à l'assemblée Veticéplutle du chien montré l'année dernière ' , conservé par le procédé de Lavdowsky (glycé- r
aissance. M. (de Des anomalies congénitales de I'fril dans leur ! ' «/)/)0 ! < t;wc les maladies mentales et nerveu
e. On introduit 1 Voy. Revues analytiques. 110 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' sous le tendon patellaire, uuepetite bûche de b
de médecine interne par laquelle elle convie les psychiatres, et ' notamment, les médecins d'asiles, à prendre part
à prendre part à l'enquête sta- hstique relative à la tuberculose. ' M. Ordo (de Dalldoi-l) présente un encéphale fa
aire un endroit de rendez-vous. Température moyenne d'après Koerner ' ; annuelles - 16,63; hivernale = + '10,5 : c'est
l'assistance médicale des malheureux de la province de Brandebourg ' . Berlin n'est pas comprise dans la province. -
comme propre à un état des muscles mais pas comme réflexe nerveux. ' F. Kaun. VIII. De l'ataxie paralytique du coeu)
réflexe nerveux. ' F. Kaun. VIII. De l'ataxie paralytique du coeu) ' d'origine Mettre; par Semmola. (tapies, 1881).
tionnal médical Con- gress, sevenlh session London, august. 4881 .) ' Les émotions violentes répétées, les excès véné
rise cette ataxie paralytique du coeur d'origine bulbaire, dit le L) ' Seitimoli, c'est l'apparition de taches marbrées,
sement, l'hystérie suspensive ou inhibitoire. La vie végétative est ' M. Comby a analysé, dans le Progrès médical de L8
(Thèse de Paris, 188t.) Du traitement de la 4'ct(t<t<yt;ep(f) ' les pulvérisations de chlorure de méthyle; par
inte-Anne, a obtenu la médaille d'or. Nominations et PROMOTIONS.A ? ' )'<e du 27 octobre 4884. - M. Llanta, directe
ion externe; les vendredis, leçon à l'amphithéâtre. Asile SA'TE-A\ ' \E. Clinique des maladies mentales. M. le profes
ur-gérant, Bourneville. 9"eux. Ch. Biaissur, imp. - 185. Vol. IX. ' Mars 1885 ? N" 26' ARCHIVES DE NEUROLOGIE - P
decine, et PETEL, chirurgien en chef de l'hospice général de Rouen. ' . , . Si nous passous eu revue l'ensemble des f
' moelle épiuière, nous pouvons les ranger en quatre catégories : ' . , . r r 1° Ceux dans lesquels l'exa ni en.ana
évélé aucune lésion appréciable de l'organe; 2° ceux dans 'lesquels" ' on rencontre des lésions circonscrites qui n'ex
vicules. Respiration diaphragmatique; abolition du pouvoir réflexe. ' Mort le lendemain de l'accident. Ni fracture ni
ès la mort. C'est la même opinion que Savory exprime ail- leurs ' , à propos des fractures de la colonne verté- br
s par un mécanisme analogue à celui de l'entorse. Lockhart Clarke ' a rapporté un fait important qui lui avait été
nt, à la tête d'affaires importantes, reçut dans une collision de ' 7')'aM. Pcth. Soc., vol. XVII, p. 20. commotion
ment des membranes sur quelques points. Thudicum et Lockhart Clarke ' ont publié un autre cas qui a les plus grandes
mémoire plusieurs obser- vations empruntées par Olivier (d'Angers) ' à Wolf et Abércromblé où l'on voit se développe
logie ressort le plus clairement. Un homme, observé par Bergmann ' , de bonne santé, sans aucune prédisposition hér
ale. L'atrophie musculaire envahit- les ` membres ? supé- rieurs. ' ' '" " - < ' ? W. Roberts relate le fait sui
e. L'atrophie musculaire envahit- les ` membres ? supé- rieurs. ' ' '" " - < ' ? W. Roberts relate le fait suiva
L'atrophie musculaire envahit- les ` membres ? supé- rieurs. ' ' ' " " - < ' ? W. Roberts relate le fait suivant
e musculaire envahit- les ` membres ? supé- rieurs. ' ' '" " - < ' ? W. Roberts relate le fait suivant : Un jeune
érée; il n'y avait pas de contractions librillaires. B. M. Donnel ' communiqua à l'Académie de médecine d'Irlande d
rophie mus- culaire. Dans les trois cas, la sensibilité était peu ' 1·hr l.iyrel, vol. Il, 1881', p. JG. commotion
s rapports avec le traumatisme, cite l'opinion de Horn et Steinthal ' , qui admettent une espèce traumatique de tabes
D'ÉCHO- 1. : lLIls` ET DE COPROLAL1E (Jumping, L\T.%11, llSmn.cHir) ' ; Par GILLES DE LA 'l'OURI's1"l'E. Observation
tionné, si l'on ne considère que le squelette; mais il a les chairs ' flasques et les muscles peu développés; en outr
la langue qui peut se trouver prise accidentelle- ment-. - ? ..» ? ' · ° Toutes les crises de convulsions rhythmées
ritable, déterminante, là, comme dans toutes les maladies nerveuses ' , n'est autre que l'hérédité. « Ces tics sont bi
nfin, en troisième lieu, nous citerons l'observation que M. Hammond ' (de New-York) a récemment pu- bliée, d'après le
pont, et le pauvre pilotte imitait tous ces gestes avec précision ' NI. Hammond a publié sa note dans la illediciiia
ille.] Mère, trente-cinq ans, journalière, femme de ménage, après ' Rosehtltal. - Loc. cit. (11'ieran. nzed, Presse,
conjonctivite légère, pas d'otite, etc., pas de fièvres éruptives. ' Jusqu'en décembre 4S9, llul... ne présenta aucu
jusqu'à 7 grammes. 3 septembre. Revacciné sans résultat le 26 août. ' 4 septembre. Suspension du bromure de potassium
1882 (service de M. Bonncmtr.E). Re) ! i ! C)CHC)) : e) ! <s/'OM) ' ? ? spa ? 'SftMM'e()3 3 avril 1882). Pe>e,mort
eur, brûlante; il urine involontairement et abondamment sous lui; ' Les enfants agités sont laissés confondus dans un
oubles fonctionnels de la vision par lésioiis cérébrales, t883. - ' Lec. cit., p. 137. 22 le RECUEIL de faits. le
pjramide gauche dégénérée; 4, olive; 3, faisceau latéral. 25 ! 6 ' RECUEIL DE FAITS, Les deux fiers postérieurs de
commissure grise était absente : ce n'est pas là une anomalie rare ' ; et il existe 1 Sur deux séries de "vingt suje
ux diminue le chiffre de l'acide phosphorique rendu par les urines. ' Sans insister sur le désaccord qui existe entre
alo. 2 Zuelzer. Loco citato. 3 Sievert. Zet<xc/t ? ? 7 sur die ' /e.<Hntne7 : Natnrwissench. 1868, B(l. XXXI,
qu'à indiquer ici comment nous sommes arrivé à ce but. Engelmann ' , dans des recherches fort bien faites sur l'in-
me mixte revenant chaque jour le même en quantité et en qua- lité ' , et après avoir, pendant quatre jours consécutifs
herche à montrer que dans les conditions ordinaires de la vie, HO ? ' )Ho/eH lfinsieinden, il existe un rapport consta
lque valeur et si le lecteur veut bien se reporter à nos recherches ' 1 sur l'homme sain placé dans les conditions or
agent sans interruption aux deux nerfs optiques. Les zones AI A2 A3 ' , sont particulièrement en rapport avec le corps
par C. WESTPH9L. (A9'CIL. f. Psych., XIV, 3.) Aux cas déjà signalés ' témoignant du tableau clinique de la dégénéresc
C'est là de la perte de la vision mentale des objets et des signes ' ; la perte passagère des images corn iiiénioral
ura. 111. Ce dernier paragraphe est consacré aux troubles de la vue ' , qui accompagnent et suivent les attaques conge
s de tous ordres relatives à cette question (parties I, II, III, IV ' ). L'auteur veut prouver que les moyens de contr
autres au directeur Poetz. Un tableau réunit vingt-huit cas accom- ' Voy, Archives de Neurologie, travail de Kundrat,
ées dans un but thérapeutique. En 1860 61, le professeur Nussbaum ' faisait une résection de l'articulation du coud
I, p. 229. 4 Czerny. Arch. sur Psychiat., etc., 1879, X, p. 284. ' Clin und Knie.S<-Pe<e)'M)'yn : ed. 117och.,
116. , 1 rangez Arch. sur klinische Chirurgie, 1882, 48, p. 537. ' Stintzing. Ueber Nervendehnteng, Leipzig, 1883, p
ture doulou- reuse. Blum' : Anesthésie et altération motrice dans ' Struckmann-Maag. Etc. 2 Estlander. V. l'article
,11, p. 216. 11 Le Fort. Gazette médicale de Paris, 1882, p. 387. ' Paget Voir le travail de M. Chauvel, loc. cit.
du bras. Elongations des nerfs intercostaux. En 1878, M. Nussbaum ' annonça la guérison remarquable d'un malade aff
. 810. Eulenburg. Archives générales de médecine, 1881, I, p 107. ' Be'-nhat'dt Weiterer Beilrag. zur Frage von den E
mais ne parvinrent qu'à enrayer momentanément les douleurs. Walsham ' (1880) pratiqua l'élongation du sous-orbitaire
Sée. Gazette médicale de Paris, 1882, p. 293. 5 Palaillon. Ibid. ' Mouchet. Ibid., p. 351. ' Leisrink. Beifrctgezu
ris, 1882, p. 293. 5 Palaillon. Ibid. ' Mouchet. Ibid., p. 351. ' Leisrink. Beifrctgezur Ne)-venchii-uigie, etc ? 4
Psych., 1879, p. 284. 1 Morris. The Brit. nied. 1879, I, p. 933. ' Grainger Stewart. Ibid., p. 803. 9 Blum. - Bull
grosser Degeneralion des central ? ! e)'ueM ? 4'<eH : ï, etc. C/ta) ' : Yc) ! ! tcM, 18S3, p. 390 et suivantes. 3 Arc
l'apparition des phénomènes de compression 1 Bouchard. Lor. cil. ' Clinical lectures on the principles (iiiii pracli
ingts ans. Pas d'autres renseignements. Quatre frères et une SOEM ! ' : un frère est mort à quarante-huit ans, de la
nt du 6 novembre 1882cn( 8 juin 1883 (7 mois = 21 jours). TOI AUX - ' DU CURARE DANS L'EPILEPSIE. 335 curare a donc
ion XXI. Epilepsieidiopathique. Phimosis. - Bromure de potassium de ' )871 à 1880. Hydrothérapie (16 avril au 4 er nov
par Lowenliardt 2, Ulrich Filin ? Jenler 1, Scliülc 6, Kroemer7, ' WnksmouH). Tempcraturbeobachtungen bei geisleskra
schrift f. psych., 1877.) 6 Sohüle. Zeitschrift zûr p/e/t., 1878. ' Kraemer. Temperaturbeobachtungen bei paralylische
corps des frictions continues avec de l'esprit de vin aromatique. ' Grâce aux conseils du Dr Tschetschott, médecin en
tres moyeus de contention étaient employés. 358 RECUEIL DE FAITS. ' 34 mars. Assez faible physiquement : état d'exc
o W... ne ressemblait guère à 1 Jiirgensen. Zur Gehre von <<e) ' Bckacadlttng fieberhafler kracalcheilcu mikels
l'état pathologique ont porté sur trois groupes de maladies fonc- ' ' Magnan. Leçons cliniques sur l'alcoolisme. (Gaz
état pathologique ont porté sur trois groupes de maladies fonc- ' ' Magnan. Leçons cliniques sur l'alcoolisme. (Gazet
sivement chacune de ces maladies. ALIENATION MENTALE. Historique. ' - Les recherches relatives aux modifications qu
s par Olivier et Bergeron, 1865, p. 217. 1 Lombroso. In Mendel. ' Monde). Arch. f. Psych. und n-erwetl : , 1872, 11
dait en moyenne par vingt-quatre heures : 1» A l'état de guérison : ' Azote, 22,58 ; acide phosphorique total, 1,85;
ue individu une moyenne d'élimination de l'acide phosphorique par ' Mendel. loco. citato, p. 660. 2 Ruhn. - Deutsch
e phosphorique uni aux alcalis, 1,07. Sous l'influence d'attaques : ' Azote, 19,77; acide phosphorique total, 1,96; a
, met le même obstacle à l'hallucination qu'à la perception d'une ' C'est le terme propre de la terminologie français
pond à la primare verrucktleeit ou paranoïa des Allemands. tN.-B. ) ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 393 couleur donn
coule tout naturellement de la dernière communication de M. Magnan. ' SI. Magnan. Je crois aussi qu'il faut étendre l
cherches sur la folie paralytique et les diverses paralysies géné- ) ' (t<c4'. Paris, 1853); Devouges (Ue la paralysie
dire d'où il vient, où il se trouve, etc.); une extinction presque ' Voir Archive;, de Neurologie, t. VI, p. H7. Id.
' Voir Archive;, de Neurologie, t. VI, p. H7. Id., t. 111, p. 247, ' . SOCIÉTÉS SAVANTES. 407 complète de la mémoi
ÉS SAVANTES. CHIFFRES EMPRUNTÉS AU RAPPORT DU MÉDECIN EN CHEF, LE D' ' PEËTEKS. SOCIÉTÉS SAVANTES. 413 tiori en est-
r. 50 c.) par mois. Séance close à 7 heures. Prochaine réunion le 1" ' mai 1885, à Hanovre, dans le Kasten's Hôtel, à
la moelle cervicale de ce côté (cas de Schultze, Fuerstner, Zacher ' ). Séance du 14 janvier 1884. Présidence DE li.
des préparations microscopiques de lésions des nerfs périphériques ' , M. WesTPHAL fait remarquer que, dès 1878,' il
, rencontré delà dégénéresence des nerfs sensibles périphériques; ' Voy. Revues analytiques. sociétés savantes. 427
niée, mais on notait l'existence d'avortements, de fausses couches, ' et la mort précoce d'enfants. Dans neuf observa
i cacheté avec devise, indiquant les noms et adresse des auteurs. ' Société de psychologie physiologique de PARIS. -
ux serontendormis complètement et pendant un certain laps de temps. ' Congrès psychiatrique d'Anvers. Le secrétaire d
7tO' /t7tMC/te Wochenschrift. 1884. Ueber einen Fall vott spinale) ' Ekrankung mit 7 ? ;'& ? M' : ? ung allgmein
Ophthalmologique (contribution au diagnostic des maladies du cer- ' veau), par 1'illraml, 136. Optiques (atrophie d
er, 98, 99. Stoltenholf, 82. Tarnowsky, 272, 289. Tebakli, 441. ' Testa, 84. TigôeS, 85. Ttiezeli, loi, 107.
68 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
et de 16 à gauche. La pronation et la supination sont correctes. ' Reste le masque facial : vous voyez que le mala
les de l'oeil, ou avec une 7e paire sont tout à fait exceptionnels. ' Le contraire est vrai pour ce qui concerne la j
ela se voit beaucoup plus rarement, la suite d'une attaque de poly- ' POLYNÉVRITE ET POLIOMYÉLITE 13 névrite générali
Trois ans plus tard, c'est-à-dire vers l'âge de 28 ans, il prit mal : ' ) une noce. Il fut très long à se remettre et du
rnier type et peut en être rapproché. L'atrophie atteint en premier ' lieu les petits muscles des pieds, puis ceux de l
collège, peu de vin. d'où il fut retiré pour incapacité et > ' placé à l'âge de 14 ans dans une petite école
on fébrile qui vénériennes, rant 1¡; mois consé- le tint au lit du- ' cutifs. A l'âge de rant deux mois ; la 22 ans
en 1895 , (le malade avait alors 21 ans), eu même temps qu'un ' léger nystagme aux positions extrêmes des glo
m. Hauteur : 9 - 96 muni. 96 mm. mm. Index cépli. 8 ? 5 - 75, 2 ' 73,3 Conques aU1'Í- ,...,, culaires. aît ? ,i
,...,, culaires. aît ? ,i- Sans anomalies appréciables. culaires. ' v Organes inter- Normaux . Idem. Idem, lies.
be droite . Dans l'attitude as- sise le corps ne va- cille pas. ' TROIS CAS 'ATASIE CÉRÉBELLEUSE 27 Olga S. Mic
t pas d'incoordination. tout fait libres et . se heurtent à une ' certaine résistance. . Le tonus musculaire es
rmal chez les deux frères Vue. (pas examiné chez la malade Olga). ' Le champ visuel, normal chez Olga et Nicolas, est
Ouïe. normale. faible droite, à la normale. suite d'une ancien- ' ne otite perforative. Olfaction. normaux. Itleî
re émo- tive rien d'anormal - il noter, pas d'hal- lucinations. ' Le sens moral est bien développé chez tous les
de 14 ans avec quelques inter- valles - pratiques de masturbation. ' A l'âge de 18 ans contracta une maladie fébrile
1° Alaxie spinale médullaire ou maladie de Friedreich, laquelle début( ' " à l'âge de première enfance et se caractérise
FFORMITES CONGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL. (N. So)ovtxo<[ ' ) " 1) et E. Cas IL Cerveau, face et profil. 1
a couche des fibres sensitives. Plus haut, au niveau du 3e ventricule, ' nous voyons tous les noyaux de la couche optiqu
La région du foie est endolorie. Pas d'hypertrophie de la rate. 54 ' sabrazès ET BRENGUES Le volume des urines est d
est indifférent, tout l'ennuie. Sa pauvre tête est si faible, si dou- ' loureuse...... Elle a cependant tenté plusieu
au premier (1) Tiiibieiige, Ibid., t. II, p. 5, 8-1. E. BRISSAUD ' abord l'action distance des étages métamériques
lus précis encore - perpendiculaires aux grands axes du squelette ? ' ? Elles n'ont rien à voir avec la croissance ;
nt elle demeure toujours séparée par une large bande de tissu sain. ' A droite la même lésion se retrouve, avec la mê
ostérieurs absolument sains dans les régions lombaire et dorsale. ? ' Dans la région cervicale seulement : dégénéresc
Exagération des réflexes périostiques des poignets droit et gauche. ' Mamelon droit plus élevé que le gauche. Légère
dorsal, on voit que le thorax est notablement amaigri en ce point. ' Ajoutons que les deux masses sacro-lombaires so
entim. 11 centim. 2° « 15 - .......... . 16 3e « 16 .......... 17 ' . 4° « 15 z . 16 5- « 12 .......... 13 - Il
t. 2° « 7 ....... 7 - 3o « 6 - 1/2 ....... 6 - i/2 4e « 6 z , 6 ' 5e « « 5 1/2 5 - 112 III. Longueur du squelet
, surtout des métacarpiens, est au con- traire sensiblement réduit. ' En somme, les os du membre supérieur droit (hum
r ora assez douloureux et a peu près 0 grand pectoral au même degré ' z ° grand , . pectoral > au même , degré , ,
obile dans tous les sens. Aucun trouble dans la musculature du cou. ' L'abdomen est très sensible an chatouillement.
lète pour le biceps. Réaction incomplète pour les au- tres muscles. ' Un mois après, un nouvel examen permet de const
eparu très vives dans l'épaule droite et ont duré plusieurs mois. ' Quant à la fracture de l'humérus au tiers supérie
e, qui a eu le plus déplorable retentissement dans l'étude de la con- ' tribution de l'appareil labyrinthique à la symp
image d'ordre tactile, mais de signification subjective et in- 144 ' PIERRE BONNIER traorganique. Quand l'altitude v
la percevant, je l'extériorise en quelque sorte de ma connaissance. ' La perception a pour effet d'objectiver la chos
iem rap- portent des cas de úléph(t1;ospâsme d'origine auriculaire. ' Autres cas. M. Sauvineau a présenté dans le ser
que les troubles ampullaires peuvent emprun- LE TABES LABYRINTHIQUE ' 165 ter leur symptomatologie à toute espèce de
t</tt0t<es. Soc. de Biologie, 1er février 1896. XII 12 166 ' PIERRE'BONNIER certains symptômes qui se retrou
au. (1) On remarquera que la scène représentée sur la peinture du 1) ' de Molènes est renversée par rapport à la gravu
de tête » monstrueuses, accrochées à des clous, et un parchemin 176 ' HENRY MEIGE muni de deux larges sceaux verts. S
attirée sur sa paralysie, qu'au moment de sa convalescence. Jamais, ' aupara- vant, le malade n'avait eu la moindre g
tiques sont très nettement localisés au muscle grand dentelé droit. ' Etat actuel. I. Si l'on examine le malade dan
elief du muscle trapèze, beaucoup plus accusé à droite qu'à gauche. ' L'acte de porter les épaules en arrière et en d
que les deux omoplates arri- vent presque au contact (PI. XXV, H). ' 2° Déformations thoraciques. 1° Station debou
cessairement que le scapulum sera élevé et rapproché cttJ ? rachis. ' D'autre part, le petit pectoral, le biceps brac
à un examen superficiel, et qu'il demande à être recherché de prés. ' Nous venons de voir, en analysant les diverses
e à la consultation de la cli- nique infantile le 15 novembre 1898. ' ' Père et mère bien'portants. 10 enfants vivant
à la consultation de la cli- nique infantile le 15 novembre 1898. ' ' Père et mère bien'portants. 10 enfants vivants.
g. 1. - Sclérodermie dis- séminée en plaques (Ob- servation III). ' NOUV. Iconographie DE la SALPÈIRIERF. r. XII.
des doigts et des orteils, les altérations des ongles, l'aspect ver- ' nissé et l'amincissement de la peau au niveau d
mènes existant chez deux enfants d'une même famille, ont apparu chez ' tous deux au même âge. Il s'agit bien chez ce
pant le 2° et le 3e métatarsien et les phalanges correspondantes. ' Le diagnostic de cette lésion cutanée n'est pas s
des ilfectioiis disparates, d'étiologie et de pathogénie diverses. ' Nous ne voulons tirer de ces observations aucun
eur remplacement par du tissu conjonclivo- adipeux. (A suivre.) ' HOSPICE DE LA Salpêtrière SERVICE DE M. LE Der
mater- nelle et enfin l'IIéréd ité d'imprégnation ou par influence. ' Rappelons d'abord ce que l'ona appelé la loi de
le Dr P. Pontar- lier, Paris, 1891, page 103. 220 PAUL DE MOLÈNES ' 1 2° Le maximum répond au plus jeune âge de la
et traitées médiocrement provoquent des méfaits ter-. ribles. Le D' ' Landouzy et Tarassé\\'iLch (3) déclarent que les
cussion : elle n'en est pour cela même que plus intéressante. 222 ' PAUL DE MOLÈNES OBSERVATION. Madame X., âgée
a chlorose contemporaine au ci-devant mal d'amour du XVIIIe siècle. ' * .. < La description de la fièvre amour
d encore les chlorotiques ne diffèrent en rien des malades d'amour. ' « Elles soupirent et pleurent souvent, dit Mori
ents d'air, les divertissements, les exercices violents, etc... » ' LE MAL D'AMOUR 239 A ces prescriptions qu'aucun
her au mal d'amour. Et cette liste n'est peut- être pas close ! ... ' Au point, de vue artistique, toutes ces oeuvres
non loin de là, une feuille de papier froissée. On y lit ces mots : ' Dner bael geen medesijn Want het is minne pij
s, fai- sait partie' des médications usitées contre le mal d'amour. ' Etait-il « discussif ou 'carminatif, détersif o
tait à,la peinture de toutes les émotions, raffinées ou grossières. ' . Il a su représenter avec une égale franchise,
ré la rondeur de ses joues, l'expression douloureuse de son visage. ' Sur sa tempe, une large mouche, bien en vue, tr
par un soupçon de moustache, éclairée par un oeil vif et pénétrant. ' Costume discret, ni trop sévère, ni trop riche.
dolescence doivent être attribuées à l'insuffisance thyroï- dienne. ' Il y a deux choses dans l'infantilisme : l'appa
eaux travaux de A. Ver Eecke, assistant à l'Université de Gand (1). ' Donnons encore un exemple : (PI. XLIII, 8.) M
orté surtout sur les cheveux et les dents. La photographie (PI. XLV, ' 1.6) montre bien les ravages du cuir chevelu et d
es ; la gencive est rouge, rongée de tartre. La voix est traînante. ' Le traitement commença le 4 juin 1895. La patie
ncives sont rouges, saignantes, tomenteuses, rongées par le tartre. ' Cette malheureuse souffre beaucoup de douleurs
ibuée par les (1) British médical Journal, 10 octobre 1898, p. 944. ' DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 287 pati
été suivies d'accidents hémorrhagiques ? A-t-elle allaité et combien ' de temps ? Les grossesses répétées coup sur cou
amment pour servir de point de départ à des études plus détaillées. ' . .. Je fais suivre mon mémoire d'une série
les sont grosses, hypertrophiées et s'enflamment périodiquement. Le ' traitement commence le 11 mai 1898. Poids GO hg.
r le fruit de cette grossesse. Actuellement, Mme E... se plaint d'une ' grande lassitude, d'une somnolence perpétuelle.
) A. Avant le traitement, le S /liai 1898, Taille : 1 m. 525. Poids ' 36 k. 300 (nu). B. Après le traitement, le 21 f
trême des caitilages d'accroissement. r C...1,t ? t ? <f ? tï ? \ ' "\ 'fT. rJ......,n ? °1 ? 11,.... T n, r, T DE
s près de leur émergence ; il en résulte une alopécie artificielle. ' Cet état morbide, dit-il, est constitué par de
c'est l'aGsence presque constante de toute rétraction tendineuse. ' II n'est pas rare d'observer chez les malades des
MARIE (P. Sainton) MASSON & Cie, Editeurs. 326 PAUL SAINTON ' à l'épiderme une véritable macération, suscepti
et s'arrêtant aux fesses. Retard de la perception à la chaleur de 5 ' au gros orteil droit, de 2" au dernier orteil,
la chaleur aux membres inférieurs. 338 ANDRÉ RICHE ET DE GOTHARD ' Observation IV. Bas... (Louise), 60 ans, lingèr
t mort à 28 mois. Il n'y a pas de maladie nerveuse dans la famille. ' Réglée à 14 ans, elle l'a toujours été régulièr
E (ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE) LE. MAL D'AMOUR (Suite). . ' ' PAR , HENRY MEIGE. VII Allier à la verve
(ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE) LE. MAL D'AMOUR (Suite). . ' ' PAR , HENRY MEIGE. VII Allier à la verve de
ignerut, Dumoulin. MAL D'AMOUR Tableau de GABRIEL Metzu, intitulé ' La Malade Musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbo
rte légère- (1) Névroses et idées fixes, II, 381. XII 24 il 354 ' F. RAYMOND ET PIERRE JANET ment en dedans dans
18 mois après le début des premières manifestations. Observation I. ' A trophie musculaire progressive , d'origine my
conformé, très robuste; 2 hernies inguinales, varices aux 2 jambes. ' La main droite présente les doigts écartés l'un
une véritable gouttière circonscrite par les ten- dons extenseurs. ' ' . ' Le malade ne peut absolument pas étendre
ne véritable gouttière circonscrite par les ten- dons extenseurs. ' ' . ' Le malade ne peut absolument pas étendre le
éritable gouttière circonscrite par les ten- dons extenseurs. ' ' . ' Le malade ne peut absolument pas étendre les do
bras......... 19 191/2 - partie supérieure de t'avant-bras .... ` ? ' ) 23 - - moyenne du bras........ 23 231/2 - -
culaire dans les autres régions. Les autres appareils sont normaux. ' Le malade quitte le service en août 1891. Sig
G. ÉTIENNE Mensuration 1/3 supérieure de l'avant-bras droit.... 18 ' ` gauche... 19 partie moyenne du bras droit 1
......... 19 - Gauche..................... 19 - ? 1 G. ÉTIE1VNE ' Muscles de la nuque considérablement atrophiés.
trémité externe de la clavicule est luxée et mobile. 378 G. BTIENNE ' Le malade ne peut élever le bras droit jusqu'à
: NFC < PFC. A gauche, NFC = 12 m. a., PFC = 4 m. a. B. Nerfs. ' Médian : NFC < PFC. A droite, NFC = 4,5 ;
PFC. A droite, NFC = 4,5 ; PFC = 5. A gauche, NFC = 6 ; PFC = 6. ' 2° Electricité faradique. Appareil de Dubois-
ance et satisfaction personnelle; léger tremblement; insomnies; 380 ' ' G. ÉTIENNE le malade ne se trouve jamais bien
ce et satisfaction personnelle; léger tremblement; insomnies; 380 ' ' G. ÉTIENNE le malade ne se trouve jamais bien a
nne vertébrale, dont les dimensions atteignent 6 centimètres sur 4. ' 4° Eschare au niveau de l'angle de l'omoplate d
es arthropathies sont dues à M. L. Spillmann, interne des hôpitaux. ' 382 G. ÉTIENNE à parois amincies, mesure 13 c
ubercules ; bronchite. Dans le lobe supérieur, tubercules crétacés. ' C ? Surcharge graisseuse légère. Quelques plaqu
e et dans lasyringomyélie, Revue neurologique, 1894, p. 5't5. 384 ' G. ÉTIENNE veau des faces antérieures et postér
antérieures et postérieures, surtout au niveau du ventricule droit. ' Aucune lésion valvulaire. Les parois du coeur
épaissies, couleur feuilles mortes, quoique encore assez fermes. ' Quelques végétations athéromateuses molles sur la
eux substances corticale et centrale ; décortication difficile. 1 ' Le tissu est grisâtre, décoloré, granuleux à la s
contusion. Tou- tefois avant de travailler de nouveau au jardinage, ' le malade préfère se reposer quinze jours, il r
réognostique se fait normalement. Les nerfs ne sont pas douloureux. ' Aucun tremblement fibrillaire ne se remarque su
utives aux lésions des articulations qui, elles, sont fré- quentes. ' M. le professeur Raymond rapportait récemment e
: ACIi01'fÉGALIE ET DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE 401 Droite Gauche ' c/m c/m Longueur du pli radio-palmaire à l'extr
ons comitiales qu'a présentées le malade depuis janvier 1898. ? H ' ? 3 ? ë .. Mars Avrit Mai JuinJuiUet Août 1 o s s
dication d'un état mental bien spécial. Voici l'observation de Fe ? ' (19). « L'intelligence était un peu lente, mais
BILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et'De Gaillard.) Observation VII. ' Masson et CI., Éditeurs. TROUBLES DES SENSIBI
e les reconnaitre, par la seule inspection du ballon divi- natoire. ' On les voit déjà s'exercer à leur pratique myst
XV. siècle, et cesont le plus souvent des femmes, jeunes ou vieilles, ' qui s'adressent à eux. Saint-Damien lui-môme, l
, le patron de la médecine, est souvent figuré un urinal à la main. ' Sans insister davantage sur les origines de l'u
rappelle encore les consultations de Sciai- ken sur le mal d'amour. ' ' Dans une vaste officine, où gisent au premier
ppelle encore les consultations de Sciai- ken sur le mal d'amour. ' ' Dans une vaste officine, où gisent au premier p
ulève l'urinai où se reflète le jour des vitraux. Et il vaticine. ' Près de lui se tient une jeune femme, coiffée d'u
plus qu'à attendre le terme fatidique où sa dé- livrance aura lieu. ' On reconnaît. là la variété physiologique du ma
que l'on sait des accidents syncopaux fréquents dans cette maladie. ' Pour celles dont le mal n'est autre qu'une très
indique une défaillance qui va jusqu'à la perte des esprits. , - ' Or, à ses pieds, gît un couteau pointu. - Ces !
é 1093. Photographie due à l'obligeance de M. le Directeur Somoll'. ' NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XII.
Autopsie. - Vaste hémorrhagie récente de l'hémisphère droit. /jfemo) ' ? '/Mtp ancienne à ,gauche au niveau delà substan
psie. - Vaste hémorrhagie récente de l'hémisphère droit. /jfemo)' ? ' /Mtp ancienne à ,gauche au niveau delà substance b
on. Question. - Avez-vous eu des crises de nerfs ? Réponse. - Non, ' pas ça. Il existe une hémiplégie droite avec co
onnerait pas. - Et comme on insiste elle dit « vous êtes méchant ». ' L'amnésie des mots est telle que MmeL... ne peu
antant si c'est une règle ici de couper les cheveux aux malades). ' Cécité psychique. - Il n'y a pas trace de cécité
angage compréhensible, seuls les termes servant à désigner les objets ' lui manquentabsolument,ainsi que les noms propr
comme ça (elle fait le geste de mettre la montre dans un gousset). ' Savon. - C'est un gnon, c'est pour aire ça (fai
est-ce que Ribert ? - Je ne sais plus, je le jure que je ne sais pas. ' Dans un autre examen après avoir déchiffré lett
on des deux pieds et des deux jambes, les cuisses étant respectées. ' Arrière grand-père maternel. Grand'mère mater
Sur les 7 malades, 5 étaient syphilitiques, et chez eux, les oedè- ' (1) Souques a publié dans ce recueil, en 1890, un
edème névropallzique, .lnn. de dermatol. et de syphtt., janv. 1893. ' 468 llENl\Y MEIGE bourrelet au niveau des che
poser le le nom d'oedème segmentaire pour désigner cette affection. ' A propos de cette communication, M. Mathieu rap
ts cliniques démontrent qu'il existe un oedème chronique, blanc, du} ' et indolore, qui envahit un ou plusieurs segments
. Suivant que la lésion médullaire porte sur un ou plusieurs étages ' (1) Voy. E. BnissAuD, Leçons sur les maladies n
e jusqu'à une limite qui, une fois atteinte, est rarement dépassée. ' La répartition de la myopathie primitive ne tie
augmentés de calibre. Réflexes plantaire et rotulien vifs à gauche. ' 490 sabrazès Observation. Jean M..., âgé de
a face dorsale l'apparence d'une main gelée très froide au toucher. ' . L'altitude tombante des membres supérieurs, l
s inutiles menaces... Le mal est-il au foie, à la rate ou au poumon ? ' ? Il est partout, et il n'est nulle part. Pour
e, qui, vers la gauche, s'apprête tranquillement à bassiner le lit. ' Ce Mascarille libertin ne se soucie guère des s
ics du pied (3 phot.), 353. .Marty L. et G. SABRAZES. Atrophie mus- ' culaire et osseuse du membre supérieur (1 sté
aérant : P. Bouchez. Imp. J. Thevenot, Saint-Dizicl' (Haute-Marne), ' TABLE DES AUTEURS 503 tomo-pathologique et
69 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
Avec 98 figures intercalées dans le texte et 48 planches. PARIS ' ancienne maison DELAHAYE L. BATTAILLE ET CIE, É
act autant qu'on en peut juger : les crêtes iliaques sont normales. ' Les membres supérieurs présentent également une
lume semble surtout s'êlre faite aux dépens de la face in- terné. - ' ' ' Si l'on fait ouvrir la bouche, on. Constate
me semble surtout s'êlre faite aux dépens de la face in- terné. - ' ' ' Si l'on fait ouvrir la bouche, on. Constate q
semble surtout s'êlre faite aux dépens de la face in- terné. - ' ' ' Si l'on fait ouvrir la bouche, on. Constate que
. Le NOUVELLE ICONOORAPHIE DE LA SALPt7RILRh . 44 ? T. vu, PL. 1. ' OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET Déformation des j
nous produisons des altérations moléculaires dans l'écorce cérébrale. ' L'hémicontracture produite par une hallucinatio
le de l'h01l11lw l'II ? llOllrelUcul » notre collaborateur. M. le D' ' Paul Richer \a publier prochainement une 1res i
pointe des pieds. 2° La station verticale hanchée ou asymétrique. ' ;0 La station sur un pied. 4° La station à genou
en équilibre sur les deux pieds placés comme clans la station droite, ' en prenant contact avec la.planche successiveme
la longueur de la semelle, de. la pointe au talon. Chaque fois que1] ' équilibre est bien établi une photographie est
ans ses annota- tions a la Physique médicale de Wundt, puis M. le D' ' Bédard à Toulouse dans une intéressante communi
quel mécanisme, ce soulèvement momentané a-t-il pu se pro- duire ? ' ? En vertu du même mécanisme que celui qui a ét
: le couteau doit passer par le mi- lieu du corps genouillé externe, ' où il est apparent en arrière et en dehors du p
ronostic fort incertain ; «Aucuns meurent de bien petites fractures, ' les autres réchappent de très grandes ». C'est ai
ites fractures,' les autres réchappent de très grandes ». C'est ainsi ' que succomba le roi Henry II le onzième jour ap
SALPÊTRIÈRE REVUE DES MYOPATHIES" DE LA STATION ET DE LA MARCHE ' CHEZ LES 311'O1'ATI31QUES Les malades atteints
tion de 111. le Pr Charcot, notre illus- tre et regrette fondateur. ' (N. D. L. R. vu 9 1,,0 NOUVELLE ICONOGRAPHI
sion ligamenteuse, par la résistance due il la tonicité musculaire. ' On a vu la part qui revient il chacune de ces
et que le bassin inclinait du côté oscillant, mais très légèrement. ' 2° Élude de la marche chez les myopathiques. No
se se rejette de ce côté. C'est en effet ce qui a I ieu. (I'ig. 1t6,1) ' ,G'). Cette interprétation se trouve confirmée p
ce que l'on observe dans la paralysie pseudo- hypertrophique. ^ y t ' Mais la généralisation rapide de la maladie, l'
nburg et Cohn- heim, Charcot, Damaschino, Berger, Raymond, Erb). V^ ' Notre malade se rapprocherait plutôt du type is
ui aussi aux myopa- thies primitives ? t ? v >-, "" ? <->- ' Cependant Hoffmann dans un `mémoire récent : (3
i- tive se combinant à ceuxde 1"iiiyotropliie'd'oi.i"illE, nerveuse, ' il devient impossible dans certains cas de form
dans certains cas de formuler un diagnostic en rapport avec les -i- ' " ' ' v. i < (1) 111oemcs. Uber dieheredit.
certains cas de formuler un diagnostic en rapport avec les -i- ' " ' ' v. i < (1) 111oemcs. Uber dieheredit. Nerv
ertains cas de formuler un diagnostic en rapport avec les -i- ' " ' ' v. i < (1) 111oemcs. Uber dieheredit. Nerven
27 ans, née il Paris, est entrée à la Salpêtrière, en mars 1893- ' ' ANTÉCÉDENTS héréditaires. mille et celle de s
7 ans, née il Paris, est entrée à la Salpêtrière, en mars 1893- ' ' ANTÉCÉDENTS héréditaires. mille et celle de son
ssures de la malade sont usées par la pointe qui frotte sur le sol. ' A la flexion dorsale du pied, provoquée la mala
le rose et le bleu : elle distingue bien lë-jaune du rouge. r z ' ' / 1 IV, . . De cette observation de myopathie
le rose et le bleu : elle distingue bien lë-jaune du rouge. r z ' ' / 1 IV, . . De cette observation de myopathie p
15 ans- seulement, par les muscles du dos, des lombes et du bassin. ' > ¡ 2° L'envahissement rapide de l'impotence
la face, él ! fI la localisation ltrétloani- nante au côté gauche. ' J 3° Les douleurs très vives au commencement de
es dans la station et dans la marche, j 6° L'hérédité de la malade. ' ) - - - ** **~"^ Le faciès ne rappelle en rien
concourant au maintien de l'équilibre dans la station debout., I-. ' ' ? ` La conservation d'un seul des trois faisc
oncourant au maintien de l'équilibre dans la station debout., I-. ' ' ? ` La conservation d'un seul des trois faiscea
ectrode sternale cm X Hem; électrode différente, grosse olive 3x2'=" ' Deltoïde. La partie antérieure est très atrophi
; 3 1/2mA, XIV, NFC > PFC ? Grand pectoral : 4 m A., XVI, NFC" ' seule ; 5 m A, XVIII, NFC encore faible et seul
ble et seule, pas de C à PF. Biceps : 1 1/2 m. A, XII, première NFC" ' ; 4 m A, XVIII, 1" PFC ? 5 m A, 11, NFCC > P
C > PFC ? Triceps, partie moyenne : 1 1/ m A, VIII, première NFC" ' ; 3 m A, XII, 1"'PFC ? 3 1/2 m A, NFCC > I'F
s, comme précédemment). Extenseur COMMUN : 2mA, XII, NFC ? > PFC" ' ; 4mua, XVIII, NEC > PFC' (mêmes C. que plus
m A, XIV, NFC > PFC. Fléchisseur superficiel : 3/4 m A, VI, NFCC" ' seule ; 1 1/2, X, NFC"> PFC" ; 3 1/2, XVIII,
FC > POc'" (Ire POc). Nerf médian au poignet : 3/4 m A, XIV, NFC" ' > PFC'" ; 3, XXII, NFC > PFC ; 3 1/2, XXI
AVD. PACHYMÉNINGITE CERVICALE SYPHILITIQUE L. BATTAILLE ET C1' ] ' ,n, >-UFs excitabilité électrique DES nerfs E
ez bonne, de même que la contractilité faradique; à 55 ? C. minima. ' \ Moyen fessier : Très atrophié; à 3 ? pas de C
idem ; Droit antérieur : 45'C. minima; Couturier : 50 C. minima; " ' . ir, "S ^ * Tenseur du eascia lata : 45 C. min
- GRAND ADDUCTEUR : idem ; .. \ Grand adducteur : idem ; - l , ., ' -, » triceps fémoral : 40 C. très faibles; " :
1 re NFC ? ; 3 m A, XVIII, NFC' > PFC ? 4 m A, XX, NFC > PFC" ' ; 5 m A, XXII, NFCC > PFC' > POC" ; 6 m A
A, VIII, Ire NFC'' : 1 1/2 m A, X, NFC seule, 2 m , NFCC > PFC". ' Nerf facial : Rameaux supérieurs ; ,1/2 m A, VI
NFCC > PFC'. Branche inférieure : 3/4 m A, VI, NFC" > l'1C" ' ; 1 1/4 m A, VIII, NFCC > PFC. Les résulta
sse olive 3 cm. X cm. 5). Trapèze (partie moyenne) : 10 m. A. NFC" ' ; 12 m. A. NFC">PFC'" ; 15 m. A. NFC'>PFC
plus faibles que la lettre est accompagnée de plus d'accents (ainsi C" ' indique des C. très faibles) ; la lettre C seul
e : 4 m. A. NFC' seule ; 6 m. A. NFCC>PFC". Biceps : 3 m. A. NFC" ' seule; 4 m. A. id. ; 6 m. A. NFC'>P1"C ? Tri
2 NFC' >PFC'. Radiaux : idem. Extenseur commun : 3 m. A. NFC" ' seule ; 4 m. A. NFC">PFC" ; 6 m. A. NFC'>
t;PFC"; 5 m. A. NFCC >PFC. Fléchisseur superficiel 2 m. A. NFC" ' seule ; 2 1/2 m. A. NFC'>PFC" ; 4 1/2 m. A.
. NFC'>PFC'. le'' Interosseux dorsal : 3 1/2 m. A. 1FC'>PFC" ' : 5 1/2 m. A. NFC>PFC'. Nerf médian (au coud
. assez bonnes, mais relativement plus faibles qu'il l'état normal. ' Droit antérieur : C. minima il 40mm; à 30111111
ciables ; à 15 m. A. NFC">PFC ? Vaste interne : il 6 m. A. 1 NFC" ' il 10 m. A. NFC' encore faible; à 11 1/2 m. A.
. A. 1 NFC"' il 10 m. A. NFC' encore faible; à 11 1/2 m. A. 1 ? PFC" ' ; il 15 m. A. NFC>PFC'. Vaste externe : 6 m.
? PFC"' ; il 15 m. A. NFC>PFC'. Vaste externe : 6 m. A. 1"C NFC" ' ; 7 m. A. NFC"; 11 m. A. NFC'>PFC ? (1° PFC)
"; 11 m. A. NFC'>PFC ? (1° PFC). Droit antérieur : 5 m. A. NFC" ' seule : à 10 m. A. ire PFC et NFCCI'FC ? Coutur
ants faradiques). Carré du menton : VIn éléments, 2,5 m. A. 110 NFC" ' ; X, 3,5 m. A, NFC' Orbiculaire des lèvres : X,
A. NFC ; X, 2, 5 m. A. NFC>PFC'. Masséter : VIII, 2,5 m. A. NFC" ' ; X, 3,2 m. A. NFC seule ; XII, 4,5 m. A. NFC&g
NS ÉLECTRIQUES ANORMALES ET DE , . TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. (I). ' a , ' " I Nos connaissances sur les amyotroph
CTRIQUES ANORMALES ET DE , . TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. (I). ' a , ' " I Nos connaissances sur les amyotrophies so
qui n'ont pas encore été observées dans ce type d'amyotrophie (3). ' D'accord avec les idées généralement admises à
1 , 1 . > · NOU ? IGON04R L6 LA SALPLIRILR4 7· 'II, Pp II 11 ' \ MYOPATHIE PRIMITIVE (Cas de Savill.) L. B
suicidée. Il y aurait eu aussi des scro- \ fuleux dans sa famille. ' La mère esl bien portante. Elle a perdu son pèr
(1) Ibid. l. c. (2) Erss. Deutsche. Archiv. sur Klin. Méd., 1884, ' (3) LEYDEN. Klin. der Ruckenmarks-Ifranklaeilen
. L BATTAILLE ET C" Éditeurs UN CAS D ? i)IYOTROP[Ilr PRIMITIVE ' [g9 nale, on remarque une protl'Usion des cartil
vi- ques, 1888. Veiga de SOUZA. - Zwei Falle von juvénile Form de¡ ' Ilitsleelat;-op7tie, Kiel. 1888. LE NOIR ET Bez
UTRECH). - Dystrophia muscula¡'is hyperplastica (TVah¡'e l11uskelhype¡ ' , atrophie), Deutsche Zeitschrifft sur Nervenhei
in (Jelleml paresis, I' ! n ! ade1;)hia)fospitn[t{epo)'tsfot' 1892. ' Fig. Gl. NOUV. ICONOGR. DE LA SALPtfqILKE T.
ffacée progressivement et l'articula lion s'est déformée peu à peu. ' Dans ces dernières années, il est survenu un ph
lade au lit depuis un an 1/2) des mouvements chôréifor- mes, etc... ' : Les réflexes rotuliens sont abolis. ' ; : ' "
ts chôréifor- mes, etc... ' : Les réflexes rotuliens sont abolis. ' ; : ' " : Du côté des yeux, on trouve un ptosis
réifor- mes, etc... ' : Les réflexes rotuliens sont abolis. ' ; : ' " : Du côté des yeux, on trouve un ptosis très
brales variables, insiste sur la brusquerie du début. Pour conclure, ' alors même due l'on prouverait l'existence de lés
E SAINT-LAZARE (MARSEILLE) L BATTAILLE ET C'* . £ " : K ! ;¡ i\f' ' \' 1è...1 ? f'¡;'»f ? I¡ ? M : l-\i ? ['" Ir UI ?
SAINT-LAZARE (MARSEILLE) L BATTAILLE ET C'* . £ " : K ! ;¡ i\f' '\ ' 1è...1 ? f'¡;'»f ? I¡ ? M : l-\i ? ['" Ir UI ? f
ARSEILLE) L BATTAILLE ET C'* . £ " : K ! ;¡ i\f' '\' 1è...1 ? f'¡; ' »f ? I¡ ? M : l-\i ? ['" Ir UI ? f ? SlM ? DES A
ET C'* . £ " : K ! ;¡ i\f' '\' 1è...1 ? f'¡;'»f ? I¡ ? M : l-\i ? [ ' " Ir UI ? f ? SlM ? DES ARTHROPATHIES S VRIN GO
, elle contracta des fièvres qui furent d'ailleurs de peu de durée. ' Mariée à 27 ans : une fausse couche de 3 mois e
ption de la malformation du membre supérieur gauche Voy. Fig. 63 (1). ' La malade présente depuis sa naissance une défo
rais- sent plus fortes que du côté droit. Tremblement fiúritlaÍ1'( ' dans les muscles de la région postérieure de l'av
l'avant- bras droit. Le réflexe patellaire est un peu augmente : ' ) droite, normal il gaucho. Pas de clo- nus du p
'une canine cariée ; celles dé la mâchoire inférieure sont cariées. ' ' ' . , ' ' : , Lésions articulaires. L'épaule
ne canine cariée ; celles dé la mâchoire inférieure sont cariées. ' ' ' . , ' ' : , Lésions articulaires. L'épaule dr
canine cariée ; celles dé la mâchoire inférieure sont cariées. ' ' ' . , ' ' : , Lésions articulaires. L'épaule droi
e cariée ; celles dé la mâchoire inférieure sont cariées. ' ' ' . , ' ' : , Lésions articulaires. L'épaule droite est
cariée ; celles dé la mâchoire inférieure sont cariées. ' ' ' . , ' ' : , Lésions articulaires. L'épaule droite est a
douleur ni spontanée, ni au moment où l'on produit la luxation. - , ' Le coude droit est augmenté de volume ; on sent
me ; vaginite des gaînes tendineuses de t'a- vant-bras (PI. XXXVI). ' A l'épaule gauche, on entend des craquements ar
XXVI). ' A l'épaule gauche, on entend des craquements articulaires. ' Raideur articulaire de la hanche gauche. Altéra
- S'agit-il de syringomyélie ? La thermo et psycllI'o-anesthésie ( ' ¡'vxpà., froid), l'analgésie avec conser- vation
la séméiologie et de la pathogénie de certains symptômes du labes. ' D'ailleurs, la fatigue est un sujet dont on s'o
en raison des troubles trophiques cutanés, ce n'est qu'une nuance. ' Les troubles trophiques cutanés localisés au ni
llement. Le traumatisme y est moins souvent noté (9 fois sur 88 cas, ' Comité de Lon- dres). Enfin au point de vue d
rogrès médical. Figures (obs. de Dutil). 1893. &essler. e. /i'o) ' )'e)0)t<<e)t<a;«. des TVi11'tembe¡'f}. dr
517. Photographies de malades (1). 1893. Sonnenburg. - ]Je¡'lille¡ ' klin. TVochel ! sch¡'i{t, no 48, p. 1161. 1894.
e l'observai pendant l'hiver dernier. Il s'était légèrement heurté en ' · tombant le coude gauche et, quelques instants
santé ». Il s'excusa, répondant qu'il n'était pas prêtre, et qu'il ' ne pouvait la bénir. Cependant vaincu par ses ins
e un peu endolorie. Six mois après la chute, on la reconduisit au D' ' T... qui fut frappé de la rapidité de la guéris
enir lui-même ; il indique un de ses élèves. Fort heureusement le D' ' P... juge le cas inopérable et dé- sespéré, en
ille à ses parents de la conduire à la Salpêtrière (17 avril 1894). ' A son arrivée, elle se trouve seule avec sa mèr
que est complète : exagération du réflexe et clonus du pied gauche. ' 21 mars. - La malade peut se lever seule de sa
ssible et le diagnostic de lésion tuberculeuse semblé vraisemblable, ' sans être toutefois certain. Ous. IL Rivo... He
, qui d'ailleurs est de règle dans les néoplasmes intra-cràniens. ' Quant à la nature de la lésion, elle est peut-êtr
ganglion facial, qui, lui, semble bien naître de la chaîne latérale, ' il affirme néanmoins de plus en plus par la suite
moins de plus en plus par la suite son identité de ganglion spinal. ' Cet organe branchial auriculaire, qui doit four
- mologue de la colonne vésiculeuse de Clarke. Noyaux de la tête. ' 4° Le noyau antérieur (VIII a) d'IIu;uenin et M
n debout. Ligature des vertèbres, succès fonctionnel complet. 1 1 ' Le 22 juillet 1893, 11L.... vigoureux garçon de
AULT. , LE .FACIES, DANS LA- PARALYSIE . . GLOSSO-LABIO LARYNGÉE^ ' .' . C'est Duchenne (de Boulogne) qui a le prem
ou à l'impossibilité, de s'alimenter, ou pendant une syncope (1) ». ' ' V , - .. , .. , Dans sa première description
à l'impossibilité, de s'alimenter, ou pendant une syncope (1) ». ' ' V , - .. , .. , Dans sa première description (1
oncis et qui est resté de Paralysie glosso--lll,ùio-larYlIgée.. 1 . ' La lésion des noyaux bulbaires inférieurs qui e
70 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le premier attirait l'attention sur elle, et cherchait à la diffé- ' Prus. Bulletin Acad. méd. Paris, l815, Mémoire su
épanchement sanguin ni de lésions dans l'épaisseur de l'hémisphère. ' La sylvienne droite est enlevée. On constate su
e professeur Lépine a attiré l'attention, dans un mémoire important ' , sur le rôle joué par ces anévrysmes, dans la d
nombre 1 il ^ eux constituaient une manifestation rare de l'hémor 1 ' sous-méningée, du moins si l'on s'en tient aux
mbres inférieurs, puis plus tard cette raideur se localisait à la ' E. Boudet. Mémoire sur l'hémorrhagie des méninges
la Seine. Dans deux précédents mémoires j'ai étudié le sens tactile ' 1 et le sens analgésique - à l'aide d'une longu
séminales, l'éjaculation précipitée et quel- quefois l'état normal. ' Existe-t-il un rapport entre les altérations en
? M6, cancéreux. Cousin mort de convulsions. Autre cou- sin idiot. ' Mère, enfant naturelle, céphalalgies. Demi-ltt
r l'influence de l'alcoolisme maternel sur la progéni- ture ; par \\ ' .-C. Sullivan. (The Journal of Mental Science,
pouvons la mesurer par le taux de la mortalité des enfants nés dans ' Les cas de folie chez les enfants ne sont pas rar
spèces. » D. M. VI(LLa statistique des aliénés à Anvers; par le D' ' SaNO. (Bulletin de la Soc. de illéd. mentale de
eur maladie et d'entrer à l'hôpital dès qu'il est nécessaire. A. V. ' Il Quelques visites aux asiles danois pour les
'institut des Hautes- Etudes de l'Université nouvelle de Bruxelles. ' Le plan général comporte trois parties principa
ecin-adjoint à Rennes, nommé en la même qualité à Quimper ; M. le D' ' ÏER- rade, médecin-adjoint à Lafand (Charente-I
ecin-adjoint de Basrens, promu à la classe exceptionnelle ; M. le D' ' 'l'AGUET, médecin en chef à l'asile de Vaucluse
- Brochure in-8" de 38 pages. Paris, 1900. Imprimerie J. Gainche. ' AVIS A NOS ABONNÉS.- L'échéance du le'' JUILLET
, 1894. * Marro. Gio1'n. della R. Acad. di Torino. 1895, fasc. 2. ' Stein. Neurol. central. 1893. TRAITEMENT DE l'É
enu que 1 succès sur 10 cas ; Boehm n'a rien obtenu le plus souvent ' ; Pollitz repousse absolument cette 1 Bennecke.
s accès, des acci- dents d'intoxication quelquefois mortels. L;ratz ' n'a obtenu que des améliorations passagères sui
ire cet exercice d'une manière effective, une poulie se déroulant ' Ces appareils se vendent à Berlin, chez Carl Sonn
un de nos élèves qui, malheureusement, pressé par les circonstances ' n'a pu écrire qu'une ébauche imparfaite. Peut-ê
quatre ans et demi. - Fièvre muqueuse à neuf ans : délire, léger ' Filibiliu. Contribution iz l'étude de la folie de
vit avec un ami depuis dix ans, elle n'a pas eu d'enfants avec lui. ' Antécédents personnels. A la conception, il n'y
onnable et n'a rien présenté d'anormal depuis qu'elle est avec eux. ' 23. Dans la nuit d'hier, Gas... a été très agit
ment à 3G.,9 et un autre à 36°,8, ensuite elle est devenue normale. ' V. Le traitement a consisté surtout en bains et
motrices dans leur passage à travers les deux pedoncules cérébraux. ' Ce fait prouve donc une fois de plus que les li
t réalitement) et de procéder à unie étude scientifique minutieuse. ' Conclusions : 1° L'alitement, méthode de traite
our duquel sont installés 1 dortoir ou 2 dortoirs de 4 à 5 lits; or, ' ontre les infir- miers de service dans le dorto
maintien au lit dans les états d'excitation psychique ; par Lion : ' ( Obozrénié psichialrü , no8 4, 5, 6, 1899.) L
n de la coexistence de lésions tuberculeuses dans d'autres organes. ' Malgré les résultats opératoires peu encouragea
ianopsie sous toutes ses formes 152 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' (homonyme, bitemporale, binasale, centrale incomp
entrés le même jour à l'asile avec un délire religieux identique. ' AI. Christian ne croit pas qu'on rencontre beauco
Elle a noté l'état systématique de la myélinisation pour chaque âge, ' en con- trôlant chaque donnée par la méthode de
avait la. manie de la persécution. (Bonhomme Normand du 7 juin.) ' Un pendÛ. Le sieur Joseph Dallet, domestique à Ca
ue paierait celui qui le premier serait ivre. Rouget gagna le pari; ' mais, en rentrant chez son maître, il fut en chem
par l'alcool. (Le Bonhomme Nor- mand du 17 au 23 novembre 1899). ' - Un spectacle rare que nous a donné, hier, la co
s : 6 francs. - Auxbureaux du Progrès médical, 11," rue des Carmes. ' - TONOLI (G.). - Dimissioni precoci di aliénait
Volume in-8° de 165 pages. Ilaarlem, 1900. - J. Euschedi in Zonen. ' VAN NESS Dearbors (G.). The Emotion of Joy. Vol
. Volume in-8° de 71 pages. - Londres, 1899. - Macmillan Company. ' VAN WALSEM (G.-C.). Versuclz.einer systematischen
ENT Les Cliniques psychiatriques des Universités allemandes ; . ' Par le Dr PAUL SÉRIEUX, . .Médecin des asiles p
PAUL SÉRIEUX, . .Médecin des asiles publics d'aliénés de la Seine, ' chargé de missions. Il est manifeste que nous
Avant d'examiner dans le détail l'organisation de cet établisse- ' A moins d'indication contraire, les chiffres donn
iatrie, déc. 1893. t7eber eizzige F1'a.'len der Organisation und de; ' Battes psychiatrischer Klinikell. Ibicl., 1894.
cher Klinikell. Ibicl., 1894. Die neue psychiatrische Klinik de ? ' Universitiit il'uzeboztrg. Klinisches Jahrbuch.
que certains pensaient insolubles, exposons brièvement les idées ' Il va sans dire que le non-reslreiut est appliqué
u- reuse. On a cessé de discuter cette question à l'étranger. 200 ' ENSEIGNEMENT. du professeur de -Würzbourg sur c
de dire que de pareils malades ne peuvent vivre qu'en cellule '. ' Il convient à ce propos de rappeler l'opinion for
ns organiques s'exerçant mal, leur constitution s'y étiole ». 202 ' ENSEIGNEMENT. lance continue, -la salle de bain
absolument égaré, dans un - LES CLINIQUES l'bYCHI.a'l'RIQUt;S. 03 ' état de conl'ubion profonde, cas d'ailleurs rare,
ctée aux sujets bruyants ou agités'. Population de la clinique (1" ' janvier 1898) : 51 malades (19 hom- mes, 32 fem
ur de travaux intéressants sur : le Siège de l'âme, d'après cEmme ? ' ; ? ; l'Histoire de la psychologie et de l'esthé
ombre des entrées en 1897 : 520 (305 hommes, 215 femmes). - . - . ' - (A suivre.) PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Théor
un jeune homme de dix-sept ans; par \V ARTUN StNKmn. (The Journal u/ ' iiel-volis and mental Discase, avril 1900.) C
té absolue, réelle, mais transitoire survenant sans cause évidente. ' A. FOULARD. XXIX. Paralysie de Landry; remarq
. Un cas de sclérose en plaques avec fou rire ; par J. CRocQ. (./ou) ' ? : . de Neurologie, 19CO, n° 8.) XXXII. Un cas
aire éclore le tabès chez un sujet prédisposé. Ce point d'étiologip ' Espérons que \f. van Geliuclitrn nnus fera connaî
du myxoedème et la terminaison de la maladie de Basedow ont che- ' Nous avons publié en 1861, dans la Médecine conte
st plus réglée de- puis plus d'un an : elle a toujours été maladive, ' avait des métror- rhagies abondantes qui mettai
est avocat, en expose avec détail le méca- nisme légal. R. M. C. ' REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 233 VIII. La responsa
e, comme les causes morbides 252 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. ' atteignent souvent à la fois le système cérébro
possible, afin de ne point abuser de votre bienveillante attention. ' Messieurs, depuis une vingtaine d'années, l'act
us parle, le dogme erroné de l'homogénéité fonctionnelle du cerveau, ' consacré par les recher- ches expérimentales de
es, dans les infections, dans le traumatisme physique et psychique. ' Nous possédons ainsi les éléments d'une prophyl
ing septembre 30, 1899. - Brochure in-8° de 65 pages. Albany, 1900. ' / JONKOVSKY. Rachitisme en Roussie, - Brochure
rochure in-8° de 43 pages. Zurich, 1900. Buchdruckerei Berichthaus. ' Régnier (P.). - Les instituts Zende¡' et la méc
Buchdruckerei Berichthaus. ' Régnier (P.). - Les instituts Zende¡ ' et la mécanotlzé1'Clpie, Bro- chure in-8° de 32
ion des établissements consacrés aux aliénés ; Par S. S. hO12S.1110\ ' , Professeur à l'Université de )[05C0\1. Commu
nions sur ce qui concerne la mode même de l'application du régime ' Les indications bibliographiques et historiques n
divise, d'après la durée, le régime au lit, de la façon suivante : ' 1° Le régime au lit absolu, lorsqu'on veut que
1'esistantiæ qui devait appeler les infections. Or, si, à ce point ' Jeanselme. Thyroïdites et strumites infectieuses.
inger de Vienne ? a observé dans cinq cas, au début de la thyroï- ' Charvot. Loco cilalo. 5 Gilbert et Castaigne. I
itent la formation de cette substance amènent à la fois l'augmen- ' Garnier. La gla»cle l/¡i/I'oïde dans les maladies
ans les groupes cellulaires de l'écorce, une modification molécu- ' il. M. Ameline, dans sa thèse [Energie, entropie,
les phénomènes mentaux obéissent aux lois de la physique générale. ' 300 PHYSIOLOGIE pathologique. laire et par co
us entendons l'exiguïté anormale de la tête avec une conformation ' Esquirol. Des maladies mentales, t. II, p. 343, s
nous ont autorisés à montrer quelques-unes de leurs illustrations. ' La synostose prématurée des sutures craniennes
emment plus d'une pinte (0 litre Gi9) ; dans un cas relaté par le 1) ' Beach, on a trouvé 3 pintes de liquide. Les os
oite. L'affection chronique des membranes du cerveau est beaucoup ' plus fréquemment observée que la forme aiguë mais
dans les cas de plus faible insuffisance mentale. C'est à M. le D' ' A.-W. Campbell, pathologiste de l'asile d'aliénés
et sont le point de départ des déviations de développement ulté- ' t3ourneville. Recherches cliniques et thérapeutiq
13 monallhigen Knctben (Jahrbuch sur /\1nderheilknllde, 187 ! J). ' Otto. Casuisliche Beill'age : ;111' Kenlniss der
sur 1'111wtomie pathologique de l'idiotie : par le Du' Bourneville. ' Le rapporteur a fait à la Section une véritable
eu avant la réunion du Congrès. Avant de donner la parole à M. le D' ' Serbski, pour donner lecture de ce rapport qui
les conclusions du second rapport sur la même question, par M. le D' ' Cl. 1\ct=sEa (de Leubus) : 1° Il est de princip
que dans des cas spéciaux déterminées- par ordonnance médicale; J5 ' « / 3° L'alitement facilite la surveillance et l
proportions respectives de 42 p. 100, 4..6 p. 100 et 33,33 p. 100. ' SECTION DE NEUROLOGIE. j Ces proportions, com
lle est, en effet, de 43,6 p. 100. D'où les conclusions suivantes : ' a) Dans la folie ancienne, l'alitement, comparé
lie le pied de la'troisième frontale au centre moteur de l'écriture ' reste alors tout à fait indemne. L'aphasie mo
moyenne de Fa gauche, éduquée spécialement pour le langage écrit. ' SECTION DE NEUROLOGIE. 3 : 2t1 de la maladie et
dance naturelle. L'Écriture en miroir ; par Paul SOLDER (de Paris). ' La question est beaucoup plus complexe qu'elle
ubstance blanche, dans la règle aucun trouble visuel ne se produit. ' Par ces opérations de contrôle il est prouvé qu
ections de nature et d'ori- gine diflérentes. C/H'0) ! op/;o<o) ' «p/tt[; appliquée ci l'étude des mouvements normau
Séance du mardi Il juillet 1900. - Présidence de M. Jules Voisin. ' Les suggestions religieuses. M. Binet-Sanglé in
présenté sous la déno- mination kinésithérapique, appartient à Todd ' , qui en 1856 se prononça d'une façon catégoriqu
itements internes de l'hémiplégie, connus de son temps, ainsi que ' tout). Clinical lectures ou pttrttlysis. 2° éditi
d, MM. Gilles de la Tourette et P. Marie. Voici ce que dit M. Marie ' dans son intéressant article sur le traitement
qui veut qu'on laisse la malade tranquill e et au jeu du hasard. ' Il. Marie. Traitement de l'hémiplégie. Traité de
c'est par l'action directe sur la fibre nerveuse, que le massage ' GoliakhoWSky. La technique clunussage. Wratch, n"
vantages indiqués plus haut. Le pro- fesseur Zabloudowsky de Berlin ' fait même chez les hémi- plégiques un massage s
e deux cuisses sur le bassin est au-dessous de notre procédé, car ' Erben. Zuo l3ehancllung e<' llemiplegiker. (Ne
xion de la cuisse sur le bassin ; 2e temps : extension de la jambe; ' . 3° temps : rotation exagérée du pied en dehor
te. (Exercice de descendre de la plate-forme.) 304 THERAPEUTIQUE. ' tiques, la station debout, la chaise roulante d
rrive à entretenir les résultats ohtenus et à progresser lentement ( ' ). (1) Depuis plus de vingt ans nous employons l
parition de la contracture ou chez les enfants hémiplégiques (B). ' Un extrait de cet article fut communiqué au XIII,
grès interna- tional de médecine de Paris. Section de Neurologie. ' Voir Archives de Neurologie, n° 57, t. X, p. 193.
ue provisoire dans deux bâtiments en loca- tion comprenant 10 lits. ' En 1888, l'Université, voulant construire une c
(Hauptgebaude) et de deux ailes (l3aracl;en) en retrait. Ces deux ' Voir P. Sérieux, loc. cil. ' madame. Le nouvel
es (l3aracl;en) en retrait. Ces deux ' Voir P. Sérieux, loc. cil. ' madame. Le nouvel asile des aliénés il Genève. Ge
des installations spéciales nécessitées par les 17 pensionnaires. ' Dans les pages qui vonl suivre nous utiliserons l
a/. E liracce,^eitéraraa F lfaracfc (Iitoil/.ori/ 1 de. E Ci(-, ' (7 .B(Ïtime71¿ principal'. l'ig. 11. LES CL
ement être rattaché à des modifications histologiques du cerveau. ' Hitzig. UnlersuclmugetzüGe>WasGeleimz. Berlin,
f suppression d'un plat de viande et du dessert. Le service de la ' V. Goldsclieider. Uiagtoslil der Krankheilen des
sse recevaient par jour 12S,85 grammes, d'albumine, 85,62 grammes ' Le mail; vaut 1 fr. 25. 390 ENSEIGNEMENT. de
tant qui est Privat-docent et de trois assistants. Population (le, ' janvier 1898) : 601 malades (26G hommes, 335 fe
e des admissions (1897) : 453 malades (221 hom- mes, 232 femmes). ' E. et Ed. Ilitzig. L'alimentation des malades el
n'ont fait que confirmer ce que M"10 Vogt et moi avons déjà publié ' sur la théo- rie de Flechsig. « Voici les rés
ffisamment exacte et relativement bon marché par la photogravure, ' J'ajoute que j'aspire à une telle centralisation
u, est régulière, constante, répétée dans les mêmes proportions. - ' Celte connaissance des intensités de coloration d
door el le traitement au lit dans la République Argentine; par le D' ' CAURED (de Buenos-Ayres). Séance du mercredi 8
-talés comme tels, on a la base clinique et solide pour exami- ne : ' l'action en elle-même, son cours et son mécanisme
bien autrement graves au même processus psycho-sexuel. (A suivre.) ' BIBLIOGRAPHIE. IX. Recherches sur l'épilepsie
n liberté pro- visoire. (Le Temps, octobre 1900.) FAITS DIVERS. ' Asile d'aliénés DE N.1UGE.T, près LIMOGES, - Deux
ve rien de bien particulier sur les réflexes cutanés et en parti- ' Seppilli. I reflessi lcmlinei, etc. (Hiv.sper. di
aralysie générale. Dans sa thèse inaugurale, Bettencourt-Itodrigues ' soutient que l'exagération des réflexes tendine
dégénérés que l'on doit soumettre au mode d'éducation que M. le D' ' Thulié appelle l'orthophrénopédie et pour la des-
SSISTANCE ET PÉDAGOGIE SPÉCIALE. l'Enseignement. Dès '1879, M. le D' ' Bourneville organisait à Bicètre la section des
ués pour les asiles-écoles. Les contradictions relevées par M. le D' ' Wahl s'expliquent par ce fait que le Congrès a
béciles, arriérés, crétins, épileptiques ou paralytiques. Plusieurs ' Le rapporteur aurait pu rappeler le nom de Delasi
EIGNEMENT Les Cliniques psychiatriques des Universités allemandes ' ; Par le D' Pau. SliRII : U\, Médecin des asi
lits) et le ser- vice de la policlinique ont pour assistant M. le D' ' i\I. Privas- docent, qui est secondé par deux m
(payant) de diagnostic neuropathologique et d'électrothérapie du D' ' Eulenburg ; le cours (payant) de dia- gnostic d
den ; les conférences (gratuites) sur les maladies du cerveau, du D' ' Moëli; -le cours public sur les rapports des ma
récente (1891). Elle est située à proximité des autres cliniques. ' Le professeur Ludwig Meyer, décédé le 8 février 1
lation (1 ? janvier 1808) : 215 malades (107 hommes, 108 femmes). ' D'après Buffet, Voyage il travers asiles. 1888 et
battu, par une femme également en bas noirs et en souliers jaunes. ' M. Garnier ne me parait pas avoir suffisamment
e- ment de la morphinomanie, de la dipsomanie ; par le Dr BËRILLO : ' \. Discussion : M. Doutrebente. Séance du merc
gration périphérique du noyau, décoloration centrale de la cellule. ' Si donc l'hypothèse qui impute l'apparition des
eurs établissements. » Discussion : REY, GIR.1UD, BRL1\U, DOUTREI3E¡ ' ;lE et A. Marie. Passage entre la vie ordinaire
la maison d'aliénés; par le D' Gus- tave d'OLAK (de Buda-Pesth). ' t Rapport entre la criminalité des enfants et a
le donne naissance à des réflexes nouveaux, de nature pathologique. ' Discussion. M. le professeur IIitzig (de Halle)
spastique avec exagération des réflexes tendineux, j'ai trouvé un ' type de flexion évident pour le réflexe plantaire
berrantes les plus grandes variétés individuelles. Celle dégénéres- ' cerzcc ne peut être invoquée en faveur de l'exist
dique, en avant par la branche ascendante de section DE NEUROLOGIE. ' 505 Sylvius, en bas par la scissure de Sylvius
à l'opinion que vient d'émettre mon collègue M. Thomas. Il y a tro ' d'observations dans la littérature médicale de
hémiana-lhèsie tactile el douloureuse ; par Touche (de 13révannes). ' Touche a fait 81 autopsies d'hémiplégie, dont 1
n involontaire de l'urine pendant le rire ; par'W. Bechterew. (06os) ' ('H : e psychiatrie, IV n° 1. 1899. 1\'eu- rolog
faite sous la direc- tion de M. Lalanne de Maréville et intitulée : ' Recherches sur le phénomène des' orteils dans l
nt embrassée sur le lit. Affolé, il courut cher- cher du secours. ! ' - Le docteur Estieu, ancien maire de Bagnolet,
tude de ses' fàout- tés mentales. (La France, du 22 octobre 1900.) " ' . ", 1.. ? -' M8 \ . VARIA. Aliénée. Une rent
àout- tés mentales. (La France, du 22 octobre 1900.) "' . ", 1.. ? - ' M8 \ . VARIA. Aliénée. Une rentière, d'origin
t (Oise), nommé directeur de l'asile des aliénés de Rennes; M. le D' ' Siziut, directeur médecin à Saint-Ylie (Jura),
504. Apoplexie. Diagnostic de in hysté- rique et de l'- organique, ' par Crccq, 148. Arriéras. Education des enfan
- gique, 76. Traitement des en Belgique, par Ley, 147. Idiotie. ' Recherches cliniques sur l'épilepsie, l'hystéri
on involontaire de l' - pendant le rire, par de Bech- terew, 518. ' Vision. Physiologie de la chez le chien, par
331. Zona thoracique en bande horizon- tale, par Brissaud, 522. ' TABLE DES AUTEURS ET DES- COLLABORATEURS,- Adam
. Flechsig, 334. Flechter-Beach, 301. Forel, 54. Foxwel, 153. ' Garnier (P), 429, 432, 482. Gehuchten (vau)
Micrzejewhki, 313. Monakow, 410. Montâomera, 149. Moi-ton, 232* ' Iumlord, 1JI. Nageotte, 426. Neisser, 320.
71 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le texte. - PARIS B U 1\ EAU UU U P 110 G Il ÈS MÉDICAL L 14, ¡ ' /le des Carmes. 1886 Vol XII. Juillet 1886. N"
NERVEUSE DE L'ATROPHIÉ MUSCULAIRE DANS LES PARALYSIES HYSTERIQUES ' 1 Par le Dr J. BABINSKI, Chef de clinique de
NSKI, Chef de clinique de la Faculté (le médecine, a Id Salpètrierc ' Il semble que toutes les manifestations possibl
es à formes variées, de nature hystérique, et qui peuvent être pro- ' voquées sous l'influence de la compression de q
e. - Rien du côté des yeux ; pas de rétrécissement du champ visuel. ' Attaques. - Elles surviennent spontanément ou à
ne heure, après quoi elles reparaissent de nouveau, sauf à la main. ' 2. - La sensibilité reparaît spontanément jusqu
recueillies par 11111. lltarie et Guinon. Archives, t. XII. 2 18 ' CLINIQUE XERVELSE, pendant quelques jours, sur
ppe du - côté paralysé une amyotrophie assez accentuée, ayant les ' caractères électriques de l'atrophie simple; sous
nt en partie dans le côté paralysé et il y a en même temps trans- ' fert de la sensibilité; depuis ce moment, la para
nt faites par 2 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 23 ' »4 le CLINIQUE NERVEUSE. M. Gautiez sur la régio
l'A\0-51 ? SIOUIQUI ? ), ou SCLÉROSE POSTÉRO-LATÉRALE DE LA -MOELLE ' (contribution A l'étude CLIXIVUE des myélites .
out de leur partie externe (zones radiculaires, faisceaux de Bur- ' Voy. t. XI, p. 156 et 380.. ". .. 28 PATHOLOGIE
tures permanentes malgré l'intégrité des cordons latéraux. , - 00 ' " Or, le principe que Raymond rappelle comme dé
ue précède la sclérose spinale, et ceux chez les- DU TABES COMBINÉ. ' -il quels les lésions se succèdent dans l'ordre
Il est bon cependant de rappeler les principes du DU TABES COMBINÉ. ' ` 35 diagnostic différentiel : c'est la conclus
que, de la myélite diffuse transverse et de la sclérose en plaques. ' Pour les deux premières maladies, on peut poser
ec, la flamme des autres diminuera; c'est un fait connu, on ne peut ' faire attention qu'à une seule chose à la fois.
cataleptiques p 11" t 1 Bl'esl, I rat(. 7eüschri/'t. 980, 11, 4. ' r . ? 1 ! , : i2 PATHOLOGIE NERVEUSE. et l'hé
ervice. RECUEIL DE FAITS NOTES SUR, LES HÉMORRAGIES CUTANÉES la ' PAR AUTO-SUGGESTION; Par le Dry. MABILLE, direc
sation de, sensations antérieurement emmagasinées. » A vrai dire, ' dans ce cas, l'expression d'auto-suggestion dan
NS MÉNINGÉES ET ENCÉPHALIQUES DES AFFECTIONS catarrhales ; par le 1) ' Raymond, médecin de l'hospice des Incurables. (
'aliénés spéciaux. En -1880, il existe 26 asiles spéciaux contenant ' ? ,164 aliénés de plus que les 66 établissements
ie, t. X, p. 231 et 257. 2 Voy. Revues analytiques, t. V, p. 259. " ' REVUE DE Pathologie mentale. Ii : j représent
faits d'incriminer l'insuffisance que l'excès d'exercice physique. ' L'insolation fournit chez les hommes une propor
; par J.-L ? 1. Kocii. (Allg. Zcitschi,. f. Psych., XLII, 1.) .) ' Dissertation, dépourvue d'observations, aboutissa
é- sentent chez un malade donné des variations en qualité, inten- ' site, étendue; il faudrait donc rayer du langage
pé- riphérique (du monde extérieur) ou relativement périphérique ' (corps étrangers ou néoplasmes d'un nerf ou du ce
as DE folie aiguë MORTELLE avec CONVULSIONS localisées; par S. LÉvy ' (AlLg. Zeitschr. f. Psych., XLII, 1.) Observatio
s dans les ovaires dégénérés, de l'uophorite chronique fibreuse.' ' P. K. XXXIX. Contribution CE QU'ON appelle : DÉ
rrain l'élément de systématisation, d'abord relégué au second plan. ' P. K. XL. DES évasions ET DES tentatives d'évas
s : 4 psychoses simples, pures, légères (mélancolie, manie) 3 fa- ' milles ; 2° psychoses semblables aux précédentes,
bégaie quand il s'agit de répéter un mot, parcé qu'il est contraint, ' dès qu'il est parvenu à en trouver la première
anguins des centres nerveux (faradisation selon la méthode de Rumpf ' ); la même exception doit être faite en faveur d
ue qui connaissait l'effet produit. Quand la sensation de chaleur ' atteignait son maximum, les battements des caroti
- logiques que nous connaissons, ne semble pas avoir influencé la ' volonté. A côté de ces trois exemples, j'en cite
trois exemples, j'en cite d'autres où la vo- lonté est affectée. ' Lacourbe 4 a et4 6 est celle d'un garçon de quato
Ici nous voyons pour la première fois l'ac- tion de l'amylnitrite. ' Pendant que 4 a s'abaisse régulièrement, 4 b s'
Wûrzbourg, 1881). Senator (Uebcr einize Wirkungen der Erwcermung au/ ' den Kreislauf, die Athmung und ct'na6sonde)'u)
s cérébelleux et, en parti- culier, du pédoncule cérébelleux moyen) ' ; 3° le noyau central supérieur, au niveau du t
ffet il existe une couche dépourvue de myé- 108 revue d'anatomie le, ' [' de PHYSIOLOGIE. line ; c'est Itt moitié supér
et il existe une couche dépourvue de myé- 108 revue d'anatomie le,'[ ' de PHYSIOLOGIE. line ; c'est Itt moitié supérie
e semblables sans aucune altéra- tion de l'excitabilité électrique. ' M. Senator. Ces paralysies malariennes se peuve
pas de symptômes; elle en eût provoqué, si elle eût siégé à droite. ' P. K. 11. Nature et traitement de la chorée; pa
aint-Maur, grand ami de Dieu, envoyez-moi guérison, s'il vous plaît ' ; les porteurs faisaient encore plus de bruit,
ancs. - Paris 186. Librairie A. ])elal1<l\e et Emile Lecrosnier. ' ilkli[FT et CoMBEMtLE. Recherches sur l'action
: ". saya de marcher pour la première fois qu'à trois ans et demi. ' Pendant sa première enfance, on n'observa aucun
nis par une tante paternelle (12 mars 1880). - Père né à Strasbourg ' , mort en 1 878 de la poitrine, à l'âge de quara
rnis; les cils sont longs, IDIOTIE AVEC CACHEXIE P1CH1'DEH1111QUIr. ' I assez abondants par place; paupières supérieu
pas de cette façon, elle traîne lourdement (she drags) le membre ' Todd. Lect. on diseases of Nel'V01tS System. (Lcc
et la diminution de volume du bras et de l'avant-bras parait due à \ ' atrophie des muscles, mais il est impossible de d
que nous ne publions pas pour ne pas donner à ce mémoire '1 < ' . j J t ? J 1) t une trop grande longueur, nous
erme pen- dant toute la^durée de l'affection. .. ,... 'olt 1 ? '. ' ., ? Passons maintenant à l'examen des autres c
ler plus loin et chercher expliquer le méca- nisme de cette lésion. ' .. Il semblerait au premier abord assez naturel
es, étaient bien des hystériques, et poursuivons notre parallèle. ' Voyez aussi 13oui'ne\ille. Comptes rendus de Birg
cles ne présentent pas des modifications atro- phiques sensibles. k ' . Le coin gauche de la bouche est légèrement ba
sur l'étendue de 4 centimètres, présente un ramollisse- ment blanc. ' La cavité crânienne présente les adhérences tot
i et le cas de M. Charcot de cécité ver- bale et hémianopsie droite ' survenue après une vive émotion, où, au commenc
règle à peu près générale qu'un pareil affaiblissement se trouve ' Progrès médical, 1883, 11- 23, etc. REVUE DE PA
et DE la compression du cerveau. par A. AD.\MK[t : wtcx (\Vielle ! ' Klinik, cali. Vlll et IX, août, sept. 1884).
permet pas de se prononcer sûre- ment sur la nature de la maladie. ' P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 215 XXII.
Le fait de M. Mendel concerne un malade de huit ans affecté du 2 ? - ' ? 8 septembre 1883 de diphthérie pharyngée modé
sa moi- tié gauche, a détruit la substance grise du segment supé- ' Voy. NotUnael : Maladies de l'encéphale, p. 115.
x : on n'enregistrerait pas dans l'espèce de cas nuls ou douteux. ' P. K. XLI. CONTRIBUTION A l'étude DE la névrite
chultze, en proieà une paralysie mixte aiguë, à la fois descendante, ' à la fois ascen- 1 Voy. Archives de Neurologie,
orer les criminels que si des hommes compétents se font un devoir ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 241 d'étudier le c
sé le 1er janvier 1884; l'asile du Ville-Evrard le ler janvier 1885; ' l'asile de Vaucluse le le, juillet 1885 el que l'
ont le précieux et puissant concours, ne nous a jamais lait défaut. ' Le Conseil général vous a de nouveau manifesté
é en vous y préparant par une bonne instruction pro- fesstionnelle. ' Laissez-moi vous dire en finissant que cette in
rom pcriphernl neuritio ; of Gonl ? Alcoholic. Diphleritic and othe/ ' origin. Volume in-80 cartonné de 147 pages, ave
empérature après les accès, une seule fois (cas 5) elle monta à 39° ' ; dans tous les autres cas, elle resta normale,
visage couvert de cicatrices, de brûlures adroite, restent tuméfiées, ' une phlyctène pleine de sérosité recouvre le me
ordinaire de la peau; pas d'ap- pétit ; un vomitif. - T. R. 40°... ' 2. - La rougeur occupe aujourd'hui toute la par
u'au poignet; l'état général est bon. -T.R. 38°,6. - Soir : 38°, 6. ' 8. La rougeur a gagné la main droite; en même t
ce externe, on constate deux petites dépressions et un petit kyste. ' , Le duodénum contient un liquide renfermant de
calleux, le corps strié, la couche optique, sont normaux. Cervelet. ' Les hémisphères cérébelleux paraissent normaux.
pérature est toujours assez élevée et ne parait pas descendre au- ' dessous de 15°. Ce matin, la peau est encore fr
iège de nombreuses adhérences, déjà anciennes et assez résistantes. ' Les testicules sont de la grosseur d'une petite
Un cas de crétinisme sporadique, avec appa- rence de myxoedème »'. ' Observation X. Rachitisme; absence probable du
mère fut effrayée par un laureau. A sept ans, celle fille cessa de ' Médical Presse and Circulai', 14 niai 1884. 334
excès, tandis que les autres subissent un arrêt de développement. ' L'auteur, tout en faisant ressortir la ressemblan
avec 1 A. Voisin. - Revue photographique, 4ô année, 1872, p. 353. ' Ferrus. - Comptes rendus de l'Académie de médecin
tendait par la tumeur volumineuse du cou que présentait ce malade ! ' JI 1 '1 ' 1 Cet état crétinoïde des idiots myxo
r la tumeur volumineuse du cou que présentait ce malade ! ' JI 1 '1 ' 1 Cet état crétinoïde des idiots myxoedémateux
oedenza (The British médical Journal, 28 fé- vrier 1885, p. 429). ' Hamilton. A case of myxoedema with three illustra
case of myxoedema (The British médical Journal, 1882, I, p. 772). ' Lann. Cases of myxoedema (The British médical Jou
présentent en tout cas pas d'hy- pertrophie du corps thyroïde. 35 ' ( CLINIQUE NERVEUSE. tions de malade encore viva
me des gros troncs descendants; aucune trace de tissu thy- roïdien. ' Sur le cuir chevelu, nombreuses croûtes; cheveu
pon removal of the thi;roïd gland. (The Lancent, 1S86, n" 11). ). ' Pietrzikowski. - Beilrâge zur Kropfexstirpation n
AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 367 suivie de l'atrophie du lobe droit ' ; toutefois M.Pon- cet dit ne pas avoir constaté
idiotie com- plète, de la leucocytose, un abaissement de la tem- ' Mer.loel's Archio f. d. Physiologie, 1820, p. 185
ant des substances nécessaires à la nutrition du système nerveux. ' Philipeaux. - De l'extirpation des corps thyroïde
selon lui, à des complica- tions opératoires. Pour M. Rogowitsch ' , dont les expériences confir- ment celles de M.
x est conservée si on laisse un petit morceau de la glande thyroïde ' , ou, si l'on fait la thyroïdectomie totale, apr
thyroïde aortique, accessoire fréquemment observé chez cet animal ' AIlara. Sulla estil'¡J(¡ ? IOI1C della ti1'olde,
r la guillotine sont moins coupables qu'elle. - Insomnie constante. ' Mélancolie s'accentuant chaque jour; de temps à
e que cette discussion soit mise prochaine- ment à l'ordre du jour. ' MARCEL BRIAND. CONGRÈS DES NATURALISTES ET MÉDE
DES NATURALISTES ET MÉDECINS ALLEMANDS SESSION DE STRASBOURG 4885 ' Séances des 18-23 septembre. I. SECTION DE ps
du sang dans le crâne. - L'an dernier, cet auteur montrait que 3 : ' Si l'on fait passer un tuyau élastique dans un
es deux particularités s'observent chez 2o Il relève la sensibilité ' l'homme normal. 3n Il exerce une action réflexe
ctif. M. SGHULTZE (d'Heidelberg) apporte des préparations emprun- ' V. Archives de Neurologie. Revues analytiques.
nes altérations des appa- reils nerveux qui occupent le parametrium ' , dans le cas d'atrophie simple et p,ii,amét2,it
Wochenschr, n° 25, p. 910.) Eviter de voir dans le petit-fils . - ' les traits autrefois aimés et éloquents dans le
hakespeare, le peintre génial de la folie dans les familles royales, ' n'eût pas pu trouver un drame plus poignant. De
'aperce- voir des premières manifestations de l'allection mentale ? ' ? Nous en savons assez pour répondre que dès l'
elle), 84; - (héré- ditaire), ? 4G, 247, 400; reli- gieuse), 422. ' , Formation réticulaire du bulbe et de la pro
86 ; - (lé- sons épendymaires dans la), . 428 TABLE DES MATIÈRES ' par Friedmanu , 80 ; (ré- missions dans le co
7,128, z. Fischer,6t. Flescli, 89. Folsam, 244. Fox, 69.' - ' Freud, 403, : 4f0. Freusber ? 406. Friedroa
430 0 TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS. Knecht. 250, 253. ' Koch, 84. Konrad, 81. " Koschewnikofr, 226.
oschewnikofr, 226. ,... Kowalew«ky,220, .' Kraffl-Ebing, 8 ? 83.' ' Iirause, 4 19, 121. · - Krauss, 215. Lancer
37. > Thomsen, 117, 14, 222, . Tigges, 100. - \, Tippel, 92. ' '; Tr'lcard, H5.. Truc. 244. ' Tschisch (de
. > Thomsen, 117, 14, 222, . Tigges, 100. - \, Tippel, 92. ' ' ; Tr'lcard, H5.. Truc. 244. ' Tschisch (de),
Tigges, 100. - \, Tippel, 92. ' '; Tr'lcard, H5.. Truc. 244. ' Tschisch (de), 51. Tuczek, 63, - ' . Tuiez
Tr'lcard, H5.. Truc. 244. ' Tschisch (de), 51. Tuczek, 63, - ' . Tuiez 71. Uhthoif, 112, 118, 223. Vel-Ile
se jeter dans la fissure calcarine. EXPLICATION PES PLANCHES. » - ' 1 MO 1 .. , ' . (' l PLANCHE V. ' , " Fac
la fissure calcarine. EXPLICATION PES PLANCHES. » - ' 1 MO 1 .. , ' . (' l PLANCHE V. ' , " Face externe ou con
ure calcarine. EXPLICATION PES PLANCHES. » - ' 1 MO 1 .. , ' . ( ' l PLANCHE V. ' , " Face externe ou convexe de
EXPLICATION PES PLANCHES. » - ' 1 MO 1 .. , ' . (' l PLANCHE V. ' , " Face externe ou convexe de l'hémisphère dro
72 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ujets également il rougir. a Rougit depuis l'âge de six à sept' ans, ' mais principalement depuis la puberté. Rougit,
u tort porté à quelqu'un, d'une' maladresse qui l'a fait mal juger. ' , . , > .*l r « Rougit moins par un temps cl
vés à ne plus penser qu'à cela, ce qui les rendait très malheureux. ' Identiques comme origine et comme début, ces hu
tourne dans tous les sens et grimace, sa langue remue, mais il ne ' peut parler. Son corps est agité d'un tremblement
mière de ces observations nous a été communiquée par notre ami le D' ' V. Dubourdieu, médecin adjoint des asiles d'ali
thme=. II. Antécédents personnels. Tempérament nerveux, affaibli. ' Le malade fait ici allusion à une tentative de su
our représen- tants principaux Bain, Spencer, Maudsley, James Lange ' , Ribot 2, on peut rapprocher un mouvement simil
euse (an- goisse aiguë), deviendront des maladies de l'émotivité. ' Lange. Les émotion ? élude psychophysiologique. T
psychologie des sentiments (Bibliothèque contempo- raine, 1896). ' Freud. La névrose angoissante (Neurologisches Ccn
vrose angoissante (Neurologisches Ccntralblatt, 15 janvier 1895). ' Wernicke. Les psychoses angoissantes (lllg. Zeits
leur propos, une observation répondant au type que nous décrivons. ' 1 Voir Archives de Neurologie, n° 12. DES PSY
Paris, 1890, obs. IV, p. 2fi. 2 Berbiguier. - Les farclafels, 1821. ' 3 Bail. - Loc. cil., éd. 1883, p. 463. DES PS
oniques, possession par des esprits malveillants ou consolateurs. ' Calmeil. Loc. cil., t. Il, p. 359. * Cazilnvirl
évennes. Avertissements prophétiques, Londres, 1707, in-12, p. 6. ' V. Théâtre sacré des Céve.ines, Londres, 1707, in
supprimés; on ne sent plus qu'un reste d'agitation intérieure '. ' Sainte Thérèse distingue nettement quatre degrés
r en cite un cas dans son Mémoire sur les hallucinations (5 SI).- ' Moreau de Tours. Psychologie morbide, p. 232-233.
, p. 232-233. , Fie de sainte Thérèse, p. "O(i. Trad. du P. Doux. ' « La lieine des Mages. Elle fuit le globe terrest
eur causer une lutte pleine d'aigreur, souvent maladroite ; voyez : ' le cas du conseiller G. Pfizer, par R. Lutz.
T GÉLATINEUX DE LA LANGUE CHEZ LES ALIÉNÉS MELANCOLIQUES'; par le D' ' V. Parant. Parmi les tremblements qui intéresse
sans du rôle importa n t de la syphilis dans l'étiolo- gie du tube. ' Il estime que l'influence de la syphilis sur la
ait qu'il est impossible de faire prendre au nègre aucun médica- 48 ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ment lorsque les
infec- tion syphilitique qui prépare le terrain. Comment ? Pourquoi ' ¡ Et surtout pourquoi l'action s'en exerce-t-ell
graphies). A. M. XVII. Hypertrophie DES os ET FRACTURFS spontanées; ' par G. G. SAINCLAIR. (British médical Journal,
ution A l'étude DES troubles DE la sensibilité 11YGItIQUE; par le D' ' 111u1GazzINI. (Anrt. eli neu1'ol., anno XIII, fas
er. Lecture et adoption du procès-verbal de la séance précédente. ' , AZ. B. Séance du 30 novembre. Présidence DE M
tares, exploité autrefois par une association de Shakers, une colo- ' )le disposée sous forme d'un village, la Colonie d
e instruction semblable à celle des autres enfants et jeunes gens ; ' 2° De leur donner l'apprentissage nécessaire po
es gymnases, etc. (American journal of insanity, avril 1896.) E. B. ' LÉGISLATION Royaume DE P1\uSSE. Kom eau règle
élai et le rapport médical rédigé dans les cinq jours au plus tard. ' § 5. Un simple certificat de collocation dans l
la copie légalisée du certificat de collocation. 11 doit également} ' être joint un rapport du médecin directeur de l
leptique et attristait le paralytique. Je n'y reviendrai pas, me ' DES VISITES DES FAMILLES 85 bornant à signaler
s cris ne permettent pas de les sortir de la division. Dans beau- ' C'est bien à tort qu'au Congrès de Nancy M. Rouby
pariétal, où les raies de Baillarger étaient bien apparentes, au ' S. Exner. Zar Kennlaiss von feineren Bau der Gros
l'autre de cette scissure : c'étaient des fibres d'association (fi6) ' (t ? 'cM6[<oe.) Dans la quatrième couche, le
uckhardt en général, qui, dès 1868, ait déjà été agitée par Walther ' : il estimait que les cellules nerveuses ont le
- draxe d'une fibre à myéline, émet toujours, à une distance plus ' )02 PATHOLOGIE NERVEUSE. ou moins grande de la c
déterminer l'activité spécifique des cellules nerveuses que l'élude ' Betz in Kiew. Lebel' die feinere Slruclun der Geh
en propor- tions diverses. (Golgi. Considérations anatomiques sU ? ' la doctrine des localisations cérébrales. Arch.
autant qu'aux colonies de monades d'Ehrenberg, aux rlilzopodes de ' Th. Meynert. - Das Zusammenwirken (le), Gehirnlei
in, Hirschwald, 1890, in-8° (X internat, medicin. Congress). '108 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. Max Schulze. Les fibres ne
ique que part le nerf qui gagne le système nerveux central, où elle ' V. His. -Zur Gescleiclzle des menschlichen Rilcke
ganes périphériques des sens, reliés à ces centres de l'écorce, non ' Fridtiof Nanôen. Nuve elemenlerne, (lei,es sli-uk
me, il est revenu naguère, dans une com- munication très importante ' , sur l'interprétation de la nature anatomique e
m- bardo, ser. II, vol XXIV, fasc. V111 e IX. Milano, 1891. 116 ? ' PATHOLOGIE NERVEUSE 3. û'i ~· i nerveux aucun f
même de nouveaux arguments histologiques en faveur d'une conduction, ' sinon isolée, du moins « prédominante et électi
e postérieur, et G° la couche grillagée avec ses îlots cellulaires. ' La substance grise du corps genouillé externe e
t à la face de la dure-mère, mais sans qu'il y ait jonction intime. ' I. Comme il n'existe pas dans la moelle d'autre
. K. IX. DE la dégénérescence DES faisceaux pyramidaux A la SUITE ' de l'extirpation unilatérale DES CENTRES DES memb
E; par GR1S.1FULLT. A717t. Cl2 7le'UTOI., allno Xi, fasc. III, IV.) ' XII. SUR LA VALEUR SÉMÉIOLOGIQUE DE L'EXAMEN DE
vec beaucoup de modestie ; c'est l'amour de la vérité scientifique. ' M. Th. Roussel expose ensuite les raisons indép
omme de 400 francs est partagée à titre de récompense entre M. le D' ' Sa- muel Garnier, directeur de l'Asile de Saint
a reçu cinq travaux pour ce concours. Le prix est décerné à M. le D' ' Gilles de la Tourette, de Paris, auteur du trav
). Question : de la mélan- colie. REVUE DES THÈSES DE BORDEAUX ( ' ) 895-1896.) I. DE l'avenir génital DE LI femme
'ÉTUDE DES hémorragies DES MUQUEUSES dans la neurasthénie; par le D` ' IJER14UCgON. Les hémorragies des muqueuses dans
ques cas, par une action difficile à préciser, de bons résultats. ' Depuis quelque temps, on est frappé, nous assure-
ent. XI. Contribution A L'ÉTUDE DES PSYCHOSES SÉNILES. DÉLIRE DES ' persécutions CHEZ LES vieillards ; par André nich
le Dr JOURNIAC, directeur-médecin de l'asile de Pierrefeu, est 158 ' FAITS DIVERS nommé médecin en chef de l'asile d
ent au premier plan. Eh bien, l'hallucination mimique de l'alcoo- ' Soc. 7 ? écl. -psycholoqiq tic, 26 nov. 1891, in
senter quoique nous croyions que cela soit extrêmement difficile. ' Voir les observations publiées, pour n'en citer d
ient qu'oniriques, des hallu- cinations psycho-motrices mimiques. ' Lasègue. -Le délire alcoolique n'est pas un délir
us ne comptons pas la mimique naturelle et conven- tionnelle. 172 ' PATHOLOGIE MENTALE. giques actuelles, chacune d
s de tissus d'un bas prix. Il a une opinion très haute de lui-même. ' Ses idées, par reflet de l'importance qu'a l'ou
poser un sujet quelconque sur la toile. Mon estimé confrère M. le D' ' La Riva m'a fait part d'un cas semblable. Auc
t que ,dans le cas où il y a prédominance des phénomènes halluci- ' Calmeil. De la folie, t. II, p. 359. 2 Schùle.
boutirait ainsi à des ruptures vasculaires dans ce même hémisphère. ' On le voit, la phase terminale de nos délires r
alors deux pensées en même temps dans ma tête. "L'invisible peut ' Binet et Ferré. - Sensations et mouvements. , 1
t de la salle. Les recherches avec le dynamomètre sont impossibles. ' il juillet. - Puberté. Moustache blonde, assez
de la cavite cérébro-spinale sans ouverture du crâne, on ne pen- ' Non avons eu l'occasion de voir un nombre assez c
WARD, L. IIIUN30N. (New-York medical Journal, 29 février 1896.) . ' Le malade dontil s'agit n'étaitpas un buveur régu
la mor-' phine, et autorisé à boire autant d'alcool qu'il voudrait; ' mais après l'alcool, on lui faisait à son insu
son insu en ce qui touchait l'ac- tion de ce médicament une piqûre ' d'apomorphine, et on le maintenait ainsi dans u
ré, car, lorsque, au bout de neuf jours, le malade quitta l'hôpital, ' l'idée, la vue ou l'odeur de son alcool favori
énés malades; par A. R. TURNBULL. (The Journal of mental Science, ' octobre 1895.) - L'auteur s'est proposé dans ce
XV.DE l'alimentation thyroïdienne : NOTE complémentaire basée SUR ' L'ÉTUDE D'UNE SECONDE SÉRIE DE soixante cas; par
e la psychose. (Revue neurologique.) E. B. XX. Sur L'AMOK; par le D' ' Van Brero. Paramok on entend, aux Indes Orienta
r des raisons qui ne l'y auraient pas conduit autre- fois. R. M. C. ' XXIX. Notes SUR trois cas de gangrène spontanée
ni pendant les poussées de psoriasis, ni en dehors de ces poussées. ' R. DE Musgrave-Clay. XXXIX. SUR LES symptômes
tématisé hallucinatoire : (hallucinato- rische Ver ? ,ttcktheit.) ' M. Ganser. Sur les conceptions délirantes. Les id
ption fondamentale qui veut que l'al- coolique doive être traité. , ' M. Weber, au point de vue théorique, admet les
à l'Asile clinique (Sainte-Anne), 1 ecuellhes et publiées par le 1) ' PlCIIARIA.N. Volume in-8° de 250 pages. Paris,
TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TAÎ Par le D' M. KLIPI'EL, ' \ î*. , * ', Par le D 11. ILIPIL, , ; 111édec
GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TAÎ Par le D' M. KLIPI'EL, ' \ î*. , * ' , Par le D 11. ILIPIL, , ; 111édecin lcs HJpiL
goût ne sont jamais sensiblement troublés. » Le professeur Raymond ' * dans son remarquable article du Dictionnaire e
était obscur depuis un an et la digestion difficile ». Plus loin il ' Vulpian. - Maladies du système nerveux, 1879, t.
erret cité par Vulpian. 3 Maladies de la moelle épinière, p. 610. ' Itaymond. Tabès clorsttlis. Dict. encycl., p. 310
ES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES 259 note lapamlysie du goût ' et, plus loin encore 2, la dysphagie et l'anest
. Le même auteur cite également une observation de Erben 9 où par ' Topinard. P. lui. 1 Topinard. P. 27t., ' Pier
tion de Erben 9 où par ' Topinard. P. lui. 1 Topinard. P. 27t., ' Pierret. Observation IV. ' Pierret.- Observatio
pinard. P. lui. 1 Topinard. P. 27t., ' Pierret. Observation IV. ' Pierret.- Observation X. h Joffroy et Hanot. Ac
lbaires à début rapide chez les ataxiques. Congrès d'Alger, ils1. ' Cité par Althaus, p. 62. ' Cité par Althaus sou
es ataxiques. Congrès d'Alger, ils1. ' Cité par Althaus, p. 62. ' Cité par Althaus sous la dénomination de troubles
fétide. Les odeurs accusées sont variables et ceci a peu d'intérêt. ' L'odeur de poisson pourri est la plus typique.
at. , Le tableau de la persécution peut devenir dans ces cas très ' Voir rierret. Congrès cie médecine mentale. Blois
tales de leur dégénérescence (Au- chives de Neurologie, juin 1896). ' TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES.
93, p. 319-428. Les nouvelles idées sur la structure du système 282 ' REVUE CRITIQUE. celui des fibres parallèles du
ne pas considérer cette singulière disposition, qui certainement se ' Quoique les cellules de Cajal présentent encore à
re que ceux des cellules nerveuses de ces catégories inférieures. ' Ramon y Cajal. Lslnuclurcc del proloplasmo ueraio
(narcotiques, hypnotisme). En somme la névroglie de la substance ' Retzius. Die Neuroglia des Gehirns beii)t Mensche
i envoyaient d'abord leurs prolongements jusque sous ia pie-mère. ' L'histoire de la névroglie nous livre donc un des
question où l'on retrouve les qualités dominantes de ses travaux, ' G. B. Pellizzi. -- Snlla-,slrullrtrrt e anll'nrir
blanche des colonnes latérales et en dehors des tractus pyramidaux. ' Il. de MUSGIIA VE CLAY. REVUE DE PATHOLOGIE NER
de l'Académie de médecine de Belgique ; premier vice-président : D' ' llalvoz, professeur de bactériologie iL l'Unive
bactériologie iL l'Université de Liège ; second vice-président : D' ' Lebrun ; secrétaire général : Dr Camille Moreau ;
nir la périphérie avec les centres psychi- LA THÉORIE DES NEURONES. ' 34S ques de l'écorce cérébrale, varie selon la
travail ont été poursuivies dans le laboratoire de physiologie du D' ' Stefani, de Padoue. De ses nombreuses observati
tobre 1896.) E. B. XXXI. Préservation DES coupes EN sÉRIe; par le D' ' VORCESTER. Les coupes en série sont du plus gra
titutionnelle, tendant à devenir plus marqués chez les descendants. ' Pour acquérir des données précises sur la vérit
ue immédiate- ment -atteint de mélancolie hystérique. Il écrit au D' ' Talbot une lettre où il se juge plus que sévère
des réflexes. Epilepsie spinale. Mort dans le marasme paralytique. ' Le diagnostic de paralysie générale a été confi
u POINT DE VUE DU diagnostic; par M. SCH : 11·FENBUBG (Heidelberg). ' Pour répoudre aux demandes des familles de nos
seignements peut fournir l'anamnèse et en particulier l'étiologie ? ' ! llorel et Falret ont les premiers étudié cons
malades sont soumis à une surveillance continuelle pendant la nuit. ' M. Siemerling insiste sur l'état de la conscien
tribuées aux infirmiers les plus méritants et non les plus anciens. ' M. Lowls critique cette dernière manière de faire
us souvent exagérés, jamais absents. L'arté- 406 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' riosclérose se laissait facilement reconnaîlre.
f, \I. Pelletier vous a exposé ainsi la suite donnée à votre voeu : ' c L'Administration a fait étudier un projet de
olement, un dortoir de dix lits avec lavabo et chambre de veilleuse ' et donnant sur la galerie quatre cabinets d'ais
s exagération à 25 p. 100 comme moyenne, 'se trouverait réduite à ' Faire coucher l'infirmière de nuit dans le pavill
ons pour dormir et répa- rer ses forces. 414 li asiles d'aliénés. ' 186,000 francs, ce qui ferait ressortir le prix
ce qui ferait ressortir le prix du lit de malade à 3,875 francs ». ' Ainsi que nous vous l'avons dit en commençant,
sile, dont faisaient partie Le Roux et Pelletier, avait donné son ' La lettre adressée à M. le Président de la Commis
7 ? zoeti2-s, symptômes, traitement médecine légale ; par \l. le D' ' Paul Rodet, directeur de l'éta- blissement hydr
village, sans murs de clôture, ni saut-de-loup, ni galeries cou- ' VARIA. 425 vertes. S'il avait pu assister lui
l. La psychologie scientifique a fait, au cours de ces dernières- ' Nous reviendrons bientôt sur cette question. (Not
directeur de l'Asile d'aliénés de Tour- nai. Secrétaire général : D' ' CRocQ, fils, agrégé de la Faculté de médecine,
le même grade à l'asile de Villejuif, en remplace- ment de M. le D' ' Sérieux (23 mars); - ici. leur Brunet, directeur-
t of the boarcl of managers of Crairl cotony to Ille stale boyard o/ ' Charités, Brochure in-80, de 70 pages, avec planc
es cita- tions vont montrer en quoi consiste cette opinion. Bayle ' , qui a établi la division de la paralysie général
e maintenir le tronc, quoiqu'ils conservent d'ailleurs encore des ' t1.-L.-J. Bayle. Traité des maladies du cerveau e
Misérables grabataires, les aliénés paralytiques, à leur déclin, ' L.-F. Calmeil. De la paralysie considérée chez le
la paralysie générale... » Sans insister autant, le professeur Bail ' émet une opinion analogue : « Presque toujours,
de nos malades, 26 sur 33, ont été emportés par un ictus cérébral ' Voir Annales médico-psycholo,qiques, 1897, t. V,
toujours précédé d'une phase d'affaiblissement très ap- préciable. ' On pourrait donc semble-t-il, d'après ces donné
s. S'il est vrai que ces symptômes dépendent de lésions médullaires ' , on pourrait caractériser cliniquement et anato-
tableau uniforme que les auteurs ont tracé de sa période finale : ' Voir à ce sujet, l'intéressante thèse de M. Tréne
ment tant incriminé ? Notre collègue va nous l'apprendre lui-même : ' « D'après les prescriptions ministérielles, les
ur les familles à qui le chemin de fer consent une réduction très ' RÈGLEMENT DU 20 MARS 1857. 447 sensible, le dim
lle que soit la gravité apparente, d'une lésion cérébrale. R. M.-C. ' ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 459 LIII. UN
e que soit la gravité apparente, d'une lésion cérébrale. R. M.-C. ' ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 459 LIII. UN ca
R. DE IUSGR : 1VE-CLAY. LXII. LE réflexe radio-bicipital ; par le D' ' X. FR.11\COTTE. (Bull. de la Soc. de méd. ment,
ÉQUENCE DE la neurasthénie EN FINLANDE, SES symptômes ET SES causes ' ; par le professeur H. HOLSTI. Afin d'être four
des raisons de la grande fréquence de la maladie chez les femmes. ' Conférence donnée au premier Congrès scandinave p
LXXIII. NOTE SUR DES recherches préliminaires SUR la toxicité URI- ' - 1\A1RE DANS LE lü7XDlifE par HERTOCnE et Paul M
a façon des névrites infectieuses. (Revue neurologique, août 18'JG) ' " E. B. LXXV. QUELQUES cas de paraphasie ET DE
érie, l'épilepsie, les lésions car- diaques et les lésions du foie. ' La narcolepsie, d'après l'avis du rapporteur, d
Une de Jouy, 227. IDIOT. Psychologie de 1' , par Petcrson, 220. « ' IDIOTIE. Traitement chirurgical de Il -, par
Guilhon, 149. Vieillards. Etat mental des -, par Scha-Her, 493. ' Vision. Récit personnel des phéno- mènes morb
396. Lafontaine, 150. Lamy, 472. Lelloch, 151. Leonowa, 356. ' Leszinsltv, 320. LichtschEnn, 215. Lightner
73 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e de la question, nous sommes heureusement parvenu à la résoudre. ' Voir drck. cle \'ctcrol., t..TV, y. 393. Archiv
périeur indique la respiration diaphragmatique. DU VERTIGE MARIN. ' '7 7 Nous donnons quelques explications sur ce
treize ans, ayant quatre enfants bien portants. Elle n'a jamais . ' Voy. Archives de Neurologie, t. XIV, p. 368; t. l
mâcher, que les mouvements de la langue et des mâchoires sont 30 ' - PATHOLOGIE NERVEUSE. faibles. Il n'y a pas eu
40 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des maladies du cerveau et de la moelle ' ; 2° Y expérimenta- tion physiologique ; 3° enf
main. (Charcot. Leçons, t. 111.) = Exner. Untersuch, ! <&€) ' die Localisat. der Funct. in der Groshirn- rind
. 111, p. 693. 1883. Ber- nard, th. Paris 1885. Loc. cit., p. il. ' Gendrin. Traité philosophique de médecine pratiqu
Prog. méd. 1883. ° Armaignac. - Rev. cliniq. du Sud-Ouest, 1882. ' Bertholle. Asyllabie ou amnésie partielle et isol
cke. Der aphasische sgmplomen-complex. Breslau, 1871. - t/e&e ? ' det 'Mensc/tC ? tC/'e S<a7tdpM ? c< ! 7t de
ro- logie et d'électrologie de 1\ew-York , par Carville et Dureté ' Nous avons fait remarquer plus haut à propos de l
en avant du premier, au tiers postérieur de la deuxième frontale. ' Fritsch et Hitzig. Reichertu. du Bois Reymond's.
sch et Hitzig. Reichertu. du Bois Reymond's. Arcl ? H. III, 1870. 1" ' mémoire. Httzig. lieichei,t u. du Bois Reymond's.
erebr. He- ntisph. (Philos. â9·üRSlLCt. lioy., Soc. p. Il, 1884.) ' Rapport de la commission composée de MA). Dalton,
rnold, Beard. Flint, Mason. (New-York med. Journal, mars 1875.) . ' Carville et Duret.C)'t< ! 'yueM;p. des travaux
1876.) Albertoni. Le Loccalizz., cerebr. (Ital. nzedica., 1881.) ' Luciani et Tamburini. - Sui centî,i jesico-niot.
ico de centri. (Congr. de Soc. fren. Ital., 16 al 22 sett."1883.) ' Fr. Franck et Pitres. Artic. Encéphale (Physiolog
ntaires et organiques) et sur l'epilepsie cérébrale. Paris, 1887. ' Hermann Munk. Berlin. Klin. YYochensch., 1877. (Z
et Gombault 7, de Verneuil B. de Duâout-Bally 9, derosentliallo, ' Charcot et Pitres. Contribution à l'élude des loc
flaem), 1876, p. 350. B Verneuil. Rev. ct'llaycm, 1876, p. 350. ' Dugout-Bailly. Gazette médicale, 1878, p. 23. I
Pitres.- Rev. de nzéd., 1883. Lépine. Rev. de méd., 1882, p. 848. ' Féré. Contribution à l'étude des troubles fonctio
s corticales que nous allons maintenant déter- miner. (A suivre.) ' Charcot. Leçons, t. III, 1882, p. 173. 2 Nothna
; de telle sorte que malgré des variations inévitables, on puisse ' Voy. Arcldves de Neurologie, n° li, p. 21 1; 11-
du délire, avec la succession d'états exal- tés ou déprimés (Morel ' ), le verbiage monotone, incohérent, ou emphatiq
\ sinn religieuse. Rappelons enfin l'éclosion fréquente chez les ' More). Loc. cit., p. 1-q. LA CATATONIE. 88 hé
oite; la piqûre parait moins bien perçue à droite ; rien à la face. ' Elle répète toujours qu'elle est morte, qu'elle
ptembre. Elle mange seule ; le mutisme persiste. Hydro- thérapie. ' Ces derniers renseignements sont dus à l'obligean
s'occupe, mais d'une façon fébrile. Elle a conscience de son état ' Nous rapprocherions volontiers cela des fac-simil
ents en deux ans, par des procédés simples : pincement, aiguille, ' 4 J. Falret. De la catalepsie. (Arch. gén. de Méd
hénomène DU GENOU dans la DÉGÉN13RES- CENCE DES cordons postérieurs ' ; CONTRIBUTION A LA lésion PRI31f- TIVE combiné
a- gnostic exclusif de tabès, mais ouvrirait de nouveaux horizons ' Voy. Archives de Neurologie, XI, 257. 68 REVUE
lade congédié comme amélioré mourait subitement au bout de quatre ' Voy. Arch. de Neurologie. Société psychiatrique d
s volontaires » de Jackson , ainsi que les sentiments « altruistes » ' de Spencer ou bien sont dans un état imparfait
nouveau à votre examen, vous pouvez voir, Messieurs, que le dia- ' Notre ami, M. le Dr J. Séglas nous communique la
a force centrifuge par une rotation forcée, voici les altérations ' Voy. Archives de A'eurol., t. IX, p. 433. 90 SO
vements bilatéraux dans les quatre extrémités, aux mains, aux pieds, ' aux doigts, aux orteils. C'est de 1'tithétose a
s aise, mais il y en aune de trop encore. M. Coudes. Laquelle ? : ' M. Testelin. C'est l'aliéné. (Rires.) M. de G
du secret des familles ! Qu'est-ce que vient faire ici ce médecin ? : ' Il faut, je le répète encore, être complètement
compétente de la médecine mentale. (Très bien sur plusieurs bancs.) ' Il ne faut pas que l'opinion publique prenne le
résister sans se discréditer. (Très bien ! sur plu- sieurs bancs.) ' Voulez-vous maintenant, messieurs, passer avec
e rien. P. B. IX. Essai sur les amnésies toxiques ; par CàcàRRiÉ. ' Tti. Paris, 1887. Dans ce travail inspiré par l
ccasionnelle : ainsi en serait-il encore de l'éclampsie puerpérale. ' Pour ce qui est de l'hystérie, l'auteur se cont
lepsie, dégénérescence ; délires alcooliques et toxiques : .' o : 0) ' /)/t : Koman ! e, elhéi-onianie, absintliisme, chl
S ACCI- DENTS SURVENANT PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES; Par M. le D' ' MicuEL CATSR : 1S, Professeur agrégé de la Facu
atteint d'ataxie locomotrice : nous y reviendrons dans la suite. ' Cet exposé rapide, qui ne contient naturellemen
brusque, une minute. Symptômes d'invasion; 166 CLINIQUE NERVEUSE. ' perte de connaissance et serrement spastique de m
dans un tel état d'érection que le malade nous raconte qu'il ne se ' souvient jamais avoir vu son membre viril si- dur
-moteurs. Le malade a quelquefois un peu de difficulté pour uriner. ' Du côté des organes génitaux il y a une aboliti
considérable et rapidement progressive au point qu'à 1 heure du 60t) ' le malade a pu faire une course. Impuissance sexu
t se tenir debout et faire quelques petits pas à l'aide d'un bâton. ' A 1 heure du soir, il sort du bateau et fait un
dépendait de conditions, qui n'ont rien de commun avec la myélo- ' gliose, mais cette dernière avait créé dans certa
ris à Athènes. De Marseille à Gênes la mer était bien calme. Vers ' Voir Arcle. de Neui,ol., t. XV, p. 393, et t. XVI
ne teinte jaunâtre à sa surface qui est très légèrement bosselée. ' DE l'épilepsie PROCURSIVE. 245 5 Examen HISTOLO
nous n'envisagions que cette donnée comme base de notre division. ' Voir tome XVI, p. 39. 250 REVUE CRITIQUE. La
faits anatomo-cliniques actuels, les circonvolutions pariétales, ' Nous ne représentons pas l'extension de la zone m
ège. Chacune de ces zones de l'écorce cérébrale est l'aboutissant ' Grasset. Rev. mens. (Fév. 1880, 161.) ' R. Trip
rébrale est l'aboutissant ' Grasset. Rev. mens. (Fév. 1880, 161.) ' R. Tripier. Rev. mens. (Janv. et fév. 1880.) 3
des trois circonvolutions frontales; la pédiculo- frontale, par le ' Pitres. - Recherches sur les lésions du centre ov
nt de vue des localisations cérébrales. Th. Paris, 1877. /iMM/)AerM ' Bitôt. Essai de topographie cérébrale par la céré
irection des quatre coupes de Pitres indiquées en pointillé noir. ' Brissaud. Recherches anatomiques et physiologique
es pour les indications plus complètes sur chacune de ces coupes. ' Il est bien entendu qu'à chacun de nos passages d
o-striées et cortico sous-optiques de Luys. Encéph. 1884, p. 516. ' Nous utiliserons à chaque instant cette division
centre cortical d'origine de ce faisceau, au pied de la frontale ' Bitot.- Sur la capsule interne et la couronne ray
gine corticale, au pied de la circonvolution frontale ascendante. ' Raymond et Artaud. Arch. de i\'eur., VII, p. 300
ante. ' Raymond et Artaud. Arch. de i\'eur., VII, p. 300 et suiv. ' On décrit aussi un noyau accessoire de l'hypoglos
orce cérébrale, de toutel'étendue de la zone corticale motrice 2. ' F.-Franck, fe. sur les fonct. motrices du cerveau
modératrices dont il s'agit, comme à la région cortico-frontale. ' C'est à Pitres (Thèse citée) que l'on doit la fas
s pouvons envisager le faisceau moteur en trois points différents : ' 1° Avant la décussation des pyramides , le fais
onnée en avant « entre le noyau caudé et le noyau lenticulaire », ' Il est démontré par la marche progressive de la p
onctions motrices du cerveau. Leçons XXVII etXXVIII. In loc. cit. ' Fr.-Franck et Pitres. Art. Encéphale du Dict. Dec
plètement séparées de leur centre trophique à l'écorce cérébrale. ' Fr.-Franck. et Pitres. Bull. de la Soc. de biol.,
tie interne du cordon antérieur de la moelle (faisceau de Turk)3. ' Fr.-Franck. Fonctions motrices, 1887. Première pa
est aiguë, au type paralysie spinale atrophique de l'enfance (po- ' Blocq. Des contratures. Paris, 1888. - Bien qu'
évritiques), ou dans les muscles mêmes (amyotrophies myopathidues). ' 1" groupe. Amyotrophies d'origine nzyélopathiqu
zone radiculaire antérieure (partie fondamentale de Flechsig). Le ' Charcot. Leçons, t. II, 1883. Leçon IX. Grasset.
is, 1886. Flo. rand Revue critique. In 4)-e/t. gén. de méd. 1886. ' Grasset.- N ? clu syst, nerv., 1886, p. 551. 8
éral de la maladie quand la sclérose envahit les cordons de Goll. ' Nous avons pu voir dans l'exposé du trajet succes
sion causale de l'hémianesthésie sur l'étude des dégénérescences ' Veyssière. Loc. cit. ' Virenque. De l'hémianest
anesthésie sur l'étude des dégénérescences ' Veyssière. Loc. cit. ' Virenque. De l'hémianesthésie. Th. Paris, 1874, n
tronc bien droits et parlait très raisonnablement. J. RoUBtKOYITCU. ' II. Incendie commis par une hystérique rN état
- blable; dans un cas comme dans l'autre, la violence est automa- ' tique. » « Les actes impulsifs soudains, qui se
é- ments du tissu sous-jacent. Quant aux cellules nerveuses de la ' moelle épinière, une grande partie n'a subi aucun
voit, entre autres lésions, une dégénérescence ascendante du ruban ' de Reil, consécutive ci un foyer bulbaire et prou
e infectieuse ai g en \II : LTILOCUL.\llll ? parla. RoSE'UEtM. (r7'( ' )t61. f. Psych. xviii, 3.) Observation d'une a
principalement sur le territoire du noyau de l'oeulo-inoteur commun, ' est atteint d'hy- pérémie avec hémorrhagies cap
question de la volition. C'est de la question de la réflexion au ' Voy. 1(evties analytiques. 288 SOCIETES SAVANTE
i concerne la nécessité de la séquestration, et sa justifi- cation. ' M. SANDER. Il vaut mieux que le Physiktas vienn
. ' M. SANDER. Il vaut mieux que le Physiktas vienne aussitôt après ' l'admission, car quatre semaines plus tard, qua
n ira s'exposer aux vexations qui sont attachées à un asile privé ? ' ? Et cependant l'Etat a intérêt à avoir de bons
s familles; c'est un besoin qui jusqu'à ce jour n'est pas démontré. ' 302 SOCIÉTÉS SAVANTES. 4° D'accord en cela av
rochaine réunion le 15 décembre 1887. (Allg. Zeilsch., XL1V, 45.) ' P. ILIiA V.1L. SÉNAT DISCUSSION DU PROJET DE
nt d'un stage d'une année, au moins, comme internes dans un asile ' Cette commission était composée de LU. ) ! ourrt(
ion ; 2° d'un inspecteur général des établissements de bienfaisance ' ; 3° d'un professeur désigné par la Faculté de m
par- cheminé, prix : 3 fr 50; pour nos abonnés : prix, 2 fr. 75. ' ? 7t ! ) ? ? /'</t CM7 ! ! M//fepO)0 ? e.P<
à une seule espèce morbide un véritable luxe d'épithètes. Conser- ' Lasègue et Falret. - La Folie à Deux. (A),ch. gén
Sur la maladie des Tics co7autilsifs (Rév. de méd., 1886 et 1887). ' * Du délire chez les dégénérés. Paris, 1886. 32
icide qui ne s'observe parfois'. Nous désignons, non pas ces sui- ' Schpolianski. - Des Analogie entre la Folie à deu
fon, démontrent, sans plus ample informé, qu'elle n'est qu'un écho. ' 340 PATHOLOGIE MENTALE. Son délire repose sur
e l'OBSER- VATION XI, qui, au moment de l'invasion de l'accident, ' Voy. Archives de Neurologie, n° il, p. li5. DES
et qui consistaient en troubles : 1° de la sensibilité, 2° de 382 ' CLINIQUE NERVEUSE. la vessie, 3° du rectum, 4°
vait par contre une impuissance complète. Archives, t. XV. 23 354 ' CLINIQUE NERVEUSE. 5). Douleurs aux lombes. C'e
ci l'épaule droite et illusions visuelles. Il en fait une cinquième ; ' continuité de 1 illusion visuelle au fond de la
et puis sèches, des frictions irritantes, sondages et purgatifs. ' Le lendemain matin, au réveil, le malade n'avait
s sous le nom synthétique de la syringomyélie, il faut distinguer : ' DE L\. GI,101ATOSr, MÉDULLAIRE. 397 1). L'hyd
ons que les - fibres nerveuses de diverses catégories ne réagissent ' /7 pas également sur les influences nocives la p
e supposer t, que si des conducteurs spécifiques n'existent pas, un ' ? agent nocif déterminé diminue ou suspend seul
as exclure l'existence de la gliomatose de la moelle épinière'. ] ' ' La . où une anestbésie générale s'est développé
exclure l'existence de la gliomatose de la moelle épinière'. ] ' ' La . où une anestbésie générale s'est développée
. Parole lente, le plus souvent tremblée. Sensation intercurrente ' Voy. Archives de Neurologie, vol. XIII, p. 321; v
es maladies des enfants ; 2° édition, t. 1(, p. 578, Pans, 1861.) ' D'après Benunis, Nouveaux éléments de l'hilsiolog
'imbécillité et d'idiotie. Il y a quelques mois, notre ami, M. le D' ' P. Marie, nous a donné la . photographie, prise
aspect rappelant celui de l'enfant. Un cousin germain est faible ' Nous espérons pouvoir publier plus tard l'observa
ruption eczémateuse ; - 3° la fontanelle antérieure est persistante ' ; 4" la denti- tion défectueuse et en retard; -
t, à une parésie légère du membre 4'0 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' inférieur droit, à quelques tiraillements surve
lution centrale antéroeuregauciie avec le membre supérieur droit; ' le cas acluel viendrait en outre à l'appui de l'o
olition delà FA- CUL'l'L supérieure DE contrôle personnel; par le 1) ' S,V.1GE. (Tlte J0211'n(ClGf .lleratal Science.
manifestations neuro-cutanées n'a pas osé prononcer le mot d'ur- ' Le résumé du rapport de 1f. Garnier sera donné pl
rielles relativement supportables) sans troubles de la motilité ? ' Vov. Arclciees de Neurologie, 5ld. Revues aiialui
d'une modalité psychopalhique en une autre au point de vue clinique ' . M. Bastelberg. De l'emploi de l'hyoscyamine d
t le système . 1 Voy. Archives de Neurologie. Revues analytiques. ' Ici., t. XIV, p. 293. 4§6 SOCIÉTÉS SAVANTES.
, calculant 2 et 2 font 9 ou 7, et signant lIei-î ? 2eiîz J)J6 ! He) ' au lieu de Ilermann Meyer, écrivant comme quan-
ez-vous me permettre de vous demander qui payera tous ces frais ? 2 ' M. DELSOL. L'assistance judiciaire, si c'est un
délai de trois jours ; nous avions mis ensuite « huit jours ». 1 , ' Ces visites, en effet, devenaient impraticables
sement de la mission qui lui est confiée. (Très bien ! très bien ! ) ' M. de Gavardie. Je prie le Sénat de retenir un
ticle 21, mis aux voix, est adopté.) M. LE Président. Nous avions ' réservé un amendement de M. Bardoux sur l'artic
Nous lisons à l'article 4 que « tout admissible qui n'aurait pas ' Le règlement du concours des asiles de la Seine p
que deux gardiens de l'asile le recherchaient dans la commune; i ' Nous devons ajouter que les dix points accordés p
n corticale, par Muckte, 439. .Montagnards (affections mentales ' chez les), par Gottleb, tj0, Morphinisme (psych
G, 435, 440, 165 467. Nasse, 75, 449. Nicol, 455. Nonne, ff3. ' Oppenheim, 412. Paupoukis, 1, 218. Pelman,
her, 97. Zilten, f3F, .iFl, Archives de Neurologie Tome XVI Pl I - ' EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE F
locus niger de Soemmerring. 3 ; étage supérieur. - 1 ? ? ui uuic ' " rome xvl. Y1 il 1 EXPLICATION DES PLANCHES. 4
74 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
0 ? ., PAUL R1CHER : ? 5 ? Y ? ÿ' , HENRY MEIGE ; .\ ? \.1.I'¡X ? ' " 1 ,' 4 e.'L ? TOME V'1-NG : r : CfNQUIÈME
PAUL R1CHER : ? 5 ? Y ? ÿ' , HENRY MEIGE ; .\ ? \.1.I'¡X ? ' " 1 , ' 4 e.'L ? TOME V'1-NG : r : CfNQUIÈME PARIS
RAPPORTS AVEC LA DIATHESE BACHI'1'IQUE - ET L'ADÉNOÏDISME. PAR ' M. BERTOLOTTI, Docent-privé de physicothérapie,
elle reste toujours en dernière analyse à la merci des hypothèses. ' Or, il est des hypothèses que nous faisons en m
dus ont continuellement des maux de tête et des fluxions d'oreille. ' - Il est impossible de mieux résumer en quelque
nsemble sur cette question, parmi lesquels il convient de citer les ' ¡ ! lèses de Vorlisch (2), de Kraus (3), el surtou
alcoolisme. Le père et la mère de l'enfant ne sont pas consanguins. ' Il paraît, d'après les renseignements qu'on m'a
larynx, la glande thyroïde à la palpation est très peu développée. ' Nous n'avons pu avoir la photographie du nu de
ni fait le 25 février 1911. Exophtalmie bilatérale assez prononcée. ' Réflexes oculo-palpébraux normaux. - Paupière
l. 1\513, angle sphenoïdal. Masson & Cie, Editeurs S'IrataW ! ' at at S4 ÉTUDE DU SYNDROME OXYCÉPHALIQUE 21 d
contribuer encore à faire paraître l'oeil plus saillant (PI. VIII). ' Enfin je serais porté par mes recherches radiog
la synostose précoce des sutures et par le relief des fontanelles. ' Ajoutons encore l'irrégularité du développement
s peuvent donner la clef pour l'interprétation de cette divergence. ' Dans la compilation de ce travail, je me suis e
elalo nculo, Ilivista crilica di clinica Medica, nu- 17 e 18, 1911. ' 36 BERTOLOTTI sions digitiformes rappelant de
s adénoïdiens qui constituent un apanage constant de l'oxycéphalie. ' De plus,comme il était très intéressant de cont
nte : « Notre malade a une tête d'acromégale ; est-il acromégalique ' ? L'appa- rence extérieure de son chef, les lés
temps en temps des tressaillements dans le membre supérieur gauche. ' 23. - L'état de prostration est beaucoup plus i
ements des globes oculaires sont libres mais il présente une légère ' parésie des deux muscles droits externes, ce qui
a diminué. Ce fait s'observe aussi pendant l'examen,le malade oublie ' en effet de donner des renseignements sur des c
se passent autour de lui, il a l'air ahuri, il rit très facilement. ' La sensibilité objective est conservée. Les r
matoire il se produit des paralysies, des aphasies et des apraxies. ' Quand c'est la base qui est atteinte, ce sont d
ra e la funzione dei plessi coroidei. Lo Sperimentale 1901, n- 4. f ' (11 ENGEL, Ueber die Sekretiortsersclteinungért
ide céphalo-rachidien doit être rapportée aux plexus hypertrophiés. ' Haushalter et Thiry (9) ont examiné sept cas d'
peu congestionnés et légèrement infiltrés par des cellules rondes. ' Gerhardt (4), dans l'un des trois cas d'hydrocé
Congrès de 13aden-Badetz 1903, in Revue neurologique, 1903,-p. 972. ' 64 MARINESCO ET -GOLDSTEIN communiqués au Con
le rôle principal dans la sécrétion du liquide cépha- lo-rachidien. ' Pourtant les inflammations congénitales des mén
l. (41 Leroux, Méningite séreuse lmfllltlOcoC'ciqllc, Arcli. de 111( ' £ 1. des enfants, avril 1900. ,5) Uihndaum, Sur
t pas constants. Tout récemment, llarvier et Schreiber (8), dans un ' (1) Buascii, LumbalpullctlO1 ! bei l11Jdrocephalus
t bien insuffisants pour qu'il soit possible d'en tirer une conclu- ' sion définitive. La lymphocytose abondante de nos
urologique, 1910, t. I, p. 692. HHRH))0-ATAXOE CEREBELLEUSE PAR ' F. TISSOT médecin de l'Asile d'Amiens. Parmi
signaler chez les trois soeurs du malade ni chez ses deux enfants. ' Antécédents personnels. -- On sait peu de chose
ale moyenne, supérieure, cervicale. Elles sont nor- males. - 11 ' En somme, la lésion est strictement limitée à l
ni de la cécité, du moins dans l'état actuel de nos connaissances. ' Notre observation se prête encore à quelques co
es dorsalis, en arrivait à celle conclusion : « Dans le tabès, Pin- ' (il Pater, Gaz. des Hôpitaux, 1907, Revue général
tribution à l'étude anatomo-clinique du labes dorsalis. 170 Congrès ' des Aliénistes et Neurologistes français, Genève-
IE (Johansson ci Froderstrona). Masson & CIC, Editeurs Pho[( ' [ytn< : De)[)'f't'.t,t'tUt9 UN CAS DE BLESSUR
leur) : ce sont là les seul.; troubles objectifs de la sensibilité. ' Durant le séjour à I'Ilùpital, aucun trouble n'
lers, Med. Klinik, 1910, II, p. 1893. 11O JOHANSSON ET FHOEOERSTROM ' B... est né le 29 septembre 1890 à Ilullaryd, c
lus probable est qu'à son passage au niveau du pli courbe la balle, ' par répercnsion, a détruit la couronne rayonnante
part de l'Etal. l, GIGANTISME ACROMEGALIQUE SANS ELARGISSEMENT DE ' LA SELLE TURCIQUE. - INVERSION SEXUELLE. « FÉ-
ablie. Au reste, voici les principales mensurations du squelette. ' )2() GALLA1S Main. GIGANTISME ACR01 ! ÉGALIQUE
nnalité morale ainsi qu'en témoigne parfois une légende de sa main. ' Tel est l'état mental de notre géant inverti.
énement qui n'est connu des parents que plds tard, il 132 . GALLA1S ' devient sombre, les crises nerveuses se rapproc
avec les préoccupations corporelles, elle oc- cupe le premier plan. ' Notre géant, qui au cours de son existence n'a
E LA SAI.PÊIRILRE. r. xxv. Ili. xxil ? "S . .' ? ..../ . ." l ' \ - 11 ? 1 ¡ T 1 t . - - ? l ? r. . &l
iées. La colonne vertébrale présente les particularités suivantes : ' a) Saillie obtuse au niveau de la septième vert
sement du bassin, la fracture de la clavicule, l'état mental aussi. ' En ce qui concerne la dysplasie périostale, on
Bucharest). Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1905, p. 546. ' 5. Boulbnger. - Idiotie el achondroplasie. Jour
Nombre et proportion des cas d'absence du réflexe suivant l'âge. ' DE L'ABSENCE DES RÉFLEXES ACIIIIL ? PNS ET IlOrUL
réflexe achilléen. h réflectivité 1n911OsyrnjJtomalir¡ne. - Sur 23û\ ' sujets examinés, l'ab- sence bilatérale ou unil
éflexes roluliens constatée en dehors de tout autre trouble nerveux ? ' ? Quelle est la nature et quelle est l'origine
uelle est l'origine de cette irréllectivité mono- symptomatique " ? ' Doit-on considérer les sujets qui présentent ce
viendrai. , DE L'ABSENCE DES REFLEXES ACHILLEENS ET ROTULIENS 169 ' En considérant l'absence de ces réflexes comme un
ivergences tiennent aux diffé- rences de technique. Conclusions.. ' Chez des hommes de 22 à 54 ans, vigoureux et ex
e brouillonavec le texte tant il est mal dessiné. » Fia. 1. 174 ' SAINTON ET DAGNAN-BOUVERET et d'examiner les ra
les intestins et autres parties, avant que d'ouvrir la leste » (1). ' Enfin les raisons qui ont porté Descartes ;i ch
vril 164 OEuvres, édilion AOAM et TAN/OEIIV, t. 111, p. 48-49. .. ' Fie. 3. DESCARTES ET LA PSYCHOPHYSIOLOGIE DE LA
les intervalles qui se trouvent entre les filets de quelque tissu ) ' (4). Les filets qui constituent ce tissu sont for
s ont receus,jusqu'l ce qu'on leuren imprimede contraires. Traité de [ ' Homme, éd. Clerselier, Cinquième partie, LYIII,
5. DESCARTES ET LA PSYCHOPHYSIOLOGIE DE LA GLANDE PINÉALE 181 et/ ' 'imagination, prenons un exemple particulier et é
rébraux. Voyons en effet, comment « les passions sont excitées en 1 ' ;\mue )) et en particulier ce qui se passe dans
I. IlurrnmG, Phitowphie Moderne. 1W3 SAIN'('UPI··Lr'UAliIVA\-t3U U \ ' KKL'l' ses hypothèses émises au sujet des fonct
re ou de paraffine, afin d'éviter l'écrase- ment de la gouttelette. ' On obtient ainsi, au microscope, une mousse trè
é, le gonflement, les gels, puis la plasticité de la cellule, les mou" ' vements amoeboïdes et d'autres propriétés impor
e la plasticité de la cellules nerveuse, c'est la tendance à la 204 ' MARINESCO lobulation (fig. 4, PI XXV). 1) appar
s assez longtemps. Dans ces con- ditions, il y a lieu de se demande; ' si la précipitation des granulations colloïdale
ations sont aussi disséminées dans tout le cytoplasma. L'axone, 212 ' MARINESCO ' moins lumineux, a un aspect granule
aussi disséminées dans tout le cytoplasma. L'axone, 212 ' MARINESCO ' moins lumineux, a un aspect granuleux. Dans l'i
quelquefois un contour un peu plus lumineux que le reste du noyau. ' r L'acétate de plomb augmente la luminosité des
re malgré que l'intérieur ne présente plus le vide optique connu. ' Le nucléole se fait remarquer dans un certain nom
- >Jou\"1 : .1.1 l Iconographie DL la SALl'Ll't<ItHL l'. XX\ ' , PI. XXVIII l3fUC1"l'ONEUROLOGIE PAR L ULTRAMIC
écédents héréditaires n'ont rien de par- ticulièrement intéressant. ' La mère est morte à 46 ans d'une hernie étrangl
faites successivement et l'on retire environ 2 litres 5 de liquide. ' xv 13 226 , KLIPPEL ET TEIL Il sort de l'hô
des vaisseaux méritent d'être préci- sés, nous les avons étudiés : ' Par l'examen direct, clinique. Par la radiosc
s lésions des organes qui con- firment pleinement l'examen clinique, ' ne voulant étudier que la disposition du squele
ervicales, toutes les vertèbres comprises entre la première FIG, 4. ' Articulation anormale Articulation normale La
ment les côtes et les muscles correspondant aux vertèbres absentes. ' On peut penser que cette malformation était hér
) Ancel et SENCERT, Journal de l'anatomie et de la physiologie, 1902. ' (4 LGUOUULE, Traité des variations des os de la
879. (4) I)WIGIIT, Jlem. of. ihe Boston soc. of nat. hist., p. 310. ' (5) Rkgilia, Arch. p. l'antropol. et l'etnog.,
rn. of anat., 1902. UN CAS D'ABSENCE DES VERTÈBRES CERVICALES 245 ' examiné le plexus lombaire de deux colonnes verté
édit. franc., p. 186. UN CAS D'ABSENCE DES VERTÈBRES CERVICALES 24U ' ,) Nous ne discuterons pas les causes pathologiq
sujets étudiés par Marie et Sainton étaient atteints d'obésité. lé. ' A la suite de critiques de Chaslin et d'Aslros,
pré- sentent une exophtalmie évidente bien que pas trop accentuée. ' Hauteur de la face (sans le front) : 13 centimè
ragment externe. L'os est d'ailleurs plus mince qu'à l'état normal. ' Taille : 1 m. 44. Longueur du tronc du manubrium
ion for the Study of disease in childen, p. 5. 33. J. Roussy et AME[ ' ! LLE. - Présentation de pièces provenant de l'au
. 498. Nouvelle Iconographie DE la S9LP1.1'RIL`RE T. XXV. Pt. XXXV \ ' DÉMARCHE DANS 1/ATHÉTOSE (Ci ii éni itogri pl
l'oscillation de la jambe, la longueur du pas devient plus courte. ' Mais ce sont surtout et la position du tronc et
d'irritation motrice, stéréotypies, rigidité musculaire, grimaces, ' etc. ; mais, par contre, une certaine tendance
manoir, médecins-as- sistants, et de notre examen personnel. xxv ' 19 ;) 282 LONG n'existe pas d'autres phénomèn
ire PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 283 Mesures circonférentielles : ' Avant-bras gauche, à 8 centimètres au-dessous d
mes détails histologiques apparaissent avec plus de netteté encore. ' Les trois figures PI. XXXIX représentent les ét
lisait, 1889, p. 207 (Compte 1 ndu de séance). (2) l3emerlcungen zU/ ' Lell1'e von der Muskelalrophie. Neurolog. Central
contractions fibrillaires firent défaut. (1) l1'eilael' l3ei(rag ou, ' Genre von der progressiven neurotischen Milskelai
e lypus Charcot-Mai ie, Anal, in Neurolog. Central- blatt, 1901, p. ' ! 73. 294 LONG Ces observations cliniques (1)
s, de plus le territoire des dernières racines médullaires L °, S', S ' , S ', Su est complètement anesthésique à tous l
lus le territoire des dernières racines médullaires L °, S', S ', S ' , Su est complètement anesthésique à tous les mode
éthodes, Weigert-Pal, Van NOUVELLE Iconographie DE la SALPÉTRIÊRE. / ' ? "t'" /1,\ ? \ ? t . 4$* 1 T. XXV, Pl. XLI MEN
la tumeur, on ne trouve de noyaux témoignant d'un processus actif. ' C) Au niveau de la partie supérieure du 3e segm
éritables névromes de régénération ; àsigualer éga- xxv 21 314 il ' THOMAS ET .1T1\IENTTlt lement Jans lapie-mprc,
en partie dégénérés. les cordons postérieurs c. o. p. peu couchés. ' Fig. 14. - Coupe du 3 segment lombaire. La mo
de la jambe gauche ; dès ce moment, le malade est très catégorique, ' le tibia gauche s'incurva en avant et aug- ment
voix basse : « Je ne veux pas des gâteaux, ils sont empoisonnés. » ' Il se décide à parler davantage. A peine seul a
est prête à s'ouvrir « toute seule ( » DU DÉLIRE CHEZ LES ENFANTS ' 345 Il regarde par la fenêtre du cabinet; il pl
L'ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES DE LA £ MilIN ' FtiÉQUENCE relative ET PATITOGÉNIE. TEPIIROMA
ns examen anatomique,,le premier se rapporte à un ! tabétique avéré. ` ' Chez un deuxième, il existe de la lymphocytose
antérieure. Cet aplatissement, uni ou bilatéral, est fort peu étendu, ' limité à un ou deux segments médullaires, et le
la fois sur les grosses branches et les petits vaisseaux. La spinale ' 1 antérieure a une paroi considérablement épais
qui compor- tent une vérification anatomique, pour établir ensuite, ' par un certain nombre d'observations purement c
nrnEre, l3eilrüge zur pathologischen Anatomie und zur pcalhogenese de, ' Syringomyelie und der Sytiiigobulbie. Virchows
. 196-Band, t909. SYRINGOMYELIE, HYPERPLASIE DU TISSU CO ? JO.NCTII, ' 365 les cavités ne relèvent pas toujours du mêm
un ongle était encore implanté. L'autopsie a été pratiquée par le D' ' Prouf, qui a eu l'amabilité de nous envoyer la
la NOU\'EI LE Iconographie DE la SALPÉIRILRE. 'r('. : oN. Pl. LI\ ' SYRINGOMYÉLIE. HYPERPLASIE DU TISSU CONJONCTIF.
es symphyses entre l'arachnoïde et la pie-mère ne sont pas rares. . ' Dans plusieurs régions, les éléments conjonctif
côté de l'ex- Fi(;. 14 Nouvelle Iconographie de la SALPÊTRIÈRE. ' T. KXV. PI. LV L , SYRINGOMYÉLIE. HYPERPLASIE
seaux, surtout au niveau des extrémités des diverticules la téraux. ' 4° Des fibres musculaires striées et du tissu c
E CRANIEN PAR Georges PETIT, Interne de la Maison de Charenton. ' Il est souvent difficile de déterminer de façon
t et paraissent aboutir à un état démentiel de plus en plus marqué. ' La pathogénie des accidents convulsifs et des t
odérée, complexion normale ; mimique faciale bonne ; la vue, l'ouïe, ' la parole, la déglutition, la mastication normale
et motrices amenant, par suite des phénomènes spasti- xxv 21 402 ' ROTSTADT ques transitoires, des troubles de la
es et les réflexes cuta- nés de défense ne sont nullement exagérés. ' Réflexes. Membre supérieur gauche. Position de
es diagnostics différentiels, si précis et si justifiés soient-ils. ' Notre cas n'appartient pas à l'inflammation chr
auche. La sensibilité pharyngienne est aussi atteinte du même côté. ' Vision. La malade se plaint d'une certaine dimi
Nystagmus. - Horizontal plus prononcé 'en regardant à droite (côté ' de la lésion dans le premier cas) ; rotatoire dan
LIOMYÉLITE, NÉVRITE RADICULAIRE OU NON RADICULAIRE (Suite et fin) ' PAR R - - PIERRE MARIE et CHARLES FOIX. Nous
e des réflexes . Hémiplégie droite, aphasie terminale. Le 10 mai. ' Hémiplégie droite à début diurne. Le malade s'e
mianopsie droite très nette. En même temps le malade est aphasique. ' Réflexes rotuliens et achilléens plus forts à d
es. Celle-ci est remplacée par un mouve- ment de flexion-adduction. ' Ces données sont confirmées par l'examen électr
adducteur du pouce est pris comme le court abducteur et l'opposant. ' La main gauche paraît indemne ainsi que les mem
eci comporte une double question. Quelle est la maladie causale ? ' ? Quelle esl la lésion anatomique déterminante.
re progressive . Neurologisclies Centralblatt, 1893, no 17, p. 768. ' Scuwartz. Un cas de méningo-myélite syphilitiqu
chiques ont commencé au mois de mai 1911 par un état de somnolence. ' Ensuite elle devint très irascible, elle criait
bservation II (PI. LXIV). Voici maintenant la seconde observation : ' V. G..., 46 ans, fonctionnaire à la douane. Mar
aussi à ce point de vue les cas de paralysie générale avec obésité. ' Mais nous ne trouvons pas à ce point de vue non
Analysé dans la Revue neurol., 1906, p. 461. (2) C. Parhon, Cemtà¡ ' ¡ asupra glandelorae secretunie in/e¡¡1a in rapost
dans notre cas, car la glande interstitielle ne semble pas altérée. ' On pourrait plutôt penser aux capsules surrénal
der si l'épithète grippe ne marque pas une atteinte de tuberculose. ' Il semble qu'il s'agisse dans ces divers cas de
assez nombreux, mais on ne trouve pas de ganglions proprement dits. ' Quelle que soit l'étiologie de l'affection qui
à la prescription du médecin, dit Divis en terminant sa défense. ' II Jean-Baptiste Bohac (1724-1768). Jean Bo
e Typo- graphae per franciscum Ignatium Kirchner factorem. ! ·9l· ' HASKOVEC nerfs mêmes causés par les inflammatio
cti. VI. Hemiplegix causa proxima est immeabililas fluidi neruei pe, ' ne vos. VII. Ilemiplegia prie reliquis morbis e
e étudiée d'après la cinématographie (2 pl.), par de CASTRO, 263. ' Descartes et la psychophysiologie de la glande
et XVII. Démarche dans l'athétose (A. de CASTRO), XXXV et XXXVI. ' Dormeuse d'Olcnd (FROEDEnsTnost), XXXVII. Dys
75 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
OWLA, TUFFIER, WEIL,etc. Secrétaire de la Rédaction : HENRY MEIGE ' TOME ONZIÈME Avec 100 figures intercalées dan
u même son noyau d'origine. Examinons successivement ces trois cas. ' Que se passe-t-il si la lésion siège dans le bu
et dans l'administration de l'iodure de potassium à hautes doses. ' Est-ce sous l'influence de cette thérapeutique qu
ues éléments sensitifs, non confondus avec les éléments moteurs, et ' constituant des centres distincts et séparés ? Je
IOGRAPHIE A L'ÉTUDE DES ANOMALIES DIGITALES PAR ALBERT LONDE et ' HENRY MEIGE. Nous avons déjà eu l'occasion d'in
'arrêts de développement et de changements de direction des doigts. ' IV. Un cas d'ectrodactylie de la variété dite «
di- mensions que les os correspondants de l'auriculaire normal. ' Il n'est pas rare que les doigts surnuméraires ne
T. XI. Pl. VII 'Phototype ue· ? 1. Londe 'Pba/olOll. l3crthnurl ' ANOMALIES DIGITALES Syndactylie et vices de d
i délicat que celui de la recherche des troubles de la sensibilité. ' - Verger qui a fait sa thèse sous l'inspiration
d'ailleurs assorti à son client ; sa mise n'a rien de re- cherché ; ' il est évidemment du même acabit, que ce dernier
ncli- naison de tout le corps hors d'aplomb. J.MARCHE EN flexion. ' Un caractère commun à un bon nombre des démarch
er à différentes époques et faire de fréquents séjours à l'hôpital. ' II fut pris ultérieurement, sans qu'il puisse e
de lIogdson). L'aorte est très athéromateuse sur toute son étendue. ' Le foie est très volumineux. Il déborde de 10 c
isseaux (péri-artérite embryonnaire, caillots dans leur intérieur). ' La moelle a fait l'objet d'une étude systématiq
Nouv. Iconographie DE la S,LPÉrRIÈRE, T. XI. PI. X C . A B ' TABES AVEC CONSERVATION DES REFLEXES (Achard et
OU". ICO\OGRAI'111E DE LA SAIPÈ17RIÉRE. T. XI. Pl. XI A B C ' TABES AVEC CONSERVATION DES REFLEXES (Achard et
DES REFLEXES (Achard et Léopold-Lévy) A. (Méthode de Pal.) - si ; ' lombaire. Sclérose moyenne des zones de Lissauer,
En. résumé, il s'agit d'un tabes dorsalis remontant à 10 ans environ, ' caractérisé par un mal perforant plantaire, des
: <OGR.l.PIIlE DE LA SALFÉTRItRE. T. XI. PI. XII A B C . ' TABES AVEC CONSERVATION DES REFLEXES (Achard et
de corps en remontrerait à bien des adultes ayant dépassé son âge. ' (1) E. 1lI\ISS.ILII, De l'infantilisme mya·coed
très en retard sur le développement qu'il devrait avoir à cet âge. ' Nous. ICONOGRAMIIL DE LA SA ! .PÊfRILI ! E. T.
Jloorlof attribue la cause , de l'af- fection à l'excès de travail. ' Le même malade offre donc les trois stades de l
fération du tissu conjonctif, dans les fléchisseurs des avant-bras. ' SCII\\'.\1\11. (Deutsch. med.\\'hich., 1884) ra
endons, aux aponévroses ou au tissu conjonctif in- termusculaire. ' Pour lui l'atrophie, la dégénérescence fibreuse e
autres fois elles sont arrondies, anguleuses, irrégulières, dentelées, ' pointues ; au niveau des tendons et des aponévr
térieur du sterno-mastoïdien gauche comme première atteinte du mal. ' Dans quelques cas la tumeur primitive s'est mon
ues de la Salpêtrière (1). Nous la ré- sumerons très brièvement : : ' Le jeune 0..., actuellement âgé de 19 ans, est
volumineux, équilibré par le développement anor- mal des fesses. - ' « Les articulations coxo-fémorales manoeuvraien
On peut dire qu'en quelques mois son squelette a vieilli de nll1 ! ' \ip.l1r ! '\ années (1). Ainsi, ce curieux petit
re qu'en quelques mois son squelette a vieilli de nll1 ! '\ip.l1r ! ' \ années (1). Ainsi, ce curieux petit bonhomme r
e les portraits des ancêtres de ce nain infantile et myxoedémateux. ' Si'l'on' veut hien se reporter aux documents fi
() nAI1'l'Il;LE)IY, Note sur un cas de sclérodermie en plaques. xi ' 10 .. 142 "-) LOUIS SPILLMANN . Dans sa thè
(3) Putain, art. CEtnEAr, Dict. encycl. des se. nzétl., 1S73, t. ,Tl\ ' , p. 261. (4) M. COINGT, Conlrib. à l'él. des sy
e l'urine sauf pour l'urée et le chlorure 160 A. WEILL ET J. NISSIM ' 1 de sodium. Notre malade nous a donné : chloru
que les ossifications se montrent dans tout l'appareil locomoteur. ' Ziégler pour expliquer la localisation des masses
irritation du tissu conjonctif par les traumatismes et 16C C) A. \\ ' BILL ET J. NISSIM les extravasats sanguins, qui
, et qu'à gauche au contraire le muscle ossifié recouvre cet angle. ' Au-dessus se voit une profonde vallée, bordée l
sont atrophiés, et les fosses qu'ils comblent sont assez accusées. ' Deux jetées osseuses partent des angles supérie
e. Dans les membres supérieurs le malade sent des fourmille- ments. ' La parole est lente, monotone, traînante ; on a
xtérieure et aspect normaux. Pas d'athérome. Poids : 1,200 grammes. ' Cervelet. La surface extérieure est de configur
oll et dans les cordons antérieurs, au niveau du faisceau de Turck. ' NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T. XI, PL.
du faisceau cérébelleux direct, mais moins marquée dans ce dernier. ' - Dans les cordons antérieurs, on constate une
e sur une moelle normale. Les fibres pa- raissent aussi atrophiées. ' Région cervicale. - Même topographie des lésion
urologistes et des Aliénistes de Moscou le 19 décembre 1897. 186. ' " N. SOLOVTZOFF viennent au monde des .héljtÏcép
timètres, et entre l'os pariétal et l'os tem- poral, 3 centimètres. ' A la section de la voûte crânienne il s'écoula
t celte vieille figure de sorcière qui jette un regard oblique ? OU\ ' , Icovocammne DE LA Sn«i : rmcut. T. XI. PI. XXV
lanc, son tablier relevé, se tient debout et regarde l'opéra- tion. ' A droite, au premier plan, un baquet renversé e
quelque régiment; sa blessure est peut-être une blessure de guerre. ' Jeune aussi et de mise soignée, avec des cheveu
rracheur de pierres de tête. Janus, 1898, janvier et février, p. 3T5. ' 210 HENRY MEIGE « Le mobilier ne comporte que
car au bout de huit jours on renvova la malade chez elle. Dans 216 ' F. RAYMOND la rue, elle fut prise pour une femm
ne dans l'autre, et elle tombe tantôt d'un côté, tantôt de l'autre. ' Les réflexes tendineux sont peut-être un peu af
compression locale; nous aurons donc à en tenir compte dans la 222 ' F. RAYMOND détermination du diagnostic topograp
ils spéciaux destinés exclusivement il la perception.de la douleur. ' Nous savons que la température haute ou basse a
ures ; opisthotonos permanent, sans rémission, depuis la naissance. ' C'est « un enfant de bois », chez lequel seul s
ion (communiquée par le Dr RIUE\t0lT-DECS : 11GNES. - En 1891, le D' ' Ribemont-Dessaignes fut appelé auprès d'une femme
l fallut recourir au basiotribe ; la perforation du crâne donna issue ' , une notable quantité de liquide céphato-racbid
cette curieuse particularité d'une circulation vei- neuse exagérée. ' « Il n'est là, certes, rien de spécial à la syp
infantile développée à l'âge de G mois. Le malade mourut à 53 ans. ' Sur une coupe de la moelle colorée parla méthod
n plusieurs endroits, on voyait des pointes osseuses, longues de 5 ; ' ) 10 cent. et il n'est pas douteux que l'irritat
liments de peu de cohésion par DE la myosite OSSIFIANTE PROGRESSIVE ' 279 une brèche due à la perte de deux dents. Le
cteurs droits jusqu'au milieu de la cuisse, sont transformés en 280 ' ,\. WEILL ET J. NISS1M une masse irrégulière, u
rme on trouve un tissu spongieux com- posé de cellules hexagonales. ' Testelin et Dambressi rapportent ici l'examen c
uleur crayeuse de la tache. OBS. XIII. Munchmeyer, Zeitschrift /«) ' ration. 1)Iedicia, t. XXXIV, 1869. Autopsie par
us- (1) Cette observation a été également publiée par Yurasz. 290 ' A. M EILL ET J. NISSIM qu'aux doigts. Traitemen
ncore assez bien. Ons. XVIII. C. NICOLADONI, Wiener metl. Bloelle ? ' , 1878, nO' 20-2. Léopoldine Beck, 7 ans, a prés
t, mort à 79 ans; grand'mère à 78 ans d'une affection pulmonaire. ' Grand-père maternel rhumatisant avec raideurs dig
ions avec les enfants de son âge ; aujourd'hui il est très méfiant. ' Etat actuel, 22 avril 1885. -Notre malade offre
és diverses consistant surtout en l'atrophie de différents muscles. ' Il y a un léger' degré d'aplatissement des musc
ux hanches, le fait de Launay (2), et une pièce du musée Dupuytren. ' La pièce sèche du musée Dupuytren est décrite e
en- fant. OBS. XLV.- (Steffen, Angeborene llypertro. der einen /0) ' ;Mr/M ? Jahrb. f. Kinderh. Leipzig, 199t, XXXVII
LE 349 OBS. XV. - (ZIIDKOVSKI (Y. P.), ? <t/<ype)'<)'0/t : ' ( ! sinist1'a, (in a boy 11 years old). Arch. ps
Son épaisseur est bien plus considérable que celle du côté opposé. ' Profondément sous elle, l'apophyse malaire droi
la joue, XI 1 24 Circonférence frouto-pariélo-occipitale maxima. ' A, côté du front ; P, côté de l'occiput ; D, cô
hts vorltommenden Eirscheinungen, mit besonderer Berilchsichligung de; ' Pigmentation . Charité Annalen. Bd IX, S. 619.
rilchsichligung de;' Pigmentation . Charité Annalen. Bd IX, S. 619. ' MAS)iMEAx. Thèse de Montpellier, 1887-88. MAC
celles-ci sont cependant encore un vestige de l'écorce céré- brale. ' Comme exemples d'une semblable hydrocéphalie no
ce dernier est fermé au niveau de la partie cervicale supé- rieure. ' L'observation suivante peut servir d'exemple de
e du tubercule quadriju- meau postérieur est peu déyeloppé(PI. 1LV,\ ' ).1,e méme aspect s'observe au niveau du troisié
t pu remplacer l'absence d'impulsions venant de l'écorce cérébrale. ' Quant aux autres monstres leurs cellules présen
schild. Ons. XXVI11. GODHH, Tran. of. clin. soc., t. XIX, p. 333. ' Présentation du 28 mai 1886. T. D..., 3 ans, en
flement du côté gauche du dos a apparu quel- ques jours auparavant. ' 25 mai 1886. - Sur le bord externe du grand dor
d dorsal, les pectoraux et une partie du deltoïde étaient ossifiés. ' Cas. XXXIV. J. 13RErrNSORrr, Berlin, ! clin. Wo
le sterno-mastoïdien droit est épaissie et dure, mais pas ossifiée. ' Sortie de l'hôpital le 14 décembre 1888, elle m
et flexion de 15°, extension jusqu'à la ligne axil- laire médiane. ' Bras gauche. Abduction mis, flexion 15° et exte
l'espace de quelques jours elle atteint les dimensions d'une noix. ' 27 avril. - Une incision au niveau de la tumeur
occupant une grande partie de la portion axillaire du grand dorsal. ' D'autres masses dans le grand rond, le long du
voulue. Reste à savoir si elle répond à une réalité patholo- gique. ' Or, cet aplatissement de la face et du front d'
Alphonse B..., chaudronnier, âgé de r5 ans, entre le 22 août 1898, : ' ) ! 'hôpi- tal Cochin. Il n'y a rien à signale
pproche de la ligne médiane, en faisant une saillie sous la peau. » ' C'est exactement ce qui a lieu dans notre cas.
lonnaire ; 4° Le rétrécissement de la paroi postérieure du thorax ; ' 5° L'élévation de la moitié correspondante de l
la 'N'ou ? ICO40GItAP[lir. DE LA SALPLIItILiti . T, XI. PI. L \ ' ! ¡'IloIYI'le (t rtll1uol. r.uis NOEVUS ANGIOMA
nts ou les' parties des gencives qui lui ont opposé une résistance. ' Les maxillaires paraissent épaissis, mais il es
ulaires sont flasques et la mensuration circonféren- tielle donne : ' A la partie moyenne du bras gauche 10 centimètr
ielle donne : ' A la partie moyenne du bras gauche 10 centimètres.* ' A la partie moyenne du bras droit 20 centimètre
lombaire à concavité gauche. Les seins sont également dé- veloppés. ' Rien au coeur. Ni sucre ni albumine dans les
e, pouls, phénomènes physiques, les mêmes à peu près que la veille. ' SUR UN CAS DE 'I'ACIlYI'NI3 HYSTÉRIQUE SECONDAI
longeant dans un épanchement liquide apparemment peu abon- dant. t. ' Comme le malade se plaignait incessamment d'une
es à la la- chypnée, et telle est précisément l'originalité du cas. ' La dyspnée est bien de nature hystérique ; mais
ée à gauche qu'à droite ; elle semble faire partie du grand dorsal. ' Le trapèze est sain. Dans les triangles posté
. Antécédents personnels. - Rachitisme à 2 ans, coqueluche. - 480 ' C A. WEIL ET J. NISSIM é.) ¡ Actuellement. Re
Les autres articulations sont norma- les sauf un léger craquement. ' 4° Lésions en connexion avec les glandes. - On
ion du squelette d'un malade atteint de myosite ossifiante progrès- ' DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 481 sive,
iliaque. Cette ossification va probablement jusqu'au carré lombaire. ' ^Partout à la limite des masses osseuses on cons
gauche. La première phalange semble manquer. Le tronc est raide. ' Les autres organes sont normaux ; rien dans les
rus gauche rapidement guérie. Mort le 18 mars 1897 de scarlatine. - ' Dans ses derniers jours, ankylose du genou droi
ans les tendons, les aponévroses, les ligaments et les os ; '.488 ' A. \VI',lL E'r J. NISSIlIi , , - 2° Anatomiquem
de Wurzbourg, 1883. ) - Ztsch. f. klin. med., 1884, VIII, 155-174. ' PoMASKY. Oesterr. Ztsch. f. prakt. Ileilk., 187
ndront-ils pas Mir la ligure el le caractère du personnage ? ... [ ' ,il masque aux traits durs, aux contours anguleux,
s'engagea : devait-il oplcr pour la médecine ou pour la peinture ? ' 11 apparaissait également doué pour l'une on l'
type ainsi ()[c.pu) ! t'h)n( ! rcpIns('tai ! '0)im))tc)tvat<'))) ' ,<HtLcar<)))pC ? h)s lard autour de ce der
telle irrégularité dans les caractères graphiques de son écriture. ' Pour lui. « visuel » incomparable, le dessin 11
iée, riche en images, niais surtout d'une ('1011 lia Il le darlé. ' Au verbe, il ajolilaiL pad'ois le gc"lc, ('11('01
a Il le darlé. ' Au verbe, il ajolilaiL pad'ois le gc"lc, ('11('01'( ' 1]11(' d(' 111011\'CIIICIiLs ola- loircs il se
darlé. ' Au verbe, il ajolilaiL pad'ois le gc"lc, ('11('01'(' 1]11( ' d(' 111011\'CIIICIiLs ola- loircs il se montrai
lé. ' Au verbe, il ajolilaiL pad'ois le gc"lc, ('11('01'(' 1]11(' d( ' 111011\'CIIICIiLs ola- loircs il se montrai for
. Fallait-il créer une loi d'exception concernant les Hystériques ? ' ! L'importance (pie Charcot attachait à l'élude
er d'elle-même. El c'est là surtout que l'artiste en lui se révèle. ' Qu'il s'agisse d'analoinicpure, d'histologie no
se, parfois même la révélation (l'une maladie in- connue jusqu'ici. ' L'artiste, qui, chez allait de pair avec le li'
criture littérale, un bien une sorte de langage hiérogly- phique. ' Dans les lettres qu'il écri- vait à sa famill
e trop longue description. ce « jeune utminiois et sa peine SCCII ! ' », si piteusement mnscraum, en leurs loques fra
oureux de Coloinbine, découvert en flagrant L délit (I'l. l.lll. e' ' ' t Il serait aisé d'en ciler d'autres, car les
reux de Coloinbine, découvert en flagrant L délit (I'l. l.lll. e' ' ' t Il serait aisé d'en ciler d'autres, car les d
de couleurs, par Charcot MASSON & çle, Editeurs. - 1'¡¡S,lg( ' fdlllaisi'll' llc"illé ? si ? i l3li. . - - ? 0
! (flle pcu IlIyslt"ricux. tlléllagcalll des 1'L'll'ailes d'ollll)l'( ' propi('es llil silence el à la méditation. Da
n. Dans cet illlll'iclll' qlli l'éalisai[ CIl('Ol'e Ù desscill 1111( ' sYlllhi.'sp, celle de toutes les élégances déco
oeuvres dos, meilleurs maîtres aux motifs d' ol'l1elllCllla 1 iOIl. ' La façade (le son hôtel était décorée de plaque
n spontanée : dans son profil, on retrouvait le galbe. sévère du Danl¡ ' JÛ2 Et. comme les maîtres du xvic siècle, qui
e qu'il méditait d'entreprendre était, à l'avance, mûrement étudié. ' A la vérité, il ne se préoccupait guère de l'or
ntemplation, il s'apprêtait à recueillir des impressions nouvelles. ' Cependant, quelque confiance qu'il fut en droit
, ? IIsoi : lllèIIlC insignifiant, mais l'ini- . llrCSSlul1 (llll s( ' (I( ? il;('. (Ic I élls(.'lll- ~ble esl à la Ib
l'oll(lcllr. olc ces paysages .tih(''ah'cs.)c)f(tHan()ais\an'<..( ' \t'n excellait en son temps. Charcol le compta
. Charcol le comptait1 au' nombre' de ses Illai- Il-es . v ." V( ' \cXtaussi,cc moujik barbu, C) ! i ! nito) ! t; d
inés par Char- ('11l IUI', de son premier voyage en fiu.ssic. )ja( ' ('ttccti)t0)t est ment curieuse. Tous son I d'un
(llIC dcChal'cul a 1111 pn\tcl' il la I ! ll"pl'isc, el si, de le \oi, ' Cil [lassant, on pouvait avoir l'impression d'u
it en- juger autrement. Il faut le dire, car telle est la vérité. ' Sans jamais se (le sa )'(- serve naturelle, C
l faut le dire, car telle est la vérité. ' Sans jamais se (le sa ) ' (- serve naturelle, Charcol n'élail ce- pendan
quis et les notes de voyage pris au Maroc par le peintre Delacroix. ' , Si Charcot. avait surtout l'oeil exercé au di
l'clrOIlYe aussi l'indice du goût qu'il a\ait pour le fantastique. ' Mais ces). la une page exceptionnelle. - ' "
pour le fantastique. ' Mais ces). la une page exceptionnelle. - ' " ' ? Chai'colcédailvolontiei's roquer ", en qu
ur le fantastique. ' Mais ces). la une page exceptionnelle. - ' " ' ? Chai'colcédailvolontiei's roquer ", en quelqu
dé- sortnais de l'identité du malade de liuoruc- )HO))Ut ? ...) ' » LOliguc / sérail la liste des personnages c
ellant mn év illencc Ilnclync sin- gl¡]al'il( dll ({Ol'pS 011 d ! ' l'esprit. Parmi scs cul- lègues, les professe
des morts, ont élé l'occasion des pius innocentes drôle- ries. ' Il fil aussi des carica- tures de ses élèves.
èves. Celui qu'on voit ici, dle\'clll et l1al'llll. allcn- ti ! ' Ü SOli lahem, l'Ill 1111 des premiers collabora
lus d'une fois, il se' donna le malin' plaisir de le cari- caturer. ' ' .-^ -~"J^K' : }~ ? 3 C'est lui qu'on voit, so
s d'une fois, il se' donna le malin' plaisir de le cari- caturer. ' ' .-^ -~"J^K' : }~ ? 3 C'est lui qu'on voit, sous
e principe même de (le la ! 'l.u.icallll'e. Mais, au comique près, [ ' ;Il-( du clinicien Il'a-t-il pas pour objet de dép
aau, les wmènins ;iim wmmnir, s'em;liaucW.... Il faut se limiter. , ' Ce rapide coup d'n'il jeté slir l'artisle el su
76 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
RECHERCHES SUR L'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE ' PUBLICATIONS DU PROGRES' MEDICAL RECHERCHES
toire du service pendant l'année 4902 (l31cët·c et Fondation Vallée) ' BOURNEVILLE, Dicêlre, 1902. * PREMIÈRE PARTIE
on, nous le faisons remonter dans la 4 ? classe de la grande école. ' IL Enfants idiots gâteux ou non gâteux, épilep-
. Le zézaiement, signalé à son arrivée subsiste encore aujourd'hui. ' Quatre enfants ont beaucoup progressé pour tous
s. Ils ont lieu soit avec les barres d'entraînement, soit avec les " ' barres à sphères ou les haltères, soit les main
. - Enseignement du chant. xix a l'Institution Nationale des 801l/ ' ¡[S-luIICtS. De plus, comme nous avons un certai
ections spéciales d'enfants, annexées aux asiles ou Ü la créa- \X ' Fanfare et Orphéon. tion d'asiles-écoles et de
(3), l'Histoire de France, les plantes équatoriales ou tropicales. ' Grâce à ces collections qui se complètent de jo
arrivé à le rendre poli d'abord, -moins grossier et plus courageux. ' 2e classe. 4° l3elllz... ? 26 ans : arriération
N. Ferrer, de 1'orto-Iieo; D" Aclolfo i;üemes, cle Ruenos-Ayres; D' ' Joseph Ficheman, médecin de l'asile des aliénés
ité Tchèque, médecin de la Maison des aliénés, à Prague (Bohème). ' Dr Charles Ilacberlin ; DL' Harlet, de Roubaix(No
suivre régulièrement tous les exercices pendant plusieurs semaines. - ' xliv Visites du service. de Madrid (Espagne)
à Ouzouer sur Trezé; 1) ? Lotiise, G, Robinoyitch, de New-York; D' ' Vladimir Skalicha, chef de service il l'Institut
rieur de Florence, sous-Directeur du Sanatorium Casanuow(Itlie) ; D' ' Soutzo fils, de Paris; M Jiro Shimoda, Professe
on des Enfants de Bicétre, par Bourneville, ( 19 î'.1-1 Ç ! ^o , '. ' z 'XLVI M¡ ? im 1'.\THOLOGH, ! UE. en mesure
ations pathologiques de la main, 1 d'encéphalocèle, 1 de cyphose ( ' ? ), 47 présentaient des p>ieds-bols ; 2 étaie
les enfants du service. Nous avons bien observé quelques cas L\\1\ ' Consultation DU jeudi. de conjonctivite à pneum
que ceux décrits dans nos précédents Rapports. Fondation Vallée. ' LXXIX Les idiotes galeuses se divisent eu deux
re qui nous a été transmise. Monsieur le Docteur. Conformément ; ' ¡ une décision de la Délégation cantonale, j'ai
autres cantons. Dois-je m'étendre davantage sur certains détails ? ' ? Recevez, Monsieur le Docteur, mes respectueus
te qu'elles l'auraient désiré, une transformation de leurs enfants. ' IL Condamnation d'un dégénéré épileptique.
jeune soldat, du nom de Bellanger 11'crnand), vient- tout récemment ' d'être condamné par le conseil de guerre siégea
Notre intervention, provoquée par notre excellent con- frère le D' ' Gilbert-Petit, a obtenu plein succès; Il a été
est une excellente pratique qui. mente d'être appliquée* chez nous. ' BOURNEVILLE., Bicêtre, 1902. ? »** III. Les
eurs formes : 1° nanisme avec infantilisme; 2° nanisme avec obésité; ' 3° nanisme avec mymeclèmc congénital ; 'i0 nani
plus d'inllamll1af,lon; le bout rongé il gauche semble repousser. ' 1.')Jmn. T P. 3ï° le matin, 37°, 3 le soir. 16
14 Idiotie mongolienne : crâne. Idiotie mongolienne : cerveau. 1; ' la frontale et la pariétale ascendantes et le t
pocampe et la corne d'Am- mon n'offrent rien de signaler. (l. I). ' Face interne. 1 , peu sinueuse, reçoit un pli de
lish Médical Journal, Vol. L. 18SG). Jones (R.), The moulh in ac/na) ' (11111)Ccilcs) oflhe 11JOnr ? inn Tlllrr. (.T01
Sutherlm1L1, Mnngolian imberililal in Infants (Prnclilioner, dce. ' [809) ; Différentiel cli,,tgnossis of Mongolinn an
inç¡'s Coll. Hosp. Rep., vol. Vis, 188-l8'ltl) : - liras. 1V'iez. 7\ ' /tn. 1Voc/wns- chrifl, 1890. p. 73.1); Ncumann (
. P. A.), Noie on the Lillle Finger oflhe illo71goli,in Idiot and o/ ' rr.ornznl r : hilr.l¡'I'J1. (Archives nI' Pedia-
ernelle, morte d'apoplexie cérébrale. - Oncle maternel, très ner- ' veux, plusieurs congestions cérébrales, la derniè
Grand'mère maternelle morte à 50 ans d'un cancer du pylore. Rien ' de spécial sur le teste de la famille, l'as de co
mère (. croit que la conception a eu lieu pendant l'ivresse du 38 ' Antécédents personnels. père". La grossesse fut
une' fièvre typhoïde. Gra-nd-pére maternel : syndactylie.- Grande ' mère maternelle, migraines constantes. Concepti
Persistance du trou de Botal. - Ectopie testiculaire. gauche, - - - ' Idiotie complète ; diplégie. 53 Joha... (Edmo
re mémoire de 1890 offrait une lordose très prononcée. (C'olllllte-¡ ' ('¡¡du de 1890, p. 213). Le malade de l'observat
mémoire de 1890 offrait une lordose très prononcée. (C'olllllte-¡'( ' ¡¡du de 1890, p. 213). Le malade de l'observatio
ne commu- nication au Congrès des aliénistes et des neurologistes ' (session de Bordeaux), intitulée : Trois cas d'idi
n'aurait rien pré- senté de particulier jusqu'à l'âge de trois ans ( ' ? ). Il causait et jouait comme les autres enfa
ence de la tuberculose chez le père de Deb., un frère et une soeur. ' - ` II. Dans ce cas, de même que dans quelques
dans la circulation. N'en serait-il pas de même du corps thyroïde ? ' ? Dès lors on s'expliquerait facilement la cach
. Fia. 7. - Deb... avec sa pipe et sa canne (Février 18 : 10). 98 ' IDIOTIE myxoedémateuse Traitement thyroïdien. 9
uis la dernière observa- tion l'enfant il gagné 4°. »] '. .' - ` ` ' ? . 1896-1902. 1896. - Dentition. Depuis le der
e. Les urines ne renferment ni sucre, ni albumine (Fig. 3. 4 et 5). ' Décembre. - Puberté. Le tiers moyen de la lèvre
Le matin et jusqu'au début des accidents mortels, Deb... n'avait ' rien offert de particulier. Il avait déjeuné comm
e 182,9. Les dimensions du crâne de Debarg.. sont donc supérieures. ' Le diamètre antéro-postérienr maximum part en a
mesurer d'une façon mathématique l'inclinaison des différentes '1)8 ' IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE. parties du crâne par ra
icipitale manque. Voici quelques mensurations : * - Omoplate : .' ' ETUDE DU SQUELETTE. 125 15 reste de l'os ne p
r. A, trou auditif. B, basion (bord antérieur du trou occipital). ' Voir sur les os du crâne des myxoedémateux infant
e rendu de 1894, p. 122). RÉFLEXIONS. 131 histologique du cerveau ' font de cette observation l'une des plus complè
eur : Encéphalites chroniques de l'enfance (Ibidem, 1). 113). 132 ' Bibliographie. cation faite au Congrès internat
° Garçon mort à six mois du choléra infantile. Pas de convulsions; - ' 3° Fillette de cinq ans, bien portante, bien dé
Mange proprement, mais il ne se sert toujours que de la cuiller. ' * 18 mars. Plaque de teigne assez bien délimitée a
ux dans le service, autrefois, deviennent de plus en plus rares'. ' Le tableau des mensurations de la tête, offre que
uvements violents du foetus ci cinq mois. Rien d'anormal à l'accou- ' Communication au Congrès des aliénistes et neurol
. Par contre, en mars 1902, il y a eu une véritable exacerbation. ' Une fois par semaine, en mai, nous avons fait ven
lques jours, nous avons appris que la guérison se maintenait'. 1. ' A la fin de décembre 1902, il n'y avait pas de re
, pas de traumatisme dans les crises. Guérison depuis février 1902. ' - sinon.. (Marcel J.), né à Paris le 11 janvier
ier 1893, est entré le 2 novembre 1901 et est sorti le 26 février z ' Antécédents. héréditaires. Renseignements fourn
s : forme et attitude normales, bien développés. Pas d'onycophagie. ' Membres inférieurs, rien à noter; la station et
de Athènes qui luy en donna un traict de moc- queric par ce vers : ' Sylla est une meure asperse de farine. La col
la plus brune est la région malade et qu'il s'agit d'une éphélide. ' D'après Hardy ( loc. cil., p. 61 ), la canitie
es jours. Ces faits nous paraissent de nature a expliquer les plié- ' nomènes qui se produisent chez la catégorie des
agents physiques ; ¡ . t ? rur;raw : wr.r.r : . .. Notre ami le D' ' Vugt a publié clans le n° du 15 dé- cembre 1902
fessions » ces 101 cas se répartissent ainsi : . Blanc de céruse. ' XVIII. Note statistique sur le rôle de la con
LIE; IDÉES DE CULPABILITÉ. 195 Température des cinq premiers jours. ' 196 Mélancolie; mutisme. z yeux creux et cern
n'avait pas eu ses règles. A partir de là elles ont été régulières. ' ( ? ) Elle s'occupe surtout de dessin en vue de
ain, il a une grande diffi- culté à tenir sa plume et à la diriger. ' Il est très attentif et retient bien ce que l'o
eur ce qui fait qu'il a la tête remplie de bosses et de contusions. ' Le jour de sa rentrée à l'école, sans cause con
pression. Son carac- tère est triste, mais affec- tueux. André. ' et l'extension de la hanche, mais difficileme
17 du Progrès médical (1901, p. 2731. 250 Affection familiale. ' Son histoire détaillée que résume le sommaire, es
te, ce diamè- tre est de 47 ? il est de 44 ? chez Lecl.. (André). ' Le bulbe semble atteint par l'atrophie. Le pont d
é, à l'autopsie, une inégalité de poids des hélllisJil/(¡'cs ('I ! ¡ ' (30¡',W,\'. Nous les avons classés d'après le ch
l'autopsie, une inégalité de poids des hélllisJil/(¡'cs ('I ! ¡'(30¡ ' ,W,\'. Nous les avons classés d'après le chiffre
1880. LEROY (A.). De l'étal de mai épileptique. Thèse de Paris. S¡ ' : GLAS (J.). De l'influence des maladies intercur
e l'action de la glande thyroïde sur la croissance. Thèse de Paris. ' Griffault (G.). Contribution à l'étude du trait
stérie, de l'idiotie et de l'im- bécillité. Thèse de Paris. 1901. ' Pareur (P). Purpura dans l'Épilepsie. Thèse de
re, 2e, 3° circonvolutions frontales. LPS, lobe pariétal supérieur. ' LPI, lobe pariétal inférieur. F, fourche. ,
ution pariétale ascendante. FA, circonvolution frontale ascendante. ' r SR, sillon de Rolando. PC, pli courbe. LO
77 (1825) Anatomie des systèmes nerveux des animaux à vertèbres, appliquée à la physiologie et à la zoologie : Atlas
·n V a1 ' iJ DES * tcl ? wrpWH ? pT"rY DES ANIMAUX A
ntricule. G, moelle épinière. G s, cordon supérieur de la moelle. ' G i, cordon inférieur. 11, lobe impair du qua
s de lobes cervicaux des trigles. M, lobe ou renflement intrr-scapu\ ' ¡irc des oi- seaux et tortues. N, id. inter-il
e ou supérieure. Q, éminence olivaire. il, éminenccs mamillaires. ' . S, glande pituitaire. . T, pédoncule du cer
DES SYSTÈMES NERVEUX LATÉRAUX. I, nerf olfactif. II, nerfoptique. ' III, troisième paire. IV, quatrième paire.
III, troisième paire. IV, quatrième paire. Y, cinquième paire. ' . a, branche opthalmiquc. 6, maxillaire super
deuxième. c3, nerf de la troisième. c4, nerfs du sac des pierres. ' , . VIII, nerf pneumo-gastrique ou vague, i b
nerfs des autres branchies. 5 , J , t, nerf de la ligne latérale. ' m, nerf oesophagien et stomacal. " n, ncrf oe
-choroitle. «-, rétine et insertion du nerf optique. p, iris. , . ' p', palmette de la pupille des raies. t, cerc
. , . ' p', palmette de la pupille des raies. t, cercle ciliaire. ' ' 77, processus ciliaire embrassant la capsule
, . ' p', palmette de la pupille des raies. t, cercle ciliaire. ' ' 77, processus ciliaire embrassant la capsule cr
. ' ' 77, processus ciliaire embrassant la capsule cris- talline. ' x, capsule cristalline. p, cristallin. e, p
doigts (bradypes diclactJ-Gacs ) , vu en- dessus. . PLANCHE III. ' Fig. i. Systèmes nerveux du squalus ga feus, vu
cles dans une membrane aponévrotique qui coiffe le globe de l'oeil. ' Fig. 4. Encéphale, nerf optique et rétine dépli
des nerfs encépha- liques, jusqu'à la septième paire inclusivement. ' ' Fig. 3. Encéphale du trygla hïrundo (ou perlo
s nerfs encépha- liques, jusqu'à la septième paire inclusivement. ' ' Fig. 3. Encéphale du trygla hïrundo (ou perlon)
es. Fig. . Systèmes nerveux de la morrue (ga.dias mO'1'r ! 1/I.{¡a ) ' , vus en-dessous. Fig. 5. Systèmes nerveux de l
i et a. Muscle droit interne. - 3 et 4- Muscle droit externe. 1 / ' 5. Nerf optique. - - 6. Artère opthalmique co
. S. Veine opthalmique. 9. Pie-mère naissant de la carotide 10. " ' , . 10. Artère carotide. , n et 12. Rameaux d
ale. - Fig. 2. Encéphale d'embryon humain de trois mois, développé. ' ' Fig. 3. Coupe verticale du même sur la ligne
e. - Fig. 2. Encéphale d'embryon humain de trois mois, développé. ' ' Fig. 3. Coupe verticale du même sur la ligne mé
éveloppé. ' ' Fig. 3. Coupe verticale du même sur la ligne médiane. ' Fig. 4. Même encéphale d'embryon un peu plus âg
reçoit par juxia-position au-devant de la base des lobes optiques. ' , Fig. 4. Système nerveux de la vive (t1'achinu
quc du nerf optique ouverte à gauche; droite, les plis sont montrés ' ouverts par une section faite près du lobe optiqu
sont montrés ' ouverts par une section faite près du lobe optique. ' - - Fig. 5. Systèmes nerveux du merlan (gadus m
ième paire. Fig. 2. Encéphale de tortue terrestre, vu en-dessous. - ' Fig. 5. Idem, vu en-dessus. Le lobe optique est
le plexus choroïde et le corps strié. Fig. Zi. Idem, vu de profil. ' , Fig. 5. Coupe verticale du cerveau et du crân
1 bis. Coupe faite au sommet de l'angle du quatrième ventricule. 12 ' Fig. 12. Coupe de la moelle allongée du' boeuf,
vec caractères neufs, 1 vol. ici-81. Prix, broché , . 8 fr. 5o c. ' Les mêmes, édition classique. fr. 5o c. ' - Que
x, broché , . 8 fr. 5o c. ' Les mêmes, édition classique. fr. 5o c. ' - Quelques exemplaires ont été tirés sur gr.
pier d'Auvergne, avec de beaux caractères, et ornés de 12 gravures, ' ` gravées avec le plus grand soin d'après les
auteur, et publié par lui-même. Paris, IS19' 1 vol. in-8" broché. ' 4 fr. llE11ZÍ : Ll ! >S. - De l'emploi du ch
78 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
L'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE ' · DES ENFANTS IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS
TS IDIOTS, ÉPILEPTIQUES ET ARRIÉRÉS DE BICÊTRE PENDANT L'ANNÉE 1891 ' par BOURN.EVILLE . MÉDECIN DE BICl;TAE Av
les quais de la Seine, au Port à l'Anglais, à l'Hay, Cagneux, etc. ' Tous les enfants sont allés au jardin d'Acclima
lpêtrière, et a été remplacée par M"" Givalois, suppléante. (4) M" ' Athénaïs Bohain a été nommée sous-surveillante le
d'ani- maux. Peu après, nous avons reçu 29 spécimens de minéraux. ' Au mois de juillet, M. le D1' Oustelet, aide-na
elle, mise du couvert au réfectoire), à la couture et au repassage. ' , ' 50 enfants vont à l'atelier de couture, les
mise du couvert au réfectoire), à la couture et au repassage. ' , ' 50 enfants vont à l'atelier de couture, les unes
ulation. MOUVEMENT DE LA POPCLATIOX. LVII LVIII DÉCÈS. 1 DÉCÈS, ' Lta Section III. I. Assistance des aliénés.
permettre de citer le passage BOURNEVILLE, Bicêtre, 1891. ? Llvr ' Assistance des aliénés.' suivant de mon dernier
re rendu responsable d'une situation contre laquelle il pro» teste. ' .. - ? ..... Votre 3me Commission est d'avis de
les demandes de séquestration d'enfant» dont vous êtes saisis. - ' En dehors du principe de la liberté individuelle
inuer à recevoir les placements d'enfants à titre volon- taire. , - ' M. le Dr TAULE, - Pour le cas où la Commission
u Calvados avec lesquels le département de la Seine a des traités ? ' ? M. LE Roux : . - Ainsi que j'ai eu l'honneur
, que celui qui s'est écoulé pour la seconde enfant, L... (JIa1'ie), ' prise le 22 mars, soit cinq jours après l'entré
de* ohaqlle côté dans des espèces de cellules, ou mieux, de boîtes, ' les enfants sont témoins de scènes déplorables,
u mieux, de boîtes,' les enfants sont témoins de scènes déplorables, ' w01éirt- lés= luttes parfois nécessaires pour l
és= luttes parfois nécessaires pour la mise en voiture' des adultes, ' sont effrayés par ces luttes,' par les gestes,
pour la mise en voiture' des adultes,' sont effrayés par ces luttes, ' par les gestes, les menaces, les- cris de fureu
ndent les propos les plus' extravagants et les plus obscènes. - : - ' *'' Enfin, il est un autre inconvénient que nou
au Dépôt. Au lieu de les faire coucher clans des cellules séparées, ' il arrive qu'on les fait coucher dans le même l
tement en faveur du voeu que nous vous prions d'émettre, à savoir : ' : : Que toutes lesfacilités possibles soient donn
ouveau aux familles pour les placements volontaires d'enfants.' ; ' M. B : 11LLY. - Il semble résulter de coque vient
ers municipaux, de médecin», i.·v1'I i Assistance des aliénés.' . ' etc, la réclament avec moi... ? Nous n'avons pa
stamment vicié par la bave des idiots et les déjections des gâteux. ' « Deux cours, de dimensions également très rest
tre et 27 places de petites filles à la Fondation Vallée. De sorte, ' , que sous peu de jours, il n'y aura même plus d
de me trouver sur ce point en désaccord avec M. le D1' Bourneville, ' , je crois devoir persister dans mes conclusions
Commission croira devoir prendre. Placement des enfants. - XCI ' M. le PRS1DDTT. - Il me semble que nous sommes to
ient reçus au sur et-à mesure des vacances. Ce sont donc les mots ' « de nouveau » qui constitueraient un blâme pour l
de nouveau » qui constitueraient un blâme pour l'Adminis- tration. ' M. le D1' BOURNEVILLE, - Les déclarations très
t données aux familles pour les placements volontaires d'enfants. , ' , M. Bailly. Je demande que la Commission ajour
aient d'atténuer la triste situation que nous avons fait connaître. ' M. le Président. Dans sa séance du 30 avril der
voitures semblables à celles en usage dans les asiles de* la Seine. ' ; M. le Président. La commission, on effet, s'as
r à la même heure, au Conseil supé- rieur de l'Assistance publique. ' VI. Infirmerie spéciale du Dépôt de la Préfec
une situation reconnue tout à fait défec- tueuse par tout le monde. ' M. Bailly. J'estime, d'accord avec mon collègue
ues du Conseil général. (1) P. Garnier. La folie Paris, p. 70. en ' . Transport DES aliénés. , M. le PRÉSIDENT. - J
à visiter que les cellules affectées au service des alié- nés (1). ' , Je pense que M. le Préfet de police ne nous l
ance du 14 mai dernier tenue à l'hospice de la Salpêtrière, M. le D' ' Jules Falret lui a signalé les graves inconvéni
circonstances, a des inconvénients. Elle mérite d'être restreinte. ' , La question soulevée par M. Bourneville pourr
- Est-ce qu'on ne pourrait pas imposer un; travail à ces malades ? ' ? M. le Dr Bourneville. C'est en effet ce que l
1) A la date du 7 décembre, matin, l'auteur indique deux températures, ' 38. et 38*4. Est-ce une erreur ou s'agit-il d'u
entrale, ou s'est-on contenté de 1 a tcm pérature axilliaire ? 38 ' Température dans l'épilepsie. Ces lacunes aurai
pitaux de Paris, 1869, p. 164, et Société anatomique, t869, p. 152. ' (2) Éludes de thermométrie clinique dans l'hémo
uelques autres questions cliniques concernant l'épilepsie. (Berline¡ ' Klin. Wochenschrift, n" 43 et 44, octobre 1886.
s ont été prises ultérieu- rement, c'est-à-dire, de 1888 à ce jour. ' (1) 1886, t. IV, p. 1029, 1051 et 1887, t. VI,
de mal. C'est ce qui s'est pro- duit chez les malades suivants : - ' - l°Lecom..., 15 décembre : 15 accès ; après le
us avancé que le leur que se produi- sent les accidents convulsifs. ' V. Epilepsie; manie; exostcse du fémur; Par
ral excellent. Il n'y a plus de tremblement des membres supérieurs. ' 16 novembre. - L'état de l'enfant reste le même
ns la nuit 4 accès seulement : T. R. 41°. Prostration très accusée. ' . 16 septembre. T. R. 40°. Un accès dans la jou
iès ne soit pas rassurant; yeux caves. 130URNEVILLE, Bicêtre, 1891. ' 5 ln; Etat DE MAL. narines. et lèvres sèches,
e de quinine. 1885. Janvier. Poids : 43 kg. 500. Taille : 11l 48. ' 4 1118.1'S, - Dimanche, dans la journée, le mal
quelques brides néo-niombraneuses. Le péricarde est sain. Le cetu' ( ' ? )5 grammes) est en diastole : ta pointe est f
obe inférieur, mais moins avancées Ganglions bronchiques sains. - ' Examen histologique : '71 l'e.v,iiiîeii histo
mais nous ne croyons pas lui avoir vu revêtir la forme gangreneuse. ' Rate (80 gr.) normale.- Reins (100 gr. à gauche
iolentes colères. Poids : 27 kilog, 400. Taille ; let25. Dentition. ' A la mâchoire supérieure, les quatre incisives
rnels, très robustes. Deux enfants très bien portants; un autre est, ' mort O11 rlCSllt de çl;toi. -Dew tantcs naaterz
éri- phérie. Les tubercules quadrijumeaux antérieurs sont inégaux ' de volume, le gauche étant plus grand que le droi
upé- rieur du côté gauche, à celui du côté droit. Les bandelettes ' optiques sont inégales, la droite étant beaucoup
t en dedans par le corps opto-strié. Le lobe postérieur, de forme ' quadrilatère, est constitué par quatre circonvolu
ente par un sillon profond et divisée en deux parties, antérieure ' et postérieure, par un sillon transversal qui vie
alousie. Coqueluche (septembre); présence du sucre dans les urines. ' Geor-eo.... Marie, âgée de 7 ans, est entrée la
ndes, regardant un peu en avant, lobules partiellement adhérents. ' Cou, thorax et membres normalement conformés, du
arlatine et de la rougeole z, mais ne parlent pas de la coqueluche. ' . M. J. Simon, dans sa Note sur le diabète sucr
bre des accès. En 1877, on en compte 262. En 1878, le chiffre tombe ' à 229 pour se relever à 250 l'année suivante. P
e tombe ' à 229 pour se relever à 250 l'année suivante. Pendant les ' trois derniers mois de cette année 1879, il se
quence au point de devenir quotidiens, et cela jusqu'à l'entrée. de ' G... à Bicêtre. Durant les six derniers mois de
ette période la température a oscillé entre 37°, 9 et 36°, 6. XI. ' Note à propos de l'oblitération des sutures du
79 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
s, ne syllabe pas, nous l'exerçons à reconnaître les mots imprimés. ' Exemple : au réfectoire nous plaçons sur la tab
r l'éducation de la parole et corriger le bégaie- ment. Notion du ' \0)1 BilE. xxv Pour donner aux idiots la notion
ette difficulté s'est présentée il y a quelques années pour M. le D' ' Girauct, médecin directeur de l'asile de St-Yon
Le jury adresse ses vives félicitations à leur dévoué directeur. » ' M. G. Mesureur, directeur de l'Administration g
u plaisir de se rendre utiles aux personnes qui leur sont dévouées. ' Plus les enfants sont occupés, plus leurs occup
égard comment s'exprime dans la Revue des Revues de 1903, M. 'le D' ' Coze : L'enseignement livresque, tel qu'il est
mée Ottomane ; M. le Dr Arnaud Serafino, de Cuneo (Italie); M. le 1) ' AlJmtu de Grame3·na, de Tu- rin ; M.lc D'' Pcpp
Cuneo (Italie); M. le 1)' AlJmtu de Grame3·na, de Tu- rin ; M.lc D' ' Pcppo Acchioté, de Constantinople, spé- cialist
te pour les maladies nerveuses et sur l'électro- thérapic ; M. le D' ' Broquère, directeur de l'asile d'aliénés de la
on, de la Faculté de Paris; M. G' sell, publiciste, Paris ; M. le D' ' Gavazzeni, de Ber- game (Italie) ; M. le D'' Gr
ciste, Paris ; M. le D'' Gavazzeni, de Ber- game (Italie) ; M. le D' ' Gross ; M. le Dr Guëmes, de Buenos-tlyres ; M.
cteur au (( Journal » ; M. le Dr Karl Pfandcr, à Stuttgart; M. le D' ' Georges Payakoff, de Loretch (Bulgarie) ; M. le
ttgart; M. le D'' Georges Payakoff, de Loretch (Bulgarie) ; M. le D' ' N. Pandy, médecin en chef de l'asile des aliéné
i, de Kicff; I ? 5ancllery', de Vienne; M ? Olga Sverdrup ; M. le D' ' Georges Vernet, méde- adjoint de l'Asile public
eux concours que nous a prê- té l'un do nos anciens internes, les D' ' Poulard, chef ce clinique adjoint de la cliniqu
nous faire connaître, ce tarif est notablement abaissé depuis le 1b` ' décembre 1902. Voici le tableau comparatif : .-
evillc. - Mémoire sur la condition de la bouche chez les idiots, 1K( ' ,3. ('2) Voir le ('nm},le-1'c1J1lu de 1880. p. x
ancien des instituteurs, M. Doutiller, avait 130URNEVILLE, Bicêtre, ' 1903. ? cxxx Notes additionnelles. la haute d
s : dans l'état normal, elles ont la retenue que n'a pas 1 idiot. . ' CXXXVI Traitement DII : DICO-PÎ3D : 1GOGIQUE.
ait ! » L'idiot est souvent très suscep- Enseignement de la parole. ' CLXXVII tihlc, il comprendra la plupart du temp
es, et que l'en- fant norm.nl lui-même a tant de peine h acquérir ? ' Si l'on se reporte au cahier d'articulation qui
Traitement \fÉCIC : O-PI;D1GOGIQLE. Syllabes simples, 3° groupe. ' IDUCaTI01 DE LA PAROLE;. i- 7CLlII CLIV Tra
olo loro Ion loulon lolon lonron leu leuleu . leureu lun lunlun ' leulun lunrun . Exercice : loup, lin, lolo, lai
iri réri liri ra rara rareu lara reu reureu raru leureu ru ruru ' reuru luru .. ra rara : taro lara 1'0 '1'01'0
r, goûter, souper, déjeuner, macaroni1 ? 'jambon, pain, vin, etc. : ' ) . Animaux. . .. - ? Chat, rat, souris, pige
: ' ) . Animaux. . .. - ? Chat, rat, souris, pigeon, poisson. ? ? ' ? - ; - Quelques objets usuels. `. Banc, cout
la prononciation, sont for- mées d'une consonne et d'un e iiiu'et. ' '" ` . .jE.vempie ? bè-que (bec). " . ;; che-
a prononciation, sont for- mées d'une consonne et d'un e iiiu'et. ' ' " ` . .jE.vempie ? bè-que (bec). " . ;; che-va
ée autre- fois directement il l'Administration par notre ami le D' ' Giraud. médecin-directeur de l'asile Saint-Yon, é
de 13 à 18 ans (non compris les gâteux), un surveillant-instituteur, ' un ou deux infirmiers (suivant le nombre des ma
les reçoit tard moins il y a de chance d'une amélioration sérieuse. ' J'ai indiqué les cadres, mais rien ne vous obli
éer, etc. IESVIER. CLXX Traitement iÉDICO-PÉD60 GIQUR,. M. le D' ' Bourneville à M. le D'' Thivet, directeur inté-
LXX Traitement iÉDICO-PÉD60 GIQUR,. M. le D'' Bourneville à M. le D' ' Thivet, directeur inté- rimaire de l'asile de C
arquer l'emploi du personnel féminin pour les petits garçons, MM. ' les Médecins en chef ont suivi en cela les consei
éfecture de police, quai de l'Horloge. Il y est examiné par M. le D' ' P. Garnier ou par M. le D'' Legras, expédié le
l'Horloge. Il y est examiné par M. le D'' P. Garnier ou par M. le D' ' Legras, expédié le jour même (1) à l'Asile clin
est descendu de 31 kil. 500 à 30 kil, Troisième traitement du 1°» ' janvier au 31 mars 1903. Le 10 De quelques form
taille n'a guère été modifiée (1 m. 31). Quatrième traitement du 1« ' juillet au 30 sept. 1903. Aucune modification d
-Alban. 1897. Poids : 28 le. 700; taille : 1 m. 33. Traitement du 1" ' avril au 31 juillet 1898.1 gr., 1 gr. 25.1 gr.
93, entrée le 24 juin 1899. 1902. Poids : 15kg. ; Taille : 1 m. 1" ' traitement du Ie1' mars au 31 mai : 0 gr. 25 à
30 octobre : 0,25, 0,50, 0,75. ! gr. Poids : 4 k. Taille. 1 m. 435. ' 1903. Deuxième traitement. Poids : 45 k. ; tail
male. Asymétrie. Longueur, n gauche 5, a.di,oile 5';> Largeur, ' ) 3, » 3 L'hélix est bien ourlé, mais très irrég
Voix non mue, à timbre élevé. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1903. 4 ùo ' De quelques formes de nanisme. Le tronc est cyl
jusqu'à deux ans et demi. 1--e dent à 8 mois. Dentition complète à ' ? .- L'enfant dit depuis l'âge de quatre ans qu
d'attitude, de volume nor- maux. Jointures, mains et doigts, rien ¡ ' ¡ noter. Pas d'ony- chophagie. Préhension réguli
in nient absolument la syphi- lis. Il a-t-il eu une interposition ? ' ? 1903. Examen de l'enfant, L'enfantporte tout
nisme et infantilisme. Traitement thyroïdien (1895-1898). Une oeM ! ' est petite. Chai).. (Charles), né à Paris le 13
la normale, celui-ci est mis au traitement thyroïdien à partir du 1« ' ,jan- vier 1900. I'n examen, pratiqué en novembr
902. Poids : 18 kg. 100; Taille 1 m. 14 (soit en moins 15 cent.) le, ' traitement du le,' août au 31 octobre : 0 gr. 25
100; Taille 1 m. 14 (soit en moins 15 cent.) le,' traitement du le, ' août au 31 octobre : 0 gr. 25 à 1 gr. Poids : 1
stre un 1/2 lobe de glande iliy) oitle de moulon tous les jours : ' Nanisme avec infantilisme. 69 de taille d'un ce
: 1 m. 18, soit 29 cent. en moins. le,. traitement du 3 janvier au ' ,l mars : 0 gr. 50 il l gr. 25. Poids : 27 kg. 5
filles sont plus grandes que leur mère -et ont une taille normale ; ' - 3° Un garcon, mort de diphtérie à 10 ans 1/2
morphologie des organes génitaux ne présente rien de particulier. c ' c 1898. - Puberlé. Les seins, pendants, ont trè
face. - Le crâne est symétrique et ne présente rien de particule ! ' si ce n'est dans la région frontale dont les bo
à sa racine et à sa base. Lobule arrondi, épais. - Lèvres épaisses, ' l'inférieure surtout qui est en léger ectropion
de 5 k. et grandi de 1 cent. Évolution des QI'fla1H ! S ! Jénili1n,\ ' et de la puberté de 1892 à 1903. - Voici le rés
rps. Nanisme avec obésité. 109 11O DE QUELQUES formes DE nanisme. ' OB, LII. Imbécillité congénitale aggravée par u
à 7 ans avec léger délire, rougeole à 5 ans -II' ! et il i ans 1/2 ( ' ? ). Aucune autre infection, aucune manifestati
res. Bave, et miction involontaire. Pas de para- lysie consécutive. ' Aucune autre maladie infectieuse que la scarlat
tieuse. - Aucune manifestation de scrofule. Nanisme avec obésité. ' 125 État actuel. (13 Janvier 1893.) Enfant bien
ment incurvé ! ; arti- culations sensiblement augmentées de volume. ' Membres inférieurs. - Fémurs légèrement tordus.
. Tibias normaux. Léger degré de genu valgus. Démarche en canard. - ' Puberté. Poils rares sous les aisselles 3 centi
7 ans. - Père . plus âgé. Conception rien d'anormal. - Grossesse, ' accidentée par des ennuis, mais ni peurs ni cou
e, voix enrouée, - Premiers signes de l'idiotie. - Rougeole à 2 ans ' /2. Coqueluche vers 3 ans. l3léplaarile chroniqu
blierons plus tard les observations de Van de Cast... et de Brég... ' 170 De quelques formes de nanisme. l'écorce d
xiste simplement une prolifération moyenne des noyaux névrogliques. ' Corps thyroïde. Le corps thyroïde est extrême
dont nous avons parlé, y a-t-il des lésions de la glande thyroïde ? ' ? Cela est possible, vraisemblable même. En tou
nt est très doux; elle est très gaie, 202 DESCRIPTION DE la malade, ' chante sans cesse n'a pas d'accès de colère. Pa
ité est en relation avec cette loi que partout où la pression est ' M. Manouvrier a donné des explications anthropolo
té. d'Anthropologie, 16 avril 1896. * Le crâne dans les idioties. ' 228 Anatomie pathologique. augmentée, l'os te
'autant plus profonde que le phénomène aura agi plus longtemps et ' Elude oaorpholoqique de la base du crâne (1898).
orte a modifié aisément le corps de l'os creusé de sinus et amené ' Nous l'avons aussi constaté sur les crânes ayant
ure par suite de l'expansion du cerveau. Voici les angles obtenus : ' Atrophies cérébrales unilatérales. 23o cérébe
e plus avancée en raison de l'arrêt de développement cérébral qui ' ne s'oppose pas à leur envahissement par le tissu
e ans. - Début de l'épilepsie à deux ans et demi ; accès sériels. ' Etat du malade à l'entrée : . Hémiplégie gauche,
de 1 à 3 cuille- rées ; école. Fig. 66. - 1-lam... en mars J 903. ' , Marche des accès. 255 5 Mars. - Ni accès ni
, dit-il, les 256 Imbécillité, hémiplégie, état DE MAL ÉPILEPTIQUE. ' doigts me piquent », et aussitôt, il est pris d
la lit. 66. Le membre inférieur gauche offre les mêmes particula- ' Bourneville, Contribution à l'élude des localisal
ques ordi- naires, et peuventysuccom- ll ? r r.'Ad lA r'ac : Ha 1 ' p n f a n I" dont nous venons de relater l'hist
erches sur le thymus et nous fournir le résultat de ses recherches. ' La statistique des cas relatifs aux enfants nor
exes plus lents à gauche qu'à droite. Le bassin est symétrique. ' Description des crises convulsives (février 1895)
dico-pédagogique : Résul- tats'.................................... ' ' XII 4° Petite école complémentaire xv 5° En
co-pédagogique : Résul- tats'.................................... ' ' XII 4° Petite école complémentaire xv 5° Enfa
rophies cérébrales uni- latérales, hémiplégie infantile; par '''' ' G. PAUL BorrcouR ..................... 225 Tabl
.................... 225 Table DES matières. ,345 VI. Imbécillité; ' hémiplégie gauche; épilepsie; état de mal, mort
80 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
STIN, COLOLIN, CULLEHIIE, 1)lill()VE (11.). UENY, DEVAY, UUCAMP, DU\ ' AL (M4TI""), FAUr.HER, FEHE (Cii ), FENAYIIOU, F'
VOISIN (J.), \VRL, l'VON (P.). - Rédacteur en chef : BOURNEVILLE ' Secrétaires de la rédaction : J.-B. CHARCOT tr J.
is forcé d'user de ces stratagèmes pour revendiquer mes droits. , . ' - a A force le parquet s'est ému et par ordre d
udiciaire. ASILES D'ALIÉNÉS. Organisation du Ve Asile de la Seine ' ; Par le D' TAGUgT. , Le projet primitif comp
cin adjoint. Dans son rapport de 189T, au conseil général, : 11. le D' ' Brousse ayant demandé que le médecin-adjoint de
logie. On s'accorde généralement à reconnaître que la réunion des ' L'asile de llaison-I3lanclie, ou mieux le Va asil
leur remplacement par un simple grillage, dissimulé sous la verdure ' ; mais encore une liberté relative par la dispo
. Chaque quartier comporte, au rez-de-chaussée, un vestibule avec ' A l'exemple de ce que nous avons fait dans notre
deux pièces; trois petites chambres d'isolement avec portes vitrées ' en verre dalle; une office avec fourneau, un ro
sin. Or, nous n'avons trouvé ces lits dans aucun service de Bicêtre ' ou de la Salpêtrière; tout ce que nous avons pu
t changée aussi souvent que cela est nécessaire, non seulement le ' Les lits de laine de tourbe ou de fibre de bois s
e de Maison-Blanche ne comporte pas de salle de couture commune à ' Et dans nos salles de gâteux. (B.) 32 ' REVUE
le de couture commune à ' Et dans nos salles de gâteux. (B.) 32 ' REVUE CRITIQUE. tous les malades, c'est là une
IQUE. Sur le sens musculaire à propos de quelques travaux récents ' ; ; Par Henri VERGER, Chef de clinique médica
ns d'étudier est de nous faire connaître les caractères qualitatifs ' Voir Archives de Seul'ologie, n° 48, t. VIII, 461
e la question soit encore complètement résolue. C'est Ludwig Turk ' qui établit le premier en se basant sur des obs
encore 1)éjerine et Long mettent en doute l'existence de l'hémi- ' Ludwig Turk. liais. Acad. des Wissenscli, vol. XX
e. L'hémiallesthésie de cause cérébrale. Thèse de Paris, 1874. i. ' G. Ballet. Le faisceau sensitif. Thèse de Paris,
e superposée il la zone motrice proprement dite, Abba se croit en ' Henri Verger. Les anesthésies consécutives aux lé
fait dans notre thèse inaugurale, les anesthésies corticales sont ' Chalton Bastian. The muscularsense. (Brain, avril
En effet, et dans l'esprit même de l'auteur qui l'a le mieux étudié ' , le sens stéréognostique se rapporte surtout à la
aire, l'idée qu'évoque l'expression de toucher actif, plus parlicu- ' Hoffmann. Slcreognosliche Versuche, altgeslellt u
par suite impossibilité de rapprocher les sensations éprouvées de ' Dana. The localisation of culaneous andmuscular s
et ont Archives, série, t. IX. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ' généralement guéri après quelques mois de malad
relèvement postulé d'un jugement d'interdiction ayant force de loi. ' Ajoutons que les dépenses de l'internement sont
de la poitrine. P. KERAVAL. IV. Dégénérescence et mariage; par le D' ' T.1L13oT. Le danger qui résulte des mariages co
ence, et, comme entièrement irrespon- 60 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.' \ ' sable de ceux qui présentent un caractère de mo
pas d'accord sur la valeur thérapeutique de la ponction lombaire. ' L'auteur termine par quelques remarques sur le ma
examen microscopique montra que cette tumeur était un glio-sarcôme. ' L'auteur termine ce travail par quelques remarq
dans les villages pour mendier, ou vendre de menus objets de leur ' Voir Archives de Neurologie, no 47, t. VIII, p. 4
eptique. 4° Tempérament et délinquance. Etude statistique; par le D' ' J. M\RTY. Le diagnostic des tempéraments est bi
ents est bien imprécis, et la recherche à laquelle s'est livré le D' ' Marty, assez délicate par con- séquent. Il a ré
i nombreux et subordonnés à tant d'influences purement extérieures. ' En étudiant les délinquants militaires M. llart
me tout abandon de l'orthodoxie en faveur d'une autre religion 92 ) ' BIBLIOGRAPHIE. chrétienne, catholicisme ou prot
: « Je suis un homme malheureux, je suis mort. Pouiquoi me punit-on ' ? Puis c'est un cri continu, terrible, un bruit d
la chorée dégénérative (Chorée héréditaire, chorée de Huntington ' ) ; Par le D' P. L.1D.1JIC (de Genève). On n'e
avec une grande réserve les nombreuses observations plus ou moins ' Ce travail a fait l'objet d'une communication à l
froide à la Kneipp, qui le rendait tout à fait fou, à ce que raconte ' sa femme, encore très émue à ce souvenir. C'est
ns, des secousses variées et inattendues. Comme beaucoup d'auteurs, ' ,j'ai observé que, contrairement à ce que préten
facultés intellectuelles. En tout cas il forme, à notre avis, le ' ) 08 ' - PATHOLOGIE NERVEUSE. trait essentiel et
ultés intellectuelles. En tout cas il forme, à notre avis, le ') 08 ' - PATHOLOGIE NERVEUSE. trait essentiel et fonda
suicide dans la chorée de Uuntington, et la réalité des faits. ' Depuis que Huntington a affirmé que ces malades a
est pas question d'idées de suicide, ni même de troubles mentaux. ' En 1885 King, dans le Neiv-York médical Journal,
ide. Deux revues critiques sur la chorée héréditaire parurent 110 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. cette même année '1888, en
iditaire », ni à plus forte raison de la « chorée dégé- nérative ». ' J'ai déjà parlé du cas de Kornilow, dont je n'a
es lobes frontaux jusqu'aux occipitaux. Sa surface interne est par- ' faitement lisse. Les méninges sont épaisses, trou
L'explication des Plancues sera donnée à la fin du numéro de juin.] ' CLINIQUE MENTALE Conditions biologiques des f
dont devra disposer un institut psychiatrique territorial de gou- ' C'est la thèse que nous soutenons depuis longtemp
dans une colonie tout hôpital qui occupe actuelle- ment une ville. ' Les 108 hommes et les 88 femmes qui relèvent de
altérations cellulaires des segments de lamoelle recélant les centres ' trophiques des petits muscles des mains; cela a
nada. Les granulations des cellules, celles du nucléole, les noyaux ' ( de la névroglie sont violets (durcissement à l
phale; par P.-J. KOWALEWSKY. ('Yelli-0109. Centmzlbl., XVII, 1898.) ' Trois observations ayant pour phénomènes connus
fournies par les patients sont bien des indications physiologiques. ' P. KERAVAL. XIII. De la dégénérescence des fi
tmclbl., XVII, 1898.) Dans son livre intitulé Der feinere Bail £ le) ' ilrerureasystems (1895) de Lenhossek dit que le
sert à toucher la peau recouverte de poils (Ossipow et Noischewsky ' %- Nowing lekarskie, 1896, n° 9). Cet instrument
t froid aux climats chauds sur lesquels on le dirige ordinairement. ' R. DE nlUS6LlAVE-CL.1Y, XXIX. Le traitement d
unication sur ce sujet que cette méthode transformerait les asiles. ' 166 SOCIÉTÉS SAVANTES. La loi sur les experti
destruction des nerfs de la sensibilité entraîne la perte du mouve- ' ment des yeux, de la face, de la locomotion, etc.
mit en évidence les blocs chromatiques du cytoplasma. Flemming et ' Cajal découvrirent que les courants nerveux suive
permettant un contact plus intime entre les panaches des cellules ' pyramidales et les arborisations cylindraxiles. K
S 0 te 0 m m t il, 1 b r Vol. IX. Mars 1900. ' N° 51. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEU
à tort d'hystériques, car elles s'accompagnent de troubles de la ' A Souques. Contribution il l'élude du râle des id
Le réflexe de la miction est dû, pour Kûss et Duval à une excita- ' J Janet. Les troubles psychopathiques de la micti
uis cinq ans d'intolérance gastrique élective. Elle présente tous ' Kourilski. De la polyurie hystérique. Th. Paris,
le peu qu'elle prend. Du reste, l'agustie a déjà précédé l'anorexie, ' les mets n'ont plus aucun goût, malgré qu'elle
. 23. Sentez votre cheville droite : Elle remue les orteils et le ' Le signe + signifie : sentez davantage. 214 zip
identiques, plus intenses, au sur et à mesure que je réveille la ' TRAITEMENT MÉCANIQUE DE L'HYSTÉRIE. 215 peau, l
poitrine que lorsque je lui ai rendu la sensibilité de son cerveau. ' 2 mai. Resensibilisation de l'oreille droite :
c me fait souffrir + Je rends + Le docteur vient + C'est le 18 mars ' - Je suis couchée + Je prends du lait, de l'eau
8 heures du soir, j'ai mal au côté, je suis couchée + Il vient le D' ' Vial qui m'écoute + Vendredi, je me lève à midi
itiques à propos de la psychose maniaco-dépres- sive de Kroepelin. - ' L'auteur admet l'existence d'une psychose mania
l ne doit jamais reposer uni- quement sur les symptômes psychiques. ' R. DE nIUSGR.IVE-CL : 1Y. XLI. Le diagnostic
es coïncident avec un trouble mental quelconque, ils prennent une ' L'auteur emploie le mot parésie : nous conservons
rale et leurs rapports avec l'ancienne affection cérébrale est évi- ' dente. 2° Malade adulte. A partir de l'âge de 2
bief, député de Mâcon, il faut citer l'article 2 sur lequel M. le D' ' Pornain vient de publier une très intéressante
tions qui ont une réelle utilité et émet certaines critiques qui ne ' sont pas sans fondement. Notre confrère expose
t qui est le gros reproche dont est passible Dun-sur- Auron où le D' ' Marie a démontré victorieusement la possibilité d
0. N" 52. ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANATOMIE PATHOLOGIQUE.. , - i * ' Sur l'état variqueux des dendrites cortica : la
variqueux des dendrites cortica : la. : Par le Dr Serge SOUKHANOFF ' , Médecin de la Clinique psjcbialmiue de Moscou.
gici del sistema nervoso. (Ri{ú1'ma medica, 1896, nu' 29-31.) CEm ' (Carlo). Ueber die Pathogenese der Bleilahmung.
ber die pathologische Histologie der Habies expérimentale. (Berline) ' Klinische Wochenschrift, 1894, n° 14, s. 32 : j
93.) 1'ÊLIATNIK, - Des éléments nerveux du bulbe olfactif. (Message¡ ' neurologique (russe), 1895, t. 111.) TittELLI
eux. Observation I. Délire religieux avec hallucinations. Démono- ' Vallon et Marie. Des psychoses religieuses et évo
paru légitime de joindre cette observation aux deux précédentes. ' Une seule remarque, pour terminer : comme on deva
XXII. Les tumeurs du corps calleux et de la corne d'Ammon; par le D' ' ScuuurFn. (Riv. sp. di fieu., fasc. 1-11, 1899 )
chez divers individus des images commémoratives toutes différentes ' ? Parce que les impressions sensorielles antéri
s. Chez un chat de six jours et chez le lapin nouveau-né, la couche ' intermédiaire des olives, qui ne contient que p
es ciliaires intacts, vision nor- male. Pas d'écoulement de salive. ' Apparition de fatigue et de prostration sous l'
sement très marqué des champs visuels. Un an et deux mois plus tard ' (1898, décembre), peu de temps après un accouche
ne pourrait-elle pas avoir pour cause une altération de l'hypophyse ' ? Après une critique des différentes objections
s furent précédés d'exagération. Dans 24, affaiblissement ; dans un ' cas, puissance perdue mais désir persistant ; d
, en février 1867, M. le préfet Haussmann arrêta son choix sur le D' ' Bouchereau, en même temps que sur son ami de la
te à laquelle il est appelé par M. le préfet Herold à succéder au D' ' Lucas comme médecin en chef de la division des
Cet hommage eut été assurément beaucoup mieux exprimé par M. le D' ' Magnan, mais son émotion et son affection profond
u milieu de ses malades, que la bonté, la générosité naturelle du D' ' Bouchereau ont pu se développer librement et ar
rances. Vous avez eu, presque tous, la bonne fortune de voir le D' ' Bouchereau dans son service même, et j'ai pu recu
docteurs qui remplissent l'une ou l'autre de ces fonctions dans un ' Chefs de clinique... dans les hôpitaux, c'est plu
vres, Eure, Eure-et-Loir, Finistère, llle-et-Vilaine, Indre, Indre- ' On ne dit pas s'il sera appelé à choisir avant ou
lcooliques. (Extrait des Archives slaves de Biologie, mars 1886.) ' Cololian. Les alcooliques persécutés. (Thèse de P
rhagie cérébrale, très buveur. Mère morte d'une maladie de poitrine ' ? Une soeur bien portante. Antécédents person
ue temps dans l'organisme. Pendant cette Archives, 2° série, t. IX. ' 26 402 CLINIQUE NERVEUSE. période de son séjo
aut) ? quelquefois l'abus des boissons spiritueuses et presque Uni- ' jours les fréquents refroidissements du corps p
uents refroidissements du corps pendant'les voyages ou à la chasse. ' u '%l Quant au traitement de ces malades, certa
s refroidissements du corps pendant'les voyages ou à la chasse. ' u ' %l Quant au traitement de ces malades, certainem
théories 'pathogéniques de cette névrose. Dès 1700, Théodore Bonet ' parle des troubles de la digestion et des lésions
stro-intestinale surtout dans les formes dépressives de la folie. ' Dictionnaire encyclopédique des sciences méd., de
OLOGIE PATHOLOGIQUE. « on voit alors se former, dit Dlatliias Duval ' , un gonflement très accentué sur toute la ligne
précoce apparition de troubles trophiques sous forme d'une eschare. ' P. LXX. Paralysie du plexus brachial par compre
a personne morale s'altère plus ou moins profondément 1. G. Deny. ' M. le Dr Villers a réuni ses travaux sur les déli
au côté purement moteur de la crise épileptique; des altérations ' Telle est notre pratique. (B.) , REVUE DE PATHO
sorier que le Président remercie de sa gestion. Marcel BRI : 1ND. ' Voir la biographie, les obsèques et les discours
orme déprimée qu'il ne faut pas confondre avec le thorax en bateau. ' Aphasie motrice pure chez un paralytique généra
n d'urine) ne produirait-elle pas l'amnésie par le même processus ? ' / Nature de la sclérose tubéreuse hypert1'ophiqu
eants '. Secrétaires des séances : W. MOURA WJEFF ; N. VERSILorr. ' Ces observations « peu encourageantes » sont publ
on annuelle DE l'Association 31ÉDICO-PSYCHOLOGIQUE, A EDILiBOURG, ' le 21 juillet 1898, par A.-R. URUQUIIARDT. (The J
ure in-8° de 3 pages. Paris, 1899. - Chez l'auteur, 14, rue Duphot. ' 0 NINA-RoDRIGUES. - Métissage, dégénérescence e
t un peu calmé, mais Brout... parait être en plein état de démence. ' " 16 septembre 1899. Le malade ne peut absorber
laires jouissent du pouvoir de phagocyter les cellules nerveuses' ? ' ? Que font alors les petites cellules que nous
son jeune âge comme les autres ouvriers. Le régime de son oncle, ' Voir Archives de Neurologie, n° M, t. IX, 1). 38b
lles qu'on les observait avant l'expérience, puis elles cessent. t. ' . 478 CLINIQUE MENTALE. Si F..., ayant les ye
« un cheval blanc ». - La membrane olfactive est également sensible, ' il sent « un parfum qui rapproche du lilas ». L
ti- cale alcoolique se rencontre surtout chez les prédisposés, 12 ' CLINIQUE MENTALE. 1 voyons si la nature des boi
nfance. - Gémellclrité : l'un des jumeaux est mort de convulsions . ' , Pas de consanguinité. Inégalité d'tige de deu
cils longs, bien implantés à la paupière supérieure, irrégulière- ' La mère est partie en Angleterre et nous n'avons
fec- tifs étaient nuls. La physionomie était en harmonie avec ces ' Fig. 13. 804 RECUEIL DE FAITS. symptômes (fla
s animaux nou- veau-nés ; par W. de BECHTEREV. (Neurolog. Ce ? 2t ? ' (Zlblatt., XVII, 1898.) En 1896, Soltmann mont
eux se développent avant l'apparition ,des signes d'anémie extrême. ' ' Symptômes : Comme symptôme initial, on consta
x se développent avant l'apparition ,des signes d'anémie extrême. ' ' Symptômes : Comme symptôme initial, on constate
y avoir dissociation des sensibilités comme dans la syringomiélie. ' Au début, les réflexes rotuliens sont exagérés,
se.) L'auteur réduit à 5 formes communes, les nombreuses variétés ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 519 de méningite
prédi- cateur et acromégalie ; par SABRUÈS, (Nouv. Iconogr. de la ' Salpêtrièl'e, ne'7, 1899.) XL. Aphasie amnésiqu
XL. Aphasie amnésique ; par TIIEIOEL. (Nouv. Iconogr. de la Salpé- ' trière, n° 6, 1899.) . Deux observations, dont
R; au contraire les muscles de l'avant- bras sont restés indemnes. ' A l'âge de neuf ans le malade s'est fait une fr
ui met dans le même cadre morbide l'acromégalie et le gigan- tisme. ' , Maladie de Morvan. M. LESAGE montre des photo
ique journalière nous a permis de constater combien cet éducateur a, ' dans l'élaboration de sa méthode, fait preuve d
sent attentivement et se laissent aller à ses conseils. J. BOYER. ' Le traitement moral des aliénés n'est en partie q
Face externe de l'hémisphère gauche. l.. F., lobe frontal; f'2. ( ' ), deuxième sillon frontal; pr i., sillon prérol
ci. (°), sillon occipital antérieur; - L. o., lobe occipital ; j'. ( ' ), sillon intermédiaire de Jensen. (*) Marqué
Jensen. (*) Marqué par erreur F'2 stir la planche. 1 0 - R - ( ' ) i SR - (') - po po - (10) Marque" par erreur
*) Marqué par erreur F'2 stir la planche. 1 0 - R - (') i SR - ( ' ) - po po - (10) Marque" par erreur P sur la pla
po po - (10) Marque" par erreur P sur la planclie. (0) - Se - ( ' ) Al j - ARCHIVES, 26 série, t. IX. 3ti 546 EX
ologie Ganckles, 443. Nerfs crâniens. Connexions , cen- trale des ' moteurs, par n'oma- now, 142. Nerfs optiques.
81 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aison fatale par accidents cérébraux est déjà signalée par Hamilton ' qui en rapporte un exemple : Au printemps de 17
x oreillons. En somme, il résulte de cette énumération, peut-être : ' Lemarchand. Thèse de Paris, 1875, Laveran. Art. O
- phie marquée. Les pupilles continuent à être très dilatées, et le ' malade s'émotionne facilement quand on lui parl
s-Lcthmung. Berl. Klin. Woch., 1885, no 40. 22 CLINIQUE NERVEUSE. ' - L'emploi du courant constant aurait, d'après
emière vue nous semble peu probable étant donné l'âge de la malade. ' . , 24 CLINIQUE NERVEUSE. celles-ci (1 ou foi
s au même groupe de faits que celles dont nous nous occupons ici. ' En résumé, ce qui nous semble le plus probable,
avec récidives, coïncidant généra- . DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES. ' 29 lement avec une aggravation des autres sympt
rconvolution qui le surmonte, lit partie supérieure du noyau caudé \ ' C n, et une grande portion de la substance blanch
. REVUE CRITIQUE TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE^CHEZ LES FEMMES ' ; Par M. LECORCHÉ. LE COMA DIABÉTIQUE ET L'ACÉ
. met., 1874. Hilton Faggs. Guy's Hosp. Reports, 1874. Seegen. De; ' diabètes mellitus, 1875. Scott Donkin. On relat
re que le même fait peut se rencon- trer dans le coma acétonémique. ' Quant aux causes qui provoquent le collapsus di
à toutes les formes d'acétonémie. Le malade, épuisé, torpide, 72 ' REVUE CRITIQUE. se meut avec peine ; il reste d
rcément liée à l'albuminurie. Influence du traitement. D'après Pavy, ' et Lasègue répé- tait volontiers l'assertion de
uscles complètement détruits au milieu d'autres normaux. Ceux qui ' restent intacts le plus longtemps sont le sous et
a. Actuellement, la peau des membres, du tronc et surtout du visage, ' est le siège d'une sorte de bouffissure ou d'ép
s de pouls lent seraient souvent de véritables attaques d'épilepsie, ' et qu'il s'agirait alors d'une épilepsie d'origin
termine la guérison, n'entraîne pas assez vite, quand il l'entraîne ' leur élimination de Boadmoor. P. K. VU. Etude s
yeux à droite : ce phéno- mène est passager. Elle est gâteuse. Le 1" ' janvier elle est prise d'attaques qui paraissen
onnellement précoce (seize ans pour l'un et douze ans pour l'autre) ' ; mais ces deux cas ont trait à des garçons ; le
'octobre 1877 et d'octobte 1881. 1. 94 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ' cas actuel parait être le plus piécoce de ceux
arcel 13matn. .VU* CONGRÈS DES NATURALISTES ET MÉDECINS ALLEMANDS ' 1 Session de Magdebourg 1884. Section de Psyc
ch., l'auteur a montré que les tubercules mamillaires (corpus ma- ' Voy. Archives de Neurologie, t. VIII, p. 22 ? =
les faisceaux d'entre-croisement à la calotte, former une série de ' Voy. Archiv. ? Psych., XI, 2. SOCIÉTÉS SAVANTES
n du cloître dans le pensionnat des dames. En 1844, quand M. le )) ' Evrat fut nommé médecin-directeur de l'asile, q
en grande et petite culture, et possède une colonie agricole annexe, ' de ateliers manuels divers, où les malades sont
a- lite. C'est qu'en effet, depuis les travaux de M. Bail- larger ' , il ne suffit plus, pour qu'une maladie cérébrale
ititales médico-psychologiques, janvier, mars, juillet) et novembre ' (883.) 1 44 PATHOLOGIE MENTALE. Chez B..., ce
guments que fait valoir M. Baillarger en faveur de l'existence de ' 'entité morbide qu'il cherche à établir. Cet argu
l'observation de B... se prête à d'intéressantes considérations. ' Des faits déjà nombreux, dont le nombre tend chaq
puyant sur la physiologie et la clinique, j'ai dési- gnées ailleurs ' sous le nom d'illusions subjectives, et que que
et admise par tout le monde. « Le plus ordinairement, dit Esquirol ' , la manie éclate sans aucun signe fébrile; mai
des maladies de la moelle. DU TABES COMBINÉ. 159 I. HISTORIQUE ' C'est dans les travaux de Friedreich sur l'atax
é- 1 Friedreich. Ueber dégénérai. Air. d. sp : ;t ? )t<e) ? <) ' (Arcli. f. pathol. Anal. ez. Pltlsiol.), 1863,
aires ou plutôt mêlées (inischfoîïnen), dans lesquelles il y a de ' WMtphat.C/e&f)'e : ! t. Beweguzgs-l;rsckezz.
em- f) ? )'a7t. ini Rucken ? ? z. (drch. f. Psych ? 1S81, XI, 26. ' Onimus. De la contracture dausl'at. loconz. et de
crée à l'élude de la maladie de Friedreich. Dans ce dernier travail, ' l'auteur, alors mon interne à l'Hôpital général
désir par l'ensemble des obser- vations réunies dans nos tableaux. ' Les observations continuent à se multiplier en
taire (Maladie de Friedreich), thèse de Montpellier. 1S8 ! , n° 37. ' 2 Byrom-Bramwell. Malad. delà vzoelleépizz.,tra
d. Pyramidenseilen- slrangbahnen (Ai,ch. f. Psych.). 1854, XV, 225. ' ' . 166 PATHOLOGIE NERVEUSE. Nous devons sign
Pyramidenseilen- slrangbahnen (Ai,ch. f. Psych.). 1854, XV, 225. ' ' . 166 PATHOLOGIE NERVEUSE. Nous devons signal
ous devons signaler alors le remarquable travail de Ballet et Minor ' , sur lequel nous aurons à revenir à propos de l
appartient au contraire de plein droit le récent travail deDéjerine ' , qui contient deux observations nouvelles (n°s
les résultats de son examen : , D - 0 90 w - i ? D 50 '40- -2' ? ' ,. 16 16 w - 4 90'. G = 00 70 7 ? a. 90° D
al rapportés ou · || . 1 indéterminés. -Nontbrr : 4. |, 1 .li ! ' 1 i ' TABLEZ' 1 1 ' Cas d'hémianopsie par lés
rtés ou · || . 1 indéterminés. -Nontbrr : 4. |, 1 .li ! ' 1 i ' TABLEZ' 1 1 ' Cas d'hémianopsie par lésions sit
1 indéterminés. -Nontbrr : 4. |, 1 .li ! ' 1 i ' TABLEZ' 1 1 ' Cas d'hémianopsie par lésions situées principalem
seule- ment à la dure-mère. Sa longueur était de 3 centimètres, sa ' hauteur de 3 centimètres, son épaisseur de 2, 5
meil était bon ; le malade avait repris sa force et ses cou- leurs. ' Le 26 novembre 1884, je fus appelé chez lui. J'
eut produire l'hémianopsie seule ou accompagnée d'hémianes- thésie. ' 4. Que des lésions de la circonvolution supra-m
pathologique. Je ne connais qu'un cas qui soit en faveur de Charcot ' tandis que les seize cas que je vous ai lus par
core une 3° décussation (en comptant le chiasma pour la première) ' Petrina. In t'rayer Zcitsch. f. Heillc, Il,. p ?
avec légère impuissance motrice 1 Wernicke. UeGer hemiopische PMp ! ' «e)tac< ! 0 ! t. (Fortsch. de)' naecl., 1883,
1 Wernicke. UeGer hemiopische PMp ! '«e)tac< ! 0 ! t. (Fortsch. de) ' naecl., 1883, I, ifl-53.) DE L'HÉMIANOPSIE CO
d depressed fracture of the skull. Ii-ish Hospital Gazette, July I, ' )873 (abst. in 1\'eel's J(t/tt'es6e ! 'M/ttMte)'
al Gazette, July I, ')873 (abst. in 1\'eel's J(t/tt'es6e ! 'M/ttMte) ' Ophthal., 1874, p. 440). 3, IS7o. H;nscHDERG,J.
mination. K/iftpp's Archives of OI)hth(il., x. (1881), 4, p. 446. ' 22, 1881. WESTPIIAL, C. Zur Frage von der Localis
. Hemianopsie bei Schadelverletzung. Case ii. 7.f : ? 'M/t<<e) ' ;y'sCen<<YtH)<. f. p ? -ffc<. 7e/</
le plombage de quelques dents cariées. A douze ans, variole bénigne, ' de courte durée. La malade déclare n'avoir ja
ciproque, que d'indiquer les descriptions classiques de MM. Charcot ' , Richer 2, C. Féré s, etc.; donc, malgré l'intérê
« III. -Dans lescentres corticaux (agissant comme intellectorium ' « commune ») : conscience intelligente; notion cla
« présentes et futures, telles que l'individu peut les prévoir au ' « moyen de l'expérience acquise. Différent des deu
maladies nerveuses. En ce qui concerne la chorée, M. le Dl Pathault ' a rassemblé quatre obser- vations de cette mala
Son écriture com- mence à être régulière (/t<7. 9). Fig. 8. ' tig. 9. . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 253 3
ignes physiques, intellectuels et moraux de la folie hérédi- tuire. ' M. F.LRET est parfaitement d'accord sur l'ensem
iand. M. B. Séance du 22 février 1886. Présidence de M. Semelaigne. ' Des signes physiques intellectuels et moraux de
s signes physiques intellectuels et moraux de la folie héréditaire. ' M. Charpentier combat le groupe de la folie héréd
ficiles à apprécier, serait celui de la folie morale, raison- nante, ' lucide, instinctive. M. Garnier donne lecture d
Pendant la dernière révolution, il y en a eu encore des cas isolés. ' Médecine légale de lapsychiatric au Jupon. L'or
. Seifert vint alors qui trouva que la réaction au perchlorure de ' fer se montre chez les malades insuffisamment nou
is enfants bien portants. D'après son beau-frère, aurait toujours ' Voy. Archives de Neurologie. 282 SOCIÉTÉS SAVAN
, à l'occasion, au suicide ou à une perturbation mentale organisée. ' D. Poetz. L'importance des colonies de travail
s chroniques de la moelle <'pu ! tere au moyen de vcnl ntscs (Et) ' aile - mand.) · SOCIÉTÉS SAVANTES. 291 K. R
états de surexcitation et états de paralysie' cérébrale. En résumé, ' . SOCIETES SAVANTES. a compression, la contusio
logie. s/d ? t.X,p.298. 3 Id. à Id. .294 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' .. 1 .... ' TABLEAU STATISTIQUE .SOCIETES SAVAN
? t.X,p.298. 3 Id. à Id. .294 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' .. 1 .... ' TABLEAU STATISTIQUE .SOCIETES SAVANTES. 295 p
moitié d'entre eux occupe Ilil- desheim. Les asiles privés d'Ilten ' , de Liebenburg, de Koenigshof.et quelques autre
thode d'Exner1 a ses causes d'erreur; les descriptions de 1'uczel : ' 2 atten- dent une sanction définitive, mais on
foetale, il a pu atteindre un développement élevé (cas d'Hartdegen ' ), il peut exister dans l'enfance (cas de Bourne
ologie, t. X, p. 46G, Vlll, p 90 et 336. VI, p. 365, VI p. 403. , . ' 'H. 3 Communication sur la gliose de l'écorce
Pourquoi Tuczek ne qualifie-t-il pas les siens de.folie épileptique ' ? Il est sou- vent difficile d'établir s'il n'y
eut voir 1 Voy. archives de Neurologie, t. X, p. 259, 231 et 232. ' Id., t. X, p. 259 et w3t.. 316 SOCIÉTÉS SAVANTE
'action psychique proprement dite. Les mouvements soporeux des yeux ' peuvent se joindre à ces états. Dans l'état de
l'intérieur des 1 Voy. Arch. de Neurologie, t. X, p. 259 et 231. ' Id., t. IX, p. 79. SOCIÉTÉS SAVANTES. 317 cen
tagieuses et gâtisme. Somme accordée : 34,000 marks (4 ? ,500 fr.). ' , . , Asile hospice de Coldils. On y a installé
bâtiments construits pour les aliénés chroniques ont coûté 451,7o7 ' Vov. Archives du Neurologie, t. X p. 235. 329 V
t acquittés de leurs devoirs. (Brit. med. Joiii-n., 30 janv. 1886.) ' BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE De SAK (Le père Loui
ne s'éloigne point, en apparence, de celui qui ap- Archives, t. XI. ' 22 338 PATHOLOGIE NERVEUSE. partient à la dég
ans modification; la plaie du vésicatoire se cicatrise lentement. ' 6 août. Le malade se plaint de troubles de la vue
race de cylindre-axe; s, segments normaux. 362 PATHOLOGIE NERVEUSE. ' Fig. 6. - Altérations segmentaires successives,
f et Heiden- hain : « celui qui abaisse son bras élevé ordonne du ' Pfiüger's Archiv der Physiologie, XXVI, 3. 4. Ueb
ivement très long; en con- séquence, on peut dire que leurs centres ' restent pour quelque temps au degré de l'irrita
apercevoir une régénération dans les parties lésées. ^Ce n'est pas ' ainsi chez l'homme (d'après Ferrier, le singe e
relevé dans nos résumés et dans nos réflexions que ceux des symp- ' DU TABES COMBINÉ. 395 tomes de l'ataxie locomot
Les circonvolution sont très volumineuses. Peu de plis de passage. ' Un vaste foyer hémorrhagique récent occupant to
nte morte à quatre-vingts ans. Il a sept enfants bien portants. 416 ' RECUEIL DE FAITS. On ne relève dans ses antécéd
atiquer depuis. Nos investigations furent absolument négatives. ^ ( ' ., ... - -. De plus si cet état crémeux, purifo
elle secondaire ? c'est ce que nous est im- possible de déterminer. ' "v" De même, nous sommes peu édifiés sur sa vra
e zone épileptogene qu'il appartient à l'expérience de démontrer. - ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE t XX. DE la va
. par A. II. Newth. (The Journal o/'meatut SCiel2ee, Octobre 4 884) . ' Dans ce travail, l'auteur plaide la cause de l'
e même de l'hyperémie, il se recou- .Hait impuissant à la préciser. ' - Un cas de ce genre doit suggérer quelques réf
if, dont la plupart des fibres pénétreraient dans le cervelet. °- - ' - IV. M. C. XXVI. Sur LE rapport qui existe ent
ntraste un élément de diagnostic en faveur d'une lésion centrale. ' Conclusions générales. l- L'exagération des phéno
NS APHASIE, CHEZ UN GAUCHER; par C. ŸESTPHAL (Séparât abdruckans de) ' Berlilt. E7j ? IVocheîischi ? no 49, 1884). Tou
G.-H. ; SAVAGE. (The Journal o/'J7Mht< Science, octobre 1884.) ' L'observation peut se résumer ainsi : Homme de
telles que sa grande compétence pouvait les suggérer à l'auteur. " ' , Zl R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 43
cahier que les surveillant aurait entre les mains durant la visite ' ), régime, habillement des malades, chaussure, d
ant la rapide évacuation des malades en cas de danger. - - R. M. C. ' Archives, t. XI. 28 434 REVUE DE PATHOLOGIE M
ion et chez lesquels le début de la maladie remonte à plus d'un an. ' 3° Les guérisons portant sur la première de ces
viscérale exigent soit le traitement connu (Archiv f. Psych., X, 3) ' soit la galvanisation encéphalique (Archiv f. P
CONVULSIF DE LA FACE; par M. BERN- HARDT (Arch. f. Psych., XV 3). ' Dans quatre cas del'auteur, dont le présent mémoi
le fait suivant, qui ne manque pas d'intérêt : 462 FAITS divers. ' « Les audiences de la justice de paix sont quelqu
zen, 238. Hitzig, 100. Hoffmann, 78. Howclen, 433. Hublé, 29. ' Ideler, 269. lmmermaun, 301. Iraclidy, 249.
l. Verriest, 119. Vinay, 85. Voiceuet, 458. Voisin, 263, 446. ' Wagner, 42 ? Warner, 238. Watteville (de),
82 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
ancy), SOCA (Montevideo), SOLOVTZOFF. SOUKHANOFF (Moscou), SOUQUES, ' SURMONT, TARGOWLA, THOMAS, TRÉNEL, TUFFIER, WEIL,
a topographie la plus fréquente, au niveau xv 1 2 CESTAN ET DUE ! ' des membres, des troubles de sensibilité causés
Au point de vue histologique, ils peuvent facilement se topographie¡ ' et se rencon- trer localisés non seulement dans
éactions électri- ques assez nets pour permettre de les topographie) ' très exactement. Il pa- raît dès lors possible
rand pectoral ne présente pas d'a- trophie, comme chez Henri Seg...) ' . Nous avons pu suivre cet enfant pendant trois
alalae. Nouvelle Iconographie DE la SALP&TRIRE. T. XV, PI. VI ' MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE (Début par les
teur. 1 NOUVELLE Iconographie de la SALPÊTRIÈRE, T. XV, PI. VII i ' · ? MYOPATHIE AVEC RETRACTIONS FAMILIALE `S [ 1
T. XV, PI. VII i '· ? MYOPATHIE AVEC RETRACTIONS FAMILIALE `S [ 1 ' ? l' (R. Cestnu et Lromae). ' ""4 ? Uls I. - A,
E AVEC RETRACTIONS FAMILIALE `S [ 1 ' ? l' (R. Cestnu et Lromae). ' ""4 ? Uls I. - A, Position assise. - 13, Phot. in
t. ; diam. naso-occipital 37 cent. Diamètre biauriculaire, 37 cent. ' Tronc. La tête est dans l'extension. En effet,
du mollet. Elle est par suite prédominante à la racine des membres. ' Membre inf. gauche : 32 cuisse sup. 23 cuisse i
faiblesse dans les arti- culations du genou et du cou-de-pied droit; ' la jambe était comme dévissée dans ces articula
ungen liber die Anatomie und Pathologie des untel'slen l ! Üc/oenma¡ ' /¡sabschnilles, Leipzig, 1898. XV 0 82 RAYMOND
eau de la première vertèbre lombaire ; de plaie cuta- née, point. ' A cela se réduisaient les manifestations patholog
us sacré, ainsi que le montre la figure placée devant vous (fig. 4. ' Chez notre malade, l'anesthésie réalise bien la
compression des racines qui émergent de la portion la plus inférieure ' 1 du névraxe. Traitement. Le traitement des a
sont la cause la plus fréquente de l'hémiplégie des vieillards (1). ' I. ANATOMIE MACROSCOPIQUE DES LACUNES. · Sièg
rébrale postérieure envoie à la couche optique plusieurs branches : ' Les artères optiques inférieures; L'artère op
coupons dans leur plus grande largeur. Aussi les voyons-nous mieux. ' Nous avons du reste vérifié le fait en faisant d'
restent indéfiniment paralysés sinon contractures. 104 FERRAND . ' Eh bien ! il n'en est rien. Il est impossible dan
iss' 90. C. Dans ? 7 nirm H'm-w ....... Inh1tr,t,f'\1l ? h., ? " ,i ? ' ;< ? T1 '11t,tr/> fPrn-.mtnn ,nlo.ré.e : Dr
breuse constitue le mode de guérison le plus ordinaire des lacunes. ' ' Nous ne' voulons pas terminer ce qui a trait l'
euse constitue le mode de guérison le plus ordinaire des lacunes. ' ' Nous ne' voulons pas terminer ce qui a trait l'as
nt sans fracas et ne se distinguent pas cliniquement des la- cunes. ' Tels sont les différents aspects que prennent l
n la lacune passait par deux phases anatomiques un peu différentes. ' LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE 109 Dans
ude des artères séniles normales thèse de lllontpellier, 1894-1895. ' LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE 111 1 Enf
érite secondaire, c'est-à-dire con- sécutive à l'endartérite (1). » ' Toujours est-il que pour ce qui est de nos arté
est celle delà lacune typique que l'on observe le 'plus sou- vent. ' Lit- Evolution de la lacune. Après avoir parc
clair et raréfié ; mais les éléments qui l'infiltraient 122 FERRAND ' ont disparu, la névroglie l'a emporté dans sa l
e. Elle n'a jamais pu dépasser la classe tout à fait élémen- taire. ' Il y a environ six mois, est survenu un changem
existe enfin une légère scoliose dorsale, située au niveau des 6e, 7" ' et 88 vertèbres, dont la convexité regarde à ga
ge, mais il ne lui en est absolument rien resté. Pas d'enfant mort. ' Jusqu'à l'âge de 2 ans, Arthur ne présente rien
laisse réellement indéfinis- sables en termes de saine biologie. » ' « Nous prendrons la question par l'autre bout,
i connue de la variation dans l'excitabilité sem- xv il z BONNIER ' ble avoir été totalement oubliée des auteurs et
sions des hémi- sphères cérébraux, p. Sa 4. LE SENS DES ATTITUDES ' 163 « La notion de position est altérée dans to
e sens musculaire, Année Psychologique, 1899. LE SENS DES ATTITUDES ' 167 articulaires, ligamenteuses, tendineuses, o
e l'image psychique,comme l'image psychique serait évoquée par elle ' La pathologie réalise souvent ce trouble, cette
expérimentale et ceux obtenus dernièrement chez 184 CESTAN ET HUET ' l'homme par Parhon. Elle n'empêche pas, en effe
ce document à M. Bouchot, conservateur au Cabinet des étrangers. ' (2) Images de la mort à Lyon, par Jehan Frellon,
es, entonnoir, livres, fioles ou cruchon posés à terre (PI. XXIII). ' Par la porte grand'ouverte, on voit, dans la lu
deux côtés.' L'examen des yeux est pratiqué le 3 novembre par le D' ' Dreyer-Dufer. On constate queuta vision est aba
papillite dans les lésions méningées ou cérébrales ». 9 Novembre : ' ? Dans la journée, le malade a deux attaques épil
: ' ? Dans la journée, le malade a deux attaques épilepti- formes. ' 'rt A la première, il a tourné la tête, s'est r
que la tête était inclinée sur l'épaule droite et tournée à gauche, ' que les deux bras étaient élevés, mais que le dro
les deux bras étaient élevés, mais que le droit était plus agité. » ' 1 Après la crise, le malade a dormi. Le lende
souffre pas, mais il est très affaibli et ne peut se tenir debout. ' 34 Novembre. Vomissements et émissions involontai
uis le moment où il a quitté l'hôpi- tal (du 16 mai au 13 octobre). ' A sa sortie de l'hôpital, C ... pouvait marcher
istance aux mouvements paâsifs 4e >v flexion et d'extension. " ? ' Le réflexe patellaire est exagéré, et il y a de
lexe patellaire est exagéré, et il y a de la trépidation épileptoïde. ' ? fit La marche est impossible, d'une part à ca
un aspect étoilé, froncé, paraissant répondre au lobule du nez. Et de ' chaque côté se dessinent assez nettement et div
érieur à ces ailes du nez se voient les fosses nasales, ouver- tes. ' En somme, si nous nous reportons à l'évolution
ulaire gauche et la branche maxillaire supérieure corres- pondante. ' Nommons pour plus de simplicité la cavité total
arente ne gênant nullement pour l'examen des différentes parties. ' Nous avons enlevé les deux yeux par la base du cr
nt semblent poser un problème difficile de géométrie dans l'espace. ' Où reconnaître le corps calleux, le corps pitui
E VILLEJUIF) LA VIE BIOLOGIQUE D'UN XIPHOPAGE PAR R N. VASCHIDE ' " et Chef de travaux à l'Ecole des Hautes- Etud
ur naissance, et qui ayant'évolué et s'étant développés nécessaire- ' ment dans un même milieu ont subi en conséquence
ous sommes arrêtés à ces chiffres que nous croyons exacts. En effet ' pour apprécier le degré de sensibilité douloureus
25 ans. Dix-sept ans après elle, sans grossesses ni fausses couches ' nouvelles dans l'intervalle, naissait notre malad
t à demi-fléchie, et le pied déjà légèrement en varus. On montra XV ' 18 266 INFROIT ET IIEITZ l'enfant au baron La
l'absence constitue le caractère saillant de la mal- formation ? 9 ' Et d'abord, le diagnostic d'absence du tibia pe
s ? mais alors pourquoi les enlever même après la mort du patient ? ' ? Dans les merveilleuses collections des musées
ière sur ce curieux symptôme ne soient pas soigneusement enregistrés. ' Celui que nous apportons aujourd'hui ne résoudr
du tabes devint une atrophie primitive des racines postérieures. ' C'était cependant là une formule trop exclusive,
ique des cellules ganglionnaires (Darier, Babinski). D'autre part, la ' méningite a été signalée fréquemment, et quelqu
rdination extrême des membres inférieurs et des membres xv 20 298 ' THOMAS ET HAUSER supérieurs. Abolition des réfl
. In- continence des urines. Morte de cachexie le 27 novembre 1899. ' Examen anatomique. Douze ganglions ont été exam
parition ou à l'amincissement d'un grand nombre de gaines de myéline, ' la plupart des fibres sont réduites à la gaine
s ; ces éléments sont trop peu nombreux pour comprimer les racines. ' ' La dure-mère est épaissie, de même que les ga
; ces éléments sont trop peu nombreux pour comprimer les racines. ' ' La dure-mère est épaissie, de même que les gain
LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES (Thomas et Hauser.) ' BUEM... (Observ. III). - Coloration par la méth
acine antérieure, au niveau de la région de Nageotte, xv 21 t 314 ' THOMAS ET IIAUSER on voit des traînées de noyau
postérieure immédiatement avant leur pénétration dans le ganglion, ' La racine postérieure est subdivisée en un gran
r places très nombreux, comme s'il y avait eu une néo- formation. ' ' Dans quelques ganglions les cellules et les
places très nombreux, comme s'il y avait eu une néo- formation. ' ' Dans quelques ganglions les cellules et les c
Die Hebephrenie, Wirchow. (5) Kroepelin, Lelarbuch der Psychiatrie. ' 332 . SÉGLAS qu'en réalité le pronostic est l
n., t. XXV, 1899) ; Finzi, Compendio di Psychiatria, Milan, 1899. . ' DÉMENCE PRÉCOCE ET CATATONIE 333 Mais il est
ène qu'il est de nouveau interné dans le service le 8 février 1899. ' 1899. - Février. - Mutisme dont le malade ne so
e Vaudoré de toutes les sortes aux assasins à la croix de Europe. ' A Dieu l'on a tué la semeuse de toutes les sortes
de traiter ailleurs avec tous les développements qu'il comporte. - ' (1) R. lIIAssELou, Psychologie des déments préc
anesthésie s'accompagne d'analgésie complète dans la même ré- gion. ' La sensibilité au tact est presque entièrement
-ce à ce même processus qu'il faut attribuer la résorption des pha- ' langes des doigts de la main gauche, qui s'est pr
que détermine, dans l'organisme de l'homme, le bacille d'Armaner Han- ' sen. Enfin les troncs nerveux ne semblent pas a
es côtés réalistes ou passionnels. Le plus célèbre des djiôrouri est ] ' « his- toire des 47 rôninn ». Elle fut publiée e
l'organisme la possibilité d'une conception de déchéance et de fin. ' Ajoutons que le harakiri est infiniment plus fr
r chef. Moi-même, je suis la fille d'un riche marchand de Mikaosa ; ' (1) On trouvera quelques renseignements pour la q
(2) Benazet, op. cil., p. 242, d'après M. Foukoutchi-guén-Itchiro. ' LA PSYCHIATRIE DANS LE THEATRE JAPONAIS 373 a
orité mentale. Toujours prêt à subir les influences qui exploitent sa ' crédulité, le paysan japonais comme le paysan b
ladie de Parkinson, mais à quel mécanisme attri- buer leur genèse ? ' ! Tout d'abord, remarquons qu'il ne s'agit pas
oliose correspond à un hémi- parkinson ; dans nos 3 observations (n" ' 6, 7, 9) de cypho-scoliose déve- loppée en même
émotion exagère tous ces phénomènes spasmodiques. Fig. 1. Fis. 2. ' 388 DESTARAC En présence de ces phénomènes d'
'est la démarche tabéto-cérébelleuse. (1) SocA, loc. cit., p. 72. ' (2) V. Soce, loc. cit., p. 106, et 111nnre,loc. c
des segmentaires est conservé, ainsi que le sens stéréognos- tique. ' La sensibilité électro-musculaire doit être aff
Réaction à la convergence normale. , La convergence est normale. ' Réaction de la pupille normale quand on projett
e. - Pupille un peu pâle dans la moitié temporale' de l'aeil droit. ' Rétine, vaisseaux, choroïde, normaux. Acuité
. Acuité visuelle 2/3. Champ visuel normal, pas de dyschromatopsie. ' Il n'y a donc rien à souligner, que les secouss
rfs correspon- dants exigent un courant plus fort : 2 à 3 1/2 11.A. ' Les autres muscles : extenseurs, éminences thén
ypertonicité, doit exister aussi pour les muscles moins atteints. ' Le fait suivant semble nous en fournir la preuve.
et surtout après l'ouverture du courant, pendant la décontraction. ' 2° Pour le nerf : Des réactions normales, ou
: pied-bot, sco- liose, nystagmus, troubles de l'articulation, etc. ' - Cela est si vrai que nous pourrions nous appr
tionnel du cou. Rev. de méd., 1894, p. 155. (2) Leçon 1894, 1895. ' xv 21 410 DESTAKAC ble du tonus, à un défaut
ant le maintien dans l'immobilité d'une position et d'une attitude. ' « L'écorce cérébrale a certainement une action
etits vaisseaux) pouvant donner lieu à des foyers hémor- rhagiques. ' L'arachnoïde est de son côté le siège de lésion
les arlérioles. Elle semble res- pecter les gros vaisseaux voisins. ' Ce n'est pas toutefois le seul mode d'altératio
ls sont les faits. Quelle interprétation convient-il de leur donner ? ' ? Pour répondre à celte question, nous envisage
y en a des petites et des grandes ; mais lorsqu'elles arrivent à un ' (1 j Oppenheim. Berlin, klinisch. Wochensch.. 189
Berlin, klinisch. Wochensch.. 1894. Zur patholog. Anat. des Tabes. ' (2) WoLLENiiERG. rrch.f. Psychiatrie, 1892. Bd. XX
res radiculaires sont encore indéterminés (1). Aussi ne saurait-ont ' ( ! ) Les procédés de numération contribuent égale
p moins intense pour la racine postérieure que pour le nerf péri- j ' ganglionnaires. Il y aurait donc une fibre pour
pen- dant leur refuser un réel intérêt et ne pas en tenir compte. ' (1) Uarinski (in leçon de Darier), Gaz. hebdom., 1
a fonction trophique est dansjine certaine mesure compromise. l . ! ' ) , . ," . t. ¡ ... ? < 1 if ! . t, CONTRIBUT
de remédiera l'insomnie par des doses faibles de un à deux grammes. ' 1 Guerver a communiqué à la Société de psychiât
ologiques et ne provoquent pas de réactions physiologi- ques.. 1 " * ' La manière propre de réagir de l'écorce cérébra
EHVEH, Des M ! odt/ ! ea< : ot ! i de ! ct Ctt'e : s< ! 0 ! : c) ' ( ! y ! : o-cere&)'ae MU t' : n- (1) A. V. G
OGIQUE bE QUELQUES BROMURES 439. - 1 1 l - . Scierie... , - - 440 ' 1 l - ' FÉRÉ ' J'1 ' é . ACTION PHYSIOLOGIQUE D
E QUELQUES BROMURES 439. - 1 1 l - . Scierie... , - - 440 ' 1 l - ' FÉRÉ ' J'1 ' é . ACTION PHYSIOLOGIQUE DE QUELQU
UES BROMURES 439. - 1 1 l - . Scierie... , - - 440 ' 1 l - ' FÉRÉ ' J'1 ' é . ACTION PHYSIOLOGIQUE DE QUELQUES BROi
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mouvements segmentaires sont très affaiblis, surtout ceux du pied. ' Le réflexe rotulien est très affaibli à droite,
hoscopique. Fig. 1. - (3 mars 1901). Fig. 2. - (18 avril 1901). ' Résumé. L'histoire pathologique de cette femme pe
ique, et elles étaient beaucoup plus intenses à gauche qu'à droite. ' - . Un peu plus tard, des troubles de la marche
ls là-dessus, quand une occasion propice se présentera de le faire. ' LÉSIONS SYPHILITIQUES DES CENTRES NERVEUX FOY
tielle ; c'est aussi l'avis de Scblesinger (Pl. LIX, fig. R). Ifl . ' En remontant dans la protubérance et dans l'ist
la couche moléculaire ; même raréfaction de la LÉSIONS 1JISTOLOGIQU¡ ' ;S DE l'ÉCORCE DU CERVELET 517 "à couche des gra
n trouve des lobules entièrement privés de fibres et de cellules. » ' On pourrait peut-être multiplier les descriptio
de ses camarades, tout autant que son appétit formidable. Par ordre ' du général, il lui avait été accordé deux doubles
t; il mangeait, par exemple, chaque jour deux pains réglementaires. ' Au moment où il quitta le régiment, en 1896, il a
is son grand corps d'infirme, vendant des lacets ou des chansons. ' Etat actuel (octobre 1902) ? Deux faits attirent
LISME (P. E. Launois et Tiare 'Roy). Le géant Charles à 30 ans (2" ' 0 1) GIGANTISME ET INFANTILISME 547 présence
il n'y a pas trace d'inllammation tuberculeuse présente ou passée. ' Squelette (fig. 4). Les diaphyses sont grandes,
iture d'aucun peuple quelque grossier et sauvage qu'il puisse être. ' Si les paotred ar zabat n'aiment pas qu'on se m
rnier, d'après Keissler, une statue en LES GÉANTS DANS L'ART 589 - ' Ce document sérail particulièrement intéressant e
s, Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 4, 1900. 590 HENRY MEIGE - ' E. Garnier a encore reproduit le portrait de Dani
nombre de géanls présentaient les caractères de l'In{antilisnw (2). ' (I) Voy. Cumpte rendu de la Soc. de Neurologie de
logique, numéro du 15 nov. z90 ? , (2) Sur le gigantisme, toc. cit. ' ' 592 HENRY MEIGE Tout récemment, MM. P. Laun
gique, numéro du 15 nov. z90 ? , (2) Sur le gigantisme, toc. cit. ' ' 592 HENRY MEIGE Tout récemment, MM. P. Launoi
; le lendemain le palmier était couvert de feuilles et de dattes. ' Ce prodige détermina saint Cristophe à prêcher la
t bien proportionné. Parmi les peintures des Ecoles flamandes : · ' Sur l'un des volets du triptique de l'Agneau my
e attribué à à DIERICK Bouts est une répétition de celui de Munich. ' Au musée de Dresde, un Saint Cristophe de l'éco
clinique de la topographie). (1 (¡g. 4 pl.), par Cestax et Huet, 1. ' Bromures (Elude physiologiglle de quel- ques)
, 349. Géants dans (Les) (1 pl. phocollogr.) par Ilcw Meige, 586. ' Gigantisme et infantilisme (6 fig. 8 pl.) par
le(type Brissaud) (12 pl. en photocollogr.), 134. Paviot et LA1\¡- ' ¡OlS. Les lésions histologi- ques de l'écorce da
83 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
es, députés; le Dr Maunoury ,de Chartres ; - le Dr Mercier ; - le D` ' A . Meunier; -le Dr Michel; - M. Monod, directe
tion des enfants en 1887 : XX DÉCÈS. .\ N1.1 DÍ\I1ÎOE'. qu 3XIV ' DÉCÈS. X.Xvi DÉCÈS. 1 'P'AVÏLLON d'isolement.
it ; de 24 infirmières de jour et de nuit; d'un baigneur (suppléant) ' ; 'd'Un barbier et d'un portier. IV. LA NOUV
étails, ce bel éta- blissement, qui fait honneur à tous : A M. le D' ' Bourneville, qui en a conçu la pensée et survei
. Je le ferai aussi brièvement que possible. Mesdames, Messieurs, ' L'assistance de ces enfants remonte déjà loin. En
mission, parcoqu'il avait l'idée fixe do « saigner sa petite soeur. ' ) Les garçons se livrent soit sur leurs soeurs,
ants les plus méritants par M. Imard, inspecteur, le mardi 30 août. ' LVIII - DISCOURS DE M. JACQUES. Aussi, Monsie
'accès; nous diviserons donc notre sujet de la manière suivante : ' Perle de connaissance, avec sensation de tournoie
spasmes coordonnés' de Romberg, etc., etc., sont tous des termes ' Les deux observations que Romberg a relatées en e
r Tulpius'. Il s'agit en effet d'un malade qui courait jour et nuit, ' si rapidement et avec des mouvements du corps s
fort bonne humeur, comme si rien ne s'était passé. D'après Itard ' , Nicolas Becker aurait publié dans les Ephéméri
ffé- rences, ses causes, etc., 1 vol. in-S. Bordeaux, 1742, p. 2. ' Welsch. De<-;))7c/M ! <t. lena, 1719, p. 2(
1719, p. 2(i-27. 8 de l'épilepsie PROCURSIVE. Les cas de Sauvages ' et de Gaubius, de Thilenius, de Wichmann, cités
ema nzorborum symptonzalicunz. Vindobenrc, 1763, pars II, p. 121. ' Caillan. - Journal de santé et d'histoire naturel
inc. C. D..., ûôé de treize ans, d'une santé assez bonne, s'étant ' Journal de Ihç/'cland, juin 1811, vol. XXXII, p.
t toujours par un mouvement circulaire qu'il y parvenait, et s'il ' Latl. - Ifufela,nd's Journal, vol. L, vu, décembr
tervalle de quelques semaines, lui survinrent dans les promenades ' Itard. Mémoire sur quelques fonctions involontair
à courir en ligne droite devant lui avec une rapidité incroyable, ' Serres. - Anatomie comparée du cerveau, t. II, p.
ve frayeur, fut frappée des accidents propres à la chorée. A neuf ' Salues. - Revue médico-chirurgicale de Paris, 182
é par les au- teurs modernes comme étant le premier exemple connu ' Trousseau. - Clinique médicale de l'Hôtel-Dielt..
r Nervensgstems, 4, 2.) Unregelmdssige Formai der An/'dlle, p. 241. ' La quatrième observation de Cheneau, que J111. Sa
s : l'un est bien portant; l'autre tremble des mains (cinquante ans) ' , pas d'excès de boisson; tous deux sont médiocr
e, quatre- vingt-cinq ans, femme de ménage, bien portante 2. Deux ' C'est l'aîné, il n'est que frère de mère ; né ava
rille qu'il saisit et s'affaisse. Durée totale : 2 minutes environ. ' - Au chauffoir, les accès présentent les caract
ion avec un de ses camarades. 22.- Ramené à l'hospice par son frère ' , il dit que son cama- rade et lui se sont sauvé
., celui-ci est allé coucher dans un terrain vague de l'avenue de ' Frère d'un premier lit, Agé de 35 ans, qui l'a fa
malade à la prison et réparer une erreur judiciaire regrettable. ' 11 est certain que si l'infirmier avait mieux fai
PROCURSIVE. I 1882. Juin. - Poids : 47 kil. j 100. Taille : jm,49. ' 1883. Janvier. - Poids : 47 kil. ;;00. Taille :
'épilepsie PROCURSIVE. : 49 Douze enfants et trois fausses couches. ' - ' . 1° Garçon, mort à trois mois, en nourrice
lepsie PROCURSIVE. : 49 Douze enfants et trois fausses couches. ' - ' . 1° Garçon, mort à trois mois, en nourrice; «
lle, née à terme, forte ; celle-ci a quatre ans, est bien portante. ' ' Notre malade. - Conception et grossesse, rien
e, née à terme, forte ; celle-ci a quatre ans, est bien portante. ' ' Notre malade. - Conception et grossesse, rien d
epsie PROCURS1'E. parole courante dans le cours de la seconde année ' ; il était propre à dix mois. Mis à l'asile à
noix), normaux. - Pénis : circonférence et longueur : 9 centimètres ' . Gland découvert; onanisme rare' Les organes d
r du poêle et revient à son point de départ. - On l'assied sur un ' Il va de soi que ce chiffre n'est qu'approximatif
s le commencement du mois de juin. Suspendu jusqu'au 6 septembre. ' Nous avons revu le père de Car... le 13 août 1887
u 3 janvier; G gr. jusqu'au 15 janvier ; 8 gr. jusqu'au 30 janvier. ' 1881. 30 avril. - Suppression du bromure de pot
- Pas de folie, ni de kleptomanie, ni de pyromanic ; il aimait à ' Selon une note prise par M. Delasiauve le 10 août
r sa présence dans ce lieu inusité par quelque besogne à accomplir. ' Alors, bien que ce ne soit pas l'heure, elle de
pas d'écume; plusieurs fois urination invo- lontaire et défécation. ' Après les accès il veut se sauver, il a la paro
disparition totale pendant la dernière année de la vie du malade. ' Les deuxième et troisième circonvolutions tempora
n d'inter- prétations peut donner lieu, par exemple, l'acte de se ' Disons toutefois que certains épileptiques peuven
tre (service de M. Bourneville) et y est décédé le 12 mars '1886. ' Herpin. - Des accès incomplets d'épilepsie. Paris
PSIE PROCURSIVE. z 8. - Pas d'accès. - T. R. 38°,S; - Soir : 380,6. ' 9. T. R. 38 ? 3. - Soir : 380. 10. T. R. 38",
ès prononcée des mains. Il a été soumis au traite- ment par l'élixi¡ ' polyúl'01nlU'ú. 1886. 9 mars. - Le matin, quand
t entré le 2 septembre 1885, à Bicêtre (service de M. Bourneville). ' ' C'est là une des causes les plus fréquentes d
tré le 2 septembre 1885, à Bicêtre (service de M. Bourneville). ' ' C'est là une des causes les plus fréquentes des m
- Un frère, une soeur, une cousine germaine, morts de convulsions. ' Premières convulsions à six semaines portant ex
est entré le 25 mars 1886, à Bicêtre (service de M. Bourneville). ' Bricon (P.). - Du traitement de l'épilepsie; Pari
personne qui se trouvait devant lui et tombait en accès; la main ' Bricon. - Du traitement de l'épilepsie, 1882, p.
n- ducteur de chemin de fer, est un individu pâle, un peu chétif. ' Nous n'avons pas la prétention de relater ici tou
mille.] Mère, soixante ans, assez grande, brune, fait son ménage, ' Début par un tremblement, pas de délire. DE l'é
tte). Etat actuel (21 mai 1883). -- Tête carrée, symétrique, sans ' Il est très diflicile d'obtenir des renseignement
frontale ascendante, du lobe occipital, l'état chagriné des pre- ' Nous ferons remarquer que Duch... a eu pendant le
du trou de Botal. - Rate supplémentaire . - Thymus persistant. - ' Notons en passant la tuberculose crétacée et les
rien de particulier. Pas d'aliénés, etc.] - Pas de consan- guinité. ' Huit enfants : 1° garçon, mort à trois semaines
ordon latéral de ce côté est un peu grisâtre sur toute sa longueur. ' Hémisphère gauche. La scissure de Sylvius laiss
la coloration de la substance cérébrale parait à peu près normale. ' Le lobe occipital, sans être manifestement atro
s-llewegu11gen und Zwangsvorstellungen und Sclérose einer K7e ? t ! ' )-M ? eM)oe;'e. (Vir- chow's Archiv, 1880, p. (j
le lobe inférieur droit présentait une hépatisalion rouge. Le cocu) ' , en surcharge graisseuse, était légèrement hype
de rotation, sont liés à une lésion cérébelleuse'. Celle-ci peut ' « Les impulsions rectilignes ou selon l'axe qui p
eçons de clinique médicale de Lariboisière, Paris, 1873, p. 170.) ' Luys et A. Voisin. - Contribution il l'anatomie p
ve, nous le répétons, démontre la nature comitiale de la maladie 1. ' On observe souvent chez les hystériques, à la f
nique du cervelet dans tout effet volon- taire ou involontaire. 1 ' D'après lleallnis, Nouveaux éléments de Physiolog
us, et la malade mourut huit ans après le début de son affection. ' Si on laisse de côté les accès procursifs et que
, llesnet. - Des mouvements circulaires (Archives générales, mai SS'2) ' , lie nunis. Nouveaux éléments de physiologie /
ouvements irrésistibles à un défaut d'asymétrie de l'innervation t. ' Les lésions cérébelleuses peuvent être latentes
t pas stric- tement localisées à une partie du cervelet, et elles ' Archives de Neurologie, 1885. t. IX, p. 99. 160
que aussi intenses. Voici les résultats de notre dernier examen : ' Ce passage a eu lieu le 9 novembre 1885. La condu
tient de la main gauche. Montre qu'il désire continuer les douches. ' Décembre. - Poids, 40 kilogr. 0. - Traitement :
Janvier. -Poids, 43 kilogr. 60. Taille, lm,35. Hydro- thérapie du 4· ' avril au 11 octobre, et exercices de marche. le
profession- nels, comme les mouvements des rameurs ou des forgerons ' , et liée d'ordinaire à l'hystérie, diffère trop
tiques dont l'appréciation permet au praticien de prédire, en pré- ' Bulletin de la Société anatomique, mars 1869, p.
ique (thèse Leroy). Paris, 1880. 'berlines Klin. ¡Vochenschl'¡ft, n" ' 43 et 44, oct. 1886. 188 DE la température cent
n'a traité la question et d'une manière absolument satisfaisante... ' Si l'on a négligé ce sujet, ajoute-t-il, la fau
appui de nos conclu- sions. (Progrès médical, 1888, t. VII; p. 81). ' ho ANOMALIES DES ORGANES GÉNITAUX. IV. Des
puberté, on verra descendre les testicules. Le cas du n° 13 du 5* ' tableau est bien fait pour nous engager à le 20
articulé en Fit 7. Fig. 8. 214 polysarcie; myopie ; strabisme. ' arrière, où il se termino en pointe, ce doigt p
de sa tenue, et ses minuties lui attiraient 240 début DE la folie. ' les moqueries de ses camarades. Au bout de 18 m
parlait jamais. On en était même surpris. Il n'en était pas jaloux. ' On ne pense pas qu'il ait jamais eu de rapports
orçant tous do mouvements. J'affirme, comme . idées DE persécution. ' 249 ma mère le dit elle même et tout haut, qu'e
84 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e XIV. - 1887. \ s}^ " Avec 4 planches et 17 figures dans letezté : ' PARIS BU \1 EAU DU PHOQUES MÉDICAL 1 i, rue
ériodiques. Caractère très irritable, impressionnabilité excessive. ' M. N... a eu tout récemment de violents chagrin
este maintenant à DE LA PARALYSIE FACIALE. il 1 faire la relation ' de 5 autres cas d'hémiplégie faciale dans lesqu
E. - TROUBLES DE LA'SENSIBILITÉ CHEZ LES ORIENTAUX. LES AISSAOUA; ' , Par le Dr JU3'r LUCAS-CHA11PI0\NIÈIE, ' . C
RIENTAUX. LES AISSAOUA; ' , Par le Dr JU3'r LUCAS-CHA11PI0\NIÈIE, ' . Chirurgien de l'hùpital Sainl-Louis. Depuis
qui se terminaient habituellement au milieu de flots de lar- mes. ' Bien que les apparences fussent excessivement g
psychologie par les méthodes positives de l'observation médicale. ' Travail du laboratoire clinique de M. le professe
r. Mesurer ces deux phénomènes, afin d'établir avec certitude les ' Qu'il nous soit permis d'exprimer ici notre profo
CLINIQUE NERVEUSE. Dans sa Pratiqzieden2édecine spéciale, Etmùl 1er ' divise l'épilepsie en trois degrés : le premier
nous n'avons rien trouvé se rapportant à l'épilepsie procursive. ' Paullini. Ephenzerid. Nat. Curios., déc. 3, ann.
r comme un fou, se précipita hors de l'atelier et mourut ( ? ). » ' Ephenaer. 1'atur. curiosor., déc. I, observ. 71.
Systema nzorborum symptomaticum. Vindoben.t, 1763, pars Il, p. 121. ' 5 Caillau. Journal de santé et d'histoire natur
inc. C. D..., âgé de treize ans, d'une santé assez bonne, s'étant ' Journal de Hureland, juin 1811, vol. XXXII, p. 88
t toujours par un mouvement circulaire qu'il y parvenait, et s'il ' Lau. Hufeland's Journal, vol. L, vu, décembre, p.
à courir en ligne droite devant lui avec une rapidité incroyable, ' Serres. - Anatomie comparée du cerveau, t. II, p.
sidérer cette forme clinique comme appartenant à l'épi- lepsie. » ' Bérard aîné, citation d'Olivier d'Angers, Traité
les. Quelques instants après, une douleur vive lui arrache des cris, ' il se met à courir comme pour échap- en au dang
heim l'accompagnait souvent à la promenade. Ils marchaient paisi- ' Romberg. Lehrbuclz der Nervenkrankeiten der 31ens
- due, pendant cette période de plus de cinq ans, que pendant six ' Salgues. Revue nzédico-chirurgicale de Paris, 182
épilepsie. M. Hammond 2 relate deux observations dans son Traité. ' Trousseau. Clinique médicale de l'HGtel-Dieu. 4e
cale de l'HGtel-Dieu. 4e édition, 1873, t. Il, épilepsie, p. 112. ' Hammond. -- « Traité des maladies nerveuses; trad
e vertige. La durée de cet accès n'avait pas dépassé trois minutes. ' Dans une autre circonstance, il avait été pris
le sens du mouvement » sous le nom d'impressions kines- thétiques. ' Comme on le voit, c'est à l'étranger que le sen
nal, 1886) dans une communication à la Bristish medical Association ' , pour placer ses centres kinesthétiques au nive
spari- tion du sens musculaire, en particulier dans l'hystérie 2, ' Voir la traduction de ce travail par : \1. Sorel
ravail par : \1. Sorel dans le tome XIII des Arch. de neurologie. ' Voir Iconographie phologr. de la Satpèt1'ière, t.
. 10,NOI'LEGIA ANÆ5TlllnICA; par le professeur Adamkiewicz. (Wielle/ ' Mediziiiischeiz, Bldtter, nOS 4 et 5, 1887.) Il
penser à une lésion localisée et bénigne. Les douleurs violentes ' du début qui reparaissaient avec les changements
'autour conclut à l'existence d'une lésion des cinquième et sixième ' racines cervicales à leur point d'envergure ent
J. Toppi-4 (de Bermondsey). (Médical Press, 20 avril 1887, p.370.) ' II s'agit dans cette observation d'un malade âg
ner un aliéné dans les conditions prévues au paragraphe pré- cédent ' , c'est-à-dire avec nécessité de le tenir enfermé,
nfermer l'aliéné, c'est l'expression même dont se sert l'article 8. ' L'article 8, en effet, n'exige une déclaration
exte, en y insérant deux ou trois mots. Quant au reste de l'article, ' j'admets parfaitement toutes les garanties prup
vaise, qui s'éloigne le plus de la propo- sition de la commission ? ' ! M. de Gavanntc, de sa place. Jusqu'à présent,
is enfin, monsieur le rapporteur, disait-il, citez- nous des faits. ' M. LE Rapporteur. Tous les faits sont pour nous
sont traités comme ils ne doivent pas l'être dans la famille ! 154 ' SÉNAT. Mais quelle meilleure garantie avez-vous
ombe pro- pose une troisième modification, qui est ainsi conçue : ' A moins que le parent « n'aitson domicile dans la
ns, sans traitement, exposés à des accidents de tout genre. Nulle ' Cette pratique existe dans d'autres hôpitaux. f
ous and mental diseuse. - New-York, 1886. - Vail et C°, publishers. ' ' Le rédacteur-gérant, BOURNEVILLE. IhreU1. C
and mental diseuse. - New-York, 1886. - Vail et C°, publishers. ' ' Le rédacteur-gérant, BOURNEVILLE. IhreU1. Ch. l
que tous les ébranlements qui impression- nent brusquement certains ' organismes prédisposés peuvent déterminer des a
la paume des mains, à la suite de la rupture d'une échasse, donne ' A. Chauffard. Ga. hebd. de méd., 11° 21, p. 31l,
ssion, soit de vraies attaques de nerfs, soit des auras incomplètes, ' vient encore presque toujours confirmer le diag
n accès convulsif qui dura une heure, sans perte de connaissance, ' Giacomo Lumbroso. Contributo alla diagnosi delle
ée, faiblesse extrême, anesthésie complète des membres inférieurs ' Nous résumons les grands traits de l'histoire de
tempérance (sommelier, cocher de fiacre, marchand de chevaux, etc.) ' ? ? Je demeure convaincu que l'alcoolisme n'est
t en proie à une excitation génésique, portée au plus haut degré, ' A noter aussi la rareté de la maladie en Suède et
n Suède et en Irlancle, où cependant l'alcoolisme est très répandu. ' DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 217 se montraient e
es que j'ai recueillis sont de beaucoup au-dessous de la réalité. ' Mais il faut se demander aussi si les maladies
Mais quelquefois, la cause morale agit à la façon d'un traumatisme, ' elle produit un choc violent, sou- dain, dont l
ment mental s'accentue. Il meurt dans le marasme en janvier 1877. ' En résumé, ces conclusions ne diffèrent guère de
irai autant des causes physiques (traumatisme, insolation, excès, ' C'est la conclusion de M. le professeur Lefèvre d
nce fût réduite au minimum. Sans grands efforts, sans compétition ' C'est aussi l'opinion de Luys : qu'il s'agisse, d
1885). Père, fabricant de chapeaux, intelligent, fort, de taille ' moyenne, très sobre ; marié à l'àge de trente ans
poids élevé, dû peut-être aux îlots de sclérose tubé- reuse' . ' Cette observation de sclérose tubéreuse s'ajoute
s le commencement du mois de juin. Suspendu jusqu'au 6 septembre. ' Nous avons revu le père de Car... le 13 août 1887
is avec la démarche d'un homme ivre. Voici le tableau des accès : ' Il gâte parfois dans ses accès. Il se livre quelq
postérieures du cerveau étaient relati- vement très développées. ' Au moment de ce dernier examen fait le 24 septemb
Les masses centrales des deux côtés n'offrent rien de particulier. ' Cette observation que nous avons classée dans l
totale pendant la dernière année de la vie du malade. (A suivre.) ' Les deuxième et troisième circonvolutions tempora
on mentale et qu'il en ait conclu que notre malade n'était pas fou. ' « Si M. Gaillard, de Vaucluse, veut bien permet
- lirante très mobile, portant cependant toujours au fond sur les ' Voy. Archives de Neurologie, séances antérieures.
IOL% et SNELL. Certains individus ne par- lent pas afin de simuler. ' M. Otto SNELL. - De la coloration des cellules
s (337 fr. 50) par malade. On a grand soin de choisir les malades ' Sujet maintes fois exposé dans les Archives de Ne
ronnaire de l'Is`tatpeut, sans mandat spécial, contrôler toutes les ' Voy. les Archives de Neurologie, Sociétés, analys
e d'inutile, de criminel et de psychopathique. Mais à côté de cette ' cause, assez fondée du reste, il faut compter a
it le mettre à la fin de la loi... M. DE Gwardie. C'est évident ! ' Voy. Arch. de Neurologie. XIII, p. 135, 208, 139
quoi j'ai le droit de demander qu'on réserve l'article tout entier. ' M. LE Rapporteur se dirige vers la tribune. A
Président. Vous ne comprenez pas davantage celle de votre collègue. ' M. DE GAVAIIDIE. Celle-là a une autre portée. (
nce de l'asile, il surveillait personnellement l'American journal o/ ' insanity, et publia une série de mémoires en 1871
o/' insanity, et publia une série de mémoires en 1871, La folie dé- ' The Boulon méd. Journal, 17 mars 1887, p. 2G7.
L ». - Dans son rapport biennal, le surintendant de cet asile, le D' ' Bryce, rend compte des progrès effectués sous ce
alors ses juges, ce qui fait porter sa peine à trois ans de prison. ' Envoyée à la Maison centrale de Montpellier, el
pendant son sommeil : elle croit toujours les exécuter mais n'en ' Rédigé d'après les notes du Dr Sarda, chef de cli
ression du poignet. 24. - On applique à l'index droit de la malade ] ' ¡'YIJnoscope du Dr Ochorowitz : c'est un aimant
ie de défi- nitions se rapportant aux concepts suivants : percez- ' Voy. t. XIV, il» 40, p. 17. DE H PERCEPTIBILITE
e rendu perceptible, grâce à deux actions diffé- rentes, à savoir : ' 1° Une modification dans son intensité lumineus
n soit parfaite) être étudiée : 1° A tous les degrés d'éclairage; ' 358 PSYCHOPHYSIQUE. 2° A toutes les différenc
ais simplement une modiGcation dans la technique , les deux modes ' Fôrster. liber llemeralopie und die Anwendnng eiz
déterminé l'acuité visuelle pour les couleurs. 1 Forcer, l. c. ' Ole Bull. Archives de GracIe, 'Ja lui ? 1885. 3
tale. Chez d'autres : Landois et llosler 13, Dresch- fjelds, Balmer ' , l3eard 2, Leloir '\ etc., l'attention est atti
: Landois et llosler 13, Dresch- fjelds, Balmer ', l3eard 2, Leloir ' \ etc., l'attention est attirée sur l'atrophie m
ris, frac- ture de l'os), à marche indolente, ou bien une appari- ' lion de troubles locomoteurs avec atrophie muscu-
que pour le diagnostic et la thérapeutique de cette affec- tion. ' Je rapporte mes observations cliniques, quelque
d'iodure de potassium par jour et durant ce temps, il maigrit et ' pâlit beaucoup. Ce remède avait été abandonné et
on de con- ductibilité (pour les voies sensitives) dans la moelle ' épinière; 3° troubles trophiques, il est vrai que
« Ma mère a senti un choc en elle, et a senti l'enfant remuer. » ' Sur la période de 1857 à 1864, nous avons quelque
Lasègue est ainsi conçu : Idiotie, paralysie, épilepsie probable. z ' Le certificat'de quinzaine, signé de M. Delasiauv
sont moins sensibles, mais ils existent à un certain degré... » . - ' Nous relevons ensuite les notes ci-après : « 18
tains jours beaucoup plus prononcés, plus fréquents que ce matin. ' ' Ce passage a eu lieu le 9 novembre 1885. La con
ins jours beaucoup plus prononcés, plus fréquents que ce matin. ' ' Ce passage a eu lieu le 9 novembre 1885. La condu
quelques. mouvements. Elles ne sont le siège d'aucun cra- quement. ' , . La notion de position est conservée. Il n'y
sons, mort à la suite d'une chute avec- frac- ture de côtes. - Mère, ' morte à soixante-huit ans, « après avoir traîné
s sont très accusés. Pas de déformation du rachis. Boutons d'acné ' en avant et sur les deux tiers supérieurs du dos.
dans les doigts, des grimaces de la face : la bouche parait serrée, ' comme s'il y avait une contraction per- manente
la fontquelquefois sauter sur place; celle-ci étant saisie, âpre : ' quelques courtes oscillations accompagnant le g
sparent, très fluide. {Rapport d'exercice de l'hôpital de Sa/.¡bals/ ' ¡e1' ! J, à Stockholm pour 1885.) A. R. XII. P
gie droite et quelque temps après mourut de tuberculose pulmonaire. ' A l'autopsie, on trouva dans l'hémisphère gauch
e immédiate des influences dépressives REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE ' /¡OU (chagrins violents, déceptions, ménopause,
ce qui concerne la pression contre la manière de voir d'Adamkiewicz ' relative aux relations et à la dépendance qui e
e centrale, mais plusieurs une foule de vacuoles marginales. Sans ' Voy. Archives de Neurologie. ' vos. Archives de
foule de vacuoles marginales. Sans ' Voy. Archives de Neurologie. ' vos. Archives de Neurologie, t. XI, p. 103j t. XI
développement de la névrose professionnelle. Il s'agit encore là ' dans l'espèce d'une application particulière de l
uatre ans; un cas d'ectro- mélie unilatérale avec rein unique, etc. ' Le volume se termine par des considérations sur
générale, avaient été contestées dans un article récent du Be1'line/ ' Klin. Wochenschr. SENAT DISCUSSION DU PROJET
r les aliénés. La parole est à M. le rapporteur sur l'article 11. ' Voy. Arcli. de Neurologie. XIII, p. 135, 238, 139
parcouru l'Europe, et, après avoir pris connais- ARCHIVES, 1. XIV. ' 28 434 SÉNAT. sance des progrès considérables
sponsabi- lité véritable de l'administration des aliénés en France. ' L'amendement de l'honorable M. Bardoux fait dis
the Insane. A Manual for Attendant in Insane Asy- lum. $Nursiuy 0/ ' No'UO ! M and Insane. 444 varia. dent tous le
j'espère bien que ces améliorations ne seront pas les dernières. , ' Il y a loin en tout cas.de votre situation actu
a - et l'activité du coeur), par Bechte- rew et Misslawsky, 'if3. ' Prix Esquirol, 116. , Prostitution profession
85 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ique hallucinatoire, dix-sept heures après la cessation du trouble. ' y. d'intoxication avec hallucinations de la vue
res varia- tions du champ visuel, dues à des troubles surajoutés. ! ' 1 a. Etat mélancolique délirant. Ons. 23. - Mme
dants 'Ci- dessus la partie supérieure de 2 tracés de l'oeil gauche ' (fig. 16 'et 17). ). - OBs. 117. Fac. 16. 0. G
ns la paralysie géné- rale que dans les autres affections mentales. ' Le signe d'Argyll Robertson se rencontre encore
teurs sur ces phénomènes si intéressants au point de vue social n'a ' pas eu d'importance pratique. 40 CLINIQUE MEN
gues sans motifs mais conscientes et sans obsessions ». Père mort à ' )0 ans de diabète ; mère morte à GO ans d'affectio
avail intéressant mais encore plus métaphysique que scienti- fique. ' IL M, C. .\CIII' s, 3' série, 100 î, 1. 1. 4
decin et le maître doivent le régler et le diriger de concert. ii ' R. DE MUSGRAVE CLAY. Vil. Action de l'atropine
n raison même de la diversité des tem- péraments et des caractères. ' ` R. DE Musgrave CLAY. XII Sur l'emploi des méd
la décharge numérique de l'Asile et sur une écono- mie budgétaire. ' Le total des sorties par guérison ou améliorati
raison. C'est ce qui explique son s-,lic7d .(iVouv. de la Sarthe.) ' ' - Un suicide. Mme vewe Pihan, âgée de 73 ans,
aison. C'est ce qui explique son s-,lic7d .(iVouv. de la Sarthe.) ' ' - Un suicide. Mme vewe Pihan, âgée de 73 ans, q
e la nouvelle loi sur le régime des aliénés; l'AR le D' V. BOUIIDIN ' Médecin en chef de l'Asile du Mans (SarLhe).
nation. Dès lors, qui peut dire que la séquestration est arbitraire ' ? Dira-t-on qu'un seul symptôme est in- suffisa
, qu'ils ne l'organisent pas eux-mêmes dsns leurs propres services. ' A propos de l'article 7, nous devons protester
aque asile : à la bonne heure, et ce titre n'est-il pas suffisant ? ' ? Le même art. 7 spécifie que les nominations d
és d'une- enquête qui pourrait fort bien être confiée à la justice. ' Quoi qu'il en soit, voyons quelles formalités e
paperasserie dont nous espérions tous la suppres- sion. .. - - .. - ' 0 ? . LES FUGUES DANS LES PSYCHOSES ET LES DÉME
le faire double emploi avec'les derniers paragraphes de l'art. 22. - ' Enfin les art. 33 et 34, qui terminent la secti
rveuse ou mentale, mort à 51 ans de pneumonie. Un frère alcoolique ( ' ! ) ou tout, au moins « ne sup- portant pas la
n peu moindre. A cha- que accès maniaque le malade fait des fugues. ' De 189G à 1903, il a été interné cinq lois à l'
ionnée, les yeux brillants ; il mange très peu et maigrit beaucoup. ' Observation V. X., ingénieur, actuellement (le
à Lourdes, ilaeu pendant quelques minutes « une espèce de nirvana ) ' marchant automatiquement, mais sans aucune pens
29 gues.- La folie morale donne fréquemment lieu à des fugue*. \. ' Observation IX. X. 28 ans, entre à la maison de
ugue*. \. ' Observation IX. X. 28 ans, entre à la maison desanL6 de ' Ville-Evrard au mois de mars 1905 avec leriiagn
à l'examen sérieux d'un malade jusque là considéré comme normal. ' Je ne doute pas cependant que l'attention une f
X. Fièvre hystérique chez l'enfant; par Comby. (Bulletin y7)e'ea/,n' ' 36, 1906.) Une fillette de 13 ans est pris de s
'auteur montre qu'il s'agit d'une fièvre hystérique sans gra- vité. ' - L. Wahl XXI. Pathogénie d'un cas d'hystérie l
V communique l'observation d'un tuberculeux devenu aphasique. '... - ' M. B. Séance du 26 février 1906. -PRÉSIDENCE de
le ? Quelle force cachée, extra-humaine, établit donc celle unité : ' On ne peut faire de l'àme, ou personnalité, que
t consLitue-t-il son 2- groupe de demi fous avec d'anciens fous ? : ' Ceux-là aussi commettent des crimes ! par quel
la conséquence de l'al- tération partielle des neurones psychiques ( ' ? ). Dans l'examen de la conduite à tenir, M. G
ecin-direc- teur, Dr Guyot; Médecin adjoint, Dr Guiard ; 1 interne. ' MARNE (Haute-). Asile public de Saint-Dizier :
rêtre, lorsqu'il s'agitde toucher à ce qu'il appelle ses franchises ' ! Il y a quelque chose au-dessus des constitution
ogie. Déli- nition et nature de l'hystérie. Rapporteurs : ;\1. le D' ' Claude, de Paris. ;\1. le Dr Schnyder. de Berne
dû D''SAND. Autre conectioll à faire, dans l'analyse du livre du 1) ' OREL. Page 80, àlaf4e ligne du second paragraphe,
géniqnement, le corps de \Voll1', et celle de leurs dérivés. - 201 ' PSYCHOLOGIE. Parmi ces derniers,les glandes gén
tion prend l'aspect d'une formation double et symétri- que ». Donc, ' «la constitution double et symétrique du système
i aveç les sensations, propos des acquisitions de chaque co-être. ? ' Quant cette synergie qui dépasse du beaucoup la
là "formation, (le'iïàs perceptions, parce que les fon'cti'ohs (je ' ¿es 'deux 'Ol'gl1'n'es, c'(¡11Wn'e celles de tons
sur le régime des aliénés (Suite et fin.) Par LE D' Y. DOURDI : \ ' Médecin en chef de l'Asile du Mans (Sarthe).
t ! 1pan il y a pré- somption de folie. Actuellement, en pareil cas, ' le magis- trat instructeur réclame une expertis
l du prévenu : dès lors, à quoi aura servi l'expertise ? En réalité, ' si un jugement ou une ordonnance de non-lieu a
être précédé d'une- nouvelle expertise qui sera contra- dictoire. ' Que de complications-, et que de frais ! 1 Et p
Section IV. Sorties définitives ; sorties provisoires ; , évasions. ' Les sorties, définitives ou provisoires, font l
exerce sur les murs en des compositions picturales assez curieuses. ' ' Des paillassons spéciaux en déchets de cuir c
erce sur les murs en des compositions picturales assez curieuses. ' ' Des paillassons spéciaux en déchets de cuir con
rréalisé plus souvenl chez nous. r Le personnel est ainsi composé : ' 1 directeur-médecin un chef. 1 médecin-adjoint.
fait une pous- sée de Basedovv fruste à propos d'une cure thermale. ' L'emploi thérapeutique de corps thyroïde provoq
u cerveau sous l'influence dystrophique de la syphilis des parents. ' En somme, la coexistence surtout de caractères
lics et privés, placés sous la surveillance de l'autorité publique. ' LENT. 4. Chaque département est tenu d'avoir, d
ambre du conseil dans la quinzaine à compter de la date de l'appel. ' (A suivre.) SOCIETES SAVANTES SOCIETE 1)'IIYI
gestion (plaques métalliques, aimanfs, etc.) ou qu'ils aient en 262 ' bibliographie. môme temps une action propre (ex
'intoxication alcoolique au nom- bre de leurs causes déterminantes. ' - IL-Je formulerai ici diverses observations gé
ou certificat de seize inscriptions prises dans une des Facultés ou ' Ecoles de médecine de l'Etat. Ce dernier certif
preuve orale sont tirés au sort avant l'ouverture de chaque séance. ' L'épreuve orale est pu- blique. Le jugement déf
to- mie et de physiologie : Nerf optique, anatomie et physiologie. - ' Questions restées dans l'urne ; 1° Capsule inte
vante : - Il cas : états dépressifs, 4 cas : états confusionnels. ' 2 cas : états mixtes 111a111aC0-(ll)l'PSSIf.
. ' 2 cas : états mixtes 111a111aC0-(ll)l'PSSIf. 1 cas : stupeur. ' M. Baruk, médecin directeur de l'asile d'Alenço
pré- coce. Thèse de Paris, 1 <.JO : ; , . 76 CLINIQUE MENTALE. ' 3 cas : confusions mentales. 2 cas : début fé
ique. 65 cas : états dépressifs (neurasthénies 1 et mélancolies). ' ' , cas états neurasthénico-hystérifOl'me". 4
. 65 cas : états dépressifs (neurasthénies 1 et mélancolies). ' ' , cas états neurasthénico-hystérifOl'me". 4 cas
I3t.ON. - Psychologie des déments précoces. Thèse de Pa- ris, 1902. ' (2) TH. ZIEIOEN, - Die Di/Jel'elltial diagnose
on et si elle est de nature envahissante la transforme en entier ». ' Il y a donc une invasion progressive du champ d
Elle répète tout le temps. « Je suis à moitié morte, c'est fini". ' Le 18 mars. Elle resta cachée dan- le bureau de l
aller se coucher dans lelil d'une autre malade sous prétexte « de s( ' réchaul1'er ? - . 31 mars. Négativisme. 4 avril
Le- troubles cenesthesiques et ces phénomènes délirants se disi- ! ' ('nt pl'ot : : l'essill'll1('nl. Au mois cle se}Jt
nt et justifient le diagnostic de démence précoce posé par 11. le I) ' L\\ 011'. Observation II. (Personnelle). Résumé
dois expier ce que je n'ai pas bien fait 1). Quels sont ces choses ' ? 11. J'ai pratiqué l'onanisme et j'étais mécon
inistre (,i-e(lin,l. Il. a profité de mon internement pour m'accuse( ' (1 être un espion, de vouloir tuer mon frère, me
n'ait qu'une durée pas- . (1) Voirie numéro de mars, p. 177. 204 ' PSYCHOLOGIE. sagère comme dans les cas d'hypnos
n (Cf. avec la critique du cas Louis V. p. 000 à 000.> : 301 1 ' PSYCHOLOGIE. leurs même pas à spécifier à quell
chaque coêtre à l'autre et au moi) des individualités en présence. ' Mais après la perte de la personnalité synthéti
at observé ultérieurement, le sixième. A ce moment, V... est « bon » ' mais il y a dps lacunes dans sa mémoire et « il
osant l'arrêt de la vision » (p. 2S) ; la suppres- 310 psychologie. ' sion totale du champ visuel d'un oeil ne peut a
justifiée par les nouvelles considérations biologiques de l'Auteur. ' « Un des blastomères [dans l'expérience dc Chab
cons- cience, ou plutôt leurs actes, qu'il leude lui-même ces 320 ' 1 psychologie; . actes conscients : il n'en con
ce pro- pre. Différente de celle du moi, inconnue de la psycholo- ' gie,la conscience du co-être se connaîtrait-plie
Il en est de même pour ceux de « dou- ble conscience » simultanée. ' Donc en aucun cas, la conscience qui est en scè
obéit à des lois d'association ou d'agrégation 324 À : PSYCHOLOGIE. ' qu'il ne fait pas et ne peut connaître. » (p. 7
récision/probablement involontaire, l'Auteur a laissé la partie .iG ' LÉGISLATION. capitale de sa thèse : la part de
Députés : PAn I. CI ! , 11Z1 ? MAlt, Interne de la Maibon de anl( ' de Pif'IJI1S, La Chambre des Députés vient de v
rer, avec les épilepsies et les psy- choses convulsives en général. ' Alcoolisme et hérédité. - En ce qui touche l'hé
ne observation détaillée, dont le début se trouvait dans un précé ' dent numéro. J. S. La responsabilité et l'assis
us de diverses maisons d'aL'l'èt .-2'2 cas de l'ulie toxique (°0 IL= ' 1 .). Sorties : 104 guérisons (j4 Il. d0 F.); a
nce et des pays de langue française (Genè- ve-Lausanne, août 1907). ' , Le XVIIe congrès des médecins aliénislcs et n
se se tiendra cette année à VARIA. 349 Genève et à Lausanne, du 1" ' au 7 août sous la présidence de M. le Prof. Pré
entative de suicide.- Autre fait du même journal : Hier soir, Mlle \ ' alen line 13mrd,de Chahaignes(Sal,the),àgée de 53
e l'oeil. Bulbe rachidien. Centres moteurs corticaux. Epreuve orale ' (dite « de garde »)de 5 minutes : De la condui-
intes de maladies mentales, parles IJlb P- 5- rieux cl : \11GI"Or. \ ' (JI. grand in-S°. Prix 4 l'r. Pour les abon- nés
édical et des Archives de Neurologie, 2 francs, franco, 2 fr. GO. ' Le rédacteur-gérant : l3ot;wsvtLLE. Clerniont (
traine tous les accidents somatiques et psychiques; pour les autres, ' c'est un trouble physiologique de l'é- corce cé
les résultats thérapeutiques basés sur ces con- HYSTÉROEKTSOMMEtL. ' .359 ceptions psychologiques aient été bien fam
cette impression se trouve ramenée, et l'on . lit , s y ! ? 4f nr. ' HYSTERIE 1 ! T SOMMEIL : "\ 1.' ? 361 ... ' .
lit , s y ! ? 4f nr. ' HYSTERIE 1 ! T SOMMEIL : "\ 1.' ? 361 ... ' . \"j ? .. ? dit alors qu il y a représentation
n psychologie 1;)7. In 131bIioLl. de philos, contemporaine, Paris, ( ' ..llcan. 362 CLINIQUE NERVEUSE. représentatio
e, ne réa- gissant plus aux excitations du dehors, ne les transmet- ' tant plus au centre de conscience, de synthèse
être véritablement scientifique, soit reproduisible à vo- lonté. ' Voici celle que j'imaginai. J'avais été frappé
ative de Charcot, qui a corroboré par avance les miennes propres. ' * Il suffisait de la généraliser, de la poursuivre
de la constitution du moi, sont si intéressantes et si importantes. ' En provoquant de plus en plus le réveil, on arr
n'y a qu'un rapport de concomitance par suite d'une cause unique. ' . - Enfin, quand le réveil est complet, le suje
rsque même elles délibèrent, chaque raison indivi- 372 PSYCHOLOGIE. ' duelle reste propre » (p. 109) ; « pour délibér
fonctionnant et qui persiste intacte dans les cas envisagés. 1 ' D'autre part, « le corps calleux est d'autant plu
vale ou dans toute autre masse blanche, de terminaisons nerveuses : ' dans l'état actuel de la neurhistogenèse, on ne p
bien,en Allemagne, les médecins sont en même temps les Directeurs. ' « Le Dr Renaudin, qui était certainement un sav
fonctions, de celles du directeur et de celles du 39S LÉGISLATION. ' médecin, ayant eu maintes fois à constater les
cident survenu. » Après les manifestations de ces diverses opinions, ' M. DouLrebento résumant les débats s'exprimait
e ministère aura la latitude de nommer des directeurs non médecins. ' Enfin, pour terminer, une Commission composée d
de M. le Dr Bourdin 1\ nr.III1'I ? : 1' série, ]937, I. I. 20 402 ' LÉGISLATION. lorsque nous avons reçu la lettre
l'hôpital (et l'asile qui doit être un -hôpital) aux méde- cins. ' BOURNEVILLE. Proposition de loi sur les aliénés
ctrine de l'évolution et de la dissolution de IIughlings Ja- ckson. ' En effet, chez l'enfant, les premières acquisit
M. F. E. RAINSFORD. (The Journal of Mental Science, janvier 1906.) ' Le titre de ce travail en résume la pensée ; l'
respiration fréquente d'une atmosphère imprégné d'odeurs fécales. ' Il y a de fortes preuves en faveur de la théorie
s asiles et lors des changements de quartier de certains alié- nés. ' R. M. C. IX. La surveillance des aliénés sortan
ignes vagues de paralysie glosso- ],Ibio-Ial,¥ngée. c D "> 43S ' SOCIÉTÉS SAVANTES Paihogénie du tremblement mer
ynévrite apoplectifol'me aoec association probable de poliomyélite. ' Il. CLAUDE et CHARTIER, lisent l'observation d'
survenus chez deux malades dont il fait la présentation. ,1. Rolet. ' \ BIBLIOGRAPHIE X. Les fibres myéliniques du
présente une nouvelle tendance à l'égalité d'épaisseur vers Il ? 5; ' ) ans. Ce fait intéressant, « point nodal des me
. vicieusement de celle autre donnée plus générale, que le cortex ' bibliographie. 445 est d'autant moins épais qu'
auclusc), nommé, en la même qualité, à r.lel'l1lOnt (Oise). M. le 1) ' COULVYJOU, médecin-ad- joint à Craqueville (Hau
isoire : M. Crinon, pour la titularisation duquel .le Jury aémis un ' % (eu si un poste d'interne titulaire vient autre
ie et sommeil (Théorie physiologique de l'Hystérie. (Suite et fin). ' Pau le D' Paul SOLLIER. La définition suivant
timent de la personnalité physique et du moi moral et intellectuel. ' Notre théorie a, en effet,cet avantage de conci
acune d'elles pour propre à un système et comme le caractérisant. ' 2° Cette erreur concernant le « déterminisme » es
SSOT. XXXIII. Rachitisme tardif et scoliose des adolescents ; par ' BRISSAUD et Moutier. (Nouv. Icon. de la Salpêtriè
expérimentalement chez l'homme, M. EGGER - La fonc- tion gnosique. ' Séance du 2 Mai 1907. Présidence de M. BABiNs
e personnalité des plus marquan- tes dans les sciences biologiques. ' C'est qu'en effet, non content d'appliquer à la
élevées et, quand il le fallut, ses consolations et sa récompense. ' Existence bien remplie, en somme, que celle ent
e. J. BOLET. AnctvES, 3° séric, 19C7, t. 1. 33 514 bibliographie. ' XIV. Traitements utiles du tabès, par le Dr Bel
tion dont sagaité n'était qu'un signe, sabelle santé ». 2e Dans les ' -le et 3° parties, l'auteur nous montre au contrai
onal nu par un membre éminent du Congrès qui assistera à la séance. ' X. Le président fixera l'ordre des travaux ; le
lâcha tout rouge. Il prit, dans sa poche un pistolet et se retour ' varia. 523 nant, sans explication aucune, fit f
al de l'infortuné praticien est très sérieux. (L'Aurore du 5 juin.) ' La Folie. Un ouvrier graveur en pierres fines,
u ? On el Nathan, p. 4-10. DEWEY. Voir Folie. Diabète. Voir .tC/ ' (lméy'¡[ie. Discours. Voir Paranoïa. président
d'infirmières,p. 507. ECRITUBI'. Quelques considéra- tions sur ! ' -- pu miroir. Les troubles de l'orientation et
Lunettes. Contribution expéri- . mentale à la psychophysiologie ' de l'usage des ; par Féré, p. 490. Malades. V
cl Gougerot, p. 70.- de l'orien- tation ; voir Ecriture. - men- ' taux dans la sclérose en pla- ques ; par Lhermi
86 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
BICÈTRE PENDANT L'ANNÉE 1892 PAR BOURNEVILLE MÉDECIN DE BICÊTRE ' Avec la collaboration de MM. DAURIAC, FERRIER
placer les gâteux à des heures régulières sur des sièges d'aisan- ' (1) Bign ? Boy ? Dav.. (Léon), nur... llca ? llisb
r Berlier; M. Marcel Berger, architecte; D1' Ber- geon (de Lyon), D' ' Canto, M. P. Dreyfus de la Na- tion, D Dmitri-D
e Lyon), D'' Canto, M. P. Dreyfus de la Na- tion, D Dmitri-Drill, D' ' Delaaiau e, M. G. Danville, ré- dacteur au Cour
e, M. G. Danville, ré- dacteur au Courrier du Soir; Dl' Ch. Eloy, D' ' A. Frus, directeur de l'Asile des idiots du Dan
. Eloy, D'' A. Frus, directeur de l'Asile des idiots du Danemark; D' ' Four- nerct; D1' Faucher; D1' Gardiné; M. Galle
se Lyon ; D1' Le Blond ; Dr Lavalléc ; M. A. Larcher, ingénieur ; D' ' Mallac ; M. Man- lock; M. Nesler (de St-Pétersb
t-Pétersbourg); DrPojack; Dr Pozzi; D'V.Péclière;D"1'%"osal)ell ? D' ' da Saval ; D'' 0. Snolfs; D'Saziée ; Dr Targosv
DrPojack; Dr Pozzi; D'V.Péclière;D"1'%"osal)ell ? D'' da Saval ; D' ' 0. Snolfs; D'Saziée ; Dr Targosvla ; Dr Teixera
auriac et Ferrier, d'un interne provi- soire, M. Noir et de M. le D' ' P. Sollier, conservateur du Musée pathologique
e des bains et des douches en 1892 : RLIV Distractions ; chauffage. ' nées dramatiques organisées par les garçons, au
er, à l'élude d'une sous-commission com- posée de MM. Puteaux, le 1) ' 1.'mirneuille, le D''7'<Ht<tc et le D Tau
sous-Commission s'est réunie à la Fondation Vallée' le 1.0 novembre, ' sous la présidence de 1"1. Bai- bier. Après avo
nts. Nous revien- drons plus loin, à propos du programme d'ensemble, ' sur les concessions qu'il est possible de faire
pour le traitement du gâtisme à Bicétre. LXX Fondation Vallée. ' III. Pensionnat. Services de jour. - Ils compren-
s les matières seront projetées directement à l'égout. , Égouts'. ' Il est absolument nécessaire que le futur asile
nderie, à l'aide cle tuyaux en grès vernissé de 0 ? 22 de diamètre. ' Le service des enfants idiots étant construit s
ice, infirmerie, etc., s'écoulent dans des tuyaux en grès vernissé. ' Ces tuyaux, après avoir longé les bâtiments, se
pavillon d'isolement. Bourneville, Bicêtre, 1892. ? yy-g : atc ' Discussion-. - M. le Président. La 2° question
ent. La 2° question que nous avons'à examiy ner est la suivante : . ' 2 Une superficie de IL hectares et demi est-ell
iques et hémiplégiques la : montée et la descente des escaliers. -. ' M. le D1' Bouiineville. Mon idéal serait de n'a
la disposition de l'architecte, pour la construction de ce bâtiment, ' qu'un crédit de 232.000 francs et do la nécessi
de dégager l'asile de Villejuif des petites filles qui l'encombrent, ' je me suis rallié à la construction de bâtiment
ort qu'il a présenté, au nom de la Sous-Commission d'étude, M. le D' ' Bourneville a traité d'une façon magistrale la
gnent, mordent les enfants et les infirmières, culbutent tout, etc. ' L'enfant Mans... a de violents accès de colère
de secours dans ce département. Le domicile de secours est acquis, ' pour les majeurs de 21 ans, par une résidence ini
r l'impression et la distribution en éprouves du rapport de M. le D' ' Bourneville et du projet de règlement présenté
prochainement pour effet : CVIII Assistance DES enfants aliénés. ' 1° D'encombrer nos asiles et nos quartiers d'alié
ées par sept voix contre une abstention, sur huit membres présents. ' M. le PnÈS ! DE\'r. Je mets maintenant aux voix
avec la plus haute considé- ration, votre dévoué serviteur, etc... ' Nous avons eu déjà l'occasion de signaler à mai
t envoyé en nourrice aux environs de Dijon et allaité avec du l tit ' e vache. Il resta chez sa nour- rice jusqu'à 3
? éj ? sains de corps et d'esprit; deux sont morts; l'un écia4,par, ' accident, l'autre au cours d'une fièvre typhoïd
posante dans la maladie ultime de l'enfant. Fip. 1. RÉFLEXIONS. ' 35 II. Rien de bien particulier durant la gross
ie énorme des ganglions mésentériques surtout au niveau du coecum ' et l'abouchement singulier d'une caverne, due au
squ'à 100 et par deux jusqu'à 50; il con- 42 Description du malade. ' * naît l'heure, le nom de quelques figures géom
ital est régulier.- Le liquide céphalo-rachidien n'estpas augmenté. ' - BOURNEVILLE, Bicêtre, 1892. 4 50 MÉNINGITE;
nts. Pendant son séjour dans ce pays.il il fut illlCI'I1é itcIclix , ' ("pI'i,cs différentes pour folie des grandeurs a
allèles nntèro-postél'icnres.. tlaTrorSIr : ABSENCE DE SYNOSTOSE. ' 8.') lie de faire aller sa été de droite à gauc
sthétoseopique. 1n avril. Affaiblissement de plus en plus grand. ' 1 : avril. - 1 ? nra[III ? l 111 II/"I ce matin '
ussi par la pro- duction d'un abcès froid du deltoïde. 1 VIII. 1. ' IJotie complète sym¿tomÚqlle da «Lubie porencép
'enfance, nerveuse. Grand oncle paternel nzortcte tuberculose. Neen) ' , acci- dents nerveux. Emotion vive au cinquième
mnrismes. .llI(lll"i1 , : 111'. IL.. : 1111'" il ,"1," ? lIjt'l : ' ( 1\ ? l'(lIl : oée : j fé[¡l"ile. Vers cette ép
'os wormiens. Aucune trace de synostose n'est appréciable sur l'une ' ou l'autre face. - La suture coronale est libre
nt, se détacheyra. a circonvolution frontale qui est assez nette. / ' Le pli pariétal supérieur, le pli pacta inférie
- Sclérose atrophique de l'hémis- Antécédents héréditaires. 133 - ' ;, ,i ."......,. a '.T ? i phère cérébral gauch
ernel, 'mortà' 84 ans. - Arrière-grand'mère paternelle, morte à' 7f¡ ' ans. -'Grand- père maternel, mort à 77 ans, d'a
. Grand'mère mater- nelle, morte à 28 ans, en couches, « de chagrin, ' dit-on. » Un oncle paternel est mort à 57 ans,
ce de son enfant, elle est sujette à des céphalalgies, . 1 '' \ ! , ' . C.J -ïV'TC f.» \ 134 . Antécédents héréditair
es : il n'avait auparavant dénoté aucun trouble psychique. Grand' ' mère maternelle, morte à 88 ans. - Oncles ou tant
uise elle a gagné la face interne des cuisses où elle est actuelle- ' ; ment très développée. Elle a ensuite envahi to
le- '; ment très développée. Elle a ensuite envahi tout le pourtour ' ; du cou, la partie antérieure de l'abdomen et d
Tante' z paternelle, morte de la poitrine. Autre tante paternelle, ' morte de méningite et de phtisie. Autre tante p
is. Pre-' mière dent à 3 ans. Dentition complète à 10 ans. - Parole ' nulle. - Début de la marche à Sans. - Accès de
du côté droit. Antérieurement, demi-contracture des quatre membres ' · avec mouvements athétosiques des quatre membr
quatre membres ' · avec mouvements athétosiques des quatre membres. ' AUTOPSIE. - .État des trois brèches osseuses de
ans un asile spécial. » On ne note rien de particulier à l'arrivée. ' La température prise sous l'aisselle pendant le
2. 6 août. - Nuit un peu agitée. T. R. 38°, 8. Journée calme. Sot) ' : T. R. 39°, 6. . 7 août. - Nuit mauvaise. - T.
roite. Rigidité des hanches, des genoux et surtout des pieds. 158 ' 1 Crâne; craniectomie. coupé un peu court. On e
icule latéral, la corne d'Ammon, la couche optique, le corps strié. ' * Hémisphère cérébral droit. - La pie-mère s'en
etite mesure la parole mais nous n'aurions pas conquis davantage. . ' ' , XIII. Idiotie méningitique ; rachitisme ;
ite mesure la parole mais nous n'aurions pas conquis davantage. . ' ' , XIII. Idiotie méningitique ; rachitisme ; f
- Soir : 37°, 6. 24 arril. - T. R. Matin : 37°, 2. - Soir : z, 3. ' là avril. - La défervescence s'est accomplie brus
an ». Trois selles consistantes dans la journée. - Soir : T.R. 38°. ' Distension DES SUTURES. 167 Il juillet. T. R.
aitement : Sirop de fer, huile de foie de morue, hydrothérapie au 1^ ' mars. Passé le 15 février à la Grande Ecole.
après décès : 4 kgr. 900. 2Qa MÉNINGITE ; DISTENSION DES SUTURES. ' Autopsie faite 34 heures après le décès.- Tête.-
thèse qui a inspiré à M. leDr Fuller d'abord (1877), puis à M. le D' ' Guéniot (1889,), ensui e à M. le pro- fesseur L
on cardiaque. Grands- pères et grand ? mères paternels et maternels, ' morts de vieil- lesse. - Une tante paternelle,
re dans toute son étendue, porte dans sa branche droite un petit os ' \"U1'))/ien. La fonta- nelle antérieure est repr
Une tante paternelle est encore vivante. - Deux frères et une soeu¡ ' sont en excellente santé, sobres, calmes, très
2 centimètres de hauteur. Deux ECARTEMENT DES SUTURES DU CRANE. 545 ' z petits sillons le séparent en deux parties, e
des sourcilières déprimées, sourcils châtain clair. Feux, stra- i ' z bismc interne double surtout à droite. - Iris
mai 1890 sur une petite fille de 'i ans. Si l'on en croit M. le D' ' Lane, l'opération n'était pas nouvelle. Ce médeci
ni d'une sorte de vivisection humaine comme on enexé- (1) De la e¡ ' ¡¡nicelomie dans la nfiC1"ucéplwlIC (Comples-rend
ine mentale de 1889, à la session de l'Association française pour ' l'avancement des sciences de la même année et au
s, murmure vésiculaire nor- mal. l'ointe du coeur battant dans le 4* ' espace, sur la ligne mamelonnaire. Abdomen pe
tuberculose de même que le péritoine. 25 octobre. - T.R. 37°, 2. - ' Soir : 39°, 3. Amaigrisse- ment assez considéra
t de n'avoir plus « que la peau et les os. » Serait-ce le carreau ? ' ! 5 Les accidents se sont aggravés progressive-
^OBS/If/7 Idiotie S111fPTO\I1TI(,)LE D'UNE tumeur. SARÇO>1.1- ' Y ? TEUSE U. CJ,1.rF,LE').'N{¡Jq) : QçéphaUe) ! 1
;;> r.i .f ? u ? ? '' c. : r ; l3er... (Charles), 12 ans ? ? . : ' '. ' * '''' Crâné. ^7- La c¥totle cdhienn¿prése
; r.i .f ? u ? ? '' c. : r ; l3er... (Charles), 12 ans ? ? . : ' '. ' * '''' Crâné. ^7- La c¥totle cdhienn¿présente u
305 cer de l'utérus. 'Oncle paternel, excède boisson. Tante '3ate) ' ! M«e,mrameuse.Deuxcousts tMMS de germains, - :
de 3 ans. Ca1'ac ? a : J." téresco ? 71.ptetsdetacachex ! epac/n/de) ' )mque ; physionomie " ' typique; cheveux bruns r
J." téresco ? 71.ptetsdetacachex ! epac/n/de)')mque ; physionomie " ' typique; cheveux bruns roux; persistance de la
rose TROPHIQUE. ? 0 Pas. d'antécédents héréditaires, chute et syncope ' durant la grossesse. - Asphyxie à la naissance.
ux reprises. - Méningite avec cris et grincements de dents. - Mort. ' AUTOPSIE.-Calotte extrêmement mince et1110L1e.-
rveau, un traumatisme, ou encore une tumeur à siège bien déterminé. ' Avant de terminer cette première partie de notr
MAIRE. Père, plombier, excès de boisson, non satur 330 1 . IDIOTIE. ' nin( ? j, - G1'and'pèrepaternet,plombier, alcoo
URNEVILLE, Bicêtre, 1892. P ! . IV. 344 Explication DES planches. ' Planche V. (OBs. de Sal..., p. 22-30). Hémisp
DES PLANCHES. Planche XV. Agrandissement cle la fondation Vallée. ' Ce schéma est destiné à donner une idée général
87 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
isait Sydenham en 1681, n'est pas seulement très fréquente, elle se ' « montre encore sous une infinité de formes diver
tères particuliers ? Les avis sont partagés. MM. Charcot, G. Guinon', ' , Brissaud, etc., pensent que l'hystérie, sous q
ccès d'angoisse durant deux ou trois jours et revenant assez souvent. ' En 1885, il eut un écoulement hémorrhagique par
, 16. Le réflexe rotulien est très faible à droite, aboli à gauche. ' 3° liéiiiiaiiesthésie gauche complète pour tous
époque et la paraplégie redevient complète, et celte année, M. le D' ' Babinski, remplaçant M. Joffroy, trou- vait cet
t existe au repos et s'exagère pendant le mouneiiietit. (Le premier ' tracé de cette figure est un tracé chronométrique
résultats microscopiques restèrent négatifs. De son côté, Oppenheim ' publie une observation de névrose bul- baire ay
méconnu. C'est l'avis de M. 11endll, Il nous parait incontestable. ' OBS. 1111(résumée)(I;cle, inLctztcet, septembre
t leur durée le malade urinait dans son pantalon. Il ne se rappelle ' pas s'être jamais mordu la langue. Les crises éta
le troisième orteil du pied droit écrasé par la chute d'un marbre. ' Lorsqu'après sa fracture du péroné, vers le mil
s membres infé- rieurs continuaient à s'affaiblir et à s'atrophier. ' A partir 'du 1er janvier, lé malade cessa de so
ieure par le frontal (Procédé de Dransart et de Pagenslecher). '. 1 ' . Examen de M. Parinaud : , 0. D. Paralysie de
pour la convergence; un peu de parésie de l'accommodation ? .' , - ' - ,. 0. G. M = 1. -if '5' à 6,25 centim. avec -
0. D. V-â5 avec-1 dioptr.. ..... -. (.\t Pas de dyschromatopsie. ' . ? ., " Pas de lésion du fond de l'oeil. - -
(il en a. aujourd'hui trente-sept), il a été atteint plusieurs fois, ' à l'occasion d'un'en'nui; d'un' malheur, d'une pe
considère ce qu'il peut faire aujour- d'hui comme un grand progrès. ' Tel était son état lorsque nous avons pris cett
é entièrement l'usage de sa main. Deuxième attaque d'ccdèac. Le 1" ' janvier 1890, L... retourne à Saint- Antoine, r
gustative ne s'exerce dans cette moitié qu'en arrière du V lingual. ' Odorat : Anosmie complète à droite, au grand ét
mblé présenter quelques particularités dignes de fixer l'attention. ' L'analyse détaillée des stigmates que présente
dans la période somnambulique, ainsi que nous le disions plus haut. ' ' Après l'avoir mise en catalepsie, nous plaçon
ns la période somnambulique, ainsi que nous le disions plus haut. ' ' Après l'avoir mise en catalepsie, nous plaçons
paraît désolée de voir que la tache persiste malgré ses efforts. , ' Les excitations gustatives donnent des résultat
boit de nouveau et fait le geste de poser son verre sur une table. ' ' . Sel de cuisine. Elle fait le geste de prend
oit de nouveau et fait le geste de poser son verre sur une table. ' ' . Sel de cuisine. Elle fait le geste de prendre
eille, qu'elle ne connaissait pas cette dernière sorte ,de ,danse.. ' . . Les, excitations cutanées simples, toucher,
us, en ce qui concerne chacune d'elles en particulier. '1 , : . r 1 ' : ... En résumé on peut donc dire que les excit
et qui présentait quelques particularités dignes d'être signalées.. ' ' f Il s'agit d'un homme de 35 ans, B..., salti
qui présentait quelques particularités dignes d'être signalées.. ' ' f Il s'agit d'un homme de 35 ans, B..., saltimb
nflammations de cette' articulation. Et encore, à proprement parler, ' n'est-elle pas volontaire.' Chez les hystérique
'ils sont sus- ceptibles d'être englobés dans une même description. ' Il est évident que la notion du rhythme, c'est-
du membre inférieur du même côté. Anesthésie pharyngienne totale. ' 2° Sensibilité sensorielle. L'ouïe est très aff
nt en marchant, peut sauter à cloche-pied sur son pied gauche, etc. ' Les réflexes tendineux ne sont pas exagérés, ma
es tremblements hystériques purement et simplement inten- tionnels. ' Cependant lorsque le malade se couche sur son l
neurasthénique dans lequel sont si souvent plongés ces malheureux. ' 6- Leur étal mental ne ressemble que superficie
es maladies du système nerneux, t. III, et Leçons du mardi, passim. ' i\. 10 138 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊT
és peut se présenter indifféremment sous les trois types suivants : ' 1. P. illarie et Souia-Leite, Contribution (t l
plégie hystérique expérimentale. FIGURES 33 A 45 (d'après Thornburn) ' Distribution de l'anesthésie dans diverses lési
que douze ans après la diplopie et sept ans après le ptosis. - ? ? - ' ...-- ? Ons. XXXI. Ophthalmoplégie externe et a
ion. Il faut exclure la syphilis, encore moins faut-il invoquer une ' autre cause infectieuse. En tous cas, il s'agit d
tine, «on a connu que ce n'étaitlàq4'up'eupé'rst,iion5 : }) ? ? '- - ' Cet affreux mal; : «" dont le-germe est û'ne- c
roduisait pas toujours et n'opérait pas sur tous les malades. , - ^ ' La cérémonie avait lieu après le sacre de cliaq
tion de la Cité de Dieu, dédicace au- roi, édit. de 1,186, p. 2. - .. ' , 2. Guillaume du Peyrat, p.<793. w * - "' '
de 1,186, p. 2. - .. ' , 2. Guillaume du Peyrat, p.<793. w * - " ' ' 3. Voy. ,1[achet/¡, acte IV, se. v. - ' 4.
e 1,186, p. 2. - .. ' , 2. Guillaume du Peyrat, p.<793. w * - "' ' 3. Voy. ,1[achet/¡, acte IV, se. v. - ' 4. Vo
Peyrat, p.<793. w * - "' ' 3. Voy. ,1[achet/¡, acte IV, se. v. - ' 4. Voy. Traité curieux de ta'guérison des- écro
les, etc., p. 12. 8. Girolamo Ruscelli. 9. Édit. de 1691, p. 687. ' 10. Cours d'opérations de chirurgie, édit. de 1
ET BUSTE D'ÉVÊQUE GUÉRISSANT LES ÉCROUELLES (XVII° XVIII° SIÈCLE) ' LECROSNIER & BABÉ ÉDITEURS NOUVFLLF ICO
sement mis à notre disposition par M. Fer. Roger, expert de l'État. ' ... , . , Ce buste en noycrsculpté peint et dor
motifs décoratifs du meilleur style. Le chef porte des deux côtés, ' droite 'et à gauche, sur les confins de la joue
onographie DE la Salpêtrière T IV P. xxi Phototype négatif A. LONDE ' PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne ci : Longuet. GÉROMORPH
semble, désigner cette affec- tion sous le nom de Géromorphisme 1, ' cette dénomination ayant simplement pour but d'
ment mis à notre disposition; nous la reproduisons textuel- lement. ' ' OBS. I (recueillie par M. Laurand, avril 1881
mis à notre disposition; nous la reproduisons textuel- lement. ' ' OBS. I (recueillie par M. Laurand, avril 1881). L
tations diathésiques très marquées, sauf quelques ganglions au cou. ' , L'enfant ne se rappelle pas de maladies grave
CH..., '. A VINGT-ET-UN ANS Nouvelle iconographie OR la Salpêtrière ' T. IV. PL. XXIII. Phototype Négatif A. LOHDE.
pparente du système cutané et surtout de la peau proprement dite. ' La surface cutanée, dans toute son étendue, est p
peau varie suivant les régions et suivant l'altitude- de la malade. ' A la tôle, du côlé du crâne, rien à noter; les ch
gé et plissé. La partie supérieure des deux joues est peu vieillie. ' C'est surtout la moitié inférieure de la peau d
autres n'ont rien. Grands-parents. Oncles et tantes. Rien à noter. ' Antécédents personnels. -De dix à quatorze ans,
ervation des réflexes pupillaires, diminution de l'acuité visuelle. ' Troubles auditifs. Diminution de l'acuité audit
nte, indiquant ainsi le mouvement elliptique que décrit le poignet. ' L'avant-bras placé en demi-pronation, exécute d
out son passé pathologique. L'hystérie s'est révélée chez ce malade ' dans le mois de mai 1885, dans les circonstances
ans elle travaille dix heures par jour dans un atelier de couture. ' Histoire de la maladie. Il y a six mois, en nov
tremblement existe, le crâne, le fronl et la nuque sont presque tv. ' 1.1 202 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L-A SALPÊTRIÈR
ourrait se diviser en deux parties : d° Les caractères descriptifs. ' 2° L'examen anthropométrique. L'exposition su
ore le plus simple et le plus commode, les autres plus précis (Mies ' , Bene- dickt2) nécessitant des calculs compliqu
longé chez l'enfant. Cette asymétrie chez nos malades est fréquente ' et souvent très accentuée; c'est alors qu'elle
crâne n'est pas àntéro-pôslérieur, mais oblique (PI. XIX, fig. 3).' ' \ ; 2 ? Scaphocéplialie (<7Xt<mog, bateau
° Trigonocéphalie (-.pcyowcv, triangle), crâne à contour triangu- ' région frontale en forme de coin, élargissement d
rliagies de date récente; pas d'altération des parois v asctT 7^* ? ' Le grand nombre de faisceaux grêles trouvés dan
lombaire. Sclérose dans les cordons de Goll à la région cervicale. ' Dans la substance grise, dégénération des corne
vitreuse, d'une grande partie du cerveau, de la moelle et du bulbe. ' DE L'OPHTHALMOPLÉGIE EXTERNE. 239 des lésions
0p<ef/)n t))/e)'nf;)) ! e Hc ! c/;)'e/fnf/ rn; ! niyffeneHen'upe ! ' ) ! Beieiche des ociilo- molorius /vernes (Arclr
vingt-huit ans; entré à l'Hôtel-Dieu de Lyon le 23 no- vembre 1874. ' Vers la seconde moitié du mois de septembre, le
la Salpêtrière. Interne (médaille d'or des hôpitaux). (A suivre.) ' « : LES PESTIFÉRÉS DE JAFFA » t . 1 ' ' l'AIl G1
des hôpitaux). (A suivre.) '« : LES PESTIFÉRÉS DE JAFFA » t . 1 ' ' l'AIl G10, s il , f 1 .. ? ,, : t - ' : f 1
s hôpitaux). (A suivre.) '« : LES PESTIFÉRÉS DE JAFFA » t . 1 ' ' l'AIl G10, s il , f 1 .. ? ,, : t - ' : f 1 D
STIFÉRÉS DE JAFFA » t . 1 ' ' l'AIl G10, s il , f 1 .. ? ,, : t - ' : f 1 Dans notre travail sur les Dillbrnies et
usculaire", j'étais arrivé à plusieurs con- clusions intéressantes. ' La première et la plus importante est la suivan
opération eut lieu le 21 juin 1890; la malade étant chloro- formée. ' Une section totale et sous-cutanée porta sur le
propage aux muscles de l'avant-bras : quand on applique sur la 260 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. main l
Ajoutons que l'application du courant faradique réveille, à gauche, ' une sen- sibilité moindre que sur le membre sup
E DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalomyélite) (Suite et fin') t) ' ODS.XLIL-Polietaceplaalitisszaperioracutahenorrla
e bulbaire supérieure, c'est-à-dire par l'ophthalmoplégie. Il est , ' exceptionnel de voir cette dernière compliquer la
4° De même que la paralysie labio-glosso-laryngée (poliencéphalite ' inférieure) vient parfois compliquer l'atrophie m
um, la perte des réflexes, la présence de contractions fibrillaires ' dans les muscles atrophiés ou en voie d'atrophie,
s les muscles atrophiés ou en voie d'atrophie, les caractères en un ' , mot de l'amyotrophie, joints au facies cl'Hutcla
ués, n'est pas faite pour écarter le diagnostic de lésion spinale l ' et, à plus forte raison, pour admettre celui de n
nathisme, ils ont en psychiatrie peu de valeur; seul le progna- 280 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. thisme
formations multiples de l'oreille. 1, Racine de l'hélix rejoignant ] ' : nUhûtt\. 2, Partie supérieure de la conque. 3,
e l'hélix tandis qu'il n'en est pas ainsi dans le cas d'othématome. ' Nous avons pu constater cette déformation sur u
auditif; Du bord inférieur du menton ; De l'acromion (omoplate) ; ' De la fourchette sternale; De l'épicondyle (t
cères. Les membres supérieurs sont normaux. L'intelligence est vive, ' l'appétit normal, la santé générale satisfaisan
gence est vive,' l'appétit normal, la santé générale satisfaisante. ' ' . 25'mars, '- Le petit malade en s'éveillant
nce est vive,' l'appétit normal, la santé générale satisfaisante. ' ' . 25'mars, '- Le petit malade en s'éveillant ce
DEUX DESSINS DE LÉPREUX par IIANS BUIIGK31AI1, ]7 ? fk" ^ " s . ' "r"-~- ? -1 . ? r"... ? 1 .' .... Nous avons
r des proportions quasi surna- turelles'de ceux qui les entourent.' ' ' Dans la'- seconde' gravure dont nous 'voulons
des proportions quasi surna- turelles'de ceux qui les entourent.' ' ' Dans la'- seconde' gravure dont nous 'voulons p
. d. Kinderheill. Neue Folge, Bd XV; 1880. 4. Eine mer& ! oit) ' (<t</6 Difformitàt. Wiener med. Itlüller, 18
Ichthyose généralisée. Un petit-fils du malade a la même atlection. ' La poitrine présente une vaste excavation qui peu
e l'entonnoir, 152. Diamètre transverse au niveau du mamelon, zig1. ' de l'entonnoir, 255. Longueur maxima de l'ent
1. Communication à la Société de biologie du 15 déc. 1883. 2. Si» ' un phénomène musculaire observé chez les hystériq
'il en soit, les parents ne remarquèrent que l'hémiplégie droite. ' Des phénomènes d'un autre ordre suivent bientôt c
u côté de la face, les phénomènes morbides sont multiples. Et d'abord, ' ] on noie une paralysie faciale complète et tota
sillons et des rides, inocclusion de la paupière, etc. (Pl. XXXVII). ' D'autre part, la langue, lorsqu'on dit au petit
u goitre e ? o;)/tt/ia/- mique (Soc. méd. des hôp., 14 déc. 18sus). ' 3. Ballet, Des rapports de l'ataxie locomotrice
d'hyperesthésie cutanée, elles n'atteignentpasla sphère du cubital. ' La rachialgie hystérique est tout à fait spécia
hII(7TOCOII()GRAI'IIII : L. SAUVK. Gravures DE HANS BURGKMAIR V" ' BABÉ & Cil : EDITEURS NOU\J 1 le Iconogra
culaire peut être une des manifestations de l'hystérie. M. Babinski ' , son clief de clinique d'alors, s'attacha à l'étu
« 1° L'atrophie est plus ou moins considérable, mais il faut savoir ' qu'elle peut atteindre d'assez fortes proportio
phie musculaire, mais il n'y a pas de réaction de dégéné- rescence. ' « 5° Celte atrophie peut se développer avec une
ces nouvelles données et eu ont tiré les conclu- sions suivantes : ' 1° L'atrophie musculaire d'origine hystérique p
cette surdité tient aune lésion de l'oreille. A ce propos, M. le D' ' Gcllé nous a remis la noie suivante : « Surdité
hys- térie sans doute peut survenir de très bonne heure, et M. le D' ' Guyot en a rapporté un exemple, il la Société m
trinsèques doivent se tirer des caractères mêmes de l'amyotrophie : ' 1. Charcot, Paralysie spinale infantile; parapl
r ce même sujet. Dans un plus récent article de la Médecine moderne ' , cet auteur complète ses premières recherches.
TIQUE DONT LES CONVULSIONS PRÉDOMINAIENT DU COTÉ DE L'ANOMALIE ( - ' Parmi les anomalies anatomiques des dégénérés d
parole. L... raconte qu'en 1883 aussi, il la suite d'accès de nuit, ' il aurait eu une hémiplégie droite qui aurait d
it médecin et qui a pratiqué la suspension sur lui-même (5). Le D' ' Blocq (5) cite le cas d'un tabétique atteint de p
les caillots bouchent le tube et l'expérience ne réussit pas. 478 ' * NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. nive
les musiciens qui aident au fluide par leurs accords harmonieux. ) ' Au fond et à droite le baquet des pauvres, grat
ction passionnelle » qui précédait parfois ou suivait les crises. - ' ' ' A droite Mesmer, coiffé d'un bonnet d'âne,
ion passionnelle » qui précédait parfois ou suivait les crises. - ' ' ' A droite Mesmer, coiffé d'un bonnet d'âne, em
n passionnelle » qui précédait parfois ou suivait les crises. - ' ' ' A droite Mesmer, coiffé d'un bonnet d'âne, empo
avaitpas peu contribuée jeter dans une crise d'hystérie convulsive. ' La planche XLVlf, fort rare, est le premier éta
ypertrophie chez une -. Lépreux (Dessins de -), par Hans Burgk- ' mair, 31, 3, Malformation de l'index, 35. Mal
88 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vention a été une très notable diminution de la céphalée mais la pa) ' {ll ! Jsie faciale gauche et la parait/sic du memb
cile, embarras de la parole, cécité de l'oeil droit en trois jours ( ' ? ), parésie faciale gauche ( ? ), céphalées in
n- damnent cet acte, et dans son fond, et surtout dans sa foi me. ' Comment pourrait-il en être autrement ? Est-ce
tard, pourront l'une ou l'autre, ou toutes les deux se développer. ' D'ailleurs, d'ordinaire ni l'une ni l'autre des
sychothé- rapie supérieure varient forcément suivant qu'il s'agit u, ' combattre une impotence fonctionnelle, un tic.
s, et la cruauté envers les animaux la douceur envers les hommes. ' M. VALENTINO. - Les Hindous sont très logiques ;
e, par Mlle Elisabeth DESCHaMPS. Thèse de Bordeaux, 1 ! J(4- [905.. ' Etude du rire dans l'hystérie apparaissant à l'
ns la région dO'50-10mhail'e. (1) F. Rosi : . Thèse de Paris, 1905. ' Archives, 2. série, 100(3, t, XXI. li 82 CL
me que celui de la pachyméningite consécutive. Le shock, que 88 ' CLINIQUE NERVEUSE. l'on voit, dans certains cas
du reste, peu modifié quant à la formegénératedescircotivolutions. ' L'hémisphère droit est notablement altéré, le d
a tumeur esl creusée d'une rigole oblique se dirigeant eu dehors ( ' (en avant et aboutissant par son origine postérieu
est impossible de dire si le résultat obtenu a été de longue durée. ' RECUEIL DE FAITS Un cas de myotonie congénita
is 24 ans sur les trains én marche au P. L. M., comme conducteur. ' Examen mental. Ne sait pas très bien où il est. S
ent de lui-même et des autres. Attention dif- ficile à maintenir. ' Signes physiques. Légers accrocs aux mots d'épreu
l perforant uans la paralysie générale ». {Union médicale, 1882.) - ' 110 . CLINIQUE MENTALE. drait pas adopter,
vant des scléroses médullaires com- binées probables, tabétiformes. ' M. Décoré, comme M. Déguise, prétend que, chez
pontanées, il n'y avait qu'un pas que naturelle- ment on a franchi. ' Malheureusement les résultats de .cette thérape
léaire au facial (Bechlerevvl . Utilisation clinique (I1e(.lllel'e\\ ' ). Il manque cOll1pli'LplUl'nl dans REVUE D'AN
tentise de la moelle épiniè- re ; par M. 1..\STWA TZATOUROW. (Obo;;¡ ' {iniè psichiatrii, X, 1905.1 Elude clinique et a
t. .Chargeons maintenant l'enveloppe de verre et les feuilles de ] ' ¡"Iccll'oscope d'électricité positive. Les feuille
n évolution m relie de pair avec celle de la région ol- t'acli 1 e. ' L'expérimentateur les ! , habituellement en mêm
ht est-elle une entité clinique justifiée en nosologie ? par Il. LU¡ ' ;DBORG {Neurolog. Centralbl., \\III, l90't.) I
le malade ne sup- porte pas plus d'un milliampère. P. Keraval. XI\ ' , Recherches neurologiques sur les vélocipédistes;
spontanément, il est obligé d'introduire entre les lèvres et ont ! ' )' les dents l'index de la main droite, écartant
spontanément, il est obligé d'introduire entre les lèvres et ont ! ') ' les dents l'index de la main droite, écartant l
ive. M. Souques montre une malade prise d'hémiplégie quinze jours ' après avoir reçu des coups de bâton sur la tète.
quée sur la mentalité, pourtant si personnelle, du prof. Benedikt : ' « La Clinique d'Oppolzer, dit-il, était pour no
clinique des maladies mentales et nerveuses, sous la direction du D' ' H. Sommer, professeur de Psychiatrie à Giessen.
nez coule également en grande abondance un liquide jaune verdâtre. ' A ce moment et pourla commndilé(les gavages, la
temps à s'habiller, mais est-ce à dire qu'elle refuse les aliments ' ? Non, elle ne les prend pas, mais quand on lui
éralité chez une épileptique atteinte de chorée ancienne; Parle 1) ' AIt51111OL)J, médecin-adjoint de l'asile de Leyae
e. On a signalé des crises nocturnes, plus courtes. Une seule fois ( ' ! ), la malade a été atteinte d'un ver- tige. E
us invoquer une pathogénie analogue à celle de la chorée gravidique ' ) Certains auteurs expli- quent celle-ci par une
e pire par les dispositions secondaires de la loi dix 21 mars 1905. ' Le choix était auparavant difficile, désormais
est-il au juste, et quelle est la lésion productrice du syn- drome ' ? D'abord on a rapporté des faits de lésions pitu
; par Rabinski et Toufesco. (Nouv. Tconagr, de ! <S't[ ! pe<; ' )<'')'6. 1 \10 ? n" 2.) Revue historique avec
rale du dauphin ; par Vincenzo 11L-\.NCHI. (Annali di Nerrologia. ' tapies, 1 ! 10 i, fasc. VI.) Dans ce travail co
ralysie 'expérimentale consécutive il l'influence du virus pneumocu( ' ('i(ll1C, l'auteur a trouvé des altérations hie-
' patellaires 79 fois % et l'abolition des réflexes plantaires (15 % ' , M. Teissier, SI}. basant sur ses observation*
Observation VI. -- Fillette de 7 ans, sans lare héréditaire, née ¡ ' ¡ terme, se développe mal et finalement s'arrête d
e de Nissl. Toutes sont abondamment fournies de pigment jaune-brun. ' Moelle épinière : Abondance extraordinaire du p
orts existe-t-il entre les crises d'épi- lepsie etla lésion mitrale ' ? Les crises n'apparaissent qu'après un exercic
tièvretvphode intercurrente d'une façon absolument dissemhh ble. ' Observation 1.- Il\'pt"l'0-l;pllCl)sl(' datant
absolument dissemhh ble. ' Observation 1.- Il\'pt"l'0-l;pllCl)sl( ' datant de IIL11tI1701S, il.l crises par jour, t
ffus. Pas du lIlxll'lli'me ni de : -igrlt's de bat'(ln\\'i : -lI1e, ' Celle malade, d'après l'auteur, est un type d'i
. Cette opération, décrite sous le nom de thyroïdo-uré- lhi"I ! 1 £ ' , consiste dans la mise à nu, sur une certaine éte
on d'un élément 1. lIIélIing-o-radicu- laire. ]J1'111 i pl, : g i, ' (II ? (¡¡Í(fl ! <' e Ii met ionl/dZt', ,\ 11
e contracture passagère de la langue Du même, luin de ne mani- t'( ' "tel' eL de ne satisfaire aucun besoin, Gesine s'a
t. De même que toute autre manifestation de la grande névrose, le ' sommeil hystérique ne saurait comporter une sympl
res. 7'citt-o provoquer l'accouchement par la suggestion hypnotique ' ! 1l. Iloxartltz frle Lauamu·I. - l certain nom
non en vertu d'un travail intellectuel continué pendant le sommeil. ' BIBLIOGRAPHIE nI. - Revue des thèses de Nancy
r, probablement, de pouvoir la pratiquer près de ses vieux parents. ' « C'est lorsque les premières illusions furent
nommé médecin eu chef à Saint-Ylie ¡.IUI'al t'1l1'em]Jlaoement du 1) ' .louruiac,nomné à lai-seille. -.\1. le 1) Casti
I\ ! I'I)II) eu remplace- ment de .\1. le D1' Halliadil ? IIOII111l{ ' iL à Bloi. M. lu D1' LEVET, médecin-adjoint à B
lIlL IlI\ae ol'lit : icl d't.h ? l't'\alioll. pal' : \1. lIenl'i C.\I\ ' 111ER. (Lyon Médical, novembre 1905, na 16-iî).
. lIenl'i C.\I\' 111ER. (Lyon Médical, novembre 1905, na 16-iî). 1. ' De l'ensemble des observations quel l'auteur a
nc. - `mmnairc ilu n^ rlr mar. l'JIN t31° : mnci· : F. J'Al ? ]j,\;\ ' , Le 1Jl,'uouge du IlIOUd(', - l'ILLO : \', tjUI'
ar. l'JIN t31° : mnci· : F. J'Al ? ]j,\;\', Le 1Jl,'uouge du IlIOUd( ' , - l'ILLO : \', tjUI' la pldlosophi,' rlc Iteno
: mnci· : F. J'Al ? ]j,\;\', Le 1Jl,'uouge du IlIOUd(', - l'ILLO : \ ' , tjUI' la pldlosophi,' rlc Itenouvi·t. - Itnsr
j,\;\', Le 1Jl,'uouge du IlIOUd(', - l'ILLO : \', tjUI' la pldlosophi, ' rlc Itenouvi·t. - Itnsr : : nt. l.e u : rraclcr
108. boul. Si-Germain. Paris). Cf' nUIl/I"ru 1 ? 1 a"l'eoll/pa¡ ! n, ' de la troisième table générale (lus matières co
1\ '2 planches). l'rr : rrm : \I nttF cl A. l.é«r. La spon,I\ los ! ' rhizoIl1l'Iil)lIp : anatomie pathologique et na
la fai"l'eall opli'IUl' eenLI'al.- rlr. ConldhuLion expedlllcn(al £ ' à ln ps\(;h()phvsif)i«j ? i<'df't'nsa.ircd&l
ention de nos lecteurs sur celte 1res intéressante publication. - ' Le rédacteur-gérant : Bourneville. Cturmout (Oi
s enfin il parle avec à-propos, nous comprenons ce qu'il veut dire. ' Le caractère devient plus enjoué et plus affect
uis 20 ans, et à l'Institut, médico-pédagogique de Vitry-sur-Seine. ' 270 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. comprend p
manie de col- lectionner les chiffons et les papiers existe encore. ' 1905. - Les progrès bunt très Unis, mais contin
er, nouer, boutonner, connaît toutes les couleurs et même le nom de ' quelques étoffes ainsi que les chiffres. Caract
. Plusieurs fois il a été surpris se livrant à des attou- chements. ' 1900 et igoi. - Cet élève a assez bien travaill
n'est que son esprit rageur et original s'accentue de plus en plus. ' igo5. - Lemaît ? a beaucoup gagné pour l'orthog
sujet à des accès de pleurs et de rires sans cause bien déterminée. ' r9oz.- Jes ? est languissant, a maigri d'ure fa
tion avec retenues et prend goût au jeu du marchand. 1905. - Le ! ' progrès chez cet enfant sont lents mais régu- l
tite dictée, même celle des mots qu'il écrit journellement. 1903. ' Les progrès sont toujours extrêmement lents, tout
toutes les lettres et les chiffres et ébauche même l'addi- tion. z ' -v Notre malade apporte de l'attention et ferai
gret de ces actes brutaux, elle paraît en ressentir du contentement; ' elle rit aux éclats si ces enfants pleurent; ce
une bonne intona- tion, elle a une assez bonne orthographe, connaît ' et fait des problèmes sur les quatre règles. -
il n'en existe pas d'autres constitutionnelles (hérédité, etc.). ' Que si on objectait que, chez plusieurs, l'affa
de courses, atteint de paralysie générale considérée comme 314 ' CLINIQUE MENTALE. consécutive à une série de ch
particuliers ont été étudiés et proposés par Mr. Breton et Duhie ! ' aux chambres françaises. ;Voir documenta parlemen
fait de son traumatisme autant et plus que du fait de son hérédité. ' B. Hérédité. La grande question de la nature co
ur. Atteinte aussi du 5- segment lombaire et des 3 premiers sacrés. ' On trouve dans ces préparations (figures à l'ap
la maladie de Charcot : 1° type ordi- naire médullaire (trois cas) ' ; 2° type paralysie labio-glosso- laryngée (cinq
lianion du Fougeray et L. Couetom, préface du Dr Bourneville. 1896. ' Volume Vf : Assistance et traitement des idiots
pieds ? n Illorace VERNET in Nouveaux Lundis de Wainte-I3euve, l. \ ' , p. 93). VARIA Prix DE l'Académie DE médeci
3 mois à l'hôpital, cerclage de l'angle du maxillaire infé- rieur. ' Céphalalgie, irritabilité nerveuse, insomnie, s
as eu de coït, sa frayeur des attaques l'empêchant même d'y penser. ' A34 ans, un nouveau phénomène vint se déclarer
ices de notre enseignement : exercices de la parole, de la mar- che, ' traitement du gâtisme, etc. - Peu à peu la phys
ée le 3 octobre 1892, âgée de 8 ans, lors de son entrée à la Fon- ' dation Vallée, le 16 mars 1901.La physionomie peu
cée, cela va sans dire, elle ne connaissait que les différentes ' TRAITEMENT MÉDICO-PÉDAGOGIQUE DES IDIOTIES. 397
let 1904, avait beaucoup de disposition pour la couture et 406 ' THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. toutes sortes d'ouvr
ent au côté sain quand celui-ci commença à se pren- dre à son tour. ' Séance du mai 190¡;. Epithélioma primitif du
3.UOU fr. à dater du 1 ? avril 1900. Hommage au Dr Brouardel . ' A la suite de la démission de M. IROUARDEL comme
échantes gens. Comment connaissez- vous qu'ils ne sont qu'enchantés ' ? Et comment avez-vous le pou- voir de les désa
u Combat, qui l'a envoyé au dé- pôt. (Le Journal, 29 février 1\J06. ' ¡ La paysanne, LE lézard ET LE crémier Mme Est
laires du faisceau pyramidal et jusque dans l'écorce grise (1). , ' Dans cette question encore à l'étude, je me hasar
me et pour les person- nes qui l'entourent et doitètre interné. » 1) ' B ? Certificat (le 24 heures : « Est atteint de
- cution sénile, des récriminations contre les gens chargés de la ' soigner, des accusations contre les infirmières,
uyante. En janvier 1904, elle commence à avoir des crises bulbaires, ' des perturbations de l'innervation cardiaque CL
e à gauche. 11 avale assez bien et n'a pas l'habitude de s'engouer. ' On constate de l'atrophie musculaire en différe
MYOTROPHIQUE. 447 lui est, comme nous le supposons, congénitale. La ' vie embryonnaire aurait été traversée par un ép
ires. La mémoire est, d'ailleurs, chez lui, à peu près oblité- rée. ' .1 ? présente à la fois de la paralysie spasmod
e 1· lalau, .1teol)soiiii, Minor, Lihr. Karger Berlin, 1903,p, 504. ' 454 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. fortement gonflé
notions de géographie, l'enfant a beaucoup de goût pour la classe. ' Comme caractère l'enfant est gaie, joueuse, ses
quel- ques devoirs de grammaire, elle connaît les deux premières ' opérations de l'arithmétique et lit presque .cour
ue des grandes avec facilité et exécute bien tous les mouvements. ' 190. - Sa lecture est maintenant très courante; e
ant de lourdes tares héréditaires. [Revue neurologique avril 1905.) ' E. B. LX1X. Rôle des excitations centripètes et
s, avec hemi-ataxic, astéréognosie, et souvent clioréo-atlié- tose. ' Astéréognosie avec intégrité des sensations élé
à faire de ces instructions votre règle de conduite dans l'avenir. ' Pour aujourd'hui, je juge indispensable de diss
étendue bienveillance des paralytiques généraux. J. Abadie. 1111. ' L'âge du discernement. Considérations juridiques
la discussion. Les questions choisies pour a session de 1906 sont : ' 512 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. a) Psychiatri
ique, par Barr, 55. Alcoolisme. Voir Délire. L ? 160. 41G, 428. ' Alcoolique. Voir IlémorrhaCTic, Aliénés ou de
ium tremens. Allusions froi- des dans le - - par Broad- bcut, 56. ' Démence précoce. Voir moelle. La - précoce da
59, 239. Doigts. L'action électromotrice des , par Sommer, 138. ' Dormeuse. La de Ran Semo, par Farcz, 60. Do
fance. Voir Age. Enfants anormaux. Aveugles et sourds-muets, 349. ' Epilepsie. Voir Kyste. car- . diaque et phéno
rew, 3.10. Excitations centripètes. Voir Cel- lules nerveuses. ' Exophtalmie par épaississement des muscles de
ig. Des périphéri- ques hicnnorrheiques, par Ia- roschewski, 146. ' inflam- matoire tuberculeusb des nerfs optiqu
- cherches histn-pathniogiqucs sur 205. Je -, pnr Edvardo-Poggio, ' Paraphasie, jargonaphasie et dé- mence, pnr D
, 42, 51, 321, 417, i'J8. Pariant, 207. , Passez, 139. i Pal.) ' , 215. Péhu. 210. Pelletier (DL°··), 112. Pe
89 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
itut) PAR PAUL RICHER GILLES DE la TOURETTE CHEF DU LABORATOIRE ' ANCIEN CHEF DE CLINIQUE ALBERT LONDE DIRECTEU
on lui fait donner un coup de poing ou lancer un coup de pied, etc. ' Ces troubles de la motilité volontaire entraîne
e incomplet, suivant l'intensité du courant et la fréquence des in- ' terruptions. Si l'excitation est interrompue alor
Ci M " u. t'j r i : j t-< (D M S o 8 0 0 o p ? ' " S w > x E en -* - ! E S f "...
ement de l'appareil, on adapte des rou- lettes aux pièces ab, a'b'. ' Après avoir décrit l'appareil, voyons dans quel
QUE PHYSIONOMIE NORMALE APRÈ, GUERIJON RIANTE - ? - ... ? ? ... y" ' Babé et Fi. CONTRACTURE FACIALE BILATÉRALE HYST
dent de la forme fébrile que l'hystérie avait pris chez cette malade, ' il paraîtrait qu'il fut facile de faire le diag
singolare di febbre intermittente di probabile nalura his- térica. ' - ' .. ' 5 £ NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊT
golare di febbre intermittente di probabile nalura his- térica. ' - ' .. ' 5 £ NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
e di febbre intermittente di probabile nalura his- térica. ' - ' .. ' 5 £ NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
athogéniques des troubles nerveux, p. 120, 1880. FIÈVRE HYSTÉRIQUE. ' " . '. 53 térique fébrile, c'est là l'unique do
A. LONDE Photocollographie ARON Frères COLLECTION J.-M. CHARCOT } ' ·e ABÊ LT Fte, lJIT¡ : URS ^m^mr-T^anmr "IUE NOU
m o 0 z 0 n z > . m in 0 m r > ' " > r- d m H ffl M. z F) H
m r > '" > r- d m H ffl M. z F) H ' " r I .. , Le 1\fl'sn1.C'risllle il tons les
.1 ? ll".rln.'1"'lnf ¡'.lIliPU ! : cJ ? T ? LhlnIN,( 71 ? 1'1'" wÚx { ' (11'11T1'Uu1t 7'MÛ& ? yctf'j ? ) ? <.f ?
0 H 0 z o x a o la O q 0 O 0 o r 0 c ' " > 2 x m 0 x '" z JO pi
a O q 0 O 0 o r 0 c '" > 2 x m 0 x ' " z JO pi .. r 0 z o c m ..
a Faculté avait été bien inspirée ; on ne pouvait mieux dire. " , ' Le. Il août 1784, les commissaires signaient un r
vue médico-légal, aujourd'hui encore (1), sont pleines d'in- térêt. ' \ (1) Voy. le no 6, 1891. (2) Gilles de la To
phénomènes aux pieds ; de temps en temps il fléchit sur ses genoux. ' Marche. Très particulière, il écarte un peu les
pétit sexuel est conservé. Pas de sucre ni d'albumine dans l'urine. ' Fc. 4. 61 NOUVELLE ICONOGRAPIIIE DE LA SALPÊT
ose ". Hospitals ridende ; ,- S dje Roekke, IV, In, 49 (1886). 68 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. tendue
nd les mouvements involontaires. Rigidité des membres in- férieurs. ' Face. Tous les muscles de la face se contracten
ngue survie. On pourrait toutefois considérer comme un vestige d'un ' retard de développement du rachis les touffes d
ologie des dégénérés, dont aucun organe n'est respecté. CH. FÉXK. ' Médecin de Bicêtre. (1) A propos de ma précéden
DANS LA MALADIE DE THOMSEN. (De la Réaction myotonique). - (suite ' ). La 3e série d'excitation', (C. lig. 1) a été
« « g. s js -ë s « « Si ^ I S s a "o .S 3 H tS S S I ' = .H 00 S I z OO oo OO ^ S rut ïj d «) fil
'y passent avec les mêmes caractères. Cà .3 Si ° Oô " ' " .g cl> 3 ta CL) 3 z f 3 1 ! ë
° Oô " '" .g cl> 3 ta CL) 3 z f 3 1 ! ë 5 " ' " '; "3 B 8 => T " c ! ô a -B à ^ =&g
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il s'est écoulé un intervalle de repos de 2 à C7 .ÿ 1 1. ·G a E ' " a o i> ** s OE a 7 s si C ... 1
1 2 » te ~ è a = ..., « o : J z 1-" 0. I .2 « a 3 t* ' " O o J2 c- o " ë s ? " a J s I If
J2 c- o " ë s ? " a J s I If O B c El z 3 1 ! J ' " C7 '3 S S 3 S G. « 0 : : 0 1 ? c
LA SALPÊTRIÈRE. 15 EXCITATIONS f : ULlil'IW; DURANT UNE, DEUX OU ' ! R01S SECONDES. (7)e'co</'f<c<to ? t'
ysiologique. C'est ce phénomène que nous allons étudier maintenant. ' On peul le reconnaître déjà facilement par l'ex
inscrite à gauche de la figure en a', b', c'. De plus il été supprime, ' droite de la figure, un espace tracé correspond
'hérédité. Ici nous trouvons un père alcoolique : or, je vous l'ai " ' dit maintes fois, « chaque goutte de liqueur sémi
u o s» S. M H . : . t7 - CD M S 0 0 M ë ^ en en , OUT 0 o ' "Ci o 1 E'i S ô S ? ? 2. 2 ? .. o tfl- M o
' qs. ^3 z Ce .en (D. , cD C PL, CD 3 -T1" "S. c«" B' ^ ' CD s-" £ * O L) Fig. 18. Sujet normal. Fig.
lI. le pro- fesseur Charcot à la Salpêtrière, salle Prus, n° 11. ' A. H. Mère asthmatique. Père mort en 1881 de bron
el. - Ce qui frappe tout d'abord, c'est une déformation monstrueuse ' du tronc ; nous la décrirons plus loin. 1 lllot
re ; doigts très fortement fléchis ; il est impossible au malade de ' les étendre dans la plus faible mesure : ils sont
roit et au-dessous, non aboli complètement. Phénomènes oculaires. ' Champ visuel normal des deux côtés. Nystagmus D
cas de scoliose dans la maladie de Friedreich. (2) Zeitsch1'i{t {il¡ ' Klinische .11edicin, 1888. (3) Pitres et Vailla
dépendant peut-être d'un processus anatomique différent du premier. ' I. Al'tll1'opathies et fractures de la colonne ve
part minime, quoi qu'en pense l'auteur. 13. - Scoliose paralytique. ' Duchenne en a observé des exemples bien nets. T
a- riétés les plus connues et les mieux étudiées des déviations Il { ' \l'opa1 h ill lies. Cependant il y a peu de temp
DANS LA MALADIE DE THOMSEN. (De la Réaction myotonique). - (suite ' ). Pendant la seconde excitation (2), renouvelée
e 1/2.) *J * =3 o C C t'j tri f M n o Z O ' " S ! > 1) a H o M f > e
z o c e M tr1 r a E o 5 ! 0 Ct M > ' " 1=1 t'j t : 1 M f > m >
RIQUE DES MUSCLES. 183 184 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ' était appliquée sur le point électro-moteur du
révélé aucune altération pathologique. (1) Voyez le n 2 de 1892. ' " .... V" . l' ' - . ? . 186 NOUVELLE ICONOGRAPH
ltération pathologique. (1) Voyez le n 2 de 1892. '" .... V" . l' ' - . ? . 186 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
raît avoir atténué la lassitude musculaire dans le cas de Mlle L... ' ^par le massage et l'administration des injections
e les troubles de l'intelligence datent de l'enfance (imbécillité). ' Les contractures très fréquentes chez les athét
en plaques, est exceptionnelle dans l'athétose double. (A suivre) ' DiMITHI IVAN Michaïlowski LA VENTOUSEUSE - PA
l'art lui-môme' qui -entre en scène, comme dans le tableau- du.Louvre, ' c'est un'de'ses'aides obscurs, modestes collabo
reuse qui aurait été nécessaire 'pour lever. tous les doutes.. j' ' 'L'a maladie fut traitée par le'bromure de potass
service de M. IIayem, Lamy, Remak en ont publié des observa- tions. ' (1) L. Laquer. Uber compression de;' cauda equi
t publié des observa- tions. ' (1) L. Laquer. Uber compression de; ' cauda equina. Neurol. centralbl. 1891, nQ 1, p. 2
rachis, on trouve les déviations vertébrales souvent mentionnées. - ' Il faut dire toutefois que divers aliénistes, p
ents volontaires, et ne cesse entièrement que pendant le som- meil. ' La figure a encore conservé son expression, et
lques semaines, il semble qu'il y ait un peu- moins de mobilité. -. ' Pas de, troubles de. la sensibilité, pas de rét
LA MALADIE DE THOMSEN. ` (De la Réaction myotonique). (Suite el fin ' ). La première planche de ces tracés, figure 22,
ntractilité électrique, et aussi de la contraction volontaire. Le D' ' Déléage a étudié dans sa thèse, au moyen de la
on l'a trouvée, avec tons les caractères précédents, uniquement dans ' ces cas. Nous avons, de notre côté, pendant les
E DES MALADIES NERVEUSES. SERVICE DE M. LE PROF'' CIL111C01' (Suite ' ). Les réflexes tendineux et rotuliens très exag
ymptômes de la neurasthénie, ce n'est pas peu de chose en médecine. ' M. Gilles de la Tourette avait remarqué en lisa
rieux reproduit par la Gazette des hôpitaux (10 sept. 1892). Le D' ' Cabanes rapproche avec raison du fauteuil trépida
on. M. Enrico Morselli s'est placé à un autre point de vue que le D' ' Caba- nes. Après avoir rappelé les noms des aut
qui sont énormes et le reste du corps qui est de volume moyen. - ' La face est légèrement asymétrique, le nez est un
soir, quand-le malade s'est un peu fa- tigué, dans la journée.- , / ' ' . ' 1 , '. 1 Les' troubles' objectifs sont pa
ir, quand-le malade s'est un peu fa- tigué, dans la journée.- , / ' ' . ' 1 , '. 1 Les' troubles' objectifs sont par
quand-le malade s'est un peu fa- tigué, dans la journée.- , / ' ' . ' 1 , '. 1 Les' troubles' objectifs sont par cont
MALADIES NERVEUSES. SERVICE DE M. LE PROF'' CHARCOT') (Suite et fin ' ). Maladies infectieuses. Massalongo leur attrib
cas d'athétose double qui sure iennent dans l'enfance. Il invoque : ' ) ce propos l'as- similation qu'il conviendrait,
ue côté de la suture inter-frontale dont il n'existe plus de trace. ' . Liquide céphalo-rachidien en quantité normale
). Remak. Zur Chorea hereditaria (Nach Ian7cenvozstellun- gen in de¡ ' Berliner Gesellschaft sur Psych. and Nerv. am., 1
ux travaux dont il importe que la tradition ne reste pas interrompue. ' En un mot, par la variété de ses articles et pa
lique aucune différence essentielle dans la nature de la maladie ». ' III. Études sur les syndromes hystériques simul
r mode de trai- tement étant à peu près impraticable à l'hôpital. ' ' ' Conclusions. Cette observation qui peut sem
mode de trai- tement étant à peu près impraticable à l'hôpital. ' ' ' Conclusions. Cette observation qui peut sembl
de de trai- tement étant à peu près impraticable à l'hôpital. ' ' ' Conclusions. Cette observation qui peut sembler
uelques années» le Dr Parinaud appela l'attention sur la polyopie v ' 24 Fig. 5. 362 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE tA'SA
agné d'autres phéno- mènes de la vision. Suivant l'observation du D' ' Parinaud, la macropsie et la micropsie seraient
primitives, sont des continuations immédiates des 370 NOUVELLE ICOY ' ·n'111L h[i L.1 A SALPÈTRIÈRE. plus feu' ce plex
e le ganglion cervical supé- rieur serait atteint par un courante ! ' une intensité suffisante pour l'exciter. J'ai d
plus graves des résultats satisfaisants après une série de séances. , ' L'atrophie musculaire décrite par Duchenne est
ors de l'occlusion (1) Schultze, Zur Frage voit der Ileilbarkeil de; ' Tabes (Arch. f. Psychiat. und Ner- venkr, 1341.
ussin ou une peau de fauve, dans le décubitus latéral droit, la jambe ' gauche demi fléchie, la tête appuyée sur le bra
me d'organes génitaux dont- le pénis est" en état de demi-érection. ' . ' , ' Parmi les hermaphrodites qui sont repré
'organes génitaux dont- le pénis est" en état de demi-érection. ' . ' , ' Parmi les hermaphrodites qui sont représent
anes génitaux dont- le pénis est" en état de demi-érection. ' . ' , ' Parmi les hermaphrodites qui sont représentés d
le Dieu des arts est souvent figuré. Mais le caractère' de la fêté, ' l'agencement de la coiffure, suivant la remarque
vent au féminin les adjectifs ou participes qui se rapportent à lui, ' bien qu'il n'y ait jamais eu aucune méprise, ni a
e (Ecriture dans l' -), 4. Canon des proportions du corps humain, ' 18, 19, 20, 21, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42. Cas
2. Casque vibrant, 35. Hystérie (Rétrécissement du champ visuel ' dans l' -), 44, 45; (Tremblement -), 43. Maladi
90 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
Section I : Bicêtre. Histoire du Service pendant l'année 1899. I. ' Situation DU service. - Enseignement primaire.
école. Mart... (Gaston), né le 9 décembre ! t ! ! J2 (7 <lnsl/2) ' A son entrée (22 février 189(5), l'enfant ne pa
aveo le tableau roulant (Fig. 43), soit enfin dans les promenades. ' .. , Quelques-unes des parties de cet enseignem
de deux i, qu'il doit en consé- quence venir après les diphtongues. ' Après les syllabes simples viennent les syllabe
ononcer ensuite à haute voix. Il déta- LII . Barres d'entraînement. ' che chaque syllabe, qu'il lit lentement, en lai
' mars 1899, par suite de l'usure complète des instruments. M. le D' ' Napias, directeur de l'Administration générale
' janvier 11S1, le nombre des vues pour pro- jections était de 12.') ' ), à la fin de l'année, ce chiffre était porté à
imaux réunis; en quatrième lieu le mot oeuf, l'oeuf enliel' et l'au/ ' sectionné; enfin les mots coq, poule et poussin
rmiers seulement se sont fait revacciner. Service dentaire. M. le D' ' Bouvet a continué il venir presque chaque semai
ybromuré (formule Yvov), du bro- mure de camphre (préparations du D' ' Clin'1, plus actif et plus absorbable que les a
pital de Breslau; Mlle Gouliaëff, étudiante en médecine, à Paris; D' ' Galisson (de Paris); D'' Gaustad (de Christiana
uliaëff, étudiante en médecine, à Paris; D'' Galisson (de Paris); D' ' Gaustad (de Christiana); Mille Gaveu, femme de
le d'aliénés de Sonnenstein (Saxe); D'TIudovernig, (de Budapest); D` ' Haenel, médecin assistant à Halle (Saxe); Dr I-
ur de l'école d'enseignement spécial de la ville de Bruxelles ; D' ' Looft (de Norvège); M. Le Duigou, interne des h
ooft (de Norvège); M. Le Duigou, interne des hôpitaux (du Havre); D` ' Ledermiu, avocat à Paris; Dr Mascaro (de Lisbon
RNEVILLE, Bicêtre, 1899. ? txxxÍI Visites du service. médecine; D' ' Mavrojannis; DI' Mazurkicwiez (de Var- sovie) ;
des aliénés de Quimper; M. Monzon, étudiant en médecine, à Paris; D' ' Man- heimer; DI' Marchand (de Paris); M. Monthe
ine); M. Naudy, Inspecteur de l'ensei- gnement primaire, à Paris; D' ' Ossipow (de St Péter- bourg); D''0stanxot't'(dc
rsovie; I)r Ponte, médecin de l'asile d'aliénés de Buenos-Aires ; D' ' Pa che- co (de Buenos-Aires); M. Paon, externe
- co (de Buenos-Aires); M. Paon, externe des hôpitaux de Paris; D' ' I'etit ? enclol; Dr Philippe, chef de laboratoi
oury, [directeur d'étu- des à l'Ecole pratique des Hautes-études; D' ' Sérullax. de Vaun'ncray lltûne); M. Stojanovitc
ôpitaux de Bruxelles; D1' Zou- cowsky (de St Pétcrsbourg) ; M. le D' ' Ferrier médecin-Major et les Élèves du Val de G
erne de notre service, conservateur du musée, complète chaque année, ' avoir tous les renseignements désirables sur le
mative. Peut-être un jour s'y décidera-t-elle. A notre ami, M. le D' ' Napias, d'intervenir dans ce sens. Les sept m
DU service. de M"10 Ath. 13oH : mrr, sous-surveillante (infirmerie) ' ; de 1\'I ? MALENÇON, suppléante (bâtiment des g
nfirmiers de jour ou de nuit; total du personnel secon- daire : 85. ' ' Nous n'avons eu aucune mutation parmi les sou
miers de jour ou de nuit; total du personnel secon- daire : 85. ' ' Nous n'avons eu aucune mutation parmi les sous-
rentes parties de son corps et de ses vêtements et sait les nommer. ' Elle commence à compter jusqu'à 10 , nomme les.
s'est élevé à 3.719 francs pour l'atelier cle couture dirigé par l" ' Eiirmann et à 1.489 francs pour l'atelier cle r
de Bicètre et de la Salpêtrière. Ces Assistance des enfants idiots. ' CXLII( renseignements donneront satisfaction, d
ne copie pour en prendre connais- sance et en tirer profit. P01.¿¡ ' amplialiml, ' ` Kug-lem. 111. Berlin, le 16
en prendre connais- sance et en tirer profit. P01.¿¡' amplialiml, ' ` Kug-lem. 111. Berlin, le 16 juin 1891.
? b ? à l'obligation scolaire. (Circulaire du 14 Novembre 189°,J - ' - CLX Assistance ET éducation des idiots. Dan
d'As- sistance. Pour ampliation, . V. l31tI : W ;s. V. It- ' ! 8 août IN9N. .l'adresse aux Conseils royaux,
a pu être question évidemment de déterminer un - Classes spéciales. ' CLXIII programme minimum. Les élèves étant tous
nuent, les icas de révolte disparaissent, le caractère s'adoucit. ' D'autre part, les absences, particulièrement nomb
doucit. ' D'autre part, les absences, particulièrement nombreuses ' parmi cette population et qui au début étaient d'
nombreuses ' parmi cette population et qui au début étaient d'une ' .fréquence telle que certaines classes en étaient
est entré le 8 août 1889 dans le ser- vice. Un traitement du 1<" ' mars au 31 août 1898. 23 mai. - Légère rougeur
rès- nerveux. Convulsions, vertiges ayant précédé les accès (13 ans ' /2) , Caractère emporté . Hél... (Georges), 21
SODIUM. f7 -1 5 août. Ulcérations des mains guéries. 31 août. - : ' \ombreuses ulcérations croûleuses disséminées su
la cessation dos douches, ordonnée quand il a été mis à l'éosinate. ' 12 août. - L'état local reste stalionnn.ire jus
is, les ongles finissent par reprendre leur conformation normale. ' Nous n'avons pu déterminer la cause de ces acci-
eosinatedc sodium contre l'épilepsie. Les tableaux des accès, les )[ ' ('')1<"<vous qui les .suivent mon- trent q
e pratiquées par l'interne en pharmacie du service, M. Au- briot. ' Urine du 25 au 26 avril 1898. I. Itoma..., 17
.- Elle donne par agitation une mousse rouge. Analyse des U1UNES. ' 51 Urine très trouble, colorée et fluorescente.
(-et égard, les succès réalisés en Allemagne. « A son tour, le ]) ' Petcrs a relaté cinq cas dans lesquels le sedum
si sur toute la surface. L'avant-bras ne présente pas ce phénomène. ' Tout le membre droit (bras et avant-bras) est p
culeuse. Ce fait montre qu'on ne saurait trop suivre ses malades. ' IV. Idiotie ; Hémiplégie spasmodique d'origine
à faible intelligence de la malade ; en tous cas elle est obtuse. : ' ' Mensuration des membres. 76 Idiotie et hémipl
faible intelligence de la malade ; en tous cas elle est obtuse. : ' ' Mensuration des membres. 76 Idiotie et hémiplég
ns épaississement des parois. 80 IDIOTIE et hémiplégie spasmodique. ' : vasculaires, sans diminution du nombre des fi
y a eu guérison, car les attaques n'ont pas reparu depuis mai 1898. ' OBS.- II. - Hystérie mâle de l'enfance. - Somna
Séglas. Compte-rendu de 1890, p. 89). - Houez... Hetting ? From... ' 1891. -Deux nouvelles observations d'hystérie m
: Très léger tremblement de la langue ; la parole est assez libre ( ' ? ), le malade parle un peu entre ses dents. Da
énérale afin de faciliter sa réadmission dans l'hospice. (Période d ' (,,\'<1cerbal ion), 1900. IG mars. - Ce matin
nstante entre le poids du thymus et certaines maladies infectieuses ' Nous avons parmi nos 61 cas, 13 cas de diphtéri
dénotent rien d'anormal du côté des organes intra-abdo- min;tU L ' Les membres supérieurs sont bien développés, gr
dures laissant entre elles une fossette LÉSION DU LOUE TEMPORALE ! ' DE L'INSULA. 177 Î assez profonde ; toutefois c
192 Sclérose tubéreuse ou hypertrophique. Mesures de la tête. , ' ' Hérédité. 193 Un oncle, alcoolique, est mort
192 Sclérose tubéreuse ou hypertrophique. Mesures de la tête. , ' ' Hérédité. 193 Un oncle, alcoolique, est mort d'
nue raisonna- ble et fait seule sa toilette. .. Guérison. - 205 ' ! 8 avril. - Le mieux persiste et s'accentue. -
a mention du certilicat de la préfecture de police. "88 Guérison. ' IV. La température rectale, du 7 au 15 mars n'a
e large, se mouvant difficilement. Amygdales peu sail- lantes. Goût ' ? - Menton large et bas. - Oreilles appliquées
contre le crâne, bien ourlées. Pas de tubercule de Darwin. Ouïe ? ' ¿ Cou : Circonférence : 29 centimètres. - Larynx
e la mort : Cachexie progressive due à la tubercu- lose pulmonaire. ' Poids des organes. Hydrocéphalie. ? 21 Tabl
aleliers, misère. : secours, insuffisants. Hémorrhagies diverses. ' 1394-1900. Marche de la maladie. Affaissement p
juin 1863. Il est entré dans le service le 16 janvier 1880 (16 ans ' /2) et en est sorti le 7 décembre de la même ann
novembre. . 1882. 29 avril. Santé générale bonne, memoirs toujours ' la même, caractère irascible; pas de divagation
tique comprend huit enfants et une grossesse on cours. Toutes les ' Mariage DES épileptiques. 251 circonstances sem
le 11. PLANCHE II. ci t3. t"1 t7 Ci' Ci oc C ? 70 ' EXPLICATION DES PLANCHES. Planche V. Face ext
91 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
atoma î ? 2agisia. Hémiptère inoculateur du 1'oypanoso>nc Cruzi. ' LES FORMES NERVEUSES D'UNE NOUVELLE TRYPANOSOMTAS
nous avons vus, présentant la l'orme nerveuse chronique, s'élève : ' ) plus de deux cents. Malgré cela, les cas nerve
deux mécanismes fort diffé- rents : On pourrait très bien supposer, ' en premier lieu, que cette apha- sie a été sous
e digestif. Tension arté- rielle : 14,5 au sphygmomanomètre Potain. ' Rich... ne reste qu'une douzaine de jours dans
ance assez molle. La moelle ne donnait pas de pulsation sous la dure- ' mère ; elle était aplatie, affaissée à l'endroi
, par suite de la compression des vaisseaux contigus aux racines. ' Pour l'évolution de la maladie dans la période im
bres dorsales 7-8) et poussent la malade à consentir à l'opération. ' . 21 janvier midi. Opération (Dr Oberfeld) par
, et (1) Le délire d'interprétation, 1 vol., chez Alcan, 1909. 58 ' DIDE ET LEVÈQUE constituent,'au moment des gran
térieurement, à déterminer la puberté et sa métamorphose somatique. ' Mais ce sont là des considérations que nous rep
urbatrice de ce lobe antérieur qui détermine le syndrome infantilisme ' ? Il semble, de par les données cliniques et ex
antilisme de type Lorain. Nouvelle Icono- graphie de la Salpêtrière, ' 1908. Peciikhasz et Jack. - Cités par SCIIÙLLER
nfantilisme. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1907, p. 238. ' CusniNS. Infantilisme sexuel avec atrophie opti
res continues dans les mollets; muscles des extrémités et du tronc. ' Dans les premières descriptions, les douleurs e
s. On peut observer 35 et 40 aux périodes de plus grande agitation. ' Les mouvements produits par les contractions so
, le cas d'André-Thomas pré- senté à la Société de Neurologie (11). ' Il semble aussi .que les deux maladies peuvent
. o ment., 1896, fasc. 10. Scrute. Neurol. Centralbl., 1897, p. 11. ' Au.EN Starr. Journal of nervous and mental dise
méd., 1911. TINEL et ANCHE CAIN. Société de neurol., 1" juin 1911. ' Derginsky. Cit. in Rev. neurol., 1911, 2, p. 39
père est un pilier d'hôpital et souffre de l'esto- mac et du genou. ' Personnellement, c'est une fille courtaude et s
1/2. 20. Crises convulsives de 1 heure 1/2 à 5 heures du soir. 1" ' juillet. Deux crises convulsives. Toutes ces cris
& Cie, Editeurs. Photoljpie Bertliaud, Paris MANIE CHRONIQUE ' 12B entend. Sa mimique est riche et expressive.
la maladie : elle ne vivait pas près de lui quand il a commencé à ( ' folailler ». Cette observation est un exemple t
bre que celles du réseau intramédullaire décrit plus haut (fig. 9). ' . FiG. 4 et 5. Racine postérieure (Immersion).
er Paralysies agilans (Neurolog. Centralblatt, 1912, n° 22). xxvi ' 9 134 HASKOVEC ET BASTA notre attention parti
(1). (1) Voir LEWY (Handbuch der Neurologie von Levandowsky, 1912). ' FIG. 21. Premier cas de paralysie agitante. Lob
La cellule « z3 du premier cas de paralysie agitante (LÜelschowsyy), ' » la cellule du second cas (Cajal). a et à à un
maine étudiée à travers six siècles d'hérédité. Paris, 189G, p. XII. ' (2) P. MERSEY, Thèse Paris, 1912. Ollier. NOU
, suffisent-ils à constituer les symptômes de la névrose rés(li21qtie ' ? Nos lecteurs on[ répondu pour nous (3). » M.
et ces lugubres cérémonies avaient pour lui un attrait puissant. » ' Charles-Quint a-t-il fait célébrer ses funérail
es-Quint, et cette vision, il ordonne qu'elle se réalise, lui mort. ' DON CARLOS Il y a dans la vie de don Carlos u
de sorte qu'on les range vulgairement parmi les nains. On est xxvi ' Il t 158 l1ERRtJCCIO lATEN14A frappé tout d'a
ait la même atrophie des métacarpiens qu'on a trouvée chez le fils. ' Des deux observations que je vais rapporter la
o- minaux, pour la qualité et la quantité de la sécrétion urinaire. ' Quant aux organes génitaux on note que le pubis
n flexion. La motilité et la sensibilité sont tout à fait normales. ' A l'examen radiographique du crâne on note au p
ie du 4e métatarsien. Parmi quels types devons-nous ranger Frassi ? ' ! Est-ce qu'il appartient vraiment à cette caté
à cette catégorie d'hommes qu'on ap- pelle vulgairement des nains ? ' ? Si nous voulons attribuer ce mot la significa
est-elle héréditaire') Nouv. Icon. de la Salp , 1910, n. 3, p. 214. ' HANSEMANN. Edite Nanosomie. Berliner klin. Woch
er rien d'anormal. Il a suivi l'enseignement inférieur (8 classes). ' Pas de troubles viscéraux apparents. Sur les té
iscéraux apparents. Sur les téguments quelques nxvi pig- mentaires. ' (Le malade prétend qu'il a fait l'objet d'une l
: 6 centimètres chez l'achondroplase ; 7 cent. 5 chez le normal. 1. ' Le Ve métatarsien : 6 centimètres chez l'achond
s, de la sensibilité et de la motilité. Ponction lombaire négative. ' En ce qui concerne son état psychique on consta
e premier malade présente le sternum en partie creusé en gouttière. ' Les déformations du tronc manquent d'habitude d
ieure à la moyenne et : i fois elle était considérée comme normale. ' Il nous a même semblé exister un certain rappor
me, Lyon médical, 1902. 'NOUVELLE ICONOGRAPHIE'DE la Salpêtrière. ' "* T. XXVI. PI. XXXII COMPARAISON DES OS NORMAU
s. Les oreilles sont bien ourlées, le lobule est nettement détaché. ' ` Le tronc est court, trapu ; les seins sont fo
n & Cie, Editeurs A PROPOS D'UN CAS D'ACHONDROPLASIE ? Ú5 206 ' BAUMEL ET MARGAROT Le diagnostic de la dystroph
endant pas accompagnés d'autres phénomènes. 210 0 PUBLIO CIUFFINI " ' A l'âge de 2 ans, l'enfant commença à marcher e
tions à la minute), la température est normale (toujours sous 37°). ' On observe dans les membres supérieurs et infér
du crâne supérieur à la normale et il commence à marcher très tard. ' La maladie actuelle commença vers les premiers
e les réflexes rotuliens et achilléens sont bilatéralement absents. ' Si actuellement, étant donnés la symptomalologi
ymptômes, il existe une forme à évolution subaiguë, laquelle 216 17 ' PUBLIO CIUFF1NI exige plusieurs semaines de tra
tation d'albumine dans le liquide extrait par la ponction lombaire. ' On devait exclure une compression due à d'autre
de repos et exigeait toujours une intervention active d'un cer- 224 ' HNATEK tain groupe de muscles. Les muscles : gr
\Vi'r7·· - Névrites transitoires de la puerpérrtlilé. Presse médicale, ' 1909, no 75, p. 651. P. S. Nous remercions Mm
es voies aériennes, et sans doute aussi par les téguments externes. ' On sait en effet que l'intoxication chronique p
ne direc- tion. Quelle est, ici, la cause efficiente du trouble ? ' ? Nous faisons déshabiller le malade,un peu mal
.n Schâdelgrube . Archiv. sur Psychiatrie, 29 Band, Heft 1, 1897. ' (3) VOLLS113BRG, Z·ecei Pâlie von Tumor der hlnte
ins auteurs désignent sous le nom de gigantisme normal physio- xxvi ' 17 258 REBATTU ET GRAVIER logique, pour réser
n ? En tout cas, il nie absolument toute orchite et tout traumatisme. ' Histoire génitale. - Notre sujet ne fut certain
é de 31 ans. Observation II (Pi. XXXIX, XL, XLI). (Service du D' ' LECLEnc.) Diagnostic résumé. Troubles de la séc
que nous avons étudié, nous pourrions dresser le tableau suivant : ' 1° En premier lieu nous avons l'homme normal, l
xations qui sont réduites facilement mais qui l'effraient beaucoup. ' A cette époque la malade avait un aspect effray
es. Session de Caen, du 10 août 1894, in Semaine méd" 1899, p. 357. ' SYNDROME Dur BASEDOW ET SCLÉRODERMIE 277 est
s Basedowii, Thèse de Zurich, 1895. (3) Jotas, Thèse de Bonn, 1896. ' (4) W. OSLER, On diffuse scleroderma vith spéci
du 9 février 1904, in Wiener klinische Wochenschr., n° 19, 1904. -. ' SYNDROME DE BASEDOW ET SCLÉRODERMIE 279 Leven
tral- blatt, février 1904, n° 4. (2) Wick, K. li. Gesellschaft de/ ' Aerzte in 1Vien. Wiener klin. Wochenschr., n 7,
, 1912. (3) W.KoELLE, a : U ? xeAMKMci7'Ae)'apeM< ! sc/tex : u ? ' $/f ! erocferwts. Afunchpnermed. Wochenschr., n°
et à l'autopsie duquel il a trouvé une thyroïde petite et altérée. ' Ménétrier et Bloch (8) ont publié le cas d'une
es des extrémités, sclérodermie..., etc.). Journal de méd. interne, 1" ' janvier 1899. (2) Dehu, Sclérodermie ou inyxoed
Sclerodermia. Archiv für Dermatologie und Syphilis, 1898, vol. 43. ' (4) Eddowes, Alopecia, Leucoderma and Scleroder
et mém. de la Soc. méd. des hôp. de Paris, 21 février 1905, p. 146. ' ' ' ' SYNDROME DE BASEDOW ET SCLÉRODERMIE 283
mém. de la Soc. méd. des hôp. de Paris, 21 février 1905, p. 146. ' ' ' ' SYNDROME DE BASEDOW ET SCLÉRODERMIE 283 s
ém. de la Soc. méd. des hôp. de Paris, 21 février 1905, p. 146. ' ' ' ' SYNDROME DE BASEDOW ET SCLÉRODERMIE 283 scl
. de la Soc. méd. des hôp. de Paris, 21 février 1905, p. 146. ' ' ' ' SYNDROME DE BASEDOW ET SCLÉRODERMIE 283 sclér
thérapie thyroïdienne fut suivie d'une amélioration considé- rable. ' Huismans (1) a noté dans un cas de sclérodermie
ie agi- tante [Panegrossi (10), Palmieri (11), Frankel, Lundborg (1 ' ), Luz- zalo (13), Rasch (14)]. D'après certains
merkungen Uber die Physiologie und Pathologie des sympatizicns und de) ' Neben- nieren. Deutsches Archiv sur klin. Med.,
rèrent des pièces anatomiques avec lésions médullaires très nettes. ' Depuis, Raymond, Grasset et Brissaud ont insist
et enfin, en 1897, à l'occasion d'un cas d'acromégalie, Strum- 292 ' BKHTOLOTTI pell a publié une note dans laquelle
questions intéressantes, notre intention justement est de relever : ' , 1° Les relations existant entre la scléroderm
et la maladie dite : pierres de la ]Jean ou syndrome dePro- fichet. ' Un rapprochement entre le syndrome de Profichet
age de 12 ans. Elles ont été toujours irrégulières. Mariée a 20 ans, ' elle n'a pas eu d'enfant ni de fausse couche. Son
esse entre les doigts la peau du scrotum. Nous avons donc affaire : ' ) un oedème. Ce qui le prouve également, c'est l
er Edile von Elephanliasis congenila hereditariu. Virchow's Archiv, ' Band 125. 2. Milroy. An undiscribed variely of
nsactions of the association of american Physicians, XII, blz. 411. ' 7. MEiGE. - Le troyhcedènze chronique héréditai
- montre ce que nous appellerons les « phénomènes neuro- clasliques ' ) de fragmentation des appareils pseudo-terminaux
e bout sectionné pour implanter ce dernier sur l'autre face latérale. ' S'il va deux nerfs, Bardenheuer conseille d'avi
nsidérer la capsule externe et l'avant-mur comme n'exis- tant plus. ' Plus haut la substance blanche a été interrompu
e ; le corps fait complètement défaut. 340 DEJERINE ET ANDRE-THOMAS ' La couche optique est extrêmement réduite dans
mouvements de flexion de la jambe sur la cuisse est très énergique, ' celle aux mouvements d'extension l'est beaucoup m
sible, mais elle ne peut faire ni soustraction, ni multiplication. ' Etat intellectuel. - A été relativement peu tou
ivement peu touché. La malade se rend très bien compte de son état. ' Cette malade est donc bien atteinte d'aphasie m
mplement. Elle avait conservé des mots en série, tels que les jours, ' les mois, les prières ; il suffisait de prononcer
arce que sa mère est morte récemment et son père est malade au lit. ' A la maison il restait seul, entouré de chaises
développée. Les organes génitaux sont normaux ; la verge est forte. ' 77 ! /joefënte. Après quelques minutes d'examen
énérale, t. V, p. 759. 3G8 PITRES ET ABAD1E décrit par Babinski ' (1) et étudié par Lamy (2) dans la paralysie facia
ation, faite le 17 juillet 1905, donnait les résultats sui- vants : ' Excitabilité faradique : diminution très grande
st assez intense (c'est un fait que nous avons constaté nous-même). ' Il faut ajouter qu'à aucun moment le malade ne
ncontrer dans certains cas de paralysie faciale d'origine centrale. ' 396 . PITRES ET ABADIE atteint. Ils sont sync
dans la nuit du 21 au 22 avril 1913. , Analyses d'urines. 4UU' ' RAUZIER ET BAUMEL - des méninges) sur leur surf
aulllel) Nouvelle Iconographie DE la SALPÊIRILRE. T. XXVI. Pl. LI\ ' TUBERCULOMES MULTIPLES DU CERVEAU ET DES MÉNING
culations. La voix est enfantine, très grêle ; elle n'a jamais mué. ' La peau du corps ne présente pas de pigmentatio
l'âge auquel sont apparus les accidents ? » (Souques et Chau- vet). ' Nous sommes ainsi amenés à mettre en cause l'hy
Cléretet dont M. Mouriquand vient de faire un très complet exposé. ' , 3° Une portion moyenne, riche en colloïde, do
IOER, Wachstlzunx ù. Dau des menschliclien Shoedel, Leipsick, 1867. ' (3) Pommeroll, De la synoslose normale, th. Paris
lindungen berin Hochschodelleidung, l\1ünchen medicin. Woch., 1908. ' (27) Schulleh, Gesselschafl de ? ' OErtzle, in
\1ünchen medicin. Woch., 1908. ' (27) Schulleh, Gesselschafl de ? ' OErtzle, in Wien, avril 1908. (28) Grcnmach et
ch der speciellen Pathologie, Holders- verlag Wien, Leipsick, 1912. ' (34) BERTOLOTTI, Elude du syndrome oxycéphaliqu
ena, Janvier, 1913. (36) Testut, Traité d'Anatomie humaine. ... ' ? S YXIX -3 SUIt UN CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE
Uebu die lieteiligung der i\'euro,glia an der Narbenbildurg im Go ? ) ' )). Deutsche Zeitschrift f. Nei,venlieillunde. B
. XXVI. 111. LXIII MÉNINGO-ENCÉPHALITE CHRONIQUE (P. SlIessarefJ) ' Masson & CI., Editeurs DU PROCESSUS DE RÉ
1909, Bd. 45; R t;SSA KOFI'. Uber die pa</ ! o<ot ! c/ten fe) ' /ta«);Msfn, Ziegter's Beitruge, t909, Bd. 45; nt;s
es bandes larges, grises, entremêlées, confuses, à rebords indécis. ' Les déformations se manifestent par uneplicalur
un caso di arrumegulia. Ri sperilII. di frematrra, 1904, p. 267 : ¡ ' ;P1LLEH, The barn ind the spiiial curd ln a case o
nce une inspiration profonde qui coïncide avec la contraction mention* ' née. A cause de la douleur,' le malade fléchit
i coïncide avec la contraction mention*' née. A cause de la douleur, ' le malade fléchit la colonne vertébrale.' SUR L
obtenus parla ponction faite à différents niveaux, chez le xxvi 32 ' 494 MARINESCO ET RADOVICI deuxième les faits
ontre la deuxième hypothèse plaident plusieurs constatations faites ' dans des cas de compression médullaire de longue
gulation massive, Mestrezat a trouvé 9 gr. 50 ; 9 gr. gag ; 8 gr. î0 ; ' ) 9 gram- mes : Ggr. 20; 40 grammes par litre. D
s sous arucltnuïdiennes et le mécanisme de l'hémalolyse en général. ' Thèse Paris, décembre 1904. - et IlAbIOND. - Ev
lialo-rachidien. Essai de palhogénie. Gazette des hôp., octobre 1909. ' Le liquide céphalo-rachidien normal el patholog
cnclicng, Zeitschr. f. experimentelle Palhologie u. Tberapie Bd. 8. ' QutxcKE. Die diagnosliohe u. the ? -npeulische
cas de sclérodermie. Analogies avec le -), ), par Bertolotti, 291. ' Psychose a base d'interprétation passionnée.
92 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
ILLES DE la TOURETTE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE ' MÉDECIN DES HÔPITAUX ALBERT LONDE DIRECTEUR D
lus petits. Les jambes et les cuisses ne paraissent pas atrophiées. ' Le malade se plaint toujours de douleurs plus o
sortes d'échelons, comme le signalent les auteurs. (PI. III et IV). ' Nouvelle Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE, T. XVI
s exemples : l'oedème du phlegmon du charbon malin, de l'érysipèle. ' (1) HENRY MEIGE, Congrès d'Angers, 1898 : Press
uble de la motilité, de la sensibilité, ou des différents viscères. ' Depuis lors, pendant six mois, des médications
Tel est le tableau clinique. Quel diagnostic nosologique porter ? : ' Il ne peut s'agir d'oedème, reliquat, témoin d'
un allongement secondaire, une dé- formation ultérieure du moignon ' ? C'est là une première raison qui milite en fa
n'arrivera à avoir conscience du lieu qu'il oc- cupe dans le carré. ' J'avoue que j'ai un peu honte d'être réduil à l
leurs que des hypothèses physiologique calquées sur les données po- ' A PROPOS DU SOI-DISANT « SENS DES ATTITUDES » Si
. 251. (2) Helmholtz, Optique physiologique, tr. fr. p. 1001.. 56 ' ED. CLAPARÈDE comme un écu si nous la projetons
ul Richer,extraitde son important ouvrage sur l'Art et la Médecine. ' . La liste des figurations de ce genre semble i
, scène IV ; date approximative de la première représentation : 50. ' (2) Le Roi Henri IV, 2- partie, acte I, scène I
on y dit des malades et des médecins : Ermergaert gist malade ; - ' Pour che vous pri-je Que vous parlés bas. On
opie le privilège de ré- véler la conception ? Rien de plus simple. ' Les notions populaires sur la disposition anato
d'origine névroglique. Quelques vaisseaux traversent cette cavité. ' Le V° étage radiculaire cervical présente toujo
et.) : \1 \SSO 1.T CI ? Édilcurs. SYRINGOMYÉLIE DU TYPE TRANSVERSAL ' 17 normales tapissent de place en place la paro
rmal. Les étages intermédiaires seront exami- minés ultérieurement. ' 78 BRISSAUD ET BRUANDET Dans toute la moelle
du squelette ; aucune lésion tégumentaire, aucune lésion viscérale. ' En raison du traumatisme subi par l'enfant, on
la suture fronto-pariétale d'un large orifice ovalaire à grand axe ' dirigé en bas et en avant, et mesurant 7 centimèt
inclusion celloïdinée, a servi pour certaines régions de la moelle. ' Etude microscopique des lésions encéphaliques.
ations de la pie-mère, des vaisseaux extra-médullaires, des racines ? ' ! Les méninges molles sont remplacées par une b
u'intense que soit l'infiltration de la région qu'elles traversent. ' Une région particulière de la moelle montre au
nt, à la base de l'encéphale et à la substance blanche du cervelet. ' Nous croyons la nature spécifique de ces lésion
nergiques. Les réflexes cornéens et conjonc- tivaux sont conservés. ' La marche et l'équilibre sont normaux. Pas de p
me. On voyait, en effet, dans le premier cas, une atrophie névritique, ' prendre le caractère familial et l'évolution le
des gros vaisseaux, des reins et des urines, de l'appareil génital. ' On ne constate aux poumons rien autre que des sig
symptômes de la série tabétique ont dé- buté. Ces symptôn1èsSOfiC ? ' ? 1- Des crises gastriques cadrant avec la desc
oculaires, dentaires ou palatins. Le système pileux est nor- mal. ' Les membres supérieurs n'offrent rien à signaler,
dicale (PI. XXVIII). Il était attribué à : NDRG<1 DEL Sarto (1). ' ' Je n'ai pu connaître ni l'origine de ce dessi
cale (PI. XXVIII). Il était attribué à : NDRG<1 DEL Sarto (1). ' ' Je n'ai pu connaître ni l'origine de ce dessin
eu, qu'on peut voir à Florence, dans la Galerie antique et moderne. ' Andréa del Sarto a d'ailleurs figuré un certain
nt, au même endroit, on voit aussi plusieurs malades et infirmes. ' Sur notre sanguine, la scène représente encore un
bleau en question, et il n'est pas certain qu'il ait jamais existé. ' . ' ' La réplique réduite témoigne en outre d'u
u en question, et il n'est pas certain qu'il ait jamais existé. ' . ' ' La réplique réduite témoigne en outre d'une b
en question, et il n'est pas certain qu'il ait jamais existé. ' . ' ' La réplique réduite témoigne en outre d'une bea
étails, entre autres les souliers déposés près du lit de la malade. ' " . - 130 HENRY MEIGE tient de la main droite
par le trou sacre antérieur; 8, vertèbre sacré. Maison rT ('le, l : ' ¡Jlh"l1 UN CAS D'ANENCÉPilALIE AVEC AMYÉLIE 137
veux (1) V. Leonowa, Ein fall von Anencephalie combinirl mit totale, ' Amyelie, Neurol. Cenlbl., 1893, 11- 7-8. Scm
halie combinirt mit totaler Amyelie, Neurol. Centbl., 1893, n- 7-8. ' Pellizzi. - Note analomiche e istologiche sopra
ment juger de l'agrandissement des coupes, qui est exactement de 2,5. ' Une coupe de la région cervicale au niveau de l
t comme un petit orifice irrégulier au milieu de la commissure grise. ' Une coupe en pleine tumeur au niveau de l'inter
a coupe, le tissu néoplasique a gagné les cordons blancs environnants, ' les envahissant et les remplaçant (cordons anté
ntcurs. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T, XVI, PL. XXXVII. ' GIGANTISME ET ACROMÉGALIE (P.-E. Launois et Pie
14 cm. L'anneau de la valvule mitrale a une circonférence de II cm. ' Tous les organes abdominaux ont subi un dévelop
ogique de cette tumeur a été pratiquée en deux régions distinctes : ' 10 Portion contenue dans la selle turcique. A
un prolongement intrahémisphérique analogue à celui de notre géant. ' Au point de vue histologique, la tumeur est un
x (Malacarne, macroso- 9)22(L . - C'est bien un cas de gigantisme, ' et même il correspond au gigantisme pathologiqu
Heft 3. (9) Boinet. Académie de médecine de Paris, 19 février 1901. ' (10) CESTAN. Nouvelle Iconographie de la Salpêt
VI. Pl. XLIV HYPERTROPHIE CONGÉNITALE D'UNE MAIN (1 ? f79'i>.. ' Masson & Clc) ](Iiteurs Phototypie Bel th
: Bretagne ancienne. (2) Barzaz Breiz, II. de la Villemarque. 200 ' DUCHES')' DE VILLENEUVE « Celui qui aime trop l
ancienne. (2) Barzaz Breiz, II. de la Villemarque. 200 ' DUCHES') ' DE VILLENEUVE « Celui qui aime trop le vin, fin
s linges. On voit à droite le berceau et les langes dans un panier. ' Martin van Heemskerk a représenté plusieurs foi
m miseranda Alcmena, sed obstat Lucis honoratoeque Dea nomen habet. ' At delusa dolis famulae sua vincla remittit N
tre : contracture hys- térique probable de tout le côté gauche. . ' Cependant, ' dès le premier jour, nous trouvions
ture hys- térique probable de tout le côté gauche. . ' Cependant, ' dès le premier jour, nous trouvions cette contrac
suite, aucune connexion avec le reste du squelette de la main. 240 ' KLIPPEL ET RABAUD . Du côté du carpe existent d
en penser c'est ce dernier qui domine et carac- térise l'anomalie. ' Pour ce qui est des muscles, il est difficile d
xième petit doigt à chaque main et un sixième orteil à chaque pied. ' Certains esprits, peut-être, n'hésiteraient pas
ystème nerveux les variations et déformations diverses des membres. ' Il nous est difficile, en l'espèce, de discuter
onnues ne paraissent pas démontrer, au contraire, que les anomalies ' ( UNE FORME RARE D'HÉMIMÉLIE RADIALE INTERCALAIR
de résumer les caractères extérieurs de la langue à l'état normal. ' La langue normale présente, sur la muqueuse dor
langue d'où il naît pour se diviser bientôt en deux branches (a-b). ' La première branche (a), la plus enfoncée et ma
nciampi e incatenado i cuori Mille licci a se stessa incauta tende. ' Estampe non numérotée, gravée par J. Flipart :
heit. Leipzig, E. Diederichs, grand in-8°, 1900; cf. p. 12, fig. 8. ' 2° Le syphilitique. Estampe mesurant 251 millim
illustrer le chapitre consacré auxpouils, dans ce curieux recueil. ' Divers personnages assistent à cette opération
e pendant la vie soient apparus des symptômes cérébraux (Nageotte). ' Je voudrais, enfin, parler d'un élément que j'a
ité d'origine alcoolique, comme le montre la fin de l'observation : ' C'est à l'âge de 37 ans, à la suite de son troi
s actifs et passifs sont normaux. La sensibilité cuta- née normale. ' Outre une augmentation légère de l'excitabilité
agit ici de lésions passagères et certainement d'ordre fonctionnel. ' Il est assez probable que, dans notre second ca
que les malades étaient considérés légalement comme irresponsables. ' Voilà bien les premières bases d'une législatio
sée par la peur du démon prêtait toujours des formes diaboliques. ' Si, par surcroît, le prétendu possédé selon la rè
înes, brisé ses fers et personne ne pouvait le dompter ..... » (4). ' Ces sévères moyens de contention ont été de mis
phne, qui présentent aujourd'hui un intérêt médical rétrospectif. ' Il existe peut être des documents figurés qui l'e
mal comitial. De telles chutes appartiennent surtout à l'épilepsie. ' La gravure reproduite planche LXI représente la
entes, en 1898 eten 1899, pour un lipome diffus du médian, par le D' ' Péraire. Celui-ci en a publié l'observation ave
es. Mais les résultats les plus complets nous ont été donnés en em- ' ployant successivement la safranine et l'encre ou
réseau péricellulaire (Dogiel, Bethe) dont l'origine est complexe. ' La Pathologie ne prête pas un appui beaucoup pl
e photographies que nous avons exécutées nous-mêmes au laboratoire. ' Des dessins auraient été plus schématiques et p
sont celles de ces manifestations qui sont le plus souvent notées. ' (1) Les photographies contenues dans ce mémoire
professeur Castex, l'ama- bilité duquel je tiens à rendre hommage. ' (2) Les idées de cet auteur sont parfaitement r
es catatoniques, vivre sans inconvénient pendant de longues années. ' D'ailleurs, leur auscultation n'a rien révélé d
ature s'élever au moment de la production de gan- grène symétrique. ' Chez les femmes, la menstruation est quelquefoi
e). Les petites mesurent de 27 à 54. de diamètre et sont arrondies. ' Sclérose péri et intra-lobulaire très accentuée
aux, 1896. Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XVI. Pl LX\ ' ] Avant le tr.iinment th roï.lim. Taille : 62
e de Mabille (1) est une démente vésanique avec chorée chro- nique. ' , .T'ai systématiquement cherché cette affectio
vie entière sans rétrocession et sans influence sur l'état général. ' Le traitement thyroïdien tenté, n'a donné que des
ent thyroïdien tenté, n'a donné que des résultats inappré- ciables. ' - Nous signalerons le résultat de nos analyses
EioB et FEINDEL, IOC. cit., p. 458. TICS ET STÉRÉOTYPIES DE LÉCHAGE ' 373 des troubles moteurs très compliqués dans l
consécutives sans prendre le pas. Peurs visuelles (objets blancs). ' Réflexes normaux ; seul le réflexe lombaire est
nstabilité motrice extrême pendant l'isolement. Phobies nombreuses. ' Réflexes normaux. Anesthésie du bout du nez et
MEIGE et Feindel, Tics et sléréotypies, p. 458. (3) Ibid., p. 458. ' TICS ET STÉRÉOTYPIES DE léchage 383 Etude pat
rée par les auteurs comme indispensable dans l'étiologie de cette 1 ' ie. Des autres formes de psychoses alcooliques qu
est guère qu'une petite momie soigneusement empaquetée (PI. LXXII). ' On pourrait continuer longtemps l'énumération d
et interprétées selon l'enseignement du maître de la Salpêtrière. ' Presque en même temps, en 1888, fut fondée la Nou
également, et chez le même éditeur, par le Dr Julian MARCUSE , Büde¡ ' und Badewesen in 17ergaitqenheil und Grgen2oarl.
monte di Varallo (vaut- sésie), p. 241-248 (3 phot.). Année 1891. ' Alfred Franklin. - Les rois de France et les Ec
n Buste ! l'évêque guérissant les Ecrouelles, p. 161-168 (2 phot.). ' , Charcot et PAUL Ricnen. - Les Pestiférés de J
PAUL Ricnen. - Les Pestiférés de Jaffa (Gras), p. 246-248 (2 phot.). ' Charcot et Peul RICHER, Deux Dessins de Lépreux
bens représentant la guérison d'un Pos- sédé, p. 238-240 (1 phot.). ' A. Chipault et E. Daleine. Noies iconographique
et hollandaise). Les Opérations sur l'épaule, p. 316-320 (1 phot.). ' Henry Meige. - Les Peintres de la médecine (Eco
les « Arra- cheurs de Pierres de Teste », p. 203-207 (2 phot.). ). ' Henry 1\Imcs. Le Barbier-chirurgien. Gravurede
sur les Possédés dans l'Art, p. 320 (3 phot.), p. 412 (1 phot.). - ' , Ceux qui s'intéressent à la critique médicale
é- merztai·es), (1 photocollogr.), par Henry Meige, 319-410 432 ' ' TABLE DES MATIÈRES Possédés guéris par les re
merztai·es), (1 photocollogr.), par Henry Meige, 319-410 432 ' ' TABLE DES MATIÈRES Possédés guéris par les reli
93 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sûr quelles réactions se ma- nifesteront en vie familiale libre. ' Sans doute, il est, dans le choix des malades, de
e convenablement surveillée que dans des établissements spéciaux. ' . A Dun, l'on avait commencé par placer en grou
e canal thoracique. Vraiment le choix de M. Bonne n'est pas heureux ' Canal thoracique. Cet organe est manifestement
s deux co-êtres dans l'homme pleinement formé constituent des êtres ' morphologiquement distincts. Mais puisque M. Bo
té, et qui est plutôt en progrès. 11 suffit de dire 30 PSYCHOLOGIE. ' que dûe à Lereboullet, elle fut développée par
nt non plus les deux cellules du stade IV nés d'un même blastomère ( ' ! ) initial des stades II, mais deux cellules d
par l'un et l'autre côté de l'oeuf s'accolant sur la ligne médiane. ' 5 preuve. Le caractère d'individualité de chaqu
ord, l'histoire des dérivés branchiaux. Est-ce là de la sincérité : ' J'ai remarqué (p. 199) que, d'après Driesch et
le tube digestif et le canal épendymaire, et tombées au nettoyage ? ' Quand l'A.,à son réveil, imagina le vide digest
que chaque co-être eût son esto- mac et l'humeur qui en provient ? ' 46 ' PSYCHOLOGIE. Indépendance des hémisphère
aque co-être eût son esto- mac et l'humeur qui en provient ? ' 46 ' PSYCHOLOGIE. Indépendance des hémisphères. Expé
rents et insulte à tort et à travers les membres de sa famille. Il ' est riche, il a la plus jolie femme du monde, et
l'hyperthermie et 1'liyperh,)-drose localisées qui ont SUR UN cas 1) ' (EDi ? MF A ÉVOLUTION d'apparence SPON7 ANÉE. 53
r, les ganglions spinaux ne présentaient pas trace de dégénération. ' Ch. Bonne. VI. Ueber das Wachstum mikrocephaler
m- region.) Zur Differentialdiagnose zwischen kortikalem und sub- ' kortikalem Sitz des Herdes.) (T. dans la subst. b
« conscience supérieure » n'en connaît le sens qu'après lec- ture. ' · ' Ch. Bonne. V. Sensibilitütstaerungen bei Pa
onscience supérieure » n'en connaît le sens qu'après lec- ture. ' · ' Ch. Bonne. V. Sensibilitütstaerungen bei Paraly
cas rapportés à la paralysie générale à double forme sont des cas ' de folie intermittente dans lesquels la période n
proche les troubles vasculaires des troubles psychiques, la cardio- ' pathie pouvant à la longue, par ses symptômes sen
les historiens des saints et même ceux des fondateurs de religions. ' Séance annuelle du mardi 18 juin 1907. Présiden
ance annuelle du mardi 18 juin 1907. Présidence de M. Jules Voisin. ' Les enfants indisciplinés : procédés nzédico-pé
orte, je l'ai su.lls m'ont privée d'aller l'embrasser une dernière * ' lois. Puisque tu es Directeur et que tu n'es pas
aînement des faits. Mme X. est chez elle assise et, tout en cousant; ' s'abandonne à ses rêveries habituelles, rumine
té psychique et en diminuant la force de résistance des sujets (1). ' Quelle que soit l'opinion que l'on ait sur le r
ir à se rendre, samedi matin, à 9 heures, à la Faculté de médecine. ' Le Dr Gaspard de la Rive. M. le Dr Ladame (Ge
du criminel ; la société ne punit pas, elle se protège et se gare. ' Je veux bien adopter cette doctrine, mais à une
qu'elles sont inhibées, comme les supérieures, dans la mélancolie. ' D'autre part, il n'y a pas, d'après Kraepelin,
tent encore la simplicité des réactions psychiques de l'enfant. D' ' Terrien (de Nantes).- Je ne veux pas apprécier, d
s des phénomènes du deuxième groupe ou y a-t-il un lien entre eux ' ? . , -- M. Claude, d'accord avec M. Raymond, c
s intense avec quel- que chose de tranquille et de resséréné. comme ' le récit d'un vieillard qui évoquerait dans un
- pathies, les troubles trophiques cutanés, les crises gastriques ' etc., sont sous la dépendance d'une imprégnation
re, chauffage-éclairage. SOCIETES SAVANTES SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE. ' Séance du 6 juin 1907. Présidence DE OI..T. J
07. Présidence DE M. Babinski Syndrome de 73enedickt. Ltvi et P¡ ' ;CIIIN présentent un malade atteint d'hémiparé-
ulbaires et troubles trophiques intenses. MM. Raymond et LE.TONNE ' présentent' un syringomyélique avec phénomènes
; 2° leurs connexions ; 3° quelques notions d'histologie comparée. ' A chaque description anatomique sont annexés la
. Amblyopie croisée et hémianopsie dans l'hystéro-épi- epsic, 1882. ' LES auras VISUELLES 'DES ÉPILEPTIQÙES, 179 me
t poursuivie par des hommes habillés de bleu, de blanc, de rouge. ' On trouve des exemples nombreux dans les auteur
Médecine de Bordeaux : « Les songes d'attaque dos épi- leptiques ». ' LES AURAS VISUELLES DES ÉPILEPTIQUES. 183 Obs
c'est cette contrainte qui serait l'occasion des premières crises. ' L'aura qui précède la crise est constituée par
- buek der palhol. Anatomie des NelVellsyslems hrrnusq, YOI1 Plato\\ ' .lnl : obsohn und Miunr, Berlin 1904. (8) Gau
esondre bei Psycho- sen. Berlin. lalin. Wochenschl, 1900. S. 697. ' (10) Nissl. Loc. cil. (11) Weber. Ueber akute l
lgemeimcn Pathologie 1903. 1" volume p. 190. (14) Jlonalçehrilt Iii/ ' Psychiatrie und Neurologie, 1897. iss REVUE CRI
es. En somme, l'altération porterait sur le tissu neuro-épithélial. ' Dans les cas publiés par Alzheimer,et qui sont
les constatations seraient tout autres si on examinait le liquide ' céphalo-rachidien chez des sujets atteints de c
t de la puberté, ou bien encore à la suite de troubles puerpuéraux. ' Conclusions. En réalité se montre, chez les dif
bués sur les fonds départementaux ? Qu'en pensent nos collègues ? P ' Dr DE\VARTE. Médecin-directeur de l'asile de
chiffre représente une garde de nuit par cinquante malades. 206 Ô ' asiles d'aliénés. . Ces gardes font un service
iter ces malades-là par tous les bouts, physiquement et moralement. ' M. Ll : oroLD-LÉVI (Paris) pense qu'il y a inté
re et le psychologue sont devenus indispensablement coopé- rateurs. ' La psychologie pourra aider le psychiatre à com
nt de se passer. Dans bien des cas, comme j'ai essayé de le montrer ' (2), cette amnésie est plus complète en- cote ;
grande partie. · - , . The Clinical Signi ficance of Allochiria . ' ' Ernest JoNr.s, M. D. La Genèse du Génie. Pa
ande partie. · - , . The Clinical Signi ficance of Allochiria . ' ' Ernest JoNr.s, M. D. La Genèse du Génie. Par
unications dont voici les titres : Ophtalmo-réaction en psychiatrie; ' - Atoxyl et paralysie générale ; - Anticorps et
ité d'améliorer la situation du personnel des infil- BIBLIOGRAPHIE. ' 241 mières, et du personnel des surveillantes e
ts sur les progrès incessants que fait la folie en Grande-Bretagne. ' Au 1er janvier 1907, ily avait 123.9f8 aliénés
nt la même période, la populatioq ne s'augmen- tait que de 77.5. %. ' On voit que, depuis un demi-siècle, les asiles
>arLhuy, et plus personne depuis ne l'a aperçu. Est-ce une fugue ' ? D'aucuns volontiers l'avanceraient. Mais on s
Quant aux organes génitaux, on trouve l'hypéresthésie dans la ré- ' gion du clitoris (peu développé) et, par endroits
masochisme. Il n'est pas non plus question d'inver- sion sexuelle. ' OBs. Il. Un cas d'hyperesthésie sexuelle avec f
dire, de la dégénérescence : les renseignements sur les anté- 278 ' LÉGISLATION. cédents héréditaires nous manquent
jeunes sourds-muets et aveu- gles peuvent recevoir l'enseignement. ' La question ayant été reprise en 1904, une Comm
es heures réglementaires de l'école, que la durée de la scolarité ' hebdomadaire soit plus grande, que des études sur
de M. le Préfet et à la sanction de M. le Ministre de l'Intérieur. ' VARIA. 317 Veuillez agréer, Monsieur le Préside
es aliénés de Dron (Rhône), promu à la lre classe du cadre. M. le D' ' Dezmakte, directeur de l'asile des aliénés de Nau
ur- ni telle donnée dont elle fait ultérieurement un grand usage. ' » En 1903, dans la nouvelle maison de 1\I"'e Grane
kerque, à la recherche d'un docteur Mollenbecque, ancien médecin ' SUR UN CAS DE DÉLIRE A DEUX 329 9 de l'armée. E
t à ses réclusions intermittentes, a nui beaucoup à son com- merce. ' En résumé, aux interprétations se sont ajoutées
re sérieuse, et lui qui dit en arrivant " Je reviens de la chasse », ' aussitôt ses doutes disparaissent, le 330 CLINI
la pensée, par des obsessions impulsives, et par ces association s ' SUR UN CAS DE DÉLIRE A DEUX a33 psycho-sensorie
er, dormir, et surtout faire comme moi, ne pas répondre aux voix ». ' Dans le délire de Marie Forel, il n'y a pas pla
nnaît pas non plus l'écho Archives, 3° série, 1907, l. 11. 22 338 ' ' CLINIQUE MENTALE. de la pensée ni le langage
aît pas non plus l'écho Archives, 3° série, 1907, l. 11. 22 338 ' ' CLINIQUE MENTALE. de la pensée ni le langage de
nations). La misère a d'ailleurs agi différemment chez les deux de- ' z SUR UN CaS DE DÉLIRE A DEUX 339 lirantes ;
réflexe aboli, analgésie. Pendant 48 heures déglutition impossible. ' L'examen physique de notre malade réservait des
et ses propos nous révélèrent une curieuse variabilité du délire. ' 1. Le début des deux délires associés a été bie
ultanément les mêmes voix, mais seulement parfois les mêmes bruits. ' 3° La déformation des conceptions et des souven
, refus d'aliments. - Début il y a six ans : évolution progressive. ' Louise K., veuve D ? âgée de 34 ans, entre à l'
de se procurer, dit-elle, elle se demande s'il est réellement mort. ' Entrée à l'asile le 26 juillet 1907, à la suite
. Dans une des dernières places qu'elle occupe, chez une cocotte, ' UN cas DE DÉLIRE d'interprétation 355 rue V...-
me n'avait pas continué ces gestes avec une exagération, une mal- ' UN CAS DE DÉLIRE D'INTERPRÉTATION 357 veillance
une perversion du jugement qui est le fondement de la psychose ». ' (1) et (2). -SÉRIEUX et. CAPGRAS, Revue de Psychi
urs dendrites. Dans les cellules des cornes antérieures et dans les ' racines antérieures, les fibrilles sont complètem
r combler cette lacune que le professeur publie deux observations ' bibliographie. 387 montrant clairement que l'ap
ne classification bien établie, que les auteurs estiment prématurée, ' en l'état actuel de nos connaissances, on peut,
aniques cir- conscrites et dans les lésions organiques disséminées. ' Aux fonctions amnésiques, il faut rattacher les
s, les jugements de nos ancêtres, de notre race, de la collectivité ' / E. COUIONJOU. La Responsabilité, étude psycho-
s comment savoir si ce sont pas aussi des idées innées, déterminées ' ! Ces idées normales seraient déterminées par u
ury de ces épreuves ; vu l'arrêté ministériel du 6 novembre IJ07. ' fixant au lundi 3 février 1908, la date du concou
diants à suivre des confé- rences, excellent exercice pour réussir. ' Enfants anormaux : INSPECTION médicale DES Ecol
ux et 111. le 1)- AaADIE,IIrofesseur agrégé à la Faculté de médo- , ' FAITS DIVERS. 399 cine des hôpitaux, deux de se
, es apparu du côté gauche seulement ; il est absent du côté droit. ' .1 ai recommandé au maladp les bains salés et l
bactéries peut être respectée; quant aux toxines microbiennes mêmes, ' la stérilisation suffisante n'a pas toujours ra
as d'épileptiqucs ; ni bègues,ni sourds-muets ; ni strabiques ; pas ' : , de prostituées, pas de condamnés. (1) Dep
gelures aux pieds on la garde au lit, une grande partie de l'hiver. ' 1903. La déchéance s'accentue de jour en jour,
rit à la dose de 14 gr., aux polybromures, au bro- l ic. 3. 430 (, ' ) RLVUC CRITIQUE. mure de camphre, aux purgatifs
ystème, toujours sans modification du « noyau de la personnalité ». ' Deux formes connexes : la folie quérulante et l
moment à distance de l'échiquier tant de pièces autrefois casées ! ' Même schématisme, évidemment voulu pour la méla
habituelle par la démence sénile n'est pas un des traits les moins ' caractéristiques qui- distinguent cette forme des
rs faces, les éléments symptomatiques seraient hystériques parce qu ' « ils dépendent de représentations diverses dont
octrine bien présente à l'es- prit, par faute de mieux,si l'on veut, ' par nécessité administrative, est moindre aujou
ficatif aveu échappé à l'auteur poui la paranoia, « la maladie uni- ' verselle qui, il y a vingt ans à peine, fournissa
machines. n 1 -i pi M m r. 5 CI i » T-3 ». '160 ' asiles d'aliénés. Les malades ont en outre des
fâcheusement en retard. Ici l'auteur donne quelques renseigne- 454 ' REVU},. DE THÉRAPEUTIQUE. ments intéressants su
es par des femmes, car elles se com- prendraient mieux entre elles. ' R. de Musgrave Clay. II. Ponction lombaire et c
st l'alternance réglant au sein des organismes la distribution suc- ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 463 cessive des st
e de l'appareil sensoro-moteurdu langage; cei faines énumérations ' 461 1 SOCIÉTÉS SAVANTES. sues par coeur, rémini
un torticolis mental, car il est apparu la suite d'une périoslito ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 465 alvéolo-dentaire grave,
exactement 38,095. La proportion de 190 i était de 27 %, exactement ' ? riz1. Et encore suis-je au-dessous de la véri
lisme pour les deux sexes ne s'élève plus qu'à 20.512 %, en dimi- ' notion sur 1905 qui avait donné 24,719 %. Une a
que le rapport que nous analysons est signé de 31. le Dl ? lonestie[ ' ,I1lé ! lecin directeur et de 31.Vernet médecin-
largeur» du syndrome de -, par Klippel et Cha- brol, p. 384. C¡ ' ;1<ESTl ! OPATIlIES. Les -, par Dupré et Camu
rc, p. 97. Ictus. Les dans la démente précoce, par Pascal, p. 80. ' Idiotie. Le pronostic de) ? par Voisin, p. 92
en. Formes cliniques, pm'L. Lévi et 1 I. de Rothschild, p. 1 t 1. ' Névralgies sciatiques. Voir ? lections. Név
ongénitales, congénitale ou lésions diffuses du système ner- veux, ' par Dufour, p. 303. - spasmodique douloureuse à
Taty, 142. Terrien, 227. Thomas (A.), 166, 167. 465. Thivet, ' ? -11. Touchard, 465. Toulzac, 471. Trendel
94 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
DE 1, : MÉDECINE E 120, Boulevard Saint-Germain, Paris Vi- . 1905 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE A
antérieur. Sclérose marquée des faisceaux de Goll et do Burdach. ' Fig. 2. - VIe paire cervicale. Grosse dégénérat
jambe gauche a recouvré depuis quelque temps déjà un peu de force et ' de motilité. Le talon ne glisse plus sur le lit
issent pas, comme chez l'homme nor- mal, pour rétablir l'équilibre. ' (1) Fouché a rapporté un cas où le vermis fut t
elle emploie des mots qui n'ont aucun sens. Elle s'aperçoit qu'elle ' s'est trompée, modifie peu à peu le mot, trouve l
eure de la 2° Pariétale immédiatement en avant du pli courbe. B ' Coupe passant par la partie moyenne du pli co
sujet du rôle de la masse sacro- lombaire pendant la marche. Ainsi, ' non seulement le muscle en question n'élève pas
e la saillie formée par les cartilages costaux déjetés en avant et en ' dehors, et dans la dépression ainsi formée vien
Déformations, pp. 187-188. (2) 1,A.\E, A uery important /af<0) ' )tt the Cn.71UUIO/1 n/some of the curres irhich de
, ainsi que le relief des cartilages de la deuxième paire de côtes. ' La cuvette n'est que faiblement indiquée, et c'
rdre donné par Moïse : « Tu ne laisseras pas vivre la magicienne. » ' Quand l'homme est mu par des passions politique
ux qu'on a coutume de dé- signer sous le non d'ataxie cérébelleuse. ' Impossibilité de maintenir les membres dans une
au solitaire et les lésions dégénératives du noyau dorsal du vague. ' , E. Moelle. a) Cordons postérieurs. - Ils sont
ions les plus démyélinisées sont surtout les portions centrales des ' cordons postérieurs ; les régions cornu-commissur
. - U, circonvolutions du crochet. . - ..7 .. an ,1/, (;1e F{ht'JrO; ' c ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSE
transversales) plus rarement ronds, leur forme répondant à celle 01 ' Vr Fio. 2. AJI, avant-mur. Ci, capsule interne.
coupe de la tumeur (Obs. 111). 13. Dilatation du ventricule (Obs. 1\ ' a.. n ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA P
une suite de troubles dans les relations entre cerveau et cervelet. ' L'amaurose totale accompagnée d'hallucinations
du néoplasme la substance blanche a un aspect tout à fait nor- mal. ' Ecorce. - Elle est très altérée à proximité imm
prendre la marche irrégulière de la maladie. Mais il-nous reste : ' 1° Cette démence progressive, changement de car
circulation du sang, mais bien de celle de la lymphe (Obs. 1 et 3). ' 2° Ce courant parait ensuite prendre son chemin
pas intéressée, le réflexe massétérin se produit sans exagération. ' On voit tout de suite que cette hémiplégie est
aperçoit un centre caséeux entouré d'une zone vasculaire rougeâtre. ' L'étude histologique faite à l'aide de méthodes
postérieure, qui contient des faisceaux radiculaires plus nombreux. ' Dans une coupe inférieure on voit apparaître le
es. Heu. of. Neur. and Psych., mai 1903. 172 GRUNER ET BERTOLOTTI ' le faisceau longitudinal postérieur et aboutiss
pli- quer le mécanisme physiologique de ces mouvements conjugués^ ? ' un simple entrecroisement de fibres entre les n
l'anse de Heule. Les capillaires sont dilatés autour de ces tubes. ' Rate. La rate, dont la pulpe splénique est asse
ique, 1902, p. 347. (1) Carbone, Gazetta medica italiana. Torino, 1" ' mai 1902. (8) A. Fucus, Wiener klinisch. Woch.,
onséquence d'un vice primordial indépendant et unique, c'est ce qu'il ' est aujourd'hui impossible de dire (2). Si l'on
urées des plaques de sphacèle au niveau de la malléole in- terne. ' (1) Voyez une gravure sur bois dans H. V. GERSDOR
d Heillcunst in der deuts- chen Vergangenheit, 1900, p. 34 et 91. ' ' ' ? . } , ? .1 " . ( , , ' c " . c . - . i
Heillcunst in der deuts- chen Vergangenheit, 1900, p. 34 et 91. ' ' ' ? . } , ? .1 " . ( , , ' c " . c . - . i ,
illcunst in der deuts- chen Vergangenheit, 1900, p. 34 et 91. ' ' ' ? . } , ? .1 " . ( , , ' c " . c . - . i , '»
en Vergangenheit, 1900, p. 34 et 91. ' ' ' ? . } , ? .1 " . ( , , ' c " . c . - . i , '» ' ' . XVIII 16 SOCIÉTÉ
, p. 34 et 91. ' ' ' ? . } , ? .1 " . ( , , ' c " . c . - . i , ' » ' ' . XVIII 16 SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARI
. 34 et 91. ' ' ' ? . } , ? .1 " . ( , , ' c " . c . - . i , '» ' ' . XVIII 16 SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS
34 et 91. ' ' ' ? . } , ? .1 " . ( , , ' c " . c . - . i , '» ' ' . XVIII 16 SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS (
compara- ble, à beauconp d'égard, aux spasmes dits fonctionnels... ' « Tandis que la scoliose croisée est produite p
ises par les malades pour obtenir une atténuation delà douleur (4). ' > ' (i) Méd. moderne, 1892, p. 826. - (2)
les malades pour obtenir une atténuation delà douleur (4). ' > ' (i) Méd. moderne, 1892, p. 826. - (2) Deutsch .
. Anal. Haskowec, in Revue Neurol., 1902, p. 921. - ét 1903, p. 35. ' ' ' ' (4) Voy. Dejerine, Sémiologie du système
Anal. Haskowec, in Revue Neurol., 1902, p. 921. - ét 1903, p. 35. ' ' ' ' (4) Voy. Dejerine, Sémiologie du système ne
al. Haskowec, in Revue Neurol., 1902, p. 921. - ét 1903, p. 35. ' ' ' ' (4) Voy. Dejerine, Sémiologie du système nerv
. Haskowec, in Revue Neurol., 1902, p. 921. - ét 1903, p. 35. ' ' ' ' (4) Voy. Dejerine, Sémiologie du système nerveu
ptoméningite à la face antérieure, au niveau de la sixième dorsale. ' Poumons. - Noyaux de pneumonie caséeuse. Foie
nt en flexion, les réflexes patellaires impossibles .à constater. ' Le malade reste toujours turbulent ; au niveau de
droit. La pie-mère à gauche est simplement épaissie et opalescente. ' La moelle ne présente pas d'altérations visible
ants n'ont de lésions médullaires que dans les cordons postérieurs. ' OBS. V. P. G. apparue 6 ans après un tabès conf
entend un souffle diastolique. Constipation, incontinence d'urine. ' Au point de vue mental, M... parait en proie à
erminant de nombreuses ulcérations. Le cerveau pèse 1180 grammes. - ' Le volume des circonvolutions est normal. Le pl
ent. des altérations évidentes manifestées par la méthode de Nissl. ' Le Weigert montre l'intégrité absolue des cordo
amaurose tabétique. Nouv. Iconogr. de la Salpêtr., sept.-oct. 1904. ' xVm ' 15 218 VIGOUROUX ET I AIGNEL-LAVAST1NE
tabétique. Nouv. Iconogr. de la Salpêtr., sept.-oct. 1904. ' xVm ' 15 218 VIGOUROUX ET I AIGNEL-LAVAST1NE la lan
ciable, quoique beaucoup moins important que dans le cas précédent. ' Dans le 3e cas, où syndromes cliniques paralyti
voisinage des fibres nerveuses périphériques des cordons latéraux. ' Dans l'autre, au contraire, la prédominance de
appui à cette façon d'envisager les cas complexes de la cli- nique. ' Le névraxe, comme le foie, le rein, forme une u
ective sur le système nerveux : éthylisme, CO, tabagisme, th y- 2S6 ' VALOBRA roïdisme...) ou bien une maladie organi
ladie organique de l'axe cérébro-spinal ou des nerfs périphériques. ' A propos des intoxications, je désire attirer l
le de quelques semaines à quelques mois, soudainement il disparaît. ' Nous relatons ici une observation de Cassirer,
ues jours, quoiqu'il soit établi à la suite d'un oedème passager dont ' il conserve les caractères morphologiques, il n
irons ré- (1) Féré a observé aussi une urticaire épileptique. 264 ' VALOBRA pondre à une question très importante q
bservations de trophoedème sans lésion démontrable du système nerveux, ' nous avons une série d'observations dans lesque
onclusion de notre étude clinique des trois formes morbides en parole ' a été qu'elles présentent entre elles des liens
108. CAGLIO. Riforma Medica, 1900, p. 116, vol. 3. 109. LAUooM. Be) ' /tn. klirzisch. Wochens., 1880, 110 2. 284 VAMOR
. Collez Cité par CASSIRER (13). CRAMPE DES ÉCRIVAINS ET TORTICOLIS ' d'origine mentale, PAR G. BONNUS. , Ancie
ires,qui caractérisent essentiellement la maladie osseuse de Paget. ' Pour n'avoir pas à répéter, à propos de chacun
viscères nous montre surtout des altérations cardio-vascu- laires. ' 294 OETTINGER ET AGAoSE-LH ONT Le coeur est a
LABBÉ, Traité d'hématologie, 1904, p. 36. MALADIE OSSEUSE DE PAGET ' 301 28-29, LANNELON6UE, Bulletin médical, 23 fé
ures, et 2 petites molaires inférieures. Les oreilles son normales. ' L'aplasie des deux clavicules rend possible che
t para-acromial remplacé dans ce cas par une apophyse scapu- laire. ' (1) PIERRE MAIIIR et SAINT01, Bull. de la Soc.
on. E - Cas de Hirtz. DYSOSTOSE CLÉIDO-CHANIWNE HÉRÉDITAIRE 313 ' Il existe pourtant des cas forts intéressants de
antz), plus souvent du fragment interne 316 M. VILLARET ET FRANCO/. ' sur le fragment externe (Pinard et Varnier) (vo
. 40). Elle nous montre de plus la diminution des sinus de la face. ' * Il y a donc dans le squelette cràniofacial un
z 330 M. VILLARET ET FRANCOZ Il j 332 1-) nt. VILLARET ET FRANCOZ ' 334 M. VILLARET ET FRANCOZ 336 M. VILLARET ET
FRANCOZ 336 M. VILLARET ET FRANCOZ I 338 M. VILLARET "'1' FRANCOZ ' 340 M. V1LLARET ET FRANCOZ 342 M. V1LLAIiET E
e Geoffroy-Saint-Hilaire, toutefois, hésite à se prononcer. Tout en ' (1) E. GEOI'Fa07-SAIN'f-IIIL.11RE, Philosophie an
chez les monstres, le jalus et l'enfant, Paris, 1880. 348 RABAUD ' essayant de réfuter l'hydrocéphalie, qui tire p
vec laquelle la nuque ! ] renversée est venue se mettre en contact. ' Chez les individus se rapportant aux types clas
faire croire. Pour terminer ce qui a trait à la morphologie externe, ' il convient de men- tionner une disposition, pe
, une partie de l'écaille mem- braneuse se retrouve également. , '. ' Pseudencéphalie sans hémicrânie. Si l'écaille o
rd. Remarques critiques sur un monstre humain célosomiez et anencé- ' phale. XIII' Congrès de médecine. Paris, 1900 (se
autres. PATUOGÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 365 ' Les diverses parties de la face ne sont elles-mêm
hidien chez les Pseudencéphales, Anencéphales et Dérencéphales. - ' Il importe de remarquer tout d'abord que cette di
ac et du foie. Société philomathique de Paris, 1904. . 368 RABAUD ' ' anomalies sont indiscutablement indépendantes
et du foie. Société philomathique de Paris, 1904. . 368 RABAUD ' ' anomalies sont indiscutablement indépendantes d
t est du reste sans importance appréciable au point de vue général. ' Chez les individus dont le canal rachidien est
rois épaisses ; au-dessous de ce paquet, deux ou trois capillaires, ' disposés en file occupent l'épaisseur de la travé
e processus inflammatoire sous forme de proli- fération vasculaire. ' c) Processus intra-médullaire. Au sur et à mesu
ehors, masqués qu'ils sont par la moelle et la masse des vaisseaux. ' Plus haut, la moelle disparaît complètement, et
s de globules rouges ; il n'y a que peu ou pas de globules blancs. - ' Sur l'origine même de ces tumeurs nous ne pouvo
ce musculaire bien conservée, sauf dans l'acte de serrer les mains. ' Tremblement de la main quand on fait étendre le
er que celles-ci étaient atteintes de troubles mentaux graves. xv n ' 9 410 - BALLET ET ROSE ture intermittente du
périeures sont abaissées. Il existe d'ailleurs un certain degré 412 ' BALLET ET ROSE de torpeur cérébrale. Les mouvem
e lésion de l'axe cérébro-spinal, macroscopique ou microscopique. ' Giese a publié l'observation de deux malades, frè
it jusqu'au bulbe de la protubérance. 414 4 ? .. - * BALLET ET ROSE ' r M. Brissaud faisant récemment l'autopsie d'un
se en- plaque fa- miliale trouva également une sclérose combinée. ' Bâumlin, à l'examen d'une des deux soeurs, attein
t négatif de la ponction lombaire pratiquée à plusieurs reprises. - ' Quant à l'étiologie et à la pathogénie de l'aff
et le tremblement peut faire penser à une affection 'spasmodique. ' Le tableau clinique présenté par nos malades, tou
la Société de Neurologie, inclina en faveur de ce diagnostic. 418 ' BALLET ET ROSE Hodge.. Brit. med. Journ., 1897.
Dr Savill explique la lordose par le même mécanisme que Mme Sacara. ' Landouzy et Dejerine, après avoir constaté chez
e l'humérus avec fracture, chez un malade atteint de cette maladie. ' En outre, le même sujet (l'aîné), se fait remar
les membres, tandis qu'à l'hôpital il était complètement paralysé. ' Au mois d'octobre 1903, les deux frères sont en
du gros orteil, extenseur commun des orteils, contractions nulles. ' Muscles fessiers, 12 m. A., N.F.C. PFC, contrac
gouttière vertébrale, a 400 divisions, contractions faibles. JYVIH ' 29 442 NoicA Muscles de la masse sacro-lomhai
valescence, rougeole et coqueluche qui ont guéri sans complication. ' Depuis cette époque, bonne santé générale. A
ication. ' Depuis cette époque, bonne santé générale. A l'examen, ' ^on constate que la tête est inclinée fortement su
our corriger quelque chose d'anormal du côté du membre inférieur. , ' Il va sans dire qu'une coxalgie hystérique fixé
fille à notre consultation, six mois après le début des accidents. ' L'enfant arrive à l'hôpital portéesur les bras,
t prier M. Laf... de ne point venir. xviii 31 474 « 11ARGA1P1 ' Un autre Genevois, celui-ci guérissant par magie
te affection au rachitisme vrai, simple ou compliqué de crétinisme. ' En 1876 Parrot, dans une communication à la Soc
teur totale par suite du raccourcissement des membres inférieurs. * ' C'est donc uniquement à cette brièveté des memb
. ? - -- ? ? ? ? r : -x.V111 ? P¡;-J.lY- I MICROMÉLIES CONGÉNITALES ' f 1 1 ? .. . /n i r. .. )T'<'f ? .I , e -
isposées, sont séparées par une substance interstitielle hyaline plus ' abondante que normalement. c) ligne d'ossificat
ie, Apert ont bien montré les différences essentielles qui séparent ' ces deux types. Le myxoedémateux avec ses lèvres
nt une élection pour tel ou tel système ou tel ou tel viscère (1). / ' Le rachitisme, déterminé par une diminution de l'
ra- chitisme ou de myxoedème. - XVIII 35 530 PORAX ET DURANTE ' Une affection maternelle sclérosante ne se locali
ance à des trou- bles trophiques distincts des lésions précédentes. ' L'hérédité de l'achondroplasie, déjà signalée d
ci. Dans toute affection, deux points sont à étudier séparément : ' a) Les caractères histologiques, la nature de la
re, les lésions se localisent sur un système qui sera seul affecté. ' Cette localisation pourra varier suivant les me
nce d'une cause pathogène transmise, elle aussi, par les parents. ' Tel est, croyons-nous, le cas pour l'achondroplas
ongénitales. Achondroplasie et rachitisme (Ac. de méd., niai 1905). ' 534 PORAK ET DURANTE - Les micromélies congén
riques sur la croissance des diverses parties du corps Paris, 1903. ' Gnwasa. - (Arch. f. Gyn,, 1875). Gravvitz. Fo
abdomen et la cuisse droite on voit les cicatri- ces d'une brûlure. ' Au membre inférieur nous trouvons les dimension
a pratiqué une opération chi- rurgicale pour redresser les membres. ' Par d'autres points ce malade diffère par contr
inverse,c'est-à-dire qu'elle serait l'expression de l'hypofonction ' de certaines glandes comme l'hypophyse, la thyroï
r à l'étude de cette difformité. Gegenbaur songe que le soutien de \ ' Al'chiptel'ygiwn du membre inférieur est constitu
(66)], justifie cette opinion. , DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES MEMBRES ' 577 portance des altérations amniotiques. Dans
pha- ryngé normal. La parole est difficile, spasmodique, scandée. ' La diplopie, le nystagmus persistent invariable
cornu-commissurale et la commissure grise sont aussi très touchées. ' Au niveau de la moelle dorsale, les faisceaux p
peu de NOUVELLE Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE T. XVIII. Pl. LXI\ ' ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE d'o
AL, Un cas d'ane ? tcéphalie. Montpellier médical, 1904, no 41. 606 ' RABAUD mation. On conçoit, en effet, que les co
elle-même disparaît peu à peu, et la masse intra-crânienne qui 608 ' RABAUD la remplace n'occupe plus qu'un volume r
toutes sortes de raisons plus singulières les unes que les autres. ' La destruction de la voûte du crâne a une autre
aire (Les veaux à tête de chien, ou niatas) (Thèse de Lille, 1885). ' 614' RABAUD ' après lui, ont eu, à cet égard,
à tête de chien, ou niatas) (Thèse de Lille, 1885). ' 614' RABAUD ' après lui, ont eu, à cet égard, une vision nett
uré de Gueberschwihr. (3) Extrait des Bollandistes, loc. cit. NOL\ ' [I LE ICOXOGRAPHIE DE LA 'AI.PÊTRIÈRE T. XVIII.
cit. NOL\'[I LE ICOXOGRAPHIE DE LA 'AI.PÊTRIÈRE T. XVIII. Pl. LX\ ' SAINT PANTALÉON GUÉRISSANT LES MALADES Peintu
ormation aussi généralisée que celle que Poncet (1) considère comme ' (I) A. PocvcsT, Affections rattachées aux tumeurs
lques-unes sont constituées par du tissu osseux compact, la plu- OU\ ' [LI E Ic-O"OGl ! APHIE HF. 1 A SALPÊTl ! II'FF T
4) quatre cas d'exostoses cartilagineuses solitaires boursées (14). ' Après cette rapide revue, que je ne prétends pa
rgie, lui échappe. Depuis quelques années, il ne vit que d'aumônes. ' Il est un des hôtes les plus assidus et les plu
dit, aux thèses de Brun (2), Royer (3), Poirier (4), Pommeau (5). ' Il avait, cependant, affirmé précédemment, en com
iable avec les divers individus en (1) Nouvelle Iconographie, 1902. ' (2) Clin, de Bruxelles, 1893. 648 SIMONINI
beaucoup d'importance aux coïncidences, si frappantes soient-elles. ' . Lejars, de son côté, note, au contraire, que
ments de ce travail que son aide m'a permis de mener à bien. 652 ' MOCQUIN des chats, des gens qu'il a connus dans
longtemps en effet a paru péremptoire pour établir le siège des 666 ' CUAILLOUS ET PAGNIEZ lésions qui déterminent un
t donc pas plus ici qu'il n'in- tervient en d'autres circonstances. ' Ce rôle trophique pourrait être invoqué à plus
ém. Acad. des Se. de Toulouse, 1851, p. 141). (2) Op. cil.' 1 684 ' RABAUD au névraxe tout entier qui caractérisent
s, les autres pathologiques. (1) MAHLER, Ein Beitrag zu^ Théorie de, ' hémicéphalie (Arbeiten a. d. pathol. Instit. zu
pbalien thlipsencéphale. Société anatomique de Paris, 1902, p. 910. ' G. BRESCHET. - Article Anencéphalie du Dictionn
ne. Aux pieds du vieillard un cadavre est étendu en travers du sol. ' . Dim. : larg., 319 mill. ; 209 mill. Réalist
ets atteints de) (5 pl., 3 fig.), par VILLARET et FRAN- cEz, 304. ' Exostoses multiples (6 pl.), par LAUNOis et T
et exer- cice (KourrJnrr), XXX. Cyanose des rétines (Babinski et ; ' \1L ! .E Tour.ssco), XXVH. Déformation thoraci
COZ), XXXIX à XLTII. Epidémie de démonopathie de Morzine (MARGAI1\ ' ), LI. Exostoses multiples (LAu1\'o[s et Tnsaro-
LXVI à LXXI. Exostoses ostéogéniques de développe- ment (SIMON[1\ ' [), LXXII À,LXXIV. Extension des orteils dans l'
II. Myasthénie hypotonique mortelle (Dupré et P.W1'o'IEz), XXXVI. ' Myopathie primitive progressive (NOIe : ). L.
95 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
. Voici ce relevé qui a porté sur une moyenne de 50 enfants gâteux. ' vin Traitement MÉDICO-PÉDAGOGIQUE : résultats.
ls rendent quelques services manuels et le fu nt avec empressement. ' 8°, 9°, 10°, 4U°. Chez quatre autres enfants si
t, subi les épreuves avec succès (Delv ? Hesbér ? Léon.. Ra..) (2). ' Cette année encore, nos instituteurs et leurs a
, et 6 de ces derniers ont commencé à apprendre le pas de quatre. ' Musée scolaire. Ce musée continue à servir aux
- M. Carton, interne de l'asile d'aliénés de Clermont (Oise) ; - D' ' Chevastelon, de Paris ; - Dr de Dorrégo, de Bué
n interne de l'hôpital de la Charité de Montevideo, de Paris; - D' ' Isatel de Egaren, de Buénos-Ayres ; - Dr Fenald ;
. Kavada, correspondant du journal japonais « Ji2nin- » ; - M. le D' ' Kohayaski de llikone (Japon). - lui. Klein, ext
n médecine à Milan ; 12 ? Maroger et son fils, de Paris; - \I. le 1) ' et : \Imo Georges Martin, de Paris ; - r'11' de
NIelle Patoueille, institutrice à l'hospice de la Salpêtrière ; -D` ' Pineles, privat-docent, de Vienne ; - M. Paul P
sy, directeur adjoint à l'école des Hau- tes Etudes, de Paris ; - D` ' Rubrah, de Baltimore ; - D1' Rologis, de Paris
é de l'enseignement professionnel Bourneville, Bicêtre, 1901. ? L ' Enseignement professionnel. en 1901. Il importe
ue ou même a augmenté. Malheureusement les moyens nous font défaut. ' Nous envoyons le plus possible nos surveillants
issait là d'un accident récent, l'Administration a chargé M. le D' ' Sabouraud de faire une inspection parfaite- men
Enfants idiotes et gâteuses. - Elles étaient au nombre de 85 au 1" ' janvier 1901 et de 78 à la fin de. LXXX Fondati
re des enfants qui prennent part à ces promenades varie de 60 à 80. ' Distractions. - Comme les années précédentes,
ues, etc.). Avec les premiers nous apprenons aux enfants à compte ? ' , avec les deuxièmes nous leur enseignons les coul
cia- les ; - Ecole spéciale pour enfants arriérés à Amster- dam . ' , Le le'' août 1900, communication sur le même
Tié- rés, leur importance au point de vue médical et social, le D' ' Léopold Laquer, médecin neurologiste à Francfor
cin, a publié l'an dernier un rapport de 64 pages. Une préface du D' ' l11.1 ? PLIN, professeur de psychiatrie à IIeid
omités des écoles. 18chool Roard Ga;ctte, April 1900.) PAR le 1) ' SIIUTTf.Ii\'OItTI, GK. Le Dr dhuttleworth, part
e ces accusations, souvent violentes, c'est que les familles et les ' médecins hésitent à faire procéder en temps opp
paralysie, contracture, athétose, chorée, hémichorée, consécutives. ' Caractère : gai, triste, violent, accès de colè
de la mère au point de vue physique et au point de vue psychique ? ' ? S'il y a eu des aliénés dans la famille, plac
ement du diamètre antéro-postérieur. Tous les crânes humains sont, ' en général plus longs que larges, le diamètre a
au. Addition du son l mouillé après certaines consonnes : chiante) ' pour chanter. Diverses du n au l, des dentale
le bien détaché. Tronc bien conformé. Membres supérieurs et infé- ' Le père, comme nous l'avons dit, commettait de fr
à la naissance. - Première dent à six mois. Dentition complète ri ! ' Début de la parole à un an ; - de la marche à q
ent des règles s'est annoncé par une poussée du côté des seins 1. ' Le lecteur trouvera de nombreuses descriptions de
ue spéciale, travaille en classe et au jardin ; traitement moral. ' La gymnastique et l'hydrothérapie ont pour but, d
Deux enfants : 1° Notre malade. - 2° Garçon, mort à vingt mois : ' M. le D' Viel nous a écrit que Tar... (Louis) éta
de l'année Albertine, dont nous aurions voulu faire une infirmière ' , est pla- cée comme bonne chez Mac B., où elle
loir déclarer formellement qu'elle n'avait pas dit la vérité. 1 ' A ce sujet, il nous revient à la mémoire le cas d
nct de véracité, et de l'instinct de propriété (mensonges et vols). ' III. Il est à croire que s'il n'y a pas eu de m
e se plaît à le dire, puisque la visite faite par le D1' D..., le D' ' Chaslin et nous-même, a constaté l'intégrité de
ille de la commune où elle s'est parfaitement conduite jusqu'ici. ' Nous avons eu l'occasion de faire suivre les cour
ogie, octobre 1892). 46 SQUELETTE DES Hr311PLI`frIQUES. LE FÉMUR. ' 47 facile. La photographie le montre d'ailleurs
un évidement de cette face postéro-externe bien visible LE fémur. ' 49 d'ailleurs sur tous' les fémurs normaux. Inv
sculaire.; Sur unfémur normal lepiara poplilé est incliné en dedans, ' en raison de la saillie supérieure de sa partie
. 1 . Fia. 1. Fig. 2. Fig. 3. 52 SQUELETTE des hémiplégiques. ' prononcée ou absente. Lit encore va-l-on faire
fémurs d'un même individu ont supporté des pressions différentes.. ' Etant donné les conditions qui précèdent et le
partie supérieure. Est-ce la tête ? Est-ce le grand tro- chanter ? ' ? En se souvenant des considérations dans lesqu
s. De cette translation vers la partie médiane de l'os il résulte : ' 1° Que la lèvre externe devient le bord antérie
rpura tout à fait comparable comme aspect, siège et marche, à celui ' de sa fille, consécutivement à une violente col
us, égaux, du volume d'une petite olive ; verge : longueur, 4 cent. ' /2 ! grosseur, 4 cent. 1/2' Phimosis complet et tr
ainée des filles est mariée, elle a deux enfants très bien portants, ' pas de convulsions. Trois soeurs : L'aînée est
les, toutes mortes âgées; l'une serait morte en 18 ! )(i iL 99 ans. ' Trois frères : L'ainé, SO ans, a une fille de 4
visuelle normale : l'enfant distingue parfaitement les couleurs. ' Le ne : est droit, à lobule arrondi, les ailes du
s'est élevée à 39° et 39°, 5. Elle a dû rester à l'infirmerie du 1" ' au Gjuin. Durant tout le mois elle a été déprim
............. 29°'2 Folie DE l'adolescence. 127 158 * Autopsie. ' au crâne. La dure-mère n'était pas épaissie et
lution olfactive interne est deux lois moins large que l'externe. - ' Le corps calleux, le corps strié, la coucheopli
; prenait 130U\E'ILL, Bicêtre, 1901. 10 138 IDIOTIE mongolienne. ' mal le sein ; pas d'accès de cris. « A part son
ni traumatisme, ni sévices. - Respiration, digestion, régu- lières. ' ' Elle a été mise à l'école pendant trois semai
traumatisme, ni sévices. - Respiration, digestion, régu- lières. ' ' Elle a été mise à l'école pendant trois semaine
aux. (L'hémisphère gauche a été réservé pour l'exmen histologique). ' Cou. Le corps thyroïde (7 gr.) paraît sain; ses
l'iléon, montre une injection assez prononcée de la muqueuse - 14'2 ' Idiotie mongolienne . et quelques granulations
il a fait son service dans l'artillerie à Angoulême et a déserté ' « parce qu'il s'ennuyait au régiment ». Repris pa
orgés. Le crâne est brachycéphale, symétrique; les fontanelles sont ' soudées. Le visage est rond, les arcades sourci
nicipal pour les bibliothèques des deux hospices, mais s'y ajouter. ' Examinons maintenant comment l'Administration d
e la dentition chez les enfants idiots et arriérés. Thèse de Paris. ' 1888. TIIIIiAL. - Contribution à l'étude de l
de Little. Sa valeur nosolo- gique. Sa pathogénie. Thèse de Paris. ' TissiEn (P.). De l'influence de l'accouchement
grande ouverture de l'angle cervico-diaphy- sairc sur l'os malade ; ' 2°) L ne surface noircie non envahie par le sys
130L;11\E'ILLE, Bicetl'l', 1901. 1; 218 Explication DES planches. ' PLANCHE']\ : , j i 1° Ces os n'étant pas en p
, 1901. . PL. XI- 226 . EXPLICATION DES PLANCHES. Planche zizi. - ' ! Pour la même raison que sur la Planche XII, l
, lobe occipital. 232 .. EXPLICATION DES PLANCHES. PUNCHE XVI. 1. ' (Obs. de Bouch..., p. 151.) Face interne de l
96 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
revient. .. » E. B. Les rapports de l'hypnotisme avec l'hystérie ( ' ) Par le Dr Paul Magnin. Vice-président de la Soci
eau, plus ou moins développée suivant les sujets : la suggestibilité ( ' )• Dansun travail très intéressant sur la sugges
hypnotisables que les névrosés dont l'attention ne peut être fixée » ( ' ). Quant à nous, nous nous refusons absolument à
ur lequel nous avons été le premier à insister il y a longtemps déjà ( ' ). Et à ce point de vue, ne suffirait-il pas de ra
rminisme de l'expérience des effets sensitifs, moteurs ou psychiques ( ' ). Et c'est précisément dans cette possibilité d
s voisins, garde néanmoins vis-à-vis d'eux une indépendance relative ( ' ). Ils prouvent que lesystème nerveux cérébro-spin
'aggrave. Outre la fonction motrice, l'intcllectualité est touchée. M" ' Y. G. se trouve dans un état spécial d'obnubilati
i supprime les conséquences fâcheuses de grandes doses de narcotiques, ' : la lourdeur et les maux de tête. Dans les cas
s l'éveiller ; — 2° que la suggestion parvienne jusqu'à lui et s'ins- ' talle dans la pleine lumière de la conscience. Ce
Congrès de Munich, la statistique de ses guérisons comportait 42 cas ( ' ). Toutefois, Auguste Voisin avouait qu'il n'ava
suggestionnés. L'idée directrice, elle-nicme, est fondée sur un juge- ' ment juste : mais une fois l'habitude acquise, ce
chet-Socplet. COURS ET CONFÉRENCES TJn cas d'hystéro-traumatisme { ' ) Par m. le professeur Raymond L'homme que je
Deviendra-t-ellc une hystérique, une épileptique, une scrupuleuse ? ' Sur ces terrains-là, tout peut germer. Actuelleme
t soutenu les deux opinions opposées. Je cite notamment MM. Oelbceuf ( ' ) et LiébeaultC'). (I) De [.boeuf : Discours pro
e seulement de l'extase; 4" Oraison d'exmse ou d'é/èueme?i* et trans- ' * port d'esprit, dont la description est intéressa
it « finie,jemetrouvaistoute6a/j/needeJa?-mes,sanssavoirquandni corn- ' « ment elles ont commencé à couler... « En d'au
la voix. J'y arrivai sans la réveiller. Sa mère s'en étonna beaucoup, ' parce que, me dit-elle, elle avait le sommeil ass
l'être ainsi obsédé accomplit les mouvements nécessaires à la chiite ( ' ). Ce n'est pas un suicide à proprement parler ;
nte. Cette distinction est encore fort utile au point de vue pratique: ' il importe à la famille de savoir, soit au point
ique-Dans ces deux observations, comme dans celle que j'ai rapportée ( ' ),' il va lésion matérielle: de la sérosité s'est
e-Dans ces deux observations, comme dans celle que j'ai rapportée ('), ' il va lésion matérielle: de la sérosité s'est rép
orter les crises con-vulsives par la compression des fosses iliaques ( ' ). « Laignel-Lavastine. RECUEIL DE FAITS L'H
rait « dans un tel recueillement qu'elle paraissait comme immobile » ( ' ) Elle eut deux de ces rêves intensifs qui sont si
es continuelles la portèrent â se démettre de sa dignité d'abbesse » ( ' ). Enfin elle « fut éprouvée les quatre dernière
il lui vint un érésypèle qui rentra bientôt à cause de sa lièvre » (• ' ¦), et, le 3 juin, sur les sept heures du matin, e
que Ton pouvait souffrir et dans toutes les parties de son corps » (* ' ). émotivité. — Comme on a pu en juger par la ma
e cautérisateur affirme d'ailleurs qu'un nerf va de la jambe à l'oeil ' malade. Les Arabes sont peu sensibles à la doul
., elle se débat et tout se termine par une explosion de larmes. Vers ' ¿0 ans, tous les soirs à 9 heures, elle a des hall
r le D' Charles Binet-Sanglé Les religieuses de Port-Royal (suite) { ' ) (Troisième série de cinq observations) Observa
, elle tomba dans une maladie qui l'a conduite lentement à la mort » ( ' ). La relation de cause à effet entre l'hygiène dé
eurs fois pendant deux ou trois jours, mais avec moins de violence » ( ' ). Elle était dès lors « dans un tel état, que son
ours empiré et diminué peu à peu » (9). La fièvre redoublait « toutes ' les après-dinées avec un grand frisson » (,0).
17 ans) en état qu'elle... ne pouvoit plus descendre pour communier. ' » Ses nuits se passaient « à tousser sans dormir a
universelle de son corps... affaiblissoit la vigueur de son esprit » ( ' ). Elle ne pouvait plus « s'appliquer à Dieu par l
oit été sujette par son naturel pendant qu'elle étoit dans le monde» ( ' ). Lors de l'hémoptysie du 23 octobre IG59, « elle
d cri et en l'agitant avec violence, et l'enfant devint comme mort » ( ' ). Nous diagnostiquerions aujourd'hui épilepsie
évropathes, car l'évangile nous dit qu'ils étaient possédés du démon ( ' ). La paralysie est une des manifestations hysté
et le fils de la veuve de Nain. Au .\v::r- siècle, Schlciermachcr ( ' } admettait déjà qu'il s'agissait de simples létha
miraculeux, et soutient que ce prodige arrive à plusieurs endroits » ( ' ). La multiplication des pains et des poissons p
ment peut rendre dans le traitement des différentes formes de chorée ( ' ). Après avoir exposé les résultats de notre prati
éance, après l'exécution de mouvements passifs dans l'état d'hypnose ( ' ). Le but de cette. communication est surtout de
ut pas se suicider, mais il n'a pas non plus l'obsession de cet acte., ' Chez lui le suicide est dû à une impulsion subite
URS ET CONFÉRENCES Angoisse hystérique et angoisse psychasthénique ( ' ( Par M. le professeur Raymond Voici deux mala
EUTIQÏJE 16« Année — ? 7. Janvier 1901. Définition de l'hystérie ( ' ) Par M. le docteur J. BàBINSEI, médecin do la P
tation très imparfaite, qu'il est facile de distinguer de l'original ( ' ). Que l'on essaie par exemple de reproduire chez
les l'épithete de secondaires. L'atrophie musculaire dans l'hystérie ( ' ) est le type du genre: elle n'apparaît jamais pri
, c'est qu'ils sont étroitement subordonnés à des troubles primitifs ( ' ). Comme on vient de le voir, j'ai été conduit à
ération des réflexes tendineux ne peut être provoquée par l'hystérie ( ' ). Je dis qu'il est impossible d'exagérer par sugg
un néologisme, leur donner la dénomination de* troubles pithiatiques ( ' ), qui exprimerait au moins l'un de leurs caractèr
ible grosseur dont j'ai parlé, et de se trouver tout à fait guérie » ( ' ). En effet, le lendemain, les médecins « auroie
nt plus aucun trouble nerveux, aucun symptôme du côté de l'abdomen » ( ' ). La guérison était due à l'émotion de l'entrée
, 266. Immédiatement après sa guérison, elle fit vceu de se faire ' religieuse, et elle avait déjà pris l'habit, lors
ns une maison séculière où elle avoit vécu comme dans un monastère » ( ' ). Observation V. — Marie-Antoinette Le BLOND
d'en rien dire à personne et qu'il refuse les miracles à ses ennemis ( ' ). Ces restrictions prouvent qu'au contraire il ét
qu'après plusieurs séances semblables ils auront tout à fait disparu ( ' }. Je lui donne alors rendez-vous pour le surlende
ments gravidiques. Paroxysmes d'angoisses, ëpllepsie et hystérie ( ' ) par m. le Professeur Raymond i Notre premi
à partir du mercredi /5 janvier. Anatomie et Psychologie comparées. ' M. e. Caustier, agrégé, professeur de l'Univers
souffrances. L'hypnotisme et la suggestion chez les hystériques ( ' ) l'ar le D' Paul Magnin, professeur à l'Ecole d
harcot. (A suivre.) La vie de Jésus devant la science hypnotique ( ' ) par le Dr Félix Regnault, professeur à l'Ecole
d'Apollonius à un disciple et opposez-la à la résurrection du Christ ( ' ) : « Il était venu à Tyane un jeune homme, hard
ire de ce que je refusais de croire. Ecoutez donc, écoutez les chants ' divins qu'il me fait entendre : « L'âme est imm
Ce sont là des phrases de rhéteur philosophe qui se soucie avant tout ' du style. La foi profonde des évangélistes, leu
n des gnostiques : pour eux les miracles étaient de pures allégories ( ' ). Pour Origène, cette explication seule nous ré
ements, et autres traits sentant la jonglerie, sont bien historiques ( ' ). » Les explications que ne pouvaient concevoir
blessure (plante du pied), l'arme employée (l'épingle à chapeau de M" ' A.), MM* Z., qui a été volée, et l'objet dérobé (
s à l'ordre du jour. M. le secrétaire général prononce l'éloge du I) ' Tokarsky (de Moscou) qui fut un des présidents d'
e-« sissimaretundit devotisexvscelebratione sacris exlilteri$deducta*[ ' }. Nous trouvons dans les Manuscrits de l'Abbaye
u'à lui par ignorance. — Jules Bois. Le Mécanisme de la suggestion ( ' ) d'après les travaux de M. F. Myers {de Cambrid
énéré ou d'absence complètede certains sens comme le sens magnétique ( ' ). M. Myers propose pour plus de clarté trois di
agissant sur l'embryon par l'intermédiaire de l'organisme de la mère ( ' ). Il y a aussi des maux ou des marques dûs à la s
et von Krafft-Ebing et observé à Gratz (Styrie). en 1888. Le sujet M" ' lima S... avait des ampoules par suggestion avec
. (à suivre). L'hypnotisme et la suggestion chez les hystériques ( ' ) Par le Dp Paul Magnin, professeur à l'Ecole de
pratique de l'hypnotisme. Le Dr Manfroni hypnotisa plusieurs fois M" ' V... et, grâce à la suggestion, l'améliora beauco
plus ou moins inexplicables, et cependant la science ne les nie pas ( ' ) ». Le vrai rôle et le devoir du clinicien cons
hinomanic, dipsomanie, certains troubles trophiques de la peau, etc. ( ' ). 3. Beaucoup de guérisons attribuées à l'actio
n que dans tous les autres domaines. Le mécanisme de la suggestion ( ' ) d'après tes travaux de F. Myers {de Cambridge)
du de sa force parce qu'il n'est plus sous le contrôle de la volonté ( ' ) ? Il pourraity avoir des artifices spéciaux pour
individu. Ils ne sont qu'un chapitre dans l'ensemble de notre étude ( ' )• (1) La conscience subliminale. Avant de ter
ceptions subjectives, de divination accidentelle et isolée de pensée ( ' ), de pressentiment, de sensations diverses, les s
t jamais rien présenté d'anormal au point de vue cérébral ou nerveux. ' Enfin ce qui distingue essentiellement l'antévi
Amnésie rétro-an térograde et intoxication par l'oxyde de carbone ( ' ) Par M. le professeur Raymond Voici un malade
le Dr Farez des procédés des liseurs de pensée (liseurs de muscles) ( ' ). Ce n'est pas sans raison que la main du conduct
ÉfîAPEUTIQUE 1G« ANNEE — ? M. Mai 1902. La sociologie criminelle ( ' ) Par M. le professeur Nicbforo, de Lauzanne O
Tic d'épilation et fausse pelade. —Méfaits d'hypnotiseurs amateurs { ' ), par M. le professeur Raymond. La jeune fill
estions de philosophie morale et sociale, par J. P. Durand (de Gros), ' avec une introduction de D. Parodt, Félix Alcan,
roduction de D. Parodt, Félix Alcan, 190t. 11 y a exactement un an ( ' ), au sein môme de cette Société, nous déplorions
97 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
édecin de l'hôpital Tenon M. PIERRE-WEIL, Interne des Hôpitaux. ' Depuis que, dans ses deux mémoires bien connus, J
Phototypie f3erthaud, Par 15 A PROPOS D'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE ' 5 C'est il ya dix-huit mois environ que sont ap
rebord du maxillaire supérieur, qui a complètement perdu ses dents. ' * Pas de modification de l'os hyoïde. La colonn
de sabre » comme on le dit trop souvent. 12 KLIPPEL ET PIERRE-WEIL ' seur Fournier, lorsqu'à l'occasion d'un même su
itable sclérose des cordons postérieurs). Mais il est difficile d'af- ' , firmer que ces lésions sont cause des altérat
névrite ne seraient-elles pas dues à l'athérome des vasa-vasorum ? ' ? Les troubles artériels d'origine artério-sclé
ection. Nouv. leonogr. de la Salpêtrière, 1905, mars-avril, p.,29+. ' A PROPOS d'un cas d'ostéite DÉPOSANTE 21 opaq
DE PAGET, SYPHILIS OSSEUSE, OSTÉl\L\.L.\.CIE, RACHITISME). PAR R ' G. LEGROS et A. LERI. Un certain nombre de mala
du musée Dupuytren ni dans celle de l'hôpital St-Louis.Aussi nos 26 ' LEGROS ET LERI L'ostéomalacie offre sur les os
e est bien le point le plus intéressant de l'observation ci-dessus. ' Lorsque cette malade entra à l'hôpital, complèt
ucune conclusion en ce qui concerne les indications thérapeutiques. ' GOITRE ET SCOLIOSE DE L'ADOLESCENCE CONTRIBUT
ypertrophie thyroïdienne est bien fré- quente dans le gigantisme ? ` ' / Celle môme hypertrophie semble se rencontrer
'oeil est normal, le champ visuel aussi, le réflexe cornéal existe. ' Examen des autres sens spécifiques. A gauche l'
avec 2 m. Amp. à droite et 2,5 m. Amp. à gauche (Ka CHC = An CHC). ' Le faisceau postérieur du deltoïde est très peu
cas peut être placé dans un des différents tableaux des myopathies. ' Dans le type scapulo-huméral par exemple,on peu
discuté qu'incertain qui s'attache à l'inner- vation de XIe paire. ' Dans notre cas il faut étudier avant tout le mo
t l'exception. Ce terme n'est donc pas encore parfaitement heureux. ' Le mot de dyslcinésies professionnelles a élé p
nous adopterons le terme de névroses coordi- natrices d'occupation. ' Quant au terme d'ataxie fonctionnelle que Kouin
fer synergiquement un acte fonctionnel oit professionnel cout1l1nie) ' ; 2° Le fait qu'ils ne se produisent qu'à l'occ
194), (Meyer) (236) ; myosite (Haupt) (71), Norstrôm (103), Ilugon. ' * Parmi les premiers adversaires de l'origine p
prépondérante; c'est alors qu'on devra invoquer l'origine centrale. ' Ce mot d'origine centrale doit-il sous-entendre
affirmer la nalure anatomique ou purement psychique de l'affection. ' La distinction de deux groupes de crampes profe
une " d, 12 T matité cardiaque de 12 T, mallte par laqne e 10 V ' La tension artérielle était de 10 à gauche. On
ait alors des douleurs et des convulsions dans l'épaule et le bras. ' Le caractère électif, professionnel, de la cram
'une cure hydro- thérapique à Néris, ce spasme a en partie disparu. ' On peut, dans un certain nombre d'observations,
imagés offrent moins d'intérêt. C'est par l'ensemble de sa com- 100 ' HENRY MEIGE position que l'auteur a cherché à p
l il a analysé une trentaine d'oeuvres d'art relatives aux aliénés. ' On y trouve des figurations allégoriques comme
tc, dont l'existence autonome est aujourd'hui unanimement reconnue. ' J'ai tenté, pour ma part, il y a déjà une quinz
era- peutiscne, Verwendung-Deutsche med. Woch., 1904, p. 9, no 3. ; ' xxii 8 110 ALQUIER ET FAURIi-BEAULIEU Toute
ocent chargé du cours des maladies nerveuses et mentales à la Faculté ' de Médecine de Jassy (Roumanie). Aujourd'hui
pour la musculature des yeux et dans le domaine du facial supérieur. ' Les différentes sensibilités sont conservées du
paralysie du nerf de celle de la mimique proprement dite, un homme ' pouvant contracter ses muscles faciaux sans pou
émité pose sur les surfaces unguéales des deux doigts plus proches. ' La mobilité est parfaitement normale ; la démar
ment* Le tronc de notre nain présente, en outre, d'autres xxii 10 ' ) 42 ETTORE LEVI légères déformations qui ont dé
syphilis, de la tuberculose, de l'im- paludisme, de l'alcool, etc. ' ' Chez notre nain, aucune de ces causes ne semb
yphilis, de la tuberculose, de l'im- paludisme, de l'alcool, etc. ' ' Chez notre nain, aucune de ces causes ne semble
vrai qu'il ne pense bien que pour autant que l'organe soit normal. ' Quand on aborde l'étude des opérations intellec
mplicité primitive doit se re- trouver sous la complexité actuelle. ' Cette substance vivante, cette cellule qui n'ap
e, mais il faut que toujours l'impulsion première vienne du dehors. ' " Dans un travail intitulé : Contribution à l'é
es, mécaniques qui résument tous les modes d'excitation connus (1). ' Sans parcourir tons les échelons du perfectionn
p. jour son maître à la promenade et le précédait toujours à la 168 ' ' LEFÈVHE - porte d'une maison amie où celui-ci
jour son maître à la promenade et le précédait toujours à la 168 ' ' LEFÈVHE - porte d'une maison amie où celui-ci a
cience et même dans les états d'émotion extrême on perd conscience. ' L'enfant vient au' monde dans un état d'inconsc
une bonne machine avec ou sans conscience, écrivait déjà Maudsley. ' Pour les motifs qui précèdent et pour ceux qui
spensable que ces différences soient per- çues pour être opérantes. ' Ainsi que je le disais tantôt, le somnambulisme
,il il devient logique, même à priori,de suppo- ser dans le cerveau, ' pour l'exercice des facultés intellectuelles, un
'arguments et de faits dont je me bornerai à faire l'énuméra- tion. ' . ESSAI SUR LA PHYSIOLOGIE DE L'ESPRIT 181 L'
és dans les cas de traumatisme péri- phérique de plexus nerveux ? : ' Il est beaucoup plus logique d'admettre que les
embres, complètement étrangers à l'articulation normale des mots. » ' 192 MACÉ DE LÉPINAY Bégaiement et crampes fon
cation, soit professionnelle, soit exogène,- plus ou moins latente. ' ' En première ligne vient l'alcoolisme, que Ber
tion, soit professionnelle, soit exogène,- plus ou moins latente. ' ' En première ligne vient l'alcoolisme, que Berge
pes professionnelles, on le retrouverait dans un bon nombre de cas. ' Un malade du Dr de Ranse, atteint de crampe des
, Fic. 9. - Ecriture dans la chorée rythmée. 210 U MACÉ DE LÉPINAY ' graineux,il a toujours été émotif ; voulant pas
de l'émotion, une immobilisation passagère avec rigidité du membre. ' Cette dysgraphie se sépare nettement de la cram
onnelles, mals non dans les névroses coordinatrices d'occupa- tion. ' - Crampe des photographes. Elle a été décrite
sont venus à terme et déclare n'avoir jamais eu de fausses couches. ' Le premier enfant serait mort 15 jours après la
t Bei-tolotti). Photographie du malade en 1893 et aujourd'hui (1909) ' SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 255
e des mentons des vieillards édentés, avec un prognathisme évident. ' Ces faits joints aux nombreuses rides du visage
rentes parties du corps du malade ont donné les chiffres suivants : ' Tête : 258 PESCAROLO ET BERTOLOTT1 altérati
résultant d'une brûlure ancienne, il s'est produit une ulcération. ' Mars. La plaie du pied droit est cicatrisée.
PSYCHALGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE, PRÉTENDUE COTE CERVICALE e PAR ' - Le Professeur A. STCHERBAK (de Varsovie). O
6, p. 779. (11) Loc. cit. (12) Neurol. Centrnlb., 1905, p. 879. ' (13) New-York met, journ., 1907, 6 octobre, Jakre
e de Brissaud. Nous allons passer en revue ces différents procédés. ' 292 MACÉ DE LÉPINAY A. - Traitement physique,
exercices peuvent être variés à l'infini ; voici les plus usuels : ' a) On fixe au bout d'une ficelle de 40 à 50 cen
37-365. 5. BASEDOw. - V. JI1elkerkramPf, Casper's Wochens., 1851. ' ÉTUDES SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 321 6.
ilad. med. Temis, fé- vrier 1877. In New-York med. Record., 1879. ' 1. BELMONDO. - Sopra una forma prevalentemenle
rivains de nature épileptique. C. r. Soc. biol. Paris, 1891, p. 13. ' Contribution à l'élude des spasmes fonctionnels
OFESSIONNELLES 323 75. Hzascu. - Spinalneurosen, lS43, p. 430. > ' 76. HOFFMANN. D. Z. f. Nerv., 1897, IX, p. 269.
hôp., 1890, p. 291. 129. SEIFFER. Berl. klin. Woch., 1897, no 51. ' 130. SIIEARER. Diseases of considération in the
Se, janvier 1876. 131. SHEURICH. Der Schreibekrampf. Breslau, 1871. ' 132. SIEBOLD. In med. Verein Zeit. f. Preussen,
egli scritlori. Gaz. med. ital. Lomb., 1857, et Ann. Univers, 1864. ' Autres crampes professionnelles. 165. BAIIR.
.'iNgl. - A case of hammer cramp. Tr. acad. M. Ireland Dubl., 1883, ' p. 187. 187. MADEp. dlelkramp/, Ber. d. k. k. K
inations neurosen bei Kuntlern. Allg. Ztg. Wien. méd., 1876, n° 16. ' , 208. Wright. Reader' s cramp. An anaiogy. Nu
the prévention and cure ol writer's cramp. Med. reg. Phila., 1889. ' , 213. 1101lCIIAlIDT, Der Schreibkrampf, und di
E. Observations de tremblements oscillatoires de la main droite guéri ' ou palliés avec ou sans le secours d'une machin
n. Salpêtr. et IX.' Congr. méd. int. Paris octobre 1904-1905, n" 2. ' 229. LALLETL1T. La crampe des écrivains et son
écrivains par la méthode de Isole. Progr. méd., Paris. 1882, p. 37. ' 255. de VATEVILLE, - The cure of writer's cramp
tiformes toujours strictement localisées au membre supérieur droit. ' Myosis et troubles casomoteurs de la face par c
fibreuse, Revue de mé- decine. Paris, 1903. p. 717-728 et 867-8'77. ' 338 BOINLT dicale de l'Hôtel-Dieu le 17 mars
eut être sortie volontairement de la bouche ; elle ne se durcit pas ' TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES 343 sous l'infl
tendon d'Achille ; le redresse- ment du pied droit est impossible. ' Tous les muscles paraissent atrophiés. Le signe
, d'apparence sarcomateuse, tassées autour de capillaires sanguins. ' Les vaisseaux sont nombreux, de petit volume, a
; le 12 septembre était expulsé un foetus en état de macé- ration. ' Depuis son séjour à la Maternité, Marie Ey....
rs branches : enfin sur les muscles des membres inférieurs (Pl. L). ' La moelle et les ganglions rachidiens furent fi
OLOYT70rF, Nouv Iconogr. Salpêtr,, 1898. 4,\ ? - .356. DUSTIN ? ? ' ,«. "" En résumé les ganglions rachidiens tant l
facilement leurs appareils terminaux. LA POLYNÉVRITE GRAVIDIQUE ? ' Or l'image que nous avons sous les yeux dans notr
ophie et de la dégénérescence de l'ancienne arhorisation terminale. ' Les lésions musculaires sont identiques à celle
s lésions atteignant les (1) GOIdBAULT, Arch. neurolog., 1880-1881. ' (2) STRANSKY, Journ. f. Psych., I. LA POLYNÉV
fs mixtes échappent-elles à la destruction, au cours des névrites ? ' ! Pourquoi l'agent pathogène se localise-t-il s
ertains de la maladie en 1905 (sur une po- 376 PETREN ET E11RENBERG ' pulation de 150.000 habitants). Tous ces cas on
t la question du diagnostic dif- férentiel entre ces deux maladies. ' Puis j'étudierai (P.), dans un autre chapitrera
exception au type normal de la poliomyé- lite aiguë (Gowers) (1 ). ' Dans les grandes épidémies de poliomyélite aigu
J. J..., fille, 9 ans et demi, du département (laen) de Kronoberg. ' ' Elle est tombée malade le 9 mai 1905 avec mal
. J..., fille, 9 ans et demi, du département (laen) de Kronoberg. ' ' Elle est tombée malade le 9 mai 1905 avec mal d
s on peut sentir une certaine con- traction des deux grands droits. ' ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 391
nette ! Pas de troubles dans la motilité de la vessie ou du rectum. ' . Elat le 22 septembre. - Pour les membres infé
âgé de 4 ans, d'Ultuna, entre à la clinique le 12 novembre 1907. ' Le 9 novembre il a été malade et s'est plaint d'u
cles du dos est plus dévelop- pée que celle des muscles abdominaux. ' Nous n'avons jamais observé de déformation nett
u cours de notre examen nous la voyons disparaître puis reparaître. ' Les réactions pupillaires sont toujours normale
heures du soir, la malade est prise brusquement d'une crise d'oppres- ' sion. L'un de nous, appelé auprès d'elle, la tr
rte sur l'ensemble de la glande dans laquelle n'existe aucun kyste. ' Les surrénales ont leur aspect et leur poids no
ues dans son type le plus parfait. L'état général est satisfaisant. ' L'appétit est normal, n'a rien d'exagéré ; il n
est intacte dans tous ses modes. Les divers réflexes sont normaux. ' Il n'y a d'autre trouble sensoriel qu'une légèr
en, pharmacie du service, n'a montré ni albuminurie, ni glycosurie. ' 446 THIBIERGE ET GASTINEL UN CAS DU GIGANTISM
teur PIETRO Grocco). CONTRIBUTION A LA CONNAISSANCE DU GIGANTISME ' AVEC UNE ÉTUDE COMPLÈTE DE L'ÉCHANGE MATÉRIEL
leur utilisation critique ne peut être complètement satisfaisante. ' ' ' D'ailleurs les problèmes fondamentaux sur l
eur utilisation critique ne peut être complètement satisfaisante. ' ' ' D'ailleurs les problèmes fondamentaux sur l'é
r utilisation critique ne peut être complètement satisfaisante. ' ' ' D'ailleurs les problèmes fondamentaux sur l'éti
oique nous lui offrions pour cela une assez large somme d'argent. , ' , Examen objectif. - Elat général. Mario Palazz
tout cela, et il reconnaît spontanément être tout à fait ignorant. ' Ses connaissances scolaires sont en effet le pl
ne manifeste puéri- lité des goûts, des habitudes, des conceptions. ' Examen somatique. -- Crâne, - Le crâne est allo
dante aux joues et au cou lui donne l'aspect dit : pro- consulaire. ' La physionomie est triste, apathique,solennelle
ment à l'accommodation ; elle ne réagit pas du tout t à la lumière. ' Dans la partie supérieure droite du foramen pup
tie supérieure droite du foramen pupillaire droit,on voit une fira- ' Grid qui est le reste de la membrane pupillaire d
complètement chez les normaux dans le 7e mois de vie intra-utérine. ' A la périphérie de la pupille on remarque en ou
centrale. ` . La mobilité oculaire est normale dans tous les sens. ' Il n'y a pas de parésies ni de nystagmus. Ore
lutition et mastication normales. Rien du côté des VU* et Ve nerfs. ' La parole est correcte ; le timbre de la voix e
e tremblement statique ni dynamique; pas d'ataxie, pas d'asynergie. ' Tous les mouvements sont possibles. Les muscles
(méthode de Flora) : négative. Examen électrique : résultat normal. ' Séro-réaction de Wassermann (déviation du compl
TISME 471 De même Francliini et Giglioli ont récemment publié dans ) ' /r;o; ! o ? a- phie de la Salpêtrière l'observat
e cette connexion qu'a une époque relativement tardive de la vie (1) ' Jlomow, loc. cil. z) Ki.tppEL et TI1l11AU1l,\Y,
radiculaire donnés par Rocher (tig. 3 et 4). C'est l'obliquité des ' *OU KLIPPEL ET PIERRE-AVRIL Fic.. 1 F)o.2 2
ui de la spondylose rhizomélique. II rappelle aussi que le type 494 ' ROUDNEW Strumpett-Marie était connu depuis long
e amélioration dans son état, il l'interrompait pour 2 ou 3 mois. ' Quatre ans après l'accident, il a ressenti des do
Pourquoi considérer ces maladies comme des formes neuropathiques ? ' ? Est-ce que la mollesse des os indique nécessa
i concerne la syphilis osseuse je me réserve d'en parler plus tard. ' Récemment Mocquot et Moutier (Nouvelle Iconogra
20 et 36 ans. Sur les 15 cas observés à la clinique, 8 ont plus de ' )4 ans ; en conséquence, pour ces cas la mortalité
s pouvons conclure que la ponction lombaire 562 PETREN ET EHRENBERG ' . est une méthode de traitement qui doit être e
t Thomas (4), on peut diviser les atrophies céré- belleuses en : / ' (1) Atrophie olivo et rtebro-cérébelleuse, par
s nécessaires, il reste en arrière. Il présente de la titu- bation. ' L'asynergie cérébelleuse ne peut pas être const
, eutêté, il répond et exécute ce qu'on lui demande de mauvais gré. ' Les organes génitaux sont arrêtés dans leur dév
un grand nombre de petits follicule dont quelques-uns sans cavité. ' DEUX CAS D'HYDROCÉPHALIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALIS
t d'un trouble plus ou moins spécial dans la nutrition des muscles, ' Observation IL A. D..., âgée de 16 ans, entre
onservée. La malade réagit promptement à la piqûre et à la chaleur. ' La sensibilité spéciale est très difficilement
aux externes sont normaux. Elle est menstruée tous les 3 ou 4 mois. ' Depuis 5 mois, la malade a commencé à maigrir,
4) a exposé tout récemment à la (1) 111ADFLU ? li,4'erletzun7ezz de) ' Hypophysis, XXXIII'' Congrès de La : Société alle
aux troubles secondaires des autres glandes à sécrétion interne. ' Nous conclurons de nos deux cas, ainsi que des fa
98. . H1RSCII. - Journ. of. nerv. and. mental disease, mai 1899. , ' v'P.11 ! &ES WEBER, - Med. New., 24 juin 4899
adies. A certains égards il y a analogie ; par exemple dans les 672 ' PETRIN ET EHRENBERG deux maladies ce sont en gé
où la maladie a atteint les noyaux du bulbe ou de la protubérance. ' Tous les auteurs sont d'accord sur ce point que
n Fait von akuter Poliomyelitis beim Erwachsenen untel dem Bilde de; ' aussleigenden Paralyse, Inaug. -Diss., Bonn, 1898
w of Neurol. and Psych., vol. V, p. 539, 1907. 46. Kernig (W ? Ce6e; ' die Beugekonlralztur im Kniegelenk bei Meningitis
agir d'une malformation congénitale, et, qui plus est, fami- liale. ' Les radiographies (PI. LXXII) montrent des humé
temps de réfléchir; ce sont les vibrations lumineuses éma- nant du ' ( coup » qui actionnent l'acte de défense. C'est u
11., 5tu. Dupuytren 'Maladie de -) (t pl.), par ROUD- kew, 267. ' Dystropltiantes [Elude radiographiqub com- pa
IlIr-,11, 27, Tatoués, leur psychologie (3 pl ), par Boigey, 589. ' Tropha : dème acquis chez une femme ovario- t
- lonne -) (2 pl.), par ROASENDA, 509. TABLE DES AUTEURS ALESS\¡ ' ;DR1XI, Les atrophies musculaires tardives consé
LAPOI : VTE et Merle (Pierre). Les altérations osseuses au cours de ' la myopathie (3 pl.), 229. " Ruiadier et Marc
98 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
la Photographie dans les services hospitaliers date de l'année 1878 ( ' ). C'est grâce à l'initiative de M. le (') Il es
iers date de l'année 1878 ('). C'est grâce à l'initiative de M. le ( ' ) Il est juste de faire savoir que MM. Bourneville
ction fidèle de l'original avec toutes ses valeurs et ses nuances. ( ' ) Dans la pratique on se sert aussi fréquemment du
ans certains cas. Plan du Service photographique de la Salpêtrière ( ' ). A. Atelier vitré. B. Laboratoire noir. C.
un usage très pratique pour L'essai des verres rouges de laboratoire ( ' ). (') On trouve des verres rouges essayés au sp
e très pratique pour L'essai des verres rouges de laboratoire ('). ( ' ) On trouve des verres rouges essayés au spectrosc
, nous paraît très pratique : c'est un diaphragme iris robuste qui ( ' ) Le meuble à développer a été construit sur nos i
ombinaisons de lentilles symétriques. Cet objectif ne donne aucune ( ' ) Donnadieu, Traité de Photographie stéréoscopique
s autres. A ce propos, il faut non seulement examiner l'épaisseur, ( ' ) L'objectif hémisphérique appartient à la classe
lier qui est robuste et néanmoins facilement maniable. Il est muni ( ' ) Excepté dans l'encoche n° 3 qui est réservée pou
plaque à essayer et celle que nous employons d'habitude. Il s'agit ( ' ) A. Londe, La Photographie instantanée. Paris, Ga
ette catégorie dont nous nous servons portent la marque As de trèfle ( ' ). Elles sont d'une excellente préparation mais un
ter les accidents dus à la curiosité ou l'indiscrétion d'un tiers. ( ' ) Nous nous servons aussi avec succès des plaques
12 i5 » » A\ ( 15-31 B 4 4 4 4,8 5,6 6 6,8 7,210 i£ 20 » » B . .A ' j C 6 6 6 7,2 8 9 10 11 i5 21 3o » » C 1-15 ; '
i£ 20 » » B . .A ' j C 6 6 6 7,2 8 9 10 11 i5 21 3o » » C 1-15 ; ' D 10 10 10 i3 14 i5 17 18 25 35 » » » d j IA 1,
8 9,612 18 23 » ,, » » » » C l0_dl ) ii_ ±_ ll_ l6_ 24_ 3o_ 38__» » ' » » » DJ L /A 1,4 1,5 1,6 1,8 3 4 7 12 3o » » »
0 12 18 23 » » » » C i 1-10 ; _lD 11 i3 i3 i5 17 20 3o 38 » » » » » D ' !A 2,5 2,5 3 4 10 r5 3o » » » » » » A \ B 6 6,4
0 35 » » » » » » » » D.) f 1 / A 1,8 1,8 2 3,5 6 12 i5 3o « » » » » A ' ] ( ( |t 99 I B 5,6 5,6 6 6,8 12 i5 3o » » » » » »
^ ^ ^ ^ B) j IA 3 3,5 4 6 10 3o » » » » » » » A \ 1 ( 15-31 I B ^ ' ^ 6,8 7,6 12 16 3o » » » » » » » B I , ] C 10 10
e Chapitre I, en parlant de l'organisation de l'atelier : nous n'y ( ' ) A. Londe, Traité pratique de développement. Pari
Ouvrage ne nous permettant pas d'insister davantage sur ce sujet. ( ' ) Londe, Traité pratique du développement. Paris,
des cas dans lesquels on aura besoin d'un long tirage de chambre. ( ' ) Notre excellent ami M. le colonel Duhousset a bi
de. C'est ce que montrent très bien les dessins 2 et 3 de la Jîg. 27 ( ' ). Cette manière d'opérer peut conduire évidemmen
). Cette manière d'opérer peut conduire évidemment à des résultats ( ' ) M. Martin a bien voulu exécuter ces croquis d'ap
quel du reste nous empruntons un grand nombre de ses belles planches ( ' ). L'attaque d'hystérie peut se diviser en quatr
médecin pour saisir les phases multiples de ces diverses périodes. ( ' ) Paul Riciier, Études cliniques sur la grande hys
hénomènes, qui peuvent nous intéresser au point Fig. 41. {fig- 41) ' Pll*s survient la deuxième phase avec immobilité
la au beau travail qu'a publié notre ami le Dr Gilles de la Tourette ( ' ). Il faudra opérer dans de belles conditions de
nous reparlerons plus tard; l'objectif supérieur sert à Fig. 56. ( ' ) Nous devons ce dessin à l'obligeance de notre am
e qui n'eût pas été certainement possible avec le matériel ordinaire ( ' ) (fig- 07). Nous venons d'examiner l'hypothèse,
ts. La reproduction photographique du larynx présente de grandes ( ' ) Zeit. d. Ges. d. Aerzte zu Wien, 12 octobre 1860
otographie ce que lui faisait voir le miroir. A la même époque Mandl ( ' ) avait fait construire un appareil pour photograp
he. Lennox Brown eut la bonne fortune d'avoir pour collaborateur ( ' ) Voice, Song. and speeck. Londres. (2) New-York
les épreuves que Lennox Brown a publiées pour illustrer son Ouvrage ( ' ) sont en effet déjà très nettes et très propices
era nécessaire d'employer des diaphragmes quelquefois assez petits ( ' ) Il est bien entendu que, dans les cas où il sera
mière. Aussi nous préférons toujours travailler avec l'objectif seul ( ' ). Nous avons, en effet, grâce au tirage de notre
ouve des plaques sensibles au vert et au jaune, au jaune et au rouge ( ' ). L'addition de la matière est faite dans l'émul
façon à ne pas apporter de perturbation dans la marche des rayons ( ' ) Ces plaques spéciales sont préparées par la mais
odifications ; mais, à notre avis, il vaut mieux employer un appa- ( ' ) Il est bien entendu que l'on ne peut opérer ains
n passant successivement les coupes dans les solutions suivantes : ( ' ) M. Paul Blocq,dont la compétence en Histologie e
fortes lampes à pétrole. Ils seront suffisants dans bien des cas. ( ' ) Consulter à ee sujet la Pratique des projections
x. Nous n'entrerons pas dans le détail des appareils à projections ( ' ). Dans un service bien organisé on emploie des ap
produire est plus petit que la plaque de projections. C'est ce qui ( ' ) Nous nous servons également avec succès des nouv
t: Nous plaçons sur notre cliché épongé une cache en papier mince, ( ' ) Société des Conférences d'Épernay, 8 mars 1890.
oration est fonction uniquement de l'épaisseur de l'image au charbon. ' enlever le grain du verre dépoli. Le vernis sui
99 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
e a des craintes morbides, des phobies. Nouvelle Iconographie de la ' ;ALPITRIiRE. 1'. XXIV Pl. I GIGANTISME, INFANTIL
t que alors, il se plaignait de douleurs dans les genoux. La vérité, ' c'est qu'il se fatigue très vite, et qu'il ne peu
disparu si le sujet présente des déformations acro- mégaliques (1). ' ) Si la première proposition est absolument vrai
). Radiographie de la main du géant José Lopès. Masson & CI ! ' } Éditeurs. GIGANTISME, INFANTILISME ET ACROMÉGA
ues produisent des troubles analogues, rien d'étonnant, à priori, : ' ) ce que à côté de l'infantilisme d'origine thyroï
us avancé des parents au moment de la conception de ces en- fants ? ' ! En tout cas,et quoi qu'il en soit de ces anté
extrémités des doigts sont froids et de coloration rouge violacée. ' Les phalangettes sont hypertrophiées, mais cett
détermine leur contraction. Le réflexe plantaire ne se produit pas. ' La percussion des différentes branches du facia
leur niveau d'ilôts cellulaires comme on le voit habituel- lement. ' On ne trouvait nulle part de trace d'inflammati
iroid in asimilarea si desasinztlarea calcelui. Homania médical», n" ' 11 et 12,1904. 60. SiLTESTRi et Tosatti. - Gaze
Skophzeztllmzn in Russland. Deutsch von l-,vatiofl*, Giesen, l8j6. ' 103. E. Pittabd. La castration chez l'homme el
<f sur un ras d'oot<'omalac,e. Arch. de physiol., 1874; HOULE) ' , De l'OStiOM. chez l'homme et chez les animaux. T
de la région carpienne, de façon que les mains sont séparées de 74 ' QUADRONE E : Pavant-bras respectif par un profo
OIJLOT, La syndactylie congénitale. Paris, 1906, p. 11. xxiv 6 82 ' COSTANTINI doigt auriculaire de plus à chaque m
normal. Il s'agit donc d'un cas d'hexadactylie bilatérale des mains, ' sur un sujet qui, du côté héréditaire, n'a rien
s hôpitaux et des cliniques, et Fort éga- lement une seule fois sur ' ! 1..000 nouveau-nés. Spoto n'en a vu qu'un cas
t trouver quelques différences, portant sur des points accessoires. ' « Il semble, par exemple, que la désorientation
nes de polynévrite. (1) Observation recueillie dans le service du 1) ' Ségalas, 10G DEVAUX ET LOGRE OnERVAT10N IV.
thèse générale, on conçoit que la fabulation peut, en s'ajoutant : ' ) l'amnésie de fixation, donner naissance au syn
ductrices des images internes. L'activité créatrice de l'esprit, si ' elle continue à s'exercer, ne se manifeste plus s
de hi suggestion étrangère. Souvent aussi la AMNÉSIE ET FABULATION ' 1 1 1 fabulation se poursuit sans emprunter au
appartiennent au Il vit parmi ses contemporains, d'une vie en 112 ' DEVAUX ET LOGRÉ quelque sorte ectopique, anachr
. Bruxelles, 1910. ESQUISSE ICONOGRAPHIQUE SUR QUELQUES NAINS PAR ' P. E. LAUNOIS Médecin de l'hôpital Lariboisiè
à l'exemple de Garnier (1), être classés en deux grandes variétés. ' - Les uns. remarquables tout autant par leur ex
l'attention. Nous n'en voulons pour preuve que la planche XII,qui, ' )18 LAUNOIS datant de 1787, représente Kelam Whi
ertll.IIIII, P.Ir1<; HOPITAL ? : : >'1'.1 RO-E/(A TElIlNhYS/(} ' DE MOSCOU ('EHI ¡CE DES 11L : 1UII : S 1\1 : 1
premières, grande comme une noix, se trouve située sur les 7° et 8* ' côtes droites et sur la ligne axillaire, ayant
le cerveau paraît peu comprimé, sauf dans les régions occipitales. ' Il s'agit donc probablement d'altérations osseu
es tumeurs observées jusqu'ici à Bel-Air n'avait eu pareille durée. ' On peut mettre en parallèle avec le manque d'hé
démontré la nature de la tu- meur, fixé le pronostic et suspendu 1 ' ¡ ntervention, - L'al iéniste qui, plus tard, eu
\T, Principes de thérapeutique l'IIism111ée et pratique, t909, p. 2;1\ ' 1G4 CHARON ET COTIR1301Z surmenage et peut, s
lettre-préface. Montaiglon repousse (1) Le Triumphe ... (Epilogue). ' (2) Recueil de poésies françaises des xv* et xv
esino a beau avoir été catalogué par Duverdier (éd.Rig. de Juv., t.\ ' , p. 39) pour avoir composé en vers ce triomphe,
8. Signé : de MO'IJRLOT (Chevauchée de l'Asne). 176 - - M. TRÉNEL ' * des Chevauchées de zone ; il y est dit claire
en temps chault, ou de froidure Jamais l'on ny est pris sans verd. ' Dans le dernier vers n'y aurait-il pas un mauva
'étuve, où l'on dressoit une espèce de pavillon, nommé communément \ ' Archet. C'était là qu'on plaçait le malade nud, o
e Paré. 180 t) J'RÉNH. toutes choses ont été inventées en temps ' ) (Pantagruel liv. II, ch. XV). Le cccypittcine
euh veoir) acouftré pauurcméfr Garde toy bien d'en eftre fy es rage, ' .. : Sy .ial11ais ne veux' foûffrir tourment; ?
qui ofte l'entendement " Venus l'infede, & les redutd a elle, " ' omunement font de noftre fequellr l " . - Sub
rs de Jean Lemaire (2) : Mais en la fin, quand le venin feust meur, ' Il leur naissait de gros boutons, sans fleur,
. Boucnez. Imp. J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne). SUClll : ' DE l1'EUltOLOGIE DE PARIS (Séance du 6 avril 19
les distinguer chronologiquement, en un mot paraissant du même âge. ' J'ai eu l'occasion d'en observer deux cas dont
ntracture est très marquée dans les deux membres inférieurs. : \ : \1\ ' . 13 194 SOUQUES La sensibilité n'est pas abo
e et le membre supérieur, du côté droit, auraient seuls été agités. ' - Le malade est dans le même état de demi-somme
es claires et albumineuse ? . Pas de bruit de galop. Pas d'oedèmes. ' Deux ponctions lombaires, pratiquées le 11 et l
difficile. Sur une coupe, la substance corticale est très réduite. ' Le cerveau ne présente aucune lésion appréciabl
diminué de volume, sur un plan situé à 2 centimètres en arrière, en ' même temps que se montre un nouveau foyer, situé
nze dernières années, nous avons trouvé quelques faits d'oblitération ' de l'aqueduc de Sylvius par tumeur ou par ménin
der nllgP11leinen Neurosen, 1887, p. 524. 202 ALQUIEll ET IiLARFELO ' tion de l'orifice supérieur de l'aqueduc de Syl
si la com- pression de la veine de Galien joue un rôle important. ' L'auteur explique même la mort subite dans ces ca
. Nervenheilk., t. 28, p. 306. ÉCOLE SUPÉRIEURE DE MÉDECINE UEJllLI\ ' DIHBC1EUB-PnOl'. L. Devoto. SUR UN ASPECT PAR
malade se brûle fréquemment et profondé- ment sans s'en apercevoir. ' Cette thermo-anesthésie occupe les deux membres
notamment aux névrites (Glossy-Skin, de Weir-Michlell et Pagel). ' Ballet et Outil (4) ont signalé dans le tabes une
R. (A voix très basse) Pas trop. D. Votre coeur est-il à sa place ' ? R. - Non. D. En avez-vous encore un ? ? R
pas me donner la main, Monsieur G. ? » Le malade sourit et répond : ' Un de ces jours. » On lui dit de mettre sa casq
RÉCOGE 223 3 « Ce qu'il faut songer c'est le baptême ou son prénom. ' « Bien des choses tua mère et à mon beau frère
caractère particulier de se présenter chez des dégénérés délirants. ' Comme l'a fait remarquer M. Rose ( I), plusieur
présentent qu'une différence d'un demi-centimètre environ dans leur ' 23 i FOURMAUD circonférence, en faveur du droit
ers. Coloration à la fuchsine (méthode Zimmermann). (Gross. : 200.) ' LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE {Nicolas Eldaroff)
sme et sans hérédité pallio- logique spéciale (Brissaud et Grenet). ' 5. Sporzdylosis rlaezzznaticachronica. Rhumat
909, n° 6. L'anatomie pathologique de la spondy- lose rhizomélique. ' LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 255 troubles chron
chyme surplombés par des septa relative- ment minces. .' le 1 t\ ' " ` SUR LA GLANDE PINÉALE CHEZ L'HOMME 11< 26
que relation entre la sécrétion des noyaux et l'augmentation du tissu ' conjonctif, mais nous n'en avons trouvé aucune.
an der Wieneruniversilât ; herausgegeben von II. Obersteiner, 1909. ' ANCLaDE et Ducos. Rapport médical pour l'année
anuleuse ; 2° par une substance baso- phile (basicltromaline de Zeu) ' ) ; 3° par deux petits corpuscules polaires am-
t même dans ce cas on trouve tou- jours l'hypertrophie du nucléole. ' La disparition du noyau s'observe dans les cell
diens des chevaux atteints de dourine chronique. Enfin les cellules : ' [ vacuoles ont été maintes fois trouvées dans les
fuchsinophiles beaucoup plus petites que les sphérules nucléoaires. ' Fie. g. - Exemple d'entraînement mécanique du n
capsule fibreuse du ganglion ; (n, n, n" nodules poliomyéliques (n" ' ) un nodule beaucoup plus volumineux- que les autr
en flexion à droite, à gauche l'on n'obtient pas de réponse nette. ' Sensibilité. - Aucun trouble de la sensibilité
ve de la moitié gauche du voile et du pharynx. Examen électrique (D' ' Legros). - La contractilité au courant faradique
as de lymphocytose. Deux lymphocytes environ par champ d'immersioa. ' Albumine sensiblement normale. Glycose en qua
en pareil cas la lésion est ordinairement plus ou moins bilatérale. ' Au reste notre malade ne présente aucun signe d
supérieure du gros orteil et sur la partie inférieure de la jambe. ' Il s'était le matin même présenté à la Consulta
roportion au profit des membres inférieurs appa- rait encore mieux. ' Les diverses mensurations du membre inférieur d
1 : CTISO-POT.I'-\IrlCRO-SY\ D1CTYL r E (G. Fumarola.) 1Asso : ' \ r.T Cte, Éditeurs, NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SA
ère atrophie congénitalede l'avant-bras (micromélie congé- nitale). ' . c) Au thorax : légère atrophie congénitale de
ns. NOUVELLE Iconographie DE la SALP1 : TRIL`RC. T. XXI\'. PI. LI\ ' Malade en 1890 Malade en 191 1 PARAPLÉGIE S
les talons rapprochés, car son corps oscille dans différents sens. ' Les oscillations sont encore plus évidentes, si
ade présentait t seulement les phénomènes ataxiques précédents. . ' Observation. G. G..., âgé de 52 ans, cordonnier
veut la maintenir il une hauteur fixe, une fois soulevée en l'air. ' Nous pouvons comparer celle jamhe avec un levie
urs se rendre bien compte de ce qui se passe chez l'homme normal. ' xxiv 23 35 i NOICA Nous observons, quand l'ho
contre, si, le membre étant soulevé, nous lui disons de le laisser ' appuyer sur notre main libre, alors la contractur
es qui ne devaient plus le quitter pendant tout le reste de sa vie. ' Parmi les phénomènes qui se produisirent après
u, dans le département de l'Isère. Antécédents / ! e<ëa ! 6t ! ' ? 'M. Ses parents sont morts âgés ; ils étaient d
rovoqué par des bougies, et la césarienne ne fut jamais pra- xxiv « ' 24 370 REBATTU tiquée. Nous n'avons d'ailleur
n'est pas un argument contre la conception héréditaire, en faveur · ' UN nouveau cas d'achondroplasie 375 de laquelle
TIRER QUELQUE ÉCLAIRCISSEMENT SUR SON ORIGINE ÉTIOLO- GIQUE ? PAR ' J. EUZIÈRE et J. DELMAS Professeur agrégé Che
de thérapeu- tique de Brouardel et Gilbert. 388 EUZIÈRE ET DELMAS ' condamnés » (Dutil) (1). Voilà donc une maladie
orps thyroïde semble petit (i). Pas de der- mographisme prononcé. ' En co qui concerne l'état psychique, on note que
aire, car la radiographie montre l'état normal des os de la main. ' Dans le second cas on voit un doigt surnuméraire
nde observation. Remarquer le doigt surnuméraire de la main droite. ' PI. LXIII. Main droite. On observe très bien le
arres nasales plus lentes ; il ne s'en forma que deux successives. - ' Pendant l'hiver 1907-1908, cette atténuation de
érations plus ou moins nom. breuses, au type de l'espèce primitive. ' . xxiv V 26 406 CORDIER ET REBATTU Toutefoi
ueux (diminué, exa- géré ou vicié) des glandes à sécrétion interne. ' Si, au contraire, l'infantilisme régressif a vé
Température : 36°2. Augmentation du volume des pieds et des mains. ' Polyurie avec urines normales. Champ visuel nor
l. LXVI). (avec détails complémentaires inédits). Homme de 26 ans, ' matelot. A fait un premier séjour à l'hôpital de
ec légression .sexuelle à l'état prépubè1'e.ln- fanlilisme réovr.ei/ ' de l'iiduVe. Dy iliyroïiie et d ! Js01'ch¡úie Soc
par nuit sans apaiser sa soif. Peu à peu ce symptôme disparut. l ' Il remarqua vers la même date une frigidité qui n
ois). Le thymus est atrophié, ne présentant pas de reviviscence. -. ' INSUFFISANCE PLURIGLANDULAIRE INTERNR 457 L'e
cineuse, monoacineuse enveloppant les vésicules thyroïdiennes une : ' ) une dans ses mailles fibreuses; elle esl plus je
de 158 centimètres. Les mensurations de la tête ont donné : '468 ' H. S. STANNUS ET S. A. K. WILSON - V. Mana, fem
foyer primitivement lésé. Les altérations osseuses, manifestes 470 ' HALIPRÉ ET JEANNE quatre mois après l'accident,
re et réagissent à la distance (signe d'Argyll- Roberston positif). ' Le membre supérieur droit ne se ressent plus de
oin sur ce dernier phénomène. Le malade nous explique XXIV 31 486 ' noicA pourquoi il serre si fort l'objet : « pou
grande des mêmes muscles. LE MÉCANISME DE L'ATAXIE TABÉTIQUE 495 ' En fermant la parenthèse, nous avons remarqué q
), par JOX1>LSCO, 273. Gigantisme, infantilisme et acromégalie ' (4 pl.), par Lemos, 1. Glande pinéale chez l'ho
Amnésie et fabulation. Elude du syndrome par Devaux et Logre, 90. ' Raynaud (Maladie de - à localisations na- sal
u cérébral, altérations dues il la pré- sence de l/w¡r1/J'S' (2 par ' \'1 ueh, 150. Triumphe de tres haiille et puissa
Jtydrocéphalée ventriculaire) (2 1)1.), par .\ ! .QUJl;11 Cl ! \¡ ' \I\FlLD, 199. Tumeurs cérébrales altérations des
33. Mikulski. Démence précoce. Acromégalie atypique (1 pl.), 324. ' Minea, Marinesco et 1'.Iltlloi. Ostéomalacie
100 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
BROUARDEL (P.), CAMUS (P.), CARRIER (G.), CAUDRON, CESTAN, CH4RDI1\ ' CHARON, CHARPENTIER, CHRISTIAN, COLOLIAN, COULO
un homme, abé de 37 ans, employé de commerce, qui me déclara 20 ' THÉRAPEUTIQUE. être atteint depuis la années d'
riéré par défaut de développement de la glande thyroïde, par les D1" ' GAU- TIER rt Kummer. (Pev. méd. de la Suisse Ro
sus désignés constitue un acte d'exer- cice illégal de la médecine. ' ' L. Wahl. VI). La crampe professionnelle et so
s désignés constitue un acte d'exer- cice illégal de la médecine. ' ' L. Wahl. VI). La crampe professionnelle et son
à la thérapeutique ; par ni. 1L1N ? (Qbozrénié psichiatrii \'1l1).. ' Invention d'un appareil spécial avec ligure à l
F. TISSOT. '1. - Formes atypiques de la paralysie générale (hémi- ' plégique et aphasique). Prédominances régionales
es mêmes agents pathogènes produisent d'aulres symptômes. » (IiCitl( ' ,Ieill·0107gue, avril 1905). E. H. 44 REVUE DE
e P. e. marche assez spéciale lente au début très rapide il la fin. ' L'insolation dans les pays chauds semble causer
à droite. Chose surprenante : pas de céphalée pen- dant les deux an, ' ¡p 1'("lolulion de la tumeur. SOCIÉTÉS SAVANTE
primitif ou le résultat d'une inhibition due à la dou- leur morale ' ? Les tests ont déterminé sa direction ; mais ell
e, l'angoisse. L'anxiété est-elle secondaire à des idées délirantes ' ? Bien souvent,au contraire, la douleur est antér
ro. Le numéro d'août aura six feuilles. Le rédacteur-gérant : 13oun; ' ¡EVILLE. Clermout (Oise). Imprimerie Daix lrères
OMIE PATHOLOGIQUE Hémiagénésie cérébelleuse ; agénésie partielle du ' corps calleux et du lobe limbique ; anomalies
. Elle rappelle le grand sillon anormal de l'hémisphère droit (Il ? ' ? fig. 9), mais elle est plus profonde et beauc
étonner que les autenrs n'aient pas insisté jusqu'ici sur l'excentl ' ¡cite pitpit- iaire, c'est-à-dire la situation a
Faure viennent de ce qu'il a ensemencé à une époque où la technique ' était mal réglée; il s'est servi de tubes et, a
désintégration et d'atrophie des cellules et des fibres nerveuses. ' 2° Les petites lésions en FOYER DU cerveau séni
oÛt. - Présidence de M. Grasset. La responsabilité des hystériques. ' M. LFROY(de Ville-Evrard), rapporteur. - Lorsqu
nnais- sance officielle de la responsabilité limitée. M. Grasset. ' Conclure comme l'a fait M. Leroy, au rejet t ab
niques, à des hystériques, à des épileptiques, des choréiques, etc. ' Chacune de ces maladies s'inscrit au moyen du s
pes, déshydratées, ont été colorées par l'héma- toxyline, le carmin, ' la safranine et la thionine en solution aqueuse
ntribution à la pathogénie des psychoses aiguës) ; par DI<AGOTTI, ' [n Rivista di neurologie, tapies, 1905, fascicu
. (In Rivista di Freniatria, 1 ! 1OL roI. XXX, fascicule ? Il,111.1 ' Pendant la période qui précède les règles, et p
11EST.\. (In Rivista di- Freniatria, 1904. Vol. XXX, fasc. II-111.) ' lu Les éléments qui constituent le tube médulla
pou- les ; par (aai.o-5cm. lin RiDista 'p 'tirl1< ! l1tale di 1· ' ^axiatrira e medicina légale délie alienapone me
aron, âgée de vingt-sept ans, dont le mari est ouvrier 15S VARIA. ' brasseur à Ville-sur-Illun, s'est noyée dans la
générale en Espagne In-8° de 21 pages, de Serra frères a Barcelone. ' Le rédacteur-gérant : HOUMEVILLE. Clermont (O
rcher, ni rester debout, de plus il a eu de l'incontinence d'urine. ' Le 20 novembre on l'emmène dans notre service a
aux dont la longueur varie suivant qu'il baisse. ou relève la tête. ' Vers Limoges, montent des paysans avec un bouch
t à haute voix : « Il a tait sa mai. » .le suis convaincu que 181 ' CLINIQUE MENTALE. ma mère est morte et. que mon
ralysie gé- nérale ? Est-ce un syndrome ou une maladie spécifique ? ' ! Toute la question est là, et.si la paralysie
: Les réflexes sont augmentés passagèrement après l'attaque (L. ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 227 Ilirtl. Après l'att
ns des phénomènes aigus de la cachexie slrumiprive. J. Séglas. \ \ ' I I . - Les propriétés toxiques de l'aspergillus
hode de Ceni ; par GIOYANNI TIEUGO, (In Rivista speri- mentale di ], ' ¡'e¡¡iatria, \'ol. III. fasc. II. 111.) Les inje
cès avaient eu un grand retentissement dans toute la région. J. S¡ ' : GLAS, IV. - Apoplexie tardive traumatique, so
ans la mesure de leurs moyens, au paie- ment du prix de la pension. ' De son côté, l'Etat, qui s'impose pour ces enfa
ration tombe-t-il immédiatement dans le premier quart d'heure, poil, ' descendre ensuite. Le tiers normal du jour avec
er plutôt à la fatigue corporelle. Dans le groupe Il, l'épreuve B. \ ' prend une position exceptionnelle, tandis que l
par le brome : LA TUBERCULOSE DANS LES ASILES D'ALIENES. 28' ? ' 60 Dès que le travail est rendu difficile par d
sous de 10 ? ; huit fois elle atteignait et dépassait 25%. · Le D' ' Oswald (1) a fait porter son enquête sur la po-
de la léthalité tuberculeuse n'est que de 0,3'.) ? il est, dit le D' ' Wûlff, dont les recherches ont porlé sur les as
étude statistique a été faite pour l'asile de Hil- desheim parle D' ' Snell (2) qui, sur 1240 décès survenus de 180ri
maDORr.- Pathologie nml )hft'apiect'))sychi<chen Kran- klieitcn. ' 300 PATHOLOGIE INTERNE. gel (1) qui, sur314
tra dans la moitié des cas environ des lésions tuberculeuses ; Le D' ' Pandy Calman a repris la ques- tion dans son de
des aliénés atteints de tuber- culose (2). Toutefois, en IS96, le D' ' Georges Allen (3) affirmait que, pour les asile
veuse est absolument identique comme forme à l'anestbétie suggérée. ' Le but du troisième chapitre est de montrer que
s à domicile, en voiture ; on les garde à midi à l'école et on les \ ' nourrit. Le rez-de-chaussée forme foute l'école
chaussée, devrait prévaloir partout est à signaler. Notons encore ' que les enfants sont conduits en voilure de lenr
ouen en 1890. Voici le pas- sage du procès-verbal de la 4° séance : ' « M. Sollikr demande {'annexion de la neurologi
soirée. (Petite Gironde, 2 octobre 1905.) FAITS DIVERS .\sn.FS ' \LJ : NES. Mouvements d'août et de septembre 1906
(Aude) est nommé directeur de l'asile d'Armentières (Nord). M. le)) ' Dumaz, est nommé médecin en chef de l'asile de Ba
s il réclamait des commissions, était déclaré irresponsable parle 1) ' Dubuisson. Routier ayant continué ses escroquerie
. Le len- demain, il était trouvé pendu dans l'étable, et .\1. le 1) ' Dulin, appelé d'urgence, ne put que constater l
erebro-spinal mening. Med. News, N. Y., 1905. v. 86, p. si 77-G ¡8. ' Humer, Wm. et Nuthall, A. W. The 1),trtartolo.-
ningitis epid. and spora. Med. Record, 190;i, v. 6 î, p. 5ti 1-568. ' Stewart, P. Cerebro-spinal mening. ; late devel
occique de l'enfance. Rev. mens. des mal. de l'enf., Par., 1904, v. ' ,1-2, p. 20-30. Bertini, E. Due casi di mening.
». 342 CLINIQUE MENTALE. D. Depuis quand ? - R. Je ne sais pas. ' D. Depuis quand parlez-vous ? R. Hier après-mid
ute et demie ; au bout de quatre minutes, il ne retrouve plus rien. ' 3 mai. Il ne peut suivre la prière dite en comm
placé tout à l'heure devant lui, il demande si ce n'est à personne. ' 18 mai. Les souvenirs reparaissent peu à peu, e
de mémoire, je ne saurai plus travailler, on me mettra à la porte) ' La nuit il ne dort pas. Il n'existe chez lui au
s ; mais c'est un sujet à l'étude que nous ne pouvons que signaler. ' Sérodiagnostic d'Arloing et Courmont. En France
901. « Les ravages exercés par le fléau ne sont, pour l'on- 372 ' PATHOLOGIE INTERNE. semble des établissements,
teignent graduellement leur maximum 24 heures après l'in,jec- tion. ' 2° Les phénomènes de réaction toxique spécifiqu
art des cellules étaient déjà fortement altérées, notamment dans 1'( ' , - corce de la calcarine et dans le subiculum d
üerten Nystagmus ; par hRVIN STRANSKY, devienne. (Xeurol. Ctrbl. XX\ ' , f.l, p. 15à 18). Le « nystagmus associé » été
ons et de celles décrites par Seharrer. (Neurol, Ctrbl., XXIV, fas, ' ,) et 10, 1905) dans l'idiotie amaurotique de Ta
. ? ) ; par E. niunzEa et 0. 11SCHER, de Prague. (Neurol. CtrLl. 1\\ ' , fas, 6, 1. 2G0, 2Jig" 16 mars 1906.) LVII. K
ts du quartier la bonne nouvelle ; il allait être riche,quelle joie ' ? ' Hier, pendant le déjeuner, il tracassa son
u quartier la bonne nouvelle ; il allait être riche,quelle joie ' ? ' Hier, pendant le déjeuner, il tracassa son épou
(Type mongolien) TrtAITI : \I7 : T TH1 R011111 : N Par nOU"1"XE\ ' [LLE el Maurice ROYKIÎ. Au Congrès de Rennes (19
de la publication d'une observat'on de mongolisme (1). Aujourd'hui ( ' ) nous avons encore signalé quelques différences
rapports anato- ntiqucsdelag)ande. 6 CLINIQUL MENTAL ! 1.. ' Tableau du poids et de la taille pendant le secon
nt ce semestre, l'enfant a encore gagné un cenli- mètre. 11111, ' ¡ CLINIQUE MENTALE. de septembre. On suspend alo
eindre, le 28 septembre, 40 2. Imbécillité prononcée congénitale. ' 1115 'VI. Pour la sixième fois on reprend le tr
x jours de la tem- pérature à grandes oscillations, entre 38° et 40 ' , la malade FIL;. 30.- Main de Colt. , en 1903,
rice) ; par \'nc.nv PI.AVEC, de Prague. (Veurol. Cearral6l, vol. XX\ ' , l'as. 3, p. 111 à 1 Il,) ; fas. 4, p. lù4 à 17
le mulisme des hystériques peuvent se résumer par celle formule : ' Dans l'aphasie hystérique, le sujet ne peut pas p
conclusion que l'interven- tion s'impose dans presque tous les cas. ' L'intervention doit comporter les temps suivant
le évolution progressive : d'une part, réduire au minimum les in- ' toxications et auto-intoxications par un régime s
re hypnotisé. Parmi les manifestations objectives de l'intimidation, ' il faut placer au premier rang l'apparition de
dame (de Genève) avait cependant montré que le vaste programme du D' ' Frank était présentement irréalisable pour la C
t le nombre ? S'il ne contient pas de reclus, quel en est le moti f ' ? 2° A-t-il été annexé au dépôt de mendicité un
sile annexe ont-ils leurs bud- gets et comptes communs ou distincts ' ! 3° Un quartier d'hospice, d'asile de vieillar
ou d'incurables remplit-il en fait l'office de dépôt de mendicité ? ' ? Si oui, en vertu de quel acte cette situation
r l'internement de ses reclus ? Quel est le nombre de ces' derniers ' ? Je vous serai obligé de joindre à votre rappo
-Le Directeur de l'Assistance el de l'hygiène publiques, n11R11tAN. ' ECOLE DE PSYCHOLOGIE 49, rue Saint-André-des-
. Voir Sang. Aphasie. Voir Hystérique. Aphonie. Voir Hystérieque. ' Apoplexie tardive traumatique son importance
Lannois et Perre- tière, p. 219. -- générale, voir VeM)'o ? &) ' : 7/M. nerveuses, voir Fracture. Un cas de gé
ni- tion expérimentale, par Riva, p. 386. H. 1111 \1\ 1"[<\1[ ' , Quelques manife;- talions cérébrales du chro -
to, 229. Toulouse, 132. Tn : 'n10hères, 22 Vacly-Plavec, 457. ' %'allas, 24, 34. Valobra, 156, 391. t. Van-Geh
/ 198