Il n’y avait rien de plus beau que son corps, poursuivit Des Frans. […] L’a-t-elle été avec vous, votre Silvie, poursuivit-elle ? […] Elle le poursuivit ainsi. […] Viens, poursuivit-elle en m’appelant. […] Ils sont mariés, n’est-il pas vrai, Monsieur, poursuivit-elle ?
Il s’appelait de Bernay, et était fils d’un homme puissamment riche, voilà sa sœur, poursuivit-il, en montrant sa femme. […] Tenez, Monsieur, poursuivit-il, en la présentant à Des Ronais, lisez-la. […] La cérémonie fut poursuivie ; j’y pris trop peu de part pour vous en faire le récit. […] Vous nous avez promis, poursuivit-il, de nous conter son histoire à Monsieur Dupuis et à moi. […] Commencez donc, Monsieur, poursuivit-elle en s’adressant à Des Frans.
Vous vous rendez donc, poursuivit-il, à vos amis, après les avoir attristés par votre absence ? […] Je vous dirai une autre fois ce que c’est ; pour le présent, poursuivit-il, parlons d’autres affaires. […] Le tailleur qu’on avait envoyé quérir, et qui arriva dans le moment, les empêcha de poursuivre. […] Voilà, poursuivit Dupuis, l’état où nous en sommes, fort affligés de la mort funeste du pauvre religieux. […] Vous apprendrez tout d’elle, poursuivit Dupuis : si je pouvais rester, je vous en instruirais en présence même de Mr.
Je serai demain des vôtres ma belle cousine, poursuivit-il, s’adressant à Angélique. […] Je suis encore fille, Madame, poursuivit-elle, d’un air fort embarrassé. […] Mais, poursuivit-elle, ne pourrait-on pas empêcher que cela ne sortît de l’hôtel ? […] Cela, poursuivit-elle, me laisse de grands soupçons de vos vues. […] He oui, Madame, poursuivit-il, s’adressant à Madame de Contamine, je demande pardon de tout mon cœur.
Réservez-vous, poursuivis-je, je suis en âge de me donner à vous. […] Je m’y trouverai toujours, poursuivit-elle, de quelque manière que ce soit. […] Fi, au diable, poursuivit-il, misérable âme de boue, et de crapule ! […] Au nom de Dieu, poursuivit-elle en m’embrassant, donnez-moi cette satisfaction. […] Il fut quelque temps sans rien dire, et enfin il poursuivit en ces termes.
Non, Mademoiselle, poursuivis-je, vous méritez tout un autre parti que moi. […] Ce ne fut point ici que je lui dis que j’avais l’honneur de vous connaître, laissez-moi poursuivre, vous saurez tout en son temps. […] Demain, poursuivit-elle, vous me verrez dans le même état que je viens de mettre ma petite chienne. […] Voilà, Monsieur, poursuivit Jussy, ce que vous avez désiré de moi. […] Et pour moi, poursuivit Des Ronais, lorsqu’il plaira à ma belle maîtresse.
J’ai bonne mémoire, poursuivit-elle en rougissant, et en me quittant. […] Laissez-moi faire, poursuivit-il, nous en sortirons bien, restez ici, et m’y attendez. […] Je me figure, poursuivit-il, qu’elles se parlent ainsi à elles-mêmes. […] Je ne vous donne rien, poursuivit-il, en vous donnant ma fille, elle est à vous par toutes sortes de raisons. […] J’en ai eu pitié au commencement, poursuivit-elle.
Vous êtes jeune, Mademoiselle, poursuivit-elle ; c’est la plus belle qualité que puisse avoir une personne de notre sexe quand elle est jointe à autant de beauté et d’esprit que vous en avez ; mais c’est celle aussi qui donne plus de moyen de la tromper, parce qu’à cet âge, où l’expérience manque, on est rempli des illusions de l’amour propre qui persuade que tout est, et sera en effet comme on le désire. […] Il y a plus de deux ans, poursuivit-elle, que Sainville s’est attaché à moi avec une obstination d’autant plus forte qu’il la cache à tout le monde à cause du mépris que j’ai pour lui ; je sais tous les tours de fourbe qu’il a faits à d’autres femmes, dont lui-même s’est vanté à moi. […] Je vous ai dit, Madame, poursuivit Silvie, que ma mère et mes tantes avaient concerté ensemble le jour précédent ce qu’elles avaient à faire : ainsi la matière étant disposée, ma mère qui se laissait gouverner par ses sœurs, fut la première à donner sa parole pour Deshayes ; mes tantes la secondèrent, et je n’osai ni ne voulus les en dédire. […] En un mot, Madame, poursuivit-elle, ma vie est en danger ; et si je la perds, la sienne n’est pas en sûreté. […] Vous voyez présentement, Madame, poursuivit-elle, qu’il est de l’intérêt de votre époux que ma vie soit en sûreté ; cependant vous ne savez pas encore tout, et ce qui me reste à vous apprendre va mettre votre vertu à une des plus rudes épreuves où celle d’une femme puisse être jamais mise.
Oui, poursuivit notre héros en colère, les Français ont à mon sens un fond de générosité et de probité que les Espagnols n’ont, pas ; je l’avoue à la honte de la nation, mais la vérité me force à faire cet aveu. […] Je ne puis m’empêcher, poursuivit notre héros, de reprendre dans nos Espagnols cette inclination qu’ils ont à la vengeance, qui étant réservée à Dieu seul, comme ils le disent eux-mêmes, parce que c’est le morceau le plus friand et le plus délicat, et qui est seul digne de lui, ils osent cependant par une fureur impie partager avec lui ce qu’il s’est réservé à lui seul. […] J’ajouterai, poursuivit-il, que la conduite de nos Espagnols sur ce sujet est une chose étonnante. […] Un valet de pied de Madame la comtesse, poursuivit-il, lisait tout haut l’autre jour auprès de mon lit l’histoire du bonhomme Job, il dit que Dieu avait donné le pouvoir au démon de le persécuter, et de lui ôter tout ce qu’il avait.
Ah, Seigneur chevalier, lui dit-elle, si vous cherchez les grandes aventures, comme je n’en doute pas, entrez là-dedans, suivez ce perfide et allez délivrer d’esclavage des princesses que l’enchanteur Merlin retient dans la caverne de Montésinos, où elles sont battues et outragées par le cruel Freston dont la fureur me poursuit. […] Le maudit enchanteur Freston vient de la laisser presque morte des coups d’étrivières qu’il lui a donnés en ma présence, en haine d’un certain chevalier nommé Don Quichotte dont elle a toujours le nom à la bouche, et qu’elle appelle sans cesse à son secours, et son neveu ne me poursuit et ne m’a battue, qu’à cause que je n’ai pu souffrir une si grande barbarie sans prendre son parti. — Eh bon, bon, interrompit Sancho, les femmes ont toujours été ce qu’elles sont, elles ont toujours fourré leur nez dans les affaires d’autrui. […] N’importe, poursuivit-il, l’homme propose et Dieu dispose, nous sommes bien équipés, après cela bon pied, bon œil, à bon jeu, bon argent ; j’aurai toujours le mien, quitte pour faire pénitence, aussi bien la faut-il faire dans ce monde ou dans l’autre. […] — Ecoutez, hardi Chevalier, poursuivit Minos seul, l’incomparable Dulcinée n’est point dans les enfers, et par conséquent elle n’est point sous la puissance du dieu Pluton ; elle est trop sage pour avoir mérité nos supplices, et étant encore vivante, elle n’est point descendue dans ce sombre empire des morts ; elle est encore au nombre des vivants, quoiqu’elle n’y paraisse pas ; mais comme tu sais, Merlin l’a enchantée, et il a fait sagement, parce que si elle avait paru telle qu’elle était, elle aurait armé tous les chevaliers errants les uns contre les autres, et n’étant occupés que de leur amour, ils n’auraient pas mis fin, ni toi non plus, aux grandes aventures qui rendent leur vie si illustre là-haut.
Outre cela, poursuivit un démon qui n’avait pas encore parlé, le chevalier Sancho ne parle point contre les femmes par malice ; le bon seigneur les aime autant et plus que les autres. […] Le chevalier Sancho t’a rompu en visière, poursuivit-il s’adressant à Molieros, mais tu n’es qu’un jeune diable apprenti ; les crimes dont tu l’accuses devant nous ne sont point de notre compétence, ils n’offensent que toi et nous, et nous ne sommes pas juges que dans notre propre cause. […] Les voilà toutes écrites, poursuivit-il en lui montrant un gros livre ; mais comme le temps me presse, je ne t’en citerai qu’une, parce qu’elle est grave et qu’elle était contre les intérêts de ton bon maître et bienfacteur, et contre la princesse Dulcinée, qui a été privée par ta négligence de la consolation qu’elle aurait eue et qu’elle attendait de recevoir des nouvelles de son chevalier : fus-tu seulement la chercher ?
Le père choqué pour lors, comme il le devait être, le prit sur un ton fier, et après lui avoir dit qu’elle était trop heureuse d’avoir pour mari un aussi honnête homme que le sien et aussi endurant, il ajouta qu’elle abusait de l’amour qu’il avait pour elle ; et si, poursuivit-il, ma femme que voilà présente en avait dit à son père en ma présence la centième partie de ce que vous venez de me dire, je l’aurais fort bien remise dans son devoir malgré toute la tendresse que j’ai pour elle. […] Qui peut vous empêcher, poursuivit-il, de vous livrer à mon amour ? […] Laissez-la telle qu’elle est, poursuivit-il, continuez et ne craignez rien de sa haine, c’est moi qui veux que vous restiez ; je suis maître chez moi, et si elle vous chagrine, vous n’aurez qu’à me le dire, et je vous en rendrai justice. […] Songez-y, Julia, poursuivit-il en parlant au cavalier, passez pour l’amour de moi sur toutes ses duretés, mais pourtant avertissez-m’en, je vous assure que j’y mettrai bon ordre. […] Je dois une histoire, poursuivit-elle, je vais m’en acquitter et vous parler d’un homme qui s’est fait plaindre et admirer par le petit nombre de gens qui ont su ce qui lui est arrivé, et qui n’a point donné aux autres matière de rire à ses dépens.
Le sage enchanteur renchérit sur les assurances de la comtesse, et ajouta qu’il n’avait prétendu donner à déjeuner qu’au seul chevalier Sancho, et encore le régaler seulement à la manière de l’Ordre ; mais puisque vous voilà si bonne compagnie, poursuivit-il, il faut dégarnir mon office. […] C’est ce maudit magicien-là, poursuivit-il avec fureur, qui avait enchanté l’épée du chevalier Sancho ; mais je jure de ne me pas faire couper poil de barbe que je ne l’aie trouvé ; et afin qu’il ne puisse plus m’en donner à garder, je porterai aussi bien que lui mon épée nue. — Désabusez-vous, Seigneur chevalier, lui dit le duc, je ne crois pas que ce soit lui qui ait fait cet enchantement, je crois plutôt que ç’a été Parafaragaramus, qui n’a pu souffrir que vous vous exposassiez avec des armes inégales contre un démon. […] Elle poursuivit, en disant qu’elle avait appris de lui que c’était le lâche Freston lui-même qui avait enchanté l’épée du chevalier Sancho, parce qu’il n’était qu’un poltron qui n’aurait jamais osé se moquer de lui ni le braver s’il avait été en état de défense ; que Parafaragaramus lui avait promis de le combattre lui-même en sa présence, et se faisait fort de le renvoyer en enfer aussi vite qu’il en était venu ; cependant qu’il n’avait pas pu se dispenser de lui dire qu’en sortant d’avec lui, ce maudit enchanteur avait été dans la caverne de Montésinos, où il avait eu en effet la barbarie de donner vingt coups d’étrivières bien appliqués à la pauvre princesse Dulcinée, et que sans doute il aurait encore porté sa cruauté plus loin si Parafaragaramus lui-même ne l’en avait empêché, et ne l’avait obligé de prendre la fuite, et d’abandonner cette pauvre dame, après l’avoir traînée longtemps toute nue sur les ronces et les épines ; que cette pauvre désolée avait appelé plus de cent fois son fidèle et bien aimé chevalier Don Quichotte à son secours, et que c’était cela qui avait redoublé la fureur de son bourreau ; mais que Parafaragaramus l’avait un peu remise, en lui promettant qu’avant qu’il fût huit jours il la vengerait, et que l’invincible chevalier des Lions romprait son enchantement ; que c’était ce que Parafaragaramus lui avait donné ordre de lui dire, et qu’il dormît en repos sur cette assurance. — Ah !
Tenez, Monsieur, poursuivit-il, laissez-moi en repos, ces diables d’enchanteurs en savent plus que nous. […] L’un disait, poursuivit-il, que je voulais encore faire tirer au blanc, ou comme sur un âne ; l’autre, que j’ai des yeux au derrière, et que c’était pour voir ceux qui entraient que j’avais mis bas mes chausses ; l’autre, que je voulais me faire donner un clistère pour m’aider à vider ce que j’avais de trop dans le ventre ; un autre, que c’est que je suis propre, et que j’avais peur de salir mes grègues.
Mais Monsieur, que je vous donne pour remplir sa place la réparera, a-t-il poursuivi en présentant Monsieur de Porrières. […] Je poursuis avec Monsr. […] de Saint-Paul officier de la Compagnie, s’y trouva ; sa présence ne les empêcha pas de poursuivre. […] Nous ne savons point encore ce que nous deviendrons, c’est-à-dire si nous recommencerons demain le branle ou si nous poursuivrons notre route. […] Poursuivez votre route, a-t-il dit, je vais revirer de bord.
La bravoure de ce Français avait sauvé de leurs mains six femmes, qui étaient dans un carrosse qu’il accompagnait, et les bandits n’avaient osé les poursuivre plus loin, de peur qu’on ne vînt à leur secours, ou de l’hôtellerie, qui n’était pas éloignée, ou du château de Valerio, qui en était tout proche. […] Courage, poursuivit-il s’adressant à Deshayes, brave Roger, votre bon ami Roland est avec vous ; et en disant cela, il passa son épée au travers du corps d’un des assassins, et d’un revers coupa le bras d’un autre.
Tenez, poursuivit-il, je ne suis pas plus savant qu’un novice augustin ; mais ne réveillons point le chat qui dort ; les gens maigres comme des clous à crochet, n’entrent pas plus tôt dans le paradis que les autres, et je le sais de certitude ; car tous les chanoines que je connais, gens remplis de doctrine et de sagesse, sont pourtant tous gras à lard, les moines tout de même ; témoin le proverbe, il est gras comme un moine ; et ils ont raison puisque le paradis est un lieu de plaisir, où l’on ne doit voir que des visages contents, riants et fleuris, et non pas des faces décharnées et maigres, qui par leurs figures hideuses inspireraient de la tristesse aux autres. […] Il avait pris prétexte de là de louer toutes ses bonnes qualités, et surtout son bon esprit, qui n’avait été gâté que par ses ridicules visions ; il s’était étendu sur sa probité et sur sa droiture, qui le faisait généralement estimer de tout le monde ; il avait poursuivi par le plaindre du ridicule où sa folie exposait un des plus honnêtes hommes d’Espagne, et sans faire semblant de vouloir taxer qui que ce soit, il avait fortement blâmé ceux qui l’entretenaient dans ses imaginations ; il avait fait entendre que c’était une action contraire à la charité de se divertir aux dépens d’un cerveau démonté, qu’on pouvait facilement remettre dans une assiette tranquille, en lui donnant du repos, au lieu d’entretenir et de fomenter ses égarements. […] Ceci fut encore une nouvelle matière de sermon, que le triste et fustigé Sancho écoutait avec plus de docilité qu’il n’avait fait de sa vie ; mais enfin son maître ayant cessé de parler, parce qu’il n’en pouvait plus de la gorge, Sancho reprit la parole et avoua qu’il avait tort d’avoir tenté Altisidore, qu’il savait bien qu’il suffisait pour perdre une fille de lui dire une fois qu’on l’aime, parce qu’après cela le diable le lui répète sans cesse ; et ma foi, Monsieur, poursuivit-il, toutes les filles et les femmes en sont là logées ; elles font toutes là-dessus les saintes mitouches ; mais les brebis du bon Dieu ont beau être gardées et comptées, le diable trouve toujours le secret d’en tondre quelqu’une s’il ne l’emporte pas tout à fait ; en un mot une étincelle fait un grand brasier, et fille qui jase avec un amant enfile la mère Gaudichon, comme un aveugle son oraison ; mais le jeu n’en vaut pas la chandelle, et s’il ne faut qu’un petit caillou pour faire verser une charrette, un fromage n’est pas longtemps entier quand on le laisse guigner au chat, et de nuit tous chats sont gris. — Tu seras toujours farci de proverbes, lui dit son maître. — Oh bien, reprit Sancho, je consens d’aller rôtir des châtaignes en enfer si j’ai jamais rien de commun avec aucune fille ni femme que la mienne, et je recevrai Altisidore en fille de bonne maison, si elle me vient davantage rompre la tête.
Tenez, Monsieur le curé, poursuivit-il, nous sommes riches Monseigneur Don Quichotte et moi, avec cette différence que ses richesses viennent de l’enfer et ne lui ont presque rien coûté, et que les miennes me coûtent bonne… Dieu vous sauve de la main des diables, Monsieur le curé ; je sais ce qu’en vaut l’aune ; mais n’importe, le mal passé réjouit quand on en a tiré du profit. […] Eh bien, Madame, me voilà venue, dit-elle à la duchesse ; je vous aurais apporté un présent si le gland avait été mûr, mais la saison n’est pas assez avancée : car à tous seigneurs tous honneurs. — Je vous en rends grâces, répondit la duchesse en riant ; Monsieur le duc vous a envoyé chercher, poursuivit-elle, pour participer à la fortune du seigneur Sancho qui est à présent fort riche. […] Mardi, poursuivit-il, votre château m’a toujours porté guignon ; j’y ai reçu plus de taloches et d’horions en un jour, que je n’en ai reçu ailleurs en un an.
Leur présence n’empêcha point les bramènes de poursuivre leur cérémonie. […] Il poursuit sa route, & nous la nôtre. […] Poursuivez votre route, a-t-il dit, je vais revirer de bord, & vous suivre. […] Cela étant, dit-il, je poursuis. […] C’est sur ces talons, a poursuivi M.
On en trouva huit roides morts et deux hommes de justice : reste à vingt, dit-il, qu’il faut avoir morts ou vifs ; allons, Messieurs, ajouta-t-il, poursuivons notre quête. Nos deux chevaliers, qui, sans attendre ses ordres, avaient remonté à cheval, étaient déjà bien loin, et avaient trouvé quatre de ces bandits qui s’échappaient, lesquels se voyant poursuivis, firent volte-face, dans la résolution de se bien vendre.
Plût à Dieu, poursuivit-elle, que je vous eusse parfaitement connu comme je vous connais à présent, je n’aurais jamais fait le vœu que les cruels traitements du méchant Freston m’ont arraché. […] Mais toi, poursuivit-il, qui prétends m’interroger, qu’as-tu fait de ton argent ?
Colbert fût fourbe, poursuivit M. […] Allez, poursuivit-il parlant à la mère et au fils, requérir vos guenilles. […] Voilà des gens, poursuivit-il, qui sont en état de vous dire que oui. […] Buvons un coup, poursuivit-il, et confions-nous à Dieu, ce qu’il garde est bien gardé. […] Toutes choses ont commencé par presque rien ; mais quand on a commencé il faut poursuivre, et l’industrie qui augmente tous les jours conduit le tout peu à peu à sa perfection.
Monsieur Albus, a-t-il poursuivi, parlant à lui, vous voyez le ridicule où vous vous êtes précipité vous-même. […] Je ne crois pas, poursuivit M. du Quesne, que jamais Arlequin ait fait un jugement plus digne de sa gravité. […] Mord..., a-t-il poursuivi en lui rejetant sa canne, je vois bien que tout ce qu’on dit de vous est vrai, et que vous n’êtes qu’un faquin, et qu’un brutal. […] Écoutez, monsieur de Bouchetière, a-t-il poursuivi en s’adressant à lui, il y a fort longtemps que vous faites parler de vous, et toujours en mauvaise part. […] Mordi, a-t-il poursuivi, si j’étais à votre place, je lui envoierais la fièvre.
Il alla trouver cette femme, et s’informa d’elle si elle avait quelque chambre vide ; et comme elle lui dit que la seconde était à louer, le marché en fut bientôt fait ; il pria cette femme de lui dire quels étaient les autres gens qui logeaient chez elle, parce que, poursuivit-il, comme j’ai beaucoup de nippes et d’argent que j’ai apportés de la campagne, je suis fort aise de savoir avec qui je demeurerai ; et si ce sont d’honnêtes gens. — Vous n’avez rien à craindre, lui dit cette femme, je loge dans la salle en bas, la porte ferme toujours, et personne ne sort ni ne monte que je ne le voie ; outre cela, il n’y a pas grand monde ici. […] Pour vous, malheureuse, poursuivit Cléon en parlant à Silvie, je me réserve votre punition ; j’aurai soin de vous faire faire pénitence.
Mais, Monsieur, poursuivit-il, il y a donc aussi d’honnêtes gens en enfer ?
Les Françaises lui dirent la même chose, et ajoutèrent que la quête de ces malheureux était indigne de gens d’honneur et de qualité, que les personnes considérables en France ne s’y commettaient pas, et laissaient ce soin à des gens destinés à cet emploi ; et qu’on regarderait en France avec horreur un officier de qualité distinguée, qui aurait seulement livré un malfaiteur, bien loin de l’avoir poursuivi et arrêté lui-même.
Les diables d’enchanteurs n’ont qu’à se joindre à ces gens-là, poursuivit-il, et nous n’aurons pas besogne faite. — Eh !
Pour toi, Chevalier Sancho, poursuivit l’enchanteur après que le chevalier aux armes noires fut parti, tu n’as fait que ce que tu as dû faire, et je te pardonne avec plus de facilité qu’au chevalier qui s’en va ; assure-toi désormais de ma protection, et sois bien sûr qu’elle ne te manquera pas partout où mon pouvoir pourra s’étendre.
Pour montrer la différence qu’il y a entre ces divers procédés de gens qui ont des épouses infidèles, dit Sainville, et qu’il y en a qui sont plaints par le public, ou dont on ne parle seulement pas, et d’autres moqués et raillés avec juste raison, pour faire voir en même temps que ce point d’honneur qu’on y attache dépend beaucoup plus de la conduite du mari que de celle de la femme, quoique ce soit elle qui fasse le crime, pour montrer que ce ne sont pas ceux qui examinent la conduite de leurs épouses avec le plus de vigilance qui sont le plus à couvert de leur infidélité, et que c’est cette conduite qui les y pousse, je crois qu’il est à propos que chacun de nous raconte quelque aventure qu’il sache certainement être arrivée de notre temps en France même, afin de ne point mêler d’histoires étrangères dans nos entretiens ; et pour cet effet, je vais, poursuivit-il, en conter une qui montrera que les précautions d’un jaloux donnent déjà de lui un sujet de risée, qui est encore augmenté lorsqu’il a affaire à des gens qui ont l’esprit de les rendre inutiles, et de les tourner contre lui-même, et qui prouvera en même temps, que la jalousie est en effet un poison mortel pour ceux qui s’y abandonnent.
Ainsi elle recommença l’histoire de Silvie et de Sainville comme elle l’avait déjà racontée dans l’hôtellerie ; et lorsqu’elle fut dans l’endroit où elle avait été interrompue, elle poursuivit en ces termes, en faisant parler Sainville en personne.
. — Mais, Monsieur, poursuivit-il en parlant de Parafaragaramus, d’oû vient qu’il est si fâché quand un chevalier touche un fusil ou une autre de ces maudites armes ?