Elle était âgée d’environ vingt ans, je l’avais vue, comme je vous ai dit, quelque quatre ans auparavant chez Mademoiselle Grandet ; mais quoiqu’elle fût déjà d’une beauté admirable, ce n’était rien au prix de ce qui me parut à cette seconde vue, qui fut encore chez la même, mais qui pour lors avait épousé un nommé Mongey. […] Si mon cousin l’avait vue, ils ne seraient pas si bons amis qu’ils sont. […] J’ai quelque idée de l’avoir vue, mais je ne puis me souvenir où c’était. […] Est-il possible Madame, reprit-il, que ce soit vous que j’ai vue autrefois si différente de vous-même ? […] J’ignore, reprit Des Frans, quels services Mademoiselle a pu vous rendre ; mais, Madame, après vous avoir vue ce que je vous ai vue, vous voir à présent l’épouse de Monsieur de Contamine, je vous avoue que c’est un changement qui me passe, et que je ne puis presque comprendre.
Son mari est blanc, Portugais européan ; il ne l’a pas quittée de vue. […] Monsieur Hurtain empire à vue d’œil. […] On ne tira donc plus et on se contenta de le garder à vue. […] Nous ne quittons point Ceilon de vue. […] Nous l’avons perdu de vue sur le midi, mais le vent, qui est venu contraire sur les deux heures nous empêche de quitter de vue les terres d’Afrique.
La vue de Mademoiselle Récard ne me surprit pas ; je m’y attendais. […] J’avais déjà connaissance de son esprit, sa vue acheva de me vaincre. […] Il me dit que sitôt qu’il l’avait vue, il l’avait aimée jusqu’à la fureur. […] Dans cette vue, il promit et signa tout ce que Madame Des Frans voulut. […] Votre vue a rallumé dans mon cœur l’inclination que j’ai eue autrefois pour vous.
Les ducs et les autres, Français et Espagnols, qui avaient voulu en avoir le plaisir, étaient déjà allés se cacher dans des endroits qu’ils avaient fait préparer, et qui tous avaient vue sur une pelouse que Sancho avait choisie pour le théâtre de sa gloire. […] Leurs spectateurs ne pouvaient respirer à force de rire à la vue du plus ridicule combat qu’on puisse se figurer, de deux hommes à cheval armés de toutes pièces, et l’épée au côté, qui se battaient comme des crocheteurs, et dont les trois quarts des coups ne frappaient que l’air par le mouvement de leurs chevaux qui étaient toujours dans l’agitation, parce qu’ils suivaient l’inclination de la bride, qui suivait celle de la main, que nos chevaliers ne pouvaient pas tenir ferme, à cause du mouvement de leurs corps. […] Celui-ci qui était avec quatre valets de pied déguisés en satyres, auprès de l’arbre où le duc était monté, partit au premier signal, et marcha à nos aventuriers, qui à sa vue interrompirent leur ridicule combat.
Nous avons dépassé cette nuit sur les onze heures le cap de Finistère, toujours à la vue des côtes d’Espagne. […] Nous étions dans le Nord-Nord-Ouest à lui, et nous courons le Sud ; c’est le moyen de le voir demain à pleine vue. […] A cette vue, M. du Quesne ne put assez se commander pour ne pas faire éclater sa joie. […] Il ne la perdit pas de vue ; je ne sais si ce fut par jalousie. […] Il était assis justement devant moi, et avait en pleine vue cette femme à qui je tournais le dos.
Il fut en un moment tout couvert de son sang, et le chirurgien qui fut appelé pour le panser eut une très mauvaise opinion de sa blessure ; on le mit au lit toujours gardé à vue, et lui toujours prévenu de la mort de sa femme, fit en sorte en se tourmentant de défaire les ligatures de sa tête, et ne voulut jamais qu’on y remît la main qu’après qu’on lui eut dit que sa femme se portait mieux. […] Sa vue redoubla la colère de Sotain, qui voulut la mettre dehors par les épaules, mais elle se défendit de manière que le bruit qui se faisait dans cette chambre s’étant fait entendre en bas y fit monter toutes les femmes qui y étaient, c’est-à-dire celles qui avaient le privilège d’entrer dans l’appartement ; car outre qu’il n’y entrait jamais ni homme ni garçon, toutes les femmes mêmes n’y étaient pas bienvenues ; elles entendirent une partie des sottises que le gendre dit à sa belle-mère, et des reproches que la belle-mère faisait à son gendre ; et comme ils étaient trop animés pour examiner leurs paroles, le secret ne lut plus caché, puisqu’il fut su de tant de femmes. […] Il répondit à Célénie avec fureur et un ris moqueur, qu’elle ne savait pas bien déguiser ses vues, et qu’il voulait non seulement que Julia restât auprès d’elle, mais qu’il voulait encore qu’elle couchât dans sa chambre et ne la quittât pas plus que son ombre. […] Julia ne lui dit rien que d’avantageux, et l’assura que depuis qu’il était parti elle ne l’avait point quittée de vue, qu’elle avait tous les soirs fermé leur porte en dedans aux verrous et à double tour, qu’elle en avait ôté la clef, qu’elle n’avait ni écrit, ni parlé à qui que ce fût de dehors, et en un mot, qu’elle ne s’était point aperçue qu’elle eût aucun commerce avec personne ; mais qu’elle ne savait point aussi par quel endroit elle avait pu mériter sa haine, d’autant moins qu’elle avait fait son possible pour s’en faire aimer ; que tout ce qu’elle en pouvait croire était que son assiduité commençait à lui déplaire. […] Cette vue acheva de désespérer Sotain.
Le trésor n’en eût pas été beaucoup plus riche ; nous avions tous nos vues qui ne nous permettaient pas de fausser compagnie. […] Je savais bien qu’elle serait vue, j’en faisais une simple plaisanterie. […] Vous me faites apercevoir, Monsieur, lui dit-elle, de bien des choses que je n’avais point encore vues. […] Je lui recommandai de prendre ce qu’elle trouverait de plus propre, et de plus agréable à la vue. […] À la vue du caractère qui lui était inconnu, il l’ouvrit, et y trouva ces paroles.
Nos aventuriers s’éloignèrent un peu de ce qu’ils prenaient pour une gueule d’enfer ; mais ayant tourné la vue d’un autre côté, ils virent avec surprise un spectre qui venait à eux à travers le bois. […] Tous les spectateurs paraissant trembler à sa vue, se mirent à couvert derrière nos deux aventuriers qui ne branlaient pas. […] Sancho qui avait toujours écouté, continua selon son sens, et ne songeant qu’à la goinfrerie : Oui, Monsieur, je voudrais bien les voir ces esprits incrédules, et savoir ce qu’ils pourraient dire sur la table bien garnie que j’ai vue de mes propres yeux sortir de l’enfer tout d’un coup, et que vous y avez vu rentrer de même.
Elle a donc bien changé depuis que vous ne l’avez vue, reprit ma mère ? […] Elle était fort contente de sa vue. […] Quelle vue ! […] Il y avait plus d’un mois qu’elle était en liberté, que je ne l’avais point encore vue. […] Cette vue rappela tout l’amour que j’avais eu pour elle, je tombai en faiblesse.
Dès la première fois que vous m’avez vue, vous avez lu dans mes yeux toute l’aversion que j’ai pour le convent, n’y auriez-vous point vu aussi les troubles que votre présence excitait dans mon cœur ? […] Je vous prie de la lire, dit-il, en parlant à Des Ronais, c’est celle qui a donné lieu à la réponse que vous avez vue qui vous a tant chagriné. […] Il m’a voulu obliger de signer un contrat de mariage, avec un homme d’armée, qui d’abord ne recherchait son alliance que pour le bien ; mais après m’avoir vue, l’amour s’en est mêlé, et la persécution a redoublé. […] La vue de mon sang me mit en fureur à mon tour ; et quoi qu’on pût faire pour nous séparer, je lui portai deux coups dans le corps dont le dernier le terrassa. […] Elle vint d’un pas assuré et ferme, et l’agitation et la chaleur de l’action la faisaient paraître à tout le monde la plus belle personne qu’on eût jamais vue.
Sancho se recommanda aussi à sa mauricaude et suivit son maître en lui jurant de n’avoir point de peur, pourvu qu’il ne le quittât pas de vue. […] Durandar se leva tout d’un coup et sauta en place aux pieds de sa maîtresse, à qui il fit autant de caresses que s’il y eût eu en effet huit cents ans qu’il ne l’eût vue. […] Don Quichotte qui n’avait jamais rien lu de pareil dans ses romans, ne savait où il en était ; mais enfin la vue de la table, qui parut tout d’un coup dressée, et leur avidité à se jeter sur ce qui était dessus leur ayant imposé silence, il les regarda avec plus de tranquillité.
La duchesse de Médoc était indisposée, et avait envoyé prier le duc d’Albuquerque de passer chez elle ; et celui-ci qui était son parent fort proche, y allait, et y menait son épouse, que cette dame n’avait point encore vue. […] Notre hardi chevalier n’en voulut point démordre, il prit le cheval de celui qui emportait Eugénie, qui était libre, et se saisissant de l’épée de ce scélérat, il se mit après les ravisseurs malgré le duc et Dorothée qui le firent suivre par quatre cavaliers de crainte d’accident ; mais comme il ne suivait que sa tête et ses visions, ceux-ci qui le perdirent bientôt de vue, revinrent sans autre fruit que d’être bien fatigués.
Il l’apporta au duc, qui le lui rendit, avec ordre d’aller les attendre de l’autre côté du même ruisseau, à un détour où il fallait encore passer, de se cacher derrière un arbre, d’attacher la bourse à une petite ficelle, et de la laisser en vue du côté où ils étaient, afin que Sancho la vît, et de la retirer lorsqu’il voudrait la reprendre. […] La vue de ce ruisseau renouvela les douleurs de Sancho ; il y alla néanmoins, mais ce fut dans le dessein de lui chanter pouille, et de le bien battre avec un gros bâton, qu’il avait été chercher pour cet effet. […] Comme il voulut se jeter dessus à corps perdu, et qu’elle s’échappa de ses mains et sauta dans l’eau, il s’y jeta brusquement après elle ; mais ce fut inutilement, car l’agitation de l’eau lui en fit perdre la vue et la trace.
C’est devant cette idole que les gentils & idolâtres se prosternent ; & c’est cette figure que je voudrais bien avoir vue. […] Ils l’ont ainsi traîné jusque sous un vuide entre la cloison & la doublure du vaisseau, où nous les avons perdus de vue. […] Elle est, à ce qu’on m’a dit, fort aimable : je ne l’ai point vue, étant à Ougli avec M. […] Ce n’est certainement point en vue d’aucun gain, car ces sauvages ne possèdent quoi que ce soit au monde. […] Après ce compliment, il la quitta à toutes jambes, & ne l’a point vue depuis.
Ce n’était cependant pas la discrétion qui l’en empêchait, mais bien la vue de l’aimable Provençale qu’il n’avait pu s’empêcher d’aimer avec toute l’ardeur et la sincérité possible. […] Elle lui fit connaître ces soupçons fort spirituellement et comme par plaisanterie ; mais il lui répondit fort sérieusement et fort galamment, qu’il ne connaissait et n’avait regardé Silvie que sur le pied d’une femme séparée d’avec son mari, et d’une femme qui avait un amant favorisé ; que sur ce fondement il avouait que les vues qu’il avait eues pour elle n’étaient pas fort à l’avantage de sa vertu, et qu’il n’avait commencé de la regarder sur le pied qu’elle méritait de l’être, que depuis qu’il savait son histoire ; qu’ainsi son amour n’était pas extrêmement violent, mais qu’il n’en était pas de même de celui qu’il avait pour elle, puisqu’il était accompagné de vénération, d’estime et de respect.
Cid Ruy Gomez assure, que ce fut plutôt le désespoir de Sancho, qui le détermina à se faire assommer, que les exhortations de son maître, et qu’il voulait jouer à quitte ou à double ; et comme le temps s’avançait, il enfonça son chapeau dans sa tête, et sans dire une seule parole, sortit de la chambre dans une fureur que son maître ne lui avait point encore vue, et dont il tira un bon augure. […] Il avait sur les yeux des lunettes ou des bésicles, telles qu’on en met aux enfants qui louchent pour leur redresser la vue, et Sancho croyait que c’était ses yeux qui lui sortaient de la tête ; au lieu de cheveux tressés, il s’était mis des peaux d’anguilles pleines de son, que Don Quichotte prit aussi bien que son écuyer pour des couleuvres.
Elle est toute aimable ; mais avant que de l’avoir vue, j’étais charmé par une autre que j’aime de toute ma tendresse ; mais ma raison s’oppose aux vœux de mon cœur, elle est d’un rang trop au-dessus de moi pour y prétendre. […] Mes yeux, mes actions mon embarras auprès de vous, ont dû vous faire connaître que c’est vous-même qui m’avez inspiré des sentiments qui m’étaient inconnus avant que je vous eusse vue ; et ma bouche vous le dit pour la première fois. […] Elle se jeta à genoux devant les juges ; elle les supplia de lui rendre son mari ; elle les assura que c’était elle qui m’avait jeté dans l’état où j’étais ; que je n’avais consenti à partir avec elle que lorsque je l’avais vue résolue à s’empoisonner ; que je lui avais même arraché le poison des mains. […] Je partis le même jour sans la voir, ne l’ayant point vue depuis le jour cruel que je la vis en présence de nos juges.
La princesse Dulcinée fut conduite dans la chambre qui lui était destinée ; et Balerme, Durandar, Montésinos, Merlin et Parafaragaramus conduisirent nos aventuriers dans celle qu’on leur avait préparée, et qui était d’une magnificence achevée : l’or et l’argent y brillant partout ; les glaces, qui en faisaient la tenture, rendaient la lumière qu’elles recevaient de deux lustres d’argent, chargés de vingt-quatre bougies, dont la réflexion était si vive qu’il était impossible d’y jeter les yeux sans être ébloui ; deux lits de brocard d’or avec leurs housses traînantes jusqu’à terre, garnies d’une grosse frange d’or à campanes, en faisaient l’ornement, et étaient accompagnés de deux fauteuils dorés, garnis comme les lits, et d’une table qui paraissait d’argent massif, qui tout ensemble faisaient à la vue un effet tout agréable. […] lui dit le duc de Médoc en l’abordant, il vient d’arriver au château une dame qui paraît d’une qualité éminente, tant par sa personne que par son train ; et qui est la plus belle créature que j’aie jamais vue.
L’autre fait est plus récent, et indique leurs vues. […] Celui qui a envie d’en embrasser une entre dans cette cabane à la vue du père et de la mère. […] Aussi leur donnait-il l’absolution à vue de pays, et par là mettait le diable en droit d’en appeler à travers champs. […] Telle était le dessein de M. de La Salle, qui a le premier des Français eu cette découverte en vue. […] Chamillard, que le Roi ne connaissait que de vue, et l’assura que c’était l’homme de France qui jouait le mieux à ce jeu.
Outre cela s’il m’était permis d’entrer dans les vues de Dieu, je dirais que cet assemblage d’un seul homme et d’une seule femme dans le paradis terrestre, prouve sensiblement que Dieu voulut faire voir dès le commencement du monde que l’homme devait se borner à la possession d’une seule femme, comme une femme doit se borner à la possession d’un seul homme, et que ceux qui en usent autrement vont directement contre les décrets de sa providence et de sa sagesse divine. […] Ils disent qu’il leur est impossible de résister à la tentation, et veulent que des femmes y résistent, quoiqu’ils les estiment remplies de faiblesses ; ils prétendent que la vue d’une belle se rend tout d’un coup si bien maîtresse de leur cœur, qu’ils ne peuvent se défendre de ses caresses empoisonnées, et ôter de leur esprit l’idée que leurs charmes y ont imprimée.
Il me parut que ma présence ajoutait un nouveau lustre au sacrifice, et ne voyant là que des objets chagrinants, je n’en soutins pas longtemps la vue ; je pris le parti de me retirer, bien en peine de ce qui pouvait causer un si prompt changement. […] il ne me resta de force que pour déchirer cette malheureuse lettre qu’elle me rendit ; je me levai toute nue, pour en aller jeter les morceaux dans le feu, et voulus ensuite regagner mon lit ; mais la vue de mes tantes que j’aperçus derrière mon paravent me fit tomber évanouie. […] Lorsqu’ils se sont vus assez avant, ils ont voulu en venir aux dernières violences, et sans doute nous nous serions vues les victimes de leur avarice et de leur brutalité, si Sainville, qui heureusement avait pris un chemin détourné, ne fût venu à nos cris, et n’eût ramené à notre secours nos deux hommes d’escorte et nos laquais que la peur avait écartés.
Il ne l’aurait cependant pas obligée à l’accepter, si elle lui eût déclaré qu’elle ne pouvait vivre heureuse qu’avec Verville ; mais outre la pudeur qui s’opposait à une telle déclaration, elle craignit que son père n’approuvât pas d’autres vues que les siennes. […] Le père qui sentit à cette vue les mouvements de la nature, tomba comme elle ; de sorte que c’était un triste spectacle que cette scène.
. — Tu te trompes, ami Sancho, lui dit Don Quichotte, un chevalier et un sergent, ou un homme de justice, sont en tout différents ; l’un n’y va qu’attiré et poussé par la vue d’un gain sordide ; mais un chevalier errant n’y va qu’en vue de l’honneur, et pour délivrer les bons et les innocents des torts que ces bandits leur font. — Eh bon, bon, reprit Sancho, dis-moi qui tu hantes, et je te dirai qui tu es.
Il resta plus de huit jours aveugle, mais peu à peu sa vue lui revint, et sa mâchoire qui se remit lui fit faire une vie de son goût, puisqu’il ne faisait que boire, manger et dormir.
Puisque vous ne pouvez être à moi, adorable Dulcinée, puisqu’il faut me résoudre à me priver pour jamais de la vue de vos charmes, je vais éteindre en moi les feux dont je suis vainement consumé.
Il y aura peut-être quelque curieux qui les aura déjà vues.
Sancho le suivit, et comme ils étaient tous deux parfaitement bien montés, ils furent bientôt éloignés et hors de vue.
. — Ce n’est pas d’aujourd’hui, reprit Don Quichotte, que cette sorte d’arme a paru sur terre ; et il me souvient d’avoir entendu dire, qu’un malheureux magicien ou enchanteur du genre humain, ayant apporté des enfers les premières qu’on ait jamais vues, le brave chevalier Roland les jeta dans la mer, d’où elles ont été depuis retirées par un moine allemand.
Parafaragaramus leur dit de le suivre, et pour cet effet ils le prirent par la main, et étant dans la même salle où ils avaient vu Dulcinée en paysanne, il parut tout d’un coup de la lumière, et au lieu du spectacle affreux du tribunal de Pluton, il ne se présenta rien à leurs yeux que d’agréable à la vue.
Sitôt qu’elle et toute sa bande furent hors de vue, on ramena le triste Don Quichotte dans l’appartement des dames, où chacune le consola le mieux qu’elle put de la perte qu’il faisait d’une princesse si belle et si vertueuse.