Il voulait me persuader que le seul plaisir de la vie était d’avoir une maîtresse, et d’en être aimé. […] Quel plaisir ai-je à espérer dans le monde ? […] Je m’abandonnai au plaisir de savoir que Clémence n’était plus renfermée. […] Je voudrais avoir sa lettre ici, pour avoir le plaisir de vous faire voir ses expressions. […] Clémence était émue, et ce n’était pas un plaisir d’un moment que j’étais venu chercher.
Je triomphais et goûtais à plaisir une vengeance entière. […] Est-ce pour me faire plaisir ? […] Vous m’avez fait un vrai plaisir, poursuivis-je, de parler comme vous avez parlé. […] Je remarquai avec plaisir que Silvie se faisait aimer de tout le monde. […] C’était là le premier plaisir de ma vengeance.
Elle fit plus ; je m’aperçus qu’elle se faisait un plaisir de caresser Deshayes, et de lui faire des avances à mes yeux. […] Il est vrai que je me sentais une espèce de confusion de lui dire de bouche ce que je voulais qu’il sût, et étant persuadée que le papier ne rougissait pas, je me fis un vrai plaisir de lui écrire, pour lui découvrir tout mon cœur. […] Vous avez eu raison de me dire qu’il n’y a point de plaisir plus sensible dans le monde, que celui que goûtent deux cœurs unis. […] Il avoua ingénument à la marquise qu’il s’était intéressé dans le procès de la baronne uniquement pour faire plaisir à cette dame qu’il savait y prendre intérêt. […] Elle s’y résolut, et pria Sainville de ne la point abandonner, et lui qui n’avait rien à faire à Paris, dont ses chagrins lui rendirent même le séjour odieux, s’offrit avec plaisir à l’accompagner.
Je ne crois pas qu’il y ait au monde un plaisir plus grand que celui d’un pareil commerce. […] Elles vous convaincront que je ne vous dis rien qui ne m’ait été écrit ; et de ma part, je suis prêt à lui faire telle satisfaction qu’elle voudra que je lui fasse, et je suis sûr que Mademoiselle Fenouil se joindra à moi avec plaisir. […] Elle s’abandonna enfin au plaisir de l’embrasser. […] Ils avaient tous deux les larmes aux yeux, et la joie les saisissait tellement, qu’ils n’avaient pas la force d’ouvrir la bouche ; en effet quel plaisir de se retrouver fidèles après tant de traverses, et une absence si longue ! […] Cela étant, reprit Des Frans, il faut que vous preniez un même jour, afin que le plaisir des uns ne rende point les autres jaloux.
Que ce ne serait donc pas la nécessité qui la porterait au mal, mais le seul plaisir des sens. […] Quelque plaisir qu’elle sente, un reste de pudeur lui en fait dissimuler une partie. […] Mais quel plaisir prenez-vous, repris-je, à nous laisser Mademoiselle et moi au hasard de succomber ? […] Je puis trouver ailleurs quelque plaisir du corps, mais ce n’est qu’avec vous que je puis goûter ceux du cœur. […] Vous voyez bien que je devrais le laisser là ; mais non, je l’aime trop pour n’avoir pas pitié des peines qu’il se donne à plaisir.
Tenez, poursuivit-il, je ne suis pas plus savant qu’un novice augustin ; mais ne réveillons point le chat qui dort ; les gens maigres comme des clous à crochet, n’entrent pas plus tôt dans le paradis que les autres, et je le sais de certitude ; car tous les chanoines que je connais, gens remplis de doctrine et de sagesse, sont pourtant tous gras à lard, les moines tout de même ; témoin le proverbe, il est gras comme un moine ; et ils ont raison puisque le paradis est un lieu de plaisir, où l’on ne doit voir que des visages contents, riants et fleuris, et non pas des faces décharnées et maigres, qui par leurs figures hideuses inspireraient de la tristesse aux autres. […] Sur ce fondement ils avaient résolu de finir leurs enchantements, afin de faire évanouir les visions que le pauvre gentilhomme avait là-dessus, en ôtant la cause qui les produisait, et en tirant de lui tout le plaisir qu’ils en pourraient tirer, sans le jeter dans aucun danger, ni dans aucune raillerie visible, mais seulement en le traitant suivant ses idées chimériques, après quoi ils comptaient de lui remettre l’esprit peu à peu, en lui procurant la santé par tous les meilleurs aliments qu’on pourrait lui fournir, et de le renvoyer mourir chez lui en repos. […] Il la chercha et rechercha, et fut plus de deux heures à faire le plongeon à la vue de toute la compagnie, qui s’était assise sur l’herbe, et qui y faisait collation, avec le plus grand plaisir qui se puisse imaginer. […] Elle lui répondit qu’elle ne le pouvait pas cette nuit-là, parce qu’elle ne couchait pas seule ; mais que s’il voulait venir le lendemain dans une chambre qu’elle lui indiqua au bout du château, où elle irait coucher sans compagne, sous prétexte de maladie, elle le recevrait de son mieux, et qu’il lui ferait plaisir ; elle ajouta qu’elle pourrait y monter sitôt que tout le monde serait retiré ; ce qu’il connaîtrait lorsqu’elle ouvrirait sa jalousie, et lui recommanda surtout le secret, et de ne point faire de bruit. […] Notre héros, qui profondément enseveli dans ses rêveries ne disait pas un mot, en fut retiré par les félicitations qu’on lui adressa sur le désenchantement de la princesse Dulcinée, et sur le plaisir qu’il aurait de rendre au jour une personne si belle et si parfaite.
Comme cela fit du bruit, beaucoup de gens se firent un plaisir d’aller voir leur contenance. […] Que je n’entende plus parler de cela, car [tu] ne me ferais pas plaisir, et j’y mettrais ordre. […] C’est un vrai plaisir pour la canaille que de mortifier les gens de qualité. […] Et j’y retournai avec d’autant plus de plaisir que La Boulaye me parut d’un esprit porté au plaisir et à la joie ; en quoi je ne me trompais pas, comme je le dirai bientôt, puisque ç’a été son attache au plaisir qui a été cause de notre ruine à tous, et de la sienne propre. […] Il y avait donné ses conclusions à la mort pour faire plaisir aux gens qui étaient en faveur.
On les donne aux matelots : c’est un plaisir de les voir tirer après. […] C’est un plaisir de les voir se paonnader au soleil sur un pré, où ils viennent pacager. […] C’est un plaisir de les voir se regarder l’un l’autre, les yeux fixes sans se rien dire. […] Elle trouva qu’il avait raison, & consentit avec plaisir à tout. […] Quoi qu’il en soit, vous me faites un sensible plaisir de prendre sur vos tablettes les notes de ce que je vous confie.
Don Quichotte accepta avec plaisir des offres si obligeantes, mais à condition seulement de payer sa dépense ou sa pension. […] On jugea à propos de laisser passer encore un jour ou deux avant que de prévenir Don Quichotte et Sancho sur l’arrivée de leur curé, du neveu, de la nièce et de la gouvernante de Don Quichotte, du bachelier Samson Carasco, et de Thomas Cecial le barbier, parce que tous voulaient se donner le plaisir de voir ensemble ce spectacle, et particulièrement la réception que Sancho ferait à sa femme, qu’on avait envoyé quérir avec sa fille. […] Cet homme était le neveu du curé qui était venu la consoler du départ de Don Quichotte, et dans les visites duquel elle avait trouvé beaucoup d’agréments, comme aussi lui avait pris beaucoup de plaisir à sa conversation. […] Les Espagnols, la duchesse et les autres dames se mirent avec les Français aux fenêtres, pour se donner le plaisir de l’entrevue.
J’ai bien du plaisir, lui dit-il, ma belle fille, de vous voir ici bien souvent. […] Vous connaissez votre commère, elle n’a jamais plus de plaisir que lorsqu’elle en fait à quelqu’un. […] Je joindrai avec plaisir mes remerciements aux vôtres, et j’accepte le rendez-vous. […] Il lui avoua qu’il n’avait pu d’abord se refuser aux plaisirs qui s’étaient présentés à son esprit. […] Quels maux ne se sont-ils pas faits à plaisir ?
Le coup était fait à la main, et j’eus le plaisir d’humilier l’orgueil du Gascon. […] Ne cherchant qu’à se divertir aux dépens du cousi, ils l’accompagnèrent avec plaisir. […] Et pourquoi ce qui faisait autrefois un de mes plaisirs fait-il présentement le sujet de ma tristesse ? […] Pour achever le plaisir, un requien, s’est laissé prendre : voici comme les matelots l’ont traité. […] J’ai payé le bordage d’artimon à double mesure : cela fait plaisir à tout le monde.
Il est pourtant vrai que le plaisir des sens ne la dominait pas. […] Je lui ai vu mille fois faire des choses qu’aucune considération humaine n’aurait pu lui faire faire ; et elle les faisait uniquement parce qu’elle savait qu’elle me faisait plaisir. […] N’allez pas, lui dis-je, quand vous verrez ma maîtresse, lui tenir de pareils discours, vous ne me feriez pas plaisir. […] La hauteur des seigles qui venaient jusques à la tête, et qui même la passaient, la solitude où nous étions, et l’amour que j’avais pour elle, m’offrirent un nouveau plaisir à la caresser sur l’herbe. […] Nous passâmes tout le printemps, l’été et l’hiver dans des plaisirs inconcevables.
Pénétré du regret de la mort d’une épouse qu’il avait parfaitement aimée, il ne voulut plus se marier et borna son plaisir à élever l’enfant qu’il avait eu d’elle. […] Cependant bien persuadée qu’il était digne d’elle, elle obéit à Cléon, sinon avec plaisir, du moins sans répugnance. […] Elle ne lui répondit pas juste ; c’est pourquoi il se fit un plaisir de la faire couper derechef dans ses défaites.
Les ducs et les autres, Français et Espagnols, qui avaient voulu en avoir le plaisir, étaient déjà allés se cacher dans des endroits qu’ils avaient fait préparer, et qui tous avaient vue sur une pelouse que Sancho avait choisie pour le théâtre de sa gloire. […] Lorsque la lassitude allait séparer les combattants, et que les spectateurs en eurent pris tout le plaisir qu’ils en pouvaient prendre, le duc fit partir son maître d’hôtel.
Quel plaisir, la mer n’est pas plus grosse que la Seine l’est en été. […] C’est un plaisir d’aller comme nous allons au roulis près. […] Mahomet le connaissait bien ce génie quand il a fait consister son paradis dans le plaisir des sens. […] Cette pluie nous fait plaisir, car elle a changé le vent qui est bon à présent. […] C’est un plaisir de voir nos matelots se regarder l’un l’autre, la bouche ouverte sans rien dire.
Sainville accepta avec plaisir la conjoncture, d’autant plus que ne pouvant pas se passer de valet de chambre, et que celui-là lui paraissait lui être propre, il crut que c’était une affaire faite. […] La marquise ayant par là l’esprit en repos, les ducs et les deux épouses n’ayant eu aucun sujet de chagrin que par rapport à leurs amis, le comte Valerio et son épouse étant contents, Sainville et sa veuve étant dans la meilleure intelligence du monde, aussi bien que le comte du Chirou avec la belle Provençale, Valerio et Sainville reprenant peu à peu leurs forces, Don Quichotte se portant bien, et Sancho en parfaite santé, à quelques brûlures près ; en un mot tout le monde ayant l’esprit porté à la joie et au plaisir on se disposa en attendant le départ, qui n’était retardé que par Valerio, Sainville et du Chirou, à prendre de nos aventuriers tout le divertissement qu’on pouvait en prendre sans s’en railler ouvertement, surtout de notre héros, dont le comte du Chirou admirait la valeur, et à qui il devait la vie, aussi bien que la duchesse et Eugénie, qui outre cela lui devait encore celle de son époux, et peut-être son honneur.
La duchesse de Médoc qui l’avait souvent été voir, était très fâchée de son indisposition, parce qu’elle n’en pouvait pas tirer tout le plaisir qu’elle en aurait voulu ; mais elle comptait bien de s’en dédommager sitôt qu’il serait en état d’agir et de sortir ; ce qui arriva dès qu’il put ouvrir les yeux ; c’est-à-dire environ huit jours après que son accident lui fut arrivé. […] Tenez, Monsieur, ajouta-t-il, c’est madame la duchesse qui m’attire tout ceci, car si je n’avais pas voulu tirer aussi bien que les autres pour lui faire plaisir, je n’aurais pas mis la main où je n’avais que faire ; oui mardi, c’est elle qui me cause tout ce beau ménage ; au diable les femmes, elles m’ont toujours porté guignon.
C’est m’obliger, reprit Des Ronais, et vous ne me feriez pas plaisir d’en user autrement. […] Il se fit prendre la mesure, et lui laissa de l’argent pour lui faire un habit à la mode et riche pour le lendemain, et un autre à son valet, après quoi il sortit en disant au conseiller qu’il était au désespoir de le quitter si tôt ; car, ajouta-t-il, outre le plaisir que j’ai d’être avec vous, ce que vous m’avez dit de Gallouin me donne une envie de m’instruire de tout ce qui le regarde, que vous ne pouvez pas comprendre, parce que vous en ignorez le sujet, que je vous apprendrai moi-même.
Comme ils feignaient toujours de l’étonnement et de l’embarras, Eugénie leur dit de ne rien craindre, qu’elle était sûre que le seigneur Parafaragaramus était trop de ses amis pour ne les pas voir avec plaisir, puisqu’ils étaient de sa compagnie. […] Diable emporte si j’étais l’enchanteur je les laisserais tous mourir de faim par plaisir pour leur pénitence.
Toute la compagnie se faisait un plaisir d’augmenter l’embarras de Sancho, qui les divertissait ; mais enfin ennuyé de répondre à tout le monde, et sans parler à personne en particulier, il dit tout résolument et en colère, qu’il n’avait parlé que de sa Thérèse, et au bout du compte, ajouta-t-il, qui se sent morveux se mouche. […] Sancho, qui vit que sa malice n’avait nullement plu à notre héros, se retira auprès de la duchesse de Médoc, qui pour adoucir Don Quichotte, fit à son écuyer une sévère réprimande de son peu de respect d’avoir mal à propos interrompu un discours que toute la compagnie écoutait avec plaisir.
Ces deux paysannes n’avaient jamais été si aises qu’elles l’étaient de se voir bien nourries et bien entretenues ; elles commençaient à se croire des gens de conséquence, et la duchesse ne trouvait pas un plus grand plaisir que celui de les faire jaser.
Dorothée, Valerio et Eugénie se joignirent à lui, et le duc qui avait l’âme toute généreuse, et qui se faisait un plaisir de rendre service aux gens de qualité, fit non seulement ce que le duc avait promis qu’il ferait en écrivant à son beau-frère, mais il écrivit encore aux premiers du Conseil de Madrid.
Il était dans cette disposition lorsqu’un matin Sancho à la sortie de l’office où le maître d’hôtel l’avait bien régalé, vint le trouver dans sa chambre avec sa gaie humeur, et lui dit en entrant : Bonjour, Seigneur Don Quichotte, je viens de mettre à fin une aventure qui m’a bien fait du plaisir, et ce qui m’en plaît davantage, c’est que je n’ai pas besoin de charpie.
Don Quichotte avec plaisir, parce que la vie qu’il avait menée chez Valerio lui semblait trop molle et trop délicate pour un homme aussi nécessaire au public qu’il croyait être, et qu’il espérait que la campagne lui étant ouverte, il trouverait des aventures à tout moment.
L’intégrité de leurs jugements fut admirée ; la vénalité des charges, qui donnent à un homme le pouvoir de disposer de la vie et des biens de son prochain, fut détestée ; on y maudit le juge qui achetait en gros le droit de vendre à son choix l’injustice en détail ; le babil inutile des avocats, qui ne fait qu’obscurcir la vérité ; cette multiplication infinie de procédures et de chicanes, qui donne le tort dans les formes à un homme à qui le fond donne gain de cause ; tout cela fut blâmé ; on condamna les ambitieux ecclésiastiques qui recherchent et briguent les dignités de l’Eglise ; on se moqua de l’hypocrisie de ceux qui ne disent que des lèvres, Nolo episcopari l’avidité de ceux qui ont plusieurs bénéfices, dont un seul pourrait suffire aux besoins de la vie, et à faire leur salut, parut exécrable, aussi bien que le faste outré de ceux qui dissipent dans de vains plaisirs un bien qui n’a été destiné qu’aux pauvres, et dont ils ne sont que les économes et les dispensateurs, et non pas les propriétaires.
Celle de Dupuis fait voir qu’un libertin se retire de son libertinage, lorsqu’il s’attache à une femme de vertu : on y voit tout l’excès d’un amour au désespoir, tant par ce qu’il dit de Gallouin en justifiant Silvie ; et ce qu’il dit de Gallouin montre, que si un homme est capable de tout pour ses plaisirs, lorsqu’il se livre à des réflexions chrétiennes, il n’en fait que de bonnes et de profitables.
Valerio lui répondit qu’il lui avait fait plaisir, et qu’étant une fois prisonnier des Français il en avait reçu un traitement si généreux et si honnête, qu’il ne souhaitait rien plus ardemment que de pouvoir s’en ressentir avec honneur.
Il eut le plaisir de voir la dame du logis, et fut charmé de sa beauté ; il ne put que l’admirer, sans tenter autre chose, crainte d’être connu, et s’en alla avec ce prêtre, fortement résolu d’employer, comme on dit, le vert et le sec pour s’introduire dans le château. […] Ne vous donnez pas à moi, mais arrachez-vous à lui ; retirez-vous dans ce moment, et du moins si je n’ai pas le bonheur de vous posséder j’aurai le plaisir de vous y aller voir et de ne plus trembler pour votre vie ; en un mot, si vous ne voulez pas être heureuse entre les bras d’un homme qui vous adore, ne vous obstinez pas à rester malheureuse.
C’est d’avoir voulu violer les droits de l’hospitalité en voulant d’un lieu d’honneur où il était bien reçu en faire le théâtre de ses débauches, dont il mérite des reproches et des châtiments ; c’est d’avoir eu plus d’indulgence pour soi-même que pour autrui, c’est d’avoir été hypocrite, d’avoir voulu priver les autres des plaisirs infâmes où il tâchait de se souiller lui-même, d’avoir voulu sous les dehors d’une vie honnête et d’un mépris affecté des femmes cacher le penchant vicieux qu’il a pour elles ; c’est là vouloir imposer à Dieu et aux hommes, avoir deux mesures, l’une pour soi, l’autre pour autrui, c’est cela encore un coup dont on devait l’accuser ; il devait se souvenir de son proverbe ordinaire, Médecin guéris-toi toi-même.
Il en fit au commencement difficulté, parce qu’il voulait, disait-il, trouver Dulcinée ; mais Balerme lui ayant dit qu’elle était à ses œuvres de piété, où il ne fallait pas l’interrompre, le pieux chevalier se rendit, et se mit avec les autres, au grand plaisir de Sancho, qui fit voir qu’il avait autant de faim que ceux qui étaient à jeun depuis tant de siècles.