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2. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »

Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. […] L’intérêt qu’il prenait dans la santé de Silvie ne lui permettait pas de demeurer longtemps sans en apprendre des nouvelles, et c’était lui qui envoyait l’hôtesse s’en informer régulièrement deux fois par jour. […] Il avait, comme j’ai dit, envoyé deux fois par jour savoir de ses nouvelles, et l’assiduité de l’hôtesse avait comme j’ai encore dit, donné du soupçon. […] Le comte Valerio était dans sa chambre auprès de lui, et sitôt qu’il eut jeté les yeux sur ce nouveau domestique qu’il reconnut malgré son changement d’habit et de teint : Quoi ! […] Il le manda à la marquise son épouse, mais elle ne reçut pas sa lettre sitôt que le duc de Médoc reçut des nouvelles de ceux du Conseil de Madrid, auxquels il avait écrit.

3. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »

On le fit monter à cheval, où il parut comme un nouveau Mars. […] Viennent à présent que j’ai mes bonnes armes qui me garantiront de blessures tous les chevaliers errants du monde, viennent Mores, Sarrasins, Espagnols et enchanteurs même ; je les défie encore de nouveau, et pardi je les embrocherai dru comme mouches ; donnez-moi seulement le temps de me bien remettre à cheval, après cela vous verrez beau jeu ; je ne remets la partie qu’après demain matin, et laissez-moi faire. […] Sancho passa encore toute la journée dans son lit où il but et mangea à son ordinaire, c’est-à-dire qu’il pensa se crever, en faisant raison le verre à la main à tous les gens du duc et du comte qui étaient venus le voir pendant la journée, si bien qu’il avait terriblement les dents mêlées le soir que toute la société vint le voir pour apprendre des nouvelles de sa santé. La belle Mademoiselle de la Bastide le fit souvenir de son défi pour le lendemain à tous les chevaliers, pour l’honneur de la comtesse, qui fit semblant de le prier de n’y point aller, et lui dit qu’elle lui avait assez d’obligation sans y ajouter celle-là, et qu’elle ne méritait pas qu’il s’exposât pour elle à de nouveaux dangers ; mais elle l’en pria d’une manière à l’y engager encore plus fortement ; aussi répondit-il qu’il ne manquerait pas à l’assignation.

4. (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)

La Fargue la sonda de nouveau, tout aussi inutilement que les autres fois. […] Leur riz est très bon, parce qu’il est nouveau & n’est point transporté. […] Celui de Balassor est tout nouveau. […] Le Mogol peut en créer de nouveaux ; mais il ne peut pas en dépouiller les anciens. […] Mais pourquoi cacher ces nouvelles qui nous auraient tous réjouis ?

5. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »

. —  Qu’y a-t-il de nouveau, ami Sancho ? lui demanda notre héros. —  Il y a, répondit l’écuyer, bien d’autres nouvelles ; un diable qui vous en veut, est tout fraîchement sorti de l’enfer pour vous persécuter ; le sage Parafaragaramus m’a ordonné de vous en avertir, et de vous dire de vous en défier. […] Il y a quatre jours que je suis sorti de l’enfer et que je le cherche partout pour le rouer de coups : mais il faut qu’il se cache, puisque je ne puis le trouver ni en apprendre des nouvelles. […] Eugénie promit encore de lui en donner des nouvelles le lendemain, après avoir parlé à son bon ami Parafaragaramus. —  Je voudrais bien, dit notre héros en parlant au duc, que Monsieur le bachelier que j’ai vu chez vous, et les autres incrédules, fussent ici pour voir s’il y a des enchanteurs ou non.

6. (1721) Mémoires

Comme la place n’était pas tenable, ils se firent annoncer de nouveau, et il leur fit dire d’avoir patience. […] Picon, sur la même affaire lorsque les nouveaux mémoires qu’il en devait dresser seraient en état. […] Il avait vu Hubert avec des papiers sur une table, ce fut encore un nouveau sujet d’inquiétude pour lui. […] J’ai été vingt-quatre ans dans la marine, j’en peux dire des nouvelles. […] La mort de M. de Boucherai qui arriva ouvrit à la marquise une voie de se défaire avec honneur de M. de Pontchartrain et d’élever son nouveau favori.

7. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »

Don Quichotte qui vit cet empêchement les remercia de leur bonne volonté, et leur dit que c’était une aventure qui lui était réservée, et qu’en peu de temps il leur promettait de leur faire savoir de ses nouvelles ; après cela il se recommanda tout haut à Dulcinée et entra brusquement dans la caverne. […] Il allait à ce prétendu corps pour lui lever le haubert et l’armet afin de le voir au visage ; mais il en fut empêché par un nouveau spectacle. […] En même temps il fit semblant de faire de nouvelles conjurations, et le haut de la voûte s’ouvrit en trois endroits par où la fumée sortit comme par autant de soupiraux. […] En effet, il ne se trompait pas ; car Minos ayant fait semblant de recueillir les voix, se mit gravement sur son siège, et prononça hautement la sentence qui condamnait le pauvre écuyer à être de nouveau fustigé.

8. (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »

Je ne vous questionnerai point, ajouta-t-il, sur votre santé, je m’aperçois qu’elle est bonne ; mais vous voulez bien que je vous demande des nouvelles de ma famille. […] Je ne sais rien que le public ne sache, dit Des Ronais ; mais Dupuis qui doit venir ici vous en dira de nouvelles certaines, car ils n’ont jamais rien eu de secret l’un pour l’autre, et leur confidence a duré jusqu’à sa mort, qui est encore toute récente. […] Je ne m’étonne pas de ne vous voir pas demander de ses nouvelles, vous en savez de plus certaines que nous : cependant vous ne nous avez point empêchés de porter nos conjectures jusqu’à la vérité, par une lettre qu’elle lui écrivit environ six mois après son départ et le vôtre.

9. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »

J’eus des nouvelles de Paris toutes différentes, Clémence m’écrivit que Madame d’Ornex sa sœur était morte, maudissant père et mari, qu’elle n’avait jamais voulu voir qu’une heure avant sa mort, et qu’elle qu’on avait envoyé quérir dans son couvent, était chez son père. […] Je montrai ces nouvelles à Clémence ; je la priai de souffrir encore quelque temps la mauvaise humeur de son père. […] Ces nouvelles la rendirent malade, je ne le sus qu’après mon éloignement, qui ne me fut pas fort sensible. […] J’y fus plus de trois mois sans avoir aucune de ses nouvelles. […] Je ne m’emporterai point contre vous dans des plaintes inutiles, le peu de soin que vous avez eu de moi depuis trois mois que vous ne m’avez pas même fait savoir de vos nouvelles, m’a jeté dans le désespoir où je suis.

10. (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)

Il y en avait un qui marquait au front les nouveaux baptisés afin que personne n’en fût exempt. […] Messieurs Du Quesne, de Chamoreau, de Quistilly et les autres de la grande table l’ont trouvé si bon qu’à peine en puis-je dire des nouvelles. […] C’est un des petits bâtiments qui servent aux Hollandais à aller de comptoir en comptoir le long de la côte porter et rapporter des marchandises et des nouvelles. […] Il va bien à la voile, et ces petits bâtiments-ci sont d’un grand secours quand ce ne serait que pour porter et rapporter des nouvelles. […] Point de nouvelles.

11. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »

Autre sujet, comme vous voyez, de nouvelles réflexions. […] Il était de mon destin de lui trouver tous les jours des charmes nouveaux. […] Y a-t-il encore quelque chose de nouveau, interrompit Madame de Cranves ? […] Le moyen de cacher à ma mère mes nouvelles résolutions, si opposées à celles que je lui avais témoignées ? […] Ce ne fut point d’elle que je reçus les premières nouvelles de Paris.

12. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »

. —  Je n’ai jamais lu, reprit Don Quichotte, que pareille aventure soit arrivée à chevalier errant ; mais mon enfant, il arrive tous les jours des choses nouvelles et surprenantes, aussi ne devais-tu pas entrer dans l’hôtellerie, ni quitter le champ de bataille, non plus que ton cheval, parce qu’un bon chevalier doit toujours être en état. —  Ah pardi je vous tiens, interrompit Sancho, la pelle se moque du fourgon ; médecin guéris-toi toi-même ; t’y voilà, laisse-t’y choir ; à bon entendeur salut. —  Que veux-tu dire, lui demanda Don Quichotte, avec tes proverbes entassés l’un sur l’autre ? […] Don Quichotte embarrassé de ce que le nouveau chevalier venait de lui dire, prit un ton plus bas que celui de pédagogue ; Eh bien, San-cho, lui dit-il, il faut t’en consoler, puisqu’il n’a pas tenu à toi de faire autrement. —  Je m’en console aussi, reprit Sancho ; mais… —  Quoi, mais… ?

13. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »

Nouveaux exploits des deux chevaliers. On a dit ci-dessus que comme le duc de Médoc était parti de chez lui sans dire à la duchesse ni où il allait ni pourquoi il sortait, ne le voyant point revenir le soir, elle s’en enquit ; et quelqu’un de ses domestiques lui ayant dit qu’il était allé chez le comte Valerio, où étaient Don Quichotte et Sancho, elle ne s’en mit pas plus en peine ; mais la journée du lendemain étant passée sans le voir revenir, et sachant d’ailleurs qu’il avait encore envoyé chercher du monde, elle crut que c’était quelque nouveau divertissement qu’il se donnait aux dépens de nos aventuriers, et voulut en avoir sa part.

14. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »

La défense que Parafaragaramus lui avait faite de chercher de nouvelles aventures, avait aussi quelque part à sa tristesse. […] Les deux chevaliers, après avoir d’autant plus bu qu’ils s’imaginaient que chaque goutte ajoutait un nouveau degré de haine à leurs sentiments, se reposèrent sur l’herbe, et commencèrent à s’entretenir de la tranquillité qu’ils venaient de se procurer.

15. (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)

Votre lettre m’offrait à tout moment un nouveau chagrin. […] Je reviens encore à Pythagore, et vas me servir des nouveaux systèmes des astronomes. […] Mais, de quelle manière faire passer cette âme dans un autre monde pour y animer un nouveau corps ? […] Il descendait pour s’en retourner lorsqu’il a été arrêté par un nouveau spectacle. […] Je lui ai dit en riant que je n’en étais plus le maître, et qu’il fallait qu’il les demandât à notre nouveau capitaine.

16. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »

Don Quichotte était retourné au château où le nouveau chevalier s’était fixé, et croyant, comme il n’entendait personne, quechacun était endormi, il prit sa lance sur son bon cheval après avoir mis dessus une grande housse rouge pour le déguiser, et sortit sans trouver personne. […] Don Quichotte ne se le fit pas répéter, et obéit avec une soumission profonde, et passa directement sous les arbres où les ducs et les autres étaient cachés, et sa confusion leur donna un nouveau sujet de rire.

17. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »

La colère me donnait des ailes ; j’y fus en trente heures, et sans me reposer, je fis chercher cet homme partout où je pouvais en apprendre des nouvelles, je n’en pus rien découvrir. […] Cela vaut fait, reprit Des Frans, et dès aujourd’hui vous en saurez des nouvelles. […] Si vous voulez me le permettre, j’irai tout présentement ; et à mon retour je vous en dirai des nouvelles certaines en soupant. […] Il faut le voir, ce nouveau Mars. […] Eh bien, lui dit-il, dès qu’il le vit, avez-vous de bonnes nouvelles à me dire ?

18. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »

Ils me prirent au commencement pour un nouveau débarqué. […] M’avez-vous fait savoir de vos nouvelles ? […] Je lui demandai des nouvelles du gibier et du négoce. […] Après cela nous redoublâmes nos caresses, qui étaient toujours nouvelles pour nous. […] Il y avait plus de huit jours qu’elle était éclipsée, lorsque nous en apprîmes les premières nouvelles.

19. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »

Il fut en effet quelques jours sans lui rien dire de fâcheux ; mais un jaloux est un animal qui par la suite des temps ne se fierait pas à l’anneau de Hans Carvel, il lui faudrait tous les jours quelque chose de nouveau qui piquât et qui réveillât sa folie. […] Quoi qu’il en soit, il fit lui-même apporter un lit pour Julia dans la chambre de Célénie, et sans vouloir ni lui parler, ni qu’elle ouvrît la bouche, il emmena avec lui la fausse Julia, à qui il fit encore de nouvelles leçons de vigilance, et partit. […] C’est à vous à m’aider à le supporter, à l’adoucir par votre présence, à le dissiper par vos bonnes consolations si vous m’aimez pour moi-même ; mais si vous ne m’aimez que pour vous, épargnez-moi par votre retraite les rudes combats où vous m’engageriez ; soutenez ma patience si vous voyez qu’elle s’affaiblisse, n’attaquez plus ma vertu, ou souffrez que je me défasse de vous à quelque prix que ce soit, puisque je ne regarderais plus en vous qu’un nouveau persécuteur. […] Ces quatre jours devaient être employés à se faire leurs adieux, et à tâcher de découvrir quelque moyen pour se donner de leurs nouvelles l’un à l’autre ; et c’était à quoi il trouvait mille difficultés, parce que Célénie ne pouvait parler à qui que ce fût de dehors, et qu’il ne lui était pas permis d’écrire.

20. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »

Fort peu de gens passent à une heure si indue, et outre cela, je regarderai si vous y serez ou non : c’est ainsi que vous aurez de mes nouvelles. […] Ainsi je n’entrais jamais dans cette chambre en présence de mon laquais, et jamais que ma femme n’y fût ; et tous les jours j’allais chez cet homme, sous prétexte de nouvelles écritures. […] La hauteur des seigles qui venaient jusques à la tête, et qui même la passaient, la solitude où nous étions, et l’amour que j’avais pour elle, m’offrirent un nouveau plaisir à la caresser sur l’herbe. […] Je lui offris ma bourse, et ne parlai à sa fille devant elle, que pour m’informer des nouvelles de la société. […] Elle recommença sur nouveaux frais, et je vis le moment qu’elle allait me sauter aux yeux, et me dévisager : elle n’en fit pourtant rien.

21. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »

Il me parut que ma présence ajoutait un nouveau lustre au sacrifice, et ne voyant là que des objets chagrinants, je n’en soutins pas longtemps la vue ; je pris le parti de me retirer, bien en peine de ce qui pouvait causer un si prompt changement. […] Ce mépris fut un nouveau coup de poignard pour moi ; mais comme je me rendais justice, je ne me rebutai point. […] L’agréable Française interrompit elle-même sa narration dans cet endroit, pour faire connaître à ses auditeurs qui était la marquise, et le péril où était son époux à Naples, et la reprit pour dire que dans le temps même que Sainville était avec elle il lui mandait qu’on l’avait de nouveau resserré, et qu’il n’y avait point de temps à perdre pour le tirer du danger où il était.

22. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »

Les Français, les Espagnols et ces nouveaux venus, qui n’avaient point paru aux yeux de nos aventuriers, tinrent conseil sur ce qu’ils avaient à faire pour parvenir aux fins qu’ils s’étaient proposées. […] Après cela tous ces nouveaux venus prirent congé et allèrent au château de Médoc faire tout mettre en état pour la réception qu’on avait préméditée.

23. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »

Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public.

24. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »

Ils y allèrent, et elle leur représenta de nouveau l’étrange situation où elle était, à cause des entreprises et de la mort de ses beaux-frères.

25. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »

Aussitôt qu’il fut parti, notre héros avait été se promener, et du parc de Valerio était entré dans la forêt, dans l’intention d’observer si le nouveau chevalier exécuterait bien toutes les cérémonies de l’Ordre : il l’avait cherché fort longtemps, et n’avait garde de trouver en faction un homme qui était au cabaret.

26. (1713) Les illustres Françaises « Préface. »

Tous les incidents en sont nouveaux, et de source : du moins il ne m’a point paru qu’ils aient été touchés par personne.

27. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »

Je vous quitte, mais je reviendrai tous les jours apprendre de vos nouvelles, et de celles de votre mère. […] Il eut soin de la fournir de beau linge, de coiffures, de dentelles, et enfin de tout ce qu’un homme peut acheter pour une fille ; et le tout étant très beau, cela lui donna un nouveau lustre. […] Ils avouèrent que les querelles qui en provenaient étaient un nouveau sel au raccommodement, mais ils convinrent que quelque plaisir qu’on eût de se raccommoder, il n’égalait pas les peines qu’on souffrait quand la brouillerie était sincère.

28. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »

— Qu’y a-t-il donc de nouveau ?

29. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »

Les voilà toutes écrites, poursuivit-il en lui montrant un gros livre ; mais comme le temps me presse, je ne t’en citerai qu’une, parce qu’elle est grave et qu’elle était contre les intérêts de ton bon maître et bienfacteur, et contre la princesse Dulcinée, qui a été privée par ta négligence de la consolation qu’elle aurait eue et qu’elle attendait de recevoir des nouvelles de son chevalier : fus-tu seulement la chercher ?

30. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »

Il ne manqua pas dès le lendemain d’aller seul dans ce nouveau logis.

31. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »

Cependant le duc de Médoc avait reçu des nouvelles de Naples, qui lui apprirent que le marquis en était parti pour se rendre à Madrid suivant les ordres de la Cour.

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