Je retourne à Pondichéry. […] Voici ce que deux Français ont vu à Pondichéry. […] Et, en effet, c’est de là qu’on envoie les marchandises à Pondichéry. […] J’ai vu la mère, qui est à Pondichéry avec M. […] Je ne l’ai su qu’à Pondichéry : sans cela, je l’aurais dit plus tôt.
Martin, nom pareil à celui du général des Français à Pondichéry, où nous allons ; et tous deux catholiques romains : je ne les connais ni l’un ni l’autre, quoique tous deux soient parisiens comme moi. ) Cela fait que chacun remplit exactement ses devoirs, tant par la crainte des châtiments que par l’espoir des récompenses ; et on n’en a point encore vu aucun qui ait trahi les intérêts de cette sage Compagnie.