Mr Hurtain a gardé le lit aujourd’hui. […] Monsieur Hurtain empire à vue d’œil. […] Monsieur Hurtain est fort mal. […] Monsieur Hurtain décline. […] Monsieur Hurtain est à l’agonie.
Août 1690 [suite] Du samedi 12 août 1690 J’écris, sur les dix heures du matin, pour dire qu’après avoir bien chanté Noël, Noël est enfin venu ; c’est-à-dire que nous sommes à l’ancre devant Pondichéry. L’endroit me paraît beau ; mais je n’y vois point de fort. On dit pourtant qu’il y en a un. Quand j’aurai été à terre, je dirai comme il est fait. Car si j’ai quelque temps à moi, de quoi je ne doute point, j’en lèverai le plan, j’irai voir les pagodes, & j’obéirai à ma curiosité le plus qu’il me sera possible.