Quand j’aurai été à terre, je dirai comme il est fait. […] Nous voyons encore la maudite terre de Balassor. […] Cela est un signe de la proximité de la terre, & on s’en défie. […] Ce sont les dernières terres du Pégu, du côté de la bande du Sud. […] Il a été enterré, ayant été mis à terre à cause de sa maladie.
Traître, disait-elle, n’est-il pas temps que tu me laisses retourner sur terre, après avoir été un nombre infini d’années ensevelie toute vive ? […] Don Quichotte aurait bien voulu prendre son cheval, mais voyant qu’il lui était impossible de le faire passer, il mit pied à terre et sauta dans cette fosse. […] Il t’avait permis d’attaquer ce chevalier sur terre à armes égales, et quand il est en disposition de combattre contre toi, tu te rends invisible, de peur d’en être vaincu. […] Ayant dit cela ce fantôme rentra en terre, toute la lumière disparut, et on ne voyait goutte que par les éclairs que jetaient les nuées. […] Il ne jeta pourtant pas un cri, par la raison qu’outre la bourse qui était à terre et qu’il regardait comme la fin de ses travaux, il voyait de ses yeux l’enchantement de Dulcinée se dissiper peu à peu.
Combien de gens par toute terre voudraient être quittes de leurs cancers ? […] J’avais entendu la messe à bord, avant que de descendre à terre. […] qui en effet voudrait s’emparer d’un bien dont peut-être il ne jouirait pas à terre ? […] Nous avons côtoyé les terres du Cap, pavillon français à poupe. […] Les terres sont plus propres au seigle.
Mons[ieu] r Colbert savait comme lui que l’argent dispersé à propos dans un pareil sujet était du grain en terre qui rapportait au centuple, tant pour le profit du laboureur que pour celui du maître de la terre où ce grain est porté. […] Paul Simon dit Bourvalais est de l’ordre de Melchisedec on ne lui connaît sur terre ni père ni mère. […] La terre est existante, cela est déjà certain. […] Le Roi avait donné à la compagnie quarante lieues d’étendue de terre sur les côtes sur une profondeur non limitée. […] Sa raison fut qu’il fallait que la terre n’en valut rien puisque les Jésuites et les Gascons l’avaient abandonné[e], et qu’une terre était assurément maudite quand ces sortes de gens n’y trouvaient pas à paître.
Le cocher était étendu par terre, le postillon et trois valets de pied fuyaient à travers champ, en criant de toute leur force : celui qui n’était que blessé était à terre, où étant plus mort que vif, il n’osait branler ni ouvrir la bouche. […] Son cheval fut blessé d’un coup de pointe au poitrail, et n’étant pas accoutumé d’être piqué dans cet endroit, il se cabra, et jeta le pauvre écuyer sur sa croupe, et de là à terre. […] Tout désarmé qu’il était, il ne perdit pas le sens, et prit un palonnier qui était à terre, et s’en servit comme d’une massue si à propos, qu’il en assomma un des bandits qui faisait tête à Don Quichotte, et cassa les jambes de celui qui avait son épée, qu’il reprit tout aussitôt, et la lui passa dans la gorge. […] Il avait mis pied à terre pour aider à la duchesse à descendre de carrosse, et Sancho n’était point encore remonté sur son cheval, lorsque la duchesse, qui s’informa du duc son époux, ayant appris qu’il était lui-même dans la forêt à la quête des bandits, en eut une vive douleur, craignant qu’il ne s’en trouvât quelqu’un assez déterminé pour aller à lui, comme il en était venu à elle, et cherchant dans sa tête le moyen de le retirer d’un lieu où il courait tant de péril, elle n’en trouva point de meilleur ni de plus facile, que celui de faire tirer plusieurs coups de mousquet, ne doutant pas qu’il ne vînt au feu, comme en effet elle ne se trompa pas.
lui dit-il entre autres choses, toi dont la sagesse et la prudence connues par toute la terre sont cause que je t’ai pris en amitié, tu t’offenses sur une simple parole générale, lâchée sans aucun dessein de t’offenser ? […] A ce mot le satyre alla à trois pas faire des gambades, et Sancho voyant tout d’un coup sortir à côté de lui une flamme subtile et bleue avec beaucoup de fumée, recula en tremblant, et la terre s’ouvrit sous les pieds du satyre, qui fondit, et la fumée se dissipant, le chevalier vit une table paraître couverte de belles serviettes, d’une belle nappe, d’assiettes et de plats d’argent, d’un poulet d’Inde en compote, d’un autre à la daube, de pâtés, de jambons, et de quantité d’autres viandes froides ; en un mot un service complet où rien ne manquait ; et pour la boisson, il vit retirer de dessous la table douze grosses bouteilles de vin, et des sièges. […] Il ordonna aux satyres de servir et de rester ; et sans que Sancho occupé à déjeuner, songeât davantage à lui, il se perdit entre les arbres, où les Français crièrent qu’ils venaient de le voir tout d’un coup fondre en terre. […] Les satyres qui avaient soin de la table, la firent disparaître tout d’un coup avec ce qui était dessus ; elle rentra en terre comme elle en était sortie, presque aux pieds de nos braves, qui ne virent à sa place qu’une noire et épaisse fumée. […] Le comte du Chirou qui avait imaginé le tour, avait fait faire une fosse comme une manière de cave, dont la terre était soutenue par des poutres appuyées sur des pieux, au-dessus de quoi on avait mis des planches qu’on avait couvertes de gazon, et on y avait laissé une espèce de trappe, qui portait sur quatre cordes, ou plutôt sur deux cordes croisées, qui répondaient à quatre poulies, et on avait attaché aux extrémités de ces quatre cordes qui soutenaient cette trappe des poids d’égale pesanteur, en sorte qu’il n’y avait qu’à lâcher les poids pour faire tout d’un coup monter la trappe au niveau de la terre ; et afin que Don Quichotte et Sancho ne s’aperçussent pas de ce qui se faisait dans le fond de cette cave, en mettant dessous le gazon la table garnie, et l’ôtant lorsqu’on la faisait disparaître, on avait mis par tout le haut de la poudre à canon délayée avec des mixtions pour en faire un feu d’artifice qui parût en même temps un feu vif, et qu’il en restât pourtant une fumée épaisse.
Ils avaient résolu de te faire roi ; mais tes mœurs sont trop simples pour gouverner des hommes aussi corrompus qu’ils le sont à présent ; reste dans le premier endroit où tu te trouveras sur terre, et n’y pense qu’à te divertir, à te promener, et à te bien nourrir ; en un mot, vis dans un état tranquille, et abandonne pour toujours la Chevalerie errante, parce qu’elle te serait désormais infructueuse et déshonorable, et que tu verrais ternir l’éclat de tes grandes actions en périssant mal. […] Après quoi Dulcinée lui promit d’aller le remercier sur terre partout où il serait, et notre héros lui promit de la conduire dans tel endroit qu’elle voudrait se retirer. […] La princesse Dulcinée fut conduite dans la chambre qui lui était destinée ; et Balerme, Durandar, Montésinos, Merlin et Parafaragaramus conduisirent nos aventuriers dans celle qu’on leur avait préparée, et qui était d’une magnificence achevée : l’or et l’argent y brillant partout ; les glaces, qui en faisaient la tenture, rendaient la lumière qu’elles recevaient de deux lustres d’argent, chargés de vingt-quatre bougies, dont la réflexion était si vive qu’il était impossible d’y jeter les yeux sans être ébloui ; deux lits de brocard d’or avec leurs housses traînantes jusqu’à terre, garnies d’une grosse frange d’or à campanes, en faisaient l’ornement, et étaient accompagnés de deux fauteuils dorés, garnis comme les lits, et d’une table qui paraissait d’argent massif, qui tout ensemble faisaient à la vue un effet tout agréable. […] Le chevalier le prit après quelque difficulté en lui baisant la main et en mettant un genou à terre.
La contenance hardie de Deshayes et de son valet, arrêta tout court les bandits ; mais Deshayes voyant que deux s’étaient éloignés, et rechargeaient leurs pistolets pour venir fondre sur lui, n’hésita plus ; il alla à eux, et les choisissant, il les jeta tous deux à terre, et son valet en fit mal à propos autant. […] Les questions qu’ils leur firent donnèrent le temps à notre héros de les joindre ; il était trop colère pour songer à autre chose qu’à la vengeance ; il déchargea un si furieux coup de son épée sur la tête de celui qui tenait Eugénie, qu’il le renversa tout étourdi, et la comtesse tomba à terre aussi bien que lui. […] Il mit pied à terre pour soulager la comtesse, et dans ce temps-là le duc d’Albuquerque, qui était sorti de son carrosse, parut, et peu après lui la belle Dorothée, qui lui criait de ne se point mêler dans une affaire où il n’avait aucun intérêt.
Après quoi elles fatiguèrent tellement son écuyer à danser, qu’elles le firent tomber à terre de lassitude. […] Ils virent à leurs yeux sortir de terre une table parfaitement bien couverte, et un buffet fort riche, dont les nappes traînaient plus bas que le plancher. […] Notre héros s’enquit de la bataille de Roncevaux, et ils lui répétèrent tout ce qu’il en avait déjà lu dans ses romans, et eux s’enquirent à leur tour de ce qui était arrivé sur terre depuis leur enchantement.
L’affaire que Mademoiselle de Vougy avait entreprise pour son parent, était pour un chemin qui avait été reculé par un fermier de Madame de Contamine, et jeté sur les terres du cousin de cette demoiselle. Son prétexte était que ce chemin était plus court et plus droit : mais en effet c’était une entreprise de ce fermier, qui voulait chagriner ce gentilhomme, et augmenter d’autant le revenu de sa terre. […] Que même vous l’aviez obligée de céder une pièce de terre plus à la bienséance de mon parent ; ainsi c’est à vous, Monsieur, à qui je dois rendre grâce d’avoir réussi. […] Elle mit pied à terre dans cette maison, qui était dans son chemin ; elle la vit et l’examina ; cherchant à se souvenir de l’endroit où elle l’avait vue. […] Mademoiselle de Vougy a ordre de vous en assurer, et de vous répéter ce que cette princesse a fait pour vous, qui est assurément l’action d’une sainte, et qui mérite l’admiration de toute la terre.
Elles furent néanmoins extrêmement faussées, et la violence de cette charge fut si forte, que nos deux chevaliers en perdirent la respiration, et furent renversés sur la croupe de leurs chevaux, et de là glissèrent à terre. […] En disant cela il mit pied à terre, alla à eux, et s’approchant d’un dont l’épée était cassée, lui passa la sienne dans le corps. […] Sancho l’ayant rejoint lui fit rapport de sa bonne fortune, et il lui dit, qu’il ne savait pas combien il y avait d’argent dans le sac : mais qu’il était bien lourd. — J’en ai de la joie, lui dit Don Quichotte, cela t’appartient de bonne guerre. — Non pas à moi seul, Monsieur, lui dit le fidèle écuyer, car c’est celui que vous avez tué. — Nous parlerons de cela une autre fois, ami Sancho, lui dit-il, toujours puis-je te dire, que je te sais bon gré de ton bon cœur, et je te donne le tout, à condition que tu ne me diras plus que nous faisons le métier d’archers ou de sergents : , cependant donne-moi à boire un coup, je t’avoue que j’ai soif. — Et moi faim et soif, reprit Sancho ; mettons pied à terre, mon cher maître. — Non, non, dit Don Quichotte, il faut voir la fin de l’aventure.
Cependant Sancho plus mort que vif, était presque prêt de fuir, et l’aurait peut-être fait, sans la ficelle qu’on avait mise à terre, et que des laquais cachés derrière des arbres tirèrent en même temps ; elle le prit par les jambes qui lui tremblaient déjà, et le fit tomber sur le cul et le dos, les pieds en l’air du côté de l’enchanteur. […] L’enchanteur revint à lui, et le jeu lui plaisant, il lui donna de sa peau d’anguille un si grand coup au travers les reins, qu’il le rejeta encore une fois à terre, en frappant sur les fesses que Sancho découvrit pour se lever appuyé sur ses mains ; il lui fit plus de contusions sur cette partie, que le chevalier avait fort potelée et charnue, et en même temps plus de douleur que la dragée ne lui en avait jamais fait. […] Sancho moulu de coups ne laissa pas de se lever et de le suivre la massue sur l’épaule ; mais à son grand étonnement il le vit tout d’un coup abîmé dans la terre et disparaître à ses yeux, ne laissant après lui qu’une grande flamme qui s’évanouit dans le moment, et qui fut suivie d’une noire et épaisse fumée qui sentait bien fort le soufre.
Comme ils en étaient là, le carrosse arriva au logis, où ils mirent pied à terre. […] Mais vous, interrompit Des Frans, en s’adressant à lui-même, comment l’avez-vous approfondi ce mystère que je croyais ignoré de toute la terre ?
Après cela Sancho voulut ramasser l’autre bourse qui était à terre ; mais un démon qui n’avait encore rien dit, fut plus subtil que lui, et s’en saisit promptement, et s’adressant à Pluton il lui demanda audience. […] Il y fut assis à plat de terre, et là chacune l’une après l’autre, en tournant autour de lui de sa gauche à sa droite, lui appliquèrent un soufflet de toute leur force.
Sitôt que nous roulâmes sur la terre avec moins de bruit, je le priai de me dire ce qu’il m’avait promis. […] Oui, continuai-je, en me jetant à ses pieds, c’est ici que j’espère me dire que je serai le plus heureux de tous les hommes, en possédant ce que toute la terre a de plus aimable. […] Une petite pluie qu’il avait fait le matin, avait abaissé la poussière, et rendait la terre ferme. […] Il était à ma discrétion : je le retins l’épée dans les reins sur terre, sans qu’il osât ni crier ni remuer. […] Je ne suis sorti de chez eux, que lorsqu’on m’a vu assez remis pour ne rien craindre de féroce de ma part ; mais bien loin de revenir à Paris, j’ai été en Normandie à une terre de Monsieur de Querville, mon beau-frère, dont je ne suis revenu que depuis huit jours.
Le temps était extrêmement sombre ; on ne voyait ni ciel ni terre. […] J’étais prêt à conclure lorsque je reçus des nouvelles qui m’apprenaient, que le feu s’était mis dans la maison seigneuriale d’une assez belle terre que j’ai en Poitou, qui est presque tout ce qui me reste de défunt mon père. […] Je n’étais point en état de reposer ; je retournai sur mes pas à ma terre. […] Je lui avais donné un pouvoir pour prendre tout ce qu’elle voudrait d’argent d’un nouveau fermier que j’avais, et qui promit par écrit, de lui donner jusqu’à la valeur du revenu de ma terre. […] Enfin nous arrivâmes à ma terre, où la première nouvelle que m’apprit mon fermier fut que Silvie était morte il n’y avait que deux jours.
Votre patience à souffrir ne servira qu’à le rendre plus intraitable et à l’aigrir ; et ce ne sera pas par cette voie-là que vous le remettrez dans son bon sens ; plaignez-vous une fois en public, faites connaître à toute la terre ses extravagances, et vous en serez délivrée : Madame votre mère vous l’a conseillé, toute la terre vous le conseillera, et toute la terre vous prêtera la main pour cela ; pouvez-vous prévoir à quelles extrémités sa folie le portera ?
Le lendemain étant à table tous trois avec encore d’autres gens de leur connaissance, elle demanda elle-même à Justin la permission d’aller passer quelque temps à une terre de son père, à plus de vingt lieues de là. […] Ils n’y furent pas longtemps, que Silvie y arriva aussi dans un carrosse de voiture, comme si elle venait de plus loin, et ce carrosse fut renvoyé sitôt qu’elle eut mis pied à terre.
Le malheureux qui avait le corps roué des saccades de sa monture, mit pied à terre du mieux qu’il put, transporta son bagage sur son bon cheval, et monta sur Flanquine, qu’on délia sitôt qu’il fut dessus. […] Enfin Altisidore se jeta sur son lit, et Sancho qui croyait de bonne foi y aller prendre sa place se mit en devoir de la suivre ; mais le lit fut tout d’un coup élevé au haut du plancher où il se perdit, et Sancho qui était à moitié dessus lorsqu’on l’avait enlevé avait été poussé à terre, où il avait fait une rude chute dont il fut relevé par quatre figures d’anges vêtus de blanc et de bleu, ayant des ailes de même couleur.
Il se fâcha contre moi lorsqu’il eut mis pied à terre. […] Je n’en ris pas moi, je plongeai pour me nettoyer ; et coupant entre les bateaux, je vins prendre terre au-dessous des degrés. […] Je l’apportai chez Mademoiselle Récard, et le mis à terre. […] Que vous étant parti pour aller à votre terre, dont la maison seigneuriale était brûlée, il avait profité de votre absence pour s’expliquer. […] Elle mit pied à terre à cent pas du logis, afin que le bruit de son carrosse ne fût point entendu.
Il envoya donc quérir des médecins et des chirurgiens, fit ouvrir le corps de sa femme ; et la mort s’étant trouvée naturelle, il prit leurs certificats, et la fit porter en terre. […] Je n’y ai point été pourtant, puisque je suis encore sur terre ; mais du moins je n’ai point été en enfer, puisque je suis resté dix-huit ans avec elle en purgatoire, où j’ai fait pénitence de n’être pas mort. […] Je suis prête à lui déclarer mes sentiments quand il vous plaira, quoiqu’il ne les ignore pas, pour les lui avoir dits plus d’une fois : mais je les lui déclarerai encore devant vous et devant toute la terre s’il est besoin ; et dès aujourd’hui même, si vous voulez. […] Bientôt débarrassé des troubles de la terre, Et bientôt au nombre des morts, Je ne me verrai plus dans l’esprit et le corps Contraint de soutenir une éternelle guerre.
Dieu vous a ôté la vôtre, c’est une grâce qu’il vous a faite, et qu’il ne fait pas à mille honnêtes gens qui la lui demandent tous les jours ; vous devez l’en remercier, plutôt que de la porter en terre avec tant de chagrin.
Son maître prit le mousquet qui était à terre à côté de l’infortuné Sancho.
Le Français mit aussitôt pied à terre dans le dessein d’égorger son ennemi ; mais l’Espagnol se releva, et ils continuèrent à pied leur combat, qui fut fort opiniâtre.
Je me jetai dessus, j’en répandis une partie à terre, et je jetai le reste dans la cour. […] Reposez-vous du soin de votre vie sur la fidélité que je vous ai jurée : elle dépendra toujours de moi ; et si le malheur veut que nous soyons arrêtés dans notre fuite, je vous justifierai devant toute la terre.
. — Ce n’est pas d’aujourd’hui, reprit Don Quichotte, que cette sorte d’arme a paru sur terre ; et il me souvient d’avoir entendu dire, qu’un malheureux magicien ou enchanteur du genre humain, ayant apporté des enfers les premières qu’on ait jamais vues, le brave chevalier Roland les jeta dans la mer, d’où elles ont été depuis retirées par un moine allemand.
Nous changeâmes le dessein que nous avions eu d’aller en Angleterre, en celui d’aller à Avignon sur les terres du pape, où j’espérais faire des connaissances, puisque j’allais m’en approcher. […] J’ai emmené ma femme en province à une terre que j’ai, dont nous ne sommes revenus qu’avant-hier, afin de me faire recevoir à une charge que mes amis m’ont négociée.
Ayez soin de la baronne, et lui rendez tous les services que vous pourrez ; ne vous informez point où je suis, et si on vous le demande, dites que je suis à une de mes terres en province.