Ce libraire était de ma connaissance, et là sans affectation, nous traitâmes à fond de nos affaires. […] Une paire d’heures, des gants, une canne, une tabatière me tirèrent d’affaire avec les autres. […] Ne vous embarrassez pas de cela, me dit-elle, j’en fais mon affaire. […] Je restai avec eux, et enfin nous nous séparâmes pour aller à nos affaires, sans que je parlasse le premier d’en avoir. […] Je sais, comme vous voyez, beaucoup de vos affaires, sans que vous m’en ayez jamais rien dit.
L’affaire fut plaidée au Châtelet où les registres furent montrés. […] Le Camus où l’affaire fut décidée. […] Colbert, lequel ne pouvant aller chez le Roi pour lui rendre compte de quelque affaire l’y envoya. […] Picon, sur la même affaire lorsque les nouveaux mémoires qu’il en devait dresser seraient en état. […] Ce fut ainsi que finit l’affaire de M.
Cela me fit passer pour un homme fort modéré, incapable de se faire de méchantes affaires. […] Je ne craignais plus rien, mes affaires étaient nettes, et moi en état de rendre compte, et je voulais sortir de l’emploi. […] Si cette affaire-ci ne vous rend pas sage, vous ne le deviendrez jamais. […] Ce fut ainsi que des gens d’affaires et mon procureur fiscal me le persuadèrent. […] Je la priai d’avoir soin de mes affaires.
Sainville accepta avec plaisir la conjoncture, d’autant plus que ne pouvant pas se passer de valet de chambre, et que celui-là lui paraissait lui être propre, il crut que c’était une affaire faite. […] La belle veuve lui dit qu’ils ne s’étaient jamais parlé, et que tout ce qu’elle en pouvait savoir elle-même, n’était fondé que sur des conjectures de l’assiduité et de l’attachement qu’il avait eu de la suivre partout où elle allait, et de se trouver partout où ses affaires la conduisaient ; qu’en un mot ç’avait été son ombre pendant tout le dernier mois qu’elle était restée à Paris ; mais que ses chagrins et ses affaires l’éloignant de toutes sortes de compagnies, elle n’avait jamais fait semblant de s’apercevoir de ses assiduités ; qu’il était pourtant vrai qu’elle l’avait remarqué et distingué comme l’homme le mieux fait qu’elle eût jamais vu, et qu’elle n’avait pu s’empêcher de demander qui il était, et qu’ainsi n’ayant jamais vu autre que lui s’obstiner à la suivre, elle ne doutait pas que ce ne fût lui qui eût accompagné Deshayes. […] Les dames espagnoles avaient contracté cependant une étroite amitié avec les Françaises, et s’étaient mutuellement fait confidence de leurs affaires.
Je ne croyais pas offenser votre bon ami Parafaragaramus, lorsque j’ai porté la main à l’arme infernale qui m’a attiré tant d’affaires ; et pour ma langue, qui diable pourrait s’en choquer, puisque je ressemble à notre curé, qui ne sait pas lui-même ce qu’il veut dire quand il ouvre la bouche, et que je ne le sais pas non plus ? C’est à cause de cela, dit Don Quichotte, que tu devrais être plus retenu, car tu dis très souvent des choses qui pourraient t’attirer bien des affaires. — Eh bien, répondit hautement Sancho, qu’elles viennent à présent que j’ai mes armes, diable emporte qui les craint, ni personne du monde ; je les défie tous, et les enchanteurs les premiers, hormis Parafaragaramus. […] Mort non de diable, dit Sancho en colère, ces moines se mêlent toujours de ce qui ne les regarde point ; s’ils disaient bien leur bréviaire le diable ne leur soufflerait pas tant aux oreilles, et j’ai toujours ouï dire, que pour faire une maison nette, il n’y faut souffrir ni moine ni pigeon, parce qu’ils fourrent leur nez partout, de sorte que rien n’est bien fait s’ils ne s’en mêlent ; et puis quand ils sont une fois ancrés quelque part, ce n’est plus que des ouï-dire, il a fait par-ci, il a dit par-là, et boute, et haïe, et tous les diables en un mot s’en mêlent. — Cela ne te doit pas étonner, ami Sancho, lui dit Don Quichotte, ils sont seuls dans leur couvent nourris, comme dit le proverbe, comme des moines, sans affaires qui les embarrassent, et sans souci pour le lendemain. — Ajoutez donc, Monsieur, interrompit Sancho, sans femmes qui les fassent enrager et sans enfants à nourrir. — Comme tu voudras, reprit Don Quichotte, mais leur esprit voulant être occupé, ils sont presque forcés de l’employer au premier objet qui se présente à leur imagination. — Et voilà justement ce qu’on ne devrait pas souffrir, dit Sancho, car ils ne doivent se mêler que de prier Dieu, et ne point tant s’embarrasser des affaires du monde, puisqu’ils y ont renoncé et qu’ils n’y sont nullement nécessaires, à ce que j’ai ouï dire par des docteurs de l’université d’Alcantara.
Non, répondit Des Frans, je vous supplie de m’en dispenser ; et croyez qu’il faut que des affaires d’honneur et de conséquence m’appellent ailleurs, puisque je romps si promptement visière à la civilité, en ne vous tenant pas compagnie. […] Je vous dirai une autre fois ce que c’est ; pour le présent, poursuivit-il, parlons d’autres affaires. […] Il connut pourtant bien ce qui en était, continua Dupuis : je suis plus informé de vos affaires que vous ne pensez, mais ne craignez rien, votre secret n’est su que de moi, et ne le sera jamais d’autre sans votre aveu.
Cette demoiselle fut obligée d’aller chez Madame de Contamine, pour une affaire qu’un de ses parents avait avec elle, et qu’il lui avait recommandée. […] L’affaire méritait bien qu’ils se parlassent en particulier : ils le firent dans le jardin où ils entrèrent malgré le froid qu’il faisait. […] Il lui dit qu’il venait savoir d’elle à quelle heure la princesse pourrait venir la voir, pour une affaire qu’elle ne pouvait communiquer qu’à elle-même. […] Je voudrais bien savoir moi, de quelle manière Mademoiselle Dupuis se tirera d’affaires. […] Ils parlèrent d’affaires, Des Frans les informa de ce qu’il avait fait avec ses parents, et de la résolution où il était de s’établir.
Elles ont eu effectivement quelques affaires qui ont tourné à leur avantage. […] Nous nous étions promis de nous épouser ; mais comme il ne me cache rien de toutes ses affaires, et qu’il sait toutes les miennes, nous nous sommes rendus notre parole sans cesser notre commerce. […] Ainsi, Madame, toute réflexion faite, nous avons résolu ensemble de lui trouver un bon parti avant que le désordre de ses affaires parût, tant pour rétablir sa maison que pour fournir à nos plaisirs, car nous n’avons point pour cela renoncé l’un à l’autre. […] Elle se fit si blanche aux yeux de cet homme vertueux, qu’il alla la voir le même jour qu’il entreprit de la tirer d’affaire. […] Ils revinrent à Paris pour faire de l’argent et mettre ordre à leurs affaires ; et la marquise, dont j’ai l’honneur d’être parente de fort proche, m’ayant fait connaître qu’elle souhaitait que je fusse de la partie, et y ayant consenti, nous montâmes en carrosse quatre de compagnie, c’est-à-dire la marquise, Sainville, une femme de chambre et moi, et nous partîmes quatre jours après le départ de Silvie.
Je l’instruisis, et lui ayant fait prendre un justaucorps des livrées de Bernay, il me rapporta réponse telle que je la souhaitais… On avance bien plus ses affaires d’amour avec une cloîtrée, qu’avec une fille du monde. […] Tous les gens à qui j’en parlai, crurent l’affaire faite, elle ni moi ne le crurent pas. […] Mes parents furent étonnés de trouver dans moi un bon catholique au lieu d’un zélé huguenot ; mon changement de religion fit diligenter mes affaires. […] Je levai ma canne, et assurément je me serais fait des affaires dont je me repentirais encore, si mon valet de chambre plus sage que moi, ne m’eût arrêté. […] Puisque personne, reprit Des Frans, n’a aucune affaire pressée, je vais vous donner satisfaction : mais vous, notre ami, poursuivit-il en riant, parlant à Dupuis, n’en coûtera-t-il rien à votre amour pour faire les honneurs de chez vous ?
J’en suis fâché, repris-je, mais cela ne serait pas arrivé, s’il ne s’était mêlé que de ses affaires. […] Je me fiais à mon laquais, je l’avais vu dans des affaires tout aussi délicates. […] Il y a, dit-il, quelque circonstance dans l’affaire dont vous parlez qui pourrait en changer le fond. […] Il ne se cachait point de ses affaires de cœur, au contraire, il était le premier à en entretenir sa femme, et à en faire des trophées. […] Nous fûmes bientôt d’accord ; un rendez-vous termina l’affaire.
Je viendrai ici le matin et en ressortirai le soir, parce que j’ai quelques affaires qui ne me permettent pas de paraître pendant le jour, ni de rester chez un parent où je couche ; ainsi, dit-il, je ne vous incommoderai pas beaucoup, que pour aller me faire apporter à manger, et dès demain matin je viendrai prendre possession de votre chambre ; et en même temps il lui donna de l’argent pour arrhes. […] Il résolut de ne point du tout quitter son beau-père, et écrivit chez lui qu’on ne l’attendît point à dîner, ni même à souper, ayant des affaires qui le retiendraient chez Cléon toute la journée. […] Monsieur, lui dit-il en le retenant, et en lui montrant Justin, rendez grâces à Monsieur de la vie qu’il vous sauve ; car si vous aviez eu affaire à moi, ou qu’il ne vous eût pas accordé votre pardon, vous ne sortiriez d’ici que par la fenêtre avec cent coups de poignard dans le cœur.
Ce sont leurs affaires, de très grande conséquence pour eux, & sottise pour moi. […] Une bouteille de vin d’Espagne en a fait l’affaire. […] Il le mena déjeuner & s’informa de son affaire. […] Monicault connaissait trop l’aversion que ce maréchal avait pour les gens d’affaires pour douter de son entremise. […] Au surplus, l’affaire a été décidée en ma faveur.
Je ne vous en parlerai plus, ajouta-t-elle en me regardant fixement, mais demain vous verrez le moyen que j’ai trouvé pour finir tout d’un coup, et sortir d’affaire en un moment. […] Quoi, dis-je, ma chère enfant, c’est donc là ce moyen que vous avez trouvé pour sortir d’affaire ? […] Ce que je vous demande à présent, c’est de vouloir bien attendre ici ma chère maîtresse ; de ne point nous quitter que vous n’ayez vu la conclusion de notre roman et notre mariage, et de vouloir bien nous servir de témoin, si comme vous me l’avez dit, vous n’avez point d’affaires qui demandent si promptement votre présence. […] Je prends trop de part, lui répondis-je, dans une affaire aussi extraordinaire que la vôtre, pour ne pas souhaiter d’en voir la conclusion.
Mais on n’a pas tout ce qu’on demande dans le monde, et outre cela ce ne sont point mes affaires. […] Quand ils ont affaire de vous ils vous flattent ; ont-ils ce qu’ils demandaient ils disparaissent. […] Nous parlons quelquefois d’affaires sérieuses : il me fait la grâce de m’en entretenir. Il a de l’esprit beaucoup et parle des affaires du monde en politique raffiné, enfin c’est un homme au poil et à la plume. […] La diète m’a tiré d’affaires, je n’ai eu aujourd’hui ni frisson ni fièvre.
. — Eh bon, bon, interrompit Sancho, les femmes ont toujours été ce qu’elles sont, elles ont toujours fourré leur nez dans les affaires d’autrui. […] Je t’ai promis, dit Parafaragaramus à Don Quichotte, de t’ouvrir le chemin au désenchantement de la princesse Dulcinée, et je vais te tenir parole, et t’aider à en tenter l’aventure, si tu te sens assez de force et de courage pour cela ; en ce cas tu n’as qu’à me suivre et ton écuyer aussi, pour retrouver son argent, car l’un et l’autre sont en la puissance du sage Merlin qui doit commencer aujourd’hui à goûter un vrai repos en ne se mêlant plus des affaires du monde, pourvu que tu mettes à fin les aventures qui t’attendent, sinon il gardera les trésors dont il est en possession, jusqu’à ce qu’il se rencontre quelque chevalier plus heureux que toi.
. — Je n’aurai pas grande peine, lui répliqua Sancho, filles et femmes qui s’offrent perdent tout leur prix ; mais, Monsieur, c’est une diable d’affaire que l’amour dans le cœur d’une fille, il n’est qu’en dira-t-on qui tienne. […] Il va me chercher de l’eau à la fontaine pour laver mon linge, et à cause de cela on en dit du mal dans le village. — Un aveugle veut voir clair dans les affaires d’autrui, reprit la mère ; c’est la grosse Marie qui fait courir tous ces bruits-là, à cause qu’il ne lui fait plus les doux yeux, et qu’il ne va plus dormir dans sa grange.
Il connaissait assez la bravoure et l’intrépidité de notre héros, pour savoir jusques où son courage le porterait dans la forêt ; il prévoyait bien aussi que Sancho ne le quitterait pas d’un pas ; il aurait bien voulu ne les point exposer contre des bandits ; mais dans le fond, outre que Don Quichotte n’aurait pas trouvé bon que l’affaire se fût passée sans lui, le duc voyait bien qu’il lui serait d’un grand secours, et qu’après tout c’était la mort la plus glorieuse qui pût arriver à deux fous, que de perdre la vie en servant le public ; d’un autre côté il voyait bien que l’occasion serait chaude et de fatigue, et que les chevaux de nos aventuriers n’étaient point assez forts pour la supporter, ni leurs armes assez bonnes pour résister au mousquet et au pistolet ; ainsi il avait jugé à propos de les armer par cette voie étant bien persuadé que l’estime qu’ils feraient de leurs armes et de leurs chevaux, qu’ils croiraient tenir de la main d’un enchanteur, leur ami, les animerait davantage, et relèverait le courage, surtout de Sancho, qui lui paraissait abattu par la conversation qu’il avait eue avec Don Quichotte, et que lui et Parafaragaramus avaient écoutée.
Comme les chirurgiens le voyant hors d’affaire lui permirent l’usage du vin pour hâter son rétablissement, il demandait incessamment à boire, et trompant sa garde, qui n’osait en cela acquiescer à ses volontés, crainte d’une rechute plus dangereuse que la maladie, lorsqu’il pouvait s’emparer d’une bouteille de vin, il la suçait jusqu’à la dernière goutte.
Ensuite il voulut s’étendre sur ses louanges en particulier, et surtout sur la bonne grâce qu’elle avait à raconter quelque chose ; mais Don Quichotte prit la parole, et dit qu’il laissait le soin à Monsieur le duc des affaires de la marquise et de Silvie auprès du roi d’Espagne, mais qu’il se chargeait de les garantir des bandits, et qu’il irait les accompagner jusqu’à Madrid.
Il leur avait à tous refusé cette complaisance en leur faisant comprendre que l’entière exécution du dessein et sa réussite dépendaient uniquement de la diligence ; parce que si on donnait le temps à quelqu’un de ces scélérats de s’échapper ou de s’éloigner, il serait après leur fuite impossible de sauver la réputation de Don Pedre et celle d’Octavio, et par conséquent celle de Valerio ; ce qui était vrai ; ainsi il leur avait si résolument dit qu’il voulait que l’affaire fût terminée dès le lendemain par lui-même, qu’on avait été obligé de le laisser faire comme il voulut, et d’une manière dont il est sorti à son honneur, avec l’aide de nos deux chevaliers.
Sont-ce tes affaires ? […] Rendons-leur justice : elles font des traités pour le bien de leurs affaires : elles y suivent le droit civil ; mais le plus fort les explique par le droit canon. […] D’ailleurs, ce ne sont point mes affaires : je sais ce que c’est ; mais je ne dois pas m’en mêler. […] Voilà une belle affaire pour Bouchetière ! […] Dimanche prochain, jour de la Pentecôte, ils viendront tous dîner ici : C’est là que l’affaire de Bouchetière sera décidée.
Il mit pied à terre pour soulager la comtesse, et dans ce temps-là le duc d’Albuquerque, qui était sorti de son carrosse, parut, et peu après lui la belle Dorothée, qui lui criait de ne se point mêler dans une affaire où il n’avait aucun intérêt.
Pour montrer la différence qu’il y a entre ces divers procédés de gens qui ont des épouses infidèles, dit Sainville, et qu’il y en a qui sont plaints par le public, ou dont on ne parle seulement pas, et d’autres moqués et raillés avec juste raison, pour faire voir en même temps que ce point d’honneur qu’on y attache dépend beaucoup plus de la conduite du mari que de celle de la femme, quoique ce soit elle qui fasse le crime, pour montrer que ce ne sont pas ceux qui examinent la conduite de leurs épouses avec le plus de vigilance qui sont le plus à couvert de leur infidélité, et que c’est cette conduite qui les y pousse, je crois qu’il est à propos que chacun de nous raconte quelque aventure qu’il sache certainement être arrivée de notre temps en France même, afin de ne point mêler d’histoires étrangères dans nos entretiens ; et pour cet effet, je vais, poursuivit-il, en conter une qui montrera que les précautions d’un jaloux donnent déjà de lui un sujet de risée, qui est encore augmenté lorsqu’il a affaire à des gens qui ont l’esprit de les rendre inutiles, et de les tourner contre lui-même, et qui prouvera en même temps, que la jalousie est en effet un poison mortel pour ceux qui s’y abandonnent.
Elle poussa la porte, et la première chose qu’elle vit fut le chevalier Sancho dans l’état où l’enchanteur l’avait mis ; malgré toute sa modestie elle ne put s’empêcher d’en rire ; le duc qui lui donnait la main, Dorothée et Gabrielle qui les suivaient, et qui eurent la même vision, en rirent aussi à gorge déployée ; l’officier était sur les épines dans la crainte que le scandale ne lui fît des affaires, mais voyant que tout le monde en riait, il en rit aussi et courut détacher le patient qui suait à grosses gouttes.
Lorsque le duc crut avoir assez donné de temps à Parafaragaramus pour exécuter ce qu’il lui avait ordonné, il laissa aller nos chevaliers, qui se rendirent en diligence à l’endroit qui leur avait été marqué, où ils trouvèrent chacun leur affaire attaché en trophée avec des écriteaux chargés des noms de celui à qui chaque armure était destinée.
Cid Ruy Gomez fait ici une grande digression sur l’état où se trouva Sancho après ces terribles menaces et sur l’inconstance des affaires du monde.
Pour quelque petite affaire pendable Pluton m’avait fait enchaîner, mais enfin il m’a rendu la liberté, à la charge de me battre à armes pareilles avec ce chevalier des Lions.
A quelques jours de là son mari étant obligé d’aller dans une ville à cinq lieues de chez lui, elle lui persuada d’y mener avec lui son gendre, puisque c’était une affaire de famille qui lui était commune avec eux.