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2. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »

On partit le lendemain pour aller au château du duc de Médoc, et avant que de monter en carrosse et à cheval on dîna. […] Tout le monde monta en carrosse, excepté nos aventuriers, qui armés comme des Amadis, montèrent sur leurs bons chevaux. […] Le malheureux qui avait le corps roué des saccades de sa monture, mit pied à terre du mieux qu’il put, transporta son bagage sur son bon cheval, et monta sur Flanquine, qu’on délia sitôt qu’il fut dessus. […] Prépare-toi à cette aventure, qui sera pour toi la plus glorieuse et la plus laborieuse, mais aussi la plus lucrative de ta vie ; va reprendre tes armes et tes habits, et ne monte sur aucun cheval, parce que les tiens sont enchantés. […] Elle lui répondit qu’elle ne le pouvait pas cette nuit-là, parce qu’elle ne couchait pas seule ; mais que s’il voulait venir le lendemain dans une chambre qu’elle lui indiqua au bout du château, où elle irait coucher sans compagne, sous prétexte de maladie, elle le recevrait de son mieux, et qu’il lui ferait plaisir ; elle ajouta qu’elle pourrait y monter sitôt que tout le monde serait retiré ; ce qu’il connaîtrait lorsqu’elle ouvrirait sa jalousie, et lui recommanda surtout le secret, et de ne point faire de bruit.

3. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »

Don Quichotte et Sancho le suivirent, et pendant ce temps-là on fit sortir leurs chevaux et leurs armes, qu’on alla attacher à des arbres au même endroit où Eugénie avait été sauvée, et des gens montèrent sur des arbres prochains pour les garder, crainte d’accident, jusqu’à l’arrivée de nos braves. […] Ils s’armèrent promptement, et allaient monter à cheval lorsque Sancho prenant son écu, vit dessous tout l’apprêt d’un déjeuner qu’on y avait mis. […] Sancho le suivit, et comme ils étaient tous deux parfaitement bien montés, ils furent bientôt éloignés et hors de vue. […] Ce conseil réussit tout à propos ; parce que, comme on en eut aperçu deux montés au haut d’un arbre, on alla à eux ; mais la peur dont ils furent saisis en fit tomber un de si haut, qu’il se brisa tout le corps et resta mort sur la place.

4. (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)

Son vaisseau est monté de quatre cent cinquante hommes et de quarante-huit canons. […] Il est monté de trois cent cinquante hommes et de trente-huit canons. […] Blondel, bien monté, était arrivé une heure avant moi, et M. […] Nous montions, et ici nous descendons par rapport à la Ligne. […] Je suis monté.

5. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »

Nous montâmes dans mon carrosse, et prîmes le chemin de Vincennes. […] Nous voulûmes tous faire monter cette amende fort haut, et nous n’en fûmes pas les maîtres. […] Nous y montâmes ; un enfant m’en donna la clef, et j’y portai deux chaises. […] Elle monta donc sans savoir ce qui se passait. […] Ils montèrent en carrosse, et allèrent chez Jussy qu’ils trouvèrent encore couché.

6. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »

Ces embrassements firent place à d’autres, Jussy embrassa Du Val qui était monté en même temps que Mademoiselle Fenouil. […] Les laquais nouveaux venus montèrent ; on ne dit rien en leur présence qui dût être secret. […] Ils montèrent donc en carrosse, c’est-à-dire Jussy et sa maîtresse, leur enfant et la fille de chambre. Du Val et moi montâmes à cheval. […] Madame de Jussy monta en carrosse au sortir de table ; elle alla chez son oncle qui fut extrêmement surpris de la voir si magnifique, elle qui l’avait toujours porté chez lui comme une dévote.

7. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »

Je me mis de moi-même à apprendre à faire des armes, et à monter à cheval : c’était mon inclination. […] Je la pris par la main, elle y monta avec sa fille de chambre, qui ne l’avait point quittée. […] Cela me fit promptement monter à cheval. […] Elle s’en impatienta, et vint elle-même au logis, et monta dans ma chambre. […] Je la fis monter dans une chambre sans qu’elle vît qui que ce fût que moi.

8. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »

Le duc et la duchesse d’Albuquerque, qui savaient pour lors qui elle était, ne l’avaient point quittée, et la joie où elle était elle-même d’être échappée à son beau-frère et de se voir en sûreté, l’ayant tout à fait remise, elle allait monter dans le carrosse de Don Fernand avec Dorothée et Gabrielle pour retourner chez elle, lorsqu’en descendant de la chambre où on l’avait portée, et passant devant celle où était Sancho, elle entendit sa voix. […] Et ayant appris que ces dames et le gentillhomme dont il était question, avaient été attaqués le matin dans la forêt par des voleurs, Eugénie qui ne douta point que ce ne fût encore un coup de son beau-frère, comme en effet c’en était un, se crut obligée de lui offrir un asile dans son château, tant pour elle que pour sa compagnie ; ce que la Française ayant accepté, alla prendre ses dames, qui étaient la marquise, Silvie, et sa tante, et le blessé qui était Sainville ; et tous quatre s’étant mis dans le carrosse qui les avait amenés, et la damoiselle qui avait parlé, et deux filles de chambre étant montées en croupe derrière des cavaliers, ils suivirent le duc d’Albuquerque qui prenait le chemin du château de Valerio. […] Cet officier n’était pas bien monté, et voyant que son cheval ne pouvait pas tenir tête à celui de son ennemi qui était un fort andalour, il avait commencé avant que de s’attacher au maître par porter au cheval deux grands coups d’épée dans les flancs.

9. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »

Il monta dans sa chambre, où il trouva Angélique seule, comme il la voulait. […] Nous montâmes dans son appartement, où la richesse que votre commère y vit, la jeta dans la dernière surprise. […] Elle ne se donna que le temps de mettre une simple robe de chambre, et monta dans le carrosse qu’on lui avait amené. […] Elle monta en carrosse ensuite, et y fit monter Angélique, votre commère, et Mademoiselle de Vougy. Elle les conduisit chez la première, elle eut la curiosité de monter dans sa chambre, où elle examina tout.

10. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »

Valerio et Sainville qui commençaient à se mieux porter, et qui étaient en état de prendre l’air, étaient montés dans sa chambre avec le reste de la compagnie, et firent partie en sa présence pour aller le lendemain tous ensemble à l’entrée de la forêt, et se promener au même endroit où Eugénie avait été délivrée. […] Sitôt que l’officier les crut endormis, il monta au grenier, et sans faire le moindre bruit, enleva les armes du chevalier Sancho. […] Il se leva, alla à l’endroit où il les avait mises, et ne les trouvant pas, sa douleur monta à son comble.

11. (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »

Il alla à lui, monta dans son carrosse, et fit monter son valet derrière, aimant mieux risquer ses chevaux, que de laisser ce garçon dans le hasard d’être blessé. […] Le valet remonta sur le sien, conduisant celui de son maître par la bride, et suivit le carrosse dans lequel il était monté.

12. (1721) Mémoires

Cela montait en tout à vingt millions de livres en argent dispersé par tout le royaume. […] Il entra dans le château, et comme il y était parfaitement connu, le concierge le fit monter dans une chambre où il y avait du feu. […] A la troisième charge nous nous trouvâmes entre trois vaisseaux ennemis dont le moindre était plus fort que le nôtre, qui n’était monté que de cinquante-six canons. […] Il y avait trois ou quatre marches de pierre de taille à monter de la cour à l’allée ou galerie. […] Ne pouvant monter jusqu’à elle, Nous la fîmes du moins descendre jusqu’à nous.

13. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »

A peine y furent-ils retournés qu’on vint les prier de monter promptement dans la chambre d’un des Français, qui se mourait. […] La maîtresse de l’hôtellerie, qui avait été charmée du récit que Mademoiselle de la Bastide avait commencé à faire devant elle, était venue pour s’informer de sa santé, et lui offrir ses services ; et comme elle apprit qu’elle était dans la chambre d’un Français qui se mourait, elle y monta, et fut présente au récit que fit Deshayes devant plus de vingt personnes.

14. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIII. De l’accident qui arriva au chevalier Sancho, en tirant une arme à feu. Remède pire que le mal. »

L’inquiétude de la duchesse ne l’empêcha pas de rire d’un si beau saut, mais elle se retint en voyant la rage et la fureur qui montèrent tout d’un coup au visage de Don Quichotte, qui courut à son écuyer, et le trouva, comme j’ai dit, presque mort, grillé, roussi et rôti, et la mâchoire toute en sang. […] Après cela le duc monta en carrosse avec la duchesse.

15. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »

Notre héros coupa chemin à un des fuyards, et ayant appris de lui qu’on venait d’assassiner la duchesse de Médoc, il tomba comme la foudre sur les bandits, qui n’avaient pas encore eu le temps de monter à cheval. […] Cependant un des bandits, qui restait en état de défense, voyant bien que sa résistance ne servirait de rien, s’était servi de l’occasion, et étant promptement monté sur le cheval qui s’était déchargé de Sancho, il le piquait, ou plutôt le pressait de tout son possible, car il n’avait point d’éperons, et se serait peut-être sauvé, si Sancho ne s’en fût point aperçu.

16. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »

. — Vous n’avez rien à craindre, lui dit cette femme, je loge dans la salle en bas, la porte ferme toujours, et personne ne sort ni ne monte que je ne le voie ; outre cela, il n’y a pas grand monde ici. […] Après cela Verville sortit, et dans la crainte où il était que Cléon et Justin ne changeassent de sentiment, il ne passa chez lui que pour prendre de l’argent et monter à cheval ; et depuis ce temps-là il n’a pas remis le pied dans la province, et n’a eu garde de l’y remettre tant qu’il a vécu. […] Justin le lui ayant promis, ils montèrent tous deux en carrosse pour aller au couvent où elle était.

17. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »

Je montai à cheval à mon tour ; la gourmette était détachée, je n’y pris pas garde. […] Il y alla donc, et moi je fis semblant de monter chez la Martinière, afin qu’il crût que j’y étais en effet. […] Dès qu’il put sortir de sa chambre, il monta dans la mienne. […] Nous montâmes en haut Grandpré et moi. […] Elle monta dans mon antichambre, et obligea mon grand animal de ne faire aucun bruit.

18. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »

Elle descendit enfin à ses cris, et trouva un équipage assez grand, composé d’un carrosse fort magnifique, à quatre chevaux, et dans lequel il y avait un homme fort bien vêtu, une femme parfaitement bien mise, fort jeune et fort belle, deux autres femmes assez propres, mais en mauvais ordre, et cinq ou six cavaliers bien montés, et le tout fort étonné et en confusion. […] Le cheval de notre intrépide chevalier, qui n’était qu’une mazette bien fatiguée, n’aurait jamais attrapé les ravisseurs s’ils n’avaient pas été arrêtés par huit cavaliers fort bien montés, que les cris d’Eugénie avaient fait détourner du chemin pour venir à elle.

19. (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)

Le premier qui est venu à bord avait amarré son rat à un anneau, & était monté en haut. […] Aucun matelot n’a osé y monter, non plus que moi, crainte de se casser le cou. […] Enfin, je montai à cheval, & Malroi me conduisit avec deux gardes, comme il me l’avait promis. […] L’abbé monta doucement, sans que deux servantes & le laquais en vissent rien. […] Deux chevaux de main parurent : il monta sur celui qui était à vuide ; & celui qui montait l’autre piqua par un sentier détourné.

20. (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)

On dit ici que qui que soit n’y a jamais pu monter. […] Il partit et alla bien monté. […] Le premier qui est venu à bord avait amarré son rat à un anneau et était monté en haut. […] Les navires de sept et huit cents tonneaux peuvent y monter jusques à la ville. […] Après sa mort son fils aîné, nommé Sombagy, est monté sur le trône, prince faible et jeune.

21. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »

À peine savais-je monter à cheval, et peu d’autres choses convenables au parti que j’embrassais, que je suivis les autres plus âgés que moi. […] Je fis avancer le carrosse, et les chevaux de mes amis, et ceux d’eux qui étaient dehors montèrent à cheval, se saisirent de la porte et empêchèrent que qui que ce fût n’entrât après moi. […] Mes amis nous firent faire place, nous montâmes elle et moi en carrosse au plus vite. […] Nous emmenâmes la tourière avec nous ; nos amis montèrent à cheval, et nous prîmes à toutes jambes le chemin de Lutry.

22. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »

La belle-mère ne fit pas semblant de s’en apercevoir, et la chose en fût sans doute demeurée là s’il avait reconduit sa belle-mère jusques à la porte, ou qu’il lui eût fait la moindre civilité ; mais n’étant guidé que par sa jalousie, il monta tout d’un coup dans la chambre de sa femme, et avec tant de précipitation, qu’il laissa sa belle-mère où il l’avait trouvée, sans lui faire la moindre honnêteté, s’étant contenté de la saluer seulement du chapeau. […] Sa vue redoubla la colère de Sotain, qui voulut la mettre dehors par les épaules, mais elle se défendit de manière que le bruit qui se faisait dans cette chambre s’étant fait entendre en bas y fit monter toutes les femmes qui y étaient, c’est-à-dire celles qui avaient le privilège d’entrer dans l’appartement ; car outre qu’il n’y entrait jamais ni homme ni garçon, toutes les femmes mêmes n’y étaient pas bienvenues ; elles entendirent une partie des sottises que le gendre dit à sa belle-mère, et des reproches que la belle-mère faisait à son gendre ; et comme ils étaient trop animés pour examiner leurs paroles, le secret ne lut plus caché, puisqu’il fut su de tant de femmes. […] Il n’en avait point du tout parlé à sa femme, et ne lui en parla que dans le moment qu’il allait monter à cheval.

23. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »

Tu trouveras demain à l’entrée de la forêt, au même endroit où tu as retiré la comtesse des mains de ses ravisseurs, un cheval que je te destine, que monta autrefois le fameux Largail, des armes dont se servit Rodomont, et l’épée de Roger ; elles te serviront contre tous les enchantements, et par elles tu seras toujours victorieux dans les plus grandes aventures de ta vie.

24. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »

Ce lieutenant et son greffier, après avoir été amplement récompensés de leur peine par le comte, eurent encore le butin des bandits qu’ils retournèrent chercher dans la caverne, où ils l’avaient laissé, sans parler de leurs chevaux, sur lesquels ces malheureux n’avaient pas eu le temps de monter.

25. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »

Celui-ci qui était avec quatre valets de pied déguisés en satyres, auprès de l’arbre où le duc était monté, partit au premier signal, et marcha à nos aventuriers, qui à sa vue interrompirent leur ridicule combat.

26. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »

Comme il me parut dans une appréhension terrible, je fis tous mes efforts pour le rassurer ; mais il quitta brusquement la table, et sans dire un seul mot il monta à cheval sur-le-champ, quelques efforts que je fisse pour l’en empêcher. […] Ils revinrent à Paris pour faire de l’argent et mettre ordre à leurs affaires ; et la marquise, dont j’ai l’honneur d’être parente de fort proche, m’ayant fait connaître qu’elle souhaitait que je fusse de la partie, et y ayant consenti, nous montâmes en carrosse quatre de compagnie, c’est-à-dire la marquise, Sainville, une femme de chambre et moi, et nous partîmes quatre jours après le départ de Silvie.

27. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »

On le fit monter à cheval, où il parut comme un nouveau Mars.

28. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »

Après que cet ecclésiastique fut sorti, elle monta dans la chambre de son père, qui la faisait appeler.

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