Il passe pour bon officier et très brave. […] Des Clouzeaux, aussi bien que des officiers présents. […] Dom Louis Querduff a officié : M. […] Les officiers lui firent son procès, et il fut pendu. […] Cela m’est arrivé avec un officier gascon, nommé Lalanne.
Le lecteur est déjà dans l’impatience de savoir quelle était cette voix, il faut l’en retirer, et lui dire que le duc de Médoc avait questionné l’officier sur tout ce qui était arrivé à Don Quichotte et à Sancho ; celui-ci lui avait dit tout ce qu’il en savait, et là-dessus le duc avait imaginé, et en même temps résolu d’exécuter deux choses ; l’une, au sujet du désenchantement de Dulcinée, que nous verrons dans la suite ; et l’autre, au sujet du combat du lendemain. […] Il fit prendre à l’officier de Valerio un entonnoir, qu’il fit attacher à une sarbacane, et par un trou de fenêtre qui répondait sur une jalousie, cet officier criant à pleine tête dans l’entonnoir, avait dit ce qu’on vient de lire.
Les Français y sont environ deux cents personnes, compris les officiers & les soldats. […] Tous les officiers que j’y ai vus, pourris ou non, me paraissent gens d’esprit, ponctuels, intelligents. […] Il n’y a plus de viande fraîche ; officiers & malades sont réduits au bœuf salé & au lard. […] Tous les officiers de la Compagnie s’en sont plaints à moi, & ceux de votre escadre ne s’en louent point. […] Tous les officiers & soldats qui sont venus ici en sortant de ce royaume ont tous dit que M.
Il y en a eu un entre autres qui est venu à la cabane pendant que j’y étais seul d’officier. […] Les Français y sont environ deux cents personnes officiers et soldats. […] Tous les officiers que j’ai vus me paraissent choisis, tous gens d’esprit, ponctuels et intelligents. […] de Saint-Paul officier de la Compagnie, s’y trouva ; sa présence ne les empêcha pas de poursuivre. […] Monsieur de Porrières est toujours lui-même, c’est-à-dire intrépide, et ses officiers l’ont fort bien secondé.
Nous avons dit que le valet de Deshayes y était resté blessé ; que ce valet était un officier déguisé qui s’était mis à sa suite pour sauver la vie de Silvie et la faire perdre à Sainville. […] Cet officier bien persuadé que Sainville ne le connaissait en aucune manière, accepta volontiers le parti qui lui était proposé, ne demandant qu’à s’approcher de Silvie, dont il espérait de se faire reconnaître, et s’expliquer avec elle par les occasions que le hasard pourrait lui fournir. […] L’hôtesse qui était charmée de cet officier, lui en fit un portrait tout à fait avantageux, qui pourtant n’était point flatté, parce que véritablement c’était un des hommes de France le mieux fait, le plus beau et le plus spirituel ; en un mot, un jeune homme tout aimable.
L’officier le laissa avec des gens capables de lui tenir tête à boire, et lui par un trou qui répondait du grenier à la chambre de nos aventuriers, ou plutôt par une planche du grenier qu’il enleva, il y descendit ; il attacha toutes les armes de Sancho pièce par pièce avec de la ficelle qui répondait au haut du plancher, qu’on pouvait ôter et remettre sans bruit, et afin que les armes n’en fissent point en les enlevant, il mit du coton où il en fallait pour les soutenir. […] Sitôt que l’officier les crut endormis, il monta au grenier, et sans faire le moindre bruit, enleva les armes du chevalier Sancho. […] Ce devait être là la fin du combat, et l’officier allait céder la victoire, n’ayant pas ordre d’en faire davantage ; mais Sancho ne lui donna pas le temps de parler, et comme il avait le dessus, il commença à travailler sur lui à coups de poing le mieux qu’il put, faute d’autres armes, son bâton lui étant échappé dès sa première chute.
Cette promotion du marquis de Cœuvres causa la perte d’un des plus braves et des plus expérimentés officiers que le Roi ait jamais eu. […] Desclouzeaux, pour y faire écrire un billet circulaire aux officiers. […] C’était un homme assez propre sentant son officier des plus grivois et des plus résolus. […] Pour les mouchoirs, l’officier s’en était saisi et en fit la revue. […] Je crus que c’était un officier que la cour récompensait.
Le curé avait emmené Don Quichotte, comme nous avons dit, et l’officier qui avait ordre de bien faire boire Sancho l’avait séparé d’avec eux et l’avait emmené dans son office pour déjeuner, et là il lui avait fait répéter tout ce qui lui était arrivé en enfer ; et sous prétexte du secret que méritait une relation de si grande conséquence, il l’avait fait consentir à sortir du château et à en emporter de quoi déjeuner sur l’herbe à l’entrée de la forêt. […] Nous l’avons laissé avec l’officier qui avait fait le personnage de Parafaragaramus, à qui il contait tout ce qui lui était arrivé en enfer, dans le palais de Merlin et dans la caverne de Montésinos ; cet officier contrefit si bien l’étonné que tout autre que Sancho en aurait été la dupe.
La messe qui parut extrêmement longue à notre jaloux finit enfin, et il retrouva à la porte de l’église l’officier déguisé, qui l’attendait avec autant d’impatience que lui, et qui était ravi de voir un si bon commencement. […] Ces paroles l’ayant mis au désespoir, il se jeta presque à ses pieds ; et l’officier qui s’en donnait la comédie, n’aurait pas sitôt cessé, s’il n’eût craint de le rebuter. […] Cependant Julia, c’est le nom que l’officier avait pris, se gouvernait d’une manière conforme à ses desseins, et acquit par des moyens différents la bonne grâce du maître et de la maîtresse. […] Je passe pour une femme étrangère, et je suis en effet étranger dans ce pays ici où je ne suis connu que de deux vieux officiers du régiment où je suis incorporé depuis peu.
Il voulut de plus obliger les officiers du duc de recevoir de lui quelques présents ; mais comme ils avaient des ordres contraires ils le remercièrent, et pour l’empêcher de les en presser davantage, le duc fut obligé de lui dire, que le premier qui prendrait de lui la moindre chose ne resterait pas une heure à son service. Pendant qu’on avait fait le troc, Don Quichotte avait été habillé par les officiers du duc qui leur en avait donné ordre, sans que notre héros s’y opposât, parce qu’espérant que Dulcinée viendrait lui rendre visite, et qu’il était naturel de vouloir plaire à ce qu’on aime, il s’était laissé accommoder plus magnifiquement qu’il n’avait jamais été.
Les Françaises lui dirent la même chose, et ajoutèrent que la quête de ces malheureux était indigne de gens d’honneur et de qualité, que les personnes considérables en France ne s’y commettaient pas, et laissaient ce soin à des gens destinés à cet emploi ; et qu’on regarderait en France avec horreur un officier de qualité distinguée, qui aurait seulement livré un malfaiteur, bien loin de l’avoir poursuivi et arrêté lui-même.
Valerio qui n’avait d’autre mal que sa faiblesse, les ayant suivis, reconnut Sainville pour ce même officier français dont il avait été autrefois prisonnier, et de qui il avait été si bien traité.
Valerio, Eugénie, le duc d’Albuquerque, son épouse et les Françaises, avaient fait leur possible pour empêcher le duc de Médoc de se charger de l’exécution de l’entreprise, et l’avaient supplié de s’en reposer sur le lieutenant, ou un de ses officiers, et de ne se point commettre avec des gens désespérés, de sac et de corde, en un mot des bandits indignes de sa présence et du péril où il allait se précipiter.
L’officier de Valerio qui faisait le personnage de Parafaragaramus, les avait fait avertir du lieu où ils étaient Sancho et lui, pour leur en donner la comédie.
Cet officier s’était préparé à bien jouer son personnage.
Nous fûmes ramenés à Paris, j’y fus mis dans un cachot ; et elle qui avait refusé de retourner chez d’Ivonne, fut mise à la garde d’un officier de justice, qui se chargea d’elle. […] Il fut donc résolu que nous reviendrions tous à Paris dans la nouvelle maison de Jussy ; que sitôt que nous y serions, Du Val irait chercher quelque officier de l’Officialité pour tâcher de terminer promptement.
Pour l’enchanteur Freston, c’était le même officier de Valerio, qui avait cette fois-là pris un masque représentant une face de démon chaperonnée de cornes.
Il était allé chercher l’officier, pour se désaltérer suivant sa coutume, et pour jaser avec lui ; mais ne l’ayant pas trouvé, il revint en peu de temps, et rentra tout doucement de peur d’interrompre son maître qui parlait, et que toute la compagnie écoutait avec beaucoup d’attention.
Dans ce dessein le duc avait envoyé quérir le curé du village de Don Quichotte, le bachelier Samson Carasco, le barbier, la nièce et la gouvernante ; ils étaient tous venus, et avaient amené avec eux ce jeune officier neveu du curé, qui était chez son oncle lorsque nos aventuriers étaient partis de leur village, et qui s’y trouva encore quand on alla les prier de venir à la Ribeyra.
Comme il se prétendait officier fort considérable, et fort nécessaire à l’État, il tabla par me quereller devant tout le monde, et me traita comme si j’avais été le dernier des valets. […] Il n’en fit rien ; au contraire il continua son sermon : que ce n’était pas ainsi que le Roi prétendait que les commis se gouvernassent : que j’avais mes heures réglées : que je devais me trouver précisément dans mon bureau lorsqu’il fallait que j’y fusse, sans donner la peine à un officier (je ne sais si le gredin ne dit pas aussi considérable que lui) ni de m’attendre, ni de me faire avertir : qu’il s’en plaindrait à l’intendant, sans dire Monsieur, qui saurait fort bien m’instruire de mon devoir si je ne le savais pas. […] Il m’en parla comme officier présent, et entre les personnes de distinction qu’il regrettait, il nomma Monsieur le marquis de Buringe, comme un des officiers généraux et de ses intimes amis, un fort brave homme et un fort honnête homme.
En même temps elle fit appeler dans sa chambre tous ses officiers et ses domestiques, et lorsqu’ils furent assemblés, écoutez, leur dit-elle, je parlai mal hier au soir d’Angélique que plusieurs de vous autres ont connue ici ; je n’étais pas instruite comme je la suis à présent ; je me dédis, et lui fais réparation de tout ce que j’ai dit qui n’était pas à son avantage, parce que je la reconnais pour une fille très sage, et d’une conduite sans reproche ; ainsi que ce que j’ai dit ne fasse aucune impression sur votre esprit. […] Votre commère vint de la part de son père dire qu’il avait connu d’origine celui d’Angélique, qu’il était d’une très ancienne maison d’Anjou, et qu’il avait été un des principaux officiers de son régiment.
J’y trouvai un Parisien, officier blessé comme moi, un peu âgé.
J’avais un rival à Paris, c’était le fils d’un officier de la Maison du Roi, qui s’était mis sur le pied de faire l’amour à votre commère, pendant les derniers jours de mon absence ; mais comme c’était un jeune homme tout sortant des classes et du droit, et avec cela aussi sot qu’un Parisien qui n’a jamais quitté de vue le clocher de sa paroisse, elle s’en divertissait, et m’en écrivait d’un style contre lequel la gravité de Caton n’aurait pas tenu.
Avant que de dîner ou déjeuner, il prit nos promesses de mariage, qu’il avait gardées depuis cinq jours ; il nous les fit dater et signer, et les certifia, et les fit certifier par quatre personnes qui étaient du secret ; savoir notre hôte, deux marchands qui demeuraient proche de là, et un officier de campagne, tous de ses amis ; et dont il avait répondu.
J’allai passer le carnaval et le carême en Bretagne aux terres de Monsieur de Rohan avec un de ses officiers de mes amis.