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2. (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)

Dieu nous protège assurément. […] Dieu veuille qu’il réussisse ! […] Dieu veuille qu’il ne dure pas ! […] Demain, Dieu aidant, nous irons. […] Dieu nous en préserve.

3. (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)

N’est-ce pas Dieu, qui continue sa création ? […] Dieu seul sait leur nombre et leurs noms, dit saint Augustin. […] Pour moi, je crois que c’est un avertissement que Dieu leur donne. […] Dieu a bien su ce qu’il faisait lorsqu’il a tiré le monde du néant. […] Oui, Dieu merci, lui ai-je répondu d’un ton de tartuffe.

4. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »

J’espérais qu’il en mourrait, je demandais tous les jours à Dieu la fin de sa vie. […] Si je l’avais emmenée dans le moment, le rapt était avéré ; mais Dieu fait tout pour le mieux. […] Grâce à Dieu cela n’arriva pas. […] Je me sacrifierai à mon malheur, et ne ferai point le sacrilège d’offrir à Dieu une victime involontaire. […] Suis-je digne d’être au nombre des épouses d’un Dieu pur, moi qui ne respire qu’un mortel ?

5. (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)

En un mot, nous sommes très mal : Dieu veuille nous en tirer. […] Dieu veuille que nous y trouvions le Gaillard & l’Oiseau. […] Demain, Dieu aidant, nous y entrerons. […] Combattaient-ils pour l’héritage de Dieu, ou pour l’héritage d’un Japonais ? […] Sont-ce là des offrandes à faire à un Dieu tout pur ?

6. (1721) Mémoires

Il me semble que ce pouvoir sans bornes approche le plus de celui de Dieu. […] Mais, Grand Dieu ! […] C’est leur Dieu, si on peut le dire, auquel ils sacrifient tout. […] Il est bon sans doute de prier Dieu, surtout sur le point de donner un combat. […] Dieu veuille que je sois mauvais prophète !

7. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »

Dieu, peut-on dire une pareille imposture ? […] Ce bien n’est rien devant Dieu, mais le sacrement sera toujours un sacrement. […] Je l’ai fait, et Dieu aidant, j’aurai toute ma vie soin de sa fortune. […] Pour devant Dieu ayez la conscience en repos. […] Au nom de Dieu, poursuivit-elle en m’embrassant, donnez-moi cette satisfaction.

8. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »

Jour de Dieu, il faut que je t’étrangle ; et en même temps elle lui sauta au collet et déchira toute sa belle fraise. […] Tenez, Monsieur le curé, poursuivit-il, nous sommes riches Monseigneur Don Quichotte et moi, avec cette différence que ses richesses viennent de l’enfer et ne lui ont presque rien coûté, et que les miennes me coûtent bonne… Dieu vous sauve de la main des diables, Monsieur le curé ; je sais ce qu’en vaut l’aune ; mais n’importe, le mal passé réjouit quand on en a tiré du profit. […] — Jour de Dieu, Madame, répondit Thérèse, nous sommes deux, et quand il a une fois commencé, je tâche d’achever, et cela dérange un peu notre ménage, car nous cassons tout en nous le jetant à la tête. […] Jour de Dieu, je ne veux pas être battue, ou bien je veux me défendre. […] Quoi qu’il en soit, elle s’y trouva, et le traita Dieu sait comment.

9. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »

Qu’il n’était pas assez bon pour se laisser mourir pour leur faire plaisir ; et qu’il ne voulait pas les exposer à offenser Dieu en souhaitant sa mort. […] Qu’il semblait qu’on voulût lui faire appréhender quelque libertinage de sa part, et l’en rendre responsable devant Dieu, faute de l’avoir mariée. […] Dieu m’en préserve, repris-je. […] Je prie Dieu qu’il vous comble de ses bénédictions. […] Enfin vous êtes libre, j’en remercie Dieu tous les jours, tant pour vous que pour moi.

10. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »

Ah Dieu ! […] Plût à Dieu qu’elle ne les eût pas renouvelés ! […] Dans quel état étais-je, grand Dieu ! […] Ah Dieu ! […] Craignez de n’avoir été entre les mains de Dieu que l’instrument de mon humiliation.

11. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »

Sancho, qui était encore animé de colère contre Thérèse, ne fut pas maître de lui : Il est bienheureux celui-là, s’écria-t-il, plût à Dieu que je fusse à sa place. […] Dieu vous a ôté la vôtre, c’est une grâce qu’il vous a faite, et qu’il ne fait pas à mille honnêtes gens qui la lui demandent tous les jours ; vous devez l’en remercier, plutôt que de la porter en terre avec tant de chagrin. […] Ils les tiennent éloignées, et ma foi ils ont raison, car elles ne sont bonnes qu’à… Dieu m’entend bien.

12. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »

On ne se ravissait point l’un à l’autre le fruit de son travail et de son industrie ; les maisons des particuliers étaient propres, mais modestes ; on n’y voyait rien qui choquât les bonnes mœurs ; les palais étaient magnifiques, et d’une architecture achevée ; mais on n’y voyait point de ces sculptures ou de ces peintures infâmes, qui par leur nudité bannissent la pudeur et soulèvent les sens ; leur magnificence n’approchait point de celle des églises et des temples ; Dieu était le mieux logé, contre la mauvaise coutume de notre siècle, où l’on place les hommes dans de vastes enceintes qui ont épuisé la nature et l’art, pendant que Dieu n’est placé que dans un simple petit réduit. […] Le service de Dieu se faisait avec plus de dévotion et plus de recueillement, parce qu’on le servait d’un cœur pur et véritablement contrit.

13. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »

Nous le fîmes, et grâce à Dieu, nous n’eûmes pas la peine de le garder longtemps. […] Ah Dieu ! […] Plût à Dieu qu’il le fût moins, repris-je les larmes aux yeux ! […] Ah Dieu ! […] Au nom de Dieu, me dit-elle, ayez soin de votre vie.

14. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »

Que maudit soit de Dieu et de ses saints, ajouta-t-il, celui qui a inventé cette arme d’enfer. —  Ce n’est pas d’aujourd’hui, reprit Don Quichotte, que cette sorte d’arme a paru sur terre ; et il me souvient d’avoir entendu dire, qu’un malheureux magicien ou enchanteur du genre humain, ayant apporté des enfers les premières qu’on ait jamais vues, le brave chevalier Roland les jeta dans la mer, d’où elles ont été depuis retirées par un moine allemand. Mort non de diable, dit Sancho en colère, ces moines se mêlent toujours de ce qui ne les regarde point ; s’ils disaient bien leur bréviaire le diable ne leur soufflerait pas tant aux oreilles, et j’ai toujours ouï dire, que pour faire une maison nette, il n’y faut souffrir ni moine ni pigeon, parce qu’ils fourrent leur nez partout, de sorte que rien n’est bien fait s’ils ne s’en mêlent ; et puis quand ils sont une fois ancrés quelque part, ce n’est plus que des ouï-dire, il a fait par-ci, il a dit par-là, et boute, et haïe, et tous les diables en un mot s’en mêlent. —  Cela ne te doit pas étonner, ami Sancho, lui dit Don Quichotte, ils sont seuls dans leur couvent nourris, comme dit le proverbe, comme des moines, sans affaires qui les embarrassent, et sans souci pour le lendemain. —  Ajoutez donc, Monsieur, interrompit Sancho, sans femmes qui les fassent enrager et sans enfants à nourrir. —  Comme tu voudras, reprit Don Quichotte, mais leur esprit voulant être occupé, ils sont presque forcés de l’employer au premier objet qui se présente à leur imagination. —  Et voilà justement ce qu’on ne devrait pas souffrir, dit Sancho, car ils ne doivent se mêler que de prier Dieu, et ne point tant s’embarrasser des affaires du monde, puisqu’ils y ont renoncé et qu’ils n’y sont nullement nécessaires, à ce que j’ai ouï dire par des docteurs de l’université d’Alcantara. […] Depuis ce temps-là il a été cause que j’ai plus de vingt fois battu ma ménagère, car elle avait toujours quelque chose à lui dire, et bien loin qu’il ait mis depuis la paix dans notre ménage, mort de ma vie, il n’y a mis que la discorde. —  Il n’y pouvait pas mettre autre chose, ami Sancho, reprit Don Quichotte, je voudrais que tu eusses lu le divin Arioste, tu verrais que l’archange Gabriel ayant besoin de la discorde pour aller répandre son venin dans l’armée du roi Agraman qui assiégeait Paris, il ne la put jamais trouver pour lui faire exécuter l’ordre de Dieu, que dans un chapitre de moines où elle présidait. —  Eh !

15. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »

Plût à Dieu, poursuivit-elle, que je vous eusse parfaitement connu comme je vous connais à présent, je n’aurais jamais fait le vœu que les cruels traitements du méchant Freston m’ont arraché. Ce traître prenait si juste le temps de l’absence du sage Parafaragaramus pour me déchirer, qu’il m’a cent fois traînée parmi les ronces et les épines ; mon faible corps succombait sous ses coups, et n’attendant ma liberté que de Dieu, j’ai fait vœu pour sortir de ma captivité et de l’enchantement qui me retenait, de me faire religieuse sitôt que je serais retournée au monde. […] Vive Dieu, vous êtes aussi riche que Crésus, et moi aussi à mon aise.

16. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »

L’Italienne accepta promptement le parti, louant Dieu, d’un air hypocrite, de lui avoir fait trouver un seigneur si charitable, et qui la retirait du malheur et de la honte de demander sa vie dans un pays où on ne l’entendait pas. […] Pour me séparer d’avec lui, je sais que plusieurs femmes m’en montrent l’exemple ; mais je sais aussi que c’est un exemple odieux, et que les hommes ne doivent point séparer ce que Dieu a uni. Je souffre autant et plus que femme du monde ; je vois moi-même toute l’horreur de la situation où je suis ; mais puisque Dieu le veut ainsi, je n’ai point d’autre parti à prendre que de m’y résoudre ; à quoi servirait la patience des bons si elle n’était pas éprouvée par la malice des méchants ? […] Vous jouez à vous perdre, Madame, lui dit l’amoureux cavalier ; au nom de Dieu ayez pitié de vous-même. —  C’est vous qui causez ma perte, reprit-elle en pleurant, sortez d’auprès de moi, je vous le répète encore, si vous n’en prenez la résolution aujourd’hui, comptez que demain mon mari saura que vous êtes un homme, et mourir pour mourir j’aurai du moins la satisfaction d’avoir fait mon devoir ; c’est à quoi je me résous ; tous vos efforts ne me feront pas changer. […] Pour ce que j’ai à craindre de lui, Dieu en est le maître, j’espère qu’il ne m’abandonnera pas ; il faut attendre un de ces revers qu’il sait faire naître lorsqu’on les espère le moins. —  Je ne vous promets rien, Madame, répliqua-t-il, l’état où je suis est trop douloureux pour ne pas m’engager à chercher les moyens d’en sortir.

17. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »

Je ne songe point à elle, reprit-il, et plût à Dieu que vous en eussiez de l’ombrage, le sacrifice que je vous en ferais vous assurerait de ce que je pense. […] Venez au nom de Dieu le plus promptement que vous pourrez. […] Vous connaissez particulièrement Mademoiselle de Vougy, ajouta-t-elle, elle est votre parente et votre amie ; au nom de Dieu sachez ce qu’on pense de moi. […] Ne le différez pas, au nom de Dieu, la plaie deviendrait incurable par le retardement. […] Je n’aurais osé rien faire qu’il n’y eût consenti ; mais grâce à Dieu je me justifie malgré mon amant.

18. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »

C’est d’avoir voulu violer les droits de l’hospitalité en voulant d’un lieu d’honneur où il était bien reçu en faire le théâtre de ses débauches, dont il mérite des reproches et des châtiments ; c’est d’avoir eu plus d’indulgence pour soi-même que pour autrui, c’est d’avoir été hypocrite, d’avoir voulu priver les autres des plaisirs infâmes où il tâchait de se souiller lui-même, d’avoir voulu sous les dehors d’une vie honnête et d’un mépris affecté des femmes cacher le penchant vicieux qu’il a pour elles ; c’est là vouloir imposer à Dieu et aux hommes, avoir deux mesures, l’une pour soi, l’autre pour autrui, c’est cela encore un coup dont on devait l’accuser ; il devait se souvenir de son proverbe ordinaire, Médecin guéris-toi toi-même. […] Attendu que les crimes dont l’accusé est prévenu et convaincu, sont d’avoir voulu satisfaire Dieu et les hommes d’une belle apparence qui n’est que de la fumée, et qui provient d’un cerveau gâté qu’il faut purger ; ordonné qu’il sera parfumé de deux cassolettes d’enfer dans le moment.

19. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »

N’importe, poursuivit-il, l’homme propose et Dieu dispose, nous sommes bien équipés, après cela bon pied, bon œil, à bon jeu, bon argent ; j’aurai toujours le mien, quitte pour faire pénitence, aussi bien la faut-il faire dans ce monde ou dans l’autre. […] Parafaragaramus en sortit le premier, et après s’être mis à genoux devant Pluton, et avoir obligé les autres d’en faire autant, il se releva, et lui adressant la parole : Puissant Dieu des enfers, lui dit-il, tu vois devant toi un héros qui à l’exemple de Thésée, qu’il a pris pour modèle de sa vie, a purgé la terre de monstres et de brigands.

20. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »

Je ne veux pas prendre le paradis par famine ; les austérités ne sont pas pressées ; il y a du temps pour tout ; ne précipitons rien, et n’usons point imprudemment la vie que Dieu nous a donnée. […] — Madame, répondit Don Quichotte avec un air froid à glacer, et d’un ton tout magistral, si Altisidore avait été bien sage dans son cœur, les enchanteurs qui l’ont maltraitée auraient été ses défenseurs, et non pas ses bourreaux ; elle n’a que ce qu’elle mérite, et elle a tort de me demander vengeance d’eux, puisque j’aurais fait moi-même ce qu’ils ont fait ; Dieu bénit les bonnes intentions et punit toujours les mauvaises ; permettez-moi de ne vous en pas dire davantage ; elle peut s’expliquer elle-même.

21. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »

Pour moi, Dieu me préserve du baume de Fierabras.

22. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIII. De l’accident qui arriva au chevalier Sancho, en tirant une arme à feu. Remède pire que le mal. »

Que maudit sois-tu de Dieu et de ses saints, malheureux instrument, dit-il en le cassant sur une roche de toute sa force, arme de l’invention du démon et de ses mauvais anges.

23. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »

Eh, vive Dieu, Seigneur Don Quichotte, lui dit-il, où pouvez-vous aller pour être mieux ?

24. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »

Sitôt qu’elle y fut, elle se jeta aux pieds de son époux, qui la releva ; elle en fit autant à son père, qui la laissa à ses pieds tout le temps qu’il fut à lui faire une fort sévère réprimande, qu’il finit par lui dire de demander pardon à Dieu pendant toute sa vie des fautes qu’elle avait faites, et de supplier son époux de les oublier, et d’y contribuer elle-même par une conduite toute opposée à celle qu’elle avait tenue.

25. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »

Je demeurai du temps immobile ; mais enfin quoique Dieu m’ait fait naître d’une humeur assez douce, je fus saisie d’une telle fureur, que si j’avais trouvé de quoi armer ma main, je me serais sacrifié cette misérable dans le moment.

26. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »

Mon frère prit le deuil, et fit prier Dieu pour mon âme.

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