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2. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »

. — Votre femme est donc méchante, Chevalier Sancho, lui demanda la duchesse, puisque vous vous en plaignez ? […] Tout le monde se mit à rire de la réponse de Sancho ; mais Don Quichotte outré de son effronterie, lui dit qu’il ne devait pas parler des femmes comme il en parlait, surtout devant les dames qui l’écoutaient. — Pardi, Monsieur, répondit Sancho avec une pointe de colère, elles m’ont forcé de parler, et puis au fond je ne me plains pas de ces dames, et ne prétends point les offenser ; mais j’entends dire par tant de gens que leurs femmes ont des têtes de fer, et d’ailleurs la mienne en a une si forte, que je m’imagine qu’elles se ressemblent toutes, et que c’est queussi queusmi ; et de plus avec tout cela je ne me plains que de ma femme, parce que je n’en ai qu’une, et je crois que tous les autres aussi bien que moi ne se plaignent que de la leur, parce qu’ils n’en ont pas deux.

3. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »

Les Français convinrent encore de cela ; mais ils ajoutèrent que ce n’était pas par un motif d’indifférence, que les amants et les hommes mariés abandonnaient en France leurs maîtresses et leurs épouses à la garde de leur seule bonne foi, puisque toutes leurs actions les touchaient autant qu’elles pouvaient toucher les Espagnols ; mais que cela provenait encore du fond inépuisable d’estime qu’ils avaient pour elles, et de leur confiance en leur vertu, qui les empêchait de croire qu’elles pussent faire aucune démarche contre la fidélité qu’elles leur avaient jurée, ni même avoir la moindre pensée dont ils pussent tirer aucun sujet légitime de se plaindre. […] Pour montrer la différence qu’il y a entre ces divers procédés de gens qui ont des épouses infidèles, dit Sainville, et qu’il y en a qui sont plaints par le public, ou dont on ne parle seulement pas, et d’autres moqués et raillés avec juste raison, pour faire voir en même temps que ce point d’honneur qu’on y attache dépend beaucoup plus de la conduite du mari que de celle de la femme, quoique ce soit elle qui fasse le crime, pour montrer que ce ne sont pas ceux qui examinent la conduite de leurs épouses avec le plus de vigilance qui sont le plus à couvert de leur infidélité, et que c’est cette conduite qui les y pousse, je crois qu’il est à propos que chacun de nous raconte quelque aventure qu’il sache certainement être arrivée de notre temps en France même, afin de ne point mêler d’histoires étrangères dans nos entretiens ; et pour cet effet, je vais, poursuivit-il, en conter une qui montrera que les précautions d’un jaloux donnent déjà de lui un sujet de risée, qui est encore augmenté lorsqu’il a affaire à des gens qui ont l’esprit de les rendre inutiles, et de les tourner contre lui-même, et qui prouvera en même temps, que la jalousie est en effet un poison mortel pour ceux qui s’y abandonnent. Et moi, ajouta la marquise, je raconterai celle d’un fort honnête homme, qui, par sa prudence ayant en même temps sauvé sa réputation et celle de sa femme, s’est fait plaindre et louer par tous ceux qui ont appris son aventure, laquelle s’est enfin terminée à faire de son épouse une des femmes de France des plus sages et des plus retirées.

4. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »

Je la plaignis, non pas que je la connusse particulièrement, mais parce que ç’avait été une des plus belles filles du voisinage. […] Elle se plaignait de la misère du temps ; que son mari et elle ne gagnaient plus rien, et qu’ils avaient bien de la peine à vivre. […] La pitié s’empara de son cœur, il en eut pour une femme dont il avait admiré la beauté, et dont il commençait à plaindre la destinée. […] Voyez à présent, si après la perte que j’ai faite, je ne suis pas plus à plaindre qu’à blâmer ? […] Je les plains tous deux, ajouta Madame de Mongey, ils ne méritaient point tant de malheurs.

5. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »

Ce fut encore un effet de la jalousie de Sotain, qui maltraita cette femme assez pour l’obliger de s’en plaindre. […] Votre patience à souffrir ne servira qu’à le rendre plus intraitable et à l’aigrir ; et ce ne sera pas par cette voie-là que vous le remettrez dans son bon sens ; plaignez-vous une fois en public, faites connaître à toute la terre ses extravagances, et vous en serez délivrée : Madame votre mère vous l’a conseillé, toute la terre vous le conseillera, et toute la terre vous prêtera la main pour cela ; pouvez-vous prévoir à quelles extrémités sa folie le portera ? […] Elle en avait ri au commencement, mais la suite l’importuna, et quoique Sotain fût enfin revenu chez lui, Julia qui avait promis à Célénie de changer de conduite, n’en devint pas plus sage, au contraire il devenait plus hardi et plus entreprenant de jour en jour, de sorte que cette femme craignant qu’il ne manquât enfin de respect pour elle, et que la trouvant seule, comme il en avait à tout moment le privilège, il ne se portât aux dernières violences, elle voulut le prévenir et lui dit plusieurs fois qu’elle se plaindrait à Sotain de sa conduite. […] Ceux-ci qui l’avaient dit à d’autres avaient donné lieu à mille railleries ; tout le monde lui donnait le tort et plaignait sa femme dont l’évasion faisait un bruit terrible. […] Je dois une histoire, poursuivit-elle, je vais m’en acquitter et vous parler d’un homme qui s’est fait plaindre et admirer par le petit nombre de gens qui ont su ce qui lui est arrivé, et qui n’a point donné aux autres matière de rire à ses dépens.

6. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »

. —  Mardi, Monsieur, vous l’avez deviné, répondit Sancho, aussi n’ai-je pas sujet de me plaindre du traitement, puisqu’il n’a tenu qu’à moi de manger autant et plus que vous ; mais ce dont je me plains, est de ce qu’on m’a dit en soupant.

7. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »

Point d’imprécations contre cet enchanteur, répondit Don Quichotte, ne te déferas-tu jamais de la mauvaise habitude où tu es de maudire les personnes dont tu n’as pas sujet de te plaindre ? […] S’ils se persuadèrent follement que l’eau avait changé leurs cœurs, elle ne laissa pas de produire réellement un fort mauvais effet, en leur causant une pleurésie dont ils ne tardèrent guère à sentir les atteintes ; car à peine se furent-ils remis en chemin, que Sancho se plaignit d’un grand mal de côté. — Tu n’en dois pas être surpris, ami Sancho, lui dit Don Quichotte, il est impossible que cette eau merveilleuse change la disposition du cœur sans que le corps s’en ressente ; j’ai comme toi des douleurs au côté, et de plus un très grand mal de tête, qui ne fait qu’augmenter de moment en moment. — Pour moi, répondit Sancho, je crois que l’eau ne me vaut rien, et que si j’avais bu autant de vin, je serais à présent plus gai qu’un pinson.

8. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »

Il avait pris prétexte de là de louer toutes ses bonnes qualités, et surtout son bon esprit, qui n’avait été gâté que par ses ridicules visions ; il s’était étendu sur sa probité et sur sa droiture, qui le faisait généralement estimer de tout le monde ; il avait poursuivi par le plaindre du ridicule où sa folie exposait un des plus honnêtes hommes d’Espagne, et sans faire semblant de vouloir taxer qui que ce soit, il avait fortement blâmé ceux qui l’entretenaient dans ses imaginations ; il avait fait entendre que c’était une action contraire à la charité de se divertir aux dépens d’un cerveau démonté, qu’on pouvait facilement remettre dans une assiette tranquille, en lui donnant du repos, au lieu d’entretenir et de fomenter ses égarements. […] Elles plaignirent toutes cette pauvre fille, et blâmèrent la cruauté du chevalier. […] Notre héros qui était la continence même, ne le plaignit que fort peu, et lui dit au contraire qu’il n’avait que ce qu’il méritait, qu’il devait se souvenir de ce que leur avait attiré l’envie qui avait pris à Rossinante de faire l’amour, et de quelle manière les Yangois avaient châtié sur leurs personnes l’incontinence d’un cheval, et conjecturer par là que ce serait bien pis quand ils voudraient eux-mêmes se laisser aller aux tentations de la chair.

9. (1721) Mémoires

Les Français plaignirent la France et c’est tout. […] Il se plaignait que le mot de Monsieur ne fût point en tête, mais seulement dans le corps de l’écriture. Il se plaignait de l’orgueil ridicule qui y paraissait. […] Je m’en plaignis à M. de Seignelay, et même vivement. […] Nous nous plaignions toujours de n’avoir point d’argent.

10. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »

Je me plaignais devant elle de cette maladie, et j’en faisais un des articles qui retardait le mariage. […] Pour l’esprit je ne sais si vous supposeriez : mais si c’était une vérité, je vous plaindrais de n’avoir jamais fréquenté que des idiotes. […] Gallouin plaignit la malheureuse destinée d’une femme si aimable ; et eut un regret sincère d’être cause de sa perte. […] Je la plains, continuai-je en essuyant quelques larmes que j’avais laissé couler à dessein, et je la plaindrai toujours, parce que je sens bien que je l’aimerai toujours, et c’était en songeant à elle que mes rêveries m’ont amené dans un lieu où je n’étais jamais entré. […] Cette méthode ne m’accommodait pas ; je m’en plaignis à Mousson qui me dit qu’elle n’y comprenait rien non plus.

11. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »

Son avocat l’avait cité de son caractère, et pour lui faire plaindre sa fille avec plus d’emphase, il le revêtait de toute la tendresse d’un bon père, et de la pitié la plus vive. […] Je la plaignis, elle me dit que je ne voyais pas tout ; et qu’il n’y avait pas de fille plus malheureuse qu’elle. […] Je lui contai mon malheur, elle me plaignit, et heureusement le lendemain elle me donna une lettre de Clémence ; la voici encore, Des Ronais la prit et lut ces mots. […] Je vous ai dit que je ne me plaindrais point de vous, je ne m’en plains point ; je serais doublement malheureuse : au contraire, je ne veux que m’en louer, afin de vous faire connaître que ce n’est qu’à vous que je me sacrifie.

12. (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)

Blondel notre commissaire, qui est partie souffrante, plaignante, & à plaindre. […] Je ne vois pas qu’ils doivent se plaindre de la valeur des viandes. […] Les noirs coururent se plaindre à M.  […] Plus il est honnête homme, plus il est à plaindre. […] Te plains-tu de ma complaisance ?

13. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »

Les airs que je chantais n’inspiraient que l’amour, je m’y plaignais d’un silence forcé ; mais tout cela n’avançait rien, elle les chantait aussi bien que moi. […] J’en avais du repentir moi-même, et je trouvai sa pensée trop juste pour m’en plaindre ; mais dès que je lui eus fait connaître que je n’avais point trouvé d’autre expédient pour rompre dans le moment, je ne lui parus plus si blâmable. […] Madame, reprit-il, ce n’est point à vous que je m’adresse ; il est permis à un malade de se plaindre, vous saurez demain le sujet que j’en ai ; pour aujourd’hui, laissez-moi poursuivre l’histoire de Jussy.

14. (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)

Quoique j’en dise du bien, j’ai pourtant sujet de m’en plaindre. […] Je ne compte plus les matelots morts, mais ceux qui restent ne sont pas moins à plaindre et peut-être plus. […] Notre vin est aigre, notre eau est puante et pleine de petits vers, enfin nous commençons à être à plaindre. […] Je me souviens d’avoir entendu une pauvre femme se plaindre à ma mère du trop d’appétit de son mari. […] Les noirs des environs se vinrent plaindre à Monsieur Martin, qui leur avait moyenné une neutralité et les avait pris sous sa protection.

15. (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)

Mais l’amour du prochain m’oblige à les plaindre, parce que je serais à plaindre en leur place : ils ne pourront plus dire, Capaciores affer huc puer scyphos. […] Mais, comme dit Molière, on n’a jamais vu qui que ce soit revenir de l’autre monde se plaindre du médecin qui l’a tué dans celui-ci. […] Il ne se passe presque point de jour que quelqu’un ne se plaigne d’avoir été volé. […] Je lui ai répondu, pour mon compte, que je m’en étais plusieurs fois plaint au défunt, qui la lui avait laissée, sous prétexte d’un mal à la jambe, qui la lui rendait nécessaire. […] et qu’il plaigne la condition des hommes de se faire la guerre !

16. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »

J’ai perdu presque tout mon bien par des coups de fortune dont je ne me plains pas, parce qu’il n’y a point eu de ma faute, et que c’est Dieu qui l’a voulu : je n’ai plus qu’un moment à vivre goutteux, et presque paralytique, et l’on veut me dépouiller du reste d’une fortune fort ample ; et qui encore ? […] Je vous laisse gouverner à votre fantaisie, mais observez-vous si bien, que je n’aie point lieu de me plaindre de vous. […] Je vous ai dit qu’il avait voulu tout rompre sans que sa fille me donnât le moindre sujet de me plaindre d’elle. […] C’eût été dans cette occasion que j’aurais craint que tu n’eusses suivi le penchant ; au lieu qu’en te laissant vivre avec lui à ta fantaisie, il n’a presque employé son temps qu’à se plaindre, et à me donner au diable entre cuir et chair, et qu’il t’a laissée en repos ; ce qu’il n’eût pas fait dans des endroits écartés, tels qu’on les choisit pour des rendez-vous : outre que je n’avais presque rien à craindre ici de Monsieur Des Ronais, ma propre expérience me le faisant connaître.

17. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »

On finissait par dire qu’on ne me donnait point de conseils, parce qu’on me croyait trop sage et trop généreux, pour rien faire d’indigne d’un homme d’honneur, et d’une famille distinguée : on plaignait mon aveuglement pour cette fille. […] Et pour vous Monsieur, continua-t-elle s’adressant à Monsieur le marquis d’Annemasse, vous seriez en droit de vous plaindre, si je vous oubliais lorsque je donne tout. […] Cette même Silvie qui m’avait fait tant d’horreur se présenta à mes yeux et à mon esprit non plus comme une fourbe, mais comme une fille toute divine, à plaindre dans sa naissance, innocente dans ses mœurs, amoureuse et passionnée dans son artifice. […] Si, lui dit Silvie, la confusion que vous avez eue de tout ce que vous avez fait de mal en votre vie vous avait pu empêcher de commettre les mêmes fautes, je n’aurais pas encore à me plaindre de vous ; mais enfin les choses sont passées, je consens à les oublier. […] Toute ma fureur m’abandonna, je n’écoutai plus ma rage que pour plaindre mon malheur.

18. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »

La belle La Bastide commençant, sans savoir pourquoi, à s’intéresser pour ce Français, eut envie de le voir, et le plaignit dans son cœur de s’être adressé à une femme préoccupée pour un autre ; elle en parla à Silvie, qui tout d’un coup devina que c’était le comte du Chirou, et ne se trompa pas.

19. (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »

Vous n’avez pas tant de sujet de vous plaindre de sa mauvaise foi que vous voulez le faire croire, lui répondit Dupuis.

20. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »

Tenez, Monsieur, lui dit-il, bien du monde s’en plaint, et moi qui vous parle, je n’ai point de sujet de m’en louer, car une fois que j’avais grondé avec ma mauricaude, un moine se mêla de nous raccommoder ensemble, et puis après cela il venait nous voir tous les jours, afin de voir, disait-il, si nous vivions bien ensemble.

21. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »

Pardonnez-moi ce vœu, que le désespoir m’a fait faire ; je suis mille fois plus à plaindre que vous ; vous ne perdez dans moi qu’une princesse malheureuse et infortunée, et je perds en vous la fleur de la Chevalerie, le miroir de la vraie valeur, le prototype de la fidélité, et un parfait modèle de toutes les vertus.

22. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »

Don Quichotte qui croyait n’être pas éloigné de l’endroit d’où cette voix sortait, y courut et entendit distinctement une femme qui se plaignait et qui criait au secours.

23. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »

Angélique qui l’entendit s’en plaindre, se flatta que son amant lui ferait avoir satisfaction en sa faveur.

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