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2. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »

Cela me persuadait qu’on ne m’écrivait rien que de vrai. […] Je lui parlai de l’embarras où j’étais ; elle entreprit de me persuader de rester encore à Paris deux jours au moins. […] Ce fut ainsi que des gens d’affaires et mon procureur fiscal me le persuadèrent. […] Je vais me persuader que vous êtes mort ; c’en sera assez pour abréger des jours qui me sont à charge. […] Ses adieux à son époux, et sa lettre à Gallouin me le persuadent.

3. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »

L’écuyer ajouta mille autres choses à cela ; mais il ne put persuader son maître, qui deux jours après pria la duchesse de Médoc de lui permettre de s’en retourner chez lui. […] Comme l’eau était extrêmement froide, et qu’ils en burent tous deux beaucoup, Don Quichotte dont la tête s’échauffait à mesure que ses entrailles se rafraîchissaient, demeura plus persuadé qu’auparavant que c’était là la fontaine de Merlin ; il crut même éprouver sur-le-champ la vertu de l’eau, la princesse Dulcinée ne lui paraissant plus qu’une laide paysanne, et s’étonnant de l’avoir choisie pour l’objet de ses amours. […] S’ils se persuadèrent follement que l’eau avait changé leurs cœurs, elle ne laissa pas de produire réellement un fort mauvais effet, en leur causant une pleurésie dont ils ne tardèrent guère à sentir les atteintes ; car à peine se furent-ils remis en chemin, que Sancho se plaignit d’un grand mal de côté. — Tu n’en dois pas être surpris, ami Sancho, lui dit Don Quichotte, il est impossible que cette eau merveilleuse change la disposition du cœur sans que le corps s’en ressente ; j’ai comme toi des douleurs au côté, et de plus un très grand mal de tête, qui ne fait qu’augmenter de moment en moment. — Pour moi, répondit Sancho, je crois que l’eau ne me vaut rien, et que si j’avais bu autant de vin, je serais à présent plus gai qu’un pinson.

4. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »

Je l’ébranlai, mais je ne la persuadai pas. […] Bien loin de la persuader, je m’en ferais une ennemie : une fille amoureuse ne consulte que son cœur et son amant. […] Je lus ce billet et le déchirai avec tant d’indifférence, que je les laissai persuadés qu’il me touchait très peu. […] Ce n’est pas là le seul endroit qui m’a persuadé qu’elle ne cherchait que ma satisfaction, quelque répugnance qu’elle y eût. […] Mademoiselle de l’Épine était présente à ce discours, elle se mit de la partie et acheva de me persuader.

5. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »

Il voulait me persuader que le seul plaisir de la vie était d’avoir une maîtresse, et d’en être aimé. […] Que cet homme était bien fait, et qu’il était à craindre qu’elle ne s’en laissât persuader. […] Je vois bien qu’elle ne sera jamais religieuse ; je la connais, elle fera tout ce que vous voudrez, j’en suis persuadé ; mais que voudrez-vous qu’elle fasse ? […] Le présent de deux cents louis que Clémence lui fit tout d’un coup, le persuada bien mieux que toutes les paroles. […] Nous parlions de constance aussi, dit-il, mais sans aucun rapport, ni à Madame, ni à moi, et seulement parce que je voulais lui persuader une réconciliation avec Monsieur de Jussy.

6. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »

Ce fut là la principale raison qui me persuada. […] Toutes ces raisons, quoique faibles, ne laissèrent pas de la persuader. […] J’en suis persuadé, Monsieur, me répondit-il. […] Je le fis remarquer à sa maîtresse, et lui persuadai de se rendre traitable comme elle. […] J’en fus persuadé deux jours après que j’y allai à mon ordinaire sur les trois à quatre heures après midi.

7. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »

J’étais fort persuadé qu’une déclaration de bouche n’aurait pas été mal reçue ; je ne la précipitai pourtant pas. […] L’amour qu’elle avait pour moi acheva de la persuader. […] Je voulus lui persuader de faire parler à son oncle par des gens que nous savions avoir du pouvoir sur son esprit ; elle n’en voulut rien faire, et me dit pour toutes raisons, qu’elle était au désespoir d’être dans l’état où elle était ; mais que puisque c’était une chose faite où il n’y avait point de remède, il fallait prendre le parti de nous retirer. […] Si j’étais bien persuadé de cela, reprit Des Frans en riant, je les amènerais demain ici, au moins la satisfaction serait publique. […] Oui, lui dit-elle en riant, votre parent que j’ai laissé là-haut avec Madame votre mère, a tant fait, qu’il a persuadé.

8. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »

Cependant bien persuadée qu’il était digne d’elle, elle obéit à Cléon, sinon avec plaisir, du moins sans répugnance. […] Il justifiait Silvie, sachant qu’elle n’avait pas pu se dispenser d’obéir à son père ; et comme il était entièrement persuadé que tout son cœur était à lui, qu’il en était aimé, mais qu’elle n’en était pas moins perdue pour lui, ces pensées firent dans son esprit une telle impression qu’il en tomba malade. […] Justin était trop persuadé de la vérité de cette morale pour ne s’y pas rendre, et outre cela il souhaitait trop que sa femme fût sage, ou du moins qu’elle parût telle, pour contredire son beau-père.

9. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »

On a dit que le duc de Médoc était un fort honnête homme, aussi bien que le duc d’Albuquerque ; le comte Valerio et le comte du Chirou, et tous, comme on l’a vu, avaient obligation à Don Quichotte, tant par rapport à eux-mêmes, qu’à cause de leurs épouses, surtout le duc et la duchesse de Médoc, le comte de la Ribeyra, Eugénie son épouse et le comte du Chirou, qui tous lui devaient la vie, et les femmes leur honneur ; et comme la reconnaissance est le propre des bons cœurs, ils avaient résolu de faire paraître la leur dans toute son étendue, et de renvoyer notre héros chez lui dans un état à ne lui rien laisser à souhaiter pour la vie ; mais ils avaient résolu de lui faire recevoir leurs présents comme venant de la main d’un enchanteur, parce qu’ils étaient bien persuadés qu’il était trop généreux pour les accepter de main à main. […] Le hasard voulut que Ginès de Passamont, autrement Ginesille de Parapilla, ce fameux filou que Don Quichotte avait délivré des galères, avait été surpris en vol dans le château de Médoc, où on l’avait retenu, et on en avait averti le duc, qui avait envoyé ordre de le retenir jusqu’à son retour, étant bien persuadé qu’il lui serait utile dans ses desseins. […] Don Quichotte y perdit son latin, et toute la compagnie sa rhétorique, en le voulant consoler, et comme on lui voulut persuader qu’il l’avait laissé tomber dans la rivière, il se serait jeté dedans si on ne l’en eût empêché.

10. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »

Ne doutez plus de la sincérité de mon amour, et répondez-moi comme en étant bien persuadée. […] Vous m’en persuaderez mieux, interrompit-elle. […] Et les raisons que j’avais de me ménager et de n’avoir aucune faiblesse, qui sans doute m’aurait coûté ma fortune en le dégoûtant de moi, ne doivent-elles pas persuader que je n’en ai point eu ? […] Je le sacrifie lui-même à la crainte de le perdre, et pourtant je le conserve et plus amoureux, et plus persuadé de ma vertu, qui n’a pu souffrir ni l’ombre d’un crime, ni le moindre soupçon injurieux. […] Je suis très satisfaite de cette démarche, qui me persuade que vous méritez les bontés que Madame a pour vous.

11. (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)

J’en suis de même : je ne sais combien j’en écrirai par la suite ; toujours suis-je certain que je n’écrirai rien dont je ne sois persuadé. […] Je finis avec le jour, bien persuadé qu’après le souper j’aurai visite ; MM. […] Le soleil n’est pas levé, je sacrifie toute la journée, bien persuadé qu’elle m’est nécessaire pour écrire ce qu’on va lire. […] Nous sommes persuadés encore que s’il pouvait vivre jusqu’à ce que nous attrapions une zone plus tempérée, ou un climat moins brûlant, la bonté de son tempérament le tirerait d’intrigue sans leur secours. […] Je suis persuadé qu’il n’y a rien que de vrai, et que l’expérience ne soutienne.

12. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »

Quoiqu’il fût changé pour elle, elle ne changea pas pour lui, et plus il lui disait de duretés, plus elle lui répondait d’honnêtetés, et croyant que cette mauvaise humeur provenait de quelque maladie interne, elle fit son possible pour l’obliger à consulter des médecins ; il la traita de folle, de vouloir lui persuader qu’il était malade d’imagination, et bien loin de répondre à ses caresses et à ses avances, comme il avait coutume, il la repoussait et la regardait avec un certain air de mépris qui lui mettait la mort au cœur. […] A quelques jours de là son mari étant obligé d’aller dans une ville à cinq lieues de chez lui, elle lui persuada d’y mener avec lui son gendre, puisque c’était une affaire de famille qui lui était commune avec eux. […] Il la tourna de tant de côtés qu’il en arracha des larmes, ce qui lui fit redoubler l’ardeur de ses caresses et de ses protestations, de manière qu’il la persuada, et la laissa convaincue de son amour, et outrée contre Sotain. […] Si vous m’aimiez autant que vous voulez me le persuader, continua-t-elle, me proposeriez-vous un parti comme celui de vous suivre ?

13. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »

Cet officier bien persuadé que Sainville ne le connaissait en aucune manière, accepta volontiers le parti qui lui était proposé, ne demandant qu’à s’approcher de Silvie, dont il espérait de se faire reconnaître, et s’expliquer avec elle par les occasions que le hasard pourrait lui fournir. […] La marquise qui vit bien que sa parente ne demandait pas mieux, y consentit de la meilleure grâce du monde, bien persuadée que la vertu et la sagesse de cette aimable Provençale était un garant certain de sa conduite et du respect de du Chirou.

14. (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)

J’en suis persuadé, puisqu’il est ladre ; & c’est à cause de cela que je m’en repose sur le goût d’autrui, ayant naturellement horreur du grain dont ces animaux sont farcis. […] J’ai vu ce digne instrument : j’aurais bien voulu aussi voir quelque femme le mettre en œuvre ; je suis persuadé que les figures de l’Arétin n’ont rien de plus infâme. […] Le commandeur ne dit pas ce qu’il en pense, mais il n’est pas fort difficile de le deviner : & nous sommes tous persuadés que, s’il en eût été le maître & que M.  […] Je n’en fis rien, bien persuadé qu’étant bâtis comme ceux d’Italie ils ne seraient pas plus civils. […] Nous lui pardonnâmes le terme, poursuivit-il, bien persuadés que c’était plutôt un effet de son zèle que de sa mauvaise volonté.

15. (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)

Je suis sûr que rien de ceci ne vous apprendra rien de nouveau, car je suis persuadé que vous l’aurez remercié pour moi de ses bontés, comme je vous en ai prié, et qu’ainsi vous le connaîtrez avant que de lire ce que je vous écris à présent. […] Je crois que cela est vrai parce que je suis persuadé que cela se peut. […] Ils y cultivent du riz, et je suis persuadé que le froment et la vigne y viendraient à merveille, puisque j’y ai vu non seulement ce qu’on appelle en France des épis bâtards, mais aussi des pampres sauvages plus beaux que ceux de Canada. […] J’ai vu ce digne instrument ; j’aurais bien voulu voir aussi quelque femme après, je suis persuadé que les figures d’Arétin n’ont rien de plus infâme. […] Ce qui nous le persuade c’est qu’ils ont souffert sans branler que nous ayons pris à leur vue le navire que je vous dis hier que nous voyions, et lequel était sur notre route.

16. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »

On lui persuada de suivre les ordres de Parafaragaramus et de quitter les exercices de la Chevalerie errante. […] Cid Ruy Gomez s’interrompt ici lui-même, et dit qu’il est persuadé qu’il ne doit point donner au lecteur l’explication de tous les prodiges qu’on a lus au désenchantement de Dulcinée et des autres enchantés dans la caverne de Montésinos ; que l’explication qu’il a faite de ceux qui sont entrés dans la Ribeyra doit suffire à un lecteur intelligent, et que les esprits d’un ordre inférieur ne méritent pas qu’on se donne la peine de les tirer de l’obscurité de la matière dont ils sont formés.

17. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »

Il connaissait assez la bravoure et l’intrépidité de notre héros, pour savoir jusques où son courage le porterait dans la forêt ; il prévoyait bien aussi que Sancho ne le quitterait pas d’un pas ; il aurait bien voulu ne les point exposer contre des bandits ; mais dans le fond, outre que Don Quichotte n’aurait pas trouvé bon que l’affaire se fût passée sans lui, le duc voyait bien qu’il lui serait d’un grand secours, et qu’après tout c’était la mort la plus glorieuse qui pût arriver à deux fous, que de perdre la vie en servant le public ; d’un autre côté il voyait bien que l’occasion serait chaude et de fatigue, et que les chevaux de nos aventuriers n’étaient point assez forts pour la supporter, ni leurs armes assez bonnes pour résister au mousquet et au pistolet ; ainsi il avait jugé à propos de les armer par cette voie étant bien persuadé que l’estime qu’ils feraient de leurs armes et de leurs chevaux, qu’ils croiraient tenir de la main d’un enchanteur, leur ami, les animerait davantage, et relèverait le courage, surtout de Sancho, qui lui paraissait abattu par la conversation qu’il avait eue avec Don Quichotte, et que lui et Parafaragaramus avaient écoutée.

18. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »

Je n’ai vu personne depuis votre départ que le jeune Du Pont : son père est ami du mien ; mais pour l’aimer, la manière dont je vous en ai écrit me persuade que vous ne le croyez pas : mon père même ne le regarde que comme un enfant. […] Qu’on connaissait ses amis dans le besoin ; qu’il était le mien plus que je ne pensais, quoiqu’il fût bien persuadé que j’aurais voulu le voir au diable. […] Mais, lui dit-elle un jour, si vous êtes si fort persuadé de la fragilité des filles, pourquoi souffrez-vous que moi qui suis la vôtre, vive sur ma bonne foi comme j’y vis ? […] Elle me laissait parler et dire tout ce que je voulais, mais elle ne se laissait point persuader.

19. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »

L’hôte faisait un bruit de diable ; et très peu persuadé de la vertu des Françaises, et outre cela extrêmement jaloux, il s’égosillait en appelant sa femme, croyant peut-être qu’il y allait de son honneur.

20. (1721) Mémoires

La Dauphine, persuadée qu’elle ferait plaisir à son époux, ne hésita plus à demander cette grâce. […] Colbert et qu’il les suivrait sans doute, bien persuadé que la moindre faute de sa part serait suivie d’un châtiment également sévère et prompt. […] A Dieu ne plaise que je veuille pénétrer dans les secrets de Sa divine providence, mais je suis persuadé qu’il voulait terrasser l’orgueil de Louis XIV en faisant avorter ses projets. […] Et elle Mutait persuadée que dans quelque poste que M.  […] Elle persuada à Louis de nommer le premier au chancelât et de mettre l’autre à sa place.

21. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »

Sancho, bien persuadé qu’il était invulnérable, imita son maître le mieux qu’il pût, de sorte que, quelque résistance que ces hommes pussent faire, nos aventuriers en mirent deux sur la place, et des gens du lieutenant étant venus aux coups de pistolets, notre héros leur abandonna les deux autres, et les pria de leur sauver la vie.

22. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »

Les ducs et le reste de la compagnie crièrent tous en même temps, que le charme avait cessé, qu’ils voyaient le cheval et les armes, et crièrent victoire au brave chevalier Sancho, qu’ils joignirent tout épouvanté d’avoir vu l’enfer ouvert, et bien persuadé qu’il s’était battu contre un démon.

23. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »

Sancho persuadé que c’était la le véritable chemin de retrouver son argent l’imita en criant : Allons, ici mourra Samson et tous ceux qui sont avec lui.

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