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2. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »

Leurs pistolets étant vides, Don Pedro et sa suite, qui ne craignirent plus le feu, fondirent sur eux l’épée à la main ; ils les reçurent en braves gens, et s’étant acculés, ils firent face de tous côtés ; cependant étant enveloppés de six hommes, ils auraient infailliblement succombé, si on ne fût venu à leur secours. […] Ces armes-là n’étant pas de la Chevalerie errante, il ne savait quel parti prendre, parce qu’il était à pied ; mais le cliquetis des épées lui faisant connaître qu’il n’y avait pas d’armes à feu à redouter, il se leva, et vit, non sans indignation, un combat si inégal. […] Courage, poursuivit-il s’adressant à Deshayes, brave Roger, votre bon ami Roland est avec vous ; et en disant cela, il passa son épée au travers du corps d’un des assassins, et d’un revers coupa le bras d’un autre. […] Les questions qu’ils leur firent donnèrent le temps à notre héros de les joindre ; il était trop colère pour songer à autre chose qu’à la vengeance ; il déchargea un si furieux coup de son épée sur la tête de celui qui tenait Eugénie, qu’il le renversa tout étourdi, et la comtesse tomba à terre aussi bien que lui. […] Il se releva, et son épée qui était prise dans le mors de la bride de sa bête se cassa entre ses mains ; ainsi il se trouva démonté et désarmé.

3. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »

Il était, comme j’ai dit, armé de toutes pièces et à pied, ayant à la main gauche une épée nue et à la droite un fouet de cordes garni de molettes de fer. […] Il s’arrêta dans un espace assez large à plus de huit cents pas de l’entrée de la caverne, et y fit face à notre chevalier qui allait à lui l’épée à la main avec beaucoup de résolution. […] Le succès heureux n’en est réservé qu’au plus fidèle et au plus brave chevalier qui jamais ceignit épée, sans en excepter les Amadis, les Roger et les autres illustres de l’Ordre, vivants et morts. […] En même temps il fut le premier à pousser la porte et à entrer l’épée à la main. A peine fut-il dans la salle, qu’il aurait bien voulu n’être pas tant avancé, et il aurait retourné en arrière s’il n’avait pas été saisi par deux démons qui lui firent une si grande peur qu’il n’eut pas la force de soutenir son épée qui lui fut ôtée, et parut de la main s’aller rendre elle-même dans celle d’un géant de plus de quinze pieds de haut, qui paraissait au milieu d’une grande salle, assis sur un cube, l’épée de Sancho d’une main et une grosse massue de l’autre, sur laquelle il s’appuyait.

4. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »

Ils revinrent tous deux l’un sur l’autre en portant la main sur la garde de leurs épées ; mais tous deux furent également surpris de ne pouvoir pas la tirer du fourreau. […] C’était un spectacle risible de voir les efforts que faisaient nos deux champions chacun de son côté, sans se rien dire, et tous deux si proches, qu’ils se touchaient, pour mettre à l’air leurs invincibles et formidables épées. […] Chevalier, dit-il à Sancho, un enchanteur qui me persécute m’empêche de tirer mon épée. —  Et moi aussi, dit Sancho. —  Comment donc terminerons-nous notre combat ? […] Leurs spectateurs ne pouvaient respirer à force de rire à la vue du plus ridicule combat qu’on puisse se figurer, de deux hommes à cheval armés de toutes pièces, et l’épée au côté, qui se battaient comme des crocheteurs, et dont les trois quarts des coups ne frappaient que l’air par le mouvement de leurs chevaux qui étaient toujours dans l’agitation, parce qu’ils suivaient l’inclination de la bride, qui suivait celle de la main, que nos chevaliers ne pouvaient pas tenir ferme, à cause du mouvement de leurs corps. […] C’est moi qui ai fait rompre vos lances dans vos mains ; c’est moi qui ai enchanté vos épées pour vous empêcher l’un et l’autre de répandre un sang que vous regretteriez avec amertume.

5. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »

C’est par mon art de nécromancie que ton épée s’est cassée lorsque tu as délivré la comtesse ; laisse celle que tu portes, et j’aurai soin de te pourvoir d’une autre. Tu trouveras demain à l’entrée de la forêt, au même endroit où tu as retiré la comtesse des mains de ses ravisseurs, un cheval que je te destine, que monta autrefois le fameux Largail, des armes dont se servit Rodomont, et l’épée de Roger ; elles te serviront contre tous les enchantements, et par elles tu seras toujours victorieux dans les plus grandes aventures de ta vie. Le chevalier Sancho trouvera aussi un cheval, des armes et l’épée de Pinabel. Sortez tous deux à la pointe du jour, à pied, et sans épée, et donnez-vous de garde de dire votre secret à personne, car tout disparaîtrait.

6. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »

Don Quichotte et son écuyer voulurent entrer l’épée à la main dans cette caverne, mais ils furent aussitôt salués d’une décharge de coups de mousquets et de pistolets. […] On les y suivit à pied, l’épée d’une main et le pistolet de l’autre. […] Ils donnèrent dessus l’épée au poing d’estoc et de taille. […] En disant cela il mit pied à terre, alla à eux, et s’approchant d’un dont l’épée était cassée, lui passa la sienne dans le corps.

7. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »

Notre héros reprit sa fureur, en même temps qu’il reprit connaissance, et joignit les bandits l’épée à la main, qui surpris de se voir sur les bras un homme qu’ils croyaient mort, se défendirent avec tout le désespoir de gens qui n’attendent que la roue, et Don Quichotte les attaquait avec toute la témérité d’un chevalier errant. […] Sancho se releva promptement ; mais comme il avait lâché son épée en tombant, un des voleurs s’en était saisi. Tout désarmé qu’il était, il ne perdit pas le sens, et prit un palonnier qui était à terre, et s’en servit comme d’une massue si à propos, qu’il en assomma un des bandits qui faisait tête à Don Quichotte, et cassa les jambes de celui qui avait son épée, qu’il reprit tout aussitôt, et la lui passa dans la gorge.

8. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »

Mon père qui me destinait dans l’épée, me mit aux exercices. […] Je me déterminai à lui faire mettre l’épée à la main. […] Comme il vit que mon dessein n’était pas de l’épargner, il mit aussi l’épée à la main. […] Elle se déroba de mes bras, et se jeta sur mon épée ; je la lui arrachai des mains. […] Au lieu de me rendre mon épée, elle courut appeler du secours.

9. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »

Le seigneur Don Quichotte peut t’assister de ses conseils ; il peut même te favoriser de sa présence, mais je lui défends de te secourir, et même d’approcher de quinze pas de ses armes sous peine de perdre les siennes et d’acquérir ma haine pour toujours : vois, indigne Sancho, quel malheur ton imprudence t’attire ; souviens-toi que l’enchanteur qui garde ta dépouille, n’a point de temps à perdre, parce qu’il faut qu’il aille et revienne du Cathay avant le coucher du soleil ; il est levé, ainsi ton épée ne te servira de rien contre lui ; cours donc dès la pointe du jour à la conquête de tes armes, ou ne te présente jamais devant les braves gens, et renonce à la profession et aux espérances de devenir roi ou empereur de la Chine. […] —  Prends courage, mon enfant, lui dit Don Quichotte, tous ceux de notre profession ont toujours eu des traverses, et tu dois être bien aise que Parafaragaramus ne t’impose point d’autre peine que celle d’un combat. —  Mardi, Monsieur, lui répondit Sancho, vous parlez toujours le mieux du monde, vous n’avez rien à craindre, et vous ne voulez pas me laisser démanger où il me cuit ; que diable ferai-je contre un enchanteur, sur qui une épée ne fera rien, et qui me va percer de la sienne comme un crible ? […] Pardi, dit-il à son maître, si mon épée ne peut rien contre ce diable, ceci l’assommera, s’il me laisse faire.

10. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »

Les lois simples et intelligibles étaient interprétées par des chevaliers l’épée au côté, qui suivaient toujours les voies que la raison et l’équité leur suggéraient. […] Dans la paix, chacun faisait son travail, et personne ne restait armé comme dans un temps de guerre ; les mêmes mains qui venaient de manier une lance et une épée, retournaient manier la charrue et la serpette, sans en être déshonorées.

11. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »

que pour vaincre avec honneur il ne faut devoir son triomphe qu’à sa propre valeur, à son bras et à son épée ? […] On fit jeter de l’eau gommée dans le fourreau des épées de nos deux aventuriers, et on fit briser leurs lances si proprement, que la fracture ne paraissait pas ; mais si profondément pourtant, qu’elles ne pouvaient pas faire le moindre effort sans achever de se briser tout à fait.

12. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »

La fantaisie qu’il avait dans la tête ne lui avait point ôté l’amour qu’il avait pour elle ; on peut dire même que plus il la persécutait, plus il l’aimait, ou pour parler plus juste, il ne la persécutait que parce qu’il l’aimait ; ainsi il ne la vit pas plutôt hors de danger que son désespoir parut par toutes les marques qu’on peut en donner ; jusque-là que sa femme ayant eu une crise, et quelqu’un ayant crié mal à propos qu’elle venait d’expirer, il voulut se passer son épée au travers du corps ; mais en ayant été empêché par ceux qui étaient dans la chambre de sa femme, il en sortit et alla se jeter par une fenêtre, disant qu’il ne voulait pas lui survivre. […] Tu mourras, perfide, cria-t-il en venant à Célénie l’épée à la main ; mais le cavalier furieux comme un amant qui voit ce qu’il aime en danger, se jeta à lui et le terrassa, et Célénie s’étant échappée il ne ménagea plus Sotain, et étant aussi animé et moins troublé que lui, il le désarma et lui portant à la gorge la pointe de sa propre épée, il le menaça de le tuer s’il faisait le moindre bruit.

13. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »

Moi qui avais une horreur invincible pour la robe et pour la plume, qui ne respirais que la guerre et l’épée, je me remis dans les études, et peu s’en fallut que je n’allasse crotter une robe au Palais. […] Je portai la main à mon épée, et peut-être lui aurais-je fait un mauvais parti, si heureusement la garde ne s’était trouvée prise dans un nœud de rubans. […] En effet dès le jour même que Rouvière eut tiré Querville d’embarras, et à la même heure que je parlais de lui à Silvie, il tua son ennemi d’un seul coup d’épée qu’il lui donna au travers du cœur. […] Je mis l’épée à la main dans le dessein de les percer l’un et l’autre ; mais un mouvement qu’elle fit me désarma. […] Je lui fis une querelle en l’air, je lui fis tirer l’épée.

14. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »

Don Quichotte et Sancho Pança ne furent pas plutôt seuls dans leur chambre, que notre chevalier visita ses armes de tous côtés, et examina une nouvelle épée que Valerio lui avait donnée à la place de la sienne, qui s’était cassée, comme on a vu, en délivrant Eugénie.

15. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »

Tirez mon épée, dis-je à ma femme, percez, tuez ce coquin, tel soit-il, sans hésiter. […] Je repris mon épée des mains de ma femme, et lui dis d’aller chez nous : et toi tu es mort, dis-je à cet homme que je reconnus pour un paysan. […] Il était à ma discrétion : je le retins l’épée dans les reins sur terre, sans qu’il osât ni crier ni remuer. […] Mais sitôt que j’entrai dans cette chambre, je me trouvai saisi par quatre grands coquins, qui commencèrent par m’ôter mon épée.

16. (1721) Mémoires

Qu’il était vrai que ces peuples avaient bâti un château et y entretenaient garnison, et qu’il était encore vrai que le Roi seul doit porter l’épée dans toute sa domination. […] Leur nombre était supérieur ; ils étaient tous bien armé ; c’était les Anglais qui leur avaient fourni fusils, poudre, plomb, épées et le reste. […] Lorsque ces peuples font la guerre, celui qui les commande porte une hache à son côté, outre celle qu’il a à la main avec ses autres armes, arc et flèches, ou fusil, et épée emmanchée. […] Fouquet, et le fils les assura l’un et l’autre que son épée ne leur manquerait pas. […] Je me jetai à côté, et portant la main sur mon épée, je le regardai : Et de quoi te mêles-tu ?

17. (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)

Je comptais qu’il allait faire le mauvais ; apparemment qu’il a craint que la pointe de mon épée ne piquât mieux que la sienne. […] Le commandeur a envoyé demander à Bouchetière son épée, celle de feu M. […] Il s’est fait apporter l’épée de M. […] Il a envoyé l’épée au blessé, pour le dédommager des douleurs de sa blessure : ç’a été le sergent qui la lui a portée. […] Il n’osa mettre la main à l’épée : je régalai sa poltronnerie.

18. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »

Cid Ruy Gomez dit que la douleur acheva de le faire devenir fou, et que si l’effusion du sang ne lui avait pas fait peur, il se serait passé son épée dans le corps, mais qu’il n’avait différé sa mort que jusqu’à ce qu’il eût trouvé une corde et un arbre pour s’y pendre.

19. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »

Dupuis, comme vous savez, était homme d’épée, qui avait beaucoup couru le monde. […] Bagatelle, reprit-il, vous me teniez l’épée dans les reins, et j’avais oublié que j’étais engagé avec Monsieur Du Pont.

20. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »

Il avait de la qualité étant d’une maison qui s’est toujours distinguée par son attachement à la personne de nos Rois, mais plus connue dans la robe que dans l’épée, quoiqu’il en soit sorti de très braves gens, et qui ont servi dans les armées avec éloge. […] Son père était un gentilhomme d’Anjou, cadet des cadets, n’ayant que la cape et l’épée et qui outre cela épousa une demoiselle de son pays qui n’en avait pas plus que lui.

21. (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)

Ils sont si pâles, livides, maigres & hideux que si je ne les avais pas vus l’épée au côté, je les aurais pris pour de nouveaux Lazares, ou du moins des moines de Notre-Dame de la Trappe. […] Qu’un homme de qualité en Europe ait plusieurs enfants, l’aîné soutient la dignité de la famille, le second est destiné à l’épée, c’est un chevalier de Malte, & le troisième est monsieur l’abbé. […] Menacez seulement de votre plume ceux qui vous chagrinent : ils la craindront plus que l’épée des ennemis.

22. (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)

Il avait des bas gris de perle, un escarpin long d’un demi-pied plus qu’il ne fallait, couleur de noisette, un justacorps de drap gris de souris, une veste de satin brodée de fleurs de soie de toutes sortes de couleurs mais fort fanées, une culotte de damas cramoisi, une épée de six pieds de lame, et une canne fort belle avec une chaîne d’argent, si bien que dans un besoin, en y ajoutant une rhingrave, il aurait assez bien représenté le marquis de Mascarille de Molière. […] Après leur sortie on a chanté une grande messe des morts, le corps présent dans une bière, une croix dessus, l’épée hors du fourreau, attachés ensemble en croix de saint André ou en sautoir. […] Il a levé environ trente mille chevaux et s’est allé opposer à l’armée victorieuse du Mogol, qui ravageait le royaume de Visapour, que Sombagy son frère avait laissé prendre sans tirer l’épée. […] Elle est bâtie sur le haut d’une montagne et une forteresse au milieu, et ne peut être prise que l’épée à la main ou faute de munitions.

23. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »

Mon rival en rougit de fureur et mit l’épée à la main ; et avant que j’eusse tiré la mienne il me pointa au bras.

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