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2. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »

Nous reprîmes bientôt nos sens, et enfin je résolus de faire un dernier effort pour l’épouser à quelque prix que ce fût. […] Il me regardait comme la devant épouser un jour, quoiqu’il ne voulût pas que ce fût pendant sa vie. […] Elle m’en fit la mine pendant quelque temps, et n’eut point de repos que cette fille ne fût partie avec celui qui l’avait épousée. […] Il n’a tenu qu’à moi de me marier, et fort avantageusement ; mais je ne puis songer qu’à lui, et je mourrai fille, ou je l’épouserai. […] Enfin on vous satisfera, on vous pardonnera vos brusqueries, et on vous épousera si vous voulez.

3. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »

Avant que de vous le déclarer, Monsieur, me dit-elle, il faut savoir si vous aimez avec sincérité la demoiselle que vous allez épouser, et si le cœur a part à votre union, ou l’intérêt ? Non, Mademoiselle, lui dis-je, il est certain que si je ne suivais que mon cœur, je n’épouserais pas Mademoiselle Grandet. […] Vous ne m’épouserez qu’avec répugnance, repris-je tout haut, je ne suis pas d’humeur à vous avoir malgré vous ; je vous en offre autant de ma part. […] Il s’est présenté plusieurs partis qui n’ont pas demandé mieux que de l’épouser. […] Elle et moi devons prendre ici des mesures pour nous épouser sans éclat.

4. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »

Je ne vous parle point de m’épouser, je n’y prétends pas ; mais je vous supplie de ne me point importuner, et de me laisser en repos. […] J’approuve vos raisons pour ne me point épouser, approuvez les miennes pour ne vous voir jamais. […] Je veux, dit-elle, que vous songiez à épouser Mademoiselle de Vougy. […] D’un autre côté vous jugerez qu’il me serait extrêmement fâcheux d’épouser une fille que tout le monde aurait vu servir. […] Il est constant que Contamine avait dessein de l’épouser ; il n’aurait jamais tant enrichi une maîtresse.

5. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »

Je l’aimais trop pour lui manquer de respect ; en effet, on en conserve beaucoup plus pour une personne qu’on veut épouser, que pour une autre ; outre que je craignais de lui déplaire par un emportement que je me figurais qu’elle interpréterait mal. […] Enfin j’appris du bruit commun qu’elle allait épouser Deshayes, et que le contrat de mariage était signé. […] Ma maladie fut longue, et l’abattement où elle me mit ayant tempéré les ardeurs de ma rage, j’appris sans désespoir, mais avec beaucoup de surprise et de douleur, qu’elle avait épousé Deshayes. […] Je crus que c’était un assez grand malheur pour elle d’avoir épousé Deshayes, pour me croire encore trop vengé de son infidélité ; ainsi je bornai toute ma vengeance à les laisser vivre ensemble, à les mépriser également tous deux, et surtout à ne lui parler de ma vie. […] Nous nous étions promis de nous épouser ; mais comme il ne me cache rien de toutes ses affaires, et qu’il sait toutes les miennes, nous nous sommes rendus notre parole sans cesser notre commerce.

6. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »

Que ce jeune homme ne demandait pas mieux que de l’épouser. […] Je lui dis que j’avais résolu de l’épouser, si elle y voulait consentir, sans en rien dire à mes parents. […] C’en est fait, de toute votre famille je ne veux épouser que vous. […] Avant que de l’épouser je me suis expliqué avec elle de tous ces avis. […] Dupuis vous dira une partie des raisons qui vous doivent engager à l’épouser.

7. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »

Un diable de si bonne mine attira l’attention de nos deux chevaliers, et Pluton lui ayant permis de parler, il commença par remontrer toutes les peines qu’il se donnait pour rendre les femmes belles et attirantes, qu’il inventait tous les jours quelque pommade et quelque essence pour conserver leur teint, ou bien pour en cacher les rides, qu’il avait depuis peu de temps travaillé à cela avec beaucoup de succès, puisqu’il y avait des femmes âgées de plus de soixante ans qui ne laissaient pas par son moyen de paraître avec des cheveux bruns, une peau unie et délicate, et enfin si jeunes qu’il faudrait avoir en main leur extrait baptistaire pour les croire plus vieilles que leurs enfants ; que cela faisait augmenter le nombre de leurs amants, et augmentait en même temps celui des sujets de l’enfer ; mais que malgré tous ses soins il courait risque de perdre son temps s’il y avait encore dans le monde deux hommes de l’humeur du chevalier Sancho, qui à tout moment disait pis que rage des femmes, et tâchait d’en dégoûter tout le monde ; que si cela était souffert, il n’avait qu’à laisser en enfer son panier plein de cornes, parce qu’il ne trouverait plus de femmes qui en pussent faire porter à leurs maris, n’y ayant plus aucun homme qui leur voulût aider à les attacher, qu’il avait employé un temps infini pour en faire qui fussent propres à tout le monde, qu’il y en avait de dorées pour les maris pauvres, et qui se changeaient sur leur tête en cornes d’abondance ; qu’il y en avait d’unies et simples pour ceux dont les femmes faisaient l’amour but à but ; qu’il y en avait de jaunes pour ceux qui épousaient des filles qui avaient déjà eu quelque intrigue ; de blanches pour ceux qui épousaient des veuves ; de noires pour ceux qui épousaient des fausses dévotes ; de diaphanes et transparentes pour ceux dont les femmes savaient cacher leur infidélité ; de vertes pour ceux qui épousaient des filles élevées dans un couvent ou dans une grande retenue ; et de rouges pour ceux dont les femmes payaient leurs amants, à qui d’ordinaire elles ne se contentaient pas de sacrifier la bourse et l’honneur, mais le sang même de leur époux ; que chaque couleur convenait parfaitement à la qualité d’un chacun ; qu’il y avait dans le monde assez de femmes de vertu qui rebutaient les hommes, sans que Sancho voulût mettre les hommes sur le pied de rebuter les femmes ; que c’était de quoi il demandait justice, et protestait en cas de déni de laisser toutes les femmes et les filles en garde à leur propre vertu, sans les tenter dorénavant par lui-même, et sans les faire tenter par d’autres, ni leur fournir les occasions d’être tentées.

8. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »

Ma sœur, Madame d’Ornex, est mariée malgré elle, non pas qu’elle ne voulût point se marier ; mais elle ne voulait pas épouser d’Ornex, et mon père la fit choisir tout d’un coup entre lui et le couvent, pour le reste de ses jours. […] Je ne demande qu’à l’épouser ; et pour cela je vous demande de ne nous être pas contraire. […] Il ne donna aucune raison de son ridicule refus, qu’il consentirait plutôt que sa fille épousât le diable que moi. […] Il a mis en deux jours de temps les choses sur le pied d’épouser le troisième. […] Cet homme est de qualité ; mais assez malhonnête homme, pour vouloir m’épouser, après l’aveu sincère que je lui ai fait de l’état de mon cœur, je vous aime trop pour être infidèle.

9. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »

Il finit en ordonnant à sa femme par tout le pouvoir qu’il avait sur elle, d’épouser Sainville aussitôt qu’il serait mort, et il fit écrire cette volonté avec le don qu’il leur faisait à tous deux de tout son bien, pour en quelque façon les dédommager des peines qu’il leur avait causées. […] Il alla le voir aussi bien que les autres, et fut aussi témoin des pardons qu’il demanda derechef à Sainville et à son épouse, de l’ordre qu’il leur donna de s’épouser, et du don de son bien qu’il leur réitéra ; après quoi ayant prié sa femme qu’elle l’embrassât pour la dernière fois, il mourut entre ses bras avec toutes les dispositions d’un bon chrétien, et un repentir sincère.

10. (1713) Les illustres Françaises « Préface. »

L’histoire de Rouvière, celle de Querville, et celles qui soutiendront le paradoxe que je fais avancer à Des Ronais, qu’il est plus avantageux à un honnête homme d’épouser une femme vertueuse, dont il est aimé, et qu’il n’aime pas, que d’en épouser une qu’il aime, et dont il n’est point aimé, offrent quelque chose digne de curiosité.

11. (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »

Il me dit que non seulement il nous épouserait ; mais qu’il nous donnerait même un certificat de mariage, à condition que nous ferions, elle et moi, tout ce qu’il voudrait exiger de nous pour notre sûreté réciproque. […] On m’attendait dans une petite chapelle qui fut fermée dès que j’y fus entré ; et n’y ayant qui que ce soit qui ne fût de notre intelligence, nous fûmes promptement épousés. […] Ainsi je lui dis sans façon qu’il était vrai que j’avais épousé sa fille sans lui demander son consentement, parce que je ne m’en étais pas soucié, et que je ne m’en souciais pas encore. […] Apprenez de moi, et de l’expérience, poursuivit-il, si vous ne le savez pas, qu’il est bien plus avantageux pour un honnête homme d’épouser une honnête femme qu’il n’aime pas, mais dont il est aimé, que d’en épouser une qu’il aime, sans en être aimé. […] Je ne crois pas, ajouta-t-il, qu’il y ait au monde un mariage plus uni que le mien ; j’aime ma femme plus que lorsque je l’ai épousée ; je suis sûr, ou je crois pouvoir l’être, qu’elle m’aime bien aussi… Oh[ !]

12. (1721) Mémoires

Il poussait lui-même le Roi à la répudier, pour en épouser une autre qui lui fît des enfants. […] Il avait épousé une demoiselle de Normandie d’une beauté parfaite, et aussi sage que belle. […] M[onsieu] r Choppin, secrétaire du roi, qui avait épousé la nièce de Deschiens et qui demeurait dans sa maison, vint comme les autres au vacarme. […] Il avait épousé une femme vertueuse. […] Qu’il le soit ou non, il ne devait point la mépriser puisqu’il l’avait épousée.

13. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »

Il avait appris sans chagrin la mort de Deshayes ; mais il n’avait pas pu apprendre sans douleur la confession qu’il avait faite avant sa mort, et l’ordre qu’il avait donné à sa veuve d’épouser Sainville. […] Il lui avait dit sa qualité et son nom, et par hasard il se trouva que cette femme avait été élevée dans la maison de son père, où elle avait servi, et où elle demeurait encore lorsqu’elle s’était mariée en premières noces à un Flamand qui l’avait emmenée à Valenciennes, où en secondes noces elle avait épousé l’Espagnol avec qui elle était venue en Castille, et où elle tenait hôtellerie.

14. (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »

Il a enfin épousé sa maîtresse la belle Babet Fenouil : il m’a conté une partie de son histoire, et j’ai vu le reste. […] C’est, répondit Des Ronais, la sœur de défunt Gallouin, et la maîtresse de Monsieur Dupuis, qui la doit épouser, et avec qui il devrait être déjà marié.

15. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »

Avant que d’expirer, il laissa tout son bien par testament à sa nièce, et consentit qu’elle épousât le neveu du curé, et ce jeune homme satisfait de sa fortune, cessa de solliciter à la Cour l’emploi qu’il voulait obtenir.

16. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »

Ils dirent qu’il était vrai qu’on ne voyait point de Français s’empoisonner, se poignarder, ou se pendre, pour avoir eu le malheur de n’avoir pas épousé une vestale, et que sauf le respect de tous les Espagnols en général, et des Portugais en particulier, ils regardaient comme des fous ceux qui étaient assez sots et assez malheureux pour en venir à ces extrémités ; que la manière de France sur un pareil sujet était sans doute plus raisonnable, puisque c’est être en effet extravagant, que de se punir des péchés d’autrui, et qu’à le bien prendre la mauvaise conduite d’une femme ne devait être imputée au mari qu’autant qu’il la souffrait sans y mettre ordre lorsqu’il le devait et autant qu’il le pouvait ; que du reste un homme n’en devait pas être regardé comme moins honnête, quoiqu’il eût une femme libertine, pourvu qu’il eût fait en homme d’honneur ce qu’il devait pour la ranger à la raison, pour sauver les apparences, et pour éviter l’éclat et le scandale, dont tout ce contrecoup et la honte retombait sur lui, lorsqu’il faisait le moindre faux pas.

17. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »

. — C’est votre faute, lui dit la belle Provençale, vous deviez étudier son humeur avant que de l’épouser. — Eh oui, oui, lui dit Sancho, t’y voilà laisse-t’y choir ; une fille qui a envie d’être mariée ne se déguise pas ?

18. (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)

M.Roi, ayant seul connaissance des affaires de son bon maître, a été assez heureux pour épouser sa veuve, jeune, belle & riche, & elle de sa part a été & est encore fort heureuse d’avoir fait la fortune d’un parfaitement honnête homme, qui ne lui a jamais donné lieu de se repentir de l’avoir préféré, quoiqu’il n’eût rien, à plusieurs autres fort riches, mais qui ne le valaient pas. […] L’affaire alla bon train, le cotillon enfla, il l’épousa ; & sa mère à elle, le mariage fait, ne voulut plus entendre parler ni de sa fille ni de son gendre, & les mit tous deux à la porte ; &, d’un autre côté, le marchand chez lequel il était, ne voulant point de garçon de boutique marié, le congédia. […] Martin, trésorier de l’Ordinaire des Guerres, monsieur R***, receveur général des Finances, & M. de Quirckpatrik, premier commis de M. de Louvois, ont épousé les trois sœurs, & que par conséquent ils étaient tous beaux-frères. […] La voir, l’admirer, en être charmé, l’aimer, se déclarer, avoir son consentement, la demander, l’obtenir, passer un contrat & l’épouser sur une dispense, fut une affaire terminée le quinzième jour de son départ de Paris, où on apprit plus tôt son mariage, qu’on ne sut qu’il avait une maîtresse. […] J’ai dit qu’il y a plusieurs Français ici, qui ont épousé des filles de Portugais.

19. (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »

Il avait épousé une fille fort riche qui mourut trois ans après son mariage, et ne lui laissa qu’une petite fille que je nommerai Silvie.

20. (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)

Ce qui m’en semble, c’est que les Portugais qui sont misérables chez eux viennent ici ou ailleurs, et à coup sûr y épousent des femmes qui leur gagnent leur vie et qu’ils rossent bien. […] Cette chaussure est commune aux Portugaises qui sont ici avec les Français qu’elles ont épousés, mais puisque l’occasion revient d’en parler, je ne puis m’empêcher de vous dire que ce sont de très dégoûtantes madames : il semble qu’elles aient toujours une dent cassée et la bouche pleine de sang, à cause de leur bétel et arec qu’elles mâchent incessamment et crachent à tout moment. […] Les peuples ne souffrent point que le fils succède au père, à moins que ce ne soit d’une reine qu’il l’ait eu, et la couronne n’y est jamais possédée par deux hommes de suite ; ils sont si jaloux du sang auquel ils obéissent qu’afin d’être sûrs qu’ils ne s’abusent point ils n’ont recours qu’à celui des femmes, c’est-à-dire qu’une reine d’Achem ayant du mari qu’elle aura épousé un garçon et une fille, ce garçon lui succède, mais non pas ses enfants à lui, et ce sont ceux de sa sœur, et toujours ainsi. […] Je m’en suis informé à ce M. de La Touche qui m’a dit qu’il ne savait pas positivement ce qu’elle était devenue, mais que le bruit était que Pitrachard avait voulu l’épouser et qu’elle l’avait refusé ; que cependant il faudra qu’elle prenne le parti de l’épouser lui, son fils, ou la mort, car ce n’est pas la coutume des Orientaux de garder des vestales, et Pitrachard est trop politique pour souffrir que cette princesse épouse un homme capable de faire valoir ses droits.

21. (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)

Céberet secrétaire du Roi, l’un des premiers intéressés dans la Compagnie de Guinée, qu’il a toujours aime la marine, qu’il a fait plusieurs voyages de long cours, et a épousé à la Martinique une parente de Mme la marquise de Maintenon. […] On m’a dit que c’est où est mort Alphonse VI, roi de Portugal, frère aîné de dom Pierre, aujourd’hui roi, qui l’avait relégué dans cette île, comme hébété et impuissant, et s’était emparé du royaume et de sa femme, qu’il a épousée ; et le tout sans violence : il est vrai que dom Pedro n’a pris la qualité de roi qu’après la mort de son frère. […] Ce que j’en peux juger, c’est que les Portugais, qui sont malheureux dans leur patrie, viennent ici chercher fortune et y épousent des femmes laborieuses, qui les nourrissent, entretiennent leur paresse naturelle, et qu’ils rossent encore bien par-dessus le marché.

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