Le reste se décidera demain devant M. […] Je dirai demain de quelle manière il aura été reçu. […] Nous courrons demain l’Ouest quart de Sud-Ouest. […] Nous avons vu cette île sur le soir, et Dieu aidant nous y mouillerons demain. […] Ce sera encore demain la même chose ; et, pour consoler les affamés, M.
Les exemples de tant de malheureuses qu’elles voient tous les jours, ne les rendent pas plus sages : au contraire, plus il y en a de libertines aujourd’hui, et plus il y en aura demain. […] J’ai promis à son cousin d’y aller demain, mais il n’est que cinq heures, il fait beau, je suis en état de sortir, et je n’ai rien à faire. […] J’enverrai demain quérir le mari et la femme pour dîner ici. […] On vous fera connaître le quiproquo demain à dîner ; le rendez-vous est pris. […] Nous irons demain, si vous voulez voir Jussy et son épouse, pour aujourd’hui, parlons de Monsieur et de Madame de Contamine.
Je sors, prenez garde que personne ne touche à votre armoire ; je verrai demain si vous avez pour moi quelque considération. […] Je serai demain des vôtres ma belle cousine, poursuivit-il, s’adressant à Angélique. […] J’irai chez elle dès demain ; j’aime mieux lui découvrir toute ma vie et tout perdre que de passer pour une infâme. […] Je viendrai vous prendre demain dans mon carrosse, nous irons ensemble. […] Je ne veux pas rompre avec vous, et demain vous ferez de moi tout ce que vous voudrez.
Si je mets demain pied à terre comme je l’espère, je vous dirai ce qui en est. […] J’écris le matin, je vous dirai demain ce qui en est ou ce qui m’en aura paru. […] Nous sommes à l’ancre et le gardons pour voir demain ce qu’il en sera. […] Demain, Dieu aidant, nous irons. […] J’irai demain à terre, vous saurez tout à mon retour.
Ami Sancho, lui dit-il, ce sera demain le plus glorieux jour de notre vie, car nous y allons accomplir les ordres de la Chevalerie errante, en purgeant le monde de brigands et de voleurs. — Ah pardi, Monsieur, répliqua Sancho, à qui ces préparatifs ne plaisaient guère, vous me la donnez bonne, et nous ne tombons pas mal de la poêle au feu. […] Mais, Monsieur, il faut être demain matin de bonne heure sur pied, dormons, ou me laissez dormir, car le diable m’emporte si je réponds ; un bon payeur ne craint point de donner des gages.
Je viendrai ici le matin et en ressortirai le soir, parce que j’ai quelques affaires qui ne me permettent pas de paraître pendant le jour, ni de rester chez un parent où je couche ; ainsi, dit-il, je ne vous incommoderai pas beaucoup, que pour aller me faire apporter à manger, et dès demain matin je viendrai prendre possession de votre chambre ; et en même temps il lui donna de l’argent pour arrhes. […] Je vous regarde toujours comme mon fils, et n’ayant pour tous enfants que cette misérable indigne d’être ma fille, et que je destine à une prison éternelle, vous pouvez compter sur tout mon bien, dont je vous fais présent dès maintenant, et dès demain je vous en passerai la donation. […] Prétextons son éloignement, et reculons-le du moins jusqu’à demain ; vous pourrez d’un esprit rassis me demander en présence de mes domestiques la permission pour elle d’aller passer quelque temps à la campagne ; j’y consentirai, et vous la mènerez où il vous plaira.
Je sais mon devoir, et vous me faites tort de croire qu’il faille m’en avertir, j’irai dès demain. […] Je ne puis me dispenser de me rendre aujourd’hui près d’elle, dit Dupuis ; mais je vous promets de me rendre auprès de vous demain matin, et de ne vous point quitter ; pour à présent je vous prie d’excuser.
Notre armurier prétend bien que ce ne sera pas demain la même chose. […] On a fait cette matinée justice d’un, qui est à présent libre : à demain l’autre. […] Demain, Dieu aidant, nous y entrerons. […] Je lui ai donné rendez-vous à demain matin. […] J’écrirai demain là-dessus : cela fait partie de notre conversation.
Ce n’est point à moi à vous les prescrire, je serai pourtant demain à la messe aux Minimes. […] Je le verrai dès aujourd’hui, et demain vous saurez ce que nous aurons fait ensemble ; donnez-vous la peine de passer ici. […] Comptez pourtant que je ne veux pas perdre ce que j’étais venu chercher, et que je reviendrai demain à la même heure, où je prétends que vous m’acquittiez ce que vous me devez pour aujourd’hui, et ce que vous me devrez pour demain. […] Dès demain matin, répondit-elle : ma mère n’a point d’affaires hors du logis, elle y doit rester ; je lui envoierai un billet et un carrosse, et nous l’attendrons ici. […] mais elle n’était que le manteau d’une autre passion qui m’a rendu malheureux et que vous saurez demain.
Tu trouveras demain à l’entrée de la forêt, au même endroit où tu as retiré la comtesse des mains de ses ravisseurs, un cheval que je te destine, que monta autrefois le fameux Largail, des armes dont se servit Rodomont, et l’épée de Roger ; elles te serviront contre tous les enchantements, et par elles tu seras toujours victorieux dans les plus grandes aventures de ta vie.
. — C’est vous qui causez ma perte, reprit-elle en pleurant, sortez d’auprès de moi, je vous le répète encore, si vous n’en prenez la résolution aujourd’hui, comptez que demain mon mari saura que vous êtes un homme, et mourir pour mourir j’aurai du moins la satisfaction d’avoir fait mon devoir ; c’est à quoi je me résous ; tous vos efforts ne me feront pas changer. […] C’en est fait, Madame, lui dit-il, je me suis vaincu, votre vertu triomphe, je n’ai plus pour vous que de l’amour, de l’admiration, de la compassion et de l’obéissance ; vous voulez que je sorte d’auprès de vous, je n’y resterai pas demain ; mais avant que je vous quitte, daignez considérer à quels périls ma sortie va vous laisser exposée, et ce que vous devez craindre des fureurs de votre époux, qui se figurera tout un autre sujet de mon éloignement que le véritable.
Trouvez-vous demain à midi où nous avons coutume de nous voir : nous verrons si nous pourrons enfin nous accorder par de nouvelles propositions ; ou à votre refus nous en chercherons quelque autre que vous, sinon moins intéressé, du moins plus continent. […] J’aurai soin de vous faire dire ce que Monsieur et Madame d’Annemasse m’auront répondu, j’irai demain dîner chez eux. […] Il rêva quelque temps ; puis il me dit tout d’un coup, cela vaut fait, vous pouvez l’assurer que je le tirerai d’intrigue d’ici à demain midi ; qu’il se repose sur moi, et qu’il témoigne toujours avoir envie d’être marié, je lui réponds qu’il ne le sera que quand il voudra l’être. […] Quand ce ne serait que pour ma propre satisfaction ; je parlerai dès demain à Silvie ; et j’irais dès aujourd’hui si je savais la trouver. […] Nous en parlerons une autre fois, pour à présent laissez-moi donner le temps qui nous reste au soin de la réception de la belle compagnie qui nous doit venir demain.
Viennent à présent que j’ai mes bonnes armes qui me garantiront de blessures tous les chevaliers errants du monde, viennent Mores, Sarrasins, Espagnols et enchanteurs même ; je les défie encore de nouveau, et pardi je les embrocherai dru comme mouches ; donnez-moi seulement le temps de me bien remettre à cheval, après cela vous verrez beau jeu ; je ne remets la partie qu’après demain matin, et laissez-moi faire.
Nous n’avons dans ce monde qu’aujourd’hui et demain, et le reste de notre vie ; l’habit ne fait pas le moine, ni la soutane l’habile homme, trois pas sur le pavé en découvrent la sottise ; un âne chargé d’or est toujours un âne ; mais n’importe, chacun lui ouvre la porte, il est bien reçu partout, et trouve des parents où il n’en cherchait pas ; nul n’a honte de parents vicieux pourvu qu’ils soient riches.
C’est à cause de cela même, lui dis-je, et je vous supplie de la préparer à me parler seul à seul demain matin. […] Oui, me répondit-elle, elle doit y venir demain sur les onze heures ; et elle y est restée aujourd’hui plus d’une grosse heure à attendre un monsieur qui n’est point venu comme il m’avait promis. […] Es-tu sûre qu’elle viendra demain, demandai-je à cette femme ? […] J’ai demain un rendez-vous avec une fille, belle et bien faite ; je veux vous en faire part. […] Si vous n’y voulez pas venir, gardez-moi le secret ; et je vous réponds qu’avant qu’il soit demain midi, je lui aurai fait passer les piques.
Venez me voir encore si vous pouvez, puisque vous partez demain, je ne m’y attends plus.
Venez demain me voir plaider ma cause, je n’ai que faire d’avocat. […] Revenez ici demain à neuf heures, je vous ferai parler au Roi, et je serai votre introducteur.