nt. Les arts étaient en vogue et en honneur ; l’ouvrier s’occupait et
vivait
du travail de ses mains, et on n’était point obli
envoyant les ouvrages qu’il avait travaillés de ses mains, et chacun
vivait
dans l’opulence, parce que chacun vivait dans l’i
llés de ses mains, et chacun vivait dans l’opulence, parce que chacun
vivait
dans l’innocence. On ne se ravissait point l’un à
os les endroits faibles, à rendre ses gens obéissants, et à les faire
vivre
partout avec discipline et modération, et à ne pa
ime à cause de sa pauvreté, pour s’attacher à une riche concubine, et
vivre
avec elle dans un adultère perpétuel.
tre héros, c’est à présent la belle-mère d’Angélique. Quoiqu’elle ait
vécu
assez longtemps avec le père de Contamine dans un
e temps après, cette femme fut obligée de chercher une condition pour
vivre
, n’ayant pas de quoi subsister ; bien loin d’en p
à ses genoux, et en lui mouillant les mains de ses larmes, je ne puis
vivre
sans vous voir, et sans vous parler. Vous savez é
e songer à vous ; sortez-en, je vous supplie, j’ai de quoi vous faire
vivre
ailleurs et plus honnêtement, et plus magnifiquem
ied-là, que vos visites seront d’un bon parent ; et j’espère que vous
vivrez
avec moi aussi sagement que si j’avais en effet l
elle, mais dans le fond fort aise de voir un procédé si généreux. Il
vivait
devant cette garde, comme si il avait été en effe
ra ; et si par ma mort je ne l’épouse pas, elle aura toujours de quoi
vivre
le reste de ses jours dans un état assez honnête.
i promit pourtant le secret, et s’informa exactement de sa manière de
vivre
, et des gens qui lui rendaient visite. Elle n’app
ort peu en particulier ; que même il n’y allait que rarement. Qu’elle
vivait
fort sagement et fort retirée ; que sa fille de c
e trompais cependant ; car il est certain qu’elle est trop sage. Elle
vécut
encore fille près de deux ans après la mort de sa
ison, et cette obstination me fait croire qu’elle avait véritablement
vécu
sage avec lui ; car s’il avait eu quelque pied su
sept heures du matin ; mais comme elle savait que Mademoiselle Dupuis
vivait
avec toute sorte de liberté, elle ne douta pas qu
rompre avec lui ? La protestation qu’il me faisait devant ma mère de
vivre
toujours avec moi dans le respect ; la prière qu’
de vue : tout cela ne dit-il pas publiquement, que j’ai toujours bien
vécu
? Et les raisons que j’avais de me ménager et de
lui dit-elle, en la relevant et en la baisant, à voir que vous savez
vivre
. Je suis très satisfaite de cette démarche, qui m
ore venus, si Monsieur ne nous avait fait souvenir qu’il ne peut plus
vivre
brouillé avec vous, et c’est ce qui nous a fait h
ée par les religionnaires persécutés. Après lui avoir remontré qu’ils
vivaient
sous la bonne foi d’édits qui ne devaient pas êtr
ein n’est pas de faire ici le déclamateur ; mais je prie ceux qui ont
vécu
dans un âge de connaissance depuis l’année 1668 e
x qui ont vécu dans un âge de connaissance depuis l’année 1668 et qui
vivent
encore de faire la comparaison de l’état où la Fr
coûte que de l’argent qui même ne sortira pas de France, et donnera à
vivre
à une infinité d’ouvriers. Il n’en est pas de mêm
ise si Mons[ieu] r Colbert ou Mons[ieu] r de Seignelay son fils avait
vécu
, et cela parce qu’ils connaissaient le fond du co
ne bourgeoise de Paris dont le mari et leur famille auraient aisément
vécu
si les billets de monnaie avaient été acquittés.
n avons encore la représentent telle, et ceux qui l’ont connue et qui
vivaient
de son temps m’ont assuré que ces portraits ne so
tout ce qu’il voudrait qu’elle fît, et de suivre en tout le régime de
vivre
qu’il lui ordonnerait. Il ne lui en prescrivit po
e qu’il lui ordonnerait. Il ne lui en prescrivit point d’autre que de
vivre
en son particulier, et de ne boire ni manger rien
i manger rien qu’elle ne l’eût vu accommoder elle-même ; en un mot de
vivre
comme une bourgeoise de Paris sans pâtisserie, sa
la pauvreté ; car à peine était-il gentilhomme et n’avait pas de quoi
vivre
, mais il trouva bientôt un moyen facile d’en avoi
esses ; cela donna lieu de dire : Dans le village de Mazare, Mazarin
vivait
en Lazare Dans une extrême pauvreté. Mais les bon
dix deniers pendant ma jeunesse. Le moyen qu’il prenait pour que les
vivres
fussent à bon prix était d’avoir dans tous les pa
ir aux taxes de l’Etat, taille, sel, etc. , et donnaient grassement à
vivre
aux peuples pendant les mauvaises années. Cette é
enter au Roi, et certainement cet édit subsisterait encore s’il avait
vécu
. Mais son zèle pour le roi et le royaume ne tint
du royaume éclatât par toute la terre, et très assurément s’il avait
vécu
l’indigne et infâme traité de Risvik et celui d’U
ronces et les épines dans un pays tout couvert, qui comme eux sachent
vivre
du bout de leur fusil, ou de chair humaine des Ir
cret de s’empêcher de le devenir, car il est très certain qu’elles ne
vivent
pas fort chastement. Elles couchent dans la même
) Pourquoi nous intentes-tu une guerre puisque nous ne cherchons qu’à
vivre
en paix avec nos voisins et surtout avec toi, qui
s ?… Nous ravissons-nous l’un à l’autre quelque chose ? Non. Car nous
vivons
ensemble comme si nous ne composions qu’une seule
, et où tout est au commun… Écoute, Onontio, vis comme nous, vis pour
vivre
tant que le Grand Esprit te laissera où tu es et
d’Argenson congédia le mari et la femme, auxquels il ordonna de bien
vivre
ensemble ; et comme cette fois le mari et la femm
t, ou bien qu’il recevrait son argent lui-même ; leur ordonna de bien
vivre
ensemble, et lui défendit de mettre la main sur e
a témérité de s’exposer à être reconnue. Elle lui répondit qu’elle ne
vivait
que pour lui ; que les plus rudes supplices de l’
Monsieur l’abbé de Fénelon de dire dans son Télémaque que les Crétois
vivaient
hureux en ne s’écartant point des lois du sage Mi
uple d’Israël : Ce peuple que jadis Dieu gouverna lui-même, Lassé de
vivre
heureux voulut avoir un roi. Oui, tu seras conten
terre à Poitiers et à Limoges, et même bien plus loin ; cela donne à
vivre
tant par soi-même que par le transport à une infi
sistants il poursuivit, à leur étonnement, par dire qu’il avait assez
vécu
pour le monde ; qu’il était juste qu’il sacrifiât
Mesmes, Jean-Jacques, son beau-frère à elle et son oncle à lui, avait
vécu
, il avait toujours pourvu à leur nécessaire tant
e répondit que c’était une chose impossible parce que des gens qui ne
vivaient
qu’avec bien de la peine ne pouvaient pas acheter
uquel il communiqua ce mémoire le trouva bon et bien projeté, mais il
vécut
trop peu de temps après pour le faire exécuter. I
ere semper timent et expectant ! 224. Deschiens mourut comme il avait
vécu
, ne croyant en Dieu que par bénéfice d’inventaire
re que sur mer, parce que lui et son fils étaient intéressés dans les
vivres
, les fourrages, les poudres, les boulets et autre
l n’aurait pas été si longtemps à l’attendre si M. de Seignelai avait
vécu
, on peut dire que cette fois-ci Mons[ieu] r de Po
portait que très impatiemment la clôture de sa mère, et la manière de
vivre
de son père avec Madame d’Aguesseau, femme d’un m
tte sœur de supplier sa maîtresse de lui procurer quelque emploi pour
vivre
. Cette sœur en parla à la demoiselle, et celle-ci
n Dieu, et le sentant dans nous-même. Le Gendre mourut comme il avait
vécu
, c’est-à-dire comme un chien, sans foi, sans cons
chercher ce confesseur ; mais Le Gendre voulut mourir comme il avait
vécu
, abîmé dans les affaires du monde, sans aucun soi
e qui tenait sa petite boutique au coin de la rue de Cléry, et qui ne
vivait
que de raccommoder des bas. Son frère et lui sont
e ans lorsqu’elle a été mariée, ne pouvait pas encore savoir que pour
vivre
hureux dans son mariage, il faut épouser son égal
en dégoûtez pas si tôt. Cette réponse paraît d’un homme qui veut bien
vivre
avec sa femme. Cependant, il ne l’a considérée qu
Défrichez-la, elle est à vous. Défendez-vous contre vos ennemis, vous
vivrez
après en repos. Faites ce qu’ont fait les enfants
es ? Je ne les regarde point comme cela, puisqu’ils peuvent gagner et
vivre
sans être à charge à personne, et je crois que to
, et celui-ci a trouvé le secret avec une corde et un sac de donner à
vivre
à plus d’un million de fainéants ; et moi avec to
’ils puissent sortir de leur couvent et se marier dans le monde, ou y
vivre
dans le célibat à leur choix et quand ils voudron
t chercher sous un ciel plus hureux la tranquillité et la facilité de
vivre
que la fortune et leur pauvreté leur dénient dans
asse et à la pêche pour l’utilité de la chambrée, qui trouvera plus à
vivre
, sans doute, qu’il ne lui en faudra ; les autres
qui habitent ces lieux, leur innocence naturelle, la facilité de bien
vivre
avec eux et de s’en faire des amis, et la manière
t que voyant que je ne vaudrais jamais rien, il aima mieux me laisser
vivre
à ma fantaisie, que de s’exposer à mes emportemen
est établi en province, et qu’il ne vient à Paris que rarement, nous
vivons
dans une assez grande indifférence l’un pour l’au
l’avait amenée à Paris, et qui sans scandale lui fournissait de quoi
vivre
et le reste. En un mot c’était la maîtresse d’un
s n’eurent rien à me reprocher, et depuis ce temps-là nous avons bien
vécu
ensemble. Mon père me mit en pension chez un ingé
ir avec tant de rigueur. Depuis son mariage et son retour à Paris, il
vivait
plus retiré que jamais ; c’était l’écuyer de la m
ation, qui fut assurément sincère ; car depuis ce temps-là nous avons
vécu
en bonne intelligence, sans néanmoins nous mêler
pleurant, et se jeta à ses pieds, en lui faisant plus de promesses de
vivre
honnête femme que peut-être il ne lui en demandai
emarquer leurs caresses, et lui dis que les animaux nous montraient à
vivre
. Je poussai ma morale sur un si beau sujet tant q
uoi je ne m’étais pas attendu ; ce fut d’entendre cette femme, qui ne
vivait
que des péchés du public, prêcher la réforme à la
uva peu de temps après un fort honnête homme ; elle a même assez bien
vécu
avec lui, mais depuis qu’elle est veuve, ce n’a p
faire. Il y a dans le monde, reprit la veuve, des pays où les femmes
vivent
à leur liberté, parce que cela leur est permis ;
uvions impunément recevoir dans nos bras qui nous voudrions ; et nous
vivrions
sans contredit plus heureuses, n’ayant que l’amou
les inclinations que la nature nous donne ; mais, ma sœur, ce serait
vivre
comme les bêtes, que de les suivre. J’en tombe d’
tes, que de les suivre. J’en tombe d’accord, dit la veuve ; ce serait
vivre
en effet comme les bêtes, mais pourtant je ne pui
s, et que notre réputation n’en fût pas plus ternie que la leur. J’ai
vécu
, poursuivit cette veuve, comme doit vivre une fem
lus ternie que la leur. J’ai vécu, poursuivit cette veuve, comme doit
vivre
une femme d’honneur avec son époux. J’ai suivi la
cela entraîne après soi trop de soins et d’inquiétude ; il vaut mieux
vivre
au jour la journée. Vous êtes accoutumée, lui dis
allai depuis tous les jours. Comme elle était veuve, qu’elle aimait à
vivre
librement et sans contrainte, et qu’elle ne devai
d’une femme, et du tracas d’un ménage, puisqu’il ne tient qu’à toi de
vivre
libre, et d’avoir des plaisirs plus vifs que ceux
vec l’autre ; et leur union serait parfaite. Je t’ai dit comment j’ai
vécu
avec mon défunt mari ; et je te proteste bien de
ent en sortir de même. Mais le secret est rare dans le siècle où nous
vivons
, parce qu’on trouve très peu d’honnêtes gens, et
plaît que je devienne ; mais souvenez-vous qu’il m’est impossible de
vivre
sans vous aimer et sans vous le dire. Elle fut si
s lesquels il me dit ce que je viens de vous dire de son voyage. Il a
vécu
comme un saint pendant le reste de sa vie, qui se
ur ma vie, sans risquer celle de l’éternité. Depuis ce temps-là, j’ai
vécu
d’une manière digne de pitié. Je n’ai cherché que
her toutes les occasions de vous voir, et de vous prouver que je n’ai
vécu
, et que je ne vis encore que pour vous, avec auta
ouser Monsieur de Londé, que sa mère lui avait proposé. Qu’elle avait
vécu
, et vivait encore assez tranquillement avec lui ;
sieur de Londé, que sa mère lui avait proposé. Qu’elle avait vécu, et
vivait
encore assez tranquillement avec lui ; parce que
urait eus pour elle, s’il n’avait pas été volage. Qu’elle le laissait
vivre
à sa fantaisie, non seulement parce qu’elle n’ava
lui avait pourtant jamais parlé, soit par l’indifférence de Londé qui
vivait
d’une étrange manière, quoiqu’elle n’en eût jamai
qui ne lui parle jamais en particulier ni nuit ni jour ? Est-ce pour
vivre
en religieuse que Madame s’est mariée ? Pardi, aj
rçu que je lui faisais plaisir de m’éloigner d’elle, et de la laisser
vivre
à sa fantaisie. J’ai cru qu’un peu de jalousie de
aime un autre. Ainsi sans en faire plus mauvais ménage ensemble, nous
vivons
chacun en liberté, et comme bons amis seulement,
es deux ensemble, je vins à l’aimer jusqu’au point de ne pouvoir plus
vivre
sans elle. Je commençai à haïr son mari d’une tel
un très honnête homme, bien de mes amis, et avec lequel j’espère bien
vivre
. Il y a, sur notre même vaisseau, un nommé M. de
’un pour l’autre, et trois têtes dans un bonnet. Tant mieux : nous en
vivrons
mieux ; et si la concorde est troublée, ce ne pou
re les plus grosses et les plus embarrassantes marchandises. Tous les
vivres
généralement nous restèrent et entre autres le pa
uillés en rade à Brest, j’allai trouver le sieur Albus, directeur des
vivres
pour M. du Pile, entrepreneur général. Je le pria
out sans Monsieur ni Madame. Ce billet me fut rendu par un commis des
vivres
à la boulangerie, qui devait voir peser le pain,
à la boulangerie, qui devait voir peser le pain, et par le commis des
vivres
du Sans-Pareil. Ils avaient apporté des sacs, des
n dois aucun compte à M. de Combes, lui étant indifférent par qui les
vivres
ont été fournis, pourvu qu’ils soient bons, et qu
tira les larmes aux yeux, et M. de Ferville défendit à son commis des
vivres
de mettre jamais le pied dans son vaisseau, à moi
e se brouiller pas avec les écrivains du roi, desquels les commis des
vivres
dépendaient ; que pour ce qui regardait l’écrivai
ient le revenant-bon du commis, du directeur, et du garde-magasin des
vivres
, auquel les restants étaient rendus ; et qu’il en
rs la ration des gens qu’on disait avoir mangé à sa table, et non des
vivres
du fond de cale. Je ne lui témoignai point l’indi
m’apprit, peu de temps après, qu’Albus et quatorze autres commis des
vivres
étaient révoqués. Tales sunt subditi quales sunt
écrivain de la Compagnie est également chargé des marchandises et des
vivres
qui sont embarqués dans le vaisseau, et que c’est
a facture qui lui reste pour sa décharge à son retour : à l’égard des
vivres
et des munitions, il en compte par consommation a
laquelle je ne sais comment il se tirera, si quelque chose manque aux
vivres
ou aux marchandises. Nous étions allés à l’Orient
ompagnie, de tout le dommage et dépérissement des marchandises et des
vivres
; attendu que par son entreprise il avait violé l
it prédit à M. de Bouchetière ce qui en réussirait. A-t-on enlevé des
vivres
? demanda M. du Quesne. Non, répondit M. de La Ch
pitaine ou l’écrivain du roi tussent présents, n’ont point touché aux
vivres
secs, et qu’ils peuvent aussi avoir percé les liq
de l’économie de M. Hurtain. de M. de La Chassée, du distributeur des
vivres
, et de la mienne, je vais dire quelque chose qui
ns fait une friponnerie de concert, dont pourtant le distributeur des
vivres
ignore le fin. Pendant l’armement, j’ai toujours
M. Hurtain ; nous étions tous à table. Je lui dis que nous avions des
vivres
pour deux ans, tant pour boire que pour manger, m
prodiguer. Que nous devions songer que le terme était long ; que nos
vivres
pouvaient pourrir, et ainsi devenir plutôt propre
us pussions prendre terre, nous y trouverions des bœufs et des autres
vivres
que je paierais, l’argent de la Compagnie y étant
lle, et s’endort. Les plus vils animaux, plus heureux dans leur sort,
Vivent
tranquillement sans crainte et sans envie, Exempt
ontre ceux qui n’en préviendront pas le moment. La plupart des hommes
vivent
-ils comme prêts à mourir ? Tanquam semper victuri
l même de sa justice de la verser ? Quoi ! un homme qui aura toujours
vécu
en scélérat complet, qui aura sacrifié à sa fortu
de surprenant et de bouffon, c’est que ceux qui l’exercent et qui en
vivent
ne s’y fient pas eux-mêmes. En effet, lorsqu’un m
, et en même temps le remède spécifique à sa guérison. En voyons-nous
vivre
plus longtemps que le commun des autres hommes ?
nne un pauvre et un misérable dans l’autre ; et qu’enfin chaque homme
vécût
seul, dans tous ces mondes, et dans différents ét
es, et dans différents états, autant que tous les hommes ensemble ont
vécu
, vivent et vivront dans le monde que nous habiton
dans différents états, autant que tous les hommes ensemble ont vécu,
vivent
et vivront dans le monde que nous habitons ? Cett
érents états, autant que tous les hommes ensemble ont vécu, vivent et
vivront
dans le monde que nous habitons ? Cette pensée, q
je suis chargé de parler, quoique ce nombre d’années qu’un seul homme
vivrait
en représentant dans tous ces mondes différents t
représentant dans tous ces mondes différents tous les hommes qui ont
vécu
, qui vivent et qui vivront, offre à l’idée un obj
ant dans tous ces mondes différents tous les hommes qui ont vécu, qui
vivent
et qui vivront, offre à l’idée un objet inconceva
ces mondes différents tous les hommes qui ont vécu, qui vivent et qui
vivront
, offre à l’idée un objet inconcevable d’années, i
eu, transférant un pécheur dans un monde nouveau, l’y fasse naître et
vivre
dans un état qui lui fasse faire pénitence des pé
arbre vert, tel soit-il, que ceux qui nous ont paru en arrivant. Ils
vivent
misérablement. Leur nourriture ordinaire est une
dédire ni le brouiller avec des gens avec lesquels il était obligé de
vivre
. C’est le sujet qui avait amené M. de La Chassée.
uantité de drogues et médicaments dont il usait. Il aurait sans doute
vécu
davantage s’il s’était moins rempli des uns et de
ement en l’autre monde. Nous sommes persuadés encore que s’il pouvait
vivre
jusqu’à ce que nous attrapions une zone plus temp
emps il n’avait plus été agité d’aucun trouble de conscience et avait
vécu
dans une foi si vive et une si grande pureté de m
se mettre à la leur. Enfin, M. Blondel a paru. C’est savoir bien peu
vivre
, lui a-t-il dit : je ne sais à quoi il tient que
n mieux équipé et pourvu qu’il ne croyait. Il ne restait plus que les
vivres
. Pour cet article, lui ai-je dit, je ne peux pas
leurs doigts. Toute la terre était à eux ; ils ne purent pourtant pas
vivre
en paix ; et Caïn assomma Abel. Le genre humain d
hors de danger, il a été remis en liberté, et a bien promis de mieux
vivre
. Il a soupé ce soir avec nous, et fait à présent
isait universellement haïr, lorsqu’il voyait la douceur dans laquelle
vivait
un homme qui se faisait aimer. Il a fort bien pri
ur ne plus craindre les Juifs ? Ne se peut-il pas que la nécessité de
vivre
ensemble, et le besoin d’un secours mutuel, les a
nte : mais, c’était qu’une femme était déshonorée quand son enfant ne
vivait
pas. Je me souviens d’avoir lu un commentaire fai
bien plus vive, et me fit sérieusement réfléchir sur la manière dont
vivent
les chrétiens. Nous croyons, ou du moins nous fai
e, qui ne veut pas perdre ce navire, a fait employer au transport des
vivres
, du bois, de l’eau, des tentes et des matelots et
fait seul les rafraîchissements de l’Écueil, et les trois quarts des
vivres
ou bestiaux du Gaillard et du Florissant. Les écr
ner rien à la fortune. Il a raison. Nous allons sous ses auspices, et
vivons
en repos : Nobis haec otia fecit. Du mardi 1
de quoi leur donner à manger ? lui demanda froidement M. d’Aire. Ils
vivront
avec l’équipage, et pourront être dispersés sur l
ai-je eu pour toute réponse. Vous avez raison, ai-je repris, nous en
vivrons
plus longtemps. Ensuite je me suis tu, en enragea
on m’en demanda la raison, je dis à mes oncles, que je ne pouvais pas
vivre
avec leur directeur, et qu’il y avait trop d’anti
qui s’observent parmi les précieuses, et celles qui savent assez peu
vivre
pour faire à contretemps les civiles. Elle y mont
ctions parlaient ; j’étais sûr qu’on les entendait, et quoique Silvie
vécût
avec moi d’une manière fort réservée, je m’aperce
aient dans cette maison, et y étaient venues en grand deuil. Qu’elles
vivaient
fort retirées, et que j’étais le seul homme qu’on
t que j’avais toujours eu pour elle, me disait que j’étais indigne de
vivre
si je payais une si bonne mère par la mort que je
que Madame de Cranves, qui était extrêmement maladive, ne pouvant pas
vivre
longtemps, il fallait que je cherchasse des amis
ns la maison de Cranves de père en fils, et qu’il lui promit de mieux
vivre
. J’intercédai pour lui, et sans mes prières Madam
assurément dans un convent pour le reste de mes jours, où je pourrai
vivre
fort honnêtement avec la rente que Madame de Cran
les mains de Messieurs Des Frans, et n’en prenait à la fois que pour
vivre
quinze jours au plus. Ce ne fut point d’elle que
e il n’avait point de domestique réglé à Paris, où il était obligé de
vivre
à une table empruntée, où il fallait avoir bien d
éterminée ; c’est absolument de ne jamais la recevoir chez moi, je ne
vivrais
pas en repos avec un esprit si intrigant. À l’éga
iage, je ne l’ai point approuvé, je ne le désapprouverai pas. Il peut
vivre
avec elle comme bon lui semblera sans que je m’y
evenu dans l’esprit depuis, et je crois que cela est vrai. Comme elle
vivait
d’une manière fort retirée ; que personne ne fréq
moi des services qu’on lui offrait. Elle me pria de souffrir qu’elle
vécût
à sa manière, comme elle avait fait à la rue Sain
n à me rejeter dans ses bras, sans autre condition que celle de mieux
vivre
. J’envoyai sa fille de chambre et son laquais à d
re compassion. Adieu, Monsieur, ne songez plus du tout à moi, vous en
vivrez
plus content : je prie Dieu qu’il vous comble de
us à moi, vous n’en entendrez jamais parler. Hélas ! j’avais toujours
vécu
innocente ; ma vie s’était coulée dans un calme q
être exaucée ! Je souhaite que mon châtiment ne vous soit pas commun.
Vivez
heureux dans le monde, si vous y pouvez vivre : m
e vous soit pas commun. Vivez heureux dans le monde, si vous y pouvez
vivre
: mais songez qu’il faut que Dieu soit irrité con
quelque chose malheur est bon ; le dé en est jeté, et si vous voulez
vivre
longtemps, il faut que vous soyez plus saine de c
ée d’entonne, mais moi je prétends m’en servir à marier ma fille et à
vivre
paix et aise, et à ne rien faire, comme le seigne
ticiper à la fortune du seigneur Sancho qui est à présent fort riche.
Vivez
-vous bien ensemble ? — Oh Madame, répondit Thérès
en ensemble ? — Oh Madame, répondit Thérèse, nous avons toujours bien
vécu
quoique avec beaucoup de peine, car on ne gagne g
faute, et que c’est Dieu qui l’a voulu : je n’ai plus qu’un moment à
vivre
goutteux, et presque paralytique, et l’on veut me
n testament, par lequel je ne lui laissais que très peu de chose pour
vivre
, et lui ôtais le maniement du bien que je laissai
testament n’a point eu de lieu, puisqu’elle est morte avant moi. J’ai
vécu
avec elle avec assez de tranquillité, parce qu’il
J’ai vécu avec elle avec assez de tranquillité, parce qu’il y fallait
vivre
: mais sans la considération de ma fille, que j’a
nuirions à nous-mêmes, et que pour lui il ne lui en parlerait jamais,
vécût
-il cent ans. Dieu m’en préserve, repris-je. Je ne
e favorable que du temps ; et cependant je mourais de chagrin de voir
vivre
quelqu’un. Ce quelqu’un ne parla non plus à sa fi
craint que tu n’eusses suivi le penchant ; au lieu qu’en te laissant
vivre
avec lui à ta fantaisie, il n’a presque employé s
t et par la raison, et s’étaient rendus traitables. Enfin après avoir
vécu
longtemps de cette sorte, Dupuis tomba tout d’un
s grande faiblesse. La nature défaillit en un instant. Il avait assez
vécu
pour songer à la mort. Il s’y prépara en bon chré
eret. Je crois qu’il est lui-même l’auteur de sa mort et qu’il aurait
vécu
davantage s’il avait fait comme les médecins de R
l soit-il, si ce ne sont des cocotiers et cotonniers et palmiers. Ils
vivent
misérablement ; leur nourriture ordinaire est une
nt autant qu’ils en souhaitent, c’est-à-dire beaucoup, et malgré cela
vivent
au jour la journée, faisant tout cuire et jetant
que dit Pyrrhus dans 1’Andromaque de Monsr. Racine, c’est le moyen de
vivre
content. Ce poisson est gros pour sa longueur, il
aimais et qui m’aimait, d’en trouver un avec qui vraisemblablement je
vivrai
bien. Le vent est bon, nous n’allons pas mal.
trouver dans l’Ecueil des gens aussi honnêtes qui sussent aussi bien
vivre
et avec tant de concorde que nous ; que nous ne d
ficiers et soldats. On y fait garde ponctuelle comme en Europe. Ils y
vivent
fort chrétiennement, du moins ont-ils devant les
es on ne les voit point. Les femmes du commun peuvent se remarier, ou
vivre
dans le célibat après la mort de leurs maris, mai
âmes ; mais si le mariage n’est point consommé elles sont obligées de
vivre
dans un perpétuel célibat, la fréquentation des h
r de faim que de manger de ce que des chrétiens auraient touché et ne
vivent
que de légumes et jamais de viandes. Nous en avon
donné au commissaire, par l’ordre de Monsieur Du Quesne, un état des
vivres
nécessaires à leurs équipages pendant ce temps-là
es vivres nécessaires à leurs équipages pendant ce temps-là, lesquels
vivres
Messieurs de Balassor ont promis de fournir. Ils
grâce à Dieu, et au bon ordre établi par Monsieur de Porrières, nous
vivons
dans une paix profonde. Comme il s’est rendu seul
ractent par leur nourriture dans une terre grasse et humide où ils ne
vivent
que d’herbes fort spongieuses. Il y a dans une pe
a, il n’a plus personne pour brouiller les cartes. Nous verrons s’ils
vivront
plus tranquillement à l’avenir que par le passé.
faute et la cause de tant de malades : ce ne doit point être sur les
vivres
, car ils sont très bons. Le climat peut y contrib
de toiles d’or, d’argent, de soie et de coton. A l’impureté près ils
vivent
sous des lois, policés et civilisés comme les Eur
r outre comme je vous l’ai dit que le Mogol prétend que les étrangers
vivent
en paix chez lui, il ne trouve pas bon qu’ils fas
fait. Le dégât que Remraja a fait faire partout a fait renchérir les
vivres
à Pondichéry. Les partis dont lui et le général d
? Ton négoce n’allait-il pas bien ? N’avais-tu pas assez de riz pour
vivre
? Et mille autres demandes de pareille nature, ap
ralement et beaucoup de pain pourris et jetés à la mer, la disette de
vivres
dont nous sommes menacés, le peu d’eau que nous a
pas fait faire au mien tout ce qu’on y peut faire à la mer. Pour vos
vivres
, pourvu que nous en ayons assez pour gagner les I
sécher contre leur coutume de ne rien garder pour le lendemain et de
vivre
au jour la journée. Il en est de même du poisson,
rendre aucun service (effectivement nous avons pris beaucoup de leurs
vivres
) ; que les Anglais sachant que nous étions venus
fait garde perpétuelle dans ce fort, comme en Europe. Ils devraient y
vivre
chrétiennement, & surtout chastement, du moin
nsommé à cause de la jeunesse de l’épouse, elle est encore obligée de
vivre
dans un perpétuel célibat ; la fréquentation d’un
ls plus ? Quid non mortalia pectora cogit Auri sacra fames ? Ils ne
vivent
que de légumes, & jamais de viande. Nous en a
moins, par ordre de M. du Quesne, le commissaire a donné un état des
vivres
nécessaires à toute l’escadre pendant ce temps-là
savoir bon gré de ce que je lui ai dit, & a ajouté qu’il avait à
vivre
avec des esprits bien difficiles à gouverner. Je
le premier à avouer qu’il m’avait l’obligation de lui avoir appris à
vivre
; qu’avec de certaines gens, il fallait de nécess
des ennemis. Il est bien fâcheux pour un homme de bon sens d’avoir à
vivre
avec des brutaux, des fous & des bigots. D
Dieu & au bon ordre établi & maintenu par le commandeur, nous
vivons
dans une paix profonde : chacun, n’ayant à faire
r de près. Ils sont l’un & l’autre amphibies, c’est-à-dire qu’ils
vivent
se nourrissent sur terre & dans l’eau : où ce
e ne sais sur quoi en rejeter la faute. Ce ne doit point être sur les
vivres
: ils sont très bons ; &, outre cela, notre é
tre médicament que la viande fraîche, des saignées & le régime de
vivre
. Du mercredi 6 décembre 1690 Nous avons env
& sa mort avaient été des prodiges de la nature, qui l’avait fait
vivre
sans cœur & mourir sans rendre l’esprit. C’ét
m’a paru de la magnificence de leurs meubles. À l’impureté près, ils
vivent
policés & civilisés par des lois, comme les E
bouchent les yeux sur les déportements des autres & les laissent
vivre
là-dessus en pleine liberté, comme eux-mêmes y vi
mp; les laissent vivre là-dessus en pleine liberté, comme eux-mêmes y
vivent
. Le trafic est ici très grand & très riche, y
; et cela avec d’autant plus de raison, que nous n’avons pas pris les
vivres
qui avaient été demandés pour deux mois d’augment
voi de cet exprès par terre de Pondichéry, & de l’augmentation de
vivres
pour deux mois, que nous n’avons pas pris ; &
était, ne voulant point de garçon de boutique marié, le congédia. Il
vécut
ainsi deux ans & plus avec sa femme, dans une
r. Le dégât que Remraja a fait faire a fait extrêmement renchérir les
vivres
à Pondichéry. Les partis dont le général du Mogol
amp; fut assez bon pour se fier aux serments qu’elle lui fit de mieux
vivre
. Un homme si vigoureux écarta un peu les soupiran
it ? Ton négoce n’allait-il pas bien ? Avais-tu pas assez de riz pour
vivre
? Et une infinité d’autres questions de pareille
times, la quantité de soldats à terre, les différences des mœurs, des
vivres
, des climats, de la religion, & surtout l’imp
s’habillent comme les banians, parlent leur idiome aussi bien qu’eux,
vivent
& mangent avec eux & comme eux, font leur
ndent suspects à tous les souverains d’ici, comme gens qui ne peuvent
vivre
en repos avec qui que ce soit, & qui aiment m
roquement les jésuites pour les missionnaires : c’est-à-dire que pour
vivre
ensemble en paix, & ne plus scandaliser ni le
ns, mais que Dieu pèse les intentions. S’ils en agissaient ainsi, ils
vivraient
en repos, & toute la terre ne serait pas abre
s, & beaucoup de pain pourris & jetés à la mer, la disette de
vivres
dont nous sommes menacés, le peu d’eau que nous a
qu’il n’eût aussi bien que lui quantité de malades, & quantité de
vivres
gâtés ; qu’il avait même bien plus souffert, ayan
ue vous de trouver terre pour le raccommoder sur les ancres. Pour les
vivres
, pourvu que nous en ayons tous suffisamment pour
’il n’en fallait pour se taire entendre. Il ne parla ni du manque des
vivres
, ni de celui de l’eau ; il savait bien que cet ar
docteur, afin d’avoir une cure de la dépendance de son ordre, & y
vivre
en papimane, après être sorti de l’île sonnante !
au diable, qui en disent des choses horribles, & qui aiment mieux
vivre
malheureux & misérables en Angleterre, où ils
témoin oculaire, de visu & auditu : le sieur Joubert, général des
vivres
au Fort Saint-Pierre, me l’a certifié ; & Fan
nfection des malades, nous avons effectivement pris beaucoup de leurs
vivres
. Ils disaient encore que les Anglais, sachant que
uffrir l’odeur : & ces misérables abandonnés, qui n’avaient, pour
vivre
, que de la tortue & du pourpier, qu’ils faisa
l mangeait tout au cabaret & ne lui donnait seulement pas de quoi
vivre
: elle est créole & fort bien apparentée. L’i
pas obligée à l’accepter, si elle lui eût déclaré qu’elle ne pouvait
vivre
heureuse qu’avec Verville ; mais outre la pudeur
e pied dans la province, et n’a eu garde de l’y remettre tant qu’il a
vécu
. Pour vous, malheureuse, poursuivit Cléon en parl
epuis ce temps-là, c’est-à-dire depuis plus de vingt-cinq ans, elle a
vécu
et vit encore d’une manière toute sainte ; en sor
audience. Elle ignorait ce qu’on lui voulait. Sa fille et moi avions
vécu
ensemble avec tant de réserve, et l’on avait vu s
re, je ne l’éviterai pas aujourd’hui, parce qu’il m’est impossible de
vivre
sans vous voir. Je souffris trop hier, je me livr
ristâmes de nous voir séparés. Je lui dis qu’il m’était impossible de
vivre
sans la voir ; et que si elle n’avait pitié de l’
et elle ne gagnaient plus rien, et qu’ils avaient bien de la peine à
vivre
. C’est-à-dire, lui dis-je en riant, que si vous t
sa mauvaise humeur. Si j’avais choisi moi-même, je serais mieux et je
vivrais
content ; mais vous avez voulu que je m’en rappor
préparez une belle récompense ! Avez-vous peur de n’avoir pas de quoi
vivre
, ou de n’en pas gagner, que vous voulez jurer d’e
pouvaient avoir. Il était impossible de croire que deux personnes qui
vivaient
publiquement comme nous vivions elle et moi, fuss
ble de croire que deux personnes qui vivaient publiquement comme nous
vivions
elle et moi, fussent mari et femme, et c’était as
emblant d’être en colère, on ne m’empêchera pas de lui donner de quoi
vivre
indépendante de vous ; et pour commencer, vous n’
lus d’argent et de pierreries qu’il ne vous en faudra pour vous faire
vivre
ailleurs le reste de vos jours plus magnifiquemen
ste de vos jours plus magnifiquement et plus heureusement que vous ne
vivez
ici. Vous dites que je fais toute votre consolati
mienne ; vos souffrances me mettent au désespoir, je ne pourrais pas
vivre
éloigné de vous et toujours dans la crainte de vo
oir d’être l’objet des railleries publiques, il mourut comme il avait
vécu
les dix-huit derniers mois de sa vie, dans les ag
jours après, plusieurs de ces bandits, qui étaient allés chercher des
vivres
, étaient revenus bien blessés, et qu’il avait app
ut ceux des îles Barataria ; car avec mon argent je trouverai de quoi
vivre
, à boire et à manger tout mon saoul, et dans mon
ous tenant lieu de tout, nous nous jurâmes une fidélité éternelle, et
vécûmes
dès ce jour-là comme mari et femme. Je ne crois p
ouvent, quoique en cachette, l’enfant qu’elle avait eu de moi. Elle a
vécu
tout à fait retirée du monde, et paraissait être
ce côté-là, de déclarer tout haut, qu’elle ne se marierait jamais, et
vivrait
à son particulier. Elle a fait cette déclaration
us regarde toutes comme des saintes à miracles dans le siècle où nous
vivons
. Je suis très aise que mes amis soient tombés en
ne chambre, et ordonna qu’on servît promptement. Voulez-vous que nous
vivions
sans façon, lui dit Des Frans ? C’est ainsi que j
prit Des Ronais, d’en trouver parmi les femmes dans le siècle où nous
vivons
. Vous n’avez pas tant de sujet de vous plaindre d
n venons à bout ? C’est là le fait des chevaliers errants qui doivent
vivre
dans les périls, et qui ne doivent rien devoir qu
il venait nous voir tous les jours, afin de voir, disait-il, si nous
vivions
bien ensemble. Je le vis une fois un soir dans no
e, et demanda avec une simplicité de badaud, s’il avait véritablement
vécu
, et si les aventures qu’on en lisait lui étaient
vent obligés de vendre celles dont ils ont besoin. Quand on vend pour
vivre
, on ne mange pas de bon cœur, et le rire et la fa
si bien fait voir la différence qu’il y a de la tranquillité où elles
vivent
, aux désordres et aux embarras qu’on y voit, que
ère la traiterait plus humainement. Je me trompais, il ne pouvait pas
vivre
sans faire de mal. Je ne fus point poursuivi, je
oments d’une vie, dont vous savez le malheureux commencement. Je n’ai
vécu
que pour vous. C’est vous qui m’avez fait prendre
Valerio, commandait ; et tous ensemble, tant pour se venger, que pour
vivre
, continuaient leurs brigandages. Ils volaient et
s cacher que Mademoiselle telle est sa fille ? Les gens dont je parle
vivaient
dans un temps, où on observait un niveau plus jus
de son infidélité ; ainsi je bornai toute ma vengeance à les laisser
vivre
ensemble, à les mépriser également tous deux, et
son infortune, et que je voudrais la voir plus heureuse. — Elle sait
vivre
, reprit la marquise, et je ne doute pas qu’elle n
; on ne jouit de l’argent que lorsqu’on l’emploie ; nous n’avons qu’à
vivre
à gogo ; vie de cochon courte et bonne. Nous n’av
ir comme il faisait ; qu’on ne devait jamais manger et boire que pour
vivre
; mais qu’on devait les jours de jeûne se priver
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