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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
nt. Les arts étaient en vogue et en honneur ; l’ouvrier s’occupait et vivait du travail de ses mains, et on n’était point obli
envoyant les ouvrages qu’il avait travaillés de ses mains, et chacun vivait dans l’opulence, parce que chacun vivait dans l’i
llés de ses mains, et chacun vivait dans l’opulence, parce que chacun vivait dans l’innocence. On ne se ravissait point l’un à
os les endroits faibles, à rendre ses gens obéissants, et à les faire vivre partout avec discipline et modération, et à ne pa
ime à cause de sa pauvreté, pour s’attacher à une riche concubine, et vivre avec elle dans un adultère perpétuel.
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
tre héros, c’est à présent la belle-mère d’Angélique. Quoiqu’elle ait vécu assez longtemps avec le père de Contamine dans un
e temps après, cette femme fut obligée de chercher une condition pour vivre , n’ayant pas de quoi subsister ; bien loin d’en p
à ses genoux, et en lui mouillant les mains de ses larmes, je ne puis vivre sans vous voir, et sans vous parler. Vous savez é
e songer à vous ; sortez-en, je vous supplie, j’ai de quoi vous faire vivre ailleurs et plus honnêtement, et plus magnifiquem
ied-là, que vos visites seront d’un bon parent ; et j’espère que vous vivrez avec moi aussi sagement que si j’avais en effet l
elle, mais dans le fond fort aise de voir un procédé si généreux. Il vivait devant cette garde, comme si il avait été en effe
ra ; et si par ma mort je ne l’épouse pas, elle aura toujours de quoi vivre le reste de ses jours dans un état assez honnête.
i promit pourtant le secret, et s’informa exactement de sa manière de vivre , et des gens qui lui rendaient visite. Elle n’app
ort peu en particulier ; que même il n’y allait que rarement. Qu’elle vivait fort sagement et fort retirée ; que sa fille de c
e trompais cependant ; car il est certain qu’elle est trop sage. Elle vécut encore fille près de deux ans après la mort de sa
ison, et cette obstination me fait croire qu’elle avait véritablement vécu sage avec lui ; car s’il avait eu quelque pied su
sept heures du matin ; mais comme elle savait que Mademoiselle Dupuis vivait avec toute sorte de liberté, elle ne douta pas qu
rompre avec lui ? La protestation qu’il me faisait devant ma mère de vivre toujours avec moi dans le respect ; la prière qu’
de vue : tout cela ne dit-il pas publiquement, que j’ai toujours bien vécu  ? Et les raisons que j’avais de me ménager et de
lui dit-elle, en la relevant et en la baisant, à voir que vous savez vivre . Je suis très satisfaite de cette démarche, qui m
ore venus, si Monsieur ne nous avait fait souvenir qu’il ne peut plus vivre brouillé avec vous, et c’est ce qui nous a fait h
3 (1721) Mémoires
ée par les religionnaires persécutés. Après lui avoir remontré qu’ils vivaient sous la bonne foi d’édits qui ne devaient pas êtr
ein n’est pas de faire ici le déclamateur ; mais je prie ceux qui ont vécu dans un âge de connaissance depuis l’année 1668 e
x qui ont vécu dans un âge de connaissance depuis l’année 1668 et qui vivent encore de faire la comparaison de l’état où la Fr
coûte que de l’argent qui même ne sortira pas de France, et donnera à vivre à une infinité d’ouvriers. Il n’en est pas de mêm
ise si Mons[ieu] r Colbert ou Mons[ieu] r de Seignelay son fils avait vécu , et cela parce qu’ils connaissaient le fond du co
ne bourgeoise de Paris dont le mari et leur famille auraient aisément vécu si les billets de monnaie avaient été acquittés.
n avons encore la représentent telle, et ceux qui l’ont connue et qui vivaient de son temps m’ont assuré que ces portraits ne so
tout ce qu’il voudrait qu’elle fît, et de suivre en tout le régime de vivre qu’il lui ordonnerait. Il ne lui en prescrivit po
e qu’il lui ordonnerait. Il ne lui en prescrivit point d’autre que de vivre en son particulier, et de ne boire ni manger rien
i manger rien qu’elle ne l’eût vu accommoder elle-même ; en un mot de vivre comme une bourgeoise de Paris sans pâtisserie, sa
la pauvreté ; car à peine était-il gentilhomme et n’avait pas de quoi vivre , mais il trouva bientôt un moyen facile d’en avoi
esses ; cela donna lieu de dire : Dans le village de Mazare, Mazarin vivait en Lazare Dans une extrême pauvreté. Mais les bon
dix deniers pendant ma jeunesse. Le moyen qu’il prenait pour que les vivres fussent à bon prix était d’avoir dans tous les pa
ir aux taxes de l’Etat, taille, sel, etc. , et donnaient grassement à vivre aux peuples pendant les mauvaises années. Cette é
enter au Roi, et certainement cet édit subsisterait encore s’il avait vécu . Mais son zèle pour le roi et le royaume ne tint
du royaume éclatât par toute la terre, et très assurément s’il avait vécu l’indigne et infâme traité de Risvik et celui d’U
ronces et les épines dans un pays tout couvert, qui comme eux sachent vivre du bout de leur fusil, ou de chair humaine des Ir
cret de s’empêcher de le devenir, car il est très certain qu’elles ne vivent pas fort chastement. Elles couchent dans la même
) Pourquoi nous intentes-tu une guerre puisque nous ne cherchons qu’à vivre en paix avec nos voisins et surtout avec toi, qui
s ?… Nous ravissons-nous l’un à l’autre quelque chose ? Non. Car nous vivons ensemble comme si nous ne composions qu’une seule
, et où tout est au commun… Écoute, Onontio, vis comme nous, vis pour vivre tant que le Grand Esprit te laissera où tu es et
 d’Argenson congédia le mari et la femme, auxquels il ordonna de bien vivre ensemble ; et comme cette fois le mari et la femm
t, ou bien qu’il recevrait son argent lui-même ; leur ordonna de bien vivre ensemble, et lui défendit de mettre la main sur e
a témérité de s’exposer à être reconnue. Elle lui répondit qu’elle ne vivait que pour lui ; que les plus rudes supplices de l’
Monsieur l’abbé de Fénelon de dire dans son Télémaque que les Crétois vivaient hureux en ne s’écartant point des lois du sage Mi
uple d’Israël : Ce peuple que jadis Dieu gouverna lui-même, Lassé de vivre heureux voulut avoir un roi. Oui, tu seras conten
terre à Poitiers et à Limoges, et même bien plus loin ; cela donne à vivre tant par soi-même que par le transport à une infi
sistants il poursuivit, à leur étonnement, par dire qu’il avait assez vécu pour le monde ; qu’il était juste qu’il sacrifiât
Mesmes, Jean-Jacques, son beau-frère à elle et son oncle à lui, avait vécu , il avait toujours pourvu à leur nécessaire tant
e répondit que c’était une chose impossible parce que des gens qui ne vivaient qu’avec bien de la peine ne pouvaient pas acheter
uquel il communiqua ce mémoire le trouva bon et bien projeté, mais il vécut trop peu de temps après pour le faire exécuter. I
ere semper timent et expectant ! 224. Deschiens mourut comme il avait vécu , ne croyant en Dieu que par bénéfice d’inventaire
re que sur mer, parce que lui et son fils étaient intéressés dans les vivres , les fourrages, les poudres, les boulets et autre
l n’aurait pas été si longtemps à l’attendre si M. de Seignelai avait vécu , on peut dire que cette fois-ci Mons[ieu] r de Po
portait que très impatiemment la clôture de sa mère, et la manière de vivre de son père avec Madame d’Aguesseau, femme d’un m
tte sœur de supplier sa maîtresse de lui procurer quelque emploi pour vivre . Cette sœur en parla à la demoiselle, et celle-ci
n Dieu, et le sentant dans nous-même. Le Gendre mourut comme il avait vécu , c’est-à-dire comme un chien, sans foi, sans cons
chercher ce confesseur ; mais Le Gendre voulut mourir comme il avait vécu , abîmé dans les affaires du monde, sans aucun soi
e qui tenait sa petite boutique au coin de la rue de Cléry, et qui ne vivait que de raccommoder des bas. Son frère et lui sont
e ans lorsqu’elle a été mariée, ne pouvait pas encore savoir que pour vivre hureux dans son mariage, il faut épouser son égal
en dégoûtez pas si tôt. Cette réponse paraît d’un homme qui veut bien vivre avec sa femme. Cependant, il ne l’a considérée qu
Défrichez-la, elle est à vous. Défendez-vous contre vos ennemis, vous vivrez après en repos. Faites ce qu’ont fait les enfants
es ? Je ne les regarde point comme cela, puisqu’ils peuvent gagner et vivre sans être à charge à personne, et je crois que to
, et celui-ci a trouvé le secret avec une corde et un sac de donner à vivre à plus d’un million de fainéants ; et moi avec to
’ils puissent sortir de leur couvent et se marier dans le monde, ou y vivre dans le célibat à leur choix et quand ils voudron
t chercher sous un ciel plus hureux la tranquillité et la facilité de vivre que la fortune et leur pauvreté leur dénient dans
asse et à la pêche pour l’utilité de la chambrée, qui trouvera plus à vivre , sans doute, qu’il ne lui en faudra ; les autres
qui habitent ces lieux, leur innocence naturelle, la facilité de bien vivre avec eux et de s’en faire des amis, et la manière
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
t que voyant que je ne vaudrais jamais rien, il aima mieux me laisser vivre à ma fantaisie, que de s’exposer à mes emportemen
est établi en province, et qu’il ne vient à Paris que rarement, nous vivons dans une assez grande indifférence l’un pour l’au
l’avait amenée à Paris, et qui sans scandale lui fournissait de quoi vivre et le reste. En un mot c’était la maîtresse d’un
s n’eurent rien à me reprocher, et depuis ce temps-là nous avons bien vécu ensemble. Mon père me mit en pension chez un ingé
ir avec tant de rigueur. Depuis son mariage et son retour à Paris, il vivait plus retiré que jamais ; c’était l’écuyer de la m
ation, qui fut assurément sincère ; car depuis ce temps-là nous avons vécu en bonne intelligence, sans néanmoins nous mêler
pleurant, et se jeta à ses pieds, en lui faisant plus de promesses de vivre honnête femme que peut-être il ne lui en demandai
emarquer leurs caresses, et lui dis que les animaux nous montraient à vivre . Je poussai ma morale sur un si beau sujet tant q
uoi je ne m’étais pas attendu ; ce fut d’entendre cette femme, qui ne vivait que des péchés du public, prêcher la réforme à la
uva peu de temps après un fort honnête homme ; elle a même assez bien vécu avec lui, mais depuis qu’elle est veuve, ce n’a p
faire. Il y a dans le monde, reprit la veuve, des pays où les femmes vivent à leur liberté, parce que cela leur est permis ;
uvions impunément recevoir dans nos bras qui nous voudrions ; et nous vivrions sans contredit plus heureuses, n’ayant que l’amou
les inclinations que la nature nous donne ; mais, ma sœur, ce serait vivre comme les bêtes, que de les suivre. J’en tombe d’
tes, que de les suivre. J’en tombe d’accord, dit la veuve ; ce serait vivre en effet comme les bêtes, mais pourtant je ne pui
s, et que notre réputation n’en fût pas plus ternie que la leur. J’ai vécu , poursuivit cette veuve, comme doit vivre une fem
lus ternie que la leur. J’ai vécu, poursuivit cette veuve, comme doit vivre une femme d’honneur avec son époux. J’ai suivi la
cela entraîne après soi trop de soins et d’inquiétude ; il vaut mieux vivre au jour la journée. Vous êtes accoutumée, lui dis
allai depuis tous les jours. Comme elle était veuve, qu’elle aimait à vivre librement et sans contrainte, et qu’elle ne devai
d’une femme, et du tracas d’un ménage, puisqu’il ne tient qu’à toi de vivre libre, et d’avoir des plaisirs plus vifs que ceux
vec l’autre ; et leur union serait parfaite. Je t’ai dit comment j’ai vécu avec mon défunt mari ; et je te proteste bien de
ent en sortir de même. Mais le secret est rare dans le siècle où nous vivons , parce qu’on trouve très peu d’honnêtes gens, et
plaît que je devienne ; mais souvenez-vous qu’il m’est impossible de vivre sans vous aimer et sans vous le dire. Elle fut si
s lesquels il me dit ce que je viens de vous dire de son voyage. Il a vécu comme un saint pendant le reste de sa vie, qui se
ur ma vie, sans risquer celle de l’éternité. Depuis ce temps-là, j’ai vécu d’une manière digne de pitié. Je n’ai cherché que
her toutes les occasions de vous voir, et de vous prouver que je n’ai vécu , et que je ne vis encore que pour vous, avec auta
ouser Monsieur de Londé, que sa mère lui avait proposé. Qu’elle avait vécu , et vivait encore assez tranquillement avec lui ;
sieur de Londé, que sa mère lui avait proposé. Qu’elle avait vécu, et vivait encore assez tranquillement avec lui ; parce que
urait eus pour elle, s’il n’avait pas été volage. Qu’elle le laissait vivre à sa fantaisie, non seulement parce qu’elle n’ava
lui avait pourtant jamais parlé, soit par l’indifférence de Londé qui vivait d’une étrange manière, quoiqu’elle n’en eût jamai
qui ne lui parle jamais en particulier ni nuit ni jour ? Est-ce pour vivre en religieuse que Madame s’est mariée ? Pardi, aj
rçu que je lui faisais plaisir de m’éloigner d’elle, et de la laisser vivre à sa fantaisie. J’ai cru qu’un peu de jalousie de
aime un autre. Ainsi sans en faire plus mauvais ménage ensemble, nous vivons chacun en liberté, et comme bons amis seulement,
es deux ensemble, je vins à l’aimer jusqu’au point de ne pouvoir plus vivre sans elle. Je commençai à haïr son mari d’une tel
5 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
un très honnête homme, bien de mes amis, et avec lequel j’espère bien vivre . Il y a, sur notre même vaisseau, un nommé M. de
’un pour l’autre, et trois têtes dans un bonnet. Tant mieux : nous en vivrons mieux ; et si la concorde est troublée, ce ne pou
re les plus grosses et les plus embarrassantes marchandises. Tous les vivres généralement nous restèrent et entre autres le pa
uillés en rade à Brest, j’allai trouver le sieur Albus, directeur des vivres pour M. du Pile, entrepreneur général. Je le pria
out sans Monsieur ni Madame. Ce billet me fut rendu par un commis des vivres à la boulangerie, qui devait voir peser le pain,
à la boulangerie, qui devait voir peser le pain, et par le commis des vivres du Sans-Pareil. Ils avaient apporté des sacs, des
n dois aucun compte à M. de Combes, lui étant indifférent par qui les vivres ont été fournis, pourvu qu’ils soient bons, et qu
tira les larmes aux yeux, et M. de Ferville défendit à son commis des vivres de mettre jamais le pied dans son vaisseau, à moi
e se brouiller pas avec les écrivains du roi, desquels les commis des vivres dépendaient ; que pour ce qui regardait l’écrivai
ient le revenant-bon du commis, du directeur, et du garde-magasin des vivres , auquel les restants étaient rendus ; et qu’il en
rs la ration des gens qu’on disait avoir mangé à sa table, et non des vivres du fond de cale. Je ne lui témoignai point l’indi
m’apprit, peu de temps après, qu’Albus et quatorze autres commis des vivres étaient révoqués. Tales sunt subditi quales sunt
écrivain de la Compagnie est également chargé des marchandises et des vivres qui sont embarqués dans le vaisseau, et que c’est
a facture qui lui reste pour sa décharge à son retour : à l’égard des vivres et des munitions, il en compte par consommation a
laquelle je ne sais comment il se tirera, si quelque chose manque aux vivres ou aux marchandises. Nous étions allés à l’Orient
ompagnie, de tout le dommage et dépérissement des marchandises et des vivres  ; attendu que par son entreprise il avait violé l
it prédit à M. de Bouchetière ce qui en réussirait. A-t-on enlevé des vivres  ? demanda M. du Quesne. Non, répondit M. de La Ch
pitaine ou l’écrivain du roi tussent présents, n’ont point touché aux vivres secs, et qu’ils peuvent aussi avoir percé les liq
de l’économie de M. Hurtain. de M. de La Chassée, du distributeur des vivres , et de la mienne, je vais dire quelque chose qui
ns fait une friponnerie de concert, dont pourtant le distributeur des vivres ignore le fin. Pendant l’armement, j’ai toujours
M. Hurtain ; nous étions tous à table. Je lui dis que nous avions des vivres pour deux ans, tant pour boire que pour manger, m
prodiguer. Que nous devions songer que le terme était long ; que nos vivres pouvaient pourrir, et ainsi devenir plutôt propre
us pussions prendre terre, nous y trouverions des bœufs et des autres vivres que je paierais, l’argent de la Compagnie y étant
lle, et s’endort. Les plus vils animaux, plus heureux dans leur sort, Vivent tranquillement sans crainte et sans envie, Exempt
ontre ceux qui n’en préviendront pas le moment. La plupart des hommes vivent -ils comme prêts à mourir ? Tanquam semper victuri
l même de sa justice de la verser ? Quoi ! un homme qui aura toujours vécu en scélérat complet, qui aura sacrifié à sa fortu
de surprenant et de bouffon, c’est que ceux qui l’exercent et qui en vivent ne s’y fient pas eux-mêmes. En effet, lorsqu’un m
, et en même temps le remède spécifique à sa guérison. En voyons-nous vivre plus longtemps que le commun des autres hommes ?
nne un pauvre et un misérable dans l’autre ; et qu’enfin chaque homme vécût seul, dans tous ces mondes, et dans différents ét
es, et dans différents états, autant que tous les hommes ensemble ont vécu , vivent et vivront dans le monde que nous habiton
dans différents états, autant que tous les hommes ensemble ont vécu, vivent et vivront dans le monde que nous habitons ? Cett
érents états, autant que tous les hommes ensemble ont vécu, vivent et vivront dans le monde que nous habitons ? Cette pensée, q
je suis chargé de parler, quoique ce nombre d’années qu’un seul homme vivrait en représentant dans tous ces mondes différents t
représentant dans tous ces mondes différents tous les hommes qui ont vécu , qui vivent et qui vivront, offre à l’idée un obj
ant dans tous ces mondes différents tous les hommes qui ont vécu, qui vivent et qui vivront, offre à l’idée un objet inconceva
ces mondes différents tous les hommes qui ont vécu, qui vivent et qui vivront , offre à l’idée un objet inconcevable d’années, i
eu, transférant un pécheur dans un monde nouveau, l’y fasse naître et vivre dans un état qui lui fasse faire pénitence des pé
arbre vert, tel soit-il, que ceux qui nous ont paru en arrivant. Ils vivent misérablement. Leur nourriture ordinaire est une
dédire ni le brouiller avec des gens avec lesquels il était obligé de vivre . C’est le sujet qui avait amené M. de La Chassée.
uantité de drogues et médicaments dont il usait. Il aurait sans doute vécu davantage s’il s’était moins rempli des uns et de
ement en l’autre monde. Nous sommes persuadés encore que s’il pouvait vivre jusqu’à ce que nous attrapions une zone plus temp
emps il n’avait plus été agité d’aucun trouble de conscience et avait vécu dans une foi si vive et une si grande pureté de m
se mettre à la leur. Enfin, M. Blondel a paru. C’est savoir bien peu vivre , lui a-t-il dit : je ne sais à quoi il tient que
n mieux équipé et pourvu qu’il ne croyait. Il ne restait plus que les vivres . Pour cet article, lui ai-je dit, je ne peux pas
leurs doigts. Toute la terre était à eux ; ils ne purent pourtant pas vivre en paix ; et Caïn assomma Abel. Le genre humain d
hors de danger, il a été remis en liberté, et a bien promis de mieux vivre . Il a soupé ce soir avec nous, et fait à présent
isait universellement haïr, lorsqu’il voyait la douceur dans laquelle vivait un homme qui se faisait aimer. Il a fort bien pri
ur ne plus craindre les Juifs ? Ne se peut-il pas que la nécessité de vivre ensemble, et le besoin d’un secours mutuel, les a
nte : mais, c’était qu’une femme était déshonorée quand son enfant ne vivait pas. Je me souviens d’avoir lu un commentaire fai
bien plus vive, et me fit sérieusement réfléchir sur la manière dont vivent les chrétiens. Nous croyons, ou du moins nous fai
e, qui ne veut pas perdre ce navire, a fait employer au transport des vivres , du bois, de l’eau, des tentes et des matelots et
fait seul les rafraîchissements de l’Écueil, et les trois quarts des vivres ou bestiaux du Gaillard et du Florissant. Les écr
ner rien à la fortune. Il a raison. Nous allons sous ses auspices, et vivons en repos : Nobis haec otia fecit. Du mardi 1
de quoi leur donner à manger ? lui demanda froidement M. d’Aire. Ils vivront avec l’équipage, et pourront être dispersés sur l
ai-je eu pour toute réponse. Vous avez raison, ai-je repris, nous en vivrons plus longtemps. Ensuite je me suis tu, en enragea
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
on m’en demanda la raison, je dis à mes oncles, que je ne pouvais pas vivre avec leur directeur, et qu’il y avait trop d’anti
qui s’observent parmi les précieuses, et celles qui savent assez peu vivre pour faire à contretemps les civiles. Elle y mont
ctions parlaient ; j’étais sûr qu’on les entendait, et quoique Silvie vécût avec moi d’une manière fort réservée, je m’aperce
aient dans cette maison, et y étaient venues en grand deuil. Qu’elles vivaient fort retirées, et que j’étais le seul homme qu’on
t que j’avais toujours eu pour elle, me disait que j’étais indigne de vivre si je payais une si bonne mère par la mort que je
que Madame de Cranves, qui était extrêmement maladive, ne pouvant pas vivre longtemps, il fallait que je cherchasse des amis
ns la maison de Cranves de père en fils, et qu’il lui promit de mieux vivre . J’intercédai pour lui, et sans mes prières Madam
assurément dans un convent pour le reste de mes jours, où je pourrai vivre fort honnêtement avec la rente que Madame de Cran
les mains de Messieurs Des Frans, et n’en prenait à la fois que pour vivre quinze jours au plus. Ce ne fut point d’elle que
e il n’avait point de domestique réglé à Paris, où il était obligé de vivre à une table empruntée, où il fallait avoir bien d
éterminée ; c’est absolument de ne jamais la recevoir chez moi, je ne vivrais pas en repos avec un esprit si intrigant. À l’éga
iage, je ne l’ai point approuvé, je ne le désapprouverai pas. Il peut vivre avec elle comme bon lui semblera sans que je m’y
evenu dans l’esprit depuis, et je crois que cela est vrai. Comme elle vivait d’une manière fort retirée ; que personne ne fréq
moi des services qu’on lui offrait. Elle me pria de souffrir qu’elle vécût à sa manière, comme elle avait fait à la rue Sain
n à me rejeter dans ses bras, sans autre condition que celle de mieux vivre . J’envoyai sa fille de chambre et son laquais à d
re compassion. Adieu, Monsieur, ne songez plus du tout à moi, vous en vivrez plus content : je prie Dieu qu’il vous comble de
us à moi, vous n’en entendrez jamais parler. Hélas ! j’avais toujours vécu innocente ; ma vie s’était coulée dans un calme q
être exaucée ! Je souhaite que mon châtiment ne vous soit pas commun. Vivez heureux dans le monde, si vous y pouvez vivre : m
e vous soit pas commun. Vivez heureux dans le monde, si vous y pouvez vivre  : mais songez qu’il faut que Dieu soit irrité con
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
quelque chose malheur est bon ; le dé en est jeté, et si vous voulez vivre longtemps, il faut que vous soyez plus saine de c
ée d’entonne, mais moi je prétends m’en servir à marier ma fille et à vivre paix et aise, et à ne rien faire, comme le seigne
ticiper à la fortune du seigneur Sancho qui est à présent fort riche. Vivez -vous bien ensemble ? — Oh Madame, répondit Thérès
en ensemble ? — Oh Madame, répondit Thérèse, nous avons toujours bien vécu quoique avec beaucoup de peine, car on ne gagne g
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
faute, et que c’est Dieu qui l’a voulu : je n’ai plus qu’un moment à vivre goutteux, et presque paralytique, et l’on veut me
n testament, par lequel je ne lui laissais que très peu de chose pour vivre , et lui ôtais le maniement du bien que je laissai
testament n’a point eu de lieu, puisqu’elle est morte avant moi. J’ai vécu avec elle avec assez de tranquillité, parce qu’il
J’ai vécu avec elle avec assez de tranquillité, parce qu’il y fallait vivre  : mais sans la considération de ma fille, que j’a
nuirions à nous-mêmes, et que pour lui il ne lui en parlerait jamais, vécût -il cent ans. Dieu m’en préserve, repris-je. Je ne
e favorable que du temps ; et cependant je mourais de chagrin de voir vivre quelqu’un. Ce quelqu’un ne parla non plus à sa fi
craint que tu n’eusses suivi le penchant ; au lieu qu’en te laissant vivre avec lui à ta fantaisie, il n’a presque employé s
t et par la raison, et s’étaient rendus traitables. Enfin après avoir vécu longtemps de cette sorte, Dupuis tomba tout d’un
s grande faiblesse. La nature défaillit en un instant. Il avait assez vécu pour songer à la mort. Il s’y prépara en bon chré
9 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
eret. Je crois qu’il est lui-même l’auteur de sa mort et qu’il aurait vécu davantage s’il avait fait comme les médecins de R
l soit-il, si ce ne sont des cocotiers et cotonniers et palmiers. Ils vivent misérablement ; leur nourriture ordinaire est une
nt autant qu’ils en souhaitent, c’est-à-dire beaucoup, et malgré cela vivent au jour la journée, faisant tout cuire et jetant
que dit Pyrrhus dans 1’Andromaque de Monsr. Racine, c’est le moyen de vivre content. Ce poisson est gros pour sa longueur, il
aimais et qui m’aimait, d’en trouver un avec qui vraisemblablement je vivrai bien. Le vent est bon, nous n’allons pas mal.
trouver dans l’Ecueil des gens aussi honnêtes qui sussent aussi bien vivre et avec tant de concorde que nous ; que nous ne d
ficiers et soldats. On y fait garde ponctuelle comme en Europe. Ils y vivent fort chrétiennement, du moins ont-ils devant les
es on ne les voit point. Les femmes du commun peuvent se remarier, ou vivre dans le célibat après la mort de leurs maris, mai
âmes ; mais si le mariage n’est point consommé elles sont obligées de vivre dans un perpétuel célibat, la fréquentation des h
r de faim que de manger de ce que des chrétiens auraient touché et ne vivent que de légumes et jamais de viandes. Nous en avon
donné au commissaire, par l’ordre de Monsieur Du Quesne, un état des vivres nécessaires à leurs équipages pendant ce temps-là
es vivres nécessaires à leurs équipages pendant ce temps-là, lesquels vivres Messieurs de Balassor ont promis de fournir. Ils
grâce à Dieu, et au bon ordre établi par Monsieur de Porrières, nous vivons dans une paix profonde. Comme il s’est rendu seul
ractent par leur nourriture dans une terre grasse et humide où ils ne vivent que d’herbes fort spongieuses. Il y a dans une pe
a, il n’a plus personne pour brouiller les cartes. Nous verrons s’ils vivront plus tranquillement à l’avenir que par le passé.
faute et la cause de tant de malades : ce ne doit point être sur les vivres , car ils sont très bons. Le climat peut y contrib
de toiles d’or, d’argent, de soie et de coton. A l’impureté près ils vivent sous des lois, policés et civilisés comme les Eur
r outre comme je vous l’ai dit que le Mogol prétend que les étrangers vivent en paix chez lui, il ne trouve pas bon qu’ils fas
fait. Le dégât que Remraja a fait faire partout a fait renchérir les vivres à Pondichéry. Les partis dont lui et le général d
 ? Ton négoce n’allait-il pas bien ? N’avais-tu pas assez de riz pour vivre  ? Et mille autres demandes de pareille nature, ap
ralement et beaucoup de pain pourris et jetés à la mer, la disette de vivres dont nous sommes menacés, le peu d’eau que nous a
pas fait faire au mien tout ce qu’on y peut faire à la mer. Pour vos vivres , pourvu que nous en ayons assez pour gagner les I
sécher contre leur coutume de ne rien garder pour le lendemain et de vivre au jour la journée. Il en est de même du poisson,
rendre aucun service (effectivement nous avons pris beaucoup de leurs vivres ) ; que les Anglais sachant que nous étions venus
10 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
fait garde perpétuelle dans ce fort, comme en Europe. Ils devraient y vivre chrétiennement, & surtout chastement, du moin
nsommé à cause de la jeunesse de l’épouse, elle est encore obligée de vivre dans un perpétuel célibat ; la fréquentation d’un
ls plus ? Quid non mortalia pectora cogit Auri sacra fames ? Ils ne vivent que de légumes, & jamais de viande. Nous en a
moins, par ordre de M. du Quesne, le commissaire a donné un état des vivres nécessaires à toute l’escadre pendant ce temps-là
savoir bon gré de ce que je lui ai dit, & a ajouté qu’il avait à vivre avec des esprits bien difficiles à gouverner. Je
le premier à avouer qu’il m’avait l’obligation de lui avoir appris à vivre  ; qu’avec de certaines gens, il fallait de nécess
des ennemis. Il est bien fâcheux pour un homme de bon sens d’avoir à vivre avec des brutaux, des fous & des bigots. D
Dieu & au bon ordre établi & maintenu par le commandeur, nous vivons dans une paix profonde : chacun, n’ayant à faire
r de près. Ils sont l’un & l’autre amphibies, c’est-à-dire qu’ils vivent se nourrissent sur terre & dans l’eau : où ce
e ne sais sur quoi en rejeter la faute. Ce ne doit point être sur les vivres  : ils sont très bons ; &, outre cela, notre é
tre médicament que la viande fraîche, des saignées & le régime de vivre . Du mercredi 6 décembre 1690 Nous avons env
& sa mort avaient été des prodiges de la nature, qui l’avait fait vivre sans cœur & mourir sans rendre l’esprit. C’ét
m’a paru de la magnificence de leurs meubles. À l’impureté près, ils vivent policés & civilisés par des lois, comme les E
bouchent les yeux sur les déportements des autres & les laissent vivre là-dessus en pleine liberté, comme eux-mêmes y vi
mp; les laissent vivre là-dessus en pleine liberté, comme eux-mêmes y vivent . Le trafic est ici très grand & très riche, y
; et cela avec d’autant plus de raison, que nous n’avons pas pris les vivres qui avaient été demandés pour deux mois d’augment
voi de cet exprès par terre de Pondichéry, & de l’augmentation de vivres pour deux mois, que nous n’avons pas pris ; &
était, ne voulant point de garçon de boutique marié, le congédia. Il vécut ainsi deux ans & plus avec sa femme, dans une
r. Le dégât que Remraja a fait faire a fait extrêmement renchérir les vivres à Pondichéry. Les partis dont le général du Mogol
amp; fut assez bon pour se fier aux serments qu’elle lui fit de mieux vivre . Un homme si vigoureux écarta un peu les soupiran
it ? Ton négoce n’allait-il pas bien ? Avais-tu pas assez de riz pour vivre  ? Et une infinité d’autres questions de pareille
times, la quantité de soldats à terre, les différences des mœurs, des vivres , des climats, de la religion, & surtout l’imp
s’habillent comme les banians, parlent leur idiome aussi bien qu’eux, vivent & mangent avec eux & comme eux, font leur
ndent suspects à tous les souverains d’ici, comme gens qui ne peuvent vivre en repos avec qui que ce soit, & qui aiment m
roquement les jésuites pour les missionnaires : c’est-à-dire que pour vivre ensemble en paix, & ne plus scandaliser ni le
ns, mais que Dieu pèse les intentions. S’ils en agissaient ainsi, ils vivraient en repos, & toute la terre ne serait pas abre
s, & beaucoup de pain pourris & jetés à la mer, la disette de vivres dont nous sommes menacés, le peu d’eau que nous a
qu’il n’eût aussi bien que lui quantité de malades, & quantité de vivres gâtés ; qu’il avait même bien plus souffert, ayan
ue vous de trouver terre pour le raccommoder sur les ancres. Pour les vivres , pourvu que nous en ayons tous suffisamment pour
’il n’en fallait pour se taire entendre. Il ne parla ni du manque des vivres , ni de celui de l’eau ; il savait bien que cet ar
docteur, afin d’avoir une cure de la dépendance de son ordre, & y vivre en papimane, après être sorti de l’île sonnante !
au diable, qui en disent des choses horribles, & qui aiment mieux vivre malheureux & misérables en Angleterre, où ils
témoin oculaire, de visu & auditu : le sieur Joubert, général des vivres au Fort Saint-Pierre, me l’a certifié ; & Fan
nfection des malades, nous avons effectivement pris beaucoup de leurs vivres . Ils disaient encore que les Anglais, sachant que
uffrir l’odeur : & ces misérables abandonnés, qui n’avaient, pour vivre , que de la tortue & du pourpier, qu’ils faisa
l mangeait tout au cabaret & ne lui donnait seulement pas de quoi vivre  : elle est créole & fort bien apparentée. L’i
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
pas obligée à l’accepter, si elle lui eût déclaré qu’elle ne pouvait vivre heureuse qu’avec Verville ; mais outre la pudeur
e pied dans la province, et n’a eu garde de l’y remettre tant qu’il a vécu . Pour vous, malheureuse, poursuivit Cléon en parl
epuis ce temps-là, c’est-à-dire depuis plus de vingt-cinq ans, elle a vécu et vit encore d’une manière toute sainte ; en sor
12 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
audience. Elle ignorait ce qu’on lui voulait. Sa fille et moi avions vécu ensemble avec tant de réserve, et l’on avait vu s
re, je ne l’éviterai pas aujourd’hui, parce qu’il m’est impossible de vivre sans vous voir. Je souffris trop hier, je me livr
ristâmes de nous voir séparés. Je lui dis qu’il m’était impossible de vivre sans la voir ; et que si elle n’avait pitié de l’
et elle ne gagnaient plus rien, et qu’ils avaient bien de la peine à vivre . C’est-à-dire, lui dis-je en riant, que si vous t
sa mauvaise humeur. Si j’avais choisi moi-même, je serais mieux et je vivrais content ; mais vous avez voulu que je m’en rappor
préparez une belle récompense ! Avez-vous peur de n’avoir pas de quoi vivre , ou de n’en pas gagner, que vous voulez jurer d’e
pouvaient avoir. Il était impossible de croire que deux personnes qui vivaient publiquement comme nous vivions elle et moi, fuss
ble de croire que deux personnes qui vivaient publiquement comme nous vivions elle et moi, fussent mari et femme, et c’était as
emblant d’être en colère, on ne m’empêchera pas de lui donner de quoi vivre indépendante de vous ; et pour commencer, vous n’
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
lus d’argent et de pierreries qu’il ne vous en faudra pour vous faire vivre ailleurs le reste de vos jours plus magnifiquemen
ste de vos jours plus magnifiquement et plus heureusement que vous ne vivez ici. Vous dites que je fais toute votre consolati
mienne ; vos souffrances me mettent au désespoir, je ne pourrais pas vivre éloigné de vous et toujours dans la crainte de vo
oir d’être l’objet des railleries publiques, il mourut comme il avait vécu les dix-huit derniers mois de sa vie, dans les ag
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
jours après, plusieurs de ces bandits, qui étaient allés chercher des vivres , étaient revenus bien blessés, et qu’il avait app
ut ceux des îles Barataria ; car avec mon argent je trouverai de quoi vivre , à boire et à manger tout mon saoul, et dans mon
15 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
ous tenant lieu de tout, nous nous jurâmes une fidélité éternelle, et vécûmes dès ce jour-là comme mari et femme. Je ne crois p
ouvent, quoique en cachette, l’enfant qu’elle avait eu de moi. Elle a vécu tout à fait retirée du monde, et paraissait être
ce côté-là, de déclarer tout haut, qu’elle ne se marierait jamais, et vivrait à son particulier. Elle a fait cette déclaration
us regarde toutes comme des saintes à miracles dans le siècle où nous vivons . Je suis très aise que mes amis soient tombés en
16 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
ne chambre, et ordonna qu’on servît promptement. Voulez-vous que nous vivions sans façon, lui dit Des Frans ? C’est ainsi que j
prit Des Ronais, d’en trouver parmi les femmes dans le siècle où nous vivons . Vous n’avez pas tant de sujet de vous plaindre d
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
n venons à bout ? C’est là le fait des chevaliers errants qui doivent vivre dans les périls, et qui ne doivent rien devoir qu
il venait nous voir tous les jours, afin de voir, disait-il, si nous vivions bien ensemble. Je le vis une fois un soir dans no
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
e, et demanda avec une simplicité de badaud, s’il avait véritablement vécu , et si les aventures qu’on en lisait lui étaient
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
vent obligés de vendre celles dont ils ont besoin. Quand on vend pour vivre , on ne mange pas de bon cœur, et le rire et la fa
20 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
si bien fait voir la différence qu’il y a de la tranquillité où elles vivent , aux désordres et aux embarras qu’on y voit, que
ère la traiterait plus humainement. Je me trompais, il ne pouvait pas vivre sans faire de mal. Je ne fus point poursuivi, je
oments d’une vie, dont vous savez le malheureux commencement. Je n’ai vécu que pour vous. C’est vous qui m’avez fait prendre
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
Valerio, commandait ; et tous ensemble, tant pour se venger, que pour vivre , continuaient leurs brigandages. Ils volaient et
22 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
s cacher que Mademoiselle telle est sa fille ? Les gens dont je parle vivaient dans un temps, où on observait un niveau plus jus
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
de son infidélité ; ainsi je bornai toute ma vengeance à les laisser vivre ensemble, à les mépriser également tous deux, et
son infortune, et que je voudrais la voir plus heureuse. —  Elle sait vivre , reprit la marquise, et je ne doute pas qu’elle n
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
; on ne jouit de l’argent que lorsqu’on l’emploie ; nous n’avons qu’à vivre à gogo ; vie de cochon courte et bonne. Nous n’av
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
ir comme il faisait ; qu’on ne devait jamais manger et boire que pour vivre  ; mais qu’on devait les jours de jeûne se priver
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