libertinage. J’en suis sincèrement revenu, il y a même longtemps. Une
veuve
a commencé, et Madame de Londé a achevé de me ren
homme ; elle a même assez bien vécu avec lui, mais depuis qu’elle est
veuve
, ce n’a plus été de même. Pour cette autre femme
liés ensemble. Il faut vous dire auparavant ce qui m’arriva avec une
veuve
, dont vous trouverez bon que je vous cache le nom
er que je venais chercher, et l’autre qui la consolait était sa sœur,
veuve
depuis environ six mois. Cette dernière tâchait d
r, ajouta-t-elle, je n’ai qu’à vous dire ce qui m’est arrivé. Je suis
veuve
depuis six mois : j’ai passé trois années avec mo
, et l’imiter dans sa mauvaise conduite ? À Dieu ne plaise, reprit la
veuve
, que je veuille vous inspirer de pareils sentimen
ant ses caresses à d’autres que moi. Pourquoi donc me dire, reprit la
veuve
, que vous n’êtes pas sensible au plaisir d’embras
is, comme il l’est avec un homme qu’on a épousé. Bagatelle, reprit la
veuve
, ce n’est pas l’innocence des plaisirs qui les re
t faire tout ce qu’on voudrait faire. Il y a dans le monde, reprit la
veuve
, des pays où les femmes vivent à leur liberté, pa
vivre comme les bêtes, que de les suivre. J’en tombe d’accord, dit la
veuve
; ce serait vivre en effet comme les bêtes, mais
ion n’en fût pas plus ternie que la leur. J’ai vécu, poursuivit cette
veuve
, comme doit vivre une femme d’honneur avec son ép
me, qui est de vaincre les passions où son penchant la porte. Je suis
veuve
, j’ai toujours été sage, j’espère l’être toujours
oi je n’avais pourtant point encore pris garde. Peu de femmes, dit la
veuve
, conviendront de ces vérités, à moins que ce ne s
; je les trouvai toutes deux encore assises. Je distinguai bientôt la
veuve
à son habit de grand deuil. C’était une très bell
la tristesse. Sa sœur était aussi une fort aimable personne et si la
veuve
n’eût pas trouvé le secret de me plaire avant ell
us jeune qu’elle de trois ans, n’en ayant que dix-neuf à vingt, et la
veuve
vingt-deux à vingt-trois. Elle était magnifiqueme
t ; mais la tristesse que je lui remarquai ne fut pas de mon goût. La
veuve
eut tous les vœux de mon cœur, et elle quelque mo
taille, elles étaient toutes deux parfaitement bien faites ; mais la
veuve
plus grande et plus dégagée, avait un air admirab
nt ces deux dames que je venais de voir, il me le dit, et me nomma la
veuve
. Je lui demandai sa demeure sans faire semblant d
rempli de ma nouvelle passion. J’allai le soir même dans la rue où la
veuve
logeait. Je soupai avec un de mes amis dans un ca
a personne qu’il me destinait pour commère : il me nomma ma charmante
veuve
. Je lui demandai s’il avait parole d’elle, il me
ux que je ne l’avais espéré. Il avait dit qu’il avait trouvé ma belle
veuve
en négligé, mais qu’il ne doutait pas qu’elle ne
te que tout alla beaucoup mieux que je ne l’avais espéré moi-même. La
veuve
en fut surprise. Elle n’en dit mot ; mais je rema
elle me l’accorda, j’y allai depuis tous les jours. Comme elle était
veuve
, qu’elle aimait à vivre librement et sans contrai
ille d’un an et demi de son défunt mari. Elle était de bonne famille,
veuve
d’un financier de bonne famille aussi, dont le pè
ra connaître son caractère. Il y avait environ dix mois qu’elle était
veuve
, et trois à quatre que je la fréquentais, lorsqu’
la fréquentais, lorsqu’un jour que j’étais chez elle, on parla d’une
veuve
, qui sans être remariée, était devenue grosse. La
l’homme dont il s’agissait entra. Il était frère du défunt mari de la
veuve
, établi en province, où il avait attrapé la femme
t ayant mes vues, je ne fis aucune difficulté de le bourrer. Ma belle
veuve
me dit à l’oreille qui il était, pour m’obliger à
parliez-vous, Mesdames, dit-il ? Nous parlions, reprit la sœur de ma
veuve
, de la satisfaction qu’a une femme d’honneur de v
qu’il lui avait promis le secret ; et aujourd’hui c’est, dit-il, une
veuve
qui savait par expérience ce que la compagnie d’u
es surtout me savaient bon gré dans leur âme, de ce que je disais. La
veuve
qui m’avait dit qui il était, ne savait de quelle
i à ménager, Monsieur, lui dis-je d’un ton fier, Madame qui est seule
veuve
ici et seule à marier, me fait la grâce de me sou
été faites avec beaucoup de prudence pour retenir dans le devoir des
veuves
, qui étant maîtresses de leurs actions, et leur é
usqu’à vous ; et vous ne sauriez connaître par leurs noms celui de la
veuve
. Cette manière de prendre hautement le parti des
ue voici. Dès le lendemain de cette conversation je retournai chez la
veuve
, qui me témoigna que je lui avais fait un sensibl
-il rien de plus aisé ? Vous avez ce secret-là, reprit promptement la
veuve
? Oui, je l’ai, lui dis-je, en avez-vous besoin
tre aimé, et que sa réputation méritât d’être conservée. J’aperçus la
veuve
qui m’écoutait attentivement, et qui avalait à lo
un simple petit manteau, et une jupe de crépon noir, avec du linge de
veuve
très propre. Sa gorge et une partie du sein était
vais bien pu m’en apercevoir. Je l’embrassai à ces paroles : ma chère
veuve
, lui dis-je, nous sommes nés l’un pour l’autre. J
vous m’en tirer, dites-le-moi sincèrement ? Non, lui dis-je, ma chère
veuve
en me jetant à ses pieds, il m’est impossible. Ce
cacher l’état où vous m’avez mise. Je n’en suis point fâché, ma chère
veuve
, lui dis-je ; épousez-moi, je ne demande pas mieu
menai dans mon carrosse les yeux bandés. La femme même qui servait la
veuve
à sa chambre, n’a jamais su cet accouchement, ni
de faire me fait assurément regarder de vous comme un scélérat, et ma
veuve
comme une sensuelle ; mais, Messieurs, mettez la
’ai fait. Pour vous, Mesdames, si vous étiez aussi sincères que cette
veuve
, vous avoueriez aussi bien que sa sœur, que tout
pit Monsieur de Terny. Il n’y avait ici que des femmes mariées et une
veuve
, de quoi se seraient-elles scandalisées ? Et puis
ées ? Et puis sur l’article, elles ont toutes les sentiments de votre
veuve
, elles ont beau faire les réservées. À cela près
brassées, je m’attachai, comme je vous ai dit, auprès de ma charmante
veuve
, qui me donna assez d’occupation pour m’empêcher
ue je l’aimerais plus que je n’avais jamais aimé, sans en excepter la
veuve
, et plus même que je ne me croyais capable d’aime
on goûte dans les bras d’une maîtresse fidèle et tendre, telle que ma
veuve
, avec qui j’avais rompu il n’y avait pas plus de
is prendre l’affirmative, étant bien certain que mon intrigue avec ma
veuve
n’était uniquement sue que d’elle et de moi. Il y
vez vu, j’étais encore tout rempli du commerce que j’avais eu avec ma
veuve
, qui ne faisait que de finir. Je me formai mille
it une maîtresse tendre et fidèle : c’était une femme portée comme la
veuve
, au plaisir de l’amour, qui ne cherchait qu’à se
a maison de campagne proche de Paris : je n’en fus pas fort fâché, sa
veuve
la fut, et en effet Londé méritait d’être regrett
deux mois après que je sortis pour la première fois, et que je vis sa
veuve
, je ne la pressai pas sur ce qu’elle avait semblé