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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
lait passer par devant cette fosse pour aller à ce petit bois dont on vient de parler. Don Quichotte était dans une impatience t
gon de toutes sortes de bonnes qualités. Le maudit enchanteur Freston vient de la laisser presque morte des coups d’étrivières q
ôt avec lui dans le même fond où Merlin s’était abîmé, et où la table venait de se perdre. La promptitude de son enlèvement et de
esse Dulcinée du Toboso devrait être désenchantée ; cependant nous la venons de voir encore sous son infâme figure de laide et dé
e mauvais usage que ce méchant faisait de mon argent le lui a ôté, et vient de me le rendre, et je vous le donne. A l’aspect de
2 (1721) Mémoires
u de regret de ses sujets, quoiqu’il en eût été l’adoration. Cela est venu de ce qu’il a toujours préféré les gens de basse ext
ait avoir été vif en reparties sincères. Le Roi lui dit un jour qu’il venait de lire un livre dont il était charmé. — Quel est-il
sa gloire ; il ne faut que lire la vie des deux grands hommes que je viens de citer pour être convaincu de la vérité de ce que
s que je viens de citer pour être convaincu de la vérité de ce que je viens de dire. Je parlerai encore d’eux ; et j’en reviens
rres faute de grains et d’animaux de labour, qu’on lui ôtait comme je viens de le dire. Ce cahier était adressé à M. de Pontchar
qui accoucha heureusement le 5e septembre 1638 de Louis XIV que nous venons de perdre. Elle eut encore un autre enfant qui a été
en partie d’enfants du pays, et en partie des libertins et autres qui venaient de l’ancienne France ; en [un] mot ils firent tout c
iplier ; que l’entrée dans la vieille Angleterre des marchandises qui venaient de la nouvelle rapportait plus par la douane que n’a
en même temps l’ancienne France et le Canada aux inconvénients qu’il venait de représenter. Qu’il valait beaucoup mieux laisser
t laquelle il rapporta les choses dans les mêmes circonstances que je viens de les dire, non seulement sur ce dernier article, m
de soins inutiles… Toute la peine et la fatigue que tu te donnes pour venir de ton pays dans le nôtre n’est qu’une préparation à
est augmentée de plus de la moitié. Tel est le cuivre rouge qui nous vient de Suède, duquel nous ne pouvons pas nous passer ; j
plus puisque je le menai au cabaret. Il me conta les choses comme je viens de les dire ; je lui trouvai de l’esprit, et même bi
e une scène qui s’y est passée environ trois mois après celle dont je viens de parler. Ce magistrat se mêlait de tout, jusques à
faux pas sans être découvert. J’aime mieux croire que cette droiture venait de son propre fond, et du zèle qu’il avait pour le R
ucher au Cours de la Reine ; et en nous promenant il me dit ce que je viens de rapporter, et me dit encore une particularité de
rt lisait. Après cela, bien sûr qu’il avait la copie du mémoire qu’il venait de lire, il disait à celui qui le lui avait donné qu
aussi témoignait son indignation à ceux qui ne l’approuvaient pas. On venait de créer sur les ports et dans l’intérieur de la vil
t bien que le régent de France, fils de M[onsieu] r d’Orléans dont je viens de parler, s’en ressentît à présent qu’il en a l’aut
i. Puisque, lui dit-il, vous ne faites rien, lisez le placet que l’on vient de vous présenter, ce sera toujours du temps employé
rôles et dit à la maréchale, les larmes de joie aux yeux, que le Roi venait de rendre un jugement plus beau que celui de Salomon
i de Salomon, et conta les choses dans les mêmes circonstances que je viens de les rapporter. Et de fait, ajoutait-il, il ne fau
nt sévère et prompt. Qu’il le suppliait de faire attention à ce qu’il venait de lui dire. Qu’on n’était pas dans la situation de
et le joignit, et en retournant chez le Roi dit à Deschiens ce que je viens de rapporter. Celui-ci, pis qu’enragé, revint chez l
ais je lui offre pour témoin Madame Deschiens, veuve de celui dont je viens de parler ; elle est encore en vie, et en bonne sant
-deux de ligne, et nous n’attendions que M. le marquis de Cœuvres qui venait de Toulon avec dix-huit vaisseaux pour nous mettre e
faire assembler ce même conseil pour lui communiquer la lettre qu’il venait de recevoir. Il passa au cabinet du s[ieu] r de Mont
ôt assemblé. Il y dit ce qu’il avait écrit et montra la réponse qu’il venait de recevoir ; et sans que qui que ce fût opinât : Al
toujours de bon vin, j’allais chez lui assez souvent. Un jour que j’y venais de faire collation, je vis en sortant un homme de tr
-moi ce que c’est, me dit-il. Je lui répétai les choses telles que je viens de les écrire. Il en rit à toute gorge, et s’appuya
sailles. Ils furent les premiers à dire au Roi leur grand-père qu’ils venaient de se promener, et qu’ils s’étaient fort bien divert
jusque sous le maître-autel. 279. Crozat, gendre de Le Gendre dont je viens de parler, est d’une meilleure famille que son beau-
ptueux que leur table. Il faut leur rendre justice, tout leur bien ne vient pas de la maltôte. Ils en ont gagné une partie par le co
eaux. 281. Pour retourner à Crozat dont j’ai dit que tout le bien ne vient pas de la maltôte, il est pourtant certain qu’il y a été
barrasser ni d’excommunication ni des foudres qu’ils pourraient faire venir de Rome ou fulminer eux-mêmes, il faut les pendre sa
a parce que tout le monde est convaincu que les relations qu’ils font venir de tous les pays éloignés ne sont que pures fables,
réussiront, pourvu qu’ils ne s’éloignent pas trop des maximes que je viens de leur prescrire ; et j’ajouterai que quoique les v
3 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
le proverbe est faux à mon égard qui dit qu’il fait bon mentir à qui vient de loin. Je vous abandonne cette relation, à vous, M
oulait faire notre amiral de venir vent devant, mais son canot, qu’on vient de mettre à l’eau, nous fait connaître qu’il faut qu
quis de Mascarille de Molière. Il y a devant le superbe palais que je viens de dépeindre une autre maison aussi somptueuse où so
trois pieds de large sur deux de haut, dont l’eau est très bonne, qui vient de source et par conséquent qui ne tarit jamais, et
nt acheté six cabris et des oranges. Le vent est toujours bon et nous venons de mettre à la voile ce soir sur les sept heures.
e voir notre cuisine. Du Jeudi 23e [mars] Toujours bon vent. On vient de prendre un thon, nous saurons demain s’il est bon
nt s’aider dans ces chaleurs-ci, on n’a pas la force de se remuer. Il vient de mourir un matelot à qui j’ai parlé il n’y a pas u
de Siam) que l’eau du fond de cale était aussi fraîche que si on fût venu de la tirer de la fontaine. La nôtre est tiède et no
i lui prêche la diète. Il a toujours faim et veut toujours manger. On vient de prendre un marsouin, je vous dirai une autre fois
bliger à se préparer à tout événement. Du jeudi 13e. [avril] Il vient de se lever un petit vent Sud variable. Il n’importe
éveillé cette nuit qu’il n’était pas encore une heure, Monsr. Hurtain venait de rendre l’âme. J’en suis plus affligé que je ne pu
côte [mai] Même chose, le vent commence à calmer, tant mieux il en viendra de meilleur. Nous sommes à la hauteur du Cap de Bonn
ne âme toute romaine, nous avions le corps un peu calviniste. Le vent vient de calmer ce soir. Du samedi 10. [juin] Il a f
, les Juifs en pouvaient avoir dans leurs vaisseaux puisque nous, qui venons de bien plus loin, en avons bien -, je trouve une ra
des lieues de nous. Pendant que nous avancions, nous voyions aller et venir de terre des chaloupes, mais il était impossible de
la cruauté qu’il a eue d’abandonner aux flammes les mêmes hommes qui venaient de si bien seconder son courage ou son désespoir. Qu
moment après ; l’horizon était embrumé. C’est l’île de Ceylon. Il est venu de terre deux chaloupes pour nous reconnaître, nous
nsi il doit y pleuvoir beaucoup. On dit communément que quand le vent vient de cette île on sent à plus de dix lieues au large l
côte porter et rapporter des marchandises et des nouvelles. Celui-ci venait de Trinquemalé à dix lieues d’ici et venait à Capell
n feu pour aller au mouillage, qui est l’embouchure de la rivière qui vient de Candy, capitale de cette île de Ceilon et la rési
Le trafic d’ici consiste en toile, poivre et autres marchandises qui viennent de Bengale où nous allons. La mer y est pleine de po
e là il en fasse à sa volonté ; ensuite de quoi il revient comme s’il venait de faire une bonne action. Ces sortes de régals se p
de lieue d’eux, chacun sous notre pavillon. Voilà le combat que nous venons de rendre. Il est très vrai que tout l’avantage nous
que de légumes et jamais de viandes. Nous en avons trois à bord, qui viennent de la flûte qui ne mangent que du riz et ne boivent
areiller pour aller attendre au passage quatre navires hollandais qui viennent de Batavia, et que leurs compatriotes attendent ici
canon nos fouesnes et nos arpons. Il ne plut point hier, mais le ciel vient de nous payer pour hier et pour aujourd’hui. Cette p
uré. Du jeudi 5e. [octobre] Calme presque toute la journée ; il vient de se lever un vent de Sud qui ne vaut rien. Du v
asse, semblables à celles de France. La tourterelle était bonne, j’en viens de goûter ; nous mangerons demain au soir la bécasse
elui-ci un bon coup d’eau-de-vie pour le remettre de la fatigue qu’il venait de prendre, car il a bien fait son devoir à ma fanta
re, vous saurez tout à mon retour. mercredi 24e. [janvier] Nous venons de remettre ce matin à la voile pour notre retour en
assurent qu’ils trouveront cette île, et que l’erreur de leur estime vient de ce que les courants nous ont été contraires ; et
t entendu tirer un coup de canon. Ce sont apparemment des navires qui viennent de Guinée et qui vont aux Iles, ou bien une escadre
ous avions ici il y a près d’un an et un Lascaris ou esclave qui nous venaient de la flûte prise à Ceylon, sont allés cette après-m
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
e humeur, et lui dit en entrant : Bonjour, Seigneur Don Quichotte, je viens de mettre à fin une aventure qui m’a bien fait du pl
enture. — Pardi, Monsieur, lui répondit Sancho, c’est un lapin que je viens de déchirer à belles dents dans les offices ; le maî
sur l’herbe, et commencèrent à s’entretenir de la tranquillité qu’ils venaient de se procurer. Sur quoi le héros de la Manche fit u
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
araissait infiniment au-dessous de lui. Ce fut sur Angélique que vous venez de voir, et que vous avez connue dès le temps qu’ell
nze à seize ans. Je n’ai que faire de vous en faire le portrait, vous venez de la voir. On ne peut être mieux faite pour une pet
oi sincèrement et sérieusement. En vérité, répondit-elle, ce que vous venez de me dire me surprend si fort que ma gaieté s’est é
enir souper : il apporta lui-même ce qu’il avait acheté ; et comme il vint de bonne heure, il vint à pied, enveloppé dans un gr
il put. Elle se retira enfin toute honteuse, et confuse de ce qu’elle venait de faire. Ne vous repentez point, lui dit-il, belle
errant les mains, mais achevez, acceptez-vous les propositions que je viens de vous faire ? Je ferai tout ce qu’il vous plaira,
e en riant, très volontiers : je vous demande le secret, et ce que je viens de vous faire voir n’est que pour vous préparer à ce
, elle avait changé de manière et obéi à sa vanité ; que sa confusion venait de ce que cette dame la croyait mariée, et qu’elle n
miroir qu’elle avait acheté : elle en fut remerciée : tout ce qui lui venait de cette fille lui était cher. Il lui demanda si ell
e Vougy d’aller la voir, et de lui faire elle-même le récit de ce qui venait de se passer à l’hôtel, l’assuran[t] qu’elle pourrai
selle : elle envoya chez Monsieur Dupuis s’en informer. Votre commère vint de la part de son père dire qu’il avait connu d’orig
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
t-elle en riant, mes sentiments ne paraissent point dans l’air que je viens de chanter. Il est nouveau, il est beau, on m’a dit
ur vous fasse mal. Il ne se porte pas trop bien lui répondis-je, vous venez de lui porter des coups qui l’affaiblissent, et il a
me dégager ; vos conseils ne sont plus de saison. De tout ce que vous venez de me dire, je ne crains que cette inégalité de nais
au logis lorsque je n’y serais pas, crainte que je ne crusse qu’elle venait de mes parents qui en étaient fort innocents ; ni me
tion sur la manière de notre mariage : elle en dit les raisons que je viens de vous dire ; et pour vous mettre, poursuivit-elle,
nta à ma mère en ma présence toute l’histoire de Silvie, telle que je viens de vous la dire. Cela étant, interrompit Dupuis, la
onter Valeran. Que vous plaît-il, Mademoiselle, dit-il en entrant, je viens de recevoir un billet de votre part, serais-je assez
, vous ne refuseriez pas de remplir une place que la mort de ma femme vient de laisser vacante. Si bien donc, reprit Silvie, que
raître ; au contraire, sitôt que nous eûmes pris la résolution que je viens de vous dire, j’en pressai la conclusion de tout mon
e que je lui donnai, une lettre et de l’argent qui devaient encore me venir de la part de ma mère. Je pris des chevaux jusqu’à L
la route de Fontainebleau, parce qu’il était à propos que je parusse venir de ce côté-là. Nous nous séparâmes sur les trois heu
les rendit et reprit la parole. Je suis étonné, dit-il, de ce que je viens de lire ; mais si celui qui vous donne ces avis n’es
e la reconnaître pour leur parente, et de lui dire eux-mêmes ce qu’il venait de lui dire. Qu’après tout, la manière honnête dont
que j’ai, je vous avoue que je ne croirais pas un mot de ce que vous venez de me dire ; mais comme je vous connais pour le plus
se, une fourbe : car enfin, je n’en suis désabusée que parce que vous venez de me dire présentement le contraire. À quoi m’expos
is me dérober aux rigueurs de la Justice. Elle savait que la querelle venait de moi ; elle se douta qu’il y avait quelque raison
apporté sur son corps, je l’obligeai de se couvrir des hardes que je venais de lui donner, et ne lui laissai ni bas ni souliers.
lui faire connaître l’état de mon âme et de mon cœur. Le récit que je venais de faire avança l’accès, et redoubla le transport. J
infidèle qu’elle était. Il n’y avait personne de ceux à qui Des Frans venait de conter son histoire qui n’eût les yeux baignés de
7 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
e un démenti au proverbe vulgaire qui dit qu’il fait bon mentir à qui vient de loin. Je n’écrirai rien que je n’aie vu moi-même,
s seulement que c’est un des plus scélérats fripons qui soient jamais venus de Gascogne infecter le reste du royaume. Il faut po
il fait, le trajet ne sera pas long. Je m’aperçois que Bouchetière ne vient pas de bon cœur ; tant pis pour lui : il a fait la faute
de cinq cents lieues de l’avant. M. Hurtain, M. de La Chassée et moi venons de boire à la santé de l’âme du défunt mandarin. Le
es réclamait à sa mort. Boursault, dans sa comédie d’Ésope à la cour, vient de traiter en peu de mots cette matière d’un style s
e de surprenant ; mais, suivant mon hypothèse et l’expérience dont je viens de parler, il n’y a rien ni de surnaturel ni d’impos
gnorance, soit par leurs mortels remèdes mal à propos donnés ; ce qui vient de la même source d’ignorance. Combien de gens serai
avoir de commun avec l’éternité ? J’y reviens, messieurs : ce que je viens de dire prouve le peu de fondement qu’on doit faire
que suorum Cunctaque cunctorum cunctis arcana patebunt Que ce que je viens de dire, messieurs, ne fasse aucune impression sur v
nche 12 mars 1690 Je n’écrivis pas hier en entier tout ce que l’on vient de lire ; je ne l’ai achevé que ce matin. Peut-être
ille des Précieuses de Molière. On voit devant le superbe trou que je viens de dépeindre une autre maison tout aussi magnifique,
bouche ; le commun peuple ne se servant que d’eau de puits. Celle-ci vient de source, et par conséquent ne tarit jamais ; et af
château du gouverneur : on ne s’en doit pas étonner après ce que j’en viens de dire ci-dessus. Cette église est assez belle, le
ls parlent tous un latin très mauvais, peu poli, point élégant : cela vient de ce qu’ils suivent plutôt les phrases plates des n
maître chez lequel nous mangions avait plus de raison qu’un homme qui venait de sortir, et ajouta plaisamment qu’il en connaissai
rouve, et beaucoup plus la nuit que le jour. On ne le pêche point, il vient de lui-même se jeter dans les voiles, d’où il tombe,
que, qui ne me satisfait point. Nous avons ensuite parlé de l’eau qui vient de source sur les montagnes les plus élevées : tel e
ompent et se réduisent en matières combustibles comme ce foin dont je viens de parler : et la flamme, que ces matières brûlantes
de pauvres prêtres, et de putains, auxquelles se joignent celles qui viennent de Picardie. Nous ne savons point quel est le résult
sincèrement de presque tous les auditeurs ; il n’est plus rien, nous venons de le perdre ; et ce même homme, à qui nous obéissio
levé, et le commissaire a obligé M. Charmot de prendre la place qu’il venait de quitter, et s’est mis à sa gauche, et notre aumôn
u’ils ont eu dit qu’ils avaient reçu du magasin de l’Orient ce que je venais de leur lire, je leur ai demandé leur consommation.
re le jour de la cérémonie de la Ligne, et qui sert M. de La Chassée, venait de faire son lit. Il était environ trois heures, et
la Ligne que le 17 avril : ainsi, nous avons été trente-neuf jours à venir de ce tropique à la Ligne. Cependant, depuis cette m
si ce soldat ne mourait pas, Bouchetière était assez puni par ce qui venait de se passer. À l’issue du Conseil, ils ont fait ven
s qui lui sont nécessaires, et qu’il ne produit pas, parce qu’elles y viendront de la première main. Je retourne au Cap. M.de Choisy
cruauté, ni leur mauvaise foi. L’abbé de Choisy croit que ces peuples viennent de quelque vaisseau turc, qui se sera perdu au voyag
vaisseaux qui y ont abordé pouvaient en avoir aussi bien que nous qui venons de bien plus loin. Je parle seulement des habitants
. Je parle seulement des habitants pris in globo. Si ce sont gens qui viennent de la secte de Mahomet, ils n’ont pas pu y apporter
Arabie heureuse ? Ils se seraient éloignés de La Mecque. Seraient-ils venus de Turquie ? Les Turcs n’ont jamais rien possédé, et
s rien possédé, et ne possèdent rien encore sur l’Océan. Seraient-ils venus de Perse ? Nullement : puisque les pèlerins de Perse
de Monomotapa jusqu’au Zanguébar compris, je croirais que ces peuples viendraient de là, et en auraient apporté la férocité ; mais, le
assurent tous que ce nombre passe l’imagination. Si, après ce que je viens de dire au sujet de M. de Choisy, je peux ajouter me
lequel le procès de ces deux femmes est rapporté dans le sens que je viens de dire : et roulait, non sur la mort de l’enfant, q
nt adonnés par un penchant naturel au mal. Je n’ai dit tout ce que je viens de dire que sur de simples possibilités, et sur de s
pays est trop humide pour en produire ; et tout ce que j’y ai vu qui vienne de terre, ce sont deux hérissons, pareils à ceux qu’
fficiers, en présence des pilotes, ce que le chevalier de Bouchetière venait de lui dire. Cela a été trouvé de très bon sens, et
tions que tous les pilotes et les navigateurs leur pourront avoir. Je viens de relire l’article de notre combat d’avant-hier. J’
ns vue : le brouillard nous la cachait. C’est l’île de Ceylon. Il est venu de terre deux chaloupes pour nous reconnaître. On a
e long de la côte, porter et rapporter des marchandises nouvelles. Il venait de Trinquemalé à dix lieues d’ici à Capello, qui est
feu pour aller au mouillage, qui est à l’embouchure de la rivière qui vient de Candi, capitale de l’île de Ceylon, et la demeure
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
èrement Sainville et Silvie, qui étaient les inventeurs du tour qu’on venait de lui jouer. Il fut prié de dire où il avait fait c
e font croire qu’il ne vous est rien arrivé que par votre faute. Vous venez de nous dire que vous vous êtes engagé à soutenir qu
re dans le moment, parce que Sancho, après un sommeil de huit heures, venait de se réveiller, et qu’on vint les quérir l’un et l’
9 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
les, poivre, coton, soieries, salpêtre & autres marchandises, qui viennent de Bengale, où nous allons. Lorsque j’en serai mieux
lorsqu’il saura par qui j’ai été informé, non seulement de ce que je viens de dire, mais encore d’autre chose bien plus grave &
s, qui à l’âge de dix-huit ans n’étaient point mariées. Mado, dont je viens de parler au sujet de sa tête d’éléphant, a une repr
éry. M.d’Auberville, lieutenant de M. du Quesne, le commandait, &  vient de faire une action aussi intrépide qu’on puisse en
rt de lieue d’eux, chacun sous son pavillon. Voilà le combat que nous venons de rendre, dont certainement tout l’avantage nous se
joue & à l’épaule par un éclat de la lisse ; & le boulet, qui venait de briser cette lisse, est passé entre lui & moi
légumes, & jamais de viande. Nous en avons deux à bord, qui nous viennent de la flûte. On leur donne du riz & de l’eau. Na
areiller pour aller attendre au passage quatre navires hollandais qui viennent de Batavia, & qui doivent arriver de jour en jou
ce ne sera pas demain la même chose. Il ne plut point hier : le ciel vient de doubler les intérêts depuis sept heures du matin
e France, & une bécasse. Ces deux dernières étaient bonnes ; j’en viens de manger ma petite part. Bien des gens qui sont ven
onner un grand coup d’eau-de-vie pour le remettre de la fatigue qu’il venait de prendre. Ce sont de rudes frappeurs que les matel
ment les fièvres, fort communes dans cette saison. Puisque l’occasion vient de parler de ce Hollandais, qui commandait la flûte
ais ceux qui sont aisés boivent du vin, extrêmement cher, parce qu’il vient de loin ; mais il n’est pas possible d’en boire de m
e de l’Épiphanie comprise. C’est le temps que les Mages employèrent à venir de chez eux à Bethléem : ils voyaient clair le jour 
foi, ou du moins, Oderunt peccare mali formidine poenae. Ce que je viens de dire n’est point un épisode mendié : il faut le m
vérité. Amicus patriae, magis arnica veritas. Qu’on tire de ce que je viens de dire les inductions naturelles, on verra que la m
rai ce que c’est à mon retour. Du mercredi 24 janvier 1691 Nous venons de mettre à la voile, pour notre retour en France. L
vantes & le laquais en vissent rien. Il prit la place que le mari venait de quitter : le reste est facile à s’imaginer. Mon a
s deux petits oiseaux étaient à vendre. Le Parisien vulcanisé dont je viens de parler était avec lui, & nous servait d’inter
ns ces régions éloignées ? Que le lecteur se ressouvienne de ce qu’il vient de lire dans les pages 172 et suivantes. Si j’avais
des mémoires que j’ai envoyés, qui contiennent tout au long ce que je viens de vous dire. Je vous en donnerais copie, pour l’emp
êtes assez instruit pour entretenir M. de Seignelay de tout ce que je viens de vous dire. Donnez-lui-en même un mémoire, & l
pagnie française. Qu’il avait plusieurs fois écrit et prouvé ce qu’il venait de me dire. Que les mémoires qu’il en avait envoyés
qu’ils avaient porté à un tel excès que le seul père Tachard, qui est venu de France avec nous, & qui reste à Pondichéry, d
France sur l’Oriflamme, il y a environ un an, m’ont assuré ce que je viens de vous dire ; et qu’il n’y a eu que les Siamois ins
es ; & c’eût été sagement fait. Le passage de l’Imitation, que je viens de citer, me donne une pensée qu’il faut que je vous
auront attiré les grosses têtes & les chefs du troupeau, le reste viendra de lui-même se rendre au bercail du bon pasteur, san
mp; composer notre été des quarante-cinq jours & demi qu’il est à venir de ce onzième degré quarante-cinq minutes Nord jusqu
, je n’ai rien vu qui puisse être mis en comparaison avec ce que nous venons de souffrir. Le vent, ou plutôt les vents, n’avaient
l’un vaut l’autre ; mais il est impossible de les grossir sur ce qui vient de nous arriver, & s’ils avaient voulu nous pein
rais qu’on ne pouvait pas faire un tableau plus ressemblant. Comme je viens de les relire, en attendant que la mer un peu plus c
r connaître toute la beauté de cette stance, il faut observer qu’elle vient de consoler son père & sa mère, avec une constan
’a fait que l’animer. Morbleu, a-t-il dit après en avoir bu, celle-là vient de Le Vasseur (elle en venait en effet). Comptez, pè
le peu de bien que mes vœux ont laissé à mes frères. Après ce que je viens de vous dire, monsieur, il est je crois inutile que
il est je crois inutile que j’ajoute que c’est avec ma femme que vous venez de dîner. Elle est présente & peut vous dire ce
le que nous sortons des chaleurs. Un matelot, nommé René Le Penneven, vient de mourir. Du jeudi 5 avril 1691 Toujours vent
’était mieux conservé que les autres. Nous l’avons détrompé, & je viens de lui donner par écrit ce que nous avons fait. Outr
r écrit ce que nous avons fait. Outre la quantité de pourpier dont je viens de parler, les bords de cette île abondent en poisso
passé. Ils se sont ralliés vers le cap de Bonne-Espérance, & sont venus de compagnie, après avoir passé à l’île de l’Ascensi
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
pogriffe jusque dans le paradis terrestre. Fais réflexion à ce que je viens de te dire, et rends-toi sage à l’avenir. Je t’aime
tout à fait confus, et ne savait que dire lorsque Parafaragaramus qui venait de relancer Don Quichotte, parut. Les ducs, le comte
à lui, il se perdit entre les arbres, où les Français crièrent qu’ils venaient de le voir tout d’un coup fondre en terre. Pendant q
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
faisant raison. Il ne se souvenait plus des mauvais traitements qu’il venait de recevoir ; il mangeait et buvait mieux que jamais
e ne restait armé comme dans un temps de guerre ; les mêmes mains qui venaient de manier une lance et une épée, retournaient manier
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
s été retiré de son embarras par la voix du sage Parafaragaramus, qui vint de l’autre côté du ruisseau lui faire une belle remo
comme il ne me l’avait confiée qu’à la condition de la lui rendre, je viens de la lui renvoyer. Reprends cœur, ajouta-t-il, elle
la dernière rigueur, elle est toute déchirée de coups de fouet, et on vient de la remettre dans sa première chambre plus morte q
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
ens te rendre la dernière visite que tu recevras de moi de ta vie. Je viens de la part de Pluton te dire qu’il est fort satisfai
la chambre de notre héros, à qui le bon écuyer fit le récit de ce qui venait de lui arriver. Don Quichotte le loua de sa continen
eigneur Don Quichotte et moi, avec cette différence que ses richesses viennent de l’enfer et ne lui ont presque rien coûté, et que
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
ollège. Son petit laquais m’ouvrit. Il ne trouva pas bon que je fusse venu de si bon matin interrompre son sommeil. Il voulut r
u, lui dis-je, il faut que j’aille tout présentement à Versailles, je viens de demander de l’argent à ma mère, elle m’en a refus
d tour, et me rendis chez mon père, à qui je ne dis rien de ce que je venais de faire, crainte d’avoir manqué mon coup. Je vis bi
re le méchant ; au contraire, il me pria de ne rien dire de ce que je venais de voir, qu’il ne recherchait Sophie que pour l’épou
istinguai trois ou quatre fois celle-ci, du beurre ? du beurre ? Nous venions de faire la débauche, et nous avions besoin de quelq
fort réservées ; car je vous jure qu’il n’y a pas un mot de ce que je viens de vous dire, qui soit de mon invention ; au contrai
é d’elle. Je demandai à un laquais, qui étaient ces deux dames que je venais de voir, il me le dit, et me nomma la veuve. Je lui
trouvez bon que je vous cache ce qu’elle est devenue. Le récit que je viens de faire me fait assurément regarder de vous comme u
des plus saints et des plus éclairés, qu’on peut apprendre ce que je viens de vous dire. Il n’est rien plus certain que ce que
ois la valeur de ce collier ; elle n’a jamais voulu rien recevoir qui vînt de ma part. Elle a brûlé toutes mes lettres devant c
jusqu’à la rage et à la fureur, vous n’en doutez pas après ce que je viens de vous dire que j’ai fait pour la posséder, et je l
bit à son retour, et fit ses vœux, après lesquels il me dit ce que je viens de vous dire de son voyage. Il a vécu comme un saint
se, a toujours ignoré, aussi bien que le reste du monde ? Ce que vous venez de me dire est-il bien vrai, demanda-t-elle ? Plût à
homme du monde assez malhonnête pour m’avoir dit les duretés que vous venez de me dire, et je compte de vous obliger à m’en dema
Père, lui dit-elle, vous supplier de faire ma paix avec Madame, elle vient de me donner mon congé fort en colère contre moi : j
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
orte de lui interdire l’entrée de chez eux, sans qu’il parût que cela vînt de lui. Pour le coup elle le supplia de la dispenser
avait dit à son père en ma présence la centième partie de ce que vous venez de me dire, je l’aurais fort bien remise dans son de
uvre dans une pareille occasion. Ainsi elle ne douta plus que cela ne vînt de lui, et résolut de s’en éclaircir sans faire part
e en italien, lui demanda d’où elle venait. Elle lui répondit qu’elle venait de Florence, et allait trouver une dame de qualité q
16 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
e, à elle, ne consentirait pas à notre mariage par les raisons que je viens de vous dire, et que je dis à cette femme. Enfin, po
t la vis : voilà Monsieur, me dit-elle d’un air enjoué, un billet qui vient de tomber de votre basque : votre maîtresse est bien
Qu’elle s’était jetée sur son lit en arrivant, ne croyant pas que je viendrais de la journée, ou du moins sitôt et qu’elle s’était
énement, elle avait déjà écrit ce billet-ci. BILLET. Une affaire qui vient de m’arriver, ma chère mère, et qui demande votre pr
e à ce que je faisais, je laissai tomber la lettre de ma femme que je venais de recevoir. Je sortis sans la ramasser. J’allai voi
ù il s’était porté, et sortit de cette maison plus confus de ce qu’il venait de voir, que cette mère dénaturée ne l’était elle-mê
t écrit. J’ai été chez elle ; elle me l’a donné, c’est celui que vous venez de lire. Je ne vis plus présentement que dans le des
ne preuve vivante par sa douleur éternelle, si ce que Monsieur Dupuis vient de dire est vrai. Il l’est, j’en suis garant, dit un
17 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
fort bien, et chante d’une manière à charmer. Elle était telle que je viens de vous la dépeindre âgée d’environ dix-sept ans, lo
t au désespoir que les choses fussent si avant, et qu’après ce que je venais de lui dire, elle ne m’épouserait qu’avec répugnance
ion. Demain, poursuivit-elle, vous me verrez dans le même état que je viens de mettre ma petite chienne. J’ai encore autant de p
obligé de pencher vers la sévérité, mais que les circonstances qu’il venait de voir, l’obligeaient à réformer ses conclusions tr
18 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
s dont l’habit, les bottes et le cheval crottés, faisaient voir qu’il venait de loin, se trouva arrêté dans un de ces embarras, q
encore toute récente. Il est venu ici quatre fois pour vous voir ; je viens de l’envoyer avertir que vous êtes ici, et je ne dou
19 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
s enfants qui naissaient d’un pareil mariage, aussi bien que ceux qui venaient de père et de mère, parents de sang, étaient toujour
lle ; et pour les mieux convaincre, je leur montrai une lettre que je venais de recevoir il n’y avait pas une heure. J’ai encore
r des verroüils. La sagesse d’une fille n’est rien à moins qu’elle ne vienne de sa propre vertu, sans aucun secours étranger. Tou
ont mille fois plus louables que les femmes des autres nations que je viens de nommer, parce qu’elles sont toujours dans l’état
z, poursuivit-il, s’adressant à moi, dites à mon confesseur ce que je viens de vous dire, et demandez-lui s’il n’y a pas moyen d
it une lettre entre les mains, il l’ouvrit et lut. LETTRE. Le hasard vient de me découvrir votre perfidie, je vous renvoie la l
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
et officier criant à pleine tête dans l’entonnoir, avait dit ce qu’on vient de lire.
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
lus que nous. Don Quichotte embarrassé de ce que le nouveau chevalier venait de lui dire, prit un ton plus bas que celui de pédag
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
ant d’empressement, qu’on fut obligé de le faire apporter. Celui-ci y vint de bon cœur, et lui pardonna de même ; et enfin Desh
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
vin, et j’ai une soif enragée ; courons vite après. Don Quichotte qui venait de terrasser celui qui avait voulu tuer la duchesse.
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
bien garnie ; outre cela, ils le crurent de la compagnie de celui qui venait de se défendre si bien contre eux, et qui avait bles
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
s te nommer, est non seulement plus belle que toutes les dames que tu viens de dire, mais aussi plus belle que la plus belle de
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
ra dans le reste. Voici un livre où toute ta destinée est écrite ; je viens de faire en sorte de l’avoir de Pluton, à qui le des
27 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
gression je retourne à Don Quichotte qui releva encore ce que le curé venait de dire. Ajoutez, Monsieur, lui dit-il, qu’un homme
28 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
l arriva cependant, et me trouva chez mon parent, il me dit ce que je viens de vous dire en me donnant la lettre que je viens de
il me dit ce que je viens de vous dire en me donnant la lettre que je viens de vous mettre entre les mains, et que vous pouvez l
29 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
que Silvie y arriva aussi dans un carrosse de voiture, comme si elle venait de plus loin, et ce carrosse fut renvoyé sitôt qu’el
30 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
urs dans le sein de quelque amie fidèle, je lui appris tout ce que je viens de vous dire. Elle en frémit, mais en même temps ell
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