pour l’État, non pas dans les partis, ses biens, quoique très grands,
viennent
par des voies légitimes, c’est-à-dire par success
es armées avec éloge. Avec le bien qu’il avait de son côté, il lui en
vint
encore d’autre, par son mariage avec la fille d’u
cessité où Madame votre mère et vous mettez Mademoiselle de Vougy d’y
venir
tous les jours. En êtes-vous fâchée, dit-il ? Je
lque intérêt caché qui oblige de vous refuser, afin de vous obliger à
venir
demander ? Je dirais, répondit-elle, que le motif
puisque je n’ai que ce seul moyen de vous voir, en vous obligeant de
venir
ici. Ne poussez pas plus loin votre raillerie, Mo
, et dès aujourd’hui je vous assure que vous ne serez plus obligée de
venir
ici, puisque cela commence à vous chagriner. Il f
de nous satisfaire, et que vous ne le faites pas pour nous obliger à
venir
, je vous jure que je n’y viendrai plus, et que dè
s ne le faites pas pour nous obliger à venir, je vous jure que je n’y
viendrai
plus, et que dès aujourd’hui je prierai Mademoise
le n’avait garde d’en rien témoigner ; mais elle ne se trompa pas. Il
vint
en effet le lendemain ; mais comme ce n’était pas
s témoins, sous prétexte d’attendre Mademoiselle de Vougy, je ne suis
venu
que lorsque j’ai su qu’elle était sortie ; et un
su qu’elle était sortie ; et un moment avant son retour, vous verrez
venir
un laquais me demander, afin que sous le même pré
e d’un pas si difficile. Elle dit à Mademoiselle de Vougy qu’il était
venu
pour la voir, sans dire pourquoi, crainte de le c
épondre à ce qu’il lui disait, elle alla chercher une autre fille qui
vint
avec elle. Elle lui parla pour lors, et lui dit q
la pour lors, et lui dit que Mademoiselle de Vougy savait qu’il était
venu
le jour précédent. Elle ne sait pas, Monsieur, aj
ande, ou si c’est pour autre chose. Elle sait seulement que vous êtes
venu
, et si elle n’était pas encore sortie aujourd’hui
est résolue ; car après que vous l’auriez attendue bien longtemps, il
viendrait
peut-être quelque laquais vous quérir, et vous so
l n’est pas nécessaire que Mademoiselle de Vougy se donne la peine de
venir
au logis. Elle la prendra avec joie, reprit Angél
e que je pense. Eh bien, dit-elle, faites-le moi, ce sacrifice, et ne
venez
plus ici. Je ne vous verrais plus, dit-il. Vous m
esprit de la maîtresse, il lui préfère une fille qui la sert ? Je n’y
viendrai
plus puisque vous me le défendez, je vous écrirai
dre, et qu’elle ne se serait pas déterminée sitôt, si un capucin, qui
vint
pour confesser sa mère, et dont elle prit le cons
’honnêtetés la rendit plus familière. Il lui demanda la permission de
venir
la voir tous les jours, elle y consentit avec pei
our que ses visites ne fussent point sues, crainte du scandale, il ne
viendrait
que le soir, si tard que tout le monde serait ret
ui dirons même, que ne dépendant pas de vous pendant la journée, vous
venez
quand vous pouvez. Elle croira sur ce pied-là, qu
ard, il ne fut jamais ni vu ni connu de personne. La mère d’Angélique
vint
enfin à se mieux porter, il en eut autant de joie
e à son souper. J’en serai, reprit-il promptement, ma bonne tante, je
viendrai
souper avec vous. Ne vous embarrassez point de ce
manière de le faire en augmentait encore le prix. Il ne manqua pas de
venir
souper : il apporta lui-même ce qu’il avait achet
lui-même ce qu’il avait acheté ; et comme il vint de bonne heure, il
vint
à pied, enveloppé dans un gros manteau, crainte d
ablement, et considéra que si elle restait à elle, son amant pourrait
venir
la voir dans de certains moments qu’elle serait s
x sœurs, et le plus souvent avec leur mère, que qui que ce soit ne la
venait
voir que Contamine, qui ne lui parlait jamais hor
aise de la faire voir comme par rencontre, et qu’il l’avait priée d’y
venir
sous les armes. Son laquais la suivait, et sa fil
crurent de bonne foi, et ne s’en mirent pas plus en peine. Contamine
vint
la voir le soir même ; mais elle ne lui donna pas
qui le diront à d’autres, donneront pied à une médisance publique qui
viendrait
me déshonorer jusqu’ici, et qui me rendrait tout
au désespoir, et se jeta vingt fois à ses pieds pour l’empêcher d’en
venir
là. Il n’y gagna rien, et il était écrit que le m
que j’ai de plus cher, après mon salut. Je ne puis écrire davantage.
Venez
au nom de Dieu le plus promptement que vous pourr
la princesse et le vôtre, elle vous demande en grâce la permission de
venir
se jeter à vos pieds. Je sais son innocence… Made
auvre qu’elle, avec la magnificence dont elle était hier ? Le bien ne
vient
point si promptement par des voies innocentes. C’
point condamner sans l’avoir entendue. Cette princesse lui permit de
venir
, et ajouta qu’elle était très satisfaite de la sa
e ce qui venait de se passer à l’hôtel, l’assuran[t] qu’elle pourrait
venir
sitôt qu’elle voudrait, et qu’elle la recevrait f
en état de paraître plus digne de lui ? Je suis charmée de ce que je
viens
d’entendre, reprit cette demoiselle. Un[e] autre
jours malheureuse, et renoncer sans retour au bonheur qui semblait la
venir
chercher ; car Madame, ajouta-t-elle, pouvais-je
Elle les y laissa, questionna la maîtresse et les filles du logis, et
vint
reprendre le soir Mesdemoiselles Dupuis et de Vou
amant et qu’elle les attendrait tous deux le lendemain après-midi. Il
vint
la voir [le soir] même, pour savoir de quelle man
plaisir mes remerciements aux vôtres, et j’accepte le rendez-vous. Je
viendrai
vous prendre demain dans mon carrosse, nous irons
our en savoir la réussite, et ce qu’il en pourrait arriver. Contamine
vint
à l’heure marquée, je le priai de me conduire dan
tout ce qu’il avait fait pour sa maîtresse ; par quel hasard il était
venu
à la connaissance de Madame de Cologny, ce qui s’
Madame la princesse de Cologny. Elle le fit entrer. Il lui dit qu’il
venait
savoir d’elle à quelle heure la princesse pourrai
i dit qu’il venait savoir d’elle à quelle heure la princesse pourrait
venir
la voir, pour une affaire qu’elle ne pouvait comm
inquiétude et son agitation. La princesse, ayant été avertie qu’elle
venait
, lui sut bon gré de sa civilité. Elle alla au-dev
par l’ordre de cette princesse, dans l’état magnifique, où elle était
venue
la veille. Elle fut surprise de se voir appeler,
a eue au faubourg Saint-Germain à la Foire ; puisque c’est de là que
vient
tout son bonheur et son établissement, aussi bien
ous ai dit que l’heure est prise pour demain, serez-vous d’humeur d’y
venir
? Je n’en sais rien, répondit Des Ronais. Vous n’
réponse est honnête ! Mais sachez que si vous ne me promettez pas d’y
venir
, et si vous ne venez pas en effet, je romprai tou
Mais sachez que si vous ne me promettez pas d’y venir, et si vous ne
venez
pas en effet, je romprai tout commerce avec vous.
raccommodé, il n’y a que la honte qui vous retienne. Répondez juste,
viendrez
-vous ? Que vous êtes pressant, reprit Des Ronais
rez de moi tout ce que vous voudrez. Dupuis entra dans ce moment ; il
venait
les quérir pour les mener souper chez lui. J’ai f
rsuivit-il, en le montrant à sa cousine, nous ne serions point encore
venus
, si Monsieur ne nous avait fait souvenir qu’il ne
donner le temps de répondre, Madame de Contamine le prit par le bras.
Venez
ici fantasque, lui dit-elle en riant, allons à ge
sont très souvent fort trompeuses ; mon cœur devait vous être connu.
Venez
, continua-t-elle, en le prenant par le bras, mett
rsuivit-elle, que vous eussiez dû y être, Monsieur, je n’y serais pas
venue
; mais j’ai été trompée. Êtes-vous fâchée de m’y
t du cœur, je n’en reviendrai jamais, et en même temps les larmes lui
vinrent
aux yeux. Il prit le papier qui était sur sa tabl
ans cette aventure quelque particularité essentielle, qui n’était pas
venue
à la connaissance de ceux qui m’avaient instruit.
Il était italien d’origine, de bonne maison, mais peu riche. Il était
venu
avec le cardinal Mazarin qui lui avait donné de l
attendait. Mademoiselle de l’Épine demeurait proche du logis où elle
venait
souvent solliciter. Elle avait de puissantes reco
ur nom ne fait rien à ce que j’ai à vous dire. Nous nous obligeâmes à
venir
tous les soirs, et il fut arrêté que l’Épine qui
s, je vous ôterais toute espérance ; je vous prierais même de ne plus
venir
au logis ; et enfin je ne vous regarderais de ma
pays, supposé que nous eussions le temps ; parce que, dit-elle, s’il
venait
à le savoir, supposé encore qu’il se trouvât quel
is, pouvait dire. Je l’ébranlai, mais je ne la persuadai pas. Sa mère
vint
enfin, et nous trouva ensemble, sans se douter du
e de Minuit ensemble, et nous nous divertîmes fort bien. Les étrennes
vinrent
, je les fis à toute la société pour avoir prétext
e lui demandais un rendez-vous, et je ne l’obtins pas. Les Rois étant
venus
nous soupâmes trois fois ensemble. Le carnaval se
ce qu’elle m’avait dit. Cependant je n’étais pas content ; mais il me
vint
des traverses qui m’avancèrent plus que tout ce q
je n’avais garde de le lui découvrir. Dès le lendemain au matin elle
vint
me prier de lui faire avoir audience. Elle ignora
té d’une société de jeu ; je ne sais point d’autre sujet qui le fasse
venir
chez moi. Je sais bien que mes filles ne sont pas
s l’avoue, afin que vous soyez persuadé que c’est malgré moi que j’en
viens
à la prière que je vous fais de ne plus venir ici
est malgré moi que j’en viens à la prière que je vous fais de ne plus
venir
ici. Ce n’est point assez que votre conduite soit
me que vous me promettiez de vous assurer quelquefois de mon zèle. Je
viendrai
si peu, que je ne vous causerai point de nouvel e
a fille, mes affaires n’en avancèrent que plus. Elle ne manqua pas de
venir
le lendemain aux Minimes où je lui avais écrit qu
cet homme, il ne le connaissait pas. Il me dit seulement qu’il était
venu
au logis vers les dix heures, et qu’il avait parl
pour me satisfaire. J’avais vu plusieurs fois au logis un homme qui y
venait
écrire pour le secrétaire de mon père ; il me par
rendrait service. Je donnai ordre qu’on le fît parler à moi quand il
viendrait
. Il vint, et pour commencer à entrer en matière,
ice. Je donnai ordre qu’on le fît parler à moi quand il viendrait. Il
vint
, et pour commencer à entrer en matière, je lui do
la mère sur la conduite de sa fille ? Pourra-t-elle avoir le temps de
venir
à vos rendez-vous, sans qu’on en soupçonne rien ?
c tant de facilité, et si peu de risques. Il me dit qu’avant que d’en
venir
là, il était bon de convenir des faits. Il se jet
s de Dieu ; et enfin je commençais à m’ennuyer tout de bon, lorsqu’on
vint
nous dire que nous nous mettrions à table quand n
s a parlé la dernière fois. Je ne doutai pas un moment de quelle part
venait
ce billet, et j’allai à l’heure précise dans la m
table état où sa perte m’a mis pour le reste de mes jours. Les larmes
vinrent
encore aux yeux de Des Prez à cet endroit de sa n
ous prêter son entremise pour cacher notre mariage ; crainte que s’il
venait
à être découvert, votre père ne l’accusât de l’av
languissamment, du moins je crois devoir l’être, que mes malheurs ne
viendront
jamais de vous, ni que vous n’y contribuerez pas
surtout le lundi qu’elle serait peut-être dehors toute la journée. Je
viendrai
, me dit-elle, dimanche à l’église avec une de mes
r quelque partie de promenade hors de Paris. Je sais bien qu’elle n’y
viendra
pas ; mais toujours ce sera un prétexte pour sort
is bien que ses regrets sont aussi sincères que les miens. Les pleurs
vinrent
encore aux yeux de Des Prez à cet endroit de sa n
e et un religieux, eut la curiosité de savoir ce que nous disions. Il
vint
auprès de nous et nous écouta. Nous étions sur un
vais mille fois entendu dire, cela alla si avant, que les larmes m’en
vinrent
aux yeux. Je me retournai pour les essuyer et cac
le temps qu’il regardait travailler les paveurs et les plombiers, il
vint
une manière d’ermite lui demander l’aumône. Pour
et ecclésiastique que je récompensai fort honnêtement. Je le priai de
venir
manger un morceau avec nous, il y vint, et ma fem
t honnêtement. Je le priai de venir manger un morceau avec nous, il y
vint
, et ma femme lui fit aussi un présent fort honnêt
crite de la main de mon épouse, et me mena dans sa chambre, où il fit
venir
deux notaires devant qui j’enveloppai ce que j’av
ssi n’en fit-elle point, et j’eus lieu de me louer d’elle. Elle était
venue
en robe avec un simple petit corset ; je lui sus
u’il fallait pour écrire, étant convenus que toutes les fois que nous
viendrions
, ce qui serait le plus souvent que nous pourrions
ce mot-ci [ :]Je vais dans notre chambre, je vous y attendrai. Elle
vint
où nous nous promenions, et prit le temps que nou
laquais ne m’avait pas suivi. Cette femme me dit que mon épouse était
venue
il y avait environ une heure. Qu’elle lui avait d
est devenu. Comptez pourtant que je ne veux pas perdre ce que j’étais
venu
chercher, et que je reviendrai demain à la même h
’elle avait entrepris, vous allez le voir. La hauteur des seigles qui
venaient
jusques à la tête, et qui même la passaient, la s
gnée pour ne plus craindre d’insulte ni de scandale, je le fis lever.
Viens
avec moi, lui dis-je, je veux te payer ton seigle
a canaille ; mais notre air lui faisait voir qu’il s’était trompé. Il
vint
où je voulus le mener ; ce fut d’un autre côté qu
pas quand il la verrait. Après l’avoir bien fait accommoder, j’étais
venu
retrouver mon épouse. J’étais au désespoir de l’a
it toujours refusé. Tout l’hiver se passa de même ; mais la grossesse
vint
tellement à paraître, qu’il n’y eut plus d’appare
t chez votre mère, restez ici, et n’en sortez pas, qui que ce soit ne
viendra
vous y chercher ; et vous y pourrez faire vos cou
s soufflets ; mais vous y serez, et ce sera à vous de l’empêcher d’en
venir
jusque-là. Elle écoutera la raison, et ne me voya
uer. Il faut, dit-elle, que nous y soyons vous et moi avant qu’elle y
vienne
, puisqu’il faut que nous l’envoyions quérir. Eh b
ur vous supplier de monter dans le carrosse que je vous envoie, et de
venir
seule où il vous conduira. Vous saurez là de quoi
let avec le même carrosse qui l’avait amenée, avec ordre au cocher de
venir
descendre au logis, si Mademoiselle de l’Épine ve
dre au cocher de venir descendre au logis, si Mademoiselle de l’Épine
venait
seule, et d’arrêter dans une église si elle avait
e église si elle avait compagnie. J’aurais été l’y prendre, mais elle
vint
seule. Pendant le temps qu’on était allé la quéri
uvent, où sa fille la prierait publiquement de la mettre ; et qu’elle
viendrait
faire ses couches dans le même endroit où je lui
est ici proche, lui dis-je, elle vous entend, et fait bien de ne pas
venir
chercher de mauvais traitements. Il ne tient qu’à
e pas venir chercher de mauvais traitements. Il ne tient qu’à elle de
venir
; mais si elle venait avant que je l’appelasse, j
de mauvais traitements. Il ne tient qu’à elle de venir ; mais si elle
venait
avant que je l’appelasse, je lui montrerais devan
défâcha tout à fait. Mais Monsieur, me dit-elle, si Monsieur Des Prez
vient
à savoir ce qui en est, car je n’en suis fâchée q
sa fille. Je lui dis que cela ne pressait pas, et que je ne la ferais
venir
que lorsqu’elle serait tout à fait tranquille. En
, rien ne serait encore découvert. Nous arrêtâmes que Madame Des Prez
viendrait
dès le lendemain demeurer dans sa chambre pour n’
i pourrait nous trahir. Ayant tout résolu je sortis, ayant promis d’y
venir
dîner le lendemain avec sa mère. Elles exécutèren
leurs qu’on me présage, vous semblez m’avoir oubliée. Au nom de Dieu,
venez
aujourd’hui si vous voulez sauver la vie à votre
e, pour se conserver auprès de mon père, était au désespoir d’en être
venue
si avant ; et ne l’avait envoyée à l’Hôtel-Dieu,
rais. Je restai huit jours dans des impatiences incompréhensibles. Il
venait
à tout moment quelqu’un de ces bons missionnaires
s garant, dit une voix inconnue. Chacun jeta les yeux du côté qu’elle
venait
, et on reconnut Monsieur de Contamine que sa femm
es mariées depuis le matin jusqu’au soir, et d’obliger leurs maris de
venir
les chercher à minuit ? Savez-vous bien, lui dit-
t chez Jussy qu’ils trouvèrent encore couché. Des Frans lui dit qu’il
venait
lui demander à déjeuner avec deux de ses amis. Tr
mmes pas encore dégoûtés l’un de l’autre ; et si vous voulez la voir,
venez
, venez, je vais vous montrer une des plus belles
s encore dégoûtés l’un de l’autre ; et si vous voulez la voir, venez,
venez
, je vais vous montrer une des plus belles dormeus
affaires, j’y rêve, ma femme croit que je suis de mauvaise humeur, et
vient
, par des caresses hors de saison, me faire perdre
je vous assure qu’à votre tour, je vous laisserai tout le temps de me
venir
chercher. Autre extrémité, reprit-il en riant, tr
l’île de Groye, que le vent est toujours Nord-Est, c’est à dire qu’il
vient
du levant d’été, et que nous allons au Sud-Ouest,
le ciel se couvre et a remis le vent à l’Est ; Dieu veuille qu’il ne
vienne
pas plus Sud. Du jeudi 2e. [mars] Le vent s
er. Nous ne savions pas quelle manœuvre voulait faire notre amiral de
venir
vent devant, mais son canot, qu’on vient de mettr
et 353 degrés 12 minutes de longitude. Les vaisseaux qui vont ou qui
viennent
des Indes et qui veulent y faire de l’eau mouille
qui m’en semble, c’est que les Portugais qui sont misérables chez eux
viennent
ici ou ailleurs, et à coup sûr y épousent des fem
re à tel qui ne vous sera jamais connu. Pour éviter les querelles qui
viennent
dans le vin il y a toujours un sergent de la garn
e seule suffit pour rassasier ; et il est très vrai que ceux qui sont
venus
nous voir, je ne dis pas nègres seulement, mais m
Du samedi 25e [mars] Toujours calme. Messieurs de l’Oiseau sont
venus
ici à confesse à notre aumônier pour faire demain
es toujours en même endroit. Du dimanche 2e. [avril] Le vent ne
vient
point. Que ce calme-ci m’ennuie ! Mr Hurtain a ga
un matelot à qui j’ai parlé il n’y a pas une heure. Le pauvre garçon
vint
hier au gouvernail. Le chaud est si étouffant qu’
acte description d’une quantité de quatre-vingts Siamois au moins qui
vinrent
au-devant de lui en procession tous vêtus comme d
vant Monsieur de Chaumont une thèse en théologie, et qui depuis étant
venu
en France en a soutenu une en Sorbonne à Paris qu
ulement les chirurgiens mais aussi Messieurs Du Quesne et Joyeux sont
venus
à bord. On dit ici que ce ne sera rien ; Dieu veu
-hier la description d’un marsouin : je vais vous tenir parole car je
viens
d’en manger. C’est un animal amphibie, si on peut
our tempérer l’ardeur du soleil, et pour éteindre la soif de ceux qui
viennent
dans ces chaleurs-ci, ait de toute éternité par u
t mal. Du dimanche 16. [avril] Même chose pour le vent, mais je
viens
d’en voir une qui contredit la nature. On dit ord
de pris. Monsieur Hurtain décline. Messieurs Du Quesne et Joyeux sont
venus
le voir : le premier s’en est retourné aussitôt,
e l’augmentation de la maladie de Monsieur Hurtain. Monsr. Joyeux est
venu
à bord et y a dîné. Il s’en est retourné bien aff
jeté à la mer. Monsr. du Quesne et Monsieur Blondel commissaire sont
venus
à bord. Ils seront présents à l’inventaire. Ils o
ort content. Après cela l’aumônier du Florissant son frère, qui était
venu
à bord avec le commissaire et qui y était resté,
u dimanche 23 [avril ] Monsieur du Quesne et Monsieur Blondel sont
venus
ce matin à bord, et y ont amené Monsieur le comma
e de faire observer la même cérémonie par ceux qui ne seraient jamais
venus
ici et un écu chacun dans le bassin nous en ont a
ux barils d’eau-de-vie, outre le baptême du navire qui n’était jamais
venu
sous la Ligne. C’est là ce qu’on peut appeler les
maux de cœur et d’estomac qui m’étaient jusques ici inconnus. Il est
venu
un grain ce soir, nous l’avons salué de nos hunie
on de demander au valet de chambre de Monsieur le Commandeur, qui est
venu
du Gaillard avec lui, si le matelot qui tomba à l
uvé : j’ai appris que non. Quel désespoir de voir son navire, de voir
venir
à son secours et, faute d’être aperçu et faute pe
pas qu’il y en puisse avoir à l’épreuve de cette mort-ci : on la voit
venir
sans y être préparé, on voit les autres s’intéres
es-uns de leurs bâtiments. Du dimanche 30e. [avril] Le vent est
venu
à l’Est, ainsi nous allons au Sud-Sud-Est, qui es
y ayant point eu de vent la chaleur a été très grande aujourd’hui. Il
vient
une petite fraîcheur du côté de l’Ouest qui nous
e fait calme toute la nuit, mais vers le lever du soleil, le vent est
venu
Ouest, bien faible, mais s’est rafraîchi sur les
12e. [mai] Vent variable toute la nuit et toute la journée. Il est
venu
ce soir Sud-Ouest, c’est ce qu’il nous faut s’il
ne bonne et juste description à la mer, n’étant pas assez privés pour
venir
nous voir, à moins que ce ne soit quelque oiseau
uelque oiseau de terre que le vent pousse à la mer et qui fatigués se
viennent
poser sur les haubans ou autre part, où on les pr
er. Du vendredi 19. [mai] Le vent a calmé Dieu merci, peut-être
viendra-t
-il bon. En tous cas de quelque part qu’il vienne
merci, peut-être viendra-t-il bon. En tous cas de quelque part qu’il
vienne
il ne peut pas nous être plus contraire qu’il éta
est jusques sur les six heures du soir qu’il a renforcé, la pluie est
venue
qui n’a pas duré longtemps mais elle a fait chang
t-ci continue. Messieurs Du Quesne, de Quistilly et de Chamoreau sont
venus
dîner ici et y ont amené plusieurs officiers et d
ps. Nous fourrâmes hier le vent de Sud dans nos bouteilles, il en est
venu
d’autre cette nuit, mais bon, c’est du Nord-Ouest
ur vous dire que comme j’achevais d’écrire à soleil couchant on m’est
venu
dire qu’on voyait la terre. J’en viens, elle nous
rire à soleil couchant on m’est venu dire qu’on voyait la terre. J’en
viens
, elle nous paraît dans le Nord jusques au Nord-Es
attaqués. Nous avons parlé à Messieurs du Gaillard qui disent qu’ils
viendront
dîner d’aujourd’hui en huit jours avec nous : le
derait pas. Du lundi 5e [juin] Le vent a changé ce matin et est
venu
au Nord et a pris de l’Ouest petit à petit si bie
barrassés de ce que nous donnerions à dîner à Monsieur Du Quesne s’il
venait
dîner ici comme il nous le dit il y a huit jours,
e plaint fort de leur peu de bonne foi. Il croit que ces peuples sont
venus
des anciens Juifs, et que depuis environ trois ce
a plus estimée. Bien plus, ce ne sont pas seulement les filles qui en
viennent
à ces excès, ce sont les femmes mariées du consen
qui s’y sont faits. Il y a ici des matelots et d’autres qui sont déjà
venus
où nous sommes dans le navire Le Coche, appartena
oché de terre beaucoup plus que lui. Du jeudi 22. [juin] Il est
venu
aujourd’hui aussi bien qu’hier des Noirs à bord,
y cultivent du riz, et je suis persuadé que le froment et la vigne y
viendraient
à merveille, puisque j’y ai vu non seulement ce q
e leurs mains ne sont pas sûres. Il y en a eu un entre autres qui est
venu
à la cabane pendant que j’y étais seul d’officier
pendant que j’y étais seul d’officier. Il m’a fait dire qu’il voulait
venir
en France avec nous et qu’il me demandait passage
je n’étais point d’humeur à cédera une poignée de gens de même. D’en
venir
à la violence, j’aurais assurément été blâmé de M
t leurs assemblées pour louer Dieu. Notre premier pilote qui est déjà
venu
ici m’a dit qu’il avait vu un de leurs mariages,
u visage, mais cela ne sera rien Dieu aidant. Le même caporal qui est
venu
avec moi à Moaly a deux doigts de la main droite
nte lieues de la Ligne vers Paris, mais il faudra retourner d’où nous
venons
avant que de voir les clochers de Notre-Dame. En
pour nous reconnaître, nous avons mis pavillon anglais pour les faire
venir
à bord. L’appât était trop grossier, elles n’ont
t des nouvelles. Celui-ci venait de Trinquemalé à dix lieues d’ici et
venait
à Capello qui est justement l’endroit où nous l’a
nt l’endroit où nous l’avons pris à une lieue de terre ou environ. Il
venait
chercher du riz et du bois et était chargé de roc
n mouvement ; elle avait simplement touché. Monsieur Du Quesne a fait
venir
à son bord tous les capitaines. Ils ont tenu cons
à poupe toute la journée, et leur avons montré même pavillon. Il est
venu
à bord un Français, nommé Monsr. Cordier par lequ
is. Ils nous apportent du poisson qu’on leur paye. Le premier qui est
venu
à bord avait amarré son rat à un anneau et était
se perdre absolument que d’en approcher davantage. Les noirs du pays
viennent
prendre ceux qui y vont et les marchandises qu’on
les ai cassés tous deux ; ces misérables s’imaginent que les morts y
viennent
manger et boire, et c’est pour cela qu’ils y lais
it qui que ce soit auprès, de peur sans doute d’empêcher le défunt de
venir
souper. Pour leurs filles ou femmes on ne les voi
e remontrance sort et trouve un éléphant à qui il coupa la tête et la
vint
mettre sur le corps de Mado, qui depuis ce temps-
mas, comme dit Monsieur Godeau dans son Histoire de l’Eglise, qui est
venu
dans ce pays-ci, qui leur en avait donné connaiss
t. La tête remua trois fois, et dans les vingt-quatre heures la pluie
vint
. Il est inutile de dire que c’était les esprits v
ité n’est pas tout à fait absolue à cause de sa jeunesse, et qu’il ne
vient
pas d’une longue suite de rois. Les princes de ce
voyant avantageusement mouillés a mis pavillon de conseil pour faire
venir
tous les capitaines à son bord. Ils y ont été et
ivis et s’est battu assez bien pendant quelque temps. Le Gaillard est
venu
ensuite, et 1’Oiseau a tenu la queue. Nous avons
suivi et le Florissant dans le même temps, le Lion et le Dragon sont
venus
ensuite, et l’Oiseau a été le dernier qui a quitt
de la portée de leur canon, ils ont mis à la voile. Je croyais qu’ils
venaient
nous trouver à leur tour, mais je me trompais : i
ête comme la grêle. Nous étions trop éloignés l’un de l’autre pour en
venir
à la mousqueterie, ainsi j’étais simplement spect
échappé belle à Amzuam, j’ai eu ici un coup plus favorable : j’ai vu
venir
un boulet à moi, j’ai baissé la tête bien vite co
iré trois coups de canon, ce qui est apparemment un signal pour faire
venir
des Français ; ils ont meilleure oreille que moi
rque et un bot qui sont restés a deux grandes lieues d’ici n’ayant pu
venir
à cause du vent et des courants contraires. Du
sont à présent sous les voiles pour retourner chez eux, et nous nous
venons
d’appareiller pour aller attendre au passage quat
vent a toujours été contraire jusques à ce matin dix heures qu’il est
venu
assez favorable mais inconstant, le ciel toujours
. Sur les deux heures après minuit, le Florissant a viré de bord pour
venir
à nous et nous a demandé si nous voyions ces deux
, n’y connaissant personne. Leur aumônier qui est un missionnaire est
venu
dîner ici et voir Monsieur Charmot. Il me paraît
heure de la pluie n’était pas passée, il a plu beaucoup. D’où peuvent
venir
les pluies qu’il fait ici tous les soirs, car il
r chez lui. Mais comme Messieurs de Quistilly et de Chamoreau doivent
venir
ici, Monsieur de Porrières l’a remercié, et lui a
nsieur de Porrières l’a remercié, et lui a fait dire que s’il voulait
venir
ici il serait le bienvenu, et cela d’un certain a
28e. [septembre] Calme presque tout plat. Tous ces messieurs sont
venus
dîner ici aujourd’hui, et j’ai été au Florissant
rt et toujours vent près. Il a extrêmement plu ce soir et le vent est
venu
bon, mais comme nous croyons être proche des îles
emment poussés au large par le vent n’ont pu la retrouver, et se sont
venus
percher sur nos vergues et nos manœuvres. Nos mat
nous mangerons demain au soir la bécasse. Bien des gens qui sont déjà
venus
ici et qui sont avec nous disent que cela est ext
roiser deux jours, et que s’il ne trouvait point Monsr. du Quesne, il
viendrait
nous rejoindre. l’Ecueil a donc fait route pour N
a fait calme tout le jour et ainsi une chaleur excessive. Le vent est
venu
Nord-Ouest ce soir, et est bon pour rattraper Nég
-Ouest ce soir, et est bon pour rattraper Négrades. Que le Florissant
vienne
ou non, c’est une nécessité pour nous d’y aller ;
i pèsent quatre et cinq cents livres. Ce ne sont que les femelles qui
viennent
à terre, le mâle restant toujours à l’eau. Cet an
u’il se retourne sur le ventre, et par conséquent qu’il marche. Il ne
vient
à terre que pour se décharger de ses œufs qu’il p
oque qu’ils cherchent naturellement l’eau. Et c’est lorsque les mères
viennent
à terre pour y mettre bas que les matelots les pr
bien de quelques matelots ou autres des navires européens qui y sont
venus
hiverner comme nous, et qui y ont enterré comme n
s troncs publics, toujours prêtes à recevoir les offrandes du premier
venu
. Cela me fait souvenir de l’axiome du droit qui d
illard et l’Oiseau arrivèrent à Négrades le mercredi 25e du passé, et
vinrent
le lendemain mouiller proche de nous. Ils étaient
r faire voir qu’il est en vie et toujours lui-même. Le Portugais, qui
vint
avec lui le 25 du passé assura qu’on avait trouvé
quelque chose dans la suite. Les Hollandais qui sont ici, et qui nous
viennent
des bâtiments que nous avons pris, souhaitent for
bâtiments que nous avons pris, souhaitent fort que leurs compatriotes
viennent
, et se disent les uns aux autres : Les voilà tous
nt les uns aux autres : Les voilà tous malades, si nos gens pouvaient
venir
ils en auraient bon marché. Je vous jure pourtant
ant bon besoin. Du mardi 5e. [décembre] Il nous est aujourd’hui
venu
des rafraîchissements, peu de chose effectivement
royaume de Bengala ou Bengale, c’est une grande anse dans laquelle se
viennent
décharger plusieurs rivières entre autres le Gang
é. Ils ont de la cire et du miel en quantité, et c’est d’eux que nous
vient
la laque dont on fait en Europe ce que nous appel
ernard et est portugais. Il y a plusieurs Bengalais catholiques qui y
viennent
entendre la messe. J’y ai assisté. Ils sont fort
ons, la banane, l’ananas, le coco et mille autres fruits et légumes y
viennent
en abondance. Je vous ai parlé de la viande, le p
n sans être en état de leur résister ; les tigres font bien plus, ils
viennent
jusques au cœur de la ville en enlever des enfant
les uns aux autres et ne manquent pas de bonne volonté, mais s’ils en
venaient
à quelque excès ils ne s’en trouveraient pas bien
e vent. Année 1691, Janvier Du lundi premier [janvier] Je
viens
d’entendre la messe et après avoir donné à Dieu l
us ne nous séparions point. Du dimanche 7 [janvier] Le vent est
venu
cette nuit bon et bon frais, mais nous ne portons
t bon frais, mais nous ne portons point toutes nos voiles parce qu’il
vient
avec nous un bot qui porte à Pondichéry des canon
vers Surate jusques à la côte de Coromandel vers Pondichéry. Le Mogol
vint
en personne pour le punir de sa trahison, mais Sa
croyait Sauvagy éloigné de plus de trente lieues, c’était lors qu’il
venait
donner la chemise blanche à l’armée du Mogol. Il
e, qui est la ville la plus marchande des Etats du Mogol. Lorsqu’il y
venait
il obligeait tout le peuple d’en sortir, et il y
n pays et attendait que Surate se fût remise de son pillage pour y en
venir
faire un autre. Enfin il a tant fait que le Mogol
forte comme celle du Mogol, il a été obligé de se retirer après être
venu
plusieurs fois aux mains avec les ennemis sans pe
a campagne rendent les chemins mal sûrs, et leurs naires ou cavaliers
viennent
jusques aux portes de Pondichéry et traitent asse
est des dépendances de Remraja, mais que les gens de guerre du Mogol
venaient
jusques à ses portes et massacraient et pillaient
ien, c’est un de ses généraux qui la commande. Un de ses partis était
venu
jusques aux portes de Pondichéry, et en se retira
rois mille bestiaux tant bœufs que cochons. Les noirs des environs se
vinrent
plaindre à Monsieur Martin, qui leur avait moyenn
réputation. On a encore appris qu’ils équipent quatorze navires pour
venir
nous trouver. Si cela est, nous le saurons et nou
uit, plus pour conserver leur réputation, que pour aucune envie de se
venir
faire chauffer. On a aussi reçu des nouvelles de
de leurs vies, sans compter les fatigues du voyage, ils disent qu’ils
viennent
enseigner aux autres. Il serait à souhaiter pour
au sur les mains, et c’est un Noir qui le sert, lui et les autres qui
viennent
ensuite. Ce Noir pose les pots à terre, prend de
même chose que le vieillard et sont servis de même, et le dernier qui
vient
jeter le riz sert à son tour celui qui a servi to
l’eau dans deux pots neufs auprès du foyer, afin que l’âme du mort y
vienne
prendre sa réfection, comme je vous ai dit que j’
ve là avec abondance de tout ce que le pays produit et même de ce qui
vient
d’ailleurs. Ils se vendent comme parmi nous argen
le vent qui soufflait, c’étaient tous les diables d’enfer qui étaient
venus
tenir leur assemblée générale aux extrémités des
le Florissant et le Dragon. Du samedi 10e. [mars] Le vent est
venu
contraire tout à fait, et bien gros vent dès cett
hait. Il fait calme tout plat. Du mardi 13e. [mars] Le vent est
venu
bon mais bien faible, le ciel s’est couvert. D
ours couvert et nous donne de la pluie de temps en temps, le vent est
venu
bon cet après-midi. Mr d’Haire a tiré un coup de
ournée, il a fait fort beau temps. Du samedi 17. [mars] Le vent
vint
hier au soir bien petit et variable, nous avançon
Toujours beau temps et méchant vent. Le chirurgien du Florissant est
venu
à bord voir le nôtre qui est fort mal. Je vous ai
e n’est pas là le moyen de passer le Cap dans ce mois-ci. Le vent est
venu
ce soir, pas mauvais mais bien faible. Du vend
lundi 26e. [mars] Il a tout à fait calmé cette nuit et le vent est
venu
contraire. Du mardi 27. [mars] Encore vent
oujours été calme, ou il a si peu fait de vent que rien. Enfin il est
venu
bon ce matin et a rafraîchi cette après-midi et n
ous pour dire quels ils sont. Du samedi 31e. [mars] Le vent est
venu
bon cette nuit, on a fait bonne route. De dessein
Le vent a été bon jusques à neuf heures du matin, après cela, il est
venu
tout à fait contraire, et il a calmé ce soir.
nous sommes encore fort loin. Du samedi 7e. [avril] Le vent est
venu
bon cette nuit. On voyait encore la terre ce mati
. Que pensent-ils ? Je crois qu’ils enragent de n’être pas en état de
venir
au-devant de nous ou de nous couper le chemin, su
arrière. Nous l’avons perdu de vue sur le midi, mais le vent, qui est
venu
contraire sur les deux heures nous empêche de qui
Nous avons enfin perdu de vue les terres d’Afrique ; le vent qui est
venu
bon cette nuit nous a fort avancés et nous avance
le et sont meilleurs à mon goût. Ces animaux sont si familiers qu’ils
viennent
à bord, se perchent sur les vergues et les matelo
u’il y en a un d’abattu, les autres ne fuient point, au contraire ils
viennent
autour en si grande quantité qu’ils dérobent la l
r rafraîchissement que l’on trouve à cette île. C’est la tortue qui y
vient
, dit-on, en très grande quantité. Nous n’en avons
auté et son lustre, n’étant que les femelles qu’on prend lorsqu’elles
viennent
à terre confier leurs œufs à la chaleur du soleil
devant le Fort-Royal par un beau clair de lune. Monsieur de Porrières
vient
d’aller au fort. Du mardi 5e. [juin] Nous n
s. Ils s’étaient tous rejoints vers le cap de Bonne-Espérance et sont
venus
jusques ici de compagnie. Il faut être ce que nou
rbouville capitaine de vaisseau du Roi qui commande le Mignon, voyant
venir
dans la rade où il était mouillé cinq navires qu’
et qui leur font voir un pavillon blanc, et cela dans l’espérance de
venir
retrouver leurs anciens maîtres comme on le leur
s de Saint-Christophle. Chacun voulait être du détachement qui devait
venir
avec nous ; ils espéraient se venger des Anglais
s sitôt qu’on a su le contraire chacun s’est plaint que nous n’étions
venus
que pour les affamer sans leur rendre aucun servi
s beaucoup de leurs vivres) ; que les Anglais sachant que nous étions
venus
ici sans aller à eux se mettront dans la tête qu’
ndé par le capitaine Lajona. Les autres quinze sont des marchands qui
viennent
jusques au Tropique sous notre escorte, et des pr
nces les Anglais n’auront pas si bon marché de La Martinique si ils y
viennent
, qu’ils ont eu de Saint-Christophle. Du mercre
s de même. Du samedi 28 [juillet] Le vent a un peu changé et ne
vient
que par bouillarts. Cela a donné lieu à des gageu
nche 5e. [août] Le vent a changé cette nuit bout pour bout, il est
venu
au Nord-Ouest fort bon et nous allons à merveille
serons en France. Du jeudi 9e. [août] Toujours bon vent. Il est
venu
ce matin un corsaire nous tâter, nous avons donné
venu ce matin un corsaire nous tâter, nous avons donné dessus. Il est
venu
proche de nous, mais il n’y avait rien à gagner n
; et y ayant fort longtemps qu’il est établi en province, et qu’il ne
vient
à Paris que rarement, nous vivons dans une assez
mes pieds. Je le ramassai et levai la tête en haut pour voir d’où il
venait
. Je vis une jeune femme à la première chambre qui
nti depuis. Notre conversation finit par une prière qu’elle me fit de
venir
le lendemain manger des petits pâtés avec elle. J
colier, qui était toujours levé de bon matin. Il n’importe, dit-elle,
venez
à telle heure qu’il vous plaira, je vous tiendrai
e heure qu’il vous plaira, je vous tiendrai parole. Je lui promis d’y
venir
, et n’y manquai pas. Il est à propos de vous dire
meuse, qui demanda qui était là ? C’est moi, Madame, répondis-je, qui
viens
chercher les petits pâtés que vous m’avez promis.
ercher les petits pâtés que vous m’avez promis. Ah, ah, reprit-elle ;
venez
, venez, mon bel enfant : elle fit ouvrir ses fenê
les petits pâtés que vous m’avez promis. Ah, ah, reprit-elle ; venez,
venez
, mon bel enfant : elle fit ouvrir ses fenêtres pa
rait que ce serait à cause que je perdrais trop de temps à aller et à
venir
, qu’on me remettrait en pension, et que je ne la
toujours grand soin de cacher sa croix de l’Ordre, surtout lorsqu’il
venait
la voir. Enfin notre commerce fut rompu parce qu’
allez lui dire que vous m’y avez vu entrer ; je suis sûr qu’elle m’y
viendra
trouver crainte que je ne fasse quelque sottise ;
tre en embuscade dans le cabaret. Je n’y fus pas longtemps que je vis
venir
ma bonne maman avec un visage rouge comme feu, qu
à qui cette boutique appartenait, avait fait aussi la débauche, il ne
vint
qu’à plus de neuf heures. Je m’étais réveillé au
et malgré le froid j’y aurais attendu la nuit, si le savatier ne fût
venu
détourner sa boutique. Il crut que le diable en a
de pis. J’allai trouver Sophie, je lui dis d’un air hypocrite, que je
venais
lui faire réparation et me soumettre à tout ce qu
rendre spectateur d’une cérémonie qui me mettrait au désespoir. Je ne
viens
ici, poursuivis-je, que poussé d’un vrai regret d
oisins. La première fois que je lui parlai ce fut à une noce, où elle
vint
déguisée en paysanne. Elle avait un petit panier
ui dis-je, que je voudrais casser vos œufs, ce serait pour vous faire
venir
du lait. J’ai une vache qui m’en fournit plus qu’
e, continuai-je, et je voudrais bien être votre rat de campagne. J’en
viens
chercher un en ville, dit-elle : ils me semblent
ttendre, et je veux m’en retourner. Comme nous allions poursuivre, on
vint
la prendre pour danser ; cela nous interrompit. E
je ne la vis plus. J’allai chez elle le lendemain ; je lui dis que je
venais
conclure le marché. Elle se mit à rire, et me dit
ue j’eus avec elle pendant fort longtemps. Enfin je me déclarai. Cela
vint
au sujet de la sœur aînée qui se mariait. Vous sa
en de son rôle. Il lui parla devant ses deux filles. Il lui dit qu’il
venait
lui proposer un parti qu’elle ne refuserait pas p
sence. Célénie la rappela inutilement. Comment donc, lui dis-je, d’où
vient
cette aigreur entre vous et votre sœur ? Elle ne
es eurent ordre de n’en point parler. J’en fis avertir Célénie ; elle
vint
me voir, je lui dis ce qui en était, et pris même
rs frères. Pour revenir à Célénie, qui, comme je vous ai dit, m’était
venue
voir, et qui m’avait remercié d’avoir si bien pri
de ses duretés pour moi, et qui les redoublerait sans doute, si elle
venait
à connaître que mon mariage fût forcé. Que j’avai
sé entre nous : mais comme vous avez apparemment tout oublié, je suis
venu
exprès en poste pour vous en faire souvenir. Parl
lles que je vous ai emportées ? Ne vous reposez plus sur mes paroles,
venons
aux effets. Est-ce à moi, ajoutai-je, à vous pres
Il me dit à son retour, qu’il l’avait fait demander, et qu’elle était
venue
; mais que l’ayant reconnu, elle avait fait beauc
avoir eu tout le temps de lire ce que je lui avais écrit, elle était
venue
le retrouver ; et que pour toute réponse, elle lu
t croire que la belle s’était couchée en attendant son époux, qui est
venu
peu de temps après, et qui s’est approché d’elle.
s, à cause des boues dont cette maudite ruelle est pleine, et je suis
venu
tout aussitôt vous en faire le récit, bien fâché
e vous supplie de le porter ; et si on vous demande de quelle part il
vient
, dites que Monsieur Alaix le saura bien en lisant
ille les dernières faveurs, comme on peut demander autre chose : cela
vient
, comme dit le proverbe, de fil en aiguille. Madem
e je donnai au diable dans le moment, et qui pourtant me fit plaisir,
vint
nous rompre en visière en entrant dans la chambre
eu ? Vous auriez trouvé votre fait, me répondit-elle, si vous fussiez
venu
un moment plus tôt : il ne fait que d’en sortir u
demoiselle a raison, dis-je à la Delorme, je l’aime de cette humeur.
Vient
-elle souvent ici, poursuivis-je ? Oui, me répondi
-elle souvent ici, poursuivis-je ? Oui, me répondit-elle, elle doit y
venir
demain sur les onze heures ; et elle y est restée
rd’hui plus d’une grosse heure à attendre un monsieur qui n’est point
venu
comme il m’avait promis. Elle ne se donne pas à t
elle est, répondit cette femme ; je ne sais point sa demeure. Elle ne
vient
ici qu’à cause de l’absence d’une de mes amies, e
s sortes de précautions pour s’empêcher de l’être. Es-tu sûre qu’elle
viendra
demain, demandai-je à cette femme ? Assurément j’
ez trop garde à qui vous vous jouez : et je voudrais que vous fussiez
venu
assez tôt pour la trouver. Tiens, lui dis-je, en
e ce soit : fais en sorte qu’il n’y ait personne chez toi lorsque j’y
viendrai
; et surtout ne me joue pas d’un tour ; car si ce
ulement que je suis un de tes amis. Ne vous mettez en peine de rien ;
venez
seulement, me dit-elle, je vous jure que vous aur
à lui parler, et que j’allais l’attendre chez moi où je le priais de
venir
. Il me le promit et n’y manqua pas. Qu’y a-t-il p
ice, me dit-il en entrant : ce n’est pas pour moi que je vous ai fait
venir
, lui dis-je, c’est pour vous-même. Vous êtes celu
en estime davantage ; tout au moins ne refusez pas de m’accompagner.
Venez
avec moi, vous ne ferez que ce que vous voudrez f
votre digne maîtresse dans le temple de Vénus. Si vous n’y voulez pas
venir
, gardez-moi le secret ; et je vous réponds qu’ava
ête que celui-ci, Mademoiselle, lui dis-je ; mais nous n’y sommes pas
venus
ni vous ni moi pour pleurer ; c’est l’envie de no
t bien qu’elle ne pouvait pas sortir. Sitôt qu’elle avait vu Grandpré
venir
à elle l’épée à la main, elle avait poussé un gra
Grandpré s’il voulait laisser partir la belle Récard comme elle était
venue
? Que tout au moins la civilité voulait qu’il se
je n’ai pas les mêmes raisons que Monsieur de Grandpré, et je ne suis
venu
ici que dans le dessein de voir une belle fille ;
e qui pleurait à chaudes larmes ; c’était la femme du banquier que je
venais
chercher, et l’autre qui la consolait était sa sœ
e vous n’étiez ! Que feriez-vous si votre mari gâté par des vilaines,
venait
vous gâter aussi, vous obligeait d’avoir recours
à qui s’en tenir ; et qu’une femme surtout, pût se donner au premier
venu
suivant son choix. Un homme ne fait autre chose a
je m’y serais pris de cette manière, si ce garçon zélé ne me fût pas
venu
dire tout d’un coup, qu’il avait trouvé le secret
e, par un moyen honnête. Comment t’y es-tu pris, lui demandai-je ? Je
viens
, me dit-il, de voir sortir de chez elle une porte
uatre jours après, le mari de cette femme, qui était un portefaix, me
vint
prier de tenir son enfant. Je ne le connaissais p
oyé, Madame, ajouta-t-il, pour voir si la commère vaut la peine qu’il
vienne
: car sans cela il n’y viendra pas lui-même. Ah,
voir si la commère vaut la peine qu’il vienne : car sans cela il n’y
viendra
pas lui-même. Ah, ah, dit-elle en riant, il s’en
aquais, il sait bien que j’ai les yeux bons. Eh bien, dit-elle, si je
viens
, y viendra-t-il ? Oui, Madame, répondit Poitiers,
l sait bien que j’ai les yeux bons. Eh bien, dit-elle, si je viens, y
viendra-t
-il ? Oui, Madame, répondit Poitiers, il viendra v
lle, si je viens, y viendra-t-il ? Oui, Madame, répondit Poitiers, il
viendra
vous quérir lui-même. Je lui serai fort obligée,
e extraordinaire. J’ai envie aussi de le voir, poursuivit-elle, qu’il
vienne
quand il voudra, je serai toujours prête. C’est p
elle, ce sera cet après-midi à trois heures. Je l’attendrai s’il veut
venir
me prendre. Poitiers vint me rapporter cette répo
i à trois heures. Je l’attendrai s’il veut venir me prendre. Poitiers
vint
me rapporter cette réponse avec leur conversation
sieur, me dit-elle. Il vous a fait de moi un portrait qui vous a fait
venir
, et vous ne trouvez pas que l’original en vaille
de si beau que vous, je vous avoue que je voudrais bien n’être point
venu
. Je ne me sauverai pas d’auprès de vous, sans y l
uriez tort de la regretter ; et vous ne devez point être fâché d’être
venu
. Je ne serai point fâché, lui dis-je, que ma libe
pas fâchée que vous ayez bonne opinion de moi : mais vous n’êtes pas
venu
ici pour cela, c’est pour aller tenir un enfant e
et en effet, j’y remarquais tous les jours quelque nouveau charme. Il
venait
chez elle assez de monde, dont quelques-uns s’emb
sser aller à un homme comme je l’aurais assurément ; et que cet homme
vînt
à me trahir, et à me découvrir, et à me mépriser
se d’un nom si auguste et le profaner, lorsqu’on n’est pas résolu d’y
venir
? Ne pouvait-il pas lui dire en particulier ; je
it jours après, cette affaire n’a point fait assez de bruit pour être
venue
jusqu’à vous ; et vous ne sauriez connaître par l
à sa chambre, n’a jamais su cet accouchement, ni les deux autres qui
vinrent
après. Ce fut un garçon qu’elle mit au monde à sa
dant la collation, et chacun dit ce qu’il pensait des aventures qu’on
venait
d’entendre, le lecteur peut s’imaginer ce qui fut
à treize ans, et qui est à présent le chef de la famille, le même qui
viendra
souper ici avec Madame de Londé. Il y avait à tab
arent, cousin de ma mère que vous connaissez. Mais puisque l’occasion
vient
d’en parler, je crois vous devoir avertir, Madame
qui fit des regrets sur sa perte aussi touchants, que si elle ne fût
venue
que d’arriver. Sa douleur pensa lui coûter la vie
urément. J’avoue encore qu’il m’épouvante, et la lettre de Silvie qui
vient
à la charge, et qui semble me prophétiser quelque
e sur une campagne à perte de vue. À peine y fus-je assis, que je vis
venir
du côté où j’étais, une grande femme parfaitement
en moi-même, il y a ici quelque amourette. Un moment après une femme
vint
lui parler : je n’entendis point ce qu’elle lui d
e qui attendait son héros sur le pré ; je me trompais, elle n’y était
venue
que pour déconcerter un rendez-vous. Comme je n’a
. Et... Je voulus poursuivre, lorsque cette même femme qui était déjà
venue
lui parler revint encore. Il n’y a point d’appare
. Elle prit ma comédie pour une très grande sincérité. Les larmes lui
vinrent
aux yeux à son tour ; en un mot, je la touchai vi
it la première à rire des égarements de son époux, et qu’elle n’était
venue
dans ce jardin, que pour le surprendre dans un re
ta qu’elle avait eu toutes les peines du monde à la faire résoudre de
venir
; mais enfin elle vient, me dit-elle, poussez vot
es les peines du monde à la faire résoudre de venir ; mais enfin elle
vient
, me dit-elle, poussez votre fortune. Madame de Lo
enfin elle vient, me dit-elle, poussez votre fortune. Madame de Londé
vint
en effet, Mousson voulut sortir, elle la rappela.
ues de Paris, où il coucherait à son ordinaire ; et que si je voulais
venir
le lendemain de bon matin, elle me ferait voir sa
t levée et habillée. Cette femme qui aime véritablement sa maîtresse,
vint
me trouver au logis où je m’étais retiré : elle m
core. Comme nous étions ensemble à parler de choses indifférentes, on
vint
l’avertir qu’on le demandait à la porte. Nous y a
le demandait à la porte. Nous y allâmes ensemble. C’était Mousson. Je
viens
mon révérend Père, lui dit-elle, vous supplier de
gations qu’elle vous aura de son raccommodement ; et si vous voulez y
venir
présentement, ajoutai-je, je vous y accompagnerai
y voir, parce que j’étais fort sûr que cela empêcherait sa femme d’en
venir
à quelque éclaircissement qui ne m’aurait pas plu
régal pour la première fois que Monsieur nous fait l’honneur de nous
venir
voir, que des querelles domestiques, reprit Londé
ui aller demander ma tabatière, et j’entrai sans la faire avertir. Je
viens
vous avertir, Madame, lui dis-je, de vouloir bien
é une petite tabatière que je crois avoir laissé tomber ici ? Elle me
vient
d’une main qui m’est extrêmement chère. Elle envo
ma tabatière, empêcha mon dessein. Je repris ce que j’avais feint de
venir
chercher, et je sortis aussitôt. Apparemment que
l’embrasser, le privilège de mari la gêne et la contraint, il en faut
venir
aux épées et aux couteaux ; et ce n’est pas mon h
e dépend que de moi de l’y mettre ; mais je voudrais que ses caresses
vinssent
d’elle-même et de son cœur, et non pas des remont
ecevoir son mari. Je me mis auprès d’elle ; mais lorsque je voulus en
venir
au fait, elle me dit, qu’elle savait bien que j’é
toute jeune. Les gens de ville et du grand air sont souvent plus mal
venus
auprès de ces sortes de filles que des paltoquets
erté et plus à notre aise. Nous nous avisâmes que son père et sa mère
venaient
à Paris tous les mercredis et samedis matin à la
y allaient dès les mardis et vendredis au soir. Nous convînmes que je
viendrais
coucher à ma maison toutes les nuits des mardis a
ts des mardis aux mercredis, et des vendredis aux samedis, et qu’elle
viendrait
me trouver sitôt que son père et sa mère seraient
, et jeta son plan là-dessus pour la surprendre, comme elle fit. Elle
vint
une heure avant que cette fille dût sortir de ma
lui dire ni faire autre chose. Elle entra aussitôt dans ma chambre et
vint
me trouver à mon lit ; je n’avais garde de songer
rti qu’elle devait prendre ; mais qu’enfin elle s’était résolue de me
venir
voir. Qu’elle y était venue en effet, et que je l
mais qu’enfin elle s’était résolue de me venir voir. Qu’elle y était
venue
en effet, et que je lui avais dit mille extravaga
priée de ne me point laisser voir à son époux, qu’elle savait devoir
venir
. Qu’en effet, il y était venu deux fois ; mais qu
oir à son époux, qu’elle savait devoir venir. Qu’en effet, il y était
venu
deux fois ; mais que vous lui aviez toujours dit
résolus, et ce que je ne puis comprendre moi-même, c’est qu’il ne me
vint
jamais dans l’esprit de tourner la pointe de mon
retenant, je n’ai plus rien à ménager dans les termes où je suis. Je
viens
chercher la mort en votre présence, puisque je ne
ne peut être assouvie et satisfaite qu’à mon dernier soupir ; je suis
venu
pour le lâcher devant vous. Au lieu de me rendre
ût voulu que Mousson eût oublié sa serviette dans sa chambre, où elle
venait
la quérir. Elle entendit la voix de sa maîtresse
où elle venait la quérir. Elle entendit la voix de sa maîtresse et y
vint
. Je vous laisse à juger de sa surprise, en la tro
onnaissait presque pas. Je n’étais pas encore guéri, et le chirurgien
venait
me voir tous les jours. Cela donna lieu au soupço
s, il y avait entre autres un élu de l’élection de la même ville, qui
venait
pour des billets d’entrée franche qu’il avait. Co
l’ordre ; que mon registre même n’était point en état, et que si j’en
venais
avec lui à quelque extrémité, cela me ferait des
et moi en état de rendre compte, et je voulais sortir de l’emploi. Il
vint
environ quinze jours après avec un assez gros paq
heure pour lui donner satisfaction ; mais le tour que je lui jouai me
vint
tout d’un coup dans la tête. Je lui fis plus de c
u, Monsieur l’élu à deux heures, lui dis-je en riant. Ces deux hommes
vinrent
; je leur contai ce qui m’était arrivé avec l’élu
et je descendis à deux heures juste. L’élu était trop en colère pour
venir
lui-même, il envoya un laquais chercher ses papie
n ne l’appelle presque plus que Monsieur l’élu à deux heures. Ce tour
vint
jusqu’aux oreilles de Monsieur l’intendant qui n’
piliers. Une sœur grise, de celles qui ont soin des enfants trouvés,
vint
m’y prier d’en tenir un dans le moment qu’on alla
n laquais que j’avais avec moi me chercher un carrosse, avec ordre de
venir
me joindre aux Enfants-Trouvés. Je donnai la main
our le nom, et enfin comme c’était une fille, elle nomma. Les enfants
vinrent
quêter ; et comme ces petits innocents sont en ef
ns saluer sa santé, je m’étais servi du premier expédient qui m’était
venu
dans l’esprit. Elle reçut fort bien mon complimen
moment. J’y retournai le soir et lui dis qu’étant de ses voisins, je
venais
passer la soirée avec elle et sa compagnie. Il ne
me au plus vite à Paris, chercher un carrosse ; parce que nous étions
venus
à pied, n’y ayant pas plus d’un quart de lieue :
er dans le voisinage ; on savait toujours où elle était. Ses voisines
venaient
le plus souvent travailler chez elle, et c’était
nétrer le secret de sa naissance, mais le temps n’en était pas encore
venu
. Cependant mes oncles m’offrirent un autre emploi
us rendre en main propre ce paquet-ci. Ne vous informez point d’où il
vient
: mais informez-vous des vérités qu’il contient :
nte que je ne visse celui qui me la donnerait, qui était le même dont
venait
l’avis, et qui n’avait voulu se confier du secret
son adresse ; j’y allai, je le trouvai, et l’abordai sous prétexte de
venir
voir, si, comme je supposais qu’on me l’avait dit
retenir à dîner pour le vin du marché, il y consentit : mais midi qui
vint
à sonner, l’obligea de nous quitter, et de me dir
re en province, ses biens, sa fortune, ses emplois, et ce qu’il était
venu
faire à Paris ; et j’accompagnai mes questions d’
montrerai, j’y répondrai, et reviendrai à Paris. Silvie et son amant
viendront
au carrosse au-devant de moi. Je saluerai l’un co
llâmes si bien que nous fûmes obligés de payer ce qu’ils avaient fait
venir
. En un mot je gagnai trois fois la valeur de mes
e qu’il est, me dit ma perfide sitôt qu’elle me vit ? Est-il temps de
venir
voir les gens à près de minuit ? Qu’avez-vous fai
t aujourd’hui que nous ne vous avons point vu ? Qui vous a empêché de
venir
? J’étais en peine de vous. Ce n’est qu’une bagat
, au contraire la certitude que j’avais de ma propre faiblesse que je
venais
d’éprouver devant cette fille ; le retour de mon
avec joie, ou du moins avec indifférence. Mais mon heure n’était pas
venue
; ma destinée n’était pas remplie ; ni moi arrivé
te à quoi je m’obstinai ; en huit jours la fièvre me quitta. On était
venu
souvent s’informer de ma santé d’une part inconnu
avait résolu de faire. On me montra à Madame Morin. Madame de Cranves
vint
voir les filles à qui on commençait à montrer à t
pas disconvenir, et se contente de n’en rien dire. Il faut à présent
venir
à l’essentiel qui regarde ma conduite. Le fripon
é par l’envie que tous les domestiques me portaient, à cause qu’étant
venue
dans l’hôtel par une voie si oblique, j’étais tra
ame sur son chapitre. Cela le rendit assez hardi pour entreprendre de
venir
me trouver la nuit même dans mon lit. Je ne sais
es violences dont je portai des marques assez longtemps. Le monde qui
vint
à mes cris me retira des bras de ce satyre. J’all
était resté à dîner, et nous n’étions que nous trois à table. Valeran
vint
desservir suivant sa coutume, et pour lors, faite
était supposée, ou que je l’aurais été moi-même : il aurait fallu en
venir
à des recherches et à des vérifications qui aurai
de Cranves et de Buringe, dont elle était douairière et usufruitière,
vinrent
la voir. Elle envoya prier Monsieur de Villeblain
uitière, vinrent la voir. Elle envoya prier Monsieur de Villeblain de
venir
chez elle. Sitôt qu’il fut arrivé, elle me fit ap
l’hôtel pour avoir l’œil à ses intérêts, en cas que Madame de Cranves
vînt
à mourir, et qu’elle aurait pu se chagriner, si d
e mon crédit avait cessé. À peine cette dame eut les yeux clos, qu’il
vint
brutalement dans ma chambre où je m’étais retirée
is d’un sang plus illustre, sans pouvoir le prouver, à moins que d’en
venir
à un éclat que vous n’approuveriez pas. Je ne me
, et une partie de ses meubles en ballots : elle me demanda ce que je
venais
faire chez elle ; je lui répondis que je venais l
me demanda ce que je venais faire chez elle ; je lui répondis que je
venais
lui ramener sa conquête : que je n’étais né que p
s l’entendrez parler lui-même. Après le tour qu’il vous a joué, il ne
viendra
pas, lui dis-je. Je le craindrais comme vous, dit
de vertu, et qu’il est insensible à la honte, je suis certaine qu’il
viendra
, et qu’il croira encore que je lui serai fort obl
it collation, pendant laquelle la compagnie s’entretint de ce qu’elle
venait
d’entendre ; et tout le monde tomba d’accord avec
, de Monsieur Garreau, et de Madame Morin dans tous les termes qui me
vinrent
à la bouche. Je savais bien que vous aviez trop d
n fils. Je comptais qu’il ne vous verrait jamais ; que mes lettres ne
viendraient
jamais jusqu’à vous ; et que tout au plus il ne f
tre la discorde dans une famille considérable ? De quelle autorité en
venez
-vous jusqu’à conseiller qu’on me fasse mon procès
me sera pas difficile ; et dès demain, sans attendre plus tard, j’en
viendrai
assurément à bout, j’en suis sûr. Je ne m’étonne
n souhaiter l’éclat. Cela fera dans tout Paris un bruit terrible, qui
viendra
jusqu’aux oreilles de Madame Des Frans. On gloser
ais âme qui vive à Paris ; je vous prends pour mon confident, et vous
viens
demander du secours. Après cela il m’ouvrit son c
le, tant il eut de discrétion sur son sujet en ma présence. Querville
vint
enfin, ils se parlèrent et convinrent ensemble de
derrière un lit (car c’était dans une hôtellerie que cela se passait)
vint
m’assurer d’une fidélité perpétuelle. Elle voulut
s en rapporter aucune. Je lui fis savoir le jour de mon arrivée, elle
vint
au-devant de moi plus de huit lieues. On ne peut
toutes sortes d’apparences, elle s’y opposerait si bien, que nous ne
viendrions
jamais à bout de son vivant d’être l’un à l’autre
e vous n’en devez prétendre ; mais parce qu’elle croirait que ce bien
viendrait
, comme Valeran lui a mandé, par un moyen infâme ;
ages. J’eus cent fois envie malgré l’amour que j’avais, de n’en point
venir
au sacrement ; quoique je l’aimasse jusqu’à la fu
que le seul sujet qu’elle en avait, était l’appréhension qu’on ne lui
vînt
couper la gorge : en effet, elle remettait tout e
chevaux jusqu’à Lyon, et de Lyon à Paris je pris la diligence. Silvie
vint
au-devant de moi à huit lieues ; et après avoir c
blain qui était, comme je vous ai dit, très proche parent de ma mère,
vint
la voir et dîner au logis. Je lui fis toutes les
interrompant, que vous soyez terriblement ulcéré contre elle, pour en
venir
à une protestation si vive et si brusque. Je ne m
s pour moi m’obligent à me justifier devant vous. Si vous voulez bien
venir
jusque chez moi, je vous attends avec toute sorte
le temps de rapporter à Silvie le concis de la conversation que nous
venions
d’avoir ensemble, que le laquais vint nous dire q
de la conversation que nous venions d’avoir ensemble, que le laquais
vint
nous dire qu’il montait. Elle alla au-devant de l
faire l’honneur de souper avec nous, vous nous ferez un vrai plaisir.
Viens
, poursuivit-elle en m’appelant. Eh bien Monsieur,
ir dont je m’y suis pris pour vous obliger de vous donner la peine de
venir
ici. Je n’ai pas jugé à propos de vous attendre a
s que j’ai cru devoir prévenir, en vous faisant prier par ma femme de
venir
ici ; ce que j’ai fait d’autant plus hardiment qu
méchante cause ; elle se contenta de dire qu’elle n’en serait jamais
venue
là, si elle avait pu prouver qu’elle était fille
es séparassent, qu’il gardât seulement un appartement garni, et qu’il
vînt
manger avec elle : qu’elle n’en ferait point un o
traitai d’une fort belle, et offris d’en payer le prix comptant. Cela
vint
jusqu’à ma mère, qui me demanda où je pouvais tro
i ayant dit que je n’y étais pas, lui demanda ce qu’il me voulait. Je
venais
, lui répondit-il d’un air désintéressé, et en tir
il lui conta la manière extraordinaire dont notre connaissance était
venue
. Il lui fit voir là-dedans du destin. Cette promp
ut désapprouver sa résolution ni ses raisons. Il se donna la peine de
venir
chez Silvie où je l’attendais. Il était inutile d
de frapper. Je n’avais qu’à en prendre une clef, comme je fis. Silvie
vint
y loger, et j’achetai cette maison peu de temps a
ode ni si belle, étant bâtie à l’antique. La beauté de cette nouvelle
venue
fit du bruit dans le quartier. Ce fut vous, pours
ntrer au logis sans faire deviner le véritable. Je l’aurais bien fait
venir
par le jardin ; mais ma mère ne le voulut jamais.
lle l’était, puisqu’il était mon oncle à la mode de Bretagne. Ma mère
vint
la voir à son tour ; et j’appris avec bien de la
ion de cette affaire sur les lieux, prévoyant bien que par appel elle
viendrait
au Parlement de Paris, j’en pris le chemin, et la
mbrassements, et de l’enlever à son amant, sans qu’il pût savoir d’où
viendrait
le coup. Dans ce dessein je lui écrivis que je se
indifférence ; je n’y fis point de réponse. Elle s’en impatienta, et
vint
elle-même au logis, et monta dans ma chambre. Je
Silvie une lettre que j’avais résolu de lui écrire, pour l’obliger à
venir
dans un endroit que je lui marquerais dans sept o
lle pouvait me le prouver en venant se rejoindre à moi. Que plus elle
viendrait
promptement, plus je serais convaincu de sa tendr
convaincu de sa tendresse et de son amour. Je lui mandais que si elle
venait
, comme je n’en doutais pas, elle pouvait vendre s
rit. Je lui dis que j’avais débauché une fort belle fille à Paris qui
venait
me trouver, sans que ses parents en sussent rien.
n. Qu’elle montât sur le cheval que le porteur lui menait, et qu’elle
vînt
me trouver sous sa conduite. Tout cela fut fait.
conseil de ma mère était bon, mais l’heure de m’en servir n’était pas
venue
: en effet je la tins trois mois au pain et à l’e
r dans moi. Qu’elle était belle ! Que j’en fus touché ! Les larmes me
vinrent
aux yeux, elle me connaissait trop, pour ne s’ape
ait y avoir une grille entre elle et moi, je ne la refusai pas : elle
vint
seule. Elle était si faible qu’à peine pouvait-el
èrent, j’envoyai chercher le bon père carme dont je vous ai parlé. Il
vint
, et mes accès de fureur et de fièvre chaude ne me
unis, et dans des tendresses réciproques. Il me semblait que Gallouin
venait
me l’arracher, et que ne pouvant me l’ôter, il la
ous reste au soin de la réception de la belle compagnie qui nous doit
venir
demain. Vous jugez bien, poursuivit-il, que je ve
u’il avait à leur donner pour le lendemain. Dès le grand matin Dupuis
vint
le voir, et pendant que Des Ronais était occupé a
elle dînait chez Des Ronais, ils n’avaient fait aucune difficulté d’y
venir
. Ils furent fort bien reçus, et la compagnie étan
lui dirent fort galamment qu’elles avaient cru être de ses amies, et
venir
dîner chez lui sans façon : mais qu’elles voyaien
s du matin, pour dire qu’après avoir bien chanté Noël, Noël est enfin
venu
; c’est-à-dire que nous sommes à l’ancre devant P
ent, & les matelots paient l’un & l’autre. Le premier qui est
venu
à bord avait amarré son rat à un anneau, & ét
absolument se perdre que d’en approcher davantage. Les Noirs du pays
viennent
prendre ceux qui y vont, les marchandises, &
je ne puis comprendre à quel dessein les premiers Français, qui sont
venus
ici, se sont fixés dans un endroit de si difficil
un était notre conducteur. Ces misérables s’imaginent que les morts y
viennent
manger & boire pendant quarante jours ; &
armi leurs ancêtres qu’une simple action blâmable, mais tolérable. Je
viens
présentement à ce comble d’impureté & d’idolâ
z nous ? Je suis certain que le lecteur ne prévoit point où j’en veux
venir
. Le voici : & si on en doute, on peut s’en éc
e Jésus-Christ ; & c’est sans doute saint Thomas l’apôtre qui est
venu
, & qui est mort dans les Indes. Ils tiennent
& pendant quelque temps s’est assez bien battu : le Gaillard est
venu
ensuite, & l’Oiseau a tenu la queue. Nous som
fait dans le même moment la même chose : le Lion & le Dragon sont
venus
ensuite, & l’Oiseau a quitté la partie le der
eur canon, ils ont tous mis à la voile. Je croyais qu’à leur tour ils
venaient
nous trouver : je me trompais ; ils se sont seule
piniâtrement battu. Nous étions trop éloignés l’un de l’autre pour en
venir
à la mousqueterie : ainsi, j étais simple spectat
s qu’il eût bu pour reprendre le verre qu’il portait à sa bouche, est
venu
tout d’un coup un boulet qui n’a fait qu’un artic
aucun moyen de comparer dans les Indes le temps que nous avons mis à
venir
du tropique du Capricorne à la Ligne, & à all
tre ; ce qui est apparemment un signal dont il est convenu pour faire
venir
des Français à bord. Nous sommes déjà mangés de m
, & y causent une démangeaison à s’écorcher soi-même. D’où diable
viennent
-ils de si loin, pour nous dévorer, ou du moins no
lus que ces insectes. Du vendredi 8 septembre 1690 M. du Quesne
vient
d’envoyer sa chaloupe à terre : celles des autres
erre : celles des autres navires l’ont suivie, excepté la nôtre. D’où
vient
? Craint-il que je ne lui rende ce qu’il nous a p
e barque & un bot, restés à deux grandes lieues d’ici, n’ayant pu
venir
, à cause du vent & des courants contraires.
n’en sais rien. Le sieur Pelé retourne à Balassor ; & nous, nous
venons
d’appareiller pour aller attendre au passage quat
Le commandeur a été seul dîner au Lion. L’aumônier de ce vaisseau est
venu
dîner ici : il a amené avec lui un missionnaire,
l a amené avec lui un missionnaire, nommé M. de Quermener, & sont
venus
ensemble voir M. Charmot. Ils se sont parlé dans
c, chez qui nous avons dîné aujourd’hui, & M. de Chamoreau devant
venir
demain dîner ici, il l’a remercié, & lui a fa
u jeudi 28 septembre 1690 Calme tout plat. Tous ces messieurs sont
venus
dîner ici, où tout a bien été. Ils doivent aller
peut servir à rien ; &, outre cela, notre premier pilote, qui est
venu
trois fois ici, dit que les courants y sont très
deux navires mais il nous est impossible d’aller à eux & à eux de
venir
à nous. Il paraît par mes longues-vues qu’ils nou
ert, & mauvais vent. Il a plu beaucoup ce soir, & le vent est
venu
bon ; mais, comme nos pilotes croient être proche
oiseaux qui avaient quitté la terre n’ont pu la retrouver & sont
venus
se percher sur nos mâts, nos vergues & nos ma
bonnes ; j’en viens de manger ma petite part. Bien des gens qui sont
venus
ici disent que cela est extraordinaire pour la bé
ler ; que, pour lui, il allait encore croiser deux jours, & qu’il
viendrait
nous rejoindre s’il ne trouvait point M. du Quesn
isant aucun signe de rester, l’Écueil a été obligé de le suivre. D’où
viennent
tant de changements de volontés coup sur coup ? A
l a fait calme tout le jour, ainsi une chaleur excessive. Le vent est
venu
ce soir, du Nord-Ouest, bon pour rattraper Négrad
point celui-là, étant persuadé que tous les animaux, tels soient-ils,
viennent
par la voie de la génération, & par l’accoupl
nt se nourrissent sur terre & dans l’eau : où cependant le caïman
vient
bien moins fréquemment que le crocodile. Ils remu
amp; l’allaient manger si je n’en avais pas averti le commandeur, qui
vint
promptement & le fit jeter. Je crois que tout
nt à la maison, & en fait partie. Ce ne sont que les femelles qui
viennent
à terre, le mâle restant toujours à l’eau. Cet an
l se retourne sur le ventre, & par conséquent qu’il marche. Il ne
vient
à terre que pour se décharger de ses œufs, qu’il
upe tout ce qu’on lui présente, même le fer. C’est lorsque cet animal
vient
à terre pour y faire sa ponte que les matelots le
’est un plaisir de les voir se paonnader au soleil sur un pré, où ils
viennent
pacager. Une queue de paon sauvage est un des plu
mp; le rendit. On lui vit encore les yeux pleins de larmes. La Fargue
vint
un moment après pour la panser : elle lui baisa l
, dans le moment que La Fargue qui la pansait toutes les douze heures
venait
pour la panser. Il pria le commandeur de souffrir
ûlent leurs morts. Ce sont des gens des navires européens, qui y sont
venus
hiverner, comme nous, qui comme nous y auront ent
égouts de lubricité, toujours prêts à recevoir l’offrande du premier
venu
. Depuis que cet ordre s’exécute, le pays se repeu
trente lieues d’ici, qui se nomme Chadube, & où le Portugais qui
vient
avec nous dit que nous trouverons bœufs, vaches,
hé : c’est son plus grand mal. Du lundi 20 novembre 1690 Il est
venu
cette nuit un petit vent de Nord-Est qui est bien
n bouillon d’eau de pluie & de riz seulement. Notre chirurgien me
vint
voir avant-hier, très disposé à me saigner. Je le
en sentinelle, nous a fait signe que les voleurs n’étaient pas encore
venus
. Nous n’avons fait aucun bruit & avons pris c
rçon, & moi. Nous ne nous sommes point ennuyés : les voleurs sont
venus
presque aussitôt que nous. Que le lecteur, avant
sont les Hollandais venant des prises, souhaitent fort que leurs gens
viennent
, & se disent l’un à l’autre : Ils sont tous m
pitaine ; quatre gardes de la marine, & leurs valets à tous. Nous
venions
tous de La Rochelle à Paris. Ces messieurs venaie
alets à tous. Nous venions tous de La Rochelle à Paris. Ces messieurs
venaient
sur leurs chevaux & ne faisaient pas des jour
es au Port-de-Pile vers onze heures avant midi. Les gens des gabelles
vinrent
à l’auberge de la Fontaine pour visiter mes harde
, on entre en Touraine, pays de gabelle. Le capitaine de ces gardes y
vint
: c’ était un nommé Malroi, que j’avais vu capita
rt longtemps. Le messager, que par soubriquet on nommait Dur-à-cuire,
vint
m’avertir qu’on allait partir ; Malroi lui dit de
n avait fait présent au Port-Royal, capitale place de l’Acadie. Il me
vint
flairer, & sans savoir ce qu’il était devenu,
il était devenu, je l’entendis japper de loin, & tout aussitôt il
vint
me tirailler par mon capot & japper en s’élan
Du vendredi 1er décembre 1690 La chaloupe du Florissant m’est
venu
quérir ce matin ; &, sans que personne s’en s
aux ont très grand besoin. Du mardi 5 décembre 1690 Il nous est
venu
aujourd’hui quelques rafraîchissements : peu de c
e dernier m’a répondu, pour tous deux, en me demandant d’où diable je
venais
, de ne pas connaître ce qu’un moine peut faire, &
engale. C’est une grande anse, ou, si on l’aime mieux, un golfe où se
viennent
perdre dans la mer plusieurs rivières, entre autr
tiron, le concombre, l’oseille, la laitue, & toutes nos légumes y
viennent
en abondance : le melon même n’y est pas mauvais,
de sa nation qui ne lui apporte, à ce qu’il dit, des reliques qui lui
viennent
en droiture de la propre main de Sa Sainteté, &am
’il était, se moque ? Il y a quelques Portugais dans ce troupeau. Ils
viennent
tous à la messe dans cette église : j’y ai assist
& la probité qu’il avait remarquée en lui, lui donnèrent envie de
venir
en France. Il prit beaucoup de pierreries, &
en France. Il prit beaucoup de pierreries, & son dessein étant de
venir
à la foire de Beaucaire, il débarqua à Marseille,
, qui se chargea de négocier avec lui, & de lui porter parole. Il
vint
le trouver l’après-midi sur les cinq heures, acco
aix à ses ennemis que d’achever de les assujettir (la paix de Nimègue
venait
d’être faite). Il continuait par lui représenter
sa mai son est à côté de celle de M. de Charost, rue Montmartre. Il y
vint
& dicta un placet très court adressé au minis
aise foi qui règne en France influe ici ; & c’est où j’en voulais
venir
, pour faire finir à une potence tous les banquero
un à l’autre, & ne manquent pas de bonne volonté ; mais, s’ils en
venaient
à quelque excès, ils ne s’en trouveraient pas bie
lais en est une preuve. Pendant que nous avons été à Balassor, il est
venu
un exprès de Pondichéry, qui parle fort du Mogol.
ouffle de vent. Janvier 1691 Du lundi 1er janvier 1691 Je
viens
d’assister à la messe, et après avoir donné à Die
Même chose : tant pis. Du samedi 6 janvier 1691 Le vent est
venu
cette nuit assez frais & bon : mais nous ne p
s & bon : mais nous ne portons pas toutes nos voiles, parce qu’il
vient
avec nous un bot, qui porte à Pondichéry des cano
Du mercredi 10 janvier 1691 Même vent & bien bon frais. Nous
venons
ce soir de mettre à la cape, afin de ne point tan
, & la tendresse d’un bon père pour ses enfants, l’ont forcé d’en
venir
à cet éclaircissement. Il espérait revenir dans s
ablettes, & dont par conséquent je n’oublierai pas un article. Je
viens
à la guerre du Mogol. Il a voulu rentrer dans s
mpagne rendent les chemins mal surs ; & leurs neyres ou cavaliers
viennent
jusqu’aux portes de Pondichéry & traitent ass
ralité de l un & de l’autre ; mais, parce que les neyres du Mogol
venaient
jusqu’aux portes du fort, & massacraient &
oules. Je reviens aux gens de guerre du Mogol. Un de ses partis était
venu
tout proche du fort de Pondichéry, & se retir
ands, sujets du Mogol, le temps de se remettre de son pillage pour en
venir
faire un autre. Par ce moyen, il consommait les d
landais. On a encore appris qu’ils vont équiper quatorze navires pour
venir
nous trouver. Si cela est, nous le saurons, &
ui ; c’est une vérité dont qui que ce soit ne doute. Cela étant, d’où
vient
qu’ils portent les uns & les autres leur zèle
les récollets & les autres dans le Canada, qui est contigu. D’où
vient
cela ? Oserais-je le dire ? Oui. C’est que leur z
ences, était aussi gueuse que pécheresse, puisqu’elle était réduite à
venir
elle-même tirer de l’eau à un puits. C’est que le
venir elle-même tirer de l’eau à un puits. C’est que le Sauveur était
venu
pour tout le monde, sans acception de qualité ; à
, sans acception de qualité ; à que les apôtres d’aujourd’hui ne sont
venus
, ou du moins semblent n’être venus, que pour les
les apôtres d’aujourd’hui ne sont venus, ou du moins semblent n’être
venus
, que pour les riches, & négligent de suivre s
est M. de Pressac, lieutenant du Lion, auquel les Portugais qui sont
venus
à Négrades l’ont certifié, l’ayant prié de le leu
her des chevaux. Elle l’employa à avertir l’abbé de ne pas manquer de
venir
sitôt qu’il serait parti. Il revint chez lui, se
lui, se coucha, & se leva à deux heures & demie. Les chevaux
vinrent
précisément à trois heures : il fit semblant de m
ait de partir de Pondichéry avec le gendre de M. Martin, qui devait y
venir
peu de temps après que notre escadre serait repar
ont-Euxin & se rendre à Constantinople ; que de Constantinople il
viendrait
à Smyrne ; qu’après avoir vu la Palestine & l
quelque prix que ce fût ; si bien, qu’à notre retour de Balassor, il
vint
me joindre & me demanda si mes deux petits oi
t dans ce marché de tout ce que le pays produit, & même de ce qui
vient
d’ailleurs ; ils vendent & achètent les uns d
des anges, qui en sonnent le Vetute ad JudiciuM. Après ces deux-ci en
vinrent
six autres, qui faisaient un charivari de diable
sque & d autres instruments. Les parents suivirent, & ensuite
vint
le corps, porté, comme j’ai dit, par huit hommes
us servis par le même noir qui a servi le bramène ; et le dernier qui
vient
jeter le riz sert à son tour le noir qui a servi
t cela se continue pendant quarante jours, afin que l’âme du défunt y
vienne
prendre sa réfection. J’ai dit que j’en avais cas
n forme des vases d honneur & d’autres d’opprobre. J’ai dit qu’il
venait
avec nous un bot, qui apportait de Balassor du ca
quand la colère l’anime. M.de Chalonge, ou Chalendra, garde-magasin,
vint
hier matin à bord pour me faire signer la facture
étais certain de ne m’être point trompé : je recevais les ballots qui
venaient
du magasin, je les voyais embarquer dans les chel
e sur la table de la dunette. Un maraud de Lascaris qu’il avait amené
venait
le prendre, & un mol de gavadcho qu’il lâcha
fussent encore à Trinquemalé et que les Hollandais ne fussent jamais
venus
à Ceylon. Que les Hollandais ôtaient à ces prince
hands croyaient que c’était eux qui l’avertissaient du temps propre à
venir
piller Surate ; que c’était par leur moyen qu’il
nt très usité. Quand j’irai te voir, que me donneras-tu ? Et quand tu
viendras
me voir, que m’apporteras-tu ? Que les princes or
enant ses ennemis ; ce qui est si vrai, que les six navires, qui sont
venus
comme de simples aventuriers, s’en sont luis comm
ous voyez bien par là, qu’il vaudrait mieux que vous ne fussiez point
venus
ici, que de n’y pas rester. Vous l’avez fort bien
considérables, il faudrait permettre à tous les corsaires français de
venir
en course dans les Indes ; auquel cas la Compagni
e ; persuadé, aussi bien que feu M. Colbert son père, que l’argent ne
vient
en France que par cette porte, & qu’il n’y a
iers amenés. J’avoue qu’il y en peut avoir quelques-uns parmi eux qui
viennent
dans l’Orient uniquement guidés par l’esprit &
avaient faites ensemble. Les jésuites dont j’entends vous parler sont
venus
ici de Porte-Nove, & en ont emporté avec eux
mandées par les jésuites déguisés, qui disposent des marchandises qui
viennent
d’Europe, & qui les retirent des mains des au
hoix des vendeurs : & ceux qui, comme le Père Tachard, vont &
viennent
d’Europe, sont comme les directeurs & les rec
pour saints & de tromper les chrétiens sans faire que ce qui leur
vient
en tête, & qui plus est, sans commettre aucun
leur Société, si on osait leur rendre justice. À l’égard de ceux qui
viennent
d’Europe ici pour aller en mission, à ce qu’ils d
âmes qu’ils se vantent d’avoir gagnées à Dieu dans les Indes. Si ceci
vient
à leur connaissance, & qu’ils le trouvent mau
a un peu plus de deux ans. Tous les officiers & soldats qui sont
venus
ici en sortant de ce royaume ont tous dit que M.
vie & une obstination nécessaires de les surmonter. Ces obstacles
viennent
toujours, à ce qu’on dit, de la part des pères jé
quoi donc les missionnaires d’un côté, & les jésuites de l’autre,
viennent
-ils par leurs disputes éternelles nous inspirer d
des jésuites des présents d’ouvrages très curieux, que ces pères font
venir
ou apportent d’Europe, ce que la pauvreté des mis
ous répéter qu’il vaudrait infiniment mieux que vous ne fussiez point
venus
ici que de n’y pas rester ; & qu’il serait tr
rès avantageux de toutes manières que les jésuites n’y fussent jamais
venus
, & n’y vinssent jamais ; puisque très assurém
toutes manières que les jésuites n’y fussent jamais venus, & n’y
vinssent
jamais ; puisque très assurément on peut les comp
vait bien. Enfin, sur le point de partir au mois de janvier 1688 pour
venir
ici, j’allai prendre congé de lui. Je vis des jés
binet : je lui demandai s’il en passait aux Indes. Il me dit qu’il en
venait
six ; & m’ordonna de lui faire un journal ave
ir le 5 mai, qui sont les quatre-vingt-onze jours que le soleil met à
venir
du onzième degré quarante-cinq minutes Sud, jusqu
16 février 1691 Le temps a été beau, il l’est encore. Le vent est
venu
bon, & nous allons fort bien. J’ai remarqué u
figurer le reste. Il a plu tout le matin : l’après-midi, le vent est
venu
bien fort, mais il est bon. Du dimanche 18 fév
aient, c’étaient tous les esprits aériens & infernaux qui étaient
venus
tenir leur assemblée générale, ou leur sabbat uni
pas pu m’empêcher de rire d’une simplicité de notre aumônier. qui est
venu
bonnement dire à M. de Porrières, comme nous étio
achever, notre soute a fait de l’eau sur nouveaux frais. D’où diable
vient
-elle ? Car il n’a point fait de pluie. Les charpe
s ; mais la brume le cachait. Du mardi 13 mars 1691 Le vent est
venu
bon sur le midi, mais bien faible : c’est du Sud-
& nous donne de la pluie de temps en temps. Cependant le vent est
venu
assez bon cet après-midi. Le Lion était fort éloi
il y en ait au monde, l’a turlupiné d’une terrible force. Ils étaient
venus
ensemble dans ma chambre, & le chevalier de B
, a-t-il dit après en avoir bu, celle-là vient de Le Vasseur (elle en
venait
en effet). Comptez, père, que je vas vous faire e
lait à Mons. Comme je n’étais pas pressé, je lui dis que s’il voulait
venir
avec moi jusqu’à Béthune je le conduirais jusqu’à
quelque difficulté, mais une bouteille de vin de champagne que je fis
venir
, & une bourse bien remplie que je lui montrai
un habit de ma taille. Cauvreville envoya m’en chercher un. Son valet
vint
dire que la doublure du justaucorps de son maître
pour l’Espagne, & l’homme le plus railleur qu’on puisse voir. Il
vint
comme nous allions nous mettre à table ; & ta
u’en sortant de cette ville, il s’était servi de mes passeports, pour
venir
directement à Amsterdam. Je sais tout ce qui vous
ujours beau temps & mauvais vent. Le chirurgien du Florissant est
venu
à bord voir le nôtre, qui est très mal. Je l’ai d
que l’Évangile ; Medice, cura te ipsum. Celui du Florissant, qui est
venu
, a dîné avec nous : il est latin ; & nous avo
eudi 22 mars 1691 Calme tout plat jusqu’à ce soir, que le vent est
venu
Nord-Ouest, bien faible. Ce n’est pas le moyen de
asser le Cap dans le mois. Du vendredi 23 mars 1691 Le vent est
venu
cette nuit Nord-Nord-Est, bon frais : c’est ce qu
Le vent cette nuit a achevé de calmer, & cet après-midi il est
venu
Ouest-Sud-Ouest, directement contraire. Du mar
intendant en Bourbonnais. Il y avait eu une amourette, dont il était
venu
une fille, qu’il a mariée à un nommé M. de La Pom
t cette chaloupe, qui ensuite alla au gré du vent & de la mer. Je
viens
, dit-il d’un visage riant aux officiers & à l
avons enfin perdu de vue les terres d’Afrique, parce que le vent est
venu
bon cette nuit & nous a avancés & nous av
mente. Du samedi 28 avril 1691 Nous avons toujours bien été. Je
viens
d’achever le mémoire pour M. de Seignelay, séparé
es matelots nomment frégates & fous. Ils sont si familiers qu’ils
viennent
se percher sur les vergues, où on les prend à la
illeur rafraîchissement que fournit cette île. C’est la tortue, qui y
vient
en très grande quantité, à commencer du mois de m
ntité, à commencer du mois de mai jusqu’à la fin de novembre : elle y
vient
aussi les autres mois, mais moins fréquemment. No
beauté ; & on ne prend ici que des femelles de mer, lorsqu’elles
viennent
à terre confier leurs œufs à la chaleur du soleil
bordée de rochers caves, minés & mangés par les coups de mer qui
viennent
incessamment s’y briser ; ce qui forme partout un
est inhabitée. Cependant, notre pilote, & des matelots qui y sont
venus
, disent y avoir vu des traces d’hommes, des boeuf
On voit encore l’île de l’Ascension. Les fous & les frégates sont
venus
nous reconduire. On en a pris quatorze, dont six
que nous aurions trouvé le général & l’intendant. M.de Porrières
vient
d’aller au fort. Du mardi 5 juin 1691 J’ai
e connaissance. Nous allions la renouveler quand on m’est promptement
venu
quérir de la part du commandeur, qui m’envoie au
-Ouen, qui va faire l’emblème. On n’avait pas prévu qu’il en faudrait
venir
aux bassesses, O ! quam malè est extra leges vive
es, normand comme elle, en devint amoureux. Il la débaucha, & ils
vinrent
ensemble à Paris par la voiture des capucins. (Je
r de son désordre ; & s’abandonnant à sa fortune, elle résolut de
venir
aux îles de l’Amérique y chercher son père &
à fait faux. Elle prit le chemin d’Orléans un mercredi après-midi, et
vint
dans la charrette d ’un boulanger jusqu’à Châtres
Angleterre ; que sa mère était morte de chagrin, & qu’elle était
venue
à Paris pour demander pour elle la confiscation d
oin de la payer, elle était tout aussitôt partie de Paris & était
venue
toute seule, comme j’ai déjà dit, jusqu’à Orléans
a première occasion. Fanchon s’était aperçue qu’il était fort souvent
venu
à sa porte ; mais elle n’avait pas fait semblant
vai au Fort-Royal à la messe, le lendemain de notre arrivée. Elle est
venue
encore me trouver au Fort Saint-Pierre, comme je
aient, comme on voit, un bel emploi de leur argent. L’histoire que je
viens
d’en rapporter n’en est qu’un échantillon : si je
isse leur mémoire en paix. J’ai dit que M. le marquis d’Éragny devait
venir
à Siam général des Français ; endroit où il falla
le, qui montait le Mignon, étant mouillé au Fort Saint-Pierre, voyant
venir
vent arrière cinq vaisseaux, dont un portait flam
nt du tout se donner aux Anglais : ils font encore plus, c’est qu’ils
viennent
volontairement se rendre aux Français, qui vont l
tés. Ils reconnaissent, & sont reconnus de leurs nègres, qui sont
venus
sous la bonne foi du pavillon blanc, dans l’espér
s sitôt qu’on a su le contraire chacun s’est plaint que nous n’étions
venus
que pour leur apporter la peste & la famine.
de là combien cette nation est haïe partout. Mais, puisque l’occasion
vient
d’en parler, d’où viennent ces Caraïbes ? d’où vi
on est haïe partout. Mais, puisque l’occasion vient d’en parler, d’où
viennent
ces Caraïbes ? d’où viennent tous les autres peup
isque l’occasion vient d’en parler, d’où viennent ces Caraïbes ? d’où
viennent
tous les autres peuples qui habitent le monde, &a
où viennent tous les autres peuples qui habitent le monde, & d’où
viennent
ceux qui habitent les îles éloignées de tout cont
ui s’y glissa à Babel. Mais cette dispersion des enfants d’Adam, d’où
vient
-elle ? La placerai-je avant le Déluge ? L’Écritur
savons point que personne ait traversés avant Christophe Colomb. D’où
viennent
ces hommes ces femmes conformés comme nous, &
s hommes & ces femmes ont-ils été produits & engendrés ; d’où
venaient
leurs ancêtres & leurs auteurs ? Croirai-je q
; lui garderai, le secret. Après notre départ du Fort-Royal, elle est
venue
d’elle-même au Fort Saint-Pierre, & y arriva
, & un corsaire malouin. Les autres quinze sont des marchands qui
viennent
jusqu’au tropique sous notre escorte, & des p
, très jolie & très aimable. Elle ne manquait pas à jour nommé de
venir
dès le matin chercher son argent ; & M. de Va
comme naturellement on n’aime point ceux qui servent d’obstacle, elle
vint
à le haïr autant qu’elle aimait Bernard ; ce qui
trouva sa femme, seule & endormie. Le garde-magasin du Fort-Royal
vint
environ huit jours après au Fort Saint-Pierre, ma
ordres & sa réponse ; qu’il était cause qu’il avait été obligé de
venir
lui-même, & ajouta de ne pas manquer de retou
t. Après cela, il le fit boire deux coups, & le congédia. Bernard
vint
peu après, & en soupant il fut raillé de ses
u mari. Celui-ci de sa part en avertit dès le lendemain la femme, qui
vint
chercher de l’argent, & pour lui parler sans
essein. Et voulant voir si sa femme était de part de la tromperie, il
vint
chez lui, & lui dit qu’il allait au Fort-Roya
mp; faites semblant d’être parti, lui répondit la rusée femelle. D’où
vient
? lui demanda-t-il. C’est, lui répliqua-t-elle, q
re moi ; car, pendant les deux nuits que vous avez été dehors, il est
venu
des gens qui ont frappé plus de cent fois à la po
, d’autant plus que notre maison est écartée & que si ces gens en
venaient
à la violence je serais fort embarrassée toute se
heures, un laquais de M. de Goimpi, à qui Bernard avait donné le mot,
vint
lui dire que M. Ranché le demandait. Il sortit au
notre escadre, le corsaire provençal, & une quèche ou yaque, qui
viennent
avec nous, & qui vont fort bien. M.de Quistil
uillet 1691 Le vent a calmé tout d’un coup cette nuit, & n’est
venu
que par bouillards, & fort près. Nous ne lais
et après-midi, bout pour bout, terme matelot ; c’est-à-dire qu’il est
venu
Nord-Nord-Ouest. Il est bien faible ; mais c’est
rien n’y manque. Du jeudi 9 août 1691 Toujours de même. Il est
venu
ce matin un corsaire nous tâter. Nous avons donné
assez pour que cela fût ? Du vendredi 10 août 1691 Le vent est
venu
Est-Nord-Est cette nuit, directement contraire ;
691 Encore calme, accompagné d’une brume très épaisse. Le vent est
venu
assez bon sur le midi, & nous avons perdu de
a lâché un coup de canon sans balle, sous pavillon français ; il est
venu
au coup d’assurance. C’est un autre corsaire prov
ons plus les navires d’hier : le Provençal nous a rejoints, & est
venu
dîner à bord. Il est ami de M. de La Chassée ; &a
rtie du convent où elle avait été mise dès l’âge de six ans, que pour
venir
voir son père. Elle y rentra, après avoir été env
le reconnut fit un grand cri. Comment, dit-il, un homme dont la femme
vient
d’expirer, se déguise et court le momon ! Malheur
t. Cette femme accoucha le lendemain de cette conversation, son époux
vint
me trouver, et pour réponse à son compliment, je
à son insu un mariage qui n’était pas tout à fait dans l’ordre, elle
vint
pour accoucher chez sa mère, qui la sacrifia à Mo
’étonne encore toutes les fois que j’y pense, comment on put me faire
venir
jusque-là ; mais on me disait à tout moment que j
remière fois qu’on me parlera de la marier, et que je saurai que cela
viendra
d’elle, ou la première sottise qu’elle fera qui v
urai que cela viendra d’elle, ou la première sottise qu’elle fera qui
viendra
à ma connaissance, je l’abandonnerai et me retire
a dans la chambre de son père, qui la faisait appeler. Elle me dit de
venir
la voir dès le soir même, et que nous passerions
ant d’esprit que de charmes dans le visage. Je leur répondis que tout
venait
d’elle ; et pour les mieux convaincre, je leur mo
tre rupture, je lui ai écrit que je les avais brûlées. Comme celle-ci
vient
au sujet, je ne puis me dispenser de vous la lire
avoir consultée, va attirer d’étranges suites : vous ne deviez pas en
venir
jusque-là sans m’en avertir, et sans avoir mon co
quérir Du Pont le père, pour une affaire qu’il supposait pressée. Il
vint
aussitôt, et le hasard fit, que dans le même mome
Il vint aussitôt, et le hasard fit, que dans le même moment son fils
venait
voir Mademoiselle Dupuis, et qu’ils entrèrent tou
inuer ses impertinences, si je ne l’avais interrompu. Monsieur Dupuis
vient
, dites-vous, Monsieur, lui dis-je, de vous donner
is qu’il n’aurait jamais voulu entendre parler de l’engagement où ils
venaient
d’entrer, si les sentiments de Mademoiselle sa fi
tre fille, vous savez que je ne lui suis pas indifférent. Vous faites
venir
Monsieur à la traverse, et vous me le préférez. J
a plus que la mienne. Nous nous dîmes l’un à l’autre tout ce qui nous
vint
à la bouche, et nous ne conclûmes rien que de nou
e vous y exposez plus, et pour cela promettez à Mademoiselle de ne la
venir
jamais voir ; et puisque votre amour a été mal re
is, quoiqu’il fût bien persuadé que j’aurais voulu le voir au diable.
Venez
, ajouta-t-il, souper avec nous. Quand je vis qu’i
le, effectivement elle n’avait pas les manières d’une misérable. Elle
venait
assez souvent dans mon appartement et dans ma cha
pour prendre mon linge et raccommoder ce qui en était déchiré. Elle y
vint
quatre ou cinq fois de suite que j’étais seul, et
Elle y vint quatre ou cinq fois de suite que j’étais seul, et elle y
venait
sans nécessité apparente. J’eus de la tentation,
s plaisirs et de mœurs réglées. Restez chez moi, continua-t-il, on ne
viendra
pas vous y chercher, et les choses pourront s’acc
ez un décret contre elle, elle le saura bientôt elle-même, laissez-la
venir
, elle se rendra traitable, et nous l’aurons par c
as se mettre au hasard de me perdre, et qu’elle m’aimait trop pour en
venir
jusque-là ; que mon aventure, et ce que son père
nd de son cœur. Après qu’il eut reçu tous ses sacrements, il nous fit
venir
dans sa chambre sa fille et moi. Il en fit sortir
e corps Contraint de soutenir une éternelle guerre. Un trépas désiré
vient
me fermer les yeux Je ne reverrai plus cet œil br
s, à qui Mademoiselle Grandet pour lors veuve, et Madame de Contamine
vinrent
tenir compagnie, et je retournai chez elle, où j’
devait être environ d’un mois sur le lieu, et le temps d’aller et de
venir
faisait environ celui qu’elle voulait retarder. E
e les laissa prendre. Je lui recommandai de ne point dire que j’étais
venu
, et cela parce que je voulais lui faire une surpr
, et j’allai chez moi me débotter ; car comme je vous ai dit, j’étais
venu
descendre chez elle. J’étais prévenu que ces lett
ans avoir vu que celle de ce Gauthier, et lui envoyai aussi ce que je
venais
d’écrire. Je remontai à cheval dans l’instant mêm
aris, il y en a environ trois plus animé contre elle que jamais. Elle
vint
pour me voir dès le lendemain que je fus revenu.
après tant de démarches faites en votre faveur ? Qu’aurait-elle eu à
venir
tant de fois vous chercher ? Que pourrait être de
s également. J’ai voulu lui donner de la jalousie pour l’obliger d’en
venir
aux explications, j’ai perdu mon temps. Il n’a te
quérir le mari et la femme pour dîner ici. Je suis certaine qu’ils y
viendront
, venez-y aussi et amenez Monsieur Des Ronais ; je
mari et la femme pour dîner ici. Je suis certaine qu’ils y viendront,
venez
-y aussi et amenez Monsieur Des Ronais ; je suis f
amis. Et si Monsieur Des Ronais, dit Des Frans en riant, ne veut pas
venir
, que lui dirai-je ? Que vous le ferez mettre aux
iscouraient ainsi, il arriva une dame d’une magnificence achevée, qui
venait
voir Mademoiselle Dupuis. Des Frans voulut sortir
ente ; Mademoiselle Dupuis, poursuivit-elle, me dit dès hier que vous
viendriez
la voir aujourd’hui, c’est ce qui m’y a fait veni
hier que vous viendriez la voir aujourd’hui, c’est ce qui m’y a fait
venir
. Vous êtes l’ami de Des Ronais, dites-lui de ma p
rolongé. La belle Dupuis lui rendit compte de la conversation qu’elle
venait
d’avoir avec Des Frans, qui continua. Des Ronais
e et Madame de Cologny seront demain tout le jour à Saint-Germain, je
viendrai
dîner ici, je m’en prie moi-même, et je me fais f
aurez cependant, avant que de la commencer, que Monsieur de Jussy est
venu
pour vous voir. J’ai fait mon possible pour le re
qui les retenait à Brest ; autre friponnerie d’Albus ; qu’ils étaient
venus
chargés de vin pour le compte du munitionnaire, q
ines Chaviteau et Des Herbiers, et que nous ne serions que quatre. Il
vint
tout aussitôt et sous le faux prétexte de lui dir
ent : pour moi, je ne peux pas faire autre chose, et je ne serais pas
venu
si je m’étais attendu d’être grondé. Pourquoi te
e le canot ou la chaloupe de l’Écueil, et dis à un des matelots qu’il
vienne
ici et m’apporte du pain, et que j’en veux manger
veux manger une galette avec du beurre. Chaviteau y alla. Le matelot
vint
et apporta du pain, dont lui et des Herbiers fure
commençai par leur demander quels ils étaient, et de quelle part ils
venaient
? Ils me le dirent. Hé bien, repris-je, remportez
et son billet déchiré à la main, il fut assez bête pour les prier de
venir
avec lui chez M. l’intendant, et M. de Ferville p
exempt de la prévôté de la Marine, qui, accompagné de quatre archers,
vint
à bord. M.Hurtain, qui non plus que moi ne s’atte
prit les devants, me réveilla, car j’étais sur mon lit, et me dit de
venir
avec lui. Il me prit en sa garde envers l’exempt,
t sont bien heureux de ce que je n’étais pas à bord lorsqu’ils y sont
venus
: quelques coups de canne, pour porter à leur dir
de ce qui en sera ; quand ce ne serait que pour venger l’insulte qui
vient
d’être faite à notre écrivain, et la fichue figur
e, fit préparer un déjeuner fort propre. MM. de Combes et de Ferville
vinrent
les premiers. Les deux commis d’Albus arrivèrent
des vins de tous pays, et tous d’une sève exquise. M.Des Clouzeaux y
vint
, et ne but que deux coups au dessert, et seulemen
e m’envoyer un commis pour le dresser. J’acceptai l’offre : ce commis
vint
dès le lendemain. Je le reçus le mieux qu’il me f
-magasin des vivres, auquel les restants étaient rendus ; et qu’il en
venait
un tiers à l’écrivain du roi, à qui sur le rôle a
e Bouchetière, notre lieutenant, dont j’ai fait le portrait, page 99,
vient
avec nous. Je ne sais s’il sera plus content de c
us étions allés à l’Orient le samedi 25, M. Hurtain et moi : il était
venu
avec nous, et resta au Port-Louis. Ce fut apparem
onnerait pas. Cela acheva d’animer Bouchetière : il leva la canne, et
vint
à Landais ; mais celui-ci qui mesurait le respect
ne justice plus sévère ; qu’il eût à s’embarquer dans le moment, pour
venir
à bord du Général ; et que pendant le chemin il a
us donnera en passant à déjeuner. M. du Quesne n’a pas manqué de nous
venir
prendre à bord mardi matin. Tous ces messieurs y
e du dîner, les écrivains du roi du Gaillard et du Florissant me sont
venus
prendre à bord pour aller tous ensemble avec les
avait pas plus de demi-heure ; et le sieur de Bouchetière, qui était
venu
avec la chaloupe pour faire embarquer les matelot
pour faire embarquer les matelots dispersés dans les cabarets, m’est
venu
brutalement joindre : Allons, monsieur, m’a-t-il
us avons trouvé M de La Chassée avec un de nos passagers. Ils étaient
venus
trop tard pour s’embarquer ; notre chaloupe était
s trop tard pour s’embarquer ; notre chaloupe était partie ; ils sont
venus
souper avec nous. C’est là qu’ils ont appris le c
il ne me fasse pas attendre. Pendant le souper, notre passager a fait
venir
une chaloupe de Croix, qu’il a arrêtée pour nous
late de Hollande, et de belle toile qui ne me coûtât rien. L’eau m’en
vient
à la bouche. Je dis à nos messieurs de la table,
personnes à table et tous de bon appétit, et les malades qui peuvent
venir
, feront tomber sur eux la mortalité. Il n’importe
u jeu. C’est-à-dire, que lorsque des amis d’un soldat ou d’un matelot
venaient
le voir, le vin lui était prodigué. La Compagnie
e la table qui consomme du vin de Grave ou de Bourdeaux. La pensée me
vint
dans l’esprit de ce que j’avais à faire. Je la co
it altéré ; et que pour lors je me retirerais dans ma chambre, où ils
viendraient
me trouver pour y faire la petite joie. Nous auri
ertain que ma chambre sera celle du vaisseau la plus fréquentée. Nous
venons
tout présentement de vider une grosse bouteille ;
mi-quart au Sud-Ouest, pour aller reconnaître les îles Canaries, d’où
vient
le vin que tous les Européens aiment tant, et don
économiser : car, qui vous mettra à couvert d’un coulage, soit qu’il
vienne
par un roulis, ou que les doubles barriques et le
s pas d’être toujours à la tête. Il commence à faire chaud. Le soleil
vient
à nous, et nous allons à lui : c’est le moyen de
Pour moi, qui n’aime point le jeu, M. Hurtain et M. de La Chassée me
viennent
tenir compagnie de temps en temps. Du reste, sain
uante minutes de longitude ; cela prouve que nous allons bien. Il est
venu
ce matin au-devant de nous deux brigantins de Sal
te. Mais, ai-je demandé à M. Charmot, l’un de nos missionnaires, d’où
vient
que toutes les montagnes qui sont hautes sont tou
ce, monsieur, ai-je continué, en parlant à M Charmot, de me dire d’où
vient
cette neige sur le sommet des montagnes, et ce qu
e pose en fait certain que, quelque endurci que soit un homme, il lui
vient
une secrète horreur de son péché avant que de le
aises habitudes et nos inclinations. Quand le temps de la moisson est
venu
, ce laboureur voit avec plaisir ce qu’il a pris s
d’élection, et l’apôtre des gentils ; mais, si j’ose le dire, Dieu ne
venait
que de monter au ciel, il avait laissé son Église
vie. Plus j’y fais de réflexion, plus j’y reconnais de rapport. D’où
vient
que ce qui me paraissait autrefois très indiffére
mal a cessé avec la douleur ; et je jouis d’une santé parfaite. D’où
vient
donc ce changement que je remarque en moi ? J’ai
faut donc que la cause de ce changement soit en moi-même ; mais d’où
vient
-elle ? À l’égard de mon corps, je puis dire comme
a fait cette âme depuis sa création jusqu’à ma formation, qu’elle est
venue
animer ma matière ? Où était-elle, et où ira-t-el
les hommes conviennent que le monde a eu son commencement : mais d’où
vient
-il, si ce n’est de Dieu ? Remontons donc à lui, e
ation d’une jambe ou d’un bras ? Je leur demanderais si un enfant qui
vient
au monde sourd ou aveugle a laissé une partie de
ternie. Ainsi, ils appréhendaient réciproquement d’être obligés d’en
venir
aux prises ; et, pour en éluder l’occasion, ils e
se chercher et avoir envie de se trouver, depuis quatre mois. Ils en
vinrent
donc aux mains, et firent l’un sur l’autre un feu
dessus. A ce mot, les Français redoublèrent leur feu, et voulaient en
venir
aux mains à l’abordage. Les Hollandais se retirèr
vé de deux marches et garni de bancs de terre ou de rochers bruts. Je
viens
au village. J’ai rempli les devoirs de la civilit
juger, c’est que les Portugais, qui sont malheureux dans leur patrie,
viennent
ici chercher fortune et y épousent des femmes lab
e suffit seule pour rassasier ; et il est très vrai que ceux qui sont
venus
nous voir souper (je ne parle point des noirs, il
i sont venus nous voir souper (je ne parle point des noirs, il n’y en
vint
aucun ; je ne parle que des Européens et des créo
e chez l’évêque, conduisant mon vin. J’ai trouvé M. de La Chassée qui
venait
au-devant de moi avec un soldat qui le sert qui p
vaient jugé à propos de me prévenir : voici le fait. M. Blondel était
venu
à la ville avec M. du Quesne : ils ne m’avaient r
tous les jésuites qui sont sur l’escadre le seul Père Tachard y était
venu
. Je n’avais que faire à lui : il est sur l’Amiral
règne entre MM. Hurtain, de La Chassée et moi, il les avait priés de
venir
au-devant de moi afin de me prévenir, et que je p
ns vidé le flacon : il a pris un autre chemin avec le vin, et je suis
venu
seul avec Landais. J’ai trouvé tous ces messieurs
e sur lui-même une sérieuse réflexion ; qu’il se demande ce qu’il est
venu
faire au monde ? Je parle de tous les hommes, san
jourd’hui ! Il en faudra cependant passer par là ; car M. Hurtain est
venu
dès la pointe du jour dans ma chambre et y a pris
ci comme il est fait. C’est un poisson long d’environ cinq pieds : il
vient
tout proche du vaisseau, d’où on lui lance un dar
di à bord, avec M. d’Auberville, son lieutenant. Ils m’ont promis d’y
venir
; j’ai fait l’honneur à M. Hurtain de dire que c’
out se sera passé : je me contente de dire, à présent, que les ordres
viennent
d’être donnés pour que tout aille bien et dans l’
xcellent. avril 1690 Du samedi 1er avril 1690 Il nous est
venu
un petit vent de Nord-Ouest. Nous allons un peu,
et lumineuse partout, sans interruption, jusqu’à ce que le vent soit
venu
. On dit que cela arrive très souvent sous la Lign
e ponce. On en trouve sur les bords de la mer dans le Nord, et toutes
viennent
du mont Hécla. Voilà mon sentiment sur cet articl
uatre-vingt-quinze lieues de la Ligne. M. du Quesne n’a pas manqué de
venir
dîner à bord, avec quatre de ses officiers, et le
e père Tachard. Messieurs du Florissant et de l’Oiseau, conviés, sont
venus
aussi en bonne compagnie. Les capitaines du Lion
us aussi en bonne compagnie. Les capitaines du Lion et du Dragon sont
venus
au pavillon d’Amiral et de Conseil, qu’on a salué
et le diable de La Chassée m’a ôté ma chaise : le maître d’hôtel est
venu
pour prendre ma serviette ; et le père Tachard, n
uvert. Chanson d’almanach : continuation de chaleur. M. du Quesne est
venu
voir M. Hurtain. La Fargue l’a prié de faire aver
quart d’heure après il est remonté avec les langues, et m’a dit qu’il
venait
les changer contre quatre tranches de bonite. M.d
ne sont point échappés, puisque le corps paraissait tout droit. D’où
vient
ce prodige ? Qui que ce soit d’ici n’a jamais ent
en quoi ils sont secondés par le savant et sublime Bouchetière, qui y
vient
mêler sa barbe et sa mâchoire d’âne. Les choses i
tiré le monde du néant. Tous les chirurgiens de l’escadre sont encore
venus
ce matin à bord pour y faire une nouvelle consult
ne vaut guère mieux ; point de hauteur. MM. du Quesne et Joyeux sont
venus
à bord ce matin voir M. Hurtain. Ils ont donné or
orps, lorsque le seigneur de Bouchetière, réveillé par le pilote pour
venir
à son poste, a été instruit de la mort de son cap
nt qu’il connaissait bien peu ma fermeté et mon humeur. Landais m’est
venu
avertir qu’il avait cacheté la porte de la chambr
l a voulu s’emporter ; mais les ecclésiastiques, et les gens qui sont
venus
au bruit, n’étant pas de son côté, il a jugé à pr
ère de François Querduff, religieux dominicain, qui est le nôtre, est
venu
dès le point du jour pour faire la sépulture du c
ait fait en sorte que le même père de l’Oratoire qui l’avait converti
vînt
travailler aussi à sa conversion ; que ce père y
converti vînt travailler aussi à sa conversion ; que ce père y était
venu
sous l’apparence d’un médecin ; et qu’au bout de
parole ; et n’avons été retirés de notre tristesse que lorsqu’on est
venu
nous dire qu’on avait servi. Il ne s’est jamais f
is à table la première place, sans l’offrir aux étrangers qui étaient
venus
à bord voir la cérémonie. Nous étions tous de mau
; le second lieutenant de l’Amiral, et l’aumônier du Florissant, qui
venait
d’officier, et les autres d’assister à la cérémon
r à leurs bords le ridicule orgueil de Bouchetière, qui semble n’être
venu
au monde que pour y donner la comédie. Ils sont t
es prendre pour les ramener aux vaisseaux, et a ajouté que M. Blondel
viendrait
le lendemain faire l’inventaire, et que lui qui m
min de l’Amiral, je suis monté dans ma chambre. M.de La Chassée y est
venu
deux heures après ; et comme le quart était chang
me le quart était changé, et que Bouchetière dormait, nous avons fait
venir
sans bruit M. Le Vasseur et le premier pilote. No
ir et beau. Du mardi 25 avril 1690 M. Blondel, commissaire, est
venu
ce matin à bord. Il y a entendu la messe, et à l’
nous en aurait encore occupé davantage si le sieur Mercier, qui était
venu
avec le commissaire, comme il me l’avait promis h
table et les missionnaires attendaient debout que le commissaire fût
venu
, et qu’il prit place, pour se mettre à la leur. E
reçu. Du mercredi 26 avril 1690 M. du Quesne n’a pas manqué de
venir
ce matin de fort bonne heure, puisque la messe n’
andé une douzaine de tranches de bonite. Ce que je devais faire m’est
venu
tout d’un coup dans l’esprit. Je lui ai dit en ri
’ai apporté l’inventaire du vaisseau, avec mon régître ; et j’ai fait
venir
tous les officiers mariniers l’un après l’autre.
s officiers mariniers fussent autorisés à refuser tout, il les a fait
venir
à l’issue de la messe, et en présence de tout le
n état de régaler ses amis, avec propreté et magnificence, lorsqu’ils
viendraient
le voir. Après nous avoir écouté, il s’est levé,
de La Chassée. Pourvu qu’il boive, il ne s’embarrasse point d’où cela
vient
ni ce que c’est. Il a donc été résolu que cela se
le château d’avant pour baptiser le vaisseau, qui n’est point encore
venu
dans ces mers. Les charpentiers ont mis la hache
Le maître et les autres officiers mariniers se sont détachés pour me
venir
chercher, afin de le racheter, ou le voir couper
leurs dépens, il leur a donné quatre piastres ; et le marguillier est
venu
recevoir l’offrande avec une gravité digne d’une
qui est un remous dans île de Saint-Domingue. Une dame un peu galante
venait
avec nous en Canada. Elle fut nommée la baie des
. Le vent s’est calmé par la pluie qu’il a fait cette nuit. Mais d’où
viennent
ces pluies si fréquentes entre les tropiques, et
qui a fait le même voyage que lui et sur le même vaisseau, et que je
viens
d’envoyer quérir et d’interroger, m’a répondu que
du mât d’artimon, pour nous mettre à couvert des rayons du soleil. Je
viens
d’y faire faire par notre voilier un trou d’un po
e crois devoir dire un mot de cette eau de fond de cale, puisque cela
vient
à propos. Celle qu’on apporte d’Europe est ordina
andeur jouait aux échecs avec M. de La Chassée. Je leur ai dit ce qui
venait
d’arriver. Quand celui-ci a su que c’était son so
verbal de lundi dernier. Dimanche prochain, jour de la Pentecôte, ils
viendront
tous dîner ici : C’est là que l’affaire de Bouche
midi de vingt-cinq degrés trente minutes Sud. Tous ces messieurs sont
venus
dîner ici : M. du Quesne est venu avant les autre
nutes Sud. Tous ces messieurs sont venus dîner ici : M. du Quesne est
venu
avant les autres. Lui et le commandeur se sont am
vingt fois parlé. Dites-lui, m’a répondu le commandeur, que son temps
viendra
après le dessert. Mais, surtout qu’Hérault ne sac
entré et une demi-heure après le valet de chambre du commandeur m’est
venu
dire que M. du Quesne me demandait. J’étais prépa
ommé, et je doute qu’il y en ait assez pour les quatre-temps qui vont
venir
: ainsi, il vous en reste encore deux entiers ; e
eraient exécrable. Cela les a fait rire. Tenez, ai-je continué, il me
vient
dans l’esprit un expédient. Vous avez de bonnes f
ant de curiosité ne ferait pas notre cour. Ces messieurs avaient fait
venir
les pilotes, qui leur avaient certifié la même ch
ni par ce qui venait de se passer. À l’issue du Conseil, ils ont fait
venir
Bouchetière, à qui le commissaire a lu le procès-
iamois élevés pour l’Église par messieurs des missions étrangères qui
vinrent
au-devant d’eux en procession avec la croix et la
nité, 21 mai 1690 Le pied de vent ne nous a point trompés : il est
venu
Nord-Ouest, bon petit frais. Nous étions à midi p
outes les hauteurs, qui les avertissent des vaisseaux qui vont ou qui
viennent
; de leur nombre, et de leur nation. S’ils osaien
qui viennent ; de leur nombre, et de leur nation. S’ils osaient, ils
viendraient
à nous ; mais, ils ne prennent point de navires i
emblée un beau matin, 23 juin 1687, par un seul détachement d’Anglais
venu
à travers les bois depuis la Hève, où ils m’avaie
ier blé qui a été semé dans cette colonie hollandaise y est très bien
venu
. Les habitants du Cap y en recueillent, mais peu.
écouvert ce qui distingue l’homme d’avec la femme : que ces animaux y
viennent
en troupe et laissent le choix libre à celui ou c
matin, avant la prière, un flacon de fenouillette de Ré, et nous est
venu
quérir, M. de La Chassée et moi, pour en boire. N
es mines de fer et d’autres métaux. Les fruits de toutes sortes qui y
viennent
en abondance, et sans culture, y croissent meille
r aux arbres, où ils montent comme les chats. C’est de cette île d’où
vient
la tubéreuse, inconnue en France il n’y a pas plu
ométans qui ont les premiers habité cette île. De plus, d’où seraient
venus
ces vaisseaux ? Ce ne peut point être d’Afrique.
ent aucune religion. L’Abyssinie n’est point mahométane. Seraient-ils
venus
du sein persique, ou de l’Arabie heureuse ? Ils s
enus de Perse ? Nullement : puisque les pèlerins de Perse à La Mecque
viennent
par les caravanes, et traversent les déserts de l
. Ainsi, ce ne peut point avoir été des vaisseaux mahométans qui sont
venus
à Madagascar, dont les habitants ne connaissent n
mais le fondement de cette religion leur est absolument inconnu. D’où
viennent
donc ces premiers habitants ? Je ne sais ; et si
Palestine et en Judée, qui sont les pays d’où leurs ancêtres seraient
venus
? Je consens à n’être point cru sur la Judée. Je
ur les lieux hauts, n’ayant véritablement ni temples ni idoles. De là
vient
ce nombre prodigieux d’enfants qui meurent en sor
e coupât en deux. J’en ai assez dit pour prouver que cette coutume ne
vient
ni des juifs ni des mahométans. Celle de consulte
juifs ni des mahométans. Celle de consulter les devins n’en peut pas
venir
non plus : les Turcs les abhorrent ; et la ferme
eur défend d’entreprendre de pénétrer le futur : ainsi, ces devins ne
viennent
point des mahométans. Ils ne viennent point des j
le futur : ainsi, ces devins ne viennent point des mahométans. Ils ne
viennent
point des juifs, quoiqu’ils en puissent venir, ét
s mahométans. Ils ne viennent point des juifs, quoiqu’ils en puissent
venir
, étant certain qu’il y en avait plusieurs en Judé
ant aura jeté sa ridicule vision sur son journal ; et ceux qui seront
venus
après lui auront, sur la foi de ce journal et le
uisqu’il faut faire passer les barriques sur des roches brutes. On en
vient
pourtant à bout ; mais ce n’est pas sans bien de
s ; et le premier, effronté comme un comédien, disait à tous ceux qui
venaient
, d’apporter chacun leur bouteille, et les avait m
en a peu, les insulaires ne sachant pas les accommoder. Les olives y
viennent
aussi grosses qu’en Portugal : il yen a peu par l
ruit que les matelots nomment figue, mais qui n’en est pas : ce fruit
vient
sur un arbuste par grappes ou par régimes, comme
ontredit le roi des fruits ; aussi, la nature l’a-t-elle couronné. Il
vient
seul sur une tige, le gros en bas : sa figure est
anc verdâtre. Il a un sucre très agréable et très rafraîchissant ; il
vient
sans culture sur le bord de la mer dont sa racine
entre autres notre aumônier, en ont confit ou fait confire. Le riz y
vient
; mais les insulaires n’en recueillent pas assez
ous, en qualité de kock, autrement de cuisinier de l’équipage. Il est
venu
ici trois fois et en entend l’idiome : il est de
de vingt-trois à vingt-quatre ans. Je le rencontrai dans le bois : il
venait
au camp. Ce ne fut pas avec lui que m’arriva ce q
s n’étions qu’à trois cents pas au plus dans le bois. M.de La Chassée
vint
avec lui. Je donnai ce papier à ce prince si je p
int sa physionomie, étant affable, généreux et bienfaisant. Ce que je
viens
d’en dire ne doit en donner qu’une bonne impressi
e que pendant la treizième lune, dans quelque saison ou temps qu’elle
vienne
, ils ne mangent ni ne boivent depuis le soleil le
rticulier, c’est que pendant leurs prières les rats et les souris qui
vinrent
en grand nombre se désaltérer à cette coquille ne
que leurs mains ne sont pas sûres. Il y en a un entre autres qui est
venu
à la tente pendant que j’y étais seul d’officier.
pendant que j’y étais seul d’officier. Il m’a fait dire qu’il voulait
venir
en France avec nous, et qu’il me demandait passag
ne doutais point d’avoir sa permission, et que jusqu’à ce qu’elle fût
venue
il pouvait rester dans la tente, et que je saurai
ceux entre les mains de qui mon journal pourra tomber et qui pourront
venir
dans ces îles d’Amzuam, puissent se défier de tou
fuir comme des étourneaux. Je ne craignais que M. du Quesne, si j’en
venais
à la moindre violence contre des gens qui ne nous
s apparents, me touchèrent dans la main, en signe d’amitié. Plusieurs
vinrent
avec moi au camp, où ils apportaient des fruits e
l’arrière de nous. Pendant que nous avancions, nous voyions aller et
venir
des chaloupes de terre au vaisseau, et du vaissea
e au col et au visage : mais ce ne sera rien. Le même caporal qui est
venu
avec moi à Moali a deux doigts coupés de la main
ons au-devant de lui tout aussi vite qu’il se recule de l’Europe pour
venir
à nous. Je ne dirai rien de la chaleur, sinon qu’
e lieues de la Ligne vers Paris ; mais, il faudra retourner d’où nous
venons
avant que de voir la rue aux Oues, ou celle de la
de la Huchette : en tout cas, ce ne sera pas les mains vides, car je
viens
d’apprendre à bord du Florissant, où j’ai dîné, q
ière tourne en ridicule : nous nous faisons saigner pour la maladie à
venir
; c’est-à-dire que nous avons mis des gemelles à
s pavillons blancs et on a arboré pavillon hollandais, pour les faire
venir
à bord. L’appât était trop grossier ; elles n’ont
n enrageant dans lame. On leur a crié à plus d’une portée de fusil de
venir
à bord. Eh, comment diable y viendront-ils ? ai-j
ié à plus d’une portée de fusil de venir à bord. Eh, comment diable y
viendront
-ils ? ai-je répondu : leur chaloupe et leur canot
-ils ? ai-je répondu : leur chaloupe et leur canot fuient à terre ; y
viendront
-ils à pied ? Un beau « Mêlez-vous de vos affaires
ue cela ne me fît quelque mauvaise affaire avec M. du Quesne, qui est
venu
à l’issue du dîner avec le commissaire. Il n’en e
Nous allions nous mettre à table pour souper, lorsque Le Vasseur est
venu
. J’avais l’idée pleine de ce que je venais d’écri
uper, lorsque Le Vasseur est venu. J’avais l’idée pleine de ce que je
venais
d’écrire : j’achevais ce qui regarde le capitaine
’endroit où nous l’avons pris, à deux lieues de terre, ou environ. Il
venait
chercher du riz et du bois, et est chargé de roch
ette flûte, qui est cause que nous sommes à l’ancre. M. du Quesne est
venu
ce soir à bord, sitôt que nous avons été sur le f
avons eu au vent toute la journée, et avons mis même pavillon. Il est
venu
à bord un Français, nommé M. Cordier, qui nous a
ourir le roi notre allié, a été poignardé par Monpan, le même qui est
venu
ambassadeur en France, et qui s’est mis la couron
dix-sept ans, est nièce de M. Speelman, général à Batavia, et qu’elle
venait
trouver le gouverneur de Trinquemalé, auquel elle
tites lieues de son château à celui du comte ; ainsi elle résolut d’y
venir
à l’issue de son dîner. Elle se mit donc en chemi
pied derrière son carrosse, tous désarmés, qui ne se doutant de rien,
venaient
tranquillement au-devant des six bandits qui alla
tre héros coupa chemin à un des fuyards, et ayant appris de lui qu’on
venait
d’assassiner la duchesse de Médoc, il tomba comme
èrent pas, et ne firent que lui ôter un moment la respiration. Sancho
vint
à lui et le soutint sur son cheval. Si ces scélér
esse celui de reprendre assez ses sens, pour s’apercevoir qu’on était
venu
à son secours. Notre héros reprit sa fureur, en m
e fut remarquée par un de ces scélérats, qui, poussé de son désespoir
vint
à elle, et l’aurait tuée si Don Quichotte ne se f
duchesse. ne voyant plus qu’un homme en état de défense, et qu’il lui
venait
encore du secours d’un autre côté, se contenta de
ôt atteint, et dont il eut aussi bientôt purgé le monde. Les gens qui
venaient
au secours de la duchesse étaient les siens mêmes
nos braves, et voyant que le nombre des assassins diminuait, étaient
venus
pour achever d’en délivrer leur maîtresse, et se
trouvât quelqu’un assez déterminé pour aller à lui, comme il en était
venu
à elle, et cherchant dans sa tête le moyen de le
i de faire tirer plusieurs coups de mousquet, ne doutant pas qu’il ne
vînt
au feu, comme en effet elle ne se trompa pas. On
. Nous arrivâmes au Bourg-la-Reine à sept heures du matin, je voulais
venir
à Paris ; mais pour m’obliger à rester, il me con
ous la dépeindre âgée d’environ dix-sept ans, lorsque je la vis. Cela
vint
par le moyen de son cousin, qui lui dit un jour q
point les honneurs de sa voix, j’eus honte de chanter après ce que je
venais
d’entendre, qui était le redouble des Rochers du
lier. J’avais remarqué dans elle tant de bonnes qualités, que j’étais
venu
à l’aimer trop pour mon repos. Il me paraissait q
e présente un parti pour vous, préférable à celui qu’on vous propose,
venez
me voir incessamment. Je vous attends. J’y allai
es, me firent croire qu’elle avait pleuré ; je ne me trompais pas. Je
viens
recevoir vos ordres Mademoiselle, dis-je en entra
pas. Je viens recevoir vos ordres Mademoiselle, dis-je en entrant, je
viens
savoir de vous ce qu’il vous plaît que je devienn
es ce soir, soit par écrit, soit de vive voix. Allez, me dit-elle, et
venez
me voir le plus tôt que vous pourrez ; mais ne me
que je vous attendais, Monsieur, me dit-elle ; mais enfin, vous voilà
venu
. Nous sommes seuls, parlez sans contrainte ; qu’a
avez-vous enfin résolu ? M’abandonnerez-vous, ou me suivrez-vous ? Je
viens
encore, répondis-je, tâcher de vous faire changer
reste dans la cour. Un gros chien qui appartenait au cocher d’Ivonne,
vint
lécher cette composition, et mourut un moment apr
de poison qu’il m’en faut. Non, repris-je, en l’embrassant, vous n’en
viendrez
point à cette funeste extrémité, je suis résolu à
’adressais. Celui-ci, à qui je demandais tout, et que vous allez voir
venir
avec elle, le lui donna en main propre. Ils consu
nquera, par le bon ordre qu’elle et Du Val y ont donné, et qu’elle ne
viendra
au-devant de moi que dans mon carrosse. J’attends
demandent si promptement votre présence. À mon égard, je serais bien
venu
en poste, comme vous m’en pressiez ; mais les mes
elai mon valet et celui de Jussy, je fis servir. Les laquais nouveaux
venus
montèrent ; on ne dit rien en leur présence qui d
sation, qu’elle n’était sortie de son couvent que le matin même, pour
venir
au-devant de lui : et que c’était Monsieur Du Val
chez les mariés, qui comme moi, étaient encore au lit à midi. Du Val
vint
me voir, nous allâmes ensemble trouver au lit Jus
it toujours porté chez lui comme une dévote. Il lui demanda d’où elle
venait
, et où elle était restée depuis le matin de la ve
’elle à son choix, elle s’était retirée à son particulier, et qu’elle
venait
le prier, lui, sa femme, et ses enfants, d’honore
e leur envoyer un laquais pour les conduire chez elle s’ils voulaient
venir
, et les laissa ensuite faire tant de réflexions q
son ban et de la majorité de sa maîtresse. Ils résolurent pourtant de
venir
souper chez elle, et y vinrent en effet le soir.
sa maîtresse. Ils résolurent pourtant de venir souper chez elle, et y
vinrent
en effet le soir. Ils trouvèrent bonne compagnie
nsieur que nous n’attendons plus que lui, et qu’il prenne la peine de
venir
. Il achève une lettre, Madame, dit ce laquais. Ce
n ressentiment, reprit cette belle veuve ; je le sacrifie à ce que je
viens
d’entendre. Si j’étais bien persuadé de cela, rep
aliers, se rejeta dedans sitôt qu’il les vit aller à lui. Cette femme
vint
en courant se jeter aux pieds du cheval de Don Qu
épée nue et à la droite un fouet de cordes garni de molettes de fer.
Viens
, dit-il au chevalier, si tu oses descendre à arme
noirs habitants du séjour ténébreux, sortez du fond de vos abîmes, et
venez
y précipiter ce perfide, qui n’est hardi qu’à mal
ces paroles étaient écrites en lettres d’or : Qui que vous soyez qui
venez
affronter Merlin dans son palais et lui enlever l
ine. L’intrépide Don Quichotte avança vers le géant, bien résolu d’en
venir
aux mains avec lui malgré les lions qui lui serva
es lions qui lui servaient de corps de garde. Qui es-tu toi, qui oses
venir
où jamais homme vivant n’a mis les pieds ? lui de
toujours l’esclave de l’illustre princesse Dulcinée du Toboso que je
viens
délivrer, ou perdre la vie. A ce nom de Don Quich
massue et rejeta l’épée à Sancho, les lions tombèrent sur le côté et
vinrent
un moment après en rampant baiser les pieds du br
bénédictions. Après cela parut Balerme suivi[e] de douze filles, qui
vinrent
deux à deux se prosterner aux pieds de l’invincib
vant lui l’invincible chevalier qui avait rompu leur enchantement, il
vint
se jeter à ses genoux, le cœur si saisi en appare
sa vie, a purgé la terre de monstres et de brigands. Il est comme lui
venu
dans ton empire ; mais c’est la vertu qui l’y a c
eva, et avec son intrépidité ordinaire il prit la parole : Je ne suis
venu
dans ton empire, dit-il, que pour tenter les aven
e lui pourquoi elle n’est point désenchantée, puisque le terme en est
venu
. — Qu’on fasse entrer Merlin, reprit Pluton. A pe
une simple chemise dessus. Pluton dit qu’il était nécessaire de faire
venir
Dulcinée, afin qu’elle fût présente elle-même à l
ée magnifiquement vêtue, et d’un visage fort agréable, se leva et lui
vint
tendre la main en le remerciant de la meilleure g
tît à me rendre heureux ; et pour cela je la priai de me permettre de
venir
chez elle avant l’heure du jeu, et de se trouver
e n’avais plus d’autre moyen pour empêcher ce fatal mariage, que d’en
venir
aux mains avec Deshayes ; j’en cherchai les occas
allé à la campagne, ou qu’elle était maîtresse d’elle-même, elle est
venue
dans tous les lieux où elle sait que je vais d’or
re dans l’état où je suis. Deux jours après cette conversation Silvie
vint
chez la marquise, où était Sainville, et qui en s
pria de se souvenir de la parole qu’elle lui avait donnée. Les larmes
vinrent
aux yeux de Silvie, et quoiqu’elle ne fût venue q
donnée. Les larmes vinrent aux yeux de Silvie, et quoiqu’elle ne fût
venue
que dans le dessein de décharger son cœur, elle p
ai toujours traité comme un fourbe ; mais enfin il m’a convaincue. Il
vint
me dire avec empressement avant-hier au soir qu’i
et je n’osai ni ne voulus les en dédire. Deshayes qui en fut averti,
vint
dès l’après-midi même me rendre visite. Il eut le
re ouvrir la porte. Pendant huit jours que je restai au lit, et qu’il
vint
continuellement me voir, je tâchai d’oublier Sain
me, et sur ce pied-là je fus extrêmement surprise d’apprendre qu’elle
venait
d’être arrêtée à ma porte et conduite à la Concie
e contentai de l’assurer de mes services, et j’ajoutai que je n’étais
venue
que dans la seule intention de savoir en quoi je
désespoir de voir une si forte intelligence entre vous et Sainville,
vint
me dire tout ce qu’il avait entendu. Je le rassur
is vous connaissez mon complice. L’étonnement où j’étais de ce que je
venais
d’entendre, n’était égalé que par l’indignation q
che, et mon emportement s’étant fait entendre par toute la prison, on
vint
m’ouvrir. Je sortis toute baignée de pleurs, sans
e plus accablée de chagrin que de fatigue. J’envoyai prier ma mère de
venir
chez moi, où étant arrivée, elle fut toute étonné
permirent pas d’aller chez lui. C’est pourquoi je le fis épier, et on
vint
me dire deux jours après qu’il était à Luxembourg
qui revint à Paris trois ou quatre jours après la mort de la baronne,
vint
m’y trouver ; mais ayant fortement résolu de n’av
pas elle-même où sa nièce allait, ni où elle la laisserait. Sainville
vint
le soir même chez la marquise, qui ne lui cacha r
e, elle lui offrait une retraite certaine, auquel cas elle pouvait la
venir
joindre à Toulouse dans une hôtellerie qu’elle lu
r dans la forêt. Lorsqu’ils se sont vus assez avant, ils ont voulu en
venir
aux dernières violences, et sans doute nous nous
si Sainville, qui heureusement avait pris un chemin détourné, ne fût
venu
à nos cris, et n’eût ramené à notre secours nos d
en du haut et bien du bas, bien du bon et bien du mauvais. 10. Le bon
vient
sans doute de lui ; et ce que j’en dirai témoigne
ans le moment, et sans autre conseil que sa probité naturelle. Le mal
vient
des flatteurs. Certainement c’était son plus gran
rotection du Roi, dont ils louaient le zèle et la piété et auquel ils
venaient
d’accorder un don gratuit très fort, et le tout à
rent dites en attendant la bénédiction du Saint-Sacrement. Lorsque ce
vint
à son tour à entonner le Domine salvum fac regem,
de Risvik et d’Utrec en sont des preuves parlantes, et les siècles à
venir
auront peine à les croire si ils les comparent au
complaisance, s’opposait à sa promotion ? Et ce pape ne le fit-il pas
venir
à Rome chercher un asile jusqu’à ce que l’indigna
mauvaise foi se sont aussi établies par degrés. La source du désordre
vient
sans contredit de la cour papale et des gens d’Eg
e des commandes, et une infinité d’autres abus, et en même temps d’où
viennent
les biens d’Eglise employés à présent à tout un a
grosse de plus de huit mois, ayant outre cela quatre enfants vivants,
venait
d’être exécutée pour la taille, et les coquins d’
rs. MM. de Beauregard et le chevalier de Château-Regnault et moi, qui
venions
à Paris par le messager, sortîmes de notre auberg
tête des affaires lorsque Louis XIII mourut et que Louis XIV son fils
vint
à la couronne. Beaucoup de gens ont prétendu que
ine qu’il avait emportée, il répondait sur sa vie que sa stérilité ne
venait
point d’elle, mais de maléfices dont il savait le
urs embrassements ne seraient point infructueux ; elle le fit, le Roi
vint
la voir, et en moins de six semaines des témoins
table. Il porta les arts et métiers jusques à l’opulence, et fit même
venir
des pays étrangers les plus fameux et les plus ha
’était que par ces trois sources là que l’or et l’argent pouvai[en] t
venir
en France, laquelle n’en produit point dans son s
et des bottines à lui délivrées. Il pria le Roi de souffrir qu’il fît
venir
les autres qui se plaignaient de l’inexécution de
ces grains en sûreté, jusques à ce que le temps d’en faire usage fût
venu
, je veux dire une année de peu de rapport. Je dis
ours produit plus de grain qu’elle n’en a pu consommer. 96. Lorsqu’il
venait
une mauvaise année, et que ceux qui avaient du bl
l’approche aux Anglais qui très souvent se joignaient aux Iroquois et
venaient
impunément les insulter, et munirent ce fort d’au
u’il en était ainsi des martres et des loutres ; que les orignaux qui
venaient
en France de ce pays nous empêchaient d’aller che
inaccessible à toutes sortes d’ennemis de quelque côté qu’ils fussent
venus
, soit par terre ou soit par mer. 112. La maréchal
de ces mémoires qui regardaient toute la Nouvelle France. Comme j’en
venais
et que j’étais prêt d’y retourner, Monsieur de Ch
. Les Iroquois, dans le plus grand nombre qu’on les eût encore vu[s],
vinrent
inopinément à Quebec, et y entrèrent avec tant de
se retirer au château. Les vaisseaux de France n’étaient point encore
venus
. Il n’y avait aucune goutte de vin ; les coureurs
s lieues par delà Québec pour aller en guerre contre les Iroquois qui
vinrent
au devant de lui. Leur nombre était supérieur ; i
asser de la manière qu’ils s’y fortifient, et que le roi d’Angleterre
vient
tout nouvellement d’y envoyer huit mille hommes p
nnent aux gouverneurs qui sont envoyés d’Europe), qu’est-ce que tu es
venu
chercher ici… Pourquoi viens-tu dans notre pays,
nt envoyés d’Europe), qu’est-ce que tu es venu chercher ici… Pourquoi
viens
-tu dans notre pays, puisque nous n’allons point d
s-tu dans notre pays, puisque nous n’allons point dans le tien ?… Que
viens
-tu nous demander puisque nous ne te devons rien ?
ompatriotes exposez vos vies sur un élément toujours traître pour les
venir
chercher de si loin… Pourquoi, pour les avoir, no
reprends pas de nous forcer à le croire… Ces grandes robes noires qui
viennent
parmi nous, nous disent de bonnes choses quand il
, nous ne les écoutons que pour en rire....Écoute, Onontio, qu’ils ne
viennent
plus dans notre pays, nous ne voulons plus les vo
let, et qui demeurait rue Saint-Louis, près de la place Royale ; il y
vint
avec les autres et pour son malheur entra le prem
ière digne de lui et d’eux. Il sut le jour et l’heure qu’ils devaient
venir
; c’était dans le mois de l’hiver le plus rude, e
cérémonie par trois dimanches consécutifs. Après ce temps expiré, il
vint
le propre jour du lundi gras avec sa maîtresse pa
le jeter dans la rivière que d’en donner un denier à ces b..gres-là.
Venez
demain me voir plaider ma cause, je n’ai que fair
145. J’y allai par curiosité, mais je n’espérais pas tant rire. Il y
vint
avec sa femme, tous deux en habit de noces. C’éta
e de 23 à 24 ans, assez jolie, grande, et fort bien faite. Lorsque ce
vint
son tour d’audience et qu’il fut appelé, il s’ava
estiné les jours de fête et de dimanche. Il les envoya quérir, et ils
vinrent
en habits nuptiaux. Le mari ne se doutait pas seu
femme, et elle qui croyait que son mari allait avoir la tête lavée y
vint
avec plaisir. 147. Lorsque M. d’Argenson les vit
rante sols par jour parce que je travaille comme un galérien. — Tu ne
viens
pas au soufflet, lui dit le magistrat en l’interr
dit le magistrat en l’interrompant. — Pardonnez-moi, Monseigneur, j’y
viens
, reprit-il en se remettant. Comme je veux me fair
est toujours bien gouverné quand la maîtresse est la trésorière, mais
venons
au soufflet. — J’y suis, Monseigneur, reprit-il.
ler leurs extraits baptistaires, et les actes qui témoignent d’où ils
viennent
et quels ils ont été avant que d’être ce qu’ils s
illon ; et c’était ordinairement la voiture qu’elle prenait tant pour
venir
voir son amant que pour s’en retourner après l’av
ours après ses couches et deux mois après le mariage de son amant, de
venir
à Versailles en courrier, et de lui donner en pré
aucune difficulté, et qu’il savait bien ce qu’il en voulait faire. Il
vint
dans le moment à l’appartement de Monseigneur pou
endrait. 162. Sitôt qu’il eût quitté le dauphin, il monta à cheval et
vint
à toutes jambes à Paris, et se fit introduire dan
e de l’autre, etc. Et pendant qu’ils étaient occupés, M. Colbert, qui
venait
pour rétablir le refus du jour précédent, vint et
pés, M. Colbert, qui venait pour rétablir le refus du jour précédent,
vint
et se fit annoncer. Hubert était d’avis que Monse
vez pas m’en refuser la porte. Mais pour chez moi je vous défends d’y
venir
jamais, ou comptez que vous n’en sortirez que par
fils ayant dit à son père la volonté de Monseigneur, et qu’il voulait
venir
à Paris dans ce seul dessein, M. Hubert le père,
prince. Dès le lendemain de la consommation de ce mariage, M. Colbert
vint
comme les autres lui faire sa cour. Elle2 le reçu
e avait demandée. 170. L’ordre de le mettre en liberté et de le faire
venir
en cour fut envoyé à Monsieur de Neuville de Vill
e qui surprit celui qui lui en porta l’ordre, et Monsieur de Villeroy
vint
un moment après l’en féliciter, et l’emmena dîner
erit etiam suspensus ferre medelam. Lorsque la compagnie eut dîné, on
vint
revoir ce modèle, tout le monde fut étonné de cet
avec dépens. Un coup si imprévu l’étonna mais ne le terrassa pas. Il
vint
voir M. de La Faluère auquel il dit qu’il le conn
de gens de l’action intègre et généreuse de M. de La Faluère qu’elle
vint
aux oreilles du Roi, qui fit venir le marquis, qu
néreuse de M. de La Faluère qu’elle vint aux oreilles du Roi, qui fit
venir
le marquis, qui lui en dit toutes les circonstanc
it un prêtre. 201. Lorsqu’il n’y eut plus de postérité à craindre, il
vint
demeurer avec sa mère dans le château qui lui app
d’eux et les logea dans le Louvre. Après le repos de la nuit, il fit
venir
un avocat au Conseil qui dressa le placet, court,
ont dans la salle des gardes, reprit M. de La Feuillade. — Faites-les
venir
, lui dit le Roi. Il les alla quérir lui-même, et
uèrent pas, et aucun d’eux ne savait à quel dessein on les avait fait
venir
. Il y en eut même qui crurent que c’était un cons
s du peuple. 213. Louis, après avoir tout écouté, entra dans ce qu’il
venait
d’entendre et résolut de suivre le conseil qui lu
or des gardes, d’avertir Deschiens qu’il voulait lui parler, et qu’il
vînt
à Versailles. Mons[ieu] r de Brissac, n’y entenda
t à Versailles. Mons[ieu] r de Brissac, n’y entendant aucune finesse,
vint
à Paris, et n’y ayant pas plus de cent pas de sa
celle de Deschiens, il ne voulut pas mettre pied à terre chez lui, et
vint
à cheval chez Deschiens. Par malheur pour celui-c
enaient de Versailles, et qui par honneur suivaient leur officier. Il
vint
avec cette troupe chez Deschiens. Son portier, no
enêtre dans un cul-de-sac qui bornait sa maison. Son portier Boulogne
vint
dire à M. de Brissac qu’il n’était point au logis
n effet sans Monsieur de Caumartin, qui avait empêché le conseil d’en
venir
jusques là. Je dirai bientôt ce que c’est. 215. E
i avait épousé la nièce de Deschiens et qui demeurait dans sa maison,
vint
comme les autres au vacarme. Deschiens, dont la f
de gouvernante. Elle avait quatorze ans lorsque Mme Deschiens la fit
venir
auprès d’elle, et la traita comme si elle avait é
il ne pouvait pas leur faire tête, mais que si le marquis de Coeuvres
venait
avec les dix-huit vaisseaux qu’il amenait, l’armé
s[ieu] r Desclouzeaux, où il me dicta la lettre circulaire pour faire
venir
les officiers au conseil. Il avait ses raisons po
bas si M. le marquis de Ne[s] mond qui commandait le Monarque ne fût
venu
à notre secours. Il s’attacha à celui qui nous te
e précaution que la parole l’un de l’autre ; que milord Roussel était
venu
souper à terre incognito chez M. de Tour-ville, e
e l’homme n’ayant qu’une continance [sic] fixe, il le priait de faire
venir
une bouteille de vin ; que ce serait autant d’ava
enant d’un homme connu pour être parfaitement sobre. M.de Bagneux fit
venir
six bouteilles au lieu d’une, et nous n’eûmes qu’
que tous les autres vaisseaux arborèrent le leur ; la pointe du jour
vint
, et nous vîmes devant nous deux gros vaisseaux an
eçus, et on la payait en billets, sur lesquels le décri est tellement
venu
qu’on donnait pour cent françs comptant un billet
s le procureur ou l’avocat général de la canaille ? Enfin la chose en
vint
jusques au point qu’on n’osa plus lui en parler,
qu’on regrette encor Régnait jadis le siècle d’or. Le siècle d’argent
vint
ensuite Qui fit contre Colbert murmurer de chagri
car la ruine du peuple était ce qui ne l’inquiétait point. De la sont
venu
[e] s toutes ces infâmes créations de charges, les
maison de Thévenin et d’aller loger ailleurs. Thévenin vit bien d’où
venait
le coup et congédia son fils aussi, si bien qu’il
sseur d’un prêtre de la paroisse. Ce vicaire, nommé M. Charpentier, y
vint
, et après avoir (à ce qu’il crut) gagné la confia
on côté. Levez-vous, et envoyez un laquais quérir mon notaire ; qu’il
vienne
, et qu’il apporte avec lui mon testament, j’ai à
ils de quelques affaires domestiques, et le notaire et un autre étant
venus
, tout le changement qu’il fit dans son testament,
vilain, et parmi lesquels il y en a plusieurs de pareille acabie. Il
vint
à Paris pour son bonheur, et entra laquais chez T
x-ci indiqueraient encore d’autres témoins s’il était nécessaire d’en
venir
à une preuve complète. Je rentrai dans le cabaret
ut en être cru. Celui-ci était sur son pailler, et Bourvalais n’était
venu
au Temple que pour y voir son bon ami Lanoue, qui
maltôte a été canonisé au pilori et est mort aux galères. Il y était
venu
voir aussi un nommé Tirard, autre très ardent fri
lle à parler avec un homme qui portait le cordon bleu, le quitta pour
venir
nous joindre. — De quoi riez-vous tant, leur dit-
rait pour me rendre service. J’y allai. Il me reçut fort bien. Il fit
venir
une bouteille de bon vin, et j’obtins de lui ving
es, et avait eu une longue audience du ministre. Son dessein était de
venir
tout aussitôt à Paris. Il voulut monter dans son
ouva le billet dont j’ai parlé. M.d’Argenson, lieutenant de police, y
vint
, et voyant que c’était une femme de très bonne fa
était à conserver, il en fit avertir le curé de Saint-Eustache qui y
vint
, et la fit honorablement enterrer, bien repentant
e ce sont les Jésuites de toutes nations qui s’y sont établis, et qui
viennent
au-devant des gens qu’il y envoie avec des sept,
ne une entière exclusion, ou bien il peut compter que lui ou ceux qui
viendront
après lui se repentiront d’avoir reçu cette engea
n plein repos, Demeurent obscurcis dans d’éternelles ombres, Pourquoi
venir
par un faste nouveau Réveiller à nos yeux la sacr
de l’église. Il faut encore autre chose à quoi M. Crozat et ceux qui
viendront
après lui doivent bien prendre garde. C’est d’y f
us les jours anglicanisés m’ont parfaitement convaincu que leur perte
vient
d’eux-mêmes. Je puis dire qu’en 1684 j’en donnai
t tout ce qui se pouvait dire. Lorsque le mois de février de 1686 fut
venu
, M. de Seignelay voulut m’obliger à retourner, et
ie. J’ai dit que Bergier avait pris en 1684 les barques anglaises qui
venaient
à la pêche sur les côtes de l’Acadie. Je dois dir
nvoyés sous prétexte de traiter de prix par barque pour la pêche, ils
vinrent
à Canceau qu’on ne les attendait nullement, prire
s du fort, et à travers des bois, sans rencontrer qui que ce fût, ils
vinrent
se coucher le ventre à terre à la porte du fort ;
moires avaient été suivis, les Anglais ne se seraient pas hasardés de
venir
insulter ni le Port-Royal, ni le reste de l’Acadi
n avec leurs anciens correspondants. Les commandants français en sont
venus
jusques à en faire pendre quelques-uns, et cela a
avec les sauvages assommaient tous les Français d’Europe qui étaient
venus
dans leur pays et qui osaient mettre le nez dans
s en un mot à la triste figure Où nous étions jadis quand nous sommes
venus
, Nous ne pourrons jamais nous résoudre à rien ren
jour tout le sacré trésor. 298. C’était un plaisir de les voir tous
venir
faire la confession l’un de l’autre et s’accuser
itou, s’était plaint au Conseil, comme je l’ai ci-devant rapporté. Il
vint
chez M. Chamillart demander au moins une modérati
i leur donnait quarante-huit heures pour dresser cet état et en faire
venir
les fonds, au bout duquel temps on viendrait en t
dresser cet état et en faire venir les fonds, au bout duquel temps on
viendrait
en tirer un au sort pour être pendu et étranglé t
emoiselle de Bernay. Je ne suis point de cette ville, mais j’y suis
venu
si jeune, que je me regarde comme un de vos compa
n faire le portrait. Nous voyons l’original, dit Madame de Contamine,
venez
au fait. J’aime dans une belle femme comme vous,
à tout événement pour la tirer d’où elle était. Je l’assurais que je
viendrais
dans trois jours quérir la réponse que je lui dem
’avait pas été secrète ; car lorsque j’allai la demander, cette fille
vint
au parloir, qui m’ayant reconnu, me dit sans faço
la remerciai si bien, qu’elle en fut scandalisée ; la Supérieure qui
vint
, ne fut pas mieux traitée, et me traita moi comme
tenus. On vous regarde comme un démon que l’enfer a déchaîné pour me
venir
tenter. Il n’y a que moi qui approuve tout ce que
oir tous deux la même chose en même temps. Par quel dessein êtes-vous
venu
dans mon couvent ? Pourquoi prendre si généreusem
violable, que je faciliterai son enlèvement, s’il est nécessaire d’en
venir
jusque-là, pour vous la mettre entre les bras ; m
e comme elle est, si vous étiez assez fourbe pour la tromper, vous en
viendriez
facilement à bout (et cela ne se terminerait que
… Poursuivez, interrompit en riant Madame de Contamine, le pastel est
venu
fort à propos, les yeux et la voix ne tiennent po
indifférents vous auraient-ils reconnu, puisque je m’y suis trompée ?
Venez
me voir encore si vous pouvez, puisque vous parte
iance de mon père, vous me l’ordonnez cela me suffit. Mais si l’on en
vient
jusques au point de m’obliger à renoncer tout à f
longue. Je sortis de sa chambre, et j’attendis sa fille à côté. Elle
vint
, nous descendîmes dans une salle. Ce fut là que n
n de pouvoir en sortir sitôt que vous serez de retour ; hâtez-vous de
venir
m’en retirer. Adressez toujours vos lettres à Mad
aire et précipitée, tous les malheurs qui m’ont jusqu’ici poursuivie.
Venez
promptement, je ne puis m’empêcher de vous le rép
est encore en vie, et que vous n’aimez guère, de la manière dont vous
venez
d’en parler. — Il est vrai, Madame, répondit Tern
Il sut, en me faisant suivre, dans quel couvent était sa fille. Il y
vint
le lendemain matin, et la recommanda de bonne sor
à faire peur. Tout père de ma maîtresse qu’il était, nous en fussions
venus
aux prises, s’il avait été de ma profession et de
vrai ; et que je n’avais recours à cette défaite que pour éviter d’en
venir
aux prises. Il se mit si fort en colère qu’il en
disait rien de fâcheux ; qu’elle s’était réconciliée avec lui ; qu’il
venait
souvent la voir, sans lui proposer aucun parti ;
est fourbe et dissimulée, et plus intéressée qu’un juif. Bernay était
venu
au couvent de Clémence à qui il avait fait mille
égoûtée du monde. Ma sœur est dans la maison de mon père : elle m’est
venue
voir plusieurs fois. Elle dit qu’elle est malheur
e assurance d’avoir soin d’elle toute sa vie. Clémence ne tarda pas à
venir
; elle fut une demi-heure entre mes bras sans pou
ence était émue, et ce n’était pas un plaisir d’un moment que j’étais
venu
chercher. Ce fut en effet à quoi nous ne songeâme
des gens capables de me prêter main forte si j’en avais besoin. Il y
vint
en effet sous prétexte d’entendre la messe en pas
ardiment, et qu’il saurait bien empêcher qu’on ne nous troublât. Elle
vint
d’un pas assuré et ferme, et l’agitation et la ch
ec Monsieur de Jussy. À propos de lui, dit Des Ronais, un laquais qui
vient
du logis, m’a dit qu’il était encore venu vous ch
Des Ronais, un laquais qui vient du logis, m’a dit qu’il était encore
venu
vous chercher. Vous nous avez promis, poursuivit-
on Carasco, le barbier, la nièce et la gouvernante ; ils étaient tous
venus
, et avaient amené avec eux ce jeune officier neve
de leur village, et qui s’y trouva encore quand on alla les prier de
venir
à la Ribeyra. Le capitaine Bracamon, ce Bohème qu
boso, qu’il lui avait donné ; on l’avait envoyé quérir, et elle était
venue
avec son mari, qui, quoique assez fâcheux, n’étai
on le verra par la suite. Les Français, les Espagnols et ces nouveaux
venus
, qui n’avaient point paru aux yeux de nos aventur
les y avait pas vus portés d’eux-mêmes. Après cela tous ces nouveaux
venus
prirent congé et allèrent au château de Médoc fai
nt valait mieux ; quand la bourse est lâche le cœur est serré ; de me
venir
dire des fariboles, c’est chercher magnificat à m
du ; il est entré par une porte et sorti par l’autre ; il n’était pas
venu
au son de la flûte, et pourtant il retourne au so
nt jamais ri de si bon cœur. Il aurait toujours continué si on ne fût
venu
dans un vallon où le même ruisseau faisait un cou
quatre jours vous aurez Dulcinée, et moi mon argent ; d’un échelon on
vient
à deux, et de deux au haut de l’arbre ; attendons
uriers crurent que c’était un nain qui en sonnait. Tout le domestique
vint
au-devant de la compagnie avec des flambeaux, et
nuit-là, parce qu’elle ne couchait pas seule ; mais que s’il voulait
venir
le lendemain dans une chambre qu’elle lui indiqua
ui avait préparé une collation fort propre. Le brutal voulait d’abord
venir
à la conclusion ; mais la belle Altisidore lui di
ienne, et je recevrai Altisidore en fille de bonne maison, si elle me
vient
davantage rompre la tête. Son maître le laissa ;
é la manière d’enlever le lit d’Altisidore. Sancho se leva le soir et
vint
souper avec toute la compagnie qui le questionna
sortaient de la forêt, le même satyre qui avait arrêté Don Quichotte,
vint
se présenter dans le chemin où il fit deux ou tro
ami. En disant cela elle alla à lui, et lui, en gambadant et sautant
vint
à elle, et la pria tout haut de la part du sage e
e en fera, lorsque j’aurai tué trente ou quarante chevaliers errants.
Viennent
à présent que j’ai mes bonnes armes qui me garant
qui me garantiront de blessures tous les chevaliers errants du monde,
viennent
Mores, Sarrasins, Espagnols et enchanteurs même ;
ho, après un sommeil de huit heures, venait de se réveiller, et qu’on
vint
les quérir l’un et l’autre pour aller joindre la
y exalta encore sa valeur, et surtout son intrépidité, d’avoir osé en
venir
aux prises et corps à corps avec un démon armé de
er bien des affaires. — Eh bien, répondit hautement Sancho, qu’elles
viennent
à présent que j’ai mes armes, diable emporte qui
— Mais, Monsieur, poursuivit-il en parlant de Parafaragaramus, d’oû
vient
qu’il est si fâché quand un chevalier touche un f
un moine se mêla de nous raccommoder ensemble, et puis après cela il
venait
nous voir tous les jours, afin de voir, disait-il
son le verre à la main à tous les gens du duc et du comte qui étaient
venus
le voir pendant la journée, si bien qu’il avait t
u’il avait terriblement les dents mêlées le soir que toute la société
vint
le voir pour apprendre des nouvelles de sa santé.
art de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit
venir
au château. Ce fut ainsi qu’en s’accommodant au
On s’y opposa, et on se contenta de l’obliger d’écrire à sa femme de
venir
et d’amener sa fille. Il le fit, et encore quelqu
out d’un coup à ses yeux. Don Quichotte, dit-il à notre chevalier, je
viens
te rendre la dernière visite que tu recevras de m
uérir allaient arriver, excepté la fille et la femme de Sancho qui ne
viendraient
que deux jours après, parce qu’elles étaient obli
t qu’elle ne haïssait pas. Cet homme était le neveu du curé qui était
venu
la consoler du départ de Don Quichotte, et dans l
i, et en vérité je suis entière et nette comme un beau petit denier ;
viens
, mon cœur, continua-t-elle en faisant semblant de
nt Sancho de la rosser ; les dames parurent aussi et demandèrent d’où
venait
un si grand bruit. Altisidore voulut répondre, ma
tte en vît ni entendît rien. C’était Thérèse qui arrivait, à ce qu’on
venait
d’apprendre par celui qu’on avait mis en sentinel
est pas à toi à me montrer à marcher droit. Eh bien, Madame, me voilà
venue
, dit-elle à la duchesse ; je vous aurais apporté
pour se donner le plaisir de l’entrevue. Sancho ayant appris qu’elle
venait
au-devant de lui, coupa une branche d’arbre, et s
rent une grêle. Les gens du château, qui n’en pouvaient plus de rire,
vinrent
enfin les séparer ; mais les parties étaient trop
lheur, cela tient comme glu ; et puis voilà Madame la gouvernante qui
vient
mêler son museau où elle n’a que faire. N’est-ce
femme me fasse enrager, sans que les autres, qui ne me sont de rien,
viennent
encore à la charge ? Mardi, poursuivit-il, votre
a voir dans un lieu si indigne d’elle, et du sujet qui l’y avait fait
venir
. Le duc et la duchesse d’Albuquerque, qui savaien
oit où vous m’avez vu, où il m’a endormi et lié ; mais patience, tout
vient
à point à qui peut attendre. Sancho aurait plus l
c d’Albuquerque, son crédit et la figure qu’il faisait en Espagne, le
vint
aborder fort civilement, et lui demanda sa protec
étaient amusés à voir le chevalier Sancho en sentinelle, et prêt d’en
venir
aux coups avec le faux Parafaragaramus. Valerio n
é le premier comme le plus malade, et le chirurgien ayant eu ordre de
venir
rapporter au comte et à la comtesse l’état de la
orter au comte et à la comtesse l’état de la santé de leurs hôtes, il
vint
leur dire que Sainville était, comme Valerio, san
qu’il en aurait ; Don Quichotte le promit, et l’heure de souper étant
venue
, Eugénie fit mettre la table auprès du lit de son
fit trouver bon qu’elle tînt compagnie à sa nièce ; de sorte qu’il ne
vint
avec la comtesse, que la même demoiselle français
les esprits fussent portés à la joie, on ne fit point prier Sancho de
venir
souper, et il resta avec l’officier dont les civi
apitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château
venait
souvent demander des nouvelles de Sainville et de
inville et Silvie avaient été premièrement portés, ne manquait pas de
venir
les voir tous les jours, et de s’informer de leur
où en secondes noces elle avait épousé l’Espagnol avec qui elle était
venue
en Castille, et où elle tenait hôtellerie. Cette
l’obligea de prier celui qui avait soin de Valerio et de Sainville de
venir
le voir, et de vouloir bien en entreprendre la cu
de chambre était aussi bien qu’elle dans le château de Valerio, où il
venait
d’être apporté de l’hôtellerie ; elle apprit auss
der le secret. A peine ce prétendu valet de chambre put marcher qu’il
vint
se rendre auprès de Sainville. Le comte Valerio é
dernière campagne, il lui demanda par quelle aventure il était ainsi
venu
en Espagne en habit d’inconnu. Le comte du Chirou
Sainville, à qui on donna des défaites en paiement ; et comme Silvie
venait
le voir fort souvent, et que tous les Espagnols e
paix avait été faite entre la France et l’Espagne, du Chirou l’était
venu
voir à Barcelone, où il s’était fait porter bless
les bandits n’avaient osé les poursuivre plus loin, de peur qu’on ne
vînt
à leur secours, ou de l’hôtellerie, qui n’était p
ostillon il retourna généreusement sur ses pas aussi vite qu’il était
venu
. La contenance hardie de Deshayes et de son valet
nt que deux s’étaient éloignés, et rechargeaient leurs pistolets pour
venir
fondre sur lui, n’hésita plus ; il alla à eux, et
és de six hommes, ils auraient infailliblement succombé, si on ne fût
venu
à leur secours. Pour savoir qui ce fut, il faut s
, et sautant promptement sur un des chevaux qui était sans maître, il
vint
se fourrer dans la mêlée. A moi, veillaques, à mo
on Quichotte le secours qu’il leur avait si généreusement prêté. Il y
vint
et s’attacha à Don Pedre ; notre héros qui vit ce
montés, que les cris d’Eugénie avaient fait détourner du chemin pour
venir
à elle. Les questions qu’ils leur firent donnèren
ença à crier, en se jetant presque tout le corps hors de la portière.
Venez
ici Monsieur Des Frans. Ha ! Monsieur, répondit-i
rende incessamment. Ce n’est qu’à cette condition-là qu’on m’a laissé
venir
; et je ne veux rester ici qu’autant de temps qu’
l avec son valet, qui avait apporté une valise. Il changea d’habit et
vint
rejoindre son ami dans une salle où il l’attendai
rouillé avec sa cousine, le fit avertir de l’arrivée de Des Frans. Il
vint
à cette nouvelle, et ne le trouva pas, non plus q
emps, lui demanda Des Ronais, en l’embrassant sitôt qu’il le vit ? Je
viens
, répondit Des Frans, de voir une femme fidèle, et
is rien que le public ne sache, dit Des Ronais ; mais Dupuis qui doit
venir
ici vous en dira de nouvelles certaines, car ils
nfidence a duré jusqu’à sa mort, qui est encore toute récente. Il est
venu
ici quatre fois pour vous voir ; je viens de l’en
s de l’envoyer avertir que vous êtes ici, et je ne doute pas qu’il ne
vienne
. J’aurais dû le prévenir, dit Des Frans ; mais ce
que l’enchanteur eut remis Sancho entre les mains du satyre, il était
venu
rejoindre Don Quichotte, pour le mener plus avant
ches ; et en faisant semblant de se promener par le bois, ils étaient
venus
où était Sancho qu’ils trouvèrent seul, comme j’a
dit-elle. A ce mot deux satyres sortirent de derrière des arbres, et
vinrent
en gambadant lui dire que l’enchanteur lui-même a
es, et vinrent en gambadant lui dire que l’enchanteur lui-même allait
venir
. En attendant son arrivée toute la troupe autour
rer de son fourreau, quoiqu’il y eût employé toutes ses forces, était
venue
d’elle-même après que le discourtois chevalier av
y a eu de chevaliers errants dans le monde ; mais que lui et son fils
viennent
quand ils voudront, je ne les crains ni l’un ni l
ourné la vue d’un autre côté, ils virent avec surprise un spectre qui
venait
à eux à travers le bois. C’était un homme effroya
n. Que pourraient-ils dire sur tous ces tours de passe-passe que vous
venez
tous de voir, et dont vous êtes témoins oculaires
et se faisait fort de le renvoyer en enfer aussi vite qu’il en était
venu
; cependant qu’il n’avait pas pu se dispenser de
s leur durèrent peu, et deux enfants aussi beaux que la mère qui leur
vinrent
en si peu de temps, furent les témoins convaincan
emme ayant eu une crise, et quelqu’un ayant crié mal à propos qu’elle
venait
d’expirer, il voulut se passer son épée au traver
pensa peu à peu de rendre des visites et se retira des compagnies qui
venaient
chez elle, en sorte qu’elle se retrancha dans son
hes qu’il en exigeait. Elle prit pour cet effet le temps que son père
vint
dîner chez elle, et en présence de sa mère et de
mais je veux absolument savoir ce qui a pu y donner sujet. Votre mari
vient
tous les jours au logis, il nous montre toujours
encore lorsque Sotain arriva. Quoiqu’il l’eût plusieurs fois priée de
venir
chez lui, il ne trouva pas bon cependant qu’elle
priée de venir chez lui, il ne trouva pas bon cependant qu’elle y fût
venue
. Elle descendit sitôt qu’elle l’entendit et le re
ne put se passer de la défendre, et ce brutal se voyant contredit en
vint
jusques à la frapper. Ces sortes de caresses sont
solliciter inutilement des bulles. Ce prêtre lui demanda s’il voulait
venir
servir sa messe qu’il allait dire à un château qu
umône en italien le propre jour de Noël, ne doutant pas que Sotain ne
vînt
à l’office, à cause de la solennité du jour. Auss
e fausse Italienne demanda l’aumône en italien, lui demanda d’où elle
venait
. Elle lui répondit qu’elle venait de Florence, et
e cavalier, ne se découvrit à personne ; et comme à force d’argent on
vient
en France, comme ailleurs, à bout de tout, elle t
hagrine, vous n’aurez qu’à me le dire, et je vous en rendrai justice.
Venez
, continua-t-il en la reconduisant dans la chambre
nt les masques ni leur pays. Je leur donnerai des noms tels qu’ils me
viendront
à la bouche. Ensuite elle commença dans ces terme
qui ne lui fût point suspect ; parce que son dessein n’était pas d’en
venir
aussi avant qu’elle en vint. La peur de faire con
; parce que son dessein n’était pas d’en venir aussi avant qu’elle en
vint
. La peur de faire connaître à son époux qu’elle a
occupée par un homme de qualité, qui s’est marié en secret, et qui ne
vient
ici que deux ou trois fois la semaine ; et la fem
ois la semaine ; et la femme, qui n’est qu’une simple demoiselle, n’y
vient
jamais qu’il n’y soit, et ils sont environ une he
ut au contraire, reprit Justin, lorsque je serai dans cette ville. Je
viendrai
ici le matin et en ressortirai le soir, parce que
up, que pour aller me faire apporter à manger, et dès demain matin je
viendrai
prendre possession de votre chambre ; et en même
en a pas un parmi vous qui n’eût joué ici des couteaux, et qui ne fût
venu
poignarder dans le moment la dame et le monsieur.
taient, et de quelle manière elle devait la faire sortir pour qu’elle
vînt
les trouver dans l’hôtellerie qu’il leur indiqua.
leur demeure ordinaire. Le beau-père les obligea peu de temps après à
venir
demeurer avec lui, tant pour avoir la consolation
e Médoc qui était son parent, l’état de toutes choses, et le prier de
venir
lui-même sur les lieux mettre ordre à tout par so
ais qui étaient dans le château. A peine y furent-ils retournés qu’on
vint
les prier de monter promptement dans la chambre d
Mademoiselle de la Bastide avait commencé à faire devant elle, était
venue
pour s’informer de sa santé, et lui offrir ses se
ncèrent, ne furent interrompues que par l’arrivée du duc de Médoc. Il
vint
seul, n’ayant pas voulu dire à son épouse où il a
soupèrent fort bien, et ne furent interrompus que par la prière qu’on
vint
leur faire de remonter dans la chambre de Deshaye
e impatience de savoir à fond le sujet pour lequel on l’avait prié de
venir
. Il avait été impossible de le satisfaire, parce
lui avait été préparé, et fit avertir la comtesse et Don Quichotte de
venir
les y trouver. Quelque lecteur a sans doute déjà
justice pour voir tout d’un coup la fin de l’aventure. Ce lieutenant
vint
avec son greffier, et leur parla longtemps en par
t à la situation où tout le monde était. La maîtresse de l’hôtellerie
vint
encore s’informer de la santé des Françaises, et
ras. Mais, ami Sancho, lui dit Don Quichotte, il me semble que tu n’y
viennes
qu’à contrecœur. — Ma foi, Monsieur, répondit le
comme nous sommes ; mais ce n’est point pour fuir ni pour éviter d’en
venir
aux mains. — Eh ! qui sont-elles ces raisons ? d
e ne m’en informerai pas davantage, mais du moins avant que de sortir
venez
avec moi pour décider des moyens de l’attaque et
uvés de leur témérité, si une des troupes attirée par le bruit ne fût
venue
à leur secours. Elle arriva justement dans le tem
e lui avait pas permis de voir quel chemin il prenait, et qu’il était
venu
justement s’enfourner dans cette même caverne, où
nturiers en mirent deux sur la place, et des gens du lieutenant étant
venus
aux coups de pistolets, notre héros leur abandonn
et les bandolières du duc de Médoc, sur le corps de ceux qui étaient
venus
au secours de notre héros qui les avait attaqués
nos, et vous équitable Rhadamanthe, souverains juges des enfers, vous
venez
d’entendre l’accusation qui vient d’être intentée
, souverains juges des enfers, vous venez d’entendre l’accusation qui
vient
d’être intentée par Plutus contre le chevalier Sa
des tenailles pour lui faire tenir la tête ferme, et les deux autres
vinrent
se mettre à côté de lui, et avec des pincettes à
t, et qui même l’appuient des préceptes et des commandements qui leur
viennent
d’en haut et d’un pouvoir supérieur à tout ? Outr
ssir quand des esprits d’en haut gardiens de l’honneur de cette fille
vinrent
mal à propos les séparer tous deux et les châtièr
ille de son village qui allait se laisser aller à son amant lorsqu’il
vint
mal à propos leur rompre les chiens par sa présen
la même manière. A toi, invincible Chevalier des Lions, cria-t-il, je
viens
te remercier de ce que tu as fait pour la duchess
it continuées avec la doléance de ses armes perdues, si on ne fût pas
venu
frapper à sa porte. Il ouvrit, et vit l’écuyer de
nt pendues, et n’avait point du tout branlé, que lorsqu’il vit Sancho
venir
à lui. Pour lors il fit une démarche de son côté,
de cet arbre, et qui est un géant monstrueux. Pour lors l’enchanteur
vint
à Sancho comme pour l’assommer avec sa massue qu’
gure ; je ne veux point avoir d’avantage sur vous. En disant cela, il
vint
à lui, et en faisant semblant de lui donner la ma
car elles ne sont bonnes qu’à… Dieu m’entend bien. Sitôt que Thérèse
vint
à paraître devant ses yeux : Ote-toi de là, lui d
autre monde, je ferai amitié avec quelque démon, que je prierai de te
venir
emporter, et puis je te verrai de bon cœur ; jusq
fallait que Sanchette le fût aussi, puisque c’était pour elle. On fit
venir
la petite fille. Ecoute, Sanchette, lui dit sa mè
oudras, au moins si dans la suite il te frotte un peu l’échine, ne me
viens
pas étourdir les oreilles, car je ne te force pas
dre, sans que notre héros s’y opposât, parce qu’espérant que Dulcinée
viendrait
lui rendre visite, et qu’il était naturel de voul
hesses de Don Quichotte et les siennes : Tenez, Messieurs, quand vous
viendrez
ici faites comme dans un jardin où il est permis
née fût effectivement désenchantée : car, disait-on, elle serait déjà
venue
vous voir pour vous remercier. Ils allèrent après
e. Ah, Seigneur chevalier ! lui dit le duc de Médoc en l’abordant, il
vient
d’arriver au château une dame qui paraît d’une qu
hemin de l’endroit où Sancho était en sentinelle. Celui-ci qui le vit
venir
s’affermit sur les étriers. Qui que tu sois, lui
. Il ne refusa pourtant pas le choc, et alla au-devant de Sancho, qui
venait
à lui avec beaucoup de fureur, après avoir fait a
et va m’attendre un moment à l’entrée du bois du côté que tu m’as vu
venir
. Don Quichotte ne se le fit pas répéter, et obéit
s unes et les autres sont ce qu’on appelle des femmes de vertu ; d’où
vient
donc leur contrariété ? C’est que chacune a son g
i suivi, pour la liaison de mes histoires, la première idée qui m’est
venue
dans l’esprit, sans m’appliquer à inventer une éc
st le frère d’une fille, lorsqu’on parle d’elle. Ce mauvais usage est
venu
des provinces, où un simple bourgeois qui n’aura
désordonnés que peuvent donner une belle fille ou une belle femme qui
vient
s’offrir ; il faut appeler à son secours toute sa
et comme le curé du village des chevriers où Valerio avait été porté,
venait
prendre congé de lui et de la comtesse Eugénie, e
ait rien ; mais il acheva de se fâcher tout de bon lorsque son maître
vint
à peindre les cheveux qui tombaient négligemment
p tôt pour l’un et pour l’autre. Dans ce moment les filles de Balerme
vinrent
le désarmer, ce qu’il ne souffrit qu’à la prière
rs mains ; mais Merlin le tira d’embarras en venant les prier tous de
venir
se mettre à table. Il n’était pas avec sa figure
istoire, les ramassa ; et de celui-ci ils sont passés à un autre, qui
vint
avec son maître au-devant de Philippe V ci-devant
vée, et je t’en ouvrirai les chemins, mais le moment n’est pas encore
venu
. C’est par mon art de nécromancie que ton épée s’
ur de la comtesse. — C’était mon dessein, reprit Sancho, mais il est
venu
un diable d’enchanteur qui m’en a détourné. Là-de
chevalier avala malgré lui. Pendant cette belle opération le duc qui
venait
en effet au bruit qu’il avait entendu de la forêt
cho à la sortie de l’office où le maître d’hôtel l’avait bien régalé,
vint
le trouver dans sa chambre avec sa gaie humeur, e
omme des fous ceux qui étaient assez sots et assez malheureux pour en
venir
à ces extrémités ; que la manière de France sur u
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