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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
pour l’État, non pas dans les partis, ses biens, quoique très grands, viennent par des voies légitimes, c’est-à-dire par success
es armées avec éloge. Avec le bien qu’il avait de son côté, il lui en vint encore d’autre, par son mariage avec la fille d’u
cessité où Madame votre mère et vous mettez Mademoiselle de Vougy d’y venir tous les jours. En êtes-vous fâchée, dit-il ? Je
lque intérêt caché qui oblige de vous refuser, afin de vous obliger à venir demander ? Je dirais, répondit-elle, que le motif
puisque je n’ai que ce seul moyen de vous voir, en vous obligeant de venir ici. Ne poussez pas plus loin votre raillerie, Mo
, et dès aujourd’hui je vous assure que vous ne serez plus obligée de venir ici, puisque cela commence à vous chagriner. Il f
de nous satisfaire, et que vous ne le faites pas pour nous obliger à venir , je vous jure que je n’y viendrai plus, et que dè
s ne le faites pas pour nous obliger à venir, je vous jure que je n’y viendrai plus, et que dès aujourd’hui je prierai Mademoise
le n’avait garde d’en rien témoigner ; mais elle ne se trompa pas. Il vint en effet le lendemain ; mais comme ce n’était pas
s témoins, sous prétexte d’attendre Mademoiselle de Vougy, je ne suis venu que lorsque j’ai su qu’elle était sortie ; et un
su qu’elle était sortie ; et un moment avant son retour, vous verrez venir un laquais me demander, afin que sous le même pré
e d’un pas si difficile. Elle dit à Mademoiselle de Vougy qu’il était venu pour la voir, sans dire pourquoi, crainte de le c
épondre à ce qu’il lui disait, elle alla chercher une autre fille qui vint avec elle. Elle lui parla pour lors, et lui dit q
la pour lors, et lui dit que Mademoiselle de Vougy savait qu’il était venu le jour précédent. Elle ne sait pas, Monsieur, aj
ande, ou si c’est pour autre chose. Elle sait seulement que vous êtes venu , et si elle n’était pas encore sortie aujourd’hui
est résolue ; car après que vous l’auriez attendue bien longtemps, il viendrait peut-être quelque laquais vous quérir, et vous so
l n’est pas nécessaire que Mademoiselle de Vougy se donne la peine de venir au logis. Elle la prendra avec joie, reprit Angél
e que je pense. Eh bien, dit-elle, faites-le moi, ce sacrifice, et ne venez plus ici. Je ne vous verrais plus, dit-il. Vous m
esprit de la maîtresse, il lui préfère une fille qui la sert ? Je n’y viendrai plus puisque vous me le défendez, je vous écrirai
dre, et qu’elle ne se serait pas déterminée sitôt, si un capucin, qui vint pour confesser sa mère, et dont elle prit le cons
’honnêtetés la rendit plus familière. Il lui demanda la permission de venir la voir tous les jours, elle y consentit avec pei
our que ses visites ne fussent point sues, crainte du scandale, il ne viendrait que le soir, si tard que tout le monde serait ret
ui dirons même, que ne dépendant pas de vous pendant la journée, vous venez quand vous pouvez. Elle croira sur ce pied-là, qu
ard, il ne fut jamais ni vu ni connu de personne. La mère d’Angélique vint enfin à se mieux porter, il en eut autant de joie
e à son souper. J’en serai, reprit-il promptement, ma bonne tante, je viendrai souper avec vous. Ne vous embarrassez point de ce
manière de le faire en augmentait encore le prix. Il ne manqua pas de venir souper : il apporta lui-même ce qu’il avait achet
lui-même ce qu’il avait acheté ; et comme il vint de bonne heure, il vint à pied, enveloppé dans un gros manteau, crainte d
ablement, et considéra que si elle restait à elle, son amant pourrait venir la voir dans de certains moments qu’elle serait s
x sœurs, et le plus souvent avec leur mère, que qui que ce soit ne la venait voir que Contamine, qui ne lui parlait jamais hor
aise de la faire voir comme par rencontre, et qu’il l’avait priée d’y venir sous les armes. Son laquais la suivait, et sa fil
crurent de bonne foi, et ne s’en mirent pas plus en peine. Contamine vint la voir le soir même ; mais elle ne lui donna pas
qui le diront à d’autres, donneront pied à une médisance publique qui viendrait me déshonorer jusqu’ici, et qui me rendrait tout
au désespoir, et se jeta vingt fois à ses pieds pour l’empêcher d’en venir là. Il n’y gagna rien, et il était écrit que le m
que j’ai de plus cher, après mon salut. Je ne puis écrire davantage. Venez au nom de Dieu le plus promptement que vous pourr
la princesse et le vôtre, elle vous demande en grâce la permission de venir se jeter à vos pieds. Je sais son innocence… Made
auvre qu’elle, avec la magnificence dont elle était hier ? Le bien ne vient point si promptement par des voies innocentes. C’
point condamner sans l’avoir entendue. Cette princesse lui permit de venir , et ajouta qu’elle était très satisfaite de la sa
e ce qui venait de se passer à l’hôtel, l’assuran[t] qu’elle pourrait venir sitôt qu’elle voudrait, et qu’elle la recevrait f
en état de paraître plus digne de lui ? Je suis charmée de ce que je viens d’entendre, reprit cette demoiselle. Un[e] autre
jours malheureuse, et renoncer sans retour au bonheur qui semblait la venir chercher ; car Madame, ajouta-t-elle, pouvais-je
Elle les y laissa, questionna la maîtresse et les filles du logis, et vint reprendre le soir Mesdemoiselles Dupuis et de Vou
amant et qu’elle les attendrait tous deux le lendemain après-midi. Il vint la voir [le soir] même, pour savoir de quelle man
plaisir mes remerciements aux vôtres, et j’accepte le rendez-vous. Je viendrai vous prendre demain dans mon carrosse, nous irons
our en savoir la réussite, et ce qu’il en pourrait arriver. Contamine vint à l’heure marquée, je le priai de me conduire dan
tout ce qu’il avait fait pour sa maîtresse ; par quel hasard il était venu à la connaissance de Madame de Cologny, ce qui s’
Madame la princesse de Cologny. Elle le fit entrer. Il lui dit qu’il venait savoir d’elle à quelle heure la princesse pourrai
i dit qu’il venait savoir d’elle à quelle heure la princesse pourrait venir la voir, pour une affaire qu’elle ne pouvait comm
inquiétude et son agitation. La princesse, ayant été avertie qu’elle venait , lui sut bon gré de sa civilité. Elle alla au-dev
par l’ordre de cette princesse, dans l’état magnifique, où elle était venue la veille. Elle fut surprise de se voir appeler,
a eue au faubourg Saint-Germain à la Foire ; puisque c’est de là que vient tout son bonheur et son établissement, aussi bien
ous ai dit que l’heure est prise pour demain, serez-vous d’humeur d’y venir  ? Je n’en sais rien, répondit Des Ronais. Vous n’
réponse est honnête ! Mais sachez que si vous ne me promettez pas d’y venir , et si vous ne venez pas en effet, je romprai tou
Mais sachez que si vous ne me promettez pas d’y venir, et si vous ne venez pas en effet, je romprai tout commerce avec vous.
raccommodé, il n’y a que la honte qui vous retienne. Répondez juste, viendrez -vous ? Que vous êtes pressant, reprit Des Ronais
rez de moi tout ce que vous voudrez. Dupuis entra dans ce moment ; il venait les quérir pour les mener souper chez lui. J’ai f
rsuivit-il, en le montrant à sa cousine, nous ne serions point encore venus , si Monsieur ne nous avait fait souvenir qu’il ne
donner le temps de répondre, Madame de Contamine le prit par le bras. Venez ici fantasque, lui dit-elle en riant, allons à ge
sont très souvent fort trompeuses ; mon cœur devait vous être connu. Venez , continua-t-elle, en le prenant par le bras, mett
rsuivit-elle, que vous eussiez dû y être, Monsieur, je n’y serais pas venue  ; mais j’ai été trompée. Êtes-vous fâchée de m’y
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
t du cœur, je n’en reviendrai jamais, et en même temps les larmes lui vinrent aux yeux. Il prit le papier qui était sur sa tabl
ans cette aventure quelque particularité essentielle, qui n’était pas venue à la connaissance de ceux qui m’avaient instruit.
Il était italien d’origine, de bonne maison, mais peu riche. Il était venu avec le cardinal Mazarin qui lui avait donné de l
attendait. Mademoiselle de l’Épine demeurait proche du logis où elle venait souvent solliciter. Elle avait de puissantes reco
ur nom ne fait rien à ce que j’ai à vous dire. Nous nous obligeâmes à venir tous les soirs, et il fut arrêté que l’Épine qui
s, je vous ôterais toute espérance ; je vous prierais même de ne plus venir au logis ; et enfin je ne vous regarderais de ma
pays, supposé que nous eussions le temps ; parce que, dit-elle, s’il venait à le savoir, supposé encore qu’il se trouvât quel
is, pouvait dire. Je l’ébranlai, mais je ne la persuadai pas. Sa mère vint enfin, et nous trouva ensemble, sans se douter du
e de Minuit ensemble, et nous nous divertîmes fort bien. Les étrennes vinrent , je les fis à toute la société pour avoir prétext
e lui demandais un rendez-vous, et je ne l’obtins pas. Les Rois étant venus nous soupâmes trois fois ensemble. Le carnaval se
ce qu’elle m’avait dit. Cependant je n’étais pas content ; mais il me vint des traverses qui m’avancèrent plus que tout ce q
je n’avais garde de le lui découvrir. Dès le lendemain au matin elle vint me prier de lui faire avoir audience. Elle ignora
té d’une société de jeu ; je ne sais point d’autre sujet qui le fasse venir chez moi. Je sais bien que mes filles ne sont pas
s l’avoue, afin que vous soyez persuadé que c’est malgré moi que j’en viens à la prière que je vous fais de ne plus venir ici
est malgré moi que j’en viens à la prière que je vous fais de ne plus venir ici. Ce n’est point assez que votre conduite soit
me que vous me promettiez de vous assurer quelquefois de mon zèle. Je viendrai si peu, que je ne vous causerai point de nouvel e
a fille, mes affaires n’en avancèrent que plus. Elle ne manqua pas de venir le lendemain aux Minimes où je lui avais écrit qu
cet homme, il ne le connaissait pas. Il me dit seulement qu’il était venu au logis vers les dix heures, et qu’il avait parl
pour me satisfaire. J’avais vu plusieurs fois au logis un homme qui y venait écrire pour le secrétaire de mon père ; il me par
rendrait service. Je donnai ordre qu’on le fît parler à moi quand il viendrait . Il vint, et pour commencer à entrer en matière,
ice. Je donnai ordre qu’on le fît parler à moi quand il viendrait. Il vint , et pour commencer à entrer en matière, je lui do
la mère sur la conduite de sa fille ? Pourra-t-elle avoir le temps de venir à vos rendez-vous, sans qu’on en soupçonne rien ?
c tant de facilité, et si peu de risques. Il me dit qu’avant que d’en venir là, il était bon de convenir des faits. Il se jet
s de Dieu ; et enfin je commençais à m’ennuyer tout de bon, lorsqu’on vint nous dire que nous nous mettrions à table quand n
s a parlé la dernière fois. Je ne doutai pas un moment de quelle part venait ce billet, et j’allai à l’heure précise dans la m
table état où sa perte m’a mis pour le reste de mes jours. Les larmes vinrent encore aux yeux de Des Prez à cet endroit de sa n
ous prêter son entremise pour cacher notre mariage ; crainte que s’il venait à être découvert, votre père ne l’accusât de l’av
languissamment, du moins je crois devoir l’être, que mes malheurs ne viendront jamais de vous, ni que vous n’y contribuerez pas 
surtout le lundi qu’elle serait peut-être dehors toute la journée. Je viendrai , me dit-elle, dimanche à l’église avec une de mes
r quelque partie de promenade hors de Paris. Je sais bien qu’elle n’y viendra pas ; mais toujours ce sera un prétexte pour sort
is bien que ses regrets sont aussi sincères que les miens. Les pleurs vinrent encore aux yeux de Des Prez à cet endroit de sa n
e et un religieux, eut la curiosité de savoir ce que nous disions. Il vint auprès de nous et nous écouta. Nous étions sur un
vais mille fois entendu dire, cela alla si avant, que les larmes m’en vinrent aux yeux. Je me retournai pour les essuyer et cac
le temps qu’il regardait travailler les paveurs et les plombiers, il vint une manière d’ermite lui demander l’aumône. Pour
et ecclésiastique que je récompensai fort honnêtement. Je le priai de venir manger un morceau avec nous, il y vint, et ma fem
t honnêtement. Je le priai de venir manger un morceau avec nous, il y vint , et ma femme lui fit aussi un présent fort honnêt
crite de la main de mon épouse, et me mena dans sa chambre, où il fit venir deux notaires devant qui j’enveloppai ce que j’av
ssi n’en fit-elle point, et j’eus lieu de me louer d’elle. Elle était venue en robe avec un simple petit corset ; je lui sus
u’il fallait pour écrire, étant convenus que toutes les fois que nous viendrions , ce qui serait le plus souvent que nous pourrions
ce mot-ci [ :]Je vais dans notre chambre, je vous y attendrai. Elle vint où nous nous promenions, et prit le temps que nou
laquais ne m’avait pas suivi. Cette femme me dit que mon épouse était venue il y avait environ une heure. Qu’elle lui avait d
est devenu. Comptez pourtant que je ne veux pas perdre ce que j’étais venu chercher, et que je reviendrai demain à la même h
’elle avait entrepris, vous allez le voir. La hauteur des seigles qui venaient jusques à la tête, et qui même la passaient, la s
gnée pour ne plus craindre d’insulte ni de scandale, je le fis lever. Viens avec moi, lui dis-je, je veux te payer ton seigle
a canaille ; mais notre air lui faisait voir qu’il s’était trompé. Il vint où je voulus le mener ; ce fut d’un autre côté qu
pas quand il la verrait. Après l’avoir bien fait accommoder, j’étais venu retrouver mon épouse. J’étais au désespoir de l’a
it toujours refusé. Tout l’hiver se passa de même ; mais la grossesse vint tellement à paraître, qu’il n’y eut plus d’appare
t chez votre mère, restez ici, et n’en sortez pas, qui que ce soit ne viendra vous y chercher ; et vous y pourrez faire vos cou
s soufflets ; mais vous y serez, et ce sera à vous de l’empêcher d’en venir jusque-là. Elle écoutera la raison, et ne me voya
uer. Il faut, dit-elle, que nous y soyons vous et moi avant qu’elle y vienne , puisqu’il faut que nous l’envoyions quérir. Eh b
ur vous supplier de monter dans le carrosse que je vous envoie, et de venir seule où il vous conduira. Vous saurez là de quoi
let avec le même carrosse qui l’avait amenée, avec ordre au cocher de venir descendre au logis, si Mademoiselle de l’Épine ve
dre au cocher de venir descendre au logis, si Mademoiselle de l’Épine venait seule, et d’arrêter dans une église si elle avait
e église si elle avait compagnie. J’aurais été l’y prendre, mais elle vint seule. Pendant le temps qu’on était allé la quéri
uvent, où sa fille la prierait publiquement de la mettre ; et qu’elle viendrait faire ses couches dans le même endroit où je lui
est ici proche, lui dis-je, elle vous entend, et fait bien de ne pas venir chercher de mauvais traitements. Il ne tient qu’à
e pas venir chercher de mauvais traitements. Il ne tient qu’à elle de venir  ; mais si elle venait avant que je l’appelasse, j
de mauvais traitements. Il ne tient qu’à elle de venir ; mais si elle venait avant que je l’appelasse, je lui montrerais devan
défâcha tout à fait. Mais Monsieur, me dit-elle, si Monsieur Des Prez vient à savoir ce qui en est, car je n’en suis fâchée q
sa fille. Je lui dis que cela ne pressait pas, et que je ne la ferais venir que lorsqu’elle serait tout à fait tranquille. En
, rien ne serait encore découvert. Nous arrêtâmes que Madame Des Prez viendrait dès le lendemain demeurer dans sa chambre pour n’
i pourrait nous trahir. Ayant tout résolu je sortis, ayant promis d’y venir dîner le lendemain avec sa mère. Elles exécutèren
leurs qu’on me présage, vous semblez m’avoir oubliée. Au nom de Dieu, venez aujourd’hui si vous voulez sauver la vie à votre
e, pour se conserver auprès de mon père, était au désespoir d’en être venue si avant ; et ne l’avait envoyée à l’Hôtel-Dieu,
rais. Je restai huit jours dans des impatiences incompréhensibles. Il venait à tout moment quelqu’un de ces bons missionnaires
s garant, dit une voix inconnue. Chacun jeta les yeux du côté qu’elle venait , et on reconnut Monsieur de Contamine que sa femm
es mariées depuis le matin jusqu’au soir, et d’obliger leurs maris de venir les chercher à minuit ? Savez-vous bien, lui dit-
t chez Jussy qu’ils trouvèrent encore couché. Des Frans lui dit qu’il venait lui demander à déjeuner avec deux de ses amis. Tr
mmes pas encore dégoûtés l’un de l’autre ; et si vous voulez la voir, venez , venez, je vais vous montrer une des plus belles
s encore dégoûtés l’un de l’autre ; et si vous voulez la voir, venez, venez , je vais vous montrer une des plus belles dormeus
affaires, j’y rêve, ma femme croit que je suis de mauvaise humeur, et vient , par des caresses hors de saison, me faire perdre
je vous assure qu’à votre tour, je vous laisserai tout le temps de me venir chercher. Autre extrémité, reprit-il en riant, tr
3 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
l’île de Groye, que le vent est toujours Nord-Est, c’est à dire qu’il vient du levant d’été, et que nous allons au Sud-Ouest,
le ciel se couvre et a remis le vent à l’Est ; Dieu veuille qu’il ne vienne pas plus Sud. Du jeudi 2e. [mars] Le vent s
er. Nous ne savions pas quelle manœuvre voulait faire notre amiral de venir vent devant, mais son canot, qu’on vient de mettr
et 353 degrés 12 minutes de longitude. Les vaisseaux qui vont ou qui viennent des Indes et qui veulent y faire de l’eau mouille
qui m’en semble, c’est que les Portugais qui sont misérables chez eux viennent ici ou ailleurs, et à coup sûr y épousent des fem
re à tel qui ne vous sera jamais connu. Pour éviter les querelles qui viennent dans le vin il y a toujours un sergent de la garn
e seule suffit pour rassasier ; et il est très vrai que ceux qui sont venus nous voir, je ne dis pas nègres seulement, mais m
Du samedi 25e [mars] Toujours calme. Messieurs de l’Oiseau sont venus ici à confesse à notre aumônier pour faire demain
es toujours en même endroit. Du dimanche 2e. [avril] Le vent ne vient point. Que ce calme-ci m’ennuie ! Mr Hurtain a ga
un matelot à qui j’ai parlé il n’y a pas une heure. Le pauvre garçon vint hier au gouvernail. Le chaud est si étouffant qu’
acte description d’une quantité de quatre-vingts Siamois au moins qui vinrent au-devant de lui en procession tous vêtus comme d
vant Monsieur de Chaumont une thèse en théologie, et qui depuis étant venu en France en a soutenu une en Sorbonne à Paris qu
ulement les chirurgiens mais aussi Messieurs Du Quesne et Joyeux sont venus à bord. On dit ici que ce ne sera rien ; Dieu veu
-hier la description d’un marsouin : je vais vous tenir parole car je viens d’en manger. C’est un animal amphibie, si on peut
our tempérer l’ardeur du soleil, et pour éteindre la soif de ceux qui viennent dans ces chaleurs-ci, ait de toute éternité par u
t mal. Du dimanche 16. [avril] Même chose pour le vent, mais je viens d’en voir une qui contredit la nature. On dit ord
de pris. Monsieur Hurtain décline. Messieurs Du Quesne et Joyeux sont venus le voir : le premier s’en est retourné aussitôt,
e l’augmentation de la maladie de Monsieur Hurtain. Monsr. Joyeux est venu à bord et y a dîné. Il s’en est retourné bien aff
jeté à la mer. Monsr. du Quesne et Monsieur Blondel commissaire sont venus à bord. Ils seront présents à l’inventaire. Ils o
ort content. Après cela l’aumônier du Florissant son frère, qui était venu à bord avec le commissaire et qui y était resté,
u dimanche 23 [avril ] Monsieur du Quesne et Monsieur Blondel sont venus ce matin à bord, et y ont amené Monsieur le comma
e de faire observer la même cérémonie par ceux qui ne seraient jamais venus ici et un écu chacun dans le bassin nous en ont a
ux barils d’eau-de-vie, outre le baptême du navire qui n’était jamais venu sous la Ligne. C’est là ce qu’on peut appeler les
maux de cœur et d’estomac qui m’étaient jusques ici inconnus. Il est venu un grain ce soir, nous l’avons salué de nos hunie
on de demander au valet de chambre de Monsieur le Commandeur, qui est venu du Gaillard avec lui, si le matelot qui tomba à l
uvé : j’ai appris que non. Quel désespoir de voir son navire, de voir venir à son secours et, faute d’être aperçu et faute pe
pas qu’il y en puisse avoir à l’épreuve de cette mort-ci : on la voit venir sans y être préparé, on voit les autres s’intéres
es-uns de leurs bâtiments. Du dimanche 30e. [avril] Le vent est venu à l’Est, ainsi nous allons au Sud-Sud-Est, qui es
y ayant point eu de vent la chaleur a été très grande aujourd’hui. Il vient une petite fraîcheur du côté de l’Ouest qui nous
e fait calme toute la nuit, mais vers le lever du soleil, le vent est venu Ouest, bien faible, mais s’est rafraîchi sur les
12e. [mai] Vent variable toute la nuit et toute la journée. Il est venu ce soir Sud-Ouest, c’est ce qu’il nous faut s’il
ne bonne et juste description à la mer, n’étant pas assez privés pour venir nous voir, à moins que ce ne soit quelque oiseau
uelque oiseau de terre que le vent pousse à la mer et qui fatigués se viennent poser sur les haubans ou autre part, où on les pr
er. Du vendredi 19. [mai] Le vent a calmé Dieu merci, peut-être viendra-t -il bon. En tous cas de quelque part qu’il vienne
merci, peut-être viendra-t-il bon. En tous cas de quelque part qu’il vienne il ne peut pas nous être plus contraire qu’il éta
est jusques sur les six heures du soir qu’il a renforcé, la pluie est venue qui n’a pas duré longtemps mais elle a fait chang
t-ci continue. Messieurs Du Quesne, de Quistilly et de Chamoreau sont venus dîner ici et y ont amené plusieurs officiers et d
ps. Nous fourrâmes hier le vent de Sud dans nos bouteilles, il en est venu d’autre cette nuit, mais bon, c’est du Nord-Ouest
ur vous dire que comme j’achevais d’écrire à soleil couchant on m’est venu dire qu’on voyait la terre. J’en viens, elle nous
rire à soleil couchant on m’est venu dire qu’on voyait la terre. J’en viens , elle nous paraît dans le Nord jusques au Nord-Es
attaqués. Nous avons parlé à Messieurs du Gaillard qui disent qu’ils viendront dîner d’aujourd’hui en huit jours avec nous : le
derait pas. Du lundi 5e [juin] Le vent a changé ce matin et est venu au Nord et a pris de l’Ouest petit à petit si bie
barrassés de ce que nous donnerions à dîner à Monsieur Du Quesne s’il venait dîner ici comme il nous le dit il y a huit jours,
e plaint fort de leur peu de bonne foi. Il croit que ces peuples sont venus des anciens Juifs, et que depuis environ trois ce
a plus estimée. Bien plus, ce ne sont pas seulement les filles qui en viennent à ces excès, ce sont les femmes mariées du consen
qui s’y sont faits. Il y a ici des matelots et d’autres qui sont déjà venus où nous sommes dans le navire Le Coche, appartena
oché de terre beaucoup plus que lui. Du jeudi 22. [juin] Il est venu aujourd’hui aussi bien qu’hier des Noirs à bord,
y cultivent du riz, et je suis persuadé que le froment et la vigne y viendraient à merveille, puisque j’y ai vu non seulement ce q
e leurs mains ne sont pas sûres. Il y en a eu un entre autres qui est venu à la cabane pendant que j’y étais seul d’officier
pendant que j’y étais seul d’officier. Il m’a fait dire qu’il voulait venir en France avec nous et qu’il me demandait passage
je n’étais point d’humeur à cédera une poignée de gens de même. D’en venir à la violence, j’aurais assurément été blâmé de M
t leurs assemblées pour louer Dieu. Notre premier pilote qui est déjà venu ici m’a dit qu’il avait vu un de leurs mariages,
u visage, mais cela ne sera rien Dieu aidant. Le même caporal qui est venu avec moi à Moaly a deux doigts de la main droite
nte lieues de la Ligne vers Paris, mais il faudra retourner d’où nous venons avant que de voir les clochers de Notre-Dame. En
pour nous reconnaître, nous avons mis pavillon anglais pour les faire venir à bord. L’appât était trop grossier, elles n’ont
t des nouvelles. Celui-ci venait de Trinquemalé à dix lieues d’ici et venait à Capello qui est justement l’endroit où nous l’a
nt l’endroit où nous l’avons pris à une lieue de terre ou environ. Il venait chercher du riz et du bois et était chargé de roc
n mouvement ; elle avait simplement touché. Monsieur Du Quesne a fait venir à son bord tous les capitaines. Ils ont tenu cons
à poupe toute la journée, et leur avons montré même pavillon. Il est venu à bord un Français, nommé Monsr. Cordier par lequ
is. Ils nous apportent du poisson qu’on leur paye. Le premier qui est venu à bord avait amarré son rat à un anneau et était
se perdre absolument que d’en approcher davantage. Les noirs du pays viennent prendre ceux qui y vont et les marchandises qu’on
les ai cassés tous deux ; ces misérables s’imaginent que les morts y viennent manger et boire, et c’est pour cela qu’ils y lais
it qui que ce soit auprès, de peur sans doute d’empêcher le défunt de venir souper. Pour leurs filles ou femmes on ne les voi
e remontrance sort et trouve un éléphant à qui il coupa la tête et la vint mettre sur le corps de Mado, qui depuis ce temps-
mas, comme dit Monsieur Godeau dans son Histoire de l’Eglise, qui est venu dans ce pays-ci, qui leur en avait donné connaiss
t. La tête remua trois fois, et dans les vingt-quatre heures la pluie vint . Il est inutile de dire que c’était les esprits v
ité n’est pas tout à fait absolue à cause de sa jeunesse, et qu’il ne vient pas d’une longue suite de rois. Les princes de ce
voyant avantageusement mouillés a mis pavillon de conseil pour faire venir tous les capitaines à son bord. Ils y ont été et
ivis et s’est battu assez bien pendant quelque temps. Le Gaillard est venu ensuite, et 1’Oiseau a tenu la queue. Nous avons
suivi et le Florissant dans le même temps, le Lion et le Dragon sont venus ensuite, et l’Oiseau a été le dernier qui a quitt
de la portée de leur canon, ils ont mis à la voile. Je croyais qu’ils venaient nous trouver à leur tour, mais je me trompais : i
ête comme la grêle. Nous étions trop éloignés l’un de l’autre pour en venir à la mousqueterie, ainsi j’étais simplement spect
échappé belle à Amzuam, j’ai eu ici un coup plus favorable : j’ai vu venir un boulet à moi, j’ai baissé la tête bien vite co
iré trois coups de canon, ce qui est apparemment un signal pour faire venir des Français ; ils ont meilleure oreille que moi
rque et un bot qui sont restés a deux grandes lieues d’ici n’ayant pu venir à cause du vent et des courants contraires. Du
sont à présent sous les voiles pour retourner chez eux, et nous nous venons d’appareiller pour aller attendre au passage quat
vent a toujours été contraire jusques à ce matin dix heures qu’il est venu assez favorable mais inconstant, le ciel toujours
. Sur les deux heures après minuit, le Florissant a viré de bord pour venir à nous et nous a demandé si nous voyions ces deux
, n’y connaissant personne. Leur aumônier qui est un missionnaire est venu dîner ici et voir Monsieur Charmot. Il me paraît
heure de la pluie n’était pas passée, il a plu beaucoup. D’où peuvent venir les pluies qu’il fait ici tous les soirs, car il
r chez lui. Mais comme Messieurs de Quistilly et de Chamoreau doivent venir ici, Monsieur de Porrières l’a remercié, et lui a
nsieur de Porrières l’a remercié, et lui a fait dire que s’il voulait venir ici il serait le bienvenu, et cela d’un certain a
28e. [septembre] Calme presque tout plat. Tous ces messieurs sont venus dîner ici aujourd’hui, et j’ai été au Florissant
rt et toujours vent près. Il a extrêmement plu ce soir et le vent est venu bon, mais comme nous croyons être proche des îles
emment poussés au large par le vent n’ont pu la retrouver, et se sont venus percher sur nos vergues et nos manœuvres. Nos mat
nous mangerons demain au soir la bécasse. Bien des gens qui sont déjà venus ici et qui sont avec nous disent que cela est ext
roiser deux jours, et que s’il ne trouvait point Monsr. du Quesne, il viendrait nous rejoindre. l’Ecueil a donc fait route pour N
a fait calme tout le jour et ainsi une chaleur excessive. Le vent est venu Nord-Ouest ce soir, et est bon pour rattraper Nég
-Ouest ce soir, et est bon pour rattraper Négrades. Que le Florissant vienne ou non, c’est une nécessité pour nous d’y aller ;
i pèsent quatre et cinq cents livres. Ce ne sont que les femelles qui viennent à terre, le mâle restant toujours à l’eau. Cet an
u’il se retourne sur le ventre, et par conséquent qu’il marche. Il ne vient à terre que pour se décharger de ses œufs qu’il p
oque qu’ils cherchent naturellement l’eau. Et c’est lorsque les mères viennent à terre pour y mettre bas que les matelots les pr
bien de quelques matelots ou autres des navires européens qui y sont venus hiverner comme nous, et qui y ont enterré comme n
s troncs publics, toujours prêtes à recevoir les offrandes du premier venu . Cela me fait souvenir de l’axiome du droit qui d
illard et l’Oiseau arrivèrent à Négrades le mercredi 25e du passé, et vinrent le lendemain mouiller proche de nous. Ils étaient
r faire voir qu’il est en vie et toujours lui-même. Le Portugais, qui vint avec lui le 25 du passé assura qu’on avait trouvé
quelque chose dans la suite. Les Hollandais qui sont ici, et qui nous viennent des bâtiments que nous avons pris, souhaitent for
bâtiments que nous avons pris, souhaitent fort que leurs compatriotes viennent , et se disent les uns aux autres : Les voilà tous
nt les uns aux autres : Les voilà tous malades, si nos gens pouvaient venir ils en auraient bon marché. Je vous jure pourtant
ant bon besoin. Du mardi 5e. [décembre] Il nous est aujourd’hui venu des rafraîchissements, peu de chose effectivement
royaume de Bengala ou Bengale, c’est une grande anse dans laquelle se viennent décharger plusieurs rivières entre autres le Gang
é. Ils ont de la cire et du miel en quantité, et c’est d’eux que nous vient la laque dont on fait en Europe ce que nous appel
ernard et est portugais. Il y a plusieurs Bengalais catholiques qui y viennent entendre la messe. J’y ai assisté. Ils sont fort
ons, la banane, l’ananas, le coco et mille autres fruits et légumes y viennent en abondance. Je vous ai parlé de la viande, le p
n sans être en état de leur résister ; les tigres font bien plus, ils viennent jusques au cœur de la ville en enlever des enfant
les uns aux autres et ne manquent pas de bonne volonté, mais s’ils en venaient à quelque excès ils ne s’en trouveraient pas bien
e vent. Année 1691, Janvier Du lundi premier [janvier] Je viens d’entendre la messe et après avoir donné à Dieu l
us ne nous séparions point. Du dimanche 7 [janvier] Le vent est venu cette nuit bon et bon frais, mais nous ne portons
t bon frais, mais nous ne portons point toutes nos voiles parce qu’il vient avec nous un bot qui porte à Pondichéry des canon
vers Surate jusques à la côte de Coromandel vers Pondichéry. Le Mogol vint en personne pour le punir de sa trahison, mais Sa
croyait Sauvagy éloigné de plus de trente lieues, c’était lors qu’il venait donner la chemise blanche à l’armée du Mogol. Il
e, qui est la ville la plus marchande des Etats du Mogol. Lorsqu’il y venait il obligeait tout le peuple d’en sortir, et il y
n pays et attendait que Surate se fût remise de son pillage pour y en venir faire un autre. Enfin il a tant fait que le Mogol
forte comme celle du Mogol, il a été obligé de se retirer après être venu plusieurs fois aux mains avec les ennemis sans pe
a campagne rendent les chemins mal sûrs, et leurs naires ou cavaliers viennent jusques aux portes de Pondichéry et traitent asse
est des dépendances de Remraja, mais que les gens de guerre du Mogol venaient jusques à ses portes et massacraient et pillaient
ien, c’est un de ses généraux qui la commande. Un de ses partis était venu jusques aux portes de Pondichéry, et en se retira
rois mille bestiaux tant bœufs que cochons. Les noirs des environs se vinrent plaindre à Monsieur Martin, qui leur avait moyenn
réputation. On a encore appris qu’ils équipent quatorze navires pour venir nous trouver. Si cela est, nous le saurons et nou
uit, plus pour conserver leur réputation, que pour aucune envie de se venir faire chauffer. On a aussi reçu des nouvelles de
de leurs vies, sans compter les fatigues du voyage, ils disent qu’ils viennent enseigner aux autres. Il serait à souhaiter pour
au sur les mains, et c’est un Noir qui le sert, lui et les autres qui viennent ensuite. Ce Noir pose les pots à terre, prend de
même chose que le vieillard et sont servis de même, et le dernier qui vient jeter le riz sert à son tour celui qui a servi to
l’eau dans deux pots neufs auprès du foyer, afin que l’âme du mort y vienne prendre sa réfection, comme je vous ai dit que j’
ve là avec abondance de tout ce que le pays produit et même de ce qui vient d’ailleurs. Ils se vendent comme parmi nous argen
le vent qui soufflait, c’étaient tous les diables d’enfer qui étaient venus tenir leur assemblée générale aux extrémités des
le Florissant et le Dragon. Du samedi 10e. [mars] Le vent est venu contraire tout à fait, et bien gros vent dès cett
hait. Il fait calme tout plat. Du mardi 13e. [mars] Le vent est venu bon mais bien faible, le ciel s’est couvert. D
ours couvert et nous donne de la pluie de temps en temps, le vent est venu bon cet après-midi. Mr d’Haire a tiré un coup de
ournée, il a fait fort beau temps. Du samedi 17. [mars] Le vent vint hier au soir bien petit et variable, nous avançon
Toujours beau temps et méchant vent. Le chirurgien du Florissant est venu à bord voir le nôtre qui est fort mal. Je vous ai
e n’est pas là le moyen de passer le Cap dans ce mois-ci. Le vent est venu ce soir, pas mauvais mais bien faible. Du vend
lundi 26e. [mars] Il a tout à fait calmé cette nuit et le vent est venu contraire. Du mardi 27. [mars] Encore vent
oujours été calme, ou il a si peu fait de vent que rien. Enfin il est venu bon ce matin et a rafraîchi cette après-midi et n
ous pour dire quels ils sont. Du samedi 31e. [mars] Le vent est venu bon cette nuit, on a fait bonne route. De dessein
Le vent a été bon jusques à neuf heures du matin, après cela, il est venu tout à fait contraire, et il a calmé ce soir.
nous sommes encore fort loin. Du samedi 7e. [avril] Le vent est venu bon cette nuit. On voyait encore la terre ce mati
. Que pensent-ils ? Je crois qu’ils enragent de n’être pas en état de venir au-devant de nous ou de nous couper le chemin, su
arrière. Nous l’avons perdu de vue sur le midi, mais le vent, qui est venu contraire sur les deux heures nous empêche de qui
Nous avons enfin perdu de vue les terres d’Afrique ; le vent qui est venu bon cette nuit nous a fort avancés et nous avance
le et sont meilleurs à mon goût. Ces animaux sont si familiers qu’ils viennent à bord, se perchent sur les vergues et les matelo
u’il y en a un d’abattu, les autres ne fuient point, au contraire ils viennent autour en si grande quantité qu’ils dérobent la l
r rafraîchissement que l’on trouve à cette île. C’est la tortue qui y vient , dit-on, en très grande quantité. Nous n’en avons
auté et son lustre, n’étant que les femelles qu’on prend lorsqu’elles viennent à terre confier leurs œufs à la chaleur du soleil
devant le Fort-Royal par un beau clair de lune. Monsieur de Porrières vient d’aller au fort. Du mardi 5e. [juin] Nous n
s. Ils s’étaient tous rejoints vers le cap de Bonne-Espérance et sont venus jusques ici de compagnie. Il faut être ce que nou
rbouville capitaine de vaisseau du Roi qui commande le Mignon, voyant venir dans la rade où il était mouillé cinq navires qu’
et qui leur font voir un pavillon blanc, et cela dans l’espérance de venir retrouver leurs anciens maîtres comme on le leur
s de Saint-Christophle. Chacun voulait être du détachement qui devait venir avec nous ; ils espéraient se venger des Anglais
s sitôt qu’on a su le contraire chacun s’est plaint que nous n’étions venus que pour les affamer sans leur rendre aucun servi
s beaucoup de leurs vivres) ; que les Anglais sachant que nous étions venus ici sans aller à eux se mettront dans la tête qu’
ndé par le capitaine Lajona. Les autres quinze sont des marchands qui viennent jusques au Tropique sous notre escorte, et des pr
nces les Anglais n’auront pas si bon marché de La Martinique si ils y viennent , qu’ils ont eu de Saint-Christophle. Du mercre
s de même. Du samedi 28 [juillet] Le vent a un peu changé et ne vient que par bouillarts. Cela a donné lieu à des gageu
nche 5e. [août] Le vent a changé cette nuit bout pour bout, il est venu au Nord-Ouest fort bon et nous allons à merveille
serons en France. Du jeudi 9e. [août] Toujours bon vent. Il est venu ce matin un corsaire nous tâter, nous avons donné
venu ce matin un corsaire nous tâter, nous avons donné dessus. Il est venu proche de nous, mais il n’y avait rien à gagner n
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
; et y ayant fort longtemps qu’il est établi en province, et qu’il ne vient à Paris que rarement, nous vivons dans une assez
mes pieds. Je le ramassai et levai la tête en haut pour voir d’où il venait . Je vis une jeune femme à la première chambre qui
nti depuis. Notre conversation finit par une prière qu’elle me fit de venir le lendemain manger des petits pâtés avec elle. J
colier, qui était toujours levé de bon matin. Il n’importe, dit-elle, venez à telle heure qu’il vous plaira, je vous tiendrai
e heure qu’il vous plaira, je vous tiendrai parole. Je lui promis d’y venir , et n’y manquai pas. Il est à propos de vous dire
meuse, qui demanda qui était là ? C’est moi, Madame, répondis-je, qui viens chercher les petits pâtés que vous m’avez promis.
ercher les petits pâtés que vous m’avez promis. Ah, ah, reprit-elle ; venez , venez, mon bel enfant : elle fit ouvrir ses fenê
les petits pâtés que vous m’avez promis. Ah, ah, reprit-elle ; venez, venez , mon bel enfant : elle fit ouvrir ses fenêtres pa
rait que ce serait à cause que je perdrais trop de temps à aller et à venir , qu’on me remettrait en pension, et que je ne la
toujours grand soin de cacher sa croix de l’Ordre, surtout lorsqu’il venait la voir. Enfin notre commerce fut rompu parce qu’
allez lui dire que vous m’y avez vu entrer ; je suis sûr qu’elle m’y viendra trouver crainte que je ne fasse quelque sottise ;
tre en embuscade dans le cabaret. Je n’y fus pas longtemps que je vis venir ma bonne maman avec un visage rouge comme feu, qu
à qui cette boutique appartenait, avait fait aussi la débauche, il ne vint qu’à plus de neuf heures. Je m’étais réveillé au
et malgré le froid j’y aurais attendu la nuit, si le savatier ne fût venu détourner sa boutique. Il crut que le diable en a
de pis. J’allai trouver Sophie, je lui dis d’un air hypocrite, que je venais lui faire réparation et me soumettre à tout ce qu
rendre spectateur d’une cérémonie qui me mettrait au désespoir. Je ne viens ici, poursuivis-je, que poussé d’un vrai regret d
oisins. La première fois que je lui parlai ce fut à une noce, où elle vint déguisée en paysanne. Elle avait un petit panier
ui dis-je, que je voudrais casser vos œufs, ce serait pour vous faire venir du lait. J’ai une vache qui m’en fournit plus qu’
e, continuai-je, et je voudrais bien être votre rat de campagne. J’en viens chercher un en ville, dit-elle : ils me semblent
ttendre, et je veux m’en retourner. Comme nous allions poursuivre, on vint la prendre pour danser ; cela nous interrompit. E
je ne la vis plus. J’allai chez elle le lendemain ; je lui dis que je venais conclure le marché. Elle se mit à rire, et me dit
ue j’eus avec elle pendant fort longtemps. Enfin je me déclarai. Cela vint au sujet de la sœur aînée qui se mariait. Vous sa
en de son rôle. Il lui parla devant ses deux filles. Il lui dit qu’il venait lui proposer un parti qu’elle ne refuserait pas p
sence. Célénie la rappela inutilement. Comment donc, lui dis-je, d’où vient cette aigreur entre vous et votre sœur ?  Elle ne
es eurent ordre de n’en point parler. J’en fis avertir Célénie ; elle vint me voir, je lui dis ce qui en était, et pris même
rs frères. Pour revenir à Célénie, qui, comme je vous ai dit, m’était venue voir, et qui m’avait remercié d’avoir si bien pri
de ses duretés pour moi, et qui les redoublerait sans doute, si elle venait à connaître que mon mariage fût forcé. Que j’avai
sé entre nous : mais comme vous avez apparemment tout oublié, je suis venu exprès en poste pour vous en faire souvenir. Parl
lles que je vous ai emportées ? Ne vous reposez plus sur mes paroles, venons aux effets. Est-ce à moi, ajoutai-je, à vous pres
Il me dit à son retour, qu’il l’avait fait demander, et qu’elle était venue  ; mais que l’ayant reconnu, elle avait fait beauc
avoir eu tout le temps de lire ce que je lui avais écrit, elle était venue le retrouver ; et que pour toute réponse, elle lu
t croire que la belle s’était couchée en attendant son époux, qui est venu peu de temps après, et qui s’est approché d’elle.
s, à cause des boues dont cette maudite ruelle est pleine, et je suis venu tout aussitôt vous en faire le récit, bien fâché
e vous supplie de le porter ; et si on vous demande de quelle part il vient , dites que Monsieur Alaix le saura bien en lisant
ille les dernières faveurs, comme on peut demander autre chose : cela vient , comme dit le proverbe, de fil en aiguille. Madem
e je donnai au diable dans le moment, et qui pourtant me fit plaisir, vint nous rompre en visière en entrant dans la chambre
eu ? Vous auriez trouvé votre fait, me répondit-elle, si vous fussiez venu un moment plus tôt : il ne fait que d’en sortir u
demoiselle a raison, dis-je à la Delorme, je l’aime de cette humeur. Vient -elle souvent ici, poursuivis-je ? Oui, me répondi
-elle souvent ici, poursuivis-je ? Oui, me répondit-elle, elle doit y venir demain sur les onze heures ; et elle y est restée
rd’hui plus d’une grosse heure à attendre un monsieur qui n’est point venu comme il m’avait promis. Elle ne se donne pas à t
elle est, répondit cette femme ; je ne sais point sa demeure. Elle ne vient ici qu’à cause de l’absence d’une de mes amies, e
s sortes de précautions pour s’empêcher de l’être. Es-tu sûre qu’elle viendra demain, demandai-je à cette femme ? Assurément j’
ez trop garde à qui vous vous jouez : et je voudrais que vous fussiez venu assez tôt pour la trouver. Tiens, lui dis-je, en
e ce soit : fais en sorte qu’il n’y ait personne chez toi lorsque j’y viendrai  ; et surtout ne me joue pas d’un tour ; car si ce
ulement que je suis un de tes amis. Ne vous mettez en peine de rien ; venez seulement, me dit-elle, je vous jure que vous aur
à lui parler, et que j’allais l’attendre chez moi où je le priais de venir . Il me le promit et n’y manqua pas. Qu’y a-t-il p
ice, me dit-il en entrant : ce n’est pas pour moi que je vous ai fait venir , lui dis-je, c’est pour vous-même. Vous êtes celu
en estime davantage ; tout au moins ne refusez pas de m’accompagner. Venez avec moi, vous ne ferez que ce que vous voudrez f
votre digne maîtresse dans le temple de Vénus. Si vous n’y voulez pas venir , gardez-moi le secret ; et je vous réponds qu’ava
ête que celui-ci, Mademoiselle, lui dis-je ; mais nous n’y sommes pas venus ni vous ni moi pour pleurer ; c’est l’envie de no
t bien qu’elle ne pouvait pas sortir. Sitôt qu’elle avait vu Grandpré venir à elle l’épée à la main, elle avait poussé un gra
Grandpré s’il voulait laisser partir la belle Récard comme elle était venue  ? Que tout au moins la civilité voulait qu’il se
je n’ai pas les mêmes raisons que Monsieur de Grandpré, et je ne suis venu ici que dans le dessein de voir une belle fille ;
e qui pleurait à chaudes larmes ; c’était la femme du banquier que je venais chercher, et l’autre qui la consolait était sa sœ
e vous n’étiez ! Que feriez-vous si votre mari gâté par des vilaines, venait vous gâter aussi, vous obligeait d’avoir recours
à qui s’en tenir ; et qu’une femme surtout, pût se donner au premier venu suivant son choix. Un homme ne fait autre chose a
je m’y serais pris de cette manière, si ce garçon zélé ne me fût pas venu dire tout d’un coup, qu’il avait trouvé le secret
e, par un moyen honnête. Comment t’y es-tu pris, lui demandai-je ? Je viens , me dit-il, de voir sortir de chez elle une porte
uatre jours après, le mari de cette femme, qui était un portefaix, me vint prier de tenir son enfant. Je ne le connaissais p
oyé, Madame, ajouta-t-il, pour voir si la commère vaut la peine qu’il vienne  : car sans cela il n’y viendra pas lui-même. Ah,
voir si la commère vaut la peine qu’il vienne : car sans cela il n’y viendra pas lui-même. Ah, ah, dit-elle en riant, il s’en
aquais, il sait bien que j’ai les yeux bons. Eh bien, dit-elle, si je viens , y viendra-t-il ? Oui, Madame, répondit Poitiers,
l sait bien que j’ai les yeux bons. Eh bien, dit-elle, si je viens, y viendra-t -il ? Oui, Madame, répondit Poitiers, il viendra v
lle, si je viens, y viendra-t-il ? Oui, Madame, répondit Poitiers, il viendra vous quérir lui-même. Je lui serai fort obligée,
e extraordinaire. J’ai envie aussi de le voir, poursuivit-elle, qu’il vienne quand il voudra, je serai toujours prête. C’est p
elle, ce sera cet après-midi à trois heures. Je l’attendrai s’il veut venir me prendre. Poitiers vint me rapporter cette répo
i à trois heures. Je l’attendrai s’il veut venir me prendre. Poitiers vint me rapporter cette réponse avec leur conversation
sieur, me dit-elle. Il vous a fait de moi un portrait qui vous a fait venir , et vous ne trouvez pas que l’original en vaille
de si beau que vous, je vous avoue que je voudrais bien n’être point venu . Je ne me sauverai pas d’auprès de vous, sans y l
uriez tort de la regretter ; et vous ne devez point être fâché d’être venu . Je ne serai point fâché, lui dis-je, que ma libe
pas fâchée que vous ayez bonne opinion de moi : mais vous n’êtes pas venu ici pour cela, c’est pour aller tenir un enfant e
et en effet, j’y remarquais tous les jours quelque nouveau charme. Il venait chez elle assez de monde, dont quelques-uns s’emb
sser aller à un homme comme je l’aurais assurément ; et que cet homme vînt à me trahir, et à me découvrir, et à me mépriser 
se d’un nom si auguste et le profaner, lorsqu’on n’est pas résolu d’y venir  ? Ne pouvait-il pas lui dire en particulier ; je
it jours après, cette affaire n’a point fait assez de bruit pour être venue jusqu’à vous ; et vous ne sauriez connaître par l
à sa chambre, n’a jamais su cet accouchement, ni les deux autres qui vinrent après. Ce fut un garçon qu’elle mit au monde à sa
dant la collation, et chacun dit ce qu’il pensait des aventures qu’on venait d’entendre, le lecteur peut s’imaginer ce qui fut
à treize ans, et qui est à présent le chef de la famille, le même qui viendra souper ici avec Madame de Londé. Il y avait à tab
arent, cousin de ma mère que vous connaissez. Mais puisque l’occasion vient d’en parler, je crois vous devoir avertir, Madame
qui fit des regrets sur sa perte aussi touchants, que si elle ne fût venue que d’arriver. Sa douleur pensa lui coûter la vie
urément. J’avoue encore qu’il m’épouvante, et la lettre de Silvie qui vient à la charge, et qui semble me prophétiser quelque
e sur une campagne à perte de vue. À peine y fus-je assis, que je vis venir du côté où j’étais, une grande femme parfaitement
en moi-même, il y a ici quelque amourette. Un moment après une femme vint lui parler : je n’entendis point ce qu’elle lui d
e qui attendait son héros sur le pré ; je me trompais, elle n’y était venue que pour déconcerter un rendez-vous. Comme je n’a
. Et... Je voulus poursuivre, lorsque cette même femme qui était déjà venue lui parler revint encore. Il n’y a point d’appare
. Elle prit ma comédie pour une très grande sincérité. Les larmes lui vinrent aux yeux à son tour ; en un mot, je la touchai vi
it la première à rire des égarements de son époux, et qu’elle n’était venue dans ce jardin, que pour le surprendre dans un re
ta qu’elle avait eu toutes les peines du monde à la faire résoudre de venir  ; mais enfin elle vient, me dit-elle, poussez vot
es les peines du monde à la faire résoudre de venir ; mais enfin elle vient , me dit-elle, poussez votre fortune. Madame de Lo
enfin elle vient, me dit-elle, poussez votre fortune. Madame de Londé vint en effet, Mousson voulut sortir, elle la rappela.
ues de Paris, où il coucherait à son ordinaire ; et que si je voulais venir le lendemain de bon matin, elle me ferait voir sa
t levée et habillée. Cette femme qui aime véritablement sa maîtresse, vint me trouver au logis où je m’étais retiré : elle m
core. Comme nous étions ensemble à parler de choses indifférentes, on vint l’avertir qu’on le demandait à la porte. Nous y a
le demandait à la porte. Nous y allâmes ensemble. C’était Mousson. Je viens mon révérend Père, lui dit-elle, vous supplier de
gations qu’elle vous aura de son raccommodement ; et si vous voulez y venir présentement, ajoutai-je, je vous y accompagnerai
y voir, parce que j’étais fort sûr que cela empêcherait sa femme d’en venir à quelque éclaircissement qui ne m’aurait pas plu
régal pour la première fois que Monsieur nous fait l’honneur de nous venir voir, que des querelles domestiques, reprit Londé
ui aller demander ma tabatière, et j’entrai sans la faire avertir. Je viens vous avertir, Madame, lui dis-je, de vouloir bien
é une petite tabatière que je crois avoir laissé tomber ici ? Elle me vient d’une main qui m’est extrêmement chère. Elle envo
ma tabatière, empêcha mon dessein. Je repris ce que j’avais feint de venir chercher, et je sortis aussitôt. Apparemment que
l’embrasser, le privilège de mari la gêne et la contraint, il en faut venir aux épées et aux couteaux ; et ce n’est pas mon h
e dépend que de moi de l’y mettre ; mais je voudrais que ses caresses vinssent d’elle-même et de son cœur, et non pas des remont
ecevoir son mari. Je me mis auprès d’elle ; mais lorsque je voulus en venir au fait, elle me dit, qu’elle savait bien que j’é
toute jeune. Les gens de ville et du grand air sont souvent plus mal venus auprès de ces sortes de filles que des paltoquets
erté et plus à notre aise. Nous nous avisâmes que son père et sa mère venaient à Paris tous les mercredis et samedis matin à la
y allaient dès les mardis et vendredis au soir. Nous convînmes que je viendrais coucher à ma maison toutes les nuits des mardis a
ts des mardis aux mercredis, et des vendredis aux samedis, et qu’elle viendrait me trouver sitôt que son père et sa mère seraient
, et jeta son plan là-dessus pour la surprendre, comme elle fit. Elle vint une heure avant que cette fille dût sortir de ma
lui dire ni faire autre chose. Elle entra aussitôt dans ma chambre et vint me trouver à mon lit ; je n’avais garde de songer
rti qu’elle devait prendre ; mais qu’enfin elle s’était résolue de me venir voir. Qu’elle y était venue en effet, et que je l
mais qu’enfin elle s’était résolue de me venir voir. Qu’elle y était venue en effet, et que je lui avais dit mille extravaga
priée de ne me point laisser voir à son époux, qu’elle savait devoir venir . Qu’en effet, il y était venu deux fois ; mais qu
oir à son époux, qu’elle savait devoir venir. Qu’en effet, il y était venu deux fois ; mais que vous lui aviez toujours dit
résolus, et ce que je ne puis comprendre moi-même, c’est qu’il ne me vint jamais dans l’esprit de tourner la pointe de mon
retenant, je n’ai plus rien à ménager dans les termes où je suis. Je viens chercher la mort en votre présence, puisque je ne
ne peut être assouvie et satisfaite qu’à mon dernier soupir ; je suis venu pour le lâcher devant vous. Au lieu de me rendre
ût voulu que Mousson eût oublié sa serviette dans sa chambre, où elle venait la quérir. Elle entendit la voix de sa maîtresse
où elle venait la quérir. Elle entendit la voix de sa maîtresse et y vint . Je vous laisse à juger de sa surprise, en la tro
onnaissait presque pas. Je n’étais pas encore guéri, et le chirurgien venait me voir tous les jours. Cela donna lieu au soupço
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
s, il y avait entre autres un élu de l’élection de la même ville, qui venait pour des billets d’entrée franche qu’il avait. Co
l’ordre ; que mon registre même n’était point en état, et que si j’en venais avec lui à quelque extrémité, cela me ferait des
et moi en état de rendre compte, et je voulais sortir de l’emploi. Il vint environ quinze jours après avec un assez gros paq
heure pour lui donner satisfaction ; mais le tour que je lui jouai me vint tout d’un coup dans la tête. Je lui fis plus de c
u, Monsieur l’élu à deux heures, lui dis-je en riant. Ces deux hommes vinrent  ; je leur contai ce qui m’était arrivé avec l’élu
et je descendis à deux heures juste. L’élu était trop en colère pour venir lui-même, il envoya un laquais chercher ses papie
n ne l’appelle presque plus que Monsieur l’élu à deux heures. Ce tour vint jusqu’aux oreilles de Monsieur l’intendant qui n’
piliers. Une sœur grise, de celles qui ont soin des enfants trouvés, vint m’y prier d’en tenir un dans le moment qu’on alla
n laquais que j’avais avec moi me chercher un carrosse, avec ordre de venir me joindre aux Enfants-Trouvés. Je donnai la main
our le nom, et enfin comme c’était une fille, elle nomma. Les enfants vinrent quêter ; et comme ces petits innocents sont en ef
ns saluer sa santé, je m’étais servi du premier expédient qui m’était venu dans l’esprit. Elle reçut fort bien mon complimen
moment. J’y retournai le soir et lui dis qu’étant de ses voisins, je venais passer la soirée avec elle et sa compagnie. Il ne
me au plus vite à Paris, chercher un carrosse ; parce que nous étions venus à pied, n’y ayant pas plus d’un quart de lieue :
er dans le voisinage ; on savait toujours où elle était. Ses voisines venaient le plus souvent travailler chez elle, et c’était
nétrer le secret de sa naissance, mais le temps n’en était pas encore venu . Cependant mes oncles m’offrirent un autre emploi
us rendre en main propre ce paquet-ci. Ne vous informez point d’où il vient  : mais informez-vous des vérités qu’il contient :
nte que je ne visse celui qui me la donnerait, qui était le même dont venait l’avis, et qui n’avait voulu se confier du secret
son adresse ; j’y allai, je le trouvai, et l’abordai sous prétexte de venir voir, si, comme je supposais qu’on me l’avait dit
retenir à dîner pour le vin du marché, il y consentit : mais midi qui vint à sonner, l’obligea de nous quitter, et de me dir
re en province, ses biens, sa fortune, ses emplois, et ce qu’il était venu faire à Paris ; et j’accompagnai mes questions d’
montrerai, j’y répondrai, et reviendrai à Paris. Silvie et son amant viendront au carrosse au-devant de moi. Je saluerai l’un co
llâmes si bien que nous fûmes obligés de payer ce qu’ils avaient fait venir . En un mot je gagnai trois fois la valeur de mes
e qu’il est, me dit ma perfide sitôt qu’elle me vit ? Est-il temps de venir voir les gens à près de minuit ? Qu’avez-vous fai
t aujourd’hui que nous ne vous avons point vu ? Qui vous a empêché de venir  ? J’étais en peine de vous. Ce n’est qu’une bagat
, au contraire la certitude que j’avais de ma propre faiblesse que je venais d’éprouver devant cette fille ; le retour de mon
avec joie, ou du moins avec indifférence. Mais mon heure n’était pas venue  ; ma destinée n’était pas remplie ; ni moi arrivé
te à quoi je m’obstinai ; en huit jours la fièvre me quitta. On était venu souvent s’informer de ma santé d’une part inconnu
avait résolu de faire. On me montra à Madame Morin. Madame de Cranves vint voir les filles à qui on commençait à montrer à t
pas disconvenir, et se contente de n’en rien dire. Il faut à présent venir à l’essentiel qui regarde ma conduite. Le fripon
é par l’envie que tous les domestiques me portaient, à cause qu’étant venue dans l’hôtel par une voie si oblique, j’étais tra
ame sur son chapitre. Cela le rendit assez hardi pour entreprendre de venir me trouver la nuit même dans mon lit. Je ne sais
es violences dont je portai des marques assez longtemps. Le monde qui vint à mes cris me retira des bras de ce satyre. J’all
était resté à dîner, et nous n’étions que nous trois à table. Valeran vint desservir suivant sa coutume, et pour lors, faite
était supposée, ou que je l’aurais été moi-même : il aurait fallu en venir à des recherches et à des vérifications qui aurai
de Cranves et de Buringe, dont elle était douairière et usufruitière, vinrent la voir. Elle envoya prier Monsieur de Villeblain
uitière, vinrent la voir. Elle envoya prier Monsieur de Villeblain de venir chez elle. Sitôt qu’il fut arrivé, elle me fit ap
l’hôtel pour avoir l’œil à ses intérêts, en cas que Madame de Cranves vînt à mourir, et qu’elle aurait pu se chagriner, si d
e mon crédit avait cessé. À peine cette dame eut les yeux clos, qu’il vint brutalement dans ma chambre où je m’étais retirée
is d’un sang plus illustre, sans pouvoir le prouver, à moins que d’en venir à un éclat que vous n’approuveriez pas. Je ne me
, et une partie de ses meubles en ballots : elle me demanda ce que je venais faire chez elle ; je lui répondis que je venais l
me demanda ce que je venais faire chez elle ; je lui répondis que je venais lui ramener sa conquête : que je n’étais né que p
s l’entendrez parler lui-même. Après le tour qu’il vous a joué, il ne viendra pas, lui dis-je. Je le craindrais comme vous, dit
de vertu, et qu’il est insensible à la honte, je suis certaine qu’il viendra , et qu’il croira encore que je lui serai fort obl
it collation, pendant laquelle la compagnie s’entretint de ce qu’elle venait d’entendre ; et tout le monde tomba d’accord avec
, de Monsieur Garreau, et de Madame Morin dans tous les termes qui me vinrent à la bouche. Je savais bien que vous aviez trop d
n fils. Je comptais qu’il ne vous verrait jamais ; que mes lettres ne viendraient jamais jusqu’à vous ; et que tout au plus il ne f
tre la discorde dans une famille considérable ? De quelle autorité en venez -vous jusqu’à conseiller qu’on me fasse mon procès
me sera pas difficile ; et dès demain, sans attendre plus tard, j’en viendrai assurément à bout, j’en suis sûr. Je ne m’étonne
n souhaiter l’éclat. Cela fera dans tout Paris un bruit terrible, qui viendra jusqu’aux oreilles de Madame Des Frans. On gloser
ais âme qui vive à Paris ; je vous prends pour mon confident, et vous viens demander du secours. Après cela il m’ouvrit son c
le, tant il eut de discrétion sur son sujet en ma présence. Querville vint enfin, ils se parlèrent et convinrent ensemble de
derrière un lit (car c’était dans une hôtellerie que cela se passait) vint m’assurer d’une fidélité perpétuelle. Elle voulut
s en rapporter aucune. Je lui fis savoir le jour de mon arrivée, elle vint au-devant de moi plus de huit lieues. On ne peut
toutes sortes d’apparences, elle s’y opposerait si bien, que nous ne viendrions jamais à bout de son vivant d’être l’un à l’autre
e vous n’en devez prétendre ; mais parce qu’elle croirait que ce bien viendrait , comme Valeran lui a mandé, par un moyen infâme ;
ages. J’eus cent fois envie malgré l’amour que j’avais, de n’en point venir au sacrement ; quoique je l’aimasse jusqu’à la fu
que le seul sujet qu’elle en avait, était l’appréhension qu’on ne lui vînt couper la gorge : en effet, elle remettait tout e
chevaux jusqu’à Lyon, et de Lyon à Paris je pris la diligence. Silvie vint au-devant de moi à huit lieues ; et après avoir c
blain qui était, comme je vous ai dit, très proche parent de ma mère, vint la voir et dîner au logis. Je lui fis toutes les
interrompant, que vous soyez terriblement ulcéré contre elle, pour en venir à une protestation si vive et si brusque. Je ne m
s pour moi m’obligent à me justifier devant vous. Si vous voulez bien venir jusque chez moi, je vous attends avec toute sorte
le temps de rapporter à Silvie le concis de la conversation que nous venions d’avoir ensemble, que le laquais vint nous dire q
de la conversation que nous venions d’avoir ensemble, que le laquais vint nous dire qu’il montait. Elle alla au-devant de l
faire l’honneur de souper avec nous, vous nous ferez un vrai plaisir. Viens , poursuivit-elle en m’appelant. Eh bien Monsieur,
ir dont je m’y suis pris pour vous obliger de vous donner la peine de venir ici. Je n’ai pas jugé à propos de vous attendre a
s que j’ai cru devoir prévenir, en vous faisant prier par ma femme de venir ici ; ce que j’ai fait d’autant plus hardiment qu
méchante cause ; elle se contenta de dire qu’elle n’en serait jamais venue là, si elle avait pu prouver qu’elle était fille
es séparassent, qu’il gardât seulement un appartement garni, et qu’il vînt manger avec elle : qu’elle n’en ferait point un o
traitai d’une fort belle, et offris d’en payer le prix comptant. Cela vint jusqu’à ma mère, qui me demanda où je pouvais tro
i ayant dit que je n’y étais pas, lui demanda ce qu’il me voulait. Je venais , lui répondit-il d’un air désintéressé, et en tir
il lui conta la manière extraordinaire dont notre connaissance était venue . Il lui fit voir là-dedans du destin. Cette promp
ut désapprouver sa résolution ni ses raisons. Il se donna la peine de venir chez Silvie où je l’attendais. Il était inutile d
de frapper. Je n’avais qu’à en prendre une clef, comme je fis. Silvie vint y loger, et j’achetai cette maison peu de temps a
ode ni si belle, étant bâtie à l’antique. La beauté de cette nouvelle venue fit du bruit dans le quartier. Ce fut vous, pours
ntrer au logis sans faire deviner le véritable. Je l’aurais bien fait venir par le jardin ; mais ma mère ne le voulut jamais.
lle l’était, puisqu’il était mon oncle à la mode de Bretagne. Ma mère vint la voir à son tour ; et j’appris avec bien de la
ion de cette affaire sur les lieux, prévoyant bien que par appel elle viendrait au Parlement de Paris, j’en pris le chemin, et la
mbrassements, et de l’enlever à son amant, sans qu’il pût savoir d’où viendrait le coup. Dans ce dessein je lui écrivis que je se
indifférence ; je n’y fis point de réponse. Elle s’en impatienta, et vint elle-même au logis, et monta dans ma chambre. Je
Silvie une lettre que j’avais résolu de lui écrire, pour l’obliger à venir dans un endroit que je lui marquerais dans sept o
lle pouvait me le prouver en venant se rejoindre à moi. Que plus elle viendrait promptement, plus je serais convaincu de sa tendr
convaincu de sa tendresse et de son amour. Je lui mandais que si elle venait , comme je n’en doutais pas, elle pouvait vendre s
rit. Je lui dis que j’avais débauché une fort belle fille à Paris qui venait me trouver, sans que ses parents en sussent rien.
n. Qu’elle montât sur le cheval que le porteur lui menait, et qu’elle vînt me trouver sous sa conduite. Tout cela fut fait.
conseil de ma mère était bon, mais l’heure de m’en servir n’était pas venue  : en effet je la tins trois mois au pain et à l’e
r dans moi. Qu’elle était belle ! Que j’en fus touché ! Les larmes me vinrent aux yeux, elle me connaissait trop, pour ne s’ape
ait y avoir une grille entre elle et moi, je ne la refusai pas : elle vint seule. Elle était si faible qu’à peine pouvait-el
èrent, j’envoyai chercher le bon père carme dont je vous ai parlé. Il vint , et mes accès de fureur et de fièvre chaude ne me
unis, et dans des tendresses réciproques. Il me semblait que Gallouin venait me l’arracher, et que ne pouvant me l’ôter, il la
ous reste au soin de la réception de la belle compagnie qui nous doit venir demain. Vous jugez bien, poursuivit-il, que je ve
u’il avait à leur donner pour le lendemain. Dès le grand matin Dupuis vint le voir, et pendant que Des Ronais était occupé a
elle dînait chez Des Ronais, ils n’avaient fait aucune difficulté d’y venir . Ils furent fort bien reçus, et la compagnie étan
lui dirent fort galamment qu’elles avaient cru être de ses amies, et venir dîner chez lui sans façon : mais qu’elles voyaien
6 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
s du matin, pour dire qu’après avoir bien chanté Noël, Noël est enfin venu  ; c’est-à-dire que nous sommes à l’ancre devant P
ent, & les matelots paient l’un & l’autre. Le premier qui est venu à bord avait amarré son rat à un anneau, & ét
absolument se perdre que d’en approcher davantage. Les Noirs du pays viennent prendre ceux qui y vont, les marchandises, & 
 je ne puis comprendre à quel dessein les premiers Français, qui sont venus ici, se sont fixés dans un endroit de si difficil
un était notre conducteur. Ces misérables s’imaginent que les morts y viennent manger & boire pendant quarante jours ; &
armi leurs ancêtres qu’une simple action blâmable, mais tolérable. Je viens présentement à ce comble d’impureté & d’idolâ
z nous ? Je suis certain que le lecteur ne prévoit point où j’en veux venir . Le voici : & si on en doute, on peut s’en éc
e Jésus-Christ ; & c’est sans doute saint Thomas l’apôtre qui est venu , & qui est mort dans les Indes. Ils tiennent
& pendant quelque temps s’est assez bien battu : le Gaillard est venu ensuite, & l’Oiseau a tenu la queue. Nous som
fait dans le même moment la même chose : le Lion & le Dragon sont venus ensuite, & l’Oiseau a quitté la partie le der
eur canon, ils ont tous mis à la voile. Je croyais qu’à leur tour ils venaient nous trouver : je me trompais ; ils se sont seule
piniâtrement battu. Nous étions trop éloignés l’un de l’autre pour en venir à la mousqueterie : ainsi, j étais simple spectat
s qu’il eût bu pour reprendre le verre qu’il portait à sa bouche, est venu tout d’un coup un boulet qui n’a fait qu’un artic
aucun moyen de comparer dans les Indes le temps que nous avons mis à venir du tropique du Capricorne à la Ligne, & à all
tre ; ce qui est apparemment un signal dont il est convenu pour faire venir des Français à bord. Nous sommes déjà mangés de m
, & y causent une démangeaison à s’écorcher soi-même. D’où diable viennent -ils de si loin, pour nous dévorer, ou du moins no
lus que ces insectes. Du vendredi 8 septembre 1690 M. du Quesne vient d’envoyer sa chaloupe à terre : celles des autres
erre : celles des autres navires l’ont suivie, excepté la nôtre. D’où vient  ? Craint-il que je ne lui rende ce qu’il nous a p
e barque & un bot, restés à deux grandes lieues d’ici, n’ayant pu venir , à cause du vent & des courants contraires.
n’en sais rien. Le sieur Pelé retourne à Balassor ; & nous, nous venons d’appareiller pour aller attendre au passage quat
Le commandeur a été seul dîner au Lion. L’aumônier de ce vaisseau est venu dîner ici : il a amené avec lui un missionnaire,
l a amené avec lui un missionnaire, nommé M. de Quermener, & sont venus ensemble voir M. Charmot. Ils se sont parlé dans
c, chez qui nous avons dîné aujourd’hui, & M. de Chamoreau devant venir demain dîner ici, il l’a remercié, & lui a fa
u jeudi 28 septembre 1690 Calme tout plat. Tous ces messieurs sont venus dîner ici, où tout a bien été. Ils doivent aller
peut servir à rien ; &, outre cela, notre premier pilote, qui est venu trois fois ici, dit que les courants y sont très
deux navires mais il nous est impossible d’aller à eux & à eux de venir à nous. Il paraît par mes longues-vues qu’ils nou
ert, & mauvais vent. Il a plu beaucoup ce soir, & le vent est venu bon ; mais, comme nos pilotes croient être proche
oiseaux qui avaient quitté la terre n’ont pu la retrouver & sont venus se percher sur nos mâts, nos vergues & nos ma
bonnes ; j’en viens de manger ma petite part. Bien des gens qui sont venus ici disent que cela est extraordinaire pour la bé
ler ; que, pour lui, il allait encore croiser deux jours, & qu’il viendrait nous rejoindre s’il ne trouvait point M. du Quesn
isant aucun signe de rester, l’Écueil a été obligé de le suivre. D’où viennent tant de changements de volontés coup sur coup ? A
l a fait calme tout le jour, ainsi une chaleur excessive. Le vent est venu ce soir, du Nord-Ouest, bon pour rattraper Négrad
point celui-là, étant persuadé que tous les animaux, tels soient-ils, viennent par la voie de la génération, & par l’accoupl
nt se nourrissent sur terre & dans l’eau : où cependant le caïman vient bien moins fréquemment que le crocodile. Ils remu
amp; l’allaient manger si je n’en avais pas averti le commandeur, qui vint promptement & le fit jeter. Je crois que tout
nt à la maison, & en fait partie. Ce ne sont que les femelles qui viennent à terre, le mâle restant toujours à l’eau. Cet an
l se retourne sur le ventre, & par conséquent qu’il marche. Il ne vient à terre que pour se décharger de ses œufs, qu’il
upe tout ce qu’on lui présente, même le fer. C’est lorsque cet animal vient à terre pour y faire sa ponte que les matelots le
’est un plaisir de les voir se paonnader au soleil sur un pré, où ils viennent pacager. Une queue de paon sauvage est un des plu
mp; le rendit. On lui vit encore les yeux pleins de larmes. La Fargue vint un moment après pour la panser : elle lui baisa l
, dans le moment que La Fargue qui la pansait toutes les douze heures venait pour la panser. Il pria le commandeur de souffrir
ûlent leurs morts. Ce sont des gens des navires européens, qui y sont venus hiverner, comme nous, qui comme nous y auront ent
égouts de lubricité, toujours prêts à recevoir l’offrande du premier venu . Depuis que cet ordre s’exécute, le pays se repeu
trente lieues d’ici, qui se nomme Chadube, & où le Portugais qui vient avec nous dit que nous trouverons bœufs, vaches,
hé : c’est son plus grand mal. Du lundi 20 novembre 1690 Il est venu cette nuit un petit vent de Nord-Est qui est bien
n bouillon d’eau de pluie & de riz seulement. Notre chirurgien me vint voir avant-hier, très disposé à me saigner. Je le
en sentinelle, nous a fait signe que les voleurs n’étaient pas encore venus . Nous n’avons fait aucun bruit & avons pris c
rçon, & moi. Nous ne nous sommes point ennuyés : les voleurs sont venus presque aussitôt que nous. Que le lecteur, avant
sont les Hollandais venant des prises, souhaitent fort que leurs gens viennent , & se disent l’un à l’autre : Ils sont tous m
pitaine ; quatre gardes de la marine, & leurs valets à tous. Nous venions tous de La Rochelle à Paris. Ces messieurs venaie
alets à tous. Nous venions tous de La Rochelle à Paris. Ces messieurs venaient sur leurs chevaux & ne faisaient pas des jour
es au Port-de-Pile vers onze heures avant midi. Les gens des gabelles vinrent à l’auberge de la Fontaine pour visiter mes harde
, on entre en Touraine, pays de gabelle. Le capitaine de ces gardes y vint  : c’ était un nommé Malroi, que j’avais vu capita
rt longtemps. Le messager, que par soubriquet on nommait Dur-à-cuire, vint m’avertir qu’on allait partir ; Malroi lui dit de
n avait fait présent au Port-Royal, capitale place de l’Acadie. Il me vint flairer, & sans savoir ce qu’il était devenu,
il était devenu, je l’entendis japper de loin, & tout aussitôt il vint me tirailler par mon capot & japper en s’élan
Du vendredi 1er décembre 1690 La chaloupe du Florissant m’est venu quérir ce matin ; &, sans que personne s’en s
aux ont très grand besoin. Du mardi 5 décembre 1690 Il nous est venu aujourd’hui quelques rafraîchissements : peu de c
e dernier m’a répondu, pour tous deux, en me demandant d’où diable je venais , de ne pas connaître ce qu’un moine peut faire, &
engale. C’est une grande anse, ou, si on l’aime mieux, un golfe où se viennent perdre dans la mer plusieurs rivières, entre autr
tiron, le concombre, l’oseille, la laitue, & toutes nos légumes y viennent en abondance : le melon même n’y est pas mauvais,
de sa nation qui ne lui apporte, à ce qu’il dit, des reliques qui lui viennent en droiture de la propre main de Sa Sainteté, &am
’il était, se moque ? Il y a quelques Portugais dans ce troupeau. Ils viennent tous à la messe dans cette église : j’y ai assist
& la probité qu’il avait remarquée en lui, lui donnèrent envie de venir en France. Il prit beaucoup de pierreries, & 
en France. Il prit beaucoup de pierreries, & son dessein étant de venir à la foire de Beaucaire, il débarqua à Marseille,
, qui se chargea de négocier avec lui, & de lui porter parole. Il vint le trouver l’après-midi sur les cinq heures, acco
aix à ses ennemis que d’achever de les assujettir (la paix de Nimègue venait d’être faite). Il continuait par lui représenter
sa mai son est à côté de celle de M. de Charost, rue Montmartre. Il y vint & dicta un placet très court adressé au minis
aise foi qui règne en France influe ici ; & c’est où j’en voulais venir , pour faire finir à une potence tous les banquero
un à l’autre, & ne manquent pas de bonne volonté ; mais, s’ils en venaient à quelque excès, ils ne s’en trouveraient pas bie
lais en est une preuve. Pendant que nous avons été à Balassor, il est venu un exprès de Pondichéry, qui parle fort du Mogol.
ouffle de vent. Janvier 1691 Du lundi 1er janvier 1691 Je viens d’assister à la messe, et après avoir donné à Die
Même chose : tant pis. Du samedi 6 janvier 1691 Le vent est venu cette nuit assez frais & bon : mais nous ne p
s & bon : mais nous ne portons pas toutes nos voiles, parce qu’il vient avec nous un bot, qui porte à Pondichéry des cano
Du mercredi 10 janvier 1691 Même vent & bien bon frais. Nous venons ce soir de mettre à la cape, afin de ne point tan
, & la tendresse d’un bon père pour ses enfants, l’ont forcé d’en venir à cet éclaircissement. Il espérait revenir dans s
ablettes, & dont par conséquent je n’oublierai pas un article. Je viens à la guerre du Mogol.   Il a voulu rentrer dans s
mpagne rendent les chemins mal surs ; & leurs neyres ou cavaliers viennent jusqu’aux portes de Pondichéry & traitent ass
ralité de l un & de l’autre ; mais, parce que les neyres du Mogol venaient jusqu’aux portes du fort, & massacraient &
oules. Je reviens aux gens de guerre du Mogol. Un de ses partis était venu tout proche du fort de Pondichéry, & se retir
ands, sujets du Mogol, le temps de se remettre de son pillage pour en venir faire un autre. Par ce moyen, il consommait les d
landais. On a encore appris qu’ils vont équiper quatorze navires pour venir nous trouver. Si cela est, nous le saurons, &
ui ; c’est une vérité dont qui que ce soit ne doute. Cela étant, d’où vient qu’ils portent les uns & les autres leur zèle
les récollets & les autres dans le Canada, qui est contigu. D’où vient cela ? Oserais-je le dire ? Oui. C’est que leur z
ences, était aussi gueuse que pécheresse, puisqu’elle était réduite à venir elle-même tirer de l’eau à un puits. C’est que le
venir elle-même tirer de l’eau à un puits. C’est que le Sauveur était venu pour tout le monde, sans acception de qualité ; à
, sans acception de qualité ; à que les apôtres d’aujourd’hui ne sont venus , ou du moins semblent n’être venus, que pour les
les apôtres d’aujourd’hui ne sont venus, ou du moins semblent n’être venus , que pour les riches, & négligent de suivre s
est M. de Pressac, lieutenant du Lion, auquel les Portugais qui sont venus à Négrades l’ont certifié, l’ayant prié de le leu
her des chevaux. Elle l’employa à avertir l’abbé de ne pas manquer de venir sitôt qu’il serait parti. Il revint chez lui, se
lui, se coucha, & se leva à deux heures & demie. Les chevaux vinrent précisément à trois heures : il fit semblant de m
ait de partir de Pondichéry avec le gendre de M. Martin, qui devait y venir peu de temps après que notre escadre serait repar
ont-Euxin & se rendre à Constantinople ; que de Constantinople il viendrait à Smyrne ; qu’après avoir vu la Palestine & l
quelque prix que ce fût ; si bien, qu’à notre retour de Balassor, il vint me joindre & me demanda si mes deux petits oi
t dans ce marché de tout ce que le pays produit, & même de ce qui vient d’ailleurs ; ils vendent & achètent les uns d
des anges, qui en sonnent le Vetute ad JudiciuM. Après ces deux-ci en vinrent six autres, qui faisaient un charivari de diable
sque & d autres instruments. Les parents suivirent, & ensuite vint le corps, porté, comme j’ai dit, par huit hommes
us servis par le même noir qui a servi le bramène ; et le dernier qui vient jeter le riz sert à son tour le noir qui a servi
t cela se continue pendant quarante jours, afin que l’âme du défunt y vienne prendre sa réfection. J’ai dit que j’en avais cas
n forme des vases d honneur & d’autres d’opprobre. J’ai dit qu’il venait avec nous un bot, qui apportait de Balassor du ca
quand la colère l’anime. M.de Chalonge, ou Chalendra, garde-magasin, vint hier matin à bord pour me faire signer la facture
étais certain de ne m’être point trompé : je recevais les ballots qui venaient du magasin, je les voyais embarquer dans les chel
e sur la table de la dunette. Un maraud de Lascaris qu’il avait amené venait le prendre, & un mol de gavadcho qu’il lâcha
fussent encore à Trinquemalé et que les Hollandais ne fussent jamais venus à Ceylon. Que les Hollandais ôtaient à ces prince
hands croyaient que c’était eux qui l’avertissaient du temps propre à venir piller Surate ; que c’était par leur moyen qu’il
nt très usité. Quand j’irai te voir, que me donneras-tu ? Et quand tu viendras me voir, que m’apporteras-tu ? Que les princes or
enant ses ennemis ; ce qui est si vrai, que les six navires, qui sont venus comme de simples aventuriers, s’en sont luis comm
ous voyez bien par là, qu’il vaudrait mieux que vous ne fussiez point venus ici, que de n’y pas rester. Vous l’avez fort bien
considérables, il faudrait permettre à tous les corsaires français de venir en course dans les Indes ; auquel cas la Compagni
e ; persuadé, aussi bien que feu M. Colbert son père, que l’argent ne vient en France que par cette porte, & qu’il n’y a
iers amenés. J’avoue qu’il y en peut avoir quelques-uns parmi eux qui viennent dans l’Orient uniquement guidés par l’esprit &
avaient faites ensemble. Les jésuites dont j’entends vous parler sont venus ici de Porte-Nove, & en ont emporté avec eux
mandées par les jésuites déguisés, qui disposent des marchandises qui viennent d’Europe, & qui les retirent des mains des au
hoix des vendeurs : & ceux qui, comme le Père Tachard, vont &  viennent d’Europe, sont comme les directeurs & les rec
pour saints & de tromper les chrétiens sans faire que ce qui leur vient en tête, & qui plus est, sans commettre aucun
leur Société, si on osait leur rendre justice. À l’égard de ceux qui viennent d’Europe ici pour aller en mission, à ce qu’ils d
âmes qu’ils se vantent d’avoir gagnées à Dieu dans les Indes. Si ceci vient à leur connaissance, & qu’ils le trouvent mau
a un peu plus de deux ans. Tous les officiers & soldats qui sont venus ici en sortant de ce royaume ont tous dit que M. 
vie & une obstination nécessaires de les surmonter. Ces obstacles viennent toujours, à ce qu’on dit, de la part des pères jé
quoi donc les missionnaires d’un côté, & les jésuites de l’autre, viennent -ils par leurs disputes éternelles nous inspirer d
des jésuites des présents d’ouvrages très curieux, que ces pères font venir ou apportent d’Europe, ce que la pauvreté des mis
ous répéter qu’il vaudrait infiniment mieux que vous ne fussiez point venus ici que de n’y pas rester ; & qu’il serait tr
rès avantageux de toutes manières que les jésuites n’y fussent jamais venus , & n’y vinssent jamais ; puisque très assurém
toutes manières que les jésuites n’y fussent jamais venus, & n’y vinssent jamais ; puisque très assurément on peut les comp
vait bien. Enfin, sur le point de partir au mois de janvier 1688 pour venir ici, j’allai prendre congé de lui. Je vis des jés
binet : je lui demandai s’il en passait aux Indes. Il me dit qu’il en venait six ; & m’ordonna de lui faire un journal ave
ir le 5 mai, qui sont les quatre-vingt-onze jours que le soleil met à venir du onzième degré quarante-cinq minutes Sud, jusqu
16 février 1691 Le temps a été beau, il l’est encore. Le vent est venu bon, & nous allons fort bien. J’ai remarqué u
figurer le reste. Il a plu tout le matin : l’après-midi, le vent est venu bien fort, mais il est bon. Du dimanche 18 fév
aient, c’étaient tous les esprits aériens & infernaux qui étaient venus tenir leur assemblée générale, ou leur sabbat uni
pas pu m’empêcher de rire d’une simplicité de notre aumônier. qui est venu bonnement dire à M. de Porrières, comme nous étio
achever, notre soute a fait de l’eau sur nouveaux frais. D’où diable vient -elle ? Car il n’a point fait de pluie. Les charpe
s ; mais la brume le cachait. Du mardi 13 mars 1691 Le vent est venu bon sur le midi, mais bien faible : c’est du Sud-
& nous donne de la pluie de temps en temps. Cependant le vent est venu assez bon cet après-midi. Le Lion était fort éloi
il y en ait au monde, l’a turlupiné d’une terrible force. Ils étaient venus ensemble dans ma chambre, & le chevalier de B
, a-t-il dit après en avoir bu, celle-là vient de Le Vasseur (elle en venait en effet). Comptez, père, que je vas vous faire e
lait à Mons. Comme je n’étais pas pressé, je lui dis que s’il voulait venir avec moi jusqu’à Béthune je le conduirais jusqu’à
quelque difficulté, mais une bouteille de vin de champagne que je fis venir , & une bourse bien remplie que je lui montrai
un habit de ma taille. Cauvreville envoya m’en chercher un. Son valet vint dire que la doublure du justaucorps de son maître
pour l’Espagne, & l’homme le plus railleur qu’on puisse voir. Il vint comme nous allions nous mettre à table ; & ta
u’en sortant de cette ville, il s’était servi de mes passeports, pour venir directement à Amsterdam. Je sais tout ce qui vous
ujours beau temps & mauvais vent. Le chirurgien du Florissant est venu à bord voir le nôtre, qui est très mal. Je l’ai d
que l’Évangile ; Medice, cura te ipsum. Celui du Florissant, qui est venu , a dîné avec nous : il est latin ; & nous avo
eudi 22 mars 1691 Calme tout plat jusqu’à ce soir, que le vent est venu Nord-Ouest, bien faible. Ce n’est pas le moyen de
asser le Cap dans le mois. Du vendredi 23 mars 1691 Le vent est venu cette nuit Nord-Nord-Est, bon frais : c’est ce qu
Le vent cette nuit a achevé de calmer, & cet après-midi il est venu Ouest-Sud-Ouest, directement contraire. Du mar
 intendant en Bourbonnais. Il y avait eu une amourette, dont il était venu une fille, qu’il a mariée à un nommé M. de La Pom
t cette chaloupe, qui ensuite alla au gré du vent & de la mer. Je viens , dit-il d’un visage riant aux officiers & à l
avons enfin perdu de vue les terres d’Afrique, parce que le vent est venu bon cette nuit & nous a avancés & nous av
mente. Du samedi 28 avril 1691 Nous avons toujours bien été. Je viens d’achever le mémoire pour M. de Seignelay, séparé
es matelots nomment frégates & fous. Ils sont si familiers qu’ils viennent se percher sur les vergues, où on les prend à la
illeur rafraîchissement que fournit cette île. C’est la tortue, qui y vient en très grande quantité, à commencer du mois de m
ntité, à commencer du mois de mai jusqu’à la fin de novembre : elle y vient aussi les autres mois, mais moins fréquemment. No
beauté ; & on ne prend ici que des femelles de mer, lorsqu’elles viennent à terre confier leurs œufs à la chaleur du soleil
bordée de rochers caves, minés & mangés par les coups de mer qui viennent incessamment s’y briser ; ce qui forme partout un
est inhabitée. Cependant, notre pilote, & des matelots qui y sont venus , disent y avoir vu des traces d’hommes, des boeuf
On voit encore l’île de l’Ascension. Les fous & les frégates sont venus nous reconduire. On en a pris quatorze, dont six
que nous aurions trouvé le général & l’intendant. M.de Porrières vient d’aller au fort. Du mardi 5 juin 1691 J’ai
e connaissance. Nous allions la renouveler quand on m’est promptement venu quérir de la part du commandeur, qui m’envoie au
-Ouen, qui va faire l’emblème. On n’avait pas prévu qu’il en faudrait venir aux bassesses, O ! quam malè est extra leges vive
es, normand comme elle, en devint amoureux. Il la débaucha, & ils vinrent ensemble à Paris par la voiture des capucins. (Je
r de son désordre ; & s’abandonnant à sa fortune, elle résolut de venir aux îles de l’Amérique y chercher son père & 
à fait faux. Elle prit le chemin d’Orléans un mercredi après-midi, et vint dans la charrette d ’un boulanger jusqu’à Châtres
Angleterre ; que sa mère était morte de chagrin, & qu’elle était venue à Paris pour demander pour elle la confiscation d
oin de la payer, elle était tout aussitôt partie de Paris & était venue toute seule, comme j’ai déjà dit, jusqu’à Orléans
a première occasion. Fanchon s’était aperçue qu’il était fort souvent venu à sa porte ; mais elle n’avait pas fait semblant
vai au Fort-Royal à la messe, le lendemain de notre arrivée. Elle est venue encore me trouver au Fort Saint-Pierre, comme je
aient, comme on voit, un bel emploi de leur argent. L’histoire que je viens d’en rapporter n’en est qu’un échantillon : si je
isse leur mémoire en paix. J’ai dit que M. le marquis d’Éragny devait venir à Siam général des Français ; endroit où il falla
le, qui montait le Mignon, étant mouillé au Fort Saint-Pierre, voyant venir vent arrière cinq vaisseaux, dont un portait flam
nt du tout se donner aux Anglais : ils font encore plus, c’est qu’ils viennent volontairement se rendre aux Français, qui vont l
tés. Ils reconnaissent, & sont reconnus de leurs nègres, qui sont venus sous la bonne foi du pavillon blanc, dans l’espér
s sitôt qu’on a su le contraire chacun s’est plaint que nous n’étions venus que pour leur apporter la peste & la famine.
de là combien cette nation est haïe partout. Mais, puisque l’occasion vient d’en parler, d’où viennent ces Caraïbes ? d’où vi
on est haïe partout. Mais, puisque l’occasion vient d’en parler, d’où viennent ces Caraïbes ? d’où viennent tous les autres peup
isque l’occasion vient d’en parler, d’où viennent ces Caraïbes ? d’où viennent tous les autres peuples qui habitent le monde, &a
où viennent tous les autres peuples qui habitent le monde, & d’où viennent ceux qui habitent les îles éloignées de tout cont
ui s’y glissa à Babel. Mais cette dispersion des enfants d’Adam, d’où vient -elle ? La placerai-je avant le Déluge ? L’Écritur
savons point que personne ait traversés avant Christophe Colomb. D’où viennent ces hommes ces femmes conformés comme nous, &
s hommes & ces femmes ont-ils été produits & engendrés ; d’où venaient leurs ancêtres & leurs auteurs ? Croirai-je q
; lui garderai, le secret. Après notre départ du Fort-Royal, elle est venue d’elle-même au Fort Saint-Pierre, & y arriva
, & un corsaire malouin. Les autres quinze sont des marchands qui viennent jusqu’au tropique sous notre escorte, & des p
, très jolie & très aimable. Elle ne manquait pas à jour nommé de venir dès le matin chercher son argent ; & M. de Va
comme naturellement on n’aime point ceux qui servent d’obstacle, elle vint à le haïr autant qu’elle aimait Bernard ; ce qui
trouva sa femme, seule & endormie. Le garde-magasin du Fort-Royal vint environ huit jours après au Fort Saint-Pierre, ma
ordres & sa réponse ; qu’il était cause qu’il avait été obligé de venir lui-même, & ajouta de ne pas manquer de retou
t. Après cela, il le fit boire deux coups, & le congédia. Bernard vint peu après, & en soupant il fut raillé de ses
u mari. Celui-ci de sa part en avertit dès le lendemain la femme, qui vint chercher de l’argent, & pour lui parler sans
essein. Et voulant voir si sa femme était de part de la tromperie, il vint chez lui, & lui dit qu’il allait au Fort-Roya
mp; faites semblant d’être parti, lui répondit la rusée femelle. D’où vient  ? lui demanda-t-il. C’est, lui répliqua-t-elle, q
re moi ; car, pendant les deux nuits que vous avez été dehors, il est venu des gens qui ont frappé plus de cent fois à la po
, d’autant plus que notre maison est écartée & que si ces gens en venaient à la violence je serais fort embarrassée toute se
heures, un laquais de M. de Goimpi, à qui Bernard avait donné le mot, vint lui dire que M. Ranché le demandait. Il sortit au
notre escadre, le corsaire provençal, & une quèche ou yaque, qui viennent avec nous, & qui vont fort bien. M.de Quistil
uillet 1691 Le vent a calmé tout d’un coup cette nuit, & n’est venu que par bouillards, & fort près. Nous ne lais
et après-midi, bout pour bout, terme matelot ; c’est-à-dire qu’il est venu Nord-Nord-Ouest. Il est bien faible ; mais c’est
rien n’y manque. Du jeudi 9 août 1691 Toujours de même. Il est venu ce matin un corsaire nous tâter. Nous avons donné
assez pour que cela fût ? Du vendredi 10 août 1691 Le vent est venu Est-Nord-Est cette nuit, directement contraire ;
691 Encore calme, accompagné d’une brume très épaisse. Le vent est venu assez bon sur le midi, & nous avons perdu de
a lâché un coup de canon sans balle, sous pavillon français ; il est venu au coup d’assurance. C’est un autre corsaire prov
ons plus les navires d’hier : le Provençal nous a rejoints, & est venu dîner à bord. Il est ami de M. de La Chassée ; &a
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
rtie du convent où elle avait été mise dès l’âge de six ans, que pour venir voir son père. Elle y rentra, après avoir été env
le reconnut fit un grand cri. Comment, dit-il, un homme dont la femme vient d’expirer, se déguise et court le momon ! Malheur
t. Cette femme accoucha le lendemain de cette conversation, son époux vint me trouver, et pour réponse à son compliment, je
à son insu un mariage qui n’était pas tout à fait dans l’ordre, elle vint pour accoucher chez sa mère, qui la sacrifia à Mo
’étonne encore toutes les fois que j’y pense, comment on put me faire venir jusque-là ; mais on me disait à tout moment que j
remière fois qu’on me parlera de la marier, et que je saurai que cela viendra d’elle, ou la première sottise qu’elle fera qui v
urai que cela viendra d’elle, ou la première sottise qu’elle fera qui viendra à ma connaissance, je l’abandonnerai et me retire
a dans la chambre de son père, qui la faisait appeler. Elle me dit de venir la voir dès le soir même, et que nous passerions
ant d’esprit que de charmes dans le visage. Je leur répondis que tout venait d’elle ; et pour les mieux convaincre, je leur mo
tre rupture, je lui ai écrit que je les avais brûlées. Comme celle-ci vient au sujet, je ne puis me dispenser de vous la lire
avoir consultée, va attirer d’étranges suites : vous ne deviez pas en venir jusque-là sans m’en avertir, et sans avoir mon co
quérir Du Pont le père, pour une affaire qu’il supposait pressée. Il vint aussitôt, et le hasard fit, que dans le même mome
Il vint aussitôt, et le hasard fit, que dans le même moment son fils venait voir Mademoiselle Dupuis, et qu’ils entrèrent tou
inuer ses impertinences, si je ne l’avais interrompu. Monsieur Dupuis vient , dites-vous, Monsieur, lui dis-je, de vous donner
is qu’il n’aurait jamais voulu entendre parler de l’engagement où ils venaient d’entrer, si les sentiments de Mademoiselle sa fi
tre fille, vous savez que je ne lui suis pas indifférent. Vous faites venir Monsieur à la traverse, et vous me le préférez. J
a plus que la mienne. Nous nous dîmes l’un à l’autre tout ce qui nous vint à la bouche, et nous ne conclûmes rien que de nou
e vous y exposez plus, et pour cela promettez à Mademoiselle de ne la venir jamais voir ; et puisque votre amour a été mal re
is, quoiqu’il fût bien persuadé que j’aurais voulu le voir au diable. Venez , ajouta-t-il, souper avec nous. Quand je vis qu’i
le, effectivement elle n’avait pas les manières d’une misérable. Elle venait assez souvent dans mon appartement et dans ma cha
pour prendre mon linge et raccommoder ce qui en était déchiré. Elle y vint quatre ou cinq fois de suite que j’étais seul, et
Elle y vint quatre ou cinq fois de suite que j’étais seul, et elle y venait sans nécessité apparente. J’eus de la tentation,
s plaisirs et de mœurs réglées. Restez chez moi, continua-t-il, on ne viendra pas vous y chercher, et les choses pourront s’acc
ez un décret contre elle, elle le saura bientôt elle-même, laissez-la venir , elle se rendra traitable, et nous l’aurons par c
as se mettre au hasard de me perdre, et qu’elle m’aimait trop pour en venir jusque-là ; que mon aventure, et ce que son père
nd de son cœur. Après qu’il eut reçu tous ses sacrements, il nous fit venir dans sa chambre sa fille et moi. Il en fit sortir
e corps Contraint de soutenir une éternelle guerre. Un trépas désiré vient me fermer les yeux Je ne reverrai plus cet œil br
s, à qui Mademoiselle Grandet pour lors veuve, et Madame de Contamine vinrent tenir compagnie, et je retournai chez elle, où j’
devait être environ d’un mois sur le lieu, et le temps d’aller et de venir faisait environ celui qu’elle voulait retarder. E
e les laissa prendre. Je lui recommandai de ne point dire que j’étais venu , et cela parce que je voulais lui faire une surpr
, et j’allai chez moi me débotter ; car comme je vous ai dit, j’étais venu descendre chez elle. J’étais prévenu que ces lett
ans avoir vu que celle de ce Gauthier, et lui envoyai aussi ce que je venais d’écrire. Je remontai à cheval dans l’instant mêm
aris, il y en a environ trois plus animé contre elle que jamais. Elle vint pour me voir dès le lendemain que je fus revenu.
après tant de démarches faites en votre faveur ? Qu’aurait-elle eu à venir tant de fois vous chercher ? Que pourrait être de
s également. J’ai voulu lui donner de la jalousie pour l’obliger d’en venir aux explications, j’ai perdu mon temps. Il n’a te
quérir le mari et la femme pour dîner ici. Je suis certaine qu’ils y viendront , venez-y aussi et amenez Monsieur Des Ronais ; je
mari et la femme pour dîner ici. Je suis certaine qu’ils y viendront, venez -y aussi et amenez Monsieur Des Ronais ; je suis f
amis. Et si Monsieur Des Ronais, dit Des Frans en riant, ne veut pas venir , que lui dirai-je ? Que vous le ferez mettre aux
iscouraient ainsi, il arriva une dame d’une magnificence achevée, qui venait voir Mademoiselle Dupuis. Des Frans voulut sortir
ente ; Mademoiselle Dupuis, poursuivit-elle, me dit dès hier que vous viendriez la voir aujourd’hui, c’est ce qui m’y a fait veni
hier que vous viendriez la voir aujourd’hui, c’est ce qui m’y a fait venir . Vous êtes l’ami de Des Ronais, dites-lui de ma p
rolongé. La belle Dupuis lui rendit compte de la conversation qu’elle venait d’avoir avec Des Frans, qui continua. Des Ronais
e et Madame de Cologny seront demain tout le jour à Saint-Germain, je viendrai dîner ici, je m’en prie moi-même, et je me fais f
aurez cependant, avant que de la commencer, que Monsieur de Jussy est venu pour vous voir. J’ai fait mon possible pour le re
8 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
qui les retenait à Brest ; autre friponnerie d’Albus ; qu’ils étaient venus chargés de vin pour le compte du munitionnaire, q
ines Chaviteau et Des Herbiers, et que nous ne serions que quatre. Il vint tout aussitôt et sous le faux prétexte de lui dir
ent : pour moi, je ne peux pas faire autre chose, et je ne serais pas venu si je m’étais attendu d’être grondé. Pourquoi te
e le canot ou la chaloupe de l’Écueil, et dis à un des matelots qu’il vienne ici et m’apporte du pain, et que j’en veux manger
veux manger une galette avec du beurre. Chaviteau y alla. Le matelot vint et apporta du pain, dont lui et des Herbiers fure
commençai par leur demander quels ils étaient, et de quelle part ils venaient  ? Ils me le dirent. Hé bien, repris-je, remportez
et son billet déchiré à la main, il fut assez bête pour les prier de venir avec lui chez M. l’intendant, et M. de Ferville p
exempt de la prévôté de la Marine, qui, accompagné de quatre archers, vint à bord. M.Hurtain, qui non plus que moi ne s’atte
prit les devants, me réveilla, car j’étais sur mon lit, et me dit de venir avec lui. Il me prit en sa garde envers l’exempt,
t sont bien heureux de ce que je n’étais pas à bord lorsqu’ils y sont venus  : quelques coups de canne, pour porter à leur dir
de ce qui en sera ; quand ce ne serait que pour venger l’insulte qui vient d’être faite à notre écrivain, et la fichue figur
e, fit préparer un déjeuner fort propre. MM. de Combes et de Ferville vinrent les premiers. Les deux commis d’Albus arrivèrent
des vins de tous pays, et tous d’une sève exquise. M.Des Clouzeaux y vint , et ne but que deux coups au dessert, et seulemen
e m’envoyer un commis pour le dresser. J’acceptai l’offre : ce commis vint dès le lendemain. Je le reçus le mieux qu’il me f
-magasin des vivres, auquel les restants étaient rendus ; et qu’il en venait un tiers à l’écrivain du roi, à qui sur le rôle a
e Bouchetière, notre lieutenant, dont j’ai fait le portrait, page 99, vient avec nous. Je ne sais s’il sera plus content de c
us étions allés à l’Orient le samedi 25, M. Hurtain et moi : il était venu avec nous, et resta au Port-Louis. Ce fut apparem
onnerait pas. Cela acheva d’animer Bouchetière : il leva la canne, et vint à Landais ; mais celui-ci qui mesurait le respect
ne justice plus sévère ; qu’il eût à s’embarquer dans le moment, pour venir à bord du Général ; et que pendant le chemin il a
us donnera en passant à déjeuner. M. du Quesne n’a pas manqué de nous venir prendre à bord mardi matin. Tous ces messieurs y
e du dîner, les écrivains du roi du Gaillard et du Florissant me sont venus prendre à bord pour aller tous ensemble avec les
avait pas plus de demi-heure ; et le sieur de Bouchetière, qui était venu avec la chaloupe pour faire embarquer les matelot
pour faire embarquer les matelots dispersés dans les cabarets, m’est venu brutalement joindre : Allons, monsieur, m’a-t-il
us avons trouvé M de La Chassée avec un de nos passagers. Ils étaient venus trop tard pour s’embarquer ; notre chaloupe était
s trop tard pour s’embarquer ; notre chaloupe était partie ; ils sont venus souper avec nous. C’est là qu’ils ont appris le c
il ne me fasse pas attendre. Pendant le souper, notre passager a fait venir une chaloupe de Croix, qu’il a arrêtée pour nous
late de Hollande, et de belle toile qui ne me coûtât rien. L’eau m’en vient à la bouche. Je dis à nos messieurs de la table,
personnes à table et tous de bon appétit, et les malades qui peuvent venir , feront tomber sur eux la mortalité. Il n’importe
u jeu. C’est-à-dire, que lorsque des amis d’un soldat ou d’un matelot venaient le voir, le vin lui était prodigué. La Compagnie
e la table qui consomme du vin de Grave ou de Bourdeaux. La pensée me vint dans l’esprit de ce que j’avais à faire. Je la co
it altéré ; et que pour lors je me retirerais dans ma chambre, où ils viendraient me trouver pour y faire la petite joie. Nous auri
ertain que ma chambre sera celle du vaisseau la plus fréquentée. Nous venons tout présentement de vider une grosse bouteille ;
mi-quart au Sud-Ouest, pour aller reconnaître les îles Canaries, d’où vient le vin que tous les Européens aiment tant, et don
économiser : car, qui vous mettra à couvert d’un coulage, soit qu’il vienne par un roulis, ou que les doubles barriques et le
s pas d’être toujours à la tête. Il commence à faire chaud. Le soleil vient à nous, et nous allons à lui : c’est le moyen de
Pour moi, qui n’aime point le jeu, M. Hurtain et M. de La Chassée me viennent tenir compagnie de temps en temps. Du reste, sain
uante minutes de longitude ; cela prouve que nous allons bien. Il est venu ce matin au-devant de nous deux brigantins de Sal
te. Mais, ai-je demandé à M. Charmot, l’un de nos missionnaires, d’où vient que toutes les montagnes qui sont hautes sont tou
ce, monsieur, ai-je continué, en parlant à M Charmot, de me dire d’où vient cette neige sur le sommet des montagnes, et ce qu
e pose en fait certain que, quelque endurci que soit un homme, il lui vient une secrète horreur de son péché avant que de le
aises habitudes et nos inclinations. Quand le temps de la moisson est venu , ce laboureur voit avec plaisir ce qu’il a pris s
d’élection, et l’apôtre des gentils ; mais, si j’ose le dire, Dieu ne venait que de monter au ciel, il avait laissé son Église
vie. Plus j’y fais de réflexion, plus j’y reconnais de rapport. D’où vient que ce qui me paraissait autrefois très indiffére
mal a cessé avec la douleur ; et je jouis d’une santé parfaite. D’où vient donc ce changement que je remarque en moi ? J’ai
faut donc que la cause de ce changement soit en moi-même ; mais d’où vient -elle ? À l’égard de mon corps, je puis dire comme
a fait cette âme depuis sa création jusqu’à ma formation, qu’elle est venue animer ma matière ? Où était-elle, et où ira-t-el
les hommes conviennent que le monde a eu son commencement : mais d’où vient -il, si ce n’est de Dieu ? Remontons donc à lui, e
ation d’une jambe ou d’un bras ? Je leur demanderais si un enfant qui vient au monde sourd ou aveugle a laissé une partie de
ternie. Ainsi, ils appréhendaient réciproquement d’être obligés d’en venir aux prises ; et, pour en éluder l’occasion, ils e
se chercher et avoir envie de se trouver, depuis quatre mois. Ils en vinrent donc aux mains, et firent l’un sur l’autre un feu
dessus. A ce mot, les Français redoublèrent leur feu, et voulaient en venir aux mains à l’abordage. Les Hollandais se retirèr
vé de deux marches et garni de bancs de terre ou de rochers bruts. Je viens au village. J’ai rempli les devoirs de la civilit
juger, c’est que les Portugais, qui sont malheureux dans leur patrie, viennent ici chercher fortune et y épousent des femmes lab
e suffit seule pour rassasier ; et il est très vrai que ceux qui sont venus nous voir souper (je ne parle point des noirs, il
i sont venus nous voir souper (je ne parle point des noirs, il n’y en vint aucun ; je ne parle que des Européens et des créo
e chez l’évêque, conduisant mon vin. J’ai trouvé M. de La Chassée qui venait au-devant de moi avec un soldat qui le sert qui p
vaient jugé à propos de me prévenir : voici le fait. M. Blondel était venu à la ville avec M. du Quesne : ils ne m’avaient r
tous les jésuites qui sont sur l’escadre le seul Père Tachard y était venu . Je n’avais que faire à lui : il est sur l’Amiral
règne entre MM. Hurtain, de La Chassée et moi, il les avait priés de venir au-devant de moi afin de me prévenir, et que je p
ns vidé le flacon : il a pris un autre chemin avec le vin, et je suis venu seul avec Landais. J’ai trouvé tous ces messieurs
e sur lui-même une sérieuse réflexion ; qu’il se demande ce qu’il est venu faire au monde ? Je parle de tous les hommes, san
jourd’hui ! Il en faudra cependant passer par là ; car M. Hurtain est venu dès la pointe du jour dans ma chambre et y a pris
ci comme il est fait. C’est un poisson long d’environ cinq pieds : il vient tout proche du vaisseau, d’où on lui lance un dar
di à bord, avec M. d’Auberville, son lieutenant. Ils m’ont promis d’y venir  ; j’ai fait l’honneur à M. Hurtain de dire que c’
out se sera passé : je me contente de dire, à présent, que les ordres viennent d’être donnés pour que tout aille bien et dans l’
xcellent. avril 1690 Du samedi 1er avril 1690 Il nous est venu un petit vent de Nord-Ouest. Nous allons un peu,
et lumineuse partout, sans interruption, jusqu’à ce que le vent soit venu . On dit que cela arrive très souvent sous la Lign
e ponce. On en trouve sur les bords de la mer dans le Nord, et toutes viennent du mont Hécla. Voilà mon sentiment sur cet articl
uatre-vingt-quinze lieues de la Ligne. M. du Quesne n’a pas manqué de venir dîner à bord, avec quatre de ses officiers, et le
e père Tachard. Messieurs du Florissant et de l’Oiseau, conviés, sont venus aussi en bonne compagnie. Les capitaines du Lion
us aussi en bonne compagnie. Les capitaines du Lion et du Dragon sont venus au pavillon d’Amiral et de Conseil, qu’on a salué
et le diable de La Chassée m’a ôté ma chaise : le maître d’hôtel est venu pour prendre ma serviette ; et le père Tachard, n
uvert. Chanson d’almanach : continuation de chaleur. M. du Quesne est venu voir M. Hurtain. La Fargue l’a prié de faire aver
quart d’heure après il est remonté avec les langues, et m’a dit qu’il venait les changer contre quatre tranches de bonite. M.d
ne sont point échappés, puisque le corps paraissait tout droit. D’où vient ce prodige ? Qui que ce soit d’ici n’a jamais ent
en quoi ils sont secondés par le savant et sublime Bouchetière, qui y vient mêler sa barbe et sa mâchoire d’âne. Les choses i
tiré le monde du néant. Tous les chirurgiens de l’escadre sont encore venus ce matin à bord pour y faire une nouvelle consult
ne vaut guère mieux ; point de hauteur. MM. du Quesne et Joyeux sont venus à bord ce matin voir M. Hurtain. Ils ont donné or
orps, lorsque le seigneur de Bouchetière, réveillé par le pilote pour venir à son poste, a été instruit de la mort de son cap
nt qu’il connaissait bien peu ma fermeté et mon humeur. Landais m’est venu avertir qu’il avait cacheté la porte de la chambr
l a voulu s’emporter ; mais les ecclésiastiques, et les gens qui sont venus au bruit, n’étant pas de son côté, il a jugé à pr
ère de François Querduff, religieux dominicain, qui est le nôtre, est venu dès le point du jour pour faire la sépulture du c
ait fait en sorte que le même père de l’Oratoire qui l’avait converti vînt travailler aussi à sa conversion ; que ce père y
converti vînt travailler aussi à sa conversion ; que ce père y était venu sous l’apparence d’un médecin ; et qu’au bout de
parole ; et n’avons été retirés de notre tristesse que lorsqu’on est venu nous dire qu’on avait servi. Il ne s’est jamais f
is à table la première place, sans l’offrir aux étrangers qui étaient venus à bord voir la cérémonie. Nous étions tous de mau
 ; le second lieutenant de l’Amiral, et l’aumônier du Florissant, qui venait d’officier, et les autres d’assister à la cérémon
r à leurs bords le ridicule orgueil de Bouchetière, qui semble n’être venu au monde que pour y donner la comédie. Ils sont t
es prendre pour les ramener aux vaisseaux, et a ajouté que M. Blondel viendrait le lendemain faire l’inventaire, et que lui qui m
min de l’Amiral, je suis monté dans ma chambre. M.de La Chassée y est venu deux heures après ; et comme le quart était chang
me le quart était changé, et que Bouchetière dormait, nous avons fait venir sans bruit M. Le Vasseur et le premier pilote. No
ir et beau. Du mardi 25 avril 1690 M. Blondel, commissaire, est venu ce matin à bord. Il y a entendu la messe, et à l’
nous en aurait encore occupé davantage si le sieur Mercier, qui était venu avec le commissaire, comme il me l’avait promis h
table et les missionnaires attendaient debout que le commissaire fût venu , et qu’il prit place, pour se mettre à la leur. E
reçu. Du mercredi 26 avril 1690 M. du Quesne n’a pas manqué de venir ce matin de fort bonne heure, puisque la messe n’
andé une douzaine de tranches de bonite. Ce que je devais faire m’est venu tout d’un coup dans l’esprit. Je lui ai dit en ri
’ai apporté l’inventaire du vaisseau, avec mon régître ; et j’ai fait venir tous les officiers mariniers l’un après l’autre.
s officiers mariniers fussent autorisés à refuser tout, il les a fait venir à l’issue de la messe, et en présence de tout le
n état de régaler ses amis, avec propreté et magnificence, lorsqu’ils viendraient le voir. Après nous avoir écouté, il s’est levé,
de La Chassée. Pourvu qu’il boive, il ne s’embarrasse point d’où cela vient ni ce que c’est. Il a donc été résolu que cela se
le château d’avant pour baptiser le vaisseau, qui n’est point encore venu dans ces mers. Les charpentiers ont mis la hache
Le maître et les autres officiers mariniers se sont détachés pour me venir chercher, afin de le racheter, ou le voir couper 
leurs dépens, il leur a donné quatre piastres ; et le marguillier est venu recevoir l’offrande avec une gravité digne d’une
qui est un remous dans île de Saint-Domingue. Une dame un peu galante venait avec nous en Canada. Elle fut nommée la baie des
. Le vent s’est calmé par la pluie qu’il a fait cette nuit. Mais d’où viennent ces pluies si fréquentes entre les tropiques, et
qui a fait le même voyage que lui et sur le même vaisseau, et que je viens d’envoyer quérir et d’interroger, m’a répondu que
du mât d’artimon, pour nous mettre à couvert des rayons du soleil. Je viens d’y faire faire par notre voilier un trou d’un po
e crois devoir dire un mot de cette eau de fond de cale, puisque cela vient à propos. Celle qu’on apporte d’Europe est ordina
andeur jouait aux échecs avec M. de La Chassée. Je leur ai dit ce qui venait d’arriver. Quand celui-ci a su que c’était son so
verbal de lundi dernier. Dimanche prochain, jour de la Pentecôte, ils viendront tous dîner ici : C’est là que l’affaire de Bouche
midi de vingt-cinq degrés trente minutes Sud. Tous ces messieurs sont venus dîner ici : M. du Quesne est venu avant les autre
nutes Sud. Tous ces messieurs sont venus dîner ici : M. du Quesne est venu avant les autres. Lui et le commandeur se sont am
vingt fois parlé. Dites-lui, m’a répondu le commandeur, que son temps viendra après le dessert. Mais, surtout qu’Hérault ne sac
entré et une demi-heure après le valet de chambre du commandeur m’est venu dire que M. du Quesne me demandait. J’étais prépa
ommé, et je doute qu’il y en ait assez pour les quatre-temps qui vont venir  : ainsi, il vous en reste encore deux entiers ; e
eraient exécrable. Cela les a fait rire. Tenez, ai-je continué, il me vient dans l’esprit un expédient. Vous avez de bonnes f
ant de curiosité ne ferait pas notre cour. Ces messieurs avaient fait venir les pilotes, qui leur avaient certifié la même ch
ni par ce qui venait de se passer. À l’issue du Conseil, ils ont fait venir Bouchetière, à qui le commissaire a lu le procès-
iamois élevés pour l’Église par messieurs des missions étrangères qui vinrent au-devant d’eux en procession avec la croix et la
nité, 21 mai 1690 Le pied de vent ne nous a point trompés : il est venu Nord-Ouest, bon petit frais. Nous étions à midi p
outes les hauteurs, qui les avertissent des vaisseaux qui vont ou qui viennent  ; de leur nombre, et de leur nation. S’ils osaien
qui viennent ; de leur nombre, et de leur nation. S’ils osaient, ils viendraient à nous ; mais, ils ne prennent point de navires i
emblée un beau matin, 23 juin 1687, par un seul détachement d’Anglais venu à travers les bois depuis la Hève, où ils m’avaie
ier blé qui a été semé dans cette colonie hollandaise y est très bien venu . Les habitants du Cap y en recueillent, mais peu.
écouvert ce qui distingue l’homme d’avec la femme : que ces animaux y viennent en troupe et laissent le choix libre à celui ou c
matin, avant la prière, un flacon de fenouillette de Ré, et nous est venu quérir, M. de La Chassée et moi, pour en boire. N
es mines de fer et d’autres métaux. Les fruits de toutes sortes qui y viennent en abondance, et sans culture, y croissent meille
r aux arbres, où ils montent comme les chats. C’est de cette île d’où vient la tubéreuse, inconnue en France il n’y a pas plu
ométans qui ont les premiers habité cette île. De plus, d’où seraient venus ces vaisseaux ? Ce ne peut point être d’Afrique.
ent aucune religion. L’Abyssinie n’est point mahométane. Seraient-ils venus du sein persique, ou de l’Arabie heureuse ? Ils s
enus de Perse ? Nullement : puisque les pèlerins de Perse à La Mecque viennent par les caravanes, et traversent les déserts de l
. Ainsi, ce ne peut point avoir été des vaisseaux mahométans qui sont venus à Madagascar, dont les habitants ne connaissent n
mais le fondement de cette religion leur est absolument inconnu. D’où viennent donc ces premiers habitants ? Je ne sais ; et si
Palestine et en Judée, qui sont les pays d’où leurs ancêtres seraient venus  ? Je consens à n’être point cru sur la Judée. Je
ur les lieux hauts, n’ayant véritablement ni temples ni idoles. De là vient ce nombre prodigieux d’enfants qui meurent en sor
e coupât en deux. J’en ai assez dit pour prouver que cette coutume ne vient ni des juifs ni des mahométans. Celle de consulte
juifs ni des mahométans. Celle de consulter les devins n’en peut pas venir non plus : les Turcs les abhorrent ; et la ferme
eur défend d’entreprendre de pénétrer le futur : ainsi, ces devins ne viennent point des mahométans. Ils ne viennent point des j
le futur : ainsi, ces devins ne viennent point des mahométans. Ils ne viennent point des juifs, quoiqu’ils en puissent venir, ét
s mahométans. Ils ne viennent point des juifs, quoiqu’ils en puissent venir , étant certain qu’il y en avait plusieurs en Judé
ant aura jeté sa ridicule vision sur son journal ; et ceux qui seront venus après lui auront, sur la foi de ce journal et le
uisqu’il faut faire passer les barriques sur des roches brutes. On en vient pourtant à bout ; mais ce n’est pas sans bien de
s ; et le premier, effronté comme un comédien, disait à tous ceux qui venaient , d’apporter chacun leur bouteille, et les avait m
en a peu, les insulaires ne sachant pas les accommoder. Les olives y viennent aussi grosses qu’en Portugal : il yen a peu par l
ruit que les matelots nomment figue, mais qui n’en est pas : ce fruit vient sur un arbuste par grappes ou par régimes, comme
ontredit le roi des fruits ; aussi, la nature l’a-t-elle couronné. Il vient seul sur une tige, le gros en bas : sa figure est
anc verdâtre. Il a un sucre très agréable et très rafraîchissant ; il vient sans culture sur le bord de la mer dont sa racine
entre autres notre aumônier, en ont confit ou fait confire. Le riz y vient  ; mais les insulaires n’en recueillent pas assez
ous, en qualité de kock, autrement de cuisinier de l’équipage. Il est venu ici trois fois et en entend l’idiome : il est de
de vingt-trois à vingt-quatre ans. Je le rencontrai dans le bois : il venait au camp. Ce ne fut pas avec lui que m’arriva ce q
s n’étions qu’à trois cents pas au plus dans le bois. M.de La Chassée vint avec lui. Je donnai ce papier à ce prince si je p
int sa physionomie, étant affable, généreux et bienfaisant. Ce que je viens d’en dire ne doit en donner qu’une bonne impressi
e que pendant la treizième lune, dans quelque saison ou temps qu’elle vienne , ils ne mangent ni ne boivent depuis le soleil le
rticulier, c’est que pendant leurs prières les rats et les souris qui vinrent en grand nombre se désaltérer à cette coquille ne
que leurs mains ne sont pas sûres. Il y en a un entre autres qui est venu à la tente pendant que j’y étais seul d’officier.
pendant que j’y étais seul d’officier. Il m’a fait dire qu’il voulait venir en France avec nous, et qu’il me demandait passag
ne doutais point d’avoir sa permission, et que jusqu’à ce qu’elle fût venue il pouvait rester dans la tente, et que je saurai
ceux entre les mains de qui mon journal pourra tomber et qui pourront venir dans ces îles d’Amzuam, puissent se défier de tou
fuir comme des étourneaux. Je ne craignais que M. du Quesne, si j’en venais à la moindre violence contre des gens qui ne nous
s apparents, me touchèrent dans la main, en signe d’amitié. Plusieurs vinrent avec moi au camp, où ils apportaient des fruits e
l’arrière de nous. Pendant que nous avancions, nous voyions aller et venir des chaloupes de terre au vaisseau, et du vaissea
e au col et au visage : mais ce ne sera rien. Le même caporal qui est venu avec moi à Moali a deux doigts coupés de la main
ons au-devant de lui tout aussi vite qu’il se recule de l’Europe pour venir à nous. Je ne dirai rien de la chaleur, sinon qu’
e lieues de la Ligne vers Paris ; mais, il faudra retourner d’où nous venons avant que de voir la rue aux Oues, ou celle de la
de la Huchette : en tout cas, ce ne sera pas les mains vides, car je viens d’apprendre à bord du Florissant, où j’ai dîné, q
ière tourne en ridicule : nous nous faisons saigner pour la maladie à venir  ; c’est-à-dire que nous avons mis des gemelles à
s pavillons blancs et on a arboré pavillon hollandais, pour les faire venir à bord. L’appât était trop grossier ; elles n’ont
n enrageant dans lame. On leur a crié à plus d’une portée de fusil de venir à bord. Eh, comment diable y viendront-ils ? ai-j
ié à plus d’une portée de fusil de venir à bord. Eh, comment diable y viendront -ils ? ai-je répondu : leur chaloupe et leur canot
-ils ? ai-je répondu : leur chaloupe et leur canot fuient à terre ; y viendront -ils à pied ? Un beau « Mêlez-vous de vos affaires
ue cela ne me fît quelque mauvaise affaire avec M. du Quesne, qui est venu à l’issue du dîner avec le commissaire. Il n’en e
Nous allions nous mettre à table pour souper, lorsque Le Vasseur est venu . J’avais l’idée pleine de ce que je venais d’écri
uper, lorsque Le Vasseur est venu. J’avais l’idée pleine de ce que je venais d’écrire : j’achevais ce qui regarde le capitaine
’endroit où nous l’avons pris, à deux lieues de terre, ou environ. Il venait chercher du riz et du bois, et est chargé de roch
ette flûte, qui est cause que nous sommes à l’ancre. M. du Quesne est venu ce soir à bord, sitôt que nous avons été sur le f
avons eu au vent toute la journée, et avons mis même pavillon. Il est venu à bord un Français, nommé M. Cordier, qui nous a
ourir le roi notre allié, a été poignardé par Monpan, le même qui est venu ambassadeur en France, et qui s’est mis la couron
dix-sept ans, est nièce de M. Speelman, général à Batavia, et qu’elle venait trouver le gouverneur de Trinquemalé, auquel elle
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
tites lieues de son château à celui du comte ; ainsi elle résolut d’y venir à l’issue de son dîner. Elle se mit donc en chemi
pied derrière son carrosse, tous désarmés, qui ne se doutant de rien, venaient tranquillement au-devant des six bandits qui alla
tre héros coupa chemin à un des fuyards, et ayant appris de lui qu’on venait d’assassiner la duchesse de Médoc, il tomba comme
èrent pas, et ne firent que lui ôter un moment la respiration. Sancho vint à lui et le soutint sur son cheval. Si ces scélér
esse celui de reprendre assez ses sens, pour s’apercevoir qu’on était venu à son secours. Notre héros reprit sa fureur, en m
e fut remarquée par un de ces scélérats, qui, poussé de son désespoir vint à elle, et l’aurait tuée si Don Quichotte ne se f
duchesse. ne voyant plus qu’un homme en état de défense, et qu’il lui venait encore du secours d’un autre côté, se contenta de
ôt atteint, et dont il eut aussi bientôt purgé le monde. Les gens qui venaient au secours de la duchesse étaient les siens mêmes
nos braves, et voyant que le nombre des assassins diminuait, étaient venus pour achever d’en délivrer leur maîtresse, et se
trouvât quelqu’un assez déterminé pour aller à lui, comme il en était venu à elle, et cherchant dans sa tête le moyen de le
i de faire tirer plusieurs coups de mousquet, ne doutant pas qu’il ne vînt au feu, comme en effet elle ne se trompa pas. On
10 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
. Nous arrivâmes au Bourg-la-Reine à sept heures du matin, je voulais venir à Paris ; mais pour m’obliger à rester, il me con
ous la dépeindre âgée d’environ dix-sept ans, lorsque je la vis. Cela vint par le moyen de son cousin, qui lui dit un jour q
point les honneurs de sa voix, j’eus honte de chanter après ce que je venais d’entendre, qui était le redouble des Rochers du
lier. J’avais remarqué dans elle tant de bonnes qualités, que j’étais venu à l’aimer trop pour mon repos. Il me paraissait q
e présente un parti pour vous, préférable à celui qu’on vous propose, venez me voir incessamment. Je vous attends. J’y allai
es, me firent croire qu’elle avait pleuré ; je ne me trompais pas. Je viens recevoir vos ordres Mademoiselle, dis-je en entra
pas. Je viens recevoir vos ordres Mademoiselle, dis-je en entrant, je viens savoir de vous ce qu’il vous plaît que je devienn
es ce soir, soit par écrit, soit de vive voix. Allez, me dit-elle, et venez me voir le plus tôt que vous pourrez ; mais ne me
que je vous attendais, Monsieur, me dit-elle ; mais enfin, vous voilà venu . Nous sommes seuls, parlez sans contrainte ; qu’a
avez-vous enfin résolu ? M’abandonnerez-vous, ou me suivrez-vous ? Je viens encore, répondis-je, tâcher de vous faire changer
reste dans la cour. Un gros chien qui appartenait au cocher d’Ivonne, vint lécher cette composition, et mourut un moment apr
de poison qu’il m’en faut. Non, repris-je, en l’embrassant, vous n’en viendrez point à cette funeste extrémité, je suis résolu à
’adressais. Celui-ci, à qui je demandais tout, et que vous allez voir venir avec elle, le lui donna en main propre. Ils consu
nquera, par le bon ordre qu’elle et Du Val y ont donné, et qu’elle ne viendra au-devant de moi que dans mon carrosse. J’attends
demandent si promptement votre présence. À mon égard, je serais bien venu en poste, comme vous m’en pressiez ; mais les mes
elai mon valet et celui de Jussy, je fis servir. Les laquais nouveaux venus montèrent ; on ne dit rien en leur présence qui d
sation, qu’elle n’était sortie de son couvent que le matin même, pour venir au-devant de lui : et que c’était Monsieur Du Val
chez les mariés, qui comme moi, étaient encore au lit à midi. Du Val vint me voir, nous allâmes ensemble trouver au lit Jus
it toujours porté chez lui comme une dévote. Il lui demanda d’où elle venait , et où elle était restée depuis le matin de la ve
’elle à son choix, elle s’était retirée à son particulier, et qu’elle venait le prier, lui, sa femme, et ses enfants, d’honore
e leur envoyer un laquais pour les conduire chez elle s’ils voulaient venir , et les laissa ensuite faire tant de réflexions q
son ban et de la majorité de sa maîtresse. Ils résolurent pourtant de venir souper chez elle, et y vinrent en effet le soir.
sa maîtresse. Ils résolurent pourtant de venir souper chez elle, et y vinrent en effet le soir. Ils trouvèrent bonne compagnie
nsieur que nous n’attendons plus que lui, et qu’il prenne la peine de venir . Il achève une lettre, Madame, dit ce laquais. Ce
n ressentiment, reprit cette belle veuve ; je le sacrifie à ce que je viens d’entendre. Si j’étais bien persuadé de cela, rep
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
aliers, se rejeta dedans sitôt qu’il les vit aller à lui. Cette femme vint en courant se jeter aux pieds du cheval de Don Qu
épée nue et à la droite un fouet de cordes garni de molettes de fer. Viens , dit-il au chevalier, si tu oses descendre à arme
noirs habitants du séjour ténébreux, sortez du fond de vos abîmes, et venez y précipiter ce perfide, qui n’est hardi qu’à mal
ces paroles étaient écrites en lettres d’or : Qui que vous soyez qui venez affronter Merlin dans son palais et lui enlever l
ine. L’intrépide Don Quichotte avança vers le géant, bien résolu d’en venir aux mains avec lui malgré les lions qui lui serva
es lions qui lui servaient de corps de garde. Qui es-tu toi, qui oses venir où jamais homme vivant n’a mis les pieds ? lui de
toujours l’esclave de l’illustre princesse Dulcinée du Toboso que je viens délivrer, ou perdre la vie. A ce nom de Don Quich
massue et rejeta l’épée à Sancho, les lions tombèrent sur le côté et vinrent un moment après en rampant baiser les pieds du br
bénédictions. Après cela parut Balerme suivi[e] de douze filles, qui vinrent deux à deux se prosterner aux pieds de l’invincib
vant lui l’invincible chevalier qui avait rompu leur enchantement, il vint se jeter à ses genoux, le cœur si saisi en appare
sa vie, a purgé la terre de monstres et de brigands. Il est comme lui venu dans ton empire ; mais c’est la vertu qui l’y a c
eva, et avec son intrépidité ordinaire il prit la parole : Je ne suis venu dans ton empire, dit-il, que pour tenter les aven
e lui pourquoi elle n’est point désenchantée, puisque le terme en est venu . — Qu’on fasse entrer Merlin, reprit Pluton. A pe
une simple chemise dessus. Pluton dit qu’il était nécessaire de faire venir Dulcinée, afin qu’elle fût présente elle-même à l
ée magnifiquement vêtue, et d’un visage fort agréable, se leva et lui vint tendre la main en le remerciant de la meilleure g
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
tît à me rendre heureux ; et pour cela je la priai de me permettre de venir chez elle avant l’heure du jeu, et de se trouver
e n’avais plus d’autre moyen pour empêcher ce fatal mariage, que d’en venir aux mains avec Deshayes ; j’en cherchai les occas
allé à la campagne, ou qu’elle était maîtresse d’elle-même, elle est venue dans tous les lieux où elle sait que je vais d’or
re dans l’état où je suis. Deux jours après cette conversation Silvie vint chez la marquise, où était Sainville, et qui en s
pria de se souvenir de la parole qu’elle lui avait donnée. Les larmes vinrent aux yeux de Silvie, et quoiqu’elle ne fût venue q
donnée. Les larmes vinrent aux yeux de Silvie, et quoiqu’elle ne fût venue que dans le dessein de décharger son cœur, elle p
ai toujours traité comme un fourbe ; mais enfin il m’a convaincue. Il vint me dire avec empressement avant-hier au soir qu’i
et je n’osai ni ne voulus les en dédire. Deshayes qui en fut averti, vint dès l’après-midi même me rendre visite. Il eut le
re ouvrir la porte. Pendant huit jours que je restai au lit, et qu’il vint continuellement me voir, je tâchai d’oublier Sain
me, et sur ce pied-là je fus extrêmement surprise d’apprendre qu’elle venait d’être arrêtée à ma porte et conduite à la Concie
e contentai de l’assurer de mes services, et j’ajoutai que je n’étais venue que dans la seule intention de savoir en quoi je
désespoir de voir une si forte intelligence entre vous et Sainville, vint me dire tout ce qu’il avait entendu. Je le rassur
is vous connaissez mon complice. L’étonnement où j’étais de ce que je venais d’entendre, n’était égalé que par l’indignation q
che, et mon emportement s’étant fait entendre par toute la prison, on vint m’ouvrir. Je sortis toute baignée de pleurs, sans
e plus accablée de chagrin que de fatigue. J’envoyai prier ma mère de venir chez moi, où étant arrivée, elle fut toute étonné
permirent pas d’aller chez lui. C’est pourquoi je le fis épier, et on vint me dire deux jours après qu’il était à Luxembourg
qui revint à Paris trois ou quatre jours après la mort de la baronne, vint m’y trouver ; mais ayant fortement résolu de n’av
pas elle-même où sa nièce allait, ni où elle la laisserait. Sainville vint le soir même chez la marquise, qui ne lui cacha r
e, elle lui offrait une retraite certaine, auquel cas elle pouvait la venir joindre à Toulouse dans une hôtellerie qu’elle lu
r dans la forêt. Lorsqu’ils se sont vus assez avant, ils ont voulu en venir aux dernières violences, et sans doute nous nous
si Sainville, qui heureusement avait pris un chemin détourné, ne fût venu à nos cris, et n’eût ramené à notre secours nos d
13 (1721) Mémoires
en du haut et bien du bas, bien du bon et bien du mauvais. 10. Le bon vient sans doute de lui ; et ce que j’en dirai témoigne
ans le moment, et sans autre conseil que sa probité naturelle. Le mal vient des flatteurs. Certainement c’était son plus gran
rotection du Roi, dont ils louaient le zèle et la piété et auquel ils venaient d’accorder un don gratuit très fort, et le tout à
rent dites en attendant la bénédiction du Saint-Sacrement. Lorsque ce vint à son tour à entonner le Domine salvum fac regem,
de Risvik et d’Utrec en sont des preuves parlantes, et les siècles à venir auront peine à les croire si ils les comparent au
complaisance, s’opposait à sa promotion ? Et ce pape ne le fit-il pas venir à Rome chercher un asile jusqu’à ce que l’indigna
mauvaise foi se sont aussi établies par degrés. La source du désordre vient sans contredit de la cour papale et des gens d’Eg
e des commandes, et une infinité d’autres abus, et en même temps d’où viennent les biens d’Eglise employés à présent à tout un a
grosse de plus de huit mois, ayant outre cela quatre enfants vivants, venait d’être exécutée pour la taille, et les coquins d’
rs. MM. de Beauregard et le chevalier de Château-Regnault et moi, qui venions à Paris par le messager, sortîmes de notre auberg
tête des affaires lorsque Louis XIII mourut et que Louis XIV son fils vint à la couronne. Beaucoup de gens ont prétendu que
ine qu’il avait emportée, il répondait sur sa vie que sa stérilité ne venait point d’elle, mais de maléfices dont il savait le
urs embrassements ne seraient point infructueux ; elle le fit, le Roi vint la voir, et en moins de six semaines des témoins
table. Il porta les arts et métiers jusques à l’opulence, et fit même venir des pays étrangers les plus fameux et les plus ha
’était que par ces trois sources là que l’or et l’argent pouvai[en] t venir en France, laquelle n’en produit point dans son s
et des bottines à lui délivrées. Il pria le Roi de souffrir qu’il fît venir les autres qui se plaignaient de l’inexécution de
ces grains en sûreté, jusques à ce que le temps d’en faire usage fût venu , je veux dire une année de peu de rapport. Je dis
ours produit plus de grain qu’elle n’en a pu consommer. 96. Lorsqu’il venait une mauvaise année, et que ceux qui avaient du bl
l’approche aux Anglais qui très souvent se joignaient aux Iroquois et venaient impunément les insulter, et munirent ce fort d’au
u’il en était ainsi des martres et des loutres ; que les orignaux qui venaient en France de ce pays nous empêchaient d’aller che
inaccessible à toutes sortes d’ennemis de quelque côté qu’ils fussent venus , soit par terre ou soit par mer. 112. La maréchal
de ces mémoires qui regardaient toute la Nouvelle France. Comme j’en venais et que j’étais prêt d’y retourner, Monsieur de Ch
. Les Iroquois, dans le plus grand nombre qu’on les eût encore vu[s], vinrent inopinément à Quebec, et y entrèrent avec tant de
se retirer au château. Les vaisseaux de France n’étaient point encore venus . Il n’y avait aucune goutte de vin ; les coureurs
s lieues par delà Québec pour aller en guerre contre les Iroquois qui vinrent au devant de lui. Leur nombre était supérieur ; i
asser de la manière qu’ils s’y fortifient, et que le roi d’Angleterre vient tout nouvellement d’y envoyer huit mille hommes p
nnent aux gouverneurs qui sont envoyés d’Europe), qu’est-ce que tu es venu chercher ici… Pourquoi viens-tu dans notre pays,
nt envoyés d’Europe), qu’est-ce que tu es venu chercher ici… Pourquoi viens -tu dans notre pays, puisque nous n’allons point d
s-tu dans notre pays, puisque nous n’allons point dans le tien ?… Que viens -tu nous demander puisque nous ne te devons rien ?
ompatriotes exposez vos vies sur un élément toujours traître pour les venir chercher de si loin… Pourquoi, pour les avoir, no
reprends pas de nous forcer à le croire… Ces grandes robes noires qui viennent parmi nous, nous disent de bonnes choses quand il
, nous ne les écoutons que pour en rire....Écoute, Onontio, qu’ils ne viennent plus dans notre pays, nous ne voulons plus les vo
let, et qui demeurait rue Saint-Louis, près de la place Royale ; il y vint avec les autres et pour son malheur entra le prem
ière digne de lui et d’eux. Il sut le jour et l’heure qu’ils devaient venir  ; c’était dans le mois de l’hiver le plus rude, e
cérémonie par trois dimanches consécutifs. Après ce temps expiré, il vint le propre jour du lundi gras avec sa maîtresse pa
le jeter dans la rivière que d’en donner un denier à ces b..gres-là. Venez demain me voir plaider ma cause, je n’ai que fair
145. J’y allai par curiosité, mais je n’espérais pas tant rire. Il y vint avec sa femme, tous deux en habit de noces. C’éta
e de 23 à 24 ans, assez jolie, grande, et fort bien faite. Lorsque ce vint son tour d’audience et qu’il fut appelé, il s’ava
estiné les jours de fête et de dimanche. Il les envoya quérir, et ils vinrent en habits nuptiaux. Le mari ne se doutait pas seu
femme, et elle qui croyait que son mari allait avoir la tête lavée y vint avec plaisir. 147. Lorsque M. d’Argenson les vit
rante sols par jour parce que je travaille comme un galérien. — Tu ne viens pas au soufflet, lui dit le magistrat en l’interr
dit le magistrat en l’interrompant. — Pardonnez-moi, Monseigneur, j’y viens , reprit-il en se remettant. Comme je veux me fair
est toujours bien gouverné quand la maîtresse est la trésorière, mais venons au soufflet. — J’y suis, Monseigneur, reprit-il.
ler leurs extraits baptistaires, et les actes qui témoignent d’où ils viennent et quels ils ont été avant que d’être ce qu’ils s
illon ; et c’était ordinairement la voiture qu’elle prenait tant pour venir voir son amant que pour s’en retourner après l’av
ours après ses couches et deux mois après le mariage de son amant, de venir à Versailles en courrier, et de lui donner en pré
aucune difficulté, et qu’il savait bien ce qu’il en voulait faire. Il vint dans le moment à l’appartement de Monseigneur pou
endrait. 162. Sitôt qu’il eût quitté le dauphin, il monta à cheval et vint à toutes jambes à Paris, et se fit introduire dan
e de l’autre, etc. Et pendant qu’ils étaient occupés, M. Colbert, qui venait pour rétablir le refus du jour précédent, vint et
pés, M. Colbert, qui venait pour rétablir le refus du jour précédent, vint et se fit annoncer. Hubert était d’avis que Monse
vez pas m’en refuser la porte. Mais pour chez moi je vous défends d’y venir jamais, ou comptez que vous n’en sortirez que par
fils ayant dit à son père la volonté de Monseigneur, et qu’il voulait venir à Paris dans ce seul dessein, M. Hubert le père,
prince. Dès le lendemain de la consommation de ce mariage, M. Colbert vint comme les autres lui faire sa cour. Elle2 le reçu
e avait demandée. 170. L’ordre de le mettre en liberté et de le faire venir en cour fut envoyé à Monsieur de Neuville de Vill
e qui surprit celui qui lui en porta l’ordre, et Monsieur de Villeroy vint un moment après l’en féliciter, et l’emmena dîner
erit etiam suspensus ferre medelam. Lorsque la compagnie eut dîné, on vint revoir ce modèle, tout le monde fut étonné de cet
avec dépens. Un coup si imprévu l’étonna mais ne le terrassa pas. Il vint voir M. de La Faluère auquel il dit qu’il le conn
de gens de l’action intègre et généreuse de M. de La Faluère qu’elle vint aux oreilles du Roi, qui fit venir le marquis, qu
néreuse de M. de La Faluère qu’elle vint aux oreilles du Roi, qui fit venir le marquis, qui lui en dit toutes les circonstanc
it un prêtre. 201. Lorsqu’il n’y eut plus de postérité à craindre, il vint demeurer avec sa mère dans le château qui lui app
d’eux et les logea dans le Louvre. Après le repos de la nuit, il fit venir un avocat au Conseil qui dressa le placet, court,
ont dans la salle des gardes, reprit M. de La Feuillade. — Faites-les venir , lui dit le Roi. Il les alla quérir lui-même, et
uèrent pas, et aucun d’eux ne savait à quel dessein on les avait fait venir . Il y en eut même qui crurent que c’était un cons
s du peuple. 213. Louis, après avoir tout écouté, entra dans ce qu’il venait d’entendre et résolut de suivre le conseil qui lu
or des gardes, d’avertir Deschiens qu’il voulait lui parler, et qu’il vînt à Versailles. Mons[ieu] r de Brissac, n’y entenda
t à Versailles. Mons[ieu] r de Brissac, n’y entendant aucune finesse, vint à Paris, et n’y ayant pas plus de cent pas de sa
celle de Deschiens, il ne voulut pas mettre pied à terre chez lui, et vint à cheval chez Deschiens. Par malheur pour celui-c
enaient de Versailles, et qui par honneur suivaient leur officier. Il vint avec cette troupe chez Deschiens. Son portier, no
enêtre dans un cul-de-sac qui bornait sa maison. Son portier Boulogne vint dire à M. de Brissac qu’il n’était point au logis
n effet sans Monsieur de Caumartin, qui avait empêché le conseil d’en venir jusques là. Je dirai bientôt ce que c’est. 215. E
i avait épousé la nièce de Deschiens et qui demeurait dans sa maison, vint comme les autres au vacarme. Deschiens, dont la f
de gouvernante. Elle avait quatorze ans lorsque Mme Deschiens la fit venir auprès d’elle, et la traita comme si elle avait é
il ne pouvait pas leur faire tête, mais que si le marquis de Coeuvres venait avec les dix-huit vaisseaux qu’il amenait, l’armé
s[ieu] r Desclouzeaux, où il me dicta la lettre circulaire pour faire venir les officiers au conseil. Il avait ses raisons po
bas si M. le marquis de Ne[s] mond qui commandait le Monarque ne fût venu à notre secours. Il s’attacha à celui qui nous te
e précaution que la parole l’un de l’autre ; que milord Roussel était venu souper à terre incognito chez M. de Tour-ville, e
e l’homme n’ayant qu’une continance [sic] fixe, il le priait de faire venir une bouteille de vin ; que ce serait autant d’ava
enant d’un homme connu pour être parfaitement sobre. M.de Bagneux fit venir six bouteilles au lieu d’une, et nous n’eûmes qu’
que tous les autres vaisseaux arborèrent le leur ; la pointe du jour vint , et nous vîmes devant nous deux gros vaisseaux an
eçus, et on la payait en billets, sur lesquels le décri est tellement venu qu’on donnait pour cent françs comptant un billet
s le procureur ou l’avocat général de la canaille ? Enfin la chose en vint jusques au point qu’on n’osa plus lui en parler,
qu’on regrette encor Régnait jadis le siècle d’or. Le siècle d’argent vint ensuite Qui fit contre Colbert murmurer de chagri
car la ruine du peuple était ce qui ne l’inquiétait point. De la sont venu [e] s toutes ces infâmes créations de charges, les
maison de Thévenin et d’aller loger ailleurs. Thévenin vit bien d’où venait le coup et congédia son fils aussi, si bien qu’il
sseur d’un prêtre de la paroisse. Ce vicaire, nommé M. Charpentier, y vint , et après avoir (à ce qu’il crut) gagné la confia
on côté. Levez-vous, et envoyez un laquais quérir mon notaire ; qu’il vienne , et qu’il apporte avec lui mon testament, j’ai à
ils de quelques affaires domestiques, et le notaire et un autre étant venus , tout le changement qu’il fit dans son testament,
vilain, et parmi lesquels il y en a plusieurs de pareille acabie. Il vint à Paris pour son bonheur, et entra laquais chez T
x-ci indiqueraient encore d’autres témoins s’il était nécessaire d’en venir à une preuve complète. Je rentrai dans le cabaret
ut en être cru. Celui-ci était sur son pailler, et Bourvalais n’était venu au Temple que pour y voir son bon ami Lanoue, qui
maltôte a été canonisé au pilori et est mort aux galères. Il y était venu voir aussi un nommé Tirard, autre très ardent fri
lle à parler avec un homme qui portait le cordon bleu, le quitta pour venir nous joindre. — De quoi riez-vous tant, leur dit-
rait pour me rendre service. J’y allai. Il me reçut fort bien. Il fit venir une bouteille de bon vin, et j’obtins de lui ving
es, et avait eu une longue audience du ministre. Son dessein était de venir tout aussitôt à Paris. Il voulut monter dans son
ouva le billet dont j’ai parlé. M.d’Argenson, lieutenant de police, y vint , et voyant que c’était une femme de très bonne fa
était à conserver, il en fit avertir le curé de Saint-Eustache qui y vint , et la fit honorablement enterrer, bien repentant
e ce sont les Jésuites de toutes nations qui s’y sont établis, et qui viennent au-devant des gens qu’il y envoie avec des sept,
ne une entière exclusion, ou bien il peut compter que lui ou ceux qui viendront après lui se repentiront d’avoir reçu cette engea
n plein repos, Demeurent obscurcis dans d’éternelles ombres, Pourquoi venir par un faste nouveau Réveiller à nos yeux la sacr
de l’église. Il faut encore autre chose à quoi M. Crozat et ceux qui viendront après lui doivent bien prendre garde. C’est d’y f
us les jours anglicanisés m’ont parfaitement convaincu que leur perte vient d’eux-mêmes. Je puis dire qu’en 1684 j’en donnai
t tout ce qui se pouvait dire. Lorsque le mois de février de 1686 fut venu , M. de Seignelay voulut m’obliger à retourner, et
ie. J’ai dit que Bergier avait pris en 1684 les barques anglaises qui venaient à la pêche sur les côtes de l’Acadie. Je dois dir
nvoyés sous prétexte de traiter de prix par barque pour la pêche, ils vinrent à Canceau qu’on ne les attendait nullement, prire
s du fort, et à travers des bois, sans rencontrer qui que ce fût, ils vinrent se coucher le ventre à terre à la porte du fort ;
moires avaient été suivis, les Anglais ne se seraient pas hasardés de venir insulter ni le Port-Royal, ni le reste de l’Acadi
n avec leurs anciens correspondants. Les commandants français en sont venus jusques à en faire pendre quelques-uns, et cela a
avec les sauvages assommaient tous les Français d’Europe qui étaient venus dans leur pays et qui osaient mettre le nez dans
s en un mot à la triste figure Où nous étions jadis quand nous sommes venus , Nous ne pourrons jamais nous résoudre à rien ren
jour tout le sacré trésor. 298. C’était un plaisir de les voir tous venir faire la confession l’un de l’autre et s’accuser
itou, s’était plaint au Conseil, comme je l’ai ci-devant rapporté. Il vint chez M. Chamillart demander au moins une modérati
i leur donnait quarante-huit heures pour dresser cet état et en faire venir les fonds, au bout duquel temps on viendrait en t
dresser cet état et en faire venir les fonds, au bout duquel temps on viendrait en tirer un au sort pour être pendu et étranglé t
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
emoiselle de Bernay. Je ne suis point de cette ville, mais j’y suis venu si jeune, que je me regarde comme un de vos compa
n faire le portrait. Nous voyons l’original, dit Madame de Contamine, venez au fait. J’aime dans une belle femme comme vous,
à tout événement pour la tirer d’où elle était. Je l’assurais que je viendrais dans trois jours quérir la réponse que je lui dem
’avait pas été secrète ; car lorsque j’allai la demander, cette fille vint au parloir, qui m’ayant reconnu, me dit sans faço
la remerciai si bien, qu’elle en fut scandalisée ; la Supérieure qui vint , ne fut pas mieux traitée, et me traita moi comme
tenus. On vous regarde comme un démon que l’enfer a déchaîné pour me venir tenter. Il n’y a que moi qui approuve tout ce que
oir tous deux la même chose en même temps. Par quel dessein êtes-vous venu dans mon couvent ? Pourquoi prendre si généreusem
violable, que je faciliterai son enlèvement, s’il est nécessaire d’en venir jusque-là, pour vous la mettre entre les bras ; m
e comme elle est, si vous étiez assez fourbe pour la tromper, vous en viendriez facilement à bout (et cela ne se terminerait que
… Poursuivez, interrompit en riant Madame de Contamine, le pastel est venu fort à propos, les yeux et la voix ne tiennent po
indifférents vous auraient-ils reconnu, puisque je m’y suis trompée ? Venez me voir encore si vous pouvez, puisque vous parte
iance de mon père, vous me l’ordonnez cela me suffit. Mais si l’on en vient jusques au point de m’obliger à renoncer tout à f
longue. Je sortis de sa chambre, et j’attendis sa fille à côté. Elle vint , nous descendîmes dans une salle. Ce fut là que n
n de pouvoir en sortir sitôt que vous serez de retour ; hâtez-vous de venir m’en retirer. Adressez toujours vos lettres à Mad
aire et précipitée, tous les malheurs qui m’ont jusqu’ici poursuivie. Venez promptement, je ne puis m’empêcher de vous le rép
est encore en vie, et que vous n’aimez guère, de la manière dont vous venez d’en parler. — Il est vrai, Madame, répondit Tern
Il sut, en me faisant suivre, dans quel couvent était sa fille. Il y vint le lendemain matin, et la recommanda de bonne sor
à faire peur. Tout père de ma maîtresse qu’il était, nous en fussions venus aux prises, s’il avait été de ma profession et de
vrai ; et que je n’avais recours à cette défaite que pour éviter d’en venir aux prises. Il se mit si fort en colère qu’il en
disait rien de fâcheux ; qu’elle s’était réconciliée avec lui ; qu’il venait souvent la voir, sans lui proposer aucun parti ;
est fourbe et dissimulée, et plus intéressée qu’un juif. Bernay était venu au couvent de Clémence à qui il avait fait mille
égoûtée du monde. Ma sœur est dans la maison de mon père : elle m’est venue voir plusieurs fois. Elle dit qu’elle est malheur
e assurance d’avoir soin d’elle toute sa vie. Clémence ne tarda pas à venir  ; elle fut une demi-heure entre mes bras sans pou
ence était émue, et ce n’était pas un plaisir d’un moment que j’étais venu chercher. Ce fut en effet à quoi nous ne songeâme
des gens capables de me prêter main forte si j’en avais besoin. Il y vint en effet sous prétexte d’entendre la messe en pas
ardiment, et qu’il saurait bien empêcher qu’on ne nous troublât. Elle vint d’un pas assuré et ferme, et l’agitation et la ch
ec Monsieur de Jussy. À propos de lui, dit Des Ronais, un laquais qui vient du logis, m’a dit qu’il était encore venu vous ch
Des Ronais, un laquais qui vient du logis, m’a dit qu’il était encore venu vous chercher. Vous nous avez promis, poursuivit-
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
on Carasco, le barbier, la nièce et la gouvernante ; ils étaient tous venus , et avaient amené avec eux ce jeune officier neve
de leur village, et qui s’y trouva encore quand on alla les prier de venir à la Ribeyra. Le capitaine Bracamon, ce Bohème qu
boso, qu’il lui avait donné ; on l’avait envoyé quérir, et elle était venue avec son mari, qui, quoique assez fâcheux, n’étai
on le verra par la suite. Les Français, les Espagnols et ces nouveaux venus , qui n’avaient point paru aux yeux de nos aventur
les y avait pas vus portés d’eux-mêmes. Après cela tous ces nouveaux venus prirent congé et allèrent au château de Médoc fai
nt valait mieux ; quand la bourse est lâche le cœur est serré ; de me venir dire des fariboles, c’est chercher magnificat à m
du ; il est entré par une porte et sorti par l’autre ; il n’était pas venu au son de la flûte, et pourtant il retourne au so
nt jamais ri de si bon cœur. Il aurait toujours continué si on ne fût venu dans un vallon où le même ruisseau faisait un cou
quatre jours vous aurez Dulcinée, et moi mon argent ; d’un échelon on vient à deux, et de deux au haut de l’arbre ; attendons
uriers crurent que c’était un nain qui en sonnait. Tout le domestique vint au-devant de la compagnie avec des flambeaux, et
nuit-là, parce qu’elle ne couchait pas seule ; mais que s’il voulait venir le lendemain dans une chambre qu’elle lui indiqua
ui avait préparé une collation fort propre. Le brutal voulait d’abord venir à la conclusion ; mais la belle Altisidore lui di
ienne, et je recevrai Altisidore en fille de bonne maison, si elle me vient davantage rompre la tête. Son maître le laissa ;
é la manière d’enlever le lit d’Altisidore. Sancho se leva le soir et vint souper avec toute la compagnie qui le questionna
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
sortaient de la forêt, le même satyre qui avait arrêté Don Quichotte, vint se présenter dans le chemin où il fit deux ou tro
ami. En disant cela elle alla à lui, et lui, en gambadant et sautant vint à elle, et la pria tout haut de la part du sage e
e en fera, lorsque j’aurai tué trente ou quarante chevaliers errants. Viennent à présent que j’ai mes bonnes armes qui me garant
qui me garantiront de blessures tous les chevaliers errants du monde, viennent Mores, Sarrasins, Espagnols et enchanteurs même ;
ho, après un sommeil de huit heures, venait de se réveiller, et qu’on vint les quérir l’un et l’autre pour aller joindre la
y exalta encore sa valeur, et surtout son intrépidité, d’avoir osé en venir aux prises et corps à corps avec un démon armé de
er bien des affaires. —  Eh bien, répondit hautement Sancho, qu’elles viennent à présent que j’ai mes armes, diable emporte qui
—  Mais, Monsieur, poursuivit-il en parlant de Parafaragaramus, d’oû vient qu’il est si fâché quand un chevalier touche un f
un moine se mêla de nous raccommoder ensemble, et puis après cela il venait nous voir tous les jours, afin de voir, disait-il
son le verre à la main à tous les gens du duc et du comte qui étaient venus le voir pendant la journée, si bien qu’il avait t
u’il avait terriblement les dents mêlées le soir que toute la société vint le voir pour apprendre des nouvelles de sa santé.
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
art de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. Ce fut ainsi qu’en s’accommodant au
On s’y opposa, et on se contenta de l’obliger d’écrire à sa femme de venir et d’amener sa fille. Il le fit, et encore quelqu
out d’un coup à ses yeux. Don Quichotte, dit-il à notre chevalier, je viens te rendre la dernière visite que tu recevras de m
uérir allaient arriver, excepté la fille et la femme de Sancho qui ne viendraient que deux jours après, parce qu’elles étaient obli
t qu’elle ne haïssait pas. Cet homme était le neveu du curé qui était venu la consoler du départ de Don Quichotte, et dans l
i, et en vérité je suis entière et nette comme un beau petit denier ; viens , mon cœur, continua-t-elle en faisant semblant de
nt Sancho de la rosser ; les dames parurent aussi et demandèrent d’où venait un si grand bruit. Altisidore voulut répondre, ma
tte en vît ni entendît rien. C’était Thérèse qui arrivait, à ce qu’on venait d’apprendre par celui qu’on avait mis en sentinel
est pas à toi à me montrer à marcher droit. Eh bien, Madame, me voilà venue , dit-elle à la duchesse ; je vous aurais apporté
pour se donner le plaisir de l’entrevue. Sancho ayant appris qu’elle venait au-devant de lui, coupa une branche d’arbre, et s
rent une grêle. Les gens du château, qui n’en pouvaient plus de rire, vinrent enfin les séparer ; mais les parties étaient trop
lheur, cela tient comme glu ; et puis voilà Madame la gouvernante qui vient mêler son museau où elle n’a que faire. N’est-ce
femme me fasse enrager, sans que les autres, qui ne me sont de rien, viennent encore à la charge ? Mardi, poursuivit-il, votre
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
a voir dans un lieu si indigne d’elle, et du sujet qui l’y avait fait venir . Le duc et la duchesse d’Albuquerque, qui savaien
oit où vous m’avez vu, où il m’a endormi et lié ; mais patience, tout vient à point à qui peut attendre. Sancho aurait plus l
c d’Albuquerque, son crédit et la figure qu’il faisait en Espagne, le vint aborder fort civilement, et lui demanda sa protec
étaient amusés à voir le chevalier Sancho en sentinelle, et prêt d’en venir aux coups avec le faux Parafaragaramus. Valerio n
é le premier comme le plus malade, et le chirurgien ayant eu ordre de venir rapporter au comte et à la comtesse l’état de la
orter au comte et à la comtesse l’état de la santé de leurs hôtes, il vint leur dire que Sainville était, comme Valerio, san
qu’il en aurait ; Don Quichotte le promit, et l’heure de souper étant venue , Eugénie fit mettre la table auprès du lit de son
fit trouver bon qu’elle tînt compagnie à sa nièce ; de sorte qu’il ne vint avec la comtesse, que la même demoiselle français
les esprits fussent portés à la joie, on ne fit point prier Sancho de venir souper, et il resta avec l’officier dont les civi
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
apitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de
inville et Silvie avaient été premièrement portés, ne manquait pas de venir les voir tous les jours, et de s’informer de leur
où en secondes noces elle avait épousé l’Espagnol avec qui elle était venue en Castille, et où elle tenait hôtellerie. Cette
l’obligea de prier celui qui avait soin de Valerio et de Sainville de venir le voir, et de vouloir bien en entreprendre la cu
de chambre était aussi bien qu’elle dans le château de Valerio, où il venait d’être apporté de l’hôtellerie ; elle apprit auss
der le secret. A peine ce prétendu valet de chambre put marcher qu’il vint se rendre auprès de Sainville. Le comte Valerio é
dernière campagne, il lui demanda par quelle aventure il était ainsi venu en Espagne en habit d’inconnu. Le comte du Chirou
Sainville, à qui on donna des défaites en paiement ; et comme Silvie venait le voir fort souvent, et que tous les Espagnols e
paix avait été faite entre la France et l’Espagne, du Chirou l’était venu voir à Barcelone, où il s’était fait porter bless
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
les bandits n’avaient osé les poursuivre plus loin, de peur qu’on ne vînt à leur secours, ou de l’hôtellerie, qui n’était p
ostillon il retourna généreusement sur ses pas aussi vite qu’il était venu . La contenance hardie de Deshayes et de son valet
nt que deux s’étaient éloignés, et rechargeaient leurs pistolets pour venir fondre sur lui, n’hésita plus ; il alla à eux, et
és de six hommes, ils auraient infailliblement succombé, si on ne fût venu à leur secours. Pour savoir qui ce fut, il faut s
, et sautant promptement sur un des chevaux qui était sans maître, il vint se fourrer dans la mêlée. A moi, veillaques, à mo
on Quichotte le secours qu’il leur avait si généreusement prêté. Il y vint et s’attacha à Don Pedre ; notre héros qui vit ce
montés, que les cris d’Eugénie avaient fait détourner du chemin pour venir à elle. Les questions qu’ils leur firent donnèren
21 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
ença à crier, en se jetant presque tout le corps hors de la portière. Venez ici Monsieur Des Frans. Ha ! Monsieur, répondit-i
rende incessamment. Ce n’est qu’à cette condition-là qu’on m’a laissé venir  ; et je ne veux rester ici qu’autant de temps qu’
l avec son valet, qui avait apporté une valise. Il changea d’habit et vint rejoindre son ami dans une salle où il l’attendai
rouillé avec sa cousine, le fit avertir de l’arrivée de Des Frans. Il vint à cette nouvelle, et ne le trouva pas, non plus q
emps, lui demanda Des Ronais, en l’embrassant sitôt qu’il le vit ? Je viens , répondit Des Frans, de voir une femme fidèle, et
is rien que le public ne sache, dit Des Ronais ; mais Dupuis qui doit venir ici vous en dira de nouvelles certaines, car ils
nfidence a duré jusqu’à sa mort, qui est encore toute récente. Il est venu ici quatre fois pour vous voir ; je viens de l’en
s de l’envoyer avertir que vous êtes ici, et je ne doute pas qu’il ne vienne . J’aurais dû le prévenir, dit Des Frans ; mais ce
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
que l’enchanteur eut remis Sancho entre les mains du satyre, il était venu rejoindre Don Quichotte, pour le mener plus avant
ches ; et en faisant semblant de se promener par le bois, ils étaient venus où était Sancho qu’ils trouvèrent seul, comme j’a
dit-elle. A ce mot deux satyres sortirent de derrière des arbres, et vinrent en gambadant lui dire que l’enchanteur lui-même a
es, et vinrent en gambadant lui dire que l’enchanteur lui-même allait venir . En attendant son arrivée toute la troupe autour
rer de son fourreau, quoiqu’il y eût employé toutes ses forces, était venue d’elle-même après que le discourtois chevalier av
y a eu de chevaliers errants dans le monde ; mais que lui et son fils viennent quand ils voudront, je ne les crains ni l’un ni l
ourné la vue d’un autre côté, ils virent avec surprise un spectre qui venait à eux à travers le bois. C’était un homme effroya
n. Que pourraient-ils dire sur tous ces tours de passe-passe que vous venez tous de voir, et dont vous êtes témoins oculaires
et se faisait fort de le renvoyer en enfer aussi vite qu’il en était venu  ; cependant qu’il n’avait pas pu se dispenser de
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
s leur durèrent peu, et deux enfants aussi beaux que la mère qui leur vinrent en si peu de temps, furent les témoins convaincan
emme ayant eu une crise, et quelqu’un ayant crié mal à propos qu’elle venait d’expirer, il voulut se passer son épée au traver
pensa peu à peu de rendre des visites et se retira des compagnies qui venaient chez elle, en sorte qu’elle se retrancha dans son
hes qu’il en exigeait. Elle prit pour cet effet le temps que son père vint dîner chez elle, et en présence de sa mère et de
mais je veux absolument savoir ce qui a pu y donner sujet. Votre mari vient tous les jours au logis, il nous montre toujours
encore lorsque Sotain arriva. Quoiqu’il l’eût plusieurs fois priée de venir chez lui, il ne trouva pas bon cependant qu’elle
priée de venir chez lui, il ne trouva pas bon cependant qu’elle y fût venue . Elle descendit sitôt qu’elle l’entendit et le re
ne put se passer de la défendre, et ce brutal se voyant contredit en vint jusques à la frapper. Ces sortes de caresses sont
solliciter inutilement des bulles. Ce prêtre lui demanda s’il voulait venir servir sa messe qu’il allait dire à un château qu
umône en italien le propre jour de Noël, ne doutant pas que Sotain ne vînt à l’office, à cause de la solennité du jour. Auss
e fausse Italienne demanda l’aumône en italien, lui demanda d’où elle venait . Elle lui répondit qu’elle venait de Florence, et
e cavalier, ne se découvrit à personne ; et comme à force d’argent on vient en France, comme ailleurs, à bout de tout, elle t
hagrine, vous n’aurez qu’à me le dire, et je vous en rendrai justice. Venez , continua-t-il en la reconduisant dans la chambre
nt les masques ni leur pays. Je leur donnerai des noms tels qu’ils me viendront à la bouche. Ensuite elle commença dans ces terme
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
qui ne lui fût point suspect ; parce que son dessein n’était pas d’en venir aussi avant qu’elle en vint. La peur de faire con
; parce que son dessein n’était pas d’en venir aussi avant qu’elle en vint . La peur de faire connaître à son époux qu’elle a
occupée par un homme de qualité, qui s’est marié en secret, et qui ne vient ici que deux ou trois fois la semaine ; et la fem
ois la semaine ; et la femme, qui n’est qu’une simple demoiselle, n’y vient jamais qu’il n’y soit, et ils sont environ une he
ut au contraire, reprit Justin, lorsque je serai dans cette ville. Je viendrai ici le matin et en ressortirai le soir, parce que
up, que pour aller me faire apporter à manger, et dès demain matin je viendrai prendre possession de votre chambre ; et en même
en a pas un parmi vous qui n’eût joué ici des couteaux, et qui ne fût venu poignarder dans le moment la dame et le monsieur.
taient, et de quelle manière elle devait la faire sortir pour qu’elle vînt les trouver dans l’hôtellerie qu’il leur indiqua.
leur demeure ordinaire. Le beau-père les obligea peu de temps après à venir demeurer avec lui, tant pour avoir la consolation
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
e Médoc qui était son parent, l’état de toutes choses, et le prier de venir lui-même sur les lieux mettre ordre à tout par so
ais qui étaient dans le château. A peine y furent-ils retournés qu’on vint les prier de monter promptement dans la chambre d
Mademoiselle de la Bastide avait commencé à faire devant elle, était venue pour s’informer de sa santé, et lui offrir ses se
ncèrent, ne furent interrompues que par l’arrivée du duc de Médoc. Il vint seul, n’ayant pas voulu dire à son épouse où il a
soupèrent fort bien, et ne furent interrompus que par la prière qu’on vint leur faire de remonter dans la chambre de Deshaye
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
e impatience de savoir à fond le sujet pour lequel on l’avait prié de venir . Il avait été impossible de le satisfaire, parce
lui avait été préparé, et fit avertir la comtesse et Don Quichotte de venir les y trouver. Quelque lecteur a sans doute déjà
justice pour voir tout d’un coup la fin de l’aventure. Ce lieutenant vint avec son greffier, et leur parla longtemps en par
t à la situation où tout le monde était. La maîtresse de l’hôtellerie vint encore s’informer de la santé des Françaises, et
ras. Mais, ami Sancho, lui dit Don Quichotte, il me semble que tu n’y viennes qu’à contrecœur. —  Ma foi, Monsieur, répondit le
27 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
comme nous sommes ; mais ce n’est point pour fuir ni pour éviter d’en venir aux mains. —  Eh ! qui sont-elles ces raisons ? d
e ne m’en informerai pas davantage, mais du moins avant que de sortir venez avec moi pour décider des moyens de l’attaque et
uvés de leur témérité, si une des troupes attirée par le bruit ne fût venue à leur secours. Elle arriva justement dans le tem
e lui avait pas permis de voir quel chemin il prenait, et qu’il était venu justement s’enfourner dans cette même caverne, où
nturiers en mirent deux sur la place, et des gens du lieutenant étant venus aux coups de pistolets, notre héros leur abandonn
et les bandolières du duc de Médoc, sur le corps de ceux qui étaient venus au secours de notre héros qui les avait attaqués
28 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
nos, et vous équitable Rhadamanthe, souverains juges des enfers, vous venez d’entendre l’accusation qui vient d’être intentée
, souverains juges des enfers, vous venez d’entendre l’accusation qui vient d’être intentée par Plutus contre le chevalier Sa
des tenailles pour lui faire tenir la tête ferme, et les deux autres vinrent se mettre à côté de lui, et avec des pincettes à
t, et qui même l’appuient des préceptes et des commandements qui leur viennent d’en haut et d’un pouvoir supérieur à tout ? Outr
ssir quand des esprits d’en haut gardiens de l’honneur de cette fille vinrent mal à propos les séparer tous deux et les châtièr
ille de son village qui allait se laisser aller à son amant lorsqu’il vint mal à propos leur rompre les chiens par sa présen
29 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
la même manière. A toi, invincible Chevalier des Lions, cria-t-il, je viens te remercier de ce que tu as fait pour la duchess
it continuées avec la doléance de ses armes perdues, si on ne fût pas venu frapper à sa porte. Il ouvrit, et vit l’écuyer de
nt pendues, et n’avait point du tout branlé, que lorsqu’il vit Sancho venir à lui. Pour lors il fit une démarche de son côté,
de cet arbre, et qui est un géant monstrueux. Pour lors l’enchanteur vint à Sancho comme pour l’assommer avec sa massue qu’
gure ; je ne veux point avoir d’avantage sur vous. En disant cela, il vint à lui, et en faisant semblant de lui donner la ma
30 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
car elles ne sont bonnes qu’à… Dieu m’entend bien. Sitôt que Thérèse vint à paraître devant ses yeux : Ote-toi de là, lui d
autre monde, je ferai amitié avec quelque démon, que je prierai de te venir emporter, et puis je te verrai de bon cœur ; jusq
fallait que Sanchette le fût aussi, puisque c’était pour elle. On fit venir la petite fille. Ecoute, Sanchette, lui dit sa mè
oudras, au moins si dans la suite il te frotte un peu l’échine, ne me viens pas étourdir les oreilles, car je ne te force pas
31 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
dre, sans que notre héros s’y opposât, parce qu’espérant que Dulcinée viendrait lui rendre visite, et qu’il était naturel de voul
hesses de Don Quichotte et les siennes : Tenez, Messieurs, quand vous viendrez ici faites comme dans un jardin où il est permis
née fût effectivement désenchantée : car, disait-on, elle serait déjà venue vous voir pour vous remercier. Ils allèrent après
e. Ah, Seigneur chevalier ! lui dit le duc de Médoc en l’abordant, il vient d’arriver au château une dame qui paraît d’une qu
32 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
hemin de l’endroit où Sancho était en sentinelle. Celui-ci qui le vit venir s’affermit sur les étriers. Qui que tu sois, lui
. Il ne refusa pourtant pas le choc, et alla au-devant de Sancho, qui venait à lui avec beaucoup de fureur, après avoir fait a
et va m’attendre un moment à l’entrée du bois du côté que tu m’as vu venir . Don Quichotte ne se le fit pas répéter, et obéit
33 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
s unes et les autres sont ce qu’on appelle des femmes de vertu ; d’où vient donc leur contrariété ? C’est que chacune a son g
i suivi, pour la liaison de mes histoires, la première idée qui m’est venue dans l’esprit, sans m’appliquer à inventer une éc
st le frère d’une fille, lorsqu’on parle d’elle. Ce mauvais usage est venu des provinces, où un simple bourgeois qui n’aura
34 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
désordonnés que peuvent donner une belle fille ou une belle femme qui vient s’offrir ; il faut appeler à son secours toute sa
et comme le curé du village des chevriers où Valerio avait été porté, venait prendre congé de lui et de la comtesse Eugénie, e
ait rien ; mais il acheva de se fâcher tout de bon lorsque son maître vint à peindre les cheveux qui tombaient négligemment
35 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
p tôt pour l’un et pour l’autre. Dans ce moment les filles de Balerme vinrent le désarmer, ce qu’il ne souffrit qu’à la prière
rs mains ; mais Merlin le tira d’embarras en venant les prier tous de venir se mettre à table. Il n’était pas avec sa figure
36 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
istoire, les ramassa ; et de celui-ci ils sont passés à un autre, qui vint avec son maître au-devant de Philippe V ci-devant
37 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
vée, et je t’en ouvrirai les chemins, mais le moment n’est pas encore venu . C’est par mon art de nécromancie que ton épée s’
38 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
ur de la comtesse. —  C’était mon dessein, reprit Sancho, mais il est venu un diable d’enchanteur qui m’en a détourné. Là-de
39 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIII. De l’accident qui arriva au chevalier Sancho, en tirant une arme à feu. Remède pire que le mal. »
chevalier avala malgré lui. Pendant cette belle opération le duc qui venait en effet au bruit qu’il avait entendu de la forêt
40 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
cho à la sortie de l’office où le maître d’hôtel l’avait bien régalé, vint le trouver dans sa chambre avec sa gaie humeur, e
41 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
omme des fous ceux qui étaient assez sots et assez malheureux pour en venir à ces extrémités ; que la manière de France sur u
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