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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
arrero, frère de Valerio, commandait ; et tous ensemble, tant pour se venger , que pour vivre, continuaient leurs brigandages.
i bien contre eux, et qui avait blessé deux des leurs. L’ardeur de se venger fit qu’ils se jetèrent sur lui ; heureusement leu
Le valet de Deshayes qui croyait son maître mort, avait résolu de le venger et de rendre à Don Quichotte le secours qu’il leu
ouie et sans mouvement. Don Quichotte qui la crut morte résolut de la venger  : Ah maudits Sarrasins ! s’écria-t-il, vous fuyez
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
mais le cœur tellement ulcéré, que je fis une bonne résolution de me venger et de le mortifier de quelque manière que ce fût.
cune explication, je dis toujours que j’avais tort, bien résolu de me venger . Je ne craignais plus rien, mes affaires étaient
un assez gros seigneur pour le prendre d’un ton impératif. Je m’étais vengé , mais je n’étais pas hors de l’emploi. Il me semb
pour elle n’aurait peut-être pas empêché que Silvie ne fût autrement vengée . Vous ne savez qui elle est ; croyez-moi, soyez d
pendant la vie de Madame de Cranves : mais après sa mort il s’en est vengé d’une manière digne de lui, puisqu’il est cause d
umeur à vous sacrifier à lui, et qu’en se vengeant lui-même, il ne me venge enfin de vos impertinences et de vos injures ? Je
st lui bien plus que n’était Garreau dont vous n’avez jamais osé vous venger qu’en lâche. Mais non, n’appréhendez rien, j’ai p
empêché de le payer, si je n’avais imaginé une autre manière de nous venger d’un si méchant homme, par le moyen d’un autre qu
avez vu que je l’en ai menacé. Il est constant que l’un des deux nous vengerait de l’autre, mais je ne vois pas que cela puisse r
poursuivit-elle, abandonnons-les à leur destin ; il aura soin de nous venger . Ce que vous dites est fort juste, lui dis-je : m
i était moi. Je lui dis aussi la résolution où Rouvière était de nous venger tous. Elle en eut du chagrin, par la peur d’y êtr
retour du courrier j’eus cette réponse : RÉPONSE. Votre malheur m’a vengée de votre dureté. Bien loin de savoir mauvais gré
qu’elle outrageait si cruellement le mien. Je ne pus me résoudre à me venger par une cruauté, qui, quoique légitime dans ce mo
nt de douleur. Je fus à peine sorti que je me repentis de n’avoir pas vengé mon amour offensé dans un endroit si sensible. Un
etournai sur mes pas à ma terre. Là je disposai toutes choses pour me venger d’une manière conforme à ma passion et à ma honte
pour me réchauffer ; je ne voulais pas éclater si tôt ; je voulais me venger de son amant avant que de me venger d’elle. Je me
as éclater si tôt ; je voulais me venger de son amant avant que de me venger d’elle. Je me contentai de me refuser à ses empre
’épée. Je le blessai, et l’ayant déjà terrassé, j’aurais achevé de me venger de lui si on ne me l’avait pas arraché des mains.
nts différents. Mes propres remords me punissaient de la punir, et la vengeaient de ce qu’elle souffrait. Je compris toute l’horre
r le fait, et que je ne m’en vengeasse pas dans le moment, je ne m’en vengerais jamais qu’en la méprisant, si mon déshonneur étai
3 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
sa les genoux, lui offrit sa vie et tout ce qu’elle possédait pour la venger d’un époux si indigne ; et enfin voyant que Célén
férence, et même avec horreur ; mais elle avait trop de vertu pour se venger de ses soupçons autrement qu’en les méprisant. So
tirer, comme elle en a dessein, comptez qu’une chambre bien fermée me vengera de vous comme d’une bête féroce. Songez-y, Julia,
; et si je ne puis en venir à bout, je périrai par sa main ou je vous vengerai par la mienne ; vos souffrances me mettent au dés
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
omesse dont l’honneur devait lui revenir, et c’est assurément pour la venger et vous punir qu’il vous a abandonné à tous les a
’es qu’un serpent que j’ai réchauffé dans mon sein ; mais ta honte me vengera et t’apprendra à distinguer du commun la maîtress
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
re découvert, votre père ne l’accusât de l’avoir fait faire, et ne se vengeât sur elle du chagrin qu’il en aurait. J’approuve c
it, comme elle m’en avait menacé, s’aller plaindre à mon père, qui me vengerait assez d’elle et de ses brusqueries sans que je m’
un bon fils ; mais qu’au contraire je remuerais ciel et terre pour me venger , si elle entreprenait rien contre ma femme et con
Ce fut là que je regrettai ma liberté, parce que je ne pouvais pas me venger par un coup de main, ni périr au gré de mon déses
venez de lire. Je ne vis plus présentement que dans le dessein de me venger de cette marâtre, que je vais traverser de tout m
ndés, et les regrets qu’elle témoigne de la mort de sa fille. Pour me venger encore du coquin d’exempt qui m’a arrêté, et qui
r mon coquin de laquais, quoique le moins criminel, je m’en suis déjà vengé  ; et quand j’aurai satisfait à mon ressentiment,
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
olte que je sentis un coup de chambrière tout à travers des reins qui vengea le page, et le fit rire à son tour à gorge déploy
e ses visites si fréquentes, elle tâchait de me tromper, et moi de me venger . Sachant qu’il était chez elle, j’y allai, et san
e tous les jours la dupe de pareilles friponnes que vous, si je ne me vengeais pas de votre perfidie. Je crois, tout bien compté
lination de tête, à quoi on ne prit pas garde ; mais je me résolus de venger le mépris qu’il faisait en ma présence, d’une fil
mme elle était venue ? Que tout au moins la civilité voulait qu’il se vengeât de tous les refus qu’elle lui avait faits, puisqu
n’approuve point votre douleur. N’avez-vous pas mille moyens de vous venger de son inconstance ? Ah, ma sœur, reprit la premi
s pour me trouver de nouveaux supplices, ne m’empêcheraient pas de me venger par sa mort, soit par moi-même, soit par des gens
oi-même, j’approuve si peu ce lâche procédé, que je serais d’humeur à venger moi-même une femme, quoique je ne la connusse pas
touchant, que sans doute j’aurais pris le sien et aurais tâché de le venger . Je vous en demande présentement pardon ; mais ig
e dame ? Si c’est lui, répondis-je, je serai fort trompé ; mais je me vengerai de votre obstination. Hé comment feriez-vous, dit
ndre. J’ai appris que les infidélités de son époux avaient soin de me venger du mépris qu’elle avait eu pour moi. J’ai fait pl
ortée comme la veuve, au plaisir de l’amour, qui ne cherchait qu’à se venger des infidélités de son époux, dont elle ne refusa
7 (1721) Mémoires
e politique croient que les Espagnols n’ont jamais mieux fait pour se venger de la France que de se choisir pour roi un prince
ris qu’il apprit par des espions qu’il avait partout, résolut de s’en venger par la mort du comte, et fit si bien par ses intr
coup de bonne guerre, ou un coup prémédité, comme on le disait, elle vengea le cardinal du mépris qu’il avait fait de son all
ux princes ayant refusé une pareille alliance, il ne songea qu’à s’en venger , et réussit par la mort du comte et par l’éloigne
cardinal Mazarin, qui soit pour faire sa cour à la Reine, ou pour se venger de quelque chose que cette duchesse avait fait et
avait été fait par le roi d’Angleterre Charles II, qui ne voulut pas venger la mort de son père par l’effusion du sang d’aucu
nt l’ennemi de M. Colbert. On va voir de quelle manière il tâcha d’en venger son bon maître, et en même temps de se venger lui
e manière il tâcha d’en venger son bon maître, et en même temps de se venger lui-même de M. Colbert, qui outre les taxes de la
de vingt années n’avaient ni éteint ni même assoupi le dessein de le venger , parce que, par la prison et la disgrâce de ce mi
erdre M. Colbert ; Hubert le père ne cacha point celle qu’il avait de venger M. Fouquet, et le fils les assura l’un et l’autre
perdrait M. Colbert, et rétablirait M. Fouquet, et par conséquent le vengerait sans effusion de sang, et sans même qu’il parût a
ion mais aussi leur Roi ; que Dieu les livrait entre leurs mains pour venger en même temps le Ciel et la terre ; qu’ils devaie
cutant et le flétrissant dans ses membres, et que Dieu tôt ou tard se vengerait de tant d’excès. 247. Malgré la pauvreté publique
que le fils envoya requérir sa mère ; et peu de temps après, pour la venger , il imita son père, c’est-à-dire qu’il relégua sa
point le tort qu’il m’avait fait. Je le lui dis, et bien résolu de me venger du tour de M. de Villefranche, je le résolus lui-
int du tout content, et je n’en fus pas plus avancé. Cependant je fus vengé , mais tout autrement que je ne l’espérais : Je co
oups, Vous avez jusqu’aux os dévoré votre mère. Chamillart veut enfin venger notre misère. Il a le bras levé, craignez ses jus
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
un peu remise, en lui promettant qu’avant qu’il fût huit jours il la vengerait , et que l’invincible chevalier des Lions romprait
en Freston ; ma princesse l’incomparable du Toboso ne serait pas bien vengée si elle ne l’était par mon bras, et je mourrais d
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
malheur pour elle d’avoir épousé Deshayes, pour me croire encore trop vengé de son infidélité ; ainsi je bornai toute ma veng
t et le désespoir m’ont jetée entre les bras de Deshayes ; je crus me venger de Sainville, et je n’ai fait que le venger sur m
de Deshayes ; je crus me venger de Sainville, et je n’ai fait que le venger sur moi-même de ma facilité à croire ce qu’on me
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
anche crut avoir tué le neveu de Freston, et avoir déjà commencé à se venger de son ennemi. Il allait à ce prétendu corps pour
ta étendu aux pieds du chevalier des Lions. Celui-ci allait bravement venger son écuyer, quand il en fut empêché par une nouve
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
e traiter de lâche et de gavache ; et comme il s’était bien résolu de venger Dulcinée et lui-même, et de battre tout de bon so
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
voyait souvent en Espagne, surtout en Portugal, où un mari trompé se venge sur lui-même, et attente à sa vie de rage et de d
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
e, s’était mis avec Deshayes pour courir après, dans la résolution de venger sur son rival son amour méprisé, et pourtant de s
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
forêt, ni se commettre avec des gens comme eux, ils avaient résolu de venger leur mort par la sienne ; ainsi au lieu de se cac
15 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
en abusa. J’en fus au désespoir, mais je n’étais point en état de la venger que par ma douleur. Je priai qu’on me fît tout ce
ays où la jalousie règne, et où les maris se croient tout permis pour venger l’honneur qu’ils croient qu’on leur ôte, par le c
16 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
lui mandant que je manque de cœur. J’en ai pourtant assez pour ne me venger de vous, qu’en vous méprisant comme la plus infâm
perdue plus digne de compassion que de haine. Adieu, votre destin me vengera de vous. À force de chercher vous trouverez quelq
tes-lui pourtant, que je ne suis pas malfaisante, et qu’au lieu de me venger de lui comme je le pouvais, en animant sa maîtres
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
, dans la vengeance, mais à ne pas se servir du pouvoir qu’on a de se venger . Cela étant, est-ce un honneur pour un homme de p
18 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
, où on dit que nous allons. Tout le monde ici le souhaite, tant pour venger les Français qui y ont été maltraités que pour y
les matelots, surtout lorsqu’ils sont piqués au jeu, & qu’ils se vengent . Ceux-ci sont honnêtes gens pourtant. Ils connais
le crainte d’offenser le Mogol, qui aurait pu se scandaliser & se venger sur Pondichéry si à la vue de ses troupes, qui bo
is où l’une & l’autre était renfermée ; & que Sévagi, pour se venger , avait fait le même outrage à la sœur du Mogol, &
ême, bien persuadé qu’elle aurait soin par sa mauvaise conduite de le venger plus grièvement. Après ce compliment, il la quitt
taquer Madras, qui est un port de sa dépendance ; ils offriront de le venger en nous attaquant à leur tour ; ils lui feront en
aussi bien que la Compagnie, que les Anglais & les Hollandais se vengeront & se payeront, aux dépens des Français, du to
Indes du contrat mohatra, & surtout à Siam, les jésuites, pour se venger , ne découvrissent le leur, & ne leur rendisse
e l’effronterie de ces pères, & de ce que l’Inquisition de Goa ne venge pas Sa Sainteté & les archevêques & évêqu
t. Par exemple, suivant toujours Pajot, j’ai besoin de ces mots… « Il venge la mort cruelle qu’on a fait souffrir aux hommes
on vent, mais bien faible. La Chassée m’assomme, & je compte m’en venger , en le saoulant pour lui faire casser le cou. Le
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
ange, et d’avouer qu’il est bien plus chrétien de pardonner que de se venger , et qu’ainsi leurs maximes sont préférables aux n
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
sa première chambre plus morte que vive. Est-il possible que vous ne vengerez pas une fille qui vous aime tant ? — Madame, répo
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
nt, tomba à la renverse, et sa femme se servit de ce temps-là pour se venger . Il y avait sur un siège un jeune chat qui jouait
22 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
e leur donnerons-nous, nous qui n’avons rien pour nous-mêmes ? Ils se vengeront sur le vin de la méchante chère qu’on leur fera,
paraît légitime Peut-être si les autres avaient été en état de s’en venger le R. P. n’en serait pas bien sorti. En effet, ce
ouvions sur la route de quoi jouer de la griffe, bien résolus de nous venger à la première occasion du point-n’en-tâte d’Amzua
que les matelots, surtout lorsqu’ils sont piqués au jeu et qu’ils se vengent . Le dos de ces deux soldats se souviendra longtem
it être du détachement qui devait venir avec nous ; ils espéraient se venger des Anglais et les ruiner de fond en comble. Mais
23 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
ui se sentaient outragés dans moi. Je leur ai l’obligation de m’avoir vengé . M. Hurtain et moi arrivâmes enfin à l’intendance
ne réponds pas encore de ce qui en sera ; quand ce ne serait que pour venger l’insulte qui vient d’être faite à notre écrivain
avocat au Conseil, qui a connu mon dessein, et ma malice. Vous voilà vengé , m’a-t-il dit : vous allez faire crever de soif l
regardait ce coup comme donné à lui-même, et que si le Conseil ne le vengeait pas, il saurait bien de quelle manière s’y prendr
m male est extra leges viventibus ! dit Pétrone. M. de La Chassée est vengé , et nous ne voyons plus ce qu’il faudra faire pou
spectateurs et inspiré de l’indignation aux gentils, qui se seraient vengés dans l’instant s’ils avaient osé. Voilà à quoi pe
uvions sur la route de quoi jouer de la griffe ; bien résolus de nous venger du point n’en tâte d’Amzuam. Du mercredi 12 ju
24 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
onseilla pas. Comme sa vengeance manquait de ce côté-là, il voulut se venger autrement par le moyen de son prétendu gendre, à
25 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
que Monsieur de Terny va dire ; et vous, Monsieur Des Frans, pour me venger de vous, qui pendant tout le dîner n’avez pas eu
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