rance, et sous la conduite de M. du Quesne, chef d’une escadre de six
vaisseaux
, depuis le 24 février 1690 jusqu’au 20 août 1691.
ans le simple détail de ce qui regarde son escadre en général, et son
vaisseau
en particulier, qu’il ne s’égaie de temps en temp
recevoir des marchandises et des canons, qui auraient trop chargé les
vaisseaux
en rade et auraient pu nous empêcher d’en sortir.
aux en rade et auraient pu nous empêcher d’en sortir. Nous sommes six
vaisseaux
de compagnie, tous équipés moitié guerre et moiti
des preuves certaines de leur conduite et de leur valeur : Et ces six
vaisseaux
sont pour le compte de la Compagnie royale des gr
mme et pavillon d’Amiral, est commandé par M. du Quesne, capitaine de
vaisseau
. Il est neveu du grand et fameux M. du Quesne, li
eront entre les mains. Tant mieux ; toute l’escadre en profitera. Son
vaisseau
est monté de quatre cent cinquante hommes et de q
à lui-même qu’il se ferait assurément sauter en mettant le feu à son
vaisseau
, comme fit l’année dernière M. le marquis du Méné
empêcher un officier de mer de faire son devoir, et de périr avec son
vaisseau
s’il ne le peut pas ramener où il l’a pris. Ce qu
nte hommes et de quarante-huit canons. Le Florissant est le troisième
vaisseau
en ordre. Il a été bâti à l’Orient du Port-Louis.
cueil, sur lequel je suis, est commandé par M. Hurtain, lieutenant de
vaisseau
. C’est un vieux matelot, natif de La Tremblade pr
uppression de l’édit de Nantes. Il a pour lors été fait lieutenant de
vaisseau
et capitaine de frégate ; et c’est ce qu’il est a
mes amis, et avec lequel j’espère bien vivre. Il y a, sur notre même
vaisseau
, un nommé M. de La Chassée, qui commande une comp
e de conjuration pour le contrarier en tout, le service à part. Notre
vaisseau
est monté comme le Florissant de trente-huit cano
rente-huit canons et de trois cent cinquante hommes. Le Dragon, petit
vaisseau
, n’a que cinquante hommes et vingt-quatre canons.
pagnait. Outre le nombre d’hommes qui composent les équipages des six
vaisseaux
, nous avons encore sur l’escadre quantité de pass
inoises. Il y a des pères jésuites répandus sur les trois autres gros
vaisseaux
de l’escadre, entre autres le révérend père Tacha
rchandises, le reste des agrès et apparaux, arrivent à la file. Notre
vaisseau
est entouré de barques et de chaloupes, dont l’éq
ntant blessé à mort, il fit sauver tout son monde et mit le feu à son
vaisseau
. Voici ce qui me regarde, et que ne savez point,
Je le priai, suivant les ordres que j’avais, de le distribuer sur les
vaisseaux
du roi qui en manquaient, sauf à lui à en tenir c
u notre pain, valait infiniment mieux que celui qu’il fournissait aux
vaisseaux
du roi, et il est très facile à comprendre qu’une
u’il avait plus de pain qu’il ne lui en fallait pour fournir tous les
vaisseaux
du roi et qu’il ne prendrait pas celui de la Comp
’un autre côté, le commandeur de Combes, qui avait pris possession du
vaisseau
en qualité de capitaine, et dont M. Hurtain n’éta
s nous avait dit, à M. Hurtain et à moi, qu’Albus voulait obliger les
vaisseaux
armés par la Compagnie à jeter leur pain, ou à le
d pour en amener M. Hurtain, je trouvai deux capitaines ou maîtres de
vaisseaux
marchands de La Rochelle, que je connaissais il y
riture et le paiement de leurs équipages et le dépérissement de leurs
vaisseaux
, et de leurs agrès et apparaux. Ils m’en dirent t
les mis d’accord en leur disant que j’allais y envoyer la chaloupe du
vaisseau
, et en effet je ne lui écrivis qu’un mot qui ne l
, j’y trouvai MM. de Combes et Hurtain avec deux autres capitaines de
vaisseau
, qui sont M. de Ferville et M. de Beaujeu le Jeun
soutenir la gageure. Il faut savoir que M. de Ferville commandait le
vaisseau
le Sans-Pareil, et qu’en sortant du Pavillon, où
était conçu comme d’un supérieur à un valet, et me fut rendu dans le
vaisseau
où je m’étais retiré. Le coup était fait à la mai
ces mots impératifs : L’écrivain du roi de l’Ecueil délivrera pour le
vaisseau
du roi le Sans-Pareil dix milliers de pain biscui
c les archers dans la même chaloupe qui les avait apportés. Depuis le
vaisseau
jusqu’au Rocher, ces commis essuyèrent toutes les
au commandeur de Combes, que quand vous vîntes prendre possession du
vaisseau
, vous y trouvâtes une quantité prodigieuse de pai
mais je n’en dois compte à qui que ce soit d’ici, pas même à vous, le
vaisseau
n’y ayant pas été armé. Je n’en dois aucun compte
ns à nos cochons vaille mieux que celui qu’il donne aux équipages des
vaisseaux
du roi. Il est aisé, dit M. de Ferville en interr
it demandé pardon à l’un et à l’autre. Allez voir M. Hurtain dans son
vaisseau
, faites-lui excuse et satisfaction, et engagez-le
le défendit à son commis des vivres de mettre jamais le pied dans son
vaisseau
, à moins que de vouloir être jeté à l’eau. M.Hurt
rsé qu’Albus lui fit valoir les deux quintaux de fromage fournis à un
vaisseau
qui ne manquait de rien, et lui faisait remarquer
l en entier. Du lundi 21 février 1690 Je partis de Groix, ou du
vaisseau
, samedi, avant-hier, à huit heures du soir et n’y
nt M. Céberet que de ce qui s’est passé hier matin sur l’Écueil notre
vaisseau
. et hier au soir sur notre Amiral. Mais, puisqu’i
ment chargé des marchandises et des vivres qui sont embarqués dans le
vaisseau
, et que c’est pour cela qu’il a toujours en posse
ivres et des munitions, il en compte par consommation au capitaine du
vaisseau
toutes les fois qu’il plaît à celui-ci. Cela posé
ns point ; il ne s’était pas même servi du canot ni de la chaloupe du
vaisseau
. Il mit sa cave dans sa chambre. Passe ; il n’y a
ndre ; je puis même dire qu’il le devait, puisque étant lieutenant du
vaisseau
, il pouvait commander les soldats en l’absence de
. Hurtain et moi le trouverions bon. il fit enlever par l’armurier du
vaisseau
, avec les pinces de fer qui servent au canon, les
tout ce qui s’était passé ; je me déchargeai de toute la cargaison du
vaisseau
; je protestai contre lui, tant en mon propre et
nné quelque coup de guimble aux futailles qui sont sur le derrière du
vaisseau
, et hors de vue. Ah ! monsieur, reprit Bouchetièr
i se donneraient au Diable pour boire, et qui sans façon laissent les
vaisseaux
couler après qu’ils ont bu, de crainte que le tem
t sieur de Bouchetière, et en fait un don irrévocable à l’équipage du
vaisseau
, auquel elle sera distribuée par forme d’augmenta
à quoi il tenait qu’il ne l’envoyât pourrir en prison, et que si les
vaisseaux
n’étaient pas sur le point de partir, il l’y enve
l voudrait bien savoir où il avait appris que la Compagnie prêtât ses
vaisseaux
pour faire un commerce contraire au sien. En un m
ez. Foulquier, apothicaire, l’état des médicaments donnés à nos trois
vaisseaux
. Je ne m’en sers nullement, et les ai laissés fai
enir une chaloupe de Croix, qu’il a arrêtée pour nous porter tous aux
vaisseaux
, à telle heure que nous voudrions ; car il n’y en
e. Sitôt que l’escadre a été sous les voiles, on a halé en dedans des
vaisseaux
les chaloupes et les canots, c’est-à-dire que la
emportée exprès, où je marquerai à petits points le chemin que notre
vaisseau
aura suivi ; et avec cela je joindrai aussi une f
eux vents, afin qu’on puisse voir aussi quel vent soufflait, et où le
vaisseau
portait le cap. J’avoue que cela est de très peu
lecteurs qui se soucient de savoir quel vent régnait. et où était un
vaisseau
un tel jour, après que le voyage est fait : mais
arrière, n’ayant que notre grand papfi, et notre misaine à l’air. Le
vaisseau
roule d’une force qu’on ne peut se soutenir, et l
eau roule d’une force qu’on ne peut se soutenir, et l’Écueil étant le
vaisseau
de toute l’escadre qui va le mieux, nous sommes o
us buvons le petit coup, en attendant la bonne aventure ô gai ! Notre
vaisseau
est une véritable basse-cour, cinq cents poules e
it ailleurs. Ainsi, je suis déjà certain que ma chambre sera celle du
vaisseau
la plus fréquentée. Nous venons tout présentement
ssions plus de cinq lieues par heure, il ne nous parait pas que notre
vaisseau
branle plus que les tours de Notre-Dame. Nous avo
nous faisons plus de cent lieues en vingt-quatre heures ; et si notre
vaisseau
était seul nous serions à plus de cent cinquante
t impossible d’en taire de justes sur mer ; le mouvement perpétuel du
vaisseau
ne le permet pas : ainsi, je donne ces observatio
fort tranquille pendant que nous allions vent arrière : c’est que le
vaisseau
roulait que rien n’y manquait et que le pauvre pr
d’attendre les autres et de porter bien moins de voiles qu’eux. Notre
vaisseau
étant le meilleur voilier de l’escadre, s’il étai
z-les à mon cœur. Il me suffit de me mettre dans la grande chambre du
vaisseau
à une fenêtre, ou au haut de la dunette, ou à un
probation : ils passent l’homme de trop loin. La vue du gouvernail du
vaisseau
me présente une infinité de sujets de réflexions
la guerre où nous sommes encore engagés ; les Anglais ayant pris nos
vaisseaux
, nos marchandises et notre fort. Que le diable le
ndante de la matière. L’expérience nous apprend qu’on trouve dans les
vaisseaux
ombilicaux d’un homme mort, lorsqu’on en exprime
fait, on avait distingué dans l’humeur qui avait été exprimée de ces
vaisseaux
d’un cadavre dont on faisait la dissection dans l
rdre un point de vent et à ne faire aucune fausse manœuvre. Enfin, le
vaisseau
de Ruyter en fil une, qui fit connaître à M. du Q
très content de l’action et de la journée, et fort incommodé dans son
vaisseau
percé en plusieurs endroits de part en part, sa m
elle entendre : il en était étourdi ; et quelque chose qu’on dise des
vaisseaux
du roi, pour qui nous passons, je me suis aperçu
notre pilote n’était point écouté, et la confusion qui régnait sur le
vaisseau
pouvait faire perdre la tramontane à tout autre.
’y avait aucun péril pour la vie ; mais tout était à craindre pour le
vaisseau
. Du dimanche des Rameaux, 19 mars 1690 J’éc
as et les autres, qui ont écrit l’histoire du temps de ces papes. Les
vaisseaux
qui vont aux Indes, ou qui en reviennent (peu de
ir échappé nos griffes : ils y seraient assurément tombés si tous les
vaisseaux
de l’escadre allaient aussi bien que l’Écueil). A
as à plus de cent pas de celui où j’ai passé. Je ne sais pourquoi les
vaisseaux
ne vont pas là, ou n’y envoient pas faire de l’ea
ille dans l’endroit où elle est, le havre n’étant pas capable de gros
vaisseaux
, mais seulement de barques, qui amarrent proche d
s sommes comptables, lui du détail de ses soldats, et moi de celui du
vaisseau
; qu’il l’avait prié de me tranquilliser, ne m’ay
uelque chose ? ai-je demandé à M. Hurtain. Non, m’a-t-il répondu : le
vaisseau
n’a besoin de rien. Ergo, ai-je repris, tant pis
t eu tort d’acheter quelque chose pour le Florissant seul, les autres
vaisseaux
ne manquant de rien, au prix excessif que les Por
de deux mille lieues. Il est encore pourtant très vrai que, si notre
vaisseau
eût été seul, nous serions à plus de six cents li
st arrivé aujourd’hui un malheur très grand, et dont tous les gens du
vaisseau
sont très fâchés. Voici ce que c’est. Le vent est
que je doive à un bon matelot que nous regrettons tous. Si les autres
vaisseaux
allaient aussi bien que nous, ce malheur ne nous
ur ne nous pas écarter des autres qui sont toujours derrière nous. Le
vaisseau
a roulé d’une si grande force que mon cornet, quo
Florissant et l’Oiseau fussent restés en Europe, et avoir deux autres
vaisseaux
à leur place : ce sont eux qui nous retardent, et
C’est un poisson long d’environ cinq pieds : il vient tout proche du
vaisseau
, d’où on lui lance un dard, armé d’un fer fait en
bien du monde sans en avoir été convié. Elle sera magnifique, pour un
vaisseau
en pleine mer. Douze pigeons à la compote, quatre
nous sommes en état de soutenir la gageure ; et, dans l’intérieur du
vaisseau
, ne donnant rien au superflu, on peut avec facili
ords du canon de la grande batterie, et que les écubiers ou égouts du
vaisseau
ne suffisaient pas pour la vider, tant la pluie é
nuit sombre, telle qu’a été la dernière, ce poisson passe proche d’un
vaisseau
, on dirait d’une lame d’or. Il a deux pieds de lo
é à notre équipage. Il y a près d’un mois que les matelots des autres
vaisseaux
n’en boivent plus, et sont à l’eau-de-vie ; parce
vrai que cette illumination ne paraissait qu’à plus de trente pas du
vaisseau
; parce que la mer, jusqu’à cette distance, émue
tume de rejeter ceci sur les courants, qui à leur dire ont dérivé les
vaisseaux
; il est certain qu’ils se trompent et que la cho
eine d’aller en notre présence faire distribuer aux six chaloupes des
vaisseaux
chacune deux pintes d’eau-de-vie, une aux matelot
ois passé ; c’est-à-dire qu’un de ses matelots est tombé à la mer. Ce
vaisseau
a mis comme nous vent devant : j’ignore s’il l’a
s, tant elle a le grain grossier. Cet animal s’attache à la suite des
vaisseaux
d’un temps calme, et d’une mer unie : il fait plu
chirurgien, qui était tombé hors de la chaloupe en venant d’un autre
vaisseau
; qu’il l’aurait englouti tout vivant, s’il pouva
ever tout d’un coup ; et cela, malgré le feu qu’on faisait sur lui du
vaisseau
, et les gaffes ou crocs de la chaloupe. Cet anima
e de vent. Du samedi 8 avril 1690 Toujours calme tout plat : le
vaisseau
roule tellement qu’on ne peut se soutenir ; avec
lons fort peu, parce qu’y ayant très longtemps qu’il n’a venté, et le
vaisseau
étant à sa juste charge, il est aussi immobile qu
emmener avec lui, et de le mettre mousse ou valet des matelots de son
vaisseau
; et lui a ordonné de donner non seulement le can
ré pavillon de Conseil, et nous avons vu les canots des quatre autres
vaisseaux
aller à son bord, et retourner environ demi-heure
re, il s’est levé un vent de Sud si fort et si contraire que tous les
vaisseaux
ont été obligés de se mettre à sec et d’amener le
continue, nous espérons encore passer la Ligne dans demain. Tous les
vaisseaux
s’étant rejoints, et l’Amiral ayant fait signal d
cependant point été à fond ; et s’étant tourné du côté du derrière du
vaisseau
, il s’est engouffré dans le revolis ou ressac du
vigilance des pilotes : il y aurait, à ce qu’on dit, beaucoup plus de
vaisseaux
perdus qu’il ne s’en perd. Dieu a bien su ce qu’i
raire, il semble à chacun qu’il va perdre son père ; et le travail du
vaisseau
se fait avec si peu de bruit, et même avec un sil
ait ce que j’avais dû faire, et je ne comptais pas qu’âme qui vive du
vaisseau
osât entreprendre sur mes fonctions : mais je n’a
sé le corps sur une planche à stribord sous le vent ou à la droite du
vaisseau
. L’extrémité de cette planche répondait à la mer.
ctrice, et la Compagnie l’a nommé lieutenant sur l’Écueil, qui est un
vaisseau
à elle : on craindrait à moins. Il a pris à table
du Florissant, de l’Oiseau et du Dragon ; les écrivains de ces trois
vaisseaux
; le second lieutenant de l’Amiral, et l’aumônier
îner chez M. du Quesne, où on allait les prendre pour les ramener aux
vaisseaux
, et a ajouté que M. Blondel viendrait le lendemai
ou que ce capitaine donne dans son sens, d’abandonner tous quatre le
vaisseau
à la première terre que nous trouverons, de quelq
seil avait balancé longtemps avant d’en nommer un autre, parce que le
vaisseau
étant à la Compagnie, qui y avait nommé ses offic
e la Compagnie, ni nommé par elle ; que c’était le roi ; que tous les
vaisseaux
de l’escadre étaient sans exception commandés par
ici arrivé n’en donnait pas une bonne idée. Que l’Ecueil était un bon
vaisseau
, bon voilier, bien armé, bien équipé, et ainsi tr
rte toujours, contre les Ordonnances du roi, qui la défendent sur ses
vaisseaux
. M. Blondel a été à lui avec colère : il la lui a
nous ne serions que nous trois. Ensuite du dîner, il a été visiter le
vaisseau
d’un bout à l’autre : il est descendu dans les so
midi avec le commandeur : voici comment. J’ai apporté l’inventaire du
vaisseau
, avec mon régître ; et j’ai fait venir tous les o
ns qui changent avec plaisir les ustensiles les plus nécessaires d’un
vaisseau
contre de la mousseline. J’en ai entendu parler,
lus prouvé que je n’en voulais : étant content, puisqu’il trouvait le
vaisseau
bien mieux équipé et pourvu qu’il ne croyait. Il
les autres. Le maître tenait le rôle de tout le monde qui est sur le
vaisseau
, tant officiers, soldats, que matelots, mousses,
uillier en place, sont montés sur le château d’avant pour baptiser le
vaisseau
, qui n’est point encore venu dans ces mers. Les c
: cela est essentiel à la cérémonie. J’y ai été, et ai promis pour le
vaisseau
qu’il resterait entre les tropiques, si on ne bap
monie, ils ont crié Vive le roi à pleine tête, et m’ont reconduit. Le
vaisseau
étant baptisé, ils ont fait un autre tour sur le
otre maître d’hôtel, qui a fait le même voyage que lui et sur le même
vaisseau
, et que je viens d’envoyer quérir et d’interroger
eurs se remuent, soit par l’agitation perpétuelle où elle est dans un
vaisseau
, soit par la chaleur qui la fait fermenter : je c
u roulis, qui pourrait les casser. On les attache fortement contre le
vaisseau
entre deux canons. Leur couvercle est fermé avec
Nous descendons du haut de la Ligne : on ne doit pas s’étonner si le
vaisseau
fait plus de chemin qu’en la montant. Du samed
aines et le général ont dîné au Florissant. Le commissaire est sur ce
vaisseau
: il a copie du procès-verbal de lundi dernier. D
urs le même, puisqu’il est établi sur la forme du monde, je dis : les
vaisseaux
en venant à la Ligne ne font que monter au sommet
on, m’objecter que mon raisonnement est captieux, en ce que les mêmes
vaisseaux
, qui descendent pendant douze heures, montent pen
et si forte qu’il a fallu une hache pour la briser. Notez que sur les
vaisseaux
du roi le tambour est le maître des hautes œuvres
de mettre le premier le signal de terre, et, en même temps, tous les
vaisseaux
lui ont répondu par un pavillon français à poupe.
s sentinelles posées sur toutes les hauteurs, qui les avertissent des
vaisseaux
qui vont ou qui viennent ; de leur nombre, et de
français ; et il ne s’aperçut de son malheur que lorsqu’il vit trois
vaisseaux
en mouvement pour le prendre par ses côtés et son
pistolet lâcha : les Hollandais entrèrent au coup et s’emparèrent du
vaisseau
, qui était chargé de marchandises de la valeur de
oste, pour en faire un entrepôt aussi nécessaire que commode pour ses
vaisseaux
, tant en allant qu’au retour ; et résolut de s’en
terre et les États Généraux, du temps de Cromwell. Elle y envoya huit
vaisseaux
bien armés, et deux mille hommes de débarquement.
ent tout pris comme lui, les portes du fort étant ouvertes. Les trois
vaisseaux
qui travaillaient à la pêche furent pris sans rés
e. Le fort fut détruit rez-pied, rez-terre : le canon fut mis sur les
vaisseaux
; et, un mois ou environ après, je les vis arrive
mer d’Afrique ; à l’embouchure de laquelle il entretient toujours un
vaisseau
, tant pour leur porter ce qui leur manque que pou
e la journée : nous n’avons que très peu avancé. Les gentilshommes du
vaisseau
, qui sont nos cochons de lait, sont excellents, e
la poix et de la rousine : ainsi, on y peut facilement construire des
vaisseaux
, et même les armer, puisqu’il y a des mines de fe
vaise foi. L’abbé de Choisy croit que ces peuples viennent de quelque
vaisseau
turc, qui se sera perdu au voyage de La Mecque ;
qui se sera perdu au voyage de La Mecque ; et, pour faire échouer ce
vaisseau
sur cette île, il lui trace un chemin par la mer
ien. Je ne parle point des bestiaux qui ont multiplié dans l’île, les
vaisseaux
qui y ont abordé pouvaient en avoir aussi bien qu
i ont les premiers habité cette île. De plus, d’où seraient venus ces
vaisseaux
? Ce ne peut point être d’Afrique. Toute la côte
aissent de Mahomet que son nom. Ainsi, ce ne peut point avoir été des
vaisseaux
mahométans qui sont venus à Madagascar, dont les
sentiment de M. de Choisy, que très certainement ce ne sont point des
vaisseaux
mahométans qui ont fondé la peuplade. J’ajouterai
reux : quand même on voudrait supposer, pour gagner du temps, que les
vaisseaux
qui ont abordé à cette île ont été les premiers,
que leur pays natal ? Ne pourrait-ce pas être encore quelqu’un de ces
vaisseaux
que Salomon envoyait lui chercher ce précieux or
voyé de si beaux vases au roi. Ne se peut-il pas que quelqu’un de ces
vaisseaux
, parti d’Egypte par la mer Rouge, ait été pris ve
, où il aura fait naufrage ? Ne se peut-il pas qu’il y ait eu sur ces
vaisseaux
des Amalécites secrets et cachés, comme il y a pr
supposant le temps du règne de Salomon pour époque du naufrage de ces
vaisseaux
à Madagascar, et que ces vaisseaux s’y soient eff
mon pour époque du naufrage de ces vaisseaux à Madagascar, et que ces
vaisseaux
s’y soient effectivement perdus, les juifs n’ont
utes de latitude Sud. Du lundi 19 juin 1690 Calme tout plat. Le
vaisseau
a roulé et roule encore d’une force épouvantable
mais le ciel toujours pommelé n’a pas permis de prendre hauteur. Nos
vaisseaux
sont si proches qu’on se parle à la voix. Du m
ement. Autre sottise des pilotes ; c’est une île flottante. Plusieurs
vaisseaux
se sont perdus dessus, y ayant été donner debout
, page 161. Cependant, comme il ne se faut rien reprocher, et que des
vaisseaux
tels que les nôtres ne doivent point être hasardé
, cette île prétendue aura été aperçue le soir par tous les gens d’un
vaisseau
qui aura, à cause d’elle, retardé sa marche. La s
es rochers et des battures à fleur d’eau, qui ont fait périr bien des
vaisseaux
: et dans le Sud, c’est une barre de pareilles ro
étant couverte de la mer à quatre ou cinq pieds de profondeur ; et un
vaisseau
qui aurait le malheur de donner dessus ne s’en re
ge. C’est la difficulté de ce canal, ou entrée, qui empêche plusieurs
vaisseaux
d’y aller prendre des rafraîchissements, quoiqu’i
sté et couché, aussi bien que les autres écrivains et chirurgiens des
vaisseaux
, dont les capitaines ne sont que trois ou quatre
s qu’on y envoyait, et aussi pour être à portée de sortir, si quelque
vaisseau
ennemi avait paru. L’endroit pour faire de l’eau
le chevalier de Bouchetière, et presque tous les autres officiers des
vaisseaux
, les ont trouvés bons. Landais et le soldat de M.
la pêche, c’est que M. du Quesne a eu nouvelle certaine qu’il y a un
vaisseau
anglais à Amzuam, à huit lieues d’ici ; car, ce m
vivres ou bestiaux du Gaillard et du Florissant. Les écrivains de ces
vaisseaux
m’ont rendu mes déboursés : j’en conviens ; mais
payera pas davantage. Je crois que, si elle envoyait encore quelques
vaisseaux
en corps, elle ne ferait pas mal de charger un se
s faisions route pour Amzuam, où nous avions appris qu’il y avait des
vaisseaux
anglais. Nous arrivâmes au mouillage sur les cinq
nous avancions, nous voyions aller et venir des chaloupes de terre au
vaisseau
, et du vaisseau à terre ; mais il était impossibl
nous voyions aller et venir des chaloupes de terre au vaisseau, et du
vaisseau
à terre ; mais il était impossible de les joindre
arrivé au vent, et nous l’avions tenu. Nous vînmes tomber au vent du
vaisseau
anglais ; car c’en était un, qui nous parut grand
é à la voix. Nous avons appris de lui, lorsqu’il a été à bord, que ce
vaisseau
était anglais, parti de Londres depuis plus de si
e, reste de cent cinquante qui s’étaient embarqués, il avait dans son
vaisseau
deux cent cinquante hommes d’équipage, outre plus
vons appris. M. Charmot, qui a été dans ce navire, dit que c’était un
vaisseau
de neuf cents tonneaux, et plus beau que le Flori
, et plus beau que le Florissant, qui est cependant un des plus beaux
vaisseaux
qui soient à la mer. Retournons trouver le Gailla
’une heure et demie que nous avions été seul à seul, donna aux autres
vaisseaux
le temps de nous joindre : et le Florissant tomba
n coffre plein d’artifice, qu’on nomme ordinairement coffre à feu. Ce
vaisseau
parut tout d’un coup en feu et en flamme. Le dése
e voie ni secours, ni nouvelles. Si nous l’avons obligé de brûler son
vaisseau
, les coups que nous avons reçus de lui donnent à
nos calfats. Nous avons soixante-quatre coups dans le seul arrière du
vaisseau
, entre les pompes et l’arcasse et pas un dans la
à prendre, et sans perdre de temps : à moins de cela, comptez que son
vaisseau
est perdu, aussi bien pour nous que pour lui ; qu
e Sud, qui se leva sur les deux heures, lui fit espérer de sauver son
vaisseau
: il mit, comme j’ai dit, toutes voiles dehors. L
res navires, et que M. du Quesne a été légèrement blessé au bras. Ces
vaisseaux
n’ont pourtant pas approché l’ennemi si proche qu
s approché l’ennemi si proche que nous ; puisque les vergues de notre
vaisseau
et du sien se sont touchées lorsqu’il a coupé son
capitaine n’eût pas pu se sauver, il n’aurait jamais mis le feu à son
vaisseau
, et aurait mieux aimé se rendre que de périr lui-
edi 7 juillet 1690 Toujours bon petit vent. Le plus éloigné de nos
vaisseaux
n’est pas à une portée de fusil du nôtre. Nous no
u, nous allons bien, nous courons vent largue le Nord-Est. Les autres
vaisseaux
ont toutes voiles à l’air : l’Écueil n’a point de
dur. L’Anglais, qui commandait le Philip Harbert, a mis le feu à son
vaisseau
, la nuit du 2 au 3 du courant. Cela est rapporté
pitaine, de même nation qu’eux. Ils nagèrent à l’Oiseau, qui était le
vaisseau
le plus proche, et crièrent leur Kom French-man.
ays. M. du Quesne dit que, s’il était dans ce mouillage, avec un seul
vaisseau
de cinquante canons, il en empêcherait l’entrée à