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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
uet-ci. Ne vous informez point d’où il vient : mais informez-vous des vérités qu’il contient : elles vous sont de conséquence :
. Eh bien Monsieur, continua-t-elle, je ne disputerai point contre la vérité . Ce qu’on vous a écrit est vrai dans toutes ses c
er la main à une imposture ; ainsi j’espérai que j’en découvrirais la vérité ou le mensonge. Je ne lui en témoignai rien, mais
la suite ; mais si vous voulez me faire la grâce d’en approfondir la vérité , les directeurs de l’hôpital ne sont pas tous mor
Saint-Antoine, il n’y a pas longtemps, il pourra vous instruire de la vérité , et vous dire si j’impose de la moindre syllabe ;
e de moi ce qu’il en dit, si ce sont des faussetés, et si ce sont des vérités , il n’est pas juste que vous seule les ignoriez.
ai que la lettre de mon père reconnue par elle, pouvait en prouver la vérité  : mais on aurait pu dire que cette lettre était s
on, et de l’abondance du cœur, avaient donné de grands soupçons de la vérité , que je vis enfin heureusement éclaircie. Elle di
où je crois mon innocence est très claire. Vous pouvez en pénétrer la vérité , les témoins que je vous ai cités sont croyables 
je vous demande c’est que vous me répondiez sans déguisement et avec vérité . Vous doutez-vous de ce que je veux vous demander
its certains, et après cela de vous figurer vous-même que ce sont des vérités . Et l’endroit de Rouvière, poursuivit-elle, comme
as de sacrifier, pourvu que je vinsse à bout de mon dessein. Voilà la vérité , Mademoiselle ; voilà tous les crimes que l’amour
r savoir si elle ne m’avait point imposé ; je n’ai jamais douté de la vérité de ses paroles : mais afin que vous pussiez vous-
bonté, pour tâcher de faire entendre à d’autres, que la raison et la vérité persuaderont mieux dans votre bouche, que dans ce
pas la fourbe qu’elle avait voulu faire. Il lui fit connaître que la vérité était préférable à toutes choses. Elle ne défendi
urait trompée elle-même. Que le mensonge n’a qu’un temps, mais que la vérité subsiste toujours, et que si la mort de Rouvière
ailliblement de ce qui en était, j’aimai mieux lui faire découvrir la vérité , que de lui laisser des soupçons qui lui faisaien
e la croie point telle qu’on la peint ici. J’en ai découvert toute la vérité non seulement par elle ; mais par d’autres très d
discours m’avait emporté, et je n’étais pas le maître de retenir une vérité qui m’est échappée, sans faire réflexion qu’elle
se refuserait à un mensonge, je ne doute plus que ce ne soit la pure vérité que vous m’avez dite. Je le crois, et le crois un
un fourbe ; mais venant de vous, je suis convaincue que c’est la pure vérité . Mais, Monsieur mettez-vous à ma place, et dites-
n’avais intérêt que de me rétablir auprès d’elle, à cause de toi ; la vérité lui est connue, je n’en veux pas plus : ce que le
ait naturelle, et qu’elle fut subite ; je n’en ai point approfondi la vérité . Quoi qu’il en soit, j’eus de cette mort toute la
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
en détail ; le babil inutile des avocats, qui ne fait qu’obscurcir la vérité  ; cette multiplication infinie de procédures et d
des procès ; les parties plaidaient leurs causes simplement et sur la vérité  ; et comme on donnait dans le moment une sentence
t tribunaux avant que d’arriver à celui qui décide souverainement. La vérité paraissait nue, et n’était point défigurée par mi
3 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
tout en étant vrai, ne peut être que naturel. J’ai affecté la simple vérité  ; si j’avais voulu, j’aurais embelli le tout par
ncidents que j’aurais tournés comme j’aurais voulu ; mais ce sont des vérités qui ont leurs règles toutes contraires à celles d
écit de Des Frans ; et Dupuis, qui n’aurait pas eu besoin de taire la vérité , aurait rendu justice à son frère. J’en tombe d’a
4 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
rapporté ci-devant, est faux ; que ce bruit avait couru, mais que la vérité est que l’usurpateur Pitrachard est roi absolu ;
On s’attend ici que suivant leur coutume de donner des soufflets à la vérité , ils donneront en Europe une histoire de la révol
e peser. Qu’on ne croie pas que ceci soit une exagération : c’est une vérité très constante. C’est parmi eux que se trouvent l
u public, ce sera certainement un présent très curieux ; parce que la vérité & la simplicité en seront les fondements &
donné connaissance du Messie, en y prêchant l’Évangile, ou plutôt les vérités évangéliques ; car l’Évangile n’était point encor
tent aussi. Ceci va encore être traité de vision, quoique ce soit une vérité très constante. Il n’y a point d’homme, si propre
saura plus d’eux que je n’en pourrais dire, supposé qu’ils disent la vérité  ; ce que je ne crois pas : elle ne leur ferait au
s fait le matin même, depuis que je lui avais parlé. Comme c’était la vérité , j’ai juré sans difficulté : il a promis de s’acq
 tous les autres qui ont donné sur les animaux leurs visions pour des vérités . Qu’il me donne, à moi, un système juste de leur
nnaire : cependant, si son opiniâtreté ne nous a pas convaincus de la vérité de son rapport, elle nous a du moins inspiré l’en
e que je vas dire pour un conte fait à plaisir : je le donne pour une vérité  : & tous les Européens qui ont été à Bengale
peuvent être payés pour mentir ; mais moi, je ne prétends dire que la vérité . Amicus patriae, magis arnica veritas. Qu’on tire
& in hoc gaudeo, sed & gaudebo. Ces motifs d’occasion ou de vérité ouvrent aux missionnaires & aux jésuites les
elui d’un gros seigneur : tous deux sont égaux devant lui ; c’est une vérité dont qui que ce soit ne doute. Cela étant, d’où v
Nouvelle Angleterre, j’ai trouvé des sauvages fort bien instruits des vérités catholiques. Ils ont des ministres, qui ne s’occu
’une instruction hérétique ; mais ils ne peuvent leur donner pour des vérités de foi ce qu’ils ne croient pas eux-mêmes. Ils le
elations des progrès de leurs missions. On y voit du moins briller la vérité  ; ils ne s’étudient point à surprendre la bonne f
e en affirmant que je n’y ai jamais rien lu qui ne soit conforme à la vérité . Leur style est simple & naturel, & sembl
me persuasif tant il est insinuant ; mais pourquoi y déguisent-ils la vérité  ? Pourquoi écrivent-ils pour l’Europe tout le con
ou ne les y apportera pas ? Que qui que ce soit ne s’informera de la vérité des faits ? Espèrent-ils que tout le monde les en
leur orgueil, tant de fois réprimé ? Rien ne les force à déclarer la vérité puisqu’elle leur est contraire ; mais, du moins,
peu qui poussassent la patience si loin. Il le fit pourtant : mais la vérité est qu’il avait résolu sa vengeance ; & que,
s tentations. Je n’en ai jamais guère senti de plus fortes : & de vérité je n’avais jamais tant vu à la lois de si belles
facile, & je pose en lait (c’est toujours M. Martin qui parle) la vérité de ce que j’en ai plusieurs fois écrit à feu M. C
ait jamais les Romains que dans Rome ; la suite des temps a montré la vérité de cette prédiction : & moi j’ose dire qu’on
s peu : & je le dis avec plaisir, parce qu’en effet c’est la pure vérité . Je rends justice à leur zèle, que je nommerais z
aux jésuites eux-mêmes, s’ils étaient gens capables de se rendre à la vérité , qu’ils sont vraiment idolâtres. De très bonnes &
les gens de la basse robe, &, puisqu’il faut rendre justice à la vérité , notre aumônier ne laisse aucun doute sur le bas
dans sa relation, qui sur ce fait ne s’accorde point du tout avec la vérité . M.de Porrières ajouta que, pour ce qui était des
r à Négrades ; que notre aumônier ne pouvait pas disconvenir de cette vérité , puisqu’il en avait mangé sa bonne part ; que je
Je les pris eux-mêmes à témoin, & ils n’osèrent disconvenir de la vérité . Je parlai ensuite à M. de Goimpi seul à seul, &a
5 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
abinet de son auteur, après sa mort ; et, comme il est tout rempli de vérités extrêmement intéressantes pour certaines gens au
gens qui y sont attaqués qui puissent avoir le front de démentir des vérités connues par tout ce qu’il y a d’honnêtes gens dan
rité, et j’écrivais pour un secrétaire d’État auquel la plus affreuse vérité ne faisait aucune peine, et auquel il aurait été
tous se faisaient un honneur ridicule de ne croire que faiblement les vérités évangéliques, de donner tout à la prédestination,
; mais on peut être certain, qu’outre l’exactitude, la pure et simple vérité s’y trouvera. Je suis naturellement sincère, et i
urs, la matière et d’autres occurrences me poussent à écrire quelques vérités dont quelques-unes pourraient m’attirer des ennem
leuse, pour ne pas dire superstitieuse, qui croient qu’on attaque les vérités de la religion lorsqu’on rend aux ministres de l’
i ne veulent être ni éclaircis, ni désabusés ; gens qui regardent les vérités de ce côté, et sur ce sujet, comme des médisances
tagne, tout aussi brutal que fidèle ; c’est-à-dire souverainement. La vérité est que je les lui avais laissées ; mais, n’étant
ester sa justice. Le même saint Augustin me paraît convaincu de cette vérité , lorsqu’il dit dans sa 64e Homélie, Ne putetis es
n potest consistere, hac et illac discurrit. J’éprouve dans moi cette vérité , et me convaincs moi-même que Jésus-Christ a donn
ne prétends point, par ce que je vas dire, donner aucune atteinte aux vérités du christianisme. À Dieu ne plaise qu’une pensée
éés et formés dans le sein du premier homme. Moïse a bien connu cette vérité . Il l’a mise dans la bouche de Job, auquel il fai
est-ce pas Dieu, qui continue sa création ? Supposant ce système pour vérité , que nous sommes tous créés et formés par Dieu lu
ent moralement convaincus de ce système, que je ne donne pas pour une vérité mais pour une simple idée de physique, il est cer
puisque je ne le crois pas. Je l’ai dit uniquement pour prouver trois vérités  : la première, l’éternité de Dieu, créateur de to
aite par un esprit de charité, n’est jamais perdue ; et ce sont trois vérités dont je suis parfaitement convaincu. Du diman
ûreté contre les noirs, qui sont en bien plus grand nombre, mais à la vérité d’un esprit si servile et si abject qu’ils ne son
de, qui ne sont point de mon cru, le reste est très sérieux, et d’une vérité constante. Tel est le génie du Breton ; et tous c
pôle, peuvent regarder leurs journaux, ils seront convaincus de cette vérité  : que lorsqu’ils sont pris des calmes en allant,
oint beaucoup d’éloquence, et le bonheur d’être lui-même persuadé des vérités qu’il expose aux autres, avec un zèle vraiment ap
ou leurs vestes, ou leurs justaucorps. Cela aurait été conforme à la vérité , et ne donnerait pas lieu de croire qu’il a voulu
s la pluie, et recueillie également amère, nous a convaincus de cette vérité . Nous avons une teugue, qui s’étend de la dunette
écrivait ; et qu’en ce cas, on ne devait écrire que la pure et naïve vérité , dépouillée de toute passion. Quoi qu’il en soit,
le trouvera au commencement du troisième volume. Où le torrent de la vérité et de ma plume m’a-t-il porté ? Suis-je fou d’att
t, sur la foi de ce journal et le rapport des matelots, pris pour une vérité ce qui n’était qu’une chimère, et se seront figur
de Caton et de Pompée dans la Libye. Je crois à présent que c’est une vérité  ; mais j’avoue qu’il me fallait un pareil garant
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
je douterais qu’elle fût vraie ; mais la réussite m’a convaincu de sa vérité . Je la voyais tous les jours, mes visites n’étaie
de discours-là ne se font point, qu’on ne soit en état de prouver la vérité . Il en faut bien moins que cela pour obliger les
ai ; et que vous ne paraîtrez que lorsque vous ne douterez plus de la vérité . Il me promit tout ce que je voulus. Je le fis co
il se remit peu à peu et but et mangea avec assez d’appétit ; mais la vérité est que je fus seul à faire bonne figure. Après l
t encore pris garde. Peu de femmes, dit la veuve, conviendront de ces vérités , à moins que ce ne soit entre elles ; mais presqu
t. Pour l’esprit je ne sais si vous supposeriez : mais si c’était une vérité , je vous plaindrais de n’avoir jamais fréquenté q
ais eu. Elle m’a déterminé tout d’un coup, en me faisant connaître la vérité de ce que ce bon religieux nous avait dit à Monsi
possibilité où l’on était d’en sortir. Je n’ai que trop compris cette vérité , poursuivis-je. Je mourrais de rage et de désespo
’elle lui écrivait de son couvent. Nous poussâmes nos vues jusqu’à la vérité , et ne doutâmes plus de ce qui en était. Ces mots
mais la civilité peut avoir eu autant de part à mon compliment que la vérité . Il se peut faire encore que vous soyez effective
femmes sont toujours curieuses ; elle se mit en tête d’approfondir la vérité . Elle questionna mon animal de laquais, et le tou
ant de côtés, que le maraud fut assez sot pour lui découvrir toute la vérité . Elle lui défendit de me rien dire de leur conver
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
t de la vertu puisqu’il en a douté. Justin était trop persuadé de la vérité de cette morale pour ne s’y pas rendre, et outre
onnaissait son gendre pour homme incapable d’ajouter une syllabe à la vérité  ; cependant tout certain par là du désordre de sa
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
ma considération, qui est celle d’un mourant, qui vous proteste avec vérité , qu’il vous a toujours infiniment aimé et estimé
nnerait à parler ; qu’on dirait dans le monde tout le contraire de la vérité , et qu’elle devait laisser passer quelque temps.
ombe sur moi, comme je n’en doute pas, faites en sorte d’en savoir la vérité . Un regard fixe qu’elle jeta sur moi avant-hier,
rans, est-il possible que ce que Mademoiselle Dupuis me dit, soit une vérité  ? Oui Monsieur, répondit cette dame, c’en est une
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIII. De l’accident qui arriva au chevalier Sancho, en tirant une arme à feu. Remède pire que le mal. »
lui dit un des gens de la duchesse, il y a d’autres remèdes qui à la vérité ne font pas un effet si prompt, mais qui peuvent
10 (1721) Mémoires
on nom, quoiqu’ils aient eu l’approbation générale, font foi de cette vérité . Mais comme je suis certain que ces mémoires-ci n
je me suis plaint du larcin de ces livres peuvent rendre justice à la vérité et témoigner que ç’a été malgré moi que j’ai été
la paroisse de Saint-Eustache à Paris ne peuvent disconvenir de cette vérité  ; leur curé et leur fabrique jouissent encore à p
es deux grands hommes que je viens de citer pour être convaincu de la vérité de ce que je viens de dire. Je parlerai encore d’
t d’en parler comme en riant à Madame la duchesse de Chevreuse, et la vérité est qu’il était le premier à rire de l’empresseme
mais je n’écris pas pour leur plaire ni mentir, j’écris pour dire la vérité . 116. Le premier s’est passé du temps du premier
troisième génération ! L’expérience journalière montre évidemment la vérité de ce vers latin : De male partitis non gaudet t
eux-mêmes toutes les écritures par lesquelles on tâche d’obscurcir la vérité  ; qu’il le suppliait de laisser aller le courant
a hardiesse, lui fit présent d’un soufflet. Je ne réponds point de la vérité de celui-ci, mais je sais que c’était le bruit pu
pour l’amour de lui, et je vais leur rendre justice à tous suivant la vérité la plus exacte. 255. Tévenin, dont le fils est à
par sa date avoir été donné quatre jours avant celui du Parlement, la vérité était qu’il n’avait été donné que quatre jours ap
(suivant les relations des Jésuites, s’entend, et non pas suivant la vérité ). Les Jésuites dans les Indes sont selon eux de p
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
cette sœur écoute, à qui elle l’avait montrée, et c’était en effet la vérité . Je le priai de n’en rien déclarer, il me le prom
s effets, ce qu’elles ont promis par écrit. Je fus convaincu de cette vérité par la lettre que je reçus et que voici. Madame d
en Angleterre, où j’aurais trouvé de l’appui et de la protection. La vérité est que j’étais bon catholique dans l’âme, mais j
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
cria-t-il de loin, n’avance pas, ou avoue tout à l’heure que j’ai dit vérité , ou bien prépare-toi à t’éprouver contre moi. Don
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
xtraordinaire dans un mari, surtout en France ; mais enfin c’était la vérité , et je doute que jamais Espagnol ait donné des ma
ongtemps soutenues. Il n’importe, cette histoire prouve toujours deux vérités  ; l’une qu’une femme n’est jamais mieux gardée qu
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
s avances de notre commerce. Je montrai toutes ses lettres, je dis la vérité telle qu’elle était ; malgré cela les voix n’étai
lui faites son procès sur l’étiquette du sac, en conviendriez, si la vérité vous était connue comme à moi. Voudriez-vous bien
15 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
vous ne nous avez point empêchés de porter nos conjectures jusqu’à la vérité , par une lettre qu’elle lui écrivit environ six m
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
chanteur pour lui en avoir parlé à lui-même si ce n’avait pas été une vérité . Il lui restait cependant un scrupule au sujet de
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
es Espagnols n’ont, pas ; je l’avoue à la honte de la nation, mais la vérité me force à faire cet aveu. Il serait à souhaiter
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
en que lui se serait donné au diable que ce désenchantement était une vérité constante ; il commença à reconnaître effectiveme
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
fâcheux, n’était pas néanmoins fâché de trouver occasion de rire. La vérité est qu’elle était fort jolie, fort sage, et avait
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
e douta que c’était pour se faire habiller, comme en effet c’était la vérité . Il dit en particulier qu’il croyait qu’elles éta
21 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
re que vous avez déjà fait de moi plusieurs jugements contraires à la vérité . Non, répondit votre commère, je n’ai fait de vou
raconta toute son histoire devant Contamine même, qui en certifia la vérité . Elle finit par dire, que toutes les apparences é
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
n vous découvrant et vous prouvant par des témoins irréprochables, la vérité d’un secret que je voudrais pouvoir me cacher à m
23 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
ûreté contre les noirs, qui sont bien plus de monde qu’eux, mais à la vérité d’un esprit abject et servile, et qui ainsi sont
s trop bien établie chez le commandant à ce que j’ai pu voir, mais la vérité témoignée par un homme aussi digne de foi que Mon
it le dix du courant est faux ; que ce bruit avait couru, mais que la vérité est que l’usurpateur Oprapitrachard est roi absol
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