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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
s jours. Elle est malheureuse avec lui : ce n’est qu’un brutal qui la traite très mal. Elle ne porte point de santé, et la pau
tête de diable, bien loin d’imiter sa sœur et d’obéir à mon père, le traita comme un tyran de ses enfants, et conclut par dir
u’un mois, elle a témoigné du regret à la mort de l’avoir si rudement traitée , aussi bien que d’avoir forcé l’aînée ; mais ce q
qu’elle en fut scandalisée ; la Supérieure qui vint, ne fut pas mieux traitée , et me traita moi comme un démon, et fut prête à
scandalisée ; la Supérieure qui vint, ne fut pas mieux traitée, et me traita moi comme un démon, et fut prête à me faire jeter
horreur, et que chacun d’eux était fâché de voir leur jeune maîtresse traitée si cruellement, tous lui prêtaient la main et l’a
de mon âge ; mais n’étant qu’un homme de plume, je me contentai de le traiter comme un scélérat. Il me répondit du même ton. Je
ns la Maison du Roi, telle que celle où je vais me faire recevoir. Je traitai d’une, mais je n’eus pas le temps de conclure. Je
is en sûreté, et je me flattais que n’étant plus à Paris, son père la traiterait plus humainement. Je me trompais, il ne pouvait p
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
elle fit son possible pour l’obliger à consulter des médecins ; il la traita de folle, de vouloir lui persuader qu’il était ma
le tous les soins imaginables, et devant le monde et sa famille il la traitait comme il l’avait toujours traitée, mais dans le p
evant le monde et sa famille il la traitait comme il l’avait toujours traitée , mais dans le particulier il était toujours ensev
lise n’avait point scandalisé ses auditeurs malgré la matière qu’on y traitait , parce qu’il s’était fait en italien, et qu’il n’
eule qui lui rompait en visière : dans cette injuste prévention il la traita avec des termes infâmes et le plus injurieux mépr
lui rendre justice, il avait voulu voir de quelle manière sa femme la traitait en particulier, et pour cet effet il s’était cach
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
saire à l’État, il tabla par me quereller devant tout le monde, et me traita comme si j’avais été le dernier des valets. Dans
. Je vous laisse à penser ce que je devins à cette lecture. Tantôt je traitais tout cela de fable, tantôt j’y ajoutais foi, et n
en rire ; et je mériterais que toute la terre se moquât de moi, si je traitais mon aventure comme une affaire sérieuse : et afin
e comme ma fille. Je logerai chez elle, où je paraîtrai pour lors, et traiterai la Morin de ma sœur, comme de raison. Voilà comme
à cause qu’étant venue dans l’hôtel par une voie si oblique, j’étais traitée comme l’aurait pu être la fille de Madame de Cran
longue, pour rejoindre Rouvière dans l’intention de savoir ce qu’ils traitaient si secrètement ensemble à une heure si indue. Je
querelle : nous y serons mêlés, et comme vous voyez, je n’y serai pas traitée assez favorablement pour en souhaiter l’éclat. Ce
s, où j’avais feint d’aller la veille pour une charge dont je voulais traiter . Ainsi j’étais très sûr que Silvie ne lui avait p
es, elle voulait aussi que j’achetasse une charge ; j’y consentis. Je traitai d’une fort belle, et offris d’en payer le prix co
à moi, qui n’ai que lui d’enfants de retirer chez moi sa femme, de la traiter comme ma bru, et de la voir passer partout ailleu
n lui semblera sans que je m’y oppose : au contraire je consens de la traiter comme ma bru dans le particulier, mais non pas de
ut allait éclater. Je n’avais pas acheté la charge dont j’avais voulu traiter  : on ne s’était point accordé de prix, et outre c
e lui laissai rien qui eût pu lui servir à attenter sur sa vie. Je la traitai comme un criminel condamné, dont on conserve la v
s. Je n’en eus aucune envie. Je mandai à ma mère de quelle manière je traitais Silvie. Elle en eut pitié et me demanda pardon po
lorsqu’ils revinrent, que leur maîtresse était de retour ; je la fis traiter , non plus avec du pain et de l’eau, mais avec tou
savait tout, lui en ayant dit une partie, et Silvie le reste. Elle me traita comme un barbare et comme un tigre, elle avait ra
. Il s’est servi de vous pour me châtier ; prenez garde qu’il ne vous traite à présent comme lui étant inutile. Ne croyez pas
ais qu’elles voyaient bien qu’elles s’étaient trompées, puisqu’il les traitait avec tant de magnificence. En effet, le dîner éta
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
n, lui dit la duchesse, mais votre mari est-il honnête homme, et vous traite-t -il bien ? — Hélas, Madame ! répondit Thérèse, il
ne l’y eussent introduite. Quoi qu’il en soit, elle s’y trouva, et le traita Dieu sait comment. Celui-ci lui rendit son change
ssait feu et flammes, et disait entre autres choses, que puisqu’on la traitait si mal, elle voulait s’en retourner dans le momen
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
n’est point à vous à révéler ce mystère à Sainville, et vous ne devez traiter le comte du Chirou que comme un simple valet de c
ur ce pied-là ; mais s’il veut se déclarer, il sera temps alors de le traiter d’une autre manière, et cependant faire en sorte
6 (1721) Mémoires
u terroir, sa longueur et sa largeur, et qui avec cela connaissent la traite avec les sauvages et la facilité que les Anglais
vrai. Il faut voir de quelle manière les matières bénéficiales y sont traitées , l’origine des commandes, et une infinité d’autre
eçus de nos rois prédécesseurs de Louis XIV ; ils l’avaient toujours0 traitée et reconnue pour une Cour souveraine, mais les fl
e parfaite qui les accompagne partout, et furent assez effrontés pour traiter Marteau de fripon et de calomniateur. M.Le Camus
eait presque plus à elle. Les Jésuites y allaient plus attirés par la traite des castors, des orignaux, des loutres, des martr
tout ce qu’il leur faut tant pour leur usage personnel que pour leur traite avec les sauvages, le Roi gagnait tant sur l’entr
nsieur] de Pontchartrain et le félicita de sa nouvelle dignité, et le traita de Monseigneur. Le hasard voulut que Monsieur de
quatorze ans lorsque Mme Deschiens la fit venir auprès d’elle, et la traita comme si elle avait été sa parente. Elle la faisa
on lui en fît de pareilles, surtout lorsqu’il y avait de l’esprit. Il traitait une fois un de ses commis qui s’était mépris avec
qui ne paraît point sur le contrat de mariage, devraient l’obliger à traiter son épouse comme son épouse, et prendre exemple,
qui sont jeunes, forts et vigoureux, et en état de travailler, de les traiter humainement pendant la traversée, et de leur donn
use ainsi et n’en est pas moins catholique’ ; ou il faut du moins les traiter comme on les traite en Suède, c’est-à-dire en fai
pas moins catholique’ ; ou il faut du moins les traiter comme on les traite en Suède, c’est-à-dire en faire des eunuques pour
iqu’il ait défini leur individu. M.Pasquier, dans ses Recherches, les traite de monstres, c’est-à-dire leur société prise in g
e cet homme doit instruire ceux qui travaillent sur ses traces à bien traiter les gens qu’ils y mènent, à s’en faire en même te
nt que la mauvaise foi. Ils se rendront amis des Français, si ils les traitent avec douceur, et qu’ils les élèvent dans des post
que La Boulaye, gouverneur, envoyait tout le monde à la pêche ou à la traite avec les sauvages dans le bois. Etant instruits d
ruits de tout cela par ceux qu’ils y avaient envoyés sous prétexte de traiter de prix par barque pour la pêche, ils vinrent à C
de proie aux Anglais, aussi bien que les pelleteries qui avaient été traitées pendant l’hiver, et le poisson qu’on avait péché
ns qui connaissent parfaitement leurs intérêts, et par conséquent les traitent avec douceur, qu’à leurs propres compatriotes dan
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
fronteries, et fit mille railleries de la sagesse de son maître qu’il traitait de ridicule et de bêtise. Enfin Altisidore se jet
eurs qui l’ont persécutée sans doute à cause qu’elle vous aime, l’ont traitée avec la dernière rigueur, elle est toute déchirée
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
mment, il faut vous le dire. Je ne veux pas qu’elle sache ce que nous traitons présentement ; mais quand ce sera une chose faite
lundi ; c’est moi qui veux donner à dîner. Tenez, voilà de l’argent, traitez -nous bien, ce sont mes noces ; il faut que je m’y
nde fois, il y reconnut de l’écriture de femme, sans cela il l’aurait traitée avec autant d’indifférence que la première fois.
et des emportements que la passion seule pouvait faire excuser. Il la traita comme la dernière des créatures. Elle eut beau lu
t sa fille elle en ferait justice. Il ne goûta pas ses excuses, et la traita toujours comme une suborneuse, et ma femme comme
s. La mère dont un pareil spectacle devait réveiller la tendresse, la traita dans l’état pitoyable où elle était, avec plus de
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
erce qu’à toute autre chose, songèrent à recueillir sa succession, et traitèrent les papiers qui regardaient les héritiers de la M
10 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
es l’auteur avait trouvé à propos d’y donner place. Il les a toujours traitées d’une manière également agréable et intéressante 
beau, puisque le roi en payait bien plus que la Compagnie ? Ils ne le traitèrent véritablement pas de fripon ; mais l’équivalent n
ndre que cela seul autoriserait tous les autres écrivains du roi à le traiter du haut en bas comme un Bohême ; que mon exemple
e lut avec son froid ordinaire, mais il ne le garda pas longtemps. Il traita le pauvre de Bouchetière d’une hauteur qui me fai
vaisseaux pour faire un commerce contraire au sien. En un mot, il le traita du haut en bas, en ma présence. Après quoi il me
. et que tous, jusqu’aux chirurgiens entre eux, Foulquier compris, se traitaient de bêtes et d’ignorants. Peut-être qu’aucun ne me
me si outré. Il faudrait supprimer, ou du moins on serait en droit de traiter de chimères toutes les religions ; particulièreme
ait à sa mort. Boursault, dans sa comédie d’Ésope à la cour, vient de traiter en peu de mots cette matière d’un style solide, d
l’instant. J’ai dit à mes convives de quoi il s’agissait et ce qu’on traitait en haut : ils n’ont pas jugé à propos d’y monter,
s endroits où elles peuvent lui être nécessaires ; et, comme elle les traite avec douceur et humanité et qu’elle n’a aucune ac
eu de retenir leurs soldats dans leur devoir, ne les employaient qu’à traiter les pelleteries des sauvages ; et eux à table, ou
celui-ci : il faut être occupé ; mais nos liqueurs et marchandises de traite , qu’ils se faisaient donner de force ! Encore, di
porter ce qui leur manque que pour rapporter les marchandises qu’ils traitent , et pour y retirer tout le monde, en cas que les
Vertamont et les autres qui font les sottes romances du Pont-Neuf, la traitent de banquière : ce nom, dans les esprits spéculati
ris, comme le prétend la canaille et la vile populace. Que qui voudra traite ceci de visionnaire et de chimérique ; pour moi,
plus d’honneur qu’il n’en était légitimement dû à son caractère, doit traiter favorablement tous les Français. On ajoute que dè
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
es lâches. Don Quichotte était dans une colère terrible de s’entendre traiter de lâche et de gavache ; et comme il s’était bien
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
ses effets. La manière différente dont les Français et les Espagnols traitaient cette passion, fut fort différente et fort spirit
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
ions où ils s’étaient trouvés contre Sainville et Deshayes. La longue traite qu’ils avaient faite pour se sauver, et le sang q
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
ments il laissa ses auditeurs qui s’éclatèrent de rire. Le marquis le traita de fou, et de brutal, pria ses amis de tenir l’av
ordèrent à Dupuis tout ce qu’il leur demanda ; et enfin l’affaire fut traitée si sérieusement, que c’eût été une chose conclue,
e ; on vous aime toujours, et on est sûre d’être aimée aussi. On vous traite de fou et d’incivil, et on vous rend justice. On
15 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
front de m’intéresser pour elle. L’air méprisant dont la princesse la traita hier, l’a si vivement pénétrée, qu’elle en est au
e telle qu’il la souhaitait. Ils résolurent de voir si on en pourrait traiter , et se séparèrent fort tard. Ils allèrent le lend
rèrent fort tard. Ils allèrent le lendemain matin voir si on pourrait traiter de cette charge ; et comme d’un côté on voulait v
16 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
homme tant de fois coupable du crime de lèse-faculté. Que le lecteur traite ce qu’il va lire comme une vision qui m’est passé
i m’est passée par l’esprit dans un accès de fièvre chaude ; qu’il le traite , s’il veut, de mensonge ; qu’il n’y ajoute pas de
aite, s’il veut, de mensonge ; qu’il n’y ajoute pas de foi ; qu’il le traite de conte ridicule & à dormir debout ; cela m’
, qui n’entendait pas raillerie, lui demanda de quoi il se mêlait, le traita comme il méritait de l’être, prit les papiers, &a
ses terres & dans ses ports ; & de déclarer à M. Martin qu’il traiterait les Français qui sont à Bengale comme nous les tr
urs neyres ou cavaliers viennent jusqu’aux portes de Pondichéry &  traitent assez mal tout ce qu’ils rencontrent. C’est la ra
en même temps de son damnable sacrilège & de sa lasciveté. Il la traita pendant quinze jours en femme bien-aiméc & en
l’ont été en Europe il y a trente-cinq ans. Votre bon père Félix les traite de fripons en Asie ; & le bon père Valerian l
ce qui se passe dans les Indes, où il est très vrai que les jésuites traitent le pape de fou, d’insensé, de radoteur, d’hébété,
t bien préparée. Qu’ils parlent avec respect de Confucius ; qu’ils le traitent même de saint, dont la morale est conforme à cell
ier apothicaire, il n’y a pas un seul chirurgien sur l’escadre qui ne traitât l’autre d’ignorant. ...Il n’est point de fou, qu
qu’il le sût, chercher un âne. Il l’avait toujours défrayée, & la traitait avec toute sorte de respect : il sut le louage de
abitants, en ce que les sucriers qui tiraient tout le profit de l’île traitaient avec tant de dureté les gens qui dépendaient d ’e
17 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
e vu huit nations de sauvages dans le Canada. Et avec cela ceux-ci se traitent entre eux et nous les traitions nous-mêmes de sei
ans le Canada. Et avec cela ceux-ci se traitent entre eux et nous les traitions nous-mêmes de seignors gros comme le bras. Voilà
qu’une de nos poules tuée et mangée par les autres. Après cela, qu’il traite l’homme de bête et le mette en parallèle avec un
t mises l’un sur l’autre, aurait fait défense à tout le monde de rien traiter , et aurait commis le commissaire pour acheter tou
ance plus d’honneurs qu’il n’en était légitimement dû à son caractère traite favorablement les Français, ayant fait mettre en
s sont présentement aux mercredis des Cendres. Je ne sais comment ils traitent leurs malades, mais il ne me paraît pas qu’ils so
eurs naires ou cavaliers viennent jusques aux portes de Pondichéry et traitent assez mal tout ce qu’ils rencontrent. C’est la ra
arce que les sucriers qui tiraient tout le profit et le gain de l’île traitaient avec tant de dureté les gens qui dépendaient d’eu
18 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
isfaite de son époux. Cette femme en parla à Sophie qui me le dit. Je traitai cela d’imposture, j’accusai mon malheur ; je lui
s. On nous en parla à chacun en particulier ; mon oncle se chargea de traiter avec moi. Il m’envoya quérir, et me dit tout ce q
té par elle en fils, je m’étais insensiblement accoutumé à ne la plus traiter en mère. Que pour mon frère, bien loin de lui vou
ti pour moi, elle lui paraissait tout à fait au-dessous de lui. Il la traita comme une gueuse et une misérable. Je lui répondi
emme et de la plaindre ; mais je me déchaînai contre son amant que je traitai comme le dernier des malheureux, et comme un scél
it encore fort souvent voir mon parent, mais que j’ignorais ce qu’ils traitaient ensemble, ne parlant plus devant moi que de chose
19 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
it. Elle me fait déjà la grâce, poursuivit cette aimable veuve, de me traiter comme sa fille, c’est-à-dire sans façon, et me fa
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