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1 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
t un lieutenant d’infanterie nommé Monsieur de Rançonne sont restés à terre et ne feront point le voyage. Le peu de temps que
heures du matin : nos pilotes disent que nous voirons aujourd’hui les terres de Madère. Du jeudi 9e [mars] Nous ne vîmes
erres de Madère. Du jeudi 9e [mars] Nous ne vîmes point hier la terre de Madère comme nous l’espérions, mais nous avons
montagnes de Notre-Dame dans mon voyage de Chedabouctou à Québec par terre , mais ce n’est rien en comparaison de celle-ci. E
le sujet de son roman de Polexandre. Quoi qu’il en soit, si j’étais à terre , quelque peine et quelque hasard qu’il y ait je f
La neige n’est aussi bien que la pluie qu’une simple exhalaison de la terre ou de la mer, qui ne s’élève pas plus haut que la
orps fluide donne des vapeurs beaucoup plus subtiles que celles de la terre qui étant un corps grossier n’en peut envoyer que
On espérait arriver à Saint-Iago aujourd’hui, et nous en verions les terres , à ce qu’on dit, si le temps était fin. Le Lion e
l s’est mépris et que nous avons été jusques à une portée de fusil de terre , dans une anse qui est dans le Sud-Sud-Est de l’î
ent que le véritable mouillage présentait un îlot dans l’ouest. Si la terre n’était pas saine, si le navire n’avait pas bien
urait achevé là son voyage des Indes. Enfin nous sommes mouillés : la terre me paraît remplie de montagnes et de roches. Si j
me paraît remplie de montagnes et de roches. Si je mets demain pied à terre comme je l’espère, je vous dirai ce qui en est. J
res. Du dimanche 19e. [mars], jour de Pâques fleuries Je vais à terre . J’écris le matin, je vous dirai demain ce qui en
d-ouest de l’île, dans l’Est d’un îlot qu’on ne peut distinguer de la terre à moins qu’on en soit fort proche. Ce mouillage e
une manière de fort, si on peut appeler ainsi une simple élévation de terre où il y a quatre pièces de canon de fer de 8 à 12
quatre pièces de canon de fer de 8 à 12 livres de balle. On descend à terre sur le dos d’un matelot, qui vous porte environ d
s sur la grave, parce que les chaloupes ne peuvent point approcher de terre qu’à cette distance, à cause du peu de fond. Cett
se excepté qu’il est élevé de deux marches, et qu’il y a des bancs de terre et de pierre. Revenons au village : j’ai satisfai
de Juifs. Il y a trois grandes lieues de ce village à la ville ; les terres ici ne valant rien, les habitants ont raison de n
ce ne sont quelques calebasses et pommes de coloquinte qui rampent à terre sans feuilles et quelques cocotiers ; étant oblig
sans feuilles et quelques cocotiers ; étant obligés de mettre pied à terre de quart d’heure en quart d’heure pour monter ou
vait point du tout de vent, cependant la mer brise toujours proche de terre . C’est peut-être plutôt qu’il n’y a point de fond
u’on n’ait passé la seule porte qu’il y a à cette muraille du côté de terre , n’y en ayant que deux, celle-ci et une autre qui
de grands vaisseaux, mais seulement de barques qui amarrent proche de terre , et qui seraient bientôt emportées par le vent si
ois avoir lu toutes les relations qui ont été imprimées, tant sur les terres que sur la religion, mais je ne me souviens point
l’écrivain du Roi de ce navire, qui comme je vous ai dit est resté à terre . J’ai tant ouï faire de louange de Monsieur de Qu
, et 180 matelots, ou soldats à la mer, mangent plus que 300 hommes à terre . Vous ne le croirez peut-être pas ; il est pourta
la dent. Il a les testicules en dehors du corps comme les animaux de terre , séparées et longues. Il a entre cuir et chair un
st la morue. La guerre est-elle pas aussi grande entre les animaux de terre , je ne dis pas seulement les plus féroces mais mê
sser sa conscience pour une chose dont peut-être on ne jouirait pas à terre  ? Monsieur de Porrières me paraît fort honnête ho
nt car on en achète des rafraîchissements pour les gens à la première terre où on descend, et l’eau-de-vie sert pour faire bo
privés pour venir nous voir, à moins que ce ne soit quelque oiseau de terre que le vent pousse à la mer et qui fatigués se vi
pérance environ à dix lieues au large. Nous n’avons pourtant point vu terre . Nous avons sondé ce matin et on a trouvé six-vin
chevais d’écrire à soleil couchant on m’est venu dire qu’on voyait la terre . J’en viens, elle nous paraît dans le Nord jusque
a mer n’est pas si grosse qu’elle a été toute la journée. Comme cette terre appartient aux Hollandais qui y ont un fort nous
plus de ce temps-ci nous mettront à Amzuam. Nous avons besoin de voir terre , le nombre des malades augmente, nous avons plusi
Les jambes faute d’exercice s’engourdissent ; quatre ou cinq jours à terre nous remettraient. Enfin tout bien et dûment cons
s’en trouverait mieux. Il est bon d’être catholique romain par toute terre , le salut éternel y est attaché, mais je crois qu
nte lieues de Madagascar, douze heures de bon vent nous feraient voir terre mais nous ne les avons pas, Dieu sur tout ! Nous
a rafraîchi cette nuit, et ce matin à la pointe du jour nous avons vu terre et c’est celle de Madagascar, qui est dit-on la p
oubliais à vous dire que par un vent fort comme celui-ci la vue de la terre fait craindre quelque roche au large, ainsi cette
nous avons fait route au Nord-Nord-Ouest, et que nous avons perdu la terre de vue. Du samedi 17. [juin] Nous avons eu
r les dix heures à Moali. Nous sommes mouillés par les 45 brasses. La terre me paraît fort montueuse et hachée ; comme notre
vons point trouvé de fond lorsqu’il a mouillé, nous avons approché de terre beaucoup plus que lui. Du jeudi 22. [juin]
ier des Noirs à bord, qui ont apporté des cabris et des poules. Cette terre me paraît beaucoup plus belle que Saint-Iago. J’i
let 1690 Du samedi premier. juillet Je revins hier au soir de terre où j’ai resté depuis jeudi 22e du dernier, et don
s degrés trente minutes de longitude, et comme j’ai resté dix jours à terre , je vais vous dire ce que j’en ai pu connaître. I
t impossible de se sauver si on donnait dessus. Pour ce qui est de la terre elle est pleine de montagnes fort hautes, mais to
gingembre, l’esquine, l’iris et mille autres y sont fort communs. La terre y est très bonne et très grasse. Ils y cultivent
émonie, ils s’en vont et un d’eux emporte la tête de bœuf, et verse à terre l’eau qui reste tant dans la coquille du trou que
point de tort les uns aux autres, et qu’ils ne prennent rien sur les terres qui ne leur appartiennent pas ; si cela est, ils
souvenir, je n’ai trouvé ni l’un ni l’autre de difficile usage. Cette terre a été autrefois habitée par des Européens : ce qu
chambres assez commodes, car ces gens-ci ne couchent point à plat de terre comme les autres sauvages que j’ai vus, leurs lit
la mariée qui ne se sont jamais vus à un lit élevé de trois pieds de terre et couvert de cannes de sucre fort propre à ce qu
R. P. jésuites de l’Oiseau a cassé à coups de pierres un grand pot de terre de Bordeaux qui était dans une niche au-dessus de
s un navire qui ne nous parut pas gros quoiqu’il le fût beaucoup : la terre le mangeait. Le vent cessait petit à petit. Notre
s de nous. Pendant que nous avancions, nous voyions aller et venir de terre des chaloupes, mais il était impossible de les jo
nous tâchions à rejoindre l’ennemi, nous entendîmes crier du côté de terre A moi. Français, à moi ! Monsieur de Porrières sa
cent cinquante hommes dans son navire outre les malades qui étaient à terre et ceux qui étaient morts ; qu’il portait soixant
t à plaindre que la femme d’un de ses officiers qu’il avait laissée à terre avec deux enfants à elle, dont il y en a un à la
coup au hasard de leur vie, mal nourris en comparaison des ouvriers à terre , peu soignés et avec cela quelquefois bien battus
s qu’il n’y a de pommes en Normandie que sans les courants on voirait terre . Sa colère a tenu bon contre les pieuses exhortat
heures du matin, l’Oiseau a mis pavillon à poupe qui est le signal de terre , et nous l’avons vue un moment après ; l’horizon
près ; l’horizon était embrumé. C’est l’île de Ceylon. Il est venu de terre deux chaloupes pour nous reconnaître, nous avons
onne cache : il a été mouiller dans une anse à une portée de fusil de terre . Il nous avait paru grand, il l’était aussi ; on
ous deux pour en prendre possession et empêcher sa chaloupe de gagner terre . Le canot y a été, mais lorsqu’il a été près de b
evant a enlevé celle de ce navire. Tous les Hollandais étaient fuis à terre où ils espéraient mettre en sûreté l’argent qu’il
pello qui est justement l’endroit où nous l’avons pris à une lieue de terre ou environ. Il venait chercher du riz et du bois
res avant soleil levé, nous avons été toute la journée à une lieue de terre au plus, par le plus beau temps et le meilleur ve
de la mer dans une péninsule, à ce qui m’a paru ; elle borde toute la terre qui forme l’isthme, et bouche du côté de terre le
 ; elle borde toute la terre qui forme l’isthme, et bouche du côté de terre le chemin de la montagne qui la couvre du côté de
et je l’en crois ; cependant les Français ont autrefois possédé cette terre et n’ont pu s’y conserver. Ils ont été obligés de
ur tout entreprendre, mais a trop de volubilité pour rien achever. La terre est belle et unie, et on dit qu’elle est fort sai
ent dans l’embarras ne manqueraient pas de nous fatiguer. En effet la terre est tellement basse ici que, quoique nous fussion
e est tellement basse ici que, quoique nous fussions fort éloignés de terre , nous n’avions sous nous que quatre brasses et de
ts hommes. Environ sur les cinq heures du soir nous avons découvert à terre un pavillon blanc qui nous a fait connaître qu’il
celui de Siam, la Chrétienté jouirait d’une paix profonde et toute la terre ne serait pas partagée, comme elle l’a été du tem
r à leur barbe des gens qui se seraient retirés dans leur rade. Cette terre -ci me paraît parfaitement belle, unie et plate et
t me paraît beau, mais je n’y vois point de fort. Quand j’aurai été à terre vous saurez comme celui qui y est fait, car si j’
point écrit depuis le 12e. du courant parce que j’ai toujours resté à terre , ou tellement occupé à bord que je n’ai pas eu un
ce pays-ci. Premièrement je vous ai dit vrai en vous disant que cette terre -ci est fort basse : les vaisseaux, faute de fond,
lent à une demi-lieue, et les chaloupes ne peuvent point approcher de terre plus près qu’à une grande portée de fusil, parce
s ou environ de la mer, et l’apportent sur leur tête dans des pots de terre de même que les laitières apportent leur lait à P
à couvert des entreprises que les ennemis pourraient faire du côté de terre . Mais ils n’ont rien à craindre, ni du côté de la
ux ne pouvant approcher, ni même les chaloupes aborder, ni du côté de terre étant sous la protection du roi du pays qui a déf
mais basse et ressemble assez à l’église de Sainte-Geneviève dessous terre qui est à Pans. Ces Pères ont fait bâtir cette ég
rses ça et là sans aucun alignement, et ne sont autre chose que de la terre soutenue par des branches d’arbres. Les Français
ent de Bengale où nous allons. La mer y est pleine de poissons, et la terre ne produit point ou peu de bêtes venimeuses, mais
corps brûlé à cinq ou six cents pas du fort. Il y avait deux pots de terre auprès du feu dont l’un était plein de riz et l’a
ours autour d’un amas ou foyer de bois élevé environ de deux pieds de terre , on l’y coucha de son long. Les bramènes firent e
bêtes), c’est disent-ils que Coinda et Mado étants tous les deux sur terre vivants, Coinda revenant de la chasse et rentrant
es et de se mettre à la voile ; qu’en ce cas le vent les pousserait à terre infailliblement, et où ils échoueraient, et même
us nous en sommes tirés. Le Dragon a été le premier le plus proche de terre qu’il a pu, le Lion le suivait, et cependant qu’i
à leur tour, mais je me trompais : ils se sont approchés plus près de terre et se sont mis plus à couvert qu’ils n’étaient, s
lequel on n’a trouvé qui que ce soit, tous ses gens s’étant enfuis à terre où ils ont eu le temps de porter toutes leurs mar
s avons donné dessus, il a été impossible de le joindre. Il a donné à terre où il s’est échoué. Il y avait dans le même endro
s vu ce soir un navire, nous lui avons donné cache, Il s’est rallié à terre . Nous sommes à l’ancre et le gardons pour voir de
qui que ce soit n’a paru, mais la mer brise tellement ceci étant une terre basse, que les chaloupes n’ont pu aller jusques à
u’il était chargé d’argent, de draps et de cuivre ; qu’il avait mis à terre toute la nuit le plus de ballots qu’il avait pu s
on, et nous avons mouillé ce soir devant Balassor qui est la première terre de Bengale où les Français aient un établissement
emière terre de Bengale où les Français aient un établissement. Cette terre -ci est encore plus basse que celle de la côte de
ous paraisse pleine de montagnes. Nous sommes à plus de six lieues de terre , et n’avons sous nous que six brasses d’eau. Mons
sommes toujours à l’ancre. Monsieur du Quesne a envoyé sa chaloupe à terre  ; celles du Florissant, de l’Oiseau et du Lion l’
nuit à la voile, mais le vent a calmé, nous voyons encore la maudite terre de Balassor. Du mardi 19e. [septembre] Nous
et que le vent nous est tout à fait contraire et qu’il nous pousse à terre dont nous sommes fort proches. Enfin, nous sommes
onde à la main à cause du vent contraire et que nous sommes proche de terre . Nous étions six navires hier de compagnie ; nous
rois heures après-midi que le temps a éclairci. Nous n’avons point vu terre , et cependant nous en sommes très proches. Le tem
ès proches. Le temps a été si sombre et si couvert que des oiseaux de terre qui avaient été apparemment poussés au large par
et il est constant qu’on trouve fort souvent à la mer des oiseaux de terre égarés qui sont tellement fatigués qu’ils ne peuv
ilement prendre. Cela nous est un signe certain de la proximité de la terre , nous nous en défierons. Il a calmé ce soir et le
mes qu’à vingt lieues. Du vendredi 13e. [octobre] Nous avons vu terre ce matin sur les dix heures. Nous en avons fait l
nous rejoindre. l’Ecueil a donc fait route pour Négrades, qui est la terre que nous voyons, mais Monsr. de Joyeux nous a sui
s fîmes mal hier de ne point mouiller : nous aurions été à l’abri des terres pendant le vent de cette nuit, et nous serions dè
ainte de nous incommoder l’un l’autre. Nous voyons des cerfs courir à terre , tant mieux nous en voirons quelqu’un dans le pla
our. Elles sont contiguës au Royaume de Pégu et en sont les dernières terres dans le Sud-Ouest, et n’en sont séparées que par
oins du côté que j’ai vu et où j’ai été. Nous avons mis nos malades à terre dans la petite, et je n’ai été que deux fois dans
es que quoique le soleil ait ici une chaleur excessive et brûlante la terre n’y est jamais sèche ; elle est grasse et me para
nnus dans notre Europe, et qui sont produits ici par l’humidité de la terre et la chaleur du soleil. La terre est pleine de c
t produits ici par l’humidité de la terre et la chaleur du soleil. La terre est pleine de couleuvres et de serpents d’une gra
es griffées dont il se sert dans l’eau pour nager, et dont il rampe à terre assez lentement, ce qui fait qu’on l’évite avec a
c l’humidité que ces animaux contractent par leur nourriture dans une terre grasse et humide où ils ne vivent que d’herbes fo
atre et cinq cents livres. Ce ne sont que les femelles qui viennent à terre , le mâle restant toujours à l’eau. Cet animal ne
retourne sur le ventre, et par conséquent qu’il marche. Il ne vient à terre que pour se décharger de ses œufs qu’il porte en
cherchent naturellement l’eau. Et c’est lorsque les mères viennent à terre pour y mettre bas que les matelots les prennent.
y avons trouvé des têtes et des os d’hommes morts qui étaient hors de terre . Mais je ne crois point que ce soit des corps d’h
par conséquent auront bu plus que leur soif, et auront été poussés à terre par la mer. Cela me paraît si vraisemblable que j
Du jeudi 16e. [novembre] Toujours vent bien près. Nous côtoyons la terre du Royaume d’Aracan. Du vendredi 17e. [novembr
ns en parfaite santé. Du mercredi 22e. [novembre] Nous avons vu terre ce matin, et c’est l’île de Chadube que nous cher
ieues de Balassor, nous avons aujourd’hui quitté de vue les dernières terres du Royaume d’Aracan. C’était peu d’avoir des mala
de la sienne. Nous sommes à l’ancre à présent, mais sans voir aucune terre quoique nous en soyons fort proches. Du jeudi
André 30e. [novembre] Nous avons été toute la journée et avons vu terre ce soir, c’est la pointe des Palmiers. Si le temp
vement ; mais le meilleur est qu’il y a ordre d’envoyer les malades à terre , ils y recouvreront leur santé mieux qu’à bord.
ord. Du mercredi 6e. [décembre] Nous avons envoyé nos malades à terre , et nous allons prendre des marchandises ; comme
ons prendre des marchandises ; comme il faut absolument que j’aille à terre je ne vous écrirai plus que je n’en sois de retou
e 6e du courant parce que j’ai toujours été extrêmement occupé tant à terre qu’à bord, à terre pour demander ce qui nous étai
ce que j’ai toujours été extrêmement occupé tant à terre qu’à bord, à terre pour demander ce qui nous était nécessaire, et à
il ne faut que deux lignes d’écriture et de la ponctualité, mais qu’à terre c’est l’emploi le plus tuant et le plus fatigant
dirai que le 19e notre second canonnier, Mathurin Le Cocq est mort à terre où il avait été envoyé pour sa maladie. C’est dom
r faire prier Dieu pour lui. L’endroit où nous étions mouillés et les terres qui l’environnent font partie du royaume de Benga
quelle donne son nom à la ville qui est à deux bonnes lieues dans les terres . On ne peut y aller que de flux ou de marée monta
re chose qu’un assemblage confus de maisonnettes de nègres, bâties de terre glaise déliée avec de la paille hachée et enduite
es de terre glaise déliée avec de la paille hachée et enduite de même terre brune, et comme ils ont soin d’en laver tous les
, étant impossible de les croire à moins que de les voir soi-même. La terre est ici belle et bonne, et bien arrousée, unie et
t ou qui s’y laissent tomber. Il ne fait pas sûr non plus d’aller par terre que bien accompagné, parce qu’il y a des tigres,
des que les autres nations à beaucoup près ; elle ne commerce que par terre ou sous pavillon et passeport portugais. Il y a d
ions qui aurait tort, son commerce serait interrompu sur le reste des terres qui dépendent de ce prince, lequel obligerait les
tout, le principal comptoir étant à Ougly à soixante lieues dans les terres , qui est une ville où les Français ont le plus be
i est une ville où les Français ont le plus bel établissement sur les terres du Mogol, n’y ayant que fort peu de temps que cel
ortifier et munir de canon et de garnison, lequel le Mogol a jeté par terre à coups de canon après une très vigoureuse défens
ecteur à Ougly qui est comme je vous l’ai dit le plus bel endroit des terres du Mogol. Pendant que nous avons été ici on y a r
nt que nous avons été ici on y a reçu des nouvelles de Pondichéry par terre qui disent que le Grand Mogol est en guerre avec
ui aurait pu se scandaliser si à la vue de ses troupes qui bordent la terre on avait pris un navire qui s’était retiré dans u
midi. Il paraît plus de trois mille âmes sur la rive. J’irai demain à terre , vous saurez tout à mon retour. mercredi 24e.
et redouté du Mogol qui était son ennemi seul, et a changé le nom des terres de son obéissance qu’on n’appelait plus que les t
ngé le nom des terres de son obéissance qu’on n’appelait plus que les terres de Sauvagy. Après sa mort son fils aîné, nommé So
s de ce Royaume pour empêcher son ennemi d’entrer plus avant dans ses terres  ; il a couvert la campagne d’un nombre innombrabl
lieues le long de la côte et de plus de quatre-vingts lieues dans les terres , a fait tuer les bestiaux, coupé et brûlé le riz,
nous en partissions on y avait reçu des lettres de Surate venues par terre , par lesquelles on a appris que notre combat d’Am
prien et le pape saint Etienne, que les saints qui sont encore sur la terre sont hommes et que le zèle fait souvent faillir l
nq coups de canon, et les mandarins d’autant lorsqu’ils ont été mis à terre à Bengale. Je n’ai rien à vous dire de nouveau su
mort. Après quantité de demandes impertinentes, il se laisse tomber à terre et demeure avec les parents dans un silence et un
était suivi. Lorsqu’ils sont arrivés au bûcher ils posent le corps à terre , cassent le brancard et couvrent le corps des mêm
u corps en jetant un peu de riz dessus. Ensuite on relève le corps de terre et on le pose sur le foyer étendu tout de son lon
du foyer et recommence ses prières. On lui apporte alors deux pots de terre , l’un plein de riz cru et l’autre d’eau. On lui j
sert, lui et les autres qui viennent ensuite. Ce Noir pose les pots à terre , prend de l’eau avec ses deux mains et la laisse
vache sèches, et par-dessus cette bousée de vache ils font un lit de terre glaise toute mouillée, en sorte qu’on peut dire q
foyer ; après quoi il élève ce pot au-dessus de sa tête et le jette à terre de toute sa force où il se casse en mille pièces,
rte le plus fort est fait, nous avons, grâce à Dieu, pris congé de la terre des Indes, nous ne respirons plus que les Iles de
s avant que d’être à la Martinique, c’est beaucoup de temps sans voir terre , Dieu nous le donne beau et bon. Nous n’avons pas
en petit. Il n’est que Nord et nous portons au Sud-Est pour parer les terres  ; nous passerons dans l’est de Madagascar fort au
[e] au sud de la Ligne. Nous n’allons point à Mascaray, les premières terres que nous voirons seront les Iles. Du jeudi 22e
ingt-cinq brasses d’eau. Ainsi nous ne sommes qu’à quatorze lieues de terre et environ à trente du cap de Bonne-Espérance. J’
rpétuelle des vents qui ont soufflé depuis ce temps-là, sans avoir vu terre depuis Pondichéry se trouvent justes dans l’endro
s d’eau. Il n’a point venté cette nuit, et fort peu ce matin. On a vu terre dès midi, mais on n’en était pas sûr parce qu’ell
. Elle a paru fort distinctement ce soir à soleil couché. Ce sont les terres du cap des Aiguilles, dont nous sommes encore for
i 7e. [avril] Le vent est venu bon cette nuit. On voyait encore la terre ce matin et nous ne nous en sommes point éloignés
demain matin le Cap sera dépassé. Nous ne sommes qu’à cinq lieues de terre au plus. Du dimanche 8e. [avril] Le vent a
t a calmé, cependant nous avons toujours avancé sans nous éloigner de terre  : nous l’avons toujours vue, et le Cap de Bonne-E
venu contraire sur les deux heures nous empêche de quitter de vue les terres d’Afrique. S’il plaît à Dieu il redeviendra bon.
s un souffle de vent pendant toute la journée. Nous voyons encore les terres d’Afrique. Du mercredi xie , [avril] Nous a
ue. Du mercredi xie , [avril] Nous avons enfin perdu de vue les terres d’Afrique ; le vent qui est venu bon cette nuit n
e est un très grand rafraîchissement pour des gens qui n’ont point vu terre depuis près de quatre mois. Cette île est couvert
se perchent sur les vergues et les matelots les prennent à la main. A terre on les tue à coups de pierre et de bâton, ce qui
lustre, n’étant que les femelles qu’on prend lorsqu’elles viennent à terre confier leurs œufs à la chaleur du soleil tout de
et vraisemblablement nous trouverons à qui parler avant que d’être en terre française ; et si je puis dire mon sentiment sur
Du dimanche 3e. [juin] Toujours bon vent et cargué, on se fait à terre . Du lundi 4e. [juin] Nous avons vu terre à
t cargué, on se fait à terre. Du lundi 4e. [juin] Nous avons vu terre à la pointe du jour, et c’est celle de La Martini
Du mardi 5e. [juin] Nous nous sommes encore plus rapprochés de terre que nous n’étions. Je vais au fort Saint-Pierre à
e s’en relèveront jamais, car, quand bien même on leur rendrait leurs terres comme ils l’espèrent à la paix, la guerre ne pouv
ceux qui sont coupables d’une pareille trahison, et cela parce que de terre à terre et de pointe en pointe il n’y a pas plus
sont coupables d’une pareille trahison, et cela parce que de terre à terre et de pointe en pointe il n’y a pas plus de sept
midi que nous avons remis en route. Nous sommes toujours à la vue des terres d’Espagne. Du mardi 14e. [août] Point de ve
Du mardi 14e. [août] Point de vent, brume fort épaisse, proche de terre et courants contraires. Du mercredi 15e jour d
vent a rafraîchi, il est bon, et beau temps, nous ne voyons plus les terres d’Espagne, et j’ai perdu ma gageure. Du jeudi
urnal finit. Nous sommes en rade, mouillés devant l’Orient. Je vais à terre fort réjoui d’être de retour d’un si long voyage
2 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
s point de fort. On dit pourtant qu’il y en a un. Quand j’aurai été à terre , je dirai comme il est fait. Car si j’ai quelque
e, des animaux amphibies, moitié chair & moitié poisson. J’irai à terre sitôt que j’aurai déjeuné. Le Messer Gaster de Ra
écrit depuis le 12 du courant parce que j’ai presque toujours resté à terre , ou tellement occupé à bord que je n’ai pas eu un
aît de Pondichéry, ayant mes mémoires tout prêts. Premièrement, cette terre -ci est fort basse : les vaisseaux mouillent à prè
demi-lieue, & les chaloupes ni les canots ne peuvent approcher de terre qu’à une grande portée de fusil, parce que la mer
ord de la mer, & l’apportent sur leurs têtes, dans des cruches de terre , à peu près comme les laitières apportent leur la
du côté de la mer, les vaisseaux ne pouvant approcher, ni du côté de terre , étant sous la protection du Mogol & de Remra
parses çà et là sans ordre ni alignement, & ne sont faites que de terre détrempée, & soutenue en elle-même par des mo
. Ils ont si peu de force que d’un souffle de vent on les jetterait à terre . Voilà des gens bien capables de faire résistance
endroit de si difficile accès du côté de la mer, si ouvert du côté de terre , & si incommode pour la vie. Je l’ai plusieur
u vaisseau : du reste, il nous a nourris pendant que nous avons été à terre , & faisait notre cuisine chez un Français de
qu’on n’y servait point de cochon ladre, ni rien qui en fût lardé. La terre ne produit point ou peu de bêtes venimeuses, mais
cinq ou six cents pas du fort un corps brûlé. Il y avait deux pots de terre du côté de la tête, l’un plein de riz cuit & 
n foyer ou amas de bois dressé en lit, élevé environ de deux pieds de terre & d’un pied de profondeur ; on le coucha dess
de ces races vagabondes de Juifs, qui se sont dispersés par toute la terre après la destruction de Jérusalem par Tite. Il cr
c’est, disent-ils, que Coinda & Mado étant tous deux vivants sur terre , Coinda, revenant de la chasse & rentrant che
me fortement assuré, qu’à cinq ou six lieues de la mer, en dedans des terres , les Mores & gentils sont aussi blancs que le
r, le canal pour entrer au mouillage, ce mouillage ou havre, & la terre  : & n’y ayant que douze lieues de cet endroit
s & de mettre à la voile ; qu’en ce cas, le vent les chasserait à terre , où ils échoueraient, & où on pourrait les br
nous en sommes sortis. Le Dragon a été le premier, le plus proche de terre qu’il a pu ; le Lion l’a suivi, un peu plus au la
ouver : je me trompais ; ils se sont seulement retirés plus proche de terre qu’ils n’étaient, & se sont mis encore plus q
is, dans lequel on n’a trouvé personne du tout. Tout le monde a fui à terre  ; & ils ont eu toute la nuit pour y sauver le
nous ne passerons pas le tropique du Cancer parce qu’il donne sur la terre ferme de notre continent, je ne parlerai plus du
avons donné dessus : il a été impossible de le joindre ; il a donné à terre , & s’est échoué. Il y a dans le même endroit
navire à qui nous avons donné cache ce soir, & qui s’est rallié à terre . Septembre 1690 Du vendredi 1er septembr
nt en saumon, de cuivre, & de draps ; qu’il a mis toute la nuit à terre le plus de ballots qu’il a pu, s’étant servi de s
ile, & avons mouillé ce soir devant Balassor, qui est la première terre de Bengale, à l’embouchure du Gange, où les Franç
côte, elle est encore plus basse que celle de Coromandel, qui est une terre unie. Nous sommes à plus de six grandes lieues au
ndredi 8 septembre 1690 M. du Quesne vient d’envoyer sa chaloupe à terre  : celles des autres navires l’ont suivie, excepté
ergui soit & fasse partie du royaume de Siam, il est bâti sur les terres qui font partie de cette presqu’île de Malacca, t
t partie de cette presqu’île de Malacca, tout à fait dans l’ouest des terres & dans l’est de Bengale, par dix-sept degrés
i meditati sunt inania. Point de vent. Nous voyons encore la maudite terre de Balassor. Du mardi 19 septembre 1690 Nou
de tenue (terme matelot fort expressif), il a été résolu d’aller à la terre la plus proche, & cette terre est l’île de Né
ssif), il a été résolu d’aller à la terre la plus proche, & cette terre est l’île de Négrades, à soixante lieues dans le
heures après midi, que le temps s’est éclairci. Nous n’avons point vu terre  ; cependant, nous en sommes très proches. Le temp
été si sombre & si couvert que des oiseaux qui avaient quitté la terre n’ont pu la retrouver & sont venus se percher
on pour les autres oiseaux. Il est certain que quand on est proche de terre & qu’il a fait de la brume, on trouve très so
comme je l’ai dit ci-dessus. Cela est un signe de la proximité de la terre , & on s’en défie. Il a calmé ce soir, & l
pour cette dernière. Du vendredi 13 octobre 1690 Nous avons vu terre , ce matin sur les dix heures. Nous en avons fait
ous fîmes hier très mal de ne mouiller pas, nous serions à l’abri des terres , où nous pourrions en même temps faire de l’eau e
ry ; & qu’ayant été ainsi noyés, leurs corps auront été poussés à terre par la mer, qui charrie toujours sur ses bords to
é, quoique les courants y soient très violents. Ce sont les dernières terres du Pégu, du côté de la bande du Sud. Ce pays est
de ici des rayons brûlants, & que la chaleur y soit excessive, la terre n’y est jamais sèche. Cette île est pleine d’étan
à ce qu’on dit, produits ici par la corruption & l’humidité de la terre , fermentée par l’ardeur du soleil. J’avoue que, s
amp; l’autre amphibies, c’est-à-dire qu’ils vivent se nourrissent sur terre & dans l’eau : où cependant le caïman vient b
ffées, dont ils nagent dans l’eau, & dont ils rampent lentement à terre  ; ce qui fait qu’on les évite avec facilité. On d
qu’on y a vu des éléphants : cela se peut, y en ayant dans la grande terre contiguë à l’île. Pour moi, je n’y en ai point vu
son, & en fait partie. Ce ne sont que les femelles qui viennent à terre , le mâle restant toujours à l’eau. Cet animal ne
ourne sur le ventre, & par conséquent qu’il marche. Il ne vient à terre que pour se décharger de ses œufs, qu’il porte en
ce qu’on lui présente, même le fer. C’est lorsque cet animal vient à terre pour y faire sa ponte que les matelots le prennen
re à la queue du troupeau ; &, au cri qu’ils font en s’élevant de terre , les autres avertis par le signal, prennent leur
vons trouvé des têtes & des os d’hommes morts exhumés, ou hors de terre . Il n’est pas croyable que ce soit des originaire
seul des navires qui n’y a laissé personne. Avant que de quitter les terres du Pégu, il faut que je dise une chose que j’ai a
Du vendredi 16 novembre 1690 Toujours vent près. Nous voyons les terres du royaume d’Aracan ; & le vent ne valant rie
ous sommes très mal. Du mercredi 22 novembre 1690 Nous avons vu terre ce matin, & c’est heureusement cette île de C
atre-vingt-dix lieues ; & nous avons vu aujourd’hui les dernières terres d’Aracan. C’était peu d’avoir des malades, la mor
même poste que moi, ont été fort heureux de savoir nager pour gagner terre . Les ennemis domestiques qui sont répandus sur l’
que les chevaux des messagers savent leur chemin. Je mis donc pied à terre , au pied d’un arbre. J’y attachai mon cheval par
e messes, depuis le dimanche douze du courant que nous y assistâmes à terre à Négrades, M. de Porrières m’a envoyé au Lion po
t toute la journée. Sur les deux heures cet après-midi, nous avons vu terre  : c’est la pointe des Palmiers ; si le temps étai
pas cru devoir lui refuser dans le besoin qu’il en a, étant presque à terre & à la veille d’en avoir d’autres. Il est mor
ourant & nous laisser entraîner par lui ; surtout étant proche de terre . Du samedi 2 décembre 1690 Ce matin, à la p
& le meilleur de tout, c’est l’ordre de mettre tous les malades à terre . Ils y seront mieux soignés & y recouvreront
plus promptement qu’à bord. Ajoutez à cela que l’air qu’on respire à terre guérit seul le scorbut qu’on gagne en mer, sans a
re. Du mercredi 6 décembre 1690 Nous avons envoyé nos malades à terre , au nombre de cinquante-six, & comme il faudr
ix du courant, parce que j’ai toujours été extrêmement occupé, tant à terre qu ’à bord : à terre, pour demander ce qui nous é
que j’ai toujours été extrêmement occupé, tant à terre qu ’à bord : à terre , pour demander ce qui nous était nécessaire, &
l ne faut que deux lignes par jour avec de la ponctualité ; mais qu’à terre c’est l’emploi le plus tuant & le plus fatiga
& comme il y a ici quantité d’officiers qui ont longtemps servi à terre , dans les armées, voici ce que j ’ai pu comprendr
s à des espèces de crics pour lui ouvrir la bouche. Que le scorbut de terre provient du mauvais pain que le munitionnaire gén
es marchés, & de les faire exécuter, cette maladie de scorbut sur terre a été presque inconnue aux troupes du roi. Joint
e aux troupes du roi. Joint à cela, que les nourritures ordinaires de terre n’étant pas si bonnes, ni distribuées à des heure
rdi 19. Il se nommait Pierre Hervé. Il a été enterré, ayant été mis à terre à cause de sa maladie. C’est dommage : nous perdo
officiers l’ont signé[e]. L’endroit où nous étions mouillés & les terres dont il est environné font partie de l’ancien roy
ore à ses eaux, qui se transportent encore aujourd’hui par toutes les terres du Mogol & jusque bien avant dans la Perse ;
le n’est qu’un assemblage confus de maisonnettes de nègres, bâties de terre délayée avec de la paille hachée & enduite d’
s de terre délayée avec de la paille hachée & enduite d’une autre terre glaise, ou argile, très fine & fort grasse ;
fort grasse ; &, comme ils ont soin de laver tous les jours cette terre & et la mouiller souvent, cela rend ces maiso
che sur des roches leur sert de table ; & deux bottes de paille à terre , avec un méchant morceau de grosse toile de coton
: en un mot, c’est du vin de Chiras en Perse, si renommé par toute la terre , & si peu connu en Europe. J’emporte aussi un
d’Agra, demeure ordinaire du Mogol : tant il est vrai que, par toute terre , les gens de distinction aiment à être proches de
st pas si forte que les autres nations, ne trafique à présent que par terre , ou sous pavillon & passeport portugais par m
faire regarder par toutes les Indes comme la plus vile canaille de la terre . Ceci n’est nullement concerté avec de Visé, aute
rait commencé la noise, son commerce serait interrompu sur toutes les terres qui sont dans la dépendance de ce prince, lequel
i est, dit-on, le plus bel établissement que les Français ont sur les terres du Mogol. N’y ayant point été, je n’en parle que
amp; le Lion qui le suivaient en queue tâchaient de se jeter entre la terre & lui : & eux & nous n’étions pas à d
soupçons que j’ai formés, dès Balassor, de l’envoi de cet exprès par terre de Pondichéry, & de l’augmentation de vivres
; se venger sur Pondichéry si à la vue de ses troupes, qui bordent la terre , on lui avait fait l’insulte de prendre un navire
, nous aurions pu le prendre à la mer, & sous les voiles ; mais à terre , & sur les ancres, non. Autant que nos matelo
rendre sous sa protection contre nous, si nous les attaquions sur ses terres & dans ses ports ; & de déclarer à M. Mar
ît rien contre eux qu’à la mer, qu’il lui avait envoyé cet exprès par terre à Balassor, & que j’avais eu raison de soupço
d’elle-même dans sa marche, si elle voulait pénétrer jusque dans les terres que Sévagi a fait révolter, il a fait faire à plu
omber entre les mains de l’un ou de l’autre. Pondichéry étant dans la terre qui fait partie de l’usurpation de Sévagi, les Fr
artissions de Pondichéry, on y avait reçu des nouvelles de Surate par terre , par lesquelles on a appris que ce qui s’est pass
du très révérend Père Tachard : en partant du Gaillard pour rester à terre , son Excellence a été saluée de cinq coups de can
Cvprien et du pape saint Etienne, que les saints qui sont encore sur terre sont hommes, & que le zèle fait souvent faill
e décida en faveur du sentiment de saint Cyprien. Donc les saints sur terre sont encore hommes, & peuvent se tromper. Le
belle île que, pour montrer qu’il n’est pas chrétien il n’ait jeté à terre le crucifix, qu’il n’ait craché dessus. & ne
prise, passent sur leurs vaisseaux, font la même cérémonie de jeter à terre un crucifix. de cracher dessus, & de lui donn
lant moins que le commun des autres hommes. Est-ce en entrant sur les terres de leur mission qu’ils prennent cette sainteté ?
lut qu’il fut obligé d’aller en Normandie, où il avait une très belle terre . Il y vit une fille de très vile extraction, mais
lui faciliterait le moyen d’en trouver, en consentant qu’il vendît la terre qu’il avait en Normandie, une autre dans le Maine
ntit avec plaisir à tout. Ils revinrent donc. Il la fit mettre pied à terre à un quart de lieue, sous prétexte de gagner de l
ais rien que par ouï-dire : je sais seulement que le code dit : nulle terre sans seigneur, & que la glose ajoute : & 
de réciter quelques prières, & de jeter du riz autour du corps, à terre & sur le chemin, on fait faire volte-face, ou
t suivi. Lorsqu’ils furent arrivés au bûcher, ils posèrent le corps à terre & le couvrirent des mêmes toiles de coton &am
Après cela, il fit fort posément trois tours autour du corps couché à terre  ; à chaque tour, il jeta un peu de riz dessus, &a
 : cela dura environ deux Miserere. Après cela, on releva le corps de terre , on le posa sur le bûcher, étendu sur le dos tout
tres tours, en continuant toujours sa prière. On apporte deux pots de terre , sans pieds, du reste faits comme nos marmites, l
’un plein de riz cru & l’autre d’eau ; ces deux pots sont posés à terre  ; & un noir qui sert tout le monde prend avec
le tout de bousées sèches de vaches. & font sur le tout un lit de terre glaise toute mouillée qu’ils unissent avec la mai
la main, qu’ils trempent dans l’eau de temps en temps, afin que cette terre obéisse mieux & ne s’attache pas à leurs main
-dessus de sa tête les deux pots de riz & d’eau & les jette à terre de toute sa force, où ils se brisent ; & lui
ards pièce : on ne les paie pas plus au bazar. Ce sont des pots d’une terre sigillée & grasse, extrêmement fine & rou
les miens ne tiennent qu’un peu plus de pinte, mesure de Paris. Cette terre transpire, & par son ferment & son nitre
e pâtissait chez Chalonge & chez moi ; & si nous avions été à terre , la dispute aurait été écrite en rouge. M.de Porr
rs raisons, telles que les forces maritimes, la quantité de soldats à terre , les différences des mœurs, des vivres, des clima
e plan d’un nouveau fort régulier, qui fût de défense tant du côté de terre que de mer, & qu’il amenât avec lui des gens
ndroit qu’on eût choisi pour avoir une bonne place tant du côté de la terre que de la mer. Qu’il n’espérait pas non plus un g
des ennemis qui seraient assez téméraires pour s’exposer à gagner la terre . Que s ils l’entreprenaient, quatre embuscades de
ntreprenaient, quatre embuscades de douze hommes chacune, le ventre à terre , ou cachés derrière un rideau ou une simple petit
nce. Qu’il leur avait encore représenté que ce n’était que du côté de terre qu’il appréhendait les ennemis, auquel cas il éta
ort ne pourrait pas résister longtemps. Que les Hollandais venant par terre , le long de la Côte, se joindraient aux Anglais,
rel de la Société. Ces jésuites déguisés & dispersés par toute la terre , & qui se connaissent tous par des marques &a
e, & il y a derrière & à côté une belle & grande pièce de terre qui en dépend, faisant partie de l’achat du fonds
nçais, & que les Hollandais ont grand soin de porter par toute la terre , & surtout aux Indes. Ils les distribuent à p
s, & qu’ils portent & font éclater jusqu’aux extrémités de la terre . Cela aliène encore l’esprit des Indiens en génér
ns. S’ils en agissaient ainsi, ils vivraient en repos, & toute la terre ne serait pas abreuvée de leurs dissensions sur d
cuméniques le leur ordonneraient. Ils s’y tiendront malgré ciel &  terre  : en effet, ils auraient tort d’en sortir, puisqu
is-je, voyant qu’il avait fini, leur caractère universel par toute la terre . Haïs, craints, & respectés : c’est leur défi
out plat : tant pis ; le voyage devant être long avant que de prendre terre à l’île de l’Ascension, où est notre rendez-vous
t la place de feu Le Vasseur. Nous portons au Sud-Est, pour parer les terres du royaume de Bisnagar dans la péninsule. On dit
d. Du mardi 6 février 1691 Je dis hier que tous les lieux de la terre qui sont au nord de la Ligne, c’est-à-dire la moi
 les mûrirait en partie ; l’automne les recueillirait [sic], & la terre se reposerait pendant l’hiver. Au lieu que nous a
ons de la lune sont plus clairs obliques que perpendiculaires ? Si la terre y faisait obstacle, la lune aurait souffert une é
a mer ; &, à cet égard, j’ai autant de besoin que vous de trouver terre pour le raccommoder sur les ancres. Pour les vivr
& ne se sont point arrêtés qu’ils n’aient été en sûreté, hors des terres de la domination de France. Elle a repris ses hab
sommes sur le banc des Aiguilles, ont sondé ce soir, & ont trouvé terre à 85 brasses d’eau. Ainsi, nous ne sommes qu’à tr
endredi 6 avril 1691 On a encore sondé ce matin, & on a trouvé terre à soixante-quinze brasses. Il n’a presque point f
; fort peu pendant le jour. Nous avons vu ce soir à soleil couché les terres d’Afrique, qu’on appelle cap des Aiguilles, dont
eures du matin. Nous avons toute la journée côtoyé la Cafrerie ou les terres de l’extrémité de l’Afrique, dans le Sud-Est : ce
de navigation sera évité. Nous ne sommes au plus qu’à cinq lieues de terre . Je n’ai vu, par mes longues-vues, qu’une terre c
s qu’à cinq lieues de terre. Je n’ai vu, par mes longues-vues, qu’une terre couverte de bois, & pas une seule habitation.
endant, nous avons toujours été un peu. Nous avons toujours côtoyé la terre  ; & le cap de Bonne-Espérance, que nous voyon
e ce sont ceux que la Compagnie hollandaise envoie s’établir dans les terres nouvellement découvertes en Afrique, & dont j
enu contraire sur les deux heures, nous empêche de quitter de vue les terres d’Afrique. En tout cas le plus fort est fait, pui
ir. Du mercredi 11 avril 1691 Nous avons enfin perdu de vue les terres d’Afrique, parce que le vent est venu bon cette n
cension, dont je parlerai quand nous serons partis, comptant d’être à terre vers les deux heures après midi. Nous allons dîne
& très salubre rafraîchissement pour des gens qui n’ont point vu terre depuis près de quatre mois, & tout le monde s
ils viennent se percher sur les vergues, où on les prend à la main. À terre , on les tue à coups de bâton, tant ils approchent
ons pris environ deux pintes d’huile dans un flacon & avons été à terre , emportant avec nous un grand coquemar de terre t
con & avons été à terre, emportant avec nous un grand coquemar de terre tout neuf. C’est le seul utancile de chirurgie do
s des tortues mâles qu’on prend à la mer, & celles des tortues de terre , qui ne perdent ni leur éclat ni leur beauté ; &a
amp; on ne prend ici que des femelles de mer, lorsqu’elles viennent à terre confier leurs œufs à la chaleur du soleil, tout d
Du lundi 4 juin 1691 La lune à son dixième jour nous a fait voir terre à minuit ; & c’est la Martinique, que nous ch
res vient d’aller au fort. Du mardi 5 juin 1691 J’ai mis pied à terre ce matin : j’y ai entendu la messe, & y ai tr
e du mois passé. Le lendemain, notre vaisseau s’approcha plus près de terre qu’il n’était ; & moi, je vins au Fort Saint-
e relèveront jamais de leur perte ; car, quand on leur rendrait leurs terres , comme ils l’espèrent à la paix générale, leur re
’Ève ? Où leurs enfants ont-ils pu s’étendre ? Ont-ils percé dans des terres qui étaient inconnues il n’y a pas encore deux ce
s qui étaient inconnues il n’y a pas encore deux cent cinquante ans ; terres dont des conciles & des décisions du Saint-Si
ancêtres & leurs auteurs ? Croirai-je que, pendant le Déluge, la terre a été brisée, si je puis me servir de ce terme, &
quel temps juste fixer cette section ou solution de continuité de la terre  ? Mes réflexions me mèneraient trop loin si j’ent
u aidant, peu de nos gens mourront, parce qu’ils n’ont pas descendu à terre toutes les fois qu’ils l’auraient bien voulu ; &a
ent est venu assez bon sur le midi, & nous avons perdu de vue les terres d’Espagne. Le vent a dissipé le brouillard. Nous
deux heures après-midi. Dès que nous avons été à l’ancre, j’ai été à terre dans l’île, j’y ai acheté quatre veaux à dix-huit
l’Orient du Port-Louis, sur les dix à onze heures du matin. Je vas à terre désaltérer le diable de La Chassée qui me persécu
3 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
ître, disait-elle, n’est-il pas temps que tu me laisses retourner sur terre , après avoir été un nombre infini d’années enseve
s voyant qu’il lui était impossible de le faire passer, il mit pied à terre et sauta dans cette fosse. Sancho persuadé que c’
voir au visage ; mais il en fut empêché par un nouveau spectacle. La terre qui s’ouvrit à côté de lui, vomit feu et flammes,
de Pluton ton maître ? Il t’avait permis d’attaquer ce chevalier sur terre à armes égales, et quand il est en disposition de
mais, et qu’il languisse éternellement sous leur poids. A ces mots la terre s’ouvrit encore de quatre côtés, et il en sortit
tre avec les lions aux pieds de Merlin, et tous ensemble fondirent en terre , et la salle où ils étaient parut en un moment to
s doute elle n’est pas désenchantée, dit un démon qui parut sortir de terre , et elle ne le sera pas que l’écuyer Sancho n’ait
où il vous attend sur son trône. Ayant dit cela ce fantôme rentra en terre , toute la lumière disparut, et on ne voyait goutt
, de Balerme et de ses filles ; le tonnerre gronda ; ils sentirent la terre trembler sous leurs pieds, et se baisser peu à pe
à l’exemple de Thésée, qu’il a pris pour modèle de sa vie, a purgé la terre de monstres et de brigands. Il est comme lui venu
’est Merlin lui-même ; mais c’est que ce qui vous paraît si grand sur terre est dépouillé de sa grandeur et de son éclat lors
ns, et non pas ses titres fastueux, et cet éclat qui lui attirait sur terre le respect, l’admiration et la flatterie du reste
eta pourtant pas un cri, par la raison qu’outre la bourse qui était à terre et qu’il regardait comme la fin de ses travaux, i
n ne m’en avait pas volé pour subvenir à la dépense qu’il a faite sur terre à chercher l’illustre chevalier des Lions et vous
4 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
ait si précis et si pressé qu’à peine eûmes-nous le temps de mettre à terre les plus grosses et les plus embarrassantes march
e je pourrais le perdre, et que, se jouant à moi, ce serait un pot de terre contre un pot de fer ; qu’après cela, il pouvait
la grand-planche est tirée, et qu’à midi nous ne voyions plus aucune terre . Il fait un vent de Nord-Est, bien bon et bien fr
ord-Est continue. Nous avons porté jusqu’à midi à Ouest, à la vue des terres d’Espagne ; et sur les trois à quatre heures aprè
e plus de peine ; parce que de quelque côté que nous pussions prendre terre , nous y trouverions des bœufs et des autres vivre
nada d’avec l’Acadie, et ou j’ai passé dans mon voyage de Canceau par terre à Quebec, avec deux sauvages pour toute compagnie
de nuées, qui paraissent fort épaisses et assez noires du côté de la terre , et assez claires du côté du ciel. Elles semblent
hes qu’un pur souffle, ou une impulsion qui sort des entrailles de la terre , ne porte pas sa force plus haut que la sphère de
qui dit dans son Journal du voyage de Siam que s’il avait mis pied à terre , il aurait été saluer la belle Alcidiane. Est-ce
hrétiens le premier méridien où bon lui semblait : chaque point de la terre a le sien, suivant le cours journalier du soleil.
rejetant j’admets et établis la libre disposition de nos actions sur terre , ce qui est en effet le libre arbitre qui nous la
sans interruption. Ainsi, de quelque côté qu’on prenne le globe de la terre , et les peuples qui en habitent la superficie, ch
ui ne les déracine pas, comme ce laboureur arrache les chardons de sa terre par son labour ? Dieu nous fait connaître ces cha
lus coupable lorsqu’il se détermine au mal. Ce laboureur a cultivé sa terre  ; cultivons la grâce ; il donne le temps à son gr
sers parce qu’il me paraît très expressif). Combien de gens par toute terre voudraient être quittes de leurs cancers ? Je les
de mon âme que par le peu de jours que je suis, très inutilement, sur terre , me plongent également dans une obscurité dont je
suivant mon thème que je poursuis, je dirai que la vie de l’homme sur terre est bornée dans le terme que la volonté de Dieu l
ce que l’École nomme utérus, et que nous appelons matrice, comme une terre féconde, à laquelle l’homme confie sa semence ; e
il y en a de différentes, puisqu’il y en a une infinité que l’air, la terre , et l’eau renferment, qui ne croissent point dans
fait qu’il s’est mépris, et que nous étions à une portée de fusil de terre dans une anse au Sud-Sud-Est, quoiqu’il soutînt q
cueil aurait fini là son voyage des Indes. Nous sommes sur le fer. La terre me paraît remplie de montagnes et de rochers : j’
Du dimanche des Rameaux, 19 mars 1690 J’écris le matin, je vais à terre , et demain je dirai ce que c’est que Saint-Yago,
e île de Saint-Yago, à l’est d’une île qu’on ne peut distinguer de la terre à moins que d’en être fort proche. Ce mouillage e
e manière de fort, si je puis donner ce nom à une simple élévation de terre sur laquelle sont posées sans affûts quatre pièce
eur de douze ou quinze pas, les chaloupes ne pouvant pas approcher de terre qu’à cette distance, à cause du peu de fond. Cett
ette distance, à cause du peu de fond. Cette grave où l’on met pied à terre est un sable fort fin, à peu près comme celui d’É
ce qu’on y fait cuire, n’y ayant vu ni feu ni bête vive ou morte, de terre , ni d’eau, pas même légumes ni œufs, mais seuleme
rrosses, excepté qu’il est élevé de deux marches et garni de bancs de terre ou de rochers bruts. Je viens au village. J’ai re
hauteur. Les maisons en sont séparées les unes des autres, bâties de terre , et très mal, sans jambages, poutres ni solives,
le pleine de Juifs. Il y a trois lieues de la Vinate à la ville : les terres ne valant rien, les Noirs sont excusables de ne l
nt quelques petites calebasses et pommes de coloquinte, qui rampent à terre sans feuilles : on voit aussi quelques cocotiers,
s cocotiers, mais peu. Au reste, nous étions obligés de mettre pied à terre de quart d’heure en quart d’heure pour monter ou
ai qu’il faisait calme tout plat ; cependant la mer brisait proche de terre , ce qui me fait croire que ces rochers sont à for
u’on n’ait passé la seule porte qu’il y a à cette muraille du côté de terre , par laquelle nous sommes entrés et sortis. La vi
de gros vaisseaux, mais seulement de barques, qui amarrent proche de terre , et qui seraient bientôt emportées par le vent si
la preuve. J’avais entendu la messe à bord, avant que de descendre à terre . Je joignis dans l’église de la Vinate un homme q
uoi étais-je nécessaire ? Toujours également nature eût travaillé, La terre aurait produit ses œillets et ses roses, Toujours
t renversé et je pensai être tué. Je restai plus d’une grosse heure à terre , sans sentiment, empesté par l’odeur du soufre, q
La raison en est naturelle et palpable, m’ont-ils dit : c’est que la terre , qui est un corps grossier, ne peut envoyer que d
origine. Elles sont produites par le mélange de l’eau douce et de la terre  : cette terre peut être corrompue par les pourrit
s sont produites par le mélange de l’eau douce et de la terre : cette terre peut être corrompue par les pourritures qui s’y e
y avait de gens savants convenaient que la mer est plus haute que la terre  : que c’était son eau qui se conduisait par des c
il en était de même de la mer, laquelle inondait et rafraîchissait la terre , par les eaux qu’elle dispersait dans ces canaux
t dans ces canaux souterrains, qu’on pouvait appeler les veines de la terre  ; que cette eau s’y purgeait de son sel et de son
e par ces conduits souterrains, la mer envoyait de l’eau par toute la terre , ce qui se vérifiait par les puits qu’on trouvait
ans l’Arabie déserte ; que cette eau de la mer circulait par toute la terre  ; que sans l’humidité qu’elle y laissait, la terr
ulait par toute la terre ; que sans l’humidité qu’elle y laissait, la terre ne serait que cendre, et ne rapporterait rien ; e
ta genus suum qu’ainsi, cette eau de mer était la conservatrice de la terre , le principe et la nourriture de tout, et la caus
; et je raisonne ainsi en conséquence de l’hypothèse. Le dedans de la terre est plus froid que chaud : cela se prouve par les
système ; au contraire, cela le fortifie. Ce ne peut donc pas être la terre qui par elle-même engendre cette chaleur qui se c
tte chaleur qui se convertit en feu effectif ; mais il y a dans cette terre quantité de matières humides, qui se corrompent e
ent vu, et qu’on voit encore, des flammes sortir des entrailles de la terre dans des endroits où il n’en avait jamais paru :
amme s’est faits, sont toujours des rochers. Rien de plus naturel. La terre toujours humectée se défend par son humidité des
que j’ai faite il y a longtemps. On est convaincu que le globe de la terre est parfaitement rond ; que les plus hautes monta
n Europe, il est secondé et même entraîné par ce même mouvement de la terre qui lui est favorable à son retour ; au lieu qu’i
longtemps bons amis s’il lui en disait la vingtième partie d’autant à terre . Je suis remonté dans ma chambre, où j’ai achevé
té : et qu’ils avaient traversé ce vaste royaume depuis les premières terres qui donnent dans la Méditerranée jusque en France
nne dans son sens, d’abandonner tous quatre le vaisseau à la première terre que nous trouverons, de quelque nation que ce soi
à la mer, avec toutes les formalités que la chicane a introduites sur terre  ; mais le droit d’autrui y est conservé, et la bo
ffet voudrait s’emparer d’un bien dont peut-être il ne jouirait pas à terre  ? Il n’y a que la crapule bretonne qui en soit ca
Entre autres choses, nous avions un cochon de lait qui n’a jamais vu terre , puisqu’il est né à bord : il avait été farci de
plaît, a-t-il poursuivi, en me faisant en riant une révérence jusqu’à terre , le chapeau à la main : et en même temps est entr
ire aux dépens de ceux qui les demandent, qui doivent les apporter de terre  ; et ces consommations, qui ne sont nullement néc
n route : l’argent sert à acheter des rafraîchissements à la première terre  ; et l’eau-de-vie à border l’artimon, après quelq
de cale. Les jarres dans lesquelles on la met sont de grands pots de terre , de la forme d’un œuf : on met au fond du gravier
ne crois pas qu’ils eussent d’autre peigne que leurs doigts. Toute la terre était à eux ; ils ne purent pourtant pas vivre en
ert : on n’a point pris de hauteur ; cependant, nous sommes proche de terre . Le Dragon est allé à la découverte, avec ordre d
i-même à dix heures du matin sur le banc des Aiguilles, et de trouver terre à la sonde ; et qu’il compte bien aussi de voir s
 ; et qu’il compte bien aussi de voir sur les cinq heures du soir les terres du cap de Bonne-Espérance. Il faut qu’il soit bie
te-douze brasses. Il a eu l’honneur de mettre le premier le signal de terre , et, en même temps, tous les vaisseaux lui ont ré
et homme qui, après soixante-dix jours de navigation sans voir aucune terre , tant de routes différentes, et de différents ven
appelle un parfait navigateur. Nous avons vu dès les cinq heures les terres comme il l’avait dit ; et demain, Dieu aidant, no
llon rouge au grand mât, et a conduit la bande. Nous avons côtoyé les terres du Cap, pavillon français à poupe. Nous avons vu
rterait incomparablement plus de lustre et de commodités que celui de terre ne pourrait faire. Il accorda de très grandes dis
é huit colonies à différents endroits, à plus de cent lieues dans les terres dans le nord-nord-ouest du fort, peu éloignées l’
très bien venu. Les habitants du Cap y en recueillent, mais peu. Les terres sont plus propres au seigle. Ils ont tous les fru
aut ; et nous sommes dans l’hiver. Nous avons vu toute la journée les terres d’Afrique. Le vent est bon et bien froid. Nous co
he de voir Madagascar. Nous avons pris sur nos vergues des oiseaux de terre  ; signe certain que nous sommes proches. Ils étai
blé de Turquie : le reste ne leur coûte que la peine de le ramasser à terre , ou de le cueillir aux arbres, où ils montent com
fin contraints d’abandonner leur pays et de se disperser par toute la terre , comme les Juifs le font aujourd’hui ? Et qui se
jusant, ou si l’on veut son flux et reflux, peut caver et miner sous terre des endroits dont le dessus ou la superficie est
e par leurs racines réciproques, peuvent être ensemble détachés de la terre et entraînés au large par les vents, qui, comme d
ai une fois trouvé sur le Grand Banc, à plus de six-vingts lieues de terre  : mais, ces prétendues îles flottantes ne conserv
t leur consistance que jusqu’à ce que la mer ait dissous et séparé la terre qui raliait [sic] ces arbres dans leurs racines ;
raliait [sic] ces arbres dans leurs racines ; et, à mesure que cette terre se délie, les arbres, sans contrepoids au pied qu
n 1690 Le Dragon, qui était allé à la découverte, a fait signal de terre sur les trois heures, et nous avons vu Moali, à s
endredi 23 juin 1690 Nous sommes entrés ce matin à Moali. Je vas à terre faire préparer une tente pour nos malades, au nom
que. Quand on a paré ces deux barres, on découvre une grande place de terre , grave, ou pelouse, dans le sud-est de l’entrée s
aux, dont les capitaines ne sont que trois ou quatre fois descendus à terre , restant à bord pour faire embarquer l’eau, le bo
’en fallait ; mais, c’était ce qu’il ne disait point. Le dedans de la terre est rempli de toutes sortes de gibier à plume. Il
trop humide pour en produire ; et tout ce que j’y ai vu qui vienne de terre , ce sont deux hérissons, pareils à ceux qu’on tro
nt point, ne se fourrent pas dans des trous, et ne descendent point à terre . Sitôt que le soleil est couché, elles vont cherc
s vols incertains dans l’air, tombaient aussi. Lorsqu’elles étaient à terre , elles se jetaient de tous côtés à l’aventure ; d
igion. Ce pays a cela de commun avec Madagascar et les autres îles et terres qui sont entre les tropiques, que l’hiver seul y
tement du goût naturel et de la délicatesse des autres. Les melons de terre et d’eau ne leur manquent point. Les fraises et l
st en haut, sort une autre petite tige, qu’on coupe et qu’on remet en terre où elle prend racine et produit un autre ananas :
s : c’est pourquoi on n’en prend qu’au jour la journée. Les melons de terre et d’eau y sont communs. Ce dernier est le meille
é le père de Châteauneuf, a cassé, à coups de pierre, un grand pot de terre de Bordeaux qui était dans une niche au-dessus de
que le visage bien couvert) à un lit élevé de trois à quatre pieds de terre , couvert de cannes sèches, sur lesquelles il y a
oral, et Landais. Cette ville n’est qu’à deux lieues du camp dans les terres . Je fis environ la moitié du chemin par un sentie
es tentes et des matelots et soldats, qui étaient descendus malades à terre , et qui sont à présent en bonne santé, tous les c
ur y pouvoir mener une vie vagabonde. Ces gens-ci ne couchent point à terre comme les autres Noirs de Saint-Yago, ni les sauv
sauvages du Canada ; leurs lits sont de bois, élevés d’un bon pied de terre , et couverts d’une natte très fine et incomparabl
de tort les uns aux autres et qu’ils ne prennent jamais rien sur les terres qui ne leur appartiennent pas. Si cela est, ils f
t pas gros, quoiqu’il le fût beaucoup ; mais, pour parler matelot, la terre le mangeait. Le vent cessait peu à peu, et calma
dant que nous avancions, nous voyions aller et venir des chaloupes de terre au vaisseau, et du vaisseau à terre ; mais il éta
s aller et venir des chaloupes de terre au vaisseau, et du vaisseau à terre  ; mais il était impossible de les joindre. Notre
nous tâchions de rejoindre l’ennemi, nous entendîmes crier du côté de terre , à moi, Français, à moi ! M. de Porrières, sachan
uante hommes d’équipage, outre plus de soixante malades qui étaient à terre , et ceux qui étaient morts ; qu’il portait soixan
t encore tant à plaindre que la femme d’un de ses officiers qui est à terre avec deux enfants, dont il y en a un à la mamelle
t été brûlés, ou du moins noyés en voulant se sauver. Ceux qui sont à terre sont encore à plaindre. Quelle confiance peuvent-
lui en faire perdre toute espérance, vous devez vous mettre entre la terre et lui, pour l’empêcher de se brûler, ou pour cou
ela a été trouvé de très bon sens, et les pilotes ayant assuré que la terre était saine, ce conseil allait être suivi ; mais,
e qu’il aurait bien voulu être à l’air. J’avais vu quelques actions à terre  ; puisque j’étais au combat de Mont-Cassel, le jo
qui lisent des relations de savoir positivement à quel endroit de la terre , ou de la mer, étaient les navigateurs, un tel jo
ils sont mal nourris, en comparaison de ce que les ouvriers mangent à terre  ; peu soignés, et avec cela, quelquefois bien bat
qu’il n’y a de pommes en Normandie, que sans les courants on verrait terre . Sa colère a tenu bon contre les pieuses remontra
s du matin, l’Oiseau a mis pavillon français, ce qui est le signal de terre  ; et un quart d’heure après, nous l’avons vue : l
le brouillard nous la cachait. C’est l’île de Ceylon. Il est venu de terre deux chaloupes pour nous reconnaître. On a serré
udre, en moins d’un Miserere ; et qu’il n’y a que la peau qui tombe à terre , sèche et aride. Je crois celui-là, parce que not
nné cache : il a été mouiller dans une anse, à une portée de fusil de terre . Il nous avait paru grand, et de défense ; mais q
mparer et amener le capitaine, ou pour empêcher sa chaloupe de gagner terre , en allant lui couper le chemin, pendant que je r
oins exécutons nos ordres, et coupons chemin à la chaloupe qui fuit à terre . Eh, f..., monsieur, mêlez-vous de vos écritures,
viendront-ils ? ai-je répondu : leur chaloupe et leur canot fuient à terre  ; y viendront-ils à pied ? Un beau « Mêlez-vous d
mêmes ordres d’empêcher le canot et la chaloupe de la flûte de gagner terre . Elle était commandée par un brave homme, qui s’e
est M. de La Chassée. Il a vu que la chaloupe de cette flûte tirait à terre , aussi bien que le canot : il a sagement jugé que
qu’il y avait de plus riche ; et qu’ainsi le plus sûr était de gagner terre , et de les empêcher d’y aborder. Sur ce sage fond
si. Il a enlevé chaloupe et canot. Tous les Hollandais étaient fuis à terre , où ils espéraient mettre à couvert ce qu’ils emp
eu, par la lâcheté du seigneur Le Vasseur. Entre ceux qui fuyaient à terre , il y avait une jeune Hollandaise fort jolie2 à c
en servir. Un autre disait, que le canot avait porté le gros canon à terre pour nous y assommer ; et que nous avions très sa
er août 1690 Nous avons mouillé ce soir à deux portées de canon de terre . Du mercredi 2 août 1690 Les courants nous
o, qui est justement l’endroit où nous l’avons pris, à deux lieues de terre , ou environ. Il venait chercher du riz et du bois
heures avant soleil levé : nous avons été tout le jour à une lieue de terre , au plus, par le plus beau temps, et le meilleur
elle est, à ce qu’il m’a paru, bâtie dans une péninsule, ou langue de terre , qui s’avance dans la mer. Elle borde toute la te
le, ou langue de terre, qui s’avance dans la mer. Elle borde toute la terre , qui forme cette péninsule et l’isthme, et bouche
la terre, qui forme cette péninsule et l’isthme, et bouche du côté de terre le chemin de la montagne qui la couvre du côté de
du côté de terre le chemin de la montagne qui la couvre du côté de la terre et de la mer. Elle commande toute l’entrée du por
l y a été, et moi non. Cependant, les Français, qui ont possédé cette terre , n’ont pas pu s’y conserver et ont été obligés de
ope d’avoir les yeux sur les démarches de cette nation en Asie. Cette terre de Trinquemalé paraît belle, plaine, et unie. Ell
t dans l’embarras, ne manqueraient pas de nous fatiguer. En effet, la terre est ici tellement basse que, quoique nous fussion
ents hommes de garnison. Sur les cinq heures du soir, nous avons vu à terre un pavillon blanc qui nous a fait connaître qu’il
tugais de prendre dans leur rade des gens qui s’y sont retirés. Cette terre me paraît parfaitement belle, unie, plate et couv
5 (1721) Mémoires
c quelle joie il recevait les louanges vraies ou fausses, et toute la terre a été étonnée de voir qu’à la honte de la religio
t le royaume était en état de soutenir la guerre tant par mer que par terre contre tels ennemis qui se seraient présentés. Se
re du peuple, l’impossibilité où il était de cultiver et de semer les terres faute de grains et d’animaux de labour, qu’on lui
ntant le proverbe trivial qui dit que Tant vaut l’homme, tant vaut sa terre . Je crois qu’il faut dire un mot de tous ceux qui
t des armes... Jésus-Christ né de pauvre lieu Apporta la paix sur la terre  ; S’il eût été de Richelieu, Il aurait apporté la
uel il donnait le moyen de subsister par les travaux et remuements de terre qu’il faisait faire de jour en jour ; et comme de
de sable mouvant, et les ouvriers qui travaillaient au remuement des terres et qui faisaient les chemins où les tuyaux de fer
que l’argent dispersé à propos dans un pareil sujet était du grain en terre qui rapportait au centuple, tant pour le profit d
uple, tant pour le profit du laboureur que pour celui du maître de la terre où ce grain est porté. Bien éloigné de ceux qui o
Il voulait que la grandeur du Roi et du royaume éclatât par toute la terre , et très assurément s’il avait vécu l’indigne et
rs fautes, par le travail où on aurait pu les engager à défricher les terres , et en leur taxant leur travail ; et que ce trava
antageux aux colonies et à la France, aux colonies par la culture des terres , et à la France parce que sans qu’il lui en eût r
n plus considérables. Les gens auxquels nos rois avaient fait don des terres qu’ils feraient défricher en agissaient entre eux
fortifications ; aussi n’ont-ils point à craindre le canon du côté de terre . Ils garnirent ce fort de canon du côté de la mer
er par mer ; et laisser aux habitants du pays leur propre défense par terre , et donner même à ce gouverneur des lettres de no
e pays manquait tels que des maçons, des charpentiers, des potiers de terre et ainsi du reste ; mais que pour des soldats il
Iroquois, qui sont les seuls ennemis que le Canada ait à craindre par terre , ne font pas la guerre en corps d’armée ; qu’ils
outes sortes d’ennemis de quelque côté qu’ils fussent venus, soit par terre ou soit par mer. 112. La maréchale de La Mothe et
seule porte du fort par laquelle on peut entrer et sortir du côté de terre , car pour du côté de la mer la montagne sur laque
ons point, ne trouble point notre repos… C’est être bien attaché à la terre que d’y faire des demeures qui durent plus que vo
perait et toi aussi de l’espérer ; des gens comme nous à qui toute la terre est égale et qui n’ont rien que leur vie ne recon
s que tu vois aussi bien que lui....Ne nous oblige pas à le jeter par terre , à l’abattre et le brûler, toi et les autres Fran
eaux si loin, que la guerre qu’il couvrait resterait éternellement en terre ....Tu en veux ordonner autrement, fais ce que tu
t toi-même, et que tu ne seras plus le maître de la faire remettre en terre . 129. Cette harangue, dont j’ai supprimé et omis
ont convenus de la paix et des conditions, ils font un grand trou en terre , y jettent cette hache et mettent dessus un jeune
ttent dessus un jeune arbre avec ses racines, et chacun y porte de la terre à l’envie [sic] l’un de l’autre ; ils dansent aut
c’est que ce coquillage. Il y est si abondant qu’on en transporte par terre à Poitiers et à Limoges, et même bien plus loin ;
uloir traîner son corps dans les rues, et il fallut pour le porter en terre envoyer des gens de guerre, et même de la maison
ne beauté parfaite, et aussi sage que belle. Il l’avais mise dans une terre qui lui appartenait à lui, et qui pouvait valoir
ol, et son douaire qui était tout son bien était hypothéqué sur cette terre . Il fut tué comme j’ai dit à Rocroi, et laissa sa
mais dont sa mère ni lui ne jouissaient point, parce que les baux des terres qui en dépendaient s’étaient faits sous le nom du
pays où l’on la vend comme à l’encan qu’outre cela c’était un pot de terre contre un pot de fer que de vouloir attaquer un p
n ; qu’il fallait encore qu’il entendît la subsistance d’une armée de terre , la marine et surtout le commerce à fond ; ce qui
pas de sa maison à celle de Deschiens, il ne voulut pas mettre pied à terre chez lui, et vint à cheval chez Deschiens. Par ma
tôt rendus blancs comme neige ; les troupes manquer de tout, tant sur terre que sur mer, parce que lui et son fils étaient in
des amas prodigieux de grains pour la subsistance des troupes tant de terre que de mer, et en fit tant que Paris pensa en êtr
ue la parole l’un de l’autre ; que milord Roussel était venu souper à terre incognito chez M. de Tour-ville, et que le lendem
né pour tâcher de découvrir qui était le traître, mais il avait gagné terre dans un petit canot. J’apportai ces ordres et sig
les livrait entre leurs mains pour venger en même temps le Ciel et la terre  ; qu’ils devaient offrir leur mort à Dieu en sati
cents mille de ces canailles-là, qui ne sont que très inutiles sur la terre , la France en sera-t-elle moins France ? Je vous
ubliques[sic] que les présents qu’elles lui ont fait l’ont conduit en terre . Il avait épousé une femme vertueuse. Il la mépri
on dit Bourvalais est de l’ordre de Melchisedec on ne lui connaît sur terre ni père ni mère. Ceux qui prétendent savoir des n
hysionomie était très patibulaire, et en se laissant presque tomber à terre , tant il était ivre : — Hé ! comment te portes-tu
et la revente de foin, pour se faire un protecteur a pris à ferme la terre de Meudon appartenante au dauphin, fils de Louis
du même nom, à Pontchartrain dans celui du ministre, à Moret sur les terres , dans les fermes et dans le château de Mons[ieu]
étail de la Réligion ni du mépris des sacrements, Legendre fut mis en terre avec tout le faste qui accompagne les plus gros c
assez long temps, et lorsque les établissements seront faits, et les terres défrichées, ils ne manqueront pas de faire rafle
dant la traversée, et de leur donner à chacun en propre un morceau de terre à défricher, avec les ferrements nécessaires tant
errements nécessaires tant pour abattre les bois que pour cultiver la terre  ; leur fournir des vêtements pendant deux ans, de
utons le bon, et prenons le mauvais. Je pose en fait constant que ces terres défrichées, données en propriété à ceux-mêmes qui
nt bien que, du moins, il n’y a rien d’impossible à ce que je dis. La terre est existante, cela est déjà certain. Défrichez-l
repos. Faites ce qu’ont fait les enfants de Jacob pour entrer dans la terre de promission, faites ce que les Anglais ont fait
, et qu’il soit même défendu aux hôpitaux d’acquérir un seul pouce de terre . C’est l’unique moyen d’entretenir leur zèle, et
consument dans les hôpitaux, et jamais en immeubles tels que sont les terres et les maisons. Qu’aucun ecclésiastique tel soit-
omme les derniers de tous les hommes et la plus lâche canaille que la terre puisse porter. Tout cela n’a son fondement que da
bannisse absolument de sa colonie. Il faut qu’il donne un morceau de terre pour servir de cimetière, et qu’il soit permis à
vriers qui défricheront pour le compte et le profit du seigneur de la terre , et ne leur imposer que huit heures au plus de tr
sissipi, que ce fleuve serve sous leurs auspices de communication des terres françaises du Nord aux îles de l’Amérique, et mêm
multitude presque infinie de la chasse de toutes sortes de gibier de terre et d’eau, la fertilité du pays par lui-même, les
prise. Le Roi avait donné à la compagnie quarante lieues d’étendue de terre sur les côtes sur une profondeur non limitée. Nou
re qui avait autrefois été habité. Sa raison fut qu’il fallait que la terre n’en valut rien puisque les Jésuites et les Gasco
puisque les Jésuites et les Gascons l’avaient abandonné[e], et qu’une terre était assurément maudite quand ces sortes de gens
t années de service et que je n’avais jamais fait qu’une campagne sur terre , ce qui était encore vrai ; et acheva de me conso
es canons n’étaient pas même montés. Ils remarquèrent les chemins par terre , et de plus ils apprirent qu’on n’y faisait ni gu
entrant dans le golfe de Chedabouctou, ils mirent deux cents hommes à terre à trois lieues du fort, et à travers des bois, sa
s, sans rencontrer qui que ce fût, ils vinrent se coucher le ventre à terre à la porte du fort ; et à la pointe du jour, lors
ans oublier les canons du fort que les Anglais rasèrent rez pieds rez terre . Certainement ce n’était point là la vengeance qu
à-dessus qu’on peut assurément dire : Tant vaut l’homme, tant vaut sa terre . Si Bergier ne nous avait pas attiré les Anglais
Monseigneur, Ne déplaise à votre Grandeur Laisser les maltôtiers sur terre Jouir de leurs biens mal acquis. Ils en ont fait
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
les chevaux du carrosse pour s’en servir. Le cocher était étendu par terre , le postillon et trois valets de pied fuyaient à
en criant de toute leur force : celui qui n’était que blessé était à terre , où étant plus mort que vif, il n’osait branler n
roit, il se cabra, et jeta le pauvre écuyer sur sa croupe, et de là à terre . Il fut pourtant assez heureux pour n’être point
’il était, il ne perdit pas le sens, et prit un palonnier qui était à terre , et s’en servit comme d’une massue si à propos, q
et se battait avec tant de conduite et de valeur. Il avait mis pied à terre pour aider à la duchesse à descendre de carrosse,
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
utres choses, toi dont la sagesse et la prudence connues par toute la terre sont cause que je t’ai pris en amitié, tu t’offen
e subtile et bleue avec beaucoup de fumée, recula en tremblant, et la terre s’ouvrit sous les pieds du satyre, qui fondit, et
Français crièrent qu’ils venaient de le voir tout d’un coup fondre en terre . Pendant que toute la troupe déjeunait de fort bo
disparaître tout d’un coup avec ce qui était dessus ; elle rentra en terre comme elle en était sortie, presque aux pieds de
e tour, avait fait faire une fosse comme une manière de cave, dont la terre était soutenue par des poutres appuyées sur des p
les poids pour faire tout d’un coup monter la trappe au niveau de la terre  ; et afin que Don Quichotte et Sancho ne s’aperçu
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
sont à présent ; reste dans le premier endroit où tu te trouveras sur terre , et n’y pense qu’à te divertir, à te promener, et
ncu lui-même. Après quoi Dulcinée lui promit d’aller le remercier sur terre partout où il serait, et notre héros lui promit d
oui ; deux lits de brocard d’or avec leurs housses traînantes jusqu’à terre , garnies d’une grosse frange d’or à campanes, en
ès quelque difficulté en lui baisant la main et en mettant un genou à terre . Après cela Dulcinée embrassa toutes les dames et
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
ita plus ; il alla à eux, et les choisissant, il les jeta tous deux à terre , et son valet en fit mal à propos autant. Leurs p
enait Eugénie, qu’il le renversa tout étourdi, et la comtesse tomba à terre aussi bien que lui. Les bandits voyant encore not
irent ; mais notre héros n’était pas pour en rester là. Il mit pied à terre pour soulager la comtesse, et dans ce temps-là le
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
atiguèrent tellement son écuyer à danser, qu’elles le firent tomber à terre de lassitude. Il n’en pouvait plus, et ne savait
n’y virent rien que de magnifique. Ils virent à leurs yeux sortir de terre une table parfaitement bien couverte, et un buffe
ses romans, et eux s’enquirent à leur tour de ce qui était arrivé sur terre depuis leur enchantement. Don Quichotte qui savai
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
bien su s’en faire aimer, que lorsqu’elle est partie pour aller à une terre proche d’ici, il n’y a pas longtemps, Contamine a
ait été reculé par un fermier de Madame de Contamine, et jeté sur les terres du cousin de cette demoiselle. Son prétexte était
ulait chagriner ce gentilhomme, et augmenter d’autant le revenu de sa terre . Cela faisait beaucoup de tort au parent de Madem
faisait beaucoup de tort au parent de Mademoiselle de Vougy, dont la terre était d’autant diminuée, et qui, à toutes choses
sable devant le monde, par une démarche qui serait blâmée de toute la terre . Je ne suis point de fortune à vous épouser ; mai
je ne l’espérais pas si décisive. À l’égard de vous épouser, toute la terre me blâmerait, si j’épousais une fille telle… Je s
je ne l’espérais. Que même vous l’aviez obligée de céder une pièce de terre plus à la bienséance de mon parent ; ainsi c’est
ns la nommer, que votre commère eut envie de la voir. Elle mit pied à terre dans cette maison, qui était dans son chemin ; el
urément l’action d’une sainte, et qui mérite l’admiration de toute la terre . Après cela elle lui fit le récit de tout ce qui
que les mariages étaient arrêtés au ciel avant qu’on se connût sur la terre  ; et qu’outre cela, les mouvements de notre cœur
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
urent renversés sur la croupe de leurs chevaux, et de là glissèrent à terre . La croyance qu’eurent les bandits de les avoir t
je m’en vais les pendre tout à l’heure. En disant cela il mit pied à terre , alla à eux, et s’approchant d’un dont l’épée éta
que j’ai soif. —  Et moi faim et soif, reprit Sancho ; mettons pied à terre , mon cher maître. —  Non, non, dit Don Quichotte,
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
fuir, et l’aurait peut-être fait, sans la ficelle qu’on avait mise à terre , et que des laquais cachés derrière des arbres ti
si grand coup au travers les reins, qu’il le rejeta encore une fois à terre , en frappant sur les fesses que Sancho découvrit
 ; mais à son grand étonnement il le vit tout d’un coup abîmé dans la terre et disparaître à ses yeux, ne laissant après lui
14 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
ils en étaient là, le carrosse arriva au logis, où ils mirent pied à terre . Des Ronais le conduisit dans une chambre, et ord
t l’avez-vous approfondi ce mystère que je croyais ignoré de toute la terre  ? Vous le saurez, reprit Dupuis, lorsque je vous
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
cinée. Après cela Sancho voulut ramasser l’autre bourse qui était à terre  ; mais un démon qui n’avait encore rien dit, fut
s des douze figures qui paraissaient telles. Il y fut assis à plat de terre , et là chacune l’une après l’autre, en tournant a
16 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
uit des roues m’empêcha de distinguer. Sitôt que nous roulâmes sur la terre avec moins de bruit, je le priai de me dire ce qu
ennemis, des gens de qui vous dépendez. Pour moi, parce que toute la terre étant convaincue que je ne dois pas prétendre à v
erai le plus heureux de tous les hommes, en possédant ce que toute la terre a de plus aimable. Levez-vous, me dit-elle, les y
qu’il avait fait le matin, avait abaissé la poussière, et rendait la terre ferme. Le soleil était couvert ; et un petit vent
us. Il était à ma discrétion : je le retins l’épée dans les reins sur terre , sans qu’il osât ni crier ni remuer. Il est const
n gendre et d’un bon fils ; mais qu’au contraire je remuerais ciel et terre pour me venger, si elle entreprenait rien contre
part ; mais bien loin de revenir à Paris, j’ai été en Normandie à une terre de Monsieur de Querville, mon beau-frère, dont je
17 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
e minuit. Le temps était extrêmement sombre ; on ne voyait ni ciel ni terre . Un flambeau qu’un laquais me portait s’était éte
x plus m’en souvenir que pour en rire ; et je mériterais que toute la terre se moquât de moi, si je traitais mon aventure com
s elle reçut une somme très considérable, pour le reste du prix d’une terre qui avait appartenu à défunt Monsieur le marquis
coche de Valvins pour ne me point fatiguer, et j’allai mettre pied à terre chez ma mère qui ne m’attendait que deux ou trois
que le feu s’était mis dans la maison seigneuriale d’une assez belle terre que j’ai en Poitou, qui est presque tout ce qui m
. Je n’étais point en état de reposer ; je retournai sur mes pas à ma terre . Là je disposai toutes choses pour me venger d’un
mariage fût une fois déclaré. Que j’avais disposé toutes choses à ma terre pour la recevoir : que mon intention était de m’é
nconnue dans une prison éternelle. J’y montai, je la trouvai encore à terre tout de son long ; elle était revenue de son évan
qui promit par écrit, de lui donner jusqu’à la valeur du revenu de ma terre . Je lui donnai des lettres de change pour des som
urnées que ma faiblesse me permit de faire. Enfin nous arrivâmes à ma terre , où la première nouvelle que m’apprit mon fermier
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
sens ; plaignez-vous une fois en public, faites connaître à toute la terre ses extravagances, et vous en serez délivrée : Ma
us en serez délivrée : Madame votre mère vous l’a conseillé, toute la terre vous le conseillera, et toute la terre vous prête
e vous l’a conseillé, toute la terre vous le conseillera, et toute la terre vous prêtera la main pour cela ; pouvez-vous prév
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
a elle-même à Justin la permission d’aller passer quelque temps à une terre de son père, à plus de vingt lieues de là. Elle l
de plus loin, et ce carrosse fut renvoyé sitôt qu’elle eut mis pied à terre . Ils descendirent, et allèrent au-devant d’elle,
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
eureux qui avait le corps roué des saccades de sa monture, mit pied à terre du mieux qu’il put, transporta son bagage sur son
qui était à moitié dessus lorsqu’on l’avait enlevé avait été poussé à terre , où il avait fait une rude chute dont il fut rele
21 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
e aussi bien que lui. Il se fâcha contre moi lorsqu’il eut mis pied à terre . L’écuyer ne fit pas semblant de nous entendre et
hes qui nous servaient de siège et de table. Une douzaine de plats de terre faisaient nos assiettes et notre vaisselle, et ét
ers les Rois. J’allai passer le carnaval et le carême en Bretagne aux terres de Monsieur de Rohan avec un de ses officiers de
geai pour me nettoyer ; et coupant entre les bateaux, je vins prendre terre au-dessous des degrés. Je les montai nu, et à la
et nos laquais marquaient ce que nous étions. Je trouvai le soldat à terre entouré de plus de mille personnes, entre autres
ue je le voulais. Je l’apportai chez Mademoiselle Récard, et le mis à terre . Il eut bientôt fait connaissance avec Orange ; c
ment aussi ; joignons-nous pour toujours, faisons paraître à toute la terre notre union, donnez-moi la main publiquement. Vot
plus souvent qu’il pourrait. Que vous étant parti pour aller à votre terre , dont la maison seigneuriale était brûlée, il ava
chrétienne ; et avant que de prendre l’habit, il alla à pied à votre terre , sans que qui que ce soit le sût. Il ne put vous
heure avant que cette fille dût sortir de ma chambre. Elle mit pied à terre à cent pas du logis, afin que le bruit de son car
22 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
ant trouvée naturelle, il prit leurs certificats, et la fit porter en terre . Vous voyez bien par là qu’il prétendait être mie
en paradis. Je n’y ai point été pourtant, puisque je suis encore sur terre  ; mais du moins je n’ai point été en enfer, puisq
is : mais je les lui déclarerai encore devant vous et devant toute la terre s’il est besoin ; et dès aujourd’hui même, si vou
il Je ne verrai plus le soleil. Bientôt débarrassé des troubles de la terre , Et bientôt au nombre des morts, Je ne me verrai
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
ous les jours ; vous devez l’en remercier, plutôt que de la porter en terre avec tant de chagrin. Vous mériteriez pour votre
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIII. De l’accident qui arriva au chevalier Sancho, en tirant une arme à feu. Remède pire que le mal. »
table que l’état où il était. Son maître prit le mousquet qui était à terre à côté de l’infortuné Sancho. Que maudit sois-tu
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
ut d’un coup, et il tomba sur le nez. Le Français mit aussitôt pied à terre dans le dessein d’égorger son ennemi ; mais l’Esp
26 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
mes sens me revinrent. Je me jetai dessus, j’en répandis une partie à terre , et je jetai le reste dans la cour. Un gros chien
soyons arrêtés dans notre fuite, je vous justifierai devant toute la terre . À quand, lui dis-je, en fixez-vous le jour ? À d
27 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
’aujourd’hui, reprit Don Quichotte, que cette sorte d’arme a paru sur terre  ; et il me souvient d’avoir entendu dire, qu’un m
28 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
s avions eu d’aller en Angleterre, en celui d’aller à Avignon sur les terres du pape, où j’espérais faire des connaissances, p
me le tiens dit pour toujours. J’ai emmené ma femme en province à une terre que j’ai, dont nous ne sommes revenus qu’avant-hi
29 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
où je suis, et si on vous le demande, dites que je suis à une de mes terres en province. Adieu, je suis tout à vous. Deshayes
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