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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
on, et enfin je le conduisis jusqu’à la porte de la rue, mais le cœur tellement ulcéré, que je fis une bonne résolution de me ven
vous l’ai dit, il fallut donc qu’il fît la démarche ; mais il la fit tellement bouffi, que je ne pus m’empêcher d’en rire ; car
honnêtement ; c’était tout ce que je pouvais prétendre. Je la quittai tellement changé et pensif que je ne me connaissais pas moi
Vous ne savez ni qui je suis, ni qui je puis être. Peut-être suis-je tellement au-dessus de vous, que je vous tromperais si je s
je souffrais vos assiduités plus longtemps : peut-être suis-je aussi tellement au-dessous de vous et de ce que vous devez préten
it en votre faveur, il me serait trop désavantageux. Si vous êtes née tellement au-dessus de moi que je ne puisse m’élever jusqu’
ne fus pas longtemps à en être désabusé. Je la trouvai toute pâle, et tellement changée que j’en fus surpris ; elle était dans un
x archers qui avaient arrêté Garreau, avait eu la cruauté de le faire tellement maltraiter par ces gens aussi peu pitoyables que
je vous en réponds qu’il la connaît, reprit ma mère, et il la connaît tellement , que si on n’avait pas pris soin de l’instruire d
u’une simple demoiselle ; et que l’infidélité de sa maîtresse l’avait tellement dégoûté des femmes, qu’il avait renoncé au mariag
ire porter à Grenoble. Le jour même que j’arrivai, ma fièvre redoubla tellement , qu’il fallut me résoudre d’y rester. J’étais con
sur le champ ! Je vous avoue que ses adieux, dans votre bouche, m’ont tellement pénétré et tellement attendri, que je lui aurais
s avoue que ses adieux, dans votre bouche, m’ont tellement pénétré et tellement attendri, que je lui aurais pardonné de très gran
t point qu’elle fût engagée dans le mariage, ou ce qu’elle en dit est tellement enveloppé, qu’il n’en laisse qu’un léger soupçon.
ption de sa maîtresse. Il se défendit en raillant aussi ; mais il fut tellement poussé par cette dame, qu’il pria Contamine et Ma
2 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
is le 12 du courant parce que j’ai presque toujours resté à terre, ou tellement occupé à bord que je n’ai pas eu un moment à moi 
cher de terre qu’à une grande portée de fusil, parce que la mer brise tellement que ce serait vouloir absolument se perdre que d’
opéens ont leur plus fort commerce. Il y a des banians, ou marchands, tellement riches qu’ils ne renferment ni leur or, ni leur a
Juifs : ils brûlent les morts comme les idolâtres. Leur religion est tellement confuse qu’ils ne peuvent ni la débrouiller, ni l
e se retirer ; & en même temps s’est retiré lui-même. Nous étions tellement acharnés que nous ne nous sommes aperçus de ce si
armées pour le prendre. Qui que ce soit n’a paru ; mais la mer brise tellement , & le fond est si bas, que les chaloupes n’on
ue toujours des pluies & des brouillards ; & notre navire est tellement ébranlé par les coups qu’il a reçus & qu’il a
fait de la brume, on trouve très souvent à la mer des oiseaux égarés, tellement fatigués qu’ils ne peuvent se soutenir & se l
hors d’état de pouvoir attraper ni Mergui ni Négrades. Le vent nous a tellement ballottés toute la nuit que nous avons été obligé
r seize degrés de latitude Nord : à l’égard de sa longitude, elle est tellement incertaine qu’il y a des cartes, qui la mettent à
r une fois en six mois, mais pas plus. Il y a quantité de paons, mais tellement sauvages qu’il est presque impossible d’en approc
molait un âne à Silène : l’endroit est tout bouffon ; & j’y étais tellement attaché que je ne prenais pas garde où je mettais
de l’instinct que la nature a attaché à leur espèce ; en un mot, il a tellement relevé les animaux au-dessus de l’homme par rappo
les animaux au-dessus de l’homme par rapport à la vie présente, &  tellement humilié & avili l’homme & sa prétendue ra
ublics que je lui fis, & que j’ai rapportés aussi page 435, l’ont tellement frappé, joints à la restitution dont j’ai parlé p
zarin, a laissé prendre à la Hollande cette supériorité dont elle est tellement jalouse qu’elle ne peut souffrir que personne la
ce d Arouard, très pendable en très bonne justice, la procédure était tellement vicieuse & insoutenable, que la forme aurait
e doit à présent à Surate environ six millions de livres, & y est tellement perdue de crédit que qui que ce soit ne lui veut
. Ce navire est le plus mauvais voilier de l’escadre. Il était encore tellement derrière nous hier au soir qu’à peine pouvions-no
& qu’elle était actuellement publiquement entretenue par un homme tellement élevé qu’il doutait qu’il osât lui-même la redema
e la veille. Il me tomba une petite brunette toute jeune, dont je tus tellement content que, pendant que nous sommes restés à Pon
’y ayant rien de plus facile à corrompre que les Asiatiques, qui sont tellement avares & avides de présents qu’ils les demand
main. Que cependant ce commerce, tout considérable qu’il était, était tellement caché, ou paraissait si peu de chose par l’adress
le est établie. Ils la font passer pour une nation sanguinaire, &  tellement attachée à ses intérêts, & si portée à la vio
& à la sévérité des anciens canons : mais la nature est à présent tellement corrompue que ce serait vouloir absolument perdre
on ne voudra pas prendre garde à ces minuties, qui pourtant révoltent tellement d’abord une âme chrétienne qu’elle trouve ces imp
étaient enfermés & qui refusaient de se rendre : ce qui épouvanta tellement les autres qu’ils furent les premiers à proposer
nt ruinae. Du mardi 8 mai 1691 Le vent est toujours bon ; mais tellement faible que nous n’avons presque point avancé. Nou
dre un équipage que de contribuer à sa santé. J’étais encore ce matin tellement prévenu de cette pensée que j’ai voulu faire jete
Ce petit commerce dura dans le domestique jusqu’à ce que la poire fût tellement enflée que le cotillon en devint bossu ; &, a
cabane que j’ai trouvés à cette île sont de celle de deux Portugais, tellement infectés que leurs compatriotes revenant du Brési
c’est qu’il n’y croît ni pain ni vin. Le raisin y est excellent, mais tellement vert qu’il donne la dysenterie ; ce qui a obligé
ons rouges à l’ordinaire. Du dimanche 22 juillet 1691 Le vent a tellement renforcé cette nuit que la quèche qui nous suivai
dit d’une pareille manœuvre. Du lundi 23 juillet 1691 Le vent a tellement renforcé cette nuit que le cablot du Gaillard, qu
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
nécessité : car mon père et ma mère pour marier Madame d’Ornex, l’ont tellement avantagée par son contrat de mariage, qu’elle et
certaine composition, que les peintres nomment pastel ; et me changea tellement les traits et la couleur, que je ne me reconnus p
commodant peu de temps après ; mais le beau-père avait pris l’affaire tellement à cœur, et s’était tellement fatigué à la poursui
; mais le beau-père avait pris l’affaire tellement à cœur, et s’était tellement fatigué à la poursuivre, qu’il en était tombé mal
t le monde en pleine église. Le prêtre qui faisait la cérémonie était tellement étonné, qu’il ne pouvait pas dire un mot. Il nous
une si grande indifférence pour notre conversation, et vous avez été tellement occupés, Madame de Mongey et vous, à parler ensem
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
uelle maladie elle avait eue. Je la tournai de tant de côtés et jurai tellement de lui garder le secret, qu’enfin : c’était bien
hangeait pas de manière ; et je voyais Monsieur mon frère sur un pied tellement au-dessus de moi, que je me faisais honte à moi-m
je la lui arrachai des mains. Elle me sauta aux yeux, et m’égratigna tellement , que dans un moment j’eus le visage tout en sang.
t nous rompre en visière en entrant dans la chambre. Elle nous trouva tellement émus l’un et l’autre, qu’elle en soupçonna la cau
re. Poitiers me servit d’interlocuteur. Je l’avoue à ma honte, je fus tellement interdit de sa beauté, lorsque je la vis de près,
idi. Je l’aperçus à sa fenêtre avec un livre à sa main ; mais j’étais tellement éloigné que ne croyant pas en être vu je ne la sa
e. Ces trois derniers enfants sont morts au berceau, et le secret fut tellement gardé qu’âme qui vive ne s’en est seulement douté
que j’avais de vous mettre l’esprit en repos, le parent de mon ami a tellement combattu mon dessein, qu’il en a retardé l’effet.
ous avoue pourtant avec la même sincérité, que les apparences étaient tellement contre vous, l’amour que j’avais pour sa soeur ét
oujours regardée comme une chimère et une idée. Madame de Londé était tellement réservée pour moi, que je ne pus jamais lui parle
upé seule, Londé n’étant point au logis. Tous les domestiques étaient tellement éloignés de là, à souper à leur tour, qu’ils n’en
s en tirant mon épée du fourreau : elle était plus morte que vive, et tellement transie de frayeur, qu’elle n’ouvrit pas la bouch
ut appeler du secours. La cuisine où les domestiques mangeaient était tellement éloignée, qu’on ne l’aurait point entendue, et qu
vins au logis au bout de ce temps-là, ou plutôt je m’y fis rapporter, tellement faible et tellement changé, qu’on ne me reconnais
t de ce temps-là, ou plutôt je m’y fis rapporter, tellement faible et tellement changé, qu’on ne me reconnaissait presque pas. Je
5 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
ue nos quatre grandes voiles. Nous avons roulé et nous roulons encore tellement , que je ne puis écrire que par intervalle. Notre
oupe et nous faisons plus de deux lieues par heure, mais nous roulons tellement que je ne puis presque écrire. Le vent s’est rafr
ujourd’hui, et nous a donné de la pluie de temps en temps. Nous avons tellement roulé que notre marmite sur le feu a jeté la vian
cruelle fille Et ce que je vous dis du libertinage de ces filles est tellement certain qu’il faudrait donner un démenti à Monsie
it de roche qui en empêche presque toute l’entrée, et où la mer brise tellement qu’il serait absolument impossible de se sauver s
nous nous ne pûmes plus le rejoindre parce que les courants l’avaient tellement drivé qu’il passa tout proche du Gaillard, et si
’embarras ne manqueraient pas de nous fatiguer. En effet la terre est tellement basse ici que, quoique nous fussions fort éloigné
t depuis le 12e. du courant parce que j’ai toujours resté à terre, ou tellement occupé à bord que je n’ai pas eu un moment à moi,
rre plus près qu’à une grande portée de fusil, parce que la mer brise tellement que ce serait vouloir se perdre absolument que d’
de la Perse. Ils brûlent aussi les corps morts, et leur religion est tellement confuse qu’ils ne peuvent pas la débrouiller eux-
a fait signal de faire cesser le combat et s’est retiré. Nous étions tellement acharnés que nous n’avons point pris garde à ce s
armées pour le prendre : qui que ce soit n’a paru, mais la mer brise tellement ceci étant une terre basse, que les chaloupes n’o
ne me plaît guère, car il y pleut presque toujours, et le navire est tellement ébranlé tant par les coups qu’il a reçus que par
’on trouve fort souvent à la mer des oiseaux de terre égarés qui sont tellement fatigués qu’ils ne peuvent se soutenir, et se lai
u de solidité qu’a notre amiral dans ses résolutions. Nous avions été tellement dispersés cette nuit que nous avons été obligés d
re, tant pis. Du samedi 6. [janvier] Calme encore. L’Oiseau est tellement éloigné de nous que nous ne le voyons qu’à peine,
n a vu terre dès midi, mais on n’en était pas sûr parce qu’elle était tellement confondue dans l’horizon qu’on ne pouvait pas bie
insectes du genre humain. Du dimanche 22e. [juillet] Le vent a tellement renforcé cette nuit que la barque qui nous suivai
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
e voisin, j’y allai souvent, et la douceur de sa conversation me plut tellement , que sans être son amant, je lui rendis beaucoup
de notre figure, il invectiva d’une manière étrange, et qui mortifia tellement votre commère, qu’elle ne put s’empêcher de pleur
’elle par celui de sa mère. Cela nous donnait à tous deux des pensées tellement confuses, que nous n’osions nous regarder. Enfin
ue la parole animée du son de la voix et des gestes du corps. J’étais tellement content d’avoir une maîtresse si parfaite, que po
ant dont il m’avait parlé. Je le prenais d’un ton si haut, et j’étais tellement animé, que je ne sais si je ne lui aurais point d
idée de l’avoir vue, mais je ne puis me souvenir où c’était. Je suis tellement changée depuis ce temps-là, reprit cette dame, qu
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
sein, ne la fit point changer. Je m’y opposai de tout mon pouvoir, et tellement qu’elle me reprocha le peu d’amour que j’avais po
qu’il tomba mort sans branler. Je regardais cette chienne, et j’étais tellement étonné de ce que je voyais, que je restai immobil
Ils avaient tous deux les larmes aux yeux, et la joie les saisissait tellement , qu’ils n’avaient pas la force d’ouvrir la bouche
8 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
le 24 février 1690 jusqu’au 20 août 1691. L’auteur ne se renferme pas tellement dans le simple détail de ce qui regarde son escad
un esprit intelligent, vif, ardent, et pourtant toujours tranquille ; tellement judicieux, que jusqu’ici qui que ce soit ne s’est
été assez bien arrangées pour former leur semblable ? Ce système est tellement éloigné de la raison qu’il en est absurde. J’écou
rmation ; mais cette science de médecine est fondée sur des principes tellement incertains, ou même tellement faux, qu’ils sont p
e médecine est fondée sur des principes tellement incertains, ou même tellement faux, qu’ils sont presque tous contraires les uns
adrerait avec le christianisme, parce qu’elle réveillerait la charité tellement assoupie qu’il semble qu’elle soit morte dans le
ces gens-là n’aiment point à jeûner : tout au contraire, ils se fient tellement sur la Providence qu’ils mangeraient volontiers d
les rendre assez légères pour se soutenir sur cette superficie, étant tellement raréfiées que n’ayant aucun poids, elles ne pouva
que les flots agités confondaient ces vapeurs avec eux : ce qui était tellement vrai que cette illumination ne paraissait qu’à pl
nt un corps fluide et toujours en mouvement, n’en peut envoyer que de tellement subtiles qu’elles sont presque imperceptibles. On
mienne ; et je ne m’en écarterai point qu’on ne me donne des raisons tellement solides que je n’y puisse répondre, et que la mie
u samedi 8 avril 1690 Toujours calme tout plat : le vaisseau roule tellement qu’on ne peut se soutenir ; avec cela il fait une
e augmente avec sa faiblesse. Il n’y a point de hauteur, le temps est tellement couvert, les nues sont si proches de nous, qu’il
il avait avoué que cette fermeté dans ce pieux ecclésiastique l’avait tellement touché, qu’il s’était résolu à la mort la plus cr
tous ces symptômes, je les donne pour vrais), elle devient rousse, et tellement puante qu’il faut se boucher le nez. Elle reste n
laver avec du vin après qu’on s’en est servi ; parce que ce fruit est tellement corrosif qu’il mange le fer et l’acier : mais, qu
re. Il paraît au-dessus comme une espèce de tourelle ; mais, cela est tellement ruiné par les injures du temps qu’il est impossib
ras, ne manqueraient pas de nous fatiguer. En effet, la terre est ici tellement basse que, quoique nous fussions fort éloignés, n
9 (1721) Mémoires
inées dans tout le bas peuple, dont par contrecoup les riches se sont tellement ressentis qu’ils sont presque tous aussi gueux le
e bien à leur profit, l’ont engagé ou vendu, ou du moins l’ont laissé tellement embrouillé que ces enfants n’en peuvent rien tire
e rendre gorge aux maltotiers et autres gens d’affaires qui s’étaient tellement enrichis des désordres de l’Etat que leur train e
s. Voici le fait. Quebek et en général toute la Nouvelle France avait tellement été abandonnée de l’ancienne qu’on ne songeait pr
y a mêlés, les augmentations et diminutions de leur prix, qui étaient tellement fréquentes que les peuples eux-mêmes ne savaient
il ne remporta qu’un refus, et se retira dans son appartement le cœur tellement ulcéré qu’il en avait larmes aux yeux, et lui qui
nt en état de la révéler, il y faisait trop peu d’attention. Il était tellement ennuyé du combat que son plus grand soin était de
y était reçus, et on la payait en billets, sur lesquels le décri est tellement venu qu’on donnait pour cent françs comptant un b
rtune trop favorable le gâta. Il devint fourbe, menteur et fripon, et tellement adonné aux publiques[sic] que les présents qu’ell
on, au contraire, c’était des huées terribles de tous côtés. Il était tellement coupé par ce verre que peu s’en fallut qu’on ne l
l’opra Pitrachard. Ils sont cause que la réputation des Français est tellement perdue dans ce royaume, que nous y sommes regardé
ent été arrêtés que peu auparavant par le traité de Riswik, l’avaient tellement épuisée d’argent et de crédit, qu’il fut obligé d
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
ne souffrit qu’à la prière de Dulcinée. Après quoi elles fatiguèrent tellement son écuyer à danser, qu’elles le firent tomber à
11 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
La corruption du siècle n’avait point été portée jusques à défigurer tellement les noms, qu’on ne sait à présent quel est le frè
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
ore vingt-huit hommes, tous gens de sac et de corde, bien résolus, et tellement fermes dans leur résolution, qu’ils avaient envoy
13 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
. J’ai voulu cent fois vous désabuser, poursuivit-il ; mais vous êtes tellement prévenu que vous n’avez jamais voulu m’écouter, n
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
es ma belle cousine, poursuivit-il, s’adressant à Angélique. Elle fut tellement surprise de ce transport, qu’elle ne dit pas un m
beaux présents, ni à un compliment si honnête et si généreux, en fut tellement pénétrée, qu’elle ne put ouvrir la bouche pour lu
el. Elle en usa fort bien avec Madame de Contamine, et se fit surtout tellement aimer de cette dame, qu’elle ne supportait qu’imp
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
un péché raisonné, un péché d’action et de volonté, et par conséquent tellement atroce qu’il n’y avait que la miséricorde de Dieu
16 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
ne pouvait se lasser d’en parler avec mille exclamations. Elle l’aima tellement dès ce moment-là, qu’il n’y a point de service qu
ujours refusé. Tout l’hiver se passa de même ; mais la grossesse vint tellement à paraître, qu’il n’y eut plus d’apparence de la
touchant le désarma. La dureté de cette marâtre l’adoucit. Il en fut tellement étonné, qu’il ne put pas dire une seule parole. L
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
cœur et sa possession faisait tout son bonheur, et qu’elle lui était tellement chère qu’il ne connaissait point d’homme plus heu
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