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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
ins je l’aurais brusqué, comme je fis depuis ; mais pour le moment je songeai , que mes états de recette et de dépense n’étaient
point de rompre tout commerce avec vous. Il ne faut absolument point songer à ce que vous lui demandez ; elle n’y consentira
vrir encore sa bourse. N’est-il pas étonnant qu’un homme de votre âge songe encore à ces sortes de choses ? Elle en est terri
t j’étais si occupé du régal que je croyais m’aller donner, que je ne songeai pas de dire à celui qui me portait un flambeau, d
; et bien loin de lui dire les duretés que j’avais préméditées, je ne songeai qu’à la consoler. Quelle bassesse ; quelle faible
e de Cranves qui arriva quatre jours après, me fut trop sensible pour songer à autre chose qu’à pleurer la perte que je faisai
orité qu’il a toujours conservée sur lui, me sont garants que Valeran songerait à plus de quatre fois à me faire insulte, s’il ét
s Pyrénées, et on croit qu’il ne reviendra qu’à la fin de l’été. J’ai songé à m’en plaindre à Monsieur et à Madame d’Annemass
dont je lui ai parlé de vous, continuai-je, l’a persuadée que je n’y songe plus : que dira-t-elle si mes sentiments lui sont
ait promis, et pour reconnaissance je lui envoyai quelques livres. Je songeai donc à quitter mon épouse. Dès le lendemain nous
rents, et je vous assure qu’innocente, malheureuse ou coupable, je ne songerai jamais à elle pour l’épouser. Il faut, dit-il en
e je jouais était fort naïf, et vous aviez raison de dire que vous ne songeriez jamais à Silvie pour l’épouser : car à ce que je
s une lettre d’elle qui me fait encore frémir toutes les fois que j’y songe , et qui me donna un redoublement d’horreur pour e
erniers malheurs méritent aussi votre compassion. Adieu, Monsieur, ne songez plus du tout à moi, vous en vivrez plus content :
e temps, on profita d’un de leurs relâches pour me dire que je devais songer à la mort, et qu’il n’y avait pour moi aucune esp
expier tout ce que je mérite. Je prends de vous un éternel congé, ne songez plus à moi, je ne veux, ni ne dois jamais songer
un éternel congé, ne songez plus à moi, je ne veux, ni ne dois jamais songer à vous ; et si j’y songe à présent que je vous éc
z plus à moi, je ne veux, ni ne dois jamais songer à vous ; et si j’y songe à présent que je vous écris, c’est moins à votre
ettre que vous recevez de moi, vous n’en recevrez jamais d’autre ; ne songez plus à moi, vous n’en entendrez jamais parler. Hé
e m’y retient plus. J’y ai trahi ce qui m’y devait attacher, et je ne songe plus à vous qu’avec regret et avec horreur. Je ne
as commun. Vivez heureux dans le monde, si vous y pouvez vivre : mais songez qu’il faut que Dieu soit irrité contre vous, puis
’est ce que je vous souhaite. Adieu ; vous m’avez jetée dans l’abîme, songez que j’en fais pénitence, et qu’il est de votre in
ns pourrait y avoir laissées, parlons de souper, il est temps ; et ne songeons qu’à nous divertir. Allons Mesdames, reprit Conta
uand elle l’aurait été, ce n’est pas une raison pour vous empêcher de songer à une autre épouse, surtout d’une vertu éprouvée 
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
que par une aventure qui me fit connaître qu’elle m’aimait assez pour songer sérieusement à m’épouser. Il y avait un jour un e
Suivant toutes les apparences, Dupuis ne devait pas être fâché que je songeasse à sa fille. Ma famille égalait la sienne, mon bie
à l’un ou à l’autre. Il nous dit seulement que nous ne devions point songer à nous marier ; que c’était de la peine et du tem
z de prise aux caquets, je veux vous en sauver. Si vous voulez que je songe à vous, ne m’en faites point souvenir vous-même.
il me répondit, que ma longue absence lui avait fait croire que je ne songeais plus à sa fille, et que les choses avaient changé
consent pas l’engagement que j’ai pris pour elle, il n’y faudra plus songer . Achevez, lui dis-je, en me rejetant à ses pieds,
e, je ne pus me taire. Il y a longtemps, Monsieur, lui dis-je, que je songe à Mademoiselle votre fille, vous savez que je ne
aiblesse. La nature défaillit en un instant. Il avait assez vécu pour songer à la mort. Il s’y prépara en bon chrétien, et com
re la conscience en repos du côté du monde, en l’obligeant à n’y plus songer . Qu’il nous marierait très volontiers, si Monsieu
j’approuve fort votre procédé. Elle ne mérite pas qu’un honnête homme songe à elle ; mais n’étant pas prévenu comme vous je j
tenu qu’à moi de me marier, et fort avantageusement ; mais je ne puis songer qu’à lui, et je mourrai fille, ou je l’épouserai.
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
avais bu me fit dormir aussi tranquillement que dans un bon lit, sans songer pas plus à ma compagnie, que si je ne l’avais jam
ne dura que jusqu’à la conclusion entre elle et moi, après cela je ne songeai plus au sacrement. Je la connaissais de longue ma
pour peu que vous l’ayez consulté. Il est vrai, dit-elle, que j’y ai songé , et que c’est le plus court chemin ; mais avouez
qu’on pouvait me faire du sujet qui me les avait attirées. Je n’avais songé qu’à Célénie, à qui je n’aurais plus osé me montr
us de six semaines à en porter des marques. Je fus guéri enfin et n’y songeai plus. Célénie m’avait dit qu’elle était grosse, e
s, lui disais-je ; mais en effet, afin que je pusse avoir le temps de songer à quelque expédient qui me tirât d’intrigue. Dans
apercevoir que ma mère avait toujours resté auprès de mon frère, sans songer à moi, qu’après l’avoir vu en sûreté. Je lui dema
crupule, et même avec joie, et je partis pour aller en Bretagne, sans songer pas plus à Célénie que si je ne l’avais jamais vu
nous serions mariés ensemble. Cette proposition me fit trembler ; je songeais encore moins à l’épouser que Célénie : et en effe
ifia pour le regagner. Il s’en expliqua avec moi, et me demanda si je songeais sincèrement à épouser cette fille. Je lui dis que
l’affligée, une honnête femme peut-elle parler comme vous faites, et songer à faire une infidélité à son mari, et l’imiter da
l : (je ne parle point des abandonnées, celles-là sont indignes qu’on songe à elles, j’entends seulement celles qui ne se don
uade de la sincérité de votre tendresse : mais pour le sacrement, n’y songeons point je vous supplie. L’enfant que je mettrai au
esserais de vous aimer, parce que je commencerais à vous craindre. Ne songez donc point au sacrement, mon cher amant, continua
re maîtresse, lui dit en riant Madame de Contamine, sans elle vous ne songiez point à nous. Des Ronais fut encore pillé pendant
ait un bonheur plus solide, et je me sens trop engagé au siècle, pour songer à le quitter. Je suis fort aise pour l’amour de v
r m’enchanta. Je rappelai inutilement mes idées ; je n’avais garde de songer à Madame de Londé. Je remarquai qu’elle me regard
e me suis exposée à une étrange aventure. Je vous défends pourtant de songer à me voir jamais. Votre défense est inutile, Mada
ôt dans ma chambre et vint me trouver à mon lit ; je n’avais garde de songer à elle. Je savais bien que je vous prendrais sur
, ayez soin de votre vie. Je vous jure de vous en tenir compte ; mais songez à mettre ma réputation à couvert, je vous en supp
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
and il s’y abandonne jusqu’au point de donner tout à sa satisfaction. Songez à ce que je vous dis, ajouta-t-elle. J’aime mieux
n prendre ; car de l’épouser, il n’y voyait point d’apparence, et n’y songeait pas même encore ; de la quitter, c’était à quoi i
plaît que je fasse, je suis prêt à tout. Je veux, dit-elle, que vous songiez à épouser Mademoiselle de Vougy. Elle songe à vou
eux, dit-elle, que vous songiez à épouser Mademoiselle de Vougy. Elle songe à vous, le parti vous convient ; et je ne vous co
ge à vous, le parti vous convient ; et je ne vous conviens pas. Je ne songe point à elle, reprit-il, et plût à Dieu que vous
res. Cependant, dit-il, vous resterez dans un état qui me défendra de songer à vous ; sortez-en, je vous supplie, j’ai de quoi
vous et de moi, un temps que je voudrais que vous n’employassiez qu’à songer à ma tendresse. Logez ailleurs, n’ayez pour maîtr
rmina à se vaincre. C’en est fait, dit-il tout haut, je n’y veux plus songer . Cette dame crut que la fièvre avait attaqué tout
lui ferait un compliment si peu recevable. Il lui promit de n’y plus songer , ou du moins de ne lui en parler jamais, et de s’
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
puisque je n’en ai eu aucun ; mais je voulais vous prier de ne point songer à en lier, et vous dire que vous m’êtes trop indi
geant à elle à tous les moments de la journée, je voulais l’obliger à songer à moi, du moins lorsqu’elle voudrait voir l’heure
ir vos réponses ? Ce n’est pas là le plus difficile, dit-elle, j’y ai songé  ; lorsque vous aurez quelque lettre à me donner,
maîtresse, afin qu’elle ne s’étonnât pas de me voir si longtemps sans songer à ce que je lui avais promis. Elle m’écrivit la v
voyez présentement si vous voulez nous prêter la main. Avez-vous bien songé , reprit cette femme, à ce que vous entreprenez ?
du rendez-vous où je l’avais engagée pour le lendemain ; elle y avait songé pour nous deux. En effet, lorsque je fus prêt d’e
re, qu’il n’y eut plus d’apparence de la cacher davantage : il fallut songer à se découvrir à sa mère. Elle avait cru pouvoir
. Mais comment vous y prendrez-vous, repris-je ? C’est à quoi il faut songer , dit-elle ; mais avant que de lui en parler, j’ai
La coquine ! Enfin elle en dit tant que je ne m’en souviens plus. Je songeai que si je l’interrompais, elle ne finirait pas si
, je ne vous retiens plus puisque vous êtes si peu raisonnable ; mais songez pourtant à ce que vous allez faire, et prenez gar
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
ir qu’il vous a abandonné à tous les accidents qui vous sont arrivés. Songez -y sérieusement et vous acquittez de votre promess
fin pour s’imaginer une chose à quoi il ne croyait pas que son maître songeât , c’est pourquoi il lui répondit selon son sens :
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
atyres de servir et de rester ; et sans que Sancho occupé à déjeuner, songeât davantage à lui, il se perdit entre les arbres, o
e toutes ses armes étaient à l’épreuve des enchantements. Je n’ai pas songé à vous expliquer cet article, Seigneur chevalier
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
’aimait. Les deux premières années de leur mariage passèrent comme un songe tant elles leur durèrent peu, et deux enfants aus
endroit le plus sensible à une femme, vous en êtes encore maltraitée. Songez à vous et tirez-vous de la tyrannie d’un homme in
u’une chambre bien fermée me vengera de vous comme d’une bête féroce. Songez -y, Julia, poursuivit-il en parlant au cavalier, p
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
oursuit. Je suis une des filles d’honneur de l’infortunée Balerme qui songe à pleurer Durandus son amant dont elle porte le c
té ne me fait rien ; mais c’est, Monsieur, que mal d’autrui n’est que songe , et chou d’autrui n’est que fumier. Je ne vous ai
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
agaramus n’en a point parlé, commençons par exécuter ses ordres et ne songeons qu’à nous divertir. Cid Ruy Gomez s’interrompt ic
orsque tu y songeras le moins ; tu reverras ta femme en peu de temps, songe à t’acquitter des promesses que tu m’as faites si
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
Ses héritiers, gens plus attachés au commerce qu’à toute autre chose, songèrent à recueillir sa succession, et traitèrent les pap
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
Il s’endormit sur cette pensée, et notre héros passa toute la nuit à songer à son bonheur. Le lecteur est déjà dans l’impatie
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
inquiétés. Ainsi le comte eut l’esprit en repos de tous côtés, et ne songea plus qu’à rétablir ses forces. Les informations f
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
is ceux qui l’écoutaient étaient trop abîmés dans leur tristesse pour songer à plaisanter. Un des parents de la défunte entre
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
il irait les accompagner jusqu’à Madrid. Il n’est pas encore temps de songer à leur départ, Seigneur chevalier, lui dit le duc
16 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
la majorité de Clémence. Je lui promis une fidélité éternelle. Je ne songeais plus du tout à l’enlever, tous les moyens en étai
le terrassa. Comme c’était un homme d’une maison puissante, il fallut songer à m’éloigner. On prit les dépositions des témoins
suivie ; j’y pris trop peu de part pour vous en faire le récit. Je ne songeais et je ne regardais que Clémence, qui lorsqu’on lu
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
la croyance où ils étaient d’avoir tué le duc et la duchesse, ils ne songeaient plus qu’à se sauver, et pour cela dételaient les
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
ent le temps à notre héros de les joindre ; il était trop colère pour songer à autre chose qu’à la vengeance ; il déchargea un
19 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
in qu’on m’en ait l’obligation, si le présent le mérite, ou que je ne songe plus à la suite, si le public n’est pas content.
20 (1721) Mémoires
tant vrai que ni les uns ni les autres n’ont jamais eu en vue ni même songé à lui manquer de respect, ni à l’obéissance qu’il
ullement le Roi, à qui ni Paris ni le reste de la France n’ont jamais songé à manquer de respect, mais seulement à ce cardina
ièce. Mais ces deux princes ayant refusé une pareille alliance, il ne songea qu’à s’en venger, et réussit par la mort du comte
Nouvelle France avait tellement été abandonnée de l’ancienne qu’on ne songeait presque plus à elle. Les Jésuites y allaient plus
arde de penser que ce fût au sujet de M. Fouquet : qui que ce soit ne songeait plus à lui, et ce fut avec étonnement qu’on appri
ensibles partageassent ainsi la vengeance des pauvres, les maltôtiers songeraient plus qu’ils ne font à leur ôter leur nécessaire.
âcher d’avoir raison de lui, il était sourd, ou il répondait qu’il ne songeait plus du tout au monde, et qu’on ne lui ferait pas
tunes subites et éclatantes d’une infinité de coquins, indignes qu’on songe à eux que pour les rendre odieux à la postérité.
une femme que la misère avait réduite à être blanchisseuse, et qui ne songeait plus à lui du tout lorsqu’il l’envoya quérir dix-
t prise avec une sauvage qui fut trouvée couchée avec lui. Je ne puis songer à cet endroit sans sentir renouveler dans mon cœu
21 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
tre : elle est toute chrétienne, et d’une véritable religieuse qui ne songe qu’à son salut, et à celui de son prochain : je v
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
ien étonné qu’on lui demandât la restitution d’un argent à quoi il ne songeait plus. Les griffes effroyables dont le lutin était
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
ent et si rempli de lui-même, que la duchesse de Médoc vit bien qu’il songeait à Altisidore. J’ajouterai, poursuivit-il, que la
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
nte héritière, et son père qui l’aimait autant qu’elle était aimable, songea sérieusement à l’établir sitôt qu’elle eut attein
25 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
rivant ici, parce qu’il pouvait être prévenu contre moi ; et comme je songeais à l’abord que je lui ferais, je tombai par hasard
vertissement que Dieu donne aux voyageurs pour les faire sérieusement songer à eux et leur faire connaître que sur mer ils son
st celui qui a le mieux fait son rôle. Après le baptême fini, il faut songer à se cacher, car sans distinction on mouille tout
debout et nous qui leur boucherions le passage les empêcheraient d’y songer  ; qu’ainsi c’était un coup sûr et qu’assurément p
ce soit au monde ne pourrait se voir dans une pareille occasion sans songer qu’il est mortel, et que tout ce que la plus bell
27. [septembre] J’avais clos l’article d’hier, mais je n’avais pas songé que l’heure de la pluie n’était pas passée, il a
es diables étaient en l’air qui attendaient l’âme de ce prélat, et ne songeaient point à celles des autres agonisants. Si cela est
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
de ses avances, et se mit le lendemain sur son propre, sans non plus songer aux aventures, que s’il n’avait point été chevali
27 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
s suivant l’Évangile. Pendant notre retour de Brest au Port-Louis, je songeai à ce que j’avais à taire pour me justifier auprès
ir à bord du Général ; et que pendant le chemin il aurait le temps de songer à sa conscience, et d’arranger ce qu’il pourrait
y a que les pilotes ou d’autres toujours en mouvement, hors d’état de songer à ce qu’on dit ou à ce qu’on fait ailleurs. Ainsi
ous n’étions pas dans la situation de les prodiguer. Que nous devions songer que le terme était long ; que nos vivres pouvaien
uoiqu’il semble que j’aie voulu ici théologiser, je n’ai certainement songé à rien moins qu’à faire le théologien ni le docte
ent à nos cœurs et à notre conscience ; mais, si nous les négligeons, songeons d’en prévoir les suites : quod si neglixerimus ad
rent plus rien. J’ignore si M. Corneille, lorsqu’il a fait ces vers, songeait lui-même à définir la grâce ; mais je sais que c’
ns sa chambre, ou à dormir, ou bâtir des châteaux en Espagne, et nous songions aussi peu à lui qu’à Jean de Wert. Ce soldat nous
it, comme j’ai dit, toutes voiles dehors. Le commandeur crut qu’il ne songeait point à se brûler, puisqu’il tâchait d’échapper :
28 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
t ce qu’elle m’aura dit. Jusqu’à ce temps-là ne vous chagrinez point, songez que j’ai besoin de vous, et que votre tranquillit
29 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
ce soit au monde ne pourrait se voir dans une pareille occasion sans songer qu’il est mortel ; & que tout ce que la plus
eptembre 1690 J’avais clos l’article d’hier ; mais, je n’avais pas songé que l’heure de la pluie netait pas passée. D’où p
ce secret : je sais seulement qu’il fut découvert lorsqu’eux mêmes y songeaient le moins. Un de leurs nouveaux convertis, qui les
en soit, ils restent à Pondichéry : peut-être y vont-ils rêver &  songer aux moyens de se faire mutuellement de la peine e
s de l’enfer étaient en l’air à attendre l’âme de ce prélat, & ne songeaient point aux autres mourants. Si cela était ainsi, i
ssée, qui, sans rire comme moi, l’a envoyé prier Dieu lui seul, &  songer à sa conscience ; que pour nous, qui l’avions net
d vous êtes arrivé ; & ce second voyage-ci me déplaît par avance. Songez à ce que je vous dis & prenez vos précautions
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