elait de Bernay, et était fils d’un homme puissamment riche, voilà sa
sœur
, poursuivit-il, en montrant sa femme. Nous revînm
de sa morale, et m’en serais moqué longtemps, si je n’avais pas vu sa
sœur
. J’avais dans ce temps-là vingt-six à vingt-sept
dit un jour qu’il avait fait partie pour aller avec Madame d’Ornex sa
sœur
, voir deux cadettes qu’ils avaient pensionnaires
Ornex, mais je n’avais point encore entendu parler de ses deux autres
sœurs
, et voulant connaître toute la famille de mon ami
que son père la destinait à être religieuse, aussi bien que son autre
sœur
. Ses yeux trop peu recueillis pour un couvent, et
e. Quoi, dis-je à Bernay, vous m’avez parlé en venant ici de vos deux
sœurs
, comme de deux filles qui n’étaient propres que d
de votre famille que vous offrirez à Dieu, et non pas les vôtres. Ma
sœur
est trop raisonnable, reprit Madame d’Ornex fort
ne ferais pas plaisir à son père de donner de pareilles leçons à ses
sœurs
. Je n’irai jamais à leur convent, répondis-je, (q
tes ; je m’y suis attendu dès que nous sommes sortis du couvent de ma
sœur
. Si je puis vous y rendre quelque service, je le
son caprice, sans s’embarrasser de l’inclination de ses enfants ? Ma
sœur
, Madame d’Ornex, est mariée malgré elle, non pas
ous croyez que la considération du bien m’empêche de rechercher votre
sœur
. Je suis, grâce à Dieu, assez riche pour elle et
gt fois plus. Vous avez encore à combattre, reprit-il, l’esprit de ma
sœur
, qui est la fille du monde la plus fière, et la p
se rendit, mais elle qui a une tête de diable, bien loin d’imiter sa
sœur
et d’obéir à mon père, le traita comme un tyran d
ui destinait, qui était en effet un très dégoûtant monsieur ; mais ma
sœur
est une sotte : outre que c’eût été un manteau, i
uérir une lettre qu’elle allait écrire à son frère. Je vis sortir une
soeur
d’un coin qui avait entendu tout ce que j’avais d
e cette lettre était pour moi, et qu’elle l’avait écrite devant cette
sœur
écoute, à qui elle l’avait montrée, et c’était en
aisser Clémence malgré elle. J’y retournai trois jours après, mais la
sœur
n’avait pas été secrète ; car lorsque j’allai la
otion et des distractions plus fréquentes que jamais. Il écrivit à sa
sœur
une lettre de créance en particulier pour le port
s ai vu, mes réflexions se sont évanouies. Le mariage infortuné de ma
sœur
ne me fait plus trembler. Mon couvent me paraît u
Mais dites-moi sincèrement à quelles démarches voulez-vous engager ma
sœur
? Je vois bien qu’elle ne sera jamais religieuse
mme frères. Il était attaché à Paris par une amourette, et moi par sa
sœur
. Nous aurions bien voulu y rester quelque temps ;
ût pas me reconnaître. Je demandai à Bernay s’il n’irait plus voir sa
sœur
, il me dit que non, mais qu’il devait lui envoyer
utes les manières d’un idiot. Elle me parut abattue et changée, et sa
sœur
que je vis aussi, me parut bien plus propre à fai
être décloîtrée. Je retournai dans ce couvent l’après-midi : les deux
sœurs
me donnèrent leurs lettres, et toujours avec mes
de Paris toutes différentes, Clémence m’écrivit que Madame d’Ornex sa
sœur
était morte, maudissant père et mari, qu’elle n’a
ple si récent et si funeste, ne contraindrait plus ni Clémence, ni sa
sœur
, qui étaient devenues deux riches héritières. J’e
r la dureté que son père avait eue pour elle, aussi bien que pour ses
sœurs
, dont le peu de vocation fut cité. Il déclamait c
’avaient persécutée et enfin l’avaient obligée de prendre l’habit. Sa
sœur
qui n’attendait que ses vœux pour être mariée, et
éral de tout le monde la fit douter de tout ; d’autant plus que père,
sœur
, religieuses, directeur et confesseur la persécut
e notre amour réciproque. Il y avait dans ce couvent une tourière, ou
sœur
converse qui ne paraissait pas à Clémence avoir p
gner sur moi est de vous haïr, on m’a seulement dégoûtée du monde. Ma
sœur
est dans la maison de mon père : elle m’est venue
re déguisé mille fois plus à craindre. Il m’a fait mille caresses, ma
sœur
a renchéri par-dessus, les religieuses s’en sont
a brune. J’envoyai mon courrier que j’avais amené avec moi avertir sa
sœur
que j’étais arrivé. Je lui donnai un billet pour
soir même ; et je recommandai la même chose à mon agent auprès de sa
sœur
. Une bonne demi-heure après qu’il fut parti, je r
enlever Clémence, malgré tout le monde, à la barbe de son père, de sa
sœur
, de son amant, de toute sa famille et des religie
endant fort longtemps. Enfin je me déclarai. Cela vint au sujet de la
sœur
aînée qui se mariait. Vous savez qu’elles étaient
et de la sœur aînée qui se mariait. Vous savez qu’elles étaient trois
sœurs
, qui toutes trois ont été mariées fort longtemps
plus tard qu’elles n’auraient voulu. Je l’entretins du mariage de sa
sœur
; elle me parut avoir envie de l’être aussi. Je m
que cela ne la regardait pas. La mère le remarqua, aussi bien que sa
sœur
et [m] on agent. Elle répondit que je faisais hon
te réponse. Célénie me la rapporta mot pour mot, avec la colère de sa
sœur
. Si bien donc, ma chère Célénie, lui dis-je, en l
dis-je, en la prenant entre mes bras, qu’il faudra attendre que votre
sœur
soit contente pour être heureux. Je m’étais bien
conformer. C’est une nécessité, repris-je ? Et si Mademoiselle votre
sœur
ne trouve parti de quatre ans, nous serons donc q
m’accepte, ce n’est que la considération du droit d’aînesse de votre
sœur
qui l’empêche de consentir à votre satisfaction e
sée sortit. J’entrai dans le temps de cette altération entre les deux
sœurs
. Toinon qui me vit dit avec dépit, voilà Monsieur
témoigné, et je ne croyais pas être aussi heureux que je le suis. Ma
sœur
peut se méprendre, Monsieur, reprit Célénie ; il
omment donc, lui dis-je, d’où vient cette aigreur entre vous et votre
sœur
? Elle ne peut souffrir, dit-elle en riant, que
rmés de vous ne voient rien d’aimable ailleurs. Je voudrais que votre
sœur
fût aussi belle que vous, afin que son bonheur pû
surpris ; mais nous prîmes heure pour le lendemain que sa mère et sa
sœur
devaient aller ensemble voir l’aînée qui était ma
songer à quelque expédient qui me tirât d’intrigue. Dans ce temps, sa
sœur
trouva parti et même fort avantageux. J’en fus ré
ur l’empêcher de découvrir sa grossesse. Je lui fis comprendre que sa
sœur
allant se marier, il fallait que nous différassio
ne femme de petite ou de moyenne taille. Elle assista aux noces de sa
sœur
sur son sixième mois, sans que personne y connût
’il avait entendu Célénie entrer dans cette chambre avec sa mère, ses
sœurs
, et d’autres femmes qui l’avaient mise au lit, et
le discours avec celui de ce qui m’est arrivé avec Madame de Londé sa
sœur
, parce qu’ils sont liés ensemble. Il faut vous di
banquier que je venais chercher, et l’autre qui la consolait était sa
sœur
, veuve depuis environ six mois. Cette dernière tâ
qu’elle, qu’elle entreprenait de consoler. Je connus qu’elles étaient
sœurs
et que le sujet des pleurs de la première était l
ur elle. Est-il une femme au monde plus malheureuse que moi, ma chère
sœur
, disait l’affligée, en poursuivant la conversatio
peu de chose, j’ai été obligée de la mettre dehors. Me trompé-je, ma
sœur
, poursuivit cette femme ; ne suis-je pas aussi be
et âgées, il s’amuse à courir la gueuse. Rendez-moi justice, ma chère
sœur
, un traitement comme celui-là est-il supportable
un traitement comme celui-là est-il supportable ? Non, sans doute, ma
sœur
, répondit la consolatrice. Je blâme votre époux,
avez-vous pas mille moyens de vous venger de son inconstance ? Ah, ma
sœur
, reprit la première, que me dites-vous ? Je n’ai
que lui, si, comme lui, je m’étais abandonnée à mon penchant. Ah, ma
sœur
! reprit l’affligée, une honnête femme peut-elle
la veuve, que je veuille vous inspirer de pareils sentiments. Non, ma
sœur
, il faut toujours être honnête femme, quelque cho
ue vous n’êtes pas sensible au plaisir d’embrasser un homme ? Mais ma
sœur
, dit la mariée, on peut y être sensible quand il
ue leur présence vous inspirait ? Vous me faites là des questions, ma
sœur
, répondit la mariée, auxquelles je ne puis pas ré
ffrir même ses mauvaises humeurs ? Je parle selon la nature, ma chère
sœur
, et seulement par rapport à la vie présente. Je m
l y ait dans le monde pour une femme. En connaissez-vous d’autres, ma
sœur
? Pour moi je vous avoue que je n’en connais poin
cadre juste avec les inclinations que la nature nous donne ; mais, ma
sœur
, ce serait vivre comme les bêtes, que de les suiv
e ce sont là les sentiments d’une femme, devons-nous nous étonner, ma
sœur
, si les hommes en ont de pareils ? Ce serait bien
s’examinent avec attention ; et je ne vous ai dit tout cela, ma chère
sœur
, poursuivit-elle, que pour vous consoler des peti
qu’elle parlait à une autre femme seule, et que cette femme était sa
sœur
. Cependant je la remerciai dans mon âme, de s’êtr
e, je lui remarquai un air plus porté à la joie qu’à la tristesse. Sa
sœur
était aussi une fort aimable personne et si la ve
s la veuve plus grande et plus dégagée, avait un air admirable que sa
sœur
n’avait pas : je sortis de ce jardin charmé d’ell
e : de quoi parliez-vous, Mesdames, dit-il ? Nous parlions, reprit la
sœur
de ma veuve, de la satisfaction qu’a une femme d’
ciproque. Je lui déclarai que j’avais entendu sa conversation avec sa
sœur
, et tout ce que j’avais fait ensuite pour avoir a
tiez aussi sincères que cette veuve, vous avoueriez aussi bien que sa
sœur
, que tout ce qu’elle disait était juste : et pour
voir. S’il me les avait montrés, comme il voulait le faire, sa propre
sœur
en aurait constamment ressenti la force. Il me me
ère, et avec toute sa famille, c’est-à-dire, Madame sa mère, ses deux
sœurs
, et un frère fort jeune qu’on destinait à l’Églis
fallait bien me contraindre, ou me résoudre à ne plus voir l’aimable
sœur
de mon ami, qui est à présent Madame de Londé. Vo
apparences étaient tellement contre vous, l’amour que j’avais pour sa
soeur
était si fort, sa blessure était si grande, et l’
ire était de lier une petite société entre elle et Mesdemoiselles ses
sœurs
, pour avoir le plaisir de la voir le plus souvent
ilvie travaillait à de la tapisserie en présence de sa mère et de ses
sœurs
. Qu’en faisant semblant de se détourner, il lui a
lle avait été toute l’après-midi chez ma mère, où elle montrait à mes
sœurs
un point de tapisserie qui était à la mode, et qu
plus exemplaire, et plus édifiante. Pour revenir à Madame de Londé sa
sœur
, que j’aimais sincèrement, la maladie du frère, a
is ; mais je ne lui avais jamais parlé de l’amour que j’avais pour sa
sœur
. Je ne lui en parlai point encore. Comme nous éti
ée ? C’est, me répondit-il, la femme de chambre de Madame de Londé ma
sœur
. Il faut faire sa paix, lui dis-je, donnez-vous l
; je n’attends mon retour que de votre présence. Il faut donc que ma
sœur
soit bien en colère, dit-il en riant ; allez, ajo
liberté, et comme bons amis seulement, ou bien plutôt comme frère et
sœur
, puisque nous mangeons ensemble ; mais c’est auss
urs que ce malheur a coûtés à toute la famille, particulièrement à sa
sœur
et à moi ; ils ne sont pas encore taris. Il y a s
i. Madame votre mère, continua-t-elle, n’est pas plus exempte que ses
sœurs
de la satire de Sainville ; ses airs de dévotion
la matière étant disposée, ma mère qui se laissait gouverner par ses
sœurs
, fut la première à donner sa parole pour Deshayes
et pour lors la marquise lui offrit une retraite auprès d’une de ses
sœurs
abbesse d’un couvent fort éloigné de Paris. Silvi
t la marquise lui ayant donné une lettre de recommandation pour cette
sœur
, à qui elle écrivit dans le moment, elles se sépa
lle voulait faire ; mais sitôt qu’elle fut à Paris, elle écrivit à sa
sœur
", et la pria d’avertir une dame qui lui rendrait
samment riche, duquel elle est restée seule héritière ; ses frères et
sœurs
étant morts avant père et mère, et après le maria
ller à l’église ou promener, et jamais seule ; toujours avec les deux
sœurs
, et le plus souvent avec leur mère, que qui que c
ort retirée ; que sa fille de chambre couchait avec elle, et les deux
sœurs
dans la chambre par où il fallait passer pour ent
lle était sortie, Angélique entra chez ce même marchand avec les deux
sœurs
, chez lesquelles elle demeurait. Elle voulait avo
à tel prix qu’il voulut, n’ayant pas le temps de marchander. Les deux
sœurs
qui étaient avec elle, étaient fort scandalisées
puis et sa parente s’en retournèrent ensemble : Contamine et les deux
sœurs
restèrent. Angélique les pria de passer dans l’au
faible. Elle passa le reste de la journée dans son lit ; et les deux
sœurs
qui pour lors savaient ses aventures, et qui avai
urer à Naples. Elle avait en effet écrit au vice-roi, dont elle était
sœur
; et comme ils s’étaient toujours parfaitement ai
e outre la tendresse de frère, il était de son intérêt de ménager une
sœur
qui était extrêmement riche, et qui n’avait point
tivité huitième septembre ; je m’étais mis contre un des piliers. Une
sœur
grise, de celles qui ont soin des enfants trouvés
deuil qui était avec une autre fille qui paraissait la servir. Cette
sœur
alla lui parler, il me parut qu’elle fit quelque
éralité me donnait une espèce de petit privilège, je demandai à cette
sœur
si elle ne pouvait pas nous faire déjeuner à l’hô
aible ; effectivement je ne l’ai jamais eu ferme. Je ne sais si cette
sœur
voulut bien en croire ma parole, ou si, comme ell
eu encore ; car elle a presque toujours resté dans un convent avec ma
sœur
, et qui que ce soit ne sait qu’elle est morte. Et
rai chez elle, où je paraîtrai pour lors, et traiterai la Morin de ma
sœur
, comme de raison. Voilà comme nous avons résolu d
ut vous dire comment cela se fit. Madame la duchesse de Cranves était
sœur
de Monsieur le marquis de Buringe mort en Candie
estament tout de sa main, ou plutôt il écrivit à Madame de Cranves sa
sœur
, qu’étant prêt d’aller rendre compte à Dieu, il v
r laissée si longtemps. Il la priait comme son unique héritière et sa
sœur
, d’en avoir soin ; et qu’afin qu’elle en usât à m
nommé dans cette lettre, afin de l’obliger de solliciter auprès de sa
sœur
l’exécution de sa dernière volonté. Madame de Cra
nce. Que pour sauver la réputation de cette dame, il avait mandé à sa
sœur
que la mère de Silvie était morte en couche[s] et
e, avec qui Madame Gallouin permettait que vous et Mesdemoiselles vos
sœurs
fréquentassiez. Gallouin était de votre société,
pas la mère que je ne cherchais pas, mais son aimable fille, avec ses
sœurs
. J’y allai fort souvent ; et quelquefois nous all
ançais pas plus : ma maîtresse était tout le jour avec sa mère ou ses
sœurs
; et le soir la compagnie lui donnait mille moyen
ournée. Je viendrai, me dit-elle, dimanche à l’église avec une de mes
sœurs
. De là j’irai voir une dame qui est de mes bonnes
u’elle sentait bien qu’elle n’en aurait pas pour huit jours : que ses
sœurs
et son frère sachant qu’elle était mariée sans sa
seulement ses enfants, qui ont une douleur sincère de la mort de leur
sœur
: si bien qu’il n’y a pas d’apparence que ce proc
bienfaits de son défunt mari, et par les successions de ses frères et
sœurs
, et d’un oncle et d’une tante, et de plus elle vo
nt, malgré le respect que j’ai pour la présence de Madame de Londé sa
sœur
que voilà, et pour sa mémoire à lui, je ne puis m
a tante de Silvie, qu’il pria d’obtenir son pardon de ses deux autres
soeurs
, qu’il avait trompées les premières ; il confessa
uelques femmes qui se sont déchaînées contre ce que la veuve dit à sa
sœur
, dont Dupuis rapporte la conversation dans son hi
le est cette dame, demanda Des Frans ? C’est, répondit Des Ronais, la
sœur
de défunt Gallouin, et la maîtresse de Monsieur D
hent dans la même cabane que leurs pères et mères, et leurs frères et
sœurs
. Celui qui a envie d’en embrasser une entre dans
maison à laquelle il est attaché. 182. Il avait procuré à une de ses
sœurs
l’abbaye royale de Charron en Poitou, sur le bord
y avait un intérêt de vengeance mêlé. M.de Mesmes lui avait refusé sa
sœur
en mariage, quoique les parties ne se haïssent pa
ez-vous si magnifique, lui demanda-t-il. — C’est, répondit-il, que ma
sœur
se marie aujourd’hui ; vous-même en avez signé le
protection à laquelle il ne s’attendait nullement. 264. Il avait une
sœur
servante et cuisinière chez une demoiselle de moy
enne vertu que M. de Pontchartrain entretenait. Bourvalais pria cette
sœur
de supplier sa maîtresse de lui procurer quelque
upplier sa maîtresse de lui procurer quelque emploi pour vivre. Cette
sœur
en parla à la demoiselle, et celle-ci au ministre
’elle n’avait qu’à lui envoyer son frère. Il y alla par l’ordre de sa
sœur
et de la demoiselle. M.de Pontchartrain, qui avai
commerce ; & il n’y en a aucun qui. pour une roupie, ne vende sa
sœur
, sa fille ou sa femme, qui de leur côté s’abandon
a vie ; mais ce ne sont point ses enfants qui lui succèdent, c’est sa
sœur
, ou le fils ou la fille de sa sœur, en un mot, c’
nfants qui lui succèdent, c’est sa sœur, ou le fils ou la fille de sa
sœur
, en un mot, c’est le sang féminin qu’ils suivent,
e Quirckpatrik, premier commis de M. de Louvois, ont épousé les trois
sœurs
, & que par conséquent ils étaient tous beaux-
nser d’une guerre heureuse qu’il avait faite pour lui, avait violé sa
sœur
& enlevé une jeune Circassienne qu il aimait
e ; & que Sévagi, pour se venger, avait fait le même outrage à la
sœur
du Mogol, & avait fait révolter contre lui le
rrosse à cinq heures du matin, sous prétexte d’aller dire adieu à une
sœur
qu’il avait, religieuse à dix lieues ; &, à d
ans son cabinet un petit paquet qu’il voulait, disait-il, donner à sa
sœur
en main propre. Il prit la poste, & laissa or
; lui dit qu’il avait changé de pensée ; qu’il ferait ses adieux à sa
sœur
aussi bien par écrit que de vive voix ; que même
e leurs prostitutions de leurs tilles, de leurs femmes & de leurs
sœurs
, & dans la vente de leurs enfants : M. de Por
; &, en 1713, je le trouvai à Compiègne, où j’étais allé voir une
sœur
religieuse, & lui parlai de cette aventure, q
es parents les plus proches, c’est-à-dire son père et sa mère, et une
sœur
( car ses frères étaient dans le service et aux é
bonne famille dans la bourgeoisie ; mais la quantité de frères et de
sœurs
que nous étions, nous laissa après la mort de mon
aucun d’eux qui pour une roupie ne prostitue sa fille, sa femme ou sa
sœur
, qui de leur côté se donnent très volontiers aux
on lui succède, mais non pas ses enfants à lui, et ce sont ceux de sa
sœur
, et toujours ainsi. Et ce que je trouve d’assez é
se joindre ensemble, sans distinction de frère à frère, ou de frère à
sœur
; pas plus qu’ils en font de père à fille, et de
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