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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
n’avaient osé les poursuivre plus loin, de peur qu’on ne vînt à leur secours , ou de l’hôtellerie, qui n’était pas éloignée, ou
mmes, ils auraient infailliblement succombé, si on ne fût venu à leur secours . Pour savoir qui ce fut, il faut se souvenir que
aître mort, avait résolu de le venger et de rendre à Don Quichotte le secours qu’il leur avait si généreusement prêté. Il y vin
s d’Eugénie qu’ils ne connaissaient point, tâchèrent de lui donner du secours et demandèrent vainement à Gabrielle de Monsalve
ue son château, il trouva plus à propos d’y aller tant pour le prompt secours dont cette comtesse pouvait avoir besoin, que pou
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
de reprendre assez ses sens, pour s’apercevoir qu’on était venu à son secours . Notre héros reprit sa fureur, en même temps qu’i
nt plus qu’un homme en état de défense, et qu’il lui venait encore du secours d’un autre côté, se contenta de recommander de ne
et dont il eut aussi bientôt purgé le monde. Les gens qui venaient au secours de la duchesse étaient les siens mêmes, qui après
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
c elle, et que si c’était son fils, elle se contenterait d’appeler du secours , et de crier sauve qui peut. Il est d’une taille
and attachement. Il pleure quand il veut, ce qui lui a été d’un grand secours auprès de sa mère ; car les femmes se laissent to
arti contraire à celui du Roi. Sa mort laissa sa veuve privée de tout secours , et chargée d’une petite fille, qui est Angélique
ut faire une lâcheté. Vous n’êtes pas le seul qui m’ayez offert votre secours , d’autres en ont fait autant ; mais mon confesseu
téressée ? Et ne serait-ce pas en effet me vendre que de recevoir les secours que vous me feriez ? Que dirait-on de me voir tou
ILLET. Vous n’êtes point, belle Angélique, dans l’état de refuser les secours qu’on peut offrir à votre mère. Celui où elle est
ès grande nécessité de toutes choses. Sa mère courait risque faute de secours . On lui en offrait ; mais c’était son amant. Elle
’obligea de se précautionner contre elle-même, et de chercher quelque secours étranger, pour mettre sa sagesse en sûreté. Dans
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
et entendit distinctement une femme qui se plaignait et qui criait au secours . Traître, disait-elle, n’est-il pas temps que tu
, après avoir été un nombre infini d’années ensevelie toute vive ? Au secours , cria-t-elle derechef à pleine tête ; et en même
le a toujours le nom à la bouche, et qu’elle appelle sans cesse à son secours , et son neveu ne me poursuit et ne m’a battue, qu
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
s son sang ; il l’étancha le mieux qu’il put, et à force d’appeler au secours , il fut entendu de l’hôtellerie, et ceux qui y al
pour Deshayes il avait plus besoin d’un confesseur que de tout autre secours , et que c’était sûrement un homme mort dans vingt
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
témérité, si une des troupes attirée par le bruit ne fût venue à leur secours . Elle arriva justement dans le temps qu’il fallai
andolières du duc de Médoc, sur le corps de ceux qui étaient venus au secours de notre héros qui les avait attaqués le premier
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
tu en viendras à bout, parce qu’il est plus fourbe que vaillant ; mon secours ne t’abandonnera pas au besoin, mais la prudence
us de cent fois son fidèle et bien aimé chevalier Don Quichotte à son secours , et que c’était cela qui avait redoublé la fureur
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
a violence. Il entreprit l’autre jour de me faire arrêter, et sans le secours de Sainville, et la retraite que vous eûtes la bo
anquera pas de la mettre aux abois. Je vais rester sans appui et sans secours  ; ainsi pour ne pas voir dans le monde tant d’obj
s un chemin détourné, ne fût venu à nos cris, et n’eût ramené à notre secours nos deux hommes d’escorte et nos laquais que la p
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
r, et qu’il se serait assurément noyé si l’on n’avait point été à son secours pour le retirer, après néanmoins l’avoir laissé b
: il commençait à se repentir de son incontinence, et allait crier au secours , si Altisidore, qui était descendue au-devant de
10 (1721) Mémoires
exemple l’église de Paris, trop riche sans contredit, ne donne aucun secours à celle d’Arras qui certainement est pauvre ; et
t les mémoires du cardinal de Richelieu, envoyait des renforts et des secours aux colonies qu’il avait établies, et en établiss
mettre en état de défense. 103. Ils ne tiraient comme j’ai dit aucun secours de la France européane. Cependant cela ne s’était
nés de l’ancienne France, de laquelle ils avaient toujours imploré le secours inutilement, et que comme la défense était légiti
re à sa puissance. A cela il répondait que les fréquentes demandes de secours qu’ils avaient fait, et auxquelles les malheurs d
il n’y avait point d’argent dans le trésor, il pouvait lui trouver ce secours dans sa bourse, ou du moins dans celle de ses ami
e avec l’Angleterre au sujet du roi Jacques allait exiger de nouveaux secours que le royaume ne pouvait plus fournir. Que pour
i étaient dans un état si violent qu’elles avaient besoin d’un prompt secours . Qu’il ne suffisait pas à un ministre des finance
marquis de Ne[s] mond qui commandait le Monarque ne fût venu à notre secours . Il s’attacha à celui qui nous tenait par le derr
chait à son seul nécessaire, encore très petitement. Les pauvres sans secours mouraient sur le pavé, et tout le monde se conten
rois d’autant plus qu’il faudra pour l’entretien de cette colonie des secours réels et fréquents, et que Crozat mort, cet établ
ait fallu y faire, étant presque tous fortifiés par la nature sans le secours de l’art. J’y décrivais les mœurs des sauvages qu
venait rare. Il taxa les gens d’affaires et n’en tira pas le quart du secours qu’il en avait attendu : et il n’était point dans
taxer les maltôtiers en détail, il fallait les taxer en gros ; que le secours qu’on en tirerait serait prompt et effectif, et s
11 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
telle que celle des Indes, qui fait ses provisions elle-même sans le secours d’un entrepreneur. et qui fait boulanger son bisc
que je conçois la grâce efficace et triomphante par elle-même sans le secours de l’homme ; mais Dieu ne la prodigue pas, et ne
 ; et si je n’étais distrait par leur propre confusion ou par quelque secours étranger, j’approfondirais la matière autant que
eurs discours eussent précédé le mien : ils m’auraient été d’un grand secours  ; et en effet, en parlant de la différence de l’â
et très souvent, au lieu d’être reculée, elle est précipitée par leur secours , soit par leur ignorance, soit par leurs mortels
la déclamation ; mais il est comme impossible d’arranger, par le seul secours de la mémoire, ce qu’un homme compose avec étude.
ature abhorre sa destruction. On voit les autres s’intéresser à notre secours  ; on en conçoit quelque espérance : cependant, on
a ajouté qu’il avait voulu mettre pavillon en berne, pour appeler du secours , et que M. de Bouchetière l’avait empêché. M. du
brûlant, la bonté de son tempérament le tirerait d’intrigue sans leur secours . Faire tant de fois saigner un homme de son âge s
dait pourtant pas de sa vie ; et que s’il empirait, il demanderait le secours de ses confrères, par un pavillon en berne, comme
de quitter la place à une infinité de singes, accourus aux cris et au secours de leur camarade ; et qu’enfin ces singes les pou
se peut-il pas que la nécessité de vivre ensemble, et le besoin d’un secours mutuel, les aura obligés de se tolérer les uns le
tout par un attribut que la nature a attaché à leur espèce sans aucun secours étranger, et hors d’eux-mêmes ; et pourquoi aussi
l’homme, qui ne voient jamais clair par eux-mêmes, et ont besoin d’un secours étranger, du soleil, de la lune, des étoiles, ou
comment je m’y prenais : il est vrai qu’Alexandre m’était d’un grand secours . On peut voir par là combien ces insulaires craig
dé ; mais aussi, de ce que les Anglais ne recevront par cette voie ni secours , ni nouvelles. Si nous l’avons obligé de brûler s
s peu pitoyable. Il dit à M. d’Aire que des Anglais appelaient à leur secours . As-tu de quoi leur donner à manger ? lui demanda
va bien à la voile ; et ces petits bâtiments-ci sont d’un très grand secours . J’écris ceci plutôt pour la ponctualité que pour
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
e fût passée sans lui, le duc voyait bien qu’il lui serait d’un grand secours , et qu’après tout c’était la mort la plus glorieu
13 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
que parce que j’avais des parents en Angleterre, dont je recevais des secours plus promptement que de chez moi. J’y trouvai un
Si pourtant vous voulez tenter l’aventure, je vous donnerai tous les secours qui dépendront de moi. J’acceptai ses offres et j
bourreau et mon tyran. Le désespoir où je suis est tel, que si votre secours me manquait, je terminerais assurément par une mo
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
re. D’abord on mit Don Quichotte au lit, et le barbier accourut à son secours . Dès ce temps-là la saignée était en usage pour l
15 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
tre en état de faire quelque chose, et que je n’ai rien fait faute de secours . La paix même qui se fit me laissa dans toute l’i
da à notre plaisir : nous nous en repentîmes, et lui donnâmes tout le secours dont nous pûmes nous aviser. Il reprit enfin conn
s habits l’entraînaient au fond de l’eau ; et si on n’avait été à son secours , c’était un soldat noyé. J’empêchai bien que ce n
vous verrez par la suite, le secret de pourvoir à ses besoins sans le secours de ses amants. C’était un de ces esprits libres e
rieuse ; elle s’arracha de mes bras, elle appela du monde, et cria au secours à pleine tête. Sa colère alla si loin que je fus
rais expliqué le proverbe à mon avantage, mais elle se mit à crier au secours de toute sa force, je n’eus point d’autre parti à
er devant vous. Au lieu de me rendre mon épée, elle courut appeler du secours . La cuisine où les domestiques mangeaient était t
u’on ne l’aurait point entendue, et que je serais peut-être mort sans secours , si le hasard n’eût voulu que Mousson eût oublié
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
s épouses sur leur propre vertu et leur sagesse seule, dénuée de tout secours étranger. Ils ajoutèrent, qu’ils convenaient qu’i
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
s et les enfants n’étaient point pillés, et où chacun leur prêtait du secours  ! La médiocrité et la pureté des mœurs ne permett
18 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
’on en est bientôt rebuté autrement. Ces animaux sont d’un très grand secours pour un équipage, & surtout pour des malades,
u-dessous de sa tétine gauche, & semblait lui demander un nouveau secours . Il la sonda de nouveau ; &, pendant cinq jou
mirateurs, leurs compatriotes, desquels ils pourraient tirer tous les secours nécessaires à un si saint œuvre. Malgré le tort q
enir à bout par eux-mêmes, et qu’ils avaient perdu toute espérance de secours , depuis que les Portugais avaient été honteusemen
t bestiaux ont obligé le roi de Ceylon d’appeler les Hollandais à son secours , pour chasser une nation si perverse et si corrom
ôté de la terre que de la mer. Qu’il n’espérait pas non plus un grand secours des dix-huit canons que nous avions amenés de Bal
à MM. de Lagny, Soullet, & Gouault. Je n’attends pas beaucoup de secours du premier : non qu’il ne soit très honnête homme
il ne devait regarder que comme des reliques. Il se mit à crier à son secours , comme si le diable l’avait en effet saisi. Par h
té Mme Constance & sa mère, auxquelles ils avaient donné tous les secours humains qu’ils avaient pu, non seulement par rapp
; soldats français, réduits à la dernière misère, n’en ont tiré aucun secours , quoique tous en eussent besoin, puisque plus des
bancs & prendre le bonnet. Je me donne au diable s’il tire aucun secours de ses frères ; j’entends les religieux de son or
ue les courants nous ont été contraires. Ces courants sont d’un grand secours aux pilotes. Quoique le vent soit bon, & la l
ù elle pourrait leur faire avoir de ses nouvelles, & en tirer les secours dont elle aurait besoin ; qu’elle croyait avoir a
n’en avait pas assez pour y subsister ; jusqu’à ce qu’elle reçût des secours de ses parents, elle était résolue de s’humilier
âté. M.du Quesne, qui l’a prise en sa protection, lui a donné tout le secours imaginable, & la mène présentement en toue. C
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
es les ayant rendus fort bons amis, qu’ils s’étaient promis amitié et secours partout où ils se trouveraient, sauf le service d
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
t sous son bras invincible ; mais en effet pour l’empêcher d’aller au secours de Sancho, s’il l’eût entrepris, et qu’il eût oub
21 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
e Cour et de guerre ; et enfin pour consumer le temps, j’empruntai le secours de tous les lieux communs dont on peut s’aviser p
aîcheur de sa main qu’il me porta sur l’estomac. Je me mis à crier au secours  ; il me saisit au corps ; il fit ses efforts pour
ient attiré des procès et des dépenses, dont une fille privée de tout secours aurait eu lieu de craindre la suite. Pour aller a
Paris ; je vous prends pour mon confident, et vous viens demander du secours . Après cela il m’ouvrit son cœur, et je ne vis pe
ter. J’étais connu dans l’hôtellerie où j’étais, on me donna tous les secours dont on put s’aviser. Les transports au cerveau m
c’est un effet de l’aveuglement où Dieu voulait que je tombasse. Son secours m’avait abandonnée ; et je me serais précipitée a
22 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
usé sa vie ; mais du moins la fin n’en a point été avancée par aucun secours étranger. Vous avez raison, interrompit Des Ronai
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
e fille ou une belle femme qui vient s’offrir ; il faut appeler à son secours toute sa raison et l’idée de la dame de son cœur,
24 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
sait sans façon, j’agis de même. J’allai à mes affaires, dont par son secours je sortis à ma satisfaction. Je soupai chez lui,
e n’est rien à moins qu’elle ne vienne de sa propre vertu, sans aucun secours étranger. Tout le monde a cela de propre, particu
25 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
ppris que non. Quel désespoir de voir son navire, de voir venir à son secours et, faute d’être aperçu et faute peut-être de deu
ondé, mais aussi de ce que les Anglais ne recevront par cette voie ni secours ni nouvelles. Si les coups qu’il a reçus de nous
us. Il va bien à la voile, et ces petits bâtiments-ci sont d’un grand secours quand ce ne serait que pour porter et rapporter d
arfaitement bien ; nos tortues et notre pourpier sont d’un très grand secours et fort excellents. Du mercredi 9e. [mai] T
esne, qui apparemment l’a prise en sa protection, lui a donné tout le secours imaginable ; il la mène présentement en toue c’es
26 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
eté que la bête la plus féroce ; et bien loin de lui donner aucun des secours qui lui étaient nécessaires, elle refusa de la re
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