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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
alheureux pécheur comme toi, qu’à un aussi honnête homme que lui ? Tu sais bien ce qu’il t’en a coûté pour tes médisances, tes me
vit-il, qui prétends m’interroger, qu’as-tu fait de ton argent ? — Je sais bien , lui dit Sancho, que les richesses sont dommageab
le ne m’échauffe pas les oreilles, car je redoublerais la dose ; vous savez bien ce que je veux dire. Sancho aurait continué ses i
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
elle montre sonnante et une lettre où je ne parlais point d’amour. Je savais bien qu’elle serait vue, j’en faisais une simple plais
lle me dit dès le soir même, ce que son procureur lui avait dit. J’en savais bien le sujet, mais je n’avais garde de le lui découvr
jeu ; je ne sais point d’autre sujet qui le fasse venir chez moi. Je sais bien que mes filles ne sont pas pour lui, dans un pays
avez risqué de me perdre dans l’esprit de Monsieur Des Prez, que vous savez bien que je dois ménager. Je ne sais point le motif qu
dois ménager. Je ne sais point le motif qui vous y a poussé, mais je sais bien que vous avez joué à me ruiner. Vos assiduités ic
commandai le secret. Le jour suivant, je me fis conduire chez lui. Je savais bien qu’il ne pouvait pas avoir fait ce qu’il ne m’ava
jour même au soir pour quelque partie de promenade hors de Paris. Je sais bien qu’elle n’y viendra pas ; mais toujours ce sera u
mari dût respecter le sommeil de sa femme, surtout dans un lieu où il sait bien que l’envie de dormir ne l’amène pas. Je vous rem
ien ; le savez-vous, dit-elle ? Oui, Mademoiselle, répondis-je, je le sais bien  : c’est une chose qu’elle a faite sans vous en av
re blâmée de m’avoir donné la main. Que j’étais en âge, comme elle le savait bien elle-même. Que si elle en était si scandalisée, e
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
vôtres, je vais le faire, au hasard d’être blâmé dans ma conduite. Je sais bien qu’elle n’est pas à louer, je me rends justice à
s bien qu’elle n’est pas à louer, je me rends justice à moi-même : je sais bien qu’il y a des coups de fourbe et de scélérat ; ma
: je sais bien qu’il y a des coups de fourbe et de scélérat ; mais je sais bien qu’il y a du risible. Vous êtes des héros de cons
régents en furent satisfaits, et que mon père m’en aima davantage. Il savait bien que j’étais toujours chez cette femme ; mais que
par le sang. Que c’était ce qu’elle n’avait jamais fait. Que comme je savais bien qu’elle ne m’aimait pas, et qu’elle ne m’avait ja
on vous demande de quelle part il vient, dites que Monsieur Alaix le saura bien en lisant ; mais donnez ordre qu’on le lui rende
promesse signée de mon sang, je serais toute ma vie à elle, et que je saurais bien rompre l’autre parti où ma mère m’engageait. Une
geais sincèrement à épouser cette fille. Je lui dis que non, et qu’il savait bien lui-même que je n’étais pas en état de me marier.
is-je, pour être sûre que je ne suis point malade ? Non, dit-elle, je sais bien que vous prenez trop garde à qui vous vous jouez 
é ? Je ne sais, lui répondis-je, si cela est possible ou non, mais je sais bien qu’il est vrai. Après cela il invectiva contre el
pportera donc à vous ? Oui, Madame, répondit mon effronté laquais, il sait bien que j’ai les yeux bons. Eh bien, dit-elle, si je
e de Gironne, je n’ai point l’honneur de connaître Monsieur ; mais je sais bien que l’affaire dont nous parlons ne convient point
’elle ; mais lorsque je voulus en venir au fait, elle me dit, qu’elle savait bien que j’étais le maître de faire ce que je voudrais
avait bien que j’étais le maître de faire ce que je voudrais, qu’elle savait bien que son corps était à moi ; qu’elle ne me refuser
et vint me trouver à mon lit ; je n’avais garde de songer à elle. Je savais bien que je vous prendrais sur le fait, me dit-elle en
st d’entre elle et moi. Vous demandez l’impossible, lui dis-je. Je le sais bien , me répondit-il : non seulement parce que les fem
tout mon cœur, Madame de Londé ayant dit depuis son veuvage, qu’elle savait bien où j’étais. Pour revenir à elle, on ne me pansait
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
mort, qu’elle le gagnât pendant sa vie par son attache ; sinon qu’il savait bien à quoi s’en tenir. Que c’était là sa dernière rés
endant le mieux que j’en puisse juger, c’est qu’il nous joue ; car il sait bien que je ne consentirai jamais à aucun mariage qu’a
e dédire, si sa fille avait voulu y consentir : mais c’était ce qu’il savait bien qu’elle ne ferait pas, et ce n’était qu’en vue de
té de s’expliquer, elle ajouta, en adressant la parole au fils : vous savez bien , Monsieur, qu’on ne dispose pas de son cœur comme
n et l’autre. À présent je ne sais ce qu’elle veut vous dire, mais je sais bien que je n’ai pas imposé d’un mot ; et je crois que
pour moi des peines, dont je lui aurai obligation toute ma vie. Vous savez bien que je lui en ai quelqu’une, mais les dernières q
riage. Je vous parlerai une autre fois de Mademoiselle Dupuis : je ne sais pas bien moi-même ce que j’en pense à présent, et si vous
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
espagnoles pourraient s’accommoder d’une jalousie pareille ; mais je sais bien qu’il y a très peu de Françaises qui la trouvasse
er à sa conduite ; il ajouta que sa vie était entre ses mains ; qu’il savait bien qu’il était mort pour peu que son mari le soupçon
paru. Il répondit à Célénie avec fureur et un ris moqueur, qu’elle ne savait pas bien déguiser ses vues, et qu’il voulait non seulement
ur ne la point brouiller avec son mari. Elle lui dit en riant qu’elle savait bien que sa vertu était en sûreté, non seulement par l
6 (1721) Mémoires
acro cedat honori, Nuper in hanc urbem pedibus qui venerat albis. Je sais bien que nous avons parmi eux plusieurs magistrats d’a
s magistrats d’ancienne extraction, et même de bonne maison ; mais je sais bien aussi qu’ils ne sont pas le plus grand nombre. Je
; mais je sais bien aussi qu’ils ne sont pas le plus grand nombre. Je sais bien encore qu’il y en a de très intègres et de très j
en encore qu’il y en a de très intègres et de très judicieux, mais je sais bien aussi qu’il y en a plusieurs fort peu scrupuleux,
légitimer et corriger la violence. Je ne sais ce qui en est, mais je sais bien que le Roi lui-même parut en douter quoiqu’elle l
aient eux-mêmes chargés, et que le gouverneur que le Roi y envoierait saurait bien le leur faire employer à ceintrer Québec de murai
re le nom de celui ou plutôt de ceux qui les avaient dressés, mais je sais bien qu’ils étaient tous de différente écriture, au no
nte écriture, au nombre de six, et tous de différentes années ; et je sais bien encore qu’on y entrait jusque dans le plus petit
onseigneur, dit-il je ne suis qu’un simple ouvrier menuisier. — Je le sais bien , dit M. d’Argenson, poursuis. — Lorsque je travai
u tabac en poudre. Celui-ci est pour le public, car à leur égard, ils savent bien s’en faire apporter d’excellent tant pour eux que
rs descendants ne soient pas frappés de la même terreur. Les notaires savent bien que je ne dis rien que de vrai, et que lorsqu’ils
t qu’il devait lui donner cet argent sans aucune difficulté, et qu’il savait bien ce qu’il en voulait faire. Il vint dans le moment
rts ; Mais le serpent crevant de rage, Bien soutenu de trois lézards, Sait bien lui boucher le passage. 173. Comme M. Colbert ét
le donneur d’avis ne manquait pas de se trouver à l’heure précise. Je savais bien que je ne m’étais pas trompé, lui disait M. Colbe
e la marquise de Maintenon. Pour de la bravoure et de la conduite, je sais bien qu’il se conduit juste pour échapper l’ennemi [si
oursuivit le Roi, la plus belle broderie que j’ai jamais vue. — Je le sais bien qu’elle est belle, reprit M. Bontems, aussi me co
u’il ferait même fin que Cordier ; on ne sait ce qui en sera, mais je sais bien qu’il est encore en prison à la Conciergerie à l’
ic pour qui] étaient tout disposés à se sacrifier à la République. Je sais bien moi-même que ceci n’est et ne sera regardé que co
ce. J’ignore qui sont ceux qui ont soin de cet établissement, mais je sais bien que s’ils sont bien intentionnés pour l’ancienne
om périrait ; que ce nom était assez illustre pour être conservé. (Je savais bien le contraire, puisque je savais que l’aïeul du pr
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
iaire, lui dit-il, car franchement vous m’embarbouillez l’esprit ; je sais bien ce que je dis. Un valet de pied de Madame la comt
atisfaction ; mais il avait trop d’esprit pour lui ôter sa femme ; il savait bien qu’elle seule ferait plus enrager le bonhomme Job
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
Cologny pour aller la voir. On lui dit qu’elle n’y était pas ; il le savait bien , et dit qu’il l’attendrait. Il monta dans sa cham
ouser, toute la terre me blâmerait, si j’épousais une fille telle… Je sais bien , interrompit-elle brusquement, que je ne suis qu’
est inutile que vous preniez le soin de m’en faire souvenir ; mais je sais bien aussi que je la serai toute ma vie, si pour cesse
dans un convent. Elle n’avait aucun dessein de s’y mettre ; mais elle savait bien qu’il n’y consentirait pas, et elle ne demandait
ère, de lui faire demander son consentement par une personne à qui il savait bien qu’elle n’oserait pas le refuser. Il connut que c
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
re payer, lui dit le curé, vous pouvez vous fier à sa parole. — Je le sais bien , dit Sancho, mais on ne court pas après son éteuf
vertissait extrêmement, il ne faut pas renvoyer votre femme, car vous savez bien vous-même qu’une femme est un mal nécessaire. — J
10 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
r la plus belle et la plus spirituelle personne qu’on puisse voir. Je sais bien , Mesdames, ajouta Des Frans, en s’interrompant lu
Il est vrai que je n’ai jamais connu ni mon père ni ma mère ; mais je sais bien quels ils étaient. Il est vrai que je ne suis pas
uer de coups de bâton, ou le retenez, cela m’est indifférent, mais je sais bien que si j’entends encore parler de ses sottises, j
les pierreries Monsieur d’Annemasse n’en a point demandé, parce qu’il savait bien ce que sa tante en avait fait ; mais comme qui qu
us voir entre les bras d’un autre ; ma passion a chassé ma raison. Je sais bien que la chute de lui à moi serait trop lourde ; ma
t de Madame Morin dans tous les termes qui me vinrent à la bouche. Je savais bien que vous aviez trop de vertu et trop de sagesse p
de risquer à manquer Silvie, en lui demandant un consentement que je sais bien qu’elle m’aurait refusé. Au contraire je tâche à
té déchirée. Il ne fit pas semblant d’abord d’avoir aucun dessein. Il savait bien que je n’étais pas chez ma mère, puisqu’il m’avai
textes de bienséance : on la satisfit, parce que la belle Dupuis, qui savait bien que Des Ronais lui rapporterait tout, promit de s
11 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
. Ce n’est point mon intention de faire une pareille comparaison : je sais bien qu’elle serait ridicule, par la distance des obje
e ou la faiblesse du capitaine ; mais il est constant qu’un homme qui sait bien se faire obéir tient tous ses gens dans le respec
tenterais pas d’en remplir les fonctions & les devoirs ; mais, je saurais bien aussi me faire porter l’honneur & le respect
ui d’autrui. Voici le fait. Notre aumônier s’appelle François : je le savais bien  ; mais, je ne savais pas que ce fût aujourd’hui s
ouse qu’elle ne peut souffrir que personne la partage ; parce qu’elle sait bien que c’est pour elle une source inépuisable de ric
ouge comme feu, se donna la patience d’écouter sa harangue ; mais, je sais bien que, pour toute réponse, il jeta dans la cour une
ution, parce qu’ils savaient qu’il l’avait fort avantagée, quoiqu’ils sussent bien aussi qu’elle ne lui avait rien apporté. Dans le
. J’ignore quel est celui qui se dit ingénieur dans le fort ; mais je sais bien qu’il n’y entendait quoi que ce soit. J’écrirai d
presqu’île, tant dans l’Est que dans l’Ouest ; fortifications qu’ils sauront bien défendre contre lui, si Remraja succombe, & q
disputer des points de son Alcoran autrement qu’à coups de sabre. Il savait bien que les faiseurs de livres ne s’accommoderaient p
u’ils adressent toujours en cachette leurs adorations au Créateur. Je sais bien que tout cela est contraire au précepte & mêm
l reniera devant son Père ceux qui l’auront nié pendant leur vie : je sais bien que, dans le IVe chapitre des Actes des Apôtres,
oursuivis-je en continuant de parler à M. Martin : il me dit qu’il la savait bien . Enfin, sur le point de partir au mois de janvier
que Belzébut fait si bien son compte que tous deux sont pour lui. Je sais bien que dans le bréviaire de Rennes, & celui de V
endre. Il ne parla ni du manque des vivres, ni de celui de l’eau ; il savait bien que cet article aurait été contrarié : au contrai
Tiretaine, a dit Bouchetière : je ne m’amuse point à lire ; mais, je sais bien que les moines d’Espagne ne valent rien, & qu
avons laissé l’escadre. Je ne sais si nous avons bien fait ; mais je sais bien qu’il n’a tenu qu’à nous de nous rallier aux autr
officier marinier lui répondit que ce pauvre diable avait la mine de savoir bien gagner son pain. Eh ! il est Anglais ! lui répliq
a tête. Nous emmenâmes son mari déjeuner dans la même auberge où nous savions bien que Caumont était. Nous prétendions nous donner l
il ne parla que fort sobrement & en honnête homme. Vallière, qui savait bien qu’en penser, ne prit pas le change, & résolu
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
it données, mais encore pour ne plus s’éloigner de Sainville, qu’elle savait bien ne la devoir plus abandonner.
13 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
non. Qu’il savait fort bien qu’elle était sa protectrice ; mais qu’il savait bien aussi que cette dame était ennemie du désordre et
t pas eu la hardiesse d’en dire leur sentiment ; ces deux derniers-ci savent bien où se rédimer ; et l’exemple de l’Amiral clôt le
et quelquefois moins, de même que le soleil dispense ses rayons ? Je sais bien que c’est sa bonté qui nous donne le pouvoir et l
uvent être renfermées dans ces corps, sans en augmenter l’étendue. Je sais bien que ce système est contraire à l’École de médecin
rtugais est trop sobre pour boire jusqu’à perdre la raison : mais, je sais bien qu’ils l’exercent envers toutes les autres nation
s l’exercent envers toutes les autres nations indistinctement ; et je sais bien encore que si on pratiquait la même chose en Fran
prit place, pour se mettre à la leur. Enfin, M. Blondel a paru. C’est savoir bien peu vivre, lui a-t-il dit : je ne sais à quoi il
des officiers mariniers. C’est l’ordinaire, lui ai-je répondu : je le sais bien  ; mais je sais bien aussi que ce n’est pas une rè
ers. C’est l’ordinaire, lui ai-je répondu : je le sais bien ; mais je sais bien aussi que ce n’est pas une règle pour moi, ayant
dans sa culotte : nous ne savions ce qu’il voulait faire, mais il le savait bien  ; il a pris du pain et est monté à la hune, où il
p comme donné à lui-même, et que si le Conseil ne le vengeait pas, il saurait bien de quelle manière s’y prendre. Je vous ferais met
Combien avons-nous encore de bonites ? m’a demandé celui-ci. Vous le savez bien , monsieur, lui ai-je froidement répondu. Je suis
me fait d’avoir quelque confiance en moi et en mon activité, mais, je sais bien que je me serais fort bien passé de cet honneur,
parenthèse, nous en avons d’excellent. C’est un vieux routier, qui en sait bien long, et qui pourrait faire de très curieuses ane
’avais cru que c’était un voyageur qui voulait grossir les objets. Je sais bien que Lucain en parle dans sa Pharsale, mais j’avai
s fait voir plus d’un million d’étoiles. Je n’en sais rien ; mais, je sais bien qu’il lui en coûte deux grosses dents de la mâcho
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
u reste je t’avouerai que je commence à m’ennuyer dans ce château. Je sais bien que Madame la duchesse n’épargne rien pour m’en r
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
un coup de poing de toute sa force. Le chevalier aux armes noires qui savait bien que Sancho était plus robuste que lui, et savait
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
son écuyer parût à d’autres, se contenta de dire à cet écuyer, qu’ils savaient bien où il était, et qu’on le ramènerait en peu de tem
17 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
apt. Je me justifiai, et fis voir mon innocence autant que je pus. Je savais bien que je n’offenserais point Mademoiselle Fenouil,
. Elle jura devant eux de ne me point abandonner ; elle me dit que je savais bien que la mort ne lui faisait pas peur ; et que quel
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
t de guet-apens. Ne dis point que cet argent était perdu pour lui, tu sais bien qu’il lui appartenait, et que de vils ouvriers av
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
es fussent fermées, et qu’il n’y eût point de cheminée, parce qu’elle savait bien qu’il se rendait invisible quand il voulait, et q
20 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
l lui savait bon gré de son action, qu’elle allât hardiment, et qu’il saurait bien empêcher qu’on ne nous troublât. Elle vint d’un p
t en le baisant. Ah, ha ! dit-il en se retournant, c’est donc toi. Tu sais bien que je ne le pense pas de même, et que ce que j’e
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
t la parole et avoua qu’il avait tort d’avoir tenté Altisidore, qu’il savait bien qu’il suffisait pour perdre une fille de lui dire
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
avec elle. Voilà, Madame, ce que vous avez voulu savoir de moi, et je sais bien encore que vous seule pouvez me convaincre qu’il
23 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
ue jusqu’à ce que je l’eusse il pouvait rester à la cabane, et que je saurais bien empêcher que les autres Noirs ne lui fissent insu
la faiblesse de leur capitaine, mais il est constant qu’un homme qui sait bien se faire obéir tient tous ses gens dans le respec
uise dans un commandant après le bon sens et la prudence est celle de savoir bien se faire obéir. Du mardi 3e. [octobre] Calm
acilement que ces misérables jouaient cet argent aux cartes, et qu’on savait bien qu’ils n’en avaient point - ou n’en devaient poin
séparés du reste de l’escadre. Je ne sais si on a bien fait, mais je sais bien qu’il n’a tenu qu’à nous de nous rallier aux autr
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