/ 40
1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
ouait avec nous, ne nous était point suspecte, parce qu’outre qu’elle savait les termes où nous en étions Silvie et moi, c’éta
ya mes lettres cachetées sans les lire. J’allai trouver Phénice, pour savoir d’elle en quoi j’avais offensé son amie. Elle ne
t me promit seulement de s’en expliquer avec elle. J’y retournai pour savoir ce qu’elle en aurait pu apprendre ; elle me dit q
n venir aux mains avec Deshayes ; j’en cherchai les occasions ; je ne sais s’il s’en douta, mais il me fut impossible de le
hangée et son teint extrêmement terni. Phénice était avec elle. Je ne sais si l’amour propre me fit voir les objets autremen
ait maîtresse d’elle-même, elle est venue dans tous les lieux où elle sait que je vais d’ordinaire ; elle a toujours tâché d
amais aucun commerce avec elle. Voilà, Madame, ce que vous avez voulu savoir de moi, et je sais bien encore que vous seule pou
plains d’autant plus que je vois bien que vous l’aimez encore. Je ne sais si c’est la seule curiosité qui m’occupe, ou si c
 Je le crains comme vous, lui répondit tristement Sainville. Deshayes sait que je l’ai aimée, et que je ne lui étais pas ind
t que je l’ai aimée, et que je ne lui étais pas indifférent ; il aura su que c’est moi qui l’ai arrachée de ses mains, et
é de son infortune, et que je voudrais la voir plus heureuse. —  Elle sait vivre, reprit la marquise, et je ne doute pas qu’
ur lui, et vous ne lui direz que ce [que] vous jugerez à propos qu’il sache de ce que vous allez apprendre. Je ne me suis poi
tié d’enfant. J’obligeais ma mère d’aller nous promener partout où je savais qu’il allait, et d’aller jouer chez les gens où j
rtout où je savais qu’il allait, et d’aller jouer chez les gens où je savais que nous le trouverions ; je l’y voyais avec plai
renais part à ses pertes, et le gain qu’il faisait me réjouissait. Je sais , interrompit la marquise, tout ce qui vous est ar
ndez-vous dans votre cabinet, et que vous promîtes de lui écrire ; je sais qu’il ne trouva pas votre lettre, mais seulement
re les fourberies qu’on nous a faites, et qui nous ont séparés. Je ne sais , continua-t-elle, s’il vous a dit que dans cette
une espèce de confusion de lui dire de bouche ce que je voulais qu’il sût , et étant persuadée que le papier ne rougissait p
atale lettre qui a causé tous mes malheurs, il faut, Madame, que vous sachiez ce qu’elle contenait, afin que vous connaissiez p
écrire en termes plus forts ; cependant il est vrai que si j’en avais su de plus expressifs, je m’en serais servie sans sc
’il la cache à tout le monde à cause du mépris que j’ai pour lui ; je sais tous les tours de fourbe qu’il a faits à d’autres
tantes, elle aurait mauvaise grâce dans ma bouche ; contentez-vous de savoir qu’elle me répéta tout ce qui avait été dit contr
de mes tantes qui écoutaient ce qu’elle me disait ; cette perfide le savait , mais elle n’en faisait pas semblant : mes tantes
, mais elle n’en faisait pas semblant : mes tantes ignoraient qu’elle sût qu’elles fussent présentes, et furent extrêmement
s et mes soupirs. La baronne me fit assurer par mes tantes qu’elle ne savait pas qu’elles fussent en ma chambre lorsqu’elle m’
ux que lui, puisqu’il était plus riche et mieux établi, que cet homme savait que j’avais quelques égards pour Sainville, mais
e la sienne elle était certaine que Deshayes s’expliquerait dès qu’il saurait que j’aurais rompu avec Sainville. Je vous ai dit
’être arrêtée à ma porte et conduite à la Conciergerie, sans qu’on en sût le sujet. J’étais à table dans ce moment avec Des
ait à une maison de campagne, il est pourtant vrai que je n’ai jamais su où il était allé. Je fus à la Conciergerie pour p
ces, et j’ajoutai que je n’étais venue que dans la seule intention de savoir en quoi je pouvais lui être utile. Je lui appris
adame, lui dis-je toute étonnée, je ne puis rien sur Sainville ; vous savez qu’il ne m’a jamais aimée, et de votre propre con
st nullement nécessaire auprès de lui. Il suffit que vous lui fassiez savoir l’état où vous êtes pour qu’il vous en tire ; du
e feindre, Madame, répliqua-t-elle ; il n’est pas nécessaire que vous sachiez ce qui me retient ici ; mais vous allez savoir au
s nécessaire que vous sachiez ce qui me retient ici ; mais vous allez savoir autre chose que la crainte de la mort m’oblige de
te de la mort m’oblige de vous dire, et qu’il est de votre intérêt de savoir . J’admirais la hardiesse, ou plutôt l’effronterie
ues à quel point ils avaient poussé leur intrigue ; contentez-vous de savoir que la justice humaine les en aurait punis l’un e
’intérêt de votre époux que ma vie soit en sûreté ; cependant vous ne savez pas encore tout, et ce qui me reste à vous appren
ez un homme non seulement criminel à l’égard du public, mais que vous sachiez encore qu’il est criminel envers vous de la plus
ser ; mais comme il ne me cache rien de toutes ses affaires, et qu’il sait toutes les miennes, nous nous sommes rendus notre
s et lui fis comprendre qu’avant toutes choses il était nécessaire de savoir ce que vous résoudriez ensemble, et les termes où
ndait aucune finesse lui ouvrit librement sa chambre, qui, comme vous savez , n’était séparée de votre cabinet que par une clo
à votre clavecin. Sainville ne vous fit pas longtemps attendre. Vous savez ce que vous dîtes ensemble ; car pour ce qui est
hargeai de prendre. Je mis le lendemain un laquais en sentinelle pour savoir quand vous seriez sortie, afin d’aller aussitôt c
bout de rompre votre commerce, et de vous mettre entre ses bras. Vous savez ce que je fis le lendemain que j’allai vous trouv
e fis le lendemain que j’allai vous trouver, mais vous ignorez que je savais que vos tantes écoutaient ce que je vous disais,
s encore résolu Deshayes et moi, qu’il ne ferait pas semblant de rien savoir de votre lettre ni de votre engagement de parole,
i bien, qu’elles me prièrent les premières de proposer Deshayes. Vous savez sur cela ce qui s’est passé, et comment enfin il
rce que vous pouvez tout sur lui. C’est à vous à vous consulter, vous savez tous mes crimes, mais vous connaissez mon complic
ité de secourir une dame innocente, et me promit d’aller la voir pour savoir d’elle-même ce qu’il pouvait faire pour son servi
it agir ses amis avec tant de vivacité, et Sainville lui-même, qui ne savait pas qu’il travaillait pour sa plus mortelle ennem
aintes en Justice des insultes qu’elle en a reçues. Mes tantes qui ne savent point les raisons de l’obstination de ma mère ni
notre discrétion donne gain de cause, et qui peut-être ignore que je sache toute sa vie, et les sujets que j’ai de me plaind
ante, que sa mère a prié de l’accompagner, qui en partant de Paris ne savait pas elle-même où sa nièce allait, ni où elle la l
procès de la baronne uniquement pour faire plaisir à cette dame qu’il savait y prendre intérêt. L’agréable Française interromp
s partîmes quatre jours après le départ de Silvie. Cependant Deshayes sut que son épouse était sortie de Paris ; mais suiva
es bien du temps, qui donna à Deshayes celui de nous joindre. Nous ne savons point par quel moyen il a su la route que prenait
hayes celui de nous joindre. Nous ne savons point par quel moyen il a su la route que prenait son épouse, mais enfin il l’
quel moyen il a su la route que prenait son épouse, mais enfin il l’a su , puisqu’il l’a suivie et trouvée. Il arriva hier
oupe-jarrets nous ont laissés, n’ayant pas osé passer plus loin. J’ai su qu’outre que Sainville est bien blessé, son valet
ns l’hôtellerie d’où vous avez eu la générosité de nous retirer. Vous savez , Monsieur, continua-t-elle en parlant toujours au
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
n fils et Angélique sa bru demeurent avec elle, et celle-ci a si bien su s’en faire aimer, que lorsqu’elle est partie pour
assurément pas, quelque sollicitation qu’on emploie auprès d’eux. Que savez -vous, dit-il, si on n’a pas quelque intérêt caché
non pas elle, qu’on voulût voir, reprit-il, qu’en diriez-vous ? Je ne sais point répondre à un pareil compliment, dit-elle,
ir, et que vous êtes la plus aimable fille que j’ai jamais vue. Je ne sais point, Monsieur, lui dit-elle, quelle différence
te d’attendre Mademoiselle de Vougy, je ne suis venu que lorsque j’ai su qu’elle était sortie ; et un moment avant son ret
mme de votre rang a pour une fille du mien, la déshonore quand il est su , ou le déshonore lui-même quand il s’y abandonne
mais il la retint. Arrêtez, lui dit-il, ma chère Angélique ; vous ne savez qu’une partie de ce que j’avais à vous dire : non
qu’une partie de ce que j’avais à vous dire : non, dit-elle, mais je sais tout ce que vous pensez, et je me le tiens pour d
prit le parti de sortir aussi, sans voir Mademoiselle de Vougy. Il ne savait quelle résolution prendre ; car de l’épouser, il
elle. Elle lui parla pour lors, et lui dit que Mademoiselle de Vougy savait qu’il était venu le jour précédent. Elle ne sait
emoiselle de Vougy savait qu’il était venu le jour précédent. Elle ne sait pas, Monsieur, ajouta-t-elle, le sujet qui vous a
ui donner ce qu’elle vous demande, ou si c’est pour autre chose. Elle sait seulement que vous êtes venu, et si elle n’était
soir même, et ne le trouva pas. Elle parla à Madame de Contamine, et sut d’elle qu’il avait leur consentement en bonne for
prit pas, et ne fit pas même semblant de l’avoir vue, quoiqu’elle lui sût bon gré de sa persévérance, et de la satisfaction
TRE. Voici la sixième lettre que je vous écris, belle Angélique, sans savoir si elle aura un sort plus heureux que les autres.
ette lettre était d’un style à lui faire tout espérer, pourvu qu’elle sût se bien ménager ; elle ne s’oublia pas. Contamine
es larmes, je ne puis vivre sans vous voir, et sans vous parler. Vous savez écrire, reprit-elle, je ne refuserai pas vos lett
ous rendrai auront un prétexte plus honnête. Que dirait-on ici, si on savait , qu’assez bien dans l’esprit de la maîtresse, il
s il ne put lui faire rendre sa lettre ce jour-là ni le lendemain. Il sut enfin que sa mère était malade, et qu’elle était
t ; elle nous a avoué à Mademoiselle Dupuis et à moi, qu’elle n’avait su quel parti prendre, et qu’elle ne se serait pas d
recevoir d’honnêtes gens. Contamine alla la voir le lendemain, et lui sut bon gré de ce changement ; il l’en remercia. Elle
re en sera mieux servie, et je ne tremblerai plus pour vous. Elle lui sut bon gré de prendre garde à tout ; et quoiqu’elle
ec peine ; mais à condition que pour que ses visites ne fussent point sues , crainte du scandale, il ne viendrait que le soir
eut autant de joie que si elle avait été la sienne. Angélique lui en sut bon gré. Il demanda à cette femme si elle pouvait
on de manger avec elle ; honneur qu’elle n’aurait jamais espéré. Elle savait ses présents et sa charité pour elle, ce qui n’av
e un mariage avec votre fille, et moins encore qu’elle y consente. Je sais qu’elle a résolu de me marier, je parerai le coup
ous le propose encore. Votre garde ignore qui vous êtes, qu’elle n’en sache jamais rien, et servez-vous d’elle, jusques à ce
vous donne peut vous faire trouver un bon parti : pourvu que je vous sache heureuse et contente, il me semble que je le sera
e petit transport, que [de] tout ce que vous auriez pu me dire. Je ne sais , dit-elle toute honteuse, si j’ai bien ou mal fai
ite pluie qui survint leur fit lier conversation. Mademoiselle Dupuis sut de l’autre qu’elle prenait le chemin du faubourg
s bien vous parler un moment, lui dit votre commère toute étonnée. Je sais ce que vous voulez me dire, répondit Angélique en
que pour vous préparer à ce que je veux vous dire, et que vous voulez savoir . Mademoiselle Dupuis le lui promit. Elles changèr
nse, c’est que vous êtes avantageusement mariée, sans que personne en sache rien. Je vous promets le secret si vous me jugez
te. Elle n’apprit rien qui ne cadrât à ce qu’elle lui avait dit. Elle sut qu’elle ne sortait jamais que pour aller à l’égli
pliment bref de cette dame, qu’elles ne connaissaient point. Elles ne savaient qu’en penser, surtout de la confusion où leur par
osse qu’il n’était pas plus de sept heures du matin ; mais comme elle savait que Mademoiselle Dupuis vivait avec toute sorte d
ajouta-t-elle, elle est votre parente et votre amie ; au nom de Dieu sachez ce qu’on pense de moi. Je ne demande pas que vous
ut étonnée lorsqu’elle la vit si matin, et plus encore lorsqu’elle en sut le sujet. Voulez-vous sauver la vie à Angélique,
vous demande en grâce la permission de venir se jeter à vos pieds. Je sais son innocence… Mademoiselle, interrompit Mademois
esse, reprit Mademoiselle de Vougy, va être extrêmement étonnée de la savoir si sensible sur le point d’honneur. Elle l’est po
it encore plus auprès de la princesse. Elle lui conta tout ce qu’elle savait d’Angélique, mais comme en étant persuadée elle-m
élique, mais comme en étant persuadée elle-même, elle ajouta qu’on en saurait davantage de sa propre bouche ; que cependant ell
se lui permit de venir, et ajouta qu’elle était très satisfaite de la savoir si sensible sur le chapitre de l’honneur ; que ce
que ce que j’ai dit ne fasse aucune impression sur votre esprit. J’en sais le contraire, et je serais fâchée de lui faire to
une servante telle qu’Angélique lui avait toujours paru : car elle ne savait point encore qu’elle fût née demoiselle. Elle fit
t de sa complaisance, y était revenu dès le matin, dans le dessein de savoir à quoi elle se serait enfin déterminée. Il voulai
le reste de la journée dans son lit ; et les deux sœurs qui pour lors savaient ses aventures, et qui avaient rendu témoignage de
us deux le lendemain après-midi. Il vint la voir [le soir] même, pour savoir de quelle manière tout s’était passé chez la prin
de cette fille, et j’eus impatience qu’elle en fût de retour pour en savoir la réussite, et ce qu’il en pourrait arriver. Con
la princesse de Cologny. Elle le fit entrer. Il lui dit qu’il venait savoir d’elle à quelle heure la princesse pourrait venir
ntilhomme d’entrer un moment. Elle se fit promptement habiller, ayant su de lui que Madame de Cologny était visible, elle
avait découvert, et très satisfaite de son respect. Elle avait envoyé savoir en s’habillant, dans quel état il se trouvait. On
et son agitation. La princesse, ayant été avertie qu’elle venait, lui sut bon gré de sa civilité. Elle alla au-devant d’ell
t ce qui se disait, et ce n’est que de Mademoiselle de Vougy que nous savons le commencement de cette scène. J’avoue, dit Mada
ire lever. La princesse qui sortit dans ce moment de son cabinet, lui sut bon gré de son action. J’aime, lui dit-elle, en l
’aime, lui dit-elle, en la relevant et en la baisant, à voir que vous savez vivre. Je suis très satisfaite de cette démarche,
accepter son reliquaire qui était un présent de princesse. Elle avait su de Mademoiselle de Vougy que Contamine l’avait fo
secret de se faire aimer de tout le monde, et que qui que ce soit qui sait son histoire, ne porte envie à sa fortune, parce
tement ses intérêts. Voilà poursuivit Des Ronais, ce que vous vouliez savoir de Madame de Contamine, sur quoi je vous laisse l
ne, sur quoi je vous laisse la liberté de moraliser. Je voudrais bien savoir moi, de quelle manière Mademoiselle Dupuis se tir
’heure est prise pour demain, serez-vous d’humeur d’y venir ? Je n’en sais rien, répondit Des Ronais. Vous n’en savez rien,
’humeur d’y venir ? Je n’en sais rien, répondit Des Ronais. Vous n’en savez rien, répliqua Des Frans en riant ? La réponse es
vez rien, répliqua Des Frans en riant ? La réponse est honnête ! Mais sachez que si vous ne me promettez pas d’y venir, et si
ez donc enfin mon cousin, reprit Dupuis parlant au conseiller ? Je ne sais ce qui en sera, dit celui-ci, en riant ; mais vot
nterrompit Des Frans ; ne voyez-vous pas bien que le pauvre garçon ne sait pas ce qu’il veut lui-même. Après cela ces trois
ne veux pas la devenir, vous en avez trop souffert. Contentez-vous de savoir que la lettre qui vous a rendu fou à courir les c
était à Mademoiselle Dupuis qu’il devait sa rencontre ; et si j’avais su poursuivit-elle, que vous eussiez dû y être, Mons
e autre fois vous vous éclaircirez ensemble ; présentement dînons, et sachons les aventures de Monsieur de Terny ; celles de Mo
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
ns mon cœur le regret d’avoir été la cause innocente de sa mort. Vous savez que je suis pour mon malheur fils unique d’un hom
ait pu lui faire faire ; et elle les faisait uniquement parce qu’elle savait qu’elle me faisait plaisir. Elle était sans réser
e parti fut accepté, et la société se noua. Nous étions huit joueurs, savoir les deux aînées, deux demoiselles du voisinage, e
ns faire paraître aucun dessein. Cependant je voulais m’expliquer, et savoir ce que je devais devenir. Je l’aimais trop pour r
es perdre : je m’approchai d’elle. Eh bien, Mademoiselle, lui dis-je, saurai -je aujourd’hui ce qu’il vous plaît que je devienn
je, saurai-je aujourd’hui ce qu’il vous plaît que je devienne ? Je ne sais , me dit-elle, ce que vous deviendrez ; mais pour
ue je ne devais pas juger moins favorablement de sa vertu. Qu’elle ne savait par quelle force elle avait été entraînée, qu’ell
sé que nous eussions le temps ; parce que, dit-elle, s’il venait à le savoir , supposé encore qu’il se trouvât quelque ecclésia
t, lorsqu’il lui dit que mon père était mécontent d’elle. Elle voulut savoir en quoi ; car il est certain que lorsque nos acti
dit-elle, de bien des choses que je n’avais point encore vues. Je ne sais si Monsieur votre fils a quelque attachement chez
de vous parler de mes affaires. Il a été d’une société de jeu ; je ne sais point d’autre sujet qui le fasse venir chez moi.
jour même. Ce qu’ils disaient m’étant indifférent, je me retirai sans savoir quel parti prendre. D’aller chez elle, je savais
, je me retirai sans savoir quel parti prendre. D’aller chez elle, je savais le compliment qui m’attendait. De n’y pas aller,
oiselle ; la constance que je vous ai jurée, va m’être nécessaire. Je sais le compliment que Mademoiselle votre mère me prép
de Monsieur Des Prez, que vous savez bien que je dois ménager. Je ne sais point le motif qui vous y a poussé, mais je sais
e et si choisie que notre société. Je la quitte pourtant sans vous en savoir mauvais gré : je sais que vous y êtes contrainte.
e société. Je la quitte pourtant sans vous en savoir mauvais gré : je sais que vous y êtes contrainte. Je vous proteste que
tout le reste. C’est, lui dis-je, de nous marier sans que personne le sache que le prêtre et les seuls témoins qui nous seron
, poursuivis-je, il s’agit de nous marier sans que qui que ce soit en sache rien. Elle est pupille, mais moi je suis en âge.
e ? De vous marier à l’Officialité, encore pis ; Monsieur Des Prez le saurait dès le jour même. Pour la chambre, c’est une baga
ccoucher dans la même chambre, où nous nous serons vus auparavant. On sait prétexter un voyage à la campagne, ou une retrait
emme et à moi, vous n’y serez jamais mêlée, et que qui que ce soit ne saura jamais que vous nous aurez prêté la main. Je l’es
vé une femme d’intrigue, et de l’avoir mise dans mes intérêts. Je fis savoir à Mademoiselle de l’Épine ce que j’avais fait, et
à ceux qui en avaient manqué. Il me cita assez mal à propos ce qu’il savait de l’Écriture et de l’Histoire, le tout comme des
cité là de bonne foi de part et d’autre. Je lui fis connaître que je savais à quoi le mariage engageait, et que si je ne m’y
ndrait la déclaration de ma pure et franche volonté. Bien loin de lui savoir mauvais gré de toutes ces précautions, je l’en re
ssit ; car dès le lendemain, je trouvai la chambre très propre. Je ne savais comment m’y prendre pour instruire Mademoiselle d
s autant pour le lendemain, si elle n’y avait pas manqué ; ce qu’elle saurait par la réponse. Je m’informai de quelle manière e
re bonne foi ? Oui, je l’espère, reprit-elle ; et puisque vous voulez savoir comment, il faut vous le dire. Je ne veux pas qu’
s voulez savoir comment, il faut vous le dire. Je ne veux pas qu’elle sache ce que nous traitons présentement ; mais quand ce
lle, continua-t-il, parlant à elle, vous vous donnez à Monsieur. Vous savez à quoi une honnête femme est obligée, mais outre
in, qui me voyant avec un prêtre et un religieux, eut la curiosité de savoir ce que nous disions. Il vint auprès de nous et no
sieur, me dit-il, vous pourriez plus mal employer votre temps ; je ne savais pas que vous fussiez si honnête homme. Je ne répo
poir ; mais je me trompais, c’était tout le contraire. Je n’ai jamais su ce que les religieux lui avaient fait, surtout le
souper, il ne parla d’autre chose, et les déchira terriblement. Je ne sais point le sujet de haine qu’il avait contre eux ;
e voulais absolument me faire capucin, et que c’était pour qu’on n’en sût rien, que j’avais envoyé mon laquais. Voilà le fo
endre. Souviens-toi de ce que je te promets. Je suis de parole, et je saurai si tu m’obéiras. Il ne m’en fallait pas tant dire
ia, et les fit certifier par quatre personnes qui étaient du secret ; savoir notre hôte, deux marchands qui demeuraient proche
d’elle. Elle était venue en robe avec un simple petit corset ; je lui sus bon gré de cette négligence. Quoique nous fussion
que j’y étais, n’avait garde de la voir ni entrer ni sortir. Quand je savais qu’elle était dans sa chambre, ce que je connaiss
modité plus tôt. Elle l’eut dès le lendemain ; il fallait me le faire savoir dans le moment. J’étais sur le rempart à me prome
oint parler de l’aventure, et je les payai de leur peine. Mon père le sut dès le soir même. Il avait eu la curiosité de dem
es messieurs, qui fréquentaient toujours chez elle, de me voir, et de savoir de moi si j’avais lieu de me plaindre d’elle. Cet
is-je en l’interrompant ; je ne veux pas que qui que ce soit qu’elle, sache les termes où nous en sommes ; encore n’en saurai
que ce soit qu’elle, sache les termes où nous en sommes ; encore n’en saurait -elle rien si j’en étais cru. Eh bien, dit-elle en
qu’elle en garde le secret. Vous voulez absolument que votre mère le sache , repris-je, c’est malgré moi. Je crains fort que
s un endroit d’où ma femme pouvait entendre tout ce que nous dirions. Savez -vous Mademoiselle, lui dis-je, en me mettant aupr
us envoyer quérir et de ne vous pas attendre ? Non, Monsieur, je n’en sais rien ; le savez-vous, dit-elle ? Oui, Mademoisell
ir et de ne vous pas attendre ? Non, Monsieur, je n’en sais rien ; le savez -vous, dit-elle ? Oui, Mademoiselle, répondis-je,
e mon père, qui avait de l’honneur et de la probité, bien loin de lui savoir gré de son lâche et indigne sacrifice, la regarde
entreprenait rien contre ma femme et contre moi. Que pour sa fille je saurais fort bien la sauver de la colère de mon père, en
tout à fait. Mais Monsieur, me dit-elle, si Monsieur Des Prez vient à savoir ce qui en est, car je n’en suis fâchée qu’à cause
chose assez éloignée, je ne laissai pas de me troubler au point de ne savoir que lui répondre. Je tirai mon mouchoir pour cach
jours : que ses sœurs et son frère sachant qu’elle était mariée sans savoir à qui, bien loin d’en être scandalisés, avaient t
gard ; et n’en ayant été averti par personne, parce que personne n’en savait rien ; je me livrai moi-même au coup mortel qu’il
ur être autorisé, et le fit si secrètement, qu’aucun de ses gens n’en sut rien. Il dîna en ville, et ne revint que le soir,
ré moi. Je ne me fis pas prier davantage. Je défis cet habit, et j’ai su depuis, qu’on en avait revêtu un archer de ma tai
, et le laquais du logis étaient montés en haut. Elle monta donc sans savoir ce qui se passait. Tout le dépit et toute la colè
ssement, elle s’était trouvée sur un méchant lit, dans un lieu (je ne sais comment le nommer) dans la compagnie et au rang d
s ensemble, je me suis évanoui dessus ; je ne puis plus y aller. J’ai su que sa mère avait emporté un billet qu’elle avait
it Dupuis, de quelle manière Des Prez me conta son histoire, et je ne sais point lire dans les yeux d’un homme, si sa douleu
s’en justifier, il aurait fallu tout déclarer, et qu’ainsi on aurait su que son père était en partie cause de sa mort, pa
qu’au soir, et d’obliger leurs maris de venir les chercher à minuit ? Savez -vous bien, lui dit-il, que je commence à être las
. J’ai promis en effet de vous le dire, reprit Des Frans ; mais je ne sais si je le pourrai, sans quelque vanité qui vous pa
si je le pourrai, sans quelque vanité qui vous paraîtra ridicule. Je sais à présent ce que c’est, sans que vous me le disie
us en parler ; et elle ne les a pas assurément priées de le faire. Je sais combien son secret lui a coûté à dire, et ce n’es
iage ; et je puis vous assurer que vous en êtes la seule cause, je le sais de trop bonne part pour en douter. Mais, reprit D
me. Apprenez de moi, et de l’expérience, poursuivit-il, si vous ne le savez pas, qu’il est bien plus avantageux pour un honnê
milière. Des Frans parla quelque temps seul à Madame de Mongey. On ne sait point ce qu’ils se dirent ; mais on s’aperçut que
ici une espèce d’animal amphibie, poursuivit-elle en riant, que je ne sais comment regarder ; mais soit comme homme, ou comm
que sur un peu de lumière, et beaucoup de soupçon ; mais ce que j’en sais que je lui ai dit à lui-même, en présence de Mons
collier ; mais d’où avez-vous pu le soupçonner : et d’où avez-vous pu savoir le reste ? Et vous, ajouta Madame de Contamine pa
qui m’a trahi ; et je renoncerais au sexe pour toute ma vie, si je ne savais pas qu’il y a dans le monde des femmes dont la ve
rrêtez là votre invective, Monsieur Des Frans, interrompit Dupuis. Je sais , comme vous voyez, beaucoup de vos affaires, sans
dit. Gallouin qui y fait une des premières figures, était comme vous savez , mon intime ami. Il est mort dans un habit de pén
davantage, vous pouvez parler quand il vous plaira : Madame de Londé sait ce que je lui en ai dit, en lui parlant de vous ;
dans l’impatience de vous entendre. Pour moi je vous dirai comment je sais ce que je sais, lorsque je raconterai à mon tour
ce de vous entendre. Pour moi je vous dirai comment je sais ce que je sais , lorsque je raconterai à mon tour mon histoire, c
ine m’y engagea hier. Toute la compagnie avait en effet impatience de savoir une histoire dont le peu de lumière qu’on en avai
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
allait observer. Le directeur en fit ses plaintes à mes oncles. Je le sus  ; je le querellai. Je revins à Paris sans être ma
u’il fallait que j’y fusse, sans donner la peine à un officier (je ne sais si le gredin ne dit pas aussi considérable que lu
vertir : qu’il s’en plaindrait à l’intendant, sans dire Monsieur, qui saurait fort bien m’instruire de mon devoir si je ne le s
Monsieur, qui saurait fort bien m’instruire de mon devoir si je ne le savais pas. C’était ce que je craignais. J’écoutai donc
nvoyai devant lui mon valet prier à dîner avec moi deux hommes que je savais être ses ennemis mortels, il me quitta, et pour a
dait le cœur faible ; effectivement je ne l’ai jamais eu ferme. Je ne sais si cette sœur voulut bien en croire ma parole, ou
point ces façons qui s’observent parmi les précieuses, et celles qui savent assez peu vivre pour faire à contretemps les civi
temps les civiles. Elle y monta d’une manière qui me persuada qu’elle savait le monde, et accorder la modestie de son sexe ave
qualités, comme toutes sortes de belles dans le corps, mais elle les savait si bien déguiser, qu’on la prenait pour tout autr
erait plus longtemps votre santé n’en serait pas fort incommodée. Que savez -vous aussi, lui répliquai-je en riant, si je n’ai
vous trompez : et je me tromperais moi-même si je le croyais. Vous ne savez ni qui je suis, ni qui je puis être. Peut-être su
u, encore n’était-ce que pour aller travailler dans le voisinage ; on savait toujours où elle était. Ses voisines venaient le
ie étaient trop grandes pour être cachées, ma mère en eut le vent. On sut que j’étais amoureux jusqu’à la fureur. Elle ne d
r en parla pourtant pas ; elle fut assez bonne pour me ménager : elle savait qu’on ne gagnerait rien sur mon esprit par la vio
it tout à fait formée, et y avait appris tout ce qu’une fille pouvait savoir  : que quoiqu’elle n’eût vu là que des exemples de
Tantôt je traitais tout cela de fable, tantôt j’y ajoutais foi, et ne savais à quoi me déterminer. Je me ressouvenais qu’elle
ures, lorsque ma mère entra dans ma chambre des papiers à la main. Je sais tout ce que vous avez à me dire Madame, lui dis-j
la conduite de son fils. On lui écrivait par là, qu’on m’avait fait savoir tout ce qui pouvait me dégoûter de Silvie et me l
peut-être Silvie lui avait promis quelque autre chose qu’on pourrait savoir de lui, parce qu’il aimait fort le vin, et que qu
: mais je ne connaissais pas encore tout mon faible : ou plutôt je ne savais pas que mon étoile avait résolu ma perte, et que
is pas que mon étoile avait résolu ma perte, et que j’étais destiné à savoir et à connaître l’horreur du péril qui me menaçait
aire parler ce gentilhomme qui devait être mon prétendu beau-père. Je savais son nom et son adresse ; j’y allai, je le trouvai
. Le marquis de Querville, beau-frère de Monsieur Des Prez, dont vous savez l’histoire, arriva. Comme il avait envie de vendr
me ne demandait pas mieux que de l’épouser. Qu’il était vrai qu’il ne savait rien ni de ses aventures, ni de sa naissance ; ma
ue toujours resté dans un convent avec ma sœur, et qui que ce soit ne sait qu’elle est morte. Et Silvie pour n’être point re
à l’opéra, et soupâmes tête à tête, Rouvière étant allé dormir je ne sais où. Il était fort tard lorsque nous nous quittâme
ire ce qui s’y passa, il est à propos de vous dire que ma mère qui ne savait pas, et qui même ne se doutait pas que j’avais eu
par les motifs qui en sont encore inconnus ; et dont le secret n’est su que de M. le commandeur de Villeblain, de Madame
t ans ; mais il est vrai aussi que Madame de Cranves qui m’en retira, savait qui j’étais, longtemps avant que de m’avoir vue ;
, et que Madame de Cranves les approuvait, sans que qui que ce fût le sût que Madame Morin, parce que nous avions ordre d’e
our entreprendre de venir me trouver la nuit même dans mon lit. Je ne sais comment il s’y prit pour ouvrir ma chambre, sans
loser sur ma conduite, et les assiduités de Garreau, dont personne ne savait le motif. Je le sus par un des valets de pied, et
et les assiduités de Garreau, dont personne ne savait le motif. Je le sus par un des valets de pied, et qu’il lui en avait
Madame de Cranves, par les raisons que je vous ai dites, et que je ne savais point encore, lui disait généralement tout ce qui
seule les ignoriez. Valeran, lui dis-je avec mépris, je voudrais bien savoir de quelle autorité vous vous ingérez de censurer
se de condamnable dans moi, que ne dites-vous à Madame ce que vous en savez , sans en entretenir des gens comme vous, incapabl
avouez que vous êtes un fourbe et un imposteur, ou dites par où vous savez que je me gouverne mal. Y a-t-il encore quelque c
ait peut-être pas empêché que Silvie ne fût autrement vengée. Vous ne savez qui elle est ; croyez-moi, soyez discret sur ce q
peut pas prendre les intérêts d’une fille avec plus de hauteur. Je ne savais pourtant point encore que j’avais l’honneur d’êtr
e lorsqu’elle nous fit entrer dans sa chambre, Madame Morin qui seule savait le secret, Garreau et moi. Ce fut là que j’appris
s que j’avais chez Madame de Cranves. Valeran n’en demeura pas là. Il savait que cette dame avait reçu beaucoup d’argent envir
e sa tante en avait fait ; mais comme qui que ce soit de l’hôtel n’en savait la destination, et que tout le monde savait que M
e ce soit de l’hôtel n’en savait la destination, et que tout le monde savait que Madame de Cranves en avait quantité et de trè
faire faire un vol. Voilà, Monsieur, poursuivit-elle, tout ce que je sais pour ma justification sur ma conduite, où je croi
ouvenir des difficultés que je vous ai faites lorsque vous avez voulu savoir qui j’étais. Ma naissance qui me servirait de lus
nt réussi, mais parce que j’ai manqué de sincérité pour vous. Vous la savez enfin cette naissance ; quoique je n’en sois pas
plus magnifiquement que j’avais pu, elle y prit garde, et parut m’en savoir bon gré. Je la trouvai dans une profonde tristess
, lui dis-je, n’y a-t-il pas moyen de faire taire cet homme ? Je n’en sais point, dit-elle. J’ai été ce matin chez Monsieur
rais comme vous, dit-elle, si je ne le connaissais pas. Mais comme je sais que ce n’est qu’une bête et un brutal, sans espri
e, et d’où il a pu connaître tout ce qu’il écrit : en un mot, je veux savoir quel est le motif de son procédé, quelle en est l
i-même, et en parlant au maître et à la maîtresse de la maison, je ne sais si vous ne vous altérez point à m’écouter ; mais
n qui m’en fit avoir le moyen, et lui-même sans être prévenu, et sans savoir que j’y prisse intérêt, conta à ma mère en ma pré
stique du dernier de la mienne ; répondez précisément et sincèrement, sachez qu’il y va de tout pour vous. Rendez-moi raison à
se jeter dans de grandes explications. Ce n’est pas là ce que je veux savoir , dit-elle, répondez juste ; quelle sûreté avez-vo
oiselle, reprit-il, que ne fait point faire un amour jaloux ? Vous ne savez que trop quels étaient mes sentiments ; et j’étai
mais ; mais enfin c’est le motif de vos avis, je suis fort aise de le savoir . Mais vous par quel endroit avez-vous su que Mada
je suis fort aise de le savoir. Mais vous par quel endroit avez-vous su que Madame Morin et moi nous fussions informés de
Mademoiselle, de vous satisfaire là-dessus. Non, dit-elle, je veux le savoir absolument. Eh bien, Mademoiselle, reprit-il, il
on, qui fut assez longue, pour rejoindre Rouvière dans l’intention de savoir ce qu’ils traitaient si secrètement ensemble à un
, sitôt que vous montrerez que vous en serez capable. Voilà ce que je sus d’elle qui ne m’étonna point (au contraire j’en p
Valeran tomba sans dire une parole : pour Rouvière il se sauva, je ne sais où, je n’en ai point entendu parler depuis. Ce fu
après sa mort que s’il n’avait jamais été en vie. On ne put pas même savoir le nom de celui qui l’avait tué, tant il avait bi
’en fit. Vous vous trompez, interrompit Des Ronais en cet endroit, je sais la vie de Rouvière presque par coeur, il est mort
a empêché qu’on ait fait le procès à sa mémoire ; à cela près, on en sait tout ce qu’on en peut savoir. Sa vie n’a été qu’u
e procès à sa mémoire ; à cela près, on en sait tout ce qu’on en peut savoir . Sa vie n’a été qu’une suite de traverses et de m
ternelle, vous me dispenserez de vous en rapporter aucune. Je lui fis savoir le jour de mon arrivée, elle vint au-devant de mo
ise. Heureusement je sauvai la bague que Silvie m’avait donnée. Je ne sais comment, ce fut manque de jour. Mon postillon eut
’écrivis à Silvie, et la priai de m’en envoyer, et je fis bien. Je ne sais pourquoi ma mère n’a jamais aimé à garder d’argen
se : RÉPONSE. Votre malheur m’a vengée de votre dureté. Bien loin de savoir mauvais gré aux bandits qui vous ont volé, je les
t profiter de ce temps-là, si nous voulions que qui que ce soit ne le sût , et surtout ma mère, qui n’aurait garde de croire
nse des bans et des autres formalités. Elle était obtenue, mais je ne savais pas si le mariage ayant été retardé, on pouvait e
Dans cette intention pendant le repas je lui parlai de son voyage, et sus qu’il n’était arrivé que le jour précédent. Je n’
dre service si je le pouvais : car je la considère beaucoup, et si je savais où elle demeure présentement j’irais la voir. Ell
n n’avait pas pris soin de l’instruire de sa méchante conduite, je ne sais pas ce qui en aurait été. Vous me surprenez, Mada
ort puissants, qui veulent faire semblant de l’ignorer, quoiqu’ils le sachent fort bien, puisqu’on leur a dit et prouvé en ma p
it et prouvé en ma présence, et que Silvie elle-même ignore qu’ils le sachent  ; et vous jugeriez que pour la naissance, vous en
lement impossible que vous en trouviez jamais autant qu’elle en a. Je sais par moi-même ce qui en est, et je le crois ; mais
et que j’avais gardés, dans le seul dessein de les lui montrer, pour savoir si ce qu’il m’en dirait cadrerait avec ce que Sil
bien je prendrais d’autres mesures. Non, Monsieur lui répondis-je, ne sais quel il est, et je ne garde ces papiers-là que co
ntre la tentation. Eh bien, reprit-il, il faut vous en dire ce que je sais de certain. La réputation d’une fille comme Silvi
ux vivants, qui néanmoins me pardonneront mon indiscrétion lorsqu’ils sauront qu’il y va de la réputation d’une fille de leur s
 ; je parlerai dès demain à Silvie ; et j’irais dès aujourd’hui si je savais la trouver. Vous en ferez ce qu’il vous plaira, l
je faisais ; écris ce que je te vais dicter, lui dis-je. Elle voulait savoir ce que c’était, mais je la fis écrire ce billet-c
à ce que je vois, l’affaire est faite, sans que Madame votre mère le sache . Oui, Monsieur, elle l’est, repris-je ; et non se
e ; et non seulement ma mère, mais qui que ce soit de ma famille n’en sait rien. Vous avez connu les raisons que j’ai eues d
oquin avait écrits à ma mère. Je vous ai dit devant ma mère que je ne savais qui il était ; ma femme m’a dit que c’était le mê
on de tant de côtés que je l’ai fait tomber sur Silvie : non pas pour savoir si elle ne m’avait point imposé ; je n’ai jamais
car je vous avoue franchement que cela m’inquiète ? Je voudrais bien savoir aussi comment s’est fait votre mariage ; et enfin
ec le scélérat de Valeran. Il nous témoigna avoir beaucoup de joie de savoir comme tout avait été. Il loua la conduite de Silv
ité non seulement par elle ; mais par d’autres très dignes de foi. Je sais , poursuivit-il, tout ce qu’on peut savoir, et ell
autres très dignes de foi. Je sais, poursuivit-il, tout ce qu’on peut savoir , et elle est par tout également innocente. Je ne
de mon auditoire. Ma mère donc lui témoigna qu’elle aurait bien voulu savoir ce qui en était. C’était où il l’attendait. Il pl
que vous feriez. Je n’ai qu’un fils unique qui se marie sans que j’en sache rien : le coup est déjà très sensible pour une mè
son père à qui j’en ai parlé ? Je m’en suis expliquée avec eux : ils savent que c’est la cause pour laquelle je l’ai si promp
it si subtil me paraît dangereux et me fait peur. C’est à mon sens en savoir trop, et en entreprendre trop pour une fille qui
ût-il que cet article seul, je ne la prendrai jamais chez moi. Je lui sais bon gré de l’amour qu’elle a pour mon fils. Elle
ue toi de toute ta famille : ainsi je ne me soucie pas que tes oncles sachent que je suis ta femme. Ils ne me connaissent pas,
gard de ta mère je suis fort contente de son procédé envers moi. Elle sait que je suis à toi par un sacrement, cela suffit p
sion à la belle Madame de Mongey, qui effectivement avait rougi, nous savons tout ce que vous avez fait, il est inutile à prés
 ; ce qu’elle en entendait dire augmentait sa curiosité. Elle voulait savoir si son esprit répondait au reste ; et quoiqu’elle
uoiqu’elle fût persuadée qu’elle en avait infiniment, elle voulait le savoir par elle-même. Monsieur le commandeur de Villebla
mon amour offensé dans un endroit si sensible. Un moment après je me savais bon gré de ma modération, qui épargnait ma réputa
gne de mes embrassements, et de l’enlever à son amant, sans qu’il pût savoir d’où viendrait le coup. Dans ce dessein je lui éc
à ma mère que je voulais me dérober aux rigueurs de la Justice. Elle savait que la querelle venait de moi ; elle se douta qu’
’allais devenir. Je lui dis des suppositions qu’elle approuva ; et se sut bon gré de ce que mon infâme mariage n’était su d
lle approuva ; et se sut bon gré de ce que mon infâme mariage n’était su de personne. Je lui dis que je ne retournais en p
joie dont j’étais capable. Elle me tirait d’un grand embarras, je ne savais que faire de cette femme. J’avais résolu de l’enf
lle fût ma femme, parce que les gens qui me cherchaient pourraient le savoir et la faire suivre pour me découvrir. Tout cela f
rt belle fille à Paris qui venait me trouver, sans que ses parents en sussent rien. Qu’il ne fallait pas que j’allasse la trouv
que le hasard pourrait m’offrir. Mais comme je voulais être seul qui sût qu’elle était chez moi, je congédiai le valet qui
inge, ses dentelles, et enfin tout ce qui pouvait la parer, et que je savais qu’elle aimait. Je la fis revêtir à sa manière or
propre. Je vis bien que son dessein était de me rengager : je lui en sus bon gré dans le moment ; après je regardai cette
rti en fureur peut vous conseiller de plus cruel ; pourvu que je vous sache auprès de moi, mon supplice ne me jettera pas dan
Sa fille de chambre y était encore, qui la pleurait toujours, et qui savait tout, lui en ayant dit une partie, et Silvie le r
Schomberg, je liai connaissance avec Monsieur de Jussy que voilà ; il sait la triste vie que j’y ai menée. J’y reçus il y a
interrompit Contamine ; et il est certain que mon déshonneur n’étant su de personne, j’aurais espéré ne m’en point repent
ne vous souhaite aucun mal. Dieu qui connaît l’intérieur de mon cœur, sait que je ne lui demande pour vous que des bénédicti
admire bien plus le génie universel des femmes, dit Contamine ; je ne sais si je dois dire ce que j’en pense devant Monsieur
demain chez Des Ronais qui les pria tous à dîner. Madame de Londé qui savait que Dupuis qu’elle allait épouser, y devait faire
le. Eh bien, dit Des Frans à son ami, sitôt qu’ils furent seuls, vous savez à présent mon histoire, me conseillez-vous encore
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
qu’elle mourut, il y a environ quatre ans et demi. Dupuis, comme vous savez , était homme d’épée, qui avait beaucoup couru le
et le plus souvent pour le couvrir du manteau de sa charité. Il faut savoir qu’il demeurait auprès de chez elle un fort honnê
u’elle avait fille. Que si elle ne se conformait pas à sa volonté, il savait fort bien que ce qu’il avait de bien était à lui.
Qu’elle ne pouvait lui demander que celui de sa mère, qui comme elle savait elle-même, ne lui avait jamais apporté de quoi fa
mais qu’il n’avait compté de son bien avec personne ; qu’ainsi on ne savait s’il y aurait plus d’un côté que d’autre ; et que
s se mettre lui au hasard de dépendre d’elle, ni de son gendre. Qu’il savait fort bien que pour amener un père au but, les enf
qui la porterait au mal, mais le seul plaisir des sens. Qu’à cela il savait un remède infaillible, qui était de ne la point q
et des billets doux, il les laisserait volontiers courir, parce qu’il savait fort bien que ce n’était pas là ce qui multipliai
j’en ai entendu conter l’histoire par un Parisien à Lisbonne. Il n’en savait peut-être que le bruit commun, reprit Des Ronais,
en savait peut-être que le bruit commun, reprit Des Ronais, Dupuis la sait d’original, il faudra l’engager à la dire ; elle
d’elle, et la première fois qu’on me parlera de la marier, et que je saurai que cela viendra d’elle, ou la première sottise q
me reste, et où j’aurai le bonheur de mourir avec tranquillité. Je ne sais s’il poursuivit ; sa fille qui se retira bien mor
erait jamais, vécût-il cent ans. Dieu m’en préserve, repris-je. Je ne sais de quel air je dis cela, mais le confesseur et Ma
ic et moi soyons contents de votre conduite. Vous me connaissez, vous savez que le ton pédagogue n’est point mon caractère. J
Je le prenais d’un ton si haut, et j’étais tellement animé, que je ne sais si je ne lui aurais point dit d’injures ; mais el
out ce que j’avais dit à son père, et ce qu’il m’avait répondu. Je ne sais que vous dire, me dit-elle, je suis plus embarras
point me marier de sa vie. À l’égard de l’amant qu’il me donne, je ne sais sur qui jeter les yeux. Je n’ai vu personne depui
que comme un enfant. Si son père a parlé au mien, c’est ce que je ne sais point, en tout cas, il y a là-dessus un bon remèd
effet il nous fut impossible d’en tirer davantage. Du Pont le père ne savait qu’en penser, le fils était au désespoir de voir
, Monsieur, lui dis-je, que je songe à Mademoiselle votre fille, vous savez que je ne lui suis pas indifférent. Vous faites v
d’une manière fort généreuse environ un mois après. Il faut que vous sachiez que j’avais eu l’agrément pour la charge dont je
ès rare. J’étais donc dans une peine qui ne se peut comprendre. Je ne sais pas où Dupuis l’apprit, puisque je n’en avais rie
l’apprit, puisque je n’en avais rien dit à sa fille, et qu’elle ne le sut que lorsqu’il l’envoya chez moi. Il emprunta de l
s le moins, je la vis entrer chez moi. Elle me dit que son père ayant su que j’avais besoin d’argent comptant, m’envoyait
rdre de lui de me dire, que si cela ne suffisait pas, je le lui fisse savoir , qu’il répondrait pour moi partout, et qu’il me t
y chercher, et les choses pourront s’accommoder ; mais il est bon de savoir , si, lorsque vous avez fait avec elle votre premi
de faire dire la messe chez lui. Il alla partout où il voulut ; je ne sais pas comment il s’y prit, mais en moins de quatre
aut lui en donner la peur, puisque vous le pouvez. Tous les huissiers savent que vous avez un décret contre elle, elle le saur
ous les huissiers savent que vous avez un décret contre elle, elle le saura bientôt elle-même, laissez-la venir, elle se rend
e avec elle, ce que j’entreprenais toujours avec les autres. Ainsi je sais par moi-même, qu’on agit toujours autrement avec
as été aussi innocents que ceux que vous avez passés chez moi ? Je ne sais ce qui en eût été, répondis-je, mais je crois que
de la confiance aux gens, elle s’abandonne à leur conduite ; et Dieu sait où vous l’auriez menée. Mais quel plaisir prenez-
son préservatif : eh qui vous presse, poursuivait-elle en riant ? Ne savez -vous pas bien trouver ailleurs ce qu’il vous faut
blesse qui y était, et que la seule approche de la mort en chasse. Je sais que vous l’aimez véritablement, je ne saurais la
e de la mort en chasse. Je sais que vous l’aimez véritablement, je ne saurais la remettre en de meilleures mains que les vôtres
evait laisser passer quelque temps. Cette raison était faible, chacun savait ce qui en était, cependant je la pris pour bonne.
comme cette adresse était au-dessous, j’y lus le nom de Gauthier sans savoir en quelle ville. Cette adresse était de sa main,
tais, un facteur avec deux lettres pour elle. Sa femme de chambre qui savait l’état où nous en étions, me les laissa prendre.
in qu’elle avait pris de me cacher une adresse à un nom pareil. Je ne savais que dire, ni que penser. Vous êtes sans doute en
e ne savais que dire, ni que penser. Vous êtes sans doute en peine de savoir ce que chantait cette lettre, il est juste de vou
e n’est qu’elle me laisse en repos. Elle n’est point mariée, et je ne sais ce qui peut l’en avoir empêchée ; car outre son G
pouvais tirer, était de les mépriser l’un et l’autre. À présent je ne sais ce qu’elle veut vous dire, mais je sais bien que
us scélérate fille qui soit au monde, puisque Silvie est morte. Je ne sais ce qu’il peut y avoir, reprit Des Ronais. Je vous
ersation tombe sur moi, comme je n’en doute pas, faites en sorte d’en savoir la vérité. Un regard fixe qu’elle jeta sur moi av
’autant de temps qu’il m’en faudra pour m’instruire de ce que je veux savoir  ; car franchement j’ai besoin de repos, n’ayant p
Je suis lasse de me tourmenter inutilement ; faites-nous la grâce de savoir de lui quand il veut que je me justifie, ce sera
en ayez, vous ne vous imaginerez jamais qui je suis à présent. Je ne sais point ce que vous êtes à présent Madame, reprit-i
ité ? Oui Monsieur, répondit cette dame, c’en est une ; tout le monde sait ce que j’ai été autrefois, et je m’en souviendrai
bien, reprit l’aimable Dupuis, retournez chez Monsieur Des Ronais, il sait l’histoire de Madame, elle a bien voulu la lui di
is fâchée que Monsieur Des Ronais dise à Monsieur Des Frans, ce qu’il sait de moi, reprit cette dame, et si j’étais fâchée d
t de moi, reprit cette dame, et si j’étais fâchée de ce que quelqu’un sait mes affaires, ce serait de ce qu’il les sait lui-
chée de ce que quelqu’un sait mes affaires, ce serait de ce qu’il les sait lui-même, sans avoir voulu me laisser voir clair
ement que vous m’appreniez l’histoire de Madame de Contamine. Vous la savez d’elle-même, et elle et votre maîtresse vous char
me dites là tant de choses à la fois, répondit Des Ronais, que je ne sais par où je commencerai pour satisfaire. Comment se
chant rien de plus. Demain vous saurez le reste et j’ai fort envie de savoir l’histoire de Madame de Contamine, et comment une
tel changement ne surprendrait pas. Il a surpris tous ceux qui l’ont su  ; et ce qui étonne encore davantage, c’est qu’ell
t encore vrai que quoiqu’elle le désespérât par ses froideurs, il lui savait bon gré dans le fond de l’âme, d’en agir avec lui
ez m’entendre, vous allez apprendre l’histoire que vous avez envie de savoir . Vous saurez cependant, avant que de la commencer
fort aise que Monsieur Dupuis, Madame de Contamine, et ma commère la sachent aussi, elle pourra servir à la réconciliation de
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
e de dix-huit ans, comme je l’ai été après avoir perdu mon père. Vous savez , poursuivit-il parlant à Des Frans et à Des Ronai
ventures, sinon plus sérieuses, du moins de plus de conséquence. Vous savez quelle est ma famille, et que je n’ai jamais eu q
s pâtés avec elle. Je me souviens fort bien que je lui dis qu’elle ne savait pas à quoi elle s’engageait de promettre à déjeun
j’étais au coin de sa rue, je vis mon frère entrer dans un lieu où je savais qu’il ne demeurait que des filles d’une vertu fac
toujours sur Monsieur son fils qu’elle me proposait pour modèle. Elle savait que j’allais quelquefois chez la Martinière, qui
oi boire à ma santé. Cet homme fit quelque difficulté ; mais comme je savais qu’il était un des espions de ma mère, je le mena
e feu, il ne le fit pas ; au contraire, il se mit à rire aussi. Je ne sais ce qu’il put dire en particulier à mon frère, mai
ite. Nous nous séparâmes mal à propos, chacun prit de son côté. Je ne savais où j’étais, et je pensai me casser le cou contre
s, et que j’eus pris l’air, je me mis à courir de toute ma force sans savoir où, et j’allai justement me fourrer dans un enter
ire. Il ne me connaissait pas, mais il connaissait mon nom. Il voulut savoir si je lui disais vrai, il alla lui-même chez ma m
il avait joué sans avoir de quoi payer comptant. Le pauvre diable ne savait où il en était, les hommes étaient ses parties et
urément passent la nature. Pour moi je vous avoue que je ne voulus en savoir aucun, n’ayant nul goût pour ces sortes de choses
chose de criminel ; il n’en était rien, mais je voulus le croire. Je sus un jour qu’il était chez elle ; elle ne m’avait p
e votre vie, si je suis assez sincère pour les déclarer : par là vous savez que vous avez intérêt de me ménager ; cependant v
Ne me souciant pas fort d’elle ni de son amant, je contai ce que j’en savais à quiconque voulut m’entendre. Cela donna à rire
tage. Je me découvris à Gallouin qui me tira promptement de peine. Il savait le contrepoison, et sans que j’y parusse, il mena
J’ai une vache qui m’en fournit plus qu’il m’en faut, répondit-elle. Savez -vous le faire cailler, repris-je ? Assurément, di
vez-vous le faire cailler, repris-je ? Assurément, dit-elle, et si je sais faire aussi du beurre et du fromage. Ne le laisse
me déclarai. Cela vint au sujet de la sœur aînée qui se mariait. Vous savez qu’elles étaient trois sœurs, qui toutes trois on
irer un honnête homme. Je disais cela d’autant plus facilement que je savais que Célénie ne l’aimait pas ; et qu’outre cela el
 ; êtes-vous content des épithètes, ajouta-t-il en riant ? Je la veux savoir , dit Madame de Contamine. Volontiers, Madame, dit
certain aussi que je ne me mettais pas en peine de mieux faire. Elle sut que j’avais fait faire cette demande, et le sut j
de mieux faire. Elle sut que j’avais fait faire cette demande, et le sut justement comme mon frère était à Paris. Nous log
ble. Je lui dis que ma mère ne devait s’en prendre qu’à elle. Qu’elle savait fort bien que toute l’obligation que je lui avais
t de notre intérêt de cacher ce qui en était, parce que si sa mère le savait , et qu’elle connût qu’il m’était impossible de me
son neuvième mois, je la menai chez une sage-femme fort habile, pour savoir à peu près le temps qu’elle serait délivrée de so
ce que je vais vous dire, si je n’en avais été témoin oculaire. Vous savez où Célénie demeurait, je vous ai dit où demeurait
si grande force, qu’il semblait que ce fût un nouveau déluge. Nous ne savions où nous mettre à couvert à l’heure qu’il était, e
cabinet ouvert. Je mis la main sur une bourse qui était dedans, où je savais qu’elle renfermait ce qui lui était de conséquenc
? N’êtes-vous pas parti sans presque me dire adieu ? M’avez-vous fait savoir de vos nouvelles ? M’avez-vous même fait savoir o
eu ? M’avez-vous fait savoir de vos nouvelles ? M’avez-vous même fait savoir où vous étiez ? Ne m’avez-vous pas par là ôté les
’avez-vous pas par là ôté les moyens de vous écrire, et de vous faire savoir ce qui m’arrivait ? Allez, poursuivit-elle, laiss
repentant, tout à vous, et prêt à vous épouser ; le voulez-vous ? Je sais les moyens infaillibles de vous retirer du précip
’avait répondu qu’en pleurant et en soupirant comme une novice. Je ne sais , me dit mon laquais, de quelle manière je pouvais
t une affaire de très grande conséquence. Cela fut exécuté comme j’ai su depuis. À peine Alaix eut les yeux ouverts, qu’un
rent plus douter qu’il ne fût tout à fait instruit : je voudrais bien savoir quels étaient alors ses sentiments. Il n’était pl
en avais assez fait en lui faisant perdre l’estime de son mari. Je ne sais pas ce qu’il en pense ; mais elle lorsqu’elle me
qu’il y eût plus de trois ans que je n’en pratiquasse plus aucune, je savais encore où une grande partie d’elles logeaient ; e
inze-Vingts, dans la rue Saint-Nicaise ; on la nommait la Delorme. Je savais qu’elle occupait toute la maison qui n’est pas fo
s conséquences. Et ne peux-tu pas l’envoyer quérir, repris-je ? Je ne sais seulement pas qui elle est, répondit cette femme 
? Je ne sais seulement pas qui elle est, répondit cette femme ; je ne sais point sa demeure. Elle ne vient ici qu’à cause de
t ici qu’à cause de l’absence d’une de mes amies, et tout ce que j’en sais , c’est que c’est une fille de famille qui ne veut
est pas nette tu t’en repentirais la première. Elle ne veut pas qu’on sache son nom, elle a raison, ne lui dis pas le mien :
à est-il bien possible, demanda-t-il d’un air fort embarrassé ? Je ne sais , lui répondis-je, si cela est possible ou non, ma
it jetée du côté de la porte, où elle criait et pleurait encore, Dieu sait comment. La Delorme de l’autre côté faisait un br
e. Eh pourquoi cela ? C’est que je me suis fait une raison, et que je savais que chacun ne cherche uniquement que son plaisir
ue nous ne l’avons. Cependant, ajouta-t-elle, nous ne devons pas leur savoir mauvais gré de leur changement, puisque nous chan
a lui-même, comme si ce n’avait pas été un coup fait à la main. Je ne sais pas comment il s’y était pris, pour amener les ch
. C’est pour l’heure qu’il vous plaira, Madame, reprit-il, mon maître sait la civilité qu’il doit aux dames, et votre commod
areils sacrifices, c’est pourquoi le mien ne vous inquiète pas. Je ne sais si c’est par coutume, poursuivit-elle en riant to
sacrifices me paraissent trop prompts pour être bien sincères. Je ne sais , lui dis-je, si leur promptitude peut vous les re
is-je, si leur promptitude peut vous les rendre méprisables ; mais je sais par moi-même que c’est l’effet d’une aussi grande
s n’en ont jamais eu ensemble ? Pour la beauté, dit-elle en riant, je sais ce que j’en dois croire, mon miroir me dit ce qui
’en dois croire, mon miroir me dit ce qui en est. Pour l’esprit je ne sais si vous supposeriez : mais si c’était une vérité,
s femmes. En effet, poursuivis-je, sans lui donner à connaître que je savais que c’était de lui que je parlais, nous savons to
ner à connaître que je savais que c’était de lui que je parlais, nous savons tous présentement qu’une demoiselle de province,
ée Mademoiselle de Gironne, a eu une faiblesse. Qui que ce soit ne le savait il n’y a que deux jours ; et on ne l’aurait jamai
soit ne le savait il n’y a que deux jours ; et on ne l’aurait jamais su , si son amant avait été honnête homme ; mais le p
fin, ajoutai-je, sans donner le temps à personne de m’interrompre, on sait que cet homme lui avait promis de l’épouser ; on
interrompre, on sait que cet homme lui avait promis de l’épouser ; on sait qu’il lui avait promis le secret ; et aujourd’hui
avait promis le secret ; et aujourd’hui c’est, dit-il, une veuve qui savait par expérience ce que la compagnie d’un homme peu
c horreur ? Toute la compagnie me regardait ; et les dames surtout me savaient bon gré dans leur âme, de ce que je disais. La ve
r âme, de ce que je disais. La veuve qui m’avait dit qui il était, ne savait de quelle manière cela tournerait ; mais elle fut
ise de la suite. Cet homme était dans un embarras inexprimable. Il ne savait que me répondre, n’y ayant rien de plus certain q
rs qu’au parjure, s’il avait des causes plus justes à donner. Vous ne savez pas, Monsieur, me dit une des dames qui étaient l
là, que c’est à Monsieur de Beauval lui-même à qui vous parlez. Je ne sais point, Madame, repris-je tranquillement, si Monsi
pensais le moins ; c’était une déférence entière pour tout ce qu’elle savait qui me plaisait. Elle me rendit mille services da
ai pas voulu, poursuivit-elle, de peur de vous épouvanter, vous faire savoir plus tôt l’état où je suis, pouvez-vous m’en tire
jours dans son cabinet dont les fenêtres étaient condamnées. Elle ne sut , ni où elle était, ni qui elle accouchait ; je l’
x bandés. La femme même qui servait la veuve à sa chambre, n’a jamais su cet accouchement, ni les deux autres qui vinrent
minés de la société, et y apprit des secrets que je n’ai jamais voulu savoir . S’il me les avait montrés, comme il voulait le f
que vous donne ma conduite, sont les fruits de votre curiosité : vous savez ce que je veux dire, Madame ; mais au nom de Dieu
us la connaissez tous, ainsi je ne vous en dirai que ce que vous n’en savez pas. Elle est toute belle, et d’une taille admira
e avait encore envie de quitter le monde. Je lui répondis que je n’en savais rien ; que depuis quelque temps il ne s’expliquai
ive le monde des services utiles qu’on est en droit d’en attendre. Je sais bon gré, ajouta-t-elle, à votre parent de vous av
sans vous le dire. Elle fut si surprise de ma déclaration qu’elle ne savait que me répondre. Je remarquai son trouble avec pl
t une réponse favorable, mais je me trompai ; il me fut impossible de savoir si j’avais fait sur son cœur du progrès ou non.
que je n’aurais pu me dispenser de prendre parti, et que je n’aurais su lequel prendre. Je vous avoue pourtant avec la mê
de ma sincérité. Non sans doute, reprit Des Frans, sachant ce que je sais à présent, je vous aurais blâmé au contraire, si
e et brouillai cette composition dans une fricassée de poulets que je savais que cette femme aimait, et dont elle mangea beauc
artie avec sa seule fille de chambre et son petit laquais, sans qu’on sût où elle était allée. Il y avait plus de huit jour
ce que c’est. J’ai fait mes études avec vous, poursuivit-il, et vous savez que je les ai faites avec l’applaudissement de to
anquillement : je n’ajoute aucune foi à ces sortes de prédictions. Je sais que ce n’est que pure vanité, et outre cela ma re
re l’habit, il alla à pied à votre terre, sans que qui que ce soit le sût . Il ne put vous trouver, ni même découvrir le lie
e suis sûr que vous me connaissez, pourquoi ne voulez-vous pas que je sache qui vous êtes ? Il est vrai, dit-elle, que je vou
infidèle, puisqu’elle ne s’était engagée à rien avec moi, quoiqu’elle sût ce que je souffrais pour elle : mais moi, poursui
oujours sanglante. Je ne me suis pas même informé d’elle ; et je n’en sais rien que par un bruit public que je n’ai pu m’emp
’elle avait eu pour moi. J’ai fait plus, j’ai un déplaisir sincère de savoir qu’elle n’est pas tout à fait heureuse. Mon Dieu,
e consens volontiers à vous le dire, lui dis-je : mais il faut que je sache entre les mains de qui je confierai un secret d’o
ne me le pas découvrir. Vous ne gagnez rien, lui dis-je, à ne le pas savoir . Je n’y perds rien du moins, reprit-elle. J’en to
ds à voir un beau tableau. J’avoue, reprit-elle, que je voudrais bien savoir le nom de cette dame qui vous cause tant d’indiff
vous êtes belle, ou pour me moquer de vous si vous étiez laide. Je ne sais , me dit-elle, si vous seriez d’humeur à me sacrif
yiez laide, et avant que de vous quitter, vous verrez ce qui en sera. Sachez , poursuivit-elle, que vous-même m’avez dit que j’
j’étais belle, et si je me suis trompée moi-même de vous croire ? Je savais fort bien, comme je vous l’ai dit, que c’était Ma
de quelle manière il vous plaît que je vive désormais avec vous. Vous savez que je vous ai toujours adorée ; la crainte de me
ira ; mais je ne veux absolument pas me trouver seule avec vous. Vous savez que ce n’a été qu’à cette condition-là que j’ai p
ui puisse nous écouter ; mais je me fie en elle ; et après ce qu’elle sait , rien ne la surprendra, pourvu que vous vous en t
e m’ait pas permis de pousser à bout une si favorable aventure. Je ne sais quels sont à présent mes sentiments pour vous, do
de part. J’avais passé la nuit dans votre appartement sans qu’elle le sût  ; je l’avais trompée la première, et si votre por
it osé lui parler du tout. Qu’elle lui avait seulement dit qu’elle ne savait pas que je fusse dans son appartement, comme nous
oque entre vous deux ? Vous êtes-vous épousés sans vous aimer ? Je ne sais pour elle, si elle a jamais rien aimé, dit-il, po
e, me répondit-il, de l’entremise de qui que ce soit, Madame de Londé sait ses devoirs. Il ne dépend que de moi de l’y mettr
iée, me répondit-il, et de fort près, sans qu’elle en ait jamais rien su . J’ai cru au commencement qu’elle avait quelque c
ai bien voulu y mener ; c’est de quoi je suis très certain. Je ne lui sais pas d’autre divertissement que de faire quelquefo
e faire mettre l’un auprès de l’autre, un palefrenier poitevin qui ne savait que son patois, et une servante de cuisine qui ne
tevin qui ne savait que son patois, et une servante de cuisine qui ne savait que le bas normand, qu’elle disait qu’elle voulai
r telle que vous la voyez, avec son sérieux éternel, il faut que vous sachiez qu’il n’y a pas de femme en France qui ait l’espr
s secrets que son frère avait voulu me montrer. Cependant, comme vous savez ma belle cousine, je tombai malade cet été dernie
lle vous avait priée de ne me point laisser voir à son époux, qu’elle savait devoir venir. Qu’en effet, il y était venu deux f
oint en état d’être vu. Enfin ma jeunesse me sauva la vie, comme vous savez  ; mais je ne recouvrai la santé qu’avec un redoub
ansport ; et j’y ai été avec un tel secret que qui que ce soit ne l’a su qu’elle, la Mousson et le chirurgien qui m’a pans
l’est encore ; et quelle que soit l’injure qu’il vous ait faite, sans savoir vous en faire, puisqu’il ne savait pas votre mari
’injure qu’il vous ait faite, sans savoir vous en faire, puisqu’il ne savait pas votre mariage, poursuivit Dupuis parlant à De
7 (1721) Mémoires
crits et qu’on en fait encore tous les jours en ma présence sans m’en savoir l’auteur m’autorisent à les réclamer après que je
’Histoire pourront trouver ici beaucoup d’endroits secrets, et que je sais d’original, qui pourraient tant en bien qu’en mal
aurait-il pu apprendre le commerce et le conduire, lui qui n’a jamais su que la chicane et n’a été conduit que par son ent
i vu dans son cabinet. Comme j’ai lu ce passage plusieurs fois, je le sais par cœur, et ne l’ayant point vu ailleurs ni impr
i que ces pères. Ce fut M. le maréchal de Grammont, que tout le monde sait avoir été vif en reparties sincères. Le Roi lui d
es extrémités qui ont scandalisé les gens véritablement pieux, et qui savent distinguer les droits du sacerdoce de ceux de la
bes et des scélérats trop parfaits pour agir avec droiture. 20. Je ne sais qu’un seul simple prêtre nommé l’abbé Chapelle qu
de la France ; elle se fait sentir mille fois plus vivement que je ne saurais l’exprimer, et ces causes sont si palpables qu’el
roi un prince Français. 30. A l’égard de l’Angleterre, tout le monde sait que ç’a été le père de La Chaise qui a voulu que
e. Mais ceux qui comme moi ont été dans l’Acadie et le Canada, et qui savent ce que c’est que la pêche de la morue, la fertili
ité que les Anglais auront à nous boucher le fleuve de Saint-Laurent, savent aussi qu’il aurait été plus avantageux à la Franc
t de cet impôt : Vous prenez de nous ce qui ne vous appartient point. Sachez que Dieu reprendra de vous ce qu’il vous avait do
t peu porté pour la canaille, ceux qui l’avaient mis en action et qui savaient que ce magistrat n’entendait point de raillerie s
ponnerie de la part de Marteau ou de celle des Jésuites ; et comme il savait de quoi cette noire séquelle est capable, il ordo
e après avoir dit les causes de la stérilité de la Reine. 66. Il faut savoir que le cardinal de Richelieu était aussi fourbe q
e cardinal l’avait prié d’y aller sans compagnie, afin, disait-il, de savoir de lui-même sans conseil d’autrui ce qu’il lui se
de faire à pied le voyage de Saint-Germain à Chartres. Tout le monde sait que c’est une cathédrale où on garde une chemise
ie que sa stérilité ne venait point d’elle, mais de maléfices dont il savait le contrepoison. 73. Madame de Chevreuse en parla
ofiter seul du bonheur que la fortune lui présentait ; et comme il ne savait où logeait ce médecin, il envoya chercher mon pèr
La Ferté et deux dames de la Reine à qui il fallut se confier qui la sussent  ; la duchesse de Chevreuse elle-même l’a toujours
ur tout ; toute la France le voyait et en murmurait, mais peu de gens savaient qu’elle ne faisait que son devoir, puisqu’il étai
dise que ce soit la quintessence de l’usure et de la juiverie. 83. Je sais ce mariage de la bouche propre du cardinal de Ret
it plus dire et plus avouer qu’il n’avait résolu que ce confesseur en sût . Il finit son interrogatoire par une vive et path
uns et aux autres, il pouvait mourir en bon chrétien. 86. Il faudrait savoir , pour approuver cette décision, si elle est confo
as permis au Prince d’envahir celui de ses sujets. Il faudrait encore savoir si une pareille donation postérieure à la prise d
prise de possession peut en légitimer et corriger la violence. Je ne sais ce qui en est, mais je sais bien que le Roi lui-m
, et les toiles de Bretagne, de Normandie, et d’autres provinces ; et savait que ce n’était que par ces trois sources là que l
plusieurs autres ouvriers, ni même augmenté leur salaire, quoiqu’ils sussent tous qui [sic] l’avait ainsi ordonné. Louis, touc
ntales, ç’a été uniquement dans la vue d’animer les intéressés, et de savoir ce qui se passait parmi eux, pour les voir profit
bien ses propres intérêts en facilitant le leur. Mons[ieu] r Colbert savait comme lui que l’argent dispersé à propos dans un
hentique de ce que j’avance, que toute l’effronterie de la Société ne saurait démentir. ) Messieurs des Missions Étrangères et
ire contre eux, n’y ayant que les seuls enfants du pays qui comme eux sachent drosser parmi les ronces et les épines dans un pa
rmi les ronces et les épines dans un pays tout couvert, qui comme eux sachent vivre du bout de leur fusil, ou de chair humaine
i bien instruit de tout ce qui se passait dans le Canada. Mais ils ne savaient pas que ce ministre, tout à fait attaché aux inté
es habitants avaient commencé n’était point achevé. Les Iroquois, qui savaient les extrémités où les Français étaient réduits, n
ts le suivre, n’étant pas accoutumés à drosser les bois. Les Iroquois savaient le mauvais état où il était réduit, Cependant, ap
dit. Il a toujours passé pour homme sincère et franc ; et quoique je susse l’affaire quasi comme témoin oculaire et par lui-
en bonne compagnie. 125. Comme ceux qui pourront lire ces mémoires ne savent pas ce que c’est que courir l’allumette, il est j
ne grande gloire à ton Onontio de commander à des bêtes brutes car je sais qu’on nous regarde dans ton pays comme des animau
r prix, qui étaient tellement fréquentes que les peuples eux-mêmes ne savaient pas la valeur des espèces d’un jour à l’autre, on
cureur général, qui les reçut d’une manière digne de lui et d’eux. Il sut le jour et l’heure qu’ils devaient venir ; c’étai
au soir doit être nourri. — Cela est juste, dit le magistrat. — Je ne sais , reprit le menuisier, sur quelle herbe ma femme a
s’en faire apporter d’excellent tant pour eux que pour leurs amis. Je sais celui-ci par moi-même, puisque j’ai été aux îles
ureté jusques à un point qu’elle faisait tort à ses intérêts. 152. Je sais ce que je vais dire de M. Picon, père de M. d’And
ison, et celui-ci, pour achever de perdre M. Picon, répondit qu’il ne savait pas où il avait été boire ; qu’il savait seulemen
M. Picon, répondit qu’il ne savait pas où il avait été boire ; qu’il savait seulement qu’il lui avait donné les papiers dès l
ne peut rien. Il ne voulut pas avoir recours aux gens de qualité ; il savait que leurs bourses étaient épuisées par le jeu, et
que je suis sûr qu’elle me pardonnera mon indiscrétion lorsqu’elle en saura le sujet. — Je prends même la liberté de la suppl
ion, et s’assura de plus d’un million de livres en espèces, et le fit savoir à son fils par un exprès. 164. Celui-ci était ret
n si bonne compagnie. Elle lui dit de quoi il s’agissait quoiqu’il le sût mieux qu’elle, et elle lui demanda s’il jugeait à
riant, puisque vous devez avoir l’esprit content. Qui que ce soit ne savait quelle était cette grâce que la Dauphine demandai
pavidum ferient ruinae... 171. Il s’embarqua sur le soir, mais on ne sait par quelle destinée il trouva la mort à Châlons-s
une infinité dont ses successeurs dans le maniement des finances ont su se servir utilement. Sur quoi il faut que je rapp
lui-ci croyait son affaire faite, mais il se trompait, parce qu’il ne savait pas que cette fenêtre avait un porte-voix qui rép
s affidés qui lui rendaient compte des gains qui s’y faisaient, et il savait de son côté rogner les ongles aux traitants et au
e qu’il ne cherchait quelquefois que son intérêt personnel, auquel il savait apporter la commodité publique pour couverture. C
es et les meilleures moules que l’Océan puisse fournir. Tout le monde sait ce que c’est que ce coquillage. Il y est si abond
me droit, de probité et bon juge. Il ne le sollicita pas beaucoup, il savait que les sollicitations étaient inutiles auprès de
est qu’une simple copie collationnée qu’on en rapporte, et comme vous savez , la justice ne table point sur de pareilles copie
’ils avaient donné[s] au secrétaire furent encore perdus pour eux. Je sais cette histoire de M. Mabire qui me la raconta com
pas se damner pour des intérêts qui ne le regardaient en rien. Louis sut cette réponse et n’en eut que plus d’estime pour
endredi suivant au conseil. Ils n’y manquèrent pas, et aucun d’eux ne savait à quel dessein on les avait fait venir. Il y en e
Mesmes, reprit le Roi avec un air sévère, je suis fort aise que vous sachiez qu’entre Dieu et moi et la Justice, il n’y a poin
r l’usurpation du bien d’autrui, surtout lorsque celui qui le possède sait qu’il ne lui appartient pas. 209. Le résultat de
tchartrain qui, comme j’ai dit, s’était fait de puissants ennemis. On savait que le Roi le destinait à remplir la place de M. 
tir des surprises et des friponneries des gens d’affaires, il fallait savoir toutes celles qu’ils pouvaient faire pour les pré
. Ce furent les épithètes qu’il donna à M. de Pontchartrain ; et j’ai su tout ceci par M. Choppin, qui me le dit à sa mais
, son portier, que j’ai nommé, et encore par d’autres domestiques. On saura quand je parlerai de moi par quel endroit j’étais
t que cette chienne était accouchée, ou qu’elle avait mis bas ! je ne sais point lequel des deux termes convient le mieux. L
lui montrer, tant à travailler qu’à chanter et à danser. Sa nourrice savait le secret de sa naissance et ce fut la cause de s
us les domestiques de Deschiens étaient changés, et qui que ce fût ne savait sa naissance que le mari et la femme, et celle qu
et l’autre se parler seule à seule, et même s’entendre nommer sans en savoir le sujet. Etant dans sa chambre, l’humeur noire d
re si subtilement que son confesseur lui-même n’en aurait jamais rien su  ; et les gens d’affaires n’auraient faites [sic]
écrit, mais la pétulance de M. de Pontchartrain perdit tout. Il faut savoir que ce ministre savait que les Anglais étaient so
ce de M. de Pontchartrain perdit tout. Il faut savoir que ce ministre savait que les Anglais étaient sortis de la Tamise, et q
mbat aux annemis partout où pourrait les trouver. Mais ce ministre ne savait pas qu’à la faveur d’un vent de Nord-Est les Holl
arents par la Suisse, Genève, etc. Ainsi lesAnglais et les Hollandais savaient tout ce qui se passait en France, dont les postes
ez eux que quand ils le veulent bien. M[onsieu] r de Pontchartrain ne savait donc pas que les Hollandais avaient joint les Ang
c pas que les Hollandais avaient joint les Anglais. M.de Tourville le savait parce qu’il envoyait plusieurs chaloupes pontées
er qu’il se retira. Voilà de lâches coquins, dit M. de Bagneux. Je ne sais s’ils sont plus braves avec les femmes, mais je v
t ce combat ne regardait que l’Angleterre, dont le roi dit, lorsqu’il sut que nous étions entrés dans la Manche si peu fort
t de sa cabane et dit à son capitaine qu’il le fatiguait trop ; qu’il savait son métier ; et que s’il fallait boire nous n’aur
re pour eux le plaisir de cacher la perte sincère de l’Etat. C’est là savoir son métier. A mon égard, je le fis comme on me l’
. Mons[ieu] r Langeron eut le tort de l’aventure ; en effet il devait savoir que les enfants du cotillon étaient des animaux i
digérées par la faible chaleur de leur estomac les étouffaient. Louis savait une partie des malheurs publics, mais il n’en vou
uis savait une partie des malheurs publics, mais il n’en voulait rien savoir  ; et par un arrêt du Conseil affiché à des poteau
d’un soufflet. Je ne réponds point de la vérité de celui-ci, mais je sais que c’était le bruit public de Paris. 250. Louis
res coquins tirés de la plus basse lie du peuple qui ont presque tous su trouver, par le moyen de leurs mauvaises richesse
t louis d’or pour leur entendre dire à tous que j’ai la vérole. Ne le savais -je pas bien tout seul ? Sa maladie augmentant il
; qu’à l’égard de son fils, il était assez âgé et assez instruit pour savoir ses devoirs ; que la manière dont il reviendrait
rs, De partisans et d’usuriers, Tous gens propres au brigandage. Mais sait -on que de tout son bien Qui fut gagné par monopol
edec on ne lui connaît sur terre ni père ni mère. Ceux qui prétendent savoir des nouvelles de sa naissance disent qu’il est né
ent la Loire en tirant un bateau après eux. Quoi qu’il en soit, on ne sait quel il est, et on doute qu’il le sache lui-même 
eux. Quoi qu’il en soit, on ne sait quel il est, et on doute qu’il le sache lui-même ; et on se fonde sur la peine qu’il a eu
de Créqui à Trèves. 261. En sortant du service de chez Thévenin on ne sait ce qu’il fit, ni de quoi il véquit ; plusieurs ge
sque le chevalier de Rohan eut le cou coupé devant la Bastille. Je ne sais ce qui en est. Toujours sais-je bien que je fus t
t le cou coupé devant la Bastille. Je ne sais ce qui en est. Toujours sais -je bien que je fus témoin en 1699 de la scène que
t ainsi que finit l’affaire de M. Hindret avec Bourvalais. 263. On ne sait point assez le détail de tout ce qui lui est arri
nt pas de son habit dégu[en] illé ; mais ils lui dirent qu’il fallait savoir quel intérêt il voulait avoir dans le traité et q
s. Toute la France espérait qu’il ferait même fin que Cordier ; on ne sait ce qui en sera, mais je sais bien qu’il est encor
rinces promener à toutes les guinguettes qui sont autour de Paris. On sait que ces guinguettes sont positivement ce qu’on ap
Roule, aux Porcherons, à la Courtille et aux autres endroits où l’on sait que le peuple est le plus nombreux. On leur fit e
e que tout Paris espérait que Miotte serait pendu. Mais tout Paris ne savait pas que cet arrêt avait été antidaté, et que, quo
Faisait deux cents écus de frais : Où diable allait-il à l’école Pour savoir de si beaux secrets ? S’il mettait chez quelqu’un
voir qui de vous y mordra. 275. Hénault est encore en place. Il faut savoir ce qu’il deviendra. Le temps nous en instruira, e
sse, et son cocher, qui le croyait dedans, fit partir ses chevaux. On sait que les chevaux de ces gens là sont vifs et forts
oit dit en passant, ce curé, nommé Secousse, est l’homme du monde qui sait le mieux secouer la bourse d’autrui et fermer la
i n’avait qu’onze ans lorsqu’elle a été mariée, ne pouvait pas encore savoir que pour vivre hureux dans son mariage, il faut é
nte au comte d’Evreux Ne doit point causer de surprise. Tout le monde sait que tous deux Ont deux grands-oncles dans l’Eglis
il a fait ses affaires avec tant de secret que tout ce qu’on peut en savoir , c’est qu’il a été un des plus avans [sic] dans l
ns toutes les mauvaises coutumes des nations étrangères, mais nous ne savons point imiter ni leurs vertus, ni leurs exemples ;
fort longtemps en pénitence, et qu’ils ont enfin envoyé mourir je ne sais où ; je crois que c’est à Vérone ou Lucques en It
nes ni bouches inutiles, et surtout en bannir les Jésuites, que je ne sais comment nommer, ignorant encore s’ils sont réguli
core s’ils sont réguliers ou séculiers ; et je ne crois pas qu’ils le sachent eux-mêmes, ne s’étant donné aucun nom en France,
terrés après leur mort qu’on aurait dû brûler vivants ? Tout le monde sait la cause de la mort de Baptiste Lulli, surintenda
e de la mort de Baptiste Lulli, surintendant de la musique du Roi. On sait que si cet homme n’avait pas été nécessaire aux p
qu’il en guérisse. Il lui promet un cul d’argent. 288. Tout le monde sait qu’à Sainte-Reine en Bourgogne il y a des eaux mi
4 et 5e siècles. Marseille n’est qu’une colonie de Grecs, et si nous savions quels sont les premiers fondateurs de Paris, nous
de plus de huit cents lieues du lieu du meurtre. A mon égard, je n’en sais rien que par un bruit confus, qui n’est point du
aire en même temps craindre et aimer. Ils réussiront au premier s’ils savent à propos châtier la moindre désobéissance, la moi
tendue de terre sur les côtes sur une profondeur non limitée. Nous ne savions où nous fixer lorsque nous arrivâmes à ces côtes,
La Boulaye devint amoureux. Il m’a dit qu’elle était belle, et je ne sais ce qui en est. Je sais seulement que ce procureur
reux. Il m’a dit qu’elle était belle, et je ne sais ce qui en est. Je sais seulement que ce procureur, semblable aux autres
qui était si assidu auprès d’elle. Cette fille lui dit ce qu’elle en savait , et lui résolut de faire expliquer le cavalier. C
ue j’en avais fait[s], et m’exhorta de continuer mes remarques. Je ne savais point encore que La Boulaye fût parent de M. de V
qui a été cause de notre ruine à tous, et de la sienne propre. Je ne savais donc point que j’avais été sacrifié aux intérêts
tout pendant la traversée, et qui me fit sa confession ingénue. Il ne savait point le tort qu’il m’avait fait. Je le lui dis,
illustre pour être conservé. (Je savais bien le contraire, puisque je savais que l’aïeul du président n’avait été que médecin
is de conséquence qu’à d’honnêtes gens, sages et vigilants ; et qu’il sache que dans les nouveaux établissements tout dépend
-maîtres de la cour ne le nommaient que le petit intendant. Le Roi le sut et dit qu’il voulait augmenter la bonne opinion q
contribuer à son élévation tout ce qu’il lui serait possible. Il faut savoir que M. de Pontchartrain ne lui avait jamais fait
terme est assez synonyme. Ils ne peuvent point exprimer Et moi je ne saurais rimer Le chagrin, le dépit, la rage Qu’ils ont eu
ent quelque peu de ce qu’ils nous ont pris. Eh quoi donc, disent-ils, sait -on bien qui nous sommes ? Nous seuls avons fourni
ne bagatelle Les traités qu’il nous plut exiger de son zèle. Car nous savions fort bien tenir le quant à moi. Nous désolâmes le
ces fades douceurs Dont usent ces amants que l’on nomme fidèles. Nous savions mieux qu’eux tous quelle est la clé des coeurs. D
Roi lui-même avait besoin d’argent, Nous en avions de prêt. Mais nous savions comment Faire notre profit du malheur de la Franc
Ne trahît son meilleur ami. Nous connaissons tous nos affaires ; Nous savons tous dans quel traité Un chacun de nous s’est jet
endre ; Qu’on n’a pas pour cela besoin de si bons yeux ; Que gens qui savent si bien prendre Méritent bien d’être pendus ; Qu’
de un enfer. C’en serait un pour eux de rendre Ce qu’une fois ils ont su prendre. Ils ont le cœur plus dur que fer. Encore
nnaient états sur états. Il s’y passa quelque chose qui mérite d’être su . M.de La Chapelle [sic], dont nous avons le voyag
elle manière M. de Barbezieux était d’avis qu’on en usât avec eux. Je sais celui-ci de la bouche de M. Camus de Beaulieu, co
urs charges, et lui préalablement mis et appliqué à la question, pour savoir en quoi et où girait son bien. Et en même temps l
u gros tronc qui renfermerait le petit. Il ajoutait que ces gens, qui savent tous les affaires les uns des autres, feraient ce
déclaré. Et pour cela qu’il fallait seulement faire en sorte qu’on ne sût le nom de celui qui allait être pendu que lorsqu’
8 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
ligences qui lui sont sans doute échappées ; et c’est là, comme on le sait , le sort ordinaire des ouvrages posthumes. L’aute
da que je lui ai donnés, j’ai cru que vous ne seriez pas fâché de les savoir . Ce que je vous envoie est la compilation de troi
ar un nommé M. de Bouchetière, qui se fait nommer le chevalier. Je ne sais de quel ordre, ne lui voyant ni croix de par Dieu
t arrivé et que je n’ai eu aucune relation avec lui. Tout ce que j’en sais , c’est qu’il est comme M. de Quistillic capitaine
mment se passeront-ils de nos vins de Bourgogne et de Grave ? Je n’en sais rien. Mais l’amour du prochain m’oblige à les pla
ettres : je vous les envoie, et vous supplie de les faire tenir. Vous savez que dès l’année passée je devais faire le voyage
avez que dès l’année passée je devais faire le voyage des Indes. Vous savez que l’escadre qui y était destinée était déjà mou
éjà mouillée à Groix, au même lieu d’où je vous écris à présent. Vous savez que sur le point de partir nous eûmes ordre de la
joindre à l’armée navale commandée par M. de Tourville ; mais vous ne savez pas le reste, et ce qui donna lieu à la foudroyan
onde et mit le feu à son vaisseau. Voici ce qui me regarde, et que ne savez point, quoique ç’ait été à vous que j’ai envoyé m
s la Compagnie. Rien n’y manquait ; et, comme j’ai dit et que vous le savez , nous étions prêts à partir lorsque nous reçûmes
t le secret sur le pain, et promirent de soutenir la gageure. Il faut savoir que M. de Ferville commandait le vaisseau le Sans
ange ; et l’avertissez de ma part d’apprendre la civilité, s’il ne la sait pas : dites-lui que voilà l’état que j’en fais, a
e MM. de Combes, de Beaujeu, de Ferville, Hurtain et moi ; ainsi, ils savaient ce qui devait réussir de la demande d’Albus. Ils
ocher jusqu’à l’intendance, ce fut encore pis ; et mon arrêt, qui fut su dans le moment, ne fut nullement du goût des écri
lle : vous ne me feriez pas plaisir ; il semblerait en cour que je ne saurais pas exécuter les ordres du roi. Monsieur Albus, a
, et seulement pour saluer la compagnie qui était en bon train. Je ne sais ce qu’Albus fit deux jours après au commandeur de
hagrina encore Albus, autant, pour le moins, que tout le reste. Je le sus par M. de Montigni, secrétaire de M. l’intendant.
M. Céberet arriva à Brest, et alla loger chez Albus. Celui-ci, qui ne savait point ce qu’était devenu le pain de la Compagnie,
M. de Seignelay. Pendant ce temps j’étais à Brest, fort impatient de savoir ce que ma lettre opérerait. Albus et moi, nous no
es de ressorts auprès de M. de Seignelay. J’ignore ce qui en est : je sais seulement que c’est un des plus scélérats fripons
tre pour vous ; et tout étant à cachet volant, il vous sera facile de savoir de quoi il s’agit. M.de Bouchetière, notre lieute
eutenant, dont j’ai fait le portrait, page 99, vient avec nous. Je ne sais s’il sera plus content de ce qui va se passer dev
uis également certain que vous rendrez vous-même à la Compagnie. Vous savez ce qu’il contient ; mais comme vos amis, auxquels
février, puisque c’est ce qui y a donné lieu. Voici le fait. Il faut savoir qu’un écrivain de la Compagnie est également char
a connaissance. Il donne son reçu de tout. et en effet en est chargé, savoir des marchandises, jusqu’au lieu de leur destinati
et de celle de M. Hurtain pour faire une entreprise de laquelle je ne sais comment il se tirera, si quelque chose manque aux
erçons et une cave de seize gros flacons, pleins de cette liqueur. Il savait que M. Hurtain ni moi n’y étions point ; il ne s’
les matelots, il ne tabla que sur son autorité. Voici le diable. Sans savoir si M. Hurtain et moi le trouverions bon. il fit e
terrassé au compliment de M. Hurtain, qui lui dit platement qu’il ne savait ni commander ni obéir ; que s’il avait suivi son
re d’une hauteur qui me faisait pitié à moi-même. Il lui dit qu’il ne savait à quoi il tenait qu’il ne l’envoyât pourrir en pr
usqu’à ce qu’il eût eu réponse de Mme la marquise de Maintenon. Qu’il savait fort bien qu’elle était sa protectrice ; mais qu’
ui qui parlait n’aurait pas eu tant d’indulgence. Qu’il voudrait bien savoir où il avait appris que la Compagnie prêtât ses va
rir quelque ballot, pour l’en rendre responsable. Qu’il était ravi de savoir que j’entendais mon métier et que j’avais assez d
e. Je ne la ménageai point ; et lui parlai avec tant de feu que je ne sais à quoi le tout se serait terminé si nous avions é
lisent un journal. parce qu’il y a peu de lecteurs qui se soucient de savoir quel vent régnait. et où était un vaisseau un tel
que le voyage est fait : mais il y en a aussi qui sont curieux de le savoir  ; et cela peut avoir son utilité pour ceux qui da
rtainement ne chagrinerait point messieurs de la Compagnie, quand ils sauraient ce que c’est, puisque cela ne regarde que la sant
sapin rescié, et nous ne voulons point de commerce avec lui, ni qu’il sache rien du nôtre : et la mienne n’est sujette à aucu
r, et les autres qui sont ici, qui ont déjà fait le voyage des Indes, savent que ces malheurs ne sont que trop ordinaires. Je
Nous avons vu toute la journée le pic des CanariesCanaries…. Je ne sais si c’est à cause que cette montagne est isolée, e
t paru si hautes que le pic des Canaries. Je le répète encore ; je ne sais si c’est à cause qu’il est isolé : quoi qu’il en
tte neige sur le sommet des montagnes, et ce qui l’y entretient. Vous savez , m’a-t-il répondu, vous qui avez fait votre philo
gion de l’air. Vous ne m’apprenez rien de nouveau, lui ai-je dit : je savais cela dès mes classes ; mais, ce que je n’y ai poi
elle y est par un pur effet de la nature ; en un mot, ce que je veux savoir est si c’est Dieu qui a créé cette neige en créan
tre Français m’ont assuré être de M. de Saint-Évremond. Tout le monde sait que ce M. de Saint-Évremond est un officier exilé
erra-t-on encore pis : je ne réponds de rien ; car en vérité je ne le sais pas moi-même. Je suis là-dessus comme notre curé,
à-dessus comme notre curé, M. de Montmignon, qui monte en chaire sans savoir ce qu’il va dire à ses paroissiens : il est cepen
t homme ; mais il lâche bien des pauvretés. J’en suis de même : je ne sais combien j’en écrirai par la suite ; toujours suis
oblige d’agir, ni qui nous en empêche. Dieu, à qui rien n’est caché, sait ce que nous ferons ; mais il ne nous impose pas l
râce, et j’aime beaucoup mieux être sauvé par la grâce de Dieu que de savoir définir cette grâce. Je suis là-dessus comme Thom
qu’il a fait ces vers, songeait lui-même à définir la grâce ; mais je sais que c’est la plus belle, et à mon sens la plus ju
on. Ce matin l’Amiral a mis en panne, c’est-à-dire vent devant. On ne savait ce qu’il voulait faire ; mais six coups de canon
persuadé qu’elle m’est nécessaire pour écrire ce qu’on va lire. Pour savoir à quelle occasion ce discours fut prononcé, il fa
lire. Pour savoir à quelle occasion ce discours fut prononcé, il faut savoir que celui qui le fit était d’une société de gens
ant éternel, l’éternité n’a pu commencer que par lui, et avec lui. Je sais qu’il y a toujours eu des libertins et des impies
ssieurs, quelqu’un de vous sourire, et qui sans doute est en peine de savoir quel usage je veux faire d’une si longue digressi
passée, ce qu’elle est présentement, et il ne nous restera plus qu’à savoir ce qu’elle deviendra pendant l’éternité future. N
ible raison s’en forme ? Pouvons-nous nombrer les étoiles ? Dieu seul sait leur nombre et leurs noms, dit saint Augustin. Po
er les espèces qui frappent nos sens ? Tels sont les animaux. Nous ne savons pas même combien il y en a de différentes, puisqu
lument la prédestination et établit parfaitement le libre arbitre. Je sais qu’on peut tirer de mon système de très mauvaises
midi par treize degrés douze minutes Nord. Pour la longitude, je n’en sais rien ; nos pilotes ne le savent pas eux-mêmes. Il
inutes Nord. Pour la longitude, je n’en sais rien ; nos pilotes ne le savent pas eux-mêmes. Il faut que nous n’ayons pas été s
t fait signal de tenir la tête. C’était une confusion de voix ; on ne savait à laquelle entendre : il en était étourdi ; et qu
nom de l’île, et l’autre à cette anse. Celui qui est ici, dont je ne sais le nom que sous celui de seigneur gouvernador, es
jeu de paume. Lorsque je le vis, il était vêtu à la française. Je ne sais s’il avait sué de l’encre, mais son linge était b
eu la précaution de faire apporter quatre bouteilles de vin. Ils m’en surent bon gré, aussi bien que le Portugais. Je crois qu
tout ce qu’on demande. D’ailleurs, ce ne sont point mes affaires : je sais ce que c’est ; mais je ne dois pas m’en mêler. M.
ndroit qui n’est pas à plus de cent pas de celui où j’ai passé. Je ne sais pourquoi les vaisseaux ne vont pas là, ou n’y env
’ai été tenté cinq ou six fois d’en arracher cinq ou six poils. Je ne sais pourquoi on a bâti la ville dans l’endroit où ell
in mâtin que sa femme est aimable. Il ne la perdit pas de vue ; je ne sais si ce fut par jalousie. Il n’aurait pas eu tout l
l’emplit, et le lendemain on en est quitte pour payer son gîte. Je ne sais s’ils exercent parmi eux cette police ; car, pour
crois avoir vu l’original à Rome à Sainte-Marie-de-la-Minerve. Je ne sais de qui est le tableau qui est ici, non plus que t
que cela eût été, ne l’ayant point vu depuis que je l’ai payé. Je ne sais quelle est la vie de tous ces gens-là, tant europ
, il n’y a que quelques oranges, cocos, limons et goyaves : encore ne sais -je où ils les prennent ; car ni les autres França
ion indécente, malgré l’édification qu’il devait à un étranger. Je ne sais si c’est la malignité de l’homme qui le pousse à
gal que los cavaleros dévoraient des yeux. Je le répète encore, je ne sais qui que ce soit plus malheureux que ces gens-ci.
de table, où la crasse était d’un bon doigt d’épaisseur ; car ils ne savent ce que c’est que de nappes ni serviettes. Point d
pain. Nous en avons été quittes pour soixante-douze francs en tout ; savoir , le calcul en est curieux : douze francs pour hui
est pas cela ici ; il a fallu aller passer la nuit à vingt pas. Je ne sais si c’est la jalousie qui en est cause. Je le répè
lui en donnerais le démenti, si je n’étais pas prévenu ; et comme il sait l’union qui règne entre MM. Hurtain, de La Chassé
t pas de dire : Mais à suivre Apollon on ne s’enrichit guère, Je ne sais que MM. Capistron et Palaprat qui soient bien dan
t quelque espérance : cependant, on succombe à son malheur, Dieu seul sait ce qui en réussit. Cela m’inspire une idée de la
vue en fût faite, et que leur temps courût par mois. Tout le monde le sait . Je suis très certain que ce n’est point Landais 
elot breton. Seigneur, tant de prudence entraîne trop de soin, Je ne sais point prévoir les malheurs de si loin. C’est ce
effet du nitre de la mer. Il n’y a ni cuisinier, ni servante, qui ne sache cela ; et peut-être pas un qui pût en dire la rai
our m’en donner la solution. Ils ne m’ont tous rien dit que ce que je savais déjà, et m’ont laissé dans une plus grande incert
Cela est si vrai, et si sensible, qu’il n’y a aucun navigateur qui ne sache qu’un navire est ordinairement deux ou trois fois
s pris garde moi-même. M.de La Chassée m’a fait un clin d’œil : je ne savais ce qu’il voulait me faire entendre ; mais j’en ai
éveillé pendant que l’autre dort. Le requin ne les engloutit point : savoir si c’est par discrétion, par instinct, ou par imp
par discrétion, par instinct, ou par impuissance, c’est ce que je ne sais pas. Je sais seulement que ces petits animaux ne
on, par instinct, ou par impuissance, c’est ce que je ne sais pas. Je sais seulement que ces petits animaux ne le quittent p
rt. M. du Quesne a envoyé M. d’Auberville son lieutenant à bord, pour savoir comment se porte M. Hurtain, qui, comme j’ai dit,
prêt : il a cependant trouvé notre ordinaire propre et honnête. Je ne sais qui diable lui a parlé de la bonite ; mais il a s
action ne nous a point plu. Nous doutons du sujet : nous avons voulu savoir ce que cela signifiait ; il n’a point répondu et
ains, auxquelles se joignent celles qui viennent de Picardie. Nous ne savons point quel est le résultat de la consultation des
sultat de la consultation des lanciers de Saint-Côme. Peut-être ne le savent -ils pas eux-mêmes. Du mercredi 12 avril 1690
it, beaucoup plus de vaisseaux perdus qu’il ne s’en perd. Dieu a bien su ce qu’il faisait lorsqu’il a tiré le monde du néa
e ces ridicules consultations : bien persuadés que la nature seule en sait plus que tous les animaux qu’elle produit, et que
u par esprit de vengeance contre moi qu’il a fait ce qu’il a fait. Je sais seulement qu’il connaissait bien peu ma fermeté e
’apposition de scellé : je n’avais pas besoin de voir les objets ; je savais comme était la chambre et ce qui y était renfermé
on a chanté hautement et en chœur le grand office des Morts. Ceux qui savent le latin ont lu chacun une leçon, et les trois ec
a nuit sur la dunette. Il est curé, autrement recteur en Bretagne, et sait comme il faut officier en pareille occasion. M. C
ait retiré était véritablement converti depuis six ans, sans qu’il le sût  ; que cet ami, connaissant le caractère du défunt
ui-ci, brutal en matelot, lui a répondu en se moquant de lui qu’il ne savait pas le métier de capitaine ; que ce point ne se m
La Chassée avec fureur, je ne vous reconnais pas pour tel : vous n’en savez pas le métier ; et je ne vous conseille pas d’exi
. Blondel a paru. C’est savoir bien peu vivre, lui a-t-il dit : je ne sais à quoi il tient que je ne vous fasse manger avec
ent que je ne vous fasse manger avec les valets. Ôtez-vous de là ; et sachez qu’un homme tel que vous n’a point de rang devant
s’en retourner lorsqu’il a été arrêté par un nouveau spectacle. Je ne sais si sa vue a rappelé la fureur de Bouchetière ; ma
e vous servir de canne sur un navire, et d’en frapper en ma présence. Savez -vous bien qu’il ne tient qu’à moi de vous casser
t qu’il croyait inutile de nous convier à remplir nos devoirs ; qu’il savait que nous étions tous gens d’honneur, et instruits
avait été reçu, soustraire ce qui avait été consommé et conséquemment savoir ce qu’il en restait. Il a loué mon exactitude, et
donner une bouteille de vin. Il l’a fourrée dans sa culotte : nous ne savions ce qu’il voulait faire, mais il le savait bien ;
assez forte pour les consumer, elles se dissolvent en pluie ? Je n’en sais rien. N’en déplaise à M. l’abbé de Choisy, je ne
La Chassée. Je leur ai dit ce qui venait d’arriver. Quand celui-ci a su que c’était son soldat favori, il est monté avec
mbre du commandeur, qui me l’avait prêtée. Nous n’étions que quatre ; savoir Hérault, Mercier, du Hamel, écrivains de l’Amiral
, que son temps viendra après le dessert. Mais, surtout qu’Hérault ne sache point que je vous ai parlé, ni que je suis descen
i-je répondu d’un ton de tartuffe. Double diable, m’a-t-il dit, tu en sais plus long que moi : bois à ma santé sans rancune.
ve, ou sur les côtes du Canada et de l’Acadie à la pêche de la morue, savent qu’on en trouve très souvent de petites dans l’es
nommait d’Armagnan, natif de Saint-Malo. Il revenait des Indes, et ne savait pas que la guerre, par l’invasion du prince d’Ora
lheur, il avait sur son bord quatre jésuites mathématiciens qui ne le savaient pas non plus. Il prit envie à ceux-ci de faire de
leur avarice. Aussi sont-ce des saints indignes de mes bougies. Pour savoir s’ils en méritent, je n’en citerai qu’un fait, do
Il eut beau leur apporter de bonnes raisons ; entre autres, qu’on ne savait si on était en paix ou en guerre : son malheur vo
nt été ruiné de fond en comble. Le nom de ce gouverneur mérite d’être su . Il s’appelait Louis-François Duret de La Boulaye
que pour y maintenir la paix et l’union, et surtout la bonne foi. Il savait qu’il n’y avait que le marchand qui connaît la ma
verts ou mûrs, mais qui sont assez bons confits. Leur raisin est bon, savoir s’il fera de bon vin. On n’en a point encore pres
r : il en est cru, et elle est pendue. Les filles sont envoyées on ne sait où : apparemment dans des endroits où leur crime
pas s’il s’agissait de quelque nation plus méridionale. Tout le monde sait qu’il n’y a point de Portugais qui n’ait sa chèvr
cations et de peur. Nous ne primes point hier hauteur, parce que nous savions où nous étions ; et aujourd’hui nous n’avons pas
absolument inconnu. D’où viennent donc ces premiers habitants ? Je ne sais  ; et si la navigation avait jamais été en usage d
. C’est leur ordre qui y a la garde du Saint Sépulcre. J’y ai été, et sais ce qui en est. Au sujet des sacrifices sanglants,
s’y seraient pas opposés si ç’avait été un point de leur religion. On sait que de tous les peuples du monde, les Juifs ont é
Église, de telle religion, et de tel culte que ce soit, n’ont jamais su se rien céder. Les prêtres amalécites auront voul
l’ombre du prophète Samuel. Je n’entrerai point dans la discussion de savoir si ce fut véritablement à l’ombre de Samuel ou à
s de mettre demain matin à la voile ; et je remets à demain ce que je sais de Moali. Du dimanche 2 juillet 1690 Nous a
l est couché, elles vont chercher leur pâture par le vuide de l’air ; savoir ce qu’elles y trouvent, et de quoi elles se nourr
elles y trouvent, et de quoi elles se nourrissent, c’est ce que je ne sais point. Elles volent toute la nuit ; et le matin,
is le conseil d’Alexandre mon nègre, et il me parut que ces gens m’en surent bon gré. Cela fut cause qu’ils me conduisirent da
suite de la première : ainsi, l’honneur lui est dû. Voici ce que j’en sais . La religion de ces peuples me paraît, et est en
que rien ne fut capable d’interrompre leurs prières. Voilà ce que je sais de leur religion. Quand une femme est accouchée,
s, comme le dit Mompan, ambassadeur de Siam, à Mme de Montespan. Vous savez cette réponse également fine et maligne. J’ai pro
squ’à ce qu’elle fût venue il pouvait rester dans la tente, et que je saurais fort bien empêcher que les autres Noirs lui fisse
inutile de parler et que je ne puis douter qu’il ait emporté. Il faut savoir les railleries que cette aventure m’attire. M.de
bien voulu aussi ; l’inégalité du nombre ne m’épouvantait pas. Je ne savais quel parti prendre, n’étant point d’humeur à céde
nnaient toujours un quart plus que moi ; aussi disaient-ils qu’ils ne savaient comment je m’y prenais : il est vrai qu’Alexandre
nt : ainsi, point de pêche, et par conséquent point de poisson. Je ne sais si c’est à cause de l’honneur qu’il me fait d’avo
ins de ces vaisseaux m’ont rendu mes déboursés : j’en conviens ; mais savoir si la Compagnie n’en payera pas davantage. Je cro
Si j’avais entré dedans, j’en dirais des nouvelles plus certaines. Je sais seulement que c’étaient des Anglais qui étaient à
ette île, parce que je l’ai fait demander par mon nègre ; mais, je ne sais ni quand, ni comment, ils en sont sortis : les nè
Notre premier pilote en a acheté une fort belle et bien fine : je ne sais ce qu’elle lui coûte ; mais, si j’en avais trouvé
dit, fort vigoureusement à leur tour. Nous fûmes bientôt à eux. Je ne sais s’il nous craignait plus qu’il ne craignait les a
q autres, et il a plus de trente hommes blessés. C’est tout ce que je sais pour ce qui regarde les autres navires, et que M.
omis le nombre des coups que nous avons tirés ; c’est que je ne l’ai su que ce matin, par ma visite dans la soute aux pou
faut que ce navire ait essuyé plus de mille coups de canon ; et je ne sais si l’avis du chevalier de Bouchetière donne lieu
l avait pour plusieurs personnes qui sont aux Indes. Je voudrais bien savoir pourquoi il a été plutôt incommodé que le père Ta
dans un endroit bien sensible. Il ne me le pardonnerait jamais, s’il savait que j’en plaisante. Du dimanche 16 juillet 169
is pas souvenu. En effet, que sert à ceux qui lisent des relations de savoir positivement à quel endroit de la terre, ou de la
ttendaient pas ; et, en effet, ils ont donné assez de preuves de leur savoir pour qu’on soit sûr que ce n’est pas une méprise
ncore fort éloignés dans l’Ouest-Nord-Ouest. Où sommes-nous ? Dieu le sait . Les pilotes ne le savent pas ; leurs sentiments
l’Ouest-Nord-Ouest. Où sommes-nous ? Dieu le sait. Les pilotes ne le savent pas ; leurs sentiments sont partagés : je ne le s
pilotes ne le savent pas ; leurs sentiments sont partagés : je ne le sais point non plus. Nous courons au Sud-Est, pour tro
tourné. On ne m’accusera pas d’avoir eu part à cette lâcheté quand on saura que je lui dis dans la rage qu’une si infâme polt
st un sac à péchés mortels, fort ami de la joie et du beau sexe. Il a su d’elle ce qui s’était passé, et ce que le Françai
a chaloupe et le canot de la flûte, chargés de coffres et de barils : savoir ce qui était dedans ? Le tout ayant été prompteme
s de bonne grâce, et ai passé pour très désintéressé ; j’étais seul à savoir ce qui se passait dans moi, où nature souffrait d
puisque je ne m’en étais pas servi. J’ai, outre cela, ce que vous ne savez pas, lui ai-je dit : c’est qu’il me reste de quoi
lein jour je lui avais fait voir plus d’un million d’étoiles. Je n’en sais rien ; mais, je sais bien qu’il lui en coûte deux
re s’il ne s’était pas senti assez de cœur pour l’exécuter ; qu’il ne savait point comment cela serait pris en France, mais qu
is, dont l’un servait de ministre ou de prédicant sur la flûte. Il ne sait que le jargon de sa nourrice et pas un mot de lat
et unie. Elle est à ce qu’on dit, fort saine : c’est tout ce que j’en sais . Du mercredi 9 août 1690 Nous sommes fort b
e vaut plus que les présents ; du moins, je l’estime davantage. Je ne sais si tout le monde qui est dans l’Écueil est aussi
orcé ? L’apparence le dit ; et je ne la crois point trompeuse : je le saurai , car je ne crois pas que M. de Porrières me le ca
ée. Il y a des matelots qui y ont fait fortune, dans leur état, s’ils savent se borner3. Il est inutile de dire que j’ai salué
’ai beau rappeler mes idées, je ne m’en souviens plus. Tout ce que je sais , c’est que je n’ai jamais valu grand-chose. Cor m
cée. 3. Oui ils l’ont obligé de partager son butin ; mais je n’ai pu savoir de combien il a rendu gorge. 4. Ceci est faux. L
9 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
fonde, dont ses voisins ne la laissèrent pas jouir longtemps. À peine savais -je monter à cheval, et peu d’autres choses conven
e. Je m’en rapporte à vous Madame, lui répliquai-je. Je voudrais bien savoir si vous voudriez être à présent religieuse ? Oui,
ouffrait un homme avec scandale ; que cela n’était pas bien, qu’il ne savait qui était cet homme, et qu’il ne voulait point l’
’appréhende de me faire auprès de vous une mauvaise réputation. Je ne sais quel parti prendre ; je voudrais bien sortir d’ic
lettre à Bernay. C’est aller bien vite, dit-il en riant ; et c’est en savoir beaucoup à dix-huit ans, sans avoir vu le monde :
re qui avait été instruit de ce qui s’était passé, et qui avait enfin su que c’était moi, avait expressément défendu de la
i a tant donné de jalousie à Monsieur Des Ronais ; je l’ai encore, il sait un peu peindre : j’ai toujours eu de la confiance
du moins qu’il ne les violenterait pas. Je m’abandonnai au plaisir de savoir que Clémence n’était plus renfermée. Je crus avoi
mois, pendant lesquels je vis tous les jours Clémence, sans qu’il le sût  ; car aussitôt qu’il avait su mon retour, il lui
tous les jours Clémence, sans qu’il le sût ; car aussitôt qu’il avait su mon retour, il lui avait défendu de me voir et de
été moi qui avais si bien dégoûté sa fille du couvent. Je n’ai jamais su que ce seul endroit qui ait pu m’attirer sa haine
en parlai, crurent l’affaire faite, elle ni moi ne le crurent pas. Il savait que j’aimais sa fille, et qu’elle ne me haïssait
les mauvais traitements de mon père ; depuis plus de deux mois qu’il sait que vous n’êtes point à Paris, il les a redoublés
s, il les a redoublés. Je ne vous dirai point ce qu’il m’a fait, vous savez de quoi il est capable. Il est étonnant qu’il m’a
ut possible. J’allai descendre à mon auberge ordinaire. Bernay qui ne savait où était sa fille, et qui se douta que j’en serai
l, les plus rudes traverses n’étaient point essuyées. Pourrait-on les savoir , dit la belle Madame de Contamine, je vous avoue
en laissera des semences après sa mort. Cependant puisque vous voulez savoir le reste, je vais vous satisfaire. Il sut, en me
dant puisque vous voulez savoir le reste, je vais vous satisfaire. Il sut , en me faisant suivre, dans quel couvent était sa
ns sur mes pas, sans avoir pu voir Clémence. Bernay revint aussi ; je sus qu’il avait voulu me faire un procès pour rapt, m
le secret de lui plaire. Il était enragé d’avoir manqué son coup. Il savait que j’en étais cause et me connaissait de nom. Be
oin ce qui s’était passé. Ces nouvelles la rendirent malade, je ne le sus qu’après mon éloignement, qui ne me fut pas fort
ouvelles. Cela m’inquiéta, et j’étais prêt de repasser en France pour savoir la cause d’un si long silence, lorsqu’un homme as
Il me donna la lettre que voici ; mais avant que de la lire, il faut savoir ce qui s’était passé. Sitôt après mon dernier dép
ous avez eu de moi depuis trois mois que vous ne m’avez pas même fait savoir de vos nouvelles, m’a jeté dans le désespoir où j
nsolation de vous éclaircir des derniers moments d’une vie, dont vous savez le malheureux commencement. Je n’ai vécu que pour
faire connaître que ce n’est qu’à vous que je me sacrifie. Si je vous savais certainement infidèle, je vous accuserais de ma m
s, lui dis-je en riant. Il la baisa, et lui dit à l’oreille qu’il lui savait bon gré de son action, qu’elle allât hardiment, e
e. J’envoyai deux fois pendant ce temps-là, comme je fis encore hier, savoir , du beau-père, s’il voudrait souffrir que nous lu
erny, s’adressant à Madame de Contamine, ce que vous avez souhaité de savoir de Madame de Terny et de moi. Pour ce qui s’est p
n lui oppose, quand elle a la vertu et la raison de son côté. Vous le savez par expérience, Madame, reprit Dupuis, qui ne fai
e rentrer ; n’ayant point entendu ce que Terny avait dit, parce qu’il savait tout ce qu’il avait à dire. Vous me répondez, Mon
ont assez fait de bruit pour vous obliger à ne pas convenir qu’on ne saurait donner trop de louanges à la constance. Il en a,
dame de Mongey fût présente ; la voilà, nous serions fort aises de la savoir . L’occasion ne peut pas être plus belle, reprit D
10 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
servi & rempli, & le mien est aussi vide qu’un tambour. Je ne sais quand je reprendrai la plume. Du jeudi 24 août
’être noyé, & que les marchandises sont toujours mouillées. Je ne sais pas pourquoi la Compagnie n’y fait pas faire un q
onstance est mort dans les tourments huit jours après, & qu’on ne sait ce que sa femme & ses enfants, & la princ
ai plusieurs fois demandé : on ne me l’a point dit, parce qu’on ne la sait pas ; & je ne puis la deviner. Ils ont des oi
dédire, jusqu’à ce qu’elle soit liée au cadavre, comme on va voir. Je sais ces trois circonstances pour m’en être informé, c
lecteur me rendra la justice d’ajouter foi à ce que j’écris lorsqu’il saura par qui j’ai été informé, non seulement de ce que
es, ils suivent la religion de Mahomet ; &, autant que j’en ai pu savoir , c’est la secte de Hali. Ils retiennent beaucoup
ment confondue avec la mahométane & l’idolâtre. Pour moi, je n’en sais rien davantage. Pour ce qui est des esclaves, leu
omme on le verra par la suite ; & voici ce que j’ai vu, que je ne sais comment exprimer. C’est qu’au coin d’un étang, qu
voir des pays étrangers que des relations mensongères ou imparfaites, savons -nous ce qui se passe sous nos yeux ? Savons-nous
nsongères ou imparfaites, savons-nous ce qui se passe sous nos yeux ? Savons -nous que ces peuples, dont nous nous moquons avec
nous moquons avec justice, auraient raison de se moquer de nous s’ils savaient ce que cette bizarre superstition fait chez nous 
nsi que l’Ange l’avait ordonné à saint Joseph. J’aurais bien voulu en savoir davantage ; mais, le Noir que je faisais interrog
ais interroger par un Portugais, qui m’expliquait tout en latin, n’en savait pas plus, n’étant pas de cette côte de Malabar, m
ègre de Guinée, tel qu’un Ethiopien ni un cafre. Voilà tout ce que je sais , & que j’ai appris des Indes à Pondichéry. À
re : & n’y ayant que douze lieues de cet endroit à Pondichéry, on sait , de certitude, qu’il y a huit cents hommes de gar
feu si beau & si prompt : mais on a cessé de s’étonner quand on a su , par M. d’Auberville & les matelots de son br
nt eu que des vaches, non plus que nous. Est-ce par épargne ? Je n’en sais rien. Le sieur Pelé retourne à Balassor ; & n
ris que nous irons à Mergui. Avant que de continuer, il est bon qu’on sache ce que c’est que ce Mergui. C’est une place du ro
i : les principaux acteurs doivent être présentement en France. On en saura plus d’eux que je n’en pourrais dire, supposé qu’
onze heures & demie ou midi, au plus, de la journée d’hier. Je ne sais si elle est cause du mauvais temps que nous avons
mp; nous ne sommes à présent que deux, le Florissant & nous. Nous savons le rendez-vous, en cas de séparation ; mais, entr
usqu’au jour, je me suis tranquillement recouché & rendormi. J’ai su ce matin que vers les deux heures après minuit le
est très certain qu’il est homme à lui avoir joué le coup, s’il avait su que ces deux navires eussent été des nôtres ; mai
ais à la lettre le précepte de Sénèque, Age quod agis. Il m’a paru me savoir bon gré de ce que je lui ai dit, & a ajouté q
est bien vrai que ce sont deux navires ; & c’est tout ce que j’en sais . Octobre 1690 Du dimanche 1er octobre 16
. Notre aumônier s’appelle François : je le savais bien ; mais, je ne savais pas que ce fût aujourd’hui sa fête : je ne regard
x Indes, & a envoyé ce petit bâtiment pour découvrir notre route, savoir où nous sommes & où nous allons. Il est certa
u, comme M. de Porrières l’est ici. Outre cela, quoique tout le monde sache qu’il fait ce voyage-ci malgré lui, puisqu’il ne
ue. Il avait affaire, très malheureusement pour lui, à un matelot qui sait mieux frapper & qui est bien plus vigoureux q
un sergent & l’air & la figure ? Il me semble que oui : je ne sais , mais enfin, Je me trouve le dos plus dur que ce
re combat, & qui n’en est parti que douze jours après. Nous avons su de lui que les ennemis ont perdu bien du monde, d
e ; & le regarda d’un air à attendrir tous les spectateurs. Je ne sais ce que M. de Porrières & d’autres n’auraient
otre part. Notre raisonnement était juste ; car, à peine les matelots surent qu’il y avait des huîtres, qu’ils firent si bien
ne sont pas rares. Je ne finirais jamais si je disais tout ce que je sais par ouï-dire de ces pays-ci. Je ne puis cependant
vrai qu’il a une bouche de moins qu’il n’avait. Voilà tout ce que je sais de ce pays ; et ce qui s’est passé à l’île de Nég
que deux autres, dans le même poste que moi, ont été fort heureux de savoir nager pour gagner terre. Les ennemis domestiques
nfuses que la nature leur donne & qu’elle refuse à l’homme qui ne sait rien de lui-même, & a si bien exalté le bonhe
oi me conduisit avec deux gardes, comme il me l’avait promis. Il faut savoir que cela se passa à la fin de novembre, qu’il fai
résolus de passer la nuit à la belle étoile. Bêtise à moi, qui devais savoir que les chevaux des messagers savent leur chemin.
étoile. Bêtise à moi, qui devais savoir que les chevaux des messagers savent leur chemin. Je mis donc pied à terre, au pied d’
ort-Royal, capitale place de l’Acadie. Il me vint flairer, & sans savoir ce qu’il était devenu, je l’entendis japper de lo
employé qu’il y est encore. En vérité, on aurait pitié de nous si on savait comme nous sommes. Nous n’avons plus l’air de vai
eau du roi, ni de vaisseau de guerre, mais seulement d’hôpital. Je ne sais sur quoi en rejeter la faute. Ce ne doit point êt
prêts sur mes tablettes & du temps à moi, je vais dire ce que je sais & que j ’ai appris, après avoir dit qu’un emp
qu’il ne s’est pas trouvé la centième partie de ce que tout le monde savait qu’il avait. Il avait confié ses clefs à un homme
u’il faut pour la vie. Je n’y ai vu ni mangé ni bœuf, ni veau : je ne sais ce que les Asiatiques d’ici en font ; mais enfin,
siatiques d’ici en font ; mais enfin, je n’y en ai point vu, ni pu en savoir la raison. Leurs vaches sont dures, aussi bien qu
ient vendre les âmes ? Tous ceux qui, comme moi, ont été en Portugal, savent que ce n’est plus la religion de Jésus-Christ qui
onne le scélérat, nu, & vivant, aux dents de dogues affamés : ils sauront , en le dévorant, le punir d’avoir dévoré les autr
ures, accompagné de trois de ses confrères : j’y étais présent. Je ne sais comment Monicault, rouge comme feu, se donna la p
seil ; & c’est ce qui donna lieu à un autre incident digne d’être su . Rupli n’allait jamais chez M. Colbert que Monica
prince contre Remraja, on m’en a promis la relation ; étant sûr d’en savoir là plus que je n’en ai appris à Balassor, je me p
nnes. Il a fait à Balassor un plat de son métier : qui que ce soit ne sait ce que c’est ; nous allons le voir. C’était un pâ
eurs MM. Martin, qui ne se sont de rien l’un à l’autre, j’ai tâché de savoir si ce M. Martin, général des Français aux Indes,
ayant plus d’intérêt à garder le secret, m’a appris ce que je voulais savoir , & que voici. M. Martin est parisien, fils na
C’est moi qui affirme celui-ci, & non M. de La Héronne, qui n’en savait rien. Je reviens au bâtard, qui est celui dont je
uis ce temps, ils n’avaient eu aucune nouvelle l’un de l’autre. Il ne savait si elle était morte ou vive : il ne pouvait même
rien de considérable pendant toute une campagne : mais il faut aussi savoir que les Asiatiques ou les Indiens ne se battent p
tué ou blessé, c’est-à-dire du sang, ils prennent la luite, & ne savent ce que c’est que de se battre de pied ferme. On t
ra jamais. Je n’ai point étudié la géographie ancienne : ainsi, je ne sais pas où était positivement situé le royaume de Por
ches, & quelques-uns de mousquets ou fusils. Voilà tout ce que je sais de la guerre du Mogol & du jeune Remraja. Sév
a pas peu contribué à la perte de celui-ci. J’en ai déjà parlé. Je ne sais si Sévagi avait connaissance de la vie de Georges
érite ; & les mandarins siamois sont restés à Bengale. Je ne l’ai su qu’à Pondichéry : sans cela, je l’aurais dit plus
te ridicule infaillibilité. J’ai assez lu l’Histoire de l’Église pour savoir , de certitude, que l’Église a donné seize démenti
ement ce qu ils en pensent ; mais on le connaît assez, pour peu qu’on sache lire, dans les yeux & l’altération du visage,
détruire, puisqu’ils en connaissent parfaitement l’état & qu’ils savent si bien, pour la plupart, l’idiome des idolâtres,
é ? Pourquoi écrivent-ils pour l’Europe tout le contraire de ce qu’on sait de certitude dans les Indes ? Pourquoi nous donne
qui sont aux Indes, Français, Anglais, Portugais, Danois, Hollandais, savent que cette révolte n’est que le fruit de leur avar
ti à Tavernier pour que dans les Indes on donne un démenti à ce qu on sait  ? Croient-ils que leurs relations ne repassent pa
quelle religion ils sont, ils répondent qu’ils sont hollandais. Je ne sais si cela est pardonnable à une nation dont le comm
r de son départ de Paris, où on apprit plus tôt son mariage, qu’on ne sut qu’il avait une maîtresse. C’est faire bien vite
matrimoniales ; qu’ils exigeaient tous cette précaution, parce qu’ils savaient qu’il l’avait fort avantagée, quoiqu’ils sussent
le au lendemain matin pour tout enlever ; &, afin que rien ne fût su ni soupçonné de sa femme, & qu elle se doutât
s de Portugais. Il y en a de très jolies, & peu cruelles. Je n’en sais rien que par ouï-dire : je sais seulement que le
s jolies, & peu cruelles. Je n’en sais rien que par ouï-dire : je sais seulement que le code dit : nulle terre sans seig
terre sans seigneur, & que la glose ajoute : & sans cocus. Je sais encore que ces échappées de Portugais, que leur m
e ; & que j’étais certain que lui-même en conviendrait, lorsqu’il saurait qui était cet homme. Il me parut mortifié de ma r
erait que pour ma réputation : ne devant point douter que ceci ne fut su , y ayant trop de témoins pour n’y avoir point d’i
tant à eux qu’au cuisinier, l’un des quatre a jasé, & tout a été su  ; ce qui a attiré au commissaire & à Mercier
nt comme dans nos foires & nos marchés. Ceux qui vendent à crédit savent écrire. Je ne parlerai point de leur papier : ce
rapporté le brûlement d’un noir, que j’ai vu à Pondichéry, le lecteur saura tout ce que je sais moi-même du pays dont je sors
d’un noir, que j’ai vu à Pondichéry, le lecteur saura tout ce que je sais moi-même du pays dont je sors. Il était mort envi
nuel, mais de temps en temps. J’ignore de quoi sont ces clairons : je sais seulement qu’ils sont fort légers, & qu’ils r
j’en ai naturellement dit ma pensée à M. Martin, qui ne m’en a point su mauvais gré. J’ignore quel est celui qui se dit i
temps propre à venir piller Surate ; que c’était par leur moyen qu’il savait quelles marchandises les banians avaient achetées
opéennes ne soient forcés d’abandonner leurs établissements. Qu’il ne savait aucun moyen de prévenir ce rude coup qu’en prenan
iers dont on aurait besoin & les matériaux nécessaires ; qu’il ne savait pas pourquoi ni le ministre, ni la Compagnie, n’a
eu aucun égard à tant de remontrances, ni à tant d’instances ; qu’il savait seulement qu’on ne leur avait répondu que par des
erre en Europe, & soixante vaisseaux dans les mers de l’Europe ne sauraient taire. J’ai encore envoyé un mémoire exact & 
prendre sur vos tablettes les notes de ce que je vous confie. Je vous sais bon gré de votre application, qui m’est un garant
parler est implacable, que leur colère est terrible, & qu’ils ne savent ce que c’est que de pardonner ni aux vivants, ni
ous rendra secret pour secret. Cela étant, dit-il, je poursuis. Je ne sais , dit-il, par quel charme ils ont surpris & su
celui des Anglais, des Danois & des autres nations ; & je ne sais s’il ne l’emporte point aussi sur celui des Portu
térêt de la Société. Ces jésuites déguisés s’intriguent partout &  savent chez quel marchand & banian il y a le plus de
vient en tête, & qui plus est, sans commettre aucun péché. Je ne sais s’ils se servent encore de ce secret : je sais se
tre aucun péché. Je ne sais s’ils se servent encore de ce secret : je sais seulement qu’il fut découvert lorsqu’eux mêmes y
avoir fait une récapitulation de sa chapelle de Notre-Dame, que nous savions aussi bien que lui, il la termina par dire qu’il
e, d’emporter son fils avec elle, & de se retirer à Bangkok. Vous savez comme elle y fut reçue, & avec quelle lâcheté
modement, soit par autorité, qui connaissent qu’ils disputent, et qui sachent le sujet de cette dispute. Mais que les missionna
es, qui plongent cinq ou six fois dans l’eau sans s’éteindre ; qu’ils sachent l’usage du camphre & de quelle manière on rep
ant théologien. Aussi, la théologie n’est-elle pas mon fait : je n’en sais que ce que j’en ai lu dans des livres, qui accuse
ce que j’en ai lu dans des livres, qui accusent les jésuites de n’en savoir pas beaucoup. Ils savent à mon sens la science du
es livres, qui accusent les jésuites de n’en savoir pas beaucoup. Ils savent à mon sens la science du monde & du commerce.
m, & d’achever d’y perdre la réputation du nom français. Comme je sais leur politique sur le bout du doigt pour l’avoir
& les autres jésuites restent ici : qu’y vont-ils faire ? Je n’en sais rien. Je ne sais certainement point le dessein ni
jésuites restent ici : qu’y vont-ils faire ? Je n’en sais rien. Je ne sais certainement point le dessein ni des uns ni des a
que de l’y mettre en bonne odeur. Ceux qui ont connu M. de Seignelay savent que c’était le meilleur cœur d’homme qui fût au m
plus vivement que je ne lui avais parlé, à en jurant Mort-D..., nous savons tout cela mieux que toi, & nous en savons enc
jurant Mort-D..., nous savons tout cela mieux que toi, & nous en savons encore cent fois plus. Nous les haïssons plus que
s que nous. Il a plu toute la journée, & la pluie redouble. Je ne sais si je m’accoutume à la chaleur ; mais celle-ci me
emier pilote qui m’a donné ce système qui me paraît assez juste. Nous savons tous que le calendrier réformé par Grégoire XIII
pôle à l’autre ; & que les jours sont égaux partout ; mais, nous savons aussi que cette fixation n’a été faite que par ra
ixation n’a été faite que par rapport à la fête de Pâques, & nous savons encore que cette fixation n’est pas toujours just
e l’a eu passé, sa lumière était belle & claire. Je voudrais bien savoir pourquoi ces rayons de la lune sont plus clairs o
ne veut rien perdre. La Fargue dit que j’ai le corps d’acier. Je n’en sais rien ; ma chair est flexible : mais il est vrai q
érence est très grande entre en être instruit par les autres & le savoir par soi-même. Je ne sais si Ovide & Lucain pa
e en être instruit par les autres & le savoir par soi-même. Je ne sais si Ovide & Lucain parlaient par eux-mêmes ou
sion, ce qu’entre autres choses Didon dit à Ænée, ou qu’Ovide, que je sais presque par cœur, lui fait dire : Perfïdiae pae
n dit dans une de ses odes : On est roi, quand on se maîtrise, Qu’on sait vaincre ses passions, Que de folles affections On
lus que cinq navires, dont le Gaillard n’est point du nombre. Nous ne savons ce que peut être devenu M. du Quesne : Dieu veuil
que moi, que sainte Anne d’Auraz n’en sera guère plus riche. Nous ne savons dans quel état sont le Florissant & le Dragon
tions ; & y avons ri de bon cœur aux dépens de l’aumônier, qui ne savait à quel saint se vouer pour se tirer de nos brocar
t aussi ce qu’il voudra avoir : encore faudra-t-il gagner le portier. Savez -vous, père, la chanson du portier du couvent, dan
qu’ils ont été tirés de ce qu’on nommait autrefois monstiers ! Je ne sais ce que c’est que l’évêque du Balai, non plus que
’ai fait malgré le père, qui voulait m’en empêcher, très impatient de savoir ce qu’il avait à dire. Ho, ma foi, béat père, vou
rend, lui a-t-il dit, vous êtes trop prompt & trop impatient : ne savez -vous pas bien qu’une comédie a cinq actes ? Et vo
aisseau du reste de l’escadre ne lui agréait pas non plus. Qu’il n’en savait point la cause, & que tout ce qu’il en pouvai
e d’un fripon. Ecoutez, messieurs, a-t-il poursuivi, & vous allez savoir ce que vous voulez apprendre ; bien entendu, pour
ien donner à déjeuner, & m’a encore laissé quatre escalins. Je ne sais comment je lui laissai le temps d’achever ; mais
e son obédience, & qu’il portait. Il est très vrai que si j’avais su quelle était cette Marie Coignet j’aurais averti
 ce fut Cauvreville qui m’accommoda de pied en cap. Je n’ai jamais pu savoir de lui ce qu’il faisait à Douai, quoique ce n’a é
chez le gouverneur, qui nous régala fort bien, & qui me dit qu’il savait tout ce qui m’était arrivé, & qu’il ne m’avai
ste, & qui me paraissent à présent abominables, contentez-vous de savoir qu’il la pervertit, & la résolut à le suivre 
était servi de mes passeports, pour venir directement à Amsterdam. Je sais tout ce qui vous est arrivé à Douai, monsieur, po
t à la chute. Elle y avait tait faire deux clefs sans que personne le sût , afin de n’être plus grondée quand il fallait qu’
la plus sincère : c’est pourquoi je la préfère aux autres. Le lecteur saura seulement aussi que la qualité d’opra répond à ce
ans du palais & le dehors étaient soumis à ses ordres. Le lecteur saura encore que cangue est une fourche de la hauteur d
, qui se voit encore dans la tour de Montgomery à la Conciergerie. Il saura encore que rotin sont des cannes fort menues &
èges & les dossiers sont de ces mêmes cannes. Il faut aussi qu’il sache que ce qu’on y nomme bras peints sont les bourrea
ni personne ne pouvait en rien dire de certain. Que tout ce qu’on en savait , par un bruit sourd, était que Pitrachard avait v
vires se sont encore dispersés. Nous ne sommes plus que trois : je ne sais où sont les deux autres ; & ceux que nous voy
ne route ; & de dessein formé, nous avons laissé l’escadre. Je ne sais si nous avons bien fait ; mais je sais bien qu’il
elle, tigresse & traîtresse. J’ai été pris par les Turcs, vous le savez , & j’ai éprouvé dans ces barbares mille fois
du génie des Anglais, je ne puis m’empêcher de dire une chose, que je sais d’original. J’ai parlé ci-dessus de M. de La Barr
la confusion que les jésuites eurent à Montréal. C’est de lui que je sais ce que je vas dire. Avant que d’être vice-roi en
ge des orgues qui les réduisit à si peu. Comme le lecteur peut ne pas savoir ce que c’est qu’une orgue, je crois devoir l’en i
it-il en parlant à un des quartiers-maîtres qui jetaient les Anglais, sais -tu bien ce qu’il faut faire ? Tout le monde croya
emps de l’ouragan : Rikwart nous l’a assuré en dînant. Les Hollandais savent que nous sommes ici, car ils ont des gens exprès
91 Le vent continue toujours bon & nous allons à souhait. Dieu sait ce qu’il nous faut ; car, certainement, nous avon
serons mercredi à l’Ascension. Ce que Dieu garde est bien gardé : il sait le besoin où nous sommes, surtout de pain, à caus
de Porrières paraît être dans un très violent chagrin, parce qu’on ne saura quel parti prendre ni où dresser la route pour re
Pajol de la même édition que le mien, s’en sert pour l’expliquer. Il sait que le nombre des livres indique la page, que le
arrête point à ce total de 8 902 livres 8 sols 3 deniers, parce qu’il sait qu’il ne sert à rien & n’y est mis que pour l
s mouille devant le Fort-Royal, par un très beau clair de lune. Je ne sais pourquoi nous n’avons pas mouillé au Fort Saint-P
dix-neuf à vingt. Je le connaissais il y avait du temps ; mais il ne savait pas que je connusse sa femme : & en effet je
mur, & comptait de l’emmener avec lui. Elle se fit, sans qu’il le sût , chercher un âne. Il l’avait toujours défrayée, &
toujours défrayée, & la traitait avec toute sorte de respect : il sut le louage de cet âne & s’en plaignit à elle l
x de sa conduite & de sa vertu. Il redoubla ses instances pour en savoir davantage : elle s’en fit plusieurs fois presser 
Orléans, où elle avait eu le bonheur de le trouver sur le port. Qu’il savait aussi bien qu’elle ce qui lui était arrivé depuis
d de jour en jour. Elle a en or & en argent, sans que son mari en sache rien, plus de quarante mille francs d’argent comp
s têtes mal faites portent de travers ? Arlequin dit que, quand on le sait , c’est peu de chose, & que quand on l’ignore
inée ; mais cette île ayant été secourue par huit vaisseaux français, savoir quatre du roi, & quatre armateurs de Saint-Ma
résolution prise dans un conseil postérieur a cassé l’autre. Je n’en sais point la raison, si ce n’est que nos vaisseaux so
ns voir les ennemis, tout le monde nous caressait. Mais sitôt qu’on a su le contraire chacun s’est plaint que nous n’étion
e Noé construisit : lui, ses trois enfants, leur femme à chacun. Nous savons quels ont été les établissements de ces quatre ho
qui sont séparées de lui, de nous, par des espaces de mer que nous ne savons point que personne ait traversés avant Christophe
s Farges, puisque cela est ignoré de tout le monde, & que je n’en savais rien. Tel que soit le motif, je lui ai gardé, &am
. J’en suis à couvert, n’aimant ni les douceurs, ni les sucreries. Je savais dès longtemps & M. Ranché, secrétaire de M. d
s plaisirs mutuels. Ce sont pour ces femmes des nuits de noces. Je ne sais comment les maris prennent les choses dans l’inté
est un secret pour tout le monde, ne sachant pas même que Fanchon la sait  ; mais elle a tourné l’amant de tant de côtés que
nt jour. Bernard, qui voyait toute la perfidie de Vallière, & qui savait qu’il en serait bientôt puni, le remercia de sa p
débarrassant de Bernard, dont la présence le gênait, & dont il ne savait comment se défaire, sortit aussi, & prit le c
ien ne pouvait le faire connaître à l’ami de Bernard ; & lui, qui savait qui était si bien étrillé, ne jugea pas à propos
mortifiant pour un homme de son pays. Il s’imaginait que personne ne savait rien de la grêle, quoique quatre personnes la sus
que personne ne savait rien de la grêle, quoique quatre personnes la sussent , et que le charpentier l’eût fort bien reconnu à
i. Dès le lendemain, la charpentière alla tout dire à Bernard, qui le savait aussi bien qu’elle, & qui ne trouva pas la ve
ui-même ou du mari ; & Vallière, plus fâché de ce que le vice-roi savait son aventure que du reste, fut obligé d’avaler la
’aventure étant secrète, elle n’a point éclaté ; mais Fanchon, qui la sait de Bernard et de la charpentière, nous l’a dite à
n’aurais jamais fait si je me mettais sur le pied d’écrire ce que je sais de l’histoire scandaleuse de plusieurs nymphes de
roquet la fit jaser & nommer un amant si libéral. M.du Quesne l’a su , & en même temps que cet homme avait en Franc
avoir perdu. Du jeudi 16 août 1691 Bon vent dès le matin. On ne sait si on doit aller à La Rochelle, à Belle-Île, ou à
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
même que nous arrivâmes à Paris, qu’il me dit ce que j’avais envie de savoir il y avait longtemps. Nous arrivâmes au Bourg-la-
us les poètes anciens et modernes n’ont rien d’obscur pour elle. Elle sait même de l’astrologie ; mais cette science capable
ans le ridicule, ne lui sert que d’amusement. Elle fait de ce qu’elle sait une application toujours cadrante au sujet sérieu
is vous allez entendre le reste, Mademoiselle Fenouil, poursuivit-il, sut ce traité de mariage et fit tant qu’elle vit Made
. Sa beauté l’alarma, et elle perdit toute considération, lorsqu’elle sut que les articles devaient être signés le même jou
e viens recevoir vos ordres Mademoiselle, dis-je en entrant, je viens savoir de vous ce qu’il vous plaît que je devienne, et q
emande. Avant que de vous le déclarer, Monsieur, me dit-elle, il faut savoir si vous aimez avec sincérité la demoiselle que vo
ous n’ayez tout à fait rompu : mais cachez-en le sujet, je veux seule savoir la part que j’y aurai. Je suis jalouse, et il est
oulus lui persuader de faire parler à son oncle par des gens que nous savions avoir du pouvoir sur son esprit ; elle n’en voulu
vé pour finir tout d’un coup, et sortir d’affaire en un moment. Je ne savais ce qu’elle voulait me dire par là. Je la quittai
eté le poison que je voulais avaler ; mais je suis fort aise que vous sachiez quelle est ma résolution. Demain, poursuivit-elle
de Mademoiselle Fenouil avait mis toute la maison en alarmes ; on ne savait ce qu’elle était devenue. On la chercha partout ;
int à Paris, sans vous dire comment notre route fut découverte, on la sut , on nous suivit, et on nous surprit que nous étio
pâmé ; et je me vis sur un lit lorsque je revins de ma pâmoison. J’ai su depuis que les juges qui voyaient que je n’étais
onclusions trop rudes ; et il conclut plus favorablement pour moi. On savait l’âge de Mademoiselle Fenouil ; et entre plusieur
ue de l’épouser. Un entre autres, d’une maison égale à la sienne, qui savait fort bien ce qui lui était arrivé avec moi, et qu
uit. Voici ce qui en donna le moyen. J’ai déguisé mon nom, comme vous savez  ; je me faisais nommer Saint-Cergue, et ce n’est
sais nommer Saint-Cergue, et ce n’est que depuis La Rochelle que vous savez que mon véritable nom est de Jussy. Le hasard vou
nts, ce qui n’est pas là fort rare ; enfin, au retour d’un voyage, je sus qu’il avait été assassiné. Comme on savait que je
in, au retour d’un voyage, je sus qu’il avait été assassiné. Comme on savait que je le connaissais, on m’instruisit de sa dest
estiques, à qui il dit son nom et tout ce qu’il jugea à propos qu’ils sussent de son aventure, et conclut par dire qu’ils allai
t à ceux du logis, qu’elle avait été mariée la nuit. Ils ne pouvaient savoir avec qui, tant la mort de Jussy qu’on croyait cer
uses. Ces deux amis acceptèrent la partie pour le lendemain matin. Je sais bon gré à Madame de Jussy, dit Madame de Contamin
urément demain, quand je devrais mettre un laquais en sentinelle pour savoir où elle ira à la messe. S’aimer après avoir été s
driez-vous bien nous la dire, Monsieur, reprit Madame de Mongey. Vous savez que nous avons été elle et moi pensionnaires dans
e avait quelque chose à dire à son parent, qu’elle ne veut pas que je sache  ; cela doit être dit à présent, montons. Tout le
12 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
de ma famille. Madame votre mère est morte, dit le conseiller. Je le sais depuis longtemps, reprit Des Frans, en soupirant 
int à Paris ni l’un ni l’autre. Tant pis, reprit Des Frans, car je ne sais présentement où aller loger. Vous ne vous souvene
a maison est assez grande pour vous et pour moi ? Et à présent que je sais que vous n’avez point de retraite fixe, vous me f
avez passé le temps de mon absence, et apprenez-moi tout ce que vous savez de Gallouin. Je ne sais rien que le public ne sac
on absence, et apprenez-moi tout ce que vous savez de Gallouin. Je ne sais rien que le public ne sache, dit Des Ronais ; mai
tout ce que vous savez de Gallouin. Je ne sais rien que le public ne sache , dit Des Ronais ; mais Dupuis qui doit venir ici
is cela étant, je l’attendrai, et j’apprendrai par lui ce que je veux savoir  : mais je voudrais bien apprendre de vous-même, c
int de vous marier, et que cela n’a point réussi. Je voudrais bien en savoir la cause ; et si c’était un mariage d’amour, ou m
ffaires que vous ne pensez, mais ne craignez rien, votre secret n’est su que de moi, et ne le sera jamais d’autre sans vot
de pardon d’avoir eu quelque chose de secret pour lui, mais lorsqu’il saura quel est ce secret, je suis sûr, qu’honnête homme
erai devant lui, que Gallouin n’a pas cru vous offenser, puisqu’il ne savait point que le sacrement vous eût joints vous et Si
e m’étonne pas de ne vous voir pas demander de ses nouvelles, vous en savez de plus certaines que nous : cependant vous ne no
, pour lui refuser une visite. Non assurément, répondit Des Frans. Je sais mon devoir, et vous me faites tort de croire qu’i
13 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
sera un style sans correction, mon plus grand talent est celui de ne savoir dire que ce que je sais et de ne rien écrire dont
tion, mon plus grand talent est celui de ne savoir dire que ce que je sais et de ne rien écrire dont je ne sois sûr moi-même
Mais puisque je parle de lui, il est à propos d’en dire un mot. Vous savez les faussetés qu’on avait dit de moi l’année pass
ue le tout gissait en fait. J’en suis bien sorti, Dieu merci, vous le savez . Vous connaissez Monsieur Gouault : je le regrett
r les neuf heures du matin, les voiles carguées sans avancer. Nous ne savions pas quelle manœuvre voulait faire notre amiral de
es du mont Etna ou Gibel, des Alpes et des Pyrénées. Je voudrais bien savoir à mon tour pourquoi il se conserve toujours de la
gnal d’aller le premier. C’était une confusion de voix enragée, on ne savait à qui obéir ; notre pilote en était étourdi, et q
i porte le nom de l’île, et l’autre à cette anse. Celui-ci dont je ne sais point le nom peut être âgé de 22 à 23 ans au plus
peindre une autre maison aussi somptueuse où sont les cuisines. Je ne sais ce qu’ils y font cuire n’y ayant rien vu, ni feu
er, qui n’est pas éloignée de cent pas au plus d’où j’ai passé. Je ne sais point pourquoi ce n’est pas là que les navires vo
n blanchis, mais il est logeable tant pour lui que la garnison. Je ne sais point pourquoi on a bâti la ville dans l’endroit
nsi, car je ne l’ai point vu depuis le moment que je l’ai payé. Je ne sais quelle est la vie de tous ces gens-là, tant Europ
ne sont des oranges, des limons, des cocos et des goyaves, encore ne sais -je où ils les prennent car je n’ai vu ni dans la
u contraire, il ne l’a pas dit de même à Monsieur Du Quesne ; je n’en sais point la raison, mais je crois que c’est qu’étant
Même vent, chaleur très grande. Je ne puis presque respirer. Je ne sais comment peuvent faire les autres qui sont ici, il
ra pas les deux autres, nous lui en épargnerons la peine. Mr. D.P. ne savait pas comme les bêtes en usent entre elles quand il
t, la considération que vous devez avoir pour Monsieur, vous devez la savoir . A quoi nous n’avons répondu que par une grande r
fermé. Du mercredi 26. [avril] jour de ma fête. Personne ne l’a su , tant mieux autant d’épargné. Nous allons bien. L
désespoir de n’avoir pas pris garde de plus près à leur almanach pour savoir le saint d’aujourd’hui. C’est leur faute, je ne l
quelque espérance qui peut-être se convertit en désespoir, Dieu seul sait ce qui en réussit. Du samedi 29. [avril] Le
u’il ne croyait pas trouver dans l’Ecueil des gens aussi honnêtes qui sussent aussi bien vivre et avec tant de concorde que nou
obligés de s’y établir. Mais sans entrer dans un détail ennuyeux pour savoir d’où sont venues les femmes qui ont multiplié leu
uerelles qui se seraient infailliblement élevées entre les pères pour savoir lequel des enfants serait sacrifié le premier, un
, poules pintades, perdrix rouges, perroquets, et d’autres dont je ne sais point les noms, seulement sais-je qu’ils sont for
es, perroquets, et d’autres dont je ne sais point les noms, seulement sais -je qu’ils sont fort beaux et fort bons à manger.
ères en commun. Je les ai vus assis sur leurs talons marmottant je ne sais quoi, et de temps en temps parlaient haut tous en
la coquille du trou que dans celle de la porte. Voilà tout ce que je sais de leur religion, n’ayant pu en apprendre davanta
ue je sais de leur religion, n’ayant pu en apprendre davantage. Je ne sais ni leurs cérémonies de mariage ni aucune autre. I
moi un caporal brave garçon qui aurait bien voulu passer outre. Je ne savais quel parti prendre, car je n’étais point d’humeur
e que je puis dire sur l’île de Moali, puisque c’est tout ce que j’en sais , seulement ajouterai-je qu’ils ont du vin de palm
e de la chapelle ou tombeau de l’Anglais dont je vous ai parlé. Je ne sais pour quel usage il y était, mais les Arabes n’ont
, fort vigoureusement à leur tour : nous y fûmes bientôt aussi. Je ne sais s’il nous craignait plus qu’aucun ou si c’était à
tué ; Monsieur du Quesne lui-même a été blessé ; c’est tout ce que je sais , et que Monsieur le chevalier d’Haire élevant le
Charmot notre missionnaire, la sienne a été crevée. Je voudrais bien savoir pourquoi il a été plutôt incommodé que le Père Ta
oint souvenu. En effet à quoi sert à ceux qui lisent des relations de savoir où les navigateurs étaient en mer un tel jour, ap
attendaient pas ; et en effet, ils ont donné assez de preuves de leur savoir pour qu’on soit sûr que ce ne soit pas une mépris
oint en trouver de si proche sur le chemin. Où sommes-nous ? On n’ en sait rien, les pilotes sont partagés. Du mercredi 2
desquels ils sont convenus, pour se reconnaître, et comme nous ne les savons pas, nous passerons toujours pour ce que nous som
, dont l’un servait de ministre dans la flûte prise avant-hier. Il ne sait pas un mot de latin, cela me surprend, car les Ho
Hollandais n’ont pas laissé échapper une si belle proie quand ils ont su que les Français l’avaient quittée, ils s’y sont
j’ai pensé deux fois y être noyé étant une fois tombé à la mer. Je ne sais pas pourquoi la Compagnie n’y fait pas faire un q
irecteur se nomme Monsieur Martin, Parisien à ce qu’on m’a dit, je ne sais de quelle famille. Il peut avoir quelque cinquant
a directrice sa femme nie paraît avoir été une très belle femme. Elle sait son monde, et deux conversations particulières qu
chez lui et y régale les parents et amis pendant trois jours. Il faut savoir que par parents et amis j’entends les gens de mêm
s Maures, ils suivent la religion de Mahomet et autant que j’en ai pu savoir c’est la secte de Hali, sans doute à cause de la
me de bon sens et aussi rebuté des femmes que je le suis, de qui vous savez que je n’ai pas lieu d’être content. Pardonnez-mo
voyez bien par cette remarque-ci que qui dit more ou maure, car je ne sais comme il s’écrit, ne dit pas un homme de couleur
sance du Messie et de la persécution d’Hérode. J’aurais bien voulu en savoir davantage, mais le noir ou esclave, que je faisai
sais interroger par un Portugais qui m’expliquait tout en latin, n’en savait pas davantage, n’étant pas de cette côte de Malab
abare mais de celle de Coromandel où nous sommes. C’est de lui que je sais ce que je vous ai dit de Coinda, Mado, de leurs c
Leurs prêtres ou bramènes les Firent assembler. Un Français, dont je sais ceci, nommé Monsr. de Saint-Paul officier de la C
les-ci, et j’ai vu quelque chose qui va vous surprendre, et que je ne sais de quelle manière je pourrai exprimer en termes h
tout le discours que je pourrais vous en faire. Voilà tout ce que je sais et que j’ai appris des Indes : à nouvelle connais
, jusques à ce que le temps nous permette de les raccommoder. Nous ne savons point encore ce que nous deviendrons, c’est-à-dir
ntre vous et nous environ six heures de différence au méridien. Je ne sais si cette éclipse nous a amené le mauvais temps qu
compagnie ; nous ne sommes plus que deux, le Florissant et nous. Nous savons le rendez-vous en cas de séparation, mais entre c
t il est certain qu’il est homme à lui avoir fait ce tour si il avait su que ces deux navires eussent été des nôtres ; mai
les soirs, car il pleut encore à l’heure que je vous écris ? Je n’en sais rien, si ce n’est que la chaleur du soleil dissip
it pas dans toutes les provinces comme elle y règne si le Roi n’avait su se faire obéir par tout le monde sans distinction
t d’apparence de pouvoir y arriver de longtemps ; et que même nous ne savons si nous y serions bien reçus, Messieurs les capit
t un espion que les ennemis ont envoyé pour découvrir notre route, et savoir où nous sommes et où nous allons. Il est certain
’est que la justice des navires et comme elle s’y exécute. Il en faut savoir le sujet. Deux de nos soldats avaient volé deux d
ciété. L’un avait attrapé huit écus, l’autre vingt-cinq. Nos matelots savaient et connaissaient les voleurs ; ils leur ont deman
atin, car il avait affaire malheureusement pour lui, à un matelot qui sait mieux et plus vigoureusement frapper que celui d’
que la confession qui puisse l’en tirer. On l’a remis aux fers. Je ne sais comment le corps d’un homme peut souffrir tant de
ideurs quand il fait dire à l’Intimé métamorphosé en sergent : Je ne sais , mais enfin Je me trouve le dos plus dur que ce m
ue à vous dire jour par jour, j’ai remis à vous écrire tout ce que je sais de ce pays-ci lorsque nous en serions partis, et
u’il y alla. Je ne finirais jamais si je vous écrivais tout ce que je sais par ouï-dire de l’Asie. Je ne puis pourtant me di
es d’infanterie qui a été troqué pour une barrique de vin. Il faut en savoir le sujet. Je vous ai dit ci-devant que la discord
est triste soit pour soi-même, soit pour l’intérêt des autres. Je ne sais sur qui rejeter la faute et la cause de tant de m
eils sur notre route que nous appréhendons, d’autant plus que nous ne savons pas positivement par quel degré nous sommes, n’ay
qu’ils ont pu, ils sont présentement aux mercredis des Cendres. Je ne sais comment ils traitent leurs malades, mais il ne me
t mis à la voile ce matin dès devant jour je vais vous dire ce que je sais d’ici, après vous avoir dit qu’un emploi d’écriva
ire tout ce que j’en apprendrai sur les lieux étant persuadé que j’en saurai là plus qu’ici et que je ferai mieux de n’en fair
la guerre du Mogol et de Remraja il faut la prendre de plus haut, et savoir qu’il y a environ vingt ans que le gouverneur des
ur le Mogol, et l’obligea à se tuer lui-même ou à se cacher, car sans savoir ce qu’il est devenu on n’en a point entendu parle
ne fît rien de considérable pendant toute une campagne, mais il faut savoir aussi que les Asiatiques ne se battent pas comme
: d’abord qu’ils voient un des leurs tué, ils prennent la fuite et ne savent ce que c’est que de se battre de pied ferme. Ils
a jamais. Je ne suis pas assez versé dans la géographie ancienne pour savoir où était positivement situé le royaume de Porus,
re une seconde fois au monde pour l’amour d’eux. Voilà tout ce que je sais de la guerre du Mogol et de Remraja, et que Gingy
ont trop discrets pour dire ce qu’ils en pensent, mais pour peu qu’on sache connaître les secrets du cœur par le mouvement de
passer pour imposteur. Et moi-même si je vous disais tout ce que j’en sais , vous seriez plus scandalisé de la chose même que
ulent comme dans nos foires et nos marchés. Ceux qui vendent à crédit savent écrire. Je ne vous parlerai point de leur encre n
rons dans l’est de Madagascar fort au large crainte d’accident. On ne sait point si nous irons à Mascaray qui est une île da
au Sud. Il pleut beaucoup, nous recueillons toujours de l’eau. Je ne sais si je m’accoutume à la chaleur mais celle-ci me p
à l’Ouest de nous, sa lumière était belle et claire. Je voudrais bien savoir pourquoi les rais de la lune sont plus clairs obl
matin chez vous. Mars 1691 Du jeudi premier [mars] Je ne sais si l’éclipse d’hier a fait renforcer le vent, mai
cela, et ils ont comme vous pouvez croire extrêmement souffert. Je ne sais dans quel état sont le Florissant et le Dragon, c
Siam. Je m’en suis informé à ce M. de La Touche qui m’a dit qu’il ne savait pas positivement ce qu’elle était devenue, mais q
avires se sont encore dispersés, nous ne sommes plus que trois, on ne sait où sont les deux autres. Pour ceux que nous voyon
in ou autrement nous nous sommes séparés du reste de l’escadre. Je ne sais si on a bien fait, mais je sais bien qu’il n’a te
r les six heures, on pourrait les attendre car ils sont au vent et on sait où ils sont, mais nous faisons route pour avancer
us ceux qui nous en ont écrit des choses si horribles. Les Hollandais savent que nous sommes ici car ils ont des gens sur troi
edi saint 13e. [avril] Toujours bon vent et nous allons bien. Dieu sait ce qu’il nous faut, car assurément nous avons bes
ce côté-là. Les officiers sont dans un chagrin mortel, parce qu’on ne saura presque quel parti prendre, ni où dresser la rout
min. Monsieur de Porrières n’y a laissé ni lettre ni adresse, je n’en sais point la raison. Il est fort en peine du Gaillard
ssé pour tel, et il n’a pas tenu à lui qu’il n’ait fait voir ce qu’il sait faire : la force et les moyens lui ont Juille
e toute ruinée, mais cette île ayant été secourue par huit vaisseaux, savoir quatre du Roi et quatre marchands armés en guerre
Anglais malgré les défenses, continuent encore à présent à leur faire savoir des nouvelles de tout ce qui se passe, sans qu’on
a vengeance. Une résolution prise depuis a cassé la première. Je n’en sais point la raison, si ce n’est que nos navires sont
les Anglais tout le monde nous faisait bonne mine, mais sitôt qu’on a su le contraire chacun s’est plaint que nous n’étion
à quatre jours dans un buisson plutôt que de manquer leur coup. Je ne sais si ce pays-ci n’est pas sain, mais je me suis ape
des autres vaisseaux, c’est-à-dire que nous ne sommes plus que huit, savoir notre escadre, un Provençal et une quèche qui von
Il nous est mort un passager qui était malade dès Pondichéry ; je ne sais comment il a subsisté si longtemps. Du jeudi 1
rdu ma gageure. Du jeudi 16. [août] Bon vent et bon frais on ne sait si on doit aller à Groix, à Belle-Ile ou à La Roc
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
ho, vous parlez comme on dit que parlent les gens de votre pays, sans savoir ce qu’ils veulent dire ; si vous aviez été ici il
du fourreau sans aucun effort. Il en resta tout à fait confus, et ne savait que dire lorsque Parafaragaramus qui venait de re
uve, et Sancho la tira encore en sa présence sans difficulté. Vous ne savez pas tout, Monsieur, lui dit Sancho. —  Qu’y a-t-i
souvient toujours à Robin de ses flûtes. Parafaragaramus dit qu’il ne sait pas pourquoi il vous en veut, si ce n’est à cause
t ces femmes-là sont commodes, car on les change quand on veut. —  Je sais qui c’est, interrompit Don Quichotte avec tranqui
tous les assistants, et portant la parole au héros de la Manche : Ne saurais -tu, lui dit-il, m’enseigner où je pourrais trouve
ache, puisque je ne puis le trouver ni en apprendre des nouvelles. Je sais pourtant bien qu’on l’a instruit de mon dessein,
mus son ami a dû le lui dire, et lui a sans doute dit ; dis-moi si tu sais où je pourrai le trouver. —  Il n’est pas loin, l
Don Quichotte ; mais avant que de te dire où il est, je voudrais bien savoir qui tu es, toi qui fais tant de bravades et de ro
vre le spectre, mais il en fut empêché par Eugénie, qui lui promit de savoir de Parafaragaramus où il pourrait trouver cet ins
: Oui, Monsieur, je voudrais bien les voir ces esprits incrédules, et savoir ce qu’ils pourraient dire sur la table bien garni
être pas pris au dépourvu. Il se perdait dans ses imaginations, et ne savait comment ses armoiries avaient été si bien faites
il l’avoua ; et supplia bien instamment la comtesse de se souvenir de savoir tout de Parafaragaramus. Elle lui répondit qu’ell
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
éâtres de la comédie et de l’opéra à Venise et à Rome, et qu’ainsi il savait élever et abaisser perpendiculairement et oblique
ercier cette dame et de rester auprès d’elle jusqu’à ce qu’il lui fît savoir son arrivée à Barcelone. Deux jours après le dése
bonne… Dieu vous sauve de la main des diables, Monsieur le curé ; je sais ce qu’en vaut l’aune ; mais n’importe, le mal pas
que le diable en donne. Il n’y a que celui qui gagne de l’argent qui sache ce qu’il en coûte à gagner et qui l’épargne, et l
fasse tort. — Tais-toi, sotte, encore une fois, lui dit sa mère ; ne sais -je pas bien qu’il ne faut parler de rien ? — Il s
sque personne ne l’a vu, et que Sanchette couche à mes côtés. — On le sait pourtant, comme vous voyez, dit la duchesse d’Alb
Albuquerque. — Oh bien, Madame, répondit la fille en colère, qu’on le sache ou qu’on ne le sache pas, je n’y ai fait aucun ma
n, Madame, répondit la fille en colère, qu’on le sache ou qu’on ne le sache pas, je n’y ai fait aucun mal ; honni soit qui ma
voyais de même. — Eh ma mère, reprit la fille, laissez-la parler ; ne savez -vous pas bien que les envieux meurent et non l’en
ite, ou que par un coup de malice, les Espagnols et les Français, qui savaient qu’elle haïssait Sancho, ne l’y eussent introduit
nt introduite. Quoi qu’il en soit, elle s’y trouva, et le traita Dieu sait comment. Celui-ci lui rendit son change le mieux
it arrivé. Oui, Madame, lui répondit-il, vous avez raison ; mais vous savez pourquoi je l’ai fait, et avec tous vos beaux dis
s savez bien vous-même qu’une femme est un mal nécessaire. — Je ne le sais que trop, reprit-il en colère, et pour mon malheu
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
t c’était une femme capable de le rendre heureux lui-même, s’il avait su jouir de son bonheur. Il la demanda en mariage, e
a dernière fureur, ce n’est pas par respect que vous le ménagez, j’en sais une cause plus forte et qui devrait vous faire mo
e affaire de famille qui lui était commune avec eux. Cet homme qui ne savait point le dessein de sa femme, et qui ne croyait p
e vît plus personne et ne parlât plus à d’autre homme qu’à lui. Je ne sais , continua Sainville interrompant le fil de son di
querie, et par l’ordre de qui vous agissiez ; mais je veux absolument savoir ce qui a pu y donner sujet. Votre mari vient tous
eté, s’étant contenté de la saluer seulement du chapeau. Celle-ci qui savait pour lors ce qu’il avait sur le cœur, voulut savo
eau. Celle-ci qui savait pour lors ce qu’il avait sur le cœur, voulut savoir ce qu’il pourrait dire à sa femme, et remonta apr
ur examiner leurs paroles, le secret ne lut plus caché, puisqu’il fut su de tant de femmes. Elles eurent ordre pourtant de
comme on dit, le vert et le sec pour s’introduire dans le château. Il sut que Sotain, qui avait fort longtemps servi en Ita
nt, que notre homme fut convaincu qu’il avait tiré juste ; et ravi de savoir qu’il y eût un Français capable de porter son ext
craintes et je ne vous verrais jamais. Pour me séparer d’avec lui, je sais que plusieurs femmes m’en montrent l’exemple ; ma
c lui, je sais que plusieurs femmes m’en montrent l’exemple ; mais je sais aussi que c’est un exemple odieux, et que les hom
nt aperçue qu’elle eût aucun commerce avec personne ; mais qu’elle ne savait point aussi par quel endroit elle avait pu mérite
us n’en prenez la résolution aujourd’hui, comptez que demain mon mari saura que vous êtes un homme, et mourir pour mourir j’a
qu’il ne m’abandonnera pas ; il faut attendre un de ces revers qu’il sait faire naître lorsqu’on les espère le moins. —  Je
étexte de sortir de chez lui sans lui dire adieu et sans qu’il en put savoir mauvais gré à sa femme. Il y avait déjà deux jour
avalier, il suivit les pas de Célénie qui fuyait hors du château sans savoir où ; il la conduisit dans un couvent où il la lai
ui s’est fait plaindre et admirer par le petit nombre de gens qui ont su ce qui lui est arrivé, et qui n’a point donné aux
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
rait lui fournir. Il avait, comme j’ai dit, envoyé deux fois par jour savoir de ses nouvelles, et l’assiduité de l’hôtesse ava
l’hôtesse, était curieuse, comme le sont ordinairement les filles, de savoir quel était le sujet de ces visites si ponctuelles
ot, un jeune homme tout aimable. La belle La Bastide commençant, sans savoir pourquoi, à s’intéresser pour ce Français, eut en
p devina que c’était le comte du Chirou, et ne se trompa pas. Elle ne savait quel parti prendre pour se défaire de lui, et ne
e spirituelle fille lui répondit qu’avant de la conseiller il fallait savoir en quels termes ils en étaient. La belle veuve lu
t qu’ils ne s’étaient jamais parlé, et que tout ce qu’elle en pouvait savoir elle-même, n’était fondé que sur des conjectures
it et de teint : Quoi ! Monsieur, lui dit-il en l’embrassant, vous me savez ici, et vous vous cachez de moi ! Où est cette am
i il s’était caché de lui. Du Chirou lui répondit qu’il n’avait point su que ce fût dans son château qu’on eût apporté Des
la regarder sur le pied qu’elle méritait de l’être, que depuis qu’il savait son histoire ; qu’ainsi son amour n’était pas ext
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
tait réservée, et qu’en peu de temps il leur promettait de leur faire savoir de ses nouvelles ; après cela il se recommanda to
ez, vous trouverez aussi des richesses qui vous appartiendront ; mais sachez qu’il faut être d’un cœur pur et net, n’avoir rie
ous êtes, lui dit celui-ci, parce que le savant Merlin que vous voyez sait par qui les princesses enchantées doivent être mi
on Quichotte qui n’avait jamais rien lu de pareil dans ses romans, ne savait où il en était ; mais enfin la vue de la table, q
et rien ne paraissait qu’un plancher ordinaire. Comme notre héros ne savait que dire ni que faire, Parafaragaramus qui vit sa
e au nombre des vivants, quoiqu’elle n’y paraisse pas ; mais comme tu sais , Merlin l’a enchantée, et il a fait sagement, par
ennemi ; mais il a fallu accomplir les décrets du destin. Nous allons savoir de lui pourquoi elle n’est point désenchantée, pu
princesse Dulcinée du Toboso n’était point encore désenchantée. — Tu sais , Seigneur, lui répondit Merlin, que les décrets d
erme est expiré, aussi n’est-elle plus retenue par le temps ; mais tu sais aussi que son enchantement doit être rompu non pa
ient ; elle en demanda réparation, et parut toute réjouie lorsqu’elle sut qu’on la lui allait faire. Elle regarda pour lors
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
de ce qu’il ne s’est présenté aucune accusation contre toi. Comme ils savent punir les crimes, ils savent aussi récompenser la
aucune accusation contre toi. Comme ils savent punir les crimes, ils savent aussi récompenser la vertu. Ils ne peuvent dispos
Seigneur Chevalier, lui dit Alonza Lorenço, les yeux tout humides, je sais ce que je vous dois pour tous les pénibles et glo
colère, et lui demandant s’il le prenait pour un Bohème, lui dit : Ne sais -tu pas qu’il y a des choses à dire et d’autres à
nous sommes tous deux de même avis. Eh, non, non, ma mauricaude n’en saura rien ; un secret n’est plus secret quand une femm
aude n’en saura rien ; un secret n’est plus secret quand une femme le sait , et une femme ne sait le secret de son mari que p
un secret n’est plus secret quand une femme le sait, et une femme ne sait le secret de son mari que pour le trahir ; ce son
. Elle n’a point voulu dire qui elle est, mais elle a promis qu’on le saurait en votre présence, et elle vous demande avec beau
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
jet de sa tristesse, et elle lui dit d’un air languissant qu’il ne le saurait que trop tôt pour l’un et pour l’autre. Dans ce m
es le firent tomber à terre de lassitude. Il n’en pouvait plus, et ne savait comment se tirer de leurs mains ; mais Merlin le
ui était arrivé sur terre depuis leur enchantement. Don Quichotte qui savait l’histoire, le leur dit assez succinctement et as
qui étaient alors en usage : Durandar et Montésinos feignirent de ne savoir pas ce que c’était que des canons, des mousquets,
guerre, et prièrent Don Quichotte de le leur expliquer. Lui qui n’en savait pas grand chose, fit ce qu’il put ; mais comme il
sa perte ; à faute de quoi ils étaient punis comme des voleurs. On ne savait ce que c’était que de banqueroute ni banqueroutie
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
vit-il, il y a donc aussi d’honnêtes gens en enfer ? Don Quichotte ne sut que répondre, ou ne le voulut pas. Ah ! Dame de m
donc le bonheur de rompre l’enchantement qui vous retient. Sancho ne savait que penser de cet article, c’est pourquoi il ne v
nuit à songer à son bonheur. Le lecteur est déjà dans l’impatience de savoir quelle était cette voix, il faut l’en retirer, et
à Don Quichotte et à Sancho ; celui-ci lui avait dit tout ce qu’il en savait , et là-dessus le duc avait imaginé, et en même te
l connaissait assez la bravoure et l’intrépidité de notre héros, pour savoir jusques où son courage le porterait dans la forêt
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
à cela, quand cet argent aurait été perdu, quel droit y avais-tu ? Ne sais -tu pas que les trésors égarés et perdus appartien
qu’il appartenait à Cardénio ; ainsi Cardénio a pu en disposer. Il a su que le chevalier Sancho l’avait trouvé, et puisqu
it-ce pas consentir qu’il le gardât, et le lui donner tacitement ? Je sais même qu’il le lui a donné tacitement, par conséqu
ses dévotes ; de diaphanes et transparentes pour ceux dont les femmes savaient cacher leur infidélité ; de vertes pour ceux qui
Molieros, et je rapporterai preuve de ce que j’avance. Il ne faut que savoir l’aventure qui lui est arrivée il n’y a pas si lo
e il n’y a pas si longtemps avec une fille nommée Altisidore. — Je la sais aussi bien que vous, repartit Molieros, c’était m
lui dit-il, tu prêches la vertu aux autres et tu ne l’exerces pas, ne sais -tu pas que le meilleur sermon se tire de l’exempl
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
ient infailliblement succombé, si on ne fût venu à leur secours. Pour savoir qui ce fut, il faut se souvenir que Don Quichotte
aient lâché. Ces armes-là n’étant pas de la Chevalerie errante, il ne savait quel parti prendre, parce qu’il était à pied ; ma
autant qu’il pouvait. Il est certain que Don Pedre et sa compagnie ne savaient s’ils avaient à faire à des hommes ou à des démon
bien été chez Valerio qu’il connaissait particulièrement, s’il avait su que c’était son épouse qu’il avait avec lui, mais
ait avoir besoin, que pour ne point incommoder un de ses amis dont il savait déjà l’aventure.
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
parce qu’il se figura que la gloire en serait plus grande. Quoiqu’il sût où était son champ de bataille, il ne laissa pas
hevalier aux armes noires ; mais pour son nom tu ne mérites pas de le savoir de ma bouche, quoiqu’il ne te soit pas inconnu. —
scourtois chevalier, lui dit Sancho, vous n’êtes qu’un incivil, et ne savez pas les règles de la Chevalerie. —  Je les sais m
qu’un incivil, et ne savez pas les règles de la Chevalerie. —  Je les sais mieux que toi, veillaque, lui repartit le furieux
rmes noires qui savait bien que Sancho était plus robuste que lui, et savait mieux faire le coup de poing, aurait bien voulu c
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
Tout beau, Chevalier, dit-il à son maître, prenons toujours, nous ne savons qui nous prendra ; un bon tien vaut mieux que deu
e porteraient gui-gnon. —  Eh ! mon enfant, lui dit Don Quichotte, ne sais -tu pas bien qu’on ne combat jamais mieux les méch
duc d’Albuquerque y était resté avec son monde, joint à cela qu’ayant su , que vous, Monseigneur, y étiez arrivé dès avant-
rejoint lui fit rapport de sa bonne fortune, et il lui dit, qu’il ne savait pas combien il y avait d’argent dans le sac : mai
tre fois, ami Sancho, lui dit-il, toujours puis-je te dire, que je te sais bon gré de ton bon cœur, et je te donne le tout,
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
oi dîner, il est juste que le mari apporte de quoi souper. Outre cela sait -il gagner sa vie ? Il vaut mieux un gendre pauvre
Outre cela sait-il gagner sa vie ? Il vaut mieux un gendre pauvre qui sache parler, qu’un riche qui ne sache qu’avaler. Il fa
? Il vaut mieux un gendre pauvre qui sache parler, qu’un riche qui ne sache qu’avaler. Il faut encore qu’il soit bon ménager 
pour toi, il a la mine de ne pas manquer de femmes. Sanchette qui ne savait que répondre, demeura confuse. La duchesse de Méd
27 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
gnit que son père n’approuvât pas d’autres vues que les siennes. Elle savait que parmi les gens de sa qualité, ce sont ordinai
rer Silvie, et en apprit des choses qui redoublèrent ses soupçons. Il sut que c’était un fripier qui l’avait louée et meubl
es et d’argent que j’ai apportés de la campagne, je suis fort aise de savoir avec qui je demeurerai ; et si ce sont d’honnêtes
etour. Il avait d’autant plus de sujet de ne se point démentir, qu’il savait que la chambre qu’ils avaient louée dans la même
e. Après plus de six mois d’absence Verville revint, et Justin qui le sut , observa de si près sa femme, qu’il apprit qu’ell
omestiques, que Cléon congédia avant son retour, afin que personne ne sût où elle était. Il la mit dans un couvent où elle
28 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
r se trompe cependant. La Française parlait français, et Sancho ne le savait pas : il douta quelque temps s’il était effective
ait pas ; ce fut Gabrielle de Monsalve qui le reconnut, parce qu’elle savait le déguisement. Elle lui dit une partie de ce qui
et qui l’y avait fait venir. Le duc et la duchesse d’Albuquerque, qui savaient pour lors qui elle était, ne l’avaient point quit
iller. On les avait mis dans des chambres différentes, et Deshayes ne sut point que Sainville fut dans le même château que
29 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
able pourrait s’en choquer, puisque je ressemble à notre curé, qui ne sait pas lui-même ce qu’il veut dire quand il ouvre la
lui-même ce qu’il veut dire quand il ouvre la bouche, et que je ne le sais pas non plus ? C’est à cause de cela, dit Don Qui
pas bien, mon enfant, lui répondit notre héros en se radoucissant, ne sais -tu pas bien que la valeur et la bravoure dans le
sa robe de chambre. Il le fit, et celui qui avait ordre de le suivre, sut où il les avait déposées. La société qui en fut i
30 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
e la mort de ses beaux-frères. Elle continua par leur dire qu’elle ne savait de quelle manière s’y prendre pour en instruire V
rait, on prendrait avec lui des mesures pour faire en même temps tout savoir à Valerio, et ne rendre public que ce qu’on voudr
oir à Valerio, et ne rendre public que ce qu’on voudrait bien qui fût su pour mettre l’honneur d’Octavio et de Don Pedre à
31 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
te des chevaux du carrosse, et devant les yeux de la duchesse, qui ne savait qui étaient ses vaillants défenseurs. Elle fut re
ommodait son train, avec tant de courtoisie et de sagesse, qu’elle ne savait que juger d’un homme qui était effectivement fou,
on serment, de ne rien avoir à démêler avec une arme infernale. Il ne savait par où s’y prendre, mais sa vaine gloire ne lui p
32 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
té et approuvé ce qu’il avait dit, se regardaient l’un l’autre, et ne savaient que penser d’un homme, qui ne passant dans leur e
mes que pour les femmes, et en donna une raison qui parut très juste, savoir que rarement les femmes font les premières démarc
le ; vous ne devriez pas avoir assez de commerce avec les femmes pour savoir si elles sont bonnes ou méchantes. Je ne m’étonne
dont Monseigneur et Maître parlait, et les faisaient voltiger, je ne sais comme il a dit, ne valait-il pas mieux dire tout
33 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
e mes héroïnes, qu’ils prendront une peine fort inutile, et que je ne sais pas moi-même quels ils étaient, ou quels ils sont
ait point été portée jusques à défigurer tellement les noms, qu’on ne sait à présent quel est le frère d’une fille, lorsqu’o
u aisés, se faire nommer Madame. Les gens de bon sens voudraient bien savoir , si ces femmes prétendent être Madame à carreau,
34 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
chet, n’entrent pas plus tôt dans le paradis que les autres, et je le sais de certitude ; car tous les chanoines que je conn
ec quelle froideur j’ai rebuté les marques d’amour de cette fille. Ne sais -tu pas qu’un chevalier errant doit être chaste du
et que Monsieur le duc et Madame la duchesse seraient choqués, s’ils savaient que tu eusses voulu souiller leur château par tes
aient que tu eusses voulu souiller leur château par tes impuretés. Ne sais -tu pas bien qu’il y a des démons qui gardent tous
35 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
vous prions de ne vous point impatienter jusques à ce temps-là ; vous savez que vous êtes nécessaire ici. —  Comment donc, aj
ur, poursuivit-il, laissez-moi en repos, ces diables d’enchanteurs en savent plus que nous. Don Quichotte embarrassé de ce que
36 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
Cependant le duc de Médoc était dans une très grande impatience de savoir à fond le sujet pour lequel on l’avait prié de ve
e comte demeura comme frappé de la foudre à ce discours ; mais le duc sut si bien le tourner et le convaincre, qu’il lui re
37 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
a gloire qu’il m’a conseillé de renoncer à la Chevalerie errante ; il sait ce qui m’arriverait si j’exerçais plus longtemps
mis de la passion qu’il avait pour une princesse ; car il faut que tu saches que cette eau a la vertu de changer en haine le p
38 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
ra pour aller à Madrid avait été Fixé au lendemain. Nos chevaliers le savaient et se disposaient aussi à partir. Don Quichotte a
qu’il est à propos que chacun de nous raconte quelque aventure qu’il sache certainement être arrivée de notre temps en Franc
39 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
espagnol est devenu à la mode en France, et que tout le monde en veut savoir un peu, un de mes amis, qui l’apprend, m’a fait v
40 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
nconstance des affaires du monde. Il dit que l’infortuné chevalier ne savait s’il était mort ou vif, tant il était épouvanté d
/ 40