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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
nquait pas de venir les voir tous les jours, et de s’informer de leur santé , surtout de celle de Silvie et de Sainville, mais
il est juste de dire ce qu’il devint. L’intérêt qu’il prenait dans la santé de Silvie ne lui permettait pas de demeurer longt
vie, mais encore qu’en peu de temps il serait parfaitement guéri. Sa santé à lui en était diminuée, et à ses blessures s’éta
son maître. Elle avait de lui tout le soin possible, et voyant que sa santé bien loin de se rétablir s’affaiblissait de jour
ù il venait d’être apporté de l’hôtellerie ; elle apprit aussi que sa santé se rétablissait d’heure en heure, et qu’avant deu
eu leurs forces, Don Quichotte se portant bien, et Sancho en parfaite santé , à quelques brûlures près ; en un mot tout le mon
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
ontant la mauvaise action de son frère, ce qui aurait encore nui à sa santé , et c’était pour tenir ce petit conseil qu’elle a
nt eu ordre de venir rapporter au comte et à la comtesse l’état de la santé de leurs hôtes, il vint leur dire que Sainville é
lerio qui ignorait la vie que ses frères avaient menée, regrettait sa santé qui ne lui permettait pas de nettoyer son voisina
3 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
u le Jeune. Ils ne sont point amis d’Albus : ils burent pourtant à sa santé , mais à la poitevine, c’est-à-dire, rancune tenan
n plus favorable pour vous souhaiter un bon et heureux voyage, et une santé parfaite. Comment diable ! reprit-il, après avoir
uchetière d’y prétendre d’autre droit que celui de la voir boire à sa santé  ; avec défense à lui de se mêler en aucune manièr
nie, quand ils sauraient ce que c’est, puisque cela ne regarde que la santé de l’équipage, et par conséquent leur service. C’
de l’avant. M. Hurtain, M. de La Chassée et moi venons de boire à la santé de l’âme du défunt mandarin. Le rendez-vous est r
e, ou chacun la nôtre, ou si le lecteur veut, chacun la sienne. Votre santé y sera mêlée ; et j’ai un quartier de dinde à la
de blessures, dont le mal a cessé avec la douleur ; et je jouis d’une santé parfaite. D’où vient donc ce changement que je re
e du Faucon ; lequel, après avoir méprisé les Dieux pendant sa vie en santé , les réclamait à sa mort. Boursault, dans sa comé
’elle avait lorsque le corps était fort et robuste et jouissait d’une santé parfaite. Ils ajoutent que les maladies et les ac
sent ; c’est-à-dire la connaissance des remèdes propres à rétablir sa santé . Cela seul prouve qu’il n’y a aucun fond à faire
ient de la même source d’ignorance. Combien de gens seraient en bonne santé s’ils n’avaient eu recours à leur art ! Mais, com
ien de ce qui est à bord. Après son départ, nous avons été boire à sa santé dans ma chambre ; mais M. Hurtain, qui est un des
n’a pas même dîné : il se trouve dans un de ces états qui ne sont ni santé ni maladie. La chaleur est si forte qu’il faut à
Ecueil font quinze, et huit au restant de l’équipage, pour boire à la santé du roi : et que ces vingt-trois pintes d’eau-de-v
n très grand penchant d’obéir. On s’est parfaitement bien diverti. La santé du roi a été saluée au canon, et aux acclamations
le premier n’a bu que deux coups ; il ne nous paraît pas jouir d’une santé parfaite : la mort de Jacques Nicole, dont j’ai p
dîner dimanche prochain. Il l’a vu, l’a trouvé très changé, et d’une santé fort faible. Il a dîné avec nous, et a été régalé
urvu que ce ne soit pas en même temps, celui de nous deux qui sera en santé empêchera tel chirurgien que ce soit d’entrer dan
chera de regretter M. Hurtain. Amen. Nous avons tous bu d’avance à sa santé , et avons prié le commissaire de l’assurer de nos
lui ; ce qui a fait redoubler les cris de Vive le roi, en buvant à sa santé . MM. du Quesne et de Porrières ont bu à la santé
roi, en buvant à sa santé. MM. du Quesne et de Porrières ont bu à la santé de l’équipage, qui leur a répondu au bruit d’un c
ès cela, le commandeur a ordonné trois coups de canon, pour saluer la santé du roi. Nous l’avons tous bue debout, le chapeau
d’honnêtetés que je n’en espérais, et ont bu bien gracieusement à ma santé . M.de La Chassée n’a pas nui aux civilités qu’ils
dîner, se sont presque égosillés à crier Vive le roi et à boire à la santé du commandeur. Nous étions à midi à huit degrés t
ous ai excusé ; il consent d’oublier tout pourvu que vous buviez à sa santé  : et, en même temps, m’a présenté un verre. Mais,
ait-il pas de l’ordre que vous vous joignissiez à moi pour boire à la santé de monsieur, et qu’en même temps il nous en fît r
merciions de votre entremise ; et pour cela, que nous buvions à votre santé  ? Je m’y attends bien, a repris M. du Quesne. J’a
ai voulu me retirer ; mais, M. du Quesne m’a retenu. Tu as bu à notre santé , m’a-t-il dit, et nous voulons boire à la tienne,
Double diable, m’a-t-il dit, tu en sais plus long que moi : bois à ma santé sans rancune. Oh ! je n’y suis pas sujet, lui ai-
qu’un homme soit diablement fou pour se livrer jusqu’à intéresser sa santé . Le marquis du Misanthrope a raison. Oh ! ma foi
qui étaient descendus malades à terre, et qui sont à présent en bonne santé , tous les canots et chaloupes de l’escadre, jusqu
us avons ce soir parlé à M. du Quesne, qui s’est encore informé de la santé du chevalier de Bouchetière, qui ne s’en sent pas
at, s’ils savent se borner3. Il est inutile de dire que j’ai salué la santé de mes bienfaiteurs. J’ai donné au commandeur le
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
de la mienne, que je lui promis de faire tout ce qu’elle voudrait. Sa santé se rétablit ; elle me raccommoda avec mes oncles,
tivement malade. Monsieur l’intendant commit à mon emploi, jusqu’à ma santé . Celui qu’il y mit était un Parisien de mon âge,
ser d’aller ailleurs. Que n’ayant pas voulu la quitter sans saluer sa santé , je m’étais servi du premier expédient qui m’étai
ne me pas exposer à pis, par un retardement qui aurait pu nuire à ma santé , elle n’avait fait aucune façon pour me suivre. M
ents réglés l’agitation du cœur dans sa respiration, et indiquait une santé parfaite. Elle en avait peu, mais ferme ; et elle
pourtant pour ce soir, quand votre mal durerait plus longtemps votre santé n’en serait pas fort incommodée. Que savez-vous a
uit jours la fièvre me quitta. On était venu souvent s’informer de ma santé d’une part inconnue ; je ne doutai point que ce n
it point embarrassée du soin qu’une personne inconnue prenait dans ma santé . Qu’elle n’avait point douté que l’état où j’étai
uelque chose de plus grande conséquence, est grâce à Dieu en parfaite santé . Il y a plus d’un an et demi que je ne l’ai vu ,
e pour témoins de ce que je vous dis ; ils sont tous deux en parfaite santé et croyables. Comme Monsieur le marquis d’Annemas
beauté pendant si peu de temps. Je vous ferai rendre compte de votre santé  ; et pour peu qu’elle soit altérée à mon retour,
le plus promptement que vous pourrez : mais pourtant conservez votre santé . Si vous voulez que j’aille au-devant de vous, co
le n’abusa point de cette permission, et j’apprenais avec joie que sa santé et son embonpoint se rétablissaient de jour en jo
ncère que j’en avais faite m’ayant rendu l’esprit plus tranquille, ma santé se rétablit de jour en jour ; et il n’y eut plus
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
es Français. Valerio et Sainville avaient tout à fait recouvré leur santé aussi bien que le comte du Chirou, et le départ d
que d’honnêtes gens qui avaient de l’esprit, avaient fait lorsque la santé des uns et la douleur des autres leur avait permi
6 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
de Groye, et vous promets que, si Dieu me conserve et me continue la santé , je ne me coucherai point que je ne vous aie écri
Nous avons soupé en bons amis, c’est à dire que nous avons bu tant de santés que la mienne en était encore fort incommodée ce
nue dans quatre jours je boirai du vin d’Espagne à Saint-Iago à votre santé . Nous passons le tropique à l’heure que je vous é
bu de bon cœur et de très grand appétit, et soit dit en passant votre santé n’a pas été oubliée, et je l’ai fait boire à tel
a considération il veut bien tout oublier pourvu que vous buviez à sa santé , a-t-il poursuivi en me présentant un grand verre
n soit sincère, ne serait-il pas à propos que Monsieur bût aussi à ma santé  ? Très volontiers, a repris Monsieur le Commandeu
ner à boire. Ils m’ont fait l’honneur, l’un et l’autre, de boire à ma santé et moi j’ai salué la leur. Mais comme nous voulio
qui Dieu merci n’y a seulement pas été blessé, qui est en très bonne santé et en état de leur faire voir qu’il est en vie et
ote, tout est malade ; il n’y a pas la moitié de nos gens en parfaite santé . Du mercredi 22e. [novembre] Nous avons vu
donner à nos matelots le salut de l’âme si on ne peut leur donner la santé du corps. Sitôt qu’il a été à bord, il n’a point
u’il y a ordre d’envoyer les malades à terre, ils y recouvreront leur santé mieux qu’à bord. Du mercredi 6e. [décembre]
e monde s’y porte aussi bien que moi ; et marque que je suis en bonne santé c’est que je vais déjeuner et boire à la vôtre. I
parce que j’ai été fort mal. Je suis à présent grâce à Dieu en bonne santé à une grande faiblesse près. Nous sommes arrivés
connaissance, officiers, matelots et autres, qui semblaient avoir une santé capable d’enterrer le genre humain, n’y ont été m
ujourd’hui ; il paraissait encore il n’y a que quatre jours avoir une santé parfaite. C’était un gros garçon vermeil, rougeau
que les citrons, les oranges et la limonade ne valaient rien pour la santé , tant pis pour ceux qui en ont pris avec trop d’a
ur à fatiguer mon esprit d’une ridicule appréhension aux dépens de ma santé , j’espère m’en bien tirer par mon remède ordinair
terre fort réjoui d’être de retour d’un si long voyage en aussi bonne santé que je suis. Voilà, Monsieur, ce que je vous avai
7 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
ens camarades. Je ne vous questionnerai point, ajouta-t-il, sur votre santé , je m’aperçois qu’elle est bonne ; mais vous voul
au moins, en attendant votre tailleur, vous boirez bien un coup à ma santé  ; quatre si vous voulez, reprit Des Frans en rian
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
otre mère. Ayez-en soin, poursuivit-il, mais n’incommodez point votre santé , elle m’est trop précieuse pour n’y pas prendre d
la propreté de votre chambre, que pour le nécessaire à la vie et à sa santé . Jamais Angélique n’avait été si embarrassée qu’
é pour elle, ce qui n’avait pas peu contribué au rétablissement de sa santé qui devint meilleure de jour en jour. Pour reveni
dès le lendemain. Elles furent réjouies de trouver Angélique en bonne santé . La dernière lui dit que la princesse avait toute
lle lui demanda s’il était incommodé ; et elle prit tant de part à sa santé , qu’elle le détermina à se vaincre. C’en est fait
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
eli dans son humeur sombre ; ce qui fit que bien loin de recouvrer sa santé , elle courut risque de la vie. La fantaisie qu’il
on mari, étant pour lors certaine du contraire, revint la première en santé , et eut de lui tous les soins qu’une honnête femm
démarches que cet esprit incorrigible lui fit faire. Peu après que sa santé fut rétablie, sa première humeur sombre le reprit
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
ait pas difficile d’obtenir, et qu’on remit à lui demander lorsque sa santé serait un peu rétablie. En effet il l’accorda de
r s’en divertir que pour ne pas le laisser auprès de son maître, à la santé de qui chacun tâchait de contribuer ; mais le des
11 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
nt en France avec autant de joie à notre retour, & en aussi bonne santé , que nous sommes tous. La mer est couverte de nèg
y vivre chrétiennement, & surtout chastement, du moins pour leur santé . Ils ont devant les yeux quantité de bons exemple
te, tout est malade : nous n’avons pas la moitié de nos gens en bonne santé . Au diable le climat. Je consens d’y être pendu s
mp; tous ces messieurs avec lui ; & moi je restai à boire tant de santés que la mienne en était fort endommagée. Enfin, je
onner à nos malades le salut de l’âme, si on ne peut leur procurer la santé du corps. Sitôt qu’il a été à bord, il n’a point
rd’hui beaucoup de communiants, malades, convalescents & en bonne santé  ; & M. de Quermener, qui ne nous a point quit
me servirais pas d’autre chose. Je me trouve à présent en très bonne santé . M.de La Chassée s’en est servi comme moi pendant
malades à terre. Ils y seront mieux soignés & y recouvreront leur santé bien plus promptement qu’à bord. Ajoutez à cela q
la restitution dont j’ai parlé pages 443-444, qu’il n’a pas porté de santé depuis. Si cela est, je suis en partie cause de s
ne n’y manquerait de bon appétit : et, marque que je suis en parfaite santé , c’est que je vas déjeuner, et envoyer in petto à
anté, c’est que je vas déjeuner, et envoyer in petto à Paris bien des santés à des gens que je souhaite qui jouissent d’une pa
le est bien plutôt propre à perdre un équipage que de contribuer à sa santé . J’étais encore ce matin tellement prévenu de cet
ortue avec du lard : qu’au contraire, plusieurs avaient recouvré leur santé . Qu’à l’égard des morts, il était surpris qu’il e
es de notre escadre, officiers & autres, qui semblaient avoir une santé capable d’enterrer le genre humain, n’y ont été m
s faisaient cuire ensemble, & se résignant à la mort, virent leur santé si bien rétablie au bout de quarante jours qu’ils
leurs compatriotes, ni à d’autres Européens, qui y ont recouvré leur santé  ; & ce sont ces deux premiers qui y ont dress
mier tome. Il n’y a que trois jours qu’il semblait jouir encore d’une santé parfaite. C’était un gros garçon, vermeil, rougea
ns & les limons dont la limonade est faite ne valent rien pour la santé . Tant pis pour ceux qui s’en sont rempli le ventr
ur à fatiguer mon esprit d’une ridicule appréhension aux dépens de ma santé , je vas toujours mon chemin avec mes bouillons ro
nfiniment plus heureux d’être de retour d’un si long voyage, en bonne santé  ! J’ai fait des remarques aux pages 257 et 258 du
12 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
us tard, elle n’aurait pas tant d’enfants, mais qu’ils seraient d’une santé plus vigoureuse, et qu’elle qui se serait tout à
s cet état-là, les choses paraissent dans un autre point de vue qu’en santé . Ma femme était sage, à ce qu’on disait, je le cr
cette liberté d’esprit que je remarque dans vos lettres, et que cette santé parfaite dont vous jouissez et dont vous prenez t
oid dans vos lettres, la longueur de votre absence, et votre parfaite santé , et le moyen sur tant de présomptions contre vous
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
avait commencé à faire devant elle, était venue pour s’informer de sa santé , et lui offrir ses services ; et comme elle appri
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
onde était. La maîtresse de l’hôtellerie vint encore s’informer de la santé des Françaises, et surtout de celle de la nouvell
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
fait un repas de chèvre, non ; car il m’a fait boire des rasades à la santé de toutes les dames qui sont ici et du seigneur P
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
x, et surtout à ne lui parler de ma vie. Cette résolution rétablit ma santé . Je sortis environ un mois après leur mariage, et
ignore encore. J’avais oublié de vous dire, Madame, que sitôt que ma santé me l’avait pu permettre, je m’étais retirée chez
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
bon qu’il a bonne mine, nous ne ferons pas mal de boire un coup à sa santé . En disant cela il s’assit sur l’herbe, et oblige
18 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
maîtresse et Du Val. Quelle surprise lorsqu’ils vont me voir en bonne santé  ? Ce bruit fit ce que j’en avais espéré, d’Ivonne
, passâmes le temps à nous promener. Nous fîmes boire les valets à la santé de leurs maîtres. Minuit sonna, nous allâmes tous
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
que toute la société vint le voir pour apprendre des nouvelles de sa santé . La belle Mademoiselle de la Bastide le fit souve
20 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
ce n’est qu’un brutal qui la traite très mal. Elle ne porte point de santé , et la pauvre femme n’a nul crédit ; au contraire
l ait voulu nous séparer. Une nouvelle persécution a commencé avec sa santé  ; c’est celle de me marier à son choix. Il a mis
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
obligée de la cacher. Elle lui envoya dire qu’elle prenait part à sa santé , et qu’elle le priait de faire ses efforts pour l
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
ls comptaient de lui remettre l’esprit peu à peu, en lui procurant la santé par tous les meilleurs aliments qu’on pourrait lu
23 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
votre discrétion. N’appréhendez rien de ma maladie, je suis en bonne santé , et fort aise de vous en assurer ; car apparemmen
n, vous passez deux jours entiers sans me voir ! Hélas, la plus forte santé dont j’ai joui, a toujours été altérée, lorsque j
24 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
ttise ; vous me ferez plaisir, et je vous donnerai de quoi boire à ma santé . Cet homme fit quelque difficulté ; mais comme je
jeunesse me sauva la vie, comme vous savez ; mais je ne recouvrai la santé qu’avec un redoublement d’amour pour cette femme,
isa enfin jusqu’à me faire croire que je serais heureux, sitôt que ma santé pourrait me permettre de l’être. Peut-être ne me
25 (1721) Mémoires
traité de paix, ils étaient gros et gras à lard, en meilleur état de santé qu’ils n’auraient été chez père et mère, et qu’il
t Denisi lui-même, qui servait d’interprète. Il était encore en bonne santé à Compiègne au mois d’août 1713. Il y est médecin
e celui dont je viens de parler ; elle est encore en vie, et en bonne santé . 216. Ses enfants eurent un précepteur. Ce malhur
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