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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
avait eu de la force, il avait fort bien secondé Don Pedre ; mais son sang étant épuisé, les forces lui manquèrent tout d’un
le Français était plus adroit que Don Pedre, celui-ci vit bientôt son sang couler, ce qui ayant achevé de le mettre en fureu
ême endroit où il avait laissé Deshayes qu’il trouva nageant dans son sang  ; il l’étancha le mieux qu’il put, et à force d’a
, sans aucun danger pour la vie, et uniquement épuisé par la perte du sang  ; mais que pour Deshayes il avait plus besoin d’u
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
e veux pas mentir tout à fait, en reconnaissant que Silvie est de mon sang  ; car avant que de rien signer, je veux… Vous ent
, qui peut-être n’auraient pas voulu me reconnaître pour être de leur sang  : qui par leur crédit auraient pu faire casser le
ents que je ne puis exprimer, et comme une preuve que je sortais d’un sang illustre, et non pas inconnu, comme il l’avait to
crevé dans le corps, mourut le cinquième jour de sa prison, jetant le sang par toutes les extrémités de son corps ; et je n’
fille d’un simple gentilhomme ruiné, que de dire que je sortais d’un sang plus illustre, sans pouvoir le prouver, à moins q
e que les lois ont déclarée infâme, j’ai conservé toute la probité du sang qui m’a donné l’être. Je n’ai jamais eu de faible
vous, et tâcher de vous cacher ce que je voudrais au prix de tout mon sang pouvoir me cacher à moi-même. Elle ne m’a jamais
nnée à moi par l’ordre de cette dame, et respecte dans ma personne un sang qui lui a été toujours précieux. Je n’ai plus rie
la main d’un bourreau, me parut un outrage si sensible, que tout mon sang ne me paraissait pas d’un assez grand prix pour l
e quelque service ? J’en achèterais l’occasion aux dépens de tout mon sang , et de tout ce que j’ai de plus cher au monde. Pr
, comme j’y vois de l’apparence, vous avez fait un crime inutile. Mon sang et le vôtre ont trop de distance pour se mêler ja
tre sage, et de ne parler de moi qu’avec le respect que vous devez au sang de vos maîtres, et n’oubliez pas ce que Madame de
regarde, et que je ne croirai pas sans preuve, qu’elle ait démenti le sang dont elle sort. De quel sang est-elle donc, Monsi
pas sans preuve, qu’elle ait démenti le sang dont elle sort. De quel sang est-elle donc, Monsieur, interrompis-je ? En sort
on lorsqu’ils sauront qu’il y va de la réputation d’une fille de leur sang , et pour cela voyez si vous voulez me donner un m
satisfaite ; je retournerai à Paris, mais ce sera pour laver dans ton sang ton infidélité, et mon infamie. J’arrivai à Paris
r présence m’avait souvent empêché d’aller tremper mes mains dans son sang , et de m’abandonner tout entier aux mouvements cr
jour ; et il n’y eut plus que ma faiblesse, à cause de la quantité de sang qu’on m’avait tiré, qui m’obligeât de rester à Gr
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
sent connaître que j’étais aussi bien son fils par le cœur que par le sang . Que c’était ce qu’elle n’avait jamais fait. Que
ouhaiterais lui rendre service, et que je le ferais aux dépens de mon sang , si l’occasion s’en présentait : mais que j’avoua
je le pressai plus vivement que je n’avais fait. Je le blessai ; son sang qu’il sentit couler le mit à mon égard dans la mê
e situation où j’étais pour lui. Nous ne nous ménageâmes plus : notre sang que nous vîmes tous deux couler, nous rendit furi
ccombé. Nous avions chacun trois blessures au bras et au corps. Notre sang et la colère nous rendaient affreux, et ne nous p
ais point de lui, et qui me font connaître que dans l’occasion le bon sang ne se dément point, et que les frères sont toujou
papier, je n’ai que faire d’encre ; j’en vais faire une autre de mon sang , où je reconnaîtrai votre enfant, et que ce n’est
et m’égratigna tellement, que dans un moment j’eus le visage tout en sang . Je me mis en colère tout de bon, et lui donnai u
r. Sitôt que je fus chez moi, j’écrivis à Célénie une promesse de mon sang bien étendue, et la mieux conçue qu’il m’avait ét
oulait se reposer sur mes serments, et sur une promesse signée de mon sang , je serais toute ma vie à elle, et que je saurais
t eût sa force sur Silvie, il fallait nécessairement qu’il eût de son sang tiré de dessein formé, et quelque chose qui lui t
a main gauche qui saignait ; et qu’il avait emporté le mouchoir et le sang . Que pour avoir quelque chose qui touchât la peau
autre fil de soie dans les perles ; après avoir tout préparé avec le sang qu’il avait eu d’elle, et du sien à lui ; et qu’i
sit. Quelque forte que fût la conjuration que j’avais faite sur notre sang mêlé, le ruban et la soie ; quelque forte que fût
ue pure vanité, et outre cela ma religion s’y oppose, et je suis d’un sang qui est à couvert de la corde. Si j’avais à périr
méprise des caresses, pour qui je donnerais la dernière goutte de mon sang  ! Je la plains, continuai-je en essuyant quelques
du corps entre les côtes. Elle la retira promptement de la plaie. Mon sang coulait comme de deux fontaines. Ah Dieu ! que vo
’épée sanglante à la main, et moi percé de part en part tout plein de sang , et sa maîtresse plus morte que vive. Madame de L
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIII. De l’accident qui arriva au chevalier Sancho, en tirant une arme à feu. Remède pire que le mal. »
ai dit, presque mort, grillé, roussi et rôti, et la mâchoire toute en sang . Le coup avait été si violent, que la contusion l
es, Chevalier, dit-il à son maître, je suis mort. Il crachait plus de sang qu’il ne disait de paroles, et ne pouvait pas ouv
5 (1721) Mémoires
uvent les précipiter leurs passions trop écoutées, la chaleur de leur sang , et leur amour propre. Je ne me mets point sur le
vont contre les commandements de Dieu, les droits de la nature et du sang , et contre la charité chrétienne. 25. Ceux qui on
charges qui vont contre les lois de Dieu, la charité chrétienne et le sang sont celles qui regardent les orphelins et les mi
n, contre les commandements de Dieu, la charité et les obligations du sang , il leur a été permis de devenir impies et barbar
prendre ni médecine ni ingrédients. 75. La Reine qui aurait donné son sang pour avoir un enfant, lui promit de faire tout ce
e qu’au lieu d’y mettre tant de forçats, comme on ne demande point le sang du coupable, et que le même juge qui condamne le
es II, qui ne voulut pas venger la mort de son père par l’effusion du sang d’aucun de ceux qui y avaient contribué, et se co
Je le répète encore, je prévois que le traité d’Utrek coûtera bien du sang , ou que la Nouvelle France fera bientôt partie de
qui font l’homme que le malhureux tomba, et ne fut relevé que tout en sang pour être porté chez lui, où il mourut le lendema
tablirait M. Fouquet, et par conséquent le vengerait sans effusion de sang , et sans même qu’il parût avoir part à ce rappel.
ient qu’avec la dernière peine à quel usage était employé le plus pur sang du peuple. 174. Ce sont ces dépenses inutiles qui
it point du royaume, et qu’ainsi c’était une espèce de circulation du sang dans le corps humain. On ne s’en prenait qu’au mi
entre les mains de qui toutes les richesses de l’Etat et le plus pur sang des peuples devait passer. 212. Que sans aller ch
e sa bonne grâce tous les gens de qualité, et même les princes de son sang , qui demanderaient des emplois pour leurs créatur
du Roi, Vos charges changent la nature, Puisque par une signature Un sang ladre et vilain devient de bon aloi. Mais je me f
s-vous pas résolus de sacrifier jusques à la dernière goutte de votre sang pour des intérêts si chers ? Tout l’équipage répo
rangea à son poste. J’en vis plusieurs qui faisaient de bien mauvais sang et qui auraient bien voulu être avec les cochons
ts morceaux de bouteilles cassées, et quoiqu’il eût les pieds tout en sang , le peuple n’en eut aucune compassion, au contrai
Si celles que portait Moïse Sont sujettes à même loi ! Messieurs d’un sang pourri, dignes de la voirie, Marchands d’édits, d
hartrain sans s’apercevoir, tant il était animé, qu’il était plein de sang . Le ministre s’en aperçut le premier, et lui ayan
îne ; que le mal était sans remède par lui-même et par la quantité de sang qu’il avait perdu ; qu’il n’avait pas encore pour
lon eux de pauvres brebis du Seigneur, toujours prêts à répandre leur sang pour la gloire de son nom, gens détachés de toute
oute point que quelque antipathie naturelle qui soit entre eux par le sang et la religion, ces Français de l’Acadie n’aiment
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
de ses blessures, et notre héros, à qui le péril n’était rien, de son sang froid se trouva sur ses pieds. Cependant tant d’e
mais leurs forces étant épuisées, tant par leur lassitude, que par le sang qu’ils perdaient, surtout Deshayes, ils auraient
7 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
mme ceux d’Europe : il y en a une espèce de ce dernier genre, dont le sang , les os, la moelle, la chair & les yeux sont
juste : Nos aïeux, à leur gré, faisaient un Dieu d’un homme ; Et le sang parmi nous conservant leurs erreurs, Nous remplis
un poulet noir en vie, de ceux dont j’ai parlé, qui ont les yeux, le sang , la chair & le reste comme encre. Ils arrachè
& n’a laissé que le tronc, qui est tombé sur ma jambe gauche. Le sang & la cervelle se sont répandus de tous côtés 
le ouverte. Il fit une infinité de bonds, & enfin la perte de son sang le fit tomber sur le dos. De nos matelots l’empor
tre : peut-être, à ce qu’on dit, à cause que, ne perdant pas tout son sang par les trous des balles, ce qui en reste dans le
point que le fils succède au père à moins que ce père ne l’ait eu du sang de leur reine, auquel cas le fils règne pendant s
c’est sa sœur, ou le fils ou la fille de sa sœur, en un mot, c’est le sang féminin qu’ils suivent, & non la tige masculi
eurs ; & cela, afin d’être sûrs qu’ils obéissent toujours au même sang , qui, sans doute, se perpétue & se continue d
douceur dissolvent les coagulations que le sel forme dans la masse du sang , fomentées par les sels volatils, qui s’exhalent
; qu’on respire sur les vaisseaux : coagulations qui rendent enfin le sang si épais, qu’il ne peut plus circuler, ni se raré
le, en se secouant avec fureur. La rivière fut bientôt rougie de leur sang . Après s’être tenu à la gueule un bon quart d’heu
éens. Sitôt qu’ils voient un des leurs tué ou blessé, c’est-à-dire du sang , ils prennent la luite, & ne savent ce que c’
celle de ducs-pairs & de raja sont adhérentes & attachées au sang . Le Mogol peut en créer de nouveaux ; mais il ne
es ont toujours dans la bouche leur font une salive plus rouge que du sang , qui leur coule tout le long du menton & sur
n ; car elles sont infiniment plus belles que les Mogolaises, et d’un sang plus pur & plus beau. La moins belle passerai
s le sont bien peu pour les vivants ; & pas plus pour leur propre sang que pour celui d’autrui ; ils vendent sans diffic
quer que la Hollande voulait par son Commerce, & sans effusion de sang , faire plus finement ce que Rome avait fait sous
à sacrifier, à une légère apparence de gain, l’honneur, la vertu, le sang , la bonne foi, en un mot tous les devoirs les plu
les hérésies qui ont déchiré l’Occident & ont tant fait verser de sang , seraient-elles arrivées, ou auraient-elles osé p
la langue ? La maxime de Mahomet les aurait d’abord éteintes dans le sang des hérésiarques ; & c’eût été sagement fait.
il ne vaut pas la peine d’être acheté. La nature fait de très mauvais sang , & certainement la différence est très grande
yant un peu calmé au jour, il l’a ouvert. Je m’y suis trouvé. Tout le sang était retiré & figé autour du cœur, & les
& de Cromwell, qui y ont tous quatre fait couler des ruisseaux de sang . Il verra qu’ils en ont fait tout ce qu’ils ont v
matin ces navires, qui, très certainement, ont fait faire de mauvais sang à bien des gens, & qui en ont fait veiller bi
plus vil & le plus abject plutôt que de rien faire indigne de son sang , & de rester en France où sa conscience était
tyre, & elle avait si bien pris ses précautions qu’il en coûta du sang . La feinte faiblesse cessa au troisième assaut, &
e guerre, s’il était bien persuadé qu’il doit rendre compte à Dieu du sang qui y est répandu, & de tous les désordres qu
hommes y paraissent braves, les femmes bien faites & belles, d’un sang plus pur que nos Françaises d’Europe. J’ai vu tou
promettaient bien de nous suivre, & de mettre tout à feu & à sang dans les îles anglaises, pendant que nous les att
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
Deshayes. La longue traite qu’ils avaient faite pour se sauver, et le sang qu’ils avaient perdu ayant tout à fait épuisé leu
ble, bien résolus de se défendre jusques à la dernière goutte de leur sang . Ils avaient reconnu les couleurs et les bandoliè
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
s ne se contentaient pas de sacrifier la bourse et l’honneur, mais le sang même de leur époux ; que chaque couleur convenait
ée et la joue toute déchiquetée en dedans, de sorte qu’il crachait du sang en très grande quantité. Après cela Pluton demand
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
paravant, et fit voir à notre héros son ennemi terrassé et rendant le sang de tous côtés, ou plutôt il crut le voir, car Pas
entation de ce corps des vessies pleines d’une liqueur rouge comme du sang , et on les avait percées de sorte que le héros de
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
ue la douleur acheva de le faire devenir fou, et que si l’effusion du sang ne lui avait pas fait peur, il se serait passé so
dont ils le frappaient par mesure, ils le mirent en un moment tout en sang . Après l’avoir si bien étrillé, ils le portèrent
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
mais les parties étaient trop échauffées, et Sancho qui était tout en sang , s’était mis en colère tout de bon ; mais ayant t
s appliqua sur le visage de Sancho d’une manière qu’il le mit tout en sang . La douleur qu’il en sentit achevant de le mettre
13 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
de bon cœur, excepté Bouchetière, qui ne nous parut pas faire de bon sang , et qui me regardait comme Amphitryon regarde Mer
our sauver tous les hommes, que sa grâce ne se soit répandue avec son sang pour tout le genre humain, et que comparant cette
royons comme eux ; mais où placer cette immortalité ? Sera-ce dans le sang  ? Sera-ce dans le corps ? Non : tout y est corrup
que cette chaleur eût atteint ce degré juste qui convient au cœur, au sang et aux parties propres à la génération, et que ce
à nos mères que la seule excroissance de nos corps, jusqu’à ce que le sang qui leur est superflu, et qui même leur causerait
ande bande. Si on ne fait que le blesser, ils vont tous à la trace du sang , et ne le quittent point qu’ils ne l’aient dévoré
t composé comme celui d’un porc, sans aucune différence sensible. Son sang se fige et se congèle de même. Il n’a point d’éca
s dans tout le globe terrestre, laquelle par sa circulation, comme le sang dans le corps humain, entretenait cette humidité
œur dans le corps de l’homme envoyait le plus pur et le plus léger du sang à la tête, et aux autres parties qui paraissent p
di 7 avril 1690 M. Hurtain a été saigné ce matin, et est alité. Le sang qu’on lui a tiré ne plaît nullement à notre chiru
i a donné sur la tête un coup de canne si fort qu’il l’a jeté tout en sang les quatre fers en l’air. Ce soldat n’avait, en v
nt de sang-froid pour rien. Leur plus grand plaisir est l’effusion du sang  : aussi en voit-on très peu mourir d’une mort nat
e en a été horrible ; les entrailles crevées et percées ont envoyé le sang , et le fien, de tous côtés : c’était une puanteur
ois reprises, et ayant plutôt obéi à la faiblesse que la perte de son sang lui causait qu’à la douleur qu’il ressentait et à
de cet insecte, meurt dans le moment ; et que le corps, la chair, le sang , les os, les entrailles, les nerfs, et le reste,
empêcher le pillage et le désordre. Je ne voudrais pas pour tout mon sang avoir été l’objet d’un pareil remeré. J’en suis à
u à table un certain M. Le Vasseur qui m’a paru faire de très mauvais sang , et avoir le gosier aussi étroit que ses yeux éta
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
u de coups, qu’il ne pouvait remuer ni pieds ni pattes ; il jetait le sang de tous côtés, et avait la tête fracassée en plus
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
lui rendit sa tranquillité d’esprit, à la confusion près, d’être d’un sang qui avait pu produire de si mauvais garnements. I
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
cho, prévenu qu’il n’avait rien à craindre, fut le premier à tirer du sang , et se défit d’un qui tâchait de ne le point ména
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
Quichotte, et lui tira dès la première fois quatre bonnes palettes de sang . Cette saignée fut bientôt suivie de beaucoup d’a
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
enchanté vos épées pour vous empêcher l’un et l’autre de répandre un sang que vous regretteriez avec amertume. Pour toi, Ch
19 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
un cochon, mais plus long trois fois ; il a des veines qui portent le sang par tout le corps et qui répondent au cœur. Ce sa
es qui portent le sang par tout le corps et qui répondent au cœur. Ce sang est chaud et caille en froidissant. Il a la chair
ie en a été horrible, les entrailles percées et crevées ont envoyé le sang et le fien de tous côtés : c’était une puanteur h
celles de France, mais il y en a aussi d’une certaine espèce dont le sang , les os et la chair sont noirs comme de l’encre,
s veut acheter. Dieu permet sans doute ce peu d’attachement pour leur sang afin que ces enfants en passant par les mains des
semble qu’elles aient toujours une dent cassée et la bouche pleine de sang , à cause de leur bétel et arec qu’elles mâchent i
fort juste : Nos ayeux à leur gré faisaient un Dieu d’un homme Et le sang parmi nous conservant leurs erreurs Nous rempliss
autre ; peut-être comme on le dit à cause que ne perdant pas tout son sang par les trous des balles, ce qui en reste dans le
jusques à aujourd’hui que l’on l’a mangé ce soir. Ce n’est donc ni le sang qui peut rester dans le corps ni la chaleur qui e
est jamais possédée par deux hommes de suite ; ils sont si jaloux du sang auquel ils obéissent qu’afin d’être sûrs qu’ils n
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
vait toujours beaucoup d’amitié pour les Français, et surtout pour le sang de son maître. Elle avait de lui tout le soin pos
21 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
rie et comme une mégère, qui avait sacrifié son honneur et son propre sang à un intérêt sordide. Que tout le monde la prendr
mp chercher une autre chaise à porteur, et toute évanouie et toute en sang qu’était ma pauvre femme, elle la fit prendre par
uté ! Quelle barbarie ! Peut-on plus cruellement sacrifier son propre sang à la peur de perdre son bien ! Quelle que fût la
quart d’heure après, elle expira dans les douleurs, et noyée dans son sang , sans avoir dit une seule parole contre qui que c
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
e loué, et ne doit pas s’applaudir d’une victoire qui ne lui coûte ni sang ni péril. Pardi, Monsieur, répondit Sancho, vous
23 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
tre secours, d’autres en ont fait autant ; mais mon confesseur et mon sang , m’ont toujours dit, que la pauvreté n’était poin
encore : car il est certain, que quand il aurait l’honneur d’être du sang de la princesse, elle ne prendrait pas plus haute
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
e la tête qu’on le crut mort. Il fut en un moment tout couvert de son sang , et le chirurgien qui fut appelé pour le panser e
25 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
avant que j’eusse tiré la mienne il me pointa au bras. La vue de mon sang me mit en fureur à mon tour ; et quoi qu’on pût f
26 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
iage, aussi bien que ceux qui venaient de père et de mère, parents de sang , étaient toujours malheureux dans leur fortune, e
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