/ 11
1 (1721) Mémoires
c eux et par les manufactures qui faisaient une partie du commerce du royaume que ces bannis volontaires ont porté chez nos voi
nsoir. Ces religionnaires ont fait leurs efforts pour rentrer dans le royaume , mais les portes leur en ont été absolument fermé
dra-t-il encore si Dieu lui demande s’il lui avait donné et confié le royaume pour y régner par procureurs ? Laissons l’éternit
qui obligea M. de Luxembourg2 de dire une fois en plaisantant que le royaume de France et les sujets, chacun en particulier et
que les Tartufes s’étaient emparés de son esprit, il était arrivé au royaume ce qui arrive tous les jours dans les familles pa
du le plus grand et le plus glorieux prince qui eût jamais régné ; le royaume riche et abondant aurait rendu sa mémoire précieu
it de Nantes, il semble que la main de Dieu se soit appesantie sur le royaume . Mon dessein n’est pas de faire ici le déclamateu
ntières étaient bien munies, la marine sur un bon pied ; en un mot le royaume était en état de soutenir la guerre tant par mer
sur l’Hôtel de Ville de Paris est un garant certain de la richesse du royaume et de celle de chaque particulier. Ce sont ces re
en même temps acheté les fers dont eux, leurs descendants et tout le royaume se trouve accablé. 24. Après la création de ces r
y a attribué des droits qui ont achevé de ruiner tout l’intérieur du royaume , et d’autres qui vont contre les commandements de
t contre la charité chrétienne. 25. Ceux qui ont ruiné l’intérieur du royaume gissent en ce que les acquéreurs de ces charges é
leur pauvreté ne leur permet pas d’avoir recours à la justice dans un royaume où elle est vénale, et où les sangsues, procureur
régner que comme les empereurs turcs, et ne se mêla plus du détail du royaume  ; il s’en reposa sur des ministres, et se content
de Clément XII aucune grâce pour personne, pas même l’investiture du royaume de Naples pour Philippe V roi d’Espagne, son peti
l’édit de Nantes anéanti, et ne dit-il pas hautement que le Roi et le royaume allaient être humiliés, puisqu’il entreprenait su
sé de l’Italie par l’Empereur se réfugia en France pour le malheur du royaume , il se retira à Avignon. La France, le refuge ord
premier des rois de France qui mît le premier [sic] un impôt dans le royaume , ou plutôt dans Paris seul, et cela sous de vains
le démenti à la justice du fond. Le Parlement autrefois l’honneur du royaume , dont l’équité était si bien reconnue que les pri
à tout moment il violait les privilèges, aussi bien que tous ceux du royaume en général ; en un mot c’était le cardinal Mazari
par là ont mis le Parlement de Paris au niveau de tous les autres du royaume qui ne doivent leur érection qu’à la seule bienve
ticulier à particulier. Mais le Parlement de Paris, le plus ancien du royaume , ne doit son installation qu’aux Etats Généraux a
s nouvelles crées, la capitation établie, le dixième levé sur tout le royaume , ont réduit la France dans un état plus triste qu
a le voir. Ce ne sont point ces impôts par eux-mêmes qui ont ruiné le royaume , ce sont ceux qui étaient été chargés de les leve
Autriche ; elle la craignait avec d’autant plus de raison que tout le royaume la souhaitait afin d’avoir un héritier de la cour
pensés. Le cardinal fit si bien que Madame de Chevreuse fut exilée du royaume par le Roi, à qui ce fourbe faisait entendre qu’e
une infinité de manufactures qu’il y a établies, et qui mettaient ce royaume en état de se passer des ouvrages des étrangers q
ait en tout à vingt millions de livres en argent dispersé par tout le royaume . Ces sortes d’achat ne se faisaient que dans les
lbert tenait pour maxime constante qu’il y avait trois choses dans le royaume auxquelles on ne devait jamais toucher qui sont l
subsisterait encore s’il avait vécu. Mais son zèle pour le roi et le royaume ne tint point après sa mort contre le zèle indisc
Roi en tirait et à l’utilité et aux richesses qu’il apportait dans le royaume . Car pour son particulier, il est inouï qu’il ait
autres impôts qui n’ont fait en même temps qu’appauvrir le Roi et le royaume , et ruiner les marchands. 100. Il suivait les mém
nde où il n’y en avait point. Il voulait que la grandeur du Roi et du royaume éclatât par toute la terre, et très assurément s’
ue sans qu’il lui en eût rien coûté elle se serait établi et fondé un royaume aussi riche et aussi florissant qu’elle-même, tou
ndre au Roi qu’il n’y avait que lui qui devait porter l’épée dans son royaume et dans les lieux qui relevaient de sa couronne ;
aite avec les sauvages, le Roi gagnait tant sur l’entrée dans tout le royaume des pelleteries et du poisson que sur la sortie d
de-vie de sucre, ce qui ferait un tort très grand aux manufactures du royaume et aux distillateurs d’eau de vie, outre que le c
nt pas que ce ministre, tout à fait attaché aux intérêts du Roi et du royaume , et par conséquent amateur du commerce, avait à s
si utilement occupé pour la gloire de Louis et le bonheur de tout le royaume . 132. Les fréquents changements que depuis la mor
ont attiré une infinité de banqueroutes, et ruiné tout l’intérieur du royaume . 133. Les étrangers ne prennent point les espèces
n ont gagné infiniment par les fausses espèces dont ils ont inondé le royaume . J’ai vu pendre à Lyon une fille qui en recevait
s de juillet 1714. Quoique la valeur des bonnes fût augmentée dans le royaume , elle n’augmentait point chez les étrangers, et c
nt trente-deux. Il en est ainsi de tout le reste. Pour l’intérieur du royaume , on prenait le temps pour augmenter la valeur des
ait de son propre fond, et du zèle qu’il avait pour le Roi et pour le royaume . Cependant il est vrai qu’il avait de mauvaises q
teint ne devait rien qu’à la nature. Il résolut de l’envoyer hors du royaume , mais de ne la pas tant éloigner qu’ils ne pussen
isait que cet argent quoique mal à propos dissipé ne sortait point du royaume , et qu’ainsi c’était une espèce de circulation du
mme tous les impôts paraissaient être donnés sur son rapport, tout le royaume s’en prenait à lui, et commença à le regarder ave
odieux au peuple. Cette haine se répandait insensiblement par tout le royaume , et comme en effet le peuple n’était point ménagé
dignité de chancelier qui le rendait le chef de tous les tribunaux du royaume . Mais apparemment le prince ne le croit pas digne
va bouleverser ou ruiner même une bonne partie des bonnes maisons du royaume . — Et sur quoi est-elle fondée, cette prescriptio
Mons[ieur] le duc de Beauvilliers avait représenté au roi que tout le royaume murmurait des impôts excessifs qui se levaient, q
erre au sujet du roi Jacques allait exiger de nouveaux secours que le royaume ne pouvait plus fournir. Que pour y parvenir il f
ribution juste et neccessaire, ramènerait l’abondance dans le cœur du royaume , et mettrait le Roi non seulement en état d’acqui
ments inutiles, il trouverait en même temps le soulagement de tout le royaume et de quoi payer cet excédent de douze millions d
ot c’est lui qu’on peut accuser et convaincre de tous les malheurs du royaume . Je lui donne pourtant un adjoint qui est la marq
t répandu pour entretenir sinon l’abondance, empêcher du moins que le royaume ne s’aperçût des années stériles. Il ne réserva q
t pas inconnues, ni le tort qu’ils faisaient à sa réputation et à son royaume . M.Bontemps son filleul, gouverneur de Versailles
nt à Paris que dans les provinces. Tant il est vrai que le corps d’un royaume ou d’un Etat ressemble au corps humain dont on ne
ctions de Le Normand taxa toutes les communautés d’Arts et Métiers du royaume . C’est lui qui leur a ôté la chair et la moelle,
iétaire, et que par la suite des temps il s’y formerait une espèce de royaume aussi florissant que la vieille France européenne
e la vieille France européenne. Que de gens vont prendre ceci pour le royaume imaginaire de Don Quichotte ? Je ne prétends pour
ont cause que la réputation des Français est tellement perdue dans ce royaume , que nous y sommes regardés comme les derniers de
mme aussi peu entendu dans le commerce que peu zélé pour la gloire du royaume , le tout s’est évanoui. J’avais remarqué dans mes
as sur le pied de les réformer, et ainsi de laisser tous les Etats du royaume en proie aux traitants, qui tous ont cela de comm
ndait point à la réputation qu’il avait d’être le plus fort joueur du royaume . Soit que M. Chamillart eût feint de se troubler
a de jeter le désordre partout, parce que le peuple épuisé et tout le royaume appauvri ne pouvaient plus fournir au seul nécess
leur accorder des traités si fort à charge au Peuple et au Roi que le royaume en est absolument ruiné, et qu’on a été obligé de
e, la pauvreté du peuple, la chute du commerce et la ruine entière du royaume , et les richesses odieuses des gens d’affaires au
2 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
ai plus amplement. Cependant vous saurez toujours que l’usurpateur du royaume de Siam qui avait fait mourir le Roi notre allié
l’une douze lieues et l’autre trois de tour. Elles sont contiguës au Royaume de Pégu et en sont les dernières terres dans le S
ns de séjour dans ce pays-ci. C’est qu’un roi du Pégu, voyant que son royaume se dépeuplait par le peu de commerce que les homm
uï-dire de l’Asie. Je ne puis pourtant me dispenser de vous parler du royaume d’Achem dont nous sommes proches. Les peuples ne
16e. [novembre] Toujours vent bien près. Nous côtoyons la terre du Royaume d’Aracan. Du vendredi 17e. [novembre] Nous
alassor, nous avons aujourd’hui quitté de vue les dernières terres du Royaume d’Aracan. C’était peu d’avoir des malades, la mor
ù nous étions mouillés et les terres qui l’environnent font partie du royaume de Bengala ou Bengale, c’est une grande anse dans
conquêtes d’Alexandre, et la rivière de Bengale qui donne son nom au royaume qu’elle lave et traverse ; mais n’y ayant point é
lus haut, et savoir qu’il y a environ vingt ans que le gouverneur des royaumes de Marsingue et de Visapour qui dépendaient du Mo
a même armée qui l’avait servi à reprendre sur le premier rebelle les royaumes dont il s’était mis en possession, depuis la côte
e Sauvagy a voulu rentrer dans ses anciens droits et a envoyé dans le royaume de Visapour une nouvelle armée. La faiblesse de c
t s’est allé opposer à l’armée victorieuse du Mogol, qui ravageait le royaume de Visapour, que Sombagy son frère avait laissé p
e les efforts des troupes du Mogol. Son frère avait laissé prendre le Royaume de Visapour : il a été sur les frontières de ce q
l a été sur les frontières de ce qui lui reste vers les confins de ce Royaume pour empêcher son ennemi d’entrer plus avant dans
ans la géographie ancienne pour savoir où était positivement situé le royaume de Porus, à qui Monsieur Racine fait dire en parl
uisqu’il reste à Pondichéry en attendant l’occasion de passer dans ce royaume , car il n’est point homme à s’exposer à la mort p
i fait ces sortes de mariage, ce sont aussi les plus considérables du Royaume . J’en trouve la manière fort commode, et si cette
nous en France un nommé M. de La Touche lieutenant qui était dans ce royaume pendant tous les troubles, et qui même a été fait
u Corps du roi de Siam et pour général des troupes françaises dans ce royaume . Je l’ai vu à Lorient prêt à s’embarquer, mais le
rtaines de la mort du Roi de Siam et des révolutions arrivées dans ce royaume l’ayant rappelé à Paris, le Roi l’a envoyé ici gé
3 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
il est bon qu’on sache ce que c’est que ce Mergui. C’est une place du royaume de Siam où les Français étaient établis & où,
sule de Malacca, parce que, quoique Mergui soit & fasse partie du royaume de Siam, il est bâti sur les terres qui font part
ait point aux lâchetés que notre nation a faites à Louvo, par tout le royaume , & surtout à Bangkok, la principale de nos fo
te île de Négrades est la plus orientale, & à la pointe du sud du royaume de Pégu : nous reprenons la route de Mergui. D
ette île, qui peut avoir deux à trois lieues de tour, est contiguë au royaume du Pégu, duquel elle n’est séparée que par un bra
. C’est que le grand-père du roi qui y règne à présent, voyant que le royaume se dépeuplait par le peu de commerce que les homm
e ces pays-ci. Je ne puis cependant passer sous silence la coutume du royaume d’Achem ; la chose me paraît trop singulière. Ces
edi 16 novembre 1690 Toujours vent près. Nous voyons les terres du royaume d’Aracan ; & le vent ne valant rien pour y al
uillés & les terres dont il est environné font partie de l’ancien royaume de Bengale. C’est une grande anse, ou, si on l’ai
aient pas été déclarés : saisie mal faite, puisque ce qui enrichit le royaume n’y doit aucun droit d’entrée. Il ne put antidate
st par là qu’il faut commencer pour rétablir le commerce intérieur du royaume  ; &, à l’égard du commerce extérieur, que le
rance qui connaissait le mieux de quelle utilité le commerce était au royaume . Les différents voyages que M. Martin fut obligé
l’une de l’autre, au passage d’une petite rivière, sur les confins du royaume de Visapour. Remraja, quoique le plus faible, a p
aphie ancienne : ainsi, je ne sais pas où était positivement situé le royaume de Porus, à qui Racine lait dire, en parlant d’Al
uisqu’il reste à Pondichéry en attendant l’occasion de passer dans ce royaume  ; car il n’est assurément pas homme à s’exposer a
s & qui vend ses filles ; ce sont aussi les plus considérables du royaume . Ceci est du génie universel des Orientaux : les
verains dans l’Asie les États qu’elle leur a enlevés : tels que le[s] royaumes de Ceylon, de Java, de Sumatra, & une infinit
ises des Indes, dont elle ne peut se passer, & qui font sortir du royaume un nombre infini d’espèces. Car, monsieur, il fau
raissent prendre le plus à cœur les intérêts de la Compagnie & du royaume , qui certainement sont ici confondus ensemble. Je
Tous les officiers & soldats qui sont venus ici en sortant de ce royaume ont tous dit que M. Poquet, missionnaire, n’avait
on infâme & lâche de Bangkok, la sortie forcée de Mergui & du royaume après la mort tragique du roi de Siam & celle
mêmes inclinations, il aurait la satisfaction d’empêcher de sortir du royaume une quantité prodigieuse d’argent dont les Anglai
de feu Le Vasseur. Nous portons au Sud-Est, pour parer les terres du royaume de Bisnagar dans la péninsule. On dit que nous pa
ent pas fait malgré eux mille infâmes lâchetés, qui ont perdu dans ce royaume la réputation du nom français. Ses propres enfant
sse de Siam a été abandonnée, quoique fille unique & héritière du royaume , qu’elle destinait au marquis Des Farges en l’épo
t & y souffrent encore. La relation de ce qui s’est passé dans ce royaume fera le détail de tout : j’en reviens à messieurs
4 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
rats fripons qui soient jamais venus de Gascogne infecter le reste du royaume . Il faut pourtant que je lui rende justice : il a
l était ami et très considéré de M. Constance, premier ministre de ce royaume , et est fort touché de sa mort, et de celle du ro
garde là-dessus le Sauveur comme un roi qui rentre triomphant dans un royaume qui lui appartient, et qu’il a pourtant été oblig
égué dans cette île, comme hébété et impuissant, et s’était emparé du royaume et de sa femme, qu’il a épousée ; et le tout sans
é reçus avec bien de l’humanité : et qu’ils avaient traversé ce vaste royaume depuis les premières terres qui donnent dans la M
nes qu’ils se sont introduits et qu’ils se maintiennent dans tous les royaumes de l’Asie ; qu’ils s’y sont élevés aux dignités ;
s en seront plus respectées, le commerce fleurira plus que jamais, le royaume s’enrichira davantage, et le service en sera fait
r de lui-même : ses sujets, et lui par conséquent, s’enrichir ; et le royaume ne sera plus obligé d’acheter à un prix excessif
font que filer et friser leur corde. Cette vermine de la capitale du royaume trouverait son châtiment dans un travail nécessai
e qu’il y a de mauvais. On peut en dire ce que les Italiens disent du royaume de Naples, que c’est le paradis terrestre ; mais
t les déserts de la Mésopotamie et de l’Arabie. Le Mogol, le Pégu, le royaume de Siam, celui de Tonkin et la Chine sont idolâtr
tement beaucoup de monde : que l’opra Pitrachard, qui avait usurpé le royaume , et avait fait mourir le roi notre allié, a été p
e succédaient et se terminaient aussi promptement partout que dans le royaume de Siam, la chrétienté, et toute l’Europe, jouira
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
bjets de douleur et de rage, il était résolu de quitter le pays et le royaume pour aller chercher une mort qui le délivrât tout
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
est dépouillé de sa grandeur et de son éclat lorsqu’il entre dans le royaume des morts, où il est rendu égal à tous ceux qui d
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
elle n’avait qu’un seul conseil à lui donner, qui était de sortir du royaume , et que si elle voulait passer en Espagne avec el
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
ore comme fille. Quoiqu’il y ait sept ans et plus que je suis hors du royaume , je suis instruit de tout par le commerce de lett
9 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
en France, et que je ne voulais pas me mettre au hasard de quitter le royaume , ou de porter ma tête sur un échafaud. Il crut al
10 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
ambitieuse, et qui destinait son fils à un des plus riches partis du royaume . Il est encore vrai qu’elle ne l’a retenu par auc
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
ir, et lui donnai amplement de quoi sortir de la province, et même du royaume , comme il était de son intérêt de le faire. Je n’
/ 11