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1 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
ent a tourné cette nuit bout pour bout, tout à fait contraire à notre route . Nous retournons à Groye, et si je puis trouver q
sa quête nous fait croire que son homme est sauvé. On s’est remis en route et nous allons bien. Du mardi 7e [mars] Tou
aves, encore ne sais-je où ils les prennent car je n’ai vu ni dans la route ni autre pan aucun arbre vert tel soit-il, si ce
Le vent s’est rafraîchi, nous allons assez bien, pas tout à fait à la route , nous tirons au court bâton avec lui. Monsieur Hu
Du mercredi 19 [avril] Toujours même vent d’Est. Nous allons à la route , guière effectivement, mais c’est toujours autant
ce qui est à leur égard comme le cure-dent d’un cocher ou messager en route . Ceux qui avaient été sous la Ligne et qui ont fa
venu à l’Est, ainsi nous allons au Sud-Sud-Est, qui est notre droite route . On ne m’a point trompé, Monsieur le commandeur d
uf heures du matin ; nous avons bien été toute la journée et en bonne route . Du jeudi 4e l’Ascension [mai] Il a plu bea
ouver belle au roulis près. Du dimanche 7 [mai] Même vent, même route , même chemin. Du lundi 8 [mai] Le vent s’es
changé cette nuit et s’est jeté au Sud-Est, justement contraire à la route . Le froid qu’il fait tue si peu qu’il nous reste
oujours même vent de Sud variable vers l’Est, et ainsi contraire à la route  : nous lauvayons bord sur bord. Du jeudi de la
de pouvoir connaître juste où nous serons et aller ensuite en droite route à Amzuam. Du jeudi 8 [juin] Le vent est bon
là-dessus Monsieur l’abbé de Choisy trace à ces navires des Juifs une route par la mer d’Ormuz, par laquelle il les fait cour
ait craindre quelque roche au large, ainsi cette nuit nous avons fait route au Nord-Nord-Ouest, et que nous avons perdu la te
é. Le vent était petit, mais sur le midi il affraîcha ; nous faisions route pour Amzuam où nous avions appris qu’il y avait t
stination si ce vent-ci continue à moins que nous ne trouvions sur la route de quoi jouer de la griffe, bien résolus de nous
e est plus nécessaire dans la navigation que la science. Nous faisons route pour aller trouver la pointe de l’île de Ceylon q
Ils ont tenu conseil ensemble dont le résultat a été de poursuivre la route , et cela par plusieurs bonnes raisons qui sont qu
voulons nous ne leur avons rien dit. Nous avons donc poursuivi notre route , et à cinq lieues de là au plus nous avons passé
er. Il y a été malgré les coups de canon qu’il a fallu essuyer sur la route , il a abordé le navire hollandais, et n’a point m
si nous recommencerons demain le branle ou si nous poursuivrons notre route . Le fort nous a beaucoup incommodés et je ne vois
amiral tenir conseil, où il a été résolu que nous poursuivrions notre route , parce que ces navires sont hors de prise et que
vire que je vous dis hier que nous voyions, et lequel était sur notre route . C’est un bâtiment anglais dans lequel on n’a tro
nt. Nous lui avons parlé ce soir. Le vent est toujours contraire à la route , et ainsi nous n’avons pas beau jeu. Du vendre
Du samedi 23. [septembre] Le vent est toujours contraire à notre route  ; nous le tenons le plus que nous pouvons, et tir
voyions ces deux navires, on lui a répondu que oui. Poursuivez votre route , a-t-il dit, je vais revirer de bord. C’est notre
virer de bord. C’est notre commandant, nous avons obéi et suivi notre route , qui nous portait sur ces deux navires. Pour lui
s un autre visage que celui que l’apparence montre, il a poursuivi sa route et a donné au Lion et au Dragon, quoique seul, au
ait aucun signal pour lui donner cache, et nous avons poursuivi notre route fort longtemps, et ainsi il a eu celui de se tire
mais trop tard car il était trop loin. Nous nous sommes tous remis en route  ; ce bâtiment est revenu sur nous pour nous recon
e que c’est un espion que les ennemis ont envoyé pour découvrir notre route , et savoir où nous sommes et où nous allons. Il e
aller à Négrades et ne valant rien pour aller à Merguy, nous faisons route pour le premier dont nous ne sommes qu’à vingt li
x heures. Nous en avons fait le signal ; le Florissant a poursuivi sa route jusques à midi, que nous lui avons fait une secon
t Monsr. du Quesne, il viendrait nous rejoindre. l’Ecueil a donc fait route pour Négrades, qui est la terre que nous voyons,
il est notre commandant. Ainsi contre vent et marée nous reprenons la route de Merguy. Du samedi 14e. [octobre] Nous fî
us d’y aller ; nous ne pouvons nous en dispenser et nous en tenons la route . Du mercredi 18. [octobre] Toujours bon ven
e du Royaume d’Aracan. Du vendredi 17e. [novembre] Nous faisons route pour Balassor, le vent n’est ni bon ni mauvais. N
vendredi 24e. [novembre] Nous poursuivîmes dès hier au soir notre route pour Balassor. Il tombe tous les jours de nos gen
distinguer fort loin devant nous, et qu’il y a des écueils sur notre route que nous appréhendons, d’autant plus que nous ne
ucun abri. Du jeudi xie. [janvier] Nous avons remis ce matin en route et nous avons passé devant Madras à qui nous avon
edi 9e. [mars] Le vent s’est renforcé mais toujours contraire à la route . Le temps embrumé qu’il a fait hier et l’obscurit
us de chemin que lorsqu’il est en corps, parce qu’il suit toujours sa route sans attendre qui que ce soit. A cela Monsieur d’
passons les premiers, nous y en laisserons une qui l’instruira de la route que nous prendrons et du lieu où il pourra nous r
[mars] Le vent est bon et bon frais, nous allons bien et en bonne route , dix jours de même le Cap sera dépassé. C’est le
amedi 31e. [mars] Le vent est venu bon cette nuit, on a fait bonne route . De dessein ou autrement nous nous sommes séparés
tendre car ils sont au vent et on sait où ils sont, mais nous faisons route pour avancer sans nous mettre en peine d’eux. Le
it beaucoup plus de chemin que lorsqu’il est en compagnie car il fait route directe sans attendre personne. Et avec cela nous
el, parce qu’on ne saura presque quel parti prendre, ni où dresser la route pour rejoindre notre escadre si nous manquerons c
erdent point encore espérance, et ont obtenu que nous poursuivrons la route jusques à demain midi. Ils sont dans sa véritable
étant tous de très honnêtes gens et de mérite distingué. Nous faisons route à présent pour les îles de l’Amérique, et vraisem
plusieurs navires dont nous ignorons la force, nous poursuivons notre route . Du mardi 29e. [mai] Toujours bon vent ; no
devant Dieu ! Du mercredi 30e. [mai] Toujours bon vent et bonne route . Il nous est encore mort un matelot cette après-m
ndu jusques à près de trois heures après midi que nous avons remis en route . Nous sommes toujours à la vue des terres d’Espag
on petit vent, mais calmé. Le corsaire provençal a 42 canons, et fait route avec nous. Nous voyons trois navires fort éloigné
nous a rejoints, les ayant perdus de vue dans la brume ; nous faisons route pour Belle-Ile par un vent bien faible. Du dim
aller vers La Rochelle, enfin le commandant a viré de bord et a fait route pour Groye, où par la grâce de Dieu nous avons mo
2 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
her de ces navires qu’il ne pourrait pas nous faire grand tort sur la route  ; & que quand nous serions aux prises avec eu
gnal ; &, malgré les coups de canon qui lui ont été lâchés sur sa route , il a abordé le hollandais, & n’a point mis l
i nous recommencerons demain le branle, ou si nous continuerons notre route . Le fort nous a beaucoup incommodés, & je ne
u à bord de l’Amiral, où il a été résolu que nous poursuivrions notre route , parce que ces navires sont hors de prise, qu’il
re que j’ai dit que nous vîmes hier, & qui était encore sur notre route ce matin. C’est un anglais, dans lequel on n’a tr
Grand Mogol, avec lequel nous n’avons rien à démêler. Il poursuit sa route , & nous la nôtre. Du mardi 5 septembre 169
23 septembre 1690 Le vent s’est encore remis contraire pour notre route à Mergui : nous tirons avec lui au court bâton. N
u que la lune était trop belle pour ne les voir pas. Poursuivez votre route , a-t-il dit, je vais revirer de bord, & vous
suivre. C’est à présent le commandant. L’Écueil a obéi & suivi sa route , qui portait sur ces deux navires. Pour lui, il s
ons un autre sens que celui que l’apparence montre, il a poursuivi sa route & a donné au Lion & au Dragon, quoique se
n faible. Nous louvoyons, pour tâcher de ne nous point éloigner de la route de Mergui. Cela vaut autant que si nous croisions
signal de lui donner cache, nous avons fort longtemps poursuivi notre route . Cela lui a donné le temps de se tirer de nos mai
Florissant a donné dessus ; mais trop tard. Nous nous sommes remis en route . Ce petit navire est revenu sur nous. On croit av
ivée aux Indes, & a envoyé ce petit bâtiment pour découvrir notre route , savoir où nous sommes & où nous allons. Il e
bon pour Négrades dont nous ne sommes qu’à vingt lieues, nous faisons route pour cette dernière. Du vendredi 13 octobre 16
tale, & à la pointe du sud du royaume de Pégu : nous reprenons la route de Mergui. Du samedi 14 octobre 1690 Nous f
& le reste. Amen. Du vendredi 17 novembre 1690 Nous faisons route pour Bengale. Le vent n’est ni bon ni mauvais, ma
cause que nous craignons de donner sur des rochers qui sont sur notre route . M.de Quermener est retourné au Lion, à l’issue d
le large. Du jeudi 11 janvier 1691 Nous avons ce matin remis en route & avons passé devant la forteresse de Madras,
cidé, ayant toutes deux décampé en même temps, & pris différentes routes . Celle du Mogol est allée se jeter devant Gingi,
p plus de chemin que lorsqu’il est en compagnie obligé de retarder sa route . À cela, M. le chevalier d’Aire a répondu que M. 
passons les premiers, nous y en laisserons une qui l’instruira de la route que nous aurons prise, & du lieu où il pourra
n je l’eus ; & ayant quelque connaissance à Béthune, j’en pris la route . Je trouvai à Péronne, au Grand Cerf, un cordelie
n frais : c’est ce qu’il nous faut. Nous allons vent largue, en bonne route . Dix jours de même, le cap de Bonne-Espérance ser
s 1691 Le vent est revenu bon sur le minuit, nous avons fait bonne route  ; & de dessein formé, nous avons laissé l’esc
avance beaucoup plus que lorsqu’il est en compagnie, parce qu’il fait route directe, sans attendre personne. Ajoutez à cela q
Le vent a toujours été bon, & nous avons fort bien été en bonne route . Notre aumônier a dit, en dînant, qu’il n’avait h
ent chagrin, parce qu’on ne saura quel parti prendre ni où dresser la route pour retrouver notre escadre, ou du moins M. du Q
tes, ne perdant pas l’espérance, ont obtenu que nous poursuivrions la route jusqu’à demain midi. Du samedi 5 mai 1691 N
a chair. Du mercredi 30 mai 1691 Toujours bon vent, & bonne route . Il nous est encore mort un matelot cet après-mid
joie que nous avons de nous voir rassemblés. Ils ont trouvé dans leur route une escadre anglaise à leur atterrage : c’est app
r le travers de ces îles, chaque vaisseau a fait dès cette nuit telle route qu’il a voulu, & tous les marchands se sont s
ovençal, qui a fait huit prises fort riches, & le navire qui fait route vers France en est une qui vaut plus d’un million
pt cents qu’il avait en partant, le reste est sur ses prises. Il fait route avec nous : il a donné sur trois navires fort élo
r retourner vers La Rochelle, le commandant a viré de bord & fait route pour Groix, où par la grâce de Dieu nous avons mo
3 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
de Paris ; mais suivant les apparences, il n’apprit pas sitôt quelle route elle avait tenue ; cela l’obligea d’avoir recours
prise de faire tout le voyage ensemble. Nous résolûmes de prendre la route de Madrid dès le lendemain ; et afin de faire plu
celui de nous joindre. Nous ne savons point par quel moyen il a su la route que prenait son épouse, mais enfin il l’a su, pui
ie de Sainville, la marquise et elle l’ont forcé de prendre une autre route pour aller nous attendre à Madrid, et ç’a été not
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
certificats du jour de son débarquement à La Rochelle, et que sur la route depuis cette ville jusques à Paris, nous avons fa
me on vit qu’elle n’était point à Paris, sans vous dire comment notre route fut découverte, on la sut, on nous suivit, et on
ntrevue, ne se seraient point accordées avec tant de diligence sur la route . Je prends trop de part, lui répondis-je, dans un
5 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
s de l’avant de l’armée : nous l’avons attendue, nous sommes remis en route . Du mardi 7 mars 1690 Dès la pointe du jour
ou qui en reviennent (peu de ceux-ci, parce qu’ils prennent une autre route ) et qui veulent y faire de l’eau, mouillent dans
ignal de marche, nous avons vu tous les canots déborder et prendre la route d’ici. Ils y ont apporté tous les chirurgiens de
Sud-Est ; assez bon petit frais et nous n’allons pas mal, et en bonne route , puisque nous présentons au Sud-Ouest. Nous étion
-deux pots d’eau-de-vie. C’est là comme le cure-dent d’un messager en route  : l’argent sert à acheter des rafraîchissements à
gation à l’issue du dîner. J’y étais, et m’informais sur la carte des routes des nations, et par quel chemin on avait abrégé l
s, qui font un jour complet. J’en conviens : mais quand, suivant leur route , les vents dont ils se servent ne les feraient pa
près soixante-dix jours de navigation sans voir aucune terre, tant de routes différentes, et de différents vents, se trouve ju
Sud, et de quarante-neuf degrés de longitude, nous a fait prendre la route à l’Est quart de Nord-Est. La chaleur revient.
airci : le vent s’est jeté au Nord-Est, directement contraire à notre route . La hauteur nous mettait à midi à dix-huit degrés
nt était bon, quoique bien faible ; mais il affraîchit. Nous faisions route pour Amzuam, où nous avions appris qu’il y avait
ons mieux aimé abandonner notre ancre que notre armée. Nous sommes en route , et allons chercher les îles Maldives. Le vent es
es. La mienne la met par neuf degrés de latitude Sud ; et, suivant la route que nous avons tenue et le chemin que nous avons
éry, lieu de notre destination : à moins que nous ne trouvions sur la route de quoi jouer de la griffe ; bien résolus de nous
, lundi avant-hier ; car, certainement, deux heures plus tard, par la route que nous tenions, et par le vent qu’il faisait, n
ns. Il n’y a que pour deux jours de chemin, si nous allions en droite route . Nous avons donné trois de nos matelots pour fair
onseil : les capitaines y ont été. Le résultat a été de poursuivre la route , par plusieurs bonnes raisons : entre autres, que
n voulions, on ne leur en a rien dit. Nous avons donc poursuivi notre route  ; et, à cinq lieues de là, nous avons passé devan
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
u château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route . Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit.
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
à tant de gens, quittèrent la partie, et se sauvèrent par de petites routes souterraines par lesquelles cette caverne avait d
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
que je m’étais fait faire à Grenoble. Nous allâmes au Plessis sur la route de Fontainebleau, parce qu’il était à propos que
ec celle de ma vie. Je partis sans attendre sa réponse, et je pris la route d’Italie. Tout me déplaisait ; je ne cherchais qu
9 (1721) Mémoires
tinuâmes jusque proche de l’île de Wik [Wight]. Nous prîmes sur notre route un petit bâtiment anglais qui n’avait que quatre
à Briaire, dans la Saône et le canal, quantité de blé qui prenait la route de Paris. Enfin Monsieur de Harlay, premier prési
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