ent a tourné cette nuit bout pour bout, tout à fait contraire à notre
route
. Nous retournons à Groye, et si je puis trouver q
sa quête nous fait croire que son homme est sauvé. On s’est remis en
route
et nous allons bien. Du mardi 7e [mars] Tou
aves, encore ne sais-je où ils les prennent car je n’ai vu ni dans la
route
ni autre pan aucun arbre vert tel soit-il, si ce
Le vent s’est rafraîchi, nous allons assez bien, pas tout à fait à la
route
, nous tirons au court bâton avec lui. Monsieur Hu
Du mercredi 19 [avril] Toujours même vent d’Est. Nous allons à la
route
, guière effectivement, mais c’est toujours autant
ce qui est à leur égard comme le cure-dent d’un cocher ou messager en
route
. Ceux qui avaient été sous la Ligne et qui ont fa
venu à l’Est, ainsi nous allons au Sud-Sud-Est, qui est notre droite
route
. On ne m’a point trompé, Monsieur le commandeur d
uf heures du matin ; nous avons bien été toute la journée et en bonne
route
. Du jeudi 4e l’Ascension [mai] Il a plu bea
ouver belle au roulis près. Du dimanche 7 [mai] Même vent, même
route
, même chemin. Du lundi 8 [mai] Le vent s’es
changé cette nuit et s’est jeté au Sud-Est, justement contraire à la
route
. Le froid qu’il fait tue si peu qu’il nous reste
oujours même vent de Sud variable vers l’Est, et ainsi contraire à la
route
: nous lauvayons bord sur bord. Du jeudi de la
de pouvoir connaître juste où nous serons et aller ensuite en droite
route
à Amzuam. Du jeudi 8 [juin] Le vent est bon
là-dessus Monsieur l’abbé de Choisy trace à ces navires des Juifs une
route
par la mer d’Ormuz, par laquelle il les fait cour
ait craindre quelque roche au large, ainsi cette nuit nous avons fait
route
au Nord-Nord-Ouest, et que nous avons perdu la te
é. Le vent était petit, mais sur le midi il affraîcha ; nous faisions
route
pour Amzuam où nous avions appris qu’il y avait t
stination si ce vent-ci continue à moins que nous ne trouvions sur la
route
de quoi jouer de la griffe, bien résolus de nous
e est plus nécessaire dans la navigation que la science. Nous faisons
route
pour aller trouver la pointe de l’île de Ceylon q
Ils ont tenu conseil ensemble dont le résultat a été de poursuivre la
route
, et cela par plusieurs bonnes raisons qui sont qu
voulons nous ne leur avons rien dit. Nous avons donc poursuivi notre
route
, et à cinq lieues de là au plus nous avons passé
er. Il y a été malgré les coups de canon qu’il a fallu essuyer sur la
route
, il a abordé le navire hollandais, et n’a point m
si nous recommencerons demain le branle ou si nous poursuivrons notre
route
. Le fort nous a beaucoup incommodés et je ne vois
amiral tenir conseil, où il a été résolu que nous poursuivrions notre
route
, parce que ces navires sont hors de prise et que
vire que je vous dis hier que nous voyions, et lequel était sur notre
route
. C’est un bâtiment anglais dans lequel on n’a tro
nt. Nous lui avons parlé ce soir. Le vent est toujours contraire à la
route
, et ainsi nous n’avons pas beau jeu. Du vendre
Du samedi 23. [septembre] Le vent est toujours contraire à notre
route
; nous le tenons le plus que nous pouvons, et tir
voyions ces deux navires, on lui a répondu que oui. Poursuivez votre
route
, a-t-il dit, je vais revirer de bord. C’est notre
virer de bord. C’est notre commandant, nous avons obéi et suivi notre
route
, qui nous portait sur ces deux navires. Pour lui
s un autre visage que celui que l’apparence montre, il a poursuivi sa
route
et a donné au Lion et au Dragon, quoique seul, au
ait aucun signal pour lui donner cache, et nous avons poursuivi notre
route
fort longtemps, et ainsi il a eu celui de se tire
mais trop tard car il était trop loin. Nous nous sommes tous remis en
route
; ce bâtiment est revenu sur nous pour nous recon
e que c’est un espion que les ennemis ont envoyé pour découvrir notre
route
, et savoir où nous sommes et où nous allons. Il e
aller à Négrades et ne valant rien pour aller à Merguy, nous faisons
route
pour le premier dont nous ne sommes qu’à vingt li
x heures. Nous en avons fait le signal ; le Florissant a poursuivi sa
route
jusques à midi, que nous lui avons fait une secon
t Monsr. du Quesne, il viendrait nous rejoindre. l’Ecueil a donc fait
route
pour Négrades, qui est la terre que nous voyons,
il est notre commandant. Ainsi contre vent et marée nous reprenons la
route
de Merguy. Du samedi 14e. [octobre] Nous fî
us d’y aller ; nous ne pouvons nous en dispenser et nous en tenons la
route
. Du mercredi 18. [octobre] Toujours bon ven
e du Royaume d’Aracan. Du vendredi 17e. [novembre] Nous faisons
route
pour Balassor, le vent n’est ni bon ni mauvais. N
vendredi 24e. [novembre] Nous poursuivîmes dès hier au soir notre
route
pour Balassor. Il tombe tous les jours de nos gen
distinguer fort loin devant nous, et qu’il y a des écueils sur notre
route
que nous appréhendons, d’autant plus que nous ne
ucun abri. Du jeudi xie. [janvier] Nous avons remis ce matin en
route
et nous avons passé devant Madras à qui nous avon
edi 9e. [mars] Le vent s’est renforcé mais toujours contraire à la
route
. Le temps embrumé qu’il a fait hier et l’obscurit
us de chemin que lorsqu’il est en corps, parce qu’il suit toujours sa
route
sans attendre qui que ce soit. A cela Monsieur d’
passons les premiers, nous y en laisserons une qui l’instruira de la
route
que nous prendrons et du lieu où il pourra nous r
[mars] Le vent est bon et bon frais, nous allons bien et en bonne
route
, dix jours de même le Cap sera dépassé. C’est le
amedi 31e. [mars] Le vent est venu bon cette nuit, on a fait bonne
route
. De dessein ou autrement nous nous sommes séparés
tendre car ils sont au vent et on sait où ils sont, mais nous faisons
route
pour avancer sans nous mettre en peine d’eux. Le
it beaucoup plus de chemin que lorsqu’il est en compagnie car il fait
route
directe sans attendre personne. Et avec cela nous
el, parce qu’on ne saura presque quel parti prendre, ni où dresser la
route
pour rejoindre notre escadre si nous manquerons c
erdent point encore espérance, et ont obtenu que nous poursuivrons la
route
jusques à demain midi. Ils sont dans sa véritable
étant tous de très honnêtes gens et de mérite distingué. Nous faisons
route
à présent pour les îles de l’Amérique, et vraisem
plusieurs navires dont nous ignorons la force, nous poursuivons notre
route
. Du mardi 29e. [mai] Toujours bon vent ; no
devant Dieu ! Du mercredi 30e. [mai] Toujours bon vent et bonne
route
. Il nous est encore mort un matelot cette après-m
ndu jusques à près de trois heures après midi que nous avons remis en
route
. Nous sommes toujours à la vue des terres d’Espag
on petit vent, mais calmé. Le corsaire provençal a 42 canons, et fait
route
avec nous. Nous voyons trois navires fort éloigné
nous a rejoints, les ayant perdus de vue dans la brume ; nous faisons
route
pour Belle-Ile par un vent bien faible. Du dim
aller vers La Rochelle, enfin le commandant a viré de bord et a fait
route
pour Groye, où par la grâce de Dieu nous avons mo