que ce que j’en dis est également curieux et vrai. Je parlerai de ce
roi
sans flatterie. Il était né parfaitement honnête
Ils ont prévu la perte de la France tout aussitôt qu’ils ont vu leur
roi
porter la main à l’encensoir. Ces religionnaires
it été homme de probité et vraiment chrétien, aurait fait entendre au
roi
ce que dit saint Bernard, Religio suaditur [sic],
Détestables flatteurs, présent le plus funeste Que puisse faire aux
rois
la colère céleste. En effet ce sont eux qui ont
en particulier et tous en général, avaient été hureux pendant que le
Roi
n’avait cru que lui-même et Mlle de La Vallière e
des gens dans le monde plus sincères et plus zélés pour la gloire du
roi
que ces pères. Ce fut M. le maréchal de Grammont,
mmont, que tout le monde sait avoir été vif en reparties sincères. Le
Roi
lui dit un jour qu’il venait de lire un livre don
. — Quel est-il, lui demanda M. de Grammont. — C’est, lui répondit le
Roi
, Calcondille. J’aime à voir, ajouta-t-il, que le
à la lecture. Mais avec-vous tout lu Calcondille ? — Non, répondit le
Roi
, je n’en ai lu que la préface. — Hé bien, répliqu
i loin que le maréchal de La Feuillade, homme sans autre Dieu que son
roi
, trouva un juste sujet de faire connaître que tou
régale et des franchises, et l’autre d’avoir acquis la protection du
Roi
, dont ils louaient le zèle et la piété et auquel
ratuit très fort, et le tout à la suggestion des RR. PP. Jésuites. Le
Roi
les voyait passer de sa fenêtre dans un ordre mag
que les spectateurs étaient convaincus que si le clergé sacrifiait au
Roi
la religion, du moins sa marche témoignait-elle u
leur molle et lâche complaisance, que de s’exposer à l’indignation du
Roi
par la plus simple remontrance qu’ils auraient pu
ue saint Ambroise leur a tracé end parlant face à face à Théodose. Le
Roi
aurait pris leurs remontrances en bonne part suiv
ts étaient remis au confesseur qui n’avait garde de faire entendre au
Roi
les choses telles qu’elles étaient. Le père de La
nité de peuples. Voici le fait ; j’en parle comme présent. Lorsque le
roi
établit la capitation, le bas clergé n’en fut pas
ner le Domine salvum fac regem, qui est une prière qu’on fait pour le
Roi
, il resta muet. Le, curé surpris de, ce procédé l
ux évêques, archevêques et autres qui composent le haut clergé que le
Roi
leur demande de l’argent ou qu’il ne leur en dema
; l’officier et le soldat étaient bien payés et bien nourris ; et le
Roi
sans surcharger le peuple avait autant de soldats
he, qui que ce soit n’en peut douter. Les subsides qu’elle fournit au
roi
et la prodigieuse quantité d’argent qui fut porté
t en partie cause de l’abaissement de la France ; elles ont fourni au
Roi
le moyen d’attacher à ses intérêts tous ceux qui
et le sang sont celles qui regardent les orphelins et les mineurs. Le
Roi
est naturellement leur père, ou il devrait l’être
tes lui restèrent. Ce traité de Nimègue est le plus honorable pour le
Roi
qu’aucun de ceux que la France eût jamais fait av
général avaient envie de s’enrichir, le peuple fut leur victime et le
Roi
leur dupe, à quoi ne contribua pas peu la ridicul
i la France abîmée n’a pas pu soutenir ce traité de Nimègue, et si le
roi
a été forcé d’accepter ceux de Riswick et d’Utrec
jamais mieux fait pour se venger de la France que de se choisir pour
roi
un prince Français. 30. A l’égard de l’Angleterre
urs forces ni le génie des deux nations. Les Français idolâtrent leur
roi
, et à proprement parler ils consentent d’en être
aux autres. Mais il n’en est pas de même des Anglais. Ils aiment leur
roi
tant qu’il n’attaque point leur religion ni leurs
consentir par un traité de paix que le fils infortuné de ce malhureux
roi
aille traîner son malheur hors de France et de [s
fond du commerce, et qu’ils étaient vraiment zélés pour l’honneur du
Roi
, et pour l’honneur et l’avantage de la France. Vo
de, pour témoigner la satisfaction que la cour de Rome avait faite au
Roi
de l’insolence des gardes corses, qui avaient vio
vive voix ; l’affaire du duc de Parme accommodée à la satisfaction du
Roi
, l’Espagne obligée de céder le pas à notre ambass
’on ne la considère plus à Rome, où malgré les instances réitérées du
Roi
, il n’a jamais pu obtenir d’innocent XII ni de Cl
personne, pas même l’investiture du royaume de Naples pour Philippe V
roi
d’Espagne, son petit-fils. Il n’en a jamais depui
sa fermeté ne l’obligea-t-il pas de recevoir le chapeau, parce que le
roi
, à cause de son peu de complaisance, s’opposait à
il pas venir à Rome chercher un asile jusqu’à ce que l’indignation du
roi
fût passée ? Ce pape ne prédit-il pas l’humiliati
qu’il vit l’édit de Nantes anéanti, et ne dit-il pas hautement que le
Roi
et le royaume allaient être humiliés, puisqu’il e
e duc de Savoie, entre celui-ci et le grand duc de Toscane, entre les
rois
de Suède et de Danemark, entre l’Angleterre et le
n menait au supplice adressa la parole à Clément et à Philippe le Bel
roi
de France, qui eurent l’inhumanité de les voir pa
pas tout laisser à sa Sainteté, et ils partagèrent ensemble. 40. Nos
rois
, jusques à celui-ci, s’étaient contentés de leur
sur ses sujets ce qu’ils ne lui devaient point, et fut le premier des
rois
de France qui mît le premier [sic] un impôt dans
, ou plutôt dans Paris seul, et cela sous de vains prétextes dont les
rois
ne manquent jamais, et que leurs flatteurs, ou pl
là, je crois, avoir prouvé ce que j’ai avancé, qui est que jamais nos
rois
n’auraient mis d’impôt sur qui que ce soit, si le
en attira une infinité d’autres après lui, et toutes les fois que nos
rois
se sont fait une nécessité d’argent pour quelque
lorsque j’entrerai dans le détail des bonnes actions personnelles du
Roi
. 47. Cependant Louis XIV n’est jamais revenu de l
aquait que l’abus que cet avare cardinal faisait de l’autorité que le
Roi
dans sa minorité lui confiait. Je rapporterai là-
a qualité et le titre que cette illustre compagnie avait reçus de nos
rois
prédécesseurs de Louis XIV ; ils l’avaient toujou
royaume qui ne doivent leur érection qu’à la seule bienveillance des
rois
qui les ont établis en différents lieux pour la f
n installation qu’aux Etats Généraux assemblés, et rien du tout à nos
rois
que le choix qu’il pouvait [sic] faire, un de tro
pouvoir en main. Sa politique était celle qui plaisait le plus à son
roi
, politique toute damnable et pire que celle de Ma
un mot tous ceux qui avaient pouvoir de lever sur le peuple ce que le
Roi
voulait qui lui fût dû, s’intéressaient dans la f
et qu’elle ne réfléchissait pas à ce qu’elle disait, elle compara le
Roi
à Hérode, avec cette différence seulement qu’Héro
si elle en avait pris d’une autre. Non, répondit cette femme, mais le
roi
fait si bien jeûner son père et moi qu’il est jus
de France et que tous les Français se conformant sur l’exemple que le
Roi
et son Conseil lui donnait de prendre à toutes ma
vant évêque de Châlons, à présent archevêque de Paris et cardinal, le
Roi
, toute la France, et moi-même tout le premier, av
e et très condamnable médisance ; que cette princesse a été fidèle au
Roi
son époux pendant sa vie, et que Louis XIV était
cu que c’était lui qu’on attaquait dans les troubles, et nullement le
Roi
, à qui ni Paris ni le reste de la France n’ont ja
ariage avec la fille du duc de Lorraine qu’il avait épousée malgré le
Roi
son frère, et accepter une épouse de sa main, la
able, le reste va justifier ce que j’avance). Il poussait lui-même le
Roi
à la répudier, pour en épouser une autre qui lui
pas moins que de faire mettre cette princesse dans un cloître, et le
Roi
dans un couvent pour élever sur le trône ou Gasto
ce, et que ce fût elle qui l’avait mis dans le conseil et approché du
Roi
. 69. Le bruit de cette répudiation épouvanta Anne
s examinait ses urines, lui dit enfin qu’elle pouvait se rejoindre au
Roi
son époux, et qu’il était presque sûr que leurs e
e leurs embrassements ne seraient point infructueux ; elle le fit, le
Roi
vint la voir, et en moins de six semaines des tém
inal fit si bien que Madame de Chevreuse fut exilée du royaume par le
Roi
, à qui ce fourbe faisait entendre qu’elle gouvern
ieu, qui avait perdu l’espoir de voir sa nièce reine, et lui oncle du
roi
, ne s’opposa plus aux fruits des embrassements de
inal poussa son avarice partout où elle put s’étendre, et afin que le
Roi
qui commençait à voir clair ne l’empêchât pas de
nce en repos sans faire aucune restitution. Ce fut de lui dire que le
roi
était maître du sien et de celui de ses sujets, e
à celui de Gerson qui dans sa harangue représenta si bien à un de nos
rois
que chacun avait son domaine, et que, comme il n’
riger la violence. Je ne sais ce qui en est, mais je sais bien que le
Roi
lui-même parut en douter quoiqu’elle lui fût avan
’était guère plus nette que celle de son pénitent, d’aller trouver le
Roi
et de lui faire cette proposition. 87. Il y alla,
ver le Roi et de lui faire cette proposition. 87. Il y alla, parla au
Roi
à qui il représenta le trouble et les agitations
ce prélat de tout ce qu’il avait volé tant à lui qu’à ses peuples. Le
Roi
ne se put empêcher de sourire, et sur la bonne fo
cette bonne nouvelle au cardinal. A peine eut-il le dos tourné que le
roi
se tourna vers les gens de sa cour, et haussant l
torité à celui qui en était revêtu fut supprimée, et qu’outre cela le
Roi
qui voulut gouverner et régner par lui-même entra
sse d’un Etat. Ainsi l’autorité de M. Colbert fut très limitée par le
Roi
, et outre cela, Monsieur de Louvois, ministre d’E
rprendre dans quelque fausse démarche pour le perdre dans l’esprit du
Roi
, et M. Colbert de son côté tâchait de lui rendre
du Roi, et M. Colbert de son côté tâchait de lui rendre le change. Le
Roi
faisait semblant de ne pas approuver cette haine
s et le gain qu’ils avaient fait ; où tel qui se croyait créancier du
Roi
de plusieurs millions se trouva bien éloigné de s
. 92. Il corrigea les abus qui s’étaient introduits dans la maison du
Roi
jusque sur son train et sa table. Il porta les ar
bert et lui demanda avec cet air d’autorité qui convient si bien à un
roi
, pourquoi cet homme, et plusieurs autres, n’étaie
on de cinq sols par jour, et des bottines à lui délivrées. Il pria le
Roi
de souffrir qu’il fît venir les autres qui se pla
cents tous dans le même cas que le vieillard. Il supplia pour lors le
Roi
de le laisser faire, et qu’il en rendrait bonne j
n était faite, il n’y en eut aucun assez hardi pour oser en parler au
Roi
à son retour de la chasse, où il avait été tout c
s, il en prévit les conséquences et se contenta de les représenter au
Roi
, et certainement cet édit subsisterait encore s’i
t cet édit subsisterait encore s’il avait vécu. Mais son zèle pour le
roi
et le royaume ne tint point après sa mort contre
est plus appliqué que lui, uniquement par rapport à l’intérêt que le
Roi
en tirait et à l’utilité et aux richesses qu’il a
n, et de la protection qu’il leur donnait ; et il eût souhaité que le
Roi
ne s’en fût mêlé uniquement que pour établir l’or
douanes et autres impôts qui n’ont fait en même temps qu’appauvrir le
Roi
et le royaume, et ruiner les marchands. 100. Il s
tout le monde où il n’y en avait point. Il voulait que la grandeur du
Roi
et du royaume éclatât par toute la terre, et très
leurs progrès étaient bien plus considérables. Les gens auxquels nos
rois
avaient fait don des terres qu’ils feraient défri
t mis d’eux-mêmes dans un état tranquille quille ; on fit entendre au
Roi
qu’il n’y avait que lui qui devait porter l’épée
pour leur usage personnel que pour leur traite avec les sauvages, le
Roi
gagnait tant sur l’entrée dans tout le royaume de
autrement regardé sitôt qu’il serait levé par des fermiers au nom du
Roi
. Que même il rapporterait bien moins qu’il n’avai
hâteau et y entretenaient garnison, et qu’il était encore vrai que le
Roi
seul doit porter l’épée dans toute sa domination.
’avoir pourvu à la leur. 108. Qu’il semblait qu’on voulût insinuer au
Roi
que l’idée de ces peuples était de se soustraire
es sujets d’avoir égard étaient de sûrs garants du contraire ; que le
Roi
pour s’assurer de leur fidélité pourrait y envoye
nât ; que pour fomenter cette aliénation et maintenir la religion, le
Roi
pouvait y envoyer de bons et pieux ecclésiastique
enir et dont la dépense serait peu considérable, ne valait pas que le
Roi
exposât sa réputation, et en même temps l’ancienn
pôt dont ils s’étaient eux-mêmes chargés, et que le gouverneur que le
Roi
y envoierait saurait bien le leur faire employer
ne savaient pas que ce ministre, tout à fait attaché aux intérêts du
Roi
et du royaume, et par conséquent amateur du comme
Monsieur de Maurepas son fils, et encore moins ceux qui ont au nom du
roi
consenti les traités de Risvik et d’Utrek. 114. M
Risvik et d’Utrek. 114. Malgré ce que M. Colbert avait représenté au
Roi
, la maréchale de La Mothe, qui ne voulait pas per
lait lui faire faire, et qui ne s’est sauvé que par la seule bonté du
Roi
, qui se contenta de l’exiler. Lorsque je parlerai
e Ville, les gages et augmentations de gages, et en un mot lorsque le
Roi
était obligé de faire un gros paiement général ;
j’ai déjà parlé, s’en plaignit à Louis et lui porta de ce papier. Le
Roi
le montra à M. Colbert qui comme j’ai dit n’aimai
résent), fit l’affaire et obligea ces bonnes dames de tant presser le
Roi
qu’il s’expliqua à son ordinaire par un Je le veu
ablissement de ces deux impôts porte une promesse en foi et parole de
Roi
d’être supprimés à la paix ; c’était en 1674 pend
i était le pivot et le soutien de la société civile. Il le fit, et le
Roi
frappé de ses raisons consentit que cet impôt inf
épondit-il résolument. — Pourquoi n’as-tu pas satisfait aux ordres du
Roi
en payant le contrôle de tes bans. — C’est, répon
ste de dire les mauvaises. Il n’eut de la droiture que par rapport au
Roi
et à son emploi : du reste il fut fourbe et dissi
te droiture venait de son propre fond, et du zèle qu’il avait pour le
Roi
et pour le royaume. Cependant il est vrai qu’il a
l était premier commis de M. Colbert, lequel ne pouvant aller chez le
Roi
pour lui rendre compte de quelque affaire l’y env
d’un commis que pour être mis au net, il lui ordonna de les porter au
Roi
et de rachever de lui en expliquer l’affaire que
u contraire, il se crut plus habile que jamais. Il y alla et parla au
Roi
, mais avec tant de répétitions, de désordre et si
stime qu’il avait eue pour lui et qu’il avait perdue par sa faute. Le
roi
demanda même à M. Colbert pourquoi il lui avait e
réprimande que M. Colbert lui fit d’avoir eu l’audace d’aller chez le
Roi
soûl comme un cochon (ce furent ses propres terme
Louis dauphin, fils de Louis XIV, avait une amourette sur laquelle le
Roi
son père s’était bouché les yeux parce qu’il étai
Mais lorsque son mariage fut arrêté avec la princesse de Bavière, le
Roi
lui fit dire que s’il ne congédiait pas sa maître
e Maisons. Elle était grosse de cinq à six mois, et il connaissait le
Roi
d’humeur à la faire renfermer, auquel cas c’était
ient donné. Ces sortes d’écarts très fréquents ne plaisaient point au
Roi
, et encore moins à la dauphine qui avait le malhe
adé ; qu’aussi ne demandait il pas ces cent mille écus de l’argent du
Roi
, et qu’il les lui demandait comme un service pure
uquel il dit la demande du fils, et le refus qu’il lui avait fait. Le
Roi
l’en blâma, et lui dit qu’il devait lui donner ce
e, ce fut encore un nouveau sujet d’inquiétude pour lui. Il le dit au
Roi
qui le rassura, mais une conscience ulcérée ne se
et même de lui faire faire son procès, était de faire en sorte que le
Roi
son père rappelât M. Fouquet et lui accordât une
demi-heure d’audience pour se justifier. Il lui avait insinué que le
Roi
ne pourrait pas refuser cette grâce à Madame la D
les parents de M. Fouquet supplièrent Madame la Dauphine d’obtenir du
Roi
qu’il tirât M. Fouquet de la prison où il languis
qu’il la priait pourtant de ne se pas exposer mal à propos, et que le
Roi
n’aimait pas qu’on l’importunât. — Je ne lui ai j
s réussirez, puisque ce sera la première grâce que vous demanderez au
Roi
. 169. La Dauphine, persuadée qu’elle ferait plais
qui lui fit peine. Elle parut le soir à souper assez mélancolique. Le
Roi
, qui l’étudiait, lui demanda le sujet de sa rêver
nir une grâce qu’elle avait à lui demander faisait son inquiétude. Le
Roi
lui dit que hors quatre cas elle pouvait être sûr
— Et quels sont ces quatre cas, demanda-t-elle ? — C’est répondit le
Roi
, le crime de lèse-majesté divine, le viol, le due
s ce que je veux vous demander. — Dites donc ce que c’est, lui dit le
Roi
. — Après le souper, reprit-elle, je vous le dirai
irai ; il y a ici trop de témoins. — Soupez donc en repos, lui dit le
Roi
en riant, puisque vous devez avoir l’esprit conte
à M. de Louvois, et qu’outre cela il fallait entretenir la maison du
Roi
, payer l’ordinaire des guerres, les gages et les
Mais les peuples, les bonnes bourses et les autres avaient fourni au
Roi
les moyens de pouvoir entretenir plus de deux cen
té. Cependant la vénération que toute la France en général a pour son
Roi
l’empêcha de se prendre à lui des malheurs que to
ndement, il y eut des gens assez hardis pour mettre sur l’assiette du
Roi
et sous sa serviette le sonnet que voici et qu’il
s Français plaignirent la France et c’est tout. Elle avait demandé un
roi
; j’ai dit ce qui avait été fait pour l’obtenir :
jadis Dieu gouverna lui-même, Lassé de vivre heureux voulut avoir un
roi
. Oui, tu seras content, peuple ingrat et sans foi
n même temps prendre pour dupes les donneurs d’avis, faire le bien du
Roi
et la fortune de ses créatures. 178. Lorsque quel
toujours porté à travailler au soulagement des gens qui servaient le
Roi
, lui accorda avec joie ce qu’il demandait. Comme
s des gens à l’affût pour nuire à leur prochain, cela fut rapporté au
Roi
, et le président eut ordre de se défaire de sa ch
e porter en terre envoyer des gens de guerre, et même de la maison du
Roi
, pour empêcher la canaille de troubler le convoi.
mpassion, et il pria Louis de souffrir qu’il lui remît son emploi. Le
Roi
lui demanda qui il jugeait capable de le remplir,
intègre et généreuse de M. de La Faluère qu’elle vint aux oreilles du
Roi
, qui fit venir le marquis, qui lui en dit toutes
mende honorable, et à être pendu. Il fit cette amende honteuse, et le
Roi
lui fit grâce de la vie. 195. Le marquis recondui
e d’audience était remplie de maîtres des requêtes, de secrétaires du
roi
, et d’une infinité d’autres officiers que tire ap
tôt qu’il le vit et après les premiers compliments, il lui dit que le
roi
serait sans doute étonné de son retour de Rennes,
eulement intègre et sage, mais tout à fait porté pour les intérêts du
Roi
; et acheva sa harangue par le convier d’y retour
que tout cela son peu de probité lorsqu’il s’agissait de l’intérêt du
Roi
et des siens, auxquels il sacrifiait tout sans di
ontestation qui s’était mue entre les fermiers généraux des fermes du
Roi
et les fermiers particuliers de Son A[ltesse] Mon
et dont lui-même avait joui sans contestation. Ainsi, supposé que le
Roi
y eût quelque droit, il était sans doute prescrit
ce terme de jouissance paisible me fait souvenir d’un jugement que le
Roi
fit lui-même, et que je rapporterai après que j’a
é de mettre Monsieur d’Orléans dans la nécessité de plaider contre le
roi
en défendant ses propres droits. 199. Le conseil
der contre le roi en défendant ses propres droits. 199. Le conseil du
Roi
n’avait pas jugé à propos de décider entre les de
ans ne jugea pas à propos d’obliger ce prince d’en parler lui-même au
Roi
, et se fondait sur ce que c’était un préjugé en s
préjugé en sa faveur que ce renvoi, parce que Messieurs du conseil du
Roi
avaient voulu s’épargner l’embarras de juger cont
préjugé. Cela fut fait, mais inutilement. Il y allait de l’intérêt du
Roi
, c’en fut assez pour l’obliger de donner un souff
grand tort ; son conseil jugea pour lors à propos qu’il en parlât au
Roi
. Mais il en eut pour toute réponse : De quoi vous
vie ; voici comment. M[onsieu] r le marquis de Beuvron, lieutenant de
roi
de Normandie, frère de Madame la duchesse d’Arpaj
ler elle en serait quitte pour aller à Versailles donner un placet au
Roi
; qu’il était un prince juste ennemi de l’oppress
onjurait de faire lui-même dresser le placet qu’ils présenteraient au
Roi
; d’intéresser dans leur parti tout ce qu’il avai
] r de La Feuillade, capitaine des gardes, fort bien dans l’esprit du
Roi
, et pour lors de quartier. Il lut le placet et se
e son ami, et allait introduire la mère et le fils dans la chambre du
roi
, lorsqu’il s’aperçut que la mère et le fils étaie
ils, requérir vos guenilles. J’ai mes raisons pour faire connaître au
Roi
l’état où il vous laissait. Revenez ici demain à
s laissait. Revenez ici demain à neuf heures, je vous ferai parler au
Roi
, et je serai votre introducteur. 206. Le lendemai
de retourner à Versailles, ni M. de La Feuillade de les présenter au
Roi
et de lui faire remarquer la magnificence de leur
r la magnificence de leurs habits. — Ils se jetèrent à ses pieds ; le
roi
les fit relever et sortit pour aller à la messe.
t pour aller à la messe. C’était la coutume que le prêtre attendît le
Roi
au pied de l’autel ; pour cette fois-ci, soit qu’
es n’étaient pas seulement allumés, ni les musiciens assemblés, et le
Roi
était seul dans la tribune. M.de La Feuillade, qu
ardent, quand il prenait une affaire à cœur, entra dans la tribune du
Roi
. Puisque, lui dit-il, vous ne faites rien, lisez
nt de vous présenter, ce sera toujours du temps employé pour Dieu. Le
Roi
le fit, et en sortant de la messe il demanda où é
des gardes, reprit M. de La Feuillade. — Faites-les venir, lui dit le
Roi
. Il les alla quérir lui-même, et ils se jetèrent
lla quérir lui-même, et ils se jetèrent une seconde fois aux pieds du
Roi
. Après les avoir fait relever : Ce qui est dans c
en même temps la mère et le fils. — Ce sont vos affaires, leur dit le
Roi
avec une bonté digne du père de son peuple (comme
bre, car tout cela s’était passé dans le salon des peintures. 207. Le
Roi
avait établi l’usage de mettre tous les placets q
uvert. Mais ils n’avaient [sic] pas le pouvoir d’y toucher lorsque le
roi
avait mis quelque chose dessus, comme son écritoi
us, comme son écritoire, une marque de marbre, ou autre chose ; et le
Roi
cette fois-là mit un des ses gants sur ce funeste
giner le sujet, qui ne fut pas longtemps à être développé. A peine le
Roi
fut assis que M. de Brissac fit entrer la mère et
tout d’un coup d’une autre couleur ; mais ce fut bien pis lorsque le
Roi
tira de sa basque ce fatal placet. Lisez cela, Mo
is en l’interrompant, après cela je vous parlerai. Il lut donc, et le
Roi
ayant repris le placet : Ce que ce papier contien
ez. — Oui, Sire, dit M. de Mesmes fort embarrassé. — Quoi ! reprit le
roi
avec colère, et vous osez me l’avouer ! à l’honne
royaume. — Et sur quoi est-elle fondée, cette prescription, reprit le
roi
? — Elle est fondée sur la loi, répondit M[onsieu
it M[onsieu] r de Mesmes. — Eh bien, Mons[ieu] r de Mesmes, reprit le
Roi
avec un air sévère, je suis fort aise que vous sa
nos rôles et dit à la maréchale, les larmes de joie aux yeux, que le
Roi
venait de rendre un jugement plus beau que celui
oit coupé en deux comme l’autre enfant mort. Mais dans le jugement du
Roi
, c’est parler en véritable roi. Monsieur de Briss
enfant mort. Mais dans le jugement du Roi, c’est parler en véritable
roi
. Monsieur de Brissac insistait à faire remarquer
, qui avait été plénipotentiaire à Nimègue, fut obligé de demander au
Roi
pour toute récompense de ses services que le fils
et ce fils s’est depuis montré si honnête homme et si bon juge que le
Roi
l’a nommé premier président du parlement de Paris
, comme j’ai dit, s’était fait de puissants ennemis. On savait que le
Roi
le destinait à remplir la place de M. Pelletier q
le duc de Beauvilliers, qui était du secret, fut chargé de parler au
Roi
seul à seul. En effet il le fit, et Louis fut si
e des finances. Mons[ieur] le duc de Beauvilliers avait représenté au
roi
que tout le royaume murmurait des impôts excessif
ser ; qu’ainsi l’argent des peuples entrerait pur dans les coffres du
Roi
, et que l’économie qu’il y apporterait en empêcha
saire, ramènerait l’abondance dans le cœur du royaume, et mettrait le
Roi
non seulement en état d’acquitter ses dettes, mai
chiens. Celui-ci s’en aperçut et le joignit, et en retournant chez le
Roi
dit à Deschiens ce que je viens de rapporter. Cel
ns attirer tout le monde du logis. M[onsieu] r Choppin, secrétaire du
roi
, qui avait épousé la nièce de Deschiens et qui de
es qu’il aurait pu rendre, non à ses amis, non à ses parents, mais au
Roi
et à la France, qui étaient à la discrétion du pl
’intérêt général. 219. J’ai fait dire à M. de Beauvilliers parlant au
Roi
que Deschiens avait présenté des mémoires au Cons
ieux. Il offrait une compagnie solvable pour caution et présentait au
Roi
douze millions d’augmentation par année pendant n
nt neuf ans du produit actuel des fermes générales sur le pied que le
roi
les avait affermées au dernier bail. Il offrait d
nir des offres si avantageuses, il ne demandait qu’une seule chose au
Roi
, qui était que, comme il serait seul garant de la
ns ; et qu’afin que ces commis fussent dans sa dépendance, il plût au
Roi
de déclarer privés et déchus de sa bonne grâce to
s ; et que c’était par leur suppression qu’en exemptant les fermes du
Roi
de tant d’appointements inutiles, il trouverait e
et des fonds qui auraient dû entrer immédiatement dans les coffres du
Roi
. 220. J’ai vu ce mémoire, où tout était discuté a
re de Justice lui eût fait défense de se mêler jamais des affaires du
Roi
, M. Colbert l’y avait rappelé à cause de son habi
et ayant traité de la vente d’une nouvelle création de secrétaires du
roi
, il en prit une charge ; et voici ce qu’il trouva
e inconnue dont il paya le port à la poste : Nouveaux secrétaires du
Roi
, Vos charges changent la nature, Puisque par une
bien sa place pour le différer plus loin. 230. Tous les vaisseaux du
Roi
étaient à Brest au nombre de quarante-deux de lig
nouvelles. Vers les fêtes de la Toussaint, qui était le temps que le
roi
faisait ordinairement la promotion des officiers,
perte d’un des plus braves et des plus expérimentés officiers que le
Roi
ait jamais eu. C’est de M. Pannetier, qui avait t
Coeuvres venait avec les dix-huit vaisseaux qu’il amenait, l’armée du
Roi
étant pour lors de soixante vaisseaux de ligne, i
trouvai M. de Tourville qui me demanda si je n’étais pas écrivain du
Roi
. Je lui dis que oui. Il me fit entrer dans le cab
pour mot : Ce n’est point à vous, Monsieur, à discuter les ordres du
Roi
. C’est à vous de les exécuter et d’entrer dans la
et d’entrer dans la Manche. Mandez si vous voulez le faire, sinon le
Roi
commettra à votre place quelqu’un plus obéissant
sein il fit valoir la bravoure de M. de Tourville, et fit entendre au
Roi
qu’il en devait faire un maréchal de France, quan
fusée ; et en effet ce combat ne regardait que l’Angleterre, dont le
roi
dit, lorsqu’il sut que nous étions entrés dans la
ons au péril de nos vies servir notre Religion, notre Patrie et notre
Roi
. Ce sont nos devoirs les plus pressants. Êtes-vou
autres avaient chassé non seulement la bonne Religion mais aussi leur
Roi
; que Dieu les livrait entre leurs mains pour ven
e la guerre. Il y a encore quelque chose de plus criant. C’est que le
Roi
, ou plutôt ses chiens de chasse, fermiers, maltôt
eçu, ou dû recevoir la valeur. Sur quoi on disait publiquement que le
Roi
avait cela de commun avec les faux monnayeurs qu’
e contrat, et je veux faire honneur à sa noce. — Voilà, poursuivit le
Roi
, la plus belle broderie que j’ai jamais vue. — Je
cette réponse digne plutôt d’un tigre, s’il pouvait parler, que d’un
roi
chrétien. Eh bien, quand il mourrait quatre ou ci
spèce de démenti à M. le duc d’Orléans, et que, malgré la présence du
Roi
, ce prince, frappé vivement de sa hardiesse, lui
ts cinquante mille livres d’avance qu’ils étaient obligés de faire au
Roi
, il fallait payer la petite oie aux domestiques,
t de vacation et de présence. On laisse à penser de quelle manière le
Roi
était volé par des gens dont plus des trois quart
a eue de produire un extrait baptistaire pour être reçu secrétaire du
roi
, qui est une savonnette à vilain, et parmi lesque
donna dans tout ce qui lui fut représenté, et lui-même représenta au
Roi
que la pauvreté du peuple empêchait en province l
r cette menace, allèrent trouver M. de Pontchartrain, qui en parla au
Roi
et lui dit qu’il était bien dur pour des gens qui
nsieur le premier président. Qu’ils y prennent garde, lui répondit le
Roi
, car ce petit homme-là le ferait comme il le dit.
voulut lui faire entendre que les choses n’étaient pas si outrées. Le
Roi
le crut ou fit semblant de le croire. Mais le min
u’on avait voulu le lui faire entendre, s’avisa d’un expédient que le
Roi
ne prévoyait pas, non plus que ceux qu’il mit en
de cela on les remena à Versailles. Ils furent les premiers à dire au
Roi
leur grand-père qu’ils venaient de se promener, e
s venaient de se promener, et qu’ils s’étaient fort bien divertis. Le
Roi
leur demanda où ils avaient été, et ces jeunes pr
elles, dont il a fait revenir des sommes immenses dans les coffres du
Roi
et les siens, ayant volé également le Roi et ces
mmenses dans les coffres du Roi et les siens, ayant volé également le
Roi
et ces communautés. Comme j’en parlerai encore da
mentionnés au procès, dont il se repent, en demande pardon à Dieu, au
Roi
, à Justice et aux dites communautés… Et seront le
Ce fait sera ledit Jacques le Normant mené et conduit aux galères du
Roi
, pour en icelles être détenu et servir ledit seig
galères du Roi, pour en icelles être détenu et servir ledit seigneur
Roi
comme forçat à perpétuité. Déclare tous et chacun
cuns ses biens situés en pays de confiscation acquis et confisqués au
Roi
, ou à qui il appartiendra, sur iceux et autres no
confiscation préalablement pris cent mille livres d’amende envers le
Roi
par forme de restitution, sur lesquels biens et a
divertir à Marseille et coûter tous les jours une ration de malade au
Roi
. Car ces gros fripons-là sont toujours censés à l
st portée par l’arrêt, qu’il s’accuse, ni soit accusé d’avoir volé le
Roi
. Il ne s’accuse que d’avoir volé les communautés.
e s’accuse que d’avoir volé les communautés. Pourquoi donc adjuger au
Roi
le fruit de son brigandage par forme de restituti
ue, bien loin d’avoir fourni des états vrais, il a vendu l’intérêt du
Roi
au ministre et à ses associés. On dit même qu’il
l ; et que ces billets, dont le Trésor royal payait les créanciers du
Roi
et même les officiers, lui ont passé plus de ving
vient point à une colonie. Il semble qu’ils soient nés marchands. Nos
rois
ont accordés à plusieurs couvents une certaine qu
. Constance, de la prostitution de sa veuve, et du détrônement du feu
roi
notre allié, et de l’usurpation de l’opra Pitrach
la cause de la mort de Baptiste Lulli, surintendant de la musique du
Roi
. On sait que si cet homme n’avait pas été nécessa
de nos jours triomphe dans un temple Où l’on rend à genoux hommage au
Roi
des Cieux ! Cachez-nous pour jamais ce spectacle
ires eurent si bien son approbation qu’il eut la bonté d’en parler au
Roi
qui voulut me voir. Ces mémoires, restés à M. de
ommé M[onsieu] r de Saint-Castain qu’on pouvait à bon droit nommer le
roi
des sauvages, non seulement parce qu’il avait épo
re que les Français portaient partout où leur autorité s’étendait. Le
roi
me parut goûter mes raisons, et M. de Seignelay m
e Chevry, et je partis en 1682 avec Bergier, chef de l’entreprise. Le
Roi
avait donné à la compagnie quarante lieues d’éten
ndre. Bergier fut remercié et La Boulaye, flatté d’une lieutenance de
Roi
dans une province qu’on lui faisait toute belle,
pas plus de quinze jours que j’avais eu l’honneur d’en entretenir le
Roi
et que j’en avais remis les mémoires à M. de Seig
n de ma fortune, et en me donnant une ordonnance de mille écus que le
Roi
avait eu la bonté de m’accorder tant pour la rela
de revenir de France et donnait à tous les diables sa lieutenance de
Roi
avant que d’en avoir pris possession. Nous arrivâ
e chevalier de Grammont lui proposa pour second M. Chamillard, que le
Roi
ne connaissait que de vue, et l’assura que c’étai
au commencement du jeu qu’il ne fit rien qui vaille, et que lui et le
Roi
n’en avaient que deux, et leurs antagonistes en a
avaient que deux, et leurs antagonistes en avaient douze de seize. Le
Roi
lui dit en riant que son jeu ne répondait point à
on jeu. Il se remit donc ou fit semblant de se remettre, et promit au
Roi
que leurs adversaires n’en prendraient qu’autant
petits-maîtres de la cour ne le nommaient que le petit intendant. Le
Roi
le sut et dit qu’il voulait augmenter la bonne op
acquitta en véritablement homme d’honneur, à la satisfaction égale du
Roi
, du Conseil, et des fermiers et sous-fermiers. Hu
s particuliers avait appuyé son approche à la cour et l’amitié que le
Roi
témoignait avoir pour lui, le pria d’avoir soin d
rtrain ne lui avait jamais fait donner d’argent que sur les ordres du
Roi
. Cette contrainte dont il faisait sa cour n’était
nt de l’argent, dont ils tiraient un intérêt immense en le prêtant au
Roi
; et pour l’avoir il fallait presque que le minis
igation de leur accorder des traités si fort à charge au Peuple et au
Roi
que le royaume en est absolument ruiné, et qu’on
-on bien qui nous sommes ? Nous seuls avons fourni les sommes Dont le
Roi
s’est servi pour sauver tout l’Etat ! Si nous n’a
pour lui. Nous tirions de l’Etat toute la quintessence ; Et quand le
Roi
lui-même avait besoin d’argent, Nous en avions de
Sur ces états pis que grimoire On faisait semblant de nous croire. Le
Roi
nous accordait des diminutions, Il est vrai plus
ger toute la France. C’est à force d’argent que la guerre se fait. Le
Roi
voulait paraître en avoir. En effet, Qu’aurait-on
les bien nourrir à leurs dépens, ou leur donner simplement le pain du
Roi
, de l’eau et rien autre chose ; leur donner trent
t entre eux une infinité d’états de répartition à profit pour eux, le
Roi
voulait qu’ils en fissent un à son profit à lui,
sques à son entier paiement en espèces sonnantes sans billets. Que le
Roi
leur donnait quarante-huit heures pour dresser ce
t s’ensuivît en leur présence, tous ses biens acquis et confisqués au
Roi
, ses enfants dépouillés de leurs charges, et lui
e bénirait une exécution si prompte et si sévère. Que les affaires du
Roi
ne manqueraient ni de fermiers ni de traitants, c
de ce qui se passerait en dedans fût inviolablement gardé, et que le
Roi
ne pût être importuné par qui que ce fût de faire
en promptement fait revenir une infinité d’argent dans les coffres du
Roi
. J’y entrevois quelque chose de la conduite que t