/ 7
1 (1721) Mémoires
leur en ont été absolument fermées à moins qu’ils ne changeassent de religion , et qu’ils ne renonçassent au revenu de leur bien
pour leur boucher leur rentrée. Ce n’était pourtant pas le zèle de la religion qui le faisait agir, ni lui ni les autres, ce n’é
fausses, et toute la terre a été étonnée de voir qu’à la honte de la religion , il se soit trouvé parmi des chrétiens des âmes a
e suit pour toute règle que les conseils de misérables sans foi, sans religion et sans probité, dont il empruntait les yeux et l
e sujet de faire connaître que tous ces prélats n’avaient pas plus de religion que lui, et de les tourner tous en ridicules. Il
spectateurs étaient convaincus que si le clergé sacrifiait au Roi la religion , du moins sa marche témoignait-elle un dehors trè
dats bien disciplinés, et pour achever la peinture de son bonheur, la religion y florissait [sic] sans hypocrisie et sans mélang
Angleterre qu’il l’était en France, et pour cela, sous prétexte de la Religion , rendre le roi Jacques aussi absolu que Louis XIV
même des Anglais. Ils aiment leur roi tant qu’il n’attaque point leur religion ni leurs privilèges, et qu’il ne s’écarte pas du
ues serait mort sur le trône si il n’avait pas entrepris de rendre sa religion dominante, et qu’il eût fait pendre le père Prist
que celui de leur destination. 39. Clément V, pape sans pitié ni sans religion , résolut pour subsister avec honneur de s’emparer
son obéissance, Philippe se crut autorisé par l’exemple du chef de la religion de prendre aussi sur ses sujets ce qu’ils ne lui
ans cette réflexion de Louis il y a un très grand fond de piété et de religion . Elle me paraît pleine de probité et vraiment hér
es dans le royaume auxquelles on ne devait jamais toucher qui sont la religion , le commerce et la monnaie. 98. A l’égard de la r
qui sont la religion, le commerce et la monnaie. 98. A l’égard de la religion , comme il voyait de son temps que le conseil de c
euples ont une espèce d’aliénation invincible contre toutes sortes de religion  : on passe leurs oreilles sans toucher leurs cœur
eraient jamais volontairement à l’Angleterre, n’y eût-il que la seule religion différente qui les en aliénât ; que pour fomenter
i les en aliénât ; que pour fomenter cette aliénation et maintenir la religion , le Roi pouvait y envoyer de bons et pieux ecclés
es mémoires exacts et circonstanciés de la situation des lieux, de la religion et mœurs des habitants, de leurs richesses, et de
Frontenac eut beau représenter que ce serait exposer l’honneur de la religion , et que quoique ce ne fût qu’une malhureuse qu’on
à-dessus une réflexion et dire que ces bons pères, en sacrifiant leur religion à leur sûreté, ne se souvenaient pas, ou ne voulu
je t’en prends toi-même à témoin… Tu dis qu’en nous instruisant de ta religion nous en deviendrons meilleurs : et quel est celui
angue, dont j’ai supprimé et omis une bonne partie par un principe de religion ou par oubli, ne plut nullement à M. de La Barre,
aux Anglais. Sur quoi il faut observer que la quantité de gens de la Religion Prétendue Réformée qui sont en France et qui sous
ne passent pour bons catholiques et sont pourtant dans le coeur de la religion où Dieu les a fait naître, en quoi ils ne sont ce
s enfants, leur dit-il, nous allons au péril de nos vies servir notre Religion , notre Patrie et notre Roi. Ce sont nos devoirs l
rder comme des martyrs puisqu’ils allaient combattre pour leur sainte Religion contre des hérétiques tels que les Anglais et les
is et les Hollandais ; que ceux-ci avaient banni de chez eux la bonne Religion , et que les autres avaient chassé non seulement l
nne Religion, et que les autres avaient chassé non seulement la bonne Religion mais aussi leur Roi ; que Dieu les livrait entre
endre était fils d’un apothicaire de Montpellier, n’ayant pas plus de religion qu’un chien ; dont le père et lui ne s’étaient pa
e, mais qui, connaissant son mauvais cœur et son peu de probité et de religion , malgré l’apparence et les airs de dévotion qu’il
uelettes décharnées [sic] telles qu’elles sont aujourd’hui. Le peu de religion qu’il avait lui fit inventer le contrôle des bans
vécu, c’est-à-dire comme un chien, sans foi, sans conscience et sans religion . Il avait été à Versailles, et avait eu une longu
quoique ce soit eux qui, par leur sordide avarice, ont défiguré notre religion  ; mais il n’en faut point du tout souffrir chez s
souffert Messieurs des Missions étrangères, de la ruine entière de la Religion , de la mort de M. Constance, de la prostitution d
ois mauvais prophète ! Le fondement de son établissement doit être la religion catholique, apostolique et romaine ; mais il doit
rrait les incorporer aux colonies, malgré leur éloignement pour notre Religion . J’y faisais remarquer la bonne foi de ces peuple
que quelque antipathie naturelle qui soit entre eux par le sang et la religion , ces Français de l’Acadie n’aiment mieux obéir à
end de l’autel. Nous taxâmes le mariage, Mais sans aucun rapport à la religion , Quoi qu’en dise le monde et le public peu sage :
2 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
mahométans, circoncis, & idolâtres ; ou plutôt qui professent une religion ridicule, à laquelle eux-mêmes n’entendent rien.
ensent, étant poussées par une infinité de bigotes (il n’y a point de religion qui n’ait les siennes) & par les fripons de b
s, lorsqu’il en sera temps. Pour ce qui est des Mores, ils suivent la religion de Mahomet ; &, autant que j’en ai pu savoir,
de choses des Juifs : ils brûlent les morts comme les idolâtres. Leur religion est tellement confuse qu’ils ne peuvent ni la déb
a terre après la destruction de Jérusalem par Tite. Il croit que leur religion a été insensiblement confondue avec la mahométane
naturalibus, excepté quelques bracelets aux bras & aux jambes. La religion de ces esclaves est la même que celle des gentils
mp; que les gentils n’ont pas : ou, plutôt, ces esclaves n’ont aucune religion fixe, & s’accommodent de tout ce qu’ils voien
rche, je n’aurais pas prétendu avoir rien fait qui fût contraire à ma religion  : & j’aurais avec plaisir suivi l’exemple de
avec elle : car, pour moi, je n’y vois goutte, & je l’avoue. Leur religion est pleine de pareilles sottises & ils donnen
olique, & romain, si je n’étais pas connu pour aussi zélé pour ma religion que je le suis par la grâce de Dieu, on pourrait
r à d’autre conséquence que, puisque nous, qui sommes éclairés sur la religion & la divinité plus que peuple du monde, recon
ance par l’exposition d’un Lascaris, qui se fait lui-même un point de religion & de dévotion de s’en laisser dévorer. Il ent
es côtes de rire, d’autant plus qu’il ne passe pas pour avoir plus de religion qu’il y a de moelle dans la jambe d’une pie. C’es
comme hommes, & sur les commandements du Sauveur, & de notre religion  ; il a si bien fait connaître l’abus que nous fai
é du prince y est absolue. C’est un point des plus essentiels de leur religion de ne point s’opposer à son autorité : ils en par
ssez affables, fort intéressés, mais pourtant d’assez bonne foi. Leur religion est généralement parlant idolâtre : c’est la domi
ceux qui, comme moi, ont été en Portugal, savent que ce n’est plus la religion de Jésus-Christ qui y prime ; mais seulement cell
urce de ce qui défigure dans le Portugal & l’Espagne la véritable religion & l’Église de Jésus-Christ. J’ai vu à Lisbonn
olâtre, il s’imagine, aussi bien que quantité d’autres grands, que la religion doit céder à l’intérêt. Que de princes chrétiens,
r la vérité ; ils ne s’étudient point à surprendre la bonne foi ni la religion du public. Je leur rends la justice qui leur est
t-ils l’histoire de cette révolte comme un effet de leur zèle pour la religion , dans le même temps que tous les Européens qui so
nom de Jésus-Christ est en horreur dans le Japon, & que sa sainte religion y est en exécration. On leur passera volontiers q
t ? C’est là-dessus que le nom de Jésus-Christ a été proscrit, que la religion chrétienne a été absolument bannie, & si bien
rt : ceux qui y étaient y ont été suppliciés, non comme chrétiens, la religion n’y entrait en rien, mais seulement uniquement co
hrist, ou de l’avarice & de la cupidité ? Je le répète encore, la religion n’y entrait en rien. Sont-ce des innocents perséc
le. Ils font cette cérémonie ; & lorsqu’on leur demande de quelle religion ils sont, ils répondent qu’ils sont hollandais. J
t quantité, dont ils ne se servent point, à cause de la différence de religion  ; car elles sont infiniment plus belles que les M
ts à terre, les différences des mœurs, des vivres, des climats, de la religion , & surtout l’impatience des Français, trop gr
le banian qui vous a donné à dîner m’a personnellement assuré que la religion était ce dont ils avaient parlé le moins, dans tr
leurs nouveaux convertis, sans en excepter un seul, ont abandonné la religion de Jésus-Christ dès que la persécution a commencé
t temporel pour objet dans son principe, ils en ont fait une cause de religion , qui intéresse tout le monde chrétien. Les missio
en paix. Ils nous représentent comme gens partagés en une infinité de religions , que nous n’entendons pas nous-mêmes, & que n
la terre. Cela aliène encore l’esprit des Indiens en général de notre religion , parce que naturellement l’homme aime à être prêc
. Sur ce fondement, les souverains & les gens élevés regardent la religion comme une mômerie, & s’en rient ; & le pe
d’être chrétien, le reste est au-dessus de moi pour ce qui regarde la religion . Je suis même certain, suivant les livres que j’a
ser à une dispute que la force terminait, & non pas la raison. La religion n’en vaut rien ; mais la manière de la soutenir e
qu’il a mis les peuples en repos du côté de la conscience & de la religion , ce qui est le plus puissant lien de la société c
ière, c’est que les souverains des Indes ne prennent aucune part à la religion chrétienne, & qu’ils la laissent librement fa
que ceux des jésuites. Que, comme les jésuites, ils ne parlent de la religion que par manière de conversation, jusqu’à ce que l
21 cadre rarement au cours du soleil. Mais si, sans avoir égard à la religion , à laquelle les saisons de l’année ne font rien,
e fille ne doit monter : qu’il lui avait inspiré des scrupules sur sa religion  ; & qu’enfin, toujours sous le sceau de la co
la forme qu’il voulait lui faire prendre, il lui avait déclaré que la religion réformée de Calvin était la meilleure ; qu’il éta
rance, se sont retirés parmi eux, où ils ont en même temps renié leur religion , leur roi & leur patrie. Rikwart dit qu’il y
n, pour comble de malheurs, richesses, cause de la persécution que la religion & ses vrais & zélés ministres y ont souff
avait rien du tout de commun avec la sienne que sa naissance & sa religion , supposé qu’elle n’ait point imposé ni à moi ni à
e ; que ses parents & elle avaient toujours fait profession de la religion de Calvin, supprimée l’année précédente (c’était
parce qu’elle avait connu par leurs entretiens qu’il était de la même religion qu’elle, & qu’elle espérait qu’il lui produir
de tout continent ? Tous différents en mœurs & coutumes & en religions , les uns d’une vie policée & d’autres véritab
3 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
pas dire superstitieuse, qui croient qu’on attaque les vérités de la religion lorsqu’on rend aux ministres de l’Évangile la jus
les miracles ne sont pas les preuves les plus fortes de la véritable religion , puisque, pour sauver la simple réputation d’une
er où bon lui semble : cela ne choquerait en rien ni la raison, ni la religion  ; mais de couper le monde en deux, pour en donner
endrait au Fatum des Latins ; mais cela ne convient nullement à notre religion . Si cela était ainsi, il n’y aurait ni saints ni
mer, ou du moins on serait en droit de traiter de chimères toutes les religions  ; particulièrement celles qui, comme la nôtre, on
, de notre éducation, de nos études tant sur les Écritures que sur la religion , et de nous en tenir seulement aux simples connai
e temps de concilier tous ces sentiments ensemble, et même avec notre religion , quoique tout lui paraisse opposé. Cette éternité
corps périssent. Concilions tout, messieurs ; et je crois que, toute religion à part, ce que je vas dire paraîtra sensible, ou
nos préjugés. Je le répète encore : je ne prétends point toucher à la religion  ; je parle simplement en philosophe spéculatif, m
brait hier la commémoration. Au reste, si le respect que j’ai pour ma religion ne m’en avait empêché, je me serais éclaté de rir
vilité mais avec une avidité canine dont nous-mêmes étions confus. La religion de ces peuples est la nôtre, catholique, apostoli
cession d’hier, et à la ville aujourd’hui, je puis conjecturer que la religion de Jésus-Christ est ce qu’ils suivent le moins, e
. Chacun est resté dans son opinion ; et ceci n’étant pas un point de religion , je suis resté dans la mienne, que voici. Qu’on f
vitude que d’accepter les offres qu’il lui faisait pour renoncer à sa religion et se rendre mahométan, et qu’il avait méprisé le
u’il s’était résolu à la mort la plus cruelle plutôt que de renier sa religion  ; que ce saint prêtre avait poussé son zèle jusqu
de l’esprit comme un démon, mais qui ne paraît pas avoir beaucoup de religion . Ils l’ont nommé le ressac du diable, qui est un
relations qui parlent des Indes. Tant de gens de toutes nations et de religions différentes ne se sont pas concertés pour invente
et humanité et qu’elle n’a aucune acception, ni pour nation, ni pour religion , on ne doit pas s’étonner si elle est toujours bi
s quelque sujet qu’il se trouve, indépendamment de la nation et de la religion . (Le gouverneur du Cap est français, parisien, et
que. Toute la côte de Mozambique, celle d’Ajan, ne connaissent aucune religion . L’Abyssinie n’est point mahométane. Seraient-ils
ne connaissent nullement Mahomet, quoiqu’ils professent une espèce de religion qui semble tenir du mahométan ; mais le fondement
e religion qui semble tenir du mahométan ; mais le fondement de cette religion leur est absolument inconnu. D’où viennent donc c
tement en France une infinité de calvinistes qui paraissent suivre la religion dominante, quoique dans le cœur ils en soient trè
r une éducation commune et inculte, aient en même temps sucé les deux religions , et que par la suite des temps ils ne s’en soient
la suite des temps ils ne s’en soient fait qu’une (si je puis nommer religion un amas confus d’erreurs qu’ils n’entendent, ni l
s, et ils ne s’y seraient pas opposés si ç’avait été un point de leur religion . On sait que de tous les peuples du monde, les Ju
méprisaient un vœu indiscret et ne faisaient rien de contraire à leur religion . A l’égard de Jephté, ils ne l’empêchèrent point
ne l’empêchèrent point de sacrifier sa fille ; non par un principe de religion , mais parce qu’ils ne regardaient point dans cett
particulier, qui n’intéressait que lui et sa famille, et nullement la religion et la conscience de la nation. Jephté ne fut pas
un aura voulu continuer son ministère. Gens de telle Église, de telle religion , et de tel culte que ce soit, n’ont jamais su se
et leurs prêtres leur en auront si bien fait un point fondamental de religion qu’insensiblement ils se seront accoutumés, non s
vache, je dirai la raison qui m’en a paru lorsque je parlerai de leur religion . Ce pays a cela de commun avec Madagascar et les
ire ne doit en donner qu’une bonne impression. Reste à parler de leur religion et de leurs mœurs. Celles-ci sont une suite de la
la première : ainsi, l’honneur lui est dû. Voici ce que j’en sais. La religion de ces peuples me paraît, et est en effet, compos
eur conscience, et leur faire connaître peu à peu le ridicule de leur religion , et comme insensiblement leur inspirer la bonne.
isse cela pour dire que ces peuples me paraissent très dociles sur la religion , et qu’outre le bruit qu’on faisait à la porte de
fut capable d’interrompre leurs prières. Voilà ce que je sais de leur religion . Quand une femme est accouchée, elle est quarante
n’entend jamais parler d’adultère. Voilà deux grands points pour une religion aussi chaste que la catholique. Cela indique déjà
accorde un long et heureux règne, on peut probablement espérer que la religion et les Français y auront le même établissement qu
droits, au moins, que l’est le vrai Dieu dans le pays où la véritable religion est établie. Nous avons encore mouillé ce soir pa
4 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
commémoration. Vous saurez de plus que si le respect que j’ai pour ma religion ne m’en avait empêché, je me serais éclaté de rir
vilité, mais avec une avidité féroce dont j’étais confus moi-même. La religion de ces peuples est la nôtre, catholique romaine ;
s de donner au public une relation exacte touchant ce qui concerne la religion dans ce pays-là. » J’ai demeuré fort longtemps à
s les relations qui ont été imprimées, tant sur les terres que sur la religion , mais je ne me souviens point d’en avoir jamais l
ce soir l’extrême-onction qu’il a reçue avec beaucoup de zèle pour la religion catholique apostolique et romaine, qu’il avait em
n sincère, ayant jusques au dernier moment de sa vie persisté dans la religion catholique apostolique et romaine qu’il avait emb
quoiqu’il puisse par une volupté criminelle aller contre celles de la religion et de la loi : et la raison en est que la déprava
mmes mariées du consentement de leurs maris qui s’en font un point de religion . Mais pour revenir à leur origine, ne serait-ce p
mes humaines, et qu’ainsi ils auraient pu apporter dans cette île une religion mixte des cérémonies de l’ancienne loi et de leur
du trou que dans celle de la porte. Voilà tout ce que je sais de leur religion , n’ayant pu en apprendre davantage. Je ne sais ni
eu lui donne un bon et heureux règne on peut justement espérer que la Religion et les Français y auront le même établissement qu
its que ne l’est le vrai Dieu dans les endroits mêmes où la véritable religion est établie. Nous avons mouillé ce soir parce que
vorablement, leurs écoliers et leurs élèves dispersés, enfin toute la religion en pitoyable état et véritablement militante. Mon
Noirs ou esclaves qui sont circoncis aussi et qui suivent pourtant la religion des Gentils qui leur commandent à baguette. Mais
il n’y a que leurs femmes seules qui se font un point d’honneur et de religion d’aller prendre part à leur béatitude, après avoi
[Mores rubrique marginale] Pour ce qui est des Maures, ils suivent la religion de Mahomet et autant que j’en ai pu savoir c’est
la proximité de la Perse. Ils brûlent aussi les corps morts, et leur religion est tellement confuse qu’ils ne peuvent pas la dé
assurément l’épitaphe, et l’épitome. Mais retournons à Pondichéry. La religion des Gentils et des Noirs est la même, excepté la
et je ne croirais point par celte démarche avoir fait aucun tort à ma religion . Quoique je n’y aie point entré, je ne laisserai
ue le galant, car pour moi je vous avoue que je n’y vois goutte. Leur religion est pleine de pareilles sottises, et ils donnent
par la bonté de Dieu, si je n’étais pas connu pour aussi zélé pour ma religion que je le suis, vous pourriez croire que ceci sen
nt pour faire connaître que, puisque nous, qui sommes éclairés sur la religion et la divinité plus que peuple du monde, reconnai
tion de mon corps, que je serai toujours prêt de sacrifier lorsque ma religion , le service de mon Roi et de ma patrie le désirer
fables mais intéressés. Ils sont bien faits et fort industrieux. Leur religion est mahométane et idolâtre. Il y a une église cat
versa. Qu’une nation attachée à la superstition est contraire à toute religion . Leurs signes de croix avec les deux mains jointe
’en ayant rien appris autre chose que la première fois. Mais sur leur religion et leur coutume j’ai appris le comble de l’impure
t retirés parmi eux où ils ont en même temps renié Dieu, la véritable religion et leur patrie. On dit qu’il y en a là plus de tr
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
à Paris incognito pour plusieurs raisons très considérables, dont la religion n’était pas la moindre ; car en ce temps-là j’éta
it, était prête de passer avec moi en Angleterre, et d’y embrasser la religion réformée. Je la piquais de l’honneur de sauver un
la piquais de l’honneur de sauver une âme à Dieu en la retirant de la religion du pape ; en un mot, ma lettre était d’un véritab
moi un bon catholique au lieu d’un zélé huguenot ; mon changement de religion fit diligenter mes affaires. Je revins à Grenoble
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
nt eue pour leurs enfants, qui au grand scandale de la piété et de la religion , ne les regardaient plus, et les méprisaient, apr
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
e prédictions. Je sais que ce n’est que pure vanité, et outre cela ma religion s’y oppose, et je suis d’un sang qui est à couver
/ 7