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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
, son époux vint me trouver, et pour réponse à son compliment, je lui promis d’être chez lui l’après-midi. Je croyais qu’elle
it qu’il avait ma parole pour elle, comme elle l’avait plusieurs fois promis  : je ne me suis engagée qu’en riant, dit-elle, et
sur sa porte, si nous ne pouvions pas nous aller promener. Je le lui promis  ; pour elle, elle alla trouver son père. Le monde
que vous la serez toujours. Je ne vous en parlerai jamais, je vous le promets , mais ne me donnez point lieu d’agir ; car il ne
de me donner son portrait ; après quelques petites façons elle me le promit et me demanda le mien. Je le lui promis, et le lu
ues petites façons elle me le promit et me demanda le mien. Je le lui promis , et le lui donnai le premier comme elle l’avait s
ous laisse à penser quels remerciements je lui fis, et combien je lui promis de constance ; elle m’en promit autant de sa part
iements je lui fis, et combien je lui promis de constance ; elle m’en promit autant de sa part. Je partis, et malgré une assez
’avez dit mille fois que vous m’aimiez, je vous ai cru : vous m’aviez promis d’être de retour dans un mois, je vous ai laissé
ne me souviens pas, et qui enfin le touchèrent si vivement, qu’il me promit de me la donner, si elle se déclarait pour moi, e
me dit-il. Eh bien, Monsieur, lui repartis-je, Monsieur lui-même m’a promis ce matin qu’il laisserait décider Mademoiselle. J
u’elle était ; qu’il ne la violenterait point, puisqu’il le lui avait promis , mais que tout au moins, puisqu’elle le dédisait,
squ’elle le dédisait, il ne consentirait pas à son choix. Vous m’avez promis , lui dis-je, de me la donner si elle y consentait
us avez joué ici un vilain rôle, ne vous y exposez plus, et pour cela promettez à Mademoiselle de ne la venir jamais voir ; et pu
i, lorsque vous avez fait avec elle votre première sottise, vous avez promis de l’épouser, ou si vous avez fait quelque présen
de l’épouser, ou si vous avez fait quelque présent. Je ne lui ai rien promis , lui dis-je, mais je lui ai donné trente louis d’
lui donna point d’argent, de peur qu’il ne voulût le gagner : il lui promit seulement de le payer après la capture. Ce sergen
s à peu de frais. Il est vrai qu’il m’en coûta de l’argent, et que je promis de prendre l’enfant ; mais sa mort qui arriva qui
tard, j’espère aller goûter auprès de vous tous les plaisirs que peut promettre un amour heureux vainqueur de tant de traverses,
e n’écoutai plus que ma fureur, et résolus de prévenir cet homme, qui promettait si bien ma mort avant que de m’avoir vu. Je mis l
ussiez jamais vu, vous qui étiez toujours chez elle ? À quelle fin se promettre à deux en même temps ? Pourquoi vous manquer aprè
prit Des Frans, et dès aujourd’hui vous en saurez des nouvelles. J’ai promis à son cousin d’y aller demain, mais il n’est que
ant sa maîtresse qu’un novice de convent devant son provincial. Il le promit et sortit. Des Ronais l’attendait avec impatience
si vous la refusez, vous pouvez compter que ce sera la dernière. J’ai promis de vous mener au rendez-vous, sinon j’ai promis d
era la dernière. J’ai promis de vous mener au rendez-vous, sinon j’ai promis de rompre avec vous. Je tiendrai ma parole de que
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
la terre avec moins de bruit, je le priai de me dire ce qu’il m’avait promis . Je n’en pus pas encore tirer deux paroles de sui
a priai de s’en retourner, et de ne point sortir de chez elle. Je lui promis de m’en informer moi-même, et que je la ferais av
assez sotte pour le croire, et se rendre à ses protestations, je vous promets moi que ce sera tant pis pour elle ; qu’elle sera
on blâme. Ce sont donc des soupçons en l’air, répondit-elle : je vous promets pourtant de les faire cesser, et que dès aujourd’
riez agi que par dépit ; une manière douce est plus honnête. Elle lui promit de la suivre ; ensuite elle lui parla de son maud
it de la suivre ; ensuite elle lui parla de son maudit procès. Il lui promit toute assistance, et lui tint parole le jour même
moi lorsque je pourrai vous rendre service ; mais je veux que vous me promettiez de ne me point haïr. Je ne crois pas vous en avoi
e l’ombrage que mon père prend mal à propos. Je veux même que vous me promettiez de vous assurer quelquefois de mon zèle. Je viend
étonnât pas de me voir si longtemps sans songer à ce que je lui avais promis . Elle m’écrivit la visite toute extraordinaire de
i. Je savais bien qu’il ne pouvait pas avoir fait ce qu’il ne m’avait promis que pour deux jours après ; ce n’était pas aussi
aurons fait ensemble ; donnez-vous la peine de passer ici. Je le lui promis , et voilà, ajoutai-je, en lui mettant dix louis d
mettant dix louis dans la main, le paiement du secret que vous m’avez promis  ; cela ne fera pas de tort au reste, pour le serv
e femme me dit qu’elle avait parlé à ce prêtre, comme elle me l’avait promis . Qu’il n’avait voulu s’engager à rien qu’il ne m’
voir mauvais gré de toutes ces précautions, je l’en remerciai. Je lui promis de faire tout ce qu’il voudrait que je fisse, et
en paierais bien le port ; et qu’avec cela, elle lui en avait encore promis autant pour le lendemain, si elle n’y avait pas m
étant bon, il sera inutile de le lui cacher. Mais ne m’avez-vous pas promis , lui dis-je, de vous donner à moi, pourvu que vot
s donner à moi, pourvu que votre conscience fût en repos ? Je vous le promets encore, dit-elle : mais s’il n’y a que moi que ce
mais s’il n’y a que moi que ce mariage puisse satisfaire, je ne vous promets pas une grande ponctualité : et au contraire si m
et au contraire si ma mère en peut être satisfaite aussi, je vous la promets toute entière. Le mariage sera bon à mon égard, a
n connaisseuse. Nous y fîmes collation, après quoi elle sortit, ayant promis de se retrouver à neuf heures le lendemain au mêm
te, et au lundi suivant six heures du matin pour être mariés. Il nous promit de nous attendre dans sa chapelle, et s’en alla.
d’un bout à l’autre ; elle en fut satisfaite. Je lui dis que j’avais promis cinquante louis d’or à cette femme ; et en même t
es que voilà, je vous remercie de vos soins. Monsieur Des Prez vous a promis cinquante louis d’or, ce sont vingt-cinq pour cha
e sont mes noces ; il faut que je m’y divertisse : cette femme le lui promit et sortit. Etant seul encore avec elle, je fis in
que notre hôte était revenu, je restai avec lui quelque temps. Je lui promis de le servir, soit par moi, soit par mes amis, po
, tu verras un homme qui te fera pendre. Souviens-toi de ce que je te promets . Je suis de parole, et je saurai si tu m’obéiras.
rions de nos affaires. J’achevai de satisfaire notre hôtesse, elle me promit d’avoir soin de notre ménage. Je lui donnai une a
ne femme qui pourrait nous trahir. Ayant tout résolu je sortis, ayant promis d’y venir dîner le lendemain avec sa mère. Elles
e de Contamine, qui voulut régaler toute la société ; et où Des Frans promit de mener Monsieur et Madame de Jussy. Monsieur et
; et l’on m’a assuré que vous ne me cacheriez pas ce qui en est. J’ai promis en effet de vous le dire, reprit Des Frans ; mais
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
our elle ; je lui montrai mon désespoir de la voir renfermée ; et lui promis que pourvu qu’elle voulût y consentir, je trouver
la Supérieure ce qu’elle avait entendu. Qu’elle le lui avait pourtant promis , mais à condition qu’elle ne souffrirait plus mes
de cette fille. Elle le priait de l’aller voir, comme il le lui avait promis . Ce fut là ce qui nous fit connaître que cette le
était en effet la vérité. Je le priai de n’en rien déclarer, il me le promit , et de me rendre tous les services qui dépendraie
ort peu de peine à les faire soutenir par des effets, ce qu’elles ont promis par écrit. Je fus convaincu de cette vérité par l
ais-je devenir ? Ne vous ai-je vu que pour vous perdre ? Vous m’aviez promis de me tirer d’ici, vous partez et vous m’y laisse
érité ? Je ne vous ressemble pas, je tiendrai mieux ce que je vous ai promis . Je ne vous oublierai jamais ; et dans toutes les
énageais auprès d’elle, et je comptais sur son appui. Elle me l’avait promis , lorsque je lui avais mandé plus d’un an auparava
e la dernière conséquence d’aller recueillir cette succession. Je lui promis d’être bientôt de retour avec tout l’argent compt
se que vous avez vue qui vous a tant chagriné. LETTRE. Je vous avais promis de souffrir jusqu’à votre retour tous les mauvais
re du temps, ou la mort de Bernay, ou la majorité de Clémence. Je lui promis une fidélité éternelle. Je ne songeais plus du to
vait fait mille amitiés. La pauvre fille le croyait sincère. Il avait promis à la communauté de la faire bienfaitrice, si on p
fut à cette fille qu’elle se découvrit. Elle se jeta à ses pieds, lui promit de lui donner dans le monde autant qu’il lui faud
ille que la seule nécessité retient dans un couvent, se rendit et lui promit toute sorte d’assistance. Elle avait un frère art
nce. Elle avait un frère artisan à Paris, elle alla le quérir, et lui promit monts et merveilles s’il voulait aller en Anglete
nt plus soutenue de vous, contre tant de tentations éternelles ? J’ai promis de signer cette requête, à condition de me donner
iai de me donner asile. Il me l’accorda, et fit même plus ; car il me promit d’aller dans ce couvent avec des gens capables de
logis, m’a dit qu’il était encore venu vous chercher. Vous nous avez promis , poursuivit-il, de nous conter son histoire à Mon
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
de se trouver seule dans son cabinet, où je me rendrais ; elle me le promit , avec une petite rougeur qui acheva de me charmer
J’allai le lendemain chez Silvie pour prendre la lettre qu’elle avait promis de m’écrire ; sa mère ni elle n’étaient point au
é son amie. Elle ne put, ou plutôt elle ne voulut me rien dire, et me promit seulement de s’en expliquer avec elle. J’y retour
voulu s’expliquer sur ce qui me regardait, et qu’elle lui avait fait promettre de ne lui jamais parler de moi. J’appris de tous
, qui ne peuvent, ou je serais trompée, regarder que vous, et je vous promets de vous redire tout ce qu’elle m’aura dit. Jusqu’
r la convaincre qu’il ne lui avait rien dit que de vrai, il lui avait promis de lui apporter la lettre que je devais lui écrir
out à fait dissipé par ses débauches et par son jeu. Nous nous étions promis de nous épouser ; mais comme il ne me cache rien
le tromper. Je redoublai son chagrin en la lui faisant voir, et il me promit dix mille écus si je pouvais venir à bout de romp
isagea là-dedans que la charité de secourir une dame innocente, et me promit d’aller la voir pour savoir d’elle-même ce qu’il
, à qui elle écrivit dans le moment, elles se séparèrent après s’être promis une correspondance secrète, et s’être fait l’une
qui lui rendrait une lettre de sa part, que l’asile qu’elle lui avait promis auprès d’elle, n’était pas sûr par les raisons qu
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
’importe, il faut que je fasse semblant de le croire, puisque vous me promettez que nous ne serons plus obligées de faire tant de
er votre reconnaissance ? Tout, dit-elle. On appelle cela, reprit-il, promettre tout pour ne rien tenir ; mais ne me promettez pa
pelle cela, reprit-il, promettre tout pour ne rien tenir ; mais ne me promettez pas tant, et me tenez ce que vous me promettez. E
ien tenir ; mais ne me promettez pas tant, et me tenez ce que vous me promettez . Eh ! que me demanderez-vous, dit-elle en riant ?
gne de vous, et je crois que ma mère y voudra bien consentir. Vous me promettez donc d’être mon épouse, lui dit-il en l’embrassan
veux vous dire, et que vous voulez savoir. Mademoiselle Dupuis le lui promit . Elles changèrent de propos devant nous, et étant
cher de vous, lui dit Angélique. Vous me reconnaissez, et vous m’avez promis le secret, et sur cette assurance, je vais vous d
êtes avantageusement mariée, sans que personne en sache rien. Je vous promets le secret si vous me jugez digne de votre confide
crut pas d’abord qu’elle fût aussi sage qu’elle se disait ; elle lui promit pourtant le secret, et s’informa exactement de sa
rieur en était criminel ; elle me pria de garder le secret, je le lui promis et lui ai tenu parole. Je me trompais cependant ;
pouvez compter sur la mienne. Je vais parler à la princesse, et je me promets de la mettre de votre côté ; ayez l’esprit en rep
i avoir fait de la peine ; et par une bonté toute extraordinaire, lui promit de s’employer pour lui rendre service. Elle la fi
tel ; le carrosse fut renvoyé à Contamine, parce que la princesse lui promit de la remener chez elle. Elles eurent encore aprè
de là, ce qu’elle fit deux jours après, elle obligea Angélique de lui promettre qu’elle mènerait le lendemain Contamine la voir.
e n’est pas tout, lui dit Angélique, elle veut vous voir, et m’a fait promettre de vous mener demain après-midi à l’hôtel : voyez
lui ai juré de ne me point engager au sacrement à son insu ; elle m’a promis de son côté de ne me point violenter, elle me tie
dant qu’il avait été en présence de sa maîtresse l’amour ne lui avait promis que des idées flatteuses. La possession de cette
que cette princesse lui ferait un compliment si peu recevable. Il lui promit de n’y plus songer, ou du moins de ne lui en parl
ans en riant ? La réponse est honnête ! Mais sachez que si vous ne me promettez pas d’y venir, et si vous ne venez pas en effet,
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
bien que je lui dis qu’elle ne savait pas à quoi elle s’engageait de promettre à déjeuner à un écolier, qui était toujours levé
enez à telle heure qu’il vous plaira, je vous tiendrai parole. Je lui promis d’y venir, et n’y manquai pas. Il est à propos de
ame, répondis-je, qui viens chercher les petits pâtés que vous m’avez promis . Ah, ah, reprit-elle ; venez, venez, mon bel enfa
rire à son tour à gorge déployée. Je le regardai d’un œil qui ne lui promettait rien de bon, et je tournais la tête de mon cheval
ue je vis venir ma bonne maman avec un visage rouge comme feu, qui me promettait quelque tape. Elle était à pied, suivie de son co
l fut ensuite le premier à rire de la peur qu’il avait eue. Nous nous promîmes bien Gallouin et moi de n’avoir plus de part à au
onde, mais qui étaient innocentes entre elle et lui, et acheva par me promettre de me tenir compte du secret. Je lui répondis qu’
Il réitéra ses prières et n’avança rien, je le quittai sans lui rien promettre  ; s’il avait osé, il m’aurait battu, mais il crai
ment des conditions fort malhonnêtes pour m’obliger au secret. Je lui promis de me taire, pourvu qu’elle m’en accordât autant.
ble de la rendre heureuse ; je la poussai à se faire démarier, et lui promis de l’épouser sitôt qu’elle serait dégagée d’avec
entendre, rompit mes mesures. Elle se souvint de ce que je lui avais promis  ; elle était de chair et d’os et sujette à de cer
si à cœur les railleries innocentes qu’il avait voulu me faire, il me promettait non seulement de ne m’en jamais parler, mais même
e le faire servir de prétexte pour se dédire de tout ce qu’elle avait promis de faire pour moi. Toutes ces raisons, quoique fa
esse qui auraient trompé la fille du monde la plus incrédule. Elle me promit donc de cacher avec soin l’état où elle était. El
ntir que j’allasse passer à la campagne jusqu’au carnaval, que je lui promis d’être à Paris pour nous voir pour toujours. Just
mien, je vous prie de ne plus vous obstiner auprès d’elle. Je le lui promis avec plaisir, et lui ai tenu parole. Je tâchai mê
se heure à attendre un monsieur qui n’est point venu comme il m’avait promis . Elle ne se donne pas à tout amant, comme je vous
me ? Assurément j’en suis sûre, répondit-elle ; elle me l’a trop bien promis pour y manquer, et m’a même donné un écu pour ten
t que j’allais l’attendre chez moi où je le priais de venir. Il me le promit et n’y manqua pas. Qu’y a-t-il pour votre service
us ne paraîtrez que lorsque vous ne douterez plus de la vérité. Il me promit tout ce que je voulus. Je le fis coucher et soupe
t qu’elle fut extrêmement surprise de me voir. Je la rassurai, et lui promis le secret que je lui ai gardé, parce qu’elle s’en
ut que de le désarmer. Je fis même plus, puisque je l’obligeai de lui promettre le secret. Et il n’y a pas manqué, d’autant plus
as manqué, d’autant plus que son honneur y était intéressé. Je lui en promis autant, à condition qu’elle abandonnerait une vie
ait été quérir, comme il n’y avait que moi qui la connaissais, je lui promis le secret, qu’elle a acheté et que je lui garde e
s pas comment il s’y était pris, pour amener les choses jusque-là. Je promis à cet homme ce qu’il me demandait, et lui demanda
chacun en dit ce qu’il en pensait. On disait que son amant lui avait promis de l’épouser ; et que bien loin d’en vouloir rien
celui dont vous parlez, de ne vouloir pas m’épouser, après me l’avoir promis , qui est le dernier comble de la perfidie : mais
le temps à personne de m’interrompre, on sait que cet homme lui avait promis de l’épouser ; on sait qu’il lui avait promis le
que cet homme lui avait promis de l’épouser ; on sait qu’il lui avait promis le secret ; et aujourd’hui c’est, dit-il, une veu
ndre, on me seconda ; et tous ensemble lui fîmes tant de honte, qu’il promit de se raccommoder de bonne foi avec sa maîtresse.
moi. J’en sortis sans autre condition que celle du secret, que je lui promis , que je lui ai gardé, et que je lui garderai tout
passer la nuit avec elle. Elle me donna la clef de son jardin, et me promit de faire coucher ses domestiques de si bonne heur
e personne. Elle ne se défiait uniquement que de Madame Morin. Je lui promis d’y mettre ordre, et je ne pus me retirer de ses
avec la sienne, pour vous remettre bien ensemble. Dans cette vue, il promit et signa tout ce que Madame Des Frans voulut. Mai
mpis-je ; je vous tromperais, et je me tromperais moi-même si je vous promettais de vous obéir. Non, poursuivis-je, en lui embrass
je vis sa veuve, je ne la pressai pas sur ce qu’elle avait semblé me promettre . Je laissai couler en liberté ses premières larme
m’avez dit avoir toujours eu pour moi. Elle m’embrassa encore, et me promit de se donner à moi sitôt que la bienséance le lui
t de différer notre mariage jusqu’à son retour, et nous le lui avions promis avec d’autant plus de facilité, que le temps des
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
resse de sa part, et une si grande confusion de la mienne, que je lui promis de faire tout ce qu’elle voudrait. Sa santé se ré
u’au lieu de lui faire par son testament autant de bien qu’elle avait promis de lui en faire, elle ne lui avait laissé que peu
indiqué l’endroit où était cet argent : que ce jeune homme lui avait promis de l’épouser : que c’était le même avec qui on pr
nsentement à elle, et de celui de mes autres parents, elles s’étaient promis de me faire passer par-dessus, quand j’aurais pri
e ce gentilhomme. On lui disait encore que peut-être Silvie lui avait promis quelque autre chose qu’on pourrait savoir de lui,
r ses pas. Je ne demandais qu’à rester seul avec mon homme ; ainsi je promis à Querville que nous l’attendrions. Etant tous de
t je vous ai parlé, veut que j’aide à tromper ce pauvre diable, et me promet pour cela monts et merveilles. Elle m’a même offe
que qui était dans la maison de Cranves de père en fils, et qu’il lui promit de mieux vivre. J’intercédai pour lui, et sans me
deux, elle mérite que vous la considériez, et je vous la recommande. Promettez -moi tous deux d’en avoir soin, et de faire pour e
ne vous dis point ce qui m’oblige à vous faire cette prière. Ils lui promirent tout ce qu’elle voulut, et ont tenu parole à sa m
ses meubles, ou sa vaisselle, il chargea Valeran d’en avoir soin, et promit de le garder à son service comme il était chez Ma
ps, ses impertinences et ses brutalités l’en ont fait sortir : il lui promit outre cela une récompense. Il me pria d’y avoir l
écis qu’il avait donnés en partant. Il désapprouva tout par écrit, et promit que sitôt qu’il serait à Paris, il ferait lui-mêm
par mille difficultés que je croyais qu’elle m’allait faire ; elle me promit d’oublier tout : mais poursuivit-elle, ne croyez
Cependant si vous voulez avoir quelque complaisance pour moi, je vous promets de l’obliger dès aujourd’hui à vous détromper lui
amais osé vous venger qu’en lâche. Mais non, n’appréhendez rien, j’ai promis de tout oublier, et même de vous rendre service.
s attireront du malheur tôt ou tard, je vous pardonne puisque je l’ai promis  ; mais souvenez-vous que je ne connais que vous d
ue celui que j’avais, me pria de le garder pour l’amour d’elle, et me promit d’avoir toujours au doigt celui que je lui rendai
nt destinés à goûter tranquillement les plaisirs que sa possession me promettait . Que je ne paraîtrais point que je n’eusse eu nou
u bon père carme de Grenoble, qui exécuta fidèlement ce qu’il m’avait promis , et pour reconnaissance je lui envoyai quelques l
accommodée bien plus promptement que je ne l’avais espéré. Je m’étais promis de retourner à Paris. Je n’en eus aucune envie. J
ce qu’elle voudrait d’argent d’un nouveau fermier que j’avais, et qui promit par écrit, de lui donner jusqu’à la valeur du rev
’être ici ? Je m’y soumets pour le reste de mes jours. Vous me l’avez promis , punissez-moi, et ne vous éloignez pas ; j’adorer
de quelque chose, et pour l’y engager par son propre intérêt, je lui promis par écrit de lui tenir compte au double de ce qu’
condamnant les femmes. Enfin il me tourna de tant de côtés que je lui promis tout ce qu’il voulut me faire promettre, et je lu
urna de tant de côtés que je lui promis tout ce qu’il voulut me faire promettre , et je lui promis sincèrement. Je le priai d’écri
que je lui promis tout ce qu’il voulut me faire promettre, et je lui promis sincèrement. Je le priai d’écrire à Silvie que j’
ion qui eût rapport à son frère. La compagnie se sépara fort tard, et promit de se trouver le lendemain chez Des Ronais qui le
a belle Dupuis, qui savait bien que Des Ronais lui rapporterait tout, promit de sortir avec elle, sitôt que Dupuis serait prêt
ui s’aperçut de sa pensée, et qui ne trouva pas cette raison valable, promit de l’amener, après quoi chacun prit le chemin de
e Dupuis prirent congé de la compagnie sous prétexte d’une visite, et promirent de revenir pour le souper. Après leur départ on s
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
oulait suivre le spectre, mais il en fut empêché par Eugénie, qui lui promit de savoir de Parafaragaramus où il pourrait trouv
ous vous exposassiez avec des armes inégales contre un démon. Eugénie promit encore de lui en donner des nouvelles le lendemai
rafaragaramus lui en aurait ouvert les chemins, comme il le lui avait promis . Il s’arma de pied en cap, bien résolu de ne mett
ver s’il avait été en état de défense ; que Parafaragaramus lui avait promis de le combattre lui-même en sa présence, et se fa
is de rage si un autre que moi le renvoyait en enfer. La comtesse lui promit d’en parler à Parafaragaramus, et de faire ses ef
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
rvir sa messe qu’il allait dire à un château qu’il lui montra, et lui promit qu’au retour il lui donnerait à déjeuner, et quel
lui. Il donna libéralement l’aumône à cette fausse Italienne, lui en promit encore davantage à l’issue de la messe, et lui fi
nne, lui en promit encore davantage à l’issue de la messe, et lui fit promettre de l’attendre. Tout ce beau dialogue si peu respe
ensa au-delà de ce qu’elle en avait attendu, et de ce qu’il lui avait promis  ; et celle-ci faisant semblant de se laisser tout
portuna, et quoique Sotain fût enfin revenu chez lui, Julia qui avait promis à Célénie de changer de conduite, n’en devint pas
qu’il sait faire naître lorsqu’on les espère le moins. —  Je ne vous promets rien, Madame, répliqua-t-il, l’état où je suis es
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
enir plus de commerce avec Verville, et de cesser de le voir. Elle le promit , et n’en fit rien. Justin en fit ses plaintes à C
tait intéressé ; mais que ce soit à lui que je doive le mien, je vous promets de n’être point ingrat de votre discrétion. Je vo
mme une autre femme, puisqu’en effet vous la retrouverez toute autre. Promettez -moi cela, Monsieur, et nous irons la requérir ens
la, Monsieur, et nous irons la requérir ensemble. Justin le lui ayant promis , ils montèrent tous deux en carrosse pour aller a
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
r, mais que peu après il avait changé de sentiment, et lui avait fait promettre , que sitôt qu’il serait guéri des blessures qu’il
iller toutes les richesses qui étaient chez eux. Qu’il lui avait tout promis pour éviter la mort présente ; mais que quatre jo
tuer des gens qui ne peuvent vous faire aucun mal. Don Quichotte lui promit de lui répondre là-dessus une autre fois, ce que
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
en de lui rendre son bon sens, et son mari lui-même s’en mêlant, elle promit de faire ce qu’on voudrait, pourvu qu’elle le pût
e pût, et que ce fût selon les règles de la bienséance ; ce qu’on lui promit , et ce qu’elle fit aussi, comme on le verra par l
’avait point voulu se satisfaire de l’argent d’autrui, et qu’il avait promis de la rendre lorsque cette princesse serait désen
ns sont enchantés. Sancho tout remis et tout réjoui du gain qu’on lui promettait , ne se le fit pas répéter, et reprit son équipage
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
la personne de notre héros qu’un grand fond de tristesse, dont on se promit de le retirer avec le temps. Il les caressa néanm
ais retenez-lui sur ses gages la valeur de ma fraise. La duchesse lui promit , et chacun s’en alla en éclatant de rire. Le curé
me paiera ma fraise, ou bien nous serons deux. — Madame la duchesse a promis de vous la faire payer, lui dit le curé, vous pou
il remettrait tout l’argent entre les mains du curé, comme il l’avait promis , et qu’au lieu de six coups de bâton à sa maurica
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
alier des Lions, qui s’était vaincu lui-même. Après quoi Dulcinée lui promit d’aller le remercier sur terre partout où il sera
aller le remercier sur terre partout où il serait, et notre héros lui promit de la conduire dans tel endroit qu’elle voudrait
j’aie jamais vue. Elle n’a point voulu dire qui elle est, mais elle a promis qu’on le saurait en votre présence, et elle vous
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
qui avait indiqué les retraites des autres, comme le duc le lui avait promis . Le lieutenant revint trois jours après, et fit v
border les grands chemins, excepté celui à qui le duc de Médoc avait promis la vie, et à qui non seulement il donna la libert
16 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
re qui m’ôte toute crainte de retour, j’en serai informée, et je vous promets de vous en tenir compte. Allez joindre les gens q
elle-même n’avait travaillé à ma justification, comme elle me l’avait promis . Les promesses et les menaces de ses parents ne p
se sont passées, je ne voulais pas vous commettre, outre que j’avais promis le secret. Je me fis porter dans cette maison, où
e. Jamais homme ne fut plus surpris d’une pareille réponse. Elle leur promit de leur envoyer un laquais pour les conduire chez
avait fait. Ce garçon qui est de bon sens, tomba d’accord de tout, et promit de faire son possible pour une réconciliation sin
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
u’il ne lui serait pas indifférent pourvu qu’il persévérât. Il le lui promit  ; et afin qu’elle n’eût plus aucun soupçon sur Si
formité d’aventures les ayant rendus fort bons amis, qu’ils s’étaient promis amitié et secours partout où ils se trouveraient,
18 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
ira de m’entendre. Je n’ai plus d’intérêt à rien cacher, et j’ai même promis à Monsieur Des Ronais de l’instruire de tout ; ai
enser de me rendre aujourd’hui près d’elle, dit Dupuis ; mais je vous promets de me rendre auprès de vous demain matin, et de n
19 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
es, je la commence dès aujourd’hui que nous partons de Groye, et vous promets que, si Dieu me conserve et me continue la santé,
r vous le mettre entre les mains. Du mardi 11e. [avril] Je vous promis avant-hier la description d’un marsouin : je vais
y a point d’apparence qu’il en revienne, les chaleurs et sa fièvre ne promettent rien que de funeste. On lui a donné ce soir l’ext
la réparera, a-t-il poursuivi en présentant Monsieur de Porrières. Ne promettez -vous pas à Monsieur, a-t-il ajouté, la même obéis
rains sont plus gros que les deux poings. Celui qui écrivait ce qu’on promettait avait une toile noire cirée qu’il avait accommodé
lait s’embarquer. Il tomba dans mon sens quand je lui eus parlé et me promit d’en parler à Monsieur de Porrières. Enfin je pri
gagnerait le bois, qu’ils me priaient de n’y point aller et qu’ils me promettaient de m’amener tout ce que je voudrais. Ainsi je tro
j’emmènerais malgré eux ce qu’ils me refuseraient de bon gré. Ils me promirent tout ce que je voulus, et me tinrent parole, car
commissaire pendant que les autres faisaient leurs mains. Il m’avait promis un présent ; il ne l’a pas fait, bien au contrair
ion et les Français y auront le même établissement qui leur avait été promis . Si tous les usurpateurs étaient aussi promptemen
aire mourir, nous lui promettions de l’en mettre à couvert ; nous lui promîmes d’avoir soin d’elle, et de la mettre dans un état
tentatif ; il s’en fallait tirer à quelque prix que ce fût. L’Anglais promit mille écus, le Hollandais deux mille, et ils se p
ipages pendant ce temps-là, lesquels vivres Messieurs de Balassor ont promis de fournir. Ils sont à présent sous les voiles po
re] Toujours vent contraire et il pleut de temps en temps. Je vous promis hier de vous dire ce que c’est que la justice des
la conférence a été que notre maître-charpentier qui était présent a promis d’accommoder notre gouvernail assez bien pour pou
l’espérance de venir retrouver leurs anciens maîtres comme on le leur promet . Des barques de marchands qui y ont été en ont ti
aussi bonne santé que je suis. Voilà, Monsieur, ce que je vous avais promis . D’autres peuvent être plus élégants et mieux dic
20 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
dulgence jusque sur les veuves des bramènes, qui le plus souvent sont promises dès l’âge de deux ou trois ans, & dont le mar
longue suite de rois, tant l’Antiquité est partout respectée. On m’a promis de me faire, au retour de notre hiverne-ment, une
 : surtout après avoir vu devant soi ce qu’on va lire, & que j’ai promis de rappeler. Nous avions entre nos matelots un no
ssaires à toute l’escadre pendant ce temps-là ; & le sieur Pelé a promis de les fournir. Soit dit par parenthèse, ce M. Pe
vais parlé. Comme c’était la vérité, j’ai juré sans difficulté : il a promis de s’acquitter après la messe ; &, ne pouvant
de rengainer son compliment & son étui, en lui disant que j’avais promis à ma famille, à mes amis & à moi-même de reto
eval, & Malroi me conduisit avec deux gardes, comme il me l’avait promis . Il faut savoir que cela se passa à la fin de nov
e s’en soit aperçu ici, j’ai porté au commissaire ce que je lui avais promis hier au soir, & que je n’ai pas cru devoir lu
cheva, en le suppliant de présenter Rupli au roi. M.de Lédiguières le promit , & encore plus, puisqu’il promit de faire en
upli au roi. M.de Lédiguières le promit, & encore plus, puisqu’il promit de faire en sorte que M. de La Feuillade se joign
e dirai rien ici sur la guerre de ce prince contre Remraja, on m’en a promis la relation ; étant sûr d’en savoir là plus que j
ur faire de nouveaux amants, les siens étant ou usés ou rebutés, elle promit de signer, & en effet signa tout ce qu’il vou
’avez vu rire au commencement de votre discours, & que je vous ai promis de vous rendre secret pour secret, c’est que j’ai
ls l’ont si tôt oublié qu’ils se demandaient en dînant ce qu’on avait promis . Qu’on ajoute à cela la dévotion bretonne & o
saint religieux avait débauché une fille nommée Marie Coignet qui lui promettait de le suivre partout. Cette lettre était à l’adre
sera temps. Tous ces officiers ajoutèrent foi à mon rapport & me promirent de me prêter un habit de ma taille. Cauvreville e
qu’il s’y était trouvé en habit de cavalier ; & qu’enfin, s’étant promis de s’épouser, ils y étaient devenus mari et femme
uvrir sans risque. Il ne manqua pas d’approuver mon dessein, & me promit de me seconder de tout son possible. Je les fis p
voudrais, a toujours cru que j’en avais aidé un malade. L’aumônier me promit de les employer au gingembre ; mais je crois qu’i
llez brouiller, lui a dit Landais, avec notre aumônier, à qui j’avais promis le secret ; & cela sera cause que je ne dirai
leurs ennemis ; & quatorze canots, chacun de douze guerriers, se promettaient bien de nous suivre, & de mettre tout à feu &
avaient du pain bénit, il ne faudrait qu’un fort petit chanteau. J’ai promis de rapporter quelques histoires de celles que Fan
on Poitevin. Bernard lui donna de l’argent pour sa dépense, & lui promit qu’outre que son temps courrait comme présent, on
i, il l’envoya joindre Vallière pour le mener chez un traiteur, où il promit d’aller les trouver pour souper tous trois ensemb
assez d’indifférence. Vallière donna dedans : il prit ce paquet &  promit de le rendre ; & le charpentier qui, se douta
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
it une aventure qui lui était réservée, et qu’en peu de temps il leur promettait de leur faire savoir de ses nouvelles ; après cel
us qu’une lumière sombre, mais assez claire pour se conduire. Je t’ai promis , dit Parafaragaramus à Don Quichotte, de t’ouvrir
22 (1721) Mémoires
onsieur Le Camus lui ordonna de garder le secret de l’aventure. Il le promit , mais moi qui ne m’y suis point soumis, je le déc
nts. 75. La Reine qui aurait donné son sang pour avoir un enfant, lui promit de faire tout ce qu’il voudrait qu’elle fît, et d
fit ou plutôt lui voulut faire, il lui ferma la bouche par un Je l’ai promis , et je le veux. M.Colbert fit donc le traité, mai
ment politique de M. de Pomponne dont j’ai ci-devant parlé. 127. J’ai promis quelques fragments de la harangue que l’Iroquois
ou manquer au respect qui vous est dû ? Nommez-le-moi, et je vous en promets la vengeance, ou ma mort. — Non, Hubert, lui dit
re obligé de s’humilier encore devant M. Colbert, dont Monseigneur se promettait la perte. Il le pria de reposer avec tranquillité
manquerait pas. 167. Hubert le père ouvrit les moyens de la scène, et promit à Monseigneur de les lui dire sitôt que son maria
r rapporté le jugement que Louis rendit dans ce temps-là, et que j’ai promis . 200. M[onsieu] r de Mesmes, père du premier prés
er celle[s] d’autrui. M.de Beuvron la rassura le mieux qu’il put, lui promit de faire agir des gens qui auraient pour le moins
donné à Bourvalais un avis de nouvelle maltôte ; Bourvalais lui avait promis dix mille écus de gratification si l’affaire étai
a chez Bourvalais lui demander le droit d’avis que celui-ci lui avait promis . Bourvalais ne voulut pas s’en souvenir, et, en b
nt jusques à son retour, et lui emprunta trois sols. La fruitière lui promit de garder sa fille et lui prêta ces trois sols. C
peur que son cul ne pourrisse, S’il arrive qu’il en guérisse. Il lui promet un cul d’argent. 288. Tout le monde sait qu’à Sa
faite de son jeu. Il se remit donc ou fit semblant de se remettre, et promit au Roi que leurs adversaires n’en prendraient qu’
Pour être toujours craint de ses fiers ennemis. Dont la haine s’était promis De ravager toute la France. C’est à force d’argen
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
ée, j’ai fait en sorte de l’avoir de ses mains, et comme je le lui ai promis , je l’ai traduite.
24 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
à-dire, rancune tenant, comme à celle d’un maraud et d’un faquin. Ils promirent le secret sur le pain, et promirent de soutenir l
e d’un maraud et d’un faquin. Ils promirent le secret sur le pain, et promirent de soutenir la gageure. Il faut savoir que M. de
ir que votre écrivain est honnête homme, et Albus un faquin, à qui je promets d’écrire toute cette histoire-ci à M. de Seignela
cependant bien résolu de n’en rien souffrir du tout : pour moi, je me promets bien de l’humilier à la première occasion ; et je
re demain la même chose ; et, pour consoler les affamés, M. Charmot a promis , au nom de M. Hurtain, que le jour de Pâques, et
à dîner lundi à bord, avec M. d’Auberville, son lieutenant. Ils m’ont promis d’y venir ; j’ai fait l’honneur à M. Hurtain de d
rtir les autres chirurgiens pour les consulter sur la maladie. Il l’a promis et a demandé avec un air de général pourquoi cela
ieur Mercier, qui était venu avec le commissaire, comme il me l’avait promis hier, n’eût tenu la plume pour lui. Tout a été fa
rnée. Il me paraît qu’il est très content de ce qu’il a vu. Je lui ai promis à demain de quoi se bien nourrir, puisqu’il a de
l ne vous charge point non plus, et gardez-le comme nous. Il nous l’a promis  : et tant pis pour lui comme pour nous s’il y man
le voir couper : cela est essentiel à la cérémonie. J’y ai été, et ai promis pour le vaisseau qu’il resterait entre les tropiq
ment suivi, et lui a expressément défendu les voies de fait, et lui a promis justice. M.de La Chassée, obligé de calmer en enr
monsieur C..., acquitter ma parole, a repris le commandeur : j’en ai promis un à M. du Quesne ; et je vous prie de le lui don
fait la Maligne et le Coche. C’est ici le lieu d’en parler comme j’ai promis ci-dessus. Le Coche était commandé par un très br
du courant étant hors de danger, il a été remis en liberté, et a bien promis de mieux vivre. Il a soupé ce soir avec nous, et
e Montespan. Vous savez cette réponse également fine et maligne. J’ai promis de dire la raison pour laquelle ils ne vendent po
mbarquer, et tomba dans mon sens quand il eut vu le personnage, et me promit d’en parler au commandeur. Autre bêtise de ma par
ion et les Français y auront le même établissement qui leur avait été promis . Si les révolutions se succédaient et se terminai
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
ajouta Eugénie en riant et en s’adressant à notre héros, vous m’avez promis de ne nous point abandonner que je ne vous donnas
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
re service aux gens de qualité, fit non seulement ce que le duc avait promis qu’il ferait en écrivant à son beau-frère, mais i
27 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
t le duc, après l’avoir assuré qu’on ne ferait rien sans lui, lui fit promettre qu’il ne sortirait point du château ; ce qu’il ju
28 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
chevalier de réserver leur conversation jusqu’après le souper, où il promit de lui dire bien des choses en présence de Durand
29 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
enterait sa maladie par le chagrin qu’il en aurait ; Don Quichotte le promit , et l’heure de souper étant venue, Eugénie fit me
30 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
out ce qu’il y a dans l’Andalousie et dans les Alpuchares. Vous aviez promis tout cela, Seigneur chevalier, vous en convenez v
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