avarice ? 7. Mais revenons aux religionnaires. Les flatteurs dont ce
prince
était obsédé lui ont toujours fait croire que c’é
n indigne société, et la Maintenon, ministre publique des voluptés du
prince
, et la plus hypocrite créature qui fut jamais, et
. Mais il fallait bien que le confesseur et les autres leurrassent le
prince
d’une apparence de distinction, lui qui ne voyait
flèche du ciel, qui ne l’épargna pas. enviée. Je le répète encore. Ce
prince
était né honnête homme ; mais il a été absolument
t souffert sous son règne tout ce qu’on peut souffrir sous celui d’un
prince
ignorant, qui ne suit pour toute règle que les co
de nos jours, ou de ceux de nos pères, doivent faire craindre à tout
prince
souverain le ressentiment de cette compagnie, qui
en dirai les causes et vous prouverai par Calcondille lui-même qu’un
prince
qui peut tout ne doit pas vouloir tout ce qu’il p
Ce ne sont pas les seuls Jésuites qui ont abusé de la confiance de ce
prince
. Le haut clergé a porté ses adulations et sa bass
e. La paix de Nimègue l’avait rendu le plus grand et le plus glorieux
prince
qui eût jamais régné ; le royaume riche et abonda
Jacques aussi absolu que Louis XIV ; et que c’est lui qui a poussé ce
prince
à faire ce qu’il a fait. Mais ni l’un ni l’autre
nt, par les mauvais conseils du confesseur, il avait été cause que ce
prince
avait été dépouillé. Mais qu’y a-t-il gagné ? Apr
is l’honneur du royaume, dont l’équité était si bien reconnue que les
princes
étrangers le prenaient pour juge et pour arbitre
Anne d’Autriche, mère de Louis XIV, et Mazarin faisaient croire à ce
prince
que c’était lui et son autorité que le Parlement
iance qu’en Louvois, et qu’il les eût mis aux mains ensemble. Mais ce
prince
était trop gonflé de sa propre grandeur pour en c
ère en état de gouverner la conscience d’autrui, et surtout celle des
princes
, et que cette société ne se corrigera jamais de s
un des pavillons. Le cardinal son oncle et elle avaient espéré que ce
prince
jeune, vif et ardent à l’aspect d’une si belle Di
ire épouser malgré lui, si on l’avait surpris seul avec elle. Mais ce
prince
, qui reconnut tout d’un coup l’embûche, ne fit pa
a nièce du cardinal convenait à son valet de chambre, et non pas à un
prince
comme lui. Le cardinal, outré de ce mépris qu’il
a bataille de Sedan. Que cela soit vrai ou faux, et que la mort de ce
prince
fût un coup de bonne guerre, ou un coup prémédité
Soissons si l’un des deux avait voulu épouser sa nièce. Mais ces deux
princes
ayant refusé une pareille alliance, il ne songea
continuels et conformes à son âge, mais sans une éducation digne d’un
prince
qui doit régner un jour par lui-même : point d’ét
lât de rien ; étant très certain que si Louis XIV a été un très grand
prince
comme on ne peut point en douter, il s’est fait l
si ce Prince n’avait pas été gâté par des flatteurs, il aurait été un
prince
parfait et un véritable héros. 88. Après la mort
que leur train et leur[s] tables était plus magnifiques que ceux des
princes
, à peu près comme nous les avons vus les vingt de
quent leurs richesses, qu’à leur industrie, fomentée et animée par un
prince
qui entendait si bien ses propres intérêts en fac
mais avec tant de répétitions, de désordre et si peu de suite que ce
prince
, qui était extrêmement sobre sur le vin, le congé
s. Il aimait Monseigneur, et voulut rester dans sa chambre quoique le
prince
eût donné un ordre général à tout le monde d’en s
er seul. Je ne suis point en état de parler à personne, lui répéta ce
prince
, et vous me ferez plaisir de sortir. — Je vous en
a chambre, ce que Monseigneur eut encore la complaisance de faire. Ce
prince
était la bonté même, et il crut qu’il y avait que
que Monseigneur lui fît dire qu’il ne pouvait pas lui parler, mais le
prince
en jugea autrement et le fit entrer. Il voulut pa
ieux sa vengeance, aima mieux aller lui-même à Versailles, et voir le
prince
incognito. Il fut présenté par son fils, et après
a son secret à son fils qui devait être du voyage et y accompagner le
prince
. Dès le lendemain de la consommation de ce mariag
nces. Il fallait un Premier Président du parlement de Bretagne, et ce
prince
crut ne devoir remplir ce poste que par un aussi
s présidents n’étaient positivement que les esclaves de la volonté du
prince
, ce qui ne convenait point à un homme qui ne voul
llement le persécuteur, lui avaient [sic] attiré la haine du dauphin,
prince
bon et charitable et qui participait aux malheurs
Son A[ltesse] Monsieur d’Orléans au sujet de quelques droits dont ce
prince
jouissait sur la rivière de Loire comme comte de
e conseil de M[onsieu] r d’Orléans ne jugea pas à propos d’obliger ce
prince
d’en parler lui-même au Roi, et se fondait sur ce
lait seulement se contenter d’envoyer un gentilhomme de la chambre du
prince
à M. de Pontchartrain pour lui recommander son bo
obliger de donner un soufflet à la justice. En effet, les fermiers du
prince
furent condamnés, obligés de déguerpir, et par co
u prince furent condamnés, obligés de déguerpir, et par conséquent le
prince
obligé de donner à ses fermiers une indemnité qui
fermiers une indemnité qui les dédommageât de leur non-jouissance. Ce
prince
était si peu riche pour un prince comme lui, que
ommageât de leur non-jouissance. Ce prince était si peu riche pour un
prince
comme lui, que celui qui avait fait le catalogue
rendait le chef de tous les tribunaux du royaume. Mais apparemment le
prince
ne le croit pas digne de sa colère ; il se conten
itte pour aller à Versailles donner un placet au Roi ; qu’il était un
prince
juste ennemi de l’oppression, et qu’il se faisait
vés et déchus de sa bonne grâce tous les gens de qualité, et même les
princes
de son sang, qui demanderaient des emplois pour l
démenti à M. le duc d’Orléans, et que, malgré la présence du Roi, ce
prince
, frappé vivement de sa hardiesse, lui fit présent
e qu’un jour de dimanche qu’il faisait beau, on mena ces trois jeunes
princes
promener à toutes les guinguettes qui sont autour
in tout ce qu’il a pu gagner pendant la semaine. On promena ces trois
princes
au Roule, aux Porcherons, à la Courtille et aux a
bien divertis. Le Roi leur demanda où ils avaient été, et ces jeunes
princes
qui n’y entendaient aucune finesse le lui dirent,
lion de présent pour le premier enfant qui en proviendra. Il se croit
prince
, et je n’entreprendrai point de décider s’il l’es
le de leur compagnie, leur forment [sic] partout des scélérats que le
prince
ou le public s’immole. Les gens qui ont été dans
i bien dans l’esprit de Louis, qui ne voyait que par ses yeux, que ce
prince
fut tout à fait disposé à faire pour M. Chamillar
mes les provinces. Nous nous fîmes des trains plus beaux que ceux des
princes
; Belles maisons aux champs, en ville des palais