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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
de la mort touchante de Deshayes. Le lendemain matin Eugénie envoya prier le duc et la duchesse d’Albuquerque et Don Quicho
au duc de Médoc qui était son parent, l’état de toutes choses, et le prier de venir lui-même sur les lieux mettre ordre à to
taient dans le château. A peine y furent-ils retournés qu’on vint les prier de monter promptement dans la chambre d’un des Fr
dispenser d’y aller ; et afin que ce qu’il allait dire fût public, il pria qu’on fît entrer dans sa chambre tous ceux qui po
i parlait bon français, s’il écrivait, et ayant appris que oui, il le pria d’écrire ce qu’il allait lui dicter. La maîtresse
et leur en demanda pardon, aussi bien qu’à la tante de Silvie, qu’il pria d’obtenir son pardon de ses deux autres soeurs, q
ins, et l’avoir mis entre les mains de Silvie, qui fondait en larmes, pria tout le monde de sortir, et de le laisser seul av
a marquise. Il dit au duc de Médoc ce qu’elle lui avait confié, et le pria de lui rendre service. Dorothée, Valerio et Eugén
’épouser, et du don de son bien qu’il leur réitéra ; après quoi ayant prié sa femme qu’elle l’embrassât pour la dernière foi
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
il avait un ami qui chantait autant bien qu’homme du monde. Elle [le] pria de m’amener chez elle. Il m’en parla, et comme na
ls dans la gorge. Je chantai ensuite, elle me parut satisfaite, et me pria de lier avec elle un commerce pour nous donner l’
ir, mais je n’étais point en état de la venger que par ma douleur. Je priai qu’on me fît tout ce qu’on voudrait, et qu’on ne
s mort. Je leur fis mettre dans la lettre, que ce garçon les en avait priés avant que de mourir ; ce qui était vrai. Je les p
on les en avait priés avant que de mourir ; ce qui était vrai. Je les priai même d’envoyer un certificat de mort, et un extra
frère ; il alla retrouver ce marchand qui le lui avait apporté, et le pria de le donner à son adresse, parce que, dit-il, c’
un nommé Monsieur de Jussy, parisien. Mon frère prit le deuil, et fit prier Dieu pour mon âme. Mademoiselle Fenouil me mande
à ma maîtresse tout ce que j’ai fait ; elle a tout approuvé. Je l’ai priée il y a dix-sept mois de ne me plus envoyer d’arge
; achevez l’histoire de Monsieur de Jussy, toute la compagnie vous en prie . Lui voyant, poursuivit Des Frans, des sentiments
ête à Monsieur l’archevêque de Paris, où tout cela sera énoncé, et le prier , pour éviter de nouveaux embarras et les caquets,
qui furent fort bien traités, et encore mieux récompensés ; on [les] pria de ne rien dire devant les domestiques qu’on ne v
n choix, elle s’était retirée à son particulier, et qu’elle venait le prier , lui, sa femme, et ses enfants, d’honorer son mén
à l’autre ; ils y répondirent avec toute l’honnêteté possible. On le pria de tâcher de faire entendre raison à son père pou
est à présent que plus à estimer, quoiqu’on ne doive pas l’imiter. Je prie Madame de Mongey de leur pardonner le peu de cons
Monsieur et Madame de Jussy pour l’amour de Madame de Mongey, je vous prie de les amener pour Madame de Contamine et pour mo
ompagnie le veut bien, chacun en va être instruit. Tout le monde l’en pria , et il allait commencer lorsque Madame de Londé p
Dupuis qui ne peut se lever, m’envoie vous dire à tous, qu’elle vous prie de monter dans sa chambre pour souper auprès de s
avoir envie d’en être tout à fait informée. Son amant ne s’en fit pas prier davantage, et chacun s’étant apprêté pour lui don
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
de revenir à deux heures. Il tomba de son haut à ce compliment, et me pria très instamment d’achever, je n’en fis rien. J’ai
e fit enrager, mais bien plus, lorsque j’envoyai devant lui mon valet prier à dîner avec moi deux hommes que je savais être s
Une sœur grise, de celles qui ont soin des enfants trouvés, vint m’y prier d’en tenir un dans le moment qu’on allait baptise
ns un petit réfectoire, où je menai ma commère qui ne se fit pas fort prier . On nous donna un morceau de bœuf sortant du pot
e qu’on croyait sa tante, et qui en effet ne lui était rien : elle me pria d’entrer ; je ne me fis pas presser. Sa maison av
ouvris ; je lui dis que je l’aimais plus qu’on n’a jamais aimé, et la priai de me dire à qui il fallait que je m’adressasse p
’avais pour elle et de l’honneur que je voulais lui faire. Qu’elle me priait pour mon intérêt propre de ne me point abandonner
ce qu’il contenait en propres termes : BILLET. Vous vous faites bien prier , Monsieur, vous êtes cause que le temps se perd.
uette, était divertissante. Adieu mes beaux enfants, leur dis-je ; je prie Dieu qu’il vous convertisse, crainte que Belzébut
elle faiblesse ! j’essuyai les pleurs que je faisais répandre ; je la priai d’en arrêter le cours ; de donner les duretés que
puni par le regret que j’en avais, et l’état où il m’avait mis. Je la priai de ne point redoubler, en me faisant voir toute l
roit, et toutes les marques qui pouvaient me faire reconnaître. Il la priait de retirer cet enfant, et lui marquait le déplais
t s’en excusait sur la honte de l’y avoir laissée si longtemps. Il la priait comme son unique héritière et sa sœur, d’en avoir
le coquin n’a pas eu soin de cacher, et qu’il s’est contenté de vous prier de ne me pas faire voir. Voilà ce qu’il s’attira
ains de Garreau la lettre dont je vous ai parlé, qu’elle certifia, et pria Monsieur de Villeblain de certifier aussi. Garrea
t elle était douairière et usufruitière, vinrent la voir. Elle envoya prier Monsieur de Villeblain de venir chez elle. Sitôt
l’en ont fait sortir : il lui promit outre cela une récompense. Il me pria d’y avoir l’œil aussi ; mais je ne fus pas en éta
re à moi-même, que vous ne m’avez quittée que parce que je vous en ai prié , et non pas que vous m’avez sacrifiée. Je ne reti
c’était, poursuivit-elle, un honnête homme et bien instruit, je vous prierais de le voir, peut-être se rendrait-il. Cependant s
Il n’importe, dit-elle, il est à propos que je lui parle, et je vous prie d’entendre ce qu’il me répondra tout à l’heure mê
Querville qui m’avait vendu ses chevaux, entra dans ma chambre, et me pria de lui donner un moment de particulier. Je fis so
nserverait éternellement. Je tranchai court sur son compliment, et la priai d’aller nous faire apporter à dîner, et cependant
endre un diamant incomparablement plus beau que celui que j’avais, me pria de le garder pour l’amour d’elle, et me promit d’
du contrat, je reçus une lettre de Monsieur le comte de Lancy, qui me priait instamment de me rendre auprès de lui le plus tôt
ment de la sincérité de mes paroles. Je lui donnai mon diamant, et le priai de le mettre en gage, et de me faire trouver de l
is et qui m’était absolument nécessaire, je l’écrivis à Silvie, et la priai de m’en envoyer, et je fis bien. Je ne sais pourq
je remerciai le père carme que je menai avec moi à la poste, et je le priai de me renvoyer à l’adresse de Silvie que je lui d
vous voulez me donner un moment d’audience. Ma mère la première l’en pria . Il nous expliqua la naissance de Silvie, son exp
ou faire des menteries que j’ai cru devoir prévenir, en vous faisant prier par ma femme de venir ici ; ce que j’ai fait d’au
té, que de lui laisser des soupçons qui lui faisaient de la peine. Je priai Monsieur de Villeblain de la voir, et de lui dire
peine de venir chez Silvie où je l’attendais. Il était inutile de le prier de ne nous rien déguiser. Il nous rapporta mot po
e m’en tiens aux conditions que Madame Des Frans nous offre, et je te prie de t’y tenir aussi. Une réponse si désintéressée
ier elle plaisantait avec moi des services qu’on lui offrait. Elle me pria de souffrir qu’elle vécût à sa manière, comme ell
drais pour le faire casser, et me délivrer de liens si infâmes. Je la priai de donner elle-même à Silvie une lettre que j’ava
elle, que nous trouverions de tout à meilleur prix en province. Je la priais de m’avertir de la voiture qu’elle prendrait, et
je lui marquai, qui n’était qu’à une petite lieue de chez moi. Je la priai encore de ne point parler de moi, ni de dire qu’e
u-devant d’elle, et qu’outre cela je craignais qu’on la suivît. Je la priais de laisser pour cette nuit son laquais et sa fill
t point de pardon, elle confessait qu’elle en était indigne ; elle me priait seulement d’abréger par une prompte mort des malh
vre pour aller dans ce couvent, où je devais la conduire. Elle me fit prier d’aller souper avec elle ; je me craignis moi-mêm
n seul mot ; mais d’un pas chancelant et toute en pleurs. Elle me fit prier de lui accorder un moment d’entretien avant que j
sieur, ne songez plus du tout à moi, vous en vivrez plus content : je prie Dieu qu’il vous comble de ses grâces, et me prenn
ent exposé. Je l’écrivis à ma mère, qui approuva ma résolution. Je la priai d’avoir soin de mes affaires. Je donnai ordre à m
le plus agréable. Je lui épargnai la peine de me résoudre, mais je le priai de m’y disposer en bon chrétien, et de ne me plus
qu’il voulut me faire promettre, et je lui promis sincèrement. Je le priai d’écrire à Silvie que j’oubliais tout, il le fit,
rivée à Grenoble, et près de quatre après la retraite de ma femme. Je priai le père carme de m’accompagner, il y consentit et
sa sortie de Paris ; voulez-vous que je la lise ? Tout le monde l’en pria , elle était en ces termes : Lettre de Silvie dan
rt tard, et promit de se trouver le lendemain chez Des Ronais qui les pria tous à dîner. Madame de Londé qui savait que Dupu
ie qui survint le retira de ses rêveries, et comme Des Ronais l’avait prié de faire les honneurs de chez lui en son absence,
n raillant aussi ; mais il fut tellement poussé par cette dame, qu’il pria Contamine et Madame de Mongey de prendre son part
de tenir sa parole : et comme il s’y était préparé, il ne se fit pas prier deux fois. Il se fit apporter une bouteille de vi
pas attendre qu’il eût soif pour boire. Il fit sortir les laquais, et pria qu’on le fît taire quand on serait las de l’enten
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
e Contamine. Et comme il ne voulait pas plaider contre elle, il avait prié sa cousine de faire en sorte que cette dame lui r
nir, je vous jure que je n’y viendrai plus, et que dès aujourd’hui je prierai Mademoiselle de Vougy de me dispenser de l’accomp
op de cœur et de vertu, pour être jamais votre maîtresse. Vous m’avez priée de vous répondre sérieusement ; voilà, je crois,
t à ce compliment avec toute l’honnêteté possible, et le finit par la prier de souffrir qu’il lui rendît quelques visites ; e
t d’heure après il en envoya la clef avec un billet, par lequel il la priait de l’ouvrir, sans que sa garde vît ce qui était d
ndu à votre civilité, je n’aurais point soupé avec vous. Je m’en suis prié moi-même, et je crois avoir bien fait. On ne pou
faveur contraire à votre vertu, et au respect que j’ai pour vous, je prie devant vous votre mère de ne vous point quitter d
pas que ce soit cela qui nous attache l’un à l’autre, et que je vous prie que ce soit le cœur. Il les pria ensuite d’achete
tache l’un à l’autre, et que je vous prie que ce soit le cœur. Il les pria ensuite d’acheter de beaux meubles et de se mettr
aison, dont il avait réservé le premier appartement pour elle, et les pria en sortant de quitter le plus tôt qu’elles pourra
e, prit toutes les manières d’une fille de qualité bien élevée. Il la pria d’achever d’apprendre à chanter, à danser, à joue
ours étranger, pour mettre sa sagesse en sûreté. Dans ce dessein elle pria son amant de trouver bon qu’elle se mît dans un c
r l’obliger de consentir à un autre, elle n’insista pas dessus, et le pria de vouloir bien lui donner la permission de ne pl
’était un beau dehors, et que l’intérieur en était criminel ; elle me pria de garder le secret, je le lui promis et lui ai t
et air, parce que lui-même le voulait, et qu’il l’en avait mille fois priée  ; car si elle avait suivi sa volonté, elle l’aura
tait bien aise de la faire voir comme par rencontre, et qu’il l’avait priée d’y venir sous les armes. Son laquais la suivait,
e moment, elle se ressouvint de Mademoiselle Dupuis, et résolut de la prier de lui rendre service. Elle voulait aller chez el
daient pas de nous. À un signe que Contamine fit à Angélique, elle la pria d’accepter un diamant qu’elle lui présenta ; et i
qu’elle ne put s’en dispenser. Angélique revenue de son chagrin, les pria de déjeuner chez elle. Mademoiselle Dupuis accept
èrent ensemble : Contamine et les deux sœurs restèrent. Angélique les pria de passer dans l’autre chambre ; et comme le chag
, nous irons ensemble. Écrivez un billet à Mademoiselle Dupuis, je la prierai d’être des nôtres : mais, belle Angélique, poursu
ce qu’il en pourrait arriver. Contamine vint à l’heure marquée, je le priai de me conduire dans la rue Dauphine, j’avais inte
pour une affaire qu’elle ne pouvait communiquer qu’à elle-même. Elle pria ce gentilhomme d’entrer un moment. Elle se fit pr
e de Contamine avec qui elle était, me l’a enlevée. Elle m’a pourtant prié d’être demain à dîner au logis, elles m’ont assur
e, mais en consentant d’oublier tout ce que vous m’avez fait, je vous prie pour l’avenir de ne plus vous abandonner aux appa
récit. Je ne l’en dispense pas moi, reprit la belle Dupuis, et je le prie de le faire. Il le fit donc en ces termes.
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
sorte que sa mère consentît à me rendre heureux ; et pour cela je la priai de me permettre de venir chez elle avant l’heure
ssein, fit insensiblement tomber la conversation sur Sainville, et la pria de se souvenir de la parole qu’elle lui avait don
de paraître si tôt devant lui, après lui en avoir tant écrit. Elle me pria d’abord de faire sortir ma femme de chambre, parc
e ma confiance et de mon amour. Elle vit que ce mot m’alarmait, et me pria d’écouter jusqu’au bout. Vous êtes jeune, Mademoi
rapportant ma lettre, et en me désabusant, et je fus la première à la prier de se trouver le lendemain matin dans ma chambre
s d’inquiétude et de chagrin. Je reçus un billet de la baronne qui me priait d’aller la voir seule, et qu’elle avait de grands
ns à désespérer de le trouver lorsque l’occasion me l’offrit. Il vous pria un soir en me quittant de lui accorder un rendez-
avait évités, parce que c’était encore pour faire la débauche. Il la pria de souffrir qu’il se jetât une heure ou deux sur
était séparée de votre cabinet que par une cloison fort mince ; il la pria de fermer la fenêtre et sa porte, mais en emporta
tînmes une espèce de conseil, où je les tournai si bien, qu’elles me prièrent les premières de proposer Deshayes. Vous savez su
le moment, encore plus accablée de chagrin que de fatigue. J’envoyai prier ma mère de venir chez moi, où étant arrivée, elle
pagnie qu’une fille pour la servir, et Madame sa tante, que sa mère a prié de l’accompagner, qui en partant de Paris ne sava
agne avec les recommandations qu’on lui offrait. Elle s’y résolut, et pria Sainville de ne la point abandonner, et lui qui n
aire ; mais sitôt qu’elle fut à Paris, elle écrivit à sa sœur", et la pria d’avertir une dame qui lui rendrait une lettre de
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
guer. Sitôt que nous roulâmes sur la terre avec moins de bruit, je le priai de me dire ce qu’il m’avait promis. Je n’en pus p
s, il fit arrêter et descendit sans me rien dire. Je le suivis. Il me pria d’ordonner à nos gens de nous attendre, et nous é
t, pour ne me pas satisfaire dans le moment. Je quittai le jeu que je priai sa mère de tenir pour moi. J’allai le lire dans u
croyais mes pressentiments, je vous ôterais toute espérance ; je vous prierais même de ne plus venir au logis ; et enfin je ne v
ommerce avec vous, puisque je n’en ai eu aucun ; mais je voulais vous prier de ne point songer à en lier, et vous dire que vo
ger à songer à moi, du moins lorsqu’elle voudrait voir l’heure. Je la priais de m’avertir de celle du berger. Je lui demandais
ais garde de le lui découvrir. Dès le lendemain au matin elle vint me prier de lui faire avoir audience. Elle ignorait ce qu’
était enfermé pour une affaire qui devait l’occuper longtemps. Je la priai de s’en retourner, et de ne point sortir de chez
vous promets pourtant de les faire cesser, et que dès aujourd’hui je prierai Monsieur votre fils de ne nous plus honorer de se
ans mon esprit ! Pourquoi ne vous parlai-je pas hier ? Je vous aurais priée de cacher vos sentiments, je les connais, ne les
comme ordinairement les femmes ne s’expliquent pas fort bien, je vous prie de m’en informer vous-même. Je crus que la meille
ue j’avais fait, je lui dis que j’avais donné parole pour elle. Je la priai de me dire si j’avais passé ses ordres, et si ell
n effet tout était bien choisi. Après que nous eûmes examiné tout, je priai notre hôtesse d’aller quérir cet ecclésiastique q
une dame qui est de mes bonnes amies, et de celles de ma mère. Je la prierai de m’envoyer quérir le jour même au soir pour que
ai avec cet ecclésiastique que je récompensai fort honnêtement. Je le priai de venir manger un morceau avec nous, il y vint,
de la journée, ou du moins sitôt et qu’elle s’était endormie. Je vous prie , ajouta cette femme, de la laisser reposer, elle
elle, m’offrirent un nouveau plaisir à la caresser sur l’herbe. Je la priai d’entrer dans ces seigles, elle en fit mille diff
c’était mon dessein, je ne les désabusai pas, je me contentai de les prier de ne point parler de l’aventure, et je les payai
y fut trompée, et se plaignit que je la négligeais tout à fait. Elle pria un de ces messieurs, qui fréquentaient toujours c
Il m’avait dit qu’au contraire il en aurait de la joie, et qu’il m’en priait lui-même, ne s’étant opposé à mes assiduités, qu’
le fît seulement semblant de la mener dans un couvent, où sa fille la prierait publiquement de la mettre ; et qu’elle viendrait
cre, je lui proposai de voir le prêtre qui nous avait mariés. Elle me pria de l’envoyer quérir. Il ne s’y attendait pas, et
tout qu’elle ne fût accouchée ; et que dès le jour même au soir, elle prierait sa mère devant la compagnie, de lui permettre d’a
is qui m’en fit plus comprendre que tout ce qu’elle aurait dit. Je la priai d’acheter le jour même tout ce qui pouvait lui êt
u’elle n’était pas bien soignée dans la maison où elle était. Elle me pria de lui permettre d’accepter les offres que sa mèr
t-Lazare donner ordre à ma réception. L’exempt avec qui je restai, me pria de changer d’habit, et m’en présenta un autre des
volontairement, on me ferait déshabiller malgré moi. Je ne me fis pas prier davantage. Je défis cet habit, et j’ai su depuis,
ervices dont elle avait besoin dans l’état où elle était, et qu’il la priait même d’avoir soin d’elle, et de l’enfant dont ell
mon dessein était de vous en parler ; et elle ne les a pas assurément priées de le faire. Je sais combien son secret lui a coû
ait si surprenant. On fit desservir ; on congédia les laquais ; et on pria Des Frans de commencer. Il dit, en tournant la tê
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
urer qu’ils étaient absolument les maîtres chez lui, et en même temps pria la comtesse d’aller donner ses ordres pour que ri
lui fit confidence de tout ce qui regardait Don Pedre et elle, et le pria de n’en pas plus parler à son époux qu’il avait p
belles Françaises ses hôtesses ; mais Silvie qui fondait en larmes la pria de l’excuser, lui disant que ses malheurs ne lui
ses malheurs ne lui laissaient que la mort à souhaiter ; la marquise pria Eugénie de souffrir qu’elle tînt compagnie à Sain
ttaient pas que les esprits fussent portés à la joie, on ne fit point prier Sancho de venir souper, et il resta avec l’offici
plut à tout le monde ; on parla des gens avec qui elle était ; on la pria de dire par quelle aventure tant de Français se t
se trouvaient en Espagne en même temps. Elle s’en fit d’autant moins prier , qu’elle vit bien que c’était une nécessité d’ins
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
. Elle lui envoya dire qu’elle prenait part à sa santé, et qu’elle le priait de faire ses efforts pour la rétablir. Il fut pon
lui demandait ; et sans prévoir quelle en serait la réussite, elle le pria elle-même que ce fût dans un endroit qui ne lui f
il n’en fit pas plus mauvais visage à sa femme, et se contenta de la prier de n’entretenir plus de commerce avec Verville, e
ôt feignit de se rendre à ses raisons ; il eut même la prudence de le prier de ne point parler à Silvie de ce qu’il lui avait
dit que la seconde était à louer, le marché en fut bientôt fait ; il pria cette femme de lui dire quels étaient les autres
re de lui faire voir les choses à lui-même de ses propres yeux, et le pria que cela fût ; faute de quoi il lui protesta de l
-huit mois à demander pardon au ciel des désordres de sa vie, et à le prier de fléchir l’esprit de son mari, à qui elle écriv
t enfin exaucées. Justin peu de temps après alla trouver Cléon, et le pria de lui rendre Silvie. Le pauvre vieillard ne put
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
a elle alla à lui, et lui, en gambadant et sautant vint à elle, et la pria tout haut de la part du sage enchanteur, de voulo
qui étaient les inventeurs du tour qu’on venait de lui jouer. Il fut prié de dire où il avait fait connaissance avec le sag
et comme en pareille occasion le civil chevalier ne se faisait point prier , aussi ne les fit-il point attendre. On y exalta
devrait pas souffrir, dit Sancho, car ils ne doivent se mêler que de prier Dieu, et ne point tant s’embarrasser des affaires
les chevaliers, pour l’honneur de la comtesse, qui fit semblant de le prier de n’y point aller, et lui dit qu’elle lui avait
pas qu’il s’exposât pour elle à de nouveaux dangers ; mais elle l’en pria d’une manière à l’y engager encore plus fortement
10 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
it pour un homme très riche, du moins ses manières le disaient. On le pria de se démasquer, il parut vouloir s’en défendre d
qui s’éclatèrent de rire. Le marquis le traita de fou, et de brutal, pria ses amis de tenir l’aventure secrète, et défendit
c’était là sa dernière résolution, qu’il ne changerait pas, et qu’il priait qu’on ne lui parlât jamais de la marier, si on vo
ix semaines au plus à mon voyage, mais j’en fus bien davantage. Je la priai avant mon départ de me donner son portrait ; aprè
rien de contraire à la vertu, qui pût lui déplaire ; mais qu’elle le priait de vouloir bien ne la point forcer en disposant d
c’était le conseil qu’il lui donnait en honnête homme, et qu’il l’en priait en ami. Dupuis, qui ne s’attendait pas à cette pr
lle ne vous fera jamais repentir de l’honneur que vous lui faites. Je prie Dieu qu’il vous comble de ses bénédictions. Je vo
e doutait pas de l’obtenir dans l’état qu’étaient les choses. Nous le priâmes de se donner la peine d’y aller. Il le fit après
dit que oui, et qu’il les avait faits quelques mois auparavant. Je le priai de me les dicter, il le fit ; et ce furent presqu
t de bonne foi, quand faisant trêve à ses larmes pour un moment, elle pria cet ecclésiastique de nous marier, et lui offrit
Madame Dupuis sa tante, mère de notre ami, qu’apparemment elle avait priée d’en agir ainsi, lui représenta en ma présence, q
herchant qu’à gagner du temps pour trouver un prétexte de rupture, me pria d’y consentir aussi. Cela me chagrina, je fis néa
i-même, et que les faits ne me paraissent pas bien concertés. Je vous prie , quand vous la verrez, si la conversation tombe s
demanda rien. Il leur témoigna qu’il voulait se fixer à Paris, et les pria de l’aider de leurs lumières pour lui faire achet
, après en avoir reçu l’impertinente lettre que voilà, et que je vous prie de lire. Elle lui mit une lettre entre les mains,
t demain tout le jour à Saint-Germain, je viendrai dîner ici, je m’en prie moi-même, et je me fais fort que nous le rendrons
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
ndrais dans trois jours quérir la réponse que je lui demandais, et la priais de m’indiquer les moyens qu’elle jugerait à propo
e qu’elle avait écrite, qui fut pour son frère un galimatias. Elle le priait de ne souffrir plus que j’allasse la voir, parce
son parti, mais qu’il n’en était pas de même de cette fille. Elle le priait de l’aller voir, comme il le lui avait promis. Ce
ute, à qui elle l’avait montrée, et c’était en effet la vérité. Je le priai de n’en rien déclarer, il me le promit, et de me
me faire jeter de l’eau bénite. Je revins donc comme j’étais allé. Je priai mon ami d’y aller ou d’y envoyer. Il me dit qu’il
n ami ainsi déguisé, je lui donnai un billet de moi, par lequel je le priais de me faire réponse. J’avais pris un justaucorps
s tout pour l’entreprise. Je montrai ces nouvelles à Clémence ; je la priai de souffrir encore quelque temps la mauvaise hume
nnaires et bonnes amies ensemble. Elle lui confia notre secret, et la pria de vouloir bien lui rendre toutes les lettres qui
r tout à fait. Ce fut là que je reçus une lettre de Clémence. Je vous prie de la lire, dit-il, en parlant à Des Ronais, c’es
étais arrivé. Je lui donnai un billet pour Clémence, par lequel je la priais de faire en sorte auprès de cette tourière que je
ire dans sa chambre. Je lui contai mon aventure et mon dessein, et le priai de me donner asile. Il me l’accorda, et fit même
lement qu’elle avait commencé, puisque j’en étais sans qu’il m’en eût prié  ; mais elle était trop avancée pour la rompre : o
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
quoique à l’ancienne mode. Il voulut prendre Dulcinée ; mais elle le pria de l’en dispenser, et parut toujours extrêmement
e tirer de leurs mains ; mais Merlin le tira d’embarras en venant les prier tous de venir se mettre à table. Il n’était pas a
c la gaieté de son écuyer ni des autres. Elle parut toute rêveuse, et pria notre chevalier de réserver leur conversation jus
ns, des mousquets, de la poudre et d’autres instruments de guerre, et prièrent Don Quichotte de le leur expliquer. Lui qui n’en
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
ce ne fût la faute du chirurgien qui le pansait, ce qui l’obligea de prier celui qui avait soin de Valerio et de Sainville d
ce valet de chambre, et pour qu’il fût mieux soigné qu’il n’était, il pria Valerio de souffrir qu’on l’apportât aussi au châ
it réparation des sentiments injurieux qu’il avait eu de sa vertu. Il pria la marquise de souffrir qu’il l’accompagnât à Mad
lière, devinrent bientôt parfaitement bons amis. Le comte Valerio fut prié de dire par quelle aventure il connaissait ces de
14 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
nnera la peine d’aller voir ma cousine, comme elle m’a chargé de l’en prier , on le priera de tâcher de vous faire entendre ra
e d’aller voir ma cousine, comme elle m’a chargé de l’en prier, on le priera de tâcher de vous faire entendre raison. Qu’y a-t
us demain matin, et de ne vous point quitter ; pour à présent je vous prie d’excuser. Après ce compliment il sortit, et Des
il sortit, et Des Frans et Des Ronais étant restés seuls, le premier pria son ami de lui tenir parole, et de lui raconter c
15 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
Ledune était de ses intimes amis, aussi bien que de mon oncle. Ils le prièrent d’avoir soin de moi pour me faire apprendre à mon
. Elle ne laissa pourtant pas de m’en faire si mauvais visage, que je priai mon père de me retirer du logis, à quoi contribua
us vite, je crus qu’il voulait faire le méchant ; au contraire, il me pria de ne rien dire de ce que je venais de voir, qu’i
sacrifiez tout d’un coup ! Et pour surcroît de bonne volonté, vous me priez de vous garder le secret. Il faut parbleu, poursu
opre à conserver de rancune. Elle me pardonna de tout son cœur, et me pria même de ses noces. Je repris un ton scélérat pour
ont la force serait passée dans quatre mois du jour du mariage. On la priait de faire en sorte que sa fille différât jusqu’à c
tait de conclure en même temps pour l’une et pour l’autre. Qu’elle me priait de patienter jusqu’à ce temps-là, qui peut-être a
découvrir à sa mère ; je me trouvai embarrassé de cette prière. Je la priai d’attendre quelque temps à se déclarer, pour pren
mporta contre moi à mille reproches, et m’en dit tant, qu’enfin je la priai de me laisser en repos. Je voulus sortir du logis
mêler des affaires l’un de l’autre, qu’autant que nous nous en sommes priés . Il m’a offert plusieurs fois de me rendre ce qu’
ment. Il trouva un homme de sa connaissance, à qui il le donna, et le pria de le porter dans l’instant même ; parce que dit-
isque le sacrement n’est pas votre but, et que c’est le mien, je vous prie de ne plus vous obstiner auprès d’elle. Je le lui
ue j’avais à lui parler, et que j’allais l’attendre chez moi où je le priais de venir. Il me le promit et n’y manqua pas. Qu’y
s voudrez faire ; mais je serai fort aise que vous la voyiez. Je vous prie encore de m’en dispenser, me dit-il. Je connais m
e de l’autre côté faisait un bruit de diable pour se faire ouvrir. Je priai cette autre femme d’avoir soin de Grandpré. Je re
e pus, et tant qu’enfin Grandpré me demanda quartier pour elle, et me pria de la laisser là. Je le fis de bon cœur, n’ayant
jours après, le mari de cette femme, qui était un portefaix, me vint prier de tenir son enfant. Je ne le connaissais point,
sais point, mais il était conduit par mon officieux laquais, qui m’en pria lui-même, comme si ce n’avait pas été un coup fai
i aussi et me mis le plus propre et le plus magnifique que je pus. Je priai ma mère de me prêter son carrosse, ou du moins le
nnête homme pour me manquer de secret ; je vous le recommande et vous prie de m’aider de tout votre possible pour cacher l’é
ersuadée. Je voulus lui donner ma lettre pour la lui rendre ; elle me pria de trouver bon qu’elle ne se mêlât pas de notre r
de trouver bon qu’elle ne se mêlât pas de notre raccommodement. Je la priai de se trouver auprès de sa maîtresse lorsque je l
état où elle me voyait, sans passer plus outre, et qu’elle vous avait priée de ne me laisser voir dans mes accès qu’à des gen
soit en bien, soit en mal. Vous m’avez dit encore qu’elle vous avait priée de ne me point laisser voir à son époux, qu’elle
uvai seule avec Mousson à ma seconde visite, comme je l’en avais fait prier par cette femme. Je me jetai à ses pieds : elle m
t je l’en pressai avec tant d’instance, qu’elle me l’accorda. Elle me pria de sauver du moins les apparences en obligeant se
te mission ne devait finir que le jour de la Quasimodo. Il nous avait priés en partant de différer notre mariage jusqu’à son
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
nt partis de leur village, et qui s’y trouva encore quand on alla les prier de venir à la Ribeyra. Le capitaine Bracamon, ce
mis de la rendre lorsque cette princesse serait désenchantée. Je l’ai prié , continua Parafaragaramus, de me la prêter unique
que cette pauvre fille s’était séparée de toute compagnie, et l’avait priée de souffrir qu’elle se retirât seule dans une cha
it connue de ces chiens, ne leur avait fait lâcher prise, et ne l’eût prié de ne faire aucun bruit crainte d’exposer sa répu
oute la Chevalerie errante. Tout le monde lui applaudit, et chacun le pria de donner les ordres pour l’accomplissement d’un
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
ier, lui dit le duc ; nous ferons tous le voyage ensemble : nous vous prions de ne vous point impatienter jusques à ce temps-l
ancés, et le trouvèrent très mal. Le chirurgien qui l’avait pansé les pria de lui laisser quelque repos jusques au lendemain
cho avec chagrin. —  Dis-moi ce que tu as, mon pauvre Sancho, je t’en prie , lui dit Don Quichotte. —  Eh bien, Monsieur, voy
18 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
guer l’un d’avec l’autre. N’écrivant que pour vous, monsieur, je vous prie par avance de ne montrer mon journal à qui que ce
us, directeur des vivres pour M. du Pile, entrepreneur général. Je le priai , suivant les ordres que j’avais, de le distribuer
ontait à plus de cinquante milliers. Je retournai trouver Albus et le priai que du moins il prêtât à la Compagnie un de ses m
ité que je trouvais à me défaire du pain qui nous embarrassait, et le priai de me seconder. Il est très bon serviteur de la C
x commis, et son billet déchiré à la main, il fut assez bête pour les prier de venir avec lui chez M. l’intendant, et M. de F
rplus il n’était pas juste de me condamner sans m’entendre ; qu’il le priait de m’envoyer quérir ; et qu’il était fort trompé
ire, parce qu’il incommodait le service ? Est-il pas vrai que je vous priai de m’accompagner chez Albus, que vous y vîntes av
s ici. Point de mainmise ni de violence, monsieur Hurtain, je vous en prie , lui a dit M. l’intendant. Votre écrivain sera sa
que M. Hurtain et l’écrivain du roi ne le ramènent, qu’ils ne vous en prient , et qu’il ne leur ait demandé pardon à l’un et à
demain dîner chez vous, et d’y mener MM. de Combes et de Ferville, et priez l’écrivain du roi de les accompagner, et priez-le
bes et de Ferville, et priez l’écrivain du roi de les accompagner, et priez -le d’oublier tout ce qui s’est passé. Je tâcherai
suffirait pour le jeter dans le mépris ; et conclut sa quérimonie par prier M. Des Clouzeaux de m’obliger à corriger moi-même
le reçus le mieux qu’il me fut possible. Je lui remis mon rôle et le priai de dresser l’état lui-même, comme il le jugerait
; qu’il voudrait que l’eau-de-vie fût à tous les diables, et qu’il me priait d’oublier tout ce qui s’était passé à ce sujet ;
s faut, et pas plus ; par conséquent, nous avons tous intérêt de vous prier de la faire économiser : car, qui vous mettra à c
rait une impiété de le croire, et même de le penser. Le Sauveur avait prié pour eux tous, et pour elle, en priant pour saint
ssant ici il y a peu de jours, nous dit à tous, messieurs, et je vous prie de vous en souvenir, qu’à l’aide d’un microscope
et passer ainsi successivement de l’un dans l’autre. Sur quoi je vous prie , messieurs, de me permettre une réflexion, qui es
lui fis entendre que c’était l’hôte qui l’avait envoyé quérir : il me pria de changer de place ; ce que je fis avec plaisir,
union qui règne entre MM. Hurtain, de La Chassée et moi, il les avait priés de venir au-devant de moi afin de me prévenir, et
du détail de ses soldats, et moi de celui du vaisseau ; qu’il l’avait prié de me tranquilliser, ne m’ayant mis en jeu que po
Hurtain, qui, comme j’ai dit, ne but, ni mangea lundi dernier, et le prier à dîner dimanche prochain. Il l’a vu, l’a trouvé
tion de chaleur. M. du Quesne est venu voir M. Hurtain. La Fargue l’a prié de faire avertir les autres chirurgiens pour les
eux langues de bœuf et six bouteilles de notre vin de réserve. Il m’a prié de lui faire présent de deux tranches de bonite.
dit des médecins, et que j’ai mis à la page 196 et suivantes, que je prie de relire. Je suis persuadé qu’il n’y a rien que
je fisse pour son valet ; et après avoir ordonné quelque chose, il a prié tout le monde de sortir et n’a retenu auprès de l
t lui en a tant dit que ce charpentier lui a brusquement dit qu’il le priait de le laisser en repos, et qu’ils ne seraient pas
s trois ecclésiastiques ont dit les trois dernières. Ceux qui veulent prier Dieu pour lui, et lui jeter de l’eau bénite, mont
ions avec joie, n’exige plus notre obéissance : au contraire, il nous prie de prier Dieu pour lui. Imitons sa droiture, sa b
c joie, n’exige plus notre obéissance : au contraire, il nous prie de prier Dieu pour lui. Imitons sa droiture, sa bonté, sa
r Dieu pour lui. Imitons sa droiture, sa bonté, sa candeur et sa foi. Prions Dieu qu’il nous l’accorde, comme à lui, vive et a
consommation. C’est ici qu’il a été relancé. Je lui ai dit que je le priais , pour son bien propre, de me laisser en repos : q
er M. Hurtain. Amen. Nous avons tous bu d’avance à sa santé, et avons prié le commissaire de l’assurer de nos respects. Il n
repris le commandeur : j’en ai promis un à M. du Quesne ; et je vous prie de le lui donner. Moi ! monsieur, le donner ! lui
parler. Je n’ai garde, lui destinant l’autre. Avant leur départ, j’ai prié M. de Chamoreau d’entrer dans ma chambre. Je lui
ient auprès de leur feu à se gratter les c… avec leurs maîtresses. Je prie de me pardonner l’expression : elle me rappelle u
en avais sur moi le quart d’une feuille à lettre. Je lui donnai et le priai d’écrire à ses gens pour me faire amener vingt bê
pour me faire amener vingt bêtes à cornes dont j’avais besoin, et le priai de m’aider de son autorité. Il le fit fort gracie
s et de notre vin. Il ne voulut jamais ni boire ni manger ; et me fit prier par mon nègre de ne l’en pas presser, étant dans
on effronterie jusques à me faire dire que l’heure étant indue, il me priait de le faire embarquer aussitôt, parce que s’il ét
mme ils avaient déserté le village proche du mouillage ; et qu’ils me priaient de retourner. Je suivis mon chemin. Un d’eux coup
’avais en mon particulier besoin de bœufs et de poules, et que je les priais de m’en amener le plus qu’ils pourraient ; qu’en
a paru en ce quêtant sur son lit, hors d’état de se lever, il a fait prier le commandeur d’entrer un moment dans sa chambre,
mais seulement des pierriers, et étant naturellement curieux, j’avais prié M. de Porrières de souffrir que je lui tinsse com
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
nt il tira un bon augure. Heureusement Don Quichotte le rappela et le pria de ne point sortir sans lui et d’attendre qu’il f
tés, ou du moins retenus par la force de quelque enchantement : on le pria de tenter l’aventure, puisque ses armes le délivr
a le corps le plus joliment du monde. Les ducs et tous les assistants prièrent notre héros d’aller délivrer le chevalier Sancho
20 (1721) Mémoires
semble que Dieu lui doive Sa gloire, et que sans lui Il ne serait ni prié ni adoré. 11. A l’égard des Jésuites qui l’ont go
répondit à voix bien intelligible et bien haute qu’il ne pouvait pas prier Dieu pour un homme qui le faisait mourir de faim 
royaume. Mon dessein n’est pas de faire ici le déclamateur ; mais je prie ceux qui ont vécu dans un âge de connaissance dep
dant sa vie, et que ce pauvre crierait à haute et intelligible voix : Priez Dieu pour le repos de l’âme de Pierre Alaix ! 42.
oir pas lui rendre tout le respect qui était dû à sa naissance, et le pria de faire un tour dans son jardin, lui promettant
civilité et entra dans ce jardin seul, parce que le cardinal l’avait prié d’y aller sans compagnie, afin, disait-il, de sav
e. Il en fit l’expérience en son particulier et à l’issue du dîner il pria mon père de l’accompagner chez Madame de Chevreus
l pouvait comme un homme qui se noie, l’approuva de tout son cœur, et pria M. Jolly, curé de S[aint] -Nicolas des Champs à P
gmentation de cinq sols par jour, et des bottines à lui délivrées. Il pria le Roi de souffrir qu’il fît venir les autres qui
Français, nommé M. Denisi, servait de truchement. Le père Bêchefer le pria de demander pourquoi les Iroquois insistaient tan
ore devant M. Colbert, dont Monseigneur se promettait la perte. Il le pria de reposer avec tranquillité jusques à son retour
, et dont le ramage pouvait se faire entendre avec plaisir ; qu’il la priait pourtant de ne se pas exposer mal à propos, et qu
plus, c’est que vous ne pouvez pas m’obliger davantage. Mais je vous prie de ne vous pas commettre, ayant à vous avertir qu
et dont le cœur fût inaccessible à la pitié et à la compassion, et il pria Louis de souffrir qu’il lui remît son emploi. Le
aissait trop honnête homme pour revenir contre son jugement ; mais le pria de lui dire du moins les causes et les motifs de
eux. Le précepteur jugea à propos de disparaître, et Madame Deschiens pria tous ceux qui avaient connaissance de l’aventure
ndant le corps de l’homme n’ayant qu’une continance [sic] fixe, il le priait de faire venir une bouteille de vin ; que ce sera
e 28 mai plus de trois mois auparavant. 243. Il est bon sans doute de prier Dieu, surtout sur le point de donner un combat. M
endant, si j’étais capitaine taine de vaisseau, je me contenterais de prier Dieu pour moi seul, mais je me donnerais bien de
nutiles sur la terre, la France en sera-t-elle moins France ? Je vous prie de ne vous point mêler de ce qui ne vous regarde
abrique ni vous n’en toucherez jamais un denier. Et là-dessus je vous prie de me laisser en repos. Je m’en dirai plus à moi-
elle de moyenne vertu que M. de Pontchartrain entretenait. Bourvalais pria cette sœur de supplier sa maîtresse de lui procur
’un un homme en garnison, Le voleur en supposait quatre ; Quand on le priait d’en rabattre, Il faisait traîner en prison. Pass
ire des guerres, née à Paris dans sa paroisse, alla le trouver, et le pria de lui accorder un moment d’audience secrète. Le
naie et d’ustensiles, et en même temps lui présenta ces billets et le pria de les prendre pour nantissement de si peu qu’il
t consenti que parce que Madame la grande-duchesse de Toscane l’avait prié d’y consentir ; et auquel il donnait, outre ce qu
’était point basilic et que sa vue n’avait encore tué personne, et le pria de se remettre parce qu’il aurait été fort aise d
proche à la cour et l’amitié que le Roi témoignait avoir pour lui, le pria d’avoir soin du revenu de la maison de Saint-Cyr.
vec le roturier. En un mot nous les ruinâmes Jusques au point de nous prier Avec eux de nous allier, Leur donnant nos filles
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
ropre père de sa femme, et eut le front de le lui découvrir, et de la prier de faire en sorte de lui interdire l’entrée de ch
jours refusé de retourner chez lui, quoiqu’il l’en eût plusieurs fois priée et qu’il continuât d’aller la voir à son ordinair
y était encore lorsque Sotain arriva. Quoiqu’il l’eût plusieurs fois priée de venir chez lui, il ne trouva pas bon cependant
es termes dont il l’exprimait ; mais voyant qu’il continuait, elle le pria tout de bon de se retirer ; mais bien loin de le
était un homme, et que sa femme l’aimait, il crut qu’elle ne l’avait prié de le congédier que pour le faire rester plus sûr
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
table douze grosses bouteilles de vin, et des sièges. Parafaragaramus pria Eugénie de faire les honneurs du modique déjeuner
nneurs du modique déjeuner qu’il lui présentait. Elle s’en chargea et pria tout le monde de s’asseoir. Chacun fit semblant d
t même de bon appétit. Sancho, qui fourrait toujours son nez partout, pria Parafaragaramus de leur tenir compagnie, et l’enc
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIII. De l’accident qui arriva au chevalier Sancho, en tirant une arme à feu. Remède pire que le mal. »
t Eugénie avec les Françaises qui s’étaient jointes à elle, l’avaient prié avec tant d’instance de rester dans le château po
homme de guerre, joint à cela que le duc de Médoc lui-même l’en ayant prié , il avait été obligé de céder à tant d’importunit
24 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
s ; & le feu était dans une fosse d’un bon pied de profondeur. Je prie le lecteur de remarquer en passant que ce terme d
supplications ou d’imprécations pour lui demander de la pluie, ils la prièrent de leur faire signe qu’elle leur en enverrait. La
ge, & qui est si bas qu’on le passe à pied sec de marée basse. Je prie le lecteur de remarquer en passant que, sur ce qu
.de Porrières, touché des caresses que cet animal faisait à son faon, pria La Fargue, notre chirurgien, de voir l’endroit où
rgue qui la pansait toutes les douze heures venait pour la panser. Il pria le commandeur de souffrir qu’il l’ouvrît. Cela lu
chirurgien me vint voir avant-hier, très disposé à me saigner. Je le priai très honnêtement de rengainer son compliment &
eur testamentaire ; c’est qu’il a donné aux pauvres, & pour faire prier Dieu pour lui, tout ce qu’il avait à bord à l’heu
cette lettre était écrite. Tant de témoins étaient croyables. Ils la prièrent d’envoyer chercher ses enfants. Autres pleurs : e
uquel les Portugais qui sont venus à Négrades l’ont certifié, l’ayant prié de le leur demander. Et c’est enfin Rickwart, qui
éponse duquel il réglerait le reste de sa vie ; que. cependant, il me priait de me charger d’un paquet de plusieurs lettres, t
harangue à son tour ; &, après presque les mêmes demandes, il le pria de lui dire dans quel corps son âme était passée,
ion. J’ai dit que j’en avais cassé, et j’y ajoute une remarque que je prie le lecteur de relire : elle est à la page 19. Je
arque que je prie le lecteur de relire : elle est à la page 19. Je le prie de me permettre d’en faire encore deux ici. La pr
en avait plusieurs lois écrit au ministre et à la Compagnie, qu’il me priait de les en faire souvenir ; qu’il leur avait toujo
il les avait écrites à M. de Seignelay et à la Compagnie, et qu’il me priait de les en faire souvenir. Que cette batterie sur
l’appuyez de vive voix : je m’en repose sur vos soins ; mais, je vous prie , avant que de le présenter, de le communiquer à M
. du Quesne emporte : j écris aussi à M. de Seignelay ; & je vous prie de ne pas oublier de lui taire connaître la néces
e tourna devers nous avant que de dire le dernier Évangile & nous pria de ne point sortir, ayant quelque chose de conséq
était plutôt un effet de son zèle que de sa mauvaise volonté. Il nous pria tous d’interposer nos offices pour les lui faire
me j’espère que vous voudrez bien la rechercher, ainsi que je vous en prie , vous puissiez l’instruire à fond de tout ce qui
e vous fais, tant pour cet article que pour le mémoire que je vous ai prié & vous prie encore de faire pour M. de Seigne
t pour cet article que pour le mémoire que je vous ai prié & vous prie encore de faire pour M. de Seignelay : &, en
, entre autres M. de La Chassée, qui, sans rire comme moi, l’a envoyé prier Dieu lui seul, & songer à sa conscience ; que
ce. Le chirurgien ni l’aumônier n’avaient rien à faire après lui qu’à prier Dieu. On l’a porté dans la fosse du chirurgien, &
herchent la voie ; & moi, si l’on pouvait m’entendre d’Europe, je prierais la Compagnie & ma famille de faire prier Dieu
entendre d’Europe, je prierais la Compagnie & ma famille de faire prier Dieu pour nous Du dimanche 11 mars 1691 Le
aumônier a voulu sortir ; mais la porte fermée l’en a empêché. Il m’a prié de la lui ouvrir : La Chassée me l’a défendu &
fondé que sur de simples soupçons, peut-être mal conçus. Nous l’avons prié de nous en faire part : il l’a fait, & voici
nne que je lui ai encore donné deux autres livres de sucre, qu’il m’a prié de voler dans la dépense. Je ne dirai point non p
étruire le peu de forces qui restaient dans ces corps déjà ruinés. Je prie le lecteur de me pardonner le style dont je me se
que dissipé, & qu’une heure de repos ferait le reste ; qu’elle la priait d’emmener sa fille de chambre avec son habit &
é plus de cent fois à la porte ; & qui, d’une voix fort basse, me priaient d’ouvrir. Je ne vous en ai rien dit, parce que je
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
vre remercia l’enchanteur de lui avoir servi d’avocat en enfer, et le pria de lui dire aussi sa bonne aventure. Parafaragara
Elle le remercia encore de la liberté qu’il lui avait procurée, et le pria de trouver bon qu’elle allât accomplir son vœu. L
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
pu ramasser de l’histoire admirable de Don Quichotte, et qu’il avait prié de la continuer, était un de ces hommes particuli
27 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
son bon maître de peur qu’on ne lui prît pendant son sommeil, l’avait prié de le compter ; Don Quichotte l’avait déjà fait,
28 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
serai dans l’autre monde, je ferai amitié avec quelque démon, que je prierai de te venir emporter, et puis je te verrai de bon
29 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
que vous l’aurez remercié pour moi de ses bontés, comme je vous en ai prié , et qu’ainsi vous le connaîtrez avant que de lire
nté le Te Deum pour remercier Dieu de notre heureuse navigation et Le prier de vouloir bénir le reste de notre voyage. Le ven
m’a dit même que l’heure étant indue pour retourner à sa cabane il me priait de le faire embarquer aussitôt, parce que si il é
raient dans le bois et n’apporteraient plus rien au camp et qu’ils me priaient de retourner. Je poursuivis mon chemin, l’un d’eu
e si j’allais à leur ville tout le monde gagnerait le bois, qu’ils me priaient de n’y point aller et qu’ils me promettaient de m
ens ne renferme aucun venin. Je vous la donne dans cet esprit et vous prie de la prendre de même. Il faut absolument que ces
e heurlements et d’imprécations pour lui demander de la pluie, ils la prièrent de leur faire signe qu’elle en envoierait. La têt
t que Monsieur de Pressac lieutenant du Lion expliquait, c’est qu’ils priaient qu’aucun Français ni autre chrétien ne touchât à
é. Monsieur Joyeux a envoyé cet après-midi son lieutenant à bord pour prier Monsieur de Porrières d’aller demain dîner chez l
ement et a donné tout ce qu’il avait à bord aux pauvres et pour faire prier Dieu pour lui. L’endroit où nous étions mouillés
harangue à son tour, et après presque les mêmes interrogations, il le pria de lui dire dans quel corps son âme allait passer
30 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
ès grande impatience de savoir à fond le sujet pour lequel on l’avait prié de venir. Il avait été impossible de le satisfair
31 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
es à cela ; mais il ne put persuader son maître, qui deux jours après pria la duchesse de Médoc de lui permettre de s’en ret
32 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
r des duègnes. La duchesse de Médoc était indisposée, et avait envoyé prier le duc d’Albuquerque de passer chez elle ; et cel
33 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
France des plus sages et des plus retirées. Toute la compagnie ayant prié Sainville de commencer son récit, il le fit en ce
34 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
oups de pistolets, notre héros leur abandonna les deux autres, et les pria de leur sauver la vie. Eh bon, bon, dit Sancho, p
35 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
dit la belle Dorothée, dites tout ce que vous pensez, nous ^ vous en prions toutes, et cela servira à nous faire connaître no
36 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
ui qui y allait vingt écus d’or, sans que personne en vît rien, et le pria de les donner à sa ménagère pour s’habiller elle
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