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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
Quelle certitude m’en donnerez-vous, demanda-t-il ? Celle qu’il vous plaira , répondit-elle, pourvu qu’elle dépende de moi, et
Cette demoiselle ne s’en défendit point, elle avoua que le parti lui plairait fort, et qu’outre le bien et la fortune, Contamin
sible. Décidez de votre fortune et de la mienne ; voyez ce qu’il vous plaît que je devienne. Je veux, répondit-elle, que vous
crédule pour vous écouter. Mais, dites-moi, reprit-il, ce qu’il vous plaît que je fasse, je suis prêt à tout. Je veux, dit-e
; et je ne vous conviens pas. Je ne songe point à elle, reprit-il, et plût à Dieu que vous en eussiez de l’ombrage, le sacri
jure dès à présent de n’aller vous voir chez vous, que lorsqu’il vous plaira me le permettre, si rarement que mes visites ne v
propositions que je viens de vous faire ? Je ferai tout ce qu’il vous plaira , répondit-elle. Votre procédé est trop beau, et m
e reste à proportion. Tout ce que Contamine vit dans cette maison lui plut , surtout elle, qui bien loin de se ressentir des
u’elle vous expliquera elle-même, reprit votre commère, quand il vous plaira de l’entendre ; cependant puis-je vous demander c
ny et moi, nous en remettrons le discours après avoir dîné, s’il vous plaît . On se mit donc à table, les deux amants proche l
our cela, poursuivit-elle, s’adressant à Des Ronais, passez s’il vous plaît , auprès de moi à la place de Monsieur Des Frans ;
s ; et vous Monsieur Des Frans, ajouta-t-elle, prenez place s’il vous plaît entre votre commère et moi. Dussé-je passer pour
je vous le jure. Soit, dit-elle en riant ; la place où vous êtes vous plaît , achetez-la par votre silence, ou comptez que vou
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
oit faire prendre d’un visage égal. Je commencerai par ce qui peut te plaire , et la princesse Dulcinée m’aidera dans le reste.
e voilà écrit dans mon livre. Voilà ce que j’ai à te dire qui peut te plaire  ; le reste, qui ne sera pas de ton goût, doit t’ê
s ; nous étions enchantés tous deux, vous pour moi, et moi pour vous. Plût à Dieu, poursuivit-elle, que je vous eusse parfai
lcinée viendrait lui rendre visite, et qu’il était naturel de vouloir plaire à ce qu’on aime, il s’était laissé accommoder plu
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
ne le fût pas plus que moi, dont les manières ouvertes et naturelles plaisaient plus à mon père que les siennes ; ainsi j’étais l
de bon matin. Il n’importe, dit-elle, venez à telle heure qu’il vous plaira , je vous tiendrai parole. Je lui promis d’y venir
lousie. Dans un autre temps j’aurais ri de l’aventure ; mais il ne me plut pas d’en être la dupe ; et de fait elle m’avait l
e j’en étais au désespoir et prêt de faire telle réparation qu’il lui plairait , enfin je lui fis voir un véritable et sincère re
n croyez ni mes serments ni mes paroles, croyez-en tout ce qu’il vous plaira de me faire écrire. Pourrais-je dédire en même te
oulait point pratiquer. Je lui avais remarqué des emportements qui me plaisaient fort dans une maîtresse, mais qui me faisaient tr
ations ensemble, reprit la mère, vous pouvez lui parler quand il vous plaira  ; mais je ne crois pas que vous avanciez beaucoup
mbre ; elle était levée, mais non pas encore habillée. Son négligé me plut plus que tous les ajustements que les femmes croi
is vainement de vous disputer le cœur d’une fille à qui vous voudriez plaire  ; mais puisque le sacrement n’est pas votre but,
je vous en assure, dit-il. Eh bien, ajoutai-je, usez-en comme il vous plaira , la personne dont je vous parle est votre vertueu
idélité à son mari, et l’imiter dans sa mauvaise conduite ? À Dieu ne plaise , reprit la veuve, que je veuille vous inspirer de
surés ; la gorge et la main d’une blancheur à éblouir : enfin elle me plut infiniment. J’avais déjà connaissance de son espr
fort aimable personne et si la veuve n’eût pas trouvé le secret de me plaire avant elle, je me serais très volontiers offert à
and il voudra, je serai toujours prête. C’est pour l’heure qu’il vous plaira , Madame, reprit-il, mon maître sait la civilité q
ne me haïssait pas, et je le remarquai avec plaisir, parce qu’elle me plaisait tous les jours de plus en plus ; et en effet, j’y
ns ; c’était une déférence entière pour tout ce qu’elle savait qui me plaisait . Elle me rendit mille services dans les occasions
e volonté que la mienne, comme je n’en avais point d’autre que de lui plaire . Elle m’a rendu tout à fait honnête homme ; et je
e religieux, et le sera sans doute un jour, si vous n’y prenez garde. Plût à Dieu, reprit en pleurant cette bonne dame, qu’u
ique maîtresse de ma destinée ; c’est à vous d’ordonner ce qu’il vous plaît que je devienne ; mais souvenez-vous qu’il m’est
nde ? Ce que vous venez de me dire est-il bien vrai, demanda-t-elle ? Plût à Dieu qu’il le fût moins, repris-je les larmes a
e force pour le cacher. C’est à vous à voir de quelle manière il vous plaît que je vive désormais avec vous. Vous savez que j
uivis-je, faites-la résoudre d’y consentir. Faites tout ce qu’il vous plaira , reprit Madame de Londé, pourvu que je ne me trou
r tant que vous voudrez, me dit-elle, et même dire tout ce qu’il vous plaira  ; mais je ne veux absolument pas me trouver seule
la sorte, je ne manquai point aux rendez-vous, la petite paysanne me plaisait . Ce petit commerce dura environ quatre mois, sans
, il ne tient qu’à moi d’en faire l’usage d’une femme ; mais je ne me plais point d’abuser des droits que la qualité de son é
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
ui dit, que si le joli monsieur qu’elle voulait lui faire épouser lui plaisait tant, elle pouvait le garder ; qu’on n’en soupçon
ez point, vous me désespérerez, faites encore là-dessus ce qu’il vous plaira . N’envoyez ici que des laquais bien instruits, et
mon ami, et voici celle que Clémence m’écrivait ; lisez-la s’il vous plaît . Des Ronais la prit et lut ce qui suit. LETTRE.
humeur, il ne peut voir sans chagrin l’union de personne, et pour lui plaire , il faut être dans un perpétuel désordre. Ne sach
er. Il répondit que sa fille n’était point pour moi, et que je ne lui plaisais pas. Il était vrai, on disait que j’étais honnête
inépuisable de procès ; mais nous ne nous y attendons pas, lui qui se plaît dans la désunion, en laissera des semences après
us pas le temps de conclure. Je crois vous avoir dit que Bernay ne se plaisait que dans le désordre, et que son plus grand plais
; outre cela Clémence avait trouvé sans le chercher, le secret de lui plaire . Il était enragé d’avoir manqué son coup. Il sava
asion de Monsieur Des Ronais, et je vous donnerai à souper, s’il vous plaît . Madame de Mongey n’a que faire non plus ; elle c
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
ademoiselle, dis-je en entrant, je viens savoir de vous ce qu’il vous plaît que je devienne, et quel est cet autre parti qui
et m’étant permis d’en faire, quand je serai en âge, tout ce qu’il me plaira , je vous jure de vous en faire le maître. Pour la
meur à souffrir tant de dépense en habit, et qu’une femme qui ne veut plaire qu’à son mari, ne doit point le porter si haut. E
l y en avait trop, et qu’elle suivrait en tout et partout ce qu’il me plairait lui en ordonner. Une réponse si honnête et si sou
point à cette funeste extrémité, je suis résolu à tout ce qu’il vous plaira que je fasse. Mille bourreaux assemblés pour me t
cruel pour moi que votre mort. Je vous emmènerai où et quand il vous plaira . Je vous laisse maîtresse de votre sort et du mie
voudra, reprit Dupuis. Et pour moi, poursuivit Des Ronais, lorsqu’il plaira à ma belle maîtresse. Cela étant, reprit Des Fran
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
is-je, à ce que tout le monde dit ? Elle l’est aussi, répondit-il, et plût à Dieu qu’elle ne la fût pas, je ne serais pas ic
h bien, Mademoiselle, lui dis-je, saurai-je aujourd’hui ce qu’il vous plaît que je devienne ? Je ne sais, me dit-elle, ce que
idée très cruelle. Cette histoire inventée, ou son application ne me plut pas, je lui en écrivis le lendemain, elle ne me f
nt nécessaires. Faites, dit-elle, je consentirai à tout ce qu’il vous plaira  ; et malheureuse pour malheureuse, j’aime mieux v
r le secrétaire de mon père ; il me parut mon fait. Sa physionomie me plaisait , et j’espérai qu’il me rendrait service. Je donna
nous la trouvâmes sous les armes, et dans l’état d’une femme qui veut plaire . Elle avait une robe de brocard bleu, rayé d’arge
ferais encore si j’avais à le faire. Je lui proposai un expédient, et plût à Dieu qu’elle l’eût suivi, elle serait encore à
ne passent pas les paroles ; car autrement je ne serais pas content. Plût à Dieu, dit-elle en riant, en être quitte pour de
que nous l’envoyions quérir. Eh bien, dis-je, dites-moi quand il vous plaira que cela soit. Dès demain matin, répondit-elle :
es, ajoutai-je, en ouvrant la porte, vous pouvez sortir quand il vous plaira , je ne vous retiens plus puisque vous êtes si peu
ant à Des Frans, que vous y prenez intérêt ; nous irons quand il vous plaira . Il est plus de midi, dit Des Frans, ils nous y a
it-il en la regardant ! Non, Madame, continua-t-il, le désordre ne me plairait nullement ; j’y mourrais de chagrin, mais je veux
Je n’ai rien à vous dire davantage, vous pouvez parler quand il vous plaira  : Madame de Londé sait ce que je lui en ai dit, e
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
été plus maîtresse de son cœur. Un homme de qualité entreprit de lui plaire , et y réussit ; mais comme il était d’une Maison
indre les suites ; je vous la remets pour en faire tout ce qu’il vous plaira , vous assurant que je n’y prends plus aucune part
temps à la campagne ; j’y consentirai, et vous la mènerez où il vous plaira . Pendant tout ce temps-là Silvie resta aux pieds
e doit jamais mettre sa vertu à l’épreuve. Vous m’avouerez, s’il vous plaît , Messieurs les Espagnols, que cette modération de
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
demoiselle, ajouta-t-elle s’adressant à moi, agissez-en comme il vous plaira  : vous êtes seule cause qu’il est rentré ; je vou
e j’ai moi-même ; faites à l’égard de ce coquin-là tout ce qu’il vous plaira , j’approuverai tout. Mademoiselle, me dit Monsieu
s’attira par ses sottises en voulant pénétrer un commerce qui ne lui plaisait pas. Cela le rendit sage, il n’osa plus parler de
, poursuivit Des Frans, sitôt que j’entendis monter Valeran. Que vous plaît -il, Mademoiselle, dit-il en entrant, je viens de
tout le mépris que je serais d’un autre, je ne laisserais pas de vous plaire  ? Voilà des sentiments dignes d’un lâche comme vo
lle. Vous serez le maître de la faire durer tant et si peu qu’il vous plaira  ; mais il faut vous y résoudre. Vous me congédiez
et je ne dépends de personne ; ainsi je serai à vous sitôt qu’il vous plaira . Je pris d’elle de l’argent qu’elle avait apporté
e soit altérée à mon retour, je l’imputerai à votre peu de soin de me plaire . J’écrivis aussi à ma mère pour lui rendre comp
omme serait heureux, si elle pouvait durer longtemps ! Quoiqu’elle me plût infiniment, il fallut l’abandonner. Je reçus des
dès aujourd’hui si je savais la trouver. Vous en ferez ce qu’il vous plaira , lui dis-je en lui donnant ses papiers, le peu d’
n m’en parla dans des termes qui achevèrent de dissiper mes soupçons. Plût à Dieu qu’elle ne les eût pas renouvelés ! En sou
us réponds que nous ne travaillerons pas en vain, voyez ce qu’il vous plaît que je fasse. Je crois, Monsieur, lui répondit ma
jamais. Elle était fort contente de sa vue. Son air et sa beauté lui plaisaient  ; ce qu’elle en entendait dire augmentait sa curi
ous avez toute sorte de liberté ; vous pouvez vous retirer où il vous plaira , prenez une résolution. Je suis prêt à vous rendr
je me suis assuré une sépulture à côté de ma chère Silvie, lorsqu’il plaira à Dieu de disposer de moi : et pour cela, quelque
9 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
l y en avait parmi nous à qui l’hôtesse ne déplaisait pas, et qui lui plaisait assez. Il n’y avait que le vin qui nous conviât,
es après midi. Le soleil va vous voir et nous nous en éloignons. S’il plaît à Dieu la chaleur ne continuera pas et je vous éc
à part. Nous allons toujours un peu, le vent nous chicane, mais s’il plaît à Dieu nous en aurons d’autre ; la chaleur n’est
e. [juin] Vent Sud-Ouest fort bon Dieu merci. Nous arriverons s’il plaît à Dieu à Amzuam à la fin de nos rafraîchissements
es qui s’offrent à quiconque leur paraît leur fait, et qu’outre cela, plaise ou non, on n’en est jamais refusé. Bien plus, les
est revenu sur le midi. Nous avons vu ce soir l’île de Moali, et s’il plaît à Dieu nous y arriverons demain de bonne heure.
ois jours. Comme je n’ai point vu ceci, vous en croirez ce qu’il vous plaira  : notre pilote est habile et capable d’examiner l
ent. Du mardi 18 [juillet] Toujours bon vent la battologie m’en plaît . Nous roulons terriblement, mais nous allons bien
ent un enfant dans ses bras, qu’ils nomment Christon. Notez s’il vous plaît que le mot de Cita dans leur langue signifie vier
rs sortir de leurs corps. Nous avons eu beaucoup de blessés mais s’il plaît à Dieu ce ne sera rien. Monsieur de Porrières est
mme il fait de la brume, nous avons mouillé ce soir. Ce pays-ci ne me plaît guère, car il y pleut presque toujours, et le nav
ires sont le Dragon et le Lion, que nous avons rejoints grâce à Dieu. Plaise à sa bonté que nous rejoignions bientôt le Gailla
qui nous ont cassé à coups de canon nos fouesnes et nos arpons. Il ne plut point hier, mais le ciel vient de nous payer pour
voile pour notre retour en France ; Dieu nous l’accorde bon s’il lui plaît  ! Nous avons entendu la messe bien dévotieusement
point de dot à leurs filles, au contraire ils les vendent à qui leur plaît pour un prix dont on convient, et les filles auto
s le temps qu’on persécutait les autres. Cette cruelle distinction ne plaît guère à Messieurs les missionnaires ; ils sont tr
âme allait passer ; et si elle quittait sa famille. Notez, s’il vous plaît , qu’ils croient la métempsycose de Pilagore et qu
Calme tout plat tant mieux, le vent changera et redeviendra bon s’il plaît à Dieu. Du jeudi 8e. [mars] Bon vent, mais
M. de Porrières : Vous êtes le maître Monsieur de faire ce qu’il vous plaira , mais ce ne sera point de mon consentement que no
deux heures nous empêche de quitter de vue les terres d’Afrique. S’il plaît à Dieu il redeviendra bon. En tous cas le plus fo
ôté toute volonté de se défendre. Vous croirez de ceci ce qu’il vous plaira , mais je crois qu’on peut dire là-dessus avec le
qu’il était justement au-dessus de nous. Nous l’avons dépassé et s’il plaît à Dieu nous aurons bientôt de la fraîcheur. Du
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
urs. —  Ah pardi, Monsieur, répliqua Sancho, à qui ces préparatifs ne plaisaient guère, vous me la donnez bonne, et nous ne tombon
. Tenez, Monsieur, ajouta-t-il, faites-en telle différence qu’il vous plaira , dans le fond c’est toujours le même métier, et l
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
ettre à fin une aventure qui m’a bien fait du plaisir, et ce qui m’en plaît davantage, c’est que je n’ai pas besoin de charpi
me convient mieux que tous les autres lieux du monde. Sancho, qui se plaisait fort dans le château, fut très fâché d’entendre p
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
ur aller chez le duc, où il lui était arrivé des aventures qui ne lui plaisaient pas. Il s’était figuré que ce château lui portait
ermettaient d’aller partout où bon leur semblait, et avec qui il leur plaisait , sans en témoigner le moindre chagrin. Les França
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
souper, et il resta avec l’officier dont les civilités bachiques lui plaisaient plus que la meilleure compagnie, outre que n’ayan
mauvaise police d’Espagne pour la sûreté publique ; à cela près elle plut à tout le monde ; on parla des gens avec qui elle
14 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
ariage d’intérêt, que vous avez manqué ? Vous le saurez quand il vous plaira , répondit le conseiller. Ce sera donc tout à l’he
e aveu. Je vous dirai ce qui en est, reprit Des Frans, lorsqu’il vous plaira de m’entendre. Je n’ai plus d’intérêt à rien cach
15 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
proche voisin, j’y allai souvent, et la douceur de sa conversation me plut tellement, que sans être son amant, je lui rendis
toutes celles qu’elle m’a écrites, je vous le montrerai quand il vous plaira , et c’est tout ce qui me reste d’elle ; car pour
r de vous l’avoir donné, vous le comparez avec vos belles, elles vous plaisent , et il ne vous plaît plus. Le change avantageux p
vous le comparez avec vos belles, elles vous plaisent, et il ne vous plaît plus. Le change avantageux porte avec soi son exc
ntôt faite. Je suis prête à lui déclarer mes sentiments quand il vous plaira , quoiqu’il ne les ignore pas, pour les lui avoir
les dernières que vous ignorez, et que vous apprendrez quand il vous plaira , sont celles à qui je dois tout ce que je suis. J
16 (1721) Mémoires
par le monument éternel qu’il en a laissé. Mais comme ce monument ne plaît point aux maltôtiers ni à d’autres fripons qu’on
à faire lorsqu’on a le pouvoir en main. Sa politique était celle qui plaisait le plus à son roi, politique toute damnable et pi
re qu’il faisait faire de jour en jour ; et comme de sa part Louis se plaisait aux bâtiments, aux peintures et à la sculpture, i
nt assurément pas du goût de ces pères, mais je n’écris pas pour leur plaire ni mentir, j’écris pour dire la vérité. 116. Le p
et omis une bonne partie par un principe de religion ou par oubli, ne plut nullement à M. de La Barre, qui aurait bien voulu
ez-vous qu’ils s’étaient donné. Ces sortes d’écarts très fréquents ne plaisaient point au Roi, et encore moins à la dauphine qui a
e, et lui offrir non seulement cent mille écus mais tout ce qu’il lui plairait de demander. Il n’était plus temps ; le dauphin é
enais toujours sur le sérieux. Quoi qu’il en soit, cette diversité me plaît , et je n’ai fait aucun contrat qui m’oblige à sui
versations ; et qu’afin que ces commis fussent dans sa dépendance, il plût au Roi de déclarer privés et déchus de sa bonne g
s en fûmes partis, et trois jours après notre défaite. 232. A Dieu ne plaise que je veuille pénétrer dans les secrets de Sa di
je le répète encore, cette cérémonie, toute sainte qu’elle est, ne me plairait point sur le point d’un combat. 244. Nous eûmes q
a vie ; que lui mort celui qui les aurait en ferait tout ce qu’il lui plairait , dont il ne se mettait pas en peine ; qu’à l’égar
eux à Monsieur Bourvalais. — C’est moi, Monsieur, reprit il, que vous plaît -il ? — C’est vous, lui dis-je comme surpris. — Ou
auront goûté la douceur et la fertilité du climat, en un mot qui s’y plairont le plus. Il est très constant que leur rapport an
r notre loi, Nous accordait pour une bagatelle Les traités qu’il nous plut exiger de son zèle. Car nous savions fort bien te
ue ce soit justice : Votre prudence y pourvoira, Et fera ce qu’il lui plaira . 296. Il n’était pas juste qu’une pareille requê
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
plus de lui que des neiges de l’année passée. Cette conversation, qui plaisait infiniment à tous les auditeurs, fut assez longue
it fait. — Bon, bon, dit-elle, railleries de grands seigneurs, qui ne plaisent qu’à ceux qui les font. Jour de Dieu, je ne veux
18 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
fit trois tours, & trois bonds ou sauts ; & le lendemain, il plut avec abondance. Il serait ridicule de me dire que
sont le Lion & le Dragon, que nous avons rejoints, grâce à Dieu. Plaise à sa bonté que nous rejoignions bientôt le Gailla
armurier prétend bien que ce ne sera pas demain la même chose. Il ne plut point hier : le ciel vient de doubler les intérêt
re que leur langue ! Que le lecteur raisonne là-dessus tant qu’il lui plaira  : je laisse le champ libre à sa physique & à
ls ne sont pas ; en un mot, que le lecteur les définisse comme il lui plaira , je l’en laisse le maître ; mais, à mon égard, je
t de dot à leurs filles : au contraire, ils les vendent à qui il leur plaît , pour un prix dont on convient ; & ces filles
ce : Pourquoi m’as-tu quittée, mon cher mari ? Ai-je pas fait pour te plaire tout ce qui m a été possible ? Te plains-tu de ma
t amené venait le prendre, & un mol de gavadcho qu’il lâcha ne me plut pas. Je le pris par son braver, & le jetai à
aucun traité de paix, ni aucune déclaration de guerre qu’autant qu’il plaisait aux Hollandais, qui, comme médiateurs, en réglaie
attirer après soi la bénédiction de Dieu, parce qu’il ne lui peut pas plaire , ni être transformé en encens digne d’être brûlé
s ; & la dépense de la canonisation y en mettrait un, qui ne leur plairait pas. Ils font ici des saints à tas & à pile p
 ! Nous avons vu un mât de hune à l’eau ; il a passé proche de nous : plaise à la bonté divine que ce soit un mât de rechange,
s 1691 Calme tout plat, & beau temps ; tant mieux : cela, s’il plaît à Dieu, nous amènera bon vent. La beauté du temps
i il a ajouté : Vous êtes le maître, monsieur, de faire ce qu’il vous plaira  ; mais, ce ne sera assurément pas de mon consente
juste l’horoscope de son discours. J’avoue que cette séparation ne me plaît point, & que, si j’en étais le maître, je m’y
emin avec plaisir : il n’avait point de compagnon. Sa conversation me plaisait , il n’était point façonnier, il avait le mot pour
des ennemis plus forts que nous : la résolution de se faire sauter ne plaît pas multis. Du jeudi 12 avril 1691 Le vent
ente tous les jours. Il court un bruit de charbons de peste qui ne me plaît point ; ce qui nous oblige, M. de La Chassée &
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
ne fut pas maître de lui : Il est bienheureux celui-là, s’écria-t-il, plût à Dieu que je fusse à sa place. A peine eut-il lâ
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
a les vivants et les morts, sur qui il trouva encore un butin qui lui plut beaucoup, quoiqu’il ne fût pas si considérable qu
21 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
le ne se console de son absence avec un autre. Qu’il en soit ce qu’il plaira à dame Fortune, ses manières sont assez sèches, e
it demain satisfaction, autrement je prendrai des mesures qui ne vous plairont pas. Chassez votre commis tout à l’heure, et qu’i
sunt in Republicâ Principes, dit Cicéron. Qu’Albus devienne ce qu’il plaira à sa noire ou blanche destinée, cela m’est indiff
ompte par consommation au capitaine du vaisseau toutes les fois qu’il plaît à celui-ci. Cela posé pour fondement certain, com
mber contre l’éperon ; et le réduit enfin à dire : Seigneur, que vous plaît -il que je fasse ? Voilà l’effet de la grâce effic
dire, donner aucune atteinte aux vérités du christianisme. À Dieu ne plaise qu’une pensée si impie me touche, je révère les L
tain a été saigné ce matin, et est alité. Le sang qu’on lui a tiré ne plaît nullement à notre chirurgien. Il a été le regarde
ent fait, ai-je dit ; mais, messieurs, un peu de réflexion, s’il vous plaît , ai-je continué. Notre général a eu l’honnêteté d
ir : vous avez tout visité, monsieur, lui ai-je dit, et quand il vous plaira je vous rendrai compte de tout. Oh ! c’est assez
re article qui m’embarrassait. À demain ou après la partie, s’il vous plaît , a-t-il poursuivi, en me faisant en riant une rév
ous avez parlé ! ai-je dit d’un air chagrin. Effectivement cela ne me plaisait pas. Non, m’a-t-il répondu. Hérault, qui dîne ave
ons, afin que chacun puisse reconnaître le sien. Lorsqu’un homme leur plaît , elles le convient ; et, plaise ou non, on n’en e
onnaître le sien. Lorsqu’un homme leur plaît, elles le convient ; et, plaise ou non, on n’en est jamais refusé. Les hommes mar
sait mon poste dans la distribution des gargousses : poste qui ne lui plaisait guère, parce qu’il aurait bien voulu être à l’air
Du mardi 18 juillet 1690 Toujours bon vent : la répétition m’en plaît . Nous roulons terriblement. M.de La Chassée est s
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
dame pour qui je suis en champ, nommez-moi aussi la vôtre, s’il vous plaît . —  Tu verras son portrait sur mon cœur, lui répo
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
es armes ? Ils auraient plus longtemps parlé et mangé, car la station plaisait fort à Sancho, si le duc ne fût arrivé suivi de t
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
e Sancho fût fort attentif à ce qu’on lui disait, la morale ne lui en plaisait nullement, et il ne l’écoutait même qu’avec chagr
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
-même ; que tous les vœux de son cœur se terminaient à l’aimer, à lui plaire et à n’avoir point d’autre volonté que la sienne.
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