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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
sa mauricaude et suivit son maître en lui jurant de n’avoir point de peur , pourvu qu’il ne le quittât pas de vue. Ils suivi
est en disposition de combattre contre toi, tu te rends invisible, de peur d’en être vaincu. Tu n’es qu’un lâche qui n’a jam
il n’avait pas été saisi par deux démons qui lui firent une si grande peur qu’il n’eut pas la force de soutenir son épée qui
comme des chandelles ; en un mot c’était une figure capable de faire peur à tout autre qu’au chevalier de la Manche. Quatre
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
leur dit-il, renoncez-vous à la profession, et le péril vous fait-il peur  ? Personne n’a ici dessein de vous contraindre, m
qu’il faisait là. Il répondit, qu’après avoir quitté la comtesse, la peur ne lui avait pas permis de voir quel chemin il pr
en eut aperçu deux montés au haut d’un arbre, on alla à eux ; mais la peur dont ils furent saisis en fit tomber un de si hau
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
rent tomber et se mirent à fuir. Je ne pus m’empêcher de rire de leur peur  ; je continuai ma course jusque dans un cabaret o
nt du bal. Des garçons qui m’avaient vu la nuit me reconnurent, et la peur cessa partout. Je croyais en être quitte pour me
ns, pour pousser la débauche jusque-là, car ce garçon pensa mourir de peur . Pour exécuter cette sentence, nous le fîmes mont
il ne pouvait pas se remuer. Notre intention n’était que de lui faire peur , et on ne peut pas mieux réussir, car il l’eut to
mme de la première qualité, et il fut ensuite le premier à rire de la peur qu’il avait eue. Nous nous promîmes bien Gallouin
eine tête, et qui disait tant de sottises parmi ses doléances, que de peur d’être surpris en éclatant de rire, je me suis je
de se défier d’elle-même. Sa petite chienne était en chaleur ; et de peur que ce petit animal n’allât chercher quelque aman
que recherche qu’on en ait faite. Et pour lui remettre l’esprit de la peur qu’elle pouvait avoir, d’avoir été surprise couch
uvaises inclinations, il faut les vaincre. Ma raison me le dit, et la peur m’y pousse. Eh quelle est cette peur, lui demanda
ncre. Ma raison me le dit, et la peur m’y pousse. Eh quelle est cette peur , lui demandai-je ? Il faut, me dit-il, vous dire
vint en effet, Mousson voulut sortir, elle la rappela. Vous avez bien peur , Madame, lui dis-je, que je profite d’un moment d
nfant, lui dit-elle, je ne veux vous faire aucun mal, n’ayez point de peur . Elle la regarda, l’examina et la reconnut, l’obl
ourner la pointe de mon épée contre elle, pas même de lui en faire la peur . À force de chercher l’occasion de me satisfaire,
ent avertir les gens de justice, ils résolurent de les tuer ; mais de peur que leurs corps n’indiquassent leur crime, ils le
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
CHANSON. Je crains enfin qu’il ne m’engage, Et sa constance me fait peur  ! Non si je le vois davantage, Je ne réponds plus
cela ne nous embarrassait pas. Vous avez quelque amant qui vous fait peur , ma belle commère, lui dis-je en la relevant, que
ous fait peur, ma belle commère, lui dis-je en la relevant, que cette peur est obligeante, et qu’un homme est heureux, lorsq
oulu me faire, que sous l’apparence de sa passion pour moi, à quoi la peur de me perdre l’avait engagée. Elle me reparut ave
vous congédie, dit-elle. Voyez à quel point je vous aime, puisque la peur de vous perdre m’oblige d’avoir recours à des rem
où Rouvière était de nous venger tous. Elle en eut du chagrin, par la peur d’y être mêlée, mais il n’en fut rien. En effet d
st toute dans vos intérêts et vous aime infiniment. Ce n’a été que la peur que j’ai eue que ma naissance ne vous dégoûtât de
vec plus d’ardeur et d’empressement que je ne lui avais jamais vu. La peur de me perdre m’avait rendu plus cher à ses yeux,
ait-elle pas faire autant ? De dire que c’est un excès d’amour, et la peur de perdre Des Frans, vous voyez bien vous-même qu
esse. À mon égard, un esprit si subtil me paraît dangereux et me fait peur . C’est à mon sens en savoir trop, et en entrepren
et que j’idolâtrais encore ? Je la laissai dans le même état ; et de peur que quelque instant de pitié ne me prît, je ne vo
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
euvent accompagner ces sortes d’assurances. Elle me rassura contre la peur que j’avais de l’avarice de sa mère, et me jura d
ransport de joie, que je craignis qu’on n’en découvrit l’excès, et de peur qu’il ne parût, je n’entrai point dans l’appartem
amené à notre secours nos deux hommes d’escorte et nos laquais que la peur avait écartés. Nous avons vu commencer leur comba
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
ue son dessein n’était pas d’en venir aussi avant qu’elle en vint. La peur de faire connaître à son époux qu’elle avait eu q
on gendre demandait, et ne le remit pas plus tard qu’au jour même, de peur d’accident. Il résolut de ne point du tout quitte
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
baissée pour boire ; ainsi quoiqu’il n’y eût pas deux pieds d’eau, la peur et la chute l’avaient si bien étourdi, qu’il lui
faire devenir fou, et que si l’effusion du sang ne lui avait pas fait peur , il se serait passé son épée dans le corps, mais
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
transporté de joie. Pour Sancho, il fut du temps à se remettre de la peur qu’il avait eue, mais enfin il reprit ses sens. T
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
de sa chambre. Comme Sancho en confiant son butin à son bon maître de peur qu’on ne lui prît pendant son sommeil, l’avait pr
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
ns le ventre ; un autre, que c’est que je suis propre, et que j’avais peur de salir mes grègues. Enfin ils m’en ont tant dit
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
n cheval sur le corps, en sorte que la duchesse en fut quitte pour la peur , et pour une égratignure à la main qu’elle avait
12 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
celles que les peintres & les sculpteurs représentent, pour faire peur aux femmes, & aux petits enfants. Elle a à cô
ssi bon cœur que j’aie fait de ma vie. Cependant, je puis dire que la peur que j’avais a été celle d’un honnête homme, &
 d’un bon chrétien qui ne regarde point la mort avec brutalité. Cette peur n’a été connue qu’à moi ; & je n’en ai changé
us de chopine, mesure de Paris ; & nous les vuidions à rasade. La peur , comme on voit, ne m’avait pas démonté ; & la
route & a donné au Lion & au Dragon, quoique seul, autant de peur que s’il avait été bien accompagné. Après la reco
trois cents pierrots, quoique tout le régiment ne soit bon qu’à faire peur aux vaches, aux poules, ou tout au plus aux petit
n du soulier qu’il tenait. Vanos sollicitis incitat umbra metus. La peur le prit : il crut avoir fait un grand crime, &
saint Crépin & saint Crépinian savetiers ou cordonniers ? Ont-ils peur de s’égarer sur leurs traces ? Qu’ils contribuent
es reconduiront chez eux en triomphe ; & les autres diront que la peur des Hollandais aura fait fuir les navires de Fran
ise, Et que dans un vaisseau que disputent les flots On ne connaît la peur qu’au front des matelots. Cela étant, il n’y a g
oujours l’espérance d’en revenir & dissipe une bonne partie de la peur . Bien plus, cette terreur ne surprend qu’au comme
ière du vaisseau en a été ébranlé. Ce matelot a été saisi d’une telle peur qu’il est tombé roide mort, blanc comme albâtre &
res toutes vides. Je n’aurais jamais cru, si je ne l’avais vu, que la peur pût faire une impression si vive, & qui nous
ui insulteront un navire seul, mais qui auront les trois quarts de la peur s’ils nous trouvent ensemble. Pour ce qui est de
ire, il dit qu’il avait plus de crainte d’en donner aux autres que de peur d’être obligé de leur en demander. Il parla du go
s de savoir qu’il la pervertit, & la résolut à le suivre ; que la peur qu’il avait qu’elle ne lui échappât l’avait oblig
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
compagnait, et les bandits n’avaient osé les poursuivre plus loin, de peur qu’on ne vînt à leur secours, ou de l’hôtellerie,
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
t couvert de ses bonnes armes on ne pourrait plus lui faire ni mal ni peur , puisqu’à leur faveur il était à l’abri des encha
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
si, m’a lâché un démon qui m’a fait déjeuner par enchantement ; et de peur que je ne le battisse bien, pour sa récompense, i
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
sa panser sans peine. Elle, dont la maladie n’était causée que par la peur d’avoir perdu le cœur de son mari, étant pour lor
ureux que lui, et que l’état où elle le voyait ne provenait que de la peur de la perdre, ou de la partager avec un autre aus
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
é Sancho tout court. Ruy Gomez croit, mais il ne l’assure pas, que la peur lui avait ouvert les conduits par où la nature se
18 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
m’habiller ; car dans l’état où je suis, crotté et vilain, je me fais peur à moi-même. Des Ronais le laissa seul avec son va
19 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
nt que j’allais mourir ; et à force de l’entendre dire je le crus, la peur de la mort m’avait démonté. Quand on est dans cet
ettre cette pauvre diablesse en prison, mais il faut lui en donner la peur , puisque vous le pouvez. Tous les huissiers saven
Il lui mit le décret en main, mais il ne lui donna point d’argent, de peur qu’il ne voulût le gagner : il lui promit seuleme
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
in… patience… je n’en dirai pas davantage ; mais si je n’avais pas eu peur de la sainte Inquisition, je l’aurais bien vite e
21 (1721) Mémoires
tes mains et en envoyait de delà les monts plus ou moins selon que sa peur augmentait ou diminuait. Après qu’il se vit affer
uraient pu l’instruire ; tant ce cardinal et la Reine sa mère avaient peur qu’il se mêlât de rien ; étant très certain que s
 : De quoi vous embarrassez-vous ? Etes-vous pas mon frère, avez-vous peur de manquer de rien ? Ce fut tout ce qu’il en tira
niqué inspirée à Deschiens par son portier donna gain de cause. Cette peur me fait souvenir de mon Pétrone… Dii, Deaeque ! Q
nt au gabarit, ou ce sont des Anglais qui ont pour le moins autant de peur que nous. Buvons un coup, poursuivit-il, et confi
autant en public. Il semble qu’on va les mener à la boucherie, et la peur de la mort que cette cérémonie leur inspire les l
t la main sur la garde de son épée, leur donna les trois quarts de la peur , et ces dignes messieurs, voyans [sic] bien qu’il
ngrène, Lulli a fait à sainte Reine Un vœu tout à fait surprenant. De peur que son cul ne pourrisse, S’il arrive qu’il en gu
son seul mouvement. Quoi qu’il en soit, il en prit cinq, et donna la peur aux autres, qui se reti(rè) rent à Baston. Celles
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
nte, lui causèrent un frisson depuis les pieds jusqu’à la tête, et la peur qu’il en eut fut telle qu’il ne put ouvrir la bou
23 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
à rien ; moi qu’on n’a jamais accusé d’avoir beaucoup de génie, j’ai peur de perdre si peu que j’en ai. Mon plus grand trav
i un en joue, qui était le plus apparent de la troupe, pour lui faire peur mon fusil n’étant pas chargé, venant de tuer une
s apercevons que les courants nous sont tout à fait contraires, et de peur qu’ils ne nous mènent où nous n’avons que faire n
un bon pied de profondeur, et il n’y avait qui que ce soit auprès, de peur sans doute d’empêcher le défunt de venir souper.
ne Figure de diable pareille à celle que les peintres font pour faire peur aux femmes et aux petits enfants. Il a à côté de
mmandé à Dieu d’aussi bon cœur que j’aie fait de ma vie. Cependant la peur que j’avais n’a été connue qu’à moi seul, et je p
ivi sa route et a donné au Lion et au Dragon, quoique seul, autant de peur que s’il avait été bien accompagné. Après la reco
chant parti à un navire seul, mais qui auront ] es trois quarts de la peur s’ils nous rencontrent tous ensemble. Pour ce qui
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
hevalier comme vous, mais un méchant enchanteur peut les enchanter de peur que vous ne vous en serviez contre lui ; ainsi, S
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
nt pas trouvé, il revint en peu de temps, et rentra tout doucement de peur d’interrompre son maître qui parlait, et que tout
26 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
oi, pour nous faire bon visage. Nous nous regardâmes d’un air à faire peur . Tout père de ma maîtresse qu’il était, nous en f
evant quantité de monde sans dire son dessein ; mais d’un air à faire peur aux petits enfants. Il me demanda si je voulais q
27 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
de vingt, afin de n’avoir rien à se reprocher sur cet article, et de peur que les démons ne le fissent encore payer pour el
28 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
u. Il ne le fit pas pourtant et se contenta de lui en faire donner la peur  ; car quoique naturellement colère et brusque, il
onsieur, me dit-il, vous me préparez une belle récompense ! Avez-vous peur de n’avoir pas de quoi vivre, ou de n’en pas gagn
le barbarie ! Peut-on plus cruellement sacrifier son propre sang à la peur de perdre son bien ! Quelle que fût la colère de
29 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
e peut pas prévoir, lui découvriraient mon mariage. Ce n’est point la peur d’être déshérité qui m’en empêche, ce sont les bo
, elle me tient parole, et je suis résolu de lui tenir la mienne ; de peur même que mes assiduités ne fissent connaître Angé
30 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
onner ; elle me dit que je savais bien que la mort ne lui faisait pas peur  ; et que quelque chose qu’on pût ordonner de moi,
31 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
barbe en forme de garde de poignard, un orgueil et une morgue à faire peur aux vaches ou tout au plus aux petits enfants, un
orte mieux ; et d’une flamme rouge, s’il se porte plus mal. J’ai bien peur que nous ne fassions jamais le premier signal, et
s. Lui et les autres s’étaient barbouillés et fait des barbes à faire peur  : la digne moustache de Bouchetière avait été des
vertir après tant de pénitences, de chagrins, de mortifications et de peur . Nous ne primes point hier hauteur, parce que nou
en a toujours vu. L’infidélité, la bassesse d’un amant, la honte, la peur de perdre sa réputation, et mille autres raisons
nte ni l’infidélité d’un amant qui en est la cause. Ce n’est point la peur d’être obligées de nourrir et d’élever leurs enfa
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