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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
core divisé entre eux. Dupuis, comme je vous l’ai dit, avait fait des pertes terribles. Heureux pourtant d’avoir reconnu avant
t-ce là les larmes que vous répandez, et que vous devrait arracher la perte d’une des plus belles et des plus vertueuses femm
cement Monsieur le Marquis, répondit Dupuis, ne vous emportez pas. La perte de ma femme est plus grande pour vous que pour mo
oujours été malheureux, soit dans ma jeunesse par mes fatigues et mes pertes , soit dans mon mariage par ma femme, qui avait tr
s, et sans se flatter, toute sa vie. J’y vis une suite perpétuelle de pertes et de malheurs ; mais parmi tant d’infortunes et
homme de qui vous dépendiez. Tel qu’il soit ce rival, je vous jure sa perte sitôt que je serai arrivé, ou ma mort me délivrer
avez apparemment dit que je suis un lâche, puisqu’il jure si bien ma perte sans me connaître. Il faut le voir, ce nouveau Ma
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
t jeune, prendrait la place d’un absent qui serait obligé de payer sa perte , ou de lui donner autant qu’il aurait gagné. Cett
ut ce que j’appréhende, parce que je n’en veux qu’à votre cœur, et sa perte me causerait un vrai désespoir. Si vous m’aimiez
olère de mon père contre moi, mais aussi parce que cela attirerait sa perte à elle, et encore celle de sa mère, et de toute s
urs menacée du malheur qui lui est arrivé, et du véritable état où sa perte m’a mis pour le reste de mes jours. Les larmes vi
baigné de larmes, voilà, ma chère femme, la fin de notre amour, et la perte que je regretterai éternellement. Cet endroit ren
vives ; et quoique Dieu ne m’ait pas donné une âme fort sensible aux pertes d’autrui, je ne laissai pas de pleurer avec lui.
le destin ordonnera du reste de ma vie. Voyez à présent, si après la perte que j’ai faite, je ne suis pas plus à plaindre qu
essentie de cet honneur, mais seulement sa mère dont il avait juré la perte . Il me fait encore compassion, je ne pense pas qu
3 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
s. Mon justacorps est tout plein d’encre car il est tombé dessus ; la perte n’est pas grande, et dans un navire, on n’est pas
tilly qui en est capitaine que je suis en quelque sorte consolé de sa perte parce qu’il sera bien. Cependant la présence d’un
es enfants, de la mort de Monsieur Hurtain. Vous avez fait une grande perte . Mais Monsieur, que je vous donne pour remplir sa
eux qui restent ne sont pas moins à plaindre et peut-être plus. Cette perte est fort considérable, ce navire était tout neuf
ses provisions. Quoique le Roi ni la Compagnie ne profitent pas de sa perte , et qu’au contraire il nous ait fait beaucoup de
la hache dans leurs coffres. Les pauvres sont toujours à plaindre, la perte n’est jamais que pour eux, dans quelque état qu’o
e de l’effet de ce brûlot dépendait la réussite de l’entreprise et la perte totale des Anglais et des Hollandais, parce que s
eur ont chatouillé le corps à trois reprises, toutes les trois fois à perte d’haleine, et les ont tapés en matelots volés et
apper que celui d’hier, et qui. outre cela, avait fait la plus grande perte  : aussi l’a-t-il accommodé en chien renfermé. Il
s à se divertir avec des courtisanes sans faire beaucoup d’état de sa perte et sans se mettre en peine de s’opposer aux conqu
né l’affection des peuples. Cependant, jusques ici, il a soutenu sans perte les efforts des troupes du Mogol. Son frère avait
etirer après être venu plusieurs fois aux mains avec les ennemis sans perte considérable, la fortune étant tantôt pour lui ta
ble depuis le mauvais temps, ce qu’il n’aura pas pu faire, attendu la perte de ses mâts qui l’aura retardé beaucoup. Et cette
qu’il soit arrivé aucun malheur au Gaillard qui l’ait fait périr. La perte en serait assurément très cruelle, non seulement
e, quoiqu’ils fussent quatorze navires de guerre. C’est dommage de la perte de Saint-Christophle, c’était celle de toutes les
rie de bas, et que si on avait voulu les décharger il y aurait eu une perte de salpêtre très considérable, outre la longueur
plus insolents et plus cruels ; que nous abandonnions les Iles à une perte certaine, et qu’enfin ils prévoyaient qu’ils sera
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
il, qu’un homme qui jette une femme dans le désordre, est cause de la perte du plus parfait ouvrage qui soit sorti des mains
nrager le bonhomme Job par son babil et ses reproches, que toutes les pertes qu’il avait faites. Les ulcères dont il était cou
5 (1721) Mémoires
: mais les bons Français en ont jugé bien autrement. Ils ont prévu la perte de la France tout aussitôt qu’ils ont vu leur roi
nte sols, n’en valait que quarante-huit ailleurs, ainsi douze sols de perte . On a augmenté encore en France la valeur de cet
e dans son sein, parce qu’il fallait que le peuple en portât toute la perte , et on a vu de pauvres paysans qui avaient amassé
’humilier encore devant M. Colbert, dont Monseigneur se promettait la perte . Il le pria de reposer avec tranquillité jusques
le de Colbert ne [se] sont jamais accordé[es] que pour concourir à sa perte . M[onsieu] r Fouquet portait un écureuil dans ses
t mieux mérité qu’eux. Cette promotion du marquis de Cœuvres causa la perte d’un des plus braves et des plus expérimentés off
é et leur expérience. M.de Pontchartrain ne connut l’importance de sa perte qu’après qu’il ne fut plus en état d’y remédier ;
et outre leur profit ils ont encore pour eux le plaisir de cacher la perte sincère de l’Etat. C’est là savoir son métier. A
tre tous les jours anglicanisés m’ont parfaitement convaincu que leur perte vient d’eux-mêmes. Je puis dire qu’en 1684 j’en d
meilleure fut vendue douze cents francs ; et c’est ce qui a causé la perte de l’habitation. Bergier fut remercié de ses bons
oulaye aimait la joie, et que son attache aux plaisirs avait causé la perte de la colonie et la sienne propre. Voici le fait.
re où je fus lorsque j’appris l’aventure. On ne s’en étonna point, la perte était pour moi d’assez grosse conséquence pour ne
en boucher l’accès. Je le répète encore, la France ne connaît pas la perte qu’elle a faite. J’ajouterai que M. de Seignelay
ut le monde si il avait trouvé les affaires moins délabrées. Mais les pertes que le France avait faites et les progrès des enn
ous en général tâchaient de s’exempter de taxe. Une maison bâtie, une perte sur mer, une banqueroute, un fils établi, une fil
ain, c’est-à-dire que les victoires et les conquêtes des ennemis, les pertes de la France, la pauvreté du peuple, la chute du
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
; au nom de Dieu ayez pitié de vous-même. —  C’est vous qui causez ma perte , reprit-elle en pleurant, sortez d’auprès de moi,
nt se dire de plus tendre et de plus passionné. Célénie qui voyait la perte qu’elle allait faire s’abandonnait à sa douleur,
aloux, resta en vie : enfin ne pouvant plus résister au chagrin de sa perte , ni au désespoir d’être l’objet des railleries pu
7 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
u’un roulis a jeté dessus. On ne s’est aperçu qu’aujourd’hui de cette perte , parce qu’on n’a pas descendu plus tôt dans notre
se de la moitié du bras, lui a chatouillé le corps à trois reprises à perte d’haleine, & l’a tapé en matelot volé & p
que celui d’hier ; & qui, outre cela, a fait une bien plus grande perte  : aussi l’a-t-il accommodé en chien renfermé. Je
avait la gueule ouverte. Il fit une infinité de bonds, & enfin la perte de son sang le fit tomber sur le dos. De nos mate
u brigandage du banqueroutier, qui très souvent entraîne après soi la perte de plusieurs malheureux qui lui ont confié tout l
miner & de bien prendre garde à ne se pas méprendre, parce que la perte ou le gain de son procès en dépendait. Rupli le f
ert avec le gouverneur de Bengale ; ce qui n’a pas peu contribué à la perte de celui-ci. J’en ai déjà parlé. Je ne sais si Sé
orcé à succomber sous les armes que lui-même aurait préparées pour sa perte . Qu’à l’égard de cette surprise, il ne voyait pas
, qui ont déchiré la robe de Jésus-Christ, & ont presque causé la perte de l’Église naissante, sont obligés de se soumett
partie du salpêtre dont il était chargé ; ce qui est une bien grosse perte , surtout en temps de guerre : &, par leur pro
ut l’éclat ayant dû être fait, ne m’étant aperçu qu’à Rotterdam de la perte de cette lettre, que je croyais avoir mise avec m
urs devant les yeux le jour funeste pour moi de la mort de mon père : perte toujours présente & nouvelle à mon esprit.
mp; lui voulaient partager par moitié ; richesses, unique cause de la perte de Siam, de nos lâchetés, de la mort du roi de Si
estinait au marquis Des Farges en l’épousant ; richesses, cause de la perte de la femme & du fils unique de M. Constance,
s, quoiqu’ils fussent quatorze navires de guerre. C’est dommage de la perte de Saint-Christophle : c’est celle des îles qui p
t. Ces habitants de Saint-Christophle ne se relèveront jamais de leur perte  ; car, quand on leur rendrait leurs terres, comme
e bas ; & que si on avait voulu les décharger, il y aurait eu une perte considérable de salpêtre & d’autres marchandi
ais fondée sur ses bontés pour moi. Je ne regrettai que lui, & la perte que la France faisait d’un homme qui commençait à
ssus, & ne pense à M. de Seignelay que les larmes aux yeux. Cette perte , que j’attendais si peu, fut sue de tout le monde
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
mps achevèrent de la rompre, outre que je voyais bien moi-même que ma perte était infaillible si je ne changeais de vie. Je m
usse souffrir, je me priverais de la voir, crainte d’être cause de sa perte . Elle trouva ma réponse bien indifférente et bien
de me rencontrer et de me voir. Je vous avoue, poursuivit-il, que la perte de ce collier me revient sans cesse dans l’esprit
d’une femme si aimable ; et eut un regret sincère d’être cause de sa perte . Tant d’événements... Dupuis fut ici interrompu p
e avérée la rendit plus chère à Des Frans, qui fit des regrets sur sa perte aussi touchants, que si elle ne fût venue que d’a
a voyant plus, je me désaccoutumai de l’aimer. Pour me consoler de sa perte et du chagrin de voir mes amis dispersés l’un dan
ux ? N’étais-je pas assez malheureux sans me faire connaître toute la perte que j’avais faite ? C’en est fait, Madame, ajouta
fait que se mettre dans l’unique chemin où il pouvait la trouver. La perte d’un si bon ami et d’un si saint homme me fut ext
y a si peu de temps que cette fâcheuse aventure est arrivée, et cette perte sera si longtemps nouvelle dans le cœur de Madame
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
ne femme ? Pardi pour une de morte mille retrouvées. Allez, allez, la perte n’est pas grande, je voudrais bien qu’il m’en fût
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
t bientôt consolée ; et en effet elle ne faisait pas une assez grande perte pour la regretter longtemps. Sa tante lui avoua q
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
au, il ne pouvait sortir de la profonde mélancolie que lui causait la perte de sa princesse. La défense que Parafaragaramus l
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
n’avaient pas été les maîtres, et qu’ils n’étaient point cause de sa perte  ; à faute de quoi ils étaient punis comme des vol
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
e Valerio, sans aucun danger pour la vie, et uniquement épuisé par la perte du sang ; mais que pour Deshayes il avait plus be
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
n’en avait pas pu sortir, le pont-levis n’étant pas encore baissé. La perte de son cheval renouvela toutes ses doléances et s
15 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
i, qui étais en classe lorsque mon père mourut, je sentis vivement sa perte  ; et je la sentis bien davantage lorsque je vis q
à embrasser un état de vie, où je trouverais, à ce que je disais, la perte de mon âme. Que les sentiments que mon père m’ava
on faible : ou plutôt je ne savais pas que mon étoile avait résolu ma perte , et que j’étais destiné à savoir et à connaître l
après, me fut trop sensible pour songer à autre chose qu’à pleurer la perte que je faisais d’une si bonne et si généreuse pro
ité contre vous, puisqu’il vous a choisi pour être l’instrument de la perte de mon innocence. C’est le seul remords que je vo
avait de laisser dans le monde un amant en état de se consoler de sa perte  ; et franchement sa pénitence, selon mon sens, n’
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
ux pieds du tendre chevalier, qui l’en empêcha, et qui ne put voir la perte qu’il faisait d’une si belle personne sans répand
17 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
’ils m’autorisaient à le livrer à cent sols, ce qui était un tiers de perte . Voyant de ma part qu’il n’y avait point de plus
angerie que dans la ville ; que cela les mettait au désespoir, par la perte terrible qu’ils y faisaient, ayant fait leur marc
vous m’aviez vu à Paris. J’en vas faire ôter le galon : du reste, la perte n’est pas grande ; car, outre qu’il y a près de q
eilleurs humains du monde, n’a pas paru dans sa gaieté ordinaire : la perte du matelot d’hier lui tient au cœur. La latitude
dévotion, et plus encore de la véritable douleur que nous avons de la perte de notre capitaine. Mercier, écrivain du roi du F
t mauvaise chère. Il y a aujourd’hui neuf ans que mon père est mort ; perte toujours nouvelle pour moi : je vous demande un D
et en Perse. Et ici, ils prenaient de nos écus français à un tiers de perte  ; c’est-à-dire trois pièces de trente sols pour u
s les espèces et en font des lingots ; et qu’ils trouvent un tiers de perte sur les nôtres. À l’égard de l’altération de nos
ïsme : mais, il s’est sauvé ; et cela lui donne une autre face. Cette perte pour les Anglais est très considérable, ce navire
ses provisions. Quoique le roi ni la Compagnie ne profitent pas de sa perte et qu’au contraire il nous ait fort maltraités, c
t panser à trois reprises, et ayant plutôt obéi à la faiblesse que la perte de son sang lui causait qu’à la douleur qu’il res
a hache dans leurs coffres. Les pauvres sont toujours à plaindre ; la perte n’est jamais que pour eux : dans quelque étal qu’
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
e dans les narines du patient, et soufflèrent chacun leur camouflet à perte d’haleine, ce qui était capable de faire crever u
19 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
e proche d’Offembourg. Je ne vous dirai point quel regret j’eus de sa perte , elle me fut trop sensible pour en renouveler la
ée de tous côtés par toutes les religieuses, qui s’intéressaient à ma perte . Je n’ai pu résister à leurs adulations et à leur
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
mpossible de peindre le désespoir de Sancho lorsqu’il s’aperçut de sa perte , non plus que les transports de sa joie lorsqu’il
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
partement des dames, où chacune le consola le mieux qu’elle put de la perte qu’il faisait d’une princesse si belle et si vert
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
iqu’il ne jouât seulement qu’un fort petit jeu, je prenais part à ses pertes , et le gain qu’il faisait me réjouissait. Je sais
23 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
pour le reste de mes jours. Mais pour rester dans le monde, après la perte de mon honneur et de ma réputation, y rester dans
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