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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
é ce qu’il avait dit, se regardaient l’un l’autre, et ne savaient que penser d’un homme, qui ne passant dans leur esprit que p
t Sancho, il en parlerait comme moi. — Dites-nous donc ce que vous en pensez , lui dit le comte Valerio. — J’en pense, répliqua
tes-nous donc ce que vous en pensez, lui dit le comte Valerio. — J’en pense , répliqua Sancho, que… Je ne veux rien dire à cau
traire, ami Sancho, lui dit la belle Dorothée, dites tout ce que vous pensez , nous ^ vous en prions toutes, et cela servira à
s à ma femme qui ne se corrige de rien, leur dit-il. — Mais enfin que pensez -vous de toutes les femmes ? lui dirent-elles tout
de toutes les femmes ? lui dirent-elles toutes en même temps. — J’en pense , leur dit-il, qu’Adam fut formé de boue, puisque
equel il était étendu, ne purent ébranler sa constance, mais sa femme pensa le désespérer. Et pourquoi ne voulez-vous pas qu’
ui demanda à quel dessein, et il répondit avec plus d’esprit qu’on ne pensait , qu’il y avait quelque temps que son maître étant
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
hé. Il reçut au siège de Charenton trois coups dans le corps, dont il pensa mourir. Tous les sacrements lui furent administré
donne le bonsoir, et sortit sans attendre de réponse. Je vous donne à penser dans quels sentiments il laissa ses auditeurs qui
s une, qui bien loin de nous servir, comme nous nous l’avions espéré, pensa nous perdre sans retour. Ce fut de lui faire parl
issance avait tué l’amour. Je m’étonne encore toutes les fois que j’y pense , comment on put me faire venir jusque-là ; mais o
dit-il, sitôt qu’il la vit, comme elle me le dit le soir même : vous pensez donc, poursuivit-il, qu’un prêtre vous ferait gag
ntie, mais ce n’est pas encore le temps d’en parler. Je vous laisse à penser quels remerciements je lui fis, et combien je lui
e point à ce qu’elle dit, et parle plus juste qu’un autre ne pourrait penser  ; mais ses lettres l’emportent sur tout, j’en sui
ent de Beaulieu avec quelques-uns des mouvements que j’ai, lorsque je pense à vous. Cette lettre acheva le portrait de Madem
Vous ne connaissez pas les filles, elles sont plus fines que vous ne pensez , et se réservent des ressources que le plus fin d
is nous avions à faire à un homme qui ne se gouvernait pas comme nous pensions . L’ardeur dont je lui avais parlé le matin, et l’
fut impossible d’en tirer davantage. Du Pont le père ne savait qu’en penser , le fils était au désespoir de voir ses espérance
naissait ses amis dans le besoin ; qu’il était le mien plus que je ne pensais , quoiqu’il fût bien persuadé que j’aurais voulu l
me cacher une adresse à un nom pareil. Je ne savais que dire, ni que penser . Vous êtes sans doute en peine de savoir ce que c
ois de Mademoiselle Dupuis : je ne sais pas bien moi-même ce que j’en pense à présent, et si vous voulez m’entendre, vous all
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
ue j’avais à vous dire : non, dit-elle, mais je sais tout ce que vous pensez , et je me le tiens pour dit, et le quitta malgré
rage, le sacrifice que je vous en ferais vous assurerait de ce que je pense . Eh bien, dit-elle, faites-le moi, ce sacrifice,
ère, je n’ai fait de vous aucun jugement téméraire : tout ce que j’en pense , c’est que vous êtes avantageusement mariée, sans
cette dame, qu’elles ne connaissaient point. Elles ne savaient qu’en penser , surtout de la confusion où leur paraissait Angél
e de Vougy, et à son écuyer, l’état où elle m’a vue, et ce qu’elle en pense  ; et ceux-ci qui le diront à d’autres, donneront
e moment. Il le fut aussi : le laquais lui dit que sa maîtresse avait pensé mourir la nuit, et qu’elle l’attendait avec beauc
elle est votre parente et votre amie ; au nom de Dieu sachez ce qu’on pense de moi. Je ne demande pas que vous me justifiiez,
rit cette demoiselle, n’en a dit qu’un mot, mais ce mot donne lieu de penser le reste, et tout l’hôtel à l’heure qu’il est, en
t d’honneur. Elle l’est pourtant, dit votre commère, plus que vous ne pensez , elle est très sage, je vous le répète encore ; e
s espériez qu’à la fin elle y succombera. Ce n’est point là ce que je pense , reprit-il, Madame, et pour vous assurer que je n
volonté, elle y était résolue ; et il se retira incertain de ce qu’il pensait , et s’il devait avoir de la joie d’avoir une si p
protection, et peut-être en sentira-t-il des effets plus tôt qu’il ne pense . Cette princesse les retint toutes à dîner, où vo
fortune, parce qu’il est constant qu’elle la mérite. Je vous laisse à penser si elle ne bénit pas la confusion qu’elle a eue a
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
i pût lui donner quelque répugnance, je dirai les choses comme je les pense . Après que nous serons mariés elle et moi, je ser
mal à propos, chacun prit de son côté. Je ne savais où j’étais, et je pensai me casser le cou contre la boutique d’un savetier
que nous l’étions, pour pousser la débauche jusque-là, car ce garçon pensa mourir de peur. Pour exécuter cette sentence, nou
e n’avoir plus de part à aucun divertissement si dangereux, qui avait pensé coûter la vie d’un homme. Voilà de quelle manière
’elle m’en accordât autant. Pour toute réponse à ma proposition, elle pensa me sauter aux yeux. Je l’en empêchai, mais non pa
rières, et moi à mes articles. Quoi, ma belle Demoiselle, lui dis-je, pensez -vous que je sois d’humeur à être votre dupe ? Vou
de la demande que j’en avais faite. Je n’eus garde de dire ce que je pensais là-dessus, ni les termes où nous en étions elle e
des distinctions de ma mère, et de vos mépris pour Célénie. Vous n’y pensez pas, me dit-il, ce que j’en ai dit n’a été que po
-je. Ils ne le sont point assez, reprit-elle, pour exprimer ce que je pense sur vous. J’avoue que ces airs de fierté et de mé
n robe de chambre et lut d’un bout à l’autre ; imaginez-vous ce qu’il pensait . Au diable le paquet, dit-il en achevant, et celu
n lui faisant perdre l’estime de son mari. Je ne sais pas ce qu’il en pense  ; mais elle lorsqu’elle me rencontre, elle ne me
a maîtresse. Je lui dis, après l’avoir engagé au secret, ce qui avait pensé m’arriver avec elle, à l’occasion de sa chienne.
t inspiré de la tentation ? Quand vous ne me l’avoueriez pas, je n’en penserais pas moins. Est-il pas vrai que si vous aviez pu e
dans les plaisirs de l’amour Les bêtes ne sont pas si bêtes que l’on pense . Non, elles ne le sont point ; et je les trouve
rosse. La compagnie était assez nombreuse : chacun en dit ce qu’il en pensait . On disait que son amant lui avait promis de l’ép
a d’éviter la querelle devant vous : mais je ne puis cacher ce que je pense . On donna un siège à cet homme : de quoi parliez-
j’ai fait sans aucun intérêt, lui dis-je. Je ne disais que ce que je pensais  ; mais j’avoue, ajoutai-je, que j’étais véritable
ours : c’était les surprises agréables qu’elle me faisait lorsque j’y pensais le moins ; c’était une déférence entière pour tou
Ronais fut encore pillé pendant la collation, et chacun dit ce qu’il pensait des aventures qu’on venait d’entendre, le lecteur
autrement que les autres, et se terminerait de même. Il n’a néanmoins pensé aboutir qu’à une tragédie dont j’aurais été le hé
e aussi touchants, que si elle ne fût venue que d’arriver. Sa douleur pensa lui coûter la vie dans le moment. Tout le monde l
, sans lui avoir parlé du tout, lorsqu’elle se présenta à moi que j’y pensais le moins : l’aventure qui me la fit voir est asse
mps que je le garde pour être importuné. Vous perdez plus que vous ne pensez , dit-elle, à ne me le pas découvrir. Vous ne gagn
vous Madame, poursuivit-elle parlant à elle, quand vous y aurez bien pensé , vous verrez qu’il est de votre intérêt de ménage
et s’exposa aux menaces de sa maîtresse, et à être chassée comme elle pensa l’être, et comme elle l’aurait été effectivement,
s, et je suis certaine qu’il les approuve, s’il veut dire ce qu’il en pense . J’avoue, Madame, lui dis-je, que je pénètre vos
énitence si sincère et une mort si funeste. Vous connaissez ce que je pense , répondit Des Frans, je ne me souviens plus qu’il
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
nt de la matinée, excepté Don Quichotte qui ne disait pas ce qu’il en pensait . Les Français et les Espagnols qui s’étaient levé
en public ; ainsi lorsqu’ils furent retirés, il lui demanda ce qu’il pensait du combat qu’il avait soutenu le matin contre le
ortir d’un sac que ce qu’on y a mis. Honni soit-il pourtant qui mal y pense . Je ne croyais pas offenser votre bon ami Parafar
dans son lit où il but et mangea à son ordinaire, c’est-à-dire qu’il pensa se crever, en faisant raison le verre à la main à
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
’affectai d’en dire mille fois plus qu’un jaloux effectif n’en aurait pensé . Je la chicanai sur tout, et lui fis comprendre q
le Grandet, ce fut ainsi que je rompis avec elle, et je vous laisse à penser si elle n’est pas en droit de me regarder comme u
e je craignais que tôt ou tard son oncle ne l’engageât, lorsqu’elle y penserait le moins. Que je ne doutais pas qu’elle ne fît to
ce que nous avons fait de contraire aux lois, et qui que ce soit, je pense , ne peut nous en empêcher. Elle et moi devons pre
aujourd’hui même, si faire se peut. L’avis est juste, dis-je, et bien pensé . C’était mon dessein de m’y prendre par cette voi
empêcherez point de déclamer. Vous en avez moins de sujet que vous ne pensez , dit Dupuis. Et quand Monsieur en aurait tous les
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
qui se fit peu après. Pour Bernay, je ne lui cachai rien de ce que je pensais . Je fus satisfait de sa réponse, où il me déclara
sse, dont le mari jaloux avait découvert une partie de l’intrigue, et pensé faire un mauvais parti, depuis peu de temps, à l’
sorte : il se servit de mon nom pour parler à elle. Je vous laisse à penser ce qu’elle devint lorsqu’elle le vit, elle ne lui
sans pouvoir ouvrir la bouche : enfin elle parla, et je vous laisse à penser ce que nous pûmes nous dire. Bernay a été assez s
t mécontente. Si elle était ici, je ne dirais peut-être pas ce que je pense  ; mais puisqu’elle ne m’entend point, je vous avo
 ! dit-il en se retournant, c’est donc toi. Tu sais bien que je ne le pense pas de même, et que ce que j’en dis n’est que pou
on en aurait toute la joie possible : mais pour vous dire ce qu’on en pense , il faut attendre que vous soyez défâché. Commenc
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
ement mon père derrière moi, une treille entre deux. Je vous laisse à penser quel fut mon étonnement. J’eus peine à me remettr
dans un couvent, de quels soupçons ne serait-elle pas dévorée ? Qu’en penserait -elle ? Au nom de Dieu, poursuivit-elle en m’embra
er la vie à votre femme Marie-Madeleine de l’Épine. Je vous laisse à penser à quel excès de colère cette lecture le porta. Le
s supplie, lui dit Madame de Contamine, nous dirons après ce que nous pensons d’une aventure si funeste. Dupuis continua en ces
mère dont il avait juré la perte. Il me fait encore compassion, je ne pense pas qu’on puisse être plus vivement touché. Il me
ont d’accord ; demandez à Monsieur Des Ronais, que voilà, ce qu’il en pense . Hé en effet, reprit Monsieur de Contamine, c’est
is. Eh bien notre ami, lui dit-il, êtes-vous enfin raisonnable, qu’en pensez -vous ? J’en pense, dit-il, que si j’en étais cru,
mi, lui dit-il, êtes-vous enfin raisonnable, qu’en pensez-vous ? J’en pense , dit-il, que si j’en étais cru, je tiendrais la c
9 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
umeurs. Pour mon excuse à ma mère, je lui dis naturellement ce que je pensais . Que quand je devrais être le plus pauvre et le p
ule raison qui me l’a mis à la bouche, sans aucun rapport à ce que je pense . Je ne vous répéterai point la conversation que n
voie si oblique, et lorsque cette dame était morte. Je vous laisse à penser ce que je devins à cette lecture. Tantôt je trait
enu de vos sottises. Je crois que vous me dites sans fard ce que vous pensez . Je ne vous en parlerai jamais : ce serait, comme
Garreau et moi. Ce fut là que j’appris qui j’étais ; je vous laisse à penser avec quelle joie. Elle mit entre les mains de Gar
nous accuse, Garreau, Madame Morin et moi : je vous laisse à présent penser ce qui en est. Pour les pierreries Monsieur d’Ann
ne m’en dites mot ; comment êtes-vous ensemble ? Je vous le laisse à penser , lui dis-je avec un grand air de désintéressement
Vous pouvez vous douter de ce que c’est. Il avait une amourette qui a pensé le perdre, et deux rivaux qui le haïssaient à la
er ; mais je ne laissai pas de sortir le soir même : je vous laisse à penser où j’allai. Il y avait environ six semaines que j
a vérité lui est connue, je n’en veux pas plus : ce que les autres en pensent m’est indifférent. En gardant le secret, outre le
el des femmes, dit Contamine ; je ne sais si je dois dire ce que j’en pense devant Monsieur Des Frans. Oui, lui dit celui-ci 
-dedans quelque chose d’inconnu. * Mon cousin ne dit pas ce qu’il en pense , dit l’aimable Dupuis. Vous ne me faites pas plai
10 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
ant, elle a soutenu son caractère de franchise si longtemps, que j’ai pensé en être la dupe ; mais enfin j’en ai été détrompé
t, continua Dupuis : je suis plus informé de vos affaires que vous ne pensez , mais ne craignez rien, votre secret n’est su que
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
 ; reste dans le premier endroit où tu te trouveras sur terre, et n’y pense qu’à te divertir, à te promener, et à te bien nou
obe blanche que tu portes prouve que tu es sorti innocent de l’enfer, pense donc à te corriger, ou bien compte que la seconde
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
vit de rien, non plus que la douleur qu’il ressentit aux oreilles qui pensèrent aussi d’être arrachées. Il fallut compter les poi
gitation continuelle ; mais le malheureux n’en était pas encore où il pensait  : car un démon dameret, c’est-à-dire fort proprem
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
t qu’elle n’avait pas cru lui devoir refuser cette grâce. Je laisse à penser au lecteur quels étaient pour lors les sentiments
portée cette nuit de son lit jusque dans l’étang du château où elle a pensé mourir de frayeur et de froid : les enchanteurs q
14 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
pareils moments, est de cacher aux yeux des autres ce que le cœur en pense  : surtout après avoir vu devant soi ce qu’on va l
vec cela le Florissant nous abandonnait : c’en était assez pour faire penser à soi. Le commandeur n’en a point été étonné : il
é cette nuit se jeter entre le Lion & lui leur avait donné bien à penser . S’il y a eu de la crainte de côté ou d’autre, el
nt enlevé s’ils avaient été ici. Le commandeur ne dit pas ce qu’il en pense , mais il n’est pas fort difficile de le deviner :
ue des êtres matériels & des machines ; qu’il me prouve qu’ils ne pensent pas, donc qu’ils ne sont pas ; en un mot, que le
t cela seul qui m’empêchait de me mettre entre ses mains. Je laisse à penser ce que pensait lui-même un carabin de Saint-Côme
i m’empêchait de me mettre entre ses mains. Je laisse à penser ce que pensait lui-même un carabin de Saint-Côme d’un homme tant
bout. Il a dit à La Fargue ce qu’il avait vu & celui-ci a encore pensé le battre. Il ne s’est pas rebuté & est reven
ar conséquent, je suis convaincu qu’il est vrai. Mais si les bêtes ne pensent point, et par conséquent qu’elles ne soient rien 
oient rien ? J’avoue que Descartes me choque, avec sa définition : Je pense , donc je suis. Il est certain que, si les bêtes a
s eussent pu se faire entendre, elles lui auraient pu répondre : Nous pensons , donc nous sommes. Si ces bêtes ne sont que des m
ont accompagnées, en partie, de charbons de peste, qui m’en font plus penser que je n’ose en dire. Il y a des navires dans l’e
out cela ne s’est trouvé ; &, pour dire naturellement ce que j’en pense , c’est que notre aumônier a profité de tout. Je n
ces abus. Il ne faut que lire ce qu’en écrit un savant capucin, qui a pensé y être grillé, & qui se plaint de l’ignorance
politiques & trop concertés pour dire naturellement ce qu ils en pensent  ; mais on le connaît assez, pour peu qu’on sache
ous venez de dîner. Elle est présente & peut vous dire ce qu’elle pense  ; mais, je ne crois pas qu’elle regrette, non plu
core quatre pleins, dont nous tirerons encore notre part. Je laisse à penser si cela s’est fait sans rire. L’aumônier a pourta
capable d’avoir jamais de commandement sur les vaisseaux du roi. J’ai pensé y refuser mon ministère : &, sans M. de La Ch
e utilité le commerce était à la France. Je passe là-dessus, & ne pense à M. de Seignelay que les larmes aux yeux. Cette
, auquel le paquet était adressé, & qui n’était instruit de rien, pensa gâter le mystère. Il eut l’imprudence d’ouvrir le
ort sobrement & en honnête homme. Vallière, qui savait bien qu’en penser , ne prit pas le change, & résolut de pousser
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
nheur de rompre l’enchantement qui vous retient. Sancho ne savait que penser de cet article, c’est pourquoi il ne voulait pas
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
joie fut au-dessus de toute expression. En effet cette bonne nouvelle pensa lui faire perdre le peu de raison qui lui restait
17 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
n’étions pas accoutumés à une pareille musique nous ne saurions qu’en penser . Le Dragon nous a déjà fait perdre plus de cent l
nés l’un de l’autre de la portée d’un pistolet, ainsi je vous donne à penser le fracas que nous lui fîmes. Tout son monde se m
séquent font de l’eau de toutes parts en si grande quantité, que j’ai pensé deux fois y être noyé étant une fois tombé à la m
e pareils moments est de cacher aux yeux des autres ce que le cœur en pense , surtout ayant vu devant soi ce que vous lirez da
cela, on voyait le Florissant nous quitter : c’était assez pour faire penser à soi. Monsieur de Porrières n’en a point été éto
été cette nuit se jeter entre lui et le Lion leur avait donné bien à penser . S’il y a eu de la crainte de côté ou d’autre j’e
t s’ils avaient été ici. Monsieur de Porrières ne dit pas ce qu’il en pense , mais je crois que s’il avait été le maître, et q
rtie accompagnées d’espèce de charbons de peste qui me donnent plus à penser que je n’en dis. Il y a un de nos vaisseaux, qui
urs les missionnaires ; ils sont trop discrets pour dire ce qu’ils en pensent , mais pour peu qu’on sache connaître les secrets
rentes montagnes qui font du feu lorsqu’il paraît quelque navire. Que pensent -ils ? Je crois qu’ils enragent de n’être pas en é
me souvenir que les gens du Dragon nous ont dit que le Gaillard avait pensé les aborder dans le mauvais temps du commencement
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
ayant reconnus, en fut en même temps surprise et réjouie. On laisse à penser au lecteur les remerciements qu’elle leur fit, et
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
nt : Non, non, ma fille, lui dit-elle, je vois plus clair que vous ne pensez  ; je ne vous fais point de reproches de ce que vo
calier, où il l’aborda avec trop d’embarras pour bien cacher ce qu’il pensait . La belle-mère ne fit pas semblant de s’en aperce
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
ente par l’espérance, mais il ne meurt pas par le désespoir. Verville pensa mourir de douleur et de rage, lorsqu’il ne put pl
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
u’on ne le sache pas, je n’y ai fait aucun mal ; honni soit qui mal y pense , bonne renommée vaut mieux que ceinture dorée. Il
22 (1721) Mémoires
erti ; les uns ont eu des charges militaires et de robe, d’autres des pensions , et d’autres ont été autrement récompensés. Mais
l’ordinaire, s’en formait des idées chimériques. On n’avait garde de penser que ce fût au sujet de M. Fouquet : qui que ce so
et ce monarque, sans s’embarrasser de ce que ses sujets en pouvaient penser , alla toujours son chemin. Dans ce lieu tout rem
stance des troupes tant de terre que de mer, et en fit tant que Paris pensa en être affamé. Cela excita une espèce de méconte
distribution, sauf son droit de vacation et de présence. On laisse à penser de quelle manière le Roi était volé par des gens
que j’avons été ensemble valets du bourreau de Pontoise ? Je laisse à penser à tout lecteur dans quel embarras était cet homme
la potence. Tout le public fut indigné d’une pareille exécution ; il pensa même y avoir une révolte. Monsieur et Madame d’Or
23 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
r qu’on n’a touché à rien. Les matelots sont plus subtils que vous ne pensez , lui repartit M. du Quesne, et surtout les matelo
: je vous assure par avance qu’il vaudra mieux que ce que vous pouvez penser . Je parle à M. Charmot, aussi bon philosophe que
ise, tremblassent ; ce serait une impiété de le croire, et même de le penser . Le Sauveur avait prié pour eux tous, et pour ell
ment pas bon orateur, et je ne suis pas le seul qu’il ait ennuyé : il pense fort juste ; mais son élocution ne répond point à
Espagne. Il tomba à deux pas de moi. Mon cheval en fut renversé et je pensai être tué. Je restai plus d’une grosse heure à ter
bien la différence de l’union, et de la discorde, et de ce que devait penser de sa propre conduite un homme qui se faisait uni
a ri aussi ; mais, du bout des dents, comme saint Médard. Je laisse à penser les plaisanteries qu’il a fallu qu’il ait essuyée
ui défendre l’usage du vin et de l’empêcher d’en boire à dîner : il a pensé le battre, et nous a donné une nouvelle comédie.
ée pour la belle Hollandaise : M. de Porrières, le Juif et moi, avons pensé le désespérer en lui prouvant par bonnes raisons
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
iron une heure après nous dans l’hôtellerie où nous étions. Silvie en pensa mourir de frayeur ; mais on la remit, en lui fais
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