nt favorisé. Silvie s’en aperçut, en ce que Verville ne parla plus de
partir
, et qu’au contraire il voulut rester pour jouir d
e là. Elle lui fut accordée, et Cléon se chargea de l’y conduire. Ils
partirent
en effet le lendemain dans une chaise de poste av
on ne prit que le temps d’écrire à la Supérieure de ce couvent qu’ils
partaient
, et de quelle manière elle devait la faire sortir
qu’elle vînt les trouver dans l’hôtellerie qu’il leur indiqua. Il fit
partir
un homme exprès avec ordre d’aller plus loin, afi
s comme il aurait fait s’il était revenu sur ses pas ; après quoi ils
partirent
. Pendant le chemin, le beau-père félicita son gen
le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. On
partit
le lendemain pour aller au château du duc de Médo
fut sorti de table, il prit congé de la compagnie, qui se disposait à
partir
. Avant que de la conduire au château du duc de Mé
icier neveu du curé, qui était chez son oncle lorsque nos aventuriers
étaient partis
de leur village, et qui s’y trouva encore quand o
qui était bien recommandé. Sitôt que tout fut résolu, le duc les fit
partir
pour son château, avec ordre de mettre tout en ét
s’être battu contre Sancho à coups de poings. Tout étant disposé pour
partir
, Sancho chargea Rossinante et Flanquine de tout l
hotte écrivit au curé pour tous après avoir écrit pour Sancho. On fit
partir
un exprès le soir même pour la famille de Sancho,
honnêtes gens de l’enfer sont réjouis que tu aies consenti à laisser
partir
Dulcinée, et disent que c’est la plus glorieuse v
ait reçu des nouvelles de Naples, qui lui apprirent que le marquis en
était parti
pour se rendre à Madrid suivant les ordres de la
le son époux lui donnait rendez-vous à Madrid. Elle se disposa donc à
partir
avec les deux ducs espagnols et Valerio qui y éta
ui-ci aurait faite à sa femme. Ils cherchaient les moyens de le faire
partir
de son bon gré, afin d’ôter de devant les yeux du
mmencer aussitôt qu’il serait arrivé, et que dans le moment on ferait
partir
un courrier pour Naples. La marquise tout à fait
t enfin il acheva de mettre en repos l’esprit de la marquise, qui fit
partir
deux courriers dans le moment même, pour les port
voulu entrer, qu’enfin elle lui avait écrit de Toulouse même qu’elles
partaient
pour Madrid ; mais qu’elle ne s’en repentait poin
uelque temps ; mais le Roi ne nous consulta pas ; nous eûmes ordre de
partir
dès la fin de janvier, temps mal propre pour fair
utumé les troupes d’attendre la saison ; il fallut donc se résoudre à
partir
. Je ne voulus pas faire la campagne sans voir Clé
m’y suis trompée ? Venez me voir encore si vous pouvez, puisque vous
partez
demain, je ne m’y attends plus. Que vais-je deven
vu que pour vous perdre ? Vous m’aviez promis de me tirer d’ici, vous
partez
et vous m’y laissez ! Ne deviez-vous pas me mettr
ue vous ferez, et revenez le plus tôt qu’il vous sera possible. Nous
partîmes
le lendemain, Bernay et moi, reprit Terny. Nous a
résolue que je ne l’espérais ; et le jour fut pris pour en sortir, et
partir
le lendemain. Si je l’avais emmenée dans le momen
si je n’étais point à Londres. Il jura de ne point perdre de temps et
partit
en effet le même jour. Heureusement il avait été
chose à mon agent auprès de sa sœur. Une bonne demi-heure après qu’il
fut parti
, je remontai sur un cheval frais, je pris le chem
ient aller souper à Versailles, ils prirent congé de la compagnie, et
partirent
. En vérité, dit Madame de Contamine, après qu’ils
n eurent pris tout le plaisir qu’ils en pouvaient prendre, le duc fit
partir
son maître d’hôtel. Celui-ci qui était avec quatr
de pied déguisés en satyres, auprès de l’arbre où le duc était monté,
partit
au premier signal, et marcha à nos aventuriers, q
ncho, poursuivit l’enchanteur après que le chevalier aux armes noires
fut parti
, tu n’as fait que ce que tu as dû faire, et je te
és évangéliques ; car l’Évangile n’était point encore écrit lorsqu’il
partit
pour sa mission ; & les quatre évangélistes n
érait, & nous avons été toute la journée la sonde à la main. Nous
sommes partis
de France six vaisseaux de compagnie : nous ne no
endue ? J’en ai dit mon sentiment à M. Blondel notre commissaire, qui
est partie
souffrante, plaignante, & à plaindre. Il est
oche de nous. Ils étaient accompagnés d’un petit navire portugais qui
était parti
de Madras le 28 août dernier, trois jours après n
tugais, qui était aussi à Madras lors de notre combat, & qui n’en
est parti
que douze jours après. Nous avons su de lui que l
ue par soubriquet on nommait Dur-à-cuire, vint m’avertir qu’on allait
partir
; Malroi lui dit de laisser mon cheval, & ne
en peine du reste, parce qu’il me conduirait plus de deux lieues. Il
partit
donc, & tous ces messieurs avec lui ; & m
nte-deux hommes sur ce navire, tant à Négrades que depuis que nous en
sommes partis
. Si le commandeur, qui n’aime guère ni M. Joyeux,
sons faciles à deviner. Dès la pointe du jour du lendemain, Monicault
partit
pour Versailles avec Rupli, bien instruit de ce q
s peine qu’elle a réussi. Il y avait vingt-deux ans & plus, qu’il
était parti
sans dire adieu à sa femme & sans lui dire où
n’en avaient sur les carpes qu’elle revendait. La mère & la fille
partirent
par les premiers vaisseaux, avec un train de prin
lle l’employa à avertir l’abbé de ne pas manquer de venir sitôt qu’il
serait parti
. Il revint chez lui, se coucha, & se leva à d
lant de monter sur un, & donna son manteau à un homme aposté, qui
partit
avec les chevaux & ferma la porte, qui fit en
e son affaire avait lait dans tout Paris. Il me dit qu’il comptait de
partir
de Pondichéry avec le gendre de M. Martin, qui de
le en versa qui me parurent sincères, lorsqu’elle apprit que j’allais
partir
. Celle-ci, qui est mahométane, mangeait de la via
&, après plusieurs entretiens particuliers avec le Père Tachard,
sont partis
avec les ballots pour aller à Madras, où ils sont
à M. Martin : il me dit qu’il la savait bien. Enfin, sur le point de
partir
au mois de janvier 1688 pour venir ici, j’allai p
nvaincu que, si je quittais avec peine la Persane, elle ne me vit pas
partir
sans chagrin. Je soupai avec le cocu, & ne le
est vous qui êtes cordelier. L’officier avec qui vous avez soupé hier
est parti
ce matin à porte ouvrante : &, ma foi, c’est
devenus mari et femme. Qu’après cela, il avait tout mis en œuvre pour
partir
; qu’il avait pris des lettres de change à Paris
me ardeur que j’avais pour elle, elle fut la première à me presser de
partir
pour aller goûter ailleurs avec tranquillité des
de ce côté-là une affaire immanquable. Je m’étais assuré avant que de
partir
d’un zélé huguenot, à qui j’étais sûr que je pouv
nglais rebutés se retiraient ; mais il ne crut pas devoir les laisser
partir
sans les attaquer à son tour. Il fit virer de bor
es Anglais, encore plus forts que lui de vingt-huit hommes, & qui
étaient partis
la veille de Saint-Christophle au nombre de trois
les rangs une corde d’amorce ; & celui qui gouverne l’orgue fait
partir
plus ou moins de coups ; & le tout étant posé
avant la messe, vu l’île de l’Ascension, dont je parlerai quand nous
serons partis
, comptant d’être à terre vers les deux heures apr
Je me voyais trahi ou abandonné, & je pris soudain résolution de
partir
& de joindre la douceur avec la gravité pour
ur ne pourrait s’empêcher d’en rire. ) Environ six semaines après, il
partit
en bonne compagnie, enfilés les uns aux autres co
n boulanger jusqu’à Châtres, où il retournait vuide ; et le lendemain
partit
avec des rouliers, qui pour peu de chose la condu
ste de notre escadre arriva au Fort Saint-Pierre le 8, & l’Écueil
partit
du Fort-Royal le 20, & le même jour nous nous
ie, après avoir passé à l’île de l’Ascension le lendemain que nous en
partîmes
. Il faut être ce que nous sommes les uns aux autr
u’à avant-hier au soir ; & n’en est sorti que parce qu’il a fallu
partir
. S’il n’est pas content, la corde est au puits. M
e d’honneur d’une des plus grandes dames de France. Mentais-je ? Nous
sommes partis
du Fort Saint-Pierre vers les dix heures du matin
e ce qu’il aurait fait. Celui-ci, qui n’y entendait point de finesse,
partit
en bon Poitevin. Bernard lui donna de l’argent po
erre, mandé par l’intendant. Ses affaires étant faites, il résolut de
partir
dès le lendemain matin ; & comme Bernard avai
nt du tour, & voulant régaler M. de la Sérénade, dit qu’il allait
partir
, quoique ce ne fût nullement son dessein. Et voul
l. N’y allez pas, si vous m’en voulez croire, & faites semblant d’
être parti
, lui répondit la rusée femelle. D’où vient ? lui
lui, qu’il soupçonnait Bernard, & qu’il était résolu de ne point
partir
sans frotter l’échine de l’acteur, fût-ce un diab
Pierre, & revint sur ses pas, disant à tout le monde que son mari
était parti
. Elle alla trouver Bernard, auquel elle dit l’éta
arait pour Vallière. Celui-ci, aux écoutes, apprit que le charpentier
était parti
. Il ne le dit point à Bernard : au contraire, pré
vait remis le paquet ; mais qu’il était si tard qu’il avait refusé de
partir
à l’entrée d’une nuit fort obscure, & qu’il n
t refusé de partir à l’entrée d’une nuit fort obscure, & qu’il ne
partirait
que le lendemain deux heures avant jour. Bernard,
nt j’ai parlé ci-dessus. Je remets mes compliments à ma lettre qui va
partir
, & me renferme à vous assurer que je suis, et
e d’un ambassadeur, comme vous me l’avez déjà proposé. Je suis prêt à
partir
. Je suis fort aise, me dit-elle, de vous voir rev
à plus de quatre fois à me faire insulte, s’il était à Paris, mais il
est parti
il n’y a que huit jours pour aller aux Eaux de Ba
dame, lui dis-je, avez-vous eu la bonté de voir Messieurs Des Frans ?
Partirai
-je bientôt pour leur service, ou pour ma seule sa
te fois-ci de bonne foi : mais enfin je m’en suis rendu caution. Vous
partirez
dans quatre jours avec Monsieur le cardinal de Re
imerais indigne de vous, si je n’exécutais pas ce qu’il m’ordonne. Je
pars
plus vivement pénétré de votre tendresse que je n
semble que je retarde le courrier ; qu’il n’attend que ma lettre pour
partir
, et qu’il ne sera pas si tôt à Grenoble qu’il le
ue c’est autant de temps que je me vole à moi-même, puisque vous n’en
partirez
qu’après son arrivée. Je reçus la lettre et l’ar
renvoyer la lettre et l’argent de ma mère, afin qu’elle crût que je n’
étais parti
de Grenoble, qu’après avoir reçu moi-même l’un et
r à six lieues de Paris avec des gens instruits de notre secret. Nous
partîmes
à six heures du matin dans un carrosse de louage,
rer par quelques endroits que vous ignorez ; et outre cela lorsque je
suis parti
de Paris, c’était une des plus belles personnes d
ait le savoir par elle-même. Monsieur le commandeur de Villeblain qui
était parti
de Paris dans le temps de son déménagement, et qu
de la joie qu’elles étaient contentes l’une de l’autre. Le commandeur
partit
peu de temps après pour retourner à Malte, où il
tre mariage ; ce qui aurait été fait, si je n’avais pas été obligé de
partir
promptement sur le point que tout allait éclater.
n de n’être point obligée de la voir ni de recevoir ses visites) elle
partit
le jour même pour aller à vingt lieues de Paris c
ivit que la punition était trop rude, et qu’elle l’aurait empêchée de
partir
de Paris si elle l’eût prévue. Elle me conseilla
t m’en tire encore tous les jours. Ah Dieu ! m’écriai-je en la voyant
partir
, se peut-il qu’un amour autrefois si tendre et si
i ce fut, il faut se souvenir que Don Quichotte avait vu avec chagrin
partir
Sancho, pour soutenir contre tout le genre humain
tenir contre tout le genre humain la beauté d’Eugénie. Aussitôt qu’il
fut parti
, notre héros avait été se promener, et du parc de
ondance secrète, et s’être fait l’une à l’autre mille amitiés. Silvie
partit
le lendemain à la pointe du jour, sans dire à per
où il était. Cette nouvelle, continua-t-elle, obligea la marquise de
partir
la nuit même avec Sainville, pour aller à Saint-G
fin elle vit bien que le seul parti qu’elle avait à prendre, était de
partir
pour l’Espagne avec les recommandations qu’on lui
t-à-dire la marquise, Sainville, une femme de chambre et moi, et nous
partîmes
quatre jours après le départ de Silvie. Cependant
cune peine, et auquel il aurait été très dangereux d’en imposer. Nous
sommes partis
ce matin vendredi 24 février 1690 de l’Orient de
ême lieu d’où je vous écris à présent. Vous savez que sur le point de
partir
nous eûmes ordre de la cour de nous rendre à Bres
nquait ; et, comme j’ai dit et que vous le savez, nous étions prêts à
partir
lorsque nous reçûmes ordre de nous rendre à Brest
ue la Compagnie fût informée. Je vas travailler à mon paquet. Nous ne
sommes pas partis
: le vent d’Est-Nord-Est, qui soufflait bon frais
enir sur nos pas. Nous sommes arrivés à cinq heures du soir d’où nous
sommes partis
ce matin. Je vas à l’Amiral avec M. Hurtain, au s
où il faut du mouvement. M. du Quesne arrive. Nous allons déjeuner et
partir
pour le Port-Louis ; le vent du Sud-Ouest continu
rrir en prison, et que si les vaisseaux n’étaient pas sur le point de
partir
, il l’y enverrait, du moins, jusqu’à ce qu’il eût
qui peut affraîchir. Si cela eût été, c’eût été un vent fait, et nous
serions partis
dès mardi dernier du mois passé ; mais le vent s
cherchant que querelle, je me suis mis à lui chanter au nez : Allez,
partez
, belle Hermione : Allez exécuter ce qu’un rat vou
sagers. Ils étaient venus trop tard pour s’embarquer ; notre chaloupe
était partie
; ils sont venus souper avec nous. C’est là qu’il
rt de l’aube, l’escadre serait sous les voiles. Est-il possible qu’il
fût parti
sans chirurgien ? Quoi qu’il en soit, entendant b
ars 1690 Oh ! ma foi, pour le coup le voyage est en train, et nous
sommes partis
; le vent de Nord-Est continue. Nous avons porté
e, qui l’avertissait qu’il était en Sicile et qu’il se préparait à en
partir
pour aller sur les côtes de Naples. Le vent de tr
ois navires hollandais y avaient faite avant notre arrivée, et qui ne
sont partis
d’ici que mercredi dernier, c’est-à-dire trois jo
ue c’est ; mais je ne dois pas m’en mêler. M. du Quesne et le jésuite
partirent
ensemble, tous deux fort bien montés : le commiss
ondu ; mais, c’était à la ville : si vous me l’aviez dit avant que de
partir
d’ici, j’aurais emporté de l’argent ; mais ces ge
nir de celle que nous aurions pu faire des Anglais et Hollandais, qui
étaient partis
de Saint-Yago peu avant que nous y arrivassions,
du lieu où ils croyaient être et les ramène du côté de l’Est d’où ils
sont partis
; et qu’au contraire, lorsqu’ils sont pris des ca
ins n’y seraient point épargnés. Il n’a voulu ni boire, ni manger, et
est parti
en nous disant de ne point obéir au signal qu’il
ière a voulu lui parler : il lui a tourné le dos sans le regarder, et
est parti
. Que de mortifications, que de chagrins sa folie
t contraire, et nous avons remis à l’ancre à quatre lieues, d’où nous
sommes partis
ce matin : et M. du Quesne, qui ne veut pas perdr
s avoir dit ce qui était arrivé à notre chaloupe. À peine avions-nous
été partis
de l’Écueil que le commandeur avait envoyé la cha
able de mon voyage aux Indes, je la commence dès aujourd’hui que nous
partons
de Groye, et vous promets que, si Dieu me conserv
un assez bon vent de Nord-Est. C’est avec beaucoup de chagrin que je
pars
sans vous avoir écrit pour prendre congé de vous.
Du dimanche 26 février à 5h du matin Je l’ai bien prévu, nous ne
sommes pas partis
; je vais à Lorient, j’emporte mes lettres avec m
rouvé ici tout le monde qui travaillait. Le vent est bon, nous allons
partir
, il est trois heures après midi. Avant que de me
écris : il est sept heures du soir. C’est bien aller depuis que nous
sommes partis
de France, mais Dieu nous protège ; en effet la C
emande dans le monde, et outre cela ce ne sont point mes affaires. Il
partit
et alla bien monté. Pour moi j’eus mille pensées
pas ; ainsi je ne vous en dirai rien, sinon que les trois navires qui
étaient partis
de Saint-Iago trois jours avant que nous y arriva
t nous sommes obligés de mouiller à trois lieues ou environ d’où nous
sommes partis
, crainte que les courants ne nous jouent quelque
uit, vous voirez bien que mon empêchement était légitime. Nous [nous]
partîmes
hier matin de Moali où nous avions remouillé. Le
remis à vous écrire tout ce que je sais de ce pays-ci lorsque nous en
serions partis
, et comme nous avons mis ce soir à la voile, je v
che de nous. Ils étaient accompagnés d’un petit navire portugais, qui
partit
le 28 qui fut le même jour que Monsieur Du Quesne
pourtant être de cette année, car aucun Anglais ni Hollandais n’a osé
partir
des Indes crainte de nous rencontrer dans le chem
emblés. Ils ont passé à l’île de l’Ascension le lendemain que nous en
partîmes
; ils ont trouvé à leur atterrage une flotte angl
y a passé le cinquième. Ainsi on fait peu de dépense en remèdes. Nous
sommes partis
du Fort Saint-Pierre vers les dix heures du matin
que le reste leur fût envoyé pour compagnie. Après cela le lieutenant
partit
, et emmena son gibier, ayant reçu de bons ordres
arquise, la belle La Bastide, le comte du Chirou, Sainville et Silvie
partirent
pour Madrid. Le curé et son neveu, le bachelier S
nt abandonner que je ne vous donnasse congé, et vous êtes tout prêt à
partir
! Où est donc l’honneur de la Chevalerie ? — Vou
s des deux chevaliers. On a dit ci-dessus que comme le duc de Médoc
était parti
de chez lui sans dire à la duchesse ni où il alla
xé au lendemain. Nos chevaliers le savaient et se disposaient aussi à
partir
. Don Quichotte avec plaisir, parce que la vie qu’
auver la vie de sa maîtresse en la dérobant à la rage de son mari qui
était parti
dans la résolution de la poignarder partout où il
ausse Julia, à qui il fit encore de nouvelles leçons de vigilance, et
partit
. Il fut plus d’un mois à son voyage, et pendant t
Julia ne lui dit rien que d’avantageux, et l’assura que depuis qu’il
était parti
elle ne l’avait point quittée de vue, qu’elle ava
près quelque temps d’incertitude, se mit à la raison, et se résolut à
partir
pour la France sitôt que ses forces seraient reve
la compagnie d’un de ses bons amis. Mon père voulut, qu’avant que de
partir
, j’allasse saluer Monsieur d’Alamogne, dans le ré
ne figure. Après le repas je demandai à Grandpré s’il voulait laisser
partir
la belle Récard comme elle était venue ? Que tout
’avais converti et convaincu. Comme ils étaient de province et qu’ils
partirent
huit jours après, cette affaire n’a point fait as
avoir le plaisir de la voir le plus souvent qu’il pourrait. Que vous
étant parti
pour aller à votre terre, dont la maison seigneur
avait tout vendu ; qu’elle avait congédié tout son train, et qu’elle
était partie
avec sa seule fille de chambre et son petit laqua
e venaient à Paris tous les mercredis et samedis matin à la halle, et
partaient
du village toujours à une heure ou deux après min
amedis, et qu’elle viendrait me trouver sitôt que son père et sa mère
seraient partis
, et que le reste de sa maisonnée composée de deux
n peu, notre bon ami Parafaragaramus est trop civil pour nous laisser
partir
à jeun, et si cela est aussi bon qu’il a bonne mi
i, et de l’assurer que je suis revenu son ami autant et plus que je n’
étais parti
. Des Ronais lui demanda quand il reviendrait ; il
vous m’aviez promis d’être de retour dans un mois, je vous ai laissé
partir
sur cette assurance : il s’en est déjà passé quat
it pas petit. Je revins, comme je vous ai dit, plus amoureux que je n’
étais parti
, et dans le dessein de faire tout pour l’épouser.
ine pendant quelque temps, et n’eut point de repos que cette fille ne
fût partie
avec celui qui l’avait épousée. Pour Dupuis il n’
avec elle, et celle-ci a si bien su s’en faire aimer, que lorsqu’elle
est partie
pour aller à une terre proche d’ici, il n’y a pas
jamais, serait ce qui les unirait. Elle se coucha sitôt que Contamine
fut parti
, et rêva à ce qu’elle avait à faire. Elle était r
isait que de s’assoupir. Elle ne voulut pas interrompre son repos, et
partit
avec défense de lui dire où elle était allée, cra
da encore le désolé chevalier et lui défendit de la suivre. Il la vit
partir
dans son carrosse traîné par six chevaux, et plus
ne seraient point protestées, et que tout serait acquitté avant midi.
Partez
vite, dit-il à son fils, vous êtes en état de fai
rdre de l’emmener à Versailles prêter le serment, et de le disposer à
partir
incessamment. 194. Le marquis s’acquitta de sa co
s possibles, et avec la plus grande bonté du monde, lui recommanda de
partir
le plus tôt qu’il pourrait ; qu’il ne s’inquiétât
le feu si vivement sous le ventre qu’il résolut la mère et le fils à
partir
incessamment. 203. Il est à propos de dire que, q
arriva à Brest que le lundi premier juin, six jours après que nous en
fûmes partis
, et trois jours après notre défaite. 232. A Dieu
ui mon testament, j’ai à y changer. Et vous, rentrez quand le laquais
sera parti
. Après le départ de ce laquais, le père parla au
quatre conseillers du Parlement nommés commissaires se disposaient à
partir
incessamment, mais ils restèrent à Paris, parce q
edescendre de son carrosse, et son cocher, qui le croyait dedans, fit
partir
ses chevaux. On sait que les chevaux de ces gens
t faite, je lui en parlai comme si je l’eusse connue toute ma vie. Il
était parti
de Paris avant moi ; cela me donna le champ libre
de mener Monsieur et Madame de Jussy. Monsieur et Madame de Contamine
partirent
ensemble ; Dupuis conduisit Madame de Londé chez
présentement. Allons-y donc présentement, dit Jussy, et là-dessus ils
partirent
. Des Frans et Jussy dans le même carrosse : Dupui
ême carrosse : Dupuis alla prendre Madame de Londé ; et Des Ronais ne
partit
qu’avec Madame de Jussy, qui fit accommoder quelq
e qui m’avait jeté dans l’état où j’étais ; que je n’avais consenti à
partir
avec elle que lorsque je l’avais vue résolue à s’
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