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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
nt favorisé. Silvie s’en aperçut, en ce que Verville ne parla plus de partir , et qu’au contraire il voulut rester pour jouir d
e là. Elle lui fut accordée, et Cléon se chargea de l’y conduire. Ils partirent en effet le lendemain dans une chaise de poste av
on ne prit que le temps d’écrire à la Supérieure de ce couvent qu’ils partaient , et de quelle manière elle devait la faire sortir
qu’elle vînt les trouver dans l’hôtellerie qu’il leur indiqua. Il fit partir un homme exprès avec ordre d’aller plus loin, afi
s comme il aurait fait s’il était revenu sur ses pas ; après quoi ils partirent . Pendant le chemin, le beau-père félicita son gen
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. On partit le lendemain pour aller au château du duc de Médo
fut sorti de table, il prit congé de la compagnie, qui se disposait à partir . Avant que de la conduire au château du duc de Mé
icier neveu du curé, qui était chez son oncle lorsque nos aventuriers étaient partis de leur village, et qui s’y trouva encore quand o
qui était bien recommandé. Sitôt que tout fut résolu, le duc les fit partir pour son château, avec ordre de mettre tout en ét
s’être battu contre Sancho à coups de poings. Tout étant disposé pour partir , Sancho chargea Rossinante et Flanquine de tout l
3 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
hotte écrivit au curé pour tous après avoir écrit pour Sancho. On fit partir un exprès le soir même pour la famille de Sancho,
honnêtes gens de l’enfer sont réjouis que tu aies consenti à laisser partir Dulcinée, et disent que c’est la plus glorieuse v
ait reçu des nouvelles de Naples, qui lui apprirent que le marquis en était parti pour se rendre à Madrid suivant les ordres de la
le son époux lui donnait rendez-vous à Madrid. Elle se disposa donc à partir avec les deux ducs espagnols et Valerio qui y éta
ui-ci aurait faite à sa femme. Ils cherchaient les moyens de le faire partir de son bon gré, afin d’ôter de devant les yeux du
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
mmencer aussitôt qu’il serait arrivé, et que dans le moment on ferait partir un courrier pour Naples. La marquise tout à fait
t enfin il acheva de mettre en repos l’esprit de la marquise, qui fit partir deux courriers dans le moment même, pour les port
voulu entrer, qu’enfin elle lui avait écrit de Toulouse même qu’elles partaient pour Madrid ; mais qu’elle ne s’en repentait poin
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
uelque temps ; mais le Roi ne nous consulta pas ; nous eûmes ordre de partir dès la fin de janvier, temps mal propre pour fair
utumé les troupes d’attendre la saison ; il fallut donc se résoudre à partir . Je ne voulus pas faire la campagne sans voir Clé
m’y suis trompée ? Venez me voir encore si vous pouvez, puisque vous partez demain, je ne m’y attends plus. Que vais-je deven
vu que pour vous perdre ? Vous m’aviez promis de me tirer d’ici, vous partez et vous m’y laissez ! Ne deviez-vous pas me mettr
ue vous ferez, et revenez le plus tôt qu’il vous sera possible. Nous partîmes le lendemain, Bernay et moi, reprit Terny. Nous a
résolue que je ne l’espérais ; et le jour fut pris pour en sortir, et partir le lendemain. Si je l’avais emmenée dans le momen
si je n’étais point à Londres. Il jura de ne point perdre de temps et partit en effet le même jour. Heureusement il avait été
chose à mon agent auprès de sa sœur. Une bonne demi-heure après qu’il fut parti , je remontai sur un cheval frais, je pris le chem
ient aller souper à Versailles, ils prirent congé de la compagnie, et partirent . En vérité, dit Madame de Contamine, après qu’ils
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
n eurent pris tout le plaisir qu’ils en pouvaient prendre, le duc fit partir son maître d’hôtel. Celui-ci qui était avec quatr
de pied déguisés en satyres, auprès de l’arbre où le duc était monté, partit au premier signal, et marcha à nos aventuriers, q
ncho, poursuivit l’enchanteur après que le chevalier aux armes noires fut parti , tu n’as fait que ce que tu as dû faire, et je te
7 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
és évangéliques ; car l’Évangile n’était point encore écrit lorsqu’il partit pour sa mission ; & les quatre évangélistes n
érait, & nous avons été toute la journée la sonde à la main. Nous sommes partis de France six vaisseaux de compagnie : nous ne no
endue ? J’en ai dit mon sentiment à M. Blondel notre commissaire, qui est partie souffrante, plaignante, & à plaindre. Il est
oche de nous. Ils étaient accompagnés d’un petit navire portugais qui était parti de Madras le 28 août dernier, trois jours après n
tugais, qui était aussi à Madras lors de notre combat, & qui n’en est parti que douze jours après. Nous avons su de lui que l
ue par soubriquet on nommait Dur-à-cuire, vint m’avertir qu’on allait partir  ; Malroi lui dit de laisser mon cheval, & ne
en peine du reste, parce qu’il me conduirait plus de deux lieues. Il partit donc, & tous ces messieurs avec lui ; & m
nte-deux hommes sur ce navire, tant à Négrades que depuis que nous en sommes partis . Si le commandeur, qui n’aime guère ni M. Joyeux,
sons faciles à deviner. Dès la pointe du jour du lendemain, Monicault partit pour Versailles avec Rupli, bien instruit de ce q
s peine qu’elle a réussi. Il y avait vingt-deux ans & plus, qu’il était parti sans dire adieu à sa femme & sans lui dire où
n’en avaient sur les carpes qu’elle revendait. La mère & la fille partirent par les premiers vaisseaux, avec un train de prin
lle l’employa à avertir l’abbé de ne pas manquer de venir sitôt qu’il serait parti . Il revint chez lui, se coucha, & se leva à d
lant de monter sur un, & donna son manteau à un homme aposté, qui partit avec les chevaux & ferma la porte, qui fit en
e son affaire avait lait dans tout Paris. Il me dit qu’il comptait de partir de Pondichéry avec le gendre de M. Martin, qui de
le en versa qui me parurent sincères, lorsqu’elle apprit que j’allais partir . Celle-ci, qui est mahométane, mangeait de la via
&, après plusieurs entretiens particuliers avec le Père Tachard, sont partis avec les ballots pour aller à Madras, où ils sont
à M. Martin : il me dit qu’il la savait bien. Enfin, sur le point de partir au mois de janvier 1688 pour venir ici, j’allai p
nvaincu que, si je quittais avec peine la Persane, elle ne me vit pas partir sans chagrin. Je soupai avec le cocu, & ne le
est vous qui êtes cordelier. L’officier avec qui vous avez soupé hier est parti ce matin à porte ouvrante : &, ma foi, c’est
devenus mari et femme. Qu’après cela, il avait tout mis en œuvre pour partir  ; qu’il avait pris des lettres de change à Paris
me ardeur que j’avais pour elle, elle fut la première à me presser de partir pour aller goûter ailleurs avec tranquillité des
de ce côté-là une affaire immanquable. Je m’étais assuré avant que de partir d’un zélé huguenot, à qui j’étais sûr que je pouv
nglais rebutés se retiraient ; mais il ne crut pas devoir les laisser partir sans les attaquer à son tour. Il fit virer de bor
es Anglais, encore plus forts que lui de vingt-huit hommes, & qui étaient partis la veille de Saint-Christophle au nombre de trois
les rangs une corde d’amorce ; & celui qui gouverne l’orgue fait partir plus ou moins de coups ; & le tout étant posé
avant la messe, vu l’île de l’Ascension, dont je parlerai quand nous serons partis , comptant d’être à terre vers les deux heures apr
Je me voyais trahi ou abandonné, & je pris soudain résolution de partir & de joindre la douceur avec la gravité pour
ur ne pourrait s’empêcher d’en rire. ) Environ six semaines après, il partit en bonne compagnie, enfilés les uns aux autres co
n boulanger jusqu’à Châtres, où il retournait vuide ; et le lendemain partit avec des rouliers, qui pour peu de chose la condu
ste de notre escadre arriva au Fort Saint-Pierre le 8, & l’Écueil partit du Fort-Royal le 20, & le même jour nous nous
ie, après avoir passé à l’île de l’Ascension le lendemain que nous en partîmes . Il faut être ce que nous sommes les uns aux autr
u’à avant-hier au soir ; & n’en est sorti que parce qu’il a fallu partir . S’il n’est pas content, la corde est au puits. M
e d’honneur d’une des plus grandes dames de France. Mentais-je ? Nous sommes partis du Fort Saint-Pierre vers les dix heures du matin
e ce qu’il aurait fait. Celui-ci, qui n’y entendait point de finesse, partit en bon Poitevin. Bernard lui donna de l’argent po
erre, mandé par l’intendant. Ses affaires étant faites, il résolut de partir dès le lendemain matin ; & comme Bernard avai
nt du tour, & voulant régaler M. de la Sérénade, dit qu’il allait partir , quoique ce ne fût nullement son dessein. Et voul
l. N’y allez pas, si vous m’en voulez croire, & faites semblant d’ être parti , lui répondit la rusée femelle. D’où vient ? lui
lui, qu’il soupçonnait Bernard, & qu’il était résolu de ne point partir sans frotter l’échine de l’acteur, fût-ce un diab
Pierre, & revint sur ses pas, disant à tout le monde que son mari était parti . Elle alla trouver Bernard, auquel elle dit l’éta
arait pour Vallière. Celui-ci, aux écoutes, apprit que le charpentier était parti . Il ne le dit point à Bernard : au contraire, pré
vait remis le paquet ; mais qu’il était si tard qu’il avait refusé de partir à l’entrée d’une nuit fort obscure, & qu’il n
t refusé de partir à l’entrée d’une nuit fort obscure, & qu’il ne partirait que le lendemain deux heures avant jour. Bernard,
nt j’ai parlé ci-dessus. Je remets mes compliments à ma lettre qui va partir , & me renferme à vous assurer que je suis, et
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
e d’un ambassadeur, comme vous me l’avez déjà proposé. Je suis prêt à partir . Je suis fort aise, me dit-elle, de vous voir rev
à plus de quatre fois à me faire insulte, s’il était à Paris, mais il est parti il n’y a que huit jours pour aller aux Eaux de Ba
dame, lui dis-je, avez-vous eu la bonté de voir Messieurs Des Frans ? Partirai -je bientôt pour leur service, ou pour ma seule sa
te fois-ci de bonne foi : mais enfin je m’en suis rendu caution. Vous partirez dans quatre jours avec Monsieur le cardinal de Re
imerais indigne de vous, si je n’exécutais pas ce qu’il m’ordonne. Je pars plus vivement pénétré de votre tendresse que je n
semble que je retarde le courrier ; qu’il n’attend que ma lettre pour partir , et qu’il ne sera pas si tôt à Grenoble qu’il le
ue c’est autant de temps que je me vole à moi-même, puisque vous n’en partirez qu’après son arrivée. Je reçus la lettre et l’ar
renvoyer la lettre et l’argent de ma mère, afin qu’elle crût que je n’ étais parti de Grenoble, qu’après avoir reçu moi-même l’un et
r à six lieues de Paris avec des gens instruits de notre secret. Nous partîmes à six heures du matin dans un carrosse de louage,
rer par quelques endroits que vous ignorez ; et outre cela lorsque je suis parti de Paris, c’était une des plus belles personnes d
ait le savoir par elle-même. Monsieur le commandeur de Villeblain qui était parti de Paris dans le temps de son déménagement, et qu
de la joie qu’elles étaient contentes l’une de l’autre. Le commandeur partit peu de temps après pour retourner à Malte, où il
tre mariage ; ce qui aurait été fait, si je n’avais pas été obligé de partir promptement sur le point que tout allait éclater.
n de n’être point obligée de la voir ni de recevoir ses visites) elle partit le jour même pour aller à vingt lieues de Paris c
ivit que la punition était trop rude, et qu’elle l’aurait empêchée de partir de Paris si elle l’eût prévue. Elle me conseilla
t m’en tire encore tous les jours. Ah Dieu ! m’écriai-je en la voyant partir , se peut-il qu’un amour autrefois si tendre et si
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
i ce fut, il faut se souvenir que Don Quichotte avait vu avec chagrin partir Sancho, pour soutenir contre tout le genre humain
tenir contre tout le genre humain la beauté d’Eugénie. Aussitôt qu’il fut parti , notre héros avait été se promener, et du parc de
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
ondance secrète, et s’être fait l’une à l’autre mille amitiés. Silvie partit le lendemain à la pointe du jour, sans dire à per
où il était. Cette nouvelle, continua-t-elle, obligea la marquise de partir la nuit même avec Sainville, pour aller à Saint-G
fin elle vit bien que le seul parti qu’elle avait à prendre, était de partir pour l’Espagne avec les recommandations qu’on lui
t-à-dire la marquise, Sainville, une femme de chambre et moi, et nous partîmes quatre jours après le départ de Silvie. Cependant
11 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
cune peine, et auquel il aurait été très dangereux d’en imposer. Nous sommes partis ce matin vendredi 24 février 1690 de l’Orient de
ême lieu d’où je vous écris à présent. Vous savez que sur le point de partir nous eûmes ordre de la cour de nous rendre à Bres
nquait ; et, comme j’ai dit et que vous le savez, nous étions prêts à partir lorsque nous reçûmes ordre de nous rendre à Brest
ue la Compagnie fût informée. Je vas travailler à mon paquet. Nous ne sommes pas partis  : le vent d’Est-Nord-Est, qui soufflait bon frais
enir sur nos pas. Nous sommes arrivés à cinq heures du soir d’où nous sommes partis ce matin. Je vas à l’Amiral avec M. Hurtain, au s
où il faut du mouvement. M. du Quesne arrive. Nous allons déjeuner et partir pour le Port-Louis ; le vent du Sud-Ouest continu
rrir en prison, et que si les vaisseaux n’étaient pas sur le point de partir , il l’y enverrait, du moins, jusqu’à ce qu’il eût
qui peut affraîchir. Si cela eût été, c’eût été un vent fait, et nous serions partis dès mardi dernier du mois passé ; mais le vent s
cherchant que querelle, je me suis mis à lui chanter au nez : Allez, partez , belle Hermione : Allez exécuter ce qu’un rat vou
sagers. Ils étaient venus trop tard pour s’embarquer ; notre chaloupe était partie  ; ils sont venus souper avec nous. C’est là qu’il
rt de l’aube, l’escadre serait sous les voiles. Est-il possible qu’il fût parti sans chirurgien ? Quoi qu’il en soit, entendant b
ars 1690 Oh ! ma foi, pour le coup le voyage est en train, et nous sommes partis  ; le vent de Nord-Est continue. Nous avons porté
e, qui l’avertissait qu’il était en Sicile et qu’il se préparait à en partir pour aller sur les côtes de Naples. Le vent de tr
ois navires hollandais y avaient faite avant notre arrivée, et qui ne sont partis d’ici que mercredi dernier, c’est-à-dire trois jo
ue c’est ; mais je ne dois pas m’en mêler. M. du Quesne et le jésuite partirent ensemble, tous deux fort bien montés : le commiss
ondu ; mais, c’était à la ville : si vous me l’aviez dit avant que de partir d’ici, j’aurais emporté de l’argent ; mais ces ge
nir de celle que nous aurions pu faire des Anglais et Hollandais, qui étaient partis de Saint-Yago peu avant que nous y arrivassions,
du lieu où ils croyaient être et les ramène du côté de l’Est d’où ils sont partis  ; et qu’au contraire, lorsqu’ils sont pris des ca
ins n’y seraient point épargnés. Il n’a voulu ni boire, ni manger, et est parti en nous disant de ne point obéir au signal qu’il
ière a voulu lui parler : il lui a tourné le dos sans le regarder, et est parti . Que de mortifications, que de chagrins sa folie
t contraire, et nous avons remis à l’ancre à quatre lieues, d’où nous sommes partis ce matin : et M. du Quesne, qui ne veut pas perdr
s avoir dit ce qui était arrivé à notre chaloupe. À peine avions-nous été partis de l’Écueil que le commandeur avait envoyé la cha
12 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
able de mon voyage aux Indes, je la commence dès aujourd’hui que nous partons de Groye, et vous promets que, si Dieu me conserv
un assez bon vent de Nord-Est. C’est avec beaucoup de chagrin que je pars sans vous avoir écrit pour prendre congé de vous.
Du dimanche 26 février à 5h du matin Je l’ai bien prévu, nous ne sommes pas partis  ; je vais à Lorient, j’emporte mes lettres avec m
rouvé ici tout le monde qui travaillait. Le vent est bon, nous allons partir , il est trois heures après midi. Avant que de me
écris : il est sept heures du soir. C’est bien aller depuis que nous sommes partis de France, mais Dieu nous protège ; en effet la C
emande dans le monde, et outre cela ce ne sont point mes affaires. Il partit et alla bien monté. Pour moi j’eus mille pensées
pas ; ainsi je ne vous en dirai rien, sinon que les trois navires qui étaient partis de Saint-Iago trois jours avant que nous y arriva
t nous sommes obligés de mouiller à trois lieues ou environ d’où nous sommes partis , crainte que les courants ne nous jouent quelque
uit, vous voirez bien que mon empêchement était légitime. Nous [nous] partîmes hier matin de Moali où nous avions remouillé. Le
remis à vous écrire tout ce que je sais de ce pays-ci lorsque nous en serions partis , et comme nous avons mis ce soir à la voile, je v
che de nous. Ils étaient accompagnés d’un petit navire portugais, qui partit le 28 qui fut le même jour que Monsieur Du Quesne
pourtant être de cette année, car aucun Anglais ni Hollandais n’a osé partir des Indes crainte de nous rencontrer dans le chem
emblés. Ils ont passé à l’île de l’Ascension le lendemain que nous en partîmes  ; ils ont trouvé à leur atterrage une flotte angl
y a passé le cinquième. Ainsi on fait peu de dépense en remèdes. Nous sommes partis du Fort Saint-Pierre vers les dix heures du matin
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
que le reste leur fût envoyé pour compagnie. Après cela le lieutenant partit , et emmena son gibier, ayant reçu de bons ordres
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
arquise, la belle La Bastide, le comte du Chirou, Sainville et Silvie partirent pour Madrid. Le curé et son neveu, le bachelier S
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
nt abandonner que je ne vous donnasse congé, et vous êtes tout prêt à partir  ! Où est donc l’honneur de la Chevalerie ? —  Vou
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
s des deux chevaliers. On a dit ci-dessus que comme le duc de Médoc était parti de chez lui sans dire à la duchesse ni où il alla
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
xé au lendemain. Nos chevaliers le savaient et se disposaient aussi à partir . Don Quichotte avec plaisir, parce que la vie qu’
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
auver la vie de sa maîtresse en la dérobant à la rage de son mari qui était parti dans la résolution de la poignarder partout où il
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
ausse Julia, à qui il fit encore de nouvelles leçons de vigilance, et partit . Il fut plus d’un mois à son voyage, et pendant t
Julia ne lui dit rien que d’avantageux, et l’assura que depuis qu’il était parti elle ne l’avait point quittée de vue, qu’elle ava
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
près quelque temps d’incertitude, se mit à la raison, et se résolut à partir pour la France sitôt que ses forces seraient reve
21 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
la compagnie d’un de ses bons amis. Mon père voulut, qu’avant que de partir , j’allasse saluer Monsieur d’Alamogne, dans le ré
ne figure. Après le repas je demandai à Grandpré s’il voulait laisser partir la belle Récard comme elle était venue ? Que tout
’avais converti et convaincu. Comme ils étaient de province et qu’ils partirent huit jours après, cette affaire n’a point fait as
avoir le plaisir de la voir le plus souvent qu’il pourrait. Que vous étant parti pour aller à votre terre, dont la maison seigneur
avait tout vendu ; qu’elle avait congédié tout son train, et qu’elle était partie avec sa seule fille de chambre et son petit laqua
e venaient à Paris tous les mercredis et samedis matin à la halle, et partaient du village toujours à une heure ou deux après min
amedis, et qu’elle viendrait me trouver sitôt que son père et sa mère seraient partis , et que le reste de sa maisonnée composée de deux
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
n peu, notre bon ami Parafaragaramus est trop civil pour nous laisser partir à jeun, et si cela est aussi bon qu’il a bonne mi
23 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
i, et de l’assurer que je suis revenu son ami autant et plus que je n’ étais parti . Des Ronais lui demanda quand il reviendrait ; il
24 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
vous m’aviez promis d’être de retour dans un mois, je vous ai laissé partir sur cette assurance : il s’en est déjà passé quat
it pas petit. Je revins, comme je vous ai dit, plus amoureux que je n’ étais parti , et dans le dessein de faire tout pour l’épouser.
ine pendant quelque temps, et n’eut point de repos que cette fille ne fût partie avec celui qui l’avait épousée. Pour Dupuis il n’
25 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
avec elle, et celle-ci a si bien su s’en faire aimer, que lorsqu’elle est partie pour aller à une terre proche d’ici, il n’y a pas
jamais, serait ce qui les unirait. Elle se coucha sitôt que Contamine fut parti , et rêva à ce qu’elle avait à faire. Elle était r
isait que de s’assoupir. Elle ne voulut pas interrompre son repos, et partit avec défense de lui dire où elle était allée, cra
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
da encore le désolé chevalier et lui défendit de la suivre. Il la vit partir dans son carrosse traîné par six chevaux, et plus
27 (1721) Mémoires
ne seraient point protestées, et que tout serait acquitté avant midi. Partez vite, dit-il à son fils, vous êtes en état de fai
rdre de l’emmener à Versailles prêter le serment, et de le disposer à partir incessamment. 194. Le marquis s’acquitta de sa co
s possibles, et avec la plus grande bonté du monde, lui recommanda de partir le plus tôt qu’il pourrait ; qu’il ne s’inquiétât
le feu si vivement sous le ventre qu’il résolut la mère et le fils à partir incessamment. 203. Il est à propos de dire que, q
arriva à Brest que le lundi premier juin, six jours après que nous en fûmes partis , et trois jours après notre défaite. 232. A Dieu
ui mon testament, j’ai à y changer. Et vous, rentrez quand le laquais sera parti . Après le départ de ce laquais, le père parla au
quatre conseillers du Parlement nommés commissaires se disposaient à partir incessamment, mais ils restèrent à Paris, parce q
edescendre de son carrosse, et son cocher, qui le croyait dedans, fit partir ses chevaux. On sait que les chevaux de ces gens
t faite, je lui en parlai comme si je l’eusse connue toute ma vie. Il était parti de Paris avant moi ; cela me donna le champ libre
28 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
de mener Monsieur et Madame de Jussy. Monsieur et Madame de Contamine partirent ensemble ; Dupuis conduisit Madame de Londé chez
présentement. Allons-y donc présentement, dit Jussy, et là-dessus ils partirent . Des Frans et Jussy dans le même carrosse : Dupui
ême carrosse : Dupuis alla prendre Madame de Londé ; et Des Ronais ne partit qu’avec Madame de Jussy, qui fit accommoder quelq
29 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
e qui m’avait jeté dans l’état où j’étais ; que je n’avais consenti à partir avec elle que lorsque je l’avais vue résolue à s’
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