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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
art sont fort aises de trouver quelqu’un qui y excelle, j’acceptai le parti , et j’y allai dès le soir même. Elle ne fit point
it plus que je n’avais attendu. Ma famille m’avait trouvé un fort bon parti  : c’était une fille de l’âge de Mademoiselle Feno
ussir auprès de celle-ci, fit que j’y prêtai les mains ; en effet, le parti m’était très avantageux par toutes sortes d’endro
iage, vous pourriez vous en repentir dans la suite. Il se présente un parti pour vous, préférable à celui qu’on vous propose,
ir de vous ce qu’il vous plaît que je devienne, et quel est cet autre parti qui m’est offert ? Elle rougit à cette demande. A
toucher le revenu, et en disposer comme bon me semblera. Voyez si le parti que je vous offre ne vous est pas plus avantageux
valoir ! Non, Mademoiselle, poursuivis-je, vous méritez tout un autre parti que moi. Une fortune meilleure vous attend, et je
ces, mais même déchoir de l’état où vous êtes née. Choisissez-vous un parti qui soit digne de vous, et ne me regardez que com
ait à paraître, son oncle voulut la marier. On lui proposait un grand parti , tout le monde y voyait son avantage. Son bien n’
ne chose faite où il n’y avait point de remède, il fallait prendre le parti de nous retirer. Que nous ferions mieux notre pai
ses. Je me suis servi d’un ami affidé, qui ne nous a point trahis. Je partis le même jour sans la voir, ne l’ayant point vue d
avait fait oublier ce qu’elle avait fait. Il s’est présenté plusieurs partis qui n’ont pas demandé mieux que de l’épouser. Un
are que le sexe soit si sensible, surtout étant attaqué par autant de partis qu’il s’en est présenté pour elle. J’espère enfin
causé leur séparation. Cela étant, dit Du Val, il n’y a point d’autre parti à prendre que de présenter une requête à Monsieur
ique. On lui expliqua toutes choses papiers sur table. Il approuva le parti qu’on prenait, il dressa une requête suivant son
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
eine savais-je monter à cheval, et peu d’autres choses convenables au parti que j’embrassais, que je suivis les autres plus â
issipées, tout cela me mit en colère de voir si peu de disposition au parti qu’on la forçait de prendre. Je ne pus m’en taire
lle, elle n’avait rien trouvé à redire à mes discours, ayant pris son parti , mais qu’il n’en était pas de même de cette fille
e de me faire auprès de vous une mauvaise réputation. Je ne sais quel parti prendre ; je voudrais bien sortir d’ici ; je voud
es-vous venu dans mon couvent ? Pourquoi prendre si généreusement mon parti  ? Pourquoi me dégoûter de la clôture ? Je comptai
x avait découvert une partie de l’intrigue, et pensé faire un mauvais parti , depuis peu de temps, à l’un et à l’autre. Vous r
dîmes Clémence et moi bien des choses que nous seuls entendions. J’en partis chargé de lettres et de compliments pour mon ami,
cette réponse qui ne nous surprit pas, et nous prîmes tout de bon le parti de l’enlèvement, et d’aller nous épouser hors de
Voilà le mystère ; mais vous en allez être encore mieux éclairci. Je partis de Paris le lendemain de mon abjuration. J’arriva
liée avec lui ; qu’il venait souvent la voir, sans lui proposer aucun parti  ; qu’elle lui avait inutilement parlé de moi : et
t en effet son dessein qu’elle devînt telle, il lui trouvait un grand parti . Elle n’est ni belle ni laide : elle a de l’agrém
t toutes également fausses. Cette dernière attaque lui fit prendre un parti qui nous sauva. Elle offrit de signer cette requê
n’avais plus que huit jours devant moi, je ne fis point d’adieux, je partis dans le moment même ; et pour surcroît à mon impa
re. Vous me répondez, Monsieur, lui dit-elle, comme intéressé dans le parti contraire, je ne m’en étonne pas. Vos infidélités
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
lois très considérables qu’il avait eus pour l’État, non pas dans les partis , ses biens, quoique très grands, viennent par des
, qui lui restait d’un homme qu’elle avait tendrement aimé à tous les partis qui lui ont été offerts, quoiqu’il s’en soit prés
our la tranquillité de la vie, et pouvait lever les yeux aux premiers partis . Sa mère lui en a proposé plusieurs, qui ont fait
tune de Monsieur le maréchal d’Hocquincourt, et qu’il fût tué dans un parti contraire à celui du Roi. Sa mort laissa sa veuve
aimer. Et supposé que je vous aimasse à mon tour, ajouta-t-elle, quel parti prendriez-vous ? Je prendrais, répliqua-t-il, tel
-t-elle, quel parti prendriez-vous ? Je prendrais, répliqua-t-il, tel parti que vous voudriez pour vous rendre heureuse. Ce p
liqua-t-il, tel parti que vous voudriez pour vous rendre heureuse. Ce parti que je voudrais, répliqua-t-elle, ne vous convien
nsez, et je me le tiens pour dit, et le quitta malgré lui. Il prit le parti de sortir aussi, sans voir Mademoiselle de Vougy.
pour elle. Cette demoiselle ne s’en défendit point, elle avoua que le parti lui plairait fort, et qu’outre le bien et la fort
e vous songiez à épouser Mademoiselle de Vougy. Elle songe à vous, le parti vous convient ; et je ne vous conviens pas. Je ne
nous a avoué à Mademoiselle Dupuis et à moi, qu’elle n’avait su quel parti prendre, et qu’elle ne se serait pas déterminée s
disposer de vous, ce que je vous donne peut vous faire trouver un bon parti  : pourvu que je vous sache heureuse et contente,
qu’elle était maîtresse de ses actions. Comme elle n’avait proposé ce parti que pour l’obliger de consentir à un autre, elle
pria de déjeuner chez elle. Mademoiselle Dupuis accepta sans façon le parti , Mademoiselle de Vougy en fit autant. Les deux fi
tisfaction, mais mon cœur est à Angélique. Elle m’a proposé plusieurs partis pour mon établissement, qui tous m’étaient avanta
ousât son fils. Elle ne voyait plus pour elle, après ce refus, que le parti du convent, ou de servir de fable à tous ceux qui
. Il avoua que c’était l’unique cause des refus qu’il avait faits des partis qu’elle lui avait offerts depuis quatre ans. Enfi
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
u de se fixer en province et de s’y établir, on lui proposa plusieurs partis . Pour peu que l’ambition de sa femme eût été modé
votre mari. Celui-ci fut assez fourbe pour prendre contre sa femme le parti de son beau-père ; et cette pauvre créature qui a
poussé plus avant. Sitôt que la belle-mère vit son mari et son gendre partis , sachant bien qu’ils seraient toute la journée de
te patience, entra brusquement dans la chambre, et prit à son tour le parti de sa fille. Sa vue redoubla la colère de Sotain,
ondit que son honneur y serait en sûreté, et qu’il lui procurerait un parti qui l’empêcherait de regretter la dame qu’elle al
rcher, et les parents de son mari. L’Italienne accepta promptement le parti , louant Dieu, d’un air hypocrite, de lui avoir fa
nière dont elle en devait user avec son amant, prit tout d’un coup le parti que sa vertu lui conseilla. Elle le supplia de la
vous voulez me le persuader, continua-t-elle, me proposeriez-vous un parti comme celui de vous suivre ? cette démarche ne se
n où je suis ; mais puisque Dieu le veut ainsi, je n’ai point d’autre parti à prendre que de m’y résoudre ; à quoi servirait
rai que la vertu de Célénie me charme ; mais quoique je doive être du parti des femmes, et dire qu’il n’y en a pas une qui n’
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
s d’en faire la proposition à sa mère. Je vous ai dit, Madame, que le parti était très avantageux ; ainsi voyant ma fortune t
objets chagrinants, je n’en soutins pas longtemps la vue ; je pris le parti de me retirer, bien en peine de ce qui pouvait ca
ain matin dans ma chambre pour m’aider par ses lumières à prendre mon parti sur la manière dont je devais me gouverner avec S
mon malheur ! L’amour que j’avais pour Sainville voulait prendre son parti dans mon cœur, parce qu’il me semblait que je voy
lui faire croire que ce serait le seul dépit qui me ferait prendre ce parti , qu’outre cela étant fille unique, ma mère ne con
ire de notre intelligence passerait pour des impostures ; que le seul parti qu’il y avait à prendre était de me marier prompt
il y avait à prendre était de me marier promptement, qu’elle avait un parti en main qui me convenait mieux que lui, puisqu’il
ute réflexion faite, nous avons résolu ensemble de lui trouver un bon parti avant que le désordre de ses affaires parût, tant
esta deux jours sans satisfaction, et enfin elle vit bien que le seul parti qu’elle avait à prendre, était de partir pour l’E
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
t présentement veuve, plus belle que jamais : elle a refusé plusieurs partis fort avantageux, parce qu’étant maîtresse d’elle-
Monsieur le prince de Lonne, de la main de qui il avait refusé un bon parti . Comme on aime à gloser sur les affaires d’autrui
t plus considérable que le sien, et j’étais en état de prétendre à un parti plus avantageux. Tout cela nous faisait croire qu
esseur, qui lui représenta que sa fille ne trouverait pas toujours un parti aussi avantageux que moi. Qu’elle devenait d’un â
pondit article par article, suivant son génie. Qu’il convenait que le parti , suivant toutes les apparences, était fort avanta
côté que d’autre ; et que peut-être à sa mort, sa fille paraîtrait un parti aussi avantageux pour moi, que je paraissais l’êt
à la droite du portrait. Elle ne me donna le sien que le jour que je partis  ; il était bien plus galant, et bien plus riche q
n je lui promis de constance ; elle m’en promit autant de sa part. Je partis , et malgré une assez longue absence, je revins pl
it pour moi, et que si elle se déclarait pour l’autre, je chercherais parti ailleurs. Je le veux bien, lui dis-je, il ne sera
otre mariage avec facilité, quand il n’y aurait plus pour lui d’autre parti à prendre, et qu’il verrait que nous aurions pris
d’aucun nom comme celui-là, je ne m’en embarrassai pas davantage. Je partis pour mon voyage, au retour duquel nous devions êt
. De bonne foi, mon cher ami, qu’auriez-vous fait en ma place ? Quel parti auriez-vous pris ? On ne meurt point de douleur,
ce la plus ambitieuse, et qui destinait son fils à un des plus riches partis du royaume. Il est encore vrai qu’elle ne l’a ret
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
ins riche qu’aucun de mes parents : parce que mon père avait suivi le parti de l’épée, où l’on ne s’enrichit pas, et qu’au co
contraire ses deux frères cadets, ont pris celui des finances et des partis , où la fortune est toujours plus ample, et plus a
imer, entre mon amour et mon honneur. Je n’avais point encore pris de parti à plus de neuf heures, lorsque ma mère entra dans
oint de temps à perdre, et qu’il fallait qu’elle prît promptement son parti , parce que si l’affaire était une fois faite, et
rifié à la sienne, celle de quantité de noblesse, qui avait suivi son parti pendant les troubles. Cet homme me paraissait for
e monde. Que malgré tout cela, elle ne laissait pas de trouver un bon parti d’un jeune homme puissamment riche qui dépendait
J’ai écrit à Silvie, continua-t-il, elle fait la sucrée, et refuse le parti tout à plat ; mais pourtant, à moins de cela, je
portai la main à mon épée, et peut-être lui aurais-je fait un mauvais parti , si heureusement la garde ne s’était trouvée pris
pas : elle lui en parla. Il avoua qu’il m’aimait, elle trouva que le parti me convenait, et l’autorisa dans sa recherche. Ga
 ? Ah Dieu ! repris-je, que m’allez-vous proposer ? Je ne vois que ce parti -là à prendre, dit-elle. Vous serez le maître de l
de triompher de tout le reste. Nous ne décidâmes rien ce jour-là ; le parti me paraissait trop rude pour m’y résoudre si tôt.
fet cruellement déchiré dans moi-même. J’avais rêvé dans le chemin au parti que Silvie m’avait proposé ; j’en trouvais le des
nête homme. Quand un an ou deux vous auront mûri, on vous trouvera un parti pour le reste de vos jours : mais pour à présent
uve. Si elle avait eu son bien, elle pouvait après ma mort trouver un parti considérable, et tout autre que le mien. Mon mari
refus de qui que ce soit. J’étais ravi de lui voir prendre à cœur un parti qui m’était si cher. Ma mère elle-même, qui vit M
tout, Monsieur, je vous rends grâce d’avoir si généreusement pris mon parti tout à l’heure même chez Madame Des Frans, contre
eaucoup la présence de Madame Des Frans, je n’aurais pas abandonné le parti de la fille d’un homme qui m’a été extrêmement ch
 ; qu’il était persuadé que je ne pourrais jamais trouver un meilleur parti , qu’il s’offrait de m’en parler, et à me raccommo
u’il voulut sans l’interrompre. Elle fut fort longtemps incertaine du parti qu’elle devait prendre. Elle rêva longtemps avant
me elle, aurait été d’un trop grand soulagement dans son supplice. Je partis de Paris sans la voir ; mais pour lui ôter tous l
ument renoncé au monde, sitôt qu’elle m’eut perdu de vue. Pour moi je partis environ un mois après, sans aller du tout à son c
partout, et que j’en allais chercher la fin avec celle de ma vie. Je partis sans attendre sa réponse, et je pris la route d’I
ous. Il l’a véritablement ébranlée ; mais quoique mon cœur fût de son parti , il n’en a point triomphé. Les victoires que j’av
ion qui commençait à s’échauffer : on ne peut pas prendre un meilleur parti  ; et pour nous ôter de l’esprit les idées tristes
r cette dame, qu’il pria Contamine et Madame de Mongey de prendre son parti , et d’imposer silence à la médisance. Bien loin d
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
père odieuse. Je redoublai mes instances auprès de lui : il prit mon parti dans quelques occasions. Cela suscita quelque fro
a une lettre pour lui, et ne l’ayant point trouvé à Paris, je pris le parti d’aller la lui rendre à Versailles où il était. J
le monde dans une rue fort passante. Me voyant découvert, je pris le parti [de sortir] de mon fourreau, et de courir de tout
parla devant ses deux filles. Il lui dit qu’il venait lui proposer un parti qu’elle ne refuserait pas pour Célénie. L’aînée r
a fille, mais qu’elle ne pouvait s’engager que Toinon n’eût trouvé un parti  : qu’étant l’aînée, il était juste qu’elle fût po
st une nécessité, repris-je ? Et si Mademoiselle votre sœur ne trouve parti de quatre ans, nous serons donc quatre ans à nous
e je vous ai demandé ; et je suis sûr que votre cœur s’est mis de mon parti , pour peu que vous l’ayez consulté. Il est vrai,
lque expédient qui me tirât d’intrigue. Dans ce temps, sa sœur trouva parti et même fort avantageux. J’en fus réjoui, non pas
énie que du haut de sa fortune ; et qu’en effet ce n’était pas un bon parti pour moi, elle lui paraissait tout à fait au-dess
hambre. Ma colère était passée, et Monsieur Dupuis prit hautement mon parti . Je ne voulus pas faire semblant de m’apercevoir
m’était venue voir, et qui m’avait remercié d’avoir si bien pris son parti  ; elle écouta toutes les raisons que je voulus lu
. Ainsi je déchirai ce papier sans scrupule, et même avec joie, et je partis pour aller en Bretagne, sans songer pas plus à Cé
ement la promesse de mariage que vous m’aviez faite ? N’êtes-vous pas parti sans presque me dire adieu ? M’avez-vous fait sav
lu se donner pour vestale ; que c’était à lui à prendre là-dessus son parti , et à mesurer l’estime qu’il lui devait par rappo
r le fait, et très fâcheux de l’avouer. Elle prit pourtant le dernier parti et c’est l’action la plus sincère qu’elle ait fai
me dispenser de l’épouser, mais il est constant qu’elle a pris le bon parti . Elle n’aurait assurément pas été aussi heureuse
vec de l’eau claire. Je ne lui en parlai pas davantage, et je pris le parti d’observer sa maîtresse de près, et de profiter,
je serais toute ma vie à elle, et que je saurais bien rompre l’autre parti où ma mère m’engageait. Une promesse de mariage à
il : je vois bien que vous croyez avancer vos affaires, en prenant le parti que vous prenez. Je n’ai aucun intérêt ici à ména
r leurs noms celui de la veuve. Cette manière de prendre hautement le parti des femmes n’avait pas peu avancé mes affaires au
lle ne voulait plus de mariage ; et qu’en effet elle avait refusé des partis que toute autre qu’elle aurait trouvés très avant
 Que voulez-vous donc que je devienne, repris-je ? Il faut prendre un parti avant que de nous quitter. C’est à vous à le choi
dormie. J’embrassai cette femme à cette proposition, et j’acceptai le parti sur-le-champ, comme vous pouvez croire. Cette fem
e se mit à crier au secours de toute sa force, je n’eus point d’autre parti à prendre qu’une prompte retraite. Des domestique
s me réduisez, tant pour vous que pour moi ; au nom de Dieu prenez un parti . Je vous porterai ma vie et mon épée, résolvez-vo
t que vous lui en parlâtes. Qu’elle avait été fort embarrassée sur le parti qu’elle devait prendre ; mais qu’enfin elle s’éta
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
Ces armes-là n’étant pas de la Chevalerie errante, il ne savait quel parti prendre, parce qu’il était à pied ; mais le cliqu
ation, un combat si inégal. Il ne balança pas un moment à prendre son parti , et sautant promptement sur un des chevaux qui ét
ait les cheveux sans répondre une parole. Le duc vit bien que le seul parti qu’il y avait à prendre était celui de les porter
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
de l’hyménée, quoique l’amour les unît. Cléon trouva pour sa fille un parti qu’il crut mieux son fait. Il ne l’aurait cependa
t de nom, elle eut la présence d’esprit de prendre tout d’un coup son parti , et de dire qu’elle écrivait à un parent. Cette l
son que fort tard et longtemps après eux ; et ayant rêvé longtemps au parti qu’il avait à prendre, il commença, sous prétexte
secret ne passerait pas sa famille, et n’en serait point diffamée. Ce parti était trop juste et trop prudent pour n’être pas
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
Sainville ne le connaissait en aucune manière, accepta volontiers le parti qui lui était proposé, ne demandant qu’à s’approc
c’était le comte du Chirou, et ne se trompa pas. Elle ne savait quel parti prendre pour se défaire de lui, et ne point donne
du Chirou lui avait témoigné, et tous l’en félicitèrent, parce que le parti lui était très avantageux. Elle leur avoua qu’il
12 (1721) Mémoires
te, et fit si bien par ses intrigues sourdes, qu’il l’engagea dans le parti que Mons[ieu] r le duc de Bouillon formait en Fra
hopine m’apprendre quelque chose qui me ferait plaisir. J’acceptai le parti , et entrai sans façon avec lui au cabaret. Il me
ntenait que ces mots : C’est moi-même. Le dauphin prit prudemment son parti , et lui dit de le suivre. Il mena ce prétendu cou
esser le placet qu’ils présenteraient au Roi ; d’intéresser dans leur parti tout ce qu’il avait de crédit et d’amis à la cour
. Que ce fût un homme entendu, qui eût été et qui fût encore dans les partis , et qui se fût attiré l’exécration et la haine de
le naissance, et qu’il avait toujours été dans les sous-fermes et les partis , et par conséquent persécuteur du peuple et ennem
ent de bonne foi. Il en parla à Madame Deschiens qui ne refusa pas le parti , mais la difficulté fut à lui trouver des parents
on procès, et n’en fut empêché que parce que M. de Caumartin prit son parti , non par rapport à lui, mais à la situation des a
quis de Cœuvres aurait bien mérité qu’on lui eût fait un très mauvais parti pour sa ridicule ambition. Il avait en chef le co
partie des vaisseaux anglais se joindraient à nous et prendraient le parti du roi Jacques II. (Cette prétendue jonction a ta
chesses. Ce fut de s’intéresser sous des noms empruntés dans tous les partis , et de recevoir non seulement les avis que M. Col
d’intérêt sans en donner un seul d’avance, et que s’ils refusaient le parti il allait mettre le traité entre d’autres mains.
oute sa force au voleur. Cordier vit bien qu’il n’avait point d’autre parti à prendre que celui de se retirer. Les domestique
, fils de Louis XIV. Il trouva par là le moyen de se fourrer dans les partis , et renchérissant sur ce qui avait été fait par M
upables. Il sortit de prison et fut plus autorisé que jamais dans les partis , où il a gagné des biens immenses. Il y est rentr
a fortune. 273. Mainon, dès il y a longtemps, est entré dans tous les partis et les traités les plus criants. Il est fils d’un
première conséquence, et lui donna place dans tous les traités et les partis qui se firent ; et Le Gendre, inventif en maltôte
larum apponebant Cela a toujours été et sera toujours, et le meilleur parti qu’on puisse prendre avec eux, c’est de s’en teni
nciers et de Charny. On m’associa dans la part de M. de Chevry, et je partis en 1682 avec Bergier, chef de l’entreprise. Le Ro
d’argent gratis, Sans intérêt et sans escompte. Sans recouvrement ni partis , Ce n’est nullement notre compte ! Et dussions-no
13 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
quelqu’un sous sa main ou sous la nôtre, on ne leur fera pas trop bon parti . Il était l’année passée au combat que Monsieur d
mardi 28 et dernier [février] C’en est fait nous sommes assurément partis , le vent continue, nous allons bien. Dieu nous do
al brave garçon qui aurait bien voulu passer outre. Je ne savais quel parti prendre, car je n’étais point d’humeur à cédera u
apprîmes de lui lorsqu’il fut à bord que c’était un vaisseau anglais parti de Londres depuis plus de six mois ; qu’il allait
pitaine, digne assurément d’une meilleure fortune s’il avait suivi le parti de son prince légitime, mais homme à jamais conda
à vau-l’eau ; un Français aurait été étonné, mais le noir a pris son parti à l’instant même. Il s’est jeté à la nage la pipe
eurent avant ou après la consommation du mariage, les maris cherchent parti ailleurs ; mais il n’en est pas ainsi des femmes,
dans ses terres ; il a couvert la campagne d’un nombre innombrable de partis , tant pour être instruit de la contenance et des
ntenance et des mouvements de l’armée ennemie que pour faire tête aux partis que le général du Mogol envoie de tous côtés à la
ja a fait faire partout a fait renchérir les vivres à Pondichéry. Les partis dont lui et le général du Mogol ont couvert la ca
se d’y aller, crainte de tomber entre les mains de l’un ou de l’autre parti . Comme Pondichéry est des dépendances de Remraja,
Il n’en est rien, c’est un de ses généraux qui la commande. Un de ses partis était venu jusques aux portes de Pondichéry, et e
isseaux anglais ou hollandais venant d’Europe qui feraient un méchant parti à un navire seul, mais qui auront ] es trois quar
et qu’elle l’avait refusé ; que cependant il faudra qu’elle prenne le parti de l’épouser lui, son fils, ou la mort, car ce n’
iciers sont dans un chagrin mortel, parce qu’on ne saura presque quel parti prendre, ni où dresser la route pour rejoindre no
té et c’est lui qui a eu ici les honneurs du commandement. Nous avons parti de devant le Fort-Royal le 20e du dernier, et avo
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
connaissez, avez-vous pu le croire, et n’avez-vous pas dû prendre mon parti  ! Toutes les apparences sont contre vous, dis-je.
débourserait rien, et où on ne laisserait pas de se bien divertir. Le parti fut accepté, et la société se noua. Nous étions h
e qu’ils disaient m’étant indifférent, je me retirai sans savoir quel parti prendre. D’aller chez elle, je savais le complime
apprendraient son infamie. Qu’au contraire si elle voulait suivre le parti que son honneur et la prudence lui montraient, el
à sa mère, mais qu’à la fin elle avait connu que j’avais pris le bon parti , puisque tout en avait mieux été. Pour toute répo
qu’il voulait me faire avoir, et me dit encore quelque parole sur un parti qu’il me destinait : quoiqu’il ne m’en parlât que
de Monsieur Dupuis, qu’elle s’est découverte à sa fille, à cause d’un parti très avantageux qu’elle a refusé, et que Monsieur
15 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
ançais aurait été déconcerté, mais le nègre a dans le moment pris son parti . Il s’est jeté à la nage, la pipe allumée à la bo
bramènes. Que la femme meure la première, le monsieur bramène cherche parti ailleurs, & trouve dans les bras d’une épouse
. Que la femme meure devant où après la consommation, le mari cherche parti ailleurs ; je l’ai déjà dit. Si c’est lui qui meu
ents dès sa première entreprise ; que j’avais pris tout d’un coup mon parti , prévoyant qu’avec un esprit impérieux comme lui
u’avec de certaines gens, il fallait de nécessité prendre d’abord son parti , & se souvenir de ce qu’exprime cet autre ver
udra : pour nous, nous entrerons. Il en est averti : qu’il prenne son parti  ; le nôtre est pris. Du jeudi 19 octobre 1690
Encore aurait-il fallu que je lui eusse dit. Mais mon chien prend son parti de lui-même. Est-ce là une opération de machine,
insoutenable, que la forme aurait emporté le fond. Monicault prit son parti  : il fit en peu de mots, mais expressifs, un narr
héroïque & vraiment chrétienne. La Compagnie a préféré le dernier parti au premier, mais ce n’a pas été sans peine qu’ell
on ennemi, & a fait couvrir la campagne d’un très grand nombre de partis , tant pour être instruits des mouvements de l’ann
re instruits des mouvements de l’année du Mogol que pour résister aux partis que le général de cette armée envoie de tous côté
fait faire a fait extrêmement renchérir les vivres à Pondichéry. Les partis dont le général du Mogol & lui ont couvert la
de l’usurpation de Sévagi, les Français ont été obligés de suivre le parti de Remraja, son fils, & d’obtenir la neutrali
ins que des poules. Je reviens aux gens de guerre du Mogol. Un de ses partis était venu tout proche du fort de Pondichéry, &am
ait évanouir toute sorte d’espérance. On lui offrit à Paris plusieurs partis  : il les refusa & fit mal. Il possédait un bi
es Français avaient contractée avec Remraja, dont ils avaient pris le parti . Que si la Compagnie dormait en repos sur cette c
uraient peut-être rien du tout opéré si les soldats, qui prenaient le parti du père Félix, ne leur avaient pas fait mille ins
drait me résoudre à quereller avec tout le monde. Je pris le meilleur parti , qui fut d’en rire, & de garder ma rancune co
, les Anglais ne me régaleront plus. Si nous avons à faire à eux, mon parti est pris : si ce sont des Hollandais, nous tâcher
craindront toujours la pointe & la fureur, n’eurent point d’autre parti à prendre que de mettre les armes bas & d’imp
s paraît être dans un très violent chagrin, parce qu’on ne saura quel parti prendre ni où dresser la route pour retrouver not
n’en peut mais. Pour moi & M. de La Chassée, qui avons pris notre parti , il ne nous reste qu’à l’attendre avec fermeté, &
ans la suite. Notre vaisseau arriva au Fort-Royal le 4 du passé, j’en partis le 5, & retournai le 7. Le reste de notre esc
haient étaient mis aux fers. Cela était réglé partout : c’est le seul parti qu’il y ait à prendre avec le soldat & le mat
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
, et la mienne comme les autres. Monseigneur Don Quichotte prend leur parti , parce qu’il n’en a pas, s’il en avait une il par
l’autre jour, reprit Sancho, ravi que les gens mariés fussent de son parti . — Mais, Chevalier Sancho, lui dit Eugénie, il fa
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
u’ils lui donnèrent lieu d’espérer que cela lui ferait trouver un bon parti , ou plutôt attacherait plus fortement à elle un h
as bien qu’il ne faut parler de rien ? — Il se trouve ici un fort bon parti , continua la duchesse sans faire semblant d’avoir
18 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
u’il en conserve un vif ressentiment et qu’il ne fera pas un trop bon parti à ceux qui lui tomberont entre les mains. Tant mi
oyant de ma part qu’il n’y avait point de plus prompt et de plus sage parti à prendre, je me résolus à chercher quelques endr
avez de bon vin ; c’est le principal. Tous ces messieurs topèrent au parti , et Albus les remercia d’avance de l’honneur qu’i
s. Je vous confondis dans le second, et me dis à moi-même que le seul parti à prendre était de vous envoyer mes comptes. J’en
de vous faire le détail en entier. Du lundi 21 février 1690 Je partis de Groix, ou du vaisseau, samedi, avant-hier, à h
rde, et pour cela lui indiqua un soldat fidèle. Il devait accepter le parti  ; c’était le plus sage qu’il pouvait prendre ; je
insi, monsieur, embarquez-vous de bonne grâce : sinon je prendrai mon parti . Il s’est donc embarqué malgré lui, et nous avons
; et qu’il m’assurait de la part de M. Hurtain qu’il approuverait tel parti que je prendrais, quand même je l’y mêlerais. Sur
ouffrance et d’esclavage il avait trouvé le secret de mettre dans son parti huit hommes de son ancien équipage, tous égalemen
le faire saucer : il ne se trompait pas, et a pris tout d’un coup son parti . Il a couru au pot au noir sans qu’on ait prévu c
quérir, M. de La Chassée et moi, pour en boire. Nous avons accepté le parti et en avons bu deux coups chacun : M. Le Vasseur
beaux vases au roi. Ne se peut-il pas que quelqu’un de ces vaisseaux, parti d’Egypte par la mer Rouge, ait été pris vers l’îl
Lorsque ces enfants sont en âge nubile, leurs parents leur cherchent parti  ; et ce sont ordinairement les femmes qui en noue
aussi ; l’inégalité du nombre ne m’épouvantait pas. Je ne savais quel parti prendre, n’étant point d’humeur à céder à une poi
appris de lui, lorsqu’il a été à bord, que ce vaisseau était anglais, parti de Londres depuis plus de six mois ; qu’il allait
pitaine : digne assurément d’une meilleure fortune, s’il eût suivi le parti de son prince ; mais homme à jamais condamnable,
plomb et de deux sacs de mitraille, en fera l’affaire ; c’est le seul parti que vous avez à prendre, et sans perdre de temps 
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
leurs ombrages et leurs jalousies, et que très assurément le meilleur parti qu’un homme marié pouvait prendre, était de ne té
20 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
et leur fait voir, qu’ils peuvent bien les empêcher de se choisir un parti à leur fantaisie, mais qu’ils ne doivent point le
21 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
la lui écrivait de son convent, et lui mandait qu’elle avait pris ce parti , sans l’instruire du lieu. Quoi, interrompit enco
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
parce que le respect qu’il avait pour Eugénie l’empêcha de prendre le parti de la beauté de son imaginaire Dulcinée, que son
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
Pluton. — Il n’y répliquera rien, dit Parafaragaramus en prenant son parti , et en effet ce n’est qu’une accusation en l’air
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
cause que je n’ai pu souffrir une si grande barbarie sans prendre son parti . — Eh bon, bon, interrompit Sancho, les femmes on
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