ue ç’avait été une des plus belles filles du voisinage. Tout le monde
parlait
mal de Des Prez ; on m’en dit mille cruautés : en
s le portrait de Mademoiselle de l’Épine, il se mit à soupirer, et me
parla
avec tant de désordre et si peu de suite, que j’e
nous étions sûrs de n’être ni écoutés, ni interrompus, il commença à
parler
. Pour vous ôter tout à fait de l’esprit, me dit-i
donnais aux premiers mouvements de mon cœur, je m’offris de les faire
parler
à lui. Je pris la mère par la main, et la menai d
tous les soirs ; je cherchai inutilement toutes les occasions de lui
parler
seul à seul ; je n’en trouvai point, et n’avançai
jeu m’attirait chez elle ; mais elle évitait avec tant de soin de me
parler
seul à seul, que je ne pus rien lui dire de bouch
l’aimais trop pour rester longtemps dans l’incertitude, et ne pouvant
parler
, j’écrivis ce billet-ci. BILLET. Vous êtes trop
irée pour ne connaître pas ce que je sens pour vous. Je n’ai pu faire
parler
que mes yeux ; mais je crois qu’ils se sont expli
ernellement obsédée, et votre application à m’ôter les moyens de vous
parler
, m’ont obligé à me taire. Si vous êtes encore à v
é dès le premier moment qu’elle m’avait vu, longtemps avant que de me
parler
. Que j’étais cause qu’elle avait suivi sa mère sa
à force d’aller chez mon père, elle trouverait enfin l’occasion de me
parler
, ou du moins de me voir. Qu’elle m’avouait ce qu’
je lui envoyai une fort belle montre sonnante et une lettre où je ne
parlais
point d’amour. Je savais bien qu’elle serait vue,
tinuais, il me défendit d’aller chez elle. Je ne lui obéis pas, et ne
parlai
de cette défense ni à la mère ni à la fille. Il s
cissement, ainsi je lui dis que mon père n’était point en état de lui
parler
; qu’il était enfermé pour une affaire qui devait
, et que je la ferais avertir, s’il y avait apparence qu’elle pût lui
parler
dans la journée. Comme elle agissait de bonne foi
demander en quoi… Et moi aussi, interrompit-il, j’avais envie de vous
parler
, il y a même du temps. Prenez la peine d’entrer d
. J’approchai de la porte de ce cabinet, d’où j’entendis tout. Il lui
parla
fort honnêtement d’abord, et après cela comme un
omme je vous l’ai dit, que le commerce est innocent, mais le monde en
parle
, et cela doit vous obliger à le rompre. Jamais su
, et qu’il pouvait comme il a déjà fait, me procurer le moyen de vous
parler
de mes affaires. Il a été d’une société de jeu ;
s gens à coups de bâton ; le bruit que vous feriez donnerait sujet de
parler
: on dirait que vous n’auriez agi que par dépit ;
uce est plus honnête. Elle lui promit de la suivre ; ensuite elle lui
parla
de son maudit procès. Il lui promit toute assista
e mourir. Quels troubles s’élèvent dans mon esprit ! Pourquoi ne vous
parlai
-je pas hier ? Je vous aurais priée de cacher vos
ulement qu’il était venu au logis vers les dix heures, et qu’il avait
parlé
à mon père, qui l’après-midi ne sachant où j’étai
et j’espérai qu’il me rendrait service. Je donnai ordre qu’on le fît
parler
à moi quand il viendrait. Il vint, et pour commen
, me répondit-elle, d’un certain air qui me faisait connaître qu’elle
parlait
de cœur. Seriez-vous capable de secret, repris-je
soit qu’elle voulût s’engager, soit qu’elle ne le voulût pas, elle ne
parlerait
jamais de ce que j’allais lui dire. Elle me le ju
ue nous ne voulons pas même de certificat. La demoiselle dont je vous
parle
ne demande autre chose que de mettre sa conscienc
près bien du temps que je le gagnai. Cette femme me dit qu’elle avait
parlé
à ce prêtre, comme elle me l’avait promis. Qu’il
e l’avait promis. Qu’il n’avait voulu s’engager à rien qu’il ne m’eût
parlé
. Que si je voulais, elle irait le quérir : qu’en
is m’y fier, et être sûr du secret ; parce qu’outre qu’elle lui avait
parlé
sous le sceau de la confession, elle n’avait poin
Monsieur que je vous amène, dit-elle en me le présentant, vous pouvez
parler
de vos affaires ensemble tant que vous voudrez. N
is a dû vous en instruire. Il est vrai, Monsieur, dit-il, qu’elle m’a
parlé
de quelque chose ; mais comme ordinairement les f
’en informer vous-même. Je crus que la meilleure explication était de
parler
d’argent. Je lui dis superficiellement le tout ;
es mots : Trouvez-vous à trois heures au même endroit, où l’on vous a
parlé
la dernière fois. Je ne doutai pas un moment de q
elle voulait, je la conduirais dans un endroit où nous pourrions nous
parler
longtemps et en sûreté. Elle me refusa au commenc
, l’avait mise dans une si grande impatience, qu’elle aurait voulu me
parler
le jour même. Qu’elle avait fait écrire le billet
us allions entrer. Il nous fit voir que c’était à nous que l’Écriture
parlait
, quand elle dit qu’il faut qu’un homme quitte tou
dans quoi il serait peut-être soutenu par les lois humaines. Enfin il
parla
fort juste, et ne fit aucune façon de dîner avec
ssance et de la beauté de ma future épouse, ne pouvait se lasser d’en
parler
avec mille exclamations. Elle l’aima tellement dè
t pour avoir d’autre entretien avec eux, que sur la dévotion, nous en
parlâmes
à fond. Par le plus grand hasard du monde mon pèr
sé à fond, et en vérité l’air dont cet ecclésiastique et ce religieux
parlaient
, m’inspira de la dévotion ; et quoiqu’ils ne diss
mon mariage avec ce prêtre, quoique je ne me souvinsse pas d’en avoir
parlé
. Cela me mettait au désespoir ; mais je me trompa
ne : je n’avais aucune envie de l’être. Pendant tout le souper, il ne
parla
d’autre chose, et les déchira terriblement. Je ne
ormait. Notre hôtesse qui m’entendit, me fit signe qu’elle voulait me
parler
, et en même temps de ne point faire de bruit. J’a
in, je ne les désabusai pas, je me contentai de les prier de ne point
parler
de l’aventure, et je les payai de leur peine. Mon
elle avait encore besoin de moi auprès de l’ami dont je vous ai déjà
parlé
: Madame Des Prez m’en instruisit, et nous concer
s partout où elle avait besoin de moi. Je lui offris ma bourse, et ne
parlai
à sa fille devant elle, que pour m’informer des n
je ? C’est à quoi il faut songer, dit-elle ; mais avant que de lui en
parler
, j’ai envie d’en parler à… C’est ce que je vous d
t songer, dit-elle ; mais avant que de lui en parler, j’ai envie d’en
parler
à… C’est ce que je vous défends absolument, lui d
çue. Et nous décidâmes que ce serait moi qui la recevrais, et qui lui
parlerais
le premier ; et cela parce que je ne jugeais pas
je le sais bien : c’est une chose qu’elle a faite sans vous en avoir
parlé
; mais elle n’a choqué que le respect qu’elle vou
ns que je lui ouvrisse la bouche. Lorsque je la vis un peu remise, je
parlai
à mon tour ; et parce qu’avec de certains esprits
grâces de mon père, en abandonnant sa fille ; mais qu’elle, à qui je
parlais
, serait absolument perdue dans l’esprit de tous l
et qu’elle viendrait faire ses couches dans le même endroit où je lui
parlais
. Que pour son procès je lui rendrais tous les ser
oi. Elle me dit qu’elle avait été surprise de la hauteur dont j’avais
parlé
à sa mère, mais qu’à la fin elle avait connu que
ncontrai Monsieur Des Prez, qui me fit entrer dans son cabinet. Il me
parla
d’une charge qu’il voulait me faire avoir, et me
re quelque parole sur un parti qu’il me destinait : quoiqu’il ne m’en
parlât
que comme d’une chose assez éloignée, je ne laiss
ulu sortir aussi, et passant par l’endroit où je m’étais mis pour lui
parler
, il aperçut une lettre qu’il n’avait pas vue d’ab
lle, et ne revint que le soir, et donna ordre en entrant qu’on me fît
parler
à lui sitôt que je serais revenu : ce fut sur les
re. Je crus que c’était pour voir le père d’une fille dont il m’avait
parlé
. Dans cette pensée, je lui répondis que j’irais a
rna le dos, et parlant à l’exempt qui était là, ne souffrez pas qu’il
parle
à personne, dit-il, et conduisez-le sans scandale
x mourants, on la porta dans cet état dans la chambre dont je vous ai
parlé
en présence de sa mère. On tâcha de la consoler ;
pondit-il, en riant aussi ; on m’a assuré qu’on n’avait point du tout
parlé
de moi, mais de vous-même ; je me doute de ce qu’
eprit Des Ronais ; je l’avais soupçonné, et j’en suis sûr : on vous a
parlé
de Madame de Mongey ; et Madame de Contamine et M
que me prévenir en vous parlant d’elle, mon dessein était de vous en
parler
; et elle ne les a pas assurément priées de le fa
passion, puisque Silvie est morte, (car c’est d’elle dont vous voulez
parler
) il est question de reconnaître toutes les bontés
s. Vous vous trompez, lui dit Des Frans, ce n’est pas celle dont nous
parlons
, c’est sa bru. Monsieur de Contamine est donc mar
réciproques firent place à une conversation plus familière. Des Frans
parla
quelque temps seul à Madame de Mongey. On ne sait
e rencontre très souvent des moments où il regrette sa liberté. Je ne
parle
pas, comme vous voyez, de ceux qui sont mal marié
é. Je ne parle pas, comme vous voyez, de ceux qui sont mal mariés, je
parle
des mariages les mieux unis tels qu’est le mien…
y a des chagrins dans le mariage, dont il n’y a qu’un mari qui puisse
parler
par expérience ; et puisque j’y en trouve, je sui
éfense de son ami, il n’a pas lieu d’être content des femmes. Je n’en
parle
que sur un peu de lumière, et beaucoup de soupçon
trop général, que je puis dire que j’en ai été trop maltraité pour en
parler
affirmativement en bonne part. Je n’en ai jamais
nocente dans le fond. Je n’ai rien à vous dire davantage, vous pouvez
parler
quand il vous plaira : Madame de Londé sait ce qu
uvrir de honte et de confusion, après cela, il rêva quelque temps, et
parla
en ces termes.
ntiments qu’elle a toujours eus pour vous. Mademoiselle Dupuis m’en a
parlé
dans ces termes ; et je ne fais aucune difficulté
’une pour l’autre : c’est peut-être sur ce sujet-là qu’elle veut vous
parler
. Vous me flattez, interrompit Des Frans, je ne mé
qu’il en soit, elle mit au monde la belle Manon Dupuis, dont je vous
parle
, qui est votre commère, et n’a point eu d’autres
Il était en effet de ses amis, mais non pas son amant, et n’a jamais
parlé
d’elle qu’avec vénération. Dupuis fort proprement
ria ses amis de tenir l’aventure secrète, et défendit à ses gens d’en
parler
, protestant devant Dieu, qu’il ne demandait dans
omplie. Je m’abandonnai à ma passion, mes soins furent bien reçus. Je
parlai
, elle m’écouta ; mais sans me rendre aucune répon
ment à m’épouser. Il y avait un jour un ecclésiastique chez elle : on
parla
de plusieurs choses indifférentes, et insensiblem
mère ; je fus choqué de son procédé, que je crus injurieux, je lui en
parlai
le jour même. Elle se mit à rire de mes reproches
faite que proposée, nous nous trompions. Il répondit aux gens qui lui
parlèrent
, qu’il m’était fort obligé de l’honneur que je vo
ère résolution, qu’il ne changerait pas, et qu’il priait qu’on ne lui
parlât
jamais de la marier, si on voulait rester de ses
s l’avions espéré, pensa nous perdre sans retour. Ce fut de lui faire
parler
par son confesseur, qui lui représenta que sa fil
voir entendu le beau sermon qu’il lui faisait, sans faire semblant de
parler
à elle. Car, Monsieur, disait-il à ce confesseur,
je vais travailler à me détacher d’elle, et la première fois qu’on me
parlera
de la marier, et que je saurai que cela viendra d
t, et nous rapporta ce qu’il avait dit au sujet du mariage, sans nous
parler
de la mère ni de ce qui pouvait nous chagriner pa
e la peine et du temps perdu. Qu’il ne nous conseillait pas de lui en
parler
davantage. Qu’il était inébranlable dans sa résol
hanger, nous nous nuirions à nous-mêmes, et que pour lui il ne lui en
parlerait
jamais, vécût-il cent ans. Dieu m’en préserve, re
t si poli et si chéri ; mais j’ai changé de pensée ; cela ferait trop
parler
les gens. Votre mère a donné assez de prise aux c
toujours été sage, j’espère que vous la serez toujours. Je ne vous en
parlerai
jamais, je vous le promets, mais ne me donnez poi
Didon s’est pourtant démentie, mais ce n’est pas encore le temps d’en
parler
. Je vous laisse à penser quels remerciements je l
fille n’en a eu de plus aisé. Elle ne rêve point à ce qu’elle dit, et
parle
plus juste qu’un autre ne pourrait penser ; mais
r sacrifice relevât le mien. N’en croyez rien, l’amour-propre me fait
parler
, je ne veux de vous aucun sacrifice, je ne veux q
it à appréhender, ce n’était que pour elle. Que de l’air dont elle me
parlait
, je voyais bien que son père avait raison de dout
, et qu’apparemment elle se destinait au nouvel amant dont il m’avait
parlé
. Je le prenais d’un ton si haut, et j’étais telle
le, à trois heures cette après-midi dans le jardin de l’Arsenal, nous
parlerons
là tête-à-tête sans être interrompus ; et je m’ex
’y rendis et j’acceptai le rendez-vous. Nous nous y trouvâmes et nous
parlâmes
ensemble fort longtemps. Je lui dis mot pour mot
pas : mon père même ne le regarde que comme un enfant. Si son père a
parlé
au mien, c’est ce que je ne sais point, en tout c
et dès aujourd’hui même, si vous voulez. Je ne crois pas qu’on puisse
parler
plus juste : voyez ce que vous voulez que je fass
ettez-le dans la nécessité de vous la tenir ; et pour cela faites-moi
parler
devant lui et à lui-même. Je la pris au mot, et l
osse de son père ni du mien, et nous arrivâmes dans le dessein de lui
parler
tous deux, et d’avoir tout d’un coup un oui ou un
ne se gouvernait pas comme nous pensions. L’ardeur dont je lui avais
parlé
le matin, et l’amour qui éclatait dans mes parole
Du Pont chatouillé, ne donna pas le temps à son père de répondre, il
parla
le premier ; et s’il ne fit pas voir beaucoup d’e
comme elle lui était très avantageuse, il l’accepta sur le champ. On
parla
des articles du contrat. Du Pont se dépouillait e
vous pas soumettre à ce que son inclination en voudra bien ordonner.
Parlez
, Mademoiselle, lui dis-je, l’occasion ne peut êtr
quoique je me doutasse bien de la fourberie, je ne laissai pas de lui
parler
, si bien que Du Pont le père qui est honnête homm
sa résolution, il dit sans façon, que sa fille était une insolente de
parler
de la sorte devant tant de monde, qu’elle manquai
ère fit quelque chose de plus fort ; car après s’être excusée d’avoir
parlé
si librement sur la nécessité où elle avait été d
endant je mourais de chagrin de voir vivre quelqu’un. Ce quelqu’un ne
parla
non plus à sa fille des Du Pont ni de moi, que si
souvent le discours : Hé morbleu, dit-il, puisque vous en voulez tant
parler
, il faut que j’en parle aussi. N’est-il pas vrai,
morbleu, dit-il, puisque vous en voulez tant parler, il faut que j’en
parle
aussi. N’est-il pas vrai, dit-il, que si je vous
ême très constant qu’il avait une telle confiance en moi, qu’il ne me
parla
jamais de lui faire ni obligation ni billet ; et
j’aie eue de ma vie. Il est vrai pourtant qu’il n’avait pas voulu me
parler
devant sa fille, mais elle écoutait tout, lequel
stinait à vouloir m’épouser malgré moi. Dans le même temps on lui fit
parler
d’accommodement, et Dupuis s’y prit si bien et si
et plus il y en aura demain. Je me figure, poursuivit-il, qu’elles se
parlent
ainsi à elles-mêmes. Telles et telles ont fait de
as eu l’esprit de cacher leur secret comme telle et telle, dont on ne
parle
seulement pas. Madame une telle accoucha il n’y a
ons pris le nôtre ; toute ma rhétorique fut inutile. Elle me laissait
parler
et dire tout ce que je voulais, mais elle ne se l
nce, ni aucune parole qui marquât le moindre retour vers le monde. Je
parlai
à son confesseur en sa présence, il m’avoua de to
lle et en bon ordre, je l’y reconduisis si abattue, que je n’osai lui
parler
sitôt de notre mariage. Madame Dupuis sa tante, m
si elle se mariait sitôt après la mort de son père, cela donnerait à
parler
; qu’on dirait dans le monde tout le contraire de
j’étais venu descendre chez elle. J’étais prévenu que ces lettres ne
parlaient
que des affaires qui concernaient son héritage, e
e, qui n’est pourtant pas telle que je la voudrais ; car pour vous en
parler
sincèrement, j’ai toujours des retours de tendres
a une partie de ma colère ; et c’est pour cela que je ne veux pas lui
parler
moi-même. Cela vaut fait, reprit Des Frans, et dè
laircissement se fasse en leur présence, afin que Monsieur Des Ronais
parle
à Monsieur de Terny, qui est le Gauthier de cette
tites Maisons, reprit-elle aussi en riant. Et pour témoigner que vous
parlez
par mon ordre, voilà avec sa belle lettre mon por
e de son peu de civilité, qu’il devait m’écouter quand j’ai voulu lui
parler
de sa maîtresse ; qu’il ne pouvait pas moins fair
cause du consentement de Madame de Contamine à leur mariage. Je vous
parlerai
une autre fois de Mademoiselle Dupuis : je ne sai
Il est vrai, dit Des Ronais, qu’elle n’est point de ses amis. Elle en
parle
comme d’un fourbe. Vous en saurez le sujet, repri
ns demain, si vous voulez voir Jussy et son épouse, pour aujourd’hui,
parlons
de Monsieur et de Madame de Contamine.
me faire devenir inconstant. Si Madame de Londé était présente, je ne
parlerais
pas aussi sincèrement que je vais faire : mais ét
des, et de quel œil mes régents m’ont toujours regardé. J’étais, pour
parler
en termes d’écolier, un des plus francs polissons
. Elle ne prononçait pas tout à fait bien le français, quoiqu’elle le
parlât
fort juste. Elle avait un petit accent que je tro
e fils ! Je n’en eus pas la comédie, mais j’eus celle du logis. Je ne
parlai
qu’à mon père : il me donna de l’argent, et me re
lle colère, qu’elle n’osait ouvrir la bouche, ni pour manger, ni pour
parler
. Mon frère la copiait, et moi je ne pouvais pas m
es enragées, particulièrement le carnaval ; mais avant que de vous en
parler
, il faut que je vous dise une aventure aussi bouf
t pour lors tout sujet d’être satisfaite de son époux. Cette femme en
parla
à Sophie qui me le dit. Je traitai cela d’impostu
l lui fit prendre d’une drogue qui le rendit tout autre. Il ne lui en
parla
point : il se contenta de le rassurer contre la c
me le témoigna, et je ne m’en souciai pas. Je ne lui ai point du tout
parlé
depuis. Je crois que dans le fond du cœur elle ne
de longue main, étant tous deux voisins. La première fois que je lui
parlai
ce fut à une noce, où elle vint déguisée en paysa
t homme d’esprit, il s’acquitta parfaitement bien de son rôle. Il lui
parla
devant ses deux filles. Il lui dit qu’il venait l
’agit. Il faut, lui dis-je, que nous terminions ensemble sans leur en
parler
. Le moyen est gaillard, dit-elle. C’est le seul à
goûter mes raisons qui ne valaient pas grand-chose. Je n’avais point
parlé
à ma mère de Célénie ; je ne lui avais point dit
reller. Nous évitions avec soin l’un et l’autre les occasions de nous
parler
, et nous ne nous étions pas vus depuis son retour
ts furent scandalisés du peu d’union qui était entre nous. On nous en
parla
à chacun en particulier ; mon oncle se chargea de
ait plus de quatre mois que je ne l’avais vue, bien loin de lui avoir
parlé
. On ménagea une entrevue entre nous ; je n’y rési
lement au-dessus de moi, que je me faisais honte à moi-même. On avait
parlé
à table de Célénie, et de la demande que j’en ava
me fit voir que j’aurais tort d’en user à ma tête. Pour ne plus vous
parler
de cette malheureuse affaire, qui fut assoupie pa
ne passa pas outre, et que les domestiques eurent ordre de n’en point
parler
. J’en fis avertir Célénie ; elle vint me voir, je
vait voulu me faire, il me promettait non seulement de ne m’en jamais
parler
, mais même de faire ses efforts pour faire consen
, lui dit-elle en me montrant à lui, de qui je vous ai plusieurs fois
parlé
. C’est donc vous, Monsieur, lui dis-je, qui allez
t de faire vos explications ensemble, reprit la mère, vous pouvez lui
parler
quand il vous plaira ; mais je ne crois pas que v
ause de cela même, lui dis-je, et je vous supplie de la préparer à me
parler
seul à seul demain matin. Je sortis ensuite de ce
ix. Je différai à prendre mes résolutions jusqu’à ce que je lui eusse
parlé
. Ce fut le lendemain matin, sans attendre plus ta
out oublié, je suis venu exprès en poste pour vous en faire souvenir.
Parlez
sincèrement, Alaix est-il un choix de votre cœur,
nt la tête, de jouer ici le personnage d’héroïne de théâtre ; il faut
parler
juste : voulez-vous m’épouser ou non ? Je ne vous
a voir si votre amant voudra bien vous épouser après que je lui aurai
parlé
. Seriez-vous encore assez scélérat pour cela, rep
ouloir blanchir un nègre de Guinée avec de l’eau claire. Je ne lui en
parlai
pas davantage, et je pris le parti d’observer sa
siduités continuèrent, je ne pus jamais la retrouver seule. Nous nous
parlions
en particulier ; on ne pouvait entendre nos parol
plus fine que lui, tirait à l’essentiel. Je lui dis que j’avais à lui
parler
, et que j’allais l’attendre chez moi où je le pri
n, ajoutai-je, usez-en comme il vous plaira, la personne dont je vous
parle
est votre vertueuse maîtresse, la charmante Récar
r les piques. M’entendez-vous présentement, ajoutai-je ? Puis-je vous
parler
meilleur français ? Ce que vous dites là est-il b
étaient déjà aux prises ensemble. J’en eus de la joie, parce qu’elle
parla
plus français. Ah, ah, dit-elle d’abord, votre am
obscure, ne me reconnut pas. Je la reçus des mains de la Delorme sans
parler
. Je la baisai au visage, et pour commencer à fair
iselle, poursuivis-je, m’adressant à elle, mettons-nous à table, nous
parlerons
d’autre chose après ; et en même temps, je lui ôt
condition qu’elle abandonnerait une vie si infâme ; et je n’ai jamais
parlé
de cette aventure qu’à vous, et je ne vous l’aura
anquier qui devait me la payer. Je fus obligé d’attendre qu’il pût me
parler
, parce qu’il était occupé avec des gens de Cour e
bien, que je ne perdis pas un mot de leur conversation, quoiqu’elles
parlassent
fort bas. Elle roulait sur leurs maris vivant et
enchant. Ah, ma sœur ! reprit l’affligée, une honnête femme peut-elle
parler
comme vous faites, et songer à faire une infidéli
e qui arrive. Un méchant exemple n’est point à suivre ; et je ne vous
parle
des femmes que par comparaison aux hommes. Vous p
; et je ne vous parle des femmes que par comparaison aux hommes. Vous
parlez
comme une nouvelle mariée, et quand vous serez dé
ence à l’être de vous, vous concevrez mieux ce que je veux vous dire.
Parlez
-moi à cœur ouvert, poursuivit-elle, il est imposs
volonté que la sienne, et à souffrir même ses mauvaises humeurs ? Je
parle
selon la nature, ma chère sœur, et seulement par
us serions pour lors de même condition que les femmes dont je vous ai
parlé
, qui ne voudraient pas changer leur manière de vi
rtant je ne puis m’empêcher de vous dire, que Molière me paraît avoir
parlé
fort juste dans son Amphitryon lorsqu’il fait dir
oublié. Je conviens qu’elle ne croyait point être entendue ; qu’elle
parlait
à une autre femme seule, et que cette femme était
se ; et je la remerciai avec tant de reconnaissance que si elle m’eût
parlé
à moi-même. L’envie me prit de la connaître, et d
ce jardin était petit. Je revins sur mes pas dans le dessein de leur
parler
: mais elles se levèrent et entrèrent dans une sa
d’autre part que la curiosité : il me le dit. Je remontai en haut, je
parlai
au maître du logis qui me paya, et je sortis de c
cun. La subtilité de Poitiers, mon même laquais, dont je vous ai déjà
parlé
, et à qui je m’étais découvert, était à bout : ni
ous paraîtrez vouloir faire, disait-il, vous servira de prétexte pour
parler
à la maîtresse. J’étais presque d’humeur à y cons
marier pour lors ; elle m’aurait fort accommodé, mais avant que d’en
parler
à ma mère, ni à personne de ma famille, je voulai
uatre que je la fréquentais, lorsqu’un jour que j’étais chez elle, on
parla
d’une veuve, qui sans être remariée, était devenu
suivis-je, je ne suis point femme, ainsi ce n’est pas pour moi que je
parle
: mais si je l’étais, et que j’eusse eu la faible
, et à me découvrir, et à me mépriser : non pas comme celui dont vous
parlez
, de ne vouloir pas m’épouser, après me l’avoir pr
la veuve, établi en province, où il avait attrapé la femme dont nous
parlons
, et s’était moqué d’elle à Paris, où elle l’avait
puis cacher ce que je pense. On donna un siège à cet homme : de quoi
parliez
-vous, Mesdames, dit-il ? Nous parlions, reprit la
un siège à cet homme : de quoi parliez-vous, Mesdames, dit-il ? Nous
parlions
, reprit la sœur de ma veuve, de la satisfaction q
epris-je, qu’il y a beaucoup de femmes qui se gouvernent mal : (je ne
parle
point des abandonnées, celles-là sont indignes qu
, sans lui donner à connaître que je savais que c’était de lui que je
parlais
, nous savons tous présentement qu’une demoiselle
homme ; mais le public lui a l’obligation de lui avoir donné sujet de
parler
de sa maîtresse à tort et à travers, et de le reg
tinuai-je, en m’adressant à lui-même, qu’un homme comme celui dont je
parle
est indigne d’être jamais regardé par d’honnêtes
raison. Il y a, dit-il, quelque circonstance dans l’affaire dont vous
parlez
qui pourrait en changer le fond. S’il y en a, rép
s qui étaient là, que c’est à Monsieur de Beauval lui-même à qui vous
parlez
. Je ne sais point, Madame, repris-je tranquilleme
eur de connaître Monsieur ; mais je sais bien que l’affaire dont nous
parlons
ne convient point du tout à l’apparence qu’a Mons
. Nous eûmes là-dessus une assez longue conversation, après quoi nous
parlâmes
d’autre chose ; et j’en sortis fort persuadé qu’e
t s’il est jamais en âge, il ne regrettera pas sa naissance ; mais ne
parlons
point de mariage entre nous. Pour mon bien, si vo
ne changerai assurément pas. C’en est fait, lui dis-je, je ne vous en
parlerai
jamais, si vous-même ne m’en parlez la première.
fait, lui dis-je, je ne vous en parlerai jamais, si vous-même ne m’en
parlez
la première. Après cela nous redoublâmes nos care
uin et moi, c’est-à-dire, faire la débauche. Pour préparation nous ne
parlâmes
à table que de l’éternité, du peu de fonds qu’on
vous essouffler en vous emportant si fort contre les vices dont vous
parlez
. Je ne vois personne ici qui ait besoin de vos bo
in de ma mère que vous connaissez. Mais puisque l’occasion vient d’en
parler
, je crois vous devoir avertir, Madame, que Monsie
etardé l’effet. Après cela, comme il n’y a point de gens au monde qui
parlent
mieux dévotion que ceux qui n’en ont point, ou qu
: il est vrai qu’il n’était pas fort savant. La bonne mère entendant
parler
son fils comme un anachorète, avait les larmes de
ongue habitude qu’on a avec elle. Elle l’a doux, ferme et aisé ; elle
parle
peu et toujours sérieux, à moins, comme je vous l
ur moi beaucoup d’estime, et plus sans doute que je n’en méritais. Je
parlais
assez souvent à sa fille en sa présence, et le pe
ie de me rendre capucin : elle le croyait de bonne foi, et m’en avait
parlé
devant sa mère. Je ne lui avais répondu ni oui ni
mina, comme on lui avait prédit ; mais il n’est pas encore temps d’en
parler
. Je ne puis m’empêcher de faire une réflexion sur
rtes d’occasions de la voir ; mais elle évita avec tant de soin de me
parler
en particulier, qu’il me fut impossible de lui di
de lui rien dire, poursuivit Dupuis en s’interrompant lui-même, je ne
parlerais
pas si franchement que je parle ; mais vous êtes
en s’interrompant lui-même, je ne parlerais pas si franchement que je
parle
; mais vous êtes tous d’honnêtes gens, et je me f
je ne l’avais vue que par rencontre et fort rarement, sans lui avoir
parlé
du tout, lorsqu’elle se présenta à moi que j’y pe
ême, il y a ici quelque amourette. Un moment après une femme vint lui
parler
: je n’entendis point ce qu’elle lui dit ; je vis
on cinq ans et demi que je me suis déclaré à la personne dont je vous
parle
. Certes, repris-je, je n’ai eu aucune liaison ni
pût lui déplaire, m’a fait éviter non seulement les occasions de lui
parler
, mais même de la voir. Je ne l’ai regardée qu’en
et aussi vrai qu’il est certain que je vous l’ai dit, et que je vous
parle
sans vous connaître. Cette dame vous tiendrait co
voulus poursuivre, lorsque cette même femme qui était déjà venue lui
parler
revint encore. Il n’y a point d’apparence, Madame
même, et me fit asseoir auprès d’elle. Elle essuya ses larmes, et me
parla
d’une manière toute charmante, en me faisant sa c
ue mon cœur pour me faire voir, bien sûre que c’était de moi que vous
parliez
à moi-même : je croyais n’en faire qu’une simple
le avait toujours eu pour moi, dont elle ne lui avait pourtant jamais
parlé
, soit par l’indifférence de Londé qui vivait d’un
commoder d’un mari qui fait continuellement lit à part, et qui ne lui
parle
jamais en particulier ni nuit ni jour ? Est-ce po
fite d’un moment d’entretien particulier avec vous. Je vous laisserai
parler
tant que vous voudrez, me dit-elle, et même dire
e Londé. Nous étions toujours bons amis ; mais je ne lui avais jamais
parlé
de l’amour que j’avais pour sa sœur. Je ne lui en
avais jamais parlé de l’amour que j’avais pour sa sœur. Je ne lui en
parlai
point encore. Comme nous étions ensemble à parler
sœur. Je ne lui en parlai point encore. Comme nous étions ensemble à
parler
de choses indifférentes, on vint l’avertir qu’on
us brouillez pas si souvent. Et nous, ajouta-t-il s’adressant à nous,
parlons
d’autres choses. Nous changeâmes de propos en mêm
même ; et cela dans la crainte que j’avais de ne pouvoir de longtemps
parler
à Madame de Londé, par le moyen de Mousson, et j’
lus déguisé : (Dupuis avait pris la place du frère de la Mousson.) Je
parlai
à cette femme qui me dit que sa maîtresse était d
s une telle colère contre elle et contre moi, qu’elle n’avait osé lui
parler
du tout. Qu’elle lui avait seulement dit qu’elle
sans que le cœur y eût participé. Cette fermeté à ne vouloir plus me
parler
, m’obligea, pour en trouver les moyens, de me met
s et des chagrins, sans compter la dépense. Que ne lui en faites-vous
parler
par ses frères et par son confesseur, lui dis-je
en me promenant et en la regardant accommoder des salades que je lui
parlais
, et qu’elle me répondait. Nous fûmes bientôt d’ac
de Londé était tellement réservée pour moi, que je ne pus jamais lui
parler
en particulier, ni devant même la Mousson, depuis
ntôt des transports au cerveau. Vous m’avez dit que je ne faisais que
parler
incessamment de Madame de Londé, et que mes rêver
que jamais, et ne me voyait plus qu’en tremblant. Elle évitait de me
parler
, et surtout de se trouver seule avec moi avec tan
tes mes peines furent inutiles. Je fis vainement mes efforts pour lui
parler
, même en présence de la Mousson. La vie que je me
assa. Nous ne pûmes nous regarder qu’avec des yeux humides. Je ne lui
parlai
point du tout de Londé : je ne lui parlai que de
des yeux humides. Je ne lui parlai point du tout de Londé : je ne lui
parlai
que de moi. Je lui fis voir toujours le même amou
e lui refusera pas des larmes, pour peu qu’il ait d’humanité. Nous en
parlerons
une autre fois, pour le présent poursuivez votre
Vous n’avez fait que me prévenir, Monsieur, lui dit-il, car j’allais
parler
à Madame avec la même sincérité que vous avez fai
e penser d’un homme, qui ne passant dans leur esprit que pour un fou,
parlait
néanmoins si à propos, et mêlait dans ses discour
rement s’il a la crainte de Dieu et son salut en recommandation, sans
parler
de son honneur, qui n’est jamais réel et véritabl
ête n’est pas la plus noble partie du corps, c’est le cœur. Mais sans
parler
de l’Ecriture, voici quel est mon raisonnement po
ut beau, Monsieur, dit-il à son maître en l’interrompant, n’allez pas
parler
de même devant ma mauricaude, vous augmenteriez e
chotte prend leur parti, parce qu’il n’en a pas, s’il en avait une il
parlerait
autrement. — Et comment en parlerait-il ? lui dem
n’en a pas, s’il en avait une il parlerait autrement. — Et comment en
parlerait
-il ? lui demanda le duc. — Ma foi, Monseigneur, l
lui demanda le duc. — Ma foi, Monseigneur, lui répondit Sancho, il en
parlerait
comme moi. — Dites-nous donc ce que vous en pense
s Don Quichotte outré de son effronterie, lui dit qu’il ne devait pas
parler
des femmes comme il en parlait, surtout devant le
ffronterie, lui dit qu’il ne devait pas parler des femmes comme il en
parlait
, surtout devant les dames qui l’écoutaient. — Par
ieur, répondit Sancho avec une pointe de colère, elles m’ont forcé de
parler
, et puis au fond je ne me plains pas de ces dames
déchirez là les femmes sans pitié. — Eh non, Madame, reprit-il, je ne
parle
que de la mienne ; et en effet, il n’y a qu’elle
divertissait ; mais enfin ennuyé de répondre à tout le monde, et sans
parler
à personne en particulier, il dit tout résolument
ne en particulier, il dit tout résolument et en colère, qu’il n’avait
parlé
que de sa Thérèse, et au bout du compte, ajouta-t
ne mérite pas d’en faire une thèse générale. — Ce n’est pas à vous à
parler
des femmes. Monsieur le licencié, lui dit brusque
temps, et rentra tout doucement de peur d’interrompre son maître qui
parlait
, et que toute la compagnie écoutait avec beaucoup
rassé d’entendre des choses qu’il n’entendait pas lui-même ; qu’on ne
parlait
que pour se faire entendre, et que cela étant, on
a, se jouaient dans les cheveux de la dame dont Monseigneur et Maître
parlait
, et les faisaient voltiger, je ne sais comme il a
Elle en tomba malade, et en cacha le sujet à tout le monde. Elle n’en
parla
qu’à moi ; mais avec tant de tendresse de sa part
nde s’en étonnait ; car je ne passais pas pour fort endurant. On m’en
parla
; je convins de tout, et dis que je n’avais pas c
t à petit, en jasant avec le seigneur de choses indifférentes. Je lui
parlai
des intrigues de la ville, des nouvelles de Cour
; il croyait que j’allais continuer. La familiarité dont je lui avais
parlé
, me faisait passer dans son esprit pour une andou
it avec une autre fille qui paraissait la servir. Cette sœur alla lui
parler
, il me parut qu’elle fit quelque difficulté, j’al
entir. Je la saluai : elle me rendit mon salut fort civilement, et me
parla
si juste que je ne doutai pas que ce ne fût une f
faisait peigner, elle montait sur une table, et sa tante dont je vous
parlerai
bientôt, et sa fille de chambre y étaient occupée
jamais, elle joua des instruments et en joua parfaitement bien : nous
parlâmes
de choses indifférentes ; et après une visite de
ait agir, ma bouche gardait le silence : mais mes yeux et mes actions
parlaient
; j’étais sûr qu’on les entendait, et quoique Sil
nières que je ne lui étais pas indifférent ; mais je voulais la faire
parler
, et c’est ce qui me fut impossible. Pour de la ja
s de l’emploi que mes oncles avaient voulu me donner. Elle ne leur en
parla
pourtant pas ; elle fut assez bonne pour me ménag
je, dès que je la vis ; la lettre que vous tenez est celle dont on me
parle
ici. Elle est belle, me dit-elle : vous avez donc
e crois que vous me dites sans fard ce que vous pensez. Je ne vous en
parlerai
jamais : ce serait, comme vous l’avouez, redouble
ce serait, comme vous l’avouez, redoubler votre confusion ; le sujet
parle
de soi-même. Je crois même que cela vous rendra s
e train que doit suivre un honnête homme. Obligez une fois le monde à
parler
de vous en bons termes. Si cette affaire-ci ne vo
chevaux pour vous et un valet. Je lui jurai que c’était mon cœur qui
parlait
par ma bouche : que j’étais prêt de monter à chev
it me fit voir un plaisir complet d’approfondir la fourbe et de faire
parler
ce gentilhomme qui devait être mon prétendu beau-
homme me paraissait fort instruit des affaires de son temps, et m’en
parlait
comme y ayant eu part : il invectiva contre son m
lui demander s’il ne connaissait pas Silvie et sa tante, lorsqu’il en
parla
le premier. Il me dit qu’il avait été autrefois d
passe pour sa tante à elle, et qui lui a aidé au vol dont je vous ai
parlé
, veut que j’aide à tromper ce pauvre diable, et m
donner des rendez-vous ? Ne pouvez-vous pas la voir chez elle ? Vous
parleriez
plus commodément, et avec moins de crainte d’être
r la plus sensible. Elle avait pitié de l’état où j’étais, et sans me
parler
du tout de Silvie, elle eut la bonté de prendre à
ame de Cranves s’était aperçue qu’il ne me haïssait pas : elle lui en
parla
. Il avoua qu’il m’aimait, elle trouva que le part
ue la femme de cet homme ne la quitta point, et que je ne voulais pas
parler
devant elle, en quoi je fis mal. Il apprit par el
me faire, je me contentai d’éviter soigneusement les occasions de lui
parler
seul à seul. Mais comme je l’avais mis au désespo
le motif. Je le sus par un des valets de pied, et qu’il lui en avait
parlé
à lui-même. Je ne pus enfin m’empêcher d’en faire
lui dit-elle, et n’y remettez jamais le pied, ou vous résolvez de ne
parler
jamais de Silvie qu’avec tous les respects qu’un
ez, cela m’est indifférent, mais je sais bien que si j’entends encore
parler
de ses sottises, je vous en rendrai bon compte et
vous en ordonnerez sera exécuté. Je vous supplie Madame, lui dis-je…
Parlez
-lui à lui-même, dit-elle en m’interrompant. Eh bi
commerce qui ne lui plaisait pas. Cela le rendit sage, il n’osa plus
parler
de moi ni de Garreau, qui ne s’en tint pas aux pa
e joie. Elle mit entre les mains de Garreau la lettre dont je vous ai
parlé
, qu’elle certifia, et pria Monsieur de Villeblain
arrivé, elle me fit appeler, et tout le monde étant sorti, elle leur
parla
ainsi devant moi. Ma mort va bientôt vous rendre
ux et Monsieur de Villeblain seuls fort longtemps en particulier. Ils
parlèrent
assurément de moi ; car lorsqu’ils sortirent de s
ds de vous le dernier adieu. Elle se leva d’auprès de moi après avoir
parlé
si longtemps sans que je l’eusse interrompue d’un
, lui répondis-je. Il n’importe, dit-elle, il est à propos que je lui
parle
, et je vous prie d’entendre ce qu’il me répondra
Je la laissai faire, et elle écrivit ce billet : BILLET. J’ai à vous
parler
, Monsieur, rendez-vous chez moi tout à l’heure. J
vous ne vous altérez point à m’écouter ; mais moi je m’altère à tant
parler
: il faut être plus héros de roman que je ne suis
j’ai de plus cher au monde. Prenez un siège, lui dit Silvie, je vous
parlerai
ensuite. Il voulut faire quelque difficulté ; mai
aire, dit-elle, plus vous serez sincère, et plus je serai généreuse :
parlez
seulement. Que vous dirai-je, reprit-il ? La mort
ment, je lui persuadai d’exiger de vous les dernières faveurs, et lui
parlai
de vous, de Monsieur Garreau, et de Madame Morin
e. Je ferai l’un et l’autre, mais souvenez-vous d’être sage, et de ne
parler
de moi qu’avec le respect que vous devez au sang
le caractère de ma mère. La manière tout à fait outrée dont je lui ai
parlé
de vous, continuai-je, l’a persuadée que je n’y s
menai au cabaret, où je l’adoucis sur l’article de Valeran dont il ne
parla
plus ; mais il s’en tut d’une manière à me faire
discrétion sur son sujet en ma présence. Querville vint enfin, ils se
parlèrent
et convinrent ensemble de ce qu’ils avaient à fai
que Rouvière eut tiré Querville d’embarras, et à la même heure que je
parlais
de lui à Silvie, il tua son ennemi d’un seul coup
partie cause de la mort d’un homme, quoiqu’il la méritât bien. On ne
parla
pas plus de lui après sa mort que s’il n’avait ja
demander, j’ai entrevu qu’elle avait eu l’insolence de vous en avoir
parlé
, et peut-être de tâcher à vous y faire consentir.
i je montrai sa lettre, dont je vous ai donné les morceaux, ne m’en a
parlé
qu’en la détestant. Quoi qu’il en soit, lui dis-j
us jure qu’elle est la première à me féliciter sur mon choix, et à me
parler
de vous avec éloge ; et pour sa personne en parti
conviens, reprit Des Frans, Monsieur le commandeur de Villeblain m’en
parla
dans ces termes après mon mariage, mais sa vertu
e ne voulait pas me marier si jeune. Je lui fis voir que si je lui en
parlais
, et qu’elle n’y voulût pas consentir, comme je le
t où nous en étions, c’était à quoi je ne pouvais me résoudre. Je lui
parlai
de l’embarras où j’étais ; elle entreprit de me p
utre. C’était ainsi que je l’avais projeté en venant, et lorsque j’en
parlai
à Silvie, elle me répondit que j’étais le maître,
fort bien, parce que nous avions l’esprit content. Il fallut ensuite
parler
de se coucher. Elle voulait que je prisse son lit
mme son meilleur témoin. Dans cette intention pendant le repas je lui
parlai
de son voyage, et sus qu’il n’était arrivé que le
voulais traiter. Ainsi j’étais très sûr que Silvie ne lui avait point
parlé
, outre qu’il n’était pas homme à mentir pour quel
la guerre, et insensiblement sur celle de Picardie [Candie]. Il m’en
parla
comme officier présent, et entre les personnes de
de ses intimes amis, un fort brave homme et un fort honnête homme. Il
parla
de sa famille, et nomma Madame la duchesse de Cra
t été. Vous me surprenez, Madame, reprit le commandeur, quand vous me
parlez
de Silvie comme d’une fille qui se gouverne mal !
i bon compte. Quand ce ne serait que pour ma propre satisfaction ; je
parlerai
dès demain à Silvie ; et j’irais dès aujourd’hui
de vous nommer Mademoiselle. Je conçois à présent tout ce qui faisait
parler
Monsieur, je vous ai donné bien du plaisir, conti
it ; ma femme m’a dit que c’était le même Valeran dont vous avez tant
parlé
, et en effet c’était lui-même. Ma mère les croit
ayant pas de moyens certains, et j’ai mieux aimé conclure sans lui en
parler
, que de risquer à manquer Silvie, en lui demandan
ouvrir ce secret. Vous m’avez fait un vrai plaisir, poursuivis-je, de
parler
comme vous avez parlé. J’avais une joie incroyabl
m’avez fait un vrai plaisir, poursuivis-je, de parler comme vous avez
parlé
. J’avais une joie incroyable de vous voir prendre
it ma femme, je suis certain que je ne vous avais pas fait plaisir de
parler
d’elle comme j’avais parlé, et que vous auriez eu
que je ne vous avais pas fait plaisir de parler d’elle comme j’avais
parlé
, et que vous auriez eu quelque peine à m’accorder
plus hardiment que vous m’avez paru avoir envie de la voir et de lui
parler
. J’approuve ce que vous avez fait, Monsieur, repr
Madame Morin prit place à son ordinaire. Monsieur de Villeblain m’en
parla
dans des termes qui achevèrent de dissiper mes so
rsqu’il vit ma mère dans l’état où il la voulait, il recommença à lui
parler
de moi, il lui fit comprendre les avantages que c
ne pourrais jamais trouver un meilleur parti, qu’il s’offrait de m’en
parler
, et à me raccommoder avec Silvie que j’aimais ass
e repentirait jamais de l’avoir reconnue pour sa bru. Qu’il la ferait
parler
à Monsieur et à Madame d’Annemasse quand elle vou
s d’elle, mais en désabuserai-je les frères de son père à qui j’en ai
parlé
? Je m’en suis expliquée avec eux : ils savent qu
envoyé en Italie. En désabuseront-ils ceux à qui ils peuvent en avoir
parlé
? Supposé qu’ils s’en désabusent eux-mêmes, ce qu
, et de tout ce que je suis capable de faire pour lui, que si je leur
parle
de son mariage, bien loin de me croire, ils s’ima
iculier, et que lui loge toujours chez moi, pour empêcher le monde de
parler
. Qu’il lui fasse prendre une maison où il n’y ait
a attaqué dans la partie la plus sensible d’un honnête homme. Elle me
parla
de tous en général en fort bons termes ; mais com
re qu’en passant. Elles avaient toutes deux envie de se voir et de se
parler
en particulier ; mais quel prétexte prendre pour
ait qu’à une petite lieue de chez moi. Je la priai encore de ne point
parler
de moi, ni de dire qu’elle fût ma femme, parce qu
t je retournai dans sa chambre, la lettre de ma mère, dont je vous ai
parlé
, à la main. Elle se jeta à mes pieds toute en lar
-être en triompher. Elle dit à sa fille de chambre qu’elle voulait me
parler
sans témoins, et qu’elle sortît pour un moment. J
nsieur, dit-elle en m’interrompant, épargnez-moi le reste, je ne vous
parlerai
plus de rien qui puisse vous faire de la peine. P
ile, elle n’a jamais voulu en recevoir un sou, ni même le voir ni lui
parler
, ni à qui que ce fût de dehors, ayant absolument
s me laissèrent, j’envoyai chercher le bon père carme dont je vous ai
parlé
. Il vint, et mes accès de fureur et de fièvre cha
portrait de Madame. Le père connut dans ce moment ce qui en était. Il
parla
au marchand qui lui dit qu’il avait eu ce portrai
urait point été par ces motifs, ajouta Jussy qui n’avait point encore
parlé
, que je l’aurais reprise : c’eût été pour l’amour
rez jamais d’autre ; ne songez plus à moi, vous n’en entendrez jamais
parler
. Hélas ! j’avais toujours vécu innocente ; ma vie
ce que j’en pense devant Monsieur Des Frans. Oui, lui dit celui-ci ;
parlez
ouvertement et sans contrainte. Il me semble, rep
rir, dit en colère, la belle Madame de Jussy qui n’avait point encore
parlé
, que Monsieur de Contamine ternisse par un soupço
faites pas plaisir, ma belle cousine, lui dit-il, de vouloir me faire
parler
. Vous me pardonnerez, Monsieur, lui dit Madame de
tristes que le récit de Monsieur Des Frans pourrait y avoir laissées,
parlons
de souper, il est temps ; et ne songeons qu’à nou
. Le concert ne fut pas long, on avait servi. Pendant le souper on ne
parla
que de plaisir, et on fit ce qu’on put pour diver
Mongey toutes les idées funestes qui vous restent de Silvie. Nous en
parlerons
une autre fois, pour à présent laissez-moi donner
s n’ont pourtant jamais eu qu’un seul enfant, qui est celui dont nous
parlons
. Elle était encore en âge de se remarier lorsqu’e
t secours, et chargée d’une petite fille, qui est Angélique dont nous
parlons
; et encore le maréchal d’Hocquincourt ayant été
issait cette femme pour femme de vertu, la lui accorda volontiers, et
parla
à Angélique comme s’il avait été son père : aussi
sique ; et cela sans avoir d’autres maîtres que les siens, qui ne lui
parlaient
que très peu. Cette demoiselle fut obligée d’alle
ue : Contamine la vit et en devint tout d’un coup amoureux. Il ne lui
parla
point cette fois-là, il se contenta de l’admirer.
vous, croit faire honneur à une fille telle que je suis, quand il lui
parle
, et je vous assure que je n’ambitionne point cet
tombe d’accord, reprit-il, mais en vous voyant je ne pourrai pas vous
parler
. Si c’est une seconde condition, dit-elle, que vo
Madame de Contamine, et remmena Angélique avec elle. Celle-ci ne lui
parla
point de la conversation qu’elle avait eue avec l
ur ce qu’il lui avait dit. Elle avait fort bien connu qu’il lui avait
parlé
de cœur ; mais pour voir si elle ne s’était point
ier des conditions du marché. Ne plaisantez point, reprit-il, je vous
parle
sérieusement, répondez-moi de même. Que voulez-vo
on amour, et répondez-moi comme en étant bien persuadée. Afin de vous
parler
sans témoins, sous prétexte d’attendre Mademoisel
r, afin que sous le même prétexte, je puisse encore vous voir et vous
parler
; ainsi ne faites plus de difficulté, et répondez
Voilà quels sont mes sentiments ; conformez-y les vôtres. Je ne vous
parle
point de m’épouser, je n’y prétends pas ; mais je
sait, elle alla chercher une autre fille qui vint avec elle. Elle lui
parla
pour lors, et lui dit que Mademoiselle de Vougy s
ut-être quelque laquais vous quérir, et vous sortiriez sans lui avoir
parlé
. Vous êtes malicieuse, reprit-il, avec votre laqu
ligiez de la prendre. Il resta toute l’après-midi, mais il ne put lui
parler
seul à seul ; cette fille ne la quitta point. Il
iselle de Vougy alla chez lui le soir même, et ne le trouva pas. Elle
parla
à Madame de Contamine, et sut d’elle qu’il avait
, m’avait témoigné si peu de disposition, la dernière fois que je lui
parlai
de cette affaire, que je la croyais échouée ; mai
t point encore expliqué, et qu’elle la suppliait d’attendre qu’il eût
parlé
le premier. Cette demoiselle est assez belle, et
ine revint le lendemain ; il croyait tout au moins qu’elle allait lui
parler
, ou lui donner un rendez-vous. Il se trompa, elle
es mains de ses larmes, je ne puis vivre sans vous voir, et sans vous
parler
. Vous savez écrire, reprit-elle, je ne refuserai
s forces, j’étais abandonnée de vous d’une manière ou d’autre ? Je ne
parle
point du changement qui peut arriver dans vos int
et qu’une demi-heure à revenir. Vous n’êtes point ici en état de vous
parler
, belle Angélique, lui dit-il, je n’ose pas même y
avait destiné. Il envoya la garde en ville sous quelque prétexte, et
parla
à la mère d’Angélique. Il est inutile, Madame, lu
ierreries valaient un des plus riches mariages. Je voudrais bien vous
parler
un moment, lui dit votre commère toute étonnée. J
mère, que qui que ce soit ne la venait voir que Contamine, qui ne lui
parlait
jamais hors de la vue, et fort peu en particulier
evant de se faire connaître, cette princesse ne put s’empêcher de lui
parler
. Vous êtes dans un état bien magnifique, Madame,
r devant les gens qui l’écoutaient. L’affaire méritait bien qu’ils se
parlassent
en particulier : ils le firent dans le jardin où
ns lui en paraissaient difficiles. Elle craignait qu’on ne la fît pas
parler
à la princesse, si elle y allait elle-même. Elle
grosse fièvre, et des maux d’estomac si vifs, qu’à peine pouvait-elle
parler
. Elle fit sortir, quand elle la vit, tout le mond
présentement tout autre que je ne la croyais encore ce matin. Je vais
parler
à la princesse, il n’est pas encore jour pour ell
mestiques, et lorsqu’ils furent assemblés, écoutez, leur dit-elle, je
parlai
mal hier au soir d’Angélique que plusieurs de vou
, il tomba à ses genoux devant son lit. Ils pleurèrent tous deux sans
parler
. Il tenait une des mains de sa maîtresse, qu’il m
votre amitié à tous deux, vous pouvez compter sur la mienne. Je vais
parler
à la princesse, et je me promets de la mettre de
n crime, ni le moindre soupçon injurieux. La princesse avoua que tout
parlait
pour elle ; elle entra dans ses sentiments, elle
uxembourg, elle répéta encore à Angélique, qu’elle voulait absolument
parler
à son amant et qu’elle les attendrait tous deux l
de la princesse qui les reçut le plus honnêtement du monde. Elle leur
parla
quelque temps en général, et ensuite elle fit ent
a princesse admira son procédé, et lui dit que son dessein était d’en
parler
elle-même à Madame de Contamine. Ah, Madame, repr
Angélique lui rendit mille grâces de ses bontés, et Contamine ne lui
parla
plus en particulier de cette journée. Il ramena v
recevable. Il lui promit de n’y plus songer, ou du moins de ne lui en
parler
jamais, et de s’éloigner, si elle le voulait, pou
ar sa femme de chambre, qui lui dit qu’un gentilhomme demandait à lui
parler
de la part de Madame la princesse de Cologny. Ell
ent, et allèrent souper chez Dupuis qui les régala splendidement. Ils
parlèrent
d’affaires, Des Frans les informa de ce qu’il ava
le prenant par le bras, mettez-vous là et dînons, après cela on vous
parlera
. Ce sera moi, Monsieur, dit un homme parfaitement
Monsieur, dit en riant une fort belle femme qui n’avait point encore
parlé
, ne galantisez point tant mon mari sur sa bonne m
gey auront leur temps. On suivit ce conseil et on dîna fort bien. Ils
parlèrent
pendant le dîner des ombrages que les amants pren
er n’avez pas eu la civilité de me dire deux mots, et n’avez fait que
parler
bas à Madame de Mongey. Ah ! Madame, reprit Des F
mait l’aînée de ces deux filles que nous allions voir, parce qu’il en
parlait
avec feu. Je n’avais jamais rien aimé, je la vis,
de prendre. Je ne pus m’en taire. Quoi, dis-je à Bernay, vous m’avez
parlé
en venant ici de vos deux sœurs, comme de deux fi
pénétrante) c’est à faire, poursuivis-je, à leurs directeurs de leur
parler
de dévotion, et à un homme comme moi de leur témo
d’un âge et de profession à être catéchiste ? Il me ferait beau voir
parler
d’extases, d’illuminations, de retraites, et d’au
de l’art que j’ignore, j’en laisse le soin aux autres, mais pour lui
parler
du monde, c’est mon fait. J’aurais parlé à une au
n aux autres, mais pour lui parler du monde, c’est mon fait. J’aurais
parlé
à une autre comme à elle, et encore mieux, car je
ne rougissant pas, elles s’expliquent bien plus hardiment qu’elles ne
parleraient
, et s’engagent bien davantage. Elles se font même
t, elle se retira. Tant mieux, dit Terny, sa présence me gênait. J’en
parlerai
avec plus de liberté, et ne vous cacherai pas que
trop âgés et trop dégoûtants pour inspirer de la tendresse. Ils ne me
parlaient
que des troubles de la vie. Je n’avais jamais rie
mpagne sans voir Clémence. J’y allai avec son frère, il la vit et lui
parla
; mais on me refusa la porte, quelque colère qu’i
ule idée conservera dans mon cœur. Votre lettre, votre déguisement me
parlent
en votre faveur. L’amour-propre me dit que vous m
, il fut d’un détachement commandé par Monsieur de Duras : je ne vous
parlerai
point d’une des plus glorieuses campagnes de ce g
t qu’il avait su mon retour, il lui avait défendu de me voir et de me
parler
. Il avait été instruit que ç’avait été moi qui av
mes toutes les caresses dont nous pûmes nous aviser, et que nous nous
parlâmes
pour la première fois seul à seul. Je la plaignis
émence ne pouvait pas mieux trouver que moi. Tous les gens à qui j’en
parlai
, crurent l’affaire faite, elle ni moi ne le crure
en vie, et que vous n’aimez guère, de la manière dont vous venez d’en
parler
. — Il est vrai, Madame, répondit Terny, que ç’a é
matin, et la recommanda de bonne sorte : il se servit de mon nom pour
parler
à elle. Je vous laisse à penser ce qu’elle devint
n mot, et se retira dans l’instant même, il eut donc tout le temps de
parler
à la Supérieure et d’empêcher la sortie de Clémen
. Il savait que j’en étais cause et me connaissait de nom. Bernay lui
parla
de moi comme d’un enfant à donner le fouet ; celu
e chercha, et comme je ne me cachais pas, il me trouva bientôt. Il me
parla
devant quantité de monde sans dire son dessein ;
nous deux n’en sera pas bien aise. L’air froid et tranquille dont je
parlais
fit rire les gens qui écoutaient. Mon rival en ro
a voir, sans lui proposer aucun parti ; qu’elle lui avait inutilement
parlé
de moi : et qu’à cela près elle était assez tranq
utre couvent où son père l’avait menée : en un mot, on ne la laissait
parler
à personne du tout. Elle se confia à une autre re
la priais de faire en sorte auprès de cette tourière que je pusse lui
parler
le soir même ; et je recommandai la même chose à
demi-heure entre mes bras sans pouvoir ouvrir la bouche : enfin elle
parla
, et je vous laisse à penser ce que nous pûmes nou
selle, continuai-je parlant à elle ? Oui, Monsieur, me répondit-elle.
Parlez
haut, lui dis-je, que personne n’en doute. Oui, M
ant une seconde fois devant tout le monde ; après quoi sans cesser de
parler
, et adressant toujours la parole à Bernay : vous
vous vouliez donner au couvent ; mais ce sont des intérêts dont nous
parlerons
dans un autre temps. Elle, ni moi ne renonçons pa
isir ; sinon nous protestons, Mademoiselle et moi, de nous en passer.
Parlez
, Monsieur, ajoutai-je, n’hésitez pas. Non Monsieu
tion, et vous avez été tellement occupés, Madame de Mongey et vous, à
parler
ensemble, que je suis surprise de vous voir parle
Mongey et vous, à parler ensemble, que je suis surprise de vous voir
parler
à nous ; c’est sans doute une distraction que vou
llais vous citer l’un et l’autre pour des exemples de constance. Nous
parlions
de constance aussi, dit-il, mais sans aucun rappo
et je puis dire que ce que j’en dis est également curieux et vrai. Je
parlerai
de ce roi sans flatterie. Il était né parfaitemen
ux sur leurs entreprises. Je rapporterai la preuve de ceci lorsque je
parlerai
de ce qui m’arriva en 1689 et 1690 avec Mons[ieu]
i de ce qui m’arriva en 1689 et 1690 avec Mons[ieu]r de Seignelay. Je
parlerai
de ces bons pères dans la suite de ces Mémoires ;
ner ici en propres termes. Le voici : 13. Quoique cette compagnie (il
parle
des Jésuites) soit la dernière en date dans la hi
aisaient entendre. M.de Grammont était cependant un homme de cour. Je
parlerai
de lui dans la suite. J’ai bien d’autres endroits
solennel en présence d’une infinité de peuples. Voici le fait ; j’en
parle
comme présent. Lorsque le roi établit la capitati
couronné de gloire Louis XIII son père et Henri IV son aïeul, je veux
parler
de Pignerol, Casai et Dunkerque. Il est vrai qu’i
était le cardinal Mazarin, homme véritablement détesté et haï dont je
parlerai
dans la suite, lorsque j’entrerai dans le détail
est un fruit de ce pouvoir arbitraire qu’il inspirait à Louis ; j’en
parlerai
dans la suite, et en effet… Dignus erat effrons
citer pour être convaincu de la vérité de ce que je viens de dire. Je
parlerai
encore d’eux ; et j’en reviens à la bonne foi mor
mus lieutenant civil, frère de M. l’évêque de Grenoble dont j’ai déjà
parlé
, homme intègre, très honnête homme et bon magistr
ut outré de rage, mais se flattant encore de quelque espérance, il en
parla
à la comtesse de Soissons mère du comte, et l’eng
l en parla à la comtesse de Soissons mère du comte, et l’engagea à en
parler
à son fils. Elle le fit et pour toute réponse le
’était que simple garde de la Reine, mais pas assez autorisé pour lui
parler
, ni même entrer dans sa chambre. Cependant les in
s sa chambre. Cependant les instances de ce médecin l’obligèrent d’en
parler
comme en riant à Madame la duchesse de Chevreuse,
maléfices dont il savait le contrepoison. 73. Madame de Chevreuse en
parla
au cardinal Mazarin, qui soit pour faire sa cour
dix ans. Je revins dire la chose à mon père qui me défendit bien d’en
parler
, mais tous étant mort[s] je ne vois point de rais
ller trouver le Roi et de lui faire cette proposition. 87. Il y alla,
parla
au Roi à qui il représenta le trouble et les agit
nts politiques sont entre les mains de tout le monde, et ne sont à en
parler
juste qu’une satire réciproque du ministère l’un
l’exécution était faite, il n’y en eut aucun assez hardi pour oser en
parler
au Roi à son retour de la chasse, où il avait été
nt sur ce dernier article, mais sur la prétendue religieuse dont j’ai
parlé
, et ajouta que ces pères missionnaires défendaien
e Hollande leur a dit dès il y a longtemps, que je suis fâché de tant
parler
d’eux, et plus encore de (ce] qu’ils m’en donnent
suivant le Testament politique de M. de Pomponne dont j’ai ci-devant
parlé
. 127. J’ai promis quelques fragments de la harang
ngues debout ni assis : c’est en se promenant devant celui auquel ils
parlent
. M.de La Barre était assis, et voici ce qu’Arouïm
croyons que ce qui cadre à la raison et qui frappe nos yeux… On nous
parle
d’un langage que nous n’entendons pas, fais dire
es qui viennent parmi nous, nous disent de bonnes choses quand ils ne
parlent
que de ce qu’il faut faire, et nous les écoutons
ue par la seule bonté du Roi, qui se contenta de l’exiler. Lorsque je
parlerai
de lui, je dirai de quelle manière il en fut reti
nt fripons. J’entrerai là-dessus dans un plus ample détail lorsque je
parlerai
des ministres sous lesquels les plus criants abus
rlay, pour lors procureur général et depuis président, dont j’ai déjà
parlé
, s’en plaignit à Louis et lui porta de ce papier.
ur être porté chez lui, où il mourut le lendemain ; et il ne fut plus
parlé
de lui deux jours après que d’un chien mort. 137.
eur de la guerre de Hollande. Mais malgré la paix faite on n’a jamais
parlé
de suppression, pas plus qu’on [n’] en parle à pr
paix faite on n’a jamais parlé de suppression, pas plus qu’on [n’] en
parle
à présent de la capitation et du dixième denier,
ou plusieurs autres si l’on veut, son légat en France eut ordre d’en
parler
à Louis et lui remontrer fortement qu’il était od
t faire figure, et il fut anéanti sous celui de M. Chamillart dont je
parlerai
aussi à son tour. M[onsieu] r d’Argenson était co
ne qui s’y est passée environ trois mois après celle dont je viens de
parler
. Ce magistrat se mêlait de tout, jusques à entrer
t mettre la main sur elle que pour la caresser. Que je n’entende plus
parler
de cela, car [tu] ne me ferais pas plaisir, et j’
ui défendit de mettre la main sur elle que pour la caresser. 148. Je
parlerai
de M. d’Argenson à son tour. Je lui ai vu faire d
e Roi pour lui rendre compte de quelque affaire l’y envoya. II y fut,
parla
à Louis qui fut charmé de son esprit et de la man
esprit et de la manière concise et nette dont il s’expliquait. Il en
parla
à M. Colbert avec tant d’éloges que celui-ci crai
naître. Au contraire, il se crut plus habile que jamais. Il y alla et
parla
au Roi, mais avec tant de répétitions, de désordr
anges de l’épouse de son amant, comme réciproquement jamais femme n’a
parlé
en bonne part de la maîtresse de son époux. Celle
Je prends même la liberté de la supplier d’ordonner que je puisse lui
parler
seul. Je ne suis point en état de parler à person
d’ordonner que je puisse lui parler seul. Je ne suis point en état de
parler
à personne, lui répéta ce prince, et vous me fere
rt était d’avis que Monseigneur lui fît dire qu’il ne pouvait pas lui
parler
, mais le prince en jugea autrement et le fit entr
parler, mais le prince en jugea autrement et le fit entrer. Il voulut
parler
, mais Monseigneur lui ferma la bouche tout d’un c
tion était un effet de sa fierté naturelle, les gazettes mêmes en ont
parlé
, et tout le monde se trompait. Cet accueil froid
jusques à l’arrivée de la cour à Versailles, et pendant le chemin il
parla
très mal de M. Colbert à son épouse. A leur arriv
ait de lire, il disait à celui qui le lui avait donné qu’on lui avait
parlé
d’une semblable affaire, et dans les mêmes circon
endre comme le malhureux Cordier l’a été sous un autre ministre. J’en
parlerai
dans son temps. 181. Le marché des bestiaux qu’il
uivant Pétrone, était un crime inconnu du temps de nos ancêtres. J’en
parlerai
amplement dans la suite, lorsque je parlerai des
ps de nos ancêtres. J’en parlerai amplement dans la suite, lorsque je
parlerai
des ministres qui ont succédé à M. Colbert, dont
rlerai des ministres qui ont succédé à M. Colbert, dont sans doute je
parlerai
encore, quand l’occasion s’en présentera. 186. Le
t pour arrêter le gentilhomme qui était avec son maître, et qui avait
parlé
si haut, et courut chercher un exempt. — Voici un
taire à la Conciergerie, où il fut mis dans un cachot. Après cela, il
parla
au marquis, l’obligea de prendre dix mille écus c
e la peine à prendre son argent. 193. Le marquis retourna en cour, et
parla
à tant de gens de l’action intègre et généreuse d
M[onsieu] r d’Orléans ne jugea pas à propos d’obliger ce prince d’en
parler
lui-même au Roi, et se fondait sur ce que c’était
it un très grand tort ; son conseil jugea pour lors à propos qu’il en
parlât
au Roi. Mais il en eut pour toute réponse : De qu
e le régent de France, fils de M[onsieu] r d’Orléans dont je viens de
parler
, s’en ressentît à présent qu’il en a l’autorité e
ropres remords, tant sur cet article que sur plusieurs autres dont je
parlerai
dans la suite, après avoir rapporté le jugement q
res qui en dépendaient s’étaient faits sous le nom du président, sans
parler
de son neveu ni prendre la qualité de tuteur ; et
de roi de Normandie, frère de Madame la duchesse d’Arpajon dont j’ai
parlé
, alla un jour à la chasse du côté de ce château.
où il vous laissait. Revenez ici demain à neuf heures, je vous ferai
parler
au Roi, et je serai votre introducteur. 206. Le l
la bouche. Lisez, lui dit Louis en l’interrompant, après cela je vous
parlerai
. Il lut donc, et le Roi ayant repris le placet :
-il, qui sont en état de vous dire que oui. Que leur répondrez-vous ?
Parlez
. — Oui, Sire, dit M. de Mesmes fort embarrassé. —
ez avec tant d’injustice, et faites en sorte que je n’en entende plus
parler
. Cela est odieux, ajouta-t-il en se levant. 208.
n deux comme l’autre enfant mort. Mais dans le jugement du Roi, c’est
parler
en véritable roi. Monsieur de Brissac insistait à
, Monsieur le duc de Beauvilliers, qui était du secret, fut chargé de
parler
au Roi seul à seul. En effet il le fit, et Louis
omme élevé et en place ; que c’était de la prévention dont il voulait
parler
, qui ne se pouvait point effacer de son esprit lo
. de Brissac, major des gardes, d’avertir Deschiens qu’il voulait lui
parler
, et qu’il vînt à Versailles. Mons[ieu] r de Briss
que j’ai nommé, et encore par d’autres domestiques. On saura quand je
parlerai
de moi par quel endroit j’étais familier dans cet
i offre pour témoin Madame Deschiens, veuve de celui dont je viens de
parler
; elle est encore en vie, et en bonne santé. 216.
bien fait de sa personne, et tous deux s’aimèrent de bonne foi. Il en
parla
à Madame Deschiens qui ne refusa pas le parti, ma
d’autant plus qu’elle les avait vu plusieurs fois l’une et l’autre se
parler
seule à seule, et même s’entendre nommer sans en
t tous ses sacrements, mais sans efficace. Lorsque son confesseur lui
parlait
de foi, il écoutait et même répondait ; mais lors
ui parlait de foi, il écoutait et même répondait ; mais lorsqu’il lui
parlait
de payer à des commis ou à d’autres ce qu’il leur
pourtant un adjoint qui est la marquise de Maintenon, de laquelle je
parlerai
à son tour. 228. M.de Pontchartrain commença son
lle ne s’en relèvera jamais. Comme j’y étais j’en peux répondre et en
parler
savamment, et cela d’autant plus que le hasard m’
rquer tout le monde. Le mardi matin on tira le coup de partance, pour
parler
matelot ; on mit à la voile sur les dix heures. N
témoin qu’il n’y a nulle impiété de ma part là-dessus, mais j’en puis
parler
comme témoin oculaire. Voici comme cela se passa
ne, où un prédicateur a toujours fait merveille, lorsqu’il a beaucoup
parlé
de Dieu et du diable à tort et à travers ; et qu’
peuple, et en eut cette réponse digne plutôt d’un tigre, s’il pouvait
parler
, que d’un roi chrétien. Eh bien, quand il mourrai
lle ? Enfin la chose en vint jusques au point qu’on n’osa plus lui en
parler
, à moins que de vouloir s’exposer à son indignati
de Mad[am] e de Maintenon comme celles d’une sainte à miracles. J’en
parlerai
lorsque je ferai son portrait en raccourci. Il es
ès avoir (à ce qu’il crut) gagné la confiance de son pénitent, il lui
parla
de son âme, et lui remontra la nécessité où il ét
c’était de Madame son épouse et de M[onsieu] r son fils qu’il voulait
parler
; qu’il devait faire ôter de son cabinet et même
z quand le laquais sera parti. Après le départ de ce laquais, le père
parla
au fils de quelques affaires domestiques, et le n
ée. Monsieur de La Proutiere, qui était de l’autre côté de la salle à
parler
avec un homme qui portait le cordon bleu, le quit
sa maîtresse de lui procurer quelque emploi pour vivre. Cette sœur en
parla
à la demoiselle, et celle-ci au ministre, qui en
ux-ci, sur cette menace, allèrent trouver M. de Pontchartrain, qui en
parla
au Roi et lui dit qu’il était bien dur pour des g
les siens, ayant volé également le Roi et ces communautés. Comme j’en
parlerai
encore dans la suite, je me contenterai de dire i
dans sa propre communauté, mais aussi dans le public. 272. J’ai assez
parlé
de Deschiens, de sa naissance et de sa fortune. 2
de celles de l’éternité. Il envoya quérir La Croix (le même dont j’ai
parlé
, qui avait été secrétaire de M[onsieu] r le marqu
e, on la trouva pendue et étranglée, et on trouva le billet dont j’ai
parlé
. M.d’Argenson, lieutenant de police, y vint, et v
us le maître-autel. 279. Crozat, gendre de Le Gendre dont je viens de
parler
, est d’une meilleure famille que son beau-père, e
nt faites des navires corsaires qu’ils avaient armés à Saint-Malo. Je
parlerai
ailleurs de ces prises. Pour le présent je retour
lo. Je parlerai ailleurs de ces prises. Pour le présent je retourne à
parler
de Crozat l’aîné qui avait épousé la fille de Le
re volubilité. Cela me fait souvenir d’une fontaine de laquelle Ovide
parle
dans ses Fastes. Son eau troublait la cervelle de
France, si ce n’est celui-ci : Tales quales nos Curia declaravit. Ils
parlent
du Parlement qui par aucun arrêt dont j’ai connai
ient dans leur patrie. Il n’est pas difficile de leur donner sujet de
parler
en bonne part de ce pays, qui de lui-même étant p
le, qui a le premier des Français eu cette découverte en vue. Il m’en
parla
à Québec en 1683 et m’en parla encore à Paris ava
is eu cette découverte en vue. Il m’en parla à Québec en 1683 et m’en
parla
encore à Paris avant le voyage funeste où il fut
le à Paris de la merluche, avaient leur dégrat ou leurs chafaux, pour
parler
plus matelot. Notre établissement commençait à pr
aux Anglais. On verra par quel sujet et ce qui en réussit lorsque je
parlerai
de moi. Je dirai seulement ici que l’examen que j
e ces mémoires eurent si bien son approbation qu’il eut la bonté d’en
parler
au Roi qui voulut me voir. Ces mémoires, restés à
ux marges sur du papier d’une grandeur pareille à ceux dont j’ai déjà
parlé
, parce qu’il voulait les faire relier ensemble. A
toute la côte à couvert des incursions de toutes autres nations. J’y
parlais
d’un nommé M[onsieu] r de Saint-Castain qu’on pou
vait enlevées sans aucune déclaration de guerre. J’avais résolu de ne
parler
de ceci que dans mon histoire particulière, mais
ntentions pures, ne demanda pas mieux que d’entrer en explication. Il
parla
à ce procureur, lui dit toute son histoire, et lu
hère se trouva et La Boulaye aussi, on me fit par manière d’entretien
parler
de l’Acadie. Il n’y avait pas plus de quinze jour
’Adam, et seulement sur la relation qu’il m’en avait faite, je lui en
parlai
comme si je l’eusse connue toute ma vie. Il était
aura trouvé dans ce pays-là un aussi honnête homme que lui ; je veux
parler
du chevalier de Canges, qui de concert avec l’abb
ives qui voient leur vengeance échouée [sic]. Son fils, celui dont je
parle
, est d’un génie timide et très borné, trop honnêt
le commerce de lettres avec qui bon leur semblerait, mais non pas de
parler
à personne. Que l’heure pour la réception des let
amaritaine. Cela est trop connu pour s’y arrêter ; & j’en ai déjà
parlé
ci-dessus, au sujet de la femme de Moali. Le fort
ndu aux Anglais & aux Hollandais de leur faire aucune insulte. Je
parlerai
de ces princes, & de la guerre qui est entre
dément bâties, d’un seul étage, toutes enduites de la chaux dont j’ai
parlé
; ce qui forme une vue assez agréable. Les maison
t de Bengale, où nous allons. Lorsque j’en serai mieux instruit, j’en
parlerai
plus amplement. La côte est pleine de poisson, &a
n eût vu de cette espèce, on ne lui donnait point de non. Après avoir
parlé
du pays & de ce qu’il produit, il faut parler
de non. Après avoir parlé du pays & de ce qu’il produit, il faut
parler
de ceux qui l’habitent, & les distinguer en t
une religion ridicule, à laquelle eux-mêmes n’entendent rien. Il faut
parler
de tous séparément, & ne pas oublier les escl
-là ne travaillent point, ni banians, ni neyres, ni bramènes, dont je
parlerai
bientôt, parce qu’ils dégénéreraient : ils font s
le commun peuple est revenu ? Je n’entends point, par ce que je dis,
parler
ni du purgatoire ni des suffrages de l’Église pou
ce qui est de leurs femmes ou filles, à tous, il est impossible d’en
parler
avec assurance, parce qu’on ne les voit point ; &
lle répondit toujours oui, avec beaucoup de résolution. Nous (je fais
parler
les Français), à qui un pareil spectacle faisait
nent volontiers aux Blancs ou Européens. Qu’on ne s’étonne pas que je
parle
si savamment & si affirmativement sur ce suje
tion qu’elle inspirera au lecteur. Il faut, avant que de l’expliquer,
parler
des pagodes & des idoles qu’elles renferment
& une putain. Je me contente de poursuivre avec Sévère : Mais, à
parler
sans fard de tant d’apothéoses, L’effet est bien
viens présentement à ce comble d’impureté & d’idolâtrie dont j’ai
parlé
. J’ai dit que les veuves des bramènes dont le mar
l’âge de dix-huit ans n’étaient point mariées. Mado, dont je viens de
parler
au sujet de sa tête d’éléphant, a une représentat
leur cérémonie. Ils prirent un poulet noir en vie, de ceux dont j’ai
parlé
, qui ont les yeux, le sang, la chair & le res
Cancer parce qu’il donne sur la terre ferme de notre continent, je ne
parlerai
plus du tout pilote qu’après avoir repassé le cap
oyons point encore d’autres navires que le Florissant. Nous lui avons
parlé
ce soir. Le vent est toujours contraire pour alle
fusée. Nous avons donc porté sur ces deux navires ; qui, après s’être
parlé
l’un à l’autre, se sont séparés, dans le dessein
de Quermener, & sont venus ensemble voir M. Charmot. Ils se sont
parlé
dans la grande chambre pendant fort longtemps, &a
fait jurer que je l’avais fait le matin même, depuis que je lui avais
parlé
. Comme c’était la vérité, j’ai juré sans difficul
au vent & derrière nous. Enfin, il a arrivé & nous lui avons
parlé
. M.de Porrières lui a dit que notre gouvernail ét
e. C’est lui que les matelots ont nommé le ressac du Diable : j’en ai
parlé
dans le premier volume. Du mercredi 18 octobre
is, & ôtai une mèche allumée d’un baril plein de poudre : j en ai
parlé
page 51. Je crois, dis-je, que l’équipage de ce b
ris quelques gens de l’équipage de cet autre navire anglais dont j’ai
parlé
à l’article du 1er septembre, page 54, qui s’étai
e monte ou qu elle baisse en Europe. C’est ce qui m’a paru ici. Je ne
parle
que de la petite île de Négrades seulement, dans
naissance, le tond n’en fût bientôt tari, il fut résolu que nous n’en
parlerions
que deux ou trois jours avant le départ, & qu
utres l’Oiseau y a laissé le même M. de La Ville aux Clercs dont j’ai
parlé
ci-dessus. Je souhaite à son inexorable le sort d
e à Pondichéry & a été élevé à celui où il est mort. Pour ne plus
parler
d’objets si funestes, l’Ecueil est le seul des na
que je dise une chose que j’ai apprise de M. de Quermener, dont j’ai
parlé
ci-dessus page 67. Il revient en France après avo
fièvres, fort communes dans cette saison. Puisque l’occasion vient de
parler
de ce Hollandais, qui commandait la flûte que nou
our en amener M. de Quermener, aumônier & missionnaire, dont j’ai
parlé
, afin de donner à nos malades le salut de l’âme,
nommé René Dérien. Le cangé est bon & très salubre ; &, pour
parler
médecin, c’est un véritable fébrifuge. Je me trou
que je n’aime ni la médecine ni la pharmacie, & encore moins à en
parler
, je ne puis m’empêcher d’entendre ce qu’on dit ;
prendre de leurs discours, & de ceux des chirurgiens auxquels ils
parlaient
. C’est qu’il y a de deux espèces, ou de deux genr
en eût d’autres que celles qui appartenaient à Mlle Spelman. J’en ai
parlé
t. I, page 431. Quoi qu’il en soit, rien de tout
i page 435, l’ont tellement frappé, joints à la restitution dont j’ai
parlé
pages 443-444, qu’il n’a pas porté de santé depui
ept & huit cents tonneaux montent jusque auprès des loges dont je
parlerai
, & en deçà de la ville. Cette ville n’est qu’
ntiels de leur religion de ne point s’opposer à son autorité : ils en
parlent
pourtant avec toute sorte de liberté, mais n’en o
l met par-dessous, & hors de la vue des spectateurs. Je lui en ai
parlé
; & sa réponse a été en riant, Ad populum pha
rimina caedis Flumineâ tolli posse putatis aqua ! C’est un païen qui
parle
: c’est Ovide ; je ne le lui fais pas dire. Le pa
imprimés parce qu’ils se sont passés depuis son impression, ou, pour
parler
plus juste, parce qu’on n’a pas voulu les rendre
ste, parce qu’on n’a pas voulu les rendre publics, & dont je puis
parler
savamment, étant pour lors clerc chez M. Monicaul
e mieux qu’il put : à peine entendait-il le français, bien loin de le
parler
. Monicault lui demanda ses papiers. Ce fut ici qu
ui représenter que tout l’Orient était imbu de sa gloire, que tout en
parlait
, & que tout l’admirait ; mais qu’on n’avait p
es lut le mémoire en entier ; & Monicault, à qui le roi permit de
parler
, expliqua ce qui aurait rendu ce mémoire trop lon
ompagnât : c’était celui qui portait la parole ; &, pendant qu’il
parlait
, l’Arménien reconnut au doigt du ministre un des
alla encore au roi par le canal de M. de La Feuillade. Ce monarque en
parla
à M. Colbert dans des termes qui firent un effet
ant tous ses ressentiments sur les fermiers généraux. Ceux-ci firent
parler
d’accommodement à l’Arménien, qui, fatigué &
es Français ont sur les terres du Mogol. N’y ayant point été, je n’en
parle
que par ouï dire ; il n’est point fortifié, &
e nous avons été à Balassor, il est venu un exprès de Pondichéry, qui
parle
fort du Mogol. Comme nous y retournons, je ne dir
al de la prise du Monfort, qui est cette flûte dont j’ai tant de fois
parlé
, & l’adjudication, n’étaient ni l’un ni l’aut
ne, qui n’en savait rien. Je reviens au bâtard, qui est celui dont je
parle
. La mort de son père lui ôta toute espérance d’êt
y a pas plus de cinq à six ans. La mère a beaucoup d’esprit, & ne
parle
nullement le jargon des harengères. On l’appelle
uvaise conduite au jeu, & celle de sa femme. J’en puis, je crois,
parler
savamment, puisque ce M. Martin, trésorier de l’O
e ; ce qui n’a pas peu contribué à la perte de celui-ci. J’en ai déjà
parlé
. Je ne sais si Sévagi avait connaissance de la vi
qu’ils se fussent accommodés avec M. l’évêque de Métellopolis. Il m a
parlé
plus d’une fois sur cette matière. * Un accommode
, c’est de ce que, suivant les mêmes relations des jésuites dont j’ai
parlé
, les pères de leur Compagnie qui passent dans les
tits oiseaux étaient à vendre. Le Parisien vulcanisé dont je viens de
parler
était avec lui, & nous servait d’interprète :
ens de parler était avec lui, & nous servait d’interprète : il me
parla
latin, & me dit en deux mots ce que je devais
cher en silence. Belle et chrétienne morale ! Au reste, pour ne plus
parler
de ces filles, ce sont des enfants qui sont arrac
res & nos marchés. Ceux qui vendent à crédit savent écrire. Je ne
parlerai
point de leur papier : ce ne sont que des feuille
e, il est facile, & je pose en lait (c’est toujours M. Martin qui
parle
) la vérité de ce que j’en ai plusieurs fois écrit
tendant du commerce, & qu’étant intéressé dans la Compagnie, s’il
parlait
avec feu en sa faveur, il pourrait être soupçonné
te à Moali fait que je vas vous confier quelques secrets dont je n’ai
parlé
qu’à peu de gens, et écrit fort sobrement à peu d
tre ni vous ni moi ; parce que la vengeance des gens dont je vas vous
parler
est implacable, que leur colère est terrible, &am
i ce ne sont pas eux que vous avez voulu peindre, et dont vous voulez
parler
: vous les caractérisez trop bien pour les méconn
origine de la haine & du mépris des Asiatiques pour les Français.
Parlons
des deux séparément : je les ramènerai ensuite en
igure si éclatante que les autres. Ils s’habillent comme les banians,
parlent
leur idiome aussi bien qu’eux, vivent & mange
m’a personnellement assuré que la religion était ce dont ils avaient
parlé
le moins, dans trois courses qu’ils avaient faite
rses qu’ils avaient faites ensemble. Les jésuites dont j’entends vous
parler
sont venus ici de Porte-Nove, & en ont emport
t eu des jésuites du temps de Juvénal, je croirais qu’il aurait voulu
parler
d’eux dans ces deux vers de différents endroits d
x, & très honnête homme ; vous le connaissez, & je vous ai vu
parler
avec lui. Outre la chapelle qu’il a dans le fort,
de monde & était trop juste pour n’y point avoir d’égard. Nous en
parlâmes
aux quatre jésuites, qui ne nous payèrent que de
qu’aucun jésuite y entrât, pas plus qu’un idolâtre. Après vous avoir
parlé
des jésuites en particulier, joignons-y les missi
du leur orgueil & leur hardiesse sans les faire rougir, quoiqu’on
parlât
à eux-mêmes, & qu’on leur ait lâché le mot d’
our appréhender leurs atteintes de ce côté-là ; ils n’en ont pas même
parlé
ici, & il ne me paraît pas qu’ils s’en soient
j’en reviens aux missionnaires, qui peut-être appréhendent que s’ils
parlaient
du commerce des jésuites, ceux-ci ne parlassent d
appréhendent que s’ils parlaient du commerce des jésuites, ceux-ci ne
parlassent
du leur, & que, grossissant les objets, suiva
e se porte pas aux excès qu’elle s’est permis dans le Japon, ou, pour
parler
plus juste, que les jésuites ont exercés sous son
ns, aussi bien que ceux des jésuites. Que, comme les jésuites, ils ne
parlent
de la religion que par manière de conversation, j
de conversation, jusqu’à ce que la matière soit bien préparée. Qu’ils
parlent
avec respect de Confucius ; qu’ils le traitent mê
’assure qu’ils resteront toujours tels qu’ils sont dans les Indes. Je
parle
, comme vous voyez, monsieur, en homme instruit &a
a manquer. Ils leur ont confié ces mandarins à Balassor ; &, sans
parler
en aucune manière des efforts que votre escadre a
s rendre secret pour secret, c’est que j’ai bien vu que vous m’alliez
parler
des jésuites : & cela m’a fait souvenir d’une
er le père Bêchefer, & rire tous les auditeurs ; car le sauvage y
parla
en sauvage, c’est-à-dire sans flatterie ni déguis
uvai à Compiègne, où j’étais allé voir une sœur religieuse, & lui
parlai
de cette aventure, qu’il répéta en présence de qu
ntai cette histoire à M. de Seignelay, poursuivis-je en continuant de
parler
à M. Martin : il me dit qu’il la savait bien. Enf
lère à son tour, & me dit, bien plus vivement que je ne lui avais
parlé
, à en jurant Mort-D..., nous savons tout cela mie
a Compagnie : M. du Quesne est chargé de mes paquets, & je lui ai
parlé
de ce qu’il devait dire pour appuyer ce que j’écr
i rien dit qui regarde ces pères ; & vous êtes le seul à qui j’ai
parlé
sans réserve, espérant beaucoup plus du succès de
vons plus que notre équipage, dont M. de La Touche, le même dont j’ai
parlé
ci-dessus, fait partie, remplissant la place de f
q minutes Nord jusqu’à pareil degré quarante-cinq minutes Sud ? Je ne
parle
point des deux jours & quelques heures pour r
autres & le savoir par soi-même. Je ne sais si Ovide & Lucain
parlaient
par eux-mêmes ou pour l’avoir appris d’autrui ; m
avec une constance digne de l’élévation de génie du poète qui la fait
parler
. Affreuse image du trépas, Qu’un triste honneur
de la batterie du tillac par le travers du mât d’artimon. Nous avons
parlé
ce soir à messieurs du Lion, qui sont, comme par
ns dans quel état sont le Florissant & le Dragon, n’ayant pu leur
parler
, parce que le vent est faible & la mer fort é
’équipage d’en retrancher un tiers par repas & de jeter celui-là.
Parler
à des matelots de jeûner, c’est comme si on parla
de jeter celui-là. Parler à des matelots de jeûner, c’est comme si on
parlait
aux cardinaux à Rome de faire carême. Ils ont rej
tous les officiers mariniers & moi, avons été à bord de l’Oiseau
parler
à M. d’Aire, à présent notre commandant. Je lui a
enture ; &, pour cela, ne nous séparons point. Enfin, M. d’Aire a
parlé
Évangile. Le résultat de la conférence a été que
fait comme nous un vœu à sainte Anne d’Auraz, je crois en avoir déjà
parlé
. Nous sommes revenus à bord après la conférence,
yons, il en dit plus qu’il n’en fallait pour se taire entendre. Il ne
parla
ni du manque des vivres, ni de celui de l’eau ; i
n donner aux autres que de peur d’être obligé de leur en demander. Il
parla
du gouvernail. Je lui dis que celui de l’Oiseau é
auf à le représenter à qui il appartiendrait, à condition de ne point
parler
de testament. Bon, disait La Chassée, tu ne l’ent
n que les moines d’Espagne ne valent rien, & que j’aimerais mieux
parler
devant eux du diable, d’une putain ou d’un bardac
Nous avons ri du balai, de la tiretaine, & de l’air naïf dont il
parlait
; & comme le sujet a été mené fort loin par L
j’y mêlerai la surveillance de vos frères sur celle du portier ; j’y
parlerai
de la fouace. Cela composera les quatre premiers
moine de leur ordre ; mais taisons-nous, j’entends notre patriarche,
parlons
d’autre chose ; et en même temps changea de disco
;, malgré l’intervalle de temps, on s’y souvenait de mon aventure. Je
parlai
au trésorier des États, qui dit à son premier com
sein, & me promit de me seconder de tout son possible. Je les fis
parler
l’un à l’autre, & leur répétai le plan qu’ils
s féroces que le plus mauvais de tous les diables de l’enfer. Nous en
parlerons
un de ces jours. Pour aujourd’hui allons dîner, a
é. J’ai été surpris que dans aucune des relations que j’ai lues on ne
parlait
point de ce que pouvait être devenue la princesse
onné & retiré à Saint-Germain. Puisque j’ai du temps & que je
parle
du génie des Anglais, je ne puis m’empêcher de di
je ne puis m’empêcher de dire une chose, que je sais d’original. J’ai
parlé
ci-dessus de M. de La Barre, vice-roi en Canada.
dans les terres nouvellement découvertes en Afrique, & dont j’ai
parlé
à la fin du premier volume. Du lundi 9 avril 1
ux. Du jeudi 19 avril 1691 Jour des plaidoiries. Avant que d’en
parler
, je dirai que le vent est devenu fort bon sur les
ient été aux opinions ; &, un moment après, ce Hollandais, qui ne
parle
pas tout à fait bon français quoiqu’il l’entende
avons à huit heures, avant la messe, vu l’île de l’Ascension, dont je
parlerai
quand nous serons partis, comptant d’être à terre
près comme la macreuse. La frégate a une très grande envergure, pour
parler
matelot, c’est-à-dire, qu’elle a les ailes très l
s servi. Nous l’avons rempli à moitié de cette eau de pluie dont j’ai
parlé
, la plus pure & la plus claire. On l’a mis bo
e que nous avons fait. Outre la quantité de pourpier dont je viens de
parler
, les bords de cette île abondent en poisson, &
La tortue d’ici n’est point faite comme celle de Négrades, dont j’ai
parlé
page 93. La maison de celle-ci est par écailles l
edi 12 mai 1691 Toujours bon vent, & nous allons bien. Je n’en
parlerai
plus de poisson, à moins qu’on en prenne quelqu’u
sson, à moins qu’on en prenne quelqu’un qui soit extraordinaire. J’ai
parlé
ci-dessus de la dorade : on en a pris quatre aujo
ministre, ou le prédicant hollandais, & un des Lascaris dont j’ai
parlé
ci-dessus, ont pris la peine de se laisser mourir
e me pardonner le style dont je me sers. Ce n’est point ma coutume de
parler
Esculape : son jargon m’est étranger ; &, en
rendis les lettres dont j’étais chargé ; &, si j’ose le dire, je
parlai
si pathétiquement à M. le général, & à M. l’i
el sont péris les jésuites, leurs richesses, & leurs écrits. Male
parla
, male dilabuntur. Puisque MM. Des Farges m’ont do
e parla, male dilabuntur. Puisque MM. Des Farges m’ont donné sujet de
parler
de Fanchon, il faut que je rapporte son histoire,
gion de Calvin, supprimée l’année précédente (c’était en 1686 qu’elle
parlait
) ; qu’elle avait été forcée d’obéir à la nécessit
e l’argent qu’il feignait de recevoir pour elle, ou qu’il pouvait lui
parler
seul à seul, il lui parlait d’amour, & en éta
e recevoir pour elle, ou qu’il pouvait lui parler seul à seul, il lui
parlait
d’amour, & en était toujours reçu avec des ai
lqu’un des autres vaisseaux qui ont accompagné M. du Quesne lui avait
parlé
de moi dans des termes qui pouvaient me faire hon
té, mais peu de l’autre. Quoiqu’il y eût déjà du temps que j’en eusse
parlé
à M. de Goimpi, & qu’il m’eût paru content, j
oute ma fermeté pour confondre la médisance & les médisants. J’en
parlerai
dans la suite. Notre vaisseau arriva au Fort-Roya
ant fait de relations que, n’ayant rien de nouveau à en dire, je n’en
parlerais
point du tout s’il ne leur était rien arrivé depu
fendus aussi vigoureusement que du temps de M. de La Barre, dont j’ai
parlé
pages 313 et suivantes, qu’ils avaient M. de Sain
en cette nation est haïe partout. Mais, puisque l’occasion vient d’en
parler
, d’où viennent ces Caraïbes ? d’où viennent tous
vu avec tranquillité les distinctions que j’avais sur l’escadre. Ils
parlèrent
contre moi à M. l’intendant, apparemment parce qu
eux-mêmes à témoin, & ils n’osèrent disconvenir de la vérité. Je
parlai
ensuite à M. de Goimpi seul à seul, & lui fis
dit Ovide sur la fente du mur à travers lequel Pyrame & Thisbé se
parlaient
. Ceux-ci, dont on pouvait dire, In furias ignemq
us donner la comédie à leurs dépens ; mais nous fûmes trompés. Ils se
parlèrent
tous deux de très grand sang-froid, & avec au
ard avait ses vues, comme de son côté il avait les siennes, il ne lui
parla
nullement ni de cette femme, ni de l’amour qu’il
; à l’absence de cet homme, sans aucun rapport à sa femme, dont il ne
parla
que fort sobrement & en honnête homme. Valliè
le lendemain la femme, qui vint chercher de l’argent, & pour lui
parler
sans témoin il l’envoya l’attendre chez l’intenda
que ce fût lui, puisqu’elle allait le voir très souvent, qu’elle lui
parlait
presque toujours seul à seul, & qu’il ne lui
nda qui c’était, par la fenêtre. Ouvrez-moi, répondit-il, j’ai à vous
parler
; & moi je n’ai rien à répondre, laissez-moi
le marquer comme il était. Il affecta encore malicieusement de ne lui
parler
en aucune manière de la sagesse de la charpentièr
t courir sur le bien d’autrui, en lui laissant à deviner s’il voulait
parler
de lui-même ou du mari ; & Vallière, plus fâc
. de La Chassée & à moi : &, comme le mari ne manquera pas de
parler
dans le vin, on ne doute point qu’en peu de temps
d’Auberville, lieutenant de M. du Quesne, duquel j’ai plusieurs fois
parlé
, est allé le remplacer. Du vendredi 13 juillet
sée & moi nous servons du remède de M. de Bassompierre, dont j’ai
parlé
page 271. Du samedi 21 juillet 1691 Le vent
de en souriant, sans nous dire un mot, & s’explique plus que s’il
parlait
. Nous avons parlé ce soir à un Portugais, qui ret
nous dire un mot, & s’explique plus que s’il parlait. Nous avons
parlé
ce soir à un Portugais, qui retourne à Lisbonne,
y a à monter jusqu’à la Ligne, & à en descendre. Cela m’y a fait
parler
du montant de l’Est à l’Ouest, & du descendan
s le temps de la tempête du premier au quatre mars dernier, dont j’ai
parlé
ci-dessus. Je remets mes compliments à ma lettre
Grancey et de Lévi, de M. de Bagneux, et d’autres, dont peut-être je
parlerai
dans la suite, qui tous se faisaient un honneur r
us, auquel lui-même et M. Champi Des Clouzeaux, intendant, en avaient
parlé
. Je leur écrivis que le même M. de Combes nous av
roits pour serrer ce pain, ou au pis-aller de le faire afficher. J’en
parlai
à M. l’intendant, qui me parut approuver l’altern
courte paille à qui irait ; mais ne voulant pas qu’aucun des deux lui
parlât
avant moi, je les mis d’accord en leur disant que
n ; et ce ne fut que la suite de la conversation qui les obligea d’en
parler
les premiers et de dire le sujet de leur séjour à
Albus, parce qu’il le regardait de son véritable point de vue. Ils se
parlèrent
ensemble lui et M. Hurtain, et celui-ci me donna
dit-il, en se radressant à M. l’intendant, ne vous en avons-nous pas
parlé
à vous-même ? Et toute votre autorité a -t-elle p
i semblerait ; qu’il ne lui répondait pas du futur ; mais que pour me
parler
de réformer ou de refaire mon reçu, c’était ce qu
et qui croyait que M. Hurtain et moi en avions fait notre profit, lui
parla
de nous deux comme de deux fripons qui s’entendai
jouer pièce, puisqu’il avait voulu nous perdre, M. Hurtain et moi. Il
parla
des rations fournies pendant la campagne. Je fis
s d’Albus ; et lui ayant dit que oui, et que même je n’en avais point
parlé
, ni à M. l’intendant, ni à M. de Saint-Sulpice, i
et hier au soir sur notre Amiral. Mais, puisqu’il revient à propos de
parler
de M. Céberet, je crois devoir dire qu’il est fil
lusieurs autres, dont aucun ne l’avertit, tant il est aimé ; et on ne
parla
de rien pendant la journée ; et comme nous revirâ
nseil de guerre eût décidé du châtiment, parce que sans doute lui qui
parlait
n’aurait pas eu tant d’indulgence. Qu’il voudrait
t ; cela ne me regarde pas. Pendant que ces excréments d’Esculape ont
parlé
emplastrum, nous nous sommes mis à table : le vin
pas pour être parfaitement cruelle. Je ne la ménageai point ; et lui
parlai
avec tant de feu que je ne sais à quoi le tout se
en colère. Je lui ai répondu encore plus brutalement qu’il ne m’avait
parlé
. Qui diable vous retient ? lui ai-je dit Votre co
afin que l’on ait plus d’intelligence de ce que je dirai, lorsque je
parlerai
matelot, je joindrai à mon journal une petite car
vie de cochon, courte et bonne. Le papa La Chassée a dit que j’avais
parlé
Évangile, et que M. Hurtain ne pouvait pas mieux
ui dans lui-même est fait en pain de sucre, il nous a donné matière à
parler
. Le bas offre à la vue un paysage très beau, remp
oc de marbre si la nature pouvait en lor-mer de si énorme. Nous avons
parlé
Aristote et Descartes sur cette blancheur, qui n’
ssure par avance qu’il vaudra mieux que ce que vous pouvez penser. Je
parle
à M. Charmot, aussi bon philosophe que bon théolo
nullement, et que je ne croirai point que je ne l’aie vu, ou du moins
parlé
à quelqu’un qui y ait été. Cependant tous les pil
; tout au contraire des Espagnols et des Portugais, parmi lesquels on
parle
de ces maux avec autant de liberté que nous parlo
, parmi lesquels on parle de ces maux avec autant de liberté que nous
parlons
de la fièvre : maux terribles cependant, qui éner
civium militibus dabat, nam bona civium illi non contingebant. Voilà
parler
en chrétien ; et les chrétiens agissent en païens
ui-même. Je trouve dans le 28e chapitre de ses Soliloques, n. 3 où il
parle
des élus à salut, qui nequaquam perire possunt, q
num, etiam ipsa peccata. Je trouve aussi n. 4 du même chapitre, où il
parle
des prédestinés à damnation, quos praescivisti ad
nspirations du Saint-Esprit, qui ne sont autre chose que la grâce qui
parle
intérieurement à leur cœur, et à laquelle ils rés
ici l’esprit d’avec l’âme ; je les confonds ensemble ; et lorsque je
parle
de l’un, j’entends aussi parler de l’autre. Notre
les confonds ensemble ; et lorsque je parle de l’un, j’entends aussi
parler
de l’autre. Notre âme est un élixir de la divinit
s vixi, dubius morior, Ens Entium miserere mei ? C’était un païen qui
parlait
, uniquement conduit par la lumière naturelle. Un
us en ordre et mieux suivi. Messieurs, En m’imposant la nécessité de
parler
sur l’éternité, vous avez trouvé le secret de me
incu que le Sauveur en a rempli et accompli les prophéties. Ainsi, ne
parlons
que physiquement. Je ne feindrai point de dire qu
ps. Les vers de Lucain sont trop exprès pour n’être pas rapportés. Il
parle
des druides. Vobis auctoribus, umbrae Non tacita
e, ou du moins assoupie avec le corps, jusqu’au jugement final. Je ne
parlerai
pas même de l’opinion du pape Jean XXII, parce qu
raison qu’il en est absurde. J’écoute avec plaisir Épicure, lorsqu’il
parle
de la vraie volupté, de la tranquillité et des ri
l parle de la vraie volupté, de la tranquillité et des richesses : il
parle
en bon philosophe et en honnête homme ; mais je n
icorde infinie de Dieu pour les arracher à leur désespoir, et ne leur
parlaient
point de pénitence, comme ils auraient fait si le
ce n’est de Dieu ? Remontons donc à lui, et en parlant de l’éternité
parlons
de Dieu lui-même ; puisqu’en effet Dieu étant éte
renant ; mais, suivant mon hypothèse et l’expérience dont je viens de
parler
, il n’y a rien ni de surnaturel ni d’impossible.
qu’il était, Molière, et quantité d’autres, ont dit sur ce sujet : il
parle
de lui-même, et me convainc parfaitement que cett
Je le répète encore : je ne prétends point toucher à la religion ; je
parle
simplement en philosophe spéculatif, mais non en
qui nous suivent. Et pour revenir à l’éternité dont je suis chargé de
parler
, quoique ce nombre d’années qu’un seul homme vivr
VII, qui véritablement n’étaient rien moins qu’infaillibles. J’en ai
parlé
ci-dessus. Il faut lire ce qu’en disent le scélér
iron cent pas, sur laquelle sont bâtis l’église et le village dont je
parlerai
bientôt, après avoir achevé le chemin. En allant,
ne nous aurait nullement plu à M. de Pressac, lieutenant du Lion, qui
parle
portugais, à M. de La Chassée et à moi, si je n’a
ville, qui sont les seuls ecclésiastiques blancs que j’y ai vus. J’en
parlerai
en parlant de la ville. Le tableau de la paroisse
ar les rochers qui bordent la mer, et par une petite muraille dont je
parlerai
dans la suite. Je n’aperçus pas cela hier au soir
entretenu avec trois, dont le sacristain était un, tous prêtres. Ils
parlent
tous un latin très mauvais, peu poli, point éléga
; et il est très vrai que ceux qui sont venus nous voir souper (je ne
parle
point des noirs, il n’y en vint aucun ; je ne par
oir souper (je ne parle point des noirs, il n’y en vint aucun ; je ne
parle
que des Européens et des créoles, qui sont les na
n particulier, par les objets extérieurs dont il est frappé ; mais, à
parler
de la nation portugaise sur ce qui m’en a paru à
en a acheté deux. Un cabri est l’enfant d’un bouc et d’une chèvre. Je
parlerai
de son goût quand j’en aurai mangé ; je ne le cro
uve la mort Dans une guerrière aventure, D’espérer une sépulture ! On
parle
à ses amis, on parle à ses parents : Cela console
guerrière aventure, D’espérer une sépulture ! On parle à ses amis, on
parle
à ses parents : Cela console en quelque sorte ; M
se réflexion ; qu’il se demande ce qu’il est venu faire au monde ? Je
parle
de tous les hommes, sans en excepter un seul, de
istillic lui en avait fait compliment, et que M. Blondel lui en avait
parlé
. Quoi qu’il en soit, il nous a quittés les larmes
e : Tout sent la gasconnade en un auteur gascon ; Calprenède et Juba
parlent
le même ton. Il n’a satisfait que les Bretons ;
sfait que les Bretons ; ce qui n’est pas difficile. Qu’un prédicateur
parle
beaucoup des anges, des saints et du diable ; qu’
fuit devant un autre poisson nommé bonite, qui en est fort friand. Je
parlerai
tout à l’heure de celui-ci : je reviens au poisso
mmes en usent entre eux, quoiqu’ils soient de même espèce. Nous avons
parlé
là-dessus M. Guisain, l’un de nos missionnaires,
é. Du jeudi 30 mars 1690 Toujours calme. J’ai été au Florissant
parler
à M. Blondel. J’y ai dîné : il me paraît de la di
me regarde point. Nous avons été, le commissaire et moi, au Gaillard,
parler
à M. du Quesne. Là, sans être autorisé, mais auss
e, et n’en ai vu jamais que deux sur l’Océan. Si nous en voyons, j’en
parlerai
; mais jusqu’ici je n’ai rien appris de certain d
’on en dit en physique, qui ne me satisfait point. Nous avons ensuite
parlé
de l’eau qui vient de source sur les montagnes le
t point convaincu : il est toujours dans le doute. Nous avons ensuite
parlé
des feux qui sortent des montagnes ; dans toutes
de chaleur qu’on y sent en hiver. Un thermomètre peut en décider. Je
parle
par l’expérience de trois années dans la même cav
se réduisent en matières combustibles comme ce foin dont je viens de
parler
: et la flamme, que ces matières brûlantes produi
enne en soit tout à fait convaincue. Ce discours nous a donné lieu de
parler
du monde et de sa forme, et me donne sujet de par
a donné lieu de parler du monde et de sa forme, et me donne sujet de
parler
d’une remarque que j’ai faite il y a longtemps. O
oujours de la bande d’Ouest, et que cela y fait beaucoup ; mais je ne
parle
que d’un vent égal, soit d’Ouest, soit de la band
pas jouir d’une santé parfaite : la mort de Jacques Nicole, dont j’ai
parlé
ci-dessus, le chagrine encore. Du mercredi 5 a
e soixante ans ; au cruel chagrin que son fils lui a donné, dont j’ai
parlé
ci-dessus ; à la mort de Nicole ; et à la chaleur
out dans des parages pleins de requins. Puisque l’occasion s’offre de
parler
de ces animaux, je crois devoir faire leur descri
trouvé notre ordinaire propre et honnête. Je ne sais qui diable lui a
parlé
de la bonite ; mais il a si bien fait son compte
tte : la fièvre chaude l’a emporté en trente-six heures. On n’a point
parlé
de ceci à M. Hurtain, crainte de lui donner de ma
, et la table et l’équipage s’en trouveraient beaucoup mieux. Je n’en
parlerai
plus : je dirai pourtant que nos missionnaires so
di qu’à un degré juste, à vingt lieues de la Ligne dans le Nord. J’ai
parlé
du tonnerre qui gronde dans ces climats : je n’en
le Nord. J’ai parlé du tonnerre qui gronde dans ces climats : je n’en
parlerai
plus ; ce serait tous les jours à recommencer.
sprits, et sa constance, comme on verra par l’oraison funèbre dont je
parlerai
bientôt. Les ecclésiastiques étant vêtus, on a cé
après l’avoir entretenu de sa maladie corporelle, il lui avait enfin
parlé
de celle de son âme, bien plus précieuse à sauver
écu dans une foi si vive et une si grande pureté de mœurs que lui qui
parlait
osait assurer, ou du moins était lui-même moralem
Blondel viendrait le lendemain faire l’inventaire, et que lui qui me
parlait
l’accompagnerait. Après le départ de ces trois ca
pilote. Nous avons tenu tous quatre un petit Conseil ; et leur ayant
parlé
du dîner à l’Amiral, notre opinion à tous est que
; mais ce n’est qu’une bête féroce : on va le voir. M. Blondel nous a
parlé
du commandeur comme d’un très honnête homme, qui
dans le même canot qui l’a apporté ce matin. Bouchetière a voulu lui
parler
: il lui a tourné le dos sans le regarder, et est
que par une profonde révérence, à l’un et à l’autre. Le commissaire a
parlé
à son tour, et s’adressant à M. du Quesne : Je vo
poursuivi en s’adressant à lui, il y a fort longtemps que vous faites
parler
de vous, et toujours en mauvaise part. M.Hurtain
moi sommes entrés dans la mienne, où, en vidant bouteille, nous avons
parlé
de lui. Il est provençal, de la maison de Glandêv
e les vivres. Pour cet article, lui ai-je dit, je ne peux pas vous en
parler
seul, il y a eu de la friponnerie de la part de M
iterai que trois exemples. Un de nos passagers a une femme qui a fait
parler
d’elle, et qui ne passe pas encore pour une vesta
on avec nous, m’en dira des nouvelles à la première vue. Puisque j’ai
parlé
des transpirations que le trop de boisson cause,
tour au bon sens, et par conséquent le sera toute sa vie. Nos pilotes
parlaient
ensemble sur la navigation à l’issue du dîner. J’
jaser seul à seul, en faisant le prélude du dîner. Ils ont assurément
parlé
de moi ; car, en montant dans ma chambre pour pre
s étaient sortis, m’a fait dire tout bas par Landais qu’il voulait me
parler
. J’ai été au plus vite le joindre. Combien avez-v
z-vous encore de barils de bonites ? m’a-t-il demandé. Ho ! vous avez
parlé
! ai-je dit d’un air chagrin. Effectivement cela
hassée, qui me persécute sur son procès-verbal ? Il m’en a vingt fois
parlé
. Dites-lui, m’a répondu le commandeur, que son te
ès le dessert. Mais, surtout qu’Hérault ne sache point que je vous ai
parlé
, ni que je suis descendu. Je suis rentré et une d
our son service. Il m’a dit d’ouvrir ma chambre, et qu’il m’y voulait
parler
. Je l’ai ouverte : elle est de plain-pied, et lui
x cabas de figues : il s’y attendait ;et m’a recommandé de n’en point
parler
. Je n’ai garde, lui destinant l’autre. Avant leur
gueule, comme ont fait la Maligne et le Coche. C’est ici le lieu d’en
parler
comme j’ai promis ci-dessus. Le Coche était comma
il ne faut que lire Tavernier et une infinité d’autres relations qui
parlent
des Indes. Tant de gens de toutes nations et de r
s. Pour savoir s’ils en méritent, je n’en citerai qu’un fait, dont je
parle
comme témoin oculaire. Il m’écarterait trop ici d
sujet : je le rapporterai dans la suite, fort persuadé que j’aurai à
parler
d’eux dans les Indes ; et, dès à présent, je dis
ne m’en remuerai point encore. Il n’y a que deux ans et demi dont je
parle
: c’était au mois de janvier 1689, le surlendemai
et m’a fortement assuré l’avoir appris par le sergent dont j’ai déjà
parlé
. Cela ne m’épouvanterait pas s’il s’agissait de q
pathétique, de la part de M. Charmot, lequel, sans faire semblant de
parler
à lui, a fait fort bien la différence de l’union,
juin 1690 La chaleur commence à être forte, et peu de vent. Je ne
parle
point du peu de poissons que nous pêchons. Il est
ud. et comme nous la côtoierons demain, je remets aussi à demain à en
parler
. Elle me paraît couverte de montagnes. Du lund
connaître que par ce qu’on m’en a dit, ou par la lecture : et je n’en
parlerais
point du tout, n’était que je crois pouvoir hasar
onner les miennes suivant mon sentiment très contraire au sien. Je ne
parle
point des bestiaux qui ont multiplié dans l’île,
uvaient en avoir aussi bien que nous qui venons de bien plus loin. Je
parle
seulement des habitants pris in globo. Si ce sont
avoir si ce fut véritablement à l’ombre de Samuel ou à démon que Saül
parla
: il en a été fait plusieurs traités aussi pieux
el. Il se peut que les Amalécites, qui étaient avec eux, et dont j’ai
parlé
, fussent adonnés à la vanité de ces sciences (les
D’ailleurs, l’origine de ces peuples m’est trop indifférente pour en
parler
davantage. C’est dans cette île que règne utraque
Nous étions hier à dix-huit degrés, cinq minutes latitude Sud. Je ne
parle
point de la longitude, parce qu’elle est toujours
pas permis de prendre hauteur. Nos vaisseaux sont si proches qu’on se
parle
à la voix. Du mercredi 21 juin 1690 Nous av
er ; et de quoi ne mangeraient-ils pas ? Les chauves-souris dont j’ai
parlé
leur sont-elles échappées ? N’en ai-je pas fait j
e et qui en diminuent le carat, disent, tel est le Lyonnais dont j’ai
parlé
, que notre argent est uniquement refusé parce qu’
e vendent aucune vache, je dirai la raison qui m’en a paru lorsque je
parlerai
de leur religion. Ce pays a cela de commun avec M
dans tout le monde ; et, si je n’avais pas mangé de l’ananas, dont je
parlerai
bientôt, je dirais que ce fruit, l’un des plus sa
de quitter l’article des arbres et des arbustes, il est juste que je
parle
de l’ananas. C’est sans contredit le roi des frui
s pages 356 et t. II, 274-275, où cet ouragan est décrit. Après avoir
parlé
de l’île et de ce qu’elle produit, il faut parler
décrit. Après avoir parlé de l’île et de ce qu’elle produit, il faut
parler
de ceux qui l’habitent. J’ai déjà dit que les hom
je viens d’en dire ne doit en donner qu’une bonne impression. Reste à
parler
de leur religion et de leurs mœurs. Celles-ci son
aient plus de deux cents ensemble lorsque je vis cette cérémonie : je
parlerai
dans la suite du lieu où elle se fit. Cette tête
y a une natte fort fine et plus belle que celles de Saint-Yago. J’en
parlerai
dans la suite. On les couche sur ce lit l’un aupr
après soleil couché, et qu’il avait exprès choisi ce temps-là pour me
parler
sans témoin. J’avais avec moi Alexandre, qui me s
tomba dans mon sens quand il eut vu le personnage, et me promit d’en
parler
au commandeur. Autre bêtise de ma part, de ne le
e, et que moi-même j’avais perdu quelque chose dont il est inutile de
parler
et que je ne puis douter qu’il ait emporté. Il fa
ttachent avec des cordes faites avec des filaments du coco, dont j’ai
parlé
; et prennent ces cordes les plus faibles qu’ils
us m’empêcher d’en rire. Ils crièrent à Alexandre qu’ils voulaient me
parler
. Il était de mon intérêt de les écouter. Ils me r
le caporal et moi tuâmes les deux porcs-épics ou hérissons dont j’ai
parlé
, et dont les Noirs, qui nous les montrèrent, ne v
pelle bâtie aussi à chaux et à ciment. Celle-ci est la même dont j’ai
parlé
au sujet de la tête de bœuf, ou de vache, que ces
ici comme dans le reste des Indes, et que surtout on n’entend jamais
parler
d’adultère. Voilà deux grands points pour une rel
e, qui ne nous parut pas gros, quoiqu’il le fût beaucoup ; mais, pour
parler
matelot, la terre le mangeait. Le vent cessait pe
ait profession m’oblige de rendre justice à tout le monde. J’ai assez
parlé
de fois en termes méprisants du chevalier de Bouc
Mayer, directeur pour messieurs de la Compagnie à l’Orient, dont j’ai
parlé
ci-dessus, qui n’a pas plus de douze ans et demi,
de nos vaisseaux n’est pas à une portée de fusil du nôtre. Nous nous
parlons
à la voix, et courons à présent le Nord-Est quart
c’est-à-dire que nous allons toujours bien. J’avais résolu de ne plus
parler
pilote ; mais je ne m’en suis pas souvenu. En eff
vigateurs, un tel jour, après que le voyage est achevé ? J’en ai déjà
parlé
ci-dessus. Du lundi 17 juillet 1690 Le vent
risque forcer de voiles, quelque vent qu’il fasse. Nous avons ce soir
parlé
à M. du Quesne, qui s’est encore informé de la sa
nous aurions donné dessus à pleines voiles, ou debout au corps, pour
parler
matelot. Du jeudi 27 juillet 1690 Nous avon
n voyageur qui voulait grossir les objets. Je sais bien que Lucain en
parle
dans sa Pharsale, mais j’avais regardé cela comme
ice et l’avidité peuvent causer dans un bâtiment pris de force. Je ne
parlerai
point des autres : à mon égard, je me suis fait u
je ne pille pas, je fais autre chose qui ne vaut pas mieux : il veut
parler
de son capitaine d’armes, qui a encore, comme dit
me notre rendez-vous, n’y ayant d’autre application que celle de nous
parler
des yeux, et d’y remarquer toute la tendresse que
t allées dîner et passer l’après-midi chez cette dame dont je vous ai
parlé
, où elles allaient très souvent. Au lieu d’une le
z elle le lendemain, et trois autres jours de suite, sans pouvoir lui
parler
, parce qu’on me dit qu’elle était malade ; mais j
ui me regardait, et qu’elle lui avait fait promettre de ne lui jamais
parler
de moi. J’appris de tous côtés que partout où ell
vre ensemble, à les mépriser également tous deux, et surtout à ne lui
parler
de ma vie. Cette résolution rétablit ma santé. Je
ls n’étaient, mais je crus m’apercevoir qu’elles auraient souhaité me
parler
; je ne fis pas semblant de la voir, et je revins
ux où elle sait que je vais d’ordinaire ; elle a toujours tâché de me
parler
, et je l’ai toujours évitée avec soin, sans affec
à ce que La Roque m’a dit en mourant. Je n’ai pu me dispenser de lui
parler
chez vous ; il m’a paru qu’elle se repent du chan
raite que je lui ai donnée. Lorsqu’elle sera ici, je l’obligerai à me
parler
de vous à fond, et je ne crois pas qu’elle me ref
endre dans une des dernières aventures de sa vie. Sainville a dû vous
parler
d’elle comme d’une femme qu’on croyait en intrigu
elle ne savait pas qu’elles fussent en ma chambre lorsqu’elle m’avait
parlé
, et je le crus d’autant plus que je ne me figurai
ant plus que je ne me figurais pas que cette femme eût eu le front de
parler
d’elles comme elle en avait parlé si elle avait c
que cette femme eût eu le front de parler d’elles comme elle en avait
parlé
si elle avait cru en être entendue. Je la remerci
uatre le soir précédent, ce fut elle qui me porta la parole ; elle me
parla
dans les termes les plus obligeants du monde, et
que je n’ai jamais su où il était allé. Je fus à la Conciergerie pour
parler
à la baronne, mais on refusa de me la faire voir.
onnement de cette femme, le secret du motif, la défense de la laisser
parler
à qui que ce fût, et le prompt départ de Deshayes
fronterie de cette femme qui sur le point de souffrir une mort infâme
parlait
avec tant d’audace et d’assurance. Ce qu’elle me
continuai pendant plus de quinze jours à le chercher partout pour lui
parler
, et sauver en même temps les apparences ; mais il
mme, je refusai non seulement de retourner avec lui, mais même de lui
parler
et de le voir. Vous ne sauriez croire jusqu’à que
peut dire même que plus il la persécutait, plus il l’aimait, ou pour
parler
plus juste, il ne la persécutait que parce qu’il
e que de faire solliciter leurs intérêts avec plus de vigueur, lui en
parla
, et il consentit de l’y accompagner. Il n’avait g
ssi, et d’avoir fait en sorte que sa femme ne vît plus personne et ne
parlât
plus à d’autre homme qu’à lui. Je ne sais, contin
re, parce que votre personnage était étudié, et qu’assurément vous ne
parliez
pas de vous-même. Je vis parfaitement bien d’où p
si exécrable. Elle la consola néanmoins le mieux qu’elle pût, ou pour
parler
plus juste, elle s’affligea avec elle, et lui off
autrui, surtout dans le canton. Cette femme en déchirant son maître,
parlait
de sa maîtresse avec toute la vénération et l’adm
ait sauvée des mains des bandits qui couraient les Alpes, où elle qui
parlait
était demeurée avec le reste du train, parce qu’e
Italienne n’entendait pas le français, il ne se contraignit pas pour
parler
à Célénie devant elle, et lui dire en sa présence
accès auprès d’elle, et pour gagner la confiance de son époux. Il lui
parla
de cette ceinture comme du plus vif affront que s
voyage de quinze jours ou trois semaines. Il n’en avait point du tout
parlé
à sa femme, et ne lui en parla que dans le moment
semaines. Il n’en avait point du tout parlé à sa femme, et ne lui en
parla
que dans le moment qu’il allait monter à cheval.
un lit pour Julia dans la chambre de Célénie, et sans vouloir ni lui
parler
, ni qu’elle ouvrît la bouche, il emmena avec lui
il remarqua que son teint était plus vif qu’à l’ordinaire, qu’elle ne
parlait
qu’avec distraction et que ses yeux pleins de feu
uble tour, qu’elle en avait ôté la clef, qu’elle n’avait ni écrit, ni
parlé
à qui que ce fût de dehors, et en un mot, qu’elle
it à quoi il trouvait mille difficultés, parce que Célénie ne pouvait
parler
à qui que ce fût de dehors, et qu’il ne lui était
était infortunée avec son jaloux. Puisque nous sommes sur le pied de
parler
avec sincérité, dit la marquise, après que Sainvi
Je dois une histoire, poursuivit-elle, je vais m’en acquitter et vous
parler
d’un homme qui s’est fait plaindre et admirer par
avait pas perdu un mot. Le lecteur se trompe cependant. La Française
parlait
français, et Sancho ne le savait pas : il douta q
mis dans le carrosse qui les avait amenés, et la damoiselle qui avait
parlé
, et deux filles de chambre étant montées en croup
remier pansé Valerio chez les chevriers. Ce rapport donna occasion de
parler
des bandits, et Valerio qui ignorait la vie que s
duc et la comtesse pour ne rien dire qui donnât matière aux soupçons,
parlèrent
de Sancho Pança, et dirent enfin au comte ce qui
tout ce qui regardait Don Pedre et elle, et le pria de n’en pas plus
parler
à son époux qu’il avait parlé d’Octavio, parce qu
e et elle, et le pria de n’en pas plus parler à son époux qu’il avait
parlé
d’Octavio, parce que cela augmenterait sa maladie
pour la sûreté publique ; à cela près elle plut à tout le monde ; on
parla
des gens avec qui elle était ; on la pria de dire
elle avait été interrompue, elle poursuivit en ces termes, en faisant
parler
Sainville en personne.
bien qu’homme du monde. Elle [le] pria de m’amener chez elle. Il m’en
parla
, et comme naturellement ceux qui aiment un art so
t tant de temps, que nous n’eussions pas trouvé quelque moment à nous
parler
en particulier. J’avais remarqué dans elle tant d
nçait rien, elle les chantait aussi bien que moi. Enfin je résolus de
parler
si intelligiblement, qu’il n’y eût pas moyen de n
si honnête et si soumise me déconcerta, mais ne me rebuta pas. Je lui
parlai
des compagnies et du jeu, comme un jaloux jusques
moi poursuivre, vous saurez tout en son temps. Je commence à le faire
parler
. Après ce bel exploit, dit-il, je vins trouver Ma
la, en effet, mais c’était beaucoup. Je voulus lui persuader de faire
parler
à son oncle par des gens que nous savions avoir d
’elle me reprocha le peu d’amour que j’avais pour elle. Je ne vous en
parlerai
plus, ajouta-t-elle en me regardant fixement, mai
rt embarrassé, et fort en peine de ce nouveau moyen dont elle m’avait
parlé
comme en me menaçant. Je retournai le lendemain c
nsieur, me dit-elle ; mais enfin, vous voilà venu. Nous sommes seuls,
parlez
sans contrainte ; qu’avez-vous enfin résolu ? M’a
e ici des mesures pour nous épouser sans éclat. Nous avons assez fait
parler
de nous, il est temps de finir les caquets et not
oint, Monsieur, reprit cette dame en riant, nous aurons du temps pour
parler
de tout ; achevez l’histoire de Monsieur de Jussy
naître qu’elle n’avait point mérité un traitement si indigne. Nous en
parlâmes
assez longtemps : mais pour revenir à lui, le por
surément, lui dit en riant Madame de Contamine, quelle effronterie de
parler
en ces termes des femmes devant nous ? Je vous ai
r, afin que le plaisir des uns ne rende point les autres jaloux. Nous
parlerons
du jour une autre fois, dit Madame de Londé ; cep
me de Contamine ayant fait signe à Des Frans qu’[elles] voulaient lui
parler
en particulier, il se retira avec elles dans un c
culier, il se retira avec elles dans un coin de la chambre, où ils se
parlèrent
fort bas, quoique avec beaucoup d’action. Nous di
où il n’avait point été appelé. Il se défendit fort galamment ; on y
parla
de la jalousie, et cela fit insensiblement tomber
ma part. Du lundi 27. [février] J’allai hier à Lorient ; je ne
parlai
point à Monsieur Céberet, il était allé à Quimper
point à Monsieur Céberet, il était allé à Quimperlay. Mais puisque je
parle
de lui, il est à propos d’en dire un mot. Vous sa
erdu de vue, ou que lui-même ne manque de force. Nous avons cependant
parlé
à Messieurs du Dragon : Monsieur Du Quesne est ho
qu’on avait jeté à la mer. Nous nous sommes trompés ; nous lui avons
parlé
sur les deux heures après midi, c’est un mandarin
as ou environ, sur laquelle est bâti le village et une église dont je
parlerai
bientôt. En allant à gauche, vous passez devant u
est assez pour les gens qui y demeurent. Ce sont tous noirs dont nous
parlerons
par la suite ; il y a seulement un fidalgue ou ge
es de l’île, n’y ayant vu d’ecclésiastique blanc que l’Evêque dont je
parlerai
en parlant de la ville. Le tableau de l’autel rep
par les roches qui bordent la mer et par une petite muraille dont je
parlerai
dans la suite. Je ne vis point cela hier au soir,
ndée en particulier. Les autres ecclésiastiques sont tous noirs. J’ai
parlé
à trois ou quatre qui parlent un latin très mauva
res ecclésiastiques sont tous noirs. J’ai parlé à trois ou quatre qui
parlent
un latin très mauvais quoique bien articulé, peu
ci, un morceau de fromage que j’avais porté et puis c’est tout. Je ne
parle
point de linge, il n’y en a pas. Il y avait sur l
a pas la force de se remuer. Il vient de mourir un matelot à qui j’ai
parlé
il n’y a pas une heure. Le pauvre garçon vint hie
’on ne peut respirer. Monsieur Hurtain est bien mal ; on ne lui a pas
parlé
de cette mort crainte de lui donner de mauvais pr
sur les perdrix. Cela nous a divertis pendant quelque temps. J’en ai
parlé
à un de nos missionnaires qui m’a dit qu’il regar
bunal, et sans formalité le plus fort dévore le plus faible, car sans
parler
de la truie d’ici, le lapin ne mange-t-il pas ses
es. Ils ont fait assembler tout l’équipage à qui Monsieur Du Quesne a
parlé
ainsi : Je suis fâché, mes enfants, de la mort de
rouve la mort Dans une guerrière aventure D’espérer une sépulture. On
parle
à ses amis, on parle à ses parents. Cela console
e guerrière aventure D’espérer une sépulture. On parle à ses amis, on
parle
à ses parents. Cela console en quelque sorte Mais
et à souper. Nous faisons rire les autres, et nous rions aussi. Nous
parlons
quelquefois d’affaires sérieuses : il me fait la
il me fait la grâce de m’en entretenir. Il a de l’esprit beaucoup et
parle
des affaires du monde en politique raffiné, enfin
des relations avant moi, ce n’est point une chose assez rare pour en
parler
, on en voit par toute la mer tant dans celle d’Af
on les prend à la main. Mais n’y ayant rien d’extraordinaire je n’en
parlerai
pas. Du jeudi 18 [mai] Toujours même vent ;
orbut qui les tue, plusieurs de nos gens en sont attaqués. Nous avons
parlé
à Messieurs du Gaillard qui disent qu’ils viendro
sis sur leurs talons marmottant je ne sais quoi, et de temps en temps
parlaient
haut tous ensemble. Ils ne se retournent point, q
eurer dehors la nuit et qu’il avait exprès choisi ce temps-là pour me
parler
sans témoin. J’avais avec moi le coq de notre nav
ieutenant allait s’embarquer. Il tomba dans mon sens quand je lui eus
parlé
et me promit d’en parler à Monsieur de Porrières.
quer. Il tomba dans mon sens quand je lui eus parlé et me promit d’en
parler
à Monsieur de Porrières. Enfin je pris pour être
trouvai plus quelque chose que j’avais le soir dont il est inutile de
parler
, et que je ne doute pas qu’il n’ait emportée. Une
lier. Pour ce qui est des femmes et des filles il est impossible d’en
parler
parce qu’ils ne souffrent point qu’on les voie, e
ussi. Ils me Firent signe et crièrent à mon nègre qu’ils voulaient me
parler
. Je les écoutai. Ils me dirent que si j’allais à
ainsi mahométans ; il y en a pourtant d’idolâtres desquels je vous ai
parlé
au sujet de la tête de bœuf ; il y en a aussi qui
res à une espèce de chapelle à vingt pas de la masure dont je vous ai
parlé
, laquelle sert de tombeau à un Anglais qui y est
us de la porte de la chapelle ou tombeau de l’Anglais dont je vous ai
parlé
. Je ne sais pour quel usage il y était, mais les
à-dire que nous allons toujours bien. J’avais résolu de ne vous point
parler
pilote, mais je ne m’en suis point souvenu. En ef
upe de l’Ecueil, commandée par Monsieur de La Chassée dont je vous ai
parle
ci-devant a enlevé celle de ce navire. Tous les H
avidité peuvent causer dans un navire pris de force. Je ne veux point
parler
des autres ; pour moi, la confusion même m’a rend
u Quesne dit que si je n’ai pas pillé j’ai fait autre chose ; il veut
parler
de son capitaine d’armes sur qui j’ai mis la main
ponctualité que pour la conséquence, ne valant pas la peine qu’on en
parle
. Ce qu’il y a de bon c’est que nous avons appris
es, mais d’un seul étage, toutes enduites de la chaux dont je vous ai
parlé
, ce qui fait une vue assez agréable. Les maisons
pourtant la religion des Gentils qui leur commandent à baguette. Mais
parlons
de tout séparément. [Gentils rubrique marginale]
s à se brûler après la mort de leurs maris on n’entendrait point tant
parler
de morts subites. Il est pourtant faux ce que dis
s Français qu’elles ont épousés, mais puisque l’occasion revient d’en
parler
, je ne puis m’empêcher de vous dire que ce sont d
ce pèlerinage nocturne que je vis le corps mort brûlé dont je vous ai
parlé
ci-dessus, et dont je jetai au feu la provision a
la bonne foi des peuples. Je poursuis avec Monsr. Corneille : Mais à
parler
sans fard de tant d’apothéoses L’effet est bien d
il a fait consister son paradis dans le plaisir des sens. Je ne vous
parle
point de la monnaie du pays : je vous en porte et
out nus, et la première chose qu’ils ont demandée en portugais qu’ils
parlent
fort bien et que Monsieur de Pressac lieutenant d
voyons point encore d’autre navire que le Florissant. Nous lui avons
parlé
ce soir. Le vent est toujours contraire à la rout
a fusée. Nous avons donc donné sur ces deux navires, qui après s’être
parlé
l’un à l’autre, se sont séparés à dessein de nous
lus de deux lieues au vent à nous ; enfin il a arrivé, nous lui avons
parlé
. Monsieur de Porrières lui a dit que son gouverna
plusieurs fois leur argent, offrant même d’y perdre et de n’en point
parler
s’ils voulaient leur rendre de bonne foi ce qu’il
sais par ouï-dire de l’Asie. Je ne puis pourtant me dispenser de vous
parler
du royaume d’Achem dont nous sommes proches. Les
n quérir Monsieur de Quemener qui est le missionnaire dont je vous ai
parlé
au sujet du Pégu, afin de donner à nos matelots l
avons été toute cette nuit à la cape à cause des écueils dont je vous
parlai
hier. Monsieur de Quemener est retourné à bord du
er en ruine faute d’être entretenue à cause de la guerre dont je vous
parlerai
dans la suite. Les habitants sont affables mais i
rté des choses si peu vraisemblables que je me dispenserai de vous en
parler
, étant impossible de les croire à moins que de le
et mille autres fruits et légumes y viennent en abondance. Je vous ai
parlé
de la viande, le poisson y est bon et en très gra
maux sont ici plus grands que deux veaux de six mois. Pour achever de
parler
des bêtes malfaisantes de ce pays-ci, le pauvre c
se fussent accommodés avec Monsieur l’Evêque de Metellopolis. Il m’a
parlé
plus d’une fois sur cette matière. Cet accommode
oles des pagodes. L’idole de Villenove qui est Coinda dont je vous ai
parlé
au sujet de sa tête d’éléphant, a une nature d’ho
s et nos marchés. Ceux qui vendent à crédit savent écrire. Je ne vous
parlerai
point de leur encre ni de leur papier, je vous en
pour le soulager de jeter à la mer quatre pièces de canon. Nous avons
parlé
ce soir à Messieurs du Lion qui sont comme par ga
quel état sont le Florissant et le Dragon, car nous ne leur avons pas
parlé
. Le vent est faible et contraire et la mer fort é
, notre grand mât a couru risque de casser, et enfin si on pouvait se
parler
en esprit je me recommanderais à vos prières.
rrivera aucun mal que je ne le partage avec vous. Enfin, M. d’Haire a
parlé
Evangile et a dit tout ce qu’un honnête homme doi
ssant est venu à bord voir le nôtre qui est fort mal. Je vous ai tant
parlé
des affaires de Siam que je suis honteux de vous
ous ai tant parlé des affaires de Siam que je suis honteux de vous en
parler
encore, mais je ne puis m’en dispenser. Il repass
surpris de ce que dans aucune relation de celles que j’ai lues, on ne
parlait
point de la princesse de Siam. Je m’en suis infor
ur les îles de l’Amérique, et vraisemblablement nous trouverons à qui
parler
avant que d’être en terre française ; et si je pu
uerrier et bon justicier, que bon serviteur du Roi ; tout le monde en
parle
avec une estime et une vénération particulière. M
de relations que n’ayant rien de nouveau à vous en dire je ne vous en
parlerai
point du tout si ce n’est de ce qui leur est arri
contraire, nous avons vu ce matin le cap de Finisterre, et nous avons
parlé
ce soir à un Portugais qui s’en retourne à Lisbon
é un coup de canon sans balle, sous pavillon français. Nous lui avons
parlé
, c’est un corsaire de Provence qui rôde par ici d
ir vos secrets. — Oui, Monseigneur, répondit Sancho, il y a temps de
parler
et temps de se taire ; trop parler nuit, et trop
, répondit Sancho, il y a temps de parler et temps de se taire ; trop
parler
nuit, et trop gratter cuit. — Si cela est ainsi,
l s’assit sur l’herbe, et obligea Don Quichotte d’en faire autant. Il
parla
encore pendant le repas de la pesanteur de ses ar
es méchants qu’avec leurs propres armes ? Ils auraient plus longtemps
parlé
et mangé, car la station plaisait fort à Sancho,
lui dit le fidèle écuyer, car c’est celui que vous avez tué. — Nous
parlerons
de cela une autre fois, ami Sancho, lui dit-il, t
coup à cheval, et Sancho qui avait le cœur gai, ne put s’empêcher de
parler
selon son naturel glouton. Tenez, Monsieur, dit-i
haut, qu’il se brisa tout le corps et resta mort sur la place. Le duc
parla
à l’autre avec tant de douceur, qu’il se laissa g
it de votre ventre. — Mardi, Mademoiselle, lui répondit Sancho, vous
parlez
comme on dit que parlent les gens de votre pays,
ardi, Mademoiselle, lui répondit Sancho, vous parlez comme on dit que
parlent
les gens de votre pays, sans savoir ce qu’ils veu
voir des femmes, et ont trop d’esprit pour en prendre ; celui dont je
parle
est fils d’une maîtresse, et ces femmes-là sont c
la poitrine et par les cornes continuait et augmentait à mesure qu’il
parlait
, et quoique cet objet fût épouvantable, notre hér
u n’es toi-même qu’un veillaque et un marrane, puisque celui à qui tu
parles
est le chevalier des Lions lui-même. — Toi, repr
romit encore de lui en donner des nouvelles le lendemain, après avoir
parlé
à son bon ami Parafaragaramus. — Je voudrais bie
i un autre que moi le renvoyait en enfer. La comtesse lui promit d’en
parler
à Parafaragaramus, et de faire ses efforts pour q
t que Parafaragaramus était trop honnête enchanteur pour lui en avoir
parlé
à lui-même si ce n’avait pas été une vérité. Il l
lle, dont le valet de chambre avait été tué par les bandits, il avait
parlé
de lui à celui-ci avec tous les éloges possibles.
tait une affaire faite. Le chirurgien avait avancé les choses sans en
parler
ni à l’hôtesse ni à ce prétendu valet de chambre,
cœur de s’être adressé à une femme préoccupée pour un autre ; elle en
parla
à Silvie, qui tout d’un coup devina que c’était l
mes ils en étaient. La belle veuve lui dit qu’ils ne s’étaient jamais
parlé
, et que tout ce qu’elle en pouvait savoir elle-mê
Chirou eut tout le loisir de voir cette belle veuve ; mais il ne lui
parla
pas plus de son amour qu’il lui en avait parlé à
veuve ; mais il ne lui parla pas plus de son amour qu’il lui en avait
parlé
à Paris. Ce n’était cependant pas la discrétion q
les gens de distinction. Il demanda au maître d’hôtel de Valerio, qui
parlait
bon français, s’il écrivait, et ayant appris que
présente au récit que fit Deshayes devant plus de vingt personnes. Il
parla
fort longtemps pour un homme aussi bas qu’il para
dont il ne fût l’inventeur, et non pas Sainville, qui n’avait jamais
parlé
qu’avec vénération de Silvie et de sa famille ; i
du chemin qu’elle prenait, et qu’elle lui avait écrit pendant qu’elle
parlait
à l’abbesse du couvent où elle avait voulu entrer
s belle que celle que ses actions pouvaient lui attirer. Pour ne plus
parler
davantage de Deshayes, il fut enterré le lendemai
s, mais à condition seulement de payer sa dépense ou sa pension. Nous
parlerons
de cela une autre fois, lui dit le duc en riant ;
ne autre fois, lui dit le duc en riant ; Parafaragaramus n’en a point
parlé
, commençons par exécuter ses ordres et ne songeon
quérir avec sa fille. Le duc d’Albuquerque et Dorothée son épouse en
parlèrent
les premiers à table en soupant, et toute la comp
hemin. Toute la compagnie, et surtout la duchesse, était fort aise de
parler
à elle avant que Sancho la vît, et qu’il eût un p
encore une fois, lui dit sa mère ; ne sais-je pas bien qu’il ne faut
parler
de rien ? — Il se trouve ici un fort bon parti, c
fenêtre avant jour sitôt qu’il m’a entendu(e], et personne n’en peut
parler
, puisque personne ne l’a vu, et que Sanchette cou
e amant dans votre chambre, mais vous ne sauriez empêcher le monde de
parler
. — Tenez, Madame, lui dit Sanchia, Nicolas est un
ol si je te voyais de même. — Eh ma mère, reprit la fille, laissez-la
parler
; ne savez-vous pas bien que les envieux meurent
une voix épouvantable, on fait ici justice à tout le monde, laisse-le
parler
, on t’écoutera après dans tes défenses. Le lutin
juges imposèrent silence à Parafaragaramus et à Sancho qui voulaient
parler
, et Minos ayant été aux opinions prononça l’arrêt
ira l’attention de nos deux chevaliers, et Pluton lui ayant permis de
parler
, il commença par remontrer toutes les peines qu’i
rieur à tout ? Outre cela, poursuivit un démon qui n’avait pas encore
parlé
, le chevalier Sancho ne parle point contre les fe
rsuivit un démon qui n’avait pas encore parlé, le chevalier Sancho ne
parle
point contre les femmes par malice ; le bon seign
ut ce que tu vins en rapporter à ton bon maître n’était-il pas faux ?
Parle
, perfide, est-ce ainsi que tu devais reconnaître
nt, ne sont point de ma façon, et sont en effet des gens dont je veux
parler
. Il y aura peut-être quelque curieux qui les aura
gles toutes contraires à celles des romans. J’ai écrit comme j’aurais
parlé
à mes amis dans un style purement naturel et fami
oms, qu’on ne sait à présent quel est le frère d’une fille, lorsqu’on
parle
d’elle. Ce mauvais usage est venu des provinces,
lle pas cacher que Mademoiselle telle est sa fille ? Les gens dont je
parle
vivaient dans un temps, où on observait un niveau
s dirai une autre fois ce que c’est ; pour le présent, poursuivit-il,
parlons
d’autres affaires. Commencez par me dire comment
dit Des Ronais, parce que Dupuis arrivera bientôt, et je ne veux pas
parler
devant lui de ma rupture avec sa cousine. Est-ce
ort. Il ne peut plus vous donner d’ombrage, et la lettre dont je vous
parle
, est ce qui l’a tout à fait déterminé à la retrai
terrompit Des Ronais tout étonné, de dire que le mystère dont vous me
parlez
me passe. Je n’aurais jamais soupçonné que vous e
ave de son amant favorisé. Silvie s’en aperçut, en ce que Verville ne
parla
plus de partir, et qu’au contraire il voulut rest
endre à ses raisons ; il eut même la prudence de le prier de ne point
parler
à Silvie de ce qu’il lui avait dit, et cependant
, qu’elle connut bien qu’il en était parfaitement instruit. Il ne lui
parla
nullement de la chambre, ayant ses raisons pour s
utre vengeance d’elle que de la mépriser comme une malheureuse. Il ne
parla
pas même de l’aventure à son beau-père, et depuis
Messieurs, reprit le duc de Médoc après que la marquise eut cessé de
parler
, nous ont avoué avec sincérité le génie de leur n
it pour lors Alonza Lorenço, que Don Quichotte, sans lui avoir jamais
parlé
, avait fait dame de ses pensées, et maîtresse de
leur en fallait pour le parcourir jusqu’au souper, pendant lequel on
parla
d’Alti-sidore, et après l’avoir plainte d’une pas
é qu’il n’avait fait de sa vie ; mais enfin son maître ayant cessé de
parler
, parce qu’il n’en pouvait plus de la gorge, Sanch
estionna sur son absence ; mais il n’eut garde de rien dire, et on ne
parla
pas plus d’Altisidore que si elle n’avait jamais
ien ; dites-moi donc vous-même ce qu’il faut que j’en fasse ? — Voilà
parler
en honnête homme, lui répliqua Parafaragaramus ;
eh bien, remets tout entre les mains du curé de ton village, sans en
parler
à ta femme ; il est homme d’honneur, et aura soin
verre des compositions assoupissantes. Sitôt qu’on le vit bâiller on
parla
d’aller se reposer. La princesse Dulcinée fut con
retournèrent chercher dans la caverne, où ils l’avaient laissé, sans
parler
de leurs chevaux, sur lesquels ces malheureux n’a
uels ces malheureux n’avaient pas eu le temps de monter. Pour ne plus
parler
d’objets si affreux, justice fut faite d’eux tous
. Quelque lecteur a sans doute déjà trouvé à redire qu’on n’ait point
parlé
des civilités que notre chevalier avait faites à
p la fin de l’aventure. Ce lieutenant vint avec son greffier, et leur
parla
longtemps en particulier, après quoi il se fit re
e donnèrent à l’envi l’un de l’autre à sa valeur. Comme je n’ai point
parlé
du duc d’Albuquerque, il est à propos d’en dire u
qu’il ne lui permettait pas d’ouvrir la bouche ni pour mâcher ni pour
parler
. Il resta plus de huit jours aveugle, mais peu à
ence n’y apportait point d’autre circonspection que celle de ne point
parler
du tout de lui que par les beaux endroits, et jam
nville, et qu’il y en a qui sont plaints par le public, ou dont on ne
parle
seulement pas, et d’autres moqués et raillés avec
que celle d’un combat. — Mardi, Monsieur, lui répondit Sancho, vous
parlez
toujours le mieux du monde, vous n’avez rien à cr
ordre d’en faire davantage ; mais Sancho ne lui donna pas le temps de
parler
, et comme il avait le dessus, il commença à trava
ne lui coûte ni sang ni péril. Pardi, Monsieur, répondit Sancho, vous
parlez
comme un théologal, et mille fois mieux que l’uni
nez, Monsieur, lui dit-il, bien du monde s’en plaint, et moi qui vous
parle
, je n’ai point de sujet de m’en louer, car une fo
er par devant cette fosse pour aller à ce petit bois dont on vient de
parler
. Don Quichotte était dans une impatience terrible
ma voix, comme il va te la demander lui-même. Qu’il se lève et qu’il
parle
, répondit Pluton d’une voix effroyable. Don Quich
t suivi ce prince, se trouva dans un festin avec des Espagnols ; on y
parla
des héros des deux nations. Le Français nomma Don
faragaramus avaient écoutée. Ainsi quand nos aventuriers cessèrent de
parler
, le duc se retira à son appartement. Il fit prend
cela sait-il gagner sa vie ? Il vaut mieux un gendre pauvre qui sache
parler
, qu’un riche qui ne sache qu’avaler. Il faut enco
quelque repos jusques au lendemain, n’étant point du tout en état de
parler
ni de voir qui que ce fût. Chacun se retira donc
ait que juger d’un homme qui était effectivement fou, et qui pourtant
parlait
de si bon sens et se battait avec tant de conduit
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