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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
ue ç’avait été une des plus belles filles du voisinage. Tout le monde parlait mal de Des Prez ; on m’en dit mille cruautés : en
s le portrait de Mademoiselle de l’Épine, il se mit à soupirer, et me parla avec tant de désordre et si peu de suite, que j’e
nous étions sûrs de n’être ni écoutés, ni interrompus, il commença à parler . Pour vous ôter tout à fait de l’esprit, me dit-i
donnais aux premiers mouvements de mon cœur, je m’offris de les faire parler à lui. Je pris la mère par la main, et la menai d
tous les soirs ; je cherchai inutilement toutes les occasions de lui parler seul à seul ; je n’en trouvai point, et n’avançai
jeu m’attirait chez elle ; mais elle évitait avec tant de soin de me parler seul à seul, que je ne pus rien lui dire de bouch
l’aimais trop pour rester longtemps dans l’incertitude, et ne pouvant parler , j’écrivis ce billet-ci. BILLET. Vous êtes trop
irée pour ne connaître pas ce que je sens pour vous. Je n’ai pu faire parler que mes yeux ; mais je crois qu’ils se sont expli
ernellement obsédée, et votre application à m’ôter les moyens de vous parler , m’ont obligé à me taire. Si vous êtes encore à v
é dès le premier moment qu’elle m’avait vu, longtemps avant que de me parler . Que j’étais cause qu’elle avait suivi sa mère sa
à force d’aller chez mon père, elle trouverait enfin l’occasion de me parler , ou du moins de me voir. Qu’elle m’avouait ce qu’
je lui envoyai une fort belle montre sonnante et une lettre où je ne parlais point d’amour. Je savais bien qu’elle serait vue,
tinuais, il me défendit d’aller chez elle. Je ne lui obéis pas, et ne parlai de cette défense ni à la mère ni à la fille. Il s
cissement, ainsi je lui dis que mon père n’était point en état de lui parler  ; qu’il était enfermé pour une affaire qui devait
, et que je la ferais avertir, s’il y avait apparence qu’elle pût lui parler dans la journée. Comme elle agissait de bonne foi
demander en quoi… Et moi aussi, interrompit-il, j’avais envie de vous parler , il y a même du temps. Prenez la peine d’entrer d
. J’approchai de la porte de ce cabinet, d’où j’entendis tout. Il lui parla fort honnêtement d’abord, et après cela comme un
omme je vous l’ai dit, que le commerce est innocent, mais le monde en parle , et cela doit vous obliger à le rompre. Jamais su
, et qu’il pouvait comme il a déjà fait, me procurer le moyen de vous parler de mes affaires. Il a été d’une société de jeu ;
s gens à coups de bâton ; le bruit que vous feriez donnerait sujet de parler  : on dirait que vous n’auriez agi que par dépit ;
uce est plus honnête. Elle lui promit de la suivre ; ensuite elle lui parla de son maudit procès. Il lui promit toute assista
e mourir. Quels troubles s’élèvent dans mon esprit ! Pourquoi ne vous parlai -je pas hier ? Je vous aurais priée de cacher vos
ulement qu’il était venu au logis vers les dix heures, et qu’il avait parlé à mon père, qui l’après-midi ne sachant où j’étai
et j’espérai qu’il me rendrait service. Je donnai ordre qu’on le fît parler à moi quand il viendrait. Il vint, et pour commen
, me répondit-elle, d’un certain air qui me faisait connaître qu’elle parlait de cœur. Seriez-vous capable de secret, repris-je
soit qu’elle voulût s’engager, soit qu’elle ne le voulût pas, elle ne parlerait jamais de ce que j’allais lui dire. Elle me le ju
ue nous ne voulons pas même de certificat. La demoiselle dont je vous parle ne demande autre chose que de mettre sa conscienc
près bien du temps que je le gagnai. Cette femme me dit qu’elle avait parlé à ce prêtre, comme elle me l’avait promis. Qu’il
e l’avait promis. Qu’il n’avait voulu s’engager à rien qu’il ne m’eût parlé . Que si je voulais, elle irait le quérir : qu’en
is m’y fier, et être sûr du secret ; parce qu’outre qu’elle lui avait parlé sous le sceau de la confession, elle n’avait poin
Monsieur que je vous amène, dit-elle en me le présentant, vous pouvez parler de vos affaires ensemble tant que vous voudrez. N
is a dû vous en instruire. Il est vrai, Monsieur, dit-il, qu’elle m’a parlé de quelque chose ; mais comme ordinairement les f
’en informer vous-même. Je crus que la meilleure explication était de parler d’argent. Je lui dis superficiellement le tout ;
es mots : Trouvez-vous à trois heures au même endroit, où l’on vous a parlé la dernière fois. Je ne doutai pas un moment de q
elle voulait, je la conduirais dans un endroit où nous pourrions nous parler longtemps et en sûreté. Elle me refusa au commenc
, l’avait mise dans une si grande impatience, qu’elle aurait voulu me parler le jour même. Qu’elle avait fait écrire le billet
us allions entrer. Il nous fit voir que c’était à nous que l’Écriture parlait , quand elle dit qu’il faut qu’un homme quitte tou
dans quoi il serait peut-être soutenu par les lois humaines. Enfin il parla fort juste, et ne fit aucune façon de dîner avec
ssance et de la beauté de ma future épouse, ne pouvait se lasser d’en parler avec mille exclamations. Elle l’aima tellement dè
t pour avoir d’autre entretien avec eux, que sur la dévotion, nous en parlâmes à fond. Par le plus grand hasard du monde mon pèr
sé à fond, et en vérité l’air dont cet ecclésiastique et ce religieux parlaient , m’inspira de la dévotion ; et quoiqu’ils ne diss
mon mariage avec ce prêtre, quoique je ne me souvinsse pas d’en avoir parlé . Cela me mettait au désespoir ; mais je me trompa
ne : je n’avais aucune envie de l’être. Pendant tout le souper, il ne parla d’autre chose, et les déchira terriblement. Je ne
ormait. Notre hôtesse qui m’entendit, me fit signe qu’elle voulait me parler , et en même temps de ne point faire de bruit. J’a
in, je ne les désabusai pas, je me contentai de les prier de ne point parler de l’aventure, et je les payai de leur peine. Mon
elle avait encore besoin de moi auprès de l’ami dont je vous ai déjà parlé  : Madame Des Prez m’en instruisit, et nous concer
s partout où elle avait besoin de moi. Je lui offris ma bourse, et ne parlai à sa fille devant elle, que pour m’informer des n
je ? C’est à quoi il faut songer, dit-elle ; mais avant que de lui en parler , j’ai envie d’en parler à… C’est ce que je vous d
t songer, dit-elle ; mais avant que de lui en parler, j’ai envie d’en parler à… C’est ce que je vous défends absolument, lui d
çue. Et nous décidâmes que ce serait moi qui la recevrais, et qui lui parlerais le premier ; et cela parce que je ne jugeais pas
je le sais bien : c’est une chose qu’elle a faite sans vous en avoir parlé  ; mais elle n’a choqué que le respect qu’elle vou
ns que je lui ouvrisse la bouche. Lorsque je la vis un peu remise, je parlai à mon tour ; et parce qu’avec de certains esprits
grâces de mon père, en abandonnant sa fille ; mais qu’elle, à qui je parlais , serait absolument perdue dans l’esprit de tous l
et qu’elle viendrait faire ses couches dans le même endroit où je lui parlais . Que pour son procès je lui rendrais tous les ser
oi. Elle me dit qu’elle avait été surprise de la hauteur dont j’avais parlé à sa mère, mais qu’à la fin elle avait connu que
ncontrai Monsieur Des Prez, qui me fit entrer dans son cabinet. Il me parla d’une charge qu’il voulait me faire avoir, et me
re quelque parole sur un parti qu’il me destinait : quoiqu’il ne m’en parlât que comme d’une chose assez éloignée, je ne laiss
ulu sortir aussi, et passant par l’endroit où je m’étais mis pour lui parler , il aperçut une lettre qu’il n’avait pas vue d’ab
lle, et ne revint que le soir, et donna ordre en entrant qu’on me fît parler à lui sitôt que je serais revenu : ce fut sur les
re. Je crus que c’était pour voir le père d’une fille dont il m’avait parlé . Dans cette pensée, je lui répondis que j’irais a
rna le dos, et parlant à l’exempt qui était là, ne souffrez pas qu’il parle à personne, dit-il, et conduisez-le sans scandale
x mourants, on la porta dans cet état dans la chambre dont je vous ai parlé en présence de sa mère. On tâcha de la consoler ;
pondit-il, en riant aussi ; on m’a assuré qu’on n’avait point du tout parlé de moi, mais de vous-même ; je me doute de ce qu’
eprit Des Ronais ; je l’avais soupçonné, et j’en suis sûr : on vous a parlé de Madame de Mongey ; et Madame de Contamine et M
que me prévenir en vous parlant d’elle, mon dessein était de vous en parler  ; et elle ne les a pas assurément priées de le fa
passion, puisque Silvie est morte, (car c’est d’elle dont vous voulez parler ) il est question de reconnaître toutes les bontés
s. Vous vous trompez, lui dit Des Frans, ce n’est pas celle dont nous parlons , c’est sa bru. Monsieur de Contamine est donc mar
réciproques firent place à une conversation plus familière. Des Frans parla quelque temps seul à Madame de Mongey. On ne sait
e rencontre très souvent des moments où il regrette sa liberté. Je ne parle pas, comme vous voyez, de ceux qui sont mal marié
é. Je ne parle pas, comme vous voyez, de ceux qui sont mal mariés, je parle des mariages les mieux unis tels qu’est le mien…
y a des chagrins dans le mariage, dont il n’y a qu’un mari qui puisse parler par expérience ; et puisque j’y en trouve, je sui
éfense de son ami, il n’a pas lieu d’être content des femmes. Je n’en parle que sur un peu de lumière, et beaucoup de soupçon
trop général, que je puis dire que j’en ai été trop maltraité pour en parler affirmativement en bonne part. Je n’en ai jamais
nocente dans le fond. Je n’ai rien à vous dire davantage, vous pouvez parler quand il vous plaira : Madame de Londé sait ce qu
uvrir de honte et de confusion, après cela, il rêva quelque temps, et parla en ces termes.
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
ntiments qu’elle a toujours eus pour vous. Mademoiselle Dupuis m’en a parlé dans ces termes ; et je ne fais aucune difficulté
’une pour l’autre : c’est peut-être sur ce sujet-là qu’elle veut vous parler . Vous me flattez, interrompit Des Frans, je ne mé
qu’il en soit, elle mit au monde la belle Manon Dupuis, dont je vous parle , qui est votre commère, et n’a point eu d’autres
Il était en effet de ses amis, mais non pas son amant, et n’a jamais parlé d’elle qu’avec vénération. Dupuis fort proprement
ria ses amis de tenir l’aventure secrète, et défendit à ses gens d’en parler , protestant devant Dieu, qu’il ne demandait dans
omplie. Je m’abandonnai à ma passion, mes soins furent bien reçus. Je parlai , elle m’écouta ; mais sans me rendre aucune répon
ment à m’épouser. Il y avait un jour un ecclésiastique chez elle : on parla de plusieurs choses indifférentes, et insensiblem
mère ; je fus choqué de son procédé, que je crus injurieux, je lui en parlai le jour même. Elle se mit à rire de mes reproches
faite que proposée, nous nous trompions. Il répondit aux gens qui lui parlèrent , qu’il m’était fort obligé de l’honneur que je vo
ère résolution, qu’il ne changerait pas, et qu’il priait qu’on ne lui parlât jamais de la marier, si on voulait rester de ses
s l’avions espéré, pensa nous perdre sans retour. Ce fut de lui faire parler par son confesseur, qui lui représenta que sa fil
voir entendu le beau sermon qu’il lui faisait, sans faire semblant de parler à elle. Car, Monsieur, disait-il à ce confesseur,
je vais travailler à me détacher d’elle, et la première fois qu’on me parlera de la marier, et que je saurai que cela viendra d
t, et nous rapporta ce qu’il avait dit au sujet du mariage, sans nous parler de la mère ni de ce qui pouvait nous chagriner pa
e la peine et du temps perdu. Qu’il ne nous conseillait pas de lui en parler davantage. Qu’il était inébranlable dans sa résol
hanger, nous nous nuirions à nous-mêmes, et que pour lui il ne lui en parlerait jamais, vécût-il cent ans. Dieu m’en préserve, re
t si poli et si chéri ; mais j’ai changé de pensée ; cela ferait trop parler les gens. Votre mère a donné assez de prise aux c
toujours été sage, j’espère que vous la serez toujours. Je ne vous en parlerai jamais, je vous le promets, mais ne me donnez poi
Didon s’est pourtant démentie, mais ce n’est pas encore le temps d’en parler . Je vous laisse à penser quels remerciements je l
fille n’en a eu de plus aisé. Elle ne rêve point à ce qu’elle dit, et parle plus juste qu’un autre ne pourrait penser ; mais
r sacrifice relevât le mien. N’en croyez rien, l’amour-propre me fait parler , je ne veux de vous aucun sacrifice, je ne veux q
it à appréhender, ce n’était que pour elle. Que de l’air dont elle me parlait , je voyais bien que son père avait raison de dout
, et qu’apparemment elle se destinait au nouvel amant dont il m’avait parlé . Je le prenais d’un ton si haut, et j’étais telle
le, à trois heures cette après-midi dans le jardin de l’Arsenal, nous parlerons là tête-à-tête sans être interrompus ; et je m’ex
’y rendis et j’acceptai le rendez-vous. Nous nous y trouvâmes et nous parlâmes ensemble fort longtemps. Je lui dis mot pour mot
pas : mon père même ne le regarde que comme un enfant. Si son père a parlé au mien, c’est ce que je ne sais point, en tout c
et dès aujourd’hui même, si vous voulez. Je ne crois pas qu’on puisse parler plus juste : voyez ce que vous voulez que je fass
ettez-le dans la nécessité de vous la tenir ; et pour cela faites-moi parler devant lui et à lui-même. Je la pris au mot, et l
osse de son père ni du mien, et nous arrivâmes dans le dessein de lui parler tous deux, et d’avoir tout d’un coup un oui ou un
ne se gouvernait pas comme nous pensions. L’ardeur dont je lui avais parlé le matin, et l’amour qui éclatait dans mes parole
Du Pont chatouillé, ne donna pas le temps à son père de répondre, il parla le premier ; et s’il ne fit pas voir beaucoup d’e
comme elle lui était très avantageuse, il l’accepta sur le champ. On parla des articles du contrat. Du Pont se dépouillait e
vous pas soumettre à ce que son inclination en voudra bien ordonner. Parlez , Mademoiselle, lui dis-je, l’occasion ne peut êtr
quoique je me doutasse bien de la fourberie, je ne laissai pas de lui parler , si bien que Du Pont le père qui est honnête homm
sa résolution, il dit sans façon, que sa fille était une insolente de parler de la sorte devant tant de monde, qu’elle manquai
ère fit quelque chose de plus fort ; car après s’être excusée d’avoir parlé si librement sur la nécessité où elle avait été d
endant je mourais de chagrin de voir vivre quelqu’un. Ce quelqu’un ne parla non plus à sa fille des Du Pont ni de moi, que si
souvent le discours : Hé morbleu, dit-il, puisque vous en voulez tant parler , il faut que j’en parle aussi. N’est-il pas vrai,
morbleu, dit-il, puisque vous en voulez tant parler, il faut que j’en parle aussi. N’est-il pas vrai, dit-il, que si je vous
ême très constant qu’il avait une telle confiance en moi, qu’il ne me parla jamais de lui faire ni obligation ni billet ; et
j’aie eue de ma vie. Il est vrai pourtant qu’il n’avait pas voulu me parler devant sa fille, mais elle écoutait tout, lequel
stinait à vouloir m’épouser malgré moi. Dans le même temps on lui fit parler d’accommodement, et Dupuis s’y prit si bien et si
et plus il y en aura demain. Je me figure, poursuivit-il, qu’elles se parlent ainsi à elles-mêmes. Telles et telles ont fait de
as eu l’esprit de cacher leur secret comme telle et telle, dont on ne parle seulement pas. Madame une telle accoucha il n’y a
ons pris le nôtre ; toute ma rhétorique fut inutile. Elle me laissait parler et dire tout ce que je voulais, mais elle ne se l
nce, ni aucune parole qui marquât le moindre retour vers le monde. Je parlai à son confesseur en sa présence, il m’avoua de to
lle et en bon ordre, je l’y reconduisis si abattue, que je n’osai lui parler sitôt de notre mariage. Madame Dupuis sa tante, m
si elle se mariait sitôt après la mort de son père, cela donnerait à parler  ; qu’on dirait dans le monde tout le contraire de
j’étais venu descendre chez elle. J’étais prévenu que ces lettres ne parlaient que des affaires qui concernaient son héritage, e
e, qui n’est pourtant pas telle que je la voudrais ; car pour vous en parler sincèrement, j’ai toujours des retours de tendres
a une partie de ma colère ; et c’est pour cela que je ne veux pas lui parler moi-même. Cela vaut fait, reprit Des Frans, et dè
laircissement se fasse en leur présence, afin que Monsieur Des Ronais parle à Monsieur de Terny, qui est le Gauthier de cette
tites Maisons, reprit-elle aussi en riant. Et pour témoigner que vous parlez par mon ordre, voilà avec sa belle lettre mon por
e de son peu de civilité, qu’il devait m’écouter quand j’ai voulu lui parler de sa maîtresse ; qu’il ne pouvait pas moins fair
cause du consentement de Madame de Contamine à leur mariage. Je vous parlerai une autre fois de Mademoiselle Dupuis : je ne sai
Il est vrai, dit Des Ronais, qu’elle n’est point de ses amis. Elle en parle comme d’un fourbe. Vous en saurez le sujet, repri
ns demain, si vous voulez voir Jussy et son épouse, pour aujourd’hui, parlons de Monsieur et de Madame de Contamine.
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
me faire devenir inconstant. Si Madame de Londé était présente, je ne parlerais pas aussi sincèrement que je vais faire : mais ét
des, et de quel œil mes régents m’ont toujours regardé. J’étais, pour parler en termes d’écolier, un des plus francs polissons
. Elle ne prononçait pas tout à fait bien le français, quoiqu’elle le parlât fort juste. Elle avait un petit accent que je tro
e fils ! Je n’en eus pas la comédie, mais j’eus celle du logis. Je ne parlai qu’à mon père : il me donna de l’argent, et me re
lle colère, qu’elle n’osait ouvrir la bouche, ni pour manger, ni pour parler . Mon frère la copiait, et moi je ne pouvais pas m
es enragées, particulièrement le carnaval ; mais avant que de vous en parler , il faut que je vous dise une aventure aussi bouf
t pour lors tout sujet d’être satisfaite de son époux. Cette femme en parla à Sophie qui me le dit. Je traitai cela d’impostu
l lui fit prendre d’une drogue qui le rendit tout autre. Il ne lui en parla point : il se contenta de le rassurer contre la c
me le témoigna, et je ne m’en souciai pas. Je ne lui ai point du tout parlé depuis. Je crois que dans le fond du cœur elle ne
de longue main, étant tous deux voisins. La première fois que je lui parlai ce fut à une noce, où elle vint déguisée en paysa
t homme d’esprit, il s’acquitta parfaitement bien de son rôle. Il lui parla devant ses deux filles. Il lui dit qu’il venait l
’agit. Il faut, lui dis-je, que nous terminions ensemble sans leur en parler . Le moyen est gaillard, dit-elle. C’est le seul à
goûter mes raisons qui ne valaient pas grand-chose. Je n’avais point parlé à ma mère de Célénie ; je ne lui avais point dit
reller. Nous évitions avec soin l’un et l’autre les occasions de nous parler , et nous ne nous étions pas vus depuis son retour
ts furent scandalisés du peu d’union qui était entre nous. On nous en parla à chacun en particulier ; mon oncle se chargea de
ait plus de quatre mois que je ne l’avais vue, bien loin de lui avoir parlé . On ménagea une entrevue entre nous ; je n’y rési
lement au-dessus de moi, que je me faisais honte à moi-même. On avait parlé à table de Célénie, et de la demande que j’en ava
me fit voir que j’aurais tort d’en user à ma tête. Pour ne plus vous parler de cette malheureuse affaire, qui fut assoupie pa
ne passa pas outre, et que les domestiques eurent ordre de n’en point parler . J’en fis avertir Célénie ; elle vint me voir, je
vait voulu me faire, il me promettait non seulement de ne m’en jamais parler , mais même de faire ses efforts pour faire consen
, lui dit-elle en me montrant à lui, de qui je vous ai plusieurs fois parlé . C’est donc vous, Monsieur, lui dis-je, qui allez
t de faire vos explications ensemble, reprit la mère, vous pouvez lui parler quand il vous plaira ; mais je ne crois pas que v
ause de cela même, lui dis-je, et je vous supplie de la préparer à me parler seul à seul demain matin. Je sortis ensuite de ce
ix. Je différai à prendre mes résolutions jusqu’à ce que je lui eusse parlé . Ce fut le lendemain matin, sans attendre plus ta
out oublié, je suis venu exprès en poste pour vous en faire souvenir. Parlez sincèrement, Alaix est-il un choix de votre cœur,
nt la tête, de jouer ici le personnage d’héroïne de théâtre ; il faut parler juste : voulez-vous m’épouser ou non ? Je ne vous
a voir si votre amant voudra bien vous épouser après que je lui aurai parlé . Seriez-vous encore assez scélérat pour cela, rep
ouloir blanchir un nègre de Guinée avec de l’eau claire. Je ne lui en parlai pas davantage, et je pris le parti d’observer sa
siduités continuèrent, je ne pus jamais la retrouver seule. Nous nous parlions en particulier ; on ne pouvait entendre nos parol
plus fine que lui, tirait à l’essentiel. Je lui dis que j’avais à lui parler , et que j’allais l’attendre chez moi où je le pri
n, ajoutai-je, usez-en comme il vous plaira, la personne dont je vous parle est votre vertueuse maîtresse, la charmante Récar
r les piques. M’entendez-vous présentement, ajoutai-je ? Puis-je vous parler meilleur français ? Ce que vous dites là est-il b
étaient déjà aux prises ensemble. J’en eus de la joie, parce qu’elle parla plus français. Ah, ah, dit-elle d’abord, votre am
obscure, ne me reconnut pas. Je la reçus des mains de la Delorme sans parler . Je la baisai au visage, et pour commencer à fair
iselle, poursuivis-je, m’adressant à elle, mettons-nous à table, nous parlerons d’autre chose après ; et en même temps, je lui ôt
condition qu’elle abandonnerait une vie si infâme ; et je n’ai jamais parlé de cette aventure qu’à vous, et je ne vous l’aura
anquier qui devait me la payer. Je fus obligé d’attendre qu’il pût me parler , parce qu’il était occupé avec des gens de Cour e
bien, que je ne perdis pas un mot de leur conversation, quoiqu’elles parlassent fort bas. Elle roulait sur leurs maris vivant et
enchant. Ah, ma sœur ! reprit l’affligée, une honnête femme peut-elle parler comme vous faites, et songer à faire une infidéli
e qui arrive. Un méchant exemple n’est point à suivre ; et je ne vous parle des femmes que par comparaison aux hommes. Vous p
; et je ne vous parle des femmes que par comparaison aux hommes. Vous parlez comme une nouvelle mariée, et quand vous serez dé
ence à l’être de vous, vous concevrez mieux ce que je veux vous dire. Parlez -moi à cœur ouvert, poursuivit-elle, il est imposs
volonté que la sienne, et à souffrir même ses mauvaises humeurs ? Je parle selon la nature, ma chère sœur, et seulement par
us serions pour lors de même condition que les femmes dont je vous ai parlé , qui ne voudraient pas changer leur manière de vi
rtant je ne puis m’empêcher de vous dire, que Molière me paraît avoir parlé fort juste dans son Amphitryon lorsqu’il fait dir
oublié. Je conviens qu’elle ne croyait point être entendue ; qu’elle parlait à une autre femme seule, et que cette femme était
se ; et je la remerciai avec tant de reconnaissance que si elle m’eût parlé à moi-même. L’envie me prit de la connaître, et d
ce jardin était petit. Je revins sur mes pas dans le dessein de leur parler  : mais elles se levèrent et entrèrent dans une sa
d’autre part que la curiosité : il me le dit. Je remontai en haut, je parlai au maître du logis qui me paya, et je sortis de c
cun. La subtilité de Poitiers, mon même laquais, dont je vous ai déjà parlé , et à qui je m’étais découvert, était à bout : ni
ous paraîtrez vouloir faire, disait-il, vous servira de prétexte pour parler à la maîtresse. J’étais presque d’humeur à y cons
marier pour lors ; elle m’aurait fort accommodé, mais avant que d’en parler à ma mère, ni à personne de ma famille, je voulai
uatre que je la fréquentais, lorsqu’un jour que j’étais chez elle, on parla d’une veuve, qui sans être remariée, était devenu
suivis-je, je ne suis point femme, ainsi ce n’est pas pour moi que je parle  : mais si je l’étais, et que j’eusse eu la faible
, et à me découvrir, et à me mépriser : non pas comme celui dont vous parlez , de ne vouloir pas m’épouser, après me l’avoir pr
la veuve, établi en province, où il avait attrapé la femme dont nous parlons , et s’était moqué d’elle à Paris, où elle l’avait
puis cacher ce que je pense. On donna un siège à cet homme : de quoi parliez -vous, Mesdames, dit-il ? Nous parlions, reprit la
un siège à cet homme : de quoi parliez-vous, Mesdames, dit-il ? Nous parlions , reprit la sœur de ma veuve, de la satisfaction q
epris-je, qu’il y a beaucoup de femmes qui se gouvernent mal : (je ne parle point des abandonnées, celles-là sont indignes qu
, sans lui donner à connaître que je savais que c’était de lui que je parlais , nous savons tous présentement qu’une demoiselle
homme ; mais le public lui a l’obligation de lui avoir donné sujet de parler de sa maîtresse à tort et à travers, et de le reg
tinuai-je, en m’adressant à lui-même, qu’un homme comme celui dont je parle est indigne d’être jamais regardé par d’honnêtes
raison. Il y a, dit-il, quelque circonstance dans l’affaire dont vous parlez qui pourrait en changer le fond. S’il y en a, rép
s qui étaient là, que c’est à Monsieur de Beauval lui-même à qui vous parlez . Je ne sais point, Madame, repris-je tranquilleme
eur de connaître Monsieur ; mais je sais bien que l’affaire dont nous parlons ne convient point du tout à l’apparence qu’a Mons
. Nous eûmes là-dessus une assez longue conversation, après quoi nous parlâmes d’autre chose ; et j’en sortis fort persuadé qu’e
t s’il est jamais en âge, il ne regrettera pas sa naissance ; mais ne parlons point de mariage entre nous. Pour mon bien, si vo
ne changerai assurément pas. C’en est fait, lui dis-je, je ne vous en parlerai jamais, si vous-même ne m’en parlez la première.
fait, lui dis-je, je ne vous en parlerai jamais, si vous-même ne m’en parlez la première. Après cela nous redoublâmes nos care
uin et moi, c’est-à-dire, faire la débauche. Pour préparation nous ne parlâmes à table que de l’éternité, du peu de fonds qu’on
vous essouffler en vous emportant si fort contre les vices dont vous parlez . Je ne vois personne ici qui ait besoin de vos bo
in de ma mère que vous connaissez. Mais puisque l’occasion vient d’en parler , je crois vous devoir avertir, Madame, que Monsie
etardé l’effet. Après cela, comme il n’y a point de gens au monde qui parlent mieux dévotion que ceux qui n’en ont point, ou qu
 : il est vrai qu’il n’était pas fort savant. La bonne mère entendant parler son fils comme un anachorète, avait les larmes de
ongue habitude qu’on a avec elle. Elle l’a doux, ferme et aisé ; elle parle peu et toujours sérieux, à moins, comme je vous l
ur moi beaucoup d’estime, et plus sans doute que je n’en méritais. Je parlais assez souvent à sa fille en sa présence, et le pe
ie de me rendre capucin : elle le croyait de bonne foi, et m’en avait parlé devant sa mère. Je ne lui avais répondu ni oui ni
mina, comme on lui avait prédit ; mais il n’est pas encore temps d’en parler . Je ne puis m’empêcher de faire une réflexion sur
rtes d’occasions de la voir ; mais elle évita avec tant de soin de me parler en particulier, qu’il me fut impossible de lui di
de lui rien dire, poursuivit Dupuis en s’interrompant lui-même, je ne parlerais pas si franchement que je parle ; mais vous êtes
en s’interrompant lui-même, je ne parlerais pas si franchement que je parle  ; mais vous êtes tous d’honnêtes gens, et je me f
je ne l’avais vue que par rencontre et fort rarement, sans lui avoir parlé du tout, lorsqu’elle se présenta à moi que j’y pe
ême, il y a ici quelque amourette. Un moment après une femme vint lui parler  : je n’entendis point ce qu’elle lui dit ; je vis
on cinq ans et demi que je me suis déclaré à la personne dont je vous parle . Certes, repris-je, je n’ai eu aucune liaison ni
pût lui déplaire, m’a fait éviter non seulement les occasions de lui parler , mais même de la voir. Je ne l’ai regardée qu’en
et aussi vrai qu’il est certain que je vous l’ai dit, et que je vous parle sans vous connaître. Cette dame vous tiendrait co
voulus poursuivre, lorsque cette même femme qui était déjà venue lui parler revint encore. Il n’y a point d’apparence, Madame
même, et me fit asseoir auprès d’elle. Elle essuya ses larmes, et me parla d’une manière toute charmante, en me faisant sa c
ue mon cœur pour me faire voir, bien sûre que c’était de moi que vous parliez à moi-même : je croyais n’en faire qu’une simple
le avait toujours eu pour moi, dont elle ne lui avait pourtant jamais parlé , soit par l’indifférence de Londé qui vivait d’un
commoder d’un mari qui fait continuellement lit à part, et qui ne lui parle jamais en particulier ni nuit ni jour ? Est-ce po
fite d’un moment d’entretien particulier avec vous. Je vous laisserai parler tant que vous voudrez, me dit-elle, et même dire
e Londé. Nous étions toujours bons amis ; mais je ne lui avais jamais parlé de l’amour que j’avais pour sa sœur. Je ne lui en
avais jamais parlé de l’amour que j’avais pour sa sœur. Je ne lui en parlai point encore. Comme nous étions ensemble à parler
sœur. Je ne lui en parlai point encore. Comme nous étions ensemble à parler de choses indifférentes, on vint l’avertir qu’on
us brouillez pas si souvent. Et nous, ajouta-t-il s’adressant à nous, parlons d’autres choses. Nous changeâmes de propos en mêm
même ; et cela dans la crainte que j’avais de ne pouvoir de longtemps parler à Madame de Londé, par le moyen de Mousson, et j’
lus déguisé : (Dupuis avait pris la place du frère de la Mousson.) Je parlai à cette femme qui me dit que sa maîtresse était d
s une telle colère contre elle et contre moi, qu’elle n’avait osé lui parler du tout. Qu’elle lui avait seulement dit qu’elle
sans que le cœur y eût participé. Cette fermeté à ne vouloir plus me parler , m’obligea, pour en trouver les moyens, de me met
s et des chagrins, sans compter la dépense. Que ne lui en faites-vous parler par ses frères et par son confesseur, lui dis-je
en me promenant et en la regardant accommoder des salades que je lui parlais , et qu’elle me répondait. Nous fûmes bientôt d’ac
de Londé était tellement réservée pour moi, que je ne pus jamais lui parler en particulier, ni devant même la Mousson, depuis
ntôt des transports au cerveau. Vous m’avez dit que je ne faisais que parler incessamment de Madame de Londé, et que mes rêver
que jamais, et ne me voyait plus qu’en tremblant. Elle évitait de me parler , et surtout de se trouver seule avec moi avec tan
tes mes peines furent inutiles. Je fis vainement mes efforts pour lui parler , même en présence de la Mousson. La vie que je me
assa. Nous ne pûmes nous regarder qu’avec des yeux humides. Je ne lui parlai point du tout de Londé : je ne lui parlai que de
des yeux humides. Je ne lui parlai point du tout de Londé : je ne lui parlai que de moi. Je lui fis voir toujours le même amou
e lui refusera pas des larmes, pour peu qu’il ait d’humanité. Nous en parlerons une autre fois, pour le présent poursuivez votre
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
Vous n’avez fait que me prévenir, Monsieur, lui dit-il, car j’allais parler à Madame avec la même sincérité que vous avez fai
e penser d’un homme, qui ne passant dans leur esprit que pour un fou, parlait néanmoins si à propos, et mêlait dans ses discour
rement s’il a la crainte de Dieu et son salut en recommandation, sans parler de son honneur, qui n’est jamais réel et véritabl
ête n’est pas la plus noble partie du corps, c’est le cœur. Mais sans parler de l’Ecriture, voici quel est mon raisonnement po
ut beau, Monsieur, dit-il à son maître en l’interrompant, n’allez pas parler de même devant ma mauricaude, vous augmenteriez e
chotte prend leur parti, parce qu’il n’en a pas, s’il en avait une il parlerait autrement. — Et comment en parlerait-il ? lui dem
n’en a pas, s’il en avait une il parlerait autrement. — Et comment en parlerait -il ? lui demanda le duc. — Ma foi, Monseigneur, l
lui demanda le duc. — Ma foi, Monseigneur, lui répondit Sancho, il en parlerait comme moi. — Dites-nous donc ce que vous en pense
s Don Quichotte outré de son effronterie, lui dit qu’il ne devait pas parler des femmes comme il en parlait, surtout devant le
ffronterie, lui dit qu’il ne devait pas parler des femmes comme il en parlait , surtout devant les dames qui l’écoutaient. — Par
ieur, répondit Sancho avec une pointe de colère, elles m’ont forcé de parler , et puis au fond je ne me plains pas de ces dames
déchirez là les femmes sans pitié. — Eh non, Madame, reprit-il, je ne parle que de la mienne ; et en effet, il n’y a qu’elle
divertissait ; mais enfin ennuyé de répondre à tout le monde, et sans parler à personne en particulier, il dit tout résolument
ne en particulier, il dit tout résolument et en colère, qu’il n’avait parlé que de sa Thérèse, et au bout du compte, ajouta-t
ne mérite pas d’en faire une thèse générale. — Ce n’est pas à vous à parler des femmes. Monsieur le licencié, lui dit brusque
temps, et rentra tout doucement de peur d’interrompre son maître qui parlait , et que toute la compagnie écoutait avec beaucoup
rassé d’entendre des choses qu’il n’entendait pas lui-même ; qu’on ne parlait que pour se faire entendre, et que cela étant, on
a, se jouaient dans les cheveux de la dame dont Monseigneur et Maître parlait , et les faisaient voltiger, je ne sais comme il a
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
Elle en tomba malade, et en cacha le sujet à tout le monde. Elle n’en parla qu’à moi ; mais avec tant de tendresse de sa part
nde s’en étonnait ; car je ne passais pas pour fort endurant. On m’en parla  ; je convins de tout, et dis que je n’avais pas c
t à petit, en jasant avec le seigneur de choses indifférentes. Je lui parlai des intrigues de la ville, des nouvelles de Cour
; il croyait que j’allais continuer. La familiarité dont je lui avais parlé , me faisait passer dans son esprit pour une andou
it avec une autre fille qui paraissait la servir. Cette sœur alla lui parler , il me parut qu’elle fit quelque difficulté, j’al
entir. Je la saluai : elle me rendit mon salut fort civilement, et me parla si juste que je ne doutai pas que ce ne fût une f
faisait peigner, elle montait sur une table, et sa tante dont je vous parlerai bientôt, et sa fille de chambre y étaient occupée
jamais, elle joua des instruments et en joua parfaitement bien : nous parlâmes de choses indifférentes ; et après une visite de
ait agir, ma bouche gardait le silence : mais mes yeux et mes actions parlaient  ; j’étais sûr qu’on les entendait, et quoique Sil
nières que je ne lui étais pas indifférent ; mais je voulais la faire parler , et c’est ce qui me fut impossible. Pour de la ja
s de l’emploi que mes oncles avaient voulu me donner. Elle ne leur en parla pourtant pas ; elle fut assez bonne pour me ménag
je, dès que je la vis ; la lettre que vous tenez est celle dont on me parle ici. Elle est belle, me dit-elle : vous avez donc
e crois que vous me dites sans fard ce que vous pensez. Je ne vous en parlerai jamais : ce serait, comme vous l’avouez, redouble
ce serait, comme vous l’avouez, redoubler votre confusion ; le sujet parle de soi-même. Je crois même que cela vous rendra s
e train que doit suivre un honnête homme. Obligez une fois le monde à parler de vous en bons termes. Si cette affaire-ci ne vo
chevaux pour vous et un valet. Je lui jurai que c’était mon cœur qui parlait par ma bouche : que j’étais prêt de monter à chev
it me fit voir un plaisir complet d’approfondir la fourbe et de faire parler ce gentilhomme qui devait être mon prétendu beau-
homme me paraissait fort instruit des affaires de son temps, et m’en parlait comme y ayant eu part : il invectiva contre son m
lui demander s’il ne connaissait pas Silvie et sa tante, lorsqu’il en parla le premier. Il me dit qu’il avait été autrefois d
passe pour sa tante à elle, et qui lui a aidé au vol dont je vous ai parlé , veut que j’aide à tromper ce pauvre diable, et m
donner des rendez-vous ? Ne pouvez-vous pas la voir chez elle ? Vous parleriez plus commodément, et avec moins de crainte d’être
r la plus sensible. Elle avait pitié de l’état où j’étais, et sans me parler du tout de Silvie, elle eut la bonté de prendre à
ame de Cranves s’était aperçue qu’il ne me haïssait pas : elle lui en parla . Il avoua qu’il m’aimait, elle trouva que le part
ue la femme de cet homme ne la quitta point, et que je ne voulais pas parler devant elle, en quoi je fis mal. Il apprit par el
me faire, je me contentai d’éviter soigneusement les occasions de lui parler seul à seul. Mais comme je l’avais mis au désespo
le motif. Je le sus par un des valets de pied, et qu’il lui en avait parlé à lui-même. Je ne pus enfin m’empêcher d’en faire
lui dit-elle, et n’y remettez jamais le pied, ou vous résolvez de ne parler jamais de Silvie qu’avec tous les respects qu’un
ez, cela m’est indifférent, mais je sais bien que si j’entends encore parler de ses sottises, je vous en rendrai bon compte et
vous en ordonnerez sera exécuté. Je vous supplie Madame, lui dis-je… Parlez -lui à lui-même, dit-elle en m’interrompant. Eh bi
commerce qui ne lui plaisait pas. Cela le rendit sage, il n’osa plus parler de moi ni de Garreau, qui ne s’en tint pas aux pa
e joie. Elle mit entre les mains de Garreau la lettre dont je vous ai parlé , qu’elle certifia, et pria Monsieur de Villeblain
arrivé, elle me fit appeler, et tout le monde étant sorti, elle leur parla ainsi devant moi. Ma mort va bientôt vous rendre
ux et Monsieur de Villeblain seuls fort longtemps en particulier. Ils parlèrent assurément de moi ; car lorsqu’ils sortirent de s
ds de vous le dernier adieu. Elle se leva d’auprès de moi après avoir parlé si longtemps sans que je l’eusse interrompue d’un
, lui répondis-je. Il n’importe, dit-elle, il est à propos que je lui parle , et je vous prie d’entendre ce qu’il me répondra
Je la laissai faire, et elle écrivit ce billet : BILLET. J’ai à vous parler , Monsieur, rendez-vous chez moi tout à l’heure. J
vous ne vous altérez point à m’écouter ; mais moi je m’altère à tant parler  : il faut être plus héros de roman que je ne suis
j’ai de plus cher au monde. Prenez un siège, lui dit Silvie, je vous parlerai ensuite. Il voulut faire quelque difficulté ; mai
aire, dit-elle, plus vous serez sincère, et plus je serai généreuse : parlez seulement. Que vous dirai-je, reprit-il ? La mort
ment, je lui persuadai d’exiger de vous les dernières faveurs, et lui parlai de vous, de Monsieur Garreau, et de Madame Morin
e. Je ferai l’un et l’autre, mais souvenez-vous d’être sage, et de ne parler de moi qu’avec le respect que vous devez au sang
le caractère de ma mère. La manière tout à fait outrée dont je lui ai parlé de vous, continuai-je, l’a persuadée que je n’y s
menai au cabaret, où je l’adoucis sur l’article de Valeran dont il ne parla plus ; mais il s’en tut d’une manière à me faire
discrétion sur son sujet en ma présence. Querville vint enfin, ils se parlèrent et convinrent ensemble de ce qu’ils avaient à fai
que Rouvière eut tiré Querville d’embarras, et à la même heure que je parlais de lui à Silvie, il tua son ennemi d’un seul coup
partie cause de la mort d’un homme, quoiqu’il la méritât bien. On ne parla pas plus de lui après sa mort que s’il n’avait ja
demander, j’ai entrevu qu’elle avait eu l’insolence de vous en avoir parlé , et peut-être de tâcher à vous y faire consentir.
i je montrai sa lettre, dont je vous ai donné les morceaux, ne m’en a parlé qu’en la détestant. Quoi qu’il en soit, lui dis-j
us jure qu’elle est la première à me féliciter sur mon choix, et à me parler de vous avec éloge ; et pour sa personne en parti
conviens, reprit Des Frans, Monsieur le commandeur de Villeblain m’en parla dans ces termes après mon mariage, mais sa vertu
e ne voulait pas me marier si jeune. Je lui fis voir que si je lui en parlais , et qu’elle n’y voulût pas consentir, comme je le
t où nous en étions, c’était à quoi je ne pouvais me résoudre. Je lui parlai de l’embarras où j’étais ; elle entreprit de me p
utre. C’était ainsi que je l’avais projeté en venant, et lorsque j’en parlai à Silvie, elle me répondit que j’étais le maître,
fort bien, parce que nous avions l’esprit content. Il fallut ensuite parler de se coucher. Elle voulait que je prisse son lit
mme son meilleur témoin. Dans cette intention pendant le repas je lui parlai de son voyage, et sus qu’il n’était arrivé que le
voulais traiter. Ainsi j’étais très sûr que Silvie ne lui avait point parlé , outre qu’il n’était pas homme à mentir pour quel
la guerre, et insensiblement sur celle de Picardie [Candie]. Il m’en parla comme officier présent, et entre les personnes de
de ses intimes amis, un fort brave homme et un fort honnête homme. Il parla de sa famille, et nomma Madame la duchesse de Cra
t été. Vous me surprenez, Madame, reprit le commandeur, quand vous me parlez de Silvie comme d’une fille qui se gouverne mal !
i bon compte. Quand ce ne serait que pour ma propre satisfaction ; je parlerai dès demain à Silvie ; et j’irais dès aujourd’hui
de vous nommer Mademoiselle. Je conçois à présent tout ce qui faisait parler Monsieur, je vous ai donné bien du plaisir, conti
it ; ma femme m’a dit que c’était le même Valeran dont vous avez tant parlé , et en effet c’était lui-même. Ma mère les croit
ayant pas de moyens certains, et j’ai mieux aimé conclure sans lui en parler , que de risquer à manquer Silvie, en lui demandan
ouvrir ce secret. Vous m’avez fait un vrai plaisir, poursuivis-je, de parler comme vous avez parlé. J’avais une joie incroyabl
m’avez fait un vrai plaisir, poursuivis-je, de parler comme vous avez parlé . J’avais une joie incroyable de vous voir prendre
it ma femme, je suis certain que je ne vous avais pas fait plaisir de parler d’elle comme j’avais parlé, et que vous auriez eu
que je ne vous avais pas fait plaisir de parler d’elle comme j’avais parlé , et que vous auriez eu quelque peine à m’accorder
plus hardiment que vous m’avez paru avoir envie de la voir et de lui parler . J’approuve ce que vous avez fait, Monsieur, repr
Madame Morin prit place à son ordinaire. Monsieur de Villeblain m’en parla dans des termes qui achevèrent de dissiper mes so
rsqu’il vit ma mère dans l’état où il la voulait, il recommença à lui parler de moi, il lui fit comprendre les avantages que c
ne pourrais jamais trouver un meilleur parti, qu’il s’offrait de m’en parler , et à me raccommoder avec Silvie que j’aimais ass
e repentirait jamais de l’avoir reconnue pour sa bru. Qu’il la ferait parler à Monsieur et à Madame d’Annemasse quand elle vou
s d’elle, mais en désabuserai-je les frères de son père à qui j’en ai parlé  ? Je m’en suis expliquée avec eux : ils savent qu
envoyé en Italie. En désabuseront-ils ceux à qui ils peuvent en avoir parlé  ? Supposé qu’ils s’en désabusent eux-mêmes, ce qu
, et de tout ce que je suis capable de faire pour lui, que si je leur parle de son mariage, bien loin de me croire, ils s’ima
iculier, et que lui loge toujours chez moi, pour empêcher le monde de parler . Qu’il lui fasse prendre une maison où il n’y ait
a attaqué dans la partie la plus sensible d’un honnête homme. Elle me parla de tous en général en fort bons termes ; mais com
re qu’en passant. Elles avaient toutes deux envie de se voir et de se parler en particulier ; mais quel prétexte prendre pour
ait qu’à une petite lieue de chez moi. Je la priai encore de ne point parler de moi, ni de dire qu’elle fût ma femme, parce qu
t je retournai dans sa chambre, la lettre de ma mère, dont je vous ai parlé , à la main. Elle se jeta à mes pieds toute en lar
-être en triompher. Elle dit à sa fille de chambre qu’elle voulait me parler sans témoins, et qu’elle sortît pour un moment. J
nsieur, dit-elle en m’interrompant, épargnez-moi le reste, je ne vous parlerai plus de rien qui puisse vous faire de la peine. P
ile, elle n’a jamais voulu en recevoir un sou, ni même le voir ni lui parler , ni à qui que ce fût de dehors, ayant absolument
s me laissèrent, j’envoyai chercher le bon père carme dont je vous ai parlé . Il vint, et mes accès de fureur et de fièvre cha
portrait de Madame. Le père connut dans ce moment ce qui en était. Il parla au marchand qui lui dit qu’il avait eu ce portrai
urait point été par ces motifs, ajouta Jussy qui n’avait point encore parlé , que je l’aurais reprise : c’eût été pour l’amour
rez jamais d’autre ; ne songez plus à moi, vous n’en entendrez jamais parler . Hélas ! j’avais toujours vécu innocente ; ma vie
ce que j’en pense devant Monsieur Des Frans. Oui, lui dit celui-ci ; parlez ouvertement et sans contrainte. Il me semble, rep
rir, dit en colère, la belle Madame de Jussy qui n’avait point encore parlé , que Monsieur de Contamine ternisse par un soupço
faites pas plaisir, ma belle cousine, lui dit-il, de vouloir me faire parler . Vous me pardonnerez, Monsieur, lui dit Madame de
tristes que le récit de Monsieur Des Frans pourrait y avoir laissées, parlons de souper, il est temps ; et ne songeons qu’à nou
. Le concert ne fut pas long, on avait servi. Pendant le souper on ne parla que de plaisir, et on fit ce qu’on put pour diver
Mongey toutes les idées funestes qui vous restent de Silvie. Nous en parlerons une autre fois, pour à présent laissez-moi donner
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
s n’ont pourtant jamais eu qu’un seul enfant, qui est celui dont nous parlons . Elle était encore en âge de se remarier lorsqu’e
t secours, et chargée d’une petite fille, qui est Angélique dont nous parlons  ; et encore le maréchal d’Hocquincourt ayant été
issait cette femme pour femme de vertu, la lui accorda volontiers, et parla à Angélique comme s’il avait été son père : aussi
sique ; et cela sans avoir d’autres maîtres que les siens, qui ne lui parlaient que très peu. Cette demoiselle fut obligée d’alle
ue : Contamine la vit et en devint tout d’un coup amoureux. Il ne lui parla point cette fois-là, il se contenta de l’admirer.
vous, croit faire honneur à une fille telle que je suis, quand il lui parle , et je vous assure que je n’ambitionne point cet
tombe d’accord, reprit-il, mais en vous voyant je ne pourrai pas vous parler . Si c’est une seconde condition, dit-elle, que vo
Madame de Contamine, et remmena Angélique avec elle. Celle-ci ne lui parla point de la conversation qu’elle avait eue avec l
ur ce qu’il lui avait dit. Elle avait fort bien connu qu’il lui avait parlé de cœur ; mais pour voir si elle ne s’était point
ier des conditions du marché. Ne plaisantez point, reprit-il, je vous parle sérieusement, répondez-moi de même. Que voulez-vo
on amour, et répondez-moi comme en étant bien persuadée. Afin de vous parler sans témoins, sous prétexte d’attendre Mademoisel
r, afin que sous le même prétexte, je puisse encore vous voir et vous parler  ; ainsi ne faites plus de difficulté, et répondez
Voilà quels sont mes sentiments ; conformez-y les vôtres. Je ne vous parle point de m’épouser, je n’y prétends pas ; mais je
sait, elle alla chercher une autre fille qui vint avec elle. Elle lui parla pour lors, et lui dit que Mademoiselle de Vougy s
ut-être quelque laquais vous quérir, et vous sortiriez sans lui avoir parlé . Vous êtes malicieuse, reprit-il, avec votre laqu
ligiez de la prendre. Il resta toute l’après-midi, mais il ne put lui parler seul à seul ; cette fille ne la quitta point. Il
iselle de Vougy alla chez lui le soir même, et ne le trouva pas. Elle parla à Madame de Contamine, et sut d’elle qu’il avait
, m’avait témoigné si peu de disposition, la dernière fois que je lui parlai de cette affaire, que je la croyais échouée ; mai
t point encore expliqué, et qu’elle la suppliait d’attendre qu’il eût parlé le premier. Cette demoiselle est assez belle, et
ine revint le lendemain ; il croyait tout au moins qu’elle allait lui parler , ou lui donner un rendez-vous. Il se trompa, elle
es mains de ses larmes, je ne puis vivre sans vous voir, et sans vous parler . Vous savez écrire, reprit-elle, je ne refuserai
s forces, j’étais abandonnée de vous d’une manière ou d’autre ? Je ne parle point du changement qui peut arriver dans vos int
et qu’une demi-heure à revenir. Vous n’êtes point ici en état de vous parler , belle Angélique, lui dit-il, je n’ose pas même y
avait destiné. Il envoya la garde en ville sous quelque prétexte, et parla à la mère d’Angélique. Il est inutile, Madame, lu
ierreries valaient un des plus riches mariages. Je voudrais bien vous parler un moment, lui dit votre commère toute étonnée. J
mère, que qui que ce soit ne la venait voir que Contamine, qui ne lui parlait jamais hors de la vue, et fort peu en particulier
evant de se faire connaître, cette princesse ne put s’empêcher de lui parler . Vous êtes dans un état bien magnifique, Madame,
r devant les gens qui l’écoutaient. L’affaire méritait bien qu’ils se parlassent en particulier : ils le firent dans le jardin où
ns lui en paraissaient difficiles. Elle craignait qu’on ne la fît pas parler à la princesse, si elle y allait elle-même. Elle
grosse fièvre, et des maux d’estomac si vifs, qu’à peine pouvait-elle parler . Elle fit sortir, quand elle la vit, tout le mond
présentement tout autre que je ne la croyais encore ce matin. Je vais parler à la princesse, il n’est pas encore jour pour ell
mestiques, et lorsqu’ils furent assemblés, écoutez, leur dit-elle, je parlai mal hier au soir d’Angélique que plusieurs de vou
, il tomba à ses genoux devant son lit. Ils pleurèrent tous deux sans parler . Il tenait une des mains de sa maîtresse, qu’il m
votre amitié à tous deux, vous pouvez compter sur la mienne. Je vais parler à la princesse, et je me promets de la mettre de
n crime, ni le moindre soupçon injurieux. La princesse avoua que tout parlait pour elle ; elle entra dans ses sentiments, elle
uxembourg, elle répéta encore à Angélique, qu’elle voulait absolument parler à son amant et qu’elle les attendrait tous deux l
de la princesse qui les reçut le plus honnêtement du monde. Elle leur parla quelque temps en général, et ensuite elle fit ent
a princesse admira son procédé, et lui dit que son dessein était d’en parler elle-même à Madame de Contamine. Ah, Madame, repr
Angélique lui rendit mille grâces de ses bontés, et Contamine ne lui parla plus en particulier de cette journée. Il ramena v
recevable. Il lui promit de n’y plus songer, ou du moins de ne lui en parler jamais, et de s’éloigner, si elle le voulait, pou
ar sa femme de chambre, qui lui dit qu’un gentilhomme demandait à lui parler de la part de Madame la princesse de Cologny. Ell
ent, et allèrent souper chez Dupuis qui les régala splendidement. Ils parlèrent d’affaires, Des Frans les informa de ce qu’il ava
le prenant par le bras, mettez-vous là et dînons, après cela on vous parlera . Ce sera moi, Monsieur, dit un homme parfaitement
Monsieur, dit en riant une fort belle femme qui n’avait point encore parlé , ne galantisez point tant mon mari sur sa bonne m
gey auront leur temps. On suivit ce conseil et on dîna fort bien. Ils parlèrent pendant le dîner des ombrages que les amants pren
er n’avez pas eu la civilité de me dire deux mots, et n’avez fait que parler bas à Madame de Mongey. Ah ! Madame, reprit Des F
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
mait l’aînée de ces deux filles que nous allions voir, parce qu’il en parlait avec feu. Je n’avais jamais rien aimé, je la vis,
de prendre. Je ne pus m’en taire. Quoi, dis-je à Bernay, vous m’avez parlé en venant ici de vos deux sœurs, comme de deux fi
pénétrante) c’est à faire, poursuivis-je, à leurs directeurs de leur parler de dévotion, et à un homme comme moi de leur témo
d’un âge et de profession à être catéchiste ? Il me ferait beau voir parler d’extases, d’illuminations, de retraites, et d’au
de l’art que j’ignore, j’en laisse le soin aux autres, mais pour lui parler du monde, c’est mon fait. J’aurais parlé à une au
n aux autres, mais pour lui parler du monde, c’est mon fait. J’aurais parlé à une autre comme à elle, et encore mieux, car je
ne rougissant pas, elles s’expliquent bien plus hardiment qu’elles ne parleraient , et s’engagent bien davantage. Elles se font même
t, elle se retira. Tant mieux, dit Terny, sa présence me gênait. J’en parlerai avec plus de liberté, et ne vous cacherai pas que
trop âgés et trop dégoûtants pour inspirer de la tendresse. Ils ne me parlaient que des troubles de la vie. Je n’avais jamais rie
mpagne sans voir Clémence. J’y allai avec son frère, il la vit et lui parla  ; mais on me refusa la porte, quelque colère qu’i
ule idée conservera dans mon cœur. Votre lettre, votre déguisement me parlent en votre faveur. L’amour-propre me dit que vous m
, il fut d’un détachement commandé par Monsieur de Duras : je ne vous parlerai point d’une des plus glorieuses campagnes de ce g
t qu’il avait su mon retour, il lui avait défendu de me voir et de me parler . Il avait été instruit que ç’avait été moi qui av
mes toutes les caresses dont nous pûmes nous aviser, et que nous nous parlâmes pour la première fois seul à seul. Je la plaignis
émence ne pouvait pas mieux trouver que moi. Tous les gens à qui j’en parlai , crurent l’affaire faite, elle ni moi ne le crure
en vie, et que vous n’aimez guère, de la manière dont vous venez d’en parler . — Il est vrai, Madame, répondit Terny, que ç’a é
matin, et la recommanda de bonne sorte : il se servit de mon nom pour parler à elle. Je vous laisse à penser ce qu’elle devint
n mot, et se retira dans l’instant même, il eut donc tout le temps de parler à la Supérieure et d’empêcher la sortie de Clémen
. Il savait que j’en étais cause et me connaissait de nom. Bernay lui parla de moi comme d’un enfant à donner le fouet ; celu
e chercha, et comme je ne me cachais pas, il me trouva bientôt. Il me parla devant quantité de monde sans dire son dessein ;
nous deux n’en sera pas bien aise. L’air froid et tranquille dont je parlais fit rire les gens qui écoutaient. Mon rival en ro
a voir, sans lui proposer aucun parti ; qu’elle lui avait inutilement parlé de moi : et qu’à cela près elle était assez tranq
utre couvent où son père l’avait menée : en un mot, on ne la laissait parler à personne du tout. Elle se confia à une autre re
la priais de faire en sorte auprès de cette tourière que je pusse lui parler le soir même ; et je recommandai la même chose à
demi-heure entre mes bras sans pouvoir ouvrir la bouche : enfin elle parla , et je vous laisse à penser ce que nous pûmes nou
selle, continuai-je parlant à elle ? Oui, Monsieur, me répondit-elle. Parlez haut, lui dis-je, que personne n’en doute. Oui, M
ant une seconde fois devant tout le monde ; après quoi sans cesser de parler , et adressant toujours la parole à Bernay : vous
vous vouliez donner au couvent ; mais ce sont des intérêts dont nous parlerons dans un autre temps. Elle, ni moi ne renonçons pa
isir ; sinon nous protestons, Mademoiselle et moi, de nous en passer. Parlez , Monsieur, ajoutai-je, n’hésitez pas. Non Monsieu
tion, et vous avez été tellement occupés, Madame de Mongey et vous, à parler ensemble, que je suis surprise de vous voir parle
Mongey et vous, à parler ensemble, que je suis surprise de vous voir parler à nous ; c’est sans doute une distraction que vou
llais vous citer l’un et l’autre pour des exemples de constance. Nous parlions de constance aussi, dit-il, mais sans aucun rappo
8 (1721) Mémoires
et je puis dire que ce que j’en dis est également curieux et vrai. Je parlerai de ce roi sans flatterie. Il était né parfaitemen
ux sur leurs entreprises. Je rapporterai la preuve de ceci lorsque je parlerai de ce qui m’arriva en 1689 et 1690 avec Mons[ieu]
i de ce qui m’arriva en 1689 et 1690 avec Mons[ieu]r de Seignelay. Je parlerai de ces bons pères dans la suite de ces Mémoires ;
ner ici en propres termes. Le voici : 13. Quoique cette compagnie (il parle des Jésuites) soit la dernière en date dans la hi
aisaient entendre. M.de Grammont était cependant un homme de cour. Je parlerai de lui dans la suite. J’ai bien d’autres endroits
solennel en présence d’une infinité de peuples. Voici le fait ; j’en parle comme présent. Lorsque le roi établit la capitati
couronné de gloire Louis XIII son père et Henri IV son aïeul, je veux parler de Pignerol, Casai et Dunkerque. Il est vrai qu’i
était le cardinal Mazarin, homme véritablement détesté et haï dont je parlerai dans la suite, lorsque j’entrerai dans le détail
est un fruit de ce pouvoir arbitraire qu’il inspirait à Louis ; j’en parlerai dans la suite, et en effet… Dignus erat effrons
citer pour être convaincu de la vérité de ce que je viens de dire. Je parlerai encore d’eux ; et j’en reviens à la bonne foi mor
mus lieutenant civil, frère de M. l’évêque de Grenoble dont j’ai déjà parlé , homme intègre, très honnête homme et bon magistr
ut outré de rage, mais se flattant encore de quelque espérance, il en parla à la comtesse de Soissons mère du comte, et l’eng
l en parla à la comtesse de Soissons mère du comte, et l’engagea à en parler à son fils. Elle le fit et pour toute réponse le
’était que simple garde de la Reine, mais pas assez autorisé pour lui parler , ni même entrer dans sa chambre. Cependant les in
s sa chambre. Cependant les instances de ce médecin l’obligèrent d’en parler comme en riant à Madame la duchesse de Chevreuse,
maléfices dont il savait le contrepoison. 73. Madame de Chevreuse en parla au cardinal Mazarin, qui soit pour faire sa cour
dix ans. Je revins dire la chose à mon père qui me défendit bien d’en parler , mais tous étant mort[s] je ne vois point de rais
ller trouver le Roi et de lui faire cette proposition. 87. Il y alla, parla au Roi à qui il représenta le trouble et les agit
nts politiques sont entre les mains de tout le monde, et ne sont à en parler juste qu’une satire réciproque du ministère l’un
l’exécution était faite, il n’y en eut aucun assez hardi pour oser en parler au Roi à son retour de la chasse, où il avait été
nt sur ce dernier article, mais sur la prétendue religieuse dont j’ai parlé , et ajouta que ces pères missionnaires défendaien
e Hollande leur a dit dès il y a longtemps, que je suis fâché de tant parler d’eux, et plus encore de (ce] qu’ils m’en donnent
suivant le Testament politique de M. de Pomponne dont j’ai ci-devant parlé . 127. J’ai promis quelques fragments de la harang
ngues debout ni assis : c’est en se promenant devant celui auquel ils parlent . M.de La Barre était assis, et voici ce qu’Arouïm
croyons que ce qui cadre à la raison et qui frappe nos yeux… On nous parle d’un langage que nous n’entendons pas, fais dire
es qui viennent parmi nous, nous disent de bonnes choses quand ils ne parlent que de ce qu’il faut faire, et nous les écoutons
ue par la seule bonté du Roi, qui se contenta de l’exiler. Lorsque je parlerai de lui, je dirai de quelle manière il en fut reti
nt fripons. J’entrerai là-dessus dans un plus ample détail lorsque je parlerai des ministres sous lesquels les plus criants abus
rlay, pour lors procureur général et depuis président, dont j’ai déjà parlé , s’en plaignit à Louis et lui porta de ce papier.
ur être porté chez lui, où il mourut le lendemain ; et il ne fut plus parlé de lui deux jours après que d’un chien mort. 137.
eur de la guerre de Hollande. Mais malgré la paix faite on n’a jamais parlé de suppression, pas plus qu’on [n’] en parle à pr
paix faite on n’a jamais parlé de suppression, pas plus qu’on [n’] en parle à présent de la capitation et du dixième denier,
ou plusieurs autres si l’on veut, son légat en France eut ordre d’en parler à Louis et lui remontrer fortement qu’il était od
t faire figure, et il fut anéanti sous celui de M. Chamillart dont je parlerai aussi à son tour. M[onsieu] r d’Argenson était co
ne qui s’y est passée environ trois mois après celle dont je viens de parler . Ce magistrat se mêlait de tout, jusques à entrer
t mettre la main sur elle que pour la caresser. Que je n’entende plus parler de cela, car [tu] ne me ferais pas plaisir, et j’
ui défendit de mettre la main sur elle que pour la caresser. 148. Je parlerai de M. d’Argenson à son tour. Je lui ai vu faire d
e Roi pour lui rendre compte de quelque affaire l’y envoya. II y fut, parla à Louis qui fut charmé de son esprit et de la man
esprit et de la manière concise et nette dont il s’expliquait. Il en parla à M. Colbert avec tant d’éloges que celui-ci crai
naître. Au contraire, il se crut plus habile que jamais. Il y alla et parla au Roi, mais avec tant de répétitions, de désordr
anges de l’épouse de son amant, comme réciproquement jamais femme n’a parlé en bonne part de la maîtresse de son époux. Celle
Je prends même la liberté de la supplier d’ordonner que je puisse lui parler seul. Je ne suis point en état de parler à person
d’ordonner que je puisse lui parler seul. Je ne suis point en état de parler à personne, lui répéta ce prince, et vous me fere
rt était d’avis que Monseigneur lui fît dire qu’il ne pouvait pas lui parler , mais le prince en jugea autrement et le fit entr
parler, mais le prince en jugea autrement et le fit entrer. Il voulut parler , mais Monseigneur lui ferma la bouche tout d’un c
tion était un effet de sa fierté naturelle, les gazettes mêmes en ont parlé , et tout le monde se trompait. Cet accueil froid
jusques à l’arrivée de la cour à Versailles, et pendant le chemin il parla très mal de M. Colbert à son épouse. A leur arriv
ait de lire, il disait à celui qui le lui avait donné qu’on lui avait parlé d’une semblable affaire, et dans les mêmes circon
endre comme le malhureux Cordier l’a été sous un autre ministre. J’en parlerai dans son temps. 181. Le marché des bestiaux qu’il
uivant Pétrone, était un crime inconnu du temps de nos ancêtres. J’en parlerai amplement dans la suite, lorsque je parlerai des
ps de nos ancêtres. J’en parlerai amplement dans la suite, lorsque je parlerai des ministres qui ont succédé à M. Colbert, dont
rlerai des ministres qui ont succédé à M. Colbert, dont sans doute je parlerai encore, quand l’occasion s’en présentera. 186. Le
t pour arrêter le gentilhomme qui était avec son maître, et qui avait parlé si haut, et courut chercher un exempt. — Voici un
taire à la Conciergerie, où il fut mis dans un cachot. Après cela, il parla au marquis, l’obligea de prendre dix mille écus c
e la peine à prendre son argent. 193. Le marquis retourna en cour, et parla à tant de gens de l’action intègre et généreuse d
M[onsieu] r d’Orléans ne jugea pas à propos d’obliger ce prince d’en parler lui-même au Roi, et se fondait sur ce que c’était
it un très grand tort ; son conseil jugea pour lors à propos qu’il en parlât au Roi. Mais il en eut pour toute réponse : De qu
e le régent de France, fils de M[onsieu] r d’Orléans dont je viens de parler , s’en ressentît à présent qu’il en a l’autorité e
ropres remords, tant sur cet article que sur plusieurs autres dont je parlerai dans la suite, après avoir rapporté le jugement q
res qui en dépendaient s’étaient faits sous le nom du président, sans parler de son neveu ni prendre la qualité de tuteur ; et
de roi de Normandie, frère de Madame la duchesse d’Arpajon dont j’ai parlé , alla un jour à la chasse du côté de ce château.
où il vous laissait. Revenez ici demain à neuf heures, je vous ferai parler au Roi, et je serai votre introducteur. 206. Le l
la bouche. Lisez, lui dit Louis en l’interrompant, après cela je vous parlerai . Il lut donc, et le Roi ayant repris le placet :
-il, qui sont en état de vous dire que oui. Que leur répondrez-vous ? Parlez . — Oui, Sire, dit M. de Mesmes fort embarrassé. —
ez avec tant d’injustice, et faites en sorte que je n’en entende plus parler . Cela est odieux, ajouta-t-il en se levant. 208.
n deux comme l’autre enfant mort. Mais dans le jugement du Roi, c’est parler en véritable roi. Monsieur de Brissac insistait à
, Monsieur le duc de Beauvilliers, qui était du secret, fut chargé de parler au Roi seul à seul. En effet il le fit, et Louis
omme élevé et en place ; que c’était de la prévention dont il voulait parler , qui ne se pouvait point effacer de son esprit lo
. de Brissac, major des gardes, d’avertir Deschiens qu’il voulait lui parler , et qu’il vînt à Versailles. Mons[ieu] r de Briss
que j’ai nommé, et encore par d’autres domestiques. On saura quand je parlerai de moi par quel endroit j’étais familier dans cet
i offre pour témoin Madame Deschiens, veuve de celui dont je viens de parler  ; elle est encore en vie, et en bonne santé. 216.
bien fait de sa personne, et tous deux s’aimèrent de bonne foi. Il en parla à Madame Deschiens qui ne refusa pas le parti, ma
d’autant plus qu’elle les avait vu plusieurs fois l’une et l’autre se parler seule à seule, et même s’entendre nommer sans en
t tous ses sacrements, mais sans efficace. Lorsque son confesseur lui parlait de foi, il écoutait et même répondait ; mais lors
ui parlait de foi, il écoutait et même répondait ; mais lorsqu’il lui parlait de payer à des commis ou à d’autres ce qu’il leur
pourtant un adjoint qui est la marquise de Maintenon, de laquelle je parlerai à son tour. 228. M.de Pontchartrain commença son
lle ne s’en relèvera jamais. Comme j’y étais j’en peux répondre et en parler savamment, et cela d’autant plus que le hasard m’
rquer tout le monde. Le mardi matin on tira le coup de partance, pour parler matelot ; on mit à la voile sur les dix heures. N
témoin qu’il n’y a nulle impiété de ma part là-dessus, mais j’en puis parler comme témoin oculaire. Voici comme cela se passa
ne, où un prédicateur a toujours fait merveille, lorsqu’il a beaucoup parlé de Dieu et du diable à tort et à travers ; et qu’
peuple, et en eut cette réponse digne plutôt d’un tigre, s’il pouvait parler , que d’un roi chrétien. Eh bien, quand il mourrai
lle ? Enfin la chose en vint jusques au point qu’on n’osa plus lui en parler , à moins que de vouloir s’exposer à son indignati
de Mad[am] e de Maintenon comme celles d’une sainte à miracles. J’en parlerai lorsque je ferai son portrait en raccourci. Il es
ès avoir (à ce qu’il crut) gagné la confiance de son pénitent, il lui parla de son âme, et lui remontra la nécessité où il ét
c’était de Madame son épouse et de M[onsieu] r son fils qu’il voulait parler  ; qu’il devait faire ôter de son cabinet et même
z quand le laquais sera parti. Après le départ de ce laquais, le père parla au fils de quelques affaires domestiques, et le n
ée. Monsieur de La Proutiere, qui était de l’autre côté de la salle à parler avec un homme qui portait le cordon bleu, le quit
sa maîtresse de lui procurer quelque emploi pour vivre. Cette sœur en parla à la demoiselle, et celle-ci au ministre, qui en
ux-ci, sur cette menace, allèrent trouver M. de Pontchartrain, qui en parla au Roi et lui dit qu’il était bien dur pour des g
les siens, ayant volé également le Roi et ces communautés. Comme j’en parlerai encore dans la suite, je me contenterai de dire i
dans sa propre communauté, mais aussi dans le public. 272. J’ai assez parlé de Deschiens, de sa naissance et de sa fortune. 2
de celles de l’éternité. Il envoya quérir La Croix (le même dont j’ai parlé , qui avait été secrétaire de M[onsieu] r le marqu
e, on la trouva pendue et étranglée, et on trouva le billet dont j’ai parlé . M.d’Argenson, lieutenant de police, y vint, et v
us le maître-autel. 279. Crozat, gendre de Le Gendre dont je viens de parler , est d’une meilleure famille que son beau-père, e
nt faites des navires corsaires qu’ils avaient armés à Saint-Malo. Je parlerai ailleurs de ces prises. Pour le présent je retour
lo. Je parlerai ailleurs de ces prises. Pour le présent je retourne à parler de Crozat l’aîné qui avait épousé la fille de Le
re volubilité. Cela me fait souvenir d’une fontaine de laquelle Ovide parle dans ses Fastes. Son eau troublait la cervelle de
France, si ce n’est celui-ci : Tales quales nos Curia declaravit. Ils parlent du Parlement qui par aucun arrêt dont j’ai connai
ient dans leur patrie. Il n’est pas difficile de leur donner sujet de parler en bonne part de ce pays, qui de lui-même étant p
le, qui a le premier des Français eu cette découverte en vue. Il m’en parla à Québec en 1683 et m’en parla encore à Paris ava
is eu cette découverte en vue. Il m’en parla à Québec en 1683 et m’en parla encore à Paris avant le voyage funeste où il fut
le à Paris de la merluche, avaient leur dégrat ou leurs chafaux, pour parler plus matelot. Notre établissement commençait à pr
aux Anglais. On verra par quel sujet et ce qui en réussit lorsque je parlerai de moi. Je dirai seulement ici que l’examen que j
e ces mémoires eurent si bien son approbation qu’il eut la bonté d’en parler au Roi qui voulut me voir. Ces mémoires, restés à
ux marges sur du papier d’une grandeur pareille à ceux dont j’ai déjà parlé , parce qu’il voulait les faire relier ensemble. A
toute la côte à couvert des incursions de toutes autres nations. J’y parlais d’un nommé M[onsieu] r de Saint-Castain qu’on pou
vait enlevées sans aucune déclaration de guerre. J’avais résolu de ne parler de ceci que dans mon histoire particulière, mais
ntentions pures, ne demanda pas mieux que d’entrer en explication. Il parla à ce procureur, lui dit toute son histoire, et lu
hère se trouva et La Boulaye aussi, on me fit par manière d’entretien parler de l’Acadie. Il n’y avait pas plus de quinze jour
’Adam, et seulement sur la relation qu’il m’en avait faite, je lui en parlai comme si je l’eusse connue toute ma vie. Il était
aura trouvé dans ce pays-là un aussi honnête homme que lui ; je veux parler du chevalier de Canges, qui de concert avec l’abb
ives qui voient leur vengeance échouée [sic]. Son fils, celui dont je parle , est d’un génie timide et très borné, trop honnêt
le commerce de lettres avec qui bon leur semblerait, mais non pas de parler à personne. Que l’heure pour la réception des let
9 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
amaritaine. Cela est trop connu pour s’y arrêter ; & j’en ai déjà parlé ci-dessus, au sujet de la femme de Moali. Le fort
ndu aux Anglais & aux Hollandais de leur faire aucune insulte. Je parlerai de ces princes, & de la guerre qui est entre
dément bâties, d’un seul étage, toutes enduites de la chaux dont j’ai parlé  ; ce qui forme une vue assez agréable. Les maison
t de Bengale, où nous allons. Lorsque j’en serai mieux instruit, j’en parlerai plus amplement. La côte est pleine de poisson, &a
n eût vu de cette espèce, on ne lui donnait point de non. Après avoir parlé du pays & de ce qu’il produit, il faut parler
de non. Après avoir parlé du pays & de ce qu’il produit, il faut parler de ceux qui l’habitent, & les distinguer en t
une religion ridicule, à laquelle eux-mêmes n’entendent rien. Il faut parler de tous séparément, & ne pas oublier les escl
-là ne travaillent point, ni banians, ni neyres, ni bramènes, dont je parlerai bientôt, parce qu’ils dégénéreraient : ils font s
le commun peuple est revenu ? Je n’entends point, par ce que je dis, parler ni du purgatoire ni des suffrages de l’Église pou
ce qui est de leurs femmes ou filles, à tous, il est impossible d’en parler avec assurance, parce qu’on ne les voit point ; &
lle répondit toujours oui, avec beaucoup de résolution. Nous (je fais parler les Français), à qui un pareil spectacle faisait
nent volontiers aux Blancs ou Européens. Qu’on ne s’étonne pas que je parle si savamment & si affirmativement sur ce suje
tion qu’elle inspirera au lecteur. Il faut, avant que de l’expliquer, parler des pagodes & des idoles qu’elles renferment 
& une putain. Je me contente de poursuivre avec Sévère : Mais, à parler sans fard de tant d’apothéoses, L’effet est bien
viens présentement à ce comble d’impureté & d’idolâtrie dont j’ai parlé . J’ai dit que les veuves des bramènes dont le mar
l’âge de dix-huit ans n’étaient point mariées. Mado, dont je viens de parler au sujet de sa tête d’éléphant, a une représentat
leur cérémonie. Ils prirent un poulet noir en vie, de ceux dont j’ai parlé , qui ont les yeux, le sang, la chair & le res
Cancer parce qu’il donne sur la terre ferme de notre continent, je ne parlerai plus du tout pilote qu’après avoir repassé le cap
oyons point encore d’autres navires que le Florissant. Nous lui avons parlé ce soir. Le vent est toujours contraire pour alle
fusée. Nous avons donc porté sur ces deux navires ; qui, après s’être parlé l’un à l’autre, se sont séparés, dans le dessein
 de Quermener, & sont venus ensemble voir M. Charmot. Ils se sont parlé dans la grande chambre pendant fort longtemps, &a
fait jurer que je l’avais fait le matin même, depuis que je lui avais parlé . Comme c’était la vérité, j’ai juré sans difficul
au vent & derrière nous. Enfin, il a arrivé & nous lui avons parlé . M.de Porrières lui a dit que notre gouvernail ét
e. C’est lui que les matelots ont nommé le ressac du Diable : j’en ai parlé dans le premier volume. Du mercredi 18 octobre
is, & ôtai une mèche allumée d’un baril plein de poudre : j en ai parlé page 51. Je crois, dis-je, que l’équipage de ce b
ris quelques gens de l’équipage de cet autre navire anglais dont j’ai parlé à l’article du 1er septembre, page 54, qui s’étai
e monte ou qu elle baisse en Europe. C’est ce qui m’a paru ici. Je ne parle que de la petite île de Négrades seulement, dans
naissance, le tond n’en fût bientôt tari, il fut résolu que nous n’en parlerions que deux ou trois jours avant le départ, & qu
utres l’Oiseau y a laissé le même M. de La Ville aux Clercs dont j’ai parlé ci-dessus. Je souhaite à son inexorable le sort d
e à Pondichéry & a été élevé à celui où il est mort. Pour ne plus parler d’objets si funestes, l’Ecueil est le seul des na
que je dise une chose que j’ai apprise de M. de Quermener, dont j’ai parlé ci-dessus page 67. Il revient en France après avo
fièvres, fort communes dans cette saison. Puisque l’occasion vient de parler de ce Hollandais, qui commandait la flûte que nou
our en amener M. de Quermener, aumônier & missionnaire, dont j’ai parlé , afin de donner à nos malades le salut de l’âme,
nommé René Dérien. Le cangé est bon & très salubre ; &, pour parler médecin, c’est un véritable fébrifuge. Je me trou
que je n’aime ni la médecine ni la pharmacie, & encore moins à en parler , je ne puis m’empêcher d’entendre ce qu’on dit ;
prendre de leurs discours, & de ceux des chirurgiens auxquels ils parlaient . C’est qu’il y a de deux espèces, ou de deux genr
en eût d’autres que celles qui appartenaient à Mlle Spelman. J’en ai parlé t. I, page 431. Quoi qu’il en soit, rien de tout
i page 435, l’ont tellement frappé, joints à la restitution dont j’ai parlé pages 443-444, qu’il n’a pas porté de santé depui
ept & huit cents tonneaux montent jusque auprès des loges dont je parlerai , & en deçà de la ville. Cette ville n’est qu’
ntiels de leur religion de ne point s’opposer à son autorité : ils en parlent pourtant avec toute sorte de liberté, mais n’en o
l met par-dessous, & hors de la vue des spectateurs. Je lui en ai parlé  ; & sa réponse a été en riant, Ad populum pha
rimina caedis Flumineâ tolli posse putatis aqua ! C’est un païen qui parle  : c’est Ovide ; je ne le lui fais pas dire. Le pa
imprimés parce qu’ils se sont passés depuis son impression, ou, pour parler plus juste, parce qu’on n’a pas voulu les rendre
ste, parce qu’on n’a pas voulu les rendre publics, & dont je puis parler savamment, étant pour lors clerc chez M. Monicaul
e mieux qu’il put : à peine entendait-il le français, bien loin de le parler . Monicault lui demanda ses papiers. Ce fut ici qu
ui représenter que tout l’Orient était imbu de sa gloire, que tout en parlait , & que tout l’admirait ; mais qu’on n’avait p
es lut le mémoire en entier ; & Monicault, à qui le roi permit de parler , expliqua ce qui aurait rendu ce mémoire trop lon
ompagnât : c’était celui qui portait la parole ; &, pendant qu’il parlait , l’Arménien reconnut au doigt du ministre un des
alla encore au roi par le canal de M. de La Feuillade. Ce monarque en parla à M. Colbert dans des termes qui firent un effet
ant tous ses ressentiments sur les fermiers généraux. Ceux-ci firent parler d’accommodement à l’Arménien, qui, fatigué & 
es Français ont sur les terres du Mogol. N’y ayant point été, je n’en parle que par ouï dire ; il n’est point fortifié, &
e nous avons été à Balassor, il est venu un exprès de Pondichéry, qui parle fort du Mogol. Comme nous y retournons, je ne dir
al de la prise du Monfort, qui est cette flûte dont j’ai tant de fois parlé , & l’adjudication, n’étaient ni l’un ni l’aut
ne, qui n’en savait rien. Je reviens au bâtard, qui est celui dont je parle . La mort de son père lui ôta toute espérance d’êt
y a pas plus de cinq à six ans. La mère a beaucoup d’esprit, & ne parle nullement le jargon des harengères. On l’appelle
uvaise conduite au jeu, & celle de sa femme. J’en puis, je crois, parler savamment, puisque ce M. Martin, trésorier de l’O
e ; ce qui n’a pas peu contribué à la perte de celui-ci. J’en ai déjà parlé . Je ne sais si Sévagi avait connaissance de la vi
qu’ils se fussent accommodés avec M. l’évêque de Métellopolis. Il m a parlé plus d’une fois sur cette matière. * Un accommode
, c’est de ce que, suivant les mêmes relations des jésuites dont j’ai parlé , les pères de leur Compagnie qui passent dans les
tits oiseaux étaient à vendre. Le Parisien vulcanisé dont je viens de parler était avec lui, & nous servait d’interprète :
ens de parler était avec lui, & nous servait d’interprète : il me parla latin, & me dit en deux mots ce que je devais
cher en silence. Belle et chrétienne morale ! Au reste, pour ne plus parler de ces filles, ce sont des enfants qui sont arrac
res & nos marchés. Ceux qui vendent à crédit savent écrire. Je ne parlerai point de leur papier : ce ne sont que des feuille
e, il est facile, & je pose en lait (c’est toujours M. Martin qui parle ) la vérité de ce que j’en ai plusieurs fois écrit
tendant du commerce, & qu’étant intéressé dans la Compagnie, s’il parlait avec feu en sa faveur, il pourrait être soupçonné
te à Moali fait que je vas vous confier quelques secrets dont je n’ai parlé qu’à peu de gens, et écrit fort sobrement à peu d
tre ni vous ni moi ; parce que la vengeance des gens dont je vas vous parler est implacable, que leur colère est terrible, &am
i ce ne sont pas eux que vous avez voulu peindre, et dont vous voulez parler  : vous les caractérisez trop bien pour les méconn
origine de la haine & du mépris des Asiatiques pour les Français. Parlons des deux séparément : je les ramènerai ensuite en
igure si éclatante que les autres. Ils s’habillent comme les banians, parlent leur idiome aussi bien qu’eux, vivent & mange
m’a personnellement assuré que la religion était ce dont ils avaient parlé le moins, dans trois courses qu’ils avaient faite
rses qu’ils avaient faites ensemble. Les jésuites dont j’entends vous parler sont venus ici de Porte-Nove, & en ont emport
t eu des jésuites du temps de Juvénal, je croirais qu’il aurait voulu parler d’eux dans ces deux vers de différents endroits d
x, & très honnête homme ; vous le connaissez, & je vous ai vu parler avec lui. Outre la chapelle qu’il a dans le fort,
de monde & était trop juste pour n’y point avoir d’égard. Nous en parlâmes aux quatre jésuites, qui ne nous payèrent que de
qu’aucun jésuite y entrât, pas plus qu’un idolâtre. Après vous avoir parlé des jésuites en particulier, joignons-y les missi
du leur orgueil & leur hardiesse sans les faire rougir, quoiqu’on parlât à eux-mêmes, & qu’on leur ait lâché le mot d’
our appréhender leurs atteintes de ce côté-là ; ils n’en ont pas même parlé ici, & il ne me paraît pas qu’ils s’en soient
j’en reviens aux missionnaires, qui peut-être appréhendent que s’ils parlaient du commerce des jésuites, ceux-ci ne parlassent d
appréhendent que s’ils parlaient du commerce des jésuites, ceux-ci ne parlassent du leur, & que, grossissant les objets, suiva
e se porte pas aux excès qu’elle s’est permis dans le Japon, ou, pour parler plus juste, que les jésuites ont exercés sous son
ns, aussi bien que ceux des jésuites. Que, comme les jésuites, ils ne parlent de la religion que par manière de conversation, j
de conversation, jusqu’à ce que la matière soit bien préparée. Qu’ils parlent avec respect de Confucius ; qu’ils le traitent mê
’assure qu’ils resteront toujours tels qu’ils sont dans les Indes. Je parle , comme vous voyez, monsieur, en homme instruit &a
a manquer. Ils leur ont confié ces mandarins à Balassor ; &, sans parler en aucune manière des efforts que votre escadre a
s rendre secret pour secret, c’est que j’ai bien vu que vous m’alliez parler des jésuites : & cela m’a fait souvenir d’une
er le père Bêchefer, & rire tous les auditeurs ; car le sauvage y parla en sauvage, c’est-à-dire sans flatterie ni déguis
uvai à Compiègne, où j’étais allé voir une sœur religieuse, & lui parlai de cette aventure, qu’il répéta en présence de qu
ntai cette histoire à M. de Seignelay, poursuivis-je en continuant de parler à M. Martin : il me dit qu’il la savait bien. Enf
lère à son tour, & me dit, bien plus vivement que je ne lui avais parlé , à en jurant Mort-D..., nous savons tout cela mie
a Compagnie : M. du Quesne est chargé de mes paquets, & je lui ai parlé de ce qu’il devait dire pour appuyer ce que j’écr
i rien dit qui regarde ces pères ; & vous êtes le seul à qui j’ai parlé sans réserve, espérant beaucoup plus du succès de
vons plus que notre équipage, dont M. de La Touche, le même dont j’ai parlé ci-dessus, fait partie, remplissant la place de f
q minutes Nord jusqu’à pareil degré quarante-cinq minutes Sud ? Je ne parle point des deux jours & quelques heures pour r
autres & le savoir par soi-même. Je ne sais si Ovide & Lucain parlaient par eux-mêmes ou pour l’avoir appris d’autrui ; m
avec une constance digne de l’élévation de génie du poète qui la fait parler . Affreuse image du trépas, Qu’un triste honneur
de la batterie du tillac par le travers du mât d’artimon. Nous avons parlé ce soir à messieurs du Lion, qui sont, comme par
ns dans quel état sont le Florissant & le Dragon, n’ayant pu leur parler , parce que le vent est faible & la mer fort é
’équipage d’en retrancher un tiers par repas & de jeter celui-là. Parler à des matelots de jeûner, c’est comme si on parla
de jeter celui-là. Parler à des matelots de jeûner, c’est comme si on parlait aux cardinaux à Rome de faire carême. Ils ont rej
tous les officiers mariniers & moi, avons été à bord de l’Oiseau parler à M. d’Aire, à présent notre commandant. Je lui a
enture ; &, pour cela, ne nous séparons point. Enfin, M. d’Aire a parlé Évangile. Le résultat de la conférence a été que
fait comme nous un vœu à sainte Anne d’Auraz, je crois en avoir déjà parlé . Nous sommes revenus à bord après la conférence,
yons, il en dit plus qu’il n’en fallait pour se taire entendre. Il ne parla ni du manque des vivres, ni de celui de l’eau ; i
n donner aux autres que de peur d’être obligé de leur en demander. Il parla du gouvernail. Je lui dis que celui de l’Oiseau é
auf à le représenter à qui il appartiendrait, à condition de ne point parler de testament. Bon, disait La Chassée, tu ne l’ent
n que les moines d’Espagne ne valent rien, & que j’aimerais mieux parler devant eux du diable, d’une putain ou d’un bardac
Nous avons ri du balai, de la tiretaine, & de l’air naïf dont il parlait  ; & comme le sujet a été mené fort loin par L
j’y mêlerai la surveillance de vos frères sur celle du portier ; j’y parlerai de la fouace. Cela composera les quatre premiers
moine de leur ordre ; mais taisons-nous, j’entends notre patriarche, parlons d’autre chose ; et en même temps changea de disco
;, malgré l’intervalle de temps, on s’y souvenait de mon aventure. Je parlai au trésorier des États, qui dit à son premier com
sein, & me promit de me seconder de tout son possible. Je les fis parler l’un à l’autre, & leur répétai le plan qu’ils
s féroces que le plus mauvais de tous les diables de l’enfer. Nous en parlerons un de ces jours. Pour aujourd’hui allons dîner, a
é. J’ai été surpris que dans aucune des relations que j’ai lues on ne parlait point de ce que pouvait être devenue la princesse
onné & retiré à Saint-Germain. Puisque j’ai du temps & que je parle du génie des Anglais, je ne puis m’empêcher de di
je ne puis m’empêcher de dire une chose, que je sais d’original. J’ai parlé ci-dessus de M. de La Barre, vice-roi en Canada.
dans les terres nouvellement découvertes en Afrique, & dont j’ai parlé à la fin du premier volume. Du lundi 9 avril 1
ux. Du jeudi 19 avril 1691 Jour des plaidoiries. Avant que d’en parler , je dirai que le vent est devenu fort bon sur les
ient été aux opinions ; &, un moment après, ce Hollandais, qui ne parle pas tout à fait bon français quoiqu’il l’entende
avons à huit heures, avant la messe, vu l’île de l’Ascension, dont je parlerai quand nous serons partis, comptant d’être à terre
près comme la macreuse. La frégate a une très grande envergure, pour parler matelot, c’est-à-dire, qu’elle a les ailes très l
s servi. Nous l’avons rempli à moitié de cette eau de pluie dont j’ai parlé , la plus pure & la plus claire. On l’a mis bo
e que nous avons fait. Outre la quantité de pourpier dont je viens de parler , les bords de cette île abondent en poisson, &
La tortue d’ici n’est point faite comme celle de Négrades, dont j’ai parlé page 93. La maison de celle-ci est par écailles l
edi 12 mai 1691 Toujours bon vent, & nous allons bien. Je n’en parlerai plus de poisson, à moins qu’on en prenne quelqu’u
sson, à moins qu’on en prenne quelqu’un qui soit extraordinaire. J’ai parlé ci-dessus de la dorade : on en a pris quatre aujo
ministre, ou le prédicant hollandais, & un des Lascaris dont j’ai parlé ci-dessus, ont pris la peine de se laisser mourir
e me pardonner le style dont je me sers. Ce n’est point ma coutume de parler Esculape : son jargon m’est étranger ; &, en
rendis les lettres dont j’étais chargé ; &, si j’ose le dire, je parlai si pathétiquement à M. le général, & à M. l’i
el sont péris les jésuites, leurs richesses, & leurs écrits. Male parla , male dilabuntur. Puisque MM. Des Farges m’ont do
e parla, male dilabuntur. Puisque MM. Des Farges m’ont donné sujet de parler de Fanchon, il faut que je rapporte son histoire,
gion de Calvin, supprimée l’année précédente (c’était en 1686 qu’elle parlait ) ; qu’elle avait été forcée d’obéir à la nécessit
e l’argent qu’il feignait de recevoir pour elle, ou qu’il pouvait lui parler seul à seul, il lui parlait d’amour, & en éta
e recevoir pour elle, ou qu’il pouvait lui parler seul à seul, il lui parlait d’amour, & en était toujours reçu avec des ai
lqu’un des autres vaisseaux qui ont accompagné M. du Quesne lui avait parlé de moi dans des termes qui pouvaient me faire hon
té, mais peu de l’autre. Quoiqu’il y eût déjà du temps que j’en eusse parlé à M. de Goimpi, & qu’il m’eût paru content, j
oute ma fermeté pour confondre la médisance & les médisants. J’en parlerai dans la suite. Notre vaisseau arriva au Fort-Roya
ant fait de relations que, n’ayant rien de nouveau à en dire, je n’en parlerais point du tout s’il ne leur était rien arrivé depu
fendus aussi vigoureusement que du temps de M. de La Barre, dont j’ai parlé pages 313 et suivantes, qu’ils avaient M. de Sain
en cette nation est haïe partout. Mais, puisque l’occasion vient d’en parler , d’où viennent ces Caraïbes ? d’où viennent tous
vu avec tranquillité les distinctions que j’avais sur l’escadre. Ils parlèrent contre moi à M. l’intendant, apparemment parce qu
eux-mêmes à témoin, & ils n’osèrent disconvenir de la vérité. Je parlai ensuite à M. de Goimpi seul à seul, & lui fis
dit Ovide sur la fente du mur à travers lequel Pyrame & Thisbé se parlaient . Ceux-ci, dont on pouvait dire, In furias ignemq
us donner la comédie à leurs dépens ; mais nous fûmes trompés. Ils se parlèrent tous deux de très grand sang-froid, & avec au
ard avait ses vues, comme de son côté il avait les siennes, il ne lui parla nullement ni de cette femme, ni de l’amour qu’il
; à l’absence de cet homme, sans aucun rapport à sa femme, dont il ne parla que fort sobrement & en honnête homme. Valliè
le lendemain la femme, qui vint chercher de l’argent, & pour lui parler sans témoin il l’envoya l’attendre chez l’intenda
que ce fût lui, puisqu’elle allait le voir très souvent, qu’elle lui parlait presque toujours seul à seul, & qu’il ne lui
nda qui c’était, par la fenêtre. Ouvrez-moi, répondit-il, j’ai à vous parler  ; & moi je n’ai rien à répondre, laissez-moi
le marquer comme il était. Il affecta encore malicieusement de ne lui parler en aucune manière de la sagesse de la charpentièr
t courir sur le bien d’autrui, en lui laissant à deviner s’il voulait parler de lui-même ou du mari ; & Vallière, plus fâc
. de La Chassée & à moi : &, comme le mari ne manquera pas de parler dans le vin, on ne doute point qu’en peu de temps
 d’Auberville, lieutenant de M. du Quesne, duquel j’ai plusieurs fois parlé , est allé le remplacer. Du vendredi 13 juillet
sée & moi nous servons du remède de M. de Bassompierre, dont j’ai parlé page 271. Du samedi 21 juillet 1691 Le vent
de en souriant, sans nous dire un mot, & s’explique plus que s’il parlait . Nous avons parlé ce soir à un Portugais, qui ret
nous dire un mot, & s’explique plus que s’il parlait. Nous avons parlé ce soir à un Portugais, qui retourne à Lisbonne,
y a à monter jusqu’à la Ligne, & à en descendre. Cela m’y a fait parler du montant de l’Est à l’Ouest, & du descendan
s le temps de la tempête du premier au quatre mars dernier, dont j’ai parlé ci-dessus. Je remets mes compliments à ma lettre
10 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
Grancey et de Lévi, de M. de Bagneux, et d’autres, dont peut-être je parlerai dans la suite, qui tous se faisaient un honneur r
us, auquel lui-même et M. Champi Des Clouzeaux, intendant, en avaient parlé . Je leur écrivis que le même M. de Combes nous av
roits pour serrer ce pain, ou au pis-aller de le faire afficher. J’en parlai à M. l’intendant, qui me parut approuver l’altern
courte paille à qui irait ; mais ne voulant pas qu’aucun des deux lui parlât avant moi, je les mis d’accord en leur disant que
n ; et ce ne fut que la suite de la conversation qui les obligea d’en parler les premiers et de dire le sujet de leur séjour à
Albus, parce qu’il le regardait de son véritable point de vue. Ils se parlèrent ensemble lui et M. Hurtain, et celui-ci me donna
dit-il, en se radressant à M. l’intendant, ne vous en avons-nous pas parlé à vous-même ? Et toute votre autorité a -t-elle p
i semblerait ; qu’il ne lui répondait pas du futur ; mais que pour me parler de réformer ou de refaire mon reçu, c’était ce qu
et qui croyait que M. Hurtain et moi en avions fait notre profit, lui parla de nous deux comme de deux fripons qui s’entendai
jouer pièce, puisqu’il avait voulu nous perdre, M. Hurtain et moi. Il parla des rations fournies pendant la campagne. Je fis
s d’Albus ; et lui ayant dit que oui, et que même je n’en avais point parlé , ni à M. l’intendant, ni à M. de Saint-Sulpice, i
et hier au soir sur notre Amiral. Mais, puisqu’il revient à propos de parler de M. Céberet, je crois devoir dire qu’il est fil
lusieurs autres, dont aucun ne l’avertit, tant il est aimé ; et on ne parla de rien pendant la journée ; et comme nous revirâ
nseil de guerre eût décidé du châtiment, parce que sans doute lui qui parlait n’aurait pas eu tant d’indulgence. Qu’il voudrait
t ; cela ne me regarde pas. Pendant que ces excréments d’Esculape ont parlé emplastrum, nous nous sommes mis à table : le vin
pas pour être parfaitement cruelle. Je ne la ménageai point ; et lui parlai avec tant de feu que je ne sais à quoi le tout se
en colère. Je lui ai répondu encore plus brutalement qu’il ne m’avait parlé . Qui diable vous retient ? lui ai-je dit Votre co
afin que l’on ait plus d’intelligence de ce que je dirai, lorsque je parlerai matelot, je joindrai à mon journal une petite car
vie de cochon, courte et bonne. Le papa La Chassée a dit que j’avais parlé Évangile, et que M. Hurtain ne pouvait pas mieux
ui dans lui-même est fait en pain de sucre, il nous a donné matière à parler . Le bas offre à la vue un paysage très beau, remp
oc de marbre si la nature pouvait en lor-mer de si énorme. Nous avons parlé Aristote et Descartes sur cette blancheur, qui n’
ssure par avance qu’il vaudra mieux que ce que vous pouvez penser. Je parle à M. Charmot, aussi bon philosophe que bon théolo
nullement, et que je ne croirai point que je ne l’aie vu, ou du moins parlé à quelqu’un qui y ait été. Cependant tous les pil
; tout au contraire des Espagnols et des Portugais, parmi lesquels on parle de ces maux avec autant de liberté que nous parlo
, parmi lesquels on parle de ces maux avec autant de liberté que nous parlons de la fièvre : maux terribles cependant, qui éner
civium militibus dabat, nam bona civium illi non contingebant. Voilà parler en chrétien ; et les chrétiens agissent en païens
ui-même. Je trouve dans le 28e chapitre de ses Soliloques, n. 3 où il parle des élus à salut, qui nequaquam perire possunt, q
num, etiam ipsa peccata. Je trouve aussi n. 4 du même chapitre, où il parle des prédestinés à damnation, quos praescivisti ad
nspirations du Saint-Esprit, qui ne sont autre chose que la grâce qui parle intérieurement à leur cœur, et à laquelle ils rés
ici l’esprit d’avec l’âme ; je les confonds ensemble ; et lorsque je parle de l’un, j’entends aussi parler de l’autre. Notre
les confonds ensemble ; et lorsque je parle de l’un, j’entends aussi parler de l’autre. Notre âme est un élixir de la divinit
s vixi, dubius morior, Ens Entium miserere mei ? C’était un païen qui parlait , uniquement conduit par la lumière naturelle. Un
us en ordre et mieux suivi. Messieurs, En m’imposant la nécessité de parler sur l’éternité, vous avez trouvé le secret de me
incu que le Sauveur en a rempli et accompli les prophéties. Ainsi, ne parlons que physiquement. Je ne feindrai point de dire qu
ps. Les vers de Lucain sont trop exprès pour n’être pas rapportés. Il parle des druides. Vobis auctoribus, umbrae Non tacita
e, ou du moins assoupie avec le corps, jusqu’au jugement final. Je ne parlerai pas même de l’opinion du pape Jean XXII, parce qu
raison qu’il en est absurde. J’écoute avec plaisir Épicure, lorsqu’il parle de la vraie volupté, de la tranquillité et des ri
l parle de la vraie volupté, de la tranquillité et des richesses : il parle en bon philosophe et en honnête homme ; mais je n
icorde infinie de Dieu pour les arracher à leur désespoir, et ne leur parlaient point de pénitence, comme ils auraient fait si le
ce n’est de Dieu ? Remontons donc à lui, et en parlant de l’éternité parlons de Dieu lui-même ; puisqu’en effet Dieu étant éte
renant ; mais, suivant mon hypothèse et l’expérience dont je viens de parler , il n’y a rien ni de surnaturel ni d’impossible.
qu’il était, Molière, et quantité d’autres, ont dit sur ce sujet : il parle de lui-même, et me convainc parfaitement que cett
Je le répète encore : je ne prétends point toucher à la religion ; je parle simplement en philosophe spéculatif, mais non en
qui nous suivent. Et pour revenir à l’éternité dont je suis chargé de parler , quoique ce nombre d’années qu’un seul homme vivr
VII, qui véritablement n’étaient rien moins qu’infaillibles. J’en ai parlé ci-dessus. Il faut lire ce qu’en disent le scélér
iron cent pas, sur laquelle sont bâtis l’église et le village dont je parlerai bientôt, après avoir achevé le chemin. En allant,
ne nous aurait nullement plu à M. de Pressac, lieutenant du Lion, qui parle portugais, à M. de La Chassée et à moi, si je n’a
ville, qui sont les seuls ecclésiastiques blancs que j’y ai vus. J’en parlerai en parlant de la ville. Le tableau de la paroisse
ar les rochers qui bordent la mer, et par une petite muraille dont je parlerai dans la suite. Je n’aperçus pas cela hier au soir
entretenu avec trois, dont le sacristain était un, tous prêtres. Ils parlent tous un latin très mauvais, peu poli, point éléga
; et il est très vrai que ceux qui sont venus nous voir souper (je ne parle point des noirs, il n’y en vint aucun ; je ne par
oir souper (je ne parle point des noirs, il n’y en vint aucun ; je ne parle que des Européens et des créoles, qui sont les na
n particulier, par les objets extérieurs dont il est frappé ; mais, à parler de la nation portugaise sur ce qui m’en a paru à
en a acheté deux. Un cabri est l’enfant d’un bouc et d’une chèvre. Je parlerai de son goût quand j’en aurai mangé ; je ne le cro
uve la mort Dans une guerrière aventure, D’espérer une sépulture ! On parle à ses amis, on parle à ses parents : Cela console
guerrière aventure, D’espérer une sépulture ! On parle à ses amis, on parle à ses parents : Cela console en quelque sorte ; M
se réflexion ; qu’il se demande ce qu’il est venu faire au monde ? Je parle de tous les hommes, sans en excepter un seul, de
istillic lui en avait fait compliment, et que M. Blondel lui en avait parlé . Quoi qu’il en soit, il nous a quittés les larmes
e : Tout sent la gasconnade en un auteur gascon ; Calprenède et Juba parlent le même ton. Il n’a satisfait que les Bretons ;
sfait que les Bretons ; ce qui n’est pas difficile. Qu’un prédicateur parle beaucoup des anges, des saints et du diable ; qu’
fuit devant un autre poisson nommé bonite, qui en est fort friand. Je parlerai tout à l’heure de celui-ci : je reviens au poisso
mmes en usent entre eux, quoiqu’ils soient de même espèce. Nous avons parlé là-dessus M. Guisain, l’un de nos missionnaires,
é. Du jeudi 30 mars 1690 Toujours calme. J’ai été au Florissant parler à M. Blondel. J’y ai dîné : il me paraît de la di
me regarde point. Nous avons été, le commissaire et moi, au Gaillard, parler à M. du Quesne. Là, sans être autorisé, mais auss
e, et n’en ai vu jamais que deux sur l’Océan. Si nous en voyons, j’en parlerai  ; mais jusqu’ici je n’ai rien appris de certain d
’on en dit en physique, qui ne me satisfait point. Nous avons ensuite parlé de l’eau qui vient de source sur les montagnes le
t point convaincu : il est toujours dans le doute. Nous avons ensuite parlé des feux qui sortent des montagnes ; dans toutes
de chaleur qu’on y sent en hiver. Un thermomètre peut en décider. Je parle par l’expérience de trois années dans la même cav
se réduisent en matières combustibles comme ce foin dont je viens de parler  : et la flamme, que ces matières brûlantes produi
enne en soit tout à fait convaincue. Ce discours nous a donné lieu de parler du monde et de sa forme, et me donne sujet de par
a donné lieu de parler du monde et de sa forme, et me donne sujet de parler d’une remarque que j’ai faite il y a longtemps. O
oujours de la bande d’Ouest, et que cela y fait beaucoup ; mais je ne parle que d’un vent égal, soit d’Ouest, soit de la band
pas jouir d’une santé parfaite : la mort de Jacques Nicole, dont j’ai parlé ci-dessus, le chagrine encore. Du mercredi 5 a
e soixante ans ; au cruel chagrin que son fils lui a donné, dont j’ai parlé ci-dessus ; à la mort de Nicole ; et à la chaleur
out dans des parages pleins de requins. Puisque l’occasion s’offre de parler de ces animaux, je crois devoir faire leur descri
trouvé notre ordinaire propre et honnête. Je ne sais qui diable lui a parlé de la bonite ; mais il a si bien fait son compte
tte : la fièvre chaude l’a emporté en trente-six heures. On n’a point parlé de ceci à M. Hurtain, crainte de lui donner de ma
, et la table et l’équipage s’en trouveraient beaucoup mieux. Je n’en parlerai plus : je dirai pourtant que nos missionnaires so
di qu’à un degré juste, à vingt lieues de la Ligne dans le Nord. J’ai parlé du tonnerre qui gronde dans ces climats : je n’en
le Nord. J’ai parlé du tonnerre qui gronde dans ces climats : je n’en parlerai plus ; ce serait tous les jours à recommencer.
sprits, et sa constance, comme on verra par l’oraison funèbre dont je parlerai bientôt. Les ecclésiastiques étant vêtus, on a cé
après l’avoir entretenu de sa maladie corporelle, il lui avait enfin parlé de celle de son âme, bien plus précieuse à sauver
écu dans une foi si vive et une si grande pureté de mœurs que lui qui parlait osait assurer, ou du moins était lui-même moralem
Blondel viendrait le lendemain faire l’inventaire, et que lui qui me parlait l’accompagnerait. Après le départ de ces trois ca
pilote. Nous avons tenu tous quatre un petit Conseil ; et leur ayant parlé du dîner à l’Amiral, notre opinion à tous est que
; mais ce n’est qu’une bête féroce : on va le voir. M. Blondel nous a parlé du commandeur comme d’un très honnête homme, qui
dans le même canot qui l’a apporté ce matin. Bouchetière a voulu lui parler  : il lui a tourné le dos sans le regarder, et est
que par une profonde révérence, à l’un et à l’autre. Le commissaire a parlé à son tour, et s’adressant à M. du Quesne : Je vo
poursuivi en s’adressant à lui, il y a fort longtemps que vous faites parler de vous, et toujours en mauvaise part. M.Hurtain
moi sommes entrés dans la mienne, où, en vidant bouteille, nous avons parlé de lui. Il est provençal, de la maison de Glandêv
e les vivres. Pour cet article, lui ai-je dit, je ne peux pas vous en parler seul, il y a eu de la friponnerie de la part de M
iterai que trois exemples. Un de nos passagers a une femme qui a fait parler d’elle, et qui ne passe pas encore pour une vesta
on avec nous, m’en dira des nouvelles à la première vue. Puisque j’ai parlé des transpirations que le trop de boisson cause,
tour au bon sens, et par conséquent le sera toute sa vie. Nos pilotes parlaient ensemble sur la navigation à l’issue du dîner. J’
jaser seul à seul, en faisant le prélude du dîner. Ils ont assurément parlé de moi ; car, en montant dans ma chambre pour pre
s étaient sortis, m’a fait dire tout bas par Landais qu’il voulait me parler . J’ai été au plus vite le joindre. Combien avez-v
z-vous encore de barils de bonites ? m’a-t-il demandé. Ho ! vous avez parlé  ! ai-je dit d’un air chagrin. Effectivement cela
hassée, qui me persécute sur son procès-verbal ? Il m’en a vingt fois parlé . Dites-lui, m’a répondu le commandeur, que son te
ès le dessert. Mais, surtout qu’Hérault ne sache point que je vous ai parlé , ni que je suis descendu. Je suis rentré et une d
our son service. Il m’a dit d’ouvrir ma chambre, et qu’il m’y voulait parler . Je l’ai ouverte : elle est de plain-pied, et lui
x cabas de figues : il s’y attendait ;et m’a recommandé de n’en point parler . Je n’ai garde, lui destinant l’autre. Avant leur
gueule, comme ont fait la Maligne et le Coche. C’est ici le lieu d’en parler comme j’ai promis ci-dessus. Le Coche était comma
il ne faut que lire Tavernier et une infinité d’autres relations qui parlent des Indes. Tant de gens de toutes nations et de r
s. Pour savoir s’ils en méritent, je n’en citerai qu’un fait, dont je parle comme témoin oculaire. Il m’écarterait trop ici d
sujet : je le rapporterai dans la suite, fort persuadé que j’aurai à parler d’eux dans les Indes ; et, dès à présent, je dis
ne m’en remuerai point encore. Il n’y a que deux ans et demi dont je parle  : c’était au mois de janvier 1689, le surlendemai
et m’a fortement assuré l’avoir appris par le sergent dont j’ai déjà parlé . Cela ne m’épouvanterait pas s’il s’agissait de q
pathétique, de la part de M. Charmot, lequel, sans faire semblant de parler à lui, a fait fort bien la différence de l’union,
juin 1690 La chaleur commence à être forte, et peu de vent. Je ne parle point du peu de poissons que nous pêchons. Il est
ud. et comme nous la côtoierons demain, je remets aussi à demain à en parler . Elle me paraît couverte de montagnes. Du lund
connaître que par ce qu’on m’en a dit, ou par la lecture : et je n’en parlerais point du tout, n’était que je crois pouvoir hasar
onner les miennes suivant mon sentiment très contraire au sien. Je ne parle point des bestiaux qui ont multiplié dans l’île,
uvaient en avoir aussi bien que nous qui venons de bien plus loin. Je parle seulement des habitants pris in globo. Si ce sont
avoir si ce fut véritablement à l’ombre de Samuel ou à démon que Saül parla  : il en a été fait plusieurs traités aussi pieux
el. Il se peut que les Amalécites, qui étaient avec eux, et dont j’ai parlé , fussent adonnés à la vanité de ces sciences (les
D’ailleurs, l’origine de ces peuples m’est trop indifférente pour en parler davantage. C’est dans cette île que règne utraque
Nous étions hier à dix-huit degrés, cinq minutes latitude Sud. Je ne parle point de la longitude, parce qu’elle est toujours
pas permis de prendre hauteur. Nos vaisseaux sont si proches qu’on se parle à la voix. Du mercredi 21 juin 1690 Nous av
er ; et de quoi ne mangeraient-ils pas ? Les chauves-souris dont j’ai parlé leur sont-elles échappées ? N’en ai-je pas fait j
e et qui en diminuent le carat, disent, tel est le Lyonnais dont j’ai parlé , que notre argent est uniquement refusé parce qu’
e vendent aucune vache, je dirai la raison qui m’en a paru lorsque je parlerai de leur religion. Ce pays a cela de commun avec M
dans tout le monde ; et, si je n’avais pas mangé de l’ananas, dont je parlerai bientôt, je dirais que ce fruit, l’un des plus sa
de quitter l’article des arbres et des arbustes, il est juste que je parle de l’ananas. C’est sans contredit le roi des frui
s pages 356 et t. II, 274-275, où cet ouragan est décrit. Après avoir parlé de l’île et de ce qu’elle produit, il faut parler
décrit. Après avoir parlé de l’île et de ce qu’elle produit, il faut parler de ceux qui l’habitent. J’ai déjà dit que les hom
je viens d’en dire ne doit en donner qu’une bonne impression. Reste à parler de leur religion et de leurs mœurs. Celles-ci son
aient plus de deux cents ensemble lorsque je vis cette cérémonie : je parlerai dans la suite du lieu où elle se fit. Cette tête
y a une natte fort fine et plus belle que celles de Saint-Yago. J’en parlerai dans la suite. On les couche sur ce lit l’un aupr
après soleil couché, et qu’il avait exprès choisi ce temps-là pour me parler sans témoin. J’avais avec moi Alexandre, qui me s
tomba dans mon sens quand il eut vu le personnage, et me promit d’en parler au commandeur. Autre bêtise de ma part, de ne le
e, et que moi-même j’avais perdu quelque chose dont il est inutile de parler et que je ne puis douter qu’il ait emporté. Il fa
ttachent avec des cordes faites avec des filaments du coco, dont j’ai parlé  ; et prennent ces cordes les plus faibles qu’ils
us m’empêcher d’en rire. Ils crièrent à Alexandre qu’ils voulaient me parler . Il était de mon intérêt de les écouter. Ils me r
le caporal et moi tuâmes les deux porcs-épics ou hérissons dont j’ai parlé , et dont les Noirs, qui nous les montrèrent, ne v
pelle bâtie aussi à chaux et à ciment. Celle-ci est la même dont j’ai parlé au sujet de la tête de bœuf, ou de vache, que ces
ici comme dans le reste des Indes, et que surtout on n’entend jamais parler d’adultère. Voilà deux grands points pour une rel
e, qui ne nous parut pas gros, quoiqu’il le fût beaucoup ; mais, pour parler matelot, la terre le mangeait. Le vent cessait pe
ait profession m’oblige de rendre justice à tout le monde. J’ai assez parlé de fois en termes méprisants du chevalier de Bouc
Mayer, directeur pour messieurs de la Compagnie à l’Orient, dont j’ai parlé ci-dessus, qui n’a pas plus de douze ans et demi,
de nos vaisseaux n’est pas à une portée de fusil du nôtre. Nous nous parlons à la voix, et courons à présent le Nord-Est quart
c’est-à-dire que nous allons toujours bien. J’avais résolu de ne plus parler pilote ; mais je ne m’en suis pas souvenu. En eff
vigateurs, un tel jour, après que le voyage est achevé ? J’en ai déjà parlé ci-dessus. Du lundi 17 juillet 1690 Le vent
risque forcer de voiles, quelque vent qu’il fasse. Nous avons ce soir parlé à M. du Quesne, qui s’est encore informé de la sa
nous aurions donné dessus à pleines voiles, ou debout au corps, pour parler matelot. Du jeudi 27 juillet 1690 Nous avon
n voyageur qui voulait grossir les objets. Je sais bien que Lucain en parle dans sa Pharsale, mais j’avais regardé cela comme
ice et l’avidité peuvent causer dans un bâtiment pris de force. Je ne parlerai point des autres : à mon égard, je me suis fait u
je ne pille pas, je fais autre chose qui ne vaut pas mieux : il veut parler de son capitaine d’armes, qui a encore, comme dit
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
me notre rendez-vous, n’y ayant d’autre application que celle de nous parler des yeux, et d’y remarquer toute la tendresse que
t allées dîner et passer l’après-midi chez cette dame dont je vous ai parlé , où elles allaient très souvent. Au lieu d’une le
z elle le lendemain, et trois autres jours de suite, sans pouvoir lui parler , parce qu’on me dit qu’elle était malade ; mais j
ui me regardait, et qu’elle lui avait fait promettre de ne lui jamais parler de moi. J’appris de tous côtés que partout où ell
vre ensemble, à les mépriser également tous deux, et surtout à ne lui parler de ma vie. Cette résolution rétablit ma santé. Je
ls n’étaient, mais je crus m’apercevoir qu’elles auraient souhaité me parler  ; je ne fis pas semblant de la voir, et je revins
ux où elle sait que je vais d’ordinaire ; elle a toujours tâché de me parler , et je l’ai toujours évitée avec soin, sans affec
à ce que La Roque m’a dit en mourant. Je n’ai pu me dispenser de lui parler chez vous ; il m’a paru qu’elle se repent du chan
raite que je lui ai donnée. Lorsqu’elle sera ici, je l’obligerai à me parler de vous à fond, et je ne crois pas qu’elle me ref
endre dans une des dernières aventures de sa vie. Sainville a dû vous parler d’elle comme d’une femme qu’on croyait en intrigu
elle ne savait pas qu’elles fussent en ma chambre lorsqu’elle m’avait parlé , et je le crus d’autant plus que je ne me figurai
ant plus que je ne me figurais pas que cette femme eût eu le front de parler d’elles comme elle en avait parlé si elle avait c
que cette femme eût eu le front de parler d’elles comme elle en avait parlé si elle avait cru en être entendue. Je la remerci
uatre le soir précédent, ce fut elle qui me porta la parole ; elle me parla dans les termes les plus obligeants du monde, et
que je n’ai jamais su où il était allé. Je fus à la Conciergerie pour parler à la baronne, mais on refusa de me la faire voir.
onnement de cette femme, le secret du motif, la défense de la laisser parler à qui que ce fût, et le prompt départ de Deshayes
fronterie de cette femme qui sur le point de souffrir une mort infâme parlait avec tant d’audace et d’assurance. Ce qu’elle me
continuai pendant plus de quinze jours à le chercher partout pour lui parler , et sauver en même temps les apparences ; mais il
mme, je refusai non seulement de retourner avec lui, mais même de lui parler et de le voir. Vous ne sauriez croire jusqu’à que
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
peut dire même que plus il la persécutait, plus il l’aimait, ou pour parler plus juste, il ne la persécutait que parce qu’il
e que de faire solliciter leurs intérêts avec plus de vigueur, lui en parla , et il consentit de l’y accompagner. Il n’avait g
ssi, et d’avoir fait en sorte que sa femme ne vît plus personne et ne parlât plus à d’autre homme qu’à lui. Je ne sais, contin
re, parce que votre personnage était étudié, et qu’assurément vous ne parliez pas de vous-même. Je vis parfaitement bien d’où p
si exécrable. Elle la consola néanmoins le mieux qu’elle pût, ou pour parler plus juste, elle s’affligea avec elle, et lui off
autrui, surtout dans le canton. Cette femme en déchirant son maître, parlait de sa maîtresse avec toute la vénération et l’adm
ait sauvée des mains des bandits qui couraient les Alpes, où elle qui parlait était demeurée avec le reste du train, parce qu’e
Italienne n’entendait pas le français, il ne se contraignit pas pour parler à Célénie devant elle, et lui dire en sa présence
accès auprès d’elle, et pour gagner la confiance de son époux. Il lui parla de cette ceinture comme du plus vif affront que s
voyage de quinze jours ou trois semaines. Il n’en avait point du tout parlé à sa femme, et ne lui en parla que dans le moment
semaines. Il n’en avait point du tout parlé à sa femme, et ne lui en parla que dans le moment qu’il allait monter à cheval.
un lit pour Julia dans la chambre de Célénie, et sans vouloir ni lui parler , ni qu’elle ouvrît la bouche, il emmena avec lui
il remarqua que son teint était plus vif qu’à l’ordinaire, qu’elle ne parlait qu’avec distraction et que ses yeux pleins de feu
uble tour, qu’elle en avait ôté la clef, qu’elle n’avait ni écrit, ni parlé à qui que ce fût de dehors, et en un mot, qu’elle
it à quoi il trouvait mille difficultés, parce que Célénie ne pouvait parler à qui que ce fût de dehors, et qu’il ne lui était
était infortunée avec son jaloux. Puisque nous sommes sur le pied de parler avec sincérité, dit la marquise, après que Sainvi
Je dois une histoire, poursuivit-elle, je vais m’en acquitter et vous parler d’un homme qui s’est fait plaindre et admirer par
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
avait pas perdu un mot. Le lecteur se trompe cependant. La Française parlait français, et Sancho ne le savait pas : il douta q
mis dans le carrosse qui les avait amenés, et la damoiselle qui avait parlé , et deux filles de chambre étant montées en croup
remier pansé Valerio chez les chevriers. Ce rapport donna occasion de parler des bandits, et Valerio qui ignorait la vie que s
duc et la comtesse pour ne rien dire qui donnât matière aux soupçons, parlèrent de Sancho Pança, et dirent enfin au comte ce qui
tout ce qui regardait Don Pedre et elle, et le pria de n’en pas plus parler à son époux qu’il avait parlé d’Octavio, parce qu
e et elle, et le pria de n’en pas plus parler à son époux qu’il avait parlé d’Octavio, parce que cela augmenterait sa maladie
pour la sûreté publique ; à cela près elle plut à tout le monde ; on parla des gens avec qui elle était ; on la pria de dire
elle avait été interrompue, elle poursuivit en ces termes, en faisant parler Sainville en personne.
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
bien qu’homme du monde. Elle [le] pria de m’amener chez elle. Il m’en parla , et comme naturellement ceux qui aiment un art so
t tant de temps, que nous n’eussions pas trouvé quelque moment à nous parler en particulier. J’avais remarqué dans elle tant d
nçait rien, elle les chantait aussi bien que moi. Enfin je résolus de parler si intelligiblement, qu’il n’y eût pas moyen de n
si honnête et si soumise me déconcerta, mais ne me rebuta pas. Je lui parlai des compagnies et du jeu, comme un jaloux jusques
moi poursuivre, vous saurez tout en son temps. Je commence à le faire parler . Après ce bel exploit, dit-il, je vins trouver Ma
la, en effet, mais c’était beaucoup. Je voulus lui persuader de faire parler à son oncle par des gens que nous savions avoir d
’elle me reprocha le peu d’amour que j’avais pour elle. Je ne vous en parlerai plus, ajouta-t-elle en me regardant fixement, mai
rt embarrassé, et fort en peine de ce nouveau moyen dont elle m’avait parlé comme en me menaçant. Je retournai le lendemain c
nsieur, me dit-elle ; mais enfin, vous voilà venu. Nous sommes seuls, parlez sans contrainte ; qu’avez-vous enfin résolu ? M’a
e ici des mesures pour nous épouser sans éclat. Nous avons assez fait parler de nous, il est temps de finir les caquets et not
oint, Monsieur, reprit cette dame en riant, nous aurons du temps pour parler de tout ; achevez l’histoire de Monsieur de Jussy
naître qu’elle n’avait point mérité un traitement si indigne. Nous en parlâmes assez longtemps : mais pour revenir à lui, le por
surément, lui dit en riant Madame de Contamine, quelle effronterie de parler en ces termes des femmes devant nous ? Je vous ai
r, afin que le plaisir des uns ne rende point les autres jaloux. Nous parlerons du jour une autre fois, dit Madame de Londé ; cep
me de Contamine ayant fait signe à Des Frans qu’[elles] voulaient lui parler en particulier, il se retira avec elles dans un c
culier, il se retira avec elles dans un coin de la chambre, où ils se parlèrent fort bas, quoique avec beaucoup d’action. Nous di
où il n’avait point été appelé. Il se défendit fort galamment ; on y parla de la jalousie, et cela fit insensiblement tomber
15 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
ma part. Du lundi 27. [février] J’allai hier à Lorient ; je ne parlai point à Monsieur Céberet, il était allé à Quimper
point à Monsieur Céberet, il était allé à Quimperlay. Mais puisque je parle de lui, il est à propos d’en dire un mot. Vous sa
erdu de vue, ou que lui-même ne manque de force. Nous avons cependant parlé à Messieurs du Dragon : Monsieur Du Quesne est ho
qu’on avait jeté à la mer. Nous nous sommes trompés ; nous lui avons parlé sur les deux heures après midi, c’est un mandarin
as ou environ, sur laquelle est bâti le village et une église dont je parlerai bientôt. En allant à gauche, vous passez devant u
est assez pour les gens qui y demeurent. Ce sont tous noirs dont nous parlerons par la suite ; il y a seulement un fidalgue ou ge
es de l’île, n’y ayant vu d’ecclésiastique blanc que l’Evêque dont je parlerai en parlant de la ville. Le tableau de l’autel rep
par les roches qui bordent la mer et par une petite muraille dont je parlerai dans la suite. Je ne vis point cela hier au soir,
ndée en particulier. Les autres ecclésiastiques sont tous noirs. J’ai parlé à trois ou quatre qui parlent un latin très mauva
res ecclésiastiques sont tous noirs. J’ai parlé à trois ou quatre qui parlent un latin très mauvais quoique bien articulé, peu
ci, un morceau de fromage que j’avais porté et puis c’est tout. Je ne parle point de linge, il n’y en a pas. Il y avait sur l
a pas la force de se remuer. Il vient de mourir un matelot à qui j’ai parlé il n’y a pas une heure. Le pauvre garçon vint hie
’on ne peut respirer. Monsieur Hurtain est bien mal ; on ne lui a pas parlé de cette mort crainte de lui donner de mauvais pr
sur les perdrix. Cela nous a divertis pendant quelque temps. J’en ai parlé à un de nos missionnaires qui m’a dit qu’il regar
bunal, et sans formalité le plus fort dévore le plus faible, car sans parler de la truie d’ici, le lapin ne mange-t-il pas ses
es. Ils ont fait assembler tout l’équipage à qui Monsieur Du Quesne a parlé ainsi : Je suis fâché, mes enfants, de la mort de
rouve la mort Dans une guerrière aventure D’espérer une sépulture. On parle à ses amis, on parle à ses parents. Cela console
e guerrière aventure D’espérer une sépulture. On parle à ses amis, on parle à ses parents. Cela console en quelque sorte Mais
et à souper. Nous faisons rire les autres, et nous rions aussi. Nous parlons quelquefois d’affaires sérieuses : il me fait la
il me fait la grâce de m’en entretenir. Il a de l’esprit beaucoup et parle des affaires du monde en politique raffiné, enfin
des relations avant moi, ce n’est point une chose assez rare pour en parler , on en voit par toute la mer tant dans celle d’Af
on les prend à la main. Mais n’y ayant rien d’extraordinaire je n’en parlerai pas. Du jeudi 18 [mai] Toujours même vent ;
orbut qui les tue, plusieurs de nos gens en sont attaqués. Nous avons parlé à Messieurs du Gaillard qui disent qu’ils viendro
sis sur leurs talons marmottant je ne sais quoi, et de temps en temps parlaient haut tous ensemble. Ils ne se retournent point, q
eurer dehors la nuit et qu’il avait exprès choisi ce temps-là pour me parler sans témoin. J’avais avec moi le coq de notre nav
ieutenant allait s’embarquer. Il tomba dans mon sens quand je lui eus parlé et me promit d’en parler à Monsieur de Porrières.
quer. Il tomba dans mon sens quand je lui eus parlé et me promit d’en parler à Monsieur de Porrières. Enfin je pris pour être
trouvai plus quelque chose que j’avais le soir dont il est inutile de parler , et que je ne doute pas qu’il n’ait emportée. Une
lier. Pour ce qui est des femmes et des filles il est impossible d’en parler parce qu’ils ne souffrent point qu’on les voie, e
ussi. Ils me Firent signe et crièrent à mon nègre qu’ils voulaient me parler . Je les écoutai. Ils me dirent que si j’allais à
ainsi mahométans ; il y en a pourtant d’idolâtres desquels je vous ai parlé au sujet de la tête de bœuf ; il y en a aussi qui
res à une espèce de chapelle à vingt pas de la masure dont je vous ai parlé , laquelle sert de tombeau à un Anglais qui y est
us de la porte de la chapelle ou tombeau de l’Anglais dont je vous ai parlé . Je ne sais pour quel usage il y était, mais les
à-dire que nous allons toujours bien. J’avais résolu de ne vous point parler pilote, mais je ne m’en suis point souvenu. En ef
upe de l’Ecueil, commandée par Monsieur de La Chassée dont je vous ai parle ci-devant a enlevé celle de ce navire. Tous les H
avidité peuvent causer dans un navire pris de force. Je ne veux point parler des autres ; pour moi, la confusion même m’a rend
u Quesne dit que si je n’ai pas pillé j’ai fait autre chose ; il veut parler de son capitaine d’armes sur qui j’ai mis la main
ponctualité que pour la conséquence, ne valant pas la peine qu’on en parle . Ce qu’il y a de bon c’est que nous avons appris
es, mais d’un seul étage, toutes enduites de la chaux dont je vous ai parlé , ce qui fait une vue assez agréable. Les maisons
pourtant la religion des Gentils qui leur commandent à baguette. Mais parlons de tout séparément. [Gentils rubrique marginale]
s à se brûler après la mort de leurs maris on n’entendrait point tant parler de morts subites. Il est pourtant faux ce que dis
s Français qu’elles ont épousés, mais puisque l’occasion revient d’en parler , je ne puis m’empêcher de vous dire que ce sont d
ce pèlerinage nocturne que je vis le corps mort brûlé dont je vous ai parlé ci-dessus, et dont je jetai au feu la provision a
la bonne foi des peuples. Je poursuis avec Monsr. Corneille : Mais à parler sans fard de tant d’apothéoses L’effet est bien d
il a fait consister son paradis dans le plaisir des sens. Je ne vous parle point de la monnaie du pays : je vous en porte et
out nus, et la première chose qu’ils ont demandée en portugais qu’ils parlent fort bien et que Monsieur de Pressac lieutenant d
voyons point encore d’autre navire que le Florissant. Nous lui avons parlé ce soir. Le vent est toujours contraire à la rout
a fusée. Nous avons donc donné sur ces deux navires, qui après s’être parlé l’un à l’autre, se sont séparés à dessein de nous
lus de deux lieues au vent à nous ; enfin il a arrivé, nous lui avons parlé . Monsieur de Porrières lui a dit que son gouverna
plusieurs fois leur argent, offrant même d’y perdre et de n’en point parler s’ils voulaient leur rendre de bonne foi ce qu’il
sais par ouï-dire de l’Asie. Je ne puis pourtant me dispenser de vous parler du royaume d’Achem dont nous sommes proches. Les
n quérir Monsieur de Quemener qui est le missionnaire dont je vous ai parlé au sujet du Pégu, afin de donner à nos matelots l
avons été toute cette nuit à la cape à cause des écueils dont je vous parlai hier. Monsieur de Quemener est retourné à bord du
er en ruine faute d’être entretenue à cause de la guerre dont je vous parlerai dans la suite. Les habitants sont affables mais i
rté des choses si peu vraisemblables que je me dispenserai de vous en parler , étant impossible de les croire à moins que de le
et mille autres fruits et légumes y viennent en abondance. Je vous ai parlé de la viande, le poisson y est bon et en très gra
maux sont ici plus grands que deux veaux de six mois. Pour achever de parler des bêtes malfaisantes de ce pays-ci, le pauvre c
se fussent accommodés avec Monsieur l’Evêque de Metellopolis. Il m’a parlé plus d’une fois sur cette matière. Cet accommode
oles des pagodes. L’idole de Villenove qui est Coinda dont je vous ai parlé au sujet de sa tête d’éléphant, a une nature d’ho
s et nos marchés. Ceux qui vendent à crédit savent écrire. Je ne vous parlerai point de leur encre ni de leur papier, je vous en
pour le soulager de jeter à la mer quatre pièces de canon. Nous avons parlé ce soir à Messieurs du Lion qui sont comme par ga
quel état sont le Florissant et le Dragon, car nous ne leur avons pas parlé . Le vent est faible et contraire et la mer fort é
, notre grand mât a couru risque de casser, et enfin si on pouvait se parler en esprit je me recommanderais à vos prières.
rrivera aucun mal que je ne le partage avec vous. Enfin, M. d’Haire a parlé Evangile et a dit tout ce qu’un honnête homme doi
ssant est venu à bord voir le nôtre qui est fort mal. Je vous ai tant parlé des affaires de Siam que je suis honteux de vous
ous ai tant parlé des affaires de Siam que je suis honteux de vous en parler encore, mais je ne puis m’en dispenser. Il repass
surpris de ce que dans aucune relation de celles que j’ai lues, on ne parlait point de la princesse de Siam. Je m’en suis infor
ur les îles de l’Amérique, et vraisemblablement nous trouverons à qui parler avant que d’être en terre française ; et si je pu
uerrier et bon justicier, que bon serviteur du Roi ; tout le monde en parle avec une estime et une vénération particulière. M
de relations que n’ayant rien de nouveau à vous en dire je ne vous en parlerai point du tout si ce n’est de ce qui leur est arri
contraire, nous avons vu ce matin le cap de Finisterre, et nous avons parlé ce soir à un Portugais qui s’en retourne à Lisbon
é un coup de canon sans balle, sous pavillon français. Nous lui avons parlé , c’est un corsaire de Provence qui rôde par ici d
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
ir vos secrets. —  Oui, Monseigneur, répondit Sancho, il y a temps de parler et temps de se taire ; trop parler nuit, et trop
, répondit Sancho, il y a temps de parler et temps de se taire ; trop parler nuit, et trop gratter cuit. —  Si cela est ainsi,
l s’assit sur l’herbe, et obligea Don Quichotte d’en faire autant. Il parla encore pendant le repas de la pesanteur de ses ar
es méchants qu’avec leurs propres armes ? Ils auraient plus longtemps parlé et mangé, car la station plaisait fort à Sancho,
lui dit le fidèle écuyer, car c’est celui que vous avez tué. —  Nous parlerons de cela une autre fois, ami Sancho, lui dit-il, t
coup à cheval, et Sancho qui avait le cœur gai, ne put s’empêcher de parler selon son naturel glouton. Tenez, Monsieur, dit-i
haut, qu’il se brisa tout le corps et resta mort sur la place. Le duc parla à l’autre avec tant de douceur, qu’il se laissa g
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
it de votre ventre. —  Mardi, Mademoiselle, lui répondit Sancho, vous parlez comme on dit que parlent les gens de votre pays,
ardi, Mademoiselle, lui répondit Sancho, vous parlez comme on dit que parlent les gens de votre pays, sans savoir ce qu’ils veu
voir des femmes, et ont trop d’esprit pour en prendre ; celui dont je parle est fils d’une maîtresse, et ces femmes-là sont c
la poitrine et par les cornes continuait et augmentait à mesure qu’il parlait , et quoique cet objet fût épouvantable, notre hér
u n’es toi-même qu’un veillaque et un marrane, puisque celui à qui tu parles est le chevalier des Lions lui-même. —  Toi, repr
romit encore de lui en donner des nouvelles le lendemain, après avoir parlé à son bon ami Parafaragaramus. —  Je voudrais bie
i un autre que moi le renvoyait en enfer. La comtesse lui promit d’en parler à Parafaragaramus, et de faire ses efforts pour q
t que Parafaragaramus était trop honnête enchanteur pour lui en avoir parlé à lui-même si ce n’avait pas été une vérité. Il l
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
lle, dont le valet de chambre avait été tué par les bandits, il avait parlé de lui à celui-ci avec tous les éloges possibles.
tait une affaire faite. Le chirurgien avait avancé les choses sans en parler ni à l’hôtesse ni à ce prétendu valet de chambre,
cœur de s’être adressé à une femme préoccupée pour un autre ; elle en parla à Silvie, qui tout d’un coup devina que c’était l
mes ils en étaient. La belle veuve lui dit qu’ils ne s’étaient jamais parlé , et que tout ce qu’elle en pouvait savoir elle-mê
Chirou eut tout le loisir de voir cette belle veuve ; mais il ne lui parla pas plus de son amour qu’il lui en avait parlé à
veuve ; mais il ne lui parla pas plus de son amour qu’il lui en avait parlé à Paris. Ce n’était cependant pas la discrétion q
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
les gens de distinction. Il demanda au maître d’hôtel de Valerio, qui parlait bon français, s’il écrivait, et ayant appris que
présente au récit que fit Deshayes devant plus de vingt personnes. Il parla fort longtemps pour un homme aussi bas qu’il para
dont il ne fût l’inventeur, et non pas Sainville, qui n’avait jamais parlé qu’avec vénération de Silvie et de sa famille ; i
du chemin qu’elle prenait, et qu’elle lui avait écrit pendant qu’elle parlait à l’abbesse du couvent où elle avait voulu entrer
s belle que celle que ses actions pouvaient lui attirer. Pour ne plus parler davantage de Deshayes, il fut enterré le lendemai
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
s, mais à condition seulement de payer sa dépense ou sa pension. Nous parlerons de cela une autre fois, lui dit le duc en riant ;
ne autre fois, lui dit le duc en riant ; Parafaragaramus n’en a point parlé , commençons par exécuter ses ordres et ne songeon
quérir avec sa fille. Le duc d’Albuquerque et Dorothée son épouse en parlèrent les premiers à table en soupant, et toute la comp
hemin. Toute la compagnie, et surtout la duchesse, était fort aise de parler à elle avant que Sancho la vît, et qu’il eût un p
encore une fois, lui dit sa mère ; ne sais-je pas bien qu’il ne faut parler de rien ? — Il se trouve ici un fort bon parti, c
fenêtre avant jour sitôt qu’il m’a entendu(e], et personne n’en peut parler , puisque personne ne l’a vu, et que Sanchette cou
e amant dans votre chambre, mais vous ne sauriez empêcher le monde de parler . — Tenez, Madame, lui dit Sanchia, Nicolas est un
ol si je te voyais de même. — Eh ma mère, reprit la fille, laissez-la parler  ; ne savez-vous pas bien que les envieux meurent
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
une voix épouvantable, on fait ici justice à tout le monde, laisse-le parler , on t’écoutera après dans tes défenses. Le lutin
juges imposèrent silence à Parafaragaramus et à Sancho qui voulaient parler , et Minos ayant été aux opinions prononça l’arrêt
ira l’attention de nos deux chevaliers, et Pluton lui ayant permis de parler , il commença par remontrer toutes les peines qu’i
rieur à tout ? Outre cela, poursuivit un démon qui n’avait pas encore parlé , le chevalier Sancho ne parle point contre les fe
rsuivit un démon qui n’avait pas encore parlé, le chevalier Sancho ne parle point contre les femmes par malice ; le bon seign
ut ce que tu vins en rapporter à ton bon maître n’était-il pas faux ? Parle , perfide, est-ce ainsi que tu devais reconnaître
22 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
nt, ne sont point de ma façon, et sont en effet des gens dont je veux parler . Il y aura peut-être quelque curieux qui les aura
gles toutes contraires à celles des romans. J’ai écrit comme j’aurais parlé à mes amis dans un style purement naturel et fami
oms, qu’on ne sait à présent quel est le frère d’une fille, lorsqu’on parle d’elle. Ce mauvais usage est venu des provinces,
lle pas cacher que Mademoiselle telle est sa fille ? Les gens dont je parle vivaient dans un temps, où on observait un niveau
23 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
s dirai une autre fois ce que c’est ; pour le présent, poursuivit-il, parlons d’autres affaires. Commencez par me dire comment
dit Des Ronais, parce que Dupuis arrivera bientôt, et je ne veux pas parler devant lui de ma rupture avec sa cousine. Est-ce
ort. Il ne peut plus vous donner d’ombrage, et la lettre dont je vous parle , est ce qui l’a tout à fait déterminé à la retrai
terrompit Des Ronais tout étonné, de dire que le mystère dont vous me parlez me passe. Je n’aurais jamais soupçonné que vous e
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
ave de son amant favorisé. Silvie s’en aperçut, en ce que Verville ne parla plus de partir, et qu’au contraire il voulut rest
endre à ses raisons ; il eut même la prudence de le prier de ne point parler à Silvie de ce qu’il lui avait dit, et cependant
, qu’elle connut bien qu’il en était parfaitement instruit. Il ne lui parla nullement de la chambre, ayant ses raisons pour s
utre vengeance d’elle que de la mépriser comme une malheureuse. Il ne parla pas même de l’aventure à son beau-père, et depuis
Messieurs, reprit le duc de Médoc après que la marquise eut cessé de parler , nous ont avoué avec sincérité le génie de leur n
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
it pour lors Alonza Lorenço, que Don Quichotte, sans lui avoir jamais parlé , avait fait dame de ses pensées, et maîtresse de
leur en fallait pour le parcourir jusqu’au souper, pendant lequel on parla d’Alti-sidore, et après l’avoir plainte d’une pas
é qu’il n’avait fait de sa vie ; mais enfin son maître ayant cessé de parler , parce qu’il n’en pouvait plus de la gorge, Sanch
estionna sur son absence ; mais il n’eut garde de rien dire, et on ne parla pas plus d’Altisidore que si elle n’avait jamais
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
ien ; dites-moi donc vous-même ce qu’il faut que j’en fasse ? — Voilà parler en honnête homme, lui répliqua Parafaragaramus ;
eh bien, remets tout entre les mains du curé de ton village, sans en parler à ta femme ; il est homme d’honneur, et aura soin
verre des compositions assoupissantes. Sitôt qu’on le vit bâiller on parla d’aller se reposer. La princesse Dulcinée fut con
27 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
retournèrent chercher dans la caverne, où ils l’avaient laissé, sans parler de leurs chevaux, sur lesquels ces malheureux n’a
uels ces malheureux n’avaient pas eu le temps de monter. Pour ne plus parler d’objets si affreux, justice fut faite d’eux tous
28 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
. Quelque lecteur a sans doute déjà trouvé à redire qu’on n’ait point parlé des civilités que notre chevalier avait faites à
p la fin de l’aventure. Ce lieutenant vint avec son greffier, et leur parla longtemps en particulier, après quoi il se fit re
29 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIII. De l’accident qui arriva au chevalier Sancho, en tirant une arme à feu. Remède pire que le mal. »
e donnèrent à l’envi l’un de l’autre à sa valeur. Comme je n’ai point parlé du duc d’Albuquerque, il est à propos d’en dire u
qu’il ne lui permettait pas d’ouvrir la bouche ni pour mâcher ni pour parler . Il resta plus de huit jours aveugle, mais peu à
30 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
ence n’y apportait point d’autre circonspection que celle de ne point parler du tout de lui que par les beaux endroits, et jam
nville, et qu’il y en a qui sont plaints par le public, ou dont on ne parle seulement pas, et d’autres moqués et raillés avec
31 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
que celle d’un combat. —  Mardi, Monsieur, lui répondit Sancho, vous parlez toujours le mieux du monde, vous n’avez rien à cr
ordre d’en faire davantage ; mais Sancho ne lui donna pas le temps de parler , et comme il avait le dessus, il commença à trava
32 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
ne lui coûte ni sang ni péril. Pardi, Monsieur, répondit Sancho, vous parlez comme un théologal, et mille fois mieux que l’uni
nez, Monsieur, lui dit-il, bien du monde s’en plaint, et moi qui vous parle , je n’ai point de sujet de m’en louer, car une fo
33 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
er par devant cette fosse pour aller à ce petit bois dont on vient de parler . Don Quichotte était dans une impatience terrible
ma voix, comme il va te la demander lui-même. Qu’il se lève et qu’il parle , répondit Pluton d’une voix effroyable. Don Quich
34 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
t suivi ce prince, se trouva dans un festin avec des Espagnols ; on y parla des héros des deux nations. Le Français nomma Don
35 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
faragaramus avaient écoutée. Ainsi quand nos aventuriers cessèrent de parler , le duc se retira à son appartement. Il fit prend
36 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
cela sait-il gagner sa vie ? Il vaut mieux un gendre pauvre qui sache parler , qu’un riche qui ne sache qu’avaler. Il faut enco
37 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
quelque repos jusques au lendemain, n’étant point du tout en état de parler ni de voir qui que ce fût. Chacun se retira donc 
38 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
ait que juger d’un homme qui était effectivement fou, et qui pourtant parlait de si bon sens et se battait avec tant de conduit
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